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1 (1891) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Leçons sur les maladies du foie et des reins. Tome 6
C'est encore à Kiernan surtout, que nous devons la critique de cette théorie des deux substances du foie, théorie qui est com-
nous devons la critique de cette théorie des deux substances du foie, théorie qui est com-plètement tombée en désuétude depuis
s, comme nous le verrons plus tard, qu'est fondée en grande partie la théorie de Victère hématogène. Dans ces derniers temps, l
re, etc., etc. Ce fait, évidemment d'une importance majeure pour la théorie et la pratique des maladies du foie, nous a été r
nt du foie ? C'est ce que nous devons rechercher main-tenant. A. La théorie que nous avons soutenue au sujet de la for-mation
ifiantes. Ce dernier fait est fort intéres-sant au point de vue de la théorie du mode de formation des calculs biliaires. Il
ion des calculs, s'appuie sur la première hypothèse, lorsque d'autres théories invoquent la seconde. Nous n'avons tenu compte,
oie des fistules bi-muqueuses. c) Il me reste à vous entretenir des théories qui ont été proposées pour expliquer le mode de f
iles. Vous trouverez, du reste, un exposé critique très réussi de ces théories dans l'article Voies biliaires du Dictionnaire en
nsacre à l'étude de cette question mérite surtout d'être consulté. La théorie à laquelle cet auteur semble se rattacher me para
n raison de l'application qu'on peut faire des résultats obtenus à la théorie de la colique hépatique. De pe-tits corps étrange
la leucine et de la tyrosine. Je ferai remarquer toutefois que si la théorie que j'ai proposée pour expliquer l'abaissement de
concerne le côté nosographique, mais encore pour ce qui a trait à la théorie pathogénique. Je vous ai fait remarquer qu'un d
tains cas, la bile passe encore en certaine quantité. Quelle est la théorie capable d'expliquer la production de cet ictère?
n des vaisseaux du rein. Quelques mots sur la sécrétion urinaire. — Théorie de Ludwig. — Théorie de Bowmann. — Recherches de
in. Quelques mots sur la sécrétion urinaire. — Théorie de Ludwig. — Théorie de Bowmann. — Recherches de M. Heidenhain. Mess
ou moins considérable de petits éléments cellu-laires que, suivant la théorie adoptée, on appellera leucocytes ou cellules embr
les vaisseaux sont comprimés dans la substance corticale ? A ceci, la théorie répond que les individus atteints de néphrite par
ions de la matière amyloïde. M. Dickinson fonde, là-dessus, toute une théorie de la dégénération amyloïde, dans laquelle je ne
te condition éco-logique, bien constatée d'ailleurs, qu'est fondée la théorie hu-morale de M. Dickinson. Le pus est un liquide
Sans entrer dans une critique en règle, je ferai remarquer que cette théorie ne saurait avoir une application aussi étendue qu
sque dans ces derniers temps, et résolue très diversement, suivant la théorie de Bowmann par les uns, suivant la théorie de Lud
ès diversement, suivant la théorie de Bowmann par les uns, suivant la théorie de Ludwïg par les autres. Nous allons vous dire d
la putréfaction ou la congélation. Ainsi — et c'est là le point de théorie sur lequel je voulais surtout fixer votre attenti
je tiens à mettre en lumière est que, en réalité, contrairement à la théorie classique, la sécrétion de l'eau urinaire n'est p
triction arté-rielle, c'est la suppression de l'eau urinaire. Dans la théorie de Ludwig que vous connaissez et qui fait résider
s quarts d'heure. L'autre fait qu'on peut invoquer encore contre la théorie mécanique de Ludwig, et qui plaide absolument dan
ligature pratiquée, la sécrétion urinaire s'arrête aussitôt. Avec la théorie de Ludwig, on ne comprend pas bien pourquoi il en
tion, celle-ci ne se fait pas. Ici encore, M. Ileidenhain oppose sa théorie à celle de Ludwig. La pression persiste dans le g
s, t. vr, Maladies des reins, 26 Je ne me porte pas garant de cette théorie de M. Heidenhain, mais je ne puis m'empêcher de v
r qu'elle résout des difficultés contre lesquelles vient se briser la théorie mécanique. Quoi qu'il en soit, vous le voyez, les
ation de l'albumine dans la capsule de Bowmann. — Ce fait renverse la théorie de v. Wit-ticli et Küss. — Albuminurie dans l'emp
cli et Küss. — Albuminurie dans l'empoisonnement par la cantharide. Théories mises en avant pour expliquer le passage de l'alb
en avant pour expliquer le passage de l'albumine à travers le rein. — Théorie hématogène. — Expériences anciennes de Magendie.
ans l'espèce, un fait capital, parce qu'il renverse définitivement la théorie physiologique proposée par MM. v. Wittich et Kùss
li-cules par les êpithéliums qui les recouvrent. Je reviens sur cette théorie et j'insiste sur la critique qu'il en faut faire,
prétation des phénomènes pathologiques. L'albuminurie, dans certaines théories que nous avons à faire connaître, serait en effet
les épithéliales labyrinthiques ; et l'on comprend aisé-ment, dans la théorie , que ces cellules altérées deviennent incapables
théliam de la glande rénale. — A chacun de ces groupes correspond une théorie . Or, quelques auteurs éclectiques admettent la va
tous les cas, quels qu'ils soient. Nous allons passer en revue ces théories diverses et recher-cher, en particulier, jusqu'à
ux données physiologiques que nous avons exposées. • a) La première théorie que nous aurions à considérer est celle de Y albu
0. QUATRIÈME LEÇON Des conditions pathogéniques de l'albuminurie. Théorie hématogène et théorie mécanique. Sommaire. — Al
Des conditions pathogéniques de l'albuminurie. Théorie hématogène et théorie mécanique. Sommaire. — Albuminurie hématogène e
de l'albumine du sang ; les lésions rénales seraient consécutives. — Théorie de M. Seminóla, basée sur l'hypothèse d'un vice g
es anormales : Travaux récents de M. Lépine. — Albuminurie latente. Théorie mécanique : Augmentation de la pression sanguine
une théo-rie. Déjà, nous avons entamé Fétude critique de l'une de ces théories , de celle qui a trait à Valbuminurie hématogène,
ejetée par le rein. Voilà le fait secon-daire. Conformément à cette théorie , les lésions du rein qu'on rencontre habituelleme
able qui, le dernier et tout récemment, a combattu en faveur de cette théorie . C'est de M. le professeur Semmola (de Naples) qu
on la discute encore vivement. On lui reproche, comme à tant d'autres théories , de ne pas s'ap-puyer sur des preuves absolument
es et celle du sang chez les albuminuriques étaient, comme le veut la théorie , une albumine modifiée, altérée, inassimilable, e
e est invoquée comme une condition nécessaire par les partisans de la théorie hématogène, ne se comporte ni physiologïquemenl n
passé dans les uri-nes. Ce fait est incontestablement favorable à la théorie que défend depuis trente ans M. le professeur Sem
quelques autres exemples du même genre, plus ou moins favorables à la théorie hématogène. Mais, en somme, tous ces faits ne con
e Stokvis restent les plus séduisants. II. C'en est assez pour la théorie hématogène. Celle que nous allons maintenant disc
orité des auteurs, comme ayant une portée très générale. On l'appelle théorie mécanique, parce qu'elle invoque pour cause un
t organe, une modification par excès de la pression sanguine. Cette théorie courante, si l'on peut ainsi dire, semble, au pre
avail récent, l'ordre de chose établi, ait cru devoir substituer à la théorie de la pression augmentée, comme cause d'albuminur
on augmentée, comme cause d'albuminurie, ce qu'on pourrait appeler la théorie de la pression diminuée. M. Riineberg se base d
ns un instant l'application qu'on peut faire de cette expérience à la théorie de l'albumi-nurie cardiaque. Actuellement, je me
s. CINQUIÈME LEÇON Des conditions pathogéniques de l'albuminurie. Théorie mécanique et théorie anatomique. Sommaire. — Po
Des conditions pathogéniques de l'albuminurie. Théorie mécanique et théorie anatomique. Sommaire. — Polyurie non albumineus
ations de Rosenstein. — Lésions du rein cardiaque. Adaptation de la théorie de la diminution de vitesse aux cas d'albuminu-ri
holéra asiatique, dans le choléra nostras, dans la gros-sesse, etc. Théorie anatomique — Insuffisance de cette théorie. — Cas
dans la gros-sesse, etc. Théorie anatomique — Insuffisance de cette théorie . — Cas où il existe des lésions profondes du pare
urs, J'ai l'intention de terminer aujourd'hui l'examen critique des théories que l'on a successivement édifiées pour expliquer
la circulation est plus rapide. En pareille circonstance, sui-vant la théorie proposée dans la dernière leçon à propos des trou
eprésentées par -f- P + V. Les glomérules, dont il s'agit, d'après la théorie sécrètent l'eau urinaire en abon-dance mais ne la
ns le glomérule, par — P — V; et ce sont là, vous le savez d'après la théorie , des conditions éminemment favorables à la produc
ulièrement parce qu'ils mettent en évidence ce fait capital dans la théorie que nous soutenons à savoir : 1° que l'albumine a
uent plus ou moins persistantes, peuvent être interprétées suivant la théorie que. j'ai essayé de mettre en lumière. Je me rése
assez sur ce point et j'ai.hâte d'en venir à l'exposé de la troisième théorie , celle qu'on pourrait appeler la théorie anatomiq
r à l'exposé de la troisième théorie, celle qu'on pourrait appeler la théorie anatomique, car, suivant cette théorie, la pré-se
elle qu'on pourrait appeler la théorie anatomique, car, suivant cette théorie , la pré-sence de l'albumine dans les urines relèv
peut dire que, dans l'esprit des partisans déclarés et logiques de la théorie en question l'albu- minurie persistante répond
ne lésion de l'épithélium rénal, il n'y a pas d'alhu-minurie. Cette théorie dont, je le répète, je ne peux actuellement parle
fait pathologique; que celle-ci n'est pas sécrétée, comme le veut la théorie de Kuss, à l'état normal pour être reprise parles
ce prochaine l'albuminurie. On est donc pas en droit de dire que la théorie mécanique s'appuie, quant à présent, sur des fait
n des vaisseaux du rein. Quelques mots sur la sécrétion urinaire. — Théorie de Ludwig. — Théorie de Bowmann. — Recherches de
in. Quelques mots sur la sécrétion urinaire. — Théorie de Ludwig. — Théorie de Bowmann. — Recherches de M. Ileidenhain.......
ation de l'albumine dans la capsule de Bowmann. — Ce fait renverse la théorie de v. Wit-tich et Kiiss. — Albuminurie dans l'emp
ich et Kiiss. — Albuminurie dans l'empoisonnement par la cantharide Théories mises en avant pour expliquer le passage de l'alb
en avant pour expliquer le passage de l'albumine à travers le rein. — Théorie hématogène. — Expériences anciennes de Magendie.
408 QUATRIÈME LEÇON des conditions path0cénique3 del*albuminurie. théorie hématogène et théorie mécanique. Sommaire. — Al
des conditions path0cénique3 del*albuminurie. théorie hématogène et théorie mécanique. Sommaire. — Albuminurie hématogène e
de l'albumine du sang ; les lésions rénales seraient consécutives. — Théorie de M. Semmola, basée sur l'hypothèse d'un vice gé
es anormales : Travaux récents de M. Lépine. — Albuminurie latente. Théorie mécanique : Augmentation de la pression sanguine
CINQUIÈME LEÇON des conditions pathogéniques de l'albuminurie. — théorie mécanique et théorie an atomique. Sommaire. — P
des conditions pathogéniques de l'albuminurie. — théorie mécanique et théorie an atomique. Sommaire. — Polyurie non albumineu
ations de Roscnstein. — Lésions du rein cardiaque. Adaptation de la théorie de la diminution de vitesse aux cas d'albuminu-ri
holéra asiatique, dans le choléra nostras, dans la gros-sesse, etc. Théorie anatomique. — Insuffisance de cette théorie. — Ca
ans la gros-sesse, etc. Théorie anatomique. — Insuffisance de cette théorie . — Cas où il existe des lésions profondes du pare
atogène, 415,416,421; — Par vice général de la nutrition, 423 ; — Théorie chimique de 1', 424 ; — Albuminuries anormales.
424 ; — Albuminuries anormales. 426 ; — Albuminurie latente, 428 ; Théorie mécanique, 428 ; — In-fluence de la pression et d
e, 429, 435; — Exemples cliniques de cette in-fluence, 435, 441 ; — Théorie ana-tomique, 445. Albuminuhiquës (Présence de l
ts, 238. Uricémie, 111, 115. Urine (Sécrétion de 1' —i,303, 307 — Théorie de Ludwiget Bowinann. 304. — Recherches de M, Ile
2 (1906) Archives de neurologie [3ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
i ne sont pas éclaircis qu'il ne voit aucun avantage à proposer une théorie que des faits nouveaux pourraient renverser demai
processus de la paralysie périodique. Il expose que les différentes théories qui 'traitent de la nature de cette maladie ont
et la réaction de dégénéres- cence. Quelques considérations sur la théorie motrice du sar- Coplasme ; par Mlle Ioteyko. (.
arcel Bncnrrn voit dans cette observation de M. Régis un appui à la théorie d'après laquelle le délire hypochondriaque ne s
, avec les édi- tions des livres de Ivraeplin. M. 111 ? RAVAL. La théorie de Kraeplin est fortement battue en brèche, mêm
e anfidiabélique, l'efficacité du traitementpeut s'expliquer par la théorie qui rattache la gly- cosurie à un trouble de sé
donne un large développement. Il faut donc s'at- tendre, puisque sa théorie ne tend a rien moins qu'à renverser toutes les
ux, etc..., de tous les demi-fous de M. el'assel ? Au sujet de la théorie du bloc unique, AI. Grasset (lit que pour ses p
pauvres. En second lieu, 11. Grassel dit que l'édification de celle théorie repose sur cette idée que l'existence d intermé
s de maladie ». C'est évident ; mais on n'a jamais dil cela, et les théories darwiniennes, qui établissent la filiation de l
processus physiologi- ques ou psychiques, normaux ou anormaux. Les théories faites sur ce sujet et basées surtout sur l'obs
Magnin et Charcot lui-même four- nirent des arguments nouveaux à la théorie de l'indépen- dance fonctionnelle, car,à cette
« une action obscure d ? . l'hémis- phère le moins utilisé. » Celte théorie et celles qui s'y rattachent (attribution de ch
aussi Werlheimer : article Bulbe in Dici. de Ch. Richet. Les deux théories de Dumontpallier et de Myers respectent l'unité
e, même si on la suppose se prolongeant un certain temps ; les deux théories admettent aussi que les données de chaque hé- m
finitive de ce qu'il y a à prendre et à laisser dans les nombreuses théories qui concernent plus ou moins le dualisme cérébr
tronc et de la face, et de tous les appareils viscéraux(1882). La théorie nouvelle de M. C. Sabatier (1907) concerne au c
s son faible volume, son livre est plus qu'un système, mieux qu'une théorie : ce qu'il est, il ne pouvait pas ne pas l'être
ou « intuduction » devient elle-même une preuve a posteriori de la théorie , car elle proclame « la liberté, l'universalité
stant de la bi-individualité : là est l'erreur fondamen- tale de sa théorie .Cette symétrie est,en effet,commune et essentie
car elle lui aurait sans doute fait remarquer le vice logique de sa théorie : les deux individus, dit le duplicisme . z son
mplétés par quelque endroit. Les critiques adressées par Wundt à la théorie de Cajal parais- sent absolument justes et méri
extrémité. Voici la substance des objections que Wundt fait à cette théorie . 1° La rétine oculaire est une portion du névra
onstitue l'être double.» (p.16). Par une nouvelle application de la théorie aujourd'hui ridicule de la préformation,l'Auteu
ez ces ani- maux mettent encore mieux en évidence la fausseté de la théorie qui considère chaque blastomère comme représent
la génération suivante ; les résultats, constamment contraires à la théorie de la pluriindividualité (il s'agit d'ailleurs ic
des) sont à symétrie exclusivement bilatérale. En appliquant ici la théorie de l'auteur, on devrait considérer chaque moitié
lus récents phylogéniquement,contrai- rement à ce qu'implique cette théorie . Chez les Mammifères infé- rieurs, et souvent m
raire à l'essence du duplicisme.On remarquera à ce propos que cette théorie ne pourrait pass'appuyer sur la diversité des acq
nt altérés. L'absence d'un hémisphère a été souvent 'Objectée aux théories parentes de celles que nous combattons (Cotard,
ent l'âge adulte. Bref, en but à toutes les ob- jections faites aux théories antérieures à lui et qui ne supposaient que l'i
- ments en faveur de l'indépendance des deux hemisphèles dans des théories qui,au point de vue spécial envisagé dans ce ch
ues récents que ces observations ne prouvaient rien en faveur de la* théorie pour laquelle on les cilau N'importe : l'auteur
tôt néglige de parti pris la conception moderne qui a rem placé la théorie qu'il pl ésente en la donnant comme sienne ; il
arald-Hâffding et à propos du quel l'Au- teur tourne en ridicule la théorie de la subconscience. N'importe pour le moment,
ieuse et prostituée que l'Auteur cite (p. 41) après Ribot : « Nulle théorie dit-il (p. 42), n'a ox- pliqué jusqu'à présent
ermettant une attribution certaine : chose indispensa- ble dans une théorie qui affirme l'indépendance et l'oppo- sition fo
envisagé la question précisément à l'occasion de la critique d'une théorie qui attribuait chaque personnalité à l'un des h
dans le sens qu'il indique et qui seul peut en effet cadrer avec sa théorie . On a d'ailleurs remarqué que tous les troubles
r d'un hé- misphère à l'autre et ne sont donc pas en faveur de la théorie de l'Auteur ; l'observation de Louis V... montre
ira de rapporter les considérations inspirées à l'Auteur : « A la théorie dupliste d'aucuns objecteront que des faisceaux
mémoire dans les variations de la personnalité.l'Auteur expose une théorie nouvelle sur la genèse du sentiment de l'identi
iques normaux auquel l'Auteur cherche à faire l'application de sa théorie : ces faits, même, se réduisent à un seul,la déli
que. Mais cette modification nép de la sen- sation, nécessaire à la théorie , ne voit-on pas d'emblée l'impossibilité de l'a
du fait indéniable de la coexistence en nous de deux activités, la théorie dupliciste peut seule donner une satisfaisante
CLINIQUE NERVEUSE Hystérie et sommeil ( \ \ <\ \ /lo, 1 - ( Théorie physiologique de l'hyst 1-7 .ÉY;QA , , Par le 1
ns somatiques et psychiques. Je voudrais revenir aujourd'hui sur la théorie physio- logique do l'hystérie, telle que je l'a
certains malentendus. Je ne reviendrai pas sur les dif- férentes théories psychologiques, ou pour mieux dire sur les dive
t qui sont d'un puis- sant intérêt pour la psychologie générale. La théorie physicologique permet au contraire d'entrevoir
e- ment considérer ces interprétations contradictoir es comme une théorie psychologique de l'hystérie ? La question se po
s il doit y en avoir huit de faus- ses. Quelle est la bonne. ? La théorie psychologique a cette rare fortune que toutes s
'avoir raison. C'est là sans doute ce qui a valu à cette soi-disant théorie psychologique, constituée comme l'habit d'Arleq
t assez, difficile de voir dans tout cela un corps de doctrine, une théorie uniciste de. l'hystérie. Il faudrait tout au mo
écanisme psychologique. Si c'est là un grand inconvénient pour une - théorie solide sur sa base, c'est par contre d'une bien
rt p as à la portée de tout le monde. On ne saurait donc prendre la théorie psycholo- gique de l'hystérie comme base d'une
s résultats lui serviraient en même temps de preuve. i Toutes les théories psychologiques de l'hystérie se résument donc e
ogique des symptômes de l'hysté- rie, les partisans eux-mêmes d'une théorie psychologique sont obligés de reconnaître qu'un
les trophiques. » C'est un gros mor- ceau, et il faut avouer qu'une théorie pathogénique qui laisse de côté tant de phénomè
de la nature^de l'hystérie, il faut s'adresser à la physiologie. La théorie physiologique dont j'ai montré tout à l'heure l
a- tion à un cas de paralysie pour la mettre en parallèle avec la théorie psychologique, ou plutôt avec les inter- 3G4 CL
MM.Alfred Binet et José Ingegnieros,qui ont montré en quoi nos deux théories se complétaient,bien loin d'être en contradicti
être en contradiction. Mais, récemment, àpropos d'une étude sur une théorie biologique du sommeil, dans laquelle il consacr
tout à l'heure, M. Claparède (de Genève) relève ma discussion de la théorie de Janet et trouve « curieux » mon « acharnemen
nous. Je ne sais si j'ai mis de 1' « acharnement» à défen- dre ma théorie . Jel'ai défendue avec conviction parce que je l
suis servi des arguments et des exemples que pouvait me fournir la théorie contraire. Si l'on trouve que je n'ai pas rendu
e Janet, le seul fait de n'avoir pris à partie que ses idées et ses théories , prouve en quelle estime je les tiens et quelle
, et échappa d'ailleurs à ceux qui présentèrent des objections à ma théorie . J'ai déjà réparé cet oubli involontaire de cet
Or,à ce moment, on constate un phénomène qui vient corroborer la, théorie que je donnais plus haut de l'in- somnie des hy
ans les expériences dr réveil, non seulement une confirmation de la théorie que je propose de l'hystérie, mais encore une m
s, n'est spécialement envisagé qu'à propos des applications de la théorie à l'objet particulier des sciences sociologiques
de la pré- face s'est efforcé de remédier à l'étrange oubli d'une théorie qui prétend se baser sur l'organisation et s'en t
xceptionnellement grave puisqu'il ne s'agit de rien moins que d'une théorie nouvelle de la liberté » (p. 90). Et l'Auteur,
ience, qui, au contraire, doivent être spécialement visés par toute théorie . de la formation du sentiment de l'unité, de l'
i-ci y serait opposé de par sa structure, d'après les données de la théorie ; c'est rendre plus incroyable ce monstrueux my
cette unité est fondamentale, quitte à ne se manifester, d'après la théorie , qu'à l'occasion de certains actes. Si donc l'u
is encore, chose plus grave, inconciliable avec les prémisses de la théorie . C'est un deus ex machina rendu nécessaire par
l et si l'Auteur de la préface n'a pas, en en proposant un, jugé la théorie susceptible d'une in- terprétation qui nous aur
« L'hypothèse de l'âme universelle n'est pas inconciliable avec la théorie dupliste ; mais elle ne lui est pas nécessaire
rnative et a ouvert par ce simple geste de nouveaux horizons sur la théorie dont il s'est fait bénévolement le défenseur. S
les centres corticaux, le modèle de ceux qui devraient, d'après la théorie , exister dans le corps calleux : il y a « toujo
rtain » (p. 88), «antinomie (xtravagante » (p. 84), à laquelle « la théorie de l'homme double apporte une solution ». Or, c
rgument. Bien plus, il prétend lui faire 382 PSYCHOLOGIE. dans sa théorie toute la place qu'il mérite à côté de la li- be
qui re- présente la place de « l'argument déterministe » dans la théorie , la « somme de liberté » supposée démontrée qui
du reste inadmissible, comme toutes celles qui sont pro- pres à la théorie ? C'est la simultanéité des états affectifs (co
enir « cette étincelle d'âme universelle » (p. 90) avec laquelle la théorie duplistc se flatte d'être conciliable. La lib
de la marche et du processus de la folie correspond exactement à la théorie de Sankey, et aussi à ce que nous pouvons prévo
u sevrage et la dysenterie,plaident éner- giquement en faveur de la théorie suivant laquelle la dysenterie des asiles peut
égné d'odeurs fécales. ' Il y a de fortes preuves en faveur de la théorie suivant laquelle chez les aliénés,la vitalité e
sociétés savantes. plupart des paralysies faciales dites a frigorc, théorie confirmée parles recherches anatomiques de M. 1
ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE Hystérie et sommeil ( Théorie physiologique de l'Hystérie. (Suite et fin). '
s, aux conséquences que cela peut avoir, de même qu'en énonçant une théorie psychologique il faut penser à ce que les mots
la personnalité physique et du moi moral et intellectuel. ' Notre théorie a, en effet,cet avantage de concilierles différ
lément, de perfectionne- ment. , Et maintenant, j'en reviens à ma théorie du trouble HYSTÉRIE ET sommeil. 455 primitif
les Archives de Psychologie et ayant pour titre : « Esquisse d'une théorie biologique du sommeil.». Je me garderai bien de
rie biologique du sommeil.». Je me garderai bien de critiquer cette théorie , qui consiste à regarder le sommeil comme une r
ur ne pas l'être. » Comme il y a déjà une respectable quantité de théories du sommeil, dont aucune n'est démontrée ni sa-
comparée de l'hystérie et du sommeil, dont la conclusion est une théorie de l'hystérie considérée comme une manifesta--
meil. Cela ne l'empêche pas' cependant de critiquer vive- ment ma théorie . D'ailleurs, celle de M. P. Janet ne trouve pas
sommeil. Cela peut être intéressant pour lui au point de vue d'une théorie du sommeil. Pour moi,j'avoue que c'est là une q
arole et par des secousses, je n'ai pas encore be- soin d'avoir une théorie du sommeil pour savoir qu'il est réveillé. Or,q
rdissement cérébral à de l'épuisement, intoxiqué que j'étais par la théorie classique du sommeil naturel, qui le rapporte à
que du sommeil naturel, qui le rapporte à cette cause. Est-ce là la théorie classique du sommeil ? Ilyena tant que je n'en
et de l'en- gourdissement hystérique. M. Claparède prétend que la théorie physiologique de l'hystérie ne rend pas compte
es que j'ai décrites en détail. Dans les critiques qu'on fait de la théorie physiologique,on pa- rait les avoir complètemen
es d'autoscopie» (1). On a fait encore certaines objections à cette théorie . On a dit que les réactions présentées par les
-t-on toujours que c'est de la suggestion ? On a dit encore : cette théorie s'applique aux grands sujets. Je ne sais pas qu
Si je n'ai publié autrefois que 20 observations comme base de ma théorie c'est que ce sont les premiers cas qui se sont
fait que HYSTÉRIE ET SOMMEIL. 465 me confirmer davantage dans ma théorie fondamentale, que la thérapeutique venait démon
ves. 3' série 1907, t. I. 30 466 CLINIQUE NERVEUSE. En résumé, la théorie physiologique que j'ai propo- sée est la seule
, laquelle sert en même temps de contrôle et de confirmation à la théorie physiologique. Quant à rapporter rigoureu- seme
x nerveux au niveau des extrémités de deux neurones contigus. Cette théorie mécanique de l'hystérie essenliellcmenl 1111 ?
re un des' aspects sous lesquels on peul se placer pour édifier une théorie physiologique complète, comme ai essayé de le f
ses par- ties et conséquences » (p. 141), ce premier aperçu de la théorie permet déjà de donner des nouvelles bases à la
t un certain nombre de règles pra- tiques, il s'écrie « Eh oui ! La théorie dupliciste permet ainsi de fonder la Morale, no
umaine, une en sa dualité, prend conscience de son autonomie » : la théorie explique la « souveraineté de la raison ». b.
Ces détails importent peu à la critique de la mé- thode et de la théorie . Le point capital, c'est que, si dans ce groupe
autrui » (p. 17), mais cela au prix de quelle confusion ! « Dans la théorie déterministe... chacun s'isolait dans l'introspec
... sans se soucier de ce qu'en pour- raient penser les faiseurs de théories philosophiques » (p. 157), les historiens les p
auche à la région sous-optique. . Baresthésie M. EGGER discute la théorie d'origine superficielle ou profonde de la bares
ola, avec d'autant plus de soin qu'il le donne comme l'apôtre de sa théorie scientifique est par ce fait même, de la part d
ntres psychiques doit exister. Tel est le principe qui a inspiré la théorie du prof. Grasset. Les phénomènes occultes, dit-
ront traitées par MM. les rapporteurs : I. Psychiatrie, Neurologie. Théories modernes sur la genèse de l'Hystérie. Psychoses
Psyclio -physique. La Psychologie de la Puberté. Etat actuel de la théorie Lange-James concernant les émotions.Dif- férenc
la réaction de dégéné- rescence. Quelques considéra- tions sur la théorie motrice du sarcoplasme ; par M110 Ioteyko, p.
3 (1855) Journal du magnétisme [Tome XIV]
ause du mouvement des meubles et établit, pour expliquer ce fait, une théorie dont il termine ainsi l’exposé : « La volonté,
i telle n’est pas la cause de ces faits singuliers, il faut une autre théorie du phénomène, une autre explication des résultats
e ne se serait pas mêlée du débat, et qu’aujourd’hui nous aurions une théorie démontrée au lieu de simples conjectures. On ob
nerfs et proscrivirent les esprits animaux, mais ils remplacèrent la théorie reçue par des hypothèses moins soutenables : du r
re n’était jamais payée moins de 80 à 100 fr. » BIBLIOGRAPHIE. LA THÉORIE DES RELATIONS considérée comme base de la science
érieux, à une étude approfondie et à une analyse consciencieuse de la Théorie des relations. C’est ce que nous avons essayé de
n de résumer sommairement notre opinion générale sur l’ensemble de la Théorie des relations, c’est l’œuvre d’un esprit élevé, c
n livre, M. Caupert nous la donne en trois lignes ; la voici : « La théorie des rapports, dit-il, c’est la science expériment
i commence à éclaircir tout ce qu’elle renferme de nuageux. « Cette théorie , ajoute-t-il, unit par un lien secret, mais réel,
plus simple et la plus nette introduction que l’on puisse faire à la théorie du magnétisme même? .Ainsi donc, notre grand prin
créés sont infinies, est la base même sur laquelle s’appuie toute la théorie du savant abbé. Pour lui, comme pour nous, tout ê
études ni connaissances préliminaires, il n’en est pas de môme de sa théorie , ou de l’explication philosophique et satisfaisan
La puissance de cet agent est telle, d’après les partisans de cette théorie nouvelle, que, mise à la disposition et sous la d
les périodes de pratique succéderont aux époques de discussions et de théories . On a pu remarquer un besoin particulier à notre
l’avons comprise : que le clergé la comprenne de même à son tour. La Théorie des relations, qui serait mieux nommée Théorie du
de même à son tour. La Théorie des relations, qui serait mieux nommée Théorie du magnétisme, car elle en est l’analyse et le dé
ice. E. DE MALHERBE. Le Gérant : UKItKKf (de Garnay). ÉTUDES ET THÉORIES . 1° TABI.ES. — SPIRITUALISME. A Monsieur Jos.
insi dire, une atmosphère propre à chaque corps. Ils en déduisent une théorie d’atmosphères internes et externes par suite des
. Le résultat a toujours été le même. M. COUPRY. BIBLIOGRAPHIE. THÉORIE PSYCHOLOGIQUE DU MAGNÉTISME ANIMAL, article de M.
roite, leur mélange est si complet et si intime, que vouloir, par une théorie exclusive, expliquer quelques-uns de ces phénomèn
cette époque par l’Académie des sciences et déclare tout net que « la théorie du fluide est jugée depuis longtemps, et qu’il ne
me. Au reste, nous pourrons dire à notre tour, nous aussi : Oui, la théorie du fluide est jugée; mais jugée avec gain de caus
Or, si votre raisonnement pèche par ce point, toute la base de votre théorie s’écroule, parce que vous la posez d’une manière
imagination du somnambule ; mais je n’ai pas entrepris de défendre la théorie du fluide, et il importe peu qu’il existe ou non
ement déclarer qu’ils ne sont pas somnambules. Ainsi l’auteur de la théorie psychologique, qui a commencé d’abord par confond
nsensibilité avec le somnambulisme. Mais ce n’est pas tout. Comme les théories ne lui coûtent pas plus que les négations, il éta
u’à une partie, précisément celle qui se trouve en opposition avec la théorie au moyen de laquelle il démontre l’autre à sa faç
u’à une partie, précisément celle qui se trouve en opposition avec la théorie au moyen de laquelle il démontre l’autre à sa faç
u’à une partie, précisément celle qui se trouve en opposition avec la théorie au moyen de laquelle il démontre l’autre à sa faç
u’à une partie, précisément celle qui se trouve en opposition avec la théorie au moyen de laquelle il démontre l’autre à sa faç
u’à une partie, précisément celle qui se trouve en opposition avec la théorie au moyen de laquelle il démontre l’autre à sa faç
u’à une partie, précisément celle qui se trouve en opposition avec la théorie au moyen de laquelle il démontre l’autre à sa faç
u’à une partie, précisément celle qui se trouve en opposition avec la théorie au moyen de laquelle il démontre l’autre à sa faç
u’à une partie, précisément celle qui se trouve en opposition avec la théorie au moyen de laquelle il démontre l’autre à sa faç
sait à des conjectures quand ils voulaient analyser physiquement leur théorie . Après ces hommes célèbres, Haller, le créateur
s l’existence des esprits animaux. Ce savant renverse tout ce que les théories anciennes avaient d’hypothétique, et à la place d
s volumes entiers, pour ne retirer souvent au bout du scalpel que des théories creuses et sonores, ou des systèmes ambigus basés
ui, les corps ont perdu leur opacité. » Quoi qu’il en soit de cette théorie , toujours est-il qu’elle est éminemment favorable
t celui des somnambules. Mais M. Ragon \a plus loin, et poussant sa théorie jusqu’à ses plus extrêmes conséquences, de déduct
as?) nous dirons que l’auteur, si éclairé sur tout ce qui concerne la théorie du magnétisme, nous semble tomber dans une grave
omba lui-mCme dans le piège qu’il avait tendu, et qu’il basa toute sa théorie sur un jeu de mots. Cependant, entre les phénomèn
les faire servir au soulagement des malades. 11 résuma sa magnifique théorie dans ce fécond aphorisme qui nous sert de devise
ait du charbon dans diverses opérations de magio naturelle; enfin, sa théorie sur le miroir magique, où il parle effectivement
ERT (do Garnay). Le Gérant : 1IÉBEKT (de Garnay). CONTROVERSES. THÉORIE DU MAGNÉTISME. Un journal, dont la rédaction a
et 18 août, un feuillon signé L. A. Segond, et portant pour titre : Théorie positive des phénomènes étudiés sous la dénominat
eux de Y Abeille médicale (août 1854), réduisit à, sa juste valeur la théorie de M. Segond. Nous nous permettrons d’emprunter p
en; et, passant condamnation sur l’extrême timidité de l’auteur de la Théorie positive du magnétisme, nous lui demanderons, à n
sées de quels auteurs compétents il a pu puiser les éléments de cette théorie , lui qui à l’aveu naïf, que nous avons cité plus
qui dépendent de la pratique des magnétiseurs, je dus en chercher la théorie positive, afin de renoncer à l’état purement néga
es de l’esprit de l’humanité, comme nous le verrons plus loin dans sa théorie , il a pu se figurer que le magnétisme était resté
st décidé à faire jouir le monde du fruit de ses travaux ; il crée sa théorie positive et il commence par déclarer comme premiè
. M. Amédée Jacques, dont nous avons, dans le temps, discuté aussi la théorie , veut, lui, que l’âme soit pour tout dans ces phé
point en entendre parler. « Pour tous les bons esprits, dit-il, la théorie du fluide magnétique fut ruinée le jour où la cél
tout dans le vague.....de l’imagination. Pour nous, qui aimons les théories positives tout autant que l’auteur de celle qui n
ions, nous vous dirions à notre tour : Pour tous les bons esprits, la théorie de l’imagination fut ruinée du jour où la magnéti
n caractériser un certain nombre, afin de mieux préciser les diverses théories employées et celles qu’il convient d’y appliquer
nde partie au naturalisme de M. du Gasparin, justifie complètement la théorie adverse! Cette somnambule, en évoquant un Père Ma
ons, nous pourrons devenir amis et alliés pour combattre ensemble les théories de l’écho et de la réminiscence de M. de Gasparin
lcs, 25 mai 1853. Le Gérant : HÉBERT (de Garnay)* CONTROVERSES. THÉORIE DU MAGNÉTISME. (2« arlicle. — Voyez page 309.)
sible, parce que je ne le comprends pas, parce que cela échappe à. ma Théorie positive. L’expérience est certes bien facile ; e
re peut-être ! Qui sait s’il n’en résulterait pas, pour l’auteur delà Théorie positive, une explication de cette théorie qui le
it pas, pour l’auteur delà Théorie positive, une explication de cette théorie qui le surprendrait lui-même ? En tout cas, nou
île relatives. I)e telle sorte qu’il faut successivement examiner la théorie théologique, puis la théorie métaphysique, enfin
te qu’il faut successivement examiner la théorie théologique, puis la théorie métaphysique, enfin la théorie positive des phéno
aminer la théorie théologique, puis la théorie métaphysique, enfin la théorie positive des phénomènes étudiés sous la dénominat
bonnement à constater l’erreur grossière qui sert de conclusion à sa théorie Ihéologiqitc, quand il dit : « 11 doit rester é
s intermédiaires n’existent pis. C’est tout simple, ils gêneraient sa théorie et lui ôteraient tout moyen d’être. 11 ne veut qu
fluide hypothétique. Aussi, quand il entre dans l'établissement de la théorie métaphysique (se- coud âge de l’esprit lnimain)
minime d’un fluide universel au moyen duquel il s’établit (suivant la théorie des magnétiseurs) mie influence mutuelle entre le
rps animés. » Quand lions disions que M. Segoml en était encore aux théories de 1784 ! Mais poursuivons : > En remontant
ories de 1784 ! Mais poursuivons : > En remontant au berceau des théories abstraites, on reretrouve des entités semblables
primitifs qu’il a si savamment classés; mais de nos jours, avec notre théorie positive, allons donc! Ne vous semble-t-il pas li
intangible, impondérable, hypothétique, se réfugier, pour établir sa Théorie positive, dans les brouillards de la plus hypothé
t pour ce qui doit en ressortir. Voyons donc ce que va nous donner la théorie positive, ce troisième âge de l’esprit humain, et
rveau, et surtout depuis les importantes améliorations apportées à la théorie cérébrale, par M. Auguste Comte, l’obscure concep
firmer. « Le sujet que nous avons éclarcir dépend entièrement de la théorie des fonctions intellectuelles et morales, et c’es
es nuages sur les vérités, à rationaliser le désordre. Elle forge des théories pour démontrer sa propre non existence et ne crai
se en trois fonctions essentielles ; et il déclare compléter ainsi sa théorie cérébrale au moyen de laquelle il prétend analyse
nd lui-mème par la vérité contre laquelle il se débat, de parsemer sa théorie si absolue de correctifs et de concessions except
me signer Votre très-humble et tout dévoué, J. GRAVÉ. ÉTUDES ET THÉORIES . QUESTIONS RELATIVES AU MAGNÉTISME ANIMAL (1).
ieuses. Dr n. Le Gérant : I1ÉBE11T (de Garnay). CONTROVERSES. THÉORIE DU MAGNÉTISME. (3' article. — Voyez page 337.)
r, c’est ce que n’a pas compris M. Segond, qui prétend nous donner la Théorie positire des phénomènes magnétiques et qui ne les
» tandis qu’il n’y a pas de débutant magnétiseur, si inexpérimenté en théorie et en pratique soit-il, '|iii ne sache que, entre
la science et auxquels M. Segond ne trouverait pas de réponse dans sa théorie cérébrale. On ne se laisse point couper une jambe
intéressants pour l’établissement des fonctions cérébrales et pour la théorie d’un grand nombre de maladies du cerveau. En un m
ment chez lui un parti pris d’hostilité incurable, et qui, suivant sa Théorie positive des fonctions cérébrales, caractérise un
e : Ou, lui, M. Segond a raison, il est seul sage, seul savant ; sa théorie est réelle et sérieuse, et M. Rostan est un « idé
n’y a pas de milieu, il faut choisir ! E. DE MALHERRE. ÉTUDES ET THÉORIES . JEANNE D’ARC. Dernièrement on a rendu à Jean
nnu le bien et découvert les lois fondamentales. La perspective, la théorie des ombres, la coupe des pierres, la charpente ex
re. Puységur disait, en parlant de son domestique : « 11 n’a pas de théorie , mais il réussit mieux que nous tous. » Deleuze
léans.) C. HEYNES. Le Gérant : llliltKKT (de Garnay). ÉTUDES ET THÉORIES ;: DU RACLE ET DES HALLUCINATIONS. Il y a long
duisirent quelques considérations générales, en un mot à une sorte de théorie et pratique du ragle. h Ainsi donc une longue p
second ouvrage dans lequel il ajoute de nouveaux développements à sa théorie ; il rend compte des ouvrages qui oirt para récem
e qui ne sera coupable qu’en apparence? Il résultera de cette étrange théorie que les crimes les plus odieux seront ceux qui mé
us montrerons ses véritables ministres. Baron DU POTET. ÉTUDES ET THÉORIES LA BAGUETTE DIVINATOIRE APPLIQUÉE A LA DÉCOUVER
e que j’écris ou pourrai écrire par la suite, sera l’expression d’une théorie basée sur line longue expérience. « Beaucoup de
nétisme avec les académies. Dans la seconde partie, il traite de la théorie du magnétisme, et ses travaux contribueront à jet
u commencement du mois de septembre. HÉBERT (de Camay). ÉTUDES ET THÉORIES . nE I,A SUGGESTION. Plus ou creuse cette inép
incante de leur influence réciproque et à poser ainsi les bases d’une théorie .dontle docteur Grégory d’Edimbourg adonné le der
n ! s’écria-t-il. » L’idée et le mot étaient trouvés. Par ce mot la théorie des Américains devenait d’une clarté saisissante,
ir si tout ce qu’on raconte de cet homme était du magnétisme (1) sans théorie , sans principes, ni règles, ni procédés. L’auteur
er (Leçons d’anatomie comparée, tome II, p, 117, 9e leçon); La Place ( Théorie analytique du calcul des probabilités, p. 358); e
cause naturelle qu’on n’a pas su découvrir. Mais ce n’est là qu’une théorie et nous n’y voyons aucun fai t. précis, déterminé
cite des circonstances qui font de plus en plus ressortir combien sa théorie est inadmissible. 11 a vu un medium écrire une no
s nous bornons à raconter ce que nous avons vu. Ceux qui rejettent la théorie des esprits peuvent tirer telles conclusions qu’i
s cette ville ordinairement si paisible. Traduit par A. S. MORIN, THÉORIES . LE MONDE DES ESPRITS MIS A X.A PORTÉE DES BÎ
é Chambéry. — Examen et citations, par M. Hébert (de Garnay), 51. Théorie (la) des relations, considérée comme base de la s
aisonné, au point de vue du magnétisme, par M. E. de Malherbe, 126. Théorie positive des phénomènes étudiés sous la dénominat
nd. — Réfutation et critique, par M. E. de Malherbe, 309, 337, 365. Théorie psychologique du magnétisme animal ; article de M
54. Waldener, 125. Wilkinson, 492. Wurtz (Dr), 533. ÉTUDES ET THÉORIES . Animisme et matérialisme. Observations de M. l
omnambulisme, etc., par M. A. S. Morin, 42, 381, 529. Progrès (du). Théorie des relations, considérée comme base de la scien
58, 561, 589 ; — Dr Clever de Maldigny, 573. Substance universelle. Théorie do M. Ragon, 220. Suggestion (de la) magnétique
4 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
actuelle un mouvement se dessine, en psychologie, relativement à la théorie de l'émotion. D'une part, les états affectifs,
égères à rougir. Toutes ces constatations sonten accordance avec la théorie actuelle de l'émotion. Un fait, toutefois, se
sée, n'a en soi rien d'inacceptable ni même qui soit contraire à la théorie de Lange, d'après laquelle l'émotion consiste e
e sont une forme de l'ancienne folie partielle. Il y a dans cette théorie une part de vrai. Mais s'il existe des idées préd
es les considérations tirées de l'étude du tableau confirment cette théorie de l'auteur : la diminution de l'activité psych
ui est par l'activité cellulaire, transformée en énergie cinétique ( théorie de hosenbacll). La preuve c'est qu'il y en a da
ts entre les idées religieuses et philosophiques des peuples et les théories ayant cours sur l'aliénation mentale. Les idées
onservé en pathologie mentale une large place à l'hypothèse et à la théorie différant ainsi notablement des classifications
TRINES CONTEMPORAINES DE L'HISTOLOGIE DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL. THÉORIE DES NEURONES. par Jules SOURY I. GOLGI. L'é
ques de Golgi ne pouvaient exercer aucune influence fâcheuse sur la théorie scientifique des localisations cérébrales (1882).
882). Golgi, en effet, en dépit des critiques qu'il adresse à cette théorie , n'a jamais nié la possibilité de certaines loc
ellules nerveuses 1. » Il n'admet pas que, * pour les besoins de la théorie de la polarisation dynamique D, on fasse des pr
sociées dans leur action, selon un mécanisme préétabli. C'est là la théorie des cellules intercalaires de l'auteur. LWOFF.
oins écarter le milieu funeste de sa famille. F. BOISSIER. XL. LA THÉORIE DES NEURONES ET LA THÉORIE DE LA DÉCHARGE; par
neste de sa famille. F. BOISSIER. XL. LA THÉORIE DES NEURONES ET LA THÉORIE DE LA DÉCHARGE; par DE l3ECUTEREw. (Neurolog. C
avec les autres aucune conjonction organique immédiate, continue ( théorie de Ramon y Cajal, His, Forel, Kolliker, Waldeyer)
ues des autres cellules, il y a propagation par conti- guïté. Cette théorie du contact doit être complétée par la théorie d
r conti- guïté. Cette théorie du contact doit être complétée par la théorie d'activité par voisinage, ou des décharges par
rale, pratiquée dans ces dernières années à l'étranger, ni dans les théories où elle a donné dans quelques cas, par une acti
asile des Aliénés, a été noumé professeur ordinaire de psychiatrie ( théorie et clinique), en remplacement de M. le professe
r les lèvres de son père. Ce sujet paraît davantage être visuel. La théorie soutenue dans le livre auquel je me réfère, expli
sion sexuelle sont de même expliqués par les malades à l'aide d'une théorie semblable à celle de la pos- session. Un jeune
on et revivifier la cellule ner- veuse. L'auteur conteste que cette théorie de la folie et de l'in- somnie, fournisse une e
clairement ses pensées, bien qu'en phrases rudes et déparées ; ses théories s'enchaînaient entre elles le plus étroitement
ochain. (Annales médico-psychologiques, déc. 1896.) E. B. XXI. La THÉORIE DE L'INVERSION DU SENS génital; par HaVELOCK IL
ne peuvent être interdits. Les alié- nistes ne peuvent admettre la théorie de troubles partiels : l'esprit est chose indiv
respondantes. A la lumière de ces faits on s'explique facilement la théorie de certains physiologistes, celle de Magendie q
lus souvent pour exprimer l'aversion, le dégoût pour un objet ? 2 THÉORIE DES NEURONES. 281 Cette sensation nauséeuse vag
TRINES CONTEMPORAINES DE L'HISTOLOGIE DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL. THÉORIE DES NEURONES'. PAR JULRS SOURY II. S. ILA\ION
tt clel proloplasmo ne/'vio8o, Rev. ll'imesl/'almicl'o ! 71', I, I. THÉORIE DES NEURONES. 283 longues voies nerveuses des c
(Golgi) des neurones ou uni- nits nerveuses de Waldeyer (1891). La théorie des réseaux à dû faire place à celle des arbori
muscles, etc., par la branche périphérique, de signification proto- THÉORIE DES NEURONES. 285 plasmique, suivant Cajal, des
ra délia corleccia cérébrale. Soc. méd. cleiratrg. di Pâma, 1896. THÉORIE DES NEURONES. 287 retrouve avec les mêmes carac
las- miques ascendantes ou descendantes, envoient leur cylindraxe THÉORIE DES NEURONES. 289 presque en droiture jusqu'à l
ons dit, naîtrait donc dans l'épaisseur de la zone moléculaire. 151 THÉORIE DES NEURONES. 291 Cajal explique ainsi la produ
2° des cellules d'association intrahémisphérique d'un même hémi- THÉORIE DES NEURONES. 293 sphère; 3° des cellules de l'
s par el azul de melileno. Rev. trimestr. microgr., vol. I, 1896. THÉORIE DES NEURONES. 295 tion et répartition des éléme
Lslnuclurcc del proloplasmo ueraioso. Rev. trim. microgr., I, 2. THÉORIE DES NEURONES. 297 II. Il n'existe point de cent
d'activité, chaque élément psychique se trouve dans un certain état THÉORIE DES NEURONES. 299 vibratoire ou chimique, encor
logique de l'association. du sommeil et de l'état de veille. III. Théorie de l'attention. I. Entre les organes des sens e
centres à la périphérie. Il faut seulement ajouter ici que, dans la théorie de Cajal, chaque image rétinienne, par exemple,
ir » (p. 7). No;i moins obscur, inabordable, tout ce qui a trait au THÉORIE DES NEURONES. 301 processus histologique de l'a
substance blanche de la névroglie de la substance grise. Quant aux théories d'après lesquelles les cellules de Deiters serv
pseudopodes qui divergent en tous sens. La fonction de ces cellules THÉORIE DES NEURONES. 303 est de susciter, par la contr
pas d'ailleurs question des cellules de névroglie). III. Pour la théorie de l'attention, Cajal rappelle que, dès que cet
lifère quand la cellule nerveuse dégénère, ne posséderait point les THÉORIE DES NEURONES. 305 fonctions que lui attribue Ra
bres et leurs cellules se comportent, à l'état pathologique, tout à THÉORIE DES NEURONES. 307 i fait comme une substance co
oglie combien ils correspondent au type de l'écorce du cerveau ». THÉORIE DES NEURONES. 309 Quelles sont les fonctions de
rait d'isoler les courants nerveux, c'est-à-dire d'empêcher la pro- THÉORIE DES NEURONES. 31 I duction de courants secondai
r le point d'accomplir un acte mau- vais : c'est pourtant ce que la théorie légale persiste à penser. malgré l'expérience.
rait savoir, mais qu'elle croit le savoir. Ainsi, pour sauver cette théorie , qui ne le mérite guère, on nous invite à force
rner ses actes, il ne sait pas ce qu'il fait. On voit combien cette théorie est subtile : elle est beaucoup trop métaphysiq
tenir à l'étude du cas particulier soumis à leur examen. Enfin les théories récentes du criminel-né, des stigmates de dégén
rt et d'autre, faire le sacrifice de pas mal de mots et de quelques théories , et se résigner à cette méthode simple qui cons
a responsabilité pour lui est une question de fait et échappe à une théorie juridique générale. Tous les éléments indi- vid
nnel dans l'atrophie circulaire de la face. - L'auteur rappelle les théories qui ont été invoquées pour expliquer cette lési
, psychose, cczçto-intoxcnLio7t. - On ne veut pas s'étendre sur les théories qui prétendent expliquer les rapports entre l'i
r nettement de la vraie maladie de Basedow. M. Riche critique les théories pathogéniques du goître exophtal- mique. Les gr
s théories pathogéniques du goître exophtal- mique. Les groupes des théories extra-thyroïdiennes (théories cardio-vasculaire
ître exophtal- mique. Les groupes des théories extra-thyroïdiennes ( théories cardio-vasculaires, nerveuses) ont cédé le pas
iennes (théories cardio-vasculaires, nerveuses) ont cédé le pas aux théories thyroï- diennes et actuellement, parmi ces dern
x théories thyroï- diennes et actuellement, parmi ces dernières, la théorie thyroï- dienne mécanique a fait place aux théor
ces dernières, la théorie thyroï- dienne mécanique a fait place aux théories chimiques à celle de l'hyperthyroïdation. Se ba
/lf ? E N 17. ARCHIVES DE NEUROLOGIE ANATOMIE PATHOLOGIQUE. LA THÉORIE DES NEURONES EN RAPPORT AVEC L'EXPLICATION DE Q
it aussi arrêter l'attention des psychologues et des aliénistes. La théorie contemporaine neurologique, fondée sur les fait
e nombre des prolongements qu'elle émette, la cellule nerveuse LA THÉORIE DES NEURONES. 339 peut être considérée comme un
ns un fluide lymphatique dont elle puise le matériel nutritif. LA THÉORIE DES NEURONES. 341 L'opinion de M. Golgi, qui su
rones nécessaires à unir la périphérie avec les centres psychi- LA THÉORIE DES NEURONES. ' 34S ques de l'écorce cérébrale,
ques concernant les neurones et nous passons à l'étude de ce que la théorie des neurones nous offre pour l'explication de q
re psychopathologique. Nour sommes nullement d'avis que la nouvelle théorie puisse décider la question de la nature intime
des phénomènes psy- chiques ; nous sommes loin d'affirmer que cette théorie nous découvre le rapport intérieur qui existe e
ns les branches pulmonaires du pneumogastrique. En confirmation des théories avancées par CI. Bernard et Chauveau, des fibre
ogistes. Un curieux cas de folie rap- porté par Bruce donne à cette théorie un solide appui. L'aliéné dont il s'agit se pré
z des épileptiques avérés. Kraepelin, au con- traire, l'accepte. La théorie de Lombroso et de son école, qui élar- gissent
ves, 2e série, t. III. 27 418 5 bibliographie. Aujourd'hui que la théorie de l'origine médullaire des difformi- tés congé
entifiques, 1897.) Ce livre extrêmement documenté tend à établir la théorie de l'anémie. On ne peut plus aujourd'hui dire l
nt par l'attaque épileptique clas- sique. Une analyse raisonnée des théories émises par Kussmaul et Tenner, Nothnagel, Brown
uler les contradictions et contrôler les faits. Il éclaire ainsi sa théorie avec plus d'assurance. Il fait obser- ver que s
aire d'une anémie cérébrale, du moins tout parle en faveur de cette théorie et rien ne peut l'infirmer. Le mécanisme de l'a
é, Voisin, Kniess, Gray, Marie, Pichon et Musso. Mais pour que la théorie ait une valeur réelle, il faut qu'elle puisse a
tiques moteurs, secrétaires et psychiques. Pour les paralysies la théorie de l'anémie ne peut que compléter celle de l'épui
e cerveau de l'épileptique est affai- bli dans sa résistance. Cette théorie peut donc tout expliquer, tout en s'appuyant su
iologie générale, en y comprenant le darwinisme et l'évolution, les théories cellulaires contemporaines, les théories sur l'
inisme et l'évolution, les théories cellulaires contemporaines, les théories sur l'hérédité, des notions générales sur la vi
sans qu'il soit besoin d'insister, les conséquences d'une pareille théorie . Au pensionnat de Ville-Evrard, dit notre collè
ernier lieu et ne disparaît qu'après toutes les autres couleurs, la théorie du rétrécissement concentrique est valable. M
toujours la dernière, c'est quelquefois le rouge, et dans ce cas Ja théorie du rétrécissement concentrique ne peut être suf
s et pseudo- électriques sont intéressants comme un contredit de la théorie de Darwin; on voit ici que le tissu musculaire,
tion du canal central à certaine distance. Après l'expo- sition des théories concernant le développement de la syringo- myél
le mutisme ; 4° l'insensibilité. L'auteur mentionne en terminant la théorie de S. Freud qui pro- pose de détacher complètem
formés par les fibres des racines; elle donne naissance à plusieurs théories (Hallopeau, Schultze, Déjerine, Pierre Marie, B
uelques idées qui peuvent être prises en considération, mais que de théories inapplicables et absurdes qui ne tiennent pas c
s, par Mac Casliey, 215. Histologie du système nerveux centra). Théorie des neurones, pal, Soury, 93, 281. Hôpital. N
Weber, Cubasch, Loss- mtzer, Peterson, Boehmert, 245. Inversion. Théorie sut 1' du sens génital, par Havelock, 227. Iv
486. Neurofibromatose généralisée, par Feindel, 155. Neurones. Théorie des - et théo- rie de la décharge, par de Bech-
éorie des - et théo- rie de la décharge, par de Bech- terew, 127. Théorie des - avec explications de quelques états psy
5 (1893) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 4. Leçons sur les maladies du système nerveux
s, nous sert d'objectif — il s'agit, vous ne l'avez pas oublié, de la théorie des localisations dans les maladies cérébrales —
er à cet égard, de par-ties très intéressantes, au point de vue de la théorie des loca-lisations cérébrales, à savoir la couche
t indispensable à l'intelligence de faits importants à savoir pour la théorie de l'hémorrhagie cérébrale vulgaire. Cette prép
ir chemin faisant des faits intéres-sants au plus haut degré, pour la théorie des localisation cérébrales pathologiques. Ces fa
pathologie de l'homme. Nous devons nous efforcer aussi de donner la théorie des faits dont il s'agit, c'est-à-dire d'en pénét
hémianesthésie, j'ai relevé un fait d'une im-portance majeure pour la théorie des localisations cérébrales. Mais il ne saurait
vec les données généralement répandues. En effet, si l'on en croit la théorie mise en avant dès 1860 par Alb. de Graefe (2),'et
rmes, une lésion cérébrale en foyer, du côté gauche, devrait, dans la théorie en question, entraîner la suppression ou l'obscur
e l'hémisphère droit. Je crois devoir prolester contre ce que cette théorie offre, pour le moins, de trop absolu et lui oppos
e la même façon la bandelette optique du côté droit. Ainsi parle la théorie , et de fait, nombreux sont les exemples qui démon
avez pu remarquer, dans l'exposé analomique qui vous (1) D'après la théorie , les hémianesthésics cérébrales devront se distin
s. Le nombre de 200 que l'on met en avant pour le besoin de certaines théories pourrait être considérablement réduit par la crit
udier en détail dans une occasion prochaine (1). 11 importe pour la théorie de remarquer que, dans le cas de M. Pitres comme
iphérique. — Il n'en existe encore que trois ou quatre observations. — Théorie probable de ces dégénérations. Messieurs, Ain
dans toute son étendue. Si les choses se passent ainsi que le veut la théorie , on devrait donc, dans un cas récent de dégé-néra
riques?Ou bien, au contraire, pouvons-nous tenter l'édification d'une théorie pa-thogénique des dégénérations secondaires ? C'e
lle je me conten-terai de rappeler un instant vos souvenirs (1). La théorie de Waller est fondée sur ce fait général que lors
eurs, vous le reconnaissez, tout con-court admirablement à appuyer la théorie que je vous ai pro-posé d'admettre. Il existe cep
périences de Gaillard (de Poitiers). Tonicité musculaire normale. — Théorie d'Onimus. — Expériences con-firmât! ves de Boudet
qu'ils sont de nature à jeter une certaine lumière sur la question de théorie , encore fort controversée. A. Je parlerai, en p
tion très vulgaire, ils n'offrent d'in-térêt qu'au point de vue de la théorie . B. Également très sérieux à ce même point de v
res qui sont toujours les mêmes. — Interprétation de ces attitudes. — Théorie de l'action des antagonistes. — Expériences de Ga
thèsc de la lésion irritative dynamique explique mieux que les autres théories les symptômes spasmodiques de la sclérose descend
auteurs lui ont accordé une grande impor-tance au point de vue de la théorie . ^/Je vous ai présenté la contracture tardive des
ion de mettre à profit. Messieurs, il me resterait à montrer que la théorie que je viens d'émettre, tout imparfaite qu'elle s
les qui ont été proposées pour résoudre la ques» tion en litige. La théorie de l'encéphalite a vécu. Il n'y a pas, en effet,
réflexes. — Théo-ries relatives à la pathogénie de la contracture. Théorie de l'encéphalite. — Théorie de l'irritation des t
ives à la pathogénie de la contracture. Théorie de l'encéphalite. — Théorie de l'irritation des tubes nerveux mélan gés à ceu
s avec les difficultés de l'enseignement, j'ai cru reconnaître que la théorie proposée pour rendre compte physiologiquement de
st pas, tant s'en faut, que j'attache une importance exagérée à cette théorie , dont je suis le premier à reconnaître toutes les
nous étions arrêtés. Il nous restait encore à vous montrer que notre théorie est supérieure à toutes celles qui ont été propos
cs. Je n'insiste pas plus longuement ; il me suffit de relever que la théorie pro-posée trouve ici une éclatante confirmation.
substance grise. III. Veuillez considérer, Messieurs,que dans la théorie proposée, et c'est par là que je terminerai, la c
Formes lentes de la myélite transverse. Tabès dorsal spasmodique. — Théorie de Erb. Localisation spinale. — L'a-natomie patho
au premier abord, semble viser principalement une question de pure théorie , nous avons rencontré déjà et nous rencontrerons
t, elles vont faire partie du faisceau pyramidal du côté gauche. La théorie dont il s'agit est principalement fondée, quant à
ésenterait plus dès lors une affection spéciale. A l'appui de cette théorie , on a publié quelques observations où l'on a cru
elle, tant au point de vue purement clinique qu'au point de vue de la théorie phy-siologique. Or, dans l'état actuel de nos c
seur de Bertin. Les arguments fournis par M. Leyden à l'appui de la théorie qui confond, entre autres, dans un même groupe, l
iphérique. — Il n'en existe encore que trois ou quatre observations. — Théorie probable de ces dégénérations........ 260 NEUVI
périences de Gaillard (de Poitiers). Tonicité musculaire normale. — Théorie d'Onimus. —Expériences con-firmatives de Boudet d
res qui sont toujours les mêmes. — Interprétation de ces attitudes. — Théorie de l'action des antagonistes. — Expériences de Ga
thèse de la lésion irritative dynamique explique mieux que les autres théories les symptômes spasmodiques de la sclérose descend
réflexes. — Théo-ries relatives à la pathogenic de la contracture. Théorie de l'encéphalite. — Théorie de l'irritation des t
ives à la pathogenic de la contracture. Théorie de l'encéphalite. — Théorie de l'irritation des tubes nerveux mélan-gés à ceu
Formes lentes de la myélite transverse. Tabès dorsal spasmodique. — Théorie de Erb. Localisation spinale. — L'a-natomie patho
ue, 378. Migraine, 148. Mouvements associés, 317 ; — per-manents, théorie de Hitzig, 338,346; — secondaire, 358. Myopathiqu
ystème neuro-musculaire, 381. T Tabès dorsal spasmodtque, 359 ; — Théories du —, 368 ; — Diagnostic du — avec la sclérose en
ptique.) Tonicité musculaire, 327, 350. Tonus musculaire, 327 ; — Théories d'Onimus, 328 ; — Irritation phy-siologique des c
6 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de vue pathogénique, on peut envisager ces deux formes, suivant la théorie de M. Raymond, comme les manifesta- tions extrê
ire soupçonner l'approche. ' SIUOIv. V. Quelques difficultés à la théorie de la rétraction; par W -L. VORCESTER, (.1mel'i
al of Insunity, juillet 1899, p. 101 à 103.) - 1 On sait que la théorie de la rétraction, telle qu'elle est acceptée pa
n de Sides développe un peu ce point et marque davantage en quoi la théorie doit expliquer les phénomènes mentaux, complexi
oms, qualités, etc., de l'objet en question. On a pensé que cette théorie jetterait quelque lumière sur les anes- thésies
ntérieurement existantes ? On voit les difficultés que rencontre la théorie de la rétraction quand on cherche à l'appliquer
ans ce travail à réfuter les objections qui' ont été adressées à sa théorie de l'existence pour chaque muscle, d'un noyau d
le t destinée non à remplacer, mais à prendre rang parmi les autres théories pathogéniques (congestion irritation, troubles
s est mauvaise; objection éthique - et objection métaphy- sique. La théorie de la concomitance des phénomènes psychiques et
centres sensitifs régis- sant l'activité des organes des sens. La théorie de Fritsch et Hitzig a donné naissance à une énor
cle de centres les plus divers. Si obstinés que soient contre cette théorie ses adversaires, ils ne sont cependant pas en é
eaucoup d'observations cliniques excellentes. Depuis trente ans, la théorie des localisations cérébrales a remarquablement
55 XXX. La psychotopographie du manteau des circonvolutions et la théorie de Flechsig; par L. BlANCHI, traduit par E. JEnTS
rché à résoudre cette intéressante question. De l'ensemble de leurs théories et de leurs observations cliniques, on peut con
mme de travail. C'est plutôt un résumé d'expérimenta- tions, qu'une théorie nouvelle sur la mémoire. Sa lecture -n'en est p
fin, qu'il s'agissait là d'une véritable maladieet non, suivant la théorie de Ileinroth, de la conséquence du péché. C'est
pris texte de notre mémoire sur l'Ereuthophobie pour écrire sur la théorie des émotions un important article critique ', r
vrage sur le système nerveux cen- tral2, où il fait le procès de la théorie de Lange, tout au moins de la portée exagérée q
uteurs, dont M. Arnaud mais une maladie de l'émotivité. ' J. Soury. Théorie des Émotions. (.17111ales médico-psychologiques,
ondions, p. 1329. (Paris, Carré et Finaud, iS'JJ.) Arnaud. Sur la théorie de l'obsession. (Congrès des Aliénistes et Neur
a voulu soumettre au contrôle expérimental les faits exposés et les théories émises, a essayé de vérifier, par les graphique
BIE. 187 concerne la pathogénie de l'Ereuthophobie, d'émettre une théorie quelconque, nous bornant à-constater que Morel
and sympathique, qui les tient tous sous sa dépendance, que dans la théorie , si incertaine ici, des localisations cérébrale
es siègent alors dans les annexes ou dans les organes maternels. La théorie endogène a été soutenue par Brandt, Edinger, Gu
par- tie difforme est la cause de l'arrêt de développement. · La théorie exogène a été défendue par M. Duval, pour qui les
de produire de nouveaux bour- geons. Sans admettre complètement la théorie de M. Duval, les auteurs adoptent la théorie ex
mettre complètement la théorie de M. Duval, les auteurs adoptent la théorie exogène et pensent que les anomalies de cette s
de l'école de Nancy, M. Vires passe d'abord en revue les anciennes théories d'hypnotisme, comme celles du magné- tisme anim
périmental de l'abbé Faria et du D1' Braid. Ensuite, il arrive à la théorie moderne de l'hypnotisme, théorie défendue par l
D1' Braid. Ensuite, il arrive à la théorie moderne de l'hypnotisme, théorie défendue par l'école de Nancy et basée sur la s
ace, il résume très succinctement l'esprit aveclequel est conçue sa théorie . Il tente de démontrer scientifiquement que les
se en revue les progrès de la phi- losophie médicale, comparant aux théories -de pathologie générale d'Epicure, Lucrèce et A
1902. N° 76. ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE MENTALE. Sur la théorie de l'obsession ' ; Par le D' F.-L. ARNAUD, Mé
conçoit l'émotion en général. Ici, nous sommes en présence de deux théories opposées. Pour la psychologie traditionnelle, l
la prépondérance appartient à l'élément intellectuel. D'après cette théorie , une perception, une idée d'une certaine nature
h. Ribot. La psychologie des sentiments. Paris, Alcan, 1896. SUR LA THÉORIE DE L'OBSESSION. lui59 9 avait déjà dit : « Ce q
tte conception. C'est surtout Lange et W.James qui ont développé la théorie , acceptée aussi dans son ensemble par Sergi, pa
organique, c'est unique- ment par un besoin de logique. D'après la théorie , pour revenir à la vérité, « il faut dire, à l'
avons peur '. » Telles sont, dans leurs traits essentiels, les deux théories , intellectuelle et physiologique ou périphériqu
on- séquent, ne nous satisfait complètement. , A l'encontre de la théorie intellectuelle, on peut, tout d'abord, tenir po
ades, ainsi que l'a ' Ribot. Loc. cil., p. 96. Voir en faveur de la théorie physiologique. G. Dumas. La joie et la tristess
llet, août 1896). Sergi. Les émotions. Paris, Doin, 1901. Contre la théorie . Roubino- vitch et Toulouse. La mélancolie. Par
les. Paris, 1895, p. 80. 3 KrafTt-Ebing. Traité, p. 256. SUR LA THÉORIE DE L'OBSESSION. 36J expressément noté J. Falret
lables variations. Il est aussi bien difficile d'expliquer, avec la théorie intel- lectuelle, l'état panophobique dans lequ
ait essentiel est l'angoisse, que le fait accessoire est l'idée. La théorie émotive ou physiologique a donc été une réactio
s purement organi- ques, aux modifications neuro-vasculaires, cette théorie prête, comme la précédente, à de nombreuses obj
émotions intellectuelles et morales ', ' \'V. James excluait de sa théorie , la plupart des émotions de ce genre, celles qu
t moins encore pour la plupart des obsessions. Nous avons vu que la théorie physiologique de l'émotion s'appuie tout d'abor
e conséquence de cet le première hypothèse. Mais, pour justifier la théorie , il faudrait que l'expression émotive fût toujo
a perdu un être cher. Elle éclate en sanglots ou elle tombe SUR LA THÉORIE DE L'OBSESSION. 263 en syncope. Dira-t-on qu'el
rmes, syncope) ? Soit encore cet exemple, souvent cité : d'après la théorie , la vue d'un ours nous effraierait parce qu'ell
tion. On invoque principalement, pour établir le bien fondé de la théorie physiologique ou périphérique, les expériences de
radictoires. G. Dumas ', le traducteur de Lange et partisan de sa théorie dans l'ensemble, sinon dans tous les'détails, dis
qui ont obtenu des résultats semblables, les jugent contraires à la théorie . De cé nombre sont Binet et Courtier 1, Binet e
fin, et cette observation four- nirait une preuve directe contre la théorie physiologique, ces mêmes auteurs ont trouvé exp
1900. 5 Bechterew et Mislawski. Neural. cenlralbl., 188G. SUR LA THÉORIE DE L'OBSESSION. 265 « centre émotif principal e
n centre extra-cérébral unique ou que l'on en admette plusieurs, la théorie reste foncièrement la même. Mais c'est précisém
Carré et Naud, 1899, 11, p. 1336. 266 PATHOLOGIE MENTALE. 1 La théorie physiologique, telle que nous venons de la disc
ns, matière de la vie intellectuelle » (Ribot), ou mêmed'une SUR LA THÉORIE DE L'OBSESSION. 267 perturbation qui, pardessus
d'idées fixes. Rev. philos., mars et avril 1891, p. 39fi. SUR LA THÉORIE DE L'oBSESSIOX. 269 aux circonstances est diffi
dont je pourrais m'en défaire. Cette idée me faisait concevoir des théories insensées. Mes travaux, que j'avais néces- sair
ental, on ne peut s'empêcher de se poser la question : « Comment la théorie d'IIeinroth peut-elle l'expliquer ? » Faut-il v
de Goll jusqu'à la partie la plus élevée de la moelle cervicale. La théorie de la dégénérescence de la partie du neurone él
enfants rachitiques. Les faits de ce genre paraissent justifier la théorie héréditaire du rachitisme et pouvoir faire adme
tel devait être le premier soin de l'auteur s'il voulait édifier sa théorie sur une base solide. A cette fin il soumit, pen
on de l'excré- tion de l'acide urique le point de départ même de sa théorie de l'accès épileptique est maintenant appelé à
riodique complet. 350 ' VARIA. Pour lI. Téchoueyres les anciennes théories pathogéniques (Traube, Filehne Cufrer) sont ins
liquer le Cheyne-Stokes compris à ce point-de-vue très général ; la théorie cérébrale est plus satisfaisante. Mais s'agit-i
rs de doute 2. Cette dernière n'a d'ailleurs rien d'inadmissible en théorie . En effet, l'hystérie étant caractérisée par «
éciale que la présence de doigts rudimentaires viendrait appuyer la théorie exposée par Mathias Duval dans son article sur
une de 0,006 millimè- tres. Cette observation ne ruine nullement la théorie de Destol, . car il n'y a ici qu'une simple hyp
e tableau clinique aujourd'hui classique de la myopathie et avec la théorie pathogénique de son origine primiti- vement et
e partie contractante qui peut être lésée. Aussi n'est-ce pas-une théorie générale du contrat (qui implique pour être valab
te dans nos esprits entre la douleur et le péché, s'explique par la théorie de la sélection naturelle et n'est autre chose,
- coccus intra-cellulaire, ce qui, semble plaider en faveur de la théorie française de la parenté entre le pneumocoque et l
n, 1900-1901.) Le travail de Mlle Manonoff est un simple résumé des théories 428 VARIA. émises sur la nature des chorées.
tal. Nous ne voulons pas cependant baser sur un cas isolé toute une théorie des hal- lucinations psychomotrices qui peuvent
e de Saint-Luc est le système de la pra- tique et pas du tout de la théorie , et que partout on voit à l'oeuvre une administ
l, rémittent sans troubles réflexes ni sensitifs. Songeant aux deux théories pathogéniques du tremblement mercuriel (tremble
psychiatrie. C'est à'tort qu'on veut dès maintenant construire des théories , alors qu'en raison des difficultés particulièr
écutive il une COIn1110- tlon cérébrale légère. Obsession. Sur la théorie de 1 ? par Arnaud, 257. Odorat. Voir Fatigue.
epelin, 527. Psychotographie du manteau des circonvolutions et la théorie de Flpchsig, par L. Biauchi, 155. PSYCHOSE po
Guise et Laroursky, 142. Rétraction. Quelques difficultés à la théorie de la -, par Worcester, 132. Rêves. Connexion
7 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
u près nulles et constatai que s'il se défendait de verser dans les théories anarchistes, il protestait cependant contre l'o
it surtout un pis-aller et de fait les auteurs qui ont émis cette théorie sont plutôt sobres de détail quant à son interpré
tôt sobres de détail quant à son interprétation psychologique. La théorie des centres kinesthésiques de Bastian dérivée pou
rie des centres kinesthésiques de Bastian dérivée pour une part des théories sensitives de Munk et de Schiff est plus complè
dénomination de zone motrice reste donc vraie quand même dans cette théorie , appli- quée à la zone rolandique, puisqu'en de
ir sur les cellules motrices bulbo médullaires. Toute question de théorie mise à part il serait du reste inexact de croir
rveau à son plus haut degré de perfection, on ruine du même coup la théorie de « l'homme de la nature ». Ainsi que par le p
thyroïdisme avec cette affection, se déclare plutôt partisan de la théorie thyroïdienne du goitre exophtalmique. Il adme
'ici classique de l'ataxie locomotrice invo- quait toutes sortes de théories étiologiques et pathogéniques, basées sur le fa
quant à la nature de l'agent irritant, elle donne lieu à plusieurs théories . L'une d'elles, très répandue, très acceptée ve
à la décharge de la bou- teille de Leyde. On peut objecter à cette théorie : 10 que les cellules corticales fonctionnent d
s affectées comme dans l'épilepsie Jack- sonienue ; et 3° que cette théorie préjuge la question de l'étiologie de l'état an
la strychnine et la téta- noloxine. Ceci nous amène à la seconde théorie , comparable à la théorie que Traube a donnée de
- noloxine. Ceci nous amène à la seconde théorie, comparable à la théorie que Traube a donnée de l'urémie, et suivant laq
UflY communique l'histoire d'un épileptique venant à .l'appui de la théorie actuelle de la genèse de l'émotion L'émotion or
me nerveux central. Structure et fonctions. Histoire cri- tique des théories et des doctrines ; par Jules Sounv. 2 volumes g
es de science du dix-neuvième siècle. C'est l'histoire critique des théories et des doctrines de psycho- logie physiologique
utres tiers concernent l'époque con- temporaine depuis 1870. « La théorie scientifique des localisations fonctionnelles de
trines, l'unité du livre de M. J. Soury. Il expose tout d'ahord les théories relatives à la structure et aux fonctions des org
n clinique et de l'anatomie pathologique de l'aphémie. « Quant à la théorie actuelle des localisations cérébrales, telle qu
a cénesthésie, les émotions, la vision, l'audition, l'olfaction, la théorie des centres de projection et d'association du t
centres de projection et d'association du télencéphale, et enfin la théorie des neurones. Ici figurent les observations que
'écorce du cerveau antérieur. M. J. Soury consacre un chapitre à la théorie des contractures. L'ancienne hypothèse des prop
rices s'exercant sur les cellules motrices de la moelle. Mais cette théorie était incomplète. Dans les cas de paraplégie fl
es plus récentes découvertes faites dans cette voie. 11 réfute la théorie d'après laquelle il existerait des organes péri
cérale peut persister, mais avec analgésie et thermo-anesthésie. La théorie de Lange et de W. James sur les émotions est vive
partout et toujours là fonction a ciéé l'organe. Il aborde enfin la théorie des neurones. Au moment où Golgi institua sa
protoplasmiques du réseau diffus de Gcrlach. Golgi rem- plaça cette théorie par celle de l'anastomose des prolongements cyl
nts les fibrilles d'un réseau de spongio- plasma achromatique. Deux théories restaient en présence : celle des unicistes qui
et intra-cellulaires, unissant toutes les cellules du névraxe. La théorie des neurones demeure acceptée comme l'expression
ettant à l'esprit d'embrasser d'une vue synthétique et critiqne les théories que les penseurs de tous les temps ont émises s
étant qu'un résultat de notre organisation. Il est parti- san de la théorie de Flechsig qui divise le cerveau en centres de
- physiologie scientifique. Cette discordance est plus marquée en théorie qu'en pratique, le magistrat atténuant la rigidit
, même dans les productions les plus élevées du génie. Une pareille théorie n'a rien de scientifique, n'est appuyée sur auc
naît au contraire de la mise en tension du muscle vésical. Ces deux théories sont loin de s'exclure l'une l'autre et les que
OU. Séance du 24 Septembre 1899 W.-A. Mouratow. Contribution à la théorie de l'épilepsie. M. Mouratow s'arrête longuement
épilepsie généralisée d'emblée « épilepsia genuina ». Il rejette la théorie « médullaire » et se prononce pour l'origine co
a localisation super- ficielle du processus. Il réfute également la théorie de la « décharge paralytique » de Binswanger. P
amorphose locale d'après Weigert-Edinger). L'application de cette théorie rend compte de tous les phéno- mènes épileptiqu
ntéressante dans ce sens qu'elle four- nit une preuve directe de la théorie embryogénétique de l'origine de la syringomyéli
Cramer, Westphall). Daus la seconde partie de l'ouvrage, toutes les théories précédemment exposées sont critiquées de la man
ption délirante pré- cède l'hallucination. Il repousse également la théorie classique de l'obsession qui, pour lui, n'est q
ernier à son tour est une obsession progressive, à l'appui de cette théorie , l'auteur aborde une ontogénie très abstraite m
et du cerveau, 1898, Pétersbourg, 2° édition. BEKllTERErF (\V.). Théorie des contacts et étude des décharges de l'énergi
UVAL (Mathias). Hypothèses sur la physiologie des centres nerveux ; théorie histologique du sommeil. Comptes rendus heb- do
fascicule 1. HENIUT. Sur les cellules nerveuses multipolaires et la théorie du « Neurone ». (Bulletin de l'académie de méde
écrevisse commune, sur laquelle M. Bethe se fonde pour combattre la théorie des neurones, peut se résumer ainsi. Chaque seg
c (de Lenhossek et Retzius, 1892). Le schéma est même conforme à la théorie du neurone; on y voit et les terminaisons des d
s sangsues et le lombric. Mais en quoi cela peut-il contredire à la théorie du neurone ? Les éléments nerveux, chez les inv
VIII. Les anesthésies, paralysies et amyotrophies en tranches et la théorie métamérique de Brissaud ; par J. Crroaa. (Journal
tient la relation de deux observations qui viennent à l'appui de la théorie métamérique de Brissaud. La première est un cas
es dont la topographie fonctionnelle ne peut s'expliquer que par la théorie métamérique de Brissaud. G. D. REVUE DE PATHO
ts de la matière médicale. L'auteur s'attache à démon- trer que les théories automatistes de la physiologie sont insuffi- sa
ns notre « moi, > : , notre conscience, notre âme. Suivant cette théorie , les fonctions de la vie végétative seraient lo
e l'hypophyse, et le cas qu'ils rapportent, loin de combattre cette théorie vient l'appuyer fortement, en montrant que, dans
tion du tissu hypophysaire explique l'absence d'acromé- galie. Leur théorie s'appuie sur plusieurs faits : la les examens pos
une critique des différentes objections qui ont été faites à cette théorie ils tirent cette conclusion que l'acromégalie est
uisit et noya la lésion primitive. M. Marie pense néanmoins que les théories actuelles sur le siège temporal des auditions s
teurs et c'est même sur leur présence qu'ont été basées plusieurs théories 'pathogéniques de cette névrose. Dès 1700, Théodo
toujours à la môme partie du crâne : la région frontale. Diverses théories ont été invoquées pour l'expliquer ; toutes sont
cité des lésions permet d'écarter avec beaucoup de vraisemblance la théorie , nouvellement reprise, qui fait de la sclérose
s le- 452 BIBLIOGRAPHIE. quel, après avoir exposé et critiqué les théories de Ribot, Lange, W. James, il montre l'importan
dance anatomique y soit démentie ; tous éclairent pour leur part la théorie . Avant toute discussion l'auteur rappelle que l
inence et en ce qui a trait à la res- ponsabilité s'élève contre la théorie qui voudrait absoudre en masse les pervers et i
, et non point des pseudo-hallucinations, des illusions. Après la théorie de l'origine périphérique ou sensorielle des ha
'origine périphérique ou sensorielle des hallucinations en général, théorie la plus ancienne, sou- tenue par Plater, Sauvag
plus ancienne, sou- tenue par Plater, Sauvages, Darwin, etc., et la théorie d'origine intellectuelle (Esquirol, Leuret, Bri
(Esquirol, Leuret, Brière de Boismont, Delasiauve, etc.); après la théorie mixte (Baillarger, Marée, Motet, etc.), pour ne
CLINIQUE MENTALE. avec le progrès de la science physiologique à la théorie basée sur les expériences physiologiques. Formu
ences physiologiques. Formulée et com- mentée par Taniburini, cette théorie est acceptée aujourd'hui par les aliénistes, bi
ui par les aliénistes, bien qu'avec des exceptions. D'après cette théorie , l'hallucination est le résultat de l'excitatio
niques, des maîlres, comme MM. Ballet et Vallon, n'acceptent pas la théorie des centres sensoriels. Dans cette même discuss
'écorce, il y a toujours excita- tion des centres sensoriels, et la théorie de Tamburini se justifie quand même. L'hallucin
Les résultats obtenus démontrent, et ce fait vient à l'appui de la théorie de l'auto-intoxication, que les urines des épil
ulsif. L'auteur relate brièvement deux observations à l'appui de la théorie qu'il défend. R. de Musgrave-Clay. L. La cécité
mégaliques. M. Brissaud, voit dans ce malade une confirmation de sa théorie , qui met dans le même cadre morbide l'acromégal
e un Français, Demetz, qui le premier eut l'idée de ce système. Les théories de ce philanthrope ont trouvé chez nos voisins
AoroTnormES. Les anesthésies, pa- ralysies et - en tranches et la théorie métnméryue de Brissaud, par Crocq, 330. Anest
Anesthésies. Les -, paralysies et amyotrophlee en tranches et la théorie métamérique de Brissaud par Crocq, 330. Aphas
l'humérus dans l' -, par Clark, 241. -, par J'II, de Fleury, 257. Théorie de l' -, par Nlouratow, 259. , trépanation acci
es et Moskens, 75. Anesthésies, - et amyotro- phie en tranches et théorie mé- tamérique de Brissaud, parCrocq, 330. Dia
8 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de faire l'objet d'une communication. Il n'y a pas à revenir sur la théorie physiologique du spi- rilisme 1, mais il faut e
de ce cas, l'auteur fait un historique de la maladie et expose les théories actuellement en présence. (Revue neurologique, ao
iminer, dans la recherche de la cause de l'affection, aussi bien la théorie de l'aplasie lamineuse que celle de la lésion ner
du atteint de syringomyélie. Cette constatation est en faveur de la théorie de Joffroy, d'après laquelle les diverses cause
la véracité des arguments mis en avant par Pétrone, pour édifier sa théorie pathogène de l'ostéomalacie. Cet auteur considè
r ont été négatives. De ces recherches, M. Lacomme conclut que la théorie présen- tée par Pétrone quoique fort séduisante
ar une excitation afférente anormale. Il montre ensuite que cette théorie n'est contredite par aucun des faits observés.
