e et même au séjour au lit, les os s'atrophient comme tous les autres
tissus
. Or, Xatrophie des os se manifeste par une diminu
e on l'a dit, mais ils deviennent sécables par la raréfaction de leur
tissu
; ils ne sont pas plus fragiles, comme on l'a dit
s ainsi atrophiés en lamelles séparées par des couches très minces de
tissu
spongieux. L'atrophie des extrémités des os lon
nt de la couche compacte qui les revêt, et par la raréfaction de leur
tissu
spongieux qui est converti en tissu réticulaire.
êt, et par la raréfaction de leur tissu spongieux qui est converti en
tissu
réticulaire. Il m'est arrivé de rencontrer, dans
ntité énorme de suc médullaire. Dans les os atrophiés, en effet, le
tissu
adipeux médullaire acquiert une très grande prédo
rois, par de la sérosité, et les espaces vides sans mouvement, par du
tissu
adipeux. Pusieurs faits me portent à établir qu
ue, tout le temps que l'ossification nouvelle peut être distinguée du
tissu
«de l'os, ils sont dans le même état que si la fr
osition « linéaire, augmentent de consistance, ressemblent d'abord au
tissu
cellulaire pénétré d'al-« bumine combinée, puis r
puis os-« seuse, qui constitue le cal. Il semblerait cependant que le
tissu
fibreux doive être beaucoup « plus susceptible de
doive être beaucoup « plus susceptible de cartilaginification que le
tissu
musculaire. » (2) (1) Dans quelques cas, le lig
cal définitif n'est que le cal provisoire ou spongieux transformé en
tissu
compacte. Du moment que les fragmens d'un os fr
consiste dans la production d'une substance fibreuse qui naît, non du
tissu
osseux lui-même, mais de la membrane adipeuse méd
de la membrane adipeuse médullaire, laquelle tapisse les cellules du
tissu
spongieux. Cette substance fibreuse se présente s
éral, tous les fragmens sont unis entre eux par le périoste et par le
tissu
fibreux, appartenant au ligament capsulaire et au
remplie de caillots sanguins, cavité qui était comme creusée dans le
tissu
spongieux de l'os, au niveau du grand trochanter.
niveau du grand trochanter. Jen ai conclu que l'hémorrhagie venait du
tissu
osseux lui-même , et voici mon raisonnement : les
s os sont beaucoup plus vasculaires qu'on ne le croit communément; le
tissu
spongieux des os présente la plus grande analogie
jeune âge, et en partie chez l'adulte et chez le vieillard, comme un
tissu
caverneux, dont les parois seraient ossifiées. Un
aient ossifiées. Un écoulement de sang est la suite de la fracture du
tissu
spongieux; mais cet écoulement de sang est généra
l'extrémité supérieure du fémur. XXIIlc LIVRAISON. 2 cellules du
tissu
spongieux, qu'on peut considérer comme un tissu é
ISON. 2 cellules du tissu spongieux, qu'on peut considérer comme un
tissu
érectile, à parois inflexibles, ne fournissent du
mais bien lentement, par suintement, comme dans les hémorrhagies des
tissus
érectiles. L'étendue de la surface de la fractu
figure 3, et qui est reçue dans une cavité incomplète, formée par un
tissu
osseux de nouvelle formation, tissu qui se présen
cavité incomplète, formée par un tissu osseux de nouvelle formation,
tissu
qui se présente sous l'aspect de végétations spon
leur circonférence, les fragmens étaient unis entre eux à l'aide d'un
tissu
fibreux appartenant au périoste, aux tendons, à l
tenant au périoste, aux tendons, à la capsule fibreuse, en un mot aux
tissus
blancs qui entourent l'articulation- La face po
nt inférieur, et formée par des végétations mamelonnées VM, VM, et du
tissu
fibreux. Cette pointe ou avance du fragment supér
e ou avance du fragment supérieur est presque entièrement composée de
tissu
compacte ; i° l'autre supérieure plus considérabl
; i° l'autre supérieure plus considérable AT, entièrement composée de
tissu
spongieux, et qui était reçue dans l'épaisseur du
r du grand trochanter; cette pointe est quelquefois constituée par le
tissu
spongieux de la base du col; plus souvent elle es
issu spongieux de la base du col; plus souvent elle est formée par le
tissu
compacte du bord inférieur de ce même col. Lors
un cas, il s'était détaché au centre du grand trochanter une masse de
tissu
spongieux qui s'était enfoncée dans l'épaisseur d
admise par les autres, ne concourent nullement à la consolidation; le
tissu
spongieux ne concourt pas davantage à la consolid
e tissu spongieux ne concourt pas davantage à la consolidation que le
tissu
compacte lui-même; lorsqiie des trousseaux fibreu
ie des trousseaux fibreux sont étendus de l'un à l'autre fragment, ce
tissu
fibreux est formé aux dépens de la membrane médul
ucune manière à la consolidation, (i) La cicatrice des os; c'est un
tissu
fibreux plus ou moins dense, étendu de l'un à Fau
tissu fibreux plus ou moins dense, étendu de l'un à Fautre fragment,
tissu
qui naît des cellules de l'os divisé, et qui para
que je fus conduit, presque malgré moi, à considérer les muscles, le
tissu
cellulaire, les tendons , en un mot tout ce qui e
e entre ces deux fragmens, et que la réunion se faisait à l'aide d'un
tissu
fibreux très dense, très peu extensible. —Une cou
continuité étaient inégales, anguleuses, qu'elles étaient formées de
tissu
compacte, tandis qu'à une ligne et demie, deux li
mpacte, tandis qu'à une ligne et demie, deux lignes de la surface, le
tissu
était spongieux et pénétré de graisse; que la cou
es fragmens libres au milieu de la synovie ne sont point entourés des
tissus
chargés de la réparation de la solution de contin
-ce pas d'ailleurs une preuve de vitalité que cette transformation du
tissu
spongieux en tissu compacte qu'on observe très so
une preuve de vitalité que cette transformation du tissu spongieux en
tissu
compacte qu'on observe très souvent sur cette têt
paisseur, rarement en longueur, il l'est aussi quelquefois dans son
tissu
, qui de compacte est devenu spongieux. Je ne parl
a graisse dont l'ablation permet de voir la disposition spongieuse du
tissu
osseux; la nouvelle cavité eotyloïde NCC,laquelle
tinuelles auxquelles elle a été soumise pendant la vie ; or, pour les
tissus
fibreux , le tiraillement, la distension sont une
breux COL formé aux dépens de l'ancienne capsule est remarquable. Son
tissu
est jaune et pourtant il n'offre aucun des caract
e. Son tissu est jaune et pourtant il n'offre aucun des caractères du
tissu
jaune élastique : à ce sujet, je dois faire remar
uer que les anatomistes donnent quelquefois trop légèrement le nom de
tissu
jaune à des parties fibreuses qui n'ont avec le t
ement le nom de tissu jaune à des parties fibreuses qui n'ont avec le
tissu
jaune élastique d'autre analogie que la couleur.
ession exercée sur la moelle par la moitié postérieure du pourtour du
tissu
occipital et par l'apophyse odontoide. La figur
inution d'action des muscles inspirateurs. Sans doute les maladies du
tissu
propre de la moelle sont plus fréquentes qu'on ne
nt aussi intacts que les fragmens du cartilage le plus sain. Or, tout
tissu
qui ne répond pas par l'inflammation aux causes d
livraison a été publiée sous le titre de Dégénérescence singulière du
tissu
osseux dans les os du crâne et dans les os de la
ers de petites granulations d'apparence graisseuse renfermées dans un
tissu
aréolaire. La surprise qu'excita la vue de cette
matière contenue dans les alvéoles fut dissoute, et il ne resta qu'un
tissu
spongieux à mailles assez serrées. Cette matière
nne. Du reste, le bord frontal du pariétal est comme corrodé, mais le
tissu
de cet os est dur et compacte, et ne participe en
° je reconnus la nature cancéreuse de la maladie; i° je jugeai que le
tissu
qu'on me présentait avait appartenu à un os. Depu
nu à un os. Depuis long-temps, en effet, je considère les os comme un
tissu
caverneux, ou mieux comme un tissu veineux aréola
ffet, je considère les os comme un tissu caverneux, ou mieux comme un
tissu
veineux aréolaire à parois osseuses, dont toutes
que plus tard elles se partagent entre la circulation veineuse et le
tissu
adipeux médullaire. Il est d'ailleurs démontré, p
ire. Il est d'ailleurs démontré, par un grand nombre de faits, que le
tissu
compacte et le tissu spongieux des os ne sont qu'
s démontré, par un grand nombre de faits, que le tissu compacte et le
tissu
spongieux des os ne sont qu'un seul et même tissu
issu compacte et le tissu spongieux des os ne sont qu'un seul et même
tissu
modifié, et que ces tissus se transforment l'un d
spongieux des os ne sont qu'un seul et même tissu modifié, et que ces
tissus
se transforment l'un dans l'autre avec la plus gr
dans l'autre avec la plus grande facilité. J'ai donc prononcé que le
tissu
aréolaire ou plutôt celluleux qui m'était présent
le tissu aréolaire ou plutôt celluleux qui m'était présenté était un
tissu
osseux dont les cellules étaient remplies par du
ce poids était diminué des deux tiers environ , preuve évidente qu'un
tissu
, susceptible de dessiccation,entrait pour deux ti
x tiers dans la composition de cette tumeur, et par conséquent que le
tissu
osseux ne constituait que le tiers environ de la
sont séparés les uns des autres par des sillons profonds, remplis de
tissu
fibreux. La surface de la tumeur n'était unie aux
rface de la tumeur n'était unie aux parties voisines qu'à l'aide d'un
tissu
cellulaire extrêmement lâche. Les tendons d'inser
ne grande étendue, elle est véritablement implantée sur l'os, dont le
tissu
compacte s'est épanoui en tissu spongieux, lequel
tablement implantée sur l'os, dont le tissu compacte s'est épanoui en
tissu
spongieux, lequel s'enfonce et se perd, par ses c
e cylindre médullaire est parfaitement conservé. 3° Indépendamment du
tissu
osseux, formé par la transformation de la substan
s de cartilage. Ces concrétions font suite au XXXIVe LIVRAISON. I
tissu
osseux proprement dit, dont il est extrêmement fa
à-fait semblables à celles qui auraient résulté de la dessiccation du
tissu
fibreux. Ce fragment est léger, poreux. Les mamel
voient ça et là dans l'épaisseur du fragment. La transformation en
tissu
fibreux de la portion cartilagineuse de la tumeur
de ces tubercules ou mamelons ne tiennent au lobule qu'à l'aide d'un
tissu
fibreux. Toutes ces masses sont plongées au milie
u pubis ont-ils contribué à la production de cette grande quantité de
tissu
fibreux ? On serait tenté de le croire; mais l'an
oses sont complètement étrangers à la tumeur qui émane entièrement du
tissu
osseux et de son périoste. La coupe de la tumeu
tre qu'elle s'implantait sur toute la circonférence du pubis, dont le
tissu
spongieux s'épanouissait au centre de cette tumeu
osseuse centrale, bien évidemment constituée par le développement du
tissu
propre de l'os pubis, tout le reste de la portion
es portions membraneuses , qui sont le résultat de la dessiccation du
tissu
cartilagineux. Ces portions membraneuses, interpo
érer comme des dégénérations des os, des ostéo-sarcômes ou cancers du
tissu
osseux. Il me semble résulter de l'examen approfo
végétations, des excroissances, des parasites, nés du périoste et du
tissu
osseux lui-même, appartenant à la classe si com
soit à la surface des os, soit autour des articulations. Or, comme le
tissu
cartilagineux entre au moins pour moitié dans la
sous le point de vue théorique, de faire mention de la présence de ce
tissu
cartilagineux, je les désignerai sous le nom à'os
lus en plus déliés, « et avaient ainsi converti cette substance en un
tissu
aréolaire, surtout vers le centre de la « dilatat
ls descriptifs de cette tumeur, dont la partie centrale présentait le
tissu
du fémur épanoui et raréfié, de la surface duquel
le tissu du fémur épanoui et raréfié, de la surface duquel partait du
tissu
osseux de nouvelle formation , une analogie évide
tées delà portion osseuse de la tumeur. Elle en diffère, parce que le
tissu
du fémur, au lieu de présenter, au niveau de la t
issociation de ses lamelles et de ses fibres, offre, au contraire, un
tissu
extrêmement compacte. La cavité médullaire manque
La cavité médullaire manque complètement : elle est remplacée par un
tissu
compacte, éburné, excepté à la limite supérieure
e, éburné, excepté à la limite supérieure de la tumeur, où se voit un
tissu
aréolaire. Dans cette même pièce, le fémur est in
ce m'a été remise desséchée, je ne puis déterminer à quelle nature de
tissu
appartenaient les parties molles : ce n'est que p
les : ce n'est que par analogie que je crois pouvoir les rapporter au
tissu
cartilagineux. Je ferai remarquer, à l'occasion d
eut pas enlever l'exostose sans entamer plus ou moins profondément le
tissu
osseux, tandis qu'on peut séparer complètement l'
le. Ces tumeurs pouvaient se séparer en lobules distincts unis par un
tissu
fibreux très dense. Ces lobules, de forme conoïde
son ensemble, cette coupe offre une grande ressemblance avec celle du
tissu
de l'utérus dans l'état de grossesse. Les vacuole
os peuvent être considérés, sous le rapport de leur texture, comme un
tissu
caverneux à mailles osseuses, on comprendra aisém
du cadavre. Toutes les tumeurs pulsatiles étaient constituées par un
tissu
caverneux , dont les aréoles fibreuses, très inég
l'épaule droite et les tumeurs crâniennes sont formées aux dépens du
tissu
osseux. Voici la description des tumeurs du crâne
ces articulaires privées de cartilages, sont unies entre elles par un
tissu
fibreux plus ou moins régulièrement fascicule, à
mbranes, l'une cutanée, l'autre muqueuse, entre lesquels se voyait un
tissu
aréolaire, faisait suite à un canal cartilagineux
-dorsale de la moelle manquait entièrement 'et était remplacée par du
tissu
cellulaire; mais la chose n'est pas positivement
ué par deux membranes,l'une cutanée, l'autre muqueuse, réunies par du
tissu
cellulaire. Sur la figure 2 , comme sur la figu
es uns avec les autres, dont les parois ne présentent aucune trace de
tissu
rénal. Le rein droit RD est très petit, mais sain
e terminent brusquement, sans tendon terminal, sans insertion dans le
tissu
adipeux sous-cutané, l'obliquité des muscles fasc
urs etdes grains glanduleux parotidiens eux-mêmes; i° inflammation du
tissu
cellulaire de la parotide; 3° inflammation des ve
due, en partie, à l'œdème, en partie à la parotide elle-même, dont le
tissu
était marbré de rouge et de blanc: le blanc, c'ét
es aussi bien que les conduits excréteurs; mais dans d'autres cas, le
tissu
delà glande parotide est respecté et l'inflammati
mbrane buccale, je serais tenté de croire que c'est par continuité de
tissu
que l'inflammation s'est propagée de la muqueuse
arotidiennes et sous-maxillaires, connues sous le nom d'oreillons? Le
tissu
propre de la parotide est-il affecté dans ces œdè
imites de la glande; la circonscription était tellement exacte que le
tissu
cellulaire ambiant n'était pas même induré. La dé
adhérent à l'œil. La surface de la tumeur est bosselée; une couche de
tissu
fibreux d'inégale épaisseur l'enveloppe. La fig
la dégénération ; que cette dégénération appartient exclusivement au
tissu
adipeux de l'orbite, et enveloppe l'œil dans ses
us du rétrécissement. La dissection n'a démontré aucune altération de
tissu
dans les tuniques qui répondent à ce rétrécisseme
démontré qu'il existe des rétrécissemens de l'œsophage sans lésion de
tissu
. L'observation qu'on va lire , recueillie, en 18:
ne ligne de diamètre, sans aucune trace de la « moindre altération de
tissu
, terminait, en avant et en bas, cette espèce de j
tion a été le résultat d'une irritation nouvelle, qui, envahissant un
tissu
déjà altéré, un tissu de cicatrice, a rapidement
d'une irritation nouvelle, qui, envahissant un tissu déjà altéré, un
tissu
de cicatrice, a rapidement détruit la faible épai
atrice se continue, non avec la membrane muqueuse, mais bien avec les
tissus
fibreux subjacens. Une autre propriété de la cica
ue de cette circonférence, le fond de l'ulcère était constitué par un
tissu
fibreux mince, mais très résistant. Une zone ro
ong et grêle : cette tumeur divisée présenta du sang infiltré dans le
tissu
de la muqueuse. On rencontre pour ainsi dire to
la membrane qui tapisse la cavité utérine, complètement étrangères au
tissu
propre de l'utérus et contenant dans leur épaisse
ouble de membrane muqueuse, dont les deux moitiés sont réunies par un
tissu
cellulaire très lâche. Cette membrane muqueuse au
être facilement disséquée dans toute son étendue, tant était lâche le
tissu
cellulaire séreux qui l'unissait aux membranes su
diaire à la muqueuse et à la musculeuse, et parfaitement distincte du
tissu
cellulaire sous-muqueux, avait eu encore besoin d
frent leur cavité centrale presque effacée: elles sont formées par un
tissu
grisâtre, demi transparent, dur, assez analogue a
rmées par un tissu grisâtre, demi transparent, dur, assez analogue au
tissu
de la prostate. Les glandes arythénoides sont vol
et d'une couleur légèrement rosée. A l'intérieur ils sont formés d'un
tissu
assez homogène, légèrement rosé pour les uns, mar
d'une coque mince d'une couleur bleue, jaunâtre et assez analogue au
tissu
jaune des artères. « Le péritoine conserve sa c
poumons sont volumineux, et ils adhèrent aux parois du thorax par un
tissu
cellulaire lâche. A droite on trouve un peu de sé
A droite on trouve un peu de sérosité trouble dans les mailles de ce
tissu
, et quelques fausses membranes sur la partie corr
t la même apparence que les autres. 11 y a une légère infiltration du
tissu
cellulaire sous-cutané des membres. «Deux parti
re ai adénite chronique, décrit ainsi l'altération des ganglions : «¦
tissu
assez homogène, légèrement rosé pour les uns, mar
les stries blanches sont le résultat de la transformation fibreuse du
tissu
cellulaire qui unit entre eux les faisceaux de ce
ule surrénale gauche adhérait au grand cul-de-sac de l'estomac par un
tissu
fibreux. Réflexions. —L'altération que je viens
l'existence dans cet orgne d'une membrane fibreuse bien distincte du
tissu
cellulaire sous-muqueux: cette membrane fibreuse,
à leur niveau a montré que, dans une grande partie de son étendue, le
tissu
de la rate était devenu blanchâtre , compacte, fr
sultat d'une inflammation chronique, de la combinaison du pus avec le
tissu
de la rate. Elle est assez commune à la suite des
ns. Réflexions. — Nulle part, dans cette description, on ne voit de
tissu
cancéreux : et je suis porté à considérer la lési
structure, la lésion organique pouvait s'y propager par continuité de
tissu
, comme si les deux organes étaient naturellement
e supérieur correspondant ne conservent plus que quelques lambeaux de
tissus
désorganisés; mais le squelette en est parfaiteme
tous leurs caractères normaux ; toutes ces parties sont unies par un
tissu
cellulaire assez chargé de graisse, mais n'offran
ère, la partie invaginante est unie à la partie invaginée à l'aide du
tissu
cellulaire adipeux. Réflexions. — Il suit de ce
se n'adhère aux membranes subjacentes que faiblement et à l'aide d'un
tissu
cellulaire très lâche. L'atrophie du sphincter
bas-fond de la vessie chez l'homme : elle tient encore à la laxité du
tissu
cellulaire qui entoure le reste de la circonféren
. Ces foyers étaient irréguliers, inégaux en volume; autour d'eux, le
tissu
du foie était d'une couleur brun-ardoisé, et d'un
ant, présentaient des points blancs séparés les uns des autres par un
tissu
brun-ardoisé; quelques-uns plus avancés offraient
une couche épaisse brun-ardoisé ponctuée de blanc, ce qui donnait au
tissu
du foie l'aspect d'un granit à deux grains. Rate
fait d'anatomie que Pombilic, en sa qualité de cicatrice, présente un
tissu
beaucoup plus dense, plus résistant que les parti
a peau du scrotum et glissait sur les parois abdominales à laide d'un
tissu
cellulaire séreux extrêmement délié. Cette femm
bdominaux. La peau qui la recouvrait était d'une couleur violacée; le
tissu
cellulaire sous-cutané était emphysémateux. Dupuy
g. 3, F', F", F'", F"". Ces feuillets étaient unis entre eux par un
tissu
cellulaire séreux , tellement lâche et tellement
x , tellement lâche et tellement rare, qu'on pouvait hésiter entre du
tissu
cellulaire séreux ou une membrane séreuse rudimèn
nt un trajet plus long. Les unes et les autres étaient entourées d'un
tissu
gélatiniforme demi transparent et extrêmement den
laquelle les intestins sont contenus dans un sac herniaire, revêtu du
tissu
cutané. L'exomphale peut-il se manifester avant l
ent infiltrées de sang, et que cette infiltration occupait surtout le
tissu
cellulaire sous-muqueux. Une chose bien remarqu
Elle était superficielle, en sorte qu'elle paraissait siéger dans le
tissu
cellulaire sous-cutané : mais comment expliquer c
minales ; perforation de cet intestin et infiltration des gaz dans le
tissu
cellulaire sous-cutané? Du reste, il n'existait a
que présente la muqueuse aux limites du rétrécissement. Du reste, le
tissu
dégénéré était aréolaire et pénétré de suc cancér
on exprimait par la pression : on pouvait reconnaître au milieu de ce
tissu
des faisceaux musculaires hypertrophiés H M , HM.
ng des vaisseaux, ou plutôt l'inflammation s'est propagée à l'aide du
tissu
cellulaire qui accompagne les vaisseaux jusque da
ppement de graisse, laquelle occupait deux couches bien distinctes de
tissu
cellulaire : i° le tissu cellulaire sous-muqueux;
lle occupait deux couches bien distinctes de tissu cellulaire : i° le
tissu
cellulaire sous-muqueux; %° le tissu cellulaire s
ctes de tissu cellulaire : i° le tissu cellulaire sous-muqueux; %° le
tissu
cellulaire sous-péritonéal. La graisse sous-muque
pièce pathologique, a remis à M. Barruel une certaine quantité de ce
tissu
adipeux qui s'est comporté sous l'action des réac
s l'action des réactifs, comme la graisse ordinaire. La présence du
tissu
adipeux dans la portion du gros intestin interméd
ps. Le fait de la présence de la graisse dans un point circonscrit du
tissu
cellulaire sous-muqueux des intestins est un phén
er la graisse déposée en couche uniforme dans une certaine étendue du
tissu
cellulaire sous-muqueux. M. Andral rapporte, dans
pas toujours ainsi, et que l'ulcération peut envahir primitivement le
tissu
même dé la muqueuse ; plusieurs faits m'autorisen
ue, dans celles-ci, la peau prête autant que possible, si bien que le
tissu
nouveau de la cicatrice ne se forme que lorsque l
ligne de démarcation autre que celle qui résulte de la différence de
tissu
; tandis que la cicatrice qui succède aux pertes d
que, tandis que la cicatrice cutanée ressemble à beaucoup d'égards au
tissu
de la peau, la cicatrice des ulcères muqueux n'a
x n'a aucune analogie avec les membranes muqueuses, et consiste en un
tissu
fibreux très dense. Cette dernière différence, to
d'attention ces trajets fistuleux anciens, et je n'y ai trouvé qu'un
tissu
de cicatrice qui ne remplit les fonctions de memb
rface muqueuse et la cicatrice; celle-ci, exclusivement formée par du
tissu
fibreux, ne présentait soit à la loupe, soit à l'
de cette cicatrice en divers sens ne donnait d'autre résultat que du
tissu
fibreux. Un point de vue fort intéressant sous
uses, tandis que les foyers sanguins, déposés dans l'épaisseur de nos
tissus
, laissent dans ces tissus une coloration orangée,
s sanguins, déposés dans l'épaisseur de nos tissus, laissent dans ces
tissus
une coloration orangée, jaune., brune ou un mélan
la couleur noire d'ébène s'étendait au loin sous la muqueuse dans le
tissu
cellu-« laire sous-muqueux : c'était au fond d'un
eu la perforation, « la matière noire était infiltrée au loin dans ce
tissu
, les ganglions lymphatiques correspon-« dans étai
mbrane accolée au péritoine, le péritoine lui-même, et quelquefois le
tissu
ellulaire sous-péritonéal.Dans quelques cas de pé
vieilles femmes de la Salpêtrière, le sommet du poumon converti en un
tissu
noir comme du charbon, dense, fragile, desséché e
r, plus encore qu'à la vue, et échappant souvent à l'œil au milieu du
tissu
pulmonaire ardoisé, dans lequel ils sont plongés.
llaires qu'à une sorte d'infiltration ou d'imbibition sanguine de son
tissu
. La surface libre de la membrane muqueuse est c
rès adhérente; il y a rougeur vive de cette muqueuse, infiltration du
tissu
cellulaire sous-muqueux. Une bonne anatomie pat
t deux petites végétations polypeuses du volume d'un pois, et dont le
tissu
paraît sain. Toutes les fois que dans les altér
l'extérieur ; mais, une fois que cette barrière a été franchie, le
tissu
cellulaire sous-périto-néal et le péritoine lui-m
paisseur insolite de l'intestin tenait uniquement à la muqueuse et au
tissu
cellulaire sous-muqueux, qui était notablement in
r de la membrane; cet état me paraît être de la gangrène, bien que le
tissu
coloré ait conservé une grande densité. J'ai fa
atière colorante s'est en quelque sorte chimiquement combinée avec le
tissu
. Cette imbibition suppose la mort: elle est incom
sont dues à du sang infiltré entre ses membranes, et surtout dans le
tissu
cellulaire sous-muqueux. La figure 3 est une po
épaississement porte principalement sur la tunique fibreuse et sur le
tissu
cellulaire sous-muqueux. Ce gros intestin est d'a
ississement considérable des parois du rectum ; c'est l'induration du
tissu
cellulaire qui entoure cet intestin; ce sont les
mbrane muqueuse et la membrane fibreuse sous-jacentes représentent un
tissu
vasculaire érectile rempli de caillots sanguins,
ulaire est très épaisse; enfin les veines variqueuses qui occupent le
tissu
cellulaire extérieur au rectum , sont remplies de
ente une section du bourrelet hémorrhoïdal, qui est constituée par un
tissu
fîbro-celluleux lâche, revêtu par une membrane va
la peau et les membranes muqueuses : on conçoit combien facilement ce
tissu
fibro-celluleux doit s'infiltrer, s'indurer, dégé
hagie d'autant plus grave qu'elle était interne. Les hémorrhagies des
tissus
érectiles ne s'arrêtent que par la cautérisation.
ties environnantes. Souvent une inflammation phlegmoneuse s'empare du
tissu
cellulaire pelvien; de là des clapiers qui accélè
térisent la couleur jaune paille de la face, l'infiltration légère du
tissu
cellulaire sous-cutané de la face et de toutes le
membrane musculaire de l'intestin et parfaitement circonscrits par du
tissu
cellulaire induré, s'ouvraient dans la cavité du
grosse plume à écrire. Hl n'y avait là rien de morbide, mais bien un
tissu
de cicatrice. La même chose a lieu, pour l'inte
e, je suis fondé à regarder l'œdème séro-sanguinolent, dans lequel le
tissu
pulmonaire est dans un état voisin de l'apoplexie
on des vaisseaux pulmonaires , que l'œdème séreux pur, dans lequel le
tissu
pulmonaire est décoloré. Du reste, tous les aut
r la tunique fibreuse TF, et sur la tunique musculeuse TM , et sur le
tissu
cellulaire extérieur à la tunique musculeuse. Cet
is de cette cavité ; mais quelque soin que je prisse, des portions de
tissu
cellulaire induré restèrent accolées aux os. Inci
t considérable des parois de cet intestin, qui était confondu avec le
tissu
cellulaire du bassin dans une induration extrêmem
d'ailleurs très épaisses, sans dégénération, et se confondent avec le
tissu
cellulaire ambiant, qui est fort dense. L'intesti
uniques fibreuse,musculeuse et péritonéale; inflammation chronique du
tissu
cellulaire et du péritoine du bassin ; perforatio
portée du doigt. Cette ulcération a entraîné une inflammation dans le
tissu
cellulaire du bassin. L'inflammation s'est termin
t la tunique musculeuse qui offre en bas six lignes d'épaisseur,et le
tissu
cellulaire sous-péritonéal. La portion d'intestin
les fibres longitudinales de cet intestin ; on y voyait, en outre, du
tissu
adipeux, preuve évidente que ces kystes avaient a
évidente que ces kystes avaient acquis leur développement du côté du
tissu
adipeux du bassin. Le tiers inférieur du rectum
u rectum ne présentait pas le moindre vestige de kystes, mais bien un
tissu
aréolaire à mailles fibreuses, rempli comme une é
es foyers apoplectiques qui font quelquefois méconnaître la nature du
tissu
: il ne présente qu'un seul mode de destruction, l
est-à-dire à une apoplexie dans laquelle le sang est infiltré dans le
tissu
au lieu d'être ramassé en foyer. La preuve de cet
tuberculeux G T. La rate est parsemée de tubercules irréguliers. Son
tissu
est remarquable par une couleur brun foncé. Plusi
foncé. Plusieurs tubercules sont à l'état naissant, et entourés d'un
tissu
induré. Les fig. 4 et 4' représentent la rate d
péciale, et peut être ramené par la dissection et les injections à un
tissu
érectile, à un réseau veineux, dans lequel une gr
e de ces lésions et de celles analogues qui surviennent dans d'autres
tissus
peut jeter le plus grand jour sur la question du
séreuses, les synoviales, ne traverse un très grand nombre de fois le
tissu
des reins. Maison connaît l'extrême perméabilité
de fois le tissu des reins. Maison connaît l'extrême perméabilité du
tissu
rénal, la facilité en quelque sorte typique du pa
ces productions accidentelles qui peuvent se développer dans tous les
tissus
, dans tous les organes. L'idée aprîoiiàe Bichat,
ans tous les organes. L'idée aprîoiiàe Bichat, qui pensait que chaque
tissu
avait ses altérations propres, et que les altérat
altérations générales, c'est-à-dire communes au plus grand nombre des
tissus
, étaient excessivement rares, trouve donc ici, à
reuses , et paraissaient formées de plusieurs couches superposées. Le
tissu
propre de la rate ne recouvrait que la moitié ext
recouvrait que la moitié externe du kyste, soit que la totalité de ce
tissu
propre eût été rejetée de côté, soit que ce tissu
e la totalité de ce tissu propre eût été rejetée de côté, soit que ce
tissu
propre eût subi la transformation fibreuse dans t
laques calcaires PC,PC, lesquelles sont contenues dans l'épaisseur du
tissu
fibreux qui constitue ces parois. Réflexions. C
cas, l'inflammation ne se borne pas au kyste, elle envahit encore le
tissu
cellulaire qui entoure le kyste et qui s'infiltre
n pouvait discuter la question de savoir si c'était l'inflammation du
tissu
cellulaire qui avait précédé, ou si c'était l'inf
e, où il touchait le diaphragme, il était recouvert par une couche de
tissu
hépatique qui allait en augmentant à mesure qu'on
patique, accompagnant celles de la veine porte et enveloppées dans ce
tissu
réticulaire normal que je regarde comme du tissu
enveloppées dans ce tissu réticulaire normal que je regarde comme du
tissu
dartoïde. Une remarque importante a trait à la
it que ces masses encéphaloïdes n'étaient point formées aux dépens du
tissu
propre du foie lui-même, mais résultaient du dépô
ême, mais résultaient du dépôt pur et simple du suc cancéreux dans le
tissu
cellulaire intermédiaire aux granulations. Du res
sse les limites de l'utérus et des parties envahies par continuité de
tissu
, c'est dans le foie que se manifestent généraleme
elles, et c'est alors que le cancer du foie s'étend par continuité de
tissu
à l'estomac, au duodénum, au colon, au diaphragme
Une remarque importante à faire, c'est que ce volume porte non sur le
tissu
propre du foie qui est plutôt atrophié qu'hypertr
s, ces foyers étaient séparés par une couche plus ou moins épaisse de
tissu
hépatique. Il y avait en outre une multitude de p
des, bien circonscrits, pisiformes, séparés les uns des autres par un
tissu
parfaitement sain. Le foyer sanguin qui avait été
sentaient une multitude de foyers sphéroïdes, enkystés, entourés d'un
tissu
pulmonaire parfaitement sain, et contenant, non u
e du péritoine diaphragmatique, transformation qui s'était étendue au
tissu
du diaphragme lui-même et à la plèvre, qui présen
et à l'état qu'on désigne ordinairement sous le nom de squirrhe. Leur
tissu
criait sous le scalpel à la manière des cartilage
elle n'est nullement constituée par le dépôt du suc cancéreux dans le
tissu
cellulaire intermédiaire aux granulations. Chez
cancéreuses formées, soit aux dépens de la plèvre, soit aux dépens du
tissu
du poumon. La malade vécut en cet état pendant
mammaire droite est convertie en une masse cancéreuse. La peau et le
tissu
cellulaire subjacent, qui ont subi une induration
lande, mais sans participer à la dégénération. Dans l'épaisseur de ce
tissu
cellulaire et de la peau sont développés des tube
eloppés au loin et dans l'épaisseur de la peau et dans l'épaisseur du
tissu
cellulaire sous-cutané. Quant à la glande mamma
it pas été envahi par la dégénération; seulement il était converti en
tissu
fibreux dans la moitié de son épaisseur. La mam
masse cancéreuse occupe la surface; elle est creusée d'un godet; son
tissu
est extrêmement dur. Elle est traversée par des v
fois le volume ordinaire. Ils sont bosselés, durs ; au centre est un
tissu
spongieux et vasculaire ; à la circonférence sont
a circonférence sont de gros tubercules très denses constitués par un
tissu
fibreux pénétré de suc cancéreux. Réflexions.—
ans : i° sur la mamelle gauche (tubercules); i° sur la peau et sur le
tissu
cellulaire dans un rayon assez étendu (tubercules
taches de cire. Dans ce dernier cas, la plèvre ou plus exactement le
tissu
cellulaire sous-pleural, paraît le siège de la ma
r du suc cancéreux infiltré, lequel, d'abord limité à la plèvre et au
tissu
cellulaire sous-pleural, finit par s'étendre au t
la plèvre et au tissu cellulaire sous-pleural, finit par s'étendre au
tissu
pulmonaire lui-même. 4° L'infection cancéreuse
aux muscles intercostaux, aux côtes et à la plèvre par continuité du
tissu
; i° l'infection cancéreuse elle-même, indépendamm
les plus ordinaires est la dégénération cancéreuse de la plèvre ou du
tissu
cellulaire subjacent, la dégénération cancéreuse
es gros tubercules a permis de constater qu'ils étaient formés par un
tissu
spongieux aréolaire , infiltré d'une très grande
anière la plus manifeste qu'elles n'étaient pas déposées au milieu du
tissu
pulmonaire intact, mais formées par ce tissu pulm
as déposées au milieu du tissu pulmonaire intact, mais formées par ce
tissu
pulmonaire lui-même, infiltré de suc cancéreux à
s dans l'inflammation. Débarrassé par expression du suc cancéreux, le
tissu
pulmonaire apparaissait à peu de chose près avec
ent que ces masses étaient formées par les granulations dégénérées du
tissu
du foie. A la surface de chaque rein, se voyaie
nstituent des vaisseaux de diverses dimensions soutenus à l'aide d'un
tissu
fibreux. Les kystes présentaient une consistance
rface interne; par leur surface externe, ils adhéraient intimement au
tissu
du foie dont les granulations adjacentes étaient
aractères ordinaires des masses cancéreuses du foie : c'est-à-dire un
tissu
spongieux, aréolaire, à la manière d'un tissu ére
foie : c'est-à-dire un tissu spongieux, aréolaire, à la manière d'un
tissu
érectile rempli de suc cancéreux. — Quelques-unes
le rempli de suc cancéreux. — Quelques-unes offraient au milieu de ce
tissu
aréolaire des granulations hépatiques jaunes, alt
es granulations hépatiques jaunes, altérées, atrophiées : ailleurs le
tissu
aréolaire devenu de plus en plus rare est infiltr
ncéreuse. Cette rondelle adhérait à la dure-mère non altérée dans son
tissu
. Sa circonférence était reçue entre les deux lame
grain et même qu'un demi-grain de potasse caustique, appliqué sur les
tissus
sous-cutanés, agit beaucoup plus profondément que
ace convexe du lobe droit L D. Ses parois ont la couleur ardoisée des
tissus
qui ont été le siège d'une inflammation chronique
ée par une couche hépatique mince, couche hépatique qui a dégénéré en
tissu
fibreux dans une certaine partie de son étendue.
isinage de son bord postérieur. Le kyste était intimement adhérent au
tissu
du foie et d'une énucléation à-peu-près impossibl
cicatrice d'un ancien foyer purulent. Du reste, intégrité parfaite du
tissu
du foie au voisinage de tous ces foyers. Réflex
s mélaniques s'énucléaient avec la plus grande facilité, au milieu du
tissu
du foie jaune et ramolli. Sur la figure, le bord
antérieur du lobe droit LD rend exactement l'aspect que présentait le
tissu
du foie après l'ablation de son enveloppe fibro-s
veloppe fibro-séreuse. On voit que les vaisseaux seuls soutenaient le
tissu
ramolli et comme diffluent interposé aux nombreus
le lobe droit LD, montrent la disposition des tumeurs par rapport au
tissu
du foie. On voit qu'elles occupent non-seulement
t de noir; quelques-unes présentent des plaques grises au milieu d'un
tissu
tout-à-fait noir. On ne peut mieux comparer toute
dernières présentait des stries blanches formées par des lamelles de
tissu
fibreux qui en formaient la charpente. Comprimé
granulations et les a amoindries, en sorte que, plongé sous l'eau, le
tissu
, du foie se présente sous l'aspect de vaisseaux l
yroïde est celle-ci : ces kystes séreux sont-ils formés aux dépens du
tissu
cellulaire ambiant, de telle sorte que la glande
avec le corps thyroïde, qui avait subi lui-môme une transformation de
tissu
fort remarquable ; 3° que cette tumeur était cons
nsidérable de cellules. Dans l'intérieur de ces cellules se voyait un
tissu
qui offrait quelque analogie avec le tissu du cor
ces cellules se voyait un tissu qui offrait quelque analogie avec le
tissu
du corps thyroïde. Bien que ce corps n'ait subi q
faisait suinter, sous la forme d'une bouillie rosée. Au milieu de ce
tissu
se voyait un kyste cartilagineux , contenant une
enu l'épanchement ou infiltration des alimens et des boissons dans le
tissu
cellulaire extérieur au pharynx. Dans les trois
s les victimes du typhus puerpéral, à l'inflammation du péritoine, du
tissu
cellulaire sous-péritonéal et des vaisseaux lymph
iltration d'une très grande quantité de sérosité noire au milieu d'un
tissu
qui se déchirait avec la plus grande facilité. So
aux parties déplacées. Sous la peau, on trouvait : i° une couche de
tissu
adipeux, et sous cette couche, une membrane séreu
inflamma-mation de la plèvre dépasse les limites de l'inflammation du
tissu
pulmonaire, la douleur s'éveille à chaque inspira
ins son bord antérieur, terminée par suppuration concrète, donnant au
tissu
pulmonaire un aspect granitiforme ou granuleux. —
tration des lobules pulmonaires par de la sérosité : on aurait dit du
tissu
cellulaire infiltré. Du reste, la surface du po
iron,décubitus obligédu côté de l'épanchement. Infiltration légère du
tissu
cellulaire sous-cutané ; cependant rien n'indiqua
de l'invasion du phlegmon large , diffus et profond. Ouverture. Le
tissu
cellulaire du creux de l'aisselle est infiltré de
es, des lignes rouges alternant avec des traînées de pus, occupant le
tissu
cellulaire intermusculaire. Au premier abord , j'
costale, si bien qu'il fut impossible de le détacher sans entamer son
tissu
. Tout le reste du poumon était séparé des parois
ne crois pas que le poumon contînt une seule bulle de ce fluide. Son
tissu
était mollasse, infiltré de liquide trouble, pars
rice tuberculeuse. Ce sommet était induré et ratatiné. Au milieu d'un
tissu
noir de jais extrêmement dense se voyaient de pet
yers de matière plâtreuse. Le reste du poumon offrait, au milieu d'un
tissu
parfaitement sain, un certain nombre de tubercule
euf extrêmement prononcé,a succombé à une gangrène des tégumens et du
tissu
cellulaire des membres inférieurs, suite d'œdème
a présenté à l'autopsie une pleuro-pneumonie à gauche. En incisant le
tissu
pulmonaire,j'ai vu, sur la coupe, des vaisseaux p
rquable : la pneumonie était arrivée à la période de suppuration, son
tissu
était mollasse comme il a coutumede l'être dans l
s quelques points, le pus était infiltré et combiné; dans d'autres,le
tissu
du poumon était marbré de rouge et de blanc. Un d
dère qu'elle a lieu dans le cas où une inflammation aiguë s'empare du
tissu
pulmonaire préalablement induré. On conçoit que,
e j'ai eu occasion d'observer: c'est le ramollissement en bouillie du
tissu
pulmonaire, ramollissement que j'ai rencontré plu
r gangreneuse: c'était une boue noirâtre qui en avait l'apparence. Le
tissu
ambiant était pénétré de liquide de diverse natur
des abcès pulmonaires est fort rare, cela tient moins à la nature du
tissu
pulmonaire qu'à l'importance de ses fonctions; qu
ifiés, je veux dire affaissés par un épanchement et transformés en un
tissu
spongieux légèrement infiltré, des abcès parfaite
était infiltrée dans l'épaisseur et non déposée dans l'interstice du
tissu
. La cavité purulente qui établissait une communic
ien qu'en enlevant la tumeur, on enlevait en même temps une couche de
tissu
cérébral. Des vaisseaux veineux très développés,
paient sur la surface de la tumeur et lui adhéraient intimement. Le
tissu
de la dure-mère était parfaitement sain. La face
ésente des points ou granulations jaunâtres disséminés au milieu d'un
tissu
demi transparent très fragile, se morcelant avec
ont séparés les uns des autres par des dépressions qui répondent à un
tissu
noir fortement induré. 11 y a évidemment destruct
Rien de plus commun que de voir le sommet du poumon, transformé en un
tissu
noir ardoisé, extrêmement dense, criant sous le s
crétacée. Une variété de ce mode de guérison est celui dans lequel le
tissu
pulmonaire (ordinairement le sommet) est dense, n
il a la consistance et la couleur. 3° Guérison par enkjstement. Le
tissu
pulmonaire sain est séparé du tissu pulmonaire ma
3° Guérison par enkjstement. Le tissu pulmonaire sain est séparé du
tissu
pulmonaire malade par une membrane celluloso-fibr
ée, celle qui me parait constituer la guérison définitive, c'était un
tissu
noir ardoisé, extrêmement dense, fibreux, creusé
si la malade eût vécu, le sommet du poumon se serait transformé en un
tissu
fibreux ardoisé, creusé de géodes, remplies par u
ou ardoise foncée, faciles à reconnaître au toucher, et qu'entoure un
tissu
pulmonaire parfaitement sain. Ces tubercules sont
s denses, à surface interne rouge, qui offre quelque analogie avec le
tissu
muqueux, mais qui présente bien évidemment les ca
le tissu muqueux, mais qui présente bien évidemment les caractères du
tissu
fibreux, et ressemble tout-à-fait aux cicatrices
plutôt trois cavernes à parois lisses sans aucune induration dans le
tissu
ambiant. Ces trois cavernes, dont la plus volumin
, établit i° le siège de ces tumeurs, qui occupaient non-seulement le
tissu
cellulaire sous-cutané de la peau, mais encore la
'une framboise. Elles sont libres, comme jetées çà et là au milieu du
tissu
cellulaire. Ces agglomérations ne sont pas des ve
parfaitement sains au voisinage; mais slles constituent un véritable
tissu
érectile, accidentel, tissu caverneux ou spongieu
nage; mais slles constituent un véritable tissu érectile, accidentel,
tissu
caverneux ou spongieux qui se présente sous des é
dérés comme les degrés de la même altération. Voici ces degrés : i°
tissu
caverneux ou érectile, dans lequel le sang est en
x ou érectile, dans lequel le sang est en circulation comme dans le
tissu
caverneux de la verge. a° Tissu caverneux avec
est en circulation comme dans le tissu caverneux de la verge. a°
Tissu
caverneux avec sang concret arrondi en globules o
s sur les autres. Réflexions.—C'est la première fois que j'ai vu le
tissu
érectile accidentel se manifester sur un grand no
. Enfin, je n'avais jamais vu de phlébolithes se développer dans le
tissu
érectile accidentel. Les phlébolithes se voient t
la vessie, des ovaires et du rectum; je n'en ai pas rencontré dans le
tissu
érectile naturel : ils se développent au centre d
tés de médecin. que l'extension de l'inflammation par continuité du
tissu
doit quelquefois la produire; mais que, dans un g
nt. D'après les résultats de mon observation, c'est par continuité de
tissu
que l'inflammation, qui joue un rôle si actif dan
notable. On ne trouvait d'indices de travail fluxionnaire que dans le
tissu
cellulaire extérieur aux veines, lequel tissu éta
luxionnaire que dans le tissu cellulaire extérieur aux veines, lequel
tissu
était plus cohérent que de coutume et injecté de
e) A Chazal Lith de Benard et Frey (PLANCHE V, XXXe LIVRAISON.)
TISSU
ÉRECTILE ACCIDENTEL. Catherine Pottain, veuve M
piderme excepté, avaient en quelque sorte disparu pour faire place au
tissu
spongieux. 20 Les tumeurs sous-cutanées dévelop
gieux. 20 Les tumeurs sous-cutanées développées dans l'épaisseur du
tissu
adipeux étaient à-la-fois indépendantes de la pea
du côté de la peau, et en celles qui restaient plongées au milieu du
tissu
adipeux. Les premières avaient écarté le tissu ad
plongées au milieu du tissu adipeux. Les premières avaient écarté le
tissu
adipeux sous-cutané et soulevé la peau amincie, d
évrose éraillée qu'elles traversaient pour aller se continuer avec le
tissu
érectile des muscles transformés. 11 y avait en o
antibrachiale. Le muscle biceps est presque entièrement converti en
tissu
variqueux. On pouvait suivre dans l'épaisseur de
eure et postérieure; mais dans son épaisseur on ne voyait plus que du
tissu
érectile avec ses aréoles, ici très étroites, là
le biceps. Un seul a été figuré F ÏT L\ Dans beaucoup de points, le
tissu
érectile du biceps est aussi parfaitement organis
amens noueux, ici d'apparence fibreuse, là d'apparence musculaire. Le
tissu
érectile à parois musculaires n'est pas sans exem
ctile à parois musculaires n'est pas sans exemple dans l'économie. Le
tissu
caverneux de l'urèthre du cheval contient manifes
t qu'il y avait de la graisse autour d'un grand nombre des aréoles du
tissu
érectile en lequel était converti le biceps. Le
ans l'articulation; 2° derrière l'articulation, au-devant du triceps,
tissu
érectile à très larges mailles, constitué par de
eur attache supérieure. Leurs tendons sont parfaitement conservés. Ce
tissu
aréolaire présente d'ailleurs la même disposition
érables, quelques phlébolithes P'H'L', et, chose bien remarquable, ce
tissu
aréolaire est entremêlé de graisse qui remplit l'
écartant ses filamens, qui d'ailleurs avaient été respectés dans leur
tissu
. Réflexions. La transformation variqueuse ou ér
re de vaisseaux. Enfin, les tumeurs variqueuses développées dans le
tissu
cellulaire sous-cutané peuvent s étendre jusqu'à
t le réseau des veines cutanées. est essentiellement veineux. Aucun
tissu
n'échappe à cette transformation, qui s'explique
ions, ce soient les fibres musculaires, les aponévroses, la peau , le
tissu
cellulaire, qui subissent la transformation ; mai
s avons pu suivre tous les degrés de la transformation des muscles en
tissu
érectile ou variqueux. Dans un premier degré, la
us tard encore les tumeurs érectiles des différens muscles forment un
tissu
continu. On conçoit que si le développement variq
eloppement variqueux continue à avoir lieu, il doit tout envahir; les
tissus
fibreux sont dissociés; leurs fibres resplendissa
nvahis. C'est entre leurs filets, que s'infiltre, pour ainsi dire, le
tissu
variqueux qui les dissocie pour les atrophier, le
ian avaient été écartés, disséminés. L'un de ces filets traversait le
tissu
érectile, sans avoir subi d'altération dans sa te
d'altération dans sa texture. La présence des phlébolithes dans le
tissu
aréolaire des tumeurs variqueuses (phlébolithes q
nté pl. 3 et 4? xxme livraison) montre l'affinité qui existe entre ce
tissu
variqueux et les varices simples ordinaires. Les
ons circonscrites, appartenant à des veines d'un certain calibre. Ces
tissus
variqueux consistent dans l'hypertrophie du systè
ture qu'aucun autre caractère ne saurait dominer. Eh bien ! lorsqu'un
tissu
cancéreux normal, si je puis m'exprimer ainsi, a
vage et la macération du suc cancéreux, et qu'on le place à côté d'un
tissu
variqueux dépouillé du sang , qui remplissait ses
l'un de l'autre. Sous le rapport de sa charpente, le cancer, c'est un
tissu
variqueux dont les mailles sont remplies de suc c
ont remplies de suc cancéreux; la transformation variqueuse, c'est un
tissu
cancéreux dont les mailles sont remplies de sang.
les mailles sont remplies de sang. La grande différence, c'esl que le
tissu
variqueux n'a en lui aucune puissance d'infection
Il se concrète ; il est remplacé par des phlébolithes, tandis que le
tissu
cancéreux a en lui une puissance d'infection en m
e mêler au sang en circulation. La seule analogie qui existe entre le
tissu
variqueux et le tissu cancé reux, sous le rappo
culation. La seule analogie qui existe entre le tissu variqueux et le
tissu
cancé reux, sous le rapport du mode d'extension
envahir de proche en proche, et s'assimiler en quelque sorte tous les
tissus
par voie de continuité. Il sera bon de rapproch
tenaient des phlébolithes ; la transformation était plus ancienne; le
tissu
variqueux était en quelque sorte à l'état sénile;
avant-bras et à la main. MALADIES DES VEINES p*livraison FIS.
Tissu
erectûe auzidenteé. Chazal del .7, iih. de L
lui-même étaient pénétrés de sang noir dans toute leur épaisseur. Le
tissu
adipeux sous-cutané en était également imbibé. To
qui, nées de son réseau capillaire, s'en détachent pour traverser le
tissu
adipeux, étaient distendues par du sang noir coag
terne était tendue à la manière d'une corde: elle était entourée d'un
tissu
cellulaire pénétré de sang. Ce sang était épanché
et les capillaires veineux avaient été respectés: aussi la peau et le
tissu
cellulaire étaient-ils dans l'état le plus parfai
une tuméfaction plus ou moins considérable, plus ou moins compacte du
tissu
cellulaire^sous-cutané, tuméfaction toujours très
une infiltration sanguine du derme, 3° un épanchement sanguin dans le
tissu
cellulaire sous-cutané; quelquefois des épancheme
te de la lésion que je décris. Hémorrhagie spontanée de la peauy du
tissu
cellulaire et des muscles de la jambe. Une viei
membres inférieurs. Il y avait en même temps infiltration sanguine du
tissu
cellulaire sous-cutané. Le moindre mouvement, la
ée (i) ailleurs sous le titre d'Apoplexie capillaire de la peau et du
tissu
cellulaire, et qui me paraît mieux dénommé phlébi
de sang au devant du ligament interosseux. Hémorrhagie spontanée du
tissu
cellulaire sous-cutané.—-Absence d'ecchymose cuta
que cet état tenait à un épanchement de sang sous-cutané, mais que le
tissu
propre de la peau était complètement exempt d'inf
ous-cutanée ou mieux sous-adipeuse ; infiltration sanguine de tout le
tissu
cellulaire séreux, intermédiaire à cette couche a
très forte contusion, avec infiltration de sang considérable dans le
tissu
cellulaire sous-cutané. Tension très douloureuse
lé: i° sous l'épiderme, 2° dans l'épaisseur même du derme, 3° dans le
tissu
cellulaire sous-cutané, 4° dans les espaces cellu
aires, 5° dans l'épaisseur des muscles, où le sang infiltré occupe le
tissu
cellulaire qui sépare les faisceaux musculaires,
le tissu cellulaire qui sépare les faisceaux musculaires, et même le
tissu
cellulaire qui sépare les fibres elles-mêmes. On
nature de la maladie. Ces hémorrhagies spontanées de la peau (i), du
tissu
cellulaire, des muscles, du périoste et des artic
s fécales qui passent du rectum dans le vagin, sont supportées par un
tissu
cancéreux : la commissure postérieure de la vulve
le siège d'un œdème dur. La dégénération cancéreuse consiste dans un
tissu
aréolaire dont les mailles sont remplies par un s
de putréfaction. Point de désorganisation ni d'altération putride des
tissus
: le tissu cellulaire sous-cutané et les muscles
ion. Point de désorganisation ni d'altération putride des tissus : le
tissu
cellulaire sous-cutané et les muscles ont une cou
te de mercure; chaque tubercule était environné d'une couche mince de
tissu
musculaire rouge et fragile. L'articulation fém
ugeâtre et quelques globules de mercure au milieu de cette moelle. Le
tissu
spongieux du fémur était infiltré de pus et de gl
é les membranes internes, à peu de chose près, comme elle imprègne le
tissu
cellulaire dans les foyers sanguins. Quant à l'ar
ient des prolongemens fibrineux très denses qui s'engageaient dans le
tissu
aréolaire du cœur, d'où on ne pouvait le retirer
u aréolaire du cœur, d'où on ne pouvait le retirer sans déchirure. Le
tissu
propre du cœur m'a paru intact. Artère du membr
unique celluleuse, à laquelle viennent successivement s'ajouter et le
tissu
cellulaire extérieur au vaisseau et les parties a
de couleur grise. Enfin, en dehors de celle-ci, on trouve une lame de
tissu
cellulaire épaissi et induré. Dans plusieurs coup
si je puis m/exprimer ainsi, c'est-à-dire constituée à-la-fois par du
tissu
fibreux et par du tissu artériel. Quant aux par
nsi, c'est-à-dire constituée à-la-fois par du tissu fibreux et par du
tissu
artériel. Quant aux parois des deux sacs anévry
une membrane moyenne, qui présentait des caractères non équivoques de
tissu
artériel altéré, réticulé, inextensible, inélasti
poche était formée par une membrane qui ne présentait pas vestige de
tissu
artériel : c'était une membrane fibro-celluleuse
La poche du sac secondaire était formée presque exclusivement par du
tissu
fibreux; cependant, au voisinage du collet, on re
du collet, on retrouvait quelques taches jaunâtres, trace probable du
tissu
artériel. Les muscles intercostaux des deuxième e
en fragmens ,iisses à leur surface interne, et articulés à l'aide du
tissu
fibreux. Cette coque osseuse était évidemment for
xie à 6 heures du soir. Ouverture du cadavre--Sang infiltré dans le
tissu
pulmonaire comme dans l'apoplexie pulmonaire; l
poplexie pulmonaire; la plèvre pulmonaire était en outre séparée du
tissu
du poumon comme dans la variété d'anévrysme connu
tion fibreuse, et présentait la blancheur satinée et la résistance du
tissu
tendineux : sa disposition était aréolaire: on vo
s leur volume,les paumons se trouvaient encore dans des conditions dé
tissu
qui restreignaient la respiration dans des limite
ent en quelque sorte éparpillés sur elle, et en partie transformés en
tissu
fibreux. La figure 1, planche 11, représente la
de la tumeur, qui n'aurait probablement pas tardé à s'ouvrir dans le
tissu
pulmonaire ou dans une bronche. Sur cette tumeur,
ce extérieure, que la partie saine de ce vaisseau se continue avec un
tissu
artériel altéré : or, la dissection à parfaitemen
, planche n), au-delà duquel on chercherait vainement des vestiges du
tissu
artériel sur les parois de la poche , qui est ess
ur les parois de la poche , qui est essentiellement constituée par un
tissu
fibreux accidentel. La figure 2, planche n, rep
circonférence du vaisseau qui n'avait pas subi d'altération dans son
tissu
. Je ne dois pas omettre d'appeler l'attention s
ne certaine étendue, la poche anévrysmale ne présente plus vestige du
tissu
artériel. 6° L'usure de la colonne vertébrale e
mplètement usées à gauche jusqu'à la dure-mère, qui était intacte. Le
tissu
de la moelle épinière était parfaitement sain , e
stérieure du calibre de l'artère, et qu'elle présentait des débris du
tissu
artériel, jusqu'au point où la tumeur était rempl
s très fin. La différence des conditions dans lesquelles se trouve le
tissu
pulmonaire, dans l'un et l'autre cas, peut rendre
peut rendre compte de celte ciiffé rence d effets sthétoscopiques, ce
tissu
étant tout-à-fait imperméable dans la pneumonie,
du reste le sac était celluleux, sans présenter le moindre vestige de
tissu
artériel. Les artères carotides externe et intern
récissement : point de caillots, point de transformation fibreuse des
tissus
. 3° Quant au développement des artères collatér
du ventricule. La surface externe est accolée à la face interne du
tissu
du cœur, si bien qu'au premier abord il est impos
n qu'au premier abord il est impossible de distinguer les caillots du
tissu
du cœur. La tranche des sections du cœur (fig.
t forment une poche à structure complexe constituée par les débris du
tissu
propre de l'artère et par les parties nouvelles a
tte percussion que les parois ventriculaires ont été tapissées par un
tissu
spongieux aréolaire à travers lequel le sang est
on qui aura pour résultat la transformation des fibres musculaires en
tissu
fibreux, en tissu cartilagineux, et même en tissu
ésultat la transformation des fibres musculaires en tissu fibreux, en
tissu
cartilagineux, et même en tissu osseux. La disten
bres musculaires en tissu fibreux, en tissu cartilagineux, et même en
tissu
osseux. La distension est une cause très fréquent
tension est une cause très fréquente de la transformation fibreuse du
tissu
musculaire. Toute cause qui diminuera la force
fragile, la prive de sa contractilité, la transformation fibreuse du
tissu
du cœur, qui, sans doute, peut être primitive, in
de la transformation fibreuse, suite si fréquente de la distension du
tissu
musculaire. Si on me demande pourquoi le ventri
e mesure non-seulement sur l'épaisseur, mais encore sur la densité du
tissu
musculaire. La figure 2 représente les orifices
tout le gauche ; adhérence intime du péricarde au cœur, à l'aide d'un
tissu
cellulaire bien organisé. Ce cœur, qui aurait par
granulations blanches, miliaires, qui contrastent avec la rougeur du
tissu
de la rate. Le gros intestin est parsemé d'une mu
i, complètement privé d'air, présente une sorte de combinaison de son
tissu
avec la sérosité. La mort par les poumons, dans
'était une dilatation. Dilatation générale du cœur sans altération du
tissu
, prise pour une hydropéricarde. Induration du pou
suivi la direction des fibres musculaires, disposition qui donnait au
tissu
du cœur ainsi infiltré quelque analogie d'aspect
que cette coloration jaune tenait à une transformation graisseuse du
tissu
du cœur. — Il est bien difficile d'admettre la ru
se du tissu du cœur. — Il est bien difficile d'admettre la rupture du
tissu
du cœur sans une augmentation préalable dans la f
les cas de rupture spontanée du cœur, on ne trouve pas dans l'état du
tissu
de cet organe la raison suffisante de la rupture.
fragilité insolite avec ou sans changement de couleur, si bien que le
tissu
du cœur médiocrement comprimé s'écrase entre les
par rupture du cœur, la fragilité et le changement de couleur dans le
tissu
de l'organe étaient on ne peut plus manifestes.
rt subite par rupture du cœur.-—¦ Fragilité et coloration jaunâtre du
tissu
de cet organe. Une femme de la Salpêtrière, âgé
res, j'ai été frappé de la couleur blanc-jaunâtre maculée de rouge du
tissu
du cœur, qui m'a paru en outre extrêmement fragil
les déchirures indiquées à la surface de l'organe. L'altération du
tissu
du cœur consistant dans un changement de couleur
es efforts de défécation. Mais en quoi consiste cette altération du
tissu
du cœur? J'ai pensé qu'elle pourrait bien être le
'elle pourrait bien être le résultat de la combinaison du pus avec le
tissu
du cœur; mais ce n'est là qu'une conjecture, car
ure, car il ne m'a pas été donné de démontrer le pus en soumettant le
tissu
altéré à la compression. Toujours 'es il que dans
était déchiré; la déchirure était considérable, son trajet direct; le
tissu
du cœur était maculé de sang dans la moitié envir
ng des fibres charnues constituait çà et là de très petits foyers. Le
tissu
du cœur n'était fragile qu'au voisinage de la déc
r n'était fragile qu'au voisinage de la déchirure; à ce voisinage, le
tissu
du cœur présentait une couleur jaune de bois qui
fibres charnues, si ce n'eût été la continuité de ces masses avec le
tissu
du cœur. La transformation fibreuse s'étendait ju
au sommet du cœur. Ses parois assez épaisses sont constituées par un
tissu
fibreux ou plutôt cartilagineux très dense, ferme
lus évidente qu'elle est le résultat de la transformation fibreuse du
tissu
du coeur. On peut suivre cette transformation dan
r des parois du cœur, lesquelles présentent un mélange remarquable de
tissu
fibreux et de tissu musculaire. il est bien évi
, lesquelles présentent un mélange remarquable de tissu fibreux et de
tissu
musculaire. il est bien évident que, dans ce ca
vrai. Dans ce cas , en effet, la poche fibreuse est constituée par le
tissu
du cœur transformé, sans déchirure aucune de ce t
nstituée par le tissu du cœur transformé, sans déchirure aucune de ce
tissu
. J'ai eu occasion d'observer un certain nombre
ment plus faible, est le siège d'une distension répétée : or, pour le
tissu
musculaire, les conséquences d'une distension qui
er une inflammation, c'est la transformation fibreuse; de même que le
tissu
fibreux, lorsqu'il est le siège d'une pression, d
inuées, mais qui ne dépassent pas certaines limites, se transforme en
tissu
cartilagineux et en tissu osseux. Or, la transf
ent pas certaines limites, se transforme en tissu cartilagineux et en
tissu
osseux. Or, la transformation en tissu fibreux
en tissu cartilagineux et en tissu osseux. Or, la transformation en
tissu
fibreux de la pointe ou de toute autre région du
s que du sang liquide. Les parois de la tumeur étaient formées par un
tissu
fibreux faisant suite aux fibres musculaires de l
re de ces parois atteste assez qu'elles étaient formées aux dépens du
tissu
de l'oreillette. On conçoit que la rupture de cet
bres charnues du cœur, de manière à imiter le bois de palissandre. Le
tissu
du ventricule gauche était d'une fragilité telle
; que cette perforation consiste dans une lacération considérable du
tissu
du cœur, que le sang s'est infiltré de bas en hau
récissement des orifices, point d'hypertrophie, point d'altération du
tissu
. Seulement fragilité ou frangibilité de tissu au
, point d'altération du tissu. Seulement fragilité ou frangibilité de
tissu
au voisinage de la perforation. La figure 2 rep
es cas de ruptures du cœur une altération préexistante appréciable du
tissu
de cet organe? Morgagni qui, dans sa iye lettre,
oncluait que, dans les ruptures du cœur, il n'y a pas d'altération de
tissu
préexistante, et considérait l'hypertrophie du cœ
amener ou favoriser cette rupture. D'autres lésions préexistantes du
tissu
du cœur ont été invoquées. L'obésité générale a é
es, il résulte, dis-je, que leur cause réelle et dans la fragilité du
tissu
du cœur. Dans toutes mes observations, il y avait
Dans toutes mes observations, il y avait fragilité remarquable de ce
tissu
qui se morcelait avec une extrême facilité par un
ou moins remarquable s'observe en même temps que cette fragilité: le
tissu
du cœur est quelquefois rouge obscur, d'autres fo
llement à l'infiltration de la graisse ; dans deux cas, la couleur du
tissu
du cœur était jaune de bois. Deux fois aussi, le
la couleur du tissu du cœur était jaune de bois. Deux fois aussi, le
tissu
du cœur avait subi la transformation fibreuse dan
médecine de Paris, i8o5. que de se rendre compte de la déchirure du
tissu
du cœur sous l'influence d'une contraction un peu
l'idée que le cœur des vieillards participe à l'atrophie de tous les
tissus
à cet âge de la vie. Pendant que le système muscu
e plus ou moins considérable au milieu de la graisse qui la sépare du
tissu
musculaire. Que si au contraire la fragilité du
la sépare du tissu musculaire. Que si au contraire la fragilité du
tissu
du cœur n'est pas aussi considérable, ou si elle
r terme. On conçoit encore que l'inflammation aiguë ou chronique du
tissu
du cœur, en amenant la fragilité de ce tissu puis
on aiguë ou chronique du tissu du cœur, en amenant la fragilité de ce
tissu
puisse être une cause de rupture de cet organe. L
attentive ; mais il est constant qu'il existe des foyers sanguins du
tissu
du cœur indépendans de toute rupture. Ces foyer
ne: pourquoi cela? Parce que là elles se trouvent en rapport avec des
tissus
vi-vans, avec la poche anévrysmale qui, dans un g
i trouvé aucun signe de lésion ni dans la membrane interne ni dans le
tissu
du cœur, et que la présence du pus au centre du c
nte du cœur par une multitude de petites racines enchevêtrées dans le
tissu
aréolaire du cœur, et se prolongeait au centre de
arois du cœur, à laide dune multitude de racines qui remplissaient le
tissu
aréolaire et comme caverneux du cœur; de telle so
ait dans le ventricule à travers l'orifice aurieulo-ventriculaire. Le
tissu
de cette concrétion était très dense, très élasti
s de diamètre " environ, est fermé incomplètement par une membrane de
tissu
jaune, élastique, épaisse « comme trois feuillets
ventricule gauche, et la compacité, la fermeté, la coloration de son
tissu
étaient plus considérables. Les colonnes charnues
e controversé et qui se rattache à la théorie des transformations des
tissus
. On peut dire à cet égard que l'induration fibreu
mation, de l'espèce d'irritation qui a pour résultat, le passage d'un
tissu
à un autre tissu. Relativement à la connexion e
ce d'irritation qui a pour résultat, le passage d'un tissu à un autre
tissu
. Relativement à la connexion entre l'induration
igu.Vsr'is i836,in-8. xxviiie livraison. i tenus par les aréoles du
tissu
propre du cœur : je considère toutefois comme car
uins, noirs, très denses, du volume d'une aveline, autour desquels le
tissu
du poumon paraît très sain. Infiltration séreuse
uil'avoisinent. Je ne doute pas que cette extension par continuité de
tissu
, de la dégénération cancéreuse aux parois veineus
ui existait en dehors de la veine, entre cette veine et le poumon, le
tissu
de la veine avait été lui-même envahi. On conçoit
z un individu mort avec une dégénération cancéreuse des muscles et du
tissu
cellulaire de l'épaule, j'ai trouvé les vaisseaux
égénérer. Les coupes de ces tumeurs ont donné une surface homogène de
tissu
lardacé dont le centre présentait à gauche une pe
ente la valvule tricuspide. Des tubercules nombreux TTT occupent le
tissu
cellulaire sous-séreux qui recouvre la veine cave
elle-même, elle doit être classée parmi les cancers polypi-formes, à
tissu
frangible, grisâtre, dépourvu de suc cancéreux ap
un grand nombre de tubercules aplatis, disséminés dans l'épaisseur du
tissu
cellulaire de nouvelle formation qui constitue le
, le péricarde adhérait intimement au cœur dans toute son étendue- Le
tissu
cellulaire qui unissait le feuillet péricardique
ricardique au feuillet cardiaque avait une extrême densité et dans ce
tissu
cellulaire était disséminée la matière tuberculeu
érieure ; non-seulement la matière tuberculeuse est infiltrée dans le
tissu
fibreux, qui est le moyen d'union, mais encore el
tissu fibreux, qui est le moyen d'union, mais encore elle infiltre le
tissu
propre de l'oreillette, si bien qu'il ne m'a pas
érieure était dans le même cas que l'oreillette, c'est-à-dire que son
tissu
avait été envahi et qu'elle n'existait en quelque
, la matière tuberculeuse les cernait comme dans un cylindre, mais le
tissu
artériel proprement dit avait été respecté. La
arer des deux plèvres, je trouve au niveau du sommet du cœur, dans le
tissu
cellulaire du médiastin antérieur, du pus épais i
complètement remplies. L'eau spumeuse découle des incisions faites au
tissu
pulmonaire ou incolore ou rouge, suivant que l'œd
ion exercée sur le poumon fait couler la sérosité à flots spumeux. Le
tissu
pulmonaire exprimé est mou, flasque, comme infilt
s est une sérosité jaunâtre, un mélange de sérosité et de pus (i). Le
tissu
pulmonaire est induré, fragile, et se déchire ave
artés les uns des autres, mais sans avoir subi d'altération dans leur
tissu
. — Le nerf grand hypoglosse (9) ne présente rien
oit amoindri; les nerfs optiques (2e P.) complètement atrophiés. Leur
tissu
est gris. La fig. 2 représente la tumeur renver
r état naturel : cette dégénération grise ne présente aucune trace de
tissu
nerveux proprement dit. La rétine n'a pas subi la
n de ces lobules était constitué dans la moitié de son étendue par un
tissu
vasculaire spongieux érectile, pénétré de sang, d
ngère à la moelle elle-même, et en ceux qui ont trait à une lésion du
tissu
même de la moelle. Jusqu'à ce moment, il ne paraî
ntre la paraplégie par compression et la paraplégie par altération du
tissu
de la moelle. PARAPLÉGIE PAR COMPRESSION DE LA
ntourait à la manière d'une demi-gaine: elle était développée dans le
tissu
cellulaire sous-arachnoï-dien , et adhérait assez
ée sur le côté. On voit que cette tumeur est tout-à-fait étrangère au
tissu
propre de la moelle, et même à son névrilème, qui
e dans ce point. On eût dit qu'il y avait absence presque complète de
tissu
propre, à-peu-près comme il arriverait,si l'on co
face interne de la dure-mère crânienne ou qui se développent dans le
tissu
cellulaire cérébral sous-arachnoïdien. Cerveau,
t granuleuse, probablement de nature encéphaloïde, développée dans le
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien. Cette tumeur, malgr
es, d'une consistance qui ne dépasse pas celle de ce cerveau, dans le
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien de la moelle, comme
u cellulaire sous-arachnoïdien de la moelle, comme d'ailleurs dans le
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien de la masse encéphal
u le dernier jour de la vie, il existait autour de la moelle, dans le
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien, deux productions mo
périeure et postérieure de la région dorsale , était olivaire et d'un
tissu
tout-à-fait identique à celui de la tumeur inféri
n défaut de résistance, preuve évidente d'absence presque complète du
tissu
médullaire dans ce point. La section verticale
aspect de la moelle dans ce point me paraît le type des cicatrices du
tissu
médullaire par suite de ramollissement blanc. R
re. — Néphrite. — Rupture de plusieurs foyers rénaux purulens dans le
tissu
cellulaire sous-péiitonéal. Femme Plessi, coutu
die delà moelle. Quelle maladie? Est-ce compression? est-ce lésion du
tissu
propre et quelle lésion ? Questions insolubles po
tonnement, point de compression et en apparence point d'altération du
tissu
de la moelle , autre qu'une diminution notable de
tissement d'avant en arrière. Le névrilème enlevé, je reconnus que le
tissu
médullaire était considérablement induré, plus du
oit, lequel avait été refoulé en bas et en avant:autour de ce rein,le
tissu
cellulaire sous-péritonéal,qui occupe les régions
saient une communication entre les foyers purulens et les calices. Le
tissu
du rein était blanc, décoloré, et, au milieu de c
aillies circonscrites, formées par du pus infiltré et combiné avec le
tissu
du rein , se voyaient à sa surface. Vessie racorn
ation du diaphragme, suite elle-même de l'inflammation gangreneuse du
tissu
cellulaire sous-péritonéal. Il est difficile de c
a pu être sécrétée par des reins aussi profondément altérés dans leur
tissu
. Réflexions. Encore un cas de lésion de moelle,
e inflammation des uretères, du bassinet, des calices et par suite du
tissu
propre des reins. Dans l'observation qui précèd
réteur de l'urine.La terminaison delà néphrite par une perforation du
tissu
rénal est un fait assez rare et qui mérite d'être
nce, une cause de fausse paraplégie. t . Paraplégie par lésion du
tissu
propre de la moelle. — Destruction du tissu propr
Paraplégie par lésion du tissu propre de la moelle. — Destruction du
tissu
propre de la moelle, que remplace une cellulosité
le représentée fig. 2 , 2'et 2"; tumeur située , comme elle , dans le
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien. Cette tumeur, que j
icale antéro-postérieure de la moelle et de la tumeur. On voit que le
tissu
de la moelle a complètement disparu au niveau de
'y a pas seulement changement de couleur, mais altération profonde de
tissu
au niveau de ces îles rou-geâtres.Le tissu médull
ais altération profonde de tissu au niveau de ces îles rou-geâtres.Le
tissu
médullaire a complètement disparu : c'est un tiss
les rou-geâtres.Le tissu médullaire a complètement disparu : c'est un
tissu
dense, demi transparent, sans disposition linéair
mi transparent, sans disposition linéaire. Quelle est la nature de ce
tissu
induré ? Est-ce la trace de pertes de substance ,
sformation grise. On ne saurait ne pas admettre une transformation de
tissu
; car, dans un grand nombre de points, les parties
paraplégies qui résultent d'une altération plus ou moins profonde du
tissu
de la moelle, ou qui dépendent d'une cause de com
ue, si, à l'époque de l'entrée de la malade à l'hôpital, alors que le
tissu
propre de la moelle n'était pas altéré dans son o
it convertie en une poche purulente. Il restait à peine une couche de
tissu
médullaire intermédiaire à la pie-mère et au pus.
e au canal rachidien, étaient érodés sans changement de couleur. Leur
tissu
était plus compacte. .analyse de la matière con
xxxne livraison) qu'il y avait : i° des paraplégies par altération du
tissu
propre , i° des paraplégies par compression de la
muscles spinaux et celle des muscles spinaux eux-mêmes, convertis en
tissu
fibreux, ont dû s'opposer plus ou moins efficacem
ression exercée sur la moelle par une tumeur développée, soit dans le
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien, soit en dehors de l
mère, tandis que la paraplégie non douloureuse tient à une maladie du
tissu
propre de la moelle. On conçoit d'ailleurs que la
cause comprimante agit lentement, en irritant, sans l'intéresser, le
tissu
propre de la moelle; ainsi une paraplégie par fra
u bien lorsque cette compression devient la cause d'une altération du
tissu
propre de la moelle XXXV' LIRAISON. ^ Le fait
coïncidé avec la suppuration et par conséquent la désorganisation du
tissu
propre de la moelle. Enfin les partisans de la
t de sa main. XXXVll6 LIVRAISON. I Je diagnostique une maladie du
tissu
propre de la moelle, et je me fonde principalemen
sion, à moins qu'elle ne soit complète et avec altération profonde du
tissu
de la moelle, m'a toujours paru s'accompagner des
ne la cinquième paire; toutes ont une certaine profondeur. C'est un
tissu
intéressant à étudier que cette dégénération gris
au niveau de laquelle la substance blanche a complètement disparu. Ce
tissu
est dense, bien plus dense que la moelle,qu'il re
emplir les vides sans disposition linéaire, et je ne puis comparer ce
tissu
à aucun autre tissu morbide. A la région cervical
s disposition linéaire, et je ne puis comparer ce tissu à aucun autre
tissu
morbide. A la région cervicale, quelques fibres m
oelle? Ce n'est point à un foyer apoplectique ; il n'y a rien dans ce
tissu
gris qui ressemble à une cicatrice ! Serait-ce un
lons médians n'existent plus, et que la moelle soit transformée en un
tissu
gris, homogène, induré. La dégénération grise est
de carie des vertèbres. La moelle n'était nullement altérée dans son
tissu
: elle offrait sa consistance accoutumée. Une rem
e partie infiltrée de pus demi concret ; 2° une partie transformée en
tissu
compacte. La partie infiltrée de pus présente t
des vertèbres qui n'était pas infiltrées de pus était transformée en
tissu
compacte. Abdomen. Péritonite tuberculeuse, car
érieurs, je conclus que la moelle est comprimée et non lésée dans son
tissu
propre. Telle était mon opinion bien arrêtée au
use de la prostate, et cette affection cancéreuse s'est portée sur le
tissu
spongieux d'une ou de plusieurs vertèbres, d'où r
de faire passer ma conviction dans l'âme de mon malheureux ami. « Le
tissu
de la moelle est sain, lui « disais-je ; jamais l
e entre la dure-mère et le canal vertébral, une tumeur formée dans le
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien ; ces deux dernières
l vertébral et la dure-mère, une production morbide, consistant en un
tissu
très dense, fibreux, formant une gaîne à la dure-
e-mère. Du reste, la moelle épinière n'était nullement lésée dans son
tissu
. Les vertèbres étaient parfaitement saines. Les
ate, à peine plus volumineuse que de coutume, était transformée en un
tissu
très dense, fibreux, qui ne conservait aucune tra
ce mode de dégénération cancéreux qu'on peut appeler cancer fibreux,
tissu
assez analogue à celui d'un os dépourvu de phosph
épourvu de phosphate calcaire par suite de l'immersion dans un acide,
tissu
qui semble entièrement dépourvu de suc cancéreux.
l'étendue de l'épanchement, la substance grise était remplacée par du
tissu
filamenteux. La substance blanche paraissait avoi
grande quantité de sang était épanchée à la base du cerveau, dans le
tissu
cellulaire sous-arachnoidien. La fig. 2, qui ap
e, 24heures après la mort.— Téte. Voûte du crâne très épaisse et d'un
tissu
très compacte dans toute son épaisseur : son poid
éressait la presque totalité de l'épaisseur de la protubérance, lin
tissu
celluleux gris-jaunâtre, infiltré de sérosité, re
deux périodes bien distinctes: une première période, dans laquelle le
tissu
déprimé n'a subi aucune altération dans sa struct
e altération dans sa structure; une seconde période, dans laquelle ce
tissu
est le siège de ramollissement, d'inflammation. I
es de cette extravasation dans une coloration brune, jaune orangé des
tissus
qui en ont été le siège, et que c'est surtout dan
pe de cette protubérance et de ce bulbe. On ne voit autre chose qu'un
tissu
blanc homogène. J'ai eu quelque idée que cette al
e compression exercée par quelque tumeur, soit dans une altération du
tissu
propre de la protubérance. Cinq ou six mois après
paisseur et aux dépens du lobe occipital; ou bien, développée dans le
tissu
cellulaire de la pie-mère, avait-elle déprimé la
obable que le développement de la tumeur s'est effectué aux dépens du
tissu
cérébral lui-même; car s'il y avait eu simple dép
ure-mère; que la lésion des os du crâne avait pour point de départ le
tissu
adipeux médullaire du diploé; que les fongus de l
tions accidentelles de cet organe, peuvent avoir pour siège tantôt le
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien, tantôt la substance
s, une rougeur intense de la muqueuse bronchique et une induration du
tissu
pulmonaire tout autour des dilatations. Dans le
plus grande analogie avec les tumeurs cancéreuses formées au sein du
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien, était rouge, comme
çait les circonvolutions détruites. Cette membrane était dense, et le
tissu
cérébral voisin induré dans quelques points. Dans
ce peau de daim remplace les circonvolutions détruites. Induration du
tissu
cérébral ambiant. 77/orax.Pleurésie hémori hagi
r une membrane peau de chamois très adhérente à la pie-mère et par un
tissu
cellulaire lâche infiltré de sérosité. Cette pert
se, mais non à l'exclusion de la substance blanche, est entourée d'un
tissu
cérébral jaune serin, ayant la consistance et l'a
vert dans toute sa longueur, n'a offert aucune altération ni dans son
tissu
, ni dans ses enveloppes. La voûte crânienne enlev
et le ligament large du côté droit. Point de trace de phlébite. Le
tissu
de l'utérus, revenu sur lui-même, était remarquab
rande quantité de sérosité qui occupait la cavité de l'arachnoïde; le
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien était infiltré ; il
enue dans la cavité de l'arachnoïde (i), ou plus probablement dans le
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien, n'avait d'autre but
é était contenue dans la cavité de l'arachnoïde.Existait-elle dans le
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien? Je ne puis pas l'af
até le défaut absolu de communication du quatrième ventricule avec le
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien de la moelle épinièr
ès l'ouverture de la poche. Après les plexus choroïdes, c'est dans le
tissu
cellulaire sous-arach-noïdien, que j'ai le plus s
rties environnantes, tantôt dépourvus de kyste et libres au milieu du
tissu
cellulaire. Quelques-uns des cysticerques enkysté
un des côtés de la tumeur, et lâchement adhérente de l'autre côté. Le
tissu
cellulaire qui unissait la peau à la poche subjac
ncret et communiquait directement avec le conduit auditif externe. Le
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien n'était le siège d'a
d à l'ouverture du foyer dans le ventricule correspondant, et dans le
tissu
cellulaire sons-arachnoïdien. Sous le rapport p
la dure-mère par un pédicule très large:elle semblait naître, non du
tissu
fibreux de la dure-mère D M, mais de son feuillet
uillet séreux. Sa surface était bosselée à la manière d'une mûre. Son
tissu
était mou, encéphaloïde. La coupe, fig. 2, offre
rasent sous le doigt à la manière du beurre ou du saindoux : c'est un
tissu
encéphaloïde dont le suc est très consistant et l
s un cas, la trame de la tumeur était exactement semblable à celle du
tissu
caverneux: à la place du sang, c'était une bouill
ure-mère que ces tumeurs prennent leur développement, en sorte que le
tissu
propre de la dure-mère est souvent dans l'état le
rasait à la manière du saindoux et laissait les doigts visqueux. Le
tissu
du cervelet était parfaitement sain. Chez un au
e. Cette matière était contenue, ajoutais-je, entre les deux lames du
tissu
« fibreux. Comment se rendre compte de cette disp
enses, d'une couleur jaunâtre, adhérentes entre elles , à l'aide d'un
tissu
lamineux très lâche. Dans l'autre hémisphère, e
ses, brunâtres, denses , vasculaires, unies entre elles à l'aide d'un
tissu
cellulaire très lâche. J'ai observé qu'il y ava
ieure ? ou bien s'était ouvert soit dans le ventricule , soit dans le
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien , soit encore dans l
i par une grande quantité de sérosité, laquelle est infiltrée dans le
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien. La face inférieur
fs pathétiques, sont les seuls qui aient été respectés. Du reste , le
tissu
propre de ces nerfs est dépourvu de toute espèce
ction nouvelle, dit M. Faget, se mouvait sur une tumeur adhérente aux
tissus
profonds et qui n'excédait guère en étendue le pé
rai que la dégénéres- c cence se propageait profondément à travers le
tissu
cellulaire, l'aponévrose lombaire, et paraissait
de cet exposé que la peau qui servait de support à la tumeur, que le
tissu
cellulaire sous-cutané et l'aponévrose lombaire,
Faget dit que cette dégénérescence offrait les caractères propres au
tissu
squirreux, que sa masse, d'un pouce et demi de di
esque toutes ses adhérences avec la peau par suite de l'altération du
tissu
de la peau et du suintement ichoreux qui avait li
t-elle adhérente au crâne, « ou bien prenait-elle son origine dans le
tissu
de la peau?» Et oui, certainement, elle ne pouvai
ique de la tumeur emportée m'a montré qu'elle était constituée par du
tissu
squirrheux, mais que le sommet présentait déjà le
uction cornée paraissait un intermédiaire entre le pus desséché et le
tissu
corné, Siège ; causes ; unité ou multiplicité'•
endrait à considérer les productions cornées comme un prolongement du
tissu
fibreux du derme, une dégénérescence de ce tissu
e un prolongement du tissu fibreux du derme, une dégénérescence de ce
tissu
fibreux; elle est évidemment erronée. Il n'y a ri
24e Livraison, Pl.3. A. Chazal del. IinprLmipar tâtnarcl- DU
TISSU
CELLULAIRE ET DES MUSCLES. (Planches iii et iv,
nches iii et iv, xxxii6 livraison.) Cancer mélanique tuberculeux du
tissu
cellulaire sous-cutané', des muscles, du tissu ce
lanique tuberculeux du tissu cellulaire sous-cutané', des muscles, du
tissu
cellulaire sous-péritonéal, des poumons ; cancer
nversée PR. Il est des tubercules développés dans les divers plans du
tissu
adipeux sous-cutané et du fascia superficiel. Il
quelques-uns des points de leur circonférence. C'est surtout dans le
tissu
cellulaire sous-cutané de la partie supérieure de
aniques adhéraient à la racine du rein; plusieurs se voyaient dans le
tissu
cellulaire qui entoure cet organe. Un grand nombr
835 , t. n, p. 2 2 , et pl. xiv, in-4 , col. MALADIES DE LA PEAU,DU
TISSU
CELLULAIRE SOUS-CUTANE ET DES MUSCLES 52eLivrai
zal del. Imp. de demereur ; £trw.rd, et t: MALADIES DE LA PEAU.DU
TISSU
CELLULAIRE SOUS-CUTANE ET DES MUSCLES 32e Liv.o
ces renflemens gangliformes n'a offert rien de particulier: c'est un
tissu
fibreux grisâtre, au milieu duquel se perdent et
pas par la dimension du volume des cordons nerveux, mais par celle du
tissu
propre des nerfs lui-même. La fig. 2 représente
obable que j'aurais rencontré au centre de chaque petit renflement le
tissu
propre du nerf atrophié, mais non détruit, et peu
ais non détruit, et peut-être sans aucune altération notable dans son
tissu
. Il est à regretter que nous soyons privés de tou
et des filets qui le constituent et dans leur névrilème et dans leur
tissu
propre. Il résulte de toutes les recherches ana
sur la fibre nerveuse elle-même, mais bien sur le névrilème et sur le
tissu
cellulaire séreux, et quelquefois adipeux, qu'on
ez grande quantité dans l'épaisseur de chaque cordon nerveux ; que le
tissu
propre n'est susceptible que d'hypertrophie et d'
le volume du cordon nerveux , mais d'après le volume et la couleur du
tissu
propre lui-même. Ainsi j'ai disséqué avec beaucou
ion démontrait, sous le névrilème d'enveloppe, une grande quantité de
tissu
adipeux, interposé aux filets nerveux, qui avaien
nué de volume. Ces filets nerveux eux-mêmes, disséqués, ont montré un
tissu
propre moindre en volume et d'une couleur grise p
transparente, tout-à-fait différente de la couleur blanc-de-lait, du
tissu
nerveux dans l'état d'intégrité. Il est bien diff
ne présente plus la disposition filamenteuse; mais il est réduit à un
tissu
transparent grisâtre, non disposé linéairement et
don nerveux s'aplatit, devient rubané; ses filets s'éparpillent; leur
tissu
devient grisâtre, et ils finissent par disparaîtr
e dissection attentive, les coupes de ces masses présentent encore le
tissu
nerveux propre intact. Il est incontestable qu'il
oprement dite. Dans le cas d'infection cancéreuse, lorsque tous les
tissus
imprégnés, pour ainsi dire, du vice cancéreux, pr
t plongé, à cet effet, la tète dans l'acide nitrique étendu d'eau, le
tissu
fut dissous avec le névrilème, et il ne resta plu
s de la prostate; 20 le moyen d'union de ces deux lobes à l'aide d'un
tissu
membraneux et musculeux et qui permettait à ces d
rieure et intérieure à la prostate, mais encore qu'elles pénètrent le
tissu
de cet organe, et par conséquent exercent sur cha
ât. xxvie livraison. 1 Quant aux autres détails de l'autopsie, le
tissu
propre des reins était sain. La surface interne d
rne très mince, ce dernier intermédiaire à la membrane muqueuse et au
tissu
propre de la prostate; qu'en outre, la prostate e
use avait lieu et aux dépens de la membrane muqueuse et aux dépens du
tissu
spongieux de l'urètre; aux limites, elle n'avait
eux de l'urètre; aux limites, elle n'avait envahi que la muqueuse, le
tissu
spongieux avait été respecté. Le rétrécissement e
du testicule droit présente des tubercules disséminés au milieu d'un
tissu
sain. L'épididyme est infiltré de matière tubercu
L'épididyme est infiltré de matière tuberculeuse à tel point que son
tissu
est méconnaissable. Un abcès occupait la tête de
s les organes, sur les membranes muqueuses, sur les séreuses, dans le
tissu
eellullaire, et dans l'épaisseur des muscles dont
nt des calculs. La prostate tout entière était donc convertie en un
tissu
spongieux dont les cellules, qui communiquaient t
tatiques voisines. On aurait d'ailleurs inutilement cherché dans ce
tissu
spongieux quelque disposition de texture qui rapp
e de ces ampoules ou bosselures répondait à une collection de pus. Le
tissu
cellulaire qui entourait les veines était très de
e. La tunique interne ou muqueuse a conservé sa ténuité naturelle. Le
tissu
adipeux sous-péritonéal, qui participe le plus so
l'épaisseur du canal : du pus était infiltré dans une bonne partie du
tissu
spongieux du corps caverneux ; il y avait un abcè
spongieux du corps caverneux ; il y avait un abcès gangreneux dans le
tissu
cellulaire du périnée ; il existait en outre une
la pneumonie lobulaire, fût le résultat de la présence du pus dans le
tissu
du corps caverneux. Dans des cas analogues, nous
onod, alors interne à Bicêtre. xxxixe livraison. verge ou dans le
tissu
caverneux du canal de l'urètre, n'est-ce pas du p
avait de huit à neuf lignes de longueur ; le canal était converti en
tissu
fibreux dans toute son épaisseur au centre du rét
n grand nombre de cellules à orifice très étroit, multiloculaires. Le
tissu
adipeux sous-péritonéal formait une couche extrêm
se au niveau du rétrécissement, disparition plus ou moins complète du
tissu
spongieux érectile du canal de l'urètre. Si de
. Il est aussi difficile de rétablir un canal naturel transformé en
tissu
fibreux, qu'il est difficile d'établir un canal a
tissu fibreux, qu'il est difficile d'établir un canal artificiel. Le
tissu
fibreux morbide a ce fatal privilège sur le tissu
anal artificiel. Le tissu fibreux morbide a ce fatal privilège sur le
tissu
fibreux naturel que la moindre cause d'irritation
elles attestent que la muqueuse a dît être, par voie de continuité de
tissu
, le siège d'une fluxion sanguine considérable. Da
sans doute le résultat de la compression exercée par le calcul sur le
tissu
du rein, et suppose nécessairement une liberté pl
ine et entière dans la circulation de l'urine. La couleur jaunâtre du
tissu
du rein , sa disposition granuleuse lui donnent t
sse, qui remplit les vides et égalise en quelque sorte sa surface. Ce
tissu
adipeux TA adhère intimement au rein, et semble f
on que j'ai cru devoir le faire représenter ici. Je n'ai jamais vu de
tissu
adipeux plus dense, et cette densité , il la deva
à des lames fibreuses qui le traversaient en tous sens. Dépouillé du
tissu
adipeux, qui le soutient, le rein n'est plus qu'u
. Delisle apoplexie des circonvolutions, infiltration du sang dans le
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien , compression large
apacité,ici plus minces, là plus épaisses, mais sans vestige aucun de
tissu
propre du rein. Plusieurs de ces poches ne sont s
es urines existant dans l'uretère; toute crainte de dégénérescence de
tissu
fut éloignée, dit l'observateur, par cette circon
résence, l'inflammation, soit de la membrane interne du rein, soit du
tissu
propre de cet organe, rien ne donnera l'éveil sur
rameux, stalactiformes, doit sans doute favoriser leur innocuité. Le
tissu
du rein s'atrophie tout autour de ces calculs, et
multiloculaire, dont les parois membraneuses sont constituées par le
tissu
propre du rein atrophié. Pour résumer les princ
calices et du bassinet, ce qui constitue le catarrhe du rein, soit du
tissu
propre du rein, qui se termine par des milliers d
la distension porte non-seulement sur les calices, mais encore sur le
tissu
du rein lui-même. L'urine retenue comprime d'abor
ïde qui fait suite au calice. Pour peu qu'il existe encore vestige du
tissu
du rein, il y a de l'urine sécrétée; mais, lorsqu
erne, véritable membrane muqueuse, fongueuse et granuleuse; 3° par un
tissu
cellulaire placé entre ces deux membranes. Ces pa
usquirrhe non ulcéré (ce n'était là probablement qu'une induration du
tissu
propre du rein). L'uretère, qui ne communiquait p
vie. Le rein distendu peut s'enflammer, un abcès se former dans le
tissu
cellulaire ambiant. Cet abcès peut s'ouvrir à l'e
dans les divisions. Au centre de ce caillot était du pus cohérent. Le
tissu
du rein est pâle, mais sain. Ce n'est pas la pr
e, qu'il soit dans une poche anévrismale , dans une varice ou dans le
tissu
cellulaire, par cela seul qu'il est coagulé,le sa
isse dans son enveloppe adipeuse, mais jamais dans l'épaisseur de son
tissu
propre. Sous ce rapport, il y a une différence én
rvées, tandis que les muscles, le foie(i), les glandes salivaires, le
tissu
cellulaire séreux sont très fréquemment le siège
clavicules, sont entièrement carnifiés; on n'y trouve pas vestige de
tissu
osseux. Les omoplates sont dans l'état de plus pa
eau de ces fractures, les côtes étaient creusées d'un canal rempli de
tissu
dégénéré, ce qui avait singulièrement diminué leu
supposer que l'altération s'est propagée aux cotes par continuité de
tissu
, de même qu'elle s'était propagée de la glande ma
niveau, le canal médullaire est plein; la moelle est remplacée par un
tissu
cancéreux qui se continue sans ligne de démarcati
un tissu cancéreux qui se continue sans ligne de démarcation avec le
tissu
également cancéreux de l'os. Dans d'autres poin
l'épaisseur de l'os ; tantôt par les couches moyennes ou le centre du
tissu
compacte, où quelques fibres osseuses sont rempla
du tissu compacte, où quelques fibres osseuses sont remplacées par du
tissu
cancéreux; ailleurs enfin par les couches les plu
s autres enfin sont comme emprisonnées dans l'épaisseur de l'os. Le
tissu
cancéreux était d'ailleurs très dense, blanc, rés
ncéreux gélatiniforme. La coupe de la tumeur (fig. 2) représente un
tissu
blanc, demi transparent, s'écrasant en grumeaux s
ec le mets connu sous le nom de blanc-manger. L'étude attentive de ce
tissu
m'a montré que d'une base généralement molle, den
tes globuleuses, de petites taches de sang disséminées au milieu d'un
tissu
blanc; 20 là, petits foyers de sang sans parois;
riz cuit. Je considère cet état comme constituant la suppuration des
tissus
cancéreux. Du reste, les parties envahies par l
ties envahies par le cancer étaient la peau, la glande mammaire et le
tissu
adipeux sous-cutané : le grand pectoral, quoique
envahie. Les bosselures sont formées par la glande mammaire et par le
tissu
adipeux sous-cutané dégénérés. La peau ne partici
elque sorte sous nos yeux, la génération des vaisseaux accidentels du
tissu
cancéreux, génération qui a beaucoup d'analogie a
celle qu'on observe dans le développement du poulet. Au milieu de ce
tissu
apparaissent d'abord des points de sang, des gout
ères. Jamais on ne rencontre d'artères de nouvelle formation dans les
tissus
accidentels. Les changemens que subissent les art
La gan grène est une suite fréquente de l'irritation subie par les
tissus
dégénérés. Toute irritation un peu considérable e
e glande saine, atrophiée, reléguée sur un des côtés de la tumeur. Le
tissu
adipeux paraissait également étranger à sa format
s l'enveloppe fibreuse fort mince qui la recouvrait, on voyait que le
tissu
de la tumeur était demi transparent, d'aspect gél
sées de géodes remplies d'un liquide d'apparence synoviale ; que leur
tissu
ne présente point de disposition linéaire, mais b
olement parfait des parties voisines, permettent de les distinguer du
tissu
de la glande en même temps qu'elles les différenc
était parcourue par des vaisseaux excessivement déliés. Exprimé, le
tissu
de cette tumeur donna non du suc cancéreux, mais
ourait : elles n'étaient unies à la glande mammaire que par un peu de
tissu
cellulaire. De ces tumeurs, deux étaient du volum
tre les autres, absolument comme dans le cas rapporté plus haut. Leur
tissu
était extrêmement dense et de nature fibreuse. La
n faisait soudre aucun liquide. Point de vestige de suc cancéreux. Le
tissu
de la glande mammaire était atrophié. J'ai trouvé
te s nt bien difficiles à distinguer de la transformation fibreuse du
tissu
glanduleux proprement dit; transformation qu'on p
conduit aux cas où la glande mammaire tout entière est transformée en
tissu
fibreux. J'ai examiné avec beaucoup d'attention
ngt-quatre ans. Cette mamelle ne m'a paru être rien autre choseque le
tissu
mammaire hypertrophié : la tumeur était divisée e
e de tubercules miliaires, pisiformes, etc., occupaient la peau et le
tissu
cellulaire sous-cutané. Il y avait, en outre, du
rale. L'altération de la plèvre n'avait pas eu lieu par continuité de
tissu
, car les muscles intercostaux et les côtes étaien
rcules dans l'épaisseur de la peau, mais encore il y en avait dans le
tissu
cellulaire sous-cutané. La fig. i en montre un ce
l'abdomen. Du côté gauche, le cancer mammaire occupait la peau, le
tissu
cellulaire sous-cutané et la glande mammaire. Le
. Du côté droit, où la dégénération était plus avancée, la peau, le
tissu
adipeux sous-cutané, la glande mammaire, les couc
e, les couches adjacentes du grand pectoral étaient transformés en un
tissu
excessivement dur, grisâtre, demi transparent, d'
d pectoral était donc affecté de deux manières : i° par continuité de
tissu
; 2° par une sorte d'infection bien distincte de l
sorte d'infection bien distincte de la dégénération par continuité de
tissu
. J'ai pu, à l'aide d'une dissection très soignée,
ations cancéreuses, c'est de confondre, d'assimiler à un seul et même
tissu
morbide les tissus les plus hétérogènes. Malgré l
, c'est de confondre, d'assimiler à un seul et même tissu morbide les
tissus
les plus hétérogènes. Malgré la dureté pierreuse
le de cette partie postérieure. La glande mammaire a dégénéré en un
tissu
d'apparence lardacée, parsemé de points jaunâtres
ont les orifices béans décèlent la perméabilité. La compression de ce
tissu
qui est dune dureté pierreuse, ne fournit de suc
pendiculaire m'a permis de voir la disposition suivante : la peau, le
tissu
cellulaire sous-cutané , la glande mammaire, les
ammaire, les fibres adjacentes du grand pectoral sont convertis en un
tissu
d'une dureté pierreuse, dont je n'ai pu exprimer
e qui, dans la tumeur, appartenait à la peau de ce qui appartenait au
tissu
adipeux , et celui-ci de la glande mammaire. La p
de cancer dur atrophique; les parties atrophiées sont transformées en
tissu
dense, blanc-grisâtre, homogène, entièrement dépo
a mamelle. Elles se développent indépendamment de toute continuité de
tissu
entre le tissu malade et la plèvre. Les plaques c
s se développent indépendamment de toute continuité de tissu entre le
tissu
malade et la plèvre. Les plaques circulaires, sem
nt chacun l'épaisseur et l'étendue d'une pièce de 5 fr. La peau et le
tissu
cellulaire sous-cutané étaient seuls intéressés :
a été faite au niveau de l'eschare la plus supérieure. On voit que le
tissu
de la glande G M se confond avec celui du grand p
s'éloigne de la glande, le muscle reprend ses caractères, et que son
tissu
est infiltré de tubercules, dont un certain nombr
DB, DB. La figure 4 représente une coupe de la mamelle gauche. Son
tissu
est lobuleux , d'une dureté pierreuse, et cependa
maire, et cet envahissement peut avoir lieu, tantôt par continuité de
tissu
, tantôt par infection générale. L'infection génér
d postérieur du poumon , lequel est refoulé en avant et en haut. Le
tissu
du poumon est sain. Des plaques cireuses occupent
de laquelle le grand pectoral parait avoir été détruit ou converti en
tissu
fibreux. Au voisinage, il contient, dans son épai
la-fois et par la peau et par la glande mammaire. Une couche mince de
tissu
adipeux sépare la peau de la glande altérée. L'al
ct entre la portion dégénérée de la glande et la portion dégénérée du
tissu
de la peau. Toutes deux présentaient à la coupe l
peuvent être le résultat de l'extension progressive par continuité de
tissu
du cancer jusqu'à la plèvre costale. La pleurésie
et le cancer fibreux , que celui-ci se continue manifestement avec le
tissu
propre de la glande mammaire, tandis que les corp
ais complètement atrophiée au milieu de l'induration de la peau et du
tissu
cellulaire. Un grand nombre de tubercules cutanés
concavité en arrière. Les cartilages costaux droits sont entourés de
tissu
cancéreux induré. L'altération s'est étendue de l
e tissu cancéreux induré. L'altération s'est étendue de la peau et du
tissu
cellulaire sous-cutané au sternum. Il y a continu
ancéreux, contenu dans des débris d'aréoles osseuses. La peau et le
tissu
cellulaire sous-cutanés sont au loin dégénérés en
fibreux très dense. On en exprime un suc cancéreux très abondant. Le
tissu
morbide n'est autre chose qu'un tissu fibreux inf
suc cancéreux très abondant. Le tissu morbide n'est autre chose qu'un
tissu
fibreux infiltré du suc que j'ai si souvent décri
encéphaloïdes, tandis que l'altération des mamelles, de la peau et du
tissu
cellulaire, appartient au cancer dur ou fibreux.
ifférence consiste dans la quantité de suc cancéreux, qui pénètre ces
tissus
, et par conséquent dans l'activité du travail mor
u'envahit le plus souvent le cancer, et cela tantôt par continuité du
tissu
, tantôt indépendamment de la continuité du tissu:
ôt par continuité du tissu, tantôt indépendamment de la continuité du
tissu
: ils appartiennent en quelque sorte au champ du c
n travail d'érosion ou d'ulcération gangreneuse; qu'aux limites, le
tissu
de l'utérus présentait une disposition aréolaire,
même maladie; que, dans le premier degré, il y avait infiltration du
tissu
par une matière cancéreuse qui, peu abondante dan
e qui, peu abondante dans le principe et permettant de reconnaître le
tissu
, devenait de plus en plus considérable, au point
ar couches successives en détritus gangreneux. La transformation en
tissu
aréolaire et pultacé s'étendait à la zone la plus
y a identité complète d'aspect. Si on soumet une tranche mince de ce
tissu
à l'action d'un jet d'eau, et qu'on le débarrasse
ces capillaires, qui constituent un réseau inextricable, un véritable
tissu
caverneux, se distendent et deviennent des cellul
distendent et deviennent des cellules dans l'intervalle desquelles le
tissu
propre de l'organe comprimé s'atrophie, à tel poi
ssection qu'elle est extrêmement difficile, à raison de la densité du
tissu
cellulaire qui environne les veines ainsi distend
Ce polype était évidemment constitué par un prolongement pédicule du
tissu
propre de l'utérus. La planche îv, xme livraiso
sa cavité contenait une assez grande quantité de mucus noirâtre. Son
tissu
était flexible, hypertrophié, d'apparence muscula
leurs avec la mollesse, la couleur rouge et l'apparence musculaire du
tissu
ambiant. L'ovaire gauche était transformé en un
ns. — Il est des polypes durs qui consistent dans une hypertrophie du
tissu
de l'utérus, tel est le cas représenté planche vi
éterminer s'il appartient à la classe des polypes par hypertrophie du
tissu
utérin ou à celle des corps fibreux? Je crois cet
as, devrait s'arrêter au corps fibreux); après quoi, on lacérerait le
tissu
cellulaire qui unit le corps fibreux à sa coque e
d'un développement proportionnel avec ramollissement et flaccidité du
tissu
de l'utérus; et lorsque la sécrétion de ce mucus
utérine, je vis que sous la muqueuse doublée par une couche mince de
tissu
utérin, était une tumeur qu'il me fut facile de s
ensions, dont plusieurs extrêmement petites, unies entre elles par un
tissu
cellulaire lâche et infiltré, dans lequel rampaie
que les corps fibreux sont nombreux et disséminés dans l'épaisseur du
tissu
propre de l'utérus; mais quand l'utérus est le si
rompes à droite et en bas, et l'autre trompe à gauche et en haut : le
tissu
utérin ramolli devient en quelque sorte ductile e
orps fibreux sont en nombre considérable, si hien que les portions de
tissu
utérin intermédiaire, comprimées par ces corps ét
on point le résultat d'une sorte de dégénération ou transformation du
tissu
fibreux. J'ai eu souvent occasion de voir des cor
tumeurs, dont les unes étaient ossiformes et les autres fibreuses. Le
tissu
utérin intermédiaire aux tumeurs était spongieux
ion, mais dont les fibres auraient été pour ainsi dire disséquées. Ce
tissu
se prolongeait dans le pédicule jusqu'à la tumeur
é. Figure 3. — Apoplexie ou hémorrhagie spontanée avec déchirure du
tissu
de Vutérus. — Représente une altération très fréq
es de la Salpêtrière. Cette altération consiste dans une apoplexie du
tissu
de l'utérus qui est ramolli, déchiré, infiltré de
antôt elle est bornée à la muqueuse et à la couche la plus voisine du
tissu
utérin ; d'autres fois elle envahit le tiers inte
t point dirigée précisément sur la muqueuse utérine, mais bien sur le
tissu
propre de l'organe. Au reste, cette altération
s lymphatiques et les os du bassin ont été envahis. Les aréoles des
tissus
dégénérés sont identiques dans tous les organes;
s ce réseau, tellement développé qu'il remplace à lui seul les autres
tissus
atrophiés, qu'est déposée la matière, tantôt pres
t par le réseau veineux qui acquiert un immense développement, que le
tissu
propre de l'utérus lui-même semble disparaître ou
travail morbide, la moindre fluxion sanguine ou autre, fixés sur des
tissus
aussi profondément altérés dans leur structure qu
tissus aussi profondément altérés dans leur structure que le sont les
tissus
cancéreux, doive y éteindre la vie. Or, tantôt la
ancéreux, doive y éteindre la vie. Or, tantôt la gangrène détruit les
tissus
cancéreux couche par couche; tantôt elle envahit
parois gangreneuses. Le corps de l'utérus ne présente pas vestige de
tissu
cancéreux. La coupe de ce corps montre que son ex
vagin ne m'avait démontré que sur les limites du foyer gangreneux, le
tissu
du vagin était pénétré de suc cancéreux. Les ga
n arrière la paroi postérieure du rectum. La gangrène avait envahi le
tissu
cellulaire du bassin jusqu'au muscle obturateur i
ux limites de la gangrène du rectum et du vagin une petite portion de
tissu
cancéreux qui atteste que la gangrène a été consé
e tissu cancéreux qui atteste que la gangrène a été consécutive. Le
tissu
de l'utérus est sain; sa membrane interne est le
oyers sanguins; ailleurs par une sorte de combinaison du sang avec le
tissu
cérébral. Cette altération était bornée à la subs
te lésion chez les femmes réputées cancéreuses une gangrène humide du
tissu
de l'utérus sans aucune trace de maladie cancéreu
ce qui restait de l'utérus était sain et ne présentait pas vestige de
tissu
cancéreux; la partie la plus inférieure du moigno
r une couche gangreneuse. Il n'y avait pas le plus léger vestige de
tissu
cancéreux. La couche vivante subjacente à la couc
e vagin ; légère augmentation de volume du corps de l'utérus, dont le
tissu
est sain et ne présente aucune trace de matière c
ment du rectum, infiltration séreuse de ses parois. Aucune trace de
tissu
cancéreux. Les parties qui avoisinaient la gangrè
portion de vessie déplacée du vagin et de l'utérus, est occupé par du
tissu
adipeux TA. 5° Plus en arrière encore se voit l
ne autre part avec la paroi postérieure du même conduit : l'aspect du
tissu
du vagin et de l'utérus est le même, et la ligne
Le rectum parfaitement sain et libre d'adhérences en a été séparé. Le
tissu
aréolaire qui occupe les côtés de la vessie n'est
rononcée. Chaque cellule est remplie de suc cancéreux. La coupe de ce
tissu
présentait l'aspect de la fig. 2. La pression exe
on d'un jet d'eau et débarrassé du suc cancéreux qui l'infiltrait, ce
tissu
utérin est représenté fig. 3. — L'ovaire O et la
térin. On voit que l'utérus est converti dans toute son étendue en un
tissu
spongieux dont les cellules sont remplies de suc
partie inférieure de l'uretère. La fig. 3 représente une tranche du
tissu
de l'utérus qui a été soumise à l'action du jet d
e du suc cancéreux. On voit parfaitement la disposition spongieuse du
tissu
utérin, l'inégalité de capacité des cellules et l
s entre elles; dans les points les moins altérés, se voyait encore le
tissu
utérin, dont les filamens avaient été dissociés e
aison de l'ampleur des cellules; dans les points les plus altérés, le
tissu
utérin avait disparu, il était atrophié et la cou
ons. — La forme du cancer dans laquelle l'utérus est transformé en un
tissu
spongieux d'où l'on fait suinter par la pression,
x, un suc cancéreux plus ou moins consistant, de telle manière que ce
tissu
vidé par des préparations convenables, représente
ar des préparations convenables, représente une sorte de feutre ou de
tissu
aréolaire caverneux , cette forme, dis-je, qu'on
te de toutes. Il y a identité d'aspect entre la trame aréolaire de ce
tissu
cancéreux dépouillé du suc qui l'infiltré et le t
aréolaire de ce tissu cancéreux dépouillé du suc qui l'infiltré et le
tissu
érectile, ce qui ne doit pas étonner, puisque le
infiltré et le tissu érectile, ce qui ne doit pas étonner, puisque le
tissu
érectile accidentel n'est lui-même autre chose qu
ute qu'il y a non-seulement identité d'aspect, mais affinité entre le
tissu
érectile et le tissu cancéreux ; et cette affinit
lement identité d'aspect, mais affinité entre le tissu érectile et le
tissu
cancéreux ; et cette affinité de nature, si je pu
es tumeurs qui se continuait avec une masse non moins considérable de
tissu
érectile, si bien qu'ayant soumis le foie à la ma
nés par le liquide, il me fut impossible d'établir la limite entre le
tissu
érectile et le tissu cancéreux. La seule différen
l me fut impossible d'établir la limite entre le tissu érectile et le
tissu
cancéreux. La seule différence que j'y remarquai,
us de fragilité , un peu moins de force de cohésion dans la partie de
tissu
aréolaire qui avait appartenu au cancer que dans
e qui avait appartenu au cancer que dans celle qui avait appartenu au
tissu
érectile. Un autre point d'analogie entre le ti
ait appartenu au tissu érectile. Un autre point d'analogie entre le
tissu
cancéreux et le tissu érectile, c'est leur facult
érectile. Un autre point d'analogie entre le tissu cancéreux et le
tissu
érectile, c'est leur faculté de s'étendre d'une m
endamment de leur nature et de la transformation de ces organes en un
tissu
identiquement le même. Je regarde comme une vér
rne était mamelonnée. Le col de l'utérus est méconnaissable, c'est un
tissu
aréolaire blanchâtre qu'infiltre, comme une épong
a tumeur sus-claviculaire était de nature cancéreuse et formée par un
tissu
spongieux plein de suc cancéreux qui en suintait
x utérin, mais sans distension des vaisseaux, de telle manière que le
tissu
de l'utérus intermédiaire n'était ni atrophié, ni
ce interne une multitude de saillies ou tubercules développés dans le
tissu
cellulaire sous-muqueux. Ces tubercules, de natur
canaux ramifiés ayant des parois parenchymateuses constituées par le
tissu
du foie induré. La même théorie s'applique au p
iliaire dans le cas de rétention complète de la bile : alors tous les
tissus
de l'économie sont en quelque sorte imprégnés des
de des lésions organiques m'ait habitué à voir des transformations de
tissu
singulières, je suis obligé d'avoir recours, pour
La ligure 3 permet d'apprécier l'élongalion qu'a subie l'utérus. Son
tissu
a subi un ramollissement notable, et ce n'est pas
tous les cas, cette hypertrophie s'accompagne d'un ramollissement de
tissu
fort remarquable. Cette considération ne serait p
: la couleur noire n'est pas due à la gangrène, mais est inhérente au
tissu
même de la muqueuse, qu'une pseudo-membrane mince
e, était due à la transformation fibreuse des lames qui traversent ce
tissu
adipeux. Cette seule circonstance, l'adhérence in
ent ce tissu adipeux. Cette seule circonstance, l'adhérence intime du
tissu
adipeux, me fait pressentir que le rein a été le
ion chronique. En effet, la capsule fibreuse adhère si fortement au
tissu
propre du rein, que sa dissection, faite avec tou
che d'un scalpel, entraîne çà et là quelques lambeaux superficiels du
tissu
propre du rein F R. La surface du rein ainsi dé
yers de pus, comme on aurait pu le croire au premier abord ; c'est un
tissu
très dense, jaunâtre f jaspé. La figure 1, qui
ésente une coupe du rein, donne une idée exacte de la manière dont le
tissu
de cet organe était infiltré de matière jaunâtre:
le résultat de la combinaison de la matière colorante du sang avec le
tissu
. Or, tantôt elle coïncide avec une phlegmasie act
ésidus solides et la matière colorante jaune se sont combinés avec le
tissu
cellulaire fibreux, qui constitue la cicatrice du
emière fois que j'ai eu occasion de signaler certaines altérations de
tissus
, qu'on serait tenté de prendre au premier abord p
ou en gravierst tubercules de cicatrisation disséminés au milieu d'un
tissu
pulmonaire parfaitement sain. i° Relativement à
rène par érosion du vagin, consécutive à une induration cancéreuse du
tissu
cellulaire du bassin: elle est remarquable, parce
ème douloureux du membre inférieur gauche. — Induration cancéreuse du
tissu
cellulaire du bassin. — Gangrène par érosion de l
parties contenues dans le bassin, en rasant les os, et j'ai vu que le
tissu
cellulaire du bassin était tellement induré à gau
par une pseudo-membrane grisâtre, mais d'ailleurs sans altération de
tissu
. Cependant la partie inférieure et postérieure du
nt de subir cette duration cartilaginiforme que j'ai indiquée pour le
tissu
cellulaire du bassin. L'altération portait essent
ite, et que le fond de la perte de substance ulcéreuse portait sur le
tissu
cellulaire induré. Quant à l'induration, elle off
a subi la dégénérescence cancéreuse par niasses disséminées; mais son
tissu
incisé ne m'a pas paru offrir d'altération manife
Réflexions. Quel est le caractère de cette induration chondroïde du
tissu
cellulaire du bassin? Est-ce une des formes.du ca
l est infiniment probable. Le siège principal de l'altération dans le
tissu
cellulaire du bassin n'est nullement en oppositio
remière fois que j'ai vu les dégénérations cancéreuses débuter par le
tissu
cellulaire du bassin ou attaquer exclusivement ce
ébuter par le tissu cellulaire du bassin ou attaquer exclusivement ce
tissu
cellulaire. L'érosion gangreneuse est une termina
que symptomatique, et que la dégénération primitive ou consécutive du
tissu
cellulaire du bassin est une des causes les plus
e muqueuse, et s'était étendu progressivement des couches internes du
tissu
utérin aux couches les plus externes; cette forme
sécrété dès les premiers momens de l'apparition du cancer, et que les
tissus
, dans les mailles desquels il était infiltré, éta
igure 2' représente ce museau de tanche divisé : la coupe présente un
tissu
mou pénétré de mucus qui remplit des espèces de g
ésultat un développement prodigieux de ces follicules, si bien que le
tissu
utérin intermédiaire semble réduit au rôle de par
es. Il n'y a dans cette altération rien qui doive être rapproché du
tissu
cancéreux dur ou mou, et je suis convaincu que l'
ure cancéreuse; la portion extirpée présentait absolument l'aspect du
tissu
du placenta. C'étaient des pinceaux de vaisseaux
tait la partie ramollie était dense et offrait tous les caractères du
tissu
propre de l'utérus. L'extirpation a donc (1) Bo
u de tanche était très tuméfié, surtout dans sa lèvre antérieure; son
tissu
était mou, spongieux. Dans l'épaisseur de la lèvr
erculeux. Je ne pus reconnaître dans cet état aucun des caractères du
tissu
cancéreux; le ramollissement du tissu de l'utérus
et état aucun des caractères du tissu cancéreux; le ramollissement du
tissu
de l'utérus me parut l'effet d'une irritation chr
d'une irritation chronique, d'une fluxion long-temps continuée sur ce
tissu
. Ce ramollissement était probablement le résultat
ant sous le doigt, sans donner aucun suc, ni cancéreux, ni autre; son
tissu
était grisâtre, demi transparent. Cette tumeur ét
extirpée; car la base de la végétation offrait tous les caractères du
tissu
utérin le plus sain. Plusieurs personnes avaient
eur de la tumeur et dont les fragmens KO, KO ont été conservés; 2° un
tissu
aréolaire qui constituait les deux tiers inférieu
ment à toute incision, la disposition aréolaire ou celluleuse de leur
tissu
. La coupe de ces tumeurs a montré qu'elles étai
t avec celle des kystes hy-datidiformes du placenta et avec celle des
tissus
caverneux, m'a conduit à me demander si ces kyste
ganes de circulation, et vivant d'une vie propre. L'analogie de ces
tissus
avec les tissus dits caverneux ou érectiles est é
tion, et vivant d'une vie propre. L'analogie de ces tissus avec les
tissus
dits caverneux ou érectiles est évidente; la seul
elles dans le kyste, tandis que leur communication est libre dans les
tissus
caverneux. Au reste, sous le rapport de la commun
e, aréolaire, blanc jaunâtre, qui m'a présenté tous les caractères du
tissu
placentaire. Le tiers interne de cette même poche
d. JN'est-il pas évident que la cavité séreuse qu'il renferme, que le
tissu
spongieux qui le remplit presque en totalité, ne
s débris de mâchoires, des os plus ou moins informes, des lambeaux de
tissu
cutané et du cuir chevelu en particulier garni de
rs altitudes : cette bande est-elle formée uniquement par la peau, le
tissu
cellulaire et les muscles ? contient-elle dans so
es vaisseaux : on dirait des tubercules jetés çà et là au milieu d'un
tissu
adipeux très sain. C'est un phénomène pathologiqu
du péritoine fournit l'exemple d'une dégénération développée dans le
tissu
le moins composé de l'économie, et il est à remar
imée à la manière du suc cancéreux cérébriforme: par la pression , le
tissu
se déchire et les doigts restent couverts d'une m
s'échapper à la manière d'un ver tortueux. En examinant avec soin le
tissu
de l'épiploon , privé par la pression de tout le
ntenait, j'ai reconnu une disposition exactement semblable à celle du
tissu
caverneux ou érectile, des cavités lisses, des va
nsidérable: c'était la tumeur que j'avais reconnue pendant la vie. Le
tissu
de l'utérus était parfaitement sain. Les ovaires
t de la maladie, soit qu'ils eussent été consécutivement envahis ; le
tissu
de l'utérus était d'ailleurs dans l'état le plus
acile d'enlever, en raclant, toute la tumeur, sans altérer en rien le
tissu
de l'utérus, qui n'était nullement hypertrophié.
a déchirer. Une section , pratiquée dans divers sens, a montré que le
tissu
de cette tumeur était blanc et mou à la manière d
une crème, ou mieux à la manière du cerveau d'un jeune enfant; que ce
tissu
était pénétré de vaisseaux sanguins très considér
utre, parsemée d'une multitude de foyers sanguins, qui donnaient à ce
tissu
l'aspect d'un cerveau frappé d'apoplexie. De ces
surface libre du péritoine et pouvant être enlevés sans intéresser le
tissu
même du péritoine. Quelques plaques d'aspect cire
cer, gangrène, apoplexie ou hémorrhagie spontanée avec déchirure du
tissu
de l'utérus. Considérations générales sur le canc
s, sont le résultat du dépôt de produits sécrétés dans les mailles du
tissu
cellulaire, d'où l'éparpillement d'abord et ensui
ssu cellulaire, d'où l'éparpillement d'abord et ensuite l'atrophie du
tissu
propre. 1 liv., pl. iv, p. 3.— Les maladies impri
aractéristiques. 21e liv., pl. v, p. 6. — Apoplexie avec déchirure du
tissu
de l'utérus. 24e liv., pl. 1, il,p. 6. — Apoplexi
dence, leurs différences. 12e liv., pl. n et m, p. 3.—Etats divers du
tissu
du foie dans cette affection. 12e liv., pl. n et
s deux fémurs. Cancer par masses disséminées dans les os, le foie, le
tissu
cellulaire sous-pleural et sous-péritonéal. 20e l
dorsale. 32e liv., pl. 1, n, p. 2. — Cancer mélanique tuberculeux du
tissu
cellulaire sous-cutané, des muscles, du tissu cel
élanique tuberculeux du tissu cellulaire sous-cutané, des muscles, du
tissu
cellulaire sous-péritonéal, des poumons. Cancer d
ertèbres lombaires coïncidant avec le cancer mélanique tuberculeux du
tissu
cellulaire sous-cutané, des muscles, du tissu cel
élanique tuberculeux du tissu cellulaire sous-cutané, des muscles, du
tissu
cellulaire sous-périlonéal, des poumons, et un ca
r le travail gangreneux. 24e liv., pl. 1,11, p. /2.—Leshémorrhagicsdu
tissu
éreclile ne s'arrêtent que par la cautérisation.
pl. i, p. t.— Transformation celluleuse, atrophie avec induration du
tissu
cérébral, perte de substance, transformation d'un
. Mort subite par rupture du cœur. Fragilité et coloration jaunàtredu
tissu
de cet organe. 22e liv.,pl. m, p. /.—Mon par rupt
30e liv., pl. îv, p. 3. — La véritable cause est dans la fragilité du
tissu
du cœur. 30e liv., pl. iv, p. 4- — L'apoplexie du
liv., pl. vi, p. 5. — Dilatation générale du cœur sans altération du
tissu
prise pour une hydropéricarde. Induration du poum
iv., pl. iv,p. 2. — Compression de la moelle sans altération de son
tissu
. 25e liv., pl. iv, p. 3. —Paraplégie par compress
rcinomateuseinternede la dure-mère. Hydropisie des ventricules et d u
tissu
cellulaire sous-arach-noïdien. m Tumeur carcinoma
ence, leurs différences. 12e liv., pl. n, ni, p. 3. — Etats divers du
tissu
du foie dans celte affection. 12e liv., pl. n, m,
Edôme douloureux du membre inférieur gauche. Induration cancéreuse du
tissu
cellulaire du bassin. Gangrène par érosion de la
10e liv., pl. v, vi, p. 5. — Hémorrhagie spontanée avec déchirure du
tissu
de l'utérus. 24e liv., pl. 1, n, p. 6. — Les hémo
u tissu de l'utérus. 24e liv., pl. 1, n, p. 6. — Les hémorrhagies des
tissus
éreclilcs ne s'arrêtent que par la cautérisation.
lation. 31e liv., pl. 1, p. 2. — Hémorrhagie spontanée de la peau, du
tissu
cellulaire et des muscles de la jambe. = Hémorrha
ssu cellulaire et des muscles de la jambe. = Hémorrhagie spontanée du
tissu
cellulaire sous-cutané. Ecchymose cutanée. Epanch
ée de l'ovaire et de l'asciie. 5e liv., pl. m, p. 3. — Hy-dropisie du
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien et des ventricules d
es pileux ovariques. 18e liv., pl. m, iv, v, p. 4.— De la présence du
tissu
cutané dans les kystes pileux; caractères cliniqu
v., pl. i, p. /; — du ihymuschez le fœtus. 15e liv., pl. n,p. /;—du
tissu
cellulaire. 32eliv., pl. m, iv, p. 4 s — du vagin
ssuméla-nique proprement dit ; caractères du pigmenlum; caractères du
tissu
. 19e liv., pl. in, iv, p. 4. — Double manière d'ê
olorations mélaniques : 1° coloration des liquides; 2° coloration des
tissus
normaux. 19e liv., pl. ni, iv, p. 5/—3° coloratio
ssus normaux. 19e liv., pl. ni, iv, p. 5/—3° coloration mélanique des
tissus
accidentels. 19e liv., pl. m, iv, p. 6.— Mélanose
obe de l'œil. 22e liv. pl. 1, p. 4. — Cancer mélanique tuberculeux du
tissu
cellulaire sous-cutané, des muscles, du tissu cel
élanique tuberculeux du tissu cellulaire sous-cutané, des muscles, du
tissu
cellulaire sous-peritoneal et des poumons. 32e li
inière. Néphrite. Rupture de plusieurs foyers rénaux purulens dans le
tissu
cellulaire sous-périlonéal. 32e liv-, pl. 1, n, p
état du cerveau. 32e liv., pl. 1, 11, p. 6. —Paraplégie par lésion du
tissu
propre de la moelle. Destruction du tissu propre
. —Paraplégie par lésion du tissu propre de la moelle. Destruction du
tissu
propre de la moelle, que remplace une cellulosilé
pl. 111,p. a, —Foyers de pus dans l'articulation du genou et dans le
tissu
cellulaire libre de la cuisse et de la jambe. Inf
ment. Abcès autour du bassinet ouvert dans sa cavité. Inflammation du
tissu
adipeux qui environne le bassinet et l'uretère. l
tion infiltrée : développement énorme et transformation du rein en un
tissu
spongieux, pénétré d'un liquide lie-de-vin. 1" li
imperméables. Catarrhe pulmonaire. = Mort par infiltration séreuse du
tissu
du poumon. = Pustules cutanées. Poumons infiltrés
Végétations polypeuses de l'œsophage et rétrécissement sans lésion de
tissu
. 38e liv., pl. vi, p. i.— Rétrécissement congénia
ment des os dans le pied-bot. 2e liv., pl. iv, p. i3.—Les maladies du
tissu
osseux ont leur siège, non dans le tissu osseux l
. iv, p. i3.—Les maladies du tissu osseux ont leur siège, non dans le
tissu
osseux lui-même, mais dans le tissu cellulaire ad
sseux ont leur siège, non dans le tissu osseux lui-même, mais dans le
tissu
cellulaire adipeux ou médullaire qui en remplit l
dullaire qui en remplit les cellules. 4e liv., pl. iv, p. 2. — Sur le
tissu
spongieux des os. = La phlébite des os est une de
s deux fémurs. Cancer par masses disséminées dans les os, le foie, le
tissu
cellulaire sous-pleural et sous-péritonéal. 20e l
pileux ovariques. 18e liv., pl. ni, iv, y, p. 4. — De la présence du
tissu
cutané dans les kystes pileux ; caractères cliniq
inière. Néphrite. Rupture de plusieurs foyers rénaux purulens dans le
tissu
cellulaire sous-péritonéal. 32e liv., pl. 1, n, p
are du sacrum. 32e liv., pl. 1, n, p. *6. —¦ Paraplégie par lésion du
tissu
propre de la moelle. Destruction du tissu propre
—¦ Paraplégie par lésion du tissu propre de la moelle. Destruction du
tissu
propre de la moelle, que remplace une cellulosité
élanique tuberculeux du lissu cellulaire sous-cutané, des muscles, du
tissu
cellulaire sous-péritonéal, des poumons; cancer d
atisme articulaire. 40e liv.,pl. iv, p. 3. PÉRIOSTE. Altération des
tissus
osseux et médullaire avec intégrité du périosjte.
6e liv., pl. V, p. a. PHLÉBOLITHES. Phlébolites développées dans un
tissu
érec-tile accidentel. 23e liv., pl. m, iv, p. a.
ins son bord antérieur, terminée par suppuration concrète, donnant au
tissu
pulmonaire un aspect granitiforme ou granuleux. P
ulsion ; caractères différentiels entre les polypes ; hypertrophie du
tissu
de l'utérus et les corps fibreux. 11e liv., pl. v
imperméables. Catarrhe pulmonaire. = Mort par infiltration séreuse du
tissu
du poumon. = Pustules cutanées. Poumons infiltrés
oins son bord antérieur, terminée par suppuration concrète donnant au
tissu
pulmonaire un aspect graniliforme ou granuleux. P
compagne le plus ordinairement de péritonite, d'inflammation large du
tissu
cellulaire sous-péritonéal. 13e liv.,pl. 1, n, m,
aux lymphatiques peut avoir lieu sans péritonite sans inflammation du
tissu
cellulaire sous-péritonéal, et même sans inflamma
ion du tissu cellulaire sous-péritonéal, et même sans inflammation du
tissu
propre de l'utérus et des trompes. 13e liv., pl.
4. — Néphrite aiguë, terminée par un ramollissement. Inflammation du
tissu
adipeux qui environne le bassinet et l'uretère. A
. 33e liv., pl. 1, p 4. — Rétrécissement de l'œsophage sans lésion de
tissu
. 38e liv. pl. vi ,p. 1. — Rétrécissement congénia
pl. m, p. s. — Foyers de pus dans l'articulation du genou et dans le
tissu
cellulaire libre de la cuisse el delà jambe. Infl
v, ». 2. TIRIA. Son rôle dans le pied-bot. 2e liv., pl. iv, ». g.
TISSUS
. Travaux iconographiques de Mathieu Baillie sur l
S. Travaux iconographiques de Mathieu Baillie sur les altérations des
tissus
. lre liv. , Avant-Propos, p. iv. — Inaltérabilité
ions des tissus. lre liv. , Avant-Propos, p. iv. — Inaltérabilité des
tissus
organiques. lre liv., Avant-propos, p.v,5e liv.,
iv., Avant-propos, p.v,5e liv., pl. 1, p. 2. — Densité qu'acquiert le
tissu
cellulaire qui entoure une veine enflammée. 11e l
i entoure une veine enflammée. 11e liv., pl. 1, 11, 111, p. n. — Du
tissu
mélanique. 19e liv., pl. m, iv,p. 4- — Coloration
tissu mélanique. 19e liv., pl. m, iv,p. 4- — Coloration mélanique des
tissus
normaux. 19e liv., pl. ni, iv, p. 5. — Affinité e
e des tissus normaux. 19e liv., pl. ni, iv, p. 5. — Affinité entre le
tissu
cancéreux et le tissu érectile. 27e liv., pl. n,
19e liv., pl. ni, iv, p. 5. — Affinité entre le tissu cancéreux et le
tissu
érectile. 27e liv., pl. n, ». /. TB-ACHÉE. Rupt
cinomateuse interne de la dure-mère. Hydropisie des ventricules et du
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien. = Tumeur carcinomat
mortel en quarante-huit heures. Péritonite. Infiltration purulente du
tissu
cellulaire sous-péritonéal. Présence du pus dans
uerpéral mortel en vingt-quatre heures. Péritonite. Inflammation du
tissu
cellulaire sous-péritonéal. Vaisseaux lymphatique
e cinquante heures. Péritonite purulente. Infiltration du pus dans le
tissu
cellulaire péritonéal. Vaisseaux lymphatiques ple
p. 2.— Polypes; distinction à faire entre les polypes fibreux nés du
tissu
propre de l'organe et les tumeurs fibreuses. 11e
mortel en quarante-huit heures. Péritonite. Infiltration purulente du
tissu
sous-péritonéal. Présence du pus dans les vaissea
puerpéral mortel en vingt-quatre heures. Péritonite. Inflammation du
tissu
cellulaire sous-péritonéal. Vaisseaux lymphatique
e cinquante heures. Péritonite purulente. Infiltration du pus dans le
tissu
cellulaire sous-péritonéal. Vaisseaux lymphatique
xpulsion; caractères distinctifs des polypes durs par hypertrophie du
tissu
de l'utérus et des corps fibreux. 24eliv., pl. 1,
l. 1,11, p. 4. — Apoplexie ou hémorrhagie spontanée avec déchirure du
tissu
de l'utérus. = Gangrène de l'utérus. = Cancer pul
iede la formation delà hernie de l'utérus. 34" liv., pl. v\,p.3. — Le
tissu
de l'utérus est incompatible avec la graisse. 36e
Edème douloureux du membre inférieur gauche. Induration cancéreuse du
tissu
cellulaire, du bassin. Gangrène par érosion delà
e divisent en deux espèces bien distinctes. 29e liv., pl. 11, m, p. —
Tissu
érectile accidentel formé par les veines. 30e liv
agique. 36e liv., pl. v, p. a. — Hémorrhagie spontanée de la peau, du
tissu
cellulaire et des muscles de la jambe. Hémorrhagi
tissu cellulaire et des muscles de la jambe. Hémorrhagie spontanée du
tissu
cellulaire sous-cutané. Absence d'ecchymose sous-
tèbres lombaires , coïncidant avec un cancer mélanique tuberculeux du
tissu
cellulaire sons-cutané, des muscles, du tissu cel
élanique tuberculeux du tissu cellulaire sons-cutané, des muscles, du
tissu
cellulaire sous-péritonéal, des poumons, et un ca
ncipalement affecté; voilà la route qui m'a conduit à établir que les
tissus
organiques sont tous inaltérables par eux-mêmes,
onsistent que dans le dépôt de matières sécrétées dans les mailles du
tissu
cellulaire, matières qui tantôt corps étrangers,
eu à peu les parties voisines, et se substituant en quelque sorte aux
tissus
propres, etc., etc. Ce peu de mots suffira pour
ure des parois des vésicules est extrêmement résistante, on dirait un
tissu
fibreux. J'ai vainement cherché a y reconnaître p
on est remarquable. Il pensait qu'elles étaient formées aux dépens du
tissu
cellulaire qui unit entre elles les tuniques vasc
t l'am-nios, au niveau et surtout à la circonférence du placenta : le
tissu
du placenta lui-même était plus dense, beaucoup m
lacenta méritent d'autant plus de nous occuper, que cet organe est un
tissu
de nouvelle formation, une fausse membrane organi
ane organisée qui offre le type des organisations accidentelles , des
tissus
parasites formés aux dépens des produits de sécré
hâtre, mais sans aspect resplendissant. On voit manifestement que son
tissu
est fibreux ; mais il n'a pas l'aspect globuleux
vent la nutrition de l'organe est en raison inverse de son volume, le
tissu
ancien ayant été pour ainsi dire étouffé par un t
son volume, le tissu ancien ayant été pour ainsi dire étouffé par un
tissu
de nouvelle formation. Tel est le cas dont il s'a
hidien. En effet, puisque les ganglions cervicaux sont transformés en
tissu
fibreux, et ne contiennent plus un atome ni de su
fibreux, et ne contiennent plus un atome ni de substance grise, ni de
tissu
nerveux, il est clair que, si les branches de com
tre ces deux lésions ? L'affection du rein pouvait s'être propagée au
tissu
cellulaire ambiant, et par celui-ci au colon desc
uide séreux ; 20 la presque totalité de la tumeur était formée par un
tissu
blanchâtre, demi-transparent, aréolaire, dans les
du rein, mais altérée et ne conservant parfaitement les caractères du
tissu
propre de cet organe qu'à la partie supérieure ;
propre de cet organe qu'à la partie supérieure ; là on retrouvait le
tissu
granuleux et rougeâtre, mais à grains extrêmement
e très-mince. C'est sous la couche la plus excentrique, formée par le
tissu
du rein dégénéré, que se voient le plus grand nom
s canaux sanguins sans parois vasculaires creusés dans l'épaisseur du
tissu
, tandis qu'on n'en rencontre presque aucun au mil
a sécrétion de l'urine. La figure 4 représente une tranche mince du
tissu
morbide. Sa demi-transparence à travers le fond n
la supporte donne une idée très-exacte de la disposition aréolaire du
tissu
fibreux, dans les mailles duquel était déposée la
ond. Elle succombe. Je trouvai pour cause de mort une inflammation du
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien. Ayant ouvert l'abdo
t; au centre était un noyau dense, blanchâtre, ayant la résistance du
tissu
fibreux. Les calices étaient tapissés par du sabl
s, sont le résultat du dépôt de produits sécrétés dans les mailles du
tissu
cellulaire, d'où V éparpillement d'abord et enfui
tissu cellulaire, d'où V éparpillement d'abord et enfui Vatrophie du
tissu
propre. Il en résulte que les molécules, si je pu
propre. Il en résulte que les molécules, si je puis parler ainsi, du
tissu
propre, disséminées, peuvent continuer à remplir
ation complète. Tous ces canaux veineux trouvés à la circonférence du
tissu
encéphaloïde sont des vaisseaux de nouvelle forma
la vie, paraissait aux uns appartenir au foie, aux autres occuper le
tissu
cellulaire qui avoisine le rein; il était encore
éphrite aiguë (fig. 1-2) terminée par ramollissement.—Inflammation du
tissu
adipeux qui environne le bassinet et Vuretère. —A
ière, venait se terminer à la première courbure du duodénum; mais son
tissu
était naturel. Désespéré de ne point trouver dans
nt A, dont le pus était encore en partie infiltré dans les mailles du
tissu
cellulaire. Ce foyer communiquait avec l'intérieu
euses, on reconnaissait de petits foyers purulens, pisiformes aaa. Le
tissu
cellulaire adipeux qui accompagnait l'uretère jus
sont les vestiges de la fluxion sanguine qui a précédé. Du reste, son
tissu
était d'une mollesse extrême, comme diffluent; il
g. 2 est destinée à représenter cette coupe. Ici le ramollissement du
tissu
paraît dans tout son jour. La plus légère pressio
pas moins important; nous voyons enflammés à la fois et le rein et le
tissu
cellulaire au milieu duquel il est comme enseveli
uquel il est comme enseveli. Combien de fois n'arrive-t-il pas que le
tissu
cellulaire attire sur lui la cause inflammatoire
attire sur lui la cause inflammatoire qui tendait à se porter sur le
tissu
du rein lui-même ! Les calculs contenus dans les
nflammation parle passage des urines. Le ramollissement progressif du
tissu
propre du rein doit-il être rapproché du ramollis
n où le pus commence à remplacer le sang, à dissocier les mailles des
tissus
, sans pourtant qu'on puisse reconnaître matériell
iellement sa présence. Ces altérations par combinaison de pus avec le
tissu
des organes sont plus difficiles à reconnaître et
- grande pour le rein, qui devient pâle, en général mou, mais dont le
tissu
semble au premier abord peu altéré. C'est ainsi q
minant par hasard les reins? je vis que le droit était environné d'un
tissu
cellulaire très-dense; je l'ouvre : il était déco
culeux, de la gravelle du rein opposé avec le développement énorme du
tissu
adipeux; 2° la coexistence de l'atrophie du rein
tion infiltrée : développement énorme et transformation du rein en un
tissu
spongieux pénétré d'un liquide lie de vin. Les
mée de longs vaisseaux veineux très-développés. Elle était séparée du
tissu
propre du rein , ici par une sérosité trouble, là
mesure, j'ai trouvé au lieu de la substance rouge, grenue du rein, un
tissu
spongieux TR, TRj que je ne puis mieux comparer q
résentée, crurent avoir sous les yeux un exemple de transformation du
tissu
du rein en tissu érectile, et ils invoquaient en
avoir sous les yeux un exemple de transformation du tissu du rein en
tissu
érectile, et ils invoquaient en faveur de leur ma
e grand nombre de vaisseaux qu'ils voyaient traverser en tous sens ce
tissu
, et l'hypertrophie, qui s'explique également très
ertrophie, qui s'explique également très-bien par le développement du
tissu
érectile. Mais je ne pus partager leur opinion, e
ien du chlorure de chaux usité dans nos amphithéâtres, vous verrez le
tissu
propre enlevé peu à peu; il ne restera qu'un pare
arenchyme celluleux, qu'une éponge à peu près identique pour tous les
tissus
. On conçoit donc comment l'élément organique qui
tissus. On conçoit donc comment l'élément organique qui constitue le
tissu
propre est entraîné avec le pus, et comment alors
mme d'une gaze légère; et ce voilec'est sans doute le prolongement du
tissu
fibreux lequel fournit une gaine aux réseaux arté
rein. A côté de cette grappe artérielle est une tranche très-mince du
tissu
du rein TR, vue sous l'eau, et dont la demi-trans
ément d'apprécier la disposition réticulée. Il est curieux de voir un
tissu
merveilleusement organisé sortir en quelque sorte
tir en quelque sorte du milieu d'une masse énorme de pus ; de voir le
tissu
du rein disséqué par la main de la nature, offrir
trations purulentes, non-seulement dans le rein, mais dans les autres
tissus
. Il m'a exactement rappelé des masses de mélanose
Il m'a exactement rappelé des masses de mélanose développées dans le
tissu
musculaire de la cuisse d'un cheval. 11 fallut un
pas la première fois que j'observe une disposition aréolaire dans le
tissu
du rein enflammé. Chez un individu affecté de cat
e rein représenté fig. i et i ne nous a-t-il pas offert l'aspect d'un
tissu
cellulaire infiltré ? Supposez les fibres hypertr
, les cellules vastes et remplies de pus lie de vin, et vous aurez un
tissu
aréolaire analogue à celui des fig. 3 et l\. 1è
vaisseaux, que leur nombre est vraiment prodigieux; on dirait que le
tissu
cellulaire en est entièrement formé. La fig. 4?
origine, comme d'ailleurs tout ce qui se passe dans l'intimité de nos
tissus
, est encore un point tout nouveau d'anatomie. L
cavité spongieuse de Lieberkuhn ne lui parut être autre chose que le
tissu
cellulaire qui unit les artères, les veines et le
urse synoviale entre la tête de l'astragale et la peau ^ mais bien un
tissu
fibreux. Fig. 4- Elle représente la mémo amYnla
ièrement et même entièrement effacée ; on ne trouve à sa place que du
tissu
fibreux. Le cartilage articulaire de la poulie es
à cette déviation se joignait l'absence des muscles remplacés par du
tissu
cellulaire adipeux. Une seconde conséquence thé
ur élasticité, de cette propriété queBichat appelait contractilité du
tissu
, est facile à vaincre, la fibre musculaire étant
sur les figures tient à l'action de F air. Les couches adjacentes du
tissu
splénique sont denses et d'un rouge beaucoup plus
petit foyer pisiforme FP de pus liquide. Du reste, la partie saine du
tissu
de la rate est couleur lie de vin peu foncée; sa
d'ailleurs ne présente rien d'insolite, contraste avec la densité du
tissu
malade; tandis que, par une légère pression, on f
é telles que je n'en ai jamais observé de semblables dans aucun autre
tissu
, à moins de transformation fibreuse. Plus de cell
érique, la matière colorante de la bile chimiquement combinée avec le
tissu
muqueux ). Petite plaque de pointillé rouge à cet
. Réflexions. — Il est évident que cette tumeur a son siège dans le
tissu
cellulaire séreux sous-arachnoïdien, qui se trouv
anisation; c'était un produit de sécrétion déposé dans les mailles du
tissu
cellulaire; une matière grasse, ayant la consista
qui constatent l'existence de la cholestérine dans un grand nombre de
tissus
morbides; le brillant métallique que cette substa
istallisation ; la faculté qu'elle a de cristalliser au milieu de nos
tissus
, devaient faire soupçonner sa présence, et c'est
ase? Je ne conçois guère comment elle aurait pris son origine dans le
tissu
cellulaire de la grande excavation médiane du cer
t formée de couches concentriques, unies entre elles par des lames du
tissu
« cellulaire; on n'y observe aucune trace de vais
uisse de la moelle allongée qu'elle comte prime, mais sans adhérer au
tissu
nerveux. Le côté droit de la protubérance est d'u
es des tumeurs perlées, représentées planche vi. C'est encore dans le
tissu
cellulaire séreux sous-arachnoïdien de la grande
nt rien de bien snrpre-nant, puisqu'elles se développent au milieu du
tissu
cellulaire adipeux. D'autres fois des organes trè
ors je ne pense pas qu'elles soient une production nouvelle; c'est du
tissu
cellulaire adipeux, qui a résisté à la dégénérati
à la dégénération, et qui se trouve enveloppé de toutes parts par le
tissu
morbide. J'ai également rencontré, dans un cas de
urs exemples de cholestérine et de matière stéarique déposées dans le
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien du cerveau, et certe
ssu cellulaire sous-arachnoïdien du cerveau, et certes il n'y a aucun
tissu
qui soit plus étranger à la sécrétion de la grais
ucun tissu qui soit plus étranger à la sécrétion de la graisse que le
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien, (*) Annales de ch
qu'il est probable que cette sécrétion peut avoir lieu dans tous les
tissus
; que la cboles-térine, essentiellement cristallis
, essentiellement cristallisable, cristallise dans l'épaisseur de nos
tissus
comme dans le récipient du chimiste, sous la form
poplexie, c'est-à-dire dans l'hémorrhagie spontanée avec déchirure du
tissu
, un élément commun, la fluxion sanguine : brusque
, la fluxion sanguine : brusque, rapide, intéressant la continuité du
tissu
dans l'apoplexie; moins rapide et bornée à une ex
aux muqueuses, des hémorrhagies, des taches hémorrhagiques : dans le
tissu
cellulaire sous-cutané, ce sont les ecchymoses de
que par M. Robert, l'un de ses membres. Tous les organes, la peau, le
tissu
cellulaire, les muscles, le cerveau, les poumons,
naire. Je ne crois pas à l'altération, au ramollissement préalable du
tissu
de l'organe; la déchirure du tissu est évidemment
on, au ramollissement préalable du tissu de l'organe; la déchirure du
tissu
est évidemment consécutive. L'étiologie de l'ap
ce qui aurait pu être occupé par une grosse orange, et dans lequel le
tissu
de l'organe respiratoire n'existait plus que sous
ilité : autour des foyers anciens se voyait une couche peu épaisse de
tissu
pulmonaire induré. Le tissu du poumon était cré
ens se voyait une couche peu épaisse de tissu pulmonaire induré. Le
tissu
du poumon était crépitant, mais mollasse , d'une
g. ï, 2, 3 ) par des lames fibreuses évidemment formées aux dépens du
tissu
cellulaire interlobulaire épaissi et induré, et q
un élément morbide qui peut se manifester primitivement dans tous les
tissus
et consécutivement dans toutes les lésions organi
, lambeau grisâtre d'une odeur extrêmement fétide, adhérent encore au
tissu
du poumon et qui m'a paru formé par les couches s
ait représenter l'œdème de la gangrène des extrémités. La pression du
tissu
malade fait suinter une sérosité trouble avec ou
aveline. Un liquide brunâtre et fétide était infiltré au loin dans le
tissu
pulmonaire. Point de traces de pneumonie. La mult
certain nombre de lobules pulmonaires qui ressemblent exactement à du
tissu
cellulaire infiltré et ne rappellent nullement la
sans présenter aucune fétidité. La poche était formée, partie par le
tissu
propre du poumon inégal et déchiré, présentant çà
me dulobe supérieur mollasse, infiltré, ayant perdu ses caractères de
tissu
pulmonaire, ne servant plus à la respiration. Les
u'il était complètement interrompu, car je n'ai pas trouvé vestige de
tissu
nerveux. A supposer que l'interruption ne fût pas
la membrane propre des artères, d'où L'opinion de la reproduction du
tissu
artériel émise par quelques auteurs. D'autres cou
er la poche, laquelle va toujours croissant et s'appropriant tous les
tissus
qu'elle rencontre, tissu cellulaire, poumon, plèv
oujours croissant et s'appropriant tous les tissus qu'elle rencontre,
tissu
cellulaire, poumon, plèvre, péricarde, nerfs, os,
les se fendillent entre deux plaques ossiformes. Tout le temps que le
tissu
de l'artère n'est pas entamé, il n'y a pas de cai
as de caillots ; mais à peine le sang est-il en contact avec un autre
tissu
que la pellicule interne, aussitôt il y a coagula
liaires. Le kyste a pu être enlevé avec la plus grande facilité. Un
tissu
cellulaire filamenteux et lâche l'unissait au foi
FAP, et que la partie la plus liquide du sang s'est épanchée dans le
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien. Vu antérieurement
rieurs ont été déchirés, et il est probable, d'après la coloration du
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien (fig. 1'), que la pa
g. 1'), que la partie la plus liquide du sang s'est fait jour dans le
tissu
cellulaire à travers un éraillemcnt de la pie-mèr
raehidien. Dans l'arachnitis spinal, ou plutôt dans l'inflammation du
tissu
cellulaire sous-ara chnoïdien, de même que dans l
la moelle, sur la disparition de la substance grise remplacée par du
tissu
cellulaire à larges mailles, dont on trouvera plu
rame vasculaire veineuse aréolaire, en un mot par une couche mince de
tissu
érectile; les follicules ne sont qu'un élément su
c'est de là que les produits morbides sont versés dans les mailles du
tissu
cellulaire, soit par exhalation, soit par déchiru
Jusque-là nous ne voyons qu'un état gangreneux, et, sans un cercle de
tissu
grisâtre, très-dense, demi-transparent qui enviro
s entourée d'un cercle cancéreux, mais faisait immédiatement suite au
tissu
sain. C'est ainsi que, dans un grand nombre de ma
travail désorganisateur. Aux limites de la gangrène, aucune trace de
tissu
cancéreux, à moins qu'on ne veuille dire que la g
u cancéreux, à moins qu'on ne veuille dire que la gangrène envahit le
tissu
cancéreux à mesure qu'il est formé, ce qui est po
s le système capillaire veineux, qui partout offre la disposition des
tissus
érectiles ; que la circulation interceptée dans c
dans l'un et l'autre cas, en effet, il y a décoloration complète des
tissus
, sans trace de vaisseaux qui ont disparu envelopp
uë, et qui consiste peut-être dans un travail morbide d'absorption du
tissu
lui-même. Les portions intermédiaires qui ont rés
us du cartilage parfaitement sain, un dépôt de matière crétacée. Le
tissu
cellulaire adipeux qui revêt les faces plantaire
autour et en dehors de laquelle, dans l'épaisseur des ligamens et du
tissu
cellulaire, existent des concrétions goutteuses C
coude était saine; mais le long du muscle biceps, dans l'épaisseur du
tissu
cellulaire du pli du bras, et même dans l'épaisse
couche était fort épaisse et se trouvait en contact immédiat avec le
tissu
adi-« peux. Une grande portion de la face antérie
couche fibreuse qui revêt sa face antérieure). Au-dessous d'elle, le
tissu
de la « rotule était fortement injecté. Par la se
centre « de la rotule, où elle était déposée dans les aréoles de son
tissu
. Son volume égalait celui d'une noisette un « peu
tacarpiennes. — Infiltration de grumeaux plâtreux dans les aréoles du
tissu
osseux. — Incrustation simple des articulations p
à la face interne et même souvent en dehors de la synoviale, dans le
tissu
cellulaire libre qui entoure l'articulation, dans
e, dans le tissu cellulaire libre qui entoure l'articulation, dans le
tissu
adipeux, le long des tendons et des ligamens, dan
goutte, les varices dont il est si souvent le siège, l'induration du
tissu
cellulaire, que j'ai constatée dans le cas représ
x. Plus tard, il a éprouvé plusieurs attaques d'apoplexie.) Tantôt le
tissu
osseux serode comme le cartilage, et on voit des
e l'articulation, les uodus d'urate augmentent peu à peu, irritent le
tissu
cellulaire et la peau à la manière d'un corps étr
lier la suppuration, les inflammations chroniques et dégénérations de
tissu
connues sous le nom de tumeurs blanches. Dans le
llement dans l'appareil locomoteur; elle n'épargne aucun des nombreux
tissus
qui entrent dans sa composition, os, cartilages,
et sous-cutanées ; ligamens, tendons, muscles, périoste, aponévroses,
tissu
cellulaire libre qui entoure les tendons et les l
sent presque jamais ou du moins les envahissent après tous les autres
tissus
, lorsqu'elles sont parvenues à leur dernière péri
lions entre eux, soit des ganglions avec les nerfs intercostaux. Leur
tissu
était très-dense, demi-transparent, grisâtre; j'a
proprement dits ; ces filamens semblaient avoir disparu au milieu du
tissu
fibreux. Cette altération des ganglions nerveux d
vertébrale ; distendus et comprimés, ils subissent la loi commune, le
tissu
propre disparaît, la cellulosité qui forme la tra
maladies de la colonne vertébrale, comme d'ailleurs toutes celles du
tissu
osseux, ont leur siège, non dans le tissu osseux
d'ailleurs toutes celles du tissu osseux, ont leur siège, non dans le
tissu
osseux lui-même, mais dans le tissu cellulaire ad
seux, ont leur siège, non dans le tissu osseux lui-même, mais dans le
tissu
cellulaire adipeux ou médullaire qui en remplit l
cellulaire adipeux ou médullaire qui en remplit les cellules ; que ce
tissu
cellulaire enflammé fournit tantôt du pus en abon
, dont l'absorption peut s'-empa-rer en totalité; que les cellules du
tissu
osseux distendues par le développement de ce tiss
ue les cellules du tissu osseux distendues par le développement de ce
tissu
cellulaire, dépouillées de leurs matériaux de nut
t unis entre eux et à la dure-mère épaissie qui les recouvrait par du
tissu
cellulaire : au-delà de l'espèce d'étranglement q
u reste, les os fracturés étaient environnés d'une grande quantité de
tissu
fibreux qui remplissait les vides et anfractuosit
ravaillent à leur consolidation, mais bien les parties environnantes,
tissu
cellulaire, tissu fibreux, muscles, 4e. Livrais
consolidation, mais bien les parties environnantes, tissu cellulaire,
tissu
fibreux, muscles, 4e. Livraison. Pl. 5. MALAD
oute l'épaisseur des parois du vagin, unies entre elles au moyen d'un
tissu
cellulaire lâche qui permet leur glissement facil
e par l'adossement de deux parois correspondantes unies au moyen d'un
tissu
cellulaire lâche. Il n'existait qu'un ligament ro
risées pourront rester complètement isolées, ou réunies au moyen d'un
tissu
cellulaire plus ou moins dense, en sorte que le c
he est plus volumineux que le droit, sont évidemment une émanation du
tissu
utérin; ils en ont l'aspect et la texture. Les gr
veines des ligamens larges, elle pénétrait jusque dans l'épaisseur du
tissu
de l'utérus. Les parois des veines enflammées son
. Les parois des veines enflammées sont épaissies et entourées par un
tissu
très-dense, qui unit entre elles plusieurs maille
nit entre elles plusieurs mailles du réseau veineux; on dirait que le
tissu
de l'utérus se prolonge autour d'elles pour les f
e l'utérus se prolonge autour d'elles pour les former, ou bien que le
tissu
de l'utérus n'est autre chose que ces veines épai
gamens larges. Une incision cruciale ayant été pratiquée pour voir le
tissu
de l'utérus dans tous ses détails, nous avons rec
nous avons reconnu que les mamelons utérins MP étaient formés par un
tissu
vasculaire, mollasse? aréolaire, dont les mailles
nt les mailles sont remplies de caillots sanguins ; que d'ailleurs le
tissu
propre de l'utérus était sain ; que ce tissu lui-
uins ; que d'ailleurs le tissu propre de l'utérus était sain ; que ce
tissu
lui-même n'est autre chose qu'une trame veineuse,
n'était pas ramassé en foyer, mais bien infiltré dans l'épaisseur du
tissu
de cet organe. J'ai trouvé un petit foyer purulen
t qu'un degré de phlébite; c'est un foyer sanguin dans l'épaisseur du
tissu
de l'utérus, qui, du reste, était sain, excepté d
poumon, le foie, la rate, les synoviales, les membranes séreuses, le
tissu
cellulaire libre, le cerveau, jusque dans l'épais
st le poumon, d'autres fois la rate, les séreuses, les synoviales, le
tissu
cellulaire, les muscles, le cerveau, etc., en un
e; l'autre inférieure, plus petite, réunies entre elles au moyen d'un
tissu
cellulaire lâche, en sorte que le plus léger effo
cus de cette vérité, que je crois avoir le premier proclamée, que nos
tissus
sont inaltérables, que ce que nous appelons lésio
es produits nouveaux , vivant d'une vie propre, indépendante, que nos
tissus
ne sont susceptibles que d'hypertrophie et d'atro
lutôt sur le système capillaire veineux si abondant des vertèbres: le
tissu
propre des vertèbres a été atrophié comme le tiss
des vertèbres: le tissu propre des vertèbres a été atrophié comme le
tissu
propre du testicule; la moelle a été comprimée, d
ressemble davantage à une tumeur fibreuse de l'utérus, ou, mieux, au
tissu
de l'utérus dans l'état de vacuité, qu'un testicu
une bouillie blanchâtre qui me paraît le résultat d'une altération du
tissu
fibreux. J'ai eu occasion d'observer plusieurs fo
dans les corps fibreux de l'utérus. Bien que je n'aie pas retrouvé le
tissu
propre du testicule, j'ai la certitude que cette
i la certitude que cette tumeur fibreuse s'était formée aux dépens du
tissu
cellulaire qui unit entre eux les innombrables co
e qui unit entre eux les innombrables conduits séminifères, et que le
tissu
propre avait été rejeté à la surface et atrophié
, à la manière de la pulpe de la rate, et il reste entre les mains un
tissu
aréolaire exactement semblable au tissu érectile,
t il reste entre les mains un tissu aréolaire exactement semblable au
tissu
érectile, tellement qu'ayant placé ce tissu à côt
e exactement semblable au tissu érectile, tellement qu'ayant placé ce
tissu
à côté d'une tumeur érectile , il a été impossibl
« Dans quelques cas, la substance du testicule est convertie en un
tissu
spongieux aréolaire « infiltré de suc lactescent,
s, comme elles s'ouvrent dans les tumeurs érectiles; que,bien que ces
tissus
morbides vivent dune vie propre, avec leurs vaiss
Les tubercules les moins développés paraissaient formés aux dépens du
tissu
cellulaire qui entoure les filamens testiculaires
mode chronique ; et dans l'un et l'autre cas, ou bien elle envahit le
tissu
cellulaire sous-muqueux, ou bien elle verse ses p
queuse incisée m'a permis de voir du pus infiltré dans les mailles du
tissu
cellulaire sous-jacent, et nulle part accumulé en
s. -— On ne saurait nier dans ce cas l'existence de l'inflammation du
tissu
cellulaire sous-muqueux de la portion sus-glottiq
'accompagne. La fluxion se tend-elle aux deux paupières, la laxité du
tissu
cellulaire séreux de ces voiles membraneux les fa
ordent l'ouverture supérieure du larynx, alors telle est la laxité du
tissu
cellulaire sous-muqueux de ces replis, qu'ils se
lement deux bourrelets pâles, demi-transparens, mous, semblables à du
tissu
cellulaire infiltré. Si la fluxion séreuse, moins
fluxion est versé sur la surface libre ; si elle n'adhère que par du
tissu
cellulaire filamenteux, le produit de la sécrétio
s de trace de périchondre. Les cartilages aryténoïdes environnés d'un
tissu
cellulaire et d'une muqueuse également épaissis,
m'a démontré que cette nécrose était consécutive à l'inflammation du
tissu
cellulaire sous-muqueux. Un jeune homme convalesc
ur ainsi dire dans le pus. N'est-il pas évident que l'inflammation du
tissu
cellulaire sous-muqueux a entraîné le décollement
'usure si fréquentes du périchondre et des cartilages costaux : mêmes
tissus
, même maladie; mais la différence de localité ent
indiqués soit latéraux, soit postérieurs. Ces muscles, ainsi que le «
tissu
cellulaire sous-muqueux et intermusculaire, étaie
ement aux parois thoraciques par des liens celluleux et libreux. Leur
tissu
, était sain, mais parsemé d'une grande quantité d
n de toutes les maladies du larynx. Je dois dire ici qu'à l'aspect du
tissu
induré qui supportait à la fois et des érosions e
blanc de cartilage sur les cloisons. Elles résistent à la manière du
tissu
fibreux, mais ne présentent nullement la disposit
nullement la disposition linéaire. Elles tiennent le milieu entre le
tissu
fibreux et le tissu cartilagineux. Le péritoine é
ition linéaire. Elles tiennent le milieu entre le tissu fibreux et le
tissu
cartilagineux. Le péritoine était granuleux sur l
la rate, les reins avaient diminué de volume, mais sans altération de
tissu
. L'estomac, réduit au quart de sa capacité habitu
çà et là autour de l'ulcération. Les autres organes étaient sains. Le
tissu
cellulaire des membres inférieurs était infiltré
classe de lésions organiques caractérisées par la transformation d'un
tissu
en un tissu nouveau, incapable de revenir à son o
sions organiques caractérisées par la transformation d'un tissu en un
tissu
nouveau, incapable de revenir à son organisation
èrent du cancer aréolaire et gélatiniforme de l'estomac et des autres
tissus
que par la capacité de ses mailles. Cette forme d
t toujours locale. Elle peut envahir et elle envahit souvent tous les
tissus
voisins, mais seulement par voie de continuité, j
tait ramassée dans des espèces de kystes, et partie infiltrée dans un
tissu
cellulaire extrêmement délié. Ces kystes, ou plut
semblables à des lames minces superposées et distinctes au moyen d'un
tissu
cellulaire extrêmement délié ; il est donc éviden
adie antérieurement éprouvée? Ce n'est point un foyer sanguin, car le
tissu
cellulaire ne présente pas cette couleur jaunâtre
ption nécessaire de la pulpe cérébrale devenue corps étranger. Ici le
tissu
cellulaire est très-dense, ce qui reste de substa
abord les tégumens de l'extrémité inférieure droite, et je vis que le
tissu
cellulaire sous-cutané de la jambe était infiltré
existait également autour du genom Un abcès considérable occupait le
tissu
cellulaire sous-cutané de la cuisse gauche. La tu
ilet d'eau, on voit (fig. 2) les rudimens du kyste réparateur dans un
tissu
cel-luloso - vasculaire extrêmement délié MCV, do
6, mort. Ouverture du cadavre. A l'avant-bras, pus infiltré dans le
tissu
cellulaire sous-cutané, et cela dans un espace de
n blanc jaunâtre, demi-concrète, dont le siège est évidemment dans le
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien; cette couche occupe
aison du siège bien déterminé de la couche pseudo-membraneuse dans le
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien ; aussi cette couche
ésente-t-elle une épaisseur rigoureusement proportionnelle à celle du
tissu
cellulaire, et c'est pour cela qu'elle est très-t
'observent à sa surface et dans l'épaisseur de la substance grise. Le
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien du côté opposé éta
e assez épaisse de pus couenneux et de sérosité, dont le siège est le
tissu
cellulaire séreux sous-arachnoïdien. Le pus couen
d'excavation médiane du cerveau, se voit une assez grande quantité de
tissu
cellulaire séreux très-lâche, filamenteux, qui sé
aine quantité de sérosité qui remplit les vides et communique avec le
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien de la moelle épinièr
noïdien de la moelle épinière. J'ai coutume de décrire cette masse de
tissu
cellulaire comme le centre du tissu cellulaire cé
coutume de décrire cette masse de tissu cellulaire comme le centre du
tissu
cellulaire cérébral : elle se prolonge le long de
de. Existe-t-il une communication directe entre ces ventricules et le
tissu
cellulaire de l'excavation médiane? Plusieurs fai
rs observations d'hydrocéphale ventriculaire aiguë sans altération du
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien de la base. Et n'est
-arachnoïdien de la base. Et n'est-il pas extrêmement probable que le
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien de la base puisse s'
ent pathognomoniques de l'affection de la séreuse ventriculaire et du
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien de la base. (Vingt s
ent défigurée , qu'on ne pourrait pas la reconnaître. Ouverture. Le
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien de la base (fig. 2)
s dans le début de l'hydropisie ventriculaire et de l'inflammation du
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien de la base, qu'on se
de ; ils étaient dilatés sans altération aucune dans leurs parois. Le
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien de la voûte était in
vation médiane, une couche très-épaisse de pus concret déposé dans le
tissu
cellulaire séreux sous-arachnoïdien ; le pus se p
e du cadavre. Avant l'ouverture, je diagnostiquai une inflammation du
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien de la base du cervea
. A la base (fig. 3), même injection de la pie-mère qu'à la voûte. Le
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien était infiltré de sé
lanchâtres T de volumes différens appendus aux vaisseaux ou plutôt au
tissu
cellulaire. Il y avait une très-petite quantité d
é. Je penche donc à croire à la formation de tubercules aigus dans le
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien. Observation II. —
p moins que dans le cas précédent ( fig. 2 ) ; infiltration légère du
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien de la voûte qui perm
a plus grande facilité. Infiltration considérable de sérosité dans le
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien de la base, épaissi
a été facile de voir que ces tubercules étaient formés aux dépens du
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien, qu'ils avaient pris
que les tubercules se sont formés rapidement et que l'inflammation du
tissu
cellulaire séreux sous-arachnoïdien s'est étendu
côtés par un pus concret comme floconneux, dont le siège est dans le
tissu
cellulaire séreux sous-arachnoïdien. La figure 1
it par une large ouverture , si bien décrite par M. Magendie, avec le
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien de la moelle. Du res
avec le tissu cellulaire sous-arachnoïdien de la moelle. Du reste le
tissu
de la moelle et du cerveau était parfaitement sai
a présenté une hydrorachis avec tumeur lombaire, un endurcissement du
tissu
cellulaire sous-cutané et tous les symptômes d'un
de l'urine, du pus, ou des mucosités, perd bientôt ses caractères de
tissu
propre et se convertit en une poche multiloculair
formation ; et il m'est arrivé souvent de reconnaitre des vestiges du
tissu
rénal entre deux couches minces de tissu fibreux
reconnaitre des vestiges du tissu rénal entre deux couches minces de
tissu
fibreux qui constituaient les parois du kyste. La
écanisme : de petits kystes apparaissent çà et là dans l'épaisseur du
tissu
du rein, et il m'a semblé que c'était toujours au
ux modes de formation : tantôt ees kystes se produisent aux dépens du
tissu
cellulaire séreux qui existe dans le rein comme p
ormation fibreuse, car la distension et la compression atrophient les
tissus
propres et développent la cellulosité, et voilà u
primées, atrophiées, et si la transformation est portée très-loin, le
tissu
du rein est méconnaissable. Cependant, avec bea
une artère, une veine rénale et un uretère. Pas le moindre vestige du
tissu
du rein. Je regarde cette disposition comme congé
tude du phénomène si important de la cicatrisation. Les cicatrices,
tissu
accidentel, ont partout un caractère uniforme. Le
ractère uniforme. Leur trame est fibreuse aréolaire, quel que soit le
tissu
qui ait concouru à leur formation ; aussi sont-el
oncouru à leur formation ; aussi sont-elles produites aux dépens d'un
tissu
commun à tous, savoir du tissu cellulaire séreux,
i sont-elles produites aux dépens d'un tissu commun à tous, savoir du
tissu
cellulaire séreux, qui constitue comme la charpen
tue comme la charpente de tous nos organes : ce n'est pas en effet le
tissu
propre de l'organe divisé qui travaille à la répa
ère autour de chaque fibre, de chaque fibrille. Quel que soit donc le
tissu
divisé, muscle, nerf, cerveau, poumon, foie, etc.
