s, le degré de tension du système artériel, et les oscillations de la
température
centrale, dans les cas où l'état local ne fournit
ppliqué cet instrument aux recherches de ce genre , on croyait que la
température
du vieillard était moins élevée que celle de l'ad
s reste à peu près la même à tous les âges. On a même prétendu que la
température
générale s'élevait vers la fin delà vie(4). Mes p
2. jouit d'une santé excellente ; elle présente dans l'aisselle une
température
de 37 degrés 2/5 ; dans le rectum, nous trouvons
dans le rectum, nous trouvons 38 degrés, ce qui est le maximum de la
température
normale chez l'adulte. Ainsi, messieurs, si la vi
hermométrie clinique. — Du frisson chez les vieil-lards. — Courbes de
température
de la pneumonie lobairc. — Déductions pratiques q
ences, crises, perturbations critiques. — Maladies dans lesquelles la
température
s'abaisse au lieu de s'élever. Messieurs, Dan
n du pouls et la sécheresse de la peau, sans que l'augmentation de la
température
soit bien sensible. Il fait ob-server ensuite que
t-on dire, d'un autre côté, qu'il y ait fièvre toutes les fois que la
température
s'é-lève ? C'est là un point sur lequel il n'est
du thermomètre à l'application de la main, dans l'appréciation de la
température
du corps. On lui doit aussi la constatation d'un
ar suite de la contraction des vaisseaux capillaires superficiels, la
température
du sang s'élève de plusieurs de-grés au-dessus du
mation radicale. Il ne s'agissait plus, en effet, de constater que la
température
s'élève de plusieurs degrés dans la-fièvre, ni d'
ations sommaires sur les modifications que subit dans 1 âge sénile la
température
pendant fétat fébrile aux différentes phases de s
'inten-sité de cette réaction (1): mais dans le rectum, il existe une
température
de 40 à 41 degrés, ainsi que j'ai eu maintes fois
l'occasion de le constater moi-même. Cette brusque élévation de la
température
, au début des maladies, correspond assez exacteme
rare, d'ailleurs, dans les affections de ce dernier type, de voir la
température
s'élever au même degré que dans la pneumonie loba
amendement momentané succède habituellement au frissson initial : la
température
s'abaisse quelquefois de plus d'un degré, et le m
favorable. Les chiffres que nous venons d'indiquer correspondent à la
température
observée le soir, car la fièvre, dans la pneumoni
ge. Si vous songez en môme temps que dans cette dernière affection la
température
s'élève lentement, par degrés successifs, et n'at
ues exemples de ce tions de degré, quelquefois d'un degré, entre la
température
de l'aisselle et celle du rectum. genre, dont p
de 75 ans. Guérison. (Ghargot.) La juxtaposition de ces courbes de
température
vous per-met en même temps de comparer les tracés
stinés à mettre en relief l'influence exercée sur les oscillations de
température
par les agents thérapeuti-ques. Dans le premier d
fois que l'administration du médicament est suspendue, vous voyez la
température
s'élever de nouveau. Fig. 6. — Pneumonie lobair
120 grammes. Pendant la pre-mière période de la maladie vous voyez la
température
s'a-baisser lentement, mais d'une manière progres
, traitement par le rhum. Guérison. (Ghargot.) La persistance d'une
température
élevée, sans oscillations diurnes bien marquées,
t en Allemagne, pendant la défervescence. Tantôt l'abais-sement de la
température
qui signale le retour à l'état nor-mal s'accompli
e douze, vingt-quatre, trente-six ou quarante-huit heures, on voit la
température
baisser de un à deux degrés et même plus. C'est a
pide du mouvement fébrile est précédée d'une brus-que élévation de la
température
qui s'accompagne d'une exaspération plus ou moins
de perturbation critique. Notons enfin que dans la défervescence, la
température
descend parfois au-dessous du taux normal, s'y ma
s n'avons vu que rarement, chez les vieillards, cet abaissement de la
température
au-dessous du taux normal s'accompagner des sym
juger la maladie ; on les voit se produire soit au moment même où la
température
s'abaisse, soit un peu plus tard; ce dernier cas
t par la guérison ; quand la maladie doit avoir une issue funeste, la
température
, qui jusque-là s'était main-tenue dans les limite
tre exceptionnel dans l'âge moyen de la vie : au lieu de s'élever, la
température
s'abaisse progressivement pendant un jour ou deux
ques de deux cas de pneumonie terminés par la mort, avec élévation de
température
, et d'un cas terminé par la guérison. Le quatrièm
neumonie lobaire, chez une femme de 83 ans. Mort avec élévation de la
température
. (Gharcot.) Messieurs, je crois vous avoir mont
neumonie lobaire, chez une femme de 69 ans. Mort avec élévation de la
température
. (Ghargot.) Fig. 10. —Pneumonie lobaire, chez u
llaire de ceux que donne l'exploration rectale. Sous le rapport de la
température
, l'aisselle répond à la surface du corps, le rect
e dire qu'elles coïncident ; chez le vieillard, celle qui répond à la
température
de l'aisselle reste un peu inférieure à celle du
ce sont souvent les plus graves, où il se produit un grand écart. La
température
extérieure s'abaisse, tandis que celle des partie
ssance au phéno-mène inverse, en provoquant un abaissement réel de la
température
des parties centrales. Sans parler du choléra (1)
de choléra qui a sévi à Paris, j'ai eu l'occasion de constater que la
température
des parties centrales se maintient au degré norma
gu. Arthropathies multiples. — Douleur. — Tuméfaction. — Rougeur. —
Température
. — Durée. — Mobilité de l'affection. État génér
oint d'ecchymoses ; d'ailleurs les veines sont moins saillantes. 4°
Température
. — Il existe quelquefois, d'après MM. Bouil-laud
tion fébrile, marquée par une élévation plus ou moins prononcée de la
température
générale, ne manque jamais complètement dans le c
he de la maladie ; cependant on observe le plus souvent le minimum de
température
pendant le jour, et le maximum pendant la nuit (2
ement et progressive-ment, sauf dans quelques cas exceptionnels où la
température
1. Aitken. — Science and practice of medicine,
lleurs, on ne trouve que des différences. Ainsi, dans la goutte, la
température
est moins élevée (au-tant que nous pouvons l'affi
sme articu-laire aigu ou subaigu ; il y a une élévation marquée de la
température
, une accélération évidente du pouls, et dessueurs