observés. Il va sans dire que, au point de vue du traitement, cette théorie conduit à examiner les malades avec le soin le
, paralysie générale, paraplégie spasmodique, etc. A propos de la théorie du neurone. M. Durante : - L'auteur reprend ave
x arguments avancés par les partisans du neurone en faveur de cette théorie . La terminaison libre des fibrilles dans les ce
bles de remplacer physiologiquement la glande principale. - Cette théorie de la parenté histologique ne tint pas devant les
lui de la physiologie de la glande pituitaire font plus probable la théorie qui soutient que cette, maladie est due à une e
ression des phé- 92 z1) VARIA. nomènes de déficit. Pourtant cette théorie ne peut être admise sans réserves. , L'étude
mis qui n'en savaient guère plus que lui et mélangeaient dans leurs théories le spiritisme, la franc-maçonnerie et la magie
ociale hantaient surtout le malade à ce moment-là, il concevait des théories sociales dans lesquelles il représentait l'huma
é départ de son âme », cela ne l'étonné pas, car dit-il, d'après la théorie spirite « il se quitte lui-même pour aller anim
osée méritent l'attention. On ne saurait en effet leur appliquer la théorie récemment émise par le profes- seur Bard qui n'
église la font interner, et l'asile devient un nouvel aliment à ses théories délirantes. . Les auteurs montrent comment, che
du délire chez l'actif, le cas n'est pas davantage en faveur de la théorie classique, car le passif manifeste déjà des ten
ordination par l'autre, ces considérations militent en faveur de la théorie de M. Régis. Etat obsédant point de départ d'un
ui tendent à s'accroître chez l'adulte. On peut objecter, à cette théorie des noevi sous-cutanés primitifs, que les tache
la société de biologie, 1893, p 57).- La famille névropccllciy2ve, théorie lé1'alolo,gique de l'hérédité et de lu ^prédisp
Il parla même d'ondulations et d'oscil- lations, c'est-à-dire de la théorie actuelle sur les vibrations. Il reconnut le rôl
nombre de cas. Cette constatation ne porte nullement atteinte à la théorie de l'auto-intoxication ; les tares dégénératives
e à la confusion mentale (Régis), et par conséquent d'admettre la théorie de la démence vésanique rapide, il nous reste à e
lques-uns des arguments qui peu- vent être invoqués en faveur de la théorie de Kroepelin. Pour juger du niveau intellectuel
spectives de ces deux groupes d'états démen- tiels. D'après cette théorie , « les délires et les démences dites organi- qu
coce ne me semblent pas devoir entrainer la conviction contre cette théorie , on peut, je crois, faire appel à deux ordres de
e bravoure qu'il a fallu au rappor- teur pour attaquer de front les théories régnantes. MM. Doutre- bente (de Blois), Vallon
ringomyélies, etc.), ne peuvent servir de documents pour établir la théorie des localisations : ces lésions ont, en effet,
s. Ces cas servent, cependant, à démontrer la valeur pratique de la théorie des localisations pour l'interprétation des sym
e. Telle est l'idée qu'une comparaison impartiale des différentes théories soigneusement exposées permet de se faire. Chacun
ions motrices chez l'homme n'est pas totalement explorée et que les théories sont souvent trop exclusives. Trois types de lo
que M. Cru- chet (de Bordeaux) vient remettre en question toute la théorie des tics, si nettement établie par Brissaud et
la compare aux autres régions. Ce fait semble venir confirmer la théorie si rationnelle, qui fait de la paralysie générale
avec art, par les pelouses et escaliers de la basilique, la longue théorie lumineuse des pèle- rins du diocèse de Limoges.
et tous les signes ordinaires de la névrite rétro-bul- baire. Les théories classiques, anciennes et modernes, peuvent donc
ire avec le même caractère. Nous' ne voulons défendre aucune de ces théories . Nous estimons que la dernière ne peut être gén
. JVet'MH/tcA ? XXIV, N. F. XII, 1901.) Etude très détaillée de la théorie du parallélisme moderne, c'est-à-dire de la thé
détaillée de la théorie du parallélisme moderne, c'est-à-dire de la théorie qui dit que l'état physique n'est qu'une manife
omènes de sa conscience individuelle. M. Moskiewicz pense que cette théorie a l'avantage de corres- pondre à l'esprit des s
tion. 4° On n'observe pas les scotomes circonscrits annoncés par la théorie de Munk : c'est de l'hémio- pie. 5° Les trouble
ales doubles disparaissent eux aussi avec le temps. Conclusions. La théorie de Munk d'après laquelle tout élé- ment de la r
er quand on a sup- primé l'élément cortical qui lui commande, cette théorie est fausse. L'absence de scotomes circonscrits
M. ALTER tente l'explication du mécanisme de ces phénomènes par une théorie nouvelle d'une fonction bi-polaire attribuable au
re attribuable au pro- toplasma des articles externes des cônes. La théorie de la fonction bi-polaire appartient à M. de Ii
c et le diagnostic de cette affection, l'auteur étudie les diverses théories pathogéniques qui ont été proposées et les médi
; cure phy- sique, chirurgicale et pharmaceutique). z Toutes les théories pathogéniques sont rappelées par Cappeletti : t
Toutes les théories pathogéniques sont rappelées par Cappeletti : théories de l'entéroptose (Franz Glénard), de l'auto-intox
sthénie envisagée comme maladie des échanges (Axenfeld et Huchard), théorie de l'épuisement de la cellule nerveuse (Beard),
t Huchard), théorie de l'épuisement de la cellule nerveuse (Beard), théorie anatomique et vaso-motrice de Kaan (neurasthéni
quise par surme- nage ou par insuffisance des matériaux nutritifs), théorie mécanique de Maurice de Fleury (neurasthéniques
une régénération autogène des fibres nerveuses 1 Contribution à la théorie du neurone ; par E. Muenzer. (Neuro- log. Ce ?
tres nerveux expliquant les fibres néofor- mées, et sauvegardant la théorie du neurore. La question en est là. Les détails
fasc. 1, t. II). ' - J. S. LXXIX. La psycholepsie de Janet et la théorie de Storch-Foers- ter ; par le Dr DE Bues. (Jour
ception et des sensations organiques correspondantes. C'est à cette théorie de Foerster-Storch que se rallie l'auteur du tr
AY. (Journal de Neurologie, 1904, n° 6.) Après avoir rappelé que la théorie du neurone ne peut plus se concilier avec les n
le, les recher- ches exposées dans ce travail viennent confirmer la théorie de Sano d'après laquelle les localisations spin
d'après laquelle les localisations spinales sont musculaires. Cette théorie , d'après les auteurs, se confondrait du reste ave
nt la grossesse, a été confirmée récemment par Bourneville. Cette théorie pathogénique est adoptée par l'auteur, qui n'hé-
mentaux et les anomalies physiques de son malade. G. D. LXXXVIII. Théorie physiologique de l'hystérie ; par le D1' SOLLIER.
ciété belge de neurologie, le D1" Sollier, après avoir critiqué les théories psychologiques de l'hystérie, expose la concept
- L'auteur réfute ensuite les objections qui ont été faites à sa théorie , notamment celles qui attribuent à la suggestion
aux, tant au point de vue physiologique que psychologique, que sa théorie permet de mettre en évidence (existence d'une cén
tion solaire. G. Deny. XC. Régénération autogène chez l'homme et la théorie du neu- rone ; par G. Durante (Journ. de Neu1'l
e l'opinion des auteurs qui ont combattu dans ces derniers temps la théorie du neurone qui devient d'après eux un organisme
, prouver l'autonomie même de la maladie et les défenseurs de cette théorie ne manque- ront pas de me faire remarquer que j
cuir chevelu; et l'examen de l'un et des autres tend à confirmer la théorie qui considère cet état comme le résultat possib
re supérieur. ' Le cas que l'auteur présente autorise à rejeter les théories qui incriminent la thrombose ou la coagulation;
al. Au point de vue pathogénique, les auteurs tendent à admettre la théorie reflexe, le centre de réflexion est au niveau R
ouble de la secrétion interne de l'hypophyse d'autre part; enfin la théorie de Loeb qui fait jouer le plus grand rôle aux c
othèses ont été mises en avant. Wharton Jones, le premier, émit une théorie vaso-motrice; il prétend que les lésions du ner
une régénération autogène des - nerveuses ? Con- tribution il la théorie du neurone, pat Muenzer, 396. Fièvre hystériq
r G. Guillain et Lhermitte, 75. JANET. La psycholepsie de et la théorie de Storch-Foerster, par de Buck. 401. Juges E
tique aiguë, par Weill et Galla- vaidin. Neurone. A propos de la théorie du - , par Durante, 79. Quelques dé- ductions
-, par Debray, 402. Ré- génération autogène chez l'hom- me et la théorie du -, par Du- Faute, 407. ' Xevr algie. Deux
9 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e. Admirant « quelle splendide confirmation » avait apportée à la théorie des centres psychomoteurs de l'écorce, au point
natomo-clinique de la vision, par quel- ques vues d'ensemble sur la théorie des hallucinations de la vue. Tamburini ' 1 r
. (Htu. sperim. di (l'enial1'ia, 1880,1215 sq.) 56 PHYSIOLOGIE. théorie n'a pu acquérir quelque solidité que du jour où
fin l'hypothèse de Tamburini présentait certaines affinités avec la théorie de la sphère sensi- live de Munk. Cette idée, q
sur les localisations cérébrales '. Après un aperçu historique des théories de Golgi, de Giacomini, de AI. Duval, entre aut
es mammifères l'est certainement d'images olfactives, et quoique la théorie de la connaissance n'en puisse pas être aussi p
« De la pression baromé- tique. » Là, nous trouvons les nombreuses théories qui ont été émises sur la question qui nous occ
reuses théories qui ont été émises sur la question qui nous occupe, théories que nous allons retracer et que l'ou pourrait r
ue nous allons retracer et que l'ou pourrait ramener à quatre. 1° Théorie de la compression physique des tissus exté- rie
hysique des tissus exté- rieurs, ainsi appelée par Paul Bert. Cette théorie appartient à MM. Pol et Watelle qui l'ont émise
1851. 1. Archives, t. XVIII. 6 8 : l CLINIQUE NERVEUSE. cette théorie : on a certes été frappé en lisant nos observat
l et Watelle eux-mêmes. Or, ce refoule- ment du sang, d'après cette théorie , ayant lieu aussi bien pendant la compression q
ion qui suffirait amplement à elle seule pour faire rejeter cette théorie , ces deux médecins de Douchy n'ont pas man- qué
» La physiologie vient à son tour donner le coup de grâce à cette théorie . Elle nous enseigne que la pression barométriqu
n privé de toute originalité. Il adopte cette fausse doctrine. La théorie si erronée de Pol et Watelle a été adoptée plus
. Je le répète, malgré ces vues si ingénieuses, l'auteur reprend la théorie de la compression physique des tissus extérieur
ales et leshypérémies dont parlent tous les auteurs » (p. 52). 2° Théorie vasculo-mécanique. Cette théorie, ainsi appelée
ent tous les auteurs » (p. 52). 2° Théorie vasculo-mécanique. Cette théorie , ainsi appelée par M. Alphonse Febvre dans son
xamine un peu plus pro- fondément on ne tarde pas de voir que cette théorie vasculo-mécanique n'est autre chose que la théo
e voir que cette théorie vasculo-mécanique n'est autre chose que la théorie de la compression physique des tissus extérieur
ion physique des tissus extérieurs formulée d'une autre façon. 3. Théorie du développement des gaz intestinaux. Cette thé
tre façon. 3. Théorie du développement des gaz intestinaux. Cette théorie a été exposée par M. Mouchard'. Cet éminent maî
our se redissoudre par une compression nouvelle (pu 101). » Cette théorie est tout aussi erronée que les deux autres expo
ranchie que chez les animaux vivants où les réflexes existent. 4° Théorie du refroidissement et de la fatigue Cette théor
es existent. 4° Théorie du refroidissement et de la fatigue Cette théorie a été formulée par M. Lampadarios (loc. cit.),
e a été formulée par M. Lampadarios (loc. cit.), qui, repoussant la théorie du développement de gaz dans le sang attribue l
et à la fatigue. Le professeur Caramitsas a vivement combattu cette théorie dans sa belle critique publiée dans les fascicu
de l'Esculape. Nous croyons inutile d'insister pour réfu- terune théorie pathogénique absolument insoutenable. 5° Théori
our réfu- terune théorie pathogénique absolument insoutenable. 5° Théorie du développement des gaz dans le sang. En voici
5° Théorie du développement des gaz dans le sang. En voici la vraie théorie , la théorie qui a été sura- bondamment démontré
u développement des gaz dans le sang. En voici la vraie théorie, la théorie qui a été sura- bondamment démontrée et qui va
e. 92 CLINIQUE NERVEUSE. Il est vraiment curieux de trouver cette théorie développée déjà vers 1855 par Musschenbroeck 1,
posante autorité confirmer par de nombreuses expé- riences cette théorie . Cet illustre maître ayant démontré péremptoire
con- ductibilité meilleure, surtout aux plus superficiels. Cette théorie semblerait trouver un appui dans ce fait que la s
lui fut recommandée parle professeur Charcot. Ne partageant pas la théorie d'Ord sur l'origine du myxoedème, l'auteur sup-
ui qui suc- cède au sommeil naturel. Comment agit le chloral ? La théorie de Liebreich a été vérifiée, notamment par Pers
é motrice était accrue. M. Soutzo (de Bucharest) réclame pour cette théorie l'appui de l'anatomie pathologique. Mais ainsi
e lésions matérielles dont la constatation puisse venir étayer la théorie de M. Cotard. Bien plus, parmi les nombreuses aut
me du délire observé pendant la vie. Quelque ingénieuse que soit la théorie de M. Cotard, il est bon de ne la considérer en
mme une simple hypo- thèse. M. CHARPENTIER demande que dans toute théorie de l'origine du délire, on fasse toujours une g
r le terme de magnétisme à l'étude des faits anciens où dominait la théorie fluidique, et celui d'hypno- tisme aux faits pl
iples et si variés, de la paralysie générale. Quoi- qu'en somme, la théorie pathogénique que l'on a attribuée et qui semble
te conquête définitive de la science comme unique jusqu'ici dans la théorie des localisa- tions cérébrales. L'étude des cen
un problème qui en comporte tant d'autres ! A côté, en effet, de la théorie de Fritsch et Hitzig, de Nothnagel et de Bastia
ens musculaire des autres éléments constituants de la kinesthésie), théorie pour laquelle les centres dits moteurs de l'éco
gines centrales du sens ou de la conscience mus- culaire, il y a la théorie de Schiff, suivant laquelle les troubles de la
éactions provoquées seraient identiques à des réflexes. Il y a la théorie de Munk, pour qui la prétendue zone motrice, su
ns mentales de la sensibilité générale et du mouvement. Il y a la théorie , absolument motrice, de David Fer- LES FONCTION
centres de la sensibilité générale et du sens musculaire. Il y a la théorie de Charcot, pour qui les centres moteurs cortic
où pour- rait avoir lieu le rappel idéal de ces images. Il y a la théorie de François Franck, qui, adversaire de la théor
ages. Il y a la théorie de François Franck, qui, adversaire de la théorie de centres moteurs par eux-mêmes, autonomes, in
entres moteurs par eux-mêmes, autonomes, incline décidément vers la théorie de l'influence réflexe des éléments excitables
fférent aux cellules motrices du bulbe et de la moelle. Il y a la théorie des confluents. Mais les résultats contradictoi
t : la nuée paraît immobile '. Enfin, et pour ne rien dire d'autres théories encore sur la nature probable des fonctions mot
es sensations qui déterminent des mouvements réflexes '. Quant à la théorie que Tam- burini, Luciani et Seppilli ont élabor
burini, Luciani et Seppilli ont élaborée, depuis 1876, c'est une théorie mixte, frappée au coin du génie éclectique des
ans les parties frappées de paralysie, sans recourir à aucune des théories proposées jusqu'à eux : ils les répudient toute
r lui- même. Cela ne laisse pas d'être assez piquant, car cette théorie de Luciani et de Tamburini porte bien la marque
ines contraires sur la nature des centres moteurs corti- caux. La théorie éclectique qu'il présenta était bien faite, ce
des régions antérieures. Mais c'est pour retomber dans son ancienne théorie de la suppléance des fonc- tions psycho-motrice
tations mentales corres-' pondantes, elle viendrait à l'appui de la théorie , peu vraisemblable selon nous, qui a été exposé
poserait au retour du sang de la veine centrale de la rétine. Cette théorie a été renversée par 0 la constatation anatomiqu
de ces motifs, il n'y a pas lieu d'introduire dans le code pénal la théorie de l'atténuation de la responsabilité. La Commi
10 (1897) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 12
ls avec la religion. Les conclusions de l'auteur sont favorables à la théorie psycho-physiologique de la suggestion : il procla
le fait que, quoiqu'il fût surtout connu dans le monde médical par sa théorie et sa pratique de l'hypnotisme, il avait aussi ob
craft, etc..., Braid disait qu'il était alors en mesure de donner ses théories concernant toutes les questions relatives à l'hyp
hobies professionnelles, semble s'être beaucoup moins préoccupé de la théorie que de la pratique. « Ces états, écrit-il, sont c
er et Maudsley. Enfin, avec M. Th. Ribot pour guide, j'inîcrprétai la théorie de W. James et de Lange, sur la nature des émotio
ces recherches pcrsoiineUes, me réservant de compléter bientôt cette théorie psycho-biologique des phobies, pardes observation
lité, ils agiraient aussi efiicacement s'ils étaient en bois. » Les théories de l'Ecole de Nancy ressemblent exactement aux de
Les théories de l'Ecole de Nancy ressemblent exactement aux dernières théories de Braid, et leur point do vue est le môme en ce
ordres divers. Cela tient à ce que les auteurs s'inspirent encore des théories que l'Ecole de la Salpêtrière avait émises sur la
gens qu'on imite modifient leurs actes d'une façon raisonnable. La théorie de l'histoire, concentrée dans los grands hommes,
ibuer. La médecine commence comme une superstition enveloppée par des théories imaginaires et indigestes. On arrive à se débarra
temps. Quelles que soient les différences qui existent entre les théories de Braid et celles, plus récentes, auxquelles j'a
phénomènes nous assimilent. » Comment se fait-il que les dernières théories de lïraid aient été presque entièrement ignorées
e il insistait sur l'importance d'un sujet destiné à révolutionner la théorie et la pratique de la médecine. Autant que je pu
rançais et en allemand. Indépendamment des traductions de Preyer, les théories avancées de Braid semblent être peu connues en Al
e semblait pas avoir l'idée que Braid eût anticipé la « suggestion », théorie de l'École de Nancy. Il admet cependant que plusi
certaine mesure, la continuation de l'œuvre de Braid. Les dernières théories de ce dernier sont également ignorées en France o
1883 comme supplément à Neurologie, lequel contient plusieurs de ses théories avancées, de nombreuses références à la suggestio
ue. De l'aveu de presque tous les médecins présents au Congrès, les théories de l'Ecole de la Salpêtrière rencontrent, chaque
auprès du grand public, une assertion incontestable, et si la vieille théorie do la répression quand même, la théorie de ceux q
contestable, et si la vieille théorie do la répression quand même, la théorie de ceux qui, en commentant le code, scrupuleuseme
Une fois de plus la magistrature était sauve ; malheureusement cette théorie est aussi fausse que séduisante, nous Talions dém
nuer ainsi, vous recevez un augment de considération en acceptant des théories physiologiques qui, pour n'être pas vos filles, n
e comme agent curatif, mais aussi de formuler mes opinions quant à la théorie des phénomènes, en les comparant à celles d'autre
Je ne connaissais alors de l'hypnotisme que ce que j'avais appris des théories et des méthodes de Braid pendant mes études à Edi
une reproduction des controverses dp Braid avec les mesméristes. Les théories de Burcq reprises par Charcot avaient depuis long
uites dans l'esprit du sujet. Un des énoncés les plus clairs de cette théorie fut publié en iSoi par John Hughes Bennett, profe
. Heidenhain revint, longtemps après, sur le côté physique de cette théorie , tandis que Bernheim en reprit la partie psychiqu
simultanément, d'où provient la somme d'attention surnuméraire que la théorie demande pour leur production? Braid hypnotisa,
la conception de l'hypnose qu'elle implique est plus correcte que la théorie automatique du sujet. Je désire, en finissant,
, démontre qu a cette époque, Bernheim ignorait encore absolument les théories avancées de Braid. » — « Braid, dit Bernheim, fai
achevé de dégager l'hypnotisme, le braidisme des manipulations et des théories physiologiques qui l'embarrassaient encore et de
réponses en rapport avec les images conscientes. Ainsi s'évanouit la théorie d'après laquelle le délire ne serait jamais qu'un
s d'aboulies que nous avons étudiées et interprétées conformément aux théories hislologiqucs et physiologiques les plus récentes
Blum, professeur agrégé de philosophie. Ce professeur, partisan de la théorie des idées innées, considérait que le fait d'hypno
devrait jamais se départir quand il s'agit de juger les actes et les théories d'un savant, qui put se tromper, mais qui resta t
era, en justice, de la meilleure foi du monde, un innocent____ a En théorie , tout au moins, une pareille puissance est tout c
us dangereux (1). » Et comment avais-je moi-même formulé d'abord la théorie à laquelle Delbœuf avait primitivement adhéré ? J
éâtrales. Mais nous sommes édifiés sur ce qu'il reste de ces vieilles théories , lorsqu'on les compare aux faits exactement et im
« Sachez endormir vos malades n ; « Sachez les réveiller ». Quelque théorie que l'on veuille donner de l'état du cerveau dans
eut plus se produire et la conductibilité devient impossible. Cette théorie peut être critiquée quant à la forme, en raison d
it judiciaire, qui montre comment se traduisent, dans la réalité, les théories que je soutiens depuis près de quatorze ans. Delb
voilà ! J'ai ainsi fait la preuve que vous réclamez à l'appui de ma théorie ! [à suivre) (1} Liébeault, Ioc. cit., p. 336
urologisches Centralblatt; 2° Une étude d'ensemble ayant trait à la théorie de Flechsig sur les centres d'association ; 3°
nos pensées (*). Chez les personnes affectées de maladie (Il Cette théorie est, dans ses grandes lignes, celle qu'a si nette
inutieuses analyses psychologiques nous changent un peu de toutes ces théories qui. usurpant la qualification de scientifiques,
ns les anciens magisles, tels que Cornélius Agrippa et Paracelse, les théories de l'hypnose formulées par Charcot, et la doctrin
out au point de vue de l'action du moral sur le physique (1). » Ses théories y étaient développées longuement et appuyées sur
cnu et dos Pascal. C'était la Théologie familière, où il défendait la théorie de Jansen sur la grâce. C'était le Petrns Auréliu
serait dans ce sens « polyétique » ou tout au moins a duoétique ». La théorie vasculaire et la théorie intellectualiste semblen
yétique » ou tout au moins a duoétique ». La théorie vasculaire et la théorie intellectualiste semblent donc être vraies l'une
hevé de dégager l'hypnotisme, le brai-disme, des manipulations et des théories physiologiques qui l'embarrassaient encore et de
M. Bernheim. Mais, comme je l'ai montré, il a bien vite abandonné ses théories et ses méthodes physiques, pour adopter l'hypothè
je désire attirer son attention sur un article : « L'évolution de la théorie hypnotique » {Brain, 1896) dont je lui ai adressé
sur ce sujet ont été décrites dans mon article sur l'évolution de la théorie hypnotique déjà cité (Brain, 1896) ; il en est di
qui mérite le nom d'hypnose. Tl considère cela comme un progrès de la théorie scientifique à laquelle il a tant contribué. Et p
o si un état hypnotique prolongé a été obtenu. Je ne connais aucune théorie qui embrasse tous les phénomènes de l'hypnose ; l
de départ, rien de plus. Je ne puis accorder à M. Bernheim que ses théories soient un progrès sur celles de Braid. Los erreur
é do leurs articulations et désarticulations, on a pu déjà donner une théorie du sommeil et rendre intelligibles, à ce point de
11 (1902) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 17
des emplois officiels de la médecine. Les successifs écroulements des théories et des doctrines pathogéniqùes d'où l'on tire les
nsi progressivement refoulés et bientôt toute l'esplanade est nue, la théorie des malades échelonnés formant barrière. Il ne re
avancé qui ne soulevât des objections dignes d'attention. Parmi les théories les plus récentes, nous citerons en premier lieu
armi les théories les plus récentes, nous citerons en premier lieu la théorie chimique. Plfüger a cru voir, dans une disette d'
e Preyer. Toute autre est l'explication de Mathias Duval ; c'est la théorie histologique.) Ici l'on cherche la cause du somme
conditions morphologiques des éléments constitutifs des tissus Cette théorie a pour point de départ la mobilité amoeboïde des
t nerveux. La vraisemblance est cependant plus grande du côté de la théorie vasomotrice, qui explique le mieux le commencemen
bservations microscopiques sur les neurones, on a échafaudé toute une théorie nouvelle de cette maladie. Tout cela a-t-il donné
irera comme homme, dont il subira l'influence, tout en combattant ses théories , tout en démontrant les grossières erreurs dont l
En Allemagne (1723), Barchuien analysant avec beaucoup de soin ses théories conclut en lui donnant le nom d'« admirable faise
nombreux cas. Je ne veux pas ici insister sur la littérature et la théorie de cette maladie. Le professeur Albert Hoffa les
eur de la psychothérapie dont il a magistralement exposé à la fois la théorie et la pratique. Joignant l'exemple au précepte, i
doctrinal. C'était comme une sorte de manifeste provocant contre les théories des Ecoles d'alors, contre le Galénisme, qui régn
un phlegme putréfiant qui amenait la formation d'un calcul. Les deux théories sont de « la même farine »; il va y substituer un
Les deux théories sont de « la même farine »; il va y substituer une théorie chimique. Pour lui le calcul n'a pas son origine
ispose à se concréter en graines de calculs. » Pour arriver à cette théorie , il étudie chimiquement l'urine dans laquelle il
ts et les plus en rapport avec nos idées modernes. Citons encore sa théorie chimique de la goutte. Ce n'est pas une maladie d
son œuvre, c'est assurément ce que nous avons essayé d'analyser : sa théorie de la lièvre d'où nait le vitalisme, le rôle impo
'est l'homme criminel et ce qu'est l'aliéné. Ce n'est qu'alors que la théorie du droit et de la justice deviendra vraiment scie
ère d'envisager la question est, je le reconnais, très différente des théories admises jusqu'à ce jour, mais je suis arrivé à ce
ons, les idées fixes, le délire aigu, la folie. D'après M. Pron, la théorie de l'auto-intoxication, communément invoquée, est
rouver sa vitalité et son équilibre ». il n'est pas bien sûr que la théorie réflexe explique tous les cas dont s'occupe M. Pr
lui-même.-. » Les lecteurs de cette Revue sont familiers avec cette théorie qui, sous le nom de Polyzoisme, fut exposée, il y
phénomènes, c'est-à-dire à saisir les rapports qui les unissent. Une théorie n'a de la valeur que si elle est tirée de rapproc
nt satisfaisante. Parmi les anciennes explications il faut citer la théorie du polypsy-chisme de .T.-P. Durand (de Gros). Not
rces. Plus lard Goltz, Preyer, Verworne et d'autres ont préconisé des théories analogues. Quant à ce rétrécissement psychologiqu
il les a complétées par des faits ingénieusement observés et par des théories basées sur une érudition impeccable. » A cela,
prète ces faits, et nous donne une psychologie générale conçue sur la théorie de l'évolution. Mais ces ouvrages, si remarquab
un mois. Il avait fait pressentir à l'une que, pour étayer certaines théories , il ne serait pas fâché que la liste fût longue;
tieuses et laborieuses recherches, il avait fait avancer la véritable théorie de la terre bien plus que les philosophes qui tor
ses belles Lettres sur les animaux, l'adversaire le plus décidé de la théorie cartésienne. Ces lettres, qui furent publiées,
tion de l'hypothèse d'une matière distincte de la force. Mais toute théorie doit être jugée en dernier ressort par l'utilité
s, qui semblent défier la sagacité des savants et mettre en échec les théories les plus solidement établies, certains esprits so
accepter tous les faits expérimentalement vérifiés, les réunir en des théories qui ne dépassent pas les limites des données empi
ns rupture de leur position de sommeil. Cette observation confirme la théorie que je viens d'émettre, et ruine complètement les
erait, selon lui, la cause immédiate des mouvements en question. La théorie de Van Tieghem ne diffère de la précédente qu'en
aient dans l'eau aussi bien qu'à l'air libre. Pfeffer a proposé une théorie inverse. Partant de cette donnée que chaque phyto
t exprime le liquide qui lui est entreposé, absolument comme, dans la théorie de Ranvier, le disque épais de la fibre musculair
du sommeil et laisseraient ces organes obéir à la pesanteur. Cette théorie , qui fait intervenir la contraction du bioprotéon
se psychologique du sommeil cadre bien avec ce que l'on a appelé la « théorie histologique du sommeil ». Depuis les travaux d
ion commandé par le cerveau. Pupin (6) a discuté et développé cette théorie histologique du sommeil, d'après laquelle « c'est
l.t 1899, p. 55). (6) Pupin. Thèse de Paris, 1896, n°222 Si cette théorie , encore hypothétique (1), est ultérieurement véri
r ce point, de conserver ce que Crocq appelle (p. 218) « les vieilles théories de la Salpêtrière ». Je conclurai donc ce parag
eil qui continue et se résoud automatiquement. C'est là d'ailleurs la théorie de la cérébration inconsciente. c) Enfin, il y a
des dates certaines; et elles suffisent pour détruire entièrement la théorie développée dans le numéro de novembre. Monsieur l
tés comme symptômes de ces périodes successives, faits qui d'après la théorie , doivent être aussi évidemment successifs. J'ai e
oignent de leur existence sont contemporaines; dès lors encore, si la théorie est exacte, et je l'admets bien volontiers elle n
ué. — L'inhibition et la dynamogénie dans les états hypnotiques. — La théorie du neurone. — L'hypotaxie et l'idéoplastie de Dur
té formulées par Wundt (1). L'éminent psychophysiologiste expose la théorie de « la double conscience » qui, dit-il, « a été
ence normalement propre à l'âme humaine... » D'abord, dit-il, cette théorie « est un exemple frappant de cette manière trompe
à considérer ensuite ces choses comme expliquées... Sans répondre, la théorie répond à tout, parce qu'elle ne consiste qu'à hab
er les phénomènes de mots nouveaux... » Le reproche est injuste. La théorie des deux étages des centres psychiques n'a pas la
à huit. Donc, sans donner l'explication définitive et complète, la théorie des doubles centres psychiques est utile, ce n'es
tifiée me paraît l'accusation portée ensuite par Wundt que dans cette théorie on explique les choses « par un concept mystique
l'épilepsie, les maladies mentales et, à l'occasion, le rêve... » La théorie de la double conscience admet un « second moi » q
du de mots; car, un peu plus loin, Wundt (1) développe à son tour une théorie de la suggestion qui n'est pas tellement contradi
sur la nature de l'hypnotisme. Je résume, une dernière fois, cette théorie d'un seul mot : dans l'état de suggestibilité, le
cours. Pas de cohue, pas de presse, pas de bousculade, pas d'immenses théories à la suite d'un maître connu, et d'autres service
12 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
uvant incriminer l'insuffisance du critique, il en concluera que la théorie en est con- firmée. Aussi bien suis-je convai
très grand de mon critique.Tandis qu'en mon esprit s'ébau- chait la théorie dupliste, j'avais pu, grâce aux objections dès lo
ette existence conjuguée,d'où leur nom de co-être. C'est donc une théorie biologique. Quels sont vos titres en L'HOMME ES
indépendance fonctionnelle des deux hémisphères cérébraux. Or cette théorie , qui fut soutenue par Dumontpalier, Magnan, Bér
seté. Sur quoi, pour justifier son assertion sur l'inanité de la théorie de Dumontpalier et de ses amis. M. Bonne, toujo
ient enfin la réfutation : elle continue dans cette ligne : ? Cette théorie , et celles qui s'y rattachent (attribution de c
ne daignait même pas m'indiquer par quels arguments souve- rains la théorie de l'Indépendance fonctionnelle des deux cerveaux
ses livres se trouvaient t les pages où il avait réduit à néant la théorie de l'indépendance fonctionnelle des deux cervea
épendance fonctionnelle des deux hémisphères. Sans pré- juger de la théorie en elle-même, je crois qu'il faut renoncer à em-
! mais il déclarait au contraire ne vouloir préjuger en rien de la théorie . Assurément, il'devait y avoir un autre texte. Co
« Je n'ai pas présents à la mémoire les passages où je discute les théories de Dumontpalier et de Bérillon sur le fonctionnem
er de s'engager à fond. Sa réserve subsiste : « Sans préjuger de la théorie en elle-même ». Il appert donc très nettement d
ste pendante; qu'aucune démonstration ne l'a réduite à néant. Cette théorie est aujourd'hui aussi vivante que jamais : M. B
eux co-êtres... ? à quoi M. Bonne réplique triomphale- ment : Votre théorie « ne tient pas compte des connexions bilaté- ra
ment la plus sérieuse, la plus capable d'impressionner contre notre théorie . M. Bonne conteste formellement la duplicité or
te- rait ni- déviation, ni inégalité, ni atrophie. Par contre, la théorie dupliste intégrale, celle qui voit dans l'Homme
te de l'oeuf, les autres de la moitié gauche. Au point de vue de la théorie dupliste c'est là que git l'essentiel ; c'est par
isibles sur le relief topographique de l'organe psychique ? Avec la théorie dupliste tout apparaît au contraire logique, rati
t de quelque valeur, Eh bien, il est sur la formation de l'oeuf une théorie qui a déjà quelque ancienneté, et qui est plutô
le paraît avoir en France les préférences de Prenant, Suivant cette théorie autour du blasto. pore de la gastrula qui vient
e la moitié droite ou de la moitié gauche de l'anneau. Donc si la théorie défendue par Lereboullet, His, Hertwng, Hestcha
et en procède, Pas n'est besoin au surplus d'être partisan de la théorie de la concrescence pour identifier le plan médi
individu gauche analogue aux précédents « dont ils sont, d'après la théorie , les symétriques ». Puis il opère sur de nouvea
us allons y trouver une nouvelle manière de nous défendre contre la théorie mécani- que qui ne voit dans la symétrie bilaté
insuffisamment expliqués, se conçoivent bien plus aisément dans la théorie dupliste qui permet de supposer tantôt l'activité
vie psychique. Preuve psycho-pathique. Complétant logiquement la théorie de l'indépendance fonction- nelle des deux cerv
tions unilatérales de façon plus satisfaisante à notre avis que la théorie des points de repère de P. Janet. Elle explique l
ar la polarisa- tion qui n'est qu'une hypothèse gratuite, ni par la théorie de la cristallisation. Les phénomènes de crista
née, d'une vie conjuguée, c'est-à-dire deux co-êtres. 3e preuve. La théorie du développement particulier de chaque blastomè
faite concordance avec ce qu'enseignent les savants partisans de la théorie de la Concrescence. 4e preuve. En outre du déve
n outre du développement autonome de chaque blastomère primitif. la théorie de la Concrescence aboutit à re- connaître à ch
(O.Hertwig) qui est précisément l'adversaire le plus autorisé de la théorie de la mosaïque et de celles qui s'y rattachent ?
achent ? Pour- quoi surtout résumer,et d'une façon si baroque, la « théorie de la concrescence » ? Si le « système nerveux
e même que ne le croyait Ribot, ne pouvait aucunement justifier' la théorie qui attribue à chaque hémisphère une personnali
ou à l'état pathologique. J'ai rappelé dans l'historique que cette théorie sim- pliste avait d'ailleurs été victorieusemen
re de pathogénie symptomatique et pour entacher de suspicion toute. théorie exclusive. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE
hiques de l'épilepsie » nesontpas sérieusement en désaccord avec la théorie ; suivant le mécanisme REVUE DE PATHOLOGIE NERVE
ilepsie. Ce fait pourrait être considéré comme en désaccord avec la théorie soutenue par l'auteur ; mais celui-ci se demande
en celui de M. Olivier, apporte une observation à l'appui de cette théorie que les hallucinations psychiques sont des pseu
anesthésie : tout est réuni ici pour la mise en applica- tion de la théorie de Pierre Marie aux troubles aphasiques qu'a pr
is (de Bordeaux). Je tiens à défendre la concep- tion française. La théorie de Kraepelin ne peut être acceptée. Il est indé
illeurs tous deux dans des asiles d'aliénés. M. DENY (de Paris). La théorie de Kraepelin est la seule qui cadre avec les fa
apparaître d'une manière éclatante. \I. Claude passe en revue les théories psychologiques de l'hystérie (MM. Janet, Grasse
Ber- nheim) et montre combien ces conceptions sont fragiles. Les théories physiologiques ne donnent pas une meilleure expli
' A chaque description anatomique sont annexés la discussion des théories histophysiologiques et quelques aperçus physiolog
iation ontogénique et phylogénique des espèces cellulaires ; 4° les théories récentes et encore discutées (participation d'é
ce premier article, l'auteur se contente d'énumérer les principales théories histogénétiques ré- centes, qui supposent la pa
la constitution de la C. nerveuse. Elles ne différent de l'ancienne théorie que dans la description des stades intermé- dia
plus souvent encore que l'hyperesthésie. Tout en accep- tant leur théorie , qu'il ne faut pas se fier d'une façon absolue
ous ces phénomènes : malheureusement il n'existe pas aujourd'hui de théorie anatomo-physiologique de l'hystérie de la malad
l'hystérie de la maladie du doute ou du délire de persécution. Les théories qui s'affublent de ce nom ne sont que des tradu
s'affublent de ce nom ne sont que des traductions grossières des théories psychologiques en un langage vaguement anatomique
. 13 CONGRÈS INTERNATIONAL DE PSYCHIATRIE. , Hystérie et sommeil ( Théorie physiologique de l'hystérie) Par le Dr Paul SOL
hysiologique de l'hystérie) Par le Dr Paul SOLLIER. En résumé, la théorie physiologique que j'ai proposée est la seule qu
ue, laquelle sert en même temps de contrôle et de confirmation à la théorie physiologique. Quant à rapporter rigoureusement
nerveux au niveau des extrémités de deux neurones conli- gus. Cette théorie mécanique de l'hystérie, essentiellement physiolo
tre un des aspects sous lesquels on peut se placer pour édifier une théorie physiologique complète comme j'ai essayé de le
pileptiques, des vieillards. Hier encore, mettant en pratique cette théorie , un fils tuait par économie son vieux père enve
son cas à un praticien appelé et payé par lui. Que cela est beau en théorie , mais en pratique ? . L. Waiil. VARIA Drame
ranties désirables pour que ces aliénistes soient les meilleurs, en théorie tout au moins. Comment pourrait-il, leur devoir
e la partie moyenne de la frontale ascendante, ce qui con- firme la théorie des localisations corticales. Myélomalacie chez
es intellectuels tardifs,et constituent une nouvelle objection à la théorie de Virchow qui voit dans la microcéphalie l'eff
effet d'une soudure prématurée des os du crâne. " Ch. B. YXX.- La théorie des neurones,la fatigue,le repos et le sommeil;
in médical, 29 mai et 19 juin 1907.) Après avoir rappelé la vieille théorie utérine qui a régné dans la science depuis Hipp
Hippocrate jusqu'à Landouzy, de Reims, le Prof. Raymond résume les théories de Charcot, Pitres, Sollier. Bern- heim, Grasse
ons. Tel pourrait être le résumé schématique et représentatif de la théorie vasculaire ou sanguine de la physionomie ». C
eur fait reposer le principe fondamental de la physionomie dans une théorie vasculaire ou sanguine. « Tout phénomène psychi
sine est alimentée par l'eau de source ex- cellente de la ville. En théorie , nos malades ne devraient pas en consommer d'au
à elle-même, la psychasthénie n'a guère de tendance à guérir. Trois théories ont cherché jusqu'à présent à expliquer cet éta
dans d'autres ce déterminisme n'a pu être éta- bli, en sorte que la théorie de l'origine coiticale des hallucinations s'est
médical, n° 7 1906.) C'est une contribution très intéressante à la théorie de l'auto- in loxiuation comme cause de certain
de l'auto- in loxiuation comme cause de certaines formes mentales, théorie qui acquiert chaque jour un nouveau degré de pr
Voir Psycho- thérapie. Neurones périphériques. Voir Fibres. La théorie des -, la fa- tiguc, le repos et le sommeil,
13 (1909) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 24
t un moyen, un procédé d'une grande valeur thérapeutique. « Quelque théorie que l'on veuille donuer de l'état du cerveau dans
hologie de l'hypnotisme à une « concentration de l'attention. » Cette théorie exprimée par Braid, a été ensuite admise avec de
leurs rapports avec les jurisprudences et la médecine légale ». La théorie de Liégeois eut des partisans ardents, mais soule
oins à juger Eyraud et Gabrielle Bom- pari qu'à choisir entre les théories de l'école de Nancy et les théories de l'école de
- pari qu'à choisir entre les théories de l'école de Nancy et les théories de l'école de la Salpêtrière. Pour l'une, la su
contre l'expert de province venu déposer à Paris. Et poartant. les théories de Liégois sont claires, impressionnantes et si l
nous apporte des observations et des expériences confirmatives de sa théorie . N'oubliant pas qu'il a pour adversaires surtout
des chefs d'écoles, acceptons, sous réserve, leurs grands mots, leurs théories et soignons les psychonévroses avec ce que le Dr
ividu l'état préalable de suggestion-nabilité. Dans le langage de nos théories , j'appelle cette disposition préliminaire du nom
sophique d'ordre général, ou de donner ou de refuser nu fondement aux théories de la morale et du droit plus qu'aux croyances su
dans lequel IFahc-Âstoisk i«e Domisis, évêque de Spalatro, ébaucha la théorie do l'orc-en-clel De radiis visas et lucis in vitr
plus étroitement l'excitabilité, et surtout nous serons servis par la Théorie de l'inhibition : pour fermer un sens aux excitat
pas entrevoir d'états de plaisir ou de douleur si nous acce, tons la théorie de Fouillée : « Si notre organisme « n'est qu'une
qu'il faut toujours en revenir si l'on veut débrouiller le chaos des théories psychologiques. Imaginer que les phénomènes sont
sans être inféodé à une chapelle religieuse, ou admettre une certaine théorie psychologique de la liberté (comme, par exemple,
D'ailleurs, Binet-Sanglé ne saurait m'en vouloir, puisque, d'après sa théorie , j'en suis irresponsable. SOCIÉTÉ D'HYPNOLOGIE
ues. Pour tout esprit impartial il suffit de quitter le domaine dé la théorie et de se (1) Th. Ribot : Le mécanisme de l'atte
uelles est sujet l'exercice de nos sens ou qu'entraînent avec soi des théories préconçues. (Celle de l'intervention de Bieu en e
ce de Fleury, le paresseux en bonne santé n'existe probablement qu'en théorie , nous arriverons à reconnaître les causes de cet
préjugés tenaces, d'interprétations fausses, d'arguments spécieux, de théories fantaisistes, d'impulsions irréfléchies, d'instin
exacte et ne laisse rien à désirer, leur étiologie a donné lieu à des théories nombreuses et contradictoires : quant au traiteme
traitement il varie selon les auteurs puisqu'il découle des diverses théories adoptées sur la pathogénie. Nous n'avons pas l'
ns de donner une explication, en nous basant sur l'étude des diverses théories émises sur l'Emotivité, insistant spécialement su
t pourrait donner la clef de toutes les modifications obtenues. Les théories émises sur les troubles de l'Emotivité sont nombr
les troubles de l'Emotivité sont nombreuses et se confondent avec les théories même de l'Emotion. * L'Emotivité n'étant autre ch
oduit dans l'ensemble des actions que définit l'Emotion ». Mais les théories émises pour expliquer ce dernier phénomène n'ont
le dos ». 2) D'après Mosso et François Franck, les promoteurs de la théorie vaseulaire, c'est aux variations du courant artér
agrégé des états élémentaires ». Nous avons résumé les principales théories émises sur les Emotions et sur les troubles de l'
ns et sur les troubles de l'Emotivité ; leur étude nous conduit a une théorie éclectique. Nombreux sont les centres qui partici
tales et peuvent présider aux variations périphériques. C'est cette théorie éclectique qui va nous servir à l'interprétation
les appendicites les plus rebelles. Ensuite, l'orateur, reprenant la théorie des rapports du physique et du moral, exposa sa m
es se conduiront désormais comme des personnes bien élevées. Voilà la théorie que l'on affirme être la sente rationnelle. J'a
ucation du jugement, mais ignorant de sa propre ignorance (1) ». La théorie des ondulations lumineuses de Young, malgré les p
urtout sur le mécanisme du transfert Je crois utile de rappeler les théories principales qui ont été émises sur cette question
quer les mêmes effets esthesiogeniques.il se rallia an contraire à la théorie du contact de deux métaux : la peau et le métal a
cité est réglée par la loi des tensions. 31. Adamkievicz propose la théorie des fonctions bilatérales pour expliquer les phén
lité. 31. Millier fut également un des premiers qui basaient sur la théorie des fonctions bilatérales l'explication du « tran
sur des expériences. M. Schif fa soutenu une opinion contraire à la théorie de MM.Regnard. Onimus, Vigouroux ; il a exposé, e
théorie de MM.Regnard. Onimus, Vigouroux ; il a exposé, en 1880, une théorie qui est, peut-être, la plus acceptable. Il admet
ion pouvant suffire à en modifier la circulation et l'innervation. La théorie de cette école a provoqué l'opposition la plus vi
M. Schiff MM. Yulpian, Dumontpallier et Millier se rallièrent à la théorie de M. Schiff. MM. Tamburiui et Seppilli firent
. Beaucoup d'observations cliniques contribuèrent à appuyer cette théorie . Elles ont été rapportées par MM. Maggiorana Babi
tendent actuellement à expliquer tous les phénomènes observés par la théorie de la suggestion, ce qui ne nous donne, en somme,
l'aimant et des solénotdes. Progrès mèd. 1878. Yigochoux. — Sur la théorie physique de la métalloscopie. Gazette mèd. 1878 e
vations, en les accompagnant d'une discussion de laquelle il tire une théorie sur l'hystérie. L'intérêt théorique et pratique
'indique pas sa manière d'interroger, bien que, d'après les dernières théories modernes sur l'hystérie, elle joue un grand rôle
urs signalent des cas d'hystérie à l'appui de l'une ou l'autre de ces théories . Je ne veux pas abuser de votre attention en ci
ux), Lewi, Boger, Terrien qui combattent avec beaucoup d'arguments la théorie de M Babinski, ni les travaux de ses partisans pa
nel-Lavastine, Gossuc, Gowers. MUls, Lafforgue, etc, qui admettent la théorie de M. Babinski, nous avons Février, Both, Brums,
rés, est une manière logique propre à l'auteur (lequel se base sur la théorie des centres associatifs de Janet) et qui peut pre
le. Ils ont déjà beaucoup changé depuis quarante ou cinquante ans. La théorie des frontières naturelles qu'avait adoptée Mazzin
s dont ils sont innocents. Pour eux le péché originel ne sera pas une théorie . * Yous trouverez les médecins bien prosaïques
out d'abord en quoi consiste l'erreur et la vérité. Platon, dans sa théorie philosophique soutient qu'il n'y a d'erreur que d
judiciaire au sens où nous l'entendons. Le principe dominant dans la théorie de la preuve est que celui qui manifeste une prét
e des phénomènes de l'hystérie et de l'hypnotisme et malgré certaines théories qui ont été récemment exposées, je considère que
e et plus durable, afin de contri- (1) Yves Delage M. Gousmith. Les Théories de l'Ecolalion, Introduction, pp. 1 et 2. bue
e les théoriciens étroits du Néo-Darwinisme et du Néo-Lamarckisme, la théorie du progrès relatif est la seule vue d'ensemble qu
ant cette interprétation psychologique, nous ne faisons qu'adopter la théorie dont M. Bibot lui-même semble entrevoir le succès
Swoboda en fait son étude de prédilection, et, tout en confirmant la théorie de Freund. il en montre l'exclusivisme injustifié
sen et Ellermann. nous rapportons l'influence de l'émotion, à la même théorie , admettant que le choc émotif peut influencer les
éments chaque jour mieux ordonnés qui nous servent à perfectionner sa théorie , Hegel employa le système Platonicien qui place l
14 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome second
démontrera l'expérience à l'égard de ces tentatives hardies ; mais la théorie repousse, même dans le cas de simple rigidité, to
solés, et vous aurez une idée de ce vice de conformation. Quanta la théorie des ankyloses par fusion congèniale, avec ou sans
tum manque à sa partie inférieure : il est imparfait. Un mot sur la théorie de la sirénie, donnée par M. Isidore Geoffroy Sai
e Geoffroy Saint-Hilaire, l'un des représentons les plus éclairés des théories philosophiques modernes. Cette théorie résulte de
sentons les plus éclairés des théories philosophiques modernes. Cette théorie résulte de la combinaison de la loi du développem
e être surpris qu'elle n'eût pas lieu plus souvent: en poussant cette théorie jusqu'à ses dernières conséquences , il est évide
pu venir au contact. Il est vrai qu'on ne concevrait pas, dans cette théorie , pourquoi les cuisses, les jambes et les pieds, q
tion employée outre mesure peut conduire les meilleurs esprits. Cette théorie transcendante , qui explique la sirénie ou monopo
, qui explique la sirénie ou monopodie par un excès de développement, théorie qui, à quelques égards, pourrait rendre compte de
ier à la suite de la cyclopie, sous le titre de monotie. Quant à la théorie de la cyclopie avec ou sans astomie et monotie, v
vie intra-utérine, rend bien mieux compte de cette difformité que la théorie du développement centripète, c'est-à-dire la tend
s les monopo-dies les plus complètes. Ce fait vient à l'appui de la théorie que j'ai adoptée, et qui me paraît devoir prévalo
e mouvement de rotation, qui semble au premier abord échapper à toute théorie , est on ne peut plus facile à expliquer, parle se
, sont un des plus remarquables effets de l'inflammation adhésive. La théorie de leur formation est celle-ci. Deux circonvoluti
ais comment les pieds-bots de ce fœtus pourraient s'expliquer par une théorie autre que celle de la compression exercée sur les
arois abdominales amincies qui reçoivent les intestins. Suivant une théorie ingénieuse, la hernie ombilicale intra-utérine se
que, le cerveau, la cavité crânienne, etc. Les faits invoqués pour la théorie de l'arrêt du développement, au moins quant aux h
te maintenant à traiter la question scientifique , savoir celle de la théorie de la formation de l'éventration ombilicale, ques
e des éventrations ombilicales. Cette étiologie serait, suivant une théorie ingénieuse proclamée par Meckel et généralement a
, ayant sa méthode, ses lois, ses principes, établit en ces termes la théorie de l'éventration et de l'exomphale: « On sait, en
racique; le cerveau, la cavité crânienne. Les faits invoqués « par la théorie de l'arrêt de développement, au moins quant aux h
ons ou hernies congéniales (2). Dans les sciences, pour renverser une théorie , il n'est pas nécessaire d'en avoir une autre tou
e d'en avoir une autre toute prête à lui substituer, l'interrègne des théories scientifiques ne tire pas à grande conséquence. M
scientifiques ne tire pas à grande conséquence. Montrer le vide d'une théorie accidentelle, mais défectueuse, voilà le premier
é, mais qui est bien distinct du premier, c'est l'établissement d'une théorie nouvelle. L'éventration ombilicale est bien dis
le sang qu'agissent nécessairement toutes les causes morbides, et ma théorie sur le siège immédiat de l'inflammation dans le s
tré. Comment donc ne pas admettre pour l'infection cancéreuse la même théorie que pour l'infection purulente ? Du reste, chez
lorsque la phlébite occupe les troncs et leurs divisions. Voici la théorie de la phlébite des membres inférieurs à la suite
e la veine cave inférieure elle-même ne produit pas les effets que la théorie semble leur indiquer; car les veines pelviennes e
rophiés par suite de ce développement ou de cette dégénération. Cette théorie générale des transformations organiques trouve ic
les; mais l'observation directe n'a pas confirmé ces prévisions de la théorie . Les valvules ne paraissent pas jouer un rôle bie
e inférieure avait été le siège d'une gangrène sèche. D'après cette théorie de la gangrène spontanée, on conçoit que l'étendu
étaient dissociées. Je pense que le moment est venu de modifier la théorie de Scarpa sur l'anévrysme, théorie généralement a
le moment est venu de modifier la théorie de Scarpa sur l'anévrysme, théorie généralement adoptée de nos jours; savoir : que l
l'extrémité du cartilage. S'il pouvait rester quelque doute sur la théorie de l'anévrysme par la dilatation des trois tuniqu
ect que celles de la poche anévrysmale. On pourrait objecter que la théorie de la dilatation des trois tuniques, vraie pour l
cette péricardite ait été accompagnée d'épanchement : or, d'après la théorie de M. Beau, l'épanchement serait une condition né
cas d'anévrysmes vrais ou par dilatation; d'où il résulte que la même théorie ne saurait leur être applicable. Considérations
, la cause essentielle du déchirement sénile du cœur. D'après cette théorie , cette dégénérescence, que l'auteur appelle aussi
as faible, et sa nutrition n'est pas en souffrance : tout cela est de théorie pure ; les vieillards ont souvent, je ne dis pas
e, d'une surface suppurante éloignée au cœur, est trop favorable à la théorie de la résorption purulente pour que les fauteurs
la théorie de la résorption purulente pour que les fauteurs de cette théorie ne se soient pas emparés de ce fait, comme preuve
. Argumentateur dans la thèse de M. Legroux, je m'élevai contre cette théorie de l'inflammation du caillot sanguin, et j'eus, a
u chimique, et nullement par un acte de décomposition nutritive. La théorie de la formation des caillots sanguins purulens da
du pus au centre du caillot était proposée comme une difficulté à la théorie de la production du pus par les parois vasculaire
vules du cœur est un point encore controversé et qui se rattache à la théorie des transformations des tissus. On peut dire à ce
dans ses parois. Les faits confirment pleinement ces prévisions de la théorie ; et en effet dans tous les cas que j'ai eu occasi
s, ne préserve donc pas des congestions sanguines vers cet organe. La théorie de la dérivation, de la substitution d'une irrita
; 4° microeéphalie avec absence complète de l'encéphale. Quant à la théorie de ce vice de conformation, je considère la micro
r la trompe d'Eustache ; l'otorrhée cérébrale serait donc, d'après la théorie de M. Itard, la terminaison critique d'une phlegm
la surface sont généralement plus solides que celles du centre. La théorie que je viens de présenter sur les productions cor
ne blessure, une corne tout-à-fait semblable à celle d'une chèvre. La théorie qu'il donne de cette production est remarquable.
ation et d'une autre part, qu'il soit incapable de s'agglutiner. La théorie dit que ces calculs pourraient devenir le noyau d
urinaires ; mais je ne sache pas que l'observation l'ait démontré. La théorie dit encore que ces calculs peuvent être expulsés
e M. le docteur Tessier(i) a tiré de cet enkystement du pus contre la théorie de la phlébite, comme cause des abcès viscéraux,s
rption purulente sont fausses dans leur principe, leur méthode , leur théorie , et à-peu-près nulles dans leur application; et,
llaires, où il agit à la manière d'un corps étranger irritant, quelle théorie a substitué M. Tessier ? La théorie de l'altérati
n corps étranger irritant, quelle théorie a substitué M. Tessier ? La théorie de l'altération du sang par la diathèsepurulente.
ives; savoir : i° L'insuffisance des preuves sur lesquelles repose la théorie de la phlébite: dans la phlébite suppurée, le pus
arquable! cette oblitération n'a pas les conséquences funestes que la théorie semblerait indiquer. L'urine dilate l'uretère (vo
ntion complète de l'urine dans les uretères, je me suis demandé si la théorie que je viens d'émettre pour le rein, ne pouvait p
s parenchymateuses constituées par le tissu du foie induré. La même théorie s'applique au pancréas, dont j'ai rencontré plusi
s de l'utérus sont extrêmement rares, et voilà sans doute pourquoi la théorie de leur formation est encore si peu avancée. La p
et ailleurs, m'ont conduit à admettre sur les hernies de l'utérus la théorie suivante: i° La hernie de l'utérus est consécutiv
élongation dans le sens du tiraillement opéré sur cet angle. Si cette théorie est vraie,la hernie de l'utérus devra toujours êt
ligament large, nouvelle source d'attraction de l'utérus. Si cette théorie est vraie, l'étude des hernies de l'ovaire et de
ce le nom (i) Recherches (VAnatomie transcendante et pathologique ; théorie des formations et des déformations organiques, ap
faut le dire cependant, l'empirisme l'emporte très souvent ici sur la théorie ; un grand nombre d'hydropisies ascites, consécuti
ns chirurgicales et de l'accouchement. 11e liv., pl.i,ii,iii,/ . /. — Théories sur l'existence simultanée de solutions de contin
e continuité suppurantes et d'abcès multiples dans les viscères. = La théorie du développement des tubercules préexistans ne do
irurgicales. 11° liv,, pL i, n, ni, p. t ; 16e liv., pl. m, p. 4. — Théorie de la métastase purulente. 11e liv., pl. i, ii, m
que chez un enfant à petite tête. lâe liv., pl. 1, p. 2. ANÉVRYSME. Théorie de la formation des anévrysmes. 3e liv., pl. îfp.
é par les parois du cœur amincies et altérées. 21e liv., pl. rv,p. i.— Théorie de la formation de l'anévrysme vrai partiel du cœ
tères dans la formation des anévrysmes. 28e liv., pl. 1,11, m, p. 2.— Théorie de l'anévrysme par dilatation des trois tuniques.
hie et avec disparition complète de parties. 38e liv., pl. 1, p. 2. — Théorie des anky-loses congeniales; l'ankylose doit être
es dans la formation des anévrysmes. 28e liv., pl. r, 11, ni, p. 2. — Théorie de fa-névrysme par dilatation des trois tuniques.
ulaires. Déplacemens consécutifs des doigts. 34e liv., pl. 1, p. i. — Théorie de la résorption des cartilages et de l'usure des
e de ses livres. lre liv., Avant-Propos, p. iij. BRESCIIET (M.). Sa théorie de la mélanose. 19e liv., pl. m, iv, p. 4. BRID
(M.). Sa théorie de la mélanose. 19e liv., pl. m, iv, p. 4. BRIDES. Théorie de la formation des brides péritonéales. 38e liv.
re quelque chose sur le cal devenu compacte. 2e liv., pl. iv, p. ii.— Théorie de la formation du cal. 23e liv., pl. 1, n, p. 3e
ns circonscrites du poumon. Deux tubercules à la surface des reins. = Théorie de l'infection cancéreuse. 23e liv., pl. v, p. 4-
r atrophie du cerveau avec encéphalocèle. 39e liv., pl. iv, p. 3. — Théorie de ce vice de conformation. 39e liv., pl. iv, p.
mesdes artères.Sac formé par les parois du cœur amincies et altérées. Théorie de la formation de l'ané-vrysmevrai partiel. 21e
vrysmes du cœur : 1° l'ané-vrysme ordinaire, 2° l'anévrysme partiel ; théorie de la formation de l'anévrysme partiel. 22e liv.,
verses sur la présence du pus au sein des caillots sanguins du cœur ; théorie du transport du pus en nature ; théorie de sa for
s caillots sanguins du cœur ; théorie du transport du pus en nature ; théorie de sa formai ion dans le cœur lui-même. 28" liv.,
rie de sa formai ion dans le cœur lui-même. 28" liv., pl. iv, p. i. — Théorie de l'auteur. 28e liv., pl. iv, p. /. — Symptomato
mort par suite de 1 issue du cordon. 35e liv., pl. i, p. 3. CORNES. Théorie de la formation des productions cornées. 7e liv.,
y. — 3° cyclopie avec astomie; 4° cyclopie avec astomie et monotie.= Théorie de la cyclopie avec ou sans astomie et monotie. 3
un des effets de la phlébite. 8e liv., pl. iv, p. t. DÉGÉNÉRATIONS. Théorie des dégénérations. lre liv., pl. i\,p. 3. — Il
des déplacemens congéniaux. 2e liv., pl. ivj p. y. DÉRIVATION. Sur la théorie de la dérivation. 36e liv., pl. i, p. 6. DESA
net sans fracture du radius. 9« liv., pl. n, m, iv, v, vi, p. 4. — Sa théorie de la formation du pus dans les caillots sanguins
ncroûtés de phosphate calcaire et momifiés. 18e liv., pl. vi, p. 2. — Théorie de la pétrification du fœtus. 18e liv., pl. vi, p
pl. n, m, iv, v, vi, p. 12. GEOFFROY-SAINT-HILAIRE (m. Isidore). Sa théorie de l'é-ventration et de l'exomphale. 31e liv., pl
de l'é-ventration et de l'exomphale. 31e liv., pl. v., p. 5. — Sur sa théorie de la syrénie. 33e liv., pl. v, vi, p. 1. GLACE
, p. s, $. — Cas d'infeclion cancéreuse , porlé au plus haut degré. = Théorie de l'infection cancéreuse. 23e liv., pl. v, p. 4-
se, état adynamique. Mort. Abcès multiples dans le foie (phlébite). = théorie des chutes du rectum. 21eliv., pl. vi, p. 2. — In
ques des kystes pileux des ovaires. 18e liv., pl. m, iv, v, p. 5. — Théorie de leur formation. 18e liv., pl. m, iv, v, p. 5
. LAENNEC. Son opinion sur la cyrrhose. 12e liv., pl. 1, p. 2. — Sa théorie sur la mélanose. 19e liv., pl. m, iv, p. 3. LAF
dii choléra. 14e liv., pl. i, n, ni, iv, v, p. 49- LEGROUX(M.). Sa théorie sur la formation du pus dans les caillots sanguin
v. — Son opinion sur les vaisseaux lactés. 2e liv., pl. 1, p. 3. — Sa théorie sur la formation des kystes pileux. 18e liv., pl.
r la formation des kystes pileux. 18e liv., pl. m , iv, v, p. 6. — Sa théorie sur l'étiologie des eventrations congéniales. 31e
céphalocèle. 39° liv. , pl. îv, p. 3. — Variétés de la microcéphalie; théorie de vice de conformation. 39e liv., pl. iv, p. 4.
ux genres et cinq espèces. Observation. 32e liv., pl. v, vi, p. 4. — Théorie . 40e liv., pl vi,p. a. MONOPSIE. 33« liv., pl. v,
S. ANAT. PATHOL.--TABLE DES MATIERES. ONGLES. Ongles monstrueux : théorie de la formation de l'ongle normal. 7e liv., pl. v
du fémur; objections de l'auteur. 23e liv., pl. 1, 11, p. 2, 8 — Théorie de la formation du cal. 23e liv., pl. i, n, p. 3,
kystes pileux ; caractères cliniques des kystes pileux des ovaires ; théorie de leur formation. 18e liv., pl. ni, iv, v, p. 5.
Productions cornées. 7e liv., pl. vi, p. 4; 24e liv., pl. m, p. 4. — Théorie de leur formation. 7e liv., pl. vi, p. 4; 24eliv.
PÉTRIFICATION. Pétrification du placenta. lr« liv., pl. 1, n, p. 5. — Théorie de la pétrification du fœtus. 18e liv., pl. vi, »
areté et curabilité de la phlébite utérine. 13°liv.,pl. i, n, m, p.5.— Théorie de la phlébite lymphatique. 13eliv.,pl. i,u, m, p
es cas. = Phlébite traumatique puerpérale. 27e liv., pl. iv,p. /. — Théorie de celle phlébite. = Phlébite consécutive au canc
es plaies, des grandes opérations chirurgicales et de l'accouchement.= Théories sur l'existence simultanée de solutions de contin
durés. Catarrhe pulmonaire. Rate volumineuse. 15e liv., pl. h, p. 6.— Théorie des niasses encéphaloïdes des poumons. 18e liv.,p
hique de ses ouvrages. lre liv., Avant-Propos, p. iij. PRODUCTIONS. Théorie des productions organiques. lre liv. , pl. iv, p.