, poumon, foie, etc., la cicatrice est toujours fibreuse et jamais le
tissu
propre de l'organe ne se prolonge dans son épaiss
lorsque la continuité d'un nerf, comme d'ailleurs celle de tout autre
tissu
, a été interrompue, même par une simple section,
r la cavité glénoïde qui est dépourvue de cartilage, que tapissait du
tissu
fibreux, et qui est devenue plane et même légèrem
rt depuis long-temps. Mais quelle est cette maladie du placenta ? Son
tissu
est jaunâtre, d'apparence tuberculeuse; il est tr
licules et de la membrane muqueuse ou papillaire qui les revêt : leur
tissu
est dense, résistant, fragile; si on les divise s
umon gauche était noirâtre, infiltrée de sang et comme splénifiée. Le
tissu
cellulaire ôonG-araphnoïdien infiltra Reaucoup de
ne manière extrêmement rapide, les liquides soient infiltrés dans les
tissus
(*) C'est à tort qu'on dit qu'il n existe pas d
use ; et si l'on coupe perpendiculairement ces pustules, on trouve un
tissu
gris rosé fragile, comme spongieux, supporté par
est de beaucoup inférieure à celle des cornes ou des ongles, c'est du
tissu
corné imparfait qui tient le milieu entre le tiss
s ongles, c'est du tissu corné imparfait qui tient le milieu entre le
tissu
corné normal et les concrétions épidermiques qui
dense et serrée de cette membrane, comme d'ailleurs celle de tous les
tissus
fibreux, que cette fluxion tend à passer à l'état
es compriment. Enfin il est des tumeurs cancéreuses qui, nées dans le
tissu
cellulaire sous - arachnoïdien du -cerveau, entra
tumeur a pris naissance à la face interne de la dure-mère ou dans le
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien. X. Mais indépenda
tumeurs careinomateuses du crâne me paraissent formées aux dépens du
tissu
adipeux médullaire des os. Beaucoup plus fréquent
s membranes ; et alors surviennent tantôt une fluxion séreuse dans le
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien, tantôt une arachn
autre développée soit à la face interne de la dure-mère, soit dans le
tissu
cellulaire sous-arachnoï- VIIIe LIVRAISON. 2
u corps calleux. La coupe de la tumeur TC (fig. 3) nous a présenté un
tissu
mou, encéphaloïde et tuberculeux tout à la fois,
st propagée à toute son épaisseur, puis aux os du crâne, ou plutôt au
tissu
adipeux médullaire de ces os. Les parois du crâne
eur repoussée du dedans au dehors ; mais bien par le développement du
tissu
carcinomateux dans l'épaisseur du tissu médullair
bien par le développement du tissu carcinomateux dans l'épaisseur du
tissu
médullaire des os. Voyez quelle différence d'effe
ai occasion de revenir ailleurs sur la dégénération carcinomateuse du
tissu
adipeux des os et en particulier sur celle des os
t au siège immédiat de ces tumeurs, je le regarde comme étant dans le
tissu
cellulaire très-dense et très-serré qui unit le f
nature qui se développent sur le cerveau étant formées aux dépens du
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien; 2° sur l'inspection
ifficilement, et la coupe présentait un aspect lobuleux (fig. 1). Son
tissu
avait toutes les apparences du tissu fibreux, mai
un aspect lobuleux (fig. 1). Son tissu avait toutes les apparences du
tissu
fibreux, mais ce tissu fibreux était imprégné de
. 1). Son tissu avait toutes les apparences du tissu fibreux, mais ce
tissu
fibreux était imprégné de suc lactescent qu'on en
cinomateuse interne de la dure-mère. Hydropisie des ventricules et du
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien. Fig. 2. J'ai tr
verticale de la tumeur principale , qui offre tous les caractères du
tissu
carcinomateux : une matière jaunâtre est infiltré
ltrée dans son épaisseur. Une grande quantité de sérosité occupait le
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien et les ventricules d
probablement de nature carcinomateuse, soit de la dure-mère, soit du
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien. Il était impossible
çai que nous allions trouver une tumeur soit de la dure-mère, soit du
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien, tumeur qui occupait
de forme sous le doigt qui la comprimait; l'aspect que présentait son
tissu
a été parfaitement rendu sur la figure 3'. D'inno
ifficilement, et la coupe présentait un aspect lobuleux (fig. 1). Son
tissu
avait toutes les apparences du tissu fibreux, mai
un aspect lobuleux (fig. 1). Son tissu avait toutes les apparences du
tissu
fibreux, mais ce tissu fibreux était imprégné de
. 1). Son tissu avait toutes les apparences du tissu fibreux, mais ce
tissu
fibreux était imprégné de suc lactescent qu'on en
cinomateuse interne de la dure-mère. Hydropisie des ventricules et du
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien. Fig. 2. J'ai tr
e verticale de la tumeur principale, qui offre tous les caractères du
tissu
carcinomateux : une matière jaunâtre est infiltré
ltrée dans son épaisseur. Une grande quantité de sérosité occupait le
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien et les ventricules d
e, dans le poumon, le foie, la rate, les synoviales, les séreuses, le
tissu
cellulaire libre, le cerveau et jusque dans l'épa
st le poumon, d'autres fois la rate, les séreuses, les synoviales, le
tissu
cellulaire, les muscles, le cerveau, etc., en un
de véritables foyers apoplectiques dans l'épaisseur des muscles et du
tissu
cellulaire. Si l'animal survit, ces foyers apople
dérable le long des troncs vasculaires, vu la quantité plus grande de
tissu
cellulaire. Non-seulement elle recouvrait la surf
elle recouvrait la surface du cerveau, mais elle s'enfonçait, avec le
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien, dans les anfractuos
gne médiane et au voisinage. L'infiltration s'étendait jusque dans le
tissu
cellulaire de la toile choroïdienne TC. La cavité
truction, de perte de substance, ou d'une véritable transformation du
tissu
de l'organe ; les autres sont la suite d'une dimi
ane, soit par la soustraction d'un liquide qui pénètre les mailles du
tissu
cellulaire, soit par le rapprochement des fibres
l de l'hémisphère correspondant, celle qui remplissait les mailles du
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien me paraissent l'effe
trêmement volumineux. A peine trouve-1-on dans l'épididyme vestige du
tissu
primitif ; la matière tuberculeuse ramollie est c
la figure 1, et on reconnaît encore dans un grand nombre de points le
tissu
propre de l'organe. Le corps du testicule est sai
on d'une matière tuberculeuse, laquelle se dépose dans les mailles du
tissu
, et me paraît susceptible de résolution. Je fais
scrite, enkystée, forme les cinq sixièmes supérieurs de la tumeur. Le
tissu
propre du testicule SS, refoulé en bas et sur les
La cicatrice déprimée de la peau adhérait au testicule à l'aide d'un
tissu
fibreux très-dense. Cette cicatrice m'a conduit d
à moitié décomposé, à moitié décoloré,, mais sans odeur. Etait-ce un
tissu
encéphaloïde altéré? La substance du testicule, r
alors que la matière cancéreuse est infiltrée. Dans les deux cas, le
tissu
propre est parfaitement sain dans le principe, et
osée dans un point de l'organe; et si on cherche bien, on trouvera le
tissu
propre du testicule plus ou moins altéré, refoulé
es, bien que les surfaces articulaires soient continues à l'aide d'un
tissu
fibreux très-dense, des lames cartilagineuses ext
eur des ligamens qui entourent l'articulation, et dans l'épaisseur du
tissu
cellulaire environnant. Des corps étrangers peuve
rties dures et l'état des parties molles, ligamens, tendons, muscles,
tissu
cellulaire, vaisseaux et nerfs, immédiatement apr
très-larges moxas de chaque côté du genou. L'ustion pénétra jusqu'aux
tissus
fibreux de l'articulation. La suppuration fut trè
t détachée du reste de la cavité à laquelle elle ne tenait que par du
tissu
fibreux. Les tètes du fémur étaient également usé
plus généralement reçue aujourd'hui est qu'ils se développent dans le
tissu
cellulaire extérieur à la synoviale, ou bien dans
ndante avait éprouvé le ramollissement gélatiniforme, en sorte que le
tissu
du poumon était à nu. Du reste, point de traces d
ue, peu importe) dans le suc gastrique; acide dont s'imbiberaient les
tissus
morts et qui, agissant directement sur le sang co
ations organiques entièrement semblables à celles que produit sur nos
tissus
l'action d'un acide et peut-être même un commence
llement constituée, comme son nom l'indique, par la transformation du
tissu
affecté en une trame aréolaire fibreuse que rempl
n a disparu ; on ne découvre plus de traces de vaisseaux, et tous les
tissus
, quelque hétérogènes qu'ils soient, semblent rame
et élément celluleux ou résistant, qui forme la charpente de tous les
tissus
, est le seul qui soit envahi; que les tissus prop
la charpente de tous les tissus, est le seul qui soit envahi; que les
tissus
propres sont incapables par eux-mêmes de lésion o
hie; que d'abord hypertrophiés par l'irritation qui les avoisine, ces
tissus
propres finissent par disparaître, atrophiés qu'i
extension est rapide et en quelque sorte illimitée par continuité de
tissu
, d'une autre part, il est rare qu'elle se manifes
on soit aux diverses dégénérations tuberculeuses , encéphaloïdes, des
tissus
correspondans. 3°. Examiné à sa surface interne
t même complètement, et les parois de l'estomac sont converties en un
tissu
aréolaire parfaitement représenté pl. 4, hg- i, d
tion aréolaire et gélatiniforme ne se propage point par continuité du
tissu
des tuniques internes à la tunique musculeuse ; m
petite courbure deux couches bien distinctes unies entre elles par un
tissu
cellulaire assez lâche qui permettait une séparat
rait plus fréquente dans l'ulcère que dans le cancer de l'estomac. Le
tissu
artériel, qui échappe par son peu de vitalité à t
plus fréquens et des plus graves est sans contredit l'hémorrhagie. Le
tissu
artériel, si réfractaire en général à tout travai
au niveau de l'ulcère a été parfaitement rendu. Quelques floccons de
tissu
adipeux soulevaient le péritoine. Le duodénum e
t circulaire. Jamais ces cicatrices ne m'ont offert les caractères du
tissu
muqueux, mais bien les caractères d'un tissu fibr
offert les caractères du tissu muqueux, mais bien les caractères d'un
tissu
fibreux extrêmement dense. La figure i (pl. 6)
nt très-denses , fibreux, ainsi que le fond qui offrait l'aspect d'un
tissu
fibreux. Une discussion s'éleva dans le sein de
aux accidens qui avaient emporté le malade; l'aspect et la densité du
tissu
qui formait le fond et les bords de cet ulcère, m
it que le pus a été déposé purement et simplement dans les mailles du
tissu
de l'organe ; mais cette absence d'inflammation,
anger les inflammations des synoviales, des séreuses, des muscles, du
tissu
cellulaire, est un fait trop général, et dans le
pour soulever le voile qui couvre ces phénomènes; la porosité de nos
tissus
qui, suivant les anciens^ permettait aux liquides
autre comme à travers une éponge ; la perméabilité, la continuité du
tissu
cellulaire à travers les cellules duquel Bordeu f
rs sanguins (foyers apoplectiques) dans l'épaisseur des muscles et du
tissu
cellulaire du membre. Les grosses veines sont dis
ait exprimer avec la plus grande facilité. Autour de ces veinules, le
tissu
musculaire était rouge, fragile, en un mot dans c
laques rouges lie-de-vin superficielles, légèrement proéminentes; son
tissu
, divisé au niveau de ces plaques, m'a offert la m
ge vif, tapissée par une fausse membrane et un mucus sanguinolent. Le
tissu
cellulaire sous-péritonéal correspondant et la me
eur contrastait avec la couleur beaucoup plus rouge que de coutume du
tissu
de l'organe. Ces tubercules, comme ceux de l'épip
flammations des plèvres, du péritoine, des synoviales, du cerveau, du
tissu
cellulaire, des muscles, de la muqueuse gastro-in
ramollit du centre à la circonférence, étant d'abord environné par un
tissu
pulmonaire entièrement sain : ainsi, on peut adme
dinaire n'en développe de semblables dans les poumons; 4°qu'à côté du
tissu
altéré on trouve ordinairement un tissu sain ; 5°
s les poumons; 4°qu'à côté du tissu altéré on trouve ordinairement un
tissu
sain ; 5° que les mêmes lésions peuvent être obse
avec une surface en suppuration, que ce liquide soit sécrété par nos
tissus
, qu'il soit étranger à l'économie, ce liquide est
n gangreneuse des gencives et de là muqueuse buccale : eh bien! aucun
tissu
, aucun liquide, soumis à l'analyse, n'a présenté
, prouve que si on n'a point examiné l'état du canal médullaire ou du
tissu
spongieux des os dans les observations qu'on invo
ai besoin de rappeler une circonstance anatomique très-importante. Le
tissu
spongieux des os n'est autre chose qu'un tissu ca
ue très-importante. Le tissu spongieux des os n'est autre chose qu'un
tissu
caverneux à parois osseuses, dans lequel le san
es. Chez le fœtus et chez l'enfant nouveau-né, il n'y a pas encore de
tissu
adipeux médullaire; peu à peu ce tissu adipeux se
eau-né, il n'y a pas encore de tissu adipeux médullaire; peu à peu ce
tissu
adipeux se dépose dans quelques-unes des mailles
oustraites à la circulation veineuse; et enfin, chez le vieillard, le
tissu
adipeux a envahi la plus grande partie des aréole
partie des aréoles. Or, on conçoit que l'inflammation des aréoles du
tissu
spongieux doit entraîner les mêmes conséquences q
aire, car ce sont aussi des veines que ces aréoles pleines de sang du
tissu
spongieux des os. Peut-être même la suppuration d
lquefois toute la longueur de l'os, et s'étendait même jusque dans le
tissu
spongieux de l'extrémité supérieure. Il ne me fut
ment les veines participeront à cette transformation comme les autres
tissus
. XXXV. Gardons-nous de croire que des abcès vis
lques-unes bosselées comme elles l'auraient été par une injection. Le
tissu
cellulaire qui les unit aux parties voisines est
crits VP, VP, par des veines rompues ou sur le point de se rompre. Le
tissu
musculaire ambiant n'avait nullement changé de co
er une multitude de petits foyers purulens. IL Nous avons vu que le
tissu
cellulaire extérieur aux veines était très-dense,
ammation de ces vaisseaux. Il arrive souvent que l'inflammation de ce
tissu
cellulaire est aussi intense que celle de l'intér
a veine; il n'est même pas rare de voir la veine intacte au milieu du
tissu
cellulaire extérieur enflammé à divers degrés, le
leur terminaison doit être beaucoup moins fâcheuse. L'inflammation du
tissu
cellulaire extérieur à la veine, celle-ci étant i
nflammées. Les foyers purulens multiples qu'on rencontre soit dans le
tissu
cellulaire, soit dans les muscles, concurremment
rait son intégrité qu'au moment de traverser le grand adducteur. Le
tissu
cellulaire qui l'unissait à l'artère était dense
uel allait se perdre dans un grand foyer purulent formé aux dépens du
tissu
cellulaire pelvien, autour des vaisseaux hypogast
s inflammations aiguës terminées par suppuration déterminent dans les
tissus
une fragilité qui entraîne presque nécessairement
ne interne des veines, telles sont les membranes séreuses, tel est le
tissu
cellulaire comme aussi la lamelle mince qui forme
rane celluleuse infiltrée de pus dans une grande étendue au milieu du
tissu
cellulaire sain. Souvent le tissu cellulaire ambi
ans une grande étendue au milieu du tissu cellulaire sain. Souvent le
tissu
cellulaire ambiant s'enflamme en même temps que l
enfin, j'ai cité des cas dans lesquels l'inflammation était bornée au
tissu
cellulaire extérieur. VI. On ne saurait trop in
ieur. VI. On ne saurait trop insister sur la densité qu'acquiert le
tissu
cellulaire qui entoure une veine enflammée, d'où
r les os qui ont été fracturés ou amputés, et qu'alors on trouve leur
tissu
spongieux infiltré de pus dans une plus ou moins
et pneumonie lobulaire. La pleurésie était évidemment consécutive. Le
tissu
du poumon divisé m'a offert des vaisseaux pleins
n du poumon affectée d'inflammation ordinaire (pneumonie diffuse), le
tissu
de l'organe était infiltré de pus, et dans l'état
rouvé la moelle remplacée par une matière purulente qui infiltrait le
tissu
spongieux de l'os. (PLANCHE III, FIGURES I ET 2
aient infiltrés dans le parenchyme pulmonaire, dont ils masquaient le
tissu
. L'autre poumon présentait la même altération, à
il est impossible d'admettre que le pus est déposé en nature dans le
tissu
du poumon : il tombe sous le sens qu'il est formé
greneux ne présente aucun travail de réaction dans ses parois, que le
tissu
sain entoure immédiatement le tissu gangreneux, j
réaction dans ses parois, que le tissu sain entoure immédiatement le
tissu
gangreneux, je répondrai que tantôt la gangrène e
rgane. Sa densité contrastait avec la mollesse et la vascularité du
tissu
de l'utérus du milieu duquel elle pouvait être en
Quelquefois ce travail d'élimination est accompagné de la gangrène du
tissu
de l'utérus et d'une péritonite rapidement mortel
e disséminées sur son pourtour, et qui sont dues, non à une lésion de
tissu
, mais au développement des follicules muqueux con
is une hypertrophie, conséquence assez fréquente de l'hypertrophie du
tissu
utérin lui-même. Le doigt introduit dans cet orif
cquis un développement proportionnel, et a subi une transformation de
tissu
tout-à-fait semblable à celle que détermine le tr
e antéro-postérieure du polype et du fond de l'utérus. On voit que le
tissu
du polype se continue sans aucune ligne de démarc
tissu du polype se continue sans aucune ligne de démarcation avec le
tissu
propre de l'utérus, qu'il est un prolongement de
ion avec le tissu propre de l'utérus, qu'il est un prolongement de ce
tissu
propre, et non point un corps fibreux ou autre dé
'utérus dont il peut être séparé par énucléation. L'identité entre le
tissu
de l'utérus TU et le tissu du polype PO est telle
éparé par énucléation. L'identité entre le tissu de l'utérus TU et le
tissu
du polype PO est telle que l'examen le plus atten
u polype les cavités veineuses ou sinus utérins, qui appartiennent au
tissu
de l'utérus hypertrophié. Réflexions. — Il résu
e l'utérus, qui consiste dans un développement partiel et pédicule du
tissu
de cet organe. Ces polypes doivent être bien dist
ées sous la muqueuse ou plutôt sous les couches les plus profondes du
tissu
de l'utérus lui-même, tumeurs fibreuses qui proém
ne sauraient être confondus avec les polypes muqueux qui naissent du
tissu
même de la membrane muqueuse dont ils ne paraisse
sions précédentes. La 4istinction entre les polypes fibreux, nés du
tissu
propre de l'utérus et les tumeurs fibreuses de ce
e pas moins sous le point de vue pratique. Ainsi, lorsqu'un polype du
tissu
propre s'engage dans le col utérin, il est imposs
s la cavité vaginale se fait exclusivement aux dépens de la couche de
tissu
utérin qui recouvre la tumeur fibreuse et allonge
llonge le pédicule. Il suit encore, d'une part, de la continuité du
tissu
de certains polypes avec le tissu utérin d'une au
re, d'une part, de la continuité du tissu de certains polypes avec le
tissu
utérin d'une autre part, de l'indépendance où se
ndance où se trouve une autre classe de polypes, par rapporta ce même
tissu
utérin, que, dans ce dernier cas,l'utérus est en
rvenir dans le polype qui n'est autre chose que le prolongement de ce
tissu
propre lui-même. Sur une femme de la Salpêtrièr
lype contenu dans la cavité utérine présentait tous les caractères du
tissu
propre de l'utérus comme dans le cas représenté f
s fibreux sans dégénérescence. J'ai dit que dans les polypes nés du
tissu
propre de l'utérus, le travail désorganisateur qu
il désorganisateur qui pouvait s'en emparer s'étendait quelquefois au
tissu
même de l'utérus. C'est ainsi que j'ai reçu de la
ns ramollissement préalable, tantôt après ramollissement préalable du
tissu
de l'utérus. Dans ce dernier cas, la déchirure pe
cavité utérine dans la cavité péritonéale. Dans le cas d'intégrité du
tissu
de l'utérus, la déchirure n'est jamais aussi cons
l'utérus, la déchirure n'est jamais aussi considérable que lorsque le
tissu
de l'utérus a été le siège d'un ramollissement in
cyrrhose, et qu'il considère comme une dégénération particulière, un
tissu
accidentel spécial, qui peut se rencontrer dans u
du foie, est à peu près constant dans l'altération que je décris. Le
tissu
du foie est également beaucoup plus dense que dan
ison directe de leur volume. Les vaisseaux Sanguins qui traversent le
tissu
du foie sont sains, mais le sang qu'ils contienne
outre, qu'indépendamment des granulations, il existe dans le foie un
tissu
très dense, fibro-celluleux, lequel occupe une pl
ent les mêmes caractères que la coupe d'un foie sain, c'est-à-dire un
tissu
spongieux analogue à la moelle du jonc. Considé
use du foie ?J'ai déjà dit que Laènnec regardait la cyrrhose comme un
tissu
accidentel particulier, qu'il supposait pouvoir s
naturels de cet organe : les masses jaunes, fauves, » constituant le
tissu
accidentel, apj3elé cyrrhose, ne sont autre chose
nsi, d'après cette manière de voir, les granulations ne sont point un
tissu
de nouvelle formation, ce sont les grains glandul
as, cette substance rouge s'atrophie complètement et se transforme en
tissu
cellulaire ou cellulo-fibreux; d'où la diminution
f que les granulations hépatiques, dans la cyrrhose, ne sont point un
tissu
accidentel ; il n'y a pas non plus désorganisatio
ngieux, la même texture que les coupes d'un foie sain ; seulement, le
tissu
du grain granuleux est pénétré dune grande quanti
lations extrêmement petites ( fig. 1 et 2), et une grande quantité de
tissu
fibreux, qui remplit les intervalles qu'elles lai
ans l'épaisseur du foie ou au voisinage de sa surface, au milieu d'un
tissu
parfaitement sain. On dirait, pour me servir de l
nt, il existe une ligne de démarcation parfaitement tranchée entre le
tissu
du foie et le tissu de ces xjie LIVRAISON. 1
gne de démarcation parfaitement tranchée entre le tissu du foie et le
tissu
de ces xjie LIVRAISON. 1 tumeurs; la transiti
ons veineuses. Dans quelques cas, on arrive par degrés insensibles du
tissu
normal du foie au tissu morbide. Ces tumeurs prés
ques cas, on arrive par degrés insensibles du tissu normal du foie au
tissu
morbide. Ces tumeurs présentent d'ailleurs un gra
nière disposition me paraît s'expliquer par la densité qu'acquiert le
tissu
cellulaire sous-péritonéal dans le point correspo
t denses, fibreuses, quelquefois même cartilagineuses : on dirait dun
tissu
fibreux ou même cartilagineux. Quelquefois au cen
e aréolaire fibreuse apparaît alors tout-à-fait analogue à celle d'un
tissu
érectile. Souvent des vaisseaux sanguins, très dé
caractère. XIII. Doit-on considérer comme une troisième variété de
tissu
cancéreux, ou bien comme une lésion composée, l'a
ne partie de leur étendue, une trame érectile tout-à-fait analogue au
tissu
du corps caverneux : cette trame était remplie pa
XIV. Les différences qui résultent des états divers sous lesquels le
tissu
du foie peut se présenter dans la lésion qui nous
dinairement, les tumeurs cancéreuses semblent déposées au milieu d'un
tissu
parfaitement intact. On dirait que la substance p
iaire à plusieurs tumeurs, atrophiée, décolorée, et même convertie en
tissu
fibreux. L'atrophie générale peut être portée au
au sixième et peut-être même au huitième de son volume naturel. Le
tissu
du foie peut présenter sa coloration naturelle (P
. 3) , tout-à-fait jaune , d'un vert olive, infiltré, altéré dans son
tissu
, dont la disposition granuleuse a en grande parti
e, non moins facile que les adhérences naturelles ou la continuité du
tissu
. Ainsi, tantôt c'est par le petit épiploon et par
ntinuité du tissu. Ainsi, tantôt c'est par le petit épiploon et parle
tissu
cellulaire qui entoure les vaisseaux biliaires, q
on d'une tumeur cancéreuse qui a envahi la vésicule par continuité de
tissu
. J'ai montré aune de mes dernières leçons, un can
énucléation des tumeurs cancéreuses, d'une autre part, l'intégrité du
tissu
du foie autour de ces tumeurs, on serait porté à
re qu'elles sont formées par une substance hétérogène déposée dans le
tissu
cellulaire intermé diaire aux granulations hépati
ou la circonscription de la lésion, n'excluait pas son siège dans le
tissu
du foie lui-même; i° à l'état naissant, la tumeur
aladies cancéreuses du foie, en celles qui sont formées aux dépens du
tissu
cellulaire, et en celles qui sont formées aux dép
pens du tissu cellulaire, et en celles qui sont formées aux dépens du
tissu
propre du foie, je crois qu'il faut les distingue
s qui attaquent çà et là une ou plusieurs granulations au milieu d'un
tissu
sain, et en celles qui envahissent à la fois une
lade n'est jamais mieux que lorsqu'il est sans couvertures ; tous les
tissus
sont décolorés ; point d'amaigrissement notable.
, d'un volume inégal, de forme irrégulière, disséminés au milieu d'un
tissu
sain, dont la couleur jaune contraste d'une maniè
disait que les tumeurs biliaires étaient la suite d'inflammations du
tissu
du foie terminées par résolution. VI. L'oblitér
de la vésicule avaient acquis beaucoup de densité et d'épaisseur; le
tissu
cellulaire qui l'unissait au foie était en pleine
diamètre : les accidens éprouvés peuvent s'expliquer, par l'abcès du
tissu
cellulaire extérieur à la vésicule : l'ouverture
'est ainsi que nous voyons tous les jours l'induration squirrheuse du
tissu
cellulaire qui entoure les calculs biliaires rale
peut-être de tubercules blanchâtres, d'inégal volume, que séparait un
tissu
parfaitement sain ; chacun de ces tubercules étai
La membrane muqueuse était très fortement colorée en rouge foncé; le
tissu
du foie était sain; la muqueuse de l'intestin grê
ses très multipliées. Tous les autres organes étaient sains. Tous les
tissus
blancs étaient fortement teints en jaune. XVIII
plis de calculs, et également isolés du reste des voies biliaires. Le
tissu
du foie, intermédiaire à ces grosses ampoules, es
ie, intermédiaire à ces grosses ampoules, est quelquefois converti en
tissu
fibreux. Lorsque l'altération s'étend jusqu'aux r
ncher une matière gélatiniforme. La même altération s'observe dans le
tissu
cellulaire sous-péritonéal. Réflexions. — Il su
raient été successivement envahies, et qu'enfin toutes les couches de
tissu
cellulaire qui séparent les diverses tuniques aur
analyse de cette altération m'a présenté : i° le péritoine sain; i°\e
tissu
cellulaire XIIe LIVRAISON. I sous-péritonéal
un suc cancéreux assez abondant était infiltré dans les mailles d'un
tissu
aréolaire très dense de nature fibreuse, au milie
s à l'accouchement. J'ai insisté ailleurs (i) sur l'hypertrophie du
tissu
de l'utérus qui suit l'imprégnation ; hypertrophi
n et quelquefois autour de l'orifice des trompes; partout ailleurs le
tissu
propre de l'utérus est à nu, et partout il doit ê
rhagie, les convulsions , le coma , la péritonite , l'inflammation du
tissu
cellulaire sous-péritonéal , l'inflammation des v
e échappe à la péritonite, elle n'échappera pas à une inflammation du
tissu
cellulaire sous-péritonéal, à une double pleurési
er par arrachement le péritoine, et une lame subjacente très mince du
tissu
de l'utérus. Tous les vaisseaux lymphatiques ne
essées qu'il m'est arrivé de croire que le pus était infiltré dans le
tissu
cellulaire, au lieu d'être contenu dans des vaiss
lieu d'être contenu dans des vaisseaux. L'infiltration du pus dans le
tissu
cellulaire sous-péritonéal de l'utérus s'observe
dans les vaisseaux lymphatiques. Dans un certain nombre de cas, le
tissu
de l'utérus est lui-même infiltré de pus, et cett
moins à la distension de la trompe elle-même, qu'a l'infiltration du
tissu
cellulaire sous - péritonéal. Le pavillon delà tr
risâtre. 11 y a évidemment infiltration et combinaison de pus dans le
tissu
de l'ovaire. Inférieurement se voit une petite ma
aunâtre, OE, qui me paraît le corpus luteum des auteurs. Au milieu du
tissu
de l'ovaire existent quelques petits kystes ou ov
el le volume de cet organe est le résultat d'une fluxion séreuse. Son
tissu
est mou, spongieux et vasculaire, pénétré d'une a
mation (i) XIe Livraison, phlébite. XJTl6 LIVRAISON. 2 large du
tissu
cellulaire sous-péritonéal, assez souvent d'infla
hénomène , il dissèque avec soin la peau qui recouvre la tumeur et le
tissu
cellulaire sous-cutané, parcouru par des lignes b
s pensâmes alors que le pus formé à la surface de la peau, et dans le
tissu
cellulaire sous-cutané avait été absorbé. M. Ma
pus contenu dans la cavité du péritoine, soit du pus infiltré dans le
tissu
cellulaire sous-péritonéal. X. Un fait semblera
e pseudo-membraneuse. XL Relativement à l'absorption du pus dans le
tissu
cellulaire sous-péritonéal, la coïncidence de la
lulaire sous-péritonéal, la coïncidence de la présence du pus dans le
tissu
cellulaire et de sa présence dans les vaisseaux l
nt le chvle au milieu des matières alimentaires. pus au milieu d'un
tissu
cellulaire sain, tantôt, au contraire, des vaisse
tantôt, au contraire, des vaisseaux lymphatiques sains au milieu d'un
tissu
cellulaire infiltré d'une gande quantité de pus.
e infiltration séreuse soit dans ces parois elles-mêmes, soit dans le
tissu
cellulaire environnant , à tel point que ces vais
ux ganglions mésentériques pendant le travail de la chylifîcation. Le
tissu
des ganglions ne présente ni ramollissement ni co
squ'au tiers moyen de la cuissse, ces vaisseaux étaient entourés d'un
tissu
cellulaire dense, infiltré et injecté. Au niveau
cuisse, aucune trace d'inflammation ou de fluxion quelconque dans le
tissu
cellulaire ambiant. Les ganglions inguinaux injec
ques, sans la moindre trace, soit de péritonite, soit d'altération du
tissu
propre de l'utérus ; i° j'invoquerai sur-tout cet
ortel en r/uarante-huit heures. Péritonite. Infiltration purulente du
tissu
cellulaire sous-péritonéal. Présence du pus dans
sité trouble et des flocons albumi-neux ; infiltration de pus dans le
tissu
cellulaire sous-péritonéal de la fosse iliaque ga
de la veine ovarique gauche jusqu'au rein; d'une autre part, dans le
tissu
cellulaire qui recouvre le col de l'utérus, et pa
puerpéral mortel en vingt-quatre heures. Péritonite. Inflammation du
tissu
cellulaire sous-péritonéal. Vaisseaux lymphatique
mineux, et s'élevait de beaucoup au-dessus du détroit supérieur. Le
tissu
cellulaire sous-péritonéal, qui répond au cœcum e
pleins d'un pus jaunâtre. L'infiltration purulente occupait encore le
tissu
cellulaire sous-péritonéal du col de l'utérus, et
e cinquante heures. Péritonite purulente. Infiltration de pus dans le
tissu
cellulaire sous-péritonéal. Vaisseaux lymphatique
ritoine détaché par lacération, nous avons vu du pus infiltré dans le
tissu
cellulaire du petit bassin : l'infiltration s'éte
us qui soulevaient le péritoine et la couche la plus superficielle du
tissu
de l'utérus. La ligne médiane seule était respect
les vaisseaux lymphatiques avec la péritonite, avec l'inflammation du
tissu
cellulaire sous-péritonéal, avec une pleurésie si
foie et dans l'hypogastre. Zones d'injection le long des intestins.
Tissu
cellulaire sous-péritonéal très-sain ; les vaisse
aux angles supérieurs de l'utérus étaient pleins de pus concret. Le
tissu
de l'utérus est fragile ; l'ovaire droit est volu
x lymphatiques, peut avoir lieu sans péritonite, sans inflammation du
tissu
cellulaire sous-péritonéal et même sans inflammat
tion du tissu cellulaire sous-péritonéal et même sans inflammation du
tissu
propre de l'utérus et des trompes. Fièvre puerp
heures après la mort : Point de péritonite ; point d'inflammation du
tissu
cellulaire sous-péritonéal. Les vaisseaux lymphat
le trou sous-pubien. Les parois des vaisseaux étaient entourées d'un
tissu
cellulaire dense, et les orifices des coupes de c
es utérins, indépendamment de la péritonite, de toute inflammation du
tissu
cellulaire sous-péritonéal, du tissu propre de l'
tonite, de toute inflammation du tissu cellulaire sous-péritonéal, du
tissu
propre de l'utérus, des ovaires et des trompes; i
séreuse, l'autre extérieur fibreux, très-dense, se continuant avec le
tissu
propre de l'utérus dont il était peut-être une dê
érus dont il était peut-être une dêgénération. Réflexions. i° Aucun
tissu
n'est plus extensible, plus malléable que le tiss
flexions. i° Aucun tissu n'est plus extensible, plus malléable que le
tissu
de l'utérus, lorsqu'il a subi le ramollissement q
Une tumeur fibreuse s'accompagnant constamment de l'hyperthrophie du
tissu
de l'utérus, et se développant en outre avec beau
énucléation facile de la tumeur à laquelle elle n'adhérait que par un
tissu
cellulaire lâche. D'autres tumeurs fibreuses, m
autre sous le péritoine dont elle est séparée par une couche mince du
tissu
de l'utérus, T'F" ; d'autres, t f, t'f, se voient
utres, t f, t'f, se voient dans l'épaisseur même de l'utérus, dont le
tissu
est ramolli et vasculaire, au même degré qu'un ut
ur. L'utérus, par l'épaisseur de ses parois, par la mollesse de son
tissu
, par le calibre des vaisseaux qui le traversent d
ndant, on saisissait aisément la ligne de démarcation qui séparait le
tissu
utérin du tissu de la tumeur. La source de l'hé
sait aisément la ligne de démarcation qui séparait le tissu utérin du
tissu
de la tumeur. La source de l'hémorrhagie est év
e rendre compte de cette déformation et de retrouver la continuité du
tissu
de l'utérus. Les tumeurs fibreuses qui se dévelop
'état violacé ou la cyanose n'a donc pas nécessairement lieu dans les
tissus
intérieurs, alors qu'elle a lieu dans les tissus
rement lieu dans les tissus intérieurs, alors qu'elle a lieu dans les
tissus
extérieurs. Que si on objecte que la mort a été t
e sont autre chose que le résultat d'une infiltration de sang dans le
tissu
cellulaire sous-muqueux ou dans le tissu même de
infiltration de sang dans le tissu cellulaire sous-muqueux ou dans le
tissu
même de la membrane (voyez pl. II, fig. ire et pl
ecchymoses légères : peu de sérosité dans les ventricules et dans le
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien. Moelle épinière,
st par ses qualités délétères que le sang porte la mort dans tous les
tissus
. Suivant les premiers, l'altération du sang est u
uche PG, ecchymosée. Os du crâne très injectés; téguments du crâne et
tissu
cellulaire sous-jacent CC, très injectés. Sang li
quide contenu à la fois et dans la cavité de l'arachnoïde, et dans le
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien. III. Ces épanchem
hale avait pénétré dans la cavité rachidienne. Il n'en était rien. Le
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien spinal était d'une c
normément dilatés qu'étaient contenus la sérosité et les caillots. Le
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien du cervelet présenta
presque totalité de leur étendue: ils ressemblent assez exactement au
tissu
de la rate. La coupe faite au poumon droit, PD, m
ntaire. Du pus liquide ou pseudo-membraneux peut être sécrété dans le
tissu
cellulaire sous-amniotique. Ce pus est le résulta
flammation de l'arachnoïde a pour effet l'infiltration du pus dans le
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien, de même l'inflammat
n de l'amnios est constamment suivie de l'infiltration du pus dans le
tissu
cellulaire sous - amniotique ; or, l'inflammation
ence. Il mourut le lendemain. A l'ouverture : arachnitis spinale ; le
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien de la moelle était i
e de la langue ; il mourut au bout de douze heures. Infiltration du
tissu
cellulaire sous-cutané; sérosité dans l'abdomen;
. Le cerveau était décoloré, demi-transparent, couleur de cire ; le
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien était infiltré. Le c
u corps. Face infiltrée et monstrueuse, sang concret infiltré dans le
tissu
cellulaire subjacent au cuir chevelu; ecchymose s
volume, à peu près les mêmes proportions que chez ces derniers ; son
tissu
est très dense. Canal alimentaire sain ; quelqu
e chose que du sang incolore, coagulé et infiltré dans les mailles du
tissu
placentaire. On ne saurait méconnaître le rappo
pesants, ne sont perméables que dans un petit nombre de points; leur
tissu
est dense, d'une couleur rosée, et la distinction
ce lardacé, sans distinction de grains glanduleux, et représentait le
tissu
d'une mamelle squirrheuse; son diamètre antéro-po
perdu l'aspect glanduleux , et qui présentait tous les caractères du
tissu
squirrheux, est un fait important, mais trop isol
complètement effacé. Le pancréas induré avait tous les caractères du
tissu
squirrheux. Les poumons étaient indurés dans leur
é, les plus fréquentes , sans contredit, sont celles qui affectent le
tissu
même du poumon. Souvent la maladie semble n'avoir
lobules indurés ou infiltrés sont disséminés çà et là au milieu d'un
tissu
sain : tantôt, les poumons sont pris en masse dan
are de voir les deux poumons envahis à la fois dans leur totalité. Le
tissu
malade ressemble assez souvent à celui de la pneu
nd de l'eau,- ils ne contiennent pas la plus petite bulle d'air; leur
tissu
est induré et dans l'état qu'on désigne sous le n
rand nombre des cas. Observation . Mort par infiltration séreuse du
tissu
du poumon. Cet enfant est né après un travail for
vec des pustules syphilitiques, mourut au bout de quelques heures. Le
tissu
du poumon était infiltré de sang et de sérosité.
brane incisée, nous avons vu qu'il y avait un peu de sérosité dans le
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien, mais la compression
nication indiquée par M. Magendie entre le quatrième ventricule et le
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien, est-elle accidentel
, le procédé opératoire consisterait i ° à inciser les téguments, le
tissu
cellulaire et l'aponévrose fémorale , le long du
des vaisseaux et donnait au placenta un volume très considérable. Le
tissu
cellulaire extérieur au chorion était XVIe LIVR
chorion était XVIe LIVRAISON. 1 pénétré de fausses membranes, le
tissu
cellulaire intermédiaire au chorion et à l'amnios
on peut révoquer en doute cette inflammation, lorsqu'on rencontre le
tissu
du placenta dense, fragile ou friable, gorgé d'un
». On rjourrait à la rigueur admettre que dans ce cas ce n'est pas le
tissu
du placenta, mais bien les membranes qui ont four
e trois à quatre lignes d'épaisseur , étaient liées aux autres par un
tissu
fibreux élastique, qui approchait beaucoup de la
reux élastique, qui approchait beaucoup de la nature du cartilage. Ce
tissu
était comme sillonné et formait comme autant d'ar
i augmentation d'épaisseur ni changement quelconque de coloration. Le
tissu
cellulaire sous-séreux n'est ni infiltré ni injec
veine libre ne paraissait enflammée, les veines des os, les veines du
tissu
adipeux médullaire étaient remplies de pus. Il ré
ON. individu qui a succombe par suite d'inflammation gangreneuse du
tissu
cellulaire pelvien, suite elle-même d'infiltratio
abcès siégeait autour d'une des divisions de la veine-porte, dans le
tissu
cellulaire lâche qui l'entoure. D'autres fois, au
iquaient tous les uns avec les autres, et que le pus occupait tout le
tissu
cellulaire qui entoure les divisions de la veine-
reuse qui constitue la capsule de Glisson était très épaissie, que le
tissu
propre du foie était parfaitement sain. Il exista
d'abcès ont été représentés fig. 2 et 3 , pl. III. La suppuration du
tissu
adipeux médullaire était chez cet individu la sou
dans une pseudo-membrane ou pus concret jaunâtre P, P, qui occupe le
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien, et se prolonge auto
étaient pas plus dilatés que de coutume, mais la sérosité occupait le
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien ; l'ossification des
e, on trouve du pus, tantôt séreux, tantôt pseudo-membraneux, dans le
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien, et cette pseudo-mem
verdâtre environnait la moelle dans toute salongueur: elle occupaitle
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien. Dans d'autres cas,
a été rapide, on trouve les vaisseaux spinaux fortement injectés, le
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien infiltré de sérosité
mais point de pus. L'inflammation s'étend le plus ordinairement au
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien de la base du cervea
laissé imposer par l'infiltration purulente ou pseudo-membraneuse du
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien. Jai toujours trouvé
it à la fois et la cavité de l'arachnoïde spinale et crânienne, et le
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien. Les conséquences
ncrure qui est le résultat du plissement que ce fond avait subi. Le
tissu
de l'utérus était ramolli, comme dans tous les ca
son ramollissement et à une grande quantité de sang qui pénétrait son
tissu
devenu spongieux. C'est sur ce col qu'existait
it influer sur cette étendue : un prolapsus lentement opéré permet au
tissu
cellulaire qui unit le vagin et la vessie de s'al
lle exercée sur le vagin renversé, détermine, i° la transformation du
tissu
muqueux en tissu cutané, transformation toutefois
e vagin renversé, détermine, i° la transformation du tissu muqueux en
tissu
cutané, transformation toutefois qui n'est jamais
u. Quelques circonvolutions seules adhéraient à la peau à l'aide d'un
tissu
cellulaire extrêmement délié. Des prolongements f
chaque circonvolution, et amincissement au niveau de la convexité. Du
tissu
fibreux très-dense situé dans le premier sens, ma
nes extrêmement petites dans l'état ordinaire, qui commencent dans le
tissu
cellulaire sous-cutané par deux ordres de racines
i s'abouche avec la veine fémorale. Du reste , ces veines occupent le
tissu
cellulaire sous-cutané et sont séparées du muscle
re les os du crâne et la surface du cerveau. Cette sérosité occupe le
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien, et lorsque l'atroph
exie. 4° Il est une atrophie des circonvolutions avec induration du
tissu
cérébral qui quelquefois devient aussi dense qu'u
t parfaitement établi que cette végétation était formée aux dépens du
tissu
propre de la prostate, dont elle n'est qu'un prol
Le plus souvent pédiculées, ces tumeurs peuvent se continuer avec le
tissu
prostatique par une large base. Ce développemen
té de la vessie ; elle s'étendait sur le bas-fond de cet organe. Le
tissu
de la glande se déchirait avec facilité et pouvai
ces sphéroïdes était évidemment un grain glanduleux hypertrophié. Le
tissu
de chaque grain présentait une texture aréolaire
demment de nature musculeuse , et que je ne puis mieux comparer qu'au
tissu
de l'utérus chargé du produit de la conception. L
ie musculaire. Les muscles sont exposés à toutes les altérations de
tissu
qu'on observe dans les autres organes. On y renco
ns et productions organiques; la conversion de la fibre musculaire en
tissu
cellulaire, en tissus fibreux, cartilagineux, oss
aniques; la conversion de la fibre musculaire en tissu cellulaire, en
tissus
fibreux, cartilagineux, osseux; la formation dans
. ). Le siège de l'inflammation rhumatismale musculaire est dans le
tissu
cellulaire séreux qui entoure les muscles comme d
lymphatiques pleins de pus. Les veines utérines étaient saines. Le
tissu
de l'utérus, sain, mais très injecté. En ouvran
d'un liquide noirâtre était épanchée dans l'hypochondre gauche. Le
tissu
cell ulaire sous-cutané de la jambe gauche était
rincipal rôle. Foyers de pus dans Varticulation du genou et dans le
tissu
cellulaire libre de la cuisse et de la jambe. Inf
e soléaire. Ce pus était épais, un peu fétide, parsemé de lambeaux de
tissu
cellulaire gangrené. Thorax. A la base du poumo
ue l'inflammation occupait non-seulement la synoviale, mais encore le
tissu
cellulaire sous-aponévrotique. Le rhumatisme pu
atoire provenant de toute autre cause, peut affecter exclusivement le
tissu
cellulaire qui constitue autour de chaque muscle
ouls; mort un mois après l'invasion, A l'ouverture , on trouva que le
tissu
cellulaire de toute la cuisse avait été envahi pa
es ganglions correspondants avec celle de la synoviale du genou et du
tissu
cellulaire libre du membre inférieur. Ces deux al
s 5 et 3'. Les abcès observés à la jambe avaient leur siège dans le
tissu
cellulaire sous-cutané. Abdomen. L'utérus était
très dilaté. La muqueuse des voies aériennes est très injectée. Le
tissu
des poumons est fragile dans quelques points, mai
portions de ce muscle ont participé à l'inflammation. La couche de
tissu
cellulaire interposée au jumeau J, et au soléaire
brusquement à l'entrée de cet organe. On ne découvrait de traces du
tissu
du rein que dans quelques points de la superficie
parois réticulées dans laquelle il était impossible de reconnaître le
tissu
propre de l'organe. Quelques points seulement ont
et qui étaient disséminées dans les divers points de leur hauteur. Le
tissu
pulmonaire était d'ailleurs parfaitement sain.
ésenta une masse encéphaloïde volumineuse qui avait refoulé en bas le
tissu
du rein. La veine rénale était gonflée comme aprè
ble que la moindre quantité du liquide injecté arrivât jusque dans le
tissu
propre du rein. Au lieu de conclure, que cette in
e correspondante du cervelet qui n'a point subi d'altération dans son
tissu
, et dont il est facile de les séparer par énuclé
che était converti en une masse tuberculeuse infiltrée au milieu d'un
tissu
hépatisé en gris. Le poumon droit présentait une
que le cerveau, le siège de le maladie tuberculeuse. C'est dans le
tissu
cellulaire de la pie-mère que se rencontrent le p
tre libres de toute adhérence et ne tenir au cerveau qu'à l'aide d'un
tissu
cellulaire séreux qui permet une énucléation faci
ubercules soient formés par une matière infiltrée dans les mailles du
tissu
cérébral ou simplement déposée au sein de ce tiss
ans les mailles du tissu cérébral ou simplement déposée au sein de ce
tissu
, leurs caractères anatomiques sont toujours les m
examinée avec le plus grand soin m'a présenté tous les caractères du
tissu
cutané. Dans l'épaisseur de cette petite tumeur é
u d'une matière adipeuse Les parois de ce kyste sont formées par un
tissu
fibreux dans lequel sont implantés par une de leu
nt supportées par un os percé d'un trou DO; cet os était enveloppé de
tissu
fibreux. La fig. 2 et la fig. 3 représentent les
ive et une canine. A côté de ces deux dents et de la bride se voit un
tissu
criblé de trous qui est bien évidemment un fragme
rous ou pores. Il ne m'a pas été difficile de reconnaître l'aspect du
tissu
cutané décrit fîg. 4, pl. III. En outre celle des
on : à gauche de la mèche est la bride B, sur laquelle se prolonge le
tissu
cutané. Dans l'épaisseur des parois du kyste, s
tissu cutané. Dans l'épaisseur des parois du kyste, se voit enO, un
tissu
aréolaire contenant une matière gélatineuse. Ce
sur l'un des points de leurs parois l'ovaire aplati et transformé en
tissu
aréolaire. La fig. 2 représente la bride B et l
eux dents dont l'une est à découvert et l'autre est enveloppée par le
tissu
cutané jusqu'à son extrémité libre qui seule débo
démontré 1° que la peau était doublée par une couche assez épaisse de
tissu
adipeux; qu'au milieu de ce tissu adipeux était u
lée par une couche assez épaisse de tissu adipeux; qu'au milieu de ce
tissu
adipeux était une charpente osseuse DO, DO, de fo
e est une canine DC; c'est celte dernière qui était enveloppée par le
tissu
cutané : les dents étaient implantées dans deux a
es les autres parties du corps réunies. Après l'ovaire, c'est dans le
tissu
cellulaire sous-cutané qu'ils ont été le plus sou
rouvé la surface interne du kyste formée dans un espace limité par un
tissu
cutané parfaitement distinct. Dans un cas, le tis
ace limité par un tissu cutané parfaitement distinct. Dans un cas, le
tissu
cutané formait une sorte de tumeur pédiculée. D
ne sorte de tumeur pédiculée. Dans le cas représenté planche IV, le
tissu
cutané tapissait une surface assez étendue du kys
tapissait une surface assez étendue du kyste ; il était doublé par du
tissu
adipeux et recouvrait le squelette. La peau des
eau où cette disposition soit aussi prononcée : par-tout où existe du
tissu
cutané, les poils sont implantés par une de leurs
de leurs extrémités et pourvus de bulbes piïifères. La présence du
tissu
cutané dans plusieurs kystes pileux étant une foi
; et bien que le plus grand nombre des kystes pileux soit dépourvu de
tissu
cutané, n'est-on pas en droit de conclure, par an
tissu cutané, n'est-on pas en droit de conclure, par analogie, que ce
tissu
cutané a existé, mais qu'il a été transformé en t
nalogie, que ce tissu cutané a existé, mais qu'il a été transformé en
tissu
fibreux par suite du développement de la tumeur ?
, les poils sont une production épidermique , exclusivement propre au
tissu
cutané. Les petits poils trouvés à l'origine des
Or, dans les kystes pileux, tantôt les poils sont implantés dans un
tissu
cutané qui tapisse la poche, tantôt libres, ils s
us rationnel d'admettre, que les poils libres ont été produits par un
tissu
cutané, lequel aura été détruit ou plutôt transfo
par un tissu cutané, lequel aura été détruit ou plutôt transformé en
tissu
fibreux , par suite du travail morbide qui a lieu
dans les kystes pileux pourrait donc s'expliquer par la présence d'un
tissu
cutané de nouvelle formation. Les kystes pileux s
retournés dont le fond regarde la surface de la peau, et l'orifice le
tissu
cellulaire sous-cutané. Resterait maintenant la q
lulaire sous-cutané. Resterait maintenant la question de savoir si un
tissu
aussi composé que celui de la peau peut se former
transformations organiques, lesquelles ne dépassent pas le cercle des
tissus
celluleux, fibreux, cartilagineux et osseux. Jama
et qui se transforme bientôt plus ou moins complètement elle-même en
tissu
fibreux, et alors le kyste est simplement pileux,
la destruction et alors on trouve des dents, des parties osseuses du
tissu
cellulaire, sous-cutané, des ongles. Cette expl
erant, ità omnia corrugata erant. Point de vestiges de placenta. Le
tissu
de l'utérus et les membranes de l'œuf (le kyste)
fibreux, cartilagineux , osseux, ne pouvaient pas être formés par le
tissu
même de l'utérus. En effet, la présence d'un corp
on dans la cavité utérine a pour effet constant, non la conversion du
tissu
de l'utérus en kyste fibreux, cartilagineux et os
e fibreux, cartilagineux et osseux, mais bien sa transformation en un
tissu
d'apparence musculaire, et doué, comme les muscle
à la longue faire succéder à cette mollesse et à cette suractivité du
tissu
de l'utérus la transformation fibreuse, je répond
meurs fibreuses pétrifiées qui existent depuis longues années dans le
tissu
de l'utérus sans que ce tissu ait rien perdu de s
existent depuis longues années dans le tissu de l'utérus sans que ce
tissu
ait rien perdu de sa mollesse et de son aptitude
ins épaisse qui enveloppe le fœtus en totalité ou en partie. Tous les
tissus
, tous les organes sont desséchés, momifiés, absol
ait d'une couleur ardoisée très foncée, mais d'ailleurs sain dans son
tissu
; celte coloration bien distincte de la couleur no
épaisseur de cet organe. Plusieurs tumeurs mélaniques occupaient le
tissu
cellulaire du médiastin antérieur. Cavité abdom
lèvres était squirrheuse et criait sous le scalpel, à la manière d'un
tissu
fibreux très dur : elle ne contenait pas dans ses
uc cancéreux; sa surface ne présentait nullement la couleur noire des
tissus
mélaniques. Seulement quelques taches noires étai
r sphéroïdale, du volume d'un œuf de poule, pédiculée, formée dans le
tissu
cellulaire sous-muqueux. La muqueuse pouvait être
été envahi par une tumeur de même nature, du volume d'une noix / son
tissu
était très dense, d'apparence fibreuse, dépourvu
IV, fig. 5). La matière cancéreuse noire déposée dans les cellules du
tissu
spongieux , avait détruit en grande partie la cot
ons générales sur la mélanose. Laennec considère la mélanose comme un
tissu
accidentel sans analogue dans (i) Recueillie pa
celle de masses non-enkystées; 3° celle de matière infiltrée dans les
tissus
; 4° celle de matière déposée à la surface d'un o
rations noires qui doivent être examinées dans les liquides, dans les
tissus
normaux, et dans les tissus accidentels ; i° un t
tre examinées dans les liquides, dans les tissus normaux, et dans les
tissus
accidentels ; i° un tissu mélanique bien distinct
ides, dans les tissus normaux, et dans les tissus accidentels ; i° un
tissu
mélanique bien distinct de toutes les autres form
sidérée que comme une espèce de pigmentum diversement nuancé. A. Du
tissu
mélanique proprement dit.— D'après cette manière
te altération présente deux choses à étudier : 1° le pigmentum, i° le
tissu
dans lequel le pigmentum est déposé. io Le pigm
de matière colorante ; et cette opinion qui doit s'appliquer, non au
tissu
de la mélanose proprement dit, mais au pigmentum
l se présente sous l'aspect d'une concrétion plus ou moins dure. i°
Tissu
de la mélanose. Le tissu mélanique est un tissu f
ct d'une concrétion plus ou moins dure. i° Tissu de la mélanose. Le
tissu
mélanique est un tissu fibreux aréolaire dont l'a
s ou moins dure. i° Tissu de la mélanose. Le tissu mélanique est un
tissu
fibreux aréolaire dont l'aspect nacré tranche ave
de fumée qui résulte de la combustion des lampes. i° Coloration des
tissus
normaux. Dans cette catégorie , je classe la colo
s irréguliers de la surface du poumon, la coloration noire de tout le
tissu
du poumon qu'infiltre la matière mélanique sans n
comme affectés de mélanose les ganglions bronchiques noirs : car leur
tissu
est presque toujours alors dans l'état d'intégrit
t noire que les ganglions bronchiques. Ala coloration mélanique des
tissus
normaux, se rapporte le pointillé noir des membra
u constituent elles-mêmes une mélanose. 3° Coloration mélanique des
tissus
accidentels. Les diverses formes de cancer, la ma
es cicatrisées, ou avec l'infiltration de cette matière noire dans le
tissu
du poumon; dépôt et infiltration qu'on peut consi
iltration mélanique; d'autres fois il y a une sorte de combinaison du
tissu
mélanique et du tissu cancéreux. Un caractère du
'autres fois il y a une sorte de combinaison du tissu mélanique et du
tissu
cancéreux. Un caractère du tissu cancéreux mélani
combinaison du tissu mélanique et du tissu cancéreux. Un caractère du
tissu
cancéreux mélanique, c'est d'être presque toujour
édicule vasculaire : ce corps offrait en effet tous les caractères du
tissu
de la rate. Je n'ai point trouvé de pancréas, F
séminées, s'observe dans la cavité médullaire des os longs et dans le
tissu
spongieux des os courts et des os larges. Le tiss
s longs et dans le tissu spongieux des os courts et des os larges. Le
tissu
compacte ne m'a pas paru susceptible de cette alt
compacte ne m'a pas paru susceptible de cette altération en tant que
tissu
compacte; mais sa transformation facile en tissu
tération en tant que tissu compacte; mais sa transformation facile en
tissu
spongieux, rend compte du petit nombre de cas dan
té. Dans le cancer par masses disséminées des os, ce n'est point le
tissu
osseux proprement dit qui est envahi, mais bien l
est point le tissu osseux proprement dit qui est envahi, mais bien le
tissu
adipeux médullaire contenu, soit dans les cellule
s bien le tissu adipeux médullaire contenu, soit dans les cellules du
tissu
spongieux,soit dans la cavité centrale des os lon
ongs, le cancer se moule en cylindre. Quant aux masses cancéreuses du
tissu
spongieux des os courts ou des extrémités des os
présententtantôtle caractère de l'encéphaloïde, tantôtle caractère du
tissu
squirrheux : les tumeurs squirrheuses des os qui
dans les os maxillaires où elles paraissent avoir leur siège dans le
tissu
gingival intra-alvéolaire. Les cancers, par mas
sséminées desos, ne sont point accompagnés du développement i clu
tissu
osseux qui constitue la spina ventosa; bien au co
Le cancer, par masses disséminées des os, porte exclusivement sur le
tissu
médullaire adipeux; le cancer non circonscrit por
Fun ou sur l'autre des trois parties constituantes des os, périoste,
tissu
osseux, tissu adipeux médullaire, tantôt sur ces
autre des trois parties constituantes des os, périoste, tissu osseux,
tissu
adipeux médullaire, tantôt sur ces trois élémens
borné au périoste; i° du cancer intéressant à-la-fois le périoste, le
tissu
osseux et le tissu médullaire, je citerai l'obser
i° du cancer intéressant à-la-fois le périoste, le tissu osseux et le
tissu
médullaire, je citerai l'observation d'une malade
s externe. Une section de cet os ayant été pratiquée, j'ai vu que son
tissu
était sain, que toute l'altération était bornée a
la clavicule un cylindre très dense, très résistant, constitué par du
tissu
fibreux, pénétré de suc cancéreux. La surface de
e était corrodée plus ou moins superficiellement, mais d'ailleurs son
tissu
était parfaitement sain : la membrane médullaire
rrespondante avaient été envahies. Ainsi dans ce cas, le périoste, le
tissu
adipeux médullaire et la substance osseuse elle-m
Comme exemple d'altération simultanée de la membrane médullaire et du
tissu
osseux, avec intégrité du périoste, je citerai l'
deux fémurs. Cancer par masses disséminées dans les os, le foie, le
tissu
cellulaire sous-pleural et sous-péritonéal. Mac
ble , irrégulièrement disséminées dans le canal médullaire et dans le
tissu
spongieux de ces os. Dans quelques points, on voy
nombre de ces tumeurs qui s'étaient creusé des cavités aux dépens du
tissu
spongieux. Les deux tumeurs TC, T'C présentent ab
de ces cavités E, E, E ont atteint la surface de la vertèbre dont le
tissu
compacte a été usé, corrodé. On avait, pendant
les remplissaient toute la capacité. Leur couleur était blanche, leur
tissu
très résistant, mais pénétré d'une grande quantit
'une grande quantité de sucs cancéreux. Elles avaient usé, corrodé le
tissu
osseux à la manière d'un anévrysme; aucune végéta
osseuse n'attestait un travail morbide développé dans l'épaisseur du
tissu
osseux. Le foie, qui avait triplé de volume, ét
ns ; aucune de ces tumeurs n'avait subi de ramollissement complet. Le
tissu
du foie intermédiaire était dans l'état le plus p
es, s'observaient sur la plèvre et sur le péritoine, et occupaient le
tissu
cellulaire sous-séreux. Le cerveau, les poumons,
s sucs cancéreux. Les côtes sont infiltrées de suc encéphaloïde. Le
tissu
spongieux en est pénétré; le tissu compacte est r
infiltrées de suc encéphaloïde. Le tissu spongieux en est pénétré; le
tissu
compacte est réduit à une lame mince et même détr
à l'intérieur, les composait entièrement. « Dans le premier sens, le
tissu
offrait comme une enveloppe corticale compacte et
sse orbitaire gauche. La tumeur de la clavicule était formée par un
tissu
analogue à celui des os du crâne. Le centre de l'
gorie des cancers des os qui envahissent la membrane médullaire et le
tissu
osseux tout à-la-fois; tandis que dans les cas qu
appartenant à un individu sur lequel je n'ai aucun renseignement. Le
tissu
adipeux médullaire est remplacé par une matière e
perforations spontanées du même organe, que, dans le premier cas, le
tissu
du cœur est sain au pourtour de la blessure, tand
ur est sain au pourtour de la blessure, tandis que dans le second, le
tissu
du cœur, plus ou moins altéré, se lacérerait pres
u côté du cœur, sa situation entre les colonnes charnues au fond d'un
tissu
aréolaire m'ont induit en erreur, et l'erreur est
férentes cavités du cœur était un peu au-dessous de l'état normal. Le
tissu
de cet organe était fragile, mais cette fragilité
naît le plus souvent pour cause première une fragilité remarquable du
tissu
de l'organe ; si bien que dans tous les cas que j
ne ; si bien que dans tous les cas que j'ai eu occasion d'observer ce
tissu
se morcelait à l'aide d'une pression ou d'une tra
en exceptez la fragilité, n'offre pas d'altération manifeste dans son
tissu
qui est seulement d'un rouge plus obscur que de c
eulement d'un rouge plus obscur que de coutume; dans d'autres cas, le
tissu
du cœur est remarquablement altéré. Ainsi, une fo
u du cœur est remarquablement altéré. Ainsi, une fois, j'ai trouvé le
tissu
du cœur gris-blanchâtre comme si un peu de pus co
raisseux du cœur ne favorise pas la rupture de cet organe. Lorsque le
tissu
du cœur est devenu fragile (et il est probable qu
jaune-brunâtre dans toute leur épaisseur, et réunies à l'aide d'un
tissu
celluleux de même couleur. Il n'y avait donc plus
us, se voit une petite cavité à parois non colorées, traversée par du
tissu
cellulaire rempli de sérosité; la substance blanc
pèce de bouillie jaunâtre, traversée par des vaisseaux sanguins et du
tissu
cellulaire lâche. Cervelet.- - A la partie post
détruites. Couleur jaune-serin de la cicatrice qui est formée par du
tissu
cellulaire infiltré de sérosité. Les circonvolu
substance des membranes muqueuses étaient toujours remplacées par un
tissu
muqueux accidentel. Les membranes muqueuses sont
muqueuses sont trop compliquées pour se produire de toutes pièces; un
tissu
,fibreux non recouvert d'une couche muqueuse rempl
par le rapprochement des bords de la plaie; i° par la production d'un
tissu
fibreux : les pertes de substance peu considérabl
icatrice UC, formée par ce dernier organe, que recouvre une couche de
tissu
fibreux lisse. La muqueuse forme tout autour un b
n bourrelet circulaire, mais ne se continue en aucune manière avec le
tissu
de la cicatrice. Gastrite chro lue ulcéreuse pa
s. - Néphrite aiguë terminée par un ramollissement; inflammation du
tissu
adipeux- qui environne le bassinet et l'uretère
cessivement les opérations qui se pratiquent sur, ou plutôt en vue de
tissus
distincts; puis celles qui se font sur des organe
au moins ne doivent-ils être que légèrement compromis, tandis que les
tissus
qui les recouvrent sont gravement lésés. Mais apr
nsmettent l'influence, par sympathie, sur d'autres organes ou sur les
tissus
analogues à celui qui en a été le siège primitif;
iétés physiques et des fonctions variées qui sont celles des nombreux
tissus
, dont l'un des usages est de servir d'enveloppe o
l'histologie, lesenve-loppes empruntent, pour leur usage commun, des
tissus
et des organes très variés; ou mieux, et dans un
ganes très variés; ou mieux, et dans un sens plus général, tous les
tissus
servent alternativeinen t d'enveloppes, les uns à
oste et la membrane médullaire, enveloppes et organes de nutrition du
tissu
osseux; moyens d'insertion des tissus fibreux sur
oppes et organes de nutrition du tissu osseux; moyens d'insertion des
tissus
fibreux sur les os. (c) Les membranes fibreuses
es muscles, dont elles séparent les faisceaux et les fibres. 4° Les
tissus
propres organiques, qui, selon que nous le démont
'accomplissent leurs fonctions. Cette disposition, commune à tous les
tissus
, en constitue, selon nous, le point de vue d'orga
erfs considérés, par hypothèse, comme des canaux vasculaires. 6° Le
tissu
cellulaire, nommé avec raison corps cri blé, tiss
sculaires. 6° Le tissu cellulaire, nommé avec raison corps cri blé,
tissu
lamineux, vu sa texture, milliloculaire. Gangue c
lé, tissu lamineux, vu sa texture, milliloculaire. Gangue commune des
tissus
, dans notre opinion, fondée sur nos recherches, i
Étendue. L'étendue s'applique aux limites les plus extrêmes entre les
tissus
différens, depuis la surface de la peau, envelopp
adipeuse ou à l'élément organique spécial des viscères. Dans un même
tissu
, Ictenduc est aussi très variable, soit pour le
sur les parois desquels elles s'insèrent en se confondant avec leurs
tissus
: tels sont le péricarde, la dure-mère, et la tun
rfaces des os sont revêtues par la membrane médullaire, qui sépare le
tissu
de l'os lui-même des cavités qu'il renferme. La s
port avec la peau, mais seulement par l'intermédiaire d'une couche de
tissu
cellulaire fibreux à larges mailles, qui forme la
ro-celluleuse sous-cutanée, renferme dans ses mailles une quantité de
tissu
adipeux, dont le volume considérable chez les suj
s. Dans l'histologie, nous démontrerons quelle disposition prend le
tissu
fibreux dans l'épaisseur delà substance compacte
des nerfs, et se continue, ou plutôt se mêle, par une dégradation de
tissu
insensible, avec les enveloppes de ces canaux, à
et pénètre avec eux dans l'intérieur de l'organe, dont elle sépare le
tissu
, des conduits vasculaires. Cette disposition, déc
arence, et la circulation étant toujours périphérique par rapport aux
tissus
fonctionnels. Les gaines fibro-celluleuses des
érence, les gaines vasculaires sont unies aux parties voisines par un
tissu
cellulaire lâche dans lcc|uel rampent les ramific
mpent les ramifications secondaires. f^a texture intime de tous les
tissus
fibreux, soit aponévroses, soit enveloppes viscér
au microscope que sous des grossissemens excédant cent diamètres. Les
tissus
fibreux sont aussi pourvus de nerfs, et même le v
t des perspirations. La surface extérieure adhère aux viscères par un
tissu
cellulaire, dit sous-séreux, dans lequel rampent
ue. Minces,diaphanes, résistantes, élastiques,composées d'une tramede
tissu
cellulaire condensé, il est douteux qu'elles renf
s, poreuses et perméables aux fluides. Ils sont unis entre eux par un
tissu
cellulaire lâche qui permet les mou-vcmens de dil
e la peau, adhèrent à la couche musculaire qui leur est propre par un
tissu
cellulaire dit sous-muqueux, qui sert de traîneau
e de la conque, où elle se confond, par une dégradation insensible de
tissu
, avec la peau. Cette membrane renferme de nombreu
rès mince des surfaces osseuses papyracées des fosses nasales, par un
tissu
cellulaire renfermant un épais réseau de vaisseau
Comme cette dernière, elle est spongieuse, hygrométrique, munie d'un
tissu
sous-muqueux très vasculaire, renfermant un grand
enne, où il renferme des glandules mucipares; il est contenu clans un
tissu
épais, dense, élastique, et fortement adhérent au
périoste dans les portions palatine et gingivales, où il constitue un
tissu
particulier encore peu connu, qui, sauf la solidi
nnu, qui, sauf la solidité de sa texture, participe aux propriétés du
tissu
érectile. A la surface de la langue la membrane m
ne est molle, onctueuse, n'adhérant à la couche musculaire que par un
tissu
cellulaire très lâche, contenant un grand nombre
ose aux hémorrhagies, aux tumeurs sanguines et aux transformations de
tissus
dont cette partie est si fréquemment le siège.
ueuse urétrale, dans l'homme, est lisse, très adhérente, pourvue d'un
tissu
cellulaire sous-muqueux très vasculaire, et prése
identiques dans toute l'étendue de sa surface. Elle est composée d'un
tissu
fibreux, le derme, revêtu d'une couche celluleuse
séparée de la couche musculaire ou aponévrotique sous-jacente, parle
tissu
cellulaire adipeux général, ou fascia superficial
se présente jamais unique, toujours elle est multiple et composée de
tissus
différens , formant des loges ou des cavités, soi
la membrane muqueuse, à la couche cellulo-vasculaire sous-cutanée, le
tissu
analogue sous-muqueux ; puis viennent l'une et l'
la circonférence, doublée par l'aponévrose cervicale antérieure ; le
tissu
adipeux est rare dans toute cette surface. En arr
e chez les sujets obèses, et composé, dans les creux axillaires, d'un
tissu
aponcvrotique à longues mailles, dans lequel sont
te l'étendue du membre il se charge d'une quantité assez abondante de
tissu
adipeux. A la paume de la main, il adhère assez f
vue aussi général, les enveloppes, quelle que soit la nature de leur
tissu
, sont perméables; mais dans un dé-gré très inégal
erméables; mais dans un dé-gré très inégal et décroissant, depuis les
tissus
les plus durs et les plus épais, jusqu'aux plus m
ais, jusqu'aux plus minces et aux plus diaphanes. La perméabilité des
tissus
organisés, qui joue un si grand rôle dans leurs a
is. M. Dutrochet, daus ses belles expériences sur la perméabilité des
tissus
membraneux, ayant reconnu qu'un courant s'établit
ations physiologiques. La perméabilité à deux courants inverses des
tissus
organiques, est donc un fait général dans l'organ
ens, suivant la densité des deux substances en action, d'une part les
tissus
, et de l'autre les liquides. En théorie, et 1 exp
firme pleinement, l'endosmose et l'exosmose sont très rapides dans le
tissu
cellulaire et dans les cavités séreuses; elles s'
vités séreuses; elles s'exercent à des degrés intermédiaires pour les
tissus
de moyenne densité, et se reproduisent encore, qu
rtout en action dans l'exercice des fonctions capillaires au sein des
tissus
. Comme conséquence, il est évident que si l'envel
est bien mécaniquement une cloison d'isolement quant aux organes, aux
tissus
et à leurs élémeus ou aux molécules solides, ains
ans leurs résultats, en même temps qu'ils élèvent la perméabilité des
tissus
au rang des vérités physiologiques les mieux démo
ieu à un épanchenient liquide. Les mêmes fonctions appartiennent au
tissu
cellulaire, (a) Au point de vue physiologique il
nutrition et des transformations organiques. Comme aperçu général, le
tissu
cellulairesemble bien à priori le premier moyen d
surfaces extérieures, ou tégu-nientaires, par un plus grand nombre de
tissus
résistans et peu perméables. Nous allons jeter un
encore peu déterminées dans leur nature, mais réputées appartenant au
tissu
osseux, ou, d'une manière plus précise, à la gang
loppe, mais surtout le périoste externe, circonscrivent la maladie au
tissu
malade lui-même. A la substance compacte appartie
e compacte; véritable carie delà substance compacte ou l'affection du
tissu
vasculaire est masquée par l'abondance de la subs
érioste, (c) Le spina-ventosa, dont le résultat est la raréfaction du
tissu
osseux en une coque lamellaire très volumineuse,
ement ou ostéo-malacie. ,e) Enfin Yostéo-sarcome, dans lequel tout le
tissu
de l'os est converti en un tissu spongieux et lar
Yostéo-sarcome, dans lequel tout le tissu de l'os est converti en un
tissu
spongieux et lardacé; cette affection, comme tout
ancéreuse, est la seule qui se confonde en une masse commune avec les
tissus
voisins. La substance spongieuse, outre les malad
ée par la carie, clans notre opinion, véritable nécrose capillaire du
tissu
osseux raréfié, et qui n'offre des apparences si
le de la substance compacte, qu'en raison de l'extrême vascularité du
tissu
, où les milliers de petits séquestres sont masqué
'aspect fougueux de la masse commune. Dans toutes ces affections du
tissu
osseux, moins celles de nature fougueuse ou cancé
ns celles de nature fougueuse ou cancéreuse, qui envahissent tous les
tissus
, l'affection est nettement circonscrite des parti
etBreschet, que les deux membranes d'enveloppes, raréfiées dans leur
tissu
, et imprégnées de sels calcaires, renferment mome
ume assez restreint, et qui trouve sa limite dans l'extensibilité des
tissus
fibreux qui l'entourent, (b) Les maladies de ces
nsibilité des tissus fibreux qui l'entourent, (b) Les maladies de ces
tissus
eux-mêmes, soit primitives ou consécutives à cell
sation des maladies par les enveloppes membraneuses. Aponévroses et
tissus
fibreux. Les effets de l'interposition de l'os, c
ience ayant appris que cette congestion n'est pas seulement bornée au
tissu
vasculaire sus-aponévrotique, mais qu'elle intére
ion. Le même effet d'étranglement se produit dans les congestions des
tissus
fibreux articulaires; c'est ce phénomène en parti
temps à l'ulcération ou à la rupture, en séparant l'organe malade des
tissus
voisins restés intacts. Les plus denses, la dure-
aines d'enveloppe ont pour effet de les protéger et de les isoler des
tissus
malades. Rien n'est plus commun, en effet, que de
au travers des foyers purulens, des faisceaux vasculaires isolés des
tissus
malades, et qui n'ont eux-mêmes subi aucune altér
t à la pression et peuvent se conserver intactes dans le voisinage de
tissus
altérés ; on sait, en effet, que dans les abcès p
t est restée saine et fait obstacle à l'extension de la maladie. Le
tissu
cellulaire lui-même, en général agent de communic
corps étrangers qui en permettent impunément le séjour au milieu des
tissus
, soit que ces corps, étant de nature organisée, s
surfaces tégu-mentaires, ne forment enveloppe qu'à l'égard des autres
tissus
qu'elles préservent du contact des corps étranger
non organisâmes qui sont déposés dans l'épaisseur des organes ou des
tissus
, le pus, les matières tuberculeuse et colloïdes
nutrition, on conçoit comment au début ils se trouvent isolés par le
tissu
même dans lequel ils sont contenus. Ces matières
ue plus éloignée, et lorsque leur présence irritera mécaniquement les
tissus
, que les substances solides donneront lieu à des
t les pseudo-membranes, séreuses, muqueuses, etc., limitées dans leur
tissu
et devenant elles-mêmes une nouvelle couche isola
oïde, qui, de proche en proche, envahissent, par contiguïté, tous les
tissus
. Enfin, c'est dans les diverses transformations
ns organiques, et sont une cause perpétuelle d'irritation au sein des
tissus
. ANATOMIE DE COMMUNICATION INTER-ORGANIQUE. J
exact que par rapport aux fluides les plus aqueux, pour lesquels les
tissus
représentent des cribles ou des filtres de transm
al, la transmission des fluides s'opé-rant sans aucune altération des
tissus
, par le seul fait de la perméabilité. C'est ainsi
dernière, en particulier, il est commun de rencontrer les aréoles du
tissu
cellulaire déchirées; mais ce fait, consécutif à
e d'isolement, et ce n'est que consécutivement, par la destruction du
tissu
cellulaire, qu'elles peuvent s'épancher ou se dép
rméables, les gaz et les fluides aqueux, traversant avec facilité des
tissus
intacts, ne trouvent aucun obstacle à leur transm
, ne pouvant s'étendre que par une destruction plus ou moins lente du
tissu
cellulaire, exigeront pour leur epanchement un te
e se sont ouverts à la surface des voies aériennes par une fistule de
tissu
muqueux accidentel, intermédiaire de la profondeu
et à la résistance du ligament rond, qui sert lui-même d'insertion au
tissu
cellulaire fibreux. Enfin , la disproportion entr
ar l'extension de la cuisse, la gaine est doublée par une couche d'un
tissu
jaune élastique, qui augmente la résistance des v
é abdominale, par sa situation verticale, l'abondance et la laxité du
tissu
cellulaire sous-péritonéal, la texture et les usa
ace tégumentaire pour être expulsé au-dehors, en donnant lieu dans le
tissu
cellulaire à un trajet fistuleux qui, après un la
ces d'anévrismes ; pour les muscles, les ganglions lymphatiques et le
tissu
cellulaire, les abcès, les infiltrations, les kys
i commence le cuir chevelu. 2° Couche cellulo-graisseuse. Formée d'un
tissu
cellulaire dense et serré, renfermant une légère
d'un tissu cellulaire dense et serré, renfermant une légère couche de
tissu
adipeux, qui constitue l'ad-hérence intime de la
a peau avec les muscles sous-jacenset le péri-crâne. La densité de ce
tissu
explique l'isolement et la forme aplatie et globu
garnie d'un grand nombre de bulbes pileux et d'une petite quantité de
tissu
adipeux. 3° Muscles et aponévrose. La couche musc
érique des tumeurs du cuir chevelu, la résistance et l'enfoncement du
tissu
cutané accidentel qui forme les cicatrices. 2° Va
lateuses. Chez les vieillards, elle passe très facilc-mentà l'état de
tissu
érectile, en donnant lieu à diverses tumeurs qui
artères; mais, en outre, elles forment un lacis très abondant dans le
tissu
sous-muqueux; à l'extérieur, une grande veine sur
peau, elle se distingue par les glan-dulcs labiales, situées dans le
tissu
sous-muqueux. 6°Squelette. Il est constitué en ha
e est formée par la membrane muqueuse fine et lisse, adhérente par un
tissu
serré à l'aponévrose du buccinateur ; au milieu d
de chacune des deux lèvres ; au-delà de ces gouttières elle revêt le
tissu
gingival, et continue son trajet à la surface de
nthélix, du tragus et de l'antitragus, terminés inférieurement par le
tissu
érectile du lobule, et circonscrivant en commun l
ablation des tumeurs érectiles ou des cancers auxquels l'exposent son
tissu
dense et vasculaire, soit pour l'enlèvement des p
jeunesse, elle s'épaissit dans l'âge adulte par l'interposition d'un
tissu
adipeux très abondant chez les sujets obèses, où
mmet au menton. Profondément le peaucier adhère à l'aponévrose par un
tissu
cellulo-vasculaire lâche, trame des vaisseaux et
aire. 2° Couche sous-cutanée. Elle se compose de trois feuillets : le
tissu
cellulaire adipeux, le peaucier, et l'aponévrose
nte au milieu. Couche sous-cutanée. Trèsvasculaire, et doublée par un
tissu
fibreux formé de chaque côté par les expansions a
-cutanée. Elle est remarquable dans les deux sexes par l'épaisseur du
tissu
adipeux qui s'y rencontre. 3° Vaisseaux. Ce sont
éciale, est la véritable cause de l'extension par continuité, dans le
tissu
cellulaire, des affections cancéreuses, qui a si
ère; elle n'adhère au feuillet fibro-celluleux des muscles que par un
tissu
cellulaire assez lâche, et qui permet une grande
xture assez dense, elle s'imprègne néanmoins d'une grande quantité de
tissu
adipeux. 3° Couche musculaire. Elle est formée se
cal lui-même présente une texture différente, suivant les couches des
tissus
superposés. A la peau, la cicatrice a l'aspect d'
mailles les plus superficielles, remplies par une grande quantité de
tissu
adipeux, et constituant le pannicule sous-cutané
peau, couverte de poils épais dans les deux sexes, est doublée par un
tissu
cellulaire lamelleux à larges mailles, rempli par
lée par un tissu cellulaire lamelleux à larges mailles, rempli par du
tissu
adipeux, et dont l'épaisseur est de cinq à six li
ccidentelle de volume produite par l'érection, et mobile en raison du
tissu
cellulaire séreux très lâche qui l'unit aux tissu
mobile en raison du tissu cellulaire séreux très lâche qui l'unit aux
tissus
sous-jacens, condition nécessitée par les usages
deux enveloppes fibreuses cylinclroïcles, juxta-posées, renfermant le
tissu
érectile aréolaire, dit corps caverneux. Ces deux
r une membrane muqueuse, doublé par une couche ccllulo-fibreuse et un
tissu
spongieux qui prend en arrière une grande épaisse
erge se compose de deux plans : l'un superficiel, dont fait partie le
tissu
érectile du gland; l'autre profond, constitué par
en sensible, avec l'aponévrose superficielle du périnée. La couche de
tissu
cellulaire séreux qui unit les dartos au scrotum
cas de hernie peut embarrasser l'opérateur, en masquant l'aspect des
tissus
. C'est aussi dans cette couche que se développent
issus. C'est aussi dans cette couche que se développent les pèches de
tissu
séreux accidentel simples, niulti-loculaires ou e
duit excréteur ou canal déférent, les uns et les autres réunis par un
tissu
cellulaire délié sous l'enveloppe propre du cordo
èthre, séparé de la peau par le muscle bulbo-caverneux. C'est ce même
tissu
aminci qui forme, sous la moitié pénienne du cana
ce même tissu aminci qui forme, sous la moitié pénienne du canal, le
tissu
spongieux. Quant à sa direction, l'urèthre, placé
es sujets maigres, détermine une adhérence intime de la peau avec les
tissus
fibreux sous-jacens. La couche aponévrotique très
s anthrax que l'on y observe. 2° Couche cellulo-adipeuse. Formée d'un
tissu
cellulaire serré, elle se charge chez les sujets
e humaine. L'abondance des vaisseaux sous-cutanés qui rampent dans ce
tissu
, est la cause des phlegmons habituels que la dens
anthrax, des kystes de diverse nature et des phlegmasies variées : au
tissu
sous-cutané, des abcès, des lipomes. Profondément
eau : Fine, souple et peu adhérente. 2° Couche cellulo-adipeuse. D'un
tissu
lache, médiocrement fournie de graisse, elle n'of
ouche sous-culanée est garnie d'un coussin adipeux développé clans un
tissu
cellulaire très serré, qui fait adhérer très inti
nes et inter-phalangiennes. Elle adhère aux gaines tendineuses par un
tissu
cellulaire fibreux et adipeux de texture très den
leurs atroces du panaris. L'anastomose des uns et des autres clans le
tissu
pulpeux terminal constitue l'organe du toucher.
doit son extensibilité. Elle adhère en dessous à l'aponévrose par un
tissu
cellulaire lâche, dépourvu de graisse. L'aponévro
ndans chez les sujets bruns. La couche sous-cutanée est formée par un
tissu
cellulaire assez lâche, constituant un pannicule
en ce point. 2° Couche sous-cutanée. Adhérente aux aponévroses par un
tissu
cellulaire séreux très lâche, qui permet une gran
ventosa, et de diverses altérations fongueuses ou carcinomateuscs des
tissus
fibreux articulaires. Parmi les maladies réputées
rmée par un pannicule adipeux assez épais, la trame molle et lâche du
tissu
cellulaire séreux dans laquelle il est disposé, p
le périoste et l'os sous-ja-cent. 2° Couche sous-cutanée. Formée d'un
tissu
serré, qui établit l'adhérence de la peau à la ma
peau plus épaisse qu'en dedans, et fortement adhérente à l'os par un
tissu
cellulaire fibreux, est également unie à l'aponév
par un pan-nicule adipeux très épais, renfermé dans les mailles d'un
tissu
fibreux dense, qui unit fortement la peau épaissi
ement la peau épaissie au périoste et aux gaines des tendons. Dans ce
tissu
rampent de nombreux vaisseaux fournis par les bra
ières et plantaires. 3° Couche fibro-musculaire. Sur le calcanéum, le
tissu
fibreux se compose de lames plus rapprochées, mai
par la pression des chaussures. 2° Couche sous-cutanée. Formée par un
tissu
cellulaire séreux, la graisse, comme à la 1 Pla
bas avec les enveloppes tendineuses, elle adhère profondément, par un
tissu
très lâche, aux gaines des tendons. 4° Couche fib
p, lui donnent un aspect corné. 2° Couche sous-cutanée. Formée par un
tissu
1 Planche i, n"G3; cl planche 12. cellulaire
des plantaires, qui traversent l'aponévrose pour se ramifier clans le
tissu
adipeux. Les nerfs sont des filets fournis parle
taire et sur les faces latérales, la peau, très mince, sensible, d'un
tissu
très vasculaire, est garnie d'un grand nombre de
clans les chairs. 2° Couche sous-cutanée. Elle est constituée par un
tissu
cellulaire fibreux qui unit l'aponévrose aux gain
seau considérable , de corps étrangers introduits violemment dans les
tissus
ou dans les cavités des membranes muqueuses. 2°
et des ablations motivées par des altérations et des dégénérations de
tissus
. 3° Lorsque la terminaison fatale par épuisemen
bcès profonds, et en général des tumeurs variées sans dégénération de
tissus
: les varices , les hémorrhoïdes, les corps étran
al, on doit éviter toute opération pratiquée dans le premier âge, les
tissus
étant encore mous, l'enfant trop faible et diffic
tement approprié, (d) Lorsque la maladie, soit cancer, soit fongus ou
tissu
érectile, est de nature à faire supposer une cert
communs des opérations qui se pratiquent par-tout sans distinction de
tissus
; 20 Opérations générales, qui se pratiquent en vu
atiquent en vue d'un ou de plusieurs organes généraux élémentaires ou
tissus
; 3° Opérations spéciales, ou qui se pratiquent s
organiques, si ténues, qu'aucune d'entre elles, sans en excepter les
tissus
les plus grossiers, ne peut être réellement saisi
d'appliquer un tranchant sur une partie en appuyant avec lenteur, les
tissus
se refouleront pendant un certain temps, et forme
e de l'instrument dont on se sert. La consistance et l'élasticité des
tissus
n'ont pas une moindre influence sur la promptitud
ment, mis en jeu par une faible puissance, divisera immédiatement des
tissus
fermes et résistans, tandis qu'il faudra une forc
gré de tension beaucoup plus considérables pour inciser à travers des
tissus
flasques ou ramollis qui fuient au-devant du tran
te, le bistouri droit est très supérieur aux autres pour attaquer les
tissus
et faire des incisions d'une égale profondeur dan
cautions que réclament les incisions profondes, suivant la nature des
tissus
que l'on doit rencontrer. 3° Direction. Considé
aie puissent s'écouler facilement; en outre, en coupant à travers les
tissus
, il faut causer le moins de désordre possible. 11
marche de l'instrument. Nous avons vu que, sans cette précaution, les
tissus
flasques fuient sous la pression de l'instrument,
n'influent pas moins sur la pression à employer que la résistance des
tissus
sous-jacens. La peau fine des enfans, des femmes,
lus qu'avec ménagement et en n'intéressant qu'une faible épaisseur de
tissus
à la fois, dans la crainte de blesser des parties
chacpae coup une étendue considérable, en offrant successivement aux
tissus
le tranchant du bistouri du talon à la pointe. On
es intéresser, tandis que la pointe et le tranchant incisent clans le
tissu
cellulaire voisin. Pour pratiquer le même genre d
à la surface de la peau, de manière à n'inciser cette membrane et les
tissus
sous-jacens que couche par couche. Ce procédé est
ion, avec une pince à disséquer tenue de la main gauche on saisit les
tissus
à inciser, et on les soulève pour les isoler des
i du milieu vers la pointe, en conservant à la peau une partie de son
tissu
cellulaire L'instrument est tenu en sixième posit
On circonscrit par les incisions, puis on enlève paila dissection le
tissu
cutané accidentel qui forme ces cicatrices. inc
u en troisième position, le chirurgien incise de dehors en dedans les
tissus
jusqu'à la cannelure de l'instrument. Après la po
il faut, avant d'appliquer l'instrument tranchant, s'assurer qu'aucun
tissu
de cette espèce ne court le risque d'être intéres
e pour le bistouri, un denticule qui se promène parallèlement sur les
tissus
, et qui est, en chaîne continue, suivi de tous le
MM. Percy et Laurent en condamnent-ils l'emploi pour les sections de
tissus
résistans et très sensibles, tels que la peau. To
ployer cet instrument de préférence au bistouri dans les sections des
tissus
flasques, membraneux, et dépourvus de point d'app
l'indicateur, introduit entre les tranchans, facilite la section des
tissus
que l'on doit couper, en même temps qu'il écarte
de parties : il en résulte un mouvement de recul des branches; et les
tissus
, glissant en sens inverse, sont contus et dilacér
ont contus et dilacérés. Le même effet a lieu si l'on tire à soi, les
tissus
étant saisis entre les tranchans. L'on se garanti
t cependant un exemple. Plus fréquemment ces incisions se font sur le
tissu
cellulaire ou sur des aponévroses dans des cavité
atique : les doigts ou des pinces mousses saisissent et soulèvent les
tissus
, que l'on excise avec des ciseaux courbés sur le
par arrachement, c'est avec des ciseaux que se fait la rescision des
tissus
ligamen- 1 Planche 16, % 6. 1 IManrhe 16, fig y
re de l'incision proprement dite en ce qu'elle ne s'exerce que sur le
tissu
cellulaire et les adhérences ou les liens fibreux
ou tout autre organe important, on préfère isoler par la déchirure du
tissu
cellulaire, soit avec la sonde cannelée, la spatu
ations ayant déjà trouvé place dans les incisions. i° Dissection de
tissus
lâches. Si l'on opère largement à découvert sur d
s lâches. Si l'on opère largement à découvert sur des parties dont le
tissu
cellulaire est abondant et peu serré, le bistouri
it être tenu en première ou en troisième position. 2° Dissection de
tissus
adhérens. Le bistouri, en première position, ne p
emens fibreux à l'aponévrose sous-jacente, soit aux cicatrices et aux
tissus
indurés. Dans ce dernier cas, la portion de tis
icatrices et aux tissus indurés. Dans ce dernier cas, la portion de
tissu
déjà endurcie doit être englobée avec la masse de
n. Elle consiste à détruire couche par couche, par l'amincissement du
tissu
, la surface d'un os que l'on veut renouveler; ell
e, cette dernière suppuration doit entraîner au-clehors les débris de
tissu
cellulaire que le travail morbide a séparés de la
ité de l'abcès. Si, comme il survient fréquemment, quelques débris de
tissu
cellulaire ou des flocons fibrineux, en s'offrant
au-delà de leur force de cohésion. i0 Déchirure. On l'exerce sur le
tissu
cellulaire, sur des tissus minces, ou sur des bri
ohésion. i0 Déchirure. On l'exerce sur le tissu cellulaire, sur des
tissus
minces, ou sur des brides et des adhérences membr
l'indicateur de chaque main, qui saisissent ou pincent fortement les
tissus
et les tirent en sens contraire. C'est ainsi que
stinale et d'un sac herniaire. Mais lorsque l'espace est étroit et le
tissu
cellulaire dense et serré, un instrument solide e
pédicule inaccessible au toucher manuel ou instrumental, fixé sur des
tissus
fibreux ou osseux, et ordinairement très résistan
rs volumineuses encastrées profondément dans des canaux osseux et des
tissus
résistans : tel est le cas des polypes fibreux de
s d'un grand nombre de vaisseaux et de nerfs, et circonscrites par du
tissu
cellulaire qui peut être déchiré sans léser les p
des désordres qu'entraînent ces deux modes opératoires au milieu des
tissus
dilaceres , ils causent souvent d'atroces douleur
le cercle embrassé par le lien, et d'amener la chute par gangrène des
tissus
qu'elle sépare de la circulation générale; 2° par
t l'objet, indépendamment de la gangrène, est de couper lentement les
tissus
; la ligature, dans ce cas, agit en quelque sorte
rofondément dans une gouttière produite par la division commencée des
tissus
et recouvert par un bourrelet charnu. Dans certai
par des cercles concentriques de plus en plus étroits, la section des
tissus
. Deuxième procédé. — Fils métalliques. Il ne di
s, fongus hématodes, etc., gorgés d'une grande quantité de sang, d'un
tissu
mou et lâche, facile à déchirer, et dont la ruptu
très difficiles à arrêter. 3° Si, au contraire, la tumeur est d'un
tissu
dense et peu abreuvé de fluides, il est convenabl
faite, toute sensibilité cesse dans les parties qu'elle enferme ; les
tissus
, d'abord tuméfiés , se flétrissent et prennent la
certain volume qui pénètrent dans la tumeur, moins altérés dans leurs
tissus
, ils résistent comme des ligamens, et on est obli
ouleurs sont tolerables, si, par excès de volume ou de résistance des
tissus
, la circulation artérielle continuant seule à s'o
urgicale qui a pour but de détruire l'organisation et la vie dans les
tissus
. Cette propriété s'effectue par deux sortes d'age
la formation d'une escharre; c'est ainsi que l'on nomme la portion de
tissus
que les caustiques ont privée de la vie. Indica
cutanée des altérations artificielles ou fonticules ; i° détruire des
tissus
fongueux et cancéreux, et borner les progrès des
ons vitales dans les parties où elles languissent, et par exemple les
tissus
fibreux articulaires chez des sujets scro- VOL.
t difficile de préciser et de limiter leur action, outre que, sur les
tissus
fongueux ou œdémateux, leur mélange immédiat avec
uto-chlorure d'antimoine forme, dès l'instant de son contact avec les
tissus
, une escharre sèche et mince, floconneuse, d'un a
sseur au degré d'activité de la pâte elle-même et à la profondeur des
tissus
à détruire. Le caustique agit nettement dans les
ement ses effets pour détruire en une seule application une couche de
tissus
très épaisse, comme une plus superficielle. Cau
s suffit dans tous les cas pour détruire le corps de la peau jusqu'au
tissu
vasculaire sous-jacent. On recouvre le tout d'un
sur des tumeurs spongieuses d'un grand volume, la potasse réduit les
tissus
en un détritus noirâtre, humide et mou, qui s'enl
tendu en poudre, en une couche de peu d'épaisseur, il forme, avec les
tissus
qu'il détruit, une croûte qui se détache vers le
ition. Les corps métalliques fortement échauffés et appliqués sur les
tissus
pour en opérer la décomposition portent le nom de
main. Effets. La cautérisation par le feu détruit immédiatement les
tissus
en les carbonisant et donnant lieu au dégagement
s caries des os. Son action, ressentie au loin dans la profondeur des
tissus
, ranime avec beaucoup d'énergie leurs fonctions v
ation du feu est d'autant plus douloureuse que la désorganisation des
tissus
a lieu avec plus de lenteur, ou, en d'autres term
es parties malades; elle a pour effet une désorganisation brusque des
tissus
. Mais, pour obtenir ces résultats, il est nécessa
r au malade des douleurs inutiles. Pendant l'action d'un cautère, les
tissus
se crispent violemment et sont immédiatement conv
utérisation inhérente, par cela même qu'elle amène la destruction des
tissus
, est celle qui correspond aux indications les plu
rappeler la tonicité et d'activer la circulation capillaire dans les
tissus
. On voit que, par ses usages comme par son mode d
circulation capillaire, sans donner lieu à aucune désorganisation de
tissus
: en sorte que c'est improprement , et seulement
on recommence ainsi à plusieurs fois , de manière à produire sur les
tissus
, par une série d'excitations successives, et sans
mpression est cette action chirurgicale par laquelle on opère sur les
tissus
, à l'aide de divers moyens mécaniques, une pressi
n, un point d'appui pour la force, et une résistance qui est celle du
tissu
qu'il s'agit de vaincre, quel que soit l'objet qu
a compression continue, en gênant l'afflux des liquides, condense les
tissus
et diminue, à la longue, leur volume. Appliquée d
prolongée, elle en détermine l'amaigrissement ou même l'atrophie; les
tissus
fibreux deviennent plus secs, la fibre musculaire
que l'on doit enlever. Le mot ablation s'applique essentiellement aux
tissus
et aux parties vivantes plus ou moins affectées d
etc.; celles des kystes, des lipomes et de tumeurs variées. Quand les
tissus
altérés ont de nombreuses racines adhérentes aux
es. Quand les tissus altérés ont de nombreuses racines adhérentes aux
tissus
fibreux et aux os, qui exigent de longues recherc
s corps vulnérans et ceux qu'ils poussent au-devant d'eux au sein des
tissus
. Les procédés opératoires d'extraction , aussi
difficultés. Si le corps étranger est situé profondément au sein des
tissus
ou à une distance considérable dans l'un des cana
xécuter aux pinces un mouvement de rotation , pour s'assurer qu'aucun
tissu
ne se trouve engagé avec lui. 3° h'extraclion pro
lle constitue des opérations très différentes, suivant la densité des
tissus
. Poulies os, elle s'applique aux luxations, et, d
aciliter. L'art n'ayant aucune influence directe sur l'adhésion des
tissus
, l'action du chirurgien se borne à mettre les par
ture, les caustiques, ou , par tout autre moyen de division, tous les
tissus
pourvus d'une enveloppe ou enveloppes eux-mêmes,
e, et autant que le permet la composition organique des surfaces, les
tissus
similaires, l'adhésion étant toujours plus rapide
inira , quoique après un temps plus considérable, par se revêtir d'un
tissu
cutané accidentel. (c) Moyens unissans. Ils c
s liens comme corps étrangers ; la constriction et le déchirement des
tissus
dont le gonflement inflammatoire a diminué la rés
s nouer séparément. suture du pelletier. Employée autrefois sur des
tissus
de peu d'épaisseur, mais aujourd'hui tombée en dé
aps de temps parcouru , d'après les conditions diverses imprimées aux
tissus
par le contact des agens extérieurs. Comme fait l
embrane accidentelle, qui prendra peu-à-peu les propriétés d'abord du
tissu
muqueux, puis du tissu cutané. ACTIONS COMPLEXE
ui prendra peu-à-peu les propriétés d'abord du tissu muqueux, puis du
tissu
cutané. ACTIONS COMPLEXES PROPRES A UN GRAND NO
ïe peut se produire sur les surfaces libres ou dans la profondeur des
tissus
, et quant aux vaisseaux lésés, elle provient des
lable d'aucun vaisseau , des surfaces ou de la profondeur de tous les
tissus
très vasculaires, par le fait de la perméabilité,
lle qui est consécutive à une congestion sanguine, une altération cle
tissu
, ou qui suit la chute d'une escharre. Quant aux c
orsque le sang ne peut se foire jour au-dehors, il s'infiltre dans le
tissu
cellulaire avec une rapidité proportionnée à l'ét
ie du vaisseau et de sa gaîne d'enveloppe, au degré de résistance des
tissus
environnans, et au plus ou moins cle plasticité o
peut se borner à la gaîne vasculaire, ou , en dehors de celle-ci, au
tissu
cellulaire^d'enveloppe; elle peut, au contraire,
x. Bell admet que ce phénomène est dû à l'épanchement du sang dans le
tissu
cellulaire voisin. Le docteur Jones, qu'il faut
a fibrine forme la base, est, pour les artères, comme pour les autres
tissus
, le premier rudiment de la cicatrisation. Elle ex
, tandis que la lymphe s'épaissit et détermine l'adhérence des divers
tissus
. Cette adhérence prend , après huit ou dix jours
u profonde pour pouvoir être atteinte par pression ou refoulement des
tissus
; 2° le voisinage d'un point d'appui solide, soit
-à-dire l'oblitération des capillaires par aplatissement prolongé des
tissus
, dont le résultat est, à la longue, la formation
éfinitive par adhésion des parois vasculaires entre elles et avec les
tissus
voisins. De ces divers moyens hémostatiques, les
e l'art a été de restreindre graduellement, le nombre et le volume de
tissus
renfermés sous l'anse du lien. Quoique la ligatur
veines et nerfs, plus ou moins environné de lambeaux de muscles et de
tissu
cellulaire, et les liait en commun, dans la suppo
térieures, ce qui restreint à la seule tunique externe l'épaisseur de
tissu
comprise dans l'anse. Le procédé de lier les va
omprise dans l'anse. Le procédé de lier les vaisseaux environnés de
tissus
étrangers constitue la ligature médiate, distinct
isolé. La première offre de nombreuses chances d'accidens suivant les
tissus
compris avec l'artère : l'irritation spasmodique
ébite pour les veines; le retard apporté à la chute du fil, quand des
tissus
fibreux sont saisis ; enfin, inévitablement, pour
s fibreux sont saisis ; enfin, inévitablement, pour les muscles et le
tissu
cellulaire , une vive inflammation avec ramolliss
cellulaire , une vive inflammation avec ramollissement et section des
tissus
; de sorte que l'anse de fil, devenant promptement
ser, on espère rendre la ligature plus solide par l'interposition des
tissus
voisins : encore préfère-t-on, dans ce cas, dénud
sser le fil jusqu'à ce qu'il tombe de lui-même après la déchirure des
tissus
, est le seul procédé usité de tout temps jusqu'au
mblent pouvoir être abandonnées sans grand inconvénient au milieu des
tissus
; 3° la ligature temporaire, préconisée par Jones
onsidérable ; de sorte que chaque fois la ligature était faite sur un
tissu
déjà amolli et sécable, suivant l'expression de D
oin est d'étancher la surface de la plaie pour mettre à découvert les
tissus
coupés. En principe, le chirurgien devrait connaî
ou , en quelque sorte, feuilletant avec la pince ou le ténaculum les
tissus
qui masquent leur orifice. L'erreur ou l'oubli ne
recule point à en faire la ligature au milieu de quelques fragmens de
tissus
saisis dans la pince, ces vaisseaux ne pouvant do
e accroche et traverse les parois de l'artère seule, ou avec quelques
tissus
étrangers, suivant que le vaisseau est d'un plus
constitue une sorte de bouchon imperméable, adhérant par lui-même aux
tissus
, doit par cela seul être employée avec avantage p
on de l'écoulement sanguin, permet encore de détruire les portions de
tissus
malades qui auraient échappé à l'action de l'inst
avec une autre pince, tenue de la main droite, isoler le vaisseau des
tissus
environnans, en les refoulant vers la plaie; sais
eillée très anciennement pour les artères intercostales et celles des
tissus
ostéo-fibreux, elle est introduite sous T. VI.
nt de sang succède une exsudation de lymphe coagulable; puis, sur des
tissus
serrés déjà par la rétraction, survient le gonfle
ques. Les uns agissent sur la température et l'état hygrométrique des
tissus
; ce sont : l'exposition à l'air, les lotions et
rme des plaques solides très adhérentes qui blessent et arrachent les
tissus
, et sont une cause de récidive d'hémorrha-gie. La
rment en une masse à mille pointes solides, qui titille et irrite les
tissus
. Reste donc , pour le plus grand nombre de cas ,
ATIQUENT EN VUE D'UN OU DE PLUSIEURS ORGANES GÉNÉRAUX ÉLÉMENTAIRES OU
TISSUS
. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR L'ÉPIDERME ET
dans les parties très vasculaires , comme le nez, tourne à l'état de
tissu
érec-tile. On en obtient la guérison par ligature
Cette dernière circonstance a pour objet de modifier la vitalité des
tissus
devenus presque toujours fongueux. Le premier app
ère et son inclinaison en bas sont utiles pour empêcher le retour des
tissus
attirés vers l'ongle par la cicatrice. Dans les p
ssez chirurgical, le chirurgien n'étant pas certain de l'épaisseur de
tissu
qu'il enlève. Enfin, par un troisième procédé p
avec la couronne dans la cavité alvéolaire en repoussant en dehors le
tissu
gingival qui devient fongueux en même temps que l
c) Quand une surface se présente dégarnie d'émail ou amollie dans son
tissu
, laisser une légère couche tartreuse qui préserve
e dans son tissu, laisser une légère couche tartreuse qui préserve le
tissu
du contact de l'air, et dans tous les cas ne pas
la cautérisation sur les dents a les mêmes effets que sur les autres
tissus
. Par son action chimique, elle est plus sûre, plu
pour atteindre la pulpe dentaire et pour désorganiser une'portion du
tissu
gingival altérée. La cautérisation s'emploie seul
n'agissent que sur la sensibilité, mais qui ne désorganisent pas les
tissus
. Les caustiques liquides ou diffluens comme la po
ureuse et trop lente; 20 souvent leur effet chimique s'épuisantsur le
tissu
osseux offense la pulpe dentaire sans la détruire
scence; 3°enfin, leur action, difficile à limiter, s'étend parfois au
tissu
gingival. Pour toutes ces causes le cautère actue
ertir en un corps étranger une dent cariée ou une dent saine dans son
tissu
, mais depuis long-temps affectée d'une névralgie
gère suppuration qui se supprime après quelque temps. A la longue, un
tissu
cutané accidentel tapissant le court trajet fistu
t les saillies osseuses et tendineuses et les parties peu pourvues de
tissu
cellulaire. Par-tout le lieu d'élection est le po
ssive du feu se faisant sentir jusqu'à une grande profondeur dans les
tissus
voisins. Il s'ensuit (pie l'on ne saurait l'appli
l'on pratique avec l'instrument tranchant à la peau et au travers du
tissu
cellulaire, et dont on entretient la suppuration
ations spéciales. La certitude qu'il offre d'agir profondément suides
tissus
variés et cle provoquer une sécrétion cle pus tou
est qu'une piqûre bornée en profondeur à l'épaisseur de la peau et du
tissu
cellulaire sous-jacent. La scarifiai cation est
e sur la peau, avec une pression modérée , suffisante pour tendre les
tissus
, mais pas assez forte pour faire obstacle à la ma
chéant, on ne peut s'empêcher d'admirer cet artifice, qui permet à un
tissu
vivant de cheminer d'un lieu à un autre, et lui t
est à-la-fois mobile en niasse et adhérente par sa face interne à des
tissus
très vasculaires, comme à la face , offre, par ce
on des lambeaux n'est nullement à craindre, leur adhérence avec les
tissus
sous-jacens étant conservée dans la plus grande p
MALES. La cicatrice cutanée, dans son premier état, se compose d'un
tissu
vasculairemoLi et rénitent, recouvert d'une pelli
nce, incolore en lui-même, mais qui paraît d'un rouge vif, couleur du
tissu
sous-jacent qu'il laisse voir en transparence. A
aissit, devien tplus solide, lisse, unie, et se convertit enfin en un
tissu
dense, à surface inégale, insensible, d'un blanc
e, on la trouve formée, sous un mince épiderme, par un magma fibreux (
tissu
modulaire, Delpech), composé de mailles, de floco
réunion spontanée des plaies avec perte de substance. Mais ce nouveau
tissu
étant privé d'élasticité, la cicatrice qui en est
e de la rétraction continuant d'agir, en quelque sorte avec excès, le
tissu
accidentel se resserre de plus en plus, attire ve
e plus en plus, attire vers lui les tégumens voisins et, par eux, les
tissus
sous-jacens qui y adhèrent. Il fixe ainsi à jamai
us probable que la peau a été plus complètement désorganisée dans son
tissu
, et que la plaie a été suivie de suppuration abon
vrisme des capillaires de Dupuytren ) qui tend à envahir sur tous les
tissus
voisins et à les convertir en sa propre substance
u divers appareils contentifs. Si la souplesse et l'extensibilité des
tissus
permettent d'obtenir du premier coup tout l'effet
la cicatrisation avec l'écartement convenable. Si, au contraire, les
tissus
sont denses et inextensibles, on se contente de m
mier lieu l'appareil à extension, et, pour augmenter la souplesse des
tissus
, les embrocations , les douches et les diverses a
à la base même du pli, attend que la fistule se soit organisée en un
tissu
cutané accidentel, et, clans un temps ultérieur,
dans les variétés de pied-bot, de couper à la fois les tendons et les
tissus
fibreux qui font rétraction dans un même sens : s
e des récidives, si fréquentes, une section commune de la peau et des
tissus
fibreux, dans toute la largeur, serait préférable
réel sur le procédé de Dupuytren , en détruisant l'union, en un seul
tissu
, des deux membranes fibreuses, la nouvelle adhére
icielles très étendues, intéressant à-la-fois le corps de la peau, le
tissu
adipeux et vasculaire, l'aponévrose d'enveloppe e
se faire que par une sorte de couture fibreuse en commun de tous les
tissus
intéressés; les muscles et les tendons, dépouillé
de leurs lésions propres, celles où ces organes sont irrités par les
tissus
voisins ; ex. : les névralgies persistantes, avec
ncipale au-dessus de tous les rameaux douloureux. 2°Isolerle nerf des
tissus
voisins en le dénudant, puis, la partie étant mis
es d'indications. Ou bien l'on ne veut que produire un engorgement du
tissu
cellulaire avec rubéfaction de la peau ; la vento
ibre du vaisseau : il faut inciser au-dessous. 3° L'extrême laxité du
tissu
cellulaire environnant, assez commune chez les su
l'incision, le parallélisme est détruit et le sang s'infiltre dans le
tissu
cellulaire. Pendant ce temps l'autre main, par de
ide se coagule, bientôt à l'orifice de la plaie et s'infiltre dans le
tissu
cellulaire.—Une large ouverture, au contraire, es
ez vaguement et sans aucune preuve, cet effet à un état de spasme des
tissus
, 'fou-jours est-il qu'avec quelques petits coups
aire externe. A sa face externe, elle est recouverte par la peau , le
tissu
adipeux et le muscle peaussier. Par sa face inter
te espèce de dégorgement ne peut être facilement obtenue que pour des
tissus
situés à la périphérie, soit comme extrémité, soi
n, une incision d'un pouce d'étendue; après avoir divisé la peau , le
tissu
adipeux et la gaine aponévrotique d'enveloppe de
pression une inflammation adhésive. Pour éviter la mortification des
tissus
, ce chirurgien n'exerce qu'une pression modérée e
ulcères variqueux sont compliqués de fongosités, surtout lorsque les
tissus
fibreux sous-jacens sont intéressés. Mais la caut
étendue. La première application ne détruit que la peau et un peu de
tissu
cellulaire, etn'empêche pas l'ondulation du sang
d'une anomalie imprévue, le chirurgien se trouve égaré au travers des
tissus
, et ne trouve pas le faisceau vasculaire, au lieu
econdes pour absorber le sang et nettoyer complètement la surface des
tissus
, puis reconnaître la position de l'artère par rap
e veine est facile à reconnaître à sa couleur et à la mollesse de son
tissu
, mais il n'en est pas de même d'un gros nerf : so
mens au-dessous, et par l'élasticité et les caractères anatomiques du
tissu
, que c'est bien l'artère elle-même qui est saisie
du premier coup la peau dans une longueur de six centimètres, puis le
tissu
cellulaire et l'aponévrose dorsale ; guidé par le
ée, introduite dans le sillon, séparer les muscles, par la rupture du
tissu
cellulaire, en promenant nettement la sonde dans
atoire varient dans chaque point, suivant l'épaisseur et l'espèce des
tissus
. Ces considérations se résument sur trois parties
une longueur de cinq centimètres ; diviser à plat avec précaution le
tissu
cellulaire fibreux sous-cutané, au-dessous duquel
ait ou en deux fois suivant le lieu de la piqûre. Une couche mince de
tissu
adipeux se présente et au-dessous d'elle le feuil
nerfs et les écarter en dedans avec la sonde, puis écarter au delà le
tissu
graisseux qui existe dans une épaisseur de quelqu
continuer avec la sonde cannelée. D'abord se présentent une couche de
tissu
adipeux d'environ un centi mètre, puis le tronc
e muscle, et fortifié dans sa gaîne par une aponévrose épaisse que du
tissu
jaune rend extensible; tandis qu'à son quart infé
ite l'aponévrose fémorale superficielle: au-dessous est une couche de
tissu
cellulaire fibreux entremêlé de ganglions et de g
entremêlé de ganglions et de gros vaisseaux lymphatiques; écarter ce
tissu
avec le bec de la sonde dans l'étendue de la plai
ussi qu'en raison de la texture serrée de la main, du grand nombre de
tissus
qui s'y rencontrent et de la fréquence des anasto
t en dedans : toutefois cette précaution n'est utile qu'autant que le
tissu
cellulaire ambiant, très lâche, permet le déplace
mens avec ceux du bec de la sonde cannelée, pour rompre et écarter le
tissu
cellulaire lâche qui unit les vaisseaux entre eux
r, les parties que l'on rencontre en incisant sont : i° la peau et le
tissu
cellulaire sous-cutané, 20 l'aponévrose cervicale
anche de communication que lui envoie la céphalique; 3° une couche de
tissu
cellulaire remplie par les ganglions et les vaiss
faire tirer ce muscle en haut et en dehors, puis rompre et écarter le
tissu
cellulaire et les vaisseaux et ganglions lymphati
Alors, en se servant de l'indicateur gauche connue guide, écarter le
tissu
cellulaire avec la sonde jusque sur le vaisseau
n crochet mousse, puis avec le doigt et le bec de la sonde diviser le
tissu
cellulaire en écartant les ganglions lymphatiques
le bec de la sonde cannelée et le doigt indicateur gauche, rompre le
tissu
cellulaire sur le bord du sterno-thyroï-dien et é
igne, qu'il fait tomber sur le sterno-byoïdien. Au reste, écartant le
tissu
cellulaire en dehors pour retrouver le sterno-thy
arter avec le doigt le sillon vasculaire et rompre avec ménagement le
tissu
cellulaire avec le bec delà sonde. En premier lie
venu ainsi sur l'extrémité inférieure de la carotide et écartant le
tissu
cellulaire plus bas, arriver sur le tronc braehio
ne peut pas s éloigner assez du lieu de la lésion pour opérer sur un
tissu
véritablement sain. L'artère iliaque externe, a
gauche du vaisseau, par de légers mouvemens de va-ct-vient écarta le
tissu
cellulaire et la veine cave, lit glisser le doigt
parallélisme'est détruit et le sang s'épanche et s'infiltre entre les
tissus
. Ce dernier accident est ce que l'on appelle anév
convient de donner issue au sang épanché. Le liquide infiltré dans le
tissu
cellulaire inter-organi-que donnant lieu à de nom
atures ordinaires sur un lieu sain, l'état d'induration chronique des
tissus
et les adhérences nombreuses causées par la malad
ané-vrismale, à mesure qu'elle se dilate, s'amincit, et avec elle les
tissus
qui l'environnent et qu'elle distend outre mesure
e le tronc artériel Comprimé par la résistance ou la rétraction des
tissus
environ-nans commence préalablement par s'oblitér
ovoquée par le corps étranger qui amène la division et la rupture des
tissus
: restent donc les deux formes de ligature tempor
Hodgson, de Renzi, Cumin) : du reste elle peut être laissée dans les
tissus
, mais elle ne s'y absorbe pas. 20 L'intestin de c
d'une sonde, algalie ou stylet. Isoler l'artère des veines, nerfs et
tissus
voisins, l'environner par la ligature, puis faire
ction. En principe, comme l'essentiel est d'opérer sur un point ou le
tissu
de l'artère soit parfaitement sain, dans l'anévri
orps étrangers dont la substance est inaltérable s'enkystent dans les
tissus
et peuvent y rester inoffensifs. Il serait à dési
dire, une artère étant dénudée comme pour la ligature, sans léser son
tissu
, la comprimer sur une épingle par la suture entor
tion du procédé d'Anel. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT AU TRAVERS DES
TISSUS
OU DANS LES ESPACES CELLULEUX INTER-ORGANIQUES.
UES. Les opérations qui se pratiquent dans la profondeur des divers
tissus
répondent à des indications très variées. Trois o
s étrangers, les abcès, les kystes, les tumeurs par hypertrophie d'un
tissu
naturel et celles caractérisées par la dégénéresc
d'un tissu naturel et celles caractérisées par la dégénérescence des
tissus
. PROCÉDÉS OPÉRATOIRES APPLICABLES AUX NÉVROSES
trempe un peu dure. L'aiguille posée est laissée à demeure dans les
tissus
pendant un temps plus ou moins considérable. Pour
ille ou à petits coups, l'aiguille s'insinue par écartement entre les
tissus
sans donner lieu à aucun des accidens des piqûres
à traverser impunément non seulement la peau et les muscles, mais le
tissu
même des viscères à toute profondeur. Quelle que
s commun que l'introduction de corps étrangers dans la profondeur des
tissus
, qu'ils y aient été lancés comme projectiles par
iquant une ouverture. Enfin il n'est pas rare que, la sensibilité des
tissus
s'habituant à sa présence, ces tissus s'en isolen
as rare que, la sensibilité des tissus s'habituant à sa présence, ces
tissus
s'en isolent par un dépôt albumineux et l'environ
ordres. i° Les uns arrondis, cuboïdes ou pelotonnés, fichés dans les
tissus
, ne laissent aucune prise à l'extérieur : tels so
corps étranger, de forme irrégulière, est fiché ou arc-bouté dans les
tissus
et recouvert ou bridé de manière à ne pouvoir êtr
attendre, douze ou quinze jours, que l'inflammation , ayant amolli le
tissu
, rende l'extraction plus facile. Extraction de
le calcul,en tenant compte de la résistance causée par les os ou les
tissus
fibreux, de la direction variée ou quelquefois tr
t souvent utile d'inciser même sur une balle qui s'est logée dans les
tissus
et s'y trouve comme enchatonnée. 3° Si une ball
ration, qu'il n'en reste pas encore quelque portion engagée entre les
tissus
lésés. ABCÈS. On comprend sous le nom d'abcès
à la suite d'un flegmon un abcès de peu d'étendue s'est formé dans le
tissu
cellulaire sous-cutané, il convient de lui donner
re, cette dernière suppuration doit entraîner au dehors les débris de
tissu
cellulaire que, dans la plupart des cas, l'inflam
l'instrument doit être telle qu'il pénètre très obliquement entre les
tissus
. On le retire aussitôt que l'écoulement du pus in
ité de l'abcès. Si, comme il survient fréquemment, quelques débris de
tissu
cellulaire, en s'offrant à l'ouverture, empêchent
indique que l'abcès est séparé de la peau par une grande épaisseur de
tissus
, la division ou l'écar-tementdes couches qu'il fa
es manœuvres ou procédés secondaires. i° Division ou écartement des
tissus
. Armé d'un bistouri convexe, diviser plan par pla
musculaires et s'y frayer un trajet suffisant en déchirant un peu le
tissu
cellulaire avec le bec de la sonde cannelée, le m
e, le manche d'une spatule ou d'un scalpel, ou même le doigt quand ce
tissu
, atteint par l'inflammation, est devenu sécable.
ntermédiaires. Après l'incision cle la peau et de l'aponévrose ou des
tissus
les plus résistans, s'il y a du danger à aller pl
gnostic ait établi précisément la nature de la maladie et l'espèce de
tissu
affecté. Mettant à part les maladies causées par
et parfois plus profondément, sur les aponévroses d'enveloppe et les
tissus
fibreux ou même sur les os. Toutefois si l'on a l
ment et avec force, pour étrangler immédiatement les vaisseaux et les
tissus
vivans. — Excision. Saisir d'une main la tumeur a
une enveloppe qui passe par tous les degrés de consistance, depuis le
tissu
cellulaire jusqu'au tissu fibro-cartilagineux. A
r tous les degrés de consistance, depuis le tissu cellulaire jusqu'au
tissu
fibro-cartilagineux. A l'intérieur ils sont rempl
inge pour faciliter la préhension, puis tirer dessus pour déchirer le
tissu
cellulaire, en aidant à cette manœuvre par la pre
lle suppure d'abord, puis s'exfolie, se durcit et se transforme en un
tissu
cutané accidentel qui se resserre peu à peu et fi
eu et finit par former une cicatrice de peu d'étendue. 2° Kystes du
tissu
cellulaire. Remplis de liquides variés, séreux, m
enveloppes; c'est-à-dire que les uns étant contenus dans une poche de
tissu
séreux ou muqueux accidentel, d'autres, au contra
es, au contraire, à peine circonscrits, ne sont environnés que par un
tissu
cellulaire lâche, formant une couche mince et fac
enir la déchirure du kyste et l'épanchement diffus du liquide dans le
tissu
cellulaire ambiant, pour en augmenter la surface
meurs graisseuses, ou lipomes, formées par une hypertrophie locale du
tissu
adipeux, l'un des plus abondans et des plus génér
lus fréquens et plus volumineux, dans telle région déterminée, que le
tissu
adipeux y est plus abondant et, par une coïnciden
su adipeux y est plus abondant et, par une coïncidence nécessaire, le
tissu
cellulaire plus lâche et les tégumens plus flasqu
es épais ou nombreux présentent de larges espaces que remplissent les
tissus
cellulaire et adipeux, c'est à dire à l'épaule et
la dissection elles paraissent d'une teinte grisâtre et formées d'un
tissu
fibreux élastique. Le plus souvent enkystées par
ormées d'un tissu fibreux élastique. Le plus souvent enkystées par le
tissu
cellulaire épaissi, parfois elles se confondent a
par le tissu cellulaire épaissi, parfois elles se confondent avec les
tissus
voisins auxquels elles adhèrent. Leur volume est
ns mêlés et confondus dans une même masse; 2° de tendre à envahir les
tissus
voisins qu'elles convertissent indistinctement en
t où le désordre est produit, d'enlever au delà du mal, à travers des
tissus
sains, du moins en apparence, pour éviter autant
toires. Lathérapeutiquechirurgicaledestumeursavecdégénérescence des
tissus
comprend toutes les méthodes connues dont l'objet
n usage par M. Cumin, a pour objet de changer le mode de vitalité des
tissus
. L'auteur conseille d'attaquer la tumeur par un g
remiers jours a produit un affaissement rapide et une flétrissure des
tissus
qui a pu quelquefois donner des espérances de gué
achever d'exprimer le sang contenu dans les canaux ou les aréoles du
tissu
vasculaire. Dès que, par cette pression, la tumeu
au contact multiplié d'un corps étranger d'ajouter l'étranglement des
tissus
. Ce procédé est né de la ligature en niasse, dont
s aiguilles d'acier, qui en outre se cassent facilement au milieu des
tissus
. Les épingles doivent être très longues, de maniè
peu fort, afin qu'elles aient assez de résistance pour traverser les
tissus
; outre que trop déliées elles ne détermineraient
ne inflammation assez étendue. L'objet de l'auteur, en attaquant un
tissu
composé par une intrication de vaisseaux ou d'ans
ique, dont les fils n'interceptant que des espaces très étroits , les
tissus
qui s'y trouvent renfermés ne peuvent échapper à
les chances d'inflammation en contrariant la disposition imprimée aux
tissus
, insinue un nouveau plan d'épingles dans une dire
peindre l'activité funeste avec laquelle la maladie envahit tous les
tissus
, même les plus durs, et les convertit en sa propr
cautérisation; mais, pour que ce moyen soit efficace, il faut que les
tissus
altérés n'aient pas une grande épaisseur. On ne p
eut atteindre (ex. fosses nasales), soit des racines adhérentes à des
tissus
fibreux : mais en pareilles circonstances l'extir
par ce praticien et par M. Hening, et qui consiste à en dilacérer le
tissu
avec une aiguille à cataracte dont on promène la
atteindre. En général, pour toutes les tumeurs avec dégénérescence de
tissu
, le chirurgien devant s'attendre à rencontrer de
s vaguement circonscrite, il ne s'a-git pas seulement de l'isoler des
tissus
voisins, ces tissus, quoique sains en apparence,
rite, il ne s'a-git pas seulement de l'isoler des tissus voisins, ces
tissus
, quoique sains en apparence, participant au conta
du tranchant. 4° Si la tumeur est située profondément et adhère aux
tissus
fibreux et aux os, on doit enlever les uns et, si
du moins les entamer et les ruginer profondément, jusqu'à ce que leur
tissu
paraisse intact. L'impossibilité d'observer franc
issent quelquefois par s'emboîter assez exactement. Le périoste et le
tissu
cellulaire environnant se condensent, s'épaississ
TENT. INSTRUMENS DE DIVISION DES OS (pl. 53 et 55 ). La dureté du
tissu
osseux exige des instrumens spéciaux pour le divi
es; tous les autres, à tranchant simple, se frayent une route dans le
tissu
osseux en écartant et en disjoignant par la press
outre les accidens auxquels pourrait donner lieu leur déchirure, les
tissus
, se trouvant mâchés par l'action de l'instrument,
scie en avant et on l'abandonne à son propre poids en la retirant. Le
tissu
de l'os se trouve ainsi divisé par une série de m
ar la scie; les gouges plates ou concaves qu'on fait pénétrer dans le
tissu
des os à l'aide d'un maillet de fer ou préférablc
cipalement destinées à enlever des tumeurs osseuses, ou à sculpter le
tissu
spongieux des os pour y poursuivre les restes d'u
coïncidence de ces divers accidens à un haut degré, lorsque tous les
tissus
ont été dilaceres, ce qui n'arrive guère que dans
de fractures non consolidées. Tantôt les fragmens sont réunis par un
tissu
fibreux intermédiaire, c'est le cas le plus commu
à couper les parties molles incomplètement divisées et mettre à nu le
tissu
fibreux intermédiaire aux deux fragmens. Alors il
x bouts de l'os ayant été préalablement mis à découvert, on divise le
tissu
fibreux qui les unit et on frotte chaque fragment
indre de potasse caustique en ayant soin qu'il n'en tombe pas sur les
tissus
environnans. On juge que la cautérisation est suf
rtilagineuse qui recouvre les fragmens et à cautériser ensuite sur le
tissu
osseux lui-même. 7° Acupuncture. Procédé de M.
oint essentiel, d'après l'auteur, est que ces aiguilles traversent le
tissu
fibreux qui sépare les deux bouts de l'os. Quoiqu
i communiqua un mouvement de rotation pour la faire pénétrer clans le
tissu
de l'os. Lorsque le cal fut perforé, il poussa l'
e. nécrose (pl. Si, 52 et 54). La nécrose est la mortification du
tissu
osseux. Dès qu'un os est frappé de nécrose en tot
e, prend le nom de séquestre. A l'état de corps étranger au milieu de
tissus
vivans, le séquestre provoque une suppuration len
e (pl. 54, fig. 10 à i3). On a caractérisé la carie l'ulcération du
tissu
des os. Cette définition très générale est encore
te. Le mode de formation de la carie consiste dans une résorption d u
tissu
osseux avec hypertrophie de l'élément vasculaire,
à en mettre largement à nu toute la surface jusque sur les limites du
tissu
sain, on enlève d'abord par excision, avec les ci
e la surface jusqu'à ce que la dureté, la couleur et l'homogénéité du
tissu
osseux indiquent que l'on a atteint la limite du
rritantes que caustiques, qui, sous le vague prétexte de deterger les
tissus
, au lieu de détruire la carie ne font que hâter s
: peut-être se liquéiie-t-elle trop prora-ptement par l'humidité des
tissus
. .T.-L. Petit employait le nitrate acide de mercu
tiques liquides est qu'ils s'étendent sur les surfaces, attaquent les
tissus
voisins, et n'agissent pas assez en profondeur. L
rement la portion de l'os altérée jusqu'au delà de ses limites sur le
tissu
sain. Quant aux grandes résections qui intéressen
s enfoncement, 2° toutes les fois qu'il existe une forte attrition du
tissu
des os, 3° dans tous les cas où la dure-mère a ét
amputations fractionnées qui consistent à isoler et à extraire de nos
tissus
une portion plus ou moins considérable d'un ou de
ana-tomico-pathologiques locales, puisque le chirurgien opère sur des
tissus
malades, le genre d'altération qui en réclame l'e
n règle générale, toutes les fois qu'il existe une maladie limitée du
tissu
osseux, ou de ses annexes, qui, par sa nature, es
r exemple, on opère un sujet encore plein de vigueur, la tonicité des
tissus
, la contraction convulsive des muscles qu'on écar
ades affaiblis par des altérations chroniques , dans l'induration des
tissus
environnant l'os malade. Ces résistances rendent
s de même après les résections : des lambeaux tiraillés, pris sur des
tissus
altérés plus ou moins profondément; une plaie irr
et, la dégénérescence graisseuse des os, la vitalité moins grande des
tissus
environnans, qui rendent quelquefois la formation
flammation est en général modérée et la guérison plus rapide. Dans le
tissu
spongieux des extrémités articulaires, ou dans le
ion possible pourvu que les chairs fussent vivantes. Cependant si les
tissus
indurés, lardacés et labourés par des trajets fîs
nlèvera ce qui est altéré avec la gouge et le maillet en sculptant le
tissu
osseux; car la première loi est d'emporter complè
s les fractures des phalanges. A mesure que la cicatrice se forme, un
tissu
ostéo-fibreux réunit les deux bouts de l'os d'une
n'est qu'un certain temps après la cicatrisation qu'il se produit un
tissu
dense ostéiforme capable de maintenir le doigt et
le clos de la main. Par ce moyen, les os étant mis à nu et isolés des
tissus
en-vironnans, on pratique d'un seul trait de scie
les le procédé de M. Dubled mérite la préférence. Si l'induration des
tissus
ou l'étendue de la carie nécessitait des débridem
issection du lambeau cutané, d'isoler avec soin le cordon nerveux des
tissus
fibreux qui le fixent en dedans de l'olécrane, et
la gangrène peut facilement s'emparer s'il a été taillé aux dépens de
tissus
indurés et privés de vitalité, comme cela arrive
qu'avec peine qu'il parvint, avec le manche du scalpel, à isoler des
tissus
malades la veine sous - clavicre et même le can
grande faiblesse dans les mouvemens du bras, malgré la présence d'un
tissu
ostéo-fibreux qui, après la guérison, tend à remp
se prolongeait dans le corps de l'os, il conviendrait de sculpter son
tissu
avec la gouge et le maillet afin de conserver, en
lequel le talon trouvera un appui beaucoup plus convenable que sur un
tissu
de cicatrice. RÉSECTION DE L'ARTICULATION TIBIO
gangrène qui s'en empare d'autant plus facilement que la vitalité des
tissus
se trouve plus affaiblie par des altérations chro
n transversale passant au-dessous de la rotule et traversant tous les
tissus
jusqu'à l'articulation. Un lambeau quadrilatère a
ieure et externe de la cuisse une grande incision qui divise tous les
tissus
jusqu'à l'os. A travers les lèvres de la plaie co
eur du lambeau, reprennent leurs fonctions après la cicatrisation des
tissus
: plus d'une fois M. Dieffenbach a eu occasion de
limitée en dedans par la cloison des fosses nasales, en dehors par le
tissu
cel-lulo-graisseux de la joue, en haut par les mu
de l'œil, dont les insertions orbitaires ont été divisées, et par le
tissu
adipeux de l'orbite. Pansement (pl. 64, fig- 4)
ou liées et la partie convenablement nettoyée, on laisse dégorger les
tissus
pendant une demi-heure ou une heure; précaution n
e l'os hyoïde, son incision, qui n'intéressera plus que la peau et le
tissu
cellulaire. Deux lambeaux, l'un à droite, l'autre
t en fournissant ainsi, pour protéger les os, une grande quantité cle
tissus
. Dans ce cas on peut très bien, après avoir remon
méthode circulaire, soit dans la méthode à lambeaux, la longueur des
tissus
à conserver doit être calculée sur le diamètre de
urface à recouvrir, en ajoutant la somme de rétractilité de ces mêmes
tissus
. La méthode à lambeaux ne se prête pas à une ap
entes vers la racine du membre est donc spécialement favorisée par le
tissu
cellulaire et les gaînes des vaisseaux. Les inter
ions rétrogrades de Botal pour l'amputation dans les épiphyses et les
tissus
spongieux. Sharp a précisé nettement cette opér
s, les muscles se présentent groupes en deux couches séparées par clu
tissu
cellulaire qui entraîne la formation de fusées pu
ue du rapprochement et du peu de volume des os; la peau, doublée d'un
tissu
cellulaire lâche mais abondant, et assez bien pou
souvent intarissable, des chances de résorption, de l'inflammation du
tissu
aréolaire des os, en grande partie spongieux, et
art, des cloisons d'isolement extrêmement fortes, et, d'une autre, du
tissu
cellulaire lâche et abondant, qui sépare les dive
ction de la peau demande des ménage-mcns, pour ne pas trop lacérer le
tissu
cellulaire du creux proplité; la section des chai
e marquée qu'à la région poplitée : elle est quelquefois doublée d'un
tissu
adipeux très abondant, qui gêne le manuel opérato
tions dans la continuité, en ce qu'elles mettent en jeu deux nouveaux
tissus
, le séreux synovial et le cartilagineux, dont l'i
s son Mémoire sur les désarticulations M. Lisfranc a démontré que des
tissus
engorgés pouvaient très bien servir à la confecti
cher au travers de la peau. Enfin, lorsqu'il y a engorgement dans les
tissus
, on parvient à le reconnaître en fléchissant le d
aire relever par un aide, diviser d'un second coup les tendons et les
tissus
fibreux jusqu'à la phalange, ouvrir l'articulatio
e incision divise du premier coup la peau, les ligamens et les autres
tissus
fibreux. Fléchir alors un peu la jambe, diviser a
OMMUNS DES OPÉRATIONS qui se pratiquent partout sans distinction de
tissus
. Page 68—100. Sections et théorie microscopiq
atiquent en vue d'un ou de plusieurs organes généraux élémentaires ou
tissus
. Page 110. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR L
males, 129—131. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LES MUSCLES ET LES
TISSUS
FIBREUX. Page 131—135. Section du peaucier, 1
ens en essai, 185, 186. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT AU TRAVERS DES
TISSUS
OU DANS LES ESPACES CELLULEUX INTERORGANIQUES.
enflement ou bouton. L'absence d'une pointe qui aurait pu blesser les
tissus
est particulière à cet instrument, destiné à inci
le des petites artères. Figure 1). Séton formé par une lanière d'un
tissu
animal passée au travers d'une artère, suivant le
servation nécroscopique prouve à quel point la disposition morbide du
tissu
artériel était au-dessus des ressources de l'art.
emi d'épaisseur. La tunique moyenne, blanchâtre, offre l'apparence de
tissu
fibreux. Il n'existe nulle part de plaques crétac
lexueuses et d'un grand volume, qui descendent dans l'épaisseur des
tissus
fibreux et vont se jeter, par deux embouchures, d
avec le bec d'une sonde cannelée, tenue de sa main droite, déchire le
tissu
cellulaire, en continuant d'écarter pour mettre à
e de face, opérant en sens inverse. c. Sonde cannelée, déchirant le
tissu
cellulaire séreux inter-muscu-laire. FIGURE 4.
chire longitu-dinaleinent, par de petits mouvemens de va-et-vient, le
tissu
cellulaire qui unit l'artère à sa gaine. Dans ce
is. — 3. Section de l'aponévrose fémorale. — 4. Section de la lame de
tissu
fibreux élastique qui double la gaîne. —5. Sectio
n a liée ou tordue, et déjetée du milieu de la plaie. 5. Section du
tissu
fibreux jaune qui fortifie la gaîne des vaisseaux
dipeux de l'os des îles dans la calotte articulaire du fémur, dont le
tissu
aréolaire est raréfié. Ce cas offre un exemple
s. Elle offre un bel exemple d'une sorte d'hypertrophie spongieuse du
tissu
osseux converti en une masse de canaux aréolaires
su osseux converti en une masse de canaux aréolaires, qui rappelle le
tissu
érectile des parties molles, et semble n'en être
ntérieur, vide à l'état squelette, était rempli à l'état frais par un
tissu
fongueux entrecoupé de lamelles osseuses. L'extré
ons , c'est-à-dire quel estîemode général de cicatrisation des divers
tissus
, divisés perpendiculairement et interrompus dans
t en donne, en quelque sorte, la loi, énoncée par cette formule : Les
tissus
divisés ne se réunissent que par tintermédiaire d
ue par tintermédiaire de leur gangue ou de [élément commun à tous, le
tissu
cellulaire fibreux. Ainsi, un nerf, une artère, u
épouiller des molécules propres à chacun d'eux, qui constituent leurs
tissus
spéciaux, jusqu'à ce que, se trouvant les uns et
ciaux, jusqu'à ce que, se trouvant les uns et les autres ramenés à un
tissu
cellulaire presque homogène, et qui sert de trame
issent en une masse fibreuse, intermédiaire aux extrémités des divers
tissus
, et qui forme leur adhérence ou leur cicatrice co
nférieurement (5 ') on voit la conversion des fibres musculaires en
tissu
fibreux, pour faire corps avec le derme. 6. Art
lève le lambeau, tandis que la main droite fait la dissection dans le
tissu
cellulaire sous-cutané. La figure 2 représente
veut son sitbstratwn, car la lésion considérée dans l'organe, dans le
tissu
, dans l'élément, n'étant jamais, à tout prendre,
prendre, qu'une modification plus ou moins accentuée de l'élément, du
tissu
, de l'organe préexistants, l'état pathologique, s
parts d'une sorte de capsule. Celle-ci se confond, d'un côté, avec le
tissu
cellulaire sous-pleural et, de l'autre, avec les
médiat avec les cellules du parenchyme du foie, sans interposition de
tissu
conjonctif. — Dans le poumon, au contraire, le ce
es ainsi formé est séparé de ceux qui l'avoisinent par une lamelle de
tissu
conjonctif, assez distincte chez le fœtus et les
sible et sont à peine séparées par de minces tractus con-jonctifs. Le
tissu
conjonctif intercanaliculaire et interinfundi-bul
tunique fibreuse externe ou adventice, et dont la masse est formée de
tissu
fi-breux, dense, disposé sous forme de faisceaux,
ques moyennement distendus. Le slroma de cette tunique est composé de
tissu
cellulaire lâche qui, au contact de l'épithélium,
ct d'un réseau dont les mailles laissent voir les noyaux ovalaires du
tissu
conjonctif. Les altérations que peuvent subir c
un fœtus de trois mois. — a, epithelium. — 6, membrane limitante.— c,
tissu
embryonnaire. n'offrent pas de noyau. Ces plaqu
ivi de résultats satisfaisants que chez l'animal frais, alors que les
tissus
ont conservé un certain degré de vitalité. Ce son
ar celles de Pfluger, Slrasbury et Wolfberg, tendent à établir que le
tissu
du poumon joue dans l'accomplissement des actes c
epitheliums. — Développement des poumons: cellules hypoblastiques et
tissu
mésoblastique. Caractères des inflammations aig
ues et tissu mésoblastique. Caractères des inflammations aiguës des
tissus
vasculaires. — Irritation nutritive. —Irritation
dévelop-pement. Ceux-ci doivent être assimilés aux cellules plates du
tissu
conjonctif, dont ils ne représentent qu'une simpl
emblances, rien de commun avec les epitheliums, et ces deux ordres de
tissu
conservent leur autonomie et leur indépendance ré
tisan dansle domaine pathologique de la doctrine de M. His, jamais le
tissu
conjonc-tif ne peut se développer palhologiquemen
issu conjonc-tif ne peut se développer palhologiquement aux dépens du
tissu
epithelial et inversement, jamais une cellule con
une cellule épithéliale ; et pour ne citer qu'un exemple, relatif au
tissu
epithelial, les cel-lules du carcinome ou de l'ép
; si une tumeur carcimonateuse ou épithéliale se rencontre au sein du
tissu
conjonctif, elle y est de provenance étrangère, m
d'un revêtement épithélial cylindri-que ; et 2° une couche épaisse de
tissu
mêsoblastique. Par la suite, les culs-de-sac se r
due de la surface de ces cavités, le mésoblaste donnera naissance aux
tissus
élastique, musculaire, cartilagineux, conjonctif,
formes du processus inflammatoire. Dans les inflammations aiguës des
tissus
vasculaires, il y a à distinguer, vous ne l'avez
ple. (Voy. Corail et Ranvier, loc. cit., p. 459, fig. 307.) Dans le
tissu
conjonctif lâche, composé, vous le savez, de fais
es parois alvéolaires épaissies — par suite de leur transformation en
tissu
embryonnaire ou même fibreux — sont tapissées par
posi-tion. Fig. 19. — Coupe à travers un noyau d'hépatisation. — A,
Tissu
conjonctif du poumon en prolifération; b, cellule
partie d'un lobe, l'inférieur surtout, dans sa partie postérieure. Le
tissu
du poumon sur les points altérés offre, dans les
a remarque de Legendre, à peu près la coloration et la consistance du
tissu
du cœur ou de l'utérus gravide. La surface de s
: tandis que la paroi des canalicules respiratoires se transforme en
tissu
em-bryonnaire, l'endothélium de revêtement est re
r toute l'étendue des canaux respiratoires ; 2° une couche épaisse de
tissu
mésoblastique au sein de laquelle se développent
nulation, sont constituées par les tubes contournés, atrophiés par du
tissu
embryonnaire de nouvelle formation, et par les gl
Cornil et Ran-vier). et finalement disparaît ; 2° en môme temps, le
tissu
conjonctif qui sert de soutien à ces canalicules
toute vraisemblance, la ligature de l'uretère déterminerait, dans le
tissu
du rein, des lésions analogues à celles qui se dé
liale très active. Dans l'intervalle des gros canaux col-lecteurs, le
tissu
conjonctif a quelque peu augmenté d'épaisseur et
ndies. Ces canaux sont séparés les uns des autres par des traînées de
tissu
conjonctif em-bryonnaire. Substance corticale (
ans le labyrinthe que les lésions sont le plus accentuées. Du côté du
tissu
intersti-tiel, production exubérante de ce tissu,
centuées. Du côté du tissu intersti-tiel, production exubérante de ce
tissu
, B, B, tantôt à un état d'organisation plus ou mo
analiculaires. De dislance en distance, les leuco-cytes infiltrent le
tissu
en telle abondance et sont tellement rapprochés l
alpi-ghi. — A, tube contourné tapissé par un epithélium cubique. — B,
tissu
conjonctif embryonnaire. observe tantôt autour
isseaux sanguins et même des amas leucocytiques qui appar-tiennent au
tissu
conjonctif. Enfin, on retrouve de distance en dis
il est de cellules hypoblasliques et qu'entoure une couche épaisse de
tissu
mésoblaslique. Vers la fin du troisième jour, l
les lésions dont il souffre se communiquent-elles secondai-rement aux
tissus
sous-jacenls, ou bien l'altération de la gangue c
rale des épithéliums. II. Tout porte à croire aujourd'hui que les
tissus
épithéliaux jouissent d'une existence, jusqu'à un
istence, jusqu'à un certain point autonome, indépendante de celle des
tissus
sous-jacents qui leur servent de support. Ainsi,
itiels, influence nécessaire à l'entretien de la vitalité de tous les
tissus
. a) L'activité propre d'un épithélium ancien, p
i que le lambeau transplanté contracte bientôt des adhérences avec le
tissu
de granulation qui forme le fond de la plaie et q
montrer l'indépendance dont jouissentles épithéliums à l'égard des
tissus
sous-jacents. Elles appartienent à M. Zielonko (S
ma du cancer (dessin demi-schématique). — e, Globes épithéliaux, sans
tissu
con-jonctif intermédiaire, disséminés dans le str
régulière-ment avec globes épithéliaux, qui s'avancent jusque dans le
tissu
conjonctif sous-cutané. — hh, Deux grands alvéole
urface, mais s'étendre encore dans l'épaisseur el la profondeur des
tissus
sous-jacents, à la manière d'appen-dices digitifo
ique, un bourgeon qui s'enfonce pro-gressivement dans l'épaisseur des
tissus
sous-jacents, de pro-venance mésoblastique, et ce
s un arrangement régulier, et, de plus, elles ne sont pas séparées du
tissu
au sein duquel elles plongent par une tunique pro
emblable, que, dans tous les cas que je viens de citer, la lésion des
tissus
sous-jacents est un phéno-mène secondaire, en que
signalée, ne se montre pas nettement déga-gée de la participation du
tissu
conjonctif sous-jacent. Mais il n'en n'est plus d
e, lisse, sans granulations ; il s'écoule un peu de liquide brun ; le
tissu
est peu friable et peut s'insuffler en grande par
ontenant à leur centre une bronchiole, a', et une arteriole, b'. — G,
tissu
intermédiaire aux nodules atteint de splénisation
ronche contenant du pus et dont l'épithélium est resté en place. — C,
tissu
conjonctif péribronchique épaissi. — [), zone d'h
ibronchique (alvéoles remplis de fibrine et de globules de pus). — E,
tissu
splénisé. le lobule, les premiers occupent surt
L'état fœtal de Legendre et Bailly résulte au contraire de ce que le
tissu
pulmonaire chez l'enfant ou même chez l'adulte, r
épatisation disséminés, par l'absence de friabilité, la rétraction du
tissu
et l'insufflation plus facile. L'examen histologi
ux qui appartiennent à l'hépatisation rouge de la pneumonie aiguë. Le
tissu
malade est rouge, compact, lourd, non crépitant;
ure fibrineuse et ayant son siège tant dans les vésicules que dans le
tissu
cellulaire interstitiel; les fibres pulmonaires,
, ainsi que nous le dirons plus bas, sur la prédominance anor-male de
tissus
lamineux et fibroïdes de nouvelle formation, au s
siformes représentent les premiers rudiments du développe-ment de ces
tissus
. ' Atlas d'anatomie pathologique, t. I, p. 618.
Induration alhuminette : Ad-dison 2. —Hépatisation jaune : Lebert8. —
Tissu
ferme, dense et sec; coloration jaune pâle \ tein
-difications profondes, irréparables; les exsudais qui infiltrent les
tissus
sont encore liquides ou liquéfiables, et ils poss
doigts le parenchyme induré. Dans les exemples les plus prononcés, le
tissu
malade crie sous le scalpel comme le ferait un fi
actus fibro-celluleux sont en définitive formés par l'hypertrophie du
tissu
lamineux qui sépare les grands et les petits lobu
i dans l'état normal sépare le contenu des canalicules (vésicules) du
tissu
de la trame élastique, a par-fois complètement di
t lo-baire et consiste en une induration rouge-grisâtre du poumon. Le
tissu
malade est presque entièrement composé de matière
est pas sans présenter quelques analogies avec celle qui imprègne les
tissus
dans les cas d'infiltration grise tuberculeuse. Y
s cellules fusiformes ont disparu, et elles ont été remplacées par du
tissu
conjonctif plus ou moins dense, à fibrilles plus
Alors le parenchyme pulmonaire paraît presque complètement composé de
tissu
conjonctif (Heschl). C'est là le dernier terme de
(Heschl). C'est là le dernier terme delà métamorphose fibreuse. Les
tissus
ainsi modifiés peuvent subir cependant encore une
es soit dans les poumons, soit ailleurs. — Analyse micros-copique des
tissus
altérés. Le nommé Cordier (Jean-Pierre), âgé de
de manière à le diviser en deux parties égales. On voit alors que le
tissu
pulmonaire, qui résiste au scalpel à peu près com
ius blanchâtres d'aspect fibreux, lesquels représentent évidemment le
tissu
cellulaire inlerlobulaire épaissi et circonscri-v
aisément, ainsi que les vaisseaux un peu volumineux, au milieu de ce
tissu
condensé, dans l'épaisseur duquel ils paraissent
ouge très vif qui con- traste avec la coloration ardoisée foncée du
tissu
ambiant. — Lorsqu'on examine attentivement, soit
tivement, soit à l'œil nu, soit mieux encore à l'aide d'une loupe, le
tissu
circonscrit par les tractus fibreux dont nous avo
centre une petite dépression. L'ensemble de ces dépressions donne au
tissu
pulmonaire, examiné de près, un aspect spongieux.
ueuses, on dirait qu'elles ont été taillées à l'emporte-pièce dans le
tissu
induré du poumon. Leur surface iutérieure est lis
induré du poumon. Leur surface iutérieure est lisse et formée par le
tissu
pulmonaire lui-même: il n'y a point de re-couvrem
En avant de cette grande excavation et au voisinage du diaphragme, le
tissu
pulmonaire présente en outre un espace ra-molli,
icroscopique des parties altérées du poumon . ?— A. Le suc exprimé du
tissu
du parenchyme contient: 1° Une énorme quantité de
et constituant par leur réu-nion des espèces de culs-de-sac. — B. Le
tissu
pulmonaire, examiné sur une tranche mince, est co
ue le lobe inférieur du poumon droit, excavation siégeant au sein des
tissus
indurés. La nature de cette indura-tion était d'a
èce de revêtement membraneux, et semble sculptée dans l'épaisseur des
tissus
indurés. Le liquide contenu dans cette excavation
res, dénuées de fausses membranes; elles paraissaient for-mées par le
tissu
pulmonaire lui-même, on y voyait béantes des bron
organisées. La paroi interne des autres est inégale, anfractueuse. Le
tissu
pulmonaire y est à nu, induré et fortement imprég
ent formées par la suppuration et le ramollissement inflam-matoire du
tissu
pulmonaire. Dans la paroi de ces abcès on ne trou
. Entre les cavités pathologiques dont il vient d'être question, le
tissu
est sillonné par un grand nombre d intersections
n grisâtre, ou plu-tôt une sorte de décoloration, de transparence des
tissus
au mi-lieu desquels on découvre de nombreuses tac
résente en trois points des taches blanchâtres qui correspondent à du
tissu
pulmonaire infiltré de pus concret. Lobe moyen.
us concret. Lobe moyen. Il est presque entièrement transformé en un
tissu
grisâtre, transparent, dense, résistant, presque
eur dune noix, renfermant du pus liquide. La paroi est for-mée par du
tissu
pulmonaire dur, friable, jaunâtre et fortement in
e propre, sont fort explicites. Les excavations trouvées au centre du
tissu
pulmonaire induré n'étaient point d'origine tuber
l. V). Dans ce cas, un travail d'inflammation aigué s'était emparé du
tissu
pulmonaire préalablement induré ; un fragment de
environ d'un tiers moins volumineux que le gauche. Il est lourd, son
tissu
est très dense, nullement friable, le doigt ne pe
'axe longitudinal qui le divise en deux parties à peu près égales. Le
tissu
résiste au scalpel comme le ferait un fibro-carti
sque les tuyaux bronchiques de tout un lobe se sont dilatés et que le
tissu
pulmonaire qui les enveloppe se trouves condensé,
tions parenchy-mateuses. En considérant toutefois que l'induration du
tissu
pulmonaire avec hypertrophie de l'élément conjonc
crépite pas, et elle est plus lourde que l'eau. Sa coupe présente un
tissu
d'un rouge plus ou moins foncé, lisse, résistant
é la partie malade et lui rend plus ou moins complètement l'aspect du
tissu
normal. Les bronches qui parcourent les parties a
ain nombre de faits. D'autres admettent qu'une stase du sang- dans le
tissu
intervésiculaire, suivie ou non d'un travail phle
ec quels caractères la camisa-tion se présentait dans un de ces cas :
tissu
dur, pesant, d'une couleur rougeâtre uniforme; da
toute apparence de structure vési-culaire avait disparu; à la coupe,
tissu
lisse, dense, rougeâtre, ressemblant assez bien a
à la coupe, tissu lisse, dense, rougeâtre, ressemblant assez bien an
tissu
charnu du cœur. Ce lobe était parcouru de bronche
la moindre apparence de structure vésiculaire, était con-verti en un
tissu
ressemblant beaucoup, pour la couleur et la consi
un tissu ressemblant beaucoup, pour la couleur et la consistance, au
tissu
de l'utérus après la grossesse. Coupé en travers,
des bi^onches dilatées. — Cirrhose du poumon : Corri- là, rend aux
tissus
carnifiés, en grande partie du moins, les caractè
ique est très étendue, qu'elle occupe par exemple, tout un Jobe, « le
tissu
pulmonaire intermédiaire, dit Laënnec, est flasqu
areille circonstance, une atrophie de tous les éléments du poumon; le
tissu
aréo-laire est devenu plus apparent par suite de
ur Corrigan a pensé que les tractus fibro-celluleux qui sillonnent le
tissu
d'un poumon affaissé au pour-tour des ampoules br
un dépôt de lymphe plastique; celle-ci s'or-ganiserait bientôt en un
tissu
fibreux nouveau, doué d'une force permanente de r
loc. cit. sislance est faible, sollicités dans tous les sens par le
tissu
., fibreux qui les enveloppe, et, ne pouvant se dé
cas très nombreux dont nous avons parlé plus haut et dans lesquels le
tissu
aréolaire est devenu plus saillant, plus apparent
la pneumonie chronique proprement dite. En cas d'induration grise, le
tissu
conjonctif interlobulaire a subi une hypertrophie
rtant de faire ressortir. Dans des cas sans doute exceptionnels, le
tissu
du poumon intermédiaire aux ampoules bronchiques,
moins prononcée de ces éléments, et l'augmentation de consistance des
tissus
qui existe en pareil cas, paraît reconnaître prin
qu'elle est plutôt constituée par une exsudation destinée à former du
tissu
connectif » G. Carniftcation congestive : Isamb
u parenchyme, qui lui donne la consistance de la chair musculaire. Le
tissu
induré est sec, plus dense que l'eau, et laisse é
sentiellement : Io par l'interposition, entre les éléments normaux du
tissu
pulmonaire, d'une matière amorphe de nouvelle for
sément en raclant avec le scalpel. Les parois sont constituées par le
tissu
du poumon induré et présentent une coloration gri
râtre en même temps qu'une induration très prononcée. Ce qui reste du
tissu
du poumon est si peu épais, que, dans quelques po
uée uniquement que par la fausse membrane fibreuse pleu-rafe. Dans ce
tissu
induré à la coupe, il n'y a rien qui ressemble à
rrespondant à quelques tubercules caséeux peu abon-dants. Le reste du
tissu
est sain. — Suit la description de l'uté-rus. — L
celte prolongation inquiétante. Il n'en est pas toujours ainsi, et le
tissu
pulmonaire devient parfois, dans ces circonstance
ue de l'hépatisation rouge de l'état aigu. La lésion est lobaire ; le
tissu
pulmonaire est compact, lourd, non crépitant; la
t, en somme, l'hépatisation rouge, avec une consistance plus ferme du
tissu
pulmonaire. Il faut y ajouter un épaississement s
ar la présence d'éléments ronds, fusiformes, quel-quefois même par du
tissu
fibrillaire. Les fibres élastiques sont encore ma
rdâtre ou noirâtre ; sa surface est lisse ; plus de granulations ; le
tissu
est légèrement spongieux ; les travées alvéolaire
es. L'analyse histologique montre le développement considéra-ble du
tissu
fibreux, par suite duquel les alvéoles ont diminu
nsistance justifiant jusqu'à un certain, point le nom de carnisation (
tissu
musculaire) ; 4° pas d'atro-phie ; 5° insufflatio
contrairement à ce qui existe dans la pneumonie lobaire chronique, le
tissu
conjonctif péribronchique et périvasculaire est c
elle serait consécutive à l'atrophie du poumon et à la rétraction du
tissu
conjonctif. M. Charcot rappelle encore, contre ce
eumonie lobaire chronique, malgré la transforma-tion du parenchyme en
tissu
fibroïde, évidemment doué ce-pendant de rétractil
n tissu fibroïde, évidemment doué ce-pendant de rétractilité. 2° Le
tissu
conjonctif interlobulaire subit la métamorphose e
onjonctif interlobulaire subit la métamorphose embryonnaire, comme le
tissu
péribronchique. 3° Dans les nodules péribronchi
dérable du poumon, qui peut être réduit au volume du poing et dont le
tissu
dur, criant sous le scalpel, est comme cartilagin
e corps granuleux et de graisse, dans les alvéoles, épaississement du
tissu
conjonctif, conservation du nodule péribronchique
ire, à coup sûr, la lymphangite pulmonaire. Or, dans tous ces cas, le
tissu
de la plèvre ne paraît pas sérieusement affecté:
e à travers l'épais-seur relativement considérable de la plèvre et du
tissu
sous-pleural, ou n'existe-t-il pas en certains po
1872. p. 20. réseaux : l'un, profond, est situé dans l'épaisseur du
tissu
con-jonctif pleural ; l'autre, superficiel, est d
ne injection du sang par le pus ; enfin la lésion peut se propager au
tissu
conjonctif ambiant (interlobulaire ou sous-pleura
lénisation ; dans les formes chro-niques, le contenu alvéolaire et le
tissu
conjonctif périvascu-laire et périlobulaire subis
, à propos de la broncho-pneumonie chronique, savoir : la sclérose du
tissu
conjonctif, la transformation cu-bique des épithé
contenu alvéolaire. Au contraire, la métamorphose ca-séeuse frappe le
tissu
embryonnaire tuberculeux dans lequel sont confond
pleuraux etinterlobu-laires, rarement dans leur intérieur; 5° dans le
tissu
sous-pleural et dans la plèvre elle-même, où elle
. On sait par qu'elle série de modifications le sang épanché dans les
tissus
finit par donner naissance à ce pigment. Ces modi
érieur de grandes cellules qui sont très probablement des cellules du
tissu
conjonctif. Toutefois le fait de cette incorporat
tion, hypertrophie fibroïde delà gangue conjonctive; pig-mentation du
tissu
induré; formation de cavernes. — Caractères chimi
ent, ici, tout ne se bornait pas à la pré-sence du corps étranger; le
tissu
lui-même était altéré dans sa structure : sur cer
uvements saccadés, afin de tamiser la poussière à travers la trame du
tissu
. On comprend qu'une telle opération ait pour effe
distincts : a) infarctus char-bonneux ; — b) hyperplasie fibroïde du
tissu
conjonctif. Ces noyaux sont de volume variable; p
'épaisseur des poumons; ces noyaux offrent une coupe lisse, sèche; le
tissu
pulmonaire à leur niveau a la consistance du caou
e, et cela en quantité beaucoup plus considérable que tous les autres
tissus
, à l'exception toutefois du poumon. On est ainsi
donnent naissance à des veinules qui se jettent immédiatement dans le
tissu
conjonctif interacineux et deviennent, par anasto
ssentiellement d'une bronche accompagnée d'une artère ; une gangue de
tissu
conjonctif les unit, et dans les mailles de ce ti
; une gangue de tissu conjonctif les unit, et dans les mailles de ce
tissu
se trouvent de nombreux vaisseaux lympha-tiques p
lobule montre la coupe des infundibules etçà et là des fila-ments dé
tissu
conjonctif allant du centre du lobule à la péri-p
es. Lapériphérie, ou espace inter-îobulaire, est com-posée surtout de
tissu
conjonctif contenant de nombreux lym-phatiques et
arer des éléments cellulaires accumulés et re-tenus dans la trame des
tissus
. Cette dernière caséification est banale et diffè
au tout de la tuberculeuse, dans la-quelle il y a mortification d'un
tissu
cohérent. « Quelle est, dit M. Charcot, la caus
et Grancher, il serait de règle de rencontrer, en amont des foyers de
tissu
caséifié, un certain degré de dilatation des bron
résentent les grands espaces pulmonaires, c'est-à-dire les espaces du
tissu
con-jonctif qui accompagnent les divisions des br
ravées sont les derniers vestiges des espaces interlobulaires dont le
tissu
conjonctif ne convient qu'au seul ordre de vaisse
rocessus phlegmasique; dans la cavité, détritus caséeux, fragments de
tissu
pulmonaire ; un peu de pus qui, au contact de l'a
à été complètement évacuée, elle est remplacée par un revête-ment de
tissu
embryonnaire sous lequel font saillie de vérila-
caverne de gué-rison, c'est la caverne tapissée de toute part par du
tissu
fibreux organisé, transformée en un véritable sin
a plus, dans le poumon, pour toute lésion que celte poche où tout le
tissu
embryonnaire pariétal est devenu tissu fibreux, l
ion que celte poche où tout le tissu embryonnaire pariétal est devenu
tissu
fibreux, l'état fébrile s'est complètement éteint
aies en suppuration, des anses vasculaires saillantes au mi-lieu d'un
tissu
conjonctif ferme, des bourgeons charnus véri-tabl
se et devient parfaitement lisse; la caverne est alors limitée par un
tissu
cicatriciel fibreux plus ou moins épais, qui peut
cellulaires de gangue intermédiaire ont disparu pour faire place à un
tissu
dense, composé de lamelles fibreuses dans l'inter
m fibreux intercellulaire, sans trace de mortification centrale. Le
tissu
du poumon, au voisi-nage, présente d'ailleurs un
, le point de dé-part de nodules secondaires par infection directe du
tissu
voi-sin. Il s'agit là de ces capillaires lymphati
voi-sin. Il s'agit là de ces capillaires lymphatiques creusés dans le
tissu
conjonctif, sans parois distinctes. Mais la même
n l'a vu, tout s'est expliqué sans l'intervention de la phlegmasie du
tissu
pulmonaire. Celle phlegmasie a bien certainement
l faut rappeler en passant que la métamorphose caséeuse qui frappe Je
tissu
embryonnaire de la néoplasie tuberculeuse confond
prend l'aspect d'une pneumonie lobaire; au sommet, un peu partout, le
tissu
est déjà creusé de cavernes.' On peut dire que da
sé de cavernes.' On peut dire que dans certains cas, il n'y a plus de
tissu
pulmonaire interposé aux tubercules, et par consé
en examinant les tubercules qui se rencontrent quelquefois au sein du
tissu
de granulation des arthrites fongueuses. Dans l
ssu de granulation des arthrites fongueuses. Dans l'épaisseur de ce
tissu
sont disséminées de petites-granulations bien dis
llules ana-logues par conséquent, à celles qui constituent surtout le
tissu
ambiant, mais plus petites et plus lassées, plus
ut dans le tubercule adulte ; ou encore, suivant quelques auteurs, un
tissu
d'apparence réticulée, rappelant le tissu cytogèn
uivant quelques auteurs, un tissu d'apparence réticulée, rappelant le
tissu
cytogène des ganglions lymphatiques, si, toutefoi
nfin, le stroma, qu'on retrouve avec des caractères analogues dans le
tissu
embryonnaire, en voie d'évolution. 11 faut cons
d'évolution. 11 faut considérer le tubercule comme constitué par un
tissu
embryonnaire, de nature spéciale : c'est comme un
hés, mais nulle part confluents. Dans l'intervalle de ces nodules, le
tissu
du poumon paraît aéré par places, sain ou seuleme
ère région. La zone en question est essentiellement constituée par du
tissu
em-bryonnaire, parfois de texture réticulée, qui
côté opposé, des bords déchiquetés; ce qui tient surtout à ce que le
tissu
embryonnaire, dans son œuvre d'en-vahissement pro
ncore » plus intéressante, c'est la présence habituelle, au sein du »
tissu
embryonnaire qui la compose, des cellules géantes
autant $ aggloméra-tions tuberculeuses. (Fig. 38). La condensation du
tissu
pul-monaire dans ces nodules n'est, sur aucun poi
issementdes parois des alvéoles d'abord, puis de leurs cavités par un
tissu
embryonnaire parti-culier. La dégénération frappe
se rapprochent beaucoup par leurs carac-tères des cellules plates du
tissu
conjonctif. A cette première distinction, une s
ne, plus extérieure, est formée par des éléments plus petits, zone de
tissu
embryonnaire ou de tissu réticulé, suivant que le
formée par des éléments plus petits, zone de tissu embryonnaire ou de
tissu
réticulé, suivant que le follicule appartient à l
oppent un noyau, vont se perdre par une extré-mité plus mince dans le
tissu
voisin. Sur une seconde coupe, l'élément apparaît
es rares prolongements courts, épais, grenus, relient cette masse aux
tissus
voisins. On voit donc que, sur chacune de ces t
n que pour la zone périphérique de la partie renflée, la structure du
tissu
qui les composent est des plus évidentes ; il est
nde pourrait con-tenir une petite noix. Autour de ces excavations, le
tissu
du pou-mon est carnifié, d'une teinte noirâtre, m
marbré de veines bleuâtres, et l'on rencontre çà et là, au sein de ce
tissu
carnifié, des amas tu-berculeux de divers volumes
rectum. Les granulations grises qui, à l'œil nu, consistaient en un
tissu
solide, difficile à écraser, cassant, élastique,
euse. On y rencontrait, dans les parties périphériques, des fibres de
tissu
cellulaire et des cellules apparemment épithélial
emment épithéliales plus ou moins altérées, lesquelles provenaient du
tissu
ambiant. On n'y rencontrait pas ces corps qu'on d
partout ramollie et friable. En quelques points, la mince lamelle de
tissu
compacte, qui limite de toutes parts le corps des
onscrites; ils étaient comme infiltrés dans les cellules agrandies du
tissu
spongieux, et conséquemment, un examen microscopi
que exclusivement sur les quatre dernières vertèbres lom-baires. Leur
tissu
était ramolli, à tel point qu'on pouvait, sans ef
ostérieur : la dure-mère avait été refoulée dans le même sens, et les
tissus
nerveux, qui constituent la queue de cheval, se t
e tiers postérieur du pariétal droit. La cavité de l'arachnoïde et le
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien ren-ferment, au nive
ge jaunâtre. Ces mêmes cristaux étaient extrêmement abondants dans le
tissu
de la rate où ils formaient des amas considérable
s considérables bien que visibles seule-ment au microscope. Dans le
tissu
de la rate on trouvait, en outre, une très grande
g-ment, s'opèrent aux dépens du sang extravasé dans l'épais-seur d'un
tissu
, d'un parenchyme ; mais, dans les cas qui nous oc
e mécanique qu'éprouve le cours du sang, dans son trajet à travers le
tissu
du système cppillaire de l'organe, pourrait peut-
matoires qu'on rencontre parfois çà et là dans la parotide et dans le
tissu
mus-culaire du cœur ne dépendent pas d'une agglom
opie : le foie présente un volume énorme (36 centimètres sur 40); son
tissu
est friable, d'une couleur toute particulière qui
es, diamètre transversal 19; épaisseur 10 centimètres envi-ron) : son
tissu
est résistant, de couleur acajou. — Le tronc de l
e un certain volume (corpuscules de Malpighi?), adhérents au reste du
tissu
. Très nombreux éléments microscopiques analogues
ments microscopiques analogues aux globules blancs du sang. Reins. —
Tissu
très mou, tubuli bien conservés, epithélium non g
jaunâtre. Ces mêmes cristaux étaient extrêmement » abondants dans le
tissu
de la rate, où ils formaient des amas » considéra
dus en un seul et reliés entre eux par une épaisse coque fibreuse. Le
tissu
du pou-mon a une teinte verdâtre ; il est dur, ho
arois thoraciques, que des adhérences peu intimes et celluleuses. Son
tissu
est par-tout peu crépitant ; il présente à peine
es vésicules aériennes au niveau du bord antérieur. Quand on coupe le
tissu
pulmonaire, il s'en écoule une très-grande quanti
hère presque complète ; mais, dans tous les cas, il faut disséquer le
tissu
musculaire avoisinant, pour voir ces tu-meurs dan
tumeurs et leur pédicule n'adhèrent d'ailleurs que très faiblement au
tissu
de l'endocarde. Souvent deux tu-meurs ont un même
tubuleuse. Rate. — 13 centimètres de haut en bas, très épaisse. Son
tissu
est dur et résistant, nullement friable. En la ra
par l'endocarde épaissi, rugueux, opaque, en dehors par une sorte de
tissu
fibreux blanc, légèrement nacré, très résistant :
et externe du ventricule correspondant. Cette cavité est remplie d'un
tissu
cellulaire à mailles larges, vasculaire et impré-
nt épaissies (2 cent.) surtout aux parties centrales et à la base. Le
tissu
musculaire y conserve son aspect normal dans le
sente plus du tout l'aspect musculaire; elle paraît constituée par un
tissu
fibrineux, résis-tant, nacré, composé de couches
e: les éléments constitutifs de l'endocarde, cellules plasmatiques et
tissu
in-termédiaire, paraissent d'abord, dans une éten
nts. Cette sorte de destruction moléculaire réduit, en définitive, le
tissu
affecté en parcelles ténues, qui se détachent suc
de volume; elle a environ la moitié de plus que son volume normal; le
tissu
est un peu ramolli, mais non diffluent. Le foie e
itués surtout par des dépôts de fibrine, et probablement aussi par le
tissu
valvulaire commençant à se désagréger. Au niveau
t détachés qu'auront éclaté les troubles morbides. Les parcelles du
tissu
valvulaire ramolli et des petites con-crétions fî
tres-Les parois de l'organe ont 9 centimètres d'épaisseur environ. Le
tissu
de l'organe paraît d'ailleurs tout à fait sain. L
sse, d'appa-rence normale. A l'extérieur, le vaisseau est adhérent au
tissu
cellulaire périphérique et enveloppé de toute par
u cellulaire périphérique et enveloppé de toute part par une masse de
tissu
induré. Le caillot peut être suivi par en haut ju
Les parois de ces vaisseaux étaient en général très épaissies, et le
tissu
cellulaire ambiant très con-densé; l'artère pulmo
Les parois de cette dernière veine sont épaissies et plongent dans un
tissu
induré situé en avant et à gauche du sacrum, dans
échancrure sciatiqne. Le nerf scialique est en partie compris dans ce
tissu
induré *, Obs. XII. — Garçon de vingt-quatre an
alculs dans la vésicule biliaire. Le cœur paraît sain ; cepen-dant le
tissu
musculaire de ses parois est un peu pâle. Les art
ine sous-clavière d'un animal des fragments de caillots fibrineux, de
tissu
musculaire, ou encore des petits bouchons de caou
'est point occasionnée, dit-il, comme dans lesphlegma-sies des autres
tissus
, par une hypérémie capillaire, mais par une sorte
ne preuve nouvelle de la facilité avec laquelle le sang abandonne aux
tissus
ambiants les matières colorantes dont il est impr
embrane interne n'est pas susceptible de s'enflammer à la manière des
tissus
vascu-laires, elle pourra cependant subir un trav
thologique de même nature que les cartilages, la cornée et les autres
tissus
privés d'une circulation capillaire. L'origine in
érieures de l'aorte (péri-aortite) sont les mêmes que dans les autres
tissus
vasculaires de l'économie ; on y rencontre delà t
t l'épanchement du sang sous les téguments de la poitrine, ou dans le
tissu
cellulaire sous-péritonéal, peuvent donner naissa
ltérée: ce n'est pas une simple usure, mais une véritable atrophie du
tissu
des os. En effet, les disques inter-vertébraux, l
. Un anévrisme diffus peut résulter de la rupture de la poche dans le
tissu
cellulaire sous-cutané, sous-pleural ou sous-péri
.. 2 Sous le péritoine.......................... .............. 5
Tissu
cellulaire de la paroi thoracique antérieure.....
ons déjà fait observer que la poche anévrismale peut s'ouvrir dans le
tissu
cellulaire sous-cutané ou sous- Charcot. (Euvre
nomènes d'asphyxie et de cyanose ; mais il existe une infiltration du
tissu
cellulaire par des gaz qui donne une crépitation
pées dans les organes voisins ; c'est ainsi qu'un abcès formé dans le
tissu
cellulaire de la région cervicale a pu s'ouvrir d
urs, et transformée en un cordon liga-menteux qui fait corps avec les
tissus
cellulo-lîbreux, qui fixe la tumeur contre le sac
l de fort calibre, enveloppée de tous côtés par une couche épaisse de
tissu
cellulaire dense qui la fixe aux parties voisines
r mieux dire, de l'ischémie, à laquelle se trouvent soumis les divers
tissus
, et, en particulier, les muscles des membres affe
nce, en rétablissant les condi-tions normales, suffisent pour que les
tissus
puissent récupé- rer, au bout de quelques minut
tain nombre de cas, des contractures auxquelles les modifica-tions du
tissu
musculaire dont j'ai parlé, ne sont, d'ailleurs,
alion par la voie des collatérales n'a pas pu s'établir ; ce sont les
tissus
des membres inférieurs seuls, os, nerfs et muscle
ue. Cerveau. — A la face inférieure du lobe cérébral droit, dans le
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien qui recouvre la scis
s cor-respondantes. Après avoir enlevé cette production, on trouve le
tissu
cérébral qui avoisine les couches optiques et le
on l'incise, on voit qu'il a acquis une consistance particulière. Le
tissu
en est friable et rappelle tout à fait la sensati
ption purulente. Mais est-ce bien à du pus infiltré dans la trame des
tissus
qu'on avait affaire dans le cas qui fait le sujet
ine de points noirâtres non énucléables, gros comme des noisettes. Le
tissu
de la rate, dur, friable, d'une teinte rouge somb
les divise. Les muscles, en particulier, ont une teinte pâle et leur
tissu
est ramolli. L'artère crurale du côté droit est
ès épaisse; elle présente 10 centimètres dans son petit diamètre. Son
tissu
s'écrase facilement par la compression, et laisse
infiltration sanguine, très prononcée et d'une teinte noire, dans ie
tissu
propre du rein, infiltration surtout évidente au
r, après d'autres au-teurs, que l'on rencontre habituellement dans le
tissu
pulmo-naire, conjointement avec l'induration hémo
mation est interpo-sée aux éléments normaux, aux fibres élastiques du
tissu
pulmo-naire. Cette matière est semée d'abondantes
infarctus hémoptoïque, peuvent avoir subi une autre métamorphose. Le
tissu
malade a pris une coloration jaune brun sale; il
ations correspondent au premier degré de la gan-grène. La nécrose des
tissus
qui n'ont pas encore subi la fermen-tation putrid
isent, à savoir la désa-grégation, la dissolution proprement dite des
tissus
, existent tou-jours à un moment donné, et que c'e
nula-tions réfractant fortement la lumière, et vient d'une portion de
tissu
passant à la teinte jaune. c, Matière amorphe p
, b, c, Extrémité libre des corps fusiformes. Fig. 5, a, b, c, d, —
Tissu
dur, fibroïde, des cas dits de pneumonie chro-niq
cé et avec coloration jaunâtre. a, b, Portion très granuleuse de ce
tissu
avec granulations jaunâtres graisseuses. c, d,
ce tissu avec granulations jaunâtres graisseuses. c, d, Portion du
tissu
montrant l'aspect fibrillaire avec des granula-ti
'une cavité ulcéreuse communiquant avec une bronche dilatée à côté du
tissu
précédent. Ils offrent les caractères des corps d
alvéolaires. Fig. 4. — 1, grande plaque à plusieurs noyaux. — 2, 21
tissu
élastique de la paroi alvéolaire. Fig. S. — Div
épithéliums. — Développement des poumons: cellules hypoblastiques et
tissu
mésoblastique. Caractères des inflammations aig
ues et tissu mésoblastique. Caractères des inflammations aiguës des
tissus
vasculaires. — Irritation nutritive. —Irritation
ion, hypertrophie fibroïde de la gangue conjonctive; pig-mentation du
tissu
induré; formation de cavernes. — Caractères chimi
s pyoïdes du cerveau et de la rate, 604, 605; — Sa nature, 609. t
Tissu
cytogène, 267. Thorax (Perforation de la paroi
autre partie ne pourra aban-donner le sang qu'en se déposant dans les
tissus
mêmes après avoir subi vraisemblablement une légè
pas dans la nécessité de vivre d'une manière exclusive aux dépens des
tissus
vivants. » (Archives de physiologie normale et pa
u'elle est souvent masquée, ne l'oublions pas, par l'accumu-lation du
tissu
cellulo-graisseux. Elle constitue, d'ailleurs, l'
ations1. Ces derniers auteurs signalent, en outre, une hyperplasie du
tissu
con-jonctif qui ne se trouve pas mentionnée par l
olemme dans les intervalles qui séparent les faisceaux primitifs2. Ce
tissu
adipeux interposé est parfois assez abondant pour
d'autres qui sont réduits à un très-petit volume et dans lesquels le
tissu
adi-peux fait à peu près complètement défaut1. On
faisceaux primitifs atrophiés sont séparés les uns des autres par un
tissu
conjonctif fibrillaire évidemment de formation no
cela puisse être, si l'altération avait son point de départ dans le
tissu
conjonctif intermédiaire aux élé-ments nerveux; n
sparition plus ou moins complète des tubes nerveux et condensation du
tissu
; mais ce sont là seulement les derniers vestiges
s re-cueillies récemment à la Salpêtrière, montre que, par places, le
tissu
enflammé peut subir une véritable dissociation ;
it s'être tuméfié par suite du développement dans son épais-seur d'un
tissu
morbide, peut-être parasitaire. La maladie, après
ssaient delà couche profonde du chorion. Elles étaient composées d'un
tissu
mou, juteux, jaunâtre et, à l'œil nu, ressemblant
xamen microscopique, on constata que ces tumeurs étaient composées de
tissu
fibreux, plus ou moins développé. Elles étaient r
Par-tout, ces tumeurs étaient séparées des parties adjacentes par le
tissu
cellulaire sous-cutané, et elles étaient évidemme
laire sous-cutané, et elles étaient évidemment formées aux dépens des
tissus
fibreux de la peau. De nombreuses cellules fusifo
breux de la peau. De nombreuses cellules fusiformes étaient mêlées au
tissu
fibreux, mais non au point de donner au tissu le
ormes étaient mêlées au tissu fibreux, mais non au point de donner au
tissu
le caractère sarcomateux. Quelques-unes des plus
s-unes des plus petites tumeurs étaient composées en grande partie de
tissu
de gra-nulation (granulation tissue) développé da
ient composées en grande partie de tissu de gra-nulation (granulation
tissue
) développé dans le tissu fibreux. Les tumeurs éta
artie de tissu de gra-nulation (granulation tissue) développé dans le
tissu
fibreux. Les tumeurs étaient peu fournies de vais
: Io une couche épidermi-que; 2° une couche dermique; 5° un centre de
tissu
cellulaire lâche — avec des pelotons graisseux
ô-liales qui se divisent, comme à l'état normal, en deux couches : le
tissu
de la couche dermique est de nature conjonctive.
, entourant en spirale les faisceaux conjonctifs ; 5° de cel-lules de
tissu
conjonctif... ; 4° de vaisseaux sanguins, qui ne
rhumaslismales sont, à n'en pas douter, accompagnées d'une lésion de
tissu
, qui n'est autre chose qu'uu très-léger degré d'i
smale du muscle peut avoir une durée suffi-sante pour amener dans son
tissu
un trouble de nutrition. Les élé-ments qui le com
issu un trouble de nutrition. Les élé-ments qui le composent, fibres,
tissu
conjonclif, gaîne, se raccour-cissent alors. Les
était formé une espèce, d'inflammation chronique qui avait produit un
tissu
rétractile, et ankylosé les articulations. Il s
zontales, faites à un ou deux centimètres au-dessus du renflement, le
tissu
conjonctif fin, qui sépare immédia-tement les tub
plus accusée. En effet, on voyait les faisceaux de tubes entourés de
tissus
fibreux ; celui-ci les avait comme dissociés, et
faisceaux primitifs ont une forme arrondie; ici, l'épaississement du
tissu
con-jonctif les avait déformés ; ils étaient apla
es tubes nerveux avaient été en certains points comme étouffés par le
tissu
conjonctif : on voyait des groupes de tubes très-
ous avons trouvé peu de tubes nerveux à l'état normal, et beaucoup de
tissu
con-jonctif. Sur des coupes, le tissu fibreux,
l'état normal, et beaucoup de tissu con-jonctif. Sur des coupes, le
tissu
fibreux, coloré par le carmin, occupe presque tou
verse forcément un riche réseau veineux dont les parois adhérentes au
tissu
serré am-biant rendent encore ce procédé le plus
sa rétraclilité, par suite de l'organisation fibreuse avancée de son
tissu
propre, ne limite pas son extension. Les indica
'existe donc plus que dans son pourtour en haut et de chaque côté. Le
tissu
osseux qui forme les bords de l'orifice est mince
hernie des méninges. L'ouverture herniaire est due à la résorption du
tissu
osseux provoquée à son tour, soit par la pression
nt qu'il y avait eu là un travail de résorption ou d'inflam-mation du
tissu
osseux. L'orifice de la hernie occupait la lign
sa consistance est beaucoup moindre et rappelle tout à fait celle du
tissu
spongieux des os. Elle adhère à la troisième côte
muscle parais-sent s'implanter sur le pédicule même de la tumeur. Un
tissu
blan-châtre assez résistant, quoique peu épais, l
sse rougeâtre et traversées par des trabécules semblables à celles du
tissu
spongieux des os. Le pédicule est con-stitué par
pédicule est con-stitué par une^coque d'aspect osseux continu avec le
tissu
compact de la côte ; cette coque circonscrit une
versée également en tous sens de trabécules conti-nues avec celles du
tissu
spongieux de la côte ; sa paroi ossiforme se perd
la côte ; sa paroi ossiforme se perd presque sans transition dans le
tissu
de la tumeur. Celle- 1 L'image photographique e
Nous en présenterons l'analyse dans l'ordre de leur apparition. I.