es hépatiques et néphrétiques. Emploi méthodique du thermométrie. —
Température
normale des vieil-lards. — Thermométrie axillaire
et thermométrie rectale, chez les vieillards. — Désaccord entre la
température
centrale et la température extérieure. — Avantage
hez les vieillards. — Désaccord entre la température centrale et la
température
extérieure. — Avantages de la thermométrie rectal
mpérature extérieure. — Avantages de la thermométrie rectale. De la
température
du corps chez les vieillards, dans l'état patholo
les vieillards, dans l'état pathologique. — Limites extrêmes de la
température
centrale au-dessus et au-dessous du chiffre norma
température centrale au-dessus et au-dessous du chiffre normal. — Des
températures
fébriles, basses, moyennes, élevées chez le vieil
ébriles, basses, moyennes, élevées chez le vieillard. — Du danger des
températures
élevées pendant plusieurs jours. — Raisons du dan
températures élevées pendant plusieurs jours. — Raisons du danger des
températures
élevées. — Expériences phy-siologiques. — Combust
sang. — Médication antipyrétique. — Dangers de l'abaissement de la
température
. Messieurs, Le but des conférences instituées
comme chez l'adulte, la fièvre, qu tout au moins l'élévation de la
température
du corps existe chez les vieillards et elle y acq
issance au phé-nomène inverse en provoquant un abaissement réel de la
température
. Or, cette algidité centrale ne peut être sûre-me
chose remarquable, malgré ces circonstances évidemment favorables, la
température
n'éprouve, par les progrès de l'âge, aucune modif
d'après les recherches très nombreuses que j'ai faites à ce sujet, la
température
normale du vieillard, jusqu'aux extrêmes limites
e excellente santé; elle offrait habituellement, dans l'aisselle, une
température
de 37° et 38 au rectum. Je n'ai pas souvent retro
37° et 38 au rectum. Je n'ai pas souvent retrouvé, depuis lors, cette
température
de 38° comme représentant l'état normal, môme che
rvenus aux dernières limites de l'âge sé-nile. Ainsi, en résumé, la
température
centrale est la même chez les vieillards que chez
thologique. Comment comprendre que chez les vieillards on trouve la
température
normale au moins aussi élevée que chez l'adulte a
. Messieurs, il est facile de constater, et chacun reconnaît que la
température
prise dans l'aisselle est toujours inférieure à c
accusée par l'exploration rectale; l'aisselle, au point de vue de la
température
, se rapproche de la surface du corps; le rectum r
scères intérieurs. A la vérité, chez l'adulte, la différence entre la
température
de ces deux localités, outre qu'elle est, en géné
les circonstances les plus variées. Ainsi, chez les vieillards, la
température
centrale présente seule de la fixité, la températ
s vieillards, la température centrale présente seule de la fixité, la
température
axillaire offre au contraire, comme celle du tégu
e, que se révèle dans tout son jour le désac-cord qui existe entre la
température
centrale et la tempé-rature extérieure, dans l'âg
hez une femme âgée de soixante-cinq ans; vous voyez que la courbe des
températures
rectales et celle des températures axillaires, bi
ans; vous voyez que la courbe des températures rectales et celle des
températures
axillaires, bien qu'à peu près parallèles, d'une
, le cinquième jour de la maladie, le matin, dans le temps même où la
température
de l'aisselle marquait 37 degrés seu-lement, cell
ue toujours à aplanir les dificultes survenant de ce côté. C. De la
température
du corps chez les vieillards, dans l'état patholo
z les vieillards, dans l'état pathologique, a. Limites extrêmes de la
température
centrale au-dessus et au-dessous du taux normal.
ettez-moi d'énoncer quelques-uns de ces faits princi-paux. Io Si la
température
centrale, à un moment quelconque d'une maladie et
lui, la situation est déjà des plus critiques. Si l'élévation de la
température
centrale au-dessus d'un certain point annonce par
le voyez, Messieurs, il existe des limites à peu près fixes que la la
température
semble ne pas pouvoir dépasser sans que l'existen
ans que l'existence du malade ne soit très fortement compro-mise. Les
températures
qui franchissent ces deux limites sont rares, exc
'une manière générale que, chez le vieillard comme chez l'adulte, une
température
qui s'élève peu au-dessus de 38 degrés, répond à
grés, elle estintense; au-dessus de 40 degrés, elle est très intense (
température
hyperpyr étique). Ces données, comme les précéd
en aux vieillards qu'aux adultes ; car sous le rapport du taux que la
température
peut atteindre dans l'état fébrile , ceux-là peuv
arquiez, — dans cette assimilation que j'établis, au point de vue des
températures
fébriles, entre l'adulte et le vieillard, j'enten
au contraire d'un individu préalablement débilité. c. Du danger des
températures
élevées soutenues pendant plusieurs jours chez le
ours chez les vieillards. — Voici maintenant un troisième point : une
température
hyperpyrétique, 45°, 5, peut se montrer, sans que
te, par exemple, ou dans la pneumonie abortive (1). Mais si de telles
températures
se maintiennent pendant une série de plusieurs jo
là que chez les vieillards, toutes les pneumonies dans lesquelles la
température
se maintient à un taux relativement peu élevé son
le savez déjà, beaucoup, la plupart peut-être des pneumonies de basse
température
comme nous avons coutume de les ap-peler, sont re
revenir plusieurs fois dans la suite. IL La raison du danger des
températures
élevées, dans la fièvre. — Vous avez reconnu l'im
esquelles il ne reste plus d'espoir de sauver le malade ? Pourquoi la
température
, s'élevant à un taux fort en deçà de ces limites,
fondamentaux et essentiels, les autres accessoires : élévation de la
température
, accélération du pouls, troubles nerveux, est le
tion d'un poison morbide ou de toute autre cause. L'élévation de la
température
centrale est un des résultats sensibles des actes
l'état fébrile, même le plus intense. Reste donc l'élévation de la
température
. Serait-ce que les organes, les tissus soumis pen
-ce que les organes, les tissus soumis pendant un certain temps à ces
températures
extrêmes, que nous signalions à votre attention,
fonc-tionnement impossible ? Dans cette hypothèse, l'élévation de la
température
, dans la fièvre, ne serait pas seulement un résul