èse de l'absorption, d'où vient le pus. 13e liv., pl. 1, n, m, p.y. — Théorie de la formation du pus au sein des vaisseaux lymp
ence du pus dans les vaisseaux lymphatiques? 17e liv., pl. ni, p. 6. — Théorie sur la formation et l'action du pus dans la phléb
rmation et l'action du pus dans la phlébite. 16e liv., pl. m, p. 4. — Théories diverses sur la présence du pus au sein des caill
it de toutes parts dans les vaisseaux. 31e liv., pl. m, p. 2.— Sur la théorie de la diathèse purulente. 36e liv., pl. v, p. i.
e. Etat adynamique. Morl. Abcès multiples dans le foie (phlébite). ¦= Théorie des chutes du reclum. 21e liv., pl. vi, p. 2.— Ph
bot en anato-miste. 2e liv., pl. iv, p. 9. — Nécessité de modifier sa théorie sur l'anévrysme. 28e liv-, pl. 1, n, in, p. 3. SC
v., pl. vi, p. /. — Eliologie. 33e liv., pl. v, vi, p. 2, 4. — Sur la théorie de la sirénie, donnée par M.Isidore Geoffroy-Sain
en deux genres et cinq espèces. Observation. 33°liv., pl. v, vi,p.A.— Théorie de la sirénie. 40e liv., pl. vi,p. 4. SIRÉNOMÈLES
eudo-membraneuse aphtheuse. 35e liv., pl. iv,p. 4. TRANSFORMATIONS. Théorie des transformations organiques. lreliv., pl. iy
s ces cas. = Phlébite traumalique puerpérale. 27eliv., pl. iv, p. /.— Théorie de cette phlébite— Phlébite consécutive au cancer
= Ces abcès sont la cause la plus fréquente de la mort des blessés. = Théories sur l'existence simultanée de solutions de contin
e continuité suppurantes et d'abcès multiples dans les viscères. = La théorie du développement des tubercules préexistans ne do
is seulement comme doctrine générale. 11e liv., pl. 1, 11, m, p. 4. — Théorie de la métastase purulente. 11e liv., pl. 1,11, nr
15 (1906) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 21
vivons les mêmes défiances et les mêmes passions : défiance pour les théories séduisantes, les synthèses prématurées ou les arc
e nous comprendrons donc jamais parce que ces messieurs partent de la théorie et nous de la pratique. Je suis prêt à abandonn
ne suffit pas. Ce qui intéresse te malade, ce ne sont pas les belles théories , c'est la guérison. (Applaudissements.) J'avoue
ychonévroses ; Dr Binet-Sanglé : Lois des secousses et paralysies : Théorie des neurodiélectriques. M. Baguer, directeur
r James Braid, dans l'Histoire du Magnétisme Animal, ou quelle est la théorie , ou quels sont les princi-cipes qu'il a établis,
A. Chapitre Additionnel. I. — Les méthodes d'hypnotisation, et la théorie et la cause de l'hypnotisme. IL — Les principes
aris. IV. — Résumé et observations finales. I. — LES MÉTHODES, LA THÉORIE ET LES CAUSES 1) Méthodes--Quand Braid commença
les mesméristes (2), qui l'accusaient du plagiat des méthodes et des théories de Faria et de Bertrand. C'est en réponse à cette
atiquent l'hypnotisme, et non pas la méthode ordinaire de Braid. 2) Théories . — « On a prétendu que j'avais fait, dit Braid, a
prétendu que j'avais fait, dit Braid, acte de plagiat, en usurpant la théorie ... de Bertrand et de l'abbé Faria. Si j'ai bien s
re en avant le nom de Bertrand, on voulait insinuer que j'ignorais sa théorie ; erreurs manifestes. » (N. p. 17.) Un auteur, dan
uelque temps, que : « Braid montra plus tard que la similitude de ses théories et celle de Faria était plus apparente que réelle
de ceux qui attribuent les phénomènes du sommeil à l'imaginationj une théorie qu'il condamne comme une extravagance. Le titre s
st suffisant pour montrer que Faria condamnait, plus que personne, la théorie de l'imagination. Bertrand aussi n'a jamais attri
l'Académie des Sciences) décidera, je le dis avec confiance, entre m« théorie subjective et la théorie objective des magnétiseu
décidera, je le dis avec confiance, entre m« théorie subjective et la théorie objective des magnétiseurs. (Ch. A. p. 223.) Il a
3.) Il attachait grande importance à ce qu'il insistait à nommer « ma théorie subjective », une phrase qu'il répète dans la pag
éorie subjective », une phrase qu'il répète dans la page 231. CeLie théorie était-elle nouvelle? (2) Cette question est (1)
naturels. » (S. L., p. 34.) C'est Faria qui a, le premier, établi la théorie subjective. Pour lui, ce n'était pas une théorie
e premier, établi la théorie subjective. Pour lui, ce n'était pas une théorie mais un point démontré. Noizet et Bertrand ont ac
int démontré. Noizet et Bertrand ont accepté, dans leurs ouvrages, la théorie de Faria, ue manière qu'il y avait, en iwvO, troi
avait, en iwvO, trois auteurs bien connus qui étaient partisans de la théorie subjective. Mais, sans aller en France, Braid ava
ue. » Il est vrai que Braid est arrivé, en toute indépendance, à la théorie subjective ; mais est-ce une raison suffisante po
éorie subjective ; mais est-ce une raison suffisante pour dire que la théorie est « mienne », même en 1860 ? Que dirait-on d'un
e dirait-on d'un auteur qui, par exemple, découvrirait demain une des théories de Pasteur, et qui, étant averti que sa théorie n
irait demain une des théories de Pasteur, et qui, étant averti que sa théorie n'est pas nouvelle, la présenterait comme la sien
, p. 231.) Faria a consacré les Séances IX, X, et XI à expliquer sa théorie psychique. « A la seule parole, dit-il, on peut r
ine essentielle. Dr Binet-Sanglé : Lois des secousses et paralysies : Théorie des neurodiélectriques. M. Baguer, directeur de
co-psychologique, in-8°,-56 pages. — Masson, Angers 1906. A. Pichon : Théorie de l'élite, in-8°, 20 pages. — Giard. Paris 1906.
ses opinions sur ce qu'il nomme « ma méthode ordinaire ;> et « ma théorie subjective ». Suivons le reste, préférant ce qui
n de l'organe longuement considéré. » (p. 235.) Ensuit© il discute la théorie de Reichenbach et conclut: r J'avais montré, sans
Noizet, pour quelque point que ce soit. Pour la confirmation de « ma théorie subjective », il se rapporte aux Fakirs et Yoguis
raid n'était pas supérieure à la méthode ordinaire de Faria ; — si la théorie subjective était déjà établie par Faria et admise
t que Braid dans ses écrits parle toujours de « ma méthode », de « ma théorie », de « mes principes ». En lisant ses écrits, on
cale d'une ville aussi importante que Marseille, et que l'étude de la théorie de l'hypnotisme, comme celle delà vie, appartient
i de Faria. Avec sa méthode ordinaire il ne pouvait pas arriver à une théorie purement suggestive ou psychique. La théorie dépe
ouvait pas arriver à une théorie purement suggestive ou psychique. La théorie dépend de la méthode : si la méthode n'est pas pa
a théorie dépend de la méthode : si la méthode n'est pas parfaite, la théorie ne peut pas être parfaite, et si l'on arrive parf
la théorie ne peut pas être parfaite, et si l'on arrive parfois à une théorie parfaite avec une méthode imparfaite, on y arrive
t plus de raison que son attention était attirée sur la méthode et la théorie de son devancier, avant de publier une seule lign
ité en Orient. Dr Binet-Saxglé : Lois des secousses et paralysies : Théorie des neuro-diélectriques. M. Baguer, directeur d
mbre. Eh bien! cela est vrai. Cela est même beaucoup plus vrai que la théorie de François Dupuis d'après laquelle la Pyramide e
ils sont fort nombreux, se sont avant tout préoccupés de défendre les théories qui leur étaient chères. L'auteur de l'Évolutio
'excellente traversée faite sans une seconde de malaise. Toutes les théories faites sur le mal de mer sont détruites par l'exp
Kéraval, in-12, 344 pages, Ch. Boulangé, Paris, 1907. Alfred Pichou : Théorie de l'Élite, in-8, 20 pages, V. Giard, Paris, 1906
i devant les dogmes ou les légendes les plus répandues, ni devant les théories régnantes ou les systèmes. La belle leçon que vou
nseigner dans l'Université, à ses risques et périls d'ailleurs, telle théorie scientifique qui lui convient. Pour cela, le ca
isation. En un mot, être intimidé, c'est être hypnotisé ». D'après sa théorie , se laisser intimider par autrui dans une circons
e, de la forme et de la couleur en architecture et en décoration, des théories absolument nouvelles et d'un intérêt considérable
es guerrières, les hommes se préparant à combattre n'ont pas connu de théories scientifiques, n'ont pas conçu de raisonnements a
On a opposé la passivité de l'une à l'activité de l'autre. C'est une théorie déjà ancienne. M. A. Letienne, l'année dernière,
appréciables, indéfinissables pour le malade et pour le médecin. » La théorie de M. A. Le- (t) De la sénilité, 190ti, ? 7.
e ne deviendrait-elle pas nécessaire? Celui qui voudra construire une théorie d'après les agissements de ces trafiquantes, bâti
ondément instructif; il est moins obscurci que les précédents par des théories préconçues. Les « spiritualistes » ne semblent pa
16 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
qnera du chatouillement dans la muqueuse nasale. Quelle que soit la théorie (réflexe ou transmission régionale), il faut, pou
celui-ci étant développé tout au long de l'ouvrage; un peu plus de théories psy- chologiques et une bibliographie plus nour
gagnent le cerveau par la voie du trijumeau. Les partisans de cette théorie donnent aux nerfs en question un trajet très co
ar la corde du tympan pour rejoindre le nerf facial. Là, d'après la théorie en question, ces fibres suivraient le grand ner
anique et le grand nerf pétreux superficiel. Les partisans de cette théorie se basent sur certains faits' cliniques s'accom
ssl répond par une argu- mentation technique qui n'ajoute-rien à sa théorie vraie ou fausse. , P. 1\1.. XXVII. Contributi
ur des faits thérapeutiques, est amené à considérer comme fausse la théorie qui place le point de départ de la maladie de B
e Basedow dans l'hyper- trophie du corps thyroïde. Selon lui, cette théorie doit céder la place à celle d'après laquelle le
s d'où dérivent les divers symptômes de la maladie. D'après cette théorie , on est amené à penser que la section du sympat
ales à droite après la section du sympathique gauche, con- firme la théorie de la vaso-dilatation. S'appuyant sur des expé-
de la troisième molaire, etc., les différentes inter- prétations et théories , le contrôle étendu et passionné, les larges di
e du délit ; par DEL GnECO (Il Manicomio, anno XI, fasc. 2-3). La théorie de la dégénérescence est une théorie biologique à
comio, anno XI, fasc. 2-3). La théorie de la dégénérescence est une théorie biologique à contours trop vagues et indétermin
ui lui ont servi de sujets d'expériences. Le pomt de départ de la théorie imasinée par M. Sollier pour expliquer le mécan
es, corollaire de la première, M. Sollier a cru pouvoir dégager une théorie pathogénique de l'hystérie qui peut se formuler
d'arguments dans l'ouvrage de M. Sollier. Dans quelle mesure cette théorie peut-elle être acceptée ? Bien que M. Sollier s
ume. Gerest (J.-1L). - Les affections nerveuses systématiques el la théorie des neurones. - Volume [il-81 de 355 pages, ave
s du cerveau. Gamcl 1 en a rap- porté plusieurs exemples. A cette théorie de l'action des intoxications intercurrentes no
hénomènes inflammatoires dans la stauungs-papille, ébran- lèrent la théorie de de Grxfe, et en même temps détruisirent les
ait rentrer la paralysie générale dans la syphilis cérébrale ! La théorie syphilitique de la paralysie générale a gagné du
réplique M. Kurella, ignorer l'hérédité pathologique. Du reste, la théorie inventée par M. Weissmann de la continuité du pla
a présentées, M. Weissmann a répondu par des amendements de cette théorie (critiques de Rolide et Hertwig) qui n'amendent r
er logiquement l'hystérie des autres névroses sans faire appel à la théorie de la dégénérescence. Pour établir la dégénéres
l'organisme non transformés ou non éliminés. Il reconnaît que cette théorie s'accorde bien avec les données étiologiques et
r- mation des cavités. Cette observation semble donc confirmer la théorie de Langhans SOCIÉTÉS SAVANTES. 169 et Krontha
et Kronthal sur l'origine hypérémique de la syringomyélie. Cette théorie est juste pour une certaine catégorie de cas de s
e avec le Dr Korniloff, cette observation ne confirme ni infirme la théorie de Langhans et de Kronthal. M. Mourawieff cro
énitale et que le cas de M. Orlovski peut être cité à l'appui de la théorie embryon- naire de la syringomyélie (gliomatose)
r longtemps, même après qu'on croit avoir bien vu ; 4° éviter les théories et se méfier de l'imagination ; 5° avoir toujours
omènes hallucinatoires une ori- gine centrale et leur appliquent la théorie générale des hallucina- tions formulée par Tamh
ROU. XI. QU'EST-CE QUE la méningite ? par le D1' Christophkr. Les théories généralement admises sur la méningite sont que
confirmée le quarante- deuuxième jour. L'auteur discute toutes les théories écologiques connues ; il se range à celle de Ve
t. IV. 17 258 BIBLIOGRAPHIE de M. Zakrewsky est un désaveu de ses théories , encore plus catégo- rique que la note de M. Pa
e de M. Pailhas. M. Zakrewsky pense que « le plus grand nombre des. théories émises sous la dénomination collective d'anthro
e la respiration. Notre ami le docteur Gauduchau, nous a proposé la théorie suivante qui est peut-être vraie : dans la pend
st d'un pernicieux exemple, rééditant, pour s'excuser lui-même, des théories surannées auxquelles les buveurs ne demandent qu'
données de Weissmann sur le plasma germinatif, M. Savage appuie sa théorie sur le fait que les caractères spécifiques de l
urager nos efforts de traitement. F. BoissirR. MX. Evolution delà théorie hypnotique; par.L-1111LNE BRAMWELL. (Brain, par
ltats effectifs des suggestions criminelles; il critique ensuite la théorie d'Hei- denhain, d'après laquelle, par suite de
ce'les-ci équivaudrait à la suppression totale de celle-là. Mais la théorie de Braid évolua aussi, attachant primitivement
avec imitation de sa quantité. Beaunis et Gurney rejettent cette théorie au moins pour les effets retardés de la suggestio
e serait au contraire poly-idéiste et l'état normal monoïdéiste. La théorie de Myers, analogue aux doc- trines de James, ch
tat hypnotique, tout en ajoutant aux difficultés de l'expliquer. La théorie de la cons- cience subliminale donne au moins u
ion assez longue pour permettre à Braid de dégager complètement ses théories de quelques causes d'erreur. Accordant d'abord
tement des possédés et des obsédés ; 4° chez les mages : aperçu des théories occultes; consultation d'un mage ; pointes, cor
sent naître en lui et dont il a conscience, il les explique par la théorie de la possession. Comme le dit M. Cotard 3, « i
Amsterdam, 18` ? G. ' Voir Binet et Féré. Sensation el mouvement. THÉORIE DES NEURONES 371 Par suite de. la perversion du
TRINES CONTEMPORAINES DE L'HISTOLOGIE DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL. THÉORIE DES NEURONES; Par JULES SOURY, Directeur-adjo
.Len)iosséks'esLdéetaréàsot) tour, comme llamoii y Cajal, contre la théorie erronée d'un réseau nerveux diffus des centres
s moins distincts ». L'éminent disciple de KoHiker a insisté sur la théorie du contact, de Ramon y Cajal, qui « apporta la
Taf. und 60 Fig. im Text. Berlin, Kernfeld, 1895, vn-409, in-8°. THÉORIE DES NEURONES 373 courtes ou longues, qui se ter
multiple et se diviser soit à proximité de la cellule (diaxones et THÉORIE DES NEURONES 375 polyaxozes), soitsur son traje
rant de la nutrition va, dans les cellules nerveuses, de la surface THÉORIE DES NEURONES 377 périphérique du corps cellulai
rs qu'elle n'est plus capable de se décharger de ces excitations. THÉORIE DES NEURONES 379 - Le professeur von Lenhossék
ong, qu'elle envoie dans le bulbe olfactif : il s'arborise dans les THÉORIE DES NEURONES 381 glomeruli olfactorii. Mais, au
çoit l'onde d'excitation par ses atborisations et le transmet à la THÉORIE DES NEURONES. 383 cellule dans la direction cel
ce très élevée dans « la réceptivité des excitations nerveuses ». THÉORIE DES NEURONES. 385 Les couches superficielles de
es critiques fort vives qu'il dirigea, cette fois encore, contre la théorie de Ramon y Cajal et de vau Gehuchten touchant-l
neurone. Or, si les appareils de réceptions, indispensables pour la théorie , font défaut ici, puisque voici des cellules ce
de prolongements protoplas- miques, représentent, par rapport à la théorie de la polarisation dynamique, un véritable poin
- l'autre, bipolaire, outre son prolongement axile descendant, pos- THÉORIE DES NEURONES. 387 sède un prolongement ascendan
le enlève toute valeur à l'objection formu- lée par Golgi contre la théorie de la polarisation dynamique des éléments nerve
croyons l'avoir démontré, suffisent déjà en partie pour la récep- THÉORIE DES NEURONES. 389 tion de l'excitation ; un nom
sommeil physiolo- pique. L'auteur se propose de revenir sur cette théorie dans un travail plus complet. (Revue neurologiq
rbide, le cercle basedowien. Cette idée, conclusion des principales théories du goitre exophtal- mique, permet d'en mieux co
ère. ' Griesiner. Maladies mentales, traduction Doumie, p. 285. a Théorie de l'automatisme. 46 i' PATHOLOGIE MENTALE. «
comme il arrive du fait de I hyperfonction du corps thyroïde. Cette théorie est celle à laquelle se range M. Abadie dans un
phères comporterait encore le dédoublement de la pensée; mais cette théorie est loin d'être établie. Le dualisme pathologiq
hold (Adolphe). La maladie de Thomsen. Kuss (Charles). Une nouvelle théorie de l'asthme. Lago (Jean-Nelson). Sur la sciatiq
3. Hypnotisme el Crime, par Bell, 76. Hypnotique. Evolution de la théorie - , par M. Brarowell. 326. - IhSTLKEciOMiE da
par Huches, 321. Pro- 'grésréaiisésen,parSachs, 334. Neurones. Théorie des -, par J. Soiii,y, 371. - liyl)iiose et inh
17 (1900) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 15
sa morale au bouddhismo aryen. Il en fut de celte morale comme de la théorie de l’amcebisme des neuronnes, dont on commence à
a partagé les triomphes des sciences physiques on ait pu propager des théories si grossières. Elles rappellent les tâtonnements
vénèrent le livre ennuyeux et illettré de Mrs Eddy et croient en ses théories grossières et surannées. L’expérience faite par
té animale de l’homme, se superpose le polypsychisme. D'après cette théorie , il n’existe pas un a moi unique régnant sur un d
ies fourmilières où pullulent les idées inédites et surprenantes, les théories originales et hardies. Il serait trop long d’expo
, pendant près de trente ans, combattu tous les combats. 2" Par des théories hardiment originales et solidement scientifiques,
e merveilleux scientifique, dans lequel il résumait et condensait ses théories et ses doctrines. En 1890, paraissaient les Aperç
me esprit, qui pullulent encore chez, les sauvages aujourd'hui, toute théorie de l’inspiration, de la révélation, repose sur le
ences, aussi bien que les religions, les croyances aussi bien que les théories (car les croyances sont aussi des théories), repo
oyances aussi bien que les théories (car les croyances sont aussi des théories ), reposent sur des faits : dans l’ordre scientifi
ations. La ventriloquie a puissamment contribué à l’élaboration de la théorie du Double, de l’âme ou des âmes, et de tous les c
es fluidistes ne se lassaient point d’opposer semblable objection aux théories des animistes. Or, on a fini par sc convaincre,
eux-ci d’en prendre connaissance; il sollicita la confirmation de ses théories ; il provoqua ses adversaires... On ne répondit à
imulateurs et auto-suggestibles à l’excès, il n’aurait pas édifié une théorie dont il ne reste rien ou presque rien aujourd’hui
15e Année — N° 7. Janvier 1901. BULLETIN M. Ch. Renouvier, et la théorie du vertige mental, par M. le D«- Paul Farez.
englobe ainsi qu’un grand nombre d’autres ; c’est ce qu’il appelle la théorie du Vertige mental. (') Notons que cette explicati
. Fondée sur l'analyse psychologique et l’observation des faits, la théorie du vertige mental s’applique à la fois « au songe
l y a quelques années, à propos d'un opuscule où je m’appuyais sur sa théorie du vertige mental, M. Renouvier m’apprit, à mon t
es principes qui ont pré-* sidé à la confection de son ouvrage : a La théorie scientifique des localisations fonctionnelles de
s d’un même problème scientifique, les conceptions variées d’une même théorie . C’est là ce qui distingue l’esprit critique du d
-à-dire un croyant, presque toujours prisonnier de sa doctrine, de sa théorie , de son système, au moins pendant qu’il en constr
convaincu. Et pourtant, ainsi que le démontre l'histoire critique des théories et des doctrines, si le problème est un, les solu
nsacrée à I’Antiquité et aux Temps modernes. L'auteur nous expose les théories relatives à la structure et aux fonctions des org
re des rapports du cerveau avec les nerfs et les organes des sens. La théorie des trois âmes, ou des trois fonctions cardinales
vision, à l'audition, à l'olfaction, et enfin de celui consacré à la théorie des neurones. Cette partie de l’ouvrage compren
xti : Sur un cas de délire chez un brûlé. Contribution à fétude de la théorie de l'auto-intoxication. (Thèse de Bordeaux. 1898-
TISME EXPÉRIME.NTA^.g^^ERAPEüTIQüE 15* Année — N« 9. Mars 1901. Théorie physiologique de l’hystérie par le Dr Binet-San
hystérie par le Dr Binet-Sanglé. I Historique L’évolution des théories de l’hystérie est un exemple de la manière lente
rre Janet appelle « la définition physiologique de l’hystérie ». La théorie qui va suivre n’est que l’extension à tous les ph
r 1895, devant la Société de biologie, par le professeur René Lépine, théorie dont il avait eu ia première idée en 1894, à prop
forme d’ondulations électriques, de même la (1) Ch. B;net-Saxolk : Théorie des neuro~dic!ectriaues. (Archives de neurologie,
mogenèse, trophisme), si cette seconde fixation n’a pas lieu. Cette théorie , qui fait à la fois du neurone un cliché, un accu
5) Mathias Duval : Hypothèses sur la physiologie des centres nerveux. Théorie histologique du sommeil. (Société de biologie, 2
urone et les hypothèses histologiques sur son mode de fonctionnement. Théorie histologique du sommeil, Paris, 18%. R. Deyder
ses. (Rev. scient , 12 mars 1898). Les neurones. L’amiboisme nerveux. Théorie histologique du sommeil. (Rev. de l'école d’anthr
es et sur des observations précises, il faudrait l’adopter, comme une théorie qui explique un nombre considérable de phénomènes
bien ces troubles nerveux sont-ils une condition du génie ? C’est la théorie d’un savant génial lui-mème, auquel la psychologi
gers. Gcethe poursuivait ses observations et ses expériences sur la théorie des couleurs, à Valmy, sans se laisser distraire
EXPERIMENTAÏs5Wô»^ÎIERAPEUTIQUE 15« Année — N° 1U. Avril 1901. Théorie physiologique de l’hystérie par le Dr Binet-San
’aveu mémo de l’auteur, tous les cas ne peuvent s'expliquer par cette théorie . (Parinaud. De la polyopie monoculaire dans l'hys
tiquité. Aujourd’hui les spirites croient encore aux esprits. 2° La théorie métaphysique admet comme cause un fluide nerveuxo
nfluence magnétique. Mesmer, auquel on attribue la paternité de cette théorie , n'a fait que la développer; on sait qu’elle est
taux, sont, pour la plupart, indéniables ; mais en ce qui concerne la théorie , il n’a montré aucune espèce d'originalité et mêm
lacune. Son travail volumineux, exempt de discussions oiseuses et de théories plus ou moins hypothétiques, bourré de faits, de
ME EXPÉRIMENTAL ET THÉRAPEUTIQUE 15e Année — N° 11. Mai 1901. Théorie physiologique de l'hystérie par le Dr Binet-San
du tremblement, des tics, de la chorée ou (1) Cli. B inet-Sanglé : Théorie de ncuro-didlectriques (Archives de neurologie, s
ME EXPÉRIME^ALf^\ THÉRAPEUTIQUE 15« Année — N° 12. Juin 1901. Théorie physiologique de l'hystórie par le Dr Binet-San
ensemble constituent des somnambulismes en gradation. Telle est la théorie physiologique que je propose de substituer aux th
Telle est la théorie physiologique que je propose de substituer aux théories psychologiques de l’hystérie. Schème 13. SOCI
. 28. Hystéro-traumatismes oculaires, par Borel, p. 30. Hystérie ( Théorie physiologique de 1’), par Binet-Sanglé, p. 257, 2
y Cajal, p. 285. Record (Etrange), p. 62. Renouvier (M.Ch) et la théorie du vertige mental, par Paul Parez, p. 193. Revi
ités avec succès par la suggestion, par Pau de Saint-Martin, p. 17. Théorie physiologique de l’hystérie, par Binet-Sanglé p.
étisme, par Garnault, p. 87. Vertige mental (M. Ch. Renouvier et la théorie du), par Paul Farez, p. 193. Visuels (Troubles)
18 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
èse ; et la vascularisation cutanée égale des deux côtés infirme la théorie de Traube, la théorie de l'hyperthermie par dim
ation cutanée égale des deux côtés infirme la théorie de Traube, la théorie de l'hyperthermie par diminution de la déperditio
l ne préjuge de rien. Examinons tout d'abord, comme non fondées, la théorie de l'ostéomala- cie (Vincent) que personne ne s
eprendre toute discussion ultérieure, nous devons nous arrêter à la théorie syphilitique delà maladie de Pagel. Cerlains aute
al et exclusif dans l'étiologie de cette maladie osseuse. Une telle théorie est-elle actuellement fondée ? C'est, on le sai
très riche. D'autres arguments encore montrent l'insuffisance de la théorie syphi- litique de la maladie osseuse de Paget.
val. Thèse de Lyon, 1901. 16 KLIPPEL ET PIERRE-WEIL En face de la théorie syphilitique de la maladie de Pagel se dresse la
face de la théorie syphilitique de la maladie de Pagel se dresse la théorie tropho-névrotique, moins vivement défendue, il es
t vrai, et dont il nous faut maintenant examiner la valeur. Cette théorie se base tout d'abord sur des analogies ; à la sui
o Medea et Corrado de Fano ne veulent pas conclure de leur cas à la théorie tropho-névrotique : les lésions qu'ils ont consta
ation calcaire des artères nourricières des os » (Bé- colère). La théorie de l'artério-sclérose, cause de la maladie de Pag
interstitielle ». Pourrait-on, en s'engageant plus avant dans cette théorie « artérielle » de la maladie de l'aget, dire qu
le (1). Si donc certains arguments militent assez fortement pour la théorie athéromateuse de t'osteitis deformans, il nous
omateuse de t'osteitis deformans, il nous semble pourtant que cette théorie est insuffisante, elle aussi. Elle n'explique pas
les rhumatisants chroniques, a pro- voquél'éclosioii de l'ancienne théorie rhumatismale de la maladie de Paget que Huchard
1 En réalité, on ne peut, à l'heure actuelle, se rallier à une des théories successivement soutenues pour expliquer le méca
le mécanisme de t'ostéite défor- mante : toutes sont en défaut. La théorie syphilitique est insuffisante ; la théorie trop
outes sont en défaut. La théorie syphilitique est insuffisante ; la théorie tropho-névrotique manque encore de preuves convai
vrotique manque encore de preuves convaincantes, indiscutables ; la théorie vasculaire ne satisfait pas l'esprit, car l'artér
ens radiographiques sont assurément un argument insuffisant contre la théorie de l'identification de la maladie de Paget et d
scence est restée jusqu'à présent bien obscure. C'est assurément la théorie qui invoque un trouble dans la nutrition osseus
rément la théorie qui invoque un trouble dans la nutrition osseuse, théorie soutenue aussi par KIRAIISSON, qui correspond l
ion des observateurs sera portée sur celle association. En outre la théorie rachitique et l'interprétation de Leiciinam peuve
tique et l'interprétation de Leiciinam peuvent se concilier avec la théorie thyroïdienne. Plusieurs auteurs tels que IIeiuo
t même de la scoliose pendant l'adolescence est un argument pour la théorie endocrine de la palhogénie de cette sco- liose.
RE CHRONIQUE 59 Sur l'innervation du nerf spinal ont été émises les théories plus con- tradictoires qui s'attachent d'un côt
re fort obscure, et qui de tout temps a été des plus discutée. Deux théories sont en pré- sence pour expliquer la nature de
nombreux auteurs, à la suite de Duchenne, sont venus appuyer cette théorie pathogénique, et ont apporté, à l'appui de leur h
faire de la pathogénie de ces désor- dres ? A notre avis les deux théories sont vraies suivant le cas, et l'on peut observ
cun doute. Nous allons appuyer d'un certain nombre d'exemples celte théorie pathogénique complexe et tenter de justifier ce
tion fonctionnelle de certaines glandes à sécrétion interne : cette théorie que les auteurs mêmes considèrent comme hypo- t
othèse nous semble aujourd'hui encore la plus probable quoi- que la théorie de l'auto-intoxication émise par M. P. Marie ait
ans entrer dans aucune discussion à ce sujet, sans même signaler la théorie de Verworm qui ramène à leurs éléments psychiques
anscendentales de la philosophie. Non seulement on n'atteint pas la théorie en disant qu'elle a pour consé- quence la déché
e et de la chimie. La physiologie de l'esprit est corrélative de la théorie de l'évolution humaine qu'elle complète et couron
e qu'une observation de Senator sur laquelle puisse s'appuyer cette théorie . Il s'agissait d'une hémichorée post-hél1liplégiq
un trou- ble trophique sous la dépendance du système nerveux. Cette théorie tro- pho-névrotique semble devoir gagner du ter
sseuses. , On a entendu beaucoup parler dans ces derniers temps des théories émises par Lannelongue et Fournier sur la cause
our ces auteurs un trouble dépendant de la syphilis héréditaire. La théorie de l'hérédo-syphilis dans la maladie de Paget a
és acquises pendant la vie a une importance énorme pour éclairer la théorie de l'hérédité. On sait que, dans ces derniers t
édité. On sait que, dans ces derniers temps,Weismann a développé sa théorie héréditaire qui nie tout à fait la transmission
e des propriétés acquises. Galton au contraire admetce transport.La théorie de Weismann est fondée sur la base de la discon
fondée sur la base de la discontinuité de protoplasme foetal. Cette théorie remarquable et séduisante, a été soumise néanmoin
aires de la contrac- ture de Dupuytren. Jordini en 1906 appuya la théorie nerveuse de l'origine de la contrac- ture de Du
sante. 318 IIAC DE LKPINAY IV. Au point de vue pathogénique, deux théories opposées sont en présence pour expliquer ces tr
ec Duchenne, invoquent une origine centrale. A notre avis, les deux théories peuvent être vraies, suivant les cas ; mais, qu
et ont surajouté leurs effets. Il paraît d'ailleurs certain que les théories de Saenger et de HUilER et HÜSSLIN renferment c
ar contre, il devient beaucoup plus difficile d'expliquer par cette théorie des formes de névrites telles que la névrite segm
l'âge. Nous pouvons apporter quelques autres faits en faveur de la théorie uni- ciste de l'acromégalie et du gigantisme. L
d cas, encore plus que celui de Claude, nous prouve la vérité de la théorie de Launois et Roy pour lesquels l'acromégalie est
ET PIERRE-WEIL ont emporté avec eux, du milieu où ils vivaient, les théories et les idées : chemin faisant, ils n'arrivaient
dieux, de signes particuliers sur sa robe. Plus tard se fit jour la théorie émotionnelle du naevus que nous retrouvons enco
la mère, durant sa gros- sesse, et transmise au foetus. C'est la théorie d'Hippocrate, d'Ambroise Paré, de Saint-Augustin
notion infectieuse, on essaya d'interpréter les faits. La première théorie scientifique fut la théorie vasculaire que défend
ya d'interpréter les faits. La première théorie scientifique fut la théorie vasculaire que défendirent Trélat et Monod (6),
orie vasculaire que défendirent Trélat et Monod (6), puis naquit la théorie nerveuse. Roger en 1835, Arndt en 1839, n'avaie
lusieurs nerfs spinaux. Il admettait une lésion du ganglion spinal, théorie à laquelle se ralliè- rent Gerbardt, Simon, Hut
ait être limité parles lignes frontières de Voigt et fondaient t la théorie dont nous reparlerons plus loin. Entre temps ét
nous reparlerons plus loin. Entre temps était née et avait vécu la théorie lymphatique de Bull (1886) et Polosson (1884) (
t plusieurs territoires nerveux. Morrow pouvait écrire (1898), « la théorie nerveuse est battue en brèche par ce fait t que
sur la métamérie spinale de Ross, Thorburn, Head, et qu'il émit la théorie métamérique du zona dont M. Achard (4) se fit aus
le zona et le noevus (6). Aussi est-ce par analogie que fut créée la théorie métamérique du nævus défendue par Selhorst, par
e du nævus défendue par Selhorst, par Leblanc, par Lelong. C'est la théorie de la myélite intra-utérine. Blascllko et Jadas
myélite intra-utérine. Blascllko et Jadassohn admettent toutes ces théories ; ils reconnaissent, en outre, un rapport entre
e et là le système nerveux. Nous voudrions pouvoir, à l'appui de la théorie radiculo-métaméri- (1) Lahmann, Die multiplex F
l'ostéite déformante reste encore plongée dans l'obscu- rité ; des théories diverses sont en présence, de sorte que chaque no
elle coïncidence étant devenue beaucoup plus rare dans la suite, la théorie qui voyait en elle un signe de la tendance de tou
lis et les maladies parasyphilitiques. Or, comme l'on sait, une des théories étiologiques de l'ostéite déformante qui ont eu l
acquise (Ménétrier) (2). D'au- tre part, selon Fournier (3), cette théorie aurait reçu un très solide appui si l'on avait
quée, elle a donné un résultat négatif. Il y a t-il quelque autre théorie s'adaptant à un plus grand nombre de cas ? -
t si elles n'ont pas apporté aucune preuve décisive en faveur de la théorie endogénir¡ue (Strumpell) de l'acromégalie, elle
mer, nous serons alors en possession d'un nouvel argument contre la théorie dualiste de l'acromégalie et du gigan- tisme, c
est pas exact de parler d'alcalinité à propos du sang, qui d'après la théorie des ions doit être considéré comme un liquide à
u'elle nous donnera des éléments tout à fait nouveaux en appui à la théorie acceptée par la majorité des auteurs qui attrib
t qui, comme nous le verrons, pèse d'un lourd poids en faveur de la théorie uniciste. Avant de passer aux conclusions de no
par les hyperpituitaristes, soit enfin par ceux qui soutiennent la théorie de l'en- dogenèse n'ont une valeur assez décisi
ncore snb judice, toute affirmation absolue serait imprudente. La théorie hypophysaire de l'acromégalie et du gigantisme so
de réserve, et jusqu'à une nouvelle preuve absolue en sa faveur, la théorie hypophysaire de l'acromégalie et du gigantisme
cas contradictoires; Messedaglia, qui cependant est contraire à la théorie hypophysaire, reconnaît à ce sujet que l'étude de
et ne donne en conséquence aucune preuve absolue de la vérité de la théorie de l'endogènese. L'un de nous (Franchini) qui a
ujourd'hui encore une affirma- tion définitive soit en faveur de la théorie hypophysaire, soit en faveur de la théorie endo
ive soit en faveur de la théorie hypophysaire, soit en faveur de la théorie endogénique, serait au moins prématurée. Dans l
mmes convaincus de l'identité d'origine de ces deux affections ; la théorie uniciste soutenue par MM. Brissaud et Meige et MM
CONTRIBUTION A LA CONNAISSANCE DU GIGANTISME 585 en faveur de la théorie uniciste de l'acromégalie et du gigantisme ne nou
ons que de nouvelles recherches soient faites en ce sens, car si la théorie de l'endogénèse devait triompher un jour, il se
où d'ailleurs on ne pourrait que l'admettre sans la comprendre, la théorie de l'évolution organique, c'est-à-dire de la tr
cette donnée scientifique. Il y a incompatibilité absolue entre la théorie de l'évolution biologique acceptée sans réserve e
nt alliées ces tendances discordantes. En acceptant complètement la théorie de l'évolution, de nombreux savants n'ont modif
trouve encore ici l'occasion de faire ressortir l'exactitude d'une théorie qui m'est chère, à savoir que les manifestation
ouvelles. Ces manières d'êlre sont en parfaite concordance avec mes théories mécanis- tes du processus mental. L'accord ou l
même pour discuter la valeur des arguments que l'on oppose à leurs théories . Je pense que la froide raison, la raison pure
19 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es tumeurs céré- brales. Je ne veux pas énumérer ici les nombreuses théories qui ont été successivement soutenues depuis les
t permis à MM. Cl. Philippe et P. Lejonne d'appor- ter une nouvelle théorie qui sera, tout permet de le penser, confirmée à
ilis, l'alcool, la pella-- gre, etc. ' D'autre part il existe une théorie suivant laquelle la dégénères-' cence des libre
cérébrale. R. de Musgrave-Clay. V. Contribution à la question de la théorie histologique du som- meil, par W.-M. NAR13OUTrL
rieur. P. KERAVAL. VII. L'anatomie du cerveau, la psychologie et la théorie philoso- phique de la cognition; par W. WEY6AND
dans onze cas de tabes confirmé, venant à la suite des différentes théories pathologiques de cette affection, con- duit les
met généralement et à proposer à côté des formules antérieures, une théorie plus éclectique résumée comme suit : « La lés
e comprend ce qu'il lit et, tout à la fin, ce qu'on -lui dit. Cette théorie a en sa faveur la fatigue observée à chaque esp
eprisesdit l'auteur, combien les médecins peu familiarisés avec les théories du droit et les préci- sions techniques du lang
coles philosophiques contradictoires. Les grandes hypo- thèses, les théories ne sont que des jalons par lesquels l'esprit hu
l'auteur dans les exemples qu'il cite pour étayer son schéma et sa théorie sur des faits de physio- logie normale. Nous av
u'elles amènent à découvrir. Nous faisons donc crédit a priori à la théorie philosophique de Grasset si les phénomènes d'hy
nc Aussi l'auteur, appliquant à cette interprétation des faits sa théorie de l'automatisme supérieur, dit qu'il y a dissoci
de la décrire avec M. Grasset, nous convenons que le sché- ma et la théorie de l'auteur acquerraient une large part de pro-
de toute hypothèse à des constatations bien différentes et comme la théorie , de Grasset est contenue dans ces quelques lign
roirs et des prismes), il n'en conclut pas moins, croyant étayer sa théorie et son schéma que « seul, le polygone utilise d
n perçues par le centre 0. » A ce même ordre d'idées se rattache la théorie polygonale des anesthésies. On détermine par su
réellement (ce qui est la vérité). Grasset en conclut, fidèle à sa théorie , que les excitations péri- phériques sont reçue
de Ribot, de Bourru et Burot, expériences auxquelles il applique sa théorie de la désa- grégation sus-polygonale. Pour l'au
que la conception de REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 135 M. Grasset, théorie et schéma du centre 0 et du polygone, n'est pas
Dans ce court mémoire, qui ne contient, dit l'auteur lui-même, ni théorie , ni idées nouvelles, mais seulement quelques obse
bservations et des travaux des auteurs, M. Trapieznikow tire que la théorie anatomique de l'allochirie ne repose pas sur de
ne maladie actuellement incurable. Mais l'auteur passe en revue les théories pathogéniques de la paralysie générale et de se
r la compression, ni par l'anémie des conducteurs nerveux. Reste la théorie de la commotion, l'apoplexie étant le résultat
Dans un cas du service, qui fut d'ailleurs le point de départ de la théorie pathogénique que je vous expose, Oberthûr a tro
er. J'ai pu d'ailleurs corroborer maintes fois l'exactitude de la théorie . pathogénique découlant de semblables observation
au saine peut servir de porte d'entrée au plomb. A l'appui de cette théorie biencon nue, rappelons que Canuet a intoxiqué d
'nr.J.1 of Insanity, juillet 1902. p. 63-82). L'auteur combat la théorie inflammatoire avec origine vascu- laire, etc.,
théorie inflammatoire avec origine vascu- laire, etc., et défend la théorie considérant la chorée d'Hunting-, ton comme mal
ctives, la rétraction du globe oculaire. ' Quelles que soient les théories admises (Morel et Doyon ; Aba- die ; Jaboulay)
s publiées n'ont pas dépassé cin- quante. Rappelant les différentes théories pathogéniques mises en avant par les auteurs :
ques mises en avant par les auteurs : la déshydratation du sang, la théorie réflexe, enfin la théorie toxique développée pa
s auteurs : la déshydratation du sang, la théorie réflexe, enfin la théorie toxique développée par Bouchard et sou- tenue p
né un résultat indiscutablement avantageux, mais sans qu'aucune des théories actuelles de l'immunité puisse expliquer le méc
son, par excitation rolidienne. Cette idée ne contredit aucune- des théories actuelles concernant le mécanisme de l'audition.
idales directes, à dégénérescence pyramidale égale. Défense de la théorie du neurone. M. AzouLaY présente de belles prépa
i a substitué l'au- to-intoxication et l'auto-infection aiguës à la théorie de l'action 1 purement irritative de la tumeur.
e l'action 1 purement irritative de la tumeur. C'est cette dernière théorie que ' les auteurs appliquent à leur cas. G. Car
nt, de Belgique, 1903, n° 113.) L'auteur rejette sans discussion la théorie de l'origine sous- consciente, ou automatique d
tique du syndrome catatonique, il se refuse également à admettre la théorie qui attribue ce syndrome à un ralentissement de
es avec détail. Dans la seconde partie, l'auteur aborde l'étude des théories des hallucina- tions. Ces théories sont nombreu
tie, l'auteur aborde l'étude des théories des hallucina- tions. Ces théories sont nombreuses, l'une des premières est la thé
- tions. Ces théories sont nombreuses, l'une des premières est la théorie psychique, d.ite théorie d'Esquirol. Une autre th
ont nombreuses, l'une des premières est la théorie psychique, d.ite théorie d'Esquirol. Une autre théorie, dite sensorielle
ières est la théorie psychique, d.ite théorie d'Esquirol. Une autre théorie , dite sensorielle, a éié proposée par Foville,.
e, dite sensorielle, a éié proposée par Foville,. Luys et Ritti. La théorie mixte ou spycho-sensorielle porte le nom de Bai
le porte le nom de Baillarger. Il n'y a pas lieu d'insister sur ces théories qui sont connues et remplacées. Les deux théori
'insister sur ces théories qui sont connues et remplacées. Les deux théories dont il faut maintenant s'occuper sont celles de
es cen- tres perceptifs ou psycho-moteurs de l'écorce cérébrale. La théorie , d'abord acceptée avec beaucoup de réserve, a f
réserve, a fini par rallier à peu près toutes les opinions, et les théories nouvelles ne peuvent 404 REVUE DE PATHOLOGIE ME
ant à la mélancolie, volition faible aboutissant à l'obsession). La théorie toxémique ne parait pas indispensable à l'expli
a toxémie une importance fondamentale ? : ' 42° En ce qui touche la théorie moderne suivant laquelle la maladie est un défa
isibles et les toxines sont 'développées ou détruites, et que cette théorie permet d'attribuer à la toxémie, dans la genèse
rères. Le point sur lequel M. Clouston parait s'écarter le plus des théories modernes, c'est le rôle attribué à l'hérédité. Ma
Il termine en disant que l'une des raisons qui lui font adopter la théorie toxémique c'est qu'elle permet d'espérer des pr
évrose d'angoisse. "Avec Ballet, l'auteur pense, contrairement à la théorie de Frend, que la privation sexuelle ne joue qu'
s postérieur de la pre- mière temporale semble donner raison à leur théorie . Il s'agissait d'hallucinations surtout auditiv
u le temps de s'éliminer. L'OB5. I semble tout d'abord confirmer la théorie de Ma- gnan. Le malade en question, en effet, d
générale au début. Sans vouloir imposer aucune hypothèse ni aucune théorie , nous pensons avec Sérieux que la paralysie gén
* cellule nerveuse et de ses prolongements une entité individuelle ( théorie des neurones) doit être abandonnée ou tout au m
u tout au moins considérable- ment modifiée (il entend parler de la théorie des neurones telle que l'a formulée Waldeyer, l
t cependant, pour satisfaire aux exigences des parti- sans de cette théorie , on nous demande d'admettre qu'une des moitiés
e, à en déterminer la direc- tion. L'auteur expose brièvement les théories courantes sur l'action défaire Rolandique et le
moins de la simplicité. Il examine ensuite dans quelle mesure cette théorie peut rendre compte des phénomènes d'activité vo
Après cette étude assez longue, il recherche jusqu'à quel point la théorie de l'inhibition peut servir à expliquer quelque
ystème pyramidal. L'auteur en terminant examine quelle influence sa théorie peut avoir sur le traitement. 1 R. DG ! \lUSGII
es consi- dérations, sans vouloir toutefois aborder la question des théories du sommeil, sur la nature du sommeil et ses rap
temps dans le cerveau, parce qu'il n'existe pas jusqu'à ce temps de théorie scientifique fonda- mentale sur la formation de
e délire systema- tique, par Tissol, 164. Neurone. Iiélense de la théorie du - , par Aznujay, 343. Névraxe. Le-, par Va
r 111ouravielT, 261. Sommeil. Contribution à la ques- tatou de la théorie histologique du -, par NarbouttP, 17. - Voir
20 (1848) Journal du magnétisme [Tomes VI et VII]
oyen pour la réalisation du vœu commun. Les uns, n’envisageant que la théorie , voudraient une chaire; d’autres, plus presses,
t superstitieuse et cacher sous l’appareil magique «les règles et une théorie . Ce n’est plus la magie blanche des mages, c’«!St
ogie, destiné : 1° A l’enseignement philosophique et raisonné de la théorie et de la pratique du mesmérisme; 2° Aux investi
t d’abord le professeur LysimaqueVerati. Son œuvre sur l’histoire, la théorie et la pratique du magnétisme animal et sur plusie
l sera facile de découvrir, au milieu des principes, des faits et des théories , le lien secret qui unit toutes les parties et d’
qu’ils en portèrent, l'occupent longuement. Il s’étend ensuite sur la théorie de Gussen, et ses expériences, sur la découverte
on de l’être et la cause des erreurs. Il examine, chemin faisant, les théories de Genovesi, de Costa, de Romagnosi, de Mamiani e
voudrions citer que sa lettre sur le sommeil et les songes, dont les théories , toutes propres à notre auteur, sont aujourd'hui
eux dévouement. Jos. Bartiiet. Nonvelle-Orléans, *0 janvier 18i8. THÉORIES . L’Amérique parait destinée à être la nouvelle
voir examiné les divers modes de vision accidentelle, il développe sa théorie des accords appliquée au somnambulisme. Il dit :
te ou visuel co-arômal, sur lequel j’ai passé légèrement parce que sa théorie tient à celle des accords de foyer et de transcen
nations qui consentent à étudier 400,000 volumes pour y apprendre une théorie d’indigence, fourberie, carnage, cercle vicieux,
etc., ne consentiront-elles pas à étudier 4 volumes pour apprendre la théorie d’avénement à 1 o-pulence, la vérité et l’Unité u
somnambulisabilité formerait la règle et son défaut l’exception.Cette théorie est tellement évidente que le nombre des somnambu
encore bien moins en prévoir l’utilité, déterminer l’application. La théorie qu’il donne de cet effet est aussi celle qui est
la lecture, libre à chacun de faire ses réserves.....Par exemple, nos théories magnétiques sont encore si vagues; qu’il m’a se
es organisations... » Telle est en abrégé, et presque mot à mot, la théorie de Davis. Sans doute elle laisse beaucoup à désir
st, par le docteur Kerner; les Feuilles de. Prévorst, par le même; la Théorie du somnambulisme, par le docteur Wirth, ou les An
ur l’existence même du magnétisme animal, encore moins sur l’ancienne théorie qu’on présentait à cet égard. Cette théorie, au
re moins sur l’ancienne théorie qu’on présentait à cet égard. Cette théorie , au fait assez simple, paraissait pourtant avoir
a force magnétique, soit somnambule, soit magnétiseur. Telle est la théorie générale présentéedans les anciens écrils surce s
l n’en est encore rien sorti pour la science. Il n’y a plus même de théorie du magnétisme; ses amis n’en émettent plus. Il n’
iomphateur. Il y a donc analogie dans la nature physique pour cette théorie d'absorption qu’on veut montrer dans la nature mo
s et des affinités, puis venez et voyez. » Voilà, je ne dirai pas des théories , car il se trouve aujourd’hui qu’il ne faut plus
es théories, car il se trouve aujourd’hui qu’il ne faut plus faire de théories , que toute théorie est trop étroite non-seulement
se trouve aujourd’hui qu’il ne faut plus faire de théories, que toute théorie est trop étroite non-seulement pour ses découvert
t des expériences et constate des résultats : elle ne proclame pas de théories . Ce n’est pas le magnétisme tout entier qu’elle
cures; mais depuis cette époque, bien des commissions ont examiné les théories et les œuvres de ses successeurs. Bien des commis
e leurs études ? Est-ce pour moi une raison d’admettre avec eux cette théorie , qu’il est pour l’homme une situation naturelle o
téressés au lieu de les acquitter d’en recevoir de nouveaux. FIN. THÉORIES «>. En ouvrant celte voie de publicité au ma
es que tous les systèmes apportent au critérium de l’observation. Des théories prématurées que la marche des faits venait dément
organique une propriété à'irritabilité dont le caractère entraîne la théorie de la localisation de la maladie dans les tissus,
enaître l’observation, et conciliant la méthode expérimentale avec la théorie , il prépare les travaux de Bordeu, de Barthez et
ntrer ici tout le mal que peut faire, et que fait !>ien souvent la théorie qui enseigne à ne voir dans le symptôme que la tr
n’eût jamais existé de médecins dans le monde. » Mais de ce que des théories fausses ou mal comprises font naître des erreurs
e quelque nouvelle explication, mais 011 peut avoir pris une idée des théories qu’elles développent. C’est toujours par des rais
aut revenir aux teintures mères et recourir à une explication de pure théorie pour justifier cette dérogation à vos principes ;
méconnaître toute notion de physiologie que d’iidmettre une semblable théorie . Que de causes peuvent troubler les fonctions d’u
ux principes établis par Hahnemann, savoir : les infinitésimaux et la théorie des maladies chroniques. Quoi qu’il en soit de
prononcé par le docteur Blanc. Admis à l’honneur de vous exposer la théorie naturelle du magnétisme animal, je dois, Messieur
, bien connues cependant avant lui, laisse une immense lacune dans la théorie du magnétisme. L’ignorance de ce principe, enseig
e l’agent médicamenteux. M. Beckensteiner ne s’en est pas tenu à la théorie ; il a tenté par voie électrique l’administration
qu’il traverse et produit les effets des substances traversées. Celte théorie séduisit l’esprit de quelques personnes par son a
taient inconnus, se manifestèrent sous l’application des procédés, la théorie parut sanctionnée par la pratique, et gagna des d
que les sciences physiques et physiologiques reconnaissaient dans la théorie , portèrent les savants à nier les faits les plus
, et avant qu’il fût connu, le magnétisme constituait une doctrine en théorie comme en pratique. Il est positif que Mesmer av
i circulent en nous. Tel est le fond du système de M. Raspail : cette théorie longuement et habilement développée ne peut néanm
ganisation ainsi que l’action curative des médicaments. En vain des théories superbes proclameront la marche ascensionnelle de
Dr P....t. — Votre abon. eal fini. l.i Gérant, HÉBERT (deGnrnay). THÉORIES . DES HALLUCINATIONS RELATIVES AU MAGNÉTISME.
de M. Poe nous avons omis de rappeler la note qui accompagne le titre Théories . Cet oubli nous a valu la lettre suivante, dont l
tendu pour que nous le suivions pas à pas dans cette revue des faits, théories et systèmes qui se sont produits depuis l’enfance
ent à la propagation. Ils y puiseront les notions les plus vraies des théories et systèmes qui inspirent la plupart des médecins
caprice. Hkbert (de Garnay). I.e. Gérant. 1IÉI1KRT (deGarnay). THÉORIES . DES HALLUCINATIONS RELATIVES AU MAGNÉTISME.
des médecins. Dr Alfred PERRIER. (La suite au prochain numéro.) THÉORIES . DE8 HALLUCINATIONS RELATIVES AU MAGNÉTISME.
aurait pensé que j’avais inventé tout cela à plaisir pour établir une théorie sur la formation du fluide. Aussi je me suis abst
t chaque jour, à mesure que la maladie diminue.» (Tardy de Montravel, Théorie du Magnét., p. Go. ) On lit, dans les Annales d
de vous dire que c’était un magnétiseur par excellence , unissant la théorie à la pratique et à l’expérience. Sa mort est d’au
ont savamment étudiés ; et assurément on reconnaît, dans l’exposé des théories et des faits, un magnétiseur qui a beaucoup prati
esmer, sur ceux des modernes; et, comme partout il fallait appuyer la théorie , des faits de guérisons très-probants pour ceux q
n question par les actions chimiques de la respiration. D’après celte théorie , le fluide formé dans le sang par la combinaison
nt utile. Adalbekt DE BEAUMONT. Le Gérant : UÉBEKT (de Garnay). THÉORIES . DES HALLUCINATIONS RELATIVES AU MAGNÉTISME.
des personnes familières avec les effets du magnétisme à distance. La théorie des pressentiments , et la transmission des sensa
21 (1895) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 10
sieurs rapports d'experts et de médecins qui ont développé toutes les théories de l'hypnotisme et de la suggestion et rappelé le
à ce moment précis à l'empire que Jouve exerçait sur elle. Quant à la théorie scientifique de l'hypnose apportée à la barre, el
e après la guérison. Azoulay: Les travaux de Golgi et de Cajal : la théorie histologique du sommeil. Valentin : Du rôle soc
ge a eu un rôle hypnotique. On peut même dire que la crédulité et les théories médicales des sauvages aidaient beaucoup à la cur
me suggestion par association de mémoires : la pratique a confirmé la théorie ; le parfum renforce la suggestion à toute heure
de la cécité des mots ont publié sur cette infirmité et résume leurs théories . Après avoir donné des aperçus rai-sonnés sur le
sont rigoureux dans leurs observations, et ont abandonné les stériles théories et les discussions oiseuses de la philosophie tra
ire à distance, malgré les obstacles de toutes sortes? Oui. » Cette théorie vient d'être singulièrement corroborée par les ét
spagnol par le Dr L. Azoulay (Reinwald, éditeur). Elles renversent la théorie ancienne de la continuité des fibres nerveuses av
de la pensée. C'est, au fond, la même idée que l'on retrouve dans les théories psycho-physiologiques de Schneider, de Durand de
xtrémités nerveuses en contiguïté, de faciliter les passages. » Les théories anciennes de la continuité ne parvenaient pas à d
on applique ces données à l'acte physiologique du sommeil, on aura la théorie histolo-gique du sommeil que M. Mathias Duval a c
emple de ce qui se passe dans l'hystérie est fort suggestif. Avec les théories anciennes de la continuité, il est impossible d'e
a motricité ou du fonctionnement des divers organes des sens. Avec la théorie histologique, avec l'absence momentanée et plus o
que je ne voulais pas travailler ! » Pas plus que dans l'hystérie, la théorie de la continuité ne nous satisfait pour expliquer
e du professeur Bernheim s'explique maintenant tout à fait, grâce aux théories nouvelles de la contiguïté et de l'induction nerv
elquejeu, rue Gerbert, 10. 10· année- — X° 10. Avril 1896. LA THÉORIE HISTOÏUBfQuE DU SOMMEIL par M. le Docteur Ch. P
TOÏUBfQuE DU SOMMEIL par M. le Docteur Ch. Pupin. II en est d'une théorie histologique du sommeil comme d'une théorie de la
Pupin. II en est d'une théorie histologique du sommeil comme d'une théorie de la contraction musculaire. Son but essentiel e
due partie liquide de la case musculaire, ils cherchent à établir une théorie histologique de la contraction ; lorsque ÏÏANviER
er la partie liquide dè leur contenu, on peut dire qu'il édifie cette théorie sur des bases solides. Le phénomène histologique
pourra émettre à cet égard seront autant d'hypothèses relatives à la théorie histologique du sommeil ; les faits qu'il sera po
s qu'il sera possible de constater directement seront les bases d'une théorie histologique du sommeil. Cette théorie ne viend
ement seront les bases d'une théorie histologique du sommeil. Cette théorie ne viendra ni renverser les théories déjà proposé
histologique du sommeil. Cette théorie ne viendra ni renverser les théories déjà proposées, ni s'intercaler entre elles; elle
re elles; elle sera à côté d'elles, indépendante d'elles, quoique ces théories antérieures n'ait fait allusion qu'à des phénomèn
ion de chaleur, etc., sont à la contraction musculaire, tandis que la théorie histologique, au-dessous de ces phénomènes généra
ypothèses de Krause, Engel-µ???, Merkel, il a pu substituer ainsi une théorie positive de la contraction musculaire, théorie qu
u substituer ainsi une théorie positive de la contraction musculaire, théorie qui mérite, au premier chef, le titre dkislologiq
ecueillent peu les impressions amenées par ce dernier. Telle est la théorie histologique du sommeil. Mais, pour la rendre c
te- ment avec ce qu'on pourrait induire a priori en partant dc la théorie histologique. Si le réveil est brusque, sous l'
r suite le repos est nécessaire. En somme, on pourra dire que cette théorie n'est guère neuve, car elle ne fait qu'appliquer
ntes de leurs parties constituantes. La seule prétention qu'ait celte théorie , c'est de chercher quelle est, dans la cellule ne
résentée par les prolongements protoplasmiques. Mais du moins cette théorie nous délivre des conceptions vagues et des formul
s des rêves antérieurs? Notre projet premier était de poursuivre la théorie histologique du sommeil normal jusque dans tous l
r Lëpixe de Lyon {Reçue de Médecine, 1894, page 727.) En résumé, la théorie histologique du sommeil permet d'arriver aux conc
s la fatalité le guide, elle est inéluctable, il la doit subir. Cette théorie est rendue avec toute sa vibrante expression dans
tre est ce qu'on appelle ignorance. » Dans le Timée, se fait jour une théorie ancêtre de la théorie Iombrosienne : ß Les maladi
le ignorance. » Dans le Timée, se fait jour une théorie ancêtre de la théorie Iombrosienne : ß Les maladies de l'âme naissent d
tériaux qui plus tard devaient servir à l'édification à la fois de la théorie Iombrosienne du criminel-né, et de la théorie de
ication à la fois de la théorie Iombrosienne du criminel-né, et de la théorie de l'Ecole Française de Lacassagne : les sociétés
absolue sont des limites idéales que les faits ne réalisent pas. La théorie actuelle de la pénalité résulte de la fusion de d
rnes, Hobbes, Locke, Montesquieu, Beccaria, Bentham ont vu dans cette théorie un fondement suffisant à la pénalité. La théo
nt vu dans cette théorie un fondement suffisant à la pénalité. La théorie de la Justice absolue s'occupe avant tout de la v
en choisies. Après une brillante introduction où il établit ß qu'en théorie chaque trouble organique — maladie locale ou géné
r, à titre d'exemples, quelques observations destinées à confirmer sa théorie . La plus curieuse de ces observations est certa
se. — Le somnambulisme et les états passifs. Samedi V5 Avril. — Les théories modernes sur la production du sommeil. — Le neuro
es théories modernes sur la production du sommeil. — Le neurone et la théorie histologique du sommeil. — Rôle pathogénique des
ue la science ne peut progresser que par les faits bien observés. Les théories , lorsqu'elles ne sont pas appuyées par les faits
l'application de l'hypnotisme se caractérise par la simplicité de la théorie et la facilité de la technique, par contre, la pr
5. Terreurs nocturnes chez un enfant guéries par la musique, 250. Théorie histologique du sommeil (la), par Ch Pupin, 289.
22 (1853) Journal du magnétisme [Tome XII]
JOLAIS, 5 (PALAIS-ROTAl.) JOURNAL 1)1 MAGNÉTISME. ÉTUDES ET THÉORIES RECHERCHES MÉDICO - MAGNÉTIQUES. CHAPITRE IV.
, I. VIII, e. 44. l'ï) Dcmrns idea , iraduct. de Deleuzc. comme une théorie nouvelle qui clut naturellement se heurter contre
(1) Élëm. de Méd. prat., t. II, p. 510, trad. par M. Boquillon. (2) Théorie du Somnambulisme, p. Ci. (5) Traité de philosop
x heures de crise, je l’apaisai et sortis de la chambre, etc. » (1) Théorie du Somnamb., Avanl-propas; p. 5. (î) Longtemps
ar les applications d’une science dont il sent l’utilité, que par des théories dont il ne comprend pas toujours les développemen
s dans de gros volumes. Tous les points importants de tradition, de théorie , de pratique, sont exposés avec une concision qui
n, car il est un livre moralisateur; il vulgarise une science dont la théorie élève l’âme vers les plus hautes pensées, et dont
panacée universelle, et guérissant toutes les maladies. Telle est la théorie que je me suis efforcé de développer, en combatta
e certains magnétiseurs à prendre des illusions pour des faits. Cette théorie repose sur des études consciencieuses, des expéri
exercée par les reptiles sur leur proie. Quoi qu’il eu soit de cette théorie encore vague et mystique, le magnétisme animal n’
, Monseigneur, je vous adresse deux opuscules, dont un Traité d’une théorie sur les phénomènes du magnétisme, et l’autre de s
velle science si utile, et faciliter ainsi, par l’enseignement de ses théories , par la production de ses phénomènes et par les a
d’une vérité aussi palpable, d’un avantage aussi bien reconnu, toute théorie , toute opinion, fondée suides raisonnements qui n
ela ?e conçoit; mais si on use de cette faculté prétendue, si de la théorie on la fait descendre dans la pratique, si ou entr
ue nous avons l’intention de supprimer tout bavardage inutile , toute théorie abstraite et sans utilité pratique, toutes les
n spectacle. Il a donc pu arriver quelquefois que, se fondant sur des théories fausses ou erronées, et agissant par induction ,
et pour l’humanité, la science progresse toujours, indépendamment des théories et des hypothèses... C’est aussi de cette manière
ables, survenues souvent au sujet de l’interprétation d’un mot, d’une théorie , d’une vérité simple en «Ile-même, mais sur laque
! Salut de cœur. Aug. GATHY. Paris, 20 avril 1853. ÉTUDES ET THÉORIES . COUPS MYSTÉRIEUX. A Monsieur Hébert (de Garn
is en mouvement ; mais qu’on a cru devoir appliquer à ce phénomène la théorie de la contraction musculaire émise par M. l’abbé
musculaire émise par M. l’abbé Moigno. C’est au point de vue de cette théorie surtout, et sous le contrôle de l’observation la
, ou de l’action mécanique, comme l'explique M. l’abbé Moigno, par sa théorie si simple, sans doute, mais non moins hypothétiqu
M. l’abbé Moigno, pourrait bien n’être ici que spécieuse. 11 est des théories fort simples qui ont dû céder à des théories plus
ue spécieuse. 11 est des théories fort simples qui ont dû céder à des théories plus simples encore, et même à d’autres d’une sim
ous n’en saisissons la juste valeur qu’en démontrant l’identité de la théorie et de la loi qu’elle explique. Or, c’est précisém
c’est précisément à la recherche de cette loi que nous appliquons nos théories en ce moment, et la démonstration reste à faire.
des magnétiseurs. « — Mais Mesmer? mais sa doctrine? mais sa belle théorie sur le fluide universel? Mais la pratique et les
rimer ainsi, la matière spiritualisée. Voilà en quelques mots notre théorie sur l’agent mesmé-rien. Elle est bien incomplète
ations faites par les Invisibles, au moyen de l’alphabet employé, des théories foit belles et fort édifiantes qui confirment ce
disciple de Maxwell, fut le premier qui développa scientifiquement la théorie du magnétisme animal, et qui expliqua les cures m
i l’étreignaient ; on se livre de toutes parts aux applications de sa théorie , et le temps ij’est pas très-éloigné où, malgré d
IIÉDERT (de Garnaj). Le Gérant : HUBERT (de Garnay). ÉTUDES ET THÉORIES . DES COMMUNICATIONS SPIRITUELLES. A peine le
t intelligente, qui échappera peut-être longtemps encore aux hommes à théories , mais qui, je crois, a été de suite pressentie pa
ctes positifs sur d’abstraites paroles, des faits réels sur de vaines théories !.... Le monde finira par être convaincu, comme je
porter au magnétisme, et il ne pouvait en être autrement, puisque nos théories étaient encore si imparfaites !... On m’a dit, à
ts : bon gré, mal gré, elle sera forcée de les accepter tous. n Nos théories sont incomplètes! Sans doute, et il ne saurait en
omplètes! Sans doute, et il ne saurait en être autrement, puisque les théories doivent tout naturellement découler de l’observat
ues. « Cependant nous pouvons ne pas trop nous préoccuper encore de théories , mais nous devons nous efforcer de produire des e
une autre interprétation. Mais, encore une fois, on peut se passer de théories , et cependant pratiquer, avec plus ou moins de su
nte ridicule de revenants?... Mais il ne suffit pas de reconnaître en théorie l’existence des Esprits : la réalité de leurs rap
x progrès de la science nous permettent de rattacher ces faits ;\ une théorie . Le magnétisme, dans lequel, pour notre compte ,
éminaire de Versailles, vient de faire paraître un ouvrage intitulé : Théorie des relations considérées comme base de la scienc
s qu’elles sont ingénieuses, et sans adopter tous les principes de la théorie sur laquelle le savant auteur les a appuyées, je
nt tous les jours plus nombreux aux États-Unis, l’exposition de leurs théories n’avait pas jusqu’ici dépassé les limites de quel
lusieurs observateurs est loin d’ôtre démontrée. Malheureusement, les théories outrepassent toujours les faits. HÉBERT (de Gar
ameurs ou sous un silence concerté les découvertes qui contrarient la théorie admise. On a le droit de dédaigner, mais après av
e fort différente. « Agréez, etc. « A. DE GASPARIN. » ÉTUDES ET THÉORIES DES ESPRITS. La croyance au diable, ou aux ma
. HÉBERT (de Camay). Le Gérant : HKBIÏHT (de Garnay). ÉTUDES ET THÉORIES . DE LA DANSE DES TABLES. L’existence et la ca
raisons probantes : il y manque le caractère décisif qu’impriment aux théories les convictions arrêtées. Voici quelque chose d
luences psychologiques par les philosophes. Nous venons d’entendre la théorie de l’action du cœur, en voici une autre qui fait
simple changement dans les rapports des petits doigts, mine enfin la théorie de MAI. Castelnau et Corvisart. « 11 faut donc
Corvisart. « 11 faut donc une autre explication du fait, une autre théorie du phénomène, et nous croyons qu’il est nécessair
ans se préoccuper si les faits s’accordent ou non avec telle ou telle théorie . Ici, il ne s’agit que de vérifier si l’homme peu
l’expression du dépit et de la confusion. A. s. MORIN. ÉTUDES ET THÉORIES ! - /T\ e DES ESPRITS. (Dcuxiômo Article.)
nétique ! A.....fils. Le Gérant : HÉBERT (de Garnay). ÉTUDES ET THÉORIES . DES ESPRITS. (5° Article.) Vous qui croyez
ans doute de chercher à faire un puissant argument en faveur de leurs théories , viennent de se produire coup sur coup et ont par
hir leurs traités des découvertes les plus récentes, de présenter des théories plus satisfaisantes, on ne peut qu’applaudir à ce
hénomène nouveau viendra prendre au dépourvu les corps savants, leurs théories et leurs systèmes, sauf à s’effacer plus tard sou
examen de tous les résultats du somnambulisme magnétique; d’après nos théories , nous les admettons dans les limites de l’existen
ilantropico-magnétique. Le Gérant : HÉBERT (de Garnay). ÉTUDES ET THÉORIES . 1° DES ESPRITS. (4® nrliclc.) Heureux de P
réer, etc. BÉGUÉ, médecin. Toulouse, ï décembre 1853. ÉTUDES ET THÉORIES . LES TABLES TOURNANTES EN L’AN 371 DE J.-C. N
aire! 0 philosophes! ô encyclopédistes! voilà donc à quoi servent vos théories et vos œuvres! et c’est en plein dix-neuvième siè
meurs scrofuleuscs, 60. Tympanite, 278. Verrues, 122. ÉTUDES ET THÉORIES . Communications (des) avec les Esprits. Voy. Es
23 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
ux pyramidaux croisés et aux faisceaux cérébelleux directs. Cette théorie , qui faisait de l'ataxie héréditaire et familiale
lecture de l'ouvrage de Paré, c'est exclusivement l'exposition des théories nauséabondes qu'il avait puisées aux cours de l
aladie de Frie- dreich à ses débuts. Plus vraisemblable serait la théorie de Londe : la maladie de Friedreich et l'hérédo
que l'acromégalie résultait t d'une insuffisance pituitaire. Cette théorie classique s'appuie d'une part sur quelques obse
us leurs efforts thérapeutiques ont été dirigés dans ce sens. Les théories de Haupt et de Poor ont suscité plusieurs confrèr
té et apportent un ap- pui, les unes ou les autres, aux différentes théories jusqu'alors soutenues. Nous avons vu la raréfac
ances, ont donné de nombreuses descriptions que n'ont pu relier des théories trop souvent exclusives. Au contraire, les autr
t les formes hystériques des maladies dont nous parlons. Quoique la théorie du « matérialisme des névroses soit en grande fav
ce du système nerveux central dans la production de l'urticaire. La théorie de Philippson (75) et de Torale (76), lesquels
parler avant tout de la nature de cet oedème, car les idées et les théories sur sa pathogénie me semblent très peu claires et
. Ces idées étaient admises par tous, mais on songeait déjà que ces théories ne nous expliquaient pas les différences que da
ouvant avoir une évolution indépen- dante. D'ailleurs, toutes les théories sur la pathogénie de la maladie de Quinke ont é
. Cassirer après avoir démontré combien étaient inac- ceptables les théories de Borner (98) (augmentation de la pression dans
aux qui se sont opposés avec des raisons vraiment scientifiques aux théories de Heidenhain dont il explique autrement les do
ymphe (Ces données forment la base phi- siologique peu connue de la théorie de Widal et Lemierre (101) sur la rétention des
es, mais il nie qu'ils agissent en excitant une sécrétion. Selon sa théorie ces substances apportent une modification dans
quantité de la lymphe, une stase lymphatique, l'oedème. Mais à la théorie de Cohnstein, de nombreux faits cliniques et expé
nt l'existence même fournit une démonstration importante pour notre théorie . C'est une no- tion commune que les plaques d'u
avaient été déjà défendus par Unna et il se déclare partisan de la théorie de l'infection. Mais personne ne peut nier que
que(évidage des glandes lymphatiques aux plis du membre), ramène la théorie de l'infection à la théorie générale que l'arrêt
hatiques aux plis du membre), ramène la théorie de l'infection à la théorie générale que l'arrêt de la lymphe dans le tissu
et pathologique nous est prodigue d'argu- ments en faveur de notre théorie , l'anatomie pathologique de ces affections est
le en même temps un argument de quel- que valeur pour ou contre les théories pathogéniques émises déjà ? Nous ne le croyons
quelles sont les causes de cette disposition héréditaire. Plusieurs théories pathogéniques ont été proposées. S'agit-il d'un
multiples comme toutes les maladies familiales. Il est enfin une théorie qui nous parait rationnelle et à laquelle les f
difficulté d'interprétation ne pouvait qu'engendrer les nombreuses théories qui se sont succédé depuis Meckel et Etienne Ge
à imputer la production congénitale (3). Concurremment avec cette théorie , prit naissance une théorie purement pathologiq
ngénitale (3). Concurremment avec cette théorie, prit naissance une théorie purement pathologique. Celle-ci fait intervenir
dairement détruite. Emise pour la première fois par llleckel, cette théorie a été défendue par Béclard (4), Ollivier d'Ange
- mensions. Il ne conclut pas et rappelle, d'une façon générale, la théorie des adhérences. Vers la même époque, Ad. Burg
de cette tumeur ne pouvait rien apprendre. Et si, parmi toutes les théories que nous venons de passer en revue, celle de Jule
lles. C'est ce qui a eu lieu pour la pseudencéphalie. De toutes ces théories , il n'en est pas une, même celle de Jules Guéri
ge attiré l'attention, aurait certainement eu une influence sur les théories relatives à la genèse de l'affection qui nous o
s leurs dimen- sions. C'est là sans doute une vue qui cadre avec la théorie de l'arrêt de déve- loppement, mais qui est en
ne se fait pas et l'atrophie et la sclérose apparaissent. Si cette théorie n'explique pas tous les symptômes de cette espè
d'un simple nanisme du système nerveux, semble être en faveur de la théorie d'Edinger et prouver que l'insuffisance fonctionn
r l'électrisation des branches du nerf facial. Or, déjà apriori, en théorie , il me parait difficile d'admettre qu'une exci-
HERBINET, Interne à l'hôpital des Enfants-Malades. Jadis les théories pathogéniques de l'hystérie, que rappelle encore
n plus à mesure qu'elle traversait la cour. Au premier abord, cette théorie semblerait donc convenir à notre cas : mais que
accou- cher normalement constitue l'objection la plus sérieuse à la théorie de Poncet reprise par Leriche. Ils veulent voir
utilement chercher à l'inter- préter, sont revenus à cette ancienne théorie . Peut-être ce retour en arrière résulte-t-il d'
partage également cette opi- nion. Mais c'est revenir à l'ancienne théorie de llZüller qui confondait l'aclion- droplasie
néral de développement. - 50 Au point de vue pathogénique, les deux théories : infection et auto ou hétéro-intoxication glan
ales sur la pathogénie de certaines difformités congénitales. Les théories modernes, c'est-à-dire celles qui sont fondées ré
on suivante pour, ce qui concerne les monstruosités des membres. 1° Théorie mécanique (anomalies du développement des membran
des membranes foetales, contractions utérines, traumatismes). 2° Théorie de l'atavisme. 3° Théorie des troubles trophiqu
ontractions utérines, traumatismes). 2° Théorie de l'atavisme. 3° Théorie des troubles trophiques consécutifs à des altérat
altérations du sys- tème nerveux. Je crois que les deux premières théories contiennent leur part de vé- rité. Je crois au
ies contiennent leur part de vé- rité. Je crois au contraire que la théorie des altérations trophiques mérite d'être élimin
suite et mise hors de discussion. En thèse générale cette dernière théorie , proposée par Tiedemann (2), a perdu une grande
membres normalement développés; dans ces cas, même en admettant la théorie qui veut que, dans l'amyélie, on peut observer
ncore de système nerveux. Babès (14) est récemment revenu sur cette théorie ; il admet la pré- sence d'un centre hypothétiq
lité générale... Je ne crois pas devoir m'arrêter pour combattre la théorie de Serres (4) des anomalies de l'artère nourric
e Serres (4) des anomalies de l'artère nourricière du membre. Cette théorie qui fut pour un moment élevée au rang de loi (l
ents très importants qui démontrent mieux encore la faiblesse de la théorie de l'atavisme appliquée d'une façon trop exclusiv
ie, atrésie de l'anus, encéphalocèle), plaide aussi en faveur de la théorie mécanique. Nous avons exposé l'état actuel de l
état actuel de la question de la polydactylie. Il en résulte que la théorie atavique est basée sur des arguments trop peu sol
faut, mais le rapport serait si forcé, qu'aucun des partisans de la théorie ata- viquen'a pas songé à cette observation fré
observation fréquente pour s'en prévaloir comme d'un argument de sa théorie . L'étude de la formation embryonnaire des doigt
ui s'ap- profondissent sans cesse. 574 VALOBRA .syndactylie, la théorie atavique a du mal il se soutenir. On ne peut cer-
a du mal il se soutenir. On ne peut cer- tainement pas invoquer la théorie atavique pour expliquer les autres alté- ration
a morphologie de cet os dans l'échelle animale, les partisans de la théorie atavique ne sauraient trouver ici l'application d
tion de leurs idées. Seul Burkhardl (95) essaya l'application de la théorie de Gegen- baur à l'étude de cette difformité. G
teils du côté où le tibia fait défaut, suffit à démontrer que cette théorie manque de base. Elle a été, en effet, complètem
ccasion de voir tous les arguments en faveur de l'une et de l'autre théories . On doit reconnaitre que dans les travaux récen
dans les travaux récents presque tous les auteurs se rallient à la théorie des lésions amniotiques tandis que la théorie a
eurs se rallient à la théorie des lésions amniotiques tandis que la théorie atavique est en pleine décadence. Un seul argum
ieux dire, un seul fait est très difficile à expliquer avec l'autre théorie . Je veux parler de la fréquence de l'hérédité d
ces difformités par des excitations mécaniques. Il n'y a pas d'autre théorie qui puisse se prévaloir à ce propos d'arguments
e lésion du système nerveux. (2) Ménétrier, après avoir critiqué la théorie connue du Conheim, y substitue, pour ainsi dire
théorie connue du Conheim, y substitue, pour ainsi dire, une autre théorie , celle de l'influence des processus irritatifs
me ceux-ci, à des causes multiples, peut-être pas spécifiques. » La théorie des états irritatifs chroniques m'a fait me deman
eil suspenseur qui déforme et détruit peu à peu. Plus récemment, la théorie a été accommodée au goût du jour, et c'est à l'in
uteur se contente d'une sim- ple affirmation. Dans tous les cas, la théorie de l'inflammation préalable du placenta ou de l
es de l'adhé- rence. Si l'on analyse avec quelque attention cette théorie , sous l'une ou l'autre de ses formes, on est ra
asenspalle und uber einen Fall von Nollcencéphalie (Ein Beitraq zur Théorie der Hemicephalie), Inaugural dissertatio. Tübinge
s aucun prétexte, ramener la pseudencéphalie et l'anencéphalie à la théorie classique de l'arrêt de déve- loppement. Cette
quable servant à la fois de point de départ et de confirmation à la théorie . 688 BABAUD L'arrêt de développement au sens
es anormales, les autres pathologiques. (1) MAHLER, Ein Beitrag zu^ Théorie de,' hémicéphalie (Arbeiten a. d. pathol. Instit.
elle n'en avait eu un écho dans un assez récent travail (4), si la théorie caténaire n'intervenait pour nous proposer de cro
senspalte und liber einen Fall von Nothencephalie. (Ein beitrag zur Théorie der Hémicéphalie). Inaugural dissertatio. Tübinge
I, 1825. - Considérations générales sur les monstres comprenant une théorie des. phéno- mènes de la monstruosité. Dictionna
onnel de la monstruosité et observations nouvelles à l'appui de cette théorie . Ar- chives générales de médecine, 1827. Is.
24 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
n peut dire que ses fleurs ne sont pas même épanouies. Toutes les théories , tous les essais de synthèse sur l'intelligence
une façon consciente ou inconsciente, il a inspiré la plupart des théories sur la nature et sur la vie des savants italiens
dre Herzen, dont il a souvent reproduit la doc- trine et adopté les théories générales 2. Ces thèses de Herzen, qu'il nous f
ntée en 1876, et que nous avons exposée plus haut, pour édifier une théorie complète, et peut-être définitive, non seulemen
HOPPE. (Ally. Zeitsch. ? Psych., XLIV, 4-5.) Etude critique de la théorie de Salomon, d'après laquelle la double pensée c
jet auquel il pense revêtir une forme tangible. M. Hoppe propose la théorie suivante : ' A l'état normal, les léflexions ou
ar HOPPE. (Allg. Zeitsch. f. Psych., XLV, 4.) Revue des différentes théories et des faits de Koch, Wundt, Leibnitz. P. K.
de ces anomalies chez un seul et même individu. P. K. XVI. DE la théorie DE la folie morale; par H. SCHLOESS. (Jularbicc
iscussion. M. EnD. Ce cas constitue un excellent document contre la théorie de l'ataxie sensorielle. En effet ce malade, malg
l'ataxie spinale du tabes et ne sau- raient servir d'arguments à la théorie sensorielle de l'ataxie tabé- tique ; pourquoi
nicien. Jamais il ne sacrifia aux généralisations brillantes et aux théories hardies : l'hypothèse n'eut pas en lui un fidèl
omatologie et d'évo- lution sur lesquelles M. Baillarger tablera sa théorie dualiste de la paralysie générale, que nous ret
contestée de toute l'oeuvre de M. Baillarger, je veux parler de sa théorie dualiste de la paralysie générale. Cette affect
eptoïde. VII. - Le Pr Charcot et Blocq ont proposé une ingénieuse théorie psychologique pour expliquer ce phénomène, théori
é une ingénieuse théorie psychologique pour expliquer ce phénomène, théorie qui a été combattue par M. Binswanger., et crit
ées par M. Charcot à plusieurs reprises dans son en- seignement. En théorie , il dit : Nous n'aurons à vous offrir que des v
ons hypochondriques2. En somme, d'après Binswanger à l'encontre des théories de M. Charcot et de Blocq, il s'agirait dans l'
olonté. Il existe du reste à un autre point de vue, à l'appui de la théorie adoptée par Blocq, une sorte de réali- sation e
même talent qu'à employé M. Binswanger lui- même, pour discuter les théories de Blocq, et nous avons dit pour quelles raison
Schûpfungsgeschichte, 1868, p. 507. . Buchner. - Conférences sur la théorie darwinienne, 1869, p. 135. 3 Voy. Arch. de Neur
es : « Les résultats de nos expériences sont en harmonie avec les théories que la physiologie postule pour expli- quer le
mes, s'efforçant de concilier la part de vérité que contiennent les théories contraires. 1 II. - Les différentes aires fonct
avec le temps. Les expériences de Bechterew sont donc opposées à la théorie qui fait suivre les cordons postérieurs à toutes
ependant, en étudiant les cas qui ont été présentés à l'appui de la théorie de Brown-Séquard, j'ai trouvé que l'évidence de
able. Donc, quoiqu'il semble y avoir quelques faits à l'appui de la théorie de Brown-Séquard, d'autres lui sont complètemen
peut pas dire que l'observation clinique donne un appui absolu à la théorie qui veut que le sens musculaire reste intact qu
urnisme, la syphilis. P. B. XXI. Observation DE CÉCIfÉ psychique. - THÉORIE DE ce,symptôme; par H. LISSA UER. - Observation
es deuxième, troisième, quatrième, cinquième, sixième paires, les théories de Schiff, Erb, Gowers, Dana, Vulpian, sur l'inne
ent pas exactes. L'auteur ajoute qu'il est impossible d'édifier une théorie basée sur ce cas, car il entraînerait à croire
IiÉHavaL. XXXVIII. ENCÉPHALE sans CORPS calleux; contribution A la théorie SPIROÎDE; par G. JELGERSM.1. (Neurol. Centralbl
rs reconnaissent que les nouvelles recherches tout en détruisant la théorie ancienne, ne nous ont encore donné en échange a
théorie ancienne, ne nous ont encore donné en échange aucune autre théorie bien satisfaisante. La théorie né- vrotique, la
encore donné en échange aucune autre théorie bien satisfaisante. La théorie né- vrotique, la théorie de la modification fon
ucune autre théorie bien satisfaisante. La théorie né- vrotique, la théorie de la modification fonctionnelle des cellules d
elle des centres trophiques particuliers (Quincke Hirt), toutes ces théories semblent faibles et insuffisantes pour interpré
nt il attribue l'origine à l'exercice involontaire des facultés (la théorie de l'automatisme étudiée dans le manuscrit d'un
rains, qui du reste se plaisent à citer Baillarger, développent des théories fort ingénieuses, n'oyant en réalité d'autre poin
aralysie générale. De la guérison de la paralysie générale et de la théorie des pseudo-folies paralytiques. Du délire ambit
es suppu- rations sur la guérison de la folie paralytique (1858). - Théorie de la paralysie générale : théorie dualiste, th
e la folie paralytique (1858). - Théorie de la paralysie générale : théorie dualiste, théorie interne. Enfin, il nous est i
ique (1858). - Théorie de la paralysie générale : théorie dualiste, théorie interne. Enfin, il nous est impossible de passe
r relative des portions olfactive et temporale est contraire à la théorie de Meynert qui veut que la commissure antérieure
compte des rapports bilatéraux de chaque hé- misphère cérébrale. La théorie de la compensation par d'autres portions du mêm
lèle avec le danger de condamner des innocents, qui résulte de la théorie de la responsabilité partielle. Mais pour que l
te de la théorie de la responsabilité partielle. Mais pour que la théorie de l'irresponsabilité absolue de l'aliéné n'ent
tème qui tend aujourd'hui à nier en l'homme la liberté morale ; les théories qui cessent de maintenir la distinction fondame
raient encore la science des maladies mentales. Pour justifier la théorie de la responsabilité partielle des aliénés dans
raison d'être, la condition de l'hallucination. Tamburim, dans sa « théorie des hallucinations » attribue leur production à
de l'éclosion d'une psychopathie quelconque. Nous réhabiliterons la théorie do la contagion psychique, c'est-à-dire l'influ
sculaires dans les affections articulai- res, on a proposé bien des théories parmi lesquelles la plus satis- faisante serait
rmi lesquelles la plus satis- faisante serait, d'après l'auteur, la théorie dite réflexe. Les nerfs centripètes qui se dist
tions mus- culaires portent le caractère d'une atrophie simple. Les théories 462 ) SOCIÉTÉS SAVANTES. de la modification a
nt pas complètement la pathologie des amyo- trophies cérébrales; la théorie vaso-motrice l'explique mieux jus- qu'à un cert
la connaissance dans la-) systématique, par Or- chausl.y, 117; - théorie de la- morale, parSchloess, 118; - clt1'O- ni
25 (1851) Journal du magnétisme [Tome X]
urir. 41) Voir let conditions au rerso de la couverture , page 2. THÉORIES . PHILOSOPHIE MEDICO-MAGNETIQUE. CHAPITRE III.
t; il varie les procédés suivant les circonstances ; il n’admet ni la théorie des pôles, ni celle de l’attraclion des planètes
(de Garnay). lmpr. de Fommeret et Moreau, quai des Aoguttinj, 17* THÉORIES . PHILOSOPHIE MÉDICO-MAGNÉTIQUE. CHAPITRE III.
ode pénal. « Nous voilà au cœur même du procès, en ce qui touche la théorie pénale. « Nous réclamons en ce moment, Messieur
Certes, ces bévues his-” toriques ne sont pas faites pour exalter la théorie des progrès dont la mort est l’une des plus profi
t et Mcicaq, quai Jcî iogiuliiu, 17. PHILOSOPHIE MÉDICO-MAGNÉTIQl THÉORIES . CHAPITRE III. De la Médecine magnétique. (Su
e application de cette découverte aux besoins de la thérapeutique. Sa théorie repose sur l'influence des astres, l’analogie des
e le pôle antarctique. Les successeurs de Paracelse modifièrent cette théorie , et reconnurent dans le corps humain une division
gents et épars. » Nous ne discuterons pas la valeur de ces vieilles théories des influences célestes et des pôles dont l’expér
ndrait, pour ainsi dire, de vertus morales préconçues, caractérise la théorie . Rien, comme 011 voit, n’est foncièrement neuf
rsonnes sur lesquelles il tentait ses expériences, afin d’appuyer ses théories sur des faits , se trouva le jeune Davis ; mais m
on divine quelconque; ses révélalions dues à l’état extatique, et les théories quelles renferment implicitement. Comme cette énu
les mêmes privilèges que Davis. 11 n’a pas admis non plus dans ses théories , l’évocation d’esprils quelconques; c’était ceux-
principes de la religion naturelle, rendue mystique cependant, par sa théorie spiritualiste. Aujourd’hui, nous savons qu’il ne
aux pères et mères de famille. L. BOMÉA. Valence, 21 mars 1851. THÉORIES . - —Bip PHILOSOPHIE MÉDICO-MAGNÉTIQUE. CHAP
offrira des dangers, à moins qu’il n’existe beaucoup d’analogie (1) Théorie du Somnambulisme, par Tardy de Moolravel, p. 4i.
bules sc disant assislés de médecins paraissent s’élever contre cctlc théorie . II est bon de remarquer, cependant, que dans tou
i3o du Journal. Celte sage doctrine est la condamnation absolue des théories émises par les tribunaux dont nous avons plus hau
lu des effets chez les sujets susceptibles. Mais cette fois encore la théorie fut en défaut; car, les rapports de la Société s’
r jusqu’à un certain point?.... ne serait-ce que pour faire mentir la théorie , qui prétend le magnétiseur maître du magnétisé
et, ordonnateur de la fête ! — Morphy : Au triomphe des faits sur les théories ! — Cosson : A l'institution d’un congrès mesmérie
es : A l’unité de la science 1 — Au triomphe des faits sur les vaines théories ! — A l’institution d’un congrès magnétique ! — A
use de cette espèce de répulsion ou d’incomplète acceptation de leurs théories et de leurs principes. Leur doctrine est essentie
e, que Ilahnemann n’a pu suffisamment observer les faits pour que ses théories fassent loi. A l’époque où il écrivait, on avait
science ne progresse pas autrement. Mais Ilahnemann fil peut-être sa théorie du fond de son cabinet, car elle diflère de celle
de préférer Mesmer à Ilahne-mann ; d’ailleurs les faits appuient les théories de. notre maître: voyez Deleuze, savant autant qu
, etc., etc. I.es faits son! le langage de la nature, tandis que Us théories sont quelquefois celui de mauvais interprètes. li
nt quelquefois celui de mauvais interprètes. li faut donc refaire les théories quand on les reconnaît fausses : c'est ainsi que
dées de 182."), en faisant encore de sages réserves pour l’avenir. La théorie du magnétisme est toute dans ces mots de M. le Dr
ous leurs mains, il> n’ont pas donné leurs explications comme «les théories absolues, mais seulement comme des hypothèses sur
ns de les en rendre témoins, mais ils ont paru craindre de voir leurs théories en défaut. Nous ne cesserons pourtant de leur rép
erons pourtant de leur répéter : si les faits ne cadrent pas avec vos théories , refaites vos théories; et si le concours des mag
répéter : si les faits ne cadrent pas avec vos théories, refaites vos théories ; et si le concours des magnétiseurs vous est util
t, rcnconlro-t elle tant d’obstacles et tant d’entraves parce que ses théories sont erronées? Comment établir la pathogénésie
qu’Hahne-mann , a subordonné à leur puissance irrésistible toutes les théories ? Ne dites donc plus, je vous en conjure, qu’il a
puissance; nous répondons seulement que tous les systèmes, toutes les théories ont toujours eu un grand nombre de pareilles arme
30 mars 1851. Ici la question change de face; il ne s’agit plus de théorie , de rivalité de système, de prééminence magistral
nt religieux chez nous. W. G. Dans mon livre, je m’occupe peu do la théorie . J'admets l’agent ou fluide magnétique, que j’ide
ttache que peu d’importance. Si nous étudions les faits avec soin, la théorie viendra plus tard. Dans mes Lettres, que je m’e
ologie nous vient aussi d’Amérique (i). Elle est fondée sur la fausse théorie que nos pensées, notre esprit, notre âme, sont de
. Vous y verrez un nouveau sujet de lecture de M. Fiske, car il a des théories à lui sur tout : l'électricité terrestre, la circ
gique, et pour être témoin des expériences qu'il fait à l'appui de sa théorie . S’il suffit do voir un fait pour le croire, c'es
adies. Dans la soirée, M. Fiske terminera l'exposition de sa nouvelle théorie électrique de l’univers. CLASSE DU SOIR DE M. F
r leur satisfaction de la manière dont il a rempli son engagement. Sa théorie a *5té expliquée et démontrée avec beaucoup de lu
la scène. Son esprit était absorbé par les merveilles de la nouvelle théorie , il venait juste de quitter la classe à laquelle
on : il y a là un peu de ce que d’autres ont appelé de Yimitalion. La théorie de M. Fiske me semble erronée, car son agent n’es
mise, grâce au traitement des jolies expérimentatrices. NOUVELLE THÉORIE DE U VIE. Une nouvelle théorie de la vie se tro
jolies expérimentatrices. NOUVELLE THÉORIE DE U VIE. Une nouvelle théorie de la vie se trouve expliquée dans un petit livre
rie électrique, et les nerfs comme des conducteurs galvaniques; cette théorie est appuyée d’une grande variété d’expériences on
riences, ou qui n’en ont pas vu du tout, qui ignorent complètement la théorie de leur action et les procédés par lesquels les e
s de toute sorte. Oui, mon ami, après avoir flotté entre toutes les théories , après avoir laissé de voire sang aux ronces du c
s comme nous autour de ces principes primordiaux qui font la base des théories de notre maître. « Nul ne peut contester cette
es souvent par les magnétiseurs. « fcli! messieurs, qu'ont semé les théories mesmé rieuues dans la Louisiane, à un quart de la
ce. » (Orléanais du ier juin). « fcli! messieurs, qu'ont semé les théories mesmé rieuues dans la Louisiane, à un quart de la
(de Ga-nay). Iœpr. de Poramerel et Morcan, qnai des Aagvia», 17. THÉORIES . PHIXiOSOFHIE MÉDICO-MAGNÉTIQUE. CHAPITRE III
conducteurs. » Celte méthode était celle de Mesmer, qui, d’après sa Théorie des pôles, insiste seulement sur la position que
transmission du fluide. Le coton n’est pas non plus un mauvais (1) Théorie du Somnambulisme, par Tardy de Montravel, p. 70.