Tissu
muqueux du cordon ombilical, par Renault. — Nous
ombilical, par Renault. — Nous signa-lerons d'abord une étude sur le
tissu
muqueux du cordon ombilical communiquée en juille
enault arrive à ses recherches personnelles et conclut ainsi : « Le
tissu
muqueux du cordon est, dans les parties riches en
e aiguë [Gaz. hebd.,m%, p 712). Iules plates, ne différant guère du
tissu
conjonctif lâche que par la présence delà mucine
che que par la présence delà mucine qui distend ses mailles. Quant au
tissu
péri-vasculaire du cordon, il n'est pas sans prés
laire du cordon, il n'est pas sans présenter quelque analogie avec le
tissu
delà cornée transparente; dans tous les cas, il n
épithéliales, existe une couche de cellules plates qui les sépare des
tissus
muqueux proprement dits. « Ces cellules plates
orment ces vaisseaux ressemble en tous points au réseau vasculaire du
tissu
osseux. III. De la contraction musculaire, par
ur l'action physiologique de la digitale et de la digitaline, sur les
tissus
et fonctions de l'économie. De l'ensemble de ce t
ond. CH IRURGI E I. Physiologie pathologique de l'ébranlement des
tissus
par les projectiles de guerre, par Muron. — Cette
a diaphyse et le fracture, il produit en même temps un ébranlement du
tissu
osseux dont voici les principaux effets : La moel
ecchy-moses et de petits épanchements ; ces altérations s'étendent au
tissu
spongieux des épipbyses. En d'autres termes, il s
eux des épipbyses. En d'autres termes, il se produit une contusion du
tissu
médullaire arrivant jusqu'au deuxième degré, et c
n se demande ce que va devenir ce sang ainsi épanché au loin dans les
tissus
. Ici deux faits peuvent se produire : ou bien le
du moins combien l'ostéo-myélite doit se propager facilement dans un
tissu
médullaire ainsi altéré et causer consécutivement
n des contusions à distance qui se produisent dans ces deux ordres de
tissus
, le plus souvent il faudra faire la désarticulati
quée que dans les cas de lésion des épiphyses. La balle traversant le
tissu
spongieux ne fait en somme que peu de désordres e
iscères ne sont séparées que par une couche en général assez mince de
tissu
cellulaire, mais de tissu cellulaire seulement. I
ue par une couche en général assez mince de tissu cellulaire, mais de
tissu
cellulaire seulement. Il existe bien entre l'anus
avités sont creusées au sein de celte masse; mais, vu l'épaisseur des
tissus
, on ne saurait décider si ces cavités communiquen
e antérieure et médiane de la tumeur. On dissèque alors la peau et le
tissu
cellulaire sous-cutané. Ces deux couches ne, nous
oraux, atteint même une épaisseur de 0m,05. D'ailleurs, à la coupe le
tissu
de la paroi paraît blanchâtre, fibreux, dur, et c
re, fibreux, dur, et criant sous le scalpel ; sur plusieurs points ce
tissu
nous paraît ramolli, et semble avoir subi une dég
enant ce qu'est devenue l'articulation du genou au milieu de tous les
tissus
morbides. La tumeur, qui représente exac-tement l
imètres. L'extrémité supé-rieure de ce dernier os n'est pas saine; le
tissu
est raréfié, injecté et se laisse couper avec la
chantérienne du fémur et au niveau de laquelle l'os s'était rompu. Le
tissu
est ferme à la coupe, compacte. — Aspect blanc la
rivent de petits nodules dans lesquels on retrouve quelques points de
tissu
osseux rudimentaire. Dans des coupes perpendicu
lte que chacun de ces corps ressemble à des corpuscules volumineux de
tissu
conjonctif d'où partiraient de nombreux pro-longe
aissent plus durs que les autres points de la tumeur et formés par un
tissu
un peu différent. On retrouve les éléments à prol
ns le centre de ce cartilage des nodules arrondis ou ova- laires de
tissu
fibromateux formés par des éléments fusiformes, m
ein du cartilage, tandis que, pour d'autres, on peut s'assurer que le
tissu
morbide, après avoir détruit la couche calcifiée
le cartilage de l'épiphyse osseuse, a fait hernie dans l'épaisseur du
tissu
cartilagi-neux. En résumé, la tumeur est formée
es assez avancés dans leur développement et se rapprochant presque du
tissu
fibreux ; 2° par du tissu cartilagineux à tous le
développement et se rapprochant presque du tissu fibreux ; 2° par du
tissu
cartilagineux à tous les degrés de développement.
ombre des noyaux allongés. Entre les tubes séparés par une étendue de
tissu
plus considérable qu'à l'état normal, on rencontr
tendue de tissu plus considérable qu'à l'état normal, on rencontre du
tissu
conjonctif en voie de prolifé-ration et représent
aisseuse ne tarde pas à survenir. De là cette coloration jaunâtre des
tissus
envahis; le processus serait bien celui de l'orch
s'en détache avec facilité. Il est constitué par une épaisse masse de
tissu
spongieux recouvert d'une mince lamelle compacte.
masse de tissu spongieux recouvert d'une mince lamelle compacte. Son
tissu
, composé de larges aréoles remplies d'une grais
iste essentielle-ment en un cylindre mince bien qu'assez résistant de
tissu
compacte circonscrivant un large canal central re
L'examen microscopique, fait au moyen de coupes comprenant l'os et le
tissu
fibreux qui le re-couvre, n'a démontré nulle part
malléole externe, extrêmement grêle, est formée comme l'interne d'un
tissu
aréolaire s'écrasant sous le doigt rempli de suc
t subi un arrêt de développement très-prononcé en même temps que leur
tissu
est d'une friabilité excessive. Déjà, au niveau d
ides, chez des chevaux, elle peut tripler de volume. La nature de son
tissu
, l'étude de sa circulation amène facilement à l'e
ection générale, la rate est hypertrophiée, gorgée de sang noir ; son
tissu
se déchire avec la plus grande faci-lité; il en e
. Ce qui la caractérise, en effet, c'est la pâleur et la mollesse des
tissus
, l'amaigrissemenL, la fai-blesse, les infiltratio
eau de l'union du corps et du col. Au lieu d'être placés au milieu du
tissu
musculaire utérin ou dans sa partie profonde, ils
s'accompa-gne presque toujours de péritonite et de phlegmon diffus du
tissu
cellullaire sous-péritonéal. Le même auteur, soit
teurs. Certaines personnes attribuent la péritonite au voisinage du
tissu
utérin en-flammé ; mais, dans les autopsies, on n
oire, dont la petite extrémité di-rigée en haut se confondait avec le
tissu
même de la grande lèvre et constituait une sorte
a- tiquée sur la tumeur, parallèlement à la vulve, conduisit sur un
tissu
mollasse pourvu de nombreux prolongements dirigés
lèvres de la plaie. Le poids de la tumeur était de 470 grammes ; son
tissu
était uniformément blanchâtre, se lais-sant aisém
cheval à concavité supé-rieure. (Voy. planche XVII.) La portion de
tissu
rénal qui se trouve à la partie médiane et qui un
suite à exécution et qui me les rappela. » « Une sonde d'homme, en
tissu
gommé, flexible, de,'petit calibre, un sac en bau
omme dans les calcifications en général, les élé-ments cellulaires du
tissu
conjonclif sont infiltrés par ces sels. Chez le
e dans le poumon des abcès nombreux enkystés, entourés d'un véritable
tissu
de nou-velle formation, on en trouve quelquefois
paru. On n'y retrouve aucune trace de l'organisation pi'imitive. Leur
tissu
est, comme partout du reste, continu à celui de l
à celui de l'organe. Elles sont moins foncées en couleur que dans le
tissu
conjonctif et les muscles; très-dures, résistante
s d'un centimètre au moins d'épaisseur. Dans le reste de l'organe, le
tissu
est dense, élastique; la surface de la coupe, d'u
pe, d'une coloration ardoisée, est lisse et sèche. D'épais tractus de
tissu
conjonctif la sillonnent dans tous les sens; les
rties molles seules font obstacle à l'extension, et ce- pendant les
tissus
périarticulaires et les ligaments n'offrent aucun
ntempestif de l'organe lésé, par une attrition trop considé-rable des
tissus
, par une thérapeutique intempestive, un mauvais é
és à la Société de chirurgie. Selon ce chirurgien, la suppuration des
tissus
contus doit être ainsi expliquée : Une intoxicati
tinus directs et les courants induits, du moins sur la nutri-tion des
tissus
. Telle n'estpas l'opinion de M. L. Lefort, qui pr
ants induits sont impuissants. L'action des courants continus sur les
tissus
paraît être différente de l'action des courants i
se présente la dégénérescence, l'altération débute toujours par le
tissu
cellulaire sous-muqueux et ce n'est que plus tard
verses substances, il renferme en lui des liquides décomposables, des
tissus
ayant des mouve-ments moléculaires propres, des s
son orientation aux autres 4e année, 8 mouvements secondaires des
tissus
et il empêche les irritations par-tielles d'avoir
ande tension, caril ne faut pas seulement que le courant traverse les
tissus
, il faut encore qu'il puisse agir énergiquement s
e qu'il puisse agir énergiquement sur les mouvements moléculaires des
tissus
qu'il traverse, et son action sera, sous ce rappo
u son. Néanmoins, et cela est une conséquence logique, c'est dans les
tissus
qui peuvent le plus rapidement modi-fier leur éta
du courant. À l'instant où le courant cesse, il se produit dans les
tissus
qu'il a traversés une autre série de phénomènes,
préalablement cessé d'éleclriser le membre. Il se forme donc dans les
tissus
, au moment de la rupture du courant, un courant p
e bien que ceux-ci ont peu d'action sur les phéno-mènes chimiques des
tissus
. Il y a encore entre les courants induits et le
électrique. Aussi longtemps que M. du Bois-Reymond constate dans les
tissus
organiques des courants électriques, il est dans
raient qu'il se forme des courants électriques dans toute espèce de
tissu
organique, aussi bien dans les végétaux que dans
une pile. On constate en effet des courants électriques dans tous les
tissus
, dans les tendons, dans les os, dans les artères,
es rapports de la production de ces courants avec la nutrition de ces
tissus
. Pour nous placer dans des conditions,à peu prè
une série d'oxydations; les substances albuminoïdes brûlent dans les
tissus
, comme le métal dans la pile, et par conséquent l
que nous augmenterons l'action chimique autonome et propre à chaque
tissu
. Nous agirons ainsi sur la nutrition et c'est pri
ement de la pile peut favoriser ou ralentir les actions chimiques des
tissus
. Je dirai même plus : je crois que, dans toutes l
ndres. Les courants électriques qui se forment directement dans les
tissus
, ne se produisant pas d'une façon désordonnée, il
riques, car c'est elle qui permet aux actions chimiques autonomes des
tissus
de se faire plus ou moins activement, et pour les
riment leur di-rection aux courants secondaires qui naissent dans les
tissus
, ils ont une action chimique directe et une influ
miques des substances organiques, ils pénètrent profondément dans les
tissus
, ne peuvent êlre localisés, donnent lieu, après l
et selon leur direction peuvent augmenter ou diminuer l'oxydation des
tissus
. Mais, à côté de cette grande division, il est
manière plus régulière, en général. Cette masse semble formée d'un
tissu
mollasse ; elle donne à la main la sensation de p
comme fibreuses et est évidemment constituée par une hypertrophie du
tissu
cellulaire sous-cutané. La peau est complètement
extension. On remarque en même temps des hypertrophies multiples du
tissu
cellulaire sous-cutané. A la face interne et pl
deux mamelles sont rendues plus volumineuses par le développement de
tissu
graisseux dans leur intérieur. Le sujet jouit d
tation et de diminution dues sans doute à l'irritation causée sur les
tissus
voisins. Survient cette désastreuse guerre de 1
une infinité d'autres qui ont acquis un volume considé-rable dans ces
tissus
, irrités depuis longtemps. Toutes les ligatures s
Celte manière de faire nous paraît avoir deux avantages : Io dans ces
tissus
friables, on s'exposait à placer en vain des fils
étations plus ou moins arborescentes, il pénètre dans l'in-térieur du
tissu
du gland qui était en grande partie détruit. Le t
l'in-térieur du tissu du gland qui était en grande partie détruit. Le
tissu
con-jonctif du gland, les trabécules du corps spo
nt par Bennet, Valleix, Huguier, Gosselin, Gallard, l'inflammation du
tissu
cellulaire péri-utérin a été ensuite niée par Ber
e par M. Gallard et dans laquelle l'inflammation et la suppuration du
tissu
cellulaire rétro-utérin se trouvent péremp-toirem
compris le péritoine : il restait à rechercher dans quelle mesure le
tissu
cellulaire péri-utérin participait à cette inflam
e le vagin et le rectum, un véritable abcès phleg-moneux affectant le
tissu
cellulaire de la région et que l'existence du phl
érations, dans les cas de sup-puration abondante, de mortification de
tissus
et dans les liga-tures. Dans les opérations tel
tumeur offre à la surface de sa coupe des zones de divers aspects. Le
tissu
fondamental est transparent, d'apparence fibreuse
s lisses, que soulèvent par places des végétations intralacunaires du
tissu
fondamental. Ailleurs,les lacunes sont par-courue
plutôt en faveur de l'hypothèse de foyers de ramollisse-ment. « Le
tissu
fondamental, dans les points où il est transparen
u lobules terminés en cul-de-sac, anastomosés entre eux et remplis de
tissu
épithélial. « Dans les masses jaunâtres, à aspe
luleuse, filiforme, qui s'attache sur l'aorte. Pas de végétations. Le
tissu
du cœur est un peu décoloré, friable. Poids, 790
ments anatomiques; pour atteindre ce but, elle doit faire l'étude des
tissus
à l'aide de l'histologie et demander à la physiqu
ent à des degrés divers, il est vrai, à tous les éléments, à tous les
tissus
, et dans tous il nous faudra la cher-cher. Le ref
e du calorique : ce phénomène est le contact et l'échange entre les
tissus
élémentaires et le sang, au moment où se produi-s
t les actions chimiques de la nutrition. » XVI. Rôle calorifique du
tissu
musculaire. — Le muscle en se contractant augment
moment de la contrac-tion musculaire est-elle due à la combustion du
tissu
ou à la vei-nosité du sang? Elle est surtout due
influence inverse* « La chaleur qui se développe dans l'intimité du
tissu
des muscles ne fournit pas seulement le degré de
rrélatifs. * XXII. Les reins, le foie, le poumon et le cœur. — i Le
tissu
glan-dulaire est donc une source de chaleur. Sour
nde la plus volumineuse de l'économie, est aussi la plus chaude. Le
tissu
du cœur, quand il est contracté, est plus chaud q
e que : « la chaleur est une faculté générale apparte-nant à tous les
tissus
doués de la vie dans lesquels s'accomplissent des
ler les phénomènes physico-chi-miques qui s'accomplissent au sein des
tissus
, lorsque ceux-ci entrent en conflit par le moyen
XXIX. Les nerfs vaso-moteurs et la pression du sang. — « Tous les
tissus
, tous les organes, sont-ils pourvus de nerfs vaso
poplexie delà rate est con-stituée par un épanchement de sang dans le
tissu
de l'organe ; on rencontre cet état dans les fièv
ence cartilagineuse et osseuse; il n'y a pas, à proprement parler, de
tissus
cartilagineux et osseux, mais du moins des tissus
oprement parler, de tissus cartilagineux et osseux, mais du moins des
tissus
d'apparence fibro-cartilagineuse et osseuse. V.
en outre, bien plus épais et très-déformé. 11 présente l'aspect d'un
tissu
éléphantiasique dont la couleur terne serait rele
en forme de fer à cheval à concavité inférieure, par une extension du
tissu
morbide aux par-ties avoisinantes. Cette partie
i se reproduisent très-rapidement. Les artères qui se rendent dans le
tissu
morbide et qui l'alimentent de sang sont : 1° L
r l'application incomplète de l'appareil résultant du dégorgement des
tissus
. Comme l'appareil amène des plaques de gangrène c
i l'avait amenée dans le service. De l'étude de ce qu'il restait du
tissu
morbide nous avons égale-ment à tirer une conclus
appé à l'action coagulante du perchlorure de fer et comprises dans le
tissu
morbide, la théorie de M. Virchow (ainsi que M. l
rande utilité, car lui seul doit indiquer que le courant traverse les
tissus
. Nous avons toujours insisté sur ce point, et nou
st détruit, mais alors l'action chimique des courants désorganise les
tissus
en contact avec les rhéophores, et il se forme de
lésions orga-niques profondes qui ont fait disparaître une portion du
tissu
propre, elle ne dissout pas les plaques scléreuse
éments de formation pathologique, pour les rem-placer par de nouveaux
tissus
. Comme tous les agents, elle ne peut qu'amener de
La coupe présente un aspect rose pâle : on aperçoit des traînées de
tissu
conjonctif séparées par un tissu spongieux et gri
e pâle : on aperçoit des traînées de tissu conjonctif séparées par un
tissu
spongieux et grisâtre, un tissu semblable sépare
s de tissu conjonctif séparées par un tissu spongieux et grisâtre, un
tissu
semblable sépare également la muqueuse des partie
s parties sous-jacentes, sous forme d'une mince couche grisâtre. Ce
tissu
spongieux existe principalement à la face inférie
, on voit les faisceaux musculaires séparés par de larges traînées de
tissu
conjonctif : on peut distinguer dans ces dernière
ica-tion que dans notre cas ; nous nions non-seulement l'existence du
tissu
adénoïde, mais encore tout processus proliférant
nce du tissu adénoïde, mais encore tout processus proliférant dans le
tissu
primitif de cette tumeur ; il s'y produit, au con
tion de cellules arrondies; l'infiltration augmen-tant, les fibres du
tissu
conjonctif sont séparées et écartées par les cell
en résulte finalement un feutrage qu'on ne saurait con-fondre avec le
tissu
adénoïde proprement dit. » — Yirchow était-il de
es. Finalement, la structure du bourgeon se rapproche complètement du
tissu
conjonctif : il en résulte un corps papillaire d'
our de la jointure malade s'atrophient en même temps que la couche de
tissu
celfulo-adipeux qui double la peau devient plus é
une diminution de volume des fibres musculaires primitives. Quant au
tissu
cellulaire sous-cutané, il forme une couche plus
i le ré-sumé : arthrite du genou gauche, épaississement unilatéral du
tissu
sous-cutané, atrophie simultanée des muscles, int
on recon-naît que des petits abcès multiples se sont produits dans le
tissu
conjonctif interstitiel et que les acini sont le
re de granulations très-bril-lantes. Le stroma est constitué par du
tissu
conjonctif muqueux, mais surtout par du tissu con
ma est constitué par du tissu conjonctif muqueux, mais surtout par du
tissu
conjonctif fibreux parsemé d'un nombre va-riable
'un grain de millet, mi-partie saillantes, mi-partie engagées dans le
tissu
rénal. Sur une coupe transversale, allant du hile
rénal. Sur une coupe transversale, allant du hile au bord convexe, ce
tissu
, soit dans sa couche corticale, soit dans sa couc
nt consti-tuées uniquement par des leucocythes et développées dans le
tissu
conjonctif interstitiel. Ce tissu est partout not
leucocythes et développées dans le tissu conjonctif interstitiel. Ce
tissu
est partout notablement plus déve- loppé qu'à l
e, sont perméa-bles, et n'offrent aucune altération appréciable. Le
tissu
des côtes est partout considérablement raréfié :
erées à bouche d'un pus verdâtre, ne pénétrant en aucun point dans le
tissu
cellulaire sous-cutané. Au niveau de la fractur
ses déformées. Pas de pus dans les articulations ni en aucun point du
tissu
cellulaire sous-cutané. Aucune modifica-tion du l
é souvent, une inflammation chronique aboutissant à la suppuration du
tissu
cellulaire interposé entre le vagin et le rectum.
tte paroi. Latéralement, la collection purulente avait fusé dans le
tissu
cellulaire du petit bassin, en disséquant les par
s ovaires, dont les altérations amènent si souvent la suppura-tion du
tissu
cellulaire pelvien ne sauraient ici être mis en c
y montrent l'exis-tence de trois couches : 1° une couche profonde de
tissu
demeuré sain ; 2° une couche moyenne constituée p
fonde de tissu demeuré sain ; 2° une couche moyenne constituée par le
tissu
normal infiltré d'éléments embryonnaires ; 3° une
le, au niveau du point comprimé, présente déjà tous les caractères du
tissu
nerveux enflammé ; on reconnaît de plus que la lé
. L'examen hislologique a démontré que cette tumeur se composait de
tissu
fibreux et de graisse. TÉRATOLOGIE NOTES SUR
la veine ombili-cale, mais il se produit de nombreuses fuites dans le
tissu
cellu-laire. Une incision verticale va depuis la
éléments anatomiques se fait le processus hyperlrophique. — Tous les
tissus
qui entrent dans la composition du col utérin peu
Paris, pages 185, 262 et 360. l'appareil glandulaire ou muqueux, le
tissu
conjonctif, etc. Dans certains cas, enfin, la str
du col n'existe plus et celui-ci se trouve exlusivement formé soit de
tissu
fibreux pur (fi-brome), soit de toute autre espèc
rtrophie résultant, en quelque sorte, d'un développement mécanique du
tissu
utérin et que nous désignerons sous la dénominati
le, mais encore il présente à peu près tous les caractères propres du
tissu
utérin parfaitement sain. La muqueuse est à peine
t considérable à la base de la tumeur, dans les parties profon-des du
tissu
utérin. M. Huguier, qui a disséqué ces artères pr
usqu'à 1 millimètre 1/2 et 2 millimètres de diamètre; les veines du
tissu
utérin, ainsi que celles du plexus vagiuo-utérin
Mais, nous le répétons, cette disposition n'est point constante. Le
tissu
musculaire constitue un des éléments les plus imp
, qui a attiré l'attention sur ce point, a constaté l'abondance de ce
tissu
sur un certain nombre de pièces fraîches qui lui
elles conditions, on est frappé de l'élasticité et de la mollesse des
tissus
; aussi a-t-on, à juste raison, désigné cette for
c de cette variété d'hypertrophie d'avec la forme fibromateuse, où le
tissu
utérin est dur et rigide. b) Hypertrophiesvascu
5. — hystéri-que, traitée par l'électricité, 538. Cordon ombilical (
Tissu
muqueux du), par Renault, 114. Cornillon(J.), 1
e n'est pas à un jour précis de la croissance que le squelette, les
tissus
et les viscères vont réclamer les bons offices
ellule femelle. L'évolution s'accomplit dans le squelette, dans les
tissus
, dans les viscères séparément pour le compte et
les attributs de l'enfance. Elle frappe tous les organes, tous les
tissus
, et n'épargne pas les cartilages de croissance
tt ; ils mon- traient en détail comment le cancer, en détruisant le
tissu
osseux, com- prime les racines au niveau du tro
absence de toute lésion cutanée : eschares, ecchymoses, etc., etc. Le
tissu
cel- lulaire sous-cutané forme partout une couc
paraissent engainés, comme la colonne vertébrale elle-même, par du
tissu
fibreux présentant une disposition lamellaire.
re et le péricarde, au niveau de la base du coeur, sont unis par un
tissu
scléreux très résistant. Les cavités du coeur son
is- sement. Leur anneau d'insertion contient une grande quantité de
tissu
dur, d'aspect fibreux. Les vaisseaux qui part
es parois ne semblent pas épaissies, mais elles sont entourées d'un
tissu
fibreux disposé de la façon suivante : immédiat
nt au vaisseau, tandis que sa face externe , répond à une couche de
tissu
cellulo-graisseux, épaisse de quelques millimè-
avec la précédente, constitue une sorte de sac où se trouve logé le
tissu
cellulo-graisseux. Les poumons ne présentent qu
ation spéciale, constituée par deux lames membraneuses enserrant du
tissu
cellulo-graisseux anormalement dense. Vient-on à
ient donc ici non à des lésions de synostose, mais à l'existence du
tissu
spécial que nous venons de décrire. Notons en
s, extrême- ment fibreuses et épaisses, contiennent des vestiges de
tissu
graisseux. Les ovaires contiennent peu d'ovules
nales n'offrent aucune trace d'épaississement capsulaire : seul, le
tissu
périvasculaire est épaissi, sans que les vaisseau
émorragiques déjà anciens, comme le montre l'infiltration, dans les
tissus
voisins, de pigments et d'hématies. Il existe e
t : non, il s'agit d'une sorte de substitution de l'os vertébral au
tissu
normal du fibro-cartilage. Sur toutes les coupes,
ritable bloc osseux par suite de la transfor- mation successive, en
tissu
osseux, des divers muscles de la vie de rela- t
MOND ET BABONNEIX mais, en tout cas, elles respectent absolument le
tissu
musculaire, et, même au niveau de la colonne ve
bs tance grise. Les fibres de la substance blanche, la pie-mère, le
tissu
conjonc- tif et les vaisseaux intra ou extra-mé
dre-axes déformés, sans gaine de myéline et en rapport direct avec le
tissu
conjonctif intrafasciculaire. Ce dernier, plus
re-axes dépourvus de gaine de myéline. Les gaines lamelleuses et le
tissu
conjonctif périfasciculaire ne semblent pas par
es (V. PI. V, B et fig. 3). Les fibres nerveu- ses y sont rares. Le
tissu
conjonctîf intrafasciculaire ne forme plus dans c
es min- ces, laissant entre elles des espaces clairs, comme dans le
tissu
conjonctif lâche. Autour des éléments nerveux c
omme dans le tissu conjonctif lâche. Autour des éléments nerveux ce
tissu
conjonctif se condense soit pour former FiG. 3.
e du manchon elles se con- tinuent avec les fibres plus espacées du
tissu
réticulé avoisinant. Les fibres nerveuses conte
les autres atrophiées et beaucoup d'entre elles sont entourées d'un
tissu
conjonctif dense, tandis qu'ailleurs le tissu c
s sont entourées d'un tissu conjonctif dense, tandis qu'ailleurs le
tissu
conjonctif intra-fasciculaire présente la disposi
s le tissu conjonctif intra-fasciculaire présente la disposition du
tissu
conjonctif réticulé. Ici encore, le tissu conjo
sente la disposition du tissu conjonctif réticulé. Ici encore, le
tissu
conjonctif périfasciculaire et la gaine lamelleus
de la fibre nerveuse. Sur ces coupes longitudinales la structure du
tissu
conjonctif intrafasciculaire est mieux démontra
à la périphérie en fibrilles qui dans les espaces clairs forment un
tissu
réticulé à mailles très lâches. III. Racines ra
ans les racines antérieures que dans les racines postérieures et le
tissu
conjonctif intrafasciculaire y est plus abondant.
es. Les espaces qu'elles lais- sent entre elles sont occupés par du
tissu
conjonctif assez serré, dans lequel on retrouve
gaine de myéline petite et peu transparente, à peine distincte de ce
tissu
conjonctif interstitiel. En outre, on voit qu'a
tre, on voit qu'autour des fibres nerveuses même bien conservées le
tissu
conjonctif forme une gaine annulaire, comme dans
Il est à noter que tout comme dans dans les nerfs périphériques le
tissu
conjonctif périfasciculaire n'est pas modifié.
d'atrophie complète ne sont plus représentées que par des boyaux de
tissu
conjonctif contenant des noyaux arrondis ou all
de tissu conjonctif contenant des noyaux arrondis ou allongés. Le
tissu
conjonctif interstitiel a son aspect habituel ; i
volume variable et presque toutes munies d'une gaine de myéline. Le
tissu
conjonctif intra-fasciculaire remplit les vides
fiées sont entourées d'une gaine fibreuse en manchon, tandis que le
tissu
conjonctif intra-fasciculaire est en partie trans
ue le tissu conjonctif intra-fasciculaire est en partie transformé en
tissu
réticulé. Résumé de L'OBSERVATION clinique. -
cs nerveux périphériques diminution du nombre des fihres à myéline.
Tissu
conjonctif intra-fasciculaire tantÓt raréfié et
Tissu conjonctif intra-fasciculaire tantÓt raréfié et transformé en
tissu
réticulé, tantôt' épaissi et condensé dans les in
ré que les troncs nerveux du plexus brachial. Pas d'augmentation du
tissu
conjonctif péri-fasciculaire ni des gaines lame
accompagnée ou aggravée peut-être par les lésions hyperplasiques du
tissu
conjonctif intrafascicu- laire ; il est bien év
ypique : diminution du nombre des fibres à myéline, augmentation du
tissu
conjonctif interstitiel et présence, autour de
longitudinales il reste des espaces vides très larges occupés par un
tissu
riche en noyaux. Les nerfs contiennent encore d
Les filets nerveux des muscles de la main droite sont entourés d'un
tissu
conjonctif épais qui s'infiltre aussi entre les
te interstitielle très marquée avec augmentation du névrilème et du
tissu
interfasciculaire des troncs nerveux et des fil
y a de la névrite interstitielle, mais l'au- teur ne dit pas que le
tissu
conjonctif intrafasciculaire ait formé des man-
roncs nerveux, dégénérescence des fibres à myéline, augmentation du
tissu
conjonctif surtout au niveau de la gaine lamell
niveau de la gaine lamelleuse qui est hypertrophiée, tandis que le
tissu
conjonc- tif intrafasciculaire est notablement
s des nerfs périphériques (hyperplasie de la gaine lamelleuse et du
tissu
conjonctif interfasciculaire) ont été trouvées pl
es fibres nerveuses il y avait un épaissis- sement du névrilème, du
tissu
intra et extrafasciculaire et des gaînes de Sch
res et sur les nerfs périphériques (augmentation du névrilème et du
tissu
inter- fasciculaire) ; les filets sensitifs éta
conjonctive, mais elle porte surtout sur la gaine lamelleuse et le
tissu
interfasciculaire, le tissu intrafasciculaire ne
e surtout sur la gaine lamelleuse et le tissu interfasciculaire, le
tissu
intrafasciculaire ne pré- sente pas la même aug
rf médian au sciatique ; dans le premier, la gaine lamelleuse et le
tissu
intrafasciculaire ne sont pas hypertrophiés et
pertrophiés et le volume du nerf est normal ; dans le sciatique, le
tissu
conjonctif a subi une hypertrophie généralisée
énéralisée portant aussi bien sur les gaines lamelleuses que sur le
tissu
inter et intrafasciculaire. Ils décrivent égaleme
longitudinales des nerfs cette organisation si caractéristique des
tissus
qui rappelle aussitôt les descriptions et les d
tas et Thomas ; raréfaction des fibres nerveuses, augmenta- tion du
tissu
conjonctif intrafasciculaire et gaines de Schwann
'analogie; il n'y a pas d'hypertrophie de la gaine lamelleuse et du
tissu
conjonctif intrafasciculaire, si bien qu'en som
mme les troncs nerveux ne sont pas augmentés dans leur diamètre. Le
tissu
conjonctif intrafasciculaire n'est d'ailleurs pas
oints leur atro- phie n'est pas proportionnelle à l'hyperplasie des
tissus
interstitiels. Les racines rachidiennes ne prés
régressive d'un grand nom- bre de fibres nerveuses, hyperplasie du
tissu
conjonctif intrafasciculaire et formation de ga
t presque aréolaire de la même. Il n'existe pas de prolifération de
tissu
interstitiel nulle part. Ici, comme dans la cou
lorée, ne présente ni multiplication de noyaux, ni prolifération du
tissu
interstitiel, ni 76 ITALO ROSSI foyer hémorra
pas infiltrés. Au niveau d'elle il y a une légère prolifération du
tissu
interstitiel. Dans aucun segment la légère raréfa
n'avons constaté une multiplication des noyaux ni prolifération de
tissu
interstitiel, ni formation de tissu fibreux. Le
des noyaux ni prolifération de tissu interstitiel, ni formation de
tissu
fibreux. Les vaisseaux ne sont que légèrement é
laires dégénèrent, l'organe est réduit dans tous ses diamètres ; le
tissu
névroglique est étranger la pro- duction de cet
articulation est gonflée, globuleuse, les méplats sont effacés. Les
tissus
péri-articulaires sont épaissis, la palpation est
ion de volume des épiphyses, et d'autre part à l'épaississement des
tissus
mous articulaires et périarticulaires, et qui pré
e nous observons : elles relèvent bien plus de l'épaississement des
tissus
articulaires et péri-articulairesque de l'hyper-
e excessive on observe un double menton. Le tronc est très riche en
tissu
adipeux et dans la région mammaire les tégument
r les modifications intimes qui se produi- sent alors dans tous les
tissus
, en altère profondément les apparences extérieu
la forme que seules peuvent donner la souplesse et la fer- meté des
tissus
où circule la vie. « En un mot, l'étude de la f
, Doin, 1895, ' UNE RÉVOLUTION ANATOMIQUE 107. organes, les mêmes
tissus
, les mêmes os, les mêmes muscles, et l'anato-,
ure du corps humain : il faut leur en- seigner le rôle plastique du
tissu
graisseux sous-cutané, des vaisseaux et de la p
tent sont pour la plus grande part très amincies et placées dans un
tissu
de sclé- rose dense où on note, à l'hématoxylin
une légère multiplication des noyaux névrogliques. Au milieu de ce
tissu
on aperçoit, sur quelques coupes des divers seg
ement dépourvus de fibres et occu- pés presque exclusivement par du
tissu
interstitiel. Le cordon postérieur gauche est u
presque pas de fibres et sont presque uniquement constituées par du
tissu
in- terstitiel fortement sclérosé. Les quelques
a corne,avec raréfaction forte du réseau myélinique, hyperplasie du
tissu
névroglique et diminution de nombre des cellule
pas raréfié, n'existe pas non plus d'hyperplasie ou de sclérose du
tissu
interstitiel. Dans les segments dorsaux et cerv
e cette nature infectieuse par la constatation des microbes dans le
tissu
médullaire même, bien qu'on puisse discuter encor
se rend compte en effet qu'elle est peut-être plus profonde que le
tissu
oedématié, et qu'en tout cas elle n'est pas exa
e lésée une transsudation exagérée de la lymphe dans les mailles du
tissu
conjonctif, soit qu'il s'agisse d'une simple exci
u'il s'agisse d'une hyperactivité propre dans la modifica- tion des
tissus
,si on suit l'hypothèse de Cohnhein ou d'Asher et
egré de per- méabilité de cette paroi même, et enfin au travail des
tissus
, les expérien- ces de Siavtzillo semblent bien
érablement. Lorsque l'oedème lymphatique existe dans les lacunes du
tissu
depuis quelque temps, le lymphe s'y charge des
he s'y charge des matériaux cataboliques provenant des échanges des
tissus
, et suivant les recherches de Ahser' et de Barbar
oedèmes prolongés ou à répétition fréquente elle peut réagir sur le
tissu
conjonctif dans les mailles duquel elle séjourn
paces dépourvus de parois propres, avec des réseaux formant un vrai
tissu
caverneux (Teichmann et Yung), et après l'oedèm
éaction vicieuse du sympathi- que sur la formation de la lymphe des
tissus
, mais réaction vicieuse due à-une malformation
s des nerfs médian et cubital et une tranche comprenant la peau, le
tissu
sous-cutané et les muscles sous-jacents. Exam
evillé par suite du durcissement dans le formol) ; 2° Une couche de
tissu
conjonctif fibreux dense, d'une épaisseur de 3 mi
ne renferment aucune trace d'inflammation an- cienne ou récente. Le
tissu
conjonctif est constitué par des fibres allongées
; on y trouve des noyaux en assez grand nombre ; 3° Une couche de
tissu
adipeux qui est l'élément essentiel de cet oedème
de plus ou moins grande étendue, séparées par d'étroites fentes où le
tissu
conjonctif est réticulé ; 4° Une couche de 3
réticulé ; 4° Une couche de 3 millimètres environ constituée par du
tissu
conjonctif tantôt dense et tantôt réticulé ;
encore plus (elle paraît sur la coupe comme formée par des piliers de
tissu
fibreux dense) ; ... . 6° Les muscles sont no
en coupe transversale, mais entre les fibres il y a des traînées de
tissu
adipeux. On voit sur la photographie (fig. A) que
laires et on voit ces dernières l'état de dissociation au milieu du
tissu
adipeux (fig. C). ' 11. Ner/'médinu. - Ce nerf
pas à cette augmentation de volume; ils sont normaux ainsi que leur
tissu
conjonctif intra-fasciculaire. Ce sont les gai-
t.) (gr. 7 d.). TROPIIQûDÈME CONGÉNITAL 157 nes lamelleuses et le
tissu
conjonctif interfasciculaire qui ont subi un déve
is, au delà de cette première gaine lamelleuse commence une zone de
tissu
conjonctif fibreux moins dense dont les élément
que contenant un ou plusieurs faisceaux ner- veux.Une autre lame de
tissu
conjonctif plus dense limite la périphérie de cet
se limite la périphérie de cette gaine lamelleuse hypertrophique.Un
tissu
conjonctif interfasciculaire abondant, composé
médian, ce nerf n'est pas hyper- trophié (fig. E). L'hyperplasie du
tissu
conjonctif qui l'entoure s'arrête à la gaine ex
simple augmentation numérique (hypergenèse) des divers éléments des
tissus
conjonctifs depuis le derme jusqu'aux régions p
coupes des muscles ne montrent pas une infiltration uniforme par le
tissu
adi- peux. Un examen plus détaillé eût sans dou
. L'oedème dur, non dépressible s'explique par la présence, dans le
tissu
cellulaire sous-cutané,d'une épaisse couche adi
appréciables pouvaient, on le conçoit, assurer la nutrition de ces
tissus
. On comprend aussi le fonction- nement normal d
nt les éléments conducteurs sont bien conser- vés, l'hyperplasie du
tissu
conjonctif ne pouvant, de par sa disposition, l
ême pour les muscles dont les fibres sont parfois dissociées par du
tissu
adipeux intercalé mais n'ont pas subi de modifi
selon tou- tes les apparences à des anomalies de développement des
tissus
du feuillet moyen. Des examens histologiques pl
xions avec le trophoedème. , L'hémi-hypertrophie intéresse tous les
tissus
en comprenant les os. Disons maintenant quelque
ment vaso-moteurs qui tiennent sous leur dépendance la nutrition du
tissu
conjonclif. C'est l'o- pinion exprimée par Henr
élite ayant atteint les centres qui tiennentsous leur dépendance le
tissu
conjonctif. Meige admet également comme probabl
« On peut la chercher dans une altération des centres trophiques du
tissu
conjonctif sous-cutané. . Mais où siègent ces
e des centres qui président au développe- ment et à la nutrition du
tissu
cellulo-cutané. Notons encore le rapprochement
e trophoedè- me familial et les dystrophies également familiales du
tissu
musculaire. De nouvelles recherches sont assuré
là comme un liquide dans un point déclive. Au front et aux tempes le
tissu
cellulaire n'est point infiltré. Au cou et su
ée, des tractus fibreux plissent la peau complètement adhérente aux
tissus
sous- jacents, des papules d'un rouge vineux du
e à faire considérer cette adipose comme un trouble dystrophique du
tissu
cellulaire sous-cutané à ranger dans le vaste g
grosses fautes de physiologie. « Sur aucune il n'est tenu compte du
tissu
adipeux sous-cutané qui tient une si grande pla
terne du pied du pédoncule dont tout le reste est représenté par du
tissu
de sclérose au sein duquel per- , sistent quelq
tie circumpédonculaire; en effet, elle n'est plus formée que par du
tissu
de sclérose dense avec légère prolifération nuclé
circumpédonculaire de cette bandelette dégénérée, on voit en plein
tissu
de sclérose (fig. 3 et 4) une cavité allongée for
comme l'effet d'un processus de raréfection secondaire au sein de ce
tissu
de sclérose très ancien. Au sur et à mesure q
mis une nutrition suffisante du pédoncule « pour éviter la mort des
tissus
et attendre le rétablissement d'une circulation
ux champs ventraux. Dans ces foyers si étendus de nécrose, on voit le
tissu
nerveux altéré, en îlots irréguliers séparés pa
ornes postérieures on voit une déformation due au ramollissement du
tissu
nécrotique. Le septum médian, au lieu d'être dr
espaces vides, aussi bien que des déchirures séparant les îlots du
tissu
altéré. Les lésions diffèrent de coupe en coupe
cocytes ; dans leurs gaines périvasculaires.llymp6atiques el dans le
tissu
voisin on voit des éléments névrogliques et des
. Dans la substance blanche on constate une destruction générale du
tissu
. Une bandelette de substance blanche des cordon
ères des dégénérescences et des nécroses aiguës et irréparables. Le
tissu
nécrosé est disposé en îlots, en séquestres irrég
évrogliques vides. Dans les fragments plus ou moins massifs de ce
tissu
nécrosé on voit des petits foyers d'hémorragie.
ytaire. Dans les espaces vides et les déchirures entre les îlots du
tissu
altéré, on constate différents débris fins névr
e elles étaient altérées et très rares. Tout le reste consistait en
tissu
névro- glique avec ça et là des cylindraxes nus
ussi flexible que du côté opposé, s'articule avec le sternum par un
tissu
fibreux très lâche. Elle ne paraît pas s'attacher
lement retard dans l'ossification des os longs, mais raréfaction du
tissu
osseux de ces os. Cette raréfaction se retrouve
lules de la lignée séminale ne sont pas différenciées, mais dans le
tissu
conjonctif on ne trouve aucune cellule intersti
ois il y a prolifération de cellules épithéliales et de cellule. Le
tissu
conjonctif paraît peu augmenter. Le testicule :
ion il correspond : il est possible qu'il existe un prolongement du
tissu
gliomaleux remontant assez haut pour atteindre
ou encore reconnaître pour origine un processus atteignant tous les
tissus
de la main. On conçoit que l'examen histologiqu
u'ici. CLINIQUE PSYOUATHIQUE DE GENÈVE DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU
TISSU
CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS, PAR R
nographie de la Salpêtrière, no 3, 9908. DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU
TISSU
CÉRÉBRAL 277 Tranquille et orienté, mais se pla
, d'un diamètre de 2 centimètres. Cette ou- verture est couverte de
tissu
cicatriciel mou. Dure-mère très tendue ; face in-
res et une hauteur de 1 centimètre environ. Dessous on rencontre du
tissu
néoplasique, empiétant surtout sur T. 1 et T. 2.
obstruant une partie de la F. S. a poussé en avant et en arrière le
tissu
cérébral. Les scissures nombreuses, fron- tales
. D'abord c'est une sorte d'U, recouvert DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU
TISSU
CÉRÉBRAL 279 de pie-mère, dans lequel sont abri
le vaisseau est complètement rentré dans l'écorce (fig. 2). ' Le
tissu
cérébral cède donc déjà à une pression moindre qu
s lésions anatomiques les plus marquées. DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU
TISSU
CÉRÉBRAL 281 C'est un peu en arrière du corps c
nt les effets à distance. Le voisi- nage du néoplasme se compose de
tissu
en voie de mortification ; on n'y voit que des
6. - Coupe 1055. Fig. 7. - Coupe 1495. DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU
TISSU
CÉRÉBRAL 283 L'hémisphère gauche est fortement
rgent d'en étudier encore beaucoup mieux les effets généraux sur le
tissu
nerveux central. 2° Il faut surtout se souvenir
le diminuent sansaucun doute avec l'intensité de ces altérations du
tissu
cérébral, car elles sont en bonne partie irrépa
le Iconographie DE la Salpêtrière. .T. XX. Pl. LII ALTÉRATIONS DU
TISSU
CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS. (Weber)
LLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XX. Pl. LUI ALTÉRATIONS DU
TISSU
CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS. (Weber)
UES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS. (Weber). DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU
TISSU
CÉRÉBRAL 285 vinrent s'ajouter des crises d'ang
ins prononcées. Le pourtour de l'aqueduc DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU
TISSU
CÉRÉBRAL z81 de S. et du IV° ventricule est sem
es, en voie de destruction. Le nodule du cervelet est transformé en
tissu
sclérosé. C'est au maximum d'extension de la tu
ralisé ; tout le pourtour des ventricules se compose d'une masse de
tissu
névroglique, d'un feutrage de grosses cellules
e de destruction. A mesure que l'on se rap- proche de;l'écorce, les
tissus
prennent un aspect normal. Fig. 9. D. Diverticu
cellulaires du sang et du pigment. Le plexus choroïde est riche en
tissu
conjonctif et contient une quantité incroyable
r stase du liquide céphalo-rachidien est DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU
TISSU
CÉRÉBRAL 289 la cause première de toutes ces al
aut pour cela que du temps. HÉMIMÉLIE AVEC ATROPHIE NUMÉRIQUE DES
TISSUS
ÉTUDE ANATOMIQUE ET PATHOGÉNIQUE DE L'HÉMIMÉLIE
LPÊTRIÈRE. T. XX, PL. LIV. 11EMIMELIE AVEC ATROPHIE NUMÉRIQUE DES
TISSUS
(Klippel et Paul Bouchel). Masson 1 : 1' Cie,
on de formol du commerce (40 0/0) étendue d'un tiers d'eau, dans le
tissu
cellulaire superficiel et profond, pour conserv
KLIPPEL ET BOUCHET de formol au tiers a saisi en quelque sorte les
tissus
dans leur situation au moment de la mort, et le
rès fortement réduits. La diminution de volume des os et des autres
tissus
de l'avant-bras est immé- diate et non progress
précises, d'une part à la face profonde de la peau, d'autre part au
tissu
fibreux dense situé aux lieu et place des os du
u carpe et au métacarpe, où il s'étale sans limites précises sur le
tissu
fibreux dense de la région ; entre ces deux tendo
orsale de ce qui représente le poignet et la main, s'attachant sur le
tissu
fibreux dense qui constitue leur squelette. L
de la peau très épaissie, un peu de graisse, et sur- tout un épais
tissu
fibreux dense, criant sous le bistouri, sans noya
s- tincts ; sur la face antérieure et sur la face postérieure de ce
tissu
fibreux, se perdent les trousseaux aponévrotiqu
sain 33 ; côté atrophié 18. 11GDIIMLLIE AVEC ATROPHIE NUMÉRIQUE DES
TISSUS
303 écrivent-ils, si l'on considère l'individu
mniotiques n'est plus nécessaire pour produire cette amputation, le
tissu
cicatriciel qui forme le fond du sillon agissant
Une cause interne, d'ordre histologique, amenant par rétraction des
tissus
l'amputation du membre (Kristeller, Menzel, Longu
de, en 5 ou 6 petits ra- meaux qui se distribuent aux muscles et au
tissu
cellulaire sous-cutané. Les principaux nerfs de
sphères. Dissection. L'enlèvement de la peau met à nu une couche de
tissu
cellulo- adipeux un peu plus épaisse dans la po
plus épaisse dans la portion arrondie de l'avant-bras sectionné. Le
tissu
cellulaire qui est en contact avec l'extrémité de
ies permet de constater que ces bourgeons sont formés uniquement de
tissu
fibreux, avec des prolongements papillaires d'u
férieur distinct; ils viennent s'insérer, en se con- fondant sur le
tissu
fibreux périostique qui recouvre l'extrémité du r
appareil prothétique. Ce pied n'est rattaché à la cuisse que par du
tissu
fibro- élastique. Dissection, - Squelette : d
rige obliquement en arrière vers les os du tarse et se perd dans le
tissu
cellulaire sous-cutané de la région du talon, p
bran- ches, qui se dirigent vers les orteils et se perdent dans le
tissu
cellulaire où rampent quelques branches vascula
également sur les deux os. hémimélie avec atrophie numérique DES
TISSUS
323 Cubitus et radius gauche présentent dans le
rémité du moignon, une dispo- HÉMIMÉLIE avec atrophie numérique DES
TISSUS
325 sition qui rappelle les bourses séreuses de
uu ongle; il semble corres- pondre au pouce ; il n'y a pas trace de
tissu
osseux dans ce moignon. xx 21 326 klippel ET
une part, du côté du cubitus, hémimélie avec atrophie numérique DES
TISSUS
327 "1 une masse plus volumineuse,rappelant la
in droite. L'hémimélie n'est pas d'ordinaire strictement limitée au
tissu
osseux. Bien au contraire, elle porte sur l'ens
ée au tissu osseux. Bien au contraire, elle porte sur l'ensemble du
tissu
conjonctif embryonnaire du membre, sans égard p
s égard pour les différenciations ultérieures qu'aurait acquises le
tissu
conjonctif. ' XXXIX, - E. f3EIlTIN et M. Oui, M
ar l'a- trophie totale est en partie masquée par une hyperplasie du
tissu
interstitiel. Le brachial antérieur n'est pas d
Dans cette même figure on passe, sans transition ou à peu près, du
tissu
très altéré au tissu sain ; nous reviendrons sur
re on passe, sans transition ou à peu près, du tissu très altéré au
tissu
sain ; nous reviendrons sur l'importance de ces
ie manifeste [Schlesinger (1)] et l'épaississement de la peau et du
tissu
cellulaire sous-cutané est beaucoup plus souvent
ostérieure droite. Sa paroi paraît être constituée par une bande de
tissu
névroglique peu épais ; les fibres nerveuses so
amas de globules rouges. On saisit ainsi l'origine vasculaire du
tissu
conjonctif si abondant parfois dans les cavités
mes variés ; en outre on remar- que des colonnes constituées par un
tissu
névroglique, des vaisseaux et entou- rées par u
me, les noyaux du sarcolemme ont activement proliféré, ainsi que le
tissu
interstitiel. Dans certains muscles existe une
nté d'épaisseur, les trousseaux fibreux sont abondants et forts, le
tissu
adipeux est épais ; les glandes sébacées et sud
res conjonctives très épaisses et des faisceaux ressemblant à ceux du
tissu
tendineux, le tissu cellulaire était pauvre en
épaisses et des faisceaux ressemblant à ceux du tissu tendineux, le
tissu
cellulaire était pauvre en graisse. Il n'existait
s petits muscles de la main sont atrophiés tandis que la peau et le
tissu
cellulaire sous-cutané sont en voie d'hypertrophi
te active avec corps granuleux. En définitive les modifications des
tissus
de la main dans la cheiromé- galie sont bien di
veux, les I issus constitutifs d'un segment de membre (os, muscles,
tissu
conjonctif, peau) réagissent différemment, elle r
ion ner- veuse que dans l'aptitude réactionnelle inhérente à chaque
tissu
en par- ticulier pour un agent morbide défini.
la malléole interne manque. Il paraît unique- ment constitué par du
tissu
spongieux, si l'on s'en rapporte à la différence
nus au-devant des rudiments de cavités cotyloïdes par une gangue de
tissu
osseux néoformé et peu dense aux rayons X, princi
la dysphasie périostale. HÉMIMÉLIE AVEC ATROPHIE NUMÉRIQUE DES
TISSUS
ÉTUDE ANATOMIQUE ET PATHOGÉNIQUE DE L'HÉMIMÉLIE
ite nous signalerons ce que l'examen micro- scopique des différents
tissus
nous a montré et ce que ces constatations offre
la partie inférieure de la diaphyse radiale, et d'autre part sur le
tissu
fibreux carpien et métacarpien externe n'est guèr
: L'humérus est en continuité avec l'omoplate qui est entourée d'un
tissu
qui fera les muscles péri-scapulaires (il n'y a n
ec une palette représentant la future main, elle-même constituée de
tissu
moins différencié. Main : on peut cependant y r
ère courbure, surtout du côté cubital. Du carpe partent 5 masses de
tissu
spécialement condensé, dans les- quelles on ne
nd et petit), forment une masse qui com- mence à se différencier du
tissu
voisin. b) Grand dorsal et grand rond, forme un
proximale de l'avant-bras, se continue à sa partie distale, avec le
tissu
condensé des doigts. donnera plus tard : Masse
s passe le ra- dial ; a) 1r° partie, radiale, se continue avec du
tissu
condensé de l'extrémité distale du radius : lon
teur. (3) 2° partie, passe près du 3" groupe et se fusionne aiec le
tissu
con- densé des extrémités proximales des 2e et
rne. 3° groupe, naît du cubitus et du radius, et se termine dans le
tissu
con- densé des 1 er et 2e doigts; la portion de
ine. Os : L'omoplate est cartilagineuse. La clavicule est formée de
tissu
condensé, l'olécrâne très développé, est cartil
crâne très développé, est cartilagineux, la coronoïde est plutôt en
tissu
condensé, la tubérosité bicipitale, de même, ce q
és distales des os de l'avant-bras sont élargies et séparées par du
tissu
condensé continu avec le périchondre de chacun d'
ont à leurs extrémités une couche de car- tilage hyalin. Carpe :
Tissu
condensé d'origine, ou en trouve différents carti
- midal sont cartilagineux, le semi-lunaire et le pisiforme sont en
tissu
condensé. Métacarpiens : sont différenciés et
entés par une masse cartilagi- neuse incrustée profondément dans du
tissu
condensé, tandis que pour le ter doigt, le tiss
ofondément dans du tissu condensé, tandis que pour le ter doigt, le
tissu
condensé prend la place du cartilage. A l'extré
place du cartilage. A l'extrémité de chaque doigt est une masse de
tissu
condensé. Les cavités comprises entre les carti
ne communiquent pas entre elles et sont séparées par une aréole de
tissu
condensé. Muscles : On peut distinguer l'un de
a pas encore d'attaches scapulaires. Grand palmaire se perd dans le
tissu
condensé de la main, puis se fusionne avec le t
se perd dans le tissu condensé de la main, puis se fusionne avec le
tissu
de l'extrémité proximale du 2° métacarpien ; son
du poignet et de la main, elles se perdent ou se terminent dans un
tissu
fibreux condensé qui représente à la fois leurs t
s des doigts et de la main s'étalent en un 412 KLIPPEL ET BOUCHET
tissu
fibreux commun ; mais le pouce est une formation
i permettent de conclure que tous les éléments histologiques de ces
tissus
étaient de struc- ture normale, mais diminués q
1905 ; Anomalies multiples congénitales par atrophie numérique des
tissus
. Nouv. Iconographie de la Salpêtrière, avril 1906
1905. Anomalies multiples congénitales par atro- phie numérique des
tissus
. Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière, 1906.
rs adénoïdes, ni de lipomes, mais bien d'une simple hypertrophie du
tissu
glandulaire, ainsi que de tous les éléments ana
e du tissu glandulaire, ainsi que de tous les éléments anatomiques,
tissu
cellulo-graisseux, peau, etc., qui entrent dans
ravers la peau la consistance et la sensation que donne au doigt le
tissu
lobulé de la glande mammaire. « Ajoutons que ce
bord à l'autre du pédicule. Après avoir coupé la peau amincie et le
tissu
cellulaire sous-cutané, l'instrument tranchant a
t de la paroi thora- cique ; il a suffi de diviser avec le doigt le
tissu
cellulaire lâche qui unit la mamelle au grand p
ules hypertrophiés. » Leur consistance est plus grande que celle du
tissu
glandulaire nor- mal ; ils crient sous le bisto
éro du 19 no- vembre. 422 HASN ET WICKERSHEIMER partiennent aux
tissus
fibreux. Ces lobules sont séparés les uns des aut
tissus fibreux. Ces lobules sont séparés les uns des autres par un
tissu
cellulaire qui diffère de l'état normal par sa gr
fragment de la tumeur, a constaté .les particularités suivantes. Le
tissu
est d'un blanc rosé, assez mou et cependant doué
jamais été mère. La presque totalité de la masse est formée par du
tissu
fibreux assez lâche, qui, par l'acide acétique,
ar l'acide acétique, montre une assez grande quantité de noyaux. Ce
tissu
est traversé par des conduits excréteurs assez vo
ans le lobe occipital qui n'est plus réduit qu'à une simple lame de
tissu
, le centre étant creusé par une énorme excavati
- rent la formation de l'os, cartilage et périoste pour les membres,
tissu
em- bryonnaire primitif pour le thorax, le crân
lie) des hyperostoses exubérantes coexistant avec la raréfaction du
tissu
osseux voisin. NOUVELLE Iconographie DE la SALP
e il produit par sa présence prolongée l'hypertrophie secondaire du
tissu
conjonctif sous-cutané. Toutes ces formes repré
ser que son trophaedème est dû à une transsudation analogue dans le
tissu
cellulaire sous-cutané de ses membres inférieur
lcique, ce qui favoriserait une transsudation de la lymphe dans les
tissus
. Si nous nous rapportons aux connaissances d'ai
étudier, au point de vue anatomo- pathologique, les téguments et le
tissu
cellulaire sous-cutané d'une malade atteinte de
affectés par ce trouble a été amputé pour une tumeur. Il trouva du
tissu
adipeux engaîné dans du tissu conjonctif fibreu
amputé pour une tumeur. Il trouva du tissu adipeux engaîné dans du
tissu
conjonctif fibreux. La transsudation lymphatiqu
x. La transsudation lymphatique conduit à la longue la formation du
tissu
adipeux, fait qui est à rapprocher de la présen
est facilitée, transsudation qui à la longue amène la formation du
tissu
adipeux comme dans le trophoedème, dans les adé
par le même mécanis- me la raison du développement plus abondant du
tissu
adipeux chez la femme. Le calcium nous appara
très important facteur régu- lateur dans le mécanisme trophique des
tissus
. Récemment Prunier (16) a soutenu que l'oedème
334. BOUCHET et KLIPPEL. Hémimélie avec atro- phie numérique des
tissus
, 290, 396. BRISSAUD. L'infantilisme vrai, 1.
227. Klippel et P. BoucuET. Hémimélie avec atrophie numérique des
tissus
(S pl., il ng,) 290, 396. Lafon et M. Teulièr
se cleid ? nimenne (4 [il.), 227. Weber. De quelques altérations du
tissu
cel ebl al dues à la présence de tumeur (11 f
ar Parhon Il Ziplacta, 91 . Hémimélie avec atrophie numérique des
tissus
(3 pl., 11 fig.), par HLIPPBL OtP.BOU- CHR,T, 2
(PARHON et ZALPLACTA), XII. Hémimélie avec atrophie numérique des
tissus
(ILIPPEL et P. Bouchet), LIV, LV, LVI. Hypert
façon toute spéciale la disposition fréquente en « tourbillons » du
tissu
de sclérose et crurent à l'intégrité, dans les ré
sa nature, cette sclérose est surtout de nature névroglique, mais le
tissu
conjonctif et les vaisseaux y prennent part éga
al vertébral, tuberculose, cancer, pachY1éllingite), ou née dans le
tissu
médullaire (gomme, gliome, sarcome, etc.). C'ét
ar des altérations appréciables en rapport avec la vulnérabilité du
tissu
médullaire et par des symptômes en rapport avec
de la motilité sont rétablies, eussent- elles même dû traverser un
tissu
scléreux ou faire un détour pour rétablir leurs
rédominent les lésions. Il y a des hyperostoses et il se produit du
tissu
osseux éburné. Quant à la spondylose rhizoméliq
la di- minution de la couche compacte de l'os, et la raréfaction du
tissu
spongieux. Il semble y avoir dans ces os plus d
rès, à une guérison » (4). Histologiquement, il y a production d'un
tissu
ostéoïde sous forme de zones de décalcification
s foyers hémorrhagiques, du pigment sanguin. Il y a pro- duction de
tissu
conjonctif avec cellules embryonnaires (5). En
82, pp. 193 et sui- vantes ; CHARi,y, Des variétés chirurgicalés du
tissu
osseux . Revue de chirurgie, Paris, 1884, pp. 6
déformations, la cachexie, la mort, le développement considérable de
tissu
ostéoide non calcifié. LE PUÉRILiSME DEMENTIE
'une même chaîne. UNIVERSITÉ DE GENÈVE DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU
TISSU
CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS PAR
ivisent en deux catégories. 1° La tumeur se développe aux dépens du
tissu
cérébral,qu'elle « mange » en quelque sorte.
st point attribuable uniquement à la compression. Il ALTÉRATIONS DU
TISSU
CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS 141 est
, circonvolutions occipitales. 142 WEBEII ET PAPADAkI exagérée du
tissu
cortical. Résistance particulière de. Fli {faisce
ume d'environ 120 centimètres cubes.Type alvéolaire à gros septa de
tissu
conjonc- tif, riches en vaisseaux ; les alvéole
; séparé partout de la substance cérébrale par un épais tégument de
tissu
conjonctif. Point de réaction inflammatoire. Poid
lasme. De cette façon le maxi- mum de compression et d'atrophie des
tissus
correspondant à la pression exer- cée par la tu
atation ne peut être attribuée qu'à une différence de résistance du
tissu
ambiant. Mais dans le lobe occipital le ventric
s du crochet. . - ..7 .. an ,1/, (;1e F{ht'JrO;' c ALTÉRATIONS DU
TISSU
CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS 143 subs
présence d'une tumeur. Les espaces périvasculaires sont bordés d'un
tissu
conjonctif de densité exa- gérée. Ils sont fort
st restée claire. Nous en concluons à la destruction ALTÉRATIONS DU
TISSU
CEREBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS 145 de n
de la tumeur. Poids total : 1410 gr. Type alvéolaire peu riche en
tissu
conjonctif, très bien vascularisé ; cellules à
ome, d'un volume d'environ 80 à 100 centimè- tres cubes, entouré de
tissu
conjonctif, le séparant partout du cerveau ; poin
111). 13. Dilatation du ventricule (Obs. 1\' a.. n ALTÉRATIONS DU
TISSU
CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS 14T à la
- P, pigment. V, vaisseau. Esp. Espace péri-vasculaire élargi. T,
tissu
conjonctif. FiG. 4. C, corps amylacés. - Esp, e
sculaire. - F, fibres ner- veuses denses.- N, noyaux névrogl.- T,
tissu
conjonctif. - V, vaisseau. Fic. 5 et 5 a. V,
noyaux névrogliques. Esp, espace péri-vasculaire. ALTÉRATIONS DU
TISSU
CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS 149 comm
n pupillaire minime la lumière et à l'accommodation. ALTÉRATIONS DU
TISSU
CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS loti En
té ; bien qu'il soit en majeure partie extra cérébral et entouré de
tissu
conjonctif, il y a cependant des îlots de cellu
njonctif, il y a cependant des îlots de cellules infiltrées dans le
tissu
nerveux (fig. 6). Point de réaction inflammatoi
du pédoncule cérébelleux supé- rieur. Tm, tumeur. ALTÉRATIONS DU
TISSU
CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE -DE TUMEURS I'a'3 a
et. De consistance tendre, il présente un type alvéolaire pauvre en
tissu
conjonc- tif ; c'est unangiosarcome, ou selon l
au centre des alvéoles se trouve un petit vaisseau. ALTÉRATIONS DU
TISSU
CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS 155 Part
UES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS 155 Partout séparation nette d'avec le
tissu
cérébral ; point de zone d'in(lamma- tion. Gros
ntricule latéral. FIG. 12. Espace péri-capillaire. ALTÉRATIONS DU
TISSU
CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS 157 par
coupés transversalement, par exemple Rth. et Fli. ; les mailles du
tissu
conjonctif sont beaucoup plus petites que dans
intracérébrale, si on peut la mesurer d'après les altéra- tions des
tissus
, n'est pas égale partout. Elle a son maximum d'in
sque les ventricules sont dilatés, dans le voisinage de ceux-ci. Le
tissu
cérébral, grâce à la résistance qu'il y oppose,
onvolutions se rapprochent d'abord, fermant les scissures, puis les
tissus
deviennent plus denses, leur dessin s'efface. C'e
re que la corne frontale se dilate, la pression à supporter par les
tissus
restant la même par centimètre carré, augmente
ace ventricu- laire (Obs. 2). C'est donc ta que les altérations des
tissus
seront le plus marquées. 7° Lorsqu'une tumeur
icule opposé soit pi us dilaté; l'équilibre dans la compression des
tissus
se trouve ainsi rétabli (Obs. 2 et 5). 8° La di
des granulomes tuberculeux, elle est cons- tituée au centre par un
tissu
à l'état de nécrobiose finement granuleuse sans s
. Au microscope on constate immédiatement une sclérose à travées de
tissu
conjonctif adulte enserrant, dans des espaces e
us l'aspect de nodules cellulaires fortement teintés au milieu d'un
tissu
scléreux ou sous forme de longs boyaux épithéliau
antôt ils sont groupés en amas. Dans la houppe, ils siègent dans le
tissu
de soutien, entre l'épithélium choroïdien et la l
fération des cellules des capsules endothéliales et augmentation du
tissu
conjonctif interfasciculaire. Muscles. L'état d
onstate une atrophie simple des fibres musculaires avec réaction du
tissu
conjonctif en rapport avec les fibres atrophiée
e transversal des fibres qui atteignaient 130 micra, sans lésion du
tissu
con- jônctif. Il s'agissait en somme d'hypertro
oy et Achard ont trouvé dans les muscles un épaississement léger du
tissu
conjonctif ; les noyaux musculaires étaient proli
r de s'acromégaliser de longues années avant sa mort, mais comme le
tissu
osseux laisse indélébiles ses hypertrophies, se
système nerveux dont le trophisme qui normalement s'exerce sur les
tissus
cutanés et sous-cutanés agit d'une manière path
gue pénétra facilement, donnant l'impression qu'elle traversait des
tissus
légèrement indurés. Foie, coeur, reins, rien à
ubérance. Les vaisseaux méninges sont en dégénérescence hyaline. Le
tissu
nerveux n'est pas infiltré, mais la vascularite e
lérosée et les aires des faisceaux pyramidaux se trouve une zone de
tissu
nerveux sain. Au Nissl, les cellules des cornes
gion sacrée ;. l'eschare s'agrandit progressivement, détruisant les
tissus
jusqu'au sacrum. Quelque temps après, il prit d
'artère médiane antérieure est atteinte d'endartérite marquée. Le
tissu
nerveux, - cellules et fibres - se. colore très m
e une périphlébite marquée et de l'endartérite très prononcée. Le
tissu
nerveux se colore mal, seulement au niveau de la
parues dans le lobule du pneumogastrique et on n'observe plus qu'un
tissu
de sclérose névroglique avec conservation parti
. Partout, les vaisseaux sont atteints de périartérite, et, dans le
tissu
scléreux, quelques petits vaisseaux sont complè
ion de la substance corticale. Les capsules surrénales entourées de
tissu
adipeux paraissaient intactes ; de même le corp
on inflammatoire : la multiplication des noyaux est insignifiante. Le
tissu
interstitiel est le siège d'une très légère scl
simple oedème, mais que le conjonctif sous-cutané, c'est-à-dire un
tissu
solide, est hypertrophié. Le godet du doigt est
ccès peut aussi déterminer un oedème chronique avec hypertrophie du
tissu
conjonctif. Si dans les caractères morphologiqu
t disparaître définitivement ou bien donner lieu à l'hyperplasie du
tissu
conjonctif; est-ce que ces oedèmes ont une origin
plus fréquent d'observer l'oedème per- sistant avec hypertrophie du
tissu
conjonctif, avec les caractères du tro- phoedèm
e godet du doigt, car il ne s'agit plus d'une vraie hypertrophie du
tissu
conjonctif. Très démonstrative l'observation de
oedème un élément nouveau vient s'ajouter : c'est l'hypertrophié du
tissu
conjonctif qui est associée à un certain degré d'
its que nous étudions. Il faut se souvenir que dans l'épaisseur des
tissus
, il y a une double série de vaisseaux : les cap
laires de la lymphe. Entre ces deux systèmes de vaisseaux il y a le
tissu
conjonctif plus ou moins com- pact qui fait par
ommuni- cations anatomiques directes. C'est entre les mailles de ce
tissu
conjonctif que se fait normalement un échange d
ou bien une augmentation de la lymphe dans le système lacunaire des
tissus
» [LZCCiaai (90)]. Jusqu'à ces derniers jour son
masse. Douées d'un énorme pouvoir osmotique, en passant du sang aux
tissus
, ils y attirent une grande quantité d'eau dont un
où l'on ne peut pas songer à l'altération du pouvoir osmotique des
tissus
mêmes, est une conséquence de la diminution du
t étant général à toute la masse du sang qui se porte dans tous les
tissus
, on pourrait observer l'augmentation de la lymphe
des altérations circulatoi- res, et du pouvoir osmotique des divers
tissus
, se forment sous l'influence du système nerveux
parer un oedème constitué par un liquide libre entre les mailles du
tissu
con- jonctif, de sorte qu'on peut l'évacuer par
constitué par une quantité minime de liquide entre les mailles d'un
tissu
hypertrophié, dur, résistant, de sorte que par de
lle se charge des matériaux cataboliques provenant des échanges des
tissus
et, selon les expériences très complètes de Asher
actères spéciaux et peut déterminer l'hypertrophie inflammatoire du
tissu
conjonctif entre les mailles duquel elle se trouv
ance. Mais on ne peut certainement pas croire que l'hypertrophie du
tissu
conjonctif soit due à des produits spéci- fique
l'infection à la théorie générale que l'arrêt de la lymphe dans le
tissu
conjonctif (prédisposé peut-être par les altérati
dépourvus de paroi propre, et avec des réseaux qui forment un vrai
tissu
caverneux ». Dans toutes les formes on observe
, cet oedème spécial devient permanent avec ses conséquences sur le
tissu
qui l'environne. En résumant cette question de
ymphatique (de Wirchow) est le point de départ de l'hypertrophie du
tissu
conjonctif ». Selon nous le trophoedème reconna
ns leurs premiè- res époques on a toujours vu que l'hypertrophie du
tissu
conjonctif est précédée par un oedème dur, mais
, Lannois (59)]. Au deuxième temps, ce phénomène disparaît, un vrai
tissu
nouveau se forme, un tissu solide qui contient
e temps, ce phénomène disparaît, un vrai tissu nouveau se forme, un
tissu
solide qui contient dans ses mailles un peu de
asis à là suite de la même cause : c'est-à-dire une hypertrophie du
tissu
con- jonctif. On comprend à présent que le trop
locale qui consiste dans une stase de la lymphe entre les mailles du
tissu
conjonctif qui produit l'hypertrophie de ce tis
re les mailles du tissu conjonctif qui produit l'hypertrophie de ce
tissu
. La différence réside uni- quement dans le méca
tion lymphatique et la productidn de la lymphe, qui retentit sur le
tissu
intermédiaire, à savoir sur le tissu conjenctif.
la lymphe, qui retentit sur le tissu intermédiaire, à savoir sur le
tissu
conjenctif. La conclusion de notre étude cliniq
'organe peut encore revenir dans ses conditions primitives, car les
tissus
n'ont pas encore souffert les altérations profond
s minéraux, qui eux ne pénètrent évidemment pas dans l'intimité des
tissus
? La différence est plus apparente que réelle. Sa
ce est plus apparente que réelle. Sans doute on ne peut comparer le
tissu
osseux dans l'organisme au fragment d'os que l'
té d'acide lactique, qui va troubler l'évolution et la structure du
tissu
osseux. Ainsi, il n'est pas il logique d'admett
es frontaux et des pariétaux la paroi crâ- nienne est formée par un
tissu
fibreux très dense, très résistant sur une sur-
ineux, mais d'une ébauche membraneuse pour la voûte crânienne et du
tissu
conjonctif pour la face, où ces cartilages ne s
Anomalies conco- mitantes. Chapitre II. Le système nerveux et le
tissu
cérébro-spinal. I. Moelle épinière et tissu cér
e système nerveux et le tissu cérébro-spinal. I. Moelle épinière et
tissu
cérébral des foetus à canal rachidien clos : étud
s méningitique. Dégénérescence pré-méningitique de la moelle. - II.
Tissu
cérébro- spinal des foetus à rachis déhiscent :
- spinal des foetus à rachis déhiscent : absence de tout vestige de
tissu
nerveux ; per- sistance de fibres nerveuses ; t
anssudant des vaisseaux, au sein duquel s'élabore secondairement le
tissu
nerveux. Et alors, « qu'est-ce qu'un anencéphal
squelles on ne saurait fonder aucune conjecture, quant à l'état des
tissus
sous-cutanés. Souvent en effet, sous un lambeau
e de la tumeur et de la peau correspondait à une dis- continuité de
tissu
. Cette assertion est complètement inexacte. Si l'
s'arrêter brusquement au niveau du sillon qui marque le pourtour du
tissu
pseudencéphalique, est en continuité directe avec
cas, la gouttière rachidienne largement ouverte ne renfermait qu'un
tissu
peu épais, à la surface duquel se distin- guaie
sent sur la base, à laquelle ils sont unis par l'intermédiaire d'un
tissu
fibreux assez épais signalé par Gérard et que j
- pliqué de célosomie (1). CHAPITRE Il Le système nerveux et le
tissu
pseudencéphalo-médullaire. En étudiant la morph
en évidence, c'est précisément la variabilité de l'épaisseur de ce
tissu
; cette épaisseur va de un centimètre environ à
j'ai rencontré des méninges extrêmement friables, en- veloppant un
tissu
médullaire devenu brun par un séjour prolongé dan
série de colonnettes cylindriques n'ayant plus aucune apparence de
tissu
nerveux. L'examen histologique nous renseignera
mplement son sujet. Chez les individus à canal rachidien ouvert, le
tissu
qui remplit la gouttière est absolument semblab
vert, le tissu qui remplit la gouttière est absolument semblable au
tissu
pseudencéphalique et présente les mêmes caractè
pas d'analyser avec minutie la structure de la tumeur cérébrale. Le
tissu
de la tumeur est, en effet, un tissu constitué
ure de la tumeur cérébrale. Le tissu de la tumeur est, en effet, un
tissu
constitué ; il ne fournit par lui-même aucune ind
e ou d'anencéphalie : seule, la connaissance des processus dont ces
tissus
sont le siège rend utile et instructive l'étude d
res dispositions céphaliques ou rachidiennes. I. MOELLE épinière ET
TISSU
cérébral DES FOETUS A CANAL RACHIDIEN CLOS. J
implement dans l'absence du cerveau et dans son remplacement par un
tissu
vasculo-conjonctif ; il intervient d'autres proce
ine du filum terminal, on distingue sur les coupes transversales un
tissu
nerveux ayant au centre un canal épendymaire nett
t les cils sont plus ou moins bien conservés. Dans l'intimité de ce
tissu
, se trouvent des éléments nerveux caractéristique
issement de la paroi de ces vaisseaux ; autour de l'endothélium, le
tissu
conjonctif embryonnaire prolifère et finit par
s, Ce). Les nerfs rachidiens sont enveloppés progressivement par ce
tissu
de nouvelle formation, ils sont étouffés et [l'
éjà leur disparition prochaine. Nous voyons naître sous nos yeux un
tissu
conjonctivo-vasculaire, qui tend à se substituer
4 RABAUD la moelle est accompagné d'un certain nombre d'éléments de
tissu
conjonctif embryonnaire; la moelle se trouve ai
partie des faisceaux posté- rieurs se trouve ainsi remplacée par un
tissu
vasculo-conjonctif de néoformation. Un processu
la dilatation des capillaires et leur néo- formation, tandis que le
tissu
médullaire lui-même reste indemne. Puis in- ter
, il avance que les amas sanguins se trouvent non seulement dans le
tissu
nerveux, mais encore dans les os, les muscles e
le tissu nerveux, mais encore dans les os, les muscles et d'autres
tissus
; il reconnaît qu'ils sont plus nom- breux et p
ence de leuco- cytes abondants tant dans les vaisseaux que dans les
tissus
nerveux, et enfin avec une prolifération vascul
le procédé de Van Gieson met en évidence un léger épaississement du
tissu
conjonctif péri-ganglionnaire et quelques capil
nsité. Dès la région la plus inférieure de la moelle, on observe un
tissu
nerveux fragmenté en faisceaux, dans lequel ne
es processus à recrudescence ne doivent pas être exceptionnels ; un
tissu
disposé sur une aussi grande longueur que le tiss
exceptionnels ; un tissu disposé sur une aussi grande longueur que le
tissu
nerveux présente presque nécessairement des var
airement des globules sanguins; ce sont bien plutôt des cellules de
tissu
conjonctif embryonnaire. J'ai précédemment indi
de tissu conjonctif embryonnaire. J'ai précédemment indiqué que le
tissu
conjonctif embryonnaire qui envahit le septum p
premier fait frappant, c'est la différence essentielle qui sépare le
tissu
examiné du tissu cérébral. Il n'existe aucune c
ant, c'est la différence essentielle qui sépare le tissu examiné du
tissu
cérébral. Il n'existe aucune circonvolution super
ble, de près ou de loin, à l'une des scissures de l'encé- phale. Le
tissu
lui-même n'a aucun caractère commun avec le tissu
l'encé- phale. Le tissu lui-même n'a aucun caractère commun avec le
tissu
nerveux. Les dispositions que l'on constate d'u
e de la tumeur si l'on n'avait pour guide dans l'interprétation de ce
tissu
, et pour lever les quelques incertitudes que l'
i constituée, on trouve une assise épaisse, renfermant à la fois du
tissu
conjonctif embryonnaire et des vaisseaux. Ceux-
l'espace que laissent libre les vaisseaux, s'insinuent des travées de
tissu
conjonctif embryonnaire d'épaisseur variable ;
conjonctif embryonnaire d'épaisseur variable ; l'ensemble forme un
tissu
très cohérent, dans lequel prédominent nettemen
a peau. L'inflammation a également marché vers l'intérieur, vers le
tissu
cérébral. De celui-ci on retrouve parfois des t
par la prolifération conjonctive. C'est, en effet, principalement du
tissu
conjonctif embryonnaire,qui prédomine au-dessou
e,qui prédomine au-dessous de l'enveloppe vasculaire. Toutefois, ce
tissu
conjonctif n'est pas seul dans la partie centrale
ulo-conjonctive. S'il en est ainsi, et tout permet de le croire, le
tissu
cérébral s'est touvé pris de tous côtés, par le
dedans. Peu à peu, mais cependant avec une cer- taine rapidité, ce
tissu
déjà très réduit par les hémorragies intra-cérébr
ès réduit par les hémorragies intra-cérébrales, a été envahi par du
tissu
conjonctif embryonnaire, par des vaisseaux de nou
rs ; seules les hémorra- gies internes marquent la participation du
tissu
nerveux. Chez le foetus, au contraire, la vie p
omble ; elle envahit également en dedans et tend à se substituer au
tissu
nerveux, ou plus exactement à un magma fait de dé
individualisé, mais sou- vent aussi les parois se confondent en un
tissu
conjonctif qui constitue comme une sorte de sub
tion conjonctive. Si les capillaires pénètrent dans l'inti- mité du
tissu
nerveux, leur multiplication est surtout intense
erveux, leur multiplication est surtout intense en dehors ; dans le
tissu
nerveux lui-même nous observons plus particulière
se poursuive et nous aboutissons à la disposition observée dans le
tissu
encé- phalique où, en dessous de la zone vascul
é- phalique où, en dessous de la zone vasculaire, existe un amas de
tissu
conjonc- tif. La substitution est complète, dan
a masse encéphalique peut renfermer encore une certaine qnantité de
tissu
nerveux. Il ne saurait y avoir aucun doute sur la
intérêt gît principalement sur le sort dévolu à la dure-mère et aux
tissus
sus-jacents. La dure-mère, nous l'avons vu, est i
aboutissant à la désintégration. Or, il semble bien que l'état des
tissus
placés au delà de la dure-mère dérive, à l'origin
e destruction directement inflamma- toire. Secondairement, tous ces
tissus
, réduits à une très faible épaisseur, no- table
s. C'est assez brusquement, à un niveau variable, que l'on passe du
tissu
ner- veux à une tumeur constituée, dans laquell
crire. Sans doute, il s'agit bien encore ici de méningite ; mais le
tissu
nerveux se trouve dans un état de dégénérescence
Au milieu de ces débris, il n'exista aucun vaisseau, aucune trace de
tissu
con- jonctif embryonnaire; manifestement, l'inf
elle que dépend cet état de désinté- gration totale où se trouve le
tissu
nerveux. D'ailleurs, la discordance entre les l
é, et l'on ne peut, sous aucun prétexte, pla- cer la destruction du
tissu
nerveux sous la dépendance de la méningite racbi-
rocessus inflammatoire n'est pas l'agent immédiat de destruction du
tissu
nerveux. Ces deux cas nous montrent, en somme,
chidienne ne suffit pas à ex- pliquer la désintégration complète du
tissu
nerveux. Nous avons insisté sur ce point, en fa
nte : La méningite crânienne, envahissant intus et extra les divers
tissus
encépha- liques, les détruit et détruit, en par
tissus encépha- liques, les détruit et détruit, en particulier, le
tissu
nerveux. L'évolution mor- bide ne marque qu'une
ne, tandis qu'elle se développe, comme à l'ordinaire, aux dépens du
tissu
cérébral. Il s'en suit que la méninge péri-médu
paraissaient des recherches vaines. En effet, l'en- vahissement du
tissu
médullaire par le processus inflammatoire prenant
processus tout à fait accessoire. Il peut aider à la disparition du
tissu
nerveux ; cette dispa- rition s'effectuera sans
le résultat est très différent ; il n'y a plus substi- tution d'un
tissu
néoformé aux éléments nerveux : ceux-ci se présen
elier l'une et l'autre par une série de transitions ménagées. II.
Tissu
CÉRÉBRO-SPINAL DES FOETUS A RACHIS DÉHISCENT. D
évidente entre l'existence d'un spina-bifida et l'absence totale du
tissu
médullaire. Il importe d'examiner la structure du
nce totale du tissu médullaire. Il importe d'examiner la structure du
tissu
de remplacement et de rechercher si cette struc
er : celle où ce canal rachidien renferme purement et simplement un
tissu
dépourvu de tout vestige d'éléments nerveux ; c
pourvu de tout vestige d'éléments nerveux ; celle où, au-dessus des
tissus
de remplace- ment, sont disposées des fibres ne
rveuses en nombre variable (Fig. 11). 1° Absence de tout vestige de
tissu
nerveux. Le premier fait à mettre en évidence,
té- gorie de foetus, est la similitude parfaite existant entre leur
tissu
cérébral et le tissu cérébral de foetus qui pos
est la similitude parfaite existant entre leur tissu cérébral et le
tissu
cérébral de foetus qui possèdent encore une moell
s sujets ne révèle aucune différence essentielle. C'est toujours un
tissu
conjonctivo-vasculaire plus ou moins creusé de la
tte couche, est disposée une masse assez compacte où prédo- mine le
tissu
conjonctif embryonnaire. La peau qui revêt la tum
avons précédemment insisté. Il est cependant un point par lequel ce
tissu
encéphalique se distingue : ici les vaisseaux n
atation n'est pas sans importance au moment d'aborder l'examen d'un
tissu
intra-ra- chidien qui n'a aucun rapport de simi
tissu intra-ra- chidien qui n'a aucun rapport de similitude avec le
tissu
médullaire. Il est clair que si la substance en
ment étudiés, notre embarras eut été grand pour l'interprétation du
tissu
intra-rachidien, en dépit des connaissances ant
rachidien, en dépit des connaissances antérieurement acquises. Le
tissu
intra-rachidien n'est plus, exclusivement, qu'un
u leur individualité (V. PI. XLV-F). Quant dire à quelle partie des
tissus
intra-rachidiens (méninges ou moelle) appartien
inflammatoire,, elle s'est intimement confondue avec l'ensemble des
tissus
, pour former un bloc indiscernable. Quelques
c indiscernable. Quelques points sont à relever. L'épaisseur du
tissu
vasculo-conjonctif intra-rachidien n'est pas la m
iveau des régions dorso-cervi- cales ; tout à fait en haut même, le
tissu
se présente sous la forme d'une membrane extrêm
e disposition banale que celle que» présentent les préparations des
tissus
de substitution où, au milieu d'une masse conjo
e substitution où, au milieu d'une masse conjonctive, enveloppée de
tissus
vasculaires plus ou moins dilatés, ressort nett
rrespondant à la ré-ior lombo-sacrée. La région ouverte renferme un
tissu
mince, résistant, sur leque e reposent des tron
es débris. L'envahissement vasculo-conjonctif n'a pas gagné dans ce
tissu
. Tout autour de la moelle existent de nombreuse
dure-mère sur laquelle reposent ces faisceaux, n'a plus son aspect de
tissu
fibreux épaissi ; elle est remplacée par un ama
lions et des nerfs qui en émanent. Pendant que se désagré- geait le
tissu
médullaire séparé de son centre trophique, l'infl
uvent que difficilement servir de substratum à l'envahis- sement du
tissu
conjonctif embryonnaire et des vaisseaux néoformé
tardivement la méninge rachidienne ainsi que le montre l'examen du
tissu
cérébral, les nerfs rachidiens postérieurs se t
r que les troncs nerveux sont comme toujours moins atteints que les
tissus
environnants ; mais ils ne paraissent pas en deho
yant, pour la plupart, confondu leur paroi en une masse homogène de
tissu
conjonc- tif. Chez l'un d'eux, il paraît persis
n des lacunes de plus en plus grandes, détrui- sant devant elles le
tissu
cérébral. Hémorragies et exsudations, nous les av
dulte, avant que la prolifération vasculo-conjonctive n'ait envahi le
tissu
nerveux. Le processus a été ici le même, et n
ges, myélinejaune, fibrilles de névroglie). De minces tranches de
tissu
nerveux et les nerfs peuvent être avant inclu-
estruction de l'équilibre qui existe nor- malement entre les divers
tissus
et prolifération de la névroglie qui tend à pre
tème nerveux qui préside à à ce fonctionnement, cette réparation du
tissu
nerveux ne se fait pas et l'atrophie et la sclé
lexes, dans le fonctionnement des sphincters, dans la nutrition des
tissus
, dans la sensibilité auraient dû exister. La
e classification plus rigoureuse des troubles de dé- veloppement du
tissu
osseux. Toutefois, malgré les travaux multiples p
con- genila selon l'état de raréfaction plus ou moins prononcée du
tissu
osseux (Kundrat, Paltauf) ; Aplasie périostale
l'élargissement des épiphyses que par l'effet d'une augmentation du
tissu
adipeux.Cet épaississement et le raccourcissement
peau, souvent un peu épaissie, sous-tendue par un abondant et ferme
tissu
cellulo-adipeux, forme des plis transversaux au |
t le squelette, mais encore de constater l'état de transparence des
tissus
. Elle ne fait donc pas double emploi avec l'exa
et assure à lui seul l'union de ces deux parties. La faiblesse du
tissu
osseux formé au-dessous de la ligne d'ossificatio
u moins épaisses, parallèles ou diversement ramifiées, dessinant un
tissu
spongieux assez dense. 506 PORAK ET DURANTE D
Dans les cas de Spillmann, la diaphyse était formée d'un côté par un
tissu
dense, de l'autre par des lamelles déchiquetées
n tend à l'emporter et l'os compact s'amincit ou cède la place à un
tissu
plus spongieux. Il se pourrait donc que ce trou
'un fluide jaunâtre, inodore, un peu visqueux. Dans les membres, le
tissu
adipeux ramassé en pelotons granulés était plus
renflements annulaires jaunâtres. Ils sont formés d'une lamelle de
tissu
compact très mince et d'nn tissu spongieux très
. Ils sont formés d'une lamelle de tissu compact très mince et d'nn
tissu
spongieux très raréfié. Les côtes, très irréguliè
ons comme les achondro- plasiques. Toutefois, cette hypertrophie du
tissu
adipeux peut faire défaut. Dans le cas que nous
fet, soit d'une flexibilité anormale de cette portion de l'os où le
tissu
compact fait plus ou moins complètement défaut,
s d'ossification étoilés et largement espacés, ou constitués par un
tissu
osseux mince, dépressible, crépitant sous le do
peu consistants, ce qui tient à l'absence plus ou moins complète du
tissu
compact remplacé par un tissu spongieux, largem
à l'absence plus ou moins complète du tissu compact remplacé par un
tissu
spongieux, largement aréolaire, qui parfois mêm
os- téoblastes (Porak et Durante). La moelle osseuse est riche en
tissu
fibrillaire, en leucocytes, en cellules adipeus
épais et riche en cellules, mais ne recouvre qu'une mince couche de
tissu
compact. De sa face profonde partent des fibres
lus loin, constituent des lamelles concentriques ; mais cette zone de
tissu
com- pact n'atteint que 1/2 ou 1/3 de millimètr
à un vaste espace médullaire pauvre en travées osseuses, soit à un
tissu
spongieux à larges mailles au centre duquel il n'
i se poursuivent sans s'ossifier plus ou moins loin dans la moelle (
tissu
ostéoïde) (comparez PI. LIV, fig. 11 avec fig.
yses et intéressent les os d'origine membraneuse qui per- dent leur
tissu
compact et sont réduits à de fragiles lamelles os
de cette même affection. Dans la dysplasie périostale l'absence de
tissu
compact rend les os excessive- ment fragiles, a
erses, et sont caractérisés par une grande fragilité des os dont le
tissu
compact est remplacé par du tissu spongieux. On
e grande fragilité des os dont le tissu compact est remplacé par du
tissu
spongieux. On connaît aujourd'hui de nombreux f
splasie périostale la sclérose fait défaut. La résorption exagérée du
tissu
osseux relève d'une hyperactivité des ostéoblas
Comme dans celles-ci, il s'agit d'une affection systématisée il un
tissu
, à une espèce de cellules (musculaire dans un c
e. L'absence plus ou moins complète de l'os compact remplacé par un
tissu
largement aréolaire, semble provenir moins d'une
ution des élé- ments celullaires, mais aussi pour l'augmentation du
tissu
néoplasique ; les noyaux de glia y sont très no
es entoure et l'épaississement de la paroi le font ressortir sur le
tissu
environnant coloré avec la méthode de Weigert-Pal
TROPHIE MUSCULAIRE DU TYPE ARAN-DUCHENNE D'ORIGINE SYPHILITIQUE 597
tissu
mou intercalé entre les deux épaisseurs de la pea
res phases montre que l'inflammation, strictement localisée dans le
tissu
de la pie-mère, débute dans la région correspon
jonctives et osseuses, en dedans vers l'axe nerveux sous forme d'un
tissu
conjonctivo-vasculaire sans rapport de structure
d'un tissu conjonctivo-vasculaire sans rapport de structure avec le
tissu
érec- tile que quelques auteurs ont prétendu re
modifications importantes sur un organisme en voie d'évolution. Les
tissus
squelettiques de cet organisme n'offrent point la
rent point la résistance qu'ils offri- ront plus tard ; ce sont des
tissus
éminemment plastiques qui cèdent nécessai- reme
progressivement en dehors vers la dure-mère, et de la dure-mère au
tissu
pré-osseux ; elles s'opposent nettement à toute t
ux déjà constitués s'ils sont en- core peu développés. A ces divers
tissus
se substitue la néoformation dont la structure
sidérablement aminci et altéré. En même temps que disparaissent les
tissus
de la voûte du crâne, la subs- tance cérébrale
ment intéressante que cet exorbitisme apparent. Le remplacement des
tissus
pré-osseux de la voûte du crâne par un tissu va
. Le remplacement des tissus pré-osseux de la voûte du crâne par un
tissu
vasculaire peu résistant libère les parties car
rivent à être suffisamment étendues pour diminuer la résistance des
tissus
inter et sous-cartilagineux, la puissance de l'ac
tardivement ; lorsque, des méninges, elle gagne en dehors vers les
tissus
de la voûte, l'ossification est déjà assez avan
exer- cent plus seulement sur des cartilages à peine retenus par un
tissu
conjonctif d'autant moins résistant qu'il est p
oser que cette disposition résulte d'une modifi- cation initiale du
tissu
médullaire. Il faudrait admettre que le système n
tinuité de la peau suivant la ligne dorsale : nous trou- verions le
tissu
nerveux à ciel ouvert. En aucune façon, il ne peu
tion spinale de la méningite a été précédée d'une dégénérescence du
tissu
nerveux : pour déterminer les contractions et, pa
ence, elles peuvent faciliter l'action musculaire- en relâchant les
tissus
conjonctifs qui réunissent les ébauches cartilagi
ues ou autres s'observent indifféremment sur un point quelconque du
tissu
médullaire, dans sa partie motrice tout au moin
de consistance bien ferme, d'aspect blanchâtre et constituée par du
tissu
éburné, extrêmement dur. Le squelette de la j
erses exostoses montre que si quelques-unes sont constituées par du
tissu
osseux compact, la plu- OU\'[LI E Ic-O"OGl ! AP
PLES 629 part des autres sont creusées de cavités et formées par du
tissu
spongieux. L'aspect des surfaces de section de
maux et dont le canal central n'est nullement mo- difié, succède un
tissu
formé par de minces trabécules, enchevêtrées les
en tous points comparables à celles qui appartiennent en propre au
tissu
spongieux et représentant une fine dentelle. Da
saillies ou des ponts osseux. Sur toute la périphérie de la masse, le
tissu
osseux se condense et devient compact et résist
tissu osseux se condense et devient compact et résistant. C'est du
tissu
osseux éburné, mais sa minceur est, sur certain
ière- ment dentelés et se trouve remplacée, sans transition, par un
tissu
de même nature mais creusé de cavités irréguliè
oir des dépôts de sels calcaires et aussi des travées osseu- ses de
tissu
médullaire. Plus profondément enfin existent de
e tissu médullaire. Plus profondément enfin existent des travées de
tissu
osseux vrai limitant de larges cavités médullai
aline. Toute la surface du massif exostosique est recouverte par du
tissu
conjonc- tif, qui se densifie à son voisinage e
seur de la tumeur, que l'on sentait manifestement constituée par du
tissu
osseux spongieux, avec des aréoles de dimensions
possèdent une enveloppe cartilagineuse, sous laquelle on trouve les
tissus
osseux, propose comme moyen diagnostic différen
érentiel' l'acupuncture. « Si l'épingle, dit-il, est arrêtée par un
tissu
osseux résistant, il s'agit d'une exostose épip
gi, 1873) a examiné au microscope huit yeux énucléés, y a trouvé du
tissu
osseux de nouvelle formation à plusieurs périodes
r un point de sa circonférence un de ces cartilages produit plus de
tissu
osseux qu'il n'est nécessaire pour l'augmentati
quel agirait comme régulateur de la fonction de la morphologie des
tissus
; (1) Dictionnaire encyclopédique des sciences
multiplient, et surtout se disposent selon le plan d'organisation des
tissus
, au dehors : de toute influence du système nerv
e, indépendante de l'âge et du procédé formateur des organes et des
tissus
. Les cellules peuvent être sollicitées et prolifé
us ; et aussi pourquoi ces sels vont précisément se déposer dans le
tissu
osseux, plutôt que dans d'autres tissus ; et auss
écisément se déposer dans le tissu osseux, plutôt que dans d'autres
tissus
; et aussi, pourquoi ils ne prédisposent pas pl
lin, de Bruxelles, 1893. 648 SIMONINI général, et dans les divers
tissus
en particulier ; de cette façon on ne fe- rait
d'irritation chronique, il se forme de la substance osseuse dans les
tissus
connectifs, qui d'ordinaire n'ont pas coutume d
Surrénales normales. Foie gros et un peu gras. Rate grosse, mais le
tissu
en est ferme. Crâne mince ; dura tendue et fort
elques millimètres d'épaisseur. Séparés de ce pus par une couche de
tissu
très infiltrée on voit tous les vaisseaux entou-
membrane décelables. Leur nombre eh certains points est tel que le
tissu
prend le type « adipeux ». La région vacuolée att
4e ventricule on rencontre à 1/2 centimètre de profondeur, en plein
tissu
des hémorragies de 1/2 milimètre de diamètre à
ier lieu. Par contre, à en juger par l'intensité des altérations du
tissu
, nous croyons pouvoir affirmer qu'au cerveau la
tion de nature particulière, ne pénétrant pas profondément dans les
tissus
, se propageant dans les méninges, pénétra dans
sélection (voir Weber et Papadaki) l'atrophie et la destruction de
tissu
cérébral, constituant en quelque sorte une dern
érimen- tale, 1891. WEBER ET Papadaki, De quelques altérations du
tissu
cérébral dues à la présence de tumeurs. Nouv. I
itivement supprimée lorsque les processus morbides ont substitué au
tissu
cérébro-spinal, un tissu conjonctivo- vasculair
ue les processus morbides ont substitué au tissu cérébro-spinal, un
tissu
conjonctivo- vasculaire banal. Ces troubles gén
et les pseuden- céphaliens possèdent un remarquable embonpoint, un
tissu
àdipeux sous- cutané ni trop ni trop peu dévelo
tologique permet de voir les éléments de la peau, aussi bien que le
tissu
conjonctif sous-cutané, parfaitement sains, comme
pendant, que l'existence d'un arrêt de croissance, quel que soit le
tissu
sur lequel il porte, est tout à fait exceptionn
complexe, qui sont capables de modifier la nutrition de tel ou tel
tissu
, sans qu'il soit nécessaire d'invoquer un trouble
nous nous sommes précédemment ex- pliqué : l'arrêt de croissance du
tissu
osseux est un effet purement local de l'inflamm
sseux est un effet purement local de l'inflammation méningée sur le
tissu
cartilagineux du crâne et de la face, le maxill
par l'intermédiaire des lésions du système nerveux. Destruction du
tissu
céré- bro-spinal, arrêt de croissance osseux so
véritable épuisement survenu d'une façon très précoce, laissant les
tissus
dans l'incapacité d'acquérir leur volume propor-
e, je n'ai pu déceler le moindre élément microbien dans le sein des
tissus
enflammés. Ce résultat négatif n'a par lui-même
iblesse des défenses naturelles peut porter soit strictement sur le
tissu
intéressé, soit sur la quantité ou la qualité d
la méninge ; c'est de là qu'il envahit à la fois en dedans vers les
tissus
nerveux et en de- hors vers le revêtement cutan
de cette pellicule, déchirée par la violence du choc, laisse à nu les
tissus
en- flammés. Cette manière de voir est confor
rrêtant la circulation locale, sont capables de détruire tels ou tels
tissus
. A cet égard, il n'est pas sans intérêt de cite
dente, agent déterminant une action dystrophique sur l'ensemble des
tissus
céphaliques ; cette destruction n'a rien de commu
s de près, il ressort de la description de l'auteur que de tous les
tissus
de la région, le tissu des méninges est celui q
la description de l'auteur que de tous les tissus de la région, le
tissu
des méninges est celui qui a le moins souffert.
e détruisant que l'étendue seule qui correspond à la formation d'un
tissu
cicatriciel. Enfin, l'adhérence primitive, envi
destruction complète du système nerveux et son remplacement par un
tissu
de sclérose, grâce à la résistance que le foetu
foetus ou de l'embryon. Quel que soit l'état de différenciation des
tissus
de cette ébauche, ces tissus sont en bon état d
que soit l'état de différenciation des tissus de cette ébauche, ces
tissus
sont en bon état de santé ; ils se nourrissent et
en pleine évolution normale par une atteinte morbide interne ; les
tissus
cérébral et mé- dullaire ont été secondairement
ette déformation, aux modifications adaptatives coïncidant avec des
tissus
sains qui évoluent dans une voie ou dans une autr
lative ; chez quelques autres la moelle a disparu, remplacée par un
tissu
exactement semblable à celui qui remplace le ce
ncéphales, ils correspondent sans doute à ces cas- particuliers où le
tissu
céphalique a été détruit par des hémorragies ab
la durée est suffisante, cette tumeur elle-même se transforme en un
tissu
fibreux de faible épaisseur. Comme processus acce
en assez mauvais état ; mais la différence est essentielle entre le
tissu
nerveux de l'anencéphale et celui de l'acéphale
rveux de l'anencéphale et celui de l'acéphale : chez le premier, le
tissu
nerveux disparaît sous l'effort d'un processus
ît sous l'effort d'un processus de néo-formation, chez le second le
tissu
nerveux entre en dégénérence granulo-graisseuse
endymaire. Au-dessus du toit de cette cavité, s'insinue fort peu de
tissu
conjonctif, en trop petite quantité pour que le
n de Fleischer, de laquelle il ressort que l'ab- sence partielle de
tissus
osseux dépend d'une cause tout à fait différente,
hémicéphalie coïncide avec une dégénérescence granulo-graisseuse du
tissu
cérébral. ij En d'autres circonstances, les par
ité relative, bien que enveloppés, étouffés presque, au milieu d'un
tissu
conjonctivo-vasculaire banal. Les plus prudents
leur tour détruits ; ils sont cependant atteints, avant même que le
tissu
central ait en- tièrement disparu. Les constata
onstatées chez les pseudencépha- liens. Mais ici, la destruction du
tissu
cérébral résultait en somme d'une action pureme
lésions se développent tout d'abord sur les méninges, en dehors du
tissu
nerveux : les vaisseaux se multiplient, leur paro
1. 698 RABAUD V. Pendant ce temps, se produisent à l'intérieur du
tissu
nerveux des hé- morragies de plus en plus abond
s en plus abondantes qui envahissent peu à peu la majeure partie du
tissu
nerveux et le détruisent. Concurremment, la proli
- culo-conjonctive gagne des méninges vers le névraxe. Peu à peu le
tissu
céré- bral disparaît et à sa place se trouve la
t l'exsudation séro-sanguine inflammatoire peuvent détruire tout le
tissu
nerveux avant la constitution de la tumeur vascul
par BROCA et HERBINET, 443. Cérébral (de quelques altérations du
tissu
- dues à la présence de tumeur) (4 fig., 3 pl
ine mentale, par Bonnus, 285. Tumeurs (de quelques altérations du
tissu
cérébral dues à la présence de -) (14 fig. 3
ale (1 pi.), 661. PAP,DAKI et WEBEn. De quelques altéra- tions du
tissu
cérébral dues a la présence de tumeurs (14 fig.
3 fig.), 304. WEBE11 et P APADAKI. De quelques altéra- tions du
tissu
cérébral dues à la pré- sence de tumeurs (14 fi
i », Charcot a décrit la propagation de la tubercu- lose osseuse du
tissu
épidural et montre que cette « pachyméningite ext
é portérieure des 6" et 78 corps vertébraux dorsaux; propagation au
tissu
épi- dural ; de plus, traînée inflammatoire éte
us, traînée inflammatoire étendue à toute la partie sous-jacente du
tissu
épidural, englobant les racines inférieures, lomb
tébraux sacrés, avec propagation à l'espace épidural, qui renferme un
tissu
lardacé, contenant des tubercules, et remontant
ale ; au niveau des 28, 3e et 4a l'espaceépidural est occupé par un
tissu
lardacé non adhérent la pie-mère, qui est normale
es cervicales inférieures sont, surtout à droite, engainées dans un
tissu
de sclérose dense ; nombreuses adhérences, sur to
ouble d'abord pure- ment musculaire s'adjoigne des lésions d'autres
tissus
. La suppression d'une fonctionne serait donc pa
La spondylose rhizomélique est essentiellement une ossification du
tissu
ligamenteux ; si elle ne se manifeste d'ordinaire
maladie ; il y a dans le spondylose rhizomélique une raréfaction du
tissu
osseux en général : l'hyperossification ne se f
aire, l'allongement de la cavité cotyloide osseuse au même niveau, le
tissu
uniformément spon- gieux. - FIG. 2. Morceau i
tête' * du col et du trochanter ne contenait pour ainsi dire pas de
tissu
compact. La partie supérieure de ce fémur est r
preuves plus directes de la fragilité et de la minceur anormale des
tissus
. Ainsi à la hanche nous avons pu constater l'ex
e de la tête fémorale, région où normalement il n'existe que peu de
tissu
compact, il n'existait à peu près uniquement que
que peu de tissu compact, il n'existait à peu près uniquement que du
tissu
spongieux, et le Pr Teissier, devant qui nous a
u moins cachés et déformés par l'accumulation de la graisse dans le
tissu
sous-cutané, qui masque les reliefs osseux et m
es, devenues monstrueuses, par l'accumulation de la graisse dans le
tissu
sous-cutané. Comme on le voit dans les photogra
s (Pl. XII), et comme d'ailleurs c'est la règle chez les obèses, le
tissu
adipeux s'est développé de préférence dans la p
ses fossettes infantiles, est très gonflée, comme capitonnée par un
tissu
colloïde, ou distendue par un faux oedème, mou
rtant dans la croissance. « Elle seule, dit M. Brissaud, assure aux
tissus
l'apport régulier et ininter- rompu des matéria
mieux les conséquences nuisibles eu cas de changements morbides du
tissu
glandu- laire, je vous rappelle que sa fonction
tômes acromégaliques au même facteur : à l'infection du sang et des
tissus
par des produits chimiques ; acide carbonique, to
PARIS ANOMALIES MULTIPLES CONGÉNITALES PAR ATROPHIE NUMÉRIQUE DES
TISSUS
PAR M. KLIPPEL Médecin de l'Hôpital Tenon.
iques. ANOMALIES MULTIPLES CONGÉNITALES PAR ATROPHIE NUMÉRIQUE DES,
TISSUS
137 Le terme d'atrophie numérique est significa
mple,la dégénérescence, la multiplication des noyaux, les débris de
tissus
, les altérations conjonctives et vasculaires qui
; une pleurésie, d'une diminution du thorax du même côté. Tous les
tissus
composant les parties en question sont atteints d
multiplicité des points où se manifeste un tel déficit numérique des
tissus
. ANOMALIES MULTIPLES CONGÉNITALES PAII ATROPHIE
port an ANOMALIES MULTIPLES CONGÉNITALES PAR ATROPHIE NUMÉRIQUE DES
TISSUS
141 reste du pied. Sur elle s'implantent 5 doig
uatre ANOMALIES MULTIPLES CONGÉNITALES par atrophie numérique des
tissus
. .. (Mo Klippel) ANOMALIES MULTIPLES CONGÉNIT
lippel) ANOMALIES MULTIPLES CONGÉNITALES PAR ATROPHIE NUMÉRIQUE DES
TISSUS
143 derniers doigts, et quand la main repose su
olent ; ANOMALIES MULTIPLES CONGÉNITALES PAR ATROPHIE NUMÉRIQUE DES
TISSUS
145 l'auscultation pulmonaire ne donne rien, ma
dos ou les parois costales (3). « Ils siègent sur la peau, dans le
tissu
conjonctif sous-cutané ou sous-muqueux, dans les
(1).Les nerfs atteints présentaient sur leur trajet, au milieu d'un
tissu
de soutien dense, des tumeurs des dimensions d'
te pomme. L'examen miscroscopique a montré : 1° un accroissement du
tissu
de soutien (conjonctif péri-nerveux) des nerfs,
s lequel les capsules surrénales sont remplacées par deux masses de
tissu
sarcomateux, et celui de M. L. Bérard, énorme kys
culaire inférieure un liseré blanchâtre qui se détache nettement du
tissu
environnant. C'est le faisceau optique cen- NOU
occipital était le siège d'un ramollissement, de sorte qu'en plein
tissu
infiltré et décoloré le seul faisceau reconnais
tion limbique). On voit, en outre, un fascicule normal traverser le
tissu
décoloré au-dessus du forceps du corps calleux
de plus, ils sont irrégulièrement écartés les uns des autres par un
tissu
mésoder- mique épais, qui, dans les coupes colo
e par l'épaississement considérable des gaines conjonctives dont le
tissu
est riche en noyaux arrondis ; il existe des lési
ont perforé la capsule et siègent, de même que les fibres, en plein
tissu
mésodermique ; elles se comportent dès lors com
es. Ces massues, non connues jusqu'à présent, sont situées en plein
tissu
nerveux, et non dans les espaces vasculo-conjon
ans le cervelet du chien, dans certaines circonstances, sans que le
tissu
de cet organe paraissent autrement lésé (Cajal)
aclage de la poche de 242 DUPRÉ ET DEVAUX cet abcès montre que le
tissu
cérébral environnant est de couleur noirâtre. Dan
ents le noyau est en kinèse. Au milieu de ces cellules modifiées du
tissu
cortical, se trouvent des éléments étrangers re
tables lacunes renfermant, enclavés, des noyaux de leucocytes et du
tissu
nécrosé. Ce réseau Nouvelle Iconographie DE la
r un lacis serré de canaux vasculaires, entre lesquels se trouve un
tissu
formé de cellules allongées arrondies, à noyaux
ineux et plus foncés. Il semble que ces cellules appartiennent à un
tissu
plus stable et que le rôle de ces éléments soit
up plus lent, qui a permis toutes les réactions défensives dans les
tissus
intéressés. En résumé, deux ordres de lésions,
ique. CLINIQUE PSYCHIATRIQUE DE GENÈVE DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU
TISSU
CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS (Suite
ros de cette perte de substance est sur- DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU
TISSU
CÉRÉBRAL 249 venu aux dépens de la substance bl
et cerveau postéreur. L'aqueduc de Sylvius est d'abord dilaté et le
tissu
environnant vacuole (com. post. et moelle du noya
une pression exagérée, d'où résulta surtout une dégénérescence des
tissus
situés sur le pourtour des ventricules. Cela dé
LLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XIX. PI. XL ALTÉRATIONS DU
TISSU
CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DES TUMEURS (R. Web
I7 ? J.l.T 'T7 TT ? -' - rr "'1 ? 7T ? ? DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU
TISSU
CÉRÉBRAL 251 Enfin le symptôme constant chez B.
ndroit où la subs- tance cérébrale dilacérée laissait apparaître un
tissu
plus ferme. Par cette ouverture s'échappait un
ncéreuse à la bifurcation d'un vaisseau. DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU
TISSU
CÉRÉBRAL 253 15 millimètres plus en avant appar
Enfin à 2,5 cent, en avant de la pointe de l'hémorrhagie commence le
tissu
cancéreux, dont la Planche LX rend les dimensio
ulaire n'ayant été obstruée par aucune des tumeurs, les lésions des
tissus
en tant que démontrables par nos procédés, sont
ce ne le font pas. Cela peut tenir à l'histologie différente de ces
tissus
et au fait que les échanges nutritifs se font plu
sorte, sont particulièrement 254 WEBER. DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU
TISSU
CÉRÉBRAL bien placés pour intercepter le couran
que fibre musculaire ; prolifération des noyaux du sarcoplasma et du
tissu
conjonctif interfascieulaire ; tels sont les tr
s ici. Dans certains cas le rhumatisme se localise surtout dans les
tissus
pé- riarticulaires, et peut déterminer des défo
e considérable. Atrophie j des libres musculaires, prolifération du
tissu
conjonctif et de l'adventice des vaisseaux. t ?
e en effet, tant par la sclérose des muscles que par rétraction des
tissus
fibreux périmusculaires et apo- névrotiques. Le
topographie des lésions, nous envisagerons successivement celles du
tissu
conjonctif, des vaisseaux, puis celles plus dél
l'épaisseur du muscle ré- tracté, on peut étudier la répartition du
tissu
conjonctivo-adipeux.Geluirci, peu abondant sous
e la masse charnue. Il est a remarquer qu'au centre de ces îlots de
tissu
conjonctif épaissi se détachent des orifices vasc
graisseuses; certaines d'entre elles sont isolées et noyées dans du
tissu
adipeux. Les artères musculaires plongées au se
au sein de cette gangue conjonctive semblent ne faire qu'un avec le
tissu
fibreux. La mésartère est épaissie à un degré m
rfois prendre un dévelop- pement considérable et proliférer dans le
tissu
conjonctif épaissi ; on suit facilement les bra
ajouter que dans un cas les artères musculaires enveloppées par le
tissu
conjonctif proliféré avaient leur tunique interne
uscles des jambes présen- taient outre une densification extrême du
tissu
conjonctif,une modification particulière des fi
ogressive de la plupart des fibres, remplacées qu'elles sont par du
tissu
conjonctif. La question du rôle que jouent les
du rôle que jouent les cellules musculaires dans l'édifica- tion du
tissu
conjonctif nouvellement formé est ici comme aille
buent il la suite de transformations successives à l'édification du
tissu
conjonctif. Il est possible et même probable que,
ne, soit secondairement il la destruction des fibres musculaires le
tissu
conjonctif interfasciculaire est irrité et pro-
ssion à l'état embryonnaire) d'une part, prolifération abondante du
tissu
conjonctif, d'autre part, tels sont en dernière,
lumière du vaisseau ; quant à l'adventice, elle se confond avec le
tissu
fibreux au sein duquel elle est plongée et ne p
des vaisseaux sont indéniables et nous avons fait remarquer que le
tissu
fibreux et les modifications des fibres muscula
tion irritante agissant sur tous les éléments à la fois (vaisseaux,
tissu
con- jonctif, fibres musculaires) avec une préd
intéres- sant à plusieurs points de vue : 1° Par la pluralité des
tissus
atteints par la dystrophie. 2° Par son étiologi
s l'observons,en une prolifération de replis cutanés, bridés par le
tissu
fibreux des cicatrices opératoires,pendant en a
5 est généralement] considérée comme une dystrophie portant sur les
tissus
d'origine ectodermique ; si l'on admet 286 KLIP
e d'une dystrophie portant d'une façon à peu près exclusive sur les
tissus
développés aux dépens du feuil- \ ! et externe
ade une autre dystrophie qui lui est superposée et qui porte sur le
tissu
fibro-élastique, donc d'origine mé- sode1"lniqu
uelle la trophicité est modifiée congénitalement à la fois dans les
tissus
qui dépendent du feuillet externe et dans ceux qu
ns rencontrées chez notre malade de cette dystrophie congénitale du
tissu
fibro-élastique, étudiée par l'un de nous (1) et
ment par des manifestations nouvelles et successives (insuffisance du
tissu
fibro-élastique des orifices abdominaux, des ve
notre malade exis- (1) KLIPPEL, Dystrophie congénitale multiple du
tissu
élastique, Arch. gén. de mé- decine, 13 janvier
ux. La dure-mère ne faisait qu'une avec ces masses fibreuses, et du
tissu
cellulaire lâche, facile à disséquer, la séparait
sal et du ganglion. A la place des cellules disparues s'étendait du
tissu
conjonctif. Les fibres efférentes du pôle périphé
ailles, mu- nies d'un seul prolongement dirigé vers la moelle. Un
tissu
conjonctif pauvre en noyaux s'étendait à la place
capsulaire, puis de simples amas nu- cléaires, enfin des nappes de
tissu
conjonctif dense, semées de noyaux allongés et
dimensions, et prolifération des cellules capsulaires ainsi que du
tissu
interstitiel). Quant à nos résultats personnels
ière vue la distinction de l'espace occupé par les fibres et par le
tissu
interstitiel. Aussi, avons-nous donné dans' nos c
ganglion. Nous n'y avons jamais remarqué non plus d'augmentation du
tissu
conjonctif. Le nombre des cellules, enfin, nous a
fragmentée en certains endroits, formant des boules éparses dans le
tissu
conjonctif. Ces fibres altérées contrastent avec
llulaire, la dégénérescence graisseuse et une forte augmentation du
tissu
conjonctif. Stroebe (4) a vu les cellules ratatin
aient assez souvent proliférées en couronnes de plusieurs assises. Le
tissu
conjonctif était anormalement augmenté. Dans
ns n'adhèrent pas, ils sont séparés par une mince fente, remplie de
tissu
fibreux. La dure-mère adhère aux racines postér
tissu fibreux. La dure-mère adhère aux racines postérieures par du
tissu
cellulaire lâche, plus serré du côté sectionné.
des cellules, pas de modification des capsules endothéliales ni du
tissu
interstitiel. Le 3e ganglion thoracique fixé à
à leur face ventrale. Les éléments cellulaires, leurs capsules, le
tissu
conjonctif, et l'enveloppe fibreuse apparaissent
. Du côté gauche, nous avons cherché sans résul- tat à dissocier le
tissu
conjonctif détaché de la dure-mère et qui nous se
ité médullaire des racines sectionnées. Nous n'avons trouvé dans ce
tissu
conjonctif aucune trace des fibres nerveuses norm
en plaques ; elles se continuent ou du moins se prolongent dans le
tissu
ambiant et méritent, jusqu'à un certain point,
u'on puisse avoir des foyers multiples d'origine spécifique dans le
tissu
nerveux, néanmoins le tableau symptomatique n'est
stence possible de foyers d'ori- gine spécifique disséminés dans le
tissu
nerveux, foyers qui d'ailleurs ont été déjà dém
et les cellules nerveuses ne se- raient pas conservés au milieu du
tissu
gliomateux ; au-dessus et au- dessous des foyer
40 GIUNIO CATOLA mique dans la sclérose en plaques commence dans le
tissu
nerveux. Ils arrivent à cette conclusion surtou
euse, sauf quel- ques petits îlots disséminés, est remplacée par du
tissu
scléreux. A partir de la susdite racine jusqu'à
ès souvent l'infiltration s'étend à la gaine péri- vasculaire et au
tissu
avoisinant (fig. 11). Dans les vaisseaux de la
moins abondante. La névroglie est proliférée par ci par là dans le
tissu
non encore envahi par des foyers scléreux, d'un
naire (fig. 12). Dans les foyers scléreux nous n'avons trouvé que du
tissu
tibril- laire et des noyaux de névroglie de gra
fois très prononcée, surtout dans les zones intermédiaires entre le
tissu
sain et le tissu scléreux, où, en même temps on
ée, surtout dans les zones intermédiaires entre le tissu sain et le
tissu
scléreux, où, en même temps on trouve aussi d'a
infiltration nucléaire située entre l'ad- ventice du vaisseau et le
tissu
uerveux sans aucun espace vide intermédiaire (f
très larges zones de sclérose entrecoupées par des petits îlots de
tissu
nerveux sain ou à peu près. Les racines antérieur
gauche sont atteints par la sclérose : il y reste un petit état de
tissu
sain dans la zone radiculaire interne (fig. 4). A
érivasculaire est en général formé par une zone claire remplie d'un
tissu
très mou et contenant parfois des noyaux ronds
Ob. A. Zeiss. FiG. 11. - Infiltration de la paroi vasculaire et du
tissu
périvasculaire dans une ar- tère de la pie mère
ant lorsqu'il coïncide avec un amai- grissement ou une sclérose des
tissus
mous du corps des doigts ; mais elle est indépe
insidieuse, indolore, le gonflement du dos des articulations par du
tissu
dur. Mais le type de P. Marie et Léri paraît su
e qui la compose n'existe presque plus et elle est remplacée par un
tissu
fibreux assez épais. , Après avoir enlevé la pe
apillaires intermé- diaires. Il arrive à constituer les placards de
tissu
conjonctif adulte, lamelleux qui renferme des v
amelleux qui renferme des vaisseaux encerclés d'un épais manchon de
tissu
scléreux. 2° On constate une hyperplasie glandu
autres, rompent, par endroits, les travées conjonctives, réduisant le
tissu
con- jonctif à une travée très peu apparente et
l adage disait : « Le plomb est l'ami de l'homme», c'est-à-dire,les
tissus
le supportent bien quand il lui plaît d'y séjourn
émité interne du sourcil gauche. Explosion de l'os.Dilacération des
tissus
. Plaie cutanée de 7 centimètres de long sur 4 d
roite au niveau de la protubérance occipitale. Large incision des
tissus
mous réunissant les deux orifices. Ablation de
n cellulaire intense des deux côtés de la section. Il en résulte un
tissu
embryonnaire formé de grosses cel- lules, de va
deur. Une partie des fibroblastes provenant des grosses cellules du
tissu
em- bryonnaire absorbent par voie de phagocytos
roissance comparable à celle qui a été for- mée par la première. Le
tissu
embryonnaire, qui fait son apparition au niveau
rment en cellules fusiformes ou ramifiées, et surtout à la place du
tissu
d'inflammation se développe un tissu cicatriciel
iées, et surtout à la place du tissu d'inflammation se développe un
tissu
cicatriciel compact. Cepen- dant, même au bout
reuses de la cicatrice des globules granuleux. Cette prolifération du
tissu
conjonctif existe non seulement sur les bords d
es parois de cette espèce de kyste présentent une couche épaisse de
tissu
embryonnaire, inflammatoire, dans l'épaisseur d
e terminale volumineuse qui s'avance plus ou moins à l'intérieur du
tissu
cicatriciel. Les boules sont pourvues d'une cap
ent de t'épithétium épendymaire, offre à certains endroits un riche
tissu
embryonnaire où pullulent les faisceaux de fibr
pération. Les deux bouts de la moelle sectionnée sont réunis par un
tissu
cicatriciel de constitution très complexe. A l'ex
pie-mère, épaissie au niveau de la cicatrice, est constituée par un
tissu
fibro-cellulaire ; par ses tractus, elle se dél
les granuleuses. La cicatrice est essentiellement constituée par un
tissu
conjonctif fibreux plus ou moins riche en cellu
broblastes ou de cellules étoilées siégeant dans les interstices du
tissu
conjonctif. Cette cicatrice ne contient que de
arement réunies en faisceaux. Ces fibres pénètrent dans les fentes du
tissu
conjonctif et donnent parfois des divisions lat
moelle : 109 jours,chien.- Sur les côtés de la cicatrice,on voit un
tissu
graisseux très abondant. La cicatrice elle-même e
aisseux très abondant. La cicatrice elle-même est constituée par un
tissu
conjonctif fibreux qui coiffe le sommet des deux
le paraît étranglée au niveau de sa partie moyenne là où pénètre le
tissu
graisseux au niveau d'une extrémité. Il rentre
décrivent un tracé curviligne et se perdent dans les interstices du
tissu
con- jonctif. Le nombre des massues terminales
jet, pauvres en ramifications secondaires et qui s'engagent dans le
tissu
cicatriciel. Le bout inférieur présente à son ext
avation pénètre l'extrémité du bout inférieur de la moelle, mais le
tissu
nerveux, à ce niveau, est altéré,assez souvent
noyau, enfin elles sont étoilées, etc. En outre, on observe dans ce
tissu
des espèces de fentes dans lesquelles FiG. 4. P
ection de la moelle après 109 jours (chien). On y voit des lames de
tissu
conjonctif d'aspect uni- forme entre lesquelles
rès complexe. A l'extrémité inférieure du bout supérieur on voit un
tissu
vasculaire extrêmement riche formant un réseau
rès dilatés constituant des espèces de sinus entre lesquels il y a un
tissu
conjonctif dérivé de la pie-mère et d'aspect tr
ELLE 433 étoilées, polygonales ou fusiformes ayant l'apparence d'un
tissu
conjonctif mu- queux. Là ce tissu est plutôt fi
fusiformes ayant l'apparence d'un tissu conjonctif mu- queux. Là ce
tissu
est plutôt fibreux et entre ses lamelles on voit
ses lamelles on voit des fibroblas- tes. Enfin, on trouve encore un
tissu
conjonctif très lâche dans les mailles du- quel
te, les cordons de fibres nerveuses sont séparés par des tractus de
tissu
conjonctif formés de lames légèrement granuleus
broblastes, des cellules triangulaires ou bien même étoilées. Dans ce
tissu
conjonctif on n'observe pas de fibres de nouvel
uvelle formation, on voit quelques grosses libres disséminées dans le
tissu
. Ces grosses fibres, habituellement bien imprég
isceaux ; elles suivent plus ou moins le trajet des vaisseaux ou du
tissu
conjonctif; quelques- RECHERCHES SUR LA DÉGÉNÉR
dis- tingue une structure réticulée ; on voit aussi au milieu de ce
tissu
, de grosses boules jaunâtres, absolument unifor
lée vague. Certaines d'en- tr'elles semblent être enclavées dans le
tissu
interstitiel malgré qu'un bon nom- bre d'axones
es faisceaux isolés ou par groupes, sont séparés par des tractus de
tissu
conjonc- tif, fibreux, compact, très pauvre en
u conjonc- tif, fibreux, compact, très pauvre en cellules. Là où ce
tissu
est trop abondant les faisceaux nerveux diminue
eux diminuent de nombre et ils apparaissent comme étran- glés parle
tissu
conjonctif. On pourrait dire que dans ce cas, tou
région comprimée, mais surtout à ses extrémités, il existe dans le
tissu
interstitiel et entre les faisceaux uerveux un no
ci par là des zones de nécrobiose dans lesquelles il n'y a que des
tissus
nerveux ou des vaisseauxnouvellement for- més,
ux ou des vaisseauxnouvellement for- més, des corps granuleux et un
tissu
névroglique. A la périphérie de ces foyers, les
s'entrecroisent et se mêlent de différentes manières situé dans le
tissu
conjonctif intervasculaire. 440 MARINESCO ET MI
emple, elles paraissent complètement disparues et remplacées par un
tissu
conjonctif qui adhère au pannicule cellulo-graiss
t très petits, blanchâtres, très difficile à retrouver au milieu du
tissu
conjonctif. ETUDE histologique. - Elle a porté
ains faisceaux semblent complètement disparus et rem- placés par du
tissu
conjonctif scléreux. Il existe un certain degré d
parente et adhère intimement il la substance cérébrale voisine ; le
tissu
néoplasique se confond insensiblement avec le tis
le voisine ; le tissu néoplasique se confond insensiblement avec le
tissu
sain, sans ligne de démarcation nette. Il n'e
mida- les ; ces dernières sont éparses irrégulièrement au milieu du
tissu
néoplasique; leur configuration est si bien con
qu'un grand nombre de fibres à myéline existent encore au milieu du
tissu
néoplasique, mais ces fibres ont pris une colorat
un feutrage épais. Dans les zones intermédiaires au néoplasme et au
tissu
cortical sain, on re- marque que les petites ce
e les petites cellules rondes néoplasiques envahissent peu à peu le
tissu
nerveux sans le détruire immédiatement. Il existe
ies voisines en faisant le tour du sillon et n'attaquent l'iG. 2. -
Tissu
néoplasique. 1. Cellules nerveuses ; 2, Fibrilles
ouver des cellules pyramidales bien conformées éparses au milieu du
tissu
cancéreux. Les cel- lules pyramidales, considér
e la mère nous l'apprend ; la petitesse du nez, l'affais- sement du
tissu
maxillaire, la réduction du pharynx, la voûte ogi
arues sont remplacées soit par des vésicules adipeuses, soit par du
tissu
cellulaire, soit par du tissu fibreux adulte, rel
des vésicules adipeuses, soit par du tissu cellulaire, soit par du
tissu
fibreux adulte, relativement compact par endroi
yaline a envahi quelques fibres, atrophiées ou hypertrophiées. Le
tissu
interstitiel est relativement peu proliféré, un t
trophiées. Le tissu interstitiel est relativement peu proliféré, un
tissu
conjonctif fihril- laire s'insinue entre les fi
t violette. Les fibres disparues sont par places remplacées, par du
tissu
fibreux plus ou moins abondant. Ces divers aspe
remarque que l'hypertrophie porte surtout sur les fascicules et le
tissu
interfaspiculaire, l'épinèvre n'est pas sensiblem
t grossissement. Les fibres nerveuses sont entourées d'une gaine de
tissu
conjonctif. Color. par l'hématoxyline-éosine. B
e de Pal. ' . Chaque fibre à myéline est entourée par une gaîne de.
tissu
conjonctif dont les fibres sont imbriquées les
s par fascicules, ou isolées et séparées les unes des autres par un
tissu
cellulaire lâche dans lequel il existe peu de noy
tives qui entourent chaque fibre nerveuse ; il s'agit en effet d'un
tissu
complètement or- ganisé, en quelque sorte cicat
ense. Les fascicules sont séparés entre eux et de l'épinèvro par un
tissu
fibreux très abondant dont les faisceaux sont i
rès abondant dont les faisceaux sont irrégulièrement dissociés par un
tissu
cellulaire larges mailles. 1 On n'observe nul
eurs elles sont des plus nettes et les fibres sont engaînées par un
tissu
conjonctif riche en noyaux. · Le grand sympathi
isses sont juxtaposées les unes aux autres, sans entrelacement : le
tissu
conjonctif inters- titiel ne paraît pas manifes
s cet en- chevêtrement, aux fibres nerveuses,aux gaines vides et au
tissu
conjonctif; ce- pendant en quelques points où l
être poursuivie un peu plus loin on peut constater la présence d'un
tissu
conjonctif plus ou moins abondant en fibres ou
aine de myéline et de différencier nettement la gaine de Schwann du
tissu
environnant; cependant nous avons pu y réussir su
n'est pas facile, en présence de telles figures, de différencier le
tissu
conjonctif des gaînes vides. Racines postérieur
ont plutôt rares ; par places il existe des amas de gros noyaux ou de
tissu
con- jonctif ; plusieurs faisceaux paraissent c
aisceaux paraissent constitués par une fibre nerveuse entou- rée de
tissu
conjonctif. ' En résumé,les fibres radiculaires
bres radiculaires paraissent souvent engainées dans un man- chon de
tissu
conjonctif, dans lequel prédominent le plus souve
t insuffisantes pour nous renseigner sur la participation exacte du
tissu
conjonctif et des gaînes vides dans la constitu
fibre et le manchon qui l'engaine est plus souvent formé ici par du
tissu
fibreux très dense, disposé, en plusieurs lames i
indres que nous avons décrits sont isolés les uns des autres par un
tissu
conjonctif lâche, relativement peu proliféré, la
ntrent des fibres nerveuses de plus petit calibre, des vacuoles, du
tissu
conjonctif et des noyaux, répondent aux faiscea
as toujours été possible, sur les dissociations, de différencier le
tissu
conjonctif et les gaines vides. Si on remarque
éléments jeunes dans les par- ties plus centrales, prédominance du
tissu
conjonctif adulte dans les par- ties les plus é
s éléments engainés sont accolés les uns aux autres et entre eux le
tissu
conjonctif de l'endonèvre n'est pas sensiblemen
et la névrite interstitielle : ici la gaine conjonctive est formée de
tissu
adulte dense, tassé, et cependant il existe enc
IVE DE L'ENFANCE 505 centre : là la gaine conjonctive est formée de
tissu
jeune, riche en noyau et le centre n'est plus o
le foyer épidural, formé de tuber- cules rares, disséminés dans du
tissu
fibreux adhérant intimement à la dure- mère : é
aux. Histologiquement les masses épidurales sont constituées par un
tissu
d'in- flammation banale, contenant de nombreux
ette sclérose pouvait s'expliquer par la compression exercée par le
tissu
fibreux, d'apparence cicatricielle, du tissu épid
ression exercée par le tissu fibreux, d'apparence cicatricielle, du
tissu
épidural ; Obs. II et VI, où leur englobement p
elle, du tissu épidural ; Obs. II et VI, où leur englobement par le
tissu
lardacé était considéra- ble ; leur sclérose es
ans l'obs. VI où le début des accidents était plus rapproché, et le
tissu
épidural moins fibreux. Dans les autres cas o
t donné la présence de cellules géantes d'apparence jeunes, dans ce
tissu
d'infection secondaire, et les caractères spéci
e épidural où l'on trouve (pl. LXXVI, fig. 3) des amas irréguliers de
tissu
lar- dacé englobant les racines lombaires et sa
oile btanchâtre(pt.LXXVt, fig. 4) constituée, au microscope, par un
tissu
d'inflammation banale et dis- crète. Les raci
ant les racines cervicales inférieu- res, surtout à droite, dans un
tissu
de sclérose dense ; après incision de la dure-
l. Celui-ci a la structure d'un tubercule en activité, entouré d'un
tissu
fibreux, irrégulièrement envahi par la tubercu-
sans lumière ni parois. Les racines sont bien plus englobées par le
tissu
épidural à gauche qu'à droite ; elles présentent
te- nant les mêmes fongosités rouges, sans pus ni caséum. Dans le
tissu
épidural, des fongosités rouges s'étalent sur la
ives ; la 2e racine cervicale gauche est, de même, englobée dans un
tissu
très dense avec multiplication discrète des noy
(pl. LXXVII, fig. 1), un gros tubercule ancien est contenu dans un
tissu
de sclérose situé dans l'espace épidural ; les
érose situé dans l'espace épidural ; les racines, englobées dans ce
tissu
semblent tiraillées, élongées ; la moelle est n
pe la partie médiane des cordons de Goll ; séparée par une bande de
tissu
sain de la précédente, elle semble correspondre
s nettement envahi. Au devant de la dure-mère, collé à elle, est un
tissu
de sclérose sans tuber- cules, contenant de nom
racines cor- respondantes à la lésion osseuse sont englobées par un
tissu
inflammatoire, avec nombreux lymphocytes, sans
s XIV l'autopsie montre les 6e racines cervicales enserrées dans un
tissu
de sclérose ; cette com- pression n'avait, clin
. Les nerfs présentent un épaississement notable du périnèvre et du
tissu
con- nectif, disparition d'une quantité de fibr
ssis, mais, cependant, ils sont perméables. Le contour est formé de
tissu
épaissi, irrégulièrement dé- coupé (PI. LXXXI).
s globules blancs et rouges, et d'avoir les bords ir- réguliers des
tissus
sclérosés. Leur lieu de prédilection est la subst
.irreL. Anomalies multiples congénitales par atrophie numérique des
tissus
(1 pl., 4 dess.), 136. ' KLIPPEL et Maillard.
z deux im- béciles (1 pl.), 95. Weber. De quelques altérations du
tissu
cérébral dues à la présence de tumeurs (3 fig
463. Anomalies multiples congénitales par atrophie numérique des
tissus
(1 pl., 4 dess.), par Klippel, 136. Aphasies
s de) (1 pl.), par Féré, 168. Tumeurs (de quelques altérations du
tissu
cérébral dues à la présence de) (3 fig., 1 pl
e du système radial (H. Français et M. EGGCR), LXV. Altération du
tissu
cérébral due à la pré- sence des tumeurs (R. 'V
e véritable péri- et endo-artérite chronique avec propa- gation aux
tissus
voisins et, peut-être, même réaction inflammatoir
la peau. Dans la moelle, Dana constate une légère prolifération du
tissu
conjonctif, et la dilatation des espaces péri v
; un autre plus petit dans la capsule surrénale gauche. Le reste du
tissu
de ces organes avait conservé un aspect normal, c
n juge par la réaction névroglique intense et par la rétraction des
tissus
qui s'est opérée. ' Les coupes colorées à l'hém
la compression temporaire sur l'accumulation de la graisse dans le
tissu
cellulaire sous-cutané (C. R. de la Soc. de Biolo
- Coupe de la tumeur : 1, substance grise ; 2, coque fibreuse ; 3,
tissu
ostéoïne. TUMEUR CÉRÉBRALE A FORME PSYCHO-PARAL
s uns des autres, complètement disloqués en certains points, par un
tissu
conjonctif muqueux dans lequel on trouve quelques
tiques sont di- latées ; les espaces de Kieman sont envahies par du
tissu
conjonctif dense en- globant les vaisseaux. Nom
te interstitielle intense, les tubes contournés sont séparés par du
tissu
fibro-muqueux qui les comprime, plusieurs semblen
persistent la vie entière, sont, eux aussi, capables de produire du
tissu
osseux. Les os ne s'allongent plus, ils s'é- pa
souder. Cet effort a eu lieu, soit par une régénération in sittc du
tissu
thyroïdien, soit par un perfectionnement compen
ypertrophie mammaire est au contraire évidente et porte, non sur le
tissu
graisseux, mais sur le tissu glandulaire. On pe
ontraire évidente et porte, non sur le tissu graisseux, mais sur le
tissu
glandulaire. On peut, en outre, -remarquer que
moff), etc.] Dans ces expériences la dilatation des capillaires des
tissus
est un phé- nomène constant, et c'est à ces mod
bilité des cellules filtrantes et sur l'équilibre molécu- laire des
tissus
; et l'oedème nerveux n'est pas seulement un oedè
ans les espaces interstitiels du membre paralysé. Il semble que les
tissus
soient peu touchés et qu'un certain équilibre s
te brusquement à l'équilibre des pressions et des échanges dans les
tissus
, l'a déterminé aussitôt, avec la brusquerie qui
rique, et disparaissent peu à peu, sans dé- marcation nette avec le
tissu
sain. 26. - Plzolog1'aplti-e du purpura (Pl. XX
ns bien coloré, de volume proportionnel à celui de la cellule. Le
tissu
interstitiel n'a pas subi de modifications très i
ons il existe en outre une congestion très intense, sur un autre le
tissu
interstitiel est très épaissi et les capsules d
onnaires sont séparées les unes des autres par de larges travées de
tissu
conjonctif fibreux ou hyalin. Le ganglion cervi
éressant, on y trouve de grosses lésions des éléments nerveux et du
tissu
interstitiel. Un grand nombre de NOUV. .. ICONO
nt pro- liféré; ailleurs, elles sont revenues sur elles-mêmes. Le
tissu
interstitiel-est très épaissi et les capsules par
titiel-est très épaissi et les capsules paraissent creusées dans du
tissu
fibreux ou hyalin. La paroi des vaisseaux est ell
érées : mais ce qui prédomine autour des cellules restantes, c'est du
tissu
fibreux. Le tissu interstitiel est en effet net
prédomine autour des cellules restantes, c'est du tissu fibreux. Le
tissu
interstitiel est en effet nettement proliféré, c'
eux. Le tissu interstitiel est en effet nettement proliféré, c'est un
tissu
adulte, fibreux, hyalin, les noyaux y sont plut
épaissie, fibreuse, hyaline. Il existe beaucoup de pigment dans le
tissu
interstitiel, mais c'est là un fait banal. La cap
urvus de cellules nerveuses et à leur place on voit des placards de
tissu
fibro-hyalin, remplaçant les capsules occu- pée
ues noyaux capsulaires. Epaississement et transformation hyaline du
tissu
interstitiel. LES ALTÉRATIONS DU GANGLION RACni
apsulaires est moins nette; les capsules sont moins fibreuses et le
tissu
interstitiel est moins épaissi. Les lésions vas
sans doute de la désintégration cellulaire. - Les vaisseaux et le
tissu
interstitiel sont en général peu malades ; dans l
contiennent en effet fort peu de noyaux et sont constituées par un
tissu
fibro-hyalin divisé en plusieurs assises par des
autour des cellules en voie d'atrophie ou des cellules normales. Le
tissu
interstitiel est plutôt épaissi, les cloisons int
te les mêmes altérations ; comme pour les gan- glions lombaires, le
tissu
interstitiel est relativement peu augmenté. Ol3
général plus marquées à la circonférence qu'au centre du ganglion. Le
tissu
interstitiel n'est pas très développé : Les vai
ules en voie d'atrophie, dont le noyau est également plus petit. Le
tissu
interstitiel est davantage épaissi, et plusieurs
de cellules remplacées par des amas capsulaires. Epaississement du
tissu
interstitiel. Aspect hyalin. LES ALTÉRATIONS DU
, A).Certains territoires dépourvus de cellules sont transformés en
tissu
hyalin. Les capsules des cellules nerveuses ne
. Les proliférations des cellules capsulaires sont plutôt rares. Le
tissu
conjonctif interstitiel est 222 THOMAS ET HAUSE
ues cellules contiennent des boules de graisse colorées en noir. Le
tissu
hyalin paraît un peu plus abon- dant. OBs. VI
s en voie d'atrophie les cellules capsulaires sont plutôt rares. Le
tissu
conjonctif interstitiel n'est pas très épaissi.
r endroits les cellules disparues sont remplacées par des placards de
tissu
fibro-hyalin. Le tissu conjonctif n'est pas trè
isparues sont remplacées par des placards de tissu fibro-hyalin. Le
tissu
conjonctif n'est pas très proliféré, les vaisseau
érie qu'au centre. Les capsules sont en général peu proliférées. Le
tissu
interstitiel n'est pas sensiblement épaissi. Le
es groupes cellulaires disparus sont quel- quefois remplacés par du
tissu
fibro-hyalin. Après la réduction du nombre des
es ou en désintégration. On les retrouve quelquefois au milieu d'un
tissu
fibreux plus ou moins dense, et il faut les reche
- pide ; ce qui complique encore cette recherche, c'est que dans le
tissu
interstitiel du ganglion rachidien, normal ou p
es, derniers débris d'une cellule, avec les travées pigmentaires du
tissu
interstitiel. Les résidus pigmentaires des cellul
ut se faire qu'un groupe de cellules disparues soit remplacé par du
tissu
fibreux interstitiel, épais et hyalin, dans leque
droite : il n'existe plus à la place de la cellule qu'un nodule de
tissu
conjonctif. 228 THOMAS ET HAUSER si on remarq
nucléaires et d'en envisager la valeur pathologique. Les lésions du
tissu
interstitiel et des vaisseaux sont variables. D
interstitiel et des vaisseaux sont variables. Dans certains cas,ce
tissu
paraît normal ; dans d'autres cas,il se distingue
s conjonctives ; dans d'autres cas encore par la grande quantité de
tissu
fibreux adulte dont les larges travées séparent
érescence hyaline de leurs tuniques. Toutefois les modifications du
tissu
conjonctif et des vaisseaux ganglionnaires nous
UACUIDIEN 229 cellules atteintes d'une part et la prolifération du
tissu
interstitiel et les lésions vasculaires d'autre
n des capsules, leur transformation fibreuse, la proliféra- tion du
tissu
interstitiel et son aspect 6bro-halin,les altérat
as davantage subordonnées à la végétation plus ou moins exagérée du
tissu
conjonctif ou à la gêne circulatoire produite par
i (1) n'a pu observer ni altérations cellulaires, ni altérations du
tissu
conjonctif. Dinkler (2) n'a constaté dans un cas
até dans un cas que de l'épaississe- ment et de la prolifération du
tissu
interstitiel, mais ces deux auteurs n'ont exami
un rôle important dans les pro- cessus de la mort-physiologique du
tissu
nerveux. Ceci nous amène à parler des proliféra
dans beaucoup d'autres processus morbides. Il nous a semblé que le
tissu
interstitiel était également plus riche en pigm
lusieurs cellules nerveuses en voie d'atro- phie. Epaississement du
tissu
interstitiel quia un aspect fibrohyalin. Bret..
tres. Disparition d'un certain nombre de cellules remplacées par du
tissu
fibrohyalin . Atrophie de quelques cellules. -
su fibrohyalin . Atrophie de quelques cellules. - Epaississement du
tissu
interstitiel . Planche XXXII Aud... (obs. VII
ie des cellules. Vaisseaux nombreux et dilatés. Epaissis- sement du
tissu
conjonctif interstitiel. Lel... (obs. V). 3e
et atrophie d'un assez grand nombre de cellules. Epaississement du
tissu
interstitiel. - Fibres en voie de dégénérescence
anche, une' couronne de fissures sanglantes parallèles aux travées du
tissu
de soutien ; dans la substance grise, de petite
, et celles-ci peuvent être rattachées à un défaut de résistance du
tissu
osseux. Pour le genu valgum, il ne s'agissait c
ion nor- male ; il était spongieux, rouge, vasculaire et la lame de
tissu
compact périphé- rique ne paraissait pas épaiss
ais d'une couleur normale. Examen microscopique. - Les parties du
tissu
nerveux central furent. conservées et durcies d
grisâtre. Ce fait est encore aug- menté par la circonstance, que le
tissu
nerveux se colore dans le cas de Louis Hand...,
es anormales qui paraissent dues au développement considéra- ble du
tissu
fibreux. Tous les muscles que nous avons pu exa
e musculaire hyper- trophiée avec multiplication des noyau'\.. - il
Tissu
interstitiel libro-adipeux. - v) Hypertrophie des
de dimensions considérables et dispersées sans ordre au niveau d'un
tissu
formé d'une part d'éléments scléreux, d'autre par
scu- laire elle-même, les autres sur l'élément interstitiel, sur le
tissu
conjonctif et adipeux, les vaisseaux et les ner
'en certains endroits la fibre hypertrophiée paraît située en plein
tissu
graisseux. De plus, il n'est pas rare d'observe
euses que les lésions musculaires sont à leur maximum. Lésions du
tissu
conjonctivo-vascutai1'e. - Le tissu interstitiel
nt à leur maximum. Lésions du tissu conjonctivo-vascutai1'e. - Le
tissu
interstitiel est excessi- vement augmenté ; il
mps en temps, de fines fibres musculaires et séparées par des lits de
tissu
cellulo-adipeux. Ce tissu interstitiel à certai
s musculaires et séparées par des lits de tissu cellulo-adipeux. Ce
tissu
interstitiel à certains endroits est essentiellem
bre musculaire se charger de boules de graisse de façon à former du
tissu
graisseux. Sur les coupes longitudinales ce tis
façon à former du tissu graisseux. Sur les coupes longitudinales ce
tissu
forme de larges travées (ibro-grais- seuses, qu
es, triceps brachial et biceps par exem- ple, le biceps présente un
tissu
interstitiel peu adipeux et extrêmement fibreux,
rondes, nulle part il n'y a traces d'infiltration embryonnaire ; le
tissu
interstitiel est un tissu conjonctif adulte qui
a traces d'infiltration embryonnaire ; le tissu interstitiel est un
tissu
conjonctif adulte qui a subi l'évolution chroni
es le plus grand nombre de fibres musculaires, en même temps que le
tissu
de sclérose y était relativement assez développ
de fibres musculaires saines et étaient particulièrement infiltrés de
tissu
adipeux. Ainsi au niveau du bras, tandis que
fibres saines, le triceps présentait au contraire beaucoup plus de
tissu
adipeux et avait perdu un bien plus grand nombr
raire, dans ceux où le processus lésionnel était à son début, où le
tissu
fibro-adipeux n'avait encore que légèrement proli
ce. Un problème plus délicat à aborder, c'est celui de l'origine du
tissu
interstitiel qui remplace les fibres musculaire
e pour l'expliquer : d'après la majorité des auteurs classiques, le
tissu
interstitiel est dû à la proliféra- tion du pér
au contraire,pour d'autres auteurs, pour Krôsing en particulier, ce
tissu
interstitiel proviendrait de la fibre musculair
sium prolifère et que c'est bien lui qui forme la majeure partie du
tissu
conjonctif de remplacement ; en effet,si nous exa
Aussi, malgré la difficulté de se reconnaître avec certitude dans un
tissu
fibreux aussi complexe, à la constitution duque
u fibreux aussi complexe, à la constitution duquel prennent part le
tissu
conjonctif et les vaisseaux, les débris du sarc
ien adopter la théorie de Krôsing et admettre la pos- sibilité d'un
tissu
d'apparence fibreuse, formé par la régression de
la libre musculaire. Toutefois, à notre avis, nous le répétons, le
tissu
interstitiel et ses divers éléments, particuliè
ièrement les vaisseaux, sont en somme les producteurs principaux du
tissu
fibreux. Nous devons nous demander quel est le
se vraie; il s'agit là de deux processus absolument différents ; le
tissu
graisseux est toujours de formation extra- musc
x est toujours de formation extra- musculaire et c'est bien dans le
tissu
interstitiel que se fait primitivement le dépôt
ventice. ' B. - Dépôts calcaires autour des capillaires et en plein
tissu
nerveux sans relation avec les vaisseaux. Cal
il nu, ni des traces d'un ramollissement ancien ni la présence d'un
tissu
néoplasique. Le seul fait à constater, c'était qu
mations sont disposées soit autour des vaisseaux, soit au milieu du
tissu
nerveux sans relation, au moins apparente, avec
ri vasculaires. En effet, nous pouvons rencontrer au beau milieu du
tissu
nerveux des formations calcaires de volume vari
tte et très démons- trative la disposition interstitielle, en plein
tissu
nerveux, sans la moindre re- lation avec l'élém
écèle pas plus que l'examen macroscopique des lésions grossières du
tissu
nerveux environnant les formations calcaires : to
es vaisseaux sanguins et disséminés dans les espaces interstitiels du
tissu
nerveux. Les cellules ganglionnaires du noyau
mblablement, que dans le mécanisme des lésions désin- tégratives du
tissu
nerveux juxta-vasculaire, les lésions de perméabi
méables et de- vraient déterminer des altérations profondes dans le
tissu
environnant, si on admettait, avec quelques aut
ronnant, si on admettait, avec quelques auteurs, que les lésions du
tissu
périvas- culaire dans la sclérose et l'épaissis
stitielle, pour Vulpian, Charcot une névri te p3rencllyma teuse, le
tissu
conjonctif seraitirritésecondairement par l' le
a avec un processus inflammatoire, une névrite ; la persistance du
tissu
dégénéré est un trait caractéristique de la dég
égénéré est un trait caractéristique de la dégénérescence grise, ce
tissu
revient sur lui-même, et ce retrait est mê- me
notable ; mais ce retrait correspond à un véritable affaissement du
tissu
dégénéré,... une participation directe et active
sement du tissu dégénéré,... une participation directe et active du
tissu
connec- tif du nerf à la dégénérescence doit êt
ien li- mités, on ne voit plus qu'une couche à peu près uniforme de
tissu
fine- ment granuleux, parfois finement vacuolai
ouges, complètement enserrés dans les couches fibreuses. Quant au
tissu
granuleux qui forme le fond de la coupe presque t
o, mais les trabécules sont très épaissis, ils paraissenl formés de
tissu
scléreux dense, ils sont beaucoup plus abondant
ils semblent à demi- indépendants de ce qui représente le reste du
tissu
nerveux, et une ligne blanche marque souvent la
rveux, et une ligne blanche marque souvent la limite entre les deux
tissus
; sur toute leur étendue ces travées présentent
leur centre un ou deux globules rouges. Dans ces cas l'abondance du
tissu
scléreux est tout à fait frappante ; on conçoit q
paraît indiscutable, c'est l'épaississement parfois considérable du
tissu
interposé, du tissu conjonctif; cet épaississem
c'est l'épaississement parfois considérable du tissu interposé, du
tissu
conjonctif; cet épaississement est parfois asse
les deux pointes ne s'unissent plus, dans l'espace qui les joint le
tissu
est semblable à celui du reste des faisceaux, mai
ement séparés, mais dans l'es- pace qui les joint-on voit encore le
tissu
complètement privé de fibres. On voit ainsi suc
, l'hypertrophie interstitielle n'est pas seulement relative, et le
tissu
conjonctif ne revient pas seule- ment sur lui-m
exemple, « ce qui est à noter particulièrement dans l'évolution du
tissu
scléreux, c'est l'importance considérable des l
E TABÉTIQUE 369 de la sclérose syphilitique sont constituées par un
tissu
adulte très riche en fibres et contenant très p
comme dans le foie, les éléments voisins des bandes ou des îlots du
tissu
scléreux, cellules ou libres, s'atrophient ou d
un second processus, bien plus intense, de défense, de réaction des
tissus
qui se traduit par la formation de la sclérose.
s plus manifeste et il nous paraît im- possible de prétendre que le
tissu
conjonctif ne fait que se rétracter au- tour de
vasculaires et qu'elles peuvent être ultérieurement envahies par un
tissu
né- vroglique émané de leur paroi sous l'influe
, libre en avant. A la base de la corne, remarquer les faisceaux de
tissu
conjonctif qui entourent les deux vaisseaux. En a
onjonctif qui entourent les deux vaisseaux. En avant, les replis du
tissu
conjonctif végétant détruisent les éléments cellu
erposition de vaisseaux. Un manchon névrogliquc sépare la lésion du
tissu
sain des comluns postéiieurs. Remarquer à gauche
t saisir le mieux le début du processus. Etudions donc avec soin ce
tissu
conjonctivo-vasculaire qui, pour constituer à de
aspect et leurs réactions lristochimidues tranchent vivement sur le
tissu
nerveux au sein duquel ils paraissent comme inc
ndamentale : conjonc- tive, car elle est principalement composée de
tissu
conjonctif adulte, fibreux ; vasculaire, car la
ue les éléments nerveux voisins en paraissent en rien altérés; leur
tissu
est fort mince mais beaucoup plus compact, et ils
allongeant toujours, et faute de pouvoir pénétrer toujours dans les
tissu
obligé de se replier mille fois sur lui-même po
ur avions appliqué le mot conjonctivo-vasculaire. Les connexions du
tissu
conjonctif libre avec les vaisseaux mettent hors
de l'adventice s'épaississent et s'allon- gent en décrivant dans le
tissu
qui les enserre des llexuosités qui leur permet-
à la pie- mère n'est qu'une insertion accidentelle, une symphyse de
tissus
de même nature. Sur quelques coupes verticales
n'y a nulle réaction névroglique, et elle paraît creusée à même le
tissu
nerveux (PI. LIV, fig. A). Il serait difficile
tenus dans son intérieur et la néoformation vasculaire évidente des
tissus
adjacents (PI. LIV, fig. B). C'est bien le même
llets conjonctifs détachés de cette adventice et disséminés dans le
tissu
ambiant ; processus qui aboutit à la formation
nueux et souvent récurrent, une bande conjonctive va désagréger les
tissus
et isoler des portions de substance nerveuse ap
ailleurs de quelques fibres nerveuses ; ou d'une véritable nappe de
tissu
nerveux. Il est évident qu'ils ne peuvent avoir
ées, et la cavité s'a- grandit aux dépens et par la destruction des
tissus
voisins. Quoi qu'il en soit, le feuillet conjon
externe, de se propager en dehors du vaisseau et d'exercer sur les
tissus
ambiants une action irritative et peut-être enmêm
l'action irritative et destructive que ces lésions exercent sur les
tissus
nerveux voisins forment un complexus histologique
dont l'adventice est manifestement épaissie. En quelques points le
tissu
conjonctif se tasse en une véritable membrane sin
es nodules détachés de la paroi, composés de petits vaisseaux et de
tissu
nerveux. , Les fentes sont limitées de côté et
nent naissance à des tractus conjonctifs qui se disséminent dans le
tissu
voisin. Ce sont eux qui prennent part visi- ble
llongés ou pyriformes attenant encore par un pédicule. Ces ponts de
tissu
malade, presque détachés déjà, sont appelés sans
ique,'et si la cavité se forme et s'agrandit c'est aux dépens de ce
tissu
pathologique, enclin à dégénérer. 394 THOMAS ET
line) des vais- seaux, et des placards de dégénérescence hyaline du
tissu
nerveux. Il n'y a pas de végétations conjonctiv
t l'attention. Il est aussi noté parfois qu'autour des vaisseaux le
tissu
conjonctif anorma- lement développé forme des b
formation très caractéristique, une membrane plissée, qui sépare le
tissu
ectodermique du tissu mésodermique. Cette membran
ristique, une membrane plissée, qui sépare le tissu ectodermique du
tissu
mésodermique. Cette membrane décrit des si- nuo
phérie du tractus sous forme d'une mince couche hyaline, qui est du
tissu
conjonctif modifié, et d'une membrane plissée,
résente, on s'en rend bien compte d'après le dessin, qu'une zone de
tissu
dégénéré d'aspect hyalin. Bien que nous ne puissi
el de constater des effets directs d'ischémie ; on ne trouve pas de
tissu
nerveux en voie de ramollissement aigu au sens pr
mot; les corps granuleux font défaut et la désintégration lente des
tissus
ne saurait être imputée avec certitude à des tr
ncrimine l'influence circulatoire dans le mécanisme de la fonte des
tissus
. En revanche, on n'accorde aucun rôle spé- cial
st le reliquat ou l'émanation, puis- qu'il n'existe pas ailleurs de
tissu
conjonctif dans la moelle. Quel est. donc, en c
a substance nerveuse par des tractus végétants, le morcellement des
tissus
autour de la fente ainsi créée par de nouveaux tr
de noter en effet autour de certains vaisseaux altérés une zone de
tissus
désor- ganisés et détruits (1). Enfin il faut t
e aussi de l'infiltration hya- line des tuniques vasculaires et des
tissus
ambiants, des phénomènes isché- (1) Ce travail
des dilatations vasculaires, au- tour desquelles s'est développé un
tissu
dense de sclérose névroglique, déterminant ains
d interne de la corne postérieure une petite cavité entou- rée d'un
tissu
glieux. Les dilatations vasculaires ayant pour or
t de la cavité et du sillon antérieur, zones où le développement du
tissu
conjonctif est le plus net. Souvent ils sont en
onctif est le plus net. Souvent ils sont engaînés dans une sorte de
tissu
coujonctif. Or, on se rappelle ces îlots, ces p
seulement une barrière plus ou moins épaisse limitant la cavité des
tissus
sains ; tantôt elle forme des nodules arrondis,
nodules arrondis, disséminés, des plaques végétantes infiltrant les
tissus
voisins ; mais très fréquemment à la limite int
groupe. Elle porte à la fois sur les parois vasculaires et sur les
tissus
de la paroi, névroglie ou fibres nerveuses, et
con- sidère l'étendue de la cicatrice, et surtout la rétraction des
tissus
voisins, l'épée â dû pénétrer très profondément
ngue aisément un empâte- ment de la joue, du menton et du cou : les
tissus
sont infiltrés, tendus la lèvre inférieure est
partie antéro-externe de chaque corne antérieure est remplacée par un
tissu
ne prenant pas les colorants, contenant des noy
aines, mais faisant plus nettement saillie sur le fond décoloré. Ce
tissu
offre tout à fait l'aspect ordinaire des foyers d
nt des noyaux, mais pas d'amas nucléaires ; on ne voit plus dans le
tissu
que les restes de quelques fibres, variqueuses
rebord de ce ramollissement tranche nettement et brusquement sur le
tissu
sain. A droite, le foyer semble formé de trois
rnes postérieures. Le canal épendymaire n'est représenté que par un
tissu
lacunaire presque comblé par des amas nucléaire
nifestes, plus marquées dans certains faisceaux que dans d'autres. Le
tissu
interfasciculaire est plus richement vascularis
st celle de la myopathie dans ses détails absolument classiques. Le
tissu
interstitiel du muscle est partout altéré mais ir
es. Il est difficile de dire si les noyaux des cellules fixes de ce
tissu
sont augmentées de nombre, car on ne peut les d
culaire prolongé puisse être suffisant pour ame- ner.la nécrose des
tissus
, leur esclarification, par défaut absolu de nutri
l n'y a pas de points où la lésion ait entamé plus profondément les
tissus
: un caustique n'agit pas de façon aussi réguli
bords net- tement découpés, à pic, un peu surélevés par rapport au
tissu
sain (panse- ments humides au sublimé). On re
congestionnée, rouge-brun, qui se confond insensi- blement avec le
tissu
sain. (1) Les photographies 2 et 3, faites le 2
ns, 1 au coude droit. Les cicatrices récentes sont formées par un
tissu
d'apparence fibreuse, lisse, luisant, rosé, pré
plus anciennes qui siègent surtout aux jambes, se com- posent d'un
tissu
violacé, asphyxique.On note une desquamation asse
e carton, le bois sont aussi perméables; il en est pareillement des
tissus
animaux, des poils, des plumes. Par contre, la pl
faites. Par suite en effet de la translucidité relative des divers
tissus
par les rayons X et de l'opacité du système osseu
n'y a eu ni élimina- tion de séquestre osseux, ni perte d'un autre
tissu
par nécrose. Fort peu de temps après cette mani
le étendue à presque tout le tégument externe, d'une ancsthésie des
tissus
sous-jacents, et d'une eschare profonde à exten
écouler un liquide vis- queux, un peu louche, et l'aplatissement du
tissu
médullaire devient tel, après la sor- tie du li
sérosité qui est logée çà et là dans des cavités donnant à tout le
tissu
un aspect lacunaire très spécial. On retrouve le
as de grosse lésion au niveau de la moelle lombaire ; toutefois, le
tissu
(reste mou et les méninges sont un peu épaissie
lement en arrière et ses deux tiers internes sont confondus avec le
tissu
néoplasique; seule, son extré- mité libre est i
a tumeur se rétrécit également dans l'épaisseur de la moelle et son
tissu
néoplasique est peu à peu remplacé par le tissu n
de la moelle et son tissu néoplasique est peu à peu remplacé par le
tissu
nor- mal de la corne antérieure. - La descrip
l. X, D'et E, coupes 66 et-34). En haut, la gomme s'arrête en plein
tissu
gris par une extrémité ar- rondie ; en bas, ell
ts, la dure-mère est épaissie de moitié ; sa surface externe et son
tissu
interstitiel sont sains : tout au plus note-t-on
dartérite proliférante. B. Deux cellules géantes, contenues dans le
tissu
gommeux, et capillaire intra-gom- meux entouré
omme, on voit de nombreux capil- laires, tortueux, qui irriguent le
tissu
inflammatoire; en d'autres points, les capillai
ins. Nous n'avons observé d'hémorrhagies interstitielles ni dans le
tissu
gommeux, ni dans son voisinage. La périphérie d
écente, dans son mode d'envahissement : on voit dans ces régions le
tissu
médullaire, quel qu'il soit, substance grise ou
rales de la substance grise, où elle disloque t'architectonique des
tissus
et gagne de là par le pied de la corne antérieu
beaucoup plus étendues, dépendant de l'infiltration embryonnaire du
tissu
interstitiel. Nous avons déjà vu avec quelle in
au vasculaire plus riche, soit par une vulnérabilité plus grande du
tissu
de la substance grise ; on sait d'ailleurs que
aucun tube nerveux distinct. Toute la moelle semblait formée par du
tissu
lamineux, condensé, feutré et entremêlé d'une sub
tapissé d'un épithélium proliféré. Autour de ce canal, se trouve un
tissu
constitué par la névroglie épaissie pri- vée de
tilagineux. Le tout est entouré par la dure-mère épaissie et par un
tissu
conjonctif riche en vaisseaux, formant des replis
a moelle de son revê- tement méningé. La dure-mère épaissie et le
tissu
conjonctif environnant, forment des replis anor
é- phalie où, à la place de la substance cérébrale, il n'y a que du
tissu
conjonctif disposé en replis anormaux analogue
rgicale. La plupart de ceux qui pénètrent accidentellement dans les
tissus
peuvent être ainsi décelés, car ils sont opaque
oduit autour d'elle de l'ostéite con- densante, qui aurait rendu le
tissu
osseux plus opaque. Comme la photo- graphie ne
i la survie est suffisante. Amesurequele sujet avance en âge, les
tissus
se différencient déplus en plus, prennent une i
ilis congénitale. A mesure en effet que le sujet avance en âge, les
tissus
se différencient de plus en plus, prennent une
divers points sont tout à fait su- perficielles, non adhérentes aux
tissus
profonds : le malade assure en effet que les pl
là presque certainement d'une atrophie secondaire, l'altération des
tissus
en- vironnant le deuxième métacarpien ayant ent
oisième phalange, légèrement hypertrophiées, étaient réunies par du
tissu
fibreux, ce qui ne les empêchait pas du reste d'ê
pital gauche se présente comme un morceau indépendant, parce que le
tissu
nerveux est détruit plus ou moins sur ses bords
ieure dilatée où'l'on trouve encore les plexus choroïdiens. Tout le
tissu
nerveux a été détruit complètement ; par la rétra
respond à la surface supérieure du lobe détruit, est transformée en
tissu
conjonctif. 3° Le processus destructif ne s'est
peu près égale, la gauche est plus petite à cause de l'atrophie du
tissu
ner- veux. ' 6° Le fornix et la fimbria sont
IÈRE misphère gauche est rendue plus accentuée par la rétraction du
tissu
détruit. Grâce à cette modification, le trajet
éninges sont épaissies, les vaisseaux ont des parois élargies. Le
tissu
conjonctif de l'écorce cérébrale plus ou moins in
ore évidente, mais plus les fibres du pédoncule s'enfoncent dans le
tissu
de la protubérance, moins il est possible, par l'
lé un c homme momie ». A première vue, c'est un homme desséché : le
tissu
cellulaire sous-cutané a disparu, les muscles e
mple do dystrophie atrophique généralisée por- tant sur la peau, le
tissu
cellulaire, les muscles, les tendons, les os, les
contraste avec ces altérations si accentuées portant sur la peau le
tissu
cellulaire sous-cutané, les muscles, les tendons,
ticularité de conformation. En sorte qu'on pourrait avancer que les
tissus
de provenance ectoder- mique d'une part, endode
pour le moment du moins, aux idées de Virchow, c'est toujours dans le
tissu
conjonctif vasculaire que la néoformation sypli
éments nobles ne sont atteints que secondairement aux lésions de ce
tissu
. Au reste, les lésions ne sont pas toujours ide
rées par cette substance. Il est inutile de décrire la gomme, ou le
tissu
de sclérose. - Certains auteurs font de la cong
aucun tube nerveux distinct. Toute la moelle semblait formée par du
tissu
lamineux condensé, feutré et entremêlé d'une subs
cérébrale, hydrocéphalie interne. Le périoste des vertè- bres et le
tissu
graisseux intra-rachidien sont intacts. La dure-m
ntées sur la moelle. Elle est formée par des couches stratifiées de
tissu
conjonctif il larges mailles, infiltré de cellu
séparer'; si on tente de le faire on enlève de petits fragments do
tissu
nerveux. Partant de la pie-mère épaissie on tro
'avance vers elles. C'est surtout aux zones de transition, près des
tissus
fortement infiltrés qu'on voit ces altérations. L
ation des racines est relativement peu con- sidérable. Au milieu du
tissu
infiltré, et entourées de toutes parts par lui, s
issé d'un épithélium proliféré. - Autour de ce canal se trouve un
tissu
constitué par la névroglie épaissie privée de c
tilagineux. Le tout est entouré par la dure-mère épaissie et par un
tissu
conjonctif riche en vaisseaux, formant des replis
a moelle de son revê- tement méningé. La dure-mère épaissie et le
tissu
conjonctif environnant forment des replis anorm
eigert, en rose il la fuchsine acide et qui sont constituées par du
tissu
scléreux d'apparence tor- tueux. Ce sont appare
parence tor- tueux. Ce sont apparemment des gaines de Schwann et du
tissu
conjonctif, il n'y a que peu ou pas d'augmentat
de noyaux en quantité très abondante, et ces noyaux envahissent le
tissu
voisin de la né- vralgie. Les interstices entre
ons latéraux. A part les exceptions que nous citerons plus tard, le
tissu
de la névroglie ne présente pas d'augmentation de
et entourées de masses sans structure se colorant peu et donnant au
tissu
de soutien le caractère oedé- mateux. En de n
antérieures de petites hé- morrhagies récentes,libres au milieu des
tissus
et présentant des hématies inal- térées. » Ce
phéniqué éosiné qui met en relief beaucoup de détails concernant le
tissu
conjonctif, le sang, etc. ` Les cordons blancs
s allons noter que cet espace, espace extradural. est envahi par un
tissu
conjonctif très serré où les vaisseaux tiraillé
rent les fasci- cules entre eux ne montrent ni cellules à noyau, ni
tissu
conjonctif appré- ciable, ce n'est que plus tar
lle, dans le sillon antérieur un prolongement plus épais, séparé du
tissu
nerveux et dans lequel courent des vaisseaux pl
sa face externe elle est lisse, pas une cellule ne la dépasse, son
tissu
conjonctif esfmince, délié, avec quelques noyau
E DE LA SALPÊTRIÈRE parois minces. Les vaisseaux sont entourés d'un
tissu
conjonctif formé par l'épaississement de la pie
mère au niveau de l'insertion en triangle du septum médian, mais le
tissu
conjonctif est mince, délicat, sans noyau et as
ion est très intense, ces vaisseaux ont pour ainsi dire disparu, le
tissu
conjonctif qui les entoure d'ordinaire est tran
s cellules rondes et de leur épaississement par la prolifération du
tissu
conjonctif, les figures que nous en donnons per
forment des traînées embryonnaires au milieu des stratifications du
tissu
conjonctif, elle se confond quelquefois avec le
antérieur, mais surtout elle est souvent en contact direct avec le
tissu
mor- bide qui infiltre tout l'espace extradural
mor- bide qui infiltre tout l'espace extradural. Là se développe un
tissu
fibreux déplus en plus serré, au lieu des large
nglée, pour ainsi dire, à ce niveau par la pression élastique de ce
tissu
fibreux trop développé. L'espace sous-arachnoïd
gomme se montre, de coloration et d'aspect, à peu près semblable au
tissu
nerveux auquel elle est accolée mais séparable,
e dans deux cas des désorganisations manifestes, indis- cutables du
tissu
nerveux. A part ces cas sur lesquels nous reviend
plus ses limites qui semblent diffuses et elle va se perdre dans un
tissu
de néoformation caractérisé surtout par le manq
ure-mère paraît très épaisse, l'espace extradural est rempli par un
tissu
rougeâtre consistant. Au microscope : RÉGION
nsertion du septum mé- dian antérieur, où elle forme un triangle de
tissu
conjonctif très serré dans lequel les vaisseaux
e ses dimensions nor- males ; constituée par des stratifications de
tissu
fibreux et surchargée de cel- lules rondes, cel
e-mère en une masse unique. L'espace extradural est comblé par un
tissu
fin, à larges mailles, formé d'un réseau très d
vités remplies de globules sanguins, creusées irrégulièrement dans ce
tissu
conjonctif représentent ces vaisseaux, leur cal
dans les cas normaux, se confond peu à peu à la périphérie-avec le
tissu
embryonnaire qui l'entoure. Dans la pie-mère so
uites pour ainsi dire à l'endothélium appliqué directe- ment sur le
tissu
conjonctif voisin. Au niveau du sillon médian p
s sont également le siège d'infiltrations embryonnaires en amas, le
tissu
conjonctif y est abondant sous forme de larges
mément distendus. Les racines sont ici absolument englobées dans le
tissu
fibreux qui leur forme une vraie ceinture conjo
s en avant et en ar- rière, latéralement elle en est séparée par un
tissu
extraordinairement vascu- laire où des capillai
ltrés dans leur tunique adventice très épaissie, confondue avec les
tissus
voisins. Les vaisseaux spinaux antérieurs paraiss
a région cervicale, on peut les reconnaître facilement au milieu du
tissu
fibreux qui les entoure, l'artère est aplatie, el
d'un envahissement embryonnaire excessif et se confondent avec les
tissus
voisins sans limites nettes. Région lombaire. O
la moelle, sa consistance paraît également être à peu près celle du
tissu
nerveux. Examinée au microscope, la moelle comp
es sont difficiles à voir, tellement elles sont noyées au milieu du
tissu
embryonnaire diffus qui s'étale entre la pie-mère
ée de cellu- les rondes, mais l'espace extradural est rempli par un
tissu
très vasculaire à mailles légères, et présente
à l'aeil nu de reconnaître l'épaississement de la dure- mère et le
tissu
rougeâtre friable qui s'étend entre elle et les p
nctes, l'épendyme est normal. Les racines absolument noyées dans le
tissu
embryonnaire qui les entoure sont à peine recon
rie du canal rachidien, partout ailleurs elle en est séparée par du
tissu
conjonctif assez dense, très vasculaire. Elle est
rès actif. , Les vaisseaux sont difficiles à retrouver au milieu du
tissu
pathologique. Les gros vaisseaux spinaux antéri
disque qui représente un groupe de filets nerveux est entouré d'un
tissu
conjonctif abondant qui pénètre dans le fascicu
nt les racines.Les coupes les plus inférieures montrent en effet le
tissu
embryonnaire limité à la pé- riphérie du canal
jonctifs qui vont se perdre dans les régions voisines en refoulant le
tissu
nerveux. A la place des vaisseaux spinaux antér
ieurs, on trouve des lacunes à parois onduleuses creusées à même le
tissu
fibreux de la pie-mère. Queue DE cheval. L'espa
re. Queue DE cheval. L'espace extradural est toujours rempli par un
tissu
fibreux de plus en plus serré, creusé de vastes
creusé de vastes cavités anfractueuses bordées par un tassement du
tissu
conjonctif voisin qui forme ainsi d'épaisses paro
e ayant englobé quelques racines à peine re- connaissables dans son
tissu
,envoie des prolongements irréguliers entre les ra
ns infiltration nucléaire, est séparée des pa- rois osseuses par un
tissu
fibreux serré, creusé de vaisseaux irréguliers.
tion atteint des limites véritablement excessives, la pré- sence de
tissus
pathologiques organisés permet de considérer les
dans la région lombaire mais pour dispa- raître encore au milieu du
tissu
fibreux qui remplit le canal vertébral dans tou
rtie inférieure. Région cervicale. On peut reconnaître au milieu du
tissu
fibreux la moelle LOCALISATIONS SPINALES DE LA
ieures el près du sillon médian postérieur. A l'aspect ordinaire du
tissu
médullaire se substitue une teinte uniforme gris
rrées le long des vaisseaux forment des rayons dans ce qui reste de
tissu
médullaire. Les racines sont sinueuses au lieu
tout du côté gauche de la coupe, où on voit encore des fragments de
tissu
nerveux dissocié par les cellules embryonnaires
sa face interne, du côté droit elle est également confondue avec le
tissu
médullaire -dans tout le segment s'étendant des r
est dissociée comme effilochée en arrière, où elle se perd dans le
tissu
extradural qui prend ici une consistance lx 23
aux spinaux antérieurs sont difficiles Ù reconnaître, noyés dans le
tissu
conjonctif épaissi de la pie-mère. On ne peut dis
cette couche fibreuse appartient il la méninge et ce qui dépend du
tissu
transformé de l'espace extradural.. Les gangl
irréguliers. Région dorsale inférieure. Ou reconnaît la présence de
tissu
nerveux, mais ce ne sont que des débris, la pie
plus haut, et en effet celui-ci change de nature, ce n'est plus le
tissu
conjonctif serré que nous avons décrit, il y a
s avons décrit, il y a maintenant de larges vaisseaux béants, et le
tissu
de soutien pa- raît beaucoup moins dense. Rég
gau- che la corne antérieure persiste, elle est en rapport avec le
tissu
dégénéré dont nous allons parler, la corne post
l'espace compris entre les deux cornes n'a plus aucun caractère du
tissu
nerveux, on y voit seulement un magma grenu col
udat que l'éosine colore encore. La pie-mère très épaisse adhère au
tissu
médullaire, elle porte au niveau de l'insertion d
endo et de péri-vas- culari te. L'espace extradural rempli par le
tissu
fibreux présente des vaisseaux énor- mes, irrég
sseaux énor- mes, irréguliers, sans paroi autre que le tassement du
tissu
où ils sont creusés. Plus bas la moelle a compl
eusés. Plus bas la moelle a complètement disparu, même abondance de
tissu
fibreux dans le canal rachidien, même infiltrat
au niveau de l'insertion du septum médian anté- rieur. Il y a là un
tissu
fibreux très serré dans lequel on distingue encor
la syphilis héréditaire 357 Les racines sont également entourées de
tissu
fibreux et leurs vaisseaux sont épaissis. \ O
s, contenant quelques rares noyaux. Espace extradural comblé par un
tissu
fibreux, serré, creusé de vastes cavités anfrac
ur postérieur de l'axe ner- veux, blanche, un peu plus terne que le
tissu
médullaire et séparé de la dure-mère très épais
cavité du canal rachidien est envahie pres- que tout entière par un
tissu
blanchâtre qu'il paraît difficile au premier abor
sseuses et l'espace extradural se montre, rempli il est vrai par un
tissu
conjonctif dense. A la région lombaire la mqell
ornée comme plus haut. L'espace extradural reste toujours comblé de
tissu
I-'ougeàtre parsemé de vaisseaux béants visible
voit plus la tumeur, la dure-mère est très épaisse, refoulée par le
tissu
conjonctif serré qui la relie aux parois osseus
plus ses limi- tes qui semblent diffuses et vont se perdre dans un
tissu
de néoformation carac- térisé surtout par le ma
tion carac- térisé surtout par le manque de structure apparente, ce
tissu
se continue direc- tement avec la tumeur que no
à la périphérie de la tumeur que se mon- trent ces nodules. Dans ce
tissu
sont noyées les racines, on les devine encore 3
a face interne. L'espace extradural est, de son côté, comblé par un
tissu
conjonctif proliféré où se voient des amas de c
t bien isolée dans ses contours et la pie-mère au lieu d'adhérer au
tissu
nerveux en est séparée par un exsudat abondant
rrière les parois osseuses du canal rachi- dien, une bande mince de
tissu
conjonctif très serré et très infiltré de cellule
ui occupent presque tout l'espace laissé [libre sur la coupe par le
tissu
nerveux. Si la plupart des éléments sont absolu
moelle que celle-ci s'est rompue, ü cause de la rétraction inégale du
tissu
ner- veux et du tissu méningé. Légère infiltrat
t rompue, ü cause de la rétraction inégale du tissu ner- veux et du
tissu
méningé. Légère infiltration miliaire de la pie-m
aussi des vaisseaux très distendus, mais ils sont contenus dans un
tissu
fibreux plus dense que normalement. Observation
épaisse, fibreuse. Es- pace extradural : beaucoup de noyaux, peu de
tissu
fibreux. Observation XXII, juin 1896 (Cochin).
ral est fibreux, des vaisseaux anfractueux, signe de rétraction des
tissus
voisins, se voient sur toutes les coupes du hau
ée de cellules fortement colorées en violet ; cette bande formée de
tissu
homogène sans structure appréciable est travers
pace cir- culaire vide. La dare--mère est très épaisse, formée de
tissu
fibreux très serré, sans infil- tration cellula
u niveau de l'insertion du septum médian antérieur, où au milieu du
tissu
fibreux serré un seul vaisseau se montre, si al
eux vaisseaux néoformés à parois anfractueuses sont creusés dans ce
tissu
qui se tasse autour de chacun d'eux pour leur f
n l'enlève du canal vertébral laisse voir une infiltration dense de
tissu
rougeâtre serré entre la dure-mère et les parois
mme ou sclérose, propagé ou né sur place, envahisse un point de son
tissu
, soit l que sa désagrégation soit la conséquenc
l'espace compris entre la pie-mère et la dure-mère est envahi par un
tissu
de nouvelle for- mation (gomme). La partie gauc
tss. VI.) Une racine de la région dorsale. Développement anormal du
tissu
conjonctif propre de la \eine et de celui qui l'e
nfiltrées de cellules rondes ou épaissies par le développe- ment du
tissu
fibreux, la périvascularite est plus fréquente qu
térisation a donné quelques succès, soit en excitant la rétraction du
tissu
inodulaire dans les fistules récentes, soit en av
es, et pour cela il ne faut pas craindre d'attaquer la muqueuse et le
tissu
même du vagin. Lorsque la fistule est longitudina
cisions, sous peine de péné-trer dans le péritoine, ou d'agir sur des
tissus
ramollis dont la lésion augmenterait les chances
émentaire doit surtout porter sur les angles de la fistule, car là le
tissu
cicatriciel est plus résistant; il faut même y pr
non obliquement, sans cela on ne compren-drait qu'une mince couche de
tissu
; il ne faut pas oublier que toutes les sutures do
nt ces flls de la main gauche, il appuie fortement l'ajusteur sur les
tissus
avec la main droite ; les fils sont ainsi redress
tre les liquides du vagin, et empêche les fils de s'enfoncer dans les
tissus
. Pour l'enlever, le dixième jour, M. Bozeman co
est aussi dangereux. L'avivement large et pro-fond qui enlève tout le
tissu
inodulaire et même le bord vésical de la fistule,
sorte qu'on ne peut plus la voir. D'autres fois encore, des brides du
tissu
inodulaire ont déterminé la formation d'une espèc
is de toute la portion sous-vaginale du col ; à sa place on trouve un
tissu
cicatriciel très-dur. La seconde espèce d'oblitér
craindraient soit de provoquer une fausse couche, soit d'agir sur des
tissus
gorgés de sang veineux, cause prédisposante à la
droits, mousses à leur extrémité; l'instrument pénètre ainsi dans le
tissu
cellulaire lâche du ligament large. On dissècjue
istule, et on avive de même toutes les surfaces qui sont couvertes de
tissu
inodulaire, sacrifiant tous les tuber-cules ou to
-seulement la nouvelle membrane orga-nisée, mais encore une couche du
tissu
utérin. Rapprochez les surfaces avivées ; si vous
iste une fissure on peut se contenter d'inciser la mu-queuse jusqu'au
tissu
sous-muqueux, comme l'ont fait avec succès MM. Co
hette toute son étendue; faites ensuite une incision profonde dans le
tissu
vaginal d'un seul côté, en la dirigeant de haut e
ements impossibles sans le secours de l'éther. M. Sims excisa tout le
tissu
épaissi et cicatriciel qui formait cercle en deda
re fois, le coït put s'accomplir sans difficulté. Lorsqu'il existe du
tissu
cicatriciel, comme dans ce cas, il est très-impor
igature qu'on serre fortement. Si l'on voulait enlever une portion de
tissu
considérable, au lieu de deux épingles en croix,
rgeur extrême du périnée; gonflement considérable de l'urèthre et des
tissus
voisins; rigidité de la peau du périnée soit par
ues de l'accou-chement, l'inflammation sera, en partie, dissipée, les
tissus
seront donc moins friables , avantages de l'opéra
vantage de faire cesser le tiraillement qu'exercent sur la suture les
tissus
qui l'entou-rent. A peine sont-elles pratiquées q
ons libératrices consiste à diviser non plus seulement la peau et son
tissu
cel-lulaire, mais le sphincter de l'anus. Plorner
sse vivement en dehors et en arrière de manière à cou-per la peau, le
tissu
cellulaire sous-cutané et les hbres du sphincter
ève des deux côtés qu'une couche très-mince, soit de la peau, soit de
tissu
cicatriciel, soit de muqueuse vaginale ; près de
lle du rectum. De cette façon, il évite de pénétrer dans la couche de
tissu
cellulaire lâche qui sépare la muqueuse du rectum
dans le vagin, on ne s'expose pas au danger qu'il y a à intéresser le
tissu
cellulaire interposé entre les deux muqueuses de
suture n'intéressent aussi que la muqueuse vaginale ou la peau et les
tissus
avivés, au lieu de perforer la cloison, ou de pas
loison; l'incision ne doit intéres-ser que la muqueuse vaginale et le
tissu
cellulaire sous-mup queux, en évitant de pénétrer
ent soit complet, mais il ne faut pas enlever une grande épaisseur de
tissu
. Quand l'hémorrhagie est arrêtée, soit spon-taném
-longues permettent de traverser d'un seul coup toute l'épaisseur des
tissus
, de gauche à droite. Ensuite on s'oc-cupe de la p
Verneuil et Deroubaix, ou celle de M. Demar-c{uay, si la rigidité des
tissus
ou leur destruction les engage à recourir aux inc
térieur de la cavité. La cautérisation du col peut-elle produire un
tissu
inodu-laire qui rétrécisse ou même oblitère son c
tion d'éléments nou-veaux ; mais pas à proprement parler formation de
tissu
cica-triciel. On peut même s'assurer qu'il y a so
t donc moins bien indiqué que celui des caustiques coagulants sur des
tissus
qui saignent très-facilement. La pâte au chloru
énétration du calorique, et pour obtenir une destruction profonde des
tissus
il faut faire des applications répétées ; on atte
harres. Quand on veut détruire d'un seul coup une grande épaisseur de
tissus
, la pâte au chlorure de zino doit être préférée a
le fer rouge, et s'éteignent facilement lors-qu'on les porte sur des
tissus
mous, gorgés de liquides; il faut donc dessécher
ique qui acquiert une température de i,5oo degrés et divise alors les
tissus
avec une facilité merveilleuse ; nous aurons occa
que de la pile ; nous exposerons ailleurs son action chimique sur les
tissus
vivants ; elle diffère beau-coup de la première e
etit nombre de flexions dans lesquelles il y a induration ancienne du
tissu
de l'utérus, anémie de cet or-gane et absence de
ent doit être proscrite, car elle échouerait devant la résistance des
tissus
d'une part, et devant l'exacerbation des phénomèn
due de la cavité, la consistance, l'élasticité et la contractilité du
tissu
utérin sont normales; et, lorsque la sonde a ains
teurs comprend les substances qui produisent l'écartement graduel des
tissus
, en se gonflant eux-mêmes sous l'influence de l'h
ose l'action du bistouri (Mattei). Mais l'épaisseur ou la densité des
tissus
ne permet pas toujours d'employer ces moyens, il
l. Si l'on ajoute à ces dispositions une rigidité plus grande dans le
tissu
du col vaginal, on aura une idée exacte de l'ét
l'angle nécessaire, pour diviser de chaque côté la petite por-tion de
tissu
que les ciseaux ont épargnée en haut vers la cavi
pointe émoussée, fixé sur son manche à angle convenable, on coupe les
tissus
depuis l'orifice supérieur du col jusqu'à la fin
ser du rouge pourpre à une teinte pâle aussitôt après la division des
tissus
engorgés. Bien plus, cette division permet souven
ignait pas de dépasser les insertions du vagin et de pénétrer dans le
tissu
cellulaire extra-vaginal. Bien qu'il n'ait pas at
emplisse exactement la ca-nule plate, parce que s'il y a un vide, les
tissus
sont en-traînés dans la canule, et, au lieu d'un
ion ; cette condition, indispen-sable lorsqu'il s'agit de diviser des
tissus
résistants, l'est moins pour les tissus mous; on
rsqu'il s'agit de diviser des tissus résistants, l'est moins pour les
tissus
mous; on peut même pour ces derniers em-ployer de
briser, soit pour proportionner la résistance des chaînes à celle des
tissus
. Les chaînes ordinaires ne sont flexibles que dan
es chaînes plates, aussi ne peuvent-elles être appliquées que sur des
tissus
mous. La solidité de ces ins-truments étant une c
s surfaces avant d'être coupées, compression qui réduit le volume des
tissus
sur les-quels on opère. Ces avantages immédiats d
igure planche X. action de Técrasenienl linéaire sur les différents
tissus
. La peau présente une résistance très-grande à l'
on veut obtenir d'une façon certaine les effets de l'écraseur sur les
tissus
, il faut toujours se rappeler qu'on y parviendra
y a des différences importantes entre ces deux agents de division des
tissus
. Ainsi l'écrasement linéaire condense les tissus
ents de division des tissus. Ainsi l'écrasement linéaire condense les
tissus
avant d'en opérer la section ; rien de semblable
onfondre cette action avec celle des instruments qui ne divi-sent les
tissus
que par r intermédiaire obligé de la gangrène et
simple, s'il n'y a pas beau-coup d'effort à faire pour entraîner les
tissus
qui doivent for-mer le pédicule, ou une ligature
for-mer le pédicule, ou une ligature serrée par un serre-nœud, si ces
tissus
ne cèdent pas facilement. Quand la tumeur est ain
la puissance soit beaucoup plus grande que la résistance présumée des
tissus
à diviser, de manière à n'être pas obhgé de déplo
e l'écraseur est ensuite ap-pliqué en deçà des piqûres, la portion de
tissu
'qui a été piquée ou transpercée se trouve donc e
-socier à la cautérisation ou même de ne pas tenter les divi-sions de
tissus
qu'elle ne peut accomplir seule. La ligature ex
ure diffère des anciens mo-des d'application en ce qu'elle divise les
tissus
immédiatement en les coupant, et non en les gangr
ture très-flexible, capable d'être facilement conduite à tra-vers les
tissus
à l'aide d'une aiguille, comme pour l'amputa-tion
tre de 8 milli-mètres. L'action de la ligature extemporanée sur les
tissus
vivants est à peu près la même que celle de l'écr
e de l'écraseur, avec un peu moins de puissance dans le broiement des
tissus
, ce qui fait qu'on doit être très-circonspect dan
t seuls d'exécuter facilement cette pédicu-lisation, La section des
tissus
par la ligature extemporanée se fait bien plus ra
sur les bords mêmes de l'anneau terminal que s'opère la division des
tissus
, et cela après que ces tissus ont été entraînés p
au terminal que s'opère la division des tissus, et cela après que ces
tissus
ont été entraînés par le lien dans l'ouverture de
en autre chose que la chaîne qui, avant d'y pénétrer, a dù couper les
tissus
suivant une ligne étroite, et non les broyer larg
l'aide des pinces de Museux. Ce premier temps sans difficulté, si le
tissu
est simplement hypertrophié, peut être dangereux
n. En effet, si dans ce cas les crochets sont implantés trop bas, les
tissus
ramollis se déchirent à la moindre traction ; s'i
n jette un coup d'œil sur la portion enlevée pour juger de l'état des
tissus
au niveau de la section, et on introduit le doigt
tat sain de la surface de section. S'il y a des doutes, on enlève les
tissus
suspects à l'aide d'un long bistouri étroit et po
se et l'élasticité du col ; plus tard il se fait dans l'épaisseur des
tissus
chroniquement enflammés des épanchements de lymph
rophies, il suffit d'enlever la plus grande partie de l'altération de
tissu
, pour que le reste revienne à l'état normal, l'éc
duit par de nombreux petits trous qui pénètrent dans la profondeur du
tissu
, où ils abou-tissent à des cavités en cul-de-sac,
ul-de-sac, pleines d'un mucus gélati-neux ; presque toujours c'est le
tissu
musculaire qui se déve-loppe à l'excès sans qu'il
su musculaire qui se déve-loppe à l'excès sans qu'il s'y interpose de
tissu
cellulaire; le calibre des vaisseaux est beaucoup
certaine; il convient surtout dans les allongements congéni-taux , le
tissu
du col étant alors presque normal ; il est aussi
une escharre serait promptement suivie d'une péri-tonite mortelle. Le
tissu
inodulaire, qui se forme après la gué-rison, agit
s la cavité du col pour éviter le péritoine, puis dans l'épaisseur du
tissu
utérin obliquement de bas en haut et de dehors en
te plus haut que celui qui l'a précédé. Tant qu'on est encore dans le
tissu
extra-utérin il faut inciser lentement ; mais q
u extra-utérin il faut inciser lentement ; mais quand la fermeté du
tissu
fait reconnaître qu'on est dans la substance prop
ce qu'on n'a plus à craindre l'ouverture du péritoine et parce que le
tissu
est très-ferme. i" Temps : Section des parois a
res. Les ligatures ordinaires donnent souvent des déceptions, dans un
tissu
à la fois dense et friable, comme celui de l'utér
t munie d'un fil, il transperce l'extrémité béante de l'artère et les
tissus
circonvoisins avec cette épingle, puis jette un f
au-dessous du mors de la pince, afin de laisser le moins possible de
tissu
mortifié dans l'utérus ; puis je dégage la pince
pendant tout le temps de l'opé-ration ; cet instrument entre dans le
tissu
fibreux.du polype, au lieu que beaucoup de pinces
eux qui sont formés surtout par la mu-queuse utérine allongée, car le
tissu
fibreux du centre de la tumeur est peu vasculaire
ule assez long, un polype fibreux est toujours revêtu d'une couche de
tissu
utérin, qui se continue avec celui de la paroi su
ation de la section, mais il n'agit ainsi que quand la ma-trice et le
tissu
cellulaire péri-utérin sont sains. Il est donc bi
r la torsion est très-dangereuse quand elle détermine la déchirure du
tissu
utérin, comme cela a lieu pour les polypes fibreu
ablement rendu plus faible que les autres, soit par une altération de
tissu
, soit par un amincissement considérable; ces alté
masse fibreuse des trocarts courbes qui embrassaient des portions de
tissu
plus ou moins grandes, et sur lesquelles il a ens
expose à des dangers qui leur sont particuliers; souvent la couche de
tissu
qui les sépare du péritoine est extrêmement mince
et à gauche, je pus facilement constater la limite de la tumeur et du
tissu
utérin. Une couche de tissu cellulaire séparait l
nt constater la limite de la tumeur et du tissu utérin. Une couche de
tissu
cellulaire séparait le corps fibreux (hi tissu mu
utérin. Une couche de tissu cellulaire séparait le corps fibreux (hi
tissu
musculaire de la matrice. Cette limite ayant été
avec les conséquences plus ou moins graves de ces phlébites. Quant au
tissu
cellulaire péri-utérin et à celui des ligaments l
r-titation surcomateuse qui rend la tumeur plus molle, rouge comme du
tissu
musculaire, ou bien jaunâtre; la masse est parcou
s n'ont pas de valvules ; les fibres entrelacées sont séparées par un
tissu
cellulaire lâche. Dans la transformation ccdémate
on de la fluctuation. Si la sérosité, au lieu de s'infiltrer dans les
tissus
, se réunit dans des cavités anfractueuses sans pa
ller jusqu'à la transformation calcaire. Quant à la transformation en
tissu
hétéromorphe, en cancer, par exemple, bien qu'une
r la recherche de ce signe ; ainsi des parois abdominales chargées de
tissu
cellulo-graisseux, ou infiltrées, ou encore rendu
sent à l'esprit les plans qu'on devra successi-vement diviser : peau,
tissu
cellulaire sous-cutané, tissu fibreux de la ligne
n devra successi-vement diviser : peau, tissu cellulaire sous-cutané,
tissu
fibreux de la ligne blanche, seconde couche de ti
ire sous-cutané, tissu fibreux de la ligne blanche, seconde couche de
tissu
cellulaire dite sous-péritonéale ; au milieu de c
le sang vient des ca-pillaires des adhérences, ou des viscères ou du
tissu
cellulaire, on a souvent beaucoup de peine à s'en
et l'utérus; elle se rattache surtout au dé-veloppement progressif du
tissu
utérin, qui étale et entraîne le tissu des fibrom
u dé-veloppement progressif du tissu utérin, qui étale et entraîne le
tissu
des fibromes hypertrophié lui-même. « Les fibro
s d'épithélium ou de cholestérine ; tantôt des masses irrégulières de
tissu
der-moïde avec les produits qui s'y rattachent, t
ompression tel qu'un clamp dentelé ou mieux f écraseur linéaire ; les
tissus
sont tas-sés, mâchés, et le pédicule est ainsi la
omber, c'est qu'on leur a fait embrasser une trop grande épaisseur de
tissus
, ou qu'on ne les a pas suffisamment serrées. Le
e demander si elles doivent comprendre le péritoine, ou seulement les
tissus
qui lui sont extérieurs. Sur ce point il y a désa
guille à une distance de la plaie qui varie suivant l'épaisseur des
tissus
à traverser, il la pousse obliquement à travers l
rd, il suit un trajet oblique en sens inverse et remonte à travers le
tissu
cellulaire sous-péritonéal, les apo-névroses, les
a suture avec des fds ordinaires très-forts, et ne la laisse dans les
tissus
que pendant les quelques jours nécessaires à la r
te qu'il ne gêne pas le passage de l'aiguille quand elle traverse les
tissus
; cette aiguille, une fois armée de son fil, peut
utes ses forces de manière à produire la mor-tification immédiate des
tissus
, puis retira de la cavité abdomi-nale les caillot
r une sécrétion de lymphe plastique, les plaies faites aux différents
tissus
pendant l'opération. Pour la prévenir, il faut ob
b. Pinces de Museux abaissant l'utérus. c. Col de l'utérus. d.