e savez, chez l'homme comme chez l'animal, élever artificiellement la
température
centrale, et produire par conséquent, un état au
nalogue à l'état fébrile. Les troubles cpii se produisent, lorsque la
température
du corps s'est ainsi élevée à un certain niveau a
insi, M. Richardson a supporté récemment, dans un bain d'air sec, une
température
de deux cent douze degrés Fahrenheit (envi-ron 10
est possible qu'à la condition expresse que, pendant l'expérience, la
température
centrale ne s'élève pas au-dessus d'un certain ni
nte-quatre degrés, ou bien d'une atmosphère humide, alors même que la
température
ne s'élève pas au-dessus de 40 à 45 degrés, elles
5 degrés, elles sont extrêmement périlleuses ; car, alors, on a vu la
température
du corps s'élever à 39, 40, 41 degrés mémo, dan
littéralement foudroyés, et l'on rapporte des cas de ce genre, où la
température
centrale, au moment de la mort, se serait élevée
mal. Or, Messieurs, toujours la morta lieu, en pareil cas, lorsque la
température
centrale a dépassé de 4 ou 5 degrés le taux norma
s'agit des animaux soumis à l'ex-périence, l'élévation extrême de la
température
centrale a été le grand agent de la terminaison f
'homme, et où la mort, précédée par une élé-vation considérable de la
température
, est survenue rapide-ment, le sang a été trouvé t
les-quels la mort survient, à la suite d'une élévation extrême de la
température
centrale. Pour ceux où la chaleur fébrile se tien
tains faits tendant à faire admettre qu'ici encore, l'élévation de la
température
peut, par elle- mémo, produire des accidents gr
es affections fébriles, quelle qu'en soif d'ailleurs la nature, où la
température
se maintient pendant un certain temps, d'une mani
mes de faiblesse cardiaque, d'asystolie. Est-ce à la permanence d'une
température
élevée qu'il convient de rapporter ces altération
e ? on pourrait être tenté de l'admettre d'après le mode d'action des
températures
extrêmes sur le tissu du cœur. D'ailleurs, on s
, est, jusqu'à un certain point, proportionnelle à l'éléva-tion de la
température
. Mais voici un argument, en quelque sorte plus
e plus ou moins accen-tuée et pendant un temps plus ou moins long, la
température
centrale, et même au plus fort de l'état fébrile.
ypothèse très vraisemblable, cette conclu-sion que l'exaltation de la
température
centrale constitue, par elle-même, dans la fièvre
ais laissons, pour un instant, de côté la fièvre et l'élévation de la
température
, considérons un moment l'écart thermomé-trique en
nverse ; recherchons en d'autres termes, pour-quoi Xabaissement de la
température
au-dessous du taux nor-mal, jusqu'à un certain ni
mal soit soumis, dans de certaines conditions, à l'action d'une basse
température
, à l'inanition complète, à l'intoxication détermi
comme dans les expérien-ces de Fourcault et d'Edenhuizen, toujours la
température
centrale s'abaisse, et en même temps les mouvemen
phy-siol. Heilk., 1858, p. 433). Si l'expérience est poussée loin, la
température
s'abaisse à un certain niveau, au-delà duquel la
uffit pas d'avoir reconnu que, dans la vieillesse l'exal-tation de la
température
centrale ou son abaissement jus-qu'à un certain n
la vie ; il nous faut établir actuellement que les oscillations de la
température
, consignées avec grand soin, jourpar jour, heure
onstance même qu'est fondé ce diagnostic des maladies fébriles par la
température
, sur lequel M. le professeur Sée appelait récemme
es à type intermittent. De l'élévation rapide et considérable de la
température
centrale qui sur-vient, à l'époque de la terminai
Hémorragie et ramolissement du cerveau. — Abaisse-ment initial de la
température
. — Elévation consécutive. — Théorie phy-siologiqu
s malades présentaient ordinairement un remarquable abaissement de la
température
centrale, une algidité vraie, état bien digne de
une ascension brusque de la ligne thermique. Du jour au lendemain, la
température
s'élèvera jusqu'à 40 degrés par exemple. Ce ca-ra
a une ascension lente et progressive. b) Dans la période d'étal, la
température
parvenue à un certain niveau reste à peu près sta
ul trait rappelant ainsi, en sens inverse, les brusques variations de
température
qui ont marqué le début. Dans cet abaissement rap
t. Dans cet abaissement rapide, on voit assez souvent se produire des
températures
subnormales, s'accompagnant des symptômes dits de
re à l'ancien mode d'observation, puisque rabaissement terminal de la
température
précède l'apparition des phéno-mènes critiques. R
inaison doit être fatale, on observe parfois une brusque élévation de
température
, que nous avons vu aller en augmentant même après
t dans la défervescence. Dans cette défervescence de mauvais aloi, la
température
ne descend pas, en général, aussi bas que dans la
s prochaines (1). II. De l'élévation rapide et considérable de la
température
centrale QUI SURVIENT a l'éPOQUE de la terminai
r survenir brus-quement, à un moment donné, une élévation énorme delà
température
centrale. Permettez-moi de m'arrêter quelques ins
nomènes qui accompagnent habituellement l'élévation en question de la
température
centrale. Celle-ci atteint prompte-ment 41, 42 de
me ordinaire de la fièvre pour expli-quer la production de ces hautes
températures
. Wunderlich dit d'une manière un peu vague d'aill
te essentielle qui offrent le type de ces élévations terminales de la
température
. Ces deux maladies s'accompagnent de convulsion
énéral à la suite d'accès répétés qu'a lieu l'éléva-tion fatale de la
température
; mais néanmoins on ne peut in-voquer comme cause
enses ne produisent qu'une élévation relativement peu prononcée de la
température
. (A. Monti, Bcitrage, zur termometrie des Tetanii
rés. 1. Tout récemment, dans un cas de tétanos avec élévation de la
température
centrale, observé chez l'homme et terminé par la
la mort, et dans lesquels on a constaté cette élévation fi-nale delà
température
. Un fait général, c'est que dans aucun des cas do
ble de rendre compte des accidents terminaux et de l'élé-vation de la
température
. Vous savez que dans la paralysie générale des
en pareil cas, on observe une élévation rapide et très accusée de la
température
centrale. Or, quelque attention qu'on ap-porte à
accès plus intense que d'habitude elle est amenée à l'infirmerie. La
température
rectale est de 38 degrés le jour de son en-trée.