(3) Despine, ouvrage cité, p. 41, 42, 53, 67, 126, 253. —Essai sur la théorie du somnambulisme, par Tardy do Montravel, p. 70.
sme; il déclare l’avoir toujours employée avec succès. L’auteur de la Théorie du somnambulisme (7) constate que cette boisson a
Rhumatisme aigu, 463, 607. Tic douloureux, 668. VARIETES. g I.— Théories , études, systèmes, doctrines, croyances, phénomèn
26 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
NIMAUX 11 faits de la neuropathologie bien observés et il pose sa « théorie » (1) dont je ne veux pas entreprendre de commu
as entreprendre de communiquer le contenu brièvement ; mais cette « théorie » a pour base la Neuronthéorie du système nerveux
ntral, absolument impossible au point de vue physiologique, - une « théorie » dont j'ai eu déjà l'occasion de parler (2), q
gique des contractures, nous tenons à résumer en quelques pages les théories de nos devanciers ; elles ont été un guide préc
ensemble ont préparé le terrain à de nouvelles investigations. La théorie la plus ancienne est celle de Follin. Pour lui la
des muscles ou par la rétraction des parties molles. Quoique celle théorie n'explique pas'le mécanisme de la contracture,
déformations définitives dans les attitudes des membres. Une autre théorie est survenue après, attribuant le phénomène il
uscles, et le plus ordinairement des muscles fléchisseurs. C'est la théorie de Chomel. C'était reconnaître un fait, mais non
ction des extenseurs. Ilitzig ajoute encore, comme critique à cette théorie , que si la contracture dépendait seulement t d'
alaient dans les membres paralysés. Mais Bouchard a répondu à cette théorie que si la contracture est la règle dans les hémip
'est pas la cause de la contracture. Faut-il déduire de cela que la théorie n'était pas bonne ? quand dans la grande majori
1863, p. 107. 28 NOICA Brissaud (1), défenseur convaincu de cette théorie de Bouchard,montra par ses expériences célèbres
s qu'il y ait de la contracture et vice-versa. Mais exposons ici la théorie même de Clarcot(3). Elle rapporte la contractur
sur les cellules motrices de la moelle. Ceci nous fait passer à la théorie de M. Pierre Marie (1). « N'y aurait-il pas lie
interrompue, la contracture survient et persiste. » Il y a dansja théorie de M. Marie deux idées, l'une que la substance
a moelle. Mya et Levy, Rïtssell, Freud, Massatollgo adoptèrent la théorie de P. Marie. (1) Prenne MAME, Leçons sur les
horium, Bruns, Rischoff, Crocq, Marinesco, etc. soutiennent la même théorie . Van Gehuchten (1) se rattache aussi à la loi d
inante) des muscles fléchisseurs, il ne dit rien de nouveau ; cette théorie a été la première dans la science pour explique
ne peut pas le prouver par des pièces. Mais peut-on admettre cette théorie anatomique de M. van Gehuchten ? Si un jour l'h
e, semble ainsi détruire certaines fibres plutôt que d'autres. La théorie de van Gehuchten ne peut donc pas nous satisfaire
ehuchten ne peut donc pas nous satisfaire. Mais si nous résumons la théorie de Bastian-Jackson : à l'état normal le cervele
par les voies cortico-ponto- cérébello-spinales. Mais alors cette théorie , n'est pas étrangère aux premières. Dans la loi
a une excitation des cel- lules motrices médullaires, comme dans la théorie de Charcot-Bouchard- ' Vulpian-Brissaud ; seule
, ou même le cerveau d'après van Gehuch- ten. Il y a encore dans la théorie de Jackson-Bastian le principe d'inhi- bition q
e pouvait être séparée de l'encéphale. La différence est énorme. La théorie de Jackson-Bastian se rapproche de celle de Hit-
rine, il n'y a pas longtemps (1) : « En résumé presque toutes les théories sur la contracture ont le défaut de ne s'appliq
tête d'oi- seau ». Il ne donne aucune autre preuve à l'appui de sa théorie qui me semble reposer simplement sur une fausse
our ceux qui considèrent les nerfs périphériques comme des lobules ( théorie caténaire), la dégénérescence wallérienne serait
ni par Pitres, ni par Camus, quoique avant eux Hitzig eût émis une théorie sur le phé- nomène de la contracture, prenant c
cause; c'est, par conséquent, une preuve indirecte en faveur de la théorie angioneurotique. ' Transmission par une mère in
our de quelques types les faits cliniques, passerai-je en revue les théories émises pour les expliquer. Les faits. , Il fa
ont Soukhanoff, Taubmann, Sainton. Soukhanoff démontre qu'une seule théorie n'est pas suffisante et qu'il faut tenir compte
morbide bien définie et de pathogénie hypo- physaire, de nombreuses théories de l'acromégalie ont été soutenues et bien des
sion sur la question n'a pas eu de trêve. On a tenté de détruire la théorie hypophysaire et de la remplacer par une théorie
enté de détruire la théorie hypophysaire et de la remplacer par une théorie thymique (Freund), par celle de l'inversion de la
valable à l'opinion que je viens d'énoncer, laquelle s'oppose à la théorie admise généralement. Le fait que j'ai constaté
és, amaigris et de faible muscu- lature, était enclin à admettre la théorie de Tamburini, Benda et quelques autres, c'est-à
la théorie de Tamburini, Benda et quelques autres, c'est-à-dire la théorie de la distinction de deux types cliniques et (1
s indications à ce sujet. Enfin M. Redlich n'est pas partisan de la théorie qui rapporte les trou- bles mentaux à des produ
cher, mais sous une forme biologique. J'espère montrer que les deux théories si différentes dans les termes se continuent l'
use une modalité réac- tionnelle spéciale de la matière vivante. La théorie biologique n'est qu'une autre face d'une questi
n se rapetissant que l'homme s'élève et grandit. Pour comprendre la théorie biologique de la pathogénie des né- vroses, il
ouvelle conception de la vie nous éloigne quelque peu de la vieille théorie de la force vitale, à laquelle personne n'a jamai
solu- ment certaine. Sans cette propriété de la matière vivante, la théorie de l'é- volution des espèces et de leur lente t
es qui l'assaillent. Il me reste à opérer la transition entre cette théorie physiologique et la conception biologique actuell
e cette théorie physiologique et la conception biologique actuelle, théories qui se complètent mutuellement et se confondent
n par un élément, une énergie qui lui est extérieure. Dans les deux théories , mais principalement dans la conception phy- si
e dans les manifestations névrosiques les mieux confirmées. Dans la théorie physiologique, je signalais la possibilité d'un a
eux qui appartiennentà cette affection et que j'ai signalés dans ma théorie physiologique. Déjà, dans le domaine de la path
au en- traînerait l'agénésie du système correspondant. C'est là une théorie que nous ne pouvons admettre. Chez l'embryon le
ment en contact avec le capuchon amniotique que le côté cubital. La théorie amniotique est donc bien en concordance avec ce
absent que le cubitus ; le'con- traire devrait avoir lieu clans la théorie atavique, le cubitus étant un os fréquemment ru
tant un os fréquemment rudimentaire dans la série animale ; dans la théorie nucléaire de Français et d'Egger, la prédominan
t (1 ). Celle notion de l'hé- rédité n est pas incompatible avec la théorie amniotique ; le fait primitif peut être l'héréd
our montrer,par l'évidence de nos exemples, l'inexactitude de cette théorie . A l'examen extérieur on n'observe chez Marguer
n déjà citée .de Vigoureux et Delmas parle aussi en faveur de cette théorie ; dans ce cas d'infantilisme les,lésions les plus
ntilisme, sans exception, devrait forcément déposer en faveur de la théorie unitaire. CONTRIBUTION A l'ÉTUDE DE L'INFANTILI
e des glandes séminales et à l'adiposité, Schuller n'accepte pas la théorie de Erdheim pour qui l'adiposité dépendrait de la
être ramené à l'hypothyroïdie ou à la dysthyroïdie. Aucune de ces théories unitaires ne nous semble suffisamment appuyée p
re aux faits leur valeur relative qui dépose plutôt en faveur de la théorie polyglandulaire de De Sanctis. Un telle concl
é des lésions des glandes à sécrétion interne,prouve la vérité delà théorie de De Sanc- tis sur l'origine de l'infantilisme
méd. de Padoue C. R. I 1 Policl., 16 janv. 1907, n 6. CL.1P.1REDE. Théorie biologique du'sommeil. Arch. de psych., t. IV.
sous l'influence de la suggestion. Cela n'estpas d'accord avec les théories récemment émises par 1'1. Babinski et discutées
27 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
écouvre que des fibres à direction centripète ou ascendante. A la théorie des « fibres coordinatrices ». Leyden opposa les
ive à des névrites multiples périphériques, étaient favorables à la théorie de Leyden, à la théorie de l'ataxie sensitive (
ples périphériques, étaient favorables à la théorie de Leyden, à la théorie de l'ataxie sensitive (Théorie der sensorischen
orables à la théorie de Leyden, à la théorie de l'ataxie sensitive ( Théorie der sensorischen Ataxie) ; 3. La sensibilité es
ider, fondait sur de plus larges assises, mais non plus solides, sa théorie scientifique des maladies de la moelle ANATOMIE
nsibilité. Ces principes, démontrés par Frenkel, ressortissent à la théorie de Leyden ou théorie sensitive du tabès 2. A l'in
pes, démontrés par Frenkel, ressortissent à la théorie de Leyden ou théorie sensitive du tabès 2. A l'influence du ' Leyden
Au Congrès international de Moscou (1897), Leyden a rappelé que sa théorie du tabes, déjà indiquée dans ses lignes essentiel
inité, dans une des régions les moins accessibles du névraxe. Cette théorie expliquerait très bien l'extension du tabes, sa
ais dans l'ataxie tabétique. C'est pour servir à l'avancement de la théorie de Leyden que Hering a institué, depuis plusieu
éressant spécialement le sens musculaire. Et voici comment, dans la théorie de Redlich, opposée à celle de Strümpell et de
ou « essences » subtils et mystérieux; et il faut écarter aussi les théories métaphysiques, le dualisme et le monisme, parce
huit litres par jour, à 0°,17. Ces faits permettent de préciser la théorie de Koranyi sur la sécrétion rénale, en ce qui t
e relard atteint d'après M. Raymond parfois .devais secondes. Les théories de la douleur sont nombreuses ; d'après Goldsehne
it par les nerfs vaso-moteurs, qui trans- mettent la douleur. Les théories des voies de conduction sont encore plus nom- b
e la gémel- lité ; il y trouve une preuve indirecte à l'appui de la théorie qui identifie la gémellité et la monstruosité 1
(Strümpell). La principale objection que dirige Schaffer contre la théorie d'après laquelle la lésion des cordons postérie
nstants d'obser- vation, celte constatation serait favorable à leur théorie . Cette adaptation des cellules aux conditions c
quoi Hoche répond en posant quelques questions aux partisans de la théorie de l'identité : comment, si la lésion de la voi
c., ont paru à nombre d'auteurs être de tous points favorables à la théorie périphérique du tabes3. Si cette théorie était
s points favorables à la théorie périphérique du tabes3. Si cette théorie était fondée, le tabes devrait souvent être la su
s n'a pas laissé de fournir aussi des arguments aux partisans de la théorie périphérique du tabes (Leyden, Goldscheider, Fl
u tabes (Leyden, Goldscheider, Flatau, etc.). Car, en vertu de la théorie de Marinesco sur les conditions du trophisme des
les colonnes de Clarke. Malgré tout, Redlich ne croit pas que la théorie périphérique du tabes soit capable d'expliquer la
r Marinesco, Oppenheim, Stroebe, Zeri, Massary. Les partisans de la théorie ganglionnaire, comme la nomme Redlich, invoquen
bjections que toutes celles qui ont été proposées en faveur de la « théorie gan- glionnaire ». Les légères altérations des
exact de compter Redlich au nombre des auteurs qui professent la « théorie radiculaire », c'est-à-dire selon lesquels les ra
ien d'autres causes agissent de même, mais non dans le sens : de la théorie périphérique du labes : une polynévrite a frigori
e réagissent pas de même aux causes de destruction, de sorte que la théorie de Flechsig ne saurait être entièrement -écarté
deux ou trois heures : elle avait été immédiate. Parmi les diverses théories proposées, la plus rationnelle est évidemment c
XXIV. Contribution à la physiologie des mouvements du tronc et à la théorie de la scoliose sciatique; par L. ;\1 Ai' : N. (Ce
ultime et absurde. M. ARNAUD ne voit pas bien comment, avec cette théorie , on peut interpréter les cas de guérison du dél
ibition oedémateuse de lai moelle cervicale; Westphall combat cette théorie : comment les faisceaux sen- sitifs resteraient
'un excès d'acide urique dans le sang, enfin, et c'est peut-être la théorie la plus généralement adoptée, comme la conséque
s et faits nouveaux sont donnés avec toute l'ampleur désirable; les théories sont plus parcimonieuse- ment analysées. Puis,
veur de leur contractilité,et par suite, de leurs mouvements. Ces théories , si elles étaient reconnues exactes, aideraient
core peu cultivé dans les asiles. De quelque façon que l'on juge la théorie de Lombroso, ei si vivement critiquée qu'elle a
trine. Il n'a fait que plagier et rééditer, presque mot à mot, la théorie du fluide universel, telle qu'elle est exposée da
, somatique, réflexe, centrifuge involontaire. M. Dugnet répudie la théorie inverse comme trop matérialiste, mais il ne sem
naturelle, émotion normale. Ici se place une bonne réfutation de la théorie de la « loi de stabilité » de M. Duprat, pour q
et naturelle qu'elle soit est toujours tant soit peu pathologique, théorie en effet purement artificielle. En tout cas, en
se d'angoisse » de Frend et de Lannois et Fournier. Le champ delà théorie n'est pas clos autour des phobies, on peut encore
de putréfaction de la glande, que de l'action directe du suc. La théorie de Notkine, production par la glande d'un ferment
on de l'autopsie d'un cas d'acromégalie avec une revue critique des théories anatomo-pathologiques ayant cours ; par Louis J
fs. , Les auteurs voient dans ce cas un nouvel argument contre la théorie de Recklingausen (unité originelle et exclusiveme
Marie, Hodge,Sherring- ton, Leyden et d'autres auteurs encore et la théorie des neurones marque ici la fin de l'ancien régi
in de l'ancien régime. L'auteur entre en de longs détails sur cette théorie et ses applications à l'ataxie, et il conclut q
tion et aux troubles des diverses sensibilités spéciales. Si les théories nouvelles sont exactes, on doit constater parmi l
eur et du sens musculaire ; or la clinique est d'accord ici avec la théorie , et ces symptômes sont en effet parmi les premi
à la cellule ectodermique d'une période plus avancée. Suivant cette théorie le terme carcinome s'applique- rait exclusiveme
dernier temps était encore contesté, et il est en désaccord avec la théorie de la déviation musculaire (de Roth). La déviatio
t que névrose sexuelle, est défendue par l'auteur qui considère les théories de Charcot comme devant être complétées par cel
fils, 3 avril 1900). M. Grasset nous donne ici son opinion sur les théories émises au sujet des rapports du génie et d'un é
d'un état morbide (folie-névrose). Il ne parle qu'en passant de la théorie de Lombroso voulant assi- miler le génie à une
cation à l'étude, il n'avait jamais pu apprendre quelque peu ses théories militaires ; désireux de bien faire et très obéis
près la séparation de l'écorce et du faisceau pyramidal, écueil'des théories encéphaliques autant que des médullaires, je ne
vantage. Je ne crois pas à propos de m'arrêter à examiner -si les théories de Bastian, Van Gehuchten, Monacnw, Grasset, ni
les théories de Bastian, Van Gehuchten, Monacnw, Grasset, ni les théories spinales de Charcot, Brissaud, Blocq, 'ulpian,
ification de la contracture chez cet enfant, parce qu'aucune de ces théories n'est susceptible d'être appliquée comme une in
incisée. Cette différence frappante fait confirmer Kocher dans la théorie qu'une des causes principales de l'épilepsie rési
ne met rigoureusement en pratique, -voient bien net- tement où leur théorie les conduit : la seule justification de leur th
tement où leur théorie les conduit : la seule justification de leur théorie , ce serait que la punition ait perdu tout son eff
aliénés est un énorme pas en aniere. Le même auteur affirme, que la théorie , qui exige de disséminer les furieux parmi les
28 (1854) Journal du magnétisme [Tome XIII]
LAlS-BÜVAL) TOME TREIZIÈME. JOURNAL ou MAGNÉTISME ÉTUDES ET THÉORIES . 1” PROPOSITIONS ET APHORISMES MAGNÉTIQUES. L
primerie de Pommerel el Moreau, qu.n «1rs Atiguslins, 17. ÉTUDES ET THÉORIES . —* * i w y 1° DES ESPRITS. (5* arlicle.)
et cette clef est toute dans le mot vibration. Le lecteur attend une théorie qui lui fasse concevoir l’enchaînement de la caus
nous préoccuper de leurs prémisses. Le premier qui ait présenté une théorie sur les facultés extensives et intuitives de l’àm
ours l’abbé Faria pour endormir ses sujets sont en opposition avec sa théorie . Après avoir fait asseoir commodément la personne
ez pour quelques instants votre injuste arrêt. Consultez l’ingénieuse théorie donnée par le Dr Bégué, suivez-en exactement les
M. Gode-froy à renoncer à son projet de faire un cours public sur la théorie des tables tournantes. Cette nouvelle est confirm
a le Samedi 1 mars. le Gérant .• HÉ I! BUT (de Garnay). ÉTUDES ET THÉORIES . RECHERCHES MÉDICO - MAGNÉTIQUES CHAPITRE V.
t vécu que le temps nécessaire pour démontrer l’imperfection de leurs théories et le danger de leurs doctrines. Naguère encore
d’une âme sur l’autre, dans le traitement des infirmités humaines. La théorie des barbarinistes est l’expression la plus véridi
e augmenteraient-elles aussi leur sensibilité magnétique ? D'après la théorie , 011 serait porté à le croire. Conséquemment, si
ou non à notre goût, peu importe. Qu’il 11e s’accorde point avec les théories de tel académicien, c’est 1111 malheur dont il fa
rd’hui combien la défense a été efficace ! A. S. MORIN. ÉTUDES ET THÉORIES . DU FLUIDE MAGNÉTIQUE ET DE LA VOLOTNÉ. Les e
isme, s’ils n'y arrivent pas, et par conséquent, à parler franc, leur théorie ne peut soutenir un examen sérieux. Néanmoins ell
t en magnétisme à la droiture du cœur et à la pureté d’intention. Ses théories sur ce point étaient si belles et si bien senties
rtent à mon avis un coup terrible au magnétisme, bien compris dans sa théorie et bien exercé dans sa pratique, et ne peuvent av
véritable consiste à prier Dieu et à aimer ses semblables, etc. Ces théories peuvent contenir des parties ingénieuses, mais el
grands mathématiciens sous le nom d’Aboumasar de Balk. » ÉTUDES ET THÉORIES . 1° MANIFESTATIONS SPIRITUELLES. Nous trouvon
, il enrichit la science en lui apportant ses vues ingénieuses sur la théorie encore si obscure du magnétisme. Comme le moral
tre, c’est-à-dire le principe fondamental du magnétisme. 11 combat la théorie de Mesmer et nie le fluide magnétique. Mais le fl
es, et émettent ainsi des réponses d’une justesse merveilleuse. Cette théorie est spécieuse ; mais il nous semble qu’elle est h
faite, ni facile à faire. M. Clapier a procédé sans avoir égard aux théories , et la plus probable, celle qui vient d’être rapp
ez convenable. Agréez, etc. Le président, E. ALLIX. ÉTUDES ET THÉORIES . TABI.ES TOURNANTES. On lit dans la Revue de
me et au sophisme, pour nier ce qu’ils ne pouvaient expliquer par les théories qui servent de piédestal à leur célébrité. Cepend
'intensité et de rapidité. « Notre correspondant, s’appuyant sur la théorie , qu’il a eu l’occasion de vérifier souvent, de la
avec soin, dans tout ce qui précède, d’admettre aucun système, aucune théorie . Nous avons exposé des faits constatés par l’obse
es indépendantes de toute hypothèse. Nous ne voulons point faire de théorie , mais nous ne pouvons nous empêcher de faire rema
Ililaire, l’auteur de la Tératologie, et Cli. Fourier, l’auteur de la Théorie de C Unité universelle. On a cependant essayé d
les lois des faits sont seules importantes; que les'explications, les théories doivent surtout avoir pour but de faciliter la co
« Par conséquent, « Substitution d'un principe irai à toutes les théories médicales mensongères. « — Première conquête de
xpliquer sur les phénomènes survenus pendant le traitement, ni sur la théorie du comte de Szapary. Je me bornerai à dire qu’il
e des spasmes par la magnétisation ; que tous les spasmes, d'après sa théorie , ne sont autre chose que des c/forts que fait la
les magnétiseurs et ont aussi donné lieu à de bizarres et décevantes théories sur les mystères de la vie future. Ne serait-il p
ages et si justes de M. Clément lui-même, il est bien compris dans su théorie et bien exercé dans sa pratique. Je m’estimerai
mprimerie de Poniimrcl cl Moreau,quai des Augusiir.s, 17. ÉTUDES ET THÉORIES . ANALOGIES FLCIDI3CES DU MAGNÉTISME (1). Les
sont frappantes. Matteuci, en consacrant un chapitre à l'étude des théories du fluide nerveux, comme corollaire de ses études
ent le virus rabiéique a-t-il pu produire cette merveille? Toutes les théories mécaniques du mesmérisme sont dans la réponse à c
, tiré des cahiers de Mesmer par Galard de Montjoye : i Au fond, sa théorie (de Mesmer) est un système d’impulsion; mais l’at
st dans le bien que nos mains ont fait. Baron Ut POTET. ÉTUDES ET THÉORIES . PROTESTATION DE SIMPLE BON SENS EN FAVEUR DES
l’âme de la terre, et il écrit là-dessus des lignes incroyables, des théories renversantes. Un autre, esprit fort, se moque e
s instruites étaient mises en état de lucidité. » Arrivé enfin à la théorie , l’auteur dit qu'il voudrait n'en émettre aucune,
t intérêt. Je le livre aux magnétistes. Victor MEUNIER. ÉTUDES ET THÉORIES . 1° UN MOT SUR L’ÉTAT ACTUEL DU MAGNÉTISME. E
ublications des arcanes de l’autre inonde, de M. Cahagnet; depuis les théories spiritualistcs du docteur Ordinaire ; les doctrin
rnal (lu Magnétisme, à contrebalancer l’entraînement général vers ces théories illusoires, c’est que des causes incessantes d’oc
le dont j’extrais les lignes suivantes : « Je ne puis donner ici la théorie que j'ai trouvée, et par laquelle ces phénomènes
r la chaîne des opérants, agirait sur la table. Je n’admets pas cette théorie , et je fais contre elle des réserves qui pourront
nal non scientifique, il était impossible que je pusse développer une théorie qui n’eût pas été comprise; je tenais seulement à
es, 1854, Vermeil. Le livre de M. de Morogues se rattache plus à la théorie de Mesmer qu’aux théories des magnétiseurs plus m
ivre de M. de Morogues se rattache plus à la théorie de Mesmer qu’aux théories des magnétiseurs plus modernes. Mesmer, on le sai
Mateucci a tenu le drapeau d’une main assez ferme, se rattache comme théorie à l’idée de Mesmer, qui voulait identifier le pri
ment les garanties d’une bonne police, doit se garder de patroner une théorie scientifique quelconque ; c’est aux sectateurs à
BAYARD, B. H. ('Gazette des Hôpitaux, du 12 septembre.) ÉTUDES ET THÉORIES . Je publie cette histoire, ou plutôt ce roman s
’Union du 30 juin). Le Gérant : IH'.lilCIU (de Garnay). ÉTUDES ET THÉORIES ^ LA 'VOYANTE DE PREVORST. Introduction. Nou
était doué d’un moyen universel de guérir et de preserver. Quant à sa théorie pour expliquer comment les choses se passent, e
systèmes. Mais heureusement le sort du mesmérisme n’est pas lié à la théorie de Mesmer, de même que les grandes découvertes de
les grandes découvertes de Newton en optique sont indépendantes de sa théorie de l'émission. L'hypothèse d’un fluide particulie
essentielle de la doctrine, admettent toute liberté d’opinion sur des théories encore fort éloignées d’une certitude rigoureuse.
lus à gagner à une expérimentation méthodique qu’à des discussions de théories sans fondements certains, veuillent bien me prête
en prendre son parti, bien qu'il ail souvent le tort de déranger nos théories . Mais de ce qu’il sera constaté, il ne s'ensuivra
BIBLIOGRAPHIE. I.E MAGNÉTISME EXPLIQUÉ PAR LDI-MÊME, ou Nouvelle théorie des phénomènes de Tétai magnétique comparés aux p
s auteurs se sont occupés de ce sujet intéressant et ont présenté des théories plus ou moins ingénieuses, des hypothèses plus ou
ions, a cessé de se répandre sur les objets extérieurs. Comme cette théorie est le fondement de tout le système de l’auteur,
sifie plus suivant le rôle spécial assigné à chacun des sens. Cette théorie est-elle enfin parvenue à rendre compte du mode é
ure in-S. Dijon, imprimerie do Loireau-Feuchot. 1833. De toutes les théories proposées pour expliquer la rotation des tables e
iques restés obscurs jusqu’à ce jour. A. PETIT-D OBMOYv ÉTUDES ET THÉORIES . LE MAGNÉTISME EST-IL OEUVRE DU DÉMON? Le mag
ité, 743. Tumeur abdominale, 395. Ver solitaire, 615. ÉTUDES ET THÉORIES . Analogies fluidiques du magnétisme, par M. le
Fournier, 41 ; Rectification par M. Ferdinand Silas, 47. — Essai de théorie sur la clairvoyance somnambulique, par M. le Dr G
olonté. Sa prédominance sur le fluide dans tout acte magnéti- que ; théorie par M. Olivier, 154. CONTROVERSES. Ascension
de Garnay), 250. Magnétisme (le) expliqué par lui-méme, ou nouvelle théorie des phénomènes de l'état magnétique comparé; au
29 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
la partie la plus attachante, capitale de son livre, en tentant une théorie mécanique des différents phénomènes de mémoire
i-même déclare « être loin de vouloir pour le moment transformer en théorie et en doctrine ». J. S. IL L'éducation rationne
ui auront été suggérées. Une conclusion médicale se dégage de cette théorie : c'est qu'il existe une médecine psychique, et
agraphie et la paracnimie. G. D. V. La doctrine des neurones et les théories nouvelles sur les connexions des éléments nerve
the et Nissl. Après avoir exposé aussi complètement que possible la théorie de ces derniers auteurs, M. van Gehuchten termi
ister à l'analyse scientifique et par suite inacceptables : 1° La théorie des causes multiples; 2° la théorie de l'insuffis
par suite inacceptables : 1° La théorie des causes multiples; 2° la théorie de l'insuffisance d'iode et de brome dans les e
de l'insuffisance d'iode et de brome dans les eaux potables ; 3° la théorie mécanique de Chabrand; 4° l'hypothèse des miasm
res inorganiques cédées à celles-là par celui-ci. C'est là toute la théorie hydro-tellurique. « Lorsque les matières inorga
portance passe du cerveau à la moelle, et il faut se rattacher à la théorie suivant laquelle l'état spasmodique est le résu
. Vochenschr., 1898, n" 22.) P. IiEaavaL. XXII. Contribution à la théorie de la méthode de Golgi ; par H. SMIDT. (Neurolo
'est ouverte à l'Académie de Madrid L'auteur, en désaccord avec les théories de la Salpêtrière, va plus loin que l'École de
(l3rvizz, vol. 20, p. 385.) De l'étude de 120 cas et de toutes les théories proposées, ce mémoire tire d'excellents éclairc
thode expérimentale et contre lesquelles ne sauraient prévaloir une théorie a priori ou l'obsti- nation de quelques retarda
215 femmes). - . - . ' - (A suivre.) PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. Théorie des neuro-diélectriques; Par le Dr Charles BINE
éorie des neuro-diélectriques; Par le Dr Charles BINET-SANGLÉ. La théorie , qu'on peut appeler théorie de l'excitation sim
s; Par le Dr Charles BINET-SANGLÉ. La théorie, qu'on peut appeler théorie de l'excitation simple et par laquelle on a jus
sie et des attaques d'hystérie. Je. propose de lui substituer une théorie dont l'exposé va suivre, et qui procède des idé
la con- densation proprement dite que lorsqu'il existe certaines THÉORIE DES NEURO-DIÉRECTRIQUES. 209 lésions nerveuses
a lame isolante est un diélectrique. Soit deux fils reliés chacun THÉORIE DES NEURO-DIELECTRIQUES. 211 au pôle d'une pile
rassemble des phénomènes aussi divers en apparence, c'est que toute théorie qui prétend expliquer l'un quelconque d'entre e
s et de 1 Cil. Binet-Sany-lé. Lois des secousses et des paralysies. Théorie des /«t'o-<7Mep ? )/c. ? (en préparation).
vera un-moment où sa tension ne sera plus équilibrée par sa téna- THÉORIE DES NEURO-DIÉLECTRIQUES. 213 cité. Il se produi
e, il n'y a pas de décharges, et la paralysie est complète. Cette théorie fait comprendre pourquoi l'hémiplégie est souve
exception qu'offrent à ce point de vue les attaques d'épilepsie. La théorie des neuro-diélectriques lais- sant moins de fai
ques lais- sant moins de faits inexpliqués, doit être préférée à la théorie de l'excitation simple. RECUEIL DE FAITS. I
de la décapitation. Ces résultats sont plutôt en désaccord avec la théorie histolo- gique du sommeil formulée par Mathias-
nt deux ans environ. Cette observation ne peut se concilier avec la théorie thy- roïdienne du goitre exophtalmique et du my
ns le cas de cette malade aucune particularité capable d'appuyer la théorie bulbaire du goitre exophtalmique. Il a constaté
ne faisait soupçonner pendant la vie ; ce fait semble confirmer la théorie sympathique de la maladie de Base- dow, mais, d
mpathique de la maladie de Base- dow, mais, d'après l'auteur, cette théorie est incapable d'expliquer tous les faits observ
r tous les faits observés. Au reste, il n'est pas actuellement de théorie anatomique et pathogénique qui puisse convenir
punir un aliéné pour la mauvaise action qu'il a commise ». C'est la théorie de la res- ponsabilité partielle. Pourquoi le
es- ponsabilité partielle. Pourquoi le D1' Mercier admet-il cette théorie C'est à cause du système, adopté dans les asile
l'irrégularité sexuelle qui donnerait sa forme à la névrose. Cette théorie générale n'étant pas encore ad- mise, on n'en s
de que des conceptions doctrinales sans base objective, reflets des théories médicales du jour. En pouvait-il être autreme
e colloïde hors des vésicules. Or, sans prendre parti au milieu des théories qui, actuel- lement se partagent la pathogénie
est permis de constater la faveur toujours croissante dont jouit la théorie humorale, celle qui rattache les phénomènes mor
sant sur les travaux de Roger et Garnier, a montré la réalité de la théorie infectieuse : nous appuyant sur trois observati
ue, pourra-t-on admettre notre observation comme un appoint à cette théorie de l'origine infectieuse de certaines maladies
GIQUE. L'énergie nerveuse et l'énergie électrique, à propos de la théorie des neuro-diélectriques ; Par le D' PAUL SOLFIE
er numéro des Archives de Neurologie (septembre) une note sur une théorie nouvelle dite des neuro-diélectriques, qui n'es
lude d'un travail plus étendu devant paraître ultérieurement. Cette théorie comprend deux points de vue : l'un général, qui
eux points de vue : l'un général, qui est le fondement même de la théorie et qui ne tend à rien moins qu'à l'assimilation d
remarques à propos du premier. J'ai en ell'et soutenu moi-même une théorie semblable dans des conférences faites cet hiver
vier dernier dans la Bibliothèque de Philosophie Contemporaine, une théorie du mécanisme de la mémoire basée sur les analog
je crois devoir relever que les critiques qui ont été faites de ma théorie de la mémoire ont paru mécon- naître sa portée.
rappeler ici, à propos de la partie générale et fondamentale de la théorie de neuro-diélectriques de I. Binet-Sanglé, ce t
c une lésion isolée du centre moteur lui-même : cela seul écarte la théorie de l'excitation, et une autre explication se prés
Hitzig (de Halle). (Projections.) La plupart des partisans de la théorie des localisations du cer- veau ont noté des tro
n moins durables ; mais cette accoutumance n'est que momentanée. La théorie de Kronecker, attribuant la trémulation des coe
des nerfs préconisée par Chi- pault a par ses résultats confirmé la théorie névritique de l'ori- gine du mal perforant plan
une, tantôt dans l'autre des circonvolutions. Nous pensons que la théorie de Flechsig, d'après laquelle toutes les fibres
traux de ces lobes ; par SwiTALsm (de Lemlerg). Contribution à la théorie des hémiplégies ; par M. Friedel Pack (de Pragu
rement une observation, qui semble avoir un intérêt spécial pour la théorie des hémiplégies. II a observé un jeune homme, q
avec la distribution du nerf, elle est plutôt en opposition avec la théorie spinale de Brissaud. Complété par une observati
ique; ce qui viendrait apporter un argument de plus en faveur de la théorie dualiste défendue par Charcot, Joffroy, et, à M
le. BOUIt\ L1'ILLI : . PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. A propos de la théorie des neuro-diélectriques. (Réponse à M. PAUL SOL
ques. (Réponse à M. PAUL SOLLIER.) Au début d'un travail intitulé Théorie des que j'ai publié ici même en septembre 1900,
atellaires dans le tabes n'est pas suf- fisamment expliquée par les théories actuelles; il est très vrai- semblable que l'ab
t hystérie trauma- 1 tiques, par Knapp, 153. Neuro-diélectrioues. Théorie des , par Binet-Sanglé, 208, 472. Neurone. Do
r Binet-Sanglé, 208, 472. Neurone. Doctrine des -, et nou- velles théories sur les connexions nerveuses, par van Gehuchten
30 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ogie, 1896, n° 2. Leçon sur les hallu- cinations unilatérales. LA THÉORIE DES NEURONES. 15 de l'acoustique (otite moyenne
sence de la dégénérescence mentale '. ANATOMIE PATHOLOGIQUE. LA THÉORIE DES NEURONES EN RAPPORT AVEC L'EXPLICATION DE Q
us expliquer, pourquoi leur action amène des actes psychiques. LA THÉORIE DES NEURONES. 17 La cellule psychique est organ
ocès ? ' Appliquons- nous à résoudre cette question, en tant que la théorie contem- poraine des neurones nous le promet. A
on du caractère des incitations, reçues conformément avec leur LA THÉORIE DES NEURONES. 19 individualité ; mais si elles
normal. Le degré de l'influence tonique du prolongement cylin- LA THÉORIE DES NEURONES. 21 draxile sur la dendrite ne res
'association ; nous parlerons de cela plus loin, en appli- quant la théorie des neurones à l'explicatin de l'état patho- lo
- gements grossiers propres aux lésions organiques du cerveau, la théorie des neurones nous fournit la possibilité de pénét
s sa couche exterme. C'est à ce fait, qu'il rattache la démence. La théorie des neurones nous force à modifier l'opinion de
mbre des contacts entre les cellules psychiques de même qu'une LA THÉORIE DES NEURONES. 23 plus grande quantité d'élément
e quelle manière pouvons-nous expliquer ce phénomène à l'aide de la théorie des neurones ? Les impres- sions que reçoit le
entre les dendrites et les collatérales produit chez le malade LA THÉORIE DES NEURONES. 25 5 l'effet d'une sensation nouv
'iden- tité des impressions reçues. Efforçons-nous d'appliquer la théorie des neurones à l'ex- plication du trouble de l'
tacts détruits amène un plus profond trouble de la conscience. La théorie des neurones nous fournit de nouveaux faits dont
res centripètes des sensations d'innervation. Si nous appliquons la théorie des neurones à l'explication des états maniaque
an- goisse uniquement par cette rapidité des ramuscules proto- LA THÉORIE DES NEURONES. 7 7 plasmiques terminaux. Cet éta
étails sur l'explication des phénomènes psycho-pathologiques par la théorie des neu- rones, nous terminerons ici nos suppos
aussi pour plus de clarté, nous avons jusqu'ici omis de dire que la théorie des neurones doit tenir compte de certains fait
vons men- tionnée à cause de sa nouveauté et de son originalité. La théorie des neurones reste jusqu'à présent inébranlable
s de la texture fine du système nerveux ; mais dans tous les cas la théorie que nous venons d'exposer jette une lumière tou
u faits futurs dont il a bien la notion. « Au lieu de faire de la théorie et d'expliquer les mots par d'au- tres mots, on
aciles l'acquisition et l'usage du langage. 2 En ce qui concerne la théorie et la pratique de cet enseignement, nous renver
aigu, fracture, arthropa- thie, etc.). Cette méthode montre que la théorie qui fait dépendre l'ataxie tabétique des troubl
ce, ah ! l'horrible aveu ! de quelle ironie ce malheur pèse sur nos théories et nos orgueils, et quelle ouverture sur le gou
la lésion de la sclérose latérale amyotrophique. A côté de cette théorie de la coïncidence et de la superpo- sition des
; le fait est aujourd'hui confirmé et acquis. J'avais proposé une théorie qui faisait du coeur du tabétique un coeur de dou
'alcool, le plomb, la diphtérie... en sont des exemples. Mais notre théorie actuelle ne contredit pas à cette donnée classi
temps que la gangue interstitielle des or- ganes » et trouve que la théorie de l'artériosclérose « ne parait pas reposer su
n fut obtenue au bout de six ans. Ce fait est en opposition avec la théorie du Dr Wiglesworth qui fait de la mélancolie ave
à une contusion de la moelle post mortem. P. K. VII. Note SUR la THÉORIE DE Weigert relativement A la STRUCTURE delà név
aide de méthodes de coloration nou- velles, a récemment proposé une théorie nouvelle de la structure intime de la névroglie
Lewis et de Golgi, et il résume, en terminant, les objections à la théorie de Weigert que M. Pellizzi a tout récemment for
QUE. 3° Les résultats de la médication thyroïdienne confirment la théorie de Mobius, d'après laquelle la maladie de Graves
tance des aliénés en Allemagne. C'est à nous de pratiquer ée que la théorie a mis en lumière. Le mieux est de faire donner
que nous en tirons, c'est qu'il manquait à la chaîne qui unit leurs théories aux nôtres toute une série d'an- neaux interméd
générale juvénile consti- tuent un nouvel argument en faveur de la théorie pathogénique que je soutiens : il a été prouvé,
ible de fournir aujourd'hui de nouvelles preuves à l'appui de cette théorie , je crois que la para-' lysie générale est une
oujours à la syphilis et plus rarement à des maladies aiguës. Cette théorie infectieuse de la paralysie générale est-elle inc
e. intervienne : surmenage, excès vénériens, etc. A l'appui de la théorie syphilitique de la paralysie générale, M. Régis
rouvent quand on leur comprime le nerf cubital. ' A l'appui de la théorie syphilitique de M. Régis, j'invoquerai la plus
M. Arnaud. - Les faits cliniques ne plaident pas en faveur de la théorie de M. Petrucci. L'alhérome artériel généralisé ne
ire de l'hystérie infantile a commencé le jour où a été détruite la théorie qui plaçait dans l'utérus le siège de la. 250 S
dres divers. Cela tient à ce que les auteurs s'inspirent encore des théories que l'Ecole de la Salpê- trière avait émises su
d'aboulies que nous avons étudiées et interprétées conformément aux théories histologiques et physiologiques les plus récent
. 5° Les données précédentes se montrent absolument opposées à la théorie physiologique de l'hystérie fournie par M. Féré e
e engendre la seconde, le plus souvent. Telle est, très résumée, la théorie qui forme la première partie. Elle est d'une ps
1, H,\SKOVEC, de Prague. On connaitbien l'insuffisance des diverses théories en ce qui concerne la pathogénie de la maladie de
la maladie de Basedow, qui ont été émises jusqu'à présent. C'est la théorie de l'intoxica- tion, soutenue par la plus grand
it du cerveau, ce qui détruit l'élément sur lequel Kahlden fonde sa théorie de l'arrêt de dévoloppement pur, théorie qui n'
lequel Kahlden fonde sa théorie de l'arrêt de dévoloppement pur, théorie qui n'expliquerait, au reste, point la prétendue
ramollissement par embolie, ce qui est précisément en faveur de la théorie vasculaire. M. Deyes passe en revue les espèces
Cent2oclbl., XV, 1896.) En imputer la cause à une infection aiguë ( théorie de Marie) n'est pas exact; celle-ci serait exce
e genre que la médication anti- syphilitique, qui est basée sur une théorie qui ne lui paraît pas absolument certaine. SO
le seule doit être pratiquée dans l'avenir. b). L'épilepsie. - La théorie de l'anémie cérébrale comme cause déterminante
e opération possible; ses conséquences ulté- rieures sont nulles. Théorie de l'hérédité. MM. les D''s Hillemand et PETRUC
me nerveux dans les domaines physiologique et pathologique. Dans la théorie des auteurs, le sys- tème nerveux devient l'age
et de la dégénérescence, - précédée d'un aperçu sur les principales théories de la criminalité; par le Dr Rakowsky. (Thèse d
à fixer l'attention de ceux qui sont en position de passer de la théorie à la pratique. B. LES aliénés EN LIBERTÉ. Sou
Kobert, 414. Hémiplégie chez l'enfant, par Bézy, 343. Hérédité. Théorie de l' -, par Hil- lemanrl et Petrucci, a2. Hy
asthénie. Dégénérescence men- tale et -, par Vial, 284. Neurones. Théorie des - eu rap- port avec l'explication de quel-
sseaux provenant d'une -, par Moltchanoff, 351. Névroglie. Sur la théorie de Wei- gert relative à la structure de la -
31 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
oit le côté que vous l'ayez renversée sur votre tapis ; de même une théorie , posée par vous, pourra être renversée par votre
e - cité textuellement par Soury dans son « His- toire critique des théories et des doctrines du système nerveux » des têtes
s plus haut, sont autant d'arguments de présomption en faveur'de la théorie de Meltzer et de la mienne : Voxycêphalie est u
et des encéphalites, pourtant nos cas plaideraient en faveur de la théorie angio-neurotique de Quincke. En effet, dans notre
uction de la méningite séreuse. Miiiizer (2) est même d'avis qne la théorie non-parasitaire de Quincke ne peut plus être sout
à peu près proportionnelle à celle de la lumière blanche. Selon la théorie de Ilenschen sur les voies de transmission des
es mo- trices graphiques dans le langage intérieur » (Dejerine). La théorie d'Ex- ner d'un centre spécial graphique de l'éc
une question pendante, elle n'est qu'un cas de plus en faveur de la théorie uniciste de MM. Brissaud et Meige (1), Launois
ndre publics tous les cas observés..Nous avons la conviction que la théorie proposée par M. le pro- fesseur P. Marie pour l
ans en saisir la signification, parce qu'on ignore généralement les théories auxquelles elle se rattache. Aussi nous a-t-il
a glande conarienne, comme il l'appelle, et ceux où il développe sa théorie des rapports de l'âme et du corps par l'intermé
passages où Descartes répond à des objections qu'ont soulevées ses théories sur la glande pinéale ou com- plète par des ren
aucune indication étant dues à de Gutschoven. Avant d'exposer les théories de Descartes relatives à la glande pinéale dans
circulation du sang par IIarvey (1G` ? 8) dont il avait accepté les théories en les modifiant sur quelques points et d'une m
plus qu'on ne le croit géné- ralement » (2). On trouve en effet des théories très analogues exposées dans les oeuvres de nom
Insoutenable du point de vue de l'anatomie et de la physiologie, la théorie cartésienne relative aux fonctions de la glande p
gé de s'arrêter dans sa lecture, Malebranche n'attribue pas à celle théorie une grande valeur, ni d'ailleurs beaucoup d'imp
, comme on ignore ce qui remplit les circonvolutions du cerveau, la théorie des esprits animaux peut valoir la théorie des ex
volutions du cerveau, la théorie des esprits animaux peut valoir la théorie des excréments du cer- veau. Mais il objecte à
tate une belle structure sous forme de charpente. Il est parti de la théorie granulaire d'Altmann et il s'est demandé si cet
d'expliquer les propriétés des gels et du cytoplasma à l'aide de sa théorie . C'est ainsi que d'après lui différentes propri
nt en rapport avec cette structure alvéolaire. S'il est vrai que la théorie a été admise en partie ou totalement par des au
endues et très ingénieuses pour montrer le peu de fon- dement de la théorie de Bûtschti. Il a étudié la formation de structur
colloïdes à l'ultramicroscope. Néanmoins cet auteur affirme que la théorie alvéolaire ne saurait s'appliquer qu'à une part
ir le moindre doute et cette constatation viendrait à l'appui de la théorie granulaire soutenue par certains auteurs (Pl. X
hui amène l'éclosion de nouvelles idées, quel- quefois de nouvelles théories qui s'efforcent d'apporter une explication, mai
érature médicale. Nous en profiterons pour rappeler les différentes théories admises pour expliquer ces variations et nous t
yse épineuse. Cette disposition ne peut que plaider en faveur de la théorie vertébrale du crâne et de l'opinion des auteurs
eil sur l'ensemble des variations des vertèbres cer- vicales et les théories qui les expliquent. Nous pourrons ainsi faire une
théo- ries est une preuve de l'obscurité qui les entoure.Toutes ces théories ont été étudiées par de nombreux auteurs : Lebo
i l'unissent au sacrum et aux os iliaques. Malheureusement, celle théorie ne peut expliquer que la disparition d'une vert
ce qui n'est qu'une des va- riations numériques des vertèbres. 4° Théorie de l'ascension du bassin. - Regalia (5), en 1880,
inution sera due au contraire à un développement plus marqué. Cette théorie simple, basée sur un fait embryologique certain,
ou en plus dans la région sacro-coccygienne ; il faut, pour que la théorie soit exacte, que le nombre des éléments demeure
'est accomplie dans l'espèce humaine à travers les siècles. Cette théorie est séduisante, satisfaisante même pour de nombre
la fois des signes de réversion et des signes de progression, . 6° Théorie de l'intercalation et de l'excalatioa. Pour Iheri
veux supplémentaire entre deux vertèbres bien caractérisées. Cette théorie se base principalement sur l'existence du nerf en
d'un ou de plusieurs segments de la moelle spi- nale. Dans cette théorie , la segmentation de la colonne vertébrale membra-
mment encore, Guillemin (3) fait une revue critique de ces diverses théories , dans un article qu'il intitule : Interprétations
blant aux vertèbres cervicales ou lombaires. Mais-il manque à cette théorie comme à toutes les autres une preuve objective.
le ne les explique pas tous ; pourquoi ne pas invo- quer, alors, la théorie de l'intercalation et de l'excalation, les modifi
'observa- tion s'explique difficilement par l'une quelconque de ces théories . Il s'agissait, nous le rappelons, d'une colonn
les motifs, on ne se laisse 276 rRÜDERSTRÜn4 pas méduser par des théories psychologiques intéressantes, mais qu'au contra
cho-sexuel re- vêt constamment de nouvelles formes et vient, par la théorie moderne de Freud d'être poussée à l'extrême. Au
une série de documents anatomi- ques, tendant à faire prévaloir une théorie qui n'a pas été admise : 1 unité anatomique des
à quelques considérations qui viendront renforcer quelques-unes des théories émises pour expliquer la pathoge- nèse de la ma
émises pour expliquer la pathoge- nèse de la maladie. Modifiant la théorie dite de la phagocytose, due à Metchnikoff, d'ap
globant la substance striée, Blocq et Marinesco (1) ont soutenu une théorie spéciale pour expliquer la pathogenèse des dyst
prendrait la place des fibres musculaires. Comme on le voit, cette théorie s'appuie sur plusieurs postulats. Aussi faut-il
s dans l'examen du sujet se trouvent pleinement en harmonie avec la théorie pathogénétique que nous venons d'adopter. Ainsi
adictoires, il semble au- jourd'hui bien difficile d'admettre celle théorie univoque : chez notre ma- lade entre autres, ni
ais n'est- ce pas un peu forcer les faits pour les appliquer il une théorie ? Car, ou- Ire que, dans ce cas, les déformatio
hèse n'est d'ailleurs pas une nouveauté, puisqu'elle rentre dans la théorie de l'origine congénitale de la syringomyélie ou d
thèse, aujourd'hui abandonnée d'ailleurs, a fait place à d'au- tres théories qui ont cherché à expliquer la pathogénie de cett
nnaire, variété aleucémique, forme lipomateuse, Launois défendu une théorie analogue. Les cas multiples où l'on a cherché inu
ce de tissu lymphatique dans les tumeurs vont à l'encontre de celte théorie . Il en est de même des examens du sang, mais il e
naturelle des animaux. Dans le If chapitre, 4e', l'auteur traite la théorie des maladies dans lesquelles il faut employer l
32 (1892) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 7
ci dans le domaine de la fantaisie, sans y attacher, d'ailleurs, la théorie spirile proprement dite, la croyance aux esprits.
bien connus des spiriles, nous nous trouvons en présente de plusieurs théories . Selou l'opinion des spiriles, dans le sens stric
éther aux objets extérieurs et remuer ces derniers. Toutes les deux théories ont maintenant des partisans, mais la dernière es
énéral prévaloir dans le public crédule et profane. Ensuite il y a la théorie des hallucinations, qui fut motivée principalemen
articulière dn médium. Ces phénomènes ne présentent donc, selon celte théorie , rien d'objectif, mais bien quelque chose de subj
théorie, rien d'objectif, mais bien quelque chose de subjectif. Cette théorie des hallucinations se rapporte, d'ailleurs, essen
ns l'obscurité terminée, fut retrouvé sur le plancher. A toutes ces théories s'oppose la supposition que les phénomènes produi
l'existence. Il faudrait, pour avoir une opinion sérieuse sur cette théorie , procéder personnellement aux expériences do cont
s'expliquer complètement et d'une façon beaucoup plus simple tans sa théorie . Supposons d'abord que la table se levât seulem
Angleterre et en Amérique. Pour Rainaldi, qui suit ici une troisième théorie , c'est en percutant la zone correspondante au lob
expériences de Rainaldi, quelle hypothèse reste-t-il a invoquer? Une théorie vaso-motrice due encore a Silva. D'après cette th
invoquer? Une théorie vaso-motrice due encore a Silva. D'après cette théorie , entre la circulation extérieure du crâne et la c
n, il ne saurait être question, « car la malade ne connaissait pas la théorie de localisation cérébrale ». Mais Giacomo Lombros
localisation cérébrale ». Mais Giacomo Lombroso la connaissait cette théorie , et il n'y a aucun doute quo les résultats des ex
he le bois, un temple merveilleux d'où sortaient lentement une longue théorie de prêtres en drap d'or et de jeunes filles vêtue
deux nombres complémentaires pour six nombres qui se suivent. *** Théorie de la vision des couleurs, par M. le professeur
. Je crois pouvoir tirer quelque profil pour le développement de la théorie de 1 vision des couleurs d'un certain nombre de p
tion des couleurs). I. Les difficultés qu'avait déjà rencontrées la théorie Young-Helmkoltz se sont manifestement accrues par
ieu d'être comme d'habitude dans le voisinage de D. Ce fait oblige la théorie Helmkollz à avoir recours à des hypothèses compli
compliquées et douteuses en soi. II Le fait observé se dégage de la théorie Héring d'une manière si simple et si naturelle, q
ng pouvait le supposer avant sa découverte empirique. Cependant celle théorie éveille encore quelques scrupules qui sont devenu
isparaître que par des explications longues et démaillées. Les deux théories en lutte ont un défaut commun, c'est qu'elles ne
araître toutes les difficultés existantes en complétant simplement la théorie de Héring et, ce qui en est la conséquence, en la
du jaune et du bleu. Les autres motifs sur lesquels s'appuie noire théorie sont que les faits connus en découlent naturellem
le cours de la Conférence, M. le professeur Brown-Séquard a exposé sa théorie de l'inhibition et la dynamogénie, et démontre qu
, frappa vivement M Brown-Séquard et lui apporta la première idée des théories auxquelles il se voua dès lors sans retour. Pen
te par de nombreuses expériences personnelles, l'ont confirmé dans sa théorie , que nos nerfs sont des réservoirs où sont accumu
her à pénétrer le secret. M. Brown-Séquard termine en critiquant la théorie actuellement admise du fonctionnement des centres
dre que la majorité des hommes devienne civilisée et indépendante. La théorie de la psychothérapie devra se baser sur cette esp
uérir ainsi plus que quelques malades. Mais alors, je fais appel A la théorie de la suggestion si clairement exposée par Bernhe
. Mais veuillez me permettre de vous rappeler que j'ai appliqué ces théories a la pratique, dans la mesure de mes forces, pend
'infini. Mais je ne voudrais pas discuter lourdement cette ingénieuse théorie . Ce qu'il en faut retenir, c'est que dans un nomb
PSYCHOLOGIQUE Par M. le professeur CHaUVEaU. de l'Institut. Dans la théorie Yung-Helmholtz sur le mécanisme de la perception
matique ? On ne le peut, i mon avis, autrement qu'avec l'aide de la théorie Yung-Helmholtz et en y faisant jouer le principal
antes. Il suffît, comme on voit, dans cette manière de présenter la théorie Yung-Helmholtz, d'admettre l'indépendance et la s
faibles et de différents problèmes de photoptométrie ; il exposera la théorie et les principales applications d'un thermomètre
ême doctrine et partage les principes de celte école, en rejetant les théories artificielles de la Salpétrière. Son livre est un
e intéressant au point de vue psychologique et une confirmation de la théorie des localisations cérébrales. Pour que le fait
roupeau docile, même à de mauvaises actions ». Alors, d'après celte théorie , l'homme deviendrait assassin parce qu'il voit tu
sans qu'il y ait vision binoculaire, puisque l'œil droit, d'après la théorie de l'appareil, ne voit pas les lettres vues et re
traitement que la paralysie et les convulsions, c'en sera fini de la théorie des miracles. Que la guérison par la foi. dit M
es racines postérieures. Dans le cours de l'article, il disait : « La théorie , suivant laquelle le» lésions du tabès ne sont au
irme que M. Déjcrine s'ntribue sciemment la propriété dantrui, car la théorie qu'il déclare sienne a été édifiée longtemps aupa
fant menteur. Ce n'est pas d'aujourd'hui qu'est battue en brèche la théorie de la candeur enfantine. Sans vouloir reprendre l
Histoire générale des sciences. — M. Pierre Laffite traitera de la théorie de la science abstraite et de l'évolution mathéma
ormes du sommeil hypnotique a été le point de départ des deux grandes théories émises à Paris par Charcot et à Nancy par Bernhei
que des phénomènes somnambuliques ; cette série, donnant raison à la théorie de Bernheim. ne continua pas, et bientôt nous avo
'influence de la suggestion à l'état de;, 215. Vision des couleurs ( théorie de la), par H. Ebbinghaus 89. Vomissements inco
33 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
accompagnés d'hémianesthésie, ce qui ne concorde nullement avec la théorie de subordination et de correspondance parfaite
utile de refaire ici sur un plus large plan un exposé complet des théories et des divers aspects du coma diabétique. Nous in
erharuruhr, 1884. I. PATHOGÉNIE DU COMA DIABÉTIQUE Les nombreuses théories , proposées pour expliquer le dé- veloppement de
sus ou les liquides du diabétique ; le deuxième groupe comprend les théories qui font de la mort brusque ou rapide le résult
guidé en quoi que ce soit les auteurs dans la .conception de leurs théories . 52 REVUE CRITIQUE. Premier groupe. Lésions m
chose qu'une expression clinique ? Abstraction faite de toutes les théories , dont aucune n'est dé-. montrée, en nous en ten
e, sans qu'il en résulte le moindre trouble cérébral dyspnéique. La théorie de Sanders et de Hamilton est certainement la p
pothèses qui s'inspirent de cette idée se résument en somme dans la théorie de l'acéto- némie. C'est Pettérs et Kaulich qui
étate de soude. Kussmaul chercha à démontrer expérimentalement la théorie . En injectant sous la peau ou en faisant inhaler
à peu, chez les buveurs de profession, au delirium tremens. Cette théorie , si séduisante, parut trop simple. Il arriva al
s produit s ultimes, l'acide acétique et l'acétone. Telles sont les théories . Aucune à notre avis ne peut rendre un compte s
avons déjà dit, il importe de faire des distinctions. Le nombre des théories s'explique, si l'on songe que chacun, jugeant d
s deux catégories de faits sous le nom de coma diabétique qu'aucune théorie n'a pu sembler satisfaisante et applicable à to
dessèchement des tissus. Mais nous croyons que c'est surtout de la théorie de Scott Donkin et de Schmitz qu'ils sont justi
a donc aucune raison valable et démonstrative pour renoncer à la théorie de l'acétone en faveur de celle de l'éther ou de
dant la vie ? En résumé, on le voit, les objections opposées à la théorie de l'acétonémie ne nous paraissent pas suffisan
e nous paraissent pas suffisantes pour nous la faire rejeter. Cette théorie nous semble expliquer d'une manière rationnelle
s du courant, à l'aide des formules physiques ayant cours dans la théorie de la circulation intracrànienne ; mais, si l'on
rmes, la vibration de cette paroi : Application de ces données à la théorie de la circulation intracî,dnieiiie. 1° Quand
tement diminués. M. Holloender. Gommmaiccation sur les nouvelles théories de l'épilepsie. Séance du 26 février 1885.
e cet ordre le nom de folie para- lytique. - 1 Baillarger. Sur la théorie de Id paralysie générale. De la folié paralytiq
étudié les contractures des tabétiques et en faisait le pivot d'une théorie de l'incoordination; mais il ne séparait pas de
tte manière de voir (qui n'est en partie qu'un retour aux anciennes théories de Newton, Wollaston, Müller,Hanovpr et de Grae
té vérifiés sur des chats par Gauser, assistant de von Gudden. La théorie de Ferrier, basée sur des expériences faites sur
de notre analyse pathologique sont en apparence favorables aux deux théories de Munk et de Ferrier. Mais d'une part les cas
32 ) peuvent se concilier avec les autres. En ce qui concerne les théories purement hypothétiques nu cliniques touchant le
posé. Ce schéma fut fait par Charcot pour expli- quer et appuyer sa théorie de la production de l'amblyopie d'un oeil par l
oduite par lésion de la capsule interne. Je regrette de dire que la théorie de mon illustre maître n'a pas été confirmée pa
LOGIE. 239 conditions physiques de la conscience et d'arriver à une théorie qui lui semble être l'expression provisoire de
H. Mauds- ley et de G.-H. Lewes; nous ne rappellerons pas ces deux théories qui sont bien connues de tous ceux qui s'intére
lles; il estime que la vérité se trouve dans l'association des deux théories rivales, et que, quel que soit le centre actif, l
e la Archives, t. XL 16 242 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE. théorie de M. Herzen : l'auteur s'attache ensuite à démon
s il critique Je nom de folie héréditaire. Il critique également la théorie de Morel qui fait de la transmission héréditair
DE LA NÉVRITE SEGMENTAIRE. 353 Sans faire ici mention des diverses théories émises à ce sujet, nous nous bornerons à rappel
l'hypnotisme par des actions chimiques. Aussi, je laisse à part les théories fondées sur les vaso-mo- teurs (Ruinpff, etc.).
ine la durée de l'irritation et son étendue » ; parce que, si cette théorie était juste, l'irritation active resterait touj
aire. En outre, il y a des contradictions en grand nombre à cette théorie ; je crois qu'il serait inutile de les énu- mére
ellules nerveuses du système cérébro-spinal. Jusqu'ici les diverses théories émises : la théorie hématique de Kussmaull et T
système cérébro-spinal. Jusqu'ici les diverses théories émises : la théorie hématique de Kussmaull et Tenner, la théorie ch
s théories émises : la théorie hématique de Kussmaull et Tenner, la théorie chimique de Frerichs, celle des inégalités en p
Quoi qu'il en soit, ces faits tendent évidemment à prouver que les, théories pathogéniques actuelles voulant substituer à l'
s, théories pathogéniques actuelles voulant substituer à l'ancienne théorie bulbaire de Schôoder van *der Kolk l'hypo- thès
eurologie, t. X, p. 104 et 425. 426 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. théorie déjà exposée en détail (22 observations). Le fond
ira donc de démonter les rouages de la perception extérieure, et la théorie sera valable pour toutes les espèces de raisonne-
comme point de départ est celle de Stuart Mill qui, rompant dvec la théorie scolastique, a établi que la forme syllogistique
e. M. Binet fait ici remarquer avec juste raison que, pour que la théorie du raisonnement soit valable, il faut : 1° qu'ell
ent se réunir pour former la conclusion, le jugement final. Cette théorie est toute neuve, car des prédécesseurs de M. Bi
ar diapédèse. On peut s'expliquer ainsi, plus facilement qu'avec la théorie mécanique, la persistance ordinaire et très pro
34 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
ve. On pourrait être tenté, d'après cela, suivant les errements de la théorie actuellement en vogue, de considérer ces lésions
il publié en 1860 (2). Mais bien avant nous et bien avant même que la théorie de l'embolie n'eût été ger-manisée, M. Foville (3
ode de production de cette lésion trophique de la peau rentre dans la théorie générale à laquelle nous avons dû nous rattacher
nous venons de rassembler ne permet-tent pas de construire encore une théorie pathogéniqne du dé-cubitus aigu de cause spinale,
sur les parties dont l'énergie vitale est amoindrie. A l'appui de sa théorie , l'auteur fait ressortir que les deux sujets, don
des descriptions cliniques de M. Alison, je ne saurais souscrire à la théorie palhogénique qu'il a proposée. Je suis loin, tout
. elles-mêmes, relèvent d'une influence directe du système nerveux. Théorie de la production des troubles trophiques consécut
ernard ; analogies entre ces deux ordres de nerfs. — Application à la théorie des nerfs trophiques. — Théorie de Samuel ; expos
x ordres de nerfs. — Application à la théorie des nerfs trophiques. — Théorie de Samuel ; exposé ; critiques. — Conclusions.
fait par la voie des nerfs, mais c'est là encore aupointde vue de la théorie , une donnée insuffisante. Il faudrait s'efforcer
con- vaincu qu'il importe tout au moins de montrer l'inanité d'une théorie qui prétend la résoudre et qui règne aujourd'hui
il ne sera pas difficile de montrer dans une courte discussion que la théorie vaso-motrice est tout à fait insuffisante. Pour
l'action des nerfs dila-tateurs, ne serait, en définitive, d'après la théorie , que la para-lysie vaso-motrice. Or, s'il est vra
e les emprunte à une leçon professée au Muséum par M. Vulpian, sur la théorie des sé-crétions (3). Si l'on coupe tous les ner
rofit. 11 s'agit en effet d'arrêter un instant votre attention sur la théorie dite des nerfs trophiques qui, vous le savez, à d
tion développées par une influence du système nerveux. Or, dans cette théorie , telle du moins que l'a formulée M. Samuel, les n
uvent survenir de cette façon. Ce sont là les traits généraux de la théorie ; pour ce qui est des détails, il était à prévoir
èces de myopathies. Je n'ai jamais partagé le dédain avec lequel la théorie qui vient d'être brièvement exposée a été presque
reuses causes d'erreur (1). Mais tous les arguments dirigés contre la théorie n'ont pas autant de valeur que les précédents. Si
e dans ce groupe (1). Quoi qu'il en soit, avant de s'attacher à une théorie qui ne peut subsister sans mettre enjeu tout un s
de la logique : Haucl multiplicanda entia absque necessitate. Or, la théorie vaso-motrice étant éliminée, il reste encore, san
hèse leur explication sans qu'il soit nécessaire d'avoir recours à la théorie des nerfs trophiques. Nous sommes parvenus, Mes
eau . — Pa-thogénie des attaques apoplectiformes : insuffisance de la théorie de la con-gestion. — Symptômes : État du pouls :
t impressionnables, mal armés pour soutenir ce qu'on appelle, dans la théorie de Darwin, la lutte pour la conservation de la vi
les de produire l'hémia-nesthésie. — Fonctions de la couche optique : théorie anglaise et théorie française. — Critique. — Nome
mia-nesthésie. — Fonctions de la couche optique : théorie anglaise et théorie française. — Critique. — Nomenclature allemande d
notre intérêt, tantau point de vue clinique qu'au point de vue de la théorie , heëmembranes muqueuses sont atteintes d'un côté
stion qui mérite de nous arrêter. Je suis amené à vous parler de la théorie physiologique qu'on pourrait appeler théorie angl
mené à vous parler de la théorie physiologique qu'on pourrait appeler théorie anglaise, puisque ce sont deux auteurs anglais, T
, qui l'ont, les premiers, je crois, émise et soutenue. D'après cette théorie , la couche op-tique serait le centre de perceptio
: il serait l'analogue des cornes anté-rieures de la moelle. Cette théorie , dont Schrceder Van der Kolk (1) s'est montré par
ir seulement un moyen de diagnostic, un élément propre à éclaircir la théorie du mal ; il y a là, encore, un moyen théra-peutiq
, elles-mêmes, relèvent d'une influence directe du système nerveux. Théorie de la production des troubles trophiques consécut
rnard ; analogies entre ces deux ordres cle nerfs. — Application à la théorie des nerfs trophiques. — Théorie de Samuel ; expos
ordres cle nerfs. — Application à la théorie des nerfs trophiques. — Théorie de Samuel ; exposé ; critiques. —Conclusions.....
eau). — Pa-thogénie des attaques apoplectiformes : insuffisance de la théorie de la con-gestion. — Symptômes : État du pouls :
les de produire l'hémia-nesthésie. — Fonctions de la couche optique : théorie anglaise et théorie française. — Critique..— Nome
mia-nesthésie. — Fonctions de la couche optique : théorie anglaise et théorie française. — Critique..— Nomenclature allemande d
somnambuliques, 447. Attitudes passionnelles, 438, 443. Attraction ( Théorie de 1'), 144. Aura hystérique, 286, 325 ; — Ca-rac
nuleux, 215. Corps opto-striés (Lésions des) : leurs effets, 307. — Théorie fran-çaise ,310.— Théorie anglaise,309. Courant
striés (Lésions des) : leurs effets, 307. — Théorie fran-çaise ,310.— Théorie anglaise,309. Courants électriques. Différences
raumatiques, 25. — Lésions spontanées, 22. — Partie théorique, 131. — Théorie vaso-motrice, 133. — Théorie de l'attraction, 144
ontanées, 22. — Partie théorique, 131. — Théorie vaso-motrice, 133. — Théorie de l'attraction, 144. — Théorie des nerfs trophiq
, 131. — Théorie vaso-motrice, 133. — Théorie de l'attraction, 144. — Théorie des nerfs trophiques, 147. — Théorie de M. Samuel
Théorie de l'attraction, 144. — Théorie des nerfs trophiques, 147. — Théorie de M. Samuel, 147. — Critique, 150. —Conclusion
35 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
troubles de sensibilité causés par les lésions médullaires et deux théories entraient en lutte, la théorie de la disposition
par les lésions médullaires et deux théories entraient en lutte, la théorie de la disposition de ces troubles en bandes tra
les en bandes transversales, perpendiculaires à l'axe du membre, la théorie de la disposition en bandes longitudinales, paral
es de sensibilité sera uniquement longitudinale. On a donné à cette théorie le nom de théorie de la disposition segmentaire d
sera uniquement longitudinale. On a donné à cette théorie le nom de théorie de la disposition segmentaire des troubles de l
troubles de la sensibilité d'origine médullaire, et encore le nom de théorie de la disposition métamérique des troubles de l
me, de même, les quatrième et cinquième s'unis- sent la dixième. La théorie dite segmentaire ne suppose pas, jusqu'ici du m
mentation n'a pu encore fournir cette réponse précise que promet la théorie , puisque les résultats obtenus sont variables a
r deux variétés différentes de myélite que la réalité confirmait la théorie . Au surplus cette constatation ne porte nulleme
sive. Ce cas en apparence anormal nous paraît venir à l'appui d'une théorie soutenue par plusieurs auteurs dont nous avons
ire de l'action propre du muscle ou du faisceau musculaire. » Cette théorie a été géné- ralement acceptée par tous les aute
ntractilité électrique. Aussi faut-il concéder une grande part à la théorie de Duchenne, déformations par action prédo- min
res. 52 CESTAN ET LEJONNE Toutefois, il fautreconnailre que cette théorie ne saurait expliquer clai- rement la rigidité d
rapèze, des grands pectoraux. Il serait donc possible que, selon la théorie de Frie- dreich, la myosctérosejouait ici le pr
ype Charcot-Marie. DE LA l1YOTOiNIE ATROPHIQUE CONTRIBUTION A L'A THÉORIE DES MYOPATHIES PAR G. ROSSOLIMO, Professeur
on a fait beaucoup de re- cherches évidemment défavorables pour la théorie de myopathie primitive ; presque tous les jours
ogénie plus exacte. Quant à la maladie de Thomsen, par défaut d'une théorie satisfaisante, il fallait attribuer la cause es
elle de cette affection à une lésion des muscles eux-mêmes. Mais la théorie de la myopathie primitive risque de perdre bien
r elle,et alors elle n'existera que pour la maladie de Thomsen. Une théorie qui attribue la cause de la symptomatologie si co
uter le problème de la pathogénie. On a émis sur ce point plusieurs théories . Je rappellerai simplement celle qui invoque un
e vasculaire ou du système nerveux (central ou périphérique). Cette théorie , qui peut bien s'appliquer à quelques cas, ne s
tique de la région pectorale. C'est là un fait en désaccord avec la théorie précédente. Pour interpréter le cas de mon mala
malade, ainsi que les cas analogues, il faut, je pense, admettre la théorie émise déjà par Froriep en (8 : 9, qui invoque l
par le membre supérieur sur le thorax du foetus. A l'appui de cette théorie on peut faire valoir une série d'argu- ments :
ec la partie pectorale du thorax plaident encore en faveur de cette théorie . Cette altitude et ces rapports permettent de con
. Un tel fait se passe de commentaires. Il n'est pas douteux que la théorie de Froriep est capable d'expliquer, dans certai
ef, de quelque façon qne l'on examine ce cas, on ne trouve guère de théorie satisfaisante, à moins d'admettre la formation d'
t toujours quelque part. Cette vérité de La Palisse appartient à la théorie du sens des at- titudes. Quand une irritation
dans mon étude de l'audition (2) cherchant, pour chaque point de ma théorie , à fouiller jusqu'au terrain primitif des chose
veilleuse organisation capitalisée de l'homme; et pour admettre une théorie contraire à la théorie simpliste que j'expose,il
capitalisée de l'homme; et pour admettre une théorie contraire à la théorie simpliste que j'expose,il faudrait des milliers
rs aucune préten- ,lion bibliographique et où je n attaquais que sa théorie à lui (2) et surtout son argumentation, pose ai
nt l'Homme seul, j'en juge par moi-même et (I) L'Espace idéal et la théorie de M. de Cyon, Soc. de Biologie, 10 février 1900.
sur l'Oreille, cité plus haut, où je reprends, en la précisant, la théorie de Breuer. Les canaux semi-circulaires ont des
ns des attitudes. J'ai plusieurs fois ex- posé ce mécanisme,dont la théorie n'a été rejetée que par M. Egger,n la Société d
re que nous connaissons bien : il vou- lait travailler, il avait en théorie la meilleure volonté du monde, mais il était gê
nique de cet arrêt de développement, de cette absence du péroné. La théorie de la compression par une bride ou par l'étroites
; ce cas viendrait à l'appui de l'opinion de Variot qui soutient la théorie de l'in- dépendance des deux sécrétions. Les gl
n peu avant leur pénétration dans le ganglion (Nageotte). Une autre théorie a été soutenue plus récemment par de Massary, qui
s faits que nous avons observés vient à l'appui de telle ou telle , théorie ; si enfin, juxtaposés aux autres lésions du tabes
nce ne constitue-t-elle pas comme la démonstra- tion clinique de la théorie de Kroepelin qui considère la catatonie deKahl-
roupement d'attente. Enfin nous ne pouvions oublier la séduisante théorie psychique de M. Brissaud qui a donné à la quest
s tard sur ce point spécial, et de re- chercher si, en dehors de la théorie psychique, il n'y aurait pas une expli- cation
yramidal. l. M. Brissaud et, avec lui, M. Meige, sans abandonner la théorie psychi- que, font cependant une légère concessi
r la théorie psychi- que, font cependant une légère concession à la théorie anatomique, en admettant que la lésion est non
e de Friedreich, doit-on en faire un phénomène psy- chique ? « La théorie mentale, dit M. Féré (1), qui tend à envahir l'ét
mais elle a le tort de détruire toute chance de trouver : c'est une théorie paresseuse dont on ne doit se contenter qu'en att
s de la part des cliniciens et des physiologistes. Les nombreuses théories émises sur le tonus peuvent être ramenées a ces
peut-être de même origine que celle des racines postérieures. Les théories qui n'ont eu en vue que la dégénération des racin
elles ne sauraient cependant permettre d'écarter définitivement la théorie cellulaire. Ne peut-on en effet invoquer toujou
ie légère jusqu'à la disparition complète. Il y aurait là contre la théorie cellulaire un argument important, si la concept
générées dans les ra- cines postérieures, viendrait à l'appui de la théorie cellulaire du tabes. Nous rappellerons toutefoi
,son influence trophique, c'est-à-dire la racine postérieure. La théorie cellulaire du tabes et plus particulièrement cell
ale et la syphilis spinale. Id. Soc. de Biologie, 1900. Note sur la théorie du tabes. - Note sur la lésion primi- tive du t
morbide : 'mais cet accident n'est pas la règle. D'ailleurs, si la théorie de Nageotte répondait à l'interprétation exacte
us préférons aux diverses formules généralement trop exclusives une théorie plus éclectique. La lésion essentielle du tabes
ce se prolongeant anormalement au delà dit ternie normal. Contre la théorie de Langer (3), d'après laquelle la plupart des gé
uel.est un Irait si frappant de la maladie qu'une des plus récentes théories palhogéniques est celle de Freund, qui en fait
36 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
(interpré- tation de Sérieux et Marinesco). Malheureuse ment, cette théorie se trouve en contradiction avec le défaut des l
rofesseur Joffroy, dans la thèse de son élève, M. Ricu, applique la théorie générale des phénomènes hallu- cinatoires pour
ment, c'est tout un), il faut penser anatomiquement. L'histoire des théories des fonc- tions psychiques, dans la série des ê
ond et d'Huxley, est précédé de con- sidérations sur l'histoire des théories et des doctrines du système nerveux où apparais
orps, il ne saurait plus être question. Le savant doit connaître la théorie de la connaissance. Ce que nous pouvons connaît
es posi- tivistes à une simple responsabilité envers la Société. La théorie positiviste se présente d'ailleurs sous diverse
ndoff la scoliose n'ait aucun rappoitavec la syringomyélie. Déjà la théorie des probabilités s'oppose à cette manière d'env
blier ses conférences dont l'ensemble constitue ce manuel. Point de théories hypothétiques, point de controverses doctrinale
rêt et avec avantage. F. B. IL L'éducation par l'instruction et les théories pédagogiques de Hel'ba¡.t; par M. Mauxion, prof
. Vol. in-18 de 188 pages. Paris, 1901. Félix Alcan, éditeur. Les théories pédagogiques de Herbart, bien que datant du début
uite du but de l'éducation, parue en 1806. Pour bien comprendre les théories émises par Herbart, il est indispensable de con
ution, la moralité. On voit quelles ressources on peut tirer de ces théories au point de vue de l'éducation. Avec le système
on plus de science, mais de croyance. Si Herbart n'admet pas' les théories transformistes qui de son temps, commençaient a
oir donné à la psychologie une base scientifique, sans recourir aux théories paresseuses des idées innées ; ce sera encore d
uffit, pour s'en persuader, de lire l'histoire des doctrines et des théories sur la structure et les fonctions du système ne
luences subies ne sont pas aussi nettement délimitées en fait qu'en théorie , et sont modifiées par des réac- tions réciproq
évolution peu avancée comme celui présenté ici sont favorables à la théorie méningée. Ce cas présente en outre des lésions
Parmi les communications annoncées, nous citerons : Arnaud. Sur la théorie de l'obsession. G. Ballet. Sur les lésions cortic
ns laissé à dessein de côté jusqu'à présent toute doctrine ou toute théorie . Sans nous départir d'une certaine réserve, nou
eux pour cela cette non-perception de la sensation visuelle ? Trois théories sont en présence pour tenter de nous l'explique
ce de cette fonction ' ». Mais qu'on se rallie à l'une de ces trois théories ou qu'on les accepte toutes les trois, il ne no
développement embryonnaire avec considérations particulières sur la théorie toxique de l'épilepsie; par Cené. (Riv. -"p. di
resque illimité de l'objet défini. On a pu penser un instant que la théorie des neurones allait éclairer la nature de l'hys
moins la lumière anatomique. Mais l'au- teur, partisan résolu de la théorie des neurones et de l'avenir qu'elle nous ouvre,
torique de la question, l'orateur expose et critique les nombreuses théories éditiées dans le but d'expliquer le mécanisme '
t intoxications. IL Réflexes : Après avoir développé les nombreuses théories for- mulées par ses prédécesseurs, le rapporteu
sa théo- rie. III. Contracture. L'orateur expose et critique les théories sui- vantes : il démontre que le mécanisme de l
entre des tonus est exclusivement vertical d'après \I. Crooq. Cette théorie n'explique pas les faits de lésion de la capsul
d'autant plus le rapport de 111. Crocq dans son exposé critique des théories que, déjà en 1899, j'étais arrivé, pour des rai
des raisons semblables, à soutenir que nous ne pos- sédions pas une théorie de la contracture capable d'en expliquer les mo
alités cliniques. Mon opinion n'a pas changé et je n'accepte pas la théorie de lI. Crocq. Je ne puis concevoir en effet que t
ÉS SAVANTES. lésion et pourtant la paraplégie était spasmodique. La théorie de M. Crocq ne saurait donc expliquer tous les
uméro. Séance du 5 août (soir). Présidence DE M. Chénieux. Sur la théorie de l'obsession. M. L. ARNAUD (de Vanves). - On
de Vanves). - On a appliqué à l'obsession l'une et l'autre des deux théories principales de l'émotion, la théorie intellectu
ion l'une et l'autre des deux théories principales de l'émotion, la théorie intellectuelle et la théorie physiologique. Les
théories principales de l'émotion, la théorie intellectuelle et la théorie physiologique. Les deux théories nous paraissen
on, la théorie intellectuelle et la théorie physiologique. Les deux théories nous paraissent également insuffisantes pour ex
ssent également insuffisantes pour expliquer cet état mor- bide. La théorie intellectuelle néglige presque absolument les s
s, 2' série, t. XII. 22 338 SOCIETES SAVANTES : , Inversement, la théorie physiologique ou émotive (Lange, H. James, Ribo
de l'emphysème. Il sort guéri. Il. de i\IUSGIà.1\'E-CLaT. XXI. Une théorie relative aux états physiques du système ner- ve
le délire qui cause l'acte, qui fait la stéréotypie. Toute- fois la théorie contraire a été soutenue : on a prétendu que le
et que le délire ne venait qu'ensuite pour expliquer l'acte. Cette théorie peut suffire dans certains cas pour interpréter
typies. Dans d'autres cas', elle peut se combiner à la pre- mière théorie . Mais, d'une part, dans la grande majorité dés
ns indiqué plus haut celle de Brugia et Marzocchi. Quant aux autres théories , nous ne ferons que les signaler et les critiqu
Picinino, - ne nous ont pas davantage menés loin sur ce terrain. La théorie des fibrilles ne fait pas avancer la question,
ocalisation du réflexe rotulien, M. Laureys se rallie à la nouvelle théorie de van Gehuchten, qui fait jouer au noyau rouge
hten, qui fait jouer au noyau rouge le rôle excitateur qui, dans la théorie de Bastiau, était attri- bué au cervelet. Cette
ui, dans la théorie de Bastiau, était attri- bué au cervelet. Cette théorie lui semble cependant en contradic- tion avec le
résistance plus ou moins grande du sujet, sont un nouvel appoint à théorie infectieuse des myélites et éclairent la marche
rs que la cellule reste saine. En résumé, M. Marchand estime que la théorie parenchymateuse et la théorie interstitielle pe
En résumé, M. Marchand estime que la théorie parenchymateuse et la théorie interstitielle peuvent être soutenues l'une et
r, 120. - en miroir, par : lleige, 266. Education et instruction, théories pédagogiques de Herbart,. par 9lauxion, 69.
OTT. Etude histologique du - cancéreux, par Oberthür, 158. Manie. Théorie relative à la mélan- colie et à la , par Turner
me sous cutané dans TABLE DES MATIÈRES. 551 la -, par Cowen, 411. Théorie relative à la - et à la manie, par Turner, 41
a faciale et la rétro-urbitaire, par Leszinski, 524. Obsession. Théorie de l' -, par Arnaud, 337. OEDJ ! ME hystériqu
37 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
généralisés aux quatre extrémités. Bien que vivement critiquée, la théorie de Babès mérite qu'on s'y arrête ; avec Fumarol
el familiales (1907, Bailliére, Paris), Apert n'admet pas encore la théorie de Babès, pour expliquer son syndrome d'acrocé-
varié. Les faits ci-dessus ne confirment pas complètement la simple théorie du maïdisme et nous forcent à cher- cher encore
ait en effet (1) que l'on a récemment essayé d'expli- quer, par une théorie hypophysaire, les rapports de la diathèse urique
ris, 1901. LE MÉCANISME DES PHÉNOMÈNES HYSTÉRIQUES ESQUISSE D'UNE THÉORIE PSYCHO-PHYSIOLOGIQUE DE L'HYSTÉRIE, PAR Alb
morbides. C'est bien là le point le plus dif- ficile de toutes ces théories , le point par lequel on juge de leur valeur. Mê
u tableau de cette affection. Enfin je cher- cherai à esquisser une théorie qui, loin de méconnaître l'importance des thèse
es résultant de l'étude de l'hystérie et de l'examen des meilleures théories la concernant, sont, à mon avis, les suivantes
ait que les troubles hystériques sont très rares après les émotions THÉORIE PSYCHO-PHYSIOLOGIQUE DE L'HYSTÉR1E 259 très int
(3 Jeues, 1 principi di psicologia. Trad. Italiana, 1901, Milan. La théorie des émo- tions, Alcan, édit. 1903. (4) Fouill
, Congresso della Società Ilaliana di. Neurologia. Firenze, 1914. THÉORIE PSYCHO-rilYblOLOGlQUE DE L'HYSTÉRIE `ZG. mécani
es images cénesthésiques. Ma thèse se distinguerait également de la théorie de Sollier (4), le seul (1) CLAPAHÈDE (Ed.), Qu
is ils91; Hys<<'«eef sommeil. Archives de Neurologie, 1907. THÉORIE PSYCHO-PIIYSIOLOGIQUE 6'#- l'h^STERIE 265 auteu
et du désordre conséquent de cette importante fonction. D'après la théorie de Sollier restent tout à fait inexplicables to
modifications les plus profondes de la cénesthésie (Sollier). Ma théorie explique parfaitement, à mon avis, une des partic
rs et du cerveau organique, ce qui s'accorde parfai- tement avec la théorie cénesthésique que j'ai proposée. On admet, en eff
des troubles vaso-moteurs et sécrétoires dans cette affection. La théorie cénesthésique que j'ai décrite éclaircit égalemen
s, Alcan, édit. 1905. (3) DA1.LONP1ES, Revue philosophique, 1905. THÉORIE PSYCHO -PHYSIOLOGIQUE DE L'HYSTÉRIE 267 a pas u
de Neurologie, Paris, 1906. (3) DUPRÉ et LOGRE, Encéphale, 191l. THÉORIE PSYCHO-PHYSIOLOGIQUE DE L'HYSTÉRIE 269 t La t
hale, 191l. THÉORIE PSYCHO-PHYSIOLOGIQUE DE L'HYSTÉRIE 269 t La théorie cénesthésique éclaircit enfin l'importance des al
'hys- térie ne pourraient certes pas trouver d'explication dans une théorie purement psychologique de celle affection, tand
celle affection, tandis qu'ils s'éclaircissent parfaitement par ma théorie cénesthésique. La cénesthésie représente pré- c
asomotor conditions. H. Gleischer, Lon- don, Anjou Médical, 1909. THÉORIE PSYCHO-PHYSIOLOGIQUE DE L'HYSTÉRIE 2Î1 1 même e
s à se répéter indépendamment de celles-ci. C'est également par une théorie cénesthésique qu'on peut expliquer les rapports
cités entre les lésions organiques et l'hystérie, rapports que les théories purement psychologiques de cette affection ne s
chologiques de cette affection ne sauraient nullement expliquer. La théorie cénesthésique que j'ai décrite nous donne enfin l
Psycho-andlyse, 1913. Scientia. 272 SALMON contradiction avec les théories principales qui ont été avancées dans l'étude d
ffection, mais qu'elle éclaircit les points les plus obscurs de ces théories , les rendant ainsi plus acceptables. C'est pour c
x rouges, soit dans les couches optiques, a per- mis de formuler la théorie , maintenant en vigueur, que la présence des sec
involontaires. Plus récemment von Niessl Vlayendorf élargi cette théorie en acceptant t que la lésion de certaines parti
opinions. S'il est vrai que l'anatomie nous défend de retourner aux théories de Magendie et de Schiff, quelques observations
, aurions-nous dû alors songer à une intervention chirurgicale ? En théorie c'est possible. Mais en pratique, Ù la pensée d
e, le syndrome adiposo-génilal. Plus récemment, .\sclmer reprend la théorie de Erdheim admettant un centre Irophillue il la b
te en même temps et sous une autre forme aux membres inférieurs, la théorie mécanique devient très problématique, bien que
raumatique deviendrait alors presque négligeable et pour appuyer la théorie nous ne le supprimerions que mieux. En réalité,
une action compressive due à l'amnios ou à une bride amniotique. La théorie qui consiste à considérer la disparition du péron
montré tous les faits et toutes les raisons qui contredisent cette théorie . La théorie amniotique vaut-elle mieux ' ? Elle
es faits et toutes les raisons qui contredisent cette théorie. La théorie amniotique vaut-elle mieux ' ? Elle repose sur l'
rêt de développement de l'amnios serait un phénomène fré- quent. La théorie est alors la suivante : la compression de la jamb
ouve aussi dans le métabolisme normal. Et, comme Kraïnsky a émis la théorie que l'épilepsie consisterait dans un empoisonne
nement pas insuffisance du foie, ce qui, par conséquent, détruit la théorie de Kraïnsky. Cette dernière était, d'ailleurs,
EN carbamates, il pensait que cela donnait une base suffisante à sa théorie . Pourtant les carbamates sont transformés par l
tes chez des malades souffrant d'épilepsie céré- brale ; quant à sa théorie qui en découle, c'est-à-dire le trouble dans la
ous forme .d'une action complètement suppléante. En faveur de cette théorie on peut citer (Biedl) : 1" le résultat favorabl
Hystérie (Le mécanisme des phénomènes hystériques. Esquisse d'une théorie psy- cho-physiologique de l' -), par SALMON,
orence). Leméca- nisme des phénomènes hystéreques. Esquisse d'une théorie psycho-physiolo- gique de l'hystérie, 251. So
38 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
at convulsif par un autre état convulsif tout différent ? : ' Les théories de physiologie pathologique du tétanos ont été
Ce n'est pas le lieu de faire une revue critique des différentes théories qui ont successivement prédominé. Disons seulemen
ne pas être atteint. Gowers a, parmi d'autres, fort bien défendu la théorie de l'origine cérébrale dé l'épilepsie. Il compa
les douleurs dans la moitié des cas. P. K. XII. Contribution A la théorie DE la nature infectieuse DES névroses; par B. H
individus conservés comme témoins. ' P. K. XVI. Contribution A la théorie DE l'hypnotisme et DE L'HYbTÉROE; par H. KUItEL
buer une origine centrale, plutôt que périphérique, et que les deux théories actuellement les plus en faveur sont la théorie
et que les deux théories actuellement les plus en faveur sont la théorie vasculaire et la'théorie moléculaire. Suivant la
ulsive, militent fortement en faveur de cette opinion. La seconde théorie , que l'auteur nomme théorie moléculaire, et qui e
en faveur de cette opinion. La seconde théorie, que l'auteur nomme théorie moléculaire, et qui est peut-être plus générale
méthode bien plus sûre des minima. P. K. XXIV. CONTRIBUTION A la théorie DE l'étiologie DU TIC CONVULSIF; par 0. Buss. (
des cas également démonstratifs (et absolument cuufirmatif's de la théorie de Ferrier) ont déjà été publiés, l'auteur se d
jJ¡,ychiat" XLIV, 2-3.) En même temps qu'il procède à une revue des théories et des observations publiées, M. Euphrat décrit
nique des populations de crétins. Que ri a-t-on pas écrit sur la théorie de la phthisie pulmonaire ? Que deviennent ces di
ce genre ressort issent à la psychologie, et qu'en conséquence, une théorie essentiellement psychologique sera seule capabl
lement psychologique sera seule capable de les interpré- ter. Celle théorie serait la suivante : à l'état normal d'harmonie
éritable annexion psychologique, en n'hésitant pas à nous offrir sa théorie de la désagrégation, pour nous rendre compte de
héréditaire ou acquise, et à ce propos, il rejette complètement la théorie infectieuse de l'épilepsie proposée par 1V1\I.
ur la responsabilité légale des aliénés dans laquelle il rejette la théorie de la responsabilité partielle; une autre sur les
paralysie des membres inférieurs consécutive à l'accouchement. La théorie de M. Dorion' est -peut-être plus ingé- nieuse
e et la pathogénie ne semblent rien pré- senter de particulier. Les théories mises en avant pour interpréter les cas traumat
ification des parties nourries par les vaisseaux dilatés. Une autre théorie expliquerait le ramollisse- ment par un process
e aujour- Archives, t. XX. 15 226 CLINIQUE NERVEUSE. d'hui à la théorie périphérique de la paralysie satur- nine : peut
ALYSIES CAUSÉES PAR LA VAPEUR DE CHARBON. 227 invoquée contre cette théorie : ne voit-on pas assez souvent la paralysie sat
servation. Détail des expériences bien connues de la Salpêtrière. Théorie . - L'état de veille ordinaire se coinpose d'une c
RAVAL. 246 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. · LUI. Contribution A la théorie DES ZONES épileptogènes ; par E. A. HontÉN. (Ce
offre beau- coup de matériaux ». Mais que M. Kandinsky publie « sa théorie et ses études sur les hallucinations (vraies) s
AIT ENGENDRÉE PAR LE CHLOROFORME APPLI- QUÉ par VOIE CATAPIIORIQUE ( théorie d' Adamkiewicz) ; par H. PASCH- Ris et J. WAGNE
tissus par pénétration moléculaire (cataphorèse). P. K. LA vraie théorie DE l'induction ; par le Rev. W. G. D.1VIES. (Th
au traumatisme, au tabagisme et à la suralimentation; -2° dans la théorie de la paralysie générale par intoxication, l'ordr
noble, et plus tard nuisible par excès de développement ; 3° notre théorie explique le mécanisme de la curabilité et de la
Séglas répond qu'il n'a fait que constater des faits sans donner de théorie : - Un des malades observés, ayant une résis- t
s que pour lui il est très partisan, dans la doctrine spirite, dela théorie des réincarnations, et c'est ainsi qu'il attribue
es. Je me propose dans ces lectures d'esquisser l'évo- lution de la théorie des localisations cérébrales, d'indiquer les pr
tre, ce qui a été regardé, à juste titre, par les adversaires de la théorie comme détruisant d'un coup les principes fondam
unie, réside essentiellement dans le même organe. » . Quoique les théories de Flourens aient rencontré une appro- bation g
nuellement des faits qui semblaient inintelligibles en dehors de la théorie de la localisation ; et les observateurs cliniq
des lobes antérieurs et la perte de la parole confirmant ainsi les théories de Gall sur le sujet, Dax (1836) établit la rel
érimentation physiologique. Ensuite un grand pas a été fait dans la théorie des localisations par Hughlinges Jackson (1861)
t. C'est sur ces données et d'autres semblables qu'Exner a fondé sa théorie des centres absolus et relatifs ; les centres a
les autres tissus animaux, comme une insurmontable objection à la théorie qui veut que les résultats de l'application des é
tomotique et non excep- tionnellement comme le prétend Duret. Cette théorie fait perdre aux territoires artériels une grand
de la lumière, l'une des deux seule réagit. M. Heddoeus présente sa théorie et son schéma, M. Moebius également. Une discus
mpose d'une introduction et des ex- périences propres à éclairer la théorie médullaire de la convul- sion épileptique : un
Le contre-expert, en la personne du Dl' Carlier, se basant sur les théories de l'Ecole de Nancy, rejetait les preuves tirées
. Hyperiotrose unilatérale, par Fried- lauder, 242. Hypnotisme, théorie de l' - et de l'hystérie, par Kurella, 74 : in-
, Orchansky, 429. Incendie dans les asiles, 455. Induction, vraie théorie de 1' , par Davies, 262. Infirmerie (des) et
39 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
thige), en '18022. Cette dénomination particulière appuyée d'une théorie spéciale suscite des communications de MAI. SEL
est sur l'état de l'humeur que '\VERNICIOE appuie principalement sa théorie , sinon nouvelle, au moins ingénieusement repris
tue l'hypertrophie du caractère normal. Que vaut dans l'espèce la théorie de 'WERNICIOE, sur le rap- port entre l'idée et
e de cette Archives, 21 série, t. VIII. 2 lao CLINIQUE mentale. théorie du trouble affectif inhérent au souvenir, ce crit
l'histoire et la clinique, on verra qu'ils viennent à l'appui de la théorie générale et se rattachent à l'une des phases th
nce et dédaignant les opinions courantes, ils font eux-mêmes leur théorie ; mais ils n'inventent rien, et, croyant s'affranc
t en effet curieux de retrouver les hypothèses des aliénés dans les théories abandonnées qui eurent cours en science et en r
héories abandonnées qui eurent cours en science et en religions. La théorie du physiologiste V. llelmont sur l'archée épiga
intellectuels de la folie, P. Dclahayr, 1867. Calmeil. De la folie ( théories ), t. 11, p. 115. MYSTICISME ET FOLIE. 37, Ce
est resté plus discuté dans son existence et plus difficile dans sa théorie que le chapitre du cordon latéral et de ses rap
DENCE DE M. J. Voisin. L'hérédité dans les familles d'aliénés et la théorie générale de l'hérédité. M. Sollier donne lect
ésentent le plus grand intérêt. Quant à l'autre partie, c'est de la théorie et de l'hypothèse, et bien que les considératio
question ; nous n'avons pas en effet l'intention de revenir sur les théories émises à propos de la folie sympathique. Le ter
ue. - Sommaire du numéro de mai 1S99 (2\,e année). F. LE Dnwcc : La théorie biochimique de l'hérédité. - GOI3LOT : Fonc- ti
Ibero-Americcoaa de cène. med., Marzo, 1S09. Madrid, 1899.) Deux théories contraires dominent les conceptions actuelles de
, comme dans l'épilepsie essentielle. Ici nous sommes en face de la théorie d'in- toxication et d'autointoxication, qui sou
lité manquent souvent en réalité, il ne faudrait en conclure que la théorie a tort, car nous savons avec quelle facilité s'
-à-dire du six° siècle quis'éteint. Il rend hommage avant tout à la théorie de l'évolution, qui se retrouve à la base de to
re-t-on par endroits un manque de précision scientifique. Certaines théories sont exposées sans discussion ; certaines opini
éveloppement de l'ovule, qui est aussi d'origine épithéliale. Cette théorie ne rend pas compte des causes intimes du phé- n
, les poumons, l'intestin, l'estomac. On pourrait alors admettre la théorie de Yllüâer : « l'écoulement menstruel est un ré
s des règles : ovulation et hémorragie et viendrait à l'appui de la théorie de Beigel. L'ovulation aurait toujours lieu ; l
t exagération du réflexe contraire de la vaso-constriction. Cette théorie permet de donner une explication à notre cas ;
nt eux-mêmes dus à un arrêt de déve- loppement, au moins d'après la théorie généralement admise. Faut-il regarder le dévelo
avancé de la dégénérescence psychique : d'où la relation que cette théorie établit entre les deux lésions. Il est alors né
mittente ont été observés et étudiés pour qu'on puisse en tirer une théorie . (The Amel'ican journal of izzsunlly, avril 189
générale. Enfin depuis quelques années s'est produite une dernière théorie éclectique d'après laquelle la syphilis peut co
des hallucinations dans la paralysie générale, M. Truelle adopte la théorie de M. Magnan qui les explique par la dégénérescen
vraie ou organique. Le travail commence par une mise au point des théories patho- géniques du syndrome de Little; elles pe
atho- géniques du syndrome de Little; elles peuvent se grouper en théories dualistes et en théories unicistes. Les dualistes
ome de Little; elles peuvent se grouper en théories dualistes et en théories unicistes. Les dualistes (Seehg- müller, Forste
a pas une lésion unique, ainsi que l'exi- gent les partisans de la théorie dualiste. Dans la deuxième partie de sa thèse,
s exposés plus haut, les fait servir à la discussion des nombreuses théories pathogéniques de la contracture organique. Nous
ment, avoue ses hésita- tions, tout en donnant ses préférences à la théorie d'Hitzig, modifiée par von Monakow. Ainsi, tr
oir rejeter absolument la part de vérité que ren- ferme chacune des théories précédentes, nous voulons pro- poser l'hypothès
erk et Barth, etc. S'appuyant sur ces résultats complexes, diverses théories virent successivement le jour sur la pathogénie
cellules granuleuses au moyen des boutons terminaux typiques. La théorie du contact de Hamon y Cajal et Kelliker ne parait
amon y Cajal et Kelliker ne parait pas devoir être remplacée par la théorie de l'adhérence de Held. Car nulle part, on n'ob
la persistance de la discontinuité anatomique ? Nous ne savons. La théorie du treillis élémentaire formé par les fibrilles p
uel nous aurons à revenir, une grave objection peut être faite à sa théorie . Nous même avons pu maintes fois constater chez
ait de plus justement observer, et ceci est un argu- ment contre la théorie de Cherchewski que la notion de position ne sau
e centrale du sens musculaire n'est plus guère ad- mise en tant que théorie exclusive. Wundt lui-même en qui elle se person
ctère volon- taire. Et il montre comment on peut concilier les deux théories . « Dans la pratique, dit-il, cette idée de mouv
pour lequel Johannès Muller et Wundt avaient cru devoir forger une théorie spéciale. » Les sensations fournies par les org
trouve pour Claparède une autre explication en conformité avec la théorie de l'origine périphérique du sens musculaire. Ell
ur association avec d'autres éléments sensoriels ou mnésiques. La théorie de Claparède est donc une théorie simpliste, su
ments sensoriels ou mnésiques. La théorie de Claparède est donc une théorie simpliste, surtout si l'on tient compte de ce f
ne légale. (Annules médico-psychologiques, août 1899.) E. B. LUI. Théorie cérébrale de la respiration de Cheyne-Stockes;
s moteurs de la respiration, tend à se substituer aujour- d'hui une théorie qui attribue à ce phénomène une origine céré- b
qui attribue à ce phénomène une origine céré- brale. D'après celte théorie , qu'admettent de nombreux auteurs, en particuli
ettement accusés de la perte de l'influx nerveux encéphalique. La théorie cérébrale de la respiration de Cheyne-Stockes se
M. Paul Londe. Sur les troubles moteurs du goitre exophtalmique. Théorie de l'hypotonie. Chez les Basedowiens, les phénomè
ou- mettra aux lois. M. Thulié ne s'est pas contenté d'exposer sa théorie , il réfute chemin faisant les objections. Il s'at
les procédés qui ne s'attaquent qu'aux muscles en se basant sur la théorie qui incri- mine dans la scoliose des lésions mu
tème nerveux central. Structure et fonctions. Histoire critique des théories cl des doctrines. 2 volumes in-11 reliés formant
? par Bouet,57. Hérédité. L' - dans les familles d'aliénés et la théorie générale de l'hérédité, par Sollier, '57. Hyg
les psychiques par Charon, 433. Respiration de Cheane- Stockes. Théorie cérébrale de la -, par ISahé, 4S` ? . - pendant
40 (1896) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 11
plia pas aux idées reçues, mais lutta avec l'école de Nancy contre la théorie des trois états de l'hypnotisme : catalepsie, lét
sacrer une de ses séances tout entière (celle du 19 mai 1868} à cette théorie aussi bizarre que nouvelle, mais ce fut pour ente
toutes les diversités grâce aux découvertes de Cajal qui ont amené la théorie du neurone. La cellule nerveuse ne se continue pa
ndividu à l'autre et chez le même individu, suivant les époques. La théorie des neurones nous permet ainsi d'instituer de nou
i m'ont été communiquées par des confrères et venant à, l'appui de ma théorie , à savoir : que si un grand nombre de phobies se
qu'il n'y a rien de vrai, puisqu'on ne peut les expliquer d'après les théories de la science officielle et qu'on ne peut, en sui
bien faire remarquer que je ne veux en aucune façon émet- tre une théorie sur la cause qui provoque ces phénomènes et la ma
n est-il plus compliqué et plus obscur qu'il ne le parait d'après les théories de cette école,et faut-il faire une part, au moin
sensations de lumière et de fatigue ; in-8°, 115 p. Bruxelles 1873. — Théorie générale de la sensibilité, in-8°, 107 p. Bruxell
herches ultérieures des mathématiciens n'ont fait que confirmer cette théorie ingénieuse et profonde qui était, pour l'époque o
ubliée, en 1877, sous ce titre : Une loi mathématique applicable à la théorie du transformisme4. L'auteur cherche à prouver par
conscience ont une certitude supérieure à celles que peut donner une théorie scientifique des phénomènes de l'univers, si bien
et les rêves, considérés principalement dans leurs rapports avec les théories de la certitude et de la mémoire3. Il s'y est lon
gain ni perte 4. Ni au point de vue logique, ni au point de vue de la théorie , le mouvement ne peut être indestructible. D'abor
à une troisième, ainsi de suite. La preuve de la justesse de cette théorie nous est fournie par la remarque suivante : Les a
on œuvre, et je m'étonne que M. Bérillon ne l'ait pas compris. « La théorie du bloc ne convient guère aux intelligences. Dans
vait adoré la veille, et, quand il croit avoir reconnu l'erreur d'une théorie scientifique, de s'en faire aussitôt l'adversaire
exercer dans le mal ou ce qu'elle considère comme tel ? La première théorie est celle du a laisser faire, laisser passer ». E
nde est celle de l'intervention de l'Etat. Spencer, pour appuyer sa théorie , se basait uniquement sur le transformisme et la
a vie et les biens des citoyens. Sans doute, en bien des cas, cette théorie est avantageuse. L'Etat ne doit pas substituer so
ent à sa plus ancienne publication ; ensuite, de donner un aperçu des théories contenues seulement dans Neurologie, etc..., et,
yait à l'origine physique du phénomène hypnotique et en référait à la théorie par laquelle il essayait d'expliquer certains cha
s autres centres nerveux. « Mais, dit-il, en supposant même que mes théories ne donnent pas l'explication entière du phénomène
n complètement oubliées, n'ont pas exercé d'influence pratique sur la théorie mesmé-rienne, et Braid les ignorait évidemment lo
enues dans son temps. Braid montra plus tard que la similitude de ses théories et celles de Faria était plus apparente que réell
que chose de tout à fait indépendant du corps. » En opposition à la théorie qui rapprochait l'état d'hypnotisme de l'état de
'hypnose paraissent lui avoir suggéré les premières altérations de sa théorie et semblent avoir ébranlé sa foi dans l'explicati
, démontre qu'à cette époque, Bernheim ignorait encore absolument les théories avancées de Braid : — a. Braid, dit-il, faisait u
grand investigateur des phénomènes qui ont affranchi l'hypnotisme. Théorie Générale Nous avons vu qu'au commencement de «
rance de ce qu'on attendait de lui. Enfin, dans d'autres ouvrages, la théorie physique est entièrement abandonnée en faveur d'u
rages, la théorie physique est entièrement abandonnée en faveur d'une théorie purement psychique. C'est alors que Braid, après
ne peut être plus approprié que celui de Psycho-Physiologie. » Cette théorie fut, pour la première fois, publiée par Braid, en
pnose. Et Braid déclarait qu'il s'était déjà efforcé de prouver cette théorie plus de cinq ans auparavant. En réplique à un é
ique à un écrivain qui avait adopté une forme modifiée de l'objective théorie des phénomènes hypnotiques, Braid dit : — « Si M.
m voulait seulement condescendre à considérer la simplicité de la théorie subjective que j'ai osé exposer, je pense qu'il c
loquence verbale ou écrite. Or, cela prouverait nécessairement que la théorie magnétique est vraie. Mais, je crois, au contrair
vaste étude pourrait présenter de trop abstrait, laissant de côté les théories un peu osées bien que très séduisantes de l'auteu
a nature subjective des phénomènes et Esdaile lui-même partageait les théories erronées des mesméristes. Ceci eut peu d'influenc
ent, à la tête d'un hôpital de Calcutta, pour y mettre en pratique sa théorie mesmérique. A partir de cette date jusqu'en 1851,
rsque l'influence de l'hypnotisme est suspendue. A l'appui de cette théorie , Braid appelle l'attention sur les cures obtenues
ment d'une sensation. Le cerveau est un lieu de passage. Toutes ces théories , condensées, composent une première partie de l'o
suite) SUGGESTION, PASSES, ETC. A mesure que Braid abandonnait sa théorie physique, comme il avait abandonné sa méthode méc
41 (1866) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Tome sixième. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Première partie
uel volume nous auraient entraîné de grands détails de pratique et de théorie . Outre qu'un pareil travail serait déplacé et tou
à l'esprit, est cependant le plus attaquable à toute époque; car, en théorie , il s'appuie sur ce qu'on connaît le moins; et, e
sous les noms d'absorption et d'exhalation; mais ils ont pris dans la théorie de M. Dutrochet, une signification plus étendue e
qui les mettent en jeu. Toutefois, cet habile physiologiste, dans sa théorie , paraissait restreindre ce fait aux corps organis
aux corps poreux, c'est-à-dire^ par limbibition, ce qui généralise la théorie , sans toucher néa 11 moins à l'importance de ses
nces en action, d'une part les tissus, et de l'autre les liquides. En théorie , et 1 expérience le confirme pleinement, l'endosm
ience plus générale, qui montre les lacunes ou les inconséquences des théories reçues, et en nécessite la révision. Les sciences
époques critiques, si gênantes pour l'enseignement, où les anciennes théories , croulant de toutes parts, sans qu'il y en ait en
ont plus entre eux de langage qui leur soit commun. En pathologie, la théorie phlogistique n'est réellement plus soutenable, et
upent d'autres qui ne tarderont pas à donner naissance à une nouvelle théorie : toutefois, cette théorie n'existe pas encore. H
ront pas à donner naissance à une nouvelle théorie : toutefois, cette théorie n'existe pas encore. Heureusement que, dans lesuj
isposition, que l'on observe partout sur les os des membres, donne la théorie des foyers dans les abcès profonds où le pus, en
'ils ont à supporter : c'est ce point de vue dynamique, renfermant la théorie étiologique d'un grand nombre de maladies, qui co
avail morbide dont elles sont les produits. Ainsi, on conçoit déjà en théorie , que les substances très perméables, les gaz et l
ou d'une fraction des membres. A l'appui de cette assertion, vient la théorie des abcès froids et par congestion. Pour le sang,
adhérences fibreuses sous la pression continue des viscères. De cette théorie il résulte que, dans la hernie crurale, l'intesti
nsidérable, tend à s'organiser en un canal mu-queux accidentel. Cette théorie étant exposée, toute perforation du tube alimenta
ubis, et continu avec les enveloppes du cordon, on l'a considéré , en théorie , comme un prolongement du fascia superficialis re
luleuse. Enveloppe spéciale du cordon et du testicule, ce n'est qu'en théorie qu'on a pu la considérer comme un prolongement du
en arrière l'articulation fémoro-tibiale, elle s'isole néanmoins, en théorie , de la région du genou, la partie antérieure, vu
ur-tout par des émissions sanguines. Pourtant, ainsi restreinte, la théorie n'en persiste pas moins, et nous ne doutons pas q
néanmoins d'être futiles, car elles sont le seul fondement vrai d'une théorie dont l'importance est suffisamment prouvée par le
ses sur leur trajet. Nous ne faisons qu'indiquer, comme complément de théorie , ces modifications principales, renvoyant, pour l
gréable du froid de l'acier. Au reste, ces précautions, prescrites en théorie et bonnes en elles-mêmes, sont néanmoins peu usit
tranchant. Ce serait en vain que l'homme le plus instruit du reste en théorie chirurgicale voudrait exécuter l'opération la plu
t bien préférable à la ligature simple. 2° Striction incessante. En théorie , elle a pour objet d'établir une striction perman
ans laquelle le carbone mis à nu prédomine sur les autres élémens. En théorie , la décomposition de la substance animale est pro
ression, comme clans l'emploi de toute force physique, on retrouve la théorie du levier : une puissance qui agit par pression,
te manière que figurent, chacun pour sa part, les trois élémens de la théorie : tels sont tous les genres de compression médiat
ans les fractures et les luxations, le manuel opératoire reproduit ia théorie du levier; la puissance ou l'extension opérée par
mettant la circulation veineuse en retour. Du reste , c'est plutôt en théorie que l'on peut se proposer d'obtenir ces effets; e
sujet de nombreuses discussions. Ici, comme dans un grand nombre de théories , se fait remarquer Tabas des opinions exclusives.
soin et vigilance pendant tout le cours de l'opération. D'après la théorie que nous avons donnée plus haut, toute artère , p
permettre impunément de couper et d'enlever le lien. Le but de cette théorie serait d'obtenir une guérison plus rapide, rien n
l en résulte d'hé-morrhagie ultérieure. Froissement et mâchure. lia théorie cpii précède prouve suffisamment que toute lésion
et amenait l'oblitération par le même mécanisme. C'est d'après cette théorie que M. Amussat et des chirurgiens de nos jours op
s divers procédés de lésion des tuniques artérielles, empruntés de la théorie de l'arrachement, la torsion, entre les mains d'u
sault a pour objet de remédier à la courbure de l'ongle, considéré en théorie comme cause première. Procédé de Desault. Muni
s douleurs, et a exigé trois mois pour la guérison. C'est à la même théorie que se rapportent la lame de plomb employée par M
sujette, dit-on, à se carier avec cette précaution. Toutefois, cette théorie ne nous paraît pas très fondée, et nous ne voyons
r immédiatement les réactions les plus graves. D. Cautérisation. En théorie , la cautérisation sur les dents a les mêmes effet
r une compression graduée. L'expérience ne semble pas confirmer cette théorie ; déjà la dissection des bords est en elle-même un
de M. Grœfe est une application fort louable mais toute simple de la théorie régnante et des procédés usités à notre époque, e
logique, les brides les plus nombreuses et les plus fortes. Ainsi, en théorie , on voit donc que les brides et adhérences anorma
à naissance, ou au moins chez de très jeunes enfans, c'est-à-dire, en théorie , lorsque, l'ossification n'étant pas encore termi
tiquées déjà avec toutes les précautions convenables, justifiables en théorie et suivies de quelques succès, ces opérations néa
complet. 20 Ventouse à pompe. (Pl. 27, fig. 4-) Elle produit, en théorie , les mêmes effets thérapeutiques que la cloche si
ances variées : ce sont les grandes ventouses qui portent son nom. La théorie et les appareils de M. Junod , soumis publiquemen
mode d'action. Pression locale sur les membres : 10 par le vide. En théorie on sait que si on soutire une portion de l'air
ltéré ni clans sa quantité ni dans sa composition chimique. Ainsi, en théorie , la grande ventouse doit avoir tous les avantages
r des chirurgiens impatiens de mettre à profit cette belle et féconde théorie , on sait les énergiques débats qu'elle a soulevés
s les moyens cura tifs dont on s'est servi par empirisme avant que la théorie eût enseigné les conditions que l'on avait à remp
nemens antérieurs ; car la manière, déjà si savante en pratique et en théorie , dont il procède dans la cure des anévrismes nous
possible de lier entre elle et le cœur. Enfin, mieux précisée dans la théorie et la pratique, la ligature, depuis /\o ans, par
de M. Zavi-ziano, cité par M. Velpeau, aucun n'aurait guéri. Enfin la théorie , qui à toute époque domine les faits et détermine
e les faits et détermine le degré de confiance que l'on y accorde, la théorie actuellement en vigueur est peu favorable à la mé
ture, la torsion, le rebroussement, les mâchures et l'acupuncture. En théorie l'exposé de ces moyens est assez simple, mais en
MM. Viricel et Larrey. Oblitération brusque. Scarpa avait posé en théorie que pour oblitérer une artère il suffit de provoq
t répétées à Milan sur des chevaux par M. Mislei, avaient confirmé sa théorie , qui, adoptée par les chirurgiens d'Italie ses él
être adoptée par les chirurgiens français. Voici donc deux grandes théories en présence; voyons en les procédés et les résult
d'adhésion par épanchement de lymphe concrescible, conformément à sa théorie , pratiqua la section des tuuiques interne et moye
até que jamais l'artère n'a été oblitérée. M. Travers a modifié cette théorie en laissant quelque temps la ligature à demeure.
Dalrymple, Guthrie, Roux, Larrcy, Taxil, tendraient à confirmer cette théorie . D'un autre côté ses adversaires, et à leur tète
a peau. Pour ceux à paroi celluleuse, ils peuvent être considérés, en théorie , comme des abcès froids et réclament le même trai
fournissent des vaisseaux. Cependant cette méthode, si judicieuse en théorie , manque complètement son effet à la pratique. Ce
. Quelle que soit la nature de ces concrétions, et quelle que soit la théorie qu'on admette pour expliquer leur formation, il s
ne manière formelle la question des ruptures d'an-kyloses, puisque la théorie et quelques faits permettent de comprendre la pos
fut sans succès à cause de l'indocilité du malade. Appréciation. En théorie , tous les moyens dirigés contre les fractures non
lusieurs procédés opératoires. Sans entrer ici dans les différentes théories de sa formation, il nous importe de savoir que le
igature des vaisseaux. Dans le même temps, Héliodore expose toute une théorie des amputations, combat l'incision des parties mo
à l'amputation, telle que la pratiquaient Avicenne et Albucasis. La théorie des amputations en était là quand notre Am-broise
périeur. Toutes ces raisons ont été démontrées illusoires soit par la théorie , soit par l'expérience; aussi les meilleurs chiru
e c'est à propos de cette amputation que les auteurs ont exposé leurs théories et donné leurs préceptes ; et en second lieu, cpi
le chirurgien est libre de choisir le mode opératoire. Gela étant, en théorie la méthode la meilleure est celle qui fournirait
uent partout sans distinction de tissus. Page 68—100. Sections et théorie microscopique des instrumens qui y servent, 68, 6
sente en position sur le sujet vivant ; les fig. 2 et 3 en donnent la théorie et les détails. DÉTAILS DU COMPRESSEUR DE LA CA
42 (1850) Journal du magnétisme [Tome IX]
ne le Dr Bertrand, rejettent l’in- PHILOSOPHIE MÉDICO-MAGNÉTlOOE. THÉORIES (i). CHAPITRE III. De la Médecine magnétique.
mer présente, sans aucun doute, d’excellentes raisons pour appuyer sa théorie ; mais il s’égare assurément, lorsqu’il confond l
ndront presque toujours impressionnables à l’action du fluide. « La théorie la plus simple des fluides, et la plus digne de l
qu’il prend et de l’activité de mouvement qui le constitue. » Cette théorie , fort séduisante pour l’imagination * sera peut-ê
fluide magnétique, encore inconnu dans son essence ? On a inventé une théorie pour expliquer les mouvements célestes, n’avons-n
explication des effets de la pesanteur, et ils se révoltent contre la théorie du fluide magnétique, qui suffit pour donner une
es en 13 jours au lieu de 3 mois. Le Gérant ? HÉBERT (de Garnay). THÉORIES . PHILOSOPHIE MÉDICO-MAGNÉTIQUE. CHAPITRE III.
dit Deleuze, j’envoie par ma volonté, de (1) Opéra. (2) Nouvelle théorie médic. (3) De la Médecine magnélique. (i) De
enta à l’Académie des sciences, dans la séance du 29 avril i844 » une théorie très-ingénieuse sur l’appareil électrique de la t
le à la pile galvanique. Si cette disposition pouvait se prêter à une théorie , ce serait, dit l’auteur, à celle des courants ,
si que nons l’avons déjà constaté. Le Gérant : HÉBERT (de Camay). THÉORIES . FHIZ.OSOPHIX MÉDIOO-IWAONfTIÇUE. CHAPITRE II
et (1) Analogies de FÉlectricité, t. II, p. 417. (2) Essai sur la Théorie du Somnambnli9me, p. 56. (3) De l’eînploi du Ma
raité de Philosophie psycho-physiologique, p. 254. (2) Essai sur la Théorie du Somnambulisme, p. 54. (3) Ouvrage cité, p. 4
publié q Francfort, en 1769, son livre de Magneticâ MedidM, dont les théories renferment réellement le sens que nous attachons
stence personnelle et de réalité à ce qui n’avait été d’abord que des théories , des abstractions, de simples conceptions de son
ies, des abstractions, de simples conceptions de son esprit. Et cette théorie s’accorde avec tous les faits connus. » Cette app
i.r EUGÉNIE FOA , née Rodrigubz. Le Gérant : HÉBERT (de Camay). THÉORIES . PHILOSOPHIE MÉDICO-MAGNÉTIQUE. De la Médecin
âd lieu de faire des démonstrations, il s’est égaré dans le vague des théories . Le seul trait remarquable de cet enseignement a
recevons du ür Ordinaire l'intéressante Trom^ municalion qui suit. Théorie de l'aptitude poétique. Le troisième cas de phi
onw-triques de quelques somnambules, je dois exposer succinctement la théorie psychologique de ma cri-siaque : Les bêtes comm
st aussi partisan du magnétisme. Le Gérant .- HÉBERT (de Garnay). THÉORIES . PHILOSOPHIE MÉDICO-MAGNÉTIQUE. CHAPITRE III.
terai pas à discuter la valeur de ce raisonnement, ou plutôt de cette théorie . Je ne doute pas de f action de l'âme sur l'âme e
i nous occupe. Noire lâche ne nous obligeant pas à présenter ici la théorie de ce phénomène prodigieux, nous nous contenteron
nétiseur à New Yorck, s’était fait inscrire pour exposer une nouvelle théorie du magnétisme; mais, son tour venu, il renonça à
venons de citer mérite réflexion. Le Gérant : HUBERT (de Garnay). THÉORIES . PHILOSOPHIE MÉDICO-MAGNÉTIQUE. De la Médecin
notions que les anciens ont eues du magnétisme, comme agent et comme théorie ; mais ces travaux-là ne servent qu’aux hommes con
point, récuser leur jugement, lorsqu’ils ne l’établissent que sur des théories en opposition avec des faits bien constatés Cot
incidents de l’affaire Mongruel. Le Gérant : HÉBERT (de Garnay). THÉORIES . PHILOSOPHIE MÉDICO-MAGNÉTIQUE. CHAPITRE III.
nt les phénomènes publics ont fait plus de convictions que toutes nos théories ensemble? Non , vous ne pouvez, sans manquer à vo
ites et les plus élevées; rien d’incertain, rien d’incomplet -dans la théorie ; l’esprit, en quelque sorte toujours appuyé sur l
les sciences naturelles, c’est voir, toucher, percevoir, sentir; les théories ne sont que des collections de faits rapprochés,
ce qui est ne soit pas ; si un fait nouveau nous étonne, dérange nos théories , cela prouve que ces théories sont incomplètes, p
n fait nouveau nous étonne, dérange nos théories, cela prouve que ces théories sont incomplètes, peut-être même erronées; si ell
rendre le fait qui nous frappe, parlons de là, tâchons de dresser une théorie nouvelle, dont le fait réfractaire sera le point
dans les sciences naturelles ; et il est bien souvent arrivé que des théories magnifiques, et même des sciences entières, n’ont
de la superstition et de la fourberie un vrai corps de doctrine, une théorie scientifique ; on n’ira plus chez les somnambules
s dépasse toutes les prévisions. Le Gcrani : I1ÉBERT (de Garnay). THÉORIES . PHILOSOPHIE MÉDICO-MAGNÉTIQUE. CHAPITRE III.
le voile qui nous dérobait encore tous les avantages pratiques de la théorie du magnétisme. Ses premières expériences , basées
43 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
demande quelle en est la cause. M. Delore (de Lyon) 1 invoque la théorie bactérienne et pense que l'altération du filtre
constituent les accidents épileptiques. Ceux qui n'admettent pas la théorie de l'intoxi- cation sont réduits à invoquer ce
w. - Le microbe et la maladie. 24 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. notre théorie pathogénique. Nous l'avons dit, nous ne nous so
. Nouvel examen DU malade DONT l'observation A SERVI de base A . LA THÉORIE DE L'LPELAGE POUR LA LECTURE ET L'ÉCRITURE ; par
miques, certains symptômes se sont modifiés et ne justifient pas la théorie tout enlière qu'il a émise, de sorte que les co
les noms des objets qu'il voit. Ceci ne peut pas s'expliquer par la théorie du syllabage de la lecture et de l'écriture. Il f
ues dans le centre même de la zone acous- tique, ce qui renverse la théorie de la paraphasie; 7° Les grandes difficultés qu
que l'on éprouve chez lui à une explication univoque conforme à la théorie des localisations servent de leçon au psy- chia
Tout intéressants que soient ces phénomènes, leur mobilité, et les théories avec les schémas correspondants, leur constatatio
auteur essaie, ainsi qu'il le dit dans un sous-titre, d'établir une théorie psychologique de l'hystérie acquise, de beaucoup
res de la sensibilité réflexe sont atteintes. Comment, avec cette théorie , expliquer le fait de la non-atrophie des muscl
élève contre les consé- quences erronées qui ont été déduites de la théorie des tempéra- ments criminels endogènes, au poin
olog. Centralbl., XIII, 189t.) L'auteur montre l'insuffisance de la théorie du carrefour sensitif pour expliquer l'anesthés
maintenus dans un état d'extension réciproque. On a fait plusieurs théories , quant à la cause qui maintient ainsi cette ext
nsi cette extension réciproque des différents segments du corps. La théorie purement musculaire est la plus ancienne, puis
corps. La théorie purement musculaire est la plus ancienne, puis la théorie mécanique qui fait uniquement intervenir l'exten-
ement intervenir l'exten- sion des ligaments articulaires, enfin la théorie de Giraud-Teulon basée sur la tonicité musculai
concurremment ou isolément, selon les articulations considérées. Sa théorie est éclectique et il en prouve le bien fondé.
nuque en contraction légère. C'est un levier du pre- mier genre. La théorie musculaire trouve là une confirmation complète,
ait le goitre exophtal- mique à une névrose sympathique, jusqu'à la théorie bulbo-protu- bérantielle dont Ballet fut le pro
-protu- bérantielle dont Ballet fut le protagoniste. Cette dernière théorie était déjà inscrite dans tous les traités class
erait en faveur plutôt d'une action nerveuse. Les partisans de la théorie nerveuse placent dans le bulbe l'inci- tation i
anatomie pathologique sont encore peu explicites sur ce point. La théorie la plus plausible est celle d'une irritation des
corps thyroïde. La physiologie expérimentale prête main-forte à la théorie bulbo-prolubérantielle. Entre le bulbe et la pr
ingomyélie, peuvent produire ce même résultat. Ainsi, en faveur des théories nerveuses s'inscrit l'étiologie. Pour la théori
si, en faveur des théories nerveuses s'inscrit l'étiologie. Pour la théorie thyroïdienne plaident la symptomatologie et aussi
ique. M. Brissaud examine ensuite la sanction thérapeutique de la théorie thyroïdienne. Des deux médications thyroïdiennes,
importer de savoir sous quelle forme je le suis présentement. La théorie thyroïdienne du goitre exophtalmique est issue de
es pour rendre compte des symptômes de la maladie de Basedow ? La théorie de la sécrétion exagérée de la glande thyroïde n'
es, d'où l'insuffisance fonctionnelle de la thyroïde. Une troisième théorie pourrait être soutenue, on peut penser que les
nt avec cette opinion. MM. Ballet et Enriquez (de Paris). Parmi les théories qui essayent d'expliquer le mécanisme pathogéni
ons pensé, il y a plus d'un an, qu'avant de chercher à formuler une théorie , il était intéressant d'étudier chez l'animal l
e la maladie de Graves. M. Gley a par avance fait la critique de la théorie de l'hyperthy- roïdisation. On aura à apprécier
s expé- rimentaux que nous rapportons peuvent servir à étayer cette théorie . Bien que, en l'état actuel des choses, elle no
r le système nerveux, mettent en branle l'hy- persécrétion. Cette théorie justifie les tentatives thérapeutiques suivantes
M. GLEY tient à faire remarquer de nouveau qu'il n'attaque aucune théorie et ne soutient ni l'h3·perthyroïdisation ni l'hyp
ur l'hyperthyroïdisation. Il faut en ce cas mettre une sourdine aux théories : encore une fois on ne peut connaître la fonctio
ur le goitre exophtalmique; il met, surtout, en pré- sence les deux théories qui sont le plus en faveur auprès du monde sava
deux théories qui sont le plus en faveur auprès du monde savant, la théorie thyroïdienne et la théorie nerveuse. La lecture
lus en faveur auprès du monde savant, la théorie thyroïdienne et la théorie nerveuse. La lecture de ce rapport, très impart
otalité et qu il a pu exercer en tous temps l'action toxique que la théorie thyroïdienne lui assigne. Si l'on suit attentiv
yxoedème. Ces faits semblent particulièrement embarassants pour les théories en discussion fondées sur l'hypothèse de toxines
de leur mal s'étendant dans la sphère morale. M. Garnier adopte la théorie de l'épilepsie larvée; une étude a été présenté
ns postérieurs. Obersteiner et Redlich ont cherché à préciser cette théorie en l'appuyant sur l'étude d'une disposition ana
euls faits qu'il prisait si fort à rencontre du mirage trompeur des théories . GILLES DE la TOUl\E1'f, VARIA. IMPULSIFS T
n'a pas encore d'explication satisfai- sante de ces phénomènes, la théorie cérébelleuse de Bostian étant peut-être la plus
ifier l'opinion de Siemesling qui voitdans Ideler un partisan de la théorie d'lleinrolh, la fameuse doctrine du péché, caus
e l'écorce, les troubles de la sensibilité gé- nérale confirment la théorie qui y fait résider, unis aux centres moteurs, d
e vertige. L'auteur cherche à donner l'explication de ce cas par la théorie d'Ewald sur les fonctions du labyrinthe. LXv° s
fatalement en subir la funeste influence. Un cha- pitre expose les théories de la dégénérescence telle que la comprend BIBL
ale. Affections multiloculaires de l ? par Koeppen, 137. Epelage. Théorie de 1·- pour la lec- ture et l'écriture par Somm
44 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
adjoint qu'en cas d'empêchement constaté du médecin en chef. » En théorie , l'ordonnance de 1839 a seule un caractère de 3
46 REVUE d'anatomie ET DE .physiologie pathologiques. D'après la théorie de Golgi, les dendrites ne remplissent pas de f
le, d'où production, accumulation, conservation de l'énergie. Cette théorie peut se marier à celle de Leuhossek sur le rôle d
à raison de la plus grande in- tensité et de leur activité. Cette théorie qui attribue aux dendriteset a leurs pointes laté
rd, cet insuccès clinique paraît devoir servir d'argument contre la théorie pathogénique de l'épilepsie, basée sur l'auto-i
ependant, jusqu'à nos jours, une affection à étiologie obscure. Les théories multiples, qui ont été émises, n'ont pu satisfa
boratoire, de l'anatomo- pathologie, manquaient il ces travaux. Une théorie ne vaut qu'autant qu'elle repose sur une base s
lite parcompression. L'auteur ne considère pas com- me démontrée la théorie pathogénique de Sicard. La constance de l'irrit
E PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. tacte. Cela prouve le bien fondé de la théorie précédente, etnon, comme le veut Marina, que la
psychiques de maladies organiques viscérales. Telles sont les deux théories extrêmes auxquelles on peut rattacher la plupar
dans son rapport une place beaucoup trop considérable parce que les théories pathogé- niques de l'hypocondrie personnifiées
est permis de s'étonner que M. Roy ait édifié de toutes pièces une théorie somatique de l'hypo- condrie sur une base aussi
complètement sacrifié à des données encore hypothétiques la vieille théorie psychique soutenue bien avant M. Dubois par les
esdeiix Falret, deJIorcl, de Guislain, etc. C'est cependant celle théorie psychique qui, traduite en lan- gage physiologi
ong des troncs nerveux,pour gagner la moelle. Uneréaction contreces théories tout hypothétiques nepou- vait pas tarder à se
alors que le processus ascendant continue pourtant sa marche. Deux théories peuvent, à mon avis, expliquer la marche ultéri
XX. , 13 194 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. La théorie pathogénique de la deuxième étape ganglion- nai
cuteur. Il présente aussi un intérêt théorique. On a abandonné la théorie de l'excitation directe par le choc des organes s
ésultat que j'ai obtenu concorde parfaitement avec cette dernière théorie : puisque le choc n'agit qu'en déplaçant le tendo
sur une portion seulement. Mais il n'est pas un argument contre la théorie ancienne, parce que nous ne connaissons pas au
ut au tout et vous ferez oeuvre méritoire. Pour détrôner la vieille théorie médicale, c'est-à-dire le galénisme etl'arabism
aire », c'esL-à-dirc de l'élément myopsychique auquel, d'a- près la théorie de Storch-Fa;rstcr, nos perceptions doi- vent e
s. Un phénomène peut apparaître comme un fait nouveau sans que la théorie de l'évolution soit infirmée. Lorsqu'il s'agit
vent en rapport avec l'aliénation. Les exceptions apparentes à la théorie que nous exposons ne la détruisent en rien. Lors-
t animée d'aucun mouve- donnent. Il est bien prématuré de baser une théorie du sommeil, comme phénomène psychologique, sur
er, Remach, Ferrier et Yeo, Paul Bert et lTaracci, en combattant la théorie des cen- tres moteurs de la moelle, ont démontr
conscience lorsqu'elle commence à se manifester est conforme à la théorie de l'évolution comprise comme une série d'é- ta
lden, et par des arguments cliniques et anatomiques, Léri combat la théorie de l'origine rétinienne de l'atrophie tabétique
on pathogéniquede cette maladie ' ? De la discussion des di- verses théories émises sur la question, il découle que les cavité
' Les auteurs reconnaissent une part de mé- rité à chacune des deux théories avant cours sur ce point : d'une part la scléro
cours sur ce point : d'une part la sclérose des fibres musculaires ( théorie de Krusing), d'au- tre part et surtout le périm
t surtout le périmysium interne et externe ainsi que les vaisseaux ( théorie classique) concourent à sa production. De leurs
ence des crises épilepti- ques, ce qui semblerait plaider contre la théorie mécanique de l'épilepsie et prouver que le toxi
théorie mécanique de l'épilepsie et prouver que le toxique - si la théorie Lo\i- que est vraie ne se trouve pas dans le li
ement moteur eL un élément psychique ; cette distinction, facile en théorie , ne correspond pas toujours dans la pratique à
I)iR (1), qui fut, avec Louis (2), un des premiers à soutenir cette théorie mécanique osseuse des phénomènes nerveux surven
ège de fongus analogues il ceux de la dure-mère cérébrale. » A la théorie purement mécanique d'Ollivicr et Louis, succéda
ngite, et, après, par propagation à la moelle, une myélite. Cette théorie , qui explique d'une, part l'existence de parapl
a pie-mère il la névroglie par ses prolongements. ERIJ (4) émet une théorie mixte, mécanique et inflam- * (1) Vuï.pivx. M
inges suffise à produire, même sans com- pression, la myélite. La théorie inflammatoire de Michaud devait, en 18 ? rencon
les de la substance blanche. 422 PATHOLOGIE NERVEUSE. La nouvelle théorie de Kahler. qui, même en admettant la compressio
par les auteurs qui depuis lors s'occupèrent de cette question. La théorie inflammatoire de Michaud et Charcot est aujourd
e celui qu'on lui faisait jouer auparavant L par réaction contre la théorie unieiste de Louis et Olli- vicr. Qu'elle agisse
quelles on attribue la régu- lation des rapports dépression. , La théorie , émise par Endehben (1) selon laquelle la cause
pliquer les lésions médullaires. Ce serait ainsi l'at- teinte il la théorie mécanique,au·jôurd'lniipréïonMéraiitu, des phén
us la direction de Al. Ceni, ardent défenseur, comme on sait, d'une théorie adverse, celle de l'auto-intoxication. MM. La
ant une différence d'âge excessive. L'auteur examine les diverses théories pathogéniques, le rôle des lésions des glandes
entre le cretinisme epiderniqueetle creti- nisme sporadique sur la théorie de "il'cho\\'; théorie de la synos- tose hâtive
iderniqueetle creti- nisme sporadique sur la théorie de "il'cho\\'; théorie de la synos- tose hâtive du sphénoïde el de l'a
e du sphénoïde el de l'apophyse basilaire chez les cré- tins. Celte théorie l'ut réfutée par \l. B. Schmidt dans son : .1ll-
ment par l'auteur, ne permettent pas encore de juger entre les deux théories pathogéniques toujours en présence, celle de i\lo
45 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome second
'arc reçoit l'impression, l'autre la transmet au muscle. Telle est la théorie simple dans laquelle cet esprit puissant résumait
ible peut dans certains cas succéder une réaction puissante. Ainsi la théorie dont nous parlons ne peut suffire, et il faut all
ste ; et bien que M. le professeur Duvernoy ait depuis énoncé la même théorie dans ses cours, en se l'attribuant, elle ne me pa
Il paraît toutefois qu'on s'est trop hâté de généraliser, et que les théories anciennes n'embrassent plus tous les faits que de
e un instant au public les appréciations d'un spirituel écrivain. Les théories changent, et changeront peut-être encore, à mesur
alpighi sont inexactes. Mais on a proposé, depuis ce grand homme, des théories beaucoup moins raisonnables, et je ne crois pas q
sque deux observations exactes sur le même sujet, donnent lieu à deux théories entièrement contradictoires, on peut être assuré
eux théories entièrement contradictoires, on peut être assuré que ces théories sont fausses, chacune d'elles étant nécessairemen
es de l'apophyse crista galli. Mais cette anomalie vient en aide à la théorie , en montrant l'unité du plan de composition de to
t formées par des dépôts produits par la pie-mère. Loin de là ; cette théorie de sécrétions et de stratifications déposées l'un
et l'ordre de développement. Cette simple remarque renverse bien des théories qui ont eu cours dans la science, et dont la domi
des caractères qui lui sont propres, et tout proteste en faveur de la théorie scientifique qui admet des genres distincts et de
érer la largeur. D'ailleurs, quelles que soient les différences des théories et des systèmes, il n'est pas un seul anatomiste
m medicinœ. Amstelodami, Jansson, 1655, cap. xni, p. 47. H. 21 La théorie de Gall a été si souvent exposée et en tant de li
qu'ils n'aient ni passions, ni instincts, ni volonté? Ainsi donc la théorie de M. Carus ne peut s'appliquer au cerveau, et le
a donc connu quelques-uns des faits principaux sur lesquels repose la théorie actuelle de la marche croisée des impressions sen
polaires ; 2° en nerfs involontaires, sensitits et unipolaires. Cette théorie n'a pas fait fortune. Parmi les expériences de Ro
de ce que nous savons. Il n'y a point de meilleure maxime. Souvent la théorie est fausse quand le fait est vrai. Il était juste
s, des faits, par cela seul qu'ils avaient servi de base à de fausses théories ; il fallait les examiner. M. Longet eut le tort d
ents ont justifié et étendu ces faits, et il s'est élevé de nouvelles théories . Parmi ces travaux on doit distinguer, au premier
iqué là-dessus, il ne m'appartient ni d'approuver ni de combattre une théorie dont il annonce la démonstration prochaine (1).
l'animal, dit M. Longet, roule en cercle du côté de la lésion (3). La théorie de M. Longet, quant aux effets directs de la sect
t le résultat de cette expérience, qu'elle est mieux expliquée par la théorie de M. Flourens que parles hypothèses de Magendie.
une résultante circulaire. Magendie a donné de ces faits une autre théorie que nous expliquerons en parlant des corps striés
onc contestées, ou du moins les conclusions qu'il adopta. Ainsi mille théories nouvelles brillent un instant et s'éteignent. L
tion ne détruit point celles de M. Turner, mais elle fait voir que la théorie des résultats qu'il annonce est, dans l'état de l
tre, au premier abord, aussi favorables à l'hypothèse de Gall qu'à la théorie de M. Flourens; mais des observations précises on
'est pas ici le lieu d'aborder ces hautes questions. L'histoire des théories que nous avons rapidement exposées fait assez voi
ne de l'hypothèse est celui du caprice et de l'indéterminé. Aussi une théorie absolument opposée à celle d'Aristote a-t-elle ét
ellence. Si l'aveugle de Cheselden semble donner gain de cause à la théorie de Buffon, l'observation des animaux ne lui est p
tion. Qu'ont à faire ici le jugement, le toucher et l'expérience? Ces théories , fondées sur de simples hypothèses, valent-elles
e raisonnement que MM. Volkmann et Mûller ont invoqué en faveur de la théorie que nous combattons, nous paraît plus spécieux qu
Une idée à peu près semblable a conduit le célèbre M. Millier à sa théorie des points homologues dans les deux rétines. Les
est imprimée dans un œil différent, en même temps qu'elle justifie la théorie des points sympathiques ou homologues, permet d'é
e ces curieuses expériences dans le chapitre où nous traiterons de la théorie de la mémoire, théorie sur laquelle ces faits son
nces dans le chapitre où nous traiterons de la théorie de la mémoire, théorie sur laquelle ces faits sont appelés à jeter une v
onges, §4. Cf. Jouffroy, Du sommeil.)—Il est impossible d'accepter la théorie de M. Charma, qui veut que toute sensation perçue
tinction est fort bonne, très-pratique surtout, et fort conforme à la théorie de Joseph de Maistre sur l'infaillibilité, dans s
érieures bien plus vivement que ceux « qui sont éveillés (1). » Cette théorie est évidemment fort (1) Aristole. De divinntion
orps ; comme cela arrive aux prophètes et à ceux qui dorment. » Cette théorie est fort semblable évidemment à celle des quiétis
s ont illustré les légendes des loups-garoux ? (2). CHAPITRE VII. théorie de l'imagination. § 1. Réflexion* sur les faits
bien dit, mais ce raisonnement n'est point une objection réelle à la théorie du dualisme hémisphérique. S'il est accordé qu'on
mie cérébrale. Je ne puis m'empêcher de rendre ici justice à la belle théorie des hyperhérnies locales, si bien développée par
se développent d'une manière nécessaire et dans un détail infini. La théorie de ces mouvements a dans l'histoire philosophique
. niais de simples observations ne peuvent suffire pour établir une théorie , tant qu'on n'a point démêlé ce qui vient du hasa
uve limpide où se sont unies les eaux de deux rivières fécondes. La théorie nouvelle exprimée dans cet ouvrage n'est point un
.... 457 § 1. De la mémoire en général.................. ib. § 2. Théorie de la mémoire.................., 4G!) CHAPITRE
§ 2. État d'extase. — Visions.................. 549 CHAPITRE VII. — Théorie de l'Imagination........... 558 § 1. Réflexions
46 (1901) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 16
e des relations de contact ou de contiguïté ont donné naissance à des théories psychologiques du plus grand intérêt, conceptions
voqué ces faits, c'est-à-dire pratiqué de nombreuses expériences. Les théories qu'on leur présentera, étant donnée cette prépara
e mémoire. Je vais maintenant au-devant de l'objection. Toute cette théorie éducative, me dira-t.on, est en effet charmante e
sé, car l'hypnose est un état de folie momentanée. Malheureusement la théorie des actes inexistants, très en honneur dans la do
r que l'idée agisse, il faut invoquer l'influence vaso-motrice. Cette théorie ouvre un large champ à la suggestion curative.
. La première partie du congres a été consacrée à la discussion des théories Lombrosiennes, qui ont trouvé d'éloquents et d'ar
ilité, en somme la tonifier et la suggestionner. CONGRÈS Sur la théorie de l'obsession (*) Par M. le D' F.-L. Arnaud {d
d {de Vanves} On a appliqué à l'obsession l'une et l'autre des deux théories principales de l'émotion, la théorie intellectuel
ssion l'une et l'autre des deux théories principales de l'émotion, la théorie intellectuelle et la théorie physiologique. Ces d
ux théories principales de l'émotion, la théorie intellectuelle et la théorie physiologique. Ces deux théories paraissent égale
tion, la théorie intellectuelle et la théorie physiologique. Ces deux théories paraissent également insuffisantes pour expliquer
aissent également insuffisantes pour expliquer cet état morbide. ha théorie intellectuelle néglige presque absolument les sym
dée un rôle toujours prépondérant dans l'obsession. Inversement, la théorie physiologique ou émotive (Lange, W. James, Ribot,
, il les a complétées par des faits ingénieusement observés et pardes théories basées sur une érudition impeccable. Marcel Dub
des emplois officiels de la médecine. Les successifs écroulements des théories et des doctrines pathogéniques d'où l'on tire les
eut être vrai en quelques cas, mais on est aujourd'hui revenu sur ces théories dans ce qu'elles ont de trop absolu. (2) Havet
e normale. Si nous devons l'hypnotisme à Charcot principalement, la théorie et la pratique rituelle de la suggestion nous vie
nde pour lui et aussi pour le médecin. ¦ ¦ • A l'appui de notre théorie sur l'influence -de la suggestion à l'état de vei
été héritée d'ancêtres pré-humains. (C'est ici le point faible de la théorie de M. Myers, comme j'essaierai de le montrer un p
s nerfs. Dans les cas de fascination, d'imitation, de rigidité, cette théorie d'un raccourci que prendrait le mouvement ner
e de Nancy a été nécessaire et efficace comme protestation contre des théories incomplètes, rien de plus. •C'est donc dans un
terminer, M. Myers essaye d'écarter tout de suite une objection à sa théorie très mystique de l'origine de ces pouvoirs inconn
itre suivant (le mécanisme du génie) qu'il l'exposera vraiment, cette théorie d'une origine pré-terres/re. Mais il est naturel
, au commencement de cette étude. M. Myers veut trop généraliser, une théorie générale de la nature humaine n'est pas possible.
malgré toutes les instances du docteur, son hypnotiseur. Quant à la théorie de l'évolution, indiscutée maintenant, et que M.
cette trésorerie préhistorique. » C'est là, je le répète, fausser la théorie de l'Evolution, c'est oublier l'importance énorme
e comme cause unique, le phénomène serait inexplicable au moyen de la théorie actuelle de la vision. A quoi donc attribuer l'
ranges en découvrant le procédé qui, plus satisfaisant que toutes les théories , permettra leur reproduction expérimentale. COU
i s'appelle positivisme et qui dit : je veux que les doctrines et les théories s'appuient non sur d'autres théories, mais sur de
je veux que les doctrines et les théories s'appuient non sur d'autres théories , mais sur des faits, sur des observations, et sur
es observations. Les faits sont de la monnaie en or, tandis que les théories abstraites ne sont que des billets d'une banque s
ue personne ne démontrera jamais, — et sur ce principe elle bâtit ses théories et ses affirmations. Le positivisme, au contraire
e, dans son équilibre, que celle qui repose sur la pointe, et que les théories qui reposent sur des faits, sont bien plus proche
e a créé les codes pénals modernes ; — elle s'est limitée à bâtir des théories abstraites sur le crime. — L'école positiviste a
ord, une question d'incompétence. Des juristes, enfermés dans leurs théories abstraites, ne connaissant que l'homme réel et vi
les masses avec des hâbleries, des formules générales et vagues, des théories qui n'ont rien de précis, rien de mûri, rien de p
ent qu'il avait vu, et que c'était là des faits ; ou bien que telle théorie était démontrée, et que la raison ne pouvait avoi
de pseudo-coxalgie suggérée par le milieu familial. D' Aragon : Une théorie pathogénique du doute. Dr Féliy Regnault : Les
hypnotique d'un cas de), par Paul Farez, p. 274. Obsession (Sur la théorie de l'), par Arnaud, (do Vanves), p. 159. Occult
47 (1861) Journal du magnétisme [Tome XX]
” Th..., que ma fille est agitée. » Est-il besoin de recourir à une théorie spiritualiste pour avoir l’explication de ces fai
e eût pu lui donner, et prenant pour point de départ de son examen la théorie spiritualiste, M. Clever de Maldigny a dénaturé l
implique trop généreusement à ma comptabilité ce qui n’incombe qu'aux théories de mon guerroyeur. Je pourrais garder le silenc
s et par un des sentiers du Tout. N’excluons, de parti pris, aucune théorie , ne soyons non plus esclaves d’aucunes : c’est le
ience absorbera le magnétisme, elle changera peut-être son nom et les théories que nous avons faites, mais enfin le principe et
ront place dans la science de l’homme. Certes, ce ne sera pas par des théories et des faits de la nature de ceux dont je viens d
ne savons pas!» Que l’on ne m’impute donc ni fanatisme, ni prisme, ni théorie assujettie d’avance. Fils et vieux praticien de l
a observes attentivement. Les faits parlent toujours plus haut que la théorie , mais l'un et l'autre vont bien ensemble et, selo
ns qui nous occupent. L’avis est essentiel, car la confusion de nos théories , par leur équivoque d’expressions, oppose un des
mbule de tout ce qu’il a vu faire pendant son sommeil ? D’après votre théorie , il faut nécessairement que Y Esprit étranger, qu
magnétique. » A.-L.-J. D“" (Discours sur les principctgénérauxdc l:t théorie végétative cl spirituelle de la nature, 2e éditio
tique ; phénomène qui peut seul nous conduire à l’établissement d’une théorie rationnelle sur le principe vital que nous nous g
pour certaines choses du moins, car il n’est pas défendu de faire des théories par induction lorsque cette induction est suscept
t en action. » J.-L.-J.-D. (Discours sur les principes généraux de la théorie végétative cl spirituelle de la nature.) Mais i
ons infinies et plus promptes que l’électricité des flui- « A cette théorie des trois sphères de la nature humaine, il associ
cette théorie des trois sphères de la nature humaine, il associe une théorie de la santé, de la maladie et de la guérison. En
lusionnés par un simple acte de la volontéj et, ajoutant le fait à la théorie , il fit apparaître une troupe d'oiseaux que l’on
mordial. (J. A. Delà ire. Essai sur le principe de vie universelle ou Théorie du Feu, Paris, 1837.) Vous le voyez, nous voici
mme je l’écrivais dans ce journal en 1858, « le plus hautcon-cept des théories accessibles à notre entendement. » suspension «
jours. Nos lecteurs ne trouveront donc dans cette publication ni une théorie des principes de Mesmer, ni une étude de magnétis
es savants. Dans son Planetarum influxus (1706), Mesmer appuyait « sa théorie sur des principes reçus dans les sciences et sur
, j’ai fait place à tous les novateurs, à leurs observations, à leurs théories . J’ai gardé le plus souvent le silence sur ce qui
en suspicion la bonne foi des opérateurs. Seulement, en infirmant les théories spi-ritualistes qui, soutient-il, ont précédé les
p plus considérable en ce qu’elle embrasse presque toute une nouvelle théorie du magnétisme. Et, pour arriver à la solution de
naturellement que j’arrive au but par l’exposition de cette nouvelle théorie , que j’extrais en partie de mon Essai sur le magn
fluide lummescible. Moïse, en effet, qui fut le premier à établir une théorie sur la création du monde, semble donner, dans le
nl ce passage de la Genèse je n'en conclus pas que Moïse ait écrit la théorie la plus claire sur la création du monde, car il e
ories. Aussi, si j’ai cilé ce passage de la Genèse, à l’appui de ma théorie , c’esl qu’il m'a semblé élre en dehors de ces que
leils forment aussi d’autres systèmes autour dans le cours de celle théorie . Je me bornerai simplement à dire que pour les so
ent dite. 11 est vraiment curieux de voir les hommes abandonner les théories si simples de la nature pour celles qu’ils invent
t pourquoi l’eau de mer est douée de propriétés magnétiques. Etude et théorie par M. Henry André, 340, 606. Causeries de M. D
verses, 434, 452. Fluide (du) magnétique humain, ou fluide nerveux. Théorie de M. le docteur Charpignon, examinée et commenté
ion et remarques de M. Henry André, 665. Sommeil (du) et des rêves. Théories diverses, 88, 248, 509. Somnambulismo (du) magn
; — de M. d’Arbaud, 231. — Observations de M. Henry André, contre une théorie de M. Jobard, 430. Suggestion (de la) de pensée
ance et de force, cause de tous les phénomènes vitaux et magnétiques. Théorie de M. d’Arbaud, par opposition à celle de M. Warl
édecine, 151. Médiums et somnambules. M. Henry André, examinant une théorie de M. Jobard, ne peut pas admettre la possession
48 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
lle n'être que secondaire. L'auteur passe, en revue^les principales théories ^ émises et.se ralliera la théorie de l'bémorrha
passe, en revue^les principales théories^ émises et.se ralliera la théorie de l'bémorrhagie,primilive par, athéromc artériel
iorpe et Dür-LR . u : f '"1l'»>i ? i On, a longtemps professé la théorie qu'un'criminel ne pouvait être excusé pour caus
urs et confus par eux-mêmes. Il a trop vu sans doute se succéder de théories au cours de sa longue car- rière. Aussi son Tra
que ces altérations sont centripètes, fait qui semble confirmer la théorie de la fonction centripète des prolongements pro
e sa structure, l'élément nerveux, elle donne un appui nouveau à la théorie parenchy- mateuse de la paralysie générale, à l
- M. Bouchaud cite ensuite, pour les discuter, quelques-unes de s théories émises pour expliquer la prédisposition créée par
r sa genèse ; la seconde par son évolution. On sait en effet que la théorie de Zeller et de Griesinger avait fait accepter
s contre elle. Il renversait également, en ruinant indirectement la théorie de la possession démoniaque, tout l'échafaudage
loppement de la sclérose en plaques disséminées; 3° mieux que la théorie des loxines produites par les micro-organismes pa
a perception même, l'angoisse est un effet non une cause. Voir la théorie chimique de Kowaleswky. (Cettralbl. f. iYei,v., 1
lité de mensurations psychométriques intéressantes, et développe la théorie d'après laquelle la folie hystérique pourrait ê
lusieurs pays, les lois sur les auberges se sont inspirées de cette théorie et ont limité le chiffre des cabarets suivant l
passées en revue, dans une étude critique d'ensemble, les diverses théories relatives à la psychologie des états seconds. E
pour montrer à quelles exagérations peut conduire la logique d'une théorie trop absolue. Voilà une méthode naturellement f
EVUE,D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE pathologiques. 313 IV. Abus DE la THÉORIE DES localisations EN psychiatrie ET en anthropo
tions et essayant de les mettre en contradiction avec l'unité de la théorie et son application universelle. L'auteur oublie
hologie expérimentale, ni celle-ci pas plus que la première avec la théorie des localisations basée sur la méthode anatomo-
ppartiennent à la maladie de Friedreich et plaident en faveur de la théorie céré- belleuse de cette maladie émise par Menze
érescence tend à devenir synonyme d'aliénation mentale. Eh bien, la théorie de la dégénérescence, très vraie au point de vu
chère de pathologie générale et de philosophie médicale, la vieille théorie vitaliste de l'école de Mont- pellier, et décla
utôt, du 390 . asiles d'aliénés. siècle qui, se lève, lorsque les théories scientifiques, mais décourageantes des dégénére
aisceaux avec le pneumogastrique ou bien avec le sympa- thique : la théorie de l'origine bulbaire de la maladie de Basedow
s'en vont. Ce qui prouverait qu'ici le scotome était périphérique, théorie qui n'a rien d'excessif puis- qu'il s'agissait
ous sommes réunis à Karlsruhe. Tout ce que nous avons fait, soit en théorie , soit en pratique, se rattache à l'évolu- tion
Discussion. M. Wilser. Cette question a un rapport étroit avec la théorie de l'hérédité. La légion des dégénérés donne nais
ngoisse a une importance fondamentale dans la neurasthénie. Dans la théorie chimique de Kowalewski, la neuras- thénie résul
bides, dont nous aurons à nous occuper ici et permet de classer les théories que ces termes désignent. Nous croyons devoir l
oduits d'oxydation correspondants. La pathologie confirmerait cette théorie qui expliquerait les troubles circulatoires : hyp
se ser- vait plus de l'expression de Wahnsinn. Morel en publiant sa théorie des formes héréditaires avait enlevé du groupe
nfusion mentale ont provoqué une cénesthésie gaie. C'est parfait en théorie . Mais en pratique s'il y a des cas dans lesquel
s idées délirantes de grandeur. Évidemment Snell n'admettait pas la théorie actuelle d'après laquelle un état mélancolique
s médicale.) M. le professeur Joffroy dans des leçons soutient la théorie déjà exprimée par Moebius, Renaut (de Lyon) et
myxoedème. L'auteur passe ensuite à la réfutation des différentes théories proposées pour expliquer la pathogénie du goitre
proposées pour expliquer la pathogénie du goitre exophtal- mique. Théorie cardiaque (Graves, Stokes, Luton, Beau). Il suffi
fréquemment, de même que l'exophtalmie, irrégulier, unilatéral ? Théorie de compression des vaisseaux et des nerfs (Marsha
vaisseaux et des nerfs (Marshal, Taylor, Piorry). Comment par cette théorie expliquer : 1° les cas ou le corps thyroïde est
tôt le nerf récurrent et le sympathique que le pneu- mogastrique. Théorie du grand sympathique. Le grand sympathique dans l
.ophtalmie deshasedowiens, et tous les autres symptômes manquent. Théorie de la névrose (Charcot). Cette théorie est la plu
s autres symptômes manquent. Théorie de la névrose (Charcot). Cette théorie est la plus diffi- cile à combattre. L'argument
aire. Le début subit qui est un grand argument en faveur de cette théorie , n'existe souvent qu'en apparence, la maladie pre
nce, la maladie presque sûre- ment existant déjà à l'état latent. Théories bulbaires. La théorie de la névrose bulbaire sout
sûre- ment existant déjà à l'état latent. Théories bulbaires. La théorie de la névrose bulbaire soutenue par Vulpian et
s pourquoi le bulbe fonctionnait d'une manière aussi anormale. A la théorie bulbaire, par lésion de cet organe on peut répo
ares dans le goitre exophtalmique et encore sont-elles variables. Théories thyroïdienne. M. Joffroy explique les phénomènes
des symptômes de ces deux maladies, prouve également en faveur delà théorie thyroïdienne. Charcot a fait remarquer la fré-
u goitre endémique et du goitre exophtal- mique est en faveur de la théorie thyroïdienne. S 16 G BIBLIOGRAPHIE. Tous les
de l'intervention chirurgicale qui plaident encore en faveur de la théorie thyroïdienne, il conclut que l'opération sur le
te objection que la critique serait tentée de faire à la séduisante théorie de M. Bois- sier, et après avoir lu l'histoire
ant quand les fonctionnaires médecins sont obligés de désavouer les théories psychiatriques du chef théologien de l'éta- bli
atrie et des épreuves pratiques. Le demi- savoir est un danger ; la théorie est nuisible. Mieux vaudrait s'en tenir au bon
49 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
e hétéroclite, où I' on retrouve 1 empreinte successive de toutes les théories , et comme les alluvions de tous les systèmes qui
il tient à l'aide du pouce et de l'index, el cela afin de prouver nue théorie préconçue qui lui esl chère. Tandis que cel opéra
cl Tolstoï le franchit, u Nuisibles sont les savants, nuisible» leurs théories ». La religion n'échappe pas non plus à la crit
ar M. le Docteur Rouby, Dîrecteur de la Maison de saule, à Dôle. La théorie italienne des aliénés tous criminels, que nous ne
alité. Brochure in-8 de 32 pages. — Blois 1893. Franco. — La nouvelle théorie de la suggestion, destinée à expliquer l'hypnotis
, la première sensation qui les accompagne d'habitude. Celte dernière théorie , qui semble tout d'abord assez spécieuse, parait
éputation de l'Ecole de Nancy, heureuse rivale de celle de Paris. les théories dts notre Ecole admises et admirées en France, et
e •¦ spectateur » impuissant d'une partie des processus actifs. Celle théorie me semble constituer un nouveau dualisme inutile
pour Yâme qui n'en a plus. On pourrait alléguer, en faveur de cette théorie , que la conscience est effectivement absente de n
rable de ceux des processus qu'il accompagne. Suivant cette seconde théorie . la volonté n'est plus un phénomène de conscience
est restitué à l'un des processus île la série quelque chose dont la théorie opposée ferait un épiphéiioineiic ne prenant aucu
te volontaire. Au point de vue du déterminisme absolu des actes, la théorie de l'immanence de la volonté dans un processus fo
i n'existe pas dans la pierre ni dans l'aiguille. D'auire par, la théorie de l'inséparabilité de la conscience d'avec les p
c les processus actifs constituant eux-mêmes les états de conscience, théorie que me parait impliquer celle des idées-forces de
de cette portion motrice. Nous venons de comparer entre elles deux théories dont la seconde, celle qui fait entrer la volonté
dans la volonté. Voyons maintenant comment se présente, suivant cette théorie do (l) Op.. cit., p. 8. l'unification, la p
nt pu représenter indûment des entités, des facultés, maîs qui. toute théorie métaphysique ou autre mise à part, représentent a
la sincérité de leurs paroles un accent qui ne peut tromper. Quelle théorie , quelle explication les catholiques actuels donne
a complication sociale telle que nous l'observons actuellement. Celte théorie du double servait à celte époque à expliquer les
nes qui ont été soumis à son examen n'autorise à donner un corps â la théorie dite du « magnétisme animal ». Les expériences
ont voulu voir, dans la première édition île cet ouvrage, d'étranges théories sur la responsabilité. Cette (1) Dictionnaire d
'ardeur avec laquelle le savant professeur chercha à démontrer que la théorie des localisations cérébrales devait être révisée,
de sur les animaux et sur l"être humain. Meme remarque favorable â la théorie de Brown-•Séquard est fournie par les nombreux su
réface, ou plutôt dans une dédicace au professeur Lombroso — dont les théories même les plus discutées sont religieusement accep
he ici du doigt la préoccupation de trouver la lare pour justifier la théorie , car le symbolisme dont il s'agit n'est qu'un pro
sentant le malade qui a bien voulu m'accompagner est de combattre une théorie qui a cours parmi certains médecins psychologues,
la pensée peut naître et se constituer. La Famille nèvropaïhique, théorie tératologiquc de l'hérédité et de la prédispositi
r expliquer l'incontinence d'urine si fréquente chez les enfants, les théories les plus diverses ont été successivement émises.