Tissu
cellulaire mis à nu par l'incision du vagin à son
s lèvres, d'autre part. Le deuxième coup de bistouri doit diviser les
tissus
sous-muqucux ; le troisième, l'a-ponévrose moyenn
nt été d'abord fendues puis avivées et débarrassées des tubercules de
tissu
inodulaire très-dur qui s'y trouvaient. FktURb
muqueuse vésicale. Le trajet caché des fils bb, dans l'épaisseur des
tissus
; on voit qu'ils ne pénètrent pas dans la vessie.
de deux lignes courbes , qu'on voit ici. a. Section de la peau et du
tissu
cellulaire sous-cutané, produite, ainsi que la se
Cachexie strumiprive. GIGANTISME, INFANTILISME ET ACROMÉGALIE 27
tissu
adipeux et sur les phénomènes infantiles (caractè
e, et son parenchyme glandu- laire en grande partie remplacé par un
tissu
connectif calcifié par places et qui, comme pro
i que dans la castration,il se produit un excès de développement du
tissu
osseux, l'auteur tire la conclusion que dans la
tion du développement est ainsi troublée suivant les organes et les
tissus
en deux sens tout à fait opposés ; ce qui produ
les autres glandes à sécrétion interne, tous les organes, tous les
tissus
, sans rien épargner. On sait comme la dégénéres
de cyanose des lèvres et peut-être une très légère infiltration des
tissus
de la face. La malade mangeait d'elle-même, éta
lèvre. Les téguments faciaux, ridés, semblent trop larges pour les
tissus
sous-ja- cents. L'expression de la figure est
. Les glandes mammaires, petites, flasques, gardent encore assez de
tissu
glan- dulaire, ainsi qu'on peut se rendre compt
les dernières côtes viennent en contact avec la crête iliaque. Le
tissu
adipeux du mont de Vénus est disparu. Les poils d
mbres supérieurs gardent d'habitude la position en demi-flexion. Le
tissu
adipeux et leurs muscles sont très réduits et les
tée, on remarque une sclérose très prononcée avec dégénérescence du
tissu
conjonctif qui reste incolore sur les coupes colo
ste incolore sur les coupes colorées par l'hématoxyline- éosine. Ce
tissu
englobe des follicules dont un bon nombre sont di
rve de rares follicules contenant du colloïde hématoxylinophile. Le
tissu
conjonctif est plus développé qu'à l'état normal.
L'OSTÉOMALACIE 3U rieure et le menton on observe de rares poils. Le
tissu
ccllulo-adipeux très ré- duit, presque disparu.
forme des îlots blanc rougeâtre qui tranchent sur la coloration du
tissu
musculaire. La valvule mitrale n'est pas altérée.
470 grammes. Il présente une couleur rouge brune. Sur une coupe, le
tissu
conjonctif semble hypertrophié. Dans la vési- c
e pancréas, de coloration jaune-grisâtre montre sur une coupe que son
tissu
est chargé de beaucoup de graisse. L'estomac
C'est ainsi que la calotte crânienne est épaissie, mais les tables de
tissu
com- pact sont beaucoup amincies et le tissu'sp
x est augmenté. L'humérus présente un amincissement considérable du
tissu
compact et un agrandissement. parallèle du cana
compacte avec prolifération de la moelle qui élargit les espaces du
tissu
spongieux qui semble plus abondant. Les articulat
al médullaire, l'amincis- sement et la transformation spongieuse du
tissu
compact. La moelle a une coloration jaune-rouge
n jaune-rougeâtre. Dans les os de la jambe, la moelle est jaune. Le
tissu
compact des diaphyses est transformé en grande pa
Le tissu compact des diaphyses est transformé en grande par- tie en
tissu
spongieux, mais le canal médullaire n'est pas trè
élargi. Dans les os des orteils la moelle est jaune-rougeâtre et le
tissu
compact très aminci. On peut très facilement co
voit des veines considérablement dilatées et remplies de sang. Le
tissu
interstitiel augmenté en certains endroits, conti
st épaissie. Mais en général, dans le centre de la glande aussi, le
tissu
interfolliculaire est constitué par cette masse
réaction des cellules, la forme des follicules et l'hyperplasie du
tissu
conjonctif. En effet, on voit disséminés quelqu
sions variables séparées par des bandes ou trabécules importants du
tissu
conjonctif. Les cellules ont la réac- tion cyan
l'hémorragie. Dans le pancréas on constate une grande abondance du
tissu
adipeux. Dans le tissu glandulaire lui-même, on
pancréas on constate une grande abondance du tissu adipeux. Dans le
tissu
glandulaire lui-même, on observe à côté des régio
de lypochrome et formant des nodules circonscrits par un anneau de
tissu
conjonctif. Sur d'autres coupes provenant d'aut
probablement des macrophages. On peut exclure une prolifération du
tissu
interstitiel. Bien que le processus pathologiqu
tissu interstitiel. Bien que le processus pathologique intéresse le
tissu
parenchymateux, on n'observe pas une phase de s
u microscope on constata une sclérose très manifeste de la glande. Le
tissu
conjonctif est partout proliféré. En revanche o
lloïde hématoxilinophile. Mais ce nombre n'est pas très grand. Le
tissu
conjonctif est plus abondant qu'à l'état normal.
istant en une réduction très importante de la substance compacte du
tissu
osseux avec transforma- tion de cette dernière
nombreux ; par contre les éosinophiles sont relativement rares. Le
tissu
osseux avait son aspect habituel, mais les travée
un processus de répara- tion, mais le calus était formé plutôt d'un
tissu
ostéoïde. Von Jaksch et Rotky pensent que dans
ore l'existence d'une action du corps thyroïde dans la nutrition du
tissu
osseux. Nous citerons d'abord l'arrêt ou le ret
s, mais aussi la trophicité d'autres tisssus. Pour ne parler que du
tissu
osseux, nous rappellerons que dans certains des
émon- trer que les parathyroïdes interviennent dans la nutrition du
tissu
osseux. C'est ainsi que Léopold et 13eus (67) o
r l'existence d'une influence des parathyroïdes sur la nutrition du
tissu
osseux, influence exercée vraisem- blablement p
veur de l'intervention des capsules surrénales dans la nutrition du
tissu
osseux. L'infantilisme surrénal décrit par 1<
'à un certain point la raison de l'influence de celle glande sur le
tissu
osseux. Malheureusement ces recherches ne sont
ments étant dans les excrétions dans la même proportion que dans le
tissu
osseux, on peut admettre que leur perte est due
ux, on peut admettre que leur perte est due à la désassimilation du
tissu
osseux. L'existence d'une ostéomalacie infantil
tres glandes interviennent encore probablement dans la nutrition du
tissu
osseux. On peut penser au pancréas, glande qui
l'auriculaire vers le milieu de la première plia- lange au moyen de
tissus
mous. La longueur en est d'environ 3 cen- timèt
icke faserige Knôul). Chacun de ces foyers se comporte vis-à-vis du
tissu
nerveux comme un corps étranger, il écarte les
ur décrit une lésion diffuse caracté- risée par une infiltration du
tissu
nerveux par des fibrilles très courtes qui ne s
lles représentent des substances de désintégration (Abbaustoff) des
tissus
nerveux. Cette in- terprétation, d'après notre
ticulations de l'épaule. Etat du malade au moment de l'examen. Le
tissu
adipeux et surtout la musculature sont bien dév
use, dans laquelle la néoformation spécifique, formée aux dépens du
tissu
osseux, qui paraît épaissi, se distingue par un
en histologique. Ces tumeurs étaient constituées par un stroma de
tissu
conjonctif, infil- trépar places par des cellul
yroïde et de l'hypophyse, dans le deuxième cas une prolifération du
tissu
conjonctif de la glande thyroïde et des lésions l
e la moitié de l'épaisseur des parois ventriculaires est envahie de
tissu
adipeux. La valvule mitrale est sclérosée, déform
e 275 grammes. Elle est de con- sistance très dure, scléreuse ; son
tissu
crie sous le couteau. Le foie, du poids de 1.40
e est symétrique. A la coupe, elle présente un aspect grisâtre; son
tissu
crie sous le couteau et prend par endroits un asp
périphériques (médian, radial) paraissent infiltrés de graisse. Le
tissu
cellulaire sous-cutané est formé d'une masse adip
la graisse de boeuf. Il n'existe pas de sérosité, mais seulement du
tissu
adipeux. Cette couche mesure au niveau des membre
dian et le sciatique poplité externe ; on note autour des nerfs, du
tissu
graisseux, mais cette dis- position est normale
nerfs, du tissu graisseux, mais cette dis- position est normale. Le
tissu
conjonctif périfasciculaire, les gaines lamelleus
fasciculaire, les gaines lamelleuses 148 MARCHAND El' NOUET et le
tissu
intra-fasciculaire ne présentent aucune infiltrat
hymateux et interstitiels. Foie. -- On ne note aucune lésion. -
Tissu
adipeux. Ce tissu ne présente aucun caractère spé
rstitiels. Foie. -- On ne note aucune lésion. - Tissu adipeux. Ce
tissu
ne présente aucun caractère spécial. Muscles. L
adipeux. Ce tissu ne présente aucun caractère spécial. Muscles. Le
tissu
musculaire a une constitution normale. Ovaires.
ques concrétions calcaires. Glande thyroïde. Elle est formée d'un
tissu
scléreux très dense domi- nant partout Par plac
perdu leur caractère régulier, mais on trouve épar- pillées dans le
tissu
conjonctif extrêmement dense, des cellules épithé
(figure). Ces groupes sont tellement nombreux et confluents que le
tissu
revêt la constitution et la physionomie de l'ad
me. Dans d'autres régions de la Adénome de la glande thyroïde. 1,
Tissu
fibreux. 2, 2, Cellules épithéliales disséminées
. 1, Tissu fibreux. 2, 2, Cellules épithéliales disséminées dans le
tissu
flhreux. - \'é- V sicule normale contenant de l
observe des zones complètement séparées les unes des autres par un
tissu
scléreux très dense. Il s'agit de régions présent
res du goître folliculaire enkysté. La coque du kyste est formée de
tissu
pareuchymateux glandulaire refoulé et comprimé ;
e tissu pareuchymateux glandulaire refoulé et comprimé ; au sein du
tissu
fibreux on trouve de nombreux amas de cellules
ovenant de fol- licules atrophiés. Le contenu du kyste est formé de
tissu
glandulaire dont les alvéoles sont irréguliers.
un troubled'insuffisancethyroïdienne (1) ; il s'agit d'un véritable
tissu
néoformé portant à la fois sur le tissu libreux
; il s'agit d'un véritable tissu néoformé portant à la fois sur le
tissu
libreux et sur les éléments épithéliaux, en un
oût 190S. ASILE DE l3GL-dlli (GENÈVE) DE QUELQUES -ALTÉRATIONS DU
TISSU
CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS (1) PA
conographie DE la Salpêtriére. T. XXIV. Fi. XXII t ALTÉRATIONS DU
TISSU
CLKL13RAI, DUES A LA PRESENCE DE TUMEURS (R. We
CE DE TUMEURS (R. Weber). Obs. XIII. DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU
TISSU
CÉRÉBRAL 151 Au point de vue somatique, on note
aux néoplasiques dans le mésentère, la capsule surrénale droite, le
tissu
adipeux du rein droit, le pancréas, les ganglions
nsi de la circulation sanguine ; de petites destructions locales du
tissu
cérébral permettent de maintenir la nutrition d
nographie de la Salpêtrière T. XXIV ? Pl"XXIII ? w ALTÉRATIONS DU
TISSU
CEREBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS (R. Webe
s d'étendue variable (fig. 1). L'épanchement sanguin, détruisant du
tissu
néoplasique, représenterait en quelque sorte un
, les tumeurs cérébrales détruisent sans DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU
TISSU
CEREBRAL 155 doute moins que les affections d'o
et endroit. Sous l'aponévrose épicrânieune, le couteau rencontre un
tissu
lardacé et fibreux qui pénètre à travers l'ouve
ier la forme du crâne, même de l'adulte. Il est très curieux que le
tissu
en apparence le plus résistant de notre corps d
celle-ci. son extrémité se voient des fissures irrégulières dans le
tissu
qui, peut-être, communiquaient entre elles et d
le est compacte et en partie fibreuse elle s'infiltre sous forme de
tissu
glio-sarcomateux dans une grande partie de l'hé
point de départ du néoplasme, dans la région centrale droite, où le
tissu
nerveux fut repoussé et en partie détruit, on ret
ées, jaunes et réfringents au carmin, noirs au Weigert, entourés de
tissu
qui n'est pas du tout ramolli. C'est notre coll
diverses tentatives de suicide de J. fit DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU
TISSU
CÉRÉBRAL 1 : i ! 1 son devoir « réglementaire »
pense » le développement de gommes dans d'autres. 8° Destruction de
tissu
dans la tumeur même, par dégénérescence col- lo
out au moins un maximum d'adaptation de la forme. 9° Destruction de
tissu
nerveux, ce qui sans doute est la dernière res-
its par les mouvemenls brusques, deviennent alors un danger pour le
tissu
cérébral. Ils favorisent la généralisation de l
le patient, preuve en soit la malade de DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU
TISSU
CÉRÉBRAL 1 si 1 notre observation X qui se rend
énin, on le néglige; lorsqu'on voudrait opérer, les destructions du
tissu
cérébral sont déjà trop avancées. Même si le chir
isparu. Dans notre observation XIV, une ponction avec extraction de
tissu
eût sans doute démontré la nature sarcomateuse
CHARON et PAUL COURBON Médecins de l'Asile d'aliénés d'Amiens. Le
tissu
cellulaire en raison de l'extrême richesse des ca
\laendie le premier démontra l'existence de cette propriété pour le
tissu
sous-cutané ; mais l'expérience a prouvé depuis,
la thérapeuti- que celte donnée physiologique, et de s'adresser au
tissu
cellulaire pour suppléer à la défaillance du tu
it pas for- cément que son absorption soit faite par n'importe quel
tissu
. A côté du remède à administrer, il faut tenir
gestive oblige à renoncer à l'ingestion, il en est d'autres dont le
tissu
cellulaire est rebelle à l'injection. Il en e
ebelle à l'injection. Il en est ainsi dans toutes les affections du
tissu
cellulaire, c'est-à-dire dans tous les oedèmes
aladie de Dercum, etc. A côté de ces cas, où l'infiltration même du
tissu
donne de son état pathologique une preuve évide
corps dont un obstacle quelconque vient entraver l'innervation. Le
tissu
cellulaire, comme tous les organes de ce territoi
dont l'innervation est normale, ait provoqué des désordres dans les
tissus
hypotrophiés d'une fesse hémiplégiée. Aussi, l'
ralysée des hémiplégiques, l'atteinte portée à la vitalité de leurs
tissus
est générale. Peau, tissu cellulaire, et muscle
atteinte portée à la vitalité de leurs tissus est générale. Peau,
tissu
cellulaire, et muscles du côté valide, sont en ét
iers ventricules, oblitération de la partie supérieure du 4" par du
tissu
cica- triciel fibreux renfermant descellulesépe
issement de l'affection primaire sur la nutrition de la peau et des
tissus
sous jacents. J'ai eu dernièrement l'occasion d
La sclérodermie débute par une tuméfaction diffuse de la peau et du
tissu
cellulaire sous-cutané, sorte d'oedème dur qui pe
. la peau a une consistance ligneuse et a perdu sa mobilité sur les
tissus
sous-jacents. ». La main succulente a des carac
tation veineuse peut être masquée par le développement anormal 1 du
tissu
cellulaire et graisseux; dans tous les cas nous p
plement imprégnés de sels de chaux ou s'ils sont composés d'un vrai
tissu
osseux et présentent par suite des phénomènes d
colonne ver- tébrale, sont composés dans toute leur épaisseur d'un
tissu
compact ; dans les parties dorsales moyenne et
l rachidien et tout le ligament d'avant en arrière est composé d'un
tissu
osseux spon- gieux..4M microscope apparaissent
spon- gieux..4M microscope apparaissent tous les éléments d'un vrai
tissu
osseux : canaux de Havers, corpuscules et lamel
s, il n'existe pas de vesti- ges de la structure antérieure (pas de
tissus
conjonctifs ni de libres élasti- ques collagène
(voir nir. 26). A la place de réseau des fibres élastiques (ng. 4),
tissu
osseux véritable. (Gross. : 4.) FIG. 6. - La
res, partout do petits ponts osseux et des cavités médullaires d'un
tissu
osseux homogène et spongieux qui a soudé entre
d'un tissu osseux homogène et spongieux qui a soudé entre eux le
tissu
spongieux de ? vertèbres et la tête de la côte. L
issu spongieux de ? vertèbres et la tête de la côte. La porosité du
tissu
spongieux partout est augmentée en com- paraiso
ig. costo-transversal et les autres) présentent la même structure :
tissu
osseux vrai. Les disques intervertébraux ne se
ieure du cartilage est la suivante : en bas et en haut, se détache du
tissu
spongieux une rangée de cellules placées très p
est plus coloré par le bleu de méthylène, mais reste rose, comme le
tissu
osseux de la vertèbre ; toute cette partie antéri
bre ; toute cette partie antérieure est occupée par des éléments de
tissu
spongieux néoformé et par des espaces médullair
t avant sont conservés. Quelques-uns de ces éléments sont formés de
tissu
osseux, les autres sont formés de faisceaux ten
ans les bâtonnets osseux néofor- 240 ELl>AnOFF niés ou dans le
tissu
connexe des vertèbres; dans les légions médullair
e et homogène, qui passe uniformément de la tète de la côte dans le
tissu
dentelé du corps de la vertèbre. Mais on voit b
s os en un seul, l'augmentation de la porosité et la raréfaction du
tissu
spongieux des os connexes, la disparition compl
s cartilages se transforment par endroits en une sorte de poutre en
tissu
osseux compact qui a gardé la configuration du ca
cartilage ; dans d'aulres parties, ce cartilage est remplacé par un
tissu
spongieux à larges mailles, parsemé de lamelles
parcelles isolées du cartilage, entourées de tous les côtés par un
tissu
osseux, qui remplace le cartilage (lig. 13 et 1
sseux, qui remplace le cartilage (lig. 13 et 1.4, PI. XXVIII). Le
tissu
osseux-médullaire qui remplit les mailles de cett
du cartilage et des cellules carti- laginenses; b, petits ponts du
tissu
osseux spongieux qui entourent la parcelle du c
ère du canal de Havers; e, cellule cartilagineuse détachée par le
tissu
osseux néol'ormé. Pièce décalcifiée, colo- rati
cessus de l'ossification du cartilage est encore plus développé. Le
tissu
fondamental du cirhlage (a) est déjà presque tr
ie extérieure du cartilage est recouverte d'une mince cou- che d'un
tissu
de fibrocarlilage ; il l'intérieur Je cartilage e
artilage.- B, absence absolue de cartilage. - C, ligne calcaire. - D,
tissu
spongieux de l'os. Grossissement : Il fois. L
Sur la pièce micros- copique, on ne retrouve que la mince couche du
tissu
conjonctif périphé- rique etla ligne de démarca
'il a consta- tée sur les deux méninges de la moelle épinière et le
tissu
cellulaire qui les entoure. Cette inflammation
actère essentiel de l'affection consiste dans la dé- composition du
tissu
fondamental du cartilage et dans la dégénérescenc
éné- rale constitutionnelle qui provient d'une altération sénile du
tissu
osseux (mal sénile, morbus coxae senilis). II
ue adhésive présente une transformation du cartilage articulaire en
tissu
conjonctif et une soudure des surfaces arti- cu
ure des surfaces arti- culaires entre elles par les faisceaux de ce
tissu
conjonctif; il résulte de ces modifications soi
soit une « ankylose fibreuse n, soit (au cas de transfor- mation du
tissu
conjonctif nouvellement formé en os spongieux) un
oetica de Ziegler ». Enfin, il y a une sclérose des capsules et des
tissus
périarticulaires secondaire à une inflammation
complète des articulations ankylosées, l'absence d'altérations des
tissus
mous périarticulaires, l'absence de troubles de s
re conjonctive des ligaments normaux. On ne voit partout qu'un vrai
tissu
osseux; tandis que quelques restes microscopiques
antôt celle-là parait former un soutien accessoire par rap- poil au
tissu
conjonctif, tantôt les travées sont en grande par
n élargie colorée par bleu de toluidine. a. Vaisseaux. b. Noyaux de
tissu
conjonctif. c. Parenchyme. il. Cellules du groupe
lique selon Alzheimer avec l'hématoxyline de Mallory, coloration de
tissu
conjonctif selon Mallory ; méthodes de Cajal, G
a glande pinéale se compose d'un parenchyme qui, par des travées de
tissu
conjonctif, est divisé en îlots. Les cellules de
ndes que les cellules sonl situées en rangées le long des parois de
tissu
conjonc- tif. Ces cellules de parenchyme sont
seule dans laquelle il n'y eût pas de parenchyme, mais seulement du
tissu
conjonctif et du tissu névro- glique. Dans tous
n'y eût pas de parenchyme, mais seulement du tissu conjonctif et du
tissu
névro- glique. Dans tous les autres cas, les no
plus grosses sont identiques aux cellules névrogliques vraies. LE
TISSU
conjonctif. Comme on l'a dit, dans les coupes l
ans les coupes le parenchyme est divisé en îlots par des travées de
tissu
conjonctif. Il a été constaté par plusieurs auteu
V. Gieson comme par celle de Mallory, on voit que les fibres de ce
tissu
conjonctif se colorent d'une manière relativement
es fibres des méninges avoisinantes ; quand les septa sont épais le
tissu
se colore moins intensivement au milieu des sep
omateux. Les variations de grosseur des septa et de distribution du
tissu
conjonc- tif produisent différents types de gla
me. 3) On voit des glandes où les limites entre le parenchyme et le
tissu
conjonctif sont confondues de telle sorte que l
pathologique et ce qui est l'état normal ; car l'augmenta- tion du
tissu
conjonctif est sans doute un processus d'involuti
quelque relation entre la sécrétion des noyaux et l'augmentation du
tissu
' conjonctif, mais nous n'en avons trouvé aucun
ée de cioissance de ces septa. Enfin, on trouve dans les travées de
tissu
conjonctif d'autres cellules qui seront mention
ibres nerveuses à gaine de myéline ni dans le parenchyme ni dans le
tissu
conjonctif; ce n'est qu'à la base de la glande
des cellules pinéales, des cellules névrogliques et des cellules de
tissu
conjonctif. Nous les divisons en trois groupes.
omplètement en tourées du paren- chyme sans être en conlact avec le
tissu
conjonctif. Cependant dans peu de cas nous avon
longue, Le pigment est aussi souvent décrit ; on l'a trouvé dans le
tissu
con- jonctif et dans le protoplasma des cellule
rieurs en ont décrit trois : les con- crétions, la prolifération du
tissu
conjonctif, les plaques névrogliques avec leurs
s la seule glande où tout le parenchyme avait péri, remplacé par du
tissu
névroglique et conjonctif et où il n'existait auc
endant tout )'age adulte jusqu'à l'ââe le plus'avancé. 3° Dans le
tissu
conjonctif de la glande pinéale on trouve toujour
largi, coloration par bleu de toluidine. a. Vaisseaux. b. Noyaux de
tissu
conjonctif. c. Parenchyme. d. Cellules du group
le rasoir à la surface d'une coupe, son déplacement amène dans les
tissus
certains désordres facilement reconnaissables tel
rché à voir s'il s'agit là de phénomènes dus à une inflammation des
tissus
qui forment la main de l'embryon ou du foetus,
rcice, de tout l'appareil fibro-ligamenteux des articulations et du
tissu
musculaire, el non pas à une perte de la tonici
elte région la possibilité d'un étranglement des vais- seaux par le
tissu
inflammatoire de la leptoméningite environnante e
e pas non plus ici de mul- tiplication vasculaire avec sclérose des
tissus
, fait anatomique qui pour- rait être rapporté à
litique depuis longtemps éteint; les vaisseaux sont sclérosés et le
tissu
intermédiaire est devenu plus abondant et plus to
litique, ayant eu pour conséquence la sclérose et la rétraction des
tissus
, cette dernière, s'ad- joignant à l'atrophie, a
suivants : Sa taille est de 1 ni. 57. Le poids est de 45 kilogr. Le
tissu
cellulo-aclipeux (i) Valeur morphologique de la
einte bleue se fonce, devient violacée, livide. A la palpation, les
tissus
sont fermes, cartilagineux. La pression, qui n'
on a atteint le derme et le cartilage sous-jacent, car la chute des
tissus
nécrosés a laissé une perte de substance, véritab
e aux fortes chaleurs du climat égyp- tien, qui, en ramollissant le
tissu
du testicule, l'ont disposé à la décomposi- tio
t énormes, et leur ablation devient nécessaire : ils contenaient un
tissu
glandu- laire normal histologiquement. Après l'
siformes. Les vésicules thyroïdiennes persistent nombreuses dans ce
tissu
scléreux quoique leur nombre soit certainement
toplasma étroit. t. Dans l'intervalle des tubes on ne trouve que le
tissu
scléreux adulte, com- pact, traversé de rares c
érosée et sa paroi épaissie porte une sorte de nodule fibreux. Le
tissu
périsurrénal est graisseux et légèrement scléreux
re et périacineuse. Au- tour des lobules et dans leur intervalle le
tissu
scléreux est adulte, fibreux, dur, compact, peu
ne du Van Gieson. A l'intérieur des lobules et autour des acini, le
tissu
scléreux est plus lâche, plus fibrillaire quoique
'Ï- glandulaire interne -) (1 pl), ), par Gou- cmor et Gy, 449.
Tissu
cérébral, altérations dues il la pré- sence de
! .QUJl;11 Cl ! \¡'\I\FlLD, 199. Tumeurs cérébrales altérations des
tissus
(2 pi.), par Weber, 150. TABLE DES AUTEURS
alténés (4 l : l ), 391. WCBllI (R.). De quelques altérations du
tissu
céi élirai dues la présence de tu- meurs (-2 pi
une lésion correspondante des organes (nous di-rions aujourd'hui des
tissus
) : les symptômes ne sont enfin désormais que le c
pathologique, à mesure qu'elle pénètre plus avant dans l'intimité des
tissus
, devient simultanément plus animée, plus vivante,
certains appareils, et l'action de ceux-ci aux propriétés de certains
tissus
, de cer-tains éléments bien définis. Elle ne va
logie de la vieillesse. — Alté-rations anatomiques des organes et des
tissus
. — Elles peuvent se résumer toutes en un seul mot
atrophie qui porte ainsi son action sur l'ensemble des organes et des
tissus
? C'est d'abord, à un premier degré, un processus
nombre plus ou moins considérable de granulations amyloï-des (3) ; le
tissu
du cerveau subit alors une altération chimi-que,
es chez les femmes qui meurent à un âge avancé. A cette altération du
tissu
cardiaque se rapportent les phénomènes d'asystoli
iarthrodial. — Les dépôts d'arate dé soude occupent de préférence les
tissus
privés de vaisseaux. — Etat de la synoviale et de
ales, et que les dépôts qui se rencontrent au sein des organes ou des
tissus
sont presque toujours formés d'urate de soude.
le moindre accès de goutte laisse une empreinte indélébile sur les
tissus
envahis, qui sont frap-pés, pour toujours, du cac
exposés à la formation de ces dépôts, qui occupent de préfé-rence les
tissus
privés de vaisseaux; or la synoviale et l'os poss
enir le siège; et lorsque les concrétions se sont développées dans le
tissu
cellulaire voi-sin, elles prennent le nom de toph
nt dans le tendon d'Achille ; 2° sur le périoste, mais jamais dans le
tissu
osseux ; 3° dans les bourses séreuses (olécrânien
es bourses séreuses (olécrânienne, prérotulienne) ; enfin, 4° dans le
tissu
cellulaire sous-cutané ; 5° dans l'épais-seur mêm
'estomac, et l'on a constaté 1 existence d'un gonflement œdémateux du
tissu
cellulaire sous-muqueux de cet organe et des alté
urs anglais. Elle est caractérisée surtout par un épaississement du
tissu
conjonctif intermédiaire aux tubules, avec prolif
caractérisée, comme celle-ci, par des dépôts d'urates dans les divers
tissus
. Ce n'est point chez les mammifères que nous tr
nferment également. 2° Les lymphatiques, les membranes séreuses, le
tissu
cellulaire, les capsules de tous les organes, en
s à guérir. L'urate de soude se trouvant infiltré dans les mailles du
tissu
cellulaire, la plaie se déterge difficilement, et
namique ; tout au plus existe-t-il une modification superficielle des
tissus
. On comprend, d'ail-leurs, que la gravité de ces
épôts cristal-lisés d'urate de soude, qui, dans les cartilages et les
tissus
fibreux, viennent inscrire en quelque sorte l'his
à l'autopsie, qui a été pratiquée quelquefois, un épais-sissement du
tissu
cellulaire souâ-muqueux ; la muqueuse de l'estoma
s ce qui domine ici la situation, c'est la dégénération graisseuse du
tissu
musculaire du cœur; Stokes, Quain, Gaird-ner, Gar
cus senilis (Canton), chez les sujets atteints de cette altération du
tissu
musculaire du cœur. Les symptômes rationnels so
s de cette espèce qui se rattachent aux ligaments, aux tendons et aux
tissus
fibreux en général. Nous avons déjà établi que,
t avoir quelquefois un rôle indépendant. On sait, par exemple, que le
tissu
fibreux prérotulien peut devenir le siège de dou-
poitrine; elles occupent probablement les muscles intercostaux ou le
tissu
fibreux des parois tho-raciques (pleurodynie gout
Garrod (3), par l'imperméabilité du rein. Une métamorphose rapide des
tissus
exige souvent une élimination énorme, qui ne peut
orie de l'accès de goutte. — Articulations affectées de préférence. —
Tissus
fibreux, cartilages. — Prédilection de la goutte
t, résulteraient de la désassimilation des éléments qui composent les
tissus
, et ne se formeraient jamais directement dans le
ment dans le sang. B. — Quels sont donc les organes, quels sont les
tissus
aux dépens desquels se forme l'acide urique? Ici
'autres physiologistes font provenir les urates des cartilages et des
tissus
fibreux. En effet, le mouvement organique y est m
obin (2) l'ont conduit à une opinion analogue. Il admet que, dans les
tissus
fibreux, les matières albuminoïdes se trans-forme
amme du cours d'histologie, 1864, p. 90. M. Robin a trouvé, dans le
tissu
fibreux normal, de l'acide inique (1) ; aussi l'é
s sont le siège principal des lésions de la goutte : leur richesse en
tissu
fibreux les expose en première ligne aux atteinte
ui de cette idée, la présence de l'urée et de l'acide urique dans les
tissus
. Mais, pour l'urée, le fait n'est vrai qu'à l'éta
raît aussi porter son action sur les jointures (Richardson). 2° Les
tissus
fibreux et surtout les cartilages sont affectés d
si peu vasculaire et à la réaction relativement peu alcaline de leur
tissu
propre ; deux circon-stances qui favorisent évide
e ; des cartilages diarthrodiaux ; du liquide intra-arti-culaire ; du
tissu
osseux. Étude histologiquc de ces diverses lésion
, Zeis, H. Meyer (2) et Otto Weber (3) nous ont appris comment chaque
tissu
se modifie sous l'influence du rhumatisme chroniq
quels sont les changements qui se pas-sent, à la même époque, dans le
tissu
osseux. Nous consta-tons d'abord l'éburnation de
au moins égale à celle des lésions précédentes, est la réfraction du
tissu
osseux aux extrémités articulaires. En premier li
nnaires de la moelle, et c'est à leurs dépens que se forme le nouveau
tissu
osseux. C'est ainsi que se produit l'éburnation
, l'éburnation ne s'observe plus; mais il se produit une néoplasie de
tissu
conjonctif aux dépens de la synoviale. Le cartila
ont les cellules du cartilage qui prennent l'apparence de cellules de
tissu
conjonctif. Quelle que soit la valeur de cette th
cot. Œuv. compl. t. vu, Malad. des Vieillards. 12 voit se former un
tissu
embryoplastique qui unit les os les uns aux autre
encore pour effet d'amener une atrophie et une friabilité extremes du
tissu
osseux ; peut-être y a-t-il disparition des bourr
risé par des sillons qui pénètrent plus ou moins profondément dans le
tissu
. Dans l'intérieur de ces sillons de formation nou
les végéta-tions osseuses se forment autour des jointures : enfin le
tissu
osseux est devenu friable vers les extrémités art
kyloses celluleuses, mais on trouve une raréfaction très prononcée du
tissu
osseux. Mais ce qui caractérise essentiel-lement
ssentiel-lement cette arthropathie, c'est l'existence d'une couche de
tissu
conjonctif qui recouvre le cartilage diarthrodial
possible d'étudier au point de vue anatomique. Elles débutent dans le
tissu
cellu-laire sous-synovial et dans le tissu fibreu
ue. Elles débutent dans le tissu cellu-laire sous-synovial et dans le
tissu
fibreux, et sont caractéri-sées par la formation
mme le résultat de la présence d'un corps étranger à l'in-térieur des
tissus
: tandis que les lésions du rhumatisme, au contra
hrite fon-gueuse, la prolifération des capsules et la segmentation du
tissu
fondamental du cartilage peuvent se présenter çà
du travail inflammatoire qui, à un moment donné, s'empare des divers
tissus
. La raréfaction et la con-densation du tissu osse
né, s'empare des divers tissus. La raréfaction et la con-densation du
tissu
osseux aux extrémités articulaires, la for-mation
pour les jointures voisines de la surface : elle peut siéger dans le
tissu
cellu-laire voisin, ou résulter de la distension
uppose que l'acide lac-tique, produit normal delà désassimilation des
tissus
fibreux, se forme en excès et donne naissance à t
rtent leur action sur l'endocarde et le péricarde, et n'atta-quent le
tissu
musculaire de l'organe que d'une manière con-sécu
la membrane interne du cœur peut s'enflammer, mais à la manière des
tissus
privés de vais-seaux ; il ne saurait être ici que
. L'endocarde se compose essentiellement d'une couche très mince de
tissu
conjonctif, renfermant un certain nombre de fibre
tions valvulaires de l'endocarde résultent donc de l'inflammation des
tissus
eux-mêmes, et du dépôt consé-cutif d'une couche f
rigine récente, car ou parvenait aisément à décoller le péricarde des
tissus
sous-jacents. Le cœur avait acquis d'énormes dime
t des hydarthroses, tantôt des épaississe-ments de la synoviale et du
tissu
sous-séreux ; elle s'est empa-rée aussi des parti
a rigidité qui résulte de l'ankylose celluleuse, de la rétraction des
tissus
fibreux, se faitsentir en ce moment. Enfin l'on v
bilité plus complète, d'où rigidité plus grande des liga-ments et des
tissus
fibreux : l'ankylose celluleuse se produit bientô
; on doit empêcher les dépôts d'urate de soude de se former dans les
tissus
, et lorsque ces dépôts existent déjà, on doit che
étendu, car il existe à l'état d'urate de soude. Mais, en rendant les
tissus
alcalins, ils peuvent s'opposer à la formation de
rapide métamorphose, ou mieux, une combustion exagérée du sang, des
tissus
, laquelle s'opère un peu partout dans l'organisme
. D'où vient donc le danger de la fièvre? La consomption rapide des
tissus
, se produisant par une émaciation plus ou moins p
te donc l'élévation de la température. Serait-ce que les organes, les
tissus
soumis pendant un certain temps à ces température
e 45 degrés. L'organe ne présente pas de lésions grossières; mais son
tissu
a subi des modifications profondes, car il s'est
l'admettre d'après le mode d'action des températures extrêmes sur le
tissu
du cœur. D'ailleurs, on sait que l'accélération
au sein de l'organisme a-t-jl en pareil cas, sur les organes, sur les
tissus
, une action po-sitive capable d'amoindrir l'énerg
un peu vague d'ailleurs, qu'alors « les pro-duits de métamorphose des
tissus
ne se montrent pas en excès dans l'urine. » Dans
s putrides, mais encore par celle des produits de la métamorphose des
tissus
recueillis, par exemple, dans une plaie emflammée
face des plaies et chargés des produits formés par la destruction des
tissus
, pénétreraient par diffu-sion, à travers les paro
équence de la spoliation, les produits de la métamorphose normale des
tissus
pénètrent tout à coup en grande abondance dans la
ures rigides, on éprouve cette résistance élastique qui appartient au
tissu
musculaire, et qui devient plus mar-quée, si l'on
es n'a encore que peu d'influence sur elle, et il faut aller jusqu'au
tissu
cellulaire de nouvelle formation qui dou-ble la s
t der-nier obstacle aux mouvements de l'articulation. Si on divise ce
tissu
, la rigidité cesse. Ces derniers faits ne sont nu
rticulaires se développent et suivent leur marche. C'est alors que le
tissu
cellulaire de nouvelle formation vient doubler la
pagation de l'inflammation des parties constituantes des jointures au
tissu
propre des muscles. En effet, alors même que les
es derniers malades est pâle, luisante et semble faire corps avec les
tissus
sous-jacents ; leurs jointures paraissent énormes
t aisément pénétrer par le scalpel, d'au-tres fois, la raréfaction du
tissu
osseux est tout aussi remar-quable que dans le ca
sent plus grandes que de coutume, leurs parois sont amincies, mais le
tissu
spongieux n'est pas infitré de sang, ses vacuoles
cuoles sont comblées par une sorte de graisse demi-liquide. Enfin, le
tissu
des extrémités osseuses peut-être plus dur, plus
mation qui les produit agît d'une manière lente; elle désorganise les
tissus
dans certains points, en même temps qu'elle engen
eur pour le mo-ment ; la déformation paraît tenir à un gonflement des
tissus
, osseux mêmes, ou bien à des productions osseuses
de nature ; il paraît s'être ajouté à la substance cartilagineuse, du
tissu
fibreux qu'on enlève sous forme de lamelles. A ce
rticulaires proprement dits. Cette couche nouvelle, qui semble due au
tissu
cellulaire sous-syno-vial épaissi et devenu fibre
quoi tenait cet obstacle; aussi avons-aous disséqué avec soin : 1° le
tissu
cellulaire sous-cutané ; -° les muscles eux-mêmes
sie, dépôts d'urate de soude dans les cartilages, les séreuses et les
tissus
fibreux articulaires. — Atrophie et kystes du rei
bduction, par suite de la rétraction qu'avaient subie à la longue les
tissus
fibreux. Par suite de la subluxation des têtes de
hrodiales, il existait des dépôts de matière crayeuse, enveloppées de
tissu
cellulaire lâche et qui laissait voir, par transp
et de petites masses crayeuses, dures, enchâssées solidement dans les
tissus
fibreux péri-articulaires et dans les tendons des
ère crayeuse mais à un moindre degré, au voisinage des jointures ; le
tissu
cellulaire sous-cutané, le névrilemme,les couches
staux d'acide urique et se dissolvait ensuite complètement. Dans le
tissu
cellulaire sous-séreux, dans les ligamen ts ar-ti
tendons des muscles, dans la névrilemme des nerfs des doigts, dans le
tissus
conjonctif sous-cutané, dans les couches profonde
cutané, dans les couches profondes du derme, en un mot, dans tous les
tissus
fibreux péri-articulaires, les points blancs, sab
r un acide. Ces petites masses étaient entourées par des faisceaux du
tissu
fibreux et élas-tiques qui se condensaient autour
ins. Le rein droit, réduit à un très petit volume, était adhé-rent au
tissu
cellulo-graisseux ambiant. La capsule propre, épa
ueuse. Ces dépôts étaient produits par une infiltration graisseuse du
tissu
cellulaire sous-muqueux ; on y rencontrait égalem
cellulaire sous-muqueux ; on y rencontrait également des cellules de
tissu
conjonctif remplies de granula-tions fines qui se
n que dans les cartilages, lui parurent plusieurs fois situés dans le
tissu
cellulaire, plutôt que dans la cavité des tubuli
es, qui donne lieu au rein lisse à sa surface, l'autre portant sur le
tissu
cellulaire in-terstitiel qui cause le rein endurc
coloration jaunâtre, ré-pondant à des dépôts graisseux, situé dans le
tissu
cellulaire sous-muqueux. L'examen microscopique d
stent dans les cartilages, dans la séreuse articulaire, dans tous les
tissus
fibreux qui constituent les moyens d'union ou de
ation des extrémités articulaires ; on en trouve même parfois dans le
tissu
spongieux des têtes osseuses. Ces alté-rations on
acide urique, sous l'influence de l'acide nitrique. Enfin, dans les
tissus
fibreux péri-articulaires, dans la Charcot. Œuv
ratiques du rein ; incrustations de même nature des cartilages et des
tissus
fibreux articulaires. M. (Louis), âgé de 50 ans
cellulaire de la séreuse, dans les tendons et les liga-ments, dans le
tissu
cellulaire voisin, et môme dans les cou-ches prof
. Leur solidité était due à une sorte de condensation autour d'eux du
tissu
cellulaire qui leur formait comme un enchatonneme
a grosseur d'un petit pois, renfermées dans des coques formées par le
tissu
pulmo-naire induré. Ces petites masses contenaien
sseur d'une tête d'épingle, généralement plus opaques que le reste du
tissu
. Ces granulations sont séparées les unes des autr
aque. La dissolution des dépôts dans les franges synoviales, dans les
tissus
fibreux et tendineux péri-articulaires était la m
x de la peau qui, surtout au gros orteil, paraît faire corps avec les
tissus
sous-jacents. Les articulations iibio-tarsiennes,
e est sclérosée, pâle, comme polie à sa surface, et paraît soudée aux
tissus
sous-jacents. Les mains, par suite de l'an-kylose
geur pour le mo-ment. La déformation paraît tenir à un gonflement des
tissus
osseux mêmes, ou bien à des productions osseuses
ure; il paraît s'être ajouté à la substance cartilagineuse propre, du
tissu
fibreux qu'on enlève sous forme de lamelles. Dans
ticulaires proprement dits. Cette couche nou-velle, qui semble due au
tissu
cellulaire sous-synovial épaissi et devenu fibreu
quoi tenait cet obstacle. Aussi nous avons disséqué avec soin : 1° le
tissu
cellulaire sous-cutané ; 2° les muscles eux-mêmes
la synoviale ; 2° à i'é-paississement avec transformation fibreuse du
tissu
cellulaire sous-synovial ; 3° à la formation dans
ibreuse du tissu cellulaire sous-synovial ; 3° à la formation dans ce
tissu
cellulaire de productions cartilagineuses et osse
soit sou- vent rienmoinsque le résultat d'une modification dans le
tissu
même des muscles. Enfin, nous assistons à tous
s subjacents, altération qui s'accompa-gne souvent de l'adjonction de
tissu
fibreux à la substance cartilagineuse elle-même,
re violent. La terminaison fatale a lieu le 20 mars. Autopsie. — Le
tissu
cellulaire sous-cutané de la région antérieure du
ibro-cartilages semilunaires. — En dehors de l'articulation, clans le
tissu
cellulaire sous-synovial, au voisinage de la face
t une très petite concrétion, blanche, située au genou droit, dans le
tissu
cellulaire sous-synovial, on ne rencontrait pas d
est pâle, lisse, polie, comme rétractée et pour ainsi dire sondée aux
tissus
sous-jacents (voir à ce sujet, un cas de goutte d
diarthrodiales, existaient des dépôts d'urate de soude enveloppés de
tissu
cellulaire lâche et qui laissait voir par transpa
et des petites masses crayeuses dures, enchâssées solidement dans les
tissus
fibreux péri-articulaires et dans les tendons des
e de M. Gharcot. à un moindre degré. Au voisinage des jointures, le
tissu
cellu-laire sous-cutané, le névriième, les couche
a ma-tière blanche qui inérustait les cartilages ou siégeait dans les
tissus
fibreux a démontré qu'elle était essentiellement
récente, elles n'acquièrent presque ja-mais complètement la dureté du
tissu
osseux; elles siègent de préférence au voisinage
tat anémique plus ou moins prononcé et marqué par la décoloration des
tissus
, des souffles vasculaires et cardiaques, des alte
ou moins prononcée (p. 226-227). Uvale de soude dans les diffévents
tissus
des goutteux. — Dans un fait rapporté par Schrœde
e syno-viale, ceux qu'on rencontre dans l'épaisseur des ligaments, du
tissu
cellulaire sous-cutané, des tendons, etc., se pro
oude dans le rein. —Examinés au microscope sur les tranches minces du
tissu
du rein, les infarctus d'urate de soude apparaiss
de cet acide. — Encore peu étudiées, les altérations concomitantes du
tissu
rénale et, rénal paraissent devoir être rapportée
de l'acide urique ; suivant lui, les urates se produisent au sein des
tissus
fibreux par désassimilation, « comme la créatine
65 p. 078. — Programme du cours d'histologie, etc., 1864, p. 90). Les
tissus
fibreux de l'éco-nomie, d'après le même auteur, s
atburninoïdes, qui se changent en génile, partie constituante de ces
tissus
; dans l'acte de la désassimila-tion, la géline s
ci-dents résultent-ils d'une action directe de l'acide urique sur les
tissus
. Dans les expériences de M. Zalesky, dont nous av
s présente une surface lisse, luisante, comme éburnée; au-dessous, le
tissu
osseux paraît raréfié, friable, imbibé de sang. M
t (in Forster, Handb, der pathotog. Anal. Leipzig, 1803, p. 1000), te
tissu
des- extrémités articulaires des os subit, dans l
se produit assez fréquemment chez les vieillards une ra-réfaction du
tissu
osseux qui porte plus particulièrement sur les cô
logie de la vieillesse. — Altéra-tions anatomiques des organes et des
tissus
. —Elles peuvent se résumer toutes en un seul mot
arthro-dial. — Les dépôts d'urate de soude occupent de préférence les
tissus
privés de vaisseaux. —Etat de la synoviale et des
ie de l'accès de goutte. — Articulations affectées de préférence. —
Tissus
fibreux, cartilages. — Prédilection de la goutte
e : des cartilages dia'rthrodiaux ; du liquide intra-articulaire ; du
tissu
osseux. Etude histologique de ces diverses lésion
ne, 517 ; — amorphe dans les urines, 518 ; •— dans les différents
tissus
des goutteux, 521 ; — ordre d'apparition des dé
ditions normales par le fait de la maladie dans les organes, dans les
tissus
. Il y a lieu de dis-tinguer à cet égard, vous le
r que la présence de la leucine et de la tyrosine (Harley) au sein du
tissu
hépatique a été plusieurs fois recon-nue dans ces
de l'action de la bile et en particulier des acides biliaires sur les
tissus
. Les cellules hépatiques peuvent encore devenir
e aiguë du foie. —a, sec-tion de la veine centrale d'un lobule ; — b,
tissu
des cellules hépatiques atro-phiées ; — a, canaux
anaux a, remplis de cellules d'épithélium, sont situés au milieu d'un
tissu
granuleux, contenant quelques cellules de tissu c
situés au milieu d'un tissu granuleux, contenant quelques cellules de
tissu
conjonctif embryonnaire et des vaisseaux, v. En b
é mise en Fig. 12 — Réseau des canalicules biliaires situés dans le
tissu
conjonctif nou-veau de la cirrhose. — f, canal bi
e rendent dans des confluents plus volumineux a ; — «, d, cellules de
tissu
conjonctif, grossissement de 300 diam. —Fig. empr
es procédés. CINQUIÈME LEÇON Des capillaires biliaires (suite). —
Tissu
conjonctif et vaisseaux lymphatiques du lobule. —
émonstration de l'existence des capillaires biliaires chez l'homme. —
Tissu
conjonctif des lobules hépatiques ; ses caractère
resterait in-complète, si je ne vous disais pas quelques mots sur le
tissu
conjonctif et les vaisseaux ou mieux les espaces
phatiques qui entrent dans leur composition. a) A l'état normal, le
tissu
conjonctif est tout à fait rudi-mentaire dans le
pas, tant s'en faut, à dédaigner. A l'état pathologique, en effet, ce
tissu
peut prendre une ex-tension considérable et étouf
ette raison, on appelle intra-lobulaire. On démontre l'existence du
tissu
conjonctif normal du lo-bule en traitant par le p
nt en s'enchevê-trant dans les mailles qui encadrent les cellules. Le
tissu
conjonctif ne parait représenté là que par les fi
ou tout au moins, elles y sont en petit nombre et rudimentaires. Le
tissu
conjonctif est surtout dense en deux points du lo
voies, lymphatiques qui ont partout des relations si étroites avec le
tissu
conjonctif. On décrit d'ordinaire les parois des
es îlots hépatiques, dont les cellules s'éloignent en rayonnant; M,M,
Tissu
conjonctif inter-lobulaire épaissi, devenu embryo
ulation tuberculeuse, T, s'est développée dans un espace formé par ce
tissu
. V, Coupe d'une bran-che de la veine porte. (Figu
mmunément aussi un canalicule bi-liaire. Autour de la granulation, le
tissu
de la capsule de Glisson est plus ou moins hyperp
is infiltrées de granulations pigmentaires qui pénètrent même dans le
tissu
conjonctif des espaces. Ce tissu offre secondai-r
mentaires qui pénètrent même dans le tissu conjonctif des espaces. Ce
tissu
offre secondai-rement un certain degré d'hyperpla
t pseudo-leucémie. Vous savez que ces tumeurs sont constituées par un
tissu
réticulé dans les mailles duquel sont comprises
spaces où la capsule de Glisson paraît tout entière transformée en un
tissu
réticulé au milieu duquel en aperçoit encore dans
ne porte, soit des canalicules biliaires retentissent aisément sur le
tissu
conjonctif de la capsule de Glisson et y détermin
onstamment séparé du lobule par une épaisseur plus ou moins grande de
tissu
conjonclif (capsule de Glisson) qui pénètre entre
forme de masses amorphes ou cristallines, au sein des liquides ou des
tissus
, dans un grand nombre de lésions organiques du fo
it qui prend naissance dans les cas d'épanchement de sang au sein des
tissus
; c'est à elle, par exemple, qu'est due la colora
, ou au contraire se pro-duit-elle dans les organes solides, dans les
tissus
? Le fait est que, suivant les observations de M.
suivant la remarque de Garrod. Après le cartilage, les ligaments, le
tissu
cellulaire sous-cutané, les gaînes tendineuses, l
lore en brun acajou ; mise en contact avec la salive, la diastase, le
tissu
du pancréas, elle se transforme : Io en dextrine,
le même modèle que la vésicule du fiel. On y observe deux couches de
tissu
fibroïde, com-posées principalement de faisceaux
couches de tissu fibroïde, com-posées principalement de faisceaux de
tissu
conjonctif et de fibres élastiques. Dans l'épaiss
le pus n'occupe pas la cavité même des tubes urinifères, mais bien le
tissu
interstitiel (Klebs, Dickinson). C'est plus parti
leur épithélium, alors que déjà les cellules purulentes infiltrent le
tissu
interstitiel. Des stries blanches se voient aussi
ides au niveau des cônes. Cette apparence est due à l'infiltration du
tissu
inters-titiel de ces régions pour une part, mais,
. Sous son influence, les parois de la vésicule se transforment en un
tissu
fibreux dans lequel dis-paraissent toutes les par
, est le siège primitif du mal. La lésion y occupe originaire-ment le
tissu
sous-muqueux. Les parois de l'organe peuvent être
quement ces inflammations chroniques, c'est la production exagérée du
tissu
conjonctif ou lamineux s'opérant au sein même de
'opérant au sein même de la trame conjonctive, propre à la région, au
tissu
de l'organe. 2° Cette production s'effectue en
ant. 3° Le processus qui préside, ici, à la formation nouvelle du
tissu
conjonctif, rappelle, dans ces caractères essenti
artie au moins, des leucocytes. Il y a là quelque chose d'analogue au
tissu
de granulation des plaies. b) L'évolution ultér
u de granulation des plaies. b) L'évolution ultérieure est celle du
tissu
conjonctif en voie de formation. Il se produit, e
cloison fibroïde épaisse et qui tend sans cesse à s'épaissir. 4° Le
tissu
conjonctif de formation nouvelle jouit souvent de
, néoplasiques, en spécifiant que c'est d'une formation nouvelle de
tissu
conjonctif qu'il s'agit. Dans les pa-renchymes, d
graine de pavot. Ces granulations sont séparées par des trabécules de
tissu
fibroïde blanchâtre qui, fréquem-ment, dépassent
re de chaque granulation. Celles-ci ne font qu'une légère saillie, le
tissu
fibreux qui les entoure ne se rétractant guère ;
se rétractant guère ; le foie paraît donc transformé « en un bloc de
tissu
fibreux, farci de granulations assez espacées. »
la zone la plus externe du lobule est eE quelque sorte dissociée. Le
tissu
conjonctif, de formation nou-velle, y pénètre sou
la travée, au contraire, les petites cellules n'existent plus. Là, le
tissu
conjonctif est plus développé, mieux formé, compo
eaux portes ont perdu leur paroi et paraissent comme sculptés dans le
tissu
conjonctif de formation nouvelle. Dans le cas d
périphérie des lobules, il n'y avait pas de développement sensible du
tissu
conjonctif dans les canaux portes. Il semble, d'a
iocliolite est vraiment un phénomène consécutif. Mais la formation du
tissu
conjonctif qui en est la conséquence, n'en est pa
avez, il s'agit, ici d'une inflammation scléreuse interstitielle ; le
tissu
conjonctif tend à se substituer aux éléments spéc
e vulgaire, en conséquence de la rétraction progressive que su-bit le
tissu
fibroïde, les dimensions du foie diminuent en mêm
terai pas sur l'augmentation de consistance du foie cirrhose, dont le
tissu
, dans les degrés extrêmes, crie, comme l'on dit,
ranche d'ailleurs avec la teinte gris blanc, légèrement brillante, du
tissu
conjonctif intermédiaire. Les causes de cette d
confondu toutes les formes de cirrhose dans une môme description, le
tissu
conjonctif pénétrer dans l'intervalle des colonne
réalité par îlots qui se forment au niveau des espaces. Ces îlots de
tissu
conjonctif nouvellement formé sont d'abord arrond
se annulaire. — Cirrhose monolobulaire. — Lésions des vaisseaux et du
tissu
coujonctif qui les entoure. — Effets de la ligatu
s reconnaissons ce qui suit : Io Les tractus sont constitués par du
tissu
conjonctif aux diverses phases de son développeme
les cellules em-bryonnaires, là les cellules fusiformes et bientôt le
tissu
con-jonctif fibrillaire, adulte, enfin le tissu d
iformes et bientôt le tissu con-jonctif fibrillaire, adulte, enfin le
tissu
de rétraction. 2° Pour ce qui a trait au parenc
res formes de la cirrhose, la cirrhose hypertrophique par exemple, le
tissu
conjonctif pénétrer la partie périphérique du lob
ité qui s'enfonce dans la profondeur du lobule est encore composée du
tissu
embryon-naire. En somme, le résultat c'est que le
sieurs, de signaler que c'est dans l'affection de ces vaisseaux et du
tissus
conjone-tif qui confine immédiatement que doit êt
oc. cit., p. 143), est la conséquence d'une inflammation aclhésive du
tissus
arêolaire au voisinage des petites branches de la
, et, à une période plus avancée, on observe sur ces mê-mes points du
tissu
fibrillaire. Cet ensemble de caractères ne compos
sous l'influence des conditions pa-thologiques, en même temps que le
tissu
embryonnaire se développe à leur voisinage immédi
airement à l'opinion que pourrait faire naître la comparaison avec le
tissu
cicatriciel, les travées con-jonctives présentent
t si considérable qu'on a en quelque sorte sous les yeux un véritable
tissu
caverneux (Rindfleisch). Il s'agit là de vaisseau
autres termes, privés de paroi propre; ils paraissent creusés dans le
tissu
de jeunes cellules ou déjà adultes et limités seu
, de paroi propre, et l'épithélium est là directement appliqué sur le
tissu
conjonctif {Fig. 25 et 26). DEUXIÈME LEÇON An
iologiques. Sommaire. — Opinions contradictoires des auteurs sur le
tissu
conjonctif du rein. — Vaisseaux lymphatiques de l
ommuni-quent avec les espaces lymphatiques de la substance corticale.
Tissu
conjonc-tif lamineux dans là région papillaire. —
à région papillaire. — Cellules étoilées de la substance corticale. —
Tissu
conjonctif des glomérules ; son importance au poi
n du rein, c'est-à-dire les vaisseaux sanguins et lym-phatiques et le
tissu
conjonctif. Ce dernier surtout mérite de nous arr
les éléments de la sub-stance corticale étaient unis entre eux par du
tissu
conjonctif. Cette proposition fut combattue par v
des autres que par des vaisseaux capillaires, sans interposi-tion de
tissu
conjonctif. Cette contradiction eut de l'écho p
homme dans l'état physiologique et dans l'état pathologique » (1). Le
tissu
conjonctif du rein se trouva dès lors réhabilité
. Rien ne prouve qu'elle ait lieu par des voies directes (1). B. Le
tissu
conjonctif du rein, considéré en lui-même, a été
, Kolliker, Schweigger-Seidel. D'après ces observateurs, il existe du
tissu
fibrillaire lami-neux dans la partie papillaire d
les deviennent de plus en plus rares. Dans la substance corticale, le
tissu
conjonctif n'est plus représenté que par des cell
nteux s'attachent aux parois de ces canaux (1). Rolliker compare ce
tissu
à celui de la névroglie qui, sui-vant lui, forme
ètre perpendiculaire à la direction des cana-licules contournés. Le
tissu
conjonctif du glomérule mérite une mention spé-ci
uch der patholoq. Anatomie. Bd. I. 2. Abt. Berlin. 1876, p. 646. Le
tissu
conjonctif du glomérule jouerait, suivant quelque
ations qui portent sur l'épithélium des canaliculi contorti et sur le
tissu
conjonc-tif interstitiel. IL clopédie de Stri
on du rein dans un cas de néphrite interstitielle très avan-cée. — a,
Tissu
conjonctif formé de fibres etde cellules plates.
istologiquement, la lésion porte surtout sur l'épithélium du rein; le
tissu
conjonctif n'est altéré que secondairement quand
stologiquementj il s'agit d'une véritable cirrhose du rein ; c'est le
tissu
conjonclif qui est affecté primitivement ; l'épit
ciaux. L'altération porte primitivement sur les petits vaisseaux ; le
tissu
conjonctif et le parenchyme ne sont atteints que
ulation, sont consti-tuées par les tubes contournés, atrophiés par du
tissu
embryonnaire de nouvelle for-mation, et par les g
s canaux contournés ; cette trame subit d'abord une transformation en
tissu
embryonnaire et se trouve, à une époque plus avan
ts quelquefois dilatés ça et là, et séparés les uns des autres par du
tissu
conjonctif embryonnaire ou déjà plus ou moins org
t initial est la formation de jeunes cellules qui repré-sentent là un
tissu
embryonnaire ; celui-ci s'organise progres-siveme
celui-ci s'organise progres-sivement, et prend bientôt l'apparence du
tissu
conjonctif fibrillaire. — h). La formation conjon
oyé. If. glomérules ; 3° autour des principaux vaisseaux. — c) Le
tissu
nouvellement formé est doué, à une certaine époqu
nalicules urinifères ne se pro-duisent que secondairement à celles du
tissu
conjonctif. — a) Les parois des tubuli contorti s
des tubuli contorti sont épaissies et tendent à se confondre avec le
tissu
ambiant. — b) Vépithélium des tubes contournés su
des conduits, ceux-ci sont difficiles à distinguer, sur les coupes du
tissu
embryonnaire qui les entoure. — c) Les tubes sont
s des reins. 22 pression exercée sur un point limile du lube par le
tissu
conjonctif ambiant, 2° soit de l'oblitération par
t de vue de la physiologie pathologique. — 2° Plus tard cependant, le
tissu
conjonctif du glomérule subit la transformation e
r avec ce sujet,- je dois rappeler que, par suite de raffaissement du
tissu
conjonctif du labyrinthe, les glomé-rules sont so
alise tout d'abord dans l'appareil des tubuli, sur l'épithé-lium ; le
tissu
conjonctif est épargné ou n'est affecté que se-co
en que les rayons médullaires. Les glomérules étaient convertis en un
tissu
embryonnaire constitué par de jeunes cellules trè
er-nier lieu, et assez rarement du reste, la membrane adventice et le
tissu
conjonctif environnant peuvent être altérés eux a
lules musculaires de l'intestin (Rokitansky), et dans les cellules du
tissu
conjonctif sous-cutané ou du mé-sentère (Hayèm),
ci se pose une question : s'agit-il réellement d'une infiltration des
tissus
affectés par une substance formée d'abord dans le
ou bien la matière amyloïde se forme-t-elle sur place aux dépens des
tissus
préexistants ? Dans l'état actuel de la science,
intervient ici. Le sang artériel sous pression, arrêté au milieu des
tissus
, perd bientôt ses qualités vivifiantes, et nous r
terlobulaire très agrandis entourant le lobule d'une zone complète de
tissu
conjohetif. — Les vaisseaux sanguins et les condu
centre de l'espace. Ces deux vaisseaux sont entourés par une zone de
tissu
conjonctif adulte. C,C, Canalicules biliaires d
a di-rection des fissures. D, Lobule entouré de toutes parts par le
tissu
scléreux. Fig.3. — Cirrhose biliaire expériment
aire, faible grossissement. A,A, Lobules complètement isolés par le
tissu
scléreux. B,B, Gros îlot hépatique constitué pa
e complètement isolés par la sclérose, et ne tenant plus, au reste du
tissu
hépatique que par un seul côté. Fig. 5. — Cirrh
niveau d'un espace interlobulaire. B,B. Echancrures produites dans le
tissu
conjonctif par le tissu scléreux. CHARCOT OEuvr
lobulaire. B,B. Echancrures produites dans le tissu conjonctif par le
tissu
scléreux. CHARCOT OEuvres complètes Leçons sur
........ 31 CINQUIÈME LEÇON. des capillaires biliaires (suite). —
tissu
conjonctif et vaisseaux lympha-tiques du lobule.
onstration de l'existence des capillaires biliaires chez Thom ? me. —
Tissu
conjonctif des lobules hépatiques ; ses caractère
ose annulaire. — Cirrhose monolobulairc. —Lésions des vaisseaux et du
tissu
conjonctif qui les entoure. — Effets de la ligatu
iologiques. Sommaire. — Opinions contradictoires des auteurs sur le
tissu
conjonctif du rein. —? Vaisseaux lymphatiques de
ommuni-quent avec les espaces lymphatiques de la substance corticale.
Tissu
conjonc-tif lamineux dans la région papillaire. —
région papillaire. —? Cellules étoilées de la substance corticale. —
Tissu
conjonctif des glomérules : son importance au poi
re,251; — mutilobulaire, 251 ; — inlerlo-bulairc, 251. — Lésions du
tissu
conjonctif, 267 ; — du parenchyme hépatique, 68 :
ée. Ir2 présente cette coupe, nous trouvons un étui solide, dur, le
tissu
compacte ; tissu compacte creusé d'une foule de p
e cette coupe, nous trouvons un étui solide, dur, le tissu compacte ;
tissu
compacte creusé d'une foule de petits canaux ana-
à sa face profonde. Aux extrémités osseuses, l'aspect se modifie, le
tissu
devient moins dense : les canaux se sont élargis
us l'espace rempli par les canaux tend à grandir, plus s'amoindrit le
tissu
osseux. — Les rapports sont bientôt égaux, mais g
ali-cules deviennent dominants en perdant leur aspect primitif, et le
tissu
osseux, réduit à de simples lamelles et trabécule
ne forme plus que de minces cloisons séparant les canaux ; — c'est le
tissu
spongieux. Au-dessous de l'épiphyse, au sommet
ullaire de l'os. Telle est la disposition sommaire, mais exacte, du
tissu
osseux. L'étude de son développement nous montre
ette modification par prédominance des canahcules et se transforme en
tissu
spongieux, puis réticulaire, pour disparaître tou
uelques-uns toutefois, des veines, les remplissent complètement et le
tissu
osseux semble leur faire une tunique supplémentai
lus grand nombre des vaisseaux n'ont jamais de rapport intime avec le
tissu
osseux proprement dit. Partout ils baignent dans
st-à-dire dans la cavité centrale des os longs et dans les aréoles du
tissu
spongieux, mais encore dans les canaux de Havers
te ostéoïde par M. Robin, et qui est une véritable moelle externe, Le
tissu
médullaire, comme l'a dé-montré M. Ranvier, forme
mbrane qui l'enveloppe, — le périoste. — Le périoste, rangé parmi les
tissus
fibreux, bien que lanature deses fibres, leur mod
face de l'os. Sa vascularité, son épaisseur, ses adhérences avec le
tissu
osseux proprement dit, subissent des variations a
ds, les épiphyses que les diaphyses. Sa stiucture est fort simple :
tissu
fibreux et tissu élastique y concourent, ce derni
que les diaphyses. Sa stiucture est fort simple : tissu fibreux et
tissu
élastique y concourent, ce dernier peu abondant d
énétrer en chevelu plus profon-dément. Les lymphatiques de la moelle,
tissu
osseux et périoste rendus évidents par les faits
hons quelle part peut revenir à chacune de ses parties constituantes,
tissu
osseux, médullaire et périoste, dans les inflamma
e, ostéomyélite, nécrose aiguë d, nous trouvons que le périoste et le
tissu
osseux, incftmestoujours de ces maladies, n'en so
econdaire. Sur cette couche interne... est superposée une couche de
tissu
cellulaire lâche, qui également doit être consi-d
te n'a rien à faire avec l'origine des maladies qui nous occupent, le
tissu
osseux en est-il responsable? Je ne le crois pas
st-il responsable? Je ne le crois pas et ne le comprendrais guère. Le
tissu
osseux, ce sont les colonnettes du compacte, les
du spongieux ; comment pourraient-ils s'enflammer? Entouré partout du
tissu
médullaire qui lui sert d'in-termédiaire dans tou
sseaux, il n'a pas le droit d'initiative; il subira les influences du
tissu
médullaire, mais ne pourra jamais lui imposer les
ait-il, alors que la moelle serait saine, remplir ces condi-tions? Le
tissu
osseux est donc atteint secondairement dans toute
tion de la moelle a toujours pré-cédé. Il ne nous reste donc que le
tissu
médullaire pour supporter la responsabilité de ce
dullaire pour supporter la responsabilité de ces inflammations. Or le
tissu
médullaire, partie essentiellement vivante, parto
d'un espace plus grand, et, parties molles, elles agissent sur le dur
tissu
osseux, qu'elles érodent. Les canalicules augmen-
visqueux, assez consistant, de couleur jaunâtre. La synoviale et les
tissus
fibreux réunis, ont plus d'un centimètre d'épaiss
re du genou. Après avoir incisé latéralement à droite et à gauche les
tissus
péiïarticulaires entre le fémur et le tibia, nous
e (8 centimètres sur 6 millimètres), et enclavée dans l'épaisseur des
tissus
; 3° une production cartilagineuse irré-gulière,
atro-phiées. Epaule. Le volume de l'articulation était normal. Les
tissus
péri-articulaires offraient une coloration noirât
plusieurs endroits. Ces lésions étaient d'autant plus marquées que le
tissu
de la région était plus serré ; en effet, les piq
ébridé). En dissé-quant attentivement son pourtour, on trouve dans le
tissu
cellulaire sous-cutané une des branches superfici
es diaphyses, mais peut attaquer primitive-ment les articulations, le
tissu
cellulaire, exceptionnellement les plèvres, le pé
opinions sont semblables, et sauf un nom et l'idée de multiplicité de
tissus
primitivement frappés, Roser n'a fait qu'em-prunt
court, quelques jours habituellement, la tuméfaction, qui occupait le
tissu
cellulaire sous-cutané, se cir- 1 Ménil, toutef
érieure du renflement cervical ayant causé une absorption complète du
tissu
propre de la moelle. Nul détail sur l'état de la
était pas dû à un épanchement dans les jointures, mais à un œdème des
tissus
environnants. Jointures très douloureuses. Rougeu
de en cinq ou six petits rameaux qui se distribuent aux muscles et au
tissu
cellulaire sous-cutané. Les principaux nerfs de
cs da s Y oreillette droite, se prolongeant dans les veines caves. Le
tissu
du cœur est moins coloré que d'habitude. — Foie v
l'autre, aplatie en avant, saillante en arrière. Composée surtout de
tissu
spongieux, elle mesure trois centimètres et demi
n effet, ces ostéopbytes n'étant en définitive qu'une surabondance du
tissu
osseux d'ossification, doivent occuper, lorsqu'il
auses déterminantes. De là ils se propagent dans les canalicules du
tissu
osseux com-pacte, les cavités du spongieux, la mo
mitant ou le détruire, et par cette voie nouvelle s'infiltrer dans le
tissu
cellu-laire du membre, où il formera des fusées p
la diaphyse. Ces nouvelles couches pourront même se produire dans le
tissu
osseux, et, s'adjoignant aux anciennes, amoindr
osse tubérosité de la tête numérale détachée par la suppuration. Le
tissu
osseux est lui-même fort altéré. Les canaux de Ha
onsidérablement agrandis et ont transformé en spongieux une partie du
tissu
compacte. Dans un cas, Hurel a trouvé chez une pe
re quelques mots de ce qui survient vers les articulations et vers le
tissu
osseux lui-même. Les articulations peuvent être
'a surtout rencontré M. Gos-selin. D'autres fois, il y a médullite du
tissu
spongieux épiphysaire, raréfaction des trabécules
ent le plus souvent latents. Nulle douleur n'en résulte. Du côté du
tissu
osseux, nous aurons surtout des nécroses, né-cros
igines. Tantôt les éléments médullaires modifiés nourrissent mal le
tissu
osseux, auquel ils fournissent les matériaux habi
x habituels, ou devenant pus cessent tout à fait de le nourrir, et le
tissu
osseux, abandonné meurt. On voit de suite la rela
médullite qui survient, ou continue autour des séquestres, résorbe le
tissu
osseux qui les maintenait en contact avec le rest
parition com-plète du cartilage, ou sa transformation trop prompte en
tissu
osseux, aux ankyloses, à l'allongement hypertroph
un cas deStone, une infil-tration de pus liquide dans les mailles du
tissu
cellulaire sous-arach-noïdien, compliquée de puru
uve encore des abcès intra-musculaires, des œdèmes et suppurations du
tissu
cellulaire. Toutes ces lésions ne coexistent pa
e, est une pratique déplorable, car on amène ainsi l'inflammation des
tissus
cicatriciels qui Unissent par s'indurer et s'épai
i. Examen de la tumeur. La tumeur n'a pas de limites tranchées ; le
tissu
pathologique s'avance sous forme de traînées dans
s. Sur des coupes durcies et traitées par le pinceau, on obtient un
tissu
alvéolaire ; les parois sont formées par du tissu
ceau, on obtient un tissu alvéolaire ; les parois sont formées par du
tissu
fibreux. Dans l'intérieur des alvéoles on trouve
elles qui étaient contenues dans le sac. Tel est le type général du
tissu
, mais, selon les régions, les al-véoles apparaiss
ces avaient di-minué. On enleva la tumeur ainsi que les ganglions. Le
tissu
mor- 1 T. W. Nunn, dans un travail intitulé : A
e les adénoïdes. » « A la coupe, elle crie sous le scalpel comme un
tissu
fibreux. La surface de la coupe est d'un gris ros
probablement cancéreuse et constituée, au moins en apparence, par du
tissu
encéphaloïde. Cette tumeur a été re- 1 Bulletin
flèches au chlorure de zinc furent introduites dans l'épais-seur des
tissus
morbides, et, le 5 juin, le malade quittait le se
ion s'était effectuée sous forme d'îlots plus ou moins espacés sur le
tissu
cicatriciel. Deux de ces îlots avaient le volum
ent, bien que les nouvelles plaies fussent toutes circonvenues par du
tissu
modulaire. En janvier 1869, un parent de mon ma
rnes plus étroites, nous a permis de détruire de petites por-tions de
tissu
morbide sans attaquer le tissu cicatriciel qui le
is de détruire de petites por-tions de tissu morbide sans attaquer le
tissu
cicatriciel qui les envi-ronnait et qui s'était f
ie un stylet et mieux le doigt, et l'on constate alors l'existence du
tissu
osseux à nu au fond de la plaie. Souvent tons l
e cavités dacœur sont distendues par des caillots noirs et blancs. Le
tissu
cardiaque est résistant; il n'y a pas d'altératio
que les eaux alcalines et salines sont indiquées dans les lésions des
tissus
parenchymateux et cellulaires. Toutefois, les eau
inguer dans cet organe trois éléments : une enveloppe peritoneale, un
tissu
propre et des vésicules disséminées. L'inflammati
n. En admettant, en effet, que l'inflammation ait débuté par l'un des
tissus
de l'ovaire, ainsi que cela paraît dé-montré par
us di-rons avec M. Gallard, que « l'inflammation isolée de chacun des
tissus
constitutifs de l'ovaire, si tant est qu'elle se
actérisé par une légère augmentation du volume de l'organe, dont le
tissu
est plus rouge et plus résistant. Dans le second,
us résistant. Dans le second, l'ovaire est doublé et même triplé; son
tissu
est mou, fria-ble, infiltré de sérosité jaunâtre.
utre qui ré-sulte de la présence irritante de corps étrangers dans un
tissu
. » Énumérant ensuite les causes de l'ovarite, l
e. L'émission sanguine qu'elle produit calme les douleurs, dégage les
tissus
, peut arrêter l'inflammation; elle empêche le pér
e faisait prévoir que l'on avait affaire à un kyste développé dans le
tissu
splé-nique. VII. Traitement. — Lorsqu'on a été
on des bourgeons charnus en les rendant plus fermes. Peu à peu, les
tissus
entre l'omoplate et le bout supérieur de l'huméru
laque de plomb, grande comme la moitié d'une pièce de dix sous. Les
tissus
se fronçant de plus en plus, il arrive un moment
t des téguments au niveau de l'aisselle, ont tout à fait disparu. Les
tissus
se sont appropriés à la nouvelle lon-gueur du bra
énéral sur l'ambulance) que l'action par contusion de la balle sur le
tissu
os-seux s'étend plus loin que le laisse croire l'
érieur même des éléments anatomiques et des parties constituantes des
tissus
, d'une matière de nature albuminoïde, prenant une
en abondance dans le sang qui le porte dans les divers organes et les
tissus
. Caractères physiques du piqment. — La forme qu
Cette forme particulière est sans doute le résultat de l'atrophie du
tissu
osseux et des éminences articulaires, atrophie à
t des éminences articulaires, atrophie à laquelle ne participe pas le
tissu
cellulaire sous-cutané. Ce carac-tère suffît quel
ule gauche, épais de 7 à 8 millimètres, on ne voit rien, mais dans le
tissu
musculaire, à 5 centimètres en-viron de la pointe
ramollis. Les deux tumeurs marginales sont au contraire dures ; leur
tissu
est d'un blanc bleuâtre. On remarque par points d
nt tendue et polie. — La consistance est celle de l'état naturel ; le
tissu
est quelquefois un peu plus ferme en raison de la
e temps que ces maladies sans laisser à sa suite des modifications de
tissu
. Dans les hypérémies par stase sanguine, ou enc
ion de la rate peut avoir une issue mortelle par une déchirure de son
tissu
. La mort arrive au milieu d'une hé-morrhagie inte
tain nombre de fois, on a trouvé des abcès ayant leur siège dans le
tissu
splé-nique, et à côté de ces abcès, nullement pro
qui caractérisent la splénite à l'état aiguë. Au premier degré', le
tissu
de la rate enflammé est d'une couleur rouge brune
Tout le système vasculaire est très-en-gorgé. Au deuxième degré, le
tissu
de la rate est grisâtre, friable ; le pa-renchyme
ystés, ou encore réuni en une collection unique qui a détruit tout le
tissu
converti en une vaste poche purulente, c'est là u
Sa base fait intimement corps avec toute l'épaisseur de la peau et du
tissu
cellulaire sous-jacent, mais elle ne va pas au de
te de sang. La plaie qui en résulte a un bon aspect. Un petit îlot de
tissu
malade,incomplètement sphacélé,nécessita l'applic
e des deux caractères essentiels de la malignité, l'envahissement des
tissus
voisins et l'infection générale de l'organisme, e
ar une incision verti-cale de 6 centimètres comprenant- la peau et le
tissu
cellulaire sous-cutané, on arrive sur l'aponévros
r. La sur-face de celle-ci est blanche, lisse, et si bien limitée des
tissus
envi-ronnants, qu'on peut l'énucléer presque comp
d à l'un des sillons qu'on avait remarqués à la surface. Du côté du
tissu
propre, les sillons et les lobes ne sont indiqués
s vaisseaux de la tunique fibreuse et au développement plus facile du
tissu
morbide au niveau des mailles qu'ils circonscrive
icroscope, la présence des culs-de-sac glandulaires. A la coupe, le
tissu
de la tumeur est ferme, d'un blanc grisâtre ou ja
ans tous ses points, excepté quant à la consistance, qui est celle du
tissu
fibreux dans la majeure partie de la tumeur et qu
teurs, la présence des cellules étoilées, degré avancé d'évolution du
tissu
conjonctif, exprimerait peu de gravité. — Quelle
s ces der-niers cas, la masse intestinale est imbibée du liquide : le
tissu
cellu-laire sous-périlonéal est ordinairement inf
yant ordinairement de 5 à 5 centimètres, et par laquelle s'échappe le
tissu
de la rate elle-même. Cette déchirure se trouve l
une disposition fréquente, et signalée par M. Vigla. 11 semble que le
tissu
soit constitué par deux couches superposées, l'un
plus violents, on observe une véritable contusion avec destruction du
tissu
splénique. III. Etiologie et pathogénie. — Les
s, dans nos pays surtout. Pour qu'elles se produisent, il faut que le
tissu
de la rate soit déjà modifié, ou par des infarctu
sule est altérée, se trouve englobée dans la cuirasse cancéreuse. Son
tissu
un peu ramolli paraît, d'ailleurs, sain. — Épanch
-jacente du lobe lingual est aussi partiellement rempla- cée par le
tissu
conjonctif. L'écorce de la partie inférieure et
voir ici une petite quantité des corps gra- nuleux et beaucoup de
tissu
conjonctif. Les vaisseaux sont sclérosés. On vo
corps granuleux. Autour de cette lésion on observe la formation de
tissu
conjonctif (Fig. 3). 4° Sur les coupes, qui p
ers de ramollisse- ment autour desquels on remarque la formation de
tissu
conjonctif. Ainsi dans ce cas nous avons eu une
emarque la désintégration des fibres à myéline et la formation de
tissu
conjonctif. En outre on voit la destruction de
sur toute sa lon- gueur. Ce ramollissement provoqua la formation de
tissu
conjonctif dans les foyers mêmes, ainsi que dan
nucléables, n'amenant d'autre part que tar- divement des lésions du
tissu
cérébral sont justiciables de la trépanation 30
aséeuse, de coloration blanc jaunâtre, se distinguant nettement des
tissus
environnants par son opacité. L'énucléation de
cile, elles ne se laissent pas enlever, sans déchirer une partie du
tissu
voisin. Il s'agit de cysticerque mort, dégénéré
ts : - 5. Recessus scole- cis ; - fi. Membrane propre du toenia; 1.
Tissu
cérébral organisé autour du toenia ; - 8. Vaiss
l'encéphale réagit et tend à entourer la vésicule d'une barrière de
tissu
fibreux qui empêche le futur toenia de se dévelop
ée de la même manière ; 2- l'exa- men histologique des lésions des.
tissus
(méninges, vaisseaux, substance ner- veuse).
isseaux. On n'y voit pas d'amas de cellules embryonnaires; c'est un
tissu
de réaction arrivé à un stade avancé d'organisati
ent spécifique énergique a été suivi pendant plusieurs mois, et les
tissus
pathologiques sont arrivés à un stade avancé d'
égé- nérescences secondaires, car on sait que dans ces dernières le
tissu
normal cède la place à une sclérose névroglique
e tissu normal cède la place à une sclérose névroglique, qui est un
tissu
de remplacement dans le sens complet du mot. Le
ique, soit par une dystrophie généralisée de la substance nerveuse (
tissu
parenchymateux et tissus interstitiels). Cette
ophie généralisée de la substance nerveuse (tissu parenchymateux et
tissus
interstitiels). Cette conclusion s'accorde bien
struction avec hypertrophie des éléments adjacents, c'est-à-dire du
tissu
conjonctif. C'est, sans doute, ce qui s'est pro
ent du néoplasme, qui a ménagé, dans son évolution, la tolérance du
tissu
céré- bral ; ensuite, le siège de la tumeur, qu
à noyau petit, prenant facilement la coloration. Elle n'adhère pas au
tissu
propre du néoplasme ; cependant, elle envoie de
masse sous-jacente, y formant des septa entre lesquels se trouve le
tissu
proliféré. Cette membrane n'est autre que le feui
ls se distinguent des fentes par une paroi propre qui les isole des
tissus
ambiants, dont certains éléments les bordent para
st leur structure. Les parois, très épaisses, sont constituées par un
tissu
dense, prenant fortement les colorants, sans qu
es, vaisseaux, lacunes angiomateuses). Discussion. -- Les coupes du
tissu
néoplasique mettent trois éléments en relief :
en tourbillons concentriques et séparées en amas par 'des cloisons de
tissu
conjonctif; la présence de ces globes ou corps
ulent, les tassent ; quelquefois même leur évolution les éloigne du
tissu
nerveux, puisqu'elles peuvent se développera la s
ii-8 fibroplasli- ques « parce que, dit-il, nous avons affaire à un
tissu
qui n'est autre chose que du tissu cellulaire e
dit-il, nous avons affaire à un tissu qui n'est autre chose que du
tissu
cellulaire en voie de formation accidentelle ». I
surface, pénètrent dans la profon- deur en suivant des cloisons de
tissu
lamineux issu lui-même de l'en- veloppe externe
nt identiques à eux-mêmes. Il est d'ailleurs tout naturel que les
tissus
d'origine mésodermique, si nombreux et si varié
eaux de nouvelle formation envoient des pointes vasculaires dans le
tissu
environnant. Les cellules entre lesquelles ces
ications d'abord prolifératives puis dé- génératives atteignant les
tissus
péri et paravaseulaires. Enfin on la ren- - con
for- mation partent des pointes vasculaires qui pénètrent dans les
tissus
voisins. Ceux-ci sont envahis secondairement pa
s sommes conduits à incriminer l'action de toxines sécrétées par le
tissu
néoplasique. A côté des lésions cellulaires de
aine médicale, 1891. 204 DUPRÉ ET DEVAUX flammatiolls de tous les
tissus
aboutissent à cette réaction phagocytaire. De-
ent l'organisme. Mais à côté des leucocytes, les éléments fixes des
tissus
semblent posséder, d'après les travaux de Virchow
tribué cette propriété aux seu- les cellules endothéliales, puis au
tissu
conjonctif périvasculaire, et enfin on s'accord
pour qui la névroglie est surtout destinée à donner naissance à un
tissu
cicatriciel. Les deux savants belges rapprochent
approchent la phagocytose nerveuse de la phagocytose musculaire. Le
tissu
interstitiel nerveux est comparable au myoblast
ébut : 14o ; à la fin : 14°. Epaisseur de la peau., - La peau et le
tissu
cellulaire sous-cutané sont épaissis à gauche p
ts obtenus sont dues uniquement à l'hypertro- phie de la peau et du
tissu
cellulaire sous-cutané à gauche, et à la compress
cyanose, un abaissement de la tempé- rature et une hypertrophie du
tissu
cellulaire sous-cutané. Ici le diagnostic devie
n des mouvements respiratoires, due évidemment à l'hypooxygénie des
tissus
, et particulièrement du centre respiratoire bul
aduit par une élévation delà température et un épaississement de ce
tissu
. Recklinghausen avait déjà remarqué que les troub
trans- formé en quatrième ventricule; en son intérieur est placé un
tissu
, riche en vaisseaux. Des deux côtés de la moell
ux des ostéoblastes etpeuà peu lecartilage sera ainsi transformé en
tissu
osseux. Toutes ces transformations du carti- la
UN cas d'achondroplasie 287 cellules rondes, cavités médullaires de
tissu
spongieux venant au contact du cartilage. « Au
es du rachitisme; on ne trouve en particulier rien qui ressemble au
tissu
spongoïde ou au tissu chondroïde. La lésion car
e trouve en particulier rien qui ressemble au tissu spongoïde ou au
tissu
chondroïde. La lésion caractéristique de l'achond
presque absolue du cartilage de conjugaison ; à sa place on voit du
tissu
conjonctif fibrillaire très délicat, sous lequel
existe soit des amas de cellules cartilagineuses, soit des ilots de
tissu
osseux très dense, soit des amas fibroïdes. « C
sur chacun d'eux, très étalés, comme tiraillés en tous sens par les
tissus
sous-jacents. Entre les deux doigts existe, dan
tion semble le prolongement sous-cutané, vers le canal carpien, des
tissus
hypertrophiés qui entrent dans la constitution
obligé de couper un peu plus haut pour ne pas prendre de lambeau en
tissu
malade et pour déjeter cependant la cicatrice sur
la paume et jusqu'au poignet, comme s'il y avait encore un excès de
tissu
adipeux.' Dissection des doigts enlevés : Une
irement à l'axe des doigts jus- qu'à l'os, apparaît comme formée de
tissu
graisseux finement lobule. Sur le bord confinan
léchisseurs situés dans leur gaine à la face externe de laquelle le
tissu
graisseux est adhérent. La moitié de la face in
, pas plus que le filet nerveux qui l'accompagne. On ne voit que du
tissu
adipeux qui semble homogène. Cependant, en diss
quelques tractus fibreux, plus denses vers la pulpe, il n'y a qu'un
tissu
graisseux homogène. En somme, comme vaisseaux,
ace palmaire. Entre les deux cloisons feutrées, on trouve un peu de
tissu
adipeux qui con- duit sur la peau dorsale, fais
'incision longitudinale des phalanges montre qu'elles sont formées de
tissu
compact et de tissu spongieux normaux. De mêm
e des phalanges montre qu'elles sont formées de tissu compact et de
tissu
spongieux normaux. De même, les cartilages para
reuses (J. de chimie méd., 1843, 2= série. T. IX, p. 294). (3) P.
TISSU
? La fatigue et l'entraînement physique, 1897, p.
i- nes rejetées dans le dernier acte de la désassimilation, par les
tissus
nor- maux de l'organisme : elle varie donc beau
dilaté. Artérioles et vei- nules communiquaient dans l'intimité du
tissu
néoplasique, par ces fen- tes, ces espaces angi
t quoique, dans l'échelle de toxicité des produits de sécrétion des
tissus
néoplasiques, les sarcomes soient inférieurs aux
directe et à plein canal qui unit les réseaux vasculaires des deux
tissus
néoplasique et cé- rébral, l'échange des toxine
e coque épaisse d'un demi-millimètre environ, adhérant en partie au
tissu
cérébelleux qui l'entoure, et renfermant des loge
- Tumeur. Après décalcification l'enveloppe épaisse est formée d'un
tissu
très dense se colorant fortement par l'éosine. En
rains et corpuscules à corps concentri- ques et quelques plaques de
tissus
osseux. En dedans de ces diverses couches, la m
t très intime. Cependant en aucun point il n'y a confusion des deux
tissus
. Il nous semble que l'adhérence à la dure-mère
D'autre part, il est bien évident que la tumeur est indépendante du
tissu
cérébral. C'est dans la pie-mère, croyons-nous, q
hatique du néoplasme et de l'encéphale permettant l'imprégnation du
tissu
cérébral par les toxines issues du foyer pathol
dégénérées ; il en existe au contraire encore beaucoup de saines. Le
tissu
conjonctif dans les faisceaux sclérosés est épa
pédon- cule cérébelleux inférieur sont en par- tie dégénérées. Le
tissu
sous-épendy- maire du quatrième ventricule est
; ils ont perdu leur forme polygonale, ils sont plus arrondis, le
tissu
conjonctif est proliféré. ICONOOII. Dli LA. S
CÉRÉBELLEUSE 381 leur forme polygonale, ils sont plus arrondis ; le
tissu
conjonctif est proli- féré (PI. XLVIIf, E et F)
able des fibres du pédon- cule cérébelleux direct, prolifération du
tissu
conjonctif sous-épendy- maire du IVe ventricule
tion qui ont facilité l'étude scientifique et l'examen minutieux du
tissu
nerveux. Pour toute la partie historique nous r
semble interrompu de chaque côté, comme s'il se continuait avec le
tissu
adjacent qui est la tumeur vasculaire, dont nous
ntielle ou médullaire. Cette abondance n'est pas moindre au sein du
tissu
nerveux. Outre la néoformation, on constate une
ont atteint la plupart des vais- seaux, tant ceux qui entourent le
tissu
nerveux que ceux qui le pénètrent. Il en est ré
ar ces nombreuses et abondantes hémor- rhagies produites au sein du
tissu
nerveux. Le nombre de ces dernières semble alle
ur trajet iutra-médullaire ou intra bul- baire. Dans l'intérieur du
tissu
nerveux ils forment de larges couronnes péri- v
aux vaisseaux sanguins tantôt indiquent seuls leur direction. Le
tissu
nerveux présente également par place des amas d'é
mbreux globules blancs, qui infiltrent d'une façon générale tout le
tissu
nerveux. Les phénomènes de diapédèse semblent trè
nuation probable sur chaque côté des éléments épendymaires avec les
tissus
adja- cents semblent indiquer l'existence à une
raient disparu, transformées par une néo-vascularisation intense en
tissu
fibro-vasculaire ayant détruit tous les élément
e ayant détruit tous les éléments nerveux et jusqu'à l'apparence du
tissu
nerveux. IX. - Signalons sur toute la hauteur d
d'un processus inflammatoire très actif et très intense touchant le
tissu
nerveux, les méninges et les vaisseaux. Les c
a peau de la mamelle avec oedème sous-jacent de la glande et de son
tissu
conjonctif, c'est à cela que se réduit le plus so
examen d'os pratiqué par M. Gombault, qui a noté une raréfaction du
tissu
osseux, par élargissement progressif des canaux
rsalement par d'autres travées, qui forment avec les pre- mières le
tissu
spongieux. Ces travées transversales n'apparaisse
supérieurs. L'épiphyse supérieure forme une sorte de géode dans le
tissu
spongieux. Ce tissu ne s'é- paissit que dans l'
yse supérieure forme une sorte de géode dans le tissu spongieux. Ce
tissu
ne s'é- paissit que dans l'épaisseur des becs o
éfiée sauf au niveau de la torsion qu'elle subit à son milieu. Là, le
tissu
, plus compact, forme une tache sombre. Quant au
ar endroits se détachaient des bandes de sclérose enfoncées dans le
tissu
glandulaire. Légère prolifération fibreuse au niv
s s'y dessinent par des anneaux très renforcés et autour d'elles le
tissu
fibreux s'étoile dans les interstices des éléme
s tubes contournés s'orienter parallèlement à la paroi du kyste, le
tissu
conjonctif devenir plus abondant, jusqu'à former
rmer un anneau fibreux épais, qui refoule et rétracte à la fois les
tissus
voisins. En somme, il semble que la formation k
épaissie et adhérente aux organes voisins, contient par endroits du
tissu
musculaire et graisseux. De larges bandes de tiss
par endroits du tissu musculaire et graisseux. De larges bandes de
tissu
fibreux, parsemées de rares noyaux, et creusées
EITZ rées. Les alvéoles comprises entre ces bandes sont remplies de
tissu
thyroï- dien profondément altéré. Les vésicules
eurs diapédésés. -On ne voit pas de matière colloïde éparse dans le
tissu
. Les capsules surrénales ont été examinées en p
paisse, qui en certains points pénètre profondément en coin dans le
tissu
glandulaire. Le tissu adipeux voisin est traver
s points pénètre profondément en coin dans le tissu glandulaire. Le
tissu
adipeux voisin est traversé d'épais tractus fibre
z altérées. De cette coque fibreuse émanent çà et là des bandes de
tissu
con- jonctif adulte qui, pénétrant dans la subs
ans la substance médullaire, s'y terminant par un épanouissement de
tissu
scléreux qui remplace le stroma normalement très
ules glandulaires, et on ne trouve plus alors qu'une large nappe de
tissu
conjonctif creusée de petits lacs sanguins. Ces i
ots de sclérose centrale sont réunis à la coque par des colonnes de
tissu
conjonctif disposées en sens radiaires, et où s
vieillards) et qui à certains points, s'hypertrophient, refoulent le
tissu
fibreux, et semblent évoluer vers le processus
que sur lui seul. Dans le tronc principal, les petits vaisseaux du
tissu
conjonctif d'enve- loppe, et ceux contenus dans
tains imperméables. La gaine lamelleuse est légèrement épaissie, le
tissu
conjonctif interstitiel ne semble pas pris. Quelq
ment épaissis, indurés, parfois même oblitérés, dans l'intimité des
tissus
de ces organes. Il est bien évident que les lés
es. Ilistologiquement, il n'y avait qu'un peu d'épais- sissement du
tissu
de soutènement, sans sclérose véritable. Ils term
e vasculaire (hyperplasie de la gaine lamel- leuse, augmentation du
tissu
conjonctif intra-fasciculaire, état légère- men
ieurs ont été examinés, ils ont été trouvés, comme presque tous les
tissus
de l'organisme, atteints plus ou moins de sclér
liquerait le trou- ble profond de la nutrition et de l'évolution du
tissu
osseux. En effet, si l'état athéromateux de l'a
tendre qu'il s'agit d'un accident dystrophique. La participation du
tissu
conjonctif aux troubles trophiques est un fait
On peut la chercher dans une al- tération des centres trophiques du
tissu
cellulaire sous-cutané. Mais où siègent ces cen
e comme la consé- quence d'une altération des centres trophiques du
tissu
cellulaire. Dans le trophoedème congénital, on
erdre pour cela ses caractères diagnostiques, d'autres anomalies du
tissu
cellulo- cutané, la lipomatose en particulier ;
ulier ; on peut trouver entre ces deux modes de déviation d'un même
tissu
tous les intermédiaires. faut aussi rappeler la
médiaires. faut aussi rappeler la sclérodermie, mode de réaction du
tissu
cellulo-cutané diamétralement opposé à celui du
parenté du trophoedème avec d'autres anomalies du développement du
tissu
cellulaire et cutané. C'est ainsi que coexisten
ale des centres qui président au développement et à la nutrition du
tissu
cellulo-cutané. Le lropltoedt;me chronique frap
es parties molles. Dans quelques cas plus rares la prolifération du
tissu
cellulo-cutané constitue à elle seule presque t
oedème, si l'on veut donner ce nom à l'ac- croissement de volume du
tissu
cellulo-cutané d'une moitié de la face ne repré
r droit est tuméfié dans toute sa longueur, y compris la main ; les
tissus
sont enflés, tendus; la peau bleuâtre, violacée
ui enveloppe les membres sains, Dans quelques cas exceptionnels, le
tissu
cellulaire sous-cutané et interstitiel prolifèr
-cutané et interstitiel prolifère, au point que la prédominance des
tissus
conjonctif et adipeux pourra, non seulement compe
iblio- graphiques, nous tenterons de démontrer que la production de
tissu
cellulo-graisseux, à la suite du trouble apport
bler, Collette (1), l'un des premiers, remarque l'épaississement du
tissu
cellulo-adipeux qui se pro- duit autour des mus
ce précurseur trop longtemps méconnu, avait noté l'accumulation des
tissus
conjonctif et graisseux dans certaines affectio
. 480 E. RAPIN peut être appréciée, selon lui, par l'épaisseur du
tissu
cellulo-graisseux, qui, à ce niveau, devient d'
phie progressive de l'adulte, Duchenne dit encore : « l'abondance du
tissu
adipeux sous-cutané peut masquer l'atrophie mus
ni dans les études sur la nutrition et les troubles trophiques des
tissus
, on ne trouve de ren- seignements sur les modif
trouve de ren- seignements sur les modifications que peut subir le
tissu
cellulaire sous- cutané. Son émaciation ou son
ire descendante chez lequel, dans l'espace de cinq mois et demi, le
tissu
cellulo-adipeux sous-cutané avait doublé d'épaiss
aire (que nous avons vu constituée exclusivement par une adipose du
tissu
conjonctif sous-cutané) devra nous arrêter longue
ut admettre dans tous ces cas une liaison entre t'épaississement du
tissu
cellulaire et les troubles nerveux, une subordi
se borne à une mention laconique : « Dans des cas exceptionnels, le
tissu
cellulo-adipeux domine ». Selon Vulpian (2),
nnels, le tissu cellulo-adipeux domine ». Selon Vulpian (2), « le
tissu
cellulo-adipeux sous-cutané des membres ou des
oif à l'hôpital, soit dans mes cours. Cet épaississement adipeux du
tissu
cellulaire sous-cutané s'ob- . serve souvent mê
é s'ob- . serve souvent même dans les régions où l'interposition du
tissu
adipeux ne s'est faite qu'à un très faible degr
démontré, par un nombre suffisant de preuves, que l'hypertrophie du
tissu
cellulo-graisseux accom- pagne parfois l'atroph
la nutrition et de la tenir en hride, lésions qui permettraient au
tissu
cellulo-adipeux de se dérober à sa su- jétion p
adie. Il se pourrait que, en vertu de l'hyperplasie considérable du
tissu
conjonctif interstitiel qui la caractérise et q
ipose sous-cutanée le résultat d'une déviation dans la nutrition du
tissu
conjonctif, c'est-à-dire le résultat d'un troub
perturbation nerveuse qu'il faut démontrer en ce qui con- cerne le
tissu
conjonctif sous-cutané, est admise sans conteste
Landouzy fait ressortir les liens qui unissent les modifications du
tissu
cellulaire aux lésions nerveuses, non seulement
rition, il est disposé à admettre que « les actions tro- phiques du
tissu
conjonctif sous-cutané n'ont ni mêmes centres, ni
d'une lésion coexistante ou consécutive des agents d'innervation du
tissu
conjonctif. » Landouzy termine son intéressant
uer et de localiser les centres et les conducteurs d'innervation du
tissu
conjonctif sous-cutané. Ici encore, comme le disa
une part aux muscles, d'autre part à la peau, d'autre part enfin au
tissu
cellulaire sous-cutané », et aux os, aurait pu aj
ordres circulatoires apparents, sans chaleur à la peau, donnant aux
tissus
une consistance ferme, compacte, qui dénoterait
stance ferme, compacte, qui dénoterait la prédominance excessive du
tissu
con- jonctif. Nous aurions donc là l'exemple ty
on de volume parait due surtout à l'épaississement avec sclérose du
tissu
conjonctif sous-cutané. Elle se distingue de l'oe
ambe et sur le pied, après la station debout. La peau adhérente aux
tissus
sous-jacents est lisse et d'ail- leurs normale.
ple, durcit également la peau. La palpation donne l'impression d'un
tissu
adipeux modérément tendu, sans que la pression di
triques ont été impossibles à pratiquer en raison de l'épaisseur des
tissus
. J'ajouterai que les membres inférieurs ne sont
entres nerveux, qui président au développement et à la nutrition du
tissu
cellulaire. La répartition segmentaire de l'oed
te exceptionnel que la face soit prise d'un côté, les membres et le
tissu
du côté opposé : dans leur travail, Sabrazès et C
parties molles est néanmoins beaucoup ptns accen- tuée que celle du
tissu
osseux. La diminution de l'excitabilité faradiq
tissement dans son développement qu'à un retour à l'état normal des
tissus
primitivement déviés de leur conformation norma
rable de la peau, on peut invoquer l'augmentation de résistance des
tissus
comme cause de l'anomalie des réactions électri
omalie histologique, du moins à une constitution un peu spéciale du
tissu
musculaire dans les parties hypertrophiées, de so
ies malades,mais encore à une modification dans la constitution des
tissus
. Nous nous garderons de discuter la pathogénie
noviales tendineuses étaient partout intactes. Articulations. - Les
tissus
péri-articulaires étaient sains complètement; l
genou autour du cul-de-sac sous-tricipital que nous avons trouvé un
tissu
graisseux ferme, ayant tendance à devenir lardacé
e cartilage était colorée en blanc par une sorte de mélange avec le
tissu
cartilagineux ra- molli. Par places, la surfa
'os iliaque est réduit à ce niveau à une mince lame transparente de
tissu
compact ; cet arrière-fond plan répondait à la
échappe partout à la lésion ; partout où l'os est déformé, c'est de
tissu
spongieux qu'il s'agit. Nous sommes donc en pré
donc en présence d'une affection osseuse systématisée, épargnant le
tissu
compact, et frappant certaines parties bien spéci
out processus myopathique s'accompagne tou- jours d'une sclérose du
tissu
conjonctif des faisceaux musculaires, il était
e les déformations étaient dues à la rétraction pro- gressive de ce
tissu
conjonctif. En est-il de même chez nos deux mal
ce de la myopathie sur certains muscles, tendance il la sclérose du
tissu
conjonctif des muscles atrophiés, s'influencent a
usculaire atrophique, car ce caractère de pseudo-hypertrophie dû au
tissu
conjonctif pouvait être héréditaire et fa- mili
voïdes ce qui tient à l'absence de contiguïté parmi les fibres ; le
tissu
conjonctif in- terstitiel est friable et dispos
s par une infil- tration de cellules rondes et par l'hyperplasie du
tissu
conjonctif des régions atrophiées des muscles.
cepter qu'une seule explication de l'affection, d'après laquelle le
tissu
musculaire (ce qu'on voit par l'atrophie et l'h
me de la lacune il est constitué par les éléments ana- tomirrues du
tissu
nerveux. Nous verrons plus tard dans quel état on
l. A l'état normal en effet, la coupe des noyaux centraux montre le
tissu
gris comme piqueté d'un nombre considérable de
perpendiculairement à leur axe et paraissent émerger directement du
tissu
nerveux sans qu'on distingue autour d'eux une cav
iliaire ces vaisseaux sont encore apparents, mais au- tour d'eux le
tissu
cérébral paraît un peu affaissé et grisâtre laiss
à peu, les parois se sclérosent et il ne reste plus qu'un réseau de
tissu
fibreux, véri- table cicatrice analogue en tous
e toute cavité et de ne former qu'une simple ligne colorée en plein
tissu
cérébral. On sera assurément tenté de prendre c
or dans ces hémorragies limitées, il y a il peine une dissociation du
tissu
cérébral environnant, on constate encore la pré
est caractérisée par ce fait qu'autour d'une artériole cérébrale le
tissu
est raréfié, mais il adhère au vaisseau sans qu
, l'attention est attirée par une zone plus claire dans laquelle le
tissu
semble raréfié, moins coloré et les noyaux moin
ace suffisamment étendu entre l'artère centrale .de la lacune et le
tissu
cérébral même altéré qui la limite, espace dans
Il n'y a plus ici comme dans le 1°= degré union de l'artère avec le
tissu
céré- bral altéré. Cette union a été rompue, l'
éré- bral altéré. Cette union a été rompue, l'artère est séparée du
tissu
qui la soute- nait ; elle est seule avec ses tu
e : dans le 1er degré il n'y avait pas encore de ca- vité : seul le
tissu
cérébral était raréfié autour du vaisseau ; mais
e par l'artère, la deuxième ou périphé- rique est constituée par le
tissu
cérébral, et la troisième ou intermédiaire est
de fibres conjonctives et enfin une tunique externe ou adventice de
tissu
conjonctif représentée surtout par des cellules f
même côté, et peuvent être tellement nombreux qu'ils mas- quent le
tissu
conjonctive-élastique coloré en rose par l'éosine
lacune. Les parois de la cavité lacunaire sont consti- tuées par le
tissu
cérébral lui-même un peu modifié et altéré. En pr
urant une circu- lation abondante. Tout autour des artérioles, le
tissu
paraît aussi dense qu'ailleurs et se co- lore d
nt du reste une paroi mince qui ne sé- pare que très peu le sang du
tissu
nerveux. Autour d'une lacune ce tissu subit des
pare que très peu le sang du tissu nerveux. Autour d'une lacune ce
tissu
subit des modifications très importantes. Ce qu
r une coupe colorée à l'hématoxyline-éosine c'est la raréfaction du
tissu
qui va en s'accentuant à mesure que l'on s'appro-
lement, la simple différence de coloration montre une diminution du
tissu
, une véritable désintégration. Cela se voit enc
il existe un espace vide entre le.vaisseau central et les parois de
tissu
cérébral ces parois sont toujours anfractueuses
itement régulières et que l'espace vide situé entre le vaisseau et le
tissu
cérébral ne contient pas d'éléments. « Les dime
ns cependant des figures un peu analogues. Dans certaines coupes de
tissu
cérébral normal nous avons observé des vaisseaux
ons toujours vu celle-ci caractérisée par la désintégration même du
tissu
cérébral. Dans une première période le tissu se d
désintégration même du tissu cérébral. Dans une première période le
tissu
se désagrège mais n'est pas encore séparé de so
auteurs ont décrit une membrane qui limiterait la cavité du côté du
tissu
cérébral. « On distingue, limitant celle-ci (la c
image semblable. Immédiatement en arrière des bords de la lacune le
tissu
cérébral est encore très altéré. Ce sont surtou
ment, ou ne les retrouve que tout à fait à la pé- riphérie quand le
tissu
redevient absolument normal. Du reste dans cette
possible de les suivre longtemps. La névroglie souffre moins que le
tissu
noble. Les libres nettement teintées par la col
noyaux de cellules jeunes et fortement colorées qui envahissent ce
tissu
; on y voit aussi parfois une notable quantité
dissé- LACUNES DE DÉSINTÉGRATION CÉRÉBRALE '. 117- minent dans le
tissu
environnant ; on voit bien à cette répartition qu
un peu schématiquement que nous avous distingué trois zones dans le
tissu
cérébral péri-lacunaire.Nous avons vu dans quel é
cunaire.Nous avons vu dans quel état se trouvaient la paroi puis le
tissu
immédiatement en rapport avec cette paroi. Il n'y
vité, disparaissent peu à peu ; à mesure qu'on s'éloigne du centre le
tissu
reprend son caractère normal. Les mailles de
l y a dans la lacune entre le vaisseau qui en forme le centre et le
tissu
cérébral qui en constitue les parois. Comme on
s très visibles dans la cavité. A côté de ces éléments propres au
tissu
nerveux sont ceux qui viennent du sang. En pr
ocytes polynucléaires, seuls les lymphocytes paraissent envahir les
tissus
. Du reste nous pouvons dire ici que quelque att
ques : on y voit même quelques cellules. Tout autour de la cavité le
tissu
cé- rébral conserve son aspect clair et raréfié
l'aspect de la lacune peut être un peu modifié. La des- truction du
tissu
atteint d'autres vaisseaux et la cavité s'augment
it pas beaucoup d'éléments globulaires dans la cavité lacunaire, le
tissu
blanc étant moins riche en vaisseaux que la sub
ation normale, est lisse. Il existe une infil- tration manifeste du
tissu
cellulaire sous-cutané au niveau du front, du cui
ge du muscle grand pectoral. Benario (2) n'y voit que des restes du
tissu
fasciculaire. L'absence congénitale des muscles
nt non seulement le grand, mais encore le petit pectoral et même le
tissu
cellulaire sous-jacent. Les récidives, d'après
ONGÉNITALE DES MUSCLES GRAND ET PETIT PECTORAL 137 terminer dans le
tissu
sous-aponévrotique de la région pectorale. C'est
péri- phérie : sensations tactiles, cutanées ou superficielles, des
tissus
profonds, (1) V. Hesm, Rev. génér. sur le sens
elles; sans doute le muscle a sa sensibilité, comme tous les autres
tissus
qui composent le segment, mais sais-je plus qu'un
section de tumeur, constater que celle-ci est comme sertie dans le
tissu
nerveux de l'hémisphère, mais que la ligne de d
nette, la tumeur empiétant par des prolongements irréguliers sur le
tissu
normal ; il existe même, dans Fig. 1. Tumeur gl
t T. Armand Delille). TROIS CAS DE NÉOPLASIES CÉRÉBRALES 205 ce
tissu
, au voisinage de cette zone, de petits nodules de
ES 205 ce tissu, au voisinage de cette zone, de petits nodules de
tissu
pathologique très analogues à celui qui constit
'ils donnent un véritable aspect angiomateux ; dans les mailles de ce
tissu
se logent d'abondantes petites cellules d'aspec
'élément noble, mais qu'il s'est fait en même temps une réaction du
tissu
de soutien qui parait avoir touché d'une part l
qui parait avoir touché d'une part la névroglie et d'autre part le
tissu
conjonctif des gaines vas- culaires et les vais
aire, comme nous le disons dans notre descrip- tion, à un véritable
tissu
angiomateux; et d'ailleurs, au moment de l'au-
polygonales, revient à la névroglie, d'un côté, aux leucocytes et au
tissu
conjonctif périvasculaire de l'autre. Au poin
onstate que ces masses sont formées de noyaux blancs grisâtres d'un
tissu
assez résistant, rappelant un peu celui des fibro
es utérins ; ils sont séparés en certains points par des travées de
tissu
conjonctif qui constituent des gaines vasculair
u'on puisse admettre que la tumeur s'est développée aux dé- pens du
tissu
conjonctif pie-mirien, probablement aux dépens d'
grossissement, on est frappé de l'aspect tout à fait particulier du
tissu
. Il semble qu'on soit en présence d'une coupe d
ltération des cellules pyra- midales et qu'à la suite la névroglie,
tissu
de soutien, antagoniste de l'élé- ment noble, a
on noirâtre, de la grosseur d'un pois, le tout réuni dans un peu de
tissu
graisseux dense. La partie antérieure du globe
rtée sur une longueur de 2 centimètres par une languette aplatie de
tissu
nerveux, tapissée régulièrement de méninges et ém
e membrane transparente limitée du côté droit par une lame plate de
tissu
ner- veux, de 6 millimètres de large et de 2 mi
eur précitée de 20 millimètres. Sur le bord gauche existe un peu de
tissu
nerveux donnant un aspect blanchâtre, sur une l
en une région plus antérieure que d'ordinaire, et le gros cordon de
tissu
nerveux que nous mar- quions (3) sur le schéma
nt visible sur le cliché, a ses proportions normales par rapport au
tissu
compact diaphysaire. Au niveau du genou, 268 IR
dit l'angle. En avant, nous voyons une masse irrégulière, formée de
tissu
spongieux, où l'on distingue les deux condyles,
u lieu d'arriver è, un rein bien développé, on tombe sur un amas de
tissu
conjonctif dans lequel il n'y a point de tissu re
tombe sur un amas de tissu conjonctif dans lequel il n'y a point de
tissu
ressemblant au tissu rénal ; cet amas de tissu
tissu conjonctif dans lequel il n'y a point de tissu ressemblant au
tissu
rénal ; cet amas de tissu cellulaire est coiffé
el il n'y a point de tissu ressemblant au tissu rénal ; cet amas de
tissu
cellulaire est coiffé par un petit corps présenta
rtout pour objet de montrer leurs rapports avec les méninges et le'
tissu
conjonctif interstitiel ; mais elle nous a servi
en effet, d'examiner avec plus de précision l'état des fibres et du
tissu
interstitiel, ci un niveau déterminé, et de com
IAUSER les gaines de myéline, mais aussi d'une façon diffuse sur le
tissu
conjonctif, les noyaux cellulaires etc. ; et le
00 THOMAS ET IIAUSEII noidien et le ganglion ; on n'y trouve que du
tissu
fibreux adulte plus ou moins dense ; cependant
oupes on distingue entre les racines et les gaines conjonctives, un
tissu
d'apparence amorphe plus ou moins épais, con- t
cellules Bouleversement des Cbres radiculairespar l'inflammation du
tissu
conjonctif interstitiel. Orientation en tourbil
. 2. LÉSIONS RADICULAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TABES 301 fixes du
tissu
conjonctif proliférées ; ce tissu contient par pl
GLIONNAIRES DU TABES 301 fixes du tissu conjonctif proliférées ; ce
tissu
contient par place des trousseaux fibreux ; il
t occupé par des vaisseaux (v), des tractus fibreux, des faisceaux de
tissu
conjonctif adulte, des amas d'éléments nucléés
ont formés d'éléments embryonnaires, mais ils sont plutôt rares. Le
tissu
interstitiel du ganglion n'est pas augmenté. Les
rque de nom- breux amas embryonnaires, des cloisons conjonctives de
tissu
fibreux dense, le tout concentré dans une gaine
droite : Il n'existe plus à la place de la cellule qu'un nodule de
tissu
conjonctif. - LÉSIONS RADICULAIRES ET GANGLIONN
n'existe pas de cloisons con- jonctives entre les fascicules,ni de
tissu
conjonctif interstitiel entre leurs fibres. Les
se dissocier en fascicules bien isolés, mais sans interposition de
tissu
conjonctif. Sur des coupes longitudinales les f
ne voit non plus les fibres de racines postérieures séparées par un
tissu
conjonctif plus abondant qu'à l'état normal. Ré
t aussi en voie d'atrophie et de disparition. Il est à noter que le
tissu
conjonctif fascicule n'est cependant pas plus abo
ais ; il n'y a pas d'épaississement de la capsule du ganglion ni du
tissu
conjonctif interstitiel. Enfin on peut rencontr
rieures, mais nulle part on ne rencontre une proportion exagérée du
tissu
conjonctif autour des fascicules ou dans les in
ortion sous-ganglionnaire, les racines sont absolument normales. Le
tissu
interstitiel et la gaine du nerf ne présentent ri
ascicules radiculaires ne sont pas pour la plupart, pénétrés par le
tissu
conjonctif qui les engaine quelquefois de si pr
intéressante par l'épaississement de la dure-mère, l'importance du
tissu
inter- fasciculaire et des cloisons conjonctive
us qu'on l'exa- mine dans des plans plus rapprochés du ganglion. Le
tissu
conjonctif s'y pré- sente sous l'aspect de fais
t des amas ou sont infiltrés irrégulièrement entre les faisceaux du
tissu
conjonctif : les uns sont ronds, les autres allon
les gaines fibreuses formant leurs cloisons on découvre souvent un
tissu
d'épaisseur variable, comme coulé entre ces deu
mbre des fibres à myéline des faisceaux radiculaires. Inflammation du
tissu
conjonctif de soutien; amas nucléaires, masses
t dissociés par de nouvelles cloisons en fascicules plus petits. Le
tissu
inflammatoire est variable comme importance, étan
ionnaire de la 8° racine cervicale, le périnèvre des fascicules et le
tissu
interfasciculaire sont proliférés et épaissis.
sies. Dans la région de Nageotte, le périnèvre des fascicules et le
tissu
conjonctif lllter-fascicniaire sont épaissis, p
if lllter-fascicniaire sont épaissis, par endroits c'est surtout du
tissu
conjonctif adulte, ailleurs ce sont des amas nu
es. Au niveau du nerf radiculaire, les gaines périfasciculaires, le
tissu
interfas- ciculaire ne sont pas notablement épa
nt épaissis, mais entre la périnèvre et le fasci- cule il existe un
tissu
amorphe contenant des noyaux qui se colorent irré
vre est légèrement enflammé à la périphérie de chaque fascicule. Le
tissu
interfasciculaire est également épaissi. Les pe
sus du ganglion elle est dissociée en de nombreux fascicules par un
tissu
fibreux très dense formant un périnèvre épais aut
s dense formant un périnèvre épais autour de chaque fasci- cule. Le
tissu
inter-fasciculaire est également très riche en fa
nt par la région de Nageotte et un peu au- dessus, les noyaux et le
tissu
conjonctif sont proliférés et dissocient les élé-
cul-de-sac arachnoïdien, la racine postérieure est engainée par un
tissu
d'aspect amorphe, contenant cependant quelques no
tenant cependant quelques noyaux et quelques faisceaux conjonctifs,
tissu
qui fait place plus bas aux riches faisceaux fibr
très épaisse, semée de proliférations nucléaires (cellules fines du
tissu
conjonctif, amas embryonnaires) : on voit aussi d
erstitielle, les faisceaux radiculaires ne sont pas pénétrés par le
tissu
fibreux périfasciculaire. Dans la région de Nag
'enveloppe conjonctive de la racine (épinévrite). - Ilyperplasie du
tissu
conjonctif interfasciculaire. - Les faisceaux rad
persés en ilots et en traînée (fig. 7). Dans chaque fascicule, le
tissu
conjonctif n'est pas proliféré, mais le nom- br
: les capsules cellulaires sont séparées les unes des autres par un
tissu
conjonctif riche en fibres, les vaisseaux n'y s
seaux. La racine antérieure paraît également infiltrée de noyaux du
tissu
conjonctif. Observation YI. Baud..., 62 ans.
mateuses contraste avec les lésions in- flammatoires très nettes du
tissu
conjonctif et des méninges. La dure-mère est ép
plus pâles et plus grêles. 320 THOMAS ET HAUSER peu spécial de ce
tissu
. Non seulement il forme aux fascicules un manchon
amen du parenchyme ganglionnaire montre un développement anormal du
tissu
conjonctif du stroma. Les cellules sont entourées
place des fibres nerveuses, une masse circulaire constituée par du
tissu
conjonctif fascicule. Sur certaines coupes un p
foyers hémorragiques (fil), et par 1'li3perplisie inflammatoire du
tissu
interstitiel. Masson et Ch, Editeurs. LÉSIONS
creusée çà et là, elle semble due à un processus irritatif intense du
tissu
interstitiel, peut-être consécutif à des hémorr
e même que celui que nous venons de décrire. Au centre une masse de
tissu
conjonctif en voie d'inflammation, à la périphé
rajet ex- trêmement irrégulier à cause du développement excessif du
tissu
conjonctif, particulièrement au niveau de la ré
ds, composées de fibres de divers calibres, plongées au milieu d'un
tissu
d'aspect hyalin : dans chacun de ces petits placa
rares noyaux et du protoplasma amorphe. Dans la plupart des cas le
tissu
fibreux ne pénètre pas à l'intérieur des fascic
ascicule qu'au centre (fig. 9). Le périnèvre n'est formé que par du
tissu
fibreux adulte. Sur quelques fascicules les f
e il est difficile de distinguer les gaines des fibres nerveuses du
tissu
conjonctif proprement dit hyalin aussi. Les v
ine dorsale, on voit très nettement des fascicules envahis par le
tissu
libreux ; (l'autre part tout près au ganglion, qu
CULAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TABES 323 engainés dans un manchon de
tissu
fibreux d'aspect hyalin, creusés par un nombre
es sont réunies par petits groupes séparés les uns de autres par un
tissu
d'apparence amorphe, coloré en rose; dans chaqu
sions exclusivement parenchymateuses, car le 324 THOMAS ET HAUSER
tissu
interstitiel n'est augmenté ni à la périphérie ni
uellement. LESIONS RADICULAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TABES 325 Le
tissu
fibreux n'est pas très abondant entre les fascicu
une teinte rose pâle par le car- min, et ressemblant vaguement à du
tissu
musculaire. Les éléments nucléés y sont rares ;
nombreux ont leurs tuniques épaisses et hyalines. On ne voit pas ce
tissu
pénétrer dans la racine postérieure qui reste pre
eure est elle-même entourée d'une zone inflammatoire analogue. Ce
tissu
néoformé est constitué par de volumineuses masses
s. La gaine piale forme à la racine un manchon épais constitué d'un
tissu
fibrillaire lâche et d'éléments nucléés extrêmeme
d'éléments nucléés extrêmement abondants. L'inflammation atteint le
tissu
interstitiel et entre les tubes nerveux s'accu-
uleuses; soit sous l'aspect d'un croissant ou d'un cercle entier de
tissu
amorphe autour d'une fibre nerveuse, oubien enc
que nous venons de décrire, il existe des lésions des méninges, du
tissu
conjonctif péri et intra-fasciculaire et des vais
tives qui entourent les faisceaux secondaires (périné- vrite),et du
tissu
conjonctif inlra-fasciculaire (endonévrile). Nage
ules élémentaires des racines par une prolifération embryonnaire du
tissu
conjonctif, suivie de sclérose... Dans le cas de
lement par de véritables gaines. Ils semblent plongés au sein d'un
tissu
plus ou moins nettement (ibrillaire. On peut co
te. - Quoi qu'il en soit, on ne peut mettre en doute la tendance du
tissu
conjonctif inter,péri et intra-fasciculaire par
ES ET GANGLIONNAIRES DU TABES 417 7 tendance à se dissocier, car le
tissu
conjonctif ne s'infiltre pas entre eux. Les vai
s avons déjà dit un mot de ia pachyméningite et de l'arachnitis. Le
tissu
conjonctif néoformé prend fréquemment un aspect
eaux fibreux de la dure-mère, soit sur le feuillet arachnoïdien. Le
tissu
con- jonclif du périnèvre émane en apparence de
obs. 1, III, Vlt. X, XI). L'apparence homogène, quasi-amorphe de ce
tissu
fait penser ;i première vue à un exsudât coagul
ibrilles conjonc- tives hyperplasiées. Cette tendance générale du
tissu
enflammé à subir une transformation nécrotique
resté un kyste dont les parois plus ou moins végétantes écartent le
tissu
nerveux. Au voisinage, les éléments nerveux n'en
amas de noyaux embryonnaires, surtout à la périphérie. Peut-être le
tissu
conjonctif inters- titiel est-il parfois hyperp
l reste une cellule atrophiée ou même il ne reste rien au milieu du
tissu
interstitiel. On pourrait être tenté de contest
onjonctifs de son enveloppe. Ici, comme ailleurs, l'inflammation du
tissu
interstitiel peut fort bien n'intervenir que se
vitalité de l'élément noble et une rupture d'équilibre au profit du
tissu
conjonctif. f. Cette supposition est d'autant p
processus de néoformation analogue à celui qui a lieu pour d'autres
tissus
au milieu d'un foyer inflammatoire,ou bien enco
ntre la dégénération des fibres et l'intensité de l'inflammation du
tissu
conjonctif interstitiel. . Reportons-nous en ef
mètres. Ar; Arachnoïde. P.jI. Pie-mère. Entre ces deux membranes le
tissu
sous-arach- noïdien est épaissi et infiltré d'é
au niveau du cerveau où l'espace sous- arachnoïdien est rempli d'un
tissu
conjonctif fibrillaire, jeune, à mailles lâches
ns cellulaires dans les interstices des fibres de là pie-mère et du
tissu
sous-arachnoïdien. · Fig. 3. Coupe de la pie-mè
chenal pour le passage du sang ; il est manifeste qu'une partie des
tissus
situés en dedans de l'élastique interne provien
des lacunes sanguines néoformées (fig. ). La tunique moyenne et les
tissus
de l'endartère épaissie ont subi des lésions de n
t les lésions mésodermiques superficielles. Dans la profon- deur du
tissu
nerveux on trouve des lésions de capillarité, sur
ameaux des mêmes artérioles ; de plus, les propriétés physiques des
tissus
dans lesquels ils se sont formés paraissent avo
endant de noyaux en bâtonnets ou en croissants grêles comme dans un
tissu
fibreux très ancien, mais ils ont des formes ov
offrent aussi un épaississement net et la transformation en ce même
tissu
feutré. Les veines, quand la coupe en comporte,
eut aussi avoir été le résultat du développement im- parfait de ses
tissus
. La plus vieille épiphyse soudée était celle de l
lifération intense, avec des figures cellulaires désordonnées et un
tissu
conjonctif épaissi. Il ne s'agit donc pas d'une
épaissie. Coloration brun pâle. Consistance dure. Prolifération du
tissu
conjonctif. Reins très augmentés ; poids du rei
r des canaux; dégénérescence hyaline des glomérules augmentation du
tissu
conjonctif périglomérulaire. Capsules surrénale
i. Quelques granulations tuberculeuses milaires disséminées dans le
tissu
conjonctif. Estomac et intestins augmentés dans
5. Atrophie testiculaire sans inflammation : ni la capsule, ni le
tissu
conjonctif ne sont hypertro- phiés. Atrophie de
des fibres nerveuses ; les fibres normales sont en minorité ; le
tissu
fibreux l'emporte sur le tissu nerveux ; mais i
ibres normales sont en minorité ; le tissu fibreux l'emporte sur le
tissu
nerveux ; mais il n'y a pas trace d'inflammatio
. Corps étranger articulaire libre (souris articulaire), formé de
tissu
cartilagineux de la hanche droite. Synoviale vi
s appareils, la texture et les propriétés si différentes des nombreux
tissus
qui les composent, toutes conditions nécessitées
it qu'en détruisant, à une profondeur plus ou moins considérable, des
tissus
à l'état de phlegmasie chronique dont on peut pre
mples injections. Monro a proposé d'inciser le sac et de perforer les
tissus
avec une aiguille de dedans en dehors, ou de l'in
s tumeurs des paupières se distin-gueraient suivant leur nature et le
tissu
qu'elles affectent ou dans lequel elles se dévelo
Les deux premiers se rapportent plus particulièrement à la peau et au
tissu
cellulaire sous-jacent; l'autre intéresse ordinai
don-nées à elles-mêmes, sont, sur la conjonctive comme sur tout autre
tissu
, le germe de ces tumeurs redoutables qui envahiss
rgien doit porter son attention à enlever exactement tout fragment de
tissu
douteux et, après l'excision, cautériser la surfa
comme une membrane distincte par une sécrétion interstitielle dans le
tissu
de la conjonctive. Enfin, suivant M. Rognetta, le
rent dans la cavité de la membrane séreuse oculaire, quel que soit le
tissu
d'où pro-vienne la suppuration. La ponction ne
érent, 4° absence de toute phlogose du globe oculaire dans les divers
tissus
, 5° état de santé général satisfaisant et absence
lles-ci peuvent coïncider avec d'autres affections acci-dentelles des
tissus
plus profonds (cristallin, corps vitré, rétine),
e pupille. Lorsque le diaphragme oculaire présente des altérations de
tissu
(ce qu'on reconnaît à une décoloration du grand c
L'inflammation tendant à se développer avec plus de violence sur ces
tissus
altérés, il peut en résulter l'opacité du reste d
QUI AFFECTENT TOUTE LA MASSE OCULAIRE. En général, quel que soit le
tissu
primitivement affecté, elles se résument dans le
ex-terne, est lâche et, mobile eu arrière, où elle est doublée par un
tissu
cellulaire fin et lamelleux dans lequel rampent d
gère suppuration, qui se supprime après quelque temps. A la longue un
tissu
cutané accidentel tapissant le court trajet fistu
surtout sur les ailes du nez, ne présente jamais de graisse dans son
tissu
cellulaire et est comme criblée par des follicule
à s'ulcérer que dans le procédé ordinaire, où il est constitué par un
tissu
de cicatrice. Enfin le nez est sou-tenu par des b
s la méthode française. i0 Rhinoplastique par simple décollement de
tissus
. Lorsque le nez est considérablement aplati, il c
noplastique par décollement composé. Si avec la dissection simple des
tissus
, comme précédemment, on combine la section des la
imagina de les percer d'une fente longitu-dinale propre à retenir le
tissu
qui s'y engage; enfin Richter, pour faciliter l'i
Anatomiquement cette altération est causée par l'épaississement d'un
tissu
cellu-laire séreux, l'amincissement des muscles e
ir plutôt en pressant qu'en sciant, et par cela même de confondre les
tissus
et de donner lieu à une plaie en dos d âne, ou à
s au-dessous une carte aussi haut que possible entre les lèvres et le
tissu
gin-gival. Pour la section de la lèvre, saisir l'
u bord rosé. Ainsi la première aiguille placée parcourt à travers les
tissus
une lé-gère courbe dont la convexité est tournée
ai-gnante des muscles de la joue, qui plus tard se transforment en un
tissu
inodulaire. C'est tout ce que l'on puisse exiger
, et continuer cette incision verticalement, mais seule-ment jusqu'au
tissu
cellulaire sous-cutané, sous la mâchoire et sur l
portés dans la bouche par un vase à bec recourbé; et on attend qu'un
tissu
in-odulaire s'organise, en ayant soin de détruire
taires; phénomène dont la cause peut tenir ou à l'endurcis-sement des
tissus
fibreux articulaires, ou à l'induration des par-t
e leur longueur et dans une profondeur suffisante pour at-teindre les
tissus
souples et non altérés. Le malade assis sur une c
e est mieux limitée, en l'isolant avec soin du conduit auditif et des
tissus
fibreux de l'articulation temporo-maxillaire, pui
chirurgien a soin de s'assurer, au toucher du doigt, de la nature des
tissus
sur lesquels il opère; et c'est par cette précau-
'un kyste: mais, quand il y a tumeur lymphatique ou transformation de
tissus
, l'extirpation est néces-saire. kystes de la bo
ent en dehors , vers la gencive ou la joue, pour éviter de blesser le
tissu
de la langue. A mesure que l'on avance dans l'opé
omprise dans l'épaisseur de la langue, mais sans faire corps avec son
tissu
, il suffit d'inciser, longitudinalement, jusque s
bord de l'organe, on l'enlève par une incision courbe, au travers du
tissu
sain, en tant que l'altération fait corps avec lu
gnantes suffit pour arrêter l'hémorrhagie ; la cicatrisation, dans ce
tissu
très vasculaire, s'opère du sixième au dixième jo
notre époque. Opérée dans de bonnes conditions, c'est-à-dire sur des
tissus
sains et chez des su-jets de quinze à cpiarante a
use, de ma-nière à pouvoir rapprocher les bords par l'allongement des
tissus
. 2° Dans un autre cas M. Krimer aurait taillé de
e rencontrer à la voûte du palais. En raison de l'adhérence intime du
tissu
vasculaire sous-muqueux avec le périoste, et de l
'argent dans les inflammations de mauvaise nature avec flaccidité des
tissus
. MM. Velpeau et Toirac l'ont employée avec avanta
nature encé-phaloïde; mais cette altération n'est pas la seule, et le
tissu
hypertrophié, toujours très vasculaire, prend sou
pertrophié, toujours très vasculaire, prend souvent le caractère d'un
tissu
fongueux etérectile. Divers moyens ont été empl
'existe qu'une turgescence causée par les fluides, sans altération de
tissus
. C'est dans ce sens que l'on s'explique les succè
la coïnci-dence du siège anatoinique, avec l'extrême sensibilité des
tissus
, peut déterminer, pendant un long temps, des acci
tous les cas, et ne permet pas de poursuivre un prolongement dans les
tissus
, comme on le fait avec le bistouri et les ciseaux
uffit, pour le résultat de l'opération, d'enlever toute la portion de
tissu
proéminente; mais si l'on a affaire à une dégénér
nes, abcès ou tu-meurs de diverse nature, qui intéressent la peau, le
tissu
cellulaire inter-organique ou les divers organes
sont comprises sous cette vague dénomination. Outre F hypertrophie du
tissu
thyroïdien, cas le plus ordinaire et le plus simp
indication est de la vider par ponction, mais dans tous les cas où le
tissu
en est solide, il faut avoir recours à d'autres m
rs après l'extirpation ou la ligature, pour détruire quelque reste de
tissu
de mauvaise nature. Divers caustiques peuvent alo
iso-lées entre elles, comme elles sont séparées par étranglement des
tissus
voisins à leur base. En résumé, l'opération de
ce de l'isthme est parcourue par des veines assez considérables et le
tissu
glandulaire est lui-même très vasculaire. Au-dess
, conseille de diviser de chaque côté, aux extrémités de la plaie, le
tissu
fibreux inter-cartilagineux. Du reste, une fois l
IQUENT SUR LE THORAX. Outre les opérations générales sur les divers
tissus
, ouvertures d'abcès, résections des côtes, etc.,
e cancer envahit profondément, s'il envoie des prolonge-mens dans les
tissus
ou adhère aux côtes, et quand il existe des engor
s de bistouri tenu en sixième position, le tran-chant tourné vers les
tissus
sains dont, par prudence, il faut tou-jours enlev
S'il existe sur divers points entre les muscles, des prolongemens de
tissus
altérés ou de nature douteuse, il faut en faire p
de points qu'il s'en présente, toujours en enlevant au-delà dans les
tissus
sains. i" S'il existe sur le trajet des vaisseaux
us branchial dont elles ne sont séparées que par une aponévrose et du
tissu
adipeux toujours altéré lui-même (i), leur isolem
'on a quel-ques doutes qu'il soit resté dans la plaie des portions de
tissus
altérées, on ne réunit pas la plaie, tout d'abord
s derniers prolonge-mens qui échappent à l'œil et au toucher dans les
tissus
. C'est donc en particulier dans les cas simples
t peu-à-peu le poumon sur le ra-chis, jusqu'à le réduire à son propre
tissu
, et en le repoussant avec le médiaslin vers l'aut
profondément, mais en redoublant d'attention pour ne pas atteindre le
tissu
du poumon. Parvenu à quelques millimètres de la s
se pour faciliter son trajet à la sortie et son séjour au travers des
tissus
, sans les tendre et les déprimer au milieu, comme
large ouverture béante par laquelle il est facile de distin-guer les
tissus
et de transporter l'opération dans l'espace le pl
la tuméfaction première avait succédé la maigreur et la sécheresse de
tissus
habituelles au sujet. Les urines étaient devenues
ce des plèvres, et la formation d'un canal muqueux accidentel dans le
tissu
du poumon , que les collections liquides du foie
proposition en remonte à 1827. L'auteur incise couche par couche les
tissus
avec le bis-touri, jusqu'à 2 ou 3 millimètres de
s, puis consécuti-vement de déterminer la rupture ou l'ulcération des
tissus
deve-nus sécables, l'ouverture du foyer se trouva
eschare superficielle pour mettre à décou-vert une nouvelle couche de
tissus
, au centre de laquelle il ap-plique de nouveau la
ligne blanche où l'on ne trouve sur le trajet de l'instrument que des
tissus
fibreux et des vaisseaux de très petit volume.
elle des artères. Cependant, comme ce procédé embrasse une surface de
tissu
assez étendue, il pourrait être dangereux pour le
ne s'applique assez exactement pour étrangler et couper trop tôt les
tissus
. C'est donc un avertissement en pra-tiquant ce mo
ire arrivent à faire partie de la cicatrice par l'inter-médiaire d'un
tissu
cellulo-fibreux, et enfin, suivant M. Reybard, il
ment la plaie de l'intestin avec saillie dans sa cavité d'un repli de
tissu
séreux. Nous ignorons absolument quelles devraien
nt par des brides celluleuses, qui ne sont qu'un même élément avec le
tissu
séreux, les mem-branes muqueuses sont impropres à
ce mode de réunion, leur cicatrisation ne pouvant se faire que par un
tissu
cellulo-fibreux dans un temps beaucoup plus long,
ne, ou viscérale, et, par sa face externe, il est en rapport avec les
tissus
au milieu desquels il est venu se loger. Cette fa
, n'offre aucune ouverture en ce point, et il ne s'ouvre que clans le
tissu
cellulaire extérieur au péritoine pour donner ent
vaisseaux lymphatiques et des filets nerveux ; le tout entremêlé d'un
tissu
cellulaire lâche et enveloppé de plu-sieurs tuniq
ria qui, à la vérité, est quelquefois rompu, elle soulève la peau, le
tissu
cellulaire sous-cutané, des flocons de graisse et
e, le péritoine qui entoure l'an-neau est lâchement uni au moyen d'un
tissu
cellulaire extensible;, et par conséquent cette m
de celui-ci, c'est-à-dire les trois vaisseaux ombi-licaux entourés de
tissu
cellulaire, se cicatrisent avec la peau, et forme
nt plus que parfois des pelotons de graisse, des couches anormales de
tissu
cellulaire ou des kystes séreux se rencontrent en
ue charnue qui, privée de péritoine, n'est plus recouverte que par un
tissu
cellulaire tomenteux. 4" Temps. Ablation de la
sur la con-vexité, et il pense qu'on divise ainsi plus facilement les
tissus
d'arrière en avant et du centre à la circonférenc
tère était ouverte, le sang versé au dehors, ou tout au plus clans le
tissu
cellulaire du bassin, ne pourrait se répandre cla
sur la convexité, au-dessous du ligament de Fallope, en divisant les
tissus
de l'intérieur à l'extérieur. La ra-cine de l'art
ntre l'autre, amène à la longue un resserrement, une condensation des
tissus
, soit par simple irritation, soit à l'aide d'une
tout une condition indispensable de sa réus-site est la souplesse des
tissus
et la tendance naturelle et organi-que au resserr
bouchons l'un de l'autre, de manière, tout, d'une fois, à serrer les
tissus
embrassés par l'épingle et à pro-tegerla peau con
e paroi sont, en procédant cle l'extérieur à l'intérieur, la peau, le
tissu
cellulaire, la graisse, le muscle grand dorsal, l
nale correspondante. Après avoir détaché couche par couche tous les
tissus
qui re-couvrent le colon lombaire, on voit, en ex
externe de la membrane séreuse, adhère à la tunique musculaire parmi
tissu
lâche dans cet endroit. Cette disposition donne u
rsqu'on a divisé toutes les couches précédentes, on est arrivé sur le
tissu
cellulaire graisseux et adipeux qui enveloppe le
de la masse des muscles précités. Après avoir divisé la peau et le
tissu
graisseux , il glisse une spatule plate, dite ang
ord externe du carré des lombes; il ne lui reste plus qu'à exciser le
tissu
cellu-laire et des pelotons graisseux, et le gros
hauteur (5 centimètres), sans être obligé de couper crucialement les
tissus
profonds, avantage que ne permet pas l'incision t
l-de-sac de l'intestin , de manière à rendre sensible, au travers des
tissus
, la pointe de l'instrument sur laquelle on incise
(8 lignes). Puis il divise successivement, et couche par couche, les
tissus
qui se présentent, mais plutôt en décollant qu'en
d'un seul coup, en reti-rant l'instrument, il divise la muqueuse , le
tissu
sous-muqueux, le sphincter dans toute son épaisse
bien à l'angle supérieur l'intestin aura fui sous le tran-chant et le
tissu
cellulaire se trouve divisé au-dessous de l'intes
, ont succombé à des péritonites avec infiltration purulente dans le
tissu
cellulaire des organes pelviens. Il n'est pas bes
anale consiste dans un canal accidentel ou un clapier, situé dans le
tissu
cellulaire qui envi-ronne l'extrémité inférieure
plus ordinairement à sa tunique muqueuse et consécutif à un abcès du
tissu
cellulaire ambiant ou à une ul-cération du rectum
e qui s'ouvre au contraire dans le rectum et forme cul-de-sac dans le
tissu
cellulaire sous-cutané. De ces trois sortes de
on chimique et sur-tout d'empêcher les filtrations purulentes dans le
tissu
cellu-laire des organes du bassin. Ligature. On
t, à cause des filtrations de pus ou de liqui-des stercoraux, dans le
tissu
celluleuxet vasculaire, intermédiaire du rectum à
t évident que toutes les fois qu'il y a une altération quelconque des
tissus
, la dilatation, de quelque manière qu'on l'emploi
, etc. A l'œil nu les tumeurs hémorrhoïdales semblent formées par un
tissu
fibreux et vasculaire plein ou renfermant une cav
jours suivans la liga-ture se trouve relâchée par l'amincissement des
tissus
renfermés dans l'anse, on resserre avec une nouve
'en exprimer, par la pres-sion, le sang qu'elles renferment dans leur
tissu
et le caillot qui distend leur cavité , quand il
chairs et que l'on retire en incisant la mu-queuse , le sphincter, le
tissu
cellulaire et la peau à une profon-deur d'environ
de sorte qu'il n'y a d'incisé que la peau, la mem-brane muqueuse, le
tissu
cellulaire et tout au plus, si la division porte
rectum, étendue dans ses dimensions, épaissie, boursouflée et dont le
tissu
cellu-laire amolli, qui l'unit à la membrane musc
e l'eau tiède, puis avec un mélange d'huile et de vin pour donner aux
tissus
un peu de tonicité; enfin on l'enveloppe dans tou
dans l'état sain, l'anus est entouré de plis cutanés en saillie, d'un
tissu
ferme, convergeant de la circonférence vers le ce
rien de fixe. On attribue à cette méthode la faculté de resserrer les
tissus
et de favoriser la formation du tissu inodulaire.
de la faculté de resserrer les tissus et de favoriser la formation du
tissu
inodulaire. Procédé de M. Bégin. Ce chirurgien
ès, que le mal ne s'étende pas trop haut et trop profondément dans le
tissu
cellulaire envi-ronnant. Le chirurgien qui voudra
La prostate et la vessie chez ce dernier, sont unis au rectum par un
tissu
cellu-laire très fin , pour la dissection duquel
res musculaires des sphincters qui s'entrecroisent en ce point, et du
tissu
aponévrotique et érectile qui y existe; le pé-rin
t en arrière. Lorsque la peau est incisée, et qu'on est arrivé sur le
tissu
cellulaire sous-jacent, on dissèque les parties e
usqu'au dessus du mal, en comprenant même dans la dissection tous les
tissus
qui paraissent malades. Cette dissection est long
ême poussé entre la tunique vaginale et les autres membranes, dans le
tissu
cellulaire des bourses, s'absorbe plutôt que d'oc
ps, il prend une autre épingle, et la plaçant perpendiculairement aux
tissus
, à un milli-mètre (demi-ligne) au-dessous de la p
s. Ce ruban de fd devait rester en place, jusqu'à ce que la peau, les
tissus
sous-jacenset les veines eussent été coupés. Il e
le laps de temps considérable qu'exige pour, s'opérer, la section des
tissus
, forcent à condamner ce procédé. B. M. Velpeau
ctérisée par un dé-veloppement hypertropbique énorme de la peau et du
tissu
cellu-laire sous-cutané des bourses. On lui a don
a-tion lente et successive de sucs lymphatique, et albumineux dans le
tissu
cellulaire des bourses , tandis que suivant Gui d
tat normal, et très al-longés ; ce qui tient à l'infiltration de leur
tissu
cellulaire par les humeurs lymphatiques et au poi
r des enveloppes aux organes dénudés , puis d'enlever la totalité des
tissus
malades. Une circonstance, quia paru embarrassa
en anatomie pathologique, pour discerner, parmi les alté-rations des
tissus
et les degrés divers où elles peuvent s'offrir, l
n s'assurer que la maladie pour laquelle on espère n'a pas envahi des
tissus
qui sont hors de l'atteinte des instrumens, et qu
her à l'aide de quelques coups de bistouri, ou des doigts. Mais si le
tissu
cel-lulaire, sans être profondément altéré, parti
un malade traité de la sorte par Morand, ou bienrinflam- mntion du
tissu
cellulaire de la fosse iliaque, ou de l'interstic
retire un peu , mais jamais bien haut, parce qu'il est retenu par le
tissu
cellulaire d'enveloppe qui n'a pas été di-visé; p
audrait avoir recours à une excision plus ou moins considérable des
tissus
morbides. L'opération du phimosis, une fois ter
ltré, afin de dissémi-ner la sérosité qu'il contient, et de rendre au
tissu
cellulaire sa mobilité; puis il passe le doigt in
de la verge, et la lame externe du prépuce qui la suit; on divise le
tissu
cellulaire lâche qui l'unit à la lame interne jus
ponde partout à elle-même, que son bord libre soit en contact avec le
tissu
cellulaire de la verge en arrière de la cou-ronne
n'envahir qu'une étendue plus ou moins cir-conscrite de la peau et du
tissu
cellulaire sans intéresser les corps caverneux et
nt sur le dos de la verge et les caverneuses qui sont placées dans le
tissu
spongieux de ce corps ; une fois qu'elles sont li
, la moindre compression suffit pour arrêter le sang qui s'échappe du
tissu
spongieux. Quand il ne coule plus de sang, il fau
ans les trois quarts inférieurs de sa circonférence , en sorte que le
tissu
de la glande manquant supérieurement, celle-ci n'
prostate et n'être séparé du rectum que par une cou-che très mince de
tissu
glanduleux, ce qui expose à blesser le rectum dan
respondantes qui se rendent sur le dos de la verge , ainsi que par du
tissu
musculeux. En bas elle regarde le rectum, dont el
décroissant depuis son origine jusqu'à sa terminaison : la couche de
tissu
érectile qui l'entoure est d'au-tant plus épaisse
nt, la verge est moins relevée, la prostate est à-peu-près plane , le
tissu
spongieux est peu développé et la paroi inférieur
s toute la longueur du canal. Chez les vieillards, au contraire, le
tissu
spongieux gorgé de sang par des érections plus ou
r ainsi dire rien à dé-sirer. Elles sont, formées par une tresse ou
tissu
de fd de lin , de soie ou de poil de chèvre très
brides longitudinales et transversales, et n'est soutenue que par un
tissu
mou , spongieux et facile à dé-chirer; enfin l'an
l'autre main s'exercent, calculer approximativement, l'épaisseur des
tissus
interposés , et établir ses présomptions sur l'ex
nflammatoires résultent de l'afflux plus considérable du sang dans le
tissu
spongieux, et dans la mem-brane muqueuse de l'urè
x qui comprennent les duretés, les no-dosités qui se forment dans les
tissus
sous-muqueux et spongieux. (a) Les brides exist
s centim. de longueur, ils peuvent exister avec ou sans induration du
tissu
cellulaire sous-muqueux ; à l'autopsie, le point
succèdent à l'inflammation si-multanée delà muqueuse urétrale et des
tissus
sous-jacens, passée à l'état chronique , d'où rés
vent la muqueuse paraît saine , et l'indura-tion a son siège dans les
tissus
cellulaire, sous-muqueux et fi-breux ; parfois au
ns les tissus cellulaire, sous-muqueux et fi-breux ; parfois aussi le
tissu
spongieux est malade ; alors les cel-lules qui le
ules qui le composent ont disparu , et lui-même se transforme dans un
tissu
blanc qui peut se confondre avec les tissus voisi
même se transforme dans un tissu blanc qui peut se confondre avec les
tissus
voisins et former une substance susceptible d'acq
sse ailleurs dans des cas semblables, c'est-à-dire une rétraction des
tissus
, et par suite le rétrécissement se reproduirait a
est toujours renfermé jusqu'à l'instant où, placé en rapport avec les
tissus
morbides, il doit être découvert sur eux afin de
reur, à cause des changemens de forme et de longueur qu'éprouvent les
tissus
par leur souplesse. Et il est certain aussi qu'un
vant la sensibilité individuelle, et suivant aussi la sensibilité des
tissus
sur lesquels elle agit ; il est effective-ment à
elle agit ; il est effective-ment à noter que dans quelques cas, les
tissus
du rétrécissement sont tellement indurés qu'ils s
applications successives et convenablement répétées du caustique, les
tissus
subissent une modification profonde, leur mode d'
changé , et le gonflement, chronique de la mu-queuse urétrale et des
tissus
sous - jacens, se trouvent dans de nouvelles cond
e de la cicatrisation, qui ne peut se faire que par la rétraction des
tissus
et aux dépens du calibre de l'urètre, comme dans
liquer le caustique de manière à modifier sim-plement la vitalité des
tissus
en les excitant, de façon à les forcer à se dégor
on qui ne peut manquer de s'établir contribue à la fonte complète des
tissus
morbides en même temps que l'on prévient la forma
ans la vessie, elles se terminent en un cul-de-sac qui plonge dans le
tissu
cellulaire du périnée aux environs du rectum, dan
ou ne trouvant qu'une route étroite et tortueuse, s'infiltre dans les
tissus
voisins. Le malheur ne serait pas moins grand si
renhaut, entre la vessie et laface postérieure du pubis, car alors le
tissu
cellulaire pelvien serait envahi par l'u-rine. To
peut tenter encore de réparer la perte de la substance aux dépens des
tissus
voisins . La méthode indienne, consistant, comm
t être supporté impunément, et après s'être creusé une poche dans les
tissus
environnans, ils donnent lieu à une inflammation
en place, on trouve qu'elle a traversé la peau, une couche épaisse de
tissu
cellulaire graisseux, le muscle releveur de l'anu
te. Comme le trocart poussé à travers une aussi grande épaisseur de
tissus
, peut glisser sur la vessie au lieu de la travers
repoussait le bulbe à droite avec l'indicateur gauche, disséquait le
tissu
cellulaire , coupait la partie des releveurs de l
-même, elle abandonnait l'instrument, et l'urine s'infiltrait dans le
tissu
cellulaire; ou tout au moins, si cet accident n'a
causer une eschare gangreneuse suivie d'épanchemens d'urine dans les
tissus
environnans. Le trocart courbe de F. Côme est l'i
ue dans la vessie où il arrive après avoir traversé, une épaisseur de
tissus
qui varie suivant l'embonpoint des sujets. La sor
nces et la formation d'un canal accidentel dans toute l'épaisseur des
tissus
qu'elle traverse, en sorte que son trajet est pou
et qu'elle ne donne pas à craindre l'infiltration de l'urine dans les
tissus
voisins, tant que la canule est dans son intérieu
ant d'arriver à cet organe, il faut traverser une grande épaisseur de
tissus
: si la pointe de l'instrument ne tombe pas perpe
ant se rétracte , abandonne la ca-nule, et l'urine se répand dans les
tissus
; et si le trocart est trop long, il appuie contre
l'intérieur, on trouve pat-ordre de superposition , i" la peau; 20 le
tissu
cellulaire sous-jacent; 3° l'aponévrose superfici
s le soin de la fixer préalablement avec les doigts ; i" La couche du
tissu
cel-lulaire adipeux qui la double est aussi très
Lfaponévrose superficielle du périnée , lame très mince analogue à du
tissu
cellulo-fibreux, fournit en haut et en avant un p
t sa surface interne, et va se perdre en arrière, d'une part dans les
tissus
fibreux qui environnent la prostate, et de l'autr
e mathématique ; car il faut tenir compte de l'extensibilité dont les
tissus
sont susceptibles lorsqu'ils sont à l'état sain,
vant Boyer, les parties divisées dans cette méthode sont la peau , le
tissu
cellulaire, le muscle transverse, une portion du
les ca-naux éjaculateurs, et à voir survenir des épanchemens dans le
tissu
cellulaire voisin, ou des fistules urinaires, des
tome tenu de la main droite, comme une plume à écrire , la peau et le
tissu
cellulaire paral-lèlement au raphé, à quelques mi
cine des bourses jusqu'auprès de l'a-nus. Après avoir divisé tous les
tissus
qui recouvrent la région bulbeuse, le bulbe lui-m
e qui sépare cet orifice cle la tubérosité de l'is-chion. La peau, le
tissu
cellulaire , l'aponévrose superficielle et les gr
devait servir de guide au lithotome, avec lequel il divisait tous les
tissus
intermédiaires couche par couche. Lorsqu'il y éta
rand. La plaie extérieure étant faite dans la même direction , et les
tissus
intermédiaires à la peau et à la vessie étant div
nge jusqu'à 27 millimètres cle sa pointe; faisait aux tégu-mens et au
tissu
cellulaire une longue incision clans le sens or-d
r faciliter la sortie des calculs, de diviser largement la peau et le
tissu
cellulaire pour éviter l'infiltration de l'urine
ouvait filer, sans qu'on s'en aperçût, hors de la vessie et clans les
tissus
voisins; enfin, qu'il était sujetàdiviser les vai
spectantibus paululùm. Il fallait ensuite couper transversalement les
tissus
au tond de la plaie semi-lunaire (Pl. 64, fig. 1)
de l'anus. Toutes les couches si-tuées entre la peau et l'urètre, le
tissu
cellulaire, l'aponévrose superficielle et la poin
gnet, afin que le tranchant agrandisse l'ouverture de l'urètre et des
tissus
environnans. L'incision extérieure, celle quia
ger le cours de l'urine, soit pour prévenir son infiltration dans les
tissus
; l'al-galie fatigue l'urètre et irrite la vessie
hiatique, dégagea le fil de sa pointe, puis étran-gla l'artère et les
tissus
intermédiaires par un nœud. Rappro-chons de ce pr
u rectum.) Cystite et phlegmon. — L'inflammation de la vessie et du
tissu
cellulaire voisin est un autre accident assez fré
u non à celle de l'urètre ou du col de la vessie, et que la couche de
tissu
cellulaire qui se trouve entre ces parties et le
'anus n'aurait plus les mêmes avantages, parce que la condensation du
tissu
cellulaire intermédiaire confond les deux plaies,
le sacrum et le coc-cyx, et ses côtés sont partout environnés par du
tissu
cellulaire. Dans toute son étendue elle est dépou
es canaux déférens et des vésicules séminales, sont environnés par du
tissu
cellulaire. En résumé, si l'on examíneles parti
l'intestin n'est séparée, en haut, du réservoir de l'urine que par du
tissu
cellulaire lâche, quelques veines qui forment des
de la prostate et de l'urètre par les aponévroses, les muscles et le
tissu
graisseux du périnée dont nous avons déjà parlé.
contestables; ceux qu'elle offre réellement sont : i° d'agir sur des
tissus
dépourvus de troncs artériels dont on ait à crain
age facile aux urines et s'oppose à ce qu'elles s'extravasent dans le
tissu
cellulaire voisin et dans celui du bassin. Mais d
lénitude ou de vacuité de la vessie; cet intervalle est rempli par du
tissu
cellulaire qui l'unit à la ligne blanche et à ses
ouve l'urine à sortir par la plaie delà vessie, à s'infiltrer dans le
tissu
cellulaire du bassin après l'opération, et à y dé
ans la situation ordinaire et incisait la peau de l'hypo-gastre et le
tissu
cellulaire le long de la ligne blanche jusqu'au p
ine de sortir par la plaie de l'hypogastre et de s'infiltrer clans le
tissu
cellulaire; et, d'autre part, en 1811, Dupuytren
pubis, dans l'étendue de 8 à 10 centimètres, et divise au-dessous le
tissu
cel-lulaire jusqu'aux aponévroses. Cette incision
urine dans l'angle inférieur de la plaie, ef son infiltration dans le
tissu
cellulaire; ensuite on fait une incision de 27 mi
a sen-sation d'une résistance vaincue, ou qu'on voit sortir un peu de
tissu
cellulaire par l'ouverture qu'on a faite. Mais ap
e, afin de ne pas glisser à côté, où il irait décoller inutilement le
tissu
cellulaire voisin , et de ne pas donner le temps
ujet est maigre, on y emploie le bistouri pointu qui divise mieux les
tissus
que le bistouri boutonné; mais si l'embonpoint du
mant alors du bistouri, il divise dans un premier temps la peau et le
tissu
adipeux sous-cutané, puis, après avoir reconnu la
lèvres de l'incision le doigt indicateur gauche, écarte et déchire le
tissu
cellulaire et insinuant l'extré-mité du doigt der
ale, et deux jours après on inciserait la vessie. Alors, en effet, le
tissu
cellulaire serait devenu imperméable par l'inflam
toutes les précautions convenables pour ne pas dé-coller la vessie du
tissu
cellulaire ambiant, et la séparer de l'urè-tre ;
tre et de conducteur à ce liquide, et de l'em-pêcher de fuser dans le
tissu
cellulaire. L'effet qu'on attribue à cette mèche
point indispensable. La crainte de voir l'urine s'ex-travaser dans le
tissu
cellulaire, est en général exagérée; elle ne doit
trouver l'organe, obligé de décoller dans une trop grande étendue le
tissu
cellu-laire qui l'entoure et qui l'unit à la paro
rs jours qui suivent l'opération, parce que, après cette épo-que, les
tissus
habitués au contact des liquides et déjà enflammé
la sortie du liquide de la poche urinaire, il s'infiltrerait dans le
tissu
cellulaire s'il ne trouvait pas d'issue au dehors
e, puisque la plaie étant abandonnée à elle-même, après il\ heures le
tissu
cellulaire est assez condensé pour n'avoir plus à
erait au-devant de la plaie, de manière à comprimer suffisam-ment les
tissus
de derrière en devant; mais nous ne pensons pas q
l'opération, peuvent résulter ou de l'infiltration de l'urine dans le
tissu
cel-lulaire ambiant, ou bien de l'inflammation.
côté au-delà de ses li-« mites, en entamant le col de la vessie et le
tissu
cellulaire, si le « volume du calcul l'exige, afi
la loi commune, lorsque quelque fâcheuse infiltration d'urine dans le
tissu
cellulaire du bassin, causée par la division de l
eur, fait glisser la lame du bistouri dessus, et divise avec elle les
tissus
de la vessie en long ou en travers, dans l'étendu
uls même peu volumineux, sans courir le risque de déterminer dans les
tissus
des contusions, des déchirures et des extravasati
ngueur, et peut acquérir une plus grande étendue par l'ex-tension des
tissus
dans lesquels elle est pratiquée (Pl. 67, fig. 1,
i antérieure avec le bas-fond de cet organe, auquel il est uni par un
tissu
cellulaire dense et serré, de manière à former en
nelure du cathéter, et l'on pousse l'instrument de façon à couper les
tissus
d'avant en arrière , jusqu'à ce que la pointe soi
ner à l'incision plus de iS à 3o millimètres d'étendue, parce que les
tissus
au milieu desquels on la pratique étant très élas
nt du bistouri incliné à droite ou à gauche, de manière à diviser les
tissus
très obliquement. Comme le sujet qu'il a opéré a
nde facilité qu'on éprouve à manœuvrer sans être exposé à décoller le
tissu
cellulaire ambiant, est cependant, par sa nature,
ôté de la surface interne, il est vrai qu'il y a moins d'épaisseur de
tissus
à traverser, mais la cicatrice peut être plus len
umeur en serait considérablement accru , par suite du décollement des
tissus
qui résulterait des efforts de la femme et de la
rectum : si l'on sent facilement la convexité de la sonde, et si les
tissus
intermédiaires ne paraissent pas présenter plus d
ui du milieu, et, pendant que l'aiguille marche dans l'épais-seur des
tissus
, on a le soin de lui faire traverser en même temp
âchement tel qu'on n'eut pl us à redouter de voir les fils coupel-les
tissus
: la guérison eut lieu (Voy. pl. 69 , fig. 1).