forment ra-pidement aux fesses et la malade meurt le sixième jour. La
température
centrale a augmenté chaque jour pour arriver à 42
longé, suivi d'un état apoplectiforme ; deux heures après le début la
température
était de 38°, 8; cinq 1. L'observation de cette
it à 40 degrés. Le lendemain, malgré la cessation des convulsions, la
température
était de 41 degrés et le surlendemain, jour de la
uit par une luxation des cin-quième et sixième vertèbres, observa une
température
de 43°, 7, on a publié (tout récemment encore Fis
e l'avait conduit à cette conclusion importante que l'élévation de la
température
suppose une grave lésion médullaire, tandis que s
ure du crâne, sans plaie extérieure, la mort survenir rapidement : la
température
centrale s'était élevée à 40°, 9. Nous retrouvo
s ces cas, comme dans les précédents, par une brusque élévation de la
température
, pouvant atteindre jusqu'à 40 et 41 degrés. L'obs
métrique contribue ici à établir le pro-nostic, car dans la règle, la
température
ne dépasse pas ou ne dépasse que peu le niveau no
lication phlegmasique ; de telle sorte qu'une élévation brusque de la
température
est, en pareil cas, un indice du plus fâcheux aug
cas d'hé-miplégie de date ancienne. Dans le dernier cas, en effet, la
température
s'élève toujours plus ou moins dès les premières
ion récente, il y a au début un abaissement à peu près constant de la
température
au-dessous du taux normal (Fig. 26). Fi/. 26. —
rature au-dessous du taux normal (Fig. 26). Fi/. 26. — Courbe de la
température
du rectum dans un cas d'hémorragie cérébelleuse t
ent, il se manifestera une brus-que et parfois énorme élévation de la
température
. Mais où siègent ces centres modérateurs ou rég
e la protubérance et de la moelle allongée, presque aussitôt après la
température
centrale s'élève brusquement et atteint, au bout
étrie dans la clinique des vieillards Sommaire. — Abaissement do la
température
centrale dans certaines affections des vieillards
émie avec algidité centrale. Action de la bile. — Abaissement de la
température
dans certaines affec-tions du cœur (rupture du cœ
fections le phénomène-inverse, c'est-à-dire un abaissement réel de la
température
des parties centrales. C'est sur ce point que je
ssairement pendant toute la durée de leur cours un abais-sement de la
température
au-dessous du chiffre normal (1) ; de telle sorte
t aussi aux renseignements fournis par la ther-mométrie axillaire, la
température
centrale ne varie pas en général. C'est là un fai
us avons publié plusieurs mémoires qui montrent que, dans Yurémie, la
température
centrale présente un abaissement régulier de la t
rémie, la température centrale présente un abaissement régulier de la
température
. Voir aussi un exemple d'hypo-thermie par suite d
daison. {Progrès mêd., 1887, t. VI, p. 214.). (13.). 2. Note sur la
température
du rectum dans le choléra asiatique. (Compte rend
es Œuvres complètes de M. Gharcot. (B.) nier auteur, quatre fois la
température
du rectum est descen-due à 35°, une fois seulemen
a dans lesquels on observe,à des degrés divers, ce désaccord entre la
température
des parties extérieures et celles des parties pro
leur des parties externes ne va pas jusqu'à dépasser le cbiffre de la
température
centrale, si ce n'est peut-être dans un cas, celu
conclu de ses expériences qu'une partie enflammée est un foyer où la
température
peut s'élever de quelques dixièmes de degré au-de
mpérature peut s'élever de quelques dixièmes de degré au-dessus de la
température
centrale. Les expériences récentes de Weber sont
ts fébriles, dans la pneumonie par exemple, toujours le chiffre de la
température
des parties hypérémiées reste au-dessous du chiff
En dehors de ces circonstances, dans les formes les plus diverses, la
température
reste au taux normal, ou môme il y a une légère é
te l'anémie profonde, le diabète et la phthisie dans certains cas. La
température
peut rester abaissée, pendant une période de temp
as, par moments, et surtout vers le soir une élévation relative de la
température
de 1 degré ou plus, la-quelle se traduit parfois
le poids du corps diminue progressivement et rapide-ment, bien que la
température
continue à s'abaisser jusqu'à la mort (Zehrfieber
r suite de l'inanition qu'un abais-sement plus ou moins durable de la
température
a été ob-servé (Wolff) assez fréquemment dans la
rté deux faits d'aliénation, dans lesquels on a observé au rectum les
températures
presque incroyables de 31, 32, 32°, S, persista
, ont pour effet d'amener une dépression plus ou moins profonde de la
température
centrale. C'est surtout lorsqu'ils sont pris à de
elles déterminent pour la plupart un abaissement consi-dérable de la
température
qui, peut-être, contribue pour une 1. Allgemein
208.) — L. G. Gell and Sidney Ringer. The Influence of Quinine on tke
Température
of human Body in Health (The Lancet, 31 octobre 1
si nombre de médica-ments et de poisons ont le pouvoir d'abaisser la
température
centrale, un nombre très limité d'agents, au cont
Voisin et Liouville, produit un véritable état fébrile dans lequel la
température
centrale peut s'élever jusqu'à 40 degrés. Nous
ver jusqu'à 40 degrés. Nous placerons ici l'étude des variations de
température
produites par l'action sur l'organisme des poison
ang, dans l'expérimentation physiologique, ont pour effet d'élever la
température
centrale, et de produire un véritable état fébril
nous avons commu-niqués à la, Société de biologie : Abaissement delà
température
centrale par froid extérieur (1871, p. 1) ; t
e qui, chez un individu sain, après avoir eu pour effet d'abaisser la
température
pendant un court espace de temps,, ne produisent
a plusieurs fois déterminé une diminution très nota-ble du taux de la
température
, suivie ordinairement peu après d'un état fébrile
re qui, injectés isolément dans le sang, ont pour effet d'abaisser la
température
du corps. Telles sont, d'après les expériences co
rs, et, si surtout la gangrène revêt la forme humide, on peut voir la
température
centrale s'abaisser progressivement jus-qu'à 35,
our déter-miner si rapidement un abaissement aussi considérable de la