endormis, rêvent et mêlent à leurs rêves l'envie d'uriner. Toutes ces théories sont séduisantes, mais, en réalité, les faits se
forment un système dynamique ¦ qui est la force d'équilibration. La théorie atomique illustrée par Wurtz cl qui a été lu sour
grès en chimie n'est plus jugée suffisante ; l'auteur y substitue une théorie de I équilibration des inimités unies, qui se com
qui existe, de tout ce qui est possible, sans abandonner pour cela la théorie mécanique de l'équilibre des forces. Tout obéit
me; car il a soin de rappeler - qu'il ne faut jamais oublier que la i théorie , l'idée, doit toujours so plier aux faits et non
rie, l'idée, doit toujours so plier aux faits et non les faits à la « théorie ou à l'idée que nous nous en faisons. » II n'y
perception, mémoire, imagination, raisonnement, pensée, etc. Celle théorie vibratoire de la sensibilité a pour avantage de s
e vibratoire de la sensibilité a pour avantage de s'nccor-der avec la théorie physique en faisant mieux comprendre que la matiè
ntirai pas, son caractère mécanique apparaissant suffisamment dans la théorie générale de l'auteur et aussi parce que je n ai p
eur et aussi parce que je n ai pas trouve, au sujet des attributs, de théorie nouvelle originale. La partie analytique de l'o
50 (1899) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 14
phénomène du magnétisme animal. Pour leur prouver la réalité de sa théorie , il prie un des assistants, M. Walker, de Îixer s
ne névrose expérimentale, d'autres expérimentateurs échafau-daientune théorie contraire. En effet, pour M. Liébeault, le somm
ar il- le D' Edgar Biîkillon. (Suite) A l'époque contemporaine deux théories physiologiques sont venues fournir des notions pr
équard découle de ses nombreuses expériences de vivisection. C'est la théorie de l'inhibition et de la dynamogénie. La seconde
relations de contact ou de contiguïté ont donné naissance à plusieurs théories psychologiques du plus grand intérêt. Toutes ces
une interprétation rationnelle des phénomènes' de l'hypnotisme. La théorie de l'inhibition est venue confirmer l'idée de Bi-
t d'une suggestion, c'est-à-dire que, pour ceux qui soutiennent cette théorie , il n'y aurait pas une action propre de l'aimant
des fosses nasales; c'est même sur cette disposition qu'est fondée la théorie pathogénique nouvelle de l'ozêne, édifiée par les
ns qui sont venus exposer leurs procédés, leurs cures et un peu leurs théories . Bien entendu, aucun élément nouveau n'a été intr
reprirent en les complétant et crurent les découvrir. Pourtant, les théories do Durand de Gros n'étaient point de simples spéc
d'honneur. Spencer et Claude Bernard reprirent pour leur compte la théorie du polyzoisme et du polypsychisme. Janet, en ces
la psychologie de l'inconscient, a fait revivre sans s'en douter les théories de Philips. Les recherches de Durand sur la tor
vrage, chez Doin ; Du Sommeil et de ses états analogues. C'était la théorie de la suggestion hypnotique, entrevue par Braid e
e grand tapage, dans un complet discrédit. Alors Liébeault vint. Sa théorie est très simple. Pour lui, il n'y a pas de fluide
la cellule nerveuse. Aussi devons-nous accorder quelque attention aux théories psychologiques inspirées par les recherches de Go
es régions différentes du cerveau. M. Mathieu Duval a échafaudé une théorie analogue basée sur l'amœbisme des neurones, et qu
basée sur l'amœbisme des neurones, et qu'il a désignée sous le nom de Théorie histologique du sommeil. Pour Mathieu Duval, chez
="113"> Peu de temps après, Ramon y Oajal a apporté une nouvelle théorie mécanique desphénomènespsychiques,basée, cette fo
surviendrait une rétraction des cellules do la névroglie. Avec cette théorie , le repos mental, le sommeil, les états de l'hypn
bre de cellules psychiques isolées. Telles sont, très résumées, les théories par lesquelles on a cherché à interpréter les phé
rais une existence magnifique et de lui rendre la vie pénible. « En théorie , les députés doivent n'avoir devant les yeux que
ngent avant tout à leurs propres intérêts et à ceux de leurs amis. En théorie , les députés doivent être les meilleurs et les pl
ont les plus ambitieux, les plus entreprenants, les plus violents. En théorie , le vote pour un candidat indique que l'électeur
estion thérapeutique, et, réellement, ici la pratique correspond à la théorie . Dans des accès simples, la parole calmante suffi
Mais les cas produits ou qui pourraient être élucidés au moyen de la théorie exposée ci-dessus, sont, il faut l'avouer, très p
e l'hypnose, il ne manquera pas de le faire. Cependant, d'après celle théorie , le retour des forces aux centres les plus élevés
en les admettant, j'estime qu'il faut les compléter par d'autres : la théorie de Gurney, en effet, n'est pas applicable à tous
nsi dire de côté la conscience normale, elle exécute l'ordre. Cette théorie serait acceptable si toutes les personnes hypnoti
de réel, de vivant, de « moral », Vous no vous êtes pas contenté des théories froides et desséchantes. Résolu1-ment, vous qui ê
ologie de ia volonté, 203 p., Masson, Parie, 1899. DT Daclbuagne. — Théories de la criminalité. 213 p., Masson, Paris, 1899.
e ce faux témoignage à un individu hypnotisé. Facile à concevoir en théorie , il est peu probable que le fait se rencontre dan
bliées. Ces exemples, d'autres encore, ainsi qu'un clair exposé des théories scientifiques actuelles, recommandent la lecture
Penregistre- (l) Ch. Hixet-Sanclé. — Du tremblement à la paralysie. Théorie des neuro-diélectriques. (In Arch. méd. d'Angers,
do jugements religieux. Voici trois chapelets de suggestion pour la théorie janséniste : Du Vergier de Hauranne. Du Vergier
eur, après avoir exposé et critiqué/page> page n="330"> les théories de lïibot, W. James et Lange, montre l'importance
soit par la Cour d'assises en cas de crime. Et cela d'accord avec la théorie nouvelle, modificalive de la loi de 1838 sur les
e sont le plus intéressés aux études de l'hypnotisme. Il a fourni une théorie ingénieuse pour expliquer les états hystériques,
ué. — L'inhibition et la dynamogénie dans les états hypnotiques. — La théorie du neurone. — L'hy-/page> page n="353">
51 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tèrent atrophiés; la sensibilité revint complètement. P. S. VIII. Théorie DE la représentation VISUELLE corticale ; par Ewe
par Ewens. (l3rain, part. IV, 1893, p. 475.) L'auteur propose une théorie qui serait selon lui capable de concilier les c
nal of nervous and mental Disease, août 1894.) Revue rapide de la théorie thyroïdienne de la maladie de Graves. Deux obse
otll, de Griesinger, de Connolly, de Rush, etc. Depuis la chute des théories de l'inflammation, la sai- gnée a disparu comme
osantes, les émotions morales en sont les causes occasionnelles. La théorie de la névrose pure n'explique ni les manifestat
ni les manifestations fébriles ni les lé- sions de l'endocarde. La théorie anatomique ne montre que des lé- sions variées
atomique ne montre que des lé- sions variées et contradictoires. La théorie réllexe est passible des mêmes objections que l
toires. La théorie réllexe est passible des mêmes objections que la théorie de la névrose. La théorie dyscra- sique, en fai
est passible des mêmes objections que la théorie de la névrose. La théorie dyscra- sique, en faisant jouer le rôle prépond
hypothèse d'automatisme inconscient, et défend ce qu'il appelle la théorie télékinetique. A. Marie. XII. Personnalité MU
i, pour expliquer ces types variés, se pré- sente, ce me semble une théorie tout hypothétique mais qui ne paraît pas défend
ues, comment inter- préter son mécanisme ? Il faut tenir compte des théories qui ont cours sans prendre parti dans le débat.
l'idée fixe, de la pensée du malade. Ils appuient directement la théorie psychologique de l'hystérie. Dans tout accident h
ertébrale pour diminuer le pouvoir excito-moteur de la moelle. A la théorie centrale de Raynaud, Vulpian a opposé la théori
la moelle. A la théorie centrale de Raynaud, Vulpian a opposé la théorie périphérique. Le resserrement des vaisseaux sous
l y avoir de paralysie infantile hémiplégique ? . En faveur de la théorie de Raynaud on peut d'ailleurs faire valoir, out
nt l'une ou l'autre des explications qui sont l'analogue soit de la théorie de Raynaud soit de celle de Vulpian. Dans leu
ptomatique né sous des causes très variées, ils n'acceptent pas une théorie univoque. Ils concluent à la théorie soit cen-
riées, ils n'acceptent pas une théorie univoque. Ils concluent à la théorie soit cen- trale, soit périphérique. - Pour l'
tologie. ' Il serait séduisant d'aborder, à propos de nos faits, la théorie vaso-motrice de l'hystérie que Vulpian a combat
syndromes de Raynaud et de Weir Mitchell rattachés à l'hystérie, la théorie centrale doit être acteptée. Raynaud avait invo
alement étudiées chez nous. c Comme l'a dit Séglas, ajoute-t-il, la théorie de la pa- ranoïa a germé en France. » 11 en r
es idées générales. C'est pourquoi Magnan, reprenant et étendant la théorie de Morel sur la folie des dégénérés, des hérédi
formes dans la paralysie générale. Il n'est point partisan de la théorie qui attribue aux aulo-ititoxi- cations la produ
puerpérales en particulier est admirablement mis en relief : Cette théorie géné- rale de l'origine infectieuse des états d
, par exemple. Toutefois, il paraît légitime de reconnaître que les théories de M. Magnan, associées à celles de M. Cramer,
euse et changeante, avec guérison souvent rapide, conformément à la théorie de Magnan, ne rattache pas la confusion mentale a
d'admettre la lésion primitive des cellules nerveuses au sens de la théorie de Charcot. P. Keraval. XXIII. Quelques COURT
chez certains dégénérés. Cette loi ne serait que l'application aux théories modernes d'une ancienne loi de l'Etat de Missouri
s un seul élément de tissu nerveux. Ce fait vient à l'appui . de la théorie ancienne. f' M. HITZIG présente, en revanche, d
une ces'troubles' qui siégeaient'du' 1 , s est , fàit 6'të r, , " théorie sur les malheurs de ce côté' droit : « C'est Ie'c
ères maladies, qu'il y a lésion organique. XXXIX. Contribution A la théorie des obsessions ; par Grashey. (Allg. Zeitsch. f
dans le chapitre m. L'auteur s'étend plus particulièrement sur la théorie de Meyneft, qui admet à l'état sain l'hypérémie p
du cerveau est à l'état de sommeil. b - M. Chaslin résume aussi les théories de Wundt sur l'aperception, celles de Ziehen su
i qu'il en soit, M. Clouston estime que, à l'heure actuelle, aucune théorie tendant à interpréter la manière dont le myxoe-
. Le livre de M. Friedmann sur le délire, présente en réalité une théorie générale de la folie, fondée sur les vues particu
constitue sur presque tous les points une contradiction avec les théories plus ou moins établies aujourd'hui. En particulie
s théories plus ou moins établies aujourd'hui. En particulier, la théorie de l'aperception dans ses applications à l'état p
che en grande partie, quoique avec des modifications notables, à la théorie de l'association anglaise, et son livre est une
actuelle, et cela pour la critiquer, et fait un histo- rique de la théorie de la paranoïa, l'auteur donne un résumé des pr
formes de la paralysie générale. L'auteur n'a pas voulu émettre une théorie donnant l'interprétation de tous les cas, mais
nerveux déjà profondément altérés peut être comprise à l'aide de la théorie des phénomènes de rappel de M. le professeur Pi
sseur Pierre : 4° pour la paralysie générale, l'exactitude de cette théorie expérimentale ne peut pas être donnée expérimen
taques apoplectiformes ou épileptiformes avec ousansparésie, celte théorie est fertile en conséquences pratiques. Elle nous
Dans sa quatrième conclusion, M. Guérin dit que l'exactitude de sa théorie ne peut être expérimentalement démontrée; cependa
les accidents apoplec- tiformes et épileptiformes par les anciennes théories . Il semble qu'après la lecture de l'intéressant
sami, 299. Névrose traumatique, par Derode, 201. Obsessions, théorie des , par Grashey, 39,ï; étude clinique de l'
étranges d'un dégénéré persécuté, par Lefilliutre, 225. Visuelle, théorie de la représenta- tion - corticale, par i ? wen
52 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
hatisme exagéré, le stigmate de l'hérédité névropathique. Quant aux théories physiologiques, l'une, on le sait, est basée su
vésicale et l'autre sur l'atonie du sphinc- ter uréthral. Ces deux théories se contredisent. On pourrait toutefois supposer
un fonc- tionnement vicieux du système nerveux central. De là les théories psychologiques. La plus simple de toutes consis
ste au delà de cette limite, l'infirmité est constituée 1. Si cette théorie peut s'appliquer à quelques faits d'incontinenc
s rêves mictionnels, M. J. Janet en a fait la base d'une ingénieuse théorie qu'il applique à tous les cas d'incon- tinence.
es neurasthéniques et aussi des hystériques. Quoi qu'il en soit, la théorie de l'auteur n'est pas en contradic- tion avec c
l'enfant ne sent pas sa vessie se vider. On ne peut invoquer ici la théorie du rêve mictionnel, ni aucun processus actif de
s qui nous a été transmise par le maître. On sait que d'après cetle théorie , l'hérédité nerveuse est, pour les affections név
ne seule ou y en a-t-il plusieurs ? Tout en étant persuadé que sa théorie évoquera GO un orage de contradictions de la part
le. (Thèse de doctorat, Nancy). M. Bohn passe en revue les diverses théories relatives au som- meil ; il indique les princip
orts médico-légaux, ils entrent dans tous les détails, exposent les théories médicales et philosophi- ques régnantes, les di
es les plus intenses; il y a tous les degrés. L'auteur esquisse une théorie physiologique de l'obsession basée sur les rap-
s aliénés au point de vue de la tuberculose est une mesure bonne en théorie peut-être, mais qui ne donne guère de résultais
rés dont il grossit le nombre, au détriment des autres variétés. La théorie des dégéné- rescences de Morel, si elle est exc
héorie des dégéné- rescences de Morel, si elle est excellente comme théorie de pathologie générale, est, en revanche, singu
e tout individu qu'elle frappe. Com- ment l'expliquer ? Beaucoup de théories ont été proposées. Après une discussion des plu
mettent, surtout chez des malades alités, deux fois par jour. IV. Théorie de la méthode. Avant d'analyser les résul- tats
tats obtenus chez nos malades, nous croyons utile d'exposer ici la théorie de la méthode de rééducation des mouvements. Ma
r la nature et le siège anatomique de l'incoordination motrice. Les théories qui considèrent ce symptôme comme une manifesta
ondu la conséquence de l'in- coordination avec sa cause. Quant à la théorie des centres et des conducteurs d'une coordinati
e l'écorce céré- brale, c'est-à-dire un acte conscient et voulu. La théorie sensi- tive de Leyden, qui subordonne l'incoord
lité musculo- articulaire est toujours altérée. On a opposé à cette théorie les hystériques, atteints d'anesthésies profond
bes. Néanmoins, comme nous le verrons plus loin, c'est encore cette théorie qui explique le mieux l'amélioration de la coor
drassik n'ont pas été confirmées dans tous les cas de tabes. Cette théorie est aussi en contradiction avec les résultats de
grande personne au contraire sera prudente, raisonnera, se fera une théorie du mouvement coordonné, qu'elle aura à apprendr
de vue physio-palhologiquo l'auteur passe en revue les différentes théories de l'hallucination : théorie périphérique ou sen-
auteur passe en revue les différentes théories de l'hallucination : théorie périphérique ou sen- sorielle ; théorie d'origi
éories de l'hallucination : théorie périphérique ou sen- sorielle ; théorie d'origine intellectuelle; théorie psycho-sensorie
e périphérique ou sen- sorielle ; théorie d'origine intellectuelle; théorie psycho-sensorielle et théorie physiologique de
e ; théorie d'origine intellectuelle; théorie psycho-sensorielle et théorie physiologique de l'éréthisme des centres corticau
a conscience avec tous les carac- tères de la réalité objective. La théorie de l'hallucination regardant comme nécessaire l
o- logie de l'audition normale, l'auteur s'abstient d'émettre une théorie générale de l'hallucination de l'ouïe, se content
, beaucoup plus intellectuel. Je me trouve ainsi amené à prendre la théorie intellectuelle, telle du moins qu'on la peut co
aucune altération. - M. Wladimir SERBSFI. - Je veux insister sur la théorie des hallu- dilations psychiques, due à un auteu
s centres sous-corticaux sont troublés. M. Karvinski a développé la théorie de Meynert ; dans les hallucinations psychiques,
étations délirantes, tient à ce qu'il existe des définitions et des théories différentes et il s'agi- rait de se mettre d'ac
ns les organes mêmes du malade, sont t hallucinatoires; c'est cette théorie que le rapporteur a tout d'abord \ admise impli
pense qu'en modifiant ces termes décourageants, on peut soutenir en théorie le principe d'une division des établisse- 236 S
bles hysté- riques, c'est-à-dire d'origine psychique. Moebius, à la théorie mécanique de Wagner, oppose une manière de voir
ifs aux phénomènes psycho-sensoriels et on peut leur appli- quer la théorie de M. Paul Garnier : l'hallucination (psycho- m
ces phénomènes de l'illuminisme, se trouve, écrit M. Caro, dans une théorie complète du sommeil et .du 1'êve. Tous les syst
'on la connaît à notre époque, il résume et compare les principales théories anatomiques et physio- logiques sur l'innervati
es derniers, etc. Je ne retiendrai que les parties originales de la théorie qu'il propose lui-même pour expliquer le spasme
xtrail de ]a Puglia medica, 3e année, n° 5.) Pour l'expliquer, deux théories surtout ont de nombreux parti- sans : 1° l'inco
sont distendus au delà d'un certain degré, ils se contractent. Ces théories sont toutes deux, on le sait, passibles 458 REV
objections, l'auteur les rejette l'une et l'autre et se rallie à la théorie psychique défendue principalement par le Dr Fio
ontre guère que chez les sujets nerveux et souvent héréditaires. La théorie psychique admise, on doittraiterl'incontinence co
r qu'il s'élève nettement contre l'abus que l'on tend à faire de la théorie de la dégénérescence. La thé"rie de More], pour
53 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ceux publiés par Chantemesse, Recklengausen, etc., discus- sion des théories pathogéniques de Marie, de Tamburini. Conclu- s
soin d'être 54 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. vérifiées; mais la théorie qui reconnaît aux migraines et aux attaques oph
tigations anatomiques et physiologiques ne confirment en rien cette théorie de 1 hyper- tliyroïdation à l'aide de laquelle
ncerlitude des résultats de l'anatomie pathologique (opposition des théories interstitielle et 1)(ii-eiteltyni(t- SOCIÉTÉS
nerveux par le sommeil entraine la disparition de l'athétose. Cette théorie explique pourquoi il n'y a pas d'athétose dans to
de la glande thyroïde comme primitive dans la maladie de Graves. La théorie attribuant les symptômes à un excès de sécrétio
iations du contenu des vési- cules. J. Hill. Abram considère que la théorie thyroïdienne trouve un point d'appui sur les ré
ach et de Goll, produit-elle l'incoordination motrice' ? llia seule théorie parmi toutes celles qui ont été proposées satisfa
897. Tipografia vida 6 bijos de .Manuel Tello. 0 \VoLrr (.1.). La théorie de la palleogénie fonctionnelle des déforma- li
uelques expériences furent tentées dans le but de confir- mer cette théorie . Kronthal déterminait une compression chronique
te la syringomyélie, grâce à la prolifé. ration de l'épithélium. La théorie de Langhans et Kronthal est aussi approuvée par
ngomyélie de l'autre. Notre observation plaide donc en faveur de la théorie (Kronthal et Langhans) de syringomyélie résulta
s) de syringomyélie résultant d'une stase. Il est évident que cette théorie ne s'applique qu'à un certain groupe de cas, qu
tions et infec- tions. » M. Picqué s'élève avec énergie contre la théorie de M. Régis. Il n'admet comme troubles psychiqu
des interpré- tations différentes mais tendant toutes à infirmer la théorie de Charcot, d'après laquelle il y aurait une co
nous faudrait reconnaître aujourd'hui que ce cas est contraire à la théorie de Charcot et qu'il vient à l'appui des idées d
enue flasque. Ce fait prouve que pour pouvoir déclarer en défaut la théorie de Charcot sur les relations des paralysies spa
ence secondaire, se sont empressés de contester le bien fondé de la théorie de Charcot. 228 SOCIÉTÉS SAVANTES. 11 exist
érieure à la lésion nerveuse. Il semble probable, si l'on admet les théories de la toxi-infection qu'elles relèvent toutes d
rminer. Cette hypothèse serait un trait d'union possible entre deux théories opposées; mais ce qui nous semble actuellement
dans un seul groupe dénommé lép1'ose j. Hansen* n'accepte pas cette théorie séductrice de l'unité qui faciliterait la résol
publiée par le Dr Brugelman, l'au- teur se déclare adversaire de la théorie qui veut que l'hypnose soit une modalité hystér
tte le diagnostic sûr des maladies nerveuses. P. KEKAVAL. XIV. La théorie DE RONCOIIO1VI SUR la genèse physiologique DE la
n'infirme pas du tout l'idée d'une tumeur. M. Higier se rallie à la théorie de Loevenfeld, du phénomène d'arrêt. La paralys
nt associé à des phénomènes d'origine labyrinthique et proposait la théorie suivante : quand le, globe n'est pas'fixé par l'a
ès fréquem- ment la paralysie faciale. M. Bernhardt a critiqué la théorie de l'auteur, semblant croire que ce dernier att
Or, M. Bonnier, en parlant de huit cas auxquels l'application de sa théorie semblait. légitime, a simplement indiqué que da
e aux objections posées dans un récent travail de ' M. Gerest, à la théorie de l'auteur relative à l'exagération des réflex
e ces dernières objections ne sont pas de nature à démontrer que sa théorie est en désac- cord avec les faits cliniques, an
toires de la Grande-Bretagne et de l'Europe entière. Autrefois la théorie de l'influence du moral sur le physique occu- p
es cas aigus. Cette détermination indique sûrement le passage de la théorie à la pratique. Au lieu de mélanger les sujets a
sant la fonction du langage dans ses éléments psycho-moteurs. Cette théorie est combattue par M. Fran- cotte qui considère
illaires cérébraux, lésion du sympathique, auto-intoxication). Deux théories s'en dégagent : théorie nerveuse et théorie de
n du sympathique, auto-intoxication). Deux théories s'en dégagent : théorie nerveuse et théorie de l'intoxication qui, malg
to-intoxication). Deux théories s'en dégagent : théorie nerveuse et théorie de l'intoxication qui, malgré leur valeur expérim
proclamer, sur la foi des résultats qui précèdent, la ruine de la théorie nerveuse et triomphe de la théorie de l'auto-into
ts qui précèdent, la ruine de la théorie nerveuse et triomphe de la théorie de l'auto-intoxication Y L'auteur ne le pense p
e pas, et pour lui l'antagonisme, généralement admis entre ces deux théories , n'est qu'apparent. L'influence du traumatisme
donc plus exact et plus logique d'établir la distinction entre une théorie capsulaire et une théorie nerveuse; la première
ogique d'établir la distinction entre une théorie capsulaire et une théorie nerveuse; la première plaçant à la base de l'étio
primitif du système sympathique de cause inconnue. Maïs si ces deux théories peuvent être soutenues dans le domaine clinique
le domaine clinique, l'expérimentation ne permet d'admettre que la théorie capsulaire. Si l'on peut considérer comme certa
ui que proviennent ensuite ces prolongements qui, dans la nouvelle, théorie , ne constitueraient que la seule partie importa
intelligence, DE la parole, DE la PSYCHOLOGIE de la parole ET DE L1 théorie DE l'aphasie; par W. OTUSZEWSKI. (Neurolo. Cent
les qui ont pour fonction unique d'associer. Voilà qui distingue la théorie du mécanisme d'association de Flechsig de celle
qu'il faut savoir différencier, et qui a donné lieu a une foule de théories tombées une à une dans l'oubli dont elles étaie
les faits exposés ou connus s'expliquent ainsi, cadrent dans cette théorie d'apparence d'ailleurs si rationnelle ? Je ne le
495. Faisceau nu Gowers, son trajet, par Rossolino, 33. Folie. Théorie * de Roncorini sur la - systématisée, par Jentsc
54 (1897) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 10]
hogénique n'a jus- qu'ici reçu aucune solution satisfaisante et les théories qui ont été timide- ment proposées ne sont en s
e mois (tel notre cas) ; nous n'insisterons pas davantage sur cette théorie . Trois théories scientifiques ont été proposées
re cas) ; nous n'insisterons pas davantage sur cette théorie. Trois théories scientifiques ont été proposées par les tératolog
à l'extrémité des moignons ou à la place des membres absents. Cette théorie est plausible pour les cas où les moignons renfer
illant, àun « mame- lon », qu'à une cicatrice vraie. Une dernière théorie enfin suppose que l'absence d'un membre est la
nt du système nerveux central, du centre trophique du membre. Cette théorie invoquée par Brandt pour son cas d'amélie, n'a
e concours d'évé- nements accidentels pour qu'on put admettre celle théorie dans les cas où l'ectromélie porte sur plusieur
étant au contraire aussi courte que possible. Sans insister sur la théorie de ces conclusions, il ressort d'une façon évid
nt uréthral chronique à exa- cerbatiou. Elle n'est pas si fausse la théorie de Peter qui considère le rhumatisme blennorrha
diversité des explications patho- géniques. ' Parmi celles-ci la théorie musculaire et par conséquent nerveuse con- vien
d et peut-éti'e serons-nous amenés à discuter certains points de la théorie ingénieuse de cet auteur et à proposer plutôt l
nerveux. Et Gauliez conclut simple- ment : « celte interprétation ( théorie centrale de Duchenne) s'accorde d'ailleurs avec
r à discuter que des points de détail. J'ai d'abord rencontré cette théorie dans l'histoire de l'hystérie trauma- tique : j
la production de l'hystéro- traumatisme et n'ai pas pu accepter la théorie que Berbez résumait dans ces mots : « Le trauma
portance ; l'idée erronée à laquelle il donne naissance est tout », théorie qui de l'hystérie traumatique a été peu à peu é
à-dire en somme à toute l'étiologie de l'hystérie. Puis après celte théorie étiologique de )'hystérie,j'ai rencontré la théor
Puis après celte théorie étiologique de )'hystérie,j'ai rencontré la théorie complète qui veut faire de l'hystérie une « mal
avec les cervicaux du côté opposé. Il combat, à cause de cela, la théorie de l'origine musculaire par atro- phie de certa
l'origine musculaire par atro- phie de certains muscles, adopte la théorie nerveuse, mais rejette la théo- rie nerveuse pé
is rejette la théo- rie nerveuse périphérique de Jaccoud. Dans la théorie centrale qu'il adopte, il élimine la théorie bulb
ue de Jaccoud. Dans la théorie centrale qu'il adopte, il élimine la théorie bulbomédul- laire et arrive à l'écorce. Là, i
éorie bulbomédul- laire et arrive à l'écorce. Là, il rencontre la théorie du torticolis mental de Brissaud, la combat. No
x non améliorés. Le côté le plus curieux du travail est celui de la théorie de cette inter- vention iliérapetitipue. L'aute
e de cette inter- vention iliérapetitipue. L'auteur n'oublie pas sa théorie centrale et corti- cale du torticolis et alors
e suggestion puissante du centre cortical de la rotation. » Cette théorie ne me paraît pas fort encourageante. Je reconnais
anatomique des rameaux nerveux, nous nous trouvons en face de deux théories principales : I. Baerensprung insiste sur ce fa
t à la lésion les glandes, les poils, les cheveux. Bien que cette théorie de Baerensprung, soit acceptée par Neumann, Pot
ie Haut arterien der menschlichen Korpers, 1S89. ' 274 G. ÉTIENNE théorie de Bmrensprung, caries filets nerveux ne s'arrête
et il faut aussi tenir compte de la région des anastomoses. A cette théorie de Boerensprung faisant dépendre la répartition d
a moelle. Enfin, la lésion originelle dans les cas rentrant dans la théorie de 13;r,rensprung, peut être tout autre chose q
s objections soulevées, bon nombre de faits restent en faveur de sa théorie . II. Philippson, Petersen, Galewsky ont attiré
tement en dehors de la zone anastomotique. En opposition avec cette théorie de Philippson, on a voulu édifier des théories
opposition avec cette théorie de Philippson, on a voulu édifier des théories nouvelles qui ne sont, en somme, qu'une analyse p
gions nerveuses. Ici, il semble que l'on puisse faire intervenir la théorie méta- mérienne de Ross, Thornbull, Head appliqu
(2) : un nodule isolé ne peut guère avoir une autre valeur; mais la théorie ancestrale tient bon (3). Les quatre photographie
'homme, 1873, t. I, p. 21. (2) Cu. Fritz. La famille névropalhique, théorie tératologique de l'hérédité et de la prédisposi
vateurs. Toutes ces raisons militent singulièrement en faveur de la théorie uniciste. Et puis, on a contesté au gigantism
ion bilatérale. « Cette observation semble vérifier complètement la théorie de MM.Bris- saud et Meige qui font du gigantism
rquable rapport de Massalongo, cité plus loin ; cet auteur admet la théorie réflexe de Brissaud. DE L'AlIT11ROPATIIIE NERVE
ce de formes éliologiques et même cliniques n'infirme pas encore la théorie de l'unité. v 396 PAUL LONDE phie musculaire,
u la syringomyélie (observation de Prautois et Etienne). Quant à la théorie purement névritique elle semble bien insuffisan
urs ont en effet essayé d'appliquer il la macrodactylie iso- lée la théorie par laquelle MM. Trélat et Monod expliquait l'hyp
55 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
ma- tion de cette déviation chez les coxalgiques. Des trois grandes théories (osseuse, musculaire, ligamenteuse), que l'on p
ait concevoir, les deux premières nous paraissent insoutenables. La théorie osseuse a contre elle l'absence de lésion du sq
théorie osseuse a contre elle l'absence de lésion du squelette. La théorie musculaire ne pourrait être défendue avec succè
tendue la partie antéro-externe de l'aponévrose fémorale. La seule théorie qui puisse fournir une explication satisfaisante
ture. Les faits de ce genre constituent une objection sérieure à la théorie de l'hypotonie musculaire, émise par Fren- kel
cine » publieront prochainement notre étude sur ce livre et sur les théories anciennes à propos de la longévité. ( : I) « Se
on des pa- rents. » Voilà-t-il pas, merveilleusement tracées, les théories modernes sur l'hé- rédité et sur les limites de
iculier attribué à l'homme par Bacon s'adapte merveilleusement à la théorie de la gérocomique, telle que J. IL Cohausen l'a d
ne explication du souffle humain en général, où l'auteur établit sa théorie de la respiration selon les idées de son temps, i
nt la masse du sang, soitpar sa force balsamique vitale d'après les théories des Philosophes, soit d'après les principes mé-
ds de ses narines. Cohausen cherchant des arguments en faveur de sa théorie n'avait garde d'oublier l'exemple des fleurs, d
agne de David. Cohausen examine ensuite deux objections faites à sa théorie par son ami Nunning. 1° Pourquoi Salomon qui
é une application de la médecine statique de Sanctorius, , et de sa théorie de la perspiration au problème de la longévité.
comme un précieux document. Après nous avoir promené à travers les théories de ces illuminés dont le rêve était la découverte
les et que l'auteur a soutenu avec beaucoup de talent sa paradoxale théorie . C'était aussi l'avis des éditeurs anglais qui
ébille et une béquille. A droite, viennent par le haut une longue théorie d'éclopés. (1) Signalée par Charcot et P. Riche
né- crose ; les autres attribuent encore une part d'exactitude à la théorie de la myélite syphilitique et d'après eux les é
la com- pression par la prolifération cellulaire spécifique (Lamy), théorie que Na- geotte a défendue dans l'Iconographie d
amollissement inflamma- toire. Dans l'une comme dans l'autre de ces théories on admet d'ailleurs que les lésions ultimes de
stinée, non pas à rempla- cer, mais à prendre rang parmi les autres théories pathogéniques (con- gestion, irritation, troubl
ormations angiomateuses diffèrent des angio- mes vrais. En effet la théorie la plus communément admise est celle qui fait p
tolyse poursuit son évolution. Ce qui nous empêche d'accepter cette théorie , c'est qu'il existe des cellules encore gonflées
e le séparer des autres champs chromatiques. (2);h. BINET-SAN6LÉ, Théorie physiologique de l'hystérie (in Revue de l'hypnot
nt à la paralysie (in Archives médicales d'Angers, 1898,1899,1900). Théorie des np1l1'o-diéleclnqlles (in Archives de neurolo
vrai, expliquer ces phénomènes par la rétrac- (1) CH. Binet-Sanglé, Théorie physiologique de l'hystérie (in Revue de l'hypnot
uver place dans cet article, du moins, avant d'exposer les diverses théories sur la pathogénie de cette affection, devons-nous
s notions histologiques exposées, nous pouvons aborder les diverses théories sur l'étiologie de l'achondroplasie. Pour certain
ondroplasiques aux chiens bas- sets. Mais, à côté de ces diverses théories dystrophiques, éclairées d'une part par les rés
luant très rapide- ment.On appliquerait ainsi à l'achondroplasie la théorie actuelle toxique du rachitisme. Nous voyons en
hi- tisme et de l'achondroplasie. Peut-on choisir entre la première théorie dystrophique et la deuxième théorie toxique ? A
ut-on choisir entre la première théorie dystrophique et la deuxième théorie toxique ? A ce point de vue, nous nous rallions
gique «hérédité » une importance qu'il ne possède pas et édifier la théorie héréditaire du rachitisme, théorie qui, dans l'
qu'il ne possède pas et édifier la théorie héréditaire du rachitisme, théorie qui, dans l'observation ci-dessus, paraît entiè
tence chez des sujets nés de parents indemnes, les défenseurs de la théorie héréditaire durent-ils appeler à leur aide l'hé
fet retrouver assez souvent chez les ascendants. Ajoutons que cette théorie de l'hérédité (directe ou indirecte) paraissait
tes il rattacha le rachitisme à l'hérédo-syphilis. 304 ZIMMERN La théorie a cependant été entièrement abandonnée et les not
hitisme intra-utérin qui paraît se trouver en contradiction avec la théorie alimentaire. Mais ici la contradic- tion n'est
parfois une certaine hydro- pisie de la cavité arachnoïdienne ? Les théories modernes considèrent les phénomènes de l'urémie
rations anatomopathotogiques peuvent être invoquées à l'appui de la théorie toxique du syndrome diffus des tumeurs cérébrales
motrices (cas de Menzel) et certains nerfs crâniens. C'est là une théorie , dira-t-on. - Mais ce qui l'autorise, c'est que n
rvation peut soulever. D'ailleurs une étude critique des nombreuses théories qui se rappor- (1) Vasciiide et VunpAs, Contrib
ème nerveux central. Structure et fonction. Histoire criti- que des théories et doctrines. Paris, Georges Carré et Naud, 1899,
qui nous occupe. Nous le verrons bien en examinant les différentes théories qui ont été mises en avant ces dernières années.
se ne met-il pas en évidence une bar- rière anatomique que seule la théorie de la métamérie spinale est capable d'expliquer
nir la physiologie, il est sage de ne pas trop s'aventurer dans ces théories pa- (1) Médecine moderne, 1891, p. 6;i7, et Fol
que l'on rencontre dans certaines affections de la moelle. C'est la théorie de la « métamérie » indiquée par Brissaud. A chaq
56 (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
-9 par SPRINGTHORPE et MULLEN. -P'» '" On a longtemps professé ta théorie qu un criminel ne pouvait être excusé pour caus
durables. . Pour l'alcoolisme, certains auteurs ont émis la même théorie , justiciable des mêmes critiques : l'alcoolisme
caractères de la vraie paralysie générale. M. Vallon pense que la théorie des pseudo-paralysies générales doit être attri
tence de cellules de cordons pour r les voies pyramidales ? Dans la théorie qui \ient d'être exposée avec tant d'éclat par
s aucune arrière-pensée, sans aucun parti pris pour telle ou- telle théorie , repose 'sur 128 cas, dont 27 classés de cause
goisse neurasthénique, ainsi que de la folie du doute primitive. Théorie de l'hyperexcitabilité de 'Arndt, Kowalewsky, Sad
. Théorie de l'hyperexcitabilité de 'Arndt, Kowalewsky, Sadowsky. Théorie de Meynert : ' l'anémie corticale affaiblit les o
- '' ' ..il,"4" ·, 1 . , w "t ' ' t- ^ y XLIII. Contribution .1 LA théorie DES hallucinations; par CIIVOSTEK. ' (Jnle·6ücl
s oreilles. (Annales médico-psychologiques, 1893.) E. Blin. IL La théorie PSYCHOLOGIQUE DE L'HYSTÉRIE (I%01'lJélllB CO)'tiC
ns cet article, M. Grasset résume d'une façon complète et fidèle la théorie psychologique de l'hystérie d'après les travaux d
et dire que les travaux récents sur l'hystérie ont donné non pas la théorie mentale de cette névrose, mais, suivant l'expre
be frontal gauche était en grande partie désorganisé. D'après les théories modernes, les centres inhibiteurs ne pouvaient do
lgré les apparences; un cas normal pour les nombreux pëirtisans des théories psycliiatriques'nou- velles. Aux observâtëils'q
u nerf optique. Une autre observation, intéressantes urtout pour la théorie est celle qui a trait aux altérations de la sen
ne inflammation ancienne qu'à une hémorrhagie, et que, en outre,'la théorie hémorrhagique ne rend que très difficile- ment
géné- ralisations hâtives ou de subordonner l'observation , à des théories . Ne cherchons pas à dominer les autres, mais ne n
nue le point de départ. Je ne veux pas disserter à nouveau sur. les théories par les- quelles on a cherché à expliquer le mé
aat0^ "f 41 j., x1 jfnd'lIw97 fi3J'nnt : f';^3 i , Voir pour cette, théorie , Calineil, De la Folie, t.l,p : '112;tJe regrette
jgné,0deItoutpCe8que nous sommes habitués à croire. Et comme, cette théorie . se, présente e sous le patronageid'un sâvnt ém
a lumière, réagit très bien quand on exciLe l'oeil peu sensible. La théorie indique que le, novau.de ,1 oculomoteur, commun d
cience, avril et juillet 1893.) ^^"^j ? ^, (J ,' ' On sait que deux théories ont été proposées pour11 expliquer la formation
11 expliquer la formation de la pachyméningite 'hémorrhagiqué,3 la' théorie de l'inflammation et'la théorie'de fhémorrhagie
s résume rapidement'pour arriver'à' l'exposition de la troisième- · théorie ,' qui lui est propre ? ^ - '«* ' 'q - ? o ? a ' -
Et, cette, dilatation, cet engorgement, ce n'est pas seule- ment la théorie qui conduit à les admettre; on les observe com-
ntouse sèche. Un"fait''négatif important 'qui vient à l'appui de la théorie 'de* c'est 'que, dans ses nombreuses recherchés
-il»6è'e*n@ pàlh*olozie nerveuse.. Voici comment 1 auteur expose sa théorie : , d ? tr.9' i'iW W;m : r· l.,m^ 1 , ' -,» ? »
emiers, la contraction, et chez les secondes l'excrétion'. 3° Cette théorie , explique les grands -phénomènes nerveux, de la
arti- ficielle capable de produire du mouvement. , ? "J" 4° Cette théorie explique les effets bien connus^ des variations d
érale, par 1 action qu exceree le froid. , ·ii·· la.#1j . 5°.Cette-) théorie .attribue au liquide cérébro-spinal les fonctions
iôn. ar9yr4f,rrr <-fj 1'* 4 ? P,91-E- , 1 3-1l; il f 8° Si cette théorie est exacte, il existe dans l'organisme animal .
tien : : z ' ' ? L'auteur' passeu'ensuiteuaux applications ^de' cette théorie à quelques' faits de;physiologre.pathologique'u
' ! ·,m · af 1 *1 " I" ]0- < Il le, . ' ActiOI2 réflexe ? Cette, théorie fournit une explication du méca- · nisme. de l'
B 3f2Y1P.Af4 l w;, 6*op--i i e-iJ 111. Epilepsie. -77 D'après cette théorie les crises épileptiques peuvent être d'origine
< tpiï}f>l» ! »iil ano'tp^niboT' -OQ' t ' il/amé. Celte même, théorie , explique logiquement la manieàla façon d'une f
, un pécheur possédé du démon ^l i responsable d ses fautes. Cettef théorie 1 spirituel] e., est- combattu e'e rt lirntn
derne de tous les États civi- lisés du monde; 211, en rééditant des théories surannées, les pasteurs ont pour but de créer u
blissements 'doivent être des psychiatres instruits' et'rompus à la théorie et à la pratiqué-dë lâ·psychiatrie.T't' r' ' ç
x , des dogmatistes, des' pneumatismes; il fait apparaître les cinq théories qui on eu cours sur cette maladie : : la théori
paraître les cinq théories qui on eu cours sur cette maladie : : la théorie ^nerveuse, faisant siéger, la^ rage, dans' les
théorie ^nerveuse, faisant siéger, la^ rage, dans' les méninges, la théorie angineuse dans l'asophage et le cardia*, la thé
es méninges, la théorie angineuse dans l'asophage et le cardia*, la théorie ^ diaphragmatique, la, thii6rie ? des, petits "v'e
, thii6rie ? des, petits "v'ers'bla'ncs"'s'o *ni la langue, et la : théorie mixLe ? lajtliérapeutique1très^ bizarre et(très
nfin) insistant sur le danger des, viandes corrompues,- inaugure la, théorie * pytho gène; Albucasis,qui insiste sur les hall
-' ? *-t.' On sait que cette question a fait l'objet de nombreuses théories . Mais jusqu'ici aucune d'elles n'a reçu la cons
4 'i* -7 ? U ç *} 1K< ,. '*>-, - ' . ·-111 : NcI ? A6us de la théorie des localisations' en psychiatrie et en anthrop
ces maladies, l'auteur examine le procédé qu'il faut préférer, les théories physiologiques qui per- mettent d'en prévoir le
blir complètement ou partiellement dans^le public les assertions et théories que' des maîtres autorisés'ont'à juste titre étab
sure grave de l'ac- cessoire et de ? par'Nicol, 457. .' Hystérie, théorie psychologique de l' -. par Grasset, 145. ,a rr,
57 (1846) Journal du magnétisme [Tomes II et III]
l’Allemagne, ce pays des profonds penseurs, nous l’envoie. Est-ce une théorie nouvelle, éclose du génie d’un seul homme, ou bie
s évidemment dans une époque de transition. Les faits ont débordé les théories , comme au temps où parut La-voisier. On se jette,
ciété du Magnétisme. Il expose à la Société sa manière d’envisager la théorie du magnétisme, et, comme conséquence, son mode d’
commençât l’étude du magnétisme, il y avait des gens qui, d’après la théorie mes-mérienne, magnétisaient par une baguette de v
quelles conditions se trouve la médecine, et quelles modifications la théorie et la pratique de cette science ont pu subir pend
elle, et qu’ils viennent réclamer ses secours; ce n’est point par les théories qu'elle vit, c’est par la clientèle. Or, il est i
uvelles une direction plus sérieuse. Au lieu d’exposer aux élèves des théories toutes faites, et souvent très-mal faites, il con
aveugle et superstitieuse, ces prêtres procédaient sans règles, sans théorie . En examinant les oracles de Delphes on reconna
° Enfin un point de côté périodique et diverses névralgies légères. THÉORIES . DU LIBRE ARBITRE. L’homme est-il libre d’eng
rment celles de l’autre; en un mot, que la pratique s’accorde avec la théorie , que l’expérience sanctionne l’observation; c’est
ls eussent été présents en corps. » (La suite auprockain numéro.) THÉORIES . DU PRINCIPE DE LA SCIENCE. Il est une foi et
une forme du moi. Jacobi recommença cette œuvre de réforme dans la théorie de la perception. Mais s’il approcha plus près qu
du centre de mouvement. « C'est-à-dire, pour sortir un peu de cette théorie mécanique, que toutefois force m’était de rappele
pur la volonté d'autrui ou par la loi. (La tuile prochainement.) THÉORIES . FASCINATIONS. — FIÈVRE IMITATIVE. Si, grimpé
plus récentes hypothèses de psychologie; nous allons, par la nouvelle théorie , rattacher aux mômes hypothèses les deux derniers
ations animiques. Les dernières seules doivent trouver place dans une théorie générale où la fièvre imitative elle-même n’est a
qu’il s’est choisi est la constitution. (Lo suite prochainement.) THÉORIES . FASCINATIONS. —FIÈVRE IMITATIVE. (Suilc.)
et la malade a pu se promener pendant une partie de l’après-midi. » THÉORIES . De la polarité des fluides impondérables, et p
t-être eût-il convenu de lui laisser le soin d’en développer toute la théorie ; cependant j’ai cru devoir réunir dans cette note
on est nulle, c’est-à-dire où aucune direction ne prédomine.» Cette théorie de Mesmer est conforme à celle des physiciens les
s il n’a pas démontré l’analogie des deux fluides ni la réalité de la théorie qu’il avance; c’est donc à nous de l’é-tudier.
un accident de ce genre arrivé, je suppose, au pied, en raison de ma théorie je cherche à détruire ce pôle et à empêcher son r
soit la puissance du magnétiseur, et, parles procédés résultant de ma théorie , tous pourront obtenir des résultats très-satisfa
uffer, tonifier et ranimer. J’ai moi-même expérimenté d’après celte théorie , et la vérité m’a été démontrée par des faits-, s
11 de ce mois la nouvelle suivante : «.... Peu à peu, cependant, les théories et « les faits d’un ordre supérieur attirent l’at
z-vous au conteur pour vous donner, par demandes et par réponses, une théorie très-vraisemblable de tout ce qui se rattache à l
méricain. Autant vaudrait ressusciter, pour avoir à les défendre, les théories du cardinal de Cusa (Nicolas Chripffs), avec lesq
ubtil pour avoir des organes, fonctionne librement, etc., etc. » La théorie de M. Poe, si voisine de celle de Bruno, ressusci
que M. Couturier est matérialiste, comme la plupart des médecins. Ses théories contre l’existence de l’âme affectent une allure
’eau dans la localité où il croirait devoir faire l’application de sa théorie . Cela se passait le 21 août. Le l'1' septembre, d
grand volume d’eau à la surface, et les faits sont venus confirmer sa théorie , et les sources ont surgi. Or, n’esl-ce pas là de
t de ce double mouvement est parfaitement démontré depuis l’admirable théorie de Newton; Kepler en a tracé les éléments dans le
ir un nouveau champ à la discussion. S’il en résultait le germe d’une théorie nouvelle, je m’en applaudirais comme d’une découv
e celle que Mesmer nous a révélée. (/.n lulltau prochain numéro.) THÉORIES . DES ERREURS ET DES EXAGÉRATIONS EN MAGNÉTISME.
urer avec ces matadores de la science, si profondément versés dans la théorie , si longuement éprouvés par la pratique ! Toutefo
tc., etc. Je crois, messieurs, que vous n’admettrez pas de semblables théories . Dans le somnambulisme lucide le point de vision
inièn bourgeoise, un précepte banal que vous connaissez tous sür la théorie culinaire du civet de lièvre : Pour faire uneivet
sons sidérales. C’est ce que comprit M. de Puvségur en abandonnant la théorie de son maître pour présenter, nu, tel qu’il s'off
58 (1856) Journal du magnétisme [Tome XV]
; il i nouveau, lui faire quitter tre et la séparer e ritalien.) THÉORIE DES ESPRITS. -MWW- ÎUL1N0DIE. — ÉLECTRICITÉ B
r le phénomène des tables parlantes ? Cependant ce n'est pas faute de théories , car chacun fait la sienne, chacun compose son pe
ne sérieuse et mesurée qui convient aux sujets qu’il doit traiter. La Théorie du magnétisme animal, qu’il publie par articles s
ité est dans leur nature. Ils n’ont pas la prétention de lormuler une théorie de thérapeutique, de donner des règles générales
fourberie des médiums. Mais il ne tarda pas à s’apercevoir que nulle théorie purement physique ne pouvait rendre compte des ph
uiert de ce fait n’est plus le résultat d’une foi aveugle, mais d’une théorie positive. Par elle , les rapports de l'esprit et
, si même nous ne nous accordons complètement. Il ne se refuse plus théories sur les déductions d'une physiologie expérimental
e de la préconception, en sortent souvent mutilés. Ce monde, c’est la théorie . Voici celle de l’auteur : Nous avons, dit-il e
qu’il faut en accuser? Mais passons sur cela, et entrons dans votre théorie , dans votre hypothèse : « Quand nous dormons, not
orte dele savoir. Si vous avez écrit pendant la veille, d’après votre théorie , c’est votre propre esprit qui parle. Si c’était
i, depuis deux heures, a pris possession de ma plume me dit que votre théorie n’est qu’un fantôme qu’un rayon de réflexion fait
ique pas leur action ? Faire du bien est l’essentiel : guérissez ; la théorie se fera plus tard, si c’est possible. La médecine
es sont ouverts pour recevoir les malades et offrent chaque jour à la théorie la plus brillante et la plus utile des constatati
physiologique, sans y trouver toujours, il est vrai, selon ma petite théorie à moi, la solution des phénomènes observés. Un fa
nce. Au contraire, il croit que tout cela vient d’autre part. Cetie théorie s’applique également à tous les faits connus de r
iquer par la lucidité du médium, exercée à son insu. J’avoue que la théorie des esprits qui nous parlent par les tables ou pa
onfiance m’assurent l’avoir vu et touché. Je ne me cache pas que la théorie que je préfère ne soit beaucoup plus complexe que
relle, les inventions nouvelles, la géologie, la musique ou plutôt la théorie de l’acoustique, etc. Ces leçons ont été données
, les esprits, sur tout, sur rient... Enfin, autant de systèmes ou de théories , autant de sectes, et la discorde est arrivée dan
e pratique longue, persévérante et de tous les instants, ou ces mille théories ou systèmes enfantés chaque jour par tous les cer
l a fait appel aux faits et qu’il a repoussé de toutes ses forces les théories et les systèmes!... Car Puy- ségur, homme de bi
rd que ce ne serait que par les faits, et non par des systèmes ou des théories que peu de personnes lisent, même en les supposan
puis, que le tout soit classé avec méthode, et alors le système et la théorie du magnétisme en découleront sans peine et sans e
sans efforts, et ce seront les vrais, les bons, les seuls système et théorie ; mais, peut-être , n’est-il pas temps encore. E
rien, nous ne donnons rien comme positif, nous n’établissons point de théories et nous ne faisons point de systèmes. Nous avons
faut pas vous décourager pour cela, ni retourner en arrière vers des théories d'électricité, de pensées inconscientes ou à'être
; il faut accepter les opinions les plus opposées et n’exclure aucune théorie . Mais ici, il est évident que la direction a été
l’inconvénient de cette consécration unique d'un numéro aux faits et théories spiritua-listes : des personnes incrédules , ou s
a maladie et en triompher. » Qui ne reconnaîtra dans ces paroles la théorie la plus simple et la plus claire, de même que dan
oncerne la sensibilité, l’expérience semble de tout point infirmer la théorie . M. Philips glisse très-légèrement sur ce point i
pression devient assez grande. Ce point est le plus important de la théorie de M. Philips, et nous croyons ne pas devoir nous
s. C’est toujours un très-mauvais système que de faire dépendre d’une théorie la réalité d’un fait, puisque nous pouvons par no
t d’erreurs, tant de mystifications, tant d’exploitation , et tant de théories ridicules, que les intelligences de bonne volonté
faits et les étudient, et se gardent bien d’adopter, comme hase d’une théorie ou fondement d’un système ces soi-disant révélati
fourberie des médiums. Mais il ne tarda pas à s’apercevoir que nulle théorie purement physique ne pouvait rendre compte des ph
endre, a-t-elle trouvé un écho dans de nombreuses intelligences ; les théories harmoniennes out été accueillies avec ardeur; ell
os oracles anciens qui ne trouve son explication naturelle d’après la théorie dont nous avons la clef. Sous n’accusons plus Hér
e démasquer des traîtres ?... Nous ne partageons donc aucunement en théorie les scrupules de M. Allix. Mais quand il s’agit d
ve, 428. Tic douloureux, 421. Tremblement nerveux, 383. ÉTUDES ET THÉORIES . Catalepsie (de la). Définition de cette maladi
et relations physiologiques de l'esprit et de la matière. Examen des théories de M. Philips, par M. Petit d’Ormoy, 400, 429.
ns ce qu’elles ont de commun avec la vue som-nambulique. Examen de la théorie de M. le docteur Brierre de Bois-mont. par M. A.
457. Médiums et somnambules. Etroite affinité qui existe entre eux. Théorie et faits à l'appui, par M. le docteur Gregory, 31
ambulisme. Action des sens dans le rêve et lle somnambulisme naturel. Théorie et faits à l'appui, par M. lle docteur Judée, 13.
rvations par MM. Petit d'Ormoy, 113 ; — de Guibert de Clelles, 348. Théorie et pratique. Celui qui s'adonne à la pratique de
icle signé : un correspondant (tome xiv, page 654 ). Réfutation de la théorie renfermée dans cet article, par M. lle docteur Ch
59 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
a suscités, cette question reste toujours ouverte. On sait qu'une théorie uniciste se dresse en face d'une théorie dualiste
rs ouverte. On sait qu'une théorie uniciste se dresse en face d'une théorie dualiste. Les uns, avec MM. Massalongo, Brissau
es documents positifs, fixant les idées, sont toujours utiles.' Les théories pas- sent. Seuls les faits bien observés demeur
galie est une véritable maladie » (G. Guinon). A rencontre de cette théorie dualiste Massalongo, Brissaud, Meige, etc., exp
décalcification. Cette hypothèse manque de fondement. Pourtant la théorie ovarienne resta debout, car elle est appuyée sur
alement à le rompre. Parmi les objections que Hoenicke apporte à la théorie ovarienne de 58 MARINESCO, PARHON ET MINEA l'
altérations thyroïdiennes nous semble le mieux établi. A côté de la théorie glandulaire de l'ostéomalacie, il convient de cit
e la théorie glandulaire de l'ostéomalacie, il convient de citer la théorie infectieuse. Zurn (138) et Kehrer, Hennig (139)
iIertz et Lolilein ont admis,eux aussi,sans des faits à l'appui, la théorie infectieuse de l'ostéomalacie. Arcangelli (141)
ie infectieuse de l'ostéomalacie. Arcangelli (141) a repris la même théorie sur la base de l'endémie ostéomalacique de Lazi
el avait d'ailleurs donné aussi des mé- tastases dans le foie. La théorie discrasiquepar troubles glandulaires et la théori
dans le foie. La théorie discrasiquepar troubles glandulaires et la théorie infectieuse ne sont pas d'ailleurs inconciliabl
n° 26. 23. llastrccv. Inaug. Diss. Bosel, 1903. 24. Hoenicke. Zur théorie der Ostéomalacie, etc. Berline,. kl. \Vuckensrlw.
est d'ordre mécanique. A ce propos il me plail de rappeler que les théories modernes, c'est-à-dire les théories basées réelle
il me plail de rappeler que les théories modernes, c'est-à-dire les théories basées réellement sur les données acquises par
ruosité des extrémités peut s'expliquer de trois façons : ou par la théorie mécanique (anomalies de développement des extrémi
delung 79 foetales, contractions utérines, traumatismes), ou par la théorie de l'ata- visme, ou par la théorie des troubles
érines, traumatismes), ou par la théorie de l'ata- visme, ou par la théorie des troubles trophiques consécutifs aux altéra-
ifformité congénitale des membres » où l'auteur étudie les susdites théories à travers les idées des savants qui s'occupèren
i s'occupèrent de l'argument. Ici je fais seulement observer que la théorie mécanique parait acquérir de jour en jour plus
itale, pas héréditaire et comme facteur de cause, s'appuyant sur la théorie mécanique qui expli- que bien des difformités d
étique de doigts perdus dans l'évolution de l'es- pèce. Selon cette théorie , l'os pisiforme représenterait un sixième doigt e
purement morbides. Par conséquent elle dépose en faveur tant de la théorie atavique que de la théorie pathologique. Je r
séquent elle dépose en faveur tant de la théorie atavique que de la théorie pathologique. Je rappelle enfin que, selon Deva
judicieux, après avoir hé- silésemble-til, s'était rattaché à cette théorie (1). Sydenham la regardait comme « une espèce d
la systématisation de certaines lésions cutanées, soulève autant de théories diverses, pour ne pas dire contradic- toires, n
rique ; en d'autres termes, il pa- rait assez naturel d'admettre la théorie nerveuse des noevi. Dans un mémoire récent, MM.
ervicale. (Fig. 1 et 2). , Dans ce cas-là, il semble bien que les théories cutanées soient insuffi- santes à expliquer la
les lignes frontière de Voigt. Si on passe en revue les différentes théories nerveuses, on reconnaîtra que ce noevus dans so
de deux lésions différentes el très localisées. D'un autre côté, la théorie radiculaire nous oblige à ac- 232 FOURMAUD ce
s du système vasculaire. Nous ne passerons pas en revue, toutes les théories pathogéniques qui ont été émises au sujet des n
é émises au sujet des noevi. Nous ferons seulement remarquer que la théorie radiculaire permet à elle seule d'expliquer tou
ner un territoire radiculaire. Nous conclurons de tout ceci, que la théorie de MM. Klippel et Pierre Weill est jusqu'à prés
ellules nerveuses, soit par des élémenls névrogliques. En outre une théorie admet l'existence d'une sécrétion interne; elle e
fondant sur les symp- tômes produits par ces tumeurs, il émet cette théorie que la glande pinéale est une glande vasculaire
pas le même pour chaque muscle. Debove eu Boudel émettent alors une théorie de l'alaxie. « Ces diverses recherches nous ont f
lité nous paraît être la cause de l'incoordination motrice. » Cette théorie de l'inégalité de tonicité musculaire, telle que
ormale; cet argument n'est pas suffisant pour faire abandon- ner la théorie endocranienne, car un trouble fonctionnel peut ex
nt légitime de chercher des arguments pour ou contre telle ou telle théorie pathogénique dans l'observation des symptômes con
t pas se servir de son doit surnuméraire. En somme, des différentes théories de la polydactylie que Constantini a exposées a
s* 41( ! CORDIER ET REBATTU Il y a là une preuve excellente de la théorie que nous allons tenter d'éta- blir et pour laqu
ous nous contenions de retenir le fait comme venant à l'appui de la théorie testiculaire de certains de nos infantilismes, pu
fier la conception de l'insuffisance pluriglandulaire, discuter les théories que cette concep- tion veut remplacer, préciser
mêmes cordons postérieurs. C'est de ces arguments qu'est sortie la théorie de la sensibilité de Vulpian-Leyden, pour expliqu
expliquer tout le mécanisme de l'ataxie. Malheureusement pour cette théorie , des faits cliniques sont survenus après et der
malades soient des tabétiques ataxiques. Ceux qui soutiennent cette théorie ont, pensons-nous, le tort de croire que tous l
é, nous croyons qu'Egger a eu le tort de rejeter complètement cette théorie . Si nous revenons à Duchenne de Boulogne, nous
60 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
'altération est d'or- dre médullaire, il est légitime d'accepter la théorie des métamères. Toutes les fibres sensibles d'un
'étrange répartition des éléments éruptifs ne s'explique pas par la théorie de la fièvre zostérienne de Landouzy ? En effet
oir une localisation à un segment de membre sans avoir recours à la théorie médullaire ». Assurément les infections ont des d
t à fait en (1) r1 ses remarques 11. Carrieu ajoutait : « Quanta la théorie de la iiiétaniérisption de la moelle, elle a ét
e ne revendiquerai rien aujourd'hui en faisant observer : il que la théorie de la métamérisation de la moelle est très antéri
ntérieur du système nerveux central. Mais vous voyez bien que cette théorie a fait son temps. Les monstruosités, celles du
es plus élevés, formant les cordons postérieurs. Quelle que soit la théorie , elle s'ap- pliquera à l'appareil labyrinthique
i- timement, à l'offense de la lésion tabétique, quelle que soit la théorie pa- thogénique ; et nous verrons dans la partie
cas précédent. Je n'ai pas à refaire ici l'historique déjà long des théories du sens musculaire, ni à en faire la critique;
x mouvements de la tête le nom de mouvements compensateurs, mais sa théorie inadmissible du sens de l'es- parce compromet l
Mendel à donner aux troubles oculaires une telle importance dans sa théorie du vertige. Le nystagmus vertical, beaucoup plu
issant avec l'affection auriculaire (1). ce qui s'ac- corde avec la théorie d'Ewald. - Je voudrais, en terminant, me défend
labyrinthique ou bulbaire (trijumeau) constituent-ils la base de la théorie des troubles d'origine trop exclusivement périp
tudes et les connaissances scientifiques qui donnent du poids à ses théories mé- dicales de l'amour. » C'est en ces termes
aire remonter la paternité jus- qu'à Ilippocrate. La plus antique théorie de la febris amatoria attribue en effet à des t
chlorose. Il ne nous appartient pas d'apprécier la valeur de cette théorie , assuré- ment trop exclusive, mais contre laque
mariage est le meilleur ». On retrouve là l'influence des vieilles théories hippocratiques sur la ge- nèse et le traitement
ulose et les troubles biliai- res sont tout aussi fréquents. Que de théories n'a-t-on pas échaufaudées pour expliquer la coe
ices volumi- neuses, pour varicocèles pouvant gêner la marche. La théorie mécanique de la formation des varices, qui veut q
congénitale de l'aorte était la-cause du nanisme. Aujourd'hui cette théorie est ruinée. L'étroitesse aortique n'est que le ré
issement circulatoire a été le plus généralement incri- miné. Cette théorie ne résiste pas à un examen sérieux. Il n'est pas
e altération. Ce serait nous lancer dans des hypothèses et dans des théories et nous voulons rester dans le domaine des fait
s de Læhr conclut en disant que les troubles observés confirment la théorie radiculaire du tabès, mais en faisant remarquer
la question, on y trouvera la mention et la discussion des diverses théories proposées pour expliquer cette variété particul
trophie musculaire. Nous rappellerons briè- vement certaines de ces théories intéressantes à connaître, car quelques- unes d
on dit, s'atrophient parce que le membre est im- mobilisé. C'est la théorie de Cruveilhier, d'Onimus, de Gillet. Max Sul- z
un appareil inamovible, il y a là un fait possible. Toutefois cette théorie (1) Charcot, Leçons du mardi, t. 1, p. 243. (
tous les mouvements de son bras normaux après son accident. Donc la théorie de l'inactivité musculaire est insuffisante. 2°
t insuffisante. 2° On a invoqué une névrite de voisinage. C'est une théorie soupçonnée par Sabourin (2), développée spécial
ons ner- veuses. Les examens histologiques n'ont pas confirmé cette théorie . Otto Kiliani (4), pour expliquer les atrophies
le rôle de corps toxique et agir comme un véritable poison. 3° La théorie de la propagation aux muscles de l'inflammation a
la rapidité avec laquelle ces atrophies peuvent se produire. 4° La théorie réflexe est la théorie admise aujourd'hui par la
lle ces atrophies peuvent se produire. 4° La théorie réflexe est la théorie admise aujourd'hui par la plupart des neurologi
théorie admise aujourd'hui par la plupart des neurologistes. Cette théorie soutenue par Vulpian, Valtat (5), Le Fort (6),
onstater dans une formule géné- rale, acceptable quelle que soit la théorie pathogénique que l'on adopte pour la maladie de
es contemporains dans le groupe des aphasies amnésiques » et que la théorie des amnésies partielles n'explique pas. Après u
te la question à propos des paraphasies et y étudie les différentes théories . Il repousse en particulier la théorie dc Werni
et y étudie les différentes théories. Il repousse en particulier la théorie dc Wernicke (Revue de médecine, juin 1899 et se;.
l'avantage de ne pas préjuger de la question. En nous en tenant aux théories actuelles, nous ferons ressortir que, dans notr
nir la physiologie, il est sage de ne pas trop s'aventurer dans ces théories pathogéniques. Constatons seulement que le.trop
t aucun rapport avec la distribution ner- veuse périphérique. Et la théorie de la métamérie invoquée par M. Bris- saud rend
e spinal est atteinte, le trouble, tro- phique reste unilatéral. La théorie s'accorde donc avec les faits d'observa- tion.
venait à être démontrée, on pourrait encore appliquera celui-ci la théorie pathogénique proposée par Brissaud pour celle-l
lui-ci la théorie pathogénique proposée par Brissaud pour celle-là, théorie qui admet « à l'origine de toute sclérodermie c
61 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ues nIl de janvier et de juillet 1889) des exemples à l'appui de la théorie que j'ai proposée. Je rappellerai seulement ici
téral chez les chiens, donnèrent des résultats contradictoires à la théorie de la régénération de la substance de la moelle
psie corticale a produit toute une littérature. Dans aucun pays, la théorie corticale de l'épilepsie n'a rencontré de^ plus
que de la plupart des Italiens, ils n'ont point banni absolument la théorie bulbaire : ils se sont efforcés de la concilier
é transmise directement. t. Aujourd'hui, Luciani formule ainsi sa théorie corticale de l'épilepsie, théorie nullement exc
urd'hui, Luciani formule ainsi sa théorie corticale de l'épilepsie, théorie nullement exclusive, d'ailleurs, nous l'avons d
oteurs ont été détruits. Ce fait, qui est la pierre d'angle de la « théorie corticale », d'abord signalé par Luciani, a été
ches de Luciani sur lapa- thogénèse de l'épilepsie, en faveur de la théorie corticale. II Les accès d'épilepsie partielle
use prochaine des accès aurait bien toujours été, conformément à la théorie de Luciani, un état d'irritation des centres mo
névroglie et des vaisseaux, dans l'épilepsie partielle. Depuis, la théorie de la sclérose névroglique dans l'épilepsie « e
de « propriété épileptogène » spéciale. Luciani qui, d'après les théories , exposées en commun avec Tamburini, sur l'exist
iffusion des effets d'une lésion, même circonscrite, qu'implique la théorie de l'engrenage. La pathogénèse de l'épilepsie c
est la seule qui soit douée de propriété épileptogène. L'ancienne théorie «bulbaire» ou * médullaire» de l'épilepsie, celle
recommandé, il y a quatorze ans, de se montrer prudent quant à la « théorie corticale ». « On peut sans doute, dit-il, en e
e blanche. Cette observation est une brillante confir- mation de la théorie corticale de l'épilepsie. Il s'agit d'un épi- l
gée est le siège d'un centre de mouvements réflexes généraux ? La théorie bulbaire ne saurait expliquer davantage l'ordre s
Macleod et de Noel- Paton (Brain, 1882 et 1886), qui confirment la théorie corticale de l'épi- lepsie. DE l'épilepsie co
ccès 1. Pour être applicable à tous les cas cliniques possibles, la théorie corticale de l'épi- lepsie doit sans doute être
ls (presque tous, d'après lui) sont des malades, à n'en pas douter; théorie hardie d'un pionnier de génie qui a déjà imprimé
s de la circulation cérébrale. Seuls un ou deux cas ont rendu cette théorie extrêmement plo- bable. L'année dernière le Jou
ournal of mental science a tenté d'ex- pliquer la mélancolie par la théorie darwinienne. Enfin il est ra- tionnel d'admettr
des troubles de la sensibilité affective par le développement de ]a théorie de la descendance. Enfin, pourrépondre à M. Jol
exception, d'autres halluci- nations ne se puissent effectuer. Mes théories s'appuient sur l'ob- servation générale que, d'
essible. Elles ne sauraient être exclusives pas plus que toutes les théories . M. 11F : UOLD. Traitement au lit et cellule. D
onc aucune anomalie ap- préciable sur laquelle puisse s'appuyer une théorie paralytique de cette scoliose; il semble s'agir
4 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. dire d'excuse; 2° qu'il n'existe aucune théorie d'anthropologie criminelle qui soit suffisammen
r être introduite dans la révision de la loi criminelle. Mais cette théorie qui n'est pas faite, on peut tenter de la : faire
avoir paralysie générale sans cette lésion caractéristique; 7° La théorie de l'intoxication que nous avons exposée à la Soc
irés de l'histologie patholo- gique, qui lui paraissent infirmer la théorie de l'encéphalite inters- titielle initiale dans
e ou cellulaire; il ne cache d'ailleurs pas ses préférences pour la théorie soutenue par M. Magnan qui fait jouer aux lésio
Sapilli sont venues confirmer ces expé- riences. L'auteur expose la théorie de l'engrenage, d'après laquelle les médecins i
ous les sens, de la sensibilité générale et même du caractère. La théorie italienne des suppléances de l'écorce grise des c
centre de l'audi- tion, la surdité verbale, le sens musculaire, la théorie de Luciani, faisant des corps striés de véritab
s de ses élèves Gérente, Paul Garnier, Sérieux, etc., a formulé une théorie autrement nette et précise. Le délire de perséc
porté la discussion ? C'est, à mon sens du moins, sur ce que cette théorie a de trop absolu, bien plus que sur le fond lui
l'idée ambitieuse vient s'ajouter à celle de persécution ? . Une théorie séduisante, défendue surtout par Ach. Foville,
ement qu'il est prince, héritier du trône, etc.. ' . C'est là une théorie inspirée des doctrines de l'école psycho- logiq
la syphilis ensuite. La statistique qui a servi de base il cette théorie ne porte que sur les 30 paralytiques généraux d
cité du sol pénètre dans le corps par quatre pieds au lieu de deux, théorie qui a été défendue ? Nous ne le savons; mais le
62 (1894) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 9
nçais et leurs erreurs dans l'observation et les conclusions. Mais sa théorie nous semble aussi trop schématique et visiblement
l'observateur de la somnambule Felida devenue fameuse, a développa sa théorie dans une monographie avec des remarques sur l'amn
ontractures n'ont pas été suggérées d'une façon inconsciente,selon la théorie de l'expérimentateur. Un travail de Bfchtehew 3
le professeur Crocq, de Bruxelles, a cherché à pénétrer la genèse des théories anarchistes qu'il considère comme un fruit du pes
s sont les écrivains, les orateurs et les journalistes qui, par leurs théories antisociales et par les conseils pratiques qu'ils
naturel, sauf qu'ils y ajoutaient des gestes ou passes, fruits d'une théorie fausse, lesquels pourtant, par leur répétition mo
iminuée, fluctuante et sans lest, ce que prouvent les songes. Cette théorie psychologique de la distribution inégale des forc
d'hypnolisation produisent précisément les conditions qui, d'après sa théorie , sont nécessaires pour la production de l'hypnose
on travail n'est essentiellement qu'une exposition plus étendue de la théorie de Wundt sur l'hypnose. L'auteur est tellement so
es du cerveau. Un philosophe moderne a cherché à faire revivre la théorie que la musique était liée intimement à la fonctio
u langage articulé. M. le Dr W. Ireland est absolument opposé à cette théorie , et pense, au contraire, que l'organe de la musiq
s du médium ayant l'apparence de tromperie, il me faut résumer ici la théorie des faits médianiques, exposés par M. Ochorowicz
et magnétiques, comme leur branche spéciale. Sans cacher que toute sa théorie n'est que le premier pas dans ce domaine difficil
n) En ma qualité de rapporteur, je ne crois pas devoir juger si les théories de M. Ochorowicz, exposées ci-dessus, sont risqué
éraire de nier, en présence des travaux de Maxwell et de Hertz sur la théorie dynamo-électrique de la lumière, que la lumière p
erata où j'étais directeur, je me suis convaincu de la justesse de la théorie de Braid, reprise alors par Charles Richet et que
on a obtenu la guérison par ce moyen. dans une certaine mesure nos théories scientifiques. Ces phénomènes, qui autrefois étai
nous semble ne pas tenir suffisamment compte de certains faits que sa théorie ne touche pas, et qui, néanmoins, ne peuvent être
nseigner dans l'Université, à ses risques et périls d'ailleurs, telle théorie scientifique qui lui convient. Pour cela, le ca
Faculté de Droit de Louvain. II. — Lourdes et la science médicale. Théorie catholique du miracle Supercherie? Hallucinatio
ation est erronée et nécessite une justification complète. Voici la théorie du miracle exposé par le chanoine Dhuilé, de Sain
ssis sur les bancs de la faculté de médecine, qu'il est au fait de la théorie ; il les a à peine quittés que, le cas échéant, i
moralistes. M. Liégeois, comme M. Liébeault, ne s'en tint pas à la théorie pure ; il prétendit démontrer sa thèse par des ex
que j'ajoutais immédiatement cette restriction significative : « En théorie , une pareille puissance est tout ce qu'il y a au
portait des réserves notables. Je distinguais entre la possibilité en théorie et la réalisation en pratique, c'est-à-dire que j
hipait » volontiers du tabac à ses camarades, toujours en vertu de la théorie du pas vu, pas pris ; « Ce sont des farces, quoi
le sur la Mémoire des hypnotisés. (Revue Philosophique, mars 1886), THÉORIE HISTOLOGIQUE DU SOMMEIL Hypothèses sur la physi
omène du sommeil et réveil, et nous donnerait ce que j'appellerais la théorie histologique du sommeil. Chez l'homme qui dort, l
ts-Unis n'hésitent pas à appliquer jusqu'au bout les conséquences des théories de l'Ecole de Nancy. Un fermier du Kansas, ayan
es que les expériences si consciencieuses de ceux dont je combats les théories , ne prouvent rien. Pour le moment, je me borne à
de la motilité. — Classification des degrés de l'hypnotisme. 3° Les théories modernes sur la production du sommeil. — Analogie
e. Tous ses sujets se façonnent sur sa personne : habitudes, langage, théories morales, sensations douloureuses, maladies, etc.
ccidents hystériques que nous sommes disposés à expliquer, suivant la théorie de Charcot, par des idées fixes, nous voyons que
ologique important. 2° Cette étude nous semble intéressante pour la théorie , pour l'interprétation des idées fixes. Cette dis
63 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 7. Maladies des vieillards : goutte et rhumatisme
er à constater les faits sans chercher à les relier entre eux par une théorie quelconque ; dès l'origine, on voit les esprits o
d'avoir ouvert la voie aux hypothèses lorsqu'il a déclaré que, si une théorie doit être exclusivement fondée sur des ob-servati
sur des ob-servations, il faut de toute nécessité être guidé par une théorie pour se livrer à l'observation d'une manière fruc
ière a toujours manqué des éléments nécessaires à l'édification d'une théorie positive, et c'est pourquoi les nombreuses tentat
rfait et à l'époque où les faits ne sont pas reliés entre eux par une théorie physiologique i. « Le jour où la science, » a d
ment de nos jours un littérateur philosophe, M. Taine, sous le nom de Théorie des milieux. Ici l'exagération est fla-grante ; m
local ne fournit pas d'indications utiles ? 11 n'est pas jusqu'à la théorie des crises qui, soumise à la rude épreuve de la c
s; nous les retrouverons à l'époque où nous chercherons à discuter la théorie physiologique de la goutte. SIXIÈME LEÇON Sém
rches de ce genre. — Inconvénients de l'intervention prématurée des théories chimiques et physiologiques. — Nécessité de sépar
car c'est surtout ici que l'intervention pré-maturée et téméraire des théories chimiques et physiolo-giques, dans l'interprétati
et que, par conséquent, il est impossible de formuler aujourd'hui une théorie complète de la goutte ; tout au plus nous est-il
ts débilités. Nous consacrerons la prochaine séance à l'étude de la théorie de la goutte. APPENDICE A LA IXe LEÇON. des b
des détails. DIXIÈME LEÇON Pathologie de la Goutte. Sommaire. — Théorie rationnelle de la goutte. — Elle ne peut guère êt
ous ce l'apport. — Influence des bois-sons : expériences de Bocker. Théorie de l'accès de goutte. — Articulations affectées d
rattachent à la production de la goutte, il nous reste à chercher la théorie rationnelle de cette affec-tion, et à rapprocher
donc quelle était, à cet égard, l'opinion de nos prédécesseurs. Les théories formulées au sujet de la goutte pendant tout le d
aston établissent que les tophus sont composés d'urate de soude. La théorie de Gullen se maintient cependant toujours en Angl
vation ; cepen-dant Parkinson, Home et Holland se sont rattachés à la théorie de l'acide urique. En France, la goutte n'a été
que excrété? Les auteurs ne sont pas d'accord sur ce point. A. — La théorie de la combustion directe, formulée par Liebig, se
avoir de plausible dans ces explications, nous ferons observer que la théorie d'après laquelle l'acide urique et l'urée seraien
travaux, mais en vous faisant observer qu'il ne s'agit plus ici de la théorie générale de la goutte, mais seulement de la théor
it plus ici de la théorie générale de la goutte, mais seulement de la théorie de l'accès. passer en revue les plus importants
e de cellules de tissu conjonctif. Quelle que soit la valeur de cette théorie , on Ciiarcot. Œuv. compl. t. vu, Malad. des Vie
dité. — L'étude de celte question offre une grande importance pour la théorie du rhumatisme, car les affections héréditaires ne
vaient pas en même temps une action diurétique. Voilà ce que dit la théorie : interrogeons maintenant l'expérimentation théra
heureu-ses, le retour complet à la vie. Ainsi, Messieurs, de par la théorie comme d'après l'expé-rience le chaud et le froid,
— Abaisse-ment initial de la température. — Elévation consécutive. — Théorie phy-siologique. Messieurs, En terminant la de
. Cruveilhier, concernant le rôle important de l'acide urique dans la théorie de la goutte ; c'est ce dont témoigneront quel-qu
erches de ce genre. — In-convénients de l'intervention prématurée des théories chimiques et physiologiques. — Nécessité de sép
.................... 12? DIXIÈME LEÇON pathologie de la goutte. Théorie rationnelle de la goutte. — Elle ne peut guère êt
sous ce rapport. — Influence des boissons : expériences de Bocker. Théorie de l'accès de goutte. — Articulations affectées d
— Abaissement initial de la température. — Elévation con-sécutive. — Théorie physiologique......... . . . ,.......... 272 TR
34 ; — dans les poumons, 535; — dans le foie, 535; — origine, 155 ; — théorie de la combustion directe, 155; — théorie de Robin
oie, 535; — origine, 155 ; — théorie de la combustion directe, 155; — théorie de Robin, 155; — formation clans le rein, 155;
immodérés, 147 ; — traumatismes, 147; — causes débilitantes, 147 ; —? théories de Sydenham, 153 ; — théorie de Gullen, 153; — tr
s, 147; — causes débilitantes, 147 ; —? théories de Sydenham, 153 ; — théorie de Gullen, 153; — traite-ment ; — de l'accès par
64 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
laire sont fort bien conservées. Il y a donc contradiction avec les théories généralement admises. Ainsi voilà une particula
appe avec violence le sol, ce qui déjà ne se concilie guère avec la théorie d'un organe ramené à sa posi- tion première, en
fondamentale dans l'auto- suggestionnabilité de ces malades. Cette théorie nous explique pourquoi, à des traumatismes très
ésion définitive. L'observation citée par l'auteur montre que cette théorie , vraie dans certains cas, ne saurait être génér
lité. Conclusion irresponsabilité . P. K. XXVI. CONTRIBUTION A la THÉORIE des hallucinations; par Tigges. (Allg. Zeitsch.
e seule et même terminaison nerveuse de l'appareil sensoriel. Cette théorie chimique est applicable à l'hallucination, à la
ions qu'ils ont subies successivement sont très bien exposés, et la théorie de Bouchard sur les vices de nutri- tion dans l
omatique du signe de Romberg ; examinons maintenant sa nature et la théorie pathogénique qu'il est possible de lui applique
tout à fait normale qui cependant le présentent. D'ailleurs, cette théorie est abandonnée par la plupart des auteurs comme
ie, lorsque la sensibilité est intacte. » Vulpian admet aussi cette théorie et attribue ' Vantail-, loc. cil., p. 183. °
s cas ; il reconnaît des excep- tions ; cependant il admet aussi la théorie ordinaire. Il me paraît inutile d'insister dava
raisons qui me pous- sent à cela. 1. Comment expliquer avec cette théorie pourquoi le brusque passage de la lumière à l'o
possède une perte complète du sens musculaire, et pour laquelle la théorie classique pourrait être invoquée. Eh bien, vous
nterceptée par un carton ? Il me semble qu'il devrait tomber, si la théorie est vraie, comme l'ataxique qui ferme les yeux.
de trouver une pathogénie qui s'adapte mieux aux faits. 3. Si la théorie classique était exacte, le signe de Romberg ne
a sensibilité. Seulement comme il ne veut malgré cela abandonner la théorie classique, il se déclare obligé d'admettre que
que je viens de vous indiquer, il suffirait à ruiner entièrement la théorie clas- sique. 4. La preuve inverse peut être f
eux étant fermés ; mais il me paraît démontré que là n'est pas la théorie physiologique de ce symptôme. Celui-ci est un tro
ssu conjonctif ou de ses dérivés, tissu cartilagineux, osseux. La théorie de la phagocytose est très séduisante ; mais te
t sur la personne affectée. De l'étude historique des principales théories , magnétisme ter- restre, magnétisme animal, etc
l'hypnotisme comme agent thérapeu- tique devient évidente, si cette théorie est exacte, et l'on comprend ainsi comment des
. (Ame1'iean journal of insccnity, 1890.) E. B. XXII. Essai d'une théorie DE la tétanie; par H. Schlesinger. (Neurolog. C
de la température somatique. Ces expériences donnent un démenti aux théories classiques. Il faut aussi noter que les os du r
tre sa pathogénie, il convient d'examiner à laquelle des nombreuses théories qui ont été données pour expliquer le mécanisme
ue nous a présentée ce malade. Nous éliminerons immédiatement les théories physiolo- gique, ligamenteuse et costrale. Il s
éunies que cette déviation mérite d'être attribuée. A vrai dire, la théorie musculaire possède quelques arguments en sa faveu
i existe chez notre malade; elle était au contraire très légère. La théorie musculaire n'est donc pas à même d'expliquer co
de vue, et notre observation en fournit un excellent exemple. La théorie osseuse, soutenue par Bouvier 1, Dubreuil2 et plu
té des faits connus. Sans doute une pareille formule, comme toute théorie scientifique, est provisoire puisque les faits co
ue et qui caractérise la maladie. M. Charcot a toujours exprimé ces théories avec beau- 1 Charcot, ibid., t. III, p. 375, 39
nts, ces troubles du mouvement si bien résumés d'autre part par les théories de M. Charcot et de M. Moebius. Cette séparatio
, l'idée fixe qui devait les provoquer et les entretenir d'après la théorie de M. Charcot ne pouvait être exprimée par le m
id., 1889, p. 367. s Jules Janet. Hystérie et hypnotisme d'après la théorie de la double personnalité. (Revue scientifique,
p. 622. s L. Laurent. De l'état mental des hystériques d'après les théories psychologiques actuelles. (Archives cliniques d
tention, favorisent la déchéance intellectuelle. A l'appui de cette théorie , M. Francotte rapporte les observations de trois
la névrite à son premier stade de développement. En faveur de cette théorie , on peut citer les expériences de Debove et Itay-
pas de nature spinale, comme on serait porté à le croire d'après la théorie des rapporteurs, mais qui se produisent par l'e
t systématiques. On serait donc en droit, tant dans l'intérêt de la théorie que de la pratique, d'exiger que l'on formule s
65 (1866) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Tome septième. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Deuxième partie
r leur guérison, multiplicité encore augmentée par l'imperfection des théories et, trop sou-vent, par la stérile abondance des m
n y suit, dans ses phases, l'art de guérir; on y apprend à dégager la théorie de la routine, à discerner le vrai du faux, à sai
t aux manœuvres, surtout parles tra-vaux de M. Gensoul. Toutefois, en théorie , est-ce une bonne méthode que la cautérisation qu
tisfasse à-la-fois la raison du savant et l'instinct de l'artiste, la théorie et la pratique de l'art, c'est bien assurément l'
Alexandrins sur la physique ; mais il est difficile de croire que la théorie de l'optique ne fût pas déjà très avancée chez un
r une pellicule pu-pillaire, pratique exclusivement la dépression. Sa théorie et son procédé sont suivis par G. de Chaulieu et
, suivant les cas, dans la pratique, la marche de l'opération, et, en théorie , donnent lieu à un grand nombre de modifications
ablit déjà les cas dans lesquels ou doit préférer l'une à l'autre. La théorie erronée de G. deSalicet ayant fait prévaloir l'ab
'oreille moyenne étant définis; pour convertir leur mode d'ac-tion en théorie et apprécier la valeur des moyens employés par l'
ule ou combinée avec l'arrachement dont elle peut être considérée, en théorie , comme un mode, l'une et l'autre ayant pour objet
racine, la partie la plus résistante. Vexcision en elle-même est, en théorie , une méthode excellente, et, suivie de la cauté-r
n'en parle que succinctement, mais assez néan-moins pour en fixer la théorie . Déjà on le voit préoccupé d'ob-tenir la réunion
sseux sous-uasal qui supporte les dents incisives et même canines. En théorie Blumembach, Meckel et Béclard ont pensé que le be
palatine, qui constituerait le bec-de-lièvre. Déjà on sent que cette théorie ne rend pas raison de la forme du tubercule sous-
dens consécutifs, ce moyen, conseillé par Zang, est resté à l'état de théorie , aucun chirurgien ne l'ayant mis en pratique. Ajo
a pu déterminer les cas dans lesquels il est applicable. Le séton, en théorie , n'étant qu'un corps étranger dont la présence do
ècle par tous les auteurs, et l'efficacité de l'opération. Il pose en théorie , et l'on convient généralement, d'après lui, que
sultats ; en sorte qu'il n'en est pas aujourd'hui de mieux prouvé. En théorie , pour que la respiration soit facile , il est évi
canal, de manière à faire glisser l'éponge au-dessous. Voilà pour la théorie ; mais à la pra-tique il n'en est pas ainsi. L'in
sant avec le médiaslin vers l'autre côté de la poitrine. Telle est la théorie de l'épanchement qui se forme rapidement et avec
c et delà plupart des médecins et chirurgiens qui tous l'admettent en théorie , quoique aucun d'eux ne l'ait pratiquée. Cette de
ifficulté, quant à la pratique opératoire, il n'en est pas de même en théorie chirurgicale de la convenance de cette extraction
u en reconnaître le mécanisme. Mais malheureusement l'ignorance de la théorie a fait obstacle aux tentatives de ce genre. Jean-
. pu être éva-cuées par la trachée-artere. Ainsi donc aujourd'hui, en théorie , la condition essentielle à la formation d'un tra
s , nous croyons pourtant qu'il faut bien se garder de généraliser en théorie l'absence de ci-catrisation directe des lèvres de
enir une cure radicale, et quant à l'é-tranglement, on n'ensavaitnila théorie , ni le traitement chirurgi-cal. Après Celse, Gali
e sa conduite. Autrement, et afin de parler un langage plus clair, la théorie de l'étranglement et de l'opération qu'il nécessi
r, la théorie de l'étranglement et de l'opération qu'il nécessite, la théorie de la cure radicale, spontanée ou avec opération,
site, la théorie de la cure radicale, spontanée ou avec opération, la théorie de Eanus contre nature et de son traitement repos
rs en dedans. Mais on s'est bientôt aperçu qu'un tel précepte, bon en théorie , n'était pas toujours applicable sur le malade; c
nne en croisant le même liga-ment. Après tout, cependant, bien que la théorie indique encore ces craintes relativement au débri
causer une ulcération à la peau. L'expérience pourtant infirme cette théorie ; la fistule interne, d'après l'observation de tou
esoin de quelques jours pour se déterger. Les chirurgiens anglais, en théorie , se sont rangés unanimement à l'opinion de Poutea
sation. On ne peut non plus qu'indiquer cette mé-thode opératoire. En théorie on conçoit bien que les caustiques aient être e
n'entraîne pas d'acci-d en s graves. Enfin, considéré en lui-même, en théorie , il sem-ble bien que le contact delà mèche et l'
ritie ; c'est réelle-ment de là que date son origine, c'est-à-dire la théorie unie à la pratique. En réalité, dans ces essais g
ce que l'on sait des inventions complexes qui, exigeant l'union de la théorie et de la pratique , ne surgissent pas de premier
cet instant on le vit cher-cher à s'instruire et tâcher de joindre la théorie à la pratique, afin de pouvoir répondre aux criti
avis à exprimer sur ces derniers procédés qui n'existent encore qu'en théorie . OBLITÉRATION DU VAGIN. Ressource extrême, si
nte avec le tissu même de l'utérus, ne s'ac-« commoderaient pas de la théorie de Levret, laquelle ne me pa-« raît applicable qu
a matière. Mais le sujet en lui-même était encore trop restreint, les théories trop nouvelles, indécises ou in-certaines, les fa
tomie avec les autres, mais que nous devrons présenter à part dans sa théorie et ses formules opératoires avec leurs principale
nie positivement cette cause qu'il croit empruntée mal-à-propos de la théorie du pied-bot, et allègue pour preuve qu'en fermant
nt de l'objet fixé par l'œil le plus fort. Sans nier absolument cette théorie qui rendrait compte de beau-coup de récidives dan
re; il ne l'a trouvée que deux foissur cinq cents; i sur a5o. Dans la théorie générale deM. J. Guérin, ces dégénérescences, com
opérations variées, il suffit ici de constater le fait général et la théorie qui en résulte : que la myo-pie paraît souvent pr
res de preuves sont invoqués par l'auteur à l'appui de son ingénieuse théorie : la première est la diminution et le trouble ins
encore reconnue jusqu'à un cer-tain point en opérant, ou prévue parla théorie générale de M. J. Guérin sur la transformation fi
es considérations anatomico-physiologiques qui précèdent se déduit la théorie des variétés diverses du strabisme et des opérati
ns leurs va-riétés aux mêmes considérations. Telle est en sommaire la théorie des divers genres de strabisme, déduite de l'obse
pas'encore établies, mais du moins le fait principal, la preuve de la théorie par la réussite de l'o-pération était acquise; le
n homme a opéré devant lui des strabiques, et agissait en vertu d'une théorie qui ne diffère pas sensiblement de celle qu'on pr
lle , ces notions confuses ont eu quelque part au développement de la théorie constituée de nos jours. Néan-moins le fait en lu
entièrement univoques, de sorte que, à la naissance du strabisme, la théorie anatomico-physiologique de son mode de guérison s
ection du grand oblique. D'après ce que nous avons vu plus haut, la théorie est loin d'être fixée sur les motifs qui nécessit
au tendon du grand oblique. Toutefois, il faut recon-naître que cette théorie est d'une application bien vague à la pratique. S
n chez des malades affectées d'albugo : rien n'est plus simple que la théorie de cette ingénieuse application. Il s'a-git de fa
s nous allons essayer de renouer avec la pratique ce que l'on sait en théorie , et notre travail sera le résumé de l'état de la
jà autrefois, nous croyons faire plaisir à M. Amussat en publiant une théorie et des faits anciens qui vien-nent corroborer sa
nt passage à l'air; mais cette opération, qui ne s'appuie que sur une théorie hypothétique, n'a eu aucun succès et est com-plèt
e est encore à exposer tout entier. Sans cloute, si avec l'énoncé des théories de la difformité nous devions en sui-vre, dans to
, sur l'étude des difformités. Mais nous n'emprunterons à la nouvelle théorie que ce qu'il est indispensable d'en connaître au
ment les ouvrages qu'ils ont publiés. Deux grands faits dominent la théorie des difformités : d'une parties altérations du sq
érapeutiques, que nous parais-sent s'opposer et se combattre les deux théories de MM. J- Gué- rin et Bouvier. Mais telle est l
artin et Cruveilhier ont cru en reconnaître de semblables. Dans cette théorie , la déviation est le résultat de la situation nor
certains muscles sous l'influence d'une affection nerveuse. De cette théorie se déduisaient deux for-mules , le raccourcisseme
peuvent trou-ver leur application suivant les cas. C'est à cette même théorie que se rapportent les pieds-bots produits par les
te contestation. Quant aux déviations congenia-les , il est une autre théorie à laquelle les travaux les plus récens d'embryogé
sieurs autres, ces trois propositions générales qui résument toute sa théorie . « i° L'histoire des fonctions chez les sujets
rétraction, quel qu'en soit le siège, les muscles à diviser sont, en théorie , ceux, dit M. Guérin, qui tien-nent la déformatio
ans les cas très complexes, car dans les circonstances ordinaires, la théorie des difformités est aujour-d'hui assez avancée po
ns signalé par M. J. Guérin, qui concorde si bien avec l'ensemble des théories sur la diffor-mité, comme aucune observation de M
sont fréquemment au repos. Nous pensons donc que les faits, comme la théorie , militent en faveur de M. Guérin. D'après sa décl
es doctrines de M. J. Guérin, pour en faire comprendre l'ori-gine, la théorie et les applications encore récentes, mais pleines
ne pouvons mieux faire que de laisser l'auteur développer lui-même sa théorie à cet égard. Théorie des incisions sous-cutanée
que de laisser l'auteur développer lui-même sa théorie à cet égard. Théorie des incisions sous-cutanées. « Le caractère propr
t les cinq pro-positions suivantes qui donnent le résumé précis de sa théorie : « i°Les plaies sous-cutanées des tendons, des
de l'enveloppe cutanée. » (Ouv. cité, page 70.) Applications de la théorie . M. J. Guérin donne, dans une série de propositio
vant de fermer notre ouvrage, avons-nous cru devoir y consigner cette théorie , aussi neuve que féconde, pour contri-buer à la r
Rétractions des muscles du dos, xlvii—xliv. CHIRURGIE SOUS-CUTANÉE. Théorie des incisions sous-cutanées. — Application de la
OUS-CUTANÉE. Théorie des incisions sous-cutanées. — Application de la théorie . — Ponction sous-cutanée de l'empyème. Ponction s
mpruntée de Scarpa). Ce cas est donné par Scarpa en explication de sa théorie de Ventonnoir membraneux, (a) Orifice du bout sup
'in-dicateur qui la fait pénétrer dans la vessie. FIGURES 4 5 5, 6. Théorie du cathétérisme. Dans ces trois figures dessinées
n'est, comme on peut s'en assurer, qu'une ap-plication spéciale de la théorie anatomique des enveloppes de glissement que nous
mant parle résultat même de leurs recherches sur ce point spécial, la théorie générale que nous avons posée. Figure 3. Aspect
ent le même résultat que l'opération sur l'homme. Figures 17 et 18. THÉORIE DU STRABISME ET DE LA DIPLOPIE. Figure 17. Théo
igures 17 et 18. THÉORIE DU STRABISME ET DE LA DIPLOPIE. Figure 17. Théorie du strabisme, citée par M. Dufresse-Chassaigne.»
assaigne, Traité du Strabisme et du Bégaiement, page 14. Figure 18. Théorie de la diplopie, donnée par M. J. Muller. Les ax
ux incisions se confondent pour ainsi dire et tout au plus formant en théorie un petit écartement; en liant, se réuniraient en
66 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
us rattacher d'une manière exclusive à l'une ou l'autre de ces deux théories . Ici plus que partout ailleurs l'exclusivisme e
z un même sujet. Son histoire ne nous parait compatible, ni avec la théorie des rap- ports directs, ni avec la théorie de s
t compatible, ni avec la théorie des rap- ports directs, ni avec la théorie de simple coïncidence. Le grand principe de la
ysie générale, M. de Buck se rallie d'une façon catégorique il la théorie de l'origine fibroplastique des cellules plasmati
ide. S'appuyant sur ces considérations, M. de Buck se rallie à la théorie de l'origine vasculaire primitive de la paralysie
ganglion spinal, l'auteur estime que ce fait vient à l'appui de la théorie ncuro-irritative par voie de l'arc réflexe symp
cette déviation après la disparition de l'hémi- anopsie, combat la théorie de l'origine sensorielles de ce phé- nomène, ré
asset. (Revue des Deux- Mondes, 15 septembre 1905). On connaît la théorie des deux psychismes auxquels cor- respondraient
des Juges, l'irascible et sanglant Samuel qui permet de donner une théorie nouvelle de l'hallucination verbale, les prophè
flasque ; il aurait été du plus haut intérêt, au point de vue de la théorie , de savoir comment se sont comportés les réflex
taient restés abolis d'une façonpersistante, ce fait infirmerait la théorie que nous avons soutenue dans notre thèse, à sav
uelle se creusait l'ulcération. Plus tard, on tenta de remplacer la théorie mécanique parune théo - rie vasculaire. On avai
PERFORANT ET PARALYSIE GÉNÉRALE. 115 actuelle du mal perforant : la théorie nerveuse, d'après laquelle lemal perforantestun
pas adopter, en ce qui concerne l'étiologie des maux perforants, la théorie nerveuse d'une façon trop exclusive et la compr
du sacrum y soit un facteur d'une certaine importance. C'estdouc la théorie mixte, mécanique et nerveuse qui semble devoir
MAL PERFORANT ET PARALYSIE GÉNÉRALE. 117 missions ? On sait les théories analomo-pathologi- ques variées invoquées par l
n. Pour qu'elles restent diver- gentes, il faut toucher le plateau ( théorie facile à comprendre). Or, si de cet instrument
etArtaud, de Iiossoliulo, de Pierrot semblent donner raison à celle théorie du rappel : il semble que l'intoxication exo ou
arcel URIAND. SOCIÉTÉ DE NEUROLOGIE Séance du 7 décembre 1()Oj. Théorie sensorielle de la déviation conjuguée de la tête
radiations optiques de Gratiolct. Ce cas viendrait à l'appui du la théorie du Bard, qui fait dépendre la déviation conjuguée
ns les cas avec demi-coma. MM. Brissaud et Marie exceptent du cette théorie les cas avec coma complet et ceux avec conserva
oit quelquefois par ces syndromes associés (Triboulet). - Une autre théorie pathogénique est née de l'étude systématique de
oercibles de la gros- sesse, crises éclamptiqùes. Laquelle de ces théories devons-nous appeler à résou- dre le problème pa
rait joué qu'un rôle étiologique. Mais alors, nous reve- nons à la théorie nerveuse à laquelle nous donnons la pré- férenc
que par un état convulsif à la plus minime cause provocatrice. La théorie nerveuse explique facilement pourquoi le travai
volué d'une façon à peu près normale. Je sais bien que, d'après une théorie originale du Dr Larger, les présentations anorm
breux éléments embryonnaires, des prolongements protoplasmiques. La théorie de l'excroissance, formulée par llis, défendue
défendue par Cajal et Leu- nossek, ne résisté pas aux (ails. Celle théorie est encore reprise par Hethe, qui soutient que
ation d" plasme. L'auteur ne conteste pas, et même il accepte cetto théorie , admettant que la chaîne cellulaire est formée
augmenter son proloplasma. En terminant, l'auteur s'occupe d'une théorie émise par Olmer, en IR\)9; suivant lui, cette hyp
les de la rétine, tout en étant des anastomoses, n'infirment pas la théorie du neurone. Ce serait ainsi un noyau spécial non
uisant à l'angle in- terne de l'oeil est très rare. Il rappelle les théories foetales ou embryonnaires, qui cherchent à expl
faire, si tant est qu'elle soit jamais possible, aujourd'hui que la théorie des neurones a complété et modifié la théorie p
e, aujourd'hui que la théorie des neurones a complété et modifié la théorie primitive des localisa- tions en surfaces corti
treque, s'il existe des différences dans les états myotoniques, une théorie générale permet néanmoins dégrouper l'ensemble
graine; Par le professeur P. KOVALESKY Nous sommes partisan de la théorie qui admet l'exis- tence d'un lieu génétique ent
de certains troubles délirants, ce qui nous ramènerait à la vieille théorie de la folie hépatique de Ga- lien ( : .d. : t;
cin de la Maison de santé pour femmes, à Cane. b) Neurologie : La théorie du neurone. Rapporteur : Mlle le Dr Stefanowska
dot. Qu'est-ce qu'une passion ? Mauxion. L'intellectualisme et la théorie physiologique des émotions. Prolrsl l3tttnnLY. Co
que sur les lacunes de -, par Catola, 132. Déviation conjuguée. Théorie sen- sorielle de la de la tête et des yeux, p
67 (1859) Journal du magnétisme [Tome XVIII]
pectives, ce qui ramènerait l’excitation des facultés organiques à la théorie générale de l’excitation des sens. » Il est à r
rine, on s’est contenté de railler. Dans les sciences applicables, la théorie n’a qu’une importance très-secondaire. En thérape
rce que, dans l’espèce, cela 11e peut être. S’il était question d’une théorie , d’un principe, d’une doctrine, ou d’un système,
l’égard duquel je décline toute compétence. J’ai énoncé contre la théorie des objections que je n’ai pas la prétention d’av
s récits comme parole d’Esangile, les ont invoqués à l’appui de leurs théories sur la nature, les mœurs et les migrations des Es
dans le champ des hyp* thèses; j’aurais voulu rester étranger à toute théorie , à tout dissertation et me borner à rapporter rig
e de ma profonde estime et de ma considération. » L. Lavezzari. » THÉORIES . « Francfort-sur-Mcin , 31 décembre 1858. c Mon
peu de ménage* la pudeur publique, ne sont, quand on ne joint pas la théorie à la pratique, que d’indignes profanations, et l'
s faits accumulés en grand nombre, des contradictions fréquentes,des • théories plus ou moins hasardées, se détruisant souvent l’
es£iiels repose une science. « Mentionnons ici quelques-unes de ces théories pour les soumettre au jugement d’une froide raiso
permettrez de ne pas discuter longuement le plus grand nombre de ces théories ; quelques-unes sont tellement étranges, qu’elles
lié ces grands principes qui seuls peuvent servir de fondements à une théorie vraiment rationnelle. Car lui, le divin Mesmer, d
’entend pas donner un traité complet de la matière, niais exposer une théorie qu’il croit propre à rendre compte des faits du m
ui y sont engagées, et essayer de donner de cet état do l’âme une théorie selon les règles d’une saine méthode philosophiqu
n opposant sa propre expérience à celle d’autrui, mais en vertu d’une théorie qui les lui fait juger impossibles. En présence
s faits, «’ils sont bien établis, ont une'tout autre autorité que des théories ; elle doit concevoir au moins ce doute philosophi
l'agrypnie (absence morbide de sommeil), et joignant la pratique à la théorie , il ajoute en note : «J'ai débarrassé la femme d’
tes américains, elle nous semble en contradiction formelle avec leurs théories . Quand on les prie d’exhiber quelques-uns de ces
s. Nous nous permettrons de leur faire remarquer que, d’après leurs théories , ils n’ont nul besoin de câble, puisque ce sont l
mner d'avance un remède sans l’avoir expérimenté, et les plus habiles théories ne peuvent à priori en démontrer l’inefficacité.
rop tôt ce qui seul lui a donné une grande valeur. Au milieu de ces théories philosophiques qui se produisent chaque jour, de
une petite et peut-être dernière bataille au profit de la vérité. THÉORIES . SYSTÈME PHYSICO-PI1VSIOLOGIQUE TOUCHANT LES PH
erché de bonne foi à s’éclairer. 11 me suffit d'avoir montré que leur théorie n'est point insensée, qu’elle n’est pas dangereus
de regarder comme probables. Je veux seulement montrer comment cette théorie explique les prodiges qui, dans des siècles moins
tels que les faits de lucidité qui subsistent en dépit de toutes les théories . C’est là qu’on peut trouver de précieux renseign
astiques. « Je ne l’ai point écrite non plus pour les avocats de la théorie , dont la mission semble être de nier tout ce qu i
issance magnétique sans crainte des railleurs, mais il fait toute une théorie de l'application du magnétisme à lvart militaire.
ible, palpable, incontestable, qui vient donner un cruel démenti à la théorie . 1HM. Dubois (d’Amiens) et Mabru, qui affirment q
le ainsi à faire revivre des croyances si fécondes en calamités. Sa théorie de la lumière astrale prouve avec quelle facilité
its expliqués valent pour l’authenticité ceux auxquels il applique sa théorie . Dans la partie historique, l’auteur néglige d’
bles qui ne croiront point aux œuvres magiques. Baron du Potet. THÉORIE . SYSTÈME PHYSICO-PnYSIOLOGIQUE TOUCHANT LES PHÉ
s contredit la loi de la pesanteur. Aussi est-ce sur ce point que les théories physiologiques sont encore moins satisfaisantes e
ieux même encore justifier du principe devenu méconnaissable dans vos théories ? Nous jugeons mieux que vous des hommes de notre
es vérités : malgré la sympathie que nous inspirent la plupart do ses théories , nous regrettons de ne pouvoir le suivre sur ce t
à laquelle ontpris part tant d’hommes intelligents, est-il sorti une théorie qui rende compte des phénomènes, qui en montre la
livré : il rapporte beaucoup de dictées de tables; il incline vers la théorie des Esprits, et trouve, avec raison, qu’il serait
isme, je n’y comprends rien. Je ne comprends pas davantage comment la théorie de M. Jobert sur les os de la jambe peut rendre c
dique le but qu’il se propose : il accueillera les faits, discuterais théories , ouvrira généreusement ses colonnes à l’exposé de
uirait pas de résonnance distincte. Ces principes sont bien connus en théorie musicale, et l’on a eu fréquemment occasion de le
dos synonymes de magnétisme animal. Elle est fondée sur la fausse théorie que 110s pensées, notre esprit, notre âme, sont d
question, l’assurant que s’il en était ainsi, nous renoncerions à la théorie qui nous le faisait attribuer à des Esprits. M.
ureux, 228. Toux opiniâtre, 225, 593. Urticaire, 340. ÉTUDES ET THÉORIES . Ame (l’) humaine. De sa connaissance, par M. l
e comme cause des phénomènes magnétiques. 135, 608. Vue à distance. Théories diverses sur son mode d'actioa, 92, 174, 246, 609
68 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
lésions anatomiques d'une même maladie, le D1' Switalski expose une théorie qui a l'avantage d'être rationnelle et simple :
les qui soit en harmonie avec les résultats anatomiques. Toutes les théories qui essaient d'expliquer ce phénomène par un tr
réflexe de l'immobilité pupillaire réflexe bilatérale, d'après les théories les plus admises actuellement qui présument une
à une explication de ce genre. Il n'est pas possible d'admettre la théorie d'Heddoeus pour l'im- mobilité pupillaire réfle
nte à celle rapportée par Freiherr von Notthaft, est favorable à la théorie du goitre exophtalmique par hyperthyroidation ;
Dr Toulouse). 0. Doin, éditeur, Paris 1902. Il ne s'agit pas d'une théorie personnelle du caractère, mais d'une étude hist
s par tous les philosophes depuis Aristote, rendent impos sible une théorie et une classification naturelle des caractères, s
ne théorie et une classification naturelle des caractères, sans une théorie et une classification des tempéraments. Dans l'an
une classification des tempéraments. Dans l'anti- quité prévaut la théorie humoriste ; Stahl et Ileller. préparent l'avène
à la division classique : bilieux, sanguin, flegmatique. Mais cette théorie a le tort de n'envisager que le degré d'activité
ger la direction de cette activité. Il résulte de la variété de ces théories que le sens du mot tempérament n'est pas encore
rcher dans des hypothèses phy- siques nn fondement positif pour une théorie et une classification des caractères. Dans l'ét
nous éclairer sur ce point. L'auteur passe en revue et discute les théories psychologiques du caractère, soutenues par les
sychologique donne lieu aux contradictions en partie apparentes des théories énoncées. L'accord se fait cependant sur l'obje
l'oeuvre consciencieuse d'un psycho- logue documenté ; les diverses théories émises avant lui y sont exposées avec autant d'
plasmes et la paralysie asthénique sont hypothétiques, et que les théories édifiées là-dessus sont caduques. On a d'ailleu
es autres symptômes de l'épilepsie, et fournit un solide appui à la théorie de la nature auto-toxique de cette névrose. Il
nce de toute lésion oculaire. Ces deux cas viennent à l'appui de la théorie cérébrale du nys- tagmus. Knies définit le myst
er du 31 mai 1866. Dans cet arrêt, la Cour de Montpellier a posé en théorie que, dans l'application des principes de la res
une manifestation locale du tic, et ce n'est pas là seulement une théorie , mais bien la réalité, car l'épiphora se rencontr
t étayer sur les propriétés phy- siologiques du courant continu une théorie rationnelle de son mode d'action dans la névral
OMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. XIV. De l'état actuel de la théorie de l'inflammation dans le sys- tème nerveux cen
l'élaboration de nouvelles méthodes, de l'apparition d'une nouvelle théorie heu- reuse. C'est ce que démontre l'auteur en s
segmentaires pour l'explication desquelles M. Brissaud a imaginé la théorie de la métamérie spinale. D'après M. van Gehuchten
éclare que si l'on se range à l'opinion de-I11M. Marie et Guillain, théorie lymphangitique, on ne peut conserver aucune cohés
actéristiques du tabes. En suivant d'autre part M. Nageotte dans sa théorie méningitique radiculaire, il faut renoncer à quan
sanie est plus digne d'intérêt et tout d'actualité, étant donné les théories qui tendent à prédominer à l'heure actuelle dan
Freud fait appel aune hypothèse assez étrange. Conformément à sa théorie générale selon laquelle tous les troubles nerveux
vation nouvelle et inédite qui va suivre vient donc à l'appui de la théorie de Freud. Observation II. - 111 ? M..., quarant
à la fois par le grand nombre et la nouveauté des faits exposés. La théorie de la dégénérescence joue un très grand rôle, n
naître les stigmates obstétricaux de la dégénéres- cence, et, si la théorie de Il. Larger touche de plus près les accou- ch
nt peu fami- liarisés, semblent s'être efforcés d'englober toute la théorie de la dégénérescence obstétricale sous les repr
d'hérédité des présentations anormales par les mâles, à l'aide des théories exclusivement maternelles, ayant l'utérus, le b
s secondes. » Il n'y a donc pas incompatibilité absolue entre les théories mécaniques et celle des stigmates obstétricaux
. Porak s'en est rendu compte, puisqu'il s'efforce de concilier les théories mécaniques avec l'hérédité des présentations an
ière série de faits, il n'est plus possible de faire intervenir les théories mé- caniques. même à titre de causes secondes.
fficielle les objections qui, de tous côtés, ont été adressées à la théorie de la dégénérescence obstétricale par les accouch
ocalisations sensitivo-motrices de la moelle tendent à opposer deux théories , celle de la distribution segmen- taire et cell
sensitives, une séduisante hypothèse de Brissaud explique ces deux théories par le siège extra et intra-médullaire des lési
titulé « l'Hypnotisme et la suggestion », dans lequel il expose une théorie de l'Hystérie et de la Suggestion basée sur un sc
ot-Marie. R. C. LXXXV. De la myotonie atrophique (Contribution à la théorie des myopathies); par IIOSSOLIMO (Nouv. Iconogr.
n symétriques à la période de début. Je me rallie complètement à la théorie de M. Klippel. Ces faits sont à rapprocher du der
fonctionnel, par Vaschide et Vur- pas, 89. De l'état actuel de la théorie de l'inflammation dans le - bentral, par Storch
69 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
observations que nous venons de rapporter vont à ren- contre de la théorie admise par tous les classiques, et affirment au
d'appui, le releveur devrait donc se contracter dans ce cas, si la théorie de M. Brissaud était exacte, avec encore moins
rès avoir longuement analysé leurs particularités, il en vient à la théorie qui lui parait rationnelle. Deux faits clinique
orie qui lui parait rationnelle. Deux faits cliniques renversent la théorie centrale d'un centre coordinateur du système ne
de l'ataxie varient encore selon les circonstances extérieures. La théorie de l'activité anormale des centres psychiques é
cisément une adaptation au changement des conditions extérieures. Théorie de la sensibilité. L'ataxie est en rapport avec l
t que nous relatons, donnerait jusqu'à un certain point raison à la théorie de Veissmann. Cet auteur nie, en effet, l'héréd
t néanmoins demeurer intact et normal. Quoiqu'il en soit de cette théorie et d'autres hypothèses que peut suggérer la con
vical est indiquée '. F. 13orsstsa. IL Contribution à l'étude de la théorie de la fonction de la glande thyroïde et de la t
maner du tabes avancé; lésion du faisceau solitaire de Mendel. La théorie de la modification fonctionnelle du plancher du
llier. (Presse médicale, G juillet 1S98.) . M. Sollier tire de sa théorie sur le mécanisme physiologique de la démorphini
M. Klippel applique à la physiologie pathologique de l'affection la théorie du neurone et fait intervenir les auto-infec- t
t dans le groupe des formes inflammatoires. 0 L'auteur tire de sa théorie des paralysies générales secondaires parauto-in
Les deux observations rapportées par l'auteur sont en faveur de la théorie de la désagrégation de la conscience avec une tel
s effets de la circoncision. Contrairement à Weissmann, qui dans sa théorie de l'hérédité n'admet pas que les mutilations p
) Le premier article tendrait à renverser dans ses conclusions la théorie d'infection migratrice secondaire à des toxémies
nc des faits, abstraction faite de 244 SOCIÉTÉS SAVANTES. toute théorie : de par son hérédité le paralytique général peut
l'occasion de citer (édit. 1873, p. 361, 363, 687), au sujet de la théorie de la possession, décrivait des « Scon- dare Ve
bservation qui pour- rait peut-être trouver son explication dans la théorie géné- rale de la régression^ Les mélancolique
t ce qui explique pourquoi, dès la promulgation reten- tissante des théories de Bouchard, les recherches se portèrent de ce
lacées : par d'autres appartenant à des époques plus lointaines. La théorie psychologique de Meynert sur la confusion menta
e par Chaslin dans son livre, est en quelque sorte, du reste, une théorie onirique. On sait, en effet, que Meynert attribue
" Chaslin, dans son ouvrage8, bien qu'il n'établisse pas spé- 1 Les théories histo-psychotogiqucs actuelles sur l'existence da
ats d'intoxication (Pupin, Hegcr) sont au fond assez analogues à la théorie de Xeyuert. Scli iile. Zur l'ttranoïa-1·'tttr/c
cellules; par le professeur H. ALIATIIY. L'idée fondamentale de ces théories nouvelles est la suivante : Apathy n'a jamais v
l'affection. Il n'était pas possible de maintenir plus longtemps la théorie utérine de l'hystérie dans la forme primitive d
ions sexuelles. Briquet et surtout Charcot s'élevèrent contre cette théorie et montrèrent qu'il n'existe aucune connexion e
: au cours de ces dernières, il est décomposé en urée et eau. Cette théorie permet d'expliquer l'effet thérapeutique favora
n de la moelle du même côté que l'ltémiparalysie, s'appuyant sur la théorie soutenue par cet auteur de la décussation au ni
rtantes et nouvelles expériences de Mott paraissent renverser cette théorie , qui du reste ,a été repoussée par son illustre
s explications -sur les symptômes observés. Si nous acceptions la théorie primitive de Browu-Séquard de la décussation de
ndante et, comme suite, la contraction du membre du même côté. La théorie de la décussation des conducteurs de la sensibi-
don postérieur ne s'entrecroisent pas, comme le faisait supposer la théorie de la décussation, mais se bifurquent en Y se c
l s'est rallié au moins dans son principe, n'est encore qu'une pure théorie . Elle rend l'explication des faits logique et f
re par des signes précis avant la manifestation. du délire. Cette théorie même, .malgré son élasticité,. ne saurait expliqu
opter, en ce qui concerne les délires systématisés secondaires, une théorie pathogénique définitive. Contenions-nous de con
an Grashey jusqu'à Prend, Goldscheider, etc., tient bien moins à la théorie des localisations, et tout en reconnaissant les
ttention sur les variétés du mutisme purement fonctionnelles que la théorie des localisa- tions ne saurait expliquer. Enfin
tte science nous rend des services importants au point de vue de la théorie et de la pratique : c'est ainsi qu'elle élucide
- meut trier, 93. C ! .\\L)E11mtODE. Contribution à I élude de la théorie de la fonction de la et de la thérapeutique d
70 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
dysthyroïdisme, je ne crains pas, pour ma pari, de me rallier à la théorie hypophysaire et l'on verra par l'exposé de mon ca
est au moins logique. Je ne veux pas entretenir plus longtemps des théories hypothétiques. Dans ces derniers temps on a rel
. Un auteur distingué, M. Hertoghe, s'est érigé en paladin de cette théorie ; on connaît les beaux travaux de cet auteur su
ux états qui dépen- dent d'une cause unique. Je me rallie donc à la théorie uniciste qui veut que le gigantisme et l'acromé
cas, nous sommes forcés de faire seulement des conjectures sur les théories pathogéniques qui ont été invoquées pour la compr
crétion interne (3e hypothèse) a ralenti l'ostéogénése épiphysaire ( théorie de P. Marie). Cette conception n'est sou- tenab
ion primitive congénitale du germe cartilagineux (4e l1y- pothèse), théorie de la dystrophie du cartilage primordial, soutenu
de race humaine. Et ici qu'il nous soit permis de nous adresser aux théories de l'hérédité pour essayer d'expliquer l'origin
uvent ce fait. Et sans entrer dans les développements de toutes les théories de 'l'hérédité, sur laquelle il règne encore be
res considérations, pouvoir donner raison, au moins en partie, à la théorie de Veissman sur l'hérédité, et surtout à son hypo
iées ici-même une revue générale très détaillée des opinions et des théories de cette dystrophie dans le mémoire de Porak et
rature des toutes dernières années n'a rien donné de nouveau sur la théorie de l'achondroplasie. En ce qui concerne la sympto
x deux formes ont été considérées comme un argument en faveur de la théorie uniciste ; or sans entrer dans le fond de celte
en de té- méraire, elle est au contraire parfaitement conforme à la théorie des loca- lisations cérébrales, physiologiques
oint de vue de la nature et de la patho- génie de l'hystérie, notre théorie peut rendre des services, en fournissant cette
seurs très spécialement, par négligence d'une étude préalable de la théorie , manquent de méthode et apprécient mal les valeur
e à définir. Il ne sera pas difficile de trouver les éléments d'une théorie qui sera provisoire, intéressante peut-être et
ent incontestable. Sur la pathogénèse de cette maladie, beaucoup de théories ont été émi- ses ; quelques-uns ont songé au ra
c exagération de la fonction antagoniste des glandes sexuelles. Ces théories ont été suffisamment réfutées dans une belle mo
e dystrophie cartilagineuse congénitale, soit pathologique selon la théorie de M. Bûck, soit normale, c'est-à-dire physiologi
orie de M. Bûck, soit normale, c'est-à-dire physiologique. De cette théorie se rapproche l'opinion de MM. Apert, Poncet et Le
it qui puisse nous faire pencher plutôt pour l'une que pour l'autre théorie . De l'anamnèse reculée de ces individus nous po
ugmentation de la glande thyroïde ; or nous avons déjà dit que deux théories (celle de M. Marie et celle de MM. Parhon, Shun
on interne étaient altérées, et l'on pourrait invoquer une des deux théories que nous avons exposées sur la pathogénèse de l
raient se rapporter à cette maladie ; on pourrait donc penser à la théorie toxi-infectieuse. Quant au troisième- et au q
prise. Dans ce fait important, on pourrait voir une objection à la théorie de ceux qui admettent une infection ou une intoxi
t rien de spécial, nous sommes enclins à admettre, d'accord avec la théorie de M. Apert, que le type achondroplasique peut êt
Avons-nous des arguments positifs capables d'appuyer une des autres théories pathogéniques connues ? En laissant de côté cel
res des os. Evidemment, si dans notre cas on voulait se ranger à la théorie nerveuse, on ne pourrait mettre en ligne de com
cette présomption, car des arguments plus solides, à l'appui de la théorie de l'ar- tériosclérose osseuse, nous font compl
YNSKI et F. JAROSZYNSKI ! I Un des points les plus discutés dans la théorie du pithiatisme est la ' question de savoir si l
d'ori- gine hystérique, contrairement à l'opinion de l'auteur de la théorie , M. Babinski, qui affirme que ces phénomènes so
sivement au système moteur, donne éga- lement un appui sérieux à la théorie du rôle moteur des cellules de Betz. En effet,
mblablement à une myélite intra-utérine ; puis d'interpréter par la théorie métamérienne de Ross, Thornburn, IIead,les naev
régions nerveuses. Ici, semble que l'on puisse faire intervenir la théorie métamérienne de Ross, Thornburn, Head, appliqué
tif nous explique-t-elle un trouble trophique ? Chez l'adulte, la théorie de Marinesco permet d'admettre que la tro- (1)
trop grande importance au point de vue du diagnos- tic. D'après la théorie ce type devrait prendre place dans tous les cas d
moins des mots. Cependant si l'on voulait continuer à ad- mettre la théorie de Wernicke l'analogie avec la fonction de l'insu
ans le cas de Probst, la microgyrie n'existait que d'un côté; si la théorie de Gelgersma était exacte, cette condition sera
s visuels et l'état du réflexe photo-moteur a fait abandonner cette théorie . Plus récemment, à la suite des travaux de Mari
progressif du pouvoir formateur des tissus squelettogènes. Cette théorie a pu être soutenue pour l'achondroplasie, en part
discussion pathogénique sur une base solide Steinberg a défendu la théorie de l'origine exogène. Les anomalies méta- podia
lupart des faits, et en particulier ceux que nous rapportons, celle théorie n'est pas même discutable. Ne sont-ils pas trop
peut-être plus faci- lement l'achondroplasie que le font les autres théories (1). Conclusions. 1° La brachymélie métapodia
précédentes, se manifeste avec abondance et ingénuité la fureur de théories pathogéniques.qui caractérise toutes les médecine
l'ina- nitédes hypothèses ; enfin, par l'intervention constante de théories mys- tiques dans l'explication des maladies.
e ramené à l'hypothyroïdie ou à la dystllyroïdie. « Aucune de ces théories unitaires ne nous semble suffisamment ap- puyée
re aux faits leur valeur relative qui dépose plutôt en faveur de la théorie po- lyglandulaire de de Sanctis. » Nous ne po
a race. La malformation est ici d'origine endogène, dynamique. La théorie de la mutation, de la variation, appliquée depuis
conditions de croisement s'y prêtent. Il faut encore mentionner la théorie de Babès qui invente un cen- tre bulbo-protuhér
71 (1888) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 5. Maladies des poumons et du système vasculaire
l'importance accor-dée au jeu des fibres de Reissessen dans quelques théories de la bronchite spasmodiqite. Ces théories ont ét
e Reissessen dans quelques théories de la bronchite spasmodiqite. Ces théories ont été un peu démo-dées quand M. Winlrich eut vé
; et les expériences entreprises sur les animaux démontrent que cette théorie toute mécanique peut rendre compte d'un certain n
s'exerce à l'intérieur de ces tubes, favorise leur dilatation1. Cette théorie fait, en définitive, provenir la dilatation bronc
primitif, antérieur à l'atrophie du poumon, ce qui réduit à néant la théorie de Corrigan, d'après laquelle elle serait consécu
raction du tissu conjonctif. M. Charcot rappelle encore, contre cette théorie , l'intégrité des bronches, qui s'observe dans la
ctères chimiques, elle n'est soluble que dans le réactif de Millón. — Théorie de la provenance intestinale du charbon pulmonair
a provenance intestinale du charbon pulmonaire Villaret (1862).—Cette théorie s'appuie: 1° Sur le fait que le charbon introduit
eu plus en détail les principaux documents qui ont servi de base à la théorie qui vient d'être émise. Cette façon si simple d'e
ue dans l'intérieur des vésicules pulmonaires. Comme complément de sa théorie , Pearson fait remarquer que les animaux domestiqu
nauff 1. On voit que la description de Pearson est exacte et que sa théorie sur la nature et le mode de pénétration de la mat
e est souvent franchi. Quoi qu'il en soit, le point de départ de la théorie qui fait jouer aux cils vibratils ce rôle prépond
s îlots de la prétendue pneumonie caséeuse. Pour bien comprendre la théorie de la mortification ca-séeuse des tubercules de c
yrétiques sont subordonnés à la pneumonie. Malheureusement pour cette théorie , la pneumonie fait souvent défaut à l'autopsie. A
remarquera, en premier lieu, que tous les auteurs partisans de cette théorie sont partis du principe que les lésions très di-v
cia-les qu'y présente le système capillaire. Telle est, en résumé, la théorie émise par Meckel et Frerichs et adoptée, à quelqu
maceutices ratto?ialis. P. 2, sect. I, cap. n) avait déjà proposé une théorie assez analogue. 2 M. Rayer a fait voir que, dan
C'est là, sans contredit, une des faces les plus intéressantes de la théorie dite de Xembolie, théorie fondée à la fois sur l'
une des faces les plus intéressantes de la théorie dite de Xembolie, théorie fondée à la fois sur l'obser-vation clinique et s
présenter ici toute la série d'arguments sur lesquels s'appuie celte théorie , et nous ren-voyons, pour les détails, à l'exposé
ident toutefois qu'il i Lasègue. — Thrombose et embolie, exposé des théories du professeur Virchow. (Archivesgénérales de méde
duits à interpréter les faits de notre observation dans le sens de la théorie de l'embolie : cette interprétation une fois admi
par exemple, un des points les plus difficiles à établir, dans cette théorie , parce qu'il échappe nécessairement à la démonstr
n plus avancée. Nous ne voulons point étudier plus longtemps ici la théorie de Rokitansky, qui, après avoir été l'origine d'u
d'ailleurs, que les travaux qui ont éclairé d'une lumière nouvelle la théorie générale des ané-vrismes sont étroitement liés à
e battement double en 1833. On a, depuis celle époque, formé bien des théories pour expliquer la production de ces deux bruits.
eroy, chez un de leurs malades. Ces moyens paraissent rentrer dans la théorie géné-rale du système débilitant, lorsqu'ils ne so
ns contestables de l'ischémie. Nous proposons d'ailleurs cet essai de théorie avec réserve, et nous le soumet-tons à la critiqu
membres, de certaines espèces de ramollissement céré-bral, etc. Cette théorie est fort ingénieuse, elle peut rendre compte d'un
rctus hémop-toïque est de date plus ancienne. Malheureusement pour la théorie , elles sont loin d'avoir la valeur que le docteur
hénomènes d'imbibilion. On comprend d'ailleurs difficilement, dans la théorie de Bochdalek, la relation qui existe-rait entre l
ctères chimiques, elle n'est soluble que dans le réactií de Millón. — Théorie de la provenance intestinale du charbon pulmonair
provenance intestinale du charbon pulmonaire (Villaret, 1862). —Cette théorie s'appuie: 1° Sur le fait que le charbon introduit
cuivre, 172; — des potiers, 232. Matière noire pulmonaire, 207 ; — théorie de Pearson, 207; — dispo-sition de la —, 208; — d
es arté-rielles, 422; — altérations du sang, 422; — étiologie, 422; — théorie de l'embolie, ^23, 450; — observation d' —, 424,
72 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
lème, si bien que nous en sommes, à l'heure actuelle, réduits à des théories , à des hypothèses. Je compte, enfin, vous montr
ritable cirrhose musculaire avec transformation fibreuse ; mais, la théorie myopathique a été formulée par Blocq : une prem
ais encore la paralysie agitante. J'ai tenu à vous signaler cette théorie thyroïdienne, en raison de son originalité, mai
is par l'intermédiaire de la méningite spinale postérieure ». Cette théorie est aussi soutenue par Ballet et Minor qui dési
ces lésions méningées et les lé- sions de la moelle elle-même. La théorie lymphatique du tabes de Pierre Marie et Guillain
les lésions mé ningées. Je rappellerai que ces auteurs basent leur théorie sur les argu- ments suivants : les lésions du t
ues qui précèdent, cinq nous paraissent nettement expliquées par la théorie lymphatique et sont pseudo-systématiques. Les d
seudo-systématique de leurs lésions est un argu- ment en faveur des théories qui n'admettent pas dans le tabes une systé- ma
le tabes une systé- matisation constante et, en particulier, de la théorie lymphatique de P. Marie et Guillain, 1 FACULT
rtie de ses symptômes et de ses lésions elle semble se rapporter la théorie toxi-infectieuse émise récemment (2). . Résum
e malade ne doivent par conséquent apporter aucune confirmation aux théories émises sur la fonc- tion intellectuelle du lobe
uelles on est peu fixé, nous devons d'autre part, faire mention des théories récemment émises sur la valeur des intoxications
mptômes des toxi-infections (urémie, diabète), et s'appuyant sur la théorie de la cachexie cancéreuse (Bard) (4), MM. Dupré e
IFALCO Directeur : R. PELLEGRINI ERGOTHÉRAPIE ET PSYCHOTHÉRAPIE THÉORIE PSYCHOLOGIQUE SUR LE TRAITEMENT DES ALIÉNÉS PAR
d'ordre clinique venaient donner un appui scientifique à certaines théories artistiques. (1) Jean Heitz, Les démoniaques et
méritait d'être conservée par l'image. Sans entrer dans l'examen de théories pathogéniques séduisantes, mais encore incer- t
problème de la pa- thogénie du tabes reste en suspens ; certes les théories ne font pas défaut, mais il n'en est pas une qu
de travaux antérieurs, résultats qui avaient amené cet auteur à une théorie très ingénieuse et très séduisante,- assise sur
qui ont été ainsi dévoilées n'étant pas de nature à mo- difier les théories et les conceptions en cours sur la pathogénie du
sentent les divers modes de la déchéance cellulaire. En général, la théorie cellulaire du tabes a rallié fort peu d'adhérents
pothèse est vraisem- blable elle ne vient nullement à l'appui de la théorie cellulaire, parce qu'il est de règle que la déc
, nous ferons remarquer que ceux-là même qui ont le plus attaqué la théorie cel- lulaire ont invoqué, pour expliquer la dég
xpérimentation et de la pathologie. Laissons donc momentanément les théories cellulaires du tabes et le rôle des altérations
vail ayant pour but un exposé de faits et non l'édi- fication d'une théorie ; nous ferons remarquer cependant que dans les
vives. Vers les tonneaux de bière qui coulent sans arrêt de longues théories assoiffées défilent. Dans les auber- ges, la co
la littérature considérable qui traite des lésions spinales et des théories pathogéniques du tabes, de constater quelle par
urtout marquée sur les fibres périphériques ; il admet par suite la théorie de Von Michel, le processus serait une dégé- né
pourraient être la cause de l'atrophie nerveuse « primitive ». La théorie rétinienne de l'amaurose tabétique reposerait don
ilk., 1899, p. 139 et p. 381. - 306 LÉIiI externe par exemple; la théorie de l'origine rétinienne de l'atrophie ta- bétiq
iel qui remplace les fibres musculaires disparues. On sait que deux théories sont en présence pour l'expliquer : d'après la
xpliquer l'état de certains mus- cles, on peut très bien adopter la théorie de Krôsing et admettre la pos- sibilité d'un ti
as ici de ces formes de dégéné- rescence. Du reste, en soutenant la théorie de la dégénérescence hya- line préalable à la f
qu'il une date relativement toute récente, depuis le triomphe de la théorie du neurone, qu'un petit nombre d'au- teurs (Pop
niennes la cause de l'atrophie du nerf optique. Les partisans de la théorie « nerveuse » l'em- portent cependant sur les pa
héorie « nerveuse » l'em- portent cependant sur les partisans de la théorie « rétinienne », mais entre les premiers les div
d'une tumeur gliomateuse indépendante du canal central. Mais cette théorie ,reprise et développée par Roth, Schultze, Oppenhe
-être aussi incriminer la. tendance de généraliser outre mesure une théorie pathogé- nique basée sur l'étude de quelques ca
la ne nous parait point inadmissible ni en désaccord formel avec la théorie que nous invoquons : de nombreux faits témoignent
sie, migraine ophtalmique, etc.), et il fait la démonstration de sa théorie en faisant cesser ces accidents par l'inhalatio
73 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
nctions nerveuses, d'un épuisement des organes. Ce n'est pas là une théorie , c'est l'expression aussi juste que banale du f
xes. « Il est évident, dit M. Jolly, que dans le cours des temps la théorie de l'hystérie s'est de plus en plus rapprochée d'
seul groupe, mais ce groupe a reçu des noms différents suivant les théories des auteurs. En France, à l'exemple de M. Magna
à cette question contiendrait une bonne et importante partie de la théorie de la névrose. PARALYSIES MOTRICES ORGANIQUES E
nd l'impression reste dans le subconscient. Nous avons appelé cette théorie : Das Abreagiren der Reizzuwâchse. En résumé, j
iques et les muscles sont altérés avant les centres. C'est la seule théorie qui puisse correspondre en même temps aux faits
e des localisations motrices corticales, l'auteur s'élève contre la théorie d'une localisation motrice : parce qu'un mouvem
ié comment parler, l'arti- culation volontaire sera perdue. Cette théorie de la nature sensorielle de la soi-disant aire mo
a perdu tout contrôle sur l'appareil de la décharge motrice. Cette théorie expliquerait également l'absence de fatigue malgr
sente un état' connu sous' le nom de microcéplialie. 11 existe deux théories concernant les débuts de' cette condition l'un,
de la glande thyroïde. - Pas d'autopsie. t. " ? , - . .Admettant la théorie qui assigne àll*idiotie crétinoïde une ori- gin
de l'Atlantique.' ` ' Tandis que Lannelongue a modifié sa première théorie soutenue par Virchow, c'est-à-dire que la micro
tude embryologique des progrès de l'ossification ne soutient pas la théorie que la synostose est la cause de la micro- céph
nt qu'une attaque de folie passagère. P. K. XV. Contribution A LA THÉORIE des hallucinations; par P1CK. (Neurol. Cent1'(¡
causes d'irrita- tion pouvant déteiminer des accès, il repousse les théories absolues qui donnent à l'épilepsie une cause pr
sé et généralise ces hypo- thèses ; il s'élève à ce sujet contre la théorie de Stevens qui attribue le mal comitial à la fa
u'elle repose non sur des hypothèses plus ou moins exactes, sur des théories ou des systèmes plus ou moins ingénieux, mais s
nt l'historique des recherches sur la question depuis les anciennes théories humorales jus- qu'aux études de Selmi et Gautie
xicité urinaire chez les alié- nés, en fondant dès à présent sur la théorie des auto-intoxications des distinctions nosolog
un par nous-même. Nous pourrions citer bien d'autres oublis. Les théories sur l'hérédité en général n'occupent qu'une place
des anciens âges à laquelle il revient de sa myélite. Quant à la théorie des affections systématiques combinées, si elle
iser exactement la voie et la nature de ce rapport. On connaît la théorie de Meynert' et Huguenin 2 qui fait passer par les
nnexion avec elle. Schwalbe, Flechsig, Marchi, battent en brèche la théorie de Meynert et Huguenin, et Bechterewa, tout en
ous avons déjà dit plus haut quels adversaires avait rencon- tré la théorie de Meynert et Huguenin : quelle que soit la solu-
la solu- tion anatomique qu'on donne à cette question, l'ancienne théorie de Pourfour du Petit qui faisait du cervelet le s
ontradictoires, tendraient à nous ramener, en partie au moins, à la théorie de Schroeder van der Kolk sur les olives : se f
lui que joue le cervelet pour les autres mouvements du corps. Cette théorie ne saurait tenir devant les progrès des localis
ent nette jusqu'à la mort de la malade. A citer encore contre cette théorie les cas où il y avait troubles de la parole san
M. Magnan a définitivement mises en lumière, et dont il a édifié la théorie . Dans l'évolution oppressive et pénible de ce d
s ne soup- çonnent pas. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE XL. SUR LES THÉORIES PHYSIOLOGIQUES ACTUELLES DE l'ÉPILEPSIE A PROPO
ttend encore sa solution précise. Après avoir brièvement résumé les théories de Marshall Hall et de Brown-Séquard, M. Christ
r, plus nettement que dans cette phrase,, où il a condensé toute sa théorie : « On naît, on ne devient pas, paraly- tique g
purement sensitives dans l'écorce. Vient ensuite la discussion des théories de Hitzig qui fait de la zone motrice l'aire du
ment l'existence d'espèces différentes dans les fonctions. C'est la théorie c carotte et la théorie « navet » appliquées à l'
es différentes dans les fonctions. C'est la théorie c carotte et la théorie « navet » appliquées à l'étude des centres nerv
eurs. Il assimile complètement et fond en une seule quatre diverses théories : celle du centre d'aperception de Wundt, celle
0RNILOP. Sur la question de l'aphasie.-Le rapporteur, réfu- tant la théorie de Grashey-Wernicke, suivant laquelle la lecture
éparément. Il considère de ses expériences réfutent complètement la théorie de Grashey- Wernicke. Suivant M. Serbsky, l'o
ns l'étude des phénomènes psychiques a contribué à mieux établir la théorie de la perception et de l'aperception. Après l
ique (complexus symptoma- tique de Horner). Ceci n'infirme point la théorie . On peut admettre qu'en pareil cas, ou bien le
., par, l'livdratéd'amylène, par E.-L. yl Dunn; ` ? `39;r sur, les, théories phy- siologiques actuelles, de l'- à ;9,propo
74 (1860) Journal du magnétisme [Tome XIX]
ous jamais cru qu’on se faisait apôtre comme oii se fait avocat d’une théorie officielle pour récolter des places ou des pensio
lic ; et le public, grâce nos efforts persévérants, sans s’occuper de théorie , sans raisonnement, frappé par l’évidence et la m
rtrand, que vous aimez à cilcr, l’a bien vu; mais cela dérangeait, sa théorie ; ses ouvrages étant déjà publiés, il était trop t
t souvent encore elles viennent s'ftheurter contre la barrière de nos théories préconçues. Les vérités les plus utiles sont repo
qui doivent s'abaisser et s’amoindrir pour passer sous le niveau des théories scientifiques, mais la science qui doit élever so
cience, qu’il se l’est en quelque sorte appropriée. Il en a exposé la théorie dans un livre remarquable qui a pour titre Electr
rations que le docteur ne produit que parce qu’il peut les combattre, théorie dont il n’a pu nous donner aujourd'hui qu’un aper
tion de C exercice du magnétisme. d“ Lemagnétisme, quelle que soit sa théorie pour expliquer les effets, et quel que soit le mo
a fait reconnaître. Quoi qu'il en soit, nous ne croyons pas que notre théorie ne puisse soutenir la discussion: elle peut être
tait possible, dans un simple article de journal, de développer notre théorie , dont nous n’avons dit ailleurs que quelques mots
n'a pas moins de peine à se faire accepter de certains esprits que la théorie à l’aide de laquelle nous avons cherché àsous l'e
e mon existence, ohl ce qui m'étonnerait te plus ici, ce seraient mes théories d'à présent, et les paroles de leurs formules.
TBAIMENT RELIGIECSS. Nous disons à la synthèse des faits et non des théories , car jusqu'ici nous ne connaissons que des faits,
ont pas d’avoir lieu, pour étudier sur les animaux cette intéressante théorie , si longtemps repoussée, en ce qui concenie les c
rre, adveniatregaum tuum i Amen I P. S. — Pour l’intelligence de la théorie qui précède sur le magnétisme des Quides impondér
ecsTeur de rsoregislrenient st des domainea. s ESSAI D’UNE NOUVELLE THÉORIE DU MAGNÉTISME ANIMAL, Par Léopold Warlomoni.
médecins n’ignorent rien, excepté l’art de guérir. « Si l'une de nos théories était« La Science... La grande Science !« comme
e numéro du 10 août dernier, ayant pour titre : Essai Tune nouvelle théorie du magtiélisiiii' animal, par Léopold Warlomont,
e M. Warlomout, j’en suis persuadé. On reconnaît que l'auteur de la théorie nouvelle du magnétisme n’est pas anatomiste lorsq
cteur-médecio. Cher maître. Je viens de lire YE$sai(Cune nouvelle théorie du magnétisme animal, par M. Warlomont, ainsi que
ssagèrement visibles ? En d’autres termes et pour mieux élucider la théorie ; Dam des récifrocilés »ympalhiques el vo- | io
plus embarrassante que le choix fait dans le conflit pendant entre la théorie acoustique des Européens et celle des livres indi
n : «Dieu a créé l’homme libre (1), • (1) Si l’on a bien saisi ta théorie de la plasticité des idiei, on doit reconnaître q
t pneumatique. Rien n’y a servi : ni métaphysique, ni dialectique, ni théorie de l’absolu, ni révélation, ni possession, ni ext
u contraire, ils me confirment dans mon opinion que : en dehors de la théorie du mouvement moléculaire, il n’y a qu'empirisme.
lorsqu'elle acquiert une vivacité prédominante. » i. C. E^kkï Cbos. { Théorie de l'homme inlelleoluel et moral.) Pour complét
t pas tout à fait le seul qui se soit dooné la peine d’attaquer notre théorie , et un de ses con'es-pondants, un M. André, un ho
, il se ravise et ajoute qu’en défiaitivc j7 ne voit rien, dans notre théorie , qui n’ait été plusieurs fois écrit par les auteu
ine, qui, après avoir légèrement lu sans doute le paragraphe de notre théorie où il est question de la démagnétisation des mala
me & qui on montrerait le soleil et qui nierait la lumière. Une théorie que l’on communique à un autre et qui est appelée
de M. Lafontaine ne l’est pas. Il est vrai que tout en taxant notre théorie d’hérétique, ¡1 admet pourtant que : k Si le magn
p pour M. Lafontainé le vif empressement qu’il à mis à attaquer notre théorie et nôtre pratique, sans les avoir examinées suffi
n avons certes pas la prétention de vouloir rendre palpable, par une théorie quelconque, les mystères du magnétisme animal. ma
26; — Kasperowski, 587. Ether-pantogène (l’). Essai d'une nou velle théorie du magnétisme animal, fondée sur l'existence hypo
Warlomont, 395, 539. — Nouvelle propriété des fluidesilmpondérables; théorie par M. Jobard, 327. Homœopathie. Lettres de M.
artiflcielle de la vie, 299. Somnambulisme (du) magnétique. Etudes, théories et observations diverses, par MM. Gérard, 123, 14
ens artificiel de suspendre la vie organique, par M. Jobard. 295. — Théorie sur le principe de la vie universelle, par M. War
e la foi, peut régénérer le le monde mural, 567. Vue somnambulique. Théories diverses sur son mode d'exercice, 233, 399, 465,.
75 (1858) Journal du magnétisme [Tome XVII]
rité. Aussi nous sommes encombrés de mémoires, de récits de faits, de théories sur cette science divine que notre époque voit na
nts médicinaux. Pour être complète, pour être aussi fructueuse que la théorie le fait connaître, la médecine doit donc avoir ég
mp vaste à de graves étuctee. ¡Tarais -déjà, du reste, parlé de cette théorie dans cet ouvrage «pie je viens de citer à la page
toute vérité démontrée, quelque perturbation qui en résulte dans les théories établies. Le magnétisme est particulièrement inté
ouvements des tables à l’action des esprits, commence par réfuter les théories qui ont prétendu expliquer ces phénomènes sans un
som-nambuliques. Nous avons déjà réfuté plus d’une fois cette étrange théorie : nous aurons prochainement occasion" d’y revenir
ensuit pas qu’il soit toute la religion et qu’il soit possible à ses théories de modifier les dogmes religieux. Cette prétentio
champion énergique du fluide ma-gnétiqne ; il a soutenu habilement sa théorie par de nombreux arguments. Quantàlaquestion en el
uns envers les autres de ménagements ; et leurs dissentiments sur les théories , loin de nuire à la cause commune , lui sera prof
a lumière de la vérité. A celui-ci donc les idées spéculatives, les théories et les systèmes; à cet autre, une mission plus mo
voie à ceux qui se flattaient d’étouffer dans le sang du novateur des théories inconciliables avec l’orthodoxie régnante. Quand
criblé les doutes, trié les vérités , discuté les expériences et les théories . Mais le magnétisme avait en outre un but prati
que l’on ait formulé depuis, elle renferme ,1e plus haut concept des théories accessibles notre entendement. Tout est doué de
us nous sommes abstenus de jeter inconsidérément devant la foule, les théories qui, mal comprises, auraient pu troubler quelques
nsacré un volume tout entier (l), et des mieux remplis, à l’étude des théories de Bodin. C’est surtout l’économiste, le publicis
é enrichie d’un résumé sur les faits spiritualistes d’accord avec ces théories nouvelles. Si donc le directeur du journal laisse
e tellement incontestable et si positifs, que celui qui en possède la théorie puisse les reproduire à volonté et sans difficult
its qui peuvent servir de base et de point d’appui, je ne dis pas aux théories magnétiques, elles sont trop diverses et trop dis
un des faits que le magnétisme accuse, à un fait commun à toutes les théories , à celui que toutes revendiquent ; par exemple, a
vie, sans que la mort survienne aussitôt. Reste à savoir si cette théorie suffit pour rendre compte des phénomènes magnétiq
iste. Est-ce bien cela? Dans l’affirmative, nous croyons que vos deux théories gagneraient quelque chose à être fondues ensemble
de à donner raison d’un plus grand nombre de faits, en conciliant des théories d’apparence contraire, lesquelles, vues isolément
éplorables en médecine î l’une a voulu faire de la médecine une vaine théorie , l’autre un métier irrationnel. La médecine a t
éludes, ni connaissances préliminaires, il n’en est pas de môme de sa théorie ou l’explication philosophique et satisfaisante q
. La puissance de cet agent est telle, d’après les partisans de cotte théorie nouvelle, que, mise à la disposition et sous la d
uer le principe que nous venons d’établir et qu’indique facilement la théorie des rapports. Nous allons donc rechercher, en pre
termine son intéressante et remarquable relation par le résumé de la théorie qui leur fut communiquée de la part des invisible
ajouté lui-mème quelques observations pour donner plus de poids à la théorie mentionnée, il finit sa lettre en témoignant vive
des traités faisant autorité sur la matière. Mais M. Rouget émet des théories fort étranges, qui sont loin d’être en harmonie a
tisans de la métempsycose ; ceux d’Amérique rejettent bien loin cette théorie et soutiennent que l’âme, une fois dégagée de
jusqu’à présent considérées isolément et qui donnaient naissance aux théories des impondérables, apparaissent aujourd’hui comme
; je n’avais en moi ni préjugés à vaincre, ni erreurs à surmonter, ni théorie préconçue à soutenir (et Dieu sait de combien de
urmonter, ni théorie préconçue à soutenir (et Dieu sait de combien de théories hasardées le magnétisme a conduit le deuil !). Je
e (qui depuis quelque temps semble travailler la science), car aucune théorie ne saurait renverser des faits certains. Avant
ent qu’on ne peut fixer les limites du possible et qu’il n’y a pas de théorie qui puisse tenir contre un fait bien avéré. Ils c
Ulcères à la bouche, 343. Vers intestinaux, 82. 510. ÉTUDES ET THÉORIES . Anesthésiants (des), chloroforme magnétisme, p
ns de MM. Mo-rin, 82; — Berruyer, 123. Somnambulisme (du) magnétique. Théories diverses : sur la causo et le mode d'action de la
76 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
our expliquer la pathogénie de l'hémiatrophie faciale, deux grandes théories étaient en présence : d'une part la théorie borde
faciale, deux grandes théories étaient en présence : d'une part la théorie bordelaise de l'aplasie lamineuse, celle qui vo
qui est exposée dans la thèse inaugurale de Lande, de l'autre, une théorie nerveuse qui plaçait la lésion tantôt dans le ner
, tantôt dans le sympathique, tantôt dans le trijumeau. La première théorie peut être facilement éliminée : il apparaît nette
nous trouvons en présence d'une affection nerveuse. Pour les deux théories nerveuses invoquant une lésion du facial ou du
aturel de penser à une lésion de l'axe cérébro-spinal ; c'est cette théorie qu'a exposée Brissaud dans une belle clinique sur
s plaideraient, il nous semble, dans le cas actuel, en faveur de la théorie sympathique soutenue par Brissaud et Meige. C
er répond à quelques objections que j'avais formulées (2) contre sa théorie du sens des attitudes, et il profite de l'occas
ngué confrère, je ne suis pas arrivé à pénétrer le sens exact de sa théorie et des arguments qu'il emploie à la défendre. E
nt une hypothèse supplémentaire indispensable à donner un sens à sa théorie - à moins d'admettre cela, comment la doctrine
prises dans un ensemble et douées de rapports mutuels ». En quoi la théorie nouvelle du sens des attitudes est-elle plus clai
rapproche-t-elle plus des faits, et les explique-t-el le mieux que la théorie classique, élaborée par ceux qui ont observé et
n, par contre, lorsqu'il voit dans ces faits une confirmation de la théorie empirique de la notion d'espace d'après laquelle
ns se préoccuper de savoir s'il était bon à vérifier telle ou telle théorie , telle ou telle de « nos petites idées d'hommes
tion est livrée à notre intelligence. Avant de rédiger une nouvelle théorie , M. Bonnier eût pu au moins commencer par mon-
« sens des attitudes », M. Bon- nier formerait tout au moins de sa théorie un tout logique. Mais les faits jusqu'ici obser
n. psych., V, 455). (5) L'auteur d'une thèse récente, parlant de la théorie du sens des attitudes segmen- taires de M. Bonn
, ne dissertons pas. Et c'est le principal danger, à mon avis, delà théorie du « sens des aititu- des » d'être une thèse si
ompte de ces phénomènes avec la doctrine muscu- laire pure, avec la théorie de la libre musculaire malade seule et prolopa-
mations du genre de celle qui nous occupe, soit que l'on invoque la théorie de la fracture intra-utérine, soit que l'on ado
Cepen- dant Pellizzi reconnaît que de tels cas sont favorables à la théorie de Fro- riep, de Beard, qui contrairement à la
orables à la théorie de Fro- riep, de Beard, qui contrairement à la théorie classique de His, assignent au cylindraxe moteu
lu discuter la possibilité d'une gliose secondaire à une infection, théorie admise cependant et soutenue brillamment par Joff
dite des pseudo-paraly- sies générales ? Ceux qui soutiennent la théorie dualiste disent que les symptômes tabétiformes
rand nombre de cas. Ces faits concordent assez exactement avec la théorie qui met en rapport les fibrilles cylindro-axile
ment de la première alternative sur laquelle était édifiée toute la théorie classi- que : L'étude minutieuse des observatio
rès large résec- tion du médian, est également incompatible avec la théorie du Neurone. Ce cas n'est, du reste, pas unique
éance du cubital. Cette suppléance ne saurait se comprendre avec la théorie classique qui regarde chaque neurone comme une
97 et Rev. Neurol., 1898). Régénération autogène chez l'homme et la théorie du Neurome (Congr. des alié- nistes et des neur
est encore trop mal connue pour qu'on puisse émettre à présent des théories exclusives. Pour rester dans le domaine des fai
as d'ailleurs ce fait, qui en science vétérinaire a la valeur d'une théorie , que l'habitude de lécher les poils est un prod
é à la connaissance du mécanisme du langage ? En nous gardant des théories prématurées, nous avons cru bon cepen- dant de
77 (1849) Journal du magnétisme [Tome VIII]
chose est son explication : l’un est un objet d’évidence, l’autre de théorie . Je ne puis douter des faits puisque vous les aff
jet reste parfaitement réveillé. M. Coddé appuie cette pratique d’une théorie puisée dans une longue expérience, et dans ses ét
re naître par notre conduite. INITIATION AUX MYSTÈRES SECRETS DE LA THÉORIE ET DE LA PRATIQUE RU MAGNÉTISME, rendue simple et
oire de la science mesmérienne. Le Gerani : HKBKKT («le f.arnay). THÉORIES . PHILOSOPHIE MÉDICO-MAGNÉTIQUE. La crainte do
nous est venue d’Angleterre (2). Nous ne rapportons pas toutes les théories ridicules qui ont été écrites sur la transplantat
la propagation et du développement de la science magnétique, dont les théories appliquées sur les personnes qui composent son au
gnétisme animal révélera des secrets encore incompréhensibles par les théories actuelles. C’est h ce genre d’instrument que se r
dirigé avec connaissance de cause, que même dans le cas où une autre théorie qui est adoptée par un plusgrand nombre de médeci
tend avec une impatience fébrile, c’est la preuve expérimentale de sa théorie , les résultats matériels de ses découvertes. En e
du méconnaissable et inadmissible pour quiconque a voulu suivre leurs théories empiriques, et accorder quelque créance à leurs e
rants , de rayonnement, de polarité, peut-être de polarisation. Cette théorie repose sur l’idée fondamentale que le fluide magn
ctive ou passive du fluide individuel. Seulement, nous pensons que la théorie de détail qui s’y rattache a besoin d’être sancti
plendissant des feux du fluide universel, a donné, comme preuve de sa théorie , le plus grand exemple connu de la volonté humain
erveilleuse d’un être essentiellement doué parmi les êtres. » De la théorie qu’il a exposée relativement aux courants naturel
ir, croire, aimer! Ces simples paroles ne résument-elles pas toute la théorie du magnétisme dans son application au soulagement
ôle sud. Les hommes devenaient des barreaux aima ntés (5). « Ainsi, théorie ou pratique, tout dans le mes- (1) Premier Mémo
iens de Pharaon n’étaient que des magnéti-« sauts ; mais, ignorant la théorie du système ma-« gnétique, ils ne pouvaient percer
a rigueur , me dispenser d’en fournir de nouveaux exemples ; mais les théories 11e pouvant jamais être trop appuyées, je vais fa
officiel du magnétisme , et les raisons qu’on apporta pour réfuter la théorie de Mesmer, et par suite la vérité de sa découvert
er et de son somnambule Ad. Didier. Le Gérant HÉBERT (de Garnay). THÉORIES . PHILOSOPHIE MÉDICO-MAGNÉTIQUE. CHAPITRE II.
ous léguerons à nos successeurs. » (La suite au prochain numéro.) THÉORIES . PHILOSOPHIE MÉDICO-MAGNÉTIQUE. CHAPITRE II.
magnétisme, et relier ces faits entre eux ; 4° Donner une nouvelle théorie de ce principe mystérieux, dire d’où il vient, qu
nt été intercalées dans le texte. Le Gérant : HÉBERT (de Garnay). THÉORIES . PHILOSOPHIE MÉDICO-MAGNÉTIQUE. CHAPITRE II.
x personnes agissant à la fois. L’expérience confirme sur ce point la théorie dans la majorité des cas. De quelle utilité une
titre de recommandation, cependant, ne doit pas faire admettre que la théorie des causes soit découverte , ni que des investiga
Vers intestinaux, 69. Vomissement de sang, 72. VARIÉTÉS. $ I. Théories , études, phénomènes remarquables, expériences cur
ar le Dr Roger. 85. — Réponse du Journal, 87. Electro - magnétisme. Théorie et faits, 85, 152 , 269 , 343 , 378, 390, 462.
ie traumatique. Son usage en Chine. Communication de M. Jobard, 89. Théorie des courants magnétiques naturels, 273. Trance
ues, 153. —Son disciple Wurtz, 249, 465. — Son ami d’Eslon, 443. — Sa théorie sur le fluide universel, 271, 440. — Célébratio
ce qui concerne Mesmer, 438. Initiation aux Mystères secrets de la théorie et de la pratique du Magnétisme, etc., etc., etc.
78 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
exie consécutive à l'ab- sence de cette glande. « En outre, cette théorie pourrait conduire à un traitement rationnel de
ntre MM. Miche ! Clarke, W. Gordon, Williams Dawson, et Waldo. La théorie sensitive de Leyden, motrice de Erb et cérébrale
érique, par opposition aux hallucinations d'origine centrale. Cette théorie , acceptée par la plupart des aliénistes, est ce
curables et des criminels incurables. Alors on verra s'évanouir la théorie surannée de la punition du crime et le traiteme
criminelle, ne constituent pas une preuve de criminalité. Ainsi la théorie de Lombroso et de son école faiblit sur deux po
'auteur déclare tout d'abord qu'il n'est guère enclin à admettre la théorie suivant laquelle la musique serait issue du langa
ple dans la névrite alcoolique), vient évidem- ment à l'appui de la théorie de l'auteur en indiquant la présence d'une subs
u tissu cérébral. L'auteur ne se propose pas de discuter les autres théories : en faveur de chacune d'elles on a apporté de
plicable aux nerfs sensitifs et aux nerfs moteurs. Si l'on admet la théorie qui vient d'être exposée, on se rend beau- coup
VIIITNELL. (Potain, Part. LXIX, 1895, p. 66.) L'auteur émet cette théorie que les cas de stupeur ou au moins certains d'e
e l'hypo- plaie persiste, la démence survient. Pour appuyer cette théorie qu'il a déjà émise, l'auteur rapporte deux cas
gie pathologique renferme des données très originales, parce que la théorie des neurones y a été appliquée à l'explication
es différents phénomènes observés dans la polynévrite, il existeune théorie que l'on nommetoxémique. Ses partisans supposen
ntateurs ont fourni des résulats concordants. Elles ont confirmé la théorie émise par Reverdin et démontré d'une façon pére
s deux hémisphères. ' Si l'on recherche sur quelles preuves cette théorie du dédouble- ment de l'activitécérébrale peut ê
valles lucides devenaient au contraire plus courts. En dehors de la théorie qui admet la dualité de l'action céré- brale, i
al. L'auteur rappelle et résume au début de ce travail les diverses théories physiologiques qui ont été proposées, et publie
iste pas de données sur lesquelles on puisse légitimement baser une théorie de l'origine de l'atrophie musculaire dans l'hé
euses publications aussi bien en France qu'à à l'étranger. Quatre théories se sont formées pour les expliquer. L'auteur ex
ement chacune d'elles, et par une critique judi- cieuse, élimine la théorie d'Oppenheim et celle de Grasset, la pre- 310 O
'une hystérie spéciale, ayant ses caractères propres. De ces quatre théories , deux seulement lui paraissent acceptables : ce
que des formes hystériques ou neurasthéniques. Chacune de ces deux théories ex- plique certains cas; elles ont le tort chac
les fentes interstitielles. Ces quelques lignes résument toutes les théories pathogéniques émises sur l'oedème bleu. Il est
l correspondant aux mouvements acquis par l'expérience ? D'après la théorie des unités psychiques corticales, de l'onde mol
GËNËKE-T-ELLE ? par le D1' B.1\NIS-rElt. L'auteur s'élève contre la théorie de Nordau, d'après laquelle la race dégénère. N
a donc pas directement à l'écorce, il passe dans la couche optique ( théorie de Mahaim). P. K. XLVII. DES paresthésies QUI S
europathologistes qui ont essayé d'en donner l'interprétation. . La théorie la plus connue est celle de Bastian-Jackson d'apr
régularisation des réflexes médullaires. M. Egger n'admet pas cette théorie ; pour lui, l'abolition des réflexes est due à une
; l'auteur en propose un nouveau qui met les faits d'accord avec la théorie , dans les formes rudi- mentaires de la vie, la
DU NEURONE ENVISAGÉ ISOLÉMENT.' L'un des premiers avantages de la théorie du neurone est de permettre de faire une étude
tive des neurones cons- tituent les tabès. L'un des résultats de la théorie des neurones est d'établir d'une façon plus sol
oy et Achard, entre autres, se sont faits les défen- seurs de cette théorie unitaire 2. Au contraire, MM. Morvan, Charcot,
cependant qu'il y a certains symp- tômes qui ne cadrent pas avec la théorie de l\Ioebius. Le diagnostic de l'hystérie chez
ieuse de l'hystérie. M. Grasset défend dans une série de leçons une théorie générale qui, dit-il, lui est chère; c'est le r
thèse chimique, qui « se présente sou s une étiquette nouvelle, la. théorie des auto-intoxications dans les ma- ladies ment
79 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
LE GAUCHE 25 Dans diverses publications (1) Mingazzini a édifié une théorie particu- lière des connexions croisées cérébro-
de Edinger, plus encore peut-être que le nôtre, est contraire à la théorie de Mingazzini, car Edinger n'a constaté aucune
s de tension et d'état normal ? 1 A cet égard, un certain nombre de théories ont été émises (a). Tout d'abord, on a voulu di
sion syphilitique de voisinage qui l'englobe ou le comprime ? tette théorie paraît bien vraisemblable pour la paralysie fac
itive et non sous la dépendance d'une lésion vasculaire spécifique, théorie généralement admise pour expliquer les altérati
s malformations congé- nitales, et a servi de point de départ à des théories restées jusqu'ici du reste purement hypothétiqu
rovince de Meck- lembourg, par exemple. Nous éliminerons aussi la théorie des glandes cutanées qui a été imagi- née par G
meurs lipomateuses multiples et le plus souvent symé- triques. La théorie de Grosch, qui semble s'appliquer à un certain no
uffisante pour expliquer l'infiltration adi- peuse sous-cutanée, la théorie de Grosch n'explique en aucune façon la prolifé
ces nerveuses agissant sur le territoire cutané correspondant. La théorie d'Unna mérite d'être rapprochée de celle de Grosc
ique ne fut suivie d'aucun arrêt dans la marche de la maladie. La théorie la plus généralement admise, tout au moins à l'ét
rie la plus généralement admise, tout au moins à l'étranger, est la théorie nerveuse ; elle a été en particulier discutée au
leben, Kuster, Bramann. Nous rappellerons d'ailleurs que cette même théorie a été invoquée pour expliquer le mode de distri
ique appartiennent incontestablement cette deuxième catégorie. La théorie nerveuse s'appuie surtout sur l'état cérébral des
ourrait ainsi être amené à appliquer à notre affection l'ingénieuse théorie du métamérisme spinal de Brissaud, ainsi qu'il
able seulement dans la distribution des troubles trophiques. » La théorie nerveuse, sans satisfaire Madelung, lui semble en
st consécutif à un traumatisme. En somme, aucun des partisans de la théorie nerveuse n'a réussi à établir de relation tant
-, L-diteura L'ADÉNO-LIPOMATOSE SYMÉTRIQUE ' 195 En attendant, la théorie ganglionnaire s'applique beaucoup mieux que .la
tendant, la théorie ganglionnaire s'applique beaucoup mieux que .la théorie nerveuse à tons les faits que nous avons réunis ;
ns avec examen anatomo-pa- thologique, qui nous semble confirmer la théorie que nous défendons ici comme la plus plausible.
uvements isolés des membres sont particulière- ment favorables à la théorie qui fait du cervelet un centre réflexe de l'équ
r exemple, les oscillations du corps sont également favorables à la théorie de Luciani d'après laquelle le cer- velet exerc
uité ré- gulière des actes. La différence principale entre les deux théories est que d'après la première, cette action compl
nt sur les raisons qui sont en faveur de l'une ou de l'autre de ces théories , cette question ayant été déjà discutée par l'u
ution est intéressée; cas de Manquât et Grasset). D'ailleurs, cette théorie de la propagation des vibrations dues au choc s
, la pipe était d'un usage universel, et on continuait à suivre les théories de Sylvius de le Boé et de Corneille Dekker dit
it interdite dans les affections du poumon ». Le tabac, d'après les théories régnantes « fait sortir la pituite » qui comme
L'archée siégeait dans l'estomac d'après Van Ilelmont (Voir sur cette théorie notre travail sur J. H. Cohausen). LA CROISAD
ndrome de Basedow est la fois effet et cause de l'hystérie ». Cette théorie paraît d'ailleurs être acceptée par les auteurs q
s hôp. de Paris, 1887, p. 367) ; Ch. Féré, La famille névropalhique théorie léralolngique de l'hérédité de la prédisposition
. A la suite de Ma- rinesco, Mouchet et Coronat (2) admettent cette théorie : pour eux, l'ar- thropathie tabétique est due
ies de la colonne dans le tabes. Mais, tout en reconnaissant que la théorie des névrites périphériques a pour elle, en géné
ent dans le segment inférieur de la colonne dorsale. Telle est la théorie pathogénique que nous a suscité l'étude de cette
es du savant professeur de Berlin ont été faites à une époque où la théorie microbienne n'avait pas encore acquis droit de ci
ues et expérimentales. Les faits sont venus déposer en faveur de la théorie de Marie, de manière qu'aujourd'hui on discute mo
la myélite aiguë ne date que de quelques années. 570 MARINESCO La théorie était vraie surtout en ce qui concerne les cas de
uns (Manthner, Gast, Lucanus, Hirschberg), partisans fervents de la théorie nerveuse, incriminent dans leur cas la paralysie
tres (Schenkl, Becker et Heuck surtout) ont défendu avec énergie la théorie musculaire. Or, ces deux ordres de théories, au
défendu avec énergie la théorie musculaire. Or, ces deux ordres de théories , aussi séduisantes qu'exclusives, sont passibles
osé et discuté les arguments mis en avant par les parti- sans de la théorie nerveuse et de la théorie musculaire, Kunn émet u
ts mis en avant par les parti- sans de la théorie nerveuse et de la théorie musculaire, Kunn émet une conception qui, fondé
faite, nous semble-t-il, les opinions des partisans exclusifs de la théorie nerveuse et de la théorie musculaire. Elle nous
es opinions des partisans exclusifs de la théorie nerveuse et de la théorie musculaire. Elle nous paraît aussi la plus ra-
bso- lument la nature de ces troubles. Il nous semble que dans la théorie de la migration ou de l'expulsion du noyau dans
80 (1888) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 3
stice reprend ses droits ; la suggestion criminelle reste possible en théorie , mais devient, en pratique, extrêmement dangereus
— De la simulation. — De la suggestion. — Pratique de l'hypnotisme. — Théorie de l'hypnotisme. Enfin la dernière page contient
t Ribot. De plus, nos expériences viennent, semble-t-il, appuyer la théorie adoptée par l'Ecole de Nancy, pour expliquer les
re bien que, dans les états inférieurs, ils agissent aussi, et que la théorie de l'autosuggestion pour expliquer leurs effets n
ur eux une telle contrainte n'est en rien responsable. Une pareille théorie est absurde. Mais quel mérite y aurait-il pour le
ence des preuves nouvelles apportées chaque jour par la géologie à la théorie de révolution, elle est obligée de convenir que l
héâtre de ses exploits. Les méfaits de ces voleur» se rattachent a la théorie du magnétisme animal, par le fait que les brigand
r ne s'être jamais trompés. Sans doute, il est bon de n'aventurer une théorie que lorsqu on peut l'appuyer sur l'une ou l'autre
plications pratiques que des caractères pouvant servir de bases à une théorie ; ils n'avaient pas reconnu nettement ces alternat
ce de M. Wetterstrand et d'autres savant» est incompatible avec cette théorie , et confirme les résultats de MM. Bernheim et I.i
taire, oce 1888. janet (J) 1 L'hystérie et l'hypnotisme, d'après la théorie de la double personnalité. Rev, scient., t. XLI.
duit* pendant riiypno'c. L'observation suivante vient confirmer cette théorie . En prenant une leçon d'armes. A..., caporal, e
e l'hypnotisme ; nous travaillerons beaucoup moins à en constituer la théorie . Il est bien vrai que l'idée que l'on se fait de
s une ville assiégée. Je ne crois pas qu'au moment actuel, aucune des théories qui ont été proposées pour l'explication des phén
pour le sujet ou répugnantes pour les spectateurs, idée excellente en théorie . mais, or. en conviendra, difficile à réaliser en
s utiliser, et l'on commence déjà à le faire, soit pour l'étude de la théorie de l'hypnotisme, soit pour 1 applies^H de cette .
au moins, .être dirigé par eux. Il ne suffit pas de bien connaître la théorie de l'Hypno-tisme pour intervenir utilement dans l
cité a la cure des affections nerveuses. Dans les cas de ce genre, la théorie pure ne saurait mener bien loin; elle doit égarer
onsidérer le sommeil normal comme l'elfet d'un acte inhibitoire. La théorie d'après laquelle le sommeil dépend d'une contract
après avoir cru observer un phénomène naturel, propre à soutenir une théorie favorite, n'ont jamais voulu reconnaître qu'ils s
nçais, et entre Français éminents. En prèsenee de ces luttes et des théories contradictoires, symbolisées, d'un côté par l'Eco
estion, habilement tracé par ces deux auteurs, est tout en faveur des théories de la Salpétrière. La structure même de l'article
ciemment suggéré. C'est là. on le voit, le contre-pied absolu des théories de la Salpêtrière: on n'est plus en présence d'ét
je vous citais en commençant, semble justifiée par l'exposé des deux théories . Et cependant, je maintiens ce que je vous ai dit
nt, je maintiens ce que je vous ai dit naguère, à savoir que fes deux théories sont trop absolues, qu'il existe un terrain de co
édifier de scientifique. L'objection est grave, capitale même ; la théorie de Bernheim, si elle n'apporte avec elle aucune p
En sens inverse, l'Ecole de Nancy apprécie de la façon suivante les théories de la Salpêtrière : Les phénomènes somatiques fix
rande attaque. 11 en est de môme pour l'hypnotisme : Pour admettre la théorie de la subordination, pour pouvoir conclure que le
différents espaces ne sont jamais successifs, mais simultanés. Cette théorie permet d'expliquer le curieux phénomène qui est l
81 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
iques du foie et de la rate. Nous allons nous borner à enregistrer la théorie de MM. van Lair et Masius. Selon ces auteurs, la
ion générale. 4° Ictère. Reste l'ictère; à quoi est-il dû? Selon la théorie que nous venons d'énoncer, les microcytes échappé
tels travaux de Brucke et d'Helmholtz sur les couleurs condamnent ces théories empiriques, ces guérisons trompeuses. Le Gérant :
grandes cellules nerveuses dites motrices. C'est ainsi que suivant la théorie émise par M. Vulpian, théorie à laquelle j'adhère
es motrices. C'est ainsi que suivant la théorie émise par M. Vulpian, théorie à laquelle j'adhère complè-tement, les scléroses
ez aisément, mes-sieurs, que rien dans tout cela ne vient infirmer la théorie d'après laquelle Vappareil des cellules nerveuses
ueillir, sans réflexion, sans examen, les opinions, les bruits, les théories les plus étranges, qui nous ap-prend à croire plu
donne. Les progrès de l'esprit humain ont fait jus-tice de toutes ces théories , et les découvertes qui ont enrichi suc-cessiveme
obscurs en pathologie utérine, et tend à renverser en même temps des théories que la situation de leurs auteurs rendait recomma
pathologique de la lymphangite puerpérale, le siège de la douleur, la théorie de la production des péritonites puerpérales et a
commandons surtout la lecture du chapitre vi, où se trouve exposée la théorie du développement des accidents périto-niques pend
e les deux tiers externes de la trompe. On ne doit pas s'arrêter à la théorie de ceux qui expli-quent la péritonite par l'écoul
la production de l'inflammation pêritonéale. Nous avouerons que cette théorie nous séduit. Toutefois, certaines obser-vations d
ngestion pulmonaire et de la pleurodynie, l'auteur proteste contre la théorie qui explique la faiblesse de la respiration par u
pré-cieuses en ce sens que, si elles se confirment, elles ruinent une théorie qui a joui d'une certaine faveur dans ces dernier
Cette question si intéressante nous amène à examiner les di-verses théories émises sur l'électricité animale, dont nous ne po
rfs. A l'occasion de ces faits, M. du Bois-Reymond a établi toute une théorie dans laquelle la contraction musculaire et le fon
vrant les phénomènes électro-capillaires, a porté le dernier coup aux théories de M. du Bois-Reymond. Elles n'ont d'ailleurs jam
ra-polaire et d'anélectrolonus intra-polaire. Ils ont fait de grandes théories et établi des lois spéciales auxquelles ils ont d
l'action chimi-que elle-même n'est qu'un effet mécanique, d'après les théories physiques modernes ; effet mécanique que l'on ne
ichet fait jouer un rôle important aux nerfs vaso-moteurs. Mais celte théorie du savant chirurgien n'est pas suffisamment dé-mo
les opinions émises : cœur, source de la chaleur, âme, etc., ou bien théorie chimique, M. Bernard démontre qu'il n'y a que dep
dans sa véritable voie scientifique. Il examine, en premier lieu, la théorie de la combustion pulmonaire de Lavoisier, puis ce
naire de Lavoisier, puis celle des capillaires généraux de Magnus. La théorie moderne justifie jusqu'à un certain point les vue
agulante du perchlorure de fer et comprises dans le tissu morbide, la théorie de M. Virchow (ainsi que M. le docteur Terrier le
n pourrait, au moins dans certains cas, y subordonner, en vertu de la théorie de l'infection purulente, les abcès pai enchymate
nombreux amis, auraient pu fournir à M. Leteurtre les éléments d'une théorie physiologique admise d'ailleurs et déve-loppée pa
82 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nirs ne sont pas un phénomène aussi simple que les sensations; leur théorie beaucoup plus com- plexe est loin d'être aussi
ertaine image peut bien ne pas donner lieu à tous les oublis que la théorie précédente nous indique- rait. Il peut se produ
tent l'intelligence en danger. P. KERAVAL. VII. Contribution A la théorie DE LI FOLIE gémellaire; par N. Os- TERMAYER. (A
uë avec les trois stades connus. J'ajouterai que, conformément à la théorie infectieuse, mes observations révèlent l'existe
éance du 9 avril 1891. - PRÉSIDENCE DE M. MEYNERT. M. MEYNERT. - La théorie des énergies spécifiques. (Publié in extenso.)
TES. M. Wernicke n'a rien à ajouter pour le moment. M. Sommer. La théorie des localisations suffit-elle à expliquer les t
Ueber aphasie und ihre Beziehung sur lVuhrnehrnung). au moyen de la théorie de la lecture et de l'écriture par l'épella- ti
la lecture et de l'écriture par l'épella- tion. Aujourd'hui; cette théorie est insuffisante, au même titre que la doctrine
dant ' Voyez Archives de Neurologie. SOCIÉTÉS SAVANTES. 119 des théories établies pour expliquer les faits en question; -
ue, c'est sur elle que se base M. Sommer pour battre en brèche la théorie des localisations, en ce qu'elle touche à l'aphas
rovoquer l'hypnotisme sans aucune sugges- tion ; par conséquent, la théorie moderne de Bernheim, Forel et , f autres, est,
adresser au malade suggéré pour faire cesser ces accidents. ' La théorie permet donc de ne fonder d'espérances, en ce qui
s faits qui ont été publiés jusqu'ici donnent en partie raison à la théorie ; ils lui seraient même, pour une part, plus favor
. Dans l'oeuvre de M. Charcot, il y a ni raisonnements vagues, ni théories creuses : des faits corrobés autant que possible
importance qu'elle puisse paraître, trouve sa place dans la longue théorie triomphale des connaissances scientifiques et p
JELGERSMA. (Cenlralbl. f. Nervenheilk, N. F., t. II, 1891.) , La théorie de l'auteur a été exposée dans les Archives de Ne
ant compte du travail de Cunningham (Lan- cet, 1890), qui adopte la théorie de Jelgersma, formule des objections que combat
ule des objections que combat actuellement l'auteur. Il renforce sa théorie par les deux arguments nouveaux que voici : A
e psychique. A propos de la paralysie générale, M. Luys a donné une théorie à peu près semblable. Les exemples que Cotard
titielle est réellement fort peu accusée. Dans un cas semblable, la théorie de l'étouffement de M. Luys n'est pas acceptabl
ition pro- duit par la lésion vasculaire et l'on doit en venir à la théorie de l'encéphalite parenchymateuse, de la lésion
trophique. Discussion : M. Raymond se déclare prêt à se ranger à la théorie parenchymateuse de la paralysie générale et dem
e note résumant ses premiers résultats 1, Suivant lui, il y a trois théories sur la microcéphalie (mot générique sous. leque
rimé par la résistance de son enveloppe osseuse, il y aurait là, en théorie au moins, un motif plausible pour faire disparaît
er. Pour pratiquer cette opéra- tion ils se basent en elfet sur une théorie de Virchow, qui n'était d'ailleurs applicable q
sont venus se faire traiter à Bicêtre démontre mieux que toutes les théories l'inanité de la crâniectomie. La seule chance d
de Duchenne un tableau aussi complet que bien ordonné. Les diverses théories qui préten- dent expliquer la nature de l'affec
de réfléchir un instant à ces paroles de Baralt, pour voir comme la théorie des réflexes s'y trouve mal déterminée, ce qui
(Annales médico-psychologiques, 1892.) E. B. II. RÉFLEXIONS SUR LES THÉORIES DE LA CRIMINALITÉ ; par le Rév. W.-D. Morrison.
s équi- table de la culpabilité, et, au point de vue général, à une théorie plus juste de la criminalité. R. M. C. III. O
e un mécanicien, un localisateur convaincu et non un partisan de la théorie des psychoses par trouble fonctionne] généralis
t rarement pu être faites sur l'homme ont été des plus nets pour la théorie des locali- sations. Le Dr A.-D. Waller a lu un
inghaus, de Berlin, résume et discute les der- nières études sur la théorie de la vision des couleurs; une dame, Mra Ladd F
a suggestion hypnotique à l'éducation et M. Van Eeden a parlé de la théorie de la psycho-thérapeutique d'une manière plus g
inalité, et responsabilité, par Pelman, Mendel, 102, Clark, 483 ; théorie de la-,par Morroson, r78. DÉGÉNÉRÉS, aliénati
83 (1881) Archives de neurologie [Tome 02, n° 05-06] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
ion, M. Charcot a rapporté un fait qui cadre admirablement avec les théories que nous soutenons : « J'ai déjà cité bien des
RAPIG, ^ESTHÉSIOGÈNES (Suite) ; Par le D- R01(AfN V1GOU1t0Ux '. THÉORIE DES PHÉNOMÈNES ESTIIÉSIOGLNIQUES. Le lecteur ne
NIQUES. Le lecteur ne s'attend certainement pas à trouver ici une théorie , dans le sens rigoureux du mot, des faits qui vie
cepticisme, pour laquelle il a été fait un peu plus de bruit est la théorie dite de Y expectant attention. Elle repose sur
tous ses détails l'expérience célèbre sur laquelle Volta a fondé sa théorie . Elle établit que le fait seul de mettre en con-
s objections. La première consiste à nier purement et simplement la théorie de Volta. Mais celle-ci a été, croyons-nous, mi
s avec le diapason. Ces essais pouvaient-ils servir de base à une théorie ? Nous ne l'avons pas pensé. M. Schiff en a jugé
ar des polarités moléculaires. Mais entre ces comparaisons et une théorie la distance est grande. Dans l'état actuel de nos
(Charcot et Regnard); le fait physiologique vient ici confirmer les théories physiques sur la constitution électrique de l'aim
SIOGÉNES. 115 rapprochements utiles pour l'édification future d'une théorie de l'hypnotisme. Quant aux procédés, nous avo
termédiaires à la lumière, à la chaleur, à l'électricité et dont la théorie , main- tenant acceptée do l'unité des forces ph
cembre 1877. Gaz. des hôp. 1878, et Lazzcct 1878. Romain VIGOUROUS. Théorie physique de la métalloscopie (Soc. de biologie,
t, l'électricité statique et le diapason. (Progrès znéd., 1878.) La théorie des vibra- tiozzs. (Pi,og2-ès méd., 1880). - Vo
l'état d'affection telle que nous l'observons aujour- d'hui. Cette théorie est en rapport avec les données physiologiques,
re des observations déjà publiées. L'auteur rappelle les diverses théories proposées ; lésion du trijumeau ou des fibres sym
une.pareille opinion : - L'auteur n'hésite pas à adapter Jesimêmesi théories -fonctionnelles^ à l'homme; il se base sur le t
" `, Puis, il arrive aux anéyrysmesmiliairesetexamineles diverses théories proposées pour- expliquer, leur,, développement,
avant. Il ),,1,1 1 . 'ta ? 1. ! 1, : ; z 1.1 AIONDEL' COIIII)AL ]l théorie pathogénétique des, troubles vaso- moteurs ; il
calorification ; ;' les 'phénomènes thermiques 'de' la fièvre et la théorie de la fièvre constituent les' deux derniers'cha
IV. Le dernier chapitre du travail que nous analysons porte sur la théorie de la fièvre. L'auteur discute, son origine,héma-
ie, par Muller, 294; ., t'"r o' ",Il 1 11(i Hallucinations (de la théorie des) par Kaudinslcy, 74 : *' ? , Hémiatrophie
84 (1857) Journal du magnétisme [Tome XVI]
y avaient avantageusement préparé. — Nous, avons longuement étudié la théorie de cette science sublime, et à nos connaissances
la pratique. Le magnétisme proprement dit n’est pas solidaire de ces théories ; mais les faits, soit que les explications qu’on
veut leur faire subir ; un fait annoncé comme pouvant conduire à une théorie , peut toujours être reproduit avec une parfaite c
omettants. Les uns, en voulant expliquer le magnétisme, bâtissent des théories ridicules, multiplient à plaisir des hypothèses q
e en outre en allemand ou en espagnol. On 1 répondu qu’une fausse théorie ne peut infirmer un fait positif; que l'existence
ntelligence des habitants ; qu’il est plus rationnel de conformer les théories aux faits que les faits aux théories ; qu’on peut
plus rationnel de conformer les théories aux faits que les faits aux théories ; qu’on peut admettre qu’il y a dans le monde des
i se sont longuement, profondé - ment, sérieusement occupés de la théorie et de la pratique du magnétisme, ainsi que de la
cipe acquis à la science physiologique. Il a donc admis le principe THÉORIE . fondamental de la doctrine magnétique, l'act
grave que deux en moururent. Mais quelque ingénieuse que soit cette théorie , elle tombe d’elle-même devant cette considératio
ement le modus faciendi du magnétisme , j’en ignorais complètement la théorie ; que, par conséquent, je ne pouvais l’appliquer,
les plus certaines de la physiologie et de la psychologie. « Cette théorie est aussi celle des magnétiseurs; les savants en
rique d'instruction, de pr opagande et de bienfaisance qui réunira la théorie et la pratique et s’occupera d’appliquer le magné
, s’il ne fait pas avancer rapidement la science. Mais laissons les théories de côté et venons à la pratique magnétique, si fé
concours indirect si utile; si le drame et le roman, empruntant à nos théories , à nos expériences leurs plus saisissants effets,
moyen de s’y méprendre. Cette (1) Arist., de Mund., i, 1. (S) Des Théories de l'entendement humain dant Vantiquiti, par Emma
onstitue-t-il pour eux une science? Ici je me tais. La divergence des théories , le contraste et l’inanité des opinions se charge
ard des effets particuliers auxquels je fais ici allusion, toutes les théories rivales sont réduites à nier ou à se taire. Je ve
t les sciences constituées sont impuissantes à rendre compte ; 2° une théorie tendant à donner une explication rationnelle de c
présenter les témoignages qui en établissent la réalité ; exposer la théorie spiritualiste de ces Jaits, les objections et acc
ble comme elle, parce que le lluide nerveux se dérobe à la vue. Cette théorie élucide .'a plu- I a l d s .iva le u! xii:S des
e intellectuelle, et se prouve par scs actes. Indispensable « dans la théorie de l'organisme, on ne comprend pas comment tour à
orgueil, nous nions, nous affirmons avec assurance, nous élevons des théories que nous croyons inébranlables et que bientôt les
-prononcé du magnétisme animal, auquel il fait une large part dans sa théorie , et dont.il célèbre la puissance bienfaisante. Vo
sme, déroutent la raison ët réduisent souvent à néant les plus belles théories : Depuis un mois, je magnétise une demoiselle X
estion, nous croyons devoir présenter quelques considérations sur les théories de l’auteur. Les faits qui se rattachent au mer
is heureux de constater par moi-môme la sûreté des principes de votre théorie ; enfin , après un mois de somnambulisme qui lui
urtout en en produisant eux-mêmes. Quant aux phénomènes que plusieurs théories attribuent aux esprits, il en est un certain nomb
désastres. Malgré ces quelques divergences sur plusieurs points de théorie , nous nous plaisons à payer un tribut d’estime po
, 599. Ulcère à la matrice, 153. Vers intestinaux, 510. ÉTUDES ET THÉORIES . Anthropologie. Suivant M. le docteur de Quatre
lever de Maldigny, 311, 337, 365, 393. Nososcopic dynamothérapique. Théorie sur l'instinct particulier qui donne aux nososcop
de M. Eugéne Huzar, examiné par M. Morin, 442. Somnambulisme (du). Théories diverses sur la cause et le mode d'action de la l
âme se déplace-t-elle? Question examinée par M. Morin, à propos d'une théorie du somnambule Alexis , 79. — Dissertation à ce su
85 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nt êlre considérés comme totalement erronés. 11. IL s'ensuit que la théorie de l'amoc- boisnte acceptée par maints savants
e collatérales. Ce sont ces apparences qui ont donné naissance à la théorie du bourgeonne- ment, d'autant qu'on voit de sem
que, 1904, n° 115.) . L'auteur,dans ce travail,fait le procès de la théorie intellectuelle el de la théorie aboulique des o
ans ce travail,fait le procès de la théorie intellectuelle el de la théorie aboulique des obsessions, qu'il s'efforce d'expli
icié des recherches anaLomiques, Les élucubrations inventées par la théorie des localisations, les titeo- ries édifiées par
ct.0o;)'f ? t<''ps ? tt'<) 111, 1898.) P. hett.lv-1L. XII. La théorie des psychoses d'origine toxique ; par l'. llciB
IHluil'111 a loujoul' le lI1èll1e cal'a('[('I'l' Pl, pal' suite, sa théorie pourrait s'appliquer à celle de la genèse (les dé
t les cas cliniques où on l'observe, d'un mécanisme identique. La théorie de Freud, qui de l'anxiété la consé- quence d'u
1J03, n" 9.) Première partie très intéressante rappelant toutes les théories émises pour expliquer cette infirmité, depuis l
ypes : celles qui l'expliquent par des troubles d'origine centrale, théories toujours plus ou moins vagues ; et celles qui e
r celle ai)ti- tule. De plus, ce. cas apporte une preuve de plus la théorie de Stricker, d'après qui on ne saurait pensera
com- plète. L. W. XLVI. Les localisations motrices spinales et la théorie de la métamérie ; par C. PARHONoL l\I.GOLDSTEIN
i qui présiderait aux localisations spi- nales motrices, Aucune des théories exprimées n'est satisfaisante. L'opinion la plu
Ces faits paraissent à l'auteur difficilement conciliaires avec la théorie du neurone et lui semblent plutôt militer en fa
ologie, l(JO4, no 12.) Après un exposé historique et critique de la théorie de la « dua- lité fonctionnelle du muscle », d'
t lymphatiques. Cette constatation serait un argument en faveur des théories qui n'ad- mettent pas dans le tabès une systéma
dans le tabès une systématisation constante et en particulier de la théorie lymphatique de Marie et Guillain. 11.(. LXXVlll
ar 131A¡';CHINl, (Nouv. 7eo)tor. de la Sal2êtriL·re, N° 2. 1904). Théorie psychologique sur le traitement des aliénés par l
s lois. Heureux encore s'ils parviennent à le comprendre. Cette théorie si belle, si simple, et qui semble devoir s'imp
s lès neurodiélectriques. Je vous renvoie pour le détail de cette théorie aux Archives de neurologie où je l'ai pu- bliée
) . Dans ce travail, M. de Bucl : oppose l'une à l'autre les deux théories pathogéniques au moyen desquelles lès associatiom
es qu'on observe si communément chez les aliénés. A côté de cette théorie , se dresse celle des apperceptionnistes ou volo
lontaristes,à laquelle M. de Buck déclare se rallier. D'après cette théorie il existe un organe ou centre d'apperception corr
nts, obsessifs, hallucinatoires, etc. On voit par cet exposé que la théorie stereopsychique de Slorch se rappro- che beauco
la théorie stereopsychique de Slorch se rappro- che beaucoup de la théorie de la sé,junction entre l'identification primai
ogie des affections mentales et leur pathogénie. Impor- tance de la théorie de l'auto-intoxication. Valeur de la classificati
étudié ce cas. .l. BÉRILLON présente un ventriloque, lequel fait la théorie de son art et explique par quelle série d'exerc
rincipales du livre ré- cent de Frédéric myes et,en particulier, la théorie de la conscience subliminale. M. Demonchy rap
cine il faut toujours en revenir à la clini- que qui seule juge les théories », et c'est imbu de ce prin- cipe salutaire que
ippe, 398. Métamérie. Les localisations motrices spinales et la théorie de la -, parParhon et Golds- lein, 230. Mét
es. Voir Excitation. . Psychoses. Voir troubles vis- céraux.De la théorie des-d'o- rigine toxique, parIIeiberg, 67. Voi
86 (1883) Archives de neurologie [Tome 06, n° 16-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ophthalmie; r tout, cela, disons-nous, 1 est 1 devenu da base d'une théorie sur la pathogénie de cette affection. Fallait-il
érapeutique : beau- coup, de remèdes; peu de guérisons; beaucoup de théories , -peu ,de véitç., '11f11 W7·e fr ·,rn si nr ' *
u.d"ul' 11 ? il' 'll ? l 1 sans exposer,, les expériences ou, les,, théories .pour lesquelles f.rt ? t.nii' i ? tU).f.<j'
affectés q chacun, à.,un, mode dl} 15ensibiIiéLdi,Li.nî : t., Cette théorie n'a," rien, qui répugne et se recommande comme to
théorie n'a," rien, qui répugne et se recommande comme toutes, les, théories schématiques, par un caractère. séduisant de. sim
l'Encéphale..Nous verrons ce que pèse cette pierres angulaire de la théorie , des centres optiques de M.'Luys.-i il nny 1f ? j
eux cas-types de cette affection. Il insiste sur l'importance de la théorie de Meynert : faiblesse irritable qui se traduit p
ouvelle famille non reconnue par les lois. Se fondant sur certaines théories physio-pathologiques qui lui sont propres et «
maine de la vulgarisation. L'école de M. Charcot a fait faire il la théorie de ce mal des progrès considérables, et ces nou-
par la mucine (Ord.), la transition semble logique. Pourtant cette théorie hématopsiétique, malgré ce qu'elle a de séduisant
ltration des tissus par la mucine. Pour se prononcer entre ces deux théories , il faudrait préalable- ment savoir si la mucin
cette dualité sympto- matique et apportera une preuve de plus à la théorie , Calme il. - Dictionnaire en trente volumes :
rger1 publia son remarquable mé- moire, il combattit avec succès la théorie exclusive- ment périphérique qui place dans l'o
ne lui-même le siège de l'hallucination; il repoussa également la théorie psychique ou centrale qui fait de ce syndrome u
yndrome un phénomène purement intellectuel, et il mit en avant la théorie mixte ou psycho-sensorielle qui paraissait répo
sensorielle qui paraissait répondre à toutes les exigences. Cette théorie acceptée par la plupart des auteurs, qui sembla
ntale démontre avec un rare talent de critique l'insuffisance de la théorie psycho-sensorielle ; il donne pour siège aux ha
guments fournis par la physiologie expérimentale en faveur de cette théorie , la clinique vient tous les jours ajouter de no
es faits de Wernicke 5, de Giraudeau G, de Fritsch', Tamburi'ii. La théorie des hallucinations. (Revue scientifique , 29 ja
ent seules pour continuer le mérycisme. Par ce dernier point, cette théorie se rapproche de la précédente, dont elle ne dif
vements du canal oesophagien. Nous avons exposé longuement diverses théories cherchant DU MÉRYCISME. 389 à expliquer le mé
oire; en effet, il existait une transition toute indi- quée ; de la théorie nerveuse du diabète, on était amené à l'étude d
dent. L'auteur n'a pas pensé qu'il lui fût possible d'adopter cette théorie à l'exclusion des autres; dès lors il ne pouvai
e la glyco- surie. Cette étude nous conduit aune classification des théories du diabète fondées sur la physiologie. L'aute
ndées sur la physiologie. L'auteur peut alors faire la critique des théories principales du diabète, en se basant sur la phy
e basant sur la physiologie, l'anatomie pathologie, la clinique. La théorie gastro-intestinale, sans être suffisamment fon-
une thérapeutique rationnelle : la suppres- sion des féculents. La théorie hépatique eu une époque glorieuse, quand Cl. Be
bien vu que le diabète est, avant tout, un trouble de nutrition. La théorie nerveuse nous a fait passer en revue les lé- si
bète, mais elle n'en est pas la cause prochaine » et exclusive. Les théories rattachant le diabète à un trouble de nutrition,
e diabète gras, celui des riches ? La même réserve s'impose pour la théorie pancréatique. Les faits puhliés par M. Lancerea
génie des accidents comateux reste encore obscure, on a invoqué les théories suivantes : [0 lipémie; 2° urémie; 3° anurie; 4
87 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 9. Hémorragie et ramollissement du cerveau, métallothérapie et hypnotisme, électrothérapie
es troubles trophiques (1). M. Charcot fait part à la Société d'une théorie nouvelle qui explique les troubles trophiques (si
) que l'on observe à la suite des troubles de l'innervation centrale, théorie qu'il croit pouvoir être substituée à celle des n
radictoires épars dans les auteurs perdent toute espèce de valeur. La théorie des localisations, telle que la conçoit M. Charco
dans les cas de convulsions Ioniques, paraît donc concorder avec la théorie . Que se passc-t-il, lorsqu'il s'agit de convuls
en véritable membrane. Or, nous n'hésitons pas à dire que la dernière théorie pourrait seule expliquer un fait qui a été observ
raient encore ici, ce nous semble, l'avantage sur les partisans de la théorie de l'organisation des caillots. Ils n'auraient pa
antérieurement aux travaux tout à fait récents, a le mieux entrevu la théorie véritable, à notre sens, des hémorrliagies intra-
ar le même mécanisme. » Incontestablement, ce peu de mots contient la théorie , au moins à l'état rudimentaire ; mais, isolée et
verses variétés de kystes séro-sanguins décrits par les auteurs. La théorie pathogénique, qui place dans une néo-membrane 1
2. Golliny, dans Ollivier (d'Angers), loc. cil., p. 91. 3. Dans la théorie de Samuel, les troubles de nutrition ne surviendr
l, 12 octobre 1878.) II. Observations et expériences relatives à la théorie des phénomènes. A. Courants £ctóaT[es déterminés
doute pas que, grâce à ces recherches persévérantes, on arrive à une théorie satisfaisante des phénomènes nerveux chez les hys
loscopique, sont des faits du même genre. Je ne crois pas que cette théorie soit applicable dans l'espèce ; mais les objectio
applications métalliques. Mais parmi les faits propres à infirmer la théorie de l'attention expectante, l'un des plus importan
écouvert plusieurs particularités intéressantes et a même proposé une théorie . Le temps me manque pour traiter cette partie de
oureusement observés, que d'étayer sur une observation incomplète des théories pour le moins prématurées. L'étude actuelle est
son résultat, l'action spéciale du contre nerveux a dû intervenir. La théorie , aujourd'hui bien établie, qui fait d'une certain
du nerf cubital seulement, le phénomène doit s'expliquer, d'après la théorie , de la façon suivante. Il ne s'agit pas d'une exc
. Je tiens pour mon compte à réserver, pour le moment, la question de théorie . Je ne nie point que les actes réflexes aient une
tères qui les distinguent, et d'en indiquer autant que possible la théorie physiologique. Ici, le phénomène à mettre en reli
oir pour effet la disparition d'une contracture. Mais quelle est la théorie que l'on peut donner de tous ces phénomènes ? Il
ions du système nerveux que nous avons habituellement à traiter. La théorie de l'ancienne machine, à plateau cle verre unique
hypnotisés. A priori, on pourrait supposer que les partisans de cette théorie possèdent un grand nombre de faits qui en démontr
on de la —, p. 467 ; — guérison d'une — par l'hypnotisme, p. 562; — théorie de la —, p. 467; — distinction avec les — organiq
88 (1891) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 6
que cette névrose, chez leurs sujets, existe. Il n'accepte aucune des théories proposées par l'Ecole de Nancy pour laquelle, a-t
ouver cette mesure. Maladie du sommeil. M. Mauthner a soutenu une théorie suivant laquelle la maladie du sommeil observée c
de la substance grise qui entoure les ventricules cérébraux. Celte théorie semblerait confirmée par un cas de cette rare aff
ges, in-8°. — Paris, 111, boulevard Saint-Germain. Dasilewssy (B) — Théorie unitaire et phylogénélique de Vhypnotisme de f ho
ulier où se trouve la personne qui apparaît. Ce livre contient peu de théories ; c'est un ensemble de documents recueillis dans d
lusivement au Point de vue de ses préférences scieutifiques ou de ses théories personnelles. Sinon, voyez ce qui arriverait avec
est assez dire qu'il lui arrivera même d'introduire dans le débat des théories qu'au fond de son esprit il repousse comme erroné
sauvages; traces des contes modernes dam les anciens auteurs; — b. 1« théorie solaire appliquée aux mythes; le folklore moderne
Suite et fin (1). Et plus loin, après avoir discuté à ce propos les théories de l'honorable M. Delbœuf, professeur à l'Univers
de cette catégorie, parmi des clients médecins — ont dans la tète des théories : « Monsieur, me disait l'un deux qui réclamait m
chiques, etc. Ici, la limite de l'innocuité est franchie, puisque ces théories , qui ont pour origine une tromperie de soi-même,
opre (3). Nous avons été les premiers à élever la voix contre cette théorie lorsque, en lt*82, dans notre Communication, en c
spécial parmi ceux qui l'interrogeaient à cet égard de si singulières théories qu'il serait regrettable qu'un clinicien put y fa
e de l'hypnotisme et d'en signaler les dangers et le* difficultés. La théorie du sujet a ele laissée de côté, l'auteur ne voula
ts des médicament- à distance, l'hypnotisme appliqué aux animaux, les théories de l'hypnose. Dans un appendice, il donne une cin
la lumière de ces fait* et de ces données, d'appréeior la valeur des théories qui ont éié émi*es et des conclusions qui mit été
giques; hérédité et récidivité. 2* Interpréta lion dn type criminel : théorie aiavimque et théorie pathologique. 3* Application
écidivité. 2* Interpréta lion dn type criminel : théorie aiavimque et théorie pathologique. 3* Applications de« doctrines de l'
nce qu'on rencontre si souvent est en contradiction flagrante avec la théorie d'hérédité si généralement acceptée. (1) Luys.
olisme complet, sont irresponsables. Au point do vue moral, une telle théorie est déjà discutable : il nous semble que la respo
irresponsable moralement. Pénalement, peut-on l'admettre? L'ne telle théorie est tout simplement l'encouragement à l'ivresse :
rationnel dans une certaine mesure. Mais je crois qu'on a exagéré la théorie du surmenage contemporain. Il y a vingt-cinq ou t
Les partisans des deux écoles accourent, et voici qu'un adepte des théories de la Salpéirière examine les sujets. Il les en
poursuite, n'a pas recouru aux procédés de Paris. L'expert imbu des théories de la Salpéirière dira, quand même il aurait, lui
cadémies sont souvent, f.mt-il le dire, le dernier refugo de vieilles théories et la redoute de l'ancien. Nous ne voulons cont
sur la Suggestion et le Somnambulisme (2), j'ai essayé d'établir une théorie complète des suggestions criminelles. (?) J. Li
es partisans des deux écoles accourent, et voici qu'un adepte des • théories de La Salpéirière examine les sujets. a II les
ines de psychologie psychologiques contemporaines, en particulier les théories les plus récentes sur les hallucinations. 11 le c
utoriser à les hypnotiser avec l'assistance d'un médecin : il y a, en théorie , une différence entre les deux autorisations et l
89 (1918) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 28] : iconographie médicale et artistique
essus de l'interligne articulaire du poignet. Cela concorde avec la théorie d'Alquier que nous exposons plus bas, car on pe
ques. Aussi n'avons-nous pas eu l'occasion de discuter les diverses théories , sympathique de Leriche, vasculaire de Meige, v
'aponévrose et nodo- sités digitales, nous paraissent en faveur des théories qui leur attribuent même pathogénie. Déplus, ét
présentent, le fait que nous rapportons nous paraît en faveur de la théorie , soutenue notamment par les professeurs J. Tess
ses caractères normaux. - M. Cestan et M. Boinet se rattachent à la théorie d'un « stigmate phy- sique névropathique ». P
peutprovoquer l'aspect de dits doigts tourmentés ou déjetés. Cette théorie trouverait sa justification : 1° dans ce fait q
dans ce recueil, Ber- tolotti, puis Chevallier,* ont discuté cette théorie , faisant valoir que les hexadactyles seraient e
sséder pour être tout a fait compte), Boinet objecte également à la théorie qu'on n'a jamais trouvé de traînées osseuses in
rme elle 6° métacarpien, ce qui serait indispensable pour étayer la théorie . Ce ne sont pas nos observations qui pourront d
qu'un excès de ladite sécrétion donnerait lieu au diabète insipide ( théorie hyperpituitaire). A l'appui de cette hypothèse
tué à la base de l'encéphale (région opto-pédonculaire), Mais cette théorie , malgré les intéressants arguments invoqués en
technique, et cela est dù à l'ardeur avec laquelle ils défendent la théorie nerveuse et repoussent la théorie glandulaire d
ur avec laquelle ils défendent la théorie nerveuse et repoussent la théorie glandulaire du diabète insipide. Il est évide
èce, se régénère, le trijumeau redevient purement sensitif. Cette théorie est séduisante (1). Elle est inadmissible. Il nou
La surrénale a été aussi trouvée lésée dans certains cas. Diverses théories ont été soulevées pour expliquer la pathogénie du
joutés au syndrome dont nous parlons. , b) Névritique. - Pour cette théorie , l'adipose douloureuse vient de l'inflammation
ue. Le sympathique est l'agent producteur de l'af- fection. Cette théorie est vraie en partie, c'est-à-dire que le sympathi
de la maladie de Dercum. sur UN cas DE syndrome DE DERCUM 291 d) Théorie encéphalique. Dans le cas de Burr, il y avait une
t une dispo- sition anormale des circonvolutions cérébrales. ' e) Théorie toxique. Dans cette théorie, le syndrome adipose
le des circonvolutions cérébrales. ' e) Théorie toxique. Dans cette théorie , le syndrome adipose dou- loureuse est le résul
rome adipose dou- loureuse est le résultat d'une intoxication. f) Théorie microbienne. - Aux théories ci-dessus devait s'aj
e est le résultat d'une intoxication. f) Théorie microbienne. - Aux théories ci-dessus devait s'ajouter la théorie microbien
) Théorie microbienne. - Aux théories ci-dessus devait s'ajouter la théorie microbienne et par celle-ci on a prétendu attribu
athogénie de l'adipose douloureuse à des agents spécifiques. ' c) Théorie glandulaire. Les glandes devaient aussi se charge
terviennent comme agent pathogénique. Passant en revue toutes les théories énumérées ci-dessus,nous pouvons dire que quelq
ur agent régulateur, pour frein le sympathique. Ainsi conçue, cette théorie trouve son appui dans les faits cliniques. C'es
rable de presque toutes les maladies, soit parce qu'ils ignorent la théorie des forces et leurs principes, quoiqu'elle soit
syphilitique tertiaire selon Milian (1), et peut-être opposée à la théorie soutenue par Fouquet dans sa thèse, selon laque
90 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
des auteurs contemporains paraissent d'ailleurs fixés sur ce point de théorie : l'affection articulaire a, par la voie des nerf
autres groupes musculaires du membre. Remarquez qu'aucune autre des théories proposées ne peut être acceptée; ainsi, on parle
ne déterminer qu'un repos de courte durée, et d'ailleurs, dans celte théorie , comment pourrait-on expliquer la localisation à
e, d'un emplâtre stibié peut produire le même effet que le choc. La théorie qui permet de fixer ces faits dans l'esprit est l
plusieurs passages de son livre, ainsi que Pitha, se rattache à cette théorie . Or, il s'agit là d'une contraction spasmodique
s, quoique indirects, peuvent être encore invoqués en faveur de cette théorie . Je puis vous montrer que ces mêmes déformations
leurs et dans les cas même où le membre n'a jamais été immobilisé. La théorie généralement acceptée pour expliquer cette dystro
ous allons voir qu'elle intéresse au plus haut point non seulement la théorie , mais encore la pratique : s'agit-il d'une atroph
et intenses pourrait peut-être permettre d'accuser, conformément à la théorie de La-tham, l'existence antérieure de spasmes vas
rminant, des phénomènes qui ne peuvent nullement s'accommoder avec la théorie qui invoquerait l'existence d'une lésion grave du
ir I'Appendice n° II, p. 464. Quoi qu'il en soit, d'ailleurs, de la théorie , le traitement institué, bien qu'il ait été inaug
ur hâter ce résultat? Je voudrais étudier avec vous tout d'abord la théorie , la physiologie pathologique des cas qui nous occ
on opinion, la coxalgie de ce malade doit être interprétée suivant la théorie appliquée, dans nos leçons du dernier semestre, a
at psychique produit par le shock nerveux. Telle est, Messieurs, la théorie que je propose : si j'ai un peu insisté sur ce po
omplétant, de l'établir d'une façon définitive. Telle est du moins la théorie que je vous ai proposée, vous ne l'avez pas oubli
eurs avoir obtenu des résultats propres à confirmer de tous points la théorie proposée par M. Yolkmann. Ce n'est pas ici le lie
s dernières recherches de Brown-Séquard ont singulièrement ébranlé la théorie de la « coagulation de la myosine », comme cause
ralysies dites psychiques ou mentales, si vous l'aimez mieux. Cette théorie , aujourd'hui fondée sur un nombre considérable de
bjeclivement sous la forme d'une paralysie complète, absolue. Cette théorie peut, on le conçoit, s'appliquer de tous points à
édiatement dues à l'activité des centres moteurs. » À l'appui de la théorie proposée plus haut, on peut rappeler ce qui s'obs
st, comme on le comprendra facilement, la contre-partie directe de la théorie qui veut établir une suprématie absolue des centr
is en fonction que par une sorte de réflexe parti des premiers. Cette théorie , M. le professeur Charcot la rejette presque enti
n des centres en particulier est, en effet, la contre-partie de cette théorie , puisqu'elle a pour base l'indépendance de ces ce
91 (1870) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 2è année
est pas dans ces Leçons qu'il faut chercher des aperçus nouveaux, des théories hasardées ; on ne les rencontrerait pas; mais ce
nir à un exem¬ple, citons le remarquable travail de M. Prompt, sur la théorie de la marche. Ce n'est pas sans quelque complai
Parmi ces derniers nous avons déjà signalé celui de M. Prompt sur la Théorie de la marche; nous ne ferons qu'énumérer les plus
vorables à l'opinion émise par le docteur Bou¬rion. Mais que dit la théorie , ou mieux que disent l'optique et la physiologie
sique, de remonter à leur cause pre¬mière et de les expliquer par des théories plus ou moins ingé¬nieuses. Le but de notre aut
euses. Le but de notre auteur n'est point de créer ici une nouvelle théorie ; cependant il n'a pu résister à la tentation de
le premier bruit et la petite avec le deuxième bruit du cœur. Deux théories peuvent donner une explication suffisante des dét
e des détails nombreux observés dans l'analyse de la pulsation : La théorie du choc en retour ; d° de l'indépendance des qu
c en retour ; d° de l'indépendance des quatre temps du cœur. III. Théorie nu choc en retour. — Déjà bien connue dans la sci
Théorie nu choc en retour. — Déjà bien connue dans la science, cette théorie attribue la grande impulsion à la contraction du
nt sur les valvules aortiques pour rejaillir de nouveau. Mais cette théorie a besoin d'être complétée pour rendre compte de t
daire, et souvent même de plusieurs autres plus pelites. Dans cette théorie , tous ces mouvements successifs seraient pro¬duit
lexes et qui trouvent difficilement leur explication dans cette seule théorie . IV. Théorie de l'indépendance des quatre temps
ouvent difficilement leur explication dans cette seule théorie. IV. Théorie de l'indépendance des quatre temps du cœur. — La
IV. Théorie de l'indépendance des quatre temps du cœur. — La seconde théorie est celle qui attribue à chaque cavité un temps p
¬tour aortique ou gauche. 3" Contraction des i oreillettes. Celte théorie semble trouver une démonstration physiologique pu
i, disons-le de suite, tendent à renverser certaines idées, certaines théories médicales universellement adoptées. On comprendra
92 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
us rares*. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. I. Théorie des réflexes cutanés et tendineux basée sur la na
de la pression exercée, sur le cerveau soit dans les limites de la théorie de Bergmann, soit dans celles de la théorie d'A
dans les limites de la théorie de Bergmann, soit dans celles de la théorie d'Adamkiewicz ; 3° à l'état, du fait de cette pre
interne, il est impossible de n'alléguer que l'anémie qui, dans la théorie de Bergmann, émane de la compression des vaisse
êt de développement des lobes préfrontaux. Il y a actuellement deux théories en présence relativement à la localisation de l
dans les lobes occipitaux. Ces faits viennent donc à l'appui de la théorie qui localise les fonctions intellectuelles dans
ion des quelques nouveaux cas présentés par l'auteur. De nombreuses théories ont été proposées pour expliquer la pathogénie
es des nerfs périphériques. Après avoir passé en revue les diverses théories de l'6rythro- mélalgie (nerveuse, médullaire, c
ent étu- diées les questions suivantes : Chapitre I. Evolution delà théorie du criminel-né. Chapitre 11. Causes de la crimi
l est, à l'heure actuelle, impossible d'accep- ter intégralement la théorie de l'anémie cérébrale comme cause du sommeil. O
base se congestionneraient, tandis que l'écorce s'anémierait. Cette théorie rappelle un peu une opinion ancienne de Meynert,
qui lui est particulière. 'Régénération autogène chez l'homme et la théorie du Neurone. M. G. DURANTE (de Paris). A l'autop
qu'une interprétation qui a servi à élucider quelques faits. Cette théorie , comme toute théorie biologique, ne renferme qu
n qui a servi à élucider quelques faits. Cette théorie, comme toute théorie biologique, ne renferme qu'une part de vérité e
des piogrès constants de la science psychologique. J. B. XXVI. La théorie de l'émotion; par W. James, traduit de l'anglais,
Dr G. Dumas dans une introduction qui est un véritable exposé de la théorie émotionnelle du psychologue américain, tient à
la concilier avec le caractère péri- phérique de l'émotion. A cette théorie s'oppose la théorie intel- lectualiste de Herba
caractère péri- phérique de l'émotion. A cette théorie s'oppose la théorie intel- lectualiste de Herbart et son école expo
e psychologue américain reconnaît l'impossibi- lité de soumettre sa théorie à une épreuve expérimentale, mais il répond vic
le des sens... dans une partie quelconque de leur trajet. » Cette théorie a longtemps régné sans conteste; mais les décou
incapable d'expliquer l'unilatéralité de l'halluci- nation. A la théorie classique ainsi ébranlée, M. Séglas substitue u
n. A la théorie classique ainsi ébranlée, M. Séglas substitue une théorie psychologique. La lésion périphérique n'agit pas
ation du côté du point de repère unilatéral '. » Celle intéressante théorie me semble .corroborée par le fait suivant noté
émontrer que la brillante interprétation de M. Sérias et l'ancienne théorie , loin de se contredire, se complètent heureusem
pas t'unilatéralité. Sur ce dernier point on doit faire appel à la théorie de M. Séglas. C'est par une association d'idées
ette question capitale devient aisée si l'on veut bien accepter une théorie éclectique. Il y a dans toute hallucination uni
'hallucination en elle- même, phénomène sensoriel explicable par la théorie anato- mique de Tamburini (l'hallucination épil
lité decetlehalluciuation, phénomène intellectuel explicable par la théorie psychologique de Séglas (la lésion unilatérale
lepsie, où elle ne constitue qu'un équivalent des attaques; or, les théories mo- dernes tendent de plus en plus à admettre l
graphie, se range du côté de ceux qui considèrent comme dépeinte la théorie du neurone. SOCIÉTÉS SAVANTES. S3t I 7'A)'ot(
s électnques des -, par Babinski et Delelme, 77, ï, Emotion. La théorie de 1 pat James, 382 FCÉPIIiL011(;L17E. Voir M
, par Lakacz. 131. RÉGi : VI.n WION AUTOGÉ\E Ctle2 l'hom me et la théorie de neurone, par Du- rante, 313. Régression mu
93 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
aru( d'autant plus intéressantes qu'elles nous ont conduits, à.une' théorie de l'incoordination déjà soutenue autrefois par
C'est là un caractère important ; nous y reviendrons à propos des théories de l'incoordination motrice. t) Nos. recherches
dui- ront sa flexion ( d'une façon brusque et , désordonnée . La, théorie de Tchirjew a déjà été réfutée par Westphal/ qu
istes et.que cependant il n'y avait pas.incoordination^ , , ,. La théorie que nous soutenons peut faire, com- , prendre l
a projection des membres. On peut objecter à Tschirjew, que si sa théorie était vraie, on rendrait un animal incoordonné
température frontale s'élève : ce dernier point peut éclaircir la théorie du 'sommeil. » M. Bert n'avait pas observé d'élév
nt, philosophiquement, l'expression dernière et le couronnement des théories scientifiques ; en adopter une équivaut à chois
leur appréciation et une grande indépendance dans la discussion des théories , quels que soient les noms qui les cou- vrent,
ur l'état des fibres nerveuses qui en émanent : or, à ce propos, la théorie la plus généralement accep- tée, croyons-nous,
t toute vraisemblance, celui-ci ne se détruit que graduellement, la théorie nous paraît insuffisante, puisqu'elle ne nous r
muscles était plus particu- lièrement intéressé. A' l'appui de la théorie que nous soutenons, nous rappellerons les circo
ents ultérieurs. 17 258 REVUE CRITIQUE. I ., ' 1 . Faits et théories de M. Burq. - Il nous paraît nécessaire de répé
e un bon nombre d'agents oesthésiogènes. Quand nous parlerons de la théorie , nous en ferons l'énu- mération complète ; pour
M'<e'e ? M7 ? Herendue"l'auteu'r passe en, revue,, les diverses théories émises relativement à la production de ce phéno
ne valeur as- sez mince' pour rassurer leur probité pécuniaire ? La théorie de M" Lasègue" vraie pour la' grande' majorité
t dans ce genre de comparaisons des données intéres- santes pour la théorie de la sensibilité. Quant aux organes des sens,
e faisceau pyramidal du côté sain et par les com- missures. Cette théorie a déjà été soutenue par M. Hitzig. Elle est fon-
semblent bien de nature à justifier les doutes que peut inspirer la théorie de la contrac- ture hémiplégique par associatio
nférieur : « Aussi, dit M. Vulpian, lorsqu'il s'agit de discuter la théorie des localisations cérébrales, faut-il refuser p
impossible que l'auteur ne l'ait pas observé. Cela, étant donné la théorie qu'il adopte, avait d'autant plus d'importance qu
N pariétale INFÉ- RIEURE (lobule du pli courbe), EN rapport avec la théorie DES localisations cérébrales ; par GIOVANNI ANG
le; les indications thérapeu- tiques ressortent clairement de cette théorie . II. D'O. LUI. Affections NERVEUSES SYPHILITIQU
us proposions plus haut, et ce qui se trouve aussi d'accord avec la théorie nerveuse de M. Angelucci. H. DE B. XXXIV. Du
ateur que la picrotoxine tend à établir. » Quoi qu'il en soit de la théorie , voici le fait que rapporte M. Couyba. Un enfan
bien incomplète. M. Brissaud rappelle d'abord, pour la rejeter, la théorie delà rétraction musculaire de Follin ; un de se
ns déjà dit ailleurs' ce que nous pensions de cette doctrine; toute théorie vitaliste à part, et c'est dans ce livre la seu
x au joyeux buveur. Aurore, qui permet de faire toucher du doigt la théorie de la rotation diurne de notre globe; les rubis
se leur explication sans qu'il soit nécessaire d'avoir recours à la théorie des nerfs trophiques. » (Charcot, loc. cit., p.
sse jamais 1 centi- mètre. D. Pathogénie. L'auteur se rallie à la théorie de Waller sur les centres trophiques en ce qui
générescence soit terminé. L'auteur se rat- tache sur ce point à la théorie de la restauration de la myéline et du cylindra
urations qu'il est impossible d'épargner aux aliénés agités. - La théorie de l'embolie graisseuse par la destruction pure-
sans oedème qui se rencontre parfois. > ' ' » -a . 9cLes trois théories proposées pour expliquer cette -névrite sont :
ur sur les fibres vaso-motrices du fond de' l'oeil ; cette dernière théorie est soutenue par H. Jackson. ' '" -' q 1 Bram
croscope. L'auteur passe rapidement en revue les expériences et les théories faites sur les hémorrhagies stomacales consécut
s à M. 0*" sur l'éducation de son 6M 0 VARIA. enfant idiot, 1839; Théorie el pratique de l'éducation des idiots (leçons a
94 (1847) Journal du magnétisme [Tomes IV et V]
La Salzède, dans l’ouvrage qu'il vient de publier (I), fait sur cette théorie les réflexions suivantes : « Or, du moment où l
rées au magnétisme, une seule y figure, celle où M. du Potetexposa la théorie actuelle du magnétisme; tout le reste est passé s
l parlera. Arrivé chez moi, je m’empressai de mettre en pratique la théorie magnétique à laquelle j’étais si nouvellement ini
e, la pierre de touche de l’observateur attentif, qui n’acceptent les théories aux pompeuses promesses qu’après un examen sérieu
Garnay). P*ri». — Imprimerie d'A. Rué et Comp., rue de Scioe, 33, THÉORIES . A MONSIEUR LE BARON Dl' POTET. Mon cher Maît
s conséquences, il fallait à tout prix faire de la scolastique, de la théorie , et comme le terrain était mouvant, ces braves ge
voile épais de la matière, et qui se nourrit du capul morluum que vos théories rejettent; vous n’y comprenez rien, vous qui n’ét
soi des désordres qui ne cèdent que lentement. Hébert (de Camay). THÉORIES . DES DESTINÉES PROBABLES DU MAGNÉTISME thèse
rnav). Paris. — Imprimerie il'A, Keké et Comp., rue de Seine, SJ. THÉORIES . DES PHÉNOMÈNES MAGNÉTIQUES DE TRANSITION. §
d’étudier des temps passes avec celui d’aujourd’hui. On faisait les théories d’après la nature, maintenant c’est elle qui doit
éories d’après la nature, maintenant c’est elle qui doit se plier aux théories : aussi, en lisant les premiers, nous rencontrons
terre d’imagination et de systèmes, donna naissance à une infinité de théories . L’Italie ne fut pas moins fertile, etl’école d’A
prend encore moins. EU! de grâce, que faut-il de plus que guérir? Une théorie . Voici la mienne. « Il est probable, dit Hallé,
si de découvrir les ressorts de cet agent puissant et de me faire une théorie . Si vous voulez me le permettre, j’aurai l’honneu
ions. Afin d’éviter de longs développements, je donnerai souvent ma théorie sous forme d’aphorismes. Je vous prie de porter v
demment à ceux qui ont eu l’occasion de les observer la réalité de la théorie qui vient d’être exposée succinctement, comme cet
ité de la théorie qui vient d’être exposée succinctement, comme cette théorie explique les différents systèmes de magnétisation
nière manière constituant l’acte matériel. Ce résumé succinct d’une théorie complète et générale de la science magnétique lai
e est susceptible. En analysant séparément tous les éléments de celte théorie , on y trouvera d'une manière régulière toutes les
ine. Pourquoi? parce que M. Lafontaine est entièrement ignorant de la théorie de la scieflce mesmérienne. Il attribue à la mati
des magnétiseurs habiles, et surtout par l’expérience, je connais la théorie du magnétisme curatif, tout me parait naturel, co
gratuitement pour chacune de ces séances. Cette méthode qui joint la théorie à la pratique est on ne peut plus rationnelle et
respectueux. Votre tout dévoué serviteur, J. Mermoud de Poliez. THÉORIES . LE MAGXÉTISME ANIMAL EXPLIQUÉ. Si l’on débar
de mademoiselle Prudence confirment en tout point la réalité de cette théorie . Si les choses ne se passent pas toujours ainsi,
le magnétiseur n’est pas bien maître de son sujet, ou qu’il ignore la théorie de la science qu’il exerce. Partant de ce princ
n rencontre quelquefois sans pouvoir, dit-on, les expliquer par notre théorie ; c'est comme si, après l’étude des éléments d’Euc
dévouement. Achille de Brossard. Bordeaux, le 25 novembre 1847. THÉORIES . DES ORGANES AFFECTÉS PAR LE MAGNÉTISME (1).
ouvent ils devinaient juste : il me semble d’un augure favorable à ma théorie qu’ils aient tour à tour assigné pour siège à l’â
rait pu lui supposer le plus de rapport. Quoi qu’il en soit, si celte théorie ne donne pas précisément la vérité, elle a assez
ttraits pour inviter à en chercher la ruute. Mesmer termine par une théorie des sens qui est absolument neuve el très-ingénie
95 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
la lumière de l'observation clinique. Or, la clinique montre que la théorie de sa genèse mécanique, par heurts, sécheresse
s'explique leur relation avec l'affection du trijumeau même par la théorie des vaso-moteurs. P. K. IX. SUR LES modificatio
anique, des plexus coordonnateurs les plus élevés du cerveau. Cette théorie explique d'une façon satisfai- sante la success
s l'ordre psychique, il y a perte de conscience et manie. » Cette théorie de la manie post-épiloptique par épuisement parai
tionnelle ». M. Wiglesworth s'attache ensuite à démontrer que cette théorie explique d'une manière très satisfaisante les p
Eustasio Sena GimENo. Après avoir rappelé sommairement les diverses théories de l'hystérie l'auteur, dit qu'il se range à ce
agit de la même manière que celui des gan- ,lions ovariques. Cette théorie est analogue à celle de Négrier et de Schulzenb
nalogue à celle de Négrier et de Schulzenberger. « Celte nouvelle théorie se trouve la mieux en harmonie avec les désordr
mblent définitivement acquis et un aperçu suffisant des différentes théories qui ont eu cours sur tel ou tel point de la pat
ndiquer; il est même plus spécialement consacré àl'eaposition d'une théorie de la vision à l'aide de laquelle ou peut expli
et aux différentes formes d'liémople; il les trouve conformes à sa théorie . Les ob- servations sont nombreuses et attesten
rt complexe. Ces réserves faites, nous nous hâtons d'ajouter que la théorie de M. Witbrand constitue une synthèse assez exa
e l'excitabilité musculaire. Faisant ensuite allusion à différentes théories qui existent sur la question du phénomène patel
uel rôle le système nerveux joue dans leur production. Il est une théorie d'après laquelle cette question serait facile à
rie d'après laquelle cette question serait facile à résoudre. Cette théorie est due à Zuelzer. Ce médecin a pu- blié en 187
l'acide phosphorique sans augmenter celle de l'azote. On voit si la théorie de Zuelzer est vraie, combien il est facile de sa
de sa non intervention. Malheureusement, si, comme la plupart des théories , celle de Zuelzer a quelque chose de vrai, elle
Cette augmentation n'est pas en rapport, ce qui devrait être si la théorie de Zuelzer était vraie, avec l'intensité du tra
diminuée que la première, fait que ne prévoyait pas Zuelzer dans sa théorie . 1 J1airPl.-I,o.ocilnto, passim. 2 lrl.. p. 6
sim. 2 lrl.. p. 67 et seq. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 351 La théorie de Zuelzer ne peut donc nous donner- la solu- t
délirantes forment souvent un tissu inextricable. BAJENOFF. XXVI. Théorie physiologique DE l'hallucination; par A. BINET
il, 5 p. 100 d'atrophie du nerf optique. Si maintenant on adopte la théorie unitaire de la syphilis, on doit calculer que,
-dire 63,5 p. 100 étaient syphilitiques; si l'on est partisan de la théorie dualistique, on relève la proportion de 28,5 et t
rive à la proportion de 57,6 syphilitiques SOCIÉTÉS SAVANTES. 433 théorie unitaire) et de 38,4 (théorie dualistique). Les 1
yphilitiques SOCIÉTÉS SAVANTES. 433 théorie unitaire) et de 38,4 ( théorie dualistique). Les 12 derniers cas envisagés par
96 (1892) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 05] : clinique des maladies du système nerveux
ition relative de la nutrition et finalement on doit ajouter que la théorie nerveuse de la fièvre ne doit pas être mise compl
s scolioses on trouve des partisans de l'une ou l'autre de ces deux théories qui en somme n'expliquent rien du tout. En tous
s la scoliose vulgaire, il voit une nouvelle preuve en faveur de la théorie précédente. Il ajoute que peut-être la faibless
tains muscles moteurs du rachis. Nous écarterons pour le moment les théories plus ou moins fondées qui expliquent la genèse
ralysie des muscles extenseurs directs du rachis lombaire. Voici la théorie que nous proposons. Les fléchisseurs latéraux son
ont la pathogénie reste obscure. Nous avons cité chemin faisant les théories proposées par divers auteurs pour expli- quer l
ns dans. les maladies de la moelle ou du cerveau. On a invoqué deux théories principales : 1° Théorie trophique (osseuse, ar
moelle ou du cerveau. On a invoqué deux théories principales : 1° Théorie trophique (osseuse, articulaire, ligamenteuse) ;
: 1° Théorie trophique (osseuse, articulaire, ligamenteuse) ; 2° Théorie musculaire (paralysies, contractures). Il serai
diminuant la résistance du rachis à l'action de la pesanteur. Cette théorie peut seule rendre compte des déviations semblab
ne conclusion définitive qu'indiquer la vérification pos- sible des théories par la comparaison des formes cliniques de déviat
liose des adolescents ; elle ruine complètement, sui- vant nous, la théorie musculaire pure adoptée par certains auteurs. O
n sait, des déviations très accentuées, n'est pas justiciable d'une théorie musculaire pure. Comme Bouvier, comme Kirmisson e
velles accouchées. Les résultats qu'il obtint le conduisirent à une théorie de l'arrêt de la dou- leur par le stock. Aussi
reprises, exposé les idées en général sur l'athétose double. Deux théories ont été soutenues, sans compter les nombreuses di
ue nous possédions sur ce sujet sont ceux de Scliadow (Polyclète ou Théorie des mesures de l'homme, Berlin, 1866), de Liharzi
er le calcul par une cons- truction graphique et elle repose sur la théorie des triangles semblables. Le compas est à quatr
- ductive, trop négligée en France de l'aveu de tout le monde ; les théories générales fondées sur les découvertes scientifi
ez nous la réaction commencée par Georget en 1831, en combattant la théorie antique qui ne voyait dans l'hystérie qu'une ma-
ntition chez les enfants, mais sans pour cela adhérer nettement aux théories soutenues par M. Ollivier. Peut-être, cette adh
s et l'hystérie chez les adultes ? Nous avons indiqué plus haut les théories de l'Ecole allemande pour la- quelle, les phéno
, et seraient comme les avant-coureurs de l'aliénation mentale. Ces théories , disions-nous, ont été défendues en (1) Id. Bul
ner de diverses façons avec ces maladies. Que penser dès lors de la théorie de Buzzard (5), qui soutient au contraire la si
97 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ent épargnés. ' · Ces faitspathologiques militent en faveur de la théorie de Flechsig g qui voit dans les territoires cor
inique à la SalpéLrire. [Clinique nerveuse de la Salpêtrière) Des théories imaginées pour expliquer l'exagération du tonus
r point reste à analyser, l'état du tonus muscu- laire. D'après une théorie récente, le tonus musculaire subi- rait deux in
; en sorte que l'ictus 122 RECUEIL DE FAITS. n'est d'après cette théorie qu'un choc accidentel, une sorte de traumatisme
condamne au point de vue étiologique les facteurs incriminés. La théorie de l'auteur à cet égard se résume en cet axiome :
avoir une patho- génie variée. Elle peut être purement instinctive ( théorie de la décharge) ou hystérique. Dans d'autres ca
ions mentales, méthode dont la stérilité se faisait déjà sentir. La théorie de la monomanie en tant qu'entité morbide reçut
médical. Un peu plus tard; il publiait un travail critique sur les Théories physiologiques de l'épilepsie (1862). Puis, vie
VI..P/t</s ! o)9'epa//t0t'çMe et pathogénie. Exposer toutes les théories pathogéniques émises à propos des tics serait tro
t entraîné la perforation de celles-ci. M. Joffroy (de Paris). La théorie pathogénique des tics, que vient de nous expose
i- cables confusions. Mais ce sont là des questions de mots ou de théories sur lesquelles on pourrait discuter indéfiniment.
entaux sont de nature à jeter quelques doutes sur le bien fondé des théories qui tendraient à nous représenter le tic de l'e
omuscu- laire chez les hystériques hypnotisables. M. AR.1GON. Une théorie pathogénique du doute. M. Félix IFG : 1GL'r. Le
nopathiques du délire de possession, repré- sentent une innombrable théorie d'autoaccusateurs, dont l'histoire médico-légal
et du tonus musculaire, par Chocq (de C Bruxelles.) - D'après la théorie que j'ai développée au Congrès de Limoges, chez
is que ceux qui . SOCIÉTÉS SAVANTES. 373 militent en faveur de la théorie corticale sont irréfutables et nom- breux. M.
éflexes et que, par conséquent, j'ai bien fait de ne pas adopter la théorie de van Gehuclilen, qui se trouve aujour- d'hui
. La palhogénie ne peut encore être que soupçonnée. Peut-être les théories de Lauge, de Mosso, de Sergi, de Rihot, les expér
e basant sur ces résultats, il arrive à formuler son opinion sur la théorie de la nature parasyphilitique de la paralysie gén
rasyphilitique de la paralysie géné- rale, aussi bien que du tabes, théorie qui a été préjudiciable au traitement de ces af
nne heure, la philosophie l'at- tira. Elle écrivit des pensées, des théories sur le monde et sur la vie ; mais elle brûlait
é à l'extrémité des doigts et dans la moitié interne de la main, la théorie du métamérisme de M. Brissaud parait seule capa
oches que pos- sible de la conformation cérébrale humaine. XLVII. Théories sur l'hérédité ; par Arcudall REtD. (81-it. Med.
raies on apparentes par alternances, caractères transmis ou acquis. Théories de Darvin, de Weisman et d'Adami, 50G REVUE DE
des médecins ; ils sont aussi revenus sans s'en douter à l'ancienne théorie de la possession. MM. Marie et Vigoureux signal
and rôle dans les spéculations ultérieures, le culte du génie et la théorie de la décadence. Bientôt, il publie son livre :
ons de cellules nerveuses à di- vers degrés ; l'auteur développe la théorie d'une imprégnation toxique préalable, constante
ans le traitement des organiques, par Deschamps, 388. Hérédité. Théories sur 1' , par Reid, 505. Herpès ZOSTER, suivi
98 (1894) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 07] : clinique des maladies du système nerveux
et partage les physiologistes en plusieurs camps. La plus ancienne théorie est la théorie musculaire émise par Fabrice d'A
physiologistes en plusieurs camps. La plus ancienne théorie est la théorie musculaire émise par Fabrice d'Aquapendante et
usculaires antagonistes et en particulier des extenseurs. Une autre théorie est la théorie mécanique imaginée parles frères W
gonistes et en particulier des extenseurs. Une autre théorie est la théorie mécanique imaginée parles frères Weber en 184G,
en sens opposé des ligaments distendus. Enfin il est une troisième théorie , celle de Giraud Teulon qui se rap- proche de c
té de certains groupes musculaires. Il nous semble qu'aucune de ces théories n'est vraie à l'exclusion des autres et que la
les deux il la fois. Et d'abord, il est facile de démontrer que la théorie musculaire est inad- missible dans son ensemble
une façon indiscutable et admise d'ailleurs par les partisans de la théorie mécanique pour les deux segments extrêmes de l'
qui étendent le tronc. Force est bien alors de faire intervenir la théorie mécanique pour le maintien en état d'extension
verses pièces de la colonne vertébrale se fait également suivant la théorie du levier du 1er genre. Le point d'appui est au c
tions sont de puissantes masses musculaires, et les partisans de la théorie musculaire y font appel pour le maintien de l'é
traictes du livre d'Andre Vesale ». Notons cependant au passage les théories physiologiques dont Paré orne çà et la sa descr
d'un os, les fumées ne s'en eussent pu exhaler ». Après ces belles théories il est grand besoin de reprendre terre. C'est c
dans celte position en vertu d'un mécanisme pour lequel plusieurs théories ont élé proposées (Fig. 40). La théorie muscula
me pour lequel plusieurs théories ont élé proposées (Fig. 40). La théorie musculaire qui remonte il Fabrice d'Aquapendent
r, etc. attribue il l'action des muscles le rôle prépondérant. La théorie mécanique imaginée par les frères Weber en 1846
nconlre de la pesanteur lout le mécanisme de l'équilibre. Enfin une théorie mixte émise par Giraud Teulon, se rapproche de
des exemples authentiques. Après Montgomerry, qui donna la première théorie scientifique de ces amputations, les observatio
cause des déviations dans la syringomyélie est encore obscure. Les théories proposées pour expliquer ces déviations peuvent ê
pour expliquer ces déviations peuvent être ramenées à deux (4) : 1° Théorie musculaire (paralysies, contractures) ; 2° Théo
à deux (4) : 1° Théorie musculaire (paralysies, contractures) ; 2° Théorie trophique (osseuse, articulaire, ligamenteuse). O
s doigts et des articulations du bras. Ce cas vient à l'appui de la théorie attri- buant à des lésions trophiques les dévia
99 (1845) Journal du magnétisme [Tome I]
t qu’il en détermine par là les propriétés. En conséquence de cette théorie , je démontrerai dans le système des influences co
ertain aux spécifiques et aux drogues innombrables assorties par la * théorie des humeurs, dans tous les cas on n’a que deux in
ui l’environne et qui peut-être la pénètre sans en être partie. Cette théorie admise, c’est-à-dire accordant à l’âme la faculté
variait de 50 à üO grains par jour, et allait parfois jusqu’à 150. THÉORIES . DE la source du fluide magnétique. Il est à
un des moyens les plus puissants de la thérapeutique. D’après cette théorie , mes idées sont toutes opposées à celles des magn
s jo n’ai pas 1 intention de vous exposer actuellement cette nouvelle théorie , que je me propose de faire connaître par la voie
l«r cela seul qu’on ne la leur explique pas. C’est enfin un essai de théorie , do généralisation des faits observés, et comme t
es faits, afin d en trouver la loi. Sans lois, sans principes, sans théories qui lient les faits entre eux, le magnétisme sera
ble. Séance du 29 mai.— M. Boliaulitune critique remarquable sur la théorie que M. Meade a donnée des phénomènes som-nambuliq
ublier, à l’exclusion de » Uius principes théoriques. « nais si l:i théorie est exclue de notre publication (I ) elle « n’en
je suis ; car je ne vous consulte que pour n’y plus être. Adieu. » THÉORIES . PSYCHOLOGIE MAGNÉTIQUE. Un prodige dans la n
e magnétique ne sont qu’une seule el môme chose, annonça une nouvelle théorie dont on n’a encore pu lui arracher que quelques l
isme naturel et que l’on observe si fréquemment sur les magnétisés. théories . PSYCHOLOGIE MAGNÉTIQUE. (Suilc.) § III.
ns, voyez briller aux avant-postes de l 'humanité la inajes- tueuse théorie des créations des temps modernes! la chimie décom
urs et les sages ont du à leur volonté seule de pouvoir dégager leurs théories des sphères nébuleuses de l’abstraction pour les
roche l'humanité de la perfection, qui esl sa (i 11 cl son but. Celle théorie esl un gouffre pour noire raison encore ignorante
tre, el de connaître beaucoup, et que ne satisfont point les diverses théories humaines, uuc fois qu’ils les approfondissent un
tudier qu'il faut s’attacher si l'on veut eu faire sorlir une bonne théorie . Déjà même un homme qui s’esl fait un nom dans le
l autre exemple aussi remarquable. (La suite au prochain numéro.) THÉORIES . A MONSIEUR LE BARON DU POTET. Je prends, Mon
nsuite exposé le magnétisme comme il le comprend; puis, passant de la théorie ù l'application , il a magnétisé deux personnes,
100 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
membres, exaltation des actes réflexes. — Troubles de la mixtion ; — théorie de Budge. — Modifications de la sensibilité : ret
dans les membres inférieurs, indiquerait nécessaire-ment, d'après la théorie , que, dès l'origine, les conducteurs de la sensib
ette différence, au premier abord singulière, si l'on se reporte à la théorie , fondée sur l'expérimentation, émise récemment pa
ne rencontrent plus d'obstacles. Je n'ignore pas, Messieurs, que la théorie de M. Budge n'est pas, tant s'en faut, encore cla
randes cellules nerveuses dites motrices? C'est ainsi que, suivant la théorie émise par M. Vulpian, théorie à laquelle j'adhère
s motrices? C'est ainsi que, suivant la théorie émise par M. Vulpian, théorie à laquelle j'adhère complète-ment, les scléroses
nez aisément, Messieurs, que rien dans tout cela ne vient infirmer la théorie d'après laquelle f appareil des cellules nerveuse
e-ment répandue. Je crois donc pouvoir, d'après cela, m'en tenir à la théorie que j'ai proposée dans le temps, relativement à l
emaine 1 ; et enfin, l'atrophie des muscles rapidement développée. La théorie in-dique qu'ils dépendent de l'altération des cor
ge récent (Ueùer progressive Muskelatrophies Berlin, 1873), contre la théorie nerveuse de l'amyotrophie progressive (Obs. I, II
ntérieure à laquelle il convient en pareille circonstance, suivant la théorie que j'ai exposée, de rapporter les altérations tr
légère irritation de la peau (réflexe cutané). Pour ce qui est de la théorie de M. Westphal, elle semble infirmée par des expé
on sait de plus positif relativement à Yanatomie pathologique et à la théorie . En ce qui concerne celle-ci, des expériences de
n des convulsions et de la céphalalgie aussi exactement conforme à la théorie . Vous avez vu, en effet, dans notre première ob-s
de localisation de celle-ci à la surface des hémisphères. Suivant la théorie fondée sur des travaux ré-cents, les plaques gomm
incipal des convulsions. Si ce n'est pas là, à proprement parler, une théorie régulière, c'est tout au moins une manière ingéni
encore, à l'heure qu'il est, qu'à titre d'en-semble symptomatique. La théorie pathogénique doit être réservée : sans doute les
es membres, exaltation des actes réflexes. —Troubles de la miction; — théorie de Budge. — Modification de la sensibilité: re-ta
419. Hémianesthésie de cause cérébrale, 360, 366, 3î 1. — Croisée, théorie , 137. — Hystérique, 136, 361. Hémichorée post-h
t, 413. Vessie (Contracture du col de la), 127. — Paralysie, 127. — Théorie de Budge, relative à l'action du sys-tème nerveux
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