-blables à celles que fit, dans un cas, M. Dieffenbach, parce que les
tissus
sont presque toujours assez souples pour permettr
ort et l'argent sont les prin-cipaux métaux employés; le verre et les
tissus
élastiques sont réservés pour des cas spéciaux.
s la crainte qu'elles n'étendent trop loin leur action sur les autres
tissus
qu'on a intérêt à ménager. Ces injections servent
rs le point de suture le plus rapproché de l'urètre ayant déchiré les
tissus
, quelques gouttes d'urine s'échappèrent par le v
dé l'ont employé avec succès. Il a probablement agi en con-densant le
tissu
cellulaire sous-jacent à la muqueuse, et en faisa
pas be-soin d'insister sur ce point. Au bout de cinq à six jours, le
tissu
cellulaire des parties traversées par les fils, s
inférieur, et un peu vers la partie postérieure de la vulve dont les
tissus
sont plus souples qu'en avant. Quelques chirurgie
du col utérin , avaient eu pour but d'obtenir, par la suppuration, un
tissu
modu-laire assez solide pour fixer le vagin aux p
ce par aviver les deux tiers postérieurs de la vulve par excision des
tissus
, puis il les réunit par quelques points de suture
solution. Ces pessaires sont constitués , comme les sondes, par un
tissu
de fil de soie, de laine ou de coton , recouvert
q, 1 " vèsiculaires; i" cellulo-vasculaires ; 3° par hypertro-phie du
tissu
utérin; 4" moliforrnes, et '." fibreux.1A. Velpea
on les examine intérieurement, dit M. Malgaigne, on n'y trouve que du
tissu
cellulaire plus ou moins dense, et de nombreuses
ses ramifications vasculaires qui présentent quelquefois la figure du
tissu
placentaire à deux mois de grossesse. Cette sorte
s le nom de polypes vivaces. 3° Polypes par hypertrophie partielle du
tissu
utérin. D'après Dance, MM. Bérard, Cruveilhier, V
la-fois par cette muqueuse et par une partie plus ou moins épaisse du
tissu
utérin , suivant qu'il s'est développé plus ou mo
ce four-nit au polype; car il est formé des mêmes élémens unis par du
tissu
cellulaire et des vaisseaux nourriciers, qui en g
lans lesquels il était à peine assez gros pour les soutenir. Quant au
tissu
du polype lui-même, il est dense, ferme et résist
peu de vais-seaux. Cette tumeur n'est unie à son enveloppe que par du
tissu
cellulaire lâche et sans vaisseaux clans les prem
dans sa position naturelle. D'autres fois au lieu de se raréfier, le
tissu
fibreux des polypes peut se condenser davantage e
es crochets, une de chaque côté, et les enfonça profondément dans son
tissu
; ensuite, par des trac-tions méthodiques, il l'am
ur par l'un des moyens que nous avons indiqués, et que, en outre, son
tissu
est assez friable pour per-mettre aux doigts de l
on bonne en elle-même, Hévin pensa qu'on pourrait éviter la lésion du
tissu
de l'utérus, en faisant fixer, à sa partie supéri
e, en prenant toutefois la précaution de ne pas les ap-pliquer sur le
tissu
de la matrice qui , étant renversée , se pro-long
lutôt, mais quelquefois beaucoup plus tard, suivant la résistance des
tissus
. Leblanc rapporte une observation clans la-quelle
nombreux vaisseaux qui se continuent « d'une manière évidente avec le
tissu
même de l'utérus, ne s'ac-« commoderaient pas de
s ren-fermées dans l'épaisseur des parois utérines font corps avec le
tissu
de la matrice, et ne peuvent en être séparées que
lu-sieurs points de son épaisseur, des poils et quelques parcelles de
tissu
osseux et de tissu cutané, tandis que toute sa ci
son épaisseur, des poils et quelques parcelles de tissu osseux et de
tissu
cutané, tandis que toute sa circonférence n'était
aisseur de l'utérus, revêtues par une couche plus ou moins épaisse du
tissu
de cet organe, constitue un fait essentiel, puisq
ner à l'incision une cer-taine étendue, et diviser toute la couche de
tissu
naturel qui en-veloppe la production morbide, il
aminci en croissant; mais la circonstance de son encastrement dans le
tissu
de l'utérus ne fut pas diagnostiquée. Après avo
la tumeur, et, ne sachant pas encore qu'elle était enveloppée par le
tissu
de l'u-térus, il s'efforçait, avec le doigt, de d
cher d'une manière plus assurée. Une incision étant pratiquée dans le
tissu
de l'utérus qui formait enveloppe, les érignes al
gs ciseaux, parvenait peu-à-peu à en dé-truire les adhérences avec le
tissu
de l'organe. Plusieurs fois, pendant ces longues
large adhérence; celle-ci, formée de bosselures enchatonnées dans le
tissu
de l'organe, ayant été détruite, peu-à-peu avec l
être à nu, ou, du moins, recouvert à peine d'une couche très mince du
tissu
de l'utérus. Pendant les ma-nœuvres pour séparer
re, aucun signe ne pouvant faire prévoir la nature et l'épaisseur des
tissus
qui forment l'enve-loppe pelvienne de la tumeur.
ris que , dans les cas où le cancer com-mence par une ulcération , le
tissu
de l'utérus est sain à quelques millimètres au-de
la vitalité des parties , mais bien de dé-truire toute l'épaisseur du
tissu
malade, parce que la plaie qui en résultera sera
u malade, parce que la plaie qui en résultera sera constituée par des
tissus
susceptibles de devenir la base d'une bonne cicat
on cautérise d'autant plus légèrement, qu'on s'approche davantage des
tissus
sains. Le caustique peut aussi être porté dans t.
, à mesure que la section s'avancera, dans la crainte de déchirer les
tissus
. L'opérateur coupe toujours à petits coups et en
les grandes lè-vres et d'éviter les échappées de l'instrument; car le
tissu
de l'u-térus étant très dur présente beaucoup de
dément, s'il en est besoin , jusque dans le corps de l'utérus. Si les
tissus
offrent assez de résistance , une seule érigne au
ou deux mois pour obtenir ce résultat, ce qui dépend de la densité du
tissu
utérin. La cicatrice présente une couleur rosée e
de la tumeur, M. Malgaigne conseille d'inciser, couche par couche, le
tissu
du vagin ou de l'utérus, jusqu'à la membrane péri
cancer, on est porté à penser qu'ils tiennent à ce qu'on agit sur le
tissu
utérin lui-même. B. prolapsus complet de l'utér
agie, il ne peut y avoir aucun avantage à lui permettre de couper les
tissus
. i° L'excision pure et simple, et sans ligature
centimètres et demi du pubis, et divise, couche par couche, tous les
tissus
, jusqu'au péritoine. Arrivé à la séreuse, il la s
es ont acquis une grande solidité. A. Leroy prétend qu'il se forme un
tissu
cellulo-fibreux intermédiaire qui fait que l'arti
ité antérieure de lácrete iliaque; diviser couche par couche tous les
tissus
jusqu'au péritoine, et le décol-ler afin de décou
it-gen, divisé du côté opposé à l'inclinaison de la matrice, tous les
tissus
depuis la peau jusqu'au péritoine, en ménageant l
'étendue de i3 centimètres (5 pouces) environ, puis successivement le
tissu
cellu-laire, les aponévroses et ouvre le péritoin
ond de l'utérus en avant , le chi-rurgien incise couche par couche le
tissu
de l'organe dans toute son épaisseur, en ayant so
n ne coupe pas seulement des tendons, mais suivant le besoin tous les
tissus
fibreux, ligamens (syndesmotomie), aponévroses (a
rotique, elle enveloppe et double cette membrane à laquelle l'unit un
tissu
cellulaire lâche, en formant un seul feuillet pos
s est resté toujours attaché au globe de l'œil par une forte bande de
tissu
cellulaire. Cette bande, large de trois lignes et
er. L'auteur de l'observation pense que cette bande est formée par le
tissu
cel-lulaire flasque qui unit le muscle au globe d
i unit le muscle au globe de l'œil. Pour nous, en d'autres termes, ce
tissu
n'est que la gaine cellulaire fournie à chacun de
APPORT A l'oPÉRATION. i" Ecchymose. L'infiltration sanguine dans le
tissu
cellulaire lâche qui unit la conjonctive à la scl
, ou à une sorte d'encastrement de l'œil dans une position donnée des
tissus
ambians. 3° NÉvuosivs. Indépendamment des doule
dans l'éten-due d'un pouce et disséqué soigneusement et largement le
tissu
cellulaire sous-muqueux, le chirurgien met en évi
géni ; 1" la section de son aponévrose latérale et le dé-collement du
tissu
sous-muqueux à son insertion à la mâchoire ; 3° l
des apophyses géni. « Après avoir fait une piqûre à la peau et aux
tissus
sous-jacens , à trois ou quatre centimètres en ar
médiat de l'opération n'est pas atteint, on procède au décollement du
tissu
fibreux de la mâchoire. Il arrive qu'en faisant c
s ce chirurgien, entraîne fréquemment l'atrophie ou la résorption d u
tissu
osseux dans les points de pressions, et produit,
ément à cette indication que répond la sclé-rotomie. ALTÉRATION DES
TISSUS
. « Toutes les altérations anatomiques qui accom
accompagnent les difformités, portent sur la généralité des organes,
tissus
et sys-tèmes. On a donc à les suivre dans les os,
urs de l'instrument tranchant » (loc. cit. pag. 73). Altération des
tissus
autres que les muscles. Système osseux. « La po
cles , il éprouve des transformations ana-logues à celles de ces deux
tissus
. « Comme les muscles , les liga-mens se déplacent
ation violacée des parties affectées de difformité et la tendance des
tissus
à passer à la trans-formation graisseuse. Systè
de moyens sont employés : les appareils mécaniques et les sections de
tissus
scléreux. l" APPAREILS MÉCANIQUES. « Six cond
on en surveille les effets. Pour vérifier de temps à autre l'état des
tissus
comprimés, à l'aide d'un ciseau, on brise avec le
nt suivant l'indication qu'il y aurait à remplir. Si au contraire les
tissus
sont trouvés parfai-tement sains, mais que des vi
clérotomie de l'articulation du genou. (Pl- M). Les rétractions des
tissus
fibreux, tendons et ligamens, au pourtour de l'ar
duit la subluxation de l'articulation, et par suite la rétraction des
tissus
fibreux, liga-mens et capsules, et celle des tend
entes; car, après une ou plusieurs années, il existe, pour les divers
tissus
, des altérations forcées de forme, de volume, de
points de pression une absorption, ou, si l'on veut, une atrophie du
tissu
osseux qui se traduit par une con-cavité; la pers
iens et lui-même l'avait cru jusqu'alors, à la nature peu réactive du
tissu
tendineux et à la petitesse de la plaie de la pea
local, tantôt général, en proportion de son étendue, de la nature des
tissus
divisés et des complications qui interviennent. A
opriétés en vertu desquelles il vit, circule, nourrit et organise les
tissus
, et en laissant les extrémités des vaisseaux et d
la surface du lieu où doit se faire la ponction. S'il existe dans le
tissu
cellulaire sous-cutané un em-pâtement qui empêche
Considérations générales sur les dif-formités; altérations des divers
tissus
, xxxvui-xl. = Théra-peutique générale de la diffo
al coupé. 10, 10. Graisse de l'orbite renfermée par flocons dans un
tissu
cellulaire séreux. 11, II. Surface des paupiè
n'est d'abord qu'une surface saignante qui se recouvre plus tard d'un
tissu
cutané accidentel. Figures 3 et 4. Ablation par
té de l'une des branches (b). En fermant l'instrument, elle perce les
tissus
et se trouve saisie , de l'autre côté, par un ann
glisser le curseur (g) qui commande l'aiguille, celle-ci traverse les
tissus
et chasse la petite timbale : le fil qui portait
t, en rappelant celle-ci vers le manche, elle traverse de nouveau les
tissus
en amenant avec elle le fil, qu'il ne s'agit plus
nfermant plusieurs calculs dont un gros (figure 4)» recouvert par les
tissus
, et plusieurs petits (a, a) qui font saillie dans
donnant issue à un gros calcul (figure 4) qui était recouvert par le
tissu
même de la vessie sur la face interne, et se trou
ofondément, s'il est besoin, jusque dans le corps de l'utérus. Si les
tissus
offrent assez de résistance, une seule érigne, au
age pour la staphyloraphie et, en général, pour toutes les sutures du
tissus
membraneux dans des cavités. 23. Aiguille de M.
s droits, et adhérant l'un à l'autre par de nom-breux prolongemens du
tissus
cellulaire séreux. Parvenu au point d'im-plantati
e, lorsque les os du carpe sont encore cartilagineux, et que tous les
tissus
sont encore extensibles. FIGURES 3, 4 et 5. Dis
érivation embryologique de l'hypophyse cérébrale, il l'existence du
tissu
hypophysaire du pharynx, à la permanence du canal
le service on constate : Le malade est de constitution robuste. Le
tissu
adipeux et musculaire est assez développé pour
ls adhèrent parfois à l'épendyme par des nodules inflammatoires. Le
tissu
ner- veux sous-épendymaire est infiltré dans ce
nses des plexus choroïdes. Dans la par- tie centrale de ceux-ci, le
tissu
conjonctif était développé, avec des vais- seau
e les plexus choroïdes sont complètement englobés par une couche de
tissu
conjonctif f fibreux. Dans l'observation VI, ca
, surtout dans la musculeuse; ensuite l'hyperplasie particulière du
tissu
musculaire lisse, avec, par endroits, aspect véri
ulaire lisse, avec, par endroits, aspect véritablement myomateux du
tissu
néoformé. La séreuse ne présente rien à signale
raduite par une raréfaction des tubes nerveux et par l'abondance du
tissu
hyalin, fibreux, où ils sont plongés ; cet aspe
par le développement considérable de la musculature fessière et du
tissu
graisseux de ces parties. 1 Organes génitaux.
le. L'obésité partielle en est la cause. Nous avons déjà dit que le
tissu
cellulo-adipeux était extrêmement développé aux
e est de 0 m. 59). Mais il y a aussi une couche assez épaisse de ce
tissu
dans les autres régions du corps, uotamment au
es en une infinité de petites branches, et avoir composé ces petits
tissus
, qui sont estendus comme des tapisseries au fon
e comme les intervalles qui se trouvent entre les filets de quelque
tissu
)' (4). Les filets qui constituent ce tissu sont
e les filets de quelque tissu )' (4). Les filets qui constituent ce
tissu
sont formés d'une matière comparable, par ses p
ne saurait y répon- dre. Les anomalies peuvent atteindre tous les
tissus
, tous les organes de l'homme. Mais nous les tro
érieute et sur laquelle viennent se fixer les organes et les autres
tissus
, n'échappe pas non plus à ces varia- tions. N
la sensation de cartilages terminés en puinte et se perdant dans du
tissu
fibreux. L'extrémité externe de ces rudiments cla
prolongeant de 5 centimètres et allant se perdre en pointe dans le
tissu
fibreux' qui semble remplacer la clavicule ».
nne à celle dyslrophie. Nous commencerons par ceux intéressant le
tissu
osseux. La taille était petite clans les cas de
ssissement (fig. 1), ni lésions interstitielles (méninges, vaisseaux,
tissu
con- jonctif), ni lésions parenchymateuses ; la
ines de myéline régulièrement colorées, gainesde Schwann linéaires,
tissu
conjonctif interstitiel peu abondant (Fig. 2).
s ner- veux et sur les éléments interstitiels : gaine de Schwann et
tissu
conjonctif intra-fasciculaire. NOUVELLE ICONO
ne sont plus représentés que par un cylindraxe punctiforme entouré de
tissu
conjonctif. Enfin, dans quelques espaces, où il
des nerfs leur aspect caractéristique; L'analyse des altérations du
tissu
conjonctif intrafasciculaire est moins aisée. L
ie de ces dernières est l'élément dystrophique essentiel, et que le
tissu
conjonctif interstitiel n'a pas subi de modific
anormal de la gaine de Schwann. Les intervalles sont occupés par du
tissu
conjonctif réticulé. Enfin (fig. g), dans les z
rtie centrale des fascicules est occupée presque entièrement par le
tissu
conjonctif réticulé. Ces coupes longitudinales
TROPHIE MUSCULAUOE POG) ! ESS)V) ! TYPE Alt,N-DUCHENNF, 28 ! : J Le
tissu
réticulé apparaît sur ces coupes formé de fibres
e un examen limité aux coupes traitées par la méthode de Weigert.
Tissu
conjorecli'qPrifascicxclai·e et inlerfasciculaire
donnent bien l'impression d'une hyperplasie légère, inconstante, du
tissu
conjonctif interfasciculaire, plus marquée pour c
en bon état de conservation, les autres de volume très réduit : le
tissu
conjonctif intrafasciculaire est plus abondant qu
orme des travées fibreuses, mais on ne trouve plus ici des zones de
tissu
réticulé, ni un épaississement concentrique des f
ibres musculaires rares, très atrophiées, au milieu d'une gangue de
tissu
conjonctif rempli de noyaux souvent agglomérés
su conjonctif rempli de noyaux souvent agglomérés en pelotons. Le
tissu
conjonctif interstitiel en certaines régions para
es gaines de Schwann sous la forme d'un épais manchon cylindrique ;
tissu
conjonctif inlra-fasciculaire transformé en tis
hon cylindrique ; tissu conjonctif inlra-fasciculaire transformé en
tissu
réticulé ou en tissu conjonctif dense, sans augme
su conjonctif inlra-fasciculaire transformé en tissu réticulé ou en
tissu
conjonctif dense, sans augmen- tation de volume
la moelle, les cordons postérieurs seuls étaient dégénérés, avec un
tissu
riche en noyaux et en fibrilles entrelacées. Le
ie des fibres nerveuses et une infil- tration interstitielle par du
tissu
conjonctif riche en noyaux : les gaines de Schw
é- rieure de la moelle ; leurs libres nerveuses sont entourées d'un
tissu
conjonc- tif abondant où l'ammoniaque révèle be
ériphériques, jusque dans les muscles, ont un névrilème épais et un
tissu
conjonctif abondant, riche en noyaux, autour de
ériphériques : dégénérescence des fibres à myéline, augmentation du
tissu
interstitiel, hypertrophie de la gaine lamelleuse
tiel, hypertrophie de la gaine lamelleuse et légère hypertrophie du
tissu
interfasciculaire. Dans les muscles, transformati
épaississement de la gaine lamelleuse et développement exagéré» du
tissu
interstitiel, tantôt état presque normal. Dans le
cornes antérieures. Dans les nerfs périphériques : augmentation du
tissu
conjonctif du périnèvre ; par- fois augmentatio
les muscles : état lardacé, augmentation des noyaux du sarcolemme,
tissu
conjonctif augmenté, sclérose des parois vascul
cu- laires d'intensité variable allant jusqu'à la transformation en
tissu
scléreux et adipeux. Les artères intramusculair
rès avancée, transformation graisseuse fréquente, aug- mentation du
tissu
interstitiel et épaississement des parois vascula
s en petit nombre, gaines gon- flées ou absentes; épaississement du
tissu
conjonctif. Dans les muscles, tous les degrés d
Schwann d'une épaisseur exagérée et un état fibreux ou réticulé du
tissu
conjonctif intra-fasciculaire. Nous reproduison
s nerveux périphériques, diminution du nombre des fibres à myéline.
Tissu
conjonctif intra-fasciculaire tantôt raréfié et
Tissu conjonctif intra-fasciculaire tantôt raréfié et transformé en
tissu
réticulé, tantôt épaissi et condensé dans les i
ré que les troncs nerveux du plexus brachial. Pas d'augmentation du
tissu
conjonctif péri-fasciculaire ni des gaines lame
ation appréciable du diamètre des nerfs, mais avec l'hyperplasie du
tissu
interstitiel et l'épaississement annulaire des ga
nature myopathique, dans lesquelles une augmentation numérique des
tissus
interstitiels accompagne la dégénérescence de la
e dernière. Tantôt l'hypertrophie atteint la gaine lamelleuse et le
tissu
interfasciculaire (cas Marinesco, Sainton, De B
re (cas Marinesco, Sainton, De Buck et Deroubaix) ; tantôt c'est le
tissu
conjonctif intrafasciculaire qui a subi une aug
ulaire qui a subi une augmentation de volume, formant une gangue de
tissu
conjonctif dense ou de tissu réticule, dans laque
ation de volume, formant une gangue de tissu conjonctif dense ou de
tissu
réticule, dans laquelle passent t des fibres ne
coupes longitudinales. On est frappé aussi de la prolifération des
tissus
interstitiels, prédominante en certaines régions
n de la moitié gauche (m. g.) de la moelle qui est remplacée par du
tissu
fibreux ( f), analogue à celui de la pie- mère.
cée par du tissu fibreux ( f), analogue à celui de la pie- mère. Ce
tissu
ne forme pas une masse compacte, il est infiltré
omala- cie. La moelle est envahie dans les régions détruites par du
tissu
fibreux dis- socié par les cellules graisseuses
irritatives ; elles sont fortement épaissies, se continuent avec le
tissu
fibreux qui entoure la tumeur et lui forme une
rtrophiées. Les cellules graisseuses réparties entre les mailles du
tissu
fibreux ou ag- glomérées en une masse compacte,
1ÉNINGO·AIYÉLCfL CHRONIQUE DE L'ÉPICONE AVEC LIPOMATOSE 317 rant le
tissu
médullaire : accidents résultant de la fragilité
ingularité des lésions histologiques, par l'énorme développement du
tissu
adipeux, qui donnait au premier abord l'illusio
a, écrasement et destruction de la moitié gauche de la moelle. f.
tissu
fibreux. m. d. moitié droite de la moelle. m.
mplètement détruite il gauche m. g., a sa place on voit des amas de
tissu
fibreux f. ; de nombreux neurones de régénération
tre transversal manifestement moins grand que celui de gauche et le
tissu
osseux est un peu raréfié ( PI. XLVII). Membr
iler les éléments nutritifs de la lymphe qui le baigne, et alors le
tissu
de soutien, grâce à la puissance de son pouvoir n
rte, ahrasion de la corne antérieure remplacée par une cicatrice de
tissu
névroglique peu serré, et laissant, dans un de no
e chacune d'entre elles on voit un épais- sissement très notable de
tissu
scléreux, cet épaississement est surtout marqué
cie antérieure proprement dite. Elle porte sur les cellules et sur le
tissu
de soutien de la corne. Les cellules motrices
motrices ont disparu complètement au niveau de la lésion maxima. Le
tissu
interstitiel est également disparu, et à leur pla
le. L'épaisseur de la corne est en effet remplacée par une ligne de
tissu
cica- L'ATROPHIE ISOLÉE NON PROGRESSIVE DES PET
nsistent en une névrite interstitielle avec énorme prolifération du
tissu
conjonctif. Endonèvre et périnèvre sont atteint
laboratoire du professeur Dccwrrc. SYRINGOMYÉLIE, HYPERPLASIE DU
TISSU
CONJONCTIF, FIBRES MUSCULAIRES STRIÉES DANS LA
ns de la syringomyélie ont été surtout frappés par l'hyperplasie du
tissu
névroglique, qu'ils ont pour la plupart interpr
ns d'un néoplasme, c'est-à-dire comme un gliome. L'hyperplasie du
tissu
névroglique n'est cependant pas tout dans l'ana-
na- tomie pathologique de la syringomyélie ; si les vaisseaux et le
tissu
con- jonctif ont été l'objet d'observations div
nd sur klin. Medizin. 196-Band, t909. SYRINGOMYELIE, HYPERPLASIE DU
TISSU
CO ? JO.NCTII,' 365 les cavités ne relèvent pas
DE LA Salpêtrière. T. XXV. PI. LII SYRINGOMYÉLIE. HYPERPLASIE DU
TISSU
CONJONCTIF. FIBRES MUSCULAIRES DANS LA MOELLE
ie DE la Salpêtrière. 15jv. Pl. LUI SYRINGOMYÉLIE. HYPERPLASIE DU
TISSU
CONJONCTIF. FIBRES MUSCULAIRES DANS LA MOELLE
LRPLASIE DU TISSU CONJONCTIF 5f ? ) SYRI\GO\ITI;LIE, HYPERPLASIE DU
TISSU
C01,JONCnF 57) 372 . ANDIIÉ THOMAS ET QUERCY
Les blocs ainsi fragmentés sont parfois complè- tement engainés de
tissu
conjonctif, et libres dans la cavité ; d'autres s
es aspects. Quelques uns de ces blocs sont cependant libres de tout
tissu
conjonctif et recouverts de cellules épendymair
aux. Plus rarement la cavité est bordée, sans intermédiaire, par le
tissu
ner- veux ; cela se voit surtout à la région ce
, et encore à un examen minutieux découvre-t-on quelques mailles de
tissu
névroglique très lâche. Ependyme. - La paroi in
a SALPÉIRILRE. 'r('. : oN. Pl. LI\' SYRINGOMYÉLIE. HYPERPLASIE DU
TISSU
CONJONCTIF. FIBRES MUSCULAIRES DANS LA MOELLE
qui, avec lui, entrent dans la constitution de la paroi interne.
Tissu
conjonctif. Bandes conjonctives. Membranes papill
modes : généralement ce sont t des bandes plus ou moins épaisses de
tissu
conjonctif, soit rectilignes, soit repliées plu
t fragmenté les membranes conjonctives envoient des pointes dans le
tissu
névroglique plus ou moins profondé- ment ; elle
jà avec G. Hauser) que les membranes conjonctives pénètrent dans le
tissu
gliomateux, et que par un processus de morcelle
d'abord sessiles, puis pédicules, et enfin libres. Parfois même le
tissu
névroglique finit par disparaître, et il ne res
donné sur une membrane plus importante. > La part qui revient au
tissu
conjonctif dans l'édification des fissures et d
là où les fentes sont très étroites et complètement comblées par du
tissu
conjonctif, les membranes prennent l'aspect de fr
sseaux qui sont compris dans la cavité, dans le gliome, ou dans les
tissus
environnants présentent des altérations 1res re
et le vaisseau existe un espace clair, de même qu'entre elle et les
tissus
voisins. L'adventice est constituée soit par de
par un réticulum épais, à mailles plus ou moins larges, rappelant le
tissu
arachnoïdo-pie-mérien et tendant à s'infiltrer
nt le tissu arachnoïdo-pie-mérien et tendant à s'infiltrer dans les
tissus
(fig. 14.). En plusieurs endroits, on voit l'ad
ituel de voir lesvais- seaux du sillon antérieure ! les faisicux de
tissu
conjonctif qui les accom- pagnent, s'engager pr
collent. Au niveau de Dvi, la commissure antérieure a disparu et le
tissu
conjonctif du sillon antérieur se continue sans
u niveau de l'espace inter-radiculaire postérieur), au voisinage du
tissu
conjonctif, qui occupe le'sillon antérieur, à côt
: En Civ les fibres mus- culaires sont accolées à un petit amas de
tissu
cellulo-graisseux, le tout inclus dans le gliom
our d'un petit amas de fibres musculaires striées ac- compagnées de
tissu
cellulo-graisseux (Pl. LU, B). La membrane papi I
t sur cet amas qu'elle entoure et sert d'inser- tion aux mailles du
tissu
cellulaire. Les fibres musculaires sont nettement
SALPÊTRIÈRE. ' T. KXV. PI. LV L , SYRINGOMYÉLIE. HYPERPLASIE DU
TISSU
CONJONCTIF. FIBRES MUSCULAIRES DANS LA MOELLE
LA MOELLE (A. Thomas et Quercy). - SYRINGOMYELIE, HYPERPLASIE DU
TISSU
CONJONC11F 379 trémité postérieure de la traîné
la cavité est encore occupé par des fibres musculaires striées, du
tissu
cellulo-graisseux et un petit bloc de tissu, né
musculaires striées, du tissu cellulo-graisseux et un petit bloc de
tissu
, névroglique. Sur une troisième coupe, trois mo
te dans le cordon de Burdach ; celle-ci est occupée par des amas de
tissu
conjonctif (PI. LII, C) au milieu desquels gisent
diverticules la téraux. ' 4° Des fibres musculaires striées et du
tissu
conjonctif cellulo-graisseux. 5° Plus rarement
deux choses fondamentales à rete- nir : 1° L'énorme hyperplasie du
tissu
conjonctif ; 380 ANDHÉ-THOMAS ET QUERCY 2° La
is, à notre connaissance, que ce fait est signalé. L'hypérplasie du
tissu
conjonctif a été mentionnée dans plus d'un cas
ies Lypeglieux. Dans l'obser- vation précédente, les végétations du
tissu
conjonctif occupent le premier plan à cause de
iome est-il une réaction secondaire contre l'invasion' primitive du
tissu
conjonctif, au contraire les proliféra- tions c
tôt delà sclérose névroglique qui occupe les zones dégénérées. Le
tissu
conjonctif qui parcourt sous forme de bandes ou d
subordonnées l'évolution du gliome. SYRINGOMYÉLIE, HYPERPLASIE DU
TISSU
CONJONCTIF 381 La prolifération du tissu conjon
INGOMYÉLIE, HYPERPLASIE DU TISSU CONJONCTIF 381 La prolifération du
tissu
conjonctif, que ce soit au niveau des membra- n
t quand on considère les énormes anses ou culs-de-sac formés par le
tissu
conjonctif, et la part qui leur revient dans la
néoformations conjonctives sont ex- clusivement constituées par du
tissu
adulte etque nulleparton ne trouve des traces d
d'éléments jeunes et d'une inflammation en activité. En tout cas le
tissu
conjonctif a joué un rôle décisif dans la for-
tion des cavités, des fentes et des diver- ticutes, en morcelant le
tissu
nerveux et le gliome, en poussant des bour- geo
dont les éléments tendent à se disjoindre et à s'infiltrer dans les
tissus
voisins ; les dispositions si particulières du ca
ée de deux manières : ou bien il y a eu transformation sur place du
tissu
conjonctif, c'est l'hypothèse qui nous a été pr
triées se trouvent presque constamment situées dans le voisinage du
tissu
conjonctif, elles n'entrent pas avec lui en con-
is tout il fait insuffisantes pour rendre compte de l'exubérance du
tissu
con- jonctif. ÉPILEPSIE TARDIVE ET TROUBLES M
a direction descendante, entoure la moelle d'un anneau com- pact de
tissus
fibreux, adhérent, la presse d'avant en arrière e
présentant le plus grand aplatissement de la moelle, on constate un
tissu
granuleux ainsi qu'une masse caséïnée tuberculeus
es lésées que dans la substance médullaire, il y a augmentation des
tissus
névrogliques. La substance grise des cornes a une
sont-ils très altérés et moniliformes. Le reste est étouffé par du
tissu
scléreux dont on devine les tourbillons non color
s lésions manifestes), à gauche, tubes nerveux vides, étouffés par le
tissu
scléreux. Augmentation modérée de la graisse in
la coupe, le parenchyme est composé d'îlots ovalaires noyés dans un
tissu
environnant uniformément blanchâtre et mou. On ne
est ecchymotique, mais en profon- deur on retrouve immédiatement un
tissu
analogue au rein opposé. . Coew' de Trauhe typi
truite. Les colorations au picro-ponceau montrent l'augmentation du
tissu
conjonc- tif, qui forme d'épaisses et lourdes t
néphrite chronique ancienne (car il y avait des travées épaisses de
tissu
conjonctif courant entre les canaux), la condui
sité son internement. A son entrée dans le service on nota que le
tissu
cellulo-adipeux et le tissu musculaire étaient
son entrée dans le service on nota que le tissu cellulo-adipeux et le
tissu
musculaire étaient « relativement développés ».
urtout accentuée aux paupières, et rappelant celle du myxoedème. Le
tissu
adipeux du tronc et des membres plus développé qu
que la longueur du corps est de 165 centimètres; on constata que le
tissu
adipeux sous-cutané est très richement développé
la surface du corps. On observe la même chose en ce qui concerne le
tissu
adipeux de l'épiploon et du mésentère. Le système
mmes (fixé dans le formol à 10 0/0). Le foie pèse 1465 grammes ; le
tissu
conjonctif semble augmenté, la consis- tance es
ie contiennent des granulations li- poïdes en très grand nombre. Le
tissu
conjonctif est peu abondant et sans sclé- rose.
st épaisse, parsemée de vergetures et doublée d'une large couche de
tissu
cellulo-graisseux. Aux membres inférieurs, les
x sortes de manifestations : d'une part le développement exagéré du
tissu
adipeux au niveau des membres inférieurs, d'autre
u niveau des membres inférieurs, d'autre part l'atrophie de ce même
tissu
et aussi du tissu musculaire au niveau de la face
es inférieurs, d'autre part l'atrophie de ce même tissu et aussi du
tissu
musculaire au niveau de la face, du thorax et d
t d'ailleurs que d'une exagération dans la répartition nor- male du
tissu
cellulo-graisseux sous-cutané, dont on connaît l'
niers il (t) L. BARRAQUER, Histoire clinique d'un cas d'atrophie du
tissu
cellulo-adipeux, L'avenç. Barcelone, 1906. (2
a gracilité de la partie supérieure du corps. Chez eux également le
tissu
conjonctif et le tissu adipeux participent à la
e supérieure du corps. Chez eux également le tissu conjonctif et le
tissu
adipeux participent à la déformation ; mais ici l
plis de la peau, mesurée au compas de sculpteur. Cette épaisseur du
tissu
cellulaire sous-cutané n'a d'importance au point
gicale au niveau de la nuque : on enlève au malade 1.600 grammes de
tissu
graisseux. Nouvelle opération quelques années a
externe ; les fossettes rétro-mas- toïdiennes sont occupées par du
tissu
graisseux. Les deux régions scapulaires paraiss
gastrique ne pousse pas quelque prolongement médiastinal, ou si le
tissu
cellulo-graisseux du médiastin n'est pas en éta
analogue. Les cas multiples où l'on a cherché inutilement trace de
tissu
lymphatique dans les tumeurs vont à l'encontre de
chwarz, Lejars, Le Dentu, Ricard déclarent avoir toujours trouvé du
tissu
lipomateux pur chez les malades de ce genre qu'
e demande si elles répondent à la structure classique du lipome. Le
tissu
est relativement très fibreux et les axes fibre
idue (1 pl.), par CONTO, 413. S.yrin,t7onziléli'e, hyperplasie du
tissu
conjonc- tif. Fibres musculaires striées dans l
fig.), 309. AKDRÉ-TnoM\s et Quercy. Syringomyélie. Hyperplasie du
tissu
conjonctif. Vibres musculaires striées dans la
Spondylose rhizomèlique (CoNTO), LIX. Syringomyélie, hyperplasie du
tissu
con- jonctif, fibres musculaires dans la moelle
n légère des cor- dons postérieurs, avec un peu d'épaississement du
tissu
de soutènement ; pas de véritable sclérose des
se.Et peut-être serait-ce moins par une susceptibilité héréditaire du
tissu
osseux que du tissu artériel, qu'il faut expliq
-ce moins par une susceptibilité héréditaire du tissu osseux que du
tissu
artériel, qu'il faut expliquer .certains cas d'hé
de la plus grande partie des éléments cellulaires, remplacés par un
tissu
conjonctif f pauvre en vaisseaux ; « dans les l
d'un faible pouvoir pénétrant. (PL VIII, A).Une véritable coque de
tissu
compact consti tuait cet épaississement, for- m
ite. Les téguments correspondants sont lisses et n'adhèrent pas aux
tissus
sous- jacents. Le réseau veineux est apparent.
onne vertébrale. Le bassin semble plus évasé que d'habitude. . Le
tissu
cellulaire sous-cutané est en général peu dévelop
p. J. Thevenot, Saint-Dizier (Hte-Marne) L'ACTION DU RADIUM SUR LES
TISSUS
DU NEVRAXË PAR ALQUIER et M. FAURE-BEAULIEU
gène des rayons et des émanations émis par le radium sur différents
tissus
et différents organismes, C. R. Acad. des science
es sciences, 1903, p. 461. De l'action du radium sur les différents
tissus
, Ibid., 1903, p. 1294. SCHOLZ, Ueber die physio
r Wiener Universitat, 1905, p. 86-104. L'ACTION DU RADIUM SUR LES
TISSUS
DU NÉVRAXE 111 1 ment avec les résultats de la
localisées à la gaîne des petits vais- seaux ; c'est à peine si les
tissus
avoisinants sont légèrement érodés et infiltrés
de pigment sanguin. La névroglie ne parait pas modifiée ; quant au
tissu
nerveux, ses fibres ne présentent aucune altérati
ographie DE la Salpêtrière T. XXII. PI. XV ACTION DU RADIUM SUR LES
TISSUS
DU NEVRAXE ^ (Alqiiici- et Faure-Bentliea). A
ès voisin de celui de la Fig. 3. Méthode L'ACTION DU RADIUM SUR LES
TISSUS
DU NEVRAXE 113 tissu nerveux n'apparaissent mod
Fig. 3. Méthode L'ACTION DU RADIUM SUR LES TISSUS DU NEVRAXE 113
tissu
nerveux n'apparaissent modifiés (Pl. XV, E) : c'e
la surface du corps les téguments ne présentent rien d'anormal. Le
tissu
adipeux est normalement développé, mais il n'y a
comme chez un homme normal du même âge ; la proportion relative du
tissu
osseux compact et spongieux est normale aussi d
on exercée par les rayons solaires sur les corps inanimés, sur les-
tissus
par exemple dont ils modifient lentement la struc
exemple tombant sur l'eau, sur un corps chimique, un cristal ou un
tissu
y produit des effets déterminés qui toujours pe
e parfois sur les facultés intellectuelles. Elle s'imprime dans les
tissus
d'autant plus fortement qu'elle est plus intense
impuissants à surmonter leur tristesse par exemple parce que leurs
tissus
conservent leur physionomie triste. L'émotion ne
toxine se localise de préférence sur un membre déjà altéré dans ses
tissus
et exposé au surmenage professionnel, ce membre
le genou. Ces considérations nous ont engagé à rechercher l'état du
tissu
osseux sur une série de myopathiques par l'expl
ume considérable, l'aspect des arcs et des trabécules de soutien du
tissu
spongieux à leur niveau est complètement effacé
su spongieux à leur niveau est complètement effacé, remplacé par du
tissu
spongieux moins dense, à larges mailles. Les ar
nous avons ici affaire à un processus frappant le développement du
tissu
osseux en tous ses points, bien différents de l
e. MM. Landouzy et Lortat Jacob (4) ont trouvé de la raréfaction du
tissu
compact, avec disparition des travées de soulèv
ue la dimi- nution de la densité des couches osseuses aussi bien du
tissu
compact que du tissu spongieux. Fémur, - Les
la densité des couches osseuses aussi bien du tissu compact que du
tissu
spongieux. Fémur, - Les rapports de volume entr
llement plus petite ; elle présente de la diminution du cylindre de
tissu
compact périphérique. Mais c'est surtout au niv
1) Les numéros sont ceux des observations. 234 MERLE ET RAULOT de
tissu
compact ; cette crête n'est plus visible, les seg
oûtement. Dans l'épaisseur de l'os, on ne voit plus de travées ; le
tissu
est presque homogène, d'une teinte grise unifor
ement d'orien- tation des faces de l'os,'les rayons X ont abordé le
tissu
compact non plus par la surface, mais par sa tr
par sa tranche. De ces modifications de la consistance à la fois du
tissu
spongieux et du tissu compact, résulte une appa
modifications de la consistance à la fois du tissu spongieux et du
tissu
compact, résulte une apparence spéciale qui est i
araît presque transparente, sans aucun relief, et la raréfaction du
tissu
osseux est ici remarquable. Le véritable boucli
ction du tissu osseux est ici remarquable. Le véritable bouclier du
tissu
compact qui protège la face antérieure, si visi
toujours extrêmement transparente et montre la même raréfaction du
tissu
osseux. Chez Mes ! ... Léopold (no 3),et Meus
est extrêmement arrondie, comme émoussée. Dans cette épiphyse, le
tissu
compact paraît énormément diminué, et remplacé
yse, le tissu compact paraît énormément diminué, et remplacé par du
tissu
spongieux d'aspect grisâtre et uniforme. La rotul
nt sur les diaphyses, et l'aspect du tube osseux dû à l'atrophie du
tissu
spongieux. Humérus. L'étude de l'humérus nousa
de l'épicondyle, des gouttières delà trochlée est remplacée par un
tissu
grisâtre et homogène qui tend à occuper toute l
faible. Cette diaphyse, malgré sa gracilité, possède une couche de
tissu
compact assez épaisse et n'a pas l'aspect de tube
es ; - pour les phalanges, il y a un certain état de raréfaction du
tissu
dont on NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière
distingue cependant bien les trabécules osseuses ; la diminution de
tissu
compact sur les côtés et aux extrémités est trè
musculaire et peuvent se préciser de la manière suivante : 1° Le
tissu
osseux subit des modifications de quantité (aminc
8 MERLE ET RAULOT Les modifications du premier genre portent sur le
tissu
osseux dans son ensemble : les altérations du t
portent sur le tissu osseux dans son ensemble : les altérations du
tissu
compact, contrairement à l'opinion de Lothar-Dr
r-Dreyer, existent, et si elles sont moins manifestes que celles du
tissu
spongieux dans les diaphyses, du moins, dans les
erre mince. Les épiphyses encore plus claires semblent formées d'un
tissu
homo- gène ou clairsemé, où ne sont plus visibl
t les voûtes de renforcement qui existent chez les sujets sains; le
tissu
compact, seule- ment visible au contour de l'os
avons retrouvé d'une manière constante dans nos examens. Enfin, le
tissu
compact peut disparaître tout à fait dans la rotu
ient à ce sujet de rappeler l'origine mésodermique commune des deux
tissus
, ainsi que l'opinion de plusieurs auteurs (Legend
iographie nous a permis de relever des altérations particulières au
tissu
osseux. En effet à l'état normal la radiographi
lement par d'autres travées qui forment ainsi avec les premières le
tissu
spongieux épiphysaires. Comparons maintenant
des petites phalanges. Les trabécules osseuses sont altérées, le
tissu
spongieux aussi ; l'interligne articulaire est
près éteinte. La glande thyroïde semble être un peu atrophiée. Le
tissu
sous-cutané est très peu développé. La voix du
urines, peuvent être retenus dans l'organisme et accumulés dans le
tissu
osseux. Cette expli- cation n'est pas légitime,
mit l'opinion qu'il s'agit là de la formation d'un faisceau dans le
tissu
cellulaire sous-cutané. Cénas décrit, en 1884,
pposa un processus inflammatoire qui, déterminant la disparition de
tissu
adipeux amenait par suite la rétraction cicatri-
a la rétraction de l'aponévrose palmaire associée à la formation du
tissu
conjonctif. Remak en 1899 examina le cas d'Eule
que dans les cas de contracluie de Dupuytren, il y a hyperplasie de
tissu
cellulaire qui a tendance à se rétracter, ce qu
des petits vaisseaux paraissent être la cause des modifications du
tissu
con- jonctif. Nichols, examinant en 1899 le c
minant en 1899 le cas de la contracture de Dupuytren, trouva que le
tissu
cellulaire sous-cutané, le derme et l'épiderme ét
cellulaire sous-cutané, le derme et l'épiderme étaient normaux ; le
tissu
adipeux n'existait pas, le trousseau fibreux palm
ssait avec le stratum corneum. Ce trousseau palmaire était formé de
tissu
fibreux épais, avec de nombreuses grandes cellule
ormé de tissu fibreux épais, avec de nombreuses grandes cellules de
tissu
conjonc- tif. Pour Janssen, la cause de la cont
rieures de la moelle sont aussi les centres trophiques des différents
tissus
. Leur maladie donne un trouble de la nutrition
différents tissus. Leur maladie donne un trouble de la nutrition de
tissu
ce qui aboutit aux différents troubles trophiqu
'autre part, l'influence des centres corticaux sur la nutrition des
tissus
; on décrit les atrophies et les différentes mal
ce cérébrale peut ainsi influencer la nutrition de la structure des
tissus
et c'estpourquoi, dans les cas de troubles trop
l'extirpation du trous- seau fibreux qui fut lié avec la peau et le
tissu
conjonctif environnant. Le MALADIE DU DUPUYTREN
TREN 273 redressement devint complet quand le tendon fut délivré de
tissu
fibreux. Le faisceau fibreux extirpé était asse
ion des centres spinaux tenant sous leur dépendance la nutrition du
tissu
conjonctif; cer- tains auteurs attribuent l'oed
de fermeté, d'élasticité ; elle est très épaissie et repose sur un
tissu
de consistance plus molle. La pression du doigt
lus considérables. A la face dors' le du pied droit, au niveau d'un
tissu
cicatriciel résultant d'une brûlure ancienne, il
e l'in- filtration va en progressant de haut en bas ; la peau et le
tissu
cellulaire sous-cutané sont distendus par un li
la- tineux ; il semble que la peau très hypertrophiée repose sur un
tissu
plus mou; notre malade se plaint en outre de do
tesse de circulation de ce dernier, et la tension superficielle des
tissus
. Le cordonnet pour ces laçages est un tuyau de
les et supérieures de ces cavités ventriculaires sont infiltrées de
tissu
gliomateux étalé en nappe. L'étendue elle volume
cardiaque. Autopsie. Des noyaux cancéreux infiltrent, à gauche, le
tissu
cellulaire sous-cutané, le grand pectoral, le p
, un peu ramolli ; il est entouré d'une coque blanche, plus dure de
tissu
néoplasique. La plèvre gauche épaissie, indurée,
lèvre pariétale transformée en un feuil- let épais, dur, compact de
tissu
fibro-cancéreux, adhère fortement à la paroi th
groupées d'une façon prédominante au voisinage des vaisseaux. Le
tissu
nerveux, comprimé par la tumeur, est très altéré
rénale cancéreuse, les lésions de sclérose ancienne prédominent. Le
tissu
conjonctif forme des alvéoles dans lesquelles son
tituent la tumeur, sont groupées sans ordre dans les intervalles d'un
tissu
conjonctif lâche, peu abondant et parsemé des c
s des vaisseaux capillaires et se propagent dans les interstices du
tissu
conjonctif pleural, comme si le vaisseau capillai
a surface de la face interne du lobe occipital par une épaisseur de
tissu
nerveux d'un centimètre ; elle est ainsi en rap
ortions té- langiectasiques ; sa partie centrale est grisâtre et ce
tissu
néoplasique apparaît, sur certains points, à la
a entouré d'une cap- sule richement vascularisée, constituée par un
tissu
fibro-scléreux assez dense avec infiltration pé
- rées les unes contre les autres, supportées par de petits axes de
tissu
con- jonctif où l'on peut voir des vaisseaux as
; mais il s'agit toujours d'uu épithélioma à cellules claires. Le
tissu
nerveux environnant présente une prolifération né
les uns contre les autres. Le nerf rappelle l'aspect d'une bande de
tissu
conjonctif. Toutefois un examen plus attentif m
e puis longitudinale, multiplication des noyaux, proliféra- tion du
tissu
conjonctif, toutes lésions qui sont secondaires e
st basée sur la distinction anatomique des libres nerveu- ses et du
tissu
conjonctif qui les entoure et les sépare les unes
les entoure et les sépare les unes des autres, Si c'est ce dernier
tissu
qui est particulièrement atteint, nous nous trou-
u- verons en présence soit d'une névrite intertitielle, si c'est le
tissu
conjonctif interfasciculaire qui est atteint, s
tent avec une grande intensité, tantôt au contraire les réactions du
tissu
conjonctif péri-nerveuses sont à peu près nulle
à montrer les réactions inflammatoires, la disposition générale du
tissu
conjonctif des noyaux, etc. ; 2° une coloration
prédominantes, soit ou niveau des filets nerveux, soit au niveau du
tissu
conjonctif. Si l'on tient toutefois compte de l
névrite intertitielle lorsque les troncs nerveux sont environnés de
tissu
inflammatoire qui les comprime, les cylindraxes
ont primitifs, tandis que les lésions des cellules à myélines et du
tissu
conjonctif ne sont que les conséquences inéluct
, par sa masse, suffisante pour exercer une action mécanique sur le
tissu
nerveux ou ses vaisseaux, et ceux où l'épaississe
ons apparaissent, au microscope, disproportionnées d'avec celles du
tissu
ner- veux et insuffisantes pour les expliquer e
pour les expliquer entièrement ! D'autre part, la des- truction du
tissu
nerveux est loin de se faire toujours dans le voi
ains auteurs admettant que la syphi- lis peut atteindre d'emblée le
tissu
nerveux, et produire des lésions paren- chymate
tteints dans toute leur largeur, à l'exception d'une mince bande de
tissu
sain, qui, partout, longe les cornes et racines p
, dont la forme et les dimensions varient d'un niveau à l'autre, de
tissu
sain, contre la commissure, ou, au contraire, t
ne myéloma- lacie récente, datant au plus de quelques semaines. Les
tissus
paraissent nécrosés,le plus grand nombre des fi
qu'on observe dans toutes les nécroses récentes, qu'il s'agisse du
tissu
nerveux ou d'un organe, tel que le poumon frapp
capillaires dans tous les foyers de nécrose aiguë ou t subaiguë du
tissu
nerveux qu'il nous a été donné d'examiner histolo
it dans ce cas, tout semblait indiquer que l'altération profonde du
tissu
nerveux relevait à la fois du trouble circulato
il ne paraît pas suffisant pour expliquer à lui seul les lésions du
tissu
nerveux, une part semble bien revenir à l'action
orne antérieure (ou des deux cornes), qu'on trouve remplacée par un
tissu
cicatriciel. D'ac- cord avec ce caractère de la
enlève facilement la tumeur qui est unie aux organes voisins par du
tissu
cellulaire lâche et ne paraît exercer aucune comp
ulement. A la coupe, cette tumeur apparaît entourée d'une couche de
tissu
conjonctif épaissi. Sa couleur est uniformément
Sur les coupes colorées à l'hématoxyline-éosine on retrouve dans le
tissu
conjonctif et particulièrement au voisinage des v
quelle était la nature des éléments cellulai- res infiltrés dans le
tissu
conjonctif et entre les fibres. Sur des coupes
res musculaires les plus profondes, nous avons pu constater, que le
tissu
lymphoïde du pharynx NOUVELLE Iconographie de l
une faible distance de la périphérie. La capsule est épaissie et le
tissu
conjonctif interacineux forme en certains point
: certaines vésicules volumineuses, entourées d'une mince couche de
tissu
conjonctif, présentent sur un point de leur par
et on peut voir de fines fibrilles conjonctives qui se détachent du
tissu
conjonctif environnant pour pénétrer à la base
res très épais,denses,et ont un peu l'apparence du vieux cuir. Le
tissu
adipeux est très développé aux joues, au cou, et
coloration est partout rose. L'épaississement des téguments et des
tissus
cellulo-adipeux sous-cutanés est surtout éviden
musculaires qui le couvrent sont peu développées et atoniques ; le
tissu
adipeux est très abondant. Les mamelles surtout e
norme, batracien, tombant; les mamelons sont lar- gement revêtus de
tissu
adipeux et ont un aspect féminin non seulement
nt des faits d'atrophie et d'hypertrophie associés. En général le
tissu
spongieux est prévalent et le tissu compact propo
ophie associés. En général le tissu spongieux est prévalent et le
tissu
compact propor- tionnellement diminué. Les de
phragme est à droite à la 4· côte, à gauche au uiveau de la 5·. Les
tissus
mous qui recouvrent l'articulation sterno-clavicu
en microscopique montre que la dure-mère épaissie est formée par du
tissu
fibreux pauvre en noyaux et très riche en fibres
minution notable de fibres à myéline des racines, remplacées par du
tissu
interstitiel de nouvelle formation. L'atrophi
ement oblitérée. Ce ganglion montre, dans un endroit, un morceau de
tissu
osseux, avec des cellules osseuses très nettes,
n- glionnaires. Ce foyer osseux est entouré par une mince couche de
tissu
con- jonctif fibreux. Il résulte de cette étu
ère montre, au contraire, à côté d'une prolifération peu marquée du
tissu
conjonctif, surtout une infiltratiou cellulaire ;
On trouve en arrière, entre les cinquième et sixième vertèbres, du
tissu
os- seux qui oblitère l'orifice ; il existe un
de même pour la fente entre la cinquième et la sixième vertèbre. Du
tissu
osseux de nouvelle formation oblitère également
l. Cette fente est fermée latéralement et à gauche par une bande de
tissu
osseux qui se présente sous forme d'un ligament
résente sous forme d'un ligament, d'aspect plus blanc que le reste du
tissu
osseux. Les deuxième, troisième et quatrième
tèbre sacrée. Les côtes sont réunies à la colonne vertébrale par du
tissu
osseux (synos- tose) ; il en résulte une ankylo
as non plus d'exostoses. Les ligaments n'étaient pas envahis par du
tissu
osseux, mais étaient pour la plupart atrophiés ou
voit même parfois l'os de la côte se continuer directement avec du
tissu
vertébral ; il s'agit donc d'une fusion avec disp
loppée sur un terrain neuropathique est une altération trophique du
tissu
osseux. C'est pourquoi, dit-il, la cause réside d
sus d'ossification est précédé par l'ostéoporose. La raréfaction du
tissu
osseux était observée au fond de la cavité cotylo
molles, comme une éponge ; on constatait aussi un amincissement du
tissu
compact du tibia et du pé- roné. L'ostéoporose
intervertébral et latéralement par des excroissances de leur propre
tissu
. Ainsi, on ne peut pas mettre en doute, dans no
processus atrophique et hy- pertrophique auxquels prennent pari les
tissus
de voisinage, tandis que dans la spondylite déf
emière et de la deuxième lombaire. Os légers, porosité . extrême du
tissu
spongieux. » Et en dernier lieu, les données su
s vertébraux existent des zonesclaires, indice d'une raréfaction du
tissu
osseux, qui est plus marquée en certains points ;
r contour et sur le corps vertébral existent des excroissances d'un
tissu
qui ne se laisse traverser que partielle- ment
le et tout le frontal droit paraissent beaucoup plus saillants. Les
tissus
voisins ne sont pas adhérents. L'écaillé de l
st de 2 cm. 1/2. Les bords en sont réguliers et taillés à pic ; les
tissus
ont un aspect rouge vif. L'ulcération du deuxiè
l'ulcération sont réguliers et taillés assez exactement à pic. Les
tissus
qui en occupent le fond sont d'un aspect rouge vi
de long sur 1 cent. 1/2 de large, la peau est mince; tout autour les
tissus
ont une coloration brun foncé. On constate un
nous intéressent, on a remarqué non seule- ment des altérations des
tissus
mous, mais des os aussi, et dans des cas dans l
e du nombre des grains et la couche elle-même est transformée en un
tissu
réticulé formé de fibrilles névrogliques avec des
lames interne et externe se touchent par suite de la disparition du
tissu
intermédiaire. Au Pal, la place de l'olive est
méthode de Van Gieson, on se rend bien compte de la raréfaction du
tissu
; celui-ci est formé par des fibrilles uévrogliqu
ongements, le noyau et le nucléole sont cependant conservés. . Le
tissu
de l'olive est constitué par un feutrage névrogli
ux ont quelquefois une paroi un peu épaissie. Jamais en tous cas le
tissu
environnant ne paraît réagir. Syndrome de Weber
er tous les éléments nerveux ont disparu ; on constate seulement un
tissu
largement aréolaire, cloisonné par des fibres név
scrite ; partout ailleurs, les éléments néo- formés infiltraient le
tissu
nerveux, comme nous le verrons bientôt. Nous au-
a tumeur offrait exactement l'aspect, la couleur, la consistance du
tissu
nerveux normal. Nulle part, on ue pouvait trouver
e part, on ue pouvait trouver de délimitation entre la tumeur et le
tissu
nerveux. Les deux tissus étaient visi- blement
ouver de délimitation entre la tumeur et le tissu nerveux. Les deux
tissus
étaient visi- blement mêlés de façon intime. Le
e de la petite tumeur pédiculée montre les détails histologiques du
tissu
néoplasique. Les noyaux névrogliques ne sont pa
3. Gliome du bulbe. 626 DUSTIN ET VAN LINT La vascularisation du
tissu
gliomateux est extrêmement riche (Voir pho- tog
ant les uns autour des autres et engaînés dans une coque commune de
tissu
conjonctif (fig. 3, cI), Les capillaires entran
saillie, effaçant cette cavité, est constituée uniquement aussi de
tissu
gliomateux. Les fibres nerveuses traversant les
de tissu gliomateux. Les fibres nerveuses traversant les masses de
tissu
névrogliques, sont en général grêles, tortueuse
es. Dans les deux cas, ces der- niers intéressaient spécialement le
tissu
graisseux et les organes génitaux. Ces malades
ent. Le malade, assez bien constitué, est petit pour son âge, et le
tissu
adipeux trop développé. Sa tête est volumineuse,
au pied gauche. Novembre 1907. Le malade s'est émacié peu à peu, le
tissu
adipeux très abondant à son entrée à l'hôpital,
Le malade, de constitution moyenne, a le système osseux normal, le
tissu
graisseux est presque disparu, la musculature est
uleuses.il n'existe pas, pour ainsi dire, des ceiiuieschromophobes.Le
tissu
interstitiel qui sépare les acini glandulaires
vancées, ni des spermatides et moins en- core de spermatozoïdes. Le
tissu
conjonctif interstitiel est abondant, avec beau-
ubes séminaux sont éloignés les uns des autres par l'hyperplasie du
tissu
conjonctif; leur ca- libre est beaucoup plus pe
ulation caractéristique aux testi- cules en activité sécrétoire. Le
tissu
conjonctif interstitiel est très abondant et pr
Coupe de testicule ectopié montrant l'hypertrophie et la sclérose du
tissu
interstitiel. Les cellules épithéliales des tub
sont considérablement augmentés de volume à cause de l'abondance du
tissu
graisseux, mais ce sont surtout les cuisses qui
olution des follicules arrivées à la maturation sont très rares. Le
tissu
conjonctif interstitiel est très abondant,'ce qui
thyroïde a dû avoir une influence sur le métabolisme des différents
tissus
et organes. Dans le système nerveux nous avons
nitaux, le type infantile fé- minin, et le développement exagéré du
tissu
adipeux. Des cas semblables ont déjà été publié
ans la produc- tion d'une dystrophie. Le développement exagéré du
tissu
graisseux à la suite des altérations de l'hypop
n avis que, faute de symptômes d'acromégalie, le dévelop- pemont du
tissu
graisseux indique une altération de l'hypophyse.
ience démontrant l'influence de l'hypophyse sur le développement du
tissu
adi- peux. En effet, cet auteur a eu l'occasion
de 17 ans, de taille moyenne, présentant un développement marqué du
tissu
adipeux, un aspect infantile des or- ganes géni
ait jusqu'à un certain point à la malade de Bahinski, Elle avait le
tissu
graisseux abondant, ne fut ja- mais menstruée e
fluence indubitable de la glande pituitaire sur le développement du
tissu
graisseux, Parhon et Zalplachta (·1), dans un i
tions marquées, les canalicules séminaux peu développés, et dans le
tissu
conjonctif on n'a trouvé aucune cellule inters-
otre premier cas l'aspect infantile et le développement excessif du
tissu
adipeux étaient dus seulement à une insuffisance
physe par sa compression soit la première cause de l'hyperplasie du
tissu
adipeux et de l'arrêt du développement des orga
n du poids du corps. L'examen somatique mentionne : stature petite,
tissu
adipeux abondant, utérus très petit. L'auteur c
i que dans la castration il se produit un excès de développement du
tissu
osseux, l'auteur tire la con- clusion que dans
e rôle important qu'il joue dans le métabolisme de presque tous les
tissus
, il faut chercher la part qui lui revient dans le
veur d'une action exercée par l'hypo- physe sur le développement du
tissu
adipeux est l'hyperplasie de ce der- nier dans
point de vue de l'influence de l'hypophyse sur le développement du
tissu
graisseux, la présence, dans un de nos cas, d'une
il en résulte des modifications importantes dans le métabolisme des
tissus
, et en première ligne dans celui des autres gla
rations de l'hypophyse produisent une accu- mulation généralisée du
tissu
adipeux et un arrêt du développement des organe
ultat que la diminu- tion du volume des membres par la réduction du
tissu
graisseux. Cet in- succès avec l'opothérapie th
tête des phalanges à la région plantaire est revêtue par un abondant
tissu
adipeux qui en remplit les interstices et forme
Et voici l'instinct. Nous sommes bien forcés de manger, puisque nos
tissus
sont avides d'aliments et qu'ils les attirent p
se multipliant par division les cellules forment nécessairement des
tissus
, c'est-à-dire des agglomérations d'éléments de mê
avancée, on rencontre des organes, c'est- à-dire des groupements de
tissus
différents. Ils sont constitués par un tissu pr
re des groupements de tissus différents. Ils sont constitués par un
tissu
principal mêlé à d'autres tissus qui représentent
férents. Ils sont constitués par un tissu principal mêlé à d'autres
tissus
qui représentent pour lui des moyens de soutien
rnes, dans la même situation que ceux qui occu- pent l'intérieur du
tissu
et ces conditions différentes doivent faire appa-
es cellules de composition et de fonction différentes et réunies en
tissu
, puis en organe. Les excitations extérieu- res
s capables d'agir, chacune suivant sa nature, sur des cellules, des
tissus
, des organes voisins ou éloignés. La manifestat
conservation de l'individu et de l'espèce, comme le groupement des
tissus
en organe a eu pour résultat de rendre la vie c
pour résultat de rendre la vie compatible avec de grandes masses de
tissu
. La vie de l'homme n'est que l'expression des v
s. Un être complexe est un assemblage d'êtres plus petits. Pour les
tissus
et les organes, les organes et les individus so
ce qu'il prend sa source dans la vie d'une matière qui n'est pas du
tissu
nerveux. L'homme pourrait être dépourvu de facu
s auxquels on a donné le nom générique d'hormones. Sécrétés dans un
tissu
, ils sont transportés par le sang dans un autre
) (1 Pl.), par BEAT- LoTTI, 41. Névraxe (Action du radium sur les
tissus
du -) (1 pl.), par ALQUIER et Faure Beau- lie
s os) (4 pl ), par Legros et Léri, 24. nadwm (Action du - sur les
tissus
du né- vraxe) (1 pi.), par Alquier et Faure Bea
e (2 pl.), 368. - et F,vunç-I3r.wur.rcu. Action du radium sur les
tissus
du névraxe (1 pl.), 109. Anguda et Rimbaud. Spa
6, 661. F AUIIE-BEAULlEU et ALQUIER. Action du ra- dium sur les
tissus
du névraxe (1 pi.), 109. fL IND1N, DAI/LOS et
Polynévrite gravidique (A. Dustin), XL. Radium (Action du sur les
tissus
du névraxe (AL[1UIN.li et fAl;nE-BEAIiLt6U),XV.
2 CHAGAS gista, figurent des localisations dans la profondeur des
tissus
et, en ou- tre, dans l'intérieur de l'élément a
ule et constituer une agglomération d'éléments libres, entourés des
tissus
voisins. Des observations que nous possédons ju
t dans les régions inguino-crurales. Petite infiltration mucoïde du
tissu
sous-cutané du visage. Volume du foie augmenté.
achnoïde ; elle est composée de nombreuses couches concentriques de
tissu
conjonctif. Les éléments cellulaires sont presque
en- tre des mailles conjonctives clairsemées. Dans son ensemble ce
tissu
est beau- coup plus lâche que celui de la dure-
be (Pl. III, fig. 9) la pyramide droite est en effet envahie par du
tissu
de sclé- rose (S) et semble en partie détruite,
44 ROTSTADT postérieure, du côté droit, sans léser l'ensemble du
tissu
osseux de la colonne vertébrale. Les douleurs
eur aux contours effacés, grande comme la demi paume de la main. Le
tissu
du néoplasme faisait corps avec la moelle au-dess
rée de la cage tboraci- que, de la dure-mère et de côté, le long du
tissu
pulmonaire, puis on en dé- burrassa, aussi comp
mence- ments, à la possibililé d'une métastase de la tumeur dans le
tissu
osseux. Cependant le cours subséquent de la mal
arrêt qui a « figé » le le testicule [au même titre que les autres
tissus
] en lui laissant sa sécrétion « contempo- (1) A
: tuberculose pulmonaire sclérosée aux sommets, atrophie sénile. Le
tissu
du cerveau est dur, sec, blanc, sans aucun ilot
réparations colorées selon van Gieson est plus onduleux. L'étude du
tissu
névroglique dans les coupes transversales de la m
s provenant du cerveau et du cervelet offrent, quant à la nature du
tissu
névroglique dans le voisinage des cylindraxes d
évrogliques ratatinés, tels que nous en rencontrons souvent dans le
tissu
névroglique du système nerveux central, et que l'
rtiennent aux éléments fibrillaires. Les auteurs qui considèrent le
tissu
névroglique comme un tissu de sou- tien pourrai
illaires. Les auteurs qui considèrent le tissu névroglique comme un
tissu
de sou- tien pourraient, à cause de leur appare
nales provenant de la substance blanche du cervelet, des parties de
tissu
névroglique qui semblent jouer le rôle de souti
mes loin de considérer le tism né- vroglique exclusivement comme un
tissu
de soutien. \ La structure des éléments fibrill
me un tissu de soutien. \ La structure des éléments fibrillaires du
tissu
névroglique est la même dans le second cas que
es nerfs périphériques. Quant à l'élude des éléments cellulaires du
tissu
névroglique du cerceau et du cervelet, nous avo
n syncyticum. Avant de continuer nos études, qu'une remarque sur le
tissu
névrogli- que en général nous soit encore permi
des fibrilles de Weigert serait d'une grande impor- tance quant au
tissu
névroglique, bien que nous ne possédions pas de
ine par exemple). Held préconise avec raison l'étude comparative du
tissu
névroblidue embryonnaire avec celui des animaux
TE 137 Nous avons eu l'occasion, de même, de comparer des coupes du
tissu
névroglique provenant d'un nouveau-né et d'un f
au-né et d'un foetus de 6 mois avec celles de personnes adultes. Le
tissu
névroglique du cerveau, par exemple dans le sys
u foetus. Dans le système nerveux central adulte, on trouve dans le
tissu
nêvroglique toutes les espèces d'éléments plasmat
cellules à pro- longements bien ramifiés. Mais ce n'est que dans le
tissu
névroglique d'un adulte ou tout au plus d'un en
- res 6 à 19 suffit pour nous montrer la grande différence entre le
tissu
névroglique d'un nouveau-né et la rigidité de c
ntre le tissu névroglique d'un nouveau-né et la rigidité de ce même
tissu
dans un cas de paralysie agitante. Nous somme
e, laquelle ne diffère du syncytium de la substance fondamentale du
tissu
nêvroglique, chez un foetus ou chez un nouveau-
. 140 HASKOVEC ET BASTA Etant donné que les fibres « rigides » du
tissu
névroglique augmentent avec t'age. il est bien
un vieillard est due en partie ai la richesse en fibres rigides du
tissu
névroblique. Ces libres « rigides » du cerveau
formes. Nos recherches et nos figures peuvent laisser croire que le
tissu
névro- glique du système nerveux central est de
apillaires. Les hypophyses n'ont rien fourni d'important. Dans le
tissu
de la glande thyroïde dans le premier cas, on a t
uatre endroits de la grosseur d'un pois différents par leur aspect du
tissu
fondamental. Dans toute la glande, richesse par
s lumen; follicules de volume variable, mais sans cyctes prononcés;
tissu
fibreux extrêmement restreint. Les cellules épith
nde et l'une des deux autres sont séparées de leur entourage par du
tissu
fibreux. L'une des deux inclusions situées plus
ibreux. L'une des deux inclusions situées plus profondément dans le
tissu
de la glande thyroïde a un diamètre de 3,5 mill
ules se touchent immédiatement par leur périphérie, les éléments du
tissu
coujonctif étant très rares dans les interstice
mée par deux corpuscules séparés l'un de l'autre par une cloison de
tissu
conjonctif. Sa structure ne diffère pas sensibl
e. Elle n'est séparée de son entourage que par une bande étroite de
tissu
conjonctif bien fin. Elle est, en général, form
groupes de cellules épithéliales qui offrent le même aspect que le
tissu
de la thyroïde. La quatrième inclu- sion est mo
premier cas de paralysie agitante. Dans les éléments cellulaires du
tissu
névroglique de la moelle épinière, nous n'avons
t spécialement de la thyroïde dans notre premier cas, influe sur LE
tissu
NEVUOGLIQUE du système NER- VEUX CENTRAL ET SUR
ment barbe et moustache, qui du reste ne seraient pas touffues ; le
tissu
adipeux est distribué d'une façon uniforme et abo
melles sont très bien développées et à cause de l'abondant dépôt de
tissu
adipeux elles forment à la base du sternum une so
n ensemble notre sujet a l'air un peu crétin, que les muscles et le
tissu
adipeux sont bien développés , il y a de la lor
ures principales. Sa musculature est presque celle d'un athlète, le
tissu
adipeux n'est pas ex- cessivement développé, le
oplates, l'exagération des courbes claviculaires, la raréfaction du
tissu
osseux des orteils et enfin, outre la micromélie
excepté l'ensellure. Les fesses sont proéminentes, avec beaucoup de
tissu
adipeux. Ce dernier est d'ailleurs généralement
nt très courts. Sa musculature a par contre l'aspect athlétique. Le
tissu
adipeux est plutôt peu abondant. La taille : 0
le transforma- tion adipeuse rappelant les vésicules graisseuses du
tissu
cellulaire sous-cutané. Excepté ces îlots riche
our 3 cent. 5 et 4 centimètres chez l'achondroplase. En général, le
tissu
osseux paraît, chez l'achondroplase, d'une spongi
n même temps un trouble de l'ossification portant sur l'ensemble du
tissu
spongieux. Au ni- veau des épiphyses et des os
peut tre expliquée par les seules modifications constatées dans les
tissus
environnant] la tumeur, mais plutôt par le dérè
: Etat présent. - Jeune fille bien développée, mesurant 1 m. 71. Le
tissu
adipeux se montre fortement développé à l'abdom
les. D'abord interprétée comme une maladie proprement localisée aux
tissus
cutanés, Thibtere en 1890 montra que la scléros
présentant encore l'existence de petits nodules calci- fiés dans le
tissu
cutané. Qans ce cas nous pûmes relever par la rad
douleurs aux genoux sont devenues continuelles, la peau et même le
tissu
sous-cutané de la région prérotulienne se sont
queuse buccale ne présente pas une pigmentation anormale, au cou le
tissu
cutané présente une coloration brune, bronzée s
nchâtre comme des écailles de pois- son, elles intéressent aussi le
tissu
sous-cutané, et parfois sont adhérentes au plan
rfaitement symétrique placée dans le sens vertical ; cette bande de
tissu
sclérosé se soulève d'un centimètre environ sur l
es sont douloureuses à la palpation. A leur niveau l'on sent que le
tissu
cutané est adhérent à la région sous-jacente, e
re, parsemée de taches dépigmentées ; elle se présente collée sur les
tissus
290 BERTOLOTTI - profonds, sans rides et sans
tractée, le pied est plat et le talon, à cause de la rétraction des
tissus
, est anguleux. L'atrophie musculaire, très accu
puis 6 ans, atteinte d'altérations sclérémateuses de la peau el des
tissus
sous-jacents, présentant leur maximum d'intensi
i pourrait démontrer une curieuse anomalie dans la rétrac- tion des
tissus
sous-cutanés et probablement du muscle orbiculair
a distinguer des scléroses banales de la peau. Après le derme et le
tissu
cellulaire hypodermique, les muscles eux-mêmes
s encore d'une infiltra- tion anormale de dépôts calcaires dans les
tissus
rétractés. Pour ce qui a traita la coloration b
on ne pouvait prétendre qu'elle fut secondaire à l'envahissement du
tissu
de sclérose (Brissaud) ; de plus on a remarqué
ous le nom de pierres de la peau, des exemples de calcification des
tissus
sous-cutanés ou de la peau elle-même. La premiè
e des pierres de la peau est carac- térisé par la présence dans les
tissus
sous-cutanés de nodosités calcaires (phosphate
caractérisée par des dépôts calcaires dans les tendons et clans les
tissus
cutanés et présentant au com- plet les allures
initial qui entraînerait à sa suite la transforma lion calcaire des
tissus
. Nous pouvons citer de nombreuses analogies en pa
dartos se répandent des vaisseaux lymphatiques très dilatés avec un
tissu
pariétal à fibres épaisses, que l'endothélium est
nt. Ainsi nous pouvons admettre qu'il y a de l'oedème dans tous les
tissus
des jambes. L'oedème est assez dur et il se lim
née du sciatique on voit augmenter considérablement d'une part : le
tissu
conjonctif périnerveux, d'autre part, le tissu co
ment d'une part : le tissu conjonctif périnerveux, d'autre part, le
tissu
conjonctif inters- titiel ; puis ces différents
utre part, le tissu conjonctif inters- titiel ; puis ces différents
tissus
conjonctifs se fusionnent l'un avec l'autre à l
attestant une disposition tourbillon- naira très caractéristique du
tissu
névromateux. Outre les fibres nerveuses suivant
eux, s'obser- vent de nombreuses fibres nerveuses s'égarant dans le
tissu
conjonctif entou- rant le névrome et dessinant
. Cette coque est formée, d'une part de trousseaux fibreux issus du
tissu
conjonctif interstitiel de chacun des faisceaux n
inalement se continuent avec la coque cicatrisante périphérique. Ce
tissu
conjonctif néoformé est richement vascularisé et
t par amitose ; les cellules ainsi néofor- mées essaimaient dans le
tissu
conjonctif environnant. La tunique interne de c
téressantes en ce sens que par place la lame élastique interne et le
tissu
con- jonctif sous jaceut-manquent et que par su
par suite l'intima se trouve réduit il l'en- dothélium. Au sein du
tissu
conjonctif- cicatriciel s'observent de place eu
nsterstices existant dans ces travées et aboutir enfin à la zone de
tissu
conjonctif compact que nous avons signalé plus ha
e énergique- ment ; ses cylindraxes s'accroissent et envahissent le
tissu
cicatriciel, beaucoup de ces cylindraxes s'épar
. Les fibrilles nerveuses néoformées cheminent en tous sens dans le
tissu
conjonctif. La fig. 4 - montre ce que nous appe
culaire, les organes génitaux, le système pileux, peut-être aussi les
tissus
adipeux, et aboutissant à un habitus général d'
e l'infantilisme myxoedémateux : l'infiltration caractéristique des
tissus
sous-cutanés manque totalement; l'intelligence
l'organisme a-t-il « figé le testicule au même titre que les autres
tissus
en lui laissant la sécrétion contemporaine norm
ue chacun d'eux est sous la dépen- dance d'une portion distincte de
tissu
hypophysaire, on sait que l'étude des syndromes
nt, s'accroissent par leurs bords, parleur face interne et par leur
tissu
interstitiel. Ces propriétés vitales très activ
ostose des 2 pièces voisines ; quelquefois c'est simplement dans le
tissu
interstitiel que ce processus reste cantonné co
les auteurs contemporains, non plus comme une affection limitée au
tissu
osseux, mais comme une maladie générale de tout
427 toxication rachitique, les secondes résultant de la réaction du
tissu
mé- ningé. A ce point de vue nos malades se rap
tre cas d'une fausse hypertrophie due plutôt à une prolifération du
tissu
conjonctif qu'a un dépôt de graisse. Ce n'est p
sfahigkeit des auteurs allemands) du lissu conjonctif d'un côté, du
tissu
nêvroglique de l'autre (v. E. ]Mû ! )er) (2). On
ayant admis la participation, dans le processus de réparation, et du
tissu
conjonctif et de la névroglie, nous nous en occ
, épaissie; pie-mère opaque, oedé- mateuse et aussi hyperémiée ; le
tissu
cérébral présentait les mêmes caractères d'hype
des érithrocytes disséminés; dans un endroit on trouve un foyer de
tissu
nécrotisé (vaisseau). Passant à l'étude du tiss
ouve un foyer de tissu nécrotisé (vaisseau). Passant à l'étude du
tissu
néuoglir¡1te, nous devons remarquer que la subs
mme nous le savons (Ileld) (5), ces dernières se présentent dans le
tissu
normal sous deux formes principales : sous form
onctionnelle du gliaspongium sera claire. Le fait de reconnaître au
tissu
névroglique non seulement le rôle de tissu de sou
e fait de reconnaître au tissu névroglique non seulement le rôle de
tissu
de sou- lien, mais encore et de plus de tissu p
seulement le rôle de tissu de sou- lien, mais encore et de plus de
tissu
prenant part à la formation des voies lymphatiq
érieur sur la pathogénie de ses modifications. Dans notre examen du
tissu
névroglique des foyers lésés du cerveau nous ir
ique des foyers lésés du cerveau nous irons petit à petit depuis le
tissu
normal des couches profondes du cerveau jusqu'à
ériphérie. Nous remarquons que le gliospongium finement réticulé du
tissu
normal devient un réliculum à mailles larges ;
isseau de l'écorce avec l'espace périvasculaire élargi et rempli de
tissu
réticulaire. L. lumen : mlr, membrane réticulaire
es allongées (cellules épitliélioïdes). Ce sont des cellules non du
tissu
névronlique, maisdu tissu conjonctif, car elles p
tliélioïdes). Ce sont des cellules non du tissu névronlique, maisdu
tissu
conjonctif, car elles présentent un lien organi
anique et génétique très intime avec les fibrilles conjonctives, le
tissu
réticulé (voir plus bas). Voyons plus loin comm
su réticulé (voir plus bas). Voyons plus loin comment se modifie le
tissu
névroglique en allant de la région lésée vers l
ge vaisseau lymphatique qui se divise en plus dans la profondeur du
tissu
. A la périphérie le gliaspongium s'est différen
onomes, on peut parler ici de l'autono- mie de toute une portion de
tissu
nêvroglique. Là les cellules névrogliques chang
est tout il fait changé. On a un aspect pathologique particulier du
tissu
névroglique très caractéristique pour les granula
ntripète ; à cause de cela la direction de la croissance normale du
tissu
est modifiée et l'on n'a plus la disposition no
es de la surface voisine (externe et périvasculaire) du cerveau. Le
tissu
névroglique devient impénétrable pour la lymphe
réticulaire plus bas). Nous avons examiné une forme pathologique du
tissu
névroglique riche en protoplasma (endoplasma ce
roit, il la pé- riphérie, se trouve une autre forme pathologique du
tissu
névroglidue ca- ractérisée par sa richesse en f
en faisceaux (PI. LXII, fig. 4). Les cellules faisant partie de ce
tissu
névroglique s'éten- dent perpendiculairement à
s. Cette forme de la névroglie ressemble, grâce à ses fibrilles, au
tissu
conjonctif fibrillaire, mais il en est nettement
t nettement différencié par les traits suivants : 1° cette forme de
tissu
névroglique est continuée immédiatement par d'a
ibrillaire. Ainsi nous avons examiné deux tableaux pathologiques du
tissu
névro- glique ayant des propriétés bien définie
la région donnée du cerveau; '1° le fait qu'il perd sa fonction de
tissu
lymphoïde, nous l'appelons tissu 1aéo)-nliqiGe
le fait qu'il perd sa fonction de tissu lymphoïde, nous l'appelons
tissu
1aéo)-nliqiGe «typique, cette formation corresp
lons tissu 1aéo)-nliqiGe «typique, cette formation correspondant au
tissu
conjonctif cicatriciel. Voyons maintenant le rô
ndant au tissu conjonctif cicatriciel. Voyons maintenant le rôle du
tissu
conjonctif dans le processus de ci- catrisation
ployons la méthode de BielscllOwsky modifiée par nous (fixation du
tissu
dans une solution d'aluminate de fer-ferro-ammo
l contient un réseau très fin de fibrilles conjonctives (réticulum,
tissu
réti- culé d'après Ranvier, Boeld, Weidenreich,
ès Key-Retzius) dont nous avons déjà parlé mais aussi d'un très fin
tissu
réticulé à mailles étroites qui forme avec les ce
eux capillaires voisins sont réunies par des fibrilles allant dans le
tissu
cérébral intervasculaire (S. Ramon y Cajal). Qu
le, on peut s'attendre à trouver un développement consi- dérable du
tissu
conjonctif ? En faisant l'examen de l'endroit lés
s inverse au précédent, depuis la dure-mère dans la pro- fondeur du
tissu
. La partie supérieure de la figure 6 appartient
gure 6 servait de démonstration évidente de ce que le réticulum (le
tissu
réticulé) ne présente que la continuation des fib
inuation des fibres collagènes. En allant plus profondément dans le
tissu
cérébral, nous nous occupe- rons exclusivement
r prolifération à la périphérie du cerveau au ni- veau des ilots du
tissu
névroglique atypique ? Les réseaux fibrillaires l
es proliférés à la périphérie de l'é- corce; en bas il y passage au
tissu
normal. La prolifération des réseaux conjonctif
aires des gros vaisseaux palhologiquement élargis et remplis par le
tissu
réticulaire. Les points plus sombres représente
ce sont les bourgeons latéraux. En passant en revue les tableaux de
tissu
conjonctif que nous avons examinés, nous pouvon
tif que nous avons examinés, nous pouvons dire que nous avons vu le
tissu
conjonctif anor- malement proliféré en forme de
or- malement proliféré en forme de réseaux fibrillaires (réticulum,
tissu
réti- culé) ; c'est un réseau continu qui, à la
u. Par rapport aux systèmes vasculaire et lymphatique du cerveau le
tissu
conjonctif continue sa l'onction qui lui est co
ement. Le réticulum proliféré peut être considéré comme un drain du
tissu
, utile à la circulation lymphatique; l'élargiss
élargissement des espaces lymphatiques aux endroits de formation du
tissu
névroglique atypique peut être considéré jusqu'
signes que nous avons mis comme base de différen- ciation entre le
tissu
névroglique typique et atypique, nous pouvons dir
, nous pouvons dire que le réliculum pathologique du cerveau est un
tissu
typique. Mais dans notre cas déjà on peut voir
les figures, le commencement de for- mation d'une forme atypique de
tissu
conjonctif, tissu cicatriciel. Il faut croire q
mmencement de for- mation d'une forme atypique de tissu conjonctif,
tissu
cicatriciel. Il faut croire que la nouvelle cou
dans la région motrice comme dans le cas donné le développement du
tissu
névroglidue atypique qui lui est nuisible et du
eloppement du tissu névroglidue atypique qui lui est nuisible et du
tissu
cicatriciel, en oulre des espaces lymphatiques él
gros volume des orteils tenait en grande partie à l'exubé- rance du
tissu
osseux. Voici en effet la description du squele
urtout leurs extrémités, pré- sentent une exubérance remarquable du
tissu
osseux : des apophyses sont disséminées à leur
oelle est gélatineuse, demi-fluide, de coloration gris-brunâtre, le
tissu
fait saillie sous la section, et on ne peut dis
ouve les racines sacrées agglutinées en une masse très adhérente de
tissu
de nouvelle formation. Observation III. J. Ju
ône terminal (extrémité inférieure de la Ire vertèbre lombaire), le
tissu
granuleux englobant la partie correspondante de
- Injection de sérum artificiel (formule Hayem) 100 grammes dans le
tissu
cellulaire sous-cutané au point de vue de la réac
l'oedème : et celui-ci est bien un épanchement de sérosité dans le
tissu
cellulaire, puisque le doigt laisse son emprein
de l'épiderme et du derme, mais encore et surtout, semble-t-il, du
tissu
cellulaire sous-cutané. Dans mon observation pers
cette stase sont engendrés, rapidement, des troubles nutritifs des
tissus
: d'où névrites légères, amenant ces sensations
, ces engourdissements, etc., d'où, également, cette hyperplasie du
tissu
cel- lulaire sous-cutané amenant l'augmentation
lamineuse, celle qui voit dans l'affection une atrophie primitive du
tissu
cellulaire sous-cutané et qui est exposée dans
r paralysie vasoconstrictive. L'oedème est produit. La réaction des
tissus
environnants intervient. L'épine irritative se
yme normal jusqu'à la périphé- rie. Les parois sont limitées par un
tissu
condensé au-dessous duquel est un tissu clair,
parois sont limitées par un tissu condensé au-dessous duquel est un
tissu
clair, 'vacuolaire, tous éléments d'origine névro
ssent de place en place la paroi antérieure ; elles reposent sur un
tissu
névroglique clair, vacuolaire, qui forme une larg
lle celles que l'on a observées dans certai- nes pseudarthroses. Le
tissu
fibreux interposé entre ces parties osseuses li
oque externe, mince, flexible, crépitante ; à leur intérieur est un
tissu
mou, graisseux, aréolaire, d'aspect médullaire.
de la fosse temporale gauche s'ouvre une fistulette, en- tourée de
tissus
rouges, bourgeonnants, indurés, peu mobiles sur l
au de la région dorsale. La moelle tout entière est engainée par un
tissu
blanchâtre, d'aspect fibreux, lamellaire, ne co
oute la base du cerveau, on note les particularités suivantes : les
tissus
de néoformation donnent l'aspect, tantôt d'un c
bords et le centre de la lésion. En suivant la surface cérébrale du
tissu
sain vers la région atteinte, on voit la pie-mè
la substance cérébrale intacte apparaît légèrement tassée devant le
tissu
envahissant, mais sur une faible épaisseur. En
paisseur. En allant vers la surface on voit d'abord, à la limite du
tissu
infiltré, la ligne parfois très précise, formée
une zone d'un bleu intense, accentuant encore l'opposition des deux
tissus
. Au-dessus d'elle, on retrouve la disposition des
e. H. Dégénérescence hyaline d'un vaisseau de l'ence- phale dans un
tissu
d'infiltration. C. Coupe de la n : oe) ! e déform
lumière irrégulière contenant quelques globules rouges, entourée de
tissu
homogène ou légèrement fibrillaire et de quelqu
is d'une auréole de noyaux étroitement tassés,en continuité avec le
tissu
d'infiltration environnant (PI.XXI, B) ; tantôt
n crânienne, le tassement de la substance nerveuse est extrême ; le
tissu
con- jonctif en larges bandes forme les 2/3 de
nt couvertes de nombreux noyaux ; en pénétrant de la cavité dans le
tissu
cérébelleux, l'infiltration nucléaire se fait d
res le cordon antérieur sans le refouler, mais en se substituant au
tissu
nerveux, comme dans les lésions de l'encéphale pr
pta. Vers l'extérieur se trouve l'immense territoire occupé par les
tissus
néoformés, dont la surface équivaut parfois à c
ment ramollie. Ses vaisseaux sont très nombreux : simples fentes du
tissu
conjonctif larges vaisseaux à parois minces, go
aux siège généralement IL111 son voisinage immédiat. Cette masse de
tissu
jeune très vascularisé pénètre en général jusqu'a
par places, moulées les unes sur les autres, au point de simuler un
tissu
caver- neux. Il n'y a d'ailleurs a ce niveau au
un et l'autre subissant d'ailleurs une réparation incomplète par un
tissu
fibroïde et exceptionnellement par du tissu oss
ation incomplète par un tissu fibroïde et exceptionnellement par du
tissu
osseux. Nous savons, depuis Fournier, la fréquenc
halie) ; la réaction inflammatoire et la transformation fibreuse du
tissu
gommeux ont déterminé à plus ou moins longue éc
ulation de vaisseaux à endo- thélium net, semblant creuser en plein
tissu
fibreux, sans parois visi- bles et simulant un
euser en plein tissu fibreux, sans parois visi- bles et simulant un
tissu
caverneux. Boettiger signale la grande abondance
e et leur rareté re- lative dans les amas nucléaires. L'anneau de
tissu
jeune entourant la moelle est surtout intéressant
béanles sur une coupe permettaient de comprendre la vitalité de ces
tissus
jeunes, presque complètement indemnes des dé- g
en- vahissement des méninges : la gomme naît dans le périoste ou le
tissu
osseux, perfore la table interne, atteint les t
périoste ou le tissu osseux, perfore la table interne, atteint les
tissus
sous-jacents et produit des symphyses multiples
à une milice couche de quelques millimètres, est constituée par un
tissu
de sclé- rose contenant de nombreux foyersde ra
hélium y est sur une seule assise, parfois sur deux ; autour est un
tissu
fibrillaire, aréolaire rappelant le tissu névrogl
sur deux ; autour est un tissu fibrillaire, aréolaire rappelant le
tissu
névroglique (PI.XXX, B). 2° D'autre part les vé
ctuation profonde,, correspondant à une sorte de ramollissement des
tissus
profonds. Dans la crainte de laisser écouler ce
ise disposées symétriquement de chaque côté de la ligne médiane. Le
tissu
néoplasique apparaît sous forme d'une masse irr
apparaît sous forme d'une masse irrégulière qui a remplacé tous les
tissus
centraux, en les refou- lant à la périphérie, l
nce grise, dont il ne reste aucun vestige apparent sur la coupe, le
tissu
néoplasique a gagné les cordons blancs environnan
a tumeur tout entière avec la façon dont elle est enchâssée dans le
tissu
médullaire, on voit qu'elle a la forme d'une ma
ur, de son volume, de sa forme, de son influence destructive sur le
tissu
médullaire. Nous allons aborder maintenant l'ét
son point de départ, et examiner les lésions qui résultent pour les
tissus
environnants de son développement au milieu d'eux
tion des vaisseaux ; et il est facile de suivre la pro- gression du
tissu
néoplasique le long des capillaires qui vont des
longés ou ondulés. Par suite du développement continu de ce nouveau
tissu
autour des vaisseaux, suivant les réseaux névrogl
'est que c'est à cette thrombose que ressortit la dégénérescence du
tissu
voisin. Dans toute la zone en rapport avec ces
ée par de petits capillaires colla- téraux également thromboses, le
tissu
néoplasique a perdu toute vitalité; les cellule
s pra- tiquées aux divers étages. Au niveau de la coupe C, VI, le
tissu
médullaire ne parait pas sensiblement modifié.
toute trace de canal épendymaire, l'envahissement presque total du
tissu
médullaire à ce niveau, et aussi l'envahissemen
édullaire à ce niveau, et aussi l'envahissement des méninges par le
tissu
néoplasique. La tumeur par son développement ex
umeur par son développement excentrique et son infiltration dans le
tissu
médullaire tend à remplacer complètement celui-ci
s que quelques cellules des cornes antérieures perdues au milieu du
tissu
de nouvelle formation. La substance blanche est
t également envahie, les tubes nerveux sont étouffés d'abord par un
tissu
névroglique exubérant que remplace bientôt' le
d'abord par un tissu névroglique exubérant que remplace bientôt' le
tissu
de la tumeur. En certains points même, vis-à-vi
de la corne antérieure droite, et, au fond du sillon antérieur, le
tissu
néoplasique a gagné la périphérie, a en- vahi l
ïdienne, et se caractérise par la formation d'une couche épaisse de
tissu
en tous points analogue à la névroglie qui entour
ints analogue à la névroglie qui entoure normalement la moelle ; ce
tissu
sert pour ainsi dire de guide à la tumeur, car c'
es. En dehors de ces amas vascu- laires, les vaisseaux pénètrent le
tissu
de la tumeur dans diverses directions, et les c
us des incidences variées. Malgré cette vascularisation intense, le
tissu
de la tumeur dans la région de coupe qui nous o
la fissure, leur extrémité filiforme se perd et se mélange dans le
tissu
néoplasique envi- ronnant. Ces vestiges du cana
llules migratrices. Au niveau de la coupe D,IV, il n'existe plus de
tissu
néoplasique. On voit une cavité pseudo-kystique
de dégénérescence signalée aux étages supérieurs de la moelle ; le
tissu
y est comme dissocié par un liquide d'oedème.
e haut, extension ascen- dante par conséquent. Le développement des
tissus
nouveaux se faisait aux dépens du tissu médulla
uent. Le développement des tissus nouveaux se faisait aux dépens du
tissu
médullaire, qu'ils remplaçaient an sur et à mesur
de ce qu'elles pouvaient être dans tout autre cas de destruction du
tissu
médullaire, et aussi ne nous y attarderons-nous
umeur de nature nerveuse, développée aux dépens de la névroglie, ce
tissu
de soutien spécial des centres nerveux. Cette o
ncontrent dans les gliomes les formes étoilées qui caractérisent le
tissu
interstitiel du système nerveux. « Leurs élémen
ment plus petites que dans le sar- come, et que dans le premier, le
tissu
interstitiel est plus abondant, plus serré, plu
on). 2° Macroscopiquement et microscopiquement le mélange intime du
tissu
néoplasique avec le tissu médullaire, névrogliq
et microscopiquement le mélange intime du tissu néoplasique avec le
tissu
médullaire, névroglique en particulier sont une
ayant encore leurs prolongements. Ce caractère de mélange intime du
tissu
gliomateux et du tissu médul- qui est considéré
ongements. Ce caractère de mélange intime du tissu gliomateux et du
tissu
médul- qui est considéré généralement par les a
capables d'être séparés complètement par des moyens mécaniques des
tissus
(1) D'après Bruns, Die Geschiviiiste (les \'erv
s microscopiques dans les diverses coupes examinées. 4° Enfin, le
tissu
gliomaleux présentait le caractère bien spécial d
HE des vaisseaux, du peu de résistance de leurs parois au milieu du
tissu
environnant profondément altéré. La stase, el
une inflammation banale ou spéciale, mais à l'envahissement par le
tissu
névroglique néoplasique lui-même. Considérati
que la tumeur tout entière était pour ainsi dire enchâssée dans le
tissu
médullaire, comme pourrait l'être une masse uni
imitées, sont, par places, en voie de dégénéres- cense muqueuse. Le
tissu
conjonctif est relativement abondant dans la régi
ctives. On remarque la présence du pigment dans les vésicules et le
tissu
interstitiel. Système nerveux (2). Bien qu'il n
men histologique a montré qu'elles étaient formées non seulement de
tissu
fibreux adulte, mais surtout de tissu osseux. (
ient formées non seulement de tissu fibreux adulte, mais surtout de
tissu
osseux. (1) Une regrettable erreur de technique
ies, auxquelles le squelette participe au même degré que les autres
tissus
, elles simples éléphantiasis congénitaux des pa
éminente qu'à gauche, abaissée et portée en dehors. La peau et le
tissu
cellulaire ne présentent rien d'anormal. Les mu
maladie de Recklinghausen n'est-elle qu'un mode de dystro- phie du
tissu
nerveux et cutané,qui, dans certains cas, vient s
a partie supérieure de ce dernier se termine brusquement, en pleins
tissus
, par une surface mousse arrondie, située à 7 ou
n soit la forme (1), n'est pas d'ordinaire stricte- ment limitée au
tissu
osseux. Bien au contraire, elle porte sur l'ensem
ée au tissu osseux. Bien au contraire, elle porte sur l'ensemble du
tissu
conjonctif embryonnaire du membre, sans égard pou
égard pour les dif- férenciations ultérieures qu'aurait acquises le
tissu
conjonctif. Les mas- ses musculaires sont const
sus ne soulève aucune difficulté ; suivant toute évidence, c'est le
tissu
conjonctif embryon- naire qui est en cause. Mai
'est peut-être pas absolument simple de pénétrer de quelle façon ce
tissu
est intéressé. z Sans doute, l'inspection la pl
Tel n'est point le cas, puisque loin de conserver une forme jeune ce
tissu
conjonctif a acquis tous les caractères adultes
e jeune ce tissu conjonctif a acquis tous les caractères adultes du
tissu
fibreux, et l'on sait que ce tissu fibreux ne c
s tous les caractères adultes du tissu fibreux, et l'on sait que ce
tissu
fibreux ne constitue nullement une forme de passa
sens cartilagineux, l'ébauche embryonnaire a évolué dans le sens de
tissu
con- jonctif adulte, ce tissu conjonctif a pris
embryonnaire a évolué dans le sens de tissu con- jonctif adulte, ce
tissu
conjonctif a pris la forme fibreuse. Il aurait pu
jonctif a pris la forme fibreuse. Il aurait pu rester en- l'état de
tissu
lâche ou faiblement condensé, l'important c'est
la main droite qu'à la main gauche, et nous pouvons admettre que le
tissu
embryonnaire qui devait les former, changeant son
les former, changeant son orien- tation histogénique, est devenu du
tissu
conjonctif banal. Quoi qu'il en soit, nous devo
l'artère radiale ; qu'elle ne saurait surtout expliquer pourquoi le
tissu
conjonctif embryon- naire s'est transformé en t
uer pourquoi le tissu conjonctif embryon- naire s'est transformé en
tissu
fibreux. Une compression, quelle qu'elle soit,
mais non point transformer la constitution histologique même de ce
tissu
squelettique. L'action mécanique ne permet pas
dmettre qu'un facteur mécanique puisse faire un choix judicieux des
tissus
et des organes à détruire, il l'est bien moins
question d'origine. Que la modification initiale ait pour siège le
tissu
des membres ou celui de l'axe nerveux, quelle q
es parties osseuses sous-ja- centes, on y arrive difficilement : le
tissu
cellulaire est épaissi, induré; il marque les s
paraît rugueux, déchiqueté, privé de son cartilage articulaire ; le
tissu
osseux est friable, se laisse entamer facilement.
t de la région a été profondément modifié. Des abcès multiples, des
tissus
sphacèlés, l'issue au dehors des extrémités oss
fectieuses ne sont pas restées localisées à la tibio-tarsienne. Les
tissus
péri articulaires, les gaines tendineuses et les
n faisait une articulation ultra-ballante. La capsule rétrécie, les
tissus
ligamenteux (1) Quelques interventions récentes
issement de la solidité du membre inférieur ; on a vu cependant les
tissus
péri-articulaires se rétracter et mettre ainsi au
tion ; celle-ci doit être réservée aux cas désespé- rés, lorsque le
tissu
osseux a entièrement disparu ; mais lorsque le sq
ellen ne dérivent ni des éléments du sang, ni des cellules fixes du
tissu
conjonctif (fibroblastes), mais sont des cellules
e à l'épaississement de la peau, mais surtout à la prolifération du
tissu
cellulo-adipeux qui, au niveau des parties décliv
xication. Du reste,les trophoedèmes,cet aulre mode de dystrophie du
tissu
cellulo- cutané, peuvent aussi être favorisés p
poignet étaient absolument intacts, mais ils étaient séparés par un
tissu
cellulaire très lâche dans lequel on remarquait
ncision, on trouve, entre les muscles, un amas jaunàtre,moucomme du
tissu
adipeux,et sans connexions intimes avec les apo
rouve le névrome ter- minal adhérent par une languette fibreuse aux
tissus
voisins. Il résèque le moignon du nerf à 1 cent
du nerf dont la charpente conjonctive est épaissie et scléreuse. Le
tissu
adipeux siège surtout entre les faisceaux et ne p
adipeux siège surtout entre les faisceaux et ne pénètre pas dans le
tissu
intra-fasciculaire. Il s'agit, dit lleslay, d'un
ablement épaissies. 3° Tronc du médian. Plus on s'élève, moins le
tissu
lâche cellulo- adipeux séparant les faisceaux n
ement assez espacées et dissociées comme par un état oetima ? Ix du
tissu
interstitiel. . B. Bout périphérique. 1° Poin
nal. Les coupes, tant longitudinales que transversales, montrent un
tissu
cellulo-adipeux lâche, riche en graisse, dissoc
nombreuses. 2° Corps du névrome. Sur les coupes longitudinales, le
tissu
cellulo- adipeux est dissocié par des faisceaux
vre. A un faible grossissement, ces faisceaux paraissent formés d'un
tissu
fibreux compact dans lequel le Pal, ni la safra
antôt assez serrées, tantôt assez espacées. Dans ce dernier cas, le
tissu
rosé qui les sépare n'est pas uniquement du tis
e dernier cas, le tissu rosé qui les sépare n'est pas uniquement du
tissu
conjonctif comme on pourrait le supposer, mais
le même faisceau coupé dans les deux sens, on se rend compte que le
tissu
interstitiel, séparant les fibres apparentes dans
ologiquement, le bout central montre ses faisceaux dissociés par.du
tissu
cellulaire lâche et du tissu adipeux. Ces faiscea
montre ses faisceaux dissociés par.du tissu cellulaire lâche et du
tissu
adipeux. Ces faisceaux, petits, éparpillés et e
nce de fibres divisées en Y. L'évolution clinique, cette ébauche de
tissu
plexiforme, ces tubes en voie de néoformation a
semblable et aient ainsi concouru, pour une part, à la formation du
tissu
adipeux qui infiiti e le tronc nerveux. Les fib
s faisceaux nerveux de la figure D à un très fort grossissement. Le
tissu
conjonctif constitue une enveloppe fibreuse con
540 gr., sa densité était 1059. Le corps pituitaire était petit; le
tissu
conjonctif, un peu plus abondant qu'il l'est no
st monoalvéolaire; les vésicules sont très déformées; les noyaux du
tissu
conjonctif sont très nombreux, allongés et mani
és et manifestement multipliés. Dans les cellules qui infiltrent le
tissu
conjonctif, la plupart des noyaux se sont color
leurs, les membres et le tronc paraissent épaissis, c'est que là le
tissu
graisseux est augmenté. La palpation ne donne p
photographies ci-contre : l'infiltration a complètement disparu,le
tissu
adipeux est fondu et le malade,qui a grandi de
trouvés dans les auteurs ou dans notre observation personnelle, le
tissu
graisseux ne fait saillie à la racine du membre,
s permettra encore une nutrition suffisante pour éviter la mort des
tissus
et attendre le rétablissement d'une circulation
nt d'être énucléée à cause de sa dureté. La tumeur tranchait sur le
tissu
nerveux par sa couleur d'un blanc jaunâtre et p
ral de subs- tance caséeuse, enveloppé par une zone circulaire d'un
tissu
de sclérose, formé de lames conjonctives anasto
elle est bordée d'une ligne sombre qui indique un épaisissement du
tissu
compact de l'os plus accentué que dans les autr
trième métacarpien, à droite comme à gauche ; cet os est formé d'un
tissu
moins compact que celui de ses voisins ; du côt
antage. On sait que le corps thyroïde de l'homme se compose de deux
tissus
, l'un 'thyroïdien, l'autre parathyroïdien corre
s qu'on peut dès à présent mettre à profil, que la suppres- sion du
tissu
thyroïdien détermine les dystrophies du tégument
cte, c'est Bulhak, dans sa thèse sur l'ossification des muscles et du
tissu
teudineux (1860). Il concerne le nommé Carey et
stades de la myosite : Ossification, au grand dorsal ; formation de
tissu
fibreux, au biceps droit ; prolifération du tissu
rsal ; formation de tissu fibreux, au biceps droit ; prolifération du
tissu
conjonctif, dans les fléchisseurs des avant-bra
, qu'ils appar- tiennent aux os, aux tendons, aux aponévroses ou au
tissu
conjonctif in- termusculaire. ' Pour lui l'at
on coxo-fémorale. » Hamilton place donc nettement la lésion dans le
tissu
conjonctif des aponévroses ; Hawkins se demande
Hawkins se demande également pourquoi la lésion se localise dans le
tissu
conjonctif. En 1879, Ilelferich, à propos d'un
proprement dite, ladiathèse ossifiante s'attaque principalement au
tissu
conjonctif que celui-ci appartienne aux muscles
ue c'est là qu'il est le plus fréquent. Les lésions débutent par le
tissu
conjonctif intermusculaire ; cette loca- lisati
ossifiante interstitielle. Une infiltration plus ou moins riche du
tissu
intermusculaire constitue le commencement des t
de volume, et ses différents faisceaux sont comme submergés dans un
tissu
embryonnaire mou, oedémaLié, c'est ce qui donne
ncision au niveau de la tùmeur, dit-il, fait voir que la peau et le
tissu
cellulaire sont normaux.Le muscle est très tumé
est polie, brillante, oedématiée. » L'examen microscopique donne un
tissu
embryonnaire jeune, il n'offre pas en effet de
laire même, mais une lésion très intense et tout à fait récente- du
tissu
conjonctif interlihrillaire. Dans les points où
en que là où il sépare isolément les fibres les unes des autres, le
tissu
conjonctif est proliféré, prolifération qui est s
ion nucléaire. » Au deuxième stade, stade d'induration fibreuse, le
tissu
embryonnaire s'organise en tissu conjonctif adu
e, stade d'induration fibreuse, le tissu embryonnaire s'organise en
tissu
conjonctif adulte ; celui-ci prolifère de plus en
du muscle resté sain, montre la continuation de la première dans le
tissu
intermusculaire ; celui-ci apparaît d'abord éla
e pareils amas de cellules géantes. Une étude plus complète de ce
tissu
de nouvelle formation, fait voir que les traîné
ice de ces derniers semble participer partout à la prolifération du
tissu
conjonctif, et qu'autour des capillaires enfin
illaires enfin on voit une infiltration modérée de leucocytes. Le
tissu
conjonctif également est très riche en cellules d
la tumeur, là où ces grosses cellules se trouvent plus libres dans un
tissu
conjonctif plus spongieux, l'étiforiiie, elles
es cellules cartilagineuses-sans capsule; un peu en dehors, dans le
tissu
conjonctif plus dense, au contraire, elles sont t
l'ancien périmysium interne, la tumeur est uniquement formée par du
tissu
con- jonctif fin, muni de grosses cellules et d
jonctif fin, muni de grosses cellules et de nombreux vaisseaux. Ce
tissu
celluleux et les différents aspects qu'il revêt i
différents aspects qu'il revêt implique l'idée qu'il s'agit là d'un
tissu
embryonnaire muni de nombreuses cellules con- j
jonctives. Celles-ci proviennent de la prolifération des cellules du
tissu
conjonctif, et, dans les larges traînées conjon
mation de substance hyaline. D'autres coupes nous monlrent, dans un
tissu
extraordinairement riche en cellules et en vais
llules embryonnaires, dans un ordre presque régulier, s'adaptent au
tissu
condensé, formant ainsi des trabécules ostéoïdes.
les ostéoïdes. Au niveau des tendons apparaît une multiplication du
tissu
interstitiel, des cellules embryonnaires nombre
es fibres musculaires s'insèrent sur le tendon fait voir comment le
tissu
embryonnaire néol'ormé, se continue sans tran-
ment sur l'os. On conçoit qu'il soit alors impossible de dire si le
tissu
néoplasique, ayant débuté d'abord dans le muscl
e muscle. DE LA MYOSITE OSSIFIANTE PROGRESSIVE 123 Formation d'un
tissu
conjonctif adulte avec atrophie des fibres muscu-
u deuxième stade de la myosite ossifiante. Nous avons vu combien ce
tissu
est riche en éléments cellu- laires de formes v
pathologiques futures. Tenant compte des lésions survenues dans le
tissu
conjonctif du pour- tour des masses osseuses, M
n fibreuse; Nicoladini alla plus loin, il admit la forma- tion d'un
tissu
d'abord indifférent mais pouvant aboutir plus tar
tion d'un tissu d'abord indifférent mais pouvant aboutir plus tard au
tissu
conjonctif dense des cicatrices ou au tissu oss
nt aboutir plus tard au tissu conjonctif dense des cicatrices ou au
tissu
osseux. Dans maints faits la tumeur s'arrête au
eux ; 2° Plus en dehors se voit une couche plus ou moins épaisse de
tissu
fibreux dense, qui s'infiltre dans les interstice
, etc., etc. ; 3° Enfin tout à fait à la périphérie de la coupe, le
tissu
mus- culaire normal se montre avec tousses attr
mal se montre avec tousses attributs. Pour Munchmeyer, la couche de
tissu
conjonctif qui avoisine ce noyau se transforme
orme en périoste normal ; l'ossification progresse toujours sur du-
tissu
fibreux, et les dépôts osseux ne se rencontrent n
, elles sont dues à l'étranglement des faisceaux musculaires par le
tissu
con- jonctif rétractile, à un trouble de la nut
iode fibreuse de l'évolu- tion de ses lésions ; presque toujours au
tissu
fibreux, fait suite l'ossifica- tion ; enfin tr
ays) : « Ceci n'a rien qui doive nous surprendre étant donné que le
tissu
fibreux constitue le terrain commun sur lequel pe
le terrain commun sur lequel peut se développer indistinctement du
tissu
cartilagineux ou du tissu osseux (Munchme.) er).
uel peut se développer indistinctement du tissu cartilagineux ou du
tissu
osseux (Munchme.) er). Plus souvent une petite
ineuse, tandis que la masse presque tout entière .est formée par du
tissu
osseux solide (tumeurs de la région fessière dans
e; 2° Dans une'môme masse néo- plasique, on trouve dans un point du
tissu
conjonctif avec des nombreuses cellules embryon
conjonctif avec des nombreuses cellules embryonnaires, ailleurs du
tissu
osseux, plus loin du cartilage (Lexer) ; 3° Un
nt ossifié, enlevé au biceps, on pouvait voir au mieux la série des
tissus
musculaire, conjonctif, cartila- gineux,étagés
colonne vertébrale, par exem- ple, sont réunis par deux couches de
tissu
compact qui recouvrent leurs surfaces (Gerber-M
s os longs, les os du pubis et les ischions, les rotules offrent un
tissu
telle- ment tendre qu'une épingle les pénètre f
e ossifiante progressive un déplacement de la substance osseuse. Le
tissu
conjonctif est en général très développé dans tou
ont la substance médullaire très dure est limitée par une écorce de
tissu
compact. Les rapports de la substance spongieus
différents par place. Au microscope, elles offrent la structure du
tissu
osseux compact; on y constate des trous nourric
que partout ailleurs et sillonnée de larges vaisseaux veineux ; le
tissu
cellulaire sous-cutané est lui-même atteint, très
on inflammatoire de l'ap- pareil ligamenteux et par l'oedème dur du
tissu
cellulaire sous-cutané ; jamais l'inflammation
muscle, nous trouvons que souvent tout le muscle est transformé en
tissu
osseux ou fibreux; d'autres fois seule la portion
la colonne vertébrale. Lorsque la myosite s'attaque à un muscle, le
tissu
interstitiel de ce der- nier s'infiltre d'abord
'abord de cellules embryonnaires ; à celles-ci succède bien- tôt du
tissu
conjonctif, adulte qui subissant la rétraction in
tritive entre les muscles, qui ont une nutrition très active, et le
tissu
osseux dont les échanges sont si restreints. Ha
t il la suite d'une irritation causée par les ossifications sur les
tissus
avoisinants, comme Rogers en a constaté deux, à l
ar les masses osseuses, épanchement de micro-organismes au sein des
tissus
et formation consécutive de pus. Étiologie, P
l'hyperplasie inflammatoire du tissufi breux, l'ossification de ce
tissu
aux abords des articulations, rapprochent inconte
' Ziégler pour expliquer la localisation des masses osseuses dans le
tissu
conjonctif de l'appareil locomoteur attribue à
es; la multiplicité des systèmes atteints, os, muscles aponévroses,
tissu
conjonctif et cela toujours dans l'appareil locom
sait d'une inflammation chronique des muscles avec participation du
tissu
conjonctif inter et intra-musculaire et du sarc
myosite parenchymateuse primitive avec participation secondaire du
tissu
conjonctif intermusculaire. Les muscles dispara
faisant alors complètement défaut. Duems croit à une irritation du
tissu
conjonctif par les traumatismes et 16C C) A. \\
it pas bien des métastases ayant une prédilection exclusive pour le
tissu
conjonctif de l'appareil locomoteur et ne se lais
er plus tard, envoie des traînées conjonc- tives assez loin dans le
tissu
intermusculaire, de telle sorte qu'on n'est jam
ennemis. Au contraire nous voyons partout que tel ou tel organe ou
tissu
ci côté de son rôle défensif a une fonction plus
miques et physiologiques ne contredisent pas cette explication. Les
tissus
, privés des sensations tactiles et thermiques, so
re de ces provocateurs et les changements produits par eux dans les
tissus
sont très peu connus. Je m'en tiens à l'un des pr
se de la douleur sera toujours le traumatisme, suivi des lésions du
tissu
nerveux ou d'autres changements anatomiques. Po
ne série considérable, confluente, de dépressions pénétrant dans le
tissu
osseux et y faisant de véritables lacunes, les un
ble. Il est à remarquer, en outre, que l'épaisseur moins grande du
tissu
com- pact du côté atrophié laisse apercevoir le
ins grande du tissu com- pact du côté atrophié laisse apercevoir le
tissu
spongieux Il semble, en outre, que le condyle i
te. Au niveau du membre inférieur droit, on constate de l'oedème du
tissu
cellulaire sous-cutané, beaucoup moins marqué q
L. On voit en A l'atrophie des fémur, tibia, péroné. L'épaisseur du
tissu
compact est diminuée de ce côté. On se rend com
'héll1atoxy[ine-¿osine, un épaississement considérable et ancien du
tissu
conjonctif inter-fasciculairo, sans sclérose intr
se intra-fasciculaire, sans for- mations embryonnaires au niveau du
tissu
interfasciculaire. Il semble donc qu'il s'agiss
out sur les coupes transversales. Il existe des travées épaisses de
tissu
conjonctif entre les faisceaux secondaires et ter
vaisseaux. Le processus semblait s'être confiné entièrement dans le
tissu
musculaire ; les organes thoraciques et abdomin
de leur étendue sous forme de travées transversales séparées par du
tissu
sain. Même état du bord interne du del- toïde g
and complexus gauche. Le sterno-mastoïdien gauche est transformé en
tissu
fibreux. 3° Le tiers antérieur du deltoïde se c
rtion inférieure et interne du triceps du même côté. L'aspect de ce
tissu
de nouvelle formation n'est pas le même partout.
able. C'est dans cet état que se trouve la plus grande partie de ce
tissu
, il en est de même dans les membres supérieurs
ux nourri- ciers. Dans l'espèce de canal qu'elle forme on trouve un
tissu
spongieux com- posé de cellules hexagonales. '
meur diminue, devient très dure et irrégulière, le 2fi la peau et le
tissu
cellu- laire redeviennent mobiles sur le muscle
ion survient-elle, pourquoi l'ossification se produit- elle dans le
tissu
conjonctif du muscle, je ne saurais le dire. DE
rtèbre : substance médullaire très rouge, limitée par une écorce de
tissu
compact. Les rapports de la substance corticale e
e humérale inégale. L'atrophie du deltoïde et l'hypertrophie de son
tissu
conjonctif réuni à la cap- sule, pourvue elle-m
nt des travées, elles proviennent, sans doute, de l'épaississement du
tissu
interstitiel du muscle peaucier du cou. Thora
gauche provient, d'après l'auteur, d'un dépôt de sel calcaire dans le
tissu
cho- roïdien. On ne peut pas admettre qu'elle p
ons profondes à la nuque. Dans la fosse sus-claviculaire on sent un
tissu
dur et résistant, à l'exception du muscle homo-hy
Le 14. L'oedème s'étend à la plus grande partie du visage, oedème du
tissu
292 .1. WEILL ET J. N1SSIM musculaire du plan
qui correspondent en partie aux origines des muscles, en partie au
tissu
cellulaire lui-même. Ossification des grands et
es os longs, les os du pubis et les ischions, les rotules, offrent un
tissu
tellement tendre qu'une épingle les pénètre fac
acilement. Réunion des arcs des vertèbres les uns aux autres par un
tissu
osseux. La masse osseuse, formée par la fusion
lamelle épaisse, très compacte, et intérieurement par une couche de
tissu
osseux friable et cassant. Friabilité semblable d
de la moitié gauche du dos se réunit à la 10e côte seulement par du
tissu
osseux, elle surplombe les autres côtes. Cord
a direction du psoas iliaque. Lamelles osseuses très minces dans le
tissu
conjonctif qui s'insère sur le petit adducteur.
ca- tion débute dans le muscle par une tuméfaction pâteuse dans les
tissus
mous sus-jacents sans modification de la peau à
s ; il s'agirait donc ici surtout d'un processus d'ossification des
tissus
fibreux péri-arti- culaires beaucoup plus que d
la spondylose rhizomélique sont de deux ordres : Une production de
tissu
osseux sur l'os (exostoses, liyperostoses, synos-
orte une observation très documen- tée avec examen histologique des
tissus
mous de la joue : l'hypertrophie dépendait de l
me des glandes sébacées et sudoripa- res et de l'épaississement des
tissus
conjonctif et adipeux. D'autres faits ont récem
. CABANNES taie de la moitié gauche de la face intéressant tous les
tissus
, la peau qui a conservé son aspect normal, les
pertrophie faciale droite congénitale, portant spécialement suf les
tissus
mous de la moitié inférieure du visage qui est
l'épais- seur de ceux-ci. Dans les régions augmentées de volume le
tissu
adipeux est très développé. UNS. XII. (Kiwull
aux. L'hypertrophie tient surtout au développement considérable des
tissus
adipeux et conjonctif; le premier, pré- dominan
races de réaction inflammatoire : pas d'infiltration cellulaire, de
tissu
conjonctif néo-formé, d'amas de cellules fusi-
PERTROPnIE FACIALE 31 centimètres à gauche de la ligne médiane. Les
tissus
mous ainsi que les os sont augmentés de volume.
11TIPERIROPÛIE FACIALE 355 L'hypertrophie atteint ordinairement les
tissus
-mous et les os sous-ja- cents (11 cas). La jou
ll). La commissure buccale est déviée vers le bas, par le poids des
tissus
hypertrophiés (I3aecl.,hischer, Sabrazès et Cahan
e Kiwull : des lambeaux furent extirpés dans un but esthétique. Les
tissus
adipeux et conneclif notablement épaissis, les
e la polysarcie, s'il est encore à l'état muqueux, il persistera un
tissu
mou, lâche, parfois gélati- neux et comme oedém
tissu mou, lâche, parfois gélati- neux et comme oedémateux; dans ce
tissu
on note une hypertrophie des veines, des lympha
trophie n'intéressait que les parties molles et particulièrement le
tissu
conjonctif sous-cutané. Obs. 1 Il. - (SCHIECK,
e supérieure du même côté. Actuellement, l'hypertrophie atteint les
tissus
mous de la joue, la lèvre su- périeure et la pa
a-orbitaire, ma- laire et mentonnière intéressant non seulement les
tissus
mous, mais encore les os. L'augmentation de v
, agissant comme de vrais corps étrangers, avaient provoqué dans lo
tissu
conjonctif voisin une abondante prolifération de
par- ties molles que dans ses parties osseuses ; d'autres fois, les
tissus
mous sont pris exclusivement (0. Berger) ; le d
de processus inflammatoire (accumulation de cellules rondes dans le
tissu
conjonctif et autour des vaisseaux). La pathogé
ues autorisent à mettre en cause le tri- jumeau, l'hypertrophie des
tissus
s'explique peut-être par une exaltation des fon
ouverles de grosses membranes fibreuses d'où partent des faisceuxdu
tissu
conjonctif, se dirigeant vers la surface interne
elet tout à fait normal. Des couches optiques part un fais- ceau du
tissu
conjonctif, qui se transforme à l'extrémité oppos
s la dissolution de la paraffine, nous n'avons affaire qu'aux seuls
tissus
; il n'y a point de substance étrangère, qui vie
précoce de la vie inter-utérine. La moelle épinière, ainsi que les
tissus
qui l'entourent, ne pouvant pas supporter une t
l'angle inférieur de l'omoplate gauche, une masse osseuse fixée aux
tissus
sous-jacents. La tête était fixée et déviée ver
ication des muscles profonds. Les os enlevés avaient l'apparence du
tissu
osseux normal. 24 décembre. Reproduction des tu
ule droite très limités surtout l'abduction et l'élévation. Peau et
tissu
cellulaire sous-cutané nor- maux. Les ponctions
. ' 27 avril. - Une incision au niveau de la tumeur donne : peau et
tissu
cel- lulaire normaux ; le muscle est très tuméf
tractions fibril- laires sur la coupe. .. Examen microscopique. -
Tissu
embryonnaire très jeune, à savoir pas de grande
eule la tumeur du grand pectoral est restée stationnaire rappelant le
tissu
osseux par sa consistance. Amélioration appréci
ant à faire chez notre malade entre sa monstrueuse hypertrophie des
tissus
extérieurs au crâne et les lésions cé- rébrales
e un nmvus très étendu de la face : ce nmvus, sans hypertrophie des
tissus
, commence sur la lèvre supérieure, occupe le ne
coloration (éosine, hé- matoxyline). Pas la moindre lésion dans le
tissu
musculaire même, mais lésion très intense et to
laire même, mais lésion très intense et tout à fait récente dans le
tissu
conjonctif interfibrittaire.' Aussi 478 A. WEIL
épare les fibres les unes des autres, il y a une prolifé- ration du
tissu
conjonctif, qui est surtout marquée dans le voisi
vers des muscles par des pouts osseux, qu'elles se montrent daus le
tissu
conjonctif intramusculaire. OBS. XLIX. Pinces,
els calcaires. Un morceau d'os enlevé au semi-membraneux a donné du
tissu
osseux à l'examen microscopique. Ons. L. D. B
fessière du même côté. - Examen microscopique de la pièce enlevée :
tissu
osseux normal. Quelques préparations montrent l
: tissu osseux normal. Quelques préparations montrent le passage du
tissu
fibreux au tissu osseux et la trans- formation
rmal. Quelques préparations montrent le passage du tissu fibreux au
tissu
osseux et la trans- formation des cellules conj
nnelles publiées en hollandais. Il établit une fois de plus que les
tissus
atteints par l'ossification (muscles striés, ti
de plus que les tissus atteints par l'ossification (muscles striés,
tissu
conjonctif inter et intra-musculaire, squelette)
t antéro-interne des segments primordiaux, du sclérotome ; quant au
tissu
inter et intra-musculaire, il se développe aux dé
lèvre. Au contraire, la musculature lisse du tube di- gestif et son
tissu
conjonctif qui dérivent sont tous les deux des ce
splanclinopièvre, respectés par l'ossification. En un mot, seul le
tissu
conjonctif,développé aux dépens de la somatoplèvr
onjonctif,développé aux dépens de la somatoplèvre s'ossifie, que ce
tissu
conjonctif forme la charpente de la musculature s
ériode de jeun, les frais d'entretien du malade sont fournis par le
tissu
le plus répandu dans son organisme, par le tissu
ont fournis par le tissu le plus répandu dans son organisme, par le
tissu
osseux, aussi durant la dernière période de six
absorbe surtout les éléments nécessaires à la reconstitution de son
tissu
osseux. Il est arrivé ainsi aux conclusions de
e la sécrétion des phosphates est en rapport avec la destruction du
tissu
osseux et contrairement à l'opinion plus ancien
omoteur ; elle se caractérise par le dépôt de masses osseuses dans le
tissu
conjonclif des muscles, dans les tendons, les a
i 1896. - Semaine méd., 1896, p. 196. BULIInK. - Ossification des
tissus
tendineux et musculaire. Thèse de Dorpat, 1860.
REIDIIAAR. Thèse de Bâle, 1885. ROGERS. Un cas d'ossification du
tissu
musculaire. Am. J. of med. se. Philad., 1833, X
s les masses musculaires sont très peu développées et atoniques, le
tissu
adipeux est plutôt abondant. Les mamelles ne so
ments nobles de la glande séminale dont la totalité était formée de
tissus
fibreux. Voilà donc un nouveau cas qui, par les
à; UN CAS 1)'ACHOiNbIlOPfASIE 33 nutrition et du développement du
tissu
osseux, troubles entraînant des déformations di
grands groupes. Le premier contient les tumeurs localisées dans les
tissus
avoisinant la moelleépinière(les méninges et la
lasses : a) tumeurs à point de départ dans la colonne vertébrale ou
tissus
mous voisins (tumeurs vertébrales) et b) les tu
e de la colonne vertébrale ou la face externe de la dure-mère ou le
tissu
graisseux environnant (tumeurs extradurales). B
e, riche- ment infiltrée tout autour. On y distingue deux sortes de
tissus
. Premièrement des foyers des grandes cellules à
stance inter- cellulaire. Ces foyers sont entourés des faisceaux de
tissu
conjouctif à noyaux fusiformes. Par place, le t
es faisceaux de tissu conjouctif à noyaux fusiformes. Par place, le
tissu
conjonctif pénètre dans les foyers des grandes
meurs ou inlil- tration cancéreuse des méninges et envahissement du
tissu
nerveux). Dans les deux premiers cas il s'agit
dans son fonctionnement, sans produire toutefois des changements de
tissu
nerveux (a) constatables avec nos moyens d'in-
cancéreux ou une infiltration cancéreuse des méninges molles et du
tissu
nerveux. L'infiltration cancéreuse occupe alors
. Dans cette région, les parties molles sont réduites à la peau, au
tissu
sous-cutané et à quelques traînées de fibres musc
ées ; la peau des doigts est luisante, lisse, amincie, cyanosée. Le
tissu
cellulaire a perdu toute élasticité ; les plis de
Les limites du foyer ne sont pas très nettes. Une dégénérescence du
tissu
nerveux ressort au premier plan. Larges mailles
près des parois des lacu- nes, des cellules avec granulations. Le
tissu
nerveux est alors aréolaire, troué comme un tamis
DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 145 son aspect du
tissu
médullaire au cours de la myélite. Mais on n'y vo
t présentant une démyéli- nisation. Les parois vasculaires et les
tissus
ambiants contiennent des noyaux plus nombreux
n latéral droit, et caractérisé par une dégénérescence accentuée du
tissu
nerveux ; 2° le long de toute la moelle, des lési
nes sont continues, les autres interrom- 150 FLATAU pues par le
tissu
bien conservé. Les raies ne pénètrent pas dans la
yphilitique. Leur trait caractéristique est leur passage graduel au
tissu
normal. 1. On constate de plus, à un faible gro
. Par places se voient de petites hémorragies fraîches au milieu de
tissu
. Les méninges sont in- tactes. Il faut spéciale
oplasique qui passe par ici dans le canal rachidien sous forme d'un
tissu
mou, blanchâtre. La masse adhère à la dure-mère e
re, c'est-à-dire beaucoup de mailles vides surtout sur la limite du
tissu
normal. Ces alvéoles vides se voient aussi à un
voisinage de la commissure grise. Ils ne sont pas bien délimités du
tissu
sain mais y envoient des prolongements irréguli
le est normale. A la face externe de la dure-mère on voit un peu de
tissu
néoplasique (en arrière et à droite). Ces petit
e la névroglie. Toute la lésion consistait en une dégénérescence du
tissu
ner- 164 FLATAU veux lui-même. En outre on ob
a des foyers irréguliers, qui envoient leurs prolongements dans le
tissu
voisin. Ici également les masses néoplasiques s
le : lit où la coloration de Weigert donnait une démyélinisation du
tissu
, se voyait une coloration plus intense rouge rosé
au sein des différents cordons. Dans ces foyers l'aspect tamisé du
tissu
était plus prononcé et il yavait des ilôts de c
quantité plus grande que normalement et provoque la destruction du
tissu
nerveux. Eh bien ! dans notre cas cette dilatatio
d'autres causes capables de produire la dégénérescence primitive du
tissu
sans phénomènes inflammatoires. Nous passons ma
s, la tumeur poussait des muscles du tronc ; dans celui de Luce, du
tissus
au-dessous de la plèvre ; dans celui de Kinichi-
le. Dans des cas exceptionnels on note un ramollissement complet du
tissu
médullaire au niveau de compression (Luce) ou u
la pie-mère montrent une tendance insignifiante à la destruction du
tissu
nerveux. En me basant sur l'observation personn
e tendance destruc- tive peu notable par rapport aux méninges et au
tissu
nerveux médul- laire. Quant à la moelle elle
ossisse- ments on constate dans ces foyers des lésions profondes du
tissu
nerveux, de grandes places vides avec les reste
isseaux sont partout élargis et remplis de sang (aussi bien dans le
tissu
nerveux que dans les méninges). Dans quelques c
ollarits pu[ observer le même phénomène dans son cas (néoplasme des
tissus
mous du tronc pénétrant dans le canal rachidien).
tuberculeuses épidurales qui amène les changements pathologiques du
tissu
médullaire. A la suite de celte compression une
nt la dure-mère comme la gra- nulation tuberculeuse, les lésions du
tissu
nerveux doivent être expliquées de la même mani
hypothèse, que les pro- duits néoplasiques toxiques agissent sur le
tissu
nerveux et le détruisent. Il est compréhensible
nt une action nocive ; elles peuvent accentuer la dégénérescence du
tissu
là où les Iroubles circulatoires préparent le t
ue ; Si, enfin, on peut démontrer au microscope des altérations des
tissus
nerveux, cellules et fibres, dans des coupes pr
logiques, les cellules ganglionnaires, les fibrilles nerveuses, les
tissus
névrogliques et le système connectivo-vasculair
rencontrer toutes les associations possibles des altérations de ces
tissus
, mais il est possible d'établir deux groupes de
vo-vasculaires prédominantes . Tandis que dans le premier groupe le
tissu
connectivo-vasculaire est relativement intact,
ctivo-vasculaire est relativement intact, dans le second groupe, le
tissu
parenchymateux est toujours lésé (PI. XV et XVI
mann. Les altérations histologiques des éléments cellulaires et des
tissus
de l'écorce cérébrale observées dans les maladi
(Bleu de toluidine). Lésions marquées des cellules ganglionnaires, du
tissu
interstitiel et dégénérescence des vaisseaux.
al, c'est-à-dire indemne d'altérations de l'un ou de l'autre de ses
tissus
; comment alors concevoir la base anatomique des
e psychose ? Il s'effectue sans nul doute, dans les cellules et les
tissus
de l'encéphale des échanges nutritifs fugaces,
des réactions élec- triques ; ni aucun trouble de la nutrition des
tissus
. 3° La volonté est impuissante à modifier les r
sion nerveuse, soit névrite, soit irritation de voisinage; dans des
tissus
en- flammés, est d'autant plus délicat que préc
s. Par un examen méthodique complet de toute la région et de chaque
tissu
, il faudra éliminer successivement toutes les h
a douleur, im- possible a localiser en aucun point précis, en aucun
tissu
; l'hyperesthé- sie de la peau elle-même ; l'ab
l'hypothèse de spasme en montrant l'intégrité parfaite de tous les
tissus
et des nerfs. Commeori- gine du spasme voici ce
ait sans trop de difficultés une sorte de meiopragie congénitale du
tissu
conjonctif r et de ses dérivés, de l'ensemble d
xtrémités et aux régions fessières. Les mus- cles sont toniques. Le
tissu
adipeux est très développé, particulièrement au
l est plutôt proéminent, à cause même de la lordose lom- baire ; le
tissu
adipeux y est très abondant. Réflexes abdominaux
rement est raccourcie. Elles sont très bien musclées, grosses et le
tissu
adipeux y est abondant. Les réflexes patellaires
des os. On peut dire en général qu'il y a un fort développement de
tissu
spongieux. Articulation du coude. Les plus fort
osée. L'appareil ganglionnaire lymphatique extérieur est normal. Le
tissu
adipeux est abondant et la musculature, particu
mbaire au contraire il y a une forte lordose. Sur tout le thorax le
tissu
adipeux et le tissu musculaire sont abondants ; l
il y a une forte lordose. Sur tout le thorax le tissu adipeux et le
tissu
musculaire sont abondants ; le système pileux rar
s de myxoedème, étant donnés chez eux le développement très fort du
tissu
adipeux et cellulaire sous-cutané, la forme apl
onditions générales de la nutrition, passables. Masses musculaires et
tissu
adipeux suffisamment développés. Peau et muqueu
ace. Les fongosités épidurales (histologiquement constituées par un
tissu
d'inflammation ancienne, de bourgeons charnus)
pleine activité, s'ouvrant dans l'espace épidural, où l'on trouve un
tissu
de bourgeons charnus (avec, au microscope,de no
eux lui-même, il ne contient, dans la première observation, que du'
tissu
adipeux, avec çà et là, de petits amas de subst
avecun point rouge central (le cylindraxe). A leur place il y a un
tissu
de structure incertaine on ne voit presque plus
men microscopique démontra qu'au niveau de la tumeur les lésions du
tissu
nerveux étaient telles qu'il était impossible de
me après l'opération (comme c'est le cas dans l'hématomyé- lie). Le
tissu
médullaire modifié par la compression exercée par
rt d'inflammation. Les veines épidurales sont dilatées.Par place le
tissu
médullaire contient les exsudats.et les cellule
ient les exsudats.et les cellules isolées à granulations. L'oedème du
tissu
est insignifiant. Les espaces lymphatiques ne p
culatoires consistaient en une stase sanguine; quant à la lésion du
tissu
nerveux', les gaines myéliniques étaient les pl
s'aperçoit que le pli est constitué non seulement par la peau et le
tissu
graisseux, mais aussi par une convexité des ver
-dessous l'observation XXI). L'examen microscopique démontra que le
tissu
nerveux ne présentait pas de lésions profondes
s vaisseaux à la péri- phérie de la moelle aussi bien qu'au sein du
tissu
nerveux sont dilatés et gorgés de sang. Leur no
ellulaire (méningite purulente). Les cellules pénètrent aussi dans le
tissu
médullaire même et dans le néoplasme. Les lés
a moelle Fic. 15. Fibrosarcome psammeux de la moelle épinière. 1.
Tissu
nerveux provenant des cordons antéro-latéraux. -
re dans le cordon postérieur. Dans la moitié droite de la moelle le
tissu
nerveux est presque normal. La substance grise es
ce grise entourée d'une sorte d'auréole plus claire que le reste du
tissu
; de même les cordons antérieurs montrent dans
rs montrent dans la zone postérieure une structure alvéolaire et le
tissu
en partie en désagrégation. Ce phénomène a pour
dorsal, les coupes démontrent des lésions considérables au sein du
tissu
nerveux TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA
vaisseaux sont par place tout à fait oblitérés, aussi bien dans le
tissu
central qu'à la périphérie de la coupe. On cons
le épinière peut ne pas provoquer de modifications considérables du
tissu
médullaire. Il est donc possible que même dans
e. La partie centrale est moins colorée et possède une structure du
tissu
conjonctif. Dans la zone périphérique, de même
s sanguins. La zone périphérique de la tumeur est constituée par un
tissu
se colorant intensi- tement par la fuchsine, c'
s'est développée évidemment à la racine postérieure gauche. Dans le
tissu
de la moelle même on voit seulement des lésions
ôté de ces lésions se sont produites d'autres modifications dans le
tissu
nerveux, inconnues pour le moment, qui ont enge
it adhérente à la dure- 358 FLATAU mère, dure à la palpation ; le
tissu
cérébral ambiant est ramolli. Les vaisseaux sur
ieurs et par place ses cloisons très larges pénètrent en coin dans le
tissu
médullaire. Les racines sont fortement dégénéré
ure-mère se sépa- rent et sous forme d'un exsudat pénètrent dans'le
tissu
néoplasique en se son- dant intimement avec lui
moins grands, allongés en éventail, formés par la prolifération du
tissu
conjonctif. Le nombre des noyaux y est moins cons
ire, on ne les trouve pas dans la gomme intra-médullaire ou dans le
tissu
de la moelle épinière. Les vaisseaux présentent
même, mais aussi dans les méninges autour de la moelle et au sein du
tissu
nerveux (dans la snbsiance blanche et grise) en
orte infiltration cellulaire, des vaisseaux épaissis et des foyers de
tissu
conjonctif. Les coupes coloriées par la métho
l'exception du VIe segment dorsal les gommes n'envahissaient pas le
tissu
nerveux médullaire. Elles n'ont pas provoqué un
e zone intermédiaire entre les deux nerfs symétriques innervant les
tissus
voisins ; elle est donc forcé- ment une ligne f
w's Archiv, XXX, 1864. SUR LES N.VI SYSTÉMATIQUES 413 phicité des
tissus
est régie par l'état d'équilibre trophique des ce
SCIIIEHI SALVADOR ! 2° Diminution de la hauteur du corps vertébral,
tissu
osseux, léger et poreux ; 3° Faces articulair
nes signalés par cet auteur lui-même : déformation, réabsorption du
tissu
osseux du corps vertébral (Baduel, Roasenda, Gr
le se forment lentement et soit par un processus de réabsorption du
tissu
osseux, soit par une incomplète forma- tion de
sorption du tissu osseux, soit par une incomplète forma- tion de ce
tissu
dans toutes ses régions, les corps vertébraux ne
, s'expliquer par le fait que, en vertu d'une fragilité spéciale du
tissu
osseux chez les tahétiques, les altérations doi
était achevée en même temps que celles des peti- tes phalanges. Le
tissu
osseux de tout l'article nous a semblé histologiq
ême les seules lésées; elles sont très courtes, mal formées et leur
tissu
osseux n'a donné qu'une ombre floue. Les extrém
les diaphyses étaient normales; mais elles se conti- nuaient par un
tissu
formé de minces trabécules, enchevêtrées les unes
en tous points comparables à celles qui appartiennent en propre au
tissu
spongieux, et représentant une fine dentelle...
, spongieuse, molle, rappelant par son aspect la truffe fraîche. Le
tissu
nerveux y est absolument invisible,excepté une zo
lement on voit : 1° que la masse néoplasique se sépare nettement du
tissu
nerveux ; 2° qu'au sein de la tumeur même il y
u du 1 segment dorsal une perte complète de la structure normale du
tissu
nerveux. Par contre on voit des masses bru- 462
servée que la gauche, qui ne con- tient qu'une zone très étroite de
tissu
normal. A part cela toute la moitié gau- che de
on colorées laissent voir distinctement la coloration brun-foncé du
tissu
, plus claire dans un endroit, plus foncée daus
la moelle, y creusait un nid et provoquait une profonde lésion des
tissus
. Du moment que la compression fut éloignée grâc
sparurent, tandis que prirent place ceux provenant de la lésion des
tissus
, c'est-à-dire que le type de Brown-Séquard a pu
ènes inattendus (hémorragies surajoutées, lésions inflammatoires du
tissu
médullaire), d'un autre côté on y rencontre sou
ent prononcé que la moelle ressemblait à un ruban. Les lésions du
tissu
nerveux vues sous le microscope peuvent se divise
la tumeur, du caractère individuel du ma- lade, de la résistance du
tissu
nerveux, etc. Les lésions histologiques observé
étaient surtout prononcées du côté de la tumeur, c'est-à-dire où le
tissu
reste en contact avec le néoplasme, et beaucoup
on voyait des alvéoles plus ou moins vides apparaissant au sein du
tissu
névroglique. Les vaisseaux étaient dilatés (aus
(une hémorragie pendant ou après l'opération se faisant au sein du
tissu
nerveux ramolli). Un fait nous paraissait assez
ifiés) étaient conservés. Ce qui nous démontre, semble-t-il, que le
tissu
médullaire comprimé par la tumeur conserve une gr
appent quelquefois les méninges exclusivement sans pénétrer dans le
tissu
nerveux ou en n'y pénétrant qu'à faible degré (We
oint envahie par le néoplasme qu'il n'en reste qu'une mince zone du
tissu
normal (R. Schulz). Dans des cas exceptionnels
riences. Il faut supposer qu'au début il se produit de l'oedème, du
tissu
avec une dilatation des espaces lymphatiques. Les
its de la stase exercent une mauvaise influence sur les éléments du
tissu
nerveux et constituent une des causes qui modif
nts du tissu nerveux et constituent une des causes qui modifient le
tissu
nerveux. Le phéno- mène d'oedème disparaît peu
des vaisseaux sanguins. " " La compression immédiate exercée sur le
tissu
nerveux provoque sans doute des lésions prononc
es nombreuses stases sanguines qu'on constate non seulement dans le
tissu
nerveux, mais aussi au sein des mé- ninges moll
absence de lésions inflammatoires qui dé- truisent ordinairement le
tissu
n81'VellX constitue la princip ale conâition de
e. Sous le microscope, cette substance avait tous les caractères du
tissu
adipeux et des amas de la même nature existaien
emplie de petits kystes arrondis, séparés les uns des autres par un
tissu
conjonctif assez dense. Ces kystes, dont le conte
t féminines ; elle est réglée, ses mamelles sont volumineuses ; son
tissu
cellulaire sous-cutané présente un développe- m
rien malheureusement sur le trophisme des poils, de la peau et des
tissus
sous-cutanés chez ces deux naines. Tous les aut
op fine ni trop lisse et de coloration parfaite- ment normale ; les
tissus
sous-cutanés ne sont nullement imbibés ni bouffis
tanés ne sont nullement imbibés ni bouffis, et le développement des
tissus
adipeux n'a rien d'anormal : notre uaiu pré- 54
d'implantation commune. Le trophisme de la peau, des ongles et des
tissus
sous-cutanés est parfait; les muscles très bien
aire facilement et avec un résultat excellent, grâce à la ténuité des
tissus
mous. Les résultats de cet examen seront résu
mée et intelligente. Aucune trace de tumidité ni de bouffissure des
tissus
sous-cutanés ; le tissu adipeux est bien dévelo
cune trace de tumidité ni de bouffissure des tissus sous-cutanés ; le
tissu
adipeux est bien développé mais pas surabondant
out sens normale ; elle ne présente aucune trace de rugosité. Les
tissus
sous-cutanés ne sont aucunement imbibés ni bouffi
l ne présente ia moindre trace de bouf- fissure et d'imbibition des
tissus
sous-cutanés. Par deux points ces deux nains so
année par le grand air, ne présente pas la moindre rugosité, et les
tissus
sous-cutanés ne sont, en aucun point, ni bouffi
abondants à la surface dorsale des avant-bras et des jambes. Les
tissus
adipeux très réduits ne cachent aucunement le des
oi épaissie, mais il ne semble pas qu'il y ait une prolifération de
tissu
conjonctif entre les éléments nerveux (PI. LXV,
que est-elle un peu moins bien colorée que la reste de la coupe. Le
tissu
sous- pie-mérien du chiasma est légèrement épai
me. L'as seul est atteint ; la peau et ses annexes, les tendons, le
tissu
cellulaire, les vaisseaux et les nerfs sont cli
cartilage de conjugaison, en d'autres il l'isolement, au milieu du
tissu
osseux néoformé, d'îlots cartilagineux qui plus
) consistant en une hypertrophie des épiphyses et en raréfaction du
tissu
osseux... Cette forme d'ostéite non inflammatoi
t, cette atrophie ? Le phénomène est-il dû à une inflam- mation des
tissus
qui vont former la main de l'embryon, à une lésio
dial, l'épuisement héréditaire et progressif du pouvoir formateur des
tissus
squelettogènes. Cette théorie a pu être soute
d'une origine embolique. Quant aux troubles dans la croissance du
tissu
squelettogèI1e consécutifs aune lésion propre d
. (8) \f. KLIrFELet 13ouclmr,lIémimélie avec atrophie numérique des
tissus
. Etude anar lomique et pathogénique de l'llémzm
sa guérison sans abcédation aboutira à une simple insuffisance des
tissus
atteints. Mais les tissus du foetus et du nouve
on aboutira à une simple insuffisance des tissus atteints. Mais les
tissus
du foetus et du nouveau-né ont une bien autre ten
es se modifient sans doute, per- dent leur orientation normale ; le
tissu
se surcharge d'éléments inactifs qui entravent
ninges. La corne occipitale du ventricule latéral est entourée d'un
tissu
anormal d'aspect grisâtre, assez résistant. Le
dimensions. C'est surtout sur sa paroi externe que s'est constitué le
tissu
pa- thologique, mais il en existe aussi sur la
près jusqu'à la même distance. 1 , L'épaisseur de cette couche de
tissu
pathologique est variable ; elle atteint en gén
paraît par endroits comme détachée, ayant perdu son adhérence avec le
tissu
sous-jacent. Elle est déprimée, irrégulière, ru
de petites plaques qui paraissent répondre, macroscopiquement, à un
tissu
différent. Elles sont arrondies et à bords bien l
es, il existe plusieurs plaques de sclé- rose, à distance, en plein
tissu
cérébral. Notamment on en trouve deux, assez pe
on examine les coupes colorées à l'hématéine-éosine, on voit que le
tissu
est riche en grosses cellules névrogliques, à n
anche, il en est quel- ques-unes qui, au lieu d'être formées par un
tissu
névroglique lâche, faisant trou au milieu de la
is en sont fréquemment épaissies et en voie de dégénéres- cence, le
tissu
conjonctif ayant l'aspect homogène et hyalin. A
érébrale, à ce niveau est dense et forte- ment colorée ; de plus le
tissu
cérébral est infiltré à ce niveau de très non-
nombre à peu près identique dans les plaques de sclérose et dans le
tissu
normal. Dans les plaques périventriculaires les
e d'aspect est seulement due à cette absence de myéline qui rend le
tissu
moins dense, dégage les cylindraxes et permet d
plaques périventriculaires, on en voit quelques- uns à la marge du
tissu
myélinisé : ils présentent de petits noyaux dense
ymaire s'est montré oblitéré. La démyélinisation est complète. Le
tissu
de sclérose est remarquable par la quantité de pe
corps granuleux. Dans les plaques plus étendues, constituées par du
tissu
sclé- reux plus épais et parcourues par des cap
e hydrocéphalie passive, ex vacuo, commandée par la rétrac- tion du
tissu
cérébral dans son ensemble (Valentiner) (1). Le
s carac- LESIONS ÉPENDYMAIRES ET SOUS-ÉPENDYIIfAIRRS 621 tères du
tissu
de sclérose riche en capillaires sclérosés comme
'impression d'une cicatrice. Leur teinte blanc rosé tranche sur les
tissus
voisins. Ces plaques sont légèrement surélevées ;
régions atteintes une coloration particulière, qui tranche sur les
tissus
voisins. Cet aspect est, de l'avis de tous les
equel la gomme est en plein développement et ce- lui dans lequel le
tissu
de granulation s'est organisé ; on a alors une ci
conscrits de petits noyaux dans le voisinage des vaisseaux, dans le
tissu
conjonctif et autour des faisceaux de fibrilles n
I. Mésaortite gommeuse de l'origine de l'aorte ; cicatrice;, sur le
tissu
frais .1. l'autopsie. ? Aorte ascendante d'un p.t
ion de l'épaisseur est due à l'oedème et aussi à la produc- tion de
tissu
connectif enflammé qui accompagne les vaisseaux q
s en bâtonnets) ; il a a aussi des matzellen. C'est là un véritable
tissu
de granulation. Çà et là, on observe aussi des
de ce fait dissociées et elles laissent ainsi passer la poussée du
tissu
de granulation qui fait hernie et refoule l'intim
ux conservée elle est cependant çà et là rompue et livre passage au
tissu
connectivo-vasculaire enflammé. L'intime est no
e stade terminal de l'in- flammation syphilitique du vaisseau. Le
tissu
de granulation s'est organisé et a formé des cica
leur place on a des taches blanches, non colorées, composées par du
tissu
cicatriciel (fit.8). Çà et là il y a des semi
les faisceaux connectifs et le long des gaines vascu- laires. Le
tissu
est parfois plus coloré, il est plus tassé el ses
avons d'abord une inflammation productive plus ou moins intense du
tissu
connectivo-vasculaire des tuniques médiane et adv
nnement physiologique des organes génitaux, le trophisme normal des
tissus
musculaires, le défaut de tout symptôme de reta
ce sont deux mâles bien poilus. La constitution de la peau et du
tissu
sous-cutané est, chez tous deux, parfaite : la
jets normaux par leur intelligence/par le trophisme'de la peau, des
tissus
sous-cutanés, des poils, du squelette et des orga
phisme normal de la peau qui n'est qu'un peu fine,cependant que les
tissus
sous- cutanés ne sont ni bouffis ni imbibés ; s
. L'atrophie en effet n'est pas musculaire, mais porte sur tous les
tissus
: le pouce est plus grêle, plus effilé, bien que
, pachyméningite hypertrophique). Productions morbides nées dans le
tissu
cellulo-adipeux du rachis: carci-nome, sarcome, h
lleurs la dure-mère est séparée des parois osseuses par une couche de
tissu
adipeux qui livre passage à des artè-res, à des v
pourront se déve-lopper : a) dans les os ou le périoste ; b) dans le
tissu
cellulo-graisseux extérieur à la dure-mère (périm
à son paradigme, son type physiologique. Or, ici la névroglie est le
tissu
normal aux dépens duquel se développe la tumeur d
des tumeurs bien déli-mitées, énucléables ; ils se confondent avec le
tissu
nerveux par des nuances insensibles. Cependant le
izinische Beitrage, 1 Bd. Dantzig, 1863, p. 8. V. De son côté, le
tissu
cellulo-graisseux du rachis donne éga-lement nais
y avoir leur siège primitif. Selon Traube, il se forme aussi dans ce
tissu
cellulo-graisseux des abcès qui, se faisant jour
. (Yoyez Planches II et III.) La névroglie paraît transformée en un
tissu
conjonctif dense et résistant. Les trabécules qu'
iques du cœur (rétrécissement aortique, dégénérescence grais-seuse du
tissu
cardiaque, dépôts fibrineux). — Insuffisance des
'elle est souvent masquéej ne l'oublions pas, par l'accumulation du
tissu
cellulo-graisseux. Elle con-stitue, d'ailleurs, l
ations1. Ces derniers auteurs signalent, en outre, une hyperplasie du
tissu
conjonctif qui ne se trouve pas mentionnée par le
lemme dans les intervalles qui séparent les faisceaux primitifs !. Ce
tissu
adipeux interposé est parfois assez abondant pour
d'autres qui sont réduits à un très petit volume et dans lesquels le
tissu
adipeux fait à peu près complètement défaut On ne
aisceaux primitifs, atrophiés, sont séparés les uns des autres par un
tissu
conjonctif fibril-laire, évidemment de formation
les qui ont subi ce mode d'altération ont, à l'œil nu, l'apparence du
tissu
fibreux ou encore celle du dartos. Il serait inté
e cela puisse être, si l'altération avait son point de départ dans le
tissu
conjonclil intermédiaire aux éléments nerveux? N'
a-rition plus ou moins complète des tubes nerveux et conden-sation du
tissu
; mais ce sont là seulement les derniers ves-tiges
ons recueillies récemment à la Salpêtrière, montre que, par place, le
tissu
enflammé peut subir une véritable dissociation; l
entiers de cellules nerveuses et produit l'épaississement fibroïde du
tissu
interstitiel qui paraissent être un caractère con
onctive avec multiplication des éléments nucléaires et formation d'un
tissu
fibroïde, souvent très dense, marques évidentes d
agi là, autrefois, d'une myélite hyperplasique sans désagré-gation du
tissu
, ou, au contraire, d'une myélite destructive, ave
erveuse correspondant à la prolifération des * léments cellulaires du
tissu
conjonctif par exemple. En somme, les altération"
. Le processus se communiquerait rapide-ment, de proche en proche, au
tissu
coujonctif voisin, sans dépasser toutefois la lim
yers et se continuait sans ligne de démarcation bien tranchée avec le
tissu
avoisinant qui présentait lui même, a une certain
à une dilatation du can d central, peuvent résulter de la fonte d'un
tissu
pathologique développé au sein des parties centra
au sein du faisceau musculaire, mais qu'elle envahit aussi parfois le
tissu
conjonc-iif interstitiel ou périmysium. Il est
m est plus mani-feste et, dans un cas même, j'ai vu avec M. Debove le
tissu
Je puis me montrer encore très bref, relativeme
te dernière, qui paraît de formation nouvelle, est constituée, par un
tissu
fibroïde dense ; elle est donc tout à fait distin
ue celui de M.Cohnheim. On constata enfin qu'une grande quantité de
tissu
adipeux s'élait accu-mulée sous la peau des membr
rait, par conséquent, suffire à la spécifier. Ainsi l'hypertrophie du
tissu
conjonctif interstitiel, avec atrophie simple des
er, — le cas de M. Barth en offre un exemple, — par l'accumulation de
tissu
adipeux sous la peau et dans les cavités viscéral
mières phases du pro-cessus morbide, c'est que les minces lamelles du
tissu
con-jonctif— dépendant duperymisium internum — qu
l'examen de coupes longitudinales dissociées, sont constituées par du
tissu
conjonclif de formation récente, où les fibres la
re la pre-mière et la seconde période du processus). — I, I, Ilots de
tissu
conjonctif. — M, M, Coupes des faisceaux musculai
nveloppe fibril-laire et mis en rapport immédiat avec les cellules du
tissu
adipeux. — Les faisceaux musculaires, même les pl
onservé la striation en travers. polyédriques. Çà et là, au sein du
tissu
adipeux, on rencontre soit des îlots composés de
nveloppe fibrillaire et mis en rapport im-médiat avec les cellules du
tissu
adipeux (Fig. 28). En somme, la substitution gr
phase ultime du processus morbide, et, à mesure qu'elle progresse, le
tissu
fibrillaire de formation nouvelle, ainsi que les
ète disparition, s'accuse déjà dès la première pé-riode, alors que le
tissu
conjonctif interstitiel commence à s'hyperplasier
gmentation de volume des muscles, en raison directe de la quantité de
tissu
connectif et fibroïde interstitiel hyperplasié. C
s l'on peut se demander si, dans cette petite opération, les îlots du
tissu
conjonctif ne sont pas entraînés de préférence pa
fois répété, des pièces que j'a étudiées, c'est que l'hyperplasie du
tissu
conjonctif et l'atrophie des faisceaux musculaire
-là est elle-même plu? développée, dételle sorte que la production du
tissu
conjonctif serait en quel-que sorte proportionnel
poque de la maladie, et je suis porté à croire que la substitution du
tissu
adipeux joue ici le rôle prédo-minant, (j. m. c.)
ue ici le rôle prédo-minant, (j. m. c.) tinguer dans l'épaisseur du
tissu
conjonctif interstitiel, mais la majeure partie d
ie spinale deutéropa-thique. Seule, la circonstance que l'invasion du
tissu
adipeux se produit, à une certaine époque de la p
e saurait invoquer non plus l'exis-tence d'un trouble de nutrition du
tissu
osseux résultant d'une inactivité fonctionnelle p
laire lui-même ne présente à sa surface aucune colora-tion grise, son
tissu
n'est ni ramolli, ni induré, il n'y a pas d'épais
qui portent à la fois sur les parois vasculaires, sur les éléments du
tissu
inter-stitiel et sur les cellules nerveuses. Et
n par scission (noyau en bissac) et enfin par l'abondance insolite du
tissu
fîbrillaire. Quant aux cellules nerveuses, elle
s ou de petits po-lygones très semblables à la coupe des faisceaux du
tissu
con-jonctif fascicule. Il se colore en rose par l
mple des faisceaux pri-mitifs, avec augmentation purement relative du
tissu
conjonctif interstitiel, et l'absence de toute pr
conjonctif interstitiel, et l'absence de toute production exagérée du
tissu
adipeux. La fibre malade conserve habituellemen
, par exemple, est presque entièrement con-verti en une mince lame de
tissu
conjonctif. C'est à peine si, de loin en loin, on
à peu près égales, à peine séparées les unes des autres par un peu de
tissu
conjonctif, exactement parallèles. Dans d'au-tres
explique la forme onduleuse qu'elles ont prise, ne pou-vant suivre le
tissu
conjonctif dans le retrait que celui-ci a éprouvé
s cellules nerveuses sont en-core profondément altérées, alors que le
tissu
interstitiel ne présente plus que des lésions min
térations qu'elle provoque, lorsque plus tard, sous son influence, le
tissu
in-terstitiel est envahi à son tour. Epaississeme
ençante. Les sommets étaient sains. — Le cœur pesait 185 grammes. Son
tissu
était rouge, ferme, il paraissait entièrement sai
'atrophie proprement dite. Les muscles sont d'ailleurs rouges et leur
tissu
semble sain. d) Système nerveux périphérique. —
ibres est un peu plus grande qu'à l'ordinaire; elle rappelle celle du
tissu
conjonctif. Dansla plupart des faisceaux musculai
as, remarqué qu'ils continssent des fibres nerveuses dégénérées. — Le
tissu
conjonctif' interfibrillaire parait plus abondant
muscles ; 3°une consistance plus grande du muscle, rappelant celle du
tissu
conjonctif; 4° une altération granulo-graisseuse
e toute dégénérescence graisseuse ou cireuse ; 7° la prolifération du
tissu
conjonctif interfibrillaire. Nous terminons ce
ans l'intervalle de ces fibres, on aper-cevait une grande quantité de
tissu
conjonctif et de noyaux arron-dis ou fusiformes.
toutefois, dans l'intervalle des fibres, une augmentation notable du
tissu
conjonc-tif ; il y a, là aussi, des fibres granul
une certaine étendue, une diftluence remar-quable ; des fragments de
tissu
nerveux, provenant de ce point ramolli, ont été p
n. Sur tous les points des cordons antéro-latéraux, les cloisons de
tissu
conjonctif ont pris une importance considérable ;
Le bulbe rachidien offre tous les ca-ractères de l'état normal. — Le
tissu
de la moelle est partout d'une consistance ferme
t en grande partie perdu leur striation transversale et les noyaux du
tissu
conjonctif interstitiel s'étaient extrêmement mul
'en dehors elle est séparée de la périphérie par une bande étroite de
tissu
resté sain. La partie supérieure de la région,
ne antérieure est entourée de tous côtés par une sorte de couronne de
tissu
sclérosé. Si, des parties supérieures, on descend
d'étendue dans le cordon latéral. Dans la région dorsale le cercle de
tissu
sain périphérique s'élargit notablement, tandis q
ns la partie postérieure du cordon, et entouré de toutes parts par le
tissu
normal excepté en arrière, où il envoie un prolon
cellules réduites à quelques granulations pigmentaires, au sein d'un
tissu
parfaitement normal. Toutefois la substance grise
assent par leur partie moyenne, ne montrent qu'une masse épaisse d'un
tissu
se colorant fortement par le carmin, faisant sail
par un certain nombre de petits îlots arrondis, au niveau desquels le
tissu
est manifeste-ment épaissi et rendu moins transpa
itifs, une multi-plication très évidente des noyaux du sarcolemme. Le
tissu
con-jonctif, interposé entre ces faisceaux, prése
constances dues évidemment à l'interposition d'une grande quantité de
tissu
graisseux, les psoas, sacro-lombaires et pectorau
is, mani- festement plus forme et une résistance rappelant celle du
tissu
fibreux. Voici maintenant en quoi consistent le
sion en est à son plus faible degré, c'est que les minces lamelles du
tissu
conjonctif (dépendances du perimysiitm internum),
l'examen de coupes longitudinales dissociées, sont constituées par du
tissu
con-jonctif de formation récente, où les fibres l
re la première et ]a se-conde période du processus). — 1, I, îlots de
tissu
conjonctif. — M, M, coupes des faisceaux mus-cula
a pres-sion réciproque a rendues po-lyédriques ; çà et là, au sein du
tissu
adipeux, on rencontre, soit des îlots composés de
enveloppe fîbrillaire et mis en rapport immédiat avec les cellules du
tissu
adipeux (Fig. 33). Mais je le répète, partout, da
u adipeux (Fig. 33). Mais je le répète, partout, dans le deltoïde, le
tissu
grais-seux prédomine. Les îlots com-posés de tiss
ns le deltoïde, le tissu grais-seux prédomine. Les îlots com-posés de
tissu
conjonctif fîbril-laire et de faisceaux musculair
phase ultime du processus morbide, et à mesure qu'elle progresse, le
tissu
fibrillaire de formation nouvelle Fig. 35.— Cou
nveloppe fibril-laire et mis en rapport immédiat avec les cellules du
tissu
adi-peux. — Les faisceaux muscu-laires, même les
usculaires : elle s'accuse déjà dès la première période, alors que le
tissu
conjonctif in-terstitiel commence à s'hyperplasie
de la plus grande at-tention pour les distinguer dans l'épaisseur du
tissu
conjonctif interstitiel. L'examen des coupes lo
ugmentation de volume des muscles en raison directe de la quantité de
tissu
connectif et fibroïde interstitiel hyperplasié. »
l'on peut se deman-der si, dans cette petite opération, les îlots de
tissu
conjonctif ne sont pas entraînés de préférence pa
répété des pièces qui m'ont été confiées, c'est que l'hy-perplasie du
tissu
conjonctif et l'atrophie des faisceaux mus-culair
là est elle-même plus développée. De telle sorte que la production du
tissu
conjonctif serait en quelque façon propor-tionnel
poque de la maladie, et je suis porté à croire que la substitution du
tissu
adipeux joue ici le rôle prédominant. Quoi qu'il
i, dans la paralysie pseudo-hypertrophique, détermine l'altération du
tissu
mus-culaire ? Je suis frappé, comme bien d'autres
ses contre ce rapprochement. Seule, la circonstance que l'invasion du
tissu
graisseux se produit à une certaine époque de l'a
re elles avaient disparu. On constata enfin qu'une grande quantité de
tissu
adipeux s'était accumulée sous la peau des membre
ait, par consé-quent, suffire à la spécifier. Ainsi l'hypertrophie du
tissu
con-jonctif interstitiel avec atrophie simple des
ier, — le cas de M. Barth en offre un exemple — par l'accumulation de
tissu
adipeux, sous la peau et dans les cavi-tés viscér
complète. — a, Trabécules de sclérose. — b, Noyaux disséminés dans le
tissu
scléreux. — e, Coupe d'un vaisseau dont la gaine
scléreux. — e, Coupe d'un vaisseau dont la gaine se continue avec le
tissu
scléreux. — cl, Tubes nerveux altérés. — e, La ga
et guéri de la para-plégie et mort d'une affection intercurrente. —a,
Tissu
scléreux; — 6, c, tubes nerveux régénérés; quelqu
rvalle des faisceaux de libres. — d, Coupe de vaisseau. — e, Coupe du
tissu
végétant. — f, Eléments de nouvelle formation, no
, pachyméningite hypertrophique). Productions morbides nées dans le
tissu
cellulo-adipeux du rachis ; carci-nome, sarcome,
niques du cœur (rétrécissement aortique, dégénérescence graisseuse du
tissu
cardiaque, dépôts fibrineux). — Insuffisance des
clérose des), 458. (V. Moelle, Sclérose, etc.) R Rachis (Abcès du
tissu
cellulaire du), 91. — Cancer du —, 92, 95. — Kyst
la tumeur, malgré l'énorme quantité de liquide qui s'était écoulée du
tissu
cellulaire sous-cutané, pesait encore 3 kilogramm
nuit avec l'œil affecté, et il était à présumer que la formation d'un
tissu
cicatriciel le priverait entièrement de l'usage d
statai que la cornée, en voie de régénération, était remplacée par un
tissu
tout à fait opaque dans les parties centrales, et
ins kystes et les épithêliômes proprement dits. Dans ces derniers, le
tissu
épithélial nouveau n'affecte pas la forme d'organ
ccation sont devenues cornées : tel est Y épithéliôme perlé ; 3° Le
tissu
fibreux qui forme le stroma de la tumeur est sill
s yeux. D'après M. le professeur Hardy, ce développement exagéré du
tissu
cellulo-adipeux se rattacherait à un tempérament
a compression du système veineux cutané par la tension des mailles du
tissu
cellulaire. Les sujets atteints de polysarcie s
ée au reste de l'os, la résection peut être faite sans mettre à nu le
tissu
spongieux, et le principal danger, celui de l'inf
s, l'une antérieure et l'autre postérieure. Cette incision divise les
tissus
à la profondeur de 1 millimètre environ ; puis je
ectrique est affaiblie ou abolie dès la première période, bien que le
tissu
musculaire soit encore intact. Ajoutons qu'elle n
aisseuse inters-ticielle : dans la paralysie pseudo-hypertrophique le
tissu
con-nectif intersticiel s'hyperplasie avec produc
e le tissu con-nectif intersticiel s'hyperplasie avec production d'un
tissu
fibroïde abondant et de vésicules graisseuses plu
ter de doute sur les propriétés vénéneuses delà matière rouge dont le
tissu
de soie était teint. Mais nos recherches fussent
istule et son rétrécissement. M. Després, ne voulant pas toucher à du
tissu
cicatriciel trop jeune, n'a pas tenté de fermer l
oute la partie inférieure de la muqueuse du rectum est transformée en
tissu
de cicatrices. Nulle part en ce point il n'y a d'
peu colorées indique bien qu'il s'agit là d'une cicatrice composée de
tissu
fibreux qui s'est substitué à la muqueuse. Cette
'une variété de névrômes, et leur donna, à cause de l'intrication des
tissus
qui les composent, le nom de névrômes plexiformes
xcessivement mobile, mal construite : les contours se perdent dans le
tissu
cellulaire voisin. La tumeur du côté gauche est
ieur du sacrum est une saillie transversale due à une hypertrophie du
tissu
cellulaire sous-cutané, dans lequel on sent des n
; ce moignon paraît composé de l'extrémité numérale recouverte par un
tissu
cellulo-fibreux assez dense; les muscles du bras
e malade, qui prend véritablement un aspect monstrueux. La peau et le
tissu
cellulaire sous-jacent paraissent intéressés tout
gardent leur aspect normal, la peau est lisse. Les modifications du
tissu
cellulaire sont importantes; il se forme véritabl
e sont importantes; il se forme véritablement des masses nouvelles de
tissus
conjonctifs, soit dans l'épaisseur du derme, soit
s de tissus conjonctifs, soit dans l'épaisseur du derme, soit dans le
tissu
cellulaire sous-cutané. C'est de la consistance d
aire sous-cutané. C'est de la consistance différente de ces masses de
tissus
conjonctifs que dépendent ces formes, molle et du
. Elephantiasis observé en Egypte par E. Godard. L'hypertrophie des
tissus
peut s'étendre plus profondément encore. Je ne ve
n vos mains. Qu'il me suffise de vous dire que dans ces cas, tous les
tissus
mous du membre prennent l'aspect d'une masse lard
urvenant à des intervalles variables, et précédant la tuméfaction des
tissus
. La seconde est fournie par le fait, que l'on a s
ésistance considérable, en aucun point la peau n'est mobile, tous les
tissus
semblent transformés en une masse de consistance
A-t-on pensé que cette affection, résultat de l'accumulation dans les
tissus
des matériaux nutritifs apportés par les artères,
ils voisins, de métatarsien correspondant; il est comme perdu dans le
tissu
cellulaire, sans connexion rationnelle avec ses p
hant (en dent de lièvre), qui a pu sans peine diviser et refouler les
tissus
. 4° L'adhérence de la langue avec le plancher d
rise, la peau voisine étant rosée, on pourrait croire qu'il y a là un
tissu
de cicatrice. 6° A chaque main, le médius et l'
ne contient ni caillots, ni sang fluide. Pas de lésions valvulaires ;
tissu
friable, assez coloré. Le cœur, sans le péricarde
ur plus grande épaisseur. Abdomen. — Foie, 825 gr., pas de calculs;
tissu
brunâtre, friable. — Rate, 100 gr., ferme, saine.
uscles de l'éminence thénar. Elle n'a pas de coloration AA. Peau et
tissu
cellulaire sous-cutané. B. Aponévrose palmaire.
, après s'être assuré qu'elle ne contractait pas d'adhérence avec les
tissus
périphériques, en fit l'extraction. Nous constatâ
de trois paires de co-chets, dont deux paires serviront à diviser les
tissus
de l'animal dans lequel le parasite vivra. Alors,
sérosité dans laquelle l'animal s'abrite. Dans cet état, il occupe le
tissu
cellulaire, la graisse, ou est sous la peau, les
ec Pal-las et Bréra, les faisaient se former spontanément au sein des
tissus
; on invoquerait enfin, et avec plus de raison peu
gistes pour assigner à cet animalcule, comme lieu de prédilection, le
tissu
cellulaire, le poumon, le cœur, le cerveau, soit
le enlevé à notre malade. Le tubercule lépreux est constitué par un
tissu
gris, vas-culaire : il forme une masse bien limit
issu gris, vas-culaire : il forme une masse bien limitée au milieu du
tissu
adipeux circonvoisin. Il se décompose lui-même en
ompose lui-même en une série de lobules séparés par des trabécules de
tissu
connectit, contenant les cellules adipeuses. Ce
les se touchent d'une manière intime. Les vaisseaux qui sillonnent le
tissu
morbide ont une paroi épaisse, non embryonnaire :
La cicatrisation peut se faire au-dessous, mais c'est l'exception-Le
tissu
osseux ne tarde pas à être gravement compromis et
s, développés au dépens des tubercules. Ces ulcérations ont laissé un
tissu
cicatriciel qui a épaissi la peau, et on voit enc
oies naturelles est donc une chose parfaitement praticable quand leur
tissu
est peu dense. Elle l'est encore, à la rigueur, l
extirpation par les voies naturelles cette double difficulté, que son
tissu
était d'une densité extrême, et que, implanté dan
dire que le patient n'était pas chlo-roformisé. Après avoir écarté le
tissu
conjonctif, je mis très facilement à nu le cartil
ils vibrátiles. La masse de la tumeur est formée par des faisceaux de
tissu
conjonctif entrecroisés en divers sens. Au milieu
isceaux de tissu conjonctif entrecroisés en divers sens. Au milieu du
tissu
fibreux, on distingue des artères et des veines d
dénome : la définition de la tumeur est donnée par la néoformation du
tissu
fibreux; la tumeur doit être considérée comme un
nt lorsque l'on agit avec la matière tuberculeuse développée dans les
tissus
, mais encore lorsque l'on ingère des crachats pro
ps granuleux. Les parties profondes sont constituées par un véritable
tissu
conjonctif (i). (i) La pièce a été présentée à
le ventricule droit; petits caillots noirs dans l'oreillette droite.
Tissu
cardiaque assez résistant, décoloré. Pas d'altéra
initier l'élève aux moyens dont il doit faire usage pour trancher les
tissus
, pour disséquer les muscles superficiels et profo
n phénomène ultime de la marche de l'éléphantiasis l'envahissement du
tissu
osseux par cette maladie ; les os, en effet, ne s
es points par un liquide sanguinolent. 11 n'y a pas d'infarctus. Le
tissu
hépatique est gros et ramolli. Les cellules conti
seuses. La rate est volumineuse ; son volume est presque doublé. Le
tissu
est ramolli; on trouve près du bord antérieur deu
é par une surface recouverte de détritus brunâtres, peu adhérents. Le
tissu
sous-jacent est complètement sain. Les ovaires et
baire, mais il n'existe en ce point aucune cause de compression. Le
tissu
osseux n'est pas altéré ; le canal vertébral pr
ines, l'aorte est étroite mais sans lésions. Le foie est petit; son
tissu
paraît normal ; on constate quelques plaques fi
partielle des cordons pyramidaux et postérieurs, hypertrophie du
tissu
embryonnaire autour du canal central. A propos de
que les divers degrés d'extension de l'hyper- plasie des os et des
tissus
dans les diverses formes des altérations acromé
aine lymphatique déchirée a laissé passer du sang exlravasé dans le
tissu
. Hémorrhagies minuscules surtout nettes au nive
hémorrhagies plus volumineuses et. plus nombreuses, destruction du
tissu
nerveux, atrophie des fibres 'nerveuses à myéline
a subs- tance colloïde est moins abondante qu'à l'état normal. Le
tissu
interstitiel, à peine existant en certains points
ints, est assez développé en d'autres. L'apparence microscopique du
tissu
thyroï- dien rappelle à s'y méprendre celle d'u
onnel. Secondairement, sous l'influence de ce travail irritatif, le
tissu
interstitiel réagit, se développe, devient exub
nte une cicatrice profonde, vestige d'mie ancienne inflammation des
tissus
profonds. Toute la région anesthésiée est le si
tion des articulations avec oedème et hypertrophie concomitante des
tissus
mous. D'autres remarques sont faites par MM. Pr
à la fois sur la substance blanche, sur la substance grise, sur le
tissu
de soutènement, sur les enveloppes et les vaiss
des tabétiques. Plus loin, nous dirons un mot des rapports de ce
tissu
de sclérose avec les organes de soutien, la névro
pénètrent dans la substance gélatineuse de Rolando. c) Enveloppes
tissu
de soutien. Vaisseaux. La dure- mère est habitu
a périphérie, la moelle des paralytiques semble envi- ronnée par du
tissu
de sclérose et comme comprimée entre deux cercl
y a une cause d'erreur due à la polarisation des électrodes et des
tissus
qu'on peut éviter en reculant la manette du col
diaire de son point d'élection, n'est pas une excitation directe du
tissu
musculaire, mais bien pour une REVUE d'électr
e accumulation de cel- lules rondes autour des vaisseaux et dans le
tissu
ambiant ; une encéphalite aiguë avec nombreuses
ang d'un excès de la sécrétion thyroï- dienne qui agit sur tous les
tissus
et en particulier sur le système nerveux médull
itre exophtalmique est provoqué par un trouble de méta- bolisme des
tissus
, trouble dû à un vice de fonctionnement des cen
ablement pour substratum anatomique une hyperplasie des éléments du
tissu
conjonctif sous-cutané; - - 3° La main succulen
mique de ces trois neurones que résulte la conservation normale des
tissus
qui composent la main. Leur association fonctio
musculaires (disparition des stries transversales, hypergénèse du
tissu
conjonctif interstitiel) ; une dégénérescence de
ne certaine dextérité dans les doigts, il faut encore éviter que le
tissu
de la vessie n'entre trop dans les trous et qu'
décus- sation des pyramides jusqu'à la queue de cheval, on voit un
tissu
néoformé, tantôt détruisant la substance médull
supérieure, le néoplasme n'occupe que la pie-mère et la moelle; le
tissu
médullaire est par places mollasse, les parties c
r ne laissent guère distinguer de substance médullaire; rien que le
tissu
néoformé, parsemé de vastes foyers hémorrhagiqu
cti- vité de la tinction : éléments du néoplasme en violet foncé,
tissu
conjonctif en rouge et tissu nerveux en jaune. No
éléments du néoplasme en violet foncé, tissu conjonctif en rouge et
tissu
nerveux en jaune. Nous commençons l'étude des c
s dimensions à ce niveau : 17 millimètres sur 24) est occupé par un
tissu
néoformé, riche en vaisseaux et en travées conj
places, les cellules forment des amas, des nodules, entourés d'un
tissu
conjonctif. Le caractère des cellules et leur d
upe ne contient' guère d'éléments sarco- mateux, on n'y voit que du
tissu
conjonctif. Cette partie corres- pond à la moel
ux, quelques petits foyers hémorrhagiques. On trouve encore dans ce
tissu
de nombreux disques, mal colorés, sans structur
bi un autre genre de métamorphose régressive : la pétrification. Le
tissu
paraît parsemé de petites gouttes ou de tractus
es forment un amas si considérable et si dense qu'on a l'effet d'un
tissu
caverneux. Au niveau des racines lombaires supé
1 m SYRINGOMYÉLIE ET SARCOMATOSE DE LA MOELLE. '167 limitent un
tissu
où les cellules sarcomateuses sont moins abon-
dont j cependant la teinte (coupes au Weigert) ne diffère guère du
tissu
- voisin. A un grossissement plus fort on y voi
asme par sa teinte claire (coupes au Van-Gieson). La destruction du
tissu
médullaire est presque de la même intensité qu'
. Quelques racines nerveuses apparaissant à cette hauteur dans le
tissu
sarcomateux et présentent des altérations très av
e la dure-mère est fermé; autour de la moelle on voit un manchon de
tissu
sarcomateux. La plus grande épaisseur de ce man
ctives présentent des indices d'une dégénérescence hyaline; tout ce
tissu
est excessive- ment riche en vaisseaux à parois
ion centrale, séparée cependant de la périphérique par une bande du
tissu
nerveux la commissure antérieure; dans un endro
anal central et la cavité ci- dessus décrite. La configuration du
tissu
médullaire reste la même qu'au niveau de la VII
extramédul- laires, relativement saines, sont emprisonnées dans le
tissu
néo- formé. La cavité intramédullaire ne s'ét
étroite, paral- lèle à la corne postérieure ; elle est bordée d'un
tissu
névroglique très dense, riche en faisceaux conj
parallèle à la corne postérieure gauche; dans sa partie centrale le
tissu
est beaucoup plus lâche, par places même transp
t sanguin. Les éléments sarcomateux forment aussi une tâche dans le
tissu
mé- dullaire, mais dans la moitié opposée de l'
nce par la corne postérieure en forme d'un large coin détruisant le
tissu
nerveux. La partie centrale de la moelle est auss
e grande quantité de blocs de myéline; dans les parois on voit du
tissu
conjonctif formant de larges festons (t. c., fig.
épithélium cylindrique très bien conservé; ils sont situés dans un
tissu
névroglique dense, riche en cellules. " . Un pe
c, canaux centraux; t, territoires de désintégration; f, c, bandes de
tissu
conjonctif. SYRINGOMYÉLIE ET SARCOMATOSE DE
emplis d'une matière amorphe, la substance grise paraît gonflée. Le
tissu
ner- veux ne présente pas toutefois d'altératio
du cordon postérieur gauche : on y voit une gliose bien développée,
tissu
dense, riche en cellules névrogliques et en fib
canal central, en forme de longue fente ondulée, est entouré d'un
tissu
scléreux, riche en cellules. Au niveau de la lI
174 CLINIQUE NERVEUSE. substance. Néanmoins les altérations du
tissu
médullaire atteignent une grande intensité, cel
cellulaires sont constituées par des fibrilles névrotiques et du
tissu
conjonctif; quantité considérable de vaisseaux, p
A MOELLE. '175 les parois de la fente à structure dense, et tout le
tissu
environ- nant, lâche, raréfié même diaphane; le
celle que nous avons décrite plus haut, sauf que la raréfaction du
tissu
environnant atteint son plus haut degré. Il est
e cette altération est due à une stase emphatique : les éléments du
tissu
sont dissociés par un transsu- dat coagulé, qui
ture analogue, sa substance étant toutefois moins raréfiée. Tout ce
tissu
est extrêmement friable, ce qui a donné lieu à
it guère d'éléments sarcomateux, ni dans les méninges, ni dans le
tissu
nerveux. Sur les coupes au Weigert la substance b
font voir une infiltration inflammatoire très marquée dans tout le
tissu
nerveux. L'autre segment du bulbe, conservé inc
s couches plus ou moins épaisses, n'infiltrant point ou très peu le
tissu
nerveux sous-jacent. t. Les nerfs périphériqu
ns la moelle une hyperhémie veineuse très accentuée et un oedème du
tissu
nerveux atteignant son plus haut degré dans la
ui n'est guère étonnant vu la grande abondance de vaisseaux dans le
tissu
(pie-mère) où prend naissance la néo- plasie. D
ait un tel amas de capillaires néoformés qu'on aurait cru voir un
tissu
caverneux. Mais en ce qui concerne les vaisseau
es régressives eurent dans notre observation un lien intime avec le
tissu
nerveux. Ainsi dans la partie inférieure de la
'inflammatoire. D'ailleurs le rapport de la néoformation avec le
tissu
ner- veux est dans notre observation d'un genre
quelques-unes de ces observations la néoplasie n'épargnait guère le
tissu
nerveux (ainsi elle détruisit une partie du cer
use ou syphilitique marque une tendance bien prononcée à envahir le
tissu
médullaire. Cette opinion était cependant discu
llaire pouvait aussi être atteinte; néanmoins, même dans ces cas le
tissu
nerveux paraissait très peu altéré en comparais
alignité de la sarcoma- tose s'exprime par sa tendance à envahir le
tissu
nerveux, c'est certainement dans notre cas que
tte malignité a atteint son plus haut degré. Parmi les lésions du
tissu
nerveux nous avons mentionné un ramollissement
excavation paraît bien simple : c'est la désintégration centrale du
tissu
néoformé; nous aurions alors, comme dans la gli
es parois de cette fente ne sont constituées nulle part par quelque
tissu
en désintégration; au contraire, nous y voyons
que tissu en désintégration; au contraire, nous y voyons partout un
tissu
fibrillaire dense, bien coloré. Plus haut, où l
cavité est plus grande, cette bordure fait contraste sur le fond du
tissu
environnant, très raréfié et détruit par un oed
faut (le canal central étant par exemple complètement oblitéré), le
tissu
médullaire subit, grâce à cette stase sanguine
la coupe. La partie centrale de la moelle est la plus atteinte. le
tissu
y est extrêmement raréfié, et c'est ici justement
est bien possible que la stase sanguine et lymphatique excitant le
tissu
médullaire ait été la cause primaire d'une prol
au lobe occipital. L'examen histologique a montré qu'il s*agit d'un
tissu
formé de cellules araignées de la névroglie et
ation est due tout simple. ment à la présence dans cette tunique du
tissu
conjonctif ou lym- phatique pour lequel elles o
gommes ou des tubercules qui se déve. loppent dans le sein même du
tissu
conjonctif. Dans le système nerveux la présence
in même du tissu conjonctif. Dans le système nerveux la présence du
tissu
conjonctif uniquement autour de l'élément vascu
sions consti- tuent des périartérites dont le début est toujours le
tissu
conjonctif. Dans ces cas, l'endartère n'est att
véritables artérites au sens histologique du mot, car le véritable
tissu
artériel n'est représenté que par l'endothélium
éliums vasculaires et périvasculaires, les cellules conjonctives du
tissu
conjonctif et des tuniques des petits vaisseaux,
être primitivement aussi accentuées sur les capillaires que sur le
tissu
nerveux, mais les artérioles d'un SOCIÉTÉS SA
nécrose. La conséquence sera l'élaboration bien plus appa- rente du
tissu
de sclérose. Mais la encore nous ne retrouvons
en histologique de cet organe révéla un épais- sissement notable du
tissu
conjonctif. Les artères, atteintes d'endar- tér
ndar- térite et de périartérite, étaient comme sculptées au sein du
tissu
scléreux. Le tissu conjonctif formait des bande
périartérite, étaient comme sculptées au sein du tissu scléreux. Le
tissu
conjonctif formait des bandes épaisses et s'insi-
bstance hyaline; d'autres étaient étouffées par le développement du
tissu
scléreux. En un mot, on trouvait les signes d'u
ue par la com- plication, soit d'une hémorrhagie cérébrale dans les
tissus
de néo- formation, soit d'une hémalomyélie. R.
variétés de cellules, absolument indépendantes fonctionnellement du
tissu
nerveux. Ce sont : a) de petites cellules de 6
us dense à la périphérie qu'au centre, est nettement distincte du
tissu
nerveux qui l'entoure. Sur des coupes de la moell
sceaux blancs. L'examen de la tumeur montre qu'elle est formée d'un
tissu
de névroglie avec prolifération vasculaire abon
de névroglie avec prolifération vasculaire abondante. Au sein du
tissu
gliomateux, on retrouve des cylindraxes et des ce
oire ont été englobés et paralysés. C'est un fait bien connu que le
tissu
gliomateux s'insinue entre les cellules et les cy
te évo- lution. Le gliome tire son point de départ du point où le
tissu
névro- glique est le plus abondant, c'est-à-dir
considérable des médius et index gauches, intéressant à la fois les
tissus
osseux et les parties molles (photo et radiograph
e la moelle ; les parois des vaisseaux y sont peu altérées, mais le
tissu
interstitiel est lésé. Hémorrhagies dans les ga
convénients. Mais les diverses épaisseurs formées par la peau et le
tissu
cellu- laire au-dessus du nerf modifient la den
rosité intra- arachnoïdien, un peu d'infiltration, gélatiniforme du
tissu
cellu- laire sous arachnoïdien. Excavation d'un
tes revêtus d'épithélium et situés au milieu d'une hyperplasie d'un
tissu
névro- glique. De pareils canaux et fentes se r
rmation des cavités centrales et les altérations préexis- tantes du
tissu
gliomateux, ils admettent que les cavités sont du
ux, ils admettent que les cavités sont dues à la fonte préalable du
tissu
altéré et dégénéré au centre de la tumeur. Quan
it un renflement conique formant tumeur, tumeur constituée par un
tissu
mixte : fibro-myo-lipôme. L'auteur revient, dans
bleu ; les fibrilles des cellules neuves, bleu-clair ; les noyaux du
tissu
conjonctif et des éléments musculaires, ainsi q
mple, mais dans la nécessité d'un durcissement rapide et précoce du
tissu
à examiner, immédiatement après la mort, chose
ent des traînées de formes irrégulières se distinguant nettement du
tissu
environnant. Ces traînées sont situées dans la
ers circonscrits et conti- nuerons avec les altérations diffuses du
tissu
des circonvolutions. Un premier coup d'oeil nou
nt à certains endroits sans ligne de démarcation bien nette dans le
tissu
nerveux environnant, soit de la substance grise
e du dessin on remarque même desplaces d'une certaine étendue où le
tissu
nerveux manque complètement. Mais c'est là tout
erveuses y sont normalement disposées, et nous aurions affaire à un
tissu
cortical normal, n'était les quelques cellules ne
re. Autour de la piqûre se trouve une zone plus ou moins étendne de
tissu
nécrosé qui, avec le temps, se dissout et est r
st entourée par une autre appelée zone inflammatoire, qui sépare le
tissu
' Virchow, Ueber congénitale Encephalilis und J
k, Il, lena, 1887. POUSSÉES d'encéphalite aiguë. 445 nécrosé du
tissu
normal. Mais c'est vers le quatrième ou cin- qu
eau, dans l'ancien sens de Virchow. Il s'agit d'une inflammation de
tissu
suraiguë, dans laquelle l'appareil vasculaire n
6 PATHOLOGIE NERVEUSE. fianle en comparaison de la prolifération du
tissu
nerveux. Nous n'avons pas à nous prononcer sur
lation de globules blancs dans la gaine des vaisseaux et dans les
tissus
. On n'y trouve pas de corps granuleux. Les cellul
spontanée en foyers, le rôle principal aux éléments constitutifs du
tissu
nerveux, les travaux de ces dernières années fo
loïdine soit amorphe, soit à l'état de cristaux d'hématine dans les
tissus
. D'autre part aucun vestige de corps pigmenlair
en général. L'extravasation des leucocytes, leur diffusion dans le
tissu
périvasculaire, la présence d'hématies dans la
lus large place entre tous, et, comme la sclérose de n'importe quel
tissu
amène sa rétraction, nous avons là aussi l'expl
mma- tion aiguë (d'origine vasculaire on non) les éléments fixes du
tissu
subissent tous au début des modifications i agr
halile aiguë dégénèrent, la prolifération avoisinante rem- place le
tissu
disparu. C'est comme cela que nous nous expli-
es foyers précédents. Ici nous n'observons plus la mort complète du
tissu
enflammé : il n'y a que les cellules nerveuses
assidu destiné à pré- venir la désagrégation et la destruction des
tissus
. Le psychiatre est enfin parvenu à convaincre d
a eu hémorragie méningée (Gowers), qui entraîna la des- truction du
tissu
nerveux et l'amincissement de l'os. On constate
entres moteurs. Il est impossible de décider si la prolifération du
tissu
interstitiel constitue le premier processus de
alade éprouve une fatigue insolite, de la langueur. En même temps les
tissus
pâlis-sent; il survient de la céphalalgie, des do
tent une mort remontant déjà à plusieurs jours au moins. En effet, le
tissu
cellulaire péricrânien est abondamment infiltré d
-saient toute l'épaisseur du derme, et l'on voyait dans leur fond, le
tissu
graisseux sous-cutané ou même les muscles superfi
seux sous-cutané ou même les muscles superficiels ; dans d'autres, le
tissu
graisseux était séparé de l'ulcération par une fi
la goutte? Rien autre chose qu'une modalité inhérente au sang ou aux
tissus
du ma-lade, et intransmissible à un individu sain
ngue des autres maladies par une « modification profonde imprimée aux
tissus
membraneux, qui les dispose à l'ulcéra-tion ; en
tions ayant été la conséquence du travail nécrosique et suppurant des
tissus
placés au-dessous de la membrane muqueuse ». La n
st souvent soulevée en raison de l'œdème ou des abcès qui occupent le
tissu
péri-laryngé. On observe, delà dyspnée, une toux
a été au contraire très rarement rencontrée par les mêmes auteurs. Le
tissu
musculaire du cœur est en géné-ral flasque et ram
c. cit,; — Perron, dans Rapp. cit.) Y. La rate est volumineuse, son
tissu
est mou, diffluent. S. Les membranes muqueuses
ouges, ramollis; on y rencontre souvent des points de suppuration; le
tissu
cellulaire qui les entoure est infiltré de sérosi
s sont parfois comme immergés dans du sang, qui s'est épanché dans le
tissu
cellulaire qui les enve-loppe; ils sont habituell
, et il y a habituellement une sécheresse, une aridité marquée de son
tissu
. Il présente, et c'est là le point important, une
avancés de l'al-tération. La décoloration est jointe à une anémie du
tissu
hépatique le plus souvent très prononcée, et d'au
t des sujets une coloration jaune plus ou moins foncée de la peau, du
tissu
cellulaire sous-cu-tané, de la sérosité qui s'épa
e des-quels il ne peut, cette fois, exister le moindre doute, dans le
tissu
même de la peau, sous les conjonctives, dans le t
doute, dans le tissu même de la peau, sous les conjonctives, dans le
tissu
cellulaire sous-cutané, dans les gaines des muscl
, dans l'épaisseur des membranes muqueuses les plus diverses, dans le
tissu
cellulaire péri-néplirélique, dans le tissu même
es plus diverses, dans le tissu cellulaire péri-néplirélique, dans le
tissu
même des organes, dans les poumons, le foie, les
usions sanguines, les ecchymoses qu'on rencontre quelque-fois dans le
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien, il n'y a pas dans l
ltérations du système cérébro-spinal qui méritent d'être notées. — Le
tissu
du cœur est quelque-fois pâle, flasque et cédant
spèce d'ictère, est en ce sens vicieuse ; 2° dans la fièvre jaune, le
tissu
du foie est toujours sec, anémique; dans l'ictère
e a une longueur de deux centimètres environ ; elle est formée par un
tissu
inodulaire de consistance très ferme; elle est ré
me; elle est rétrac-tée, profonde et très manifestement adhérente aux
tissus
sous-jacents; elle répond assez exactement au tra
er). Il est probable que cette branche, com-prise dans l'épaisseur du
tissu
inodulaire, y est comprimée et irritée. Depuis
mieux au trajet d'un nerf et qui rend la peau fortement adhérente aux
tissus
sous-jacents ; en considérant que l'érup-tion hui
. Grâce à cette confusion, ils soutiennent que les actions des divers
tissus
et organes, de môme que leur nutrition, sont sous
itié directe, où il n'est plus représenté que par une même lamelle de
tissus
osseux ramolli : c'est en grande partie à l'affai
'en somme les altérations appréciables portaient exclusivement sur le
tissu
lamineux des ganglions et des nerfs et consistaie
taient en un injection vive des capillaires qui se répandent, dans ce
tissu
avec hypergénèse des éléments con-jonctifs. Il y
éruption de zona s'était produite sous l'influence de l'altération du
tissu
nerveux, et qu'en outre celle-ci avait été déterm
es. Us étaient tuméfiés et vivement injectés, surtout le septième. Le
tissu
connectif qui en-veloppe les corpuscules ganglion
out de mettre en lumière, —l'injection vasculaire et l'hypergénèse du
tissu
lamineux sont restées limitées aux ganglions ains
— Petit, sans altération notable — Les épiploons, le mésen-tère et le
tissu
cellulaire sous-péritonéal par place, contiennent
les sont divisées du hile au bord con-vexe ; et, à première vue, leur
tissu
examiné sur les surfaces de section, n'offre aucu
voir pris les mêmes caractères que la substance corticale, et tout le
tissu
présente une teinte jaunâtre, surtout prononcée e
teurs classiques2 parmi les tumeurs qui peuvent se développer dans le
tissu
cellulaire du petit bassin. Cependant il n'existe
Sur cette pièce, on voit deux kystes hydatiques, déve-loppés dans le
tissu
cellulaire sous-péritonéal du petit bassin, entre
est faiblement uni en arrière, à la face antérieure du rectum, par du
tissu
cellulaire très lâche ; il est situé à 6 ou 7 cen
avec les organes géni- taux est très intime et faite au moyen d'un
tissu
fibreux très dense. Le kyste postérieur est ouv
ion, soit avec le vagin, soit avec l'utérus. Avant la dissection du
tissu
cellulaire lamelleux qui envelop-pait de toutes p
ramifications de ces artères pénétraient, de toute évidence, dans le
tissu
même de la poche fibreuse. Rien de ce qui va su
i-ques en général ; la membrane propre est épaisse, constituée par un
tissu
fibreux, résistant, coriace ; sa surface interne
ombé dans l'excavation du petit bassin, les autres développés dans le
tissu
cellulaire sous-péritonéal du bassin, paraît diff
Park, au sujet du véritable siège du kyste, dans l'ovaire ou dans le
tissu
cellulaire sous-péritonéal, n'existe pas. En effe
e fit pas attendre. Ce kyste hydatique s'était-il développé dans le
tissu
cellu-laire sous-péritonéal ou dans l'ovaire ? Je
le vagin, ou s'il faut penser plutôt qu'elle s'est développée dans le
tissu
cellulaire sous-périlonéal, le doute me paraît le
s kystes ont leur siège primitif dans un des ovaires, parfois dans le
tissu
cellu-laire extra-péritonéal ; 2° Ces kystes hy
té publiés. II. Kystes hydatiques développés, chez l'homme, dans le
tissu
CELLULAIRE SOUS-PÉRITONÉAL DU PETIT BASSIN. J
stait une vo-lumineuse tumeur qui adhérait à ces trois organes par du
tissu
cel-lulaire, surtout à la rate. La rate et la tum
ue les kystes en question se sont tout sim-plement développés dans le
tissu
cellulaire sous-péritonéal, et très probablement
in antérieur, un autre l'épiploon gastro-hépatique, d'autres enfin le
tissu
cel-lulaire sous-péritonéal de la paroi abdominal
ns déjà plusieurs fois émise,àpropos des cas douteux, à savoir que le
tissu
cellulaire sous-péritonéal est le siège de prédil
embrane musculeuse de la vessie ; que ce kyste se sera étendu dans le
tissu
cellulaire qui unit cet or-gane au rectum ; que,
ter que, suivant nous, c'est primitivement sous le péritoine, dans le
tissu
cellulaire recto-vésical, que le kyste a pris nai
tre primitivement dans l'ovaire ; dans les quatre autres exemples, le
tissu
cellulaire sous-péritonéal du petit bassin a été
es du corps ; dans le foie, dans la rate et plus spécialement dans le
tissu
cellulaire des épiploons, du médiastin, dans celu
lée pendant la vie par aucun symptôme appréciable. 2° C'est dans le
tissu
cellulaire sous-péritonéal du petit bassin que, s
xtra-péritonéaux,on trouve la membrane enveloppante constituée par du
tissu
fibreux, dense, muni de vaisseaux. Le kyste a ren
brane propre brune, dont la surface extérieure adhère intimement au
tissu
du foie qui la loge, et dont la membrane flottant
la-boration avec M. Davaine. breux kystes hydatiques situés dans le
tissu
cellulaire sous-périto-néal et dont quelques-uns,
aillie au dehors, tandis que l'autre moitié siège dans l'épaisseur du
tissu
hépati-que; 5° Des kystes hydatiques en grand n
is celui d'une noix jusqu'à celui d'un pois, sont dissé-minés dans le
tissu
cellulaire sous-péritonéal ça et là sur le péri-t
toïdine a été rencontrée dans des tumeurs de nature diverse, dans des
tissus
plus ou moins modifiés ; elle a été rencontrée au
u favorables à leur développement. Quoi qu'il en soit, l'organe et le
tissu
dans lesquels se développe une hydatide, paraisse
amais, ces cestoïdes dans les hydatides qui se développent au sein du
tissu
musculaire. Un fait en apparence contraire à cett
autres points étant mince comme de la baudruche; elle est formée d'un
tissu
fibreux très serré. A la surface extérieure du cœ
face extérieure du cœur, le kyste est apparent, à travers une lame du
tissu
muscu-laire atrophié et décoloré, lame à peine ép
ydatides; il n'existe point non plus de ces vers vésiculaires dans le
tissu
cel-lulaire sous-péritonéal ni dans le petit bass
naissance aux échinocoques ou aux têtes de cœnure, constituée par un
tissu
fibrillaire particulier, en un mot, n'est point u
n'est point une mem-brane germinale ; mais elle est constituée par le
tissu
hydati-que même, et les excroissances papilliform
: elles sout constituées, comme la membrane qui les supporte, par du
tissu
hydatique, dont on reconnaît au microscope les la
anière des couches calcaires de l'écaillé de l'huître. Ces couches de
tissus
hydatiques sont infiltrées à leur bord libre d'un
ulcères simples du tube digestif ne siège pas de prime-abord dans le
tissu
même de la membrane muqueuse, mais qu'elle serait
ou valvule ; au contraire, elles se terminent en s'amincissant. Le
tissu
cellulaire sous-muqueux, épaissi dans toute l'éte
invoquer comme cause productrice du rétrécisse-ment l'existence d'un
tissu
cicatriciel. Ce n'est qu'avec peine que la régi
'y était pas hypertrophiée et il n'y existait pas de déformation. Son
tissu
était un peu friable, et il était imprégné d'une
fil-tration sanguine ne pénètre pas, au moins à la hanche, au-delà du
tissu
cellulaire sous-cutané ; sur l'abdomen, on remarq
e fente pénètre d'ailleurs assez peu profondément dans l'épaisseur du
tissu
splénique, qui paraît sain au voisinage. En écart
spléniques, point de départ de l'hémorragie? Si l'on remarque que le
tissu
de la rate et de sa capsule était parfaitement sa
iatement l'accident. Dans cette hypothèse, le sang infiltré dans le
tissu
cellu-laire sous-cutané et le caillot renfermé da
us servir d'une expression germanique, la métamorphose régressive des
tissus
se fait d'une manière active, tumultueuse même ;
invétérés. « On peut avancer, dit-il, que là où une disparition du
tissu
nerveux existe et est étendue, il n'y a rien à op
prendre du nitrate d'argent, a trouvé le métal dans pres-que tous les
tissus
: les méninges cérébro-spinales, le péri- Charco
temps, forment des composés insolubles, qui se déposent dans tous les
tissus
de l'économie, et dont l'élimination, d'ailleurs
............. 218 Kystes hydatiques développés chez l'homme dans le
tissu
sous- péritonéal du petit bassin...............
es af-fections chroniques de la —, 430, Métamorphose régressive des
tissus
, 332. n Nerfs, irritation des —, 178; — tro
ces cas une lésion artérielle productrice de sclérose et lorsque le
tissu
conjonctif est formé, l'iodure ne peut agir sur l
onctif est formé, l'iodure ne peut agir sur lui pas plus que sur un
tissu
de cicatrice. Il faudrait donc pouvoir intervenir
par l'électrolyse, il faut songer que l'électrolyse doit exciter le
tissu
nerveux comme agent chimique. Que de fois j'ai
tion de la région claviculaire au contraire n'irrite pas du tout le
tissu
de la moelle. Je dois dire en outre que je ne m
de continuité des fibres) soit des adhérences trop intimes avec les
tissus
voisins. Ce n'é- Lait pas là le cas, el, l'élon
e et nacrée, preuve macroscopique de dégénérescence. Une bride de
tissu
cicatriciel rattache la partie malade du nerf aux
'une tranche suffisante de cordon nerveux, de manière à suturer des
tissus
sains ; une dernière sec- tion bien nette est p
E SYPHILITIQUE 89 (et ceci est de la plus haute importance) dans le
tissu
conjonctif ou ses équivalents... Les éléments n
s le tissu conjonctif ou ses équivalents... Les éléments nobles des
tissus
(cellules glandulaires, fibres musculaires), s'
s'atrophient secondairement sous l'influence de l'hyperpla- sie du
tissu
conjonctif. Cette néoformation qui consiste essen
ls provoquent dans les organes où ils se développent des réactions du
tissu
, variables suivant la structure de ceux-ci. Ces
elle, comme dans les autres organes, des altérations secondaires du
tissu
nerveux et des réactions irritatives interstiti
les cellules rondes sont tellement nombreuses qu'elles ca- chent le
tissu
sous-jacent : dans l'intervalle des deux cercles,
out le cordon latéral, et spécialement dans sa partie postérieure, le
tissu
névroglique est plus développé qu'à l'état norm
d'autres, qui tranchent par leur apparence homogène sur le reste du
tissu
(loc. cit., fig. 1, A, A'). Ces taches occupent l
tière colloïde en question paraît s'être infiltrée au sein même du
tissu
fonda- mental, en avoir dissocié les éléments.
ents embryonnaires le plus souvent dans les gaines lymphatiques. Le
tissu
névroglique ne montre pas d'indices d'irritation
age fibrillaire a sa den- sité normale : il semble seulement que ce
tissu
ait perdu en partie son affinité pour les subst
ées dans la gly- cérine. Ils sont en nombre modéré, situés en plein
tissu
nerveux : on n'en voit pas de semblable dans le
it vaisseau autour duquel l'infiltration redouble d'intensité. Tms.
Tissu
médullaire sain (cordon postérieur). , Vp. Véin
fg. Petit foyer gommeux intra-médullaire émané de la pie-mère ; le
tissu
nerveux est déruit à ce niveau. Infiltration go
petits vaisseaux soûl altérés partout, même dans les régions où le
tissu
lui-même est sain ; leurs parois out subi une hyp
tation interstitielle est limitée au trajet des capillaires : mais le
tissu
né- vroglique semble avoir peu réagi. Les éléme
e la précédente. - Ici l'infiltration est limitée au septum smp. Le
tissu
médullaire est respecté sauf dans une région peu
es éléments de la néoformation s'infiltrent dans les interstices du
tissu
conjonctif (A), se groupent autour des capillai
s pratiquées aux différentes hauteurs ont dé- montré l'intégrité du
tissu
nerveux. Mais les méninges et les vaisseaux offre
ces points que dans les autres parties constitutives du nerf. Le
tissu
conjonctif interfasciculaire est très épaissi, tr
festement hypertrophiées. Dans l'intimité des faisceaux nerveux, le
tissu
conjonctif s'est en grande partie substitué l'élé
érivasculaires, soit en creusant des loges artificielles au sein du
tissu
fondamental si délicat de cette partie de la mo
es éléments avaient conservé leur apparence normale). Par contre le
tissu
névroglique de la substance grise est à peine alt
le tissu névroglique de la substance grise est à peine altéré : le
tissu
fon- damental des cornes antérieures parait rar
us la forme de petits territoires circonscrits, disséminés en plein
tissu
médul- laire sain, les uns superficiellement si
e-pièce représentant la place d'un tube nerveux disparu. A peine le
tissu
névroglique ambiant a-t-il commencé il prolifé-
u de ces territoires dégénérés, il n'y a pas trace. Ajoutons que le
tissu
nerveux clans leur intervalle, est par- faileme
dit l'anatomie pathologique a toujours son point de départ dans le
tissu
conjonctif ou ses équivalents : jamais elle ne .
nts : jamais elle ne . frappe primitivement les éléments nobles des
tissus
(Virchow, Lancereaux). Or, que voyons-nous ici
nt chargées de cellules embryonnaires qui envahissent par places le
tissu
adjacent en détruisant les tubes nerveux plus ou
x, ont contribué pour une part au moins à sa pénétration au sein du
tissu
? En résumé nous pensons qu'on doit comprendre
ent autant de centres d'infiltration. Dans la substance grise, « le
tissu
, qui paraît raréfié est infiltré çà et là par une
pari mortels a brève échéance, avant que les réactions irritatives du
tissu
n'aient pour ainsi dire défiguré le caractère i
syphi- litique. Le testicule gauche présente au niveau du liile un
tissu
fibreux épaissi qui se prolonge avec les cloiso
épaissie ; en outre elle paraît plus adhérente qu'à l'état normal au
tissu
médullaire sous-jacent ; car dans les points où
elle se trouve écartée de la sur- face de la moelle, une partie du
tissu
médullaire est restée adhérente à la face profo
édominance dans la ré- gion postérieure. Elle envahit légèrement le
tissu
médullaire sous-jacent. L'examen de l'artère sp
- niques musculaires et surtout adventice du vaisseau (fig. 16). Le
tissu
conjonctif de cette dernière est beaucoup plus
la substance grise n'offrent pas d'alléralions de leurs parois; le
tissu
lui-même est peu infiltré. Mais on constate des m
du foyer hémorrhagique qui occupe la corne an- térieure droite. Le
tissu
fondamental est formé d'un feutrage beaucoup plus
autour des parois vasculaires épaissies, on voit sur les coupes un
tissu
dense, manifestement /Ï ? 7/S ? présentant une co
nent les parois vasculaires elles-mêmes sous l'action du carmin. Ce
tissu
est formé de fibrilles innombra- bles, très ser
a réaction indiquée par M. Malassez pour différencier la névroglie du
tissu
conjonctif (action successive de la potasse à 4
iées ne prenant pas la coloration du carmin. Les éléments nobles du
tissu
ont tota- lement disparu. Tout a tait au centre
inte blafarde par l'hématoxylinc : le carmin donne il l'ensemble du
tissu
une coloration d'un brun sale. Dans cette partie
la coupe transversale environ est occupée par une vaste nappe de
tissu
conjonctif adulte, qui s'est développé autour d
scléreuses ;1 la périphérie, la fusion intime de la pie- mère et du
tissu
médullaire sous-jacent signalent la participation
L'origine nettement péri-vasculaire des foyers de sclérose dans le
tissu
médullaire lui-même montre bien la part des vai
face ; 2° des varia- tions dans la circulation et la nutrition des
tissus
mêmes, savoir : dans le derme, dans la couche s
up d'entre elles aboutissent aux papilles de la peau, en sorte que le
tissu
lui-même de la peau offre une surface étendue à
ucune dégénérescence ; toutefois des troubles tro- phiques dans les
tissus
sont possibles. Les trois phénomènes dont je vi
ntissement de la circulation du sang et les troubles trophiques des
tissus
étant les causes de la rudesse et de l'aspect ari
offre un épaississement fibreux manifeste, avec adhérence intime au
tissu
nerveux sous-jacent, notamment dans l'espace inte
e ont leurs parois hypertrophiées : ces vaisseaux cheminent dans un
tissu
fibreux dense. A la face antérieure de la protu
iel, à la face antérieure de la pyramide droite : la consistance du
tissu
nerveux est manifestement diminuée en ce point.
du bulbe. On ne saurait en détacher les ménin- ges, sans enlever le
tissu
nerveux sous-jacent. Les origines des nerfs crâ
s des nerfs crâniens, à partir de la 6° paire sont recouvertes d'un
tissu
fibreux épais. Sur les coupes, à l'aeil nu, on
ent avoir souffert : ils pré- sentent une coloration grisâtre, leur
tissu
est diminué de consistance. La même lésion se p
armin, la dure-mère apparaît il ce niveau, comme une large bande de
tissu
conjonctif fibreux, dense, teintée en rose clair,
. L'arachnoïde et la pic-mère sont confondues en une seule nappe de
tissu
con- jonctif fibrillaire, moins compact, où l'h
ne. Par place ils forment des amas ; c'est à leur abondance que le
tissu
semble devoir sa grande fragilité dans cette ré
ies ; et nous avons eu grand peine à les détacher : des lambeaux de
tissu
fibreux y sont restés adhé- rents. Au microscop
s et fort épaissies il la surface du cordon latéral droit ; mais le
tissu
médullaire sous-jacent n'est pas intéressé. La
d'épaisseur et les parois des capillaires infiltrées légèrement, le
tissu
nerveux lui-même est nor- mal. Les coupes du ne
hie notable de leur tunique interne, composée d'une couche dense de
tissu
conjonctif. Mais la lumière est restée perméable
artères, l'adventice est épaissie, plus ou moins confondue avec le
tissu
fibreux amhiant; et les vaso-vasorum sont oblit
es rondes au pourtour des petits vaisseaux qui sont plongés dans ce
tissu
cicatriciel, et de ceux qui pénètrent dans la m
e dégénéré; mais rien qui rappelle les for- mations gommeuses ou le
tissu
de granulations. Nous n'hésitons pas pour notre
sma optique en particulier. Les nerfs crâniens sont recouverts d'un
tissu
de nouvelle (1) Jurgens, Ueber Syphilis des Rüc
e) ont leurs parois épaissies; leur adventice est confondue avec le
tissu
ambiant. La méningite va en augmentant d'intensit
ême est très alté- rée dans toute l'étendue de cette méningite ; le
tissu
montre au microscope un grand nombre de cellule
e majorité des cas, les symptômes qui traduisent l'envahissement du
tissu
médullaire sont annoncés par une série de trou-
cidents du côté de la moelle épinière indiquent la participation du
tissu
nerveux. Toutefois ici, les symptômes cérébraux
onnaître la signification de cette période prodromique avant que le
tissu
médullaire ne soit profondément lésé; car l'int
de l'index ; par suite de la pression produite par les doigts, les
tissus
cutanés de la paume sont usés ; les tentatives
et plantaire sont conservés, la sensibilité douloureuse aussi. Les
tissus
cutanés sont secs, rudes au toucher et se riden
salive, sueur visqueuse sur le visage. 30-31 OEdème des pieds ; les
tissus
cutanés sont pâles. La quantité d'urine émise d
vement plus élevée que sur la face externe où elle est normale, les
tissus
cutanés sont pâles, sauf à la surface interne des
t une teinte bleuâtre ; on ne remarque ni oedème ni infiltration du
tissu
cellulaire sous-cutané; les muscles, princi- pa
xtrémité occasionnent de la dou- leur ; la pression exercée sur les
tissus
mous et les condyles est douloureuse ; il n'y a
r rougeur intense. Poids du corps : 126 livres. 2. La rougeur des
tissus
cutanés occupe presque toute la largeur de- 3t;
e- 3t; NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. l'os cubital ; le
tissu
cellulaire sous-cutané est infiltré. Le soir, la
atteinte par le processus phlegmoneux survient la mortification des
tissus
cutanés avec élimination de petits fragments du t
fication des tissus cutanés avec élimination de petits fragments du
tissu
cellulaire. Ab- sence de pus. Le processusse te
infiltration et rougeur à l'enlour; d) eschare occupant la place des
tissus
mortifiés par suite du phlegmon. 11-12. Le co
ibio-tarsienne et de la plante des deux pieds, taches violacées des
tissus
de la peau dans la région située au- dessus du
es ongles, leur fendillement et leur friabilité, les modifications du
tissu
cellulaire sous-cutané, sous forme d'épaississe
ons du tissu cellulaire sous-cutané, sous forme d'épaississement du
tissu
adipeux, de 330 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SAL
eau, apparition sur la peau de taches de teinte bleuâtre, oedème du
tissu
cellulaire sous-cutané, infiltration des muscles,
comme exemple se compose des processus d'excitation des différents
tissus
y prenant part, lesquels possèdent une certaine
r par voie expérimentale les endroits du cerveau où se trouvent les
tissus
, dont l'état parfait de santé forme une conditi
t vers l'intérieur delà région frontale du cerveau, se trouvent ces
tissus
, dont la maladie provoque justement des troubles
nt et se perfectionnant constamment de la même façon que les autres
tissus
du corps (1). « Les forces ou les éléments que
lus alors une place plus spacieuse- Dans le corps se réunissent les
tissus
aussi par agrégation graduelle et par rapproche
en rapport avec tous les centres d'écorce. Voyons [maintenant quels
tissus
se trouvent dans le cerveau, qui n'ap- partienn
sus se trouvent dans le cerveau, qui n'ap- partiennent pas déjà aux
tissus
ayant des fonctions plus ou moins connues et qu
ux pyramidaux et qu'à la place de ces fais- ceaux, il se produit un
tissu
conjonctif cicatriciel de réparation. Ce tissu
eaux, il se produit un tissu conjonctif cicatriciel de réparation. Ce
tissu
conjonctif irrite les cellules motrices des cor
ne de la contracture, on ne peut pas le contester, mais dire que le
tissu
conjonctif (et l'on conteste aujourd'hui qu'il y
le tissu conjonctif (et l'on conteste aujourd'hui qu'il y ait là du
tissu
con- jonclif) irrite les cellules motrices, per
e avec phénomènes de paraplégie flasque et lésions dégénératives du
tissu
pyramidal de Bastion, Bruns, Thorbum, Van Geliuch
l'exagération du tonus permanent des muscles, par l'exci- tation du
tissu
conjonctif du cordon latéral sur les cornes antér
comme Charcot et Vulpian ; il ne croit pas à une excitation par le
tissu
conjonctif du faisceau pyramidal dégénéré ; pour
d, etc., que la contracture était la conséquence de l'irritation du
tissu
conjonctif qui suit la dégénérescence du faisceau
ulpian-Brissaud ; seulement tandis que pour ces derniers c'était le
tissu
conjonctif de cicatrice qui remplaçait la dégénér
méthode de Weigert-Pal, des espaces clairs indiquant la présence du
tissu
de sclérose qui remplace habi- tuellement les f
trecroisement de la voie pyramidale. Ici encore on ne trouve pas de
tissu
scléreux entre les fibres myélinisées. De cette
ique du lobule paracentral, dans lequel on re- trouve au milieu des
tissus
nécrosés des fragments d'écorce cérébrale en ét
ces secondaires, probablement par le fait d'une résorption lente du
tissu
scléreux et du tassement des fibres saines ; et o
eur trajet. En outre on doit en conclure que dans la production des
tissus
de remplacement, à côté des variations individu
ité variable; soit que pendant la période initiale elle produise un
tissu
scléreux plus ou moins dense, soit qu'elle en p
partie antérieure du segment postérieur ne sont pas occupées par du
tissu
fibreux mais par des fibres bien myélinisées suiv
entre elles des espaces vides, ou du moins occupés seulement par du
tissu
névroglique, d'où leur as- pect clair sur les c
En effet, immédiatement au-dessous, dans le pédoncule cérébral, tout
tissu
de sclérose interstitielle a de nouveau disparu
une nécrose très étendue du manteau cérébral ; après résorption des
tissus
nécrosés il est resté comme résidu une cavité kys
oite, n'a pas été trouvé à gauche ; il a semblé que l'épaisseur des
tissus
à cet endroit pouvait être la seule raison de c
e couche est constituée par des trousseaux fibreux denses et par du
tissu
adipeux ou cellulaire lâche intermédiaire, étroit
tes. Nous n'avons jusqu'à présent aucune étude histologique sur les
tissus
osseux et ostéogènes dans cette affection et le
ns la substance blanche, on constate les lésions de « l'eedéme » du
tissu
nerveux : dilatation des gaînes myéliniques, tu
particulière à cette méthode n'a pas l'inconvénient de ratatiner le
tissu
nerveux ainsi que cela arrive malheu- reusement
s antérieures et pos- térieures. Les vaisseaux radiculaires et le
tissu
de soutien ont été étudiés surtout à l'aide de
A PROPOS D'UN CAS DE POLYNÉVRITE AMYOTROPHIQUE 139 subies par le
tissu
. Dans le cas actuel cependant, avoir obtenu une r
santes à démontrer que les vaisseaux, les zones périvasculaires, le
tissu
de soutien et le canal central étaient indem- n
rouvèrent une destruction d'éléments nerveux,rem- placés déjà pardu
tissu
de névroglie, particulièrement accusée dans les c
tes ses fibres ont pris la colora- tion jaunâtre caractéristique du
tissu
nerveux sain, sauf quelques-unes dans lesquelle
de Van Gieson et double coloration à l' hématoxylil1e-éosine. -- Le
tissu
conjonctif interfasciculaire n'est pas proliféré
ffrent rien de pathologique. Avec la double co- loration au sein du
tissu
interstitiel on observe un nombre assez remarquab
reelles conservent leur aspect strié caractéristique. Les noyaux du
tissu
interstitiel ne sont pas augmentés en nombre. L
ait obtenir un godet ; il y avait en somme un réel accroissement du
tissu
conjonctif sous-cutané et de l'infiltration, le t
ssion était normale si l'on veutbien tenir comptede l'épaisseur des
tissus
super- ficiels. Il n'y avait pas d'hyperesthési
correspond pas seule- ment à un oedème des téguments, mais que les
tissus
profonds et le sque- lette lui-même y participe
ou encore reconnaître pour origine un processus atteignant tous les
tissus
de la main et le cas qu'ils présentaient était
THYROÏDIENS 205 Chez l'adulte, la disposition lobulée a disparu. Le
tissu
conjonctif est réduit à de fins tractus, qui co
rff et les cellules colloïdes. A cause des qualités rétractiles des
tissus
, les aspects des préparations varient beaucoup,
t brun. Les diplocoques ne semblent pas avoir notablement envahi le
tissu
nerveux, sauf en quelques points très limités d
-arachnoïdien est rempli de leucocytes comme du côté droit, mais le
tissu
conjonctif, coloré par la méthode de Mallory, a
p plus abondant. La diapédèse s'est donc effectuée ici au sein d'un
tissu
déjà sclérosé à la suite d'un processus inflamm
. Dans une première autopsie (1) ils trouvent une ossifi- cation du
tissu
ligamenteux de presque toutes les articulations d
ortant sur lequel ont insisté les auteurs : c'est la raréfaction du
tissu
osseux très visible dans les parties de la pièc
éviter dans les manipulations. Elle con- traste avec la densité des
tissus
osseux néoformés qui présentent une véritable é
nion forme un plan très régulier indiquant soit une malléabilité du
tissu
osseux au moment de sa formation, soit une usure
tissu osseux au moment de sa formation, soit une usure facile de ce
tissu
néoformé. Ligaments articulaires.= Nous avons v
s verté- braux antérieur et postérieur. d) Par une raréfaction du
tissu
osseux ancien, contrastant avec l'ébur- nation
éfaction du tissu osseux ancien, contrastant avec l'ébur- nation du
tissu
néformé. e) Par une absence totale d'ostéophyte
. En outre on peut voir sur notre pièce que les travées osseuses du
tissu
spongieux sont raréfiées et amincies sur presqu
ngieux sont raréfiées et amincies sur presque tous les points où ce
tissu
est visible, notamment au niveau descorpsvertébra
e de prolifération osseuse parce qu'il s'agit d'une substitution de
tissu
osseux au tissu ligamenteux. Généralisation et ho
on osseuse parce qu'il s'agit d'une substitution de tissu osseux au
tissu
ligamenteux. Généralisation et ho- mogénéité du
ur les muqueuses aucune cicatrice ni tache de nature suspecte. Le
tissu
adipeux n'est pas déficient, mais encore moins en
umidité des téguments sont partout normales ; aucune imbibition des
tissus
sous-cutanés ; pas la moindre empreinte myxoedé-
ON A L'ÉTUDE DE L'INFANTILISME DU TYPE LORAIN 312 314 ET10RE LE'1
tissu
adipeux est très délicient ; la petite est très m
proportionnées au développement général ; par suite de la pauvreté du
tissu
adipeux, elles se dessinent très bien. Les ch
laires sont toniques et se dessinent très bien à cause du défaut de
tissu
adipeux. La mobilité passive et active est norm
-cutanée n'existe d'ailleurs dans les au- tres parties du corps. Le
tissu
adipeux est très réduit ; les muscles sont peu
phalanges et métacarpiens) on observe un développement excessif des
tissus
osseux spongieux, tandis que le développe- ment
e l'avant-bras apparaissent extrême- ment petits et menus (1). Le
tissu
osseux compact est, de même que chez Marguerite,
st, de même que chez Marguerite, très peu déve- loppé tandis que le
tissu
spongieux forme la presque totalité des os longs.
ormal ; en effet sur la radiographie de sa main nous observons que le
tissu
compact des os longs est très bien développé ;
paraît in loto nor- male ; seulement si l'on compare l'épaisseur du
tissu
compact osseux avec celle de la main d'une autr
de la main d'une autre jeune fille normale de 19 ans,on trouve que le
tissu
spongieux est même chez Henriette un peu trop p
la même famille il nous montre à un très haut degré le dé- ficit du
tissu
osseux compact, la persistance de tous les cartil
ent fin et réduit en épaisseur ; sa tête est complètement formée de
tissu
spongieux. 1 Les mêmes faits, encore plus évide
ment à celui des mêmes os de la main ; on remarque le même déficit de
tissu
osseux compact et la persistance évidente de to
en objectif, sauf les caractères acromégaliques du squelette et des
tissus
mous, on ne voit rien qui soit à signaler. Exam
amen objectif. -Les caractères d'acromégalie sont bien évidents. Le
tissu
cellulaire sous-cutané est très développé ; les m
ce, affaiblissement de la mémoire, et aussi développement énorme du
tissu
cellulaire sous-cutané, épaississement de la peau
mateux. On a en effet plusieurs fois décrit une forte diminution du
tissu
cellulaire sous-cutané après un traitement thy-
galie l'hypertrophie de la langue, les altérations de la peau et du
tissu
cellulaire sous-cutané, sont causées exclusivem
l'examen radiographique des mains et des pieds le développement du
tissu
osseux a paru des deux côtés nor- mal, quoique
nor- mal, quoique un peu fort et uniforme, de manière que c'est aux
tissus
mous qu'on est forcé d'attribuer la plus grande
oppement du sujet peut être en partie causé par l'accroissement des
tissus
mous, le plus souvent le squelette y participe
a trouvé dans l'acromégalie non seulement des altérations dans les
tissus
mous, mais encore des lésions osseuses, comme n
é, plutôt un peu augmenté : il faut tenir compte de l'épaisseur des
tissus
, les moyennes ayant été prises sur des crânes s
LLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE T. XXI. PI. L1R ALTÉRATIONS DU
TISSU
CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS. (Weber)
PSYCHIATRIQUE DE L'UNIVERSITÉ DE GENÈVE DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU
TISSU
CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS PAR
et il y avait peut-être hémianopsie. - . QUELQUES altérations DU
tissu
cérébral 361 Le diagnostic différentiel était d
ce qui est probablement attribuable à un engorgement oedémateux des
tissus
. Dès 2, 5 centimètres en arrière du néo- plasme
éparation au- tre que le durcissement dans le liquide de Muller. Le
tissu
ambiant a été ré- duit en une masse gélatineuse
ELLE Iconographie DE la Salpêtriere T. XXI. Pl. LX ALTÉRATIONS DU
TISSU
CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS. (Weber)
L DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS. (Weber). QUELQUES altérations DU
TISSU
cérébral 363 pôle frontal ; c'est la moitié sup
tumeur. Elle agit ici comme un coin. Les parois y sont tapissées d'un
tissu
spongieux, qui envahit les couches superficiell
pparu dans le centre ovale de l'hémisphère droit un second noyau de
tissu
pathologique. 11 est relié 2 celui qui occupe l
ibres nerveuses. 2° D'une invasion très étendue et mal délimitée du
tissu
cérébral par des cellules sarcomateuses. 3° D
ctent des for- mes très bizarres (fig. 2). On a l'impression que le
tissu
a élé irréguliè- rement dilacéré, qu'il a été r
'une expérience plus élendue. D'autre part il est à supposer que le
tissu
cérébral a été en partie re- poussé, mais aussi
on peut admettre que, en raison de la spongiosité très prononcée du
tissu
sarcomateux intraventriculaire, le courant céphal
LLE Iconographie DE la SALFÊTRIÉRE T. XXI. Pl. LXI ALTÉRATIONS DU
TISSU
CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS. QUELQUE
SSU CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS. QUELQUES ALTÉRATIONS DU
TISSU
CÉRÉBRAL 367 Observation XII (PI. LXI). Du t3
cule latéral, laissant entre lui et l'écorce une zone de 2-3 mm. de
tissu
plus ou moins intact. IIII'a épargné que quelqu
qu'immédiatement en arrière du corps calieux que ces altérations du
tissu
ne se voient plus. QUELQUES ALTÉRATIONS DU TISS
ces altérations du tissu ne se voient plus. QUELQUES ALTÉRATIONS DU
TISSU
CÉRÉBRAL 369 Signalons en passant la pauvreté e
es a fait le reste. Il ne s'agit pas d'une destruction complète des
tissus
; on en reconnaît en- core les contours ; par p
x. Les espaces périvasculaires dilatés contiennent des filaments de
tissu
conjonc- tif et assez fréquemment du pigment de
s dégénérées, une augmentation des cellules QUELQUES ALTÉRATIONS DU
TISSU
CÉRÉBRAL 371 satellites et des amas disséminés
des exem- ples que dans les espèces animales, nous connaissons les
tissus
musculai- res, glandulaires et nerveux, différe
vie élémen- taire. On a donc trouvé successivement des organes, des
tissus
, des cellu- les et peut-être des molécules intr
n droit d'en étendre la portée en les appliquant successivement aux
tissus
, aux orga- nes, aux individus, puisque chacune
primitive des feuillets Nastodermiques; le sys- tème osseux et les
tissus
de soutien (os et cartilages) dérivent chez les a
les attributs de l'enfance, touchant à tous les organes, à tous les
tissus
et n'épargnant même pas les cartilages d'ossifi
crâne montre que l'ossification est l'effet d'une insuffisance des
tissus
ostéogènes en général. Springer et Sarbanesco s
en effet on observe partout que les proportions nor- males entre le
tissu
spongieux et le tissu osseux compact sont très al
rtout que les proportions nor- males entre le tissu spongieux et le
tissu
osseux compact sont très allé- rées ; partout e
aux phalanges et aux métacarpiens et métatarsiens on observe que le
tissu
compact est réduit il une petite lamelle tandis
que le tissu compact est réduit il une petite lamelle tandis que le
tissu
spongieux constitue presque exclusivement le sque
'ostéomalacie puerpérale le processus d'involution pathologique des
tissus
osseux serait arrêté par la castration (Fehling).
en-ovarique se montrerait clairement aussi dans le développement du
tissu
adipeux, du système pileux etc. (Parhon et Jold
e séminale pas différenciées (le malade avait 44 ans), mais dans le
tissu
conjonctif on ne trouvait aucune cellule inter-
avec des ciseaux sans aucune douleur, quoique très adhé- rente aux
tissus
sous-jacents (PI. LXV). L'eschare était dure comm
de l'épiderme (même à l'observation au micros- cope),tandis que les
tissus
sous-épidermiques présentent déjà des lésions p
ésion superficielle de l'épiderme, puissentproduireune gangrène des
tissus
sous-épidermiques, nous sommes forcés à croire
t de Wende on a pratiqué la biop- sie et l'examen microscopique des
tissus
nécrosés ; on n'a trouvé rien d'autre que les l
n n'a trouvé rien d'autre que les lésions banales de la nécrose des
tissus
qui ne sont pas nourris suffisamment. Les nerfs
est indispensable que la plaque gangreneuse soit éliminée, que les
tissus
qui sont alentour prolifèrent, que la cicatrice s
jets hystériques (1 pl.), 481. · WEUEII. De quelques altérations du
tissu
cérebral dues à la presence de tumeurs (3 pl.
n par suicide) (1 pl.), par Souques, 108. Tumeurs (Altérations du
tissu
cérébral dues à la présence de-) (6 pl. par Web
comme s'il avait les yeux ouverts. S'il y a eu amaigrissement du
tissu
adipeux sous-cutané, il n'y en a pas des muscle
ischémie persiste et des lésions orga- niques se produisent dans le
tissu
embolisé. La première altération est la nécrobi
aralysie permanente chez un chien afin d'étudier les altérations du
tissu
embolisé. En'voici l'expérience : Expérience (5
s d'une myélite, les tuniques des vaisseaux se sont épaissies et le
tissu
conjonctif en prolifération. 11 n'y a pas trace d
du plus grand nombre des tubes nerveux et par la prolifération du
tissu
conjonctif qui est devenu fibrillaire. On constat
la commissure blanche parait un foyer circonscrit constitué par un
tissu
dense, visqueux ; au pour- tour de quelques vai
ramollie et d'une couleur rouge-brun et au grand développement du
tissu
conjonctif sous-jacent et de la tunique musculair
és dans la substance des cordons postérieurs et avaient séparé le
tissu
nerveux; ils étaient situés dans une fente. On ne
e. On ne pouvait observer dans cet amas de cellules aucun débris de
tissu
nerveux ou de reticulum de la névroglie. On n'y
ités; leur forme était presque tou- jours irrégulièrement ovale. Le
tissu
çircpnvQisin des cordons 60 - ' CLINIQUE NERVEU
-dire les fibres nerveuses étaient gonflées plus grandes et tout le
tissu
montrait cet aspect fin, vésiculeux que j'ai dé
aire pendant un certain temps, l'ischémie durera plus longtemps, le
tissu
em- bolisé sera nécrosé, les vaisseaux finiront
uvoir la rattacher à l'infiltration de gaz dans les intervalles des
tissus
de l'endroit sus- indiqué. Nous savons très bie
es dans le sang, dans tous les liquides et dans les intervalles des
tissus
. Donc la présence de bullettes de gaz a forteme
plexus solaire par la présence de gaz dans les inter- valles de son
tissu
. Quant au groupe des différentes douleurs nous'
qui tiennent à l'explosion soudaine de gaz, dans les intervalles du
tissu
musculaire et dans le liquide intra- articulair
on consi- dérable d'une grande quantité de gaz développés dans le
tissu
sous-cutané. L'hémorrhagie thyroïdienne est cer
lisées dans les capillaires ou disséminées dans les intervalles des
tissus
, car la respiration d'oxygène conseillée par Pa
s pathologique. P. K. IV. DE la manière d'être DE la résistance DES
TISSUS
DE L'ÉCONOMIE A la conductibilité galvanique, d
ar A. EULENBURG. De LA DIMINUTION DE LA RÉSISTANCE ÉLECTRIQUE DES
TISSUS
DE L'ÉCONOMIE DANS LA MALADIE DE BASEDOW; par P.
oir de MM. Charcot et Vigouroux : dans le goitre exophthamique, les
tissus
présen- tent beaucoup moins de résistance que n
e la périphérie au centre. Dans les troncules nerveux, couches d'un
tissu
formé par de grands noyaux fusiformes à longs p
siformes à longs prolongements, comparables à de jeunes cellules du
tissu
conjonctif et qui en sont réellement; ces couch
blation du cerveau, représentaient assurément plusieurs onces de
tissu
cérébral. Si donc on ajoute au poids du cerveau u
sidéré comme représentant le poids perdu par suite de l'atrophie du
tissu
cérébral, on obtiendra pour ce cerveau un poids
gane, en avant de la cavité en question dont elle est séparée pardu
tissu
nerveux usé, elle proémine un peu en bas et en
qui s'est trouvée être le terrain générateur; la dégénérescence du
tissu
néoformé en éléments ostéoïdes n'a rien d'extra
re teinte noire et qui passe graduellement à la coloration noire du
tissu
environnant. On doit se demander s'il existe qu
il s'agit d'une néoplasie : il il y a eu, sans doute, formation de
tissu
névroglique, en d'autres termes,gliose ou glion
u glionacctose et c'est le ramollis- sement, la désagrégation de ce
tissu
qui a donné lieu à la formation d'une cavité. D
ables, et qu'on ne rencontre pas dans l'élude des autres organes et
tissus
de l'organisme, se dressent ici. Ailleurs, la c
essent ici. Ailleurs, la connaissance anatomique des organes, des
tissus
et des élémenls a révélé les lois de leur fonc-
de nature purement trophique : ils serviraient à la nutrition du
tissu
nerveux. « Je pense, dit Golgi, que ces prolon-
élé- ments nerveux apparaît avec d'autant plus de netteté que les
tissus
sont plus jeunes. Voilà comment Golgi ' Sulla f
ibrilles d'un muscle, et, par l'autre extrémité, se perdent dans le
tissu
d'un tendon. Dans ces corps, de nature tendineu
ez eux cette conscience de l'effort. En outre, les modifications du
tissu
musculaire qui se contracte sont certainement t
anémie, ce qui démontre la part de la distribution du sang dans les
tissus
pour en modifier la densité. » On doit rapproch
vivement transplanté soit dans un repli du mésentère, soit dans le
tissu
sous-péri- tonéal. Environ trois semaines après
xemple, peuvent être traitées avec succès par la transplantation du
tissu
thryoïde dans le malade. En premier lieu, ces m
oïde, des animaux plus petits dans la cavité péritonéale ou dans le
tissu
sous- cutané, pourrait amener avec succès la cr
s contribuant à la formation du sang, destinés à la production d'un
tissu
fluide infiniment complexe. 11 est toujours dif
d'un côté, d'un autre, il augmente et se change en passant par les
tissus
qu'il traverse plus ou moins. Il ne faut ici co
la sécrétion pour reconnaître la vérité qui en découle. Parmi les
tissus
qui influent d'une manière plus spéciale sur le
s de raison de douter de mes dernières conclusions, à savoir que le
tissu
embryonnaire de la glande est vraiment hoemacyio-
ombre de fibres sont réduites à leur gaine de Schwann; intégrité du
tissu
conjonctif. Cette névrite pU7'enchymuteuse se p
fantile; le sujet de l'obser- vation mourut à 25 ans. Les débris du
tissu
musculaire se compo- saient de faisceaux de fib
che lentement; elle est caractérisée par une lente prolifération du
tissu
inters- titiel et la genèse de cellules granule
moyens appropriés, mais la celloïdine demeure et sert de ciment aux
tissus
. Il existe un autre moyen plus sûr. Avant de pr
iculièrement au niveau du frontal, présentait une dégénérescence du
tissu
osseux. L'os pétreux du côté gauche faisait une
ement très notable de toutes les masses musculaires mais surtout du
tissu
cellulaire sous-cutané. La force de la cuisse e
constituée parl'épaississement de la névroglie et par des îlots de
tissu
fibrillaire comme on en rencontre dans beaucoup
su fibrillaire comme on en rencontre dans beaucoup de scléroses. Ce
tissu
, dans la colo- ration au picro-carmin, est plus
on sommet offre une structure presque normale et se confond avec le
tissu
sain. , Moelle dorsale inférieure. -Beaucoup de
oute la région des cornes postérieures est limitée par une bande de
tissu
très peu altéré. La partie la plus riche en fib
e cordon de Flechsig, séparé du faisceau précédent par une bande de
tissu
normal, est aussi 3Vl- ANATOMIE PATHOLOGIQUE. ·
ie d'un certain nombre de cellules. De plus, en quelques points, le
tissu
conjonctif parait hypertrophié. Bulbe. Au poi
nerveuses des cordons postérieurs à la place desquels on trouve du
tissu
fibrillaire très délicat, composé de fibres dir
contre, les lésions sont intenses dans les nerfs hyporlosses où le
tissu
conjonctif contient un grand nombre de corpuscu
bulbe, pas de foyer de dégénérescence : il semble seulement que le
tissu
conjonctif s'y trouve hypertrophié. Les colonne
encore une substance presque nor- male qui semble englobée dans les
tissus
malades de sorte que l'on ne peut croire que le
res de ces cordons fussent relativement saines. L'augmentation du
tissu
conjonctif n'était pas disséminée irré- 348 ANA
st vrai que la rétrac- . DE LA MALADIE DE FRIEDREICH. 351 tion du
tissu
, qui est sous la dépendance de l'altéra- tion s
st épaissie dans toutes les zones sclé- rosées ou remplacée par un'
tissu
fibrillaire compact composé de fibres entre-cro
é de fibres entre-croisées dans toutes les direc- tions. Quant au
tissu
conjonctif de nouvelle formation, il ne dépend
ucunement modifiés, et n'affectent pas le moindre rapport avec le
tissu
scléreux. Celui-ci se compose exclusivement de
port avec le tissu scléreux. Celui-ci se compose exclusivement de
tissu
fibrillaire, contient relativement très peu de
ne, car cette sclérose, quoique fasciculaire, n'est pas composée de
tissus
fibrillaire comme dans la maladie de Friedreich
aire comme dans la maladie de Friedreich, mais bien de faisceaux de
tissu
con- jonctif lamellaire tout à fait analogue à
troubles qui produisent non seulement l'atrophie et l'altération du
tissu
nerveux, mais corré- lativement le remplacement
on du tissu nerveux, mais corré- lativement le remplacement du même
tissu
en tissu fibrillaire. C'est pour cela que la sc
su nerveux, mais corré- lativement le remplacement du même tissu en
tissu
fibrillaire. C'est pour cela que la sclérose év
363 tomie générale, entre la nutrition et la différenciation des
tissus
; or, le tissu embryonnaire, qui sous le coup d'
nérale, entre la nutrition et la différenciation des tissus; or, le
tissu
embryonnaire, qui sous le coup d'une nutrition
tubes disparaissent-ils à un moment donné, et sont remplacés par le
tissu
fibrillaire devenu prépondérant. Ainsi se tro
fortement dégénéré ; /, colonnes de Clmke dégénérées ; g, bande de
tissu
sain qui contourne la corne postfrieur; li, can
On y voit Sl1l tout la disposition des lacunes vasculaires dans le
tissu
sclérosé : n, lacunes vasculaires; a', lacune d
u carmin, a, cellules atrophiées sans noyau et sans prolongement b,
tissu
conjonctif remplaçant les fibres fines ; e, noyau
les cornes postérieures et la lésion atrophique, une bande mince de
tissu
normal. Dans le cas d'Erliky et Rybaliu' la dég
ons latéraux était limitée aux faisceaux pyra- midaux : une zone de
tissu
sain la séparait des cornes postérieures, une a
ostérieurs et celles des cordons latéraux, il se trouve une zone de
tissu
sain. Cette même condition est également réalis
uel est ce facteur ? Consiste-t-il dans des conditions spéciales du
tissu
conjonctif, ou bien dans la distribution des va
ion des cellules nerveuses avec la substance grise, les cellules du
tissu
con- jonctif, et les vaisseaux. - Déjà en 1867,
la seiche. La plupart des cellules sont entourées d'une capsule de
tissu
conjonctif; il semble simplement, chez quelques
tissu conjonctif; il semble simplement, chez quelques-unes, que ce
tissu
manque sur une certaine étendue et, dans ce cas
démence secondaire sont primitivement et principalement limitées au
tissu
mental (mind tissue) et constituent en l'ait un
sont primitivement et principalement limitées au tissu mental (mind
tissue
) et constituent en l'ait une maladie unique dan
ganisé et le plus élevé, comme une mort fonctionnelle prématurée du
tissu
mental, ou comme l'un des plus heureux résultat
mence comme étant causée par les ravages qu'auraient causés dans le
tissu
mental les troubles primitifs aigus ; car on la
expliquer parla théorie de la dégéné- rescence et de l'atrophie des
tissus
qui ne fonctionnent plus depuis longtemps; ou b
secondaire pure indique un échec de l'orga- nisme dans celui de ses
tissus
dont l'organisation est la plus élevée et la fo
la tension qui se trouve ainsi imposée au plus délicat de tous les
tissus
organisés. 28. La folie de l'adolescence, about
fortement dégénéré ; /, colonnes de Clarke dégénérées ; g, bande de
tissu
sain qui contourne la corne postérieure; h, can
n. On y voit surtout la disposition des lacunes vasculaires dans le
tissu
sclérosé : a, lacunes vasculaires ; a', lacune
u carmin; a, cellules atrophiées sans noyau et sans prolongement b,
tissu
conjonctif remplaçant les fibres fines ; c, noyau
Cela équivaut à affirmer qu'on ne trouvera pas de changements de
tissus
appréciables à l'autopsie ; mais à un point de vu
etc., doit être moins durable que la paralysie par destruction du
tissu
nerveux. Toutes les autres conditions leur sont c
n'est qu'un autre côté de l'altération organique. Supposons que le
tissu
nerveux soit dans un état d'anémie passagère, s
sans qu'elle soit détruite et sans que son substratum matériel (le
tissu
ner- veux de la région correspondante de l'écor
ns certaines parties tout au moins, et la facilité avec laquelle le
tissu
cellulaire péri-dure-mérien se laisse injecter,
re de coupes horizontales. De plus, étant donnée la malléabilité du
tissu
osseux, il a pu, après avoir fait des ouvertures
e grillagée, à mailles multi- ples et arrondies (fig. 2 et 3). Ce
tissu
fenêtré disposé sur deux plans existe au niveau d
plans existe au niveau de toutes les racines. Quand on sectionne ce
tissu
et que l'on tend le nerf en dedans, on aperçoit
AIS; par le Dr 111NDRED. L'auteur décrit le procédé des coupes de
tissu
cérébral par con- gélation, procédé qu'il s'éto
aortiques et mitrales. Prépa- rations micrographiques de ces divers
tissus
. 3° Section de l'écorce cérébrale (aire motrice
pinçant cette saillie entre les deux mors d'une pince à griffes, le
tissu
médullaire se rompt et il sort d'une cavité int
qui n'était séparé de la surface que par une très faible couche de
tissu
nerveux, mesurant de 1 à 2 millimètres. Il s'es
une coupe pratiquée à ce niveau, on aperçoit une tumeur formée d'un
tissu
mou, gélatineux, gris ver- dâtre, qui a une for
- ment la place réservée aux cordons postérieurs; au centre de ce
tissu
néoplasique, se trouve une perte de substance, de
e au col de la corne postérieure droite; de plus une mince fusée de
tissu
néoplasique suit le sillon postérieur dans tout
te sa longueur. Les limites de la tumeur restent très vagues et son
tissu
se confond insensiblement avec le tissu sain. V
restent très vagues et son tissu se confond insensiblement avec le
tissu
sain. Vers la deuxième lombaire, il se forme au
de la scissure postérieure, un petit noyau, complètement isolé, de
tissu
néopla- sique diffus. A ce niveau, le faisceau
é est déjà grande ; elle a une forme étoilée et est creusée dans un
tissu
néoplasique épais, compact et nettement circons
me que la tumeur a pris à ce niveau. A l'endroit de la section, les
tissus
sont forte- ment infiltrés de globules rouges e
communiquant plus ou moins entre elles et limitées par des lames de
tissu
contournées dans tous les sens. De plus, outre
plasme paraît énucléable et se distingue parfaitement du reste; son
tissu
ne contient plus d'éléments nerveux. Mais en de
s nettes. La partie circonscrite de la tumeur est constituée par un
tissu
fibrillaire, contenant des cellules en quantité
t des cellules en quantité variable suivant les points; de plus, ce
tissu
est tout infiltré d'une substance, d'aspect hya
res points, et particu- lièrement au voismage de l'excavation où le
tissu
est presque pure- ment fibrillaire. Souvent les
eux de granulations semblables sont d'ail- leurs semés dans tout le
tissu
. * Outre les cellules dont il vient d'être ques
ai, tel qu'on en rencontre dans le cerveau. Entre les cellules le
tissu
est formé de fibres très fines; par places il a
lus guère. Dans le renflement cervical, où il est très abondant, ce
tissu
néoplasique diffus est très friable (fig. 6). T
soit dans les cellules, soit dans la paroi vas- culaire et dans le
tissu
conjonctif qui accompagne les vaisseaux; il DES
115 en existe aussi de très considérables qui sont libres, en plein
tissu
. La congestion est marquée surtout à la périphé
eux se groupent en nombre de trou ou quatre, pour cheminer dans le
tissu
néoplasique; ces faisceaux vasculaires sont acc
épaisse, formée de grosses fibres et de cellules plates : c'est du
tissu
fibreux à proprement parler. Suivant que ces tr
nt, ils forment des polygones étoilés ou des lignes rami- fiées. Le
tissu
de la tumeur étant d'origine névrotique, on peut
trouvent en présence; mais ici nous avons affaire à un organe où le
tissu
conjonclif est extrêmement peu abondant à l'éta
axe, pris dans le rendement cervical, au voisinage de la cavité.
Tissu
fibreux infiltré de granulations pigmentaires, co
riphérie, membrane onduleuse d'aspect papillaire, séparant partout le
tissu
méso- dermique du tissu ectodermique. Au pourto
se d'aspect papillaire, séparant partout le tissu méso- dermique du
tissu
ectodermique. Au pourtour le tissu néoplasique, d
rtout le tissu méso- dermique du tissu ectodermique. Au pourtour le
tissu
néoplasique, d'origine névro- glique est très p
es vaisseaux gorgés de sang. Membrane onduleuse séparant partout le
tissu
conjonctif du tissu névrogliques néoplasique. (
de sang. Membrane onduleuse séparant partout le tissu conjonctif du
tissu
névrogliques néoplasique. (Obj. 2 Verick, oc. 1
UES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 1'ici une membrane plissée qui sépare le
tissu
ectodermique du tissu mésodermique. Cette membr
ÈRE. 1'ici une membrane plissée qui sépare le tissu ectodermique du
tissu
mésodermique. Cette membrane décrit des sinuosi
ez on peut voir que la mem- brane se gonfle et se comporte comme le
tissu
conjonctif; elle n'est donc pas une formation n
ie du tractus, sous la forme d'une mince couche hyaline, qui est du
tissu
conjonctif modifié, et d'une membrane plissée;
forme aux dépens d'un trac- tus conjonctivo-vasculaire (fig. 9). Le
tissu
conjonctif est en train de subir une transforma
dépens d'un tractus vasculo-conjonctif Au centre de cette ca\ité le
tissu
conjonctif est en voie de dégénérescence lyaliue;
est encore peu développée à ce niveau; elle se forme, par fonte du
tissu
a,é%rogiique et est remplie d'une substance hom
ranulations pigmentaires, qui pro- viennent de la désintégration du
tissu
et qui se sont accumulés dans ce point dpethe d
t cervical de si grandes proportions est le résultat de la fonte du
tissu
néoplasique à son centre, par suite d'une irrigat
nts actifs se raré- fient de plus en plus et, à un moment donné, le
tissu
tout entier dégénère. Au point où la cavité vie
régula- rise les bords; qui sont comme tranchés au couteau en plein
tissu
; aucune fibrille ne dépasse plus. 1,'ig. 10.
entaires. Tout autour on aperçoit la membrane plissée qui sépare le
tissu
conjonctif de la névro- glie. Cet espace %ascul
E. Nous venons de passer en revue les principales dispositions du
tissu
néoplasique, avec ses tractus conjonctivo-vascula
ation normale de la moelle; d'autre part, étant toujours séparés du
tissu
néoplasique proprement dit, ils ne peuvent pas
érents genres de tumeurs développées aux dépens de la névroglie; ce
tissu
, d'origine ectodermique, est composé de cellule
dedans, depuis la paroi osseuse jusqu'à l'organe lui-même, tous les
tissus
étaient atteints. Toutes les recherches, macrosco
pour l'auteur, d'un retour à l'état'ernbryonn'aire des cellules du
tissu
con- jonctif, qui, après cela', se sont mises a
que dans l'état de maladie : Produits de la vie cellu- laire de nos
tissus
ou des cellules microbiennes parasites, ces alca-
mpossible de la séparer du reste du cerveau sans faire violence aux
tissus
; la faux du cerveau est érodée et détruite à ce
a tumeur. - Sur les dissociations à l'état frais on constate que le
tissu
néoplasique est formé d'éléments divers suivant l
d'éléments divers suivant les points ; tantôt on a sous les yeux un
tissu
riche en cellules qui, à part leur volume plus
nt parfaitement à des cellules névrogliques; tantôt au contraire le
tissu
parait composé de cellules nerveuses, à prolonge-
ses amyéliniques, Nous étudierons successivement ces deux ordres de
tissus
, qui sont disposés au centre de la tumeur sous
ur sous forme d'îlots sans forme et sans ordre définis. , A. Le
tissu
névroglique, plus translucide, plus mou, présente
ont des cellules-araignées typiques (8, fig. 16). Sur les coupes ce
tissu
forme un réseau dont les travées sont constitué
e; elles sont colo- rées par le carmin. En somme, «il s'agit d'un
tissu
néoplasique qui reproduit très exactement le ty
exactement le type de la névroglie, en un mot d'un gliome. B. Le
tissu
nerveux proprement dit a un aspect un peu blan-
Voyons maintenant comment ces éléments se groupent pour former un
tissu
. D'une façon générale, au pourtour.de la tumeur,
e Fig. 18. Coupe prise dans la même région que la précédente. Le'
tissu
est constitué exclusivement par des cellules gang
léments évoluer vers lés types adultes, 'qui bientôt constituent le
tissu
presque1 a ''eux1 seuls. Il n'existe nulle pari d
e'le" contre du ganglion semble formée par simple écarter ment des"
tissus
; ses' parois'' contiennent des"ee)iutés parfaitem
ilieu de la névroglie néo- plasique(Tg.47). Dans les endroits où le
tissu
est fait sur le type nerveux pur, on n'aperçoit
, Vérick, oc.) 1 286 " CLINIQUE NERVEUSE. ; ' ceaux parcourent le
tissu
dans tous les sens. Les vaisseaux sont peu abon
propagation de l'irritation néoplasique aux éléments similaires des
tissus
encore sains. Il semble que, comme dans les carci
de cellules embryonnaires qui finissent par se diffuser 'dans -les
tissus
et se mélanger aux élé- ments néoplasiques quit
fibres superfi- cielles pour témoigner de l'intégrité relative des
tissus
; d'ailleurs les cellules nerveuses ne paraisse
`On voit .par ces quelques faits que les parcelles aberrantes de
tissu
nerveux, qu'elles 'restent dans les centres ou qu
e. Les tumeurs développées aux dépens des cellules formatives des
tissus
nerveux peuvent donc reproduire les deux espèces
nt donc reproduire les deux espèces d'éléments qui caractérisent ce
tissu
à l'état adulte : les cellules névrogliques, av
ême origine. On voit quelle variété d'aspects les tumeurs issues du
tissu
nerveux peuvent revêtir; elles ont pourtant tou
s caractéristiques des autres formes. Ainsi, dans le cas actuel, le
tissu
est mi-partie gliomateux, mi- partie ganglionna
sans valeur et facile à renouveler et à changer qu'avec l'emploi du
tissu
imperméable. Les water- closets sont à terre sè
sans qu'il existe de lésion appré- ciable du système osseux ou des
tissus
sous-cutanés. , 6° Il est possible qu'elle ait
ales; mais l'altération de fonction peut conduire à l'altération de
tissu
. Il est heureux d'ailleurs que l'in- fluence du
tourées d'une couche de myéline. mortifiée; faible prolifération du
tissu
intersti- tiel. Intégrité des cellules et gangl
urtout les mains sont fortement augmentés en largeur. Les os et les
tissus
paraissent également participer cette hypertrop
é colorées au carmin acétique de façon à bien mettre en évidence le
tissu
de sclérose qui se détache en rouge, tandis que
ration légèrement jaune ou rosée. On voit aussi une mince bande de
tissu
conjonctif dense passer au devant des pyramides;
ement dans les couches antérieures des protu- bérances normales. Le
tissu
de sclérose s'infléchit entre les pyra- mides e
te du facial et de l'oculo-moteur externe, émergeant au milieu du
tissu
sclérosé, mais sans présenter eux-mêmes d'altérat
s parolives. Les olives sont envahies dans la région du hile par un
tissu
de sclérose dense qui se produit dans leur inté
érieur et présentant un bord irrégulier, formé par des franges du
tissu
de sclérose, se dirigeant vers le raphé, à traver
l'autre il s'agit de conducteurs nerveux cheminant au milieu d'un
tissu
de sclérose, que cette sclérose soit disséminée e
rès un très court abus, détermine promptement des alté- rations des
tissus
. Deux points intéressants sont à remarquer dans
omique primitive du tabes ? Sont-ce les éléments nerveux, est-ce le
tissu
conjonctif ou conjonctivo- vasculaire qui comme
es dont la déchéance entraîne consécu- tivement le développement du
tissu
interstitiel. Quant à l'allure de l'hy- perplas
ssu interstitiel. Quant à l'allure de l'hy- perplasie secondaire du
tissu
connectivo-vasculaire, elles dépendent par- foi
un fort grossissement, on voit que ces éléments sont des noyaux du
tissu
conjonctif, soit libres, soit entourés d'une en
sanguins sont en plus grand nombre que chez l'adulte; les noyaux de
tissu
conjonctif ronds ou ovales ont de 4 à 10 la de
de diamètre. Au-dessous de cette couche externe est une bande de
tissu
nerveux de 150 d'épaisseur, bien délimitée vers l
our y déterminer plusieurs couches. On y distingue 1° des noyaux du
tissu
conjonctif; 2° des cellules nerveuses à forme p
elques larges noyaux irrégulièrement ovales, formés probablement de
tissu
nerveux propre. A la partie la plus profonde de
urcissement du cerveau sont-ils une conséquence de la rétraction du
tissu
. Toutefois, si l'auteur n'a pu, par les méthode
nance des noyaux, soit des cellules nerveuses, soit des cellules du
tissu
conjonctif et dans la richesse des réseaux vasc
qui paraît s'accentuer parallèlement à la chronicité. L'atrophie du
tissu
cérébral existe dans les deux tiers des cas, et
qui s'observe au lieu de la pâleur. La diminution de consistance du
tissu
cérébral, les granulations épendymaires apparti
duire des documents compulsés. Du côté du crâne, la condensation du
tissu
osseux a été observée dans la moitié des cas, e
hémorrhagies méningées. L'atrophie, la diminution de consistance du
tissu
cérébral manquent presque toujours. Les signes
nevrogt[e placées entre ;les,, couches ^ les., plus, profondes ,,du
tissu
, conjonctif de , lopeti- d}me.et la paroi ,des(
leuses. Evidem- ment il ya a là stase lymphatique. De plus, dans le
tissu
graisseux qui tient' la placel de larsubstance`
ade neuf années SOCIÉTÉS'SAVANTES. 497 ,consécutives.- Autopsie :
Tissus
cicatriciel' dans la'voûte palatine et le voile
du bout nerveux. Pour former déjeunes fibres nerveuses, il faut du
tissu
conjonctif. La régénéra- tion se produit au moy
e l'ancienne gaine de Schwann et s'en- gagent entre les cellules du
tissu
conjonctif intermédiaire, à l'en- droit lésé, p
La graisse qui les composait paraissait, au micro^ cope, formée de
tissu
connectif et de cellules adipeuses. Il nm. avai
en bas au-delà des clavicules, elles semblent faire corps avec les
tissus
sous-cutanés plutôt qu'avec les tissus sous-jac
emblent faire corps avec les tissus sous-cutanés plutôt qu'avec les
tissus
sous-jacents. Il n'y a aucune prolongation de c
le doigt, comme infiltrée et paraît recouvrir une épaisse couche de
tissu
cellulaire lâche; au devant du thorax elle est
tes entre le sternum, les cartilages costaux et le poumon droit. Le
tissu
cellulo-adipeux qui recouvre le péricarde est o
érieur gauche existe quelques petites ecchymoses sous-pleurales. Le
tissu
pulmo- naire, très compacte au lobe inférieur,
maux, le gauche sinueux. - Capsules surrénales, saines. - Reins. Le
tissu
cellulaire péri- néphritique est comme oedémati
une bile claire, peu visqueuse. - Vésicule biliaire normale. -- Le
tissu
hépatique semble un peu plus ferme que normalem
stin et des libres striées musculaires de la paroi abdominale. Le
tissu
adipeux sous-cutané, abondant dans toutes les r
et se confondaient à leur péri- uhérie d'une façon diffuse avec le
tissu
adipeux sous- C.1CHN : XIIS PACHYDISRMIQUK. 49
La peau est pâle, lisse et peu tendue ; elle est mobile sous les
tissus
sous-jacents qui sont mous et flasques. On sent q
cisions faites à la peau niellent à découvert une épaisse couche de
tissu
cellulo-graisseux. Nulle part on ne trouve d'in
ès prononcé de la voûte crânienne, une méniugo-encéphalite( ? ). Le
tissu
adipeux sous-cutané criait sous le scalpel, éta
ent sous la pression et, quoique donnant aux doigts la sensation du
tissu
lipomateux ou myxomateux, rappellent également
1880, p. 474.) 76 IDIOTIE CRI·;TII\O1DE. développement exagéré du
tissu
adipeux sous-cutané ; pseudo lipomes sus-clavic
noté que les cellules de la glande thyroïde sont comprimées par du
tissu
de nouvelle formation. (Dyce-Duckworth. Two cas
rectum, la peau du thorax et de l'ab- domen n'est pas modifiée, le
tissu
adipeux sous-cutané est bien développé, un peu
ématié, musculature du thorax oedématiée, très pâle, presque grise.
Tissu
graisseux sous-séreux de l'abdomen fortement dé
ux ; il en est de même des gros troncs descendants; aucune trace de
tissu
thy- roidien. Sur le cuir chevelu, nombreuses
rares. L'épais- sissement de la calotte est surtout produit par le
tissu
adipeux oedÉmatié. - Dure-mère sans grands chan
e également normale : pas d'hypertrophie des fibrilles musculaires;
tissu
adipeux interstitiel abondant. - 4° La peau des
rdinaire, avec faible participation de la subs- tance corticale. Le
tissu
de l'arachnoïde et surtout de la pie-mère paraî
On pouvait constater de plus l'accu- mulation de la mucine dans le
tissu
conjonctif. Les nouvelles recherches de M. Hors
UBÉRANCE. A la coupe, on remarque que, à part une mince écorce de
tissu
nerveux, la protubérance est remplie par une mass
x. Les masses caséeuses, irrégulières, sont dispersées au sein d'un
tissu
spécial,com- posé d'un grand nombre de petites
a substance grise; il y a une ligne de démarcation brusque entre le
tissu
sclé- rosé et le tissu sain. La lésion est très
a une ligne de démarcation brusque entre le tissu sclé- rosé et le
tissu
sain. La lésion est très avancée. Il n'existe à
quelques rares cylindres d'axe que l'on retrouve sont tuméfiés. Le
tissu
scléreux est peu vascularisé. Dans la substance
des cordons, mais plus diffuses. La zone de démarcation entre le
tissu
sain et le tissu sclérosé est très large; enfin,
ais plus diffuses. La zone de démarcation entre le tissu sain et le
tissu
sclérosé est très large; enfin, dans la moelle
ers la protubérance, la tumeur est recouverte d'une mince couche de
tissu
nerveux, en avant, elle arrive au contact des m
eur du parenchyme. Les vais- seaux sont béants, remplis de sang; le
tissu
du foie est pâle et jaunâtre, les lobules sont
développés à la face interne de la dure-mère, sans participation du
tissu
cérébral. A leur périphérie, on voit une mince
aires, dont les plus internes sont fusiformes et s'organisent en un
tissu
fibroide calcifié. Quelques cellules géantes so
s sont répandues dans cette couche. La zone centraleest composée de
tissu
calci- fié, sans élément distinct. Los nodules
ioides à type fusiforme, se transfor- mant presque immédiatement en
tissu
calcifié, en sorte que le tubercule est réduit
s ossifluent nous amon- tré, sur une coupe, de dehors au dedans, du
tissu
fibreux, puis une zone de tissu de granulations
une coupe, de dehors au dedans, du tissu fibreux, puis une zone de
tissu
de granulations richement vascula- risées, enfi
re, les éléments cellulaires sont rares et dispersés au milieu d'un
tissu
cellulaire abondant. b) Cervelet, Hémisphère dr
gdales. - Il existe des traînées embryonnaires nom- breuses dans le
tissu
de l'amygdale, un certain nombre de points do m
00 gr. Autopsie pratiquée le 1er avril.- L'abdomen est excavé. Le
tissu
adipeux sous-cutané a complètement disparu. Les
che on trouve une ulcération en plaque, allongée, repo- sant sur le
tissu
sous-jacent induré et répondant à l'espace situ
ir chevelu n'offre rien de notable, sauf la disparition complète du
tissu
adipeux sous-cutané. Les différentes parties du
te, sillonné comme les autres par de minces filaments, squelette du
tissu
conjonctif. Face interne. - La première circonv
blanche a le même aspect; les corps granuleux y sont nom- breux, le
tissu
est sillonné par des bandes fibrillaires nombreu-
blancs ne présentent qu'une lésion diffuse, un épais- aissement du
tissu
interstitiel qui se colore fortement par le car
risés par la rareté des éléments à leur niveau, l'épaississement du
tissu
interstitiel qui se colore davantage par le car
min et sa friabi- lité ; car il tombe assez souvent des portions de
tissus
sur les coupes, malgré le soin apporté au monta
donnent au kyste sa couleur ocreuse ; elles sont dispersées dans un
tissu
fibrillaire dont les fibrilles convergent en ba
petit kyste un certain nombre de masses pédiculées, composées de ce
tissu
fibrillaire feutré, de rares vaisseaux et conte
, à corps cellulaires ramifiés aux points nodaux. Les mailles de ce
tissu
sont occupées par une substance intercellu- lai
mé par un vaisseau ramifié; les parois sont constituées par lo même
tissu
fibrillaire que dans la précédente; les lésions
distantes les unes des autres qu'à l'état normal et séparées par du
tissu
névroglique àpeu près dépourvu d'éléments inter
rations cellulaires importantes. Dans les cornes antérieures^, le
tissu
interstitiel forme des faisceaux fibrillaires v
93 diffuses, portant à la fois sur les éléments nerveux et sur le
tissu
interstitiel, qu'on a coutume de trouver chez les
est interposé un liquide qui donne au tout un peu de l'apparence du
tissu
muqueux. Ces taches, que nous avons décrites co
laquelle les taches grises sont très abondantes et pronon- cées, le
tissu
névroglique y est aréolaire, comme nous l'a- vo
oles irrégulières qui contiennent des cellules embryon- naires ; ce
tissu
fibreux se rencontre dans toutes les par- ties
on cadavérique. Rigidité assez pronon- cée, surtout au bras gauche.
Tissu
adipeux assez abon- dant. Musculature normale.
tre les deux fragments et au- tour d'eux, on voit de chaque côté du
tissu
osseux dur et compact, se montrant sur les diff
différentes surfaces du carti- lage, sans union intime avec lui; ce
tissu
osseux est sur- tout abondant entre la face ext
une étendue variable, et qui est suivie de la formation d'un nouveau
tissu
osseux, véritable cicatrice comblant le vide, uni
nte un vide rempli par le ligament vertébral commun antérieur, par le
tissu
cellulaire tuméfié, des débris osseux et tuberc
it deux périodes du mal vertébral : l'une de lésion, d'altération des
tissus
; la seconde de fragmentation, pendant laquelle la
e osseuse ; plusieurs de nos pièces nous montrent cette lame mince de
tissu
compacte. Delpech en a également présenté des exe
de l'os lui- (1) Deuxième leçon, 25 mai 1855. même? C'est que les
tissus
fibreux, les ligaments sont détruits, et qu'ils s
tion. Les os, en effet, reproduisent peu les os ; ce sont surtout les
tissus
voisins qui sécrètent le plasma qui revêtira plus
sins qui sécrètent le plasma qui revêtira plus tard les propriétés du
tissu
osseux en se pénétrant de sels calcaires. Serait-
exhalé par les parties qui entourent l'excavation et s'organisant en
tissu
osseux, après avoir passé par l'état fibreux et p
unit au moyen de deux cals: l'un, extérieur, prend naissance dans les
tissus
fibreux extérieurs; le deuxième est dû à la produ
n seul os formé par les fragments de vertèbres soudés et composé d'un
tissu
spongieux, ayant l'aspect normal et d'une grande
e générale ; l'autre affection ne s'accompagne d'aucune altération du
tissu
osseux et tient seulement à une inégale distribut
liquer en prenant pour point de départ l'anatomie. Vous connaissez le
tissu
cellulaire et sa facilité à se laisser traverser
ne enveloppe membraneuse ; elle est due aux changements qu'éprouve le
tissu
cellulaire. Ce tissu refoulé s'enflamme, s'indure
use ; elle est due aux changements qu'éprouve le tissu cellulaire. Ce
tissu
refoulé s'enflamme, s'indure, et finit par s'orga
rminent la direction du pus. Réfléchissez au défaut de résistance des
tissus
autour des vaisseaux, des nerfs, et vous saurez d
dont parle Abernethy, et qui résultent d'une sécrétion de pus dans le
tissu
cellulaire qui contenait autrefois l'abcès migrat
spiration, qu'on est plus sûr d'évacuer la totalité du pus. Quand les
tissus
sont épais, le trocart expose moins à l'infiltrat
s sont épais, le trocart expose moins à l'infiltration du pus dans le
tissu
cellulaire sous-cutané. Le bistouri convient mieu
nfdtration caractérisée par la présence, dans un point circonscrit du
tissu
spongieux, d'une matière jaune, compacte, justeme
ux ; les débris des vertèbres ne sont altérés qu'à leur surface. Leur
tissu
, à une certaine profondeur, est plus dense qu'il
culations. Paris, 1845. faces articulaires, et font saillie dans le
tissu
cellulaire environnant. Les ligaments peuvent p
tre les vertèbres, ils sont le siège de névralgies, de névrites. Le
tissu
cellulaire ambiant, les ganglions lymphatiques pe
térieur, elle peut être le résultat d'une synovite qui se propage aux
tissus
voisins et les altère. On trouve les cartilages d
e, de coloration, dues à la différence des liquides qui imbibent leur
tissu
, et non à l'injection de leur substance. Tout en
nce du sang contenu dans les cellules de l'os et la friabilité de son
tissu
. La matière jaunâtre, concrète, dont il vient d
tre fait jour entre les vertèbres malades, parviennent jusque dans le
tissu
cellulaire sous-cutané. Des abcès altèrent égalem
organes de la région, tels que les nerfs, les muscles, etc. Mais les
tissus
articulaires sont évidemment le point de départ d
roisième explication. D'autres lésions, telles que le gonflement du
tissu
graisseux du fond de la cavité cotyloïde, ont été
ascension de cet os. Vous comprenez maintenant que la rétraction du
tissu
fibreux, le resserrement de la capsule variant au
tement correspondants. Chez l'enfant, qui offre une couche épaisse de
tissu
adipeux sous-cutané et des éminences osseuses arr
a longueur du membre restent moins considérables de ce côté. Tous les
tissus
profonds participent à cette infériorité. Mor-gag
e rapprochement de ses bords, en partie par la formation d'un nouveau
tissu
muqueux. Il reste assez souvent une légère dépres
ieur à l'œil; ce bout se greffe en quelque sorte à la sclérotique, le
tissu
cellulo-aponé-vrotique qui l'unit à cette membran
cause peut résider dans les os, les ligaments, les muscles, dans les
tissus
morbides. 1° Le pied bot accidentel, de cause p
e l'astragale. La peau de cette région devient épaisse, calleuse ; le
tissu
cellulaire s'épaissit ; il s'y développe une véri
artilage s'user, la lame compacte subjacente se perforer, et enfin le
tissu
spongieux des surfaces articulaires s'unir et for
n'avaient peut-être jamais existé, et se trouvaient remplacés par du
tissu
fibreux. Atrophie générale du membre. — L'atrop
lon antérieur sous-métatarsien supplée au talon normal. La peau et le
tissu
cellulaire de celte région s'organisent en conséq
e, aurait coïncidé avec l'embonpoint de l'enfant. Le peu de laxité du
tissu
cellulaire en ce point a probablement empêché la
e point a probablement empêché la peau de se laisser distendre par le
tissu
adipeux, comme cela est arrivé dans les parties v
tance des parties. La douleur est en rapport avec la résistance des
tissus
et la sensibilité du sujet; l'indocilité est une
vaisseaux et des nerfs profonds. Sa double gaîne fibro-celluleuse, le
tissu
graisseux abondant qui l'entoure, surtout en avan
n laissent entre eux un intervalle plus ou moins grand, occupé par le
tissu
cellulo-aponévrolique qu'on nomme gaîne du tendon
ammation se développe, comme dans toutes les lésions traumatiques des
tissus
vivants chez les animaux à sang chaud, plus ou mo
mations analogues à celles du blas-lème, dans la formation normale du
tissu
cellulaire. 11 augmente peu à peu de consistance,
vaisseaux, devient fibreux, et s'unit aux deux bouts du tendon et au
tissu
primitif de la gaine, à laquelle il donne une den
le tendon et la cicatrice, on voit une ligne de démarcation entre le
tissu
nouveau et le tendon. Les fibres du premier sont
vements de scie , je divise le tendon. Vous entendez le craquement du
tissu
qui cède. La section du tendon d'Achille est comp
enfermés dans des coulisses ostéo-fibreuses ne sont pas environnés de
tissu
cellulaire, et le plasma doit provenir alors, soi
e d'appareil. Une extension trop forte, exercée prématurément sur les
tissus
divisés, suffit quelquefois pour transformer l'in
ible entre la piqûre et la plaie des tendons; un contact immédiat des
tissus
; l'éloignement des causes d'irritation et la sur
employé au commencement, n'a pas été assez longtemps mis en usage; le
tissu
cicatri ciel, que l'on a cessé d'étendre avant
d'étendre avant son entier développement, se rétracte, comme tous les
tissus
cicatriciels, et la difformité est reproduite en
e nouvelle substance, comme dans la nutrition normale. Les aréoles du
tissu
spongieux s'agrandissent, ses lamelles s'aminciss
ux s'agrandissent, ses lamelles s'amincissent ou disparaissent, et ce
tissu
lui-même devient moins abondant à l'intérieur des
es os longs, dans les os courts et dans l'épaisseur des os larges. Le
tissu
compacte forme sur tous ces os une couche plus mi
des os longs; il se creuse de cellules et prend en partie l'aspect du
tissu
spongieux. La paroi du canal médullaire se trouve
nsi divisée en plusieurs lames de substance compacte, séparées par ce
tissu
aréolaire. L'os devient alors plus léger, plus so
es os; chez les enfants, elle les rend plutôt flexibles, parce que le
tissu
osseux est différent dans les deux âges. La sou
essins que je dois à la complaisance de ce chirurgien distingué. Le
tissu
spongieux, incessamment produit dans l'état norma
e. L'une de ces couches est du côté du cartilage; M. Broca la nomme
tissu
chondroïde. L'autre est voisine de l'os; il lui c
su chondroïde. L'autre est voisine de l'os; il lui conserve le nom de
tissu
spongoïde, qui lui a été donné par M. Jules Guéri
tal, l'avait déjà signalée (3). Il vaudrait peut-être mieux l'appeler
tissu
ossiforme ou ostéoïde. Entre ces deux couches,
t à vous retracer en peu de mots les apparences principales de chaque
tissu
, depuis le cartilage jusqu'à l'os. 1° Cartilage
re, corpuscules osseux remplaçant les corpuscules cartilagineux. Le
tissu
spongoïde normal présente d'abondants dépôts de s
la persistance, l'étendue, la mollesse de ces formes transitoires du
tissu
osseux, concourent puissamment à lui ôter sa soli
ses parties du squelette. Peut-être aussi, comme je l'ai déjà dit, le
tissu
osseux est-il, en outre, déjà plus mou par la pré
a seule altération osseuse consiste dans l'excès de développement des
tissus
chondroïde et spongoïde, sans aucune manifestatio
ux, albugineux, qui n'ont point été acceptés. Par transformation d'un
tissu
à l'état fibroïde, il faut entendre que ce tissu
transformation d'un tissu à l'état fibroïde, il faut entendre que ce
tissu
devient semblable aux tissus blancs analogues aux
l'état fibroïde, il faut entendre que ce tissu devient semblable aux
tissus
blancs analogues aux ligaments et aux aponévroses
se déphosphate; ce qui persiste n'est pas du vrai cartilage, c'est un
tissu
souple comme un ligament, c'est le parenchyme org
ère calcaire. Ces os s'épaississent en passant à l'état fibroïde ; le
tissu
spongieux augmente de volume par une sorte de dil
. Becquerel et Rodier. (1) Je vous ai décrit les changements que le
tissu
osseux éprouve dans les deux premières périodes d
deux premières périodes du rachitisme; les membranes qui entourent ce
tissu
et la graisse qu'il contient, subissent aussi que
1846. 18. cielle de l'os. En général, il adhère plus fortement au
tissu
fibroïde de la concavité des courbures. Je dira
faire cesser Yostéoporose exagérée des os, de rétablir la densité du
tissu
compacte, des lamelles du tissu spongieux, enfin
rée des os, de rétablir la densité du tissu compacte, des lamelles du
tissu
spongieux, enfin d'achever l'ossification suspend
nmoins qu'il en soit ainsi. Outre les déformations qui persistent, le
tissu
osseux nouveau diffère souvent de l'ancien. Il pe
dans la nécrose, à l'ossification, chez les vieillards , de certains
tissus
normalement mous. Il y a là quelque chose qui s
ébumé, que j'ai adoptés plus haut. Cet état se voit surtout là où le
tissu
cartilaginiforme était le plus abondant, comme à
xiste déjà, à ce moment, entre la côte et le cartilage, une couche de
tissus
chondroïde et ostéoïde un peu plus épaisse qu'à l
) Nous avons étudié les altérations que produit le rachitisme dans le
tissu
osseux et dans (1) Quatorzième leçon, 22 août 1
des parois thoraciques. Les renflements costaux s'enfoncent dans leur
tissu
, y creusent une sorte de rainure verticale, au ni
s altérations analomiques, et, en particulier, les transformations du
tissu
osseux qui constituent le rachitisme. Glisson (
u parce qu'ils sont éliminés par d'autres voies? Ou bien parce que le
tissu
vivant de l'os est devenu incapable de les reteni
st peu marquée, celte sensibilité se montre d'autant plus vive que le
tissu
osseux a moins de consistance. Elle est également
e mouvement favorisera le développement musculaire et la formation du
tissu
osseux; malheureusement, il doit souvent se rédui
rtébrales dont nous allons nous occuper se produisent sans érosion du
tissu
des vertèbres ou des ligaments intervertébraux. C
de ce que cette action est en partie supportée par la résistance des
tissus
fibreux. D. Si l'on se hanche fortement, et si
spéciale siégeant clans le rachis : celte cause est l'altération des
tissus
osseux et ligamenteux, qui diminuent de consistan
de l'hydrogène et, par conséquent, de la graisse, qui envahirait les
tissus
et jusqu'aux os eux-mêmes. Je n'ai trouvé les os
pparent de cette compression. Dans les cas dont j'ai connaissance, le
tissu
de ces organes était généralement sain, lorsqu'on
diminution très-notable des courbures, un écartement, une tension des
tissus
à la concavité, une pression variable, le plus so
anatomie pathologique c'est : déterminer dans les organes, dans les
tissus
, le siège, l'étendue, la configuration des alté
filtré de leucocythes. D-D-D-D. Coupes de vaisseau altérés. 7 : .
Tissu
de sclérose. F. Tubes nerveux conservés. G-G.
e altérée. C.-C. Cavité pathologique. D. Substance fibrillaire du
tissu
altéré. E. Coupe de tubes nerveux sains. Les
On y voit la persistance de nombreux tubes nerveux indemnes dans le
tissu
de sclérose. A-A-A. Tissu scléreux. B-B-B. Tu
précédente, colorée par la méthode de Pall. 11 n'existe guère que du
tissu
de nouvelle formation, les tubes nerveux ont pr
ssissement (obj. 4). On y voit les tubes nerveux disséminés dans un
tissu
de sclérose. A-A-A. Tissu de sclérose. B. Tub
ick). On y voit la dispa- rition des tubes nerveux remplacés par du
tissu
de sclérose, ainsi que des lésions vascu- laire
e carmin, vu il un fort grossissement. On ne distingue guère que du
tissu
fibrillaire disposé en faisceaux plus ou moins on
eigert et vu à un fort grossissement (obj. 4, Vérick). On y voit un
tissu
de sclérose dans lequel persistent quelques tubes
bes nerveux. A. Tissu de sclérose. B-B. Faisceaux ondulés du même
tissu
. C-C-C. Tubes nerveux sains. D. Cavité d'un v
rick). On y voit les lésions des cellules et leur disparition en du
tissu
fibrillaire. A-A. Cellules altérées. B-B-B. C
ellules altérées. B-B-B. Cellules peu altérées. C. Vaisseau. D.
Tissu
fibrillaire. PLANCHE XXIII Figure 45. PARAL
est presque double de la gauche. On remarque de même l'homogénéité du
tissu
(cicatriciel) de la corne altérée alors que la
rappant entre l'aspect des deux cornes, la gauche étant formée d'un
tissu
amorphe, cicatriciel, la droite montrant son rése
tion précédente. On reconnaît quelques cellules très altérées dans un
tissu
formé de détritus granuleux sillonné par des va
mais la préparation a été colorée par le picrocarmin. On y voit le
tissu
de sclérose dans lequel persistent un assez gra
ordons postérieurs sclérosés et colorée au picro-carmin. On voit un
tissu
de sclérose, avec des corps hyalins, et des lésio
t (obj. 4, Vérick). On voit des tubes nerveux disparaissant dans un
tissu
de sclérose. - A. Tissu de sclérose. B-B. Gro
sement (ohj. 4, Vérick). On y voit la disposition fasciculaire du
tissu
scléreux, et les lésions vasculaires. A-A. Fais
nt (obj. 4, Vérick). Les tubes nerveux sont encore nombreux dans le
tissu
de Sclérose. A-A. Tissu de sclérose. B. Tube
osé, coloré par la méthode de Pall. A-A. Substance fibrillaire du
tissu
de sclérose. B-B. Tubes nerveux restés sains. -
distingue le revêtement cellulaire de la paroi bourgeonnante, et le
tissu
fibrillaire du gliome. A. Cavité pathologique.
Cavité pathologique. B-li. Cellules de revêtement de la paroi. C.
Tissu
gliomateux. D. Tissu nerveux sain. T. Bourgeo
B-li. Cellules de revêtement de la paroi. C. Tissu gliomateux. D.
Tissu
nerveux sain. T. Bourgeon gliomateux. F. Vais
la paroi. A. Cavité pathologique. B. Cellules endothéliales. C.
Tissu
gliomateux. D. Limite du gliome. E. Tissu ner
ure. D. Sillon postérieur. E. Canal central entouré d'un peu de
tissu
gliomateux. F. Commissure postérieure. G. Sil
ur des accidents occasionnés par une injection de chloroforme dans le
tissu
gingival (Progrès médical, 1SS'f). Peri-onyxis
SOLLIEI1, SOUKIIANOFF, SOUQUES, TAGUET, TCIIIRIEW, T11UI.IÉ (il.),
TISSU
1', U1UUOI.A, VALLON, YIGOUKOUX, '11,LA11t), VO
s artificiels se peut rattacher soit à des conditions inhérentes au
tissu
nerveux, soit il. des vices dans la technique C
tes au tissu nerveux, soit il. des vices dans la technique C'est le
tissu
nerveux qui est en jeu quand, quelques précau-
de la moelle (Geier). Donc toutes les cellules, tous les organes et
tissus
, ne se perfection- nent pas avec le développeme
nt-elles susceptibles de vivre : ne sont-elles pas étouffées par le
tissu
scléreux 1 Impossible de répondre encore àces q
d'une voie conductrice,et la tendance exagérée àla prolifération du
tissu
conjonctif. P. Keraval. Xll. - Une nouvelle m
eurs, des lésions de congestion très intense, avec carnilicalion du
tissu
, elplusieurs foyers de broncho-pneu- monie. Dan
moelle et la queue de cheval, on découvre, au niveau du sacrum, un
tissu
lardacé, assez bien circonscrit, oc- cupant la
caillots tibrineux : pas de tubercules. 88 CLINIQUE NERVEUSE. Le
tissu
épidural, au niveau de la face antérieure delà du
su épidural, au niveau de la face antérieure delà dure- mère est un
tissu
lardacé, dur, pas caséeux, adhérant intime- men
est surtout marqué au niveau des vertèbres sacrées malades, mais le
tissu
lardacé remonte jusqu'à la région lombo-sacrée
érieure do la dure-mère, sans se propager vers les côtés. Dans le
tissu
lardacé épidural, dans sa partie externe il exist
terne il existe quelques petites esquilles osseuses qui adhèrent au
tissu
même. Aucun point caséeux ou en voie de ramolli
acroscopique. Etude histologique . 11 porte sur plusieurs points du
tissu
épidural, dans un desquels il existe une esquil
après l'acide osmique, Pal, Gieson, llarchi, liématéine-éosine).
Tissu
épidural. Est constitué par du tissu essentiellem
, llarchi, liématéine-éosine). Tissu épidural. Est constitué par du
tissu
essentiellement fibreux, dans lequel il existe
i périvascu- laire. La dure-mère, épaissie, est constituée par du
tissu
fibreux ; elle aussi ne présente pas de tubercu
s et plutôt congestionnés. L'esquille osseuse qui se trouve dans le
tissu
épidural présente de l'ostéite raréfiante : dan
ssu épidural présente de l'ostéite raréfiante : dans les mailles du
tissu
osseux, on re- trouve une moelle extrêmement ri
n lymphocytes, avec (les tubercules nets, plus nombreux que dans le
tissu
épidural même. Les racines entourées par la pac
e, dans d'autres, la pachyméningite forme une bande très épaisse de
tissu
fibreux entourant et étouffant la racine ; ses
fois ; de la même façon irrégulière se comporte la prolifération du
tissu
interstitiel qui se fait en bandes irrégulières
nucléaire : dans quelques points on voit des bandes assez larges de
tissu
fibreux pénétrer du tissu du sclérose péri- rad
points on voit des bandes assez larges de tissu fibreux pénétrer du
tissu
du sclérose péri- radiculaire dans la racine. E
degeneration, présence de corps granuleux, légère prolifération du
tissu
interstitiel). L'intensité de ces lésions est v
rees les unes des autres spécialement dans le grand fessier, par du
tissu
con- jonctif net avec un assez grand nombre de
sions longitudinales et certaines présentent entre les fibrilles du
tissu
conjonctif avec nombreux noyaux. La substance c
Dans quelques points, il existe aussi une légère augmentation du
tissu
conjonctif entre les fibres. Nerfs riches en libr
ne dégénératif de la subs- tance contractile, sans prolifération du
tissu
conjonctif. Nerfs intacts. L'autopsie et l'ét
téite tuberculeuse su- perficielle du sacrum, avec envahissement du
tissu
épi- LESION DE LA QUEUE DE CHEVAL PAR TUBERCULO
durai même, par les masses caséeu- 94 CLINIQUE NERVEUSE.. ses du
tissu
épidural ou par un abcès ; d'autres autopsies p
t sains et qu'il s'agit d'un mal de Pott sacré qui se pro- pagea au
tissu
épidural, épaississant la dure-mère et com- pri
s avant de se por- ter vers le canal rachidien et de se propager au
tissu
épi- dural. Dans notre cas, le toucher rectal n
vations des auteurs cités : toutefois, del'étudehis- - tologiquc du
tissu
épidural, on a l'impression que le pro- cessus
ré- flexes exagérées; a) l'affaiblissement de l'activité vitale des
tissus
musculaire et nervew qui dépend de causes génér
ant il y a accentuation de l'onde musculaire au moment où la vie du
tissu
nerveux est presque complètement éteinte : cela p
ssu nerveux est presque complètement éteinte : cela prou- ve que le
tissu
musculaire possède son excitabilité propre, mais
de névrite ascendante.il s'agit là d'affinités spéciales pour le
tissu
nerveux lui-même,de vraies ascensions nerveuses,
trophiques, moteurs, sen- sitifs, objectifs, par la raréfaction du
tissu
osseux constata- ble par la radiographie, et su
tubes nerveux; la phase chronique s'accuse par la prolifération du
tissu
conjonctif, l'hypertrophie des bran- ches et de
la réaction toxique ascensionnelle des éléments inlra-ner- veux (
tissu
conjonctif, vaisseaux, faisceaux nerveux) et cell
et celle delà réaction inflammatoire également ascensionnelle du
tissu
cellulaire para-nerveux (tissu cellulaire ambiant
mmatoire également ascensionnelle du tissu cellulaire para-nerveux (
tissu
cellulaire ambiant, en- tourant le tissu nerveu
u cellulaire para-nerveux (tissu cellulaire ambiant, en- tourant le
tissu
nerveux). - Archives, 2° série, t. XX. , 13 1
que (Reinhard) contribuera à parer aux troubles dys- trophiques des
tissus
(eschares, phlegmons, etc.), lorsque d'au- tres
lésions maxi- mum dans les calcarines,complètement envahies par du
tissu
de sclérose, et, pour le cervelet, dans les llo
s et de rudiments des tubercules quadrijumeaux. Au-delà, on voit un
tissu
scléreux adhé- rent aux méninges de façon à ne
alcaires dans les glo- bus pallidus : les unes disséminées en plein
tissu
nerveux et in- dépendantes des vaisseaux, les a
dventice de ceux-ci. ll n'y avait aucune réaction patholo- gique du
tissu
nerveux environnant. Discussion sur l'origine d
ets con- jonctifs détachés de cette adventice et disséminés dans le
tissu
ambiant sous forme de tractus, debandelettes fe
externe, de se propager en dehors du vaisseau et d'exercer sur les
tissus
ambiants une action irritative et peut- être en
out au moins à ce niveau que se trouve le maximun des lésions. - Le
tissu
interstitiel est augmenté, résultat d'unpro-. c
tes le plus grand nombre de libres musculaires en même temps que le
tissu
de sclérose y était assez développé et dense ;
oup moins de fibres saines et étaient particulièrement infiltrés de
tissu
adipeux. Le cerveau (sauf l'encéphalite aiguë
n pri- mitive du processus myopathique. 1 Quelle est l'origine du
tissu
interstitiel qui remplace les libres musculaire
érébraux, épaissies à un tel point qu'on pense immédia- tement à un
tissu
gommeux. Le traitement spécifique de la para- l
uée 1res probablement à quelque déraul dan 1p dl"\('l°l'Iw- ment du
tissu
nerveux, .le pense que ces quelques brèves noies
par l'intermédiaire du système ner- veux la trophicité do certains
tissus
, plus particulièrement des tis- sus d'origine m
tissus, plus particulièrement des tis- sus d'origine mésodermique (
tissu
conjonctif, tissu cartilagineux, tissu osseux).
iculièrement des tis- sus d'origine mésodermique (tissu conjonctif,
tissu
cartilagineux, tissu osseux). Les altérations d
sus d'origine mésodermique (tissu conjonctif, tissu cartilagineux,
tissu
osseux). Les altérations diverses dont elles peuv
cte de L'irritation que la compression exerce sur les éléments du
tissu
nerveux. Enfin, il paraît aussi indéniable que,
lus ou moins complète des gaines myéliniqucs, sans participation du
tissu
interstitiel au processus, sans altérations des
es mois) la sclérose. L'absence d'infiltrations cellulaires dans le
tissu
ou autour des vaisseaux, de lésions vasculaires
fiée par l'oblitération des voies lymphatiques et veineu- ses du
tissu
épidural et de la dure-mère. Il remarque toutef
dure-mère : dans la' plupart des cas, la tuberculose se propage au
tissu
épidural, v produit des masses qui peuvent exer
proces- sus tuberculeux qui évolue dans les vertèbres et dans le
tissu
épidural. h'ICrL>;R (/. c.) fait observer à ce
des ptomaïnes' tuberculeuses, mais des poisons si forts pour les
tissus
qu'ils peuvent bien nécroser la dure-mère et ag
ssion et l'oblitération des vaisseaux lymphatiques et sanguins du
tissu
épidural et de la dure-mère, mais en plus grande
aire par l'oblitération des vaisseaux : sanguins et lymphatiques du
tissu
épidural et de la dure- mère ; en effet, les va
mère ; en effet, les vaisseaux lymphatiques de la dure- mère et du
tissu
épidural sont, il est vrai, en relation en- (1)
t dans l'intérieur de la moelle, parla compres- sion exercée par le
tissu
épidural Pour ce qui regarde la stase d'origine
yélite est presque exclusivement caractérisée par l'infiltration du
tissu
nerveux par des traînées d'é- léments inflammat
ribution vasculaire, les vais- seaux étant sains ou peu altérés, le
tissu
interstitiel n'a pas réagi, il n'y a ni infiltr
, entourant la moitié gauche de la moelle ; la masse constituant le
tissu
épidural est un tissu lardacé, et l'orme com- m
gauche de la moelle ; la masse constituant le tissu épidural est un
tissu
lardacé, et l'orme com- me un Ilemi-mandlOnljui
segment antérieur une compression par un bourgeon correspondant du
tissu
épidural qui l'ail que la convexité nor- male d
anormal au cerveau. Tuberculose pulmonaire. Examen histologique. Le
tissu
épidural est un li*su de granu- lation, dans le
mère est légèrement épaissie dans sa moitié gauche correspondant au
tissu
épidural tuberculeux ; quelques laines plus ext
structure librillaire et est bien dis- lilll'll', l'n génél'tll, du
tissu
épidural. On retrouve quelques ce)- lules embry
une concavité assez forte due à la compression par r un bourgeon du
tissu
de granulation épidural ; les attires par- fies
nche, car de la partie centrale de la moelle il ne reste plus qu'un
tissu
vaguement aréolaire, à mailles très larges, dan
e segment gauche antérieur de sa circonférence par une profusion du
tissu
épidu- ral. La' substance grise se détache asse
présente, en effet, une concavité corres- pondant il un bourgeon du
tissu
épidural ; la moelle est aussi diminuée d'un ti
lume très probablement relève plus de la perte centrale complète en
tissu
nerveux que de l'action directe de la compressi
contiennent seulement le cylindraxe, la myéline ayant disparu : le
tissu
interstitiel est légèrement proliféré sans exce
- veau où la pachyméningite est plus forte (segment L 2, L 3;, le
tissu
épidural est constitué par du (issu fibreux peu d
un peu aussi latéralement ; elle se distingue assez nef- tement du
tissu
épidural et ne présente ni inlillralion embryon-
naire, ni tubercules; seulement dans sa partie plus interne, où le
tissu
de sclérose est moins dense, on aperçoit quelques
semble des cordons postérieurs avecune bande plus ou moins large de
tissu
sain bordant la substance grise, la zone d'entr
de troubles circulatoires, que par action mécanique directe sur le
tissu
nerveux. Les lésions diffuses de la substance b
dure on voit les parties de la queue de cheval englobées dans un
tissu
grisâtre, qui, en haut aussi, jusqu'à la région d
rares points de casni- licalion. Les racines sont englobées dans ce
tissu
qui pénètre entre elles el dans l'intérieur de
s- térieur s;d'autr e part sous la forme d'oedème des éléments du
tissu
nerveux qui frappe surtout les parties centrales
de colloïde. Quelques restes de glandes étaient répandus dans le
tissu
adjacent. Dans un cas, il n'y avait, aucune tracé
nt. , L'examen histologique du cerveau montra des lésions du seul
tissu
neuro-épithélial, à l'exclusion du tissu v·asculo
montra des lésions du seul tissu neuro-épithélial, à l'exclusion du
tissu
v·asculo-conjoncti( qui était sain. , , , Deu
abord avec l'articulation, mais que le voisinage du pus a détruit les
tissus
cellulaires entre la face du deltoïde et la tête
vement d'abduction est impossible parce que le deltoïde est collé aux
tissus
profonds; quant au mouvement d'élévation de l'épa
ée par la suppuration, et que, par con¬séquent, une grande partie des
tissus
qui la composaient a été dis¬soute, pour ainsi di
nage qui s'est développé entre le deltoïde et l'articulation, dans le
tissu
cellulaire lâche qui forme l'articulation entre l
et il est infiniment probable que le premier abcès a eu lieu dans son
tissu
cellulaire, entre la face profonde du deltoïde et
iculaire, mais il faut savoir si elle porte plus spécialement sur tel
tissu
que sur tel autre, sur le tissu synovial plus que
elle porte plus spécialement sur tel tissu que sur tel autre, sur le
tissu
synovial plus que sur le tissu fibreux, plus que
ur tel tissu que sur tel autre, sur le tissu synovial plus que sur le
tissu
fibreux, plus que sur les cartilages, plus que su
lle porte sur le plus grand nombre ou sur le plus petit nombre de ces
tissus
, ou si elle ne porte que sur un seul. Pour moi,
ssi malade. La maladie est dans Los, mais, à une certaine époque, les
tissus
fibro-synoviaux l'ont, été. La preuve, c'est qu'i
e dans toute articulation qui a été longtemps malade. Il se forme des
tissus
fibreux qui se portent d'une surface articulaire
'ailleurs ces ostéites s'attaquent plus spécialement aux os formés de
tissus
compactes plutôt qu'aux os spongieux. J'ai décr
gieux. J'ai décrit le premier, je crois, l'ostéite syphilitique des
tissus
spongieux, et, je le déclare, celle dont nous nou
partant, celle de la tumeur épithéliale, sur une certaine partie des
tissus
voisins ; mais du côté de la prostate, le mal ava
n. Les cartilages articulaires étaient complètement détruits, et le
tissu
osseux, piqueté d'un pointillé rouge très-manifes
ous sommes en présence des signes d'une inflammation franche aiguë du
tissu
pulmonaire. Mais la lésion continue sa mar¬che pr
l'inflammation succède la suppuration et avec elle la destruction du
tissu
pulmonaire, l'une et l'autre révélées par l'expec
ostal et des 7e et 8e côtes, sur la ligne axillaire. En ce lieu, le
tissu
pulmonaire étant détruit dans l'étendue d'une piè
e bronches béantes dans la cavité. . En un point on aperçoit sur un
tissu
blanchâtre, présentant la forme d'un vaisseau, un
nd seulement la maladie avec lésion organique, celle dans laquelle le
tissu
de l'or¬gane est affecté d'une manière permanente
d la Pathologie générale chirurgicale ; la deuxième, les Maladies des
tissus
et des organes ; la troisième traite des Maladies
section fut facile et ne donna aucun écoulement sanguin; la coupe du
tissu
était blanchâtre. Deux mois après, la tumeur se
tout à fait la périphérie de la tumeur; immédiate¬ment au-dessous, le
tissu
présente les caractères du tissu fibreux. Colorat
umeur; immédiate¬ment au-dessous, le tissu présente les caractères du
tissu
fibreux. Coloration blanche, consistance ferme.
nant la tumeur et l'os, on voit : Au niveau de la canine gauche, le
tissu
osseux, jusque-là dur, et paraissant complètement
la tumeur, c'est-à-dire jusqu'à la branche montante, par une bande de
tissu
rougeâtre, filamenteux. Cette bande présente les
ce niveau que s'implante la tumeur. Celle-ci est constituée par un
tissu
de coloration blanchâtre, d'ap¬parence fibreuse,
du même auteur contient Panatomie normale et pathologique des divers
tissus
qui entrent dans la structure de la dent. Le tr
plus, pour que l'impression ait lieu, et se prolonge, il faut que les
tissus
soient vivants. La vue est un des premiers sens q
omparer les impressions de la lumière, des sons, delà chaleur sur nos
tissus
, dans les conditions ordi¬naires, à ces impressio
par un tégument lisse, sans fibres et sans structure appréciable. Le
tissu
interne est consti¬tué par des libres irrégulière
rieure du rectum, dont elle n'est séparée que par une mince couche de
tissu
cellulaire. Le cordon fibreux qui occupe la pla
haleur, s'est prise en une masse blanche, opaque {albuminé). Enfin le
tissu
cellulo-graisscux de l'aisselle droite (côté para
entive, une analyse raisonnée, et surtout par la comparaison avec les
tissus
sains après la mort et avec des symptômes observé
, des déformations graves consécutives à des lésions scrofuleuses des
tissus
profonds, et en particulier des os. Si la scroful
Un très-mince septum musculaire, une peau fine, doublée d'un léger
tissu
cellulaire, font à peine obstacle à la vue et aux
ui l'unissent au rein, n'est nullement altéré dans sa structure : son
tissu
a seulement été comprimé et aplati. —L'examen his
—L'examen histologique permet de constater qu'en certains points, le
tissu
du rein a subi une dégénérescence graisseuse comp
dans les divers éléments de notre écono¬mie, affectant pour certains
tissus
et pour ^certains organes une affi¬nité toute spé
devoir être atteintes qu'exceptionnellement. Les lym¬phatiques et le
tissu
cellulaire constituent des terrains très-favora-
CROFULIDE DE LA JAMBE bles au développement de la scrofule. Dans le
tissu
cellulaire, la maladie s'accuse par des engorgeme
pie ; — traitement des cachexies, surtout tenant à une altération des
tissus
: hydrologie ; — diathèses et névroses : par¬tage
as à la peau l'exanthème syphilitique, produisent dans l'intimité des
tissus
, des sels mercuriels solubles dont l'action imméd
el-Lavallée ; " 2° Le siège de l'épanchemenl est le plus souvent le
tissu
cellu¬laire superficiel, et la poche occupe de pr
sion violente, la peau se décolle, dans une assez grande étendue, des
tissus
sous-cutanés. La pression brusque d'une roue de v
son entrée à l'hôpital, consistaient en une teinte pâle anémique des
tissus
, et un amaigrissement assez mar¬qué. En outre, pa
avant la mort. L'autopsie fît voir une profonde désorganisation du
tissu
du rein droit, lequel contenait un calcul volumin
rein droit, avec lequel il avait contracté de solides adhérences. Le
tissu
du rein était profondément désorganisé, rempli de
ont souvent pour conséquence d'amener une désorganisation profonde du
tissu
du rein. L'observation que nous avons relatée en
blanc des pieds, des jambes et surtout des cuisses ; infiltration du
tissu
cellullaire des fesses, des lombes et de la parti
ion : ce ne sont pas les mouches piquantes, celles qui écartent les
tissus
à l'aide de leur appareil buccal, constitué par d
ineux, plus pâle que d'habi¬tude ; pas de calculs. Rate, très-grosse,
tissu
ferme, brun. L'utérus est encore volumineux; su
, parsemé de dépôts fibrineux. Les ligaments larges sont épaissis; le
tissu
cel¬lulaire sous-péritonéal est infiltré de séros
normaux, des cellules dégénérées ou pigmentées, dispersées dans le
tissu
des noyaux. A gauche la partie externe du noyau
ée de restes trophiques de l'écorce cérébelleuse. On y rencontre du
tissu
sclérosé avec de nombreuses extravasations sangui
relié au pédoncule cérébelleux moyen que par une étroite languette de
tissu
nerveux. Pédoncule cérébral. Les modification
autres ne sont accessi- bles la palpation et semblent appartenir au
tissu
sous-cutané : on les fait rouler avec le doigt
portent sur la forme des pièces squelettiques et sur la qualité du
tissu
osseux. La colonne vertébrale présente une scol
s de volume moindre. A la surface extérieure de ces nodules dans le
tissu
conjonctif lâche qui engaine le nerf serpente un
male; 2, fibre musculaire atrophiée et de forme irrégulière; 3,
tissu
interstitiel homogène parsemé de noyaux; 4, t
régulière; 3, tissu interstitiel homogène parsemé de noyaux; 4,
tissu
conjonctif interfasciculaire avec ramuscules ne
Ils sont séparés les uns des autres et des fascicules normaux par un
tissu
conjonctif lâche qui ne semble pas modifié. Dan
ux par un tissu conjonctif lâche qui ne semble pas modifié. Dans ce
tissu
courent des vaisseaux quelque peu sclérosés.
sont en général plus nombreux vers la péri- phérie qu'au centre. Ce
tissu
est sillonné de capillaires et de petits vaisseau
capillaires et de petits vaisseaux gorgés de sang. Au sein de ce
tissu
dans la presque totalité des coupes on trouve des
r repose sur les couches les plus superficielles de l'hypoderme. Le
tissu
de la tumeur est constitué par un feutrage de fib
eutrage conjonctif est beaucoup plus grossier et moins tassé que le
tissu
conjonctif du derme au sein duquel siège la petit
s par une mince couche conjonctive mais par une très large bande de
tissu
fibreux dense. Il y a donc de véritables fibromes
res histologiques normaux. Ces blocs fibreux ne sont pas séparés du
tissu
environnant par une capsule limitante, mais la li
laires conjonctifs banaux. Le centre du nodule est constitué par un
tissu
conjonctif plus grossier et moins tassé que cel
ses à myéline. Ces fibres sont séparées les unes des autres par le
tissu
conjonc- tif ; elles ne sont qu'exceptionnellem
us par de nombreux vaisseaux gorgés de sang. Un ne trouve dans leur
tissu
ni fibres à myéline ni éléments particuliers. L
Entre ces fibres atrophiées l'espace laissé libre est comblé par un
tissu
uniformément coloré mais peu coloré par le carm
loré par le carmin ou l'éosine ; vaguement fibrillaire par endroit ce
tissu
est le plus généralement amorphe ; pas de grais
u est le plus généralement amorphe ; pas de graisse ; au sein de ce
tissu
sont d'assez nombreux noyaux, des fins vaisseau
ie qu'il a pratiquée à Rennes, des modifications intéres- santes du
tissu
osseux. Elles portaient seulement sur le crâne, l
émité des côtes section- nées, des nombreuses et larges aréoles, du
tissu
spongieux sort une abon- (1) J13ANSEL\IE et Ori
istologiques de divers muscles,nous avons pu étudier les lésions du
tissu
musculaire. A l'oeil nu les masses musculaires
ui semble s'être déve- loppée en dehors des rameaux nerveux,dans le
tissu
con,jonctif périlandu- laire. A coup sûr le pro
ans une minerve. » Quand l'affec- tion est très accentuée, mais les
tissus
peu fermes, les comparaisons chan- gent ; les a
al délimités : à la périphérie, en effet, elles se continuent avec le
tissu
cellulo-adipeux environnant. A leur niveau, la
ce de noyaux mal isolés et résistants, noyés dans une atmosphère de
tissu
adipeux. D'autres fois on sent, vers le centre
la demande du malade. Elles ont été consti- tuées'uniquement par du
tissu
adipeux : Ons. III (PI. VII, C et D, et Pl. IX,
est diffuse, au moins dans ses rap- ports avec la peau et avec les
tissus
superficiels, et qu'elle ne peut être enlevée e
s vertèbres lombaires. ce niveau, on est obligé de tailler en plein
tissu
néoplasique, et pour faire une intervention com
. Quel que soit le fragment considéré, on trouve dans les coupes du
tissu
conjonctif tous les stades du développement, de
pes du tissu conjonctif tous les stades du développement, depuis le
tissu
dit muqueux, à cellules volumineuses, étoilées
s une nappe granuleuse pauvre en fibrilles conjonctives, jusqu'à du
tissu
fibroïde très dense à petites cellules fusiform
i paraissent à peu près isolables sont constitués par un mélange de
tissu
conjonctif mucoïde et de trousseaux fibreux trè
propre qu'on leur distingue. Les coupes de la peau offrent le même
tissu
et permettent de se rendre compte aussi que les
é des coupes nombreuses, il a été impossible de déceler aucun autre
tissu
en dehors du tissu conjonctif. En somme : lumeu
uses, il a été impossible de déceler aucun autre tissu en dehors du
tissu
conjonctif. En somme : lumeur du seul tissu con
utre tissu en dehors du tissu conjonctif. En somme : lumeur du seul
tissu
conjonctif,- semblant maligne à cause de la pré
iège exac- tement médian, de sa consistance inégale, à une tumeur à
tissus
multi- ples de la région sacro-coccygienne; mai
se présenter sous une apparence analogue, infiltrant la peau et les
tissus
voisins, quoique ordinairement sessile, étalé e
ntre, il se développe ordinairement aux dépens du 7foi P. PIOLLET
tissu
conjonctif du derme, alors qu'ici le pédicule all
d inférieur droit de la douzième dorsale est-il rugueux et formé de
tissu
spongieux. Partout ailleurs, les bords sont retou
rc et de la 2e vertèbres lombaires. Os légers, porosité extrême du
tissu
spongieux. C. Marie, âgée de soixante-six ans.
able, qu'ils doivent vraisemblablement à l'extrême porosité de leur
tissu
spongieux. L'observation III n'est autre que la
ion du calibre des trous de conjugaison correspondants. Porosité du
tissu
osseux. Ce sont six vertèbres provenant de la c
xtérieure est lisse, polie, formant contraste avec la poro- sité du
tissu
osseux environnant. Au-dessus d'elle et du bord
une épaisseur remarquable, un centimètre par endroits, formé t . de
tissu
compact, d'une dureté extraordinaire. La calotte
une transparence assez uniforme et sen- siblement égale à celle des
tissus
non osseux. Les bords de la cavité articulaire
edans presque normalement au corps de l'os, est analogue à celle d'un
tissu
osseux compact. La seconde, de dimensions plus
régions, mais en général assez peu marquée, ce qui indique soit un
tissu
osseux raréfié, soit plutôt, d'après l'aspect d
n volume normal et sont pareils à ceux du côté sain. Mais, dans les
tissus
péri-articnlaires (ligaments, tendons, parles mol
de 2 ou 3 centimètres de largeur moyenne, qui paraît occupé par un
tissu
osseux raréfié, ou bien par un tissu osseux désag
enne, qui paraît occupé par un tissu osseux raréfié, ou bien par un
tissu
osseux désagrégé. Sur le côté externe du fémur,
ration arti- culaire, c'est par la formation d'ostéophytes dans les
tissus
péri-articu- laires. Il est probable que, par
tes, panaris indolents. Depuis cette époque résorption de la peau, du
tissu
fibreux, dp portions de phalanges : nécessité d
tous les caractères d'une infiltra- tion gommeuse de la peau et du
tissu
sous-jacent ainsi qu'une, périostite du crâne.
ade que tous ses membres sont comme morts.En juillet 1891 nécrose des
tissus
des mains, par les traumatismes fréquents dus à
'ombre portée des vaisseaux ectasiés entourés et pelotonnés dans le
tissu
cellulaire sous-cutané. Cette affection est con
as limitée seulement aux téguments, mais elle intéressait aussi les
tissus
profonds et les articulations. Il est curieux d
tuméfaction de l'aine droite était « essentielle- ment composée de
tissus
graisseux renfermant de petits ganglions noirâ-
nnaire, et qui apparaît comme une consé- quence de l'hyperplasie du
tissu
lymphoïde. Reinert a fait une semblable constat
s analogue à celui qui se produit dans certains lymphangiomes. « Le
tissu
adipeux, écrivent MM. Lannelongue et Achard, es
tre tantôt par petits pelotons, perdus au milieu des cloisons et du
tissu
conjonctif, tantôt sous forme de masses plus con-
abdominales. qui entourent la glande rénale noyée au milieu de ces
tissus
. Souvent même cette dégénérescence arrive au mi
autre part sur les relations qui existent entre ces ganglions et le
tissu
adipeux. 196 P. E. LAUNOtS ET R. BENSAUDE OBS
et l'aine par M. Delbet : elle était essentiel- lement composée de
tissus
graisseux renfermant de petits ganglions noi- r
rigine corticale, l'influence de l'intoxica- tion alcoolique sur le
tissu
artériel n'a que peu ou pas d'importance, étant
des nerfs importants de la région, englobés de toutes parts par le
tissu
graisseux et rendus invisibles dans cette masse j
de toluidine. En procédant ainsi, l'éosine est mieux fixée dans les
tissus
et n'efface pas le bleu en s'y substituant, ce
r les cellules en voie d'atrophie, elle est envahie par un abondant
tissu
conjonctif de néoformation, très riche en éléme
asma, ayant encore leur forme vésiculeuse normale, très entourés de
tissu
conjonctif et d'éléments figurés formant de pet
s de la capsule proliférées, car à l'état normal, la capsule et son
tissu
conjonctif ne renferment que quelques éléments
des cellules araignées ou des noyaux et fibrilles névrogliques. (Le
tissu
névroglique n'est pas très dense.) Les vaisseau
aires dégénèrent ; l'organe est réduit dans tous ses diamètres : le
tissu
névroglique est étranger à la production de cet
brale spongieuse. 3° Une zone de matière cérébrale tiraillée, où le
tissu
nerveux est dé- chiré par des hémorrhagies capi
? Il peut arriver que les carotides internes soient lésées dans les
tissus
caverneux. Ayant enfoncé nos broches, comme d'h
ont entraîné dans toute l'étendue de l'abcès une couche épaisse de
tissu
nerveux. Le pus évacué est verdâtre et contenu da
cun trouble trophique de l'épiderme ni des ongles ou des poils ; le
tissu
sous-cutané est infiltré et présente un oedème as
t facilement en touche de piano. A la main on perçoit au milieu des
tissus
mous des parties les plus dures, irrégulières pou
os présentent à la radiographie le même aspect que les os sains, le
tissu
compact donne un double contour parfaitement net
s tromboses de vaisseaux menus, accompagnées d'une désagrégation du
tissu
nerveux dans la circonférence des vaisseaux. Le
que, par les lésions des os, de la capsule, de la synoviale, et des
tissus
périarticulaires. M. Gibert a publié, dans le t
peu près un volume norma pareils à ceux du côté sain.-Mais,dans les
tissus
périarticula ires (1 i¡ : £ tendons, parties mo
épolies, dépourvues par plaques de cartilage d'en- croûtement et de
tissu
compact : au travers de ces plaques, on voit le t
roûtement et de tissu compact : au travers de ces plaques, on voit le
tissu
spongieux de l'os dont les travées sont moins n
(1) donne une explication pathogénique ingénieuse. La nutrition des
tissus
, dit-il, éveille dans les extrémités sensitives
eur tour par voie réflexe sur la périphérie et font naître dans les
tissus
une sorte de tonus destiné à mieux assurer la n
us pathologique s'exerce plus facilement et plus fréquemment sur le
tissu
osseux que sur l'article proprement dit : l'ostéo
ticulations est seule capable de rendre la déviation permanente. Le
tissu
osseux, altéré dans sa nutrition par la névrite p
par la névrite probable du filet nerveux nourricier, se raréfie. Le
tissu
compact d'enveloppe devient plus mince, le tiss
er, se raréfie. Le tissu compact d'enveloppe devient plus mince, le
tissu
spongieux de soutènement se fait plus rare. La ve
s sont volumineuses et leur corps est presque exclusivement fait de
tissu
spongieux. La disparition ou simplement la raréfa
elle le sera pathologiquement du fait d'une altération générale du
tissu
osseux vertébral. Elle le sera surtout dans le
cellules des ganglions n'est envahie par des élé- ments figurés du
tissu
conjonctif. Nous n'avons pas retrouvé non plus ic
l'affirmer. On ne constate pas non plus une plus grande richesse en
tissu
conjonctif du côté opéré dans les noyaux d'orig
en train de disparaitre. On ne remarque nulle part une abondance de
tissu
conjonctif ou d'éléments de néo-formation d'ori
s dernières traces du noyau sans néoformation d'éléments figurés du
tissu
conjonctif ou migration de leu- cocytes. Le g
tif, une seconde plaie semblable à la première. Tout l'ensemble des
tissus
est oedématié et sensible à la pression. Pas de f
ires. D'autres fois, l'infiltration leucocytaire se produit dans le
tissu
interstitiel donnant naissance à une autre infi
se passe dans la myélite aiguë des phénomènes importants du côté du
tissu
nerveux, phénomènes qui ont un caractère régres
nt souvent à là désorganisation du parenchyme. Les altérations du
tissu
nerveux sont très variables et dépendent de la
nt, et parfois avec un contour diffus ; elles sont composées par un
tissu
aréolaire . dans la constitution duquel il entr
ssible cependant que quelquefois les mailles du réseau que forme le
tissu
altéré soient vi- des, justifiant ainsi l'expre
nt tantôt autour des cellules nerveuses (fig. 10), tantôt dans le
tissu
intersti- tiel ; ces nodules interstitiels sont
glion spinal lombaire (rage humaine). Infiltration considérable du
tissu
in- terstitiel et péri-cellulaire. 574 MARINE
sparu. Le vide créé par l'absence de ces cellules est comblé par un
tissu
de nou- velle formation qui joue dans la circon
- velle formation qui joue dans la circonstance actuelle le rôle du
tissu
in- terstitiel ou de la névralgie dans les cent
eulernent j'ai trouvé des lésions semblables(fig. 1-1 et 12), mais le
tissu
in- terstitiel proliféré présentait une infiltr
n nodule rabique. Enva hissement de la cavité capsu- laire par un
tissu
de nouvelle formation. La cellule nerveuse a
la prolifération primitive des cellules névrogliques, tandis que le
tissu
nerveux présente des lésions de nature régressive
583 y avoir des phénomènes de réaction du côté des vaisseaux et des
tissus
conjonctifs, de la part de la névroglie et enfi
ssus conjonctifs, de la part de la névroglie et enfin de la part du
tissu
nerveux. Cependant, je tiens à souligner ce fai
ucocytaires. Dans ce cas les microbes compromettent la nutrition du
tissu
nerveux par leur accumulation dans la paroi des v
uisse être utilisée avec succès contre le microbe, sans détruire le
tissu
nerveux. J'ai essayé cependant l'emploi de l'in
ré peut être grêle, gracile, tout en con- servant les apparences du
tissu
musculaire, ou bien il offre un aspect et une s
ence du pied d'à peine 23 centimè- tres. Mais la dureté ligneuse du
tissu
cellulaire sous-cutané est peu près la même sur
Mais pour combien de temps ? 22 PATHOLOGIE MENTALE. tion dans le
tissu
qu'elles occupent; mais elles n'an- noncent poi
dont un caractère e essentiel est l'absence de toute altération de
tissu
visible par les moyens d'investigation employés
du cerveau aient été lésées ou qu'elles soient restées intactes, le
tissu
cérébral subit dans sa structure intime une mod
rrait ramener à quatre. 1° Théorie de la compression physique des
tissus
exté- rieurs, ainsi appelée par Paul Bert. Cett
a compression jouant le rôle d'agent mécanique repousse le sang des
tissus
périphériques comprimés, qui se porte au centre
ion; elles l'autorisent, au contraire, puisqu'il en résulte que les
tissus
hypérémiés rouges au premier degré qui, selon M
s liquides nous met donc à l'abri de cette compression physique des
tissus
extérieurs. M. Guérard, dans son travail' se bo
nieuses, l'auteur reprend la théorie de la compression physique des
tissus
extérieurs qu'il expose ainsi : « L'accroisseme
86 . CLINIQUE NERVEUSE. biant produit son maximum d'effet sur les
tissus
de la périphérie. Ces tissus se condensent, mai
nt produit son maximum d'effet sur les tissus de la périphérie. Ces
tissus
se condensent, mais ils résistent dans une cert
mesure qu'on s'avance de la surface vers les parties centrales, les
tissus
sont de moins en moins condensés, et les pressi
pressions de plus en plus affaiblies. Mais le sang contenu dans les
tissus
superficiels trans- met à toute la masse sangui
eurement. « Pour résister à cette dilatation de vaisseaux, chaque
tissu
a sa résistance propre, et la fraction de press
s couches les plus superficielles. Il en résulte que les différents
tissus
résistent très inégalement à cette dilatation d
n des vaisseaux, et que celle-ci est d'au- tant plus grande que les
tissus
sont plus profonds, puisque la pression extérie
us sont plus profonds, puisque la pression extérieure transmise aux
tissus
par les tissus diminue avec la profondeur. Par
onds, puisque la pression extérieure transmise aux tissus par les
tissus
diminue avec la profondeur. Par conséquent, dil
ec la profondeur. Par conséquent, dilatation des vaisseaux dans les
tissus
profonds, où la pression venant de l'extérieur
ablissent. L'effet total est une plus grande masse du sang dans les
tissus
et les organes profondes ; on a en un mot, les
que n'est autre chose que la théorie de la compression physique des
tissus
extérieurs formulée d'une autre façon. 3. Thé
le plus fonctionné sont chargés d'acide carbonique dissous dans les
tissus
même, et qu'au moment de la décompression, cet
libre dans les vaisseaux, les divers liquides, l'épaisseur même des
tissus
, et il peut ainsi, suivant les cas, arrêter la
particu- lièrement le renflement lombaire de la moelle, dilater les
tissus
, produire des tumeurs et un enphysème plus ou m
c les autres. L'estomac et l'intestin ne sont pas dilatés de gaz.
Tissu
cellulaire sous-cutané. - Il y a çà et là quelque
e oblitérer les vaisseaux. On en trouve aussi dans l'épaisseur du
tissu
myélitique. On n'en voit que très peu à la moitié
gazeuses intravasculaires à la région lombaire. Dans les mailles du
tissu
myélitique, on distingue des perles de gaz qui
es de gaz aussi bien dans ses vaisseaux que dans l'épaisseur de son
tissu
que dissocient les fibres ner- veuses ; il n'y
de la jambe jusqu'à l'apo- névrose. Il ne sort pas de pus; mais le
tissu
cellulaire sous-cutané est infiltré, dur, larda
nq couches de l'écorce sont les suivantes : La première composée du
tissu
fonda- mental névroglique, avec ses éléments ce
blanche a le même aspect; les corps granuleux y sont nombreux le
tissu
est sillonné par des bandes fibrillaires nombreus
a mucine, substance se développant non seulement dans la peau et le
tissu
cellulaire sous-cutané, mais même dans les muqu
aprésencede la m-ucine par l'analogie de l'état embryo- logique des
tissus
: de même que dans les tissus de l'em- bryon, l
nalogie de l'état embryo- logique des tissus : de même que dans les
tissus
de l'em- bryon, la mucine se retrouve dans les
e, diminution de la quantité d'urine, oedème isolé de la peau et du
tissu
sous-cutané, diminution de la glande thyroïde.
ériode mucinoïde consiste dans l'accumulation de la mucine dans les
tissus
, sans ménager les tissus nerveux, et se traduit
dans l'accumulation de la mucine dans les tissus, sans ménager les
tissus
nerveux, et se traduit par l'hébétude mentale et
produit l'accumula- tion d'une quantité exagérée de mucine dans les
tissus
. Les analyses des muscles, des cartilages, des
xtir- pation de la glande thyroïde la quantité de mucine dans les
tissus
et le sang s'agrandit considérablement, et nous v
é ne donne plus la nutrition indispensable au cerveau et aux autres
tissus
de l'organisme ce qui provoque une altération d
d'aspect à appeler sclé- reux ces foyers, bien qu'il n'y ait pas de
tissu
con- jonctif véritable. L'état actuel de nos
, les élé- ments cellulaires sont rares et dispersés au milieu d'un
tissu
cellulaire abondant. b). Cervelet, hémisphère
ule paracentral. La vascularisation est plus marquée et morcelle le
tissu
. La première et la seconde couche ne se peu- ve
ste de véritables plaques à contour irrégulier, foncées, formées de
tissu
scléreux, contenant pourtant des tubes par endr
roisième couche de l'écorce. C'est une nappe uniforme composée d'un
tissu
névroglique plus serré, à trame plus fine, qu'a
ion embryonnaire au- tour des vaisseaux. En somme, on voit que le
tissu
pathologique siège entre la première et la troi
nous venons de faire allusion, une bande de sclérose fournie par du
tissu
conjonctif rubané, émané des vaisseaux. 11 n'y
s avan- cée encore. Ces fibrilles conjonctives forment un véritable
tissu
fibroide de sclérose qui tranche vivement par s
u fibroide de sclérose qui tranche vivement par son aspect sur le
tissu
névroglique ambiant. Ainsi sont constituées des b
agérée des couches corticales moyennes et la formation de bandes de
tissu
scléreux par plaques dans la même région ne son
s degrés de l'altération. Sur d'autres points, entre les mailles du
tissu
conjonctif ainsi formé, se créent des vides qui
ains ron- geurs. En même temps, la couche corticale qui recouvre ce
tissu
aréolaire s'amincit et n'est plus qu'un simple
imple feuillet, et les cavités s'agrandissent au point de former un
tissu
aréolaire visible à l'oeil nu. Ces lésions expl
eurs cellules bien nettes, de même les cordons antérieurs. Ilots de
tissu
scléreux de dégé- nérescence descendante, en de
ts 1. On voit que, dans ce cas, il existe de véritables bandes de
tissu
fibrillaire ondulé, ressemblant au tissu conjon
te de véritables bandes de tissu fibrillaire ondulé, ressemblant au
tissu
conjonctif ordinaire, dans la zone moyenne de l
on voit la névroglie épaissie former des taches plus foncées que le
tissu
sain. En beaucoup de points, ces amas foncés pr
éseau névroglique et il en résulte un aspect finement vacuolaire du
tissu
, c'est au niveau de la seconde couche que cet a
risés par la rareté des éléments à leur niveau, l'épaississement du
tissu
inters- titiel qui se colore davantage par le c
armin et sa friabilité ; car il tombe assez souvent des portions de
tissus
sur les coupes, mal- gré le soin apporté au mon
donnent au kyste sa couleur ocreuse ; elles sont dispersées dans un
tissu
fibrillaire dont les fibrilles convergent en ba
, à corps cellulaires ramifiés aux points nodaux. Les mailles de ce
tissu
sont occupées par une substance inter- cellulai
par un vaisseau ramifié; les parois sont constituées par les mêmes
tissus
fibrillaires que dans la précédente; les lésions
tantes les unes des autres qu'à l'état normal et séparées par du
tissu
névroglique, à peu près dépourvu d'éléments inter
ations cellu- laires importantes. Dans les cornes antérieures, le
tissu
interstitiel forme des faisceaux fibrillaires v
taient assez grandes pour donner, en quelques points, l'aspect d'un
tissu
finement celluleux. Les plaques jaunes trouvé
pourrait être un processus métaplasique de l'oedème sous- cutané en
tissu
muqueux. Nous savons que dans la vie embryonnai
ané en tissu muqueux. Nous savons que dans la vie embryonnaire, les
tissus
graisseux ont le type de tissus mu- queux. Mais
s que dans la vie embryonnaire, les tissus graisseux ont le type de
tissus
mu- queux. Mais il y a des cas où chez un homme
pparaît une méta- morphose inverse, c'est-à-dire la métamorphose du
tissu
graisseux en masse colloïde, par exemple dans l
c'est juste aux endroits où se trouve une quantité assez grande de
tissu
cellulaire sous-cutané. C'est pourquoi au premier
trouve en présence d'une méta- plasie de la graisse sous-cutanée en
tissus
muqueux. Mais une étude minutieuse des préparat
trophiques, tandis que dans le myxoedème, il y a proliféra- tion du
tissu
interstitiel. Dans le tissu du myxoedème, nous
le myxoedème, il y a proliféra- tion du tissu interstitiel. Dans le
tissu
du myxoedème, nous trouvons une prolifération e
phique, mais un procès actif et irritatif, lié à la conformation du
tissu
. Après avoir étudié plus profondément l'aspect
e consistent pas en liquide albumineux, mais qu'ils présentent un
tissu
muqueux contenant de la mucine. En examinant une
reille peau microscopiquement, nous trouvons une proli- fération du
tissu
intertitiel, une quantité exagérée de fibres él
èrent et l'atrophie graduelle s'accompagne bientôt d'hyperplasie du
tissu
conjonctif et de lipomatose. M. COEUMLKR (de
siste; il recouvre en partie le péricarde et est enveloppé par un
tissu
graisseux assez abondant. - Les pseudo-lipomes su
les graisseuses humides, sans limitation bien nette. Thorax. - Le
tissu
adipeux sous-cutané est peu développé; on dirai
été lavé, ainsi que les muscles du thorax, qui sont très pâles. Le
tissu
conjonctif, situé au-dessous du ster- num et qu
grammes, pas de surcharge graisseuse, ni de sérosité péricardique.
Tissu
ferme, un peu pâle. Trou de Bolal oblitéré. Pas
faisceaux connectifs du derme et les cloisons qui circonscrivent le
tissu
adipeux sous-cutané sont à peu près à l'état no
plus étoilées qu'alen- tour, mais on ne note nulle part l'aspect du
tissu
muqueux vrai tel qu'il se trouve dans le cordon
hez les nouveau- nés et les très jeunes sujets. L'aspect myxoïde du
tissu
con- jonctif est plus marqué dans les travées f
du tissu con- jonctif est plus marqué dans les travées fibreuses du
tissu
sous-cutané, surtout il leurs points d'entrecro
(rachis, thorax, os des membres). En ce qui concerne la peau et le
tissu
cellulo-adipeux, elle se manifeste par des érup
nction sudorale, un état de mollesse spécial et une hypertrophie du
tissu
adipeux, surtout dans certaines régions. Le r
d'après la Commission Sarde (p. 48), présentent la dégénération du
tissu
osseux, comme cela a lieu pour les rachitiques
q couches de l'écorce sont les suivantes : la première, composée du
tissu
fonda- mental névroglique, avec ses éléments ce
blanche a le même aspect; les corps granuleux y sont nombreux le
tissu
est sillonné par des bandes fibrillaires nombreus
d'aspect à appeler sclé- reux ces foyers, bien qu'il n'y ait pas de
tissu
con- jonctif véritable. L'état actuel de nos
HRONIQUES. ments cellulaires sont rares et dispersés au milieu d'un
tissu
cellulaire abondant. b). Cervelet, hémisphère
ule paracentral. La vascularisation est plus marquée et morcelle le
tissu
. La première et la seconde couche ne se peu- ve
ste de véritables plaques à contour irrégulier, foncées, formées de
tissu
scléreux, contenant pourtant des tubes par endr
roisième couche de l'écorce. C'est une nappe uniforme composée d'un
tissu
névroglique plus serré, à trame plus fine, qu'a
ion embryonnaire au- tour des vaisseaux. En somme, on voit que le
tissu
pathologique siège entre la première et la troi
nous venons de faire allusion, une bande de sclérose fournie par du
tissu
conjonctif rubané, émané des vaisseaux. Il n'y
s avan- cée encore. Ces fibrilles conjonctives forment un véritable
tissu
fibroïde de sclérose qui tranche vivement par s
u fibroïde de sclérose qui tranche vivement par son aspect sur le
tissu
névroglique ambiant. Ainsi sont constituées des b
agérée des couches corticales moyennes et la formation de bandes de
tissu
scléreux par plaques dans la même région ne son
degrés de l'altération. Sur d'autres (joints, entre les mailles du
tissu
conjonctif ainsi formé, se créent des vides qui
ains ron- geurs. En même temps, la couche corticale qui recouvre ce
tissu
aréolaire s'amincit et n'est plus qu'un simple
imple feuillet, et les cavités s'agrandissent au point de former un
tissu
aréolaire visible à l'oeil nu. Ces lésions expl
eurs cellules bien nettes. de même les cordons antérieurs. Ilots de
tissu
scléreux de dégé- nérescence descendante, en de
s ' . On voit que, dans ce cas, il existe de véritables bandes de
tissu
iibrillaire ondulé, ressemblant au tissu conjon
te de véritables bandes de tissu iibrillaire ondulé, ressemblant au
tissu
conjonctif ordinaire, dans la zone moyenne de l
on voit la névroglie épaissie former des taches plus foncées que le
tissu
sain. En beaucoup de points, ces amas foncés pr
éseau névroglique et ii en résulte un aspect finement vacuolaire du
tissu
, c'est au niveau de la seconde couche que cet a
risés par la rareté des éléments à leur niveau, l'épaississement du
tissu
inters- titiel qui se colore davantage parle ca
armin et sa friabilité ; car il tombe assez souvent des portions de
tissus
sur les coupes, mal- gré le soin apporté au mon
donnent au kyste sa couleur ocreuse ; elles sont dispersées dans un
tissu
fibrillaire dont les fibrilles convergent en ba
etit kyste, un certain nombre de masses pédiculées, composées de ce
tissu
fibrillaire feutré, de rares vaisseaux et conte
es, corps cellulaires ramifiés aux points nodaux. Les mailles de ce
tissu
sont occupées par une substance inter- cellulai
par un vaisseau ramifié; les parois sont constituées par les mêmes
tissus
fibrillaires que dans la précédente; les lésions
tantes les unes des autres qu'à l'état normal et séparées par du
tissu
névroglique, à peu près dépourvu d'éléments inter
ations cellu- laires importantes. Dans les cornes antérieures, le
tissu
interstitiel forme des faisceaux fibrillaires v
taient assez grandes pour donner, en quelques points, l'aspect d'un
tissu
finement celluleux. Les plaques jaunes trouvé
ro-spinal et des nerfs. — Ces altérations peuvenl occuper la peau, le
tissu
cellulaire, les muscles, les articulations, les v
lésions consécutives, dont il s'agit, peuvent frapper la plupart des
tissus
et occuper les régions du corps les plus diverses
uper les régions du corps les plus diverses : \apeau, par exemple, le
tissu
cellulaire,les muscles, les articulations, les os
un élément nerveux ? 2° On s'appuie encore sur ce fait que certains
tissus
, chez les animaux supérieurs môme, sont totalemen
des nerfs. Il ne saurait s'agir là d'une influence des nerfs sur les
tissus
, comparable à celle de l'électricité sur les acti
chez les végétaux, en l'absence de tout système nerveux, on voit les
tissus
s'enfler subitement, les cellules croître et se m
et dans le cas de greffe animale, il est évident que la nutrition des
tissus
est indépendante du système nerveux. » « Les trou
pour occasionner, à elle seule, une altération dans la nutrition des
tissus
. Sans doute, cette hypéré-mie, comme l'a fait rem
, sans aucun doute, dans cette circonstance que, chez ces derniers le
tissu
nerveux parait résister, bien mieux que chez l'ho
. Les expériences propres à montrer que les lésions irritatives des
tissus
nerveux sont capables de déterminer des troubles
t peuvent donner lieu à des phénomènes morbides affectant la peau, le
tissu
cellulaire sous-cutané, les muscles, les articula
ritation que subit quelque filet nerveux tiraillé ou comprimé dans le
tissu
cica-triciel. 1. « Un homme admis dans le servi
s inflammatoire, à savoir: une hyperplasie pJus ou moins prononcée du
tissu
conjonctif interstitiel, rappelant jusqu'à un cer
endue. De tous côtés, le tronc nerveux est enveloppé par une masse de
tissu
eonjonclif induré. Cette enveloppe conjonctive ad
inci. Dans le point où le tronc nerveux est enveloppé par la masse du
tissu
eonjonclif, on aperçoit, interposé entre les fibr
nclif, on aperçoit, interposé entre les fibres nerveuses, beaucoup de
tissu
conjoncttf fibrillaire avec de nombreux noyaux ov
gauche est profondément altéré; on observe là d'épaisses cloisons de
tissu
eonjonclif nouvellement formé, interposées entre
. 18, 1867) a trouvé à partir du 30e jour, les muscles déjà pâles, le
tissu
con-jonctif intermédiaire aux faisceaux primitifs
e du système nerveux, provoquer dans cer-tains organes, dans certains
tissus
, des lésions trophiques offrant tous les caractèr
ion incomplète, toutes éminemment propres à susciter, dans les divers
tissus
qui entrent dans la composition du nerf, le dé-ve
ait lieu dans l'obser-vation du docteur Erb, par une gaîne épaisse du
tissu
eonjonclif nouvellement formé (3j; d'autres fois,
s de paralysie faciale qu'il a observés chez l'homme. C'est dans le
tissu
conjonctif interstitiel que se montrent les premi
s'y accu-mule de nombreux éléments cellulaires, arrondis, rappelantle
tissu
de granulation, lesquels, plus tard, prennent une
s tard, prennent une forme allongée, disparaissent et font place à du
tissu
conjonctif ondulé. Les faisceaux musculaires ne c
mbre. A une période plus avancée, une couche plus ou moins épaisse de
tissu
fibreux se trouve interposée aux fibres nerveus
t aient jamais pour résultat, de produire directement l'altération du
tissu
musculaire. C'est même là, nous le reconnaîtrons
s cellules motrices a complètement disparu et l'on voit à sa place un
tissu
dense, opaque, d'apparence fibroïde et parsemé de
, d'ordi-naire, dans riiématomyélie, l'épanchement s'opère au sein de
tissus
déjà préalablement modifiés par un travail inflam
pondant à une infiltration sanguine du derme. Déjà, en pareil cas, le
tissu
cellulaire sous-cutané, et parfois même les muscl
étaient le siège d'ulcérations et il s'était formé des abcès dans le
tissu
cellulaire circonvoisiu. Deux jours après l'accid
de m urtificalion tend à gagner de proche en proche et à envahir les
tissus
profonds. Le délabrement qui en résulte est quelq
es désordres, le pus et l'ichor gangreneux peuvent venir infiltrer le
tissu
cellulo-graisseux qui enveloppe la dure- 1. Bil
it-il, à l'état normal entre les parties constituantes du sang et les
tissus
vivants sont profon-dément modifiées ; il y a deu
e exaltation des propriétés vitales de tous les éléments, de tous les
tissus
. Tout au moi ns les nerfs tan t se nsitifs que mo
ts expérimentaux propres à mettre en lumière cette attraction que les
tissus
peuvent exercer, dans de certaines conditions, su
rendre. A la vérité, cette hypérémie, cette stase par irritation des
tissus
se présente, au premier abord, avec je ne sais qu
e l'autre devant lui. Le sang artériel ayant plus d'affinité pour les
tissus
que le sang veineux saturé des produits de désint
le que puise être l'inlerprétation du phénomène, l'attraction que les
tissus
soumis à l'influence de certains agents exercent
, après examen microscopique, à une hyperplasie, une prolifération du
tissu
conjonctif. Quels sont les caractères de cette hy
t de véritables noyaux ou foyers qui pénètrent dans la profondeur des
tissus
. Souvent même, la coupe seule révèle l'existence
médecine et de chirurgie pratiques, publié en 1820, a mentionné « le
tissu
cellulaire séreux extrêmement délié qui unit et s
quant à sa structure, de cette dernière membrane, qui est composée de
tissu
conjonctif fibrillair, et, par conséquent, tout a
nt des mailles notablement plus serrées et font voir l'apparence d'un
tissu
spongieux. Dans ces deux condi-tions, du reste, e
Dns encore que les apparences les plus extérieures. S'agit-il là du
tissu
con-jonctif ordinaire (tissu lamineux fibrillaire
es les plus extérieures. S'agit-il là du tissu con-jonctif ordinaire (
tissu
lamineux fibrillaire) ? Non, assurément : tout le
e le stroma des glandes lymphatiques, par exemple, suivant le type du
tissu
conjonctif simple réticulé (Kôlliker) ; c'est-à-d
ires [Kôlliker (1), Max Schultze, From-mann (2).] Dans cette forme de
tissu
connectif. il n'existe que fort peu de substance
termédiaire fibrillaire, qui est l'un des carac-tères fondamentaux du
tissu
lamineux, fait ici complètement défaut. Voyons ma
e ces trabécules, les'minces fibrilles, qui font partie intégrante du
tissu
lamineux. Dans la substance grise, la névroglie
e, la névro-glie mérite incontestablement d'être rattachée au type du
tissu
conjonctif réticulé, dont nous rappelions tout à
ope, laissent voir nettement sur leurs bords les tractus fibroïdes du
tissu
eonjonclif (Kôlliker), 1. Dicl. encyclopédie, l
M. Banvicr, dont les travaux ont tant contribué à la connaissance du
tissu
conjonctif, a montré que les cellules, décrites p
gi etBoll, ne sont proba-blement que des artifices de préparation. Le
tissu
conjonctif des centres ner- II. Après ces pré
protoplasma qui, avec le noyau, constitue une petite cellule plate de
tissu
conjonctif. Au-dessous et au-dessus de cette cell
e rappelle les nombreuses discussions qu'a soule-vées la structure du
tissu
conjonctif des organes périphériques, structure q
ération déjà fort évidentes. Si l'on franchit la limite appa-rente du
tissu
sain, les lésions se montrent plus accentuées et
ues et minces fibrilles, fort analogues à celles qui caractérisent le
tissu
conjonctif ordi-naire (tissu lamineux). Ces fibri
analogues à celles qui caractérisent le tissu conjonctif ordi-naire (
tissu
lamineux). Ces fibrilles sont disposées parallèle
suivantes qui vous feront mieux connaître, sous quelques rapports, le
tissu
fibrillaire de forma-tion nouvelle. C'est sur les
t sur les coupes de ce genre que Ton saisit bien les caractères de ce
tissu
, que l'on peut le mieux appré-cier la direction l
es, t. i. 14 fibres élastiques que l'on trouve si souvent mêlées au
tissu
con-jonctif ordinaire par un caractère important:
ésence habituelle d'un certain nombre de corps amyloïdes au milieu du
tissu
fibrillaire. Mais je dois faire remarquer, en mêm
térées, on croirait \roir, sur le champ du microscope, un faisceau de
tissu
1. Frey. — Handbuch der Histologie, etc., 2e éd
ons ont franchi les limites de celle-ci et se sont répandues dans les
tissus
voisins. Mais cela n'a rien qui puisse surprendre
elle a déjà commencé à se produire lorsque la névroglie fait place au
tissu
fibrillaire, bien qu'elle marche alors d'un pas p
e fibrilles et de cellules plates, en tout semblables aux cellules du
tissu
conjonctif ordinaire. Il est arrivé à cette dé-mo
a névroglie (voir la note p. 205), lorsque M. Ranvier démontra que le
tissu
conjonctif des centres nerveux ne diffère pas ess
ouvrir que le noyau du grand hypoglosse était remplacé par un îlot de
tissu
sclérosé : 2° les libres musculaires de la partie
émergeant du bulbe paraissent sains. g, Sclérose, au début, dans le
tissu
qui constitue l'espace perforé postérieur. 1. C
ro-spinal et des nerfs. — Ces altérations peuvent occuper la peau, le
tissu
cellulaire, les muscles, les articulations, les v
. Caractères de la dystrophie : localisée aux extrémités ; tous les
tissus
sont atteints : peau, ou plutôt sa production d
radiographies montrent que la lésion porte sur les épiphyses : leur
tissu
se raréfie par- (1) BRRTOLOTTI, Elude du gigant
t élancées ; seules les épiphyses s'accroissent par adjonc- tion de
tissu
néoformé. Sans méconnaître les formes de transiti
s de polydactylie familiale. Etal actuel. Développement énorme du
tissu
adipeux avec distribution élective au cou, aux
u nous constatons chez cette femme une distribution particulière du
tissu
adipeux avec localisation élective au cou, à la r
ique de la collerette de Launois et Cleret. Cette distri- bution du
tissu
adipeux est typique dans le syndrome de Froelich.
une cirrhose hépatique et un dépôt d'un pigment brun foncé dans les
tissus
. La symptomatologie avait une grande ressemblance
s, gros comme une fève de marais, les capsu- les sont épaissies. Le
tissu
sous-cutané est coloré en jaune foncé. Le thymus
(1.350 gr.) est dur, bosselé. Microsc., une forte prolifération du
tissu
conjonctif, séparant le parenchyme en de petits
ans quelques gaines vas- culaires, mais se trouve également dans le
tissu
extravasculaire, dans les cellu- les mêmes, don
oulons étudier de plus près. C'est comme si à. certains endroits le
tissu
nerveux était en train de fondre. Nous remarquo
rations microscopiques, multiples, à contours réguliers, donnant au
tissu
un aspect spongieux (PI. XII). Quelques-unes de
éjà une forte formation fibrillaire ; dans cette phase terminale le
tissu
, au lieu d'être spongieux, devient nettement ré-
oie (1.680 gr.), très dur, ictérique, pas déformé. Prolifération du
tissu
conjonctif. Entre les mailles du stroma conjoncde
e cette lésion ne permet pas de délimiter avec certitude ce qui, du
tissu
nerveux, a été réellement détruit ou simplement
ux craintes que l'on doit avoir en pareil cas. En effet, lorsque le
tissu
nerveux subit une compression exercée par. une
gments de myéline dégénérée ; les fibres nerveuses normales, et les
tissus
interstitiels, en absorbent aussi même loin du
diminution marquée du nombre de leurs fibres, avec prolifération du
tissu
de soutien. Les libres radiculaires de la zone
ils qui ont échappé à la dystrophie, on note de la raré- faction du
tissu
osseux et de l'atrophie ; il est probable que cet
n notable de longueur ; l'hypertrophie porte également sur tous les
tissus
, squelette et parties molles. Dans le cas qui nou
: 1° l'in- vasion précoce des portions les plus superficielles des
tissus
les plus su- perficiels et par conséquent de la
il mesure que la maladie 'progresse, elle envahit en profondeur les
tissus
. Fiv. 3 Fig. 4 Fig. 4' 132 RU1RAQUER. S11
u revêtement cutané, tandis que chez l'hystérique elle comprend des
tissus
profonds. Nous n'avons pas à parler ici du cara
rtance diagnostique. Je dois parler de l'étal de la sensibilité des
tissus
profonds chez les lé- Fig. 12 Fla. in Fig.
deux types. On trouve chez beaucoup de ces malades l'anesthésie des
tissus
pro- fonds des pieds. Et en même temps, par l'e
eux pas dire si je marche sur le sol ou en Pair. » L'anesthésie des
tissus
profonds existe dans beaucoup de cas de tabes a
me est de grande valeur diagnostique. Pour trouver l'anesthésie des
tissus
profonds des pieds quand elle n'est pas très ma
avec trop de conviction que les lépreux n'ont pas d'anesthésie des
tissus
profonds. Qui contredit cela parait commettre une
les phalanges résorbées ; malgré cela, les malades sentent par ces
tissus
profonds et ils peuvent marcher avec un morceau
rbus plrlenicius à envahir les branches les plus superficielles des
tissus
les plus superficiels. Mais il est certain qu'à
n ne trouve point le signe de Homberg dans les cas d'anesthésie des
tissus
profonds des extrémités produites par des névri
ente pas par l'occlusion des yeux. Les lépreux anesthésiques de ces
tissus
ne présentent pas non plus d'instabilité ni dan
trinsèque et extrinsèque des yeux était normale. L'anesthésie des
tissus
profonds chez les lépreux qui la présentent app
En effet : quand nous invitons un lépreux ayant de l'aneslhésie des
tissus
des mains, avec les yeux fermés, il exécuter le
é. Celte forme motrice est propre aux étals d'anesthésie simple des
tissus
superficiels et profonds des extrémités. Si,
, dans les nerfs moteurs, dans les articulations et dans les autres
tissus
profonds. Les spasmes peuvent être limités à qu
une même attitude forcée sans variations, à la sclérose de tous les
tissus
mous des doigts en géné- ral, mais surtout du c
ral, mais surtout du côlé de la flexion, tels que les synoviales, le
tissu
conjonctif et le derme, développée en conséquen
qui sont contigues à d'autres qui présentent des lésions dans leurs
tissus
superfi- ciels et profonds. Tant qu'il s'agit d
td'abord, de l'intensité et de la durée des causes destructives des
tissus
; ils sont plus exposés que les autres, et grâc
ce que les tubercules lépreux des os, des articulations et d'autres
tissus
profonds produisent, comme nous le voyons fréqu
e, forcément nécessaire que l'insuffisance nerveuse nutri- tive des
tissus
, due à la lésion spécifique des nerfs, intervienn
ale, arriva néanmoins au but. Il était au milieu d'une charpente de
tissu
cellulaire de nouvelle formation qui sert, dans
pressions parvenues par le courant centripète. Ainsi donc, dans les
tissus
sains, il existe des facultés physiologiques d'
s les maladies caractérisées par la suspension de développement des
tissus
et des organes, comme celle de Klippel où il y
t généralement entr'elles. Les articulations se détruisent et leurs
tissus
se résorbent. Si elles sont détruites avant que
pine des muscles faciaux. Elle explique encore que t'anesthésie des
tissus
profonds des extrémités peut exister quelquefois
nregistre d'une part les modifications les plus légères de tous nos
tissus
, de l'autre donne origine à nos représentations
N WOERKOM caudé et du noyau lenticulaire une forte prolifération du
tissu
névroglique surtout autour des vaisseaux; elle
eurs fascicules appartenant en propre au corps strié, par contre le
tissu
interradiaire est très pauvre en fibres à myé-
upe, rendue difficile par la résistance de sa masse, on constate un
tissu
blanchâtre légèrement granuleux par places, san
ment à la face interne de la dure-mère, s'enfonçant encore dans son
tissu
. Elle a presque complètement détruit la moelle
ont confirmé la présence d'un tel néoplasme. La masse principale du
tissu
consiste en traînées de cellules allongées et a
anguins et par de petits faisceaux ou des trabécules plus larges de
tissu
conjonctif coloré, en rouge vif par le van Gieson
une bénignité relative attribuable à l'arrêt dans les progrès d'un
tissu
, tissu de remplissage consécutif à l'atrophie s
nignité relative attribuable à l'arrêt dans les progrès d'un tissu,
tissu
de remplissage consécutif à l'atrophie supposée
l'extrémité comme une rave. La peau est sèche et fendillée. Le
tissu
sous-cutané est flasque, dépressihle, mais ne pré
agit, croyons-nous, dans les deux cas d'une dystrophie frappant les
tissus
ectodermiques, cutanés et nerveux, avec localis
doute au métacarpien, et par une aiguille osseuse, perdue dans les
tissus
, ne s'articulant pas avec le nodule et qui repr
nale : les phalanges, les phalan- gines sont libres, tandis que les
tissus
musculo-cutanés de la phalangette sont partiell
lus grand nombre des syndactylies, palmature simple, accolement des
tissus
sous-cutanés, synostose, reconnaissent un process
lette, mais d'un processus très complexe portant sur l'ensemble des
tissus
de la main ou du pied et d'où résulte aussi bie
aires, mais au lieu qu'il se produise des membres cartilagineux, le
tissu
conjonctif embryonnaire est progressivement deven
eux, le tissu conjonctif embryonnaire est progressivement devenu du
tissu
fibreux. La région tout entière de la main a su
e dans la mesure où elle sera active, où elle réduira le volume des
tissus
, où elle oblitérera la lumière de vaisseaux jusqu
ot; elle oppose simplement une résistance à l'expansion normale des
tissus
. Si, dans ces conditions, il se produit une actio
la croissance; en conséquence la pression augmente. Sans doute, les
tissus
se tassent, mais ils se tassent lentement et avan
La croissance de ce dernier ne subissait aucun arrêt, seulement les
tissus
en voie de multiplication se tassaient d'une ma
ssentiels du cerveau par un processus cérébral quelconque. Quand un
tissu
cérébral s'altère, on peut constater qu'un des él
n ferment qui se présente dans tous les organes et dans de nombreux
tissus
du règne animal et végétal ; elle joue véritablem
ale est très avide de toxines ; si l'on place de petits morceaux de
tissu
cérébral dans la toxine diphtérique et qu'on les
oignon. La peau a perdu ses plis et ses stries et est adhérente aux
tissus
profonds. Il en est de même en ce qui concerne
lade ayant eu des panaris des gaines, il s'esL produit là, dans les
tissus
profonds, des modifications notables. Cependant
r, d'ankylose incomplète de l'articulation scapulo- humérale et des
tissus
périarticulaires. Quand on fait mouvoir cette j
pages encore inédites. Nous avons choisi le chapitre con- sacré au
tissu
adipeux, dans lequel on trouvera d'intéressantes
ans les vides que laissent entre eux les organes profonds, c'est le
tissu
adipeux d'interposition. 1° Pannicule adipeux.
Entre la peau et les muscles intervient cette nouvelle couche d'un
tissu
spécial, le pannicule adi- peux, dont la présen
ns du corps, je crois bon de signaler ici celles dans lesquelles le
tissu
graisseux joue vérita- blement un rôle morpholo
femme, il se confond, pour ainsi dire, en arrière du flanc, avec le
tissu
graisseux de la fesse, si bien que celle-ci sem
ré l'élargissement delà crête iliaque. Je signalerai également le
tissu
graisseux de la région mammaire. Chez la femme,
que, même chez l'homme qui porte une mamelle toute rudimentaire, le
tissu
graisseux joue un rôle important dans la morpho
charnues du grand pectoral, ainsi que le pensait Gerdy, mais que le
tissu
graisseux, même chez les gens maigres, y entre
t de l'embonpoint. Enfin, je citerai, simplement pour mémoire, le
tissu
graisseux de la face palmaire de la main et sur
te du pied, qui, par sa disposition spéciale dans les cellules d'un
tissu
conjonctif élastique qui le comprime, forme une
tement à la surface des objets et à supporter les pres- sions. 2"
Tissu
adipeux d'interposition. Le tissu adipeux d'int
supporter les pres- sions. 2" Tissu adipeux d'interposition. Le
tissu
adipeux d'interposition est celui qui est situé a
peu près complètement disparu. Tranformées par l'infiltration du
tissu
cancéreux en une masse molle, élastique, dans l
e sous l'influence de l'envahissement des corps vertébraux par le
tissu
cancéreux. De là toute une série de troubles da
e de la colonne ver- tébraie. - Infiltration des vertèbres par le
tissu
cancéreux; écrasement presque complet de deux v
lus tard, les saillies osseuses étant beaucoup plus masquées par le
tissu
adipeux qu'actuellement. On ne saurait mieux re
t, et cette augmentation de volume est due aussi bien aux os qu'aux
tissus
mous qui entrent dans la constitution des ortei
une ouvrière de même âge et de même taille. Les os sont gros et les
tissus
sont égale- i .. ÏLLI-F ICONOGRAPHIE PELA SAL
ar une substance homogène presque amorphe tout à fait analogue à du
tissu
cicatriciel fibroïde qui siège de préférence auto
presque sains; c, fascicules moyennement dégénérés ; d, vaisseaux du
tissu
conjonctif péri- fasciculaire ; e, gaine second
onctif péri- fasciculaire ; e, gaine secondaire un peu épaissie ; ?
tissu
périfasciculalre. Fig. 4. - Coupe du muscle int
diverses ; a', atrophiées; a", presque normales, et entourées d'un
tissu
conjonctif dense; d, région du muscle extrêmeme
a corne est altérée, à peine reste-t-il une bande péri- phérique de
tissu
sain. Dans la région la plus lésée, on observe au
e tissu sain. Dans la région la plus lésée, on observe au niveau du
tissu
fibroïde amorphe qui la constitue, un petit îlot
trophiées, quelques autres présentent une apparence moniliforme. Le
tissu
interstitiel est semé de petits foyers hémorrha-
t diminué de nombre et de volume, de plus elles sont entourées d'un
tissu
con- jonctif qui les sépare les unes des autres
rées d'un tissu con- jonctif qui les sépare les unes des autres. Ce
tissu
est fibrillaire com- pact, etcontient relativem
serve sa coloration habituelle. Les chairs sont un peu flasques; le
tissu
graisseux ne semble pas très abondant. La malad
les lésions du système nerveux. \ Le cadavre est très émacié; le
tissu
adipeux a disparu en général;^ les téguments so
tent des dimensions variables. Cette apparence résulte de ce que le
tissu
conjonctif proliféré pénètre entre les faisceaux
. Ceux-ci apparaissent alors circonscrits par une sorte d'anneau de
tissu
conjonctif. Dans chacun des groupes ainsi isolé
es musculaires elles-mêmes sont séparées les unes des autres par du
tissu
conjonctif interfasci- culaire qui forme une ga
nche nettement sur la coloration brun clair des autres fibres. Le
tissu
conjonctif proliféré ne se présente pas partout s
t sous le même aspect. En certains endroits il revêt l'apparence du
tissu
fibreux : il est compact, homogène et parsemé d
lques noyaux; sur d'autres points, il a l'aspect et la structure du
tissu
tendineux; enfin, il est des parties où il se c
su tendineux; enfin, il est des parties où il se compose surtout de
tissu
graisseux, où ne se trouvent que de rares cellu
se trouvent que de rares cellules embryonnaires. Dans l'étendue du
tissu
de nouvelle formation, on distingue parfois des
, et vis-à-vis des réactifs colorants, elles se comportent comme le
tissu
conjonctif. Leurs noyaux eux- mêmes sont très r
g. 4, el, d'). Les petits nerfs musculaires qui se trouvent dans le
tissu
conjonctif sclérosé sont pour la plupart altéré
upart altérés. Leur gaine lamellaire est extrê- mement épaissie, le
tissu
intra-fibrillaire est hypertrophié, et beau- co
temps de cette contractilité élec- trique dans les muscles dont le
tissu
n'a pas été altéré ; 4° Déformations partielles
ment de colo- ration ni de température. Elle est intimement unie au
tissu
cellulaire sous-cutané, ce qui en rend le gliss
presque double de la gauche. On remarquera de même l'homogénéité du
tissu
(cicatriciel) de la corne altérée, alors que sa
viennent rares vers le centre, où tout le fond est constitué par du
tissu
conjonctif parcouru obliquement par des travées
une gaine d'une épaisseur considérable, même dans les régions où le
tissu
conjonctif est peu abondant, ainsi qu'on le voitd
XLV. Sclérose en pluques (fort grossissement) : a, Tubes normaux; b,
Tissu
conjonctif; c, Zone moyennement altérée; d, Tra
cuir chevelu, lequel est bouffi, oedématié. Au niveau du sillon, le
tissu
est lardacé, nacré ; le sterno-mastoïdien est dép
des ventricules; légère surcharge graisseuse au niveau des sillons;
tissu
ferme; hyper- trophie du ventricule gauche, don
les. - Ces lésions peuvent s'expliquer par l'extrême fragilité du
tissu
osseux chez les aliénés ; elles sont souvent prod
(dyscrasie hématique), ainsi qu'à l'action directe du poison sur le
tissu
nerveux. Ils affectent d'ime manière générale la
les circulatoires, dégénérescences parenchymateuses, consomption du
tissu
nerveux, complica- tions agissant immédiatement
t la résistance éprouvée par le courant à son passage à travers les
tissus
. Elles se pro- duisaient surtout d'un sujet à l
EXPLICATION DES PLANCHES PLANCHE Ht. Résistance électrique des
tissus
chez deux individus sains.-Tracé 1 : Faible rés
peine saillants. La face externe a conservé à peu près l'aspect du
tissu
osseux normal, tandis qu'en dedans, à l'endroit
était en contact avec l'os iliaque est recouverte d'une couche de
tissu
fibreux rappelant le fibro- carhlage. L'extré
réunis par une soudure osseuse, il y avait deux réu- nions par du
tissu
fibreux. 3° Jambe gauche. (Fig. 17). Les deux
te ZeIsch ? -, 1, 1879). Il annonce que l'exa- men microscopique du
tissu
musculaire enlevé à son malade pen- dant la vie
. Au microscope, on sociétés savantes. 2t7 constate une couche de
tissu
conjonctif dont les libres résistantes enlacent
l le place dans'de l'alcool plus ou moins concentré selon l'état du
tissu
nerveux, changeant 250 SOCIÉTÉS SAVANTES. ce
le pensa Po- litzer. Dans certaines conditions de relâchement des
tissus
, cet accroissement de la pression se produit subi
omique'et à ses sels dont on se sert habituellem'ent'pour'dûrCir le
tissu
nerveux, et je divisai la ! tumbur et le tissu am
m'ent'pour'dûrCir le tissu nerveux, et je divisai la ! tumbur et le
tissu
ambiant lerïlulie série de coupes transversales
ji- 111311,/ liti./i.. )- "1111111 , un iir , ° , 1.. , seur de son
tissu
et une moindre transparence. En descendant plus
sait, séparée du reste'de la moelle, par une capsule. fresi fine de
tissu
conjonctif (Pl. \,fig. 3). Sur la coupe transve
, arrondi et étroitement lié, par l'intermédiaire de la capsule, au
tissu
de la moelle; son bord postérieur était, au con-
au tissu de la moelle; son bord postérieur était, au con- capslle,
tissu
Jii'Hi s'o-n bord h était, au cou- traire, fest
u cou- traire, festonné, sinueux et ne formait pas avec le reste du
tissu
'»; '"Jp ? I : >i11.r> -. '.un .11 1 . 11
nt sur ,1e reste à là, moelle' et séparée 'd'elle par'là capsule de
tissu
con- e reste.Ë.mp'ejlë et séparée'd'eHo par'Ia
de tissu con- e reste.Ë.mp'ejlë et séparée'd'eHo par'Ia capsule de
tissu
con- `1T1 I `J , -oll n I n n néoplasie avait l
ui traversent la' substance blanche' ainsi que les vaisseaux, et le
tissu
conjonctif de la moelle ? J0'" 1 t Sur la coupe
pe je trouvai la substance grise, 'lés' rayons blancs' ainsi que le
tissu
de la tumeur colorés en bleu, la substance blanch
ur le fait, intéressant de la coloration identique de la tumeur, du
tissu
conjonctif, de la subs-' tance grise et des str
tumeur 'était' donc une néoplasie' composée dé' jeunes cellules de
tissu
conjonctif, un fibrome à l'état jeune bà'tin'Sdi-
cette faux. La néoplasie avait donc réduit à une fraction minime le
tissu
médullaire par la compression. Les deux substan
tes de tisserand, d'autres ressemblaient aux cellules fusiformes du
tissu
conjonctif ou à des cellules de tissu musculaire
nt aux cellules fusiformes du tissu conjonctif ou à des cellules de
tissu
musculaire lisse, et ce n'est que leur situatio
d'adaptation à une pression lente et croissante, dont jouissent les
tissus
de la moelle. Si on connaissait déjà par la voi
a moelle sont des neurogliomes, c'est-à dire des hyperplasies des
tissus
normaux du cerveau et de la moelle. Les tumeurs p
dans l'axe cérébro-spinal rentrent dans la catégorie des tumeurs de
tissu
conjonctif.1 Parmi celles- ci ; il distingue ce
ntr'eux par une substance interstitielle, se rapprochent le plus du
tissu
conjonctif normal comme le sarcome; et, celles
le faux sarcomes. Les vrais sarcomes sont''ceuxqui sont composés de
tissu
conjonctif 'jeune; 'primitif;' tous '.Mes autre
t du système nerveux lui-même. Les sarcomes forment des masses de
tissus
hétérogènes qui ne se confondent jamais avec le
masses de tissus hétérogènes qui ne se confondent jamais avec le
tissu
nerveux et s'étendent à ses dépens en le comprima
mprimant; les neurogliomes, au contraire, sont des excroissances du
tissu
nerveux qui se développent à côté d'éléments de
'éléments de même nature et qui s'épanouissent sans limites dans le
tissu
nerveux normal. Là où surgissent les sarcomes,
tes dans le tissu nerveux normal. Là où surgissent les sarcomes, le
tissu
nerveux périt; où les neurogliomes se développe
s- tologiquement entre eux, qu'ils sortent de la névroglie ou''du
tissu
nerveux lui-même. Il considère, par conséquent,
me. Il considère, par conséquent, la névroglie elle-même comme un
tissu
d'origine et de caractère nerveux, et propose dé
. La .tumour,sne tenait à la,pie- mère que par un petit faisceau de
tissu
conjonctif parcburu' de SARCOME DE LA MOELLE ÉP
comes cités par Klebs, c'est-à-dire de se dévelop- peraux dépens du
tissu
, nerveux et de ne pas; se confondre avec celui-
onne des .éclaircissements.définitifs sur la nature histologique du
tissu
de la.névroglie.. - - t, I m. <) ' t Il Qu
décrite plus haut, prouveque cette dernière substance appartient au
tissu
conjonc- tif. En effet le violet de gentiane a
e violet de gentiane a coloré la substance blan- che,,en,violet,tle
tissu
.du sarcome et la substance grise, en bleu.t" ,
en bleu.t" , , résulte donc que la névroglie a les propriétés du
tissu
con- jonctif., , . , , 1 Ce fait nous conduit
aires. Or, les travées delà substanceblan- ,che sont composées], de
tissu
conjonctif .ordinaire fibrillaires, tandis que
l se distingue des autres organes par la pression de deux sortes de
tissus
conjonc- tifs. Il possède : 1° un tissu conjonc
pression de deux sortes de tissus conjonc- tifs. Il possède : 1° un
tissu
conjonctif ordinaire, fibrillaire, comme les au
g. 3. Tumeur de la corne antérieure, entourée d'une fine capsule de
tissu
conjonctif. Fig. 4. - Développement complet de
ple et la plus vraisemblable est fournie par la' déshydratation des
tissus
reconnue dans la plupart des autppsies ; le des
éments ner- veux primitivement altérés, entraînent l'hypergenèse du
tissu
connectif ? Enfin est-ce bien là une affection
ans la paralysie générale on rencontre souvent une raréfac- tien du
tissu
osseux qui prédispose aux fractures dont la conso
PLICATION DES PLANCHES. 413 PLANCHE lit Résistance électrique des
tissus
chez deux individus sat ? M. T)'f<cf 1 : Fai
g. 3. Tumeur de la corne antérieure, entourée d'une fine capsule de
tissu
conjonctif. Fig. 4. Développement complet de la
eu de liquide citrin. Il ne parait pas y avoir eu de myocardite, le
tissu
cardiaque est de coloration nor- male, ferme et
es du poumon sont très congestionnées; plus de crépitation, mais le
tissu
surnage quand on le jette dans l'eau. A gauche,
es valvules aortiques et mitrales sont souples mais très rouges. Le
tissu
myocardique se déchire facilement. La rate moll
. Kesteven, est constituée par une perturbation moléculaire dans le
tissu
nerveux : qu'on appelle cette perturbation du n
oujours est-il qu'elle a pour résultat de rendre les molé- cules du
tissu
nerveux plus aptes à répéter leur mouvement dans
is aussi large, se voit un disque de coloration analogue à celle du
tissu
hépatique. Ce disque est le centre d'une zone b
pagnée d'une impuissance motrice toujours adéquate à la quantité de
tissu
musculaire atrophiée et une affection (sclérose
'est un processus mul- tiple de réactions du côté des vaisseaux, du
tissu
interstitiel et des cellules nerveuses. Les deu
TES. 83 plus ou moins grandes, suivant que la nécrose a frappe-le
tissu
nerveux seul ou.en même temps le tissu conjonctif
t que la nécrose a frappe-le tissu nerveux seul ou.en même temps le
tissu
conjonctif. io L'intoxication aiguë de la moell
aiguë de la moelle est caractérisée par une altération primitive du
tissu
nerveux, sans congestion ni hyper- diapédèse, m
dans les autres organes. Je crois que ce fait dépend de ce que. le
tissu
nerveux n'est pas, ainsi que l'ont prétendu quelq
tissu nerveux n'est pas, ainsi que l'ont prétendu quelques-uns, un
tissu
favorable pour les microbes. Selon nos recherches
ème. Il s'agit vraisemblablement, dans ces cas, d'une dystrophie du
tissu
conjonctif et vasculaire en rap- port avec une
des cellules de la paroi de la capsule, il nota une augmentation du
tissu
interstitiel et une prolifération nucléaire v.
anglions spinaux, hyperplasie et prolifération nucléaire moyenne du
tissu
interstitiel, dégénérallon des racines postérieur
e Wollenberg (atrophie, pigmentation, vacuolisation, hyperplasie du
tissu
connectif, etc.) : cependant cet auteur estime
claires. Les cellules angulaires étaient aussi plus nombreuses. Le
tissu
interstitiel n'avait pas sensiblement proli- fé
oite à la partie supérieure du renflement cervical (augmentation du
tissu
névroglique avec prolifération des noyaux, disp
ux apparaissent tardivement, obéissant ainsi à la règle de tous les
tissus
d'évolution supérieure; l'auteur rappelle sur c
d'une prolifération graisseuse, mais d'une involution régressive du
tissu
musculaire qui s'était complètement transformé
gressive du tissu musculaire qui s'était complètement transformé en
tissu
grais- seux. Quant à l'origine de cette lipom
op hautement différenciée, ne se répare pas et est remplacée par le
tissu
de neuroglie et l'élément conjonctif. G. D. X
éléments morphologiques, permet de conclure à la dégénérescence du,
tissu
nerveux nécrosé par coagulation, à un nécrose d
du, tissu nerveux nécrosé par coagulation, à un nécrose diffuse du
tissu
de la névroglie. Cette nécrose, ce ramollisseme
uche superficielle également noire, s'enfoncent danslaprofondeur du
tissu
encéphaliqueembryonnaire, pénètrent entre les c
'exploration; et son contenu, au toucher, paraissait se composer de
tissu
cérébral vrai. A l'aid e d'une légère pression,
aissie, ni adhérente : le cerveau est volumineux et symétrique ; le
tissu
cérébral est ferme; l'ensemble est sain. Au-des
Pas d'adhé- rences ni du corps pituitaire ni de la tumeur avec les
tissus
voisins. Le corps thyroïde est symétriquement a
couples musculaires, par le surmenage nerveux, par l'épuisement du
tissu
cortical, telles sont les conditions les plus c
ent. A l'aùtopsie, on trouva une grande quantité de sang dans les
tissus
musculaire et connectif au niveau de la lésion :
sparentes paraissent être formées par la pie- mère et une couche de
tissu
cellulaire; elles ont une coloration légèrement
d'ailleurs fibreux et adhérant avec l'épendyme ventriculaire et les
tissus
pathologiques voisins. En incisant légèrement l
st encore relativement conservée, on voit le tableau suivant : Le
tissu
nerveux atteint une épaisseur d'un centimètre env
à surface interne rouge et tomenteuse. Cette poche est entourée de
tissu
cérébral ramolli ; les lésions ne dépassent pas
atière, Raymond et Chipault : il était trop gros et la réaction des
tissus
environnants faisait que, la lésion n'était pas
tébraux étaient ramollis. La tumeur, grisâtre, avait l'aspect du
tissu
cérébral; la moelle était saine, sauf les efforts
e acide. Avec le violet de gentiane, ils ont la même couleur que le
tissu
ambiant, mais peuvent cependant être décelés. A
promptement à la lumière au point qu'ils deviennent invisibles. Le
tissu
dans lequel on les a rencontrés avait été durci
péri-vasculaires de cette région mais ils s'étendent jusque dans le
tissu
voisin. Ils diffèrent des corps hyaloïdes par l
et foncé ; avec la fuchsine en rouge; avec l'iode en jaune comme le
tissu
environnant ; avec le violet de genliane en vio
remplis de gouttelettes graisseuses. Lorsqu'ils s'égarent dans les
tissus
nerveux, il semble qu'ils n'en puisseut plus so
a dégénérescence graisseuse des cellules nerveuses, des cellules du
tissu
contiectif (itévi-oglie ? et même des fibres mus-
as de montage; il montre plus exactement le degré de séparation des
tissus
, et colore mieux la névroglie et les vais- seau
nant, il fait remarquer que toutes les altérations anato- miques du
tissu
connectif et de l'endothélium que l'on observe
qui a amené d'abord la prolifération, ensuite la dégénérescence du
tissu
névroglique. En outre, les coupes fines permett
rus ; les troncs nerveux sont comprimés et en partie dégénérés, le
tissu
nerveux lui-même n'est pas envahi par les product
embryonnaire; rien à noter aux autres viscères, une filaire dans le
tissu
périaortique, pas de lésion macroscospique des ce
génération des grosses cellules pyramidales, et une condensation du
tissu
névro- glique. ' 374 CLINIQUE NERVEUSE. 8°
graisseuse des parois des vais- seaux. Masses'de leucocytes dans le
tissu
du cerveau. Dégénéres- cence des cellules corti
t le siège d'une altéra- tion vasculaire, et de la prolifération du
tissu
conjonctif, bien plus vives que dans l'écorce.
blanche. Des altérations des vaisseaux procède le développement du
tissu
conjonctif, et l'atrophie de la substance céréb
com- plete oblitération. Tout autour des vaisseaux se développe le
tissu
conjonctif. Un tel processus doit émaner, com
ement de ses fonctions, non une lésion interstitielle chronique des
tissus
. La présence de l'irritant alcoolique lui-même
aine de l'irritabilité dont elle fait partie intégrante. Chacun des
tissus
irritables du corps vivant répond dur une stimu
absolue, mais présentant comme caractère de se dévolopper dans le
tissu
conjonctif entourant les éléments nobles, avec pr
aux rechutes qui correspond parfaitement avec la tendance même des
tissus
à la prolifération et à la régression. Il faut aj
membranes ou dans la moelle elle- même, ou peut-être dans ces deux
tissus
par l'abondance du sang épanché : il est démont
es progrès trop avancés de la tumeur; la transition périphérique du
tissu
anormal au tissu normal ne peut être décelée à
vancés de la tumeur; la transition périphérique du tissu anormal au
tissu
normal ne peut être décelée à cause de l'encaps
e à cause de l'encapsulement de la tumeur, et malheu- reusement les
tissus
environnants n'ont pas été couservés : la tu- m
reste de l'organisme; 3° la disposition en cordons cellulaires des
tissus
qui entourent les vaisseaux; et 4° par places la
° par places la transition qui va des types les plus complexes à un
tissu
diffus ressemblant au tissu sarcomateux. Ce der
va des types les plus complexes à un tissu diffus ressemblant au
tissu
sarcomateux. Ce dernier point est plus spécial à
r à l'état de néoplasme se conti- nuant avec l'un ou l'autre de ces
tissus
épithéliaux (saut le cas déjà indiqué d'ectopie
omme le carcinome il dérive de cellules ayant leur origine dans les
tissus
ectodermiques, qui, pour le gliome, sont les él
l'embryon à savoir, l'ectodennze, ils prennent leur origine dans ce
tissu
à des périodes différentes de son développement
hélium épendymaire adulte, qui était inclus dans les profondeurs du
tissu
cérébral, et que le néoplasme ait été entièreme
première avait pénétré partout dans le néoplasme, soit à l'état de
tissu
tu- berculeux diffus, soit à l'état de nodules
foyer primitif de i'infection tuberculeuse. La lésion bacillaire du
tissu
cérébral n'a été découverte que lors de l'examen
moteurs efférents, les cornes grises antérieures de la moelle et le
tissu
médullaire : elle est constituée par une inflam
r l'affinité élective du virus syphilitique sur tel ou tel point du
tissu
chromo- philique : tout ce qu'il faut dire, c'e
ciale que les cellules assument, et s'il en est ainsi dans d'autres
tissus
, à plus forte raison peut-on dire que cela est
tissus, à plus forte raison peut-on dire que cela est vrai pour un
tissu
à spécialisation supérieure comme celui qui con
ment plusieurs toxines : peut-être y en a-t-il une qui agit sur les
tissus
épiblasti- ques, et une autre qui a de l'affini
s tissus épiblasti- ques, et une autre qui a de l'affinité pour les
tissus
mésoblasti- ques. Il y aurait là une analogie a
sgrave-Clay. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 429 XLVII. Emphysème du
tissu
aréolaire sous-cutané survenu dans un cas de ma
ussi si ce fémur présentait une raréfaction plus ou moins grande du
tissu
osseux. Grâce à l'amabilité du professeur Bergo
eau pyramidal croisé, les tubes nerveux étaient moins abondants; le
tissu
conjonctif était un peu plus épais, ces deux ca
ion de sa connexion'. S'il y avait eu une sclérose descendante, les
tissus
sclérosés excitant les centres sous-corticaux,
nction doit être faite au point où l'on risque le moins de léser le
tissu
nerveux contenu dans le canal rachidien; 3° que
r les modifica- tions intimes qui se produisent alors dans tous les
tissus
, en altère profondément les apparences extérieu
tte citation que M. Straus émettait l'hypothèse de l'altération des
tissus
fibreux lors de contracture pour expliquer la n
cutive, que la contracture pouvait s'accompagner de rétraction des
tissus
fibreux et qu'alors, lorsque le spasme cessait, l
n avoir sa cause, d'après ce que nous savons, dans la production du
tissu
fibreux péri-articulaire. La malade a été soumi
saillants : il existe à ce niveau un épaississement considérable de
tissu
fibreux, qui paraît le prin- cipal obstacle au
xten- sion forcée, qui provoquent des déchirures avec craquement du
tissu
fibreux postérieur; on ne va pas jusqu'à l'exte
a crainte de léser l'artère poplitée, probablement englobée dans le
tissu
fibreux. Lajambe droite est un peu plus étendue
s fléchisseurs de la cuisse, mais encore une sorte de rétraction du
tissu
fibro-celluleux du creux poplité, que l'on dut
ique qui prédispose, comme on sait, aux manifestations morbides des
tissus
fibreux. A l'appui de cette hypothèse on pourra
cevrait malaisément qu'une contracture spasmodique laissât tous les
tissus
indemnes et affectât précisément les plus résis
Cette rétraction musculaire s'accompagne souvent de lésions dans le
tissu
fibreux périarticulaire, lesquelles opposent au
ion des deux bouts à une cer- taine distance l'un de l'autre par du
tissu
fibreux intermédiaire, per- mettra un allongeme
fibre musculaire se continue avec le tendon qui lui fait suite. Ce
tissu
fibreux qui s'est substitué sur une certaine lo
ficiles dans les articulations immobilisées : c'est l'altération des
tissus
péri-articulaires. Nous avons vu, en parlant
ux ; non seulement l'articulation immobilisée est intacte, mais ses
tissus
périphériques ne sont ni engorgés, ni indurés,
ilisée. Ces désordres se développent autour de'l'ar- ticle, dans le
tissu
cellulaire et les tissus fibreux ou ligamenteux q
développent autour de'l'ar- ticle, dans le tissu cellulaire et les
tissus
fibreux ou ligamenteux qui l'entourent, en un m
s tissus fibreux ou ligamenteux qui l'entourent, en un mot dans les
tissus
péri-articulaires. Ceux-ci s'épais- sissent, s'
asmodidues d'autre origine. En résumé, on constate une dureté des
tissus
péri-articulaires en- tourant l'articulation im
de même nature que celle qui atteint le muscle en agissant sur son
tissu
cellulaire pour le rendre inextensible, mais en
'autre étant altéré; d'une part, l'articulation est intacte, mais les
tissus
NOUVELLE ICONOGRAPHIE T. I PL. -18 PHOTOTYPÏh
dans une condition semblable; 2° Il est nécessaire d'assouplir les
tissus
périphériques pour faire, disparaître cette cau
able garnie d'une serviette, s'étale comme une masse diffuenle, son
tissu
ne présente cependant aucun signe de ramollisse
volume tient il la disparition de l'hydarllirose et de l'oedème des
tissus
péri-articulaires. La lésion des extrémités artic
Tabétique DU PIED Disposition des tubes restes sains par rapport au
tissu
de sclérose LLCROSNIEI & PAH1., ÉDITEURS
PIED Les Iules restes sains \Ont sépares les uns des autres par le
tissu
sclérose. On voit les cylindres-axes entourés d
limités, il est vrai, par la tension des tendons raccourcis et des
tissus
fibreux péri-arti- culaires, mais ces mouvement
il pourrait se faire que les deux bouts ne fussent plus unis par le
tissu
fibreux secondaire qui se développe dans la gaine
rictions dans le sens de la circulation veineuse, pratiqués sur les
tissus
engorgés qui existent autour des articulations,
constatait dans le creux poplité un épaississement considérable de
tissu
fibreux devenu dense et qui semblait mettre obs
tes de tension forcée provoquent des déchirures avec craquement des
tissus
fibreux postérieurs. On ne va pas jusqu'à la te
ire des lésions de l'artère poplitée, englobée probablement dans le
tissu
fibreux. La jambe droite est un peu plus étendu
es pieds n'ayant pas été pris dans l'appareil), et surtout dans les
tissus
qui les entourent, des phénomènes légèrement in
des phénomènes légèrement inflammatoires avec épaissis- sement des
tissus
. En même temps, se développent plusieurs fois de
loi de ces deux méthodes, les muscles ont repris leur activité, les
tissus
périarticulaires se sont assouplis, et leur indur
sans avoir recours au sommeil anesthésique et aux violences sur les
tissus
péri- articulaires nécessités par le premier ca
le saine, mais autour d'elle existe un épaississement manifeste des
tissus
périphériques qui semble être aussi un obstacle a
lésions perma- nentes dans certains groupes musculaires et dans les
tissus
périarticu- laires. Ces lésions entretiennent d
tent dans un épaississement des capsules d'enveloppe, et des autres
tissus
fibreux qui, ainsi altérés, gênent ou empêchent
rose plus ou moins considérable et une infiltration de sérosité des
tissus
voisins. Le liquide ne contient ni sang, ni pus
e est libre dans l'articulation, sont constitués, indépendamment du
tissu
fibreux, par de véritables noyaux de cartilage
s caractéristiques, et, dans quelques-uns d'entre eux, du véritable
tissu
osseux avec des ostéoplastes parfaitement dé- ,
uence que les centres nerveux exercent sur la nutrition de tous les
tissus
de l'économie. Ce pouvoir- s'execce-t-il par l'
opos du traitement. Au moment de la période du début, alors que les
tissus
sont gonflés, que l'articulation est remplie de
flasques et affaissées, et démontrent que c'est aux dépens de leur
tissu
cellulaire que les os acquièrent un embonpoint
augmentés de nombre tant dans les parois des vaisseaux que dans le
tissu
de la substance grise. Région dorsale. Mêmes lé
es postérieures étaient très belles. Dans les cordons de Goll, le
tissu
conjonctif est plus abon- dant qu'à l'ordinaire
res musculaires avec surcharge graisseuse et légère augmentation du
tissu
conjonctif interstitiel. Les muscles thénar et
, c'est une augmentation très accentuée des cellules adipeuses du
tissu
interstitiel. Dans le larynx, le muscle de la c
des noyaux n'est pas con- sidérable ; pas d'augmentation notable du
tissu
conjonctif. Dans le court fléchisseur des ortei
es deux côtés de la fissure longitudinale se trouvait un filet de
tissu
normal séparé des parties voisines par du tissu
uvait un filet de tissu normal séparé des parties voisines par du
tissu
conjonctif. Beaucoup de corpuscules amyloïdes 1
iers abondaient également autour du canal central. Développement du
tissu
conjonctif dans les cordons la- téraux. La dé
postérieure. Cette dernière contenait par place un développement du
tissu
conjonctif. . La région cervicale, au niveau du
E ÉPINIÈRE. 45 amenèrent-elles une altération quelconque dans les
tissus
de la moelle ? C'est ce que M. Güssenbauer s'ab
était devenue conique, et ses faisceaux nerveux transfor- més en
tissu
scléreux. Les cellules nerveuses étaient atroph
térieurs, qui se transforment dans une partie de leur étendue en un
tissu
cicatriciel, etc. Les recherches ultérieures de
et qu'il considère comme des cellules régé- nératrices provenant du
tissu
conjonctif qui entoure les faisceaux nerveux de
variablement dans le même ordre, et présentent des modifications du
tissu
parfaitement déterminées. D'a- t Wollbern. - Di
te, vers le septième jour, on observe un développement morbide du
tissu
conjonctif, qui plus tard s'étend en réseau et
a-médullaire des racines postérieures. A mesure que les éléments du
tissu
conjonctif se développent, ils forment un résea
les mailles duquel on voit des cellules étoilées. En croissant, le
tissu
conjonctif comprime de plus en plus les tubes n
rieures de la région lombaire. Continuant à gagner du terrain, le
tissu
conjonctif envahit toute l'étendue du cordon po
it toute l'étendue du cordon postérieur, ne laissant qu'un filet de
tissu
plus ou moins indemne le long du bord interne d
ré (Voy. PL. I, fig. 5.) Les suites d'un semblable accroissement de
tissu
conjonctif ne tardent pas à se faire sentir, et
mmatoires consécutifs sont le point de départ de l'accroissement du
tissu
conjonctif trouvé en abon- dance dans la région
lie; ALTÉRATIONS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 59 4° Un accroissement du
tissu
conjonctif dans le cordon postérieur du côté op
Dans trois expériences, nous avons pu nous assurer que le réseau du
tissu
conjonctif commence à se des- siner dès le sept
lules des cornes antérieures. Ces modifications constantes dans les
tissus
de la moelle font ressortir les graves conséque
ordons postérieurs, dont les éléments nerveux sont remplacés par du
tissu
conjonctif. En d'autres termes, nous nous trouv
e l'inégalité des cordons posté- rieurs, entièrement envahis par du
tissu
conjonctif qui a remplacé les éléments nerveux
une opération qui est constamment suivie d'un envahisse- ment du
tissu
conjonctif qui comprime les éléments nerveux de
IONS DE LA MOELLE EPINIERE. 68 postérieur, A, sont remplacés par du
tissu
conjonctif. La corne posté- rieure, B, est atro
est moins marquée que dans la figure précédente. Envahisse- ment du
tissu
conjonctif qui remplace les éléments nerveux dans
rdon postérieur croit A. Les éléments nerveux sont remplacés par du
tissu
conjonctif dans tout le faisceau de Goll et dan
ieur du côté de la trac- tion A. Envahissement de ce dernier par le
tissu
conjonctif comme dans les figures 2 et 5. Le co
pas ça et là quelques cylindres axiles restés intacts au milieu du
tissu
sclérosé. La réapparition alors du cylindre de
ix-huit ans. Certes, à cet âge, le corps est en dévelop- pement. Le
tissu
nerveux a plus de vivacité et les phénomènes de
nc les échanges en acide phosphorique qui se passent au sein de nos
tissus
en même temps qu'il diminue l'élimina- tion de
dans les conditions ordinaires de la vie, se passent au sein de nos
tissus
, se font sentir sur l'éli- mination de l'acide
t faible de matière albu- minoïde qui entre dans la constitution du
tissu
nerveux et la quantité relativement considérabl
l, est dû à des échanges plus actifs se passant dans l'intérieur du
tissu
nerveux et exprime un déchet en acide phosphori
igé d'admettre que l'acide phos- phorique est lié à la nutrition du
tissu
nerveux. Poursuivons notre étude. L'acide phosp
apeutiques, cette aggravation provient des effets du courant sur le
tissu
nerveux sain (névrose électrique). - Il,- L'éle
ez ces animaux bien portants il existe une quantité considérable de
tissu
adipeux sur la dure-mère, les ganglions intervert
nes qui touchent à ces derniers, chez ceux qui sont ina- nitiés, le
tissu
graisseux est soit tout à fait atrophié, soit tra
çonné d'hypertrophie vraie; l'examen microscopique (dissociation du
tissu
frais ou durci) a révélé une augmentation du di
nes ne sont pas le résultat d'irritations banales de la peau ou des
tissus
pro- fonds chez des sujets particulièrement exc
des corps granuleux varie vrai- semblablement suivant la nature du
tissu
ambiant (circonvolution, pédoncule, protubéranc
te chez notre malade aucun trouble trophique : la peau est fine, le
tissu
cellulaire sous-cutané n'est pas augmenté d'épa
ue, comme on le suppose aujourd'hui, mais à la prolifé- ration du
tissu
conjonctif, spécialement dans les cor- dons pos
yenne, d'une constitution normale, les téguments externes pâles, le
tissu
cellulo-adipeux sous- cutané très faiblement dé
visibles. Dans les cordons latéraux, il y a légère prolifération du
tissu
conjonctif sur leur bord postérieur. Dans les cor
côté droit, surtout dans son tiers moyen, mais la prolifération du
tissu
conjonctif s'étend sur tous les faisceaux de Go
la moelle épinière dans le renflement cervical. - Prolifération du
tissu
conjonctif des cordons postérieurs et du bord a
ale 3 la limite des portions cervicale et dorsale. Prolifération du
tissu
conjonctif des cordons postérieurs et du bord e
ines de la troisième paire dorsale, on remarque la prolifération du
tissu
conjonctif, aussi dans les cordons antérieurs,
clérose reste le même, seulement à mesure que la proliféra- tion du
tissu
conjonctif des cordons latéraux augmente, les f
ns les parties antérieures des cordons latéraux la prolifération du
tissu
con- jonctif est beaucoup diminuée et présentée
és sui- vantes : a) Partout nous trouvons que la prolifération du
tissu
conjonctif atteint de plus grandes dimensions à
eille, nous rencontrons relativement le plus grand développement du
tissu
conjonctif. e) Dans la substance grise, nous tr
u voisinage immédiat de la pie- mère et un développement exagéré du
tissu
conjonctif autour des vaisseaux. Tout cela mè
. J. Teissier pense que de même qu'elle produit 1 la raréfaction du
tissu
osseux, l'ataxie peut entraîner la résorp- tion
it d'une atrophie simple des tubes nerveux, sans proliféra- tion du
tissu
conjonctif; la numération des tubes sur un milli-
tricules latéraux étaient remplis d'uu liquide séreux louche et les
tissus
voisins étaient très ramollis. Chez ce malade,
er- REVUE DE thérapeutique. 43 cules, et de la tolérance dont les
tissus
font parfois preuve à leur égard. ' Ce qui di
Les éléments nerveux du cordon postérieur, A, sont remplacés par du
tissu
conjonctif. La corne posté- fleure, B, est atro
est moins marquée que dans la ligure précédente. Envahisse- ment du
tissu
conjonctif qui remplace les éléments nerveux dans
rdon postérieur droit A. Les éléments nerveux sont remplacés par du
tissu
conjonctif dans tout le faisceau de Goll et dan
ieur du côté de la trac- tion A. Envahissement de ce dernier par le
tissu
conjonctif comme dans les figures i et 5. Le co
ire, il déclare bien qu'il considère cette lésion comme un .type de
tissu
de granulation (Granu- lations-geschwulst), mai
cellules embryonnaires infiltrantes. Ces cellules appartiennent au
tissu
mésodermique ; ce sont des cellules fixes, qui
arrondies, plus ou moins confluentes, situées dans des points où le
tissu
environnant prend une teinte un peu plus foncée
ent par des globules rouges, très bien conservés, infiltrés dans le
tissu
cellulaire lâche de la région. A la base du cer
un peu graisseux. Le foie est brunâtre, granulé sur la coupe et son
tissu
crie un peu sous le couteau. Le pouce n'y entre
ne pièce de 5 francs, à bords nets, à fond lisse; sur une (coupe le
tissu
rénal est scléreux à cet endroit et mesure à pe
ent espacés; ces tubes sains sont séparés les uns des autres par un
tissu
fibrillaire qui contient de très nombreux corps
colorées à 1'liématoxylitie les noyaux sont très abondants dans ce
tissu
: les vaisseaux en sont couverts; sur les coupe
es intimes, tellement fortes qu'on enlève avec elle des lambeaux du
tissu
mus- culaire. Ces adhérences n'occupent que la
une ten- tative de suicide ? Cette. balle n'avait pas' atteint' le
tissu
cardiaque. Tels sont les-' faits sur'lesquels j
chirurgie). Les recherches microscopiques ont fait connaître les
tissus
normaux et pathologiques; la découverte des local
llulaire uë .1 apparence coiolli- forme. 1 1 .rnn,, ,nfrl ·f ? Le
tissu
composant les fuseaux diffère quelque peu de celu
métamorphoser en de véritables loges. De'reticiilé qu'il était, ce
tissu
aevie ainsi nettement alvéolaire ! ' Ordinairem
t homogène, résultant de la' stratification avec fonte hyaline du
tissu
connectif à faisceaux grêles dont se compose la p
tème tout entier représente pour lui une adaptation particulière du
tissu
connectif qui " aurait' pour but ' de' soustrai
ncontre accidentellement, chez d'autres animaux et chez l'homme, un
tissu
offrant la même composi- tion histologique que
de longs intervalles. Dans ces conditions, la présence d'un pareil,
tissu
constitue déjà un fait anormal. Et s'il,vient s
er comme telle le. terme très vague d'hyperplasie circonscrite du
tissu
conjonctif- des nerfs adopté par Trzebinski. Les
étroitement jux- taposés et dont l'agglomération constitué, avec le
tissu
stroma- tique qui les entoure, un foyer relativ
dyentive, tandis que le 1 fuseau se renfle' librement aux dépens du
tissu
nerveux qu'il déprime en proportion de son volu
-a.-i;-I4 as-tlw. : t. jjp>t : i us-vt A cause de la .ténuité du
tissu
dont elle se compose, la masse 3- enveloppante;
)'uî)0 Enfin, pourr, achever , la- constitution, du ! .foyer, .une
tissu
conjonctif,relativement lâche'(PL : I,yg : 3, e
observe-t-on,1 en ce point,'tune condensation'' plus grande» du '
tissu
. Il'est bien évident que cette-apparence peut 'se
sion de noter la présence des cellules godronnées.' Au milieu de ce
tissu
; 'et toujours en dehors des foyers propre- ment
face externe de là'plaque n'existe une véritable "conti-' nuité de
tissu
entre la gaine et le'foyer, que du côté du fais
iques dont lesideux extré- mités plongent en quelque sorte dans un.
tissu
réticulo-alvéo- laire et qui.se trouvent en, ou
rouvent en, outre reliés-au faisceau nerveux par une couche du même
tissu
. " ' . Quant aux productions composites,, elles
es que l'on trouvera plus loin, tendent à démontrer que de tous les
tissus
névriculaires, c'est précisé- ment l'endonèvre
veux la formation d'un vide que tendrait à combler l'hyperplasie du
tissu
vésiculaire de Renaut. Mais l'auteur ne tient p
mésoneuriales et qui bien certainement n'ont rien à faire avec le
tissu
nerveux ? Même sans tenir compte de ces restric
bituelles. Plusieurs d'entre elles sont si largement enveloppées de
tissu
nerveux qu'elles prennent une apparence insulai
Presque toutes aussi sont régulièrement oblongues. Quel est donc le
tissu
aux dépens duquel se développent les foyers , e
s couches nouvelles et que, d'autre part, la structure primitive du
tissu
est nettement trabéculaire,on verra bientôt le
ginal serait] une] simple modalité d'un.système mésodermique - le
tissu
fibro-hyalin extrêmement développé chez les inver
res, dont ils forment pour ainsi dire le squelette. En principe, ce
tissu
ne devrait plus se rencontrer chez les vertébré
ien, de plus naturel, si cette hypothèse 'est exacte/ que de voirie
tissu
protecteur s'accumuler ^de préférence vers la f
rritation .dans les milieux sur les- quels s'exerce son action. Les
tissus
réagiront ici comme ils le font d'habitude vis-
sition de'couches adventives sur sa face profonde, et de l'autre le
tissu
endoneurial de la zone corticale du faisceau' d
pour ainsi dire constamment d'altérations inflamma- toires dans les
tissus
circonvoisins.'Je citerai entre autres l'épaiss
enfini l'hypertrophie 'qui souvent atteint la masse tout entière du
tissu
conjonctif intra- ` fasciculaire. '>» ' - 1
tération tellement pro- noncée, développée au contact immédiat d'un
tissu
aussi impres- sionnable, ne compromît en rien l
des formations morbides. Mais si la condensation hypertrophique du
tissu
s'opère dans un ordre irrégulier de manière à e
ge du faisceau nerveux (g), représentant une des formes diffuses du
tissu
mésoneurial. En f, des cellules entourées déjà
, est unique- LA MÉSONEURITE NODULEUSE. 111 ment constitué par du
tissu
fibreux condensé; le corps même du fo)er ne ren
masse nerveuse, le périnèvre et le foyer, sont seuls occupés par du
tissu
mésoneurial fondamental (m, m). La grande masse
leuse. Nulle part'on ne trouve de reti- culum mésoneurial autour du
tissu
lamelleux. Enfin', les grosses cellules endothé
a coupe on trouve dans les deux tiers supérieurs de leur hauteur un
tissu
noirâtre, fibreux, criant sous le scalpel, crib
fibreux, criant sous le scalpel, crible'de granulations grises. Ce
tissu
est creusé de bronches' dilatées et'de cavernes
es et'de cavernes rameuses, surtout à gauche. En quelques points le
tissu
est blanc grisâtre, ferme, lar- dacé/et parsemé
t en granuleux, pâlit et tombe en un détritus qui se répand dans le
tissu
filainbiaiit., Ces 'éléments se rassemblent par
transitoire, la mi- graine ophtalmique, etc. A un moment donné, le
tissu
nerveux - cède et l'encéphalite, de purement' v
e, des découvertes de Golgi relativement à la macération longue des
tissus
, dans les solutions chromiques pour accentuer l
renant la question au point où l'on tenait encore la névroglie pour
tissu
conjonctif, il montre comment l'embryologie vin
ues adventices; quand celles-ci se rompent, le sang s'épand dans le
tissu
ambiant qui, à son tour, se ramollit, se nécrob
se. Il y a des cas dans lesquels il se produit une prolifération du
tissu
conjonctif, des cellules de la névroglie, et de
laire peut provoquer une thrombose secondaire. Naturellement le ,
tissu
du cerveau est imbibé, dissocé; les cellules nerv
e pont de Varole;avait été si abondante,' et la'désorganisation des
tissus
était te)le;'qu'il''a'été"impossible'do détermi
1., . ,. Quatorze observations., Lésions ^des fibres, nerveuses, du
tissu
conjonctif interstitiel 'et des cellules elles-
ns , 'lesquels-, on trouva : multiplication énorme, des noyaux du.)
tissu
*' conjonctif interstitiel, stase . sanguine ext
e sont, 1res athéromateux. Les circonvolutions, sont àlrophiéesjile
tissu
cérébral mou etspou- gieux. Il y a un,,vaste ra
absolue. Une L'êne est bien due à l'accumulation de l'air dans les
tissus
du cou, mais sans dyspnée ni hyperthermie, ce '
anglions en ques-' lion sont altérés : hyperplasie et rétraction du
tissu
conjonctif; pigmentation anormale, dégénérescen
rveux (fibres, puis cellules), des ganglions spinaux. L'atteinte du
tissu
conjonctif interstitiel, (obs., I et 11), expli
plupart des tumeurs ne se substituent pas molécule à mo- lécule aux
tissus
dans lesquels elles se développent. Elles s'acc
de la compression se surajoutent alors à ceux de la destruction des
tissus
et compliquent à tel point les réactions fonction
ménlâlé, M. Goodall, constatant que les inflammations localisées du
tissu
cellulaire, que la cellulite, en un mot, parait
. Ce sérum s'épanche autour des capillaires, dans la trame lâche du
tissu
connectif, et passe jusqu'à la surface épithélial
nectif, et passe jusqu'à la surface épithéliale par les orifices du
tissu
de la dure-mère. Dans quelques circonstances as
oxy- datio'n's'd'a'ccroissemeht'$de la' proportion' d'eau 'dans le
tissu
ner- veuz,`dimitiüeiaus`siles ôydâtton·;`provëq
,i. j z En' résumé, si la compression' des éléments nerveux par. le;
tissu
interstitiel agissant comme dans lai-cirrhose d
é' rapides " comme la pensée, ou comme une balle pénétrant'dans les
tissus
'. Elles survenaient dans les premières heures'
'oxydation des matières hydrocarbonées et emmagasinernent, dans les
tissus
soit des graisses alimentaires, soit des graiss
ge du faisceau nerveux (9), représentant une des formes diffuses du
tissu
mésoneurial. En f, des cellules entourées déjà
et pour ainsi dire irréductible, est unique- ment constitué par du
tissu
fibreux condensé ; le corps même du foyer ne re
masse nerveuse, le périnèvre et le foyer, sont seuls occupés par du
tissu
mésoneurial fondamental (m, m). La grande masse
leuse. Nulle part on ne trouve de reti- culum mésoneurial autour du
tissu
, lamelleux. Enfin, les grosses cellules endothé
omme incapable de produire une modifica- tion dans la nutrition des
tissus
; l'absence de trou- 1 Un résumé de ce travail
obable qu'il aurait révélé de profondes altérations des éléments du
tissu
nerveux. L'observation du malade et l'autopsie
araignées, dit-il, sont fibro-plastiques; c'est d'elles qu'émane le
tissu
scléreux; les couches de fibres conjonctives de
La graisse qui les composait paraissait, au micros- cope, formée'de
tissu
coritiectif et de cellules adipeuses. 1/ n'y av
en bas au-delà des clavicules, elles semblent faire corps avec les
tissus
sous-cutanés plutôt qu'avec les tissus sous-jac
emblent faire corps avec les tissus sous-cutanés plutôt qu'avec les
tissus
sous-jacents. Il n'y a aucune prolongation de c
l'action incontestable exercée par ce système sur la nutrition des
tissus
est modifiée ou sup- primée ; or, cette modific
âles, la peau est pâle, sèche, Sur- tout aux jambes et aux bras; le
tissu
cellulaire sous-cutané est atrophié; les muscle
très peu d'éléments cellulaires et présentent un épaississement du
tissu
conjonctif. Les cylindres axes sont, a cer- tai
erémie stasique du canal dorsal entraînant après elle l'atrophie du
tissu
osseux dans les corps vertébraux. La dure-mère,
perpendiculaire passant par la commissure antérieure du cerveau. Le
tissu
malade est du gliosarcome (sarcome granuleux de
s lequel l'altération primitive consisterait en la prolifération du
tissu
con- jonctif, se développant le long des truucs
de près du triple) jevenue presque ronde, cylindrique; intégrité du
tissu
conjonctif et de ses noyaux, mais multiplicatio
dermique à des doses maxi- mum de 0,20 produisait une irritation du
tissu
cellulaire et de la peau fort tenace quoique sa
le doigt, comme infiltrée et paraît recouvrir une épaisse couche de
tissu
cellulaire lâche; au devant du thorax elle est
tes entre le sternum, les cartilages costaux et le poumon droit. Le
tissu
cellulo-adipeux qui recouvre le péricarde est o
érieur gauche existe quelques petites ecchymoses sous-pleurales. Le
tissu
pulmonaire, très compacte au lobe inférieur, l'
ormaux, le gauche sinueux. Capsules surrénales, saines. - Reins. Le
tissu
cellulaire péri- néphritique est comme oedémati
ion une bile claire, peu visqueuse. Vésicule biliaire normale. - Le
tissu
hépatique semble un peu plus ferme que normalem
stin et des fibres striées musculaires de la paroi abdominale. Le
tissu
adipeux sous-cutané, abondant dans toutes les r
et se confondaient à leur péri- phérie d'une façon diffuse avec le
tissu
adipeux sous- 322 CLINIQUE NERVEUSE. cutané e
La peau est pâle, lisse et peu tendue ; elle est mobile sous les
tissus
sous-jacents qui sont mous et flasques. On sent q
ncisions faites à la peau mettent à découvert une épaisse couche de
tissu
cellulo-graisseux. Nulle part on ne trouve d'in
très prononcé de la voûte crânienne, une ménino-encéphalite(2). Le
tissu
adipeux sous-cutané criait sous le scalpel, éta
ent sous la pression et, quoique donnant aux doigts la sensation du
tissu
lipomateux ou myxomateux, rappellent également
IDIOTIE AVEC CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 349 développement exagéré du
tissu
adipeux sous-cutané; pseudo- lipomes sus-clavic
noté que les cellules de la glande thyroïde sont comprimées par du
tissu
de nouvelle formation. (Dyce-Duckworth. Two cas
rectum, la peau du thorax et de l'ab- domen n'est pas modifiée, le
tissu
adipeux sous-cutané est bien développé, un peu
ématié, musculature du thorax oedémaliée, très pâle, presque grise.
Tissu
graisseux sous-séreux de l'abdomen fortement dé
ux ; il en est de même des gros troncs descendants; aucune trace de
tissu
thy- roïdien. ' Sur le cuir chevelu, nombreus
rares. L'épais- sissement de la calotte est surtout produit par le
tissu
adipeux oedématié. - Dure-mère sans grands chan
e également normale : pas d'hypertrophie des fibrilles musculaires;
tissu
adipeux interstitiel abondant. - 4° La peau des
rdinaire, avec faible participation de la subs- tance corticale. Le
tissu
de l'arachnoïde et surtout de la pie-mère paraî
On pouvait constater de plus l'accu- mulation de la mucine dans le
tissu
conjonctif. Les nouvelles recherches de M. Hors
De l'opinion de ceux qui croient que le processus de réparation des
tissus
chez les animaux inférieurs diffère REVUE DE PA
ne peut pas être tirée de l'un à l'autre. Quoiqu'admettant que les
tissus
des animaux inférieurs ne sont pas si souvent l
le morceau de peau puisse être séparé du cerveau par un coussin de
tissu
connectif normal doux (c'est-à-dire 390 REVUE D
second lieu, elle agit comme un échafaudage pour la construction du
tissu
connectif normal. Ce dernier point est très net
- sure au bout de quelques jours, la cavité toujours remplie d'un
tissu
connectif rosé, délicat, spongieux, dont les mail
s mailles con- tiennent l'exsudation mentionnée ci-dessus. C'est le
tissu
connectif qui formera une barrière élastique en
rver ici que, dans le cas d'une seconde opération, on trouverait le
tissu
cicatriciel plus vascu- laire que les tissus no
ation, on trouverait le tissu cicatriciel plus vascu- laire que les
tissus
normaux et que la dure-mère est légèrement adhé
dure-mère, l'arachnoïde et la peau formaient une mass homo- gène de
tissu
fibreux; la dure-mère fut relevée avec le lambeau
isée sur une profondeur de deux centimètres. On trouva alors que le
tissu
cicatriciel pénétrait plus profondément de quel
DE PATHOLOGIE NERVEUSE. l'opération. Sa tumeur était composée d'un
tissu
fibreux dense, avec deux foyers caséeux, reconn
terne de la fistule du crâne, laquelle fistule était remplie par du
tissu
cicatriciel. De plus, la dure-mère avait été déch
tres de profondeur, sur un centimètre de large, et était remplie de
tissu
connectif lâche. Elle était exactement située à
et de sa pression) entraîne des vibrations toutes particulières du
tissu
de ce tuyau élastique, vibrations qui, en se limi
n nouveau procédé. L'examen des cellules nerveuses, des noyaux du
tissu
conjonctif, des parois vasculaires exige l'emploi
emblant fendues dans leur longueur), de l'hypergénèse des noyaux du
tissu
con- jonctif, multiplication des noyaux des fib
nte surtout de l'atrophie des fibres accompa- gnée d'hypergenèse du
tissu
conjonctif sans aucune accumulation de cellules
orsal ne contient presque plus de fibres, il comprend des masses de
tissu
conjonctif et de cel- lules de graisse ; le pro
graisse ; le processus commence donc non par la prolifé- ration du
tissu
graisseux, mais par une hypertrophie musculaire
ée d'atrophie de nombreuses fibres^et d'hy- perplasie simultanée du
tissu
conjonctif. M. SGHULTZE (d'Heidelberg) apporte
e métamorphose graisseuse du même organe. Dans l'atrophie simple du
tissu
cellulaire du bassin, alliée du reste à de l'at
reund a vu le ganglion qui nous occupe, comprimé par des tractus de
tissu
conjonctif cicatriciel ; les cellules en étaien
de la nutrition portait sur les os et les mus- cles, et non sur le
tissu
adipeux sous-cutané. Chez les six hémi- plégiqu
e, qui diffère cependant de la sensation de résistance que donne le
tissu
osseux. Visage ovale, joues légèrement pendante
ils acquièrent une cer- taine mobilité qui leur permet d'envahir le
tissu
nerveux ambiant. M. de Buck attribue aux cell
à l'examen microscopique se sont mon- trées être constituées par du
tissu
muqueux un peu particulier. Dans les centres ne
mère y est également libre. La pachyméningite est constituée par du
tissu
conjonctif fibreux disposé un lames parallèles,
s sont dénudées sur une longueur de 8 cm. le périoste a disparu, le
tissu
osseux est noir et résistant. Fistules sur le t
tendue à droite et dans laquelle la dure-mère est demi- décollée du
tissu
osseux. A droite, l'r1 ? Jphale est recouvert p
ert par une tumeur dure, entière- ment comprise dans l'épaisseur du
tissu
durai et s'ètendant depuis l insertion ethmoïda
pe, on constate que cette tumeur est développée dans l'intérieur du
tissu
durai, qui l'enveloppe entièrement d'une gangue
ance, infiltrée, les masses musculaires sont moins distinctes, leur
tissu
a subi la dégénérescence graisseuse ; elles se
nâtrecircusc, striée d'ocre, ayant tout à fait perdu l'apparence du
tissu
normal, et se laissant difficilement diviser en f
CILLITÉ LT ÉPILEPSIE CONSÉCUTIVES A UN KYSTE. 101 tiennent moins de
tissu
compact que les diaphyses droites (difte- rence
tié pour les humérus). A gauche également les tra- vées osseuses du
tissu
spongieux sont plus écartées et circunscri- ven
vant la mé- thode de Van Gieson se sont montrées constituées par du
tissu
conjonctif fibreux, dense et pauvre en éléments
reux, dense et pauvre en éléments cellulaires, mais au milieu de ce
tissu
fibreux, on trouve des portions complètement os
élément périphérique, local (pressions et troubles tro- phiques des
tissus
comprimés) ; les eschares talonnières ou planta
n latéral des pyramides particulièrement affectée contient moins de
tissu
nerveux et une très notable exagération de la n
lion de texture. Entre le-, cellules restantes, groupées, existe un
tissu
intermédiaire tantôt remarquablement riche en noy
riche en noyaux, tantôt d'une pâleur anormale ; ça et là tractus de
tissu
conjonc- lit ancien. On peut suivre la dégénére
nent kystiques. Au microscope, autour d'un vaisseau, on voit que le
tissu
nerveux est raréfié et peu coloré : la névrogli
motraasplaatcction). Chez les animaux il. sang froid, le froid -les
tissus
ambiants arrête la dégénérescence, de sorte que,
ro-transptantation. Il semble que dans le premier cas le contact du
tissu
vivant, pré- servant le morceau de nerf, le ren
apte a la dégénérescence, tandis que dans le second le contact d'un
tissu
qui diffère du sien lc lue et le rend inaplu à
c lue et le rend inaplu à dégénérer comme s'il était inséré dans un
tissu
mort. On a essayé de modifier les effets de l'aut
inégalité de gonflement et l'augmentation des éléments jeu- nes du
tissu
conjonctif. Peu à peu il s'établit une élévation
striation trans- versable, augmentation des noyaux, hypertrophie du
tissu
con- jonctif. Pas de lésions importantes du sys
déversement dans le sang de pro- duits toxiques qui imprègnent les
tissus
. Le foie altéré ne remplit plus sa fonction ant
ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES XXXVL De quelques altérations du
tissu
cérébral dues à la présence de tumeurs; par WEB
que les ventricules sont dilatés, dans le voisinage de ceux-ci ; le
tissu
cérébral, grâce à la résistance qu'il y oppose,
onvolutions se rapprochent d'abord, fermant les scissures, puis les
tissus
deviennent plus denses, leur dessin s'efface : c'
plus dilaté, fait qui rétablit l'équilibre dans la compression des
tissus
. Dans leurs observations, les auteurs n'ont pas
e ; mais ici un élément nouveau vient s'ajouter : l'hypertrophie du
tissu
con- jonctif. L'auteur rapporte d'ailleurs tout
des masséters; dans la fosse temporale il ne paraît plus exister de
tissu
cellulaire ni du muscle. Le mass(Ler existé ene
itrophique d'origine nerveuse. Il fait remarquer que l'atrophie des
tissus
profonds se fait en même temps que le trouble tro
tion de diverses portions de l'ecto- derme et de l'endoderme (peau,
tissu
cellulo-graisseux, mu- queuse linguale). Apha
ude de chaque chercheur. A côté des méthodes applicables à tous les
tissus
, il existe des méthodes véritablement électives
ions nerveuses. une étude d'ensemble rapide de tous les éléments du
tissu
nerveux. On peut ainsi, presque de suite, avec
ession à laquelle sont respectivement soumis le muscle, la peau, le
tissu
cellulaire sous-cutané. C'est un compas de Bau-
sont point du tout le résultat de la simple excitation mécanique du
tissu
musculaire propre. Les mus- cles, en effet, con
tissu musculaire propre. Les mus- cles, en effet, contiennent deux
tissus
excitables, le tissu muscu- aire et le tissu ne
re. Les mus- cles, en effet, contiennent deux tissus excitables, le
tissu
muscu- aire et le tissu nerveux. Il faut donc q
fet, contiennent deux tissus excitables, le tissu muscu- aire et le
tissu
nerveux. Il faut donc que l'état du système ner-
iennes, poisons chimi- ques ou microbiens, altération mécanique des
tissus
, hémorrha- gies, etc.). Dans le travail actue
lui donnent un aspect opaque, jaunâtre.En dehors suit une couche de
tissu
embryonnaire, d'épaisseur variable ; en de- hor
embryonnaire, d'épaisseur variable ; en de- hors elle aboutit à un
tissu
lâche de cellules fusiformes, enfin vient la co
se montre qui forme la li- mite entre la membrane de l'abcès et le
tissu
nerveux.- Ziegler parle simplement d'un (issu d
implement d'un (issu de granulations qui se transforme plus loin en
tissu
conjonctif fascicule. Le tissu cérébral autour de
tions qui se transforme plus loin en tissu conjonctif fascicule. Le
tissu
cérébral autour de l'abcès est d'ordinaire, et
cès, et étudier les altérations progressives des divers éléments du
tissu
nerveux. Il a pu noter progres- sivement les al
auvre en noyaux,colorée en jaune rouge par le Van Gieson, couche de
tissu
névroglique nettement dilféren- ciéedela couche
n de cette paroi. Il la considère comme essen- tiellement formée de
tissu
conjonctif, venu de la pie- mère en suivant les
nfin Friedmann ajoute (page 511) une 4e zone, plus extérieure où le
tissu
fonda- mental névroglique semble conservé, où p
de la capsule formée de deux couches : l'une interne, composée de
tissu
lâche très riche en vaisseaux, avec parfois des
n vaisseaux, avec parfois des hémorrhagies ; dans les mailles de ce
tissu
, sont placés des éléments cellulaires très nomb
les éléments qui sont en connexion avec les vais- seaux ou avec le
tissu
conjonctif qui les accompagne. (1) Koelpin. Deu
- ternes où s'organise progressivement la réaction défen- sive du
tissu
nerveux. - Nous devons à l'obligeance de notre
ressées les unes contre les autres, elles donnent l'impression d'un
tissu
compact, fortement organisé et résistant.Les ce
lutôt que par ses caractères irritatifs et qui ne se distingue du
tissu
nerveux voisin normal que par cette extrême abon-
. Pour eux, la barrière défensive est essentiellement formée par le
tissu
conjonctif, venu avec les vaisseaux de la pie-m
ne nous semble pas qu'il s'agisse, comme le veut Westphall, d'un
tissu
normal non encore détruit par la purulence : l'or
articularités anatomiques et histologiques du système nerveux et du
tissu
pseudencéphalo- médullaire ; la répercussion de
PATHOLOGIQUES. 497 et concuremment avec des hémorrhagies détruit le
tissu
nerveux en se substituant à lui. C'est la mén
stinctes : 1° De lésions portant sur les méninges et les différents
tissus
du cortex ; ` ? ° délestons exclusives des cell
foie,de la rate et de la trompe gauche, angiomes développés dans le
tissu
cel- lulaire des régions ( voisines de cet orga
dien et la dure-mère, à laquelle elle adhère, est constituée par un
tissu
angiomateux pur, l'autre, située entre la dure-
umeur comprime la moelle, sans lui adhérer et est constituée par un
tissu
d'apparence sarcomateux : sans formation angiom
dans la démence catatonique, par Barbé, 161. Altérations. Voir
Tissu
cérébral. Altruisme morbide. L'- - dans la pa
o- calisations fonctionnelles de l'émotivité, par Périllon, 65.
Tissu
crérébral. De quelques allé- rations du - - due
aboutit à la destruction de l'élément noble qui est remplacé par un
tissu
nouveau qui, tantôt est une infiltra- tion eére
iste encore que des altérations minimes du côté des vais- seaux, du
tissu
névroglique et à un moment où la sclérose fait
s- qu'on la constate avec netteté, on peut déjà découvrir dans le
tissu
connectif un léger degré d'infiltration oedémateu
primitive de l'élément nerveux lui-même soit commandée par celle du
tissu
ambiant. Peu à peu un tissu de sclérose à for
lui-même soit commandée par celle du tissu ambiant. Peu à peu un
tissu
de sclérose à forme myxomaleuse ou inflammatoir
su de sclérose à forme myxomaleuse ou inflammatoire va remplacer le
tissu
nerveux insensiblement détruit et constituer un
sudats ventri- \ REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 47 culaires, les
tissus
et eu particulier la peau s'altèrent, des throm-
ent et des pigments dérivés de l'hémo- globine se déposent dans les
tissus
qui prennent la teinte bronzée caractéristique.
les sarcomes n'aient que peu ou point de tendance à se propager au
tissu
nerveux : ce sont des tumeurs très vasculaires, n
tement sur le sang, les parois vascu- laires (artério-sclérose), le
tissu
nerveux et détermine ainsi des accidents nerveu
les agents pharmacodynamiques antisyphili- tiques peuvent léser les
tissus
et aboutir à des névropathies. P. K. XXVI. Co
de la substance musculaire est excessive; il y a sura- bondance de
tissu
adipeux sous-cutané. A une certaine période de
nérescence homogène, et fragmentaire; on y note de l'hyperplasie du
tissu
conjonctif, avec lipomatose, une faible hypertr
amen des vaisseaux, des cylindraxes, des gaines myéli- niques et du
tissu
sain ambiant, n'ont rien à voir avec celles de
le ; la transpiration devient appréciable. L'état myxoedémateux des
tissus
sous-cutanés devient moins accusé, et les trait
ondamentaux du myxoedème (modifications de la peau modifications du
tissu
sous-cutané modifications de l'activité normale
aire; la base du triangle osseux avait pénétré profondément dans le
tissu
cérébral, formant presque un angle e droit avec
quille ou tumeur), dans la substance cérébrale, donne lieu, dans le
tissu
nerveux périphérique, à des modifications de st
courbe dont la partie la plus superficielle était remplacée par du
tissu
sclérosé. Les auteurs supposèrent que cette lés
t, provoqué des hallucina- tions, lesquelles disparurent lorsque le
tissu
nerveux eût subi une destruction plus profonde.
appliquées sur la peau, de la polarisation des électrodes et des
tissus
, de la résistance du circuit dans ses différentes
produit une action électro- lytique au niveau des électrodes ou des
tissus
du corps, le courant de polarisation qui en rés
ment vraie, puisque nous savons parfaitement que des altérations de
tissu
peuvent don- ner naissance à des agents toxique
rations ait été entièrement sous la dépendance des modifications du
tissu
cérébral. L'auteur ne se propose pas de discute
phénoïdales supér ieure, moyenne et inférieure. Sous le robinet, le
tissu
cérébral laisse voir une cavité qui pénètre dan
e petites hémorragies du système nerveux, dans la multiplication du
tissu
conjonctif (surtout dans les cordons postérieur
ne dégénérescence des racines postérieures, une multi- plication du
tissu
conjonctif des cordons latéraux et la leptoméni
DANS LA POLYNÉVRITE. 179 fut constaté le développement très fort du
tissu
conjonctif dans le faisceau de Goll. Dans l'o
aphiques. '1 92 THÉRAPEUTIQUE. riences faites sur la toxicité des
tissus
, du sang et de l'urine, par Gley, Lamori, Masoî
aissait pas avoir de glande thyroïde : ils in- troduisirent dans le
tissu
sous-cutané de la région mammaire, de chaque cô
rps thyroïde d'un mouton qu'on vient de tuer est débarrassé de tout
tissu
graisseux et conjonctif puis coupé en petits mo
rigoureusement aseptique. Les lobes débarrassés de la graisse et du
tissu
conjonctif sont saisis avec une pince stérilisé
tages de la simplicité. 11 évite les risques d'introduction dans le
tissu
sous-cutané des matières septiques qui peuvent
i les glandes thyroïdes , les avoir bien débarrassées de tous les
tissus
étrangers, les couper en petits fragments et les
divise en capsules renfermant une quantité de 10 centigrammes de
tissu
thyroïde frais. D'après l'auteur, cette préparati
itôt que possible après la mort du mouton sont débarrassées de tous
tissus
étrangers puis immédiatement sau- poudrées de p
battoir fournit en moyenne 300 grammes de pulpe débarrassée de tous
tissus
étrangers et ce poids se trouve réduit à 80 gr.
and abcès. Les deux abcès ne com- muniquaient pas : autour d'eux le
tissu
cérébral était un peu ramolli. L'auteur termi
ent facile à détacher, 'mais quelquefois elle entraine avec elle du
tissu
cérébral, comme cela arrive dans la paralysie gén
enté de le supposer. On constate ordinairement une hyper- plasie du
tissu
cotineclif, aboutissant à la destruction par comp
ièrement dans le liquide séro-sanguinolent que l'on trouve dans les
tissus
de l'oreille dans le cas d'hématome; si la répo
par la formaline ; ils agis- sent au contraire énergiquement sur le
tissu
connectif. Au contraire les cylindraxes ratatin
er son aspect. Lorsque l'on veut colorer la fibre nerveuse, - ou le
tissu
des centres nerveux - par la méthode de Weigert
ins avancé de déchéance sénile, relève de l'état de nutrition des
tissus
, ou, en d'autres termes, des caractères du sang e
ment modifiée. La paroi peut être épaissie par une prolifération du
tissu
musculaire et fibreux, ou bien encore s'infiltr
re s'infiltrer de graisse, comme dans les artères plus grosses. Les
tissus
qui constituent le vaisseau se fondent, prennent
La sclérose des artérioles est toujours suivie d'une hyperplasie du
tissu
connectif qui les entoure, paraissant prendre nai
lule nerveuse, mais ils ne sauraient demeurer sans effet sur l' les
tissus
des vaisseaux qui les charrient. En étudiant le
cents. La continuité de la surface se trouve ainsi affaiblie, et le
tissu
con- nectif voisin, dérivé de la névroglie et d
e de la diminution et de l'ap- pauvrissement de l'apport sanguin le
tissu
connectif de nouvelle formation peut dégénérer
connectif de nouvelle formation peut dégénérer de bonne heure en un
tissu
amorphe plus ou moins granuleux. R. DE MUSGRAVE
ssé des caillots adhérents apparaît couvert d'une couche épaisse de
tissu
adipeux. Les ventricules sont de dimensions nor
rupture, n'est plus à proprement parler qu'une poche très mince du
tissu
conjonctif et graisseux. Le système artériel n'
à travers le crâne fracturé, trois d'entre elles pénètrent dans le
tissu
cérébral. Le siège du traumatisme était la tempe
oi postérieure : la tunique musculaire fut ensuite divisée jusqu'au
tissu
connectif. Le résultat de cette opération, bien
nt disparu. Accumulation d'une quantité notable de sérosité dans le
tissu
cel- lulaire de la face dorsale de la main gauc
ière du vaisseau. On trouve parfois des petites hémorragies dans le
tissu
cellulaire péri- vasculaire sur quelques prépar
il n'y ait pas de troubles trophiques nets, les hémorragies dans le
tissu
cellulaire, dans l'épaisseur des tuniques vascu
e l'atrophie de la peau, des muscles et des os, des destructions de
tissus
(eschares au sacrum, abcès dits «abcès des alié
es microbes de l'intestin, dont l'influence est très active sur des
tissus
de 380 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. résistanc
cture est abaissée, l'examen histologique révèle une altération des
tissus
qui concourent à constituer la force architectu-
LOGIQUES. en renouvelant une fois la liqueur, de petits morceaux de
tissus
dans l'alcool à 95° ; on les met ensuite dans u
térisées par une disparition complète de la cellule absorbée par un
tissu
étranger, il montre que la degénérescence organ
roi itérative que détermine l'infection aboutit à la production du
tissu
fibreux. Dans les cas observés, ces lésions, ab
s centres ou terminaisons associés. Quant à l'action trophique, les
tissus
en relation structurale et fonctionnelle avec les
ache ; ces centres en retour influent sur le processus nutritif des
tissus
. (Muscles considérés comme organes terminaux de
stances protéiques et enrayant l'accumulation de la mucine dans les
tissus
. Pour contrôler les expériences ci-dessus, il a
i ont empêché l'enfant de dormir. La plaie mise à nu laisse voir un
tissu
lardacé, infiltré. Il est enlevé à la curette ; l
sensation douloureuse est influencée par le degré de résistance du
tissu
sous-jacent; plus le substratum est dur, plus vio
ules ont disparu, et les cornes de la moelle sont remplacées par un
tissu
formé de névroglie, d'éléments épithé- 474 REVU
rtubulaires avec conservation de nombreux tubes dans les mailles du
tissu
scléreux. L'épaississement des gros vaisseaux est
et la transformation fibreuse des gaines des gros vaisseaux, et le
tissu
intersti- tiel qui entoure les capillaires est
nt saines. ' Dans les racines postérieures il y a épaississement du
tissu
intertubu- laire avec disparition des petits tu
res ont conservé des tubes nombreux et normaux, mais séparés par un
tissu
interstitiel manifestement augmenté de quantité.
e s'y enfonce librement. Or pour enfoncer plus profondément dans le
tissu
il faut augmenter la force de pression. D'un au
sseur de la peau. A épaisseur égale de la peau, c'est la densité du
tissu
sous-jacent qui en différents endroits agit sur
ns doute, est un prolongement direct de la moelle, constitué par du
tissu
médullaire. La tumeur, longue de 6 centimètres,
ons décrits. Dans six cas sur sept, -la tumeur était mobile sur les
tissus
sous- jacents ; parfois, dans son voisinage, le
que-hystérogène de la peau de la région mammaire, et d'un oedème du
tissu
conjonctif de la glande qui peut revêtir les as
dien se mit à couler, peu abondamment du reste, hors des mailles du
tissu
sous-arachnoïdien et la dissociation de celui-ci
t pathologique.) Homme de taille moyenne, dont la musculature et le
tissu
adipeux sont encore bien conservés. Goitre pare
antérieure, on remarque quelques taches brunâtres, situées dans le
tissu
adipeux sous-péricardique. Le coeur contient pa
dhérences. Sur la coupe, existe une forte hyperémie et de l'oedème du
tissu
pulmonaire. La muqueuse bronchique jusqu'aux br
s l'acide acétique. Ce sont donc des gouttelettes graisseuses. Le
tissu
adipeux entre les fibres musculaires est fortemen
ci dans l'acide osmique, des coupes sur lesquelles ou constate que le
tissu
conjonctif interfibrillaire est fortement augme
par-là légèrement coloré en jaune. Dans ce foyer formé seulement de
tissu
névroglique, les parois dos vaisseaux présenten
t entre 25 à ! ! 2 p. zoo, n'était plus dans le cas actuel, pour le
tissu
osseux sec, que de 18 à 70p. 100, c'est-à- dire
x du cerveau, qui participait du reste à l'infiltration de tous les
tissus
d'un individu mort en asystolie, n'avait révélé r
ction légère des fibresinerveuses avec un peu d'épais- sissement du
tissu
de soutènement. On ne constate pas de véTit sclé-
ses est plus grand que dans la région radiculaire moyenne et que le
tissu
interstitiel est légèrement épaissi. Le triangl
la gaîne lamelleuse des faisceaux nerveux et dans l'augmentation du
tissu
conjonctif intra-fasciculaire. Les faisceaux ne
ciculaire. Les faisceaux nerveux qui se trouvent disséminés dans le
tissu
conjonctif périfasciculaire sont quelquefois di
nstitue quelquefois un gros anneau autour des faisceaux nerveux. Le
tissu
conjonctif qui se trouve à la face interne des ga
acroscopiquement est donc sous la dépendance de la prolifération du
tissu
conjonctif des gaines lamelleu- ses et du tissu
la prolifération du tissu conjonctif des gaines lamelleu- ses et du
tissu
intrafasciculaire (périendonévrite). Le bulbe,
s cordons postérieurs n'est pas une véritable sclérose, bien que le
tissu
interstitiel, la névroglie soit en légère prolifé
tantôt par défaut. Ainsi voit-on des géants ou des nains, quand le
tissu
osseux subit ab oro"une perturbation trophique;
e; des obèses, des myopathie- ques, quand le (issu conjonctif ou le
tissu
musculaire sont atteints pour leur part; et tou
épaules. Le sujet est maigre; mais même chez les femmes maigres, le
tissu
adipeux des fesses et des flancs forme toujours
et celui de la fissure inférieure sub- siste un pont très étroit du
tissu
du gland. Cette fissure inférieure a une longue
c et dur, il limites mal tracées, se fondant graduellement avec les
tissus
sains, s'éten- dant en bas jusqu'à l'interligne
, de couleur violacée avec des marbrures jaunes ; sur une coupe son
tissu
est collant. La rate est grosse, molle, un peu
montre l'existence d'un grand foyer de myélite au niveau duquel le
tissu
ne se colore plus et, par conséquent, ne contie
gauche ont été à peu près respectés. Pour étudier la structure du
tissu
pathologique, il faut utiliser des coupes color
up autour du vaisseau malade, se diffusent assez rapidement dans le
tissu
médullaire environnant. Ces leucocytes paraisse
e cellules migratrices, on voit souvent une bande très régulière de
tissu
dont la myéline a disparu ; cette bande semble bi
me trois rangs de corps granuleux (Fig. 66). Entre les vaisseaux le
tissu
est constitué par de très nombreux corps granul
à peu près intact et on le distingue encore fort bien dans tout ce
tissu
. Dans la substance grise les cellules nerveuses
ang et énormément dilatés, sauf dans quelques points limités. où le
tissu
est né- crosé. Cette congestion extrême, ne dép
quer qu'ils ne paraissent exercer aucune action de voisinage sur le
tissu
, encore sain, qu'ils traversent. Nouv. ICONOGR
s autour des vais- seaux, forment une infiltration discrète dans le
tissu
conjonctif avoisi- nant. Parmi ces cellules emb
lis par un coagulum amorphe ; à la périphérie de ces îlots, dans le
tissu
encore vivant, on voit également des vaisseaux th
it également des vaisseaux throm- boses et remplis de fibrine. Le
tissu
médullaire, dans le foyer inflammatoire, est cons
venons de décrire dans la moelle. Au niveau des points déprimés le
tissu
hépatique est parcouru par des travées fibreuse
paces portes et morcellent les lobules en fragments très petits. Ce
tissu
est lâche; il ne contient pas de fibres élas- t
r son passage. La régression des cellules embryon- naires laisse le
tissu
de sclérose décrit plus haut ; mais il reste par
asculaires aient en fin de compte exactement la même action sur les
tissus
; due l'altération des parois soit due à un virus
la nature de la maladie, que l'étude des réactions amenées dans les
tissus
par ces altérations. Ici nous nous trouvons e
à l'état embryonnaire et de la prolifération des cellules fixes du
tissu
con- jonctif, il n'en est pas moins vrai /qu'el
raduellement et mettent un obstacle pro- gressif à la nutrition des
tissus
; petit à petit les éléments nerveux s'atro- ph
seaux de la moelle sont intacts, d'autre part le dévelop- pement du
tissu
embryonnaire dans les parois des vaisseaux intra-
du muscle fessier, deux petites poches qui renferment les restes du
tissu
adipeux au- trefois si abondant en ce point. Ce
s les vaisseaux de l'encéphale ; 2° La diminution de consistance du
tissu
cérébral préalablement altéré qui ne fournit plus
ulement un état strié, ondu-leux, rappelant l'aspect d'un faisceau de
tissu
cellulaire sous-cutané; mais cet aspect ne se mod
a substance est striée longïtudinalement, à la façon d'un faisceau de
tissu
conjonctif disposé dans le sens de l'axe du vaiss
un, ocreux ou même noirâtre ; et, généralement, la couche contiguë du
tissu
cérébral présente, à un moindre degré, une colora
régulièrement sphérique. On peut les isoler, à l'aide d'aiguilles, du
tissu
nerveux ambiant qui leur forme comme une cupule.
e la membrane de l'anévrysme, soit par l'adhérence du granule avec le
tissu
qui l'entoure. Quand la dissection est complète,
r de nombreux noyaux, ou, plus souvent, des corpuscules fusiformes de
tissu
conjonctif. Lagaine, qui peut rester indépendante
autour de lui, et les produits de métamorphose du sang infiltrent un
tissu
de nouvelle formation, résultant de la soudure de
dure de la gaîne avec l'anévrysme et de la prolifération nucléaire du
tissu
nerveux ambiant. Quelquefois même, des capillaire
che un épanchement récent assez considérable. Autour du caillot, le
tissu
cérébral est mou, diffllient, et après l'avoir dé
hémorrhagique dans l'épaisseur du cervelet. Tout autour du foyer, le
tissu
cérébral ramolli, mais ne contenant pas de corps
es miliaires. On en trouve quelques autres dans les parties saines du
tissu
cérébral. Les artères de la base sont athéromateu
s sont très petits; ils ne pèsent ensemble que 125 grammes, mais leur
tissu
paraît normal. Obs. XIV. Salpêtrière, Saint Luc
émisphère droit, avec déchirure de cet organe, et épanchement dans le
tissu
des méninges. On trouve dans les parois du foyer
lques végétations verruqueuses, mais sans lésions de canalisation. Le
tissu
musculaire du cœur n'était pas hypertrophié, mais
nt de cirrhose. Les reins contenaient tout deux des kystes, mais leur
tissu
n'était d'ailleurs pas altéré ; ils pesaient ense
couches optiques et de la protubérance. Coloration feuille morte du
tissu
musculaire du cœur ; végétations sur les valvules
dans toute son épaisseur, présentait l'aspect et la consistance d'un
tissu
feutré, sec, de couleur brune; au dessous le pani
considérable. La membrane vasculaire de nouvelle formation a, pour
tissu
fondamental, du tissu conjonctif réparti au milie
mbrane vasculaire de nouvelle formation a, pour tissu fondamental, du
tissu
conjonctif réparti au milieu d'une substance fine
if réparti au milieu d'une substance finement granuleuse, amorphe. Le
tissu
conjonctif offre des faisceaux fibrillaires nombr
ement les noyaux embryo-plastiques, et il fait pâlir les faisceaux de
tissu
conjonctif. La soude ne détruit non plus, ni les
était organisée, franchement organisée. Elle contenait, en effet, du
tissu
connectif, des éléments embryoplastiqu.es et des
embranes. Elles doivent leur origine, suivant lui, à la production de
tissu
con-nectif sur le feuillet pariétal de l'arachnoï
tion de tissu con-nectif sur le feuillet pariétal de l'arachnoïde; ce
tissu
acquiert bientôt des vaisseaux, et plusieurs couc
r, et, en même temps, elle s'organise de plus en plus. On y trouve du
tissu
connectif, des noyaux, des corps fusiformes, des
nouvelles couches d'exsudat se déposent et se changent à leur tour en
tissu
cellulaire. On compte quelquefois de cinq à vingt
— sont très minces et n'offrent pas d'éléments musculaires. Quant au
tissu
propre de la néo-membrane, quel que soit le degré
aisément qu'avec cle telles dispositions, les vaisseaux, ainsi que le
tissu
intermédiaire, cèdent facilement et se déchirent
ntérieure cle l'ulcération, il ne reste plus que la table externe. Le
tissu
du diploé est rouge, mais n'est ni ramolli ni con
côté opposé, présente une dépression très prononcée La pie-mère et le
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien offrent une injectio
nfractuosités, on aperçoit des traînées de sérosité purulente dans le
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien; on trouve même dans
te dans le tissu cellulaire sous-arachnoïdien; on trouve même dans ce
tissu
quatre collections purulentes qui, à l'exception
, comme du côté gauche; de plus, le pus se trouve entièrement dans le
tissu
sous-arachnoïdien, et il y forme de petites colle
e interne semble manquer dans toute son étendue, où l'on voit à nu le
tissu
rugueux, irrégulier et celluleux de la partie cen
traces d'inflammation de leurs parois, une infiltration purulente du
tissu
du col, de petits abcès dans le tissu cellulaire
, une infiltration purulente du tissu du col, de petits abcès dans le
tissu
cellulaire des ligaments larges, et de la sérosit
re un certain intérêt. Le plus souvent le pus a pour siège spécial le
tissu
sous-arachnoïdien ; quelquefois pourtant, on l'a
deux ou trois derniers jours que la suppuration s'est établie dans le
tissu
cellulaire sous-arachnoïdien. 3° Il nous semble
des faits bien avérés de lésions spontanées, exclusi-ment bornées au
tissu
de la moelle, et qui ont eu néanmoins pour conséq
démontré, M. Bouchard etmoi, en une végétation, une prolifération du
tissu
conjonclii' qui est normalement interposé entre l
outeux, une certaine part à l'excitation morbide qui s'est emparée du
tissu
conjonctif qui les enveloppe de tous cotés. Cette
, de consistance assez friable, finement vascularisée ; au centre, le
tissu
de la tumeur est de couleur jaune, plus consistan
acale de carmin et portés sous le microscope. A droite, les noyaux de
tissu
conjonctif sont, comme dans l'état normal peu nom
s et facilite leur glissement et peut-être aussi dans les cloisons du
tissu
lamineux interposé aux faisceaux tendineux. Les
s mois, sans qu'il s'ensuive le moindre trouble de nutrition dans les
tissus
des parties hypéré-miées. Les troubles de nutriti
et de l'effroi. Il tire en bas et en dehors la lèvre inférieure, les
tissus
de la région inférieure des joues et les ailes du
est présenté à moi, dans le cours de recherches sur la résistance des
tissus
au passage du courant galvanique, chez les hystér
tomatique avec l'altération des mots constituant un idiome spécial,
tissu
de néologismes incompréhensibles. Non seulement
déterminer de manière plus ou moins précise la vascularisation des
tissus
, les phénomènes d'inflammation asso- ciés à la
e ET A L4 pathologie D'AF- fections SYPHILITIQUES DES ARTÈRES ET DU
TISSU
DU CERVEAU, par Ablecoff. (iVell1'olu ! J. Cenl
embrane fenêtrée, ainsi que la fenêtre adven- tice, même lorsque le
tissu
environnant est détruit conformément à l'opinio
devant Golgi. Ailleurs, la connaissance anatomique des organes, des
tissus
et des éléments anatomiques, a révélé les lois
des éléments nerveux apparaît avec d'autant plus de netteté que les
tissus
sont plus jeunes. Voilà com- ment Golgi découvr
u la finesse, la complication extrême et l'intimité des rapports du
tissu
fibrillaire, tels qu'ils apparais- sent à la lu
aliques, écorce du cerveau et du cervelet, etc., et repré- sente un
tissu
continu interposé entre les cellules nerveuses, d
- rée de la cloison paramédiane dorsale que par une mince raie de
tissu
sain qui s'amincit encore d'arrière en avant. Ici
ualité des sécrétions bronchiques; 3° les troubles de nutrition des
tissus
et des éléments cellulaires (troubles trophique
ordinairement et il ne consent jamais que les siens soient faits de
tissus
d'un bas prix. Il a une opinion très haute de l
système pileux ; température plus basse du côté paralysé. Peau et
tissu
cellulaire. - Cheveux, sourcils et cils châtain c
n'est pas limitée aux éléments nerveux, elle s'exerce sur tous les
tissus
(vasculaire, lymphatique, connectif) dont l'altér
par un éclat de la table interne qui avait pénétré avec lui dans le
tissu
cérébral. Le cas démontre l'utilité d'une inter
ues mois, il est fort probable que la trépanation et l'ablation des
tissus
malades auraient une action curative dans une t
ont associés à l'existence de produits anormaux ou d'altérations de
tissus
, comme c REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 233 IL
és à la présence de douleurs dites à distance, avec sensibilité des
tissus
superficiels du corps et de la peau du crâne :
Avec le picro-car- min on trouve un épaississement considérable du
tissu
con- jonctif du nerf. Probablement dans ces tra
sente de remarquables altérations. Son volume, sans tenir compte du
tissu
conjonctif qui l'entoure, est environ celui d'u
mani-. festes avec la coloration au bleu de méthylène. Il soumet le
tissu
vivant, sectionné in situ en parties de 2 à 3 m
, dit Ramon y Cajal, chez certains leucocytes, dans les cellules du
tissu
connectif et dans celles de la névroglie ; elle
tion corrélative du corps des cellules nerveuses ou réduction du
tissu
de soutien. Pour le second point, rien n'empêche
s serviraient d'intermédiaire à la nutrition ou constitu- raient un
tissu
de soutènement, il faut les abandonner. Sile,plas
tènement ou de protection du système nerveux, masse de remplissage,
tissu
qui pro- lifère quand la cellule nerveuse dégén
que s'était proposé Weigert est donc en partie résolu : colorer le
tissu
inters- titiel ou de soutènement appelé névrogl
ne représente que les élé- ments différenciés et émancipés » de ce
tissu
, les fibres, cette méthode est incapable de pou
particulier du rap- port génétique des fibres et des cellules de ce
tissu
. La méthode de Golgi imprègne en effet tous les
ent pas nées de ces cellules, mais soient nées originairement comme
tissu
interstitiel, c'est une imagination que repouss
d'ctd- mettre une pareille opinion ni pour la névroglie ni pour le
tissu
con- nectif. » (C. Weigert, Ileitnüge zur Kennt
it au contraire l'épendyme pour un endo- thélium, pour une sorte de
tissu
connectif; en d'autres termes, il ne tenait pas
lules en araignées pour la matrice des endothéliums épendymaires du
tissu
connectif, lequel provient du mésoderme. Mais i
ologiques, biologiques, histogéniques dis- tinguent la névroglie du
tissu
connectif. L'unité de tous ces carac- tères est
tat : du mésoderme, elle a dérivé comme substance de soutènement le
tissu
connectif; de l'ecloderme, la névroglie, comme
comme une substance connective, c'est-à-dire prolifèrent lorsque le
tissu
nerveux disparaît. Lorsque l'on répète, après Fro
si énorme qu'on les peut considérer comme l'élément essentiel de ce
tissu
. Quant à l'origine des cellules de Deiters, Wei
central git toujours une couche épaisse de fibres de névroglie d'un
tissu
très serré; ce feu- trage est le plus épais qui
nt aussi un épaissis- sement remarquable de la névroglie, mais d'un
tissu
moins serré et moins dense que celui des amas é
uant aux surfaces internes et externes du névraxe : elle protège le
tissu
nerveux contre toutes les causes de lésion pouv
même titre que la pie- mère ; au regard des vaisseaux, la limite du
tissu
nerveux est une surface interne ; il doit être
me dans celle du cer- 310 REVUE CRITIQUE. velet, les fibres de ce
tissu
sont seulement plus fines et leurs mailles plus
u moins larges. La névroglie constitue donc encore ici une sorte de
tissu
servant à limiter, à isoler, sinon à défendre,
biologie, confirmé par l'histologie pathologique, que partout où le
tissu
nerveux laisse par sa disparition la place libr
ie prolifere et remplit, comble les espaces vides. Il semble que le
tissu
nerveux, tant qu'il est vivant, oppose une sort
mique) ne contiennent pas, dit Weigert, ainsi qu'il l'avait cru, de
tissu
conjonctif, mais des masses considérables de né
le, puisqu'il ne s'y rencontre plus même de fibrilles isolées de ce
tissu
; là, dans le centre d'innervation le plus élevé
roubles trophiques du système pileux; à l'autopsie, infiltration du
tissu
sous-cutané et du péri- carde. (Photogr. à l'ap
tonus vasculaires, aux phéno- mènes trophiques des cellules de nos
tissus
, et ses altérations amènent soudainement des tr
avec laquelle idiots et déments se tuberculisent ; c'est que leurs
tissus
vivent mal dès que l'action directrice de l'en-
sait d'un sarcome à cellules fusiformes avec un stroma résistant de
tissu
conjonctif. II. Dans le second cas, il s'agissa
410 SOCIÉTÉS savantes. Etat actuel.- Une atrophie très marquée des
tissus
cutanés, sous- cutanés et musculaires de la jou
e, la région dorsale du pied et le bord extérieur de la plante; les
tissus
cutanés et sous-cutanés des régions : indiquées s
nt, troubleet atrophie, infiltration cellulaire et prolifération du
tissu
conjonctif intersti- tiel ; ces altérations son
égion des tuméfactions et à la surface postérieure de la moelle. Le
tissu
médullaire n'était pas altéré et seulement dans
restant inaperçue tant qu'elle ne pénètre pas des méninges dans le
tissu
nerveux. Le néoplasme de ce genre a d'ordinaire
A. 427 conceptions consécutives aux récents travaux de structure du
tissu
nerveux, ont diminué la profondeur de l'abime q
des cellules ganglionnaires et oblitération des autres éléments de
tissu
. Le caractère peu accusé de ces lésions dans la
s points du bulbe ou de la protubérance, ont montré l'intégrité des
tissus
. (Société des Sciences médicales, Lyon.) LXVI
èse 605 grammes. Les deux tables de l'os ont perdu leur netteté, le
tissu
est partiellement compact, partiellement conges-
n par des troubles trophiques portant soit sur les ligaments et les
tissus
fibreux de la main, soit sur les extrémités art
(bactéries) ou interne (acide urique, urée, créatine) pénètrent le
tissus
nerveux. 3° Les cellules qui entourent les manc
mère n'est pas envahie. Il s'agit d'un sarcome métastatique dans le
tissu
adipeux extra-dural. La dure-mère n'est pas déc
. Chaque partie finit par un rétrécissement conique, composé d'un
tissu
muqueux qui subdivise l'organe en question en sér
ants comme un contredit de la théorie de Darwin; on voit ici que le
tissu
musculaire, si utile et si indis- pensable à l'
ar Gasne, 41 î. SYPHILITIQUES. Affections - des ar- tères et du
tissu
du cerveau, par Ablecoff, 61. Syringomyélie c
quelques tractus fi- breux accolés. Le triceps est transformé en un
tissu
d'aspect aponévroti- que, nacré, résistant, sur
u sarcoplasme se sont multipliés. Autour de ces débris de muscle le
tissu
libro-adipeux interstitiel est devenu très exubér
e à l'axe des membres. Sans doute la ligne de démarcation entre les
tissus
malades et les tissus sains est mal déterminée ;
Sans doute la ligne de démarcation entre les tissus malades et les
tissus
sains est mal déterminée ; et il serait abusif
mis à opposer une autre thèse : celle d'une maladie systématique de
tissu
? Ce serait une thèse parfaitement soutenable,
d'une perturbation congénitale ou acquise dans le développement des
tissus
de revêtement : les altérations cellulaires son
nce grise dont elle demeure toujours séparée par une large bande de
tissu
sain. ' A droite la même lésion se retrouve, av
nstatée sur les coupes au picro-carmin, dépend de l'augmentation du
tissu
conjonctif qui est venu combler les vides laissés
nt plus rapide et sur la surface de chaque section un millimètre de
tissu
environ est inutilisable par suite du traumatis
es du système nerveux ainsi que le prouve la parfaite intégrité des
tissus
dans leur voisinage. LABORATOIRE DES CLINIQUE
ît assez vite. Les os faciles à examiner vu la faible épaisseur des
tissus
mous qui les enve- loppent participent à l'atro
pris séparément, ont sensiblement leur longueur normale. Revêtus des
tissus
mous, ils sont déplacés au niveau des jointures
eur par l'épaisseur des vais- seaux axillaires et par un matelas de
tissu
conjonctif lâche de 2 à 3 cen- timètres environ
e des gros noyaux postérieurs. Ces faisceaux étaient transformés en
tissu
conjonctif riche en noyaux. La sclérose y était
cielles, sans doute le muscle a sa sensibilité, comme tous les autres
tissus
qui composent le segment, mais sais-je plus qu'
rax en avant et à droite. Au niveau de ces 2 dernières taches, le
tissu
adipeux sous-cutané a disparu. Les lâches sont
espaces de peau livide. A ce niveau la peau est très amincie, et le
tissu
cellulo-adipeux est absent. Sur le genou, placa
rtie antérieure est séparée de la commissure grise par une bande de
tissu
sain, séparée en arrière de la périphérie par l
grosine, le picro-carmin. Il n'existe pas d'altérations notables du
tissu
conjonctif péricellulaire. La capsule ne semble
otable. En certains endroits les cellules adipeuses au milieu de ce
tissu
conjonctif sont assez nombreuses. Le nerf tibia
fibres nerveuses sont normales ; il existe un peu d'augmentation du
tissu
interstitiel avec un épaississement léger de la
ississement de la gaine lamelleuse, un développement peu anormal du
tissu
interstitiel. Le nombre des fibres nerveuses es
ie d'atrophie se trouvent à côté de fibres absolu- ment saines : le
tissu
interfasciculaire est certainement augmenté. Les
térations : il existe autour d'elles une véritable prolifération du
tissu
conjonctif, il y de la périartérite. Les nerfs in
n aperçoit de très rares faisceaux musculaires noyés au milieu d'un
tissu
scléreux très ancien; ces ilots musculaires se
ilots musculaires se colorent mal par le picro-carmin. Au milieu du
tissu
con- jonctif, qui a pris la place occupée du mu
s la place occupée du muscle, on trouve des amas consi- dérables de
tissu
adipeux. Sur des coupes colorées par la méthode W
servation du plus grand nombre. Il y a surtout une prolifération du
tissu
cellulaire avec augmen- tation notable du nombr
striation est conservée. Cette augmentation du nombre des noyaux du
tissu
conjonctif est des plus nettes. Muscle coutur
on voit de grands espaces dans les- quels il n'existe plus trace du
tissu
musculaire et qui sont occupés par du tissu adi
n'existe plus trace du tissu musculaire et qui sont occupés par du
tissu
adipeux, au milieu duquel se trouvent quelques il
d'atrophie. Les vaisseaux sont épaissis, entou- rés d'un cercle de
tissu
conjonctif très développé ; les autres présentent
la dispari- tion complète des fibres et à leur remplacement par du
tissu
conjonclivo- adipeux. (A suivre.) ' HOSPICE
se, ont pu influer sur le développement anormal et débordant de son
tissu
adipeux, il est certain qu'il faut mettre en caus
tion de volume des fibres musculaires avec développement exagéré de
tissu
conjonctif et à un degré plus accentué une disp
tif et à un degré plus accentué une disparition presque complète du
tissu
musculaire remplacé par des éléments conjonctif
res des fibres embryonnaires. Sur des coupes il y a augmentation du
tissu
interstitiel avec hypertro- phie de la gaine la
mais celles qui sont atrophiées conservent encore la striation. Le
tissu
conjonctif s'est développé entre les faisceaux, d
usculaires. 3° A un degré plus avancé le muscle est remplacé par du
tissu
conjonc- tif peu abondant, limitant des champs
r les fibres musculaires, et qui ne sont plus constitués que par du
tissu
adipeux. Quelques faisceaux musculaires, dont o
solument mollasse des muscles. Au bras on ne sent que la peau et le
tissu
cellulaire sous-cutané. Le triceps est réduit à
on constate qu'elle est constituée par une poche développée dans le
tissu
cellulaire sous-cutané dont les mailles se sont
la synoviale avec irruption du liquide articulaire qui a refoulé le
tissu
cellulaire, a formé une poche, s'est enkysté, a
formé une poche, s'est enkysté, après avoir pour ainsi dire imbibé le
tissu
lâche environnant, d'où la teinte ecchymotique
mportant de noter que la cavité était formée ex- clusivement par le
tissu
cellulaire refoulé, sans épaississement, sans for
ombreux tubes sans cylindre- axe. Augmentation très considérable du
tissu
conjonctif interstitiel, dont des ilots et des
du filet nerveux. Médian, eM&t<6tt)Y<t. Epaississement du
tissu
conjonctif, diminution du nombre des filets ner
bres, dont beaucoup sont amincies. Atrophie simple, augmentation du
tissu
con- jonctif, notable prolifération nucléaire.
ubstances corticale et centrale ; décortication difficile. 1 ' Le
tissu
est grisâtre, décoloré, granuleux à la surface, a
é. Rien qu'une difformité symétrique des deux jambes portant sur le
tissu
cellulaire sous-cutané. Or, ce n'est pas tout
ion presque unique en son genre, en raison de la partici- pation du
tissu
osseux à l'hypertrophie, différant de l'éléphanti
un grand intérêt. Mais il diffère essentiellement des nôtres où le
tissu
osseux était strictement respecté 1). Parmi ces
lité. Le tropltaedème étant considéré comme un trouble trophique du
tissu
cellulaire sous-cutané, on peut l'envisager com
modes de réaction relevant d'une même perturbation trophique et du
tissu
cellulaire et ne diffèrent entre eux que par le d
aire et ne diffèrent entre eux que par le degré de participation du
tissu
graisseux. Car, même dans sa distribution, l'hy
ceux-ci, le muscle prédomine ; chez ceux-là, lotit se transforme en
tissu
cellulo-graisseux. Le tropltaedénie n'est peut-
raison du petit nombre des cas connus et de la répartition même du
tissu
cellulaire. Avec les seules observations que no
ération congénitale des centres qui président au dévelop- pement du
tissu
cellulaire. En envisageant le trophaedème comme
e héréditaire n'est peut-être qu'une anomalie de déve- loppement du
tissu
conjonctif, conséquence d'une lésion ou d'une per
er- sion des centres trophiques chargés d'assurer la vitalité de ce
tissu
, spé cialement dans les membres inférieurs. E
aux bien visibles sont arrondis ; ces cellules sont séparées par du
tissu
nerveux ; 2° On constate des vaisseaux sous for
- raissant comme des lacs sanguins sans autre délimitation que le
tissu
même de la tumeur. Il s'agit là de vaisseaux capi
a la faculté de produire de nouvelles excroissances en déplaçant le
tissu
indifférent et soutenant. Les éléments pyrami
ore. Sans doute c'est une maladie systématisée, c'est-à-dire que le
tissu
névroglique ne parait MALADIES DU SYSTÈME NERVE
les interosseux sont très affaiblis; 6° Enfin en ce qui concerne le
tissu
fibreux et les articu- lations, nous trouvons d
areil respiratoire, appareil circu- latoire, rein, articulations et
tissu
fibreux. Donc pas d'hésita- tion pour le diagno
bres musculaires avec multiplication des noyaux et prolifération du
tissu
con- jonclif intcrîihrillaire. Ce cas fort in
nt Brault1. Brault refuse le nom de sclérose aux épanouissements de
tissu
con- jonctif ne correspondant pas à un processu
ystématisées ; ce n'est qu'une simple hyperproduction vicariante de
tissu
con- jonctif. Il trouve doublement inexact le m
rganisation lente des cordons postérieurs, et, d'autre part, que le
tissu
néoformé n'a aucun des caractères assignés dans
a aucun des caractères assignés dans les lignes qui précèdent aux
tissus
de sclérose ». Je crois qu'il y a de l'exagérat
sclérose, dit traditionnellement hypcrplasie ou hyperproduction de
tissu
conjonctif; l'effet caractéristique de la sclér
scieulif. des Aides mém.). 1897, p. 95. 120 CLINIQUE NERVEUSE.
tissu
interstitiel hypertrophié au tissu actif atrophié
p. 95. 120 CLINIQUE NERVEUSE. tissu interstitiel hypertrophié au
tissu
actif atrophié. Dans cet effet double également
ophié. Dans cet effet double également caractéristique, atrophie du
tissu
actif et hypertrophie du tissu inerte, l'un ou
alement caractéristique, atrophie du tissu actif et hypertrophie du
tissu
inerte, l'un ou l'autre des- élé- ments constit
imitif. Si l'hypertrophie con- jonctive est primitive et étouffe le
tissu
parenchymateux : c'est une variété de sclérose.
ateuse est primitive et provoque l'hypertrophie de remplissage du
tissu
de soutenement : c'est une autre variété. Mais da
faits précédents est que, dans aucun or- gane, le développement du
tissu
conjonctif n'est commandé par les lésions des v
ement cortical. Si l'on considère le développe- ment des différents
tissus
, on voit que les organes embryonnaires se forme
ire varie sui- vant les espèces, suivant les individus, suivant les
tissus
. L'arrêt survenu dans un organe atteste une ins
dans des conditions différentes de celles qui régissent les autres
tissus
, et le dédoublement cellulaire n'y peut représe
dédoublement cellulaire n'y peut représenter, comme dans les autres
tissus
, le maximum de l'activité cellulaire, puisqu'il n
régénération corticale ne sont pas les mêmes que celles des autres
tissus
. Dans les zones corticales l'influence tro- phi
assez grande pour équivaloir à une différence de nature. Dans les
tissus
organiques autres que le tissu nerveux, la régéné
une différence de nature. Dans les tissus organiques autres que le
tissu
nerveux, la régénération des cellules épuisées,
éné- rescence permanente ne se réalise pas, comme dans les autres
tissus
, par prolifération cellulaire, mais par l'établis
st pas nécessairement inexact) que s'il est possible que les autres
tissus
du corps fournissent au germe une part contribu
ère comprimant la pointe du lobe frontal droit sans destruction des
tissus
, odème très étendu autour du point déprimé. Le
s ces cas d'épilepsie. Pourquoi donc se refuserait-on à enlever ces
tissus
quand on les diagnostique altérés. Le champ des
res sont les plus altérées. Les fibres fines sont remplacées par du
tissu
conjonctif; mais la dégénérescence ne les attei
cas, sont caractérisées par des phénomènes de prolifération dans le
tissu
connectif et les éléments endothéliaux, et auss
outillage d'électro-thérapie. - 4° Les rayons X et la nutrition des
tissus
. D'' Auguste DE SUZE1OEii : RGER (de laples) :
à-dire suivant le sens même de son trajet ; il sera remplacé par du
tissu
conjonctive-névroglique, qui appa- raîtra, sur
des tubes nerveux, qu'il colore seules à l'exclusion de tout autre
tissu
; en consé- quence, par les cordons postérieurs,
ons été frappé par le peu de déve- 'loppement de la névroglie ou du
tissu
conjonctif péritubu- laire ; aussi ne sommes-no
ment prolifération névroglique; car on se trouve en présence d'un
tissu
affaissé, sans consistance, dont les mailles sont
breuses et larges. On peut se demander si la persistance du seul
tissu
de soutènement normal n'est pas capable d'expli-
e : dans un tabes très ancien, l'examen histologique porte sur un
tissu
cicatriciel, dans lequel on rencontre seulement
nt pro- venir de la fonte moléculaire de la myéline voisine. - Le
tissu
interstitiel nous a paru sain ; il n'y a pas de s
ée, ses parois arriveraient au contact sous la pression de tous les
tissus
environnants, au lieu d'apparaître béante, avec
aître, sans corps granuleux abondants ; on trouve çà et là, dans le
tissu
inters- titiel et les parois des vaisseaux, des
e par les reins. Mais qu'il vienne à s'accumuler et à imprégner les
tissus
c'est alors qu'on observe ses effets toxiques.
er cette absence de soudure dans une affection où la for- mation du
tissu
osseux est exagérée. On peut penser qu'une autre
ité anticipée, c'est-à-dire la dégénération et l'inflam- mation des
tissus
, que l'a1'lhl itisme produit la paralysie général
iectomie à la région tem- poro-pariétale gauche ; 10 centimètres de
tissu
osseux dans le sens antéro-postérieur et 7 cent
on observe. des cylindraxes gonflés, traversant les cavités dans le
tissu
ramolli. Les vaisseaux sont hyperplasiés, rempl
if, le mauvais état dans lequel se trouve la nutrition générale des
tissus
dans cette maladie. Les effets morbides peuvent
bserve des modifications patholo- giques plus fréquentes du côté du
tissu
cellulaire sous-cutané ; plus rarement du côté
orbide d'une nature spé- ciale, la section ou plutôt l'incision des
tissus
nous montre une gangrène gélatineuse, gazeuse,
u de suc sanguinolent noirâtre, ichoreux, peu abondant s'écoule des
tissus
mortifiés, atones, anfractueux, détruits. Les f
neuses, relativement peu fétides, il y avait dans la profondeur des
tissus
des anfractuosltés, des cryptes entre les muscl
des cas plus anciens ces cavités peuvent s'entourer d'un anneau de
tissu
névroglique hyperplasié. VI. Dans ces cas le ca
troncs du plexus brachial, il existe uue prolifération insolite du
tissu
conjonctif entre les faisceaux et les fibres de
ésumé, dans l'espace de neuf semaines, il a été intro- duit dans le
tissu
sous-cutané de D..., au moyen de 38 injec- tion
entées de longueur. Cette hypertrophie porte sur tous les plans des
tissus
de la main; os, muscles, tissu cellulo- adipeux
rophie porte sur tous les plans des tissus de la main; os, muscles,
tissu
cellulo- adipeux et peau. Cette dernière est ré
les cuisses restent indemnes. Toujours comme à la main, tous les
tissus
constitutifs : os, muscles, etc., participent, à
le s'y fait bien plus large et fructueuse, et le remplissage par du
tissu
cicatriciel s'effectue en bien plus faible mass
yant été précédée ni d'inflammation cutanée, ni d'inllamma- tion du
tissu
cellulaire sous-cutané, dont l'aspect rappelle la
e produite par des lésions artérielles, ainsi que la distraction du
tissu
par des hémorragies. Les cavités situées latéra
ur physique, autant comme symptôme qui procède de maladies d'autres
tissus
de l'organisme animal, que comme affection de l
années, on a absolument laissé de côté l'étude du rôle que joue le
tissu
musculaire dans les états physiologiques et pat
, l'épaississement étant surtout prononcé à la face palmaire où les
tissus
pouvaient être pincés en plis épais, et donnant
en plis épais, et donnant la sensation d'un développement excessif du
tissu
adipeux sous-cutané. Les pieds étaient très gro
nts 1. Charles A. Rallance et W. B. lladden. Cas d'hypertrophie des
tissus
sous-cutanés de la face, des mains et des pieds
ertrophiées d'une façon certaine. Le cou était plein, court, et les
tissus
sous-cutanés semblaient y être trop abondants.
rges, leur augmentation de volume étant due à un épaississement des
tissus
sous-cutanés qui était particulière- ment évide
le droite, ses veines sont très tor- tueuses, et il y a un peu de «
tissu
» au centre de celle-ci. Il existe une petite t
males au niveau des extrémités articulaires sont peu marquées. Le
tissu
cellulaire sous-cutané, de même que la peau, es
plus volumi- neuses que d'habitude. Pas de développement notable du
tissu
conjonctif sous-cutané. Aucune trace d'oe,dème.
molles sont, elles aussi, hypertrophiées; aux mains, c'est surtout le
tissu
sous-cutané, aux avant-bras les muscles. Les
e et avec de larges glandes sébacées à la face, naturelle ailleurs.
Tissu
cellulaire sous-cutané normal, mais insuffisant c
re sagittale. A quelle cause fallait-il attribuer la dilatation des
tissus
? Principalement à l'atrophie du cerveau, mais
ette membrane, au niveau de la convexité des hémisphères, avait son
tissu
infiltré d'une quantité notable de sérosité lim
d'intempérance de Ghirlenzoni;. elle provenait de l'hyperplasie du
tissu
conjonctif interstitiel. Quelquefois même, on le
lus, ou bien il n'y en avait que de légères traces, et en revanche le
tissu
était tout infiltré d'éléments cellulaires peti
e dégénération analogue à la colloïde. Dans certains endroits où le
tissu
connectif était plus développé, on ne voyait pas
le-ci comme dans celle-là, il y a dans l'organe une prédominance de
tissu
conjonctif simple ou mélangé à du tissu lymphatiq
'organe une prédominance de tissu conjonctif simple ou mélangé à du
tissu
lymphatique ou à des cavités lympathiques, comm
ous le nom, l'une de sclél'osique, l'aulre de lymphatique. Quant au
tissu
musculaire, tous sont d'accord pnur dire qu'il
croglossile dans lequel il a réussi à constater une prédominance du
tissu
musculaire; mais cette altération était limitée à
du sternum; les deux ventricules étaient agrandis par l'atrophie du
tissu
musculaire; ces faits semblaient être en rapport
euse fait naître l'idée que, dans une période de ramollissement, le
tissu
osseux aurait cédé aux tractions musculaires. L
que, dans toutes les autres parties de la voûte crânienne manque le
tissu
spongieux, et même dans certains points, comme
tivement aux lésions des articulations (synovites, chrondrites), le
tissu
osseux peut s'altérer dans le sens de l'atrophi
lante. Les fesses fermes et en pointe de la jeunesse sont dues à un
tissu
adipeux dur et résistant. Les fesses aplaties d
des vieillards sont dues en grande partie il la disparition du même
tissu
. On peut remarquer, en outre, que chez les indivi
saillie de la fesse qui au-dessus de lui est surtout formée par le
tissu
graisseux. La présence du bord inférieur du mus
). - La peau est saine partout, elle n'est nulle part adhérente aux
tissus
sous-jacents; celle qui recouvre les parties hy
ires appliqués les uns contre les autres; elles sont formées par un
tissu
homogène, dur. très cohérent, et n'ayant aucune t
us ne trouvons d'altération ni dans le canal médullaire, ni dans le
tissu
spongieux. Les cartilages du larynx (thyroïde,
cutanée du crâne est uniformément épaissie : 9 mill. il 1 cent. Le
tissu
cellulaire sous-cutané est lâche, sans surcharge
eau de la tige pituitaire; lobes antérieurs petits. Hypertrophie du
tissu
cellulaire du fond de l'orbite et de la graisse.
s tumeurs. Cellules petites granuleuses, quelques-unes graisseuses.
Tissu
conjonctif abondant. Rate, dure, volumineuse 15
ce très ferme. Altérations grais- seuses des cellules épithéliales,
tissu
conjonctif abondant, quelques petits kystes. Hy
ène rapidement des excoriations par suite de la faible vitalité des
tissus
comprimés. ' ' Du côté de la face, notre malade
nflement consiste en une infiltration oedémateuse de la peau et des
tissus
sous-cutanés. Cet oedème est dur; cependant à lap
ne donnait pas, ou donnait très faiblement le godet de l'oedème. Le
tissu
aréolaire de la jambe gauche paraissait plus ferm
jà, le lien de caoutchouc avait assez profondément pénétré dans les
tissus
. Sensibilité tactile. -Conservée d'une façon gé
du sinus frontal. Là on voit un épaissis- sement manifeste dû à un
tissu
spongieux abondant entourant le sinus. L'occipi
supérieure arrondie : elle a 30 mill. de diamètre et est formée de
tissu
spongieux exubérant autour de la facette ar- ti
étacarpien droit et deuxième cunéiforme. Phalanges. Hypertrophie du
tissu
spongieux, surtout au niveau des phalanges ungu
sur l'emploi des coupes microscopiques sériées, pratiquées sur des
tissus
normaux ou pathologiques, préalablement durcis,
el l'a montré, par contact, par contiguité et non par continuité de
tissu
. 1 Chez les Vertébrés, les neurones périphériqu
moyen de pinces des fibres nerveuses, opérations pratiquées sur des
tissus
frais ou préalablement durcis (Ruysch, Vicq d'A
du cerveau est assez délicate, étant donnée la mollesse extrême du
tissu
cérébral à cette époque de la vie. La méthode q
ourbe les lames osseuses, de manière à enlever complètement tout le
tissu
musculaire. On procède ensuite à l'ouverture du c
as, une couche épaisse d'ouate hydrophile, sera interposée entre le
tissu
nerveux et le fond du récipient. Afin d'éviter
es, ainsi qu'à pratiquer l'examen microsco- pique d'une parcelle du
tissu
malade - étude des lésions cellulaires et vascu
age des coupes., 1 d'inclu- sion à la parafrlne. fragments de
tissu
nerveux moelle épinière, troncs nerveux, - les
NERVEUSES ET DE LEURS PROLONGEMENTS. COLORATION DE LA NÉVROGLIE, DU
TISSU
CONJONCTIF ET DES VAISSEAUX. Carmin, picro-cal'
ue, il est souvent utile de pouvoir différencier nettement, dans le
tissu
de soutènement des centres nerveux, le tissu con-
ier nettement, dans le tissu de soutènement des centres nerveux, le
tissu
con- jonctif proprement dit de la névroglie. Su
une part, par l'action de l'acide acétique qui gonfle et dissout le
tissu
conjonctif sans altérer la névroglie, d'autre par
ou picro-carmin, les fibrilles de la névroglie d'avec les fibres du
tissu
con- jonctif. Dans certains cas cependant il es
tation et éclaircissement. Au microscope, tout ce qui appartient au
tissu
conjonctif apparaît gonflé et décoloré, tandis qu
xyline. Une des méthodes qui permet le mieux d'apprécier l'état des
tissus
annexés au parenchyme nerveux, (méninges, tissu c
précier l'état des tissus annexés au parenchyme nerveux, (méninges,
tissu
con- jonctif, névroglie, vaisseaux), et qui ren
l'emploi de l'hématoxyline alunée comme colorant cytologique. Les
tissus
nerveux étant durcis dans les bichromates, les co
ps. L'aniline blzce-black, ne colore presque pas la névroglie et le
tissu
conjonctif et imprègne particulièrement les cellu
cercles fortement colorés en noir, tandis que le reste de la coupe,
tissu
conjonctif, vaisseaux, a pris une coloration gri-
e planchette, puis on ouvre la dure-mère dans toute sa longueur. Le
tissu
nerveux étant mis à nu, on sectionne, à l'aide
fin de la réaction, les pièces présentent à peu près l'aspect d'un
tissu
cérébral frais mais lavé à l'eau. Au point de v
ur et le faisceau ovalaire, apparaît le cor- don de Goll, dont le
tissu
de sou- tènement est formé aux dépens des élé
réduit à une mince lamelle, recouverte par une abondante couche de
tissu
conjonctif embryonnaire, dans laquelle elle env
pendant longtemps la plus large des trois zones; elle représente le
tissu
de soutènement primordial de la substance grise
prend par la suite un développement considé- rable, et constitue le
tissu
de soutènement primordial de la substance blanc
e voile marginal. ) 3 i Le voile marginal i représente le
tissu
de 1. soutènement de la substance blanche.
veloppe- ment est plus jeune. Ce voile marginal, qui formera le
tissu
de soutènement pri- mordial de la substance b
ÈME NERVEUX. 141 connaît encore aisément la disposition radiaire du
tissu
de soutènement de la substance blanche. Le ti
tion radiaire du tissu de soutènement de la substance blanche. Le
tissu
de soutènement, ou îîiyelosl)oïîqitt21 de His, s'
des colonnes, soit du voile marginal. Il s'agit ici, en effet, d'un
tissu
vivant, présentant une certaine activité fonction
nt de nombreuses cellules mésodermiques, qui vont con- stituer le
tissu
conjonctif des ganglions, la capsule ganglionna
U SYSTÈME NERVEUX. 151 Malgré les différences qui existent entre le
tissu
conjonctif ordinaire et la névroglie, cette der
question de savoir si la né- vroglie constitue à elle seule tout le
tissu
de soutènement du système nerveux central, ou s
e tout le tissu de soutènement du système nerveux central, ou si ce
tissu
de soutènement contient du tissu conjonctif vér
système nerveux central, ou si ce tissu de soutènement contient du
tissu
conjonctif véritable. C'est là un point sur leq
aux cellules de soutènement de la rétine (Ranvier), aux cellules du
tissu
dit muqueux du sac dentaire (Ranvier), tissus qui
vier), aux cellules du tissu dit muqueux du sac dentaire (Ranvier),
tissus
qui sont tous d'origine ectodermique. Dans le
mesure que ce noyau se rétracte par suite de la disparition de son
tissu
intercellulaire constitué surtout par les fibrill
cer- tain, en enet, que aans les nens tout comme dans les autres
tissus
de l'économie, il se fait une rénovation, mais
nce tient en grande partie à la plus ou moins grande abon- dance du
tissu
conjonctif dans la texture générale du système ne
njonctif dans la texture générale du système nerveux. Partout où le
tissu
conjonctif abonde, comme par exemple dans les ner
e blanche, soit de la substance grise, est augmentée; partout où le
tissu
conjonctif n'existe qu'à l'état de trace et se
nts non nerveux compre- naient les épithéliums, les vaisseaux et le
tissu
de soutènement : tissu con- jonctif et névrogli
naient les épithéliums, les vaisseaux et le tissu de soutènement :
tissu
con- jonctif et névroglie. Aujourd'hui, depui
que les vaisseaux san- funins et lymphatiques et la mince trame de
tissu
conjonctif qui leur sert de soutien. Quant au
eprésentent, grâce à leurs innombrables prolongements, le véritable
tissu
de soutène- ment des centres nerveux. Elles ent
, granu- leuse, munie d'un noyau, comparable aux cellules plates du
tissu
conjonctif décrites par Ranvier, et qui présent
our- vues d'enveloppe propre; elles sont simplement limitées par le
tissu
même de la substance grise environnante, c'est-
hwann et de son origine ectodermique. "7wcH non nerveux, vaisseaux,
tissu
con jonc tir Les vaisseaux sanguins des centres
riels, veineux et capillaires, ne se distinguent de ceux des autres
tissus
que par l'existence d'une gaine périvasculaire
névroglie qui constitue, ainsi qu'on l'a vu plus haut, le véritable
tissu
de soutènement des éléments nerveux, on rencontre
nts nerveux, on rencontre encore dans le système nerveux central du
tissu
conjonclifvéritable. Ce tissu con- jonctif, con
re dans le système nerveux central du tissu conjonclifvéritable. Ce
tissu
con- jonctif, constitué par les prolongements i
aisseaux, présente les caractères histologiquesethisto-chimiques du
tissu
conjonctif ordinaire. Il se différencie de la n
1lC 'ail]c lymphatique. 0 Dans le système nerveux central. le
tissu
eonjonctif n'e- . xiste' ql1 : autom'- des va
isseaux. ' Caractères diffé- l'cntieb de la uéyl'o- glic et (lu
tissu
COtl- jonctif. 200 ANATOMIE DES CENTRES NERVE
t (lu tissu COtl- jonctif. 200 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Le
tissu
conjonctif péri-vasculairc est toujours entou
uf pour le f.;anlion acousti que, chimiques, qui sont celles du
tissu
conjonctif ordinaire. Soumis à l'état frais à l
u Collège de France, inédit). Dans le système nerveux central, le
tissu
conjonctif ne se rencontre qu'autour des vaisse
s très nettement que ` les vaisseaux radiés sont accompagnés par du
tissu
conjonctif (Cours du Collège de France, inédit)
if (Cours du Collège de France, inédit). L'élément mésodermique -
tissu
conjonclif, entre donc dans la con- stitution d
stitution de la charpente des centres nerveux, mais les libres de ce
tissu
n'entrent pas en contact direct avec les cellul
- r dant iL la racinc pos- , térieure. v.I.euhos- sek, Cajal.
Tissu
conjonctif et vaisseaux des gan- glions cél'é
entre les acini des glandes salivaires (Fusari et Panarci), dans le
tissu
conjonctif interstitiel du pancréas (Cajal, Sala,
les fibres nerveuses sans myéline ou fibres de Remak, ainsi que le
tissu
de soutène- ment et les vaisseaux des nerfs.
e d'un revêtement endolhélila, dont nous reparlerons en étudiant le
tissu
conjonctif des nerfs et d'une série de croix la
xe. Golgi, au contraire, veut voir dans ces entonnoirs un véritable
tissu
de soutène- ment pour la myéline, et c'est cett
ui, pour Ranvier, suffit cependantpour les distinguer des fibres du
tissu
conjonctif. Le même auteur a montré que l'on peut
ré que l'on peut également arriver à les différencier de ce dernier
tissu
par l'emploi du rouge d'aniline, qui ne colore
line, nous y reviendrons à propos de e `Ÿier £ (Va : ...1 ? 11), C.
TISSU
CONJONCTIF ET VAISSEAUX DES NERFS. L ? tts ? ç0lt
certain nombre de tubes nerveux, en les réunissant en faisceaux, le
tissu
conjonctif péi-1-fasci- culaire qui unit ces fa
éi-1-fasci- culaire qui unit ces faisceaux, soit entre eux, soit au
tissu
conjonctif voisin, et le tissu conjonctif iutra
s faisceaux, soit entre eux, soit au tissu conjonctif voisin, et le
tissu
conjonctif iutra-fasciculaire situé dans l'intéri
élium de la gaine de Henle. ' 218 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
Tissu
conjonctif péri et intra-fascÍc\1- ? lairc fies
ches acquiert une épaisseur considérable (Ranvier) (fit. 132). Le
tissu
conjonctif péri- fasciculaire présente une struct
nctif péri- fasciculaire présente une structure analogue à celle du
tissu
conjonctif lâche, mais en diffère, d'après Ranvie
nsi que les cellules adipeu- ses,présentent la mêmedirec- tion.
Tissu
conjonctif illtra-fas- ciczclai·e. Ce tissu, qu
la mêmedirec- tion. Tissu conjonctif illtra-fas- ciczclai·e. Ce
tissu
, qui existe à l'intérieur des faisceaux ner-
cloisonner un faisceau et le diviser en deux. Quant aux fibres du
tissu
con- jonctif intra-fasciculaire, elles sont s
fibres élastiques. Les cellules ici sont des cel- lules plates du
tissu
conjonc- tif ordinaire, mais à prolon- gement
gements moins longs et moins nombreux que ceux des cel- mes au
tissu
cellulaire sous-cutané. Les cellules, isolées apr
trouve encore dans ce issu des cellules lymphatiques, comme dans le
tissu
conjonctif des nerfs. Entre la face profonde de
ctif des nerfs. Entre la face profonde de la gaine lamelleuse et le
tissu
conjonctif intra- fasciculaire, on rencontre pa
. - n, un faisceau nerveux très grêle. - v, vaisseau sanguin. - fe.
tissu
conjonctif. - ca, cellules adipeuses. HISTOLO
eux. Les vaisseaux du plus gros calibre se rencontrent donc dans le
tissu
conjonctif péri et intra-fasciculaire; des artéri
ntra-fasciculaire; des artérioles plus petites se trouvent entre le
tissu
conjonctif intra-fasciculaire et la gaine lamelle
e du tronc ner- veux. On trouve un second réseau capillaire dans le
tissu
conjonctif intra- fasciculaire ; il est formé d
es transversales. Chez les mammi- fères, il existe en outre dans le
tissu
conjonctif péri-fasciculaire un troi- sième rés
s la gaine lamelleuse qui les entoure, et c'est dans les mailles du
tissu
conjonctif péri-fasciculaire qu'ils prennent na
orment un système lacunaire continu, communiquant largement avec le
tissu
conjonctif péri- fasciculaire (Ranvier). Vais
uche conjonctive sous-épi- théliale. - n, fibre nerveuse montant du
tissu
conjonctif dans la couche épithéliale pour se t
ni. - Les corpuscules de Pacini se trouvent en grand nombre dans le
tissu
cellulo-adipcux de la face palmaire des doigts
la pie-mère qui recouvre le corps calleux, une certaine quantité de
tissu
adipeux, dont le développement exagéré peut don
e choroïdienne (Tch), à laquelle elle adhère faiblement, grâce à un
tissu
conjonctif lâche et à quelques vaisseaux; cette
dépourvus de gaine lymphatique (Albarran), et unis entre eux par un
tissu
conjonctif lâche, d'aspect réti- culé, et dans
e choroïdien des frères Wenzel des kystes séreux développés dans le
tissu
conjonctif (Roland, Albarran). '' Tantes les pa
horizontales, verlico-transversales et sagittales. L'imprégnation des
tissus
par le bichromate de potasse produit un état de
eprésentent, grâce à leurs innombrables prolongements, le véritable
tissu
de soutènement de l'écorce. Les unes, d'origine é
de la calotte fibreuse précédente, séparée d'elle par une couche de
tissu
cel- , lulaire lâche. (Fig. 12.) . Fig. 13. -
faces munies de cartilage, en outre il existait, enveloppés dans du
tissu
cellulo-adipeux, un muscle, un nerf, des vaisse
épare les deux têtes digitales, est l'indice d'un épaississement du
tissu
osseux, vestige des contours osseux de chacun d
rs arrondies, séniles ou pédiculées, contenant tantôt des débris de
tissu
os- seux informe, tantôt une phalange, parfois
al, il est difficile de distinguer une séparation tranchée entre le
tissu
morbide et la substance cérébrale. La différenc
ement impossible. A l'oeil nu, le 80 E. BRISSAUD ET E. DE MASSARY
tissu
néoplasique semble remplacer la substance grise a
téressant la totalité du bord supérieur de l'hémisphère, le nouveau
tissu
a la forme d'une bande d'un centimètre d'épaiss
érébrale est refoulée, atrophiée ; une limite nette sépare les deux
tissus
. Le tissu de la tumeur est formé de petites cel
refoulée, atrophiée ; une limite nette sépare les deux tissus. Le
tissu
de la tumeur est formé de petites cellules rondes
uxtaposée à la substance cérébrale, mais la limite commune aux deux
tissus
est très nette. Les cou- ches les plus superfic
terosseux, mais il existe toutefois un processus d'byper- plasie du
tissu
sous-cutané, car cette face très atrophiée ne lai
ème, il faut entendre l'accumulation de substances liquides dans le
tissu
sous-cutané et qu'on peut refouler mécaniquement
'une part un pro- cessus plastique, siégeant principalement dans le
tissu
sous-cutané et grâce auquel il se forme des élé
su sous-cutané et grâce auquel il se forme des éléments nouveaux de
tissu
conjonctif qui remplis- sent les dépressions na
et disparaît à de certains moments et qui favorise J'hyperplasie du
tissu
sous-cutané. Ce processus vaso-moteur consiste
rs el des centres régulateurs pour la nulrition des téguments et du
tissu
des os. Les divers troubles trophiques de la ma
a été étudié. L'organe hépatique présente à la fois des lésions du
tissu
conjonctif, du parenchyme et des vaisseaux. On
le qui pénètre au niveau du sillon antérieur et postérieur. Tout le
tissu
de soutènement de la moelle, les septa conjonct
réfaction légère des fibres nerveuses avec un peu d'épaississement du
tissu
de soutènement. On ne constate pas de véritable
cable. Il en est d'autres chez lesquels le développement exagéré du
tissu
adipeux qui double les parois abdominales met obs
plus marqués que chez la mère. Une telle influence agissant sur des
tissus
fibreux en voie d'accroissement les aurait pour a
t ; et toutes les parties molles de la paume de la main, téguments,
tissu
sous-cutané, aponévrose, ne se sont développés
ain d'individu vivant pour étudier les variations de transparence des
tissus
. Nous n'avons pas noie de modification notable.
tables cavités creusées dans l'os. Il y a donc avec condensation du
tissu
osseux par places, une raréfaction générale de ce
ndensation du tissu osseux par places, une raréfaction générale de ce
tissu
, l'os est devenu poreux. Il y a association d'o
- rieure présente elle aussi des cavités nombreuses. A ce niveau le
tissu
spongieux est extrêmement poreux. Au niveau de
ablement pour substratum anatomique une hyperplasie des éléments du
tissu
conjonctif sous-cutané. La peau elle-même ne para
mique de ces trois neurones que résulte la conservation normale des
tissus
qui composent la main. Leur associa- tion fonct
e relation est annulé. L'intelligence retourne dans les limbes, les
tissus
re- prennent leur constitution colloïde, les po
que l'ossification est le fait d'une insuffisance fonctionnelle des
tissus
ostéogènes en (réiiéal.1M. Spriu- ger et Serban
core. Nous savons que glande thyroïde de l'homme se compose de deux
tissus
, l'un thyroïdien, l'autre parathyroïdien, tissu
se compose de deux tissus, l'un thyroïdien, l'autre parathyroïdien,
tissus
différents qui chez certains animaux constituent
lument distinctes, les thyroïdes et les .1J(t1'athyroides. Les deux
tissus
sont juxtaposés chez l'homme etpeut-être même si
des corps thyroïdes en masse doivent intéresser également les deux
tissus
et troubler les deux fonctions. Mais si une alt
et troubler les deux fonctions. Mais si une altération spontanée du
tissu
thyroïdien par exemple et systématiquement limi
ée du tissu thyroïdien par exemple et systématiquement limitée à ce
tissu
- évolue sans compromettre en rien le tissu par
atiquement limitée à ce tissu - évolue sans compromettre en rien le
tissu
parathyroïdien, l'étal morbide qui s'ensuivra dif
u'on peut dès à présent les mettre à profit,- que la suppression du
tissu
thyroï- dien détermine les dystrophies du tégum
ans l'infantilisme myxcedéma- teux, les altérations du tégument, du
tissu
sous-cutané, du système pi- leux, du squelette,
ont entourées d'une aréole bleuâtre, indice d'une mortification des
tissus
, qui s'observe sans doute dans la nature, mais qu
été également entamée. Entre le canal vertébral et les méninges, le
tissu
cellulaire était infiltré de sang; au niveau de
rès dépour- vus de dépressions et de saillies. Enfin l'épaisseur du
tissu
compact est moins grande, l'os est devenu trans
e volume, absence de modelé de l'os, transparence par diminution du
tissu
compact. L'étude des radiographies fait donc re
profondément creusées. Les doigts sont longs et gros, réguliers; le
tissu
mou y est peu développé; la main n'est pas « ca
rare, car les lésions se bornent en général à la syno- viale et aux
tissus
péri-articulaires. Nous avons noté la subluxati
cent. 1/2 de l'axe rectiligne normal.A la palpa- tion on trouve un
tissu
cellulaire abondant, mou, souple, sans éléphan-
s présentent une sorte d'état éléphantiasique par l'hypertrophie du
tissu
cellulaire ; tel est le cas de Wagner dont le méd
ade, la radiographie a bien montré l'hypertrophie con- sidérable du
tissu
osseux qui va augmentant de la racine vers l'extr
Octave L..., la macrodactylie relevait du développement exagéré du
tissu
osseux. Pour en revenir à la pathogénie de ce c
par la section des nerfs vaso-moteurs ont amené une congestion des
tissus
et une hypertrophie correspondant aux vaisseaux p
ns les hypertrophies partielles de l'éléphan- tiasis le derme et le
tissu
cellulaire sous-cutané semblent seuls en cause ».
et Monod. L'hypertrophie ne porte pas en effet spécialement sur le
tissu
cellulaire mais sur toutes les parties constitu
ladie nerveuse. Elles semblent dues il des atrophies partielles des
tissus
de l'iris. Peut-être sont-elles ducs, dans cert
défaut dans de multiples conditions. L'iris peut être lésé dans son
tissu
, devenu rigide (iritis, glaucome). Ces lésions
n abcès des paupières, une périostite orbitaire, une suppuration du
tissu
cellulaire de l'orbite développée dans la paroi o
sous ce nom une escarre dépendant de l'affaiblissement général des
tissus
, mais l'onction avant tout de l'infection et de l
de l'organisme, en tous points compa- rable à la stupeur locale des
tissus
contusionnés. Il y a lit une suspension relativ
lysarcique. Elle est caractérisée par le, développement, exagéré du
tissu
adipeux qu'on observe chez certains idiots. Dia
l'apprécier même lorsque ceux-ci sont profondément situés dans les
tissus
mous. La douleur vive : 't la pression des nerf
die. D) Sensibilité à la pression. Baresthésie. - La pression des
tissus
profonds, exercée avec le doigt, éveille en nous
omplexes, dans lesquels, à côté de la sensibilité musculaire et des
tissus
profonds, les auteurs classiques font jouer un rô
sensation de pression; mais ce sont les terminaisons nerveuses des
tissus
mous sous-cutanés (muscles, tendons, aponévroses)
nction non seulement du périoste, mais encore de tous les nerfs des
tissus
sous-cutanés, et elle existe en un point quelconq
les périarticulaires, ainsi que par le plissement de la peau et des
tissus
mous qui environnent les articulations. Pour ap
m- pressions périphériques parties des surfaces articulaires et des
tissus
mous environnants, mais l'exécution de ce mouve
achis, par lésions inflammatoires ou néoplasiques des vertèbres, du
tissu
conjonctif, des méninges, de la moelle; par myé
sont reportées ordinairement par les malades dans la profondeur des
tissus
. A part les douleurs névralgiques pures qui sont
ndépendantes de toute altération périphérique appréciable, soit des
tissus
, soit des nerfs (Dejerine). Ces douleurs centra
pérées par les mouvements, elles ne le sont pas par la pression des
tissus
su- perficiels, des muscles ou des os. Les nerf
ie, hypertrophie ou atrophie de la peau de la face, augmentation du
tissu
graisseux sous- cutané, hypertrophie osseuse, e
libres musculaires. Ces corpuscules de Golgi sont constitués par du
tissu
conjonctif fibrillaire et ils logent un faisceau
on, soit sur le calcanéum à côté de lui, parfois il se perd dans le
tissu
cellu- laire de la région du talon. Innervati
sur la partie antérieure et supérieure du calca- \1(\urrt, sur le.
tissu
fibreux situé dans le creux calcaueo-astragallcn.
peaucier du cou. Insertions. Le peaucier du cou naît en bas dans le
tissu
cellulaire des régions sous-claviculaire et acro-
, eiie-mone peu mobile ce niveau à cause de ses adhérences avec les
tissus
profonds ; d'autre part (insertion mohile) par un
Insertions. Le risorius de Santo- rini s'insère en arrière dans le
tissu
cellulaire qui recouvre la région parotidienne,
oison. Innervation. Nerf facial. Physiologie. Le triangulaire des
tissus
attire en bas et en dehors la commissure de la
fibre musculaire prolifère et se subdivise avant de disparaître. Le
tissu
interstitiel prend part au travail inflammatoire
pair avec l'atrophie des fibres, puisse prendre le pas sur elle; le
tissu
cellulo- ou fibro-graisseux non seulement prend
rophie est déjà assez avancée : la mollesse et la dépressibilité du
tissu
musculaire sont surtout nettes quand on peut le
encore qu'il s'accole à la peau, mais ne comprime ou ne déprime les
tissus
sur aucun point. Ces conditions sont bien nombr
ès dans les mêmes proportions. De plus, l'atrophie est localisée au
tissu
musculaire, alors que l'amaigrissement l'ait disp
culaire, alors que l'amaigrissement l'ait disparaitre avant tout le
tissu
cellulo-graisseux : la prédilection peut être trè
ophiques, mais, dans ce cas, les parties du corps sur lesquelles le
tissu
cellulo-graisseux prédomine de beaucoup sur le
lesquelles le tissu cellulo-graisseux prédomine de beaucoup sur le
tissu
musculaire, comme les seins, la paroi abdominale,
; les autres, moins fréquents, se rencontrent au niveau de tous les
tissus
et semblent démontrer que l'affection est une mal
e les rencontrerait pas dans les atrophies d'origine nerveuse. Le
tissu
cellulo-graisseux peut non seulement se substitue
use. Le tissu cellulo-graisseux peut non seulement se substituer au
tissu
musculaire, mais encore en dépasser de beaucoup
nsemble de symptômes, plus ou moins constants, portant sur tous les
tissus
, os, articulations, peau, système vasculaire, sys
èse et des fesses fortement saillantes. L'épaississement adipeux du
tissu
cellulo-cutané est souvent mou et mobile au déb
- contrée en concomitance avec la myopathie porte comme elle sur le
tissu
musculaire ; c'est la myotonie congénitale ou m
une maladie portant plus ou moins sur le développement de tous les
tissus
; beaucoup de ces troubles, et parmi les plus fréq
ans les myopathies un trouble du développement portant sur tous les
tissus
, soit primitivement, soit secon- dairement à un
oup moins que les myo- pathies d'altérations trophiques de tous les
tissus
autres que le tissu musculaire. Dans le type Ch
- pathies d'altérations trophiques de tous les tissus autres que le
tissu
musculaire. Dans le type Charcot-Marie l'atroph
qu'un des éléments du trouble du développement qui atteint tous les
tissus
, et en particulier le tissu osseux; elle est plus
du développement qui atteint tous les tissus, et en particulier le
tissu
osseux; elle est plus ou moins propor- tionnell
ations; peau : troubles trophiques, vaso-moteurs et sécrétoires : -
tissu
sous-cu- tané : adipose, oedème; dents : irrégu
lement dis- tendu, et souvent des fascicules épaissis soulèvent les
tissus
cutanés et sous-cutanés : c'est alors surtout q
tation de volume siège bien dans le muscle lui-même et non dans les
tissus
superficiels. Enfin nous avons dit, à propos de
trophies dues à l'infiltration et à la dégénérescence graisseuse du
tissu
musculaire, et, en comparant cette fréquence à la
génitale totale d'un membre ou segment de membre oÙ la totalité des
tissus
, entre autres le tissu osseux, prennent part à
bre ou segment de membre oÙ la totalité des tissus, entre autres le
tissu
osseux, prennent part à l'hypertrophie, soit de
, soit de trophoedème congénital où l'infiltration n'atteint que le
tissu
interstitiel et sous-cutané. Enfin, on a signal
u fonctionnelle, les muscles parais- sent normaux sur une coupe, le
tissu
interstitiel n'est pas augmenté, l'hypertrophie
peut d'ailleurs aller quelquefois jus- qu'à amener des ruptures du
tissu
musculaire ou, si les muscles résis- tent, des
éméiologie nerveuse. Susceptibles d'intéresser tous les systèmes de
tissus
ou à peu près tous, ils peuvent s'observer dans l
dans la maladie de Morvan. soit que l'infiltration oedémateuse des
tissus
, leur hypertrophie, ou tout au contraire l'amin
lle être tenue pour trouble trophique ? Chez certains individus les
tissus
hypodermiques présentent seuls des troubles tro
e, à l'accumulation du sang et à la gêne de la circulation dans les
tissus
. Ainsi se forme la main succulente des syringomyé
tes ou tout au contraire disséminées. Le doigt ne peut déprimer les
tissus
oedéma- tiés ; ceux-ci présentent tantôt une co
cou-de-pied est boursouflé, cachant les saillies malléolaires ; les
tissus
se plissent et retombent à la façon du pantalon
'une cerise à celui d'une orange, subissent une atrophie locale des
tissus
sous-cutanés s'étendant jusqu'à l'os, la peau e
lière » (Purves Stewart). Lésions ulcéreuses des téguments et des
tissus
profonds. Pro- voquées le plus souvent par des
ation de séquestres ; mais les récidives sont fré- quentes en plein
tissu
cicatriciel. A la fin, le mal perforant est peu
raître en tous les points où se trou- vent longuement comprimés les
tissus
d'un membre ou d'un tronc paralysé. C'est ain
épreux et les syringomyéliques notamment. L'infection rencontre des
tissus
peu résistants, mais, chose singulière, si les dé
s conditions multiples : la diminution de l'influx nerveux rend les
tissus
moins résistants et les troubles trophi- ques o
lières, du nitrate d'argent et du sublimé à cause de la nécrose des
tissus
qu'ils tendent à produire. On agira mieux en in
es semblent dues à un dévelop- pement exagéré du système osseux, du
tissu
musculaire et surtout de l'appareil vasculaire
massive, cubique. L'hy- pertrophieporte également sur tous les
tissus
, os, muscles,- tissu cellulo-adi- peux, peau;
y- pertrophieporte également sur tous les tissus, os, muscles,-
tissu
cellulo-adi- peux, peau; il n'y a pas d'oedèm
adhérer aux os par suite d'une atrophie en masse des muscles et du
tissu
sous- cutané; cette peau est sèche, lisse ou co
ques, de volume très variable, dissé- minés irrégulièrement dans le
tissu
cellulaire sous-cutané et dans la peau, mobiles
l'atrophie musculaire et à des troubles trophiques de la peau et du
tissu
sous-cutané. Par suite de l'amyo- trophie, les
s ou moins celles du rhumatisme noueux : mais il y a réfraction des
tissus
périarti- culaires, et notamment des tendons, s
roubles vaso-moteurs et trophiques, elle est froide et violacée, le
tissu
graisseux sous-cutané est développé, les liga-
otable de longueur. L'hypertrophie porte égale- ment sur tous les
tissus
, squelette et parties molles. De profonds sillo
1045 déformations articulaires et par des dépôts d'urates dans le
tissu
sous- cutané et la peau, près ou loin'des artic
e dans le myxoedème à l'infiltration gé- nérale du tégument et du
tissu
sous-cutané; les pieds sont élargis, épaissis
t du pied, la peau est froide, violacée, le membre est atrophié, le
tissu
adipeux sous-cutané souvent anormalement dévelo
ouverture permet l'écoulement du liquide céphalo-rachidien dans le
tissu
cellulaire sous- cutané ; et c'est cette prolon
éviter les causes d'erreur suivantes : l'aiguille en traversant les
tissus
a piqué une veine de la peau ou des muscles, dans
ans l'espace épidural du canal sacré, région qui communique avec le
tissu
ccllulo-adi- peux, du canal, le cône durai, les
oupe les rayons qui, au contraire, sont arrêtés ou absorbés par les
tissus
irradiés. 1 t I. RADIODIAGNOSTIC t (Emploi
e des détails cherchés, pour la mise en évidence de la structure du
tissu
osseux, des muscles, des tendons, des bourses s
n ignore si z le corps étranger s'est enfoncé et est resté dans les
tissus
, la radiographie tranche la question en révélan
cile d'affir- mer a priori que le corps étranger qui a traversé les
tissus
superficiels a bien pénétré dans la cavité rach
tissus superficiels a bien pénétré dans la cavité rachidienne. Ces
tissus
sont en dlet plus épais, ont un pouvoir d'arrêt
it de pro- ductions osseuses. Celles-ci se constitueraient dans les
tissus
périarti- culaires par des néoformations ostéol
un début brusque, et présentant un oedème blanc et dur spécial des
tissus
periar- ticutaires avec apparition rapide de mo
s néoformations osseuses prenant leur origine dans le périoste, les
tissus
périarticulaires. les ligaments, les 'muscles, et
essions el de saillies, en un mot sans modelé; enfin l'épaisseur du
tissu
compact est moins grande, l'os devient transpar
ffections il la dégénérescence diffuse qui atteint essentiellement le
tissu
musculaire. Pierre Marie et Crouzon (') et d'au
rence physique soit sensiblement modifiée ; le vice de nutrition du
tissu
osseux peut rester latent, il n'aboutit pas aux d
rtain nombre de cas d ostéocie ». ( : est-il-dire d'allè- gemcnt du
tissu
osseux, entraînant une diminution du poids spécif
t de Rontgen successivement « absorbées par les diverses couches de
tissus
qu'il traverse vont « toujours décroissant de l
compatible avec l'intégrité de la peau correspond toujours pour les
tissus
sous-cutanés une dose moindre, d'autant plus fa
des l'ayons. Mais existe-t-il au point de vue de la sensibilité du
tissu
nerveux des inconvénients aU ribuables à des ap
sans lésion des cellules qui les entou- rent,sans réaction même des
tissus
qui les recouvrent, absolument à la manière d'u
re environ, hien fixé à la' plaque de métal, le tout recouvert d'un
tissu
hydrophile ou de peau de chamois. Il importe que
cteur homogène et de sec- tion connue; mais le corps est composé de
tissus
différents qui ne pré- sentent pas tous la même
nes réserves en raison des différences de conductibilité des divers
tissus
. Les quelques figures que nous reproduisons ici
eaucoup plus importants que les précédents. Le corps est composé de
tissus
divers, contenant des substances liquides, coll
- rant que les ions et Ci, de beaucoup les plus nombreux dans les
tissus
et les liquides de l'organisme, nous voyons que d
e la façon que nous venons de voir produisent l'escarrification des
tissus
, agissant suivant leurs propriétés, comme un acid
travers la peau ne doivent pas pénétrer très profondément dans les
tissus
, même avec la position la plus favorable donnée
ore quels sont les phénomènes qui se passent dans la profondeur des
tissus
, sur l'espace interpolaire parcouru par les lig
es membranes. Ces diverses conditions se trouvent réalisées par les
tissus
de l'orga- nisme. Sous l'action du courant galv
ue continu, il doit y avoir échange d'ions entre éléments d'un même
tissu
et entre éléments de tissus différents ; c'est
échange d'ions entre éléments d'un même tissu et entre éléments de
tissus
différents ; c'est sans doute là une des raisons
nt. Ces phénomènes d'élec trolyse interpolaire, dans l'intimité des
tissus
, se trouvent manifestés ! par ce que l'on a app
re assez considérable pour amener la désorganisation et la mort des
tissus
. En soumettant des muscles de grenouille à des
t explorer l'excitabilité du nerf qu'à travers les téguments et les
tissus
interposés. Dans ces conditions interviennent c
core mal connus et mal définis produits sur la nutrition intime des
tissus
par l'action directe ou indirecte du courant ap
ns, en effet, ;qui augmentent la polarisation des électrodes et des
tissus
. (courants de forte intensité, pas- sage prolon
e légèrement, soit qu'il communique des mouvements à la peau et aux
tissus
sous-jacents. . [E. HUET 122S 8 . APPLICATION
les courants faradiques qui ne produisent guère de polarisation des
tissus
, l'hyperexcitabilité des nerfs ne se montre pas
E. MUET.1 1274 ÉLECTRO-DIAGNOSTIC. conductibilité plus grande des
tissus
de l'oreille comme on l'observe dans la furoncu
rodes, une résistance 500 fois pins forte que l'ensemble des autres
tissus
, par conséquent 150 l'ois plus forte pour chacu
ompris la résis- tance de la peau, variait de 1000 à 2000 ohms. Les
tissus
situés au-dessous de la peau ont donc une condu
la peau ont donc une conductibilité infiniment meilleure; parmi ces
tissus
les muscles sont ceux qui ont la conductibilité l
grande : si l'on représente par 1 leur résistance, celle des autres
tissus
, nerfs, tendons, cartilages, varie entre 1,5 et
des, à la cathode il est pénétré par les liquides contenus dans les
tissus
sous-jacents. Actuellement on attribue le rôle
des organiques dans les espaces cellulaires et intercellulaires des
tissus
. Mais on est loin de s'accorder sur le rôle res
se placent la polarisation des élec- trodes et la polarisation des
tissus
. Un procédé simple et le premier employé est la
force contre-électro-motrice de polarisation des électrodes et des
tissus
, mais cette dernière correction est difficile à
ntage de ne pas donner lieu à la polarisation des électrodes et des
tissus
du corps. Les courants faradiques, qui sont des
able en le recouvrant lui-même d'une ou plu- sieurs épaisseurs d'un
tissu
hydrophile). Au lieu d'étain il vaut mieux pren
pour faciliter la circulation sanguine, les échanges nutritifs des
tissus
, la restauration fonctionnelle. Ce traitement d'a
, l'extraction du cerveau est diflicile il cause de la mollesse des
tissus
. M. et Mme Dejcrine conseillent alors la méthod
s éludes de cytologie fine. Ces inclusions disloquent facilement le
tissu
nerveux. Voici le procédé qui, d'après Gombau
que humaine. Coloration des cellules nerveuses, de la névroglie, du
tissu
con- jonctif et des vaisseaux par les carmins.
ool il 90° et passées dans l'eau distillée. De minces tranches de
tissu
nerveux et les nerfs peuvent être, avant l'incl
ours estimées comme des poids plus ou moins volumineux, bien que le
tissu
musculaire n'existe pas dans'les points où sont
u kyste étaient couverts d'épithélium pavimenteux sur une couche de
tissu
conjonctif sclé- reux, qui contenait ça et là d
ne couche de tissu conjonctif sclé- reux, qui contenait ça et là du
tissu
osseux, des glandes séborroï- ques. Une trouvai
ux, des glandes séborroï- ques. Une trouvaille remarquable était un
tissu
, qui était composé de fibrilles sclérotiques et
habdomyoma coi-dis. Il s'agit donc d'un reliquat du coeur. Vu ces
tissus
différents il ne s'agit pas d'une inclusion seule
e. M. Dufour. En effet, la cocaïne qui anesthésie tous les autres
tissus
, n'anesthésie pas les os. M. Touche montre les
ui en constitue l'axe. "La lacune est formée par une raréfaction du
tissu
cérébral autour d'une artériole, perméable, pré
filtration de cellules rondes et de fibrilles donnant l'aspect d'un
tissu
myxoma- teux. Les coupes parallèles à l'axe mon
ncore sous la forme de petits bourgeons qui vont pé- nétrer dans le
tissu
nerveux avoisinant; ce caractère est surtout év
phérique d'envahissement. L'espace intertubulaire est rempli par le
tissu
nerveux conznlc- tement dégénéré sans fibres à
e indiquée ci-dessus, qu'il a complètement respecté au contraire le
tissu
nerveux qui l'entoure. Il a produit un véritabl
i- fiées, dont chacune possédait un vaisseau central, très peu de
tissu
conjonctif et un double revêtement épithélial. La
granuleux typiques. Ces masses sont le résultat de la nécrose et du
tissu
nerveux et des parties centrales néoplasiques.
omme on pouvait le prévoir, leur action spéci- fique sur les divers
tissus
de l'organisme et manifestent des affini- tés é
se rencontrent pas in s;<M, mais qu'elles envahissent les autres
tissus
. R. DE NIUSGR.1VE-CLAY. XXIV. Un cas de fractur
adies du cerveau, s'accompagnant d'altérations incontesta- bles des
tissus
, dans la paralysie générale, par exemple, les s
ent intéressant, à cause de l'épaisseur considérable de la gaine de
tissu
pathologique qui entoure la moelle^ quant à l'é
QUES. 217 tion, ne s'accompagne d'aucune inflammation apparente des
tissus
de la cornée ou des autres membranes de l'oeil.
lisateur des stimulations cérébrales sus- ceptibles d'influencer le
tissu
cornéen, non par des troubles trophiques dériva
s musculaires et dans 24O L HYSTERIE DE SAINTE THÉRÈSE les autres
tissus
intérieurs : ce sont des troubles de la sensi-
. Dans la substance cérébrale, diapédèse abondante, infiltration du
tissu
par les petites cellules rondes. > Les par
tait en outre envahie plus ou moins par des éléments proliférés des
tissus
conjonctif et névroglique, infiltration allant
ue enfin était le siège d'une prolifération plus ou moins grande du
tissu
interstitiel : augmentation considérable du nom
tration des éléments nobles de la papille et du nerf optique par du
tissu
conjonctif et névroglique proliféré. (Ce mémoir
t être séparés de la tumeur et ne sont pas pénétrés par elle : leur
tissu
SOCIÉTÉS SAVANTES. 3û9 conjonctif s'hyperplas
léments s'infiltrent et prolifèrent dans les espaces conjonctifs du
tissu
interfasciculaire, de la gaine lamelleuse, et du
njonctifs du tissu interfasciculaire, de la gaine lamelleuse, et du
tissu
intrafas- ciculaire, ou, d'autres fois, y sont
circonscrivent de petites alvéoles remplies de sérosité, véritable
tissu
spongieux. Dans les cas habituels, il n'y a pas
sement interprétés. SOCIÉTÉS SAVANTES. 363 Si l'alliance des deux
tissus
mésodermique et ectodermique semble être dans c
rai que comme toutes les tumeurs le gliome peut parfois envahir des
tissus
étrangers et se substituer à eux, comme nous l'
lastiques : dégénéres- cence caractérisée par l'homogénéisation des
tissus
avec réaction colorante élective en présence de
l'action exercée par les sarcomes solitaires des mé- ninges sur le
tissu
nerveux, la lésion la plus fréquente, bien con-
e. Mais les sarcomes solitaires des méninges peuvent exercer sur le
tissu
ner- veux voisin une autre action que celle de
c'est l'inaptitude du sarcome solitaire des méninges à envahir le
tissu
nerveux voisin, quelle que soit sa durée. Ainsi,
pris la glio-méthode de Weigert, nous avons toujours rencontré un
tissu
uniquement sarcomateux, sans mélange d'éléments n
lastique ; évolution lente ; destruction modérée et toute locale du
tissu
nerveux ; tumeur non envahissante, avec tendanc
transformation calcaire. Pour le second : structure embryon- naire,
tissu
très.végétant, avec cellules polymorphes et myélo
phériques, nous avons pu aisément constater que le développement du
tissu
néoplasique avait eu lieu en réalité aux dépens
odermiques (périnèvre, endonèvre, gaine de Henle, gaine de Schwann,
tissu
conjonctif ordinaire, gaine périvasculaire ou pér
ints; dans la fibromatose multiple, ces noyaux rappellent plutôt du
tissu
conjonctif adulte, tandis que dans la neuro-fib
serve en certains points la confusion des parois vasculaires et du.
tissu
nerveux. Méninges épaissies et infiltrées ; aug
urgeons superficiels chargés de noyaux qui peuvent s'isoler dans le
tissu
conjonctif voisin. Généralisée, elle rend les f
indivis, s'individualiseen cellules distinctes qui tombent dans le
tissu
interstitiel ou restent dans la gaine. C'est la
llules musculaires embryonnaires. Ces cellules, disséminées dans le
tissu
conjonctif, sont plus capables de s'adap- ter a
La métamorphose conjonc- tive explique l'augmentation apparente du
tissu
interstitiel et de ses noyaux indépendamment de
imement es- compter qu'ils se fixeront avec la même facilité sur le
tissu
nerveux. La création des points de comparaison,
de, qui ne s'était nullement plaint, la découverte d'un phlegmon du
tissu
cellulaire au-devant du grand pectoral gauche.
était faite normale- ment, ne laissant comme traces que très peu de
tissu
fibreux. Les deux portions de l'os étaient de n
deux foyers d'hépatisation rouge, un dans chaque lobe, entourés de
tissu
non hépatisé, sauf au niveau de la scissure int
e gauche portait à sa face supérieure une épingle implantée dans le
tissu
hépatique et dirigée de haut en j V. op. cit. V
portion cachée de l'épingle s'en- fonçait très obliquement dans le
tissu
hépatique, la pointe étant dirigée sensiblement
tait contenu dans un trajet fistuleux cicatrisé ci priori, formé de
tissu
fibreux, d'un aspect blanchâtre. Autour du poin
ps étran- ger avec ceux-que nous avons retirés de son phlegmon du
tissu
cellulaire au devant du grand pectoral gauche (§
u autant que l'hiatus osseux le permet, de façon à bien séparer les
tissus
. Tels sont les temps de l'opéra- tion bien supp
s, cette vue que la paralysie générale est une réaction de tous les
tissus
imprégnés de toxines ; il établit un parallèle en
blit un parallèle entre les fines lésions de capillaires des divers
tissus
hépatique, cérébral, stomacal, etc., comparés à
ue, cérébral, stomacal, etc., comparés à l'état normal de ces mêmes
tissus
(8 figures). A. M. XXXIX. Le substratum physi
'oedème n'existant plus, les conditions locales de la nutrition des
tissus
sont heureusement modifiées, la plaie du sein v
à la substance nerveuse, 'ce n'est qu'à une période avancée que le
tissu
conjonctif est atteint. Chez le lapin, l'hémise
stitué et dans le développement, dans les espaces restés libres, de
tissu
connectif, riche en éléments cellulaires. Ce ti
estés libres, de tissu connectif, riche en éléments cellulaires. Ce
tissu
, à caractère ostéogène sans contredit, renvoie de
sur le gris, tout à fait pâle et se confondant absolu- ment avec le
tissu
cellulo-adipeux ambiant, au point qu'il est trè
ur presque totalement détruit, est réduit à une petite languette de
tissu
fibroïde jaune pâle, d'une couleur analogue à cel
tes alvéoles, d'étendue iné- gale qui ne contiennent presque que du
tissu
adipeux au milieu duquel on voit persister'de r
e rares unités musculaires. Ces tractus sont eux-même formés par du
tissu
conjonctif dont la coloration rose vif par le p
rès nettement sur la couleur plus pâle des fibres de soutènement du
tissu
adipeux et sur la cou- leur rouge-brun foncé de
n fort grossissement on constate que les tractus sont formés par un
tissu
conjonctif lamelleux, qui est quelquefois d'un
ssembler à des fibres musculaires. Si l'on examine attentivement le
tissu
adipeux, on découvre cer- taines'particularités
particularités capables de nous renseigner sur le rôle que .joue ce
tissu
dans les myopathies. On constate, en effet, assez
t la striation dispa- raissant la fibre désagrégée se transforme en
tissu
conjonctif. La coupe transversale de certaines
ir qu'il s'agit d'une fibre auparavant musculaire. On voit aussi le
tissu
adipeux prendre la place du tissu musculaire en
vant musculaire. On voit aussi le tissu adipeux prendre la place du
tissu
musculaire en voie de disparition. Les faisceau
s. Il est à noter qu'il exisle aussi une plus grande abondance de
tissu
conjonctif par rapport au tissu graisseux relativ
aussi une plus grande abondance de tissu conjonctif par rapport au
tissu
graisseux relativement à ce qu'on voyait dans l
ment à ce qu'on voyait dans les coupes du biceps où au contraire le
tissu
adi- peux dominait. Radial. Ce qui distingue
'est la plus grande prolifération conjonctive. Les trabécules de ce
tissu
forment un réseau plus épais et plus régulier.
sie de la couche profonde du périnèvre, et, du côté central, par le
tissu
intra- fasciculaire du fascicule nerveux. L'esp
étude sur la structure des nerfs chez les'solipèdes, a décrit un
tissu
qu'il appelle système hyalin intm-vagi1 ! al; il
aninoff, à savoir qu'il s'agirait de l'hypertrophie pathologique du
tissu
conjonctif de consistance gélatineuse situé à l
r, soit corpuscules de Renaut, soit hyper- plasies circonscrites du
tissu
conjonctif, soit enfin fuseaux con- jozctifs (B
une cirrhose interstitielle primitive, soit à une inflammation du
tissu
interstitiel dont le développement en arriverait
tuent des centres d'attraction pour le proto- plasma transformé. Le
tissu
dans son ensemble reprend l'as- pect et les qua
é. Le tissu dans son ensemble reprend l'as- pect et les qualités du
tissu
embryonnaire, et, en conséquence, aboutit à une
tissu embryonnaire, et, en conséquence, aboutit à une formation de
tissu
conjonctif ou de ses dérivés, tissu cartilagine
e, aboutit à une formation de tissu conjonctif ou de ses dérivés,
tissu
cartilagineux, osseux. La théorie de la phagocy
r- rait être interprété de la façon suivante. A l'état normal, le
tissu
conjonctif des muscles est remar- quable par la
ailles contiennent des cellules lymphatiques en nombre variable. Le
tissu
conjonctif consti- tue, en quelque sorte, une v
). L'équilibre de la nutrition du myoplasme, du sarcoplasme et du
tissu
interstitiel est réglé par l'action frénatrice du
eux. Quand cette action d'arrêt est suspendue, le sarcoplasma et le
tissu
interstitiel qui possèdent en raison de leur ét
les éléments de nutrition de la lymphe qui le baigne, et alors, le
tissu
de soutènement, grâce à son pouvoir nutritif si
e en évidence l'importance dans ce processus de la prolifération du
tissu
adipeux, car cette parti- cularité ne parait pa
ant qu'elle le mérite, l'attention des observateurs. On sait que ce
tissu
, au point de vue de son développement, ne résul
ésulte pas d'un simple dépôt de graisse dans les cellules 'fixes du
tissu
conjonctif. Les cel- lules adipeuses sont, à l'
cellules adipeuses jeunes, dé- montre le rôle actif que joue ici le
tissu
graisseux, dont l'im- portance est si grande da
lasma; dans d'autres, à mesure que le myoplasma disparaît, c'est le
tissu
adipeux qui prend sa place; il en est enfin où
le fond de la cloison en relâchement évident. Cette altération du
tissu
tympanique est la condition principale des comp
es; conserva- tion de la tonicité des vaisseaux. Une excitation des
tissus
cicatri- ciels au niveau des escarres gangreneu
ion des noyaux, se forment des cellules géantes dont proviennent du
tissu
SOCIÉTÉS SAVANTES. 277 fibreux ostéoïde ou du
roviennent du tissu SOCIÉTÉS SAVANTES. 277 fibreux ostéoïde ou du
tissu
osseux capable d'oblitérer la lu- mière des can
men microscopique révéla dans les parties ramollies deux espèces de
tissus
. 4° Sur les limites du tissu normal, les cellul
les parties ramollies deux espèces de tissus. 4° Sur les limites du
tissu
normal, les cellules de la névroglie étaient augm
il n'y avait que de rares fibres nerveuses. 2° A la périphérie, un
tissu
très riche en cellules : cellules rondes, ovale
ons que les petits foyers séparés du foyer principal par un pont de
tissu
sain présentent les mêmes altéra- tions, et, d'
côté. Et si maintenant elle persiste, c'est que la clavicule et les
tissus
voisins se sont fixés dans cette situation irrégu
figure également pour une part im- portante dans la composition du
tissu
nerveux normal : il serait intéressant de reche
émoire conservée, idées lucides, compréhen- sion facile. Absence de
tissu
adipeux, musculature normalement t développée.
déterminé l'épanchement sanguin que grâce à une modification des
tissus
de l'oreille. 1 Abandonné à lui-même, l'hématom
une déformation considérable'de l'oreille grâce à la formation d'un
tissu
cicatriciel fibreux ou cartilagineux. Les diffé
é avec la substance médullaire du lobe frontal, la con- sistance du
tissu
médullaire était légèrement diminuée. Entre ces
èrement diminuée. Entre ces deux lésions, épaisseur considérable du
tissu
sain. Ce fait, constituant comme la pierre angu
fication, car, dit Broca, il existait une épaisseur considérable de
tissu
sain entre cette légère lésion et le grand foye
le, constate avec soin qu'il existait une épaisseur considérable de
tissu
sain entre les deux lésions, et se croit eu dro
he son observation de celle de Gintrac. Il est à re- gretter que le
tissu
médullaire, atteint d'une diminution dans sa co
l limités se continuent sans ligne de démarcation distincte avec le
tissu
cérébral voisin ; sa con- sistance est molle, t
nt complètement'; n'y-a-t-il qu'une petite quantité de myéline, les
tissus
se ramollissent et finissent par se détruire tota
substance conjonctive qui, elle, peut se transformer finalement on
tissu
con- jonctif véritable. Mais alors la substance
it; elles sont sphéroïdales, unipolaires et leur corps est réuni au
tissu
synectique voisin par un délicat stroma de fibr
grande des coupes de la moelle dans la substance grise à ce que le
tissu
synectique à ce niveau possède un indice de réf
'est à peine si par - ci par-là une cellule enfouie dans un amas de
tissu
synectique in- dique leur continuation vers les
e de Schneider. Us y seraient parvenus en passant par la portion du
tissu
sous-arachnoïdien qui enveloppe normalement le
pliqua à ce niveau une couronne de trépan. Les parties molles et le
tissu
osseux ne pré- sentaient aucune altération. Tro
erplasie de la névroglie est surtout marquée dans les régions où ce
tissu
est particulièrement abondant à l'état nor- mal
ctions mentales variées, l'auteur s'est assuré que l'hyperplasie du
tissu
connectif existait à un degré plus ou moins marqu
e du foie par exemple; ou, en d'autres termes, que l'hyperplasie du
tissu
connectif est l'élément primi- tif de la maladi
liquide serni-purulent, venant de l'espace sous-arachnoïdien. Le
tissu
cérébral est ferme; à la base du cerveau, on voit
heures après la mort), on trouve la dure-mère un peu adhérente; le
tissu
cérébral est ferme. A gauche, dans la portion e
tal, résultant d'un mode vicieux ou incomplet de dévelop- pement du
tissu
nerveux. Anatomiquement, rien ne différencie le
pement du tissu nerveux. Anatomiquement, rien ne différencie le le
tissu
nerveux de ces « obtus » du tissu nerveux des suj
uement, rien ne différencie le le tissu nerveux de ces « obtus » du
tissu
nerveux des sujets nor- maux ; et l'auteur est
dance à mal faire». Si cette obtusion atteint surtout la portion du
tissu
nerveux qui est affectée aux opérations mentale
rrsir;3s ssrsora'sb ni J9 si Le cereau-pèsés4;170Jgramntes; : sbni',
tissu
La substance grise est réduite à l'état de sinl
ette, allait, parfois jusqu'à remplacer complètement la cellule. Le
tissu
connectif était plus abondant qu'à l'état norma
·.r 214 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE , * 1 quide mêlé de pus. Le
tissu
cérébral,était de consistance peu u i.i l .ion.
e, ciment nerveux de Virchow, et refuse de la consi- dérer comme du
tissu
conjonctif. Elle se compose d'éléments fi- guré
des chiens, parla double méthode d'excitation et de destruction des
tissus
, peut se formuler ainsi.-La destruction, chez l
s, composées chacune d'un vaisseau épaissi à parois vitreuses, d'un
tissu
périvasculaire finement granuleux, et de cellul
- brale disséminée), accompagnée de remarques sur la structure du
tissu
conjonctif normal de l'encéphale ; par M. InIEBL1
leur constitution chimique, de la neuro- kératine bien plus que du
tissu
élastique. Les noyaux qui occupent la substance
t d'origine vasculaire. La prolifération porte non seulement sur le
tissu
conjonctif, mais encore sur les fibres et les c
ltiplication des noyaux, hyperplasie conjonctive, aug- mentation du
tissu
graisseux). M. Strümpell se rattache à l'idée d
, elle provoque des modifications multiples dans la nutrition des
tissus
épidermiques, osseux, articulaires. P. K. XXXV.
des vaisseaux, les fibres nerveuses et les parties constitutives du
tissu
conjonctif conservant leur intégrité. En ce qui
tement par le carmin, qui ont comprimé et détruit autour d'elles le
tissu
voisin. La paroi même du vaisseau offre une dégé-
miliaire soient le fait d'un maladie; 2" l'examen microscopique du
tissu
cérébral, l'observation des effets de l'alcool no
lésions de la sclé- rose, surtout sur les coupes qui comprennent du
tissu
sain en même temps que du tissu altéré. Dans le
t sur les coupes qui comprennent du tissu sain en même temps que du
tissu
altéré. Dans les différentes couches, mais seul
es couches, mais seulement sur la portion de la coupe qui répond au
tissu
malade, on trouve des corps arrondis (corpuscul
s voit peu à peu diminuer, puis disparaître à mesure qu'on passe du
tissu
sain au tissu malade. La couche dite granuleuse,
eu diminuer, puis disparaître à mesure qu'on passe du tissu sain au
tissu
malade. La couche dite granuleuse, située REVUE
ans'les feuillets malades ; elles sont remplacées par des fibres du
tissu
connectif, et d'une façon générale, par des élé
constitutionnel ayant successivement présidé à l'in- flammation du
tissu
cellulaire des muscles atteints et à la formation
du tissu cellulaire des muscles atteints et à la formation dans ce
tissu
de corpuscules osseux qui, en fin de compte, ossi
ultiples : atrophie, dégénérescence graisseuse, dégénéres- cence du
tissu
conjonctif ou ossification. C'est sur les muscles
stérieure, très éburné, comme l'était du reste la corticale. En plein
tissu
éburné, on taille des copeaux successifs, parallè
n de laquelle les cellules se développent peu à peu par résorption de
tissu
et par bourgeonnement ou évagination des parois d
nces indéterminées, ou à la suite d'inflammations chroniques, ce même
tissu
spongieux péri-antral subit une évolution inverse
répond à la fosse cérébelleuse. Elle est constituée par une couche de
tissu
spongieux qui, en avant, appartient à la base de
est unique et dans sa partie inférieure se convertit en un véritable
tissu
lamellaire dont la portion externe appartient à l
Sur les apophyses de type mixte, ce groupe est souvent envahi par le
tissu
compact. Barbarin a trouvé bien souvent sous la c
n-contre quelquefois qu'une seule cellule, entièrement bloquée par du
tissu
éburné : c'est la cellule mastoïdienne aberrante.
ingite externe. Cette cavité était séparée de l'antre par une lame de
tissu
compact, de G millimètres d'épaisseur. L'infect
l'orifice antérieur du canal carotidien. Structure du rocher. — Un
tissu
osseux finement spongieux remplit, pendant les pr
t creusée à la base de la pyramide pétreuse, au milieu d'une masse de
tissu
éburné, nommée noyau ou capsule labyrinthique. El
on trouva un abcès de la glande parotide avec destruction de tout le
tissu
glandulaire, infiltration purulente et gangrène d
pharyngienne. Les espaces tympaniques du fœtus sont comblés par du
tissu
conjonctif embryonnaire qui forme comme un coussi
suivent la naissance. D'après Trôltsch, Zaufal et Urbantschitsch, ce
tissu
embryonnaire se résorberait quelquefois plus tôt
es glandes nombreuses, et, près de l'orifice pharyngien, des îlots de
tissu
adénoïde qui forment l'amygdale tubaire de Gerlac
urs, dont la longueur atteint 12 millimètres, il traverse une zone de
tissu
osseux compact, interposée entre la cavité tympan
f se dirige obliquement en avant et en bas, enfoui dans une couche de
tissu
cellulaire, en passant au-dessus du ventre postér
e d'un cordon de i millimètres d'épaisseur, enfoui dans une couche de
tissu
cellullaire et recouvert de quelques ganglions ly
e «en décollant et en refoulant en arrière la dure-mère, une crête de
tissu
compact, formant la paroi externe du dôme osseux
. Au-dessus du canal demi-circulaire externe, se trouve une zone de
tissu
spongieux qui constitue une partie de la paroi ex
rieur de la coupe. L'apophyse est du type mixte, avec prédominance du
tissu
pneumatique à petites cellules. Le sillon sigmoïd
trique. La capsule labyrinthique, compacte et lisse, tranche sur le
tissu
spongieux de la pyramide. Figure 3. — Temporal
emi-circulaire supérieur. En dedans de l'antre, on trouve une zone de
tissu
aréolaire, comprise entre les canaux demi-circula
x cellules mastoïdiennes postérieures, séparées par une large zone de
tissu
compact ; la première, postéro-supérieure ou sinu
es légèrement albumineuses ne contiennent pas de sucre. L'oedème du
tissu
cellulaire sous-cutané est presque généralisé; su
topsie 24 heures après la mort. Infiltration séreuse généralisée du
tissu
cellulaire sous-cutané. Phlyctènes et début d'esc
muscle est-il contracté ou simplement distendu ? La distension d'un
tissu
con- tractile comme le tissu musculaire n'est e
mplement distendu ? La distension d'un tissu con- tractile comme le
tissu
musculaire n'est en rien comparable à la distensi
E I C. O N O G 11 \ P II I E D E L A S A L P E T 11 1 È 11 H. d'un
tissu
simplement résistant comme les ligaments, et la l
moins )es qualités de résistance et 'd'élasticité *. propres a tout
tissu
vivant. 01"ce sont ces qualités en quelque sort
ses musculaires qui est la conséquence de leur envahissement par le
tissu
fi- breux. Ce fait déjà signalé par Landouzy
es points où on la constate, on remarque aussi une prolifération du
tissu
conjonctif interstitiel. En outre, un certain n
, mais la palpation dénote que ce volume est dû en grande partie au
tissu
adipeux sous-cutané assez développé et que les
s do la sensibilité en général sur les troubles de la nutrition des
tissus
. Je vais faire passer sous vos yeux un certain
ennent inopinément a l'occasion du moindre effort. La friabilité du
tissu
osseux relève d'un processus de dénu- trition q
ent des os du tarse, qui se produit Ù la suite de la raréfaction du
tissu
spongieux. La fréquence de cette lésion vous es
e que les perturbations nutritives sont d'autant plus grandes que les
tissus
qu'elles affectent ont plus de vitalité. Vous s
digitale. Au-dessus du genou, elle est d'une tout autre nature : les
tissus
sont coriaces, durs, sans élasticité, presque l
le articulaire rompue laisse le liquide synovial s'insinuer dans le
tissu
conjonctif du membre. Je n'y contredis pas à pr
ence au cours du ioicsrLaissons de côté, pour l'illstant, celle des
tissus
mous. Les lésions hy- pertro171liantes du pério
ait pas à la définition du fait brûlai. A côté de la raréfaction du
tissu
spongieux, nous constatons l'hyperplasie. Les ext
ipôme enlre dans l'hypertro- phie du membre. Il se pourrait que les
tissus
osseux et musculaires n'y fussent pas absolumen
l y a plus encore. On parle et non sans raison de sen- sibilités de
tissus
. Beaunis (1) dans son très intéressant ouvrage su
e. « C'est la sensibilité provoquée ou spontanée que présentent les
tissus
et les organes, il l'exclusion des sens spéciau
e la façon suivante : un grand nombre de viscères, de membranes, de
tissus
sont dépourvus de sensibilité il l'étal sain. Leu
que ne fait le cancer, c'est qu'elle est réellement destructive du
tissu
capsulaire. Du même coup, elle sup- prime la fo
des qu'on peut rappor- ter aux appareils sensitifs des organes, des
tissus
, des éléments anatomiques profonds. Toutes le
végétative, les viscères, les vaisseaux sanguins et lymphatiques, les
tissus
conjonctifs et jusqu'au tissu osseux lui-même.
sseaux sanguins et lymphatiques, les tissus conjonctifs et jusqu'au
tissu
osseux lui-même. L'équilibre dont il s'agit est i
x de réaction nutri- tive qui régissent l'équilibre fonctionnel des
tissus
osseux ou cartilagineux ne connaissent rien de
ste titre, faisceau volon- taire, n'exerce aucune inlluence sur ces
tissus
; aussi, chez l'adulte, les troubles trophiques
rolifé- ration osseuse (ostéophytes) mais aussi une néoformation du
tissu
con- jonclir qui remplit quelquefois la cavité
évroses, soif dans les tendons, soit dans les muscles, soit dans le
tissu
cellulaire sous-cutané. On ne pos- sède pas d'e
des poils ; la présence du bacille de Hansen dans les parcelles des
tissus
ulcérés. La résorption spontanée des phalanges
l'hypertrophie. osseuse se joignent de l'empalement irrégulier des
tissus
péri-articulaires et des troubles trophiques; i
tincts tenant à la nature de l'infection ou au mode de réaction des
tissus
dystrophiés. Notons d'abord parmi ces types, et
rmit de constater une périnévrite manifeste avec bacilles dans leur
tissu
conjonctif. Dans une seconde observation, plus pr
lésions articulaires mais encore les lésions connexes constantes du
tissu
cellulaire et de la peau. ARTHROPATHIES TROPH
ongée, ne réussit pas et ceci d'ordinaire à cause de la sclérose du
tissu
cellulaire et de la peau péri-articulaire, on aur
l offre, disons-le d'abord,presque toujours, un avantage réel : les
tissus
dyslrophiés sont en même temps analgésiques, et
les arthropathies trophiques : circonstance fâcheuse car alors les
tissus
sont, ainsi que nous nous en sommes assurés plu
se, des difficultés opératoires spéciales et utiles il prévoir. Les
tissus
péri-articulaires dystrophiés saignent beaucoup,
r dans le fil à ligature à la fois les vaisseaux athéromateux et le
tissu
environnant. Il en fut ainsi dans notre interve
ère intention. Inconvé- nient d'autant plus grave que les plaies en
tissus
trophiques s'infectent avec une facilité partic
, irréguliers. Il est vrai que la malade les ronge incessamment. Le
tissu
graiseuxa pour ainsi dire à peu près disparu et l
amment. Le tissu graiseuxa pour ainsi dire à peu près disparu et le
tissu
mus- culaire participe vraisemblablement il l'é
tion, ses propriétés et ses fonctions; l'alopécie n'existe plus; le
tissu
cellulo-adipeux' s'est amplement garni de graisse
n même temps il n'exerce aucune pression sur l'endocrâne ; aussi le
tissu
osseux par- faitement sain continue à s'accroît
donne l'angle nétroclivien. ATROPHIES CÉRÉBRALES UNILATÉRALES. 35
tissu
osseux 1 ; c'était un myxoedémateux, chez lequel
ssible formée par la faux du cerveau et la lame mince recouvrant le
tissu
spongieux de l'apophyse crista- galli. Mais tou
eloppement cérébral qui ne s'oppose pas à leur envahissement par le
tissu
osseux. Sur quelques crânes notamment, il est c
dans la gaine des vaisseaux, puis infiltrent d'une façon diffuse le
tissu
nerveux et enfin tombent dans la cavité centrale.
ns l'organisme de l'acide nitrique qui par son accumulation dans le
tissu
osseux, dissoudrait les sels minéraux, ramollirai
, on trouve une action afférente, et qu'une acti- vité spontanée du
tissu
nerveux est un phénomène inconnu en physiologie
le manière donc, dans une seule et même infection peut s'altérer le
tissu
intersti- tiel et le tissu parenchymateux en de
eule et même infection peut s'altérer le tissu intersti- tiel et le
tissu
parenchymateux en degrés différents (locus minons
c., ont soutenu que les parathyroïdes n'étaient que des portions du
tissu
thyroï- dien incomplètement développées, mais s
eister, de Gley, Nicolas, Jacoby, Kohn, etc., qui ont montré que le
tissu
des parathyroïdes une fois formé, restait toujo
ois formé, restait toujours le même et ne pouvait se transformer en
tissu
thyroïdien. Leur structure histologique compr
eur ensemble des boyaux pleins, sépa- rés les uns des autres par du
tissu
conjonctif servant de support aux artères et au
thyroïde principale. Les parathyroïdes externes sont entourées d'un
tissu
conjonctif qui les isole des tissus avoisinants
des externes sont entourées d'un tissu conjonctif qui les isole des
tissus
avoisinants. Pour la thyroïde interne la sépara
issus avoisinants. Pour la thyroïde interne la séparation d'avec le
tissu
thyroïdien est incomplète. Chez l'homme, la par
n brun rougeâtre, légèrement jaunâtre qui les fait confondre avecle
tissu
adipeux voisin. Chez les animaux, M. Jouty n'a
uivant ses lieux d'habitat et les réactions qu'il provoque dans les
tissus
donne au tableau clinique telle physionomie par
pouvant être beaucoup plus généralisée. pouvant intéresser d'autres
tissus
que le tissu nerveux, que vous allez voir chez
eaucoup plus généralisée. pouvant intéresser d'autres tissus que le
tissu
nerveux, que vous allez voir chez le malade que
age et trou- blant en même temps la circulation et la nutrition des
tissus
intéressés. Mais il est un autre groupe de trou
te au niveau de l'espace lymphatique et y colonise ; la défense des
tissus
environnants se traduit par une prolifération d
sa ' présence pro- DEUX CAS DE LÈPRE NERVEUSE. 127 voque dans les
tissus
en général et en particulier dans la peau, laqu
nterstitielle. Je vous rappelle seulement la disposition normale du
tissu
conjonctif au niveau des nerfs, l'épinèvre qui
erfs, l'épinèvre qui entoure le cordon tout entier, le périnèvre ou
tissu
périfasciculaire qui enveloppe les fais- ceaux
fibres et dans lequel cheminent les vaisseaux, enfin l'endonèvre ou
tissu
intrafasciculaire pénétrant entre les fibres ne
la lésion lépreuse se rencontre en deux endroits à la fois, dans le
tissu
périfasciculaire et dans le tissu intrafascicul
deux endroits à la fois, dans le tissu périfasciculaire et dans le
tissu
intrafasciculaire, c'est vous dire qu'en ce derni
ues, ainsi que mon collègue Déjerine l'a fait remar- quer. Enfin le
tissu
nerveux ne se refuse pas à faire des lésions hi
cessus consécutifs au traumatisme, les phénomènes de réparation des
tissus
nerveux détruits. Il nous reste à pénétrer le m
a notion dp-l'inflam1Jlation. Si nous désignons ainsi une lésion du
tissu
nerveux s'accompagnant de prolification des ing
de phlyc- tères ; formation d'une croule épidermique recouvrant des
tissus
mortifiés ; élimination de ceux-ci, d'où une ul
le produit de poussées congestives avec rupture vasculaire dans le
tissu
cellulaire sous-cutané, comme il s'en forme dans
ficiel- les, sans relation, semble-t-il dans les autopsies, avec le
tissu
cellulaire sous-cutané. Quanta la fréquence des
émités, des oedèmes localisés, des infiltra- tions particulières du
tissu
cellulaire des extrémités (pseudo-oedè- mes de
teurs, que, dans la démence précoce, la lésion localisée à l'un des
tissus
de l'encéphale demeure comme un fait indiscutab
ques auraient pour caractère anatomique d'atteindre l'ensemble des
tissus
qui composent l'encéphale et à côté des lésions d
l'encéphale et à côté des lésions du neu- rone, et de la névroglie (
tissu
neuro-épithélial) d'entraîner celles des élémen
es fonctionnelles et à l'atrophie du neurone, tandis que les autres
tissus
de l'encéphale, à part parfois la névroglie, ne
n raison de sa proximité, par la propagation de son inflammation au
tissu
cellulaire orbitaire dont les lésions (cellulite
mment. Les gaines de myéline sont d'un rouge éclatant ; le reste du
tissu
est incolore. Seulement la différencia- tion n'
run foncé ou noir, les cellules jaunâtres ou brunes, le reste des
tissus
forme un fond jaunâtre diffus d'un beau contraste
ents, la méthode a pour inconvé- nients de colorer simultanément le
tissu
conjonctif fibrillaire intra et péri-vasculaire
neutralisent. 4. Le passage des masses élec- triques 11 travers les
tissus
et liquides de l'organisme s'accompagne fatalem
n du tronc nerveux, se font avec le concours et la participation du
tissu
musculaire. G. D. LXXXII. Nouvelles recherche
lument libres, n'étaient réunis aux lissus voisins que par un lâche
tissu
cellulo-adipeux.- L'examen histologique a montr
On sait que le tétanos céphalique est dû à l'introduction dans les
tissus
du bacille de Nicolaier et de la toxine qu'il éla
structure rendent particulièrement exposée la fine organisation du
tissu
cérébral' et de la fonction cérébrale. Clinique
a régression du squelette primitif et l'ossification irritative des
tissus
parostaux; les autres qui se montrent au décours
.- ladie de Recklinghausen n'est-elle qu'un mode de dystrophie du
tissu
nerveux et cutané qui, dans certains cas, vient s
de du métabolisme (sang et urine), du liquide cérébro-spinal, et du
tissu
nerveux lui-même ;.2°les recherches personnelle
g avait eu lieu par les narines et que de l'emphysème soulevait les
tissus
du cou et de la partie supé- rieure du thorax.
voit que le nerf optique droit est envahi par une grosse cloison de
tissu
conjonctif qui semble le diviser en deux moitié
poreuse » de Sicard) (pl. XIX, fig. C). Le trophisme de la peau, du
tissu
cellulaire sous-cutané, des os, des ongles, se
re pécrohiotique et consistent en une diminution de la vitalité des
tissus
, tandis que les troubles trophiques et vasomote
es échanges nutritifs et à une perturbation de la croissance de ces
tissus
. IV. LÉSIONS concomitantes DES NERFS médian ET
et trophiques. Les troubles trophiques peuvent intéresser tous les
tissus
. La peau peut présenter des signes de dégénéres
st fréquente; ils sont remplacés par une croûte, un amas informe de
tissu
corné, épais, blanchâtre, sa..s élasticité. Le
mas informe de tissu corné, épais, blanchâtre, sa..s élasticité. Le
tissu
cellulaire sous-cutané présente souvent une sorte
t un temps assez prolongé un dégon- flement complet et absolu ; les
tissus
autrefois fermes ont été transformés par l'habi
sformés par l'habitude, par l'éclatement, des fibres élastiques, en
tissus
plus ou moins lâches et plus ou moins imbibés,
ssus plus ou moins lâches et plus ou moins imbibés, en une sorte de
tissus
muqueux qui n'ont qu'une tendance fort réduite
pothénar, pouce de singe. Le médian et le cubital, engaînés dans du
tissu
fibreux, avaient été libérés chi- rurgicalement
lysie étaient extrêmement prononcées. Le nerf était engaîné dans du
tissu
fibreux, sa libération resta sans effet. Les fi
s légère. Ce dernier fut opéré ; le sciatique était engaîné dans du
tissu
fibreux, présentant un petit névrome et recouve
ait primitive. Secondairement, tout autour de l'os hypertrophié les
tissus
seraient obligés, pour se mettre à l'unisson de
ës, il y a soudure osseuse complète, toute trace de cartilage ou de
tissu
fibreux a disparu (Pl. XXXIX). Les phalangettes
rticulaires sont effacés. Leur peau est inextensible, adhérente aux
tissus
sous-jacents. La courbure des ongles est exagérée
sont que superficielles. Il en est des peuples d'une race comme des
tissus
d'un organisme. La différenciation est d'au- ta
au sujet un aspect différent de celui d'un jeune garçon normal. Le
tissu
sous-cutané de la région épigastrique est forteme
). Une forte capsule fibreuse entourait le projectile, englobant le
tissu
de la tige, jusqu'au même lobe postérieur de l'
ns les fragments moins durs et aux environs des kystes (A et B), du
tissu
fibreux forme des cavités de dimensions variées (
gue normale, ainsi que des coupes de contrôle nous l'ont montré. Le
tissu
dermique est également plus abondant et plus ri
ne. Leur aspect variable est dû seulement à leur localisation à des
tissus
différents. SABRAZÈS et CABANNES, dans leur t
mparative le rôle du terrain dans le développe- ment des différents
tissus
, etc. C'est, ainsi que dans les cas de Friedreich
rophie des glan- des sébacées et sudoripares et l'épaississement du
tissu
conjonctif et adipeux. Dans le cas de FRIFDHE1C
vril 1915, elle a été opérée et le chirurgien a retiré une masse de
tissu
cellulaire adipeux qui pesait 3 kilos 300 grammes
Dercum apparaître aux époques génitales ainsi que l'augmentation du
tissu
cellu- 292 TEIXEIRA-MENDES ET MONTE-SERRA lai
enne nous présente, en effet, fréquemment des cas d'augmentation du
tissu
adipeux chez les jeunes mariées. Les faits anat
- ralité. KLIFPEL et BOUCHET (Hémimélie avec atrophie numérique des
tissus
. Nouv. Ico- nogr. de la Salpêtrière, 1907, p. 2
se termine en pointe, sous forme d'une apophyse, protubérante sous le
tissu
. Le péroné, atrophié et très arqué, possède une
n'atteignent pas l'espace sous-arachnoïdien, grâce à la résistance du
tissu
de la dure- mère. Les hémorragies dans la pachy
brillants. Le sang se laisse partout facilement essuyer et dans les
tissus
de la dure-mère on ne trouve nulle part d'altérat
versée par l'épanchement sanguin. Cependant, une cerlaine partie du
tissu
nerveux de la bandelette paraissait intacte. L'
ères sur une grande étendue un fort épaississement de l'endartère. Le
tissu
,conjonctif sous-endothélial était en ces endro
à colorer, gisant dans des proliférations abondantes lamelleuses du
tissu
conjonctif sous-endothélial, qui, du reste, rec
l'endartère eu parvenu à développer ses lamelles compensatrices du
tissu
conjonctif, jusqu'à ce que le danger fût passé.
x hémisphères, nulle paît t en grande quantité, et dans leur propre
tissu
on ne peut observer aucune dé- chirure ou autre
teintée de brun. Aux abords immédiats du kyste déjà men- tionné le
tissu
est gélatineux, transparent et mon sur un espace
la gêne fonctionnelle, malgré la persistance de la balle dans les "
tissus
, est insignifiante. - En raison de l'intérêt de
olution, le sujet n'a jamais pré- senté de douleurs spontanées. Les
tissus
péri-articulaires sont peu épaissis, sans plaqu
nt dans leur fonction endocrine par aplasie glandulaire (absence du
tissu
), ou par hypoplasie (insuffisance , / glandulai
suffisance , / glandulaire) ou encore par métaplasie (altération du
tissu
glandulaire), On comprend d'après cet énoncé qu
ec distingue : un sexe physiologique, c'est-à-dire déterminé par le
tissu
génital, et un sexe somatique, comprenant tous
tiqucs et de surface lisse. Microscopiquement ils pré- sentaient un
tissu
conjonctif abondant et une grande diminution de f
série séminale n'étaient pas différenciées, mais également dans le
tissu
conjonctif off ne trouvait aucune cellule interst
pour la physionomie spéciale de ces individus. La transformation du
tissu
cutané le rend rugueux et peu élastique, d'un ton
26 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. Cristiani, quatre petits fragments de
tissu
thyroïdien, reconnu normal au microscope, prove
YSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 35 bles par leur localisation exclusive au
tissu
neuro-épithélial (neurones et névroglie) avec i
i a fait donner le nom de papille lavée. (Raviart) (1). La trame du
tissu
conjonctif est plus visible que dans le tabes,
pathogénie intervient, mais ici, entrent en jeu les altérations des
tissus
de soutien (accidents pczra-toi-iaJ'ectieu). Ains
ntérieur, et dans ses trois sortes de lésions diffuses : lésions du
tissu
nerveux, lésions du tissu névroglique, lésions
s sortes de lésions diffuses : lésions du tissu nerveux, lésions du
tissu
névroglique, lésions des vais- seaux. Nous avon
son atrophie n'atteint pas le même degré. B) Etude histologique. 1°
Tissu
nerveux, a) Les cellules nerveuses s'atrophient
une multiplication apparente et, en réalité, un simple tassement du
tissu
dans les espaces laissés vides par l'atrophie d
s de la sénilité sont dues sans doute à l'action directe, sur ces
tissus
, des mêmes toxiques qui, de façon indépen- dant
ement une « encéphalite destructive avec corrosion excentrique du
tissu
nerveux », mais aussi la résorption d'une hémor-
ît pour cause la prédominance d'une désintégra- tion progressive du
tissu
nerveux avec prolifération né- 110 CONGRÈS DE
occupée par un liquide, et n'a aucun rapport de continuité avec les
tissus
en- vironnants. 11 reslo donc à admettre, comme
a- jal et de Donaggio, a u qu'il y a un rapport identique dans le
tissu
nerveux des animaux adultes, entre le nombre des
réticulum péri- phérique basées sur l'action de la piridine sur le
tissu
nerveux ; par ARTltRO Donaggio. (In Rivista spe
convient d'étudier séparément. 1. - Action de la piridine sur le
tissu
nervelt.v et résumé des détails de structure mi
stration des anastomoses entre le réticulum luni- i- phérique et le
tissu
avoisinant. Les recherches de Donaggio, de Golg
ection bien déterminée, marquant l'apparition des fibrilles dans le
tissu
nerveux, etla formation du réseau dans son inté
e en remplacant le chlorure dans ses combinaisons à l'intérieur des
tissus
, (Linossier);ces combinaisons bromurées sont pe
ration. C'est grâce à ces phénomènes que le bromure inclus dans les
tissus
vient remplacer le chlorure. Et nous avions a
le interne et dans certains cas il ne reste qu'une lamelle mince de
tissu
osseux. Les myxoedémateux ont donc une mollesse
issu osseux. Les myxoedémateux ont donc une mollesse très grande du
tissu
osseux. D'ailleurs les parois sont plus épaisse
s capable d'amener l'oxygénation des cellules dans l'inti- mité des
tissus
. Le système nerveux est l'élément noble de l'or
nt un appauvrissement de sa teneur en fer, les éléments intimes des
tissus
sont en souffrance et les pre- miers à en subir
inliltralion cellu- laire des parois, surtout de l'adventice et du
tissu
avoisinanl. Les lésions ont une intensité varié
ement notable de la taille né\ l'ogli'luc avec aspect hydropique du
tissu
. La genèse vasculaire du processus morbide est
e, de nature particulière, ne pénétrant pas profondément dans les
tissus
, se propageant dans les méninges, qui pénétra dan
5 fév rier 1906.) Vues très ingénieuses sur l'histophysiologie du
tissu
nerveux, de l'écorce cérébrale en particulier,
e bout périphé- rique conlenait des libres régénérées venues par le
tissu
cicatri- ciel et était excitable par l'électric
palais mobile ; luette petite ; amygdales peu sail- lantes ; pas de
tissu
adénoïde dans l'arrière-cavité des fosses nasal
sistance plu- tôt molle. A la coupe, le néoplasme a l'aspect d'un
tissu
blanchâtre, ferme, lardacé, mais on ne peut à l
pique permet de constater qu'il s'agit d'une tumeur mixte formée de
tissu
fibreux et de nombreux éléments cellulaires arr
llacroscopiqiieii2ciit, sur des coupes répétées, on remarque que le
tissu
hépatique présente une coloration jaunâtre, il
uée au niveau de ces cavités et comprenant également une portion de
tissu
hépa- tique on voit que l'organe est nettement
naires et épithélioïdes, et par quelques rares cellules géantes. Le
tissu
conjonctif IMJ : ÉCILLI 1 PRONONCÉE COGI ? i
be moyen). - Sur la coupe histolo- gique, l'architecture normale du
tissu
est fortement boule- versée ; on retrouve cepen
de cel- lules épithélioïdes et de cellules embryonnaires. Dans le
tissu
qui sépare les follicules, l'infiltration embryon
nette. La trame conjonctive est repré- sentée par des faisceaux de
tissu
conjonctif adulte, soit nor- maux, soit avec te
c infiltration. Capsule surrénale. Sur une coupe transversale, le
tissu
de la capsule n'offre pas macroscopiquement, l'as
pas macroscopiquement, l'aspect normal mais il se présente comme un
tissu
blanc, nacré, lardacé, plus résistant qu'à l'ét
male des différentes couches de la capsule surrénale ; il domine un
tissu
amorphe se colorant fortement et régulièrement
t fortement et régulièrement par l'éo- sine et représentant soit du
tissu
caséifié, soit plus vrai- semblablement, étant
plus vrai- semblablement, étant donné l'examen microscopique, du
tissu
putréfié (autopsie en juillet).Entre les différen
utréfié (autopsie en juillet).Entre les différentes tra- vées de ce
tissu
, on remarque une infiltration embryon- naire co
trajet intra-bulbaire sur une éten- duede 7 millimètres environ, le
tissu
nerveux est légèrement ra- molli et de même col
re et du périphé- rique basées sur l'action de la piridine sur le
tissu
nerveux, par Donaggio, p. 148. Recher- ches h
anche, un certain nombre d'ilots irré- guliers qui tranchent sur le
tissu
voisin, par une vive coloration rouge. Sur des
us considérable, occupent le centre du foyer scléreux, on trouve un
tissu
vivement coloré en rouge par le car- min, const
par le car- min, constituant un réseau à travées épaisses. Dans ce
tissu
, on observe de nombreuses cellules de Deiters q
bord externe des cornes pos- térieures, on trouve des zones dont le
tissu
est aminci, raréfié, mais dontla coloration par
re, est pour ainsi dire corrodée : au lieu de se présenter comme un
tissu
cohé- renl, elle forme une trame dont les maill
stendus, leurs parois sont sclérosées. La névroglie, de même que le
tissu
conjonclif, paraissent épaissis. Les cellules
névroglie est sclérosée : dans les foyers morbides, les travées du
tissu
interstitiel ont acquis une épaisseur considéra
homme de soixante-deux ans déjà usé et décrépit : évidemment, les
tissus
et en particulier la moelle, ne possédaient pas
, raides, très résis- tants à la pression et à l'écrasement; peu de
tissu
conjonctif inters- titiel. Les fibres atteignen
oit, comme Ehrlich et Westphal, qu'elles émanent des corpuscules du
tissu
conjonctif, même dans le système nerveux ; leur
manifestement un certain degré d'amaigrissement ou d'atrophie du
tissu
cérébral, la tension artérielle estélevée, et, rè
olées, mais sans qu'on soit en droit de croire à une hyperplasie du
tissu
conjonctif et encore moins à la pathogénie inte
tion reconnait comme lésion anatomique des cavités creusées dans le
tissu
de la moelle, consécutive à des gliomes dé- vel
t un empâtement de tout le bras par infiltra- tion gélatiniforme du
tissu
sous-cutané et des muscles; la peau avait un as
ection du névrilel11me. Au microscope, il constata l'existence d'un
tissu
morbide qui englobait tous les tubes nerveux. -
ns certaines circonstances, la percussion des os, tendons ou autres
tissus
, dé- termine de véritables réflexes, mais la pé
e de la nutrition; il ne faut donc pas qu'il subsiste, sans quoi le
tissu
de l'organe demeure irrévocablement altéré. P. K.
gnées dans toutes les couches de la substance grise. Hyperplasie du
tissu
con- jonctif. Hyperplasie des vaisseaux par l'i
tel qu'on l'applique ordinairement en médecine, détermine dans les
tissus
certaines modifications qui se révèlent par un
ent temporaire de la force du courant quand ce courant traverse les
tissus
en sens inverse. Deux explications sont possibl
nverse. Deux explications sont possibles. Ou bien la résistance des
tissus
est affaiblie à l'égard du courant qui les traver
fait des essais de contrôle sur la polarisation des électrodes, les
tissus
qui étaient tout à l'heure traversés par le cou
ue celle-ci : il met le chloroforme en contact plus intime avec les
tissus
par pénétration moléculaire (cataphorèse). P. K
tuent ainsi. P. K. IX. ETUDE expérimentale SUR la polarisation DES
TISSUS
animaux par L. Danion. (Centralbl. f. Nervenhei
es expériences pleines d'intérêt, il n'existe ni polari- sation des
tissus
animaux, ni courants secondaires qui seraient p
e sont les rhéophores qui fonctionnent comme collecteurs et non les
tissus
. Ceux-ci sont impolarisables, c'est-à-dire abso
end jusque dans l'insula. P. K. XXXIX. La coloration au carmin du
tissu
nerveux; par H -S. UpSON. Remarque additionnell
pas touchée, on voit les cellules nerveuses, x les cylindraxes, le
tissu
conjonctif, les noyaux. II. Saturez 5 centimètr
ale dans ces conditions serait due à une modification de texture du
tissu
interstitiel, acquise dans les états anémiques, c
tres groupes de maladies), d'où il résulterait l'inap- titude de ce
tissu
à proliférer suffisamment pour produire les lés
Les deux tiers de l'espace sont occupés en arrière par une bande de
tissu
blanc qui a la forme d'un triangle dont le somm
aspect et une densité que nous retrouverons, du reste, dans tout le
tissu
médullaire de l'appareil ol- factif, Quelles
fac- tive externe. Ensuite, lorsqu'il y a, à ce niveau, un peu'de
tissu
gris et qu'on l'enlève avec celui de la partie
uement excitable : fait qui peut être dû à l'état inflammatoire des
tissus
produit par l'action chimique. L'excitant le pl
ourant, qu'on peut, démontrer dans le cerveau comme dans les autres
tissus
animaux, comme une insurmontable objection à la
ion parallèle, uniforme, qui se perpétue à la période d'atrophie du
tissu
nerveux. L'intégrité des réflexes REVUE D'ANATO
s'opposant aux phénomènes organiques, résultant de l'altération des
tissus
et connus en neuro- pathologie sous le terme gé
ses dépendances, troubles vaso-moteurs et secrétoires, troubles du
tissu
cellulaire, atrophie musculaire. On pourrait cri-
ns des appareils liga- menteux compris dans le chapitre consacré au
tissu
cellulaire sont plutôt des dépendances des arti
l'hysté- rie, par Athanassio, 445 ; trom- bose des veines et des
tissus
, par Erlenmeyer, 445 ; rapports de l'eedème a
ajet du goût, par Zeuker, 269. Nerveux, coloration au carmin du
tissu
, par Upson, 268. Nia «asthénie, thérapeutique d
, S0 : - auatolnie de la par Darksjhewitsch, 93. Polarisation dos
tissus
animaux, par Danion, 263. Poltl : \CÉl'lIALI(
one frontale permet de constater une augmentation de consistance du
tissu
cérébral, dont le maxi- mum se trouve au niveau
ccupant la portion centrale de la substance blanche. Tout autour du
tissu
néoplasique, on observe une zone de ramollissem
tré que nous avions affaire à un sarcome pur, sans aucun mélange de
tissu
ner- veux. ' Or, les sarcomes du cerveau sont
amentable. A son arrivée dans le service, maigreur extrême, plus de
tissu
adipeux, c'est la morphologie du squelette. Les
-articulaire, elle est due à la distension rapide de la peau et des
tissus
voisins de l'articula- tion malade. En effet, l
non seulement aux mouvements, mais aussi à la nutrition intime des
tissus
. Les' organes de la vie végétative exigent pour
sion ne porte que sur le choix des moyens à employer. Notez que les
tissus
périarticulaires saignent beaucoup et qu'ils co
ccupe ensuite des troubles trophiques des annexes de la peau et des
tissus
profonds et enfin de la fièvre hystérique qui d
rps, de telle sorte qu'on peut traverser ou piquer profondément les
tissus
avec une longue épingle non seulement sans prov
duisant l'olighémie et non pas une action spéciale élective sur les
tissus
nerveux; en outre il excite les centres modérat
le périnerf, très développés chez le nouveau-né, se distinguent du
tissu
interstitiel du nerf de l'adulte par une grande
laire. En tout cas leur volume est souvent très considérable, et le
tissu
interstitiel est aussi très riche en noyaux. En
es fibres nerveuses, la richesse en gros noyaux du parenchyme et du
tissu
interstitiel, l'allure des cylindraxes pendant le
ante, à tunique moyenne fort épaissie. En dehors de cette dernière,
tissu
grenu très épais qui avait donné naissance à la
voit, entre les fibres nerveuses, des stries ou petites plaques de
tissu
conjonctif, localisées du côté nasal jusqu'à un
e se trouvent pas seulement dans les mé- ninges, mais aussi dans le
tissu
conjonctif de la moelle où ils peuvent occasion
cées dont la coloration grisâtre contraste clairement avec celle du
tissu
voisin (fig. 6). Les faisceaux de Goll ont la p
ctement sous la pie-mère. Le canal central est obliléié et, dans le
tissu
périépendymaire, on observe une prolife- ration
sivement dilatés. De même, laprolifération de la névroglie dans le
tissu
périépendymaire est très abondante. Les racines s
ie basedowienne est le résultat de l'empoisonnement chro- nique des
tissus
. 232 SOCIÉTÉS SAVANTES. L'analyse histologiqu
t sain. De plus, le stroma interacineux n'est plus constitué par du
tissu
connectif lâche. On ne trouve plus, au sein de
les lobules sont séparés les uns des autres par de larges bandes de
tissu
conjonctif lâche où courent les vaisseaux sangu
is, il existe des lésions diffuses, portant sur les vaisseaux et le
tissu
con- jonctif et étendues à une très grande part
qui leur ont donné naissance étaient sur le point de s'organiser en
tissu
fibreux. Dans ces points les faisceaux conjonct
s'agit bien évidemment ici d'une évolution vers la sclérose du même
tissu
embryonnaire qui, dans les courbes superficielles
il reste à peine une dizaine de tubes de volume normal; le reste du
tissu
est fibreux et présente des tubes extrêmement f
t facile à étu- dier surtout sur les veinules qui cheminent dans le
tissu
conjonctif lâche de l'espace perforé postérieur
dal dégénéré à quelque période qu'on l'examine. Les vaisseaux et le
tissu
connectif, en-un mot l'appareil mésoder- mique
cte des lésions des éléments nobles avec les lésions spécifiques du
tissu
conjonctif. Il nous a semblé, en effet, que d'u
végéter fort longtemps sans amener une formation bien abondante de
tissu
conjonctif, quoi que ce soit là évidemment sa t
e lésion mérite le nom de vasculaire ou de conjonctive en raison du
tissu
qu'elle semble affecter en premier lieu; elle c
bution; 4° comme dans le reste du corps les cavités séreuses et les
tissus
superficiels ne produisent pas une douleur réflex
ne renfermait ni méninges, ni moelle, ni racines, mais seulement du
tissu
adi- peux léger, analogue comme aspect et consi
t du tissu adi- peux léger, analogue comme aspect et consistance au
tissu
grais- seux normal de l'espace épidural. Le pet
ane d'une consistance ou d'une résistance supé- rieures à celles du
tissu
graisseux précité. Naturellement, l'interventio
nt les effets favorables du traitement, tant du côté de la peau, du
tissu
cellulaire, de la température, que de l'état gé
onique. En tout cas il ne s'agit pas du tout de la prolifération du
tissu
conjonctif étouffant les fibres nerveuses. Ce q
s fibres nerveuses. Ce que les auteurs ont pris pour des travées du
tissu
conjonctif entre les fibres nerveuses, ce sont de
e dans la forme chronique. Voici comment dans l'ordre suivant les
tissus
se transforment. D'abord les manchons de myélin
oncentrique de la lu- mière. Forte émigration de leucocytes dans le
tissu
circonvoisin ; mais ces leucocytes n'augmentent
volume, ne se multiplient pas, ne se transforment' pas en fibres du
tissu
conjonctif, ils dégé- nèrent. Il est probable q
eaux sanguins, tandis qu'autour du vaisseau lésé là destruction des
tissus
nerveux suit son cours graduel. Mais on n'a pas
aux qui parcourent le foyer. 11l somme : 1° pas de prolifération du
tissu
conjonctif; 2° dé- chéance et mort des fibres m
axes; 3° des- truction lente et progressive de tous les éléments du
tissu
qui entoure le vaisseaù lésé; 4° simultanément
tégration de la cellule ner- veuse, accompagnée d'accroissement des
tissus
de soutènement : à cette période correspondent
VAN LEWIS; par le Dr P. Clark. Les coupes du cerveau faites sur des
tissus
congelés permettent t un examen des pièces anat
le protoplasma nerveux; 2 par l'inflammation qu'il produit dans les
tissus
voisins de l'élément nerveux. Pour ce qui est
France, elle acquiert de petites connaissances usuelles (aliments,
tissus
, éclairage et chauf- fage) ; en grammaire, dist
xistent en outre dans la moelle lombaire, dans la pie-mère, dans le
tissu
conjonctif des nerfs cruraux. Ce processus hémo
atique distendue et contenant quelques leucocytes. Les faisceaux du
tissu
con- jonctif y sont plus épais ; ces travées co
sséminées; situées au point de jonction de deux ou trois faisceaux de
tissu
conjonctif, elles présentent des prolongements
aire et de la -dégénérescence hyaline des parois vasculaires et des
tissus
envi- ronnants; on sait du reste, que ces altér
per- met de constater des cavités entouréesd'un anneau résistantde
tissu
tibreux (analogie absolue avec la publication d
x vasculaires, remarquablement étroits, sont comme enclavés dans le
tissu
; leurs parois sont rigides, mais nulle part on
à l'infirmerie de Manchester, avait reçu sur la nuque une.balle.de
tissu
de coton; cet accident fut suivi immédiatement
es modifications. Or, nos connaissances relatives à la nutrition du
tissu
nerveux chez l'homme sain ne sont pas plus avan
nt pas plus avancées que celles relatives à la nutrition de ce môme
tissu
chez l'homme malade. Par suite tout travail aya
et parmi elles, la plus importante est l'acide phosphorique : le
tissu
nerveux est, en effet, de tous les tissus mous de
l'acide phosphorique : le tissu nerveux est, en effet, de tous les
tissus
mous de l'éco- nomie le plus riche eu cet acide
es sur le rôle de l'acide phosphorique comme élément constitutif du
tissu
nerveux, arriver à savoir si cet acide est lié
nerveux, arriver à savoir si cet acide est lié à la nutrition de ce
tissu
? Par l'examen des urines. . L'homme rend chaqu
té de cet acide provient des échanges qui se passent au sein de nos
tissus
. Il est donc possible qu'en étudiant l'éliminat
nsi, en effet, la mise en activité physiologique ou pathologique du
tissu
ner- veux pourra modifier l'élimination quotidi
désassimilation des substances pliosphorées disséminées dans divers
tissus
de l'organisme soit accrue par une action nerve
au seul système nerveux ; il entre dans la constitution de tous nos
tissus
, et comme le cerveau en fonctionnant peut reten
stitution du système nerveux, il fait partie intégrante de tous les
tissus
de l'économie '. Il est pos- sible qu'il se lie
l'économie '. Il est pos- sible qu'il se lie à la nutrition de ces
tissus
, et que son éli- 1 Voir, à cet égard : Mairet,
et à l'écrasement d'un nerf; atrophie graisseuse et même cireuse du
tissu
musculaire correspondant. P. K, XXII RECHERCHES
n peu plus épaisse que normalement. Il y avait en un mot assez de
tissu
pour que la vie psychique motrice et sensorielle
sus nous échappe, mais sa fin marche de pair avec 1'liyper-ènèse du
tissu
conjonctif fibrillaire. Les manifestations clin
aux qui l'accompagnent, surtout s'il ne s'y joint aucune lésion des
tissus
ou des liquides autre que celles qui caractéris
irurgie, 1872, p. 450. altérations de la moelle épinière. 291 aux
tissus
voisins. Au lieu des complications qu'ap- préhe
u dans les mailles de la pie-mère (hémorrhagies méningées), dans le
tissu
de la moelle (hématomyélie). L'hématorachis tra
s'épanche en nappe mince plus ou moins étendue, dans les mailles du
tissu
cellulaire lâche qui unit la dure-mère au canal
es, et qu'à leur place, sur la face convexe seulement, on trouve un
tissu
aréolaire grisâtre par endroits circonscrivant
externe, dont l'intervalle (un centimètre environ) est comblé parce
tissu
. Les faces inférieure et inféro-interne du kyste
eprésentées par une simple membrane, lapie-mère, non doublée par le
tissu
aréolaire, dernières traces des circonvolutions.
et montre encore une partie des circonvolu- tions remplacées par le
tissu
aréolaire ; d'autres sont atrophiées, DU CURARE
, peut être porté très loin. Or, lorsqu'on étudie la composition du
tissu
musculaire, on voit que de tous les tissus mous
étudie la composition du tissu musculaire, on voit que de tous les
tissus
mous de l'économie, ce tissu est, après le tiss
u musculaire, on voit que de tous les tissus mous de l'économie, ce
tissu
est, après le tissu nerveux, le plus riche en a
que de tous les tissus mous de l'économie, ce tissu est, après le
tissu
nerveux, le plus riche en acide phosphorique. Par
Si l'acide phosphorique se lie à lanutrition d'autrestissus que le
tissu
nerveux, il se lie intimement à la nutrition de c
airement, et les deux espèces d'idées délirantes forment souvent un
tissu
inextricable. BAJENOFF. XXVI. Théorie physiol
e évolution aiguë, c'est une hyperémie corticale très prononcée; le
tissu
interstitiel est rempli de noyaux qui, pour 1 V
n trois ou quatre ans; les altérations principales résident dans le
tissu
interstitiel (prolifération de cellules-araignées
sséminées; situées au point de jonction de deux ou trois faisceaux de
tissu
conjonctif, elles présentent des prolongements
xtra-ventriculaire du corps strié. L7, lobule de l'insula. T A, TA,
tissu
aréolaire. - P Al, pie- mère épaissie, limitant
ube carré. 17L, ventricule latéral. C S, corne sphénoïdale. TA, TA,
tissu
aréolaire. PM, coupe de la pie-mère épaissie.
L 0, lobe occipital. - L C, coin. Ç 0, corne occipitale. TA, TA,
tissu
aréolaire. Hémisphère gauche. (Fig. 4, 5 et 6;
ée toutes les couches du vaisseau se sont transformées en un maigre
tissu
de granulations ; fibres élastiques et cellules
ope que la lésion permanente était une prolifération nu- cléaire du
tissu
interstitiel dans la totalité du cerveau, qu'une
onstaté chez les paralytiques généraux la destruction, l'usure du
tissu
dur de la dent. Cette abrasion ne paraît pas résu
nsuffisamment protégée par une très mince pellicule de dentine. Les
tissus
sous- jacents ne sont ni ramollis ni décomposés
modifications semblent à l'auteur' le résultat d'une hyperplasie du
tissu
conjonctif et surtout d'une névrite optique int
ement dits sont des lésions « qui surviennent dans la nutrition des
tissus
cutanés par suite d'une modification de l'influ
exercée par le système nerveux sur la nutrition des éléments de ces
tissus
». (Lenoir.) . Nous abordons maintenant le chap
T DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 53 ou de la conductibilité de leurs
tissus
, de sorte que, d'agréable, elle peut devenir dé
es sont éliminées par les noyaux des cellules, pendant la fonte des
tissus
du corps. Il y a donc en réalité, pendant la pé
a donc en réalité, pendant la période d'exaltation destruction des
tissus
de l'organisme exprimée par la petite perte de
erculose, par suite de la diminution de pouvoir de régénération des
tissus
. ' A. FENAYaou. XXIII. ÉTUDE CLINIQUE du dynami
ussi le cas de Erb, où le trijumeau était enserré dans une masse de
tissu
d'inflammation chronique (le malade avait présent
nous pouvons en distinguer les dessins artificiels produits sur un
tissu
mort. De là, à nettement différencier les dessins
icroscopique on constata que la paroi ne consis- tait qu'en un seul
tissu
conjonctif fibroïde ; dans le second cas la par
. Les rapporteurs proposent une nouvelle méthode de traitement du
tissu
nerveux. Des morceaux du système nerveux, pour le
les croit dus « soit à la compression qu'exerce le néoplasme sur le
tissu
cérébral voisin, soit au rétrécissement et à l'ob
ent fermes et assez tendues; la coupe elles apparurent formées d'un
tissu
fibreux très résistant, enkystant parfaitement
parenchyme encéphalique ; pour les autres c'est une inflammation du
tissu
interstitiel, une sclé- rose, qui doit être acc
lcool détermine une déchéance dans la vitalité, une dégénération du
tissu
nerveux qui peut amener le développement de l'i
sis- tent, ce qui tient sans doute à ce qu'il s'est produit dans le
tissu
cérébral des destructions irréparables ; la syp
nette- ment délimitée, pourvue d'une cavité centrale, tapissée d'un
tissu
connectif. Au niveau de la région dorsale supér
rdach du côté droit; celle-ci (c'est-à-dire la cavité), entourée du
tissu
névro- glique hyperplasié, se cantonne dans le
de ses parois par les vaisseaux oblitérés, transformés en bandes de
tissu
connectif. Les deux processus pathologiques qu'
usées dans la hauteur, et l'on voit la pulpe, jaune, entourée d'un
tissu
blanc grisâtre. , . 182 ' clinique mentale. O
nc d'arbre coupé, on voit une couche jaune, la pulpe, entourée d'un
tissu
blanc grisâtre. (Troisième degré de l'abrasion
uscles sont atteints, mais, disons-le de suite, fort rarement. Le
tissu
osseux. Y a-t-il une altération des os chez les
tiques généraux ? La question n'est pas résolue. Pour Fovillel « le
tissu
osseux en général subit chez les paraly- tiques
sie générale, « dans la plupart des cas, produit une raréfaction du
tissu
osseux, » dit M. Ch. Vallon2, dans sa thèse ina
aralytique ( ? ). L'autopsie fut faite : il y avait dénu- dation du
tissu
osseux. Cependant l'autopsie fut incomplète : n
une sorte de fracture pathologique consécutive à la dénuda- tion du
tissu
osseux. M. Régis', deux ans plus tard (1878), r
um. 240 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. dans le
tissu
ambiant. Le tout se trouvait contenu dans un plan
t se trouvait contenu dans un plan charnu, composé exclusivement de
tissu
cellulaire, revêtu du péri- toine sur ses faces
t comme conséquence, il existe dans les reins une inflammation du
tissu
conjonctif interstitiel avec processus régressifs
altérations vasculaires et occasionnerait ensuite les lésions des
tissus
interstitiels et parenchymateux en partie directe
excitations fortes et que les excitations fortes désorganisent les
tissus
et sont funestes à la vie des êtres et aux fonc
est-à-dire une meilleure nutrition de tous les organes, de tous les
tissus
. (The alienist and neurologist, oct. 97.) E. B.
ès molles, au contraire, dans d'autres. A la section on voit que le
tissu
normal de la glande est détruit et remplacé par
même des fonctions complexes d'ordre supérieur. Pour celles-ci les
tissus
et organes se transmettent directement, mais av
t point de membrane spéciale. Chaque cellule possède une capsule de
tissu
connectif à l'intérieur de laquelle existe un é
SIOLOGIE pathologiques. 397 des Leyden, qui ont expérimenté sur les
tissus
nerveux de l'hontnae, peut-être serait-il bon d
-être serait-il bon de se souveuir qu'elle porte uniquement sur les
tissus
nerveux du lapin. R. Charon. LVIII. Atrophie un
asma et les granulations chromatophyles). Ap- pliquée à l'étude des
tissus
nerveux malades, elle rend manifestes certaines
es comprimées, tiraillées, irritées d'une façon quelconque, dans le
tissu
interstitiel d'un goitre scléreux, au niveau d'
; ailleurs, c'est uni- quement la pie-mère qui parait a\oir été son
tissu
d'extension. Au point de vue de la nature histo
ques de cellules semblab'es; dans l'intervalle de ces lignes est un
tissu
granuleux; nulle part nous n'avons vu de cavité
diée, le centre du lobule est toujours marqué par une tache rose de
tissu
conjonctif embryonnaire qui supporte un vaisseau
illes, nous le répétons, n'ont pas aux colo- rants les réactions du
tissu
conjonctif, mais bien celles de la substance gr
section de ceux-ci amène entre autres symptômes l'anesthésie des
tissus
profonds (Schiff). En résumé l'étude du syndrom
ondes : il est très facile de voir que si la peau ne sent rien, les
tissus
profonds sentent très bien ; nous n'avons pas b
ont- les tumeurs nerveuses dans leurs métastases de rechercher le
tissu
nerveux. Comment interpréter cette fibrillation
m). Étude sur la compression des cordons nerveux des membres par du
tissu
fibreux cicatriciel. Astié (Chartes- Frédéric).
forme ; à l'asile de Clairbury, notamment, chaque malade choisit le
tissu
qu'il préfère et on fait la robe sur commande.
des centres et des nerfs soumis au cerveau sur les fonctions et les
tissus
de l'organisme. « D'après les travaux de lI. le D
inuant ou augmentant, suivant les cas, son influence active sur les
tissus
; on comprend de même que, plus il y aura de for
'est que relative. Tandis que la vraie basichromatine des noyaux du
tissu
cellulaire ambiant fixe le vert de méthyle du m
s altérations des éléments nerveux sont primitives et que celles du
tissu
interstitiel suivent. 3° En ce qui concerne les
ence, de fibres com- primées et séparées les unes des autres par le
tissu
conjonctif multiplié (tronc nerveux des bras, e
leu (durcissement chromique). Quelquefois le nucléole est rouge. Le
tissu
conjonctif et les cylindraxes sont bleus except
ette de douze ans, par métastase d'un sarcome à petites cellules du
tissu
rétropéritonéal. A la hauteur des racines dorsa
re clair du faisceau dégénéré qui tranche sur le ton brun sépia des
tissus
environnants. Comment révéler le stade prodromi
fficient de l'énergie d'oxydation, expression de la respiration des
tissus
de Poehl) indique constamment un notable abaissem
icient qui, d'après Zulzer, indique l'énergie de décom- position du
tissu
nerveux (Bechterew). Est aussi augmenté le rap-
en d'autres moyens que le stimulus mécanique de la prolifération du
tissu
connectil, notamment par certains poisons tels
qui la déborde d'un demi pouce latéralement et bombé au-dessus des
tissus
voisins, et qui donne à la pression une sensati
tés avec parois, comme dans la forme précé- dente, disloque tout le
tissu
nerveux, et le transforme en une série de petit
ctionnelles sont donc causées par des altérations de nutri- tion du
tissu
nerveux. Ce ne sont pas, bien entendu, des névros
nert, le corps entier se projette dans l'écorce cérébrale. Tous les
tissus
, tous les organes, toutes les fonctions du corp
été constatée, elle était récente. On a trouvé la dégénérescence du
tissu
pulmonaire aussi souvent dans les cas d'insuffi
a densité du pou- mon. où le microscope révélait une hyperplasie du
tissu
connectif. Dans tous les cas aussi on a trouvé
ent la vie est demeurée possible avec une destruction si étendue du
tissu
pulmonaire. En somme, la phthisie chez les alié
rition de ces derniers a beaucoup d'influence aussi l'épaisseur des
tissus
cutanés et osseux du crâne ; plus ils sont fins
sibilité, sans doute, à l'air exté- rieur de pénétrer à travers ces
tissus
, et d'autant plus vite surviennent les modifica
s, 1895, t. II, p. 225.) . BERKLEY (Henry). Lesions of the cortical
tissue
induced by acute experimental alcopotic poisoni
yperhémie ou d'anémie, à la distribution différente du sang dans le
tissu
nerveux. C'est seulement quand la lésion de la
re la surface de l'encéphale, les bords de la brèche osseuse et les
tissus
mous qui la recouvrent. Dans la position droite
à la posi- tion de la brèche, il l'enfoncement et la résistance des
tissus
mous qui la recouvrent restant d'ailleurs égale
le noir, ou légèrement brunâtres. Ce sont les éléments mêmes des
tissus
, la matière histologique propre, qui sont colorés
belleuse, enfin la moelle d'un tabétique ; ici, dégé- nérescence du
tissu
nerveux sans prolifération, s'accusant par une
- lifération s'annonce par une coloration sombre tranchant sur le
tissu
sain ; détails merveilleux. C'est une méthode a
uches de celles-ci, le rapport quantitatif entre les cellules et le
tissu
intermédiaire, identiques à ce qu'ils sont dans
elle ne détruisait point l'hypophyse. Et cette non- destruction du
tissu
hypophysaire explique l'absence d'acromé- galie
sent, il faut que la lésion soit complète, c'est-à-dire atteigne le
tissu
glandulaire dans son entier. P. XXX. Atrophie
ystème des vaisseaux sanguins ou à l'hypertrophie des éléments du
tissu
conjonctif du système nerveux central, laquelle n
t immédiatement, soit par les vaisseaux sanguins, les éléments du
tissu
conjonctif, tels que : les fréquents refroidissem
récidives de la syphilis et toutes les affections secon- daires du
tissu
conjonctif du système nerveux central,-et de l'
ur longtemps les récidives ou surtout les affections successives du
tissu
conjonctif. Cela peut être, car ces données ana
écidives, les affections des vaisseaux sanguins et l'hyperplasie du
tissu
conjonctif dans les divers organes devinrent be
ec- tions consécutives des vaisseaux sanguins et l'hyperplasie du
tissu
conjonctif dans les divers organes, étaient deven
nt donc les causes d'une hypertrophie si fréquente et si précoce du
tissu
conjonctif du syslème nerveux central, chez ces
ur complète guérison, car nous ne pou- vons aucunement faire que le
tissu
conjonctif de la moelle épinière, déjà hyperpla
de faire disparaître ces altérations syphilitiques des éléments du
tissu
conjonctif de la moelle épinière, que précèdent
u tabès atactica. Je dois compter ces altérations des éléments du
tissu
con- jonctif de la moelle épinière précisément
ar dans le cas contraire le passage du courant continu à travers le
tissu
nerveux, y développe l'action électroto- nique
la moelle épinière doit conduire à une plus forte hyperplasie du
tissu
conjonctif de la moelle épinière, laquellese trou
gommeux venant des artères malades dans les points où il existe un
tissu
lâche, ou bien des espaces lymphatiques, comme
re et acromégalie, car la persistance d'une quantité même petite de
tissu
glandulaire sain est suffisante pour perpétuer
s soutiennent' que la céphalalgie ne prend jamais naissance dans le
tissu
cérébral, et beaucoup de psychologistes assuren
qui représente en quelque sorte le lien entre les modifications du
tissu
organique et les modifications in- tangibles de
t lacunaire provoque une adhé- rence intime entre la pie-mère et le
tissu
cortical sous-jacent, atteint de la sclérose, d
per- çoivent mieux que les personnes âgées. Une couche épaisse de
tissus
mous affaiblit quelque peu cette sensation. Les
ers la phalange basale du pouce une aiguille, laquelle traverse les
tissus
de part en part sans ren- contrer de grands obs
ine, le bleu de toluidine, et elles les retiennent même lorsque les
tissus
environnants sont déjà décolorés. On peut les a
e la santé ; les muscles se dessinent bien sous la peau, quoique le
tissu
adipeux sous- cutané soit assez développé ; c'e
fibres musculaires parfaitement normales ; pas d'aug- mentation du
tissu
conjonctif ni du tissu adipeux in- terstitiel d
faitement normales ; pas d'aug- mentation du tissu conjonctif ni du
tissu
adipeux in- terstitiel des fibres musculaires;
Anglais) de la cloison tympanique avec ou sans épaississement de
tissu
, offre un rapport étroit avec la production du
lité que la poussée d'air annule facilement (extinction) ; puis les
tissus
reprennent leur élasticité et les rémittences r
amplitude de mouvements insolites, grâce au relâche- ment de son
tissu
, les pressions dépassant les limites de la tens
entrée du labyrinthe. Mais la résolution arrive ; l'élasticité du
tissu
renaît et rétablit tout en sa place ; et les rémi
apports de l'étrier ont changé par le relâchement inflammatoire des
tissus
; cet osselet s'est sans doute enfoncé peu à pe
ensibilité, nous devons insister sur l'hypertrophie considérable du
tissu
adipeux sous-cutané. Il y avait une adipose tel
e du malade. Par la pression on éprouvait une sensation spéciale de
tissu
lardacé, sans imprimer sur la peau le godet carac
e. Le corps calleux vermiforme et ratatiné dans son corps avait son
tissu
mou, villeux, comme ébarbé, sur ses parties lat
e substance blanche, normale et parfaitement isolé également par du
tissu
médullaire sain des ganglions de la base. Nulle
e aucun argument à la solution de la double question : Quel est, du
tissu
conjonctif ou de l'élément nerveux, le premier
nflammation cicatri- cielle, suppriment les phlegmons ascendants du
tissu
conjonc- tif périnévritique. P. K. VIII. Cas
lioration de la surdité. Diagnostic : épaississement général des
tissus
et raideur scléreuse des fenêtres. DU VERTIGE D
i aisé à comprendre étant donné que le tympan est ramolli, et les
tissus
de la caisse sans tonicité, quand la trompe est
t non pas appliqués à sa surface, à la façon des cellules plates du
tissu
conjonctif. Évidemment il ne s'agit point là de
de zones d'aspect différent. Au centre existe une tache noirâtre de
tissus
sphacélés mesurant environ trois centimètres de
atteint dans ses parties superficielles. La couche profonde et le
tissu
cellulaire sous-dermique paraissent absolument sa
ux cutanés ont été recueillis quelques heures après la mort dans le
tissu
cellulaire sous-jacent aux deux plaques érythém
de ce nerf a été laborieuse en raison de la résistance insolite du
tissu
conjonc- tif constituant et en raison de l'adhé
pect conjonctif qui caractérisent le type 5. Sur les parcelles de
tissu
conjonctif dissociées en même temps que les fib
aucune altération appréciable de ses fibres, de ses cellules ou du
tissu
conjonctif. Racines. La racine postérieure et l
désignent l'inflammation primitivement et spontanément localisée au
tissu
cellulaire périméningé du rachis, arrivant à su
pinale de Traube et Lcyden, dans laquelle la suppuration de ce même
tissu
est consécutive à celle du rachis ou des partie
e la température ; ' 2° L'état oedémateux, solide, de la peau et du
tissu
con- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 2 i 9 jonc
de l'anatomie pathologique. La syphilis exerçant son action sur le
tissu
conjonctif et l'appareil vasculaire, commentcompr
n prouve la connexion anatonto-patbolonique du nerf optique a\ec le
tissu
cellulaire de la base; elle montre la dégénéres-
- ,. , ,...,. noncées dont. nous venons de parler, iapie-mcro et le
tissu
cérébral sont'sains/L'es lésions'sont parfaitem
re de l' hémisphère droit des granulations méningées au milieu d'un
tissu
jaune, opaque et épaissi. L'altération s'étenda
uc lion 'de* la, té'des, fibres üer,véuses, et épaissÿsse- ment' du
tissu
conionctif intérstitiel : `·Lat'lésion;des tubes
111 w : fv4 \Iy SW t t., . t ? r.· v rt m v, t .. , , ., teuse du
tissu
cellulaire ? la peaû`ëst ? sèclie,9mùlnnôurriè, p
q a^ n1. 1Llb f c.a.L altilJ parfatte et douteuse' ! existence d'un
tissu
réticule. , * , . + 7,rt,`lr 4`tt ! kl ? tlm ?
p mieux aux dissociations, en raison de la densité plus faible du
tissu
conjonctif. A la suite de dissections multipliées
ssait d'une va- cuole, on n'observerait rien entre la cellule et le
tissu
am- biant. 2° Dans l'espace libre réservé entre
am- biant. 2° Dans l'espace libre réservé entre la cellule et le
tissu
voisin, se voient des corpuscules libres, ayant l
'un côté dans le protaplasma de la cellule, de l'autre côté dans le
tissu
nerveux voisin. 31 Ces mêmes corpuscules se ret
31 Ces mêmes corpuscules se retrouvent loin des cellules, en plein
tissu
nerveux, et cela aussi bien dans la substance b
des boules de myé- line, provenant d'une sorte do'désintégrationdes
tissus
enflam- més, désintégration qui reconnaîtrait p
do l'olllématome sous le périchondre, l'auteur admet comme siège le
tissu
coujonetif vuscu- laire extérieur à la lame éla
élastique du périchondre, dépendance du périchondre (Vallon) ou du
tissu
cellulaire sous-cutané Il Il l'appelle ]'6t.io)
d'angoisse mélancolique instantanés), et de l'adhérence intime des
tissus
au crâne. Des injections de mor- phine et le tr
sujets morts de fièvre typhoïde dans les plaques de Peyer, dans le
tissu
conjonctif de l'intestin dans les infarctus du
conservera ainsi des documents authentiques et durables alors que les
tissus
qu'il examine sont destinés à disparaître prompte
également graves, sont moins perceptibles, il devra pénétrer dans le
tissu
lui-même, le dissocier et arriver jusqu'à la cell
ra être souvent assez grande et aux colorations antiphotogéniques des
tissus
superficiels altérés. les prendre le plus souve
nclusion est, que lorsque des parties seront colorées différemment du
tissu
normal, elles peuvent être révélées par la plaque
dérable pour permettre de saisir, en un temps suffisamment court, des
tissus
en général de coloration inactinique et qui sont
que l'on rencontre dans leur reproduction tiennent à la mollesse des
tissus
qui s'affaissent, à leur coloration et aux reflet
utions du cerveau. est très précieuse également pour reproduire les
tissus
qui ont tendance à s'affaisser ou les pièces en c
voulons pousser l'analyse plus loin et examiner la structure même des
tissus
, il faudra opérer différemment et recourir au mic
es infiniment petils ont été faites. L'étude des microbes, des divers
tissus
soit sains soit malades, constitue une science sp
tif sera très précieux pour reproduire dans leur entier des coupes de
tissus
, des moelles, etc. Microscope. — Tous les micro
r exemple, des fragments de cerveau, des coupes d'os, des portions de
tissus
quelconques, etc. Le dispositif que nous avons in
ent petits que l'on rencontre dans l'air, dans l'eau, dans les divers
tissus
soit végétaux soit animaux, constitue, dès à prés
colore fréquemment les microbes en violet plus ou moins foncé et les
tissus
qui les renferment ou le fond sur lequel ils se d
d'une autre manière; d'où grande facilité pour distinguer les divers
tissus
différents. Comme exemple de simple coloration,
ées tout simplement. Procédés de coloration les plus usuels pour le
tissu
nerveux. — Dans le travail que nous avons fait av
ouge, les cellules nerveuses en rouge brun et leur noyau en rouge, le
tissu
conjonctif et la névroglie en rose, et leurs cell
ses apparaissent en jaune ocre, et leur noyau en jaune plus foncé, le
tissu
conjonctif et la névroglie en jaune orangé et leu
logie les doubles colorations résultent des différences chimiques des
tissus
qui se combinent ou non avec telle ou telle matiè
es colorations variées en intensité et en nature par suite des divers
tissus
qui la composent, il n'en est plus de même dans l
................ 172 Procédés de coloration les plus usuels pour le
tissu
nerveux.... 172 Méthode au picro-carmin........
e faire revivre les fibres nerveuses détruites et remplacées par du
tissu
conjonctif ou do diminuer la quantité de ce (is
et les préserver autant que possible de l'influence pernicieuse du
tissu
con- jonctif qui, en proliférant, les comprime,
les libres nerveuses deviendront de moins en moins enserrées par le
tissu
conjonctif, et leur fonction commune, leur nutr
ides sont provoquées par la compression des éléments nerveux par le
tissu
conjonctif proliféré et 2° quand le trouble des
re trop avancées. Dans les périodes trop avancées de la maladie, le
tissu
conjonctif épaissi ne se laisse pas fa- cilemen
sont la manifestation de la compression des éléments nerveux par le
tissu
conjonctif; quant aux névroses, la suspension fai
l'activité des fondions génitales; cependant ici la disten- sion du
tissu
conjonctif joue un rôle notable. La dégénérescenc
t atrophie des fibres et sclérose consécutive. En se resserrant, le
tissu
conjonctif peut déplacer les parties saines de la
ue l'hyperhémie ne peut faire disparaître les foyers sclérosés ; le
tissu
con- jonctif ne joue pas un grand rôle dans les
nerveuses, elles tiennent principalement à la compres- sion par le
tissu
conjonctif; les paresthésies tiennent surtout à l
nerveuses malades et en partie seulement à la compres- sion par le
tissu
interstitiel; quant à l'incoordination et à l'ane
- tômes uniquement dus à la compression de la fibre nerveuse par le
tissu
conjonctif, on constate que l'action de la susp
ré de dis- 26 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. tension du
tissu
interstitiel des nerfs grâce à laquelle la compre
end aussi de la position verticale des membres inférieurs. Tous les
tissus
deviennent dans ces conditions imbibés en quel-
es dégénérés peut exister sans aucune altération de la peau, ni des
tissus
mous sous-jacents, ni du squelette, ni des memb
auche. Il n'y a pas d'empâtement profond autour des jointures ; les
tissus
péri- articulaires ne semblent nullement épaiss
La modification anatomique préparatoire que subit en pareil cas le
tissu
osseux se montre, vous le sa- vez, par plaques,
structure spongieuse; leur substance corticale est très mince, leur
tissu
spongieux est prédominant » ; le poids du corps f
simultanément ou séparément, par un défaut de résistance des divers
tissus
et appareils de l'organisme, défaut de résistan
s complets que : 1° on agit plus près d'un rameau sensitif ; 2° les
tissus
ont moins d'épaisseur et le plan sur lequel ils
be supérieur est d'un gris-rose ; odeur gangre- neuse ; mollesse du
tissu
; à la coupe pas de caverne ; congestion autour d
ces cas, le trouble nerveux est le résultat d'une lésion réelle des
tissus
produite par le choc cérébral. HYSTÉRIE TRA U
Voici les résultats que j'obtiens. Dans les cas d'inflammation des
tissus
de la jambe d'origine traumatique, rhumatismale
il n'y a que rarement un exsudat considérable ou une altération du
tissu
nerveux grave. Les douleurs de la sciatique dis
t est digne d'être retenu. Si l'on a à faire à une inflammation des
tissus
du membre supérieur d'o- rigine quelconque on p
oir l'action de la faradisation des nerfs vaso-constricteurs sur un
tissu
hype- rémié. J'ai choisi comme objet de l'obs
e de la mâchoire inférieure et l'on comprime à un certain degré les
tissus
sous-jacents pour faciliter le passage du cou-
r le passage du cou- rant à travers la peau, la parotide et le gros
tissu
ligamenteux qui l'en- toure; le rhéophore indif
n'a pas à traverser la parotide et les ligaments qui la séparent des
tissus
environnants. L'autre rhéophore, étant alors pl
it à notre faradisation en même temps que pâlissait la rou- geur du
tissu
affecté. Mais nous dûmes constater qu'il est d'au
tion de la région supérieure du cou est indiquée dans l'hyperémie du
tissu
sous-cutané de la face et de la pulpe dentaire
gie odontalgique surtout dans les cas chro- niques dans lesquels le
tissu
sous-cutané est tuméfié dans une certaine parti
d'une fluxion. Au début c'est probablement le caillot qui irrite le
tissu
cérébral ; au bout de quelque temps la fluxion
pas toujours irréprocha- bles (1). Le courant circulant dans les
tissus
de la région claviculaire doit exciter aussi le
sation vaso-constric- trice n'exerce aucune influence sur l'état du
tissu
péri-articulaire. Je n'ai pas d'observations se
ne parlent pas de ce liquide extravasé. Mais la proli- fération du
tissu
conjonctif est inséparable d'un certain degré d'é
me chez la femme, à la région sacrée. Les hanches sont larges et le
tissu
cellulaire abondant donne aux cuisses, épaisses
ntraste que présentent leur surface de section ponctuée et celle du
tissu
névroglique qui les entoure : on peut dire que
sous le del- toïde ; mais, en tenant compte du peu d'épaisseur de
tissus
qui sépare la tête humérale de la peau, il est
fondes et amène de la sorte la tuméfaction et la décoloration des
tissus
; il comprime les veines profondes, et développe
plus « 82 PATHOLOGIE NERVEUSE. souvent, la synovie fuse dans le
tissu
cellulaire, au voisinage immédiat de l'articula
bservé il y a quelques années, il existait un épanchement limité au
tissu
cellulaire sous- deltoïdien ; nous pratiquâmes
e sont passées. Il existe, à la face profonde du grand pectoral, du
tissu
celluleux en con- tinuité avec le tissu cellule
fonde du grand pectoral, du tissu celluleux en con- tinuité avec le
tissu
celluleux sous-deltoïdien et ren- fermé dans un
dans la loge ainsi circonscrite, en communication directe avec le
tissu
celluleux sous-deltoïdien que s'est fait l'épan
t de l'arthrite, mais de la pression du liquide articulaire sur les
tissus
de l'articulation. L'absence de pression intra-
oins au début. L'ataxie a peu de tendance à produire des lésions du
tissu
fibreux. Il est, en outre, remarqua- ble que, d
on. Selon nous, la rupture tient très probablement à la lésion du
tissu
osseux, à une sorte d'arrachement au voisinage
'ailleurs aucune ecchy- mose sous-cutanée '. » Les altérations du
tissu
osseux dans les arthropathies sont démontrées c
aissent une 88 PATHOLOGIE NERVEUSE. même cause, une altération du
tissu
osseux', et les deux accidents doivent coïncide
ue ne saurait prévaloir contre des expériences qui montrent que les
tissus
vivants se comportent à la façon des métaux, da
ntre cet état et ce qu'on désigne du nom de dégénérescence dans les
tissus
, comme par exemple la dégénérescence graisseuse
ans les tissus, comme par exemple la dégénérescence graisseuse. Les
tissus
ne dégé- nèrent point, ils se transforment. Les
ide, de la maladie. Dans la forme humide, on voit l'infiltration du
tissu
cellulaire apparaître à la partie anté- rieure
iner la nature de l'influence de l'innervation sur la nutrition des
tissus
. Prix : une médaille de 1,000 francs. Clôture du
collodion se colorer presque avec la même intensité que la coupe de
tissu
nerveux quelle inclut, et, quoique l'addition d
e .l'effroi.. Il tire en bas et en dehors la lèvre inférieure,, les
tissus
de la réeion inférieure, des joues et les ailes
e ; les éminences osseuses font une saillie très apparente sous les
tissus
, qui ont l'aspect d'un parchemin appliqué sur l
peau et la muqueuse paraissent appliquées l'une contre l'autre sans
tissu
interposé. 11 est impossiblede faire un pli à l
eux côtés. La joue droite, bien développée, suffisamment fournie de
tissu
adipeux, normale ' 16 243 REVUE DE pathologie
nd) ; névrite du nerf facial (Rosc-nthal) ; atrophie pri- mitive du
tissu
cellulo-adipeux (Lande et Bergson). Quant au tr
ment rares, il en est de même pour les tumeurs développées dans le
tissu
cellulaire périméningé du canal médullaire. Le
l'hypertrophie, l'anémie et l'oedème du. cerveau, l'hyperustion.du
tissu
? neryeux, et-1'adynamie qui en,dérivefatalemen
rim'ysium par des cellules rondes. Intégrité du coeur. L'examen 'du
tissu
musculaire de la troisième malade put être prat
itales,;fénideliors't méme-f dei toute f transformation absolue,,en
tissus
distincts,'IilJpense que les systémes nerveli ?
'approprie' à la, fonc- tioh, qui provoque la spécialisation ! des'
tissus
? et ? comme le dit l'auteur «la vie est la cau
Par le D' M. DEBOVE. De tous les procédés employés pour durcir les
tissus
et en pratiquer des coupes minces, le plus usit
, on ob- serve des lésions dans un certain nombre d'organes et de
tissus
; mais nous laisserons de côté ces lésionspour n
eaucoup le plus important, ne va pas toutefois sans retentir sur le
tissu
con- jonctif intrà-fasciculaire, ses fibres son
735.) NÉVRITE SEGMENTAIRE PÉRI-AXILE. 33 perdre dans la masse de
tissu
conjonctif à noyaux qui les enveloppe. Certes,
que notre examen a porté. Outre un épaississement très notable du
tissu
conjonctif interfasciculaire, les coupes transv
jonctif interfasciculaire, les coupes transversales montrent que le
tissu
intrà-fasciculaire est le siège d'une hyperplas
e au contact de cette gaine, a transformé presque tota- lement en
tissu
conjonctif un certain nombre de' fais- ceaux de
non saillantes. A la coupe, les masses principales ont l'aspect du
tissu
cancéreux. Le rein gauche (60 gr.) offre des lé
s émotions psychiques, un dégagement de chaleur très marqué dans le
tissu
cellulaire sous-cutané de la fosse temporale, d
REVUE DE physiologie. par une hyperthermie locale agissant sur des
tissus
analogues à ceux des parties de la femelle; 5°
dal droit, il existait une tumeur du volume d'une petite orange; le
tissu
cérébral avait en partie disparu à ce niveau, e
on du nerf eût été complète, le bourgeonnement inflamma- toire du
tissu
conjonctif ne s'était effectué que dans les par
tent de nombreuses plaques d'athérome. Rien ? de particulier dans les
tissus
. Le poids total de l'encéphale est . de 1,480 g
evient difficile de distinguer la pie-mère et de la différencier du
tissu
nerveux sous-jacent : on pourrait croire que la
e, se montre prononcée en certains points, à côté de régions où les
tissus
ont leur couleur normale; elle se présente sous
ro- - ,g11e;.au))ieu,du,feutrage qui, constitue^ normalement ,ce,
tissu
, il n'Mipteipl%qul ! 1. çqrdages épais limitant
h LI 1 '011J. )J' lOtr; tri, ;1 sépares les uns des autres, par un
tissu
de, névroglie , "1, 1 ! (, 0 ' ill)'t - . il 1
t de l'éther s'exerce sur le protoplasma des cel- lules de tous les
tissus
. Le- coeur d'un animal placé dans les vapeurs d
il' 'j "I 'i l' - ii dan-s ii'n' t'r'a"n'sfo'r''m''a'tion muqueuse
tissu
muqueux particulier, ou dans une transformation m
? llii ,1)H. Il,) . 01 . Il, n ? 11111 JI , et une hypertrophie du
tissu
conjonctif, qui s observe d'abord - i Il " /[je
i · nez .... ainsi la substance hépatique se trouve divisée par un
tissu
ondulé, mal défini, qu'on retrouve identique da
a vie. Les os des membres inférieurs sont minces, atrophiés, d'un
tissu
compacte, et de beaucoup plus grêles que ceux des
ulations tuberculeuses, même sur la sylvienne et ses branches. Le
tissu
cérébral était altéré superficiellement, au moins
t absolument défaut dans toute l'étendue des parties sclérosées. Le
tissu
de cha- cun des nodules tubéreux consiste essen
rise ou ce qui devait être auparavant la subs- tance grise. Dans ce
tissu
scléreux, les noyaux ne sont pas beaucoup plus
nte des caractères iden- tiques. La coloration uniformément rose du
tissu
té- moigne qu'il ne subsiste pas dans la trame
ance blanche n'est que secondaire. Quant à la vascularisation de ce
tissu
morbide, elle est excessivement restreinte. On
ïde. Le microscope démontre que ces masses sont constituées par des
tissus
cartilagineux, ici calcifiés, là ramollis, myxo
erçoit alors la surface osseuse comme vermoulue. Les alvéoles de ce
tissu
po- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. z5" reux so
l'ecchondrose décrite plus haut est déprimée transversalement, son
tissu
est mou et très pâle ; les couches grises en so
coin formé par une matière jaune et résistante, s'enfonçant dans le
tissu
hépatique. On constata au microscope un épaissi
; la surface d'une coupe en ce point est absolument blanche, et les
tissus
pré sentent une consistance très inégale. - Le
, la pneumonie, l'érysipèle, les accidents du côté de la peau et du
tissu
cellulaire (furoncle, phlegmon, pseudo-érysipèl
sser, la superficie de celui-ci est adhérente à la dure-mère par un
tissu
conjonctif très vasculaire; au microscope pigmen-
91,'i 1, et'q JüT^ ? 2l`I 9111 titi at, Z'Jr'L(1-Jllki`Ji 1 yU 91nq
tissu
cérébral. Ei5enmatin regarde ces divers, cas,,
e ma- nière générale par toute la substance grise ; les cellules du
tissu
conjonctif de la substance grise étaient plus n
moyenne du 28° au 30e jour, et l'on n'avait pas à se préoccuper du
tissu
cicatriciel qui, à la suite de la section du tr
qui subissent la simple transformation granuleuse, tandis que le
tissu
conjonctif prolifère partout où il en existe, jus
ormal d'autant plus vite que la paralysie a duré moins de temps. Le
tissu
conjonctif intramusculaire est passible des mêm
i 'e ranger à l'opinion de' Gluck ( Va·chow's Archiv, t. 72) que le
tissu
cellulaire néôformé est apte à conduire les inc
tache l'excitabilité du 1 ? stade, autant'qu'à la dégénérescence du
tissu
, nerveux ; la proliféra- tion cellulaire- et nu
cordons de Goll et de Burdach. Or, tous ces points sont ceux où le
tissu
cellulaire pénètre dans les cordons postérieurs
dorsalis n'est-il autre chose que « une dégénéra- tion chronique du
tissu
conjonctif qui s'avance dans les ziaters- tices
- mique pratiquée par le docteur Gaule indique, simplement que le
tissu
pathologique se dissout moins facilement dans les
que se dissout moins facilement dans les réactifs appropriés que le
tissu
sain et fournit bien moindre proportion de grai
de l'embolie graisseuse par la destruction pure- ment mécanique du
tissu
adipeux' sous-cutané sans suppura- tion ni nécr
). '- 3 'La'relation entre les'suppurations simples ou fétides du
tissu
cellulaire sous-cutané et l'embolie graisseuse re
ituée entre la dure-mère et les os, et se creusant une loge dans le
tissu
cérébral. Le pariétal, à ce niveau, : était ami
bral. Le pariétal, à ce niveau, : était aminci, et dans un point le
tissu
osseux était remplacé par une membrane fibreuse
érieurs constituée dans le premier cas par la consistance molle des
tissus
et la néoplasie de cellules gra- nuleuses, par
utrition il faut rattacher l'atrophie musculaire, l'hypertrophie du
tissu
cellulo-adipeux sous-cutané, l'atrophie de la p
les, sujets proposés. Anatomie : 1° Les méthodes de préparation des
tissus
nerveux ; 2° Les apparences morbides occasionné
es nerfs optiques (c'est la face antérieure). s, mince lamelle de
tissu
, qui sépare, de la surface cérébrale, le ven- t
éside dans la localisation des lésions et dans la dégénérescence du
tissu
cérébral au moment de l'opération. Le mal était
ois capi laires est la cause première des altérations subies par le
tissu
cortical. Il y a évidemment d'autres états, les f
concavités correspondent aux points non calcifiés. Les sinus et le
tissu
cérébral paraissent nor- maux. De la fontanelle
e sur laquelle on remarque, dissé- minées par ilots, des plaques de
tissu
gélatineux blanc, de nature cérébrale. R. de Mu
e longitudinal de la fibre, ce qui la distingue de celle des autres
tissus
anisomé- tropes, tels que muscles, tendons, fib
actère positif de la double réfraction des fibres musculaires et du
tissu
conjonctif leur assure, quand ils sont associés
vice versa. La gaine de Schwann aura pour la même raison (c'est du
tissu
conjonctif), des colorations inverses de celles
roglique, mais seulement de fentes comblées par des vaisseaux et du
tissu
conjonctif et qui avaient en certains points susc
a nutrition (lequel est du à l'action de la même cause sur d'autres
tissus
, action démontrée par les atro- phies multiples
ait tenté de supposer que la dégénérescence et l'atrophie finale du
tissu
nerveux est simplement due à une cessation, ou
, le corps thyroïde s'altère, la nutrition générale se modifie, les
tissus
s'empâtent ? et l'épilepsie s'atténue progressi
ontscha- rukov, expérience dans laquelle, après l'injection dans le
tissu
cel- lulaire sous-cutané d'un mouton, d'une ému
rrente, on ne trouva non plus aucune lésion définie ni constante du
tissu
thyroïdien. En ce qui concerne la parathy- roïd
tion paraihyroïdienne encore présente dans le sang et les sucs des
tissus
de l'animal parathyroïdectomisé. En tont cas, l'e
utre, dégénérescence des cellules du parenchyme avec hyperplasie du
tissu
conjonctif. Il semble donc que l'on puisse conclu
uze pa- rathyroïdes crues de vache, ce qui représente à peu près le
tissu
parathyroïden de trois vaches; aucune améliorat
complètement les trans- formations chimiques qui ont lieu dans les
tissus
vivants, l'auteur soutient que l'alcool, loin d
UE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 239 A l'autopsie, le
tissu
du cerveau est très tendu et les circonvolu- ti
orceau de caoutchouc, les lamelles osseuses étant remplacées par un
tissu
fibroïde souple. - .' - 'A' Iii seconde phase,
le fascicule nerveux, on le voit enserré le plus souvent dans un
tissu
scléreux, entouré de noyaux conjonctifs, les cyli
eux-ci pour la plupart ont gardé une constitution quasi normale; le
tissu
interstitiel à vrai dire est proliféré, le péri
e de cas dans la pratique. Cependant le corps vertébral, et même le
tissu
osseux du rachis, ne sont pas toujours envahis
é les produits épithéliaux pénétrant non seulement à l'intérieur du
tissu
conjonctif intrafasciculaire, mais encore au se
des racines et des méninges au niveau des trous de conjugaison. Le
tissu
cancéreux est en noir plein. A, ganglion lymp
e-mère en certains points; néanmoins, elle n'était pas adhérente au
tissu
osseux. Au niveau de quelques trous de conjugai
, ainsi que les lames, sont sains sur toute l'étendue du rachis. Le
tissu
osseux n'est ni friable, ni spongieux. 304 CL
examen histologique montrait nettement l'origine du processus. Le
tissu
néoplasique, émané des vaisseaux lymphaliques p
l'histoire du malade. Notre sujet en effet mettait en rouleaux des
tissus
teints avec des cou- leurs à base de sels de pl
s veines et des artères se prolongeant sur les capillaires en plein
tissu
nerveux permettent de dire ceci : Il existe const
costaux et le diaphragme, rares dans le muscle cardiaque et dans le
tissu
consécutif sous-péricardique. On n'en a pas tro
le tissu consécutif sous-péricardique. On n'en a pas trouvé dans le
tissu
connectif cutané, ni dans les poumons, le foie
ni dans les poumons, le foie et la rate, mais il y en avait dans le
tissu
con- nectif qui entoure les reins. L'auteur ter
ormale, c'est le contraire de ce que l'on observe ordinairement. Le
tissu
cérébral était oedematié ainsi que les poumons.
le vivante. La sclérose cérébrale diffère de la sclérose des autres
tissus
par le peu de rétraction de la région malade, c
i ne peut être dû qu'à l'élasticité et à la faculté d'adaptation du
tissu
de suppléance, lequel, on le sait, est fourni p
de la névroglie possède donc une organisation supérieure à celle du
tissu
conjonc- tif du reste de l'organisme. La partie
péciaux au cerveau et peuvent s'observer dans les autres organes ou
tissus
. Plus loin l'orateur ajoute que les impulsions
timulus est indispensable à la géné- ration et à la régénération du
tissu
et de la fonction du système nerveux ; et aussi
rgie, au moyen de transfor- mations hio-chimiques, surtout dans les
tissus
les plus récemment développés et qui forment la
t : 1° Les impulsions transmises par les fibres non médullées des
tissus
viscéraux et vasculaires sont, comparativement au
le stimu- lus traverse le neurone. 2° L'activité métabolique des
tissus
nerveux peut être démon- tré par l'examen du li
ré par l'examen du liquide cérébro-spinal et des extraits salins du
tissu
nerveux (recherches de Gumprecht et Gulewitz, rec
é soumis pendant la vie à l'injection de bleu de méthylène dans les
tissus
. 2° un plexus intercellulaire de fibrilles extr
ces recherches sur les notions courantes que l'on pos- sède sur le
tissu
nerveux. Quelle que soit l'interprétation que l
le reconnait, puisque sa méthode ne parvient pas à nous montrer les
tissus
compliqués qui nous avons toutes raisons de le
x de déchet, et à la réparation nutritive, et cela surtout dans les
tissus
nerveux les plus importants du cerveau. Si donc
trition, mais par une voie indirecte, en soulageant un organe ou un
tissu
au détriment d'un autre, comme on ampute un mem
ournal. 10 Janvier 1903). L'expérimentation a démontré que dans les
tissus
, les bromures peuvent remplacer les chlorures.
'écorce : elles sont difficiles à reconnaître et appar- tiennent au
tissu
interstitiel. La deuxième couche est caractéris
ots de substance grise, contenant des cellules nerveuses. Pour le
tissu
réticulaire, aussi bien que pour les cel- lules
en encore le volume des racines antérieures des nerfs spinaux. Le
tissu
conjonctif, formant le périnèvre, et l'endonèvr
fibres nerveuses transverses, ainsi que des vaisseaux sanguins. Le
tissu
conjonctif contenait également un petitnombre d
du trijumeau et du pneumogastrique. A cette portion de la coupe, le
tissu
conjonctif diffère tant soit peu d'avec la préc
contiennenent guère de fibres transversales. Ces trabé- cules du
tissu
conjonctif, tout en étant plus courtes, n'en so
présentent éparses aussi bien que sous forme d'amas. Les noyaux du
tissu
conjonctif abondent également. Pour ce qui est
ssive- ment aux coupes du tronc nerveux, on trouve une cloison de
tissu
cunjonctif de plus en plus accentuée, qui sépar
grise de la moelle épi- nière. L'un de ces réseaux est formé par le
tissu
con- jonctif, fibrilles et tissu, finement gren
un de ces réseaux est formé par le tissu con- jonctif, fibrilles et
tissu
, finement grenu de Gerlach. Dans les cloisons c
constitué par des fibres nerveuses très grêles. Toute l'étendue du
tissu
est couverte de cellules ganglionnaires et de n
aque îlot de substance grise laisse échapper de longues traînées de
tissu
conjonctif, plus ou moins nombreuses, constitua
use, qui présente tous les caractères chimiques et histologiques du
tissu
muqueux. Cette matière spéciale serait constitu
minaisons nerveuses périphé- riques, englobées et comprimées par le
tissu
muqueux ne perçoivent que des sensations affaib
mé, Ord rattache tous les phénomènes obser- vés à l'existence de ce
tissu
muqueux et propose, en conséquence, de désigner
tions sont toujours accompagnées par une chaleur et par l'usure des
tissus
, il est raisonnable de supposer que la torpeur
admettre la subordination de tous les symptômes à l'existence de ce
tissu
muqueux à la périphérie du corps. » Cette subor
e : ané- mie profonde, altérations remarquables de la- peau et du
tissu
cellulaire, état cérébral particulier. La fin d
me infil- trée ; il semble qu'elle recouvre une épaisse couche de
tissu
cellulaire lâche. En divers points du thorax, ell
cérébraux à une lésion de l'encéphale, caractérisée par le dépôt de
tissu
muqueux autour des cellules nerveuses. Dans le
E DE PATHOLOGIE NERVEUSE. phénomène inflammatoire, la réparation du
tissu
nerveux n'a jamaiseulieu par première intention
éal9'n'; la substance blanche .de^la moelle était vascularisée, son
tissu
conjonctif était gonflé, sans, altération des t
comme oedématiée et pend sur la base de la langue. La peau et le
tissu
cellulaire du cou sont aussi fortement épaissis
comme dans la cachexie pachy- dermique, la lésion prédomine dans le
tissu
conjonctif sous-cutané; elle ne diffère que par
ste caverne à parois déchiquetées. Le reste du lobe est induré; son
tissu
est comme RECUEIL DE FAITS. )8t carnirié, ne
qui devint rapidement très volumineux et envahit profondément les
tissus
(pas de glycosurie). Pendant la guérison de l'ant
cavité crânienne est vide, on n'y rencontre que quelques restes de
tissu
conjonctif à la base, comprenant entre eux des
iges des cordons cunéiformes à la région du bulbe. Prolifération du
tissu
interstitiel (grandes cellules araignées en nombr
a structure. Elle présente une coloration rouge vif uni- forme, son
tissu
dense fibroïde est traversé par de gros vaisseaux
topsie le 27 août 1 î 8 1.- Lavotitecmtlniemze est très épaisse, le
tissu
osseux est dense : la dure-mère est épaissie, adh
nt l'atrophie du cervelet sont : le développe- ment considérable du
tissu
conjonctif interstitiel et l'atrophie des cellu
s cérébrales où siègent les centres de mouvement, la destruction du
tissu
cortical empiète le plus souvent sur des parties
consistant, le plus habi- tuellement, en l'induration scléreuse du
tissu
. On n'en possède actuellement que trois analyse
he sous-épithéliale, la dilatation des vaisseaux, l'infiltration du
tissu
par de petites cellules, les traces d'un exsuda
ompression des vaisseaux : on se trouve en présence d'une lésion du
tissu
même du cerveau et, par-dessus tout, du corps c
rs ne croient pas que la 4°;paire envoie des fibres directs dans le
tissu
de la 3e paire, en outre, ils ont observé des a
ins rnyxoedéi-netleux l'existence d'une infiltration gélatineuse du
tissu
cellullaire sous-cutané, infiltration dont la c
lus, constaté-dans certains cas la présence de mucine dans tous les
tissus
, y compris le sang. Il est donc inté- ressant d
de 10 il 15 millimètres. Il n'y a pas d'infiltration gélatineuse du
tissu
cellu- laire sous-cutané, sauf pourtant en deux
ions volumineuses, ni les 122 RECUEIL DE FAITS. couches denses de
tissu
fibreux, qui se voient toujours dans les cas de
ur la coloration des noyaux, au mélange de Van Gieson pour celle du
tissu
conjonctifet des cylindraxes. OEil droit. - C'e
ennent pour la plupart des cel- lules de névroglie. Les éléments du
tissu
conjonctif dont beaucoup semblent provenir du t
Les éléments du tissu conjonctif dont beaucoup semblent provenir du
tissu
conjonctif choroïdien sont également très proli
de cellule nerveuse proliMree; i, lacuacresula l'a désintégration des
tissus
5, petit vaisseau Ci paroi hypertrophiée; 6, couc
s biophag-es ? proviennent-ils de la mobi- lisation des cellules du
tissu
fixe ou ne représentent-ils qu'une fonction spé
alin du type sarcome, mais les deux sont une neoplasie primitive du
tissu
conjonctif du système nerveux. Maladie de Littl
len » qu'on puisse rencontrer comme dans les inflammations d'autres
tissus
. 232 SOCIÉTÉS SAVANTES. S'il existe des diffé
autres organes, celles-ci ne peuvent tenir qu'à des différences de
tissu
, non à des différences de causes ou de nature.
uestions qui a le plus préoccupé les auteurs est de savoir par quel
tissu
névro- glie, vaisseaux ou éléments nerveux débu
transformation en fibre conjonctive fusiforme et aboutir ainsi à un
tissu
fibreux. Je n'y contredis pas. Mais, comment défi
oble est secondaire a la sclérose qui succède à l'in- flammation du
tissu
conjonctivo-vasculaire, et que l'atrophie des f
squelette rele- vant de diapédèse particulièrement marquée dans le
tissu
osseux, comparable à l'altération trophique ult
rison, une rougeole amena un gonflement pro- noncé et persistant du
tissu
adénoïdien resté dans la caverne. Les symptômes
cytaire, chondrolyse, ostéolyse, résorption de corps étrangerset de
tissus
nécrosés) et croient qu'on se trompe en attribuan
e reprise, ni bourgeonne- ment appréciable. A la différence près du
tissu
adipeux ici blan- châtre et d'aspect légèrement
; l'ulcé- ration remonte jusqu'à la partie moyenne de la jambe; les
tissus
au dessus de .l'ulcération paraissent sains. Le
aire sont remplacés par des hvsles et des bemorrhafies. entourés de
tissu
conjonctif et de placards de ti-abécules né 7e-,
. Celle îles noyaux ronds n'offre pas d'anomalies; en arrivant au
tissu
conjonctif, elle est arrêtée par une couche de no
uelque moment qu'ait été pratiquée l'au- topsie, convient aussi aux
tissus
frais et à l'embryologie. Les coupes seront eff
bissent une atrophie de la substance active et la multiplication du
tissu
inteistitiel (hypertrophie de la prostate par ex.
oit, qui avait comprimé le tiers supérieur de l'olive et détruit le
tissu
nerveux en arrière de celle-ci (ligures). L'ana
éline sont jaunes, les cylindraxes bruns, les noyaux rouge-brun, le
tissu
scléreux et la névroglie rouge-violet; les cell
giquement, ces deux masses étaient entiè- rement constituées par du
tissu
adipeux, enveloppé d'une capsule fibreuse d'épa
t haricot. Au microscope on constate que cette tumeur est formée de
tissu
adipeux, avec de nombreux vais- seaux et une ca
riui a donné la conviction que la surdité avait son origine dans le
tissu
nerveux. Nous résumons ici les remarques que ce
ux supérieurs, les bourgeons des processus pro- toplasmiques et les
tissus
collatéraux du cylindre axe ne sont pas continu
iers de la préparation, ci droite, sont essentiellement formés d'un
tissu
fibreux dans lequel aucune technique ne permet
la présence d'un élément nerveux quelconque, cellule oil fibre. Ce
tissu
est constitué, d'une façon assez homogène, surtou
se des bandes transversales. En résumé, il s'agit là d'un véritable
tissu
de sclérose con- jonctiue post-inflammatoire, q
e, parait avoir atteint depuis longtemps tout son dévelop- pement :
tissu
remarquable par la densité de sa fibrose et par
sement de la moelle par une fracture de la colonne vertébrale. Ce
tissu
pathologique présente en outre du pigment et des
1TIRUid DE I.A 1110 : LLL. 41t 1 Fig 9S. -,lmas de pigments dans le
tissu
de sc'érose Fig 39. - Foyer de myélite. 472 -
mplètement la périphérie de la moelle, dont elle est séparée par un
tissu
névroglique contenant encore un certain nombre
es grandes cellules radiculaires, disséminées çà et ta à travers le
tissu
de la corne antérieure : à ce niveau, les tubes
-iatéraux continuent à être dégénéré;- des deux côtés; à droite, le
tissu
scléreux, plus dense et plus rétractile, est de
e épinière ne déterminent pas de myélite suppurée. La résistance du
tissu
nerveux à la suppuration est une sorte de privi
le côté opposé à là section : en résumé, ils ont déterminé dans le
tissus
tué- dullaire des compressions dont l'action s'
t le plus curieux à signaler, est incontestablement la tolérance du
tissu
nerveux pour le corps étranger implanté dans sa
Les autres s'étalent à une plus grande distance dans la moelle. Le
tissu
qu'elles ont édifié est plus grêle, se colore p
ture ou d'une striction indéfi- niment prolongée et transformant le
tissu
de la moelle en une véritable cicatrice, peut d
sur une petite table spéciale, et je débarrassais soigneusement des
tissus
adhérents la vertèbre destinée à être ouverte.
ouche supérieure du cerveau. Aux bords de la plaie, de même dans le
tissu
conjonctif du cou de grandes hémor- rhagies. La
nes grises du côté gauche se trouve une cica- trice semi-lunaire de
tissus
conjonctifs; dans les préparations co- lorées p
nts nerveux; il n'y avait ni cellules, ni fibres, mais seulement un
tissu
conjonctif avec une certaine quantité de noyaux
es méninges adhérentes se cicatrisèrent au moyen d'une cicatrice du
tissu
conjonctif, dans la- ' cowpers. - On the anlero
ents nerveux dans la cicatrice. ' Hl'OWI1-SÚqnard. Régénération des
tissus
de la moelle épinière. (Gaz. mec ! . de Paris.
trouvèrent l'espace, qui fut restée, après l'opération, remplie de
tissus
moelleux consistant en fibres de Remak et cellu
teur remarqua la restitution des fonctions et la ré- génération des
tissus
de la moelle épinière, car c'est la seule dans
cas, il n'y avait ni restitution des fonctions, ni régénération du.
tissu
nerveux de la moelle épinière, et dans l'autre
r complètement une différence possible des facultés productives des
tissus
d'un organisme jeune et adulte, je trouve pourt
culté conductrice de la moelle épinière puisse être rétablie et son
tissu
nerveux régénéré. De là, il est facile de passe
levé la bandelette optique, on le voyait constituer une couche de
tissu
blanc, se dirigeant en dehors ; il venait rejoi
ructives de l'écorce et des trauma- tismes cérébraux, effets dus au
tissu
fibreux cicatriciel rempla- çant les pertes de
- Belle paraît bien impliquer une altération de la nutrition des
tissus
nerveux (Gowers). N'importe quelle région de l'
, aussi bien que les faisceaux médullaires, était transformée en un
tissu
fibreux, formé de nombreuses cloisons qui, en s
pigmentaires. Les cloisons, qui donnaient à ce foyer l'aspect d'un
tissu
aréo- laire, étaient formées d'éléments connect
morbides tendent à se résorber, finalement, ils s'organisent en un
tissu
de fibres fines conjonc- tives qui circonscrive
et demi dans saportion laplus large. Elle s'est développée dans le
tissu
muqueux embryonnaire (Kronthal). c. Chez un p
t indépen- dant les particularités histologiques de ces éléments en
tissu
ner- veux. L'enveloppe de myéline est constitué
ston ; ces tentatives échouent; les pinces ne peuvent mordre sur le
tissu
éburné. Trépanation de la lame vertébrale de la
y a néces- sité de les diviser au couteau. Celui-ci pénètre dans un
tissu
dur, scléreux, de la grosseur de la moitié d'un
'une inflammation légère ; hyperémie des méninges et tuméfaction du
tissu
médullaire qui ressort de la faute des méninges
dans la substance blanche et grise de la moitié saine des bandes de
tissu
conjonctif, grâce auxquelles je n'aperçois poin
re, par un petit grossissement on peut remarquer une hyperplasie du
tissu
conjonctif dans la masse du cordon latéral du m
forts, on peut remarquer : Fig. 19. 192 - anatomie. 1). que les
tissus
de la cicatrice consistent seulement d'éléments d
. que les tissus de la cicatrice consistent seulement d'éléments de
tissu
conjonctif avec un petit nombre de vaisseaux et n
dans cette substance et dans le cordon latéral voisin des bandes de
tissu
conjonctif. En résumant les données obtenues no
isection ; ici les méninges du côté gauche sont adhéren- tes au
tissu
delamoelle épinière. La seconde se trouve à 1
et, l'alcoolisme s'inscrit en traces indélébiles sur la plupart des
tissus
et sur la plupart des organes, la trame conjoncti
la sclérose qui peut atteindre le foie, les reins, le péricarde, le
tissu
cardiaque, les méninges, la moelle même et le c
affectés d'atrophie des fibres avec multi- plication des noyaux du
tissu
conjonctif interstitiel. Prolifération intersti
conjonctif interstitiel. Prolifération interstitielle des muscles (
tissu
conjonctif et ses vaisseaux); atro- phie de la
de la plupart des fibres, hypertrophie de quelques fibres; dans le
tissu
interstitiel beaucoup de pigments et d'extravasat
ndant étaient isolés ou pelotonnés en petits amas libres au sein du
tissu
nerveux. Leur structure révélait la stratifi- c
Bitot et Lande ont émis l'hypothèse, comme on sait, que c'est le
tissu
adipeux sous-cutané qui est affecté primairement,
ent de cette façon l'anémie et des change- ments nutritifs dans les
tissus
sous-jacents. Mais cette suppo- sition, évidemm
examine avec soin cette région, on cons- tate que les muscles et le
tissu
adipeux y ont disparu et que la peau mince, lis
(deux à droite, deux à gauche d'une croix mé- . diane) sont en fort
tissu
métallique à mailles étroites. Une tige de fer
environ deux mois et demi. Dans les deux cas, les vais- seaux et le
tissu
interstitiel n'étaient relativement que peu altér
on des ulcères^'' des modifi- cations profondes subies par tous les
tissus
, les os eux-mêmes du EOt .3,m'.1 fJI : il'1 : 1
laire il. n'observa ! qu'une' > faible augmentation de volume du
tissu
conjonètif.11 q \ i '/l, > "-1"" "-I1'lIloJt
lules granuleuses ; la substance blanche est sillonnée detractus de
tissu
conjonctif fortement teintés en rouge ; atteinte
décelait 1 alroplne des fibres ,nerveuses par la prolifération du'
tissu
1 conj onctif farci' de' c,cJlules-araignées, C
)'' f'Io t En, déterminant, dans la, constitution anatomique de.nos
tissus
des'désordres variés, la nature ne se propose,
'l ? ? '. £ ? « ? ' 'v"'l' "1"->I"1-»'J-V ? e ! n'uu3 faction du
tissu
conjonctif et des cylindres-axes, mais 1 absence
ractérisée par une hyperplasie'vascuiaire' avec' pro- lifération du
tissu
conjonctif, les éléments nerveux subissant une
ne présentent aucune altération notable : les fibres nerveuses, le
tissu
conjonctif interstitiel, les vaisseaux paraisse
er les uns des autres les faisceaux nerveux et pour les détacher du
tissu
conjonctif qui les enveloppe. Une fois isolés e
rations appréciables de la nutrition de la peau, des ongles, ou des
tissus
sous-jacents. Dans l'observation qui précède, n
roits n'ont donné lieu a aucun trouble trophique de la peau, ni des
tissus
pro- fonds des doigts correspondants. Il semble
gineux on aperçoit les muscles dénudés et des lambeaux flottants de
tissu
fibreux sphacélé. Le 21 juin, le malade est mou
ressemblent à de petits abcès (pachyméningite externe caséeuse). Ce
tissu
adhère fortement à la face externe de la dure-m
onstate que la teinte brune occupe toute l'épaisseur du derme et du
tissu
cellulo- 1 Résumé d'après l'observation cliniqu
ivement, au moins à leur début, sur les tubes nerveux eux-mêmes. Le
tissu
conjonctif reste normal pendant un temps relati
a portion la plus tuméfiée, ou pouvait constater que, tandis que le
tissu
interstitiel et les vaisseaux ne présentaient p
tre, des agglomérations considérables des éléments du sang dans son
tissu
. Les résultats histologiques démontrent donc qu
tives ? Où doit se trouver le point tranchant la question ; dans le
tissu
interstitiel ou dans les cellules ? Sur plusieu
admettre que, pendant cette période, l'irritation se propage sur le
tissu
interstitiel entourant les cellules et, tout en
ces éléments, amène en même temps une modification notable dans le
tissu
envi- ronnant. Les éléments de la névroglie dev
ments constitutifs, ajoutent. encore à l'influence des éléments du
tissu
interstitiel. Quant à la supposition qu'il s'agit
ré- sence des lésions parenchymateuses des cellules, alors que le
tissu
interstitiel et les vaisseaux ne sont pas encore
droit où il a trouvé cette tuméfaction et ne parle pas de l'état du
tissu
environnant, ce qui est fort important au point
lules arai- gnées et vascularisation excessivement restreinte de ce
tissu
morbide. Enfin, M. Pozzi, dans une note sur la
on veut se rappeler la différence fondamentale qui existe entre le
tissu
interstitiel de ces deux organes, différence bi
ression des parties normales voisines et, enfin, la délimitation du
tissu
environnant. Ces altérations consistent dans la
microscope décèle l'exis- tence dans les masses les plus dures d'un
tissu
conjonctif à fibres résistantes englobant de no
a fièvre est d'accélérer les échanges chimiques dans l'intimité des
tissus
; elle relève donc la nutrition du cerveau languis
aisir, de douleur (asphyxie vasculaire temporaire des centres). Les
tissus
nerveux de l'individu conservent du processus ent
ion des secrets de son âme, et ourdissant toutefois de plein gré un
tissu
de révé- lations fictives dans un but de décept
là forme aiguë pernicieuse ; ? 3° ]es7[t/('op)s : cs,' soit'dans le
tissu
cellulaire sous-cutané; soit dans les cavités s
filtrés ' d'élé'l1eÍ1Ls : ' IÍÍbr;o ! ¡ naires avec augmentation du
tissu
conjoriëlif,ur eC''¡3'll' conclut qu'ils,' étai
sur la composition du sang et sont la cause de l'infiltration des
tissus
par la mucine (Ord.), la transition semble logiqu
erait les échanges organiques et déter- minerait l'infiltration des
tissus
par la mucine. Pour se prononcer entre ces deux
é. En même temps que les deux genoux se déformaient la peau et le
tissu
cellulaire sous-cutané des deux membres inférieur
stitution débile, la cage thoracique est faiblement développée ; le
tissu
sous-cutané contient peu de graisse; les muscle
même côté, avec hyperalgésie, épaississement et refroidissement des
tissus
. Les deux extrémités inférieures sont plus faib
qu'à sa destruction, sa dé- composition et son utilisation dans les
tissus
. Il rappelle ensuite l'expérience fameuse de Cl
s diabétiques est due à un défaut de consommation du sucre dans les
tissus
. L'apparition du diabète chez des personnes qui
ement une maladie générale qui doit, comme telle, agir sur tous les
tissus
, elle peut frapper spé- cialement tel ou tel ap
3° anurie; 4° hyperglicémie ; 3° acétonémie; 60 déshydratation des
tissus
. Toutes ces causes peuvent intervenir suivant l
sque rectilignes. Les bords de ce losange sont plus colorés et d'un
tissu
plus spongieux que le reste du crâne. Dans l'an
95; ses bords sont espacés et remplis par une légère membrane; un
tissu
spongieux analogue à celui qui borde la fontanell
oins une vingtaine. Tout le tra- jet de cette suture est formé d'un
tissu
spongieux analogue à celui que nous avons signa
urtout au niveau des bosses frontales et pariétales d'où rayonne le
tissu
avoisinant. Ces points ont l'aspect de centres
zones opaques qui s'étendent jusqu'au voisinage des sutures où le
tissu
osseux prend des caractères spéciaux. En effet, a
s aux lieux des injections ne révèlent absolument aucune lésion des
tissus
superficiels ou profonds. OBS. XXII. Épilepsie
mais à lobule adhérent. Cou court et grêle. Thorax bien constitué à
tissu
cellulo-adi- peuxtrès développé formant de véri
ent presque une ligne droite. Les bords du losange sont formés d'un
tissu
osseux plus coloré et plus spongieux que le res
rossièrement dentelés et une membrane l'oblitère. Une bandelette de
tissu
spongieux, moins accentuée qu'au niveau de la f
vingtaine. Sur tout le trajet de cette suture, on peut constater un
tissu
spongieux analogue à celui qui borde les fontan
veau des bosses pariétales et frontales dont le centre est formé de
tissu
compact d'où rayonne le tissu avoisinant. Ces p
frontales dont le centre est formé de tissu compact d'où rayonne le
tissu
avoisinant. Ces points offrent nettement l'aspe
zones opaques qui s'étendent jusqu'au voisinage des sutures, où le
tissu
osseux prend des caractè- res spéciaux. En effe
Un seul os existe à gauche. Les bords des sutures sont formés d'un
tissu
tout particulièrement spongieux. Sur la coupe d
l'épaisseur de la région antérieure ; tous les os sont formés d'un
tissu
spongoïde. Les régions médio-frontales et tempo
- pisse la cavité crânienne est lisse, unie, sans prolongement de
tissu
conjonctif, comme la dure-mère normale, au niveau
i circonscrite, cette membrane présente quel- ques prolongements de
tissu
conjonctif et forme quelques aréoles analogues
de tissu conjonctif et forme quelques aréoles analogues à celles du
tissu
cellulaire insufflé ; 3° cet- te poche a été tr
75 ... , ' J membraneux, transparents et rayonnes. Une bande de
tissu
très vasculaire borde les fontanelles et les sutu
tée : Très épais- se, très lourde, elle est formée de deux lames de
tissu
compact entre lesquelles est une large couche d
lames de tissu compact entre lesquelles est une large couche d'un
tissu
spongoïde qui permettrait de comparer la tex- t
cerveau. 289 de vaisseaux méningiens. Entre ces deux tables est un
tissu
spongoïde, très lourd. La caractérisque de ce c
épaisseur assez grande sur d'autres points et sont alors formés de
tissu
spongieux. Les points les plus minces sont au n
f ont laissé sur la table interne des empreintes très nettes. Le
tissu
osseux du crâne est assez épais ; entre deux lame
eux du crâne est assez épais ; entre deux lames compactes existe un
tissus
pongoïde assez abondant. L'os est lourd et n'es
vu se produire dans la substance intersuturale une prolifération de
tissus
, très intense, aboutissant il la production d'u
rose. - La coupe de ces derniers, permet de constater la densité du
tissu
qui les compose, en même temps que le toucher s
reconnaître par leur résistance, qui contraste avec la mollesse du
tissu
cérébral sain. Elles forment enfin une légère s
restedu lobe offre la lésion d'une pneumonie franche au début; le
tissu
ne crépite plus, est friable sous le doigt mais s
tre anémié. Le 14 IDIOTIE. noyau principal présente à la coupe un
tissu
diffluent de teinte vineuse, dont les parties p
Autopsie le 27 août 1881. - La voûte crânienne est très épaisse, le
tissu
osseux est dense : la dure-mère est épais- sie
uir chevelu, lequel est bouffi, cedéma- tié. Au niveau du sillon,le
tissu
est lardacé, nacré; le sterno- mastoidien est d
es ventricules; légère surcharge graisseuse au niveau des sillons ;
tissu
ferme, hypertrophie du ventricule gauche, dont
onnant la sensation d'un sac de noix. Au pourtour de l'article, les
tissus
sont irrégulièrement indu- rés et on peut senti
ylet pénètre jusqu'à un foyer de nécrose qu'on ne peut limiter. Les
tissus
avoisinants sont fortement indurés. La peau est
cerveau; les nerfs optiques, en particulier, ne sont pas lésés. Le
tissu
encéphalique est ferme ; nulle part on ne trouv
plusieurs orifices circulaires, de volume variable, occupés par du
tissu
fibreux. En arrière, l'irrégularité del'exostos
r extrémité supé- rieure. L'articulation du genou est entourée de
tissus
indurés, lardacés, durs et criant sous le scape
dans l'arlhropa- thie ataxique est constituée par la raréfaction du
tissu
os- seux et par l'usure des surfaces articulair
caverne, à parois déchi- quetées. Le reste du lobe est induré; son
tissu
est comme carnifié, ne crépite pas et plonge qu
la forme mamelonnée. Au niveau des noyaux de broncho-pneumonie, le
tissu
pulmonaire laisse écouler à la coupe un sang no
se décortique avec fa- cilité, et n'est que modérément injectée. Le
tissu
cérébral est ferme. Les hémisphères sont égaux
54 li ÉPIDÉMIE DE ROUGEOLE. seur de Li millimètres. En ce point, le
tissu
pulmonaire présente une teinte jaune clair, il
obe supérieur, est flasque, affaissé. On y voit quelques nodules de
tissu
emphysémateux, et un noyau de bron- chio-pneumo
ue répond un îlot degangrène, volu- mineux, cunéiforme. Le reste du
tissu
est friable sous le doigt et ne surnage pas. La
esque immédiatement dans le néoplasme ; sa gaine se confond avec le
tissu
fibreux am- biant et cesse d'être perceptible ;
d'être perceptible ; les faisceaux nerveux sont dis- sociés par le
tissu
fibreux ; les fibres s'atrophient très vile et ce
facial droit. La gaine du nerf, les gaines périfnseiculaires et le
tissu
in- lersliliel sont Il't\'' épaissis, sclérosés
é gauche présentaient un aspecl peu près normal, l"e1. peine si les
tissus
ambiants étaient un peu plus denses que normale
ut ailleurs elle était absolu- ment libre, ne contractant, avec des
tissus
voisins, que des rapports de contiguïté. Le poi
is bien un fibro-sarcome conjonctif, nettement déli- mité d'avec le
tissu
nerveux du cervelet qui est simple- ment atroph
a gaîne cesse d'être perceptible ; elle semble se confondre avec le
tissu
constituant la tumeur,les fais- ceaux nerveux s
tion des vaisseaux centraux, l'a-pecl très transparent, raréfié, du
tissu
awisinanl, la dissocia- lion de chacun des élém
ié, du tissu awisinanl, la dissocia- lion de chacun des éléments du
tissu
, principalement des libres de la névroglie, la
: on'peut suivre di- rectement les fibres longitudinales depuis le
tissu
pourvu de sa myéline jusque dans le tissu sclér
longitudinales depuis le tissu pourvu de sa myéline jusque dans le
tissu
scléreux (figure) ; on voit même, par places, l
ême, par places, les mêmes fibres privées de leur myéline dans le
tissu
scléreux récupérer dans le tissu ll1 ? liniqul' l
es privées de leur myéline dans le tissu scléreux récupérer dans le
tissu
ll1 ? liniqul' leur manchon blanc ; de plus, mê
ranches de la bifurcation entourées de toutes parts, isolées par le
tissu
de soutènement, en quoique sorte emmurées dans
ce point semble être une lacune il travers laquelle on aperçoit le
tissu
sain, mais l'image est celle de l'embolie de l'
ormal, les Ieucoclles quittent les capillaires pour émigrer dans le
tissu
, que les cellules nerveuses soient le produit d
ouvertes de fIlond lo ! et Charpentier, surtesravons qui sortent du
tissu
nerveux en activité, transforment la sugges- ti
KEIU\'AL. REVUE DE THERAPEUTIQUE VU. Action de la pyridine sur le
tissu
nerveux et mé- thode pour la coloration électiv
e secondaire. Il est évident qu'une tumeur agit autrement sur les
tissus
qu'une thrombose ou une embolie. D'autre part, et
omparaison il la médecine du corps. Dans la pathologie générale des
tissus
. l'inflammation et la sclérose se font normalem
formation progressive, clans cet effondrement il longue échéance du
tissu
normal, la sclérose vient apporter sou cuvre de
la portion pylorique et de la grosse tubérosité del'es- toma3 ; le
tissu
conjonctif qui sépare les loges contient des glan
; nulle part, en effet, on ne saurait trouver le moindre indice du
tissu
normal de la glande pituitaire. Ces trou- bles
me a suivi l'élan de l'organe prrc-intestinal ; elle a engendré des
tissus
ayant la structure de l'estomac, de l'oeso- pha
la glande pituitaire normale, ne fournit que des vaisseaux avec le
tissu
conjonctif concomitant. Or, ici, il a, comme le
r, ici, il a, comme le mésoderme de l'organe hrw-inteslinal, fourni
tissu
conjonctif, fibres musculaires lisses et striées,
artère pul- monaire, il se résohail en ramuscules échappant dans le
tissu
connectif compact à l'oeil nu. De nouvelles r
stologiques des plus fines, en soumettant a la force centrifuge des
tissus
dissociés par la secousse ou des coupes, notamm
umet à l'appareil centrifugeur. Les cou- pes très fines, émanées de
tissus
durcis d'une façon quelconque sont cueillies su
sujet lui-même crée le terrain favorable : . ' . Or, de tous les
tissus
de l'organisme, il n'en n'est pas, de plus sens
l'organisme, il n'en n'est pas, de plus sensible iL l'alcool quelle
tissu
nerveux. L'alcool altère profondément les neuro
chez 43 espèces de cellules appartenant aux deux règnes et à divers
tissus
. Elle a été observée chez la cellule nerveuse,
ducteur transmet tant jusqu'aux os les agitations mécaniques. Le
tissu
cellulaire sous-cutané ef'les muscles constituent
ux, en se rechargeant, a ré- cupéré son influence trophique sur les
tissus
. M. ;\hNOR, à la lumière de vingt-six observai
es,' on s'est adressé à l'homme et il convient encore de prendre un
tissu
thyroïdien normal.La greffe doit être faite à c
aut trouver un goitre à extirper, cliez un sujet femme possédant un
tissu
thyroïdien normal, ce qui ne se rencontre pas t
ogique (fumeurs, lésions inflammatoires,, princi- pales lésions des
tissus
, organes et appareils). Il comprendra l'é- tUIl
nir des des plus fines, en soumettant à la force cen- trifuge des
tissus
dissociés par la secousse ou des coupes notam
s. Voir Faisceau anti- rolatéral. Pyridine. Action de la sur le
tissu
nerveux et méthode pour i- la coloration électi
nerveux du cou, on aperçoit une traînée purulente ayant infiltré le
tissu
cellulaire. Nous sectionnons l'oesophage et la
c le pharynx, on découvre une fusée purulente qui a cheminé dans le
tissu
cellulaire rétro-oesophagien. Le pus remonte en
sparentes paraissent être formées par la pie- mère et une couche de
tissu
cellulaire; elles ont une coloration légèrement
d'ailleurs fibreux et adhérant avec l'épendyme ventriculaire et les
tissus
pathologiques voisins. En incisant légèrement l
st encore relativement conservée, on voit le tableau suivant : Le
tissu
nerveux atteint une épaisseur d'un centimètre env
prolongements : il n'y a plus de grandes cellules pyramidales. Le
tissu
interstitiel a proliféré. Les parois ventriculair
ressant toute l'étendue de la portion sclérosée, on remarque que le
tissu
correspondant au centre ovale des circonvolutions
nt au centre ovale des circonvolutions, apparaît formé de bandes de
tissu
fibreux se colorant en rouge très foncé. Dans t
ru. Les circonvolutions frontales ne contiennent donc plus que du
tissu
névroglique et des \lai -seaux... Ce tissu névr
nnent donc plus que du tissu névroglique et des \lai -seaux... Ce
tissu
névroglique est très riche en cellules de toutes
oduire au- tour des vaisseaux ou même dans un point quelconque du
tissu
une densification des fibrilles ; elles prolifère
t les nodules se trouvent ainsi libres de toute adhérence avec le
tissu
environnant. Le processus cavitaire ne semble pas
s sclérosée, criblée de gros vaisseaux béants, autour des- quels le
tissu
se raréfie; on voit ces bandes scléreuses partir
laires néoformés qui pénètrent dans l'écorce : tout autour d'eux le
tissu
nerveux ne tarde pas à se creuser et h se détru
outre, on peut observer en bien des points, la raréfaction de ce
tissu
fibreux : dès lors, le vaisseau apparait formé de
tapissés d'en- dothélium ; plus on va vers la profondeur, moins le
tissu
devient résistant, les travées conjonctives mon
nt des formes cellu- laires variées. A côté des éléments fixes du
tissu
conjonctif, pareille méningite renferme des cel
es sans fibres à myéline ni cellules nerveuses, constituent tout le
tissu
des points nécrosé,. - Dans certaines régions l
pation on a la sensation de palper des masses musculaires et non du
tissu
adipeux. La lèvre supé- rieure est plus dévelop
ns enfin des expériences sur les animaux par l'inoculation du sang,
tissu
cellu- laire, péritoine et les divers organes.
émisphère gauche, aug- mentation relative de Ja proportion d'eau du
tissu
nerveux de cet hémisphère. » Voici le sommair
é par l'émigration de leucocytes hors des parois vascu- laires ; le
tissu
nerveux, infiltré de grosses et petites cellules,
élongation avait été pratiquée, notablement altérés, envahis par du
tissu
modulaire ou de la graisse ; une partie des tubes
. Les limaçons en parti- culier étaient complètement comblés par du
tissu
conjonctif o,,téoïde. Conclusion. Produits ulti
du périmysium interne, nombreux noyaux centraux ; prolifération du
tissu
conjonctif faiblement marquée, pas trace de dég
rdés de petits éléments cellulaires, pas d'accroissement notable du
tissu
conjonctif vecteur des vaisseaux. Hypertrophie
ns, elle dessinera des gra- nulations.' La méthode de traitement du
tissu
n'a, au surplus, aucune influence sur ce fait.
, beaucoup moins nom- breux, qui ont pour siège d'autres organes ou
tissus
. I. Accidents nerveux. Suivant que la localisat
- moteurs : atrophie musculaire, distrophies cutanées et celle du
tissu
cellulaire sous-cutané, etc. Nous consi- dérons
Les distrophies cutanées et les processus morbides siégeant dans le
tissu
cellulaire sous-cutané se ren- contrent dans pl
on de tumeurs pâteuses limitées dans le 2112 PATHOLOGIE NERVEUSE.
tissu
cellulaire sous-cutané, dans le genre de celles
s, etc., secondement, parce qu'elle diminue l'énergie trophiqué des
tissus
. Nous sommes obligés de supposer, que grâce à l
lus avancée encore. Ces fibrilles conjonctives forment un véritable
tissu
fibroïde de sclérose qui tranche vivement par s
ssu fibroïde de sclérose qui tranche vivement par son aspect sur le
tissu
névro- glique ambiant. Ainsi sont constituées d
agérée des couches corticales moyennes et la formation de bandes de
tissu
scléreux par pla- ques dans la même région ne s
s degrés de l'altération. Sur d'autres points, entre les mailles du
tissu
con- jonctif ainsi formé, se crée des vides qui
tains rongeurs. En même temps la couche corti- cale qui recouvre ce
tissu
aréolaire s'amincit et n'est plus qu'un simple
simple feuillet et les cavités s'agrandissent au point de former un
tissu
aréolaire visible à l'oeil nu. Ces lésions expliq
rs cellules bien nettes, de même les cordons anté- rieurs. Ilots de
tissu
scléreux de dégénérescence descendante, en deho
du cerveau ne semblent présenter aucune altération pathologique. Le
tissu
cérébral est anémié; les cavités des ventricule
, Le sommet du poumon droit adhère à la cage thoracique, mais son
tissu
, de même que celui du poumon gauche, est par- t
perméable à l'air. Le coeur, recouvert d'une masse considérable de
tissu
adipeux est augmenté de volume. Le ventricule d
ines. Le foie est gras ; sa capsule est resplendissante, lisse ; le
tissu
hépatique présente une couleur jaunâtre et crie
euse ne parait pas malade. La rate pré- sente un volume normal; son
tissu
est compacte. Les deux reins sont d'un volume m
nt un peu d'urine. La moelle épinière frappe par la mollesse de son
tissu
et par la couleur rouge intense de la substance
es, on trouve des masses d'un exsudat plasmatique qui infiltre lo
tissu
fondamental entourant le canal central oblitéré ;
exsudat s'interposent dans les intervalles entre les élé- ments du
tissu
sous-jacent. Quant aux cellules nerveuses de la
sus des parties atteintes; au- dessous, quelques altérations dansle
tissu
interstitiel ; intégrité des rameaux intermuscu
e l'albumine, sa diminution dans l'urine indique que l'albumine des
tissus
va manquer. Sans doute aussi , d'après de Jaksc
e produit le plus souvent la dégénéres- cence et la liquéfaction du
tissu
pathologique avec formation de cavités, ce qui,
plus volu- mineux, il était aisé de les reconnaître au milieu du
tissu
de nouvelle formation. A la dégénérescence de c
es postérieures, consécutifs à l'hyperplasie avec dégénérescence du
tissu
intersti- tiel. Comment se fait-il cependant qu
ou 3) les atrophies mus- culaires. Les distrophies de la peau et du
tissu
cellu- laire sous-cutané, les troubles vaso-mot
tions deZacher-Fùrstner) l'infiltration lymphoïde, l'hyperplasie du
tissu
conjonctif, l'hypéré- mie, l'oedème. Contre ces
en flexion, la peau de la paume de la main adhérait fortement aux
tissus
sous-jacents, etc. Etant donné que cette double r
enfant, car je suis très faible. » Il est inutile d'insister sur le
tissu
d'inconséquences que contient cette lettre, ni
de désassimilation des aliments azotés et de la désagréga- tion des
tissus
. L'urine émise après l'accès contient en masse de
l'infiltration du lieu de l'injection deux fois, l'inflammation du
tissu
conjonctif une fois, l'inflammation des voies u
es conditions qui altèrent l'innervation normale des organes et des
tissus
de l'organisme; alors apparaît un échange nutriti
corps calleux est ainsi tué dans les hémisphères ; il dégénère en
tissu
conjonctif qui prolifère. On comprend la portée d
on de ce qui eût dû être le corps calleux, partent des trac- tus de
tissu
conjonctif, qui pénètrent dans les circonvolution
utions symétriquement unies par cet organe ; 2° Ces trousseanx de
tissu
conjonctif vont clans les voûtes des circonvoluti
la que se forment les trous de dehors en dedans ; 3° Les tractus de
tissu
conjonctif sont déjà disjoints dans leur trajet
° Partout l'on suit les membranes des trous, à l'état de travées de
tissu
conjonctif jusqu'au corps calleux ; 5° Ces trac
de tissu conjonctif jusqu'au corps calleux ; 5° Ces tractus sont du
tissu
conjonctif encore inachevé, qui a déjà prolifér
ques tient : a) à l'accroissement ultérieur du cerveau alors que le
tissu
du corps calleux subit la dégénérescence conjon
ie si complète du corps calleux, constituée par quelques tractus de
tissu
conjonctif, qui ne peut être produite que par la
centimètres, la racine des corps caverneux étant dissimulée sous le
tissu
adipeux de la région symphysienne. Le gland est
s interstitielles, consistant dans l'infiltration de sa capsule, du
tissu
conjonctif interfasciculaire et de la gaine lamel
Les cellules des ganglions spinaux sont entourées d'une capsule de
tissu
conjonctif à la face interne de laquelle existe u
lium à une couche. Cette capsule est en rapport immédiat avec le
tissu
conjonctif fibrillaire du ganglion, très développ
nt surtout des cellules de l'espèce,A, qui ont été trouvées dans le
tissu
conjonctif des nerfs périphériques, dans les trou
de cellules anguleuses, que normalement. Aucune multiplication du
tissu
interstitiel ni des cellules granuleuses. Mais, d
essus ancien (atrophie et disparition des fibres, multiplication du
tissu
interstitiel) ; 2° celui d'un processus jeune. L'
est douteux. Le bourrelet musculaire tient plutôt à l'altération du
tissu
musculaire lui- même. L'existence de la démence
intersti- tielle, ni infiltration inflammatoire, ni modification du
tissu
engai- nant, ni enfin d'altération des vaisseau
réalablement cautérisée. Les tubes ensemencés avec des fragments de
tissu
nerveux ont donné des cultures mélan- gées de c
inévitables de contamination acciden- telle dans l'ensemencement du
tissu
nerveux, réduites au mini- mum au contraire dan
moteurs périphériques, avec intégrité des nerfs des vaisseaux et du
tissu
conjonctif. Si l'on doit distinguer des types p
ce tingible, incomparablement plus transparente, ressemble à un fin
tissu
à mailles plus lâches, s'étend par son bord ext
e granulations et entoure simultanément plusieurs cellules. Ce même
tissu
de la zone externe glisse au-dessus des fibres
ntre le limaçon et les autres organes du labyrinthe, court, dans le
tissu
cartilagineux, un mince ruban à raies parallèles.
nd à celle du ra- meau cochléaire de l'auditif. A l'intérieur de ce
tissu
, gros et pe- tits amas de cellules nerveuses év
ts amas de cellules nerveuses évidentes dont chacune est séparée du
tissu
conjonctif environnant par un halo ; on y voit un
t des ganglions spinaux. Elles tranchent, par leur grandeur, sur le
tissu
environnant. On en voit également quelques-unes
ur le tissu environnant. On en voit également quelques-unes dans le
tissu
cartilagineux de l'axe du limaçon. Le ganglion
ité. Sur le limbe spiral on voit bien les élevures papilliformes du
tissu
con- REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLO
et des ligaments, dans l'extension ou le plissement de la peau, des
tissus
mous, des muscles et de leurs tendons, en parti
n blanc jaunâtre tranchant sur le fond rouge-brun du parenchyme. Le
tissu
hépatique respecté est congestionné et gras.
rinogènes ? Ce sont des corps qui donnent au sang les propriétés du
tissu
vivant, régularisent sa capacité et son quantum
son tiers moyen, est appliqué sur le périoste dans une gouttière du
tissu
conjonctif, qui lui per- met de se déplacer lat
xpériences, ont provoqué une inflammation aseptique, méca- nique du
tissu
nerveux, çà et lux côté de ces altérations et de
e. Au microscope, les vasa nervorum sont dégénérés et oblitérés; le
tissu
nerveux est hypérémiée ou infiltré de noyaux ou
, tout se borne à des mailles vectrices de vaisseaux sans traces de
tissu
nerveux. Ni dans la paroi des vaisseaux, ni dan
plète des membres et du tronc; une épingle, enfoncée jusque dans le
tissu
cellulaire sous- cutané, ne provoque aucune réa
-perle et sa consistance, se distingue de la façon la plus nette du
tissu
nerveux environnant (faisceaux interne et exter
histologique de la moelle aurait décelé de nombreuses fibrilles de
tissu
conjonctif, caractère univoque de la sclérose,
rtels à des altérations matérielles et appréciables, subies par les
tissus
ou les liquides du diabétique ; le deuxième gro
asma par excès du sucre ; l'hyperglycémie avec déshydra- tation des
tissus
; la surcharge graisseuse du sang avec embolies
e que le coma diabétique. L'hypergly- cémie avec déshydratation des
tissus
est une hypothèse qui ne s'appuie que sur la di
par l'hyperglycémie, parla déshydratation ou le dessèchement des
tissus
. Mais nous croyons que c'est surtout de la théori
ives a passé la matière pour se trouver à l'état d'acétone dans les
tissus
; il suffit au pathologiste de savoir qu'elle s'
e ! Une partie peut avoir disparu quand on pratique l'analyse des
tissus
ou des liquides. Trouve-t-on beaucoup de chlorofo
un moment donné, quand la vitalité cellulaire est épuisée, que les
tissus
mal nourris n'ont plus de réaction, que le syst
e, occurrence, quelles proportions d'acétone se produisent dans les
tissus
, 62 REVUE CRITIQUE. et, puisque l'élimination
entent une abondante hypergénèse des noyaux qui se prolonge dans le
tissu
conjonctif ambiant, d'où la compres- sion des f
épinière. Cas dans lequel un gros épanchement de sang isolé dans le
tissu
de la pie- mère spinale, siégeait uniquement da
us ou moins nombreuses, plus ou moins volumineuses, ayant écarté le
tissu
épaissi et iniittré d'éléments cellulaires. Nul
entral oblitéré, fort sombre, au 102 SOCIÉTÉS SAVANTES. milieu du
tissu
aréolaire de la commissure grise. La substance
beaucoup d'auteurs sur l'existence d'une altération particulière de
tissu
osseux dans la paralysie générale. Pour combatt
bservations que l'on a invoquées pour démontrer cette altération du
tissu
osseux sont peu probantes, car, sans parler des
u'il existe, dans la paralysie générale, une altération spéciale du
tissu
osseux. M. MARtQUK(de Bruxelles) a pris ensuite
ause véritable et essentielle de l'hémia- nopsie. La destruction du
tissu
s'étend seulement à quelques millimètres dans l
des phénomènes arthritiques; en effet, la pression exercée sur les
tissus
qui entourent les articu- lations affectées, de
o- ration. Malgré le retour de la sensibilité dans la peau et les
tissus
des articulations envahies, modification de cer
ue intégralement : « La physiologie « générale nous enseigne que le
tissu
nerveux, fibres ou cellules, « n'échappe point
al gauche, existe une large cicatrice radiée, adhérente à l'os ; le
tissu
osseux lui-même déprimé se creuse de plus en pl
de tabès. L'une se rattache à une dégénérescence interstitielle du
tissu
conjonctif qui accompagne les artères des cordo
es tuméfactions pro- fondes ; ces petites tumeurs sont entourées de
tissu
fibreux qui limite les cavités. Ces productions
DE la NÉVRITE segmentaire 347 d'aucune altération appréciable du
tissu
. Les cellules sont notamment aussi bien dévelop
state dans la gaîne de Schwann les vestiges du filament axile. Le
tissu
conjonctif constituant du nerf participe presque
ns sont aplaties, et les membranes adhèrent en plusieurs points aux
tissus
sous-jacents. Une section antéro-postérieure mo
ement dure qu'elle crie sous le scalpel. Elle n'est pas entourée de
tissu
cérébral ramolli, et elle est presque partout s
tissu cérébral ramolli, et elle est presque partout séparallle des
tissus
voisins. Une grande partie de la face supé- rie
e mécanique, d'une compression exercée sur les tubes nerveux par le
tissu
conjonctif de nouvelle forma- tion, comme on l'
d'intensité des lésions vasculaires, à la persistance au milieu du
tissu
de sclérose d'un grand nombre de tubes à myéline.
ier ; lorsque le ciseau arrive au renflement lombaire, il entame le
tissu
médullaire ramolli et gonflé de liquide dans ce
e globules rouges; par places elle est adhérente à la moelle et les
tissus
de l'une passent à l'autre par transition insen
ature ou d'une striction indéfiniment prolongée, et transformant le
tissu
de la moelle en une véritable cicatrice, peut d
et destinées à la corde de l'appareil de Sayre. Ce dernier est en
tissu
souple et non élastique. La mentonnière est for
au plus, qui sont comme écrasées et se transforment en coin dont le
tissu
est rodé, par eux. Les vertèbres voisines subis-
n particulier des cellules pyramidales. Le système vasculaire et le
tissu
de soutien sont peu modifiés. SmoN. XXXVI. Ép
les parties centrales : elle s'opère régulièrement, mais produit un
tissu
qui diffère du tissu normal par sa compacité et
: elle s'opère régulièrement, mais produit un tissu qui diffère du
tissu
normal par sa compacité et sa densité. Le pré
est de même des méninges spinales plus rarement prises. Le reste du
tissu
nerveux, fibres et cellules des colonnes de Clark
lente, chronique, des vasa nervorum, des vaisseaux des méninges, du
tissu
interstitiel, aboutissant à la sclérose suppléant
nges, du tissu interstitiel, aboutissant à la sclérose suppléant le
tissu
nerveux qui disparait. En tout cas le tabes doit
résultat d'une affection parasyphilitique ou métasy- philitique du
tissu
nerveux; soit une maladie à causes multiples pa
ifestation fébrile. La pathogénie de ces accidents dystrophiques du
tissu
conjonctif doit être rapprochée de celle des am
gnalé, conjointement à l'atrophie musculaire, la pro- lifération du
tissu
cellulo-graisseux. Dans un autre cas, il s'agit
il s'agit d'une femme de trente ans atteinte d'une hypertrophie du
tissu
cellulo-cutané, d'origine congénitale. , · Le
ntres nerveux qui président au développe- ment et à la nutrition du
tissu
cellulaire. La répartition segmen- taire de l'o
moyen mécanique qui transforme d'une façon spéciale la nutrition du
tissu
malade. Comme moyen mécanique, la sus- pension
cellules granulo-graisseuses uninucléaires qui remplissent aussi le
tissu
intermédiaire. Dans les parties moins altérées de
au système suivant .. A. Durcissement. De tout petits morceaux de
tissus
frais sont deux jours durant soumis à une solut
n voit les fibres d'un bleu prononcé tandis que les gros tractus de
tissu
conjonctif, comme dans la pie- 142 REVUE d'ANAT
ylindraxes, cellules nerveuses, corps des cellules de la névroglie,
tissu
conjonctif. P. KEravAL. XVI. La respiration et
n sanguine et lymphalique du néoplasme permettans l'imprégnation du
tissu
cérébral par les toxines issues du foyer pathol
gature ou d'une striction indéfiniment prolongée et transformant le
tissu
de la moelle en une véritable cicatrice, peut d
KERAVAL. z XL. De la perméabilité du revêtement cutané et d'autres
tissus
du corps à l'égard de la lumière de l'arc volta
ue l'arc voltaïque vienne exac- tement et exclusivement frapper les
tissus
et les traverser, s'il le peut, au centre de l'
l'action thérapeutique de la lumière électrique. Pénétrant dans les
tissus
elle y doit produire diverses transforma- tions
dû pro- voquer un écoulement de liquide céphalo-rachidien dans les
tissus
car il y a eu de la céphalée. 1 J. Babinski.
1), elles formèrent des nodosités légèrement doulou- reuses dans le
tissu
sous-cutané ou dans l'épaisseur de la peau (dan
tronçons ou mieux trois bourgeons, qui indiquaient la tendance des
tissus
du bras à repousser. On trouve à ce sujet une p
remarque présentée par nous de la possibilité de répullulation des
tissus
embryonnaires, une étude plus atten- tive du mo
'os, là où frappe de préférence Bechterew, il n'y a ni périoste, ni
tissu
tendineux, mais bien des fibres supérieures et
il est évident que ce n'est ni dans un seul organe, ni dans un seul
tissu
qu'on doit chercher ses stigmates, et qu'il fau
estiment que les altérations du nerf sont dues aux altérations des
tissus
voisins. L'auteur conclut qu'il y a des symptôm
ique que nous sommes amenés à supposer l'existence d'altération des
tissus
cérébraux à spécialisation élevée. On ne peut m
ie du nerf optique. A son avis, dans la papille du nerf optique, le
tissu
connectif inter- calé aux fibrilles nerveuses s
té nasal, puis également du côté temporal. C'est une hypeiplasie du
tissu
conjonctif, une inflammation inter- stitielle d
se développe d'abord à la surface et entraine la multiplication du
tissu
conjonctif ainsi que l'atrophie des fibres nerv
s parois étaient fortement épaissies, existaient de petits ilôts de
tissu
scléreux. Même état, quoique moindre, des cordo
Arc voltuque. De la perméabilité du revêtement cutané et d'autres
tissus
du corps il l'égard de la lumière de l' -, par
tubercule dur, gros comme un pois, tout près du hile droit dans le
tissu
pulmonaire du lobe supérieur. 20 Tuberculose gé
ntbre2t.,es cive ? .)les. Tubercules fort nombreux dans le reste du
tissu
pulmonaire. Abdomen. Le foie est très volumineu
es points d'emphysème. Les lobes adhèrent entre eux. A la coupe, le
tissu
interstitiel est oedématié et l'on constate des
tre elles a été ulcérée à sa partie centrale qui est comblée par un
tissu
transparent, limité à la périphérie par un bord
me. Les os du crâne ont en effet l'aspect spongoïdc et les lames du
tissu
compacte n'existent pour ainsi dire pas. Est-ce
asculaires persistant sur leur trajet nous permet d'affirmer que le
tissu
osseux était là le siège d'une prolifération ac
ion active. Du reste, le dessèchement a amené la rétraction de ce
tissu
de nouvelle formation. Les nombreux os veor- mi
sutures. Ce fait, qui correspond aussi à une congestion intense du
tissu
spongieux des os du crâne, montre qu'il n'y a p
eurs égaux, sans saillies musculaires, assez abondamment pourvus de
tissu
graisseux sous-cutané. Les mouvements des deux
24 janvier 1892, 24 heures après le décès. Tête. - Cuir chevelu et
tissu
cellulaire sous-cutané assez épais. - Calotte c
du derme au niveau de la phlyctène supérieure du côté gauche. Le
tissu
cellulaire sphacélé apparait par l'orifice. Drain
re. Elle est. plus étendue, et une fois percée, laisse voir à nu le
tissu
cellulaire sous- cutané. Les pansements humides
e cette région kystique, on note sur cet hémisphère une niasse d'un
tissu
compact, résistant, donnant lieu à une coupe un
arbre de vie, et le centre de cet hémisphère est constitue'' par un
tissu
compact semblable à celui que nous avons observ
blanchâtre et revenue sur elle-même qui oblitère la poche. Tout le
tissu
est rougeâtre par infiltration sanguine (is, is
logique devait, par cela même, rester incomplète au point de vue du
tissu
nerveux. La mem- brane fibreuse qui forme la po
use qui forme la poche kystique principale est composée de lames de
tissu
conjonctif séparées les unes des autres par une
e sur le kyste à l'oeil nu, s'étale en un réseau sur les coupes. Le
tissu
nerveux qui la double est entièrement remplacé,
étaient remplis de liquide et, au pourtour de ces for- mations, le
tissu
nerveux montre des taches opaques et casé- euse
loménilalre a disparu. Le pourtour n'est alors constitué que par un
tissu
fibreux caséeux, comme celui que l'on rencontre
celui que l'on rencontre dans les tubercules de guérison. Dans le
tissu
ambiant les cellules nerveuses ont presque comp
es sont devenues énormes et l'ensemble rappelle les préparations de
tissu
conjonctif jeune. La conclusion de cet examen n
uber- culose chronique avec évolution gliomateuse et kystique des
tissus
ambiants. Cette opinion aurait été grandement con
se produire dans la subs- tance intersuturale une prolifération des
tissus
, très intense, aboutissant à la production d'un
ement spongieux, à texture finement aréolaire, offrent des lames de
tissu
compact interne et externe excessivement minces
u seul globule sanguin, mais s'exerce de la même façon sur tous les
tissus
de l'économie »,. il ne nous reste plus guère q
luence qu'ils exercent sur la coenesthésie, les rôles respectifs du
tissu
nerveux et des stimulants chimiques dans la dét
des myocaryocytes rencontrés dans des états pathologiques d'autres
tissus
. Le début du processus est intra- musculaire, m
cés indiqueraient, en outre, une hyperesthésie des vaisseaux ou des
tissus
limitrophes dont l'irritation provoquerait les ac
taient nor- males. Le nerf plantaire présentait une augmentation de
tissu
coojunctif et de l'endartérite oblitérante. P.
és particulières, de la même manière que dans les autres organes ou
tissus
, sans tenir compte du siège fonctionnel. Suivan
nel. Suivant la présence ou l'absence constantes des germes dans le
tissu
nerveux, on doit distinguer deux classes de par
ns de la moelle étaient légèrement altérés; légère prolifération du
tissu
interstitiel. De ces faits, Dana tire une opini
aite. . Voici les principales constatations qui ont été faites : Le
tissu
adipeux très abondant ne présentant dans sa str
ne présentant dans sa structure rien qui pnisse le différencier du
tissu
adipeux normal. Les nerfs périphé- riques étaie
des fibres nerveuses, eu même temps qu'une grande prolifération du
tissu
conjonctif à la périphérie et dé l'épaisseur du
siégeaient dans les nerfs périphériques, ceux qui cheminent dans le
tissu
cellulaire sous-cutané; les troncs nerveux plus
rie de modili- ,cations, dont l'ensemble dénote une hypertrophie du
tissu
thyroï- dien. Dercum, sans émettre une opinion
idée de placer dans une solu- tion d'acide chromique un fragment de
tissu
nerveux afin de le durcir et d'y pouvoir pratiq
ce bien modeste qui nous a montré que les cellules d'un fragment de
tissu
nerveux, durci dans l'alcool à 96 degrés, se co
raître sans laisser de traces; aussi rencontre-t-on des tractus de
tissu
jaune avec ou sans éléments cellulaires. Les prol
ue paraît porter beaucoup plus sur la nutrition générale que sur le
tissu
nerveux en particulier : c'est seulement en relev
t dans toute son étendue, la lame criblée apparaît quelquefois; les
tissus
rétiniens et choroïdiens au voisinage des bords
t étroits et présentent une colo- ration qui contraste peu avec les
tissus
voisins. La vision pour la forme et la couleur,
interne du gastrocnémien droit montre une augmentation évidente du
tissu
libreux avec une hypertrophie modérée et un éta
sensiblement déplacées. Sa consistance est plus ferme que celle du
tissu
cérébral, et autour d'elle s'est collectée envi
s de syphilis cérébrale. R. de MU5Gl\.\\'E-CL\Y. Xi. Emphysème du
tissu
aréolaire sous cutané dans un cas de mélancolie
ites cavités à contours plus ou moins irréguliers. A leur niveau le
tissu
cérébral semble avoir été déchiré et détruit. O
HYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. III. - Puisqu'on ne sait différencier les
tissus
corticaux des gens sains d'esprit de ceux des g
lque chose de la précision de sa marche, et peut, soit produire des
tissus
à développement impar- fait et de type mixte, s
e avec formation kystique ou dégénérescence complète de la masse du
tissu
; 4° il parait probable, bien qu'ici les preuves
bre 1900.) L'auteur a imaginé une méthode nouvelle pour étudier les
tissus
nerveux qui consiste à y déposer du platine. A
E PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 82 L n'ont aucune connexion ni avec le
tissu
vasculaire, ni avec les cellules nerveuses ni a
rs semi-purulents ; au microscope elles montraient une abondance de
tissu
connectif, dans les mailles duquel se trou- vai
enue vers la fin d'une tuberculose largement diffuse, affectant les
tissus
osseux et pulmonaire et accompagnée de lésions
LOGIQUES. 523 gite est survenue en même temps que la suppuration du
tissu
hépatique : il existait un papillome à l'ouvert
ellules rondes. Virchow a décrit sous ce nom une tumeur composée de
tissu
analogue à la névroglie ordinaire; ce type ne p
le, on favorise le réta blissement de l'équilibre chimique rompu du
tissu
nerveux. Peut- être la lécithine exerce-t-elle
, dans la paralysie générale, la lésion débute par la cellule ou le
tissu
de soutien. Il a toujours trouvé des lésions né
constatée, à la période terminale, semble due à des hémorrhagies du
tissu
glio- mateux. Enfin, M. Vigouroux rappelle, en
ages ont une durée et une intensité suffisantes pour désintégrer le
tissu
nerveux. L'attention subsiste; le malade a cons
e anatomique, je demanderai : Où sont et quels sont ces éléments du
tissu
cérébral que Robin a voulu baptiser du nom de m
a nature nerveuse des diverses catégories d'éléments constituant le
tissu
cérébral. CI Cela suffirait pour qualifier de f
iquer que le point de départ de la maladie doit se trouver dans les
tissus
nerveux dont les modifi- - 10 REVUE DE PATHOLOG
est la cellule cérébrale intoxiquée qui détermine l'irritabilité du
tissu
interstitiel et le fait proliférer. M. Charpe
ut cesser; mais il peut aussi arriver que la masse se transforme en
tissu
ostéoide ou en véritable tissu osseux, d'où l'obl
rriver que la masse se transforme en tissu ostéoide ou en véritable
tissu
osseux, d'où l'oblitération ossiforme du condui
et le coloboma un entonnoir très large constitué par des mailles de
tissu
conjonctif qui communiquent avec la gaine de la
de la mus- culature et de l'absence aussi complète que possible du
tissu
graisseux, ils offraient des formes non pas sim
peau, note alors les saillies, les dépressions en rapport avec les
tissus
sous-jacents et, dans une synthèse admirable qui
ce des troubles dynamiques des centres nerveux sur la nutrition des
tissus
, et particulièrement du tissu muscu- laire. Dan
centres nerveux sur la nutrition des tissus, et particulièrement du
tissu
muscu- laire. Dans l'hystérie, pas plus que dan
ississement sensible qui indique la superposition des deux plans de
tissu
blanc; 5e Qu'en dedans et en bas, l'écorce comm
a grande virgule sera d'abord-concave pour recevoir la convexité du
tissu
gris godronné : puis convexe pour s'adapter au
de cou- leur ou le relief en dehors, soit par l'épaississement du
tissu
. Quant à la lame bordante hippocampique, elle n
pique. Cette lamelle, qui tranche par sa couleur plus claire sur le
tissu
gris de la circonvolution, sé- pare, peut-être
ne large lame de substance grise se continuant du même côté avec le
tissus
gris du carre- four et envoyant une petite expa
carrefour du côte opposé. En se redressant en avant, cette lame de
tissu
gris se ramasse et forme une circon- volution a
les analogues des corps bordants et lorsqu'ils sont accompagnés de
tissu
ner- veux, ce qui est assez fréquent, ils repré
on, dont la source ne peut être que dans les processus chimiques du
tissu
muscu- laire, lorsqu'il assista, dit-il, à un f
n galvanomélrique révèle plutôt les phéno- mènes pathologiques d'un
tissu
altéré que l'état des 1 Corso. S'aumento-e la d
régions considérées, ce phénomène aurait une origine locale dans le
tissu
cellulaire sous-cutané : il ne s'agirait pas d'
en apparence, mais les nerfs optiques avaient une augmentation du
tissu
conjonctif, une atrophie des fibres nerveuses et
ession : la dé- chéance de la substance nerveuse - 1 hyperplasie du
tissu
con- jonctif. Quoi qu'il en soit, le sort des c
léments anatomiques des parois des vaisseaux, à l'organisation d'un
tissu
conjonctif; à cette organisation partici- pent
anatomie ET DE physiologie pathologiques. 38' ! ments nerveux ou au
tissu
de soutènement du système nerveux central. La c
st d'être diffuse, généralisée presque sans aucune prolifération du
tissu
conjonctif interstitiel. A côté du symptôme c
e et ses connections médullaires sans blesser le pé- doncule et les
tissus
voisins. La schéma devant vous est la repro- du
s opposant aux phénomènes organiques, résultant de l'altération des
tissus
et connus en neuro- pathologie sous le terme gé
ses dépendances, troubles vaso-moteurs et sécrétoires, troubles du
tissu
cellulaire, atrophie musculaire. On pourrait crit
ions des appareils ligamenteux compris dans le chapitre consacré au
tissu
cellulaire sont plutôt des dépen- dances des ar
orrespondent exactement et représentent la continuité de la trame des
tissus
de la région. Ce travail, qui n'a pas été fait ju
ée au musée du Val-de-Grâce. type modèle, en parfaite continuité de
tissu
et de relation morphologique, pour le dessin de c
dure-mère, est cons-tituée par deux feuillets accolés, formés par du
tissu
cellulaire dense et serré conte-nant des fibres é
arties rentrantes, recouvre les parties saillantes. Constituée par du
tissu
cellulaire fin et peu serré, contenant un grand n
es, dans une substance unissante, la névroglie, composée de fibres de
tissu
conjonctif, renfermant un grand nombre de noyaux,
ansparence, son épaisseur, la première couche. Elle est formée par du
tissu
conjonctif contenant des cellules arron-dies, rar
pomme de pin, d'où le nom de glande pinéale; il est constitué par du
tissu
conjonctif, de la substance grise et des vaisseau
orme semi-lunaire, renflée à sa partie médiane. Il est formé par un
tissu
dense et cohérent, d'une coloration blanc-jaunâtr
t des parois du crâne montre la superposition des plans : la peau, le
tissu
cellulaire graisseux sous-cutané, le muscle occip
ous-cutané, le muscle occipito-frontal, l'aponévrose épicrânienne, le
tissu
cellulaire lamelleux, le crâne et les méninges.
le occipito-frontal et à l'aponévrose épicrânienne par des travées de
tissu
fibreux rem-plies de pelotons jaunâtres de graiss
ne perruque. Ce mouvement de totalité est facilité par la présence du
tissu
cellulaire lamelleux, très lâche, interposé au-de
e choroïdienne, constituée par de la substance grise à la surface, du
tissu
connectif et des vaisseaux à l'intérieur. Elle re
il faut en quelque sorte sculpter ce dernier qui se trouve en plein
tissu
de pleurésie tuberculeuse appliqué étroitement
saines. Dans l'intérieur même du ganglion on trouve, au milieu du
tissu
conjonctif, quelques vésicules adipeuses bien col
tôt, ne s'alimente presque exclusivement qu'avec des lavements. Le
tissu
cellulo-adipeux a presque complètement disparu ;
s vaisseaux voi- sins ; ces cellules préforméës prolifèrent dans le
tissu
même à la façon des protoplasmas et non des fib
éthode de recherche de Gram). Si, au pourtour du foyer purulent, le
tissu
conjonctif se met à se transformer en fibres-ce
une zone irritative moins intense et se limitant essentiellement au
tissu
conjonctif et aux parois vasculaires, de sorte
n ou inflamma- tion septique) détermine de but en blanc, et dans le
tissu
conjonc- tif, et dans le parenchyme nerveux, de
r des noyaux, puis par une rapide tuméfaction des cellules mêmes du
tissu
conjonctif, et en même temps par la formation d
on des cellules granuleuses. Les 132 SOCIÉTÉS SAVANTES. través de
tissu
conjonctif néoformé dérivent dans l'inflam- mat
les qui bientôt prolifèrent pour donner naissance à des cellules du
tissu
conjonctif. Les cellules à plusieurs noyaux eng
a canalisation des cellules-araignées et des cellules fusiformes du
tissu
conjonctif. La pie-mère et l'épendyme qui avoisin
n- dant aux déformations de la colonne vertébrale est normale. Le
tissu
adipeux sous-cutané est peu développé; il manque
érables. Etat actuel (janvier 1885). Bonne nutrition; la peau, le
tissu
cellulaire sous-cutané, les muscles, le squelette
sans fluctation. Ils ne sont pas nettement limités, siègent dans le
tissu
cellulaire sous-cutané, et sont de la grandeur
stiques décrites par d'autres auteurs, des tumeurs pâteuses dans le
tissu
cellulaire, tantôt paraissant, tantôt disparais
muscles sont très typiques et quant aux maladies chirurgicales du
tissu
cellulaire, aussi bizarre que cela puisse sembler
ibreuse du ganglion. B. Tubes nerveux intéressant le ganglion. C.
Tissu
cellule-adipeux et vaisseaux. D. Cloisonnements
cérébraux, avec exsudation séreuse qui\ amène le ramollissement du
tissu
du cerveau sans rétraction, mais avec formation
urtout à la base. Dans les cas anciens, on trouve une rétraction du
tissu
~et l'organisation des exsudats. Contrairement
terminés par l'atrophie l'hydro- pisie et la formation de nouveaux
tissus
. La Catatonie se comporte de même, mais avec ce
eu pâle. Lésions de la dysenterie. Au microscope, on trouve dans le
tissu
ramolli ' Voy. Archives de Neurol., séance du 2
in. Autopsie. En enlevant le plastron sternal, on remarque que le
tissu
cellulaire du médiastin antérieur est oedémateux,
ences de l'état normal : cellules et tubes sont également sains. Le
tissu
conjonctif inter- tubulaire n'est pas épaissi.
es, à la face externe et au quart supérieur de la cuisse droite. Le
tissu
cicatriciel est ferme, assez dur ; une, la plus
rieure du thorax. Amaigrissement assez prononcé, musculature sèche;
tissu
cellulo-adipeux peu abondant. - A l'ouverture de
que l'expiration s'accomplit. En outre Paul Bert a démontré que le
tissu
pulmonaire est contractile et que sa contractio
476 sociétés savantes. du côté gauche; en ce point, transparence du
tissu
fondamental; aux alentours du noyau, peu de fib
ibreuse du ganglion. B. Tubes nerveux intéressant le ganglion. C.
Tissu
celliilo-adipeux ut vaisseaux. D. Cloisonnement
ste pas dans l'organe lui-même. ELudiant ensuite la sensibilité des
tissus
viscéraux, il en distingue trois sortes, les sé
pour le diagnostic du siège exact des lésions viscérales. Quant aux
tissus
sous-cutanés, l'auteur ne croit pas à leur sensib
. L'examen histologique a montré que la moelle était infiltrée de
tissu
gliomateux et que l'hémorragie a été secondaire.
re. Dans des points avoisinants, on trouvait la moelle infiltrée de
tissu
glioma- teux et par places de petits foyers hém
tion inférieure du bout de moelle lésé, on trouve un petit foyer de
tissu
gliomateux situé dans les cordons postérieurs à
eclassique et aboutirait plutôt à la rétrac- tion et l'atrophie des
tissus
néoformés, et cliniquement par des douleurs spo
oordination). L'autopsie montra un kyste séreux à parois formées de
tissu
aréolaire ; ce kyste serait produit par fonte d
s formées de tissu aréolaire ; ce kyste serait produit par fonte de
tissu
, attribuée à l'artério-sclérose. DUCAMP. XI.
chemise, au-dessous du diaphragme, et pénétrant dans la peau et le
tissu
cellulaire. Plaie de 10 centim. qui n'est pas enc
t constater, comme dans les paralysies organiques, la production de
tissu
fibreux périarticulaire et une rétraction tendi
cas à l'intervention de microorganismes qui se développent dans les
tissus
offrant une moindre résistance par suite du déf
en grand nombre dans les gaines adventices. On ne constate dans les
tissus
même que par places isolées des leucocytes ou o
et même des lésions comme celles que M. Chaslin a trouvées dans le
tissu
névroglique; mais ces lésions relèvent probable
ves. Le. vieillard, en un . mot, délire à sa. façon ? parce que ses
tissus
sont raréfiés et net fonctionnent,plus 'activem
ntre l'hémiplégie d'une part et l'hémianesthésie et l'altération du
tissu
musculaire, d'autre part, vient appuyer l'opini
ans la pathogénie de cette affection est joué par l'inflammation du
tissu
interstitiel dans la région des vais- seaux, no
ent réparées, de sorte qu'aux limites supérieure et infé- rieure du
tissu
cicatriciel la dégénérescence, quoique très activ
, dès hémorrhagies, la prolifération des cellules et la sclé- rose (
tissu
fibrillaire des foyers anciens) ; les altérations
provoquant le complexus choréique, déter- miné la proliférations de
tissus
et notamment de l'appareil vascu- laire. Malgré
ocreux de 10 milli- mètres de diamètre, formé de grosses fibres de
tissu
conjonctif et de vaisseaux épaissis ; nombreuse
artérite noueuse. M. Hoffmann. Dans l'endartérite, c'est surtout le
tissu
interstitiel des muscles qui est atteint. Dans
ansformée, en une substance mince et transparente constituée par un
tissu
conjonctif lâche, probablement arachnoïdien ; il
, probablement arachnoïdien ; il n'y restait pas un seul élément de
tissu
nerveux. Ce fait vient à l'appui . de la théori
qui dépendent du foyer de la destruction sont disséminées dans les
tissus
et non groupées, non rassemblées. Il faut, pour
sition chimique^de l'os1 et du^col ? Nous'avons^aitt'analyser5 les'
tissus
osséx'et, celui : 'du'cal(dans'êé cas ? onîerii
nérescence héréditaire a une grande tendance à se localiser sur les
tissus
, les systèmes, les organes, tout en laissant un
gueur, puisqu'il faut tenir compte de la voie de dérivation par les
tissus
et que si la voie interpolaire est plus longue, l
s courte; 3° elle augmente par le soulèvement du nerf au-dessus des
tissus
. Le soulèvement agit en allongeant la voie de d
soit lent et prolongé; ensuite, il faut se souvenir que lorsque le
tissu
cardiaque et le tissu cérébral sont libérés de
; ensuite, il faut se souvenir que lorsque le tissu cardiaque et le
tissu
cérébral sont libérés de l'agent étranger qui a
QUE. 465 frappé au point de vue de la récupération fonctionnelle du
tissu
cortical. L'un était un cas de folie puerpérale
à l'hospice le 28 décembre 1895. Etat p/i ? Me.Taiile moyenne, les
tissus
musculaire, osseux et cellulaire sous-cutané pe
bile; le système osseux bien développé; le système musculaire et le
tissu
cellulaire sous-cutané un peu moins. La face es
n cas de lèpre anesthésique à l'hôpital de Pittsburgh.Un examen des
tissus
malades lui montra les bacilles de la lèpre. Ce
en apparence. Le système musculaire, le système osseux ainsi que le
tissu
cellulaire très bien développés. Les téguments ne
on et bien développée; le système osseux et musculaire ainsi que le
tissu
cellulaire sous-cutané amplement développés. Co
an- vier 4SJ8. Etat physique. La malade est de taille moyenne, le
tissu
cel- z lulaira complètement disparu, le système
par le Dr J. BERHLEY. Les méthodes de coloration pour l'examen du
tissu
nerveux dans sa structure la plus délicate, ont
divers procédés de conservation et de durcissement du cerveau ou du
tissu
nerveux, d'examen des tissus frais, d'inclusion p
ion et de durcissement du cerveau ou du tissu nerveux, d'examen des
tissus
frais, d'inclusion pour les coupes, de fixation
onstatés entre l'appareil sexuel et le nez, et plus spécialement le
tissu
érectile intra-nasal : 1° un certain nombre de fe
nombre de femmes ont. au moment de leurs règles, un engorgement du
tissu
caverneux nasal ; 2" quelques femmes peuvent pr
quent en partie parle lien de sympathie qui existe entre les divers
tissus
érectiles du corps. Au point de vue pathologiqu
urrait en être l'inverse, si elle n'était due au développement d'un
tissu
pathologique qui se substitue à la glande et l'
mme le rein dégénéré produit l'urémie, comme le foie étreint par le
tissu
fibreux ou dégénéré cause l'ictère grave. Le my
les études de chimie biologique sur les éléments contenus dans le
tissu
glandulaire sont à leur tour résumés. Les appli
la paralysie générale sont passées en revue ; enfin, dans tous les
tissus
et les viscères dépendant du sympathique, l'aut
consécutives, les altérations intimes de la glande thyroïde et des
tissus
, les symptômes secon- daires et complications,
entales ont été produites non sur des cervaux vivants, mais sur des
tissus
déjà morts, il faut en déduire que ces altérati
auté des résultats obtenus par Apathy tient d'une part à ce que les
tissus
d'invertébrés qui servent aux descrip- tions so
aire. Enfin les progrès de l'âge et les maladies qui accroissent le
tissu
conjonctif soutenant les fibres fines précipite
on. Quelle que soit la forme sous laquelle il est introduit dans le
tissu
cellulaire sous-cutané ou dans le sang, l'ammon
ononcée des clavicules, lesquelles Sont en partie remplacées par du
tissu
fibreux; 3° la transmission héréditaire de ces
ôt de masses 326 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. osseuses dans le
tissu
conjonctif des muscles, dans les tendons, les a
prolongements périphériques jusque dans les muscles atrophiés, les
tissus
cérébral et médullaire ont conservé leur aspect
e très habituellement d'oblitération artérielle portant soit sur le
tissu
de la cérébrale postérieure, soit sur les branc
abdominal. Les parois des vaisseaux musculaires sont épaissies. Le
tissu
adi- peux est peu développé, mais le tissu conn
aires sont épaissies. Le tissu adi- peux est peu développé, mais le
tissu
connectif intermusculaire est très hypertrophié
outs effilés et recourbés; entre les fibres, une grande quantité de
tissu
adipeux; parfois les fibres - 414 SOCIÉTÉS SA
ue. Les nerfs tibial et médian présentent une légère hyperplasie du
tissu
connectif intra- fasciculaire. Dans les fibres
du terme ; il y en a peu qui tiennent aux lésions pathologiques du
tissu
célébrai en l'absence des troubles mentaux. C'e
constate, au dessus de la cavité, les éléments histologiques des
tissus
de néoformation. Ces éléments sont épars et sembl
e la dilatation. Cette paroi n'est plus alors constituée que par du
tissu
fibreux dans les mailles duquel on retrouve une
que, mais l'infiltration sanguine abondante dans les interstices du
tissu
fibreux pariétal et tout autour de cette paroi so
étative; 2° malades atteints de démence oiganique, chez lesquels le
tissu
cérébral est en état de dégénérescence pro- gre
iques de l'intestin et de la rate, une hyperplasie de divers autres
tissus
1) inpliadénoïdes. et un rétrécissement des art
que les fibres nerveuses. Les nerfs périphériques enclavés dans les
tissus
hétérogènes sont dans de tout autres conditions
sur les coupes : épaississement et sclé- rose de la pie-mère et du
tissu
nerveux sous-jacent de toute la région du 4° ve
ffit pas toujours ; il faut encore une disposition particulière des
tissus
. On n'observe d'ailleurs d'athématomes quechez
ir les aliénés agités. Il ne saurait dire si une prédisposition des
tissus
est nécessaire pour expliquer la produc- tion d
nombreux, très variés, et ayant lieu dans l'in- timité de tous nos
tissus
, sont, par les impressions qu'ils produisent su
en grand nombre dans toute l'étendue de la tumeur. Les éléments du
tissu
nerveux n'étaient pas refoulés par la tumeur, m
qui se sont manifestés des accidents (bouffissure et induration des
tissus
de la face et du cou; somnolence, hébétude et d
stitielles. L'induration grise devint la sclérose, l'hyperplasie du
tissu
interstitielle. Dès 1853, à une époque où il av
, la simple prolifération formative de l'épithé- lium sécréteur, du
tissu
conjonctif interstitiel et de la sub- stance co
elles- mêmes, remplacées par des amas cellulaires, tandis que le
tissu
conjonctif voisin renfermait quelques traînées de
- dienne semble bien, dans notre cas, avoir été constituée par un
tissu
de nouvelle formation ayant conservé ses propriét
hocéphalie. 4° Les imperfections cérébrales de type « mongol », des
tissus
osseux, cutané, muqueux et cardiaque. 5° Les
isantes dans les procès. Il y a excès de mucine dans la peau, et de
tissu
fibrineux dans.les poumons, le foie, la rate et
lle ne pouvait pas accomplir sa fonction, à cause de l'affection du
tissu
glandulaire. Dans les cas qui n'ont pas été tra
nce corticale et des éléments nerveux, avec production excessive de
tissu
connectif, subissant une métamorphose régressive
vu l'augmentation de la névroglie et la disparition d'une partie du
tissu
nerveux. Jusqu'à maintenant, il y a quelques ph
anatomo-palhologique basée sur l'étude de la structure délicate du
tissu
nerveux et de ses éléments, et sur des notions
tomiques des cerveaux d'idiots est la déviation du développement du
tissu
nerveux ; il faut cher- cher son origine dans l
l y a un véritable arrêt de développement de cer- taines régions du
tissu
cérébral. qui peut être constaté par la pré- se
halique, parce que dans ce dernier, avec amoindrissement général du
tissu
nerveux des hémisphères, les proportions corres
bstance grise des hémisphères cérébraux et le centre semi-ovale, le
tissu
nerveux parfois se trouve dans un état d'arrêt
dique le véritable arrêt de développement de cer- taines parties du
tissu
cérébral, provoque sans doute l'insuffisance de
opagation de l'oedème; il assouplit les arti- culations, distend le
tissu
élastique rétracté et fortifie les fibres muscu
laire. Cette augmentation est-elle liée à l'état d'excitabilité des
tissus
situés sur les lignes de flux, à l'activité des
omprimé par le fragment inférieur, était des plus enserré-, dans du
tissu
fibreux dont on le dégagea au moment de l'opéra
ples extravasats sanguins qui, après avoir détruit partiellement le
tissu
, se résor- bent plus tard avec le reste du tiss
t partiellement le tissu, se résor- bent plus tard avec le reste du
tissu
. , Rires et pleurs spasmodiques ; par le profes
e excitation brusque, mécanique, momentanée des nerfs sensitifs des
tissus
environnant le tendon et ne sont pas transmis a
rvorum; il existe dans tous les tronqs nerveux une prolifération du
tissu
conjonctif endoueural, un recoquillement partie
quelques gouttes de sang encore rouge exlravasé et infiltré dans le
tissu
nerveux dans le voisinage du noyau réticulé. Pa
lques particularités : épaississement des méninges, augmentation du
tissu
de soutène- ment avec diminution du nombre des
ement de la main étant consi- dérable par rapport à sa masse, et le
tissu
adipeux sous-cutané peu abondant, dans le cas p
un poison organique dont l'action nocive, épargnant la plupart des
tissus
de l'économie, portait d'une façon élective sur
s molles donne pour la tête un poids total dépassant 4 kilogrammes.
Tissu
osseux de la calotte crânienne très condensé, d
n constate un amas de villosités ou pointes osseuses don- nant à ce
tissu
osseux un aspect spongieux. L'hyperostose s'est
s'exagère encore pendant les crises. Il y a dans ces cas oedème du
tissu
cellulaire, oedème qui peut devenir dur et se loc
nstate l'existence d'un grand foyer de myélite au niveau duquel les
tissus
ne se colorent pas par la mé- thode de Pal et q
nombreux leu- cocytes polynucléaires, lesquels se répandent dans le
tissu
voisin. On voit aussi dans les parois des vaiss
oie. De nombreux nerfs périphériques présentent de l'hyperplasie du
tissu
conjonctif, mais les fibres nerveuses sont sain
ne ren- ferment que des vaisseaux vides et un détritus friable. Le
tissu
médullaire, dans le foyer de myélite, est repré
e fausse hypertrophie est due à une prolifération considé- rable du
tissu
fibreux. Quant aux troubles de la sensibilité, qu
ficielle étendue à presque tout le tégument externe, anesthésie des
tissus
sous-jacents, eschare profonde à extension rapi
'eschare. La partie supérieure de la moelle est diffluente, tout le
tissu
a un aspect lacunaire spécial. L'examen histolo
dans ce fait biologique qu'à mesure que le sujet avance en âge. les
tissus
se différencient de plus en plus et prennent un
nt traverser l'épithélium des muqueuses altérées, pénétrer dans les
tissus
et être entraînés ensuite par le courant sangui
faction légère des fibres nerveuses avec un peu d'épaississement du
tissu
de soutène- ment. Ce n'est pas cependant une vé
t leurs fibres nerveuses normales, mais ils sont oedématiés et leur
tissu
conjonctif est hyperplasié, C. VI. La pelade
e atténuation sensible de la sclérodermie et de l'infiltra- tion du
tissu
cellulaire. L'enfant reste inintelligent et arrêt
de lésions nerveuses multiples périphé- riques disséminées dans les
tissus
péri et intra-articulaires. Il ne se dissimule
sujet et montrent que les expériences n'ontjamais porté que sur le
tissu
cellulaire sous-cutané. On provoque la paralysie
r accidentellement dans le sang. Comme corollaire : l'immunité d'un
tissu
, par rap- port à une infection, est liée à l'in
rt à une infection, est liée à l'intégrité du système nerveux de ce
tissu
. En résumé donc, la paralysie vaso-motrice qui,
teur par rapport aux infections, détermine au contraire dans les
tissus
des conditions de moindre résistance à l'égard de
mine, outre la paralysie vaso-motrice, des altérations profondes du
tissu
rénal lui-même, comme l'hypérémie et la dégénér
e ne pas être inflam- mable, de ne pas autant réduire le volume des
tissus
et de ne pas détruire aussi vile leur coloratio
ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. résultats dans le durcissement du
tissu
nerveux, en employant le mélange suivant : RE
cellule elle- même. Cette méthode a l'avantage de ne colorer que le
tissu
né- vroglique et laissera possibilité de colore
trop abondant a dilacéré les parois du canal central et pénétré le
tissu
nerveux, dans le point rendu le moins résistant
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