température
centrale ? On suppose qu'elles ont pour effet de
té, elle détermine à la fois un arrêt du cœur et un abaissement de la
température
centrale (Leyden, Rôhrig). L'expérimentation a mê
ux cas. d'ailleurs, le ralentissement du pouls et l'abaissement de la
température
centrale peuvent s'observer. Rôhrig [Archiv dcr
e des acides biliaires dans le sang pourra produire un abaissement de
température
. Mais Van Dusch et Kuhne (Virch. Arch.,Xl\) ont d
viens de vous dire relativement au méca-nisme de l'abaissement de la
température
sous l'influence de l'introduction des matières s
loration rutilante du sang artériel. Or, dans les cas de ce genre, la
température
centrale s'abaisse, et elle s'abaisse même d'une
les affections du cœur lui-même s'accompagnant d'une diminution de la
température
centrale, je puis vous citer comme exemple un fai
faibles, fréquents, irréguliers, le pouls presque insen-sible, et la
température
rectale était de 36 degrés. Vous n'ignorez pas
idité extérieure. Nous avons vu plusieurs fois, pendant ces accès, la
température
centrale s'abaisser à 3o, 36 degrés, et l'accès p
tudes (1), on observe aussi quelquefois un abaissement nota-ble de la
température
centrale, il en est de même dans la péritonite. L
tendue d'une grande membrane séreuse, déterminer un abaissement de la
température
centrale. Rien n'est plus réel cependant. Ainsi,
rminent ainsi en général, du moins momentanément, l'abaissement de la
température
centrale. A la vérité, ce n'est pas là un résulta
au-tres fois, elle fait place bientôt à une élévation excessive de la
température
. Quoi qu'il en soit, on ne s'étonnera plus de v
lipothymique plus ou moins durable, avec abaissement permanent de la
température
(1). C'est sans doute par un procédé analogue q
ous ont appris, qu'en pareil cas, il se produit un abaisse-ment de la
température
centrale (2). A la suite de certaines lésions t
g-rouge dans les veines. En même temps, il y avait abaisse-ment de la
température
centrale. Le même mécanisme peut être invoqué pou
i, d'après mes observations, s'accompagne d'un abaissement réel de la
température
des parties profondes. 1. Voyez : Brown-Séquard
Mais le syndrome collapsus peut se produire aussi dans des cas où la
température
centrale reste normale, ou même s'élève au-des-su
tion de cet appareil de symptômes si alarmants ? Ici r examen de la
température
centrale va nous fournir des indications précieus
temps môme où les phénomènes extérieurs a algidité se produisent, la
température
centrale se maintient à un taux élevé, ou môme
en môme temps que les symptômes du col lapsus se sont manifestées, la
température
centrale s'est abaissée notablement ou est descen
mes ordi-naires d'une défervescence de bon aloi, en même temps que la
température
centrale s'abaisse, les mouvements de la respirat
nt, telle qu'un délire intense parexemple (1). Si, au contraire, la
température
centrale s'abaissant, la fré-quence du pouls et d
nes pâles, peu abondantes, renfermaient une proportion d'albumine. La
température
rectale a oscillé entre 38 et 38°, 4; jamais elle
froides, cyanosées, la prostration des forces portée à l'extrême, la
température
du rectum oscillait entre 36 et 37 degrés. Je s
uent la recrudescence de leurs douleurs au froid et aux variations de
température
; il en est quelques-unes enfin, qui prétendent s
rémités froides; les parties centrales présen-tent, au contraire, une
température
très élevée ; pouls faible, â 100 pulsations envi
rés, succomber dans un état typhoïde avec une élévation notable de la
température
centrale. — Dans un autre cas, bien que les mouve
thermométrie clinique. — Du frisson chez les vieillards. — Courbes de
température
dans la pneumonie lobaire. -Déductions pratiques
ences, crises, perturbations critiques. — Maladies dans lesquelles la
température
s'a-baisse au lieu de s'élever...................
igu. Arthropathies mul-tiples. — Douleur. — Tuméfaction. — Rougeur. —
Température
. — Durée. — Mobilité de l'affection. Etat génér
ues hépatiques et néphrétiques. Emploi méthodique du thermomètre. —
Température
normale des vieillards. — Thermométrie axillaire
ire et thermométrie rectale, chez les vieillards.— Désaccord entre la
température
centrale et la température extérieure. — Avantage
, chez les vieillards.— Désaccord entre la température centrale et la
température
extérieure. — Avantages de la thermométrie rectal
mpérature extérieure. — Avantages de la thermométrie rectale. De la
température
du corps chez les vieillards, dans l'état patholo
z les vieillards, dans l'état patholo-gique. — Limites extrêmes de la
température
centrale au-dessus et au-dessous du chiffre norma
température centrale au-dessus et au-dessous du chiffre normal. — Des
températures
fébriles, basses, moyennes, élevées chez le vieil
ébriles, basses, moyennes, élevées chez le vieillard. — Du danger des
températures
élevées pendant plusieurs jours. — Raisons du dan
températures élevées pendant plusieurs jours. — Raisons du danger des
températures
élevées. — Expériences physiologiques. — Combusti
du sang. — Médication antipyrétique. — Dangers de l'abaissement de la
température
.............. . ............293 DEUXIÈME LEÇON
es à type intermittent. De l'élévation rapide et considérable de la
température
centrale qui survient, à l'époque de la terminais
émorrhagieet ramollissement du cerveau. — Abaissement initial de la
température
. — Elévation con-sécutive. — Théorie physiologiqu
la thermométrie dans la clinique des vieillards. Abaissement de la
température
centrale dans certaines affections des vieillards
icé-mie avec algidité centrale. Action delà bile.—Abaissement de la
température
dans certaines affec-tions du cœur (rupture du cœ
— rhumatismales 156, 196, 197; — douleur, tuméfaction, rougeur, 197;
température
, 197 ; — durée, 197 ; — du rhumatisme noueux, 233
traumatiques de la moelle, 343; — dans la pneumonie lobaire, 343 ; —
température
dans le —, 344 ; — dans les maladies pestilentiel
rvations, 220; — algidité dans 1' — ,211; ulcéreuse 214. Epilepsie (
Température
dans 1' —), 324. Erysipèle dans la goutte, 112.
tent. 319. Fièvre 'chez le vieillard, 24, 246; — augmentation de la
température
, 25; — fréquence du pouls, 25; — rhu-matismale, 1
cérébrale dans la goutte, 99. Hérédité de la goutte, 391. Hystérie:
température
dans V— 323. î Ictère grave, dans le rhumatis
onie lobaire, 19 ; — tempéra-ture dans la —, 27 ; — persistance d'une
température
élevée, 37 ; — mort dans la defervescence, 38; —
e aiguë, dans le rhumatisme, 185. Syphilis, dans la goutte, 113 T
Température
, élévation dans la fièvre 25; — dans le tétanos,
mble conservée ; il en est de même de la sensibilité au contact, à la
température
et au chatouil-lement. La sensibilité à la douleu
due de la cuisse gauche. — Tétanos onze jours après le traumatisme. —
Température
. — Injections hypodermiques, répé-tées, de chlora
PLAIE DU GENOU AVEC FRACTURE DU CONDYLE EXTERNE; TÉTANOS; CHLORAL;
TEMPÉRATURE
.— APPAREILS PLÂTRÉS. par e. dupuy, interne prov
er exactement l'appareil plaire sur les parties molles. — Pouls, 84 ;
température
axillaire, 57°,4. —Pansement simple; potion avec
e ; pas de sueurs. Potion avec chloral, 4 grammes. P.92; T.Ax. 37°,8;
température
rectale, 38°,2. 27 nov. Le trismus et la roideu
. Si nous jetons les yeux sur le tracé thermométrique, nous voyons la
température
, qui est normale au début, monter rapidement et a
égulièrement : elle est, en moyenne, de de degré. Le sixième jour, la
température
commence à baisser, et, le septième, au mo-ment d
s phénomènes tétaniques : abais-sement brusque; Troisième phase. La
température
remonte jusqu'au moment de la mort. Comme on le
stantes. En tout cas, rien ne prouve que cette élévation énorme de la
température
soit due aux contractions musculaires, ainsi que
le à l'exploration et aux traitements les plus divers. NOTES SUR LA
TEMPÉRATURE
DANS LE TÉTANOS par bourneville La Planche V
avant le début des phénomènes tétaniques, on a, en quelque sorte, la
température
initiale du tétanos (+ 37°,8). Cette températur
quelque sorte, la température initiale du tétanos (+ 37°,8). Cette
température
, qui coïncidait avec l'apparition du trismus, éta
vérifier le chiffre donné par l'exploration axillaire, en prenant la
température
rectale, laquelle étant à 58°, ne s'écartait pas
e s'écartait pas de la différence que l'on note d'ordinaire entre les
températures
axillaire et rectale. La mort est survenue avec
e et rectale. La mort est survenue avec rapidité (32 heures), et la
température
, bien qu'elle ait offert une élévation progressiv
. Après être restée pendant deux jours et demi entre 38° et 59°, la
température
, au moment d'un frisson, il est vrai, atteignit 4
descendit à 37°,8s. Malgré le soin que nous avions mis à prendre ces
températures
, nous avons cru pendant quelque temps à une erreu
euf jours plus tard, on vit débuter le tétanos. Durant deux jours, la
température
oscilla entre 39° et 39",6. Le troisième jour, si
a entre 39° et 39",6. Le troisième jour, six heures avant la mort, la
température
tomba à 38°,4. Dans ces trois cas, le tétanos a
ultats à ceux que Wunderlich a obtenus chez plusieurs tétaniques. Les
températures
les plus hautes mentionnées par ce savant médecin
harcot, à la suite d'accès répétés qu'a lieu l'élévation finale de la
température
; mais néanmoins on ne peut invoquer, comme cause
u tétanos. 1867. 3 Voici l'explication de signes de la figure 2 : —
température
deux jours après le début; O température au momen
de signes de la figure 2 : — température deux jours après le début; O
température
au moment d'un frisson; ± température six heures
re deux jours après le début; O température au moment d'un frisson; ±
température
six heures avant la mort. 4 Voy. Revuephot, des
enses ne produisent qu'une élévation relativement peu prononcée de la
température
. (A. Monti, Beitrâge zur Thermometrie des Tetanus
compliquer ou remplacer les convulsions. Dans la première catégorie,
température
peu élevée; dans la seconde, température pouvant
Dans la première catégorie, température peu élevée; dans la seconde,
température
pouvant atteindre un chiffre beaucoup plus consid
même temps, sueur profuse et éruption miliaire confluente. Au début,
température
presque normale (37°,4 à 38°,5) et exagération à
nture et à 2 grammes d'extrait. — Durant la diminution des symptômes,
température
normale (57°,2 à 37°,5) et ralentissement du poul
exes, spontanées et multiples; éruption miliaire et sueur abondante ;
température
à peine fébrile (38°,5); pouls faible-ment accélé
tercurrente ne modifie pas les convulsions, mais elle élève un peu la
température
(38°,5 à 38°,7) et détermine un léger mouvement f
mpérature (38°,5 à 38°,7) et détermine un léger mouvement fébrile. La
température
tombe bientôt à 37°,7 et le pouls diminue He fréq
teinture. Au commencement de l'amélioration, et pendant sa durée, la
température
est normale (36°,8 [à 37°,5); le pouls est plutôt
ns là ces commentaires, car notre but n'était pas d'étudier à fond la
température
dans le tétanos, mais seu-lement de relever les p
du pouls correspond souvent, nous l'avons déjà dit (1870, p. 229) une
température
normale. — La malade de M. Bouchard, dont nous av
sme, il y a de la rougeur, des douleurs vives, une augmentation de la
température
;—dans l'arthro-pathie, la peau est pâle, légèrem
L'erreur toutefois est courte. La rougeur, la chaleur, la douleur, la
température
d'ordinaire très-élevée, qui existent dans l'arth
émiplégie puerpérales par M. Ollivier; un mémoire de M. Lépine sur la
température
des nou-veau-nés, un travail de M. Roque sur l'in
plus souvent la mort survient au bout de quelques heures. iv. de LA
TEMPÉRATURE
DANS l'ÉCLAMPSIE PUERPÉRALE. Historique. Si nou
ons faites, les auteurs n'auraient pas jusqu'ici noté la marche de la
température
dans l'éclampsie puerpérale. Les observa-tions ép
, aucune indication sérieuse. Dire avec Nsegelé et Grenser que « la
température
de la tète est élevée, surtout au front, » et que
e, « il ne reste que de la fréquence du pouls et de l'élévation de la
température
, » — c'est s'en tenir à des assertions bien vague
iront tout au moins à attirer l'attention sur les modifications de la
température
. Enfin, plus tard, nous aurons l'oc-casion, à pro
Grossesse à terme. — Attaques éclamptiques. — Urines albumineuses. —
Température
. — Mort. — Autopsie : — ra-mollissement (cadavéri
vie:! une durant laquelle le pouls est à 124, la respiration à 64, la
température
vagmale à 40°. Après une minute de répit, en appa
avait, en outre, un coma profond et continu. Eh bien, à ce moment la
température
vaginale était à 40°, et six heures plus tard, el
'état de mal éclamptique a pour effet de produire une élévation de la
température
. Les cas suivants, tout en confirmant ce premie
pitaux (1869, p. 16b), nous avons étudié : 1° les modifications de la
température
p oduites par l'attaque d'épilepsie ; 2° la tempé
cations de la température p oduites par l'attaque d'épilepsie ; 2° la
température
dans l'état de mal épileptique. En com-parant ce
es de l'encé-phale. Paris, 1870 ment par le forceps. — Marche de la
température
. — Pneumonie. — Guérison.— Bichon, Blanche, 17 an
franchement éclampti-que, après laquelle le pouls était à 128, et la
température
vaginale à 59°,2. En moins d'un quart d'heure, no
s, était à 40 degrés, quand est survenue une crise durant laquelle la
température
s'est élevée à 40°,2. Elle est ensuite descendue
, pour remonter , dans une autre attaque, à 40°,2. Après celle-ci, la
température
était déjà descendue à 40°,1, lorsque de nou-vell
t venu mort. Aussitôt après l'accou-chement, le pouls était à 146, la
température
vaginale à 39°, 6. Après la délivrance (2 heures
du début des attaques éclamptiques, — vingt-quatre heures environ. La
température
vagi-nale à ce moment était à 59°,2. Les attaques
tempé-rature. Que voyons-nous, en effet? Dans un instant de répit, la
température
était à 40°; survient une attaque et la températu
tant de répit, la température était à 40°; survient une attaque et la
température
monte à 40°,2. Durant un second repos, la tempéra
e attaque et la température monte à 40°,2. Durant un second repos, la
température
descend à 40° et, dans un nouvel accès, elle atte
it et avait déjà gagné 40°,1, une trois,ème crise la fait Fig. 1. —
Température
aussitôt après l'accou-chement, -t- Tempéra-ture
mal éclamptique doit-il, au contraire, aboutira une issue fatale, la
température
, loin de baisser, continue de s'élever : c'est au
is. — Albuminurie. — Attaques éclamptiques. — Marche ascendante de la
température
(38°,8 à 41°,2).— Saignée; anesthésie; accoucheme
res à peine. (Saignée de 300 grammes, lavement purgatif.) —Pouls 112.
Température
vaginale 38°,8. Par le cathétérisme on retire plu
les n'ont pas été comptées. Le travail a bien marché ; la Kig. 2. —
Température
1 heures après le début. 0 Abaissement de tempéra
la Kig. 2. — Température 1 heures après le début. 0 Abaissement de
température
consé-cutif à l'injection de chloral. -+- Tempéra
Abaissement de température consé-cutif à l'injection de chloral. -+-
Température
aussitôt après la mort. — Chaque ligne correspond
on de chloral a été pratiquée à 2 heures (5 grammes). A ce moment, la
température
était descendue à 40° ; une selle peu copieuse. N
ie revenu sur lui-même. Cette observation nous renseigne: 1° sur la
température
peu après le début de 1 eclàmpsie ; '2° sur la ma
mpérature peu après le début de 1 eclàmpsie ; '2° sur la marche de la
température
dans le cours de l'état de mal éclamptique ; 5° s
la température dans le cours de l'état de mal éclamptique ; 5° sur la
température
à l'instant de la mort. 1° La première explorat
malgré une saignée abondante, malgré l'accouche ment : 5° Enfin la
température
, qui, deux heures avant la mort, était à 40°4, at
, les conclusions suivantes : I. Dans Y état de mal éclamptique, la
température
s'élève depuis le début jusqu'à la fin ; IL Dan
empé- 1 On pourrait nous objecter et avec quelque raison, que cette
température
n'est pas en réalité celle du début. Nous en conv
paraissent, et si le coma diminue ou cesse d'une façon définitive, la
température
s'abaisse progressive-ment; si, au contraire, l'é
contraire, l'état de mal éclamplique doit se terminer par la mort, la
température
continue d'augmenter et parvient à un chiffre trè
le moignon ne se distingue pas du bras. PATHOLOGIE INTERNE DE LA
TEMPÉRATURE
DANS L'URÉMIE; COMPARAISON AVEC LA TEMPÉRATURE DA
OLOGIE INTERNE DE LA TEMPÉRATURE DANS L'URÉMIE; COMPARAISON AVEC LA
TEMPÉRATURE
DANS L'ÉCLAMPSIE PUERPÉRALE par BOURNEVILLE L
ÉRATURE DANS L'ÉCLAMPSIE PUERPÉRALE par BOURNEVILLE L'étude de la
température
dans Yéclampsie puerpérale1 nous a fourni divers
eçon sur l'urémie (loc. cit., p. 15) n'ont relevé l'abaissement de la
température
. Il est à regretter aussi que les explorations n'
vu l'importance de la ther-mométrie en pareille circonstance. « La
température
du corps, dit M. W. Roberts, ne paraît pas: élevé
ssion de l'urine, alors que la langue était sèche et la soif vive, la
température
était seulement à 37°, c'est-à-dire normale. A ce
upilles étaient contractées; le malade était indifférent. Eh bien, la
température
axillaire, notée presque quo-tidiennement durant
émateuse des téguments œdématiés des jambes survint sans accroître la
température
et, chose plus étrange, une péricardile, qui se m
jours avant la mort, ne causa pas non plus la moindre élévation de la
température
: le thermo-mètre enregistrait encore 55°. » Bi
M. W. Roberts eut l'occasion de vérifier ses premiers aperçus sur la
température
dans l'urémie chez un malade dont il a aussi insé
calcul (1868).—Suppression d'urine; mort en dix jours.— Marche de la
température
. ¦— M. I.., 59 ans, grand, très-vigoureux, pesant
ligence d'une netteté parfaite. Pupilles naturelles. P. 72 ; Pi. 24 ;
Température
axillaire 57°,77. Diagnostic : suppres-sion de la
ration diminua progressivement de fréquence (24-, 20,15); — 3° que la
température
s'abaissa d'une façon constante, en particulier a
son travail, à savoir : « Si la suppression de l'urine per-siste, la
température
du corps, à la longue, baisse et faiblit peu à pe
à la longue, baisse et faiblit peu à peu jusqu'à la mort. » Fig. 3.
Température
axillaire prise une fois par jour. — La suite a
res courbes thermométriques : 1er Type. Très-légère élévation de la
température
(quelques dixiè • mes de degré au-dessus de la
2e Type. Élévation brusque de deux à' trois degrés au-dessus de la
température
normale avec défervescence rapide. A ces phéno-mè
rs. Accès fébrile sans phlegmasie. 5e Type. Élévation brusque de la
température
qui se maintient élevée. Dans ces cas, il y a coï
; T. V. 39°,7. Rien dans l'état général n'explique l'élévation de la
température
enregistrée depuis quelques jours. La plaie vulvo
V. 58°,5. — Soir : P. 92 ; T. V. 39°,2. Encore une augmentation de la
température
assez inexplicable. Dev... mange deux portions ;
64; T. V. 37°. — Soir : P. 80 ; T. V. 37°,6. A partir de ce jour, la
température
est restée normale. Le pouls est tombé le 26, à 5
idement et la malade est sortie tout à fait guérie. Dans ce cas, la
température
vaginale a présenté des oscillations assez curieu
du côté des plaies qui, cependant, au moment de l'augmentation de la
température
, n'étaient pas le siège de phénomènes douloureux.
ut présenter. {(La fin prochainement.) PATHOLOGIE INTERNE DE LA
TEMPÉRATURE
DANS L'URÉMIE; COMPARAISON AVEC LA TEMPÉRATURE DA
OLOGIE INTERNE DE LA TEMPÉRATURE DANS L'URÉMIE; COMPARAISON AVEC LA
TEMPÉRATURE
DANS L'ÉCLAMPSIE PUERPÉRALE PAR BOURNEVILLE 1 —
nson. Parlant des ma-ladies qui s'accompagnent d'un abaissement de la
température
du corps, M. Hirtz signale certains états toxique
. VI, p. 794. 3 Maintes fois M. Charcot a noté un abaissement de la
température
chez des femmes de son service, atteintes de canc
a consécutivement une dilatation de ces conduits et des bassinets. La
température
rectale prise l'avant-veille et la veille de sa m
missements incoercibles; hoquet. -— On remarqua plusieurs fois que la
température
de la surface du corps était basse. Le thermomètr
n parcourant les travaux publiés sur ce sujet et les recueils de ta
température
. Une malade du service de M. Charcot, qui ne rend
a des vomissements co-pieux, ayant une odeur uriileuse, conserve une
température
normale. périodiques. Nous allons maintenant ex
pne'iques. — État d'hébétude ; coma. — Abaissement considérable de la
température
centrale. — Mort. — Dégénérescence kystique des r
ts de la tête. La percussion des lombes produit le même phénomène. La
température
rectale prise avec soin, d'abord par Raymond, pui
eu d'étendue de l'endroit mouillé. R... meurt à midi 45 minutes. La
température
prise cinq mi-nutes plus tard était à 28°,4. A de
lus im-portant de notre observation, c'est l'abaissement énorme de la
température
rectale. En présence du chiffre qu'il enregistrai
lectiforme; ses caractères. —Abaissement de plus en plus marqué de la
température
rectale. — Coma permanent. —Mort. — Néphrite par
urémie étant bien démontrée, jetons un coup d'œil sur la marche de la
température
. Quelques minutes après le début de l'attaque a
matiquede l'urémie, nous constatons un abaissement remar-quable de la
température
rectale : 55°,7. Une heure plus tard, la températ
mar-quable de la température rectale : 55°,7. Une heure plus tard, la
température
ayant encore diminué (52°,6), nous crûmes que le
lèrent depuis le commencement de l'attaque jusqu'à sa terminaison, la
température
continua de baisser à tel point que, à l'instant
eine celui de la tempéra-ture. — et II correspondent au pouls et à la
température
10 à lo minutes après le début. = température aus
ondent au pouls et à la température 10 à lo minutes après le début. =
température
aussitôt après la mort. Chaque ligne verticale ré
ux un contraste frappant. 1° On note, au début, une élévation de la
température
dans Yéclampsie puerpérale et un abaissement de l
de la température dans Yéclampsie puerpérale et un abaissement de la
température
dans Y urémie; 2° Dans le cours de l'état de ma
re dans Y urémie; 2° Dans le cours de l'état de mal éclamptique, la
température
monte de plus en plus et avec une assez grande ra
ences s'accentuent encore au moment de la mort : dans l'eclampsie, la
température
arrive à un chiffre très-élevé (41°); — dans l'ur
ir ensuite les effets thérapeutiques des eaux minérales, suivant leur
température
et leur mode d'adminis-tration. Il est certain qu
par ses éléments secondaires, par son degré de minéralisation, par sa
température
et par ses modes d'em-ploi, correspondra aux indi
ysipèle de la face, puis des fesses, des cuisses, etc. — Marche de la
température
. — Gaérison des divers accidents. N..., Louise-
core le périnée dans une étendue de 4 à 5 centimètres. — Pouls à 104;
température
vaginale, 38°,7. 21 avril. — Rougeur et gonflem
'apparition d'un éry-sipèledela face. —P. 116, petit; T. V. 39°,9. La
température
d'hier soir était donc plus en rapport avec l'inv
t de l'érysipèle jusqu'à ce jour, nous voyons chaque éléva-tion de la
température
coïncider avec de nouvelles poussées érysi-pélate
ette particularité que le pouls n'a pas aug-menté en proportion de la
température
. 50 avril. —P. 96; T. V. 37°. — Soir : P. 120;
. 120; T. V. 41°,2. Rien d'apparent n'explique et l'abaissement de la
température
ce matin, et son élévation considérable ce soir.
-rature et nous montre que, en général, les élévations brusques de la
température
précédaient d'un temps plus ou moins court les no
sées érysipélateuses. — L'une des chutes les plus intéressantes de la
température
est celle qui a coïncidé avec l'appa-rition de su
organisme, quand il n'y a plus assez d'eau et que l'urine n'a plus la
température
nécessaire pour tenir en suspension ou en solutio
elques jours, les deux mains étaