C'est encore à Kiernan surtout, que nous devons la critique de cette
théorie
des deux substances du foie, théorie qui est com-
nous devons la critique de cette théorie des deux substances du foie,
théorie
qui est com-plètement tombée en désuétude depuis
s, comme nous le verrons plus tard, qu'est fondée en grande partie la
théorie
de Victère hématogène. Dans ces derniers temps, l
re, etc., etc. Ce fait, évidemment d'une importance majeure pour la
théorie
et la pratique des maladies du foie, nous a été r
nt du foie ? C'est ce que nous devons rechercher main-tenant. A. La
théorie
que nous avons soutenue au sujet de la for-mation
ifiantes. Ce dernier fait est fort intéres-sant au point de vue de la
théorie
du mode de formation des calculs biliaires. Il
ion des calculs, s'appuie sur la première hypothèse, lorsque d'autres
théories
invoquent la seconde. Nous n'avons tenu compte,
oie des fistules bi-muqueuses. c) Il me reste à vous entretenir des
théories
qui ont été proposées pour expliquer le mode de f
iles. Vous trouverez, du reste, un exposé critique très réussi de ces
théories
dans l'article Voies biliaires du Dictionnaire en
nsacre à l'étude de cette question mérite surtout d'être consulté. La
théorie
à laquelle cet auteur semble se rattacher me para
n raison de l'application qu'on peut faire des résultats obtenus à la
théorie
de la colique hépatique. De pe-tits corps étrange
la leucine et de la tyrosine. Je ferai remarquer toutefois que si la
théorie
que j'ai proposée pour expliquer l'abaissement de
concerne le côté nosographique, mais encore pour ce qui a trait à la
théorie
pathogénique. Je vous ai fait remarquer qu'un d
tains cas, la bile passe encore en certaine quantité. Quelle est la
théorie
capable d'expliquer la production de cet ictère?
n des vaisseaux du rein. Quelques mots sur la sécrétion urinaire. —
Théorie
de Ludwig. — Théorie de Bowmann. — Recherches de
in. Quelques mots sur la sécrétion urinaire. — Théorie de Ludwig. —
Théorie
de Bowmann. — Recherches de M. Heidenhain. Mess
ou moins considérable de petits éléments cellu-laires que, suivant la
théorie
adoptée, on appellera leucocytes ou cellules embr
les vaisseaux sont comprimés dans la substance corticale ? A ceci, la
théorie
répond que les individus atteints de néphrite par
ions de la matière amyloïde. M. Dickinson fonde, là-dessus, toute une
théorie
de la dégénération amyloïde, dans laquelle je ne
te condition éco-logique, bien constatée d'ailleurs, qu'est fondée la
théorie
hu-morale de M. Dickinson. Le pus est un liquide
Sans entrer dans une critique en règle, je ferai remarquer que cette
théorie
ne saurait avoir une application aussi étendue qu
sque dans ces derniers temps, et résolue très diversement, suivant la
théorie
de Bowmann par les uns, suivant la théorie de Lud
ès diversement, suivant la théorie de Bowmann par les uns, suivant la
théorie
de Ludwïg par les autres. Nous allons vous dire d
la putréfaction ou la congélation. Ainsi — et c'est là le point de
théorie
sur lequel je voulais surtout fixer votre attenti
je tiens à mettre en lumière est que, en réalité, contrairement à la
théorie
classique, la sécrétion de l'eau urinaire n'est p
triction arté-rielle, c'est la suppression de l'eau urinaire. Dans la
théorie
de Ludwig que vous connaissez et qui fait résider
s quarts d'heure. L'autre fait qu'on peut invoquer encore contre la
théorie
mécanique de Ludwig, et qui plaide absolument dan
ligature pratiquée, la sécrétion urinaire s'arrête aussitôt. Avec la
théorie
de Ludwig, on ne comprend pas bien pourquoi il en
tion, celle-ci ne se fait pas. Ici encore, M. Ileidenhain oppose sa
théorie
à celle de Ludwig. La pression persiste dans le g
s, t. vr, Maladies des reins, 26 Je ne me porte pas garant de cette
théorie
de M. Heidenhain, mais je ne puis m'empêcher de v
r qu'elle résout des difficultés contre lesquelles vient se briser la
théorie
mécanique. Quoi qu'il en soit, vous le voyez, les
ation de l'albumine dans la capsule de Bowmann. — Ce fait renverse la
théorie
de v. Wit-ticli et Küss. — Albuminurie dans l'emp
cli et Küss. — Albuminurie dans l'empoisonnement par la cantharide.
Théories
mises en avant pour expliquer le passage de l'alb
en avant pour expliquer le passage de l'albumine à travers le rein. —
Théorie
hématogène. — Expériences anciennes de Magendie.
ans l'espèce, un fait capital, parce qu'il renverse définitivement la
théorie
physiologique proposée par MM. v. Wittich et Kùss
li-cules par les êpithéliums qui les recouvrent. Je reviens sur cette
théorie
et j'insiste sur la critique qu'il en faut faire,
prétation des phénomènes pathologiques. L'albuminurie, dans certaines
théories
que nous avons à faire connaître, serait en effet
les épithéliales labyrinthiques ; et l'on comprend aisé-ment, dans la
théorie
, que ces cellules altérées deviennent incapables
théliam de la glande rénale. — A chacun de ces groupes correspond une
théorie
. Or, quelques auteurs éclectiques admettent la va
tous les cas, quels qu'ils soient. Nous allons passer en revue ces
théories
diverses et recher-cher, en particulier, jusqu'à
ux données physiologiques que nous avons exposées. • a) La première
théorie
que nous aurions à considérer est celle de Y albu
0. QUATRIÈME LEÇON Des conditions pathogéniques de l'albuminurie.
Théorie
hématogène et théorie mécanique. Sommaire. — Al
Des conditions pathogéniques de l'albuminurie. Théorie hématogène et
théorie
mécanique. Sommaire. — Albuminurie hématogène e
de l'albumine du sang ; les lésions rénales seraient consécutives. —
Théorie
de M. Seminóla, basée sur l'hypothèse d'un vice g
es anormales : Travaux récents de M. Lépine. — Albuminurie latente.
Théorie
mécanique : Augmentation de la pression sanguine
une théo-rie. Déjà, nous avons entamé Fétude critique de l'une de ces
théories
, de celle qui a trait à Valbuminurie hématogène,
ejetée par le rein. Voilà le fait secon-daire. Conformément à cette
théorie
, les lésions du rein qu'on rencontre habituelleme
able qui, le dernier et tout récemment, a combattu en faveur de cette
théorie
. C'est de M. le professeur Semmola (de Naples) qu
on la discute encore vivement. On lui reproche, comme à tant d'autres
théories
, de ne pas s'ap-puyer sur des preuves absolument
es et celle du sang chez les albuminuriques étaient, comme le veut la
théorie
, une albumine modifiée, altérée, inassimilable, e
e est invoquée comme une condition nécessaire par les partisans de la
théorie
hématogène, ne se comporte ni physiologïquemenl n
passé dans les uri-nes. Ce fait est incontestablement favorable à la
théorie
que défend depuis trente ans M. le professeur Sem
quelques autres exemples du même genre, plus ou moins favorables à la
théorie
hématogène. Mais, en somme, tous ces faits ne con
e Stokvis restent les plus séduisants. II. C'en est assez pour la
théorie
hématogène. Celle que nous allons maintenant disc
orité des auteurs, comme ayant une portée très générale. On l'appelle
théorie
mécanique, parce qu'elle invoque pour cause un
t organe, une modification par excès de la pression sanguine. Cette
théorie
courante, si l'on peut ainsi dire, semble, au pre
avail récent, l'ordre de chose établi, ait cru devoir substituer à la
théorie
de la pression augmentée, comme cause d'albuminur
on augmentée, comme cause d'albuminurie, ce qu'on pourrait appeler la
théorie
de la pression diminuée. M. Riineberg se base d
ns un instant l'application qu'on peut faire de cette expérience à la
théorie
de l'albumi-nurie cardiaque. Actuellement, je me
s. CINQUIÈME LEÇON Des conditions pathogéniques de l'albuminurie.
Théorie
mécanique et théorie anatomique. Sommaire. — Po
Des conditions pathogéniques de l'albuminurie. Théorie mécanique et
théorie
anatomique. Sommaire. — Polyurie non albumineus
ations de Rosenstein. — Lésions du rein cardiaque. Adaptation de la
théorie
de la diminution de vitesse aux cas d'albuminu-ri
holéra asiatique, dans le choléra nostras, dans la gros-sesse, etc.
Théorie
anatomique — Insuffisance de cette théorie. — Cas
dans la gros-sesse, etc. Théorie anatomique — Insuffisance de cette
théorie
. — Cas où il existe des lésions profondes du pare
urs, J'ai l'intention de terminer aujourd'hui l'examen critique des
théories
que l'on a successivement édifiées pour expliquer
la circulation est plus rapide. En pareille circonstance, sui-vant la
théorie
proposée dans la dernière leçon à propos des trou
eprésentées par -f- P + V. Les glomérules, dont il s'agit, d'après la
théorie
sécrètent l'eau urinaire en abon-dance mais ne la
ns le glomérule, par — P — V; et ce sont là, vous le savez d'après la
théorie
, des conditions éminemment favorables à la produc
ulièrement parce qu'ils mettent en évidence ce fait capital dans la
théorie
que nous soutenons à savoir : 1° que l'albumine a
uent plus ou moins persistantes, peuvent être interprétées suivant la
théorie
que. j'ai essayé de mettre en lumière. Je me rése
assez sur ce point et j'ai.hâte d'en venir à l'exposé de la troisième
théorie
, celle qu'on pourrait appeler la théorie anatomiq
r à l'exposé de la troisième théorie, celle qu'on pourrait appeler la
théorie
anatomique, car, suivant cette théorie, la pré-se
elle qu'on pourrait appeler la théorie anatomique, car, suivant cette
théorie
, la pré-sence de l'albumine dans les urines relèv
peut dire que, dans l'esprit des partisans déclarés et logiques de la
théorie
en question l'albu- minurie persistante répond
ne lésion de l'épithélium rénal, il n'y a pas d'alhu-minurie. Cette
théorie
dont, je le répète, je ne peux actuellement parle
fait pathologique; que celle-ci n'est pas sécrétée, comme le veut la
théorie
de Kuss, à l'état normal pour être reprise parles
ce prochaine l'albuminurie. On est donc pas en droit de dire que la
théorie
mécanique s'appuie, quant à présent, sur des fait
n des vaisseaux du rein. Quelques mots sur la sécrétion urinaire. —
Théorie
de Ludwig. — Théorie de Bowmann. — Recherches de
in. Quelques mots sur la sécrétion urinaire. — Théorie de Ludwig. —
Théorie
de Bowmann. — Recherches de M. Ileidenhain.......
ation de l'albumine dans la capsule de Bowmann. — Ce fait renverse la
théorie
de v. Wit-tich et Kiiss. — Albuminurie dans l'emp
ich et Kiiss. — Albuminurie dans l'empoisonnement par la cantharide
Théories
mises en avant pour expliquer le passage de l'alb
en avant pour expliquer le passage de l'albumine à travers le rein. —
Théorie
hématogène. — Expériences anciennes de Magendie.
408 QUATRIÈME LEÇON des conditions path0cénique3 del*albuminurie.
théorie
hématogène et théorie mécanique. Sommaire. — Al
des conditions path0cénique3 del*albuminurie. théorie hématogène et
théorie
mécanique. Sommaire. — Albuminurie hématogène e
de l'albumine du sang ; les lésions rénales seraient consécutives. —
Théorie
de M. Semmola, basée sur l'hypothèse d'un vice gé
es anormales : Travaux récents de M. Lépine. — Albuminurie latente.
Théorie
mécanique : Augmentation de la pression sanguine
CINQUIÈME LEÇON des conditions pathogéniques de l'albuminurie. —
théorie
mécanique et théorie an atomique. Sommaire. — P
des conditions pathogéniques de l'albuminurie. — théorie mécanique et
théorie
an atomique. Sommaire. — Polyurie non albumineu
ations de Roscnstein. — Lésions du rein cardiaque. Adaptation de la
théorie
de la diminution de vitesse aux cas d'albuminu-ri
holéra asiatique, dans le choléra nostras, dans la gros-sesse, etc.
Théorie
anatomique. — Insuffisance de cette théorie. — Ca
ans la gros-sesse, etc. Théorie anatomique. — Insuffisance de cette
théorie
. — Cas où il existe des lésions profondes du pare
atogène, 415,416,421; — Par vice général de la nutrition, 423 ; —
Théorie
chimique de 1', 424 ; — Albuminuries anormales.
424 ; — Albuminuries anormales. 426 ; — Albuminurie latente, 428 ;
Théorie
mécanique, 428 ; — In-fluence de la pression et d
e, 429, 435; — Exemples cliniques de cette in-fluence, 435, 441 ; —
Théorie
ana-tomique, 445. Albuminuhiquës (Présence de l
ts, 238. Uricémie, 111, 115. Urine (Sécrétion de 1' —i,303, 307 —
Théorie
de Ludwiget Bowinann. 304. — Recherches de M, Ile
i ne sont pas éclaircis qu'il ne voit aucun avantage à proposer une
théorie
que des faits nouveaux pourraient renverser demai
processus de la paralysie périodique. Il expose que les différentes
théories
qui 'traitent de la nature de cette maladie ont
et la réaction de dégénéres- cence. Quelques considérations sur la
théorie
motrice du sar- Coplasme ; par Mlle Ioteyko. (.
arcel Bncnrrn voit dans cette observation de M. Régis un appui à la
théorie
d'après laquelle le délire hypochondriaque ne s
, avec les édi- tions des livres de Ivraeplin. M. 111 ? RAVAL. La
théorie
de Kraeplin est fortement battue en brèche, mêm
e anfidiabélique, l'efficacité du traitementpeut s'expliquer par la
théorie
qui rattache la gly- cosurie à un trouble de sé
donne un large développement. Il faut donc s'at- tendre, puisque sa
théorie
ne tend a rien moins qu'à renverser toutes les
ux, etc..., de tous les demi-fous de M. el'assel ? Au sujet de la
théorie
du bloc unique, AI. Grasset (lit que pour ses p
pauvres. En second lieu, 11. Grassel dit que l'édification de celle
théorie
repose sur cette idée que l'existence d intermé
s de maladie ». C'est évident ; mais on n'a jamais dil cela, et les
théories
darwiniennes, qui établissent la filiation de l
processus physiologi- ques ou psychiques, normaux ou anormaux. Les
théories
faites sur ce sujet et basées surtout sur l'obs
Magnin et Charcot lui-même four- nirent des arguments nouveaux à la
théorie
de l'indépen- dance fonctionnelle, car,à cette
« une action obscure d ? . l'hémis- phère le moins utilisé. » Celte
théorie
et celles qui s'y rattachent (attribution de ch
aussi Werlheimer : article Bulbe in Dici. de Ch. Richet. Les deux
théories
de Dumontpallier et de Myers respectent l'unité
e, même si on la suppose se prolongeant un certain temps ; les deux
théories
admettent aussi que les données de chaque hé- m
finitive de ce qu'il y a à prendre et à laisser dans les nombreuses
théories
qui concernent plus ou moins le dualisme cérébr
tronc et de la face, et de tous les appareils viscéraux(1882). La
théorie
nouvelle de M. C. Sabatier (1907) concerne au c
s son faible volume, son livre est plus qu'un système, mieux qu'une
théorie
: ce qu'il est, il ne pouvait pas ne pas l'être
ou « intuduction » devient elle-même une preuve a posteriori de la
théorie
, car elle proclame « la liberté, l'universalité
stant de la bi-individualité : là est l'erreur fondamen- tale de sa
théorie
.Cette symétrie est,en effet,commune et essentie
car elle lui aurait sans doute fait remarquer le vice logique de sa
théorie
: les deux individus, dit le duplicisme . z son
mplétés par quelque endroit. Les critiques adressées par Wundt à la
théorie
de Cajal parais- sent absolument justes et méri
extrémité. Voici la substance des objections que Wundt fait à cette
théorie
. 1° La rétine oculaire est une portion du névra
onstitue l'être double.» (p.16). Par une nouvelle application de la
théorie
aujourd'hui ridicule de la préformation,l'Auteu
ez ces ani- maux mettent encore mieux en évidence la fausseté de la
théorie
qui considère chaque blastomère comme représent
la génération suivante ; les résultats, constamment contraires à la
théorie
de la pluriindividualité (il s'agit d'ailleurs ic
des) sont à symétrie exclusivement bilatérale. En appliquant ici la
théorie
de l'auteur, on devrait considérer chaque moitié
lus récents phylogéniquement,contrai- rement à ce qu'implique cette
théorie
. Chez les Mammifères infé- rieurs, et souvent m
raire à l'essence du duplicisme.On remarquera à ce propos que cette
théorie
ne pourrait pass'appuyer sur la diversité des acq
nt altérés. L'absence d'un hémisphère a été souvent 'Objectée aux
théories
parentes de celles que nous combattons (Cotard,
ent l'âge adulte. Bref, en but à toutes les ob- jections faites aux
théories
antérieures à lui et qui ne supposaient que l'i
- ments en faveur de l'indépendance des deux hemisphèles dans des
théories
qui,au point de vue spécial envisagé dans ce ch
ues récents que ces observations ne prouvaient rien en faveur de la*
théorie
pour laquelle on les cilau N'importe : l'auteur
tôt néglige de parti pris la conception moderne qui a rem placé la
théorie
qu'il pl ésente en la donnant comme sienne ; il
arald-Hâffding et à propos du quel l'Au- teur tourne en ridicule la
théorie
de la subconscience. N'importe pour le moment,
ieuse et prostituée que l'Auteur cite (p. 41) après Ribot : « Nulle
théorie
dit-il (p. 42), n'a ox- pliqué jusqu'à présent
ermettant une attribution certaine : chose indispensa- ble dans une
théorie
qui affirme l'indépendance et l'oppo- sition fo
envisagé la question précisément à l'occasion de la critique d'une
théorie
qui attribuait chaque personnalité à l'un des h
dans le sens qu'il indique et qui seul peut en effet cadrer avec sa
théorie
. On a d'ailleurs remarqué que tous les troubles
r d'un hé- misphère à l'autre et ne sont donc pas en faveur de la
théorie
de l'Auteur ; l'observation de Louis V... montre
ira de rapporter les considérations inspirées à l'Auteur : « A la
théorie
dupliste d'aucuns objecteront que des faisceaux
mémoire dans les variations de la personnalité.l'Auteur expose une
théorie
nouvelle sur la genèse du sentiment de l'identi
iques normaux auquel l'Auteur cherche à faire l'application de sa
théorie
: ces faits, même, se réduisent à un seul,la déli
que. Mais cette modification nép de la sen- sation, nécessaire à la
théorie
, ne voit-on pas d'emblée l'impossibilité de l'a
du fait indéniable de la coexistence en nous de deux activités, la
théorie
dupliciste peut seule donner une satisfaisante
CLINIQUE NERVEUSE Hystérie et sommeil ( \ \ <\ \ /lo, 1 - (
Théorie
physiologique de l'hyst 1-7 .ÉY;QA , , Par le 1
ns somatiques et psychiques. Je voudrais revenir aujourd'hui sur la
théorie
physio- logique do l'hystérie, telle que je l'a
certains malentendus. Je ne reviendrai pas sur les dif- férentes
théories
psychologiques, ou pour mieux dire sur les dive
t qui sont d'un puis- sant intérêt pour la psychologie générale. La
théorie
physicologique permet au contraire d'entrevoir
e- ment considérer ces interprétations contradictoir es comme une
théorie
psychologique de l'hystérie ? La question se po
s il doit y en avoir huit de faus- ses. Quelle est la bonne. ? La
théorie
psychologique a cette rare fortune que toutes s
'avoir raison. C'est là sans doute ce qui a valu à cette soi-disant
théorie
psychologique, constituée comme l'habit d'Arleq
t assez, difficile de voir dans tout cela un corps de doctrine, une
théorie
uniciste de. l'hystérie. Il faudrait tout au mo
écanisme psychologique. Si c'est là un grand inconvénient pour une -
théorie
solide sur sa base, c'est par contre d'une bien
rt p as à la portée de tout le monde. On ne saurait donc prendre la
théorie
psycholo- gique de l'hystérie comme base d'une
s résultats lui serviraient en même temps de preuve. i Toutes les
théories
psychologiques de l'hystérie se résument donc e
ogique des symptômes de l'hysté- rie, les partisans eux-mêmes d'une
théorie
psychologique sont obligés de reconnaître qu'un
les trophiques. » C'est un gros mor- ceau, et il faut avouer qu'une
théorie
pathogénique qui laisse de côté tant de phénomè
de la nature^de l'hystérie, il faut s'adresser à la physiologie. La
théorie
physiologique dont j'ai montré tout à l'heure l
a- tion à un cas de paralysie pour la mettre en parallèle avec la
théorie
psychologique, ou plutôt avec les inter- 3G4 CL
MM.Alfred Binet et José Ingegnieros,qui ont montré en quoi nos deux
théories
se complétaient,bien loin d'être en contradicti
être en contradiction. Mais, récemment, àpropos d'une étude sur une
théorie
biologique du sommeil, dans laquelle il consacr
tout à l'heure, M. Claparède (de Genève) relève ma discussion de la
théorie
de Janet et trouve « curieux » mon « acharnemen
nous. Je ne sais si j'ai mis de 1' « acharnement» à défen- dre ma
théorie
. Jel'ai défendue avec conviction parce que je l
suis servi des arguments et des exemples que pouvait me fournir la
théorie
contraire. Si l'on trouve que je n'ai pas rendu
e Janet, le seul fait de n'avoir pris à partie que ses idées et ses
théories
, prouve en quelle estime je les tiens et quelle
, et échappa d'ailleurs à ceux qui présentèrent des objections à ma
théorie
. J'ai déjà réparé cet oubli involontaire de cet
Or,à ce moment, on constate un phénomène qui vient corroborer la,
théorie
que je donnais plus haut de l'in- somnie des hy
ans les expériences dr réveil, non seulement une confirmation de la
théorie
que je propose de l'hystérie, mais encore une m
s, n'est spécialement envisagé qu'à propos des applications de la
théorie
à l'objet particulier des sciences sociologiques
de la pré- face s'est efforcé de remédier à l'étrange oubli d'une
théorie
qui prétend se baser sur l'organisation et s'en t
xceptionnellement grave puisqu'il ne s'agit de rien moins que d'une
théorie
nouvelle de la liberté » (p. 90). Et l'Auteur,
ience, qui, au contraire, doivent être spécialement visés par toute
théorie
. de la formation du sentiment de l'unité, de l'
i-ci y serait opposé de par sa structure, d'après les données de la
théorie
; c'est rendre plus incroyable ce monstrueux my
cette unité est fondamentale, quitte à ne se manifester, d'après la
théorie
, qu'à l'occasion de certains actes. Si donc l'u
is encore, chose plus grave, inconciliable avec les prémisses de la
théorie
. C'est un deus ex machina rendu nécessaire par
l et si l'Auteur de la préface n'a pas, en en proposant un, jugé la
théorie
susceptible d'une in- terprétation qui nous aur
« L'hypothèse de l'âme universelle n'est pas inconciliable avec la
théorie
dupliste ; mais elle ne lui est pas nécessaire
rnative et a ouvert par ce simple geste de nouveaux horizons sur la
théorie
dont il s'est fait bénévolement le défenseur. S
les centres corticaux, le modèle de ceux qui devraient, d'après la
théorie
, exister dans le corps calleux : il y a « toujo
rtain » (p. 88), «antinomie (xtravagante » (p. 84), à laquelle « la
théorie
de l'homme double apporte une solution ». Or, c
rgument. Bien plus, il prétend lui faire 382 PSYCHOLOGIE. dans sa
théorie
toute la place qu'il mérite à côté de la li- be
qui re- présente la place de « l'argument déterministe » dans la
théorie
, la « somme de liberté » supposée démontrée qui
du reste inadmissible, comme toutes celles qui sont pro- pres à la
théorie
? C'est la simultanéité des états affectifs (co
enir « cette étincelle d'âme universelle » (p. 90) avec laquelle la
théorie
duplistc se flatte d'être conciliable. La lib
de la marche et du processus de la folie correspond exactement à la
théorie
de Sankey, et aussi à ce que nous pouvons prévo
u sevrage et la dysenterie,plaident éner- giquement en faveur de la
théorie
suivant laquelle la dysenterie des asiles peut
égné d'odeurs fécales. ' Il y a de fortes preuves en faveur de la
théorie
suivant laquelle chez les aliénés,la vitalité e
sociétés savantes. plupart des paralysies faciales dites a frigorc,
théorie
confirmée parles recherches anatomiques de M. 1
ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE Hystérie et sommeil (
Théorie
physiologique de l'Hystérie. (Suite et fin). '
s, aux conséquences que cela peut avoir, de même qu'en énonçant une
théorie
psychologique il faut penser à ce que les mots
la personnalité physique et du moi moral et intellectuel. ' Notre
théorie
a, en effet,cet avantage de concilierles différ
lément, de perfectionne- ment. , Et maintenant, j'en reviens à ma
théorie
du trouble HYSTÉRIE ET sommeil. 455 primitif
les Archives de Psychologie et ayant pour titre : « Esquisse d'une
théorie
biologique du sommeil.». Je me garderai bien de
rie biologique du sommeil.». Je me garderai bien de critiquer cette
théorie
, qui consiste à regarder le sommeil comme une r
ur ne pas l'être. » Comme il y a déjà une respectable quantité de
théories
du sommeil, dont aucune n'est démontrée ni sa-
comparée de l'hystérie et du sommeil, dont la conclusion est une
théorie
de l'hystérie considérée comme une manifesta--
meil. Cela ne l'empêche pas' cependant de critiquer vive- ment ma
théorie
. D'ailleurs, celle de M. P. Janet ne trouve pas
sommeil. Cela peut être intéressant pour lui au point de vue d'une
théorie
du sommeil. Pour moi,j'avoue que c'est là une q
arole et par des secousses, je n'ai pas encore be- soin d'avoir une
théorie
du sommeil pour savoir qu'il est réveillé. Or,q
rdissement cérébral à de l'épuisement, intoxiqué que j'étais par la
théorie
classique du sommeil naturel, qui le rapporte à
que du sommeil naturel, qui le rapporte à cette cause. Est-ce là la
théorie
classique du sommeil ? Ilyena tant que je n'en
et de l'en- gourdissement hystérique. M. Claparède prétend que la
théorie
physiologique de l'hystérie ne rend pas compte
es que j'ai décrites en détail. Dans les critiques qu'on fait de la
théorie
physiologique,on pa- rait les avoir complètemen
es d'autoscopie» (1). On a fait encore certaines objections à cette
théorie
. On a dit que les réactions présentées par les
-t-on toujours que c'est de la suggestion ? On a dit encore : cette
théorie
s'applique aux grands sujets. Je ne sais pas qu
Si je n'ai publié autrefois que 20 observations comme base de ma
théorie
c'est que ce sont les premiers cas qui se sont
fait que HYSTÉRIE ET SOMMEIL. 465 me confirmer davantage dans ma
théorie
fondamentale, que la thérapeutique venait démon
ves. 3' série 1907, t. I. 30 466 CLINIQUE NERVEUSE. En résumé, la
théorie
physiologique que j'ai propo- sée est la seule
, laquelle sert en même temps de contrôle et de confirmation à la
théorie
physiologique. Quant à rapporter rigoureu- seme
x nerveux au niveau des extrémités de deux neurones contigus. Cette
théorie
mécanique de l'hystérie essenliellcmenl 1111 ?
re un des' aspects sous lesquels on peul se placer pour édifier une
théorie
physiologique complète, comme ai essayé de le f
ses par- ties et conséquences » (p. 141), ce premier aperçu de la
théorie
permet déjà de donner des nouvelles bases à la
t un certain nombre de règles pra- tiques, il s'écrie « Eh oui ! La
théorie
dupliciste permet ainsi de fonder la Morale, no
umaine, une en sa dualité, prend conscience de son autonomie » : la
théorie
explique la « souveraineté de la raison ». b.
Ces détails importent peu à la critique de la mé- thode et de la
théorie
. Le point capital, c'est que, si dans ce groupe
autrui » (p. 17), mais cela au prix de quelle confusion ! « Dans la
théorie
déterministe... chacun s'isolait dans l'introspec
... sans se soucier de ce qu'en pour- raient penser les faiseurs de
théories
philosophiques » (p. 157), les historiens les p
auche à la région sous-optique. . Baresthésie M. EGGER discute la
théorie
d'origine superficielle ou profonde de la bares
ola, avec d'autant plus de soin qu'il le donne comme l'apôtre de sa
théorie
scientifique est par ce fait même, de la part d
ntres psychiques doit exister. Tel est le principe qui a inspiré la
théorie
du prof. Grasset. Les phénomènes occultes, dit-
ront traitées par MM. les rapporteurs : I. Psychiatrie, Neurologie.
Théories
modernes sur la genèse de l'Hystérie. Psychoses
Psyclio -physique. La Psychologie de la Puberté. Etat actuel de la
théorie
Lange-James concernant les émotions.Dif- férenc
la réaction de dégéné- rescence. Quelques considéra- tions sur la
théorie
motrice du sarcoplasme ; par M110 Ioteyko, p.
ause du mouvement des meubles et établit, pour expliquer ce fait, une
théorie
dont il termine ainsi l’exposé : « La volonté,
i telle n’est pas la cause de ces faits singuliers, il faut une autre
théorie
du phénomène, une autre explication des résultats
e ne se serait pas mêlée du débat, et qu’aujourd’hui nous aurions une
théorie
démontrée au lieu de simples conjectures. On ob
nerfs et proscrivirent les esprits animaux, mais ils remplacèrent la
théorie
reçue par des hypothèses moins soutenables : du r
re n’était jamais payée moins de 80 à 100 fr. » BIBLIOGRAPHIE. LA
THÉORIE
DES RELATIONS considérée comme base de la science
érieux, à une étude approfondie et à une analyse consciencieuse de la
Théorie
des relations. C’est ce que nous avons essayé de
n de résumer sommairement notre opinion générale sur l’ensemble de la
Théorie
des relations, c’est l’œuvre d’un esprit élevé, c
n livre, M. Caupert nous la donne en trois lignes ; la voici : « La
théorie
des rapports, dit-il, c’est la science expériment
i commence à éclaircir tout ce qu’elle renferme de nuageux. « Cette
théorie
, ajoute-t-il, unit par un lien secret, mais réel,
plus simple et la plus nette introduction que l’on puisse faire à la
théorie
du magnétisme même? .Ainsi donc, notre grand prin
créés sont infinies, est la base même sur laquelle s’appuie toute la
théorie
du savant abbé. Pour lui, comme pour nous, tout ê
études ni connaissances préliminaires, il n’en est pas de môme de sa
théorie
, ou de l’explication philosophique et satisfaisan
La puissance de cet agent est telle, d’après les partisans de cette
théorie
nouvelle, que, mise à la disposition et sous la d
les périodes de pratique succéderont aux époques de discussions et de
théories
. On a pu remarquer un besoin particulier à notre
l’avons comprise : que le clergé la comprenne de même à son tour. La
Théorie
des relations, qui serait mieux nommée Théorie du
de même à son tour. La Théorie des relations, qui serait mieux nommée
Théorie
du magnétisme, car elle en est l’analyse et le dé
ice. E. DE MALHERBE. Le Gérant : UKItKKf (de Garnay). ÉTUDES ET
THÉORIES
. 1° TABI.ES. — SPIRITUALISME. A Monsieur Jos.
insi dire, une atmosphère propre à chaque corps. Ils en déduisent une
théorie
d’atmosphères internes et externes par suite des
. Le résultat a toujours été le même. M. COUPRY. BIBLIOGRAPHIE.
THÉORIE
PSYCHOLOGIQUE DU MAGNÉTISME ANIMAL, article de M.
roite, leur mélange est si complet et si intime, que vouloir, par une
théorie
exclusive, expliquer quelques-uns de ces phénomèn
cette époque par l’Académie des sciences et déclare tout net que « la
théorie
du fluide est jugée depuis longtemps, et qu’il ne
me. Au reste, nous pourrons dire à notre tour, nous aussi : Oui, la
théorie
du fluide est jugée; mais jugée avec gain de caus
Or, si votre raisonnement pèche par ce point, toute la base de votre
théorie
s’écroule, parce que vous la posez d’une manière
imagination du somnambule ; mais je n’ai pas entrepris de défendre la
théorie
du fluide, et il importe peu qu’il existe ou non
ement déclarer qu’ils ne sont pas somnambules. Ainsi l’auteur de la
théorie
psychologique, qui a commencé d’abord par confond
nsensibilité avec le somnambulisme. Mais ce n’est pas tout. Comme les
théories
ne lui coûtent pas plus que les négations, il éta
u’à une partie, précisément celle qui se trouve en opposition avec la
théorie
au moyen de laquelle il démontre l’autre à sa faç
u’à une partie, précisément celle qui se trouve en opposition avec la
théorie
au moyen de laquelle il démontre l’autre à sa faç
u’à une partie, précisément celle qui se trouve en opposition avec la
théorie
au moyen de laquelle il démontre l’autre à sa faç
u’à une partie, précisément celle qui se trouve en opposition avec la
théorie
au moyen de laquelle il démontre l’autre à sa faç
u’à une partie, précisément celle qui se trouve en opposition avec la
théorie
au moyen de laquelle il démontre l’autre à sa faç
u’à une partie, précisément celle qui se trouve en opposition avec la
théorie
au moyen de laquelle il démontre l’autre à sa faç
u’à une partie, précisément celle qui se trouve en opposition avec la
théorie
au moyen de laquelle il démontre l’autre à sa faç
u’à une partie, précisément celle qui se trouve en opposition avec la
théorie
au moyen de laquelle il démontre l’autre à sa faç
sait à des conjectures quand ils voulaient analyser physiquement leur
théorie
. Après ces hommes célèbres, Haller, le créateur
s l’existence des esprits animaux. Ce savant renverse tout ce que les
théories
anciennes avaient d’hypothétique, et à la place d
s volumes entiers, pour ne retirer souvent au bout du scalpel que des
théories
creuses et sonores, ou des systèmes ambigus basés
ui, les corps ont perdu leur opacité. » Quoi qu’il en soit de cette
théorie
, toujours est-il qu’elle est éminemment favorable
t celui des somnambules. Mais M. Ragon \a plus loin, et poussant sa
théorie
jusqu’à ses plus extrêmes conséquences, de déduct
as?) nous dirons que l’auteur, si éclairé sur tout ce qui concerne la
théorie
du magnétisme, nous semble tomber dans une grave
omba lui-mCme dans le piège qu’il avait tendu, et qu’il basa toute sa
théorie
sur un jeu de mots. Cependant, entre les phénomèn
les faire servir au soulagement des malades. 11 résuma sa magnifique
théorie
dans ce fécond aphorisme qui nous sert de devise
ait du charbon dans diverses opérations de magio naturelle; enfin, sa
théorie
sur le miroir magique, où il parle effectivement
ERT (do Garnay). Le Gérant : 1IÉBEKT (de Garnay). CONTROVERSES.
THÉORIE
DU MAGNÉTISME. Un journal, dont la rédaction a
et 18 août, un feuillon signé L. A. Segond, et portant pour titre :
Théorie
positive des phénomènes étudiés sous la dénominat
eux de Y Abeille médicale (août 1854), réduisit à, sa juste valeur la
théorie
de M. Segond. Nous nous permettrons d’emprunter p
en; et, passant condamnation sur l’extrême timidité de l’auteur de la
Théorie
positive du magnétisme, nous lui demanderons, à n
sées de quels auteurs compétents il a pu puiser les éléments de cette
théorie
, lui qui à l’aveu naïf, que nous avons cité plus
qui dépendent de la pratique des magnétiseurs, je dus en chercher la
théorie
positive, afin de renoncer à l’état purement néga
es de l’esprit de l’humanité, comme nous le verrons plus loin dans sa
théorie
, il a pu se figurer que le magnétisme était resté
st décidé à faire jouir le monde du fruit de ses travaux ; il crée sa
théorie
positive et il commence par déclarer comme premiè
. M. Amédée Jacques, dont nous avons, dans le temps, discuté aussi la
théorie
, veut, lui, que l’âme soit pour tout dans ces phé
point en entendre parler. « Pour tous les bons esprits, dit-il, la
théorie
du fluide magnétique fut ruinée le jour où la cél
tout dans le vague.....de l’imagination. Pour nous, qui aimons les
théories
positives tout autant que l’auteur de celle qui n
ions, nous vous dirions à notre tour : Pour tous les bons esprits, la
théorie
de l’imagination fut ruinée du jour où la magnéti
n caractériser un certain nombre, afin de mieux préciser les diverses
théories
employées et celles qu’il convient d’y appliquer
nde partie au naturalisme de M. du Gasparin, justifie complètement la
théorie
adverse! Cette somnambule, en évoquant un Père Ma
ons, nous pourrons devenir amis et alliés pour combattre ensemble les
théories
de l’écho et de la réminiscence de M. de Gasparin
lcs, 25 mai 1853. Le Gérant : HÉBERT (de Garnay)* CONTROVERSES.
THÉORIE
DU MAGNÉTISME. (2« arlicle. — Voyez page 309.)
sible, parce que je ne le comprends pas, parce que cela échappe à. ma
Théorie
positive. L’expérience est certes bien facile ; e
re peut-être ! Qui sait s’il n’en résulterait pas, pour l’auteur delà
Théorie
positive, une explication de cette théorie qui le
it pas, pour l’auteur delà Théorie positive, une explication de cette
théorie
qui le surprendrait lui-même ? En tout cas, nou
île relatives. I)e telle sorte qu’il faut successivement examiner la
théorie
théologique, puis la théorie métaphysique, enfin
te qu’il faut successivement examiner la théorie théologique, puis la
théorie
métaphysique, enfin la théorie positive des phéno
aminer la théorie théologique, puis la théorie métaphysique, enfin la
théorie
positive des phénomènes étudiés sous la dénominat
bonnement à constater l’erreur grossière qui sert de conclusion à sa
théorie
Ihéologiqitc, quand il dit : « 11 doit rester é
s intermédiaires n’existent pis. C’est tout simple, ils gêneraient sa
théorie
et lui ôteraient tout moyen d’être. 11 ne veut qu
fluide hypothétique. Aussi, quand il entre dans l'établissement de la
théorie
métaphysique (se- coud âge de l’esprit lnimain)
minime d’un fluide universel au moyen duquel il s’établit (suivant la
théorie
des magnétiseurs) mie influence mutuelle entre le
rps animés. » Quand lions disions que M. Segoml en était encore aux
théories
de 1784 ! Mais poursuivons : > En remontant
ories de 1784 ! Mais poursuivons : > En remontant au berceau des
théories
abstraites, on reretrouve des entités semblables
primitifs qu’il a si savamment classés; mais de nos jours, avec notre
théorie
positive, allons donc! Ne vous semble-t-il pas li
intangible, impondérable, hypothétique, se réfugier, pour établir sa
Théorie
positive, dans les brouillards de la plus hypothé
t pour ce qui doit en ressortir. Voyons donc ce que va nous donner la
théorie
positive, ce troisième âge de l’esprit humain, et
rveau, et surtout depuis les importantes améliorations apportées à la
théorie
cérébrale, par M. Auguste Comte, l’obscure concep
firmer. « Le sujet que nous avons éclarcir dépend entièrement de la
théorie
des fonctions intellectuelles et morales, et c’es
es nuages sur les vérités, à rationaliser le désordre. Elle forge des
théories
pour démontrer sa propre non existence et ne crai
se en trois fonctions essentielles ; et il déclare compléter ainsi sa
théorie
cérébrale au moyen de laquelle il prétend analyse
nd lui-mème par la vérité contre laquelle il se débat, de parsemer sa
théorie
si absolue de correctifs et de concessions except
me signer Votre très-humble et tout dévoué, J. GRAVÉ. ÉTUDES ET
THÉORIES
. QUESTIONS RELATIVES AU MAGNÉTISME ANIMAL (1).
ieuses. Dr n. Le Gérant : I1ÉBE11T (de Garnay). CONTROVERSES.
THÉORIE
DU MAGNÉTISME. (3' article. — Voyez page 337.)
r, c’est ce que n’a pas compris M. Segond, qui prétend nous donner la
Théorie
positire des phénomènes magnétiques et qui ne les
» tandis qu’il n’y a pas de débutant magnétiseur, si inexpérimenté en
théorie
et en pratique soit-il, '|iii ne sache que, entre
la science et auxquels M. Segond ne trouverait pas de réponse dans sa
théorie
cérébrale. On ne se laisse point couper une jambe
intéressants pour l’établissement des fonctions cérébrales et pour la
théorie
d’un grand nombre de maladies du cerveau. En un m
ment chez lui un parti pris d’hostilité incurable, et qui, suivant sa
Théorie
positive des fonctions cérébrales, caractérise un
e : Ou, lui, M. Segond a raison, il est seul sage, seul savant ; sa
théorie
est réelle et sérieuse, et M. Rostan est un « idé
n’y a pas de milieu, il faut choisir ! E. DE MALHERRE. ÉTUDES ET
THÉORIES
. JEANNE D’ARC. Dernièrement on a rendu à Jean
nnu le bien et découvert les lois fondamentales. La perspective, la
théorie
des ombres, la coupe des pierres, la charpente ex
re. Puységur disait, en parlant de son domestique : « 11 n’a pas de
théorie
, mais il réussit mieux que nous tous. » Deleuze
léans.) C. HEYNES. Le Gérant : llliltKKT (de Garnay). ÉTUDES ET
THÉORIES
;: DU RACLE ET DES HALLUCINATIONS. Il y a long
duisirent quelques considérations générales, en un mot à une sorte de
théorie
et pratique du ragle. h Ainsi donc une longue p
second ouvrage dans lequel il ajoute de nouveaux développements à sa
théorie
; il rend compte des ouvrages qui oirt para récem
e qui ne sera coupable qu’en apparence? Il résultera de cette étrange
théorie
que les crimes les plus odieux seront ceux qui mé
us montrerons ses véritables ministres. Baron DU POTET. ÉTUDES ET
THÉORIES
LA BAGUETTE DIVINATOIRE APPLIQUÉE A LA DÉCOUVER
e que j’écris ou pourrai écrire par la suite, sera l’expression d’une
théorie
basée sur line longue expérience. « Beaucoup de
nétisme avec les académies. Dans la seconde partie, il traite de la
théorie
du magnétisme, et ses travaux contribueront à jet
u commencement du mois de septembre. HÉBERT (de Camay). ÉTUDES ET
THÉORIES
. nE I,A SUGGESTION. Plus ou creuse cette inép
incante de leur influence réciproque et à poser ainsi les bases d’une
théorie
.dontle docteur Grégory d’Edimbourg adonné le der
n ! s’écria-t-il. » L’idée et le mot étaient trouvés. Par ce mot la
théorie
des Américains devenait d’une clarté saisissante,
ir si tout ce qu’on raconte de cet homme était du magnétisme (1) sans
théorie
, sans principes, ni règles, ni procédés. L’auteur
er (Leçons d’anatomie comparée, tome II, p, 117, 9e leçon); La Place (
Théorie
analytique du calcul des probabilités, p. 358); e
cause naturelle qu’on n’a pas su découvrir. Mais ce n’est là qu’une
théorie
et nous n’y voyons aucun fai t. précis, déterminé
cite des circonstances qui font de plus en plus ressortir combien sa
théorie
est inadmissible. 11 a vu un medium écrire une no
s nous bornons à raconter ce que nous avons vu. Ceux qui rejettent la
théorie
des esprits peuvent tirer telles conclusions qu’i
s cette ville ordinairement si paisible. Traduit par A. S. MORIN,
THÉORIES
. LE MONDE DES ESPRITS MIS A X.A PORTÉE DES BÎ
é Chambéry. — Examen et citations, par M. Hébert (de Garnay), 51.
Théorie
(la) des relations, considérée comme base de la s
aisonné, au point de vue du magnétisme, par M. E. de Malherbe, 126.
Théorie
positive des phénomènes étudiés sous la dénominat
nd. — Réfutation et critique, par M. E. de Malherbe, 309, 337, 365.
Théorie
psychologique du magnétisme animal ; article de M
54. Waldener, 125. Wilkinson, 492. Wurtz (Dr), 533. ÉTUDES ET
THÉORIES
. Animisme et matérialisme. Observations de M. l
omnambulisme, etc., par M. A. S. Morin, 42, 381, 529. Progrès (du).
Théorie
des relations, considérée comme base de la scien
58, 561, 589 ; — Dr Clever de Maldigny, 573. Substance universelle.
Théorie
do M. Ragon, 220. Suggestion (de la) magnétique
actuelle un mouvement se dessine, en psychologie, relativement à la
théorie
de l'émotion. D'une part, les états affectifs,
égères à rougir. Toutes ces constatations sonten accordance avec la
théorie
actuelle de l'émotion. Un fait, toutefois, se
sée, n'a en soi rien d'inacceptable ni même qui soit contraire à la
théorie
de Lange, d'après laquelle l'émotion consiste e
e sont une forme de l'ancienne folie partielle. Il y a dans cette
théorie
une part de vrai. Mais s'il existe des idées préd
es les considérations tirées de l'étude du tableau confirment cette
théorie
de l'auteur : la diminution de l'activité psych
ui est par l'activité cellulaire, transformée en énergie cinétique (
théorie
de hosenbacll). La preuve c'est qu'il y en a da
ts entre les idées religieuses et philosophiques des peuples et les
théories
ayant cours sur l'aliénation mentale. Les idées
onservé en pathologie mentale une large place à l'hypothèse et à la
théorie
différant ainsi notablement des classifications
TRINES CONTEMPORAINES DE L'HISTOLOGIE DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL.
THÉORIE
DES NEURONES. par Jules SOURY I. GOLGI. L'é
ques de Golgi ne pouvaient exercer aucune influence fâcheuse sur la
théorie
scientifique des localisations cérébrales (1882).
882). Golgi, en effet, en dépit des critiques qu'il adresse à cette
théorie
, n'a jamais nié la possibilité de certaines loc
ellules nerveuses 1. » Il n'admet pas que, * pour les besoins de la
théorie
de la polarisation dynamique D, on fasse des pr
sociées dans leur action, selon un mécanisme préétabli. C'est là la
théorie
des cellules intercalaires de l'auteur. LWOFF.
oins écarter le milieu funeste de sa famille. F. BOISSIER. XL. LA
THÉORIE
DES NEURONES ET LA THÉORIE DE LA DÉCHARGE; par
neste de sa famille. F. BOISSIER. XL. LA THÉORIE DES NEURONES ET LA
THÉORIE
DE LA DÉCHARGE; par DE l3ECUTEREw. (Neurolog. C
avec les autres aucune conjonction organique immédiate, continue (
théorie
de Ramon y Cajal, His, Forel, Kolliker, Waldeyer)
ues des autres cellules, il y a propagation par conti- guïté. Cette
théorie
du contact doit être complétée par la théorie d
r conti- guïté. Cette théorie du contact doit être complétée par la
théorie
d'activité par voisinage, ou des décharges par
rale, pratiquée dans ces dernières années à l'étranger, ni dans les
théories
où elle a donné dans quelques cas, par une acti
asile des Aliénés, a été noumé professeur ordinaire de psychiatrie (
théorie
et clinique), en remplacement de M. le professe
r les lèvres de son père. Ce sujet paraît davantage être visuel. La
théorie
soutenue dans le livre auquel je me réfère, expli
sion sexuelle sont de même expliqués par les malades à l'aide d'une
théorie
semblable à celle de la pos- session. Un jeune
on et revivifier la cellule ner- veuse. L'auteur conteste que cette
théorie
de la folie et de l'in- somnie, fournisse une e
clairement ses pensées, bien qu'en phrases rudes et déparées ; ses
théories
s'enchaînaient entre elles le plus étroitement
ochain. (Annales médico-psychologiques, déc. 1896.) E. B. XXI. La
THÉORIE
DE L'INVERSION DU SENS génital; par HaVELOCK IL
ne peuvent être interdits. Les alié- nistes ne peuvent admettre la
théorie
de troubles partiels : l'esprit est chose indiv
respondantes. A la lumière de ces faits on s'explique facilement la
théorie
de certains physiologistes, celle de Magendie q
lus souvent pour exprimer l'aversion, le dégoût pour un objet ? 2
THÉORIE
DES NEURONES. 281 Cette sensation nauséeuse vag
TRINES CONTEMPORAINES DE L'HISTOLOGIE DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL.
THÉORIE
DES NEURONES'. PAR JULRS SOURY II. S. ILA\ION
tt clel proloplasmo ne/'vio8o, Rev. ll'imesl/'almicl'o ! 71', I, I.
THÉORIE
DES NEURONES. 283 longues voies nerveuses des c
(Golgi) des neurones ou uni- nits nerveuses de Waldeyer (1891). La
théorie
des réseaux à dû faire place à celle des arbori
muscles, etc., par la branche périphérique, de signification proto-
THÉORIE
DES NEURONES. 285 plasmique, suivant Cajal, des
ra délia corleccia cérébrale. Soc. méd. cleiratrg. di Pâma, 1896.
THÉORIE
DES NEURONES. 287 retrouve avec les mêmes carac
las- miques ascendantes ou descendantes, envoient leur cylindraxe
THÉORIE
DES NEURONES. 289 presque en droiture jusqu'à l
ons dit, naîtrait donc dans l'épaisseur de la zone moléculaire. 151
THÉORIE
DES NEURONES. 291 Cajal explique ainsi la produ
2° des cellules d'association intrahémisphérique d'un même hémi-
THÉORIE
DES NEURONES. 293 sphère; 3° des cellules de l'
s par el azul de melileno. Rev. trimestr. microgr., vol. I, 1896.
THÉORIE
DES NEURONES. 295 tion et répartition des éléme
Lslnuclurcc del proloplasmo ueraioso. Rev. trim. microgr., I, 2.
THÉORIE
DES NEURONES. 297 II. Il n'existe point de cent
d'activité, chaque élément psychique se trouve dans un certain état
THÉORIE
DES NEURONES. 299 vibratoire ou chimique, encor
logique de l'association. du sommeil et de l'état de veille. III.
Théorie
de l'attention. I. Entre les organes des sens e
centres à la périphérie. Il faut seulement ajouter ici que, dans la
théorie
de Cajal, chaque image rétinienne, par exemple,
ir » (p. 7). No;i moins obscur, inabordable, tout ce qui a trait au
THÉORIE
DES NEURONES. 301 processus histologique de l'a
substance blanche de la névroglie de la substance grise. Quant aux
théories
d'après lesquelles les cellules de Deiters serv
pseudopodes qui divergent en tous sens. La fonction de ces cellules
THÉORIE
DES NEURONES. 303 est de susciter, par la contr
pas d'ailleurs question des cellules de névroglie). III. Pour la
théorie
de l'attention, Cajal rappelle que, dès que cet
lifère quand la cellule nerveuse dégénère, ne posséderait point les
THÉORIE
DES NEURONES. 305 fonctions que lui attribue Ra
bres et leurs cellules se comportent, à l'état pathologique, tout à
THÉORIE
DES NEURONES. 307 i fait comme une substance co
oglie combien ils correspondent au type de l'écorce du cerveau ».
THÉORIE
DES NEURONES. 309 Quelles sont les fonctions de
rait d'isoler les courants nerveux, c'est-à-dire d'empêcher la pro-
THÉORIE
DES NEURONES. 31 I duction de courants secondai
r le point d'accomplir un acte mau- vais : c'est pourtant ce que la
théorie
légale persiste à penser. malgré l'expérience.
rait savoir, mais qu'elle croit le savoir. Ainsi, pour sauver cette
théorie
, qui ne le mérite guère, on nous invite à force
rner ses actes, il ne sait pas ce qu'il fait. On voit combien cette
théorie
est subtile : elle est beaucoup trop métaphysiq
tenir à l'étude du cas particulier soumis à leur examen. Enfin les
théories
récentes du criminel-né, des stigmates de dégén
rt et d'autre, faire le sacrifice de pas mal de mots et de quelques
théories
, et se résigner à cette méthode simple qui cons
a responsabilité pour lui est une question de fait et échappe à une
théorie
juridique générale. Tous les éléments indi- vid
nnel dans l'atrophie circulaire de la face. - L'auteur rappelle les
théories
qui ont été invoquées pour expliquer cette lési
, psychose, cczçto-intoxcnLio7t. - On ne veut pas s'étendre sur les
théories
qui prétendent expliquer les rapports entre l'i
r nettement de la vraie maladie de Basedow. M. Riche critique les
théories
pathogéniques du goître exophtal- mique. Les gr
s théories pathogéniques du goître exophtal- mique. Les groupes des
théories
extra-thyroïdiennes (théories cardio-vasculaire
ître exophtal- mique. Les groupes des théories extra-thyroïdiennes (
théories
cardio-vasculaires, nerveuses) ont cédé le pas
iennes (théories cardio-vasculaires, nerveuses) ont cédé le pas aux
théories
thyroï- diennes et actuellement, parmi ces dern
x théories thyroï- diennes et actuellement, parmi ces dernières, la
théorie
thyroï- dienne mécanique a fait place aux théor
ces dernières, la théorie thyroï- dienne mécanique a fait place aux
théories
chimiques à celle de l'hyperthyroïdation. Se ba
/lf ? E N 17. ARCHIVES DE NEUROLOGIE ANATOMIE PATHOLOGIQUE. LA
THÉORIE
DES NEURONES EN RAPPORT AVEC L'EXPLICATION DE Q
it aussi arrêter l'attention des psychologues et des aliénistes. La
théorie
contemporaine neurologique, fondée sur les fait
e nombre des prolongements qu'elle émette, la cellule nerveuse LA
THÉORIE
DES NEURONES. 339 peut être considérée comme un
ns un fluide lymphatique dont elle puise le matériel nutritif. LA
THÉORIE
DES NEURONES. 341 L'opinion de M. Golgi, qui su
rones nécessaires à unir la périphérie avec les centres psychi- LA
THÉORIE
DES NEURONES. ' 34S ques de l'écorce cérébrale,
ques concernant les neurones et nous passons à l'étude de ce que la
théorie
des neurones nous offre pour l'explication de q
re psychopathologique. Nour sommes nullement d'avis que la nouvelle
théorie
puisse décider la question de la nature intime
des phénomènes psy- chiques ; nous sommes loin d'affirmer que cette
théorie
nous découvre le rapport intérieur qui existe e
ns les branches pulmonaires du pneumogastrique. En confirmation des
théories
avancées par CI. Bernard et Chauveau, des fibre
ogistes. Un curieux cas de folie rap- porté par Bruce donne à cette
théorie
un solide appui. L'aliéné dont il s'agit se pré
z des épileptiques avérés. Kraepelin, au con- traire, l'accepte. La
théorie
de Lombroso et de son école, qui élar- gissent
ves, 2e série, t. III. 27 418 5 bibliographie. Aujourd'hui que la
théorie
de l'origine médullaire des difformi- tés congé
entifiques, 1897.) Ce livre extrêmement documenté tend à établir la
théorie
de l'anémie. On ne peut plus aujourd'hui dire l
nt par l'attaque épileptique clas- sique. Une analyse raisonnée des
théories
émises par Kussmaul et Tenner, Nothnagel, Brown
uler les contradictions et contrôler les faits. Il éclaire ainsi sa
théorie
avec plus d'assurance. Il fait obser- ver que s
aire d'une anémie cérébrale, du moins tout parle en faveur de cette
théorie
et rien ne peut l'infirmer. Le mécanisme de l'a
é, Voisin, Kniess, Gray, Marie, Pichon et Musso. Mais pour que la
théorie
ait une valeur réelle, il faut qu'elle puisse a
tiques moteurs, secrétaires et psychiques. Pour les paralysies la
théorie
de l'anémie ne peut que compléter celle de l'épui
e cerveau de l'épileptique est affai- bli dans sa résistance. Cette
théorie
peut donc tout expliquer, tout en s'appuyant su
iologie générale, en y comprenant le darwinisme et l'évolution, les
théories
cellulaires contemporaines, les théories sur l'
inisme et l'évolution, les théories cellulaires contemporaines, les
théories
sur l'hérédité, des notions générales sur la vi
sans qu'il soit besoin d'insister, les conséquences d'une pareille
théorie
. Au pensionnat de Ville-Evrard, dit notre collè
ernier lieu et ne disparaît qu'après toutes les autres couleurs, la
théorie
du rétrécissement concentrique est valable. M
toujours la dernière, c'est quelquefois le rouge, et dans ce cas Ja
théorie
du rétrécissement concentrique ne peut être suf
s et pseudo- électriques sont intéressants comme un contredit de la
théorie
de Darwin; on voit ici que le tissu musculaire,
tion du canal central à certaine distance. Après l'expo- sition des
théories
concernant le développement de la syringo- myél
le mutisme ; 4° l'insensibilité. L'auteur mentionne en terminant la
théorie
de S. Freud qui pro- pose de détacher complètem
formés par les fibres des racines; elle donne naissance à plusieurs
théories
(Hallopeau, Schultze, Déjerine, Pierre Marie, B
uelques idées qui peuvent être prises en considération, mais que de
théories
inapplicables et absurdes qui ne tiennent pas c
s, par Mac Casliey, 215. Histologie du système nerveux centra).
Théorie
des neurones, pal, Soury, 93, 281. Hôpital. N
Weber, Cubasch, Loss- mtzer, Peterson, Boehmert, 245. Inversion.
Théorie
sut 1' du sens génital, par Havelock, 227. Iv
486. Neurofibromatose généralisée, par Feindel, 155. Neurones.
Théorie
des - et théo- rie de la décharge, par de Bech-
éorie des - et théo- rie de la décharge, par de Bech- terew, 127.
Théorie
des - avec explications de quelques états psy
s, nous sert d'objectif — il s'agit, vous ne l'avez pas oublié, de la
théorie
des localisations dans les maladies cérébrales —
er à cet égard, de par-ties très intéressantes, au point de vue de la
théorie
des loca-lisations cérébrales, à savoir la couche
t indispensable à l'intelligence de faits importants à savoir pour la
théorie
de l'hémorrhagie cérébrale vulgaire. Cette prép
ir chemin faisant des faits intéres-sants au plus haut degré, pour la
théorie
des localisation cérébrales pathologiques. Ces fa
pathologie de l'homme. Nous devons nous efforcer aussi de donner la
théorie
des faits dont il s'agit, c'est-à-dire d'en pénét
hémianesthésie, j'ai relevé un fait d'une im-portance majeure pour la
théorie
des localisations cérébrales. Mais il ne saurait
vec les données généralement répandues. En effet, si l'on en croit la
théorie
mise en avant dès 1860 par Alb. de Graefe (2),'et
rmes, une lésion cérébrale en foyer, du côté gauche, devrait, dans la
théorie
en question, entraîner la suppression ou l'obscur
e l'hémisphère droit. Je crois devoir prolester contre ce que cette
théorie
offre, pour le moins, de trop absolu et lui oppos
e la même façon la bandelette optique du côté droit. Ainsi parle la
théorie
, et de fait, nombreux sont les exemples qui démon
avez pu remarquer, dans l'exposé analomique qui vous (1) D'après la
théorie
, les hémianesthésics cérébrales devront se distin
s. Le nombre de 200 que l'on met en avant pour le besoin de certaines
théories
pourrait être considérablement réduit par la crit
udier en détail dans une occasion prochaine (1). 11 importe pour la
théorie
de remarquer que, dans le cas de M. Pitres comme
iphérique. — Il n'en existe encore que trois ou quatre observations. —
Théorie
probable de ces dégénérations. Messieurs, Ain
dans toute son étendue. Si les choses se passent ainsi que le veut la
théorie
, on devrait donc, dans un cas récent de dégé-néra
riques?Ou bien, au contraire, pouvons-nous tenter l'édification d'une
théorie
pa-thogénique des dégénérations secondaires ? C'e
lle je me conten-terai de rappeler un instant vos souvenirs (1). La
théorie
de Waller est fondée sur ce fait général que lors
eurs, vous le reconnaissez, tout con-court admirablement à appuyer la
théorie
que je vous ai pro-posé d'admettre. Il existe cep
périences de Gaillard (de Poitiers). Tonicité musculaire normale. —
Théorie
d'Onimus. — Expériences con-firmât! ves de Boudet
qu'ils sont de nature à jeter une certaine lumière sur la question de
théorie
, encore fort controversée. A. Je parlerai, en p
tion très vulgaire, ils n'offrent d'in-térêt qu'au point de vue de la
théorie
. B. Également très sérieux à ce même point de v
res qui sont toujours les mêmes. — Interprétation de ces attitudes. —
Théorie
de l'action des antagonistes. — Expériences de Ga
thèsc de la lésion irritative dynamique explique mieux que les autres
théories
les symptômes spasmodiques de la sclérose descend
auteurs lui ont accordé une grande impor-tance au point de vue de la
théorie
. ^/Je vous ai présenté la contracture tardive des
ion de mettre à profit. Messieurs, il me resterait à montrer que la
théorie
que je viens d'émettre, tout imparfaite qu'elle s
les qui ont été proposées pour résoudre la ques» tion en litige. La
théorie
de l'encéphalite a vécu. Il n'y a pas, en effet,
réflexes. — Théo-ries relatives à la pathogénie de la contracture.
Théorie
de l'encéphalite. — Théorie de l'irritation des t
ives à la pathogénie de la contracture. Théorie de l'encéphalite. —
Théorie
de l'irritation des tubes nerveux mélan gés à ceu
s avec les difficultés de l'enseignement, j'ai cru reconnaître que la
théorie
proposée pour rendre compte physiologiquement de
st pas, tant s'en faut, que j'attache une importance exagérée à cette
théorie
, dont je suis le premier à reconnaître toutes les
nous étions arrêtés. Il nous restait encore à vous montrer que notre
théorie
est supérieure à toutes celles qui ont été propos
cs. Je n'insiste pas plus longuement ; il me suffit de relever que la
théorie
pro-posée trouve ici une éclatante confirmation.
substance grise. III. Veuillez considérer, Messieurs,que dans la
théorie
proposée, et c'est par là que je terminerai, la c
Formes lentes de la myélite transverse. Tabès dorsal spasmodique. —
Théorie
de Erb. Localisation spinale. — L'a-natomie patho
au premier abord, semble viser principalement une question de pure
théorie
, nous avons rencontré déjà et nous rencontrerons
t, elles vont faire partie du faisceau pyramidal du côté gauche. La
théorie
dont il s'agit est principalement fondée, quant à
ésenterait plus dès lors une affection spéciale. A l'appui de cette
théorie
, on a publié quelques observations où l'on a cru
elle, tant au point de vue purement clinique qu'au point de vue de la
théorie
phy-siologique. Or, dans l'état actuel de nos c
seur de Bertin. Les arguments fournis par M. Leyden à l'appui de la
théorie
qui confond, entre autres, dans un même groupe, l
iphérique. — Il n'en existe encore que trois ou quatre observations. —
Théorie
probable de ces dégénérations........ 260 NEUVI
périences de Gaillard (de Poitiers). Tonicité musculaire normale. —
Théorie
d'Onimus. —Expériences con-firmatives de Boudet d
res qui sont toujours les mêmes. — Interprétation de ces attitudes. —
Théorie
de l'action des antagonistes. — Expériences de Ga
thèse de la lésion irritative dynamique explique mieux que les autres
théories
les symptômes spasmodiques de la sclérose descend
réflexes. — Théo-ries relatives à la pathogenic de la contracture.
Théorie
de l'encéphalite. — Théorie de l'irritation des t
ives à la pathogenic de la contracture. Théorie de l'encéphalite. —
Théorie
de l'irritation des tubes nerveux mélan-gés à ceu
Formes lentes de la myélite transverse. Tabès dorsal spasmodique. —
Théorie
de Erb. Localisation spinale. — L'a-natomie patho
ue, 378. Migraine, 148. Mouvements associés, 317 ; — per-manents,
théorie
de Hitzig, 338,346; — secondaire, 358. Myopathiqu
ystème neuro-musculaire, 381. T Tabès dorsal spasmodtque, 359 ; —
Théories
du —, 368 ; — Diagnostic du — avec la sclérose en
ptique.) Tonicité musculaire, 327, 350. Tonus musculaire, 327 ; —
Théories
d'Onimus, 328 ; — Irritation phy-siologique des c
de vue pathogénique, on peut envisager ces deux formes, suivant la
théorie
de M. Raymond, comme les manifesta- tions extrê
ire soupçonner l'approche. ' SIUOIv. V. Quelques difficultés à la
théorie
de la rétraction; par W -L. VORCESTER, (.1mel'i
al of Insunity, juillet 1899, p. 101 à 103.) - 1 On sait que la
théorie
de la rétraction, telle qu'elle est acceptée pa
n de Sides développe un peu ce point et marque davantage en quoi la
théorie
doit expliquer les phénomènes mentaux, complexi
oms, qualités, etc., de l'objet en question. On a pensé que cette
théorie
jetterait quelque lumière sur les anes- thésies
ntérieurement existantes ? On voit les difficultés que rencontre la
théorie
de la rétraction quand on cherche à l'appliquer
ans ce travail à réfuter les objections qui' ont été adressées à sa
théorie
de l'existence pour chaque muscle, d'un noyau d
le t destinée non à remplacer, mais à prendre rang parmi les autres
théories
pathogéniques (congestion irritation, troubles
s est mauvaise; objection éthique - et objection métaphy- sique. La
théorie
de la concomitance des phénomènes psychiques et
centres sensitifs régis- sant l'activité des organes des sens. La
théorie
de Fritsch et Hitzig a donné naissance à une énor
cle de centres les plus divers. Si obstinés que soient contre cette
théorie
ses adversaires, ils ne sont cependant pas en é
eaucoup d'observations cliniques excellentes. Depuis trente ans, la
théorie
des localisations cérébrales a remarquablement
55 XXX. La psychotopographie du manteau des circonvolutions et la
théorie
de Flechsig; par L. BlANCHI, traduit par E. JEnTS
rché à résoudre cette intéressante question. De l'ensemble de leurs
théories
et de leurs observations cliniques, on peut con
mme de travail. C'est plutôt un résumé d'expérimenta- tions, qu'une
théorie
nouvelle sur la mémoire. Sa lecture -n'en est p
fin, qu'il s'agissait là d'une véritable maladieet non, suivant la
théorie
de Ileinroth, de la conséquence du péché. C'est
pris texte de notre mémoire sur l'Ereuthophobie pour écrire sur la
théorie
des émotions un important article critique ', r
vrage sur le système nerveux cen- tral2, où il fait le procès de la
théorie
de Lange, tout au moins de la portée exagérée q
uteurs, dont M. Arnaud mais une maladie de l'émotivité. ' J. Soury.
Théorie
des Émotions. (.17111ales médico-psychologiques,
ondions, p. 1329. (Paris, Carré et Finaud, iS'JJ.) Arnaud. Sur la
théorie
de l'obsession. (Congrès des Aliénistes et Neur
a voulu soumettre au contrôle expérimental les faits exposés et les
théories
émises, a essayé de vérifier, par les graphique
BIE. 187 concerne la pathogénie de l'Ereuthophobie, d'émettre une
théorie
quelconque, nous bornant à-constater que Morel
and sympathique, qui les tient tous sous sa dépendance, que dans la
théorie
, si incertaine ici, des localisations cérébrale
es siègent alors dans les annexes ou dans les organes maternels. La
théorie
endogène a été soutenue par Brandt, Edinger, Gu
par- tie difforme est la cause de l'arrêt de développement. · La
théorie
exogène a été défendue par M. Duval, pour qui les
de produire de nouveaux bour- geons. Sans admettre complètement la
théorie
de M. Duval, les auteurs adoptent la théorie ex
mettre complètement la théorie de M. Duval, les auteurs adoptent la
théorie
exogène et pensent que les anomalies de cette s
de l'école de Nancy, M. Vires passe d'abord en revue les anciennes
théories
d'hypnotisme, comme celles du magné- tisme anim
périmental de l'abbé Faria et du D1' Braid. Ensuite, il arrive à la
théorie
moderne de l'hypnotisme, théorie défendue par l
D1' Braid. Ensuite, il arrive à la théorie moderne de l'hypnotisme,
théorie
défendue par l'école de Nancy et basée sur la s
ace, il résume très succinctement l'esprit aveclequel est conçue sa
théorie
. Il tente de démontrer scientifiquement que les
se en revue les progrès de la phi- losophie médicale, comparant aux
théories
-de pathologie générale d'Epicure, Lucrèce et A
1902. N° 76. ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE MENTALE. Sur la
théorie
de l'obsession ' ; Par le D' F.-L. ARNAUD, Mé
conçoit l'émotion en général. Ici, nous sommes en présence de deux
théories
opposées. Pour la psychologie traditionnelle, l
la prépondérance appartient à l'élément intellectuel. D'après cette
théorie
, une perception, une idée d'une certaine nature
h. Ribot. La psychologie des sentiments. Paris, Alcan, 1896. SUR LA
THÉORIE
DE L'OBSESSION. lui59 9 avait déjà dit : « Ce q
tte conception. C'est surtout Lange et W.James qui ont développé la
théorie
, acceptée aussi dans son ensemble par Sergi, pa
organique, c'est unique- ment par un besoin de logique. D'après la
théorie
, pour revenir à la vérité, « il faut dire, à l'
avons peur '. » Telles sont, dans leurs traits essentiels, les deux
théories
, intellectuelle et physiologique ou périphériqu
on- séquent, ne nous satisfait complètement. , A l'encontre de la
théorie
intellectuelle, on peut, tout d'abord, tenir po
ades, ainsi que l'a ' Ribot. Loc. cil., p. 96. Voir en faveur de la
théorie
physiologique. G. Dumas. La joie et la tristess
llet, août 1896). Sergi. Les émotions. Paris, Doin, 1901. Contre la
théorie
. Roubino- vitch et Toulouse. La mélancolie. Par
les. Paris, 1895, p. 80. 3 KrafTt-Ebing. Traité, p. 256. SUR LA
THÉORIE
DE L'OBSESSION. 36J expressément noté J. Falret
lables variations. Il est aussi bien difficile d'expliquer, avec la
théorie
intel- lectuelle, l'état panophobique dans lequ
ait essentiel est l'angoisse, que le fait accessoire est l'idée. La
théorie
émotive ou physiologique a donc été une réactio
s purement organi- ques, aux modifications neuro-vasculaires, cette
théorie
prête, comme la précédente, à de nombreuses obj
émotions intellectuelles et morales ', ' \'V. James excluait de sa
théorie
, la plupart des émotions de ce genre, celles qu
t moins encore pour la plupart des obsessions. Nous avons vu que la
théorie
physiologique de l'émotion s'appuie tout d'abor
e conséquence de cet le première hypothèse. Mais, pour justifier la
théorie
, il faudrait que l'expression émotive fût toujo
a perdu un être cher. Elle éclate en sanglots ou elle tombe SUR LA
THÉORIE
DE L'OBSESSION. 263 en syncope. Dira-t-on qu'el
rmes, syncope) ? Soit encore cet exemple, souvent cité : d'après la
théorie
, la vue d'un ours nous effraierait parce qu'ell
tion. On invoque principalement, pour établir le bien fondé de la
théorie
physiologique ou périphérique, les expériences de
radictoires. G. Dumas ', le traducteur de Lange et partisan de sa
théorie
dans l'ensemble, sinon dans tous les'détails, dis
qui ont obtenu des résultats semblables, les jugent contraires à la
théorie
. De cé nombre sont Binet et Courtier 1, Binet e
fin, et cette observation four- nirait une preuve directe contre la
théorie
physiologique, ces mêmes auteurs ont trouvé exp
1900. 5 Bechterew et Mislawski. Neural. cenlralbl., 188G. SUR LA
THÉORIE
DE L'OBSESSION. 265 « centre émotif principal e
n centre extra-cérébral unique ou que l'on en admette plusieurs, la
théorie
reste foncièrement la même. Mais c'est précisém
Carré et Naud, 1899, 11, p. 1336. 266 PATHOLOGIE MENTALE. 1 La
théorie
physiologique, telle que nous venons de la disc
ns, matière de la vie intellectuelle » (Ribot), ou mêmed'une SUR LA
THÉORIE
DE L'OBSESSION. 267 perturbation qui, pardessus
d'idées fixes. Rev. philos., mars et avril 1891, p. 39fi. SUR LA
THÉORIE
DE L'oBSESSIOX. 269 aux circonstances est diffi
dont je pourrais m'en défaire. Cette idée me faisait concevoir des
théories
insensées. Mes travaux, que j'avais néces- sair
ental, on ne peut s'empêcher de se poser la question : « Comment la
théorie
d'IIeinroth peut-elle l'expliquer ? » Faut-il v
de Goll jusqu'à la partie la plus élevée de la moelle cervicale. La
théorie
de la dégénérescence de la partie du neurone él
enfants rachitiques. Les faits de ce genre paraissent justifier la
théorie
héréditaire du rachitisme et pouvoir faire adme
tel devait être le premier soin de l'auteur s'il voulait édifier sa
théorie
sur une base solide. A cette fin il soumit, pen
on de l'excré- tion de l'acide urique le point de départ même de sa
théorie
de l'accès épileptique est maintenant appelé à
riodique complet. 350 ' VARIA. Pour lI. Téchoueyres les anciennes
théories
pathogéniques (Traube, Filehne Cufrer) sont ins
liquer le Cheyne-Stokes compris à ce point-de-vue très général ; la
théorie
cérébrale est plus satisfaisante. Mais s'agit-i
rs de doute 2. Cette dernière n'a d'ailleurs rien d'inadmissible en
théorie
. En effet, l'hystérie étant caractérisée par «
éciale que la présence de doigts rudimentaires viendrait appuyer la
théorie
exposée par Mathias Duval dans son article sur
une de 0,006 millimè- tres. Cette observation ne ruine nullement la
théorie
de Destol, . car il n'y a ici qu'une simple hyp
e tableau clinique aujourd'hui classique de la myopathie et avec la
théorie
pathogénique de son origine primiti- vement et
e partie contractante qui peut être lésée. Aussi n'est-ce pas-une
théorie
générale du contrat (qui implique pour être valab
te dans nos esprits entre la douleur et le péché, s'explique par la
théorie
de la sélection naturelle et n'est autre chose,
- coccus intra-cellulaire, ce qui, semble plaider en faveur de la
théorie
française de la parenté entre le pneumocoque et l
n, 1900-1901.) Le travail de Mlle Manonoff est un simple résumé des
théories
428 VARIA. émises sur la nature des chorées.
tal. Nous ne voulons pas cependant baser sur un cas isolé toute une
théorie
des hal- lucinations psychomotrices qui peuvent
e de Saint-Luc est le système de la pra- tique et pas du tout de la
théorie
, et que partout on voit à l'oeuvre une administ
l, rémittent sans troubles réflexes ni sensitifs. Songeant aux deux
théories
pathogéniques du tremblement mercuriel (tremble
psychiatrie. C'est à'tort qu'on veut dès maintenant construire des
théories
, alors qu'en raison des difficultés particulièr
écutive il une COIn1110- tlon cérébrale légère. Obsession. Sur la
théorie
de 1 ? par Arnaud, 257. Odorat. Voir Fatigue.
epelin, 527. Psychotographie du manteau des circonvolutions et la
théorie
de Flpchsig, par L. Biauchi, 155. PSYCHOSE po
Guise et Laroursky, 142. Rétraction. Quelques difficultés à la
théorie
de la -, par Worcester, 132. Rêves. Connexion
u près nulles et constatai que s'il se défendait de verser dans les
théories
anarchistes, il protestait cependant contre l'o
it surtout un pis-aller et de fait les auteurs qui ont émis cette
théorie
sont plutôt sobres de détail quant à son interpré
tôt sobres de détail quant à son interprétation psychologique. La
théorie
des centres kinesthésiques de Bastian dérivée pou
rie des centres kinesthésiques de Bastian dérivée pour une part des
théories
sensitives de Munk et de Schiff est plus complè
dénomination de zone motrice reste donc vraie quand même dans cette
théorie
, appli- quée à la zone rolandique, puisqu'en de
ir sur les cellules motrices bulbo médullaires. Toute question de
théorie
mise à part il serait du reste inexact de croir
rveau à son plus haut degré de perfection, on ruine du même coup la
théorie
de « l'homme de la nature ». Ainsi que par le p
thyroïdisme avec cette affection, se déclare plutôt partisan de la
théorie
thyroïdienne du goitre exophtalmique. Il adme
'ici classique de l'ataxie locomotrice invo- quait toutes sortes de
théories
étiologiques et pathogéniques, basées sur le fa
quant à la nature de l'agent irritant, elle donne lieu à plusieurs
théories
. L'une d'elles, très répandue, très acceptée ve
à la décharge de la bou- teille de Leyde. On peut objecter à cette
théorie
: 10 que les cellules corticales fonctionnent d
s affectées comme dans l'épilepsie Jack- sonienue ; et 3° que cette
théorie
préjuge la question de l'étiologie de l'état an
la strychnine et la téta- noloxine. Ceci nous amène à la seconde
théorie
, comparable à la théorie que Traube a donnée de
- noloxine. Ceci nous amène à la seconde théorie, comparable à la
théorie
que Traube a donnée de l'urémie, et suivant laq
UflY communique l'histoire d'un épileptique venant à .l'appui de la
théorie
actuelle de la genèse de l'émotion L'émotion or
me nerveux central. Structure et fonctions. Histoire cri- tique des
théories
et des doctrines ; par Jules Sounv. 2 volumes g
es de science du dix-neuvième siècle. C'est l'histoire critique des
théories
et des doctrines de psycho- logie physiologique
utres tiers concernent l'époque con- temporaine depuis 1870. « La
théorie
scientifique des localisations fonctionnelles de
trines, l'unité du livre de M. J. Soury. Il expose tout d'ahord les
théories
relatives à la structure et aux fonctions des org
n clinique et de l'anatomie pathologique de l'aphémie. « Quant à la
théorie
actuelle des localisations cérébrales, telle qu
a cénesthésie, les émotions, la vision, l'audition, l'olfaction, la
théorie
des centres de projection et d'association du t
centres de projection et d'association du télencéphale, et enfin la
théorie
des neurones. Ici figurent les observations que
'écorce du cerveau antérieur. M. J. Soury consacre un chapitre à la
théorie
des contractures. L'ancienne hypothèse des prop
rices s'exercant sur les cellules motrices de la moelle. Mais cette
théorie
était incomplète. Dans les cas de paraplégie fl
es plus récentes découvertes faites dans cette voie. 11 réfute la
théorie
d'après laquelle il existerait des organes péri
cérale peut persister, mais avec analgésie et thermo-anesthésie. La
théorie
de Lange et de W. James sur les émotions est vive
partout et toujours là fonction a ciéé l'organe. Il aborde enfin la
théorie
des neurones. Au moment où Golgi institua sa
protoplasmiques du réseau diffus de Gcrlach. Golgi rem- plaça cette
théorie
par celle de l'anastomose des prolongements cyl
nts les fibrilles d'un réseau de spongio- plasma achromatique. Deux
théories
restaient en présence : celle des unicistes qui
et intra-cellulaires, unissant toutes les cellules du névraxe. La
théorie
des neurones demeure acceptée comme l'expression
ettant à l'esprit d'embrasser d'une vue synthétique et critiqne les
théories
que les penseurs de tous les temps ont émises s
étant qu'un résultat de notre organisation. Il est parti- san de la
théorie
de Flechsig qui divise le cerveau en centres de
- physiologie scientifique. Cette discordance est plus marquée en
théorie
qu'en pratique, le magistrat atténuant la rigidit
, même dans les productions les plus élevées du génie. Une pareille
théorie
n'a rien de scientifique, n'est appuyée sur auc
naît au contraire de la mise en tension du muscle vésical. Ces deux
théories
sont loin de s'exclure l'une l'autre et les que
OU. Séance du 24 Septembre 1899 W.-A. Mouratow. Contribution à la
théorie
de l'épilepsie. M. Mouratow s'arrête longuement
épilepsie généralisée d'emblée « épilepsia genuina ». Il rejette la
théorie
« médullaire » et se prononce pour l'origine co
a localisation super- ficielle du processus. Il réfute également la
théorie
de la « décharge paralytique » de Binswanger. P
amorphose locale d'après Weigert-Edinger). L'application de cette
théorie
rend compte de tous les phéno- mènes épileptiqu
ntéressante dans ce sens qu'elle four- nit une preuve directe de la
théorie
embryogénétique de l'origine de la syringomyéli
Cramer, Westphall). Daus la seconde partie de l'ouvrage, toutes les
théories
précédemment exposées sont critiquées de la man
ption délirante pré- cède l'hallucination. Il repousse également la
théorie
classique de l'obsession qui, pour lui, n'est q
ernier à son tour est une obsession progressive, à l'appui de cette
théorie
, l'auteur aborde une ontogénie très abstraite m
et du cerveau, 1898, Pétersbourg, 2° édition. BEKllTERErF (\V.).
Théorie
des contacts et étude des décharges de l'énergi
UVAL (Mathias). Hypothèses sur la physiologie des centres nerveux ;
théorie
histologique du sommeil. Comptes rendus heb- do
fascicule 1. HENIUT. Sur les cellules nerveuses multipolaires et la
théorie
du « Neurone ». (Bulletin de l'académie de méde
écrevisse commune, sur laquelle M. Bethe se fonde pour combattre la
théorie
des neurones, peut se résumer ainsi. Chaque seg
c (de Lenhossek et Retzius, 1892). Le schéma est même conforme à la
théorie
du neurone; on y voit et les terminaisons des d
s sangsues et le lombric. Mais en quoi cela peut-il contredire à la
théorie
du neurone ? Les éléments nerveux, chez les inv
VIII. Les anesthésies, paralysies et amyotrophies en tranches et la
théorie
métamérique de Brissaud ; par J. Crroaa. (Journal
tient la relation de deux observations qui viennent à l'appui de la
théorie
métamérique de Brissaud. La première est un cas
es dont la topographie fonctionnelle ne peut s'expliquer que par la
théorie
métamérique de Brissaud. G. D. REVUE DE PATHO
ts de la matière médicale. L'auteur s'attache à démon- trer que les
théories
automatistes de la physiologie sont insuffi- sa
ns notre « moi, > : , notre conscience, notre âme. Suivant cette
théorie
, les fonctions de la vie végétative seraient lo
e l'hypophyse, et le cas qu'ils rapportent, loin de combattre cette
théorie
vient l'appuyer fortement, en montrant que, dans
tion du tissu hypophysaire explique l'absence d'acromé- galie. Leur
théorie
s'appuie sur plusieurs faits : la les examens pos
une critique des différentes objections qui ont été faites à cette
théorie
ils tirent cette conclusion que l'acromégalie est
uisit et noya la lésion primitive. M. Marie pense néanmoins que les
théories
actuelles sur le siège temporal des auditions s
teurs et c'est même sur leur présence qu'ont été basées plusieurs
théories
'pathogéniques de cette névrose. Dès 1700, Théodo
toujours à la môme partie du crâne : la région frontale. Diverses
théories
ont été invoquées pour l'expliquer ; toutes sont
cité des lésions permet d'écarter avec beaucoup de vraisemblance la
théorie
, nouvellement reprise, qui fait de la sclérose
s le- 452 BIBLIOGRAPHIE. quel, après avoir exposé et critiqué les
théories
de Ribot, Lange, W. James, il montre l'importan
dance anatomique y soit démentie ; tous éclairent pour leur part la
théorie
. Avant toute discussion l'auteur rappelle que l
inence et en ce qui a trait à la res- ponsabilité s'élève contre la
théorie
qui voudrait absoudre en masse les pervers et i
, et non point des pseudo-hallucinations, des illusions. Après la
théorie
de l'origine périphérique ou sensorielle des ha
'origine périphérique ou sensorielle des hallucinations en général,
théorie
la plus ancienne, sou- tenue par Plater, Sauvag
plus ancienne, sou- tenue par Plater, Sauvages, Darwin, etc., et la
théorie
d'origine intellectuelle (Esquirol, Leuret, Bri
(Esquirol, Leuret, Brière de Boismont, Delasiauve, etc.); après la
théorie
mixte (Baillarger, Marée, Motet, etc.), pour ne
CLINIQUE MENTALE. avec le progrès de la science physiologique à la
théorie
basée sur les expériences physiologiques. Formu
ences physiologiques. Formulée et com- mentée par Taniburini, cette
théorie
est acceptée aujourd'hui par les aliénistes, bi
ui par les aliénistes, bien qu'avec des exceptions. D'après cette
théorie
, l'hallucination est le résultat de l'excitatio
niques, des maîlres, comme MM. Ballet et Vallon, n'acceptent pas la
théorie
des centres sensoriels. Dans cette même discuss
'écorce, il y a toujours excita- tion des centres sensoriels, et la
théorie
de Tamburini se justifie quand même. L'hallucin
Les résultats obtenus démontrent, et ce fait vient à l'appui de la
théorie
de l'auto-intoxication, que les urines des épil
ulsif. L'auteur relate brièvement deux observations à l'appui de la
théorie
qu'il défend. R. de Musgrave-Clay. L. La cécité
mégaliques. M. Brissaud, voit dans ce malade une confirmation de sa
théorie
, qui met dans le même cadre morbide l'acromégal
e un Français, Demetz, qui le premier eut l'idée de ce système. Les
théories
de ce philanthrope ont trouvé chez nos voisins
AoroTnormES. Les anesthésies, pa- ralysies et - en tranches et la
théorie
métnméryue de Brissaud, par Crocq, 330. Anest
Anesthésies. Les -, paralysies et amyotrophlee en tranches et la
théorie
métamérique de Brissaud par Crocq, 330. Aphas
l'humérus dans l' -, par Clark, 241. -, par J'II, de Fleury, 257.
Théorie
de l' -, par Nlouratow, 259. , trépanation acci
es et Moskens, 75. Anesthésies, - et amyotro- phie en tranches et
théorie
mé- tamérique de Brissaud, parCrocq, 330. Dia
de faire l'objet d'une communication. Il n'y a pas à revenir sur la
théorie
physiologique du spi- rilisme 1, mais il faut e
de ce cas, l'auteur fait un historique de la maladie et expose les
théories
actuellement en présence. (Revue neurologique, ao
iminer, dans la recherche de la cause de l'affection, aussi bien la
théorie
de l'aplasie lamineuse que celle de la lésion ner
du atteint de syringomyélie. Cette constatation est en faveur de la
théorie
de Joffroy, d'après laquelle les diverses cause
la véracité des arguments mis en avant par Pétrone, pour édifier sa
théorie
pathogène de l'ostéomalacie. Cet auteur considè
r ont été négatives. De ces recherches, M. Lacomme conclut que la
théorie
présen- tée par Pétrone quoique fort séduisante
ar une excitation afférente anormale. Il montre ensuite que cette
théorie
n'est contredite par aucun des faits observés.
observés. Il va sans dire que, au point de vue du traitement, cette
théorie
conduit à examiner les malades avec le soin le
, paralysie générale, paraplégie spasmodique, etc. A propos de la
théorie
du neurone. M. Durante : - L'auteur reprend ave
x arguments avancés par les partisans du neurone en faveur de cette
théorie
. La terminaison libre des fibrilles dans les ce
bles de remplacer physiologiquement la glande principale. - Cette
théorie
de la parenté histologique ne tint pas devant les
lui de la physiologie de la glande pituitaire font plus probable la
théorie
qui soutient que cette, maladie est due à une e
ression des phé- 92 z1) VARIA. nomènes de déficit. Pourtant cette
théorie
ne peut être admise sans réserves. , L'étude
mis qui n'en savaient guère plus que lui et mélangeaient dans leurs
théories
le spiritisme, la franc-maçonnerie et la magie
ociale hantaient surtout le malade à ce moment-là, il concevait des
théories
sociales dans lesquelles il représentait l'huma
é départ de son âme », cela ne l'étonné pas, car dit-il, d'après la
théorie
spirite « il se quitte lui-même pour aller anim
osée méritent l'attention. On ne saurait en effet leur appliquer la
théorie
récemment émise par le profes- seur Bard qui n'
église la font interner, et l'asile devient un nouvel aliment à ses
théories
délirantes. . Les auteurs montrent comment, che
du délire chez l'actif, le cas n'est pas davantage en faveur de la
théorie
classique, car le passif manifeste déjà des ten
ordination par l'autre, ces considérations militent en faveur de la
théorie
de M. Régis. Etat obsédant point de départ d'un
ui tendent à s'accroître chez l'adulte. On peut objecter, à cette
théorie
des noevi sous-cutanés primitifs, que les tache
la société de biologie, 1893, p 57).- La famille névropccllciy2ve,
théorie
lé1'alolo,gique de l'hérédité et de lu ^prédisp
Il parla même d'ondulations et d'oscil- lations, c'est-à-dire de la
théorie
actuelle sur les vibrations. Il reconnut le rôl
nombre de cas. Cette constatation ne porte nullement atteinte à la
théorie
de l'auto-intoxication ; les tares dégénératives
e à la confusion mentale (Régis), et par conséquent d'admettre la
théorie
de la démence vésanique rapide, il nous reste à e
lques-uns des arguments qui peu- vent être invoqués en faveur de la
théorie
de Kroepelin. Pour juger du niveau intellectuel
spectives de ces deux groupes d'états démen- tiels. D'après cette
théorie
, « les délires et les démences dites organi- qu
coce ne me semblent pas devoir entrainer la conviction contre cette
théorie
, on peut, je crois, faire appel à deux ordres de
e bravoure qu'il a fallu au rappor- teur pour attaquer de front les
théories
régnantes. MM. Doutre- bente (de Blois), Vallon
ringomyélies, etc.), ne peuvent servir de documents pour établir la
théorie
des localisations : ces lésions ont, en effet,
s. Ces cas servent, cependant, à démontrer la valeur pratique de la
théorie
des localisations pour l'interprétation des sym
e. Telle est l'idée qu'une comparaison impartiale des différentes
théories
soigneusement exposées permet de se faire. Chacun
ions motrices chez l'homme n'est pas totalement explorée et que les
théories
sont souvent trop exclusives. Trois types de lo
que M. Cru- chet (de Bordeaux) vient remettre en question toute la
théorie
des tics, si nettement établie par Brissaud et
la compare aux autres régions. Ce fait semble venir confirmer la
théorie
si rationnelle, qui fait de la paralysie générale
avec art, par les pelouses et escaliers de la basilique, la longue
théorie
lumineuse des pèle- rins du diocèse de Limoges.
et tous les signes ordinaires de la névrite rétro-bul- baire. Les
théories
classiques, anciennes et modernes, peuvent donc
ire avec le même caractère. Nous' ne voulons défendre aucune de ces
théories
. Nous estimons que la dernière ne peut être gén
. JVet'MH/tcA ? XXIV, N. F. XII, 1901.) Etude très détaillée de la
théorie
du parallélisme moderne, c'est-à-dire de la thé
détaillée de la théorie du parallélisme moderne, c'est-à-dire de la
théorie
qui dit que l'état physique n'est qu'une manife
omènes de sa conscience individuelle. M. Moskiewicz pense que cette
théorie
a l'avantage de corres- pondre à l'esprit des s
tion. 4° On n'observe pas les scotomes circonscrits annoncés par la
théorie
de Munk : c'est de l'hémio- pie. 5° Les trouble
ales doubles disparaissent eux aussi avec le temps. Conclusions. La
théorie
de Munk d'après laquelle tout élé- ment de la r
er quand on a sup- primé l'élément cortical qui lui commande, cette
théorie
est fausse. L'absence de scotomes circonscrits
M. ALTER tente l'explication du mécanisme de ces phénomènes par une
théorie
nouvelle d'une fonction bi-polaire attribuable au
re attribuable au pro- toplasma des articles externes des cônes. La
théorie
de la fonction bi-polaire appartient à M. de Ii
c et le diagnostic de cette affection, l'auteur étudie les diverses
théories
pathogéniques qui ont été proposées et les médi
; cure phy- sique, chirurgicale et pharmaceutique). z Toutes les
théories
pathogéniques sont rappelées par Cappeletti : t
Toutes les théories pathogéniques sont rappelées par Cappeletti :
théories
de l'entéroptose (Franz Glénard), de l'auto-intox
sthénie envisagée comme maladie des échanges (Axenfeld et Huchard),
théorie
de l'épuisement de la cellule nerveuse (Beard),
t Huchard), théorie de l'épuisement de la cellule nerveuse (Beard),
théorie
anatomique et vaso-motrice de Kaan (neurasthéni
quise par surme- nage ou par insuffisance des matériaux nutritifs),
théorie
mécanique de Maurice de Fleury (neurasthéniques
une régénération autogène des fibres nerveuses 1 Contribution à la
théorie
du neurone ; par E. Muenzer. (Neuro- log. Ce ?
tres nerveux expliquant les fibres néofor- mées, et sauvegardant la
théorie
du neurore. La question en est là. Les détails
fasc. 1, t. II). ' - J. S. LXXIX. La psycholepsie de Janet et la
théorie
de Storch-Foers- ter ; par le Dr DE Bues. (Jour
ception et des sensations organiques correspondantes. C'est à cette
théorie
de Foerster-Storch que se rallie l'auteur du tr
AY. (Journal de Neurologie, 1904, n° 6.) Après avoir rappelé que la
théorie
du neurone ne peut plus se concilier avec les n
le, les recher- ches exposées dans ce travail viennent confirmer la
théorie
de Sano d'après laquelle les localisations spin
d'après laquelle les localisations spinales sont musculaires. Cette
théorie
, d'après les auteurs, se confondrait du reste ave
nt la grossesse, a été confirmée récemment par Bourneville. Cette
théorie
pathogénique est adoptée par l'auteur, qui n'hé-
mentaux et les anomalies physiques de son malade. G. D. LXXXVIII.
Théorie
physiologique de l'hystérie ; par le D1' SOLLIER.
ciété belge de neurologie, le D1" Sollier, après avoir critiqué les
théories
psychologiques de l'hystérie, expose la concept
- L'auteur réfute ensuite les objections qui ont été faites à sa
théorie
, notamment celles qui attribuent à la suggestion
aux, tant au point de vue physiologique que psychologique, que sa
théorie
permet de mettre en évidence (existence d'une cén
tion solaire. G. Deny. XC. Régénération autogène chez l'homme et la
théorie
du neu- rone ; par G. Durante (Journ. de Neu1'l
e l'opinion des auteurs qui ont combattu dans ces derniers temps la
théorie
du neurone qui devient d'après eux un organisme
, prouver l'autonomie même de la maladie et les défenseurs de cette
théorie
ne manque- ront pas de me faire remarquer que j
cuir chevelu; et l'examen de l'un et des autres tend à confirmer la
théorie
qui considère cet état comme le résultat possib
re supérieur. ' Le cas que l'auteur présente autorise à rejeter les
théories
qui incriminent la thrombose ou la coagulation;
al. Au point de vue pathogénique, les auteurs tendent à admettre la
théorie
reflexe, le centre de réflexion est au niveau R
ouble de la secrétion interne de l'hypophyse d'autre part; enfin la
théorie
de Loeb qui fait jouer le plus grand rôle aux c
othèses ont été mises en avant. Wharton Jones, le premier, émit une
théorie
vaso-motrice; il prétend que les lésions du ner
une régénération autogène des - nerveuses ? Con- tribution il la
théorie
du neurone, pat Muenzer, 396. Fièvre hystériq
r G. Guillain et Lhermitte, 75. JANET. La psycholepsie de et la
théorie
de Storch-Foerster, par de Buck. 401. Juges E
tique aiguë, par Weill et Galla- vaidin. Neurone. A propos de la
théorie
du - , par Durante, 79. Quelques dé- ductions
-, par Debray, 402. Ré- génération autogène chez l'hom- me et la
théorie
du -, par Du- Faute, 407. ' Xevr algie. Deux
e. Admirant « quelle splendide confirmation » avait apportée à la
théorie
des centres psychomoteurs de l'écorce, au point
natomo-clinique de la vision, par quel- ques vues d'ensemble sur la
théorie
des hallucinations de la vue. Tamburini ' 1 r
. (Htu. sperim. di (l'enial1'ia, 1880,1215 sq.) 56 PHYSIOLOGIE.
théorie
n'a pu acquérir quelque solidité que du jour où
fin l'hypothèse de Tamburini présentait certaines affinités avec la
théorie
de la sphère sensi- live de Munk. Cette idée, q
sur les localisations cérébrales '. Après un aperçu historique des
théories
de Golgi, de Giacomini, de AI. Duval, entre aut
es mammifères l'est certainement d'images olfactives, et quoique la
théorie
de la connaissance n'en puisse pas être aussi p
« De la pression baromé- tique. » Là, nous trouvons les nombreuses
théories
qui ont été émises sur la question qui nous occ
reuses théories qui ont été émises sur la question qui nous occupe,
théories
que nous allons retracer et que l'ou pourrait r
ue nous allons retracer et que l'ou pourrait ramener à quatre. 1°
Théorie
de la compression physique des tissus exté- rie
hysique des tissus exté- rieurs, ainsi appelée par Paul Bert. Cette
théorie
appartient à MM. Pol et Watelle qui l'ont émise
1851. 1. Archives, t. XVIII. 6 8 : l CLINIQUE NERVEUSE. cette
théorie
: on a certes été frappé en lisant nos observat
l et Watelle eux-mêmes. Or, ce refoule- ment du sang, d'après cette
théorie
, ayant lieu aussi bien pendant la compression q
ion qui suffirait amplement à elle seule pour faire rejeter cette
théorie
, ces deux médecins de Douchy n'ont pas man- qué
» La physiologie vient à son tour donner le coup de grâce à cette
théorie
. Elle nous enseigne que la pression barométriqu
n privé de toute originalité. Il adopte cette fausse doctrine. La
théorie
si erronée de Pol et Watelle a été adoptée plus
. Je le répète, malgré ces vues si ingénieuses, l'auteur reprend la
théorie
de la compression physique des tissus extérieur
ales et leshypérémies dont parlent tous les auteurs » (p. 52). 2°
Théorie
vasculo-mécanique. Cette théorie, ainsi appelée
ent tous les auteurs » (p. 52). 2° Théorie vasculo-mécanique. Cette
théorie
, ainsi appelée par M. Alphonse Febvre dans son
xamine un peu plus pro- fondément on ne tarde pas de voir que cette
théorie
vasculo-mécanique n'est autre chose que la théo
e voir que cette théorie vasculo-mécanique n'est autre chose que la
théorie
de la compression physique des tissus extérieur
ion physique des tissus extérieurs formulée d'une autre façon. 3.
Théorie
du développement des gaz intestinaux. Cette thé
tre façon. 3. Théorie du développement des gaz intestinaux. Cette
théorie
a été exposée par M. Mouchard'. Cet éminent maî
our se redissoudre par une compression nouvelle (pu 101). » Cette
théorie
est tout aussi erronée que les deux autres expo
ranchie que chez les animaux vivants où les réflexes existent. 4°
Théorie
du refroidissement et de la fatigue Cette théor
es existent. 4° Théorie du refroidissement et de la fatigue Cette
théorie
a été formulée par M. Lampadarios (loc. cit.),
e a été formulée par M. Lampadarios (loc. cit.), qui, repoussant la
théorie
du développement de gaz dans le sang attribue l
et à la fatigue. Le professeur Caramitsas a vivement combattu cette
théorie
dans sa belle critique publiée dans les fascicu
de l'Esculape. Nous croyons inutile d'insister pour réfu- terune
théorie
pathogénique absolument insoutenable. 5° Théori
our réfu- terune théorie pathogénique absolument insoutenable. 5°
Théorie
du développement des gaz dans le sang. En voici
5° Théorie du développement des gaz dans le sang. En voici la vraie
théorie
, la théorie qui a été sura- bondamment démontré
u développement des gaz dans le sang. En voici la vraie théorie, la
théorie
qui a été sura- bondamment démontrée et qui va
e. 92 CLINIQUE NERVEUSE. Il est vraiment curieux de trouver cette
théorie
développée déjà vers 1855 par Musschenbroeck 1,
posante autorité confirmer par de nombreuses expé- riences cette
théorie
. Cet illustre maître ayant démontré péremptoire
con- ductibilité meilleure, surtout aux plus superficiels. Cette
théorie
semblerait trouver un appui dans ce fait que la s
lui fut recommandée parle professeur Charcot. Ne partageant pas la
théorie
d'Ord sur l'origine du myxoedème, l'auteur sup-
ui qui suc- cède au sommeil naturel. Comment agit le chloral ? La
théorie
de Liebreich a été vérifiée, notamment par Pers
é motrice était accrue. M. Soutzo (de Bucharest) réclame pour cette
théorie
l'appui de l'anatomie pathologique. Mais ainsi
e lésions matérielles dont la constatation puisse venir étayer la
théorie
de M. Cotard. Bien plus, parmi les nombreuses aut
me du délire observé pendant la vie. Quelque ingénieuse que soit la
théorie
de M. Cotard, il est bon de ne la considérer en
mme une simple hypo- thèse. M. CHARPENTIER demande que dans toute
théorie
de l'origine du délire, on fasse toujours une g
r le terme de magnétisme à l'étude des faits anciens où dominait la
théorie
fluidique, et celui d'hypno- tisme aux faits pl
iples et si variés, de la paralysie générale. Quoi- qu'en somme, la
théorie
pathogénique que l'on a attribuée et qui semble
te conquête définitive de la science comme unique jusqu'ici dans la
théorie
des localisa- tions cérébrales. L'étude des cen
un problème qui en comporte tant d'autres ! A côté, en effet, de la
théorie
de Fritsch et Hitzig, de Nothnagel et de Bastia
ens musculaire des autres éléments constituants de la kinesthésie),
théorie
pour laquelle les centres dits moteurs de l'éco
gines centrales du sens ou de la conscience mus- culaire, il y a la
théorie
de Schiff, suivant laquelle les troubles de la
éactions provoquées seraient identiques à des réflexes. Il y a la
théorie
de Munk, pour qui la prétendue zone motrice, su
ns mentales de la sensibilité générale et du mouvement. Il y a la
théorie
, absolument motrice, de David Fer- LES FONCTION
centres de la sensibilité générale et du sens musculaire. Il y a la
théorie
de Charcot, pour qui les centres moteurs cortic
où pour- rait avoir lieu le rappel idéal de ces images. Il y a la
théorie
de François Franck, qui, adversaire de la théor
ages. Il y a la théorie de François Franck, qui, adversaire de la
théorie
de centres moteurs par eux-mêmes, autonomes, in
entres moteurs par eux-mêmes, autonomes, incline décidément vers la
théorie
de l'influence réflexe des éléments excitables
fférent aux cellules motrices du bulbe et de la moelle. Il y a la
théorie
des confluents. Mais les résultats contradictoi
t : la nuée paraît immobile '. Enfin, et pour ne rien dire d'autres
théories
encore sur la nature probable des fonctions mot
es sensations qui déterminent des mouvements réflexes '. Quant à la
théorie
que Tam- burini, Luciani et Seppilli ont élabor
burini, Luciani et Seppilli ont élaborée, depuis 1876, c'est une
théorie
mixte, frappée au coin du génie éclectique des
ans les parties frappées de paralysie, sans recourir à aucune des
théories
proposées jusqu'à eux : ils les répudient toute
r lui- même. Cela ne laisse pas d'être assez piquant, car cette
théorie
de Luciani et de Tamburini porte bien la marque
ines contraires sur la nature des centres moteurs corti- caux. La
théorie
éclectique qu'il présenta était bien faite, ce
des régions antérieures. Mais c'est pour retomber dans son ancienne
théorie
de la suppléance des fonc- tions psycho-motrice
tations mentales corres-' pondantes, elle viendrait à l'appui de la
théorie
, peu vraisemblable selon nous, qui a été exposé
poserait au retour du sang de la veine centrale de la rétine. Cette
théorie
a été renversée par 0 la constatation anatomiqu
de ces motifs, il n'y a pas lieu d'introduire dans le code pénal la
théorie
de l'atténuation de la responsabilité. La Commi
ls avec la religion. Les conclusions de l'auteur sont favorables à la
théorie
psycho-physiologique de la suggestion : il procla
le fait que, quoiqu'il fût surtout connu dans le monde médical par sa
théorie
et sa pratique de l'hypnotisme, il avait aussi ob
craft, etc..., Braid disait qu'il était alors en mesure de donner ses
théories
concernant toutes les questions relatives à l'hyp
hobies professionnelles, semble s'être beaucoup moins préoccupé de la
théorie
que de la pratique. « Ces états, écrit-il, sont c
er et Maudsley. Enfin, avec M. Th. Ribot pour guide, j'inîcrprétai la
théorie
de W. James et de Lange, sur la nature des émotio
ces recherches pcrsoiineUes, me réservant de compléter bientôt cette
théorie
psycho-biologique des phobies, pardes observation
lité, ils agiraient aussi efiicacement s'ils étaient en bois. » Les
théories
de l'Ecole de Nancy ressemblent exactement aux de
Les théories de l'Ecole de Nancy ressemblent exactement aux dernières
théories
de Braid, et leur point do vue est le môme en ce
ordres divers. Cela tient à ce que les auteurs s'inspirent encore des
théories
que l'Ecole de la Salpêtrière avait émises sur la
gens qu'on imite modifient leurs actes d'une façon raisonnable. La
théorie
de l'histoire, concentrée dans los grands hommes,
ibuer. La médecine commence comme une superstition enveloppée par des
théories
imaginaires et indigestes. On arrive à se débarra
temps. Quelles que soient les différences qui existent entre les
théories
de Braid et celles, plus récentes, auxquelles j'a
phénomènes nous assimilent. » Comment se fait-il que les dernières
théories
de lïraid aient été presque entièrement ignorées
e il insistait sur l'importance d'un sujet destiné à révolutionner la
théorie
et la pratique de la médecine. Autant que je pu
rançais et en allemand. Indépendamment des traductions de Preyer, les
théories
avancées de Braid semblent être peu connues en Al
e semblait pas avoir l'idée que Braid eût anticipé la « suggestion »,
théorie
de l'École de Nancy. Il admet cependant que plusi
certaine mesure, la continuation de l'œuvre de Braid. Les dernières
théories
de ce dernier sont également ignorées en France o
1883 comme supplément à Neurologie, lequel contient plusieurs de ses
théories
avancées, de nombreuses références à la suggestio
ue. De l'aveu de presque tous les médecins présents au Congrès, les
théories
de l'Ecole de la Salpêtrière rencontrent, chaque
auprès du grand public, une assertion incontestable, et si la vieille
théorie
do la répression quand même, la théorie de ceux q
contestable, et si la vieille théorie do la répression quand même, la
théorie
de ceux qui, en commentant le code, scrupuleuseme
Une fois de plus la magistrature était sauve ; malheureusement cette
théorie
est aussi fausse que séduisante, nous Talions dém
nuer ainsi, vous recevez un augment de considération en acceptant des
théories
physiologiques qui, pour n'être pas vos filles, n
e comme agent curatif, mais aussi de formuler mes opinions quant à la
théorie
des phénomènes, en les comparant à celles d'autre
Je ne connaissais alors de l'hypnotisme que ce que j'avais appris des
théories
et des méthodes de Braid pendant mes études à Edi
une reproduction des controverses dp Braid avec les mesméristes. Les
théories
de Burcq reprises par Charcot avaient depuis long
uites dans l'esprit du sujet. Un des énoncés les plus clairs de cette
théorie
fut publié en iSoi par John Hughes Bennett, profe
. Heidenhain revint, longtemps après, sur le côté physique de cette
théorie
, tandis que Bernheim en reprit la partie psychiqu
simultanément, d'où provient la somme d'attention surnuméraire que la
théorie
demande pour leur production? Braid hypnotisa,
la conception de l'hypnose qu'elle implique est plus correcte que la
théorie
automatique du sujet. Je désire, en finissant,
, démontre qu a cette époque, Bernheim ignorait encore absolument les
théories
avancées de Braid. » — « Braid, dit Bernheim, fai
achevé de dégager l'hypnotisme, le braidisme des manipulations et des
théories
physiologiques qui l'embarrassaient encore et de
réponses en rapport avec les images conscientes. Ainsi s'évanouit la
théorie
d'après laquelle le délire ne serait jamais qu'un
s d'aboulies que nous avons étudiées et interprétées conformément aux
théories
hislologiqucs et physiologiques les plus récentes
Blum, professeur agrégé de philosophie. Ce professeur, partisan de la
théorie
des idées innées, considérait que le fait d'hypno
devrait jamais se départir quand il s'agit de juger les actes et les
théories
d'un savant, qui put se tromper, mais qui resta t
era, en justice, de la meilleure foi du monde, un innocent____ a En
théorie
, tout au moins, une pareille puissance est tout c
us dangereux (1). » Et comment avais-je moi-même formulé d'abord la
théorie
à laquelle Delbœuf avait primitivement adhéré ? J
éâtrales. Mais nous sommes édifiés sur ce qu'il reste de ces vieilles
théories
, lorsqu'on les compare aux faits exactement et im
« Sachez endormir vos malades n ; « Sachez les réveiller ». Quelque
théorie
que l'on veuille donner de l'état du cerveau dans
eut plus se produire et la conductibilité devient impossible. Cette
théorie
peut être critiquée quant à la forme, en raison d
it judiciaire, qui montre comment se traduisent, dans la réalité, les
théories
que je soutiens depuis près de quatorze ans. Delb
voilà ! J'ai ainsi fait la preuve que vous réclamez à l'appui de ma
théorie
! [à suivre) (1} Liébeault, Ioc. cit., p. 336
urologisches Centralblatt; 2° Une étude d'ensemble ayant trait à la
théorie
de Flechsig sur les centres d'association ; 3°
nos pensées (*). Chez les personnes affectées de maladie (Il Cette
théorie
est, dans ses grandes lignes, celle qu'a si nette
inutieuses analyses psychologiques nous changent un peu de toutes ces
théories
qui. usurpant la qualification de scientifiques,
ns les anciens magisles, tels que Cornélius Agrippa et Paracelse, les
théories
de l'hypnose formulées par Charcot, et la doctrin
out au point de vue de l'action du moral sur le physique (1). » Ses
théories
y étaient développées longuement et appuyées sur
cnu et dos Pascal. C'était la Théologie familière, où il défendait la
théorie
de Jansen sur la grâce. C'était le Petrns Auréliu
serait dans ce sens « polyétique » ou tout au moins a duoétique ». La
théorie
vasculaire et la théorie intellectualiste semblen
yétique » ou tout au moins a duoétique ». La théorie vasculaire et la
théorie
intellectualiste semblent donc être vraies l'une
hevé de dégager l'hypnotisme, le brai-disme, des manipulations et des
théories
physiologiques qui l'embarrassaient encore et de
M. Bernheim. Mais, comme je l'ai montré, il a bien vite abandonné ses
théories
et ses méthodes physiques, pour adopter l'hypothè
je désire attirer son attention sur un article : « L'évolution de la
théorie
hypnotique » {Brain, 1896) dont je lui ai adressé
sur ce sujet ont été décrites dans mon article sur l'évolution de la
théorie
hypnotique déjà cité (Brain, 1896) ; il en est di
qui mérite le nom d'hypnose. Tl considère cela comme un progrès de la
théorie
scientifique à laquelle il a tant contribué. Et p
o si un état hypnotique prolongé a été obtenu. Je ne connais aucune
théorie
qui embrasse tous les phénomènes de l'hypnose ; l
de départ, rien de plus. Je ne puis accorder à M. Bernheim que ses
théories
soient un progrès sur celles de Braid. Los erreur
é do leurs articulations et désarticulations, on a pu déjà donner une
théorie
du sommeil et rendre intelligibles, à ce point de
des emplois officiels de la médecine. Les successifs écroulements des
théories
et des doctrines pathogéniqùes d'où l'on tire les
nsi progressivement refoulés et bientôt toute l'esplanade est nue, la
théorie
des malades échelonnés formant barrière. Il ne re
avancé qui ne soulevât des objections dignes d'attention. Parmi les
théories
les plus récentes, nous citerons en premier lieu
armi les théories les plus récentes, nous citerons en premier lieu la
théorie
chimique. Plfüger a cru voir, dans une disette d'
e Preyer. Toute autre est l'explication de Mathias Duval ; c'est la
théorie
histologique.) Ici l'on cherche la cause du somme
conditions morphologiques des éléments constitutifs des tissus Cette
théorie
a pour point de départ la mobilité amoeboïde des
t nerveux. La vraisemblance est cependant plus grande du côté de la
théorie
vasomotrice, qui explique le mieux le commencemen
bservations microscopiques sur les neurones, on a échafaudé toute une
théorie
nouvelle de cette maladie. Tout cela a-t-il donné
irera comme homme, dont il subira l'influence, tout en combattant ses
théories
, tout en démontrant les grossières erreurs dont l
En Allemagne (1723), Barchuien analysant avec beaucoup de soin ses
théories
conclut en lui donnant le nom d'« admirable faise
nombreux cas. Je ne veux pas ici insister sur la littérature et la
théorie
de cette maladie. Le professeur Albert Hoffa les
eur de la psychothérapie dont il a magistralement exposé à la fois la
théorie
et la pratique. Joignant l'exemple au précepte, i
doctrinal. C'était comme une sorte de manifeste provocant contre les
théories
des Ecoles d'alors, contre le Galénisme, qui régn
un phlegme putréfiant qui amenait la formation d'un calcul. Les deux
théories
sont de « la même farine »; il va y substituer un
Les deux théories sont de « la même farine »; il va y substituer une
théorie
chimique. Pour lui le calcul n'a pas son origine
ispose à se concréter en graines de calculs. » Pour arriver à cette
théorie
, il étudie chimiquement l'urine dans laquelle il
ts et les plus en rapport avec nos idées modernes. Citons encore sa
théorie
chimique de la goutte. Ce n'est pas une maladie d
son œuvre, c'est assurément ce que nous avons essayé d'analyser : sa
théorie
de la lièvre d'où nait le vitalisme, le rôle impo
'est l'homme criminel et ce qu'est l'aliéné. Ce n'est qu'alors que la
théorie
du droit et de la justice deviendra vraiment scie
ère d'envisager la question est, je le reconnais, très différente des
théories
admises jusqu'à ce jour, mais je suis arrivé à ce
ons, les idées fixes, le délire aigu, la folie. D'après M. Pron, la
théorie
de l'auto-intoxication, communément invoquée, est
rouver sa vitalité et son équilibre ». il n'est pas bien sûr que la
théorie
réflexe explique tous les cas dont s'occupe M. Pr
lui-même.-. » Les lecteurs de cette Revue sont familiers avec cette
théorie
qui, sous le nom de Polyzoisme, fut exposée, il y
phénomènes, c'est-à-dire à saisir les rapports qui les unissent. Une
théorie
n'a de la valeur que si elle est tirée de rapproc
nt satisfaisante. Parmi les anciennes explications il faut citer la
théorie
du polypsy-chisme de .T.-P. Durand (de Gros). Not
rces. Plus lard Goltz, Preyer, Verworne et d'autres ont préconisé des
théories
analogues. Quant à ce rétrécissement psychologiqu
il les a complétées par des faits ingénieusement observés et par des
théories
basées sur une érudition impeccable. » A cela,
prète ces faits, et nous donne une psychologie générale conçue sur la
théorie
de l'évolution. Mais ces ouvrages, si remarquab
un mois. Il avait fait pressentir à l'une que, pour étayer certaines
théories
, il ne serait pas fâché que la liste fût longue;
tieuses et laborieuses recherches, il avait fait avancer la véritable
théorie
de la terre bien plus que les philosophes qui tor
ses belles Lettres sur les animaux, l'adversaire le plus décidé de la
théorie
cartésienne. Ces lettres, qui furent publiées,
tion de l'hypothèse d'une matière distincte de la force. Mais toute
théorie
doit être jugée en dernier ressort par l'utilité
s, qui semblent défier la sagacité des savants et mettre en échec les
théories
les plus solidement établies, certains esprits so
accepter tous les faits expérimentalement vérifiés, les réunir en des
théories
qui ne dépassent pas les limites des données empi
ns rupture de leur position de sommeil. Cette observation confirme la
théorie
que je viens d'émettre, et ruine complètement les
erait, selon lui, la cause immédiate des mouvements en question. La
théorie
de Van Tieghem ne diffère de la précédente qu'en
aient dans l'eau aussi bien qu'à l'air libre. Pfeffer a proposé une
théorie
inverse. Partant de cette donnée que chaque phyto
t exprime le liquide qui lui est entreposé, absolument comme, dans la
théorie
de Ranvier, le disque épais de la fibre musculair
du sommeil et laisseraient ces organes obéir à la pesanteur. Cette
théorie
, qui fait intervenir la contraction du bioprotéon
se psychologique du sommeil cadre bien avec ce que l'on a appelé la «
théorie
histologique du sommeil ». Depuis les travaux d
ion commandé par le cerveau. Pupin (6) a discuté et développé cette
théorie
histologique du sommeil, d'après laquelle « c'est
l.t 1899, p. 55). (6) Pupin. Thèse de Paris, 1896, n°222 Si cette
théorie
, encore hypothétique (1), est ultérieurement véri
r ce point, de conserver ce que Crocq appelle (p. 218) « les vieilles
théories
de la Salpêtrière ». Je conclurai donc ce parag
eil qui continue et se résoud automatiquement. C'est là d'ailleurs la
théorie
de la cérébration inconsciente. c) Enfin, il y a
des dates certaines; et elles suffisent pour détruire entièrement la
théorie
développée dans le numéro de novembre. Monsieur l
tés comme symptômes de ces périodes successives, faits qui d'après la
théorie
, doivent être aussi évidemment successifs. J'ai e
oignent de leur existence sont contemporaines; dès lors encore, si la
théorie
est exacte, et je l'admets bien volontiers elle n
ué. — L'inhibition et la dynamogénie dans les états hypnotiques. — La
théorie
du neurone. — L'hypotaxie et l'idéoplastie de Dur
té formulées par Wundt (1). L'éminent psychophysiologiste expose la
théorie
de « la double conscience » qui, dit-il, « a été
ence normalement propre à l'âme humaine... » D'abord, dit-il, cette
théorie
« est un exemple frappant de cette manière trompe
à considérer ensuite ces choses comme expliquées... Sans répondre, la
théorie
répond à tout, parce qu'elle ne consiste qu'à hab
er les phénomènes de mots nouveaux... » Le reproche est injuste. La
théorie
des deux étages des centres psychiques n'a pas la
à huit. Donc, sans donner l'explication définitive et complète, la
théorie
des doubles centres psychiques est utile, ce n'es
tifiée me paraît l'accusation portée ensuite par Wundt que dans cette
théorie
on explique les choses « par un concept mystique
l'épilepsie, les maladies mentales et, à l'occasion, le rêve... » La
théorie
de la double conscience admet un « second moi » q
du de mots; car, un peu plus loin, Wundt (1) développe à son tour une
théorie
de la suggestion qui n'est pas tellement contradi
sur la nature de l'hypnotisme. Je résume, une dernière fois, cette
théorie
d'un seul mot : dans l'état de suggestibilité, le
cours. Pas de cohue, pas de presse, pas de bousculade, pas d'immenses
théories
à la suite d'un maître connu, et d'autres service
uvant incriminer l'insuffisance du critique, il en concluera que la
théorie
en est con- firmée. Aussi bien suis-je convai
très grand de mon critique.Tandis qu'en mon esprit s'ébau- chait la
théorie
dupliste, j'avais pu, grâce aux objections dès lo
ette existence conjuguée,d'où leur nom de co-être. C'est donc une
théorie
biologique. Quels sont vos titres en L'HOMME ES
indépendance fonctionnelle des deux hémisphères cérébraux. Or cette
théorie
, qui fut soutenue par Dumontpalier, Magnan, Bér
seté. Sur quoi, pour justifier son assertion sur l'inanité de la
théorie
de Dumontpalier et de ses amis. M. Bonne, toujo
ient enfin la réfutation : elle continue dans cette ligne : ? Cette
théorie
, et celles qui s'y rattachent (attribution de c
ne daignait même pas m'indiquer par quels arguments souve- rains la
théorie
de l'Indépendance fonctionnelle des deux cerveaux
ses livres se trouvaient t les pages où il avait réduit à néant la
théorie
de l'indépendance fonctionnelle des deux cervea
épendance fonctionnelle des deux hémisphères. Sans pré- juger de la
théorie
en elle-même, je crois qu'il faut renoncer à em-
! mais il déclarait au contraire ne vouloir préjuger en rien de la
théorie
. Assurément, il'devait y avoir un autre texte. Co
« Je n'ai pas présents à la mémoire les passages où je discute les
théories
de Dumontpalier et de Bérillon sur le fonctionnem
er de s'engager à fond. Sa réserve subsiste : « Sans préjuger de la
théorie
en elle-même ». Il appert donc très nettement d
ste pendante; qu'aucune démonstration ne l'a réduite à néant. Cette
théorie
est aujourd'hui aussi vivante que jamais : M. B
eux co-êtres... ? à quoi M. Bonne réplique triomphale- ment : Votre
théorie
« ne tient pas compte des connexions bilaté- ra
ment la plus sérieuse, la plus capable d'impressionner contre notre
théorie
. M. Bonne conteste formellement la duplicité or
te- rait ni- déviation, ni inégalité, ni atrophie. Par contre, la
théorie
dupliste intégrale, celle qui voit dans l'Homme
te de l'oeuf, les autres de la moitié gauche. Au point de vue de la
théorie
dupliste c'est là que git l'essentiel ; c'est par
isibles sur le relief topographique de l'organe psychique ? Avec la
théorie
dupliste tout apparaît au contraire logique, rati
t de quelque valeur, Eh bien, il est sur la formation de l'oeuf une
théorie
qui a déjà quelque ancienneté, et qui est plutô
le paraît avoir en France les préférences de Prenant, Suivant cette
théorie
autour du blasto. pore de la gastrula qui vient
e la moitié droite ou de la moitié gauche de l'anneau. Donc si la
théorie
défendue par Lereboullet, His, Hertwng, Hestcha
et en procède, Pas n'est besoin au surplus d'être partisan de la
théorie
de la concrescence pour identifier le plan médi
individu gauche analogue aux précédents « dont ils sont, d'après la
théorie
, les symétriques ». Puis il opère sur de nouvea
us allons y trouver une nouvelle manière de nous défendre contre la
théorie
mécani- que qui ne voit dans la symétrie bilaté
insuffisamment expliqués, se conçoivent bien plus aisément dans la
théorie
dupliste qui permet de supposer tantôt l'activité
vie psychique. Preuve psycho-pathique. Complétant logiquement la
théorie
de l'indépendance fonction- nelle des deux cerv
tions unilatérales de façon plus satisfaisante à notre avis que la
théorie
des points de repère de P. Janet. Elle explique l
ar la polarisa- tion qui n'est qu'une hypothèse gratuite, ni par la
théorie
de la cristallisation. Les phénomènes de crista
née, d'une vie conjuguée, c'est-à-dire deux co-êtres. 3e preuve. La
théorie
du développement particulier de chaque blastomè
faite concordance avec ce qu'enseignent les savants partisans de la
théorie
de la Concrescence. 4e preuve. En outre du déve
n outre du développement autonome de chaque blastomère primitif. la
théorie
de la Concrescence aboutit à re- connaître à ch
(O.Hertwig) qui est précisément l'adversaire le plus autorisé de la
théorie
de la mosaïque et de celles qui s'y rattachent ?
achent ? Pour- quoi surtout résumer,et d'une façon si baroque, la «
théorie
de la concrescence » ? Si le « système nerveux
e même que ne le croyait Ribot, ne pouvait aucunement justifier' la
théorie
qui attribue à chaque hémisphère une personnali
ou à l'état pathologique. J'ai rappelé dans l'historique que cette
théorie
sim- pliste avait d'ailleurs été victorieusemen
re de pathogénie symptomatique et pour entacher de suspicion toute.
théorie
exclusive. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE
hiques de l'épilepsie » nesontpas sérieusement en désaccord avec la
théorie
; suivant le mécanisme REVUE DE PATHOLOGIE NERVE
ilepsie. Ce fait pourrait être considéré comme en désaccord avec la
théorie
soutenue par l'auteur ; mais celui-ci se demande
en celui de M. Olivier, apporte une observation à l'appui de cette
théorie
que les hallucinations psychiques sont des pseu
anesthésie : tout est réuni ici pour la mise en applica- tion de la
théorie
de Pierre Marie aux troubles aphasiques qu'a pr
is (de Bordeaux). Je tiens à défendre la concep- tion française. La
théorie
de Kraepelin ne peut être acceptée. Il est indé
illeurs tous deux dans des asiles d'aliénés. M. DENY (de Paris). La
théorie
de Kraepelin est la seule qui cadre avec les fa
apparaître d'une manière éclatante. \I. Claude passe en revue les
théories
psychologiques de l'hystérie (MM. Janet, Grasse
Ber- nheim) et montre combien ces conceptions sont fragiles. Les
théories
physiologiques ne donnent pas une meilleure expli
' A chaque description anatomique sont annexés la discussion des
théories
histophysiologiques et quelques aperçus physiolog
iation ontogénique et phylogénique des espèces cellulaires ; 4° les
théories
récentes et encore discutées (participation d'é
ce premier article, l'auteur se contente d'énumérer les principales
théories
histogénétiques ré- centes, qui supposent la pa
la constitution de la C. nerveuse. Elles ne différent de l'ancienne
théorie
que dans la description des stades intermé- dia
plus souvent encore que l'hyperesthésie. Tout en accep- tant leur
théorie
, qu'il ne faut pas se fier d'une façon absolue
ous ces phénomènes : malheureusement il n'existe pas aujourd'hui de
théorie
anatomo-physiologique de l'hystérie de la malad
l'hystérie de la maladie du doute ou du délire de persécution. Les
théories
qui s'affublent de ce nom ne sont que des tradu
s'affublent de ce nom ne sont que des traductions grossières des
théories
psychologiques en un langage vaguement anatomique
. 13 CONGRÈS INTERNATIONAL DE PSYCHIATRIE. , Hystérie et sommeil (
Théorie
physiologique de l'hystérie) Par le Dr Paul SOL
hysiologique de l'hystérie) Par le Dr Paul SOLLIER. En résumé, la
théorie
physiologique que j'ai proposée est la seule qu
ue, laquelle sert en même temps de contrôle et de confirmation à la
théorie
physiologique. Quant à rapporter rigoureusement
nerveux au niveau des extrémités de deux neurones conli- gus. Cette
théorie
mécanique de l'hystérie, essentiellement physiolo
tre un des aspects sous lesquels on peut se placer pour édifier une
théorie
physiologique complète comme j'ai essayé de le
pileptiques, des vieillards. Hier encore, mettant en pratique cette
théorie
, un fils tuait par économie son vieux père enve
son cas à un praticien appelé et payé par lui. Que cela est beau en
théorie
, mais en pratique ? . L. Waiil. VARIA Drame
ranties désirables pour que ces aliénistes soient les meilleurs, en
théorie
tout au moins. Comment pourrait-il, leur devoir
e la partie moyenne de la frontale ascendante, ce qui con- firme la
théorie
des localisations corticales. Myélomalacie chez
es intellectuels tardifs,et constituent une nouvelle objection à la
théorie
de Virchow qui voit dans la microcéphalie l'eff
effet d'une soudure prématurée des os du crâne. " Ch. B. YXX.- La
théorie
des neurones,la fatigue,le repos et le sommeil;
in médical, 29 mai et 19 juin 1907.) Après avoir rappelé la vieille
théorie
utérine qui a régné dans la science depuis Hipp
Hippocrate jusqu'à Landouzy, de Reims, le Prof. Raymond résume les
théories
de Charcot, Pitres, Sollier. Bern- heim, Grasse
ons. Tel pourrait être le résumé schématique et représentatif de la
théorie
vasculaire ou sanguine de la physionomie ». C
eur fait reposer le principe fondamental de la physionomie dans une
théorie
vasculaire ou sanguine. « Tout phénomène psychi
sine est alimentée par l'eau de source ex- cellente de la ville. En
théorie
, nos malades ne devraient pas en consommer d'au
à elle-même, la psychasthénie n'a guère de tendance à guérir. Trois
théories
ont cherché jusqu'à présent à expliquer cet éta
dans d'autres ce déterminisme n'a pu être éta- bli, en sorte que la
théorie
de l'origine coiticale des hallucinations s'est
médical, n° 7 1906.) C'est une contribution très intéressante à la
théorie
de l'auto- in loxiuation comme cause de certain
de l'auto- in loxiuation comme cause de certaines formes mentales,
théorie
qui acquiert chaque jour un nouveau degré de pr
Voir Psycho- thérapie. Neurones périphériques. Voir Fibres. La
théorie
des -, la fa- tiguc, le repos et le sommeil,
t un moyen, un procédé d'une grande valeur thérapeutique. « Quelque
théorie
que l'on veuille donuer de l'état du cerveau dans
hologie de l'hypnotisme à une « concentration de l'attention. » Cette
théorie
exprimée par Braid, a été ensuite admise avec de
leurs rapports avec les jurisprudences et la médecine légale ». La
théorie
de Liégeois eut des partisans ardents, mais soule
oins à juger Eyraud et Gabrielle Bom- pari qu'à choisir entre les
théories
de l'école de Nancy et les théories de l'école de
- pari qu'à choisir entre les théories de l'école de Nancy et les
théories
de l'école de la Salpêtrière. Pour l'une, la su
contre l'expert de province venu déposer à Paris. Et poartant. les
théories
de Liégois sont claires, impressionnantes et si l
nous apporte des observations et des expériences confirmatives de sa
théorie
. N'oubliant pas qu'il a pour adversaires surtout
des chefs d'écoles, acceptons, sous réserve, leurs grands mots, leurs
théories
et soignons les psychonévroses avec ce que le Dr
ividu l'état préalable de suggestion-nabilité. Dans le langage de nos
théories
, j'appelle cette disposition préliminaire du nom
sophique d'ordre général, ou de donner ou de refuser nu fondement aux
théories
de la morale et du droit plus qu'aux croyances su
dans lequel IFahc-Âstoisk i«e Domisis, évêque de Spalatro, ébaucha la
théorie
do l'orc-en-clel De radiis visas et lucis in vitr
plus étroitement l'excitabilité, et surtout nous serons servis par la
Théorie
de l'inhibition : pour fermer un sens aux excitat
pas entrevoir d'états de plaisir ou de douleur si nous acce, tons la
théorie
de Fouillée : « Si notre organisme « n'est qu'une
qu'il faut toujours en revenir si l'on veut débrouiller le chaos des
théories
psychologiques. Imaginer que les phénomènes sont
sans être inféodé à une chapelle religieuse, ou admettre une certaine
théorie
psychologique de la liberté (comme, par exemple,
D'ailleurs, Binet-Sanglé ne saurait m'en vouloir, puisque, d'après sa
théorie
, j'en suis irresponsable. SOCIÉTÉ D'HYPNOLOGIE
ues. Pour tout esprit impartial il suffit de quitter le domaine dé la
théorie
et de se (1) Th. Ribot : Le mécanisme de l'atte
uelles est sujet l'exercice de nos sens ou qu'entraînent avec soi des
théories
préconçues. (Celle de l'intervention de Bieu en e
ce de Fleury, le paresseux en bonne santé n'existe probablement qu'en
théorie
, nous arriverons à reconnaître les causes de cet
préjugés tenaces, d'interprétations fausses, d'arguments spécieux, de
théories
fantaisistes, d'impulsions irréfléchies, d'instin
exacte et ne laisse rien à désirer, leur étiologie a donné lieu à des
théories
nombreuses et contradictoires : quant au traiteme
traitement il varie selon les auteurs puisqu'il découle des diverses
théories
adoptées sur la pathogénie. Nous n'avons pas l'
ns de donner une explication, en nous basant sur l'étude des diverses
théories
émises sur l'Emotivité, insistant spécialement su
t pourrait donner la clef de toutes les modifications obtenues. Les
théories
émises sur les troubles de l'Emotivité sont nombr
les troubles de l'Emotivité sont nombreuses et se confondent avec les
théories
même de l'Emotion. * L'Emotivité n'étant autre ch
oduit dans l'ensemble des actions que définit l'Emotion ». Mais les
théories
émises pour expliquer ce dernier phénomène n'ont
le dos ». 2) D'après Mosso et François Franck, les promoteurs de la
théorie
vaseulaire, c'est aux variations du courant artér
agrégé des états élémentaires ». Nous avons résumé les principales
théories
émises sur les Emotions et sur les troubles de l'
ns et sur les troubles de l'Emotivité ; leur étude nous conduit a une
théorie
éclectique. Nombreux sont les centres qui partici
tales et peuvent présider aux variations périphériques. C'est cette
théorie
éclectique qui va nous servir à l'interprétation
les appendicites les plus rebelles. Ensuite, l'orateur, reprenant la
théorie
des rapports du physique et du moral, exposa sa m
es se conduiront désormais comme des personnes bien élevées. Voilà la
théorie
que l'on affirme être la sente rationnelle. J'a
ucation du jugement, mais ignorant de sa propre ignorance (1) ». La
théorie
des ondulations lumineuses de Young, malgré les p
urtout sur le mécanisme du transfert Je crois utile de rappeler les
théories
principales qui ont été émises sur cette question
quer les mêmes effets esthesiogeniques.il se rallia an contraire à la
théorie
du contact de deux métaux : la peau et le métal a
cité est réglée par la loi des tensions. 31. Adamkievicz propose la
théorie
des fonctions bilatérales pour expliquer les phén
lité. 31. Millier fut également un des premiers qui basaient sur la
théorie
des fonctions bilatérales l'explication du « tran
sur des expériences. M. Schif fa soutenu une opinion contraire à la
théorie
de MM.Regnard. Onimus, Vigouroux ; il a exposé, e
théorie de MM.Regnard. Onimus, Vigouroux ; il a exposé, en 1880, une
théorie
qui est, peut-être, la plus acceptable. Il admet
ion pouvant suffire à en modifier la circulation et l'innervation. La
théorie
de cette école a provoqué l'opposition la plus vi
M. Schiff MM. Yulpian, Dumontpallier et Millier se rallièrent à la
théorie
de M. Schiff. MM. Tamburiui et Seppilli firent
. Beaucoup d'observations cliniques contribuèrent à appuyer cette
théorie
. Elles ont été rapportées par MM. Maggiorana Babi
tendent actuellement à expliquer tous les phénomènes observés par la
théorie
de la suggestion, ce qui ne nous donne, en somme,
l'aimant et des solénotdes. Progrès mèd. 1878. Yigochoux. — Sur la
théorie
physique de la métalloscopie. Gazette mèd. 1878 e
vations, en les accompagnant d'une discussion de laquelle il tire une
théorie
sur l'hystérie. L'intérêt théorique et pratique
'indique pas sa manière d'interroger, bien que, d'après les dernières
théories
modernes sur l'hystérie, elle joue un grand rôle
urs signalent des cas d'hystérie à l'appui de l'une ou l'autre de ces
théories
. Je ne veux pas abuser de votre attention en ci
ux), Lewi, Boger, Terrien qui combattent avec beaucoup d'arguments la
théorie
de M Babinski, ni les travaux de ses partisans pa
nel-Lavastine, Gossuc, Gowers. MUls, Lafforgue, etc, qui admettent la
théorie
de M. Babinski, nous avons Février, Both, Brums,
rés, est une manière logique propre à l'auteur (lequel se base sur la
théorie
des centres associatifs de Janet) et qui peut pre
le. Ils ont déjà beaucoup changé depuis quarante ou cinquante ans. La
théorie
des frontières naturelles qu'avait adoptée Mazzin
s dont ils sont innocents. Pour eux le péché originel ne sera pas une
théorie
. * Yous trouverez les médecins bien prosaïques
out d'abord en quoi consiste l'erreur et la vérité. Platon, dans sa
théorie
philosophique soutient qu'il n'y a d'erreur que d
judiciaire au sens où nous l'entendons. Le principe dominant dans la
théorie
de la preuve est que celui qui manifeste une prét
e des phénomènes de l'hystérie et de l'hypnotisme et malgré certaines
théories
qui ont été récemment exposées, je considère que
e et plus durable, afin de contri- (1) Yves Delage M. Gousmith. Les
Théories
de l'Ecolalion, Introduction, pp. 1 et 2. bue
e les théoriciens étroits du Néo-Darwinisme et du Néo-Lamarckisme, la
théorie
du progrès relatif est la seule vue d'ensemble qu
ant cette interprétation psychologique, nous ne faisons qu'adopter la
théorie
dont M. Bibot lui-même semble entrevoir le succès
Swoboda en fait son étude de prédilection, et, tout en confirmant la
théorie
de Freund. il en montre l'exclusivisme injustifié
sen et Ellermann. nous rapportons l'influence de l'émotion, à la même
théorie
, admettant que le choc émotif peut influencer les
éments chaque jour mieux ordonnés qui nous servent à perfectionner sa
théorie
, Hegel employa le système Platonicien qui place l
démontrera l'expérience à l'égard de ces tentatives hardies ; mais la
théorie
repousse, même dans le cas de simple rigidité, to
solés, et vous aurez une idée de ce vice de conformation. Quanta la
théorie
des ankyloses par fusion congèniale, avec ou sans
tum manque à sa partie inférieure : il est imparfait. Un mot sur la
théorie
de la sirénie, donnée par M. Isidore Geoffroy Sai
e Geoffroy Saint-Hilaire, l'un des représentons les plus éclairés des
théories
philosophiques modernes. Cette théorie résulte de
sentons les plus éclairés des théories philosophiques modernes. Cette
théorie
résulte de la combinaison de la loi du développem
e être surpris qu'elle n'eût pas lieu plus souvent: en poussant cette
théorie
jusqu'à ses dernières conséquences , il est évide
pu venir au contact. Il est vrai qu'on ne concevrait pas, dans cette
théorie
, pourquoi les cuisses, les jambes et les pieds, q
tion employée outre mesure peut conduire les meilleurs esprits. Cette
théorie
transcendante , qui explique la sirénie ou monopo
, qui explique la sirénie ou monopodie par un excès de développement,
théorie
qui, à quelques égards, pourrait rendre compte de
ier à la suite de la cyclopie, sous le titre de monotie. Quant à la
théorie
de la cyclopie avec ou sans astomie et monotie, v
vie intra-utérine, rend bien mieux compte de cette difformité que la
théorie
du développement centripète, c'est-à-dire la tend
s les monopo-dies les plus complètes. Ce fait vient à l'appui de la
théorie
que j'ai adoptée, et qui me paraît devoir prévalo
e mouvement de rotation, qui semble au premier abord échapper à toute
théorie
, est on ne peut plus facile à expliquer, parle se
, sont un des plus remarquables effets de l'inflammation adhésive. La
théorie
de leur formation est celle-ci. Deux circonvoluti
ais comment les pieds-bots de ce fœtus pourraient s'expliquer par une
théorie
autre que celle de la compression exercée sur les
arois abdominales amincies qui reçoivent les intestins. Suivant une
théorie
ingénieuse, la hernie ombilicale intra-utérine se
que, le cerveau, la cavité crânienne, etc. Les faits invoqués pour la
théorie
de l'arrêt du développement, au moins quant aux h
te maintenant à traiter la question scientifique , savoir celle de la
théorie
de la formation de l'éventration ombilicale, ques
e des éventrations ombilicales. Cette étiologie serait, suivant une
théorie
ingénieuse proclamée par Meckel et généralement a
, ayant sa méthode, ses lois, ses principes, établit en ces termes la
théorie
de l'éventration et de l'exomphale: « On sait, en
racique; le cerveau, la cavité crânienne. Les faits invoqués « par la
théorie
de l'arrêt de développement, au moins quant aux h
ons ou hernies congéniales (2). Dans les sciences, pour renverser une
théorie
, il n'est pas nécessaire d'en avoir une autre tou
e d'en avoir une autre toute prête à lui substituer, l'interrègne des
théories
scientifiques ne tire pas à grande conséquence. M
scientifiques ne tire pas à grande conséquence. Montrer le vide d'une
théorie
accidentelle, mais défectueuse, voilà le premier
é, mais qui est bien distinct du premier, c'est l'établissement d'une
théorie
nouvelle. L'éventration ombilicale est bien dis
le sang qu'agissent nécessairement toutes les causes morbides, et ma
théorie
sur le siège immédiat de l'inflammation dans le s
tré. Comment donc ne pas admettre pour l'infection cancéreuse la même
théorie
que pour l'infection purulente ? Du reste, chez
lorsque la phlébite occupe les troncs et leurs divisions. Voici la
théorie
de la phlébite des membres inférieurs à la suite
e la veine cave inférieure elle-même ne produit pas les effets que la
théorie
semble leur indiquer; car les veines pelviennes e
rophiés par suite de ce développement ou de cette dégénération. Cette
théorie
générale des transformations organiques trouve ic
les; mais l'observation directe n'a pas confirmé ces prévisions de la
théorie
. Les valvules ne paraissent pas jouer un rôle bie
e inférieure avait été le siège d'une gangrène sèche. D'après cette
théorie
de la gangrène spontanée, on conçoit que l'étendu
étaient dissociées. Je pense que le moment est venu de modifier la
théorie
de Scarpa sur l'anévrysme, théorie généralement a
le moment est venu de modifier la théorie de Scarpa sur l'anévrysme,
théorie
généralement adoptée de nos jours; savoir : que l
l'extrémité du cartilage. S'il pouvait rester quelque doute sur la
théorie
de l'anévrysme par la dilatation des trois tuniqu
ect que celles de la poche anévrysmale. On pourrait objecter que la
théorie
de la dilatation des trois tuniques, vraie pour l
cette péricardite ait été accompagnée d'épanchement : or, d'après la
théorie
de M. Beau, l'épanchement serait une condition né
cas d'anévrysmes vrais ou par dilatation; d'où il résulte que la même
théorie
ne saurait leur être applicable. Considérations
, la cause essentielle du déchirement sénile du cœur. D'après cette
théorie
, cette dégénérescence, que l'auteur appelle aussi
as faible, et sa nutrition n'est pas en souffrance : tout cela est de
théorie
pure ; les vieillards ont souvent, je ne dis pas
e, d'une surface suppurante éloignée au cœur, est trop favorable à la
théorie
de la résorption purulente pour que les fauteurs
la théorie de la résorption purulente pour que les fauteurs de cette
théorie
ne se soient pas emparés de ce fait, comme preuve
. Argumentateur dans la thèse de M. Legroux, je m'élevai contre cette
théorie
de l'inflammation du caillot sanguin, et j'eus, a
u chimique, et nullement par un acte de décomposition nutritive. La
théorie
de la formation des caillots sanguins purulens da
du pus au centre du caillot était proposée comme une difficulté à la
théorie
de la production du pus par les parois vasculaire
vules du cœur est un point encore controversé et qui se rattache à la
théorie
des transformations des tissus. On peut dire à ce
dans ses parois. Les faits confirment pleinement ces prévisions de la
théorie
; et en effet dans tous les cas que j'ai eu occasi
s, ne préserve donc pas des congestions sanguines vers cet organe. La
théorie
de la dérivation, de la substitution d'une irrita
; 4° microeéphalie avec absence complète de l'encéphale. Quant à la
théorie
de ce vice de conformation, je considère la micro
r la trompe d'Eustache ; l'otorrhée cérébrale serait donc, d'après la
théorie
de M. Itard, la terminaison critique d'une phlegm
la surface sont généralement plus solides que celles du centre. La
théorie
que je viens de présenter sur les productions cor
ne blessure, une corne tout-à-fait semblable à celle d'une chèvre. La
théorie
qu'il donne de cette production est remarquable.
ation et d'une autre part, qu'il soit incapable de s'agglutiner. La
théorie
dit que ces calculs pourraient devenir le noyau d
urinaires ; mais je ne sache pas que l'observation l'ait démontré. La
théorie
dit encore que ces calculs peuvent être expulsés
e M. le docteur Tessier(i) a tiré de cet enkystement du pus contre la
théorie
de la phlébite, comme cause des abcès viscéraux,s
rption purulente sont fausses dans leur principe, leur méthode , leur
théorie
, et à-peu-près nulles dans leur application; et,
llaires, où il agit à la manière d'un corps étranger irritant, quelle
théorie
a substitué M. Tessier ? La théorie de l'altérati
n corps étranger irritant, quelle théorie a substitué M. Tessier ? La
théorie
de l'altération du sang par la diathèsepurulente.
ives; savoir : i° L'insuffisance des preuves sur lesquelles repose la
théorie
de la phlébite: dans la phlébite suppurée, le pus
arquable! cette oblitération n'a pas les conséquences funestes que la
théorie
semblerait indiquer. L'urine dilate l'uretère (vo
ntion complète de l'urine dans les uretères, je me suis demandé si la
théorie
que je viens d'émettre pour le rein, ne pouvait p
s parenchymateuses constituées par le tissu du foie induré. La même
théorie
s'applique au pancréas, dont j'ai rencontré plusi
s de l'utérus sont extrêmement rares, et voilà sans doute pourquoi la
théorie
de leur formation est encore si peu avancée. La p
et ailleurs, m'ont conduit à admettre sur les hernies de l'utérus la
théorie
suivante: i° La hernie de l'utérus est consécutiv
élongation dans le sens du tiraillement opéré sur cet angle. Si cette
théorie
est vraie,la hernie de l'utérus devra toujours êt
ligament large, nouvelle source d'attraction de l'utérus. Si cette
théorie
est vraie, l'étude des hernies de l'ovaire et de
ce le nom (i) Recherches (VAnatomie transcendante et pathologique ;
théorie
des formations et des déformations organiques, ap
faut le dire cependant, l'empirisme l'emporte très souvent ici sur la
théorie
; un grand nombre d'hydropisies ascites, consécuti
ns chirurgicales et de l'accouchement. 11e liv., pl.i,ii,iii,/ . /. —
Théories
sur l'existence simultanée de solutions de contin
e continuité suppurantes et d'abcès multiples dans les viscères. = La
théorie
du développement des tubercules préexistans ne do
irurgicales. 11° liv,, pL i, n, ni, p. t ; 16e liv., pl. m, p. 4. —
Théorie
de la métastase purulente. 11e liv., pl. i, ii, m
que chez un enfant à petite tête. lâe liv., pl. 1, p. 2. ANÉVRYSME.
Théorie
de la formation des anévrysmes. 3e liv., pl. îfp.
é par les parois du cœur amincies et altérées. 21e liv., pl. rv,p. i.—
Théorie
de la formation de l'anévrysme vrai partiel du cœ
tères dans la formation des anévrysmes. 28e liv., pl. 1,11, m, p. 2.—
Théorie
de l'anévrysme par dilatation des trois tuniques.
hie et avec disparition complète de parties. 38e liv., pl. 1, p. 2. —
Théorie
des anky-loses congeniales; l'ankylose doit être
es dans la formation des anévrysmes. 28e liv., pl. r, 11, ni, p. 2. —
Théorie
de fa-névrysme par dilatation des trois tuniques.
ulaires. Déplacemens consécutifs des doigts. 34e liv., pl. 1, p. i. —
Théorie
de la résorption des cartilages et de l'usure des
e de ses livres. lre liv., Avant-Propos, p. iij. BRESCIIET (M.). Sa
théorie
de la mélanose. 19e liv., pl. m, iv, p. 4. BRID
(M.). Sa théorie de la mélanose. 19e liv., pl. m, iv, p. 4. BRIDES.
Théorie
de la formation des brides péritonéales. 38e liv.
re quelque chose sur le cal devenu compacte. 2e liv., pl. iv, p. ii.—
Théorie
de la formation du cal. 23e liv., pl. 1, n, p. 3e
ns circonscrites du poumon. Deux tubercules à la surface des reins. =
Théorie
de l'infection cancéreuse. 23e liv., pl. v, p. 4-
r atrophie du cerveau avec encéphalocèle. 39e liv., pl. iv, p. 3. —
Théorie
de ce vice de conformation. 39e liv., pl. iv, p.
mesdes artères.Sac formé par les parois du cœur amincies et altérées.
Théorie
de la formation de l'ané-vrysmevrai partiel. 21e
vrysmes du cœur : 1° l'ané-vrysme ordinaire, 2° l'anévrysme partiel ;
théorie
de la formation de l'anévrysme partiel. 22e liv.,
verses sur la présence du pus au sein des caillots sanguins du cœur ;
théorie
du transport du pus en nature ; théorie de sa for
s caillots sanguins du cœur ; théorie du transport du pus en nature ;
théorie
de sa formai ion dans le cœur lui-même. 28" liv.,
rie de sa formai ion dans le cœur lui-même. 28" liv., pl. iv, p. i. —
Théorie
de l'auteur. 28e liv., pl. iv, p. /. — Symptomato
mort par suite de 1 issue du cordon. 35e liv., pl. i, p. 3. CORNES.
Théorie
de la formation des productions cornées. 7e liv.,
y. — 3° cyclopie avec astomie; 4° cyclopie avec astomie et monotie.=
Théorie
de la cyclopie avec ou sans astomie et monotie. 3
un des effets de la phlébite. 8e liv., pl. iv, p. t. DÉGÉNÉRATIONS.
Théorie
des dégénérations. lre liv., pl. i\,p. 3. — Il
des déplacemens congéniaux. 2e liv., pl. ivj p. y. DÉRIVATION. Sur la
théorie
de la dérivation. 36e liv., pl. i, p. 6. DESA
net sans fracture du radius. 9« liv., pl. n, m, iv, v, vi, p. 4. — Sa
théorie
de la formation du pus dans les caillots sanguins
ncroûtés de phosphate calcaire et momifiés. 18e liv., pl. vi, p. 2. —
Théorie
de la pétrification du fœtus. 18e liv., pl. vi, p
pl. n, m, iv, v, vi, p. 12. GEOFFROY-SAINT-HILAIRE (m. Isidore). Sa
théorie
de l'é-ventration et de l'exomphale. 31e liv., pl
de l'é-ventration et de l'exomphale. 31e liv., pl. v., p. 5. — Sur sa
théorie
de la syrénie. 33e liv., pl. v, vi, p. 1. GLACE
, p. s, $. — Cas d'infeclion cancéreuse , porlé au plus haut degré. =
Théorie
de l'infection cancéreuse. 23e liv., pl. v, p. 4-
se, état adynamique. Mort. Abcès multiples dans le foie (phlébite). =
théorie
des chutes du rectum. 21eliv., pl. vi, p. 2. — In
ques des kystes pileux des ovaires. 18e liv., pl. m, iv, v, p. 5. —
Théorie
de leur formation. 18e liv., pl. m, iv, v, p. 5
. LAENNEC. Son opinion sur la cyrrhose. 12e liv., pl. 1, p. 2. — Sa
théorie
sur la mélanose. 19e liv., pl. m, iv, p. 3. LAF
dii choléra. 14e liv., pl. i, n, ni, iv, v, p. 49- LEGROUX(M.). Sa
théorie
sur la formation du pus dans les caillots sanguin
v. — Son opinion sur les vaisseaux lactés. 2e liv., pl. 1, p. 3. — Sa
théorie
sur la formation des kystes pileux. 18e liv., pl.
r la formation des kystes pileux. 18e liv., pl. m , iv, v, p. 6. — Sa
théorie
sur l'étiologie des eventrations congéniales. 31e
céphalocèle. 39° liv. , pl. îv, p. 3. — Variétés de la microcéphalie;
théorie
de vice de conformation. 39e liv., pl. iv, p. 4.
ux genres et cinq espèces. Observation. 32e liv., pl. v, vi, p. 4. —
Théorie
. 40e liv., pl vi,p. a. MONOPSIE. 33« liv., pl. v,
S. ANAT. PATHOL.--TABLE DES MATIERES. ONGLES. Ongles monstrueux :
théorie
de la formation de l'ongle normal. 7e liv., pl. v
du fémur; objections de l'auteur. 23e liv., pl. 1, 11, p. 2, 8 —
Théorie
de la formation du cal. 23e liv., pl. i, n, p. 3,
kystes pileux ; caractères cliniques des kystes pileux des ovaires ;
théorie
de leur formation. 18e liv., pl. ni, iv, v, p. 5.
Productions cornées. 7e liv., pl. vi, p. 4; 24e liv., pl. m, p. 4. —
Théorie
de leur formation. 7e liv., pl. vi, p. 4; 24eliv.
PÉTRIFICATION. Pétrification du placenta. lr« liv., pl. 1, n, p. 5. —
Théorie
de la pétrification du fœtus. 18e liv., pl. vi, »
areté et curabilité de la phlébite utérine. 13°liv.,pl. i, n, m, p.5.—
Théorie
de la phlébite lymphatique. 13eliv.,pl. i,u, m, p
es cas. = Phlébite traumatique puerpérale. 27e liv., pl. iv,p. /. —
Théorie
de celle phlébite. = Phlébite consécutive au canc
es plaies, des grandes opérations chirurgicales et de l'accouchement.=
Théories
sur l'existence simultanée de solutions de contin
durés. Catarrhe pulmonaire. Rate volumineuse. 15e liv., pl. h, p. 6.—
Théorie
des niasses encéphaloïdes des poumons. 18e liv.,p
hique de ses ouvrages. lre liv., Avant-Propos, p. iij. PRODUCTIONS.
Théorie
des productions organiques. lre liv. , pl. iv, p.
èse de l'absorption, d'où vient le pus. 13e liv., pl. 1, n, m, p.y. —
Théorie
de la formation du pus au sein des vaisseaux lymp
ence du pus dans les vaisseaux lymphatiques? 17e liv., pl. ni, p. 6. —
Théorie
sur la formation et l'action du pus dans la phléb
rmation et l'action du pus dans la phlébite. 16e liv., pl. m, p. 4. —
Théories
diverses sur la présence du pus au sein des caill
it de toutes parts dans les vaisseaux. 31e liv., pl. m, p. 2.— Sur la
théorie
de la diathèse purulente. 36e liv., pl. v, p. i.
e. Etat adynamique. Morl. Abcès multiples dans le foie (phlébite). ¦=
Théorie
des chutes du reclum. 21e liv., pl. vi, p. 2.— Ph
bot en anato-miste. 2e liv., pl. iv, p. 9. — Nécessité de modifier sa
théorie
sur l'anévrysme. 28e liv-, pl. 1, n, in, p. 3. SC
v., pl. vi, p. /. — Eliologie. 33e liv., pl. v, vi, p. 2, 4. — Sur la
théorie
de la sirénie, donnée par M.Isidore Geoffroy-Sain
en deux genres et cinq espèces. Observation. 33°liv., pl. v, vi,p.A.—
Théorie
de la sirénie. 40e liv., pl. vi,p. 4. SIRÉNOMÈLES
eudo-membraneuse aphtheuse. 35e liv., pl. iv,p. 4. TRANSFORMATIONS.
Théorie
des transformations organiques. lreliv., pl. iy
s ces cas. = Phlébite traumalique puerpérale. 27eliv., pl. iv, p. /.—
Théorie
de cette phlébite— Phlébite consécutive au cancer
= Ces abcès sont la cause la plus fréquente de la mort des blessés. =
Théories
sur l'existence simultanée de solutions de contin
e continuité suppurantes et d'abcès multiples dans les viscères. = La
théorie
du développement des tubercules préexistans ne do
is seulement comme doctrine générale. 11e liv., pl. 1, 11, m, p. 4. —
Théorie
de la métastase purulente. 11e liv., pl. 1,11, nr
vivons les mêmes défiances et les mêmes passions : défiance pour les
théories
séduisantes, les synthèses prématurées ou les arc
e nous comprendrons donc jamais parce que ces messieurs partent de la
théorie
et nous de la pratique. Je suis prêt à abandonn
ne suffit pas. Ce qui intéresse te malade, ce ne sont pas les belles
théories
, c'est la guérison. (Applaudissements.) J'avoue
ychonévroses ; Dr Binet-Sanglé : Lois des secousses et paralysies :
Théorie
des neurodiélectriques. M. Baguer, directeur
r James Braid, dans l'Histoire du Magnétisme Animal, ou quelle est la
théorie
, ou quels sont les princi-cipes qu'il a établis,
A. Chapitre Additionnel. I. — Les méthodes d'hypnotisation, et la
théorie
et la cause de l'hypnotisme. IL — Les principes
aris. IV. — Résumé et observations finales. I. — LES MÉTHODES, LA
THÉORIE
ET LES CAUSES 1) Méthodes--Quand Braid commença
les mesméristes (2), qui l'accusaient du plagiat des méthodes et des
théories
de Faria et de Bertrand. C'est en réponse à cette
atiquent l'hypnotisme, et non pas la méthode ordinaire de Braid. 2)
Théories
. — « On a prétendu que j'avais fait, dit Braid, a
prétendu que j'avais fait, dit Braid, acte de plagiat, en usurpant la
théorie
... de Bertrand et de l'abbé Faria. Si j'ai bien s
re en avant le nom de Bertrand, on voulait insinuer que j'ignorais sa
théorie
; erreurs manifestes. » (N. p. 17.) Un auteur, dan
uelque temps, que : « Braid montra plus tard que la similitude de ses
théories
et celle de Faria était plus apparente que réelle
de ceux qui attribuent les phénomènes du sommeil à l'imaginationj une
théorie
qu'il condamne comme une extravagance. Le titre s
st suffisant pour montrer que Faria condamnait, plus que personne, la
théorie
de l'imagination. Bertrand aussi n'a jamais attri
l'Académie des Sciences) décidera, je le dis avec confiance, entre m«
théorie
subjective et la théorie objective des magnétiseu
décidera, je le dis avec confiance, entre m« théorie subjective et la
théorie
objective des magnétiseurs. (Ch. A. p. 223.) Il a
3.) Il attachait grande importance à ce qu'il insistait à nommer « ma
théorie
subjective », une phrase qu'il répète dans la pag
éorie subjective », une phrase qu'il répète dans la page 231. CeLie
théorie
était-elle nouvelle? (2) Cette question est (1)
naturels. » (S. L., p. 34.) C'est Faria qui a, le premier, établi la
théorie
subjective. Pour lui, ce n'était pas une théorie
e premier, établi la théorie subjective. Pour lui, ce n'était pas une
théorie
mais un point démontré. Noizet et Bertrand ont ac
int démontré. Noizet et Bertrand ont accepté, dans leurs ouvrages, la
théorie
de Faria, ue manière qu'il y avait, en iwvO, troi
avait, en iwvO, trois auteurs bien connus qui étaient partisans de la
théorie
subjective. Mais, sans aller en France, Braid ava
ue. » Il est vrai que Braid est arrivé, en toute indépendance, à la
théorie
subjective ; mais est-ce une raison suffisante po
éorie subjective ; mais est-ce une raison suffisante pour dire que la
théorie
est « mienne », même en 1860 ? Que dirait-on d'un
e dirait-on d'un auteur qui, par exemple, découvrirait demain une des
théories
de Pasteur, et qui, étant averti que sa théorie n
irait demain une des théories de Pasteur, et qui, étant averti que sa
théorie
n'est pas nouvelle, la présenterait comme la sien
, p. 231.) Faria a consacré les Séances IX, X, et XI à expliquer sa
théorie
psychique. « A la seule parole, dit-il, on peut r
ine essentielle. Dr Binet-Sanglé : Lois des secousses et paralysies :
Théorie
des neurodiélectriques. M. Baguer, directeur de
co-psychologique, in-8°,-56 pages. — Masson, Angers 1906. A. Pichon :
Théorie
de l'élite, in-8°, 20 pages. — Giard. Paris 1906.
ses opinions sur ce qu'il nomme « ma méthode ordinaire ;> et « ma
théorie
subjective ». Suivons le reste, préférant ce qui
n de l'organe longuement considéré. » (p. 235.) Ensuit© il discute la
théorie
de Reichenbach et conclut: r J'avais montré, sans
Noizet, pour quelque point que ce soit. Pour la confirmation de « ma
théorie
subjective », il se rapporte aux Fakirs et Yoguis
raid n'était pas supérieure à la méthode ordinaire de Faria ; — si la
théorie
subjective était déjà établie par Faria et admise
t que Braid dans ses écrits parle toujours de « ma méthode », de « ma
théorie
», de « mes principes ». En lisant ses écrits, on
cale d'une ville aussi importante que Marseille, et que l'étude de la
théorie
de l'hypnotisme, comme celle delà vie, appartient
i de Faria. Avec sa méthode ordinaire il ne pouvait pas arriver à une
théorie
purement suggestive ou psychique. La théorie dépe
ouvait pas arriver à une théorie purement suggestive ou psychique. La
théorie
dépend de la méthode : si la méthode n'est pas pa
a théorie dépend de la méthode : si la méthode n'est pas parfaite, la
théorie
ne peut pas être parfaite, et si l'on arrive parf
la théorie ne peut pas être parfaite, et si l'on arrive parfois à une
théorie
parfaite avec une méthode imparfaite, on y arrive
t plus de raison que son attention était attirée sur la méthode et la
théorie
de son devancier, avant de publier une seule lign
ité en Orient. Dr Binet-Saxglé : Lois des secousses et paralysies :
Théorie
des neuro-diélectriques. M. Baguer, directeur d
mbre. Eh bien! cela est vrai. Cela est même beaucoup plus vrai que la
théorie
de François Dupuis d'après laquelle la Pyramide e
ils sont fort nombreux, se sont avant tout préoccupés de défendre les
théories
qui leur étaient chères. L'auteur de l'Évolutio
'excellente traversée faite sans une seconde de malaise. Toutes les
théories
faites sur le mal de mer sont détruites par l'exp
Kéraval, in-12, 344 pages, Ch. Boulangé, Paris, 1907. Alfred Pichou :
Théorie
de l'Élite, in-8, 20 pages, V. Giard, Paris, 1906
i devant les dogmes ou les légendes les plus répandues, ni devant les
théories
régnantes ou les systèmes. La belle leçon que vou
nseigner dans l'Université, à ses risques et périls d'ailleurs, telle
théorie
scientifique qui lui convient. Pour cela, le ca
isation. En un mot, être intimidé, c'est être hypnotisé ». D'après sa
théorie
, se laisser intimider par autrui dans une circons
e, de la forme et de la couleur en architecture et en décoration, des
théories
absolument nouvelles et d'un intérêt considérable
es guerrières, les hommes se préparant à combattre n'ont pas connu de
théories
scientifiques, n'ont pas conçu de raisonnements a
On a opposé la passivité de l'une à l'activité de l'autre. C'est une
théorie
déjà ancienne. M. A. Letienne, l'année dernière,
appréciables, indéfinissables pour le malade et pour le médecin. » La
théorie
de M. A. Le- (t) De la sénilité, 190ti, ? 7.
e ne deviendrait-elle pas nécessaire? Celui qui voudra construire une
théorie
d'après les agissements de ces trafiquantes, bâti
ondément instructif; il est moins obscurci que les précédents par des
théories
préconçues. Les « spiritualistes » ne semblent pa
qnera du chatouillement dans la muqueuse nasale. Quelle que soit la
théorie
(réflexe ou transmission régionale), il faut, pou
celui-ci étant développé tout au long de l'ouvrage; un peu plus de
théories
psy- chologiques et une bibliographie plus nour
gagnent le cerveau par la voie du trijumeau. Les partisans de cette
théorie
donnent aux nerfs en question un trajet très co
ar la corde du tympan pour rejoindre le nerf facial. Là, d'après la
théorie
en question, ces fibres suivraient le grand ner
anique et le grand nerf pétreux superficiel. Les partisans de cette
théorie
se basent sur certains faits' cliniques s'accom
ssl répond par une argu- mentation technique qui n'ajoute-rien à sa
théorie
vraie ou fausse. , P. 1\1.. XXVII. Contributi
ur des faits thérapeutiques, est amené à considérer comme fausse la
théorie
qui place le point de départ de la maladie de B
e Basedow dans l'hyper- trophie du corps thyroïde. Selon lui, cette
théorie
doit céder la place à celle d'après laquelle le
s d'où dérivent les divers symptômes de la maladie. D'après cette
théorie
, on est amené à penser que la section du sympat
ales à droite après la section du sympathique gauche, con- firme la
théorie
de la vaso-dilatation. S'appuyant sur des expé-
de la troisième molaire, etc., les différentes inter- prétations et
théories
, le contrôle étendu et passionné, les larges di
e du délit ; par DEL GnECO (Il Manicomio, anno XI, fasc. 2-3). La
théorie
de la dégénérescence est une théorie biologique à
comio, anno XI, fasc. 2-3). La théorie de la dégénérescence est une
théorie
biologique à contours trop vagues et indétermin
ui lui ont servi de sujets d'expériences. Le pomt de départ de la
théorie
imasinée par M. Sollier pour expliquer le mécan
es, corollaire de la première, M. Sollier a cru pouvoir dégager une
théorie
pathogénique de l'hystérie qui peut se formuler
d'arguments dans l'ouvrage de M. Sollier. Dans quelle mesure cette
théorie
peut-elle être acceptée ? Bien que M. Sollier s
ume. Gerest (J.-1L). - Les affections nerveuses systématiques el la
théorie
des neurones. - Volume [il-81 de 355 pages, ave
s du cerveau. Gamcl 1 en a rap- porté plusieurs exemples. A cette
théorie
de l'action des intoxications intercurrentes no
hénomènes inflammatoires dans la stauungs-papille, ébran- lèrent la
théorie
de de Grxfe, et en même temps détruisirent les
ait rentrer la paralysie générale dans la syphilis cérébrale ! La
théorie
syphilitique de la paralysie générale a gagné du
réplique M. Kurella, ignorer l'hérédité pathologique. Du reste, la
théorie
inventée par M. Weissmann de la continuité du pla
a présentées, M. Weissmann a répondu par des amendements de cette
théorie
(critiques de Rolide et Hertwig) qui n'amendent r
er logiquement l'hystérie des autres névroses sans faire appel à la
théorie
de la dégénérescence. Pour établir la dégénéres
l'organisme non transformés ou non éliminés. Il reconnaît que cette
théorie
s'accorde bien avec les données étiologiques et
r- mation des cavités. Cette observation semble donc confirmer la
théorie
de Langhans SOCIÉTÉS SAVANTES. 169 et Krontha
et Kronthal sur l'origine hypérémique de la syringomyélie. Cette
théorie
est juste pour une certaine catégorie de cas de s
e avec le Dr Korniloff, cette observation ne confirme ni infirme la
théorie
de Langhans et de Kronthal. M. Mourawieff cro
énitale et que le cas de M. Orlovski peut être cité à l'appui de la
théorie
embryon- naire de la syringomyélie (gliomatose)
r longtemps, même après qu'on croit avoir bien vu ; 4° éviter les
théories
et se méfier de l'imagination ; 5° avoir toujours
omènes hallucinatoires une ori- gine centrale et leur appliquent la
théorie
générale des hallucina- tions formulée par Tamh
ROU. XI. QU'EST-CE QUE la méningite ? par le D1' Christophkr. Les
théories
généralement admises sur la méningite sont que
confirmée le quarante- deuuxième jour. L'auteur discute toutes les
théories
écologiques connues ; il se range à celle de Ve
t. IV. 17 258 BIBLIOGRAPHIE de M. Zakrewsky est un désaveu de ses
théories
, encore plus catégo- rique que la note de M. Pa
e de M. Pailhas. M. Zakrewsky pense que « le plus grand nombre des.
théories
émises sous la dénomination collective d'anthro
e la respiration. Notre ami le docteur Gauduchau, nous a proposé la
théorie
suivante qui est peut-être vraie : dans la pend
st d'un pernicieux exemple, rééditant, pour s'excuser lui-même, des
théories
surannées auxquelles les buveurs ne demandent qu'
données de Weissmann sur le plasma germinatif, M. Savage appuie sa
théorie
sur le fait que les caractères spécifiques de l
urager nos efforts de traitement. F. BoissirR. MX. Evolution delà
théorie
hypnotique; par.L-1111LNE BRAMWELL. (Brain, par
ltats effectifs des suggestions criminelles; il critique ensuite la
théorie
d'Hei- denhain, d'après laquelle, par suite de
ce'les-ci équivaudrait à la suppression totale de celle-là. Mais la
théorie
de Braid évolua aussi, attachant primitivement
avec imitation de sa quantité. Beaunis et Gurney rejettent cette
théorie
au moins pour les effets retardés de la suggestio
e serait au contraire poly-idéiste et l'état normal monoïdéiste. La
théorie
de Myers, analogue aux doc- trines de James, ch
tat hypnotique, tout en ajoutant aux difficultés de l'expliquer. La
théorie
de la cons- cience subliminale donne au moins u
ion assez longue pour permettre à Braid de dégager complètement ses
théories
de quelques causes d'erreur. Accordant d'abord
tement des possédés et des obsédés ; 4° chez les mages : aperçu des
théories
occultes; consultation d'un mage ; pointes, cor
sent naître en lui et dont il a conscience, il les explique par la
théorie
de la possession. Comme le dit M. Cotard 3, « i
Amsterdam, 18` ? G. ' Voir Binet et Féré. Sensation el mouvement.
THÉORIE
DES NEURONES 371 Par suite de. la perversion du
TRINES CONTEMPORAINES DE L'HISTOLOGIE DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL.
THÉORIE
DES NEURONES; Par JULES SOURY, Directeur-adjo
.Len)iosséks'esLdéetaréàsot) tour, comme llamoii y Cajal, contre la
théorie
erronée d'un réseau nerveux diffus des centres
s moins distincts ». L'éminent disciple de KoHiker a insisté sur la
théorie
du contact, de Ramon y Cajal, qui « apporta la
Taf. und 60 Fig. im Text. Berlin, Kernfeld, 1895, vn-409, in-8°.
THÉORIE
DES NEURONES 373 courtes ou longues, qui se ter
multiple et se diviser soit à proximité de la cellule (diaxones et
THÉORIE
DES NEURONES 375 polyaxozes), soitsur son traje
rant de la nutrition va, dans les cellules nerveuses, de la surface
THÉORIE
DES NEURONES 377 périphérique du corps cellulai
rs qu'elle n'est plus capable de se décharger de ces excitations.
THÉORIE
DES NEURONES 379 - Le professeur von Lenhossék
ong, qu'elle envoie dans le bulbe olfactif : il s'arborise dans les
THÉORIE
DES NEURONES 381 glomeruli olfactorii. Mais, au
çoit l'onde d'excitation par ses atborisations et le transmet à la
THÉORIE
DES NEURONES. 383 cellule dans la direction cel
ce très élevée dans « la réceptivité des excitations nerveuses ».
THÉORIE
DES NEURONES. 385 Les couches superficielles de
es critiques fort vives qu'il dirigea, cette fois encore, contre la
théorie
de Ramon y Cajal et de vau Gehuchten touchant-l
neurone. Or, si les appareils de réceptions, indispensables pour la
théorie
, font défaut ici, puisque voici des cellules ce
de prolongements protoplas- miques, représentent, par rapport à la
théorie
de la polarisation dynamique, un véritable poin
- l'autre, bipolaire, outre son prolongement axile descendant, pos-
THÉORIE
DES NEURONES. 387 sède un prolongement ascendan
le enlève toute valeur à l'objection formu- lée par Golgi contre la
théorie
de la polarisation dynamique des éléments nerve
croyons l'avoir démontré, suffisent déjà en partie pour la récep-
THÉORIE
DES NEURONES. 389 tion de l'excitation ; un nom
sommeil physiolo- pique. L'auteur se propose de revenir sur cette
théorie
dans un travail plus complet. (Revue neurologiq
rbide, le cercle basedowien. Cette idée, conclusion des principales
théories
du goitre exophtal- mique, permet d'en mieux co
ère. ' Griesiner. Maladies mentales, traduction Doumie, p. 285. a
Théorie
de l'automatisme. 46 i' PATHOLOGIE MENTALE. «
comme il arrive du fait de I hyperfonction du corps thyroïde. Cette
théorie
est celle à laquelle se range M. Abadie dans un
phères comporterait encore le dédoublement de la pensée; mais cette
théorie
est loin d'être établie. Le dualisme pathologiq
hold (Adolphe). La maladie de Thomsen. Kuss (Charles). Une nouvelle
théorie
de l'asthme. Lago (Jean-Nelson). Sur la sciatiq
3. Hypnotisme el Crime, par Bell, 76. Hypnotique. Evolution de la
théorie
- , par M. Brarowell. 326. - IhSTLKEciOMiE da
par Huches, 321. Pro- 'grésréaiisésen,parSachs, 334. Neurones.
Théorie
des -, par J. Soiii,y, 371. - liyl)iiose et inh
sa morale au bouddhismo aryen. Il en fut de celte morale comme de la
théorie
de l’amcebisme des neuronnes, dont on commence à
a partagé les triomphes des sciences physiques on ait pu propager des
théories
si grossières. Elles rappellent les tâtonnements
vénèrent le livre ennuyeux et illettré de Mrs Eddy et croient en ses
théories
grossières et surannées. L’expérience faite par
té animale de l’homme, se superpose le polypsychisme. D'après cette
théorie
, il n’existe pas un a moi unique régnant sur un d
ies fourmilières où pullulent les idées inédites et surprenantes, les
théories
originales et hardies. Il serait trop long d’expo
, pendant près de trente ans, combattu tous les combats. 2" Par des
théories
hardiment originales et solidement scientifiques,
e merveilleux scientifique, dans lequel il résumait et condensait ses
théories
et ses doctrines. En 1890, paraissaient les Aperç
me esprit, qui pullulent encore chez, les sauvages aujourd'hui, toute
théorie
de l’inspiration, de la révélation, repose sur le
ences, aussi bien que les religions, les croyances aussi bien que les
théories
(car les croyances sont aussi des théories), repo
oyances aussi bien que les théories (car les croyances sont aussi des
théories
), reposent sur des faits : dans l’ordre scientifi
ations. La ventriloquie a puissamment contribué à l’élaboration de la
théorie
du Double, de l’âme ou des âmes, et de tous les c
es fluidistes ne se lassaient point d’opposer semblable objection aux
théories
des animistes. Or, on a fini par sc convaincre,
eux-ci d’en prendre connaissance; il sollicita la confirmation de ses
théories
; il provoqua ses adversaires... On ne répondit à
imulateurs et auto-suggestibles à l’excès, il n’aurait pas édifié une
théorie
dont il ne reste rien ou presque rien aujourd’hui
15e Année — N° 7. Janvier 1901. BULLETIN M. Ch. Renouvier, et la
théorie
du vertige mental, par M. le D«- Paul Farez.
englobe ainsi qu’un grand nombre d’autres ; c’est ce qu’il appelle la
théorie
du Vertige mental. (') Notons que cette explicati
. Fondée sur l'analyse psychologique et l’observation des faits, la
théorie
du vertige mental s’applique à la fois « au songe
l y a quelques années, à propos d'un opuscule où je m’appuyais sur sa
théorie
du vertige mental, M. Renouvier m’apprit, à mon t
es principes qui ont pré-* sidé à la confection de son ouvrage : a La
théorie
scientifique des localisations fonctionnelles de
s d’un même problème scientifique, les conceptions variées d’une même
théorie
. C’est là ce qui distingue l’esprit critique du d
-à-dire un croyant, presque toujours prisonnier de sa doctrine, de sa
théorie
, de son système, au moins pendant qu’il en constr
convaincu. Et pourtant, ainsi que le démontre l'histoire critique des
théories
et des doctrines, si le problème est un, les solu
nsacrée à I’Antiquité et aux Temps modernes. L'auteur nous expose les
théories
relatives à la structure et aux fonctions des org
re des rapports du cerveau avec les nerfs et les organes des sens. La
théorie
des trois âmes, ou des trois fonctions cardinales
vision, à l'audition, à l'olfaction, et enfin de celui consacré à la
théorie
des neurones. Cette partie de l’ouvrage compren
xti : Sur un cas de délire chez un brûlé. Contribution à fétude de la
théorie
de l'auto-intoxication. (Thèse de Bordeaux. 1898-
TISME EXPÉRIME.NTA^.g^^ERAPEüTIQüE 15* Année — N« 9. Mars 1901.
Théorie
physiologique de l’hystérie par le Dr Binet-San
hystérie par le Dr Binet-Sanglé. I Historique L’évolution des
théories
de l’hystérie est un exemple de la manière lente
rre Janet appelle « la définition physiologique de l’hystérie ». La
théorie
qui va suivre n’est que l’extension à tous les ph
r 1895, devant la Société de biologie, par le professeur René Lépine,
théorie
dont il avait eu ia première idée en 1894, à prop
forme d’ondulations électriques, de même la (1) Ch. B;net-Saxolk :
Théorie
des neuro~dic!ectriaues. (Archives de neurologie,
mogenèse, trophisme), si cette seconde fixation n’a pas lieu. Cette
théorie
, qui fait à la fois du neurone un cliché, un accu
5) Mathias Duval : Hypothèses sur la physiologie des centres nerveux.
Théorie
histologique du sommeil. (Société de biologie, 2
urone et les hypothèses histologiques sur son mode de fonctionnement.
Théorie
histologique du sommeil, Paris, 18%. R. Deyder
ses. (Rev. scient , 12 mars 1898). Les neurones. L’amiboisme nerveux.
Théorie
histologique du sommeil. (Rev. de l'école d’anthr
es et sur des observations précises, il faudrait l’adopter, comme une
théorie
qui explique un nombre considérable de phénomènes
bien ces troubles nerveux sont-ils une condition du génie ? C’est la
théorie
d’un savant génial lui-mème, auquel la psychologi
gers. Gcethe poursuivait ses observations et ses expériences sur la
théorie
des couleurs, à Valmy, sans se laisser distraire
EXPERIMENTAÏs5Wô»^ÎIERAPEUTIQUE 15« Année — N° 1U. Avril 1901.
Théorie
physiologique de l’hystérie par le Dr Binet-San
’aveu mémo de l’auteur, tous les cas ne peuvent s'expliquer par cette
théorie
. (Parinaud. De la polyopie monoculaire dans l'hys
tiquité. Aujourd’hui les spirites croient encore aux esprits. 2° La
théorie
métaphysique admet comme cause un fluide nerveuxo
nfluence magnétique. Mesmer, auquel on attribue la paternité de cette
théorie
, n'a fait que la développer; on sait qu’elle est
taux, sont, pour la plupart, indéniables ; mais en ce qui concerne la
théorie
, il n’a montré aucune espèce d'originalité et mêm
lacune. Son travail volumineux, exempt de discussions oiseuses et de
théories
plus ou moins hypothétiques, bourré de faits, de
ME EXPÉRIMENTAL ET THÉRAPEUTIQUE 15e Année — N° 11. Mai 1901.
Théorie
physiologique de l'hystérie par le Dr Binet-San
du tremblement, des tics, de la chorée ou (1) Cli. B inet-Sanglé :
Théorie
de ncuro-didlectriques (Archives de neurologie, s
ME EXPÉRIME^ALf^\ THÉRAPEUTIQUE 15« Année — N° 12. Juin 1901.
Théorie
physiologique de l'hystórie par le Dr Binet-San
ensemble constituent des somnambulismes en gradation. Telle est la
théorie
physiologique que je propose de substituer aux th
Telle est la théorie physiologique que je propose de substituer aux
théories
psychologiques de l’hystérie. Schème 13. SOCI
. 28. Hystéro-traumatismes oculaires, par Borel, p. 30. Hystérie (
Théorie
physiologique de 1’), par Binet-Sanglé, p. 257, 2
y Cajal, p. 285. Record (Etrange), p. 62. Renouvier (M.Ch) et la
théorie
du vertige mental, par Paul Parez, p. 193. Revi
ités avec succès par la suggestion, par Pau de Saint-Martin, p. 17.
Théorie
physiologique de l’hystérie, par Binet-Sanglé p.
étisme, par Garnault, p. 87. Vertige mental (M. Ch. Renouvier et la
théorie
du), par Paul Farez, p. 193. Visuels (Troubles)
èse ; et la vascularisation cutanée égale des deux côtés infirme la
théorie
de Traube, la théorie de l'hyperthermie par dim
ation cutanée égale des deux côtés infirme la théorie de Traube, la
théorie
de l'hyperthermie par diminution de la déperditio
l ne préjuge de rien. Examinons tout d'abord, comme non fondées, la
théorie
de l'ostéomala- cie (Vincent) que personne ne s
eprendre toute discussion ultérieure, nous devons nous arrêter à la
théorie
syphilitique delà maladie de Pagel. Cerlains aute
al et exclusif dans l'étiologie de cette maladie osseuse. Une telle
théorie
est-elle actuellement fondée ? C'est, on le sai
très riche. D'autres arguments encore montrent l'insuffisance de la
théorie
syphi- litique de la maladie osseuse de Paget.
val. Thèse de Lyon, 1901. 16 KLIPPEL ET PIERRE-WEIL En face de la
théorie
syphilitique de la maladie de Pagel se dresse la
face de la théorie syphilitique de la maladie de Pagel se dresse la
théorie
tropho-névrotique, moins vivement défendue, il es
t vrai, et dont il nous faut maintenant examiner la valeur. Cette
théorie
se base tout d'abord sur des analogies ; à la sui
o Medea et Corrado de Fano ne veulent pas conclure de leur cas à la
théorie
tropho-névrotique : les lésions qu'ils ont consta
ation calcaire des artères nourricières des os » (Bé- colère). La
théorie
de l'artério-sclérose, cause de la maladie de Pag
interstitielle ». Pourrait-on, en s'engageant plus avant dans cette
théorie
« artérielle » de la maladie de l'aget, dire qu
le (1). Si donc certains arguments militent assez fortement pour la
théorie
athéromateuse de t'osteitis deformans, il nous
omateuse de t'osteitis deformans, il nous semble pourtant que cette
théorie
est insuffisante, elle aussi. Elle n'explique pas
les rhumatisants chroniques, a pro- voquél'éclosioii de l'ancienne
théorie
rhumatismale de la maladie de Paget que Huchard
1 En réalité, on ne peut, à l'heure actuelle, se rallier à une des
théories
successivement soutenues pour expliquer le méca
le mécanisme de t'ostéite défor- mante : toutes sont en défaut. La
théorie
syphilitique est insuffisante ; la théorie trop
outes sont en défaut. La théorie syphilitique est insuffisante ; la
théorie
tropho-névrotique manque encore de preuves convai
vrotique manque encore de preuves convaincantes, indiscutables ; la
théorie
vasculaire ne satisfait pas l'esprit, car l'artér
ens radiographiques sont assurément un argument insuffisant contre la
théorie
de l'identification de la maladie de Paget et d
scence est restée jusqu'à présent bien obscure. C'est assurément la
théorie
qui invoque un trouble dans la nutrition osseus
rément la théorie qui invoque un trouble dans la nutrition osseuse,
théorie
soutenue aussi par KIRAIISSON, qui correspond l
ion des observateurs sera portée sur celle association. En outre la
théorie
rachitique et l'interprétation de Leiciinam peuve
tique et l'interprétation de Leiciinam peuvent se concilier avec la
théorie
thyroïdienne. Plusieurs auteurs tels que IIeiuo
t même de la scoliose pendant l'adolescence est un argument pour la
théorie
endocrine de la palhogénie de cette sco- liose.
RE CHRONIQUE 59 Sur l'innervation du nerf spinal ont été émises les
théories
plus con- tradictoires qui s'attachent d'un côt
re fort obscure, et qui de tout temps a été des plus discutée. Deux
théories
sont en pré- sence pour expliquer la nature de
nombreux auteurs, à la suite de Duchenne, sont venus appuyer cette
théorie
pathogénique, et ont apporté, à l'appui de leur h
faire de la pathogénie de ces désor- dres ? A notre avis les deux
théories
sont vraies suivant le cas, et l'on peut observ
cun doute. Nous allons appuyer d'un certain nombre d'exemples celte
théorie
pathogénique complexe et tenter de justifier ce
tion fonctionnelle de certaines glandes à sécrétion interne : cette
théorie
que les auteurs mêmes considèrent comme hypo- t
othèse nous semble aujourd'hui encore la plus probable quoi- que la
théorie
de l'auto-intoxication émise par M. P. Marie ait
ans entrer dans aucune discussion à ce sujet, sans même signaler la
théorie
de Verworm qui ramène à leurs éléments psychiques
anscendentales de la philosophie. Non seulement on n'atteint pas la
théorie
en disant qu'elle a pour consé- quence la déché
e et de la chimie. La physiologie de l'esprit est corrélative de la
théorie
de l'évolution humaine qu'elle complète et couron
e qu'une observation de Senator sur laquelle puisse s'appuyer cette
théorie
. Il s'agissait d'une hémichorée post-hél1liplégiq
un trou- ble trophique sous la dépendance du système nerveux. Cette
théorie
tro- pho-névrotique semble devoir gagner du ter
sseuses. , On a entendu beaucoup parler dans ces derniers temps des
théories
émises par Lannelongue et Fournier sur la cause
our ces auteurs un trouble dépendant de la syphilis héréditaire. La
théorie
de l'hérédo-syphilis dans la maladie de Paget a
és acquises pendant la vie a une importance énorme pour éclairer la
théorie
de l'hérédité. On sait que, dans ces derniers t
édité. On sait que, dans ces derniers temps,Weismann a développé sa
théorie
héréditaire qui nie tout à fait la transmission
e des propriétés acquises. Galton au contraire admetce transport.La
théorie
de Weismann est fondée sur la base de la discon
fondée sur la base de la discontinuité de protoplasme foetal. Cette
théorie
remarquable et séduisante, a été soumise néanmoin
aires de la contrac- ture de Dupuytren. Jordini en 1906 appuya la
théorie
nerveuse de l'origine de la contrac- ture de Du
sante. 318 IIAC DE LKPINAY IV. Au point de vue pathogénique, deux
théories
opposées sont en présence pour expliquer ces tr
ec Duchenne, invoquent une origine centrale. A notre avis, les deux
théories
peuvent être vraies, suivant les cas ; mais, qu
et ont surajouté leurs effets. Il paraît d'ailleurs certain que les
théories
de Saenger et de HUilER et HÜSSLIN renferment c
ar contre, il devient beaucoup plus difficile d'expliquer par cette
théorie
des formes de névrites telles que la névrite segm
l'âge. Nous pouvons apporter quelques autres faits en faveur de la
théorie
uni- ciste de l'acromégalie et du gigantisme. L
d cas, encore plus que celui de Claude, nous prouve la vérité de la
théorie
de Launois et Roy pour lesquels l'acromégalie est
ET PIERRE-WEIL ont emporté avec eux, du milieu où ils vivaient, les
théories
et les idées : chemin faisant, ils n'arrivaient
dieux, de signes particuliers sur sa robe. Plus tard se fit jour la
théorie
émotionnelle du naevus que nous retrouvons enco
la mère, durant sa gros- sesse, et transmise au foetus. C'est la
théorie
d'Hippocrate, d'Ambroise Paré, de Saint-Augustin
notion infectieuse, on essaya d'interpréter les faits. La première
théorie
scientifique fut la théorie vasculaire que défend
ya d'interpréter les faits. La première théorie scientifique fut la
théorie
vasculaire que défendirent Trélat et Monod (6),
orie vasculaire que défendirent Trélat et Monod (6), puis naquit la
théorie
nerveuse. Roger en 1835, Arndt en 1839, n'avaie
lusieurs nerfs spinaux. Il admettait une lésion du ganglion spinal,
théorie
à laquelle se ralliè- rent Gerbardt, Simon, Hut
ait être limité parles lignes frontières de Voigt et fondaient t la
théorie
dont nous reparlerons plus loin. Entre temps ét
nous reparlerons plus loin. Entre temps était née et avait vécu la
théorie
lymphatique de Bull (1886) et Polosson (1884) (
t plusieurs territoires nerveux. Morrow pouvait écrire (1898), « la
théorie
nerveuse est battue en brèche par ce fait t que
sur la métamérie spinale de Ross, Thorburn, Head, et qu'il émit la
théorie
métamérique du zona dont M. Achard (4) se fit aus
le zona et le noevus (6). Aussi est-ce par analogie que fut créée la
théorie
métamérique du nævus défendue par Selhorst, par
e du nævus défendue par Selhorst, par Leblanc, par Lelong. C'est la
théorie
de la myélite intra-utérine. Blascllko et Jadas
myélite intra-utérine. Blascllko et Jadassohn admettent toutes ces
théories
; ils reconnaissent, en outre, un rapport entre
e et là le système nerveux. Nous voudrions pouvoir, à l'appui de la
théorie
radiculo-métaméri- (1) Lahmann, Die multiplex F
l'ostéite déformante reste encore plongée dans l'obscu- rité ; des
théories
diverses sont en présence, de sorte que chaque no
elle coïncidence étant devenue beaucoup plus rare dans la suite, la
théorie
qui voyait en elle un signe de la tendance de tou
lis et les maladies parasyphilitiques. Or, comme l'on sait, une des
théories
étiologiques de l'ostéite déformante qui ont eu l
acquise (Ménétrier) (2). D'au- tre part, selon Fournier (3), cette
théorie
aurait reçu un très solide appui si l'on avait
quée, elle a donné un résultat négatif. Il y a t-il quelque autre
théorie
s'adaptant à un plus grand nombre de cas ? -
t si elles n'ont pas apporté aucune preuve décisive en faveur de la
théorie
endogénir¡ue (Strumpell) de l'acromégalie, elle
mer, nous serons alors en possession d'un nouvel argument contre la
théorie
dualiste de l'acromégalie et du gigan- tisme, c
est pas exact de parler d'alcalinité à propos du sang, qui d'après la
théorie
des ions doit être considéré comme un liquide à
u'elle nous donnera des éléments tout à fait nouveaux en appui à la
théorie
acceptée par la majorité des auteurs qui attrib
t qui, comme nous le verrons, pèse d'un lourd poids en faveur de la
théorie
uniciste. Avant de passer aux conclusions de no
par les hyperpituitaristes, soit enfin par ceux qui soutiennent la
théorie
de l'en- dogenèse n'ont une valeur assez décisi
ncore snb judice, toute affirmation absolue serait imprudente. La
théorie
hypophysaire de l'acromégalie et du gigantisme so
de réserve, et jusqu'à une nouvelle preuve absolue en sa faveur, la
théorie
hypophysaire de l'acromégalie et du gigantisme
cas contradictoires; Messedaglia, qui cependant est contraire à la
théorie
hypophysaire, reconnaît à ce sujet que l'étude de
et ne donne en conséquence aucune preuve absolue de la vérité de la
théorie
de l'endogènese. L'un de nous (Franchini) qui a
ujourd'hui encore une affirma- tion définitive soit en faveur de la
théorie
hypophysaire, soit en faveur de la théorie endo
ive soit en faveur de la théorie hypophysaire, soit en faveur de la
théorie
endogénique, serait au moins prématurée. Dans l
mmes convaincus de l'identité d'origine de ces deux affections ; la
théorie
uniciste soutenue par MM. Brissaud et Meige et MM
CONTRIBUTION A LA CONNAISSANCE DU GIGANTISME 585 en faveur de la
théorie
uniciste de l'acromégalie et du gigantisme ne nou
ons que de nouvelles recherches soient faites en ce sens, car si la
théorie
de l'endogénèse devait triompher un jour, il se
où d'ailleurs on ne pourrait que l'admettre sans la comprendre, la
théorie
de l'évolution organique, c'est-à-dire de la tr
cette donnée scientifique. Il y a incompatibilité absolue entre la
théorie
de l'évolution biologique acceptée sans réserve e
nt alliées ces tendances discordantes. En acceptant complètement la
théorie
de l'évolution, de nombreux savants n'ont modif
trouve encore ici l'occasion de faire ressortir l'exactitude d'une
théorie
qui m'est chère, à savoir que les manifestation
ouvelles. Ces manières d'êlre sont en parfaite concordance avec mes
théories
mécanis- tes du processus mental. L'accord ou l
même pour discuter la valeur des arguments que l'on oppose à leurs
théories
. Je pense que la froide raison, la raison pure
es tumeurs céré- brales. Je ne veux pas énumérer ici les nombreuses
théories
qui ont été successivement soutenues depuis les
t permis à MM. Cl. Philippe et P. Lejonne d'appor- ter une nouvelle
théorie
qui sera, tout permet de le penser, confirmée à
ilis, l'alcool, la pella-- gre, etc. ' D'autre part il existe une
théorie
suivant laquelle la dégénères-' cence des libre
cérébrale. R. de Musgrave-Clay. V. Contribution à la question de la
théorie
histologique du som- meil, par W.-M. NAR13OUTrL
rieur. P. KERAVAL. VII. L'anatomie du cerveau, la psychologie et la
théorie
philoso- phique de la cognition; par W. WEY6AND
dans onze cas de tabes confirmé, venant à la suite des différentes
théories
pathologiques de cette affection, con- duit les
met généralement et à proposer à côté des formules antérieures, une
théorie
plus éclectique résumée comme suit : « La lés
e comprend ce qu'il lit et, tout à la fin, ce qu'on -lui dit. Cette
théorie
a en sa faveur la fatigue observée à chaque esp
eprisesdit l'auteur, combien les médecins peu familiarisés avec les
théories
du droit et les préci- sions techniques du lang
coles philosophiques contradictoires. Les grandes hypo- thèses, les
théories
ne sont que des jalons par lesquels l'esprit hu
l'auteur dans les exemples qu'il cite pour étayer son schéma et sa
théorie
sur des faits de physio- logie normale. Nous av
u'elles amènent à découvrir. Nous faisons donc crédit a priori à la
théorie
philosophique de Grasset si les phénomènes d'hy
nc Aussi l'auteur, appliquant à cette interprétation des faits sa
théorie
de l'automatisme supérieur, dit qu'il y a dissoci
de la décrire avec M. Grasset, nous convenons que le sché- ma et la
théorie
de l'auteur acquerraient une large part de pro-
de toute hypothèse à des constatations bien différentes et comme la
théorie
, de Grasset est contenue dans ces quelques lign
roirs et des prismes), il n'en conclut pas moins, croyant étayer sa
théorie
et son schéma que « seul, le polygone utilise d
n perçues par le centre 0. » A ce même ordre d'idées se rattache la
théorie
polygonale des anesthésies. On détermine par su
réellement (ce qui est la vérité). Grasset en conclut, fidèle à sa
théorie
, que les excitations péri- phériques sont reçue
de Ribot, de Bourru et Burot, expériences auxquelles il applique sa
théorie
de la désa- grégation sus-polygonale. Pour l'au
que la conception de REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 135 M. Grasset,
théorie
et schéma du centre 0 et du polygone, n'est pas
Dans ce court mémoire, qui ne contient, dit l'auteur lui-même, ni
théorie
, ni idées nouvelles, mais seulement quelques obse
bservations et des travaux des auteurs, M. Trapieznikow tire que la
théorie
anatomique de l'allochirie ne repose pas sur de
ne maladie actuellement incurable. Mais l'auteur passe en revue les
théories
pathogéniques de la paralysie générale et de se
r la compression, ni par l'anémie des conducteurs nerveux. Reste la
théorie
de la commotion, l'apoplexie étant le résultat
Dans un cas du service, qui fut d'ailleurs le point de départ de la
théorie
pathogénique que je vous expose, Oberthûr a tro
er. J'ai pu d'ailleurs corroborer maintes fois l'exactitude de la
théorie
. pathogénique découlant de semblables observation
au saine peut servir de porte d'entrée au plomb. A l'appui de cette
théorie
biencon nue, rappelons que Canuet a intoxiqué d
'nr.J.1 of Insanity, juillet 1902. p. 63-82). L'auteur combat la
théorie
inflammatoire avec origine vascu- laire, etc.,
théorie inflammatoire avec origine vascu- laire, etc., et défend la
théorie
considérant la chorée d'Hunting-, ton comme mal
ctives, la rétraction du globe oculaire. ' Quelles que soient les
théories
admises (Morel et Doyon ; Aba- die ; Jaboulay)
s publiées n'ont pas dépassé cin- quante. Rappelant les différentes
théories
pathogéniques mises en avant par les auteurs :
ques mises en avant par les auteurs : la déshydratation du sang, la
théorie
réflexe, enfin la théorie toxique développée pa
s auteurs : la déshydratation du sang, la théorie réflexe, enfin la
théorie
toxique développée par Bouchard et sou- tenue p
né un résultat indiscutablement avantageux, mais sans qu'aucune des
théories
actuelles de l'immunité puisse expliquer le méc
son, par excitation rolidienne. Cette idée ne contredit aucune- des
théories
actuelles concernant le mécanisme de l'audition.
idales directes, à dégénérescence pyramidale égale. Défense de la
théorie
du neurone. M. AzouLaY présente de belles prépa
i a substitué l'au- to-intoxication et l'auto-infection aiguës à la
théorie
de l'action 1 purement irritative de la tumeur.
e l'action 1 purement irritative de la tumeur. C'est cette dernière
théorie
que ' les auteurs appliquent à leur cas. G. Car
nt, de Belgique, 1903, n° 113.) L'auteur rejette sans discussion la
théorie
de l'origine sous- consciente, ou automatique d
tique du syndrome catatonique, il se refuse également à admettre la
théorie
qui attribue ce syndrome à un ralentissement de
es avec détail. Dans la seconde partie, l'auteur aborde l'étude des
théories
des hallucina- tions. Ces théories sont nombreu
tie, l'auteur aborde l'étude des théories des hallucina- tions. Ces
théories
sont nombreuses, l'une des premières est la thé
- tions. Ces théories sont nombreuses, l'une des premières est la
théorie
psychique, d.ite théorie d'Esquirol. Une autre th
ont nombreuses, l'une des premières est la théorie psychique, d.ite
théorie
d'Esquirol. Une autre théorie, dite sensorielle
ières est la théorie psychique, d.ite théorie d'Esquirol. Une autre
théorie
, dite sensorielle, a éié proposée par Foville,.
e, dite sensorielle, a éié proposée par Foville,. Luys et Ritti. La
théorie
mixte ou spycho-sensorielle porte le nom de Bai
le porte le nom de Baillarger. Il n'y a pas lieu d'insister sur ces
théories
qui sont connues et remplacées. Les deux théori
'insister sur ces théories qui sont connues et remplacées. Les deux
théories
dont il faut maintenant s'occuper sont celles de
es cen- tres perceptifs ou psycho-moteurs de l'écorce cérébrale. La
théorie
, d'abord acceptée avec beaucoup de réserve, a f
réserve, a fini par rallier à peu près toutes les opinions, et les
théories
nouvelles ne peuvent 404 REVUE DE PATHOLOGIE ME
ant à la mélancolie, volition faible aboutissant à l'obsession). La
théorie
toxémique ne parait pas indispensable à l'expli
a toxémie une importance fondamentale ? : ' 42° En ce qui touche la
théorie
moderne suivant laquelle la maladie est un défa
isibles et les toxines sont 'développées ou détruites, et que cette
théorie
permet d'attribuer à la toxémie, dans la genèse
rères. Le point sur lequel M. Clouston parait s'écarter le plus des
théories
modernes, c'est le rôle attribué à l'hérédité. Ma
Il termine en disant que l'une des raisons qui lui font adopter la
théorie
toxémique c'est qu'elle permet d'espérer des pr
évrose d'angoisse. "Avec Ballet, l'auteur pense, contrairement à la
théorie
de Frend, que la privation sexuelle ne joue qu'
s postérieur de la pre- mière temporale semble donner raison à leur
théorie
. Il s'agissait d'hallucinations surtout auditiv
u le temps de s'éliminer. L'OB5. I semble tout d'abord confirmer la
théorie
de Ma- gnan. Le malade en question, en effet, d
générale au début. Sans vouloir imposer aucune hypothèse ni aucune
théorie
, nous pensons avec Sérieux que la paralysie gén
* cellule nerveuse et de ses prolongements une entité individuelle (
théorie
des neurones) doit être abandonnée ou tout au m
u tout au moins considérable- ment modifiée (il entend parler de la
théorie
des neurones telle que l'a formulée Waldeyer, l
t cependant, pour satisfaire aux exigences des parti- sans de cette
théorie
, on nous demande d'admettre qu'une des moitiés
e, à en déterminer la direc- tion. L'auteur expose brièvement les
théories
courantes sur l'action défaire Rolandique et le
moins de la simplicité. Il examine ensuite dans quelle mesure cette
théorie
peut rendre compte des phénomènes d'activité vo
Après cette étude assez longue, il recherche jusqu'à quel point la
théorie
de l'inhibition peut servir à expliquer quelque
ystème pyramidal. L'auteur en terminant examine quelle influence sa
théorie
peut avoir sur le traitement. 1 R. DG ! \lUSGII
es consi- dérations, sans vouloir toutefois aborder la question des
théories
du sommeil, sur la nature du sommeil et ses rap
temps dans le cerveau, parce qu'il n'existe pas jusqu'à ce temps de
théorie
scientifique fonda- mentale sur la formation de
e délire systema- tique, par Tissol, 164. Neurone. Iiélense de la
théorie
du - , par Aznujay, 343. Névraxe. Le-, par Va
r 111ouravielT, 261. Sommeil. Contribution à la ques- tatou de la
théorie
histologique du -, par NarbouttP, 17. - Voir
oyen pour la réalisation du vœu commun. Les uns, n’envisageant que la
théorie
, voudraient une chaire; d’autres, plus presses,
t superstitieuse et cacher sous l’appareil magique «les règles et une
théorie
. Ce n’est plus la magie blanche des mages, c’«!St
ogie, destiné : 1° A l’enseignement philosophique et raisonné de la
théorie
et de la pratique du mesmérisme; 2° Aux investi
t d’abord le professeur LysimaqueVerati. Son œuvre sur l’histoire, la
théorie
et la pratique du magnétisme animal et sur plusie
l sera facile de découvrir, au milieu des principes, des faits et des
théories
, le lien secret qui unit toutes les parties et d’
qu’ils en portèrent, l'occupent longuement. Il s’étend ensuite sur la
théorie
de Gussen, et ses expériences, sur la découverte
on de l’être et la cause des erreurs. Il examine, chemin faisant, les
théories
de Genovesi, de Costa, de Romagnosi, de Mamiani e
voudrions citer que sa lettre sur le sommeil et les songes, dont les
théories
, toutes propres à notre auteur, sont aujourd'hui
eux dévouement. Jos. Bartiiet. Nonvelle-Orléans, *0 janvier 18i8.
THÉORIES
. L’Amérique parait destinée à être la nouvelle
voir examiné les divers modes de vision accidentelle, il développe sa
théorie
des accords appliquée au somnambulisme. Il dit :
te ou visuel co-arômal, sur lequel j’ai passé légèrement parce que sa
théorie
tient à celle des accords de foyer et de transcen
nations qui consentent à étudier 400,000 volumes pour y apprendre une
théorie
d’indigence, fourberie, carnage, cercle vicieux,
etc., ne consentiront-elles pas à étudier 4 volumes pour apprendre la
théorie
d’avénement à 1 o-pulence, la vérité et l’Unité u
somnambulisabilité formerait la règle et son défaut l’exception.Cette
théorie
est tellement évidente que le nombre des somnambu
encore bien moins en prévoir l’utilité, déterminer l’application. La
théorie
qu’il donne de cet effet est aussi celle qui est
la lecture, libre à chacun de faire ses réserves.....Par exemple, nos
théories
magnétiques sont encore si vagues; qu’il m’a se
es organisations... » Telle est en abrégé, et presque mot à mot, la
théorie
de Davis. Sans doute elle laisse beaucoup à désir
st, par le docteur Kerner; les Feuilles de. Prévorst, par le même; la
Théorie
du somnambulisme, par le docteur Wirth, ou les An
ur l’existence même du magnétisme animal, encore moins sur l’ancienne
théorie
qu’on présentait à cet égard. Cette théorie, au
re moins sur l’ancienne théorie qu’on présentait à cet égard. Cette
théorie
, au fait assez simple, paraissait pourtant avoir
a force magnétique, soit somnambule, soit magnétiseur. Telle est la
théorie
générale présentéedans les anciens écrils surce s
l n’en est encore rien sorti pour la science. Il n’y a plus même de
théorie
du magnétisme; ses amis n’en émettent plus. Il n’
iomphateur. Il y a donc analogie dans la nature physique pour cette
théorie
d'absorption qu’on veut montrer dans la nature mo
s et des affinités, puis venez et voyez. » Voilà, je ne dirai pas des
théories
, car il se trouve aujourd’hui qu’il ne faut plus
es théories, car il se trouve aujourd’hui qu’il ne faut plus faire de
théories
, que toute théorie est trop étroite non-seulement
se trouve aujourd’hui qu’il ne faut plus faire de théories, que toute
théorie
est trop étroite non-seulement pour ses découvert
t des expériences et constate des résultats : elle ne proclame pas de
théories
. Ce n’est pas le magnétisme tout entier qu’elle
cures; mais depuis cette époque, bien des commissions ont examiné les
théories
et les œuvres de ses successeurs. Bien des commis
e leurs études ? Est-ce pour moi une raison d’admettre avec eux cette
théorie
, qu’il est pour l’homme une situation naturelle o
téressés au lieu de les acquitter d’en recevoir de nouveaux. FIN.
THÉORIES
«>. En ouvrant celte voie de publicité au ma
es que tous les systèmes apportent au critérium de l’observation. Des
théories
prématurées que la marche des faits venait dément
organique une propriété à'irritabilité dont le caractère entraîne la
théorie
de la localisation de la maladie dans les tissus,
enaître l’observation, et conciliant la méthode expérimentale avec la
théorie
, il prépare les travaux de Bordeu, de Barthez et
ntrer ici tout le mal que peut faire, et que fait !>ien souvent la
théorie
qui enseigne à ne voir dans le symptôme que la tr
n’eût jamais existé de médecins dans le monde. » Mais de ce que des
théories
fausses ou mal comprises font naître des erreurs
e quelque nouvelle explication, mais 011 peut avoir pris une idée des
théories
qu’elles développent. C’est toujours par des rais
aut revenir aux teintures mères et recourir à une explication de pure
théorie
pour justifier cette dérogation à vos principes ;
méconnaître toute notion de physiologie que d’iidmettre une semblable
théorie
. Que de causes peuvent troubler les fonctions d’u
ux principes établis par Hahnemann, savoir : les infinitésimaux et la
théorie
des maladies chroniques. Quoi qu’il en soit de
prononcé par le docteur Blanc. Admis à l’honneur de vous exposer la
théorie
naturelle du magnétisme animal, je dois, Messieur
, bien connues cependant avant lui, laisse une immense lacune dans la
théorie
du magnétisme. L’ignorance de ce principe, enseig
e l’agent médicamenteux. M. Beckensteiner ne s’en est pas tenu à la
théorie
; il a tenté par voie électrique l’administration
qu’il traverse et produit les effets des substances traversées. Celte
théorie
séduisit l’esprit de quelques personnes par son a
taient inconnus, se manifestèrent sous l’application des procédés, la
théorie
parut sanctionnée par la pratique, et gagna des d
que les sciences physiques et physiologiques reconnaissaient dans la
théorie
, portèrent les savants à nier les faits les plus
, et avant qu’il fût connu, le magnétisme constituait une doctrine en
théorie
comme en pratique. Il est positif que Mesmer av
i circulent en nous. Tel est le fond du système de M. Raspail : cette
théorie
longuement et habilement développée ne peut néanm
ganisation ainsi que l’action curative des médicaments. En vain des
théories
superbes proclameront la marche ascensionnelle de
Dr P....t. — Votre abon. eal fini. l.i Gérant, HÉBERT (deGnrnay).
THÉORIES
. DES HALLUCINATIONS RELATIVES AU MAGNÉTISME.
de M. Poe nous avons omis de rappeler la note qui accompagne le titre
Théories
. Cet oubli nous a valu la lettre suivante, dont l
tendu pour que nous le suivions pas à pas dans cette revue des faits,
théories
et systèmes qui se sont produits depuis l’enfance
ent à la propagation. Ils y puiseront les notions les plus vraies des
théories
et systèmes qui inspirent la plupart des médecins
caprice. Hkbert (de Garnay). I.e. Gérant. 1IÉI1KRT (deGarnay).
THÉORIES
. DES HALLUCINATIONS RELATIVES AU MAGNÉTISME.
des médecins. Dr Alfred PERRIER. (La suite au prochain numéro.)
THÉORIES
. DE8 HALLUCINATIONS RELATIVES AU MAGNÉTISME.
aurait pensé que j’avais inventé tout cela à plaisir pour établir une
théorie
sur la formation du fluide. Aussi je me suis abst
t chaque jour, à mesure que la maladie diminue.» (Tardy de Montravel,
Théorie
du Magnét., p. Go. ) On lit, dans les Annales d
de vous dire que c’était un magnétiseur par excellence , unissant la
théorie
à la pratique et à l’expérience. Sa mort est d’au
ont savamment étudiés ; et assurément on reconnaît, dans l’exposé des
théories
et des faits, un magnétiseur qui a beaucoup prati
esmer, sur ceux des modernes; et, comme partout il fallait appuyer la
théorie
, des faits de guérisons très-probants pour ceux q
n question par les actions chimiques de la respiration. D’après celte
théorie
, le fluide formé dans le sang par la combinaison
nt utile. Adalbekt DE BEAUMONT. Le Gérant : UÉBEKT (de Garnay).
THÉORIES
. DES HALLUCINATIONS RELATIVES AU MAGNÉTISME.
des personnes familières avec les effets du magnétisme à distance. La
théorie
des pressentiments , et la transmission des sensa
sieurs rapports d'experts et de médecins qui ont développé toutes les
théories
de l'hypnotisme et de la suggestion et rappelé le
à ce moment précis à l'empire que Jouve exerçait sur elle. Quant à la
théorie
scientifique de l'hypnose apportée à la barre, el
e après la guérison. Azoulay: Les travaux de Golgi et de Cajal : la
théorie
histologique du sommeil. Valentin : Du rôle soc
ge a eu un rôle hypnotique. On peut même dire que la crédulité et les
théories
médicales des sauvages aidaient beaucoup à la cur
me suggestion par association de mémoires : la pratique a confirmé la
théorie
; le parfum renforce la suggestion à toute heure
de la cécité des mots ont publié sur cette infirmité et résume leurs
théories
. Après avoir donné des aperçus rai-sonnés sur le
sont rigoureux dans leurs observations, et ont abandonné les stériles
théories
et les discussions oiseuses de la philosophie tra
ire à distance, malgré les obstacles de toutes sortes? Oui. » Cette
théorie
vient d'être singulièrement corroborée par les ét
spagnol par le Dr L. Azoulay (Reinwald, éditeur). Elles renversent la
théorie
ancienne de la continuité des fibres nerveuses av
de la pensée. C'est, au fond, la même idée que l'on retrouve dans les
théories
psycho-physiologiques de Schneider, de Durand de
xtrémités nerveuses en contiguïté, de faciliter les passages. » Les
théories
anciennes de la continuité ne parvenaient pas à d
on applique ces données à l'acte physiologique du sommeil, on aura la
théorie
histolo-gique du sommeil que M. Mathias Duval a c
emple de ce qui se passe dans l'hystérie est fort suggestif. Avec les
théories
anciennes de la continuité, il est impossible d'e
a motricité ou du fonctionnement des divers organes des sens. Avec la
théorie
histologique, avec l'absence momentanée et plus o
que je ne voulais pas travailler ! » Pas plus que dans l'hystérie, la
théorie
de la continuité ne nous satisfait pour expliquer
e du professeur Bernheim s'explique maintenant tout à fait, grâce aux
théories
nouvelles de la contiguïté et de l'induction nerv
elquejeu, rue Gerbert, 10. 10· année- — X° 10. Avril 1896. LA
THÉORIE
HISTOÏUBfQuE DU SOMMEIL par M. le Docteur Ch. P
TOÏUBfQuE DU SOMMEIL par M. le Docteur Ch. Pupin. II en est d'une
théorie
histologique du sommeil comme d'une théorie de la
Pupin. II en est d'une théorie histologique du sommeil comme d'une
théorie
de la contraction musculaire. Son but essentiel e
due partie liquide de la case musculaire, ils cherchent à établir une
théorie
histologique de la contraction ; lorsque ÏÏANviER
er la partie liquide dè leur contenu, on peut dire qu'il édifie cette
théorie
sur des bases solides. Le phénomène histologique
pourra émettre à cet égard seront autant d'hypothèses relatives à la
théorie
histologique du sommeil ; les faits qu'il sera po
s qu'il sera possible de constater directement seront les bases d'une
théorie
histologique du sommeil. Cette théorie ne viend
ement seront les bases d'une théorie histologique du sommeil. Cette
théorie
ne viendra ni renverser les théories déjà proposé
histologique du sommeil. Cette théorie ne viendra ni renverser les
théories
déjà proposées, ni s'intercaler entre elles; elle
re elles; elle sera à côté d'elles, indépendante d'elles, quoique ces
théories
antérieures n'ait fait allusion qu'à des phénomèn
ion de chaleur, etc., sont à la contraction musculaire, tandis que la
théorie
histologique, au-dessous de ces phénomènes généra
ypothèses de Krause, Engel-µ???, Merkel, il a pu substituer ainsi une
théorie
positive de la contraction musculaire, théorie qu
u substituer ainsi une théorie positive de la contraction musculaire,
théorie
qui mérite, au premier chef, le titre dkislologiq
ecueillent peu les impressions amenées par ce dernier. Telle est la
théorie
histologique du sommeil. Mais, pour la rendre c
te- ment avec ce qu'on pourrait induire a priori en partant dc la
théorie
histologique. Si le réveil est brusque, sous l'
r suite le repos est nécessaire. En somme, on pourra dire que cette
théorie
n'est guère neuve, car elle ne fait qu'appliquer
ntes de leurs parties constituantes. La seule prétention qu'ait celte
théorie
, c'est de chercher quelle est, dans la cellule ne
résentée par les prolongements protoplasmiques. Mais du moins cette
théorie
nous délivre des conceptions vagues et des formul
s des rêves antérieurs? Notre projet premier était de poursuivre la
théorie
histologique du sommeil normal jusque dans tous l
r Lëpixe de Lyon {Reçue de Médecine, 1894, page 727.) En résumé, la
théorie
histologique du sommeil permet d'arriver aux conc
s la fatalité le guide, elle est inéluctable, il la doit subir. Cette
théorie
est rendue avec toute sa vibrante expression dans
tre est ce qu'on appelle ignorance. » Dans le Timée, se fait jour une
théorie
ancêtre de la théorie Iombrosienne : ß Les maladi
le ignorance. » Dans le Timée, se fait jour une théorie ancêtre de la
théorie
Iombrosienne : ß Les maladies de l'âme naissent d
tériaux qui plus tard devaient servir à l'édification à la fois de la
théorie
Iombrosienne du criminel-né, et de la théorie de
ication à la fois de la théorie Iombrosienne du criminel-né, et de la
théorie
de l'Ecole Française de Lacassagne : les sociétés
absolue sont des limites idéales que les faits ne réalisent pas. La
théorie
actuelle de la pénalité résulte de la fusion de d
rnes, Hobbes, Locke, Montesquieu, Beccaria, Bentham ont vu dans cette
théorie
un fondement suffisant à la pénalité. La théo
nt vu dans cette théorie un fondement suffisant à la pénalité. La
théorie
de la Justice absolue s'occupe avant tout de la v
en choisies. Après une brillante introduction où il établit ß qu'en
théorie
chaque trouble organique — maladie locale ou géné
r, à titre d'exemples, quelques observations destinées à confirmer sa
théorie
. La plus curieuse de ces observations est certa
se. — Le somnambulisme et les états passifs. Samedi V5 Avril. — Les
théories
modernes sur la production du sommeil. — Le neuro
es théories modernes sur la production du sommeil. — Le neurone et la
théorie
histologique du sommeil. — Rôle pathogénique des
ue la science ne peut progresser que par les faits bien observés. Les
théories
, lorsqu'elles ne sont pas appuyées par les faits
l'application de l'hypnotisme se caractérise par la simplicité de la
théorie
et la facilité de la technique, par contre, la pr
5. Terreurs nocturnes chez un enfant guéries par la musique, 250.
Théorie
histologique du sommeil (la), par Ch Pupin, 289.
JOLAIS, 5 (PALAIS-ROTAl.) JOURNAL 1)1 MAGNÉTISME. ÉTUDES ET
THÉORIES
RECHERCHES MÉDICO - MAGNÉTIQUES. CHAPITRE IV.
, I. VIII, e. 44. l'ï) Dcmrns idea , iraduct. de Deleuzc. comme une
théorie
nouvelle qui clut naturellement se heurter contre
(1) Élëm. de Méd. prat., t. II, p. 510, trad. par M. Boquillon. (2)
Théorie
du Somnambulisme, p. Ci. (5) Traité de philosop
x heures de crise, je l’apaisai et sortis de la chambre, etc. » (1)
Théorie
du Somnamb., Avanl-propas; p. 5. (î) Longtemps
ar les applications d’une science dont il sent l’utilité, que par des
théories
dont il ne comprend pas toujours les développemen
s dans de gros volumes. Tous les points importants de tradition, de
théorie
, de pratique, sont exposés avec une concision qui
n, car il est un livre moralisateur; il vulgarise une science dont la
théorie
élève l’âme vers les plus hautes pensées, et dont
panacée universelle, et guérissant toutes les maladies. Telle est la
théorie
que je me suis efforcé de développer, en combatta
e certains magnétiseurs à prendre des illusions pour des faits. Cette
théorie
repose sur des études consciencieuses, des expéri
exercée par les reptiles sur leur proie. Quoi qu’il eu soit de cette
théorie
encore vague et mystique, le magnétisme animal n’
, Monseigneur, je vous adresse deux opuscules, dont un Traité d’une
théorie
sur les phénomènes du magnétisme, et l’autre de s
velle science si utile, et faciliter ainsi, par l’enseignement de ses
théories
, par la production de ses phénomènes et par les a
d’une vérité aussi palpable, d’un avantage aussi bien reconnu, toute
théorie
, toute opinion, fondée suides raisonnements qui n
ela ?e conçoit; mais si on use de cette faculté prétendue, si de la
théorie
on la fait descendre dans la pratique, si ou entr
ue nous avons l’intention de supprimer tout bavardage inutile , toute
théorie
abstraite et sans utilité pratique, toutes les
n spectacle. Il a donc pu arriver quelquefois que, se fondant sur des
théories
fausses ou erronées, et agissant par induction ,
et pour l’humanité, la science progresse toujours, indépendamment des
théories
et des hypothèses... C’est aussi de cette manière
ables, survenues souvent au sujet de l’interprétation d’un mot, d’une
théorie
, d’une vérité simple en «Ile-même, mais sur laque
! Salut de cœur. Aug. GATHY. Paris, 20 avril 1853. ÉTUDES ET
THÉORIES
. COUPS MYSTÉRIEUX. A Monsieur Hébert (de Garn
is en mouvement ; mais qu’on a cru devoir appliquer à ce phénomène la
théorie
de la contraction musculaire émise par M. l’abbé
musculaire émise par M. l’abbé Moigno. C’est au point de vue de cette
théorie
surtout, et sous le contrôle de l’observation la
, ou de l’action mécanique, comme l'explique M. l’abbé Moigno, par sa
théorie
si simple, sans doute, mais non moins hypothétiqu
M. l’abbé Moigno, pourrait bien n’être ici que spécieuse. 11 est des
théories
fort simples qui ont dû céder à des théories plus
ue spécieuse. 11 est des théories fort simples qui ont dû céder à des
théories
plus simples encore, et même à d’autres d’une sim
ous n’en saisissons la juste valeur qu’en démontrant l’identité de la
théorie
et de la loi qu’elle explique. Or, c’est précisém
c’est précisément à la recherche de cette loi que nous appliquons nos
théories
en ce moment, et la démonstration reste à faire.
des magnétiseurs. « — Mais Mesmer? mais sa doctrine? mais sa belle
théorie
sur le fluide universel? Mais la pratique et les
rimer ainsi, la matière spiritualisée. Voilà en quelques mots notre
théorie
sur l’agent mesmé-rien. Elle est bien incomplète
ations faites par les Invisibles, au moyen de l’alphabet employé, des
théories
foit belles et fort édifiantes qui confirment ce
disciple de Maxwell, fut le premier qui développa scientifiquement la
théorie
du magnétisme animal, et qui expliqua les cures m
i l’étreignaient ; on se livre de toutes parts aux applications de sa
théorie
, et le temps ij’est pas très-éloigné où, malgré d
IIÉDERT (de Garnaj). Le Gérant : HUBERT (de Garnay). ÉTUDES ET
THÉORIES
. DES COMMUNICATIONS SPIRITUELLES. A peine le
t intelligente, qui échappera peut-être longtemps encore aux hommes à
théories
, mais qui, je crois, a été de suite pressentie pa
ctes positifs sur d’abstraites paroles, des faits réels sur de vaines
théories
!.... Le monde finira par être convaincu, comme je
porter au magnétisme, et il ne pouvait en être autrement, puisque nos
théories
étaient encore si imparfaites !... On m’a dit, à
ts : bon gré, mal gré, elle sera forcée de les accepter tous. n Nos
théories
sont incomplètes! Sans doute, et il ne saurait en
omplètes! Sans doute, et il ne saurait en être autrement, puisque les
théories
doivent tout naturellement découler de l’observat
ues. « Cependant nous pouvons ne pas trop nous préoccuper encore de
théories
, mais nous devons nous efforcer de produire des e
une autre interprétation. Mais, encore une fois, on peut se passer de
théories
, et cependant pratiquer, avec plus ou moins de su
nte ridicule de revenants?... Mais il ne suffit pas de reconnaître en
théorie
l’existence des Esprits : la réalité de leurs rap
x progrès de la science nous permettent de rattacher ces faits ;\ une
théorie
. Le magnétisme, dans lequel, pour notre compte ,
éminaire de Versailles, vient de faire paraître un ouvrage intitulé :
Théorie
des relations considérées comme base de la scienc
s qu’elles sont ingénieuses, et sans adopter tous les principes de la
théorie
sur laquelle le savant auteur les a appuyées, je
nt tous les jours plus nombreux aux États-Unis, l’exposition de leurs
théories
n’avait pas jusqu’ici dépassé les limites de quel
lusieurs observateurs est loin d’ôtre démontrée. Malheureusement, les
théories
outrepassent toujours les faits. HÉBERT (de Gar
ameurs ou sous un silence concerté les découvertes qui contrarient la
théorie
admise. On a le droit de dédaigner, mais après av
e fort différente. « Agréez, etc. « A. DE GASPARIN. » ÉTUDES ET
THÉORIES
DES ESPRITS. La croyance au diable, ou aux ma
. HÉBERT (de Camay). Le Gérant : HKBIÏHT (de Garnay). ÉTUDES ET
THÉORIES
. DE LA DANSE DES TABLES. L’existence et la ca
raisons probantes : il y manque le caractère décisif qu’impriment aux
théories
les convictions arrêtées. Voici quelque chose d
luences psychologiques par les philosophes. Nous venons d’entendre la
théorie
de l’action du cœur, en voici une autre qui fait
simple changement dans les rapports des petits doigts, mine enfin la
théorie
de MAI. Castelnau et Corvisart. « 11 faut donc
Corvisart. « 11 faut donc une autre explication du fait, une autre
théorie
du phénomène, et nous croyons qu’il est nécessair
ans se préoccuper si les faits s’accordent ou non avec telle ou telle
théorie
. Ici, il ne s’agit que de vérifier si l’homme peu
l’expression du dépit et de la confusion. A. s. MORIN. ÉTUDES ET
THÉORIES
! - /T\ e DES ESPRITS. (Dcuxiômo Article.)
nétique ! A.....fils. Le Gérant : HÉBERT (de Garnay). ÉTUDES ET
THÉORIES
. DES ESPRITS. (5° Article.) Vous qui croyez
ans doute de chercher à faire un puissant argument en faveur de leurs
théories
, viennent de se produire coup sur coup et ont par
hir leurs traités des découvertes les plus récentes, de présenter des
théories
plus satisfaisantes, on ne peut qu’applaudir à ce
hénomène nouveau viendra prendre au dépourvu les corps savants, leurs
théories
et leurs systèmes, sauf à s’effacer plus tard sou
examen de tous les résultats du somnambulisme magnétique; d’après nos
théories
, nous les admettons dans les limites de l’existen
ilantropico-magnétique. Le Gérant : HÉBERT (de Garnay). ÉTUDES ET
THÉORIES
. 1° DES ESPRITS. (4® nrliclc.) Heureux de P
réer, etc. BÉGUÉ, médecin. Toulouse, ï décembre 1853. ÉTUDES ET
THÉORIES
. LES TABLES TOURNANTES EN L’AN 371 DE J.-C. N
aire! 0 philosophes! ô encyclopédistes! voilà donc à quoi servent vos
théories
et vos œuvres! et c’est en plein dix-neuvième siè
meurs scrofuleuscs, 60. Tympanite, 278. Verrues, 122. ÉTUDES ET
THÉORIES
. Communications (des) avec les Esprits. Voy. Es
ux pyramidaux croisés et aux faisceaux cérébelleux directs. Cette
théorie
, qui faisait de l'ataxie héréditaire et familiale
lecture de l'ouvrage de Paré, c'est exclusivement l'exposition des
théories
nauséabondes qu'il avait puisées aux cours de l
aladie de Frie- dreich à ses débuts. Plus vraisemblable serait la
théorie
de Londe : la maladie de Friedreich et l'hérédo
que l'acromégalie résultait t d'une insuffisance pituitaire. Cette
théorie
classique s'appuie d'une part sur quelques obse
us leurs efforts thérapeutiques ont été dirigés dans ce sens. Les
théories
de Haupt et de Poor ont suscité plusieurs confrèr
té et apportent un ap- pui, les unes ou les autres, aux différentes
théories
jusqu'alors soutenues. Nous avons vu la raréfac
ances, ont donné de nombreuses descriptions que n'ont pu relier des
théories
trop souvent exclusives. Au contraire, les autr
t les formes hystériques des maladies dont nous parlons. Quoique la
théorie
du « matérialisme des névroses soit en grande fav
ce du système nerveux central dans la production de l'urticaire. La
théorie
de Philippson (75) et de Torale (76), lesquels
parler avant tout de la nature de cet oedème, car les idées et les
théories
sur sa pathogénie me semblent très peu claires et
. Ces idées étaient admises par tous, mais on songeait déjà que ces
théories
ne nous expliquaient pas les différences que da
ouvant avoir une évolution indépen- dante. D'ailleurs, toutes les
théories
sur la pathogénie de la maladie de Quinke ont é
. Cassirer après avoir démontré combien étaient inac- ceptables les
théories
de Borner (98) (augmentation de la pression dans
aux qui se sont opposés avec des raisons vraiment scientifiques aux
théories
de Heidenhain dont il explique autrement les do
ymphe (Ces données forment la base phi- siologique peu connue de la
théorie
de Widal et Lemierre (101) sur la rétention des
es, mais il nie qu'ils agissent en excitant une sécrétion. Selon sa
théorie
ces substances apportent une modification dans
quantité de la lymphe, une stase lymphatique, l'oedème. Mais à la
théorie
de Cohnstein, de nombreux faits cliniques et expé
nt l'existence même fournit une démonstration importante pour notre
théorie
. C'est une no- tion commune que les plaques d'u
avaient été déjà défendus par Unna et il se déclare partisan de la
théorie
de l'infection. Mais personne ne peut nier que
que(évidage des glandes lymphatiques aux plis du membre), ramène la
théorie
de l'infection à la théorie générale que l'arrêt
hatiques aux plis du membre), ramène la théorie de l'infection à la
théorie
générale que l'arrêt de la lymphe dans le tissu
et pathologique nous est prodigue d'argu- ments en faveur de notre
théorie
, l'anatomie pathologique de ces affections est
le en même temps un argument de quel- que valeur pour ou contre les
théories
pathogéniques émises déjà ? Nous ne le croyons
quelles sont les causes de cette disposition héréditaire. Plusieurs
théories
pathogéniques ont été proposées. S'agit-il d'un
multiples comme toutes les maladies familiales. Il est enfin une
théorie
qui nous parait rationnelle et à laquelle les f
difficulté d'interprétation ne pouvait qu'engendrer les nombreuses
théories
qui se sont succédé depuis Meckel et Etienne Ge
à imputer la production congénitale (3). Concurremment avec cette
théorie
, prit naissance une théorie purement pathologiq
ngénitale (3). Concurremment avec cette théorie, prit naissance une
théorie
purement pathologique. Celle-ci fait intervenir
dairement détruite. Emise pour la première fois par llleckel, cette
théorie
a été défendue par Béclard (4), Ollivier d'Ange
- mensions. Il ne conclut pas et rappelle, d'une façon générale, la
théorie
des adhérences. Vers la même époque, Ad. Burg
de cette tumeur ne pouvait rien apprendre. Et si, parmi toutes les
théories
que nous venons de passer en revue, celle de Jule
lles. C'est ce qui a eu lieu pour la pseudencéphalie. De toutes ces
théories
, il n'en est pas une, même celle de Jules Guéri
ge attiré l'attention, aurait certainement eu une influence sur les
théories
relatives à la genèse de l'affection qui nous o
s leurs dimen- sions. C'est là sans doute une vue qui cadre avec la
théorie
de l'arrêt de déve- loppement, mais qui est en
ne se fait pas et l'atrophie et la sclérose apparaissent. Si cette
théorie
n'explique pas tous les symptômes de cette espè
d'un simple nanisme du système nerveux, semble être en faveur de la
théorie
d'Edinger et prouver que l'insuffisance fonctionn
r l'électrisation des branches du nerf facial. Or, déjà apriori, en
théorie
, il me parait difficile d'admettre qu'une exci-
HERBINET, Interne à l'hôpital des Enfants-Malades. Jadis les
théories
pathogéniques de l'hystérie, que rappelle encore
n plus à mesure qu'elle traversait la cour. Au premier abord, cette
théorie
semblerait donc convenir à notre cas : mais que
accou- cher normalement constitue l'objection la plus sérieuse à la
théorie
de Poncet reprise par Leriche. Ils veulent voir
utilement chercher à l'inter- préter, sont revenus à cette ancienne
théorie
. Peut-être ce retour en arrière résulte-t-il d'
partage également cette opi- nion. Mais c'est revenir à l'ancienne
théorie
de llZüller qui confondait l'aclion- droplasie
néral de développement. - 50 Au point de vue pathogénique, les deux
théories
: infection et auto ou hétéro-intoxication glan
ales sur la pathogénie de certaines difformités congénitales. Les
théories
modernes, c'est-à-dire celles qui sont fondées ré
on suivante pour, ce qui concerne les monstruosités des membres. 1°
Théorie
mécanique (anomalies du développement des membran
des membranes foetales, contractions utérines, traumatismes). 2°
Théorie
de l'atavisme. 3° Théorie des troubles trophiqu
ontractions utérines, traumatismes). 2° Théorie de l'atavisme. 3°
Théorie
des troubles trophiques consécutifs à des altérat
altérations du sys- tème nerveux. Je crois que les deux premières
théories
contiennent leur part de vé- rité. Je crois au
ies contiennent leur part de vé- rité. Je crois au contraire que la
théorie
des altérations trophiques mérite d'être élimin
suite et mise hors de discussion. En thèse générale cette dernière
théorie
, proposée par Tiedemann (2), a perdu une grande
membres normalement développés; dans ces cas, même en admettant la
théorie
qui veut que, dans l'amyélie, on peut observer
ncore de système nerveux. Babès (14) est récemment revenu sur cette
théorie
; il admet la pré- sence d'un centre hypothétiq
lité générale... Je ne crois pas devoir m'arrêter pour combattre la
théorie
de Serres (4) des anomalies de l'artère nourric
e Serres (4) des anomalies de l'artère nourricière du membre. Cette
théorie
qui fut pour un moment élevée au rang de loi (l
ents très importants qui démontrent mieux encore la faiblesse de la
théorie
de l'atavisme appliquée d'une façon trop exclusiv
ie, atrésie de l'anus, encéphalocèle), plaide aussi en faveur de la
théorie
mécanique. Nous avons exposé l'état actuel de l
état actuel de la question de la polydactylie. Il en résulte que la
théorie
atavique est basée sur des arguments trop peu sol
faut, mais le rapport serait si forcé, qu'aucun des partisans de la
théorie
ata- viquen'a pas songé à cette observation fré
observation fréquente pour s'en prévaloir comme d'un argument de sa
théorie
. L'étude de la formation embryonnaire des doigt
ui s'ap- profondissent sans cesse. 574 VALOBRA .syndactylie, la
théorie
atavique a du mal il se soutenir. On ne peut cer-
a du mal il se soutenir. On ne peut cer- tainement pas invoquer la
théorie
atavique pour expliquer les autres alté- ration
a morphologie de cet os dans l'échelle animale, les partisans de la
théorie
atavique ne sauraient trouver ici l'application d
tion de leurs idées. Seul Burkhardl (95) essaya l'application de la
théorie
de Gegen- baur à l'étude de cette difformité. G
teils du côté où le tibia fait défaut, suffit à démontrer que cette
théorie
manque de base. Elle a été, en effet, complètem
ccasion de voir tous les arguments en faveur de l'une et de l'autre
théories
. On doit reconnaitre que dans les travaux récen
dans les travaux récents presque tous les auteurs se rallient à la
théorie
des lésions amniotiques tandis que la théorie a
eurs se rallient à la théorie des lésions amniotiques tandis que la
théorie
atavique est en pleine décadence. Un seul argum
ieux dire, un seul fait est très difficile à expliquer avec l'autre
théorie
. Je veux parler de la fréquence de l'hérédité d
ces difformités par des excitations mécaniques. Il n'y a pas d'autre
théorie
qui puisse se prévaloir à ce propos d'arguments
e lésion du système nerveux. (2) Ménétrier, après avoir critiqué la
théorie
connue du Conheim, y substitue, pour ainsi dire
théorie connue du Conheim, y substitue, pour ainsi dire, une autre
théorie
, celle de l'influence des processus irritatifs
me ceux-ci, à des causes multiples, peut-être pas spécifiques. » La
théorie
des états irritatifs chroniques m'a fait me deman
eil suspenseur qui déforme et détruit peu à peu. Plus récemment, la
théorie
a été accommodée au goût du jour, et c'est à l'in
uteur se contente d'une sim- ple affirmation. Dans tous les cas, la
théorie
de l'inflammation préalable du placenta ou de l
es de l'adhé- rence. Si l'on analyse avec quelque attention cette
théorie
, sous l'une ou l'autre de ses formes, on est ra
asenspalle und uber einen Fall von Nollcencéphalie (Ein Beitraq zur
Théorie
der Hemicephalie), Inaugural dissertatio. Tübinge
s aucun prétexte, ramener la pseudencéphalie et l'anencéphalie à la
théorie
classique de l'arrêt de déve- loppement. Cette
quable servant à la fois de point de départ et de confirmation à la
théorie
. 688 BABAUD L'arrêt de développement au sens
es anormales, les autres pathologiques. (1) MAHLER, Ein Beitrag zu^
Théorie
de,' hémicéphalie (Arbeiten a. d. pathol. Instit.
elle n'en avait eu un écho dans un assez récent travail (4), si la
théorie
caténaire n'intervenait pour nous proposer de cro
senspalte und liber einen Fall von Nothencephalie. (Ein beitrag zur
Théorie
der Hémicéphalie). Inaugural dissertatio. Tübinge
I, 1825. - Considérations générales sur les monstres comprenant une
théorie
des. phéno- mènes de la monstruosité. Dictionna
onnel de la monstruosité et observations nouvelles à l'appui de cette
théorie
. Ar- chives générales de médecine, 1827. Is.
n peut dire que ses fleurs ne sont pas même épanouies. Toutes les
théories
, tous les essais de synthèse sur l'intelligence
une façon consciente ou inconsciente, il a inspiré la plupart des
théories
sur la nature et sur la vie des savants italiens
dre Herzen, dont il a souvent reproduit la doc- trine et adopté les
théories
générales 2. Ces thèses de Herzen, qu'il nous f
ntée en 1876, et que nous avons exposée plus haut, pour édifier une
théorie
complète, et peut-être définitive, non seulemen
HOPPE. (Ally. Zeitsch. ? Psych., XLIV, 4-5.) Etude critique de la
théorie
de Salomon, d'après laquelle la double pensée c
jet auquel il pense revêtir une forme tangible. M. Hoppe propose la
théorie
suivante : ' A l'état normal, les léflexions ou
ar HOPPE. (Allg. Zeitsch. f. Psych., XLV, 4.) Revue des différentes
théories
et des faits de Koch, Wundt, Leibnitz. P. K.
de ces anomalies chez un seul et même individu. P. K. XVI. DE la
théorie
DE la folie morale; par H. SCHLOESS. (Jularbicc
iscussion. M. EnD. Ce cas constitue un excellent document contre la
théorie
de l'ataxie sensorielle. En effet ce malade, malg
l'ataxie spinale du tabes et ne sau- raient servir d'arguments à la
théorie
sensorielle de l'ataxie tabé- tique ; pourquoi
nicien. Jamais il ne sacrifia aux généralisations brillantes et aux
théories
hardies : l'hypothèse n'eut pas en lui un fidèl
omatologie et d'évo- lution sur lesquelles M. Baillarger tablera sa
théorie
dualiste de la paralysie générale, que nous ret
contestée de toute l'oeuvre de M. Baillarger, je veux parler de sa
théorie
dualiste de la paralysie générale. Cette affect
eptoïde. VII. - Le Pr Charcot et Blocq ont proposé une ingénieuse
théorie
psychologique pour expliquer ce phénomène, théori
é une ingénieuse théorie psychologique pour expliquer ce phénomène,
théorie
qui a été combattue par M. Binswanger., et crit
ées par M. Charcot à plusieurs reprises dans son en- seignement. En
théorie
, il dit : Nous n'aurons à vous offrir que des v
ons hypochondriques2. En somme, d'après Binswanger à l'encontre des
théories
de M. Charcot et de Blocq, il s'agirait dans l'
olonté. Il existe du reste à un autre point de vue, à l'appui de la
théorie
adoptée par Blocq, une sorte de réali- sation e
même talent qu'à employé M. Binswanger lui- même, pour discuter les
théories
de Blocq, et nous avons dit pour quelles raison
Schûpfungsgeschichte, 1868, p. 507. . Buchner. - Conférences sur la
théorie
darwinienne, 1869, p. 135. 3 Voy. Arch. de Neur
es : « Les résultats de nos expériences sont en harmonie avec les
théories
que la physiologie postule pour expli- quer le
mes, s'efforçant de concilier la part de vérité que contiennent les
théories
contraires. 1 II. - Les différentes aires fonct
avec le temps. Les expériences de Bechterew sont donc opposées à la
théorie
qui fait suivre les cordons postérieurs à toutes
ependant, en étudiant les cas qui ont été présentés à l'appui de la
théorie
de Brown-Séquard, j'ai trouvé que l'évidence de
able. Donc, quoiqu'il semble y avoir quelques faits à l'appui de la
théorie
de Brown-Séquard, d'autres lui sont complètemen
peut pas dire que l'observation clinique donne un appui absolu à la
théorie
qui veut que le sens musculaire reste intact qu
urnisme, la syphilis. P. B. XXI. Observation DE CÉCIfÉ psychique. -
THÉORIE
DE ce,symptôme; par H. LISSA UER. - Observation
es deuxième, troisième, quatrième, cinquième, sixième paires, les
théories
de Schiff, Erb, Gowers, Dana, Vulpian, sur l'inne
ent pas exactes. L'auteur ajoute qu'il est impossible d'édifier une
théorie
basée sur ce cas, car il entraînerait à croire
IiÉHavaL. XXXVIII. ENCÉPHALE sans CORPS calleux; contribution A la
théorie
SPIROÎDE; par G. JELGERSM.1. (Neurol. Centralbl
rs reconnaissent que les nouvelles recherches tout en détruisant la
théorie
ancienne, ne nous ont encore donné en échange a
théorie ancienne, ne nous ont encore donné en échange aucune autre
théorie
bien satisfaisante. La théorie né- vrotique, la
encore donné en échange aucune autre théorie bien satisfaisante. La
théorie
né- vrotique, la théorie de la modification fon
ucune autre théorie bien satisfaisante. La théorie né- vrotique, la
théorie
de la modification fonctionnelle des cellules d
elle des centres trophiques particuliers (Quincke Hirt), toutes ces
théories
semblent faibles et insuffisantes pour interpré
nt il attribue l'origine à l'exercice involontaire des facultés (la
théorie
de l'automatisme étudiée dans le manuscrit d'un
rains, qui du reste se plaisent à citer Baillarger, développent des
théories
fort ingénieuses, n'oyant en réalité d'autre poin
aralysie générale. De la guérison de la paralysie générale et de la
théorie
des pseudo-folies paralytiques. Du délire ambit
es suppu- rations sur la guérison de la folie paralytique (1858). -
Théorie
de la paralysie générale : théorie dualiste, th
e la folie paralytique (1858). - Théorie de la paralysie générale :
théorie
dualiste, théorie interne. Enfin, il nous est i
ique (1858). - Théorie de la paralysie générale : théorie dualiste,
théorie
interne. Enfin, il nous est impossible de passe
r relative des portions olfactive et temporale est contraire à la
théorie
de Meynert qui veut que la commissure antérieure
compte des rapports bilatéraux de chaque hé- misphère cérébrale. La
théorie
de la compensation par d'autres portions du mêm
lèle avec le danger de condamner des innocents, qui résulte de la
théorie
de la responsabilité partielle. Mais pour que l
te de la théorie de la responsabilité partielle. Mais pour que la
théorie
de l'irresponsabilité absolue de l'aliéné n'ent
tème qui tend aujourd'hui à nier en l'homme la liberté morale ; les
théories
qui cessent de maintenir la distinction fondame
raient encore la science des maladies mentales. Pour justifier la
théorie
de la responsabilité partielle des aliénés dans
raison d'être, la condition de l'hallucination. Tamburim, dans sa «
théorie
des hallucinations » attribue leur production à
de l'éclosion d'une psychopathie quelconque. Nous réhabiliterons la
théorie
do la contagion psychique, c'est-à-dire l'influ
sculaires dans les affections articulai- res, on a proposé bien des
théories
parmi lesquelles la plus satis- faisante serait
rmi lesquelles la plus satis- faisante serait, d'après l'auteur, la
théorie
dite réflexe. Les nerfs centripètes qui se dist
tions mus- culaires portent le caractère d'une atrophie simple. Les
théories
462 ) SOCIÉTÉS SAVANTES. de la modification a
nt pas complètement la pathologie des amyo- trophies cérébrales; la
théorie
vaso-motrice l'explique mieux jus- qu'à un cert
la connaissance dans la-) systématique, par Or- chausl.y, 117; -
théorie
de la- morale, parSchloess, 118; - clt1'O- ni
urir. 41) Voir let conditions au rerso de la couverture , page 2.
THÉORIES
. PHILOSOPHIE MEDICO-MAGNETIQUE. CHAPITRE III.
t; il varie les procédés suivant les circonstances ; il n’admet ni la
théorie
des pôles, ni celle de l’attraclion des planètes
(de Garnay). lmpr. de Fommeret et Moreau, quai des Aoguttinj, 17*
THÉORIES
. PHILOSOPHIE MÉDICO-MAGNÉTIQUE. CHAPITRE III.
ode pénal. « Nous voilà au cœur même du procès, en ce qui touche la
théorie
pénale. « Nous réclamons en ce moment, Messieur
Certes, ces bévues his-” toriques ne sont pas faites pour exalter la
théorie
des progrès dont la mort est l’une des plus profi
t et Mcicaq, quai Jcî iogiuliiu, 17. PHILOSOPHIE MÉDICO-MAGNÉTIQl
THÉORIES
. CHAPITRE III. De la Médecine magnétique. (Su
e application de cette découverte aux besoins de la thérapeutique. Sa
théorie
repose sur l'influence des astres, l’analogie des
e le pôle antarctique. Les successeurs de Paracelse modifièrent cette
théorie
, et reconnurent dans le corps humain une division
gents et épars. » Nous ne discuterons pas la valeur de ces vieilles
théories
des influences célestes et des pôles dont l’expér
ndrait, pour ainsi dire, de vertus morales préconçues, caractérise la
théorie
. Rien, comme 011 voit, n’est foncièrement neuf
rsonnes sur lesquelles il tentait ses expériences, afin d’appuyer ses
théories
sur des faits , se trouva le jeune Davis ; mais m
on divine quelconque; ses révélalions dues à l’état extatique, et les
théories
quelles renferment implicitement. Comme cette énu
les mêmes privilèges que Davis. 11 n’a pas admis non plus dans ses
théories
, l’évocation d’esprils quelconques; c’était ceux-
principes de la religion naturelle, rendue mystique cependant, par sa
théorie
spiritualiste. Aujourd’hui, nous savons qu’il ne
aux pères et mères de famille. L. BOMÉA. Valence, 21 mars 1851.
THÉORIES
. - —Bip PHILOSOPHIE MÉDICO-MAGNÉTIQUE. CHAP
offrira des dangers, à moins qu’il n’existe beaucoup d’analogie (1)
Théorie
du Somnambulisme, par Tardy de Moolravel, p. 4i.
bules sc disant assislés de médecins paraissent s’élever contre cctlc
théorie
. II est bon de remarquer, cependant, que dans tou
i3o du Journal. Celte sage doctrine est la condamnation absolue des
théories
émises par les tribunaux dont nous avons plus hau
lu des effets chez les sujets susceptibles. Mais cette fois encore la
théorie
fut en défaut; car, les rapports de la Société s’
r jusqu’à un certain point?.... ne serait-ce que pour faire mentir la
théorie
, qui prétend le magnétiseur maître du magnétisé
et, ordonnateur de la fête ! — Morphy : Au triomphe des faits sur les
théories
! — Cosson : A l'institution d’un congrès mesmérie
es : A l’unité de la science 1 — Au triomphe des faits sur les vaines
théories
! — A l’institution d’un congrès magnétique ! — A
use de cette espèce de répulsion ou d’incomplète acceptation de leurs
théories
et de leurs principes. Leur doctrine est essentie
e, que Ilahnemann n’a pu suffisamment observer les faits pour que ses
théories
fassent loi. A l’époque où il écrivait, on avait
science ne progresse pas autrement. Mais Ilahnemann fil peut-être sa
théorie
du fond de son cabinet, car elle diflère de celle
de préférer Mesmer à Ilahne-mann ; d’ailleurs les faits appuient les
théories
de. notre maître: voyez Deleuze, savant autant qu
, etc., etc. I.es faits son! le langage de la nature, tandis que Us
théories
sont quelquefois celui de mauvais interprètes. li
nt quelquefois celui de mauvais interprètes. li faut donc refaire les
théories
quand on les reconnaît fausses : c'est ainsi que
dées de 182."), en faisant encore de sages réserves pour l’avenir. La
théorie
du magnétisme est toute dans ces mots de M. le Dr
ous leurs mains, il> n’ont pas donné leurs explications comme «les
théories
absolues, mais seulement comme des hypothèses sur
ns de les en rendre témoins, mais ils ont paru craindre de voir leurs
théories
en défaut. Nous ne cesserons pourtant de leur rép
erons pourtant de leur répéter : si les faits ne cadrent pas avec vos
théories
, refaites vos théories; et si le concours des mag
répéter : si les faits ne cadrent pas avec vos théories, refaites vos
théories
; et si le concours des magnétiseurs vous est util
t, rcnconlro-t elle tant d’obstacles et tant d’entraves parce que ses
théories
sont erronées? Comment établir la pathogénésie
qu’Hahne-mann , a subordonné à leur puissance irrésistible toutes les
théories
? Ne dites donc plus, je vous en conjure, qu’il a
puissance; nous répondons seulement que tous les systèmes, toutes les
théories
ont toujours eu un grand nombre de pareilles arme
30 mars 1851. Ici la question change de face; il ne s’agit plus de
théorie
, de rivalité de système, de prééminence magistral
nt religieux chez nous. W. G. Dans mon livre, je m’occupe peu do la
théorie
. J'admets l’agent ou fluide magnétique, que j’ide
ttache que peu d’importance. Si nous étudions les faits avec soin, la
théorie
viendra plus tard. Dans mes Lettres, que je m’e
ologie nous vient aussi d’Amérique (i). Elle est fondée sur la fausse
théorie
que nos pensées, notre esprit, notre âme, sont de
. Vous y verrez un nouveau sujet de lecture de M. Fiske, car il a des
théories
à lui sur tout : l'électricité terrestre, la circ
gique, et pour être témoin des expériences qu'il fait à l'appui de sa
théorie
. S’il suffit do voir un fait pour le croire, c'es
adies. Dans la soirée, M. Fiske terminera l'exposition de sa nouvelle
théorie
électrique de l’univers. CLASSE DU SOIR DE M. F
r leur satisfaction de la manière dont il a rempli son engagement. Sa
théorie
a *5té expliquée et démontrée avec beaucoup de lu
la scène. Son esprit était absorbé par les merveilles de la nouvelle
théorie
, il venait juste de quitter la classe à laquelle
on : il y a là un peu de ce que d’autres ont appelé de Yimitalion. La
théorie
de M. Fiske me semble erronée, car son agent n’es
mise, grâce au traitement des jolies expérimentatrices. NOUVELLE
THÉORIE
DE U VIE. Une nouvelle théorie de la vie se tro
jolies expérimentatrices. NOUVELLE THÉORIE DE U VIE. Une nouvelle
théorie
de la vie se trouve expliquée dans un petit livre
rie électrique, et les nerfs comme des conducteurs galvaniques; cette
théorie
est appuyée d’une grande variété d’expériences on
riences, ou qui n’en ont pas vu du tout, qui ignorent complètement la
théorie
de leur action et les procédés par lesquels les e
s de toute sorte. Oui, mon ami, après avoir flotté entre toutes les
théories
, après avoir laissé de voire sang aux ronces du c
s comme nous autour de ces principes primordiaux qui font la base des
théories
de notre maître. « Nul ne peut contester cette
es souvent par les magnétiseurs. « fcli! messieurs, qu'ont semé les
théories
mesmé rieuues dans la Louisiane, à un quart de la
ce. » (Orléanais du ier juin). « fcli! messieurs, qu'ont semé les
théories
mesmé rieuues dans la Louisiane, à un quart de la
(de Ga-nay). Iœpr. de Poramerel et Morcan, qnai des Aagvia», 17.
THÉORIES
. PHIXiOSOFHIE MÉDICO-MAGNÉTIQUE. CHAPITRE III
conducteurs. » Celte méthode était celle de Mesmer, qui, d’après sa
Théorie
des pôles, insiste seulement sur la position que
transmission du fluide. Le coton n’est pas non plus un mauvais (1)
Théorie
du Somnambulisme, par Tardy de Montravel, p. 70.
(3) Despine, ouvrage cité, p. 41, 42, 53, 67, 126, 253. —Essai sur la
théorie
du somnambulisme, par Tardy do Montravel, p. 70.
sme; il déclare l’avoir toujours employée avec succès. L’auteur de la
Théorie
du somnambulisme (7) constate que cette boisson a
Rhumatisme aigu, 463, 607. Tic douloureux, 668. VARIETES. g I.—
Théories
, études, systèmes, doctrines, croyances, phénomèn
NIMAUX 11 faits de la neuropathologie bien observés et il pose sa «
théorie
» (1) dont je ne veux pas entreprendre de commu
as entreprendre de communiquer le contenu brièvement ; mais cette «
théorie
» a pour base la Neuronthéorie du système nerveux
ntral, absolument impossible au point de vue physiologique, - une «
théorie
» dont j'ai eu déjà l'occasion de parler (2), q
gique des contractures, nous tenons à résumer en quelques pages les
théories
de nos devanciers ; elles ont été un guide préc
ensemble ont préparé le terrain à de nouvelles investigations. La
théorie
la plus ancienne est celle de Follin. Pour lui la
des muscles ou par la rétraction des parties molles. Quoique celle
théorie
n'explique pas'le mécanisme de la contracture,
déformations définitives dans les attitudes des membres. Une autre
théorie
est survenue après, attribuant le phénomène il
uscles, et le plus ordinairement des muscles fléchisseurs. C'est la
théorie
de Chomel. C'était reconnaître un fait, mais non
ction des extenseurs. Ilitzig ajoute encore, comme critique à cette
théorie
, que si la contracture dépendait seulement t d'
alaient dans les membres paralysés. Mais Bouchard a répondu à cette
théorie
que si la contracture est la règle dans les hémip
'est pas la cause de la contracture. Faut-il déduire de cela que la
théorie
n'était pas bonne ? quand dans la grande majori
1863, p. 107. 28 NOICA Brissaud (1), défenseur convaincu de cette
théorie
de Bouchard,montra par ses expériences célèbres
s qu'il y ait de la contracture et vice-versa. Mais exposons ici la
théorie
même de Clarcot(3). Elle rapporte la contractur
sur les cellules motrices de la moelle. Ceci nous fait passer à la
théorie
de M. Pierre Marie (1). « N'y aurait-il pas lie
interrompue, la contracture survient et persiste. » Il y a dansja
théorie
de M. Marie deux idées, l'une que la substance
a moelle. Mya et Levy, Rïtssell, Freud, Massatollgo adoptèrent la
théorie
de P. Marie. (1) Prenne MAME, Leçons sur les
horium, Bruns, Rischoff, Crocq, Marinesco, etc. soutiennent la même
théorie
. Van Gehuchten (1) se rattache aussi à la loi d
inante) des muscles fléchisseurs, il ne dit rien de nouveau ; cette
théorie
a été la première dans la science pour explique
ne peut pas le prouver par des pièces. Mais peut-on admettre cette
théorie
anatomique de M. van Gehuchten ? Si un jour l'h
e, semble ainsi détruire certaines fibres plutôt que d'autres. La
théorie
de van Gehuchten ne peut donc pas nous satisfaire
ehuchten ne peut donc pas nous satisfaire. Mais si nous résumons la
théorie
de Bastian-Jackson : à l'état normal le cervele
par les voies cortico-ponto- cérébello-spinales. Mais alors cette
théorie
, n'est pas étrangère aux premières. Dans la loi
a une excitation des cel- lules motrices médullaires, comme dans la
théorie
de Charcot-Bouchard- ' Vulpian-Brissaud ; seule
, ou même le cerveau d'après van Gehuch- ten. Il y a encore dans la
théorie
de Jackson-Bastian le principe d'inhi- bition q
e pouvait être séparée de l'encéphale. La différence est énorme. La
théorie
de Jackson-Bastian se rapproche de celle de Hit-
rine, il n'y a pas longtemps (1) : « En résumé presque toutes les
théories
sur la contracture ont le défaut de ne s'appliq
tête d'oi- seau ». Il ne donne aucune autre preuve à l'appui de sa
théorie
qui me semble reposer simplement sur une fausse
our ceux qui considèrent les nerfs périphériques comme des lobules (
théorie
caténaire), la dégénérescence wallérienne serait
ni par Pitres, ni par Camus, quoique avant eux Hitzig eût émis une
théorie
sur le phé- nomène de la contracture, prenant c
cause; c'est, par conséquent, une preuve indirecte en faveur de la
théorie
angioneurotique. ' Transmission par une mère in
our de quelques types les faits cliniques, passerai-je en revue les
théories
émises pour les expliquer. Les faits. , Il fa
ont Soukhanoff, Taubmann, Sainton. Soukhanoff démontre qu'une seule
théorie
n'est pas suffisante et qu'il faut tenir compte
morbide bien définie et de pathogénie hypo- physaire, de nombreuses
théories
de l'acromégalie ont été soutenues et bien des
sion sur la question n'a pas eu de trêve. On a tenté de détruire la
théorie
hypophysaire et de la remplacer par une théorie
enté de détruire la théorie hypophysaire et de la remplacer par une
théorie
thymique (Freund), par celle de l'inversion de la
valable à l'opinion que je viens d'énoncer, laquelle s'oppose à la
théorie
admise généralement. Le fait que j'ai constaté
és, amaigris et de faible muscu- lature, était enclin à admettre la
théorie
de Tamburini, Benda et quelques autres, c'est-à
la théorie de Tamburini, Benda et quelques autres, c'est-à-dire la
théorie
de la distinction de deux types cliniques et (1
s indications à ce sujet. Enfin M. Redlich n'est pas partisan de la
théorie
qui rapporte les trou- bles mentaux à des produ
cher, mais sous une forme biologique. J'espère montrer que les deux
théories
si différentes dans les termes se continuent l'
use une modalité réac- tionnelle spéciale de la matière vivante. La
théorie
biologique n'est qu'une autre face d'une questi
n se rapetissant que l'homme s'élève et grandit. Pour comprendre la
théorie
biologique de la pathogénie des né- vroses, il
ouvelle conception de la vie nous éloigne quelque peu de la vieille
théorie
de la force vitale, à laquelle personne n'a jamai
solu- ment certaine. Sans cette propriété de la matière vivante, la
théorie
de l'é- volution des espèces et de leur lente t
es qui l'assaillent. Il me reste à opérer la transition entre cette
théorie
physiologique et la conception biologique actuell
e cette théorie physiologique et la conception biologique actuelle,
théories
qui se complètent mutuellement et se confondent
n par un élément, une énergie qui lui est extérieure. Dans les deux
théories
, mais principalement dans la conception phy- si
e dans les manifestations névrosiques les mieux confirmées. Dans la
théorie
physiologique, je signalais la possibilité d'un a
eux qui appartiennentà cette affection et que j'ai signalés dans ma
théorie
physiologique. Déjà, dans le domaine de la path
au en- traînerait l'agénésie du système correspondant. C'est là une
théorie
que nous ne pouvons admettre. Chez l'embryon le
ment en contact avec le capuchon amniotique que le côté cubital. La
théorie
amniotique est donc bien en concordance avec ce
absent que le cubitus ; le'con- traire devrait avoir lieu clans la
théorie
atavique, le cubitus étant un os fréquemment ru
tant un os fréquemment rudimentaire dans la série animale ; dans la
théorie
nucléaire de Français et d'Egger, la prédominan
t (1 ). Celle notion de l'hé- rédité n est pas incompatible avec la
théorie
amniotique ; le fait primitif peut être l'héréd
our montrer,par l'évidence de nos exemples, l'inexactitude de cette
théorie
. A l'examen extérieur on n'observe chez Marguer
n déjà citée .de Vigoureux et Delmas parle aussi en faveur de cette
théorie
; dans ce cas d'infantilisme les,lésions les plus
ntilisme, sans exception, devrait forcément déposer en faveur de la
théorie
unitaire. CONTRIBUTION A l'ÉTUDE DE L'INFANTILI
e des glandes séminales et à l'adiposité, Schuller n'accepte pas la
théorie
de Erdheim pour qui l'adiposité dépendrait de la
être ramené à l'hypothyroïdie ou à la dysthyroïdie. Aucune de ces
théories
unitaires ne nous semble suffisamment appuyée p
re aux faits leur valeur relative qui dépose plutôt en faveur de la
théorie
polyglandulaire de De Sanctis. Un telle concl
é des lésions des glandes à sécrétion interne,prouve la vérité delà
théorie
de De Sanc- tis sur l'origine de l'infantilisme
méd. de Padoue C. R. I 1 Policl., 16 janv. 1907, n 6. CL.1P.1REDE.
Théorie
biologique du'sommeil. Arch. de psych., t. IV.
sous l'influence de la suggestion. Cela n'estpas d'accord avec les
théories
récemment émises par 1'1. Babinski et discutées
écouvre que des fibres à direction centripète ou ascendante. A la
théorie
des « fibres coordinatrices ». Leyden opposa les
ive à des névrites multiples périphériques, étaient favorables à la
théorie
de Leyden, à la théorie de l'ataxie sensitive (
ples périphériques, étaient favorables à la théorie de Leyden, à la
théorie
de l'ataxie sensitive (Théorie der sensorischen
orables à la théorie de Leyden, à la théorie de l'ataxie sensitive (
Théorie
der sensorischen Ataxie) ; 3. La sensibilité es
ider, fondait sur de plus larges assises, mais non plus solides, sa
théorie
scientifique des maladies de la moelle ANATOMIE
nsibilité. Ces principes, démontrés par Frenkel, ressortissent à la
théorie
de Leyden ou théorie sensitive du tabès 2. A l'in
pes, démontrés par Frenkel, ressortissent à la théorie de Leyden ou
théorie
sensitive du tabès 2. A l'influence du ' Leyden
Au Congrès international de Moscou (1897), Leyden a rappelé que sa
théorie
du tabes, déjà indiquée dans ses lignes essentiel
inité, dans une des régions les moins accessibles du névraxe. Cette
théorie
expliquerait très bien l'extension du tabes, sa
ais dans l'ataxie tabétique. C'est pour servir à l'avancement de la
théorie
de Leyden que Hering a institué, depuis plusieu
éressant spécialement le sens musculaire. Et voici comment, dans la
théorie
de Redlich, opposée à celle de Strümpell et de
ou « essences » subtils et mystérieux; et il faut écarter aussi les
théories
métaphysiques, le dualisme et le monisme, parce
huit litres par jour, à 0°,17. Ces faits permettent de préciser la
théorie
de Koranyi sur la sécrétion rénale, en ce qui t
e relard atteint d'après M. Raymond parfois .devais secondes. Les
théories
de la douleur sont nombreuses ; d'après Goldsehne
it par les nerfs vaso-moteurs, qui trans- mettent la douleur. Les
théories
des voies de conduction sont encore plus nom- b
e la gémel- lité ; il y trouve une preuve indirecte à l'appui de la
théorie
qui identifie la gémellité et la monstruosité 1
(Strümpell). La principale objection que dirige Schaffer contre la
théorie
d'après laquelle la lésion des cordons postérie
nstants d'obser- vation, celte constatation serait favorable à leur
théorie
. Cette adaptation des cellules aux conditions c
quoi Hoche répond en posant quelques questions aux partisans de la
théorie
de l'identité : comment, si la lésion de la voi
c., ont paru à nombre d'auteurs être de tous points favorables à la
théorie
périphérique du tabes3. Si cette théorie était
s points favorables à la théorie périphérique du tabes3. Si cette
théorie
était fondée, le tabes devrait souvent être la su
s n'a pas laissé de fournir aussi des arguments aux partisans de la
théorie
périphérique du tabes (Leyden, Goldscheider, Fl
u tabes (Leyden, Goldscheider, Flatau, etc.). Car, en vertu de la
théorie
de Marinesco sur les conditions du trophisme des
les colonnes de Clarke. Malgré tout, Redlich ne croit pas que la
théorie
périphérique du tabes soit capable d'expliquer la
r Marinesco, Oppenheim, Stroebe, Zeri, Massary. Les partisans de la
théorie
ganglionnaire, comme la nomme Redlich, invoquen
bjections que toutes celles qui ont été proposées en faveur de la «
théorie
gan- glionnaire ». Les légères altérations des
exact de compter Redlich au nombre des auteurs qui professent la «
théorie
radiculaire », c'est-à-dire selon lesquels les ra
ien d'autres causes agissent de même, mais non dans le sens : de la
théorie
périphérique du labes : une polynévrite a frigori
e réagissent pas de même aux causes de destruction, de sorte que la
théorie
de Flechsig ne saurait être entièrement -écarté
deux ou trois heures : elle avait été immédiate. Parmi les diverses
théories
proposées, la plus rationnelle est évidemment c
XXIV. Contribution à la physiologie des mouvements du tronc et à la
théorie
de la scoliose sciatique; par L. ;\1 Ai' : N. (Ce
ultime et absurde. M. ARNAUD ne voit pas bien comment, avec cette
théorie
, on peut interpréter les cas de guérison du dél
ibition oedémateuse de lai moelle cervicale; Westphall combat cette
théorie
: comment les faisceaux sen- sitifs resteraient
'un excès d'acide urique dans le sang, enfin, et c'est peut-être la
théorie
la plus généralement adoptée, comme la conséque
s et faits nouveaux sont donnés avec toute l'ampleur désirable; les
théories
sont plus parcimonieuse- ment analysées. Puis,
veur de leur contractilité,et par suite, de leurs mouvements. Ces
théories
, si elles étaient reconnues exactes, aideraient
core peu cultivé dans les asiles. De quelque façon que l'on juge la
théorie
de Lombroso, ei si vivement critiquée qu'elle a
trine. Il n'a fait que plagier et rééditer, presque mot à mot, la
théorie
du fluide universel, telle qu'elle est exposée da
, somatique, réflexe, centrifuge involontaire. M. Dugnet répudie la
théorie
inverse comme trop matérialiste, mais il ne sem
naturelle, émotion normale. Ici se place une bonne réfutation de la
théorie
de la « loi de stabilité » de M. Duprat, pour q
et naturelle qu'elle soit est toujours tant soit peu pathologique,
théorie
en effet purement artificielle. En tout cas, en
se d'angoisse » de Frend et de Lannois et Fournier. Le champ delà
théorie
n'est pas clos autour des phobies, on peut encore
de putréfaction de la glande, que de l'action directe du suc. La
théorie
de Notkine, production par la glande d'un ferment
on de l'autopsie d'un cas d'acromégalie avec une revue critique des
théories
anatomo-pathologiques ayant cours ; par Louis J
fs. , Les auteurs voient dans ce cas un nouvel argument contre la
théorie
de Recklingausen (unité originelle et exclusiveme
Marie, Hodge,Sherring- ton, Leyden et d'autres auteurs encore et la
théorie
des neurones marque ici la fin de l'ancien régi
in de l'ancien régime. L'auteur entre en de longs détails sur cette
théorie
et ses applications à l'ataxie, et il conclut q
tion et aux troubles des diverses sensibilités spéciales. Si les
théories
nouvelles sont exactes, on doit constater parmi l
eur et du sens musculaire ; or la clinique est d'accord ici avec la
théorie
, et ces symptômes sont en effet parmi les premi
à la cellule ectodermique d'une période plus avancée. Suivant cette
théorie
le terme carcinome s'applique- rait exclusiveme
dernier temps était encore contesté, et il est en désaccord avec la
théorie
de la déviation musculaire (de Roth). La déviatio
t que névrose sexuelle, est défendue par l'auteur qui considère les
théories
de Charcot comme devant être complétées par cel
fils, 3 avril 1900). M. Grasset nous donne ici son opinion sur les
théories
émises au sujet des rapports du génie et d'un é
d'un état morbide (folie-névrose). Il ne parle qu'en passant de la
théorie
de Lombroso voulant assi- miler le génie à une
cation à l'étude, il n'avait jamais pu apprendre quelque peu ses
théories
militaires ; désireux de bien faire et très obéis
près la séparation de l'écorce et du faisceau pyramidal, écueil'des
théories
encéphaliques autant que des médullaires, je ne
vantage. Je ne crois pas à propos de m'arrêter à examiner -si les
théories
de Bastian, Van Gehuchten, Monacnw, Grasset, ni
les théories de Bastian, Van Gehuchten, Monacnw, Grasset, ni les
théories
spinales de Charcot, Brissaud, Blocq, 'ulpian,
ification de la contracture chez cet enfant, parce qu'aucune de ces
théories
n'est susceptible d'être appliquée comme une in
incisée. Cette différence frappante fait confirmer Kocher dans la
théorie
qu'une des causes principales de l'épilepsie rési
ne met rigoureusement en pratique, -voient bien net- tement où leur
théorie
les conduit : la seule justification de leur th
tement où leur théorie les conduit : la seule justification de leur
théorie
, ce serait que la punition ait perdu tout son eff
aliénés est un énorme pas en aniere. Le même auteur affirme, que la
théorie
, qui exige de disséminer les furieux parmi les
LAlS-BÜVAL) TOME TREIZIÈME. JOURNAL ou MAGNÉTISME ÉTUDES ET
THÉORIES
. 1” PROPOSITIONS ET APHORISMES MAGNÉTIQUES. L
primerie de Pommerel el Moreau, qu.n «1rs Atiguslins, 17. ÉTUDES ET
THÉORIES
. —* * i w y 1° DES ESPRITS. (5* arlicle.)
et cette clef est toute dans le mot vibration. Le lecteur attend une
théorie
qui lui fasse concevoir l’enchaînement de la caus
nous préoccuper de leurs prémisses. Le premier qui ait présenté une
théorie
sur les facultés extensives et intuitives de l’àm
ours l’abbé Faria pour endormir ses sujets sont en opposition avec sa
théorie
. Après avoir fait asseoir commodément la personne
ez pour quelques instants votre injuste arrêt. Consultez l’ingénieuse
théorie
donnée par le Dr Bégué, suivez-en exactement les
M. Gode-froy à renoncer à son projet de faire un cours public sur la
théorie
des tables tournantes. Cette nouvelle est confirm
a le Samedi 1 mars. le Gérant .• HÉ I! BUT (de Garnay). ÉTUDES ET
THÉORIES
. RECHERCHES MÉDICO - MAGNÉTIQUES CHAPITRE V.
t vécu que le temps nécessaire pour démontrer l’imperfection de leurs
théories
et le danger de leurs doctrines. Naguère encore
d’une âme sur l’autre, dans le traitement des infirmités humaines. La
théorie
des barbarinistes est l’expression la plus véridi
e augmenteraient-elles aussi leur sensibilité magnétique ? D'après la
théorie
, 011 serait porté à le croire. Conséquemment, si
ou non à notre goût, peu importe. Qu’il 11e s’accorde point avec les
théories
de tel académicien, c’est 1111 malheur dont il fa
rd’hui combien la défense a été efficace ! A. S. MORIN. ÉTUDES ET
THÉORIES
. DU FLUIDE MAGNÉTIQUE ET DE LA VOLOTNÉ. Les e
isme, s’ils n'y arrivent pas, et par conséquent, à parler franc, leur
théorie
ne peut soutenir un examen sérieux. Néanmoins ell
t en magnétisme à la droiture du cœur et à la pureté d’intention. Ses
théories
sur ce point étaient si belles et si bien senties
rtent à mon avis un coup terrible au magnétisme, bien compris dans sa
théorie
et bien exercé dans sa pratique, et ne peuvent av
véritable consiste à prier Dieu et à aimer ses semblables, etc. Ces
théories
peuvent contenir des parties ingénieuses, mais el
grands mathématiciens sous le nom d’Aboumasar de Balk. » ÉTUDES ET
THÉORIES
. 1° MANIFESTATIONS SPIRITUELLES. Nous trouvon
, il enrichit la science en lui apportant ses vues ingénieuses sur la
théorie
encore si obscure du magnétisme. Comme le moral
tre, c’est-à-dire le principe fondamental du magnétisme. 11 combat la
théorie
de Mesmer et nie le fluide magnétique. Mais le fl
es, et émettent ainsi des réponses d’une justesse merveilleuse. Cette
théorie
est spécieuse ; mais il nous semble qu’elle est h
faite, ni facile à faire. M. Clapier a procédé sans avoir égard aux
théories
, et la plus probable, celle qui vient d’être rapp
ez convenable. Agréez, etc. Le président, E. ALLIX. ÉTUDES ET
THÉORIES
. TABI.ES TOURNANTES. On lit dans la Revue de
me et au sophisme, pour nier ce qu’ils ne pouvaient expliquer par les
théories
qui servent de piédestal à leur célébrité. Cepend
'intensité et de rapidité. « Notre correspondant, s’appuyant sur la
théorie
, qu’il a eu l’occasion de vérifier souvent, de la
avec soin, dans tout ce qui précède, d’admettre aucun système, aucune
théorie
. Nous avons exposé des faits constatés par l’obse
es indépendantes de toute hypothèse. Nous ne voulons point faire de
théorie
, mais nous ne pouvons nous empêcher de faire rema
Ililaire, l’auteur de la Tératologie, et Cli. Fourier, l’auteur de la
Théorie
de C Unité universelle. On a cependant essayé d
les lois des faits sont seules importantes; que les'explications, les
théories
doivent surtout avoir pour but de faciliter la co
« Par conséquent, « Substitution d'un principe irai à toutes les
théories
médicales mensongères. « — Première conquête de
xpliquer sur les phénomènes survenus pendant le traitement, ni sur la
théorie
du comte de Szapary. Je me bornerai à dire qu’il
e des spasmes par la magnétisation ; que tous les spasmes, d'après sa
théorie
, ne sont autre chose que des c/forts que fait la
les magnétiseurs et ont aussi donné lieu à de bizarres et décevantes
théories
sur les mystères de la vie future. Ne serait-il p
ages et si justes de M. Clément lui-même, il est bien compris dans su
théorie
et bien exercé dans sa pratique. Je m’estimerai
mprimerie de Poniimrcl cl Moreau,quai des Augusiir.s, 17. ÉTUDES ET
THÉORIES
. ANALOGIES FLCIDI3CES DU MAGNÉTISME (1). Les
sont frappantes. Matteuci, en consacrant un chapitre à l'étude des
théories
du fluide nerveux, comme corollaire de ses études
ent le virus rabiéique a-t-il pu produire cette merveille? Toutes les
théories
mécaniques du mesmérisme sont dans la réponse à c
, tiré des cahiers de Mesmer par Galard de Montjoye : i Au fond, sa
théorie
(de Mesmer) est un système d’impulsion; mais l’at
st dans le bien que nos mains ont fait. Baron Ut POTET. ÉTUDES ET
THÉORIES
. PROTESTATION DE SIMPLE BON SENS EN FAVEUR DES
l’âme de la terre, et il écrit là-dessus des lignes incroyables, des
théories
renversantes. Un autre, esprit fort, se moque e
s instruites étaient mises en état de lucidité. » Arrivé enfin à la
théorie
, l’auteur dit qu'il voudrait n'en émettre aucune,
t intérêt. Je le livre aux magnétistes. Victor MEUNIER. ÉTUDES ET
THÉORIES
. 1° UN MOT SUR L’ÉTAT ACTUEL DU MAGNÉTISME. E
ublications des arcanes de l’autre inonde, de M. Cahagnet; depuis les
théories
spiritualistcs du docteur Ordinaire ; les doctrin
rnal (lu Magnétisme, à contrebalancer l’entraînement général vers ces
théories
illusoires, c’est que des causes incessantes d’oc
le dont j’extrais les lignes suivantes : « Je ne puis donner ici la
théorie
que j'ai trouvée, et par laquelle ces phénomènes
r la chaîne des opérants, agirait sur la table. Je n’admets pas cette
théorie
, et je fais contre elle des réserves qui pourront
nal non scientifique, il était impossible que je pusse développer une
théorie
qui n’eût pas été comprise; je tenais seulement à
es, 1854, Vermeil. Le livre de M. de Morogues se rattache plus à la
théorie
de Mesmer qu’aux théories des magnétiseurs plus m
ivre de M. de Morogues se rattache plus à la théorie de Mesmer qu’aux
théories
des magnétiseurs plus modernes. Mesmer, on le sai
Mateucci a tenu le drapeau d’une main assez ferme, se rattache comme
théorie
à l’idée de Mesmer, qui voulait identifier le pri
ment les garanties d’une bonne police, doit se garder de patroner une
théorie
scientifique quelconque ; c’est aux sectateurs à
BAYARD, B. H. ('Gazette des Hôpitaux, du 12 septembre.) ÉTUDES ET
THÉORIES
. Je publie cette histoire, ou plutôt ce roman s
’Union du 30 juin). Le Gérant : IH'.lilCIU (de Garnay). ÉTUDES ET
THÉORIES
^ LA 'VOYANTE DE PREVORST. Introduction. Nou
était doué d’un moyen universel de guérir et de preserver. Quant à sa
théorie
pour expliquer comment les choses se passent, e
systèmes. Mais heureusement le sort du mesmérisme n’est pas lié à la
théorie
de Mesmer, de même que les grandes découvertes de
les grandes découvertes de Newton en optique sont indépendantes de sa
théorie
de l'émission. L'hypothèse d’un fluide particulie
essentielle de la doctrine, admettent toute liberté d’opinion sur des
théories
encore fort éloignées d’une certitude rigoureuse.
lus à gagner à une expérimentation méthodique qu’à des discussions de
théories
sans fondements certains, veuillent bien me prête
en prendre son parti, bien qu'il ail souvent le tort de déranger nos
théories
. Mais de ce qu’il sera constaté, il ne s'ensuivra
BIBLIOGRAPHIE. I.E MAGNÉTISME EXPLIQUÉ PAR LDI-MÊME, ou Nouvelle
théorie
des phénomènes de Tétai magnétique comparés aux p
s auteurs se sont occupés de ce sujet intéressant et ont présenté des
théories
plus ou moins ingénieuses, des hypothèses plus ou
ions, a cessé de se répandre sur les objets extérieurs. Comme cette
théorie
est le fondement de tout le système de l’auteur,
sifie plus suivant le rôle spécial assigné à chacun des sens. Cette
théorie
est-elle enfin parvenue à rendre compte du mode é
ure in-S. Dijon, imprimerie do Loireau-Feuchot. 1833. De toutes les
théories
proposées pour expliquer la rotation des tables e
iques restés obscurs jusqu’à ce jour. A. PETIT-D OBMOYv ÉTUDES ET
THÉORIES
. LE MAGNÉTISME EST-IL OEUVRE DU DÉMON? Le mag
ité, 743. Tumeur abdominale, 395. Ver solitaire, 615. ÉTUDES ET
THÉORIES
. Analogies fluidiques du magnétisme, par M. le
Fournier, 41 ; Rectification par M. Ferdinand Silas, 47. — Essai de
théorie
sur la clairvoyance somnambulique, par M. le Dr G
olonté. Sa prédominance sur le fluide dans tout acte magnéti- que ;
théorie
par M. Olivier, 154. CONTROVERSES. Ascension
de Garnay), 250. Magnétisme (le) expliqué par lui-méme, ou nouvelle
théorie
des phénomènes de l'état magnétique comparé; au
la partie la plus attachante, capitale de son livre, en tentant une
théorie
mécanique des différents phénomènes de mémoire
i-même déclare « être loin de vouloir pour le moment transformer en
théorie
et en doctrine ». J. S. IL L'éducation rationne
ui auront été suggérées. Une conclusion médicale se dégage de cette
théorie
: c'est qu'il existe une médecine psychique, et
agraphie et la paracnimie. G. D. V. La doctrine des neurones et les
théories
nouvelles sur les connexions des éléments nerve
the et Nissl. Après avoir exposé aussi complètement que possible la
théorie
de ces derniers auteurs, M. van Gehuchten termi
ister à l'analyse scientifique et par suite inacceptables : 1° La
théorie
des causes multiples; 2° la théorie de l'insuffis
par suite inacceptables : 1° La théorie des causes multiples; 2° la
théorie
de l'insuffisance d'iode et de brome dans les e
de l'insuffisance d'iode et de brome dans les eaux potables ; 3° la
théorie
mécanique de Chabrand; 4° l'hypothèse des miasm
res inorganiques cédées à celles-là par celui-ci. C'est là toute la
théorie
hydro-tellurique. « Lorsque les matières inorga
portance passe du cerveau à la moelle, et il faut se rattacher à la
théorie
suivant laquelle l'état spasmodique est le résu
. Vochenschr., 1898, n" 22.) P. IiEaavaL. XXII. Contribution à la
théorie
de la méthode de Golgi ; par H. SMIDT. (Neurolo
'est ouverte à l'Académie de Madrid L'auteur, en désaccord avec les
théories
de la Salpêtrière, va plus loin que l'École de
(l3rvizz, vol. 20, p. 385.) De l'étude de 120 cas et de toutes les
théories
proposées, ce mémoire tire d'excellents éclairc
thode expérimentale et contre lesquelles ne sauraient prévaloir une
théorie
a priori ou l'obsti- nation de quelques retarda
215 femmes). - . - . ' - (A suivre.) PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE.
Théorie
des neuro-diélectriques; Par le Dr Charles BINE
éorie des neuro-diélectriques; Par le Dr Charles BINET-SANGLÉ. La
théorie
, qu'on peut appeler théorie de l'excitation sim
s; Par le Dr Charles BINET-SANGLÉ. La théorie, qu'on peut appeler
théorie
de l'excitation simple et par laquelle on a jus
sie et des attaques d'hystérie. Je. propose de lui substituer une
théorie
dont l'exposé va suivre, et qui procède des idé
la con- densation proprement dite que lorsqu'il existe certaines
THÉORIE
DES NEURO-DIÉRECTRIQUES. 209 lésions nerveuses
a lame isolante est un diélectrique. Soit deux fils reliés chacun
THÉORIE
DES NEURO-DIELECTRIQUES. 211 au pôle d'une pile
rassemble des phénomènes aussi divers en apparence, c'est que toute
théorie
qui prétend expliquer l'un quelconque d'entre e
s et de 1 Cil. Binet-Sany-lé. Lois des secousses et des paralysies.
Théorie
des /«t'o-<7Mep ? )/c. ? (en préparation).
vera un-moment où sa tension ne sera plus équilibrée par sa téna-
THÉORIE
DES NEURO-DIÉLECTRIQUES. 213 cité. Il se produi
e, il n'y a pas de décharges, et la paralysie est complète. Cette
théorie
fait comprendre pourquoi l'hémiplégie est souve
exception qu'offrent à ce point de vue les attaques d'épilepsie. La
théorie
des neuro-diélectriques lais- sant moins de fai
ques lais- sant moins de faits inexpliqués, doit être préférée à la
théorie
de l'excitation simple. RECUEIL DE FAITS. I
de la décapitation. Ces résultats sont plutôt en désaccord avec la
théorie
histolo- gique du sommeil formulée par Mathias-
nt deux ans environ. Cette observation ne peut se concilier avec la
théorie
thy- roïdienne du goitre exophtalmique et du my
ns le cas de cette malade aucune particularité capable d'appuyer la
théorie
bulbaire du goitre exophtalmique. Il a constaté
ne faisait soupçonner pendant la vie ; ce fait semble confirmer la
théorie
sympathique de la maladie de Base- dow, mais, d
mpathique de la maladie de Base- dow, mais, d'après l'auteur, cette
théorie
est incapable d'expliquer tous les faits observ
r tous les faits observés. Au reste, il n'est pas actuellement de
théorie
anatomique et pathogénique qui puisse convenir
punir un aliéné pour la mauvaise action qu'il a commise ». C'est la
théorie
de la res- ponsabilité partielle. Pourquoi le
es- ponsabilité partielle. Pourquoi le D1' Mercier admet-il cette
théorie
C'est à cause du système, adopté dans les asile
l'irrégularité sexuelle qui donnerait sa forme à la névrose. Cette
théorie
générale n'étant pas encore ad- mise, on n'en s
de que des conceptions doctrinales sans base objective, reflets des
théories
médicales du jour. En pouvait-il être autreme
e colloïde hors des vésicules. Or, sans prendre parti au milieu des
théories
qui, actuel- lement se partagent la pathogénie
est permis de constater la faveur toujours croissante dont jouit la
théorie
humorale, celle qui rattache les phénomènes mor
sant sur les travaux de Roger et Garnier, a montré la réalité de la
théorie
infectieuse : nous appuyant sur trois observati
ue, pourra-t-on admettre notre observation comme un appoint à cette
théorie
de l'origine infectieuse de certaines maladies
GIQUE. L'énergie nerveuse et l'énergie électrique, à propos de la
théorie
des neuro-diélectriques ; Par le D' PAUL SOLFIE
er numéro des Archives de Neurologie (septembre) une note sur une
théorie
nouvelle dite des neuro-diélectriques, qui n'es
lude d'un travail plus étendu devant paraître ultérieurement. Cette
théorie
comprend deux points de vue : l'un général, qui
eux points de vue : l'un général, qui est le fondement même de la
théorie
et qui ne tend à rien moins qu'à l'assimilation d
remarques à propos du premier. J'ai en ell'et soutenu moi-même une
théorie
semblable dans des conférences faites cet hiver
vier dernier dans la Bibliothèque de Philosophie Contemporaine, une
théorie
du mécanisme de la mémoire basée sur les analog
je crois devoir relever que les critiques qui ont été faites de ma
théorie
de la mémoire ont paru mécon- naître sa portée.
rappeler ici, à propos de la partie générale et fondamentale de la
théorie
de neuro-diélectriques de I. Binet-Sanglé, ce t
c une lésion isolée du centre moteur lui-même : cela seul écarte la
théorie
de l'excitation, et une autre explication se prés
Hitzig (de Halle). (Projections.) La plupart des partisans de la
théorie
des localisations du cer- veau ont noté des tro
n moins durables ; mais cette accoutumance n'est que momentanée. La
théorie
de Kronecker, attribuant la trémulation des coe
des nerfs préconisée par Chi- pault a par ses résultats confirmé la
théorie
névritique de l'ori- gine du mal perforant plan
une, tantôt dans l'autre des circonvolutions. Nous pensons que la
théorie
de Flechsig, d'après laquelle toutes les fibres
traux de ces lobes ; par SwiTALsm (de Lemlerg). Contribution à la
théorie
des hémiplégies ; par M. Friedel Pack (de Pragu
rement une observation, qui semble avoir un intérêt spécial pour la
théorie
des hémiplégies. II a observé un jeune homme, q
avec la distribution du nerf, elle est plutôt en opposition avec la
théorie
spinale de Brissaud. Complété par une observati
ique; ce qui viendrait apporter un argument de plus en faveur de la
théorie
dualiste défendue par Charcot, Joffroy, et, à M
le. BOUIt\ L1'ILLI : . PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. A propos de la
théorie
des neuro-diélectriques. (Réponse à M. PAUL SOL
ques. (Réponse à M. PAUL SOLLIER.) Au début d'un travail intitulé
Théorie
des que j'ai publié ici même en septembre 1900,
atellaires dans le tabes n'est pas suf- fisamment expliquée par les
théories
actuelles; il est très vrai- semblable que l'ab
t hystérie trauma- 1 tiques, par Knapp, 153. Neuro-diélectrioues.
Théorie
des , par Binet-Sanglé, 208, 472. Neurone. Do
r Binet-Sanglé, 208, 472. Neurone. Doctrine des -, et nou- velles
théories
sur les connexions nerveuses, par van Gehuchten
ogie, 1896, n° 2. Leçon sur les hallu- cinations unilatérales. LA
THÉORIE
DES NEURONES. 15 de l'acoustique (otite moyenne
sence de la dégénérescence mentale '. ANATOMIE PATHOLOGIQUE. LA
THÉORIE
DES NEURONES EN RAPPORT AVEC L'EXPLICATION DE Q
us expliquer, pourquoi leur action amène des actes psychiques. LA
THÉORIE
DES NEURONES. 17 La cellule psychique est organ
ocès ? ' Appliquons- nous à résoudre cette question, en tant que la
théorie
contem- poraine des neurones nous le promet. A
on du caractère des incitations, reçues conformément avec leur LA
THÉORIE
DES NEURONES. 19 individualité ; mais si elles
normal. Le degré de l'influence tonique du prolongement cylin- LA
THÉORIE
DES NEURONES. 21 draxile sur la dendrite ne res
'association ; nous parlerons de cela plus loin, en appli- quant la
théorie
des neurones à l'explicatin de l'état patho- lo
- gements grossiers propres aux lésions organiques du cerveau, la
théorie
des neurones nous fournit la possibilité de pénét
s sa couche exterme. C'est à ce fait, qu'il rattache la démence. La
théorie
des neurones nous force à modifier l'opinion de
mbre des contacts entre les cellules psychiques de même qu'une LA
THÉORIE
DES NEURONES. 23 plus grande quantité d'élément
e quelle manière pouvons-nous expliquer ce phénomène à l'aide de la
théorie
des neurones ? Les impres- sions que reçoit le
entre les dendrites et les collatérales produit chez le malade LA
THÉORIE
DES NEURONES. 25 5 l'effet d'une sensation nouv
'iden- tité des impressions reçues. Efforçons-nous d'appliquer la
théorie
des neurones à l'ex- plication du trouble de l'
tacts détruits amène un plus profond trouble de la conscience. La
théorie
des neurones nous fournit de nouveaux faits dont
res centripètes des sensations d'innervation. Si nous appliquons la
théorie
des neurones à l'explication des états maniaque
an- goisse uniquement par cette rapidité des ramuscules proto- LA
THÉORIE
DES NEURONES. 7 7 plasmiques terminaux. Cet éta
étails sur l'explication des phénomènes psycho-pathologiques par la
théorie
des neu- rones, nous terminerons ici nos suppos
aussi pour plus de clarté, nous avons jusqu'ici omis de dire que la
théorie
des neurones doit tenir compte de certains fait
vons men- tionnée à cause de sa nouveauté et de son originalité. La
théorie
des neurones reste jusqu'à présent inébranlable
s de la texture fine du système nerveux ; mais dans tous les cas la
théorie
que nous venons d'exposer jette une lumière tou
u faits futurs dont il a bien la notion. « Au lieu de faire de la
théorie
et d'expliquer les mots par d'au- tres mots, on
aciles l'acquisition et l'usage du langage. 2 En ce qui concerne la
théorie
et la pratique de cet enseignement, nous renver
aigu, fracture, arthropa- thie, etc.). Cette méthode montre que la
théorie
qui fait dépendre l'ataxie tabétique des troubl
ce, ah ! l'horrible aveu ! de quelle ironie ce malheur pèse sur nos
théories
et nos orgueils, et quelle ouverture sur le gou
la lésion de la sclérose latérale amyotrophique. A côté de cette
théorie
de la coïncidence et de la superpo- sition des
; le fait est aujourd'hui confirmé et acquis. J'avais proposé une
théorie
qui faisait du coeur du tabétique un coeur de dou
'alcool, le plomb, la diphtérie... en sont des exemples. Mais notre
théorie
actuelle ne contredit pas à cette donnée classi
temps que la gangue interstitielle des or- ganes » et trouve que la
théorie
de l'artériosclérose « ne parait pas reposer su
n fut obtenue au bout de six ans. Ce fait est en opposition avec la
théorie
du Dr Wiglesworth qui fait de la mélancolie ave
à une contusion de la moelle post mortem. P. K. VII. Note SUR la
THÉORIE
DE Weigert relativement A la STRUCTURE delà név
aide de méthodes de coloration nou- velles, a récemment proposé une
théorie
nouvelle de la structure intime de la névroglie
Lewis et de Golgi, et il résume, en terminant, les objections à la
théorie
de Weigert que M. Pellizzi a tout récemment for
QUE. 3° Les résultats de la médication thyroïdienne confirment la
théorie
de Mobius, d'après laquelle la maladie de Graves
tance des aliénés en Allemagne. C'est à nous de pratiquer ée que la
théorie
a mis en lumière. Le mieux est de faire donner
que nous en tirons, c'est qu'il manquait à la chaîne qui unit leurs
théories
aux nôtres toute une série d'an- neaux interméd
générale juvénile consti- tuent un nouvel argument en faveur de la
théorie
pathogénique que je soutiens : il a été prouvé,
ible de fournir aujourd'hui de nouvelles preuves à l'appui de cette
théorie
, je crois que la para-' lysie générale est une
oujours à la syphilis et plus rarement à des maladies aiguës. Cette
théorie
infectieuse de la paralysie générale est-elle inc
e. intervienne : surmenage, excès vénériens, etc. A l'appui de la
théorie
syphilitique de la paralysie générale, M. Régis
rouvent quand on leur comprime le nerf cubital. ' A l'appui de la
théorie
syphilitique de M. Régis, j'invoquerai la plus
M. Arnaud. - Les faits cliniques ne plaident pas en faveur de la
théorie
de M. Petrucci. L'alhérome artériel généralisé ne
ire de l'hystérie infantile a commencé le jour où a été détruite la
théorie
qui plaçait dans l'utérus le siège de la. 250 S
dres divers. Cela tient à ce que les auteurs s'inspirent encore des
théories
que l'Ecole de la Salpê- trière avait émises su
d'aboulies que nous avons étudiées et interprétées conformément aux
théories
histologiques et physiologiques les plus récent
. 5° Les données précédentes se montrent absolument opposées à la
théorie
physiologique de l'hystérie fournie par M. Féré e
e engendre la seconde, le plus souvent. Telle est, très résumée, la
théorie
qui forme la première partie. Elle est d'une ps
1, H,\SKOVEC, de Prague. On connaitbien l'insuffisance des diverses
théories
en ce qui concerne la pathogénie de la maladie de
la maladie de Basedow, qui ont été émises jusqu'à présent. C'est la
théorie
de l'intoxica- tion, soutenue par la plus grand
it du cerveau, ce qui détruit l'élément sur lequel Kahlden fonde sa
théorie
de l'arrêt de dévoloppement pur, théorie qui n'
lequel Kahlden fonde sa théorie de l'arrêt de dévoloppement pur,
théorie
qui n'expliquerait, au reste, point la prétendue
ramollissement par embolie, ce qui est précisément en faveur de la
théorie
vasculaire. M. Deyes passe en revue les espèces
Cent2oclbl., XV, 1896.) En imputer la cause à une infection aiguë (
théorie
de Marie) n'est pas exact; celle-ci serait exce
e genre que la médication anti- syphilitique, qui est basée sur une
théorie
qui ne lui paraît pas absolument certaine. SO
le seule doit être pratiquée dans l'avenir. b). L'épilepsie. - La
théorie
de l'anémie cérébrale comme cause déterminante
e opération possible; ses conséquences ulté- rieures sont nulles.
Théorie
de l'hérédité. MM. les D''s Hillemand et PETRUC
me nerveux dans les domaines physiologique et pathologique. Dans la
théorie
des auteurs, le sys- tème nerveux devient l'age
et de la dégénérescence, - précédée d'un aperçu sur les principales
théories
de la criminalité; par le Dr Rakowsky. (Thèse d
à fixer l'attention de ceux qui sont en position de passer de la
théorie
à la pratique. B. LES aliénés EN LIBERTÉ. Sou
Kobert, 414. Hémiplégie chez l'enfant, par Bézy, 343. Hérédité.
Théorie
de l' -, par Hil- lemanrl et Petrucci, a2. Hy
asthénie. Dégénérescence men- tale et -, par Vial, 284. Neurones.
Théorie
des - eu rap- port avec l'explication de quel-
sseaux provenant d'une -, par Moltchanoff, 351. Névroglie. Sur la
théorie
de Wei- gert relative à la structure de la -
oit le côté que vous l'ayez renversée sur votre tapis ; de même une
théorie
, posée par vous, pourra être renversée par votre
e - cité textuellement par Soury dans son « His- toire critique des
théories
et des doctrines du système nerveux » des têtes
s plus haut, sont autant d'arguments de présomption en faveur'de la
théorie
de Meltzer et de la mienne : Voxycêphalie est u
et des encéphalites, pourtant nos cas plaideraient en faveur de la
théorie
angio-neurotique de Quincke. En effet, dans notre
uction de la méningite séreuse. Miiiizer (2) est même d'avis qne la
théorie
non-parasitaire de Quincke ne peut plus être sout
à peu près proportionnelle à celle de la lumière blanche. Selon la
théorie
de Ilenschen sur les voies de transmission des
es mo- trices graphiques dans le langage intérieur » (Dejerine). La
théorie
d'Ex- ner d'un centre spécial graphique de l'éc
une question pendante, elle n'est qu'un cas de plus en faveur de la
théorie
uniciste de MM. Brissaud et Meige (1), Launois
ndre publics tous les cas observés..Nous avons la conviction que la
théorie
proposée par M. le pro- fesseur P. Marie pour l
ans en saisir la signification, parce qu'on ignore généralement les
théories
auxquelles elle se rattache. Aussi nous a-t-il
a glande conarienne, comme il l'appelle, et ceux où il développe sa
théorie
des rapports de l'âme et du corps par l'intermé
passages où Descartes répond à des objections qu'ont soulevées ses
théories
sur la glande pinéale ou com- plète par des ren
aucune indication étant dues à de Gutschoven. Avant d'exposer les
théories
de Descartes relatives à la glande pinéale dans
circulation du sang par IIarvey (1G` ? 8) dont il avait accepté les
théories
en les modifiant sur quelques points et d'une m
plus qu'on ne le croit géné- ralement » (2). On trouve en effet des
théories
très analogues exposées dans les oeuvres de nom
Insoutenable du point de vue de l'anatomie et de la physiologie, la
théorie
cartésienne relative aux fonctions de la glande p
gé de s'arrêter dans sa lecture, Malebranche n'attribue pas à celle
théorie
une grande valeur, ni d'ailleurs beaucoup d'imp
, comme on ignore ce qui remplit les circonvolutions du cerveau, la
théorie
des esprits animaux peut valoir la théorie des ex
volutions du cerveau, la théorie des esprits animaux peut valoir la
théorie
des excréments du cer- veau. Mais il objecte à
tate une belle structure sous forme de charpente. Il est parti de la
théorie
granulaire d'Altmann et il s'est demandé si cet
d'expliquer les propriétés des gels et du cytoplasma à l'aide de sa
théorie
. C'est ainsi que d'après lui différentes propri
nt en rapport avec cette structure alvéolaire. S'il est vrai que la
théorie
a été admise en partie ou totalement par des au
endues et très ingénieuses pour montrer le peu de fon- dement de la
théorie
de Bûtschti. Il a étudié la formation de structur
colloïdes à l'ultramicroscope. Néanmoins cet auteur affirme que la
théorie
alvéolaire ne saurait s'appliquer qu'à une part
ir le moindre doute et cette constatation viendrait à l'appui de la
théorie
granulaire soutenue par certains auteurs (Pl. X
hui amène l'éclosion de nouvelles idées, quel- quefois de nouvelles
théories
qui s'efforcent d'apporter une explication, mai
érature médicale. Nous en profiterons pour rappeler les différentes
théories
admises pour expliquer ces variations et nous t
yse épineuse. Cette disposition ne peut que plaider en faveur de la
théorie
vertébrale du crâne et de l'opinion des auteurs
eil sur l'ensemble des variations des vertèbres cer- vicales et les
théories
qui les expliquent. Nous pourrons ainsi faire une
théo- ries est une preuve de l'obscurité qui les entoure.Toutes ces
théories
ont été étudiées par de nombreux auteurs : Lebo
i l'unissent au sacrum et aux os iliaques. Malheureusement, celle
théorie
ne peut expliquer que la disparition d'une vert
ce qui n'est qu'une des va- riations numériques des vertèbres. 4°
Théorie
de l'ascension du bassin. - Regalia (5), en 1880,
inution sera due au contraire à un développement plus marqué. Cette
théorie
simple, basée sur un fait embryologique certain,
ou en plus dans la région sacro-coccygienne ; il faut, pour que la
théorie
soit exacte, que le nombre des éléments demeure
'est accomplie dans l'espèce humaine à travers les siècles. Cette
théorie
est séduisante, satisfaisante même pour de nombre
la fois des signes de réversion et des signes de progression, . 6°
Théorie
de l'intercalation et de l'excalatioa. Pour Iheri
veux supplémentaire entre deux vertèbres bien caractérisées. Cette
théorie
se base principalement sur l'existence du nerf en
d'un ou de plusieurs segments de la moelle spi- nale. Dans cette
théorie
, la segmentation de la colonne vertébrale membra-
mment encore, Guillemin (3) fait une revue critique de ces diverses
théories
, dans un article qu'il intitule : Interprétations
blant aux vertèbres cervicales ou lombaires. Mais-il manque à cette
théorie
comme à toutes les autres une preuve objective.
le ne les explique pas tous ; pourquoi ne pas invo- quer, alors, la
théorie
de l'intercalation et de l'excalation, les modifi
'observa- tion s'explique difficilement par l'une quelconque de ces
théories
. Il s'agissait, nous le rappelons, d'une colonn
les motifs, on ne se laisse 276 rRÜDERSTRÜn4 pas méduser par des
théories
psychologiques intéressantes, mais qu'au contra
cho-sexuel re- vêt constamment de nouvelles formes et vient, par la
théorie
moderne de Freud d'être poussée à l'extrême. Au
une série de documents anatomi- ques, tendant à faire prévaloir une
théorie
qui n'a pas été admise : 1 unité anatomique des
à quelques considérations qui viendront renforcer quelques-unes des
théories
émises pour expliquer la pathoge- nèse de la ma
émises pour expliquer la pathoge- nèse de la maladie. Modifiant la
théorie
dite de la phagocytose, due à Metchnikoff, d'ap
globant la substance striée, Blocq et Marinesco (1) ont soutenu une
théorie
spéciale pour expliquer la pathogenèse des dyst
prendrait la place des fibres musculaires. Comme on le voit, cette
théorie
s'appuie sur plusieurs postulats. Aussi faut-il
s dans l'examen du sujet se trouvent pleinement en harmonie avec la
théorie
pathogénétique que nous venons d'adopter. Ainsi
adictoires, il semble au- jourd'hui bien difficile d'admettre celle
théorie
univoque : chez notre ma- lade entre autres, ni
ais n'est- ce pas un peu forcer les faits pour les appliquer il une
théorie
? Car, ou- Ire que, dans ce cas, les déformatio
hèse n'est d'ailleurs pas une nouveauté, puisqu'elle rentre dans la
théorie
de l'origine congénitale de la syringomyélie ou d
thèse, aujourd'hui abandonnée d'ailleurs, a fait place à d'au- tres
théories
qui ont cherché à expliquer la pathogénie de cett
nnaire, variété aleucémique, forme lipomateuse, Launois défendu une
théorie
analogue. Les cas multiples où l'on a cherché inu
ce de tissu lymphatique dans les tumeurs vont à l'encontre de celte
théorie
. Il en est de même des examens du sang, mais il e
naturelle des animaux. Dans le If chapitre, 4e', l'auteur traite la
théorie
des maladies dans lesquelles il faut employer l
ci dans le domaine de la fantaisie, sans y attacher, d'ailleurs, la
théorie
spirile proprement dite, la croyance aux esprits.
bien connus des spiriles, nous nous trouvons en présente de plusieurs
théories
. Selou l'opinion des spiriles, dans le sens stric
éther aux objets extérieurs et remuer ces derniers. Toutes les deux
théories
ont maintenant des partisans, mais la dernière es
énéral prévaloir dans le public crédule et profane. Ensuite il y a la
théorie
des hallucinations, qui fut motivée principalemen
articulière dn médium. Ces phénomènes ne présentent donc, selon celte
théorie
, rien d'objectif, mais bien quelque chose de subj
théorie, rien d'objectif, mais bien quelque chose de subjectif. Cette
théorie
des hallucinations se rapporte, d'ailleurs, essen
ns l'obscurité terminée, fut retrouvé sur le plancher. A toutes ces
théories
s'oppose la supposition que les phénomènes produi
l'existence. Il faudrait, pour avoir une opinion sérieuse sur cette
théorie
, procéder personnellement aux expériences do cont
s'expliquer complètement et d'une façon beaucoup plus simple tans sa
théorie
. Supposons d'abord que la table se levât seulem
Angleterre et en Amérique. Pour Rainaldi, qui suit ici une troisième
théorie
, c'est en percutant la zone correspondante au lob
expériences de Rainaldi, quelle hypothèse reste-t-il a invoquer? Une
théorie
vaso-motrice due encore a Silva. D'après cette th
invoquer? Une théorie vaso-motrice due encore a Silva. D'après cette
théorie
, entre la circulation extérieure du crâne et la c
n, il ne saurait être question, « car la malade ne connaissait pas la
théorie
de localisation cérébrale ». Mais Giacomo Lombros
localisation cérébrale ». Mais Giacomo Lombroso la connaissait cette
théorie
, et il n'y a aucun doute quo les résultats des ex
he le bois, un temple merveilleux d'où sortaient lentement une longue
théorie
de prêtres en drap d'or et de jeunes filles vêtue
deux nombres complémentaires pour six nombres qui se suivent. ***
Théorie
de la vision des couleurs, par M. le professeur
. Je crois pouvoir tirer quelque profil pour le développement de la
théorie
de 1 vision des couleurs d'un certain nombre de p
tion des couleurs). I. Les difficultés qu'avait déjà rencontrées la
théorie
Young-Helmkoltz se sont manifestement accrues par
ieu d'être comme d'habitude dans le voisinage de D. Ce fait oblige la
théorie
Helmkollz à avoir recours à des hypothèses compli
compliquées et douteuses en soi. II Le fait observé se dégage de la
théorie
Héring d'une manière si simple et si naturelle, q
ng pouvait le supposer avant sa découverte empirique. Cependant celle
théorie
éveille encore quelques scrupules qui sont devenu
isparaître que par des explications longues et démaillées. Les deux
théories
en lutte ont un défaut commun, c'est qu'elles ne
araître toutes les difficultés existantes en complétant simplement la
théorie
de Héring et, ce qui en est la conséquence, en la
du jaune et du bleu. Les autres motifs sur lesquels s'appuie noire
théorie
sont que les faits connus en découlent naturellem
le cours de la Conférence, M. le professeur Brown-Séquard a exposé sa
théorie
de l'inhibition et la dynamogénie, et démontre qu
, frappa vivement M Brown-Séquard et lui apporta la première idée des
théories
auxquelles il se voua dès lors sans retour. Pen
te par de nombreuses expériences personnelles, l'ont confirmé dans sa
théorie
, que nos nerfs sont des réservoirs où sont accumu
her à pénétrer le secret. M. Brown-Séquard termine en critiquant la
théorie
actuellement admise du fonctionnement des centres
dre que la majorité des hommes devienne civilisée et indépendante. La
théorie
de la psychothérapie devra se baser sur cette esp
uérir ainsi plus que quelques malades. Mais alors, je fais appel A la
théorie
de la suggestion si clairement exposée par Bernhe
. Mais veuillez me permettre de vous rappeler que j'ai appliqué ces
théories
a la pratique, dans la mesure de mes forces, pend
'infini. Mais je ne voudrais pas discuter lourdement cette ingénieuse
théorie
. Ce qu'il en faut retenir, c'est que dans un nomb
PSYCHOLOGIQUE Par M. le professeur CHaUVEaU. de l'Institut. Dans la
théorie
Yung-Helmholtz sur le mécanisme de la perception
matique ? On ne le peut, i mon avis, autrement qu'avec l'aide de la
théorie
Yung-Helmholtz et en y faisant jouer le principal
antes. Il suffît, comme on voit, dans cette manière de présenter la
théorie
Yung-Helmholtz, d'admettre l'indépendance et la s
faibles et de différents problèmes de photoptométrie ; il exposera la
théorie
et les principales applications d'un thermomètre
ême doctrine et partage les principes de celte école, en rejetant les
théories
artificielles de la Salpétrière. Son livre est un
e intéressant au point de vue psychologique et une confirmation de la
théorie
des localisations cérébrales. Pour que le fait
roupeau docile, même à de mauvaises actions ». Alors, d'après celte
théorie
, l'homme deviendrait assassin parce qu'il voit tu
sans qu'il y ait vision binoculaire, puisque l'œil droit, d'après la
théorie
de l'appareil, ne voit pas les lettres vues et re
traitement que la paralysie et les convulsions, c'en sera fini de la
théorie
des miracles. Que la guérison par la foi. dit M
es racines postérieures. Dans le cours de l'article, il disait : « La
théorie
, suivant laquelle le» lésions du tabès ne sont au
irme que M. Déjcrine s'ntribue sciemment la propriété dantrui, car la
théorie
qu'il déclare sienne a été édifiée longtemps aupa
fant menteur. Ce n'est pas d'aujourd'hui qu'est battue en brèche la
théorie
de la candeur enfantine. Sans vouloir reprendre l
Histoire générale des sciences. — M. Pierre Laffite traitera de la
théorie
de la science abstraite et de l'évolution mathéma
ormes du sommeil hypnotique a été le point de départ des deux grandes
théories
émises à Paris par Charcot et à Nancy par Bernhei
que des phénomènes somnambuliques ; cette série, donnant raison à la
théorie
de Bernheim. ne continua pas, et bientôt nous avo
'influence de la suggestion à l'état de;, 215. Vision des couleurs (
théorie
de la), par H. Ebbinghaus 89. Vomissements inco
accompagnés d'hémianesthésie, ce qui ne concorde nullement avec la
théorie
de subordination et de correspondance parfaite
utile de refaire ici sur un plus large plan un exposé complet des
théories
et des divers aspects du coma diabétique. Nous in
erharuruhr, 1884. I. PATHOGÉNIE DU COMA DIABÉTIQUE Les nombreuses
théories
, proposées pour expliquer le dé- veloppement de
sus ou les liquides du diabétique ; le deuxième groupe comprend les
théories
qui font de la mort brusque ou rapide le résult
guidé en quoi que ce soit les auteurs dans la .conception de leurs
théories
. 52 REVUE CRITIQUE. Premier groupe. Lésions m
chose qu'une expression clinique ? Abstraction faite de toutes les
théories
, dont aucune n'est dé-. montrée, en nous en ten
e, sans qu'il en résulte le moindre trouble cérébral dyspnéique. La
théorie
de Sanders et de Hamilton est certainement la p
pothèses qui s'inspirent de cette idée se résument en somme dans la
théorie
de l'acéto- némie. C'est Pettérs et Kaulich qui
étate de soude. Kussmaul chercha à démontrer expérimentalement la
théorie
. En injectant sous la peau ou en faisant inhaler
à peu, chez les buveurs de profession, au delirium tremens. Cette
théorie
, si séduisante, parut trop simple. Il arriva al
s produit s ultimes, l'acide acétique et l'acétone. Telles sont les
théories
. Aucune à notre avis ne peut rendre un compte s
avons déjà dit, il importe de faire des distinctions. Le nombre des
théories
s'explique, si l'on songe que chacun, jugeant d
s deux catégories de faits sous le nom de coma diabétique qu'aucune
théorie
n'a pu sembler satisfaisante et applicable à to
dessèchement des tissus. Mais nous croyons que c'est surtout de la
théorie
de Scott Donkin et de Schmitz qu'ils sont justi
a donc aucune raison valable et démonstrative pour renoncer à la
théorie
de l'acétone en faveur de celle de l'éther ou de
dant la vie ? En résumé, on le voit, les objections opposées à la
théorie
de l'acétonémie ne nous paraissent pas suffisan
e nous paraissent pas suffisantes pour nous la faire rejeter. Cette
théorie
nous semble expliquer d'une manière rationnelle
s du courant, à l'aide des formules physiques ayant cours dans la
théorie
de la circulation intracrànienne ; mais, si l'on
rmes, la vibration de cette paroi : Application de ces données à la
théorie
de la circulation intracî,dnieiiie. 1° Quand
tement diminués. M. Holloender. Gommmaiccation sur les nouvelles
théories
de l'épilepsie. Séance du 26 février 1885.
e cet ordre le nom de folie para- lytique. - 1 Baillarger. Sur la
théorie
de Id paralysie générale. De la folié paralytiq
étudié les contractures des tabétiques et en faisait le pivot d'une
théorie
de l'incoordination; mais il ne séparait pas de
tte manière de voir (qui n'est en partie qu'un retour aux anciennes
théories
de Newton, Wollaston, Müller,Hanovpr et de Grae
té vérifiés sur des chats par Gauser, assistant de von Gudden. La
théorie
de Ferrier, basée sur des expériences faites sur
de notre analyse pathologique sont en apparence favorables aux deux
théories
de Munk et de Ferrier. Mais d'une part les cas
32 ) peuvent se concilier avec les autres. En ce qui concerne les
théories
purement hypothétiques nu cliniques touchant le
posé. Ce schéma fut fait par Charcot pour expli- quer et appuyer sa
théorie
de la production de l'amblyopie d'un oeil par l
oduite par lésion de la capsule interne. Je regrette de dire que la
théorie
de mon illustre maître n'a pas été confirmée pa
LOGIE. 239 conditions physiques de la conscience et d'arriver à une
théorie
qui lui semble être l'expression provisoire de
H. Mauds- ley et de G.-H. Lewes; nous ne rappellerons pas ces deux
théories
qui sont bien connues de tous ceux qui s'intére
lles; il estime que la vérité se trouve dans l'association des deux
théories
rivales, et que, quel que soit le centre actif, l
e la Archives, t. XL 16 242 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE.
théorie
de M. Herzen : l'auteur s'attache ensuite à démon
s il critique Je nom de folie héréditaire. Il critique également la
théorie
de Morel qui fait de la transmission héréditair
DE LA NÉVRITE SEGMENTAIRE. 353 Sans faire ici mention des diverses
théories
émises à ce sujet, nous nous bornerons à rappel
l'hypnotisme par des actions chimiques. Aussi, je laisse à part les
théories
fondées sur les vaso-mo- teurs (Ruinpff, etc.).
ine la durée de l'irritation et son étendue » ; parce que, si cette
théorie
était juste, l'irritation active resterait touj
aire. En outre, il y a des contradictions en grand nombre à cette
théorie
; je crois qu'il serait inutile de les énu- mére
ellules nerveuses du système cérébro-spinal. Jusqu'ici les diverses
théories
émises : la théorie hématique de Kussmaull et T
système cérébro-spinal. Jusqu'ici les diverses théories émises : la
théorie
hématique de Kussmaull et Tenner, la théorie ch
s théories émises : la théorie hématique de Kussmaull et Tenner, la
théorie
chimique de Frerichs, celle des inégalités en p
Quoi qu'il en soit, ces faits tendent évidemment à prouver que les,
théories
pathogéniques actuelles voulant substituer à l'
s, théories pathogéniques actuelles voulant substituer à l'ancienne
théorie
bulbaire de Schôoder van *der Kolk l'hypo- thès
eurologie, t. X, p. 104 et 425. 426 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
théorie
déjà exposée en détail (22 observations). Le fond
ira donc de démonter les rouages de la perception extérieure, et la
théorie
sera valable pour toutes les espèces de raisonne-
comme point de départ est celle de Stuart Mill qui, rompant dvec la
théorie
scolastique, a établi que la forme syllogistique
e. M. Binet fait ici remarquer avec juste raison que, pour que la
théorie
du raisonnement soit valable, il faut : 1° qu'ell
ent se réunir pour former la conclusion, le jugement final. Cette
théorie
est toute neuve, car des prédécesseurs de M. Bi
ar diapédèse. On peut s'expliquer ainsi, plus facilement qu'avec la
théorie
mécanique, la persistance ordinaire et très pro
ve. On pourrait être tenté, d'après cela, suivant les errements de la
théorie
actuellement en vogue, de considérer ces lésions
il publié en 1860 (2). Mais bien avant nous et bien avant même que la
théorie
de l'embolie n'eût été ger-manisée, M. Foville (3
ode de production de cette lésion trophique de la peau rentre dans la
théorie
générale à laquelle nous avons dû nous rattacher
nous venons de rassembler ne permet-tent pas de construire encore une
théorie
pathogéniqne du dé-cubitus aigu de cause spinale,
sur les parties dont l'énergie vitale est amoindrie. A l'appui de sa
théorie
, l'auteur fait ressortir que les deux sujets, don
des descriptions cliniques de M. Alison, je ne saurais souscrire à la
théorie
palhogénique qu'il a proposée. Je suis loin, tout
. elles-mêmes, relèvent d'une influence directe du système nerveux.
Théorie
de la production des troubles trophiques consécut
ernard ; analogies entre ces deux ordres de nerfs. — Application à la
théorie
des nerfs trophiques. — Théorie de Samuel ; expos
x ordres de nerfs. — Application à la théorie des nerfs trophiques. —
Théorie
de Samuel ; exposé ; critiques. — Conclusions.
fait par la voie des nerfs, mais c'est là encore aupointde vue de la
théorie
, une donnée insuffisante. Il faudrait s'efforcer
con- vaincu qu'il importe tout au moins de montrer l'inanité d'une
théorie
qui prétend la résoudre et qui règne aujourd'hui
il ne sera pas difficile de montrer dans une courte discussion que la
théorie
vaso-motrice est tout à fait insuffisante. Pour
l'action des nerfs dila-tateurs, ne serait, en définitive, d'après la
théorie
, que la para-lysie vaso-motrice. Or, s'il est vra
e les emprunte à une leçon professée au Muséum par M. Vulpian, sur la
théorie
des sé-crétions (3). Si l'on coupe tous les ner
rofit. 11 s'agit en effet d'arrêter un instant votre attention sur la
théorie
dite des nerfs trophiques qui, vous le savez, à d
tion développées par une influence du système nerveux. Or, dans cette
théorie
, telle du moins que l'a formulée M. Samuel, les n
uvent survenir de cette façon. Ce sont là les traits généraux de la
théorie
; pour ce qui est des détails, il était à prévoir
èces de myopathies. Je n'ai jamais partagé le dédain avec lequel la
théorie
qui vient d'être brièvement exposée a été presque
reuses causes d'erreur (1). Mais tous les arguments dirigés contre la
théorie
n'ont pas autant de valeur que les précédents. Si
e dans ce groupe (1). Quoi qu'il en soit, avant de s'attacher à une
théorie
qui ne peut subsister sans mettre enjeu tout un s
de la logique : Haucl multiplicanda entia absque necessitate. Or, la
théorie
vaso-motrice étant éliminée, il reste encore, san
hèse leur explication sans qu'il soit nécessaire d'avoir recours à la
théorie
des nerfs trophiques. Nous sommes parvenus, Mes
eau . — Pa-thogénie des attaques apoplectiformes : insuffisance de la
théorie
de la con-gestion. — Symptômes : État du pouls :
t impressionnables, mal armés pour soutenir ce qu'on appelle, dans la
théorie
de Darwin, la lutte pour la conservation de la vi
les de produire l'hémia-nesthésie. — Fonctions de la couche optique :
théorie
anglaise et théorie française. — Critique. — Nome
mia-nesthésie. — Fonctions de la couche optique : théorie anglaise et
théorie
française. — Critique. — Nomenclature allemande d
notre intérêt, tantau point de vue clinique qu'au point de vue de la
théorie
, heëmembranes muqueuses sont atteintes d'un côté
stion qui mérite de nous arrêter. Je suis amené à vous parler de la
théorie
physiologique qu'on pourrait appeler théorie angl
mené à vous parler de la théorie physiologique qu'on pourrait appeler
théorie
anglaise, puisque ce sont deux auteurs anglais, T
, qui l'ont, les premiers, je crois, émise et soutenue. D'après cette
théorie
, la couche op-tique serait le centre de perceptio
: il serait l'analogue des cornes anté-rieures de la moelle. Cette
théorie
, dont Schrceder Van der Kolk (1) s'est montré par
ir seulement un moyen de diagnostic, un élément propre à éclaircir la
théorie
du mal ; il y a là, encore, un moyen théra-peutiq
, elles-mêmes, relèvent d'une influence directe du système nerveux.
Théorie
de la production des troubles trophiques consécut
rnard ; analogies entre ces deux ordres cle nerfs. — Application à la
théorie
des nerfs trophiques. — Théorie de Samuel ; expos
ordres cle nerfs. — Application à la théorie des nerfs trophiques. —
Théorie
de Samuel ; exposé ; critiques. —Conclusions.....
eau). — Pa-thogénie des attaques apoplectiformes : insuffisance de la
théorie
de la con-gestion. — Symptômes : État du pouls :
les de produire l'hémia-nesthésie. — Fonctions de la couche optique :
théorie
anglaise et théorie française. — Critique..— Nome
mia-nesthésie. — Fonctions de la couche optique : théorie anglaise et
théorie
française. — Critique..— Nomenclature allemande d
somnambuliques, 447. Attitudes passionnelles, 438, 443. Attraction (
Théorie
de 1'), 144. Aura hystérique, 286, 325 ; — Ca-rac
nuleux, 215. Corps opto-striés (Lésions des) : leurs effets, 307. —
Théorie
fran-çaise ,310.— Théorie anglaise,309. Courant
striés (Lésions des) : leurs effets, 307. — Théorie fran-çaise ,310.—
Théorie
anglaise,309. Courants électriques. Différences
raumatiques, 25. — Lésions spontanées, 22. — Partie théorique, 131. —
Théorie
vaso-motrice, 133. — Théorie de l'attraction, 144
ontanées, 22. — Partie théorique, 131. — Théorie vaso-motrice, 133. —
Théorie
de l'attraction, 144. — Théorie des nerfs trophiq
, 131. — Théorie vaso-motrice, 133. — Théorie de l'attraction, 144. —
Théorie
des nerfs trophiques, 147. — Théorie de M. Samuel
Théorie de l'attraction, 144. — Théorie des nerfs trophiques, 147. —
Théorie
de M. Samuel, 147. — Critique, 150. —Conclusion
troubles de sensibilité causés par les lésions médullaires et deux
théories
entraient en lutte, la théorie de la disposition
par les lésions médullaires et deux théories entraient en lutte, la
théorie
de la disposition de ces troubles en bandes tra
les en bandes transversales, perpendiculaires à l'axe du membre, la
théorie
de la disposition en bandes longitudinales, paral
es de sensibilité sera uniquement longitudinale. On a donné à cette
théorie
le nom de théorie de la disposition segmentaire d
sera uniquement longitudinale. On a donné à cette théorie le nom de
théorie
de la disposition segmentaire des troubles de l
troubles de la sensibilité d'origine médullaire, et encore le nom de
théorie
de la disposition métamérique des troubles de l
me, de même, les quatrième et cinquième s'unis- sent la dixième. La
théorie
dite segmentaire ne suppose pas, jusqu'ici du m
mentation n'a pu encore fournir cette réponse précise que promet la
théorie
, puisque les résultats obtenus sont variables a
r deux variétés différentes de myélite que la réalité confirmait la
théorie
. Au surplus cette constatation ne porte nulleme
sive. Ce cas en apparence anormal nous paraît venir à l'appui d'une
théorie
soutenue par plusieurs auteurs dont nous avons
ire de l'action propre du muscle ou du faisceau musculaire. » Cette
théorie
a été géné- ralement acceptée par tous les aute
ntractilité électrique. Aussi faut-il concéder une grande part à la
théorie
de Duchenne, déformations par action prédo- min
res. 52 CESTAN ET LEJONNE Toutefois, il fautreconnailre que cette
théorie
ne saurait expliquer clai- rement la rigidité d
rapèze, des grands pectoraux. Il serait donc possible que, selon la
théorie
de Frie- dreich, la myosctérosejouait ici le pr
ype Charcot-Marie. DE LA l1YOTOiNIE ATROPHIQUE CONTRIBUTION A L'A
THÉORIE
DES MYOPATHIES PAR G. ROSSOLIMO, Professeur
on a fait beaucoup de re- cherches évidemment défavorables pour la
théorie
de myopathie primitive ; presque tous les jours
ogénie plus exacte. Quant à la maladie de Thomsen, par défaut d'une
théorie
satisfaisante, il fallait attribuer la cause es
elle de cette affection à une lésion des muscles eux-mêmes. Mais la
théorie
de la myopathie primitive risque de perdre bien
r elle,et alors elle n'existera que pour la maladie de Thomsen. Une
théorie
qui attribue la cause de la symptomatologie si co
uter le problème de la pathogénie. On a émis sur ce point plusieurs
théories
. Je rappellerai simplement celle qui invoque un
e vasculaire ou du système nerveux (central ou périphérique). Cette
théorie
, qui peut bien s'appliquer à quelques cas, ne s
tique de la région pectorale. C'est là un fait en désaccord avec la
théorie
précédente. Pour interpréter le cas de mon mala
malade, ainsi que les cas analogues, il faut, je pense, admettre la
théorie
émise déjà par Froriep en (8 : 9, qui invoque l
par le membre supérieur sur le thorax du foetus. A l'appui de cette
théorie
on peut faire valoir une série d'argu- ments :
ec la partie pectorale du thorax plaident encore en faveur de cette
théorie
. Cette altitude et ces rapports permettent de con
. Un tel fait se passe de commentaires. Il n'est pas douteux que la
théorie
de Froriep est capable d'expliquer, dans certai
ef, de quelque façon qne l'on examine ce cas, on ne trouve guère de
théorie
satisfaisante, à moins d'admettre la formation d'
t toujours quelque part. Cette vérité de La Palisse appartient à la
théorie
du sens des at- titudes. Quand une irritation
dans mon étude de l'audition (2) cherchant, pour chaque point de ma
théorie
, à fouiller jusqu'au terrain primitif des chose
veilleuse organisation capitalisée de l'homme; et pour admettre une
théorie
contraire à la théorie simpliste que j'expose,il
capitalisée de l'homme; et pour admettre une théorie contraire à la
théorie
simpliste que j'expose,il faudrait des milliers
rs aucune préten- ,lion bibliographique et où je n attaquais que sa
théorie
à lui (2) et surtout son argumentation, pose ai
nt l'Homme seul, j'en juge par moi-même et (I) L'Espace idéal et la
théorie
de M. de Cyon, Soc. de Biologie, 10 février 1900.
sur l'Oreille, cité plus haut, où je reprends, en la précisant, la
théorie
de Breuer. Les canaux semi-circulaires ont des
ns des attitudes. J'ai plusieurs fois ex- posé ce mécanisme,dont la
théorie
n'a été rejetée que par M. Egger,n la Société d
re que nous connaissons bien : il vou- lait travailler, il avait en
théorie
la meilleure volonté du monde, mais il était gê
nique de cet arrêt de développement, de cette absence du péroné. La
théorie
de la compression par une bride ou par l'étroites
; ce cas viendrait à l'appui de l'opinion de Variot qui soutient la
théorie
de l'in- dépendance des deux sécrétions. Les gl
n peu avant leur pénétration dans le ganglion (Nageotte). Une autre
théorie
a été soutenue plus récemment par de Massary, qui
s faits que nous avons observés vient à l'appui de telle ou telle ,
théorie
; si enfin, juxtaposés aux autres lésions du tabes
nce ne constitue-t-elle pas comme la démonstra- tion clinique de la
théorie
de Kroepelin qui considère la catatonie deKahl-
roupement d'attente. Enfin nous ne pouvions oublier la séduisante
théorie
psychique de M. Brissaud qui a donné à la quest
s tard sur ce point spécial, et de re- chercher si, en dehors de la
théorie
psychique, il n'y aurait pas une expli- cation
yramidal. l. M. Brissaud et, avec lui, M. Meige, sans abandonner la
théorie
psychi- que, font cependant une légère concessi
r la théorie psychi- que, font cependant une légère concession à la
théorie
anatomique, en admettant que la lésion est non
e de Friedreich, doit-on en faire un phénomène psy- chique ? « La
théorie
mentale, dit M. Féré (1), qui tend à envahir l'ét
mais elle a le tort de détruire toute chance de trouver : c'est une
théorie
paresseuse dont on ne doit se contenter qu'en att
s de la part des cliniciens et des physiologistes. Les nombreuses
théories
émises sur le tonus peuvent être ramenées a ces
peut-être de même origine que celle des racines postérieures. Les
théories
qui n'ont eu en vue que la dégénération des racin
elles ne sauraient cependant permettre d'écarter définitivement la
théorie
cellulaire. Ne peut-on en effet invoquer toujou
ie légère jusqu'à la disparition complète. Il y aurait là contre la
théorie
cellulaire un argument important, si la concept
générées dans les ra- cines postérieures, viendrait à l'appui de la
théorie
cellulaire du tabes. Nous rappellerons toutefoi
,son influence trophique, c'est-à-dire la racine postérieure. La
théorie
cellulaire du tabes et plus particulièrement cell
ale et la syphilis spinale. Id. Soc. de Biologie, 1900. Note sur la
théorie
du tabes. - Note sur la lésion primi- tive du t
morbide : 'mais cet accident n'est pas la règle. D'ailleurs, si la
théorie
de Nageotte répondait à l'interprétation exacte
us préférons aux diverses formules généralement trop exclusives une
théorie
plus éclectique. La lésion essentielle du tabes
ce se prolongeant anormalement au delà dit ternie normal. Contre la
théorie
de Langer (3), d'après laquelle la plupart des gé
uel.est un Irait si frappant de la maladie qu'une des plus récentes
théories
palhogéniques est celle de Freund, qui en fait
(interpré- tation de Sérieux et Marinesco). Malheureuse ment, cette
théorie
se trouve en contradiction avec le défaut des l
rofesseur Joffroy, dans la thèse de son élève, M. Ricu, applique la
théorie
générale des phénomènes hallu- cinatoires pour
ment, c'est tout un), il faut penser anatomiquement. L'histoire des
théories
des fonc- tions psychiques, dans la série des ê
ond et d'Huxley, est précédé de con- sidérations sur l'histoire des
théories
et des doctrines du système nerveux où apparais
orps, il ne saurait plus être question. Le savant doit connaître la
théorie
de la connaissance. Ce que nous pouvons connaît
es posi- tivistes à une simple responsabilité envers la Société. La
théorie
positiviste se présente d'ailleurs sous diverse
ndoff la scoliose n'ait aucun rappoitavec la syringomyélie. Déjà la
théorie
des probabilités s'oppose à cette manière d'env
blier ses conférences dont l'ensemble constitue ce manuel. Point de
théories
hypothétiques, point de controverses doctrinale
rêt et avec avantage. F. B. IL L'éducation par l'instruction et les
théories
pédagogiques de Hel'ba¡.t; par M. Mauxion, prof
. Vol. in-18 de 188 pages. Paris, 1901. Félix Alcan, éditeur. Les
théories
pédagogiques de Herbart, bien que datant du début
uite du but de l'éducation, parue en 1806. Pour bien comprendre les
théories
émises par Herbart, il est indispensable de con
ution, la moralité. On voit quelles ressources on peut tirer de ces
théories
au point de vue de l'éducation. Avec le système
on plus de science, mais de croyance. Si Herbart n'admet pas' les
théories
transformistes qui de son temps, commençaient a
oir donné à la psychologie une base scientifique, sans recourir aux
théories
paresseuses des idées innées ; ce sera encore d
uffit, pour s'en persuader, de lire l'histoire des doctrines et des
théories
sur la structure et les fonctions du système ne
luences subies ne sont pas aussi nettement délimitées en fait qu'en
théorie
, et sont modifiées par des réac- tions réciproq
évolution peu avancée comme celui présenté ici sont favorables à la
théorie
méningée. Ce cas présente en outre des lésions
Parmi les communications annoncées, nous citerons : Arnaud. Sur la
théorie
de l'obsession. G. Ballet. Sur les lésions cortic
ns laissé à dessein de côté jusqu'à présent toute doctrine ou toute
théorie
. Sans nous départir d'une certaine réserve, nou
eux pour cela cette non-perception de la sensation visuelle ? Trois
théories
sont en présence pour tenter de nous l'explique
ce de cette fonction ' ». Mais qu'on se rallie à l'une de ces trois
théories
ou qu'on les accepte toutes les trois, il ne no
développement embryonnaire avec considérations particulières sur la
théorie
toxique de l'épilepsie; par Cené. (Riv. -"p. di
resque illimité de l'objet défini. On a pu penser un instant que la
théorie
des neurones allait éclairer la nature de l'hys
moins la lumière anatomique. Mais l'au- teur, partisan résolu de la
théorie
des neurones et de l'avenir qu'elle nous ouvre,
torique de la question, l'orateur expose et critique les nombreuses
théories
éditiées dans le but d'expliquer le mécanisme '
t intoxications. IL Réflexes : Après avoir développé les nombreuses
théories
for- mulées par ses prédécesseurs, le rapporteu
sa théo- rie. III. Contracture. L'orateur expose et critique les
théories
sui- vantes : il démontre que le mécanisme de l
entre des tonus est exclusivement vertical d'après \I. Crooq. Cette
théorie
n'explique pas les faits de lésion de la capsul
d'autant plus le rapport de 111. Crocq dans son exposé critique des
théories
que, déjà en 1899, j'étais arrivé, pour des rai
des raisons semblables, à soutenir que nous ne pos- sédions pas une
théorie
de la contracture capable d'en expliquer les mo
alités cliniques. Mon opinion n'a pas changé et je n'accepte pas la
théorie
de lI. Crocq. Je ne puis concevoir en effet que t
ÉS SAVANTES. lésion et pourtant la paraplégie était spasmodique. La
théorie
de M. Crocq ne saurait donc expliquer tous les
uméro. Séance du 5 août (soir). Présidence DE M. Chénieux. Sur la
théorie
de l'obsession. M. L. ARNAUD (de Vanves). - On
de Vanves). - On a appliqué à l'obsession l'une et l'autre des deux
théories
principales de l'émotion, la théorie intellectu
ion l'une et l'autre des deux théories principales de l'émotion, la
théorie
intellectuelle et la théorie physiologique. Les
théories principales de l'émotion, la théorie intellectuelle et la
théorie
physiologique. Les deux théories nous paraissen
on, la théorie intellectuelle et la théorie physiologique. Les deux
théories
nous paraissent également insuffisantes pour ex
ssent également insuffisantes pour expliquer cet état mor- bide. La
théorie
intellectuelle néglige presque absolument les s
s, 2' série, t. XII. 22 338 SOCIETES SAVANTES : , Inversement, la
théorie
physiologique ou émotive (Lange, H. James, Ribo
de l'emphysème. Il sort guéri. Il. de i\IUSGIà.1\'E-CLaT. XXI. Une
théorie
relative aux états physiques du système ner- ve
le délire qui cause l'acte, qui fait la stéréotypie. Toute- fois la
théorie
contraire a été soutenue : on a prétendu que le
et que le délire ne venait qu'ensuite pour expliquer l'acte. Cette
théorie
peut suffire dans certains cas pour interpréter
typies. Dans d'autres cas', elle peut se combiner à la pre- mière
théorie
. Mais, d'une part, dans la grande majorité dés
ns indiqué plus haut celle de Brugia et Marzocchi. Quant aux autres
théories
, nous ne ferons que les signaler et les critiqu
Picinino, - ne nous ont pas davantage menés loin sur ce terrain. La
théorie
des fibrilles ne fait pas avancer la question,
ocalisation du réflexe rotulien, M. Laureys se rallie à la nouvelle
théorie
de van Gehuchten, qui fait jouer au noyau rouge
hten, qui fait jouer au noyau rouge le rôle excitateur qui, dans la
théorie
de Bastiau, était attri- bué au cervelet. Cette
ui, dans la théorie de Bastiau, était attri- bué au cervelet. Cette
théorie
lui semble cependant en contradic- tion avec le
résistance plus ou moins grande du sujet, sont un nouvel appoint à
théorie
infectieuse des myélites et éclairent la marche
rs que la cellule reste saine. En résumé, M. Marchand estime que la
théorie
parenchymateuse et la théorie interstitielle pe
En résumé, M. Marchand estime que la théorie parenchymateuse et la
théorie
interstitielle peuvent être soutenues l'une et
r, 120. - en miroir, par : lleige, 266. Education et instruction,
théories
pédagogiques de Herbart,. par 9lauxion, 69.
OTT. Etude histologique du - cancéreux, par Oberthür, 158. Manie.
Théorie
relative à la mélan- colie et à la , par Turner
me sous cutané dans TABLE DES MATIÈRES. 551 la -, par Cowen, 411.
Théorie
relative à la - et à la manie, par Turner, 41
a faciale et la rétro-urbitaire, par Leszinski, 524. Obsession.
Théorie
de l' -, par Arnaud, 337. OEDJ ! ME hystériqu
généralisés aux quatre extrémités. Bien que vivement critiquée, la
théorie
de Babès mérite qu'on s'y arrête ; avec Fumarol
el familiales (1907, Bailliére, Paris), Apert n'admet pas encore la
théorie
de Babès, pour expliquer son syndrome d'acrocé-
varié. Les faits ci-dessus ne confirment pas complètement la simple
théorie
du maïdisme et nous forcent à cher- cher encore
ait en effet (1) que l'on a récemment essayé d'expli- quer, par une
théorie
hypophysaire, les rapports de la diathèse urique
ris, 1901. LE MÉCANISME DES PHÉNOMÈNES HYSTÉRIQUES ESQUISSE D'UNE
THÉORIE
PSYCHO-PHYSIOLOGIQUE DE L'HYSTÉRIE, PAR Alb
morbides. C'est bien là le point le plus dif- ficile de toutes ces
théories
, le point par lequel on juge de leur valeur. Mê
u tableau de cette affection. Enfin je cher- cherai à esquisser une
théorie
qui, loin de méconnaître l'importance des thèse
es résultant de l'étude de l'hystérie et de l'examen des meilleures
théories
la concernant, sont, à mon avis, les suivantes
ait que les troubles hystériques sont très rares après les émotions
THÉORIE
PSYCHO-PHYSIOLOGIQUE DE L'HYSTÉR1E 259 très int
(3 Jeues, 1 principi di psicologia. Trad. Italiana, 1901, Milan. La
théorie
des émo- tions, Alcan, édit. 1903. (4) Fouill
, Congresso della Società Ilaliana di. Neurologia. Firenze, 1914.
THÉORIE
PSYCHO-rilYblOLOGlQUE DE L'HYSTÉRIE `ZG. mécani
es images cénesthésiques. Ma thèse se distinguerait également de la
théorie
de Sollier (4), le seul (1) CLAPAHÈDE (Ed.), Qu
is ils91; Hys<<'«eef sommeil. Archives de Neurologie, 1907.
THÉORIE
PSYCHO-PIIYSIOLOGIQUE 6'#- l'h^STERIE 265 auteu
et du désordre conséquent de cette importante fonction. D'après la
théorie
de Sollier restent tout à fait inexplicables to
modifications les plus profondes de la cénesthésie (Sollier). Ma
théorie
explique parfaitement, à mon avis, une des partic
rs et du cerveau organique, ce qui s'accorde parfai- tement avec la
théorie
cénesthésique que j'ai proposée. On admet, en eff
des troubles vaso-moteurs et sécrétoires dans cette affection. La
théorie
cénesthésique que j'ai décrite éclaircit égalemen
s, Alcan, édit. 1905. (3) DA1.LONP1ES, Revue philosophique, 1905.
THÉORIE
PSYCHO -PHYSIOLOGIQUE DE L'HYSTÉRIE 267 a pas u
de Neurologie, Paris, 1906. (3) DUPRÉ et LOGRE, Encéphale, 191l.
THÉORIE
PSYCHO-PHYSIOLOGIQUE DE L'HYSTÉRIE 269 t La t
hale, 191l. THÉORIE PSYCHO-PHYSIOLOGIQUE DE L'HYSTÉRIE 269 t La
théorie
cénesthésique éclaircit enfin l'importance des al
'hys- térie ne pourraient certes pas trouver d'explication dans une
théorie
purement psychologique de celle affection, tand
celle affection, tandis qu'ils s'éclaircissent parfaitement par ma
théorie
cénesthésique. La cénesthésie représente pré- c
asomotor conditions. H. Gleischer, Lon- don, Anjou Médical, 1909.
THÉORIE
PSYCHO-PHYSIOLOGIQUE DE L'HYSTÉRIE 2Î1 1 même e
s à se répéter indépendamment de celles-ci. C'est également par une
théorie
cénesthésique qu'on peut expliquer les rapports
cités entre les lésions organiques et l'hystérie, rapports que les
théories
purement psychologiques de cette affection ne s
chologiques de cette affection ne sauraient nullement expliquer. La
théorie
cénesthésique que j'ai décrite nous donne enfin l
Psycho-andlyse, 1913. Scientia. 272 SALMON contradiction avec les
théories
principales qui ont été avancées dans l'étude d
ffection, mais qu'elle éclaircit les points les plus obscurs de ces
théories
, les rendant ainsi plus acceptables. C'est pour c
x rouges, soit dans les couches optiques, a per- mis de formuler la
théorie
, maintenant en vigueur, que la présence des sec
involontaires. Plus récemment von Niessl Vlayendorf élargi cette
théorie
en acceptant t que la lésion de certaines parti
opinions. S'il est vrai que l'anatomie nous défend de retourner aux
théories
de Magendie et de Schiff, quelques observations
, aurions-nous dû alors songer à une intervention chirurgicale ? En
théorie
c'est possible. Mais en pratique, Ù la pensée d
e, le syndrome adiposo-génilal. Plus récemment, .\sclmer reprend la
théorie
de Erdheim admettant un centre Irophillue il la b
te en même temps et sous une autre forme aux membres inférieurs, la
théorie
mécanique devient très problématique, bien que
raumatique deviendrait alors presque négligeable et pour appuyer la
théorie
nous ne le supprimerions que mieux. En réalité,
une action compressive due à l'amnios ou à une bride amniotique. La
théorie
qui consiste à considérer la disparition du péron
montré tous les faits et toutes les raisons qui contredisent cette
théorie
. La théorie amniotique vaut-elle mieux ' ? Elle
es faits et toutes les raisons qui contredisent cette théorie. La
théorie
amniotique vaut-elle mieux ' ? Elle repose sur l'
rêt de développement de l'amnios serait un phénomène fré- quent. La
théorie
est alors la suivante : la compression de la jamb
ouve aussi dans le métabolisme normal. Et, comme Kraïnsky a émis la
théorie
que l'épilepsie consisterait dans un empoisonne
nement pas insuffisance du foie, ce qui, par conséquent, détruit la
théorie
de Kraïnsky. Cette dernière était, d'ailleurs,
EN carbamates, il pensait que cela donnait une base suffisante à sa
théorie
. Pourtant les carbamates sont transformés par l
tes chez des malades souffrant d'épilepsie céré- brale ; quant à sa
théorie
qui en découle, c'est-à-dire le trouble dans la
ous forme .d'une action complètement suppléante. En faveur de cette
théorie
on peut citer (Biedl) : 1" le résultat favorabl
Hystérie (Le mécanisme des phénomènes hystériques. Esquisse d'une
théorie
psy- cho-physiologique de l' -), par SALMON,
orence). Leméca- nisme des phénomènes hystéreques. Esquisse d'une
théorie
psycho-physiolo- gique de l'hystérie, 251. So
at convulsif par un autre état convulsif tout différent ? : ' Les
théories
de physiologie pathologique du tétanos ont été
Ce n'est pas le lieu de faire une revue critique des différentes
théories
qui ont successivement prédominé. Disons seulemen
ne pas être atteint. Gowers a, parmi d'autres, fort bien défendu la
théorie
de l'origine cérébrale dé l'épilepsie. Il compa
les douleurs dans la moitié des cas. P. K. XII. Contribution A la
théorie
DE la nature infectieuse DES névroses; par B. H
individus conservés comme témoins. ' P. K. XVI. Contribution A la
théorie
DE l'hypnotisme et DE L'HYbTÉROE; par H. KUItEL
buer une origine centrale, plutôt que périphérique, et que les deux
théories
actuellement les plus en faveur sont la théorie
et que les deux théories actuellement les plus en faveur sont la
théorie
vasculaire et la'théorie moléculaire. Suivant la
ulsive, militent fortement en faveur de cette opinion. La seconde
théorie
, que l'auteur nomme théorie moléculaire, et qui e
en faveur de cette opinion. La seconde théorie, que l'auteur nomme
théorie
moléculaire, et qui est peut-être plus générale
méthode bien plus sûre des minima. P. K. XXIV. CONTRIBUTION A la
théorie
DE l'étiologie DU TIC CONVULSIF; par 0. Buss. (
des cas également démonstratifs (et absolument cuufirmatif's de la
théorie
de Ferrier) ont déjà été publiés, l'auteur se d
jJ¡,ychiat" XLIV, 2-3.) En même temps qu'il procède à une revue des
théories
et des observations publiées, M. Euphrat décrit
nique des populations de crétins. Que ri a-t-on pas écrit sur la
théorie
de la phthisie pulmonaire ? Que deviennent ces di
ce genre ressort issent à la psychologie, et qu'en conséquence, une
théorie
essentiellement psychologique sera seule capabl
lement psychologique sera seule capable de les interpré- ter. Celle
théorie
serait la suivante : à l'état normal d'harmonie
éritable annexion psychologique, en n'hésitant pas à nous offrir sa
théorie
de la désagrégation, pour nous rendre compte de
héréditaire ou acquise, et à ce propos, il rejette complètement la
théorie
infectieuse de l'épilepsie proposée par 1V1\I.
ur la responsabilité légale des aliénés dans laquelle il rejette la
théorie
de la responsabilité partielle; une autre sur les
paralysie des membres inférieurs consécutive à l'accouchement. La
théorie
de M. Dorion' est -peut-être plus ingé- nieuse
e et la pathogénie ne semblent rien pré- senter de particulier. Les
théories
mises en avant pour interpréter les cas traumat
ification des parties nourries par les vaisseaux dilatés. Une autre
théorie
expliquerait le ramollisse- ment par un process
e aujour- Archives, t. XX. 15 226 CLINIQUE NERVEUSE. d'hui à la
théorie
périphérique de la paralysie satur- nine : peut
ALYSIES CAUSÉES PAR LA VAPEUR DE CHARBON. 227 invoquée contre cette
théorie
: ne voit-on pas assez souvent la paralysie sat
servation. Détail des expériences bien connues de la Salpêtrière.
Théorie
. - L'état de veille ordinaire se coinpose d'une c
RAVAL. 246 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. · LUI. Contribution A la
théorie
DES ZONES épileptogènes ; par E. A. HontÉN. (Ce
offre beau- coup de matériaux ». Mais que M. Kandinsky publie « sa
théorie
et ses études sur les hallucinations (vraies) s
AIT ENGENDRÉE PAR LE CHLOROFORME APPLI- QUÉ par VOIE CATAPIIORIQUE (
théorie
d' Adamkiewicz) ; par H. PASCH- Ris et J. WAGNE
tissus par pénétration moléculaire (cataphorèse). P. K. LA vraie
théorie
DE l'induction ; par le Rev. W. G. D.1VIES. (Th
au traumatisme, au tabagisme et à la suralimentation; -2° dans la
théorie
de la paralysie générale par intoxication, l'ordr
noble, et plus tard nuisible par excès de développement ; 3° notre
théorie
explique le mécanisme de la curabilité et de la
Séglas répond qu'il n'a fait que constater des faits sans donner de
théorie
: - Un des malades observés, ayant une résis- t
s que pour lui il est très partisan, dans la doctrine spirite, dela
théorie
des réincarnations, et c'est ainsi qu'il attribue
es. Je me propose dans ces lectures d'esquisser l'évo- lution de la
théorie
des localisations cérébrales, d'indiquer les pr
tre, ce qui a été regardé, à juste titre, par les adversaires de la
théorie
comme détruisant d'un coup les principes fondam
unie, réside essentiellement dans le même organe. » . Quoique les
théories
de Flourens aient rencontré une appro- bation g
nuellement des faits qui semblaient inintelligibles en dehors de la
théorie
de la localisation ; et les observateurs cliniq
des lobes antérieurs et la perte de la parole confirmant ainsi les
théories
de Gall sur le sujet, Dax (1836) établit la rel
érimentation physiologique. Ensuite un grand pas a été fait dans la
théorie
des localisations par Hughlinges Jackson (1861)
t. C'est sur ces données et d'autres semblables qu'Exner a fondé sa
théorie
des centres absolus et relatifs ; les centres a
les autres tissus animaux, comme une insurmontable objection à la
théorie
qui veut que les résultats de l'application des é
tomotique et non excep- tionnellement comme le prétend Duret. Cette
théorie
fait perdre aux territoires artériels une grand
de la lumière, l'une des deux seule réagit. M. Heddoeus présente sa
théorie
et son schéma, M. Moebius également. Une discus
mpose d'une introduction et des ex- périences propres à éclairer la
théorie
médullaire de la convul- sion épileptique : un
Le contre-expert, en la personne du Dl' Carlier, se basant sur les
théories
de l'Ecole de Nancy, rejetait les preuves tirées
. Hyperiotrose unilatérale, par Fried- lauder, 242. Hypnotisme,
théorie
de l' - et de l'hystérie, par Kurella, 74 : in-
, Orchansky, 429. Incendie dans les asiles, 455. Induction, vraie
théorie
de 1' , par Davies, 262. Infirmerie (des) et
thige), en '18022. Cette dénomination particulière appuyée d'une
théorie
spéciale suscite des communications de MAI. SEL
est sur l'état de l'humeur que '\VERNICIOE appuie principalement sa
théorie
, sinon nouvelle, au moins ingénieusement repris
tue l'hypertrophie du caractère normal. Que vaut dans l'espèce la
théorie
de 'WERNICIOE, sur le rap- port entre l'idée et
e de cette Archives, 21 série, t. VIII. 2 lao CLINIQUE mentale.
théorie
du trouble affectif inhérent au souvenir, ce crit
l'histoire et la clinique, on verra qu'ils viennent à l'appui de la
théorie
générale et se rattachent à l'une des phases th
nce et dédaignant les opinions courantes, ils font eux-mêmes leur
théorie
; mais ils n'inventent rien, et, croyant s'affranc
t en effet curieux de retrouver les hypothèses des aliénés dans les
théories
abandonnées qui eurent cours en science et en r
héories abandonnées qui eurent cours en science et en religions. La
théorie
du physiologiste V. llelmont sur l'archée épiga
intellectuels de la folie, P. Dclahayr, 1867. Calmeil. De la folie (
théories
), t. 11, p. 115. MYSTICISME ET FOLIE. 37, Ce
est resté plus discuté dans son existence et plus difficile dans sa
théorie
que le chapitre du cordon latéral et de ses rap
DENCE DE M. J. Voisin. L'hérédité dans les familles d'aliénés et la
théorie
générale de l'hérédité. M. Sollier donne lect
ésentent le plus grand intérêt. Quant à l'autre partie, c'est de la
théorie
et de l'hypothèse, et bien que les considératio
question ; nous n'avons pas en effet l'intention de revenir sur les
théories
émises à propos de la folie sympathique. Le ter
ue. - Sommaire du numéro de mai 1S99 (2\,e année). F. LE Dnwcc : La
théorie
biochimique de l'hérédité. - GOI3LOT : Fonc- ti
Ibero-Americcoaa de cène. med., Marzo, 1S09. Madrid, 1899.) Deux
théories
contraires dominent les conceptions actuelles de
, comme dans l'épilepsie essentielle. Ici nous sommes en face de la
théorie
d'in- toxication et d'autointoxication, qui sou
lité manquent souvent en réalité, il ne faudrait en conclure que la
théorie
a tort, car nous savons avec quelle facilité s'
-à-dire du six° siècle quis'éteint. Il rend hommage avant tout à la
théorie
de l'évolution, qui se retrouve à la base de to
re-t-on par endroits un manque de précision scientifique. Certaines
théories
sont exposées sans discussion ; certaines opini
éveloppement de l'ovule, qui est aussi d'origine épithéliale. Cette
théorie
ne rend pas compte des causes intimes du phé- n
, les poumons, l'intestin, l'estomac. On pourrait alors admettre la
théorie
de Yllüâer : « l'écoulement menstruel est un ré
s des règles : ovulation et hémorragie et viendrait à l'appui de la
théorie
de Beigel. L'ovulation aurait toujours lieu ; l
t exagération du réflexe contraire de la vaso-constriction. Cette
théorie
permet de donner une explication à notre cas ;
nt eux-mêmes dus à un arrêt de déve- loppement, au moins d'après la
théorie
généralement admise. Faut-il regarder le dévelo
avancé de la dégénérescence psychique : d'où la relation que cette
théorie
établit entre les deux lésions. Il est alors né
mittente ont été observés et étudiés pour qu'on puisse en tirer une
théorie
. (The Amel'ican journal of izzsunlly, avril 189
générale. Enfin depuis quelques années s'est produite une dernière
théorie
éclectique d'après laquelle la syphilis peut co
des hallucinations dans la paralysie générale, M. Truelle adopte la
théorie
de M. Magnan qui les explique par la dégénérescen
vraie ou organique. Le travail commence par une mise au point des
théories
patho- géniques du syndrome de Little; elles pe
atho- géniques du syndrome de Little; elles peuvent se grouper en
théories
dualistes et en théories unicistes. Les dualistes
ome de Little; elles peuvent se grouper en théories dualistes et en
théories
unicistes. Les dualistes (Seehg- müller, Forste
a pas une lésion unique, ainsi que l'exi- gent les partisans de la
théorie
dualiste. Dans la deuxième partie de sa thèse,
s exposés plus haut, les fait servir à la discussion des nombreuses
théories
pathogéniques de la contracture organique. Nous
ment, avoue ses hésita- tions, tout en donnant ses préférences à la
théorie
d'Hitzig, modifiée par von Monakow. Ainsi, tr
oir rejeter absolument la part de vérité que ren- ferme chacune des
théories
précédentes, nous voulons pro- poser l'hypothès
erk et Barth, etc. S'appuyant sur ces résultats complexes, diverses
théories
virent successivement le jour sur la pathogénie
cellules granuleuses au moyen des boutons terminaux typiques. La
théorie
du contact de Hamon y Cajal et Kelliker ne parait
amon y Cajal et Kelliker ne parait pas devoir être remplacée par la
théorie
de l'adhérence de Held. Car nulle part, on n'ob
la persistance de la discontinuité anatomique ? Nous ne savons. La
théorie
du treillis élémentaire formé par les fibrilles p
uel nous aurons à revenir, une grave objection peut être faite à sa
théorie
. Nous même avons pu maintes fois constater chez
ait de plus justement observer, et ceci est un argu- ment contre la
théorie
de Cherchewski que la notion de position ne sau
e centrale du sens musculaire n'est plus guère ad- mise en tant que
théorie
exclusive. Wundt lui-même en qui elle se person
ctère volon- taire. Et il montre comment on peut concilier les deux
théories
. « Dans la pratique, dit-il, cette idée de mouv
pour lequel Johannès Muller et Wundt avaient cru devoir forger une
théorie
spéciale. » Les sensations fournies par les org
trouve pour Claparède une autre explication en conformité avec la
théorie
de l'origine périphérique du sens musculaire. Ell
ur association avec d'autres éléments sensoriels ou mnésiques. La
théorie
de Claparède est donc une théorie simpliste, su
ments sensoriels ou mnésiques. La théorie de Claparède est donc une
théorie
simpliste, surtout si l'on tient compte de ce f
ne légale. (Annules médico-psychologiques, août 1899.) E. B. LUI.
Théorie
cérébrale de la respiration de Cheyne-Stockes;
s moteurs de la respiration, tend à se substituer aujour- d'hui une
théorie
qui attribue à ce phénomène une origine céré- b
qui attribue à ce phénomène une origine céré- brale. D'après celte
théorie
, qu'admettent de nombreux auteurs, en particuli
ettement accusés de la perte de l'influx nerveux encéphalique. La
théorie
cérébrale de la respiration de Cheyne-Stockes se
M. Paul Londe. Sur les troubles moteurs du goitre exophtalmique.
Théorie
de l'hypotonie. Chez les Basedowiens, les phénomè
ou- mettra aux lois. M. Thulié ne s'est pas contenté d'exposer sa
théorie
, il réfute chemin faisant les objections. Il s'at
les procédés qui ne s'attaquent qu'aux muscles en se basant sur la
théorie
qui incri- mine dans la scoliose des lésions mu
tème nerveux central. Structure et fonctions. Histoire critique des
théories
cl des doctrines. 2 volumes in-11 reliés formant
? par Bouet,57. Hérédité. L' - dans les familles d'aliénés et la
théorie
générale de l'hérédité, par Sollier, '57. Hyg
les psychiques par Charon, 433. Respiration de Cheane- Stockes.
Théorie
cérébrale de la -, par ISahé, 4S` ? . - pendant
plia pas aux idées reçues, mais lutta avec l'école de Nancy contre la
théorie
des trois états de l'hypnotisme : catalepsie, lét
sacrer une de ses séances tout entière (celle du 19 mai 1868} à cette
théorie
aussi bizarre que nouvelle, mais ce fut pour ente
toutes les diversités grâce aux découvertes de Cajal qui ont amené la
théorie
du neurone. La cellule nerveuse ne se continue pa
ndividu à l'autre et chez le même individu, suivant les époques. La
théorie
des neurones nous permet ainsi d'instituer de nou
i m'ont été communiquées par des confrères et venant à, l'appui de ma
théorie
, à savoir : que si un grand nombre de phobies se
qu'il n'y a rien de vrai, puisqu'on ne peut les expliquer d'après les
théories
de la science officielle et qu'on ne peut, en sui
bien faire remarquer que je ne veux en aucune façon émet- tre une
théorie
sur la cause qui provoque ces phénomènes et la ma
n est-il plus compliqué et plus obscur qu'il ne le parait d'après les
théories
de cette école,et faut-il faire une part, au moin
sensations de lumière et de fatigue ; in-8°, 115 p. Bruxelles 1873. —
Théorie
générale de la sensibilité, in-8°, 107 p. Bruxell
herches ultérieures des mathématiciens n'ont fait que confirmer cette
théorie
ingénieuse et profonde qui était, pour l'époque o
ubliée, en 1877, sous ce titre : Une loi mathématique applicable à la
théorie
du transformisme4. L'auteur cherche à prouver par
conscience ont une certitude supérieure à celles que peut donner une
théorie
scientifique des phénomènes de l'univers, si bien
et les rêves, considérés principalement dans leurs rapports avec les
théories
de la certitude et de la mémoire3. Il s'y est lon
gain ni perte 4. Ni au point de vue logique, ni au point de vue de la
théorie
, le mouvement ne peut être indestructible. D'abor
à une troisième, ainsi de suite. La preuve de la justesse de cette
théorie
nous est fournie par la remarque suivante : Les a
on œuvre, et je m'étonne que M. Bérillon ne l'ait pas compris. « La
théorie
du bloc ne convient guère aux intelligences. Dans
vait adoré la veille, et, quand il croit avoir reconnu l'erreur d'une
théorie
scientifique, de s'en faire aussitôt l'adversaire
exercer dans le mal ou ce qu'elle considère comme tel ? La première
théorie
est celle du a laisser faire, laisser passer ». E
nde est celle de l'intervention de l'Etat. Spencer, pour appuyer sa
théorie
, se basait uniquement sur le transformisme et la
a vie et les biens des citoyens. Sans doute, en bien des cas, cette
théorie
est avantageuse. L'Etat ne doit pas substituer so
ent à sa plus ancienne publication ; ensuite, de donner un aperçu des
théories
contenues seulement dans Neurologie, etc..., et,
yait à l'origine physique du phénomène hypnotique et en référait à la
théorie
par laquelle il essayait d'expliquer certains cha
s autres centres nerveux. « Mais, dit-il, en supposant même que mes
théories
ne donnent pas l'explication entière du phénomène
n complètement oubliées, n'ont pas exercé d'influence pratique sur la
théorie
mesmé-rienne, et Braid les ignorait évidemment lo
enues dans son temps. Braid montra plus tard que la similitude de ses
théories
et celles de Faria était plus apparente que réell
que chose de tout à fait indépendant du corps. » En opposition à la
théorie
qui rapprochait l'état d'hypnotisme de l'état de
'hypnose paraissent lui avoir suggéré les premières altérations de sa
théorie
et semblent avoir ébranlé sa foi dans l'explicati
, démontre qu'à cette époque, Bernheim ignorait encore absolument les
théories
avancées de Braid : — a. Braid, dit-il, faisait u
grand investigateur des phénomènes qui ont affranchi l'hypnotisme.
Théorie
Générale Nous avons vu qu'au commencement de «
rance de ce qu'on attendait de lui. Enfin, dans d'autres ouvrages, la
théorie
physique est entièrement abandonnée en faveur d'u
rages, la théorie physique est entièrement abandonnée en faveur d'une
théorie
purement psychique. C'est alors que Braid, après
ne peut être plus approprié que celui de Psycho-Physiologie. » Cette
théorie
fut, pour la première fois, publiée par Braid, en
pnose. Et Braid déclarait qu'il s'était déjà efforcé de prouver cette
théorie
plus de cinq ans auparavant. En réplique à un é
ique à un écrivain qui avait adopté une forme modifiée de l'objective
théorie
des phénomènes hypnotiques, Braid dit : — « Si M.
m voulait seulement condescendre à considérer la simplicité de la
théorie
subjective que j'ai osé exposer, je pense qu'il c
loquence verbale ou écrite. Or, cela prouverait nécessairement que la
théorie
magnétique est vraie. Mais, je crois, au contrair
vaste étude pourrait présenter de trop abstrait, laissant de côté les
théories
un peu osées bien que très séduisantes de l'auteu
a nature subjective des phénomènes et Esdaile lui-même partageait les
théories
erronées des mesméristes. Ceci eut peu d'influenc
ent, à la tête d'un hôpital de Calcutta, pour y mettre en pratique sa
théorie
mesmérique. A partir de cette date jusqu'en 1851,
rsque l'influence de l'hypnotisme est suspendue. A l'appui de cette
théorie
, Braid appelle l'attention sur les cures obtenues
ment d'une sensation. Le cerveau est un lieu de passage. Toutes ces
théories
, condensées, composent une première partie de l'o
suite) SUGGESTION, PASSES, ETC. A mesure que Braid abandonnait sa
théorie
physique, comme il avait abandonné sa méthode méc
uel volume nous auraient entraîné de grands détails de pratique et de
théorie
. Outre qu'un pareil travail serait déplacé et tou
à l'esprit, est cependant le plus attaquable à toute époque; car, en
théorie
, il s'appuie sur ce qu'on connaît le moins; et, e
sous les noms d'absorption et d'exhalation; mais ils ont pris dans la
théorie
de M. Dutrochet, une signification plus étendue e
qui les mettent en jeu. Toutefois, cet habile physiologiste, dans sa
théorie
, paraissait restreindre ce fait aux corps organis
aux corps poreux, c'est-à-dire^ par limbibition, ce qui généralise la
théorie
, sans toucher néa 11 moins à l'importance de ses
nces en action, d'une part les tissus, et de l'autre les liquides. En
théorie
, et 1 expérience le confirme pleinement, l'endosm
ience plus générale, qui montre les lacunes ou les inconséquences des
théories
reçues, et en nécessite la révision. Les sciences
époques critiques, si gênantes pour l'enseignement, où les anciennes
théories
, croulant de toutes parts, sans qu'il y en ait en
ont plus entre eux de langage qui leur soit commun. En pathologie, la
théorie
phlogistique n'est réellement plus soutenable, et
upent d'autres qui ne tarderont pas à donner naissance à une nouvelle
théorie
: toutefois, cette théorie n'existe pas encore. H
ront pas à donner naissance à une nouvelle théorie : toutefois, cette
théorie
n'existe pas encore. Heureusement que, dans lesuj
isposition, que l'on observe partout sur les os des membres, donne la
théorie
des foyers dans les abcès profonds où le pus, en
'ils ont à supporter : c'est ce point de vue dynamique, renfermant la
théorie
étiologique d'un grand nombre de maladies, qui co
avail morbide dont elles sont les produits. Ainsi, on conçoit déjà en
théorie
, que les substances très perméables, les gaz et l
ou d'une fraction des membres. A l'appui de cette assertion, vient la
théorie
des abcès froids et par congestion. Pour le sang,
adhérences fibreuses sous la pression continue des viscères. De cette
théorie
il résulte que, dans la hernie crurale, l'intesti
nsidérable, tend à s'organiser en un canal mu-queux accidentel. Cette
théorie
étant exposée, toute perforation du tube alimenta
ubis, et continu avec les enveloppes du cordon, on l'a considéré , en
théorie
, comme un prolongement du fascia superficialis re
luleuse. Enveloppe spéciale du cordon et du testicule, ce n'est qu'en
théorie
qu'on a pu la considérer comme un prolongement du
en arrière l'articulation fémoro-tibiale, elle s'isole néanmoins, en
théorie
, de la région du genou, la partie antérieure, vu
ur-tout par des émissions sanguines. Pourtant, ainsi restreinte, la
théorie
n'en persiste pas moins, et nous ne doutons pas q
néanmoins d'être futiles, car elles sont le seul fondement vrai d'une
théorie
dont l'importance est suffisamment prouvée par le
ses sur leur trajet. Nous ne faisons qu'indiquer, comme complément de
théorie
, ces modifications principales, renvoyant, pour l
gréable du froid de l'acier. Au reste, ces précautions, prescrites en
théorie
et bonnes en elles-mêmes, sont néanmoins peu usit
tranchant. Ce serait en vain que l'homme le plus instruit du reste en
théorie
chirurgicale voudrait exécuter l'opération la plu
t bien préférable à la ligature simple. 2° Striction incessante. En
théorie
, elle a pour objet d'établir une striction perman
ans laquelle le carbone mis à nu prédomine sur les autres élémens. En
théorie
, la décomposition de la substance animale est pro
ression, comme clans l'emploi de toute force physique, on retrouve la
théorie
du levier : une puissance qui agit par pression,
te manière que figurent, chacun pour sa part, les trois élémens de la
théorie
: tels sont tous les genres de compression médiat
ans les fractures et les luxations, le manuel opératoire reproduit ia
théorie
du levier; la puissance ou l'extension opérée par
mettant la circulation veineuse en retour. Du reste , c'est plutôt en
théorie
que l'on peut se proposer d'obtenir ces effets; e
sujet de nombreuses discussions. Ici, comme dans un grand nombre de
théories
, se fait remarquer Tabas des opinions exclusives.
soin et vigilance pendant tout le cours de l'opération. D'après la
théorie
que nous avons donnée plus haut, toute artère , p
permettre impunément de couper et d'enlever le lien. Le but de cette
théorie
serait d'obtenir une guérison plus rapide, rien n
l en résulte d'hé-morrhagie ultérieure. Froissement et mâchure. lia
théorie
cpii précède prouve suffisamment que toute lésion
et amenait l'oblitération par le même mécanisme. C'est d'après cette
théorie
que M. Amussat et des chirurgiens de nos jours op
s divers procédés de lésion des tuniques artérielles, empruntés de la
théorie
de l'arrachement, la torsion, entre les mains d'u
sault a pour objet de remédier à la courbure de l'ongle, considéré en
théorie
comme cause première. Procédé de Desault. Muni
s douleurs, et a exigé trois mois pour la guérison. C'est à la même
théorie
que se rapportent la lame de plomb employée par M
sujette, dit-on, à se carier avec cette précaution. Toutefois, cette
théorie
ne nous paraît pas très fondée, et nous ne voyons
r immédiatement les réactions les plus graves. D. Cautérisation. En
théorie
, la cautérisation sur les dents a les mêmes effet
r une compression graduée. L'expérience ne semble pas confirmer cette
théorie
; déjà la dissection des bords est en elle-même un
de M. Grœfe est une application fort louable mais toute simple de la
théorie
régnante et des procédés usités à notre époque, e
logique, les brides les plus nombreuses et les plus fortes. Ainsi, en
théorie
, on voit donc que les brides et adhérences anorma
à naissance, ou au moins chez de très jeunes enfans, c'est-à-dire, en
théorie
, lorsque, l'ossification n'étant pas encore termi
tiquées déjà avec toutes les précautions convenables, justifiables en
théorie
et suivies de quelques succès, ces opérations néa
complet. 20 Ventouse à pompe. (Pl. 27, fig. 4-) Elle produit, en
théorie
, les mêmes effets thérapeutiques que la cloche si
ances variées : ce sont les grandes ventouses qui portent son nom. La
théorie
et les appareils de M. Junod , soumis publiquemen
mode d'action. Pression locale sur les membres : 10 par le vide. En
théorie
on sait que si on soutire une portion de l'air
ltéré ni clans sa quantité ni dans sa composition chimique. Ainsi, en
théorie
, la grande ventouse doit avoir tous les avantages
r des chirurgiens impatiens de mettre à profit cette belle et féconde
théorie
, on sait les énergiques débats qu'elle a soulevés
s les moyens cura tifs dont on s'est servi par empirisme avant que la
théorie
eût enseigné les conditions que l'on avait à remp
nemens antérieurs ; car la manière, déjà si savante en pratique et en
théorie
, dont il procède dans la cure des anévrismes nous
possible de lier entre elle et le cœur. Enfin, mieux précisée dans la
théorie
et la pratique, la ligature, depuis /\o ans, par
de M. Zavi-ziano, cité par M. Velpeau, aucun n'aurait guéri. Enfin la
théorie
, qui à toute époque domine les faits et détermine
e les faits et détermine le degré de confiance que l'on y accorde, la
théorie
actuellement en vigueur est peu favorable à la mé
ture, la torsion, le rebroussement, les mâchures et l'acupuncture. En
théorie
l'exposé de ces moyens est assez simple, mais en
MM. Viricel et Larrey. Oblitération brusque. Scarpa avait posé en
théorie
que pour oblitérer une artère il suffit de provoq
t répétées à Milan sur des chevaux par M. Mislei, avaient confirmé sa
théorie
, qui, adoptée par les chirurgiens d'Italie ses él
être adoptée par les chirurgiens français. Voici donc deux grandes
théories
en présence; voyons en les procédés et les résult
d'adhésion par épanchement de lymphe concrescible, conformément à sa
théorie
, pratiqua la section des tuuiques interne et moye
até que jamais l'artère n'a été oblitérée. M. Travers a modifié cette
théorie
en laissant quelque temps la ligature à demeure.
Dalrymple, Guthrie, Roux, Larrcy, Taxil, tendraient à confirmer cette
théorie
. D'un autre côté ses adversaires, et à leur tète
a peau. Pour ceux à paroi celluleuse, ils peuvent être considérés, en
théorie
, comme des abcès froids et réclament le même trai
fournissent des vaisseaux. Cependant cette méthode, si judicieuse en
théorie
, manque complètement son effet à la pratique. Ce
. Quelle que soit la nature de ces concrétions, et quelle que soit la
théorie
qu'on admette pour expliquer leur formation, il s
ne manière formelle la question des ruptures d'an-kyloses, puisque la
théorie
et quelques faits permettent de comprendre la pos
fut sans succès à cause de l'indocilité du malade. Appréciation. En
théorie
, tous les moyens dirigés contre les fractures non
lusieurs procédés opératoires. Sans entrer ici dans les différentes
théories
de sa formation, il nous importe de savoir que le
igature des vaisseaux. Dans le même temps, Héliodore expose toute une
théorie
des amputations, combat l'incision des parties mo
à l'amputation, telle que la pratiquaient Avicenne et Albucasis. La
théorie
des amputations en était là quand notre Am-broise
périeur. Toutes ces raisons ont été démontrées illusoires soit par la
théorie
, soit par l'expérience; aussi les meilleurs chiru
e c'est à propos de cette amputation que les auteurs ont exposé leurs
théories
et donné leurs préceptes ; et en second lieu, cpi
le chirurgien est libre de choisir le mode opératoire. Gela étant, en
théorie
la méthode la meilleure est celle qui fournirait
uent partout sans distinction de tissus. Page 68—100. Sections et
théorie
microscopique des instrumens qui y servent, 68, 6
sente en position sur le sujet vivant ; les fig. 2 et 3 en donnent la
théorie
et les détails. DÉTAILS DU COMPRESSEUR DE LA CA
ne le Dr Bertrand, rejettent l’in- PHILOSOPHIE MÉDICO-MAGNÉTlOOE.
THÉORIES
(i). CHAPITRE III. De la Médecine magnétique.
mer présente, sans aucun doute, d’excellentes raisons pour appuyer sa
théorie
; mais il s’égare assurément, lorsqu’il confond l
ndront presque toujours impressionnables à l’action du fluide. « La
théorie
la plus simple des fluides, et la plus digne de l
qu’il prend et de l’activité de mouvement qui le constitue. » Cette
théorie
, fort séduisante pour l’imagination * sera peut-ê
fluide magnétique, encore inconnu dans son essence ? On a inventé une
théorie
pour expliquer les mouvements célestes, n’avons-n
explication des effets de la pesanteur, et ils se révoltent contre la
théorie
du fluide magnétique, qui suffit pour donner une
es en 13 jours au lieu de 3 mois. Le Gérant ? HÉBERT (de Garnay).
THÉORIES
. PHILOSOPHIE MÉDICO-MAGNÉTIQUE. CHAPITRE III.
dit Deleuze, j’envoie par ma volonté, de (1) Opéra. (2) Nouvelle
théorie
médic. (3) De la Médecine magnélique. (i) De
enta à l’Académie des sciences, dans la séance du 29 avril i844 » une
théorie
très-ingénieuse sur l’appareil électrique de la t
le à la pile galvanique. Si cette disposition pouvait se prêter à une
théorie
, ce serait, dit l’auteur, à celle des courants ,
si que nons l’avons déjà constaté. Le Gérant : HÉBERT (de Camay).
THÉORIES
. FHIZ.OSOPHIX MÉDIOO-IWAONfTIÇUE. CHAPITRE II
et (1) Analogies de FÉlectricité, t. II, p. 417. (2) Essai sur la
Théorie
du Somnambnli9me, p. 56. (3) De l’eînploi du Ma
raité de Philosophie psycho-physiologique, p. 254. (2) Essai sur la
Théorie
du Somnambulisme, p. 54. (3) Ouvrage cité, p. 4
publié q Francfort, en 1769, son livre de Magneticâ MedidM, dont les
théories
renferment réellement le sens que nous attachons
stence personnelle et de réalité à ce qui n’avait été d’abord que des
théories
, des abstractions, de simples conceptions de son
ies, des abstractions, de simples conceptions de son esprit. Et cette
théorie
s’accorde avec tous les faits connus. » Cette app
i.r EUGÉNIE FOA , née Rodrigubz. Le Gérant : HÉBERT (de Camay).
THÉORIES
. PHILOSOPHIE MÉDICO-MAGNÉTIQUE. De la Médecin
âd lieu de faire des démonstrations, il s’est égaré dans le vague des
théories
. Le seul trait remarquable de cet enseignement a
recevons du ür Ordinaire l'intéressante Trom^ municalion qui suit.
Théorie
de l'aptitude poétique. Le troisième cas de phi
onw-triques de quelques somnambules, je dois exposer succinctement la
théorie
psychologique de ma cri-siaque : Les bêtes comm
st aussi partisan du magnétisme. Le Gérant .- HÉBERT (de Garnay).
THÉORIES
. PHILOSOPHIE MÉDICO-MAGNÉTIQUE. CHAPITRE III.
terai pas à discuter la valeur de ce raisonnement, ou plutôt de cette
théorie
. Je ne doute pas de f action de l'âme sur l'âme e
i nous occupe. Noire lâche ne nous obligeant pas à présenter ici la
théorie
de ce phénomène prodigieux, nous nous contenteron
nétiseur à New Yorck, s’était fait inscrire pour exposer une nouvelle
théorie
du magnétisme; mais, son tour venu, il renonça à
venons de citer mérite réflexion. Le Gérant : HUBERT (de Garnay).
THÉORIES
. PHILOSOPHIE MÉDICO-MAGNÉTIQUE. De la Médecin
notions que les anciens ont eues du magnétisme, comme agent et comme
théorie
; mais ces travaux-là ne servent qu’aux hommes con
point, récuser leur jugement, lorsqu’ils ne l’établissent que sur des
théories
en opposition avec des faits bien constatés Cot
incidents de l’affaire Mongruel. Le Gérant : HÉBERT (de Garnay).
THÉORIES
. PHILOSOPHIE MÉDICO-MAGNÉTIQUE. CHAPITRE III.
nt les phénomènes publics ont fait plus de convictions que toutes nos
théories
ensemble? Non , vous ne pouvez, sans manquer à vo
ites et les plus élevées; rien d’incertain, rien d’incomplet -dans la
théorie
; l’esprit, en quelque sorte toujours appuyé sur l
les sciences naturelles, c’est voir, toucher, percevoir, sentir; les
théories
ne sont que des collections de faits rapprochés,
ce qui est ne soit pas ; si un fait nouveau nous étonne, dérange nos
théories
, cela prouve que ces théories sont incomplètes, p
n fait nouveau nous étonne, dérange nos théories, cela prouve que ces
théories
sont incomplètes, peut-être même erronées; si ell
rendre le fait qui nous frappe, parlons de là, tâchons de dresser une
théorie
nouvelle, dont le fait réfractaire sera le point
dans les sciences naturelles ; et il est bien souvent arrivé que des
théories
magnifiques, et même des sciences entières, n’ont
de la superstition et de la fourberie un vrai corps de doctrine, une
théorie
scientifique ; on n’ira plus chez les somnambules
s dépasse toutes les prévisions. Le Gcrani : I1ÉBERT (de Garnay).
THÉORIES
. PHILOSOPHIE MÉDICO-MAGNÉTIQUE. CHAPITRE III.
le voile qui nous dérobait encore tous les avantages pratiques de la
théorie
du magnétisme. Ses premières expériences , basées
demande quelle en est la cause. M. Delore (de Lyon) 1 invoque la
théorie
bactérienne et pense que l'altération du filtre
constituent les accidents épileptiques. Ceux qui n'admettent pas la
théorie
de l'intoxi- cation sont réduits à invoquer ce
w. - Le microbe et la maladie. 24 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. notre
théorie
pathogénique. Nous l'avons dit, nous ne nous so
. Nouvel examen DU malade DONT l'observation A SERVI de base A . LA
THÉORIE
DE L'LPELAGE POUR LA LECTURE ET L'ÉCRITURE ; par
miques, certains symptômes se sont modifiés et ne justifient pas la
théorie
tout enlière qu'il a émise, de sorte que les co
les noms des objets qu'il voit. Ceci ne peut pas s'expliquer par la
théorie
du syllabage de la lecture et de l'écriture. Il f
ues dans le centre même de la zone acous- tique, ce qui renverse la
théorie
de la paraphasie; 7° Les grandes difficultés qu
que l'on éprouve chez lui à une explication univoque conforme à la
théorie
des localisations servent de leçon au psy- chia
Tout intéressants que soient ces phénomènes, leur mobilité, et les
théories
avec les schémas correspondants, leur constatatio
auteur essaie, ainsi qu'il le dit dans un sous-titre, d'établir une
théorie
psychologique de l'hystérie acquise, de beaucoup
res de la sensibilité réflexe sont atteintes. Comment, avec cette
théorie
, expliquer le fait de la non-atrophie des muscl
élève contre les consé- quences erronées qui ont été déduites de la
théorie
des tempéra- ments criminels endogènes, au poin
olog. Centralbl., XIII, 189t.) L'auteur montre l'insuffisance de la
théorie
du carrefour sensitif pour expliquer l'anesthés
maintenus dans un état d'extension réciproque. On a fait plusieurs
théories
, quant à la cause qui maintient ainsi cette ext
nsi cette extension réciproque des différents segments du corps. La
théorie
purement musculaire est la plus ancienne, puis
corps. La théorie purement musculaire est la plus ancienne, puis la
théorie
mécanique qui fait uniquement intervenir l'exten-
ement intervenir l'exten- sion des ligaments articulaires, enfin la
théorie
de Giraud-Teulon basée sur la tonicité musculai
concurremment ou isolément, selon les articulations considérées. Sa
théorie
est éclectique et il en prouve le bien fondé.
nuque en contraction légère. C'est un levier du pre- mier genre. La
théorie
musculaire trouve là une confirmation complète,
ait le goitre exophtal- mique à une névrose sympathique, jusqu'à la
théorie
bulbo-protu- bérantielle dont Ballet fut le pro
-protu- bérantielle dont Ballet fut le protagoniste. Cette dernière
théorie
était déjà inscrite dans tous les traités class
erait en faveur plutôt d'une action nerveuse. Les partisans de la
théorie
nerveuse placent dans le bulbe l'inci- tation i
anatomie pathologique sont encore peu explicites sur ce point. La
théorie
la plus plausible est celle d'une irritation des
corps thyroïde. La physiologie expérimentale prête main-forte à la
théorie
bulbo-prolubérantielle. Entre le bulbe et la pr
ingomyélie, peuvent produire ce même résultat. Ainsi, en faveur des
théories
nerveuses s'inscrit l'étiologie. Pour la théori
si, en faveur des théories nerveuses s'inscrit l'étiologie. Pour la
théorie
thyroïdienne plaident la symptomatologie et aussi
ique. M. Brissaud examine ensuite la sanction thérapeutique de la
théorie
thyroïdienne. Des deux médications thyroïdiennes,
importer de savoir sous quelle forme je le suis présentement. La
théorie
thyroïdienne du goitre exophtalmique est issue de
es pour rendre compte des symptômes de la maladie de Basedow ? La
théorie
de la sécrétion exagérée de la glande thyroïde n'
es, d'où l'insuffisance fonctionnelle de la thyroïde. Une troisième
théorie
pourrait être soutenue, on peut penser que les
nt avec cette opinion. MM. Ballet et Enriquez (de Paris). Parmi les
théories
qui essayent d'expliquer le mécanisme pathogéni
ons pensé, il y a plus d'un an, qu'avant de chercher à formuler une
théorie
, il était intéressant d'étudier chez l'animal l
e la maladie de Graves. M. Gley a par avance fait la critique de la
théorie
de l'hyperthy- roïdisation. On aura à apprécier
s expé- rimentaux que nous rapportons peuvent servir à étayer cette
théorie
. Bien que, en l'état actuel des choses, elle no
r le système nerveux, mettent en branle l'hy- persécrétion. Cette
théorie
justifie les tentatives thérapeutiques suivantes
M. GLEY tient à faire remarquer de nouveau qu'il n'attaque aucune
théorie
et ne soutient ni l'h3·perthyroïdisation ni l'hyp
ur l'hyperthyroïdisation. Il faut en ce cas mettre une sourdine aux
théories
: encore une fois on ne peut connaître la fonctio
ur le goitre exophtalmique; il met, surtout, en pré- sence les deux
théories
qui sont le plus en faveur auprès du monde sava
deux théories qui sont le plus en faveur auprès du monde savant, la
théorie
thyroïdienne et la théorie nerveuse. La lecture
lus en faveur auprès du monde savant, la théorie thyroïdienne et la
théorie
nerveuse. La lecture de ce rapport, très impart
otalité et qu il a pu exercer en tous temps l'action toxique que la
théorie
thyroïdienne lui assigne. Si l'on suit attentiv
yxoedème. Ces faits semblent particulièrement embarassants pour les
théories
en discussion fondées sur l'hypothèse de toxines
de leur mal s'étendant dans la sphère morale. M. Garnier adopte la
théorie
de l'épilepsie larvée; une étude a été présenté
ns postérieurs. Obersteiner et Redlich ont cherché à préciser cette
théorie
en l'appuyant sur l'étude d'une disposition ana
euls faits qu'il prisait si fort à rencontre du mirage trompeur des
théories
. GILLES DE la TOUl\E1'f, VARIA. IMPULSIFS T
n'a pas encore d'explication satisfai- sante de ces phénomènes, la
théorie
cérébelleuse de Bostian étant peut-être la plus
ifier l'opinion de Siemesling qui voitdans Ideler un partisan de la
théorie
d'lleinrolh, la fameuse doctrine du péché, caus
e l'écorce, les troubles de la sensibilité gé- nérale confirment la
théorie
qui y fait résider, unis aux centres moteurs, d
e vertige. L'auteur cherche à donner l'explication de ce cas par la
théorie
d'Ewald sur les fonctions du labyrinthe. LXv° s
fatalement en subir la funeste influence. Un cha- pitre expose les
théories
de la dégénérescence telle que la comprend BIBL
ale. Affections multiloculaires de l ? par Koeppen, 137. Epelage.
Théorie
de 1·- pour la lec- ture et l'écriture par Somm
adjoint qu'en cas d'empêchement constaté du médecin en chef. » En
théorie
, l'ordonnance de 1839 a seule un caractère de 3
46 REVUE d'anatomie ET DE .physiologie pathologiques. D'après la
théorie
de Golgi, les dendrites ne remplissent pas de f
le, d'où production, accumulation, conservation de l'énergie. Cette
théorie
peut se marier à celle de Leuhossek sur le rôle d
à raison de la plus grande in- tensité et de leur activité. Cette
théorie
qui attribue aux dendriteset a leurs pointes laté
rd, cet insuccès clinique paraît devoir servir d'argument contre la
théorie
pathogénique de l'épilepsie, basée sur l'auto-i
ependant, jusqu'à nos jours, une affection à étiologie obscure. Les
théories
multiples, qui ont été émises, n'ont pu satisfa
boratoire, de l'anatomo- pathologie, manquaient il ces travaux. Une
théorie
ne vaut qu'autant qu'elle repose sur une base s
lite parcompression. L'auteur ne considère pas com- me démontrée la
théorie
pathogénique de Sicard. La constance de l'irrit
E PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. tacte. Cela prouve le bien fondé de la
théorie
précédente, etnon, comme le veut Marina, que la
psychiques de maladies organiques viscérales. Telles sont les deux
théories
extrêmes auxquelles on peut rattacher la plupar
dans son rapport une place beaucoup trop considérable parce que les
théories
pathogé- niques de l'hypocondrie personnifiées
est permis de s'étonner que M. Roy ait édifié de toutes pièces une
théorie
somatique de l'hypo- condrie sur une base aussi
complètement sacrifié à des données encore hypothétiques la vieille
théorie
psychique soutenue bien avant M. Dubois par les
esdeiix Falret, deJIorcl, de Guislain, etc. C'est cependant celle
théorie
psychique qui, traduite en lan- gage physiologi
ong des troncs nerveux,pour gagner la moelle. Uneréaction contreces
théories
tout hypothétiques nepou- vait pas tarder à se
alors que le processus ascendant continue pourtant sa marche. Deux
théories
peuvent, à mon avis, expliquer la marche ultéri
XX. , 13 194 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. La
théorie
pathogénique de la deuxième étape ganglion- nai
cuteur. Il présente aussi un intérêt théorique. On a abandonné la
théorie
de l'excitation directe par le choc des organes s
ésultat que j'ai obtenu concorde parfaitement avec cette dernière
théorie
: puisque le choc n'agit qu'en déplaçant le tendo
sur une portion seulement. Mais il n'est pas un argument contre la
théorie
ancienne, parce que nous ne connaissons pas au
ut au tout et vous ferez oeuvre méritoire. Pour détrôner la vieille
théorie
médicale, c'est-à-dire le galénisme etl'arabism
aire », c'esL-à-dirc de l'élément myopsychique auquel, d'a- près la
théorie
de Storch-Fa;rstcr, nos perceptions doi- vent e
s. Un phénomène peut apparaître comme un fait nouveau sans que la
théorie
de l'évolution soit infirmée. Lorsqu'il s'agit
vent en rapport avec l'aliénation. Les exceptions apparentes à la
théorie
que nous exposons ne la détruisent en rien. Lors-
t animée d'aucun mouve- donnent. Il est bien prématuré de baser une
théorie
du sommeil, comme phénomène psychologique, sur
er, Remach, Ferrier et Yeo, Paul Bert et lTaracci, en combattant la
théorie
des cen- tres moteurs de la moelle, ont démontr
conscience lorsqu'elle commence à se manifester est conforme à la
théorie
de l'évolution comprise comme une série d'é- ta
lden, et par des arguments cliniques et anatomiques, Léri combat la
théorie
de l'origine rétinienne de l'atrophie tabétique
on pathogéniquede cette maladie ' ? De la discussion des di- verses
théories
émises sur la question, il découle que les cavité
' Les auteurs reconnaissent une part de mé- rité à chacune des deux
théories
avant cours sur ce point : d'une part la scléro
cours sur ce point : d'une part la sclérose des fibres musculaires (
théorie
de Krusing), d'au- tre part et surtout le périm
t surtout le périmysium interne et externe ainsi que les vaisseaux (
théorie
classique) concourent à sa production. De leurs
ence des crises épilepti- ques, ce qui semblerait plaider contre la
théorie
mécanique de l'épilepsie et prouver que le toxi
théorie mécanique de l'épilepsie et prouver que le toxique - si la
théorie
Lo\i- que est vraie ne se trouve pas dans le li
ement moteur eL un élément psychique ; cette distinction, facile en
théorie
, ne correspond pas toujours dans la pratique à
I)iR (1), qui fut, avec Louis (2), un des premiers à soutenir cette
théorie
mécanique osseuse des phénomènes nerveux surven
ège de fongus analogues il ceux de la dure-mère cérébrale. » A la
théorie
purement mécanique d'Ollivicr et Louis, succéda
ngite, et, après, par propagation à la moelle, une myélite. Cette
théorie
, qui explique d'une, part l'existence de parapl
a pie-mère il la névroglie par ses prolongements. ERIJ (4) émet une
théorie
mixte, mécanique et inflam- * (1) Vuï.pivx. M
inges suffise à produire, même sans com- pression, la myélite. La
théorie
inflammatoire de Michaud devait, en 18 ? rencon
les de la substance blanche. 422 PATHOLOGIE NERVEUSE. La nouvelle
théorie
de Kahler. qui, même en admettant la compressio
par les auteurs qui depuis lors s'occupèrent de cette question. La
théorie
inflammatoire de Michaud et Charcot est aujourd
e celui qu'on lui faisait jouer auparavant L par réaction contre la
théorie
unieiste de Louis et Olli- vicr. Qu'elle agisse
quelles on attribue la régu- lation des rapports dépression. , La
théorie
, émise par Endehben (1) selon laquelle la cause
pliquer les lésions médullaires. Ce serait ainsi l'at- teinte il la
théorie
mécanique,au·jôurd'lniipréïonMéraiitu, des phén
us la direction de Al. Ceni, ardent défenseur, comme on sait, d'une
théorie
adverse, celle de l'auto-intoxication. MM. La
ant une différence d'âge excessive. L'auteur examine les diverses
théories
pathogéniques, le rôle des lésions des glandes
entre le cretinisme epiderniqueetle creti- nisme sporadique sur la
théorie
de "il'cho\\'; théorie de la synos- tose hâtive
iderniqueetle creti- nisme sporadique sur la théorie de "il'cho\\';
théorie
de la synos- tose hâtive du sphénoïde el de l'a
e du sphénoïde el de l'apophyse basilaire chez les cré- tins. Celte
théorie
l'ut réfutée par \l. B. Schmidt dans son : .1ll-
ment par l'auteur, ne permettent pas encore de juger entre les deux
théories
pathogéniques toujours en présence, celle de i\lo
'arc reçoit l'impression, l'autre la transmet au muscle. Telle est la
théorie
simple dans laquelle cet esprit puissant résumait
ible peut dans certains cas succéder une réaction puissante. Ainsi la
théorie
dont nous parlons ne peut suffire, et il faut all
ste ; et bien que M. le professeur Duvernoy ait depuis énoncé la même
théorie
dans ses cours, en se l'attribuant, elle ne me pa
Il paraît toutefois qu'on s'est trop hâté de généraliser, et que les
théories
anciennes n'embrassent plus tous les faits que de
e un instant au public les appréciations d'un spirituel écrivain. Les
théories
changent, et changeront peut-être encore, à mesur
alpighi sont inexactes. Mais on a proposé, depuis ce grand homme, des
théories
beaucoup moins raisonnables, et je ne crois pas q
sque deux observations exactes sur le même sujet, donnent lieu à deux
théories
entièrement contradictoires, on peut être assuré
eux théories entièrement contradictoires, on peut être assuré que ces
théories
sont fausses, chacune d'elles étant nécessairemen
es de l'apophyse crista galli. Mais cette anomalie vient en aide à la
théorie
, en montrant l'unité du plan de composition de to
t formées par des dépôts produits par la pie-mère. Loin de là ; cette
théorie
de sécrétions et de stratifications déposées l'un
et l'ordre de développement. Cette simple remarque renverse bien des
théories
qui ont eu cours dans la science, et dont la domi
des caractères qui lui sont propres, et tout proteste en faveur de la
théorie
scientifique qui admet des genres distincts et de
érer la largeur. D'ailleurs, quelles que soient les différences des
théories
et des systèmes, il n'est pas un seul anatomiste
m medicinœ. Amstelodami, Jansson, 1655, cap. xni, p. 47. H. 21 La
théorie
de Gall a été si souvent exposée et en tant de li
qu'ils n'aient ni passions, ni instincts, ni volonté? Ainsi donc la
théorie
de M. Carus ne peut s'appliquer au cerveau, et le
a donc connu quelques-uns des faits principaux sur lesquels repose la
théorie
actuelle de la marche croisée des impressions sen
polaires ; 2° en nerfs involontaires, sensitits et unipolaires. Cette
théorie
n'a pas fait fortune. Parmi les expériences de Ro
de ce que nous savons. Il n'y a point de meilleure maxime. Souvent la
théorie
est fausse quand le fait est vrai. Il était juste
s, des faits, par cela seul qu'ils avaient servi de base à de fausses
théories
; il fallait les examiner. M. Longet eut le tort d
ents ont justifié et étendu ces faits, et il s'est élevé de nouvelles
théories
. Parmi ces travaux on doit distinguer, au premier
iqué là-dessus, il ne m'appartient ni d'approuver ni de combattre une
théorie
dont il annonce la démonstration prochaine (1).
l'animal, dit M. Longet, roule en cercle du côté de la lésion (3). La
théorie
de M. Longet, quant aux effets directs de la sect
t le résultat de cette expérience, qu'elle est mieux expliquée par la
théorie
de M. Flourens que parles hypothèses de Magendie.
une résultante circulaire. Magendie a donné de ces faits une autre
théorie
que nous expliquerons en parlant des corps striés
onc contestées, ou du moins les conclusions qu'il adopta. Ainsi mille
théories
nouvelles brillent un instant et s'éteignent. L
tion ne détruit point celles de M. Turner, mais elle fait voir que la
théorie
des résultats qu'il annonce est, dans l'état de l
tre, au premier abord, aussi favorables à l'hypothèse de Gall qu'à la
théorie
de M. Flourens; mais des observations précises on
'est pas ici le lieu d'aborder ces hautes questions. L'histoire des
théories
que nous avons rapidement exposées fait assez voi
ne de l'hypothèse est celui du caprice et de l'indéterminé. Aussi une
théorie
absolument opposée à celle d'Aristote a-t-elle ét
ellence. Si l'aveugle de Cheselden semble donner gain de cause à la
théorie
de Buffon, l'observation des animaux ne lui est p
tion. Qu'ont à faire ici le jugement, le toucher et l'expérience? Ces
théories
, fondées sur de simples hypothèses, valent-elles
e raisonnement que MM. Volkmann et Mûller ont invoqué en faveur de la
théorie
que nous combattons, nous paraît plus spécieux qu
Une idée à peu près semblable a conduit le célèbre M. Millier à sa
théorie
des points homologues dans les deux rétines. Les
est imprimée dans un œil différent, en même temps qu'elle justifie la
théorie
des points sympathiques ou homologues, permet d'é
e ces curieuses expériences dans le chapitre où nous traiterons de la
théorie
de la mémoire, théorie sur laquelle ces faits son
nces dans le chapitre où nous traiterons de la théorie de la mémoire,
théorie
sur laquelle ces faits sont appelés à jeter une v
onges, §4. Cf. Jouffroy, Du sommeil.)—Il est impossible d'accepter la
théorie
de M. Charma, qui veut que toute sensation perçue
tinction est fort bonne, très-pratique surtout, et fort conforme à la
théorie
de Joseph de Maistre sur l'infaillibilité, dans s
érieures bien plus vivement que ceux « qui sont éveillés (1). » Cette
théorie
est évidemment fort (1) Aristole. De divinntion
orps ; comme cela arrive aux prophètes et à ceux qui dorment. » Cette
théorie
est fort semblable évidemment à celle des quiétis
s ont illustré les légendes des loups-garoux ? (2). CHAPITRE VII.
théorie
de l'imagination. § 1. Réflexion* sur les faits
bien dit, mais ce raisonnement n'est point une objection réelle à la
théorie
du dualisme hémisphérique. S'il est accordé qu'on
mie cérébrale. Je ne puis m'empêcher de rendre ici justice à la belle
théorie
des hyperhérnies locales, si bien développée par
se développent d'une manière nécessaire et dans un détail infini. La
théorie
de ces mouvements a dans l'histoire philosophique
. niais de simples observations ne peuvent suffire pour établir une
théorie
, tant qu'on n'a point démêlé ce qui vient du hasa
uve limpide où se sont unies les eaux de deux rivières fécondes. La
théorie
nouvelle exprimée dans cet ouvrage n'est point un
.... 457 § 1. De la mémoire en général.................. ib. § 2.
Théorie
de la mémoire.................., 4G!) CHAPITRE
§ 2. État d'extase. — Visions.................. 549 CHAPITRE VII. —
Théorie
de l'Imagination........... 558 § 1. Réflexions
e des relations de contact ou de contiguïté ont donné naissance à des
théories
psychologiques du plus grand intérêt, conceptions
voqué ces faits, c'est-à-dire pratiqué de nombreuses expériences. Les
théories
qu'on leur présentera, étant donnée cette prépara
e mémoire. Je vais maintenant au-devant de l'objection. Toute cette
théorie
éducative, me dira-t.on, est en effet charmante e
sé, car l'hypnose est un état de folie momentanée. Malheureusement la
théorie
des actes inexistants, très en honneur dans la do
r que l'idée agisse, il faut invoquer l'influence vaso-motrice. Cette
théorie
ouvre un large champ à la suggestion curative.
. La première partie du congres a été consacrée à la discussion des
théories
Lombrosiennes, qui ont trouvé d'éloquents et d'ar
ilité, en somme la tonifier et la suggestionner. CONGRÈS Sur la
théorie
de l'obsession (*) Par M. le D' F.-L. Arnaud {d
d {de Vanves} On a appliqué à l'obsession l'une et l'autre des deux
théories
principales de l'émotion, la théorie intellectuel
ssion l'une et l'autre des deux théories principales de l'émotion, la
théorie
intellectuelle et la théorie physiologique. Ces d
ux théories principales de l'émotion, la théorie intellectuelle et la
théorie
physiologique. Ces deux théories paraissent égale
tion, la théorie intellectuelle et la théorie physiologique. Ces deux
théories
paraissent également insuffisantes pour expliquer
aissent également insuffisantes pour expliquer cet état morbide. ha
théorie
intellectuelle néglige presque absolument les sym
dée un rôle toujours prépondérant dans l'obsession. Inversement, la
théorie
physiologique ou émotive (Lange, W. James, Ribot,
, il les a complétées par des faits ingénieusement observés et pardes
théories
basées sur une érudition impeccable. Marcel Dub
des emplois officiels de la médecine. Les successifs écroulements des
théories
et des doctrines pathogéniques d'où l'on tire les
eut être vrai en quelques cas, mais on est aujourd'hui revenu sur ces
théories
dans ce qu'elles ont de trop absolu. (2) Havet
e normale. Si nous devons l'hypnotisme à Charcot principalement, la
théorie
et la pratique rituelle de la suggestion nous vie
nde pour lui et aussi pour le médecin. ¦ ¦ • A l'appui de notre
théorie
sur l'influence -de la suggestion à l'état de vei
été héritée d'ancêtres pré-humains. (C'est ici le point faible de la
théorie
de M. Myers, comme j'essaierai de le montrer un p
s nerfs. Dans les cas de fascination, d'imitation, de rigidité, cette
théorie
d'un raccourci que prendrait le mouvement ner
e de Nancy a été nécessaire et efficace comme protestation contre des
théories
incomplètes, rien de plus. •C'est donc dans un
terminer, M. Myers essaye d'écarter tout de suite une objection à sa
théorie
très mystique de l'origine de ces pouvoirs inconn
itre suivant (le mécanisme du génie) qu'il l'exposera vraiment, cette
théorie
d'une origine pré-terres/re. Mais il est naturel
, au commencement de cette étude. M. Myers veut trop généraliser, une
théorie
générale de la nature humaine n'est pas possible.
malgré toutes les instances du docteur, son hypnotiseur. Quant à la
théorie
de l'évolution, indiscutée maintenant, et que M.
cette trésorerie préhistorique. » C'est là, je le répète, fausser la
théorie
de l'Evolution, c'est oublier l'importance énorme
e comme cause unique, le phénomène serait inexplicable au moyen de la
théorie
actuelle de la vision. A quoi donc attribuer l'
ranges en découvrant le procédé qui, plus satisfaisant que toutes les
théories
, permettra leur reproduction expérimentale. COU
i s'appelle positivisme et qui dit : je veux que les doctrines et les
théories
s'appuient non sur d'autres théories, mais sur de
je veux que les doctrines et les théories s'appuient non sur d'autres
théories
, mais sur des faits, sur des observations, et sur
es observations. Les faits sont de la monnaie en or, tandis que les
théories
abstraites ne sont que des billets d'une banque s
ue personne ne démontrera jamais, — et sur ce principe elle bâtit ses
théories
et ses affirmations. Le positivisme, au contraire
e, dans son équilibre, que celle qui repose sur la pointe, et que les
théories
qui reposent sur des faits, sont bien plus proche
e a créé les codes pénals modernes ; — elle s'est limitée à bâtir des
théories
abstraites sur le crime. — L'école positiviste a
ord, une question d'incompétence. Des juristes, enfermés dans leurs
théories
abstraites, ne connaissant que l'homme réel et vi
les masses avec des hâbleries, des formules générales et vagues, des
théories
qui n'ont rien de précis, rien de mûri, rien de p
ent qu'il avait vu, et que c'était là des faits ; ou bien que telle
théorie
était démontrée, et que la raison ne pouvait avoi
de pseudo-coxalgie suggérée par le milieu familial. D' Aragon : Une
théorie
pathogénique du doute. Dr Féliy Regnault : Les
hypnotique d'un cas de), par Paul Farez, p. 274. Obsession (Sur la
théorie
de l'), par Arnaud, (do Vanves), p. 159. Occult
” Th..., que ma fille est agitée. » Est-il besoin de recourir à une
théorie
spiritualiste pour avoir l’explication de ces fai
e eût pu lui donner, et prenant pour point de départ de son examen la
théorie
spiritualiste, M. Clever de Maldigny a dénaturé l
implique trop généreusement à ma comptabilité ce qui n’incombe qu'aux
théories
de mon guerroyeur. Je pourrais garder le silenc
s et par un des sentiers du Tout. N’excluons, de parti pris, aucune
théorie
, ne soyons non plus esclaves d’aucunes : c’est le
ience absorbera le magnétisme, elle changera peut-être son nom et les
théories
que nous avons faites, mais enfin le principe et
ront place dans la science de l’homme. Certes, ce ne sera pas par des
théories
et des faits de la nature de ceux dont je viens d
ne savons pas!» Que l’on ne m’impute donc ni fanatisme, ni prisme, ni
théorie
assujettie d’avance. Fils et vieux praticien de l
a observes attentivement. Les faits parlent toujours plus haut que la
théorie
, mais l'un et l'autre vont bien ensemble et, selo
ns qui nous occupent. L’avis est essentiel, car la confusion de nos
théories
, par leur équivoque d’expressions, oppose un des
mbule de tout ce qu’il a vu faire pendant son sommeil ? D’après votre
théorie
, il faut nécessairement que Y Esprit étranger, qu
magnétique. » A.-L.-J. D“" (Discours sur les principctgénérauxdc l:t
théorie
végétative cl spirituelle de la nature, 2e éditio
tique ; phénomène qui peut seul nous conduire à l’établissement d’une
théorie
rationnelle sur le principe vital que nous nous g
pour certaines choses du moins, car il n’est pas défendu de faire des
théories
par induction lorsque cette induction est suscept
t en action. » J.-L.-J.-D. (Discours sur les principes généraux de la
théorie
végétative cl spirituelle de la nature.) Mais i
ons infinies et plus promptes que l’électricité des flui- « A cette
théorie
des trois sphères de la nature humaine, il associ
cette théorie des trois sphères de la nature humaine, il associe une
théorie
de la santé, de la maladie et de la guérison. En
lusionnés par un simple acte de la volontéj et, ajoutant le fait à la
théorie
, il fit apparaître une troupe d'oiseaux que l’on
mordial. (J. A. Delà ire. Essai sur le principe de vie universelle ou
Théorie
du Feu, Paris, 1837.) Vous le voyez, nous voici
mme je l’écrivais dans ce journal en 1858, « le plus hautcon-cept des
théories
accessibles à notre entendement. » suspension «
jours. Nos lecteurs ne trouveront donc dans cette publication ni une
théorie
des principes de Mesmer, ni une étude de magnétis
es savants. Dans son Planetarum influxus (1706), Mesmer appuyait « sa
théorie
sur des principes reçus dans les sciences et sur
, j’ai fait place à tous les novateurs, à leurs observations, à leurs
théories
. J’ai gardé le plus souvent le silence sur ce qui
en suspicion la bonne foi des opérateurs. Seulement, en infirmant les
théories
spi-ritualistes qui, soutient-il, ont précédé les
p plus considérable en ce qu’elle embrasse presque toute une nouvelle
théorie
du magnétisme. Et, pour arriver à la solution de
naturellement que j’arrive au but par l’exposition de cette nouvelle
théorie
, que j’extrais en partie de mon Essai sur le magn
fluide lummescible. Moïse, en effet, qui fut le premier à établir une
théorie
sur la création du monde, semble donner, dans le
nl ce passage de la Genèse je n'en conclus pas que Moïse ait écrit la
théorie
la plus claire sur la création du monde, car il e
ories. Aussi, si j’ai cilé ce passage de la Genèse, à l’appui de ma
théorie
, c’esl qu’il m'a semblé élre en dehors de ces que
leils forment aussi d’autres systèmes autour dans le cours de celle
théorie
. Je me bornerai simplement à dire que pour les so
ent dite. 11 est vraiment curieux de voir les hommes abandonner les
théories
si simples de la nature pour celles qu’ils invent
t pourquoi l’eau de mer est douée de propriétés magnétiques. Etude et
théorie
par M. Henry André, 340, 606. Causeries de M. D
verses, 434, 452. Fluide (du) magnétique humain, ou fluide nerveux.
Théorie
de M. le docteur Charpignon, examinée et commenté
ion et remarques de M. Henry André, 665. Sommeil (du) et des rêves.
Théories
diverses, 88, 248, 509. Somnambulismo (du) magn
; — de M. d’Arbaud, 231. — Observations de M. Henry André, contre une
théorie
de M. Jobard, 430. Suggestion (de la) de pensée
ance et de force, cause de tous les phénomènes vitaux et magnétiques.
Théorie
de M. d’Arbaud, par opposition à celle de M. Warl
édecine, 151. Médiums et somnambules. M. Henry André, examinant une
théorie
de M. Jobard, ne peut pas admettre la possession
lle n'être que secondaire. L'auteur passe, en revue^les principales
théories
^ émises et.se ralliera la théorie de l'bémorrha
passe, en revue^les principales théories^ émises et.se ralliera la
théorie
de l'bémorrhagie,primilive par, athéromc artériel
iorpe et Dür-LR . u : f '"1l'»>i ? i On, a longtemps professé la
théorie
qu'un'criminel ne pouvait être excusé pour caus
urs et confus par eux-mêmes. Il a trop vu sans doute se succéder de
théories
au cours de sa longue car- rière. Aussi son Tra
que ces altérations sont centripètes, fait qui semble confirmer la
théorie
de la fonction centripète des prolongements pro
e sa structure, l'élément nerveux, elle donne un appui nouveau à la
théorie
parenchy- mateuse de la paralysie générale, à l
- M. Bouchaud cite ensuite, pour les discuter, quelques-unes de s
théories
émises pour expliquer la prédisposition créée par
r sa genèse ; la seconde par son évolution. On sait en effet que la
théorie
de Zeller et de Griesinger avait fait accepter
s contre elle. Il renversait également, en ruinant indirectement la
théorie
de la possession démoniaque, tout l'échafaudage
loppement de la sclérose en plaques disséminées; 3° mieux que la
théorie
des loxines produites par les micro-organismes pa
a perception même, l'angoisse est un effet non une cause. Voir la
théorie
chimique de Kowaleswky. (Cettralbl. f. iYei,v., 1
lité de mensurations psychométriques intéressantes, et développe la
théorie
d'après laquelle la folie hystérique pourrait ê
lusieurs pays, les lois sur les auberges se sont inspirées de cette
théorie
et ont limité le chiffre des cabarets suivant l
passées en revue, dans une étude critique d'ensemble, les diverses
théories
relatives à la psychologie des états seconds. E
pour montrer à quelles exagérations peut conduire la logique d'une
théorie
trop absolue. Voilà une méthode naturellement f
EVUE,D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE pathologiques. 313 IV. Abus DE la
THÉORIE
DES localisations EN psychiatrie ET en anthropo
tions et essayant de les mettre en contradiction avec l'unité de la
théorie
et son application universelle. L'auteur oublie
hologie expérimentale, ni celle-ci pas plus que la première avec la
théorie
des localisations basée sur la méthode anatomo-
ppartiennent à la maladie de Friedreich et plaident en faveur de la
théorie
céré- belleuse de cette maladie émise par Menze
érescence tend à devenir synonyme d'aliénation mentale. Eh bien, la
théorie
de la dégénérescence, très vraie au point de vu
chère de pathologie générale et de philosophie médicale, la vieille
théorie
vitaliste de l'école de Mont- pellier, et décla
utôt, du 390 . asiles d'aliénés. siècle qui, se lève, lorsque les
théories
scientifiques, mais décourageantes des dégénére
aisceaux avec le pneumogastrique ou bien avec le sympa- thique : la
théorie
de l'origine bulbaire de la maladie de Basedow
s'en vont. Ce qui prouverait qu'ici le scotome était périphérique,
théorie
qui n'a rien d'excessif puis- qu'il s'agissait
ous sommes réunis à Karlsruhe. Tout ce que nous avons fait, soit en
théorie
, soit en pratique, se rattache à l'évolu- tion
Discussion. M. Wilser. Cette question a un rapport étroit avec la
théorie
de l'hérédité. La légion des dégénérés donne nais
ngoisse a une importance fondamentale dans la neurasthénie. Dans la
théorie
chimique de Kowalewski, la neuras- thénie résul
bides, dont nous aurons à nous occuper ici et permet de classer les
théories
que ces termes désignent. Nous croyons devoir l
oduits d'oxydation correspondants. La pathologie confirmerait cette
théorie
qui expliquerait les troubles circulatoires : hyp
se ser- vait plus de l'expression de Wahnsinn. Morel en publiant sa
théorie
des formes héréditaires avait enlevé du groupe
nfusion mentale ont provoqué une cénesthésie gaie. C'est parfait en
théorie
. Mais en pratique s'il y a des cas dans lesquel
s idées délirantes de grandeur. Évidemment Snell n'admettait pas la
théorie
actuelle d'après laquelle un état mélancolique
s médicale.) M. le professeur Joffroy dans des leçons soutient la
théorie
déjà exprimée par Moebius, Renaut (de Lyon) et
myxoedème. L'auteur passe ensuite à la réfutation des différentes
théories
proposées pour expliquer la pathogénie du goitre
proposées pour expliquer la pathogénie du goitre exophtal- mique.
Théorie
cardiaque (Graves, Stokes, Luton, Beau). Il suffi
fréquemment, de même que l'exophtalmie, irrégulier, unilatéral ?
Théorie
de compression des vaisseaux et des nerfs (Marsha
vaisseaux et des nerfs (Marshal, Taylor, Piorry). Comment par cette
théorie
expliquer : 1° les cas ou le corps thyroïde est
tôt le nerf récurrent et le sympathique que le pneu- mogastrique.
Théorie
du grand sympathique. Le grand sympathique dans l
.ophtalmie deshasedowiens, et tous les autres symptômes manquent.
Théorie
de la névrose (Charcot). Cette théorie est la plu
s autres symptômes manquent. Théorie de la névrose (Charcot). Cette
théorie
est la plus diffi- cile à combattre. L'argument
aire. Le début subit qui est un grand argument en faveur de cette
théorie
, n'existe souvent qu'en apparence, la maladie pre
nce, la maladie presque sûre- ment existant déjà à l'état latent.
Théories
bulbaires. La théorie de la névrose bulbaire sout
sûre- ment existant déjà à l'état latent. Théories bulbaires. La
théorie
de la névrose bulbaire soutenue par Vulpian et
s pourquoi le bulbe fonctionnait d'une manière aussi anormale. A la
théorie
bulbaire, par lésion de cet organe on peut répo
ares dans le goitre exophtalmique et encore sont-elles variables.
Théories
thyroïdienne. M. Joffroy explique les phénomènes
des symptômes de ces deux maladies, prouve également en faveur delà
théorie
thyroïdienne. Charcot a fait remarquer la fré-
u goitre endémique et du goitre exophtal- mique est en faveur de la
théorie
thyroïdienne. S 16 G BIBLIOGRAPHIE. Tous les
de l'intervention chirurgicale qui plaident encore en faveur de la
théorie
thyroïdienne, il conclut que l'opération sur le
te objection que la critique serait tentée de faire à la séduisante
théorie
de M. Bois- sier, et après avoir lu l'histoire
ant quand les fonctionnaires médecins sont obligés de désavouer les
théories
psychiatriques du chef théologien de l'éta- bli
atrie et des épreuves pratiques. Le demi- savoir est un danger ; la
théorie
est nuisible. Mieux vaudrait s'en tenir au bon
e hétéroclite, où I' on retrouve 1 empreinte successive de toutes les
théories
, et comme les alluvions de tous les systèmes qui
il tient à l'aide du pouce et de l'index, el cela afin de prouver nue
théorie
préconçue qui lui esl chère. Tandis que cel opéra
cl Tolstoï le franchit, u Nuisibles sont les savants, nuisible» leurs
théories
». La religion n'échappe pas non plus à la crit
ar M. le Docteur Rouby, Dîrecteur de la Maison de saule, à Dôle. La
théorie
italienne des aliénés tous criminels, que nous ne
alité. Brochure in-8 de 32 pages. — Blois 1893. Franco. — La nouvelle
théorie
de la suggestion, destinée à expliquer l'hypnotis
, la première sensation qui les accompagne d'habitude. Celte dernière
théorie
, qui semble tout d'abord assez spécieuse, parait
éputation de l'Ecole de Nancy, heureuse rivale de celle de Paris. les
théories
dts notre Ecole admises et admirées en France, et
e •¦ spectateur » impuissant d'une partie des processus actifs. Celle
théorie
me semble constituer un nouveau dualisme inutile
pour Yâme qui n'en a plus. On pourrait alléguer, en faveur de cette
théorie
, que la conscience est effectivement absente de n
rable de ceux des processus qu'il accompagne. Suivant cette seconde
théorie
. la volonté n'est plus un phénomène de conscience
est restitué à l'un des processus île la série quelque chose dont la
théorie
opposée ferait un épiphéiioineiic ne prenant aucu
te volontaire. Au point de vue du déterminisme absolu des actes, la
théorie
de l'immanence de la volonté dans un processus fo
i n'existe pas dans la pierre ni dans l'aiguille. D'auire par, la
théorie
de l'inséparabilité de la conscience d'avec les p
c les processus actifs constituant eux-mêmes les états de conscience,
théorie
que me parait impliquer celle des idées-forces de
de cette portion motrice. Nous venons de comparer entre elles deux
théories
dont la seconde, celle qui fait entrer la volonté
dans la volonté. Voyons maintenant comment se présente, suivant cette
théorie
do (l) Op.. cit., p. 8. l'unification, la p
nt pu représenter indûment des entités, des facultés, maîs qui. toute
théorie
métaphysique ou autre mise à part, représentent a
la sincérité de leurs paroles un accent qui ne peut tromper. Quelle
théorie
, quelle explication les catholiques actuels donne
a complication sociale telle que nous l'observons actuellement. Celte
théorie
du double servait à celte époque à expliquer les
nes qui ont été soumis à son examen n'autorise à donner un corps â la
théorie
dite du « magnétisme animal ». Les expériences
ont voulu voir, dans la première édition île cet ouvrage, d'étranges
théories
sur la responsabilité. Cette (1) Dictionnaire d
'ardeur avec laquelle le savant professeur chercha à démontrer que la
théorie
des localisations cérébrales devait être révisée,
de sur les animaux et sur l"être humain. Meme remarque favorable â la
théorie
de Brown-•Séquard est fournie par les nombreux su
réface, ou plutôt dans une dédicace au professeur Lombroso — dont les
théories
même les plus discutées sont religieusement accep
he ici du doigt la préoccupation de trouver la lare pour justifier la
théorie
, car le symbolisme dont il s'agit n'est qu'un pro
sentant le malade qui a bien voulu m'accompagner est de combattre une
théorie
qui a cours parmi certains médecins psychologues,
la pensée peut naître et se constituer. La Famille nèvropaïhique,
théorie
tératologiquc de l'hérédité et de la prédispositi
r expliquer l'incontinence d'urine si fréquente chez les enfants, les
théories
les plus diverses ont été successivement émises.
endormis, rêvent et mêlent à leurs rêves l'envie d'uriner. Toutes ces
théories
sont séduisantes, mais, en réalité, les faits se
forment un système dynamique ¦ qui est la force d'équilibration. La
théorie
atomique illustrée par Wurtz cl qui a été lu sour
grès en chimie n'est plus jugée suffisante ; l'auteur y substitue une
théorie
de I équilibration des inimités unies, qui se com
qui existe, de tout ce qui est possible, sans abandonner pour cela la
théorie
mécanique de l'équilibre des forces. Tout obéit
me; car il a soin de rappeler - qu'il ne faut jamais oublier que la i
théorie
, l'idée, doit toujours so plier aux faits et non
rie, l'idée, doit toujours so plier aux faits et non les faits à la «
théorie
ou à l'idée que nous nous en faisons. » II n'y
perception, mémoire, imagination, raisonnement, pensée, etc. Celle
théorie
vibratoire de la sensibilité a pour avantage de s
e vibratoire de la sensibilité a pour avantage de s'nccor-der avec la
théorie
physique en faisant mieux comprendre que la matiè
ntirai pas, son caractère mécanique apparaissant suffisamment dans la
théorie
générale de l'auteur et aussi parce que je n ai p
eur et aussi parce que je n ai pas trouve, au sujet des attributs, de
théorie
nouvelle originale. La partie analytique de l'o
phénomène du magnétisme animal. Pour leur prouver la réalité de sa
théorie
, il prie un des assistants, M. Walker, de Îixer s
ne névrose expérimentale, d'autres expérimentateurs échafau-daientune
théorie
contraire. En effet, pour M. Liébeault, le somm
ar il- le D' Edgar Biîkillon. (Suite) A l'époque contemporaine deux
théories
physiologiques sont venues fournir des notions pr
équard découle de ses nombreuses expériences de vivisection. C'est la
théorie
de l'inhibition et de la dynamogénie. La seconde
relations de contact ou de contiguïté ont donné naissance à plusieurs
théories
psychologiques du plus grand intérêt. Toutes ces
une interprétation rationnelle des phénomènes' de l'hypnotisme. La
théorie
de l'inhibition est venue confirmer l'idée de Bi-
t d'une suggestion, c'est-à-dire que, pour ceux qui soutiennent cette
théorie
, il n'y aurait pas une action propre de l'aimant
des fosses nasales; c'est même sur cette disposition qu'est fondée la
théorie
pathogénique nouvelle de l'ozêne, édifiée par les
ns qui sont venus exposer leurs procédés, leurs cures et un peu leurs
théories
. Bien entendu, aucun élément nouveau n'a été intr
reprirent en les complétant et crurent les découvrir. Pourtant, les
théories
do Durand de Gros n'étaient point de simples spéc
d'honneur. Spencer et Claude Bernard reprirent pour leur compte la
théorie
du polyzoisme et du polypsychisme. Janet, en ces
la psychologie de l'inconscient, a fait revivre sans s'en douter les
théories
de Philips. Les recherches de Durand sur la tor
vrage, chez Doin ; Du Sommeil et de ses états analogues. C'était la
théorie
de la suggestion hypnotique, entrevue par Braid e
e grand tapage, dans un complet discrédit. Alors Liébeault vint. Sa
théorie
est très simple. Pour lui, il n'y a pas de fluide
la cellule nerveuse. Aussi devons-nous accorder quelque attention aux
théories
psychologiques inspirées par les recherches de Go
es régions différentes du cerveau. M. Mathieu Duval a échafaudé une
théorie
analogue basée sur l'amœbisme des neurones, et qu
basée sur l'amœbisme des neurones, et qu'il a désignée sous le nom de
Théorie
histologique du sommeil. Pour Mathieu Duval, chez
="113"> Peu de temps après, Ramon y Oajal a apporté une nouvelle
théorie
mécanique desphénomènespsychiques,basée, cette fo
surviendrait une rétraction des cellules do la névroglie. Avec cette
théorie
, le repos mental, le sommeil, les états de l'hypn
bre de cellules psychiques isolées. Telles sont, très résumées, les
théories
par lesquelles on a cherché à interpréter les phé
rais une existence magnifique et de lui rendre la vie pénible. « En
théorie
, les députés doivent n'avoir devant les yeux que
ngent avant tout à leurs propres intérêts et à ceux de leurs amis. En
théorie
, les députés doivent être les meilleurs et les pl
ont les plus ambitieux, les plus entreprenants, les plus violents. En
théorie
, le vote pour un candidat indique que l'électeur
estion thérapeutique, et, réellement, ici la pratique correspond à la
théorie
. Dans des accès simples, la parole calmante suffi
Mais les cas produits ou qui pourraient être élucidés au moyen de la
théorie
exposée ci-dessus, sont, il faut l'avouer, très p
e l'hypnose, il ne manquera pas de le faire. Cependant, d'après celle
théorie
, le retour des forces aux centres les plus élevés
en les admettant, j'estime qu'il faut les compléter par d'autres : la
théorie
de Gurney, en effet, n'est pas applicable à tous
nsi dire de côté la conscience normale, elle exécute l'ordre. Cette
théorie
serait acceptable si toutes les personnes hypnoti
de réel, de vivant, de « moral », Vous no vous êtes pas contenté des
théories
froides et desséchantes. Résolu1-ment, vous qui ê
ologie de ia volonté, 203 p., Masson, Parie, 1899. DT Daclbuagne. —
Théories
de la criminalité. 213 p., Masson, Paris, 1899.
e ce faux témoignage à un individu hypnotisé. Facile à concevoir en
théorie
, il est peu probable que le fait se rencontre dan
bliées. Ces exemples, d'autres encore, ainsi qu'un clair exposé des
théories
scientifiques actuelles, recommandent la lecture
Penregistre- (l) Ch. Hixet-Sanclé. — Du tremblement à la paralysie.
Théorie
des neuro-diélectriques. (In Arch. méd. d'Angers,
do jugements religieux. Voici trois chapelets de suggestion pour la
théorie
janséniste : Du Vergier de Hauranne. Du Vergier
eur, après avoir exposé et critiqué/page> page n="330"> les
théories
de lïibot, W. James et Lange, montre l'importance
soit par la Cour d'assises en cas de crime. Et cela d'accord avec la
théorie
nouvelle, modificalive de la loi de 1838 sur les
e sont le plus intéressés aux études de l'hypnotisme. Il a fourni une
théorie
ingénieuse pour expliquer les états hystériques,
ué. — L'inhibition et la dynamogénie dans les états hypnotiques. — La
théorie
du neurone. — L'hy-/page> page n="353">
tèrent atrophiés; la sensibilité revint complètement. P. S. VIII.
Théorie
DE la représentation VISUELLE corticale ; par Ewe
par Ewens. (l3rain, part. IV, 1893, p. 475.) L'auteur propose une
théorie
qui serait selon lui capable de concilier les c
nal of nervous and mental Disease, août 1894.) Revue rapide de la
théorie
thyroïdienne de la maladie de Graves. Deux obse
otll, de Griesinger, de Connolly, de Rush, etc. Depuis la chute des
théories
de l'inflammation, la sai- gnée a disparu comme
osantes, les émotions morales en sont les causes occasionnelles. La
théorie
de la névrose pure n'explique ni les manifestat
ni les manifestations fébriles ni les lé- sions de l'endocarde. La
théorie
anatomique ne montre que des lé- sions variées
atomique ne montre que des lé- sions variées et contradictoires. La
théorie
réllexe est passible des mêmes objections que l
toires. La théorie réllexe est passible des mêmes objections que la
théorie
de la névrose. La théorie dyscra- sique, en fai
est passible des mêmes objections que la théorie de la névrose. La
théorie
dyscra- sique, en faisant jouer le rôle prépond
hypothèse d'automatisme inconscient, et défend ce qu'il appelle la
théorie
télékinetique. A. Marie. XII. Personnalité MU
i, pour expliquer ces types variés, se pré- sente, ce me semble une
théorie
tout hypothétique mais qui ne paraît pas défend
ues, comment inter- préter son mécanisme ? Il faut tenir compte des
théories
qui ont cours sans prendre parti dans le débat.
l'idée fixe, de la pensée du malade. Ils appuient directement la
théorie
psychologique de l'hystérie. Dans tout accident h
ertébrale pour diminuer le pouvoir excito-moteur de la moelle. A la
théorie
centrale de Raynaud, Vulpian a opposé la théori
la moelle. A la théorie centrale de Raynaud, Vulpian a opposé la
théorie
périphérique. Le resserrement des vaisseaux sous
l y avoir de paralysie infantile hémiplégique ? . En faveur de la
théorie
de Raynaud on peut d'ailleurs faire valoir, out
nt l'une ou l'autre des explications qui sont l'analogue soit de la
théorie
de Raynaud soit de celle de Vulpian. Dans leu
ptomatique né sous des causes très variées, ils n'acceptent pas une
théorie
univoque. Ils concluent à la théorie soit cen-
riées, ils n'acceptent pas une théorie univoque. Ils concluent à la
théorie
soit cen- trale, soit périphérique. - Pour l'
tologie. ' Il serait séduisant d'aborder, à propos de nos faits, la
théorie
vaso-motrice de l'hystérie que Vulpian a combat
syndromes de Raynaud et de Weir Mitchell rattachés à l'hystérie, la
théorie
centrale doit être acteptée. Raynaud avait invo
alement étudiées chez nous. c Comme l'a dit Séglas, ajoute-t-il, la
théorie
de la pa- ranoïa a germé en France. » 11 en r
es idées générales. C'est pourquoi Magnan, reprenant et étendant la
théorie
de Morel sur la folie des dégénérés, des hérédi
formes dans la paralysie générale. Il n'est point partisan de la
théorie
qui attribue aux aulo-ititoxi- cations la produ
puerpérales en particulier est admirablement mis en relief : Cette
théorie
géné- rale de l'origine infectieuse des états d
, par exemple. Toutefois, il paraît légitime de reconnaître que les
théories
de M. Magnan, associées à celles de M. Cramer,
euse et changeante, avec guérison souvent rapide, conformément à la
théorie
de Magnan, ne rattache pas la confusion mentale a
d'admettre la lésion primitive des cellules nerveuses au sens de la
théorie
de Charcot. P. Keraval. XXIII. Quelques COURT
chez certains dégénérés. Cette loi ne serait que l'application aux
théories
modernes d'une ancienne loi de l'Etat de Missouri
s un seul élément de tissu nerveux. Ce fait vient à l'appui . de la
théorie
ancienne. f' M. HITZIG présente, en revanche, d
une ces'troubles' qui siégeaient'du' 1 , s est , fàit 6'të r, , "
théorie
sur les malheurs de ce côté' droit : « C'est Ie'c
ères maladies, qu'il y a lésion organique. XXXIX. Contribution A la
théorie
des obsessions ; par Grashey. (Allg. Zeitsch. f
dans le chapitre m. L'auteur s'étend plus particulièrement sur la
théorie
de Meyneft, qui admet à l'état sain l'hypérémie p
du cerveau est à l'état de sommeil. b - M. Chaslin résume aussi les
théories
de Wundt sur l'aperception, celles de Ziehen su
i qu'il en soit, M. Clouston estime que, à l'heure actuelle, aucune
théorie
tendant à interpréter la manière dont le myxoe-
. Le livre de M. Friedmann sur le délire, présente en réalité une
théorie
générale de la folie, fondée sur les vues particu
constitue sur presque tous les points une contradiction avec les
théories
plus ou moins établies aujourd'hui. En particulie
s théories plus ou moins établies aujourd'hui. En particulier, la
théorie
de l'aperception dans ses applications à l'état p
che en grande partie, quoique avec des modifications notables, à la
théorie
de l'association anglaise, et son livre est une
actuelle, et cela pour la critiquer, et fait un histo- rique de la
théorie
de la paranoïa, l'auteur donne un résumé des pr
formes de la paralysie générale. L'auteur n'a pas voulu émettre une
théorie
donnant l'interprétation de tous les cas, mais
nerveux déjà profondément altérés peut être comprise à l'aide de la
théorie
des phénomènes de rappel de M. le professeur Pi
sseur Pierre : 4° pour la paralysie générale, l'exactitude de cette
théorie
expérimentale ne peut pas être donnée expérimen
taques apoplectiformes ou épileptiformes avec ousansparésie, celte
théorie
est fertile en conséquences pratiques. Elle nous
Dans sa quatrième conclusion, M. Guérin dit que l'exactitude de sa
théorie
ne peut être expérimentalement démontrée; cependa
les accidents apoplec- tiformes et épileptiformes par les anciennes
théories
. Il semble qu'après la lecture de l'intéressant
sami, 299. Névrose traumatique, par Derode, 201. Obsessions,
théorie
des , par Grashey, 39,ï; étude clinique de l'
étranges d'un dégénéré persécuté, par Lefilliutre, 225. Visuelle,
théorie
de la représenta- tion - corticale, par i ? wen
hatisme exagéré, le stigmate de l'hérédité névropathique. Quant aux
théories
physiologiques, l'une, on le sait, est basée su
vésicale et l'autre sur l'atonie du sphinc- ter uréthral. Ces deux
théories
se contredisent. On pourrait toutefois supposer
un fonc- tionnement vicieux du système nerveux central. De là les
théories
psychologiques. La plus simple de toutes consis
ste au delà de cette limite, l'infirmité est constituée 1. Si cette
théorie
peut s'appliquer à quelques faits d'incontinenc
s rêves mictionnels, M. J. Janet en a fait la base d'une ingénieuse
théorie
qu'il applique à tous les cas d'incon- tinence.
es neurasthéniques et aussi des hystériques. Quoi qu'il en soit, la
théorie
de l'auteur n'est pas en contradic- tion avec c
l'enfant ne sent pas sa vessie se vider. On ne peut invoquer ici la
théorie
du rêve mictionnel, ni aucun processus actif de
s qui nous a été transmise par le maître. On sait que d'après cetle
théorie
, l'hérédité nerveuse est, pour les affections név
ne seule ou y en a-t-il plusieurs ? Tout en étant persuadé que sa
théorie
évoquera GO un orage de contradictions de la part
le. (Thèse de doctorat, Nancy). M. Bohn passe en revue les diverses
théories
relatives au som- meil ; il indique les princip
orts médico-légaux, ils entrent dans tous les détails, exposent les
théories
médicales et philosophi- ques régnantes, les di
es les plus intenses; il y a tous les degrés. L'auteur esquisse une
théorie
physiologique de l'obsession basée sur les rap-
s aliénés au point de vue de la tuberculose est une mesure bonne en
théorie
peut-être, mais qui ne donne guère de résultais
rés dont il grossit le nombre, au détriment des autres variétés. La
théorie
des dégéné- rescences de Morel, si elle est exc
héorie des dégéné- rescences de Morel, si elle est excellente comme
théorie
de pathologie générale, est, en revanche, singu
e tout individu qu'elle frappe. Com- ment l'expliquer ? Beaucoup de
théories
ont été proposées. Après une discussion des plu
mettent, surtout chez des malades alités, deux fois par jour. IV.
Théorie
de la méthode. Avant d'analyser les résul- tats
tats obtenus chez nos malades, nous croyons utile d'exposer ici la
théorie
de la méthode de rééducation des mouvements. Ma
r la nature et le siège anatomique de l'incoordination motrice. Les
théories
qui considèrent ce symptôme comme une manifesta
ondu la conséquence de l'in- coordination avec sa cause. Quant à la
théorie
des centres et des conducteurs d'une coordinati
e l'écorce céré- brale, c'est-à-dire un acte conscient et voulu. La
théorie
sensi- tive de Leyden, qui subordonne l'incoord
lité musculo- articulaire est toujours altérée. On a opposé à cette
théorie
les hystériques, atteints d'anesthésies profond
bes. Néanmoins, comme nous le verrons plus loin, c'est encore cette
théorie
qui explique le mieux l'amélioration de la coor
drassik n'ont pas été confirmées dans tous les cas de tabes. Cette
théorie
est aussi en contradiction avec les résultats de
grande personne au contraire sera prudente, raisonnera, se fera une
théorie
du mouvement coordonné, qu'elle aura à apprendr
de vue physio-palhologiquo l'auteur passe en revue les différentes
théories
de l'hallucination : théorie périphérique ou sen-
auteur passe en revue les différentes théories de l'hallucination :
théorie
périphérique ou sen- sorielle ; théorie d'origi
éories de l'hallucination : théorie périphérique ou sen- sorielle ;
théorie
d'origine intellectuelle; théorie psycho-sensorie
e périphérique ou sen- sorielle ; théorie d'origine intellectuelle;
théorie
psycho-sensorielle et théorie physiologique de
e ; théorie d'origine intellectuelle; théorie psycho-sensorielle et
théorie
physiologique de l'éréthisme des centres corticau
a conscience avec tous les carac- tères de la réalité objective. La
théorie
de l'hallucination regardant comme nécessaire l
o- logie de l'audition normale, l'auteur s'abstient d'émettre une
théorie
générale de l'hallucination de l'ouïe, se content
, beaucoup plus intellectuel. Je me trouve ainsi amené à prendre la
théorie
intellectuelle, telle du moins qu'on la peut co
aucune altération. - M. Wladimir SERBSFI. - Je veux insister sur la
théorie
des hallu- dilations psychiques, due à un auteu
s centres sous-corticaux sont troublés. M. Karvinski a développé la
théorie
de Meynert ; dans les hallucinations psychiques,
étations délirantes, tient à ce qu'il existe des définitions et des
théories
différentes et il s'agi- rait de se mettre d'ac
ns les organes mêmes du malade, sont t hallucinatoires; c'est cette
théorie
que le rapporteur a tout d'abord \ admise impli
pense qu'en modifiant ces termes décourageants, on peut soutenir en
théorie
le principe d'une division des établisse- 236 S
bles hysté- riques, c'est-à-dire d'origine psychique. Moebius, à la
théorie
mécanique de Wagner, oppose une manière de voir
ifs aux phénomènes psycho-sensoriels et on peut leur appli- quer la
théorie
de M. Paul Garnier : l'hallucination (psycho- m
ces phénomènes de l'illuminisme, se trouve, écrit M. Caro, dans une
théorie
complète du sommeil et .du 1'êve. Tous les syst
'on la connaît à notre époque, il résume et compare les principales
théories
anatomiques et physio- logiques sur l'innervati
es derniers, etc. Je ne retiendrai que les parties originales de la
théorie
qu'il propose lui-même pour expliquer le spasme
xtrail de ]a Puglia medica, 3e année, n° 5.) Pour l'expliquer, deux
théories
surtout ont de nombreux parti- sans : 1° l'inco
sont distendus au delà d'un certain degré, ils se contractent. Ces
théories
sont toutes deux, on le sait, passibles 458 REV
objections, l'auteur les rejette l'une et l'autre et se rallie à la
théorie
psychique défendue principalement par le Dr Fio
ontre guère que chez les sujets nerveux et souvent héréditaires. La
théorie
psychique admise, on doittraiterl'incontinence co
r qu'il s'élève nettement contre l'abus que l'on tend à faire de la
théorie
de la dégénérescence. La thé"rie de More], pour
ceux publiés par Chantemesse, Recklengausen, etc., discus- sion des
théories
pathogéniques de Marie, de Tamburini. Conclu- s
soin d'être 54 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. vérifiées; mais la
théorie
qui reconnaît aux migraines et aux attaques oph
tigations anatomiques et physiologiques ne confirment en rien cette
théorie
de 1 hyper- tliyroïdation à l'aide de laquelle
ncerlitude des résultats de l'anatomie pathologique (opposition des
théories
interstitielle et 1)(ii-eiteltyni(t- SOCIÉTÉS
nerveux par le sommeil entraine la disparition de l'athétose. Cette
théorie
explique pourquoi il n'y a pas d'athétose dans to
de la glande thyroïde comme primitive dans la maladie de Graves. La
théorie
attribuant les symptômes à un excès de sécrétio
iations du contenu des vési- cules. J. Hill. Abram considère que la
théorie
thyroïdienne trouve un point d'appui sur les ré
ach et de Goll, produit-elle l'incoordination motrice' ? llia seule
théorie
parmi toutes celles qui ont été proposées satisfa
897. Tipografia vida 6 bijos de .Manuel Tello. 0 \VoLrr (.1.). La
théorie
de la palleogénie fonctionnelle des déforma- li
uelques expériences furent tentées dans le but de confir- mer cette
théorie
. Kronthal déterminait une compression chronique
te la syringomyélie, grâce à la prolifé. ration de l'épithélium. La
théorie
de Langhans et Kronthal est aussi approuvée par
ngomyélie de l'autre. Notre observation plaide donc en faveur de la
théorie
(Kronthal et Langhans) de syringomyélie résulta
s) de syringomyélie résultant d'une stase. Il est évident que cette
théorie
ne s'applique qu'à un certain groupe de cas, qu
tions et infec- tions. » M. Picqué s'élève avec énergie contre la
théorie
de M. Régis. Il n'admet comme troubles psychiqu
des interpré- tations différentes mais tendant toutes à infirmer la
théorie
de Charcot, d'après laquelle il y aurait une co
nous faudrait reconnaître aujourd'hui que ce cas est contraire à la
théorie
de Charcot et qu'il vient à l'appui des idées d
enue flasque. Ce fait prouve que pour pouvoir déclarer en défaut la
théorie
de Charcot sur les relations des paralysies spa
ence secondaire, se sont empressés de contester le bien fondé de la
théorie
de Charcot. 228 SOCIÉTÉS SAVANTES. 11 exist
érieure à la lésion nerveuse. Il semble probable, si l'on admet les
théories
de la toxi-infection qu'elles relèvent toutes d
rminer. Cette hypothèse serait un trait d'union possible entre deux
théories
opposées; mais ce qui nous semble actuellement
dans un seul groupe dénommé lép1'ose j. Hansen* n'accepte pas cette
théorie
séductrice de l'unité qui faciliterait la résol
publiée par le Dr Brugelman, l'au- teur se déclare adversaire de la
théorie
qui veut que l'hypnose soit une modalité hystér
tte le diagnostic sûr des maladies nerveuses. P. KEKAVAL. XIV. La
théorie
DE RONCOIIO1VI SUR la genèse physiologique DE la
n'infirme pas du tout l'idée d'une tumeur. M. Higier se rallie à la
théorie
de Loevenfeld, du phénomène d'arrêt. La paralys
nt associé à des phénomènes d'origine labyrinthique et proposait la
théorie
suivante : quand le, globe n'est pas'fixé par l'a
ès fréquem- ment la paralysie faciale. M. Bernhardt a critiqué la
théorie
de l'auteur, semblant croire que ce dernier att
Or, M. Bonnier, en parlant de huit cas auxquels l'application de sa
théorie
semblait. légitime, a simplement indiqué que da
e aux objections posées dans un récent travail de ' M. Gerest, à la
théorie
de l'auteur relative à l'exagération des réflex
e ces dernières objections ne sont pas de nature à démontrer que sa
théorie
est en désac- cord avec les faits cliniques, an
toires de la Grande-Bretagne et de l'Europe entière. Autrefois la
théorie
de l'influence du moral sur le physique occu- p
es cas aigus. Cette détermination indique sûrement le passage de la
théorie
à la pratique. Au lieu de mélanger les sujets a
sant la fonction du langage dans ses éléments psycho-moteurs. Cette
théorie
est combattue par M. Fran- cotte qui considère
illaires cérébraux, lésion du sympathique, auto-intoxication). Deux
théories
s'en dégagent : théorie nerveuse et théorie de
n du sympathique, auto-intoxication). Deux théories s'en dégagent :
théorie
nerveuse et théorie de l'intoxication qui, malg
to-intoxication). Deux théories s'en dégagent : théorie nerveuse et
théorie
de l'intoxication qui, malgré leur valeur expérim
proclamer, sur la foi des résultats qui précèdent, la ruine de la
théorie
nerveuse et triomphe de la théorie de l'auto-into
ts qui précèdent, la ruine de la théorie nerveuse et triomphe de la
théorie
de l'auto-intoxication Y L'auteur ne le pense p
e pas, et pour lui l'antagonisme, généralement admis entre ces deux
théories
, n'est qu'apparent. L'influence du traumatisme
donc plus exact et plus logique d'établir la distinction entre une
théorie
capsulaire et une théorie nerveuse; la première
ogique d'établir la distinction entre une théorie capsulaire et une
théorie
nerveuse; la première plaçant à la base de l'étio
primitif du système sympathique de cause inconnue. Maïs si ces deux
théories
peuvent être soutenues dans le domaine clinique
le domaine clinique, l'expérimentation ne permet d'admettre que la
théorie
capsulaire. Si l'on peut considérer comme certa
ui que proviennent ensuite ces prolongements qui, dans la nouvelle,
théorie
, ne constitueraient que la seule partie importa
intelligence, DE la parole, DE la PSYCHOLOGIE de la parole ET DE L1
théorie
DE l'aphasie; par W. OTUSZEWSKI. (Neurolo. Cent
les qui ont pour fonction unique d'associer. Voilà qui distingue la
théorie
du mécanisme d'association de Flechsig de celle
qu'il faut savoir différencier, et qui a donné lieu a une foule de
théories
tombées une à une dans l'oubli dont elles étaie
les faits exposés ou connus s'expliquent ainsi, cadrent dans cette
théorie
d'apparence d'ailleurs si rationnelle ? Je ne le
495. Faisceau nu Gowers, son trajet, par Rossolino, 33. Folie.
Théorie
* de Roncorini sur la - systématisée, par Jentsc
hogénique n'a jus- qu'ici reçu aucune solution satisfaisante et les
théories
qui ont été timide- ment proposées ne sont en s
e mois (tel notre cas) ; nous n'insisterons pas davantage sur cette
théorie
. Trois théories scientifiques ont été proposées
re cas) ; nous n'insisterons pas davantage sur cette théorie. Trois
théories
scientifiques ont été proposées par les tératolog
à l'extrémité des moignons ou à la place des membres absents. Cette
théorie
est plausible pour les cas où les moignons renfer
illant, àun « mame- lon », qu'à une cicatrice vraie. Une dernière
théorie
enfin suppose que l'absence d'un membre est la
nt du système nerveux central, du centre trophique du membre. Cette
théorie
invoquée par Brandt pour son cas d'amélie, n'a
e concours d'évé- nements accidentels pour qu'on put admettre celle
théorie
dans les cas où l'ectromélie porte sur plusieur
étant au contraire aussi courte que possible. Sans insister sur la
théorie
de ces conclusions, il ressort d'une façon évid
nt uréthral chronique à exa- cerbatiou. Elle n'est pas si fausse la
théorie
de Peter qui considère le rhumatisme blennorrha
diversité des explications patho- géniques. ' Parmi celles-ci la
théorie
musculaire et par conséquent nerveuse con- vien
d et peut-éti'e serons-nous amenés à discuter certains points de la
théorie
ingénieuse de cet auteur et à proposer plutôt l
nerveux. Et Gauliez conclut simple- ment : « celte interprétation (
théorie
centrale de Duchenne) s'accorde d'ailleurs avec
r à discuter que des points de détail. J'ai d'abord rencontré cette
théorie
dans l'histoire de l'hystérie trauma- tique : j
la production de l'hystéro- traumatisme et n'ai pas pu accepter la
théorie
que Berbez résumait dans ces mots : « Le trauma
portance ; l'idée erronée à laquelle il donne naissance est tout »,
théorie
qui de l'hystérie traumatique a été peu à peu é
à-dire en somme à toute l'étiologie de l'hystérie. Puis après celte
théorie
étiologique de )'hystérie,j'ai rencontré la théor
Puis après celte théorie étiologique de )'hystérie,j'ai rencontré la
théorie
complète qui veut faire de l'hystérie une « mal
avec les cervicaux du côté opposé. Il combat, à cause de cela, la
théorie
de l'origine musculaire par atro- phie de certa
l'origine musculaire par atro- phie de certains muscles, adopte la
théorie
nerveuse, mais rejette la théo- rie nerveuse pé
is rejette la théo- rie nerveuse périphérique de Jaccoud. Dans la
théorie
centrale qu'il adopte, il élimine la théorie bulb
ue de Jaccoud. Dans la théorie centrale qu'il adopte, il élimine la
théorie
bulbomédul- laire et arrive à l'écorce. Là, i
éorie bulbomédul- laire et arrive à l'écorce. Là, il rencontre la
théorie
du torticolis mental de Brissaud, la combat. No
x non améliorés. Le côté le plus curieux du travail est celui de la
théorie
de cette inter- vention iliérapetitipue. L'aute
e de cette inter- vention iliérapetitipue. L'auteur n'oublie pas sa
théorie
centrale et corti- cale du torticolis et alors
e suggestion puissante du centre cortical de la rotation. » Cette
théorie
ne me paraît pas fort encourageante. Je reconnais
anatomique des rameaux nerveux, nous nous trouvons en face de deux
théories
principales : I. Baerensprung insiste sur ce fa
t à la lésion les glandes, les poils, les cheveux. Bien que cette
théorie
de Baerensprung, soit acceptée par Neumann, Pot
ie Haut arterien der menschlichen Korpers, 1S89. ' 274 G. ÉTIENNE
théorie
de Bmrensprung, caries filets nerveux ne s'arrête
et il faut aussi tenir compte de la région des anastomoses. A cette
théorie
de Boerensprung faisant dépendre la répartition d
a moelle. Enfin, la lésion originelle dans les cas rentrant dans la
théorie
de 13;r,rensprung, peut être tout autre chose q
s objections soulevées, bon nombre de faits restent en faveur de sa
théorie
. II. Philippson, Petersen, Galewsky ont attiré
tement en dehors de la zone anastomotique. En opposition avec cette
théorie
de Philippson, on a voulu édifier des théories
opposition avec cette théorie de Philippson, on a voulu édifier des
théories
nouvelles qui ne sont, en somme, qu'une analyse p
gions nerveuses. Ici, il semble que l'on puisse faire intervenir la
théorie
méta- mérienne de Ross, Thornbull, Head appliqu
(2) : un nodule isolé ne peut guère avoir une autre valeur; mais la
théorie
ancestrale tient bon (3). Les quatre photographie
'homme, 1873, t. I, p. 21. (2) Cu. Fritz. La famille névropalhique,
théorie
tératologique de l'hérédité et de la prédisposi
vateurs. Toutes ces raisons militent singulièrement en faveur de la
théorie
uniciste. Et puis, on a contesté au gigantism
ion bilatérale. « Cette observation semble vérifier complètement la
théorie
de MM.Bris- saud et Meige qui font du gigantism
rquable rapport de Massalongo, cité plus loin ; cet auteur admet la
théorie
réflexe de Brissaud. DE L'AlIT11ROPATIIIE NERVE
ce de formes éliologiques et même cliniques n'infirme pas encore la
théorie
de l'unité. v 396 PAUL LONDE phie musculaire,
u la syringomyélie (observation de Prautois et Etienne). Quant à la
théorie
purement névritique elle semble bien insuffisan
urs ont en effet essayé d'appliquer il la macrodactylie iso- lée la
théorie
par laquelle MM. Trélat et Monod expliquait l'hyp
ma- tion de cette déviation chez les coxalgiques. Des trois grandes
théories
(osseuse, musculaire, ligamenteuse), que l'on p
ait concevoir, les deux premières nous paraissent insoutenables. La
théorie
osseuse a contre elle l'absence de lésion du sq
théorie osseuse a contre elle l'absence de lésion du squelette. La
théorie
musculaire ne pourrait être défendue avec succè
tendue la partie antéro-externe de l'aponévrose fémorale. La seule
théorie
qui puisse fournir une explication satisfaisante
ture. Les faits de ce genre constituent une objection sérieure à la
théorie
de l'hypotonie musculaire, émise par Fren- kel
cine » publieront prochainement notre étude sur ce livre et sur les
théories
anciennes à propos de la longévité. ( : I) « Se
on des pa- rents. » Voilà-t-il pas, merveilleusement tracées, les
théories
modernes sur l'hé- rédité et sur les limites de
iculier attribué à l'homme par Bacon s'adapte merveilleusement à la
théorie
de la gérocomique, telle que J. IL Cohausen l'a d
ne explication du souffle humain en général, où l'auteur établit sa
théorie
de la respiration selon les idées de son temps, i
nt la masse du sang, soitpar sa force balsamique vitale d'après les
théories
des Philosophes, soit d'après les principes mé-
ds de ses narines. Cohausen cherchant des arguments en faveur de sa
théorie
n'avait garde d'oublier l'exemple des fleurs, d
agne de David. Cohausen examine ensuite deux objections faites à sa
théorie
par son ami Nunning. 1° Pourquoi Salomon qui
é une application de la médecine statique de Sanctorius, , et de sa
théorie
de la perspiration au problème de la longévité.
comme un précieux document. Après nous avoir promené à travers les
théories
de ces illuminés dont le rêve était la découverte
les et que l'auteur a soutenu avec beaucoup de talent sa paradoxale
théorie
. C'était aussi l'avis des éditeurs anglais qui
ébille et une béquille. A droite, viennent par le haut une longue
théorie
d'éclopés. (1) Signalée par Charcot et P. Riche
né- crose ; les autres attribuent encore une part d'exactitude à la
théorie
de la myélite syphilitique et d'après eux les é
la com- pression par la prolifération cellulaire spécifique (Lamy),
théorie
que Na- geotte a défendue dans l'Iconographie d
amollissement inflamma- toire. Dans l'une comme dans l'autre de ces
théories
on admet d'ailleurs que les lésions ultimes de
stinée, non pas à rempla- cer, mais à prendre rang parmi les autres
théories
pathogéniques (con- gestion, irritation, troubl
ormations angiomateuses diffèrent des angio- mes vrais. En effet la
théorie
la plus communément admise est celle qui fait p
tolyse poursuit son évolution. Ce qui nous empêche d'accepter cette
théorie
, c'est qu'il existe des cellules encore gonflées
e le séparer des autres champs chromatiques. (2);h. BINET-SAN6LÉ,
Théorie
physiologique de l'hystérie (in Revue de l'hypnot
nt à la paralysie (in Archives médicales d'Angers, 1898,1899,1900).
Théorie
des np1l1'o-diéleclnqlles (in Archives de neurolo
vrai, expliquer ces phénomènes par la rétrac- (1) CH. Binet-Sanglé,
Théorie
physiologique de l'hystérie (in Revue de l'hypnot
uver place dans cet article, du moins, avant d'exposer les diverses
théories
sur la pathogénie de cette affection, devons-nous
s notions histologiques exposées, nous pouvons aborder les diverses
théories
sur l'étiologie de l'achondroplasie. Pour certain
ondroplasiques aux chiens bas- sets. Mais, à côté de ces diverses
théories
dystrophiques, éclairées d'une part par les rés
luant très rapide- ment.On appliquerait ainsi à l'achondroplasie la
théorie
actuelle toxique du rachitisme. Nous voyons en
hi- tisme et de l'achondroplasie. Peut-on choisir entre la première
théorie
dystrophique et la deuxième théorie toxique ? A
ut-on choisir entre la première théorie dystrophique et la deuxième
théorie
toxique ? A ce point de vue, nous nous rallions
gique «hérédité » une importance qu'il ne possède pas et édifier la
théorie
héréditaire du rachitisme, théorie qui, dans l'
qu'il ne possède pas et édifier la théorie héréditaire du rachitisme,
théorie
qui, dans l'observation ci-dessus, paraît entiè
tence chez des sujets nés de parents indemnes, les défenseurs de la
théorie
héréditaire durent-ils appeler à leur aide l'hé
fet retrouver assez souvent chez les ascendants. Ajoutons que cette
théorie
de l'hérédité (directe ou indirecte) paraissait
tes il rattacha le rachitisme à l'hérédo-syphilis. 304 ZIMMERN La
théorie
a cependant été entièrement abandonnée et les not
hitisme intra-utérin qui paraît se trouver en contradiction avec la
théorie
alimentaire. Mais ici la contradic- tion n'est
parfois une certaine hydro- pisie de la cavité arachnoïdienne ? Les
théories
modernes considèrent les phénomènes de l'urémie
rations anatomopathotogiques peuvent être invoquées à l'appui de la
théorie
toxique du syndrome diffus des tumeurs cérébrales
motrices (cas de Menzel) et certains nerfs crâniens. C'est là une
théorie
, dira-t-on. - Mais ce qui l'autorise, c'est que n
rvation peut soulever. D'ailleurs une étude critique des nombreuses
théories
qui se rappor- (1) Vasciiide et VunpAs, Contrib
ème nerveux central. Structure et fonction. Histoire criti- que des
théories
et doctrines. Paris, Georges Carré et Naud, 1899,
qui nous occupe. Nous le verrons bien en examinant les différentes
théories
qui ont été mises en avant ces dernières années.
se ne met-il pas en évidence une bar- rière anatomique que seule la
théorie
de la métamérie spinale est capable d'expliquer
nir la physiologie, il est sage de ne pas trop s'aventurer dans ces
théories
pa- (1) Médecine moderne, 1891, p. 6;i7, et Fol
que l'on rencontre dans certaines affections de la moelle. C'est la
théorie
de la « métamérie » indiquée par Brissaud. A chaq
-9 par SPRINGTHORPE et MULLEN. -P'» '" On a longtemps professé ta
théorie
qu un criminel ne pouvait être excusé pour caus
durables. . Pour l'alcoolisme, certains auteurs ont émis la même
théorie
, justiciable des mêmes critiques : l'alcoolisme
caractères de la vraie paralysie générale. M. Vallon pense que la
théorie
des pseudo-paralysies générales doit être attri
tence de cellules de cordons pour r les voies pyramidales ? Dans la
théorie
qui \ient d'être exposée avec tant d'éclat par
s aucune arrière-pensée, sans aucun parti pris pour telle ou- telle
théorie
, repose 'sur 128 cas, dont 27 classés de cause
goisse neurasthénique, ainsi que de la folie du doute primitive.
Théorie
de l'hyperexcitabilité de 'Arndt, Kowalewsky, Sad
. Théorie de l'hyperexcitabilité de 'Arndt, Kowalewsky, Sadowsky.
Théorie
de Meynert : ' l'anémie corticale affaiblit les o
- '' ' ..il,"4" ·, 1 . , w "t ' ' t- ^ y XLIII. Contribution .1 LA
théorie
DES hallucinations; par CIIVOSTEK. ' (Jnle·6ücl
s oreilles. (Annales médico-psychologiques, 1893.) E. Blin. IL La
théorie
PSYCHOLOGIQUE DE L'HYSTÉRIE (I%01'lJélllB CO)'tiC
ns cet article, M. Grasset résume d'une façon complète et fidèle la
théorie
psychologique de l'hystérie d'après les travaux d
et dire que les travaux récents sur l'hystérie ont donné non pas la
théorie
mentale de cette névrose, mais, suivant l'expre
be frontal gauche était en grande partie désorganisé. D'après les
théories
modernes, les centres inhibiteurs ne pouvaient do
lgré les apparences; un cas normal pour les nombreux pëirtisans des
théories
psycliiatriques'nou- velles. Aux observâtëils'q
u nerf optique. Une autre observation, intéressantes urtout pour la
théorie
est celle qui a trait aux altérations de la sen
ne inflammation ancienne qu'à une hémorrhagie, et que, en outre,'la
théorie
hémorrhagique ne rend que très difficile- ment
géné- ralisations hâtives ou de subordonner l'observation , à des
théories
. Ne cherchons pas à dominer les autres, mais ne n
nue le point de départ. Je ne veux pas disserter à nouveau sur. les
théories
par les- quelles on a cherché à expliquer le mé
aat0^ "f 41 j., x1 jfnd'lIw97 fi3J'nnt : f';^3 i , Voir pour cette,
théorie
, Calineil, De la Folie, t.l,p : '112;tJe regrette
jgné,0deItoutpCe8que nous sommes habitués à croire. Et comme, cette
théorie
. se, présente e sous le patronageid'un sâvnt ém
a lumière, réagit très bien quand on exciLe l'oeil peu sensible. La
théorie
indique que le, novau.de ,1 oculomoteur, commun d
cience, avril et juillet 1893.) ^^"^j ? ^, (J ,' ' On sait que deux
théories
ont été proposées pour11 expliquer la formation
11 expliquer la formation de la pachyméningite 'hémorrhagiqué,3 la'
théorie
de l'inflammation et'la théorie'de fhémorrhagie
s résume rapidement'pour arriver'à' l'exposition de la troisième- ·
théorie
,' qui lui est propre ? ^ - '«* ' 'q - ? o ? a ' -
Et, cette, dilatation, cet engorgement, ce n'est pas seule- ment la
théorie
qui conduit à les admettre; on les observe com-
ntouse sèche. Un"fait''négatif important 'qui vient à l'appui de la
théorie
'de* c'est 'que, dans ses nombreuses recherchés
-il»6è'e*n@ pàlh*olozie nerveuse.. Voici comment 1 auteur expose sa
théorie
: , d ? tr.9' i'iW W;m : r· l.,m^ 1 , ' -,» ? »
emiers, la contraction, et chez les secondes l'excrétion'. 3° Cette
théorie
, explique les grands -phénomènes nerveux, de la
arti- ficielle capable de produire du mouvement. , ? "J" 4° Cette
théorie
explique les effets bien connus^ des variations d
érale, par 1 action qu exceree le froid. , ·ii·· la.#1j . 5°.Cette-)
théorie
.attribue au liquide cérébro-spinal les fonctions
iôn. ar9yr4f,rrr <-fj 1'* 4 ? P,91-E- , 1 3-1l; il f 8° Si cette
théorie
est exacte, il existe dans l'organisme animal .
tien : : z ' ' ? L'auteur' passeu'ensuiteuaux applications ^de' cette
théorie
à quelques' faits de;physiologre.pathologique'u
' ! ·,m · af 1 *1 " I" ]0- < Il le, . ' ActiOI2 réflexe ? Cette,
théorie
fournit une explication du méca- · nisme. de l'
B 3f2Y1P.Af4 l w;, 6*op--i i e-iJ 111. Epilepsie. -77 D'après cette
théorie
les crises épileptiques peuvent être d'origine
< tpiï}f>l» ! »iil ano'tp^niboT' -OQ' t ' il/amé. Celte même,
théorie
, explique logiquement la manieàla façon d'une f
, un pécheur possédé du démon ^l i responsable d ses fautes. Cettef
théorie
1 spirituel] e., est- combattu e'e rt lirntn
derne de tous les États civi- lisés du monde; 211, en rééditant des
théories
surannées, les pasteurs ont pour but de créer u
blissements 'doivent être des psychiatres instruits' et'rompus à la
théorie
et à la pratiqué-dë lâ·psychiatrie.T't' r' ' ç
x , des dogmatistes, des' pneumatismes; il fait apparaître les cinq
théories
qui on eu cours sur cette maladie : : la théori
paraître les cinq théories qui on eu cours sur cette maladie : : la
théorie
^nerveuse, faisant siéger, la^ rage, dans' les
théorie ^nerveuse, faisant siéger, la^ rage, dans' les méninges, la
théorie
angineuse dans l'asophage et le cardia*, la thé
es méninges, la théorie angineuse dans l'asophage et le cardia*, la
théorie
^ diaphragmatique, la, thii6rie ? des, petits "v'e
, thii6rie ? des, petits "v'ers'bla'ncs"'s'o *ni la langue, et la :
théorie
mixLe ? lajtliérapeutique1très^ bizarre et(très
nfin) insistant sur le danger des, viandes corrompues,- inaugure la,
théorie
* pytho gène; Albucasis,qui insiste sur les hall
-' ? *-t.' On sait que cette question a fait l'objet de nombreuses
théories
. Mais jusqu'ici aucune d'elles n'a reçu la cons
4 'i* -7 ? U ç *} 1K< ,. '*>-, - ' . ·-111 : NcI ? A6us de la
théorie
des localisations' en psychiatrie et en anthrop
ces maladies, l'auteur examine le procédé qu'il faut préférer, les
théories
physiologiques qui per- mettent d'en prévoir le
blir complètement ou partiellement dans^le public les assertions et
théories
que' des maîtres autorisés'ont'à juste titre étab
sure grave de l'ac- cessoire et de ? par'Nicol, 457. .' Hystérie,
théorie
psychologique de l' -. par Grasset, 145. ,a rr,
l’Allemagne, ce pays des profonds penseurs, nous l’envoie. Est-ce une
théorie
nouvelle, éclose du génie d’un seul homme, ou bie
s évidemment dans une époque de transition. Les faits ont débordé les
théories
, comme au temps où parut La-voisier. On se jette,
ciété du Magnétisme. Il expose à la Société sa manière d’envisager la
théorie
du magnétisme, et, comme conséquence, son mode d’
commençât l’étude du magnétisme, il y avait des gens qui, d’après la
théorie
mes-mérienne, magnétisaient par une baguette de v
quelles conditions se trouve la médecine, et quelles modifications la
théorie
et la pratique de cette science ont pu subir pend
elle, et qu’ils viennent réclamer ses secours; ce n’est point par les
théories
qu'elle vit, c’est par la clientèle. Or, il est i
uvelles une direction plus sérieuse. Au lieu d’exposer aux élèves des
théories
toutes faites, et souvent très-mal faites, il con
aveugle et superstitieuse, ces prêtres procédaient sans règles, sans
théorie
. En examinant les oracles de Delphes on reconna
° Enfin un point de côté périodique et diverses névralgies légères.
THÉORIES
. DU LIBRE ARBITRE. L’homme est-il libre d’eng
rment celles de l’autre; en un mot, que la pratique s’accorde avec la
théorie
, que l’expérience sanctionne l’observation; c’est
ls eussent été présents en corps. » (La suite auprockain numéro.)
THÉORIES
. DU PRINCIPE DE LA SCIENCE. Il est une foi et
une forme du moi. Jacobi recommença cette œuvre de réforme dans la
théorie
de la perception. Mais s’il approcha plus près qu
du centre de mouvement. « C'est-à-dire, pour sortir un peu de cette
théorie
mécanique, que toutefois force m’était de rappele
pur la volonté d'autrui ou par la loi. (La tuile prochainement.)
THÉORIES
. FASCINATIONS. — FIÈVRE IMITATIVE. Si, grimpé
plus récentes hypothèses de psychologie; nous allons, par la nouvelle
théorie
, rattacher aux mômes hypothèses les deux derniers
ations animiques. Les dernières seules doivent trouver place dans une
théorie
générale où la fièvre imitative elle-même n’est a
qu’il s’est choisi est la constitution. (Lo suite prochainement.)
THÉORIES
. FASCINATIONS. —FIÈVRE IMITATIVE. (Suilc.)
et la malade a pu se promener pendant une partie de l’après-midi. »
THÉORIES
. De la polarité des fluides impondérables, et p
t-être eût-il convenu de lui laisser le soin d’en développer toute la
théorie
; cependant j’ai cru devoir réunir dans cette note
on est nulle, c’est-à-dire où aucune direction ne prédomine.» Cette
théorie
de Mesmer est conforme à celle des physiciens les
s il n’a pas démontré l’analogie des deux fluides ni la réalité de la
théorie
qu’il avance; c’est donc à nous de l’é-tudier.
un accident de ce genre arrivé, je suppose, au pied, en raison de ma
théorie
je cherche à détruire ce pôle et à empêcher son r
soit la puissance du magnétiseur, et, parles procédés résultant de ma
théorie
, tous pourront obtenir des résultats très-satisfa
uffer, tonifier et ranimer. J’ai moi-même expérimenté d’après celte
théorie
, et la vérité m’a été démontrée par des faits-, s
11 de ce mois la nouvelle suivante : «.... Peu à peu, cependant, les
théories
et « les faits d’un ordre supérieur attirent l’at
z-vous au conteur pour vous donner, par demandes et par réponses, une
théorie
très-vraisemblable de tout ce qui se rattache à l
méricain. Autant vaudrait ressusciter, pour avoir à les défendre, les
théories
du cardinal de Cusa (Nicolas Chripffs), avec lesq
ubtil pour avoir des organes, fonctionne librement, etc., etc. » La
théorie
de M. Poe, si voisine de celle de Bruno, ressusci
que M. Couturier est matérialiste, comme la plupart des médecins. Ses
théories
contre l’existence de l’âme affectent une allure
’eau dans la localité où il croirait devoir faire l’application de sa
théorie
. Cela se passait le 21 août. Le l'1' septembre, d
grand volume d’eau à la surface, et les faits sont venus confirmer sa
théorie
, et les sources ont surgi. Or, n’esl-ce pas là de
t de ce double mouvement est parfaitement démontré depuis l’admirable
théorie
de Newton; Kepler en a tracé les éléments dans le
ir un nouveau champ à la discussion. S’il en résultait le germe d’une
théorie
nouvelle, je m’en applaudirais comme d’une découv
e celle que Mesmer nous a révélée. (/.n lulltau prochain numéro.)
THÉORIES
. DES ERREURS ET DES EXAGÉRATIONS EN MAGNÉTISME.
urer avec ces matadores de la science, si profondément versés dans la
théorie
, si longuement éprouvés par la pratique ! Toutefo
tc., etc. Je crois, messieurs, que vous n’admettrez pas de semblables
théories
. Dans le somnambulisme lucide le point de vision
inièn bourgeoise, un précepte banal que vous connaissez tous sür la
théorie
culinaire du civet de lièvre : Pour faire uneivet
sons sidérales. C’est ce que comprit M. de Puvségur en abandonnant la
théorie
de son maître pour présenter, nu, tel qu’il s'off
; il i nouveau, lui faire quitter tre et la séparer e ritalien.)
THÉORIE
DES ESPRITS. -MWW- ÎUL1N0DIE. — ÉLECTRICITÉ B
r le phénomène des tables parlantes ? Cependant ce n'est pas faute de
théories
, car chacun fait la sienne, chacun compose son pe
ne sérieuse et mesurée qui convient aux sujets qu’il doit traiter. La
Théorie
du magnétisme animal, qu’il publie par articles s
ité est dans leur nature. Ils n’ont pas la prétention de lormuler une
théorie
de thérapeutique, de donner des règles générales
fourberie des médiums. Mais il ne tarda pas à s’apercevoir que nulle
théorie
purement physique ne pouvait rendre compte des ph
uiert de ce fait n’est plus le résultat d’une foi aveugle, mais d’une
théorie
positive. Par elle , les rapports de l'esprit et
, si même nous ne nous accordons complètement. Il ne se refuse plus
théories
sur les déductions d'une physiologie expérimental
e de la préconception, en sortent souvent mutilés. Ce monde, c’est la
théorie
. Voici celle de l’auteur : Nous avons, dit-il e
qu’il faut en accuser? Mais passons sur cela, et entrons dans votre
théorie
, dans votre hypothèse : « Quand nous dormons, not
orte dele savoir. Si vous avez écrit pendant la veille, d’après votre
théorie
, c’est votre propre esprit qui parle. Si c’était
i, depuis deux heures, a pris possession de ma plume me dit que votre
théorie
n’est qu’un fantôme qu’un rayon de réflexion fait
ique pas leur action ? Faire du bien est l’essentiel : guérissez ; la
théorie
se fera plus tard, si c’est possible. La médecine
es sont ouverts pour recevoir les malades et offrent chaque jour à la
théorie
la plus brillante et la plus utile des constatati
physiologique, sans y trouver toujours, il est vrai, selon ma petite
théorie
à moi, la solution des phénomènes observés. Un fa
nce. Au contraire, il croit que tout cela vient d’autre part. Cetie
théorie
s’applique également à tous les faits connus de r
iquer par la lucidité du médium, exercée à son insu. J’avoue que la
théorie
des esprits qui nous parlent par les tables ou pa
onfiance m’assurent l’avoir vu et touché. Je ne me cache pas que la
théorie
que je préfère ne soit beaucoup plus complexe que
relle, les inventions nouvelles, la géologie, la musique ou plutôt la
théorie
de l’acoustique, etc. Ces leçons ont été données
, les esprits, sur tout, sur rient... Enfin, autant de systèmes ou de
théories
, autant de sectes, et la discorde est arrivée dan
e pratique longue, persévérante et de tous les instants, ou ces mille
théories
ou systèmes enfantés chaque jour par tous les cer
l a fait appel aux faits et qu’il a repoussé de toutes ses forces les
théories
et les systèmes!... Car Puy- ségur, homme de bi
rd que ce ne serait que par les faits, et non par des systèmes ou des
théories
que peu de personnes lisent, même en les supposan
puis, que le tout soit classé avec méthode, et alors le système et la
théorie
du magnétisme en découleront sans peine et sans e
sans efforts, et ce seront les vrais, les bons, les seuls système et
théorie
; mais, peut-être , n’est-il pas temps encore. E
rien, nous ne donnons rien comme positif, nous n’établissons point de
théories
et nous ne faisons point de systèmes. Nous avons
faut pas vous décourager pour cela, ni retourner en arrière vers des
théories
d'électricité, de pensées inconscientes ou à'être
; il faut accepter les opinions les plus opposées et n’exclure aucune
théorie
. Mais ici, il est évident que la direction a été
l’inconvénient de cette consécration unique d'un numéro aux faits et
théories
spiritua-listes : des personnes incrédules , ou s
a maladie et en triompher. » Qui ne reconnaîtra dans ces paroles la
théorie
la plus simple et la plus claire, de même que dan
oncerne la sensibilité, l’expérience semble de tout point infirmer la
théorie
. M. Philips glisse très-légèrement sur ce point i
pression devient assez grande. Ce point est le plus important de la
théorie
de M. Philips, et nous croyons ne pas devoir nous
s. C’est toujours un très-mauvais système que de faire dépendre d’une
théorie
la réalité d’un fait, puisque nous pouvons par no
t d’erreurs, tant de mystifications, tant d’exploitation , et tant de
théories
ridicules, que les intelligences de bonne volonté
faits et les étudient, et se gardent bien d’adopter, comme hase d’une
théorie
ou fondement d’un système ces soi-disant révélati
fourberie des médiums. Mais il ne tarda pas à s’apercevoir que nulle
théorie
purement physique ne pouvait rendre compte des ph
endre, a-t-elle trouvé un écho dans de nombreuses intelligences ; les
théories
harmoniennes out été accueillies avec ardeur; ell
os oracles anciens qui ne trouve son explication naturelle d’après la
théorie
dont nous avons la clef. Sous n’accusons plus Hér
e démasquer des traîtres ?... Nous ne partageons donc aucunement en
théorie
les scrupules de M. Allix. Mais quand il s’agit d
ve, 428. Tic douloureux, 421. Tremblement nerveux, 383. ÉTUDES ET
THÉORIES
. Catalepsie (de la). Définition de cette maladi
et relations physiologiques de l'esprit et de la matière. Examen des
théories
de M. Philips, par M. Petit d’Ormoy, 400, 429.
ns ce qu’elles ont de commun avec la vue som-nambulique. Examen de la
théorie
de M. le docteur Brierre de Bois-mont. par M. A.
457. Médiums et somnambules. Etroite affinité qui existe entre eux.
Théorie
et faits à l'appui, par M. le docteur Gregory, 31
ambulisme. Action des sens dans le rêve et lle somnambulisme naturel.
Théorie
et faits à l'appui, par M. lle docteur Judée, 13.
rvations par MM. Petit d'Ormoy, 113 ; — de Guibert de Clelles, 348.
Théorie
et pratique. Celui qui s'adonne à la pratique de
icle signé : un correspondant (tome xiv, page 654 ). Réfutation de la
théorie
renfermée dans cet article, par M. lle docteur Ch
a suscités, cette question reste toujours ouverte. On sait qu'une
théorie
uniciste se dresse en face d'une théorie dualiste
rs ouverte. On sait qu'une théorie uniciste se dresse en face d'une
théorie
dualiste. Les uns, avec MM. Massalongo, Brissau
es documents positifs, fixant les idées, sont toujours utiles.' Les
théories
pas- sent. Seuls les faits bien observés demeur
galie est une véritable maladie » (G. Guinon). A rencontre de cette
théorie
dualiste Massalongo, Brissaud, Meige, etc., exp
décalcification. Cette hypothèse manque de fondement. Pourtant la
théorie
ovarienne resta debout, car elle est appuyée sur
alement à le rompre. Parmi les objections que Hoenicke apporte à la
théorie
ovarienne de 58 MARINESCO, PARHON ET MINEA l'
altérations thyroïdiennes nous semble le mieux établi. A côté de la
théorie
glandulaire de l'ostéomalacie, il convient de cit
e la théorie glandulaire de l'ostéomalacie, il convient de citer la
théorie
infectieuse. Zurn (138) et Kehrer, Hennig (139)
iIertz et Lolilein ont admis,eux aussi,sans des faits à l'appui, la
théorie
infectieuse de l'ostéomalacie. Arcangelli (141)
ie infectieuse de l'ostéomalacie. Arcangelli (141) a repris la même
théorie
sur la base de l'endémie ostéomalacique de Lazi
el avait d'ailleurs donné aussi des mé- tastases dans le foie. La
théorie
discrasiquepar troubles glandulaires et la théori
dans le foie. La théorie discrasiquepar troubles glandulaires et la
théorie
infectieuse ne sont pas d'ailleurs inconciliabl
n° 26. 23. llastrccv. Inaug. Diss. Bosel, 1903. 24. Hoenicke. Zur
théorie
der Ostéomalacie, etc. Berline,. kl. \Vuckensrlw.
est d'ordre mécanique. A ce propos il me plail de rappeler que les
théories
modernes, c'est-à-dire les théories basées réelle
il me plail de rappeler que les théories modernes, c'est-à-dire les
théories
basées réellement sur les données acquises par
ruosité des extrémités peut s'expliquer de trois façons : ou par la
théorie
mécanique (anomalies de développement des extrémi
delung 79 foetales, contractions utérines, traumatismes), ou par la
théorie
de l'ata- visme, ou par la théorie des troubles
érines, traumatismes), ou par la théorie de l'ata- visme, ou par la
théorie
des troubles trophiques consécutifs aux altéra-
ifformité congénitale des membres » où l'auteur étudie les susdites
théories
à travers les idées des savants qui s'occupèren
i s'occupèrent de l'argument. Ici je fais seulement observer que la
théorie
mécanique parait acquérir de jour en jour plus
itale, pas héréditaire et comme facteur de cause, s'appuyant sur la
théorie
mécanique qui expli- que bien des difformités d
étique de doigts perdus dans l'évolution de l'es- pèce. Selon cette
théorie
, l'os pisiforme représenterait un sixième doigt e
purement morbides. Par conséquent elle dépose en faveur tant de la
théorie
atavique que de la théorie pathologique. Je r
séquent elle dépose en faveur tant de la théorie atavique que de la
théorie
pathologique. Je rappelle enfin que, selon Deva
judicieux, après avoir hé- silésemble-til, s'était rattaché à cette
théorie
(1). Sydenham la regardait comme « une espèce d
la systématisation de certaines lésions cutanées, soulève autant de
théories
diverses, pour ne pas dire contradic- toires, n
rique ; en d'autres termes, il pa- rait assez naturel d'admettre la
théorie
nerveuse des noevi. Dans un mémoire récent, MM.
ervicale. (Fig. 1 et 2). , Dans ce cas-là, il semble bien que les
théories
cutanées soient insuffi- santes à expliquer la
les lignes frontière de Voigt. Si on passe en revue les différentes
théories
nerveuses, on reconnaîtra que ce noevus dans so
de deux lésions différentes el très localisées. D'un autre côté, la
théorie
radiculaire nous oblige à ac- 232 FOURMAUD ce
s du système vasculaire. Nous ne passerons pas en revue, toutes les
théories
pathogéniques qui ont été émises au sujet des n
é émises au sujet des noevi. Nous ferons seulement remarquer que la
théorie
radiculaire permet à elle seule d'expliquer tou
ner un territoire radiculaire. Nous conclurons de tout ceci, que la
théorie
de MM. Klippel et Pierre Weill est jusqu'à prés
ellules nerveuses, soit par des élémenls névrogliques. En outre une
théorie
admet l'existence d'une sécrétion interne; elle e
fondant sur les symp- tômes produits par ces tumeurs, il émet cette
théorie
que la glande pinéale est une glande vasculaire
pas le même pour chaque muscle. Debove eu Boudel émettent alors une
théorie
de l'alaxie. « Ces diverses recherches nous ont f
lité nous paraît être la cause de l'incoordination motrice. » Cette
théorie
de l'inégalité de tonicité musculaire, telle que
ormale; cet argument n'est pas suffisant pour faire abandon- ner la
théorie
endocranienne, car un trouble fonctionnel peut ex
nt légitime de chercher des arguments pour ou contre telle ou telle
théorie
pathogénique dans l'observation des symptômes con
t pas se servir de son doit surnuméraire. En somme, des différentes
théories
de la polydactylie que Constantini a exposées a
s* 41( ! CORDIER ET REBATTU Il y a là une preuve excellente de la
théorie
que nous allons tenter d'éta- blir et pour laqu
ous nous contenions de retenir le fait comme venant à l'appui de la
théorie
testiculaire de certains de nos infantilismes, pu
fier la conception de l'insuffisance pluriglandulaire, discuter les
théories
que cette concep- tion veut remplacer, préciser
mêmes cordons postérieurs. C'est de ces arguments qu'est sortie la
théorie
de la sensibilité de Vulpian-Leyden, pour expliqu
expliquer tout le mécanisme de l'ataxie. Malheureusement pour cette
théorie
, des faits cliniques sont survenus après et der
malades soient des tabétiques ataxiques. Ceux qui soutiennent cette
théorie
ont, pensons-nous, le tort de croire que tous l
é, nous croyons qu'Egger a eu le tort de rejeter complètement cette
théorie
. Si nous revenons à Duchenne de Boulogne, nous
'altération est d'or- dre médullaire, il est légitime d'accepter la
théorie
des métamères. Toutes les fibres sensibles d'un
'étrange répartition des éléments éruptifs ne s'explique pas par la
théorie
de la fièvre zostérienne de Landouzy ? En effet
oir une localisation à un segment de membre sans avoir recours à la
théorie
médullaire ». Assurément les infections ont des d
t à fait en (1) r1 ses remarques 11. Carrieu ajoutait : « Quanta la
théorie
de la iiiétaniérisption de la moelle, elle a ét
e ne revendiquerai rien aujourd'hui en faisant observer : il que la
théorie
de la métamérisation de la moelle est très antéri
ntérieur du système nerveux central. Mais vous voyez bien que cette
théorie
a fait son temps. Les monstruosités, celles du
es plus élevés, formant les cordons postérieurs. Quelle que soit la
théorie
, elle s'ap- pliquera à l'appareil labyrinthique
i- timement, à l'offense de la lésion tabétique, quelle que soit la
théorie
pa- thogénique ; et nous verrons dans la partie
cas précédent. Je n'ai pas à refaire ici l'historique déjà long des
théories
du sens musculaire, ni à en faire la critique;
x mouvements de la tête le nom de mouvements compensateurs, mais sa
théorie
inadmissible du sens de l'es- parce compromet l
Mendel à donner aux troubles oculaires une telle importance dans sa
théorie
du vertige. Le nystagmus vertical, beaucoup plu
issant avec l'affection auriculaire (1). ce qui s'ac- corde avec la
théorie
d'Ewald. - Je voudrais, en terminant, me défend
labyrinthique ou bulbaire (trijumeau) constituent-ils la base de la
théorie
des troubles d'origine trop exclusivement périp
tudes et les connaissances scientifiques qui donnent du poids à ses
théories
mé- dicales de l'amour. » C'est en ces termes
aire remonter la paternité jus- qu'à Ilippocrate. La plus antique
théorie
de la febris amatoria attribue en effet à des t
chlorose. Il ne nous appartient pas d'apprécier la valeur de cette
théorie
, assuré- ment trop exclusive, mais contre laque
mariage est le meilleur ». On retrouve là l'influence des vieilles
théories
hippocratiques sur la ge- nèse et le traitement
ulose et les troubles biliai- res sont tout aussi fréquents. Que de
théories
n'a-t-on pas échaufaudées pour expliquer la coe
ices volumi- neuses, pour varicocèles pouvant gêner la marche. La
théorie
mécanique de la formation des varices, qui veut q
congénitale de l'aorte était la-cause du nanisme. Aujourd'hui cette
théorie
est ruinée. L'étroitesse aortique n'est que le ré
issement circulatoire a été le plus généralement incri- miné. Cette
théorie
ne résiste pas à un examen sérieux. Il n'est pas
e altération. Ce serait nous lancer dans des hypothèses et dans des
théories
et nous voulons rester dans le domaine des fait
s de Læhr conclut en disant que les troubles observés confirment la
théorie
radiculaire du tabès, mais en faisant remarquer
la question, on y trouvera la mention et la discussion des diverses
théories
proposées pour expliquer cette variété particul
trophie musculaire. Nous rappellerons briè- vement certaines de ces
théories
intéressantes à connaître, car quelques- unes d
on dit, s'atrophient parce que le membre est im- mobilisé. C'est la
théorie
de Cruveilhier, d'Onimus, de Gillet. Max Sul- z
un appareil inamovible, il y a là un fait possible. Toutefois cette
théorie
(1) Charcot, Leçons du mardi, t. 1, p. 243. (
tous les mouvements de son bras normaux après son accident. Donc la
théorie
de l'inactivité musculaire est insuffisante. 2°
t insuffisante. 2° On a invoqué une névrite de voisinage. C'est une
théorie
soupçonnée par Sabourin (2), développée spécial
ons ner- veuses. Les examens histologiques n'ont pas confirmé cette
théorie
. Otto Kiliani (4), pour expliquer les atrophies
le rôle de corps toxique et agir comme un véritable poison. 3° La
théorie
de la propagation aux muscles de l'inflammation a
la rapidité avec laquelle ces atrophies peuvent se produire. 4° La
théorie
réflexe est la théorie admise aujourd'hui par la
lle ces atrophies peuvent se produire. 4° La théorie réflexe est la
théorie
admise aujourd'hui par la plupart des neurologi
théorie admise aujourd'hui par la plupart des neurologistes. Cette
théorie
soutenue par Vulpian, Valtat (5), Le Fort (6),
onstater dans une formule géné- rale, acceptable quelle que soit la
théorie
pathogénique que l'on adopte pour la maladie de
es contemporains dans le groupe des aphasies amnésiques » et que la
théorie
des amnésies partielles n'explique pas. Après u
te la question à propos des paraphasies et y étudie les différentes
théories
. Il repousse en particulier la théorie dc Werni
et y étudie les différentes théories. Il repousse en particulier la
théorie
dc Wernicke (Revue de médecine, juin 1899 et se;.
l'avantage de ne pas préjuger de la question. En nous en tenant aux
théories
actuelles, nous ferons ressortir que, dans notr
nir la physiologie, il est sage de ne pas trop s'aventurer dans ces
théories
pathogéniques. Constatons seulement que le.trop
t aucun rapport avec la distribution ner- veuse périphérique. Et la
théorie
de la métamérie invoquée par M. Bris- saud rend
e spinal est atteinte, le trouble, tro- phique reste unilatéral. La
théorie
s'accorde donc avec les faits d'observa- tion.
venait à être démontrée, on pourrait encore appliquera celui-ci la
théorie
pathogénique proposée par Brissaud pour celle-l
lui-ci la théorie pathogénique proposée par Brissaud pour celle-là,
théorie
qui admet « à l'origine de toute sclérodermie c
ues nIl de janvier et de juillet 1889) des exemples à l'appui de la
théorie
que j'ai proposée. Je rappellerai seulement ici
téral chez les chiens, donnèrent des résultats contradictoires à la
théorie
de la régénération de la substance de la moelle
psie corticale a produit toute une littérature. Dans aucun pays, la
théorie
corticale de l'épilepsie n'a rencontré de^ plus
que de la plupart des Italiens, ils n'ont point banni absolument la
théorie
bulbaire : ils se sont efforcés de la concilier
é transmise directement. t. Aujourd'hui, Luciani formule ainsi sa
théorie
corticale de l'épilepsie, théorie nullement exc
urd'hui, Luciani formule ainsi sa théorie corticale de l'épilepsie,
théorie
nullement exclusive, d'ailleurs, nous l'avons d
oteurs ont été détruits. Ce fait, qui est la pierre d'angle de la «
théorie
corticale », d'abord signalé par Luciani, a été
ches de Luciani sur lapa- thogénèse de l'épilepsie, en faveur de la
théorie
corticale. II Les accès d'épilepsie partielle
use prochaine des accès aurait bien toujours été, conformément à la
théorie
de Luciani, un état d'irritation des centres mo
névroglie et des vaisseaux, dans l'épilepsie partielle. Depuis, la
théorie
de la sclérose névroglique dans l'épilepsie « e
de « propriété épileptogène » spéciale. Luciani qui, d'après les
théories
, exposées en commun avec Tamburini, sur l'exist
iffusion des effets d'une lésion, même circonscrite, qu'implique la
théorie
de l'engrenage. La pathogénèse de l'épilepsie c
est la seule qui soit douée de propriété épileptogène. L'ancienne
théorie
«bulbaire» ou * médullaire» de l'épilepsie, celle
recommandé, il y a quatorze ans, de se montrer prudent quant à la «
théorie
corticale ». « On peut sans doute, dit-il, en e
e blanche. Cette observation est une brillante confir- mation de la
théorie
corticale de l'épilepsie. Il s'agit d'un épi- l
gée est le siège d'un centre de mouvements réflexes généraux ? La
théorie
bulbaire ne saurait expliquer davantage l'ordre s
Macleod et de Noel- Paton (Brain, 1882 et 1886), qui confirment la
théorie
corticale de l'épi- lepsie. DE l'épilepsie co
ccès 1. Pour être applicable à tous les cas cliniques possibles, la
théorie
corticale de l'épi- lepsie doit sans doute être
ls (presque tous, d'après lui) sont des malades, à n'en pas douter;
théorie
hardie d'un pionnier de génie qui a déjà imprimé
s de la circulation cérébrale. Seuls un ou deux cas ont rendu cette
théorie
extrêmement plo- bable. L'année dernière le Jou
ournal of mental science a tenté d'ex- pliquer la mélancolie par la
théorie
darwinienne. Enfin il est ra- tionnel d'admettr
des troubles de la sensibilité affective par le développement de ]a
théorie
de la descendance. Enfin, pourrépondre à M. Jol
exception, d'autres halluci- nations ne se puissent effectuer. Mes
théories
s'appuient sur l'ob- servation générale que, d'
essible. Elles ne sauraient être exclusives pas plus que toutes les
théories
. M. 11F : UOLD. Traitement au lit et cellule. D
onc aucune anomalie ap- préciable sur laquelle puisse s'appuyer une
théorie
paralytique de cette scoliose; il semble s'agir
4 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. dire d'excuse; 2° qu'il n'existe aucune
théorie
d'anthropologie criminelle qui soit suffisammen
r être introduite dans la révision de la loi criminelle. Mais cette
théorie
qui n'est pas faite, on peut tenter de la : faire
avoir paralysie générale sans cette lésion caractéristique; 7° La
théorie
de l'intoxication que nous avons exposée à la Soc
irés de l'histologie patholo- gique, qui lui paraissent infirmer la
théorie
de l'encéphalite inters- titielle initiale dans
e ou cellulaire; il ne cache d'ailleurs pas ses préférences pour la
théorie
soutenue par M. Magnan qui fait jouer aux lésio
Sapilli sont venues confirmer ces expé- riences. L'auteur expose la
théorie
de l'engrenage, d'après laquelle les médecins i
ous les sens, de la sensibilité générale et même du caractère. La
théorie
italienne des suppléances de l'écorce grise des c
centre de l'audi- tion, la surdité verbale, le sens musculaire, la
théorie
de Luciani, faisant des corps striés de véritab
s de ses élèves Gérente, Paul Garnier, Sérieux, etc., a formulé une
théorie
autrement nette et précise. Le délire de perséc
porté la discussion ? C'est, à mon sens du moins, sur ce que cette
théorie
a de trop absolu, bien plus que sur le fond lui
l'idée ambitieuse vient s'ajouter à celle de persécution ? . Une
théorie
séduisante, défendue surtout par Ach. Foville,
ement qu'il est prince, héritier du trône, etc.. ' . C'est là une
théorie
inspirée des doctrines de l'école psycho- logiq
la syphilis ensuite. La statistique qui a servi de base il cette
théorie
ne porte que sur les 30 paralytiques généraux d
cité du sol pénètre dans le corps par quatre pieds au lieu de deux,
théorie
qui a été défendue ? Nous ne le savons; mais le
nçais et leurs erreurs dans l'observation et les conclusions. Mais sa
théorie
nous semble aussi trop schématique et visiblement
l'observateur de la somnambule Felida devenue fameuse, a développa sa
théorie
dans une monographie avec des remarques sur l'amn
ontractures n'ont pas été suggérées d'une façon inconsciente,selon la
théorie
de l'expérimentateur. Un travail de Bfchtehew 3
le professeur Crocq, de Bruxelles, a cherché à pénétrer la genèse des
théories
anarchistes qu'il considère comme un fruit du pes
s sont les écrivains, les orateurs et les journalistes qui, par leurs
théories
antisociales et par les conseils pratiques qu'ils
naturel, sauf qu'ils y ajoutaient des gestes ou passes, fruits d'une
théorie
fausse, lesquels pourtant, par leur répétition mo
iminuée, fluctuante et sans lest, ce que prouvent les songes. Cette
théorie
psychologique de la distribution inégale des forc
d'hypnolisation produisent précisément les conditions qui, d'après sa
théorie
, sont nécessaires pour la production de l'hypnose
on travail n'est essentiellement qu'une exposition plus étendue de la
théorie
de Wundt sur l'hypnose. L'auteur est tellement so
es du cerveau. Un philosophe moderne a cherché à faire revivre la
théorie
que la musique était liée intimement à la fonctio
u langage articulé. M. le Dr W. Ireland est absolument opposé à cette
théorie
, et pense, au contraire, que l'organe de la musiq
s du médium ayant l'apparence de tromperie, il me faut résumer ici la
théorie
des faits médianiques, exposés par M. Ochorowicz
et magnétiques, comme leur branche spéciale. Sans cacher que toute sa
théorie
n'est que le premier pas dans ce domaine difficil
n) En ma qualité de rapporteur, je ne crois pas devoir juger si les
théories
de M. Ochorowicz, exposées ci-dessus, sont risqué
éraire de nier, en présence des travaux de Maxwell et de Hertz sur la
théorie
dynamo-électrique de la lumière, que la lumière p
erata où j'étais directeur, je me suis convaincu de la justesse de la
théorie
de Braid, reprise alors par Charles Richet et que
on a obtenu la guérison par ce moyen. dans une certaine mesure nos
théories
scientifiques. Ces phénomènes, qui autrefois étai
nous semble ne pas tenir suffisamment compte de certains faits que sa
théorie
ne touche pas, et qui, néanmoins, ne peuvent être
nseigner dans l'Université, à ses risques et périls d'ailleurs, telle
théorie
scientifique qui lui convient. Pour cela, le ca
Faculté de Droit de Louvain. II. — Lourdes et la science médicale.
Théorie
catholique du miracle Supercherie? Hallucinatio
ation est erronée et nécessite une justification complète. Voici la
théorie
du miracle exposé par le chanoine Dhuilé, de Sain
ssis sur les bancs de la faculté de médecine, qu'il est au fait de la
théorie
; il les a à peine quittés que, le cas échéant, i
moralistes. M. Liégeois, comme M. Liébeault, ne s'en tint pas à la
théorie
pure ; il prétendit démontrer sa thèse par des ex
que j'ajoutais immédiatement cette restriction significative : « En
théorie
, une pareille puissance est tout ce qu'il y a au
portait des réserves notables. Je distinguais entre la possibilité en
théorie
et la réalisation en pratique, c'est-à-dire que j
hipait » volontiers du tabac à ses camarades, toujours en vertu de la
théorie
du pas vu, pas pris ; « Ce sont des farces, quoi
le sur la Mémoire des hypnotisés. (Revue Philosophique, mars 1886),
THÉORIE
HISTOLOGIQUE DU SOMMEIL Hypothèses sur la physi
omène du sommeil et réveil, et nous donnerait ce que j'appellerais la
théorie
histologique du sommeil. Chez l'homme qui dort, l
ts-Unis n'hésitent pas à appliquer jusqu'au bout les conséquences des
théories
de l'Ecole de Nancy. Un fermier du Kansas, ayan
es que les expériences si consciencieuses de ceux dont je combats les
théories
, ne prouvent rien. Pour le moment, je me borne à
de la motilité. — Classification des degrés de l'hypnotisme. 3° Les
théories
modernes sur la production du sommeil. — Analogie
e. Tous ses sujets se façonnent sur sa personne : habitudes, langage,
théories
morales, sensations douloureuses, maladies, etc.
ccidents hystériques que nous sommes disposés à expliquer, suivant la
théorie
de Charcot, par des idées fixes, nous voyons que
ologique important. 2° Cette étude nous semble intéressante pour la
théorie
, pour l'interprétation des idées fixes. Cette dis
er à constater les faits sans chercher à les relier entre eux par une
théorie
quelconque ; dès l'origine, on voit les esprits o
d'avoir ouvert la voie aux hypothèses lorsqu'il a déclaré que, si une
théorie
doit être exclusivement fondée sur des ob-servati
sur des ob-servations, il faut de toute nécessité être guidé par une
théorie
pour se livrer à l'observation d'une manière fruc
ière a toujours manqué des éléments nécessaires à l'édification d'une
théorie
positive, et c'est pourquoi les nombreuses tentat
rfait et à l'époque où les faits ne sont pas reliés entre eux par une
théorie
physiologique i. « Le jour où la science, » a d
ment de nos jours un littérateur philosophe, M. Taine, sous le nom de
Théorie
des milieux. Ici l'exagération est fla-grante ; m
local ne fournit pas d'indications utiles ? 11 n'est pas jusqu'à la
théorie
des crises qui, soumise à la rude épreuve de la c
s; nous les retrouverons à l'époque où nous chercherons à discuter la
théorie
physiologique de la goutte. SIXIÈME LEÇON Sém
rches de ce genre. — Inconvénients de l'intervention prématurée des
théories
chimiques et physiologiques. — Nécessité de sépar
car c'est surtout ici que l'intervention pré-maturée et téméraire des
théories
chimiques et physiolo-giques, dans l'interprétati
et que, par conséquent, il est impossible de formuler aujourd'hui une
théorie
complète de la goutte ; tout au plus nous est-il
ts débilités. Nous consacrerons la prochaine séance à l'étude de la
théorie
de la goutte. APPENDICE A LA IXe LEÇON. des b
des détails. DIXIÈME LEÇON Pathologie de la Goutte. Sommaire. —
Théorie
rationnelle de la goutte. — Elle ne peut guère êt
ous ce l'apport. — Influence des bois-sons : expériences de Bocker.
Théorie
de l'accès de goutte. — Articulations affectées d
rattachent à la production de la goutte, il nous reste à chercher la
théorie
rationnelle de cette affec-tion, et à rapprocher
donc quelle était, à cet égard, l'opinion de nos prédécesseurs. Les
théories
formulées au sujet de la goutte pendant tout le d
aston établissent que les tophus sont composés d'urate de soude. La
théorie
de Gullen se maintient cependant toujours en Angl
vation ; cepen-dant Parkinson, Home et Holland se sont rattachés à la
théorie
de l'acide urique. En France, la goutte n'a été
que excrété? Les auteurs ne sont pas d'accord sur ce point. A. — La
théorie
de la combustion directe, formulée par Liebig, se
avoir de plausible dans ces explications, nous ferons observer que la
théorie
d'après laquelle l'acide urique et l'urée seraien
travaux, mais en vous faisant observer qu'il ne s'agit plus ici de la
théorie
générale de la goutte, mais seulement de la théor
it plus ici de la théorie générale de la goutte, mais seulement de la
théorie
de l'accès. passer en revue les plus importants
e de cellules de tissu conjonctif. Quelle que soit la valeur de cette
théorie
, on Ciiarcot. Œuv. compl. t. vu, Malad. des Vie
dité. — L'étude de celte question offre une grande importance pour la
théorie
du rhumatisme, car les affections héréditaires ne
vaient pas en même temps une action diurétique. Voilà ce que dit la
théorie
: interrogeons maintenant l'expérimentation théra
heureu-ses, le retour complet à la vie. Ainsi, Messieurs, de par la
théorie
comme d'après l'expé-rience le chaud et le froid,
— Abaisse-ment initial de la température. — Elévation consécutive. —
Théorie
phy-siologique. Messieurs, En terminant la de
. Cruveilhier, concernant le rôle important de l'acide urique dans la
théorie
de la goutte ; c'est ce dont témoigneront quel-qu
erches de ce genre. — In-convénients de l'intervention prématurée des
théories
chimiques et physiologiques. — Nécessité de sép
.................... 12? DIXIÈME LEÇON pathologie de la goutte.
Théorie
rationnelle de la goutte. — Elle ne peut guère êt
sous ce rapport. — Influence des boissons : expériences de Bocker.
Théorie
de l'accès de goutte. — Articulations affectées d
— Abaissement initial de la température. — Elévation con-sécutive. —
Théorie
physiologique......... . . . ,.......... 272 TR
34 ; — dans les poumons, 535; — dans le foie, 535; — origine, 155 ; —
théorie
de la combustion directe, 155; — théorie de Robin
oie, 535; — origine, 155 ; — théorie de la combustion directe, 155; —
théorie
de Robin, 155; — formation clans le rein, 155;
immodérés, 147 ; — traumatismes, 147; — causes débilitantes, 147 ; —?
théories
de Sydenham, 153 ; — théorie de Gullen, 153; — tr
s, 147; — causes débilitantes, 147 ; —? théories de Sydenham, 153 ; —
théorie
de Gullen, 153; — traite-ment ; — de l'accès par
laire sont fort bien conservées. Il y a donc contradiction avec les
théories
généralement admises. Ainsi voilà une particula
appe avec violence le sol, ce qui déjà ne se concilie guère avec la
théorie
d'un organe ramené à sa posi- tion première, en
fondamentale dans l'auto- suggestionnabilité de ces malades. Cette
théorie
nous explique pourquoi, à des traumatismes très
ésion définitive. L'observation citée par l'auteur montre que cette
théorie
, vraie dans certains cas, ne saurait être génér
lité. Conclusion irresponsabilité . P. K. XXVI. CONTRIBUTION A la
THÉORIE
des hallucinations; par Tigges. (Allg. Zeitsch.
e seule et même terminaison nerveuse de l'appareil sensoriel. Cette
théorie
chimique est applicable à l'hallucination, à la
ions qu'ils ont subies successivement sont très bien exposés, et la
théorie
de Bouchard sur les vices de nutri- tion dans l
omatique du signe de Romberg ; examinons maintenant sa nature et la
théorie
pathogénique qu'il est possible de lui applique
tout à fait normale qui cependant le présentent. D'ailleurs, cette
théorie
est abandonnée par la plupart des auteurs comme
ie, lorsque la sensibilité est intacte. » Vulpian admet aussi cette
théorie
et attribue ' Vantail-, loc. cil., p. 183. °
s cas ; il reconnaît des excep- tions ; cependant il admet aussi la
théorie
ordinaire. Il me paraît inutile d'insister dava
raisons qui me pous- sent à cela. 1. Comment expliquer avec cette
théorie
pourquoi le brusque passage de la lumière à l'o
possède une perte complète du sens musculaire, et pour laquelle la
théorie
classique pourrait être invoquée. Eh bien, vous
nterceptée par un carton ? Il me semble qu'il devrait tomber, si la
théorie
est vraie, comme l'ataxique qui ferme les yeux.
de trouver une pathogénie qui s'adapte mieux aux faits. 3. Si la
théorie
classique était exacte, le signe de Romberg ne
a sensibilité. Seulement comme il ne veut malgré cela abandonner la
théorie
classique, il se déclare obligé d'admettre que
que je viens de vous indiquer, il suffirait à ruiner entièrement la
théorie
clas- sique. 4. La preuve inverse peut être f
eux étant fermés ; mais il me paraît démontré que là n'est pas la
théorie
physiologique de ce symptôme. Celui-ci est un tro
ssu conjonctif ou de ses dérivés, tissu cartilagineux, osseux. La
théorie
de la phagocytose est très séduisante ; mais te
t sur la personne affectée. De l'étude historique des principales
théories
, magnétisme ter- restre, magnétisme animal, etc
l'hypnotisme comme agent thérapeu- tique devient évidente, si cette
théorie
est exacte, et l'on comprend ainsi comment des
. (Ame1'iean journal of insccnity, 1890.) E. B. XXII. Essai d'une
théorie
DE la tétanie; par H. Schlesinger. (Neurolog. C
de la température somatique. Ces expériences donnent un démenti aux
théories
classiques. Il faut aussi noter que les os du r
tre sa pathogénie, il convient d'examiner à laquelle des nombreuses
théories
qui ont été données pour expliquer le mécanisme
ue nous a présentée ce malade. Nous éliminerons immédiatement les
théories
physiolo- gique, ligamenteuse et costrale. Il s
éunies que cette déviation mérite d'être attribuée. A vrai dire, la
théorie
musculaire possède quelques arguments en sa faveu
i existe chez notre malade; elle était au contraire très légère. La
théorie
musculaire n'est donc pas à même d'expliquer co
de vue, et notre observation en fournit un excellent exemple. La
théorie
osseuse, soutenue par Bouvier 1, Dubreuil2 et plu
té des faits connus. Sans doute une pareille formule, comme toute
théorie
scientifique, est provisoire puisque les faits co
ue et qui caractérise la maladie. M. Charcot a toujours exprimé ces
théories
avec beau- 1 Charcot, ibid., t. III, p. 375, 39
nts, ces troubles du mouvement si bien résumés d'autre part par les
théories
de M. Charcot et de M. Moebius. Cette séparatio
, l'idée fixe qui devait les provoquer et les entretenir d'après la
théorie
de M. Charcot ne pouvait être exprimée par le m
id., 1889, p. 367. s Jules Janet. Hystérie et hypnotisme d'après la
théorie
de la double personnalité. (Revue scientifique,
p. 622. s L. Laurent. De l'état mental des hystériques d'après les
théories
psychologiques actuelles. (Archives cliniques d
tention, favorisent la déchéance intellectuelle. A l'appui de cette
théorie
, M. Francotte rapporte les observations de trois
la névrite à son premier stade de développement. En faveur de cette
théorie
, on peut citer les expériences de Debove et Itay-
pas de nature spinale, comme on serait porté à le croire d'après la
théorie
des rapporteurs, mais qui se produisent par l'e
t systématiques. On serait donc en droit, tant dans l'intérêt de la
théorie
que de la pratique, d'exiger que l'on formule s
r leur guérison, multiplicité encore augmentée par l'imperfection des
théories
et, trop sou-vent, par la stérile abondance des m
n y suit, dans ses phases, l'art de guérir; on y apprend à dégager la
théorie
de la routine, à discerner le vrai du faux, à sai
t aux manœuvres, surtout parles tra-vaux de M. Gensoul. Toutefois, en
théorie
, est-ce une bonne méthode que la cautérisation qu
tisfasse à-la-fois la raison du savant et l'instinct de l'artiste, la
théorie
et la pratique de l'art, c'est bien assurément l'
Alexandrins sur la physique ; mais il est difficile de croire que la
théorie
de l'optique ne fût pas déjà très avancée chez un
r une pellicule pu-pillaire, pratique exclusivement la dépression. Sa
théorie
et son procédé sont suivis par G. de Chaulieu et
, suivant les cas, dans la pratique, la marche de l'opération, et, en
théorie
, donnent lieu à un grand nombre de modifications
ablit déjà les cas dans lesquels ou doit préférer l'une à l'autre. La
théorie
erronée de G. deSalicet ayant fait prévaloir l'ab
'oreille moyenne étant définis; pour convertir leur mode d'ac-tion en
théorie
et apprécier la valeur des moyens employés par l'
ule ou combinée avec l'arrachement dont elle peut être considérée, en
théorie
, comme un mode, l'une et l'autre ayant pour objet
racine, la partie la plus résistante. Vexcision en elle-même est, en
théorie
, une méthode excellente, et, suivie de la cauté-r
n'en parle que succinctement, mais assez néan-moins pour en fixer la
théorie
. Déjà on le voit préoccupé d'ob-tenir la réunion
sseux sous-uasal qui supporte les dents incisives et même canines. En
théorie
Blumembach, Meckel et Béclard ont pensé que le be
palatine, qui constituerait le bec-de-lièvre. Déjà on sent que cette
théorie
ne rend pas raison de la forme du tubercule sous-
dens consécutifs, ce moyen, conseillé par Zang, est resté à l'état de
théorie
, aucun chirurgien ne l'ayant mis en pratique. Ajo
a pu déterminer les cas dans lesquels il est applicable. Le séton, en
théorie
, n'étant qu'un corps étranger dont la présence do
ècle par tous les auteurs, et l'efficacité de l'opération. Il pose en
théorie
, et l'on convient généralement, d'après lui, que
sultats ; en sorte qu'il n'en est pas aujourd'hui de mieux prouvé. En
théorie
, pour que la respiration soit facile , il est évi
canal, de manière à faire glisser l'éponge au-dessous. Voilà pour la
théorie
; mais à la pra-tique il n'en est pas ainsi. L'in
sant avec le médiaslin vers l'autre côté de la poitrine. Telle est la
théorie
de l'épanchement qui se forme rapidement et avec
c et delà plupart des médecins et chirurgiens qui tous l'admettent en
théorie
, quoique aucun d'eux ne l'ait pratiquée. Cette de
ifficulté, quant à la pratique opératoire, il n'en est pas de même en
théorie
chirurgicale de la convenance de cette extraction
u en reconnaître le mécanisme. Mais malheureusement l'ignorance de la
théorie
a fait obstacle aux tentatives de ce genre. Jean-
. pu être éva-cuées par la trachée-artere. Ainsi donc aujourd'hui, en
théorie
, la condition essentielle à la formation d'un tra
s , nous croyons pourtant qu'il faut bien se garder de généraliser en
théorie
l'absence de ci-catrisation directe des lèvres de
enir une cure radicale, et quant à l'é-tranglement, on n'ensavaitnila
théorie
, ni le traitement chirurgi-cal. Après Celse, Gali
e sa conduite. Autrement, et afin de parler un langage plus clair, la
théorie
de l'étranglement et de l'opération qu'il nécessi
r, la théorie de l'étranglement et de l'opération qu'il nécessite, la
théorie
de la cure radicale, spontanée ou avec opération,
site, la théorie de la cure radicale, spontanée ou avec opération, la
théorie
de Eanus contre nature et de son traitement repos
rs en dedans. Mais on s'est bientôt aperçu qu'un tel précepte, bon en
théorie
, n'était pas toujours applicable sur le malade; c
nne en croisant le même liga-ment. Après tout, cependant, bien que la
théorie
indique encore ces craintes relativement au débri
causer une ulcération à la peau. L'expérience pourtant infirme cette
théorie
; la fistule interne, d'après l'observation de tou
esoin de quelques jours pour se déterger. Les chirurgiens anglais, en
théorie
, se sont rangés unanimement à l'opinion de Poutea
sation. On ne peut non plus qu'indiquer cette mé-thode opératoire. En
théorie
on conçoit bien que les caustiques aient être e
n'entraîne pas d'acci-d en s graves. Enfin, considéré en lui-même, en
théorie
, il sem-ble bien que le contact delà mèche et l'
ritie ; c'est réelle-ment de là que date son origine, c'est-à-dire la
théorie
unie à la pratique. En réalité, dans ces essais g
ce que l'on sait des inventions complexes qui, exigeant l'union de la
théorie
et de la pratique , ne surgissent pas de premier
cet instant on le vit cher-cher à s'instruire et tâcher de joindre la
théorie
à la pratique, afin de pouvoir répondre aux criti
avis à exprimer sur ces derniers procédés qui n'existent encore qu'en
théorie
. OBLITÉRATION DU VAGIN. Ressource extrême, si
nte avec le tissu même de l'utérus, ne s'ac-« commoderaient pas de la
théorie
de Levret, laquelle ne me pa-« raît applicable qu
a matière. Mais le sujet en lui-même était encore trop restreint, les
théories
trop nouvelles, indécises ou in-certaines, les fa
tomie avec les autres, mais que nous devrons présenter à part dans sa
théorie
et ses formules opératoires avec leurs principale
nie positivement cette cause qu'il croit empruntée mal-à-propos de la
théorie
du pied-bot, et allègue pour preuve qu'en fermant
nt de l'objet fixé par l'œil le plus fort. Sans nier absolument cette
théorie
qui rendrait compte de beau-coup de récidives dan
re; il ne l'a trouvée que deux foissur cinq cents; i sur a5o. Dans la
théorie
générale deM. J. Guérin, ces dégénérescences, com
opérations variées, il suffit ici de constater le fait général et la
théorie
qui en résulte : que la myo-pie paraît souvent pr
res de preuves sont invoqués par l'auteur à l'appui de son ingénieuse
théorie
: la première est la diminution et le trouble ins
encore reconnue jusqu'à un cer-tain point en opérant, ou prévue parla
théorie
générale de M. J. Guérin sur la transformation fi
es considérations anatomico-physiologiques qui précèdent se déduit la
théorie
des variétés diverses du strabisme et des opérati
ns leurs va-riétés aux mêmes considérations. Telle est en sommaire la
théorie
des divers genres de strabisme, déduite de l'obse
pas'encore établies, mais du moins le fait principal, la preuve de la
théorie
par la réussite de l'o-pération était acquise; le
n homme a opéré devant lui des strabiques, et agissait en vertu d'une
théorie
qui ne diffère pas sensiblement de celle qu'on pr
lle , ces notions confuses ont eu quelque part au développement de la
théorie
constituée de nos jours. Néan-moins le fait en lu
entièrement univoques, de sorte que, à la naissance du strabisme, la
théorie
anatomico-physiologique de son mode de guérison s
ection du grand oblique. D'après ce que nous avons vu plus haut, la
théorie
est loin d'être fixée sur les motifs qui nécessit
au tendon du grand oblique. Toutefois, il faut recon-naître que cette
théorie
est d'une application bien vague à la pratique. S
n chez des malades affectées d'albugo : rien n'est plus simple que la
théorie
de cette ingénieuse application. Il s'a-git de fa
s nous allons essayer de renouer avec la pratique ce que l'on sait en
théorie
, et notre travail sera le résumé de l'état de la
jà autrefois, nous croyons faire plaisir à M. Amussat en publiant une
théorie
et des faits anciens qui vien-nent corroborer sa
nt passage à l'air; mais cette opération, qui ne s'appuie que sur une
théorie
hypothétique, n'a eu aucun succès et est com-plèt
e est encore à exposer tout entier. Sans cloute, si avec l'énoncé des
théories
de la difformité nous devions en sui-vre, dans to
, sur l'étude des difformités. Mais nous n'emprunterons à la nouvelle
théorie
que ce qu'il est indispensable d'en connaître au
ment les ouvrages qu'ils ont publiés. Deux grands faits dominent la
théorie
des difformités : d'une parties altérations du sq
érapeutiques, que nous parais-sent s'opposer et se combattre les deux
théories
de MM. J- Gué- rin et Bouvier. Mais telle est l
artin et Cruveilhier ont cru en reconnaître de semblables. Dans cette
théorie
, la déviation est le résultat de la situation nor
certains muscles sous l'influence d'une affection nerveuse. De cette
théorie
se déduisaient deux for-mules , le raccourcisseme
peuvent trou-ver leur application suivant les cas. C'est à cette même
théorie
que se rapportent les pieds-bots produits par les
te contestation. Quant aux déviations congenia-les , il est une autre
théorie
à laquelle les travaux les plus récens d'embryogé
sieurs autres, ces trois propositions générales qui résument toute sa
théorie
. « i° L'histoire des fonctions chez les sujets
rétraction, quel qu'en soit le siège, les muscles à diviser sont, en
théorie
, ceux, dit M. Guérin, qui tien-nent la déformatio
ans les cas très complexes, car dans les circonstances ordinaires, la
théorie
des difformités est aujour-d'hui assez avancée po
ns signalé par M. J. Guérin, qui concorde si bien avec l'ensemble des
théories
sur la diffor-mité, comme aucune observation de M
sont fréquemment au repos. Nous pensons donc que les faits, comme la
théorie
, militent en faveur de M. Guérin. D'après sa décl
es doctrines de M. J. Guérin, pour en faire comprendre l'ori-gine, la
théorie
et les applications encore récentes, mais pleines
ne pouvons mieux faire que de laisser l'auteur développer lui-même sa
théorie
à cet égard. Théorie des incisions sous-cutanée
que de laisser l'auteur développer lui-même sa théorie à cet égard.
Théorie
des incisions sous-cutanées. « Le caractère propr
t les cinq pro-positions suivantes qui donnent le résumé précis de sa
théorie
: « i°Les plaies sous-cutanées des tendons, des
de l'enveloppe cutanée. » (Ouv. cité, page 70.) Applications de la
théorie
. M. J. Guérin donne, dans une série de propositio
vant de fermer notre ouvrage, avons-nous cru devoir y consigner cette
théorie
, aussi neuve que féconde, pour contri-buer à la r
Rétractions des muscles du dos, xlvii—xliv. CHIRURGIE SOUS-CUTANÉE.
Théorie
des incisions sous-cutanées. — Application de la
OUS-CUTANÉE. Théorie des incisions sous-cutanées. — Application de la
théorie
. — Ponction sous-cutanée de l'empyème. Ponction s
mpruntée de Scarpa). Ce cas est donné par Scarpa en explication de sa
théorie
de Ventonnoir membraneux, (a) Orifice du bout sup
'in-dicateur qui la fait pénétrer dans la vessie. FIGURES 4 5 5, 6.
Théorie
du cathétérisme. Dans ces trois figures dessinées
n'est, comme on peut s'en assurer, qu'une ap-plication spéciale de la
théorie
anatomique des enveloppes de glissement que nous
mant parle résultat même de leurs recherches sur ce point spécial, la
théorie
générale que nous avons posée. Figure 3. Aspect
ent le même résultat que l'opération sur l'homme. Figures 17 et 18.
THÉORIE
DU STRABISME ET DE LA DIPLOPIE. Figure 17. Théo
igures 17 et 18. THÉORIE DU STRABISME ET DE LA DIPLOPIE. Figure 17.
Théorie
du strabisme, citée par M. Dufresse-Chassaigne.»
assaigne, Traité du Strabisme et du Bégaiement, page 14. Figure 18.
Théorie
de la diplopie, donnée par M. J. Muller. Les ax
ux incisions se confondent pour ainsi dire et tout au plus formant en
théorie
un petit écartement; en liant, se réuniraient en
us rattacher d'une manière exclusive à l'une ou l'autre de ces deux
théories
. Ici plus que partout ailleurs l'exclusivisme e
z un même sujet. Son histoire ne nous parait compatible, ni avec la
théorie
des rap- ports directs, ni avec la théorie de s
t compatible, ni avec la théorie des rap- ports directs, ni avec la
théorie
de simple coïncidence. Le grand principe de la
ysie générale, M. de Buck se rallie d'une façon catégorique il la
théorie
de l'origine fibroplastique des cellules plasmati
ide. S'appuyant sur ces considérations, M. de Buck se rallie à la
théorie
de l'origine vasculaire primitive de la paralysie
ganglion spinal, l'auteur estime que ce fait vient à l'appui de la
théorie
ncuro-irritative par voie de l'arc réflexe symp
cette déviation après la disparition de l'hémi- anopsie, combat la
théorie
de l'origine sensorielles de ce phé- nomène, ré
asset. (Revue des Deux- Mondes, 15 septembre 1905). On connaît la
théorie
des deux psychismes auxquels cor- respondraient
des Juges, l'irascible et sanglant Samuel qui permet de donner une
théorie
nouvelle de l'hallucination verbale, les prophè
flasque ; il aurait été du plus haut intérêt, au point de vue de la
théorie
, de savoir comment se sont comportés les réflex
taient restés abolis d'une façonpersistante, ce fait infirmerait la
théorie
que nous avons soutenue dans notre thèse, à sav
uelle se creusait l'ulcération. Plus tard, on tenta de remplacer la
théorie
mécanique parune théo - rie vasculaire. On avai
PERFORANT ET PARALYSIE GÉNÉRALE. 115 actuelle du mal perforant : la
théorie
nerveuse, d'après laquelle lemal perforantestun
pas adopter, en ce qui concerne l'étiologie des maux perforants, la
théorie
nerveuse d'une façon trop exclusive et la compr
du sacrum y soit un facteur d'une certaine importance. C'estdouc la
théorie
mixte, mécanique et nerveuse qui semble devoir
MAL PERFORANT ET PARALYSIE GÉNÉRALE. 117 missions ? On sait les
théories
analomo-pathologi- ques variées invoquées par l
n. Pour qu'elles restent diver- gentes, il faut toucher le plateau (
théorie
facile à comprendre). Or, si de cet instrument
etArtaud, de Iiossoliulo, de Pierrot semblent donner raison à celle
théorie
du rappel : il semble que l'intoxication exo ou
arcel URIAND. SOCIÉTÉ DE NEUROLOGIE Séance du 7 décembre 1()Oj.
Théorie
sensorielle de la déviation conjuguée de la tête
radiations optiques de Gratiolct. Ce cas viendrait à l'appui du la
théorie
du Bard, qui fait dépendre la déviation conjuguée
ns les cas avec demi-coma. MM. Brissaud et Marie exceptent du cette
théorie
les cas avec coma complet et ceux avec conserva
oit quelquefois par ces syndromes associés (Triboulet). - Une autre
théorie
pathogénique est née de l'étude systématique de
oercibles de la gros- sesse, crises éclamptiqùes. Laquelle de ces
théories
devons-nous appeler à résou- dre le problème pa
rait joué qu'un rôle étiologique. Mais alors, nous reve- nons à la
théorie
nerveuse à laquelle nous donnons la pré- férenc
que par un état convulsif à la plus minime cause provocatrice. La
théorie
nerveuse explique facilement pourquoi le travai
volué d'une façon à peu près normale. Je sais bien que, d'après une
théorie
originale du Dr Larger, les présentations anorm
breux éléments embryonnaires, des prolongements protoplasmiques. La
théorie
de l'excroissance, formulée par llis, défendue
défendue par Cajal et Leu- nossek, ne résisté pas aux (ails. Celle
théorie
est encore reprise par Hethe, qui soutient que
ation d" plasme. L'auteur ne conteste pas, et même il accepte cetto
théorie
, admettant que la chaîne cellulaire est formée
augmenter son proloplasma. En terminant, l'auteur s'occupe d'une
théorie
émise par Olmer, en IR\)9; suivant lui, cette hyp
les de la rétine, tout en étant des anastomoses, n'infirment pas la
théorie
du neurone. Ce serait ainsi un noyau spécial non
uisant à l'angle in- terne de l'oeil est très rare. Il rappelle les
théories
foetales ou embryonnaires, qui cherchent à expl
faire, si tant est qu'elle soit jamais possible, aujourd'hui que la
théorie
des neurones a complété et modifié la théorie p
e, aujourd'hui que la théorie des neurones a complété et modifié la
théorie
primitive des localisa- tions en surfaces corti
treque, s'il existe des différences dans les états myotoniques, une
théorie
générale permet néanmoins dégrouper l'ensemble
graine; Par le professeur P. KOVALESKY Nous sommes partisan de la
théorie
qui admet l'exis- tence d'un lieu génétique ent
de certains troubles délirants, ce qui nous ramènerait à la vieille
théorie
de la folie hépatique de Ga- lien ( : .d. : t;
cin de la Maison de santé pour femmes, à Cane. b) Neurologie : La
théorie
du neurone. Rapporteur : Mlle le Dr Stefanowska
dot. Qu'est-ce qu'une passion ? Mauxion. L'intellectualisme et la
théorie
physiologique des émotions. Prolrsl l3tttnnLY. Co
que sur les lacunes de -, par Catola, 132. Déviation conjuguée.
Théorie
sen- sorielle de la de la tête et des yeux, p
pectives, ce qui ramènerait l’excitation des facultés organiques à la
théorie
générale de l’excitation des sens. » Il est à r
rine, on s’est contenté de railler. Dans les sciences applicables, la
théorie
n’a qu’une importance très-secondaire. En thérape
rce que, dans l’espèce, cela 11e peut être. S’il était question d’une
théorie
, d’un principe, d’une doctrine, ou d’un système,
l’égard duquel je décline toute compétence. J’ai énoncé contre la
théorie
des objections que je n’ai pas la prétention d’av
s récits comme parole d’Esangile, les ont invoqués à l’appui de leurs
théories
sur la nature, les mœurs et les migrations des Es
dans le champ des hyp* thèses; j’aurais voulu rester étranger à toute
théorie
, à tout dissertation et me borner à rapporter rig
e de ma profonde estime et de ma considération. » L. Lavezzari. »
THÉORIES
. « Francfort-sur-Mcin , 31 décembre 1858. c Mon
peu de ménage* la pudeur publique, ne sont, quand on ne joint pas la
théorie
à la pratique, que d’indignes profanations, et l'
s faits accumulés en grand nombre, des contradictions fréquentes,des •
théories
plus ou moins hasardées, se détruisant souvent l’
es£iiels repose une science. « Mentionnons ici quelques-unes de ces
théories
pour les soumettre au jugement d’une froide raiso
permettrez de ne pas discuter longuement le plus grand nombre de ces
théories
; quelques-unes sont tellement étranges, qu’elles
lié ces grands principes qui seuls peuvent servir de fondements à une
théorie
vraiment rationnelle. Car lui, le divin Mesmer, d
’entend pas donner un traité complet de la matière, niais exposer une
théorie
qu’il croit propre à rendre compte des faits du m
ui y sont engagées, et essayer de donner de cet état do l’âme une
théorie
selon les règles d’une saine méthode philosophiqu
n opposant sa propre expérience à celle d’autrui, mais en vertu d’une
théorie
qui les lui fait juger impossibles. En présence
s faits, «’ils sont bien établis, ont une'tout autre autorité que des
théories
; elle doit concevoir au moins ce doute philosophi
l'agrypnie (absence morbide de sommeil), et joignant la pratique à la
théorie
, il ajoute en note : «J'ai débarrassé la femme d’
tes américains, elle nous semble en contradiction formelle avec leurs
théories
. Quand on les prie d’exhiber quelques-uns de ces
s. Nous nous permettrons de leur faire remarquer que, d’après leurs
théories
, ils n’ont nul besoin de câble, puisque ce sont l
mner d'avance un remède sans l’avoir expérimenté, et les plus habiles
théories
ne peuvent à priori en démontrer l’inefficacité.
rop tôt ce qui seul lui a donné une grande valeur. Au milieu de ces
théories
philosophiques qui se produisent chaque jour, de
une petite et peut-être dernière bataille au profit de la vérité.
THÉORIES
. SYSTÈME PHYSICO-PI1VSIOLOGIQUE TOUCHANT LES PH
erché de bonne foi à s’éclairer. 11 me suffit d'avoir montré que leur
théorie
n'est point insensée, qu’elle n’est pas dangereus
de regarder comme probables. Je veux seulement montrer comment cette
théorie
explique les prodiges qui, dans des siècles moins
tels que les faits de lucidité qui subsistent en dépit de toutes les
théories
. C’est là qu’on peut trouver de précieux renseign
astiques. « Je ne l’ai point écrite non plus pour les avocats de la
théorie
, dont la mission semble être de nier tout ce qu i
issance magnétique sans crainte des railleurs, mais il fait toute une
théorie
de l'application du magnétisme à lvart militaire.
ible, palpable, incontestable, qui vient donner un cruel démenti à la
théorie
. 1HM. Dubois (d’Amiens) et Mabru, qui affirment q
le ainsi à faire revivre des croyances si fécondes en calamités. Sa
théorie
de la lumière astrale prouve avec quelle facilité
its expliqués valent pour l’authenticité ceux auxquels il applique sa
théorie
. Dans la partie historique, l’auteur néglige d’
bles qui ne croiront point aux œuvres magiques. Baron du Potet.
THÉORIE
. SYSTÈME PHYSICO-PnYSIOLOGIQUE TOUCHANT LES PHÉ
s contredit la loi de la pesanteur. Aussi est-ce sur ce point que les
théories
physiologiques sont encore moins satisfaisantes e
ieux même encore justifier du principe devenu méconnaissable dans vos
théories
? Nous jugeons mieux que vous des hommes de notre
es vérités : malgré la sympathie que nous inspirent la plupart do ses
théories
, nous regrettons de ne pouvoir le suivre sur ce t
à laquelle ontpris part tant d’hommes intelligents, est-il sorti une
théorie
qui rende compte des phénomènes, qui en montre la
livré : il rapporte beaucoup de dictées de tables; il incline vers la
théorie
des Esprits, et trouve, avec raison, qu’il serait
isme, je n’y comprends rien. Je ne comprends pas davantage comment la
théorie
de M. Jobert sur les os de la jambe peut rendre c
dique le but qu’il se propose : il accueillera les faits, discuterais
théories
, ouvrira généreusement ses colonnes à l’exposé de
uirait pas de résonnance distincte. Ces principes sont bien connus en
théorie
musicale, et l’on a eu fréquemment occasion de le
dos synonymes de magnétisme animal. Elle est fondée sur la fausse
théorie
que 110s pensées, notre esprit, notre âme, sont d
question, l’assurant que s’il en était ainsi, nous renoncerions à la
théorie
qui nous le faisait attribuer à des Esprits. M.
ureux, 228. Toux opiniâtre, 225, 593. Urticaire, 340. ÉTUDES ET
THÉORIES
. Ame (l’) humaine. De sa connaissance, par M. l
e comme cause des phénomènes magnétiques. 135, 608. Vue à distance.
Théories
diverses sur son mode d'actioa, 92, 174, 246, 609
lésions anatomiques d'une même maladie, le D1' Switalski expose une
théorie
qui a l'avantage d'être rationnelle et simple :
les qui soit en harmonie avec les résultats anatomiques. Toutes les
théories
qui essaient d'expliquer ce phénomène par un tr
réflexe de l'immobilité pupillaire réflexe bilatérale, d'après les
théories
les plus admises actuellement qui présument une
à une explication de ce genre. Il n'est pas possible d'admettre la
théorie
d'Heddoeus pour l'im- mobilité pupillaire réfle
nte à celle rapportée par Freiherr von Notthaft, est favorable à la
théorie
du goitre exophtalmique par hyperthyroidation ;
Dr Toulouse). 0. Doin, éditeur, Paris 1902. Il ne s'agit pas d'une
théorie
personnelle du caractère, mais d'une étude hist
s par tous les philosophes depuis Aristote, rendent impos sible une
théorie
et une classification naturelle des caractères, s
ne théorie et une classification naturelle des caractères, sans une
théorie
et une classification des tempéraments. Dans l'an
une classification des tempéraments. Dans l'anti- quité prévaut la
théorie
humoriste ; Stahl et Ileller. préparent l'avène
à la division classique : bilieux, sanguin, flegmatique. Mais cette
théorie
a le tort de n'envisager que le degré d'activité
ger la direction de cette activité. Il résulte de la variété de ces
théories
que le sens du mot tempérament n'est pas encore
rcher dans des hypothèses phy- siques nn fondement positif pour une
théorie
et une classification des caractères. Dans l'ét
nous éclairer sur ce point. L'auteur passe en revue et discute les
théories
psychologiques du caractère, soutenues par les
sychologique donne lieu aux contradictions en partie apparentes des
théories
énoncées. L'accord se fait cependant sur l'obje
l'oeuvre consciencieuse d'un psycho- logue documenté ; les diverses
théories
émises avant lui y sont exposées avec autant d'
plasmes et la paralysie asthénique sont hypothétiques, et que les
théories
édifiées là-dessus sont caduques. On a d'ailleu
es autres symptômes de l'épilepsie, et fournit un solide appui à la
théorie
de la nature auto-toxique de cette névrose. Il
nce de toute lésion oculaire. Ces deux cas viennent à l'appui de la
théorie
cérébrale du nys- tagmus. Knies définit le myst
er du 31 mai 1866. Dans cet arrêt, la Cour de Montpellier a posé en
théorie
que, dans l'application des principes de la res
une manifestation locale du tic, et ce n'est pas là seulement une
théorie
, mais bien la réalité, car l'épiphora se rencontr
t étayer sur les propriétés phy- siologiques du courant continu une
théorie
rationnelle de son mode d'action dans la névral
OMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. XIV. De l'état actuel de la
théorie
de l'inflammation dans le sys- tème nerveux cen
l'élaboration de nouvelles méthodes, de l'apparition d'une nouvelle
théorie
heu- reuse. C'est ce que démontre l'auteur en s
segmentaires pour l'explication desquelles M. Brissaud a imaginé la
théorie
de la métamérie spinale. D'après M. van Gehuchten
éclare que si l'on se range à l'opinion de-I11M. Marie et Guillain,
théorie
lymphangitique, on ne peut conserver aucune cohés
actéristiques du tabes. En suivant d'autre part M. Nageotte dans sa
théorie
méningitique radiculaire, il faut renoncer à quan
sanie est plus digne d'intérêt et tout d'actualité, étant donné les
théories
qui tendent à prédominer à l'heure actuelle dan
Freud fait appel aune hypothèse assez étrange. Conformément à sa
théorie
générale selon laquelle tous les troubles nerveux
vation nouvelle et inédite qui va suivre vient donc à l'appui de la
théorie
de Freud. Observation II. - 111 ? M..., quarant
à la fois par le grand nombre et la nouveauté des faits exposés. La
théorie
de la dégénérescence joue un très grand rôle, n
naître les stigmates obstétricaux de la dégénéres- cence, et, si la
théorie
de Il. Larger touche de plus près les accou- ch
nt peu fami- liarisés, semblent s'être efforcés d'englober toute la
théorie
de la dégénérescence obstétricale sous les repr
d'hérédité des présentations anormales par les mâles, à l'aide des
théories
exclusivement maternelles, ayant l'utérus, le b
s secondes. » Il n'y a donc pas incompatibilité absolue entre les
théories
mécaniques et celle des stigmates obstétricaux
. Porak s'en est rendu compte, puisqu'il s'efforce de concilier les
théories
mécaniques avec l'hérédité des présentations an
ière série de faits, il n'est plus possible de faire intervenir les
théories
mé- caniques. même à titre de causes secondes.
fficielle les objections qui, de tous côtés, ont été adressées à la
théorie
de la dégénérescence obstétricale par les accouch
ocalisations sensitivo-motrices de la moelle tendent à opposer deux
théories
, celle de la distribution segmen- taire et cell
sensitives, une séduisante hypothèse de Brissaud explique ces deux
théories
par le siège extra et intra-médullaire des lési
titulé « l'Hypnotisme et la suggestion », dans lequel il expose une
théorie
de l'Hystérie et de la Suggestion basée sur un sc
ot-Marie. R. C. LXXXV. De la myotonie atrophique (Contribution à la
théorie
des myopathies); par IIOSSOLIMO (Nouv. Iconogr.
n symétriques à la période de début. Je me rallie complètement à la
théorie
de M. Klippel. Ces faits sont à rapprocher du der
fonctionnel, par Vaschide et Vur- pas, 89. De l'état actuel de la
théorie
de l'inflammation dans le - bentral, par Storch
observations que nous venons de rapporter vont à ren- contre de la
théorie
admise par tous les classiques, et affirment au
d'appui, le releveur devrait donc se contracter dans ce cas, si la
théorie
de M. Brissaud était exacte, avec encore moins
rès avoir longuement analysé leurs particularités, il en vient à la
théorie
qui lui parait rationnelle. Deux faits clinique
orie qui lui parait rationnelle. Deux faits cliniques renversent la
théorie
centrale d'un centre coordinateur du système ne
de l'ataxie varient encore selon les circonstances extérieures. La
théorie
de l'activité anormale des centres psychiques é
cisément une adaptation au changement des conditions extérieures.
Théorie
de la sensibilité. L'ataxie est en rapport avec l
t que nous relatons, donnerait jusqu'à un certain point raison à la
théorie
de Veissmann. Cet auteur nie, en effet, l'héréd
t néanmoins demeurer intact et normal. Quoiqu'il en soit de cette
théorie
et d'autres hypothèses que peut suggérer la con
vical est indiquée '. F. 13orsstsa. IL Contribution à l'étude de la
théorie
de la fonction de la glande thyroïde et de la t
maner du tabes avancé; lésion du faisceau solitaire de Mendel. La
théorie
de la modification fonctionnelle du plancher du
llier. (Presse médicale, G juillet 1S98.) . M. Sollier tire de sa
théorie
sur le mécanisme physiologique de la démorphini
M. Klippel applique à la physiologie pathologique de l'affection la
théorie
du neurone et fait intervenir les auto-infec- t
t dans le groupe des formes inflammatoires. 0 L'auteur tire de sa
théorie
des paralysies générales secondaires parauto-in
Les deux observations rapportées par l'auteur sont en faveur de la
théorie
de la désagrégation de la conscience avec une tel
s effets de la circoncision. Contrairement à Weissmann, qui dans sa
théorie
de l'hérédité n'admet pas que les mutilations p
) Le premier article tendrait à renverser dans ses conclusions la
théorie
d'infection migratrice secondaire à des toxémies
nc des faits, abstraction faite de 244 SOCIÉTÉS SAVANTES. toute
théorie
: de par son hérédité le paralytique général peut
l'occasion de citer (édit. 1873, p. 361, 363, 687), au sujet de la
théorie
de la possession, décrivait des « Scon- dare Ve
bservation qui pour- rait peut-être trouver son explication dans la
théorie
géné- rale de la régression^ Les mélancolique
t ce qui explique pourquoi, dès la promulgation reten- tissante des
théories
de Bouchard, les recherches se portèrent de ce
lacées : par d'autres appartenant à des époques plus lointaines. La
théorie
psychologique de Meynert sur la confusion menta
e par Chaslin dans son livre, est en quelque sorte, du reste, une
théorie
onirique. On sait, en effet, que Meynert attribue
" Chaslin, dans son ouvrage8, bien qu'il n'établisse pas spé- 1 Les
théories
histo-psychotogiqucs actuelles sur l'existence da
ats d'intoxication (Pupin, Hegcr) sont au fond assez analogues à la
théorie
de Xeyuert. Scli iile. Zur l'ttranoïa-1·'tttr/c
cellules; par le professeur H. ALIATIIY. L'idée fondamentale de ces
théories
nouvelles est la suivante : Apathy n'a jamais v
l'affection. Il n'était pas possible de maintenir plus longtemps la
théorie
utérine de l'hystérie dans la forme primitive d
ions sexuelles. Briquet et surtout Charcot s'élevèrent contre cette
théorie
et montrèrent qu'il n'existe aucune connexion e
: au cours de ces dernières, il est décomposé en urée et eau. Cette
théorie
permet d'expliquer l'effet thérapeutique favora
n de la moelle du même côté que l'ltémiparalysie, s'appuyant sur la
théorie
soutenue par cet auteur de la décussation au ni
rtantes et nouvelles expériences de Mott paraissent renverser cette
théorie
, qui du reste ,a été repoussée par son illustre
s explications -sur les symptômes observés. Si nous acceptions la
théorie
primitive de Browu-Séquard de la décussation de
ndante et, comme suite, la contraction du membre du même côté. La
théorie
de la décussation des conducteurs de la sensibi-
don postérieur ne s'entrecroisent pas, comme le faisait supposer la
théorie
de la décussation, mais se bifurquent en Y se c
l s'est rallié au moins dans son principe, n'est encore qu'une pure
théorie
. Elle rend l'explication des faits logique et f
re par des signes précis avant la manifestation. du délire. Cette
théorie
même, .malgré son élasticité,. ne saurait expliqu
opter, en ce qui concerne les délires systématisés secondaires, une
théorie
pathogénique définitive. Contenions-nous de con
an Grashey jusqu'à Prend, Goldscheider, etc., tient bien moins à la
théorie
des localisations, et tout en reconnaissant les
ttention sur les variétés du mutisme purement fonctionnelles que la
théorie
des localisa- tions ne saurait expliquer. Enfin
tte science nous rend des services importants au point de vue de la
théorie
et de la pratique : c'est ainsi qu'elle élucide
- meut trier, 93. C ! .\\L)E11mtODE. Contribution à I élude de la
théorie
de la fonction de la et de la thérapeutique d
dysthyroïdisme, je ne crains pas, pour ma pari, de me rallier à la
théorie
hypophysaire et l'on verra par l'exposé de mon ca
est au moins logique. Je ne veux pas entretenir plus longtemps des
théories
hypothétiques. Dans ces derniers temps on a rel
. Un auteur distingué, M. Hertoghe, s'est érigé en paladin de cette
théorie
; on connaît les beaux travaux de cet auteur su
ux états qui dépen- dent d'une cause unique. Je me rallie donc à la
théorie
uniciste qui veut que le gigantisme et l'acromé
cas, nous sommes forcés de faire seulement des conjectures sur les
théories
pathogéniques qui ont été invoquées pour la compr
crétion interne (3e hypothèse) a ralenti l'ostéogénése épiphysaire (
théorie
de P. Marie). Cette conception n'est sou- tenab
ion primitive congénitale du germe cartilagineux (4e l1y- pothèse),
théorie
de la dystrophie du cartilage primordial, soutenu
de race humaine. Et ici qu'il nous soit permis de nous adresser aux
théories
de l'hérédité pour essayer d'expliquer l'origin
uvent ce fait. Et sans entrer dans les développements de toutes les
théories
de 'l'hérédité, sur laquelle il règne encore be
res considérations, pouvoir donner raison, au moins en partie, à la
théorie
de Veissman sur l'hérédité, et surtout à son hypo
iées ici-même une revue générale très détaillée des opinions et des
théories
de cette dystrophie dans le mémoire de Porak et
rature des toutes dernières années n'a rien donné de nouveau sur la
théorie
de l'achondroplasie. En ce qui concerne la sympto
x deux formes ont été considérées comme un argument en faveur de la
théorie
uniciste ; or sans entrer dans le fond de celte
en de té- méraire, elle est au contraire parfaitement conforme à la
théorie
des loca- lisations cérébrales, physiologiques
oint de vue de la nature et de la patho- génie de l'hystérie, notre
théorie
peut rendre des services, en fournissant cette
seurs très spécialement, par négligence d'une étude préalable de la
théorie
, manquent de méthode et apprécient mal les valeur
e à définir. Il ne sera pas difficile de trouver les éléments d'une
théorie
qui sera provisoire, intéressante peut-être et
ent incontestable. Sur la pathogénèse de cette maladie, beaucoup de
théories
ont été émi- ses ; quelques-uns ont songé au ra
c exagération de la fonction antagoniste des glandes sexuelles. Ces
théories
ont été suffisamment réfutées dans une belle mo
e dystrophie cartilagineuse congénitale, soit pathologique selon la
théorie
de M. Bûck, soit normale, c'est-à-dire physiologi
orie de M. Bûck, soit normale, c'est-à-dire physiologique. De cette
théorie
se rapproche l'opinion de MM. Apert, Poncet et Le
it qui puisse nous faire pencher plutôt pour l'une que pour l'autre
théorie
. De l'anamnèse reculée de ces individus nous po
ugmentation de la glande thyroïde ; or nous avons déjà dit que deux
théories
(celle de M. Marie et celle de MM. Parhon, Shun
on interne étaient altérées, et l'on pourrait invoquer une des deux
théories
que nous avons exposées sur la pathogénèse de l
raient se rapporter à cette maladie ; on pourrait donc penser à la
théorie
toxi-infectieuse. Quant au troisième- et au q
prise. Dans ce fait important, on pourrait voir une objection à la
théorie
de ceux qui admettent une infection ou une intoxi
t rien de spécial, nous sommes enclins à admettre, d'accord avec la
théorie
de M. Apert, que le type achondroplasique peut êt
Avons-nous des arguments positifs capables d'appuyer une des autres
théories
pathogéniques connues ? En laissant de côté cel
res des os. Evidemment, si dans notre cas on voulait se ranger à la
théorie
nerveuse, on ne pourrait mettre en ligne de com
cette présomption, car des arguments plus solides, à l'appui de la
théorie
de l'ar- tériosclérose osseuse, nous font compl
YNSKI et F. JAROSZYNSKI ! I Un des points les plus discutés dans la
théorie
du pithiatisme est la ' question de savoir si l
d'ori- gine hystérique, contrairement à l'opinion de l'auteur de la
théorie
, M. Babinski, qui affirme que ces phénomènes so
sivement au système moteur, donne éga- lement un appui sérieux à la
théorie
du rôle moteur des cellules de Betz. En effet,
mblablement à une myélite intra-utérine ; puis d'interpréter par la
théorie
métamérienne de Ross, Thornburn, IIead,les naev
régions nerveuses. Ici, semble que l'on puisse faire intervenir la
théorie
métamérienne de Ross, Thornburn, Head, appliqué
tif nous explique-t-elle un trouble trophique ? Chez l'adulte, la
théorie
de Marinesco permet d'admettre que la tro- (1)
trop grande importance au point de vue du diagnos- tic. D'après la
théorie
ce type devrait prendre place dans tous les cas d
moins des mots. Cependant si l'on voulait continuer à ad- mettre la
théorie
de Wernicke l'analogie avec la fonction de l'insu
ans le cas de Probst, la microgyrie n'existait que d'un côté; si la
théorie
de Gelgersma était exacte, cette condition sera
s visuels et l'état du réflexe photo-moteur a fait abandonner cette
théorie
. Plus récemment, à la suite des travaux de Mari
progressif du pouvoir formateur des tissus squelettogènes. Cette
théorie
a pu être soutenue pour l'achondroplasie, en part
discussion pathogénique sur une base solide Steinberg a défendu la
théorie
de l'origine exogène. Les anomalies méta- podia
lupart des faits, et en particulier ceux que nous rapportons, celle
théorie
n'est pas même discutable. Ne sont-ils pas trop
peut-être plus faci- lement l'achondroplasie que le font les autres
théories
(1). Conclusions. 1° La brachymélie métapodia
précédentes, se manifeste avec abondance et ingénuité la fureur de
théories
pathogéniques.qui caractérise toutes les médecine
l'ina- nitédes hypothèses ; enfin, par l'intervention constante de
théories
mys- tiques dans l'explication des maladies.
e ramené à l'hypothyroïdie ou à la dystllyroïdie. « Aucune de ces
théories
unitaires ne nous semble suffisamment ap- puyée
re aux faits leur valeur relative qui dépose plutôt en faveur de la
théorie
po- lyglandulaire de de Sanctis. » Nous ne po
a race. La malformation est ici d'origine endogène, dynamique. La
théorie
de la mutation, de la variation, appliquée depuis
conditions de croisement s'y prêtent. Il faut encore mentionner la
théorie
de Babès qui invente un cen- tre bulbo-protuhér
l'importance accor-dée au jeu des fibres de Reissessen dans quelques
théories
de la bronchite spasmodiqite. Ces théories ont ét
e Reissessen dans quelques théories de la bronchite spasmodiqite. Ces
théories
ont été un peu démo-dées quand M. Winlrich eut vé
; et les expériences entreprises sur les animaux démontrent que cette
théorie
toute mécanique peut rendre compte d'un certain n
s'exerce à l'intérieur de ces tubes, favorise leur dilatation1. Cette
théorie
fait, en définitive, provenir la dilatation bronc
primitif, antérieur à l'atrophie du poumon, ce qui réduit à néant la
théorie
de Corrigan, d'après laquelle elle serait consécu
raction du tissu conjonctif. M. Charcot rappelle encore, contre cette
théorie
, l'intégrité des bronches, qui s'observe dans la
ctères chimiques, elle n'est soluble que dans le réactif de Millón. —
Théorie
de la provenance intestinale du charbon pulmonair
a provenance intestinale du charbon pulmonaire Villaret (1862).—Cette
théorie
s'appuie: 1° Sur le fait que le charbon introduit
eu plus en détail les principaux documents qui ont servi de base à la
théorie
qui vient d'être émise. Cette façon si simple d'e
ue dans l'intérieur des vésicules pulmonaires. Comme complément de sa
théorie
, Pearson fait remarquer que les animaux domestiqu
nauff 1. On voit que la description de Pearson est exacte et que sa
théorie
sur la nature et le mode de pénétration de la mat
e est souvent franchi. Quoi qu'il en soit, le point de départ de la
théorie
qui fait jouer aux cils vibratils ce rôle prépond
s îlots de la prétendue pneumonie caséeuse. Pour bien comprendre la
théorie
de la mortification ca-séeuse des tubercules de c
yrétiques sont subordonnés à la pneumonie. Malheureusement pour cette
théorie
, la pneumonie fait souvent défaut à l'autopsie. A
remarquera, en premier lieu, que tous les auteurs partisans de cette
théorie
sont partis du principe que les lésions très di-v
cia-les qu'y présente le système capillaire. Telle est, en résumé, la
théorie
émise par Meckel et Frerichs et adoptée, à quelqu
maceutices ratto?ialis. P. 2, sect. I, cap. n) avait déjà proposé une
théorie
assez analogue. 2 M. Rayer a fait voir que, dan
C'est là, sans contredit, une des faces les plus intéressantes de la
théorie
dite de Xembolie, théorie fondée à la fois sur l'
une des faces les plus intéressantes de la théorie dite de Xembolie,
théorie
fondée à la fois sur l'obser-vation clinique et s
présenter ici toute la série d'arguments sur lesquels s'appuie celte
théorie
, et nous ren-voyons, pour les détails, à l'exposé
ident toutefois qu'il i Lasègue. — Thrombose et embolie, exposé des
théories
du professeur Virchow. (Archivesgénérales de méde
duits à interpréter les faits de notre observation dans le sens de la
théorie
de l'embolie : cette interprétation une fois admi
par exemple, un des points les plus difficiles à établir, dans cette
théorie
, parce qu'il échappe nécessairement à la démonstr
n plus avancée. Nous ne voulons point étudier plus longtemps ici la
théorie
de Rokitansky, qui, après avoir été l'origine d'u
d'ailleurs, que les travaux qui ont éclairé d'une lumière nouvelle la
théorie
générale des ané-vrismes sont étroitement liés à
e battement double en 1833. On a, depuis celle époque, formé bien des
théories
pour expliquer la production de ces deux bruits.
eroy, chez un de leurs malades. Ces moyens paraissent rentrer dans la
théorie
géné-rale du système débilitant, lorsqu'ils ne so
ns contestables de l'ischémie. Nous proposons d'ailleurs cet essai de
théorie
avec réserve, et nous le soumet-tons à la critiqu
membres, de certaines espèces de ramollissement céré-bral, etc. Cette
théorie
est fort ingénieuse, elle peut rendre compte d'un
rctus hémop-toïque est de date plus ancienne. Malheureusement pour la
théorie
, elles sont loin d'avoir la valeur que le docteur
hénomènes d'imbibilion. On comprend d'ailleurs difficilement, dans la
théorie
de Bochdalek, la relation qui existe-rait entre l
ctères chimiques, elle n'est soluble que dans le réactií de Millón. —
Théorie
de la provenance intestinale du charbon pulmonair
provenance intestinale du charbon pulmonaire (Villaret, 1862). —Cette
théorie
s'appuie: 1° Sur le fait que le charbon introduit
cuivre, 172; — des potiers, 232. Matière noire pulmonaire, 207 ; —
théorie
de Pearson, 207; — dispo-sition de la —, 208; — d
es arté-rielles, 422; — altérations du sang, 422; — étiologie, 422; —
théorie
de l'embolie, ^23, 450; — observation d' —, 424,
lème, si bien que nous en sommes, à l'heure actuelle, réduits à des
théories
, à des hypothèses. Je compte, enfin, vous montr
ritable cirrhose musculaire avec transformation fibreuse ; mais, la
théorie
myopathique a été formulée par Blocq : une prem
ais encore la paralysie agitante. J'ai tenu à vous signaler cette
théorie
thyroïdienne, en raison de son originalité, mai
is par l'intermédiaire de la méningite spinale postérieure ». Cette
théorie
est aussi soutenue par Ballet et Minor qui dési
ces lésions méningées et les lé- sions de la moelle elle-même. La
théorie
lymphatique du tabes de Pierre Marie et Guillain
les lésions mé ningées. Je rappellerai que ces auteurs basent leur
théorie
sur les argu- ments suivants : les lésions du t
ues qui précèdent, cinq nous paraissent nettement expliquées par la
théorie
lymphatique et sont pseudo-systématiques. Les d
seudo-systématique de leurs lésions est un argu- ment en faveur des
théories
qui n'admettent pas dans le tabes une systé- ma
le tabes une systé- matisation constante et, en particulier, de la
théorie
lymphatique de P. Marie et Guillain, 1 FACULT
rtie de ses symptômes et de ses lésions elle semble se rapporter la
théorie
toxi-infectieuse émise récemment (2). . Résum
e malade ne doivent par conséquent apporter aucune confirmation aux
théories
émises sur la fonc- tion intellectuelle du lobe
uelles on est peu fixé, nous devons d'autre part, faire mention des
théories
récemment émises sur la valeur des intoxications
mptômes des toxi-infections (urémie, diabète), et s'appuyant sur la
théorie
de la cachexie cancéreuse (Bard) (4), MM. Dupré e
IFALCO Directeur : R. PELLEGRINI ERGOTHÉRAPIE ET PSYCHOTHÉRAPIE
THÉORIE
PSYCHOLOGIQUE SUR LE TRAITEMENT DES ALIÉNÉS PAR
d'ordre clinique venaient donner un appui scientifique à certaines
théories
artistiques. (1) Jean Heitz, Les démoniaques et
méritait d'être conservée par l'image. Sans entrer dans l'examen de
théories
pathogéniques séduisantes, mais encore incer- t
problème de la pa- thogénie du tabes reste en suspens ; certes les
théories
ne font pas défaut, mais il n'en est pas une qu
de travaux antérieurs, résultats qui avaient amené cet auteur à une
théorie
très ingénieuse et très séduisante,- assise sur
qui ont été ainsi dévoilées n'étant pas de nature à mo- difier les
théories
et les conceptions en cours sur la pathogénie du
sentent les divers modes de la déchéance cellulaire. En général, la
théorie
cellulaire du tabes a rallié fort peu d'adhérents
pothèse est vraisem- blable elle ne vient nullement à l'appui de la
théorie
cellulaire, parce qu'il est de règle que la déc
, nous ferons remarquer que ceux-là même qui ont le plus attaqué la
théorie
cel- lulaire ont invoqué, pour expliquer la dég
xpérimentation et de la pathologie. Laissons donc momentanément les
théories
cellulaires du tabes et le rôle des altérations
vail ayant pour but un exposé de faits et non l'édi- fication d'une
théorie
; nous ferons remarquer cependant que dans les
vives. Vers les tonneaux de bière qui coulent sans arrêt de longues
théories
assoiffées défilent. Dans les auber- ges, la co
la littérature considérable qui traite des lésions spinales et des
théories
pathogéniques du tabes, de constater quelle par
urtout marquée sur les fibres périphériques ; il admet par suite la
théorie
de Von Michel, le processus serait une dégé- né
pourraient être la cause de l'atrophie nerveuse « primitive ». La
théorie
rétinienne de l'amaurose tabétique reposerait don
ilk., 1899, p. 139 et p. 381. - 306 LÉIiI externe par exemple; la
théorie
de l'origine rétinienne de l'atrophie ta- bétiq
iel qui remplace les fibres musculaires disparues. On sait que deux
théories
sont en présence pour l'expliquer : d'après la
xpliquer l'état de certains mus- cles, on peut très bien adopter la
théorie
de Krôsing et admettre la pos- sibilité d'un ti
as ici de ces formes de dégéné- rescence. Du reste, en soutenant la
théorie
de la dégénérescence hya- line préalable à la f
qu'il une date relativement toute récente, depuis le triomphe de la
théorie
du neurone, qu'un petit nombre d'au- teurs (Pop
niennes la cause de l'atrophie du nerf optique. Les partisans de la
théorie
« nerveuse » l'em- portent cependant sur les pa
héorie « nerveuse » l'em- portent cependant sur les partisans de la
théorie
« rétinienne », mais entre les premiers les div
d'une tumeur gliomateuse indépendante du canal central. Mais cette
théorie
,reprise et développée par Roth, Schultze, Oppenhe
-être aussi incriminer la. tendance de généraliser outre mesure une
théorie
pathogé- nique basée sur l'étude de quelques ca
la ne nous parait point inadmissible ni en désaccord formel avec la
théorie
que nous invoquons : de nombreux faits témoignent
sie, migraine ophtalmique, etc.), et il fait la démonstration de sa
théorie
en faisant cesser ces accidents par l'inhalatio
nctions nerveuses, d'un épuisement des organes. Ce n'est pas là une
théorie
, c'est l'expression aussi juste que banale du f
xes. « Il est évident, dit M. Jolly, que dans le cours des temps la
théorie
de l'hystérie s'est de plus en plus rapprochée d'
seul groupe, mais ce groupe a reçu des noms différents suivant les
théories
des auteurs. En France, à l'exemple de M. Magna
à cette question contiendrait une bonne et importante partie de la
théorie
de la névrose. PARALYSIES MOTRICES ORGANIQUES E
nd l'impression reste dans le subconscient. Nous avons appelé cette
théorie
: Das Abreagiren der Reizzuwâchse. En résumé, j
iques et les muscles sont altérés avant les centres. C'est la seule
théorie
qui puisse correspondre en même temps aux faits
e des localisations motrices corticales, l'auteur s'élève contre la
théorie
d'une localisation motrice : parce qu'un mouvem
ié comment parler, l'arti- culation volontaire sera perdue. Cette
théorie
de la nature sensorielle de la soi-disant aire mo
a perdu tout contrôle sur l'appareil de la décharge motrice. Cette
théorie
expliquerait également l'absence de fatigue malgr
sente un état' connu sous' le nom de microcéplialie. 11 existe deux
théories
concernant les débuts de' cette condition l'un,
de la glande thyroïde. - Pas d'autopsie. t. " ? , - . .Admettant la
théorie
qui assigne àll*idiotie crétinoïde une ori- gin
de l'Atlantique.' ` ' Tandis que Lannelongue a modifié sa première
théorie
soutenue par Virchow, c'est-à-dire que la micro
tude embryologique des progrès de l'ossification ne soutient pas la
théorie
que la synostose est la cause de la micro- céph
nt qu'une attaque de folie passagère. P. K. XV. Contribution A LA
THÉORIE
des hallucinations; par P1CK. (Neurol. Cent1'(¡
causes d'irrita- tion pouvant déteiminer des accès, il repousse les
théories
absolues qui donnent à l'épilepsie une cause pr
sé et généralise ces hypo- thèses ; il s'élève à ce sujet contre la
théorie
de Stevens qui attribue le mal comitial à la fa
u'elle repose non sur des hypothèses plus ou moins exactes, sur des
théories
ou des systèmes plus ou moins ingénieux, mais s
nt l'historique des recherches sur la question depuis les anciennes
théories
humorales jus- qu'aux études de Selmi et Gautie
xicité urinaire chez les alié- nés, en fondant dès à présent sur la
théorie
des auto-intoxications des distinctions nosolog
un par nous-même. Nous pourrions citer bien d'autres oublis. Les
théories
sur l'hérédité en général n'occupent qu'une place
des anciens âges à laquelle il revient de sa myélite. Quant à la
théorie
des affections systématiques combinées, si elle
iser exactement la voie et la nature de ce rapport. On connaît la
théorie
de Meynert' et Huguenin 2 qui fait passer par les
nnexion avec elle. Schwalbe, Flechsig, Marchi, battent en brèche la
théorie
de Meynert et Huguenin, et Bechterewa, tout en
ous avons déjà dit plus haut quels adversaires avait rencon- tré la
théorie
de Meynert et Huguenin : quelle que soit la solu-
la solu- tion anatomique qu'on donne à cette question, l'ancienne
théorie
de Pourfour du Petit qui faisait du cervelet le s
ontradictoires, tendraient à nous ramener, en partie au moins, à la
théorie
de Schroeder van der Kolk sur les olives : se f
lui que joue le cervelet pour les autres mouvements du corps. Cette
théorie
ne saurait tenir devant les progrès des localis
ent nette jusqu'à la mort de la malade. A citer encore contre cette
théorie
les cas où il y avait troubles de la parole san
M. Magnan a définitivement mises en lumière, et dont il a édifié la
théorie
. Dans l'évolution oppressive et pénible de ce d
s ne soup- çonnent pas. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE XL. SUR LES
THÉORIES
PHYSIOLOGIQUES ACTUELLES DE l'ÉPILEPSIE A PROPO
ttend encore sa solution précise. Après avoir brièvement résumé les
théories
de Marshall Hall et de Brown-Séquard, M. Christ
r, plus nettement que dans cette phrase,, où il a condensé toute sa
théorie
: « On naît, on ne devient pas, paraly- tique g
purement sensitives dans l'écorce. Vient ensuite la discussion des
théories
de Hitzig qui fait de la zone motrice l'aire du
ment l'existence d'espèces différentes dans les fonctions. C'est la
théorie
c carotte et la théorie « navet » appliquées à l'
es différentes dans les fonctions. C'est la théorie c carotte et la
théorie
« navet » appliquées à l'étude des centres nerv
eurs. Il assimile complètement et fond en une seule quatre diverses
théories
: celle du centre d'aperception de Wundt, celle
0RNILOP. Sur la question de l'aphasie.-Le rapporteur, réfu- tant la
théorie
de Grashey-Wernicke, suivant laquelle la lecture
éparément. Il considère de ses expériences réfutent complètement la
théorie
de Grashey- Wernicke. Suivant M. Serbsky, l'o
ns l'étude des phénomènes psychiques a contribué à mieux établir la
théorie
de la perception et de l'aperception. Après l
ique (complexus symptoma- tique de Horner). Ceci n'infirme point la
théorie
. On peut admettre qu'en pareil cas, ou bien le
., par, l'livdratéd'amylène, par E.-L. yl Dunn; ` ? `39;r sur, les,
théories
phy- siologiques actuelles, de l'- à ;9,propo
ous jamais cru qu’on se faisait apôtre comme oii se fait avocat d’une
théorie
officielle pour récolter des places ou des pensio
lic ; et le public, grâce nos efforts persévérants, sans s’occuper de
théorie
, sans raisonnement, frappé par l’évidence et la m
rtrand, que vous aimez à cilcr, l’a bien vu; mais cela dérangeait, sa
théorie
; ses ouvrages étant déjà publiés, il était trop t
t souvent encore elles viennent s'ftheurter contre la barrière de nos
théories
préconçues. Les vérités les plus utiles sont repo
qui doivent s'abaisser et s’amoindrir pour passer sous le niveau des
théories
scientifiques, mais la science qui doit élever so
cience, qu’il se l’est en quelque sorte appropriée. Il en a exposé la
théorie
dans un livre remarquable qui a pour titre Electr
rations que le docteur ne produit que parce qu’il peut les combattre,
théorie
dont il n’a pu nous donner aujourd'hui qu’un aper
tion de C exercice du magnétisme. d“ Lemagnétisme, quelle que soit sa
théorie
pour expliquer les effets, et quel que soit le mo
a fait reconnaître. Quoi qu'il en soit, nous ne croyons pas que notre
théorie
ne puisse soutenir la discussion: elle peut être
tait possible, dans un simple article de journal, de développer notre
théorie
, dont nous n’avons dit ailleurs que quelques mots
n'a pas moins de peine à se faire accepter de certains esprits que la
théorie
à l’aide de laquelle nous avons cherché àsous l'e
e mon existence, ohl ce qui m'étonnerait te plus ici, ce seraient mes
théories
d'à présent, et les paroles de leurs formules.
TBAIMENT RELIGIECSS. Nous disons à la synthèse des faits et non des
théories
, car jusqu'ici nous ne connaissons que des faits,
ont pas d’avoir lieu, pour étudier sur les animaux cette intéressante
théorie
, si longtemps repoussée, en ce qui concenie les c
rre, adveniatregaum tuum i Amen I P. S. — Pour l’intelligence de la
théorie
qui précède sur le magnétisme des Quides impondér
ecsTeur de rsoregislrenient st des domainea. s ESSAI D’UNE NOUVELLE
THÉORIE
DU MAGNÉTISME ANIMAL, Par Léopold Warlomoni.
médecins n’ignorent rien, excepté l’art de guérir. « Si l'une de nos
théories
était« La Science... La grande Science !« comme
e numéro du 10 août dernier, ayant pour titre : Essai Tune nouvelle
théorie
du magtiélisiiii' animal, par Léopold Warlomont,
e M. Warlomout, j’en suis persuadé. On reconnaît que l'auteur de la
théorie
nouvelle du magnétisme n’est pas anatomiste lorsq
cteur-médecio. Cher maître. Je viens de lire YE$sai(Cune nouvelle
théorie
du magnétisme animal, par M. Warlomont, ainsi que
ssagèrement visibles ? En d’autres termes et pour mieux élucider la
théorie
; Dam des récifrocilés »ympalhiques el vo- | io
plus embarrassante que le choix fait dans le conflit pendant entre la
théorie
acoustique des Européens et celle des livres indi
n : «Dieu a créé l’homme libre (1), • (1) Si l’on a bien saisi ta
théorie
de la plasticité des idiei, on doit reconnaître q
t pneumatique. Rien n’y a servi : ni métaphysique, ni dialectique, ni
théorie
de l’absolu, ni révélation, ni possession, ni ext
u contraire, ils me confirment dans mon opinion que : en dehors de la
théorie
du mouvement moléculaire, il n’y a qu'empirisme.
lorsqu'elle acquiert une vivacité prédominante. » i. C. E^kkï Cbos. {
Théorie
de l'homme inlelleoluel et moral.) Pour complét
t pas tout à fait le seul qui se soit dooné la peine d’attaquer notre
théorie
, et un de ses con'es-pondants, un M. André, un ho
, il se ravise et ajoute qu’en défiaitivc j7 ne voit rien, dans notre
théorie
, qui n’ait été plusieurs fois écrit par les auteu
ine, qui, après avoir légèrement lu sans doute le paragraphe de notre
théorie
où il est question de la démagnétisation des mala
me & qui on montrerait le soleil et qui nierait la lumière. Une
théorie
que l’on communique à un autre et qui est appelée
de M. Lafontaine ne l’est pas. Il est vrai que tout en taxant notre
théorie
d’hérétique, ¡1 admet pourtant que : k Si le magn
p pour M. Lafontainé le vif empressement qu’il à mis à attaquer notre
théorie
et nôtre pratique, sans les avoir examinées suffi
n avons certes pas la prétention de vouloir rendre palpable, par une
théorie
quelconque, les mystères du magnétisme animal. ma
26; — Kasperowski, 587. Ether-pantogène (l’). Essai d'une nou velle
théorie
du magnétisme animal, fondée sur l'existence hypo
Warlomont, 395, 539. — Nouvelle propriété des fluidesilmpondérables;
théorie
par M. Jobard, 327. Homœopathie. Lettres de M.
artiflcielle de la vie, 299. Somnambulisme (du) magnétique. Etudes,
théories
et observations diverses, par MM. Gérard, 123, 14
ens artificiel de suspendre la vie organique, par M. Jobard. 295. —
Théorie
sur le principe de la vie universelle, par M. War
e la foi, peut régénérer le le monde mural, 567. Vue somnambulique.
Théories
diverses sur son mode d'exercice, 233, 399, 465,.
rité. Aussi nous sommes encombrés de mémoires, de récits de faits, de
théories
sur cette science divine que notre époque voit na
nts médicinaux. Pour être complète, pour être aussi fructueuse que la
théorie
le fait connaître, la médecine doit donc avoir ég
mp vaste à de graves étuctee. ¡Tarais -déjà, du reste, parlé de cette
théorie
dans cet ouvrage «pie je viens de citer à la page
toute vérité démontrée, quelque perturbation qui en résulte dans les
théories
établies. Le magnétisme est particulièrement inté
ouvements des tables à l’action des esprits, commence par réfuter les
théories
qui ont prétendu expliquer ces phénomènes sans un
som-nambuliques. Nous avons déjà réfuté plus d’une fois cette étrange
théorie
: nous aurons prochainement occasion" d’y revenir
ensuit pas qu’il soit toute la religion et qu’il soit possible à ses
théories
de modifier les dogmes religieux. Cette prétentio
champion énergique du fluide ma-gnétiqne ; il a soutenu habilement sa
théorie
par de nombreux arguments. Quantàlaquestion en el
uns envers les autres de ménagements ; et leurs dissentiments sur les
théories
, loin de nuire à la cause commune , lui sera prof
a lumière de la vérité. A celui-ci donc les idées spéculatives, les
théories
et les systèmes; à cet autre, une mission plus mo
voie à ceux qui se flattaient d’étouffer dans le sang du novateur des
théories
inconciliables avec l’orthodoxie régnante. Quand
criblé les doutes, trié les vérités , discuté les expériences et les
théories
. Mais le magnétisme avait en outre un but prati
que l’on ait formulé depuis, elle renferme ,1e plus haut concept des
théories
accessibles notre entendement. Tout est doué de
us nous sommes abstenus de jeter inconsidérément devant la foule, les
théories
qui, mal comprises, auraient pu troubler quelques
nsacré un volume tout entier (l), et des mieux remplis, à l’étude des
théories
de Bodin. C’est surtout l’économiste, le publicis
é enrichie d’un résumé sur les faits spiritualistes d’accord avec ces
théories
nouvelles. Si donc le directeur du journal laisse
e tellement incontestable et si positifs, que celui qui en possède la
théorie
puisse les reproduire à volonté et sans difficult
its qui peuvent servir de base et de point d’appui, je ne dis pas aux
théories
magnétiques, elles sont trop diverses et trop dis
un des faits que le magnétisme accuse, à un fait commun à toutes les
théories
, à celui que toutes revendiquent ; par exemple, a
vie, sans que la mort survienne aussitôt. Reste à savoir si cette
théorie
suffit pour rendre compte des phénomènes magnétiq
iste. Est-ce bien cela? Dans l’affirmative, nous croyons que vos deux
théories
gagneraient quelque chose à être fondues ensemble
de à donner raison d’un plus grand nombre de faits, en conciliant des
théories
d’apparence contraire, lesquelles, vues isolément
éplorables en médecine î l’une a voulu faire de la médecine une vaine
théorie
, l’autre un métier irrationnel. La médecine a t
éludes, ni connaissances préliminaires, il n’en est pas de môme de sa
théorie
ou l’explication philosophique et satisfaisante q
. La puissance de cet agent est telle, d’après les partisans de cotte
théorie
nouvelle, que, mise à la disposition et sous la d
uer le principe que nous venons d’établir et qu’indique facilement la
théorie
des rapports. Nous allons donc rechercher, en pre
termine son intéressante et remarquable relation par le résumé de la
théorie
qui leur fut communiquée de la part des invisible
ajouté lui-mème quelques observations pour donner plus de poids à la
théorie
mentionnée, il finit sa lettre en témoignant vive
des traités faisant autorité sur la matière. Mais M. Rouget émet des
théories
fort étranges, qui sont loin d’être en harmonie a
tisans de la métempsycose ; ceux d’Amérique rejettent bien loin cette
théorie
et soutiennent que l’âme, une fois dégagée de
jusqu’à présent considérées isolément et qui donnaient naissance aux
théories
des impondérables, apparaissent aujourd’hui comme
; je n’avais en moi ni préjugés à vaincre, ni erreurs à surmonter, ni
théorie
préconçue à soutenir (et Dieu sait de combien de
urmonter, ni théorie préconçue à soutenir (et Dieu sait de combien de
théories
hasardées le magnétisme a conduit le deuil !). Je
e (qui depuis quelque temps semble travailler la science), car aucune
théorie
ne saurait renverser des faits certains. Avant
ent qu’on ne peut fixer les limites du possible et qu’il n’y a pas de
théorie
qui puisse tenir contre un fait bien avéré. Ils c
Ulcères à la bouche, 343. Vers intestinaux, 82. 510. ÉTUDES ET
THÉORIES
. Anesthésiants (des), chloroforme magnétisme, p
ns de MM. Mo-rin, 82; — Berruyer, 123. Somnambulisme (du) magnétique.
Théories
diverses : sur la causo et le mode d'action de la
our expliquer la pathogénie de l'hémiatrophie faciale, deux grandes
théories
étaient en présence : d'une part la théorie borde
faciale, deux grandes théories étaient en présence : d'une part la
théorie
bordelaise de l'aplasie lamineuse, celle qui vo
qui est exposée dans la thèse inaugurale de Lande, de l'autre, une
théorie
nerveuse qui plaçait la lésion tantôt dans le ner
, tantôt dans le sympathique, tantôt dans le trijumeau. La première
théorie
peut être facilement éliminée : il apparaît nette
nous trouvons en présence d'une affection nerveuse. Pour les deux
théories
nerveuses invoquant une lésion du facial ou du
aturel de penser à une lésion de l'axe cérébro-spinal ; c'est cette
théorie
qu'a exposée Brissaud dans une belle clinique sur
s plaideraient, il nous semble, dans le cas actuel, en faveur de la
théorie
sympathique soutenue par Brissaud et Meige. C
er répond à quelques objections que j'avais formulées (2) contre sa
théorie
du sens des attitudes, et il profite de l'occas
ngué confrère, je ne suis pas arrivé à pénétrer le sens exact de sa
théorie
et des arguments qu'il emploie à la défendre. E
nt une hypothèse supplémentaire indispensable à donner un sens à sa
théorie
- à moins d'admettre cela, comment la doctrine
prises dans un ensemble et douées de rapports mutuels ». En quoi la
théorie
nouvelle du sens des attitudes est-elle plus clai
rapproche-t-elle plus des faits, et les explique-t-el le mieux que la
théorie
classique, élaborée par ceux qui ont observé et
n, par contre, lorsqu'il voit dans ces faits une confirmation de la
théorie
empirique de la notion d'espace d'après laquelle
ns se préoccuper de savoir s'il était bon à vérifier telle ou telle
théorie
, telle ou telle de « nos petites idées d'hommes
tion est livrée à notre intelligence. Avant de rédiger une nouvelle
théorie
, M. Bonnier eût pu au moins commencer par mon-
« sens des attitudes », M. Bon- nier formerait tout au moins de sa
théorie
un tout logique. Mais les faits jusqu'ici obser
n. psych., V, 455). (5) L'auteur d'une thèse récente, parlant de la
théorie
du sens des attitudes segmen- taires de M. Bonn
, ne dissertons pas. Et c'est le principal danger, à mon avis, delà
théorie
du « sens des aititu- des » d'être une thèse si
ompte de ces phénomènes avec la doctrine muscu- laire pure, avec la
théorie
de la libre musculaire malade seule et prolopa-
mations du genre de celle qui nous occupe, soit que l'on invoque la
théorie
de la fracture intra-utérine, soit que l'on ado
Cepen- dant Pellizzi reconnaît que de tels cas sont favorables à la
théorie
de Fro- riep, de Beard, qui contrairement à la
orables à la théorie de Fro- riep, de Beard, qui contrairement à la
théorie
classique de His, assignent au cylindraxe moteu
lu discuter la possibilité d'une gliose secondaire à une infection,
théorie
admise cependant et soutenue brillamment par Joff
dite des pseudo-paraly- sies générales ? Ceux qui soutiennent la
théorie
dualiste disent que les symptômes tabétiformes
rand nombre de cas. Ces faits concordent assez exactement avec la
théorie
qui met en rapport les fibrilles cylindro-axile
ment de la première alternative sur laquelle était édifiée toute la
théorie
classi- que : L'étude minutieuse des observatio
rès large résec- tion du médian, est également incompatible avec la
théorie
du Neurone. Ce cas n'est, du reste, pas unique
éance du cubital. Cette suppléance ne saurait se comprendre avec la
théorie
classique qui regarde chaque neurone comme une
97 et Rev. Neurol., 1898). Régénération autogène chez l'homme et la
théorie
du Neurome (Congr. des alié- nistes et des neur
est encore trop mal connue pour qu'on puisse émettre à présent des
théories
exclusives. Pour rester dans le domaine des fai
as d'ailleurs ce fait, qui en science vétérinaire a la valeur d'une
théorie
, que l'habitude de lécher les poils est un prod
é à la connaissance du mécanisme du langage ? En nous gardant des
théories
prématurées, nous avons cru bon cepen- dant de
chose est son explication : l’un est un objet d’évidence, l’autre de
théorie
. Je ne puis douter des faits puisque vous les aff
jet reste parfaitement réveillé. M. Coddé appuie cette pratique d’une
théorie
puisée dans une longue expérience, et dans ses ét
re naître par notre conduite. INITIATION AUX MYSTÈRES SECRETS DE LA
THÉORIE
ET DE LA PRATIQUE RU MAGNÉTISME, rendue simple et
oire de la science mesmérienne. Le Gerani : HKBKKT («le f.arnay).
THÉORIES
. PHILOSOPHIE MÉDICO-MAGNÉTIQUE. La crainte do
nous est venue d’Angleterre (2). Nous ne rapportons pas toutes les
théories
ridicules qui ont été écrites sur la transplantat
la propagation et du développement de la science magnétique, dont les
théories
appliquées sur les personnes qui composent son au
gnétisme animal révélera des secrets encore incompréhensibles par les
théories
actuelles. C’est h ce genre d’instrument que se r
dirigé avec connaissance de cause, que même dans le cas où une autre
théorie
qui est adoptée par un plusgrand nombre de médeci
tend avec une impatience fébrile, c’est la preuve expérimentale de sa
théorie
, les résultats matériels de ses découvertes. En e
du méconnaissable et inadmissible pour quiconque a voulu suivre leurs
théories
empiriques, et accorder quelque créance à leurs e
rants , de rayonnement, de polarité, peut-être de polarisation. Cette
théorie
repose sur l’idée fondamentale que le fluide magn
ctive ou passive du fluide individuel. Seulement, nous pensons que la
théorie
de détail qui s’y rattache a besoin d’être sancti
plendissant des feux du fluide universel, a donné, comme preuve de sa
théorie
, le plus grand exemple connu de la volonté humain
erveilleuse d’un être essentiellement doué parmi les êtres. » De la
théorie
qu’il a exposée relativement aux courants naturel
ir, croire, aimer! Ces simples paroles ne résument-elles pas toute la
théorie
du magnétisme dans son application au soulagement
ôle sud. Les hommes devenaient des barreaux aima ntés (5). « Ainsi,
théorie
ou pratique, tout dans le mes- (1) Premier Mémo
iens de Pharaon n’étaient que des magnéti-« sauts ; mais, ignorant la
théorie
du système ma-« gnétique, ils ne pouvaient percer
a rigueur , me dispenser d’en fournir de nouveaux exemples ; mais les
théories
11e pouvant jamais être trop appuyées, je vais fa
officiel du magnétisme , et les raisons qu’on apporta pour réfuter la
théorie
de Mesmer, et par suite la vérité de sa découvert
er et de son somnambule Ad. Didier. Le Gérant HÉBERT (de Garnay).
THÉORIES
. PHILOSOPHIE MÉDICO-MAGNÉTIQUE. CHAPITRE II.
ous léguerons à nos successeurs. » (La suite au prochain numéro.)
THÉORIES
. PHILOSOPHIE MÉDICO-MAGNÉTIQUE. CHAPITRE II.
magnétisme, et relier ces faits entre eux ; 4° Donner une nouvelle
théorie
de ce principe mystérieux, dire d’où il vient, qu
nt été intercalées dans le texte. Le Gérant : HÉBERT (de Garnay).
THÉORIES
. PHILOSOPHIE MÉDICO-MAGNÉTIQUE. CHAPITRE II.
x personnes agissant à la fois. L’expérience confirme sur ce point la
théorie
dans la majorité des cas. De quelle utilité une
titre de recommandation, cependant, ne doit pas faire admettre que la
théorie
des causes soit découverte , ni que des investiga
Vers intestinaux, 69. Vomissement de sang, 72. VARIÉTÉS. $ I.
Théories
, études, phénomènes remarquables, expériences cur
ar le Dr Roger. 85. — Réponse du Journal, 87. Electro - magnétisme.
Théorie
et faits, 85, 152 , 269 , 343 , 378, 390, 462.
ie traumatique. Son usage en Chine. Communication de M. Jobard, 89.
Théorie
des courants magnétiques naturels, 273. Trance
ues, 153. —Son disciple Wurtz, 249, 465. — Son ami d’Eslon, 443. — Sa
théorie
sur le fluide universel, 271, 440. — Célébratio
ce qui concerne Mesmer, 438. Initiation aux Mystères secrets de la
théorie
et de la pratique du Magnétisme, etc., etc., etc.
exie consécutive à l'ab- sence de cette glande. « En outre, cette
théorie
pourrait conduire à un traitement rationnel de
ntre MM. Miche ! Clarke, W. Gordon, Williams Dawson, et Waldo. La
théorie
sensitive de Leyden, motrice de Erb et cérébrale
érique, par opposition aux hallucinations d'origine centrale. Cette
théorie
, acceptée par la plupart des aliénistes, est ce
curables et des criminels incurables. Alors on verra s'évanouir la
théorie
surannée de la punition du crime et le traiteme
criminelle, ne constituent pas une preuve de criminalité. Ainsi la
théorie
de Lombroso et de son école faiblit sur deux po
'auteur déclare tout d'abord qu'il n'est guère enclin à admettre la
théorie
suivant laquelle la musique serait issue du langa
ple dans la névrite alcoolique), vient évidem- ment à l'appui de la
théorie
de l'auteur en indiquant la présence d'une subs
u tissu cérébral. L'auteur ne se propose pas de discuter les autres
théories
: en faveur de chacune d'elles on a apporté de
plicable aux nerfs sensitifs et aux nerfs moteurs. Si l'on admet la
théorie
qui vient d'être exposée, on se rend beau- coup
VIIITNELL. (Potain, Part. LXIX, 1895, p. 66.) L'auteur émet cette
théorie
que les cas de stupeur ou au moins certains d'e
e l'hypo- plaie persiste, la démence survient. Pour appuyer cette
théorie
qu'il a déjà émise, l'auteur rapporte deux cas
gie pathologique renferme des données très originales, parce que la
théorie
des neurones y a été appliquée à l'explication
es différents phénomènes observés dans la polynévrite, il existeune
théorie
que l'on nommetoxémique. Ses partisans supposen
ntateurs ont fourni des résulats concordants. Elles ont confirmé la
théorie
émise par Reverdin et démontré d'une façon pére
s deux hémisphères. ' Si l'on recherche sur quelles preuves cette
théorie
du dédouble- ment de l'activitécérébrale peut ê
valles lucides devenaient au contraire plus courts. En dehors de la
théorie
qui admet la dualité de l'action céré- brale, i
al. L'auteur rappelle et résume au début de ce travail les diverses
théories
physiologiques qui ont été proposées, et publie
iste pas de données sur lesquelles on puisse légitimement baser une
théorie
de l'origine de l'atrophie musculaire dans l'hé
euses publications aussi bien en France qu'à à l'étranger. Quatre
théories
se sont formées pour les expliquer. L'auteur ex
ement chacune d'elles, et par une critique judi- cieuse, élimine la
théorie
d'Oppenheim et celle de Grasset, la pre- 310 O
'une hystérie spéciale, ayant ses caractères propres. De ces quatre
théories
, deux seulement lui paraissent acceptables : ce
que des formes hystériques ou neurasthéniques. Chacune de ces deux
théories
ex- plique certains cas; elles ont le tort chac
les fentes interstitielles. Ces quelques lignes résument toutes les
théories
pathogéniques émises sur l'oedème bleu. Il est
l correspondant aux mouvements acquis par l'expérience ? D'après la
théorie
des unités psychiques corticales, de l'onde mol
GËNËKE-T-ELLE ? par le D1' B.1\NIS-rElt. L'auteur s'élève contre la
théorie
de Nordau, d'après laquelle la race dégénère. N
a donc pas directement à l'écorce, il passe dans la couche optique (
théorie
de Mahaim). P. K. XLVII. DES paresthésies QUI S
europathologistes qui ont essayé d'en donner l'interprétation. . La
théorie
la plus connue est celle de Bastian-Jackson d'apr
régularisation des réflexes médullaires. M. Egger n'admet pas cette
théorie
; pour lui, l'abolition des réflexes est due à une
; l'auteur en propose un nouveau qui met les faits d'accord avec la
théorie
, dans les formes rudi- mentaires de la vie, la
DU NEURONE ENVISAGÉ ISOLÉMENT.' L'un des premiers avantages de la
théorie
du neurone est de permettre de faire une étude
tive des neurones cons- tituent les tabès. L'un des résultats de la
théorie
des neurones est d'établir d'une façon plus sol
oy et Achard, entre autres, se sont faits les défen- seurs de cette
théorie
unitaire 2. Au contraire, MM. Morvan, Charcot,
cependant qu'il y a certains symp- tômes qui ne cadrent pas avec la
théorie
de l\Ioebius. Le diagnostic de l'hystérie chez
ieuse de l'hystérie. M. Grasset défend dans une série de leçons une
théorie
générale qui, dit-il, lui est chère; c'est le r
thèse chimique, qui « se présente sou s une étiquette nouvelle, la.
théorie
des auto-intoxications dans les ma- ladies ment
LE GAUCHE 25 Dans diverses publications (1) Mingazzini a édifié une
théorie
particu- lière des connexions croisées cérébro-
de Edinger, plus encore peut-être que le nôtre, est contraire à la
théorie
de Mingazzini, car Edinger n'a constaté aucune
s de tension et d'état normal ? 1 A cet égard, un certain nombre de
théories
ont été émises (a). Tout d'abord, on a voulu di
sion syphilitique de voisinage qui l'englobe ou le comprime ? tette
théorie
paraît bien vraisemblable pour la paralysie fac
itive et non sous la dépendance d'une lésion vasculaire spécifique,
théorie
généralement admise pour expliquer les altérati
s malformations congé- nitales, et a servi de point de départ à des
théories
restées jusqu'ici du reste purement hypothétiqu
rovince de Meck- lembourg, par exemple. Nous éliminerons aussi la
théorie
des glandes cutanées qui a été imagi- née par G
meurs lipomateuses multiples et le plus souvent symé- triques. La
théorie
de Grosch, qui semble s'appliquer à un certain no
uffisante pour expliquer l'infiltration adi- peuse sous-cutanée, la
théorie
de Grosch n'explique en aucune façon la prolifé
ces nerveuses agissant sur le territoire cutané correspondant. La
théorie
d'Unna mérite d'être rapprochée de celle de Grosc
ique ne fut suivie d'aucun arrêt dans la marche de la maladie. La
théorie
la plus généralement admise, tout au moins à l'ét
rie la plus généralement admise, tout au moins à l'étranger, est la
théorie
nerveuse ; elle a été en particulier discutée au
leben, Kuster, Bramann. Nous rappellerons d'ailleurs que cette même
théorie
a été invoquée pour expliquer le mode de distri
ique appartiennent incontestablement cette deuxième catégorie. La
théorie
nerveuse s'appuie surtout sur l'état cérébral des
ourrait ainsi être amené à appliquer à notre affection l'ingénieuse
théorie
du métamérisme spinal de Brissaud, ainsi qu'il
able seulement dans la distribution des troubles trophiques. » La
théorie
nerveuse, sans satisfaire Madelung, lui semble en
st consécutif à un traumatisme. En somme, aucun des partisans de la
théorie
nerveuse n'a réussi à établir de relation tant
-, L-diteura L'ADÉNO-LIPOMATOSE SYMÉTRIQUE ' 195 En attendant, la
théorie
ganglionnaire s'applique beaucoup mieux que .la
tendant, la théorie ganglionnaire s'applique beaucoup mieux que .la
théorie
nerveuse à tons les faits que nous avons réunis ;
ns avec examen anatomo-pa- thologique, qui nous semble confirmer la
théorie
que nous défendons ici comme la plus plausible.
uvements isolés des membres sont particulière- ment favorables à la
théorie
qui fait du cervelet un centre réflexe de l'équ
r exemple, les oscillations du corps sont également favorables à la
théorie
de Luciani d'après laquelle le cer- velet exerc
uité ré- gulière des actes. La différence principale entre les deux
théories
est que d'après la première, cette action compl
nt sur les raisons qui sont en faveur de l'une ou de l'autre de ces
théories
, cette question ayant été déjà discutée par l'u
ution est intéressée; cas de Manquât et Grasset). D'ailleurs, cette
théorie
de la propagation des vibrations dues au choc s
, la pipe était d'un usage universel, et on continuait à suivre les
théories
de Sylvius de le Boé et de Corneille Dekker dit
it interdite dans les affections du poumon ». Le tabac, d'après les
théories
régnantes « fait sortir la pituite » qui comme
L'archée siégeait dans l'estomac d'après Van Ilelmont (Voir sur cette
théorie
notre travail sur J. H. Cohausen). LA CROISAD
ndrome de Basedow est la fois effet et cause de l'hystérie ». Cette
théorie
paraît d'ailleurs être acceptée par les auteurs q
s hôp. de Paris, 1887, p. 367) ; Ch. Féré, La famille névropalhique
théorie
léralolngique de l'hérédité de la prédisposition
. A la suite de Ma- rinesco, Mouchet et Coronat (2) admettent cette
théorie
: pour eux, l'ar- thropathie tabétique est due
ies de la colonne dans le tabes. Mais, tout en reconnaissant que la
théorie
des névrites périphériques a pour elle, en géné
ent dans le segment inférieur de la colonne dorsale. Telle est la
théorie
pathogénique que nous a suscité l'étude de cette
es du savant professeur de Berlin ont été faites à une époque où la
théorie
microbienne n'avait pas encore acquis droit de ci
ues et expérimentales. Les faits sont venus déposer en faveur de la
théorie
de Marie, de manière qu'aujourd'hui on discute mo
la myélite aiguë ne date que de quelques années. 570 MARINESCO La
théorie
était vraie surtout en ce qui concerne les cas de
uns (Manthner, Gast, Lucanus, Hirschberg), partisans fervents de la
théorie
nerveuse, incriminent dans leur cas la paralysie
tres (Schenkl, Becker et Heuck surtout) ont défendu avec énergie la
théorie
musculaire. Or, ces deux ordres de théories, au
défendu avec énergie la théorie musculaire. Or, ces deux ordres de
théories
, aussi séduisantes qu'exclusives, sont passibles
osé et discuté les arguments mis en avant par les parti- sans de la
théorie
nerveuse et de la théorie musculaire, Kunn émet u
ts mis en avant par les parti- sans de la théorie nerveuse et de la
théorie
musculaire, Kunn émet une conception qui, fondé
faite, nous semble-t-il, les opinions des partisans exclusifs de la
théorie
nerveuse et de la théorie musculaire. Elle nous
es opinions des partisans exclusifs de la théorie nerveuse et de la
théorie
musculaire. Elle nous paraît aussi la plus ra-
bso- lument la nature de ces troubles. Il nous semble que dans la
théorie
de la migration ou de l'expulsion du noyau dans
stice reprend ses droits ; la suggestion criminelle reste possible en
théorie
, mais devient, en pratique, extrêmement dangereus
— De la simulation. — De la suggestion. — Pratique de l'hypnotisme. —
Théorie
de l'hypnotisme. Enfin la dernière page contient
t Ribot. De plus, nos expériences viennent, semble-t-il, appuyer la
théorie
adoptée par l'Ecole de Nancy, pour expliquer les
re bien que, dans les états inférieurs, ils agissent aussi, et que la
théorie
de l'autosuggestion pour expliquer leurs effets n
ur eux une telle contrainte n'est en rien responsable. Une pareille
théorie
est absurde. Mais quel mérite y aurait-il pour le
ence des preuves nouvelles apportées chaque jour par la géologie à la
théorie
de révolution, elle est obligée de convenir que l
héâtre de ses exploits. Les méfaits de ces voleur» se rattachent a la
théorie
du magnétisme animal, par le fait que les brigand
r ne s'être jamais trompés. Sans doute, il est bon de n'aventurer une
théorie
que lorsqu on peut l'appuyer sur l'une ou l'autre
plications pratiques que des caractères pouvant servir de bases à une
théorie
; ils n'avaient pas reconnu nettement ces alternat
ce de M. Wetterstrand et d'autres savant» est incompatible avec cette
théorie
, et confirme les résultats de MM. Bernheim et I.i
taire, oce 1888. janet (J) 1 L'hystérie et l'hypnotisme, d'après la
théorie
de la double personnalité. Rev, scient., t. XLI.
duit* pendant riiypno'c. L'observation suivante vient confirmer cette
théorie
. En prenant une leçon d'armes. A..., caporal, e
e l'hypnotisme ; nous travaillerons beaucoup moins à en constituer la
théorie
. Il est bien vrai que l'idée que l'on se fait de
s une ville assiégée. Je ne crois pas qu'au moment actuel, aucune des
théories
qui ont été proposées pour l'explication des phén
pour le sujet ou répugnantes pour les spectateurs, idée excellente en
théorie
. mais, or. en conviendra, difficile à réaliser en
s utiliser, et l'on commence déjà à le faire, soit pour l'étude de la
théorie
de l'hypnotisme, soit pour 1 applies^H de cette .
au moins, .être dirigé par eux. Il ne suffit pas de bien connaître la
théorie
de l'Hypno-tisme pour intervenir utilement dans l
cité a la cure des affections nerveuses. Dans les cas de ce genre, la
théorie
pure ne saurait mener bien loin; elle doit égarer
onsidérer le sommeil normal comme l'elfet d'un acte inhibitoire. La
théorie
d'après laquelle le sommeil dépend d'une contract
après avoir cru observer un phénomène naturel, propre à soutenir une
théorie
favorite, n'ont jamais voulu reconnaître qu'ils s
nçais, et entre Français éminents. En prèsenee de ces luttes et des
théories
contradictoires, symbolisées, d'un côté par l'Eco
estion, habilement tracé par ces deux auteurs, est tout en faveur des
théories
de la Salpétrière. La structure même de l'article
ciemment suggéré. C'est là. on le voit, le contre-pied absolu des
théories
de la Salpêtrière: on n'est plus en présence d'ét
je vous citais en commençant, semble justifiée par l'exposé des deux
théories
. Et cependant, je maintiens ce que je vous ai dit
nt, je maintiens ce que je vous ai dit naguère, à savoir que fes deux
théories
sont trop absolues, qu'il existe un terrain de co
édifier de scientifique. L'objection est grave, capitale même ; la
théorie
de Bernheim, si elle n'apporte avec elle aucune p
En sens inverse, l'Ecole de Nancy apprécie de la façon suivante les
théories
de la Salpêtrière : Les phénomènes somatiques fix
rande attaque. 11 en est de môme pour l'hypnotisme : Pour admettre la
théorie
de la subordination, pour pouvoir conclure que le
différents espaces ne sont jamais successifs, mais simultanés. Cette
théorie
permet d'expliquer le curieux phénomène qui est l
iques du foie et de la rate. Nous allons nous borner à enregistrer la
théorie
de MM. van Lair et Masius. Selon ces auteurs, la
ion générale. 4° Ictère. Reste l'ictère; à quoi est-il dû? Selon la
théorie
que nous venons d'énoncer, les microcytes échappé
tels travaux de Brucke et d'Helmholtz sur les couleurs condamnent ces
théories
empiriques, ces guérisons trompeuses. Le Gérant :
grandes cellules nerveuses dites motrices. C'est ainsi que suivant la
théorie
émise par M. Vulpian, théorie à laquelle j'adhère
es motrices. C'est ainsi que suivant la théorie émise par M. Vulpian,
théorie
à laquelle j'adhère complè-tement, les scléroses
ez aisément, mes-sieurs, que rien dans tout cela ne vient infirmer la
théorie
d'après laquelle Vappareil des cellules nerveuses
ueillir, sans réflexion, sans examen, les opinions, les bruits, les
théories
les plus étranges, qui nous ap-prend à croire plu
donne. Les progrès de l'esprit humain ont fait jus-tice de toutes ces
théories
, et les découvertes qui ont enrichi suc-cessiveme
obscurs en pathologie utérine, et tend à renverser en même temps des
théories
que la situation de leurs auteurs rendait recomma
pathologique de la lymphangite puerpérale, le siège de la douleur, la
théorie
de la production des péritonites puerpérales et a
commandons surtout la lecture du chapitre vi, où se trouve exposée la
théorie
du développement des accidents périto-niques pend
e les deux tiers externes de la trompe. On ne doit pas s'arrêter à la
théorie
de ceux qui expli-quent la péritonite par l'écoul
la production de l'inflammation pêritonéale. Nous avouerons que cette
théorie
nous séduit. Toutefois, certaines obser-vations d
ngestion pulmonaire et de la pleurodynie, l'auteur proteste contre la
théorie
qui explique la faiblesse de la respiration par u
pré-cieuses en ce sens que, si elles se confirment, elles ruinent une
théorie
qui a joui d'une certaine faveur dans ces dernier
Cette question si intéressante nous amène à examiner les di-verses
théories
émises sur l'électricité animale, dont nous ne po
rfs. A l'occasion de ces faits, M. du Bois-Reymond a établi toute une
théorie
dans laquelle la contraction musculaire et le fon
vrant les phénomènes électro-capillaires, a porté le dernier coup aux
théories
de M. du Bois-Reymond. Elles n'ont d'ailleurs jam
ra-polaire et d'anélectrolonus intra-polaire. Ils ont fait de grandes
théories
et établi des lois spéciales auxquelles ils ont d
l'action chimi-que elle-même n'est qu'un effet mécanique, d'après les
théories
physiques modernes ; effet mécanique que l'on ne
ichet fait jouer un rôle important aux nerfs vaso-moteurs. Mais celte
théorie
du savant chirurgien n'est pas suffisamment dé-mo
les opinions émises : cœur, source de la chaleur, âme, etc., ou bien
théorie
chimique, M. Bernard démontre qu'il n'y a que dep
dans sa véritable voie scientifique. Il examine, en premier lieu, la
théorie
de la combustion pulmonaire de Lavoisier, puis ce
naire de Lavoisier, puis celle des capillaires généraux de Magnus. La
théorie
moderne justifie jusqu'à un certain point les vue
agulante du perchlorure de fer et comprises dans le tissu morbide, la
théorie
de M. Virchow (ainsi que M. le docteur Terrier le
n pourrait, au moins dans certains cas, y subordonner, en vertu de la
théorie
de l'infection purulente, les abcès pai enchymate
nombreux amis, auraient pu fournir à M. Leteurtre les éléments d'une
théorie
physiologique admise d'ailleurs et déve-loppée pa
nirs ne sont pas un phénomène aussi simple que les sensations; leur
théorie
beaucoup plus com- plexe est loin d'être aussi
ertaine image peut bien ne pas donner lieu à tous les oublis que la
théorie
précédente nous indique- rait. Il peut se produ
tent l'intelligence en danger. P. KERAVAL. VII. Contribution A la
théorie
DE LI FOLIE gémellaire; par N. Os- TERMAYER. (A
uë avec les trois stades connus. J'ajouterai que, conformément à la
théorie
infectieuse, mes observations révèlent l'existe
éance du 9 avril 1891. - PRÉSIDENCE DE M. MEYNERT. M. MEYNERT. - La
théorie
des énergies spécifiques. (Publié in extenso.)
TES. M. Wernicke n'a rien à ajouter pour le moment. M. Sommer. La
théorie
des localisations suffit-elle à expliquer les t
Ueber aphasie und ihre Beziehung sur lVuhrnehrnung). au moyen de la
théorie
de la lecture et de l'écriture par l'épella- ti
la lecture et de l'écriture par l'épella- tion. Aujourd'hui; cette
théorie
est insuffisante, au même titre que la doctrine
dant ' Voyez Archives de Neurologie. SOCIÉTÉS SAVANTES. 119 des
théories
établies pour expliquer les faits en question; -
ue, c'est sur elle que se base M. Sommer pour battre en brèche la
théorie
des localisations, en ce qu'elle touche à l'aphas
rovoquer l'hypnotisme sans aucune sugges- tion ; par conséquent, la
théorie
moderne de Bernheim, Forel et , f autres, est,
adresser au malade suggéré pour faire cesser ces accidents. ' La
théorie
permet donc de ne fonder d'espérances, en ce qui
s faits qui ont été publiés jusqu'ici donnent en partie raison à la
théorie
; ils lui seraient même, pour une part, plus favor
. Dans l'oeuvre de M. Charcot, il y a ni raisonnements vagues, ni
théories
creuses : des faits corrobés autant que possible
importance qu'elle puisse paraître, trouve sa place dans la longue
théorie
triomphale des connaissances scientifiques et p
JELGERSMA. (Cenlralbl. f. Nervenheilk, N. F., t. II, 1891.) , La
théorie
de l'auteur a été exposée dans les Archives de Ne
ant compte du travail de Cunningham (Lan- cet, 1890), qui adopte la
théorie
de Jelgersma, formule des objections que combat
ule des objections que combat actuellement l'auteur. Il renforce sa
théorie
par les deux arguments nouveaux que voici : A
e psychique. A propos de la paralysie générale, M. Luys a donné une
théorie
à peu près semblable. Les exemples que Cotard
titielle est réellement fort peu accusée. Dans un cas semblable, la
théorie
de l'étouffement de M. Luys n'est pas acceptabl
ition pro- duit par la lésion vasculaire et l'on doit en venir à la
théorie
de l'encéphalite parenchymateuse, de la lésion
trophique. Discussion : M. Raymond se déclare prêt à se ranger à la
théorie
parenchymateuse de la paralysie générale et dem
e note résumant ses premiers résultats 1, Suivant lui, il y a trois
théories
sur la microcéphalie (mot générique sous. leque
rimé par la résistance de son enveloppe osseuse, il y aurait là, en
théorie
au moins, un motif plausible pour faire disparaît
er. Pour pratiquer cette opéra- tion ils se basent en elfet sur une
théorie
de Virchow, qui n'était d'ailleurs applicable q
sont venus se faire traiter à Bicêtre démontre mieux que toutes les
théories
l'inanité de la crâniectomie. La seule chance d
de Duchenne un tableau aussi complet que bien ordonné. Les diverses
théories
qui préten- dent expliquer la nature de l'affec
de réfléchir un instant à ces paroles de Baralt, pour voir comme la
théorie
des réflexes s'y trouve mal déterminée, ce qui
(Annales médico-psychologiques, 1892.) E. B. II. RÉFLEXIONS SUR LES
THÉORIES
DE LA CRIMINALITÉ ; par le Rév. W.-D. Morrison.
s équi- table de la culpabilité, et, au point de vue général, à une
théorie
plus juste de la criminalité. R. M. C. III. O
e un mécanicien, un localisateur convaincu et non un partisan de la
théorie
des psychoses par trouble fonctionne] généralis
t rarement pu être faites sur l'homme ont été des plus nets pour la
théorie
des locali- sations. Le Dr A.-D. Waller a lu un
inghaus, de Berlin, résume et discute les der- nières études sur la
théorie
de la vision des couleurs; une dame, Mra Ladd F
a suggestion hypnotique à l'éducation et M. Van Eeden a parlé de la
théorie
de la psycho-thérapeutique d'une manière plus g
inalité, et responsabilité, par Pelman, Mendel, 102, Clark, 483 ;
théorie
de la-,par Morroson, r78. DÉGÉNÉRÉS, aliénati
ion, M. Charcot a rapporté un fait qui cadre admirablement avec les
théories
que nous soutenons : « J'ai déjà cité bien des
RAPIG, ^ESTHÉSIOGÈNES (Suite) ; Par le D- R01(AfN V1GOU1t0Ux '.
THÉORIE
DES PHÉNOMÈNES ESTIIÉSIOGLNIQUES. Le lecteur ne
NIQUES. Le lecteur ne s'attend certainement pas à trouver ici une
théorie
, dans le sens rigoureux du mot, des faits qui vie
cepticisme, pour laquelle il a été fait un peu plus de bruit est la
théorie
dite de Y expectant attention. Elle repose sur
tous ses détails l'expérience célèbre sur laquelle Volta a fondé sa
théorie
. Elle établit que le fait seul de mettre en con-
s objections. La première consiste à nier purement et simplement la
théorie
de Volta. Mais celle-ci a été, croyons-nous, mi
s avec le diapason. Ces essais pouvaient-ils servir de base à une
théorie
? Nous ne l'avons pas pensé. M. Schiff en a jugé
ar des polarités moléculaires. Mais entre ces comparaisons et une
théorie
la distance est grande. Dans l'état actuel de nos
(Charcot et Regnard); le fait physiologique vient ici confirmer les
théories
physiques sur la constitution électrique de l'aim
SIOGÉNES. 115 rapprochements utiles pour l'édification future d'une
théorie
de l'hypnotisme. Quant aux procédés, nous avo
termédiaires à la lumière, à la chaleur, à l'électricité et dont la
théorie
, main- tenant acceptée do l'unité des forces ph
cembre 1877. Gaz. des hôp. 1878, et Lazzcct 1878. Romain VIGOUROUS.
Théorie
physique de la métalloscopie (Soc. de biologie,
t, l'électricité statique et le diapason. (Progrès znéd., 1878.) La
théorie
des vibra- tiozzs. (Pi,og2-ès méd., 1880). - Vo
l'état d'affection telle que nous l'observons aujour- d'hui. Cette
théorie
est en rapport avec les données physiologiques,
re des observations déjà publiées. L'auteur rappelle les diverses
théories
proposées ; lésion du trijumeau ou des fibres sym
une.pareille opinion : - L'auteur n'hésite pas à adapter Jesimêmesi
théories
-fonctionnelles^ à l'homme; il se base sur le t
" `, Puis, il arrive aux anéyrysmesmiliairesetexamineles diverses
théories
proposées pour- expliquer, leur,, développement,
avant. Il ),,1,1 1 . 'ta ? 1. ! 1, : ; z 1.1 AIONDEL' COIIII)AL ]l
théorie
pathogénétique des, troubles vaso- moteurs ; il
calorification ; ;' les 'phénomènes thermiques 'de' la fièvre et la
théorie
de la fièvre constituent les' deux derniers'cha
IV. Le dernier chapitre du travail que nous analysons porte sur la
théorie
de la fièvre. L'auteur discute, son origine,héma-
ie, par Muller, 294; ., t'"r o' ",Il 1 11(i Hallucinations (de la
théorie
des) par Kaudinslcy, 74 : *' ? , Hémiatrophie
y avaient avantageusement préparé. — Nous, avons longuement étudié la
théorie
de cette science sublime, et à nos connaissances
la pratique. Le magnétisme proprement dit n’est pas solidaire de ces
théories
; mais les faits, soit que les explications qu’on
veut leur faire subir ; un fait annoncé comme pouvant conduire à une
théorie
, peut toujours être reproduit avec une parfaite c
omettants. Les uns, en voulant expliquer le magnétisme, bâtissent des
théories
ridicules, multiplient à plaisir des hypothèses q
e en outre en allemand ou en espagnol. On 1 répondu qu’une fausse
théorie
ne peut infirmer un fait positif; que l'existence
ntelligence des habitants ; qu’il est plus rationnel de conformer les
théories
aux faits que les faits aux théories ; qu’on peut
plus rationnel de conformer les théories aux faits que les faits aux
théories
; qu’on peut admettre qu’il y a dans le monde des
i se sont longuement, profondé - ment, sérieusement occupés de la
théorie
et de la pratique du magnétisme, ainsi que de la
cipe acquis à la science physiologique. Il a donc admis le principe
THÉORIE
. fondamental de la doctrine magnétique, l'act
grave que deux en moururent. Mais quelque ingénieuse que soit cette
théorie
, elle tombe d’elle-même devant cette considératio
ement le modus faciendi du magnétisme , j’en ignorais complètement la
théorie
; que, par conséquent, je ne pouvais l’appliquer,
les plus certaines de la physiologie et de la psychologie. « Cette
théorie
est aussi celle des magnétiseurs; les savants en
rique d'instruction, de pr opagande et de bienfaisance qui réunira la
théorie
et la pratique et s’occupera d’appliquer le magné
, s’il ne fait pas avancer rapidement la science. Mais laissons les
théories
de côté et venons à la pratique magnétique, si fé
concours indirect si utile; si le drame et le roman, empruntant à nos
théories
, à nos expériences leurs plus saisissants effets,
moyen de s’y méprendre. Cette (1) Arist., de Mund., i, 1. (S) Des
Théories
de l'entendement humain dant Vantiquiti, par Emma
onstitue-t-il pour eux une science? Ici je me tais. La divergence des
théories
, le contraste et l’inanité des opinions se charge
ard des effets particuliers auxquels je fais ici allusion, toutes les
théories
rivales sont réduites à nier ou à se taire. Je ve
t les sciences constituées sont impuissantes à rendre compte ; 2° une
théorie
tendant à donner une explication rationnelle de c
présenter les témoignages qui en établissent la réalité ; exposer la
théorie
spiritualiste de ces Jaits, les objections et acc
ble comme elle, parce que le lluide nerveux se dérobe à la vue. Cette
théorie
élucide .'a plu- I a l d s .iva le u! xii:S des
e intellectuelle, et se prouve par scs actes. Indispensable « dans la
théorie
de l'organisme, on ne comprend pas comment tour à
orgueil, nous nions, nous affirmons avec assurance, nous élevons des
théories
que nous croyons inébranlables et que bientôt les
-prononcé du magnétisme animal, auquel il fait une large part dans sa
théorie
, et dont.il célèbre la puissance bienfaisante. Vo
sme, déroutent la raison ët réduisent souvent à néant les plus belles
théories
: Depuis un mois, je magnétise une demoiselle X
estion, nous croyons devoir présenter quelques considérations sur les
théories
de l’auteur. Les faits qui se rattachent au mer
is heureux de constater par moi-môme la sûreté des principes de votre
théorie
; enfin , après un mois de somnambulisme qui lui
urtout en en produisant eux-mêmes. Quant aux phénomènes que plusieurs
théories
attribuent aux esprits, il en est un certain nomb
désastres. Malgré ces quelques divergences sur plusieurs points de
théorie
, nous nous plaisons à payer un tribut d’estime po
, 599. Ulcère à la matrice, 153. Vers intestinaux, 510. ÉTUDES ET
THÉORIES
. Anthropologie. Suivant M. le docteur de Quatre
lever de Maldigny, 311, 337, 365, 393. Nososcopic dynamothérapique.
Théorie
sur l'instinct particulier qui donne aux nososcop
de M. Eugéne Huzar, examiné par M. Morin, 442. Somnambulisme (du).
Théories
diverses sur la cause et le mode d'action de la l
âme se déplace-t-elle? Question examinée par M. Morin, à propos d'une
théorie
du somnambule Alexis , 79. — Dissertation à ce su
nt êlre considérés comme totalement erronés. 11. IL s'ensuit que la
théorie
de l'amoc- boisnte acceptée par maints savants
e collatérales. Ce sont ces apparences qui ont donné naissance à la
théorie
du bourgeonne- ment, d'autant qu'on voit de sem
que, 1904, n° 115.) . L'auteur,dans ce travail,fait le procès de la
théorie
intellectuelle el de la théorie aboulique des o
ans ce travail,fait le procès de la théorie intellectuelle el de la
théorie
aboulique des obsessions, qu'il s'efforce d'expli
icié des recherches anaLomiques, Les élucubrations inventées par la
théorie
des localisations, les titeo- ries édifiées par
ct.0o;)'f ? t<''ps ? tt'<) 111, 1898.) P. hett.lv-1L. XII. La
théorie
des psychoses d'origine toxique ; par l'. llciB
IHluil'111 a loujoul' le lI1èll1e cal'a('[('I'l' Pl, pal' suite, sa
théorie
pourrait s'appliquer à celle de la genèse (les dé
t les cas cliniques où on l'observe, d'un mécanisme identique. La
théorie
de Freud, qui de l'anxiété la consé- quence d'u
1J03, n" 9.) Première partie très intéressante rappelant toutes les
théories
émises pour expliquer cette infirmité, depuis l
ypes : celles qui l'expliquent par des troubles d'origine centrale,
théories
toujours plus ou moins vagues ; et celles qui e
r celle ai)ti- tule. De plus, ce. cas apporte une preuve de plus la
théorie
de Stricker, d'après qui on ne saurait pensera
com- plète. L. W. XLVI. Les localisations motrices spinales et la
théorie
de la métamérie ; par C. PARHONoL l\I.GOLDSTEIN
i qui présiderait aux localisations spi- nales motrices, Aucune des
théories
exprimées n'est satisfaisante. L'opinion la plu
Ces faits paraissent à l'auteur difficilement conciliaires avec la
théorie
du neurone et lui semblent plutôt militer en fa
ologie, l(JO4, no 12.) Après un exposé historique et critique de la
théorie
de la « dua- lité fonctionnelle du muscle », d'
t lymphatiques. Cette constatation serait un argument en faveur des
théories
qui n'ad- mettent pas dans le tabès une systéma
dans le tabès une systématisation constante et en particulier de la
théorie
lymphatique de Marie et Guillain. 11.(. LXXVlll
ar 131A¡';CHINl, (Nouv. 7eo)tor. de la Sal2êtriL·re, N° 2. 1904).
Théorie
psychologique sur le traitement des aliénés par l
s lois. Heureux encore s'ils parviennent à le comprendre. Cette
théorie
si belle, si simple, et qui semble devoir s'imp
s lès neurodiélectriques. Je vous renvoie pour le détail de cette
théorie
aux Archives de neurologie où je l'ai pu- bliée
) . Dans ce travail, M. de Bucl : oppose l'une à l'autre les deux
théories
pathogéniques au moyen desquelles lès associatiom
es qu'on observe si communément chez les aliénés. A côté de cette
théorie
, se dresse celle des apperceptionnistes ou volo
lontaristes,à laquelle M. de Buck déclare se rallier. D'après cette
théorie
il existe un organe ou centre d'apperception corr
nts, obsessifs, hallucinatoires, etc. On voit par cet exposé que la
théorie
stereopsychique de Slorch se rappro- che beauco
la théorie stereopsychique de Slorch se rappro- che beaucoup de la
théorie
de la sé,junction entre l'identification primai
ogie des affections mentales et leur pathogénie. Impor- tance de la
théorie
de l'auto-intoxication. Valeur de la classificati
étudié ce cas. .l. BÉRILLON présente un ventriloque, lequel fait la
théorie
de son art et explique par quelle série d'exerc
rincipales du livre ré- cent de Frédéric myes et,en particulier, la
théorie
de la conscience subliminale. M. Demonchy rap
cine il faut toujours en revenir à la clini- que qui seule juge les
théories
», et c'est imbu de ce prin- cipe salutaire que
ippe, 398. Métamérie. Les localisations motrices spinales et la
théorie
de la -, parParhon et Golds- lein, 230. Mét
es. Voir Excitation. . Psychoses. Voir troubles vis- céraux.De la
théorie
des-d'o- rigine toxique, parIIeiberg, 67. Voi
ophthalmie; r tout, cela, disons-nous, 1 est 1 devenu da base d'une
théorie
sur la pathogénie de cette affection. Fallait-il
érapeutique : beau- coup, de remèdes; peu de guérisons; beaucoup de
théories
, -peu ,de véitç., '11f11 W7·e fr ·,rn si nr ' *
u.d"ul' 11 ? il' 'll ? l 1 sans exposer,, les expériences ou, les,,
théories
.pour lesquelles f.rt ? t.nii' i ? tU).f.<j'
affectés q chacun, à.,un, mode dl} 15ensibiIiéLdi,Li.nî : t., Cette
théorie
n'a," rien, qui répugne et se recommande comme to
théorie n'a," rien, qui répugne et se recommande comme toutes, les,
théories
schématiques, par un caractère. séduisant de. sim
l'Encéphale..Nous verrons ce que pèse cette pierres angulaire de la
théorie
, des centres optiques de M.'Luys.-i il nny 1f ? j
eux cas-types de cette affection. Il insiste sur l'importance de la
théorie
de Meynert : faiblesse irritable qui se traduit p
ouvelle famille non reconnue par les lois. Se fondant sur certaines
théories
physio-pathologiques qui lui sont propres et «
maine de la vulgarisation. L'école de M. Charcot a fait faire il la
théorie
de ce mal des progrès considérables, et ces nou-
par la mucine (Ord.), la transition semble logique. Pourtant cette
théorie
hématopsiétique, malgré ce qu'elle a de séduisant
ltration des tissus par la mucine. Pour se prononcer entre ces deux
théories
, il faudrait préalable- ment savoir si la mucin
cette dualité sympto- matique et apportera une preuve de plus à la
théorie
, Calme il. - Dictionnaire en trente volumes :
rger1 publia son remarquable mé- moire, il combattit avec succès la
théorie
exclusive- ment périphérique qui place dans l'o
ne lui-même le siège de l'hallucination; il repoussa également la
théorie
psychique ou centrale qui fait de ce syndrome u
yndrome un phénomène purement intellectuel, et il mit en avant la
théorie
mixte ou psycho-sensorielle qui paraissait répo
sensorielle qui paraissait répondre à toutes les exigences. Cette
théorie
acceptée par la plupart des auteurs, qui sembla
ntale démontre avec un rare talent de critique l'insuffisance de la
théorie
psycho-sensorielle ; il donne pour siège aux ha
guments fournis par la physiologie expérimentale en faveur de cette
théorie
, la clinique vient tous les jours ajouter de no
es faits de Wernicke 5, de Giraudeau G, de Fritsch', Tamburi'ii. La
théorie
des hallucinations. (Revue scientifique , 29 ja
ent seules pour continuer le mérycisme. Par ce dernier point, cette
théorie
se rapproche de la précédente, dont elle ne dif
vements du canal oesophagien. Nous avons exposé longuement diverses
théories
cherchant DU MÉRYCISME. 389 à expliquer le mé
oire; en effet, il existait une transition toute indi- quée ; de la
théorie
nerveuse du diabète, on était amené à l'étude d
dent. L'auteur n'a pas pensé qu'il lui fût possible d'adopter cette
théorie
à l'exclusion des autres; dès lors il ne pouvai
e la glyco- surie. Cette étude nous conduit aune classification des
théories
du diabète fondées sur la physiologie. L'aute
ndées sur la physiologie. L'auteur peut alors faire la critique des
théories
principales du diabète, en se basant sur la phy
e basant sur la physiologie, l'anatomie pathologie, la clinique. La
théorie
gastro-intestinale, sans être suffisamment fon-
une thérapeutique rationnelle : la suppres- sion des féculents. La
théorie
hépatique eu une époque glorieuse, quand Cl. Be
bien vu que le diabète est, avant tout, un trouble de nutrition. La
théorie
nerveuse nous a fait passer en revue les lé- si
bète, mais elle n'en est pas la cause prochaine » et exclusive. Les
théories
rattachant le diabète à un trouble de nutrition,
e diabète gras, celui des riches ? La même réserve s'impose pour la
théorie
pancréatique. Les faits puhliés par M. Lancerea
génie des accidents comateux reste encore obscure, on a invoqué les
théories
suivantes : [0 lipémie; 2° urémie; 3° anurie; 4
es troubles trophiques (1). M. Charcot fait part à la Société d'une
théorie
nouvelle qui explique les troubles trophiques (si
) que l'on observe à la suite des troubles de l'innervation centrale,
théorie
qu'il croit pouvoir être substituée à celle des n
radictoires épars dans les auteurs perdent toute espèce de valeur. La
théorie
des localisations, telle que la conçoit M. Charco
dans les cas de convulsions Ioniques, paraît donc concorder avec la
théorie
. Que se passc-t-il, lorsqu'il s'agit de convuls
en véritable membrane. Or, nous n'hésitons pas à dire que la dernière
théorie
pourrait seule expliquer un fait qui a été observ
raient encore ici, ce nous semble, l'avantage sur les partisans de la
théorie
de l'organisation des caillots. Ils n'auraient pa
antérieurement aux travaux tout à fait récents, a le mieux entrevu la
théorie
véritable, à notre sens, des hémorrliagies intra-
ar le même mécanisme. » Incontestablement, ce peu de mots contient la
théorie
, au moins à l'état rudimentaire ; mais, isolée et
verses variétés de kystes séro-sanguins décrits par les auteurs. La
théorie
pathogénique, qui place dans une néo-membrane 1
2. Golliny, dans Ollivier (d'Angers), loc. cil., p. 91. 3. Dans la
théorie
de Samuel, les troubles de nutrition ne surviendr
l, 12 octobre 1878.) II. Observations et expériences relatives à la
théorie
des phénomènes. A. Courants £ctóaT[es déterminés
doute pas que, grâce à ces recherches persévérantes, on arrive à une
théorie
satisfaisante des phénomènes nerveux chez les hys
loscopique, sont des faits du même genre. Je ne crois pas que cette
théorie
soit applicable dans l'espèce ; mais les objectio
applications métalliques. Mais parmi les faits propres à infirmer la
théorie
de l'attention expectante, l'un des plus importan
écouvert plusieurs particularités intéressantes et a même proposé une
théorie
. Le temps me manque pour traiter cette partie de
oureusement observés, que d'étayer sur une observation incomplète des
théories
pour le moins prématurées. L'étude actuelle est
son résultat, l'action spéciale du contre nerveux a dû intervenir. La
théorie
, aujourd'hui bien établie, qui fait d'une certain
du nerf cubital seulement, le phénomène doit s'expliquer, d'après la
théorie
, de la façon suivante. Il ne s'agit pas d'une exc
. Je tiens pour mon compte à réserver, pour le moment, la question de
théorie
. Je ne nie point que les actes réflexes aient une
tères qui les distinguent, et d'en indiquer autant que possible la
théorie
physiologique. Ici, le phénomène à mettre en reli
oir pour effet la disparition d'une contracture. Mais quelle est la
théorie
que l'on peut donner de tous ces phénomènes ? Il
ions du système nerveux que nous avons habituellement à traiter. La
théorie
de l'ancienne machine, à plateau cle verre unique
hypnotisés. A priori, on pourrait supposer que les partisans de cette
théorie
possèdent un grand nombre de faits qui en démontr
on de la —, p. 467 ; — guérison d'une — par l'hypnotisme, p. 562; —
théorie
de la —, p. 467; — distinction avec les — organiq
que cette névrose, chez leurs sujets, existe. Il n'accepte aucune des
théories
proposées par l'Ecole de Nancy pour laquelle, a-t
ouver cette mesure. Maladie du sommeil. M. Mauthner a soutenu une
théorie
suivant laquelle la maladie du sommeil observée c
de la substance grise qui entoure les ventricules cérébraux. Celte
théorie
semblerait confirmée par un cas de cette rare aff
ges, in-8°. — Paris, 111, boulevard Saint-Germain. Dasilewssy (B) —
Théorie
unitaire et phylogénélique de Vhypnotisme de f ho
ulier où se trouve la personne qui apparaît. Ce livre contient peu de
théories
; c'est un ensemble de documents recueillis dans d
lusivement au Point de vue de ses préférences scieutifiques ou de ses
théories
personnelles. Sinon, voyez ce qui arriverait avec
est assez dire qu'il lui arrivera même d'introduire dans le débat des
théories
qu'au fond de son esprit il repousse comme erroné
sauvages; traces des contes modernes dam les anciens auteurs; — b. 1«
théorie
solaire appliquée aux mythes; le folklore moderne
Suite et fin (1). Et plus loin, après avoir discuté à ce propos les
théories
de l'honorable M. Delbœuf, professeur à l'Univers
de cette catégorie, parmi des clients médecins — ont dans la tète des
théories
: « Monsieur, me disait l'un deux qui réclamait m
chiques, etc. Ici, la limite de l'innocuité est franchie, puisque ces
théories
, qui ont pour origine une tromperie de soi-même,
opre (3). Nous avons été les premiers à élever la voix contre cette
théorie
lorsque, en lt*82, dans notre Communication, en c
spécial parmi ceux qui l'interrogeaient à cet égard de si singulières
théories
qu'il serait regrettable qu'un clinicien put y fa
e de l'hypnotisme et d'en signaler les dangers et le* difficultés. La
théorie
du sujet a ele laissée de côté, l'auteur ne voula
ts des médicament- à distance, l'hypnotisme appliqué aux animaux, les
théories
de l'hypnose. Dans un appendice, il donne une cin
la lumière de ces fait* et de ces données, d'appréeior la valeur des
théories
qui ont éié émi*es et des conclusions qui mit été
giques; hérédité et récidivité. 2* Interpréta lion dn type criminel :
théorie
aiavimque et théorie pathologique. 3* Application
écidivité. 2* Interpréta lion dn type criminel : théorie aiavimque et
théorie
pathologique. 3* Applications de« doctrines de l'
nce qu'on rencontre si souvent est en contradiction flagrante avec la
théorie
d'hérédité si généralement acceptée. (1) Luys.
olisme complet, sont irresponsables. Au point do vue moral, une telle
théorie
est déjà discutable : il nous semble que la respo
irresponsable moralement. Pénalement, peut-on l'admettre? L'ne telle
théorie
est tout simplement l'encouragement à l'ivresse :
rationnel dans une certaine mesure. Mais je crois qu'on a exagéré la
théorie
du surmenage contemporain. Il y a vingt-cinq ou t
Les partisans des deux écoles accourent, et voici qu'un adepte des
théories
de la Salpéirière examine les sujets. Il les en
poursuite, n'a pas recouru aux procédés de Paris. L'expert imbu des
théories
de la Salpéirière dira, quand même il aurait, lui
cadémies sont souvent, f.mt-il le dire, le dernier refugo de vieilles
théories
et la redoute de l'ancien. Nous ne voulons cont
sur la Suggestion et le Somnambulisme (2), j'ai essayé d'établir une
théorie
complète des suggestions criminelles. (?) J. Li
es partisans des deux écoles accourent, et voici qu'un adepte des •
théories
de La Salpéirière examine les sujets. a II les
ines de psychologie psychologiques contemporaines, en particulier les
théories
les plus récentes sur les hallucinations. 11 le c
utoriser à les hypnotiser avec l'assistance d'un médecin : il y a, en
théorie
, une différence entre les deux autorisations et l
essus de l'interligne articulaire du poignet. Cela concorde avec la
théorie
d'Alquier que nous exposons plus bas, car on pe
ques. Aussi n'avons-nous pas eu l'occasion de discuter les diverses
théories
, sympathique de Leriche, vasculaire de Meige, v
'aponévrose et nodo- sités digitales, nous paraissent en faveur des
théories
qui leur attribuent même pathogénie. Déplus, ét
présentent, le fait que nous rapportons nous paraît en faveur de la
théorie
, soutenue notamment par les professeurs J. Tess
ses caractères normaux. - M. Cestan et M. Boinet se rattachent à la
théorie
d'un « stigmate phy- sique névropathique ». P
peutprovoquer l'aspect de dits doigts tourmentés ou déjetés. Cette
théorie
trouverait sa justification : 1° dans ce fait q
dans ce recueil, Ber- tolotti, puis Chevallier,* ont discuté cette
théorie
, faisant valoir que les hexadactyles seraient e
sséder pour être tout a fait compte), Boinet objecte également à la
théorie
qu'on n'a jamais trouvé de traînées osseuses in
rme elle 6° métacarpien, ce qui serait indispensable pour étayer la
théorie
. Ce ne sont pas nos observations qui pourront d
qu'un excès de ladite sécrétion donnerait lieu au diabète insipide (
théorie
hyperpituitaire). A l'appui de cette hypothèse
tué à la base de l'encéphale (région opto-pédonculaire), Mais cette
théorie
, malgré les intéressants arguments invoqués en
technique, et cela est dù à l'ardeur avec laquelle ils défendent la
théorie
nerveuse et repoussent la théorie glandulaire d
ur avec laquelle ils défendent la théorie nerveuse et repoussent la
théorie
glandulaire du diabète insipide. Il est évide
èce, se régénère, le trijumeau redevient purement sensitif. Cette
théorie
est séduisante (1). Elle est inadmissible. Il nou
La surrénale a été aussi trouvée lésée dans certains cas. Diverses
théories
ont été soulevées pour expliquer la pathogénie du
joutés au syndrome dont nous parlons. , b) Névritique. - Pour cette
théorie
, l'adipose douloureuse vient de l'inflammation
ue. Le sympathique est l'agent producteur de l'af- fection. Cette
théorie
est vraie en partie, c'est-à-dire que le sympathi
de la maladie de Dercum. sur UN cas DE syndrome DE DERCUM 291 d)
Théorie
encéphalique. Dans le cas de Burr, il y avait une
t une dispo- sition anormale des circonvolutions cérébrales. ' e)
Théorie
toxique. Dans cette théorie, le syndrome adipose
le des circonvolutions cérébrales. ' e) Théorie toxique. Dans cette
théorie
, le syndrome adipose dou- loureuse est le résul
rome adipose dou- loureuse est le résultat d'une intoxication. f)
Théorie
microbienne. - Aux théories ci-dessus devait s'aj
e est le résultat d'une intoxication. f) Théorie microbienne. - Aux
théories
ci-dessus devait s'ajouter la théorie microbien
) Théorie microbienne. - Aux théories ci-dessus devait s'ajouter la
théorie
microbienne et par celle-ci on a prétendu attribu
athogénie de l'adipose douloureuse à des agents spécifiques. ' c)
Théorie
glandulaire. Les glandes devaient aussi se charge
terviennent comme agent pathogénique. Passant en revue toutes les
théories
énumérées ci-dessus,nous pouvons dire que quelq
ur agent régulateur, pour frein le sympathique. Ainsi conçue, cette
théorie
trouve son appui dans les faits cliniques. C'es
rable de presque toutes les maladies, soit parce qu'ils ignorent la
théorie
des forces et leurs principes, quoiqu'elle soit
syphilitique tertiaire selon Milian (1), et peut-être opposée à la
théorie
soutenue par Fouquet dans sa thèse, selon laque
des auteurs contemporains paraissent d'ailleurs fixés sur ce point de
théorie
: l'affection articulaire a, par la voie des nerf
autres groupes musculaires du membre. Remarquez qu'aucune autre des
théories
proposées ne peut être acceptée; ainsi, on parle
ne déterminer qu'un repos de courte durée, et d'ailleurs, dans celte
théorie
, comment pourrait-on expliquer la localisation à
e, d'un emplâtre stibié peut produire le même effet que le choc. La
théorie
qui permet de fixer ces faits dans l'esprit est l
plusieurs passages de son livre, ainsi que Pitha, se rattache à cette
théorie
. Or, il s'agit là d'une contraction spasmodique
s, quoique indirects, peuvent être encore invoqués en faveur de cette
théorie
. Je puis vous montrer que ces mêmes déformations
leurs et dans les cas même où le membre n'a jamais été immobilisé. La
théorie
généralement acceptée pour expliquer cette dystro
ous allons voir qu'elle intéresse au plus haut point non seulement la
théorie
, mais encore la pratique : s'agit-il d'une atroph
et intenses pourrait peut-être permettre d'accuser, conformément à la
théorie
de La-tham, l'existence antérieure de spasmes vas
rminant, des phénomènes qui ne peuvent nullement s'accommoder avec la
théorie
qui invoquerait l'existence d'une lésion grave du
ir I'Appendice n° II, p. 464. Quoi qu'il en soit, d'ailleurs, de la
théorie
, le traitement institué, bien qu'il ait été inaug
ur hâter ce résultat? Je voudrais étudier avec vous tout d'abord la
théorie
, la physiologie pathologique des cas qui nous occ
on opinion, la coxalgie de ce malade doit être interprétée suivant la
théorie
appliquée, dans nos leçons du dernier semestre, a
at psychique produit par le shock nerveux. Telle est, Messieurs, la
théorie
que je propose : si j'ai un peu insisté sur ce po
omplétant, de l'établir d'une façon définitive. Telle est du moins la
théorie
que je vous ai proposée, vous ne l'avez pas oubli
eurs avoir obtenu des résultats propres à confirmer de tous points la
théorie
proposée par M. Yolkmann. Ce n'est pas ici le lie
s dernières recherches de Brown-Séquard ont singulièrement ébranlé la
théorie
de la « coagulation de la myosine », comme cause
ralysies dites psychiques ou mentales, si vous l'aimez mieux. Cette
théorie
, aujourd'hui fondée sur un nombre considérable de
bjeclivement sous la forme d'une paralysie complète, absolue. Cette
théorie
peut, on le conçoit, s'appliquer de tous points à
édiatement dues à l'activité des centres moteurs. » À l'appui de la
théorie
proposée plus haut, on peut rappeler ce qui s'obs
st, comme on le comprendra facilement, la contre-partie directe de la
théorie
qui veut établir une suprématie absolue des centr
is en fonction que par une sorte de réflexe parti des premiers. Cette
théorie
, M. le professeur Charcot la rejette presque enti
n des centres en particulier est, en effet, la contre-partie de cette
théorie
, puisqu'elle a pour base l'indépendance de ces ce
est pas dans ces Leçons qu'il faut chercher des aperçus nouveaux, des
théories
hasardées ; on ne les rencontrerait pas; mais ce
nir à un exem¬ple, citons le remarquable travail de M. Prompt, sur la
théorie
de la marche. Ce n'est pas sans quelque complai
Parmi ces derniers nous avons déjà signalé celui de M. Prompt sur la
Théorie
de la marche; nous ne ferons qu'énumérer les plus
vorables à l'opinion émise par le docteur Bou¬rion. Mais que dit la
théorie
, ou mieux que disent l'optique et la physiologie
sique, de remonter à leur cause pre¬mière et de les expliquer par des
théories
plus ou moins ingé¬nieuses. Le but de notre aut
euses. Le but de notre auteur n'est point de créer ici une nouvelle
théorie
; cependant il n'a pu résister à la tentation de
le premier bruit et la petite avec le deuxième bruit du cœur. Deux
théories
peuvent donner une explication suffisante des dét
e des détails nombreux observés dans l'analyse de la pulsation : La
théorie
du choc en retour ; d° de l'indépendance des qu
c en retour ; d° de l'indépendance des quatre temps du cœur. III.
Théorie
nu choc en retour. — Déjà bien connue dans la sci
Théorie nu choc en retour. — Déjà bien connue dans la science, cette
théorie
attribue la grande impulsion à la contraction du
nt sur les valvules aortiques pour rejaillir de nouveau. Mais cette
théorie
a besoin d'être complétée pour rendre compte de t
daire, et souvent même de plusieurs autres plus pelites. Dans cette
théorie
, tous ces mouvements successifs seraient pro¬duit
lexes et qui trouvent difficilement leur explication dans cette seule
théorie
. IV. Théorie de l'indépendance des quatre temps
ouvent difficilement leur explication dans cette seule théorie. IV.
Théorie
de l'indépendance des quatre temps du cœur. — La
IV. Théorie de l'indépendance des quatre temps du cœur. — La seconde
théorie
est celle qui attribue à chaque cavité un temps p
¬tour aortique ou gauche. 3" Contraction des i oreillettes. Celte
théorie
semble trouver une démonstration physiologique pu
i, disons-le de suite, tendent à renverser certaines idées, certaines
théories
médicales universellement adoptées. On comprendra
us rares*. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. I.
Théorie
des réflexes cutanés et tendineux basée sur la na
de la pression exercée, sur le cerveau soit dans les limites de la
théorie
de Bergmann, soit dans celles de la théorie d'A
dans les limites de la théorie de Bergmann, soit dans celles de la
théorie
d'Adamkiewicz ; 3° à l'état, du fait de cette pre
interne, il est impossible de n'alléguer que l'anémie qui, dans la
théorie
de Bergmann, émane de la compression des vaisse
êt de développement des lobes préfrontaux. Il y a actuellement deux
théories
en présence relativement à la localisation de l
dans les lobes occipitaux. Ces faits viennent donc à l'appui de la
théorie
qui localise les fonctions intellectuelles dans
ion des quelques nouveaux cas présentés par l'auteur. De nombreuses
théories
ont été proposées pour expliquer la pathogénie
es des nerfs périphériques. Après avoir passé en revue les diverses
théories
de l'6rythro- mélalgie (nerveuse, médullaire, c
ent étu- diées les questions suivantes : Chapitre I. Evolution delà
théorie
du criminel-né. Chapitre 11. Causes de la crimi
l est, à l'heure actuelle, impossible d'accep- ter intégralement la
théorie
de l'anémie cérébrale comme cause du sommeil. O
base se congestionneraient, tandis que l'écorce s'anémierait. Cette
théorie
rappelle un peu une opinion ancienne de Meynert,
qui lui est particulière. 'Régénération autogène chez l'homme et la
théorie
du Neurone. M. G. DURANTE (de Paris). A l'autop
qu'une interprétation qui a servi à élucider quelques faits. Cette
théorie
, comme toute théorie biologique, ne renferme qu
n qui a servi à élucider quelques faits. Cette théorie, comme toute
théorie
biologique, ne renferme qu'une part de vérité e
des piogrès constants de la science psychologique. J. B. XXVI. La
théorie
de l'émotion; par W. James, traduit de l'anglais,
Dr G. Dumas dans une introduction qui est un véritable exposé de la
théorie
émotionnelle du psychologue américain, tient à
la concilier avec le caractère péri- phérique de l'émotion. A cette
théorie
s'oppose la théorie intel- lectualiste de Herba
caractère péri- phérique de l'émotion. A cette théorie s'oppose la
théorie
intel- lectualiste de Herbart et son école expo
e psychologue américain reconnaît l'impossibi- lité de soumettre sa
théorie
à une épreuve expérimentale, mais il répond vic
le des sens... dans une partie quelconque de leur trajet. » Cette
théorie
a longtemps régné sans conteste; mais les décou
incapable d'expliquer l'unilatéralité de l'halluci- nation. A la
théorie
classique ainsi ébranlée, M. Séglas substitue u
n. A la théorie classique ainsi ébranlée, M. Séglas substitue une
théorie
psychologique. La lésion périphérique n'agit pas
ation du côté du point de repère unilatéral '. » Celle intéressante
théorie
me semble .corroborée par le fait suivant noté
émontrer que la brillante interprétation de M. Sérias et l'ancienne
théorie
, loin de se contredire, se complètent heureusem
pas t'unilatéralité. Sur ce dernier point on doit faire appel à la
théorie
de M. Séglas. C'est par une association d'idées
ette question capitale devient aisée si l'on veut bien accepter une
théorie
éclectique. Il y a dans toute hallucination uni
'hallucination en elle- même, phénomène sensoriel explicable par la
théorie
anato- mique de Tamburini (l'hallucination épil
lité decetlehalluciuation, phénomène intellectuel explicable par la
théorie
psychologique de Séglas (la lésion unilatérale
lepsie, où elle ne constitue qu'un équivalent des attaques; or, les
théories
mo- dernes tendent de plus en plus à admettre l
graphie, se range du côté de ceux qui considèrent comme dépeinte la
théorie
du neurone. SOCIÉTÉS SAVANTES. S3t I 7'A)'ot(
s électnques des -, par Babinski et Delelme, 77, ï, Emotion. La
théorie
de 1 pat James, 382 FCÉPIIiL011(;L17E. Voir M
, par Lakacz. 131. RÉGi : VI.n WION AUTOGÉ\E Ctle2 l'hom me et la
théorie
de neurone, par Du- rante, 313. Régression mu
aru( d'autant plus intéressantes qu'elles nous ont conduits, à.une'
théorie
de l'incoordination déjà soutenue autrefois par
C'est là un caractère important ; nous y reviendrons à propos des
théories
de l'incoordination motrice. t) Nos. recherches
dui- ront sa flexion ( d'une façon brusque et , désordonnée . La,
théorie
de Tchirjew a déjà été réfutée par Westphal/ qu
istes et.que cependant il n'y avait pas.incoordination^ , , ,. La
théorie
que nous soutenons peut faire, com- , prendre l
a projection des membres. On peut objecter à Tschirjew, que si sa
théorie
était vraie, on rendrait un animal incoordonné
température frontale s'élève : ce dernier point peut éclaircir la
théorie
du 'sommeil. » M. Bert n'avait pas observé d'élév
nt, philosophiquement, l'expression dernière et le couronnement des
théories
scientifiques ; en adopter une équivaut à chois
leur appréciation et une grande indépendance dans la discussion des
théories
, quels que soient les noms qui les cou- vrent,
ur l'état des fibres nerveuses qui en émanent : or, à ce propos, la
théorie
la plus généralement accep- tée, croyons-nous,
t toute vraisemblance, celui-ci ne se détruit que graduellement, la
théorie
nous paraît insuffisante, puisqu'elle ne nous r
muscles était plus particu- lièrement intéressé. A' l'appui de la
théorie
que nous soutenons, nous rappellerons les circo
ents ultérieurs. 17 258 REVUE CRITIQUE. I ., ' 1 . Faits et
théories
de M. Burq. - Il nous paraît nécessaire de répé
e un bon nombre d'agents oesthésiogènes. Quand nous parlerons de la
théorie
, nous en ferons l'énu- mération complète ; pour
M'<e'e ? M7 ? Herendue"l'auteu'r passe en, revue,, les diverses
théories
émises relativement à la production de ce phéno
ne valeur as- sez mince' pour rassurer leur probité pécuniaire ? La
théorie
de M" Lasègue" vraie pour la' grande' majorité
t dans ce genre de comparaisons des données intéres- santes pour la
théorie
de la sensibilité. Quant aux organes des sens,
e faisceau pyramidal du côté sain et par les com- missures. Cette
théorie
a déjà été soutenue par M. Hitzig. Elle est fon-
semblent bien de nature à justifier les doutes que peut inspirer la
théorie
de la contrac- ture hémiplégique par associatio
nférieur : « Aussi, dit M. Vulpian, lorsqu'il s'agit de discuter la
théorie
des localisations cérébrales, faut-il refuser p
impossible que l'auteur ne l'ait pas observé. Cela, étant donné la
théorie
qu'il adopte, avait d'autant plus d'importance qu
N pariétale INFÉ- RIEURE (lobule du pli courbe), EN rapport avec la
théorie
DES localisations cérébrales ; par GIOVANNI ANG
le; les indications thérapeu- tiques ressortent clairement de cette
théorie
. II. D'O. LUI. Affections NERVEUSES SYPHILITIQU
us proposions plus haut, et ce qui se trouve aussi d'accord avec la
théorie
nerveuse de M. Angelucci. H. DE B. XXXIV. Du
ateur que la picrotoxine tend à établir. » Quoi qu'il en soit de la
théorie
, voici le fait que rapporte M. Couyba. Un enfan
bien incomplète. M. Brissaud rappelle d'abord, pour la rejeter, la
théorie
delà rétraction musculaire de Follin ; un de se
ns déjà dit ailleurs' ce que nous pensions de cette doctrine; toute
théorie
vitaliste à part, et c'est dans ce livre la seu
x au joyeux buveur. Aurore, qui permet de faire toucher du doigt la
théorie
de la rotation diurne de notre globe; les rubis
se leur explication sans qu'il soit nécessaire d'avoir recours à la
théorie
des nerfs trophiques. » (Charcot, loc. cit., p.
sse jamais 1 centi- mètre. D. Pathogénie. L'auteur se rallie à la
théorie
de Waller sur les centres trophiques en ce qui
générescence soit terminé. L'auteur se rat- tache sur ce point à la
théorie
de la restauration de la myéline et du cylindra
urations qu'il est impossible d'épargner aux aliénés agités. - La
théorie
de l'embolie graisseuse par la destruction pure-
sans oedème qui se rencontre parfois. > ' ' » -a . 9cLes trois
théories
proposées pour expliquer cette -névrite sont :
ur sur les fibres vaso-motrices du fond de' l'oeil ; cette dernière
théorie
est soutenue par H. Jackson. ' '" -' q 1 Bram
croscope. L'auteur passe rapidement en revue les expériences et les
théories
faites sur les hémorrhagies stomacales consécut
s à M. 0*" sur l'éducation de son 6M 0 VARIA. enfant idiot, 1839;
Théorie
el pratique de l'éducation des idiots (leçons a
La Salzède, dans l’ouvrage qu'il vient de publier (I), fait sur cette
théorie
les réflexions suivantes : « Or, du moment où l
rées au magnétisme, une seule y figure, celle où M. du Potetexposa la
théorie
actuelle du magnétisme; tout le reste est passé s
l parlera. Arrivé chez moi, je m’empressai de mettre en pratique la
théorie
magnétique à laquelle j’étais si nouvellement ini
e, la pierre de touche de l’observateur attentif, qui n’acceptent les
théories
aux pompeuses promesses qu’après un examen sérieu
Garnay). P*ri». — Imprimerie d'A. Rué et Comp., rue de Scioe, 33,
THÉORIES
. A MONSIEUR LE BARON Dl' POTET. Mon cher Maît
s conséquences, il fallait à tout prix faire de la scolastique, de la
théorie
, et comme le terrain était mouvant, ces braves ge
voile épais de la matière, et qui se nourrit du capul morluum que vos
théories
rejettent; vous n’y comprenez rien, vous qui n’ét
soi des désordres qui ne cèdent que lentement. Hébert (de Camay).
THÉORIES
. DES DESTINÉES PROBABLES DU MAGNÉTISME thèse
rnav). Paris. — Imprimerie il'A, Keké et Comp., rue de Seine, SJ.
THÉORIES
. DES PHÉNOMÈNES MAGNÉTIQUES DE TRANSITION. §
d’étudier des temps passes avec celui d’aujourd’hui. On faisait les
théories
d’après la nature, maintenant c’est elle qui doit
éories d’après la nature, maintenant c’est elle qui doit se plier aux
théories
: aussi, en lisant les premiers, nous rencontrons
terre d’imagination et de systèmes, donna naissance à une infinité de
théories
. L’Italie ne fut pas moins fertile, etl’école d’A
prend encore moins. EU! de grâce, que faut-il de plus que guérir? Une
théorie
. Voici la mienne. « Il est probable, dit Hallé,
si de découvrir les ressorts de cet agent puissant et de me faire une
théorie
. Si vous voulez me le permettre, j’aurai l’honneu
ions. Afin d’éviter de longs développements, je donnerai souvent ma
théorie
sous forme d’aphorismes. Je vous prie de porter v
demment à ceux qui ont eu l’occasion de les observer la réalité de la
théorie
qui vient d’être exposée succinctement, comme cet
ité de la théorie qui vient d’être exposée succinctement, comme cette
théorie
explique les différents systèmes de magnétisation
nière manière constituant l’acte matériel. Ce résumé succinct d’une
théorie
complète et générale de la science magnétique lai
e est susceptible. En analysant séparément tous les éléments de celte
théorie
, on y trouvera d'une manière régulière toutes les
ine. Pourquoi? parce que M. Lafontaine est entièrement ignorant de la
théorie
de la scieflce mesmérienne. Il attribue à la mati
des magnétiseurs habiles, et surtout par l’expérience, je connais la
théorie
du magnétisme curatif, tout me parait naturel, co
gratuitement pour chacune de ces séances. Cette méthode qui joint la
théorie
à la pratique est on ne peut plus rationnelle et
respectueux. Votre tout dévoué serviteur, J. Mermoud de Poliez.
THÉORIES
. LE MAGXÉTISME ANIMAL EXPLIQUÉ. Si l’on débar
de mademoiselle Prudence confirment en tout point la réalité de cette
théorie
. Si les choses ne se passent pas toujours ainsi,
le magnétiseur n’est pas bien maître de son sujet, ou qu’il ignore la
théorie
de la science qu’il exerce. Partant de ce princ
n rencontre quelquefois sans pouvoir, dit-on, les expliquer par notre
théorie
; c'est comme si, après l’étude des éléments d’Euc
dévouement. Achille de Brossard. Bordeaux, le 25 novembre 1847.
THÉORIES
. DES ORGANES AFFECTÉS PAR LE MAGNÉTISME (1).
ouvent ils devinaient juste : il me semble d’un augure favorable à ma
théorie
qu’ils aient tour à tour assigné pour siège à l’â
rait pu lui supposer le plus de rapport. Quoi qu’il en soit, si celte
théorie
ne donne pas précisément la vérité, elle a assez
ttraits pour inviter à en chercher la ruute. Mesmer termine par une
théorie
des sens qui est absolument neuve el très-ingénie
la lumière de l'observation clinique. Or, la clinique montre que la
théorie
de sa genèse mécanique, par heurts, sécheresse
s'explique leur relation avec l'affection du trijumeau même par la
théorie
des vaso-moteurs. P. K. IX. SUR LES modificatio
anique, des plexus coordonnateurs les plus élevés du cerveau. Cette
théorie
explique d'une façon satisfai- sante la success
s l'ordre psychique, il y a perte de conscience et manie. » Cette
théorie
de la manie post-épiloptique par épuisement parai
tionnelle ». M. Wiglesworth s'attache ensuite à démontrer que cette
théorie
explique d'une manière très satisfaisante les p
Eustasio Sena GimENo. Après avoir rappelé sommairement les diverses
théories
de l'hystérie l'auteur, dit qu'il se range à ce
agit de la même manière que celui des gan- ,lions ovariques. Cette
théorie
est analogue à celle de Négrier et de Schulzenb
nalogue à celle de Négrier et de Schulzenberger. « Celte nouvelle
théorie
se trouve la mieux en harmonie avec les désordr
mblent définitivement acquis et un aperçu suffisant des différentes
théories
qui ont eu cours sur tel ou tel point de la pat
ndiquer; il est même plus spécialement consacré àl'eaposition d'une
théorie
de la vision à l'aide de laquelle ou peut expli
et aux différentes formes d'liémople; il les trouve conformes à sa
théorie
. Les ob- servations sont nombreuses et attesten
rt complexe. Ces réserves faites, nous nous hâtons d'ajouter que la
théorie
de M. Witbrand constitue une synthèse assez exa
e l'excitabilité musculaire. Faisant ensuite allusion à différentes
théories
qui existent sur la question du phénomène patel
uel rôle le système nerveux joue dans leur production. Il est une
théorie
d'après laquelle cette question serait facile à
rie d'après laquelle cette question serait facile à résoudre. Cette
théorie
est due à Zuelzer. Ce médecin a pu- blié en 187
l'acide phosphorique sans augmenter celle de l'azote. On voit si la
théorie
de Zuelzer est vraie, combien il est facile de sa
de sa non intervention. Malheureusement, si, comme la plupart des
théories
, celle de Zuelzer a quelque chose de vrai, elle
Cette augmentation n'est pas en rapport, ce qui devrait être si la
théorie
de Zuelzer était vraie, avec l'intensité du tra
diminuée que la première, fait que ne prévoyait pas Zuelzer dans sa
théorie
. 1 J1airPl.-I,o.ocilnto, passim. 2 lrl.. p. 6
sim. 2 lrl.. p. 67 et seq. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 351 La
théorie
de Zuelzer ne peut donc nous donner- la solu- t
délirantes forment souvent un tissu inextricable. BAJENOFF. XXVI.
Théorie
physiologique DE l'hallucination; par A. BINET
il, 5 p. 100 d'atrophie du nerf optique. Si maintenant on adopte la
théorie
unitaire de la syphilis, on doit calculer que,
-dire 63,5 p. 100 étaient syphilitiques; si l'on est partisan de la
théorie
dualistique, on relève la proportion de 28,5 et t
rive à la proportion de 57,6 syphilitiques SOCIÉTÉS SAVANTES. 433
théorie
unitaire) et de 38,4 (théorie dualistique). Les 1
yphilitiques SOCIÉTÉS SAVANTES. 433 théorie unitaire) et de 38,4 (
théorie
dualistique). Les 12 derniers cas envisagés par
ition relative de la nutrition et finalement on doit ajouter que la
théorie
nerveuse de la fièvre ne doit pas être mise compl
s scolioses on trouve des partisans de l'une ou l'autre de ces deux
théories
qui en somme n'expliquent rien du tout. En tous
s la scoliose vulgaire, il voit une nouvelle preuve en faveur de la
théorie
précédente. Il ajoute que peut-être la faibless
tains muscles moteurs du rachis. Nous écarterons pour le moment les
théories
plus ou moins fondées qui expliquent la genèse
ralysie des muscles extenseurs directs du rachis lombaire. Voici la
théorie
que nous proposons. Les fléchisseurs latéraux son
ont la pathogénie reste obscure. Nous avons cité chemin faisant les
théories
proposées par divers auteurs pour expli- quer l
ns dans. les maladies de la moelle ou du cerveau. On a invoqué deux
théories
principales : 1° Théorie trophique (osseuse, ar
moelle ou du cerveau. On a invoqué deux théories principales : 1°
Théorie
trophique (osseuse, articulaire, ligamenteuse) ;
: 1° Théorie trophique (osseuse, articulaire, ligamenteuse) ; 2°
Théorie
musculaire (paralysies, contractures). Il serai
diminuant la résistance du rachis à l'action de la pesanteur. Cette
théorie
peut seule rendre compte des déviations semblab
ne conclusion définitive qu'indiquer la vérification pos- sible des
théories
par la comparaison des formes cliniques de déviat
liose des adolescents ; elle ruine complètement, sui- vant nous, la
théorie
musculaire pure adoptée par certains auteurs. O
n sait, des déviations très accentuées, n'est pas justiciable d'une
théorie
musculaire pure. Comme Bouvier, comme Kirmisson e
velles accouchées. Les résultats qu'il obtint le conduisirent à une
théorie
de l'arrêt de la dou- leur par le stock. Aussi
reprises, exposé les idées en général sur l'athétose double. Deux
théories
ont été soutenues, sans compter les nombreuses di
ue nous possédions sur ce sujet sont ceux de Scliadow (Polyclète ou
Théorie
des mesures de l'homme, Berlin, 1866), de Liharzi
er le calcul par une cons- truction graphique et elle repose sur la
théorie
des triangles semblables. Le compas est à quatr
- ductive, trop négligée en France de l'aveu de tout le monde ; les
théories
générales fondées sur les découvertes scientifi
ez nous la réaction commencée par Georget en 1831, en combattant la
théorie
antique qui ne voyait dans l'hystérie qu'une ma-
ntition chez les enfants, mais sans pour cela adhérer nettement aux
théories
soutenues par M. Ollivier. Peut-être, cette adh
s et l'hystérie chez les adultes ? Nous avons indiqué plus haut les
théories
de l'Ecole allemande pour la- quelle, les phéno
, et seraient comme les avant-coureurs de l'aliénation mentale. Ces
théories
, disions-nous, ont été défendues en (1) Id. Bul
ner de diverses façons avec ces maladies. Que penser dès lors de la
théorie
de Buzzard (5), qui soutient au contraire la si
ent épargnés. ' · Ces faitspathologiques militent en faveur de la
théorie
de Flechsig g qui voit dans les territoires cor
inique à la SalpéLrire. [Clinique nerveuse de la Salpêtrière) Des
théories
imaginées pour expliquer l'exagération du tonus
r point reste à analyser, l'état du tonus muscu- laire. D'après une
théorie
récente, le tonus musculaire subi- rait deux in
; en sorte que l'ictus 122 RECUEIL DE FAITS. n'est d'après cette
théorie
qu'un choc accidentel, une sorte de traumatisme
condamne au point de vue étiologique les facteurs incriminés. La
théorie
de l'auteur à cet égard se résume en cet axiome :
avoir une patho- génie variée. Elle peut être purement instinctive (
théorie
de la décharge) ou hystérique. Dans d'autres ca
ions mentales, méthode dont la stérilité se faisait déjà sentir. La
théorie
de la monomanie en tant qu'entité morbide reçut
médical. Un peu plus tard; il publiait un travail critique sur les
Théories
physiologiques de l'épilepsie (1862). Puis, vie
VI..P/t</s ! o)9'epa//t0t'çMe et pathogénie. Exposer toutes les
théories
pathogéniques émises à propos des tics serait tro
t entraîné la perforation de celles-ci. M. Joffroy (de Paris). La
théorie
pathogénique des tics, que vient de nous expose
i- cables confusions. Mais ce sont là des questions de mots ou de
théories
sur lesquelles on pourrait discuter indéfiniment.
entaux sont de nature à jeter quelques doutes sur le bien fondé des
théories
qui tendraient à nous représenter le tic de l'e
omuscu- laire chez les hystériques hypnotisables. M. AR.1GON. Une
théorie
pathogénique du doute. M. Félix IFG : 1GL'r. Le
nopathiques du délire de possession, repré- sentent une innombrable
théorie
d'autoaccusateurs, dont l'histoire médico-légal
et du tonus musculaire, par Chocq (de C Bruxelles.) - D'après la
théorie
que j'ai développée au Congrès de Limoges, chez
is que ceux qui . SOCIÉTÉS SAVANTES. 373 militent en faveur de la
théorie
corticale sont irréfutables et nom- breux. M.
éflexes et que, par conséquent, j'ai bien fait de ne pas adopter la
théorie
de van Gehuclilen, qui se trouve aujour- d'hui
. La palhogénie ne peut encore être que soupçonnée. Peut-être les
théories
de Lauge, de Mosso, de Sergi, de Rihot, les expér
e basant sur ces résultats, il arrive à formuler son opinion sur la
théorie
de la nature parasyphilitique de la paralysie gén
rasyphilitique de la paralysie géné- rale, aussi bien que du tabes,
théorie
qui a été préjudiciable au traitement de ces af
nne heure, la philosophie l'at- tira. Elle écrivit des pensées, des
théories
sur le monde et sur la vie ; mais elle brûlait
é à l'extrémité des doigts et dans la moitié interne de la main, la
théorie
du métamérisme de M. Brissaud parait seule capa
oches que pos- sible de la conformation cérébrale humaine. XLVII.
Théories
sur l'hérédité ; par Arcudall REtD. (81-it. Med.
raies on apparentes par alternances, caractères transmis ou acquis.
Théories
de Darvin, de Weisman et d'Adami, 50G REVUE DE
des médecins ; ils sont aussi revenus sans s'en douter à l'ancienne
théorie
de la possession. MM. Marie et Vigoureux signal
and rôle dans les spéculations ultérieures, le culte du génie et la
théorie
de la décadence. Bientôt, il publie son livre :
ons de cellules nerveuses à di- vers degrés ; l'auteur développe la
théorie
d'une imprégnation toxique préalable, constante
ans le traitement des organiques, par Deschamps, 388. Hérédité.
Théories
sur 1' , par Reid, 505. Herpès ZOSTER, suivi
et partage les physiologistes en plusieurs camps. La plus ancienne
théorie
est la théorie musculaire émise par Fabrice d'A
physiologistes en plusieurs camps. La plus ancienne théorie est la
théorie
musculaire émise par Fabrice d'Aquapendante et
usculaires antagonistes et en particulier des extenseurs. Une autre
théorie
est la théorie mécanique imaginée parles frères W
gonistes et en particulier des extenseurs. Une autre théorie est la
théorie
mécanique imaginée parles frères Weber en 184G,
en sens opposé des ligaments distendus. Enfin il est une troisième
théorie
, celle de Giraud Teulon qui se rap- proche de c
té de certains groupes musculaires. Il nous semble qu'aucune de ces
théories
n'est vraie à l'exclusion des autres et que la
les deux il la fois. Et d'abord, il est facile de démontrer que la
théorie
musculaire est inad- missible dans son ensemble
une façon indiscutable et admise d'ailleurs par les partisans de la
théorie
mécanique pour les deux segments extrêmes de l'
qui étendent le tronc. Force est bien alors de faire intervenir la
théorie
mécanique pour le maintien en état d'extension
verses pièces de la colonne vertébrale se fait également suivant la
théorie
du levier du 1er genre. Le point d'appui est au c
tions sont de puissantes masses musculaires, et les partisans de la
théorie
musculaire y font appel pour le maintien de l'é
traictes du livre d'Andre Vesale ». Notons cependant au passage les
théories
physiologiques dont Paré orne çà et la sa descr
d'un os, les fumées ne s'en eussent pu exhaler ». Après ces belles
théories
il est grand besoin de reprendre terre. C'est c
dans celte position en vertu d'un mécanisme pour lequel plusieurs
théories
ont élé proposées (Fig. 40). La théorie muscula
me pour lequel plusieurs théories ont élé proposées (Fig. 40). La
théorie
musculaire qui remonte il Fabrice d'Aquapendent
r, etc. attribue il l'action des muscles le rôle prépondérant. La
théorie
mécanique imaginée par les frères Weber en 1846
nconlre de la pesanteur lout le mécanisme de l'équilibre. Enfin une
théorie
mixte émise par Giraud Teulon, se rapproche de
des exemples authentiques. Après Montgomerry, qui donna la première
théorie
scientifique de ces amputations, les observatio
cause des déviations dans la syringomyélie est encore obscure. Les
théories
proposées pour expliquer ces déviations peuvent ê
pour expliquer ces déviations peuvent être ramenées à deux (4) : 1°
Théorie
musculaire (paralysies, contractures) ; 2° Théo
à deux (4) : 1° Théorie musculaire (paralysies, contractures) ; 2°
Théorie
trophique (osseuse, articulaire, ligamenteuse). O
s doigts et des articulations du bras. Ce cas vient à l'appui de la
théorie
attri- buant à des lésions trophiques les dévia
t qu’il en détermine par là les propriétés. En conséquence de cette
théorie
, je démontrerai dans le système des influences co
ertain aux spécifiques et aux drogues innombrables assorties par la *
théorie
des humeurs, dans tous les cas on n’a que deux in
ui l’environne et qui peut-être la pénètre sans en être partie. Cette
théorie
admise, c’est-à-dire accordant à l’âme la faculté
variait de 50 à üO grains par jour, et allait parfois jusqu’à 150.
THÉORIES
. DE la source du fluide magnétique. Il est à
un des moyens les plus puissants de la thérapeutique. D’après cette
théorie
, mes idées sont toutes opposées à celles des magn
s jo n’ai pas 1 intention de vous exposer actuellement cette nouvelle
théorie
, que je me propose de faire connaître par la voie
l«r cela seul qu’on ne la leur explique pas. C’est enfin un essai de
théorie
, do généralisation des faits observés, et comme t
es faits, afin d en trouver la loi. Sans lois, sans principes, sans
théories
qui lient les faits entre eux, le magnétisme sera
ble. Séance du 29 mai.— M. Boliaulitune critique remarquable sur la
théorie
que M. Meade a donnée des phénomènes som-nambuliq
ublier, à l’exclusion de » Uius principes théoriques. « nais si l:i
théorie
est exclue de notre publication (I ) elle « n’en
je suis ; car je ne vous consulte que pour n’y plus être. Adieu. »
THÉORIES
. PSYCHOLOGIE MAGNÉTIQUE. Un prodige dans la n
e magnétique ne sont qu’une seule el môme chose, annonça une nouvelle
théorie
dont on n’a encore pu lui arracher que quelques l
isme naturel et que l’on observe si fréquemment sur les magnétisés.
théories
. PSYCHOLOGIE MAGNÉTIQUE. (Suilc.) § III.
ns, voyez briller aux avant-postes de l 'humanité la inajes- tueuse
théorie
des créations des temps modernes! la chimie décom
urs et les sages ont du à leur volonté seule de pouvoir dégager leurs
théories
des sphères nébuleuses de l’abstraction pour les
roche l'humanité de la perfection, qui esl sa (i 11 cl son but. Celle
théorie
esl un gouffre pour noire raison encore ignorante
tre, el de connaître beaucoup, et que ne satisfont point les diverses
théories
humaines, uuc fois qu’ils les approfondissent un
tudier qu'il faut s’attacher si l'on veut eu faire sorlir une bonne
théorie
. Déjà même un homme qui s’esl fait un nom dans le
l autre exemple aussi remarquable. (La suite au prochain numéro.)
THÉORIES
. A MONSIEUR LE BARON DU POTET. Je prends, Mon
nsuite exposé le magnétisme comme il le comprend; puis, passant de la
théorie
ù l'application , il a magnétisé deux personnes,
membres, exaltation des actes réflexes. — Troubles de la mixtion ; —
théorie
de Budge. — Modifications de la sensibilité : ret
dans les membres inférieurs, indiquerait nécessaire-ment, d'après la
théorie
, que, dès l'origine, les conducteurs de la sensib
ette différence, au premier abord singulière, si l'on se reporte à la
théorie
, fondée sur l'expérimentation, émise récemment pa
ne rencontrent plus d'obstacles. Je n'ignore pas, Messieurs, que la
théorie
de M. Budge n'est pas, tant s'en faut, encore cla
randes cellules nerveuses dites motrices? C'est ainsi que, suivant la
théorie
émise par M. Vulpian, théorie à laquelle j'adhère
s motrices? C'est ainsi que, suivant la théorie émise par M. Vulpian,
théorie
à laquelle j'adhère complète-ment, les scléroses
nez aisément, Messieurs, que rien dans tout cela ne vient infirmer la
théorie
d'après laquelle f appareil des cellules nerveuse
e-ment répandue. Je crois donc pouvoir, d'après cela, m'en tenir à la
théorie
que j'ai proposée dans le temps, relativement à l
emaine 1 ; et enfin, l'atrophie des muscles rapidement développée. La
théorie
in-dique qu'ils dépendent de l'altération des cor
ge récent (Ueùer progressive Muskelatrophies Berlin, 1873), contre la
théorie
nerveuse de l'amyotrophie progressive (Obs. I, II
ntérieure à laquelle il convient en pareille circonstance, suivant la
théorie
que j'ai exposée, de rapporter les altérations tr
légère irritation de la peau (réflexe cutané). Pour ce qui est de la
théorie
de M. Westphal, elle semble infirmée par des expé
on sait de plus positif relativement à Yanatomie pathologique et à la
théorie
. En ce qui concerne celle-ci, des expériences de
n des convulsions et de la céphalalgie aussi exactement conforme à la
théorie
. Vous avez vu, en effet, dans notre première ob-s
de localisation de celle-ci à la surface des hémisphères. Suivant la
théorie
fondée sur des travaux ré-cents, les plaques gomm
incipal des convulsions. Si ce n'est pas là, à proprement parler, une
théorie
régulière, c'est tout au moins une manière ingéni
encore, à l'heure qu'il est, qu'à titre d'en-semble symptomatique. La
théorie
pathogénique doit être réservée : sans doute les
es membres, exaltation des actes réflexes. —Troubles de la miction; —
théorie
de Budge. — Modification de la sensibilité: re-ta
419. Hémianesthésie de cause cérébrale, 360, 366, 3î 1. — Croisée,
théorie
, 137. — Hystérique, 136, 361. Hémichorée post-h
t, 413. Vessie (Contracture du col de la), 127. — Paralysie, 127. —
Théorie
de Budge, relative à l'action du sys-tème nerveux
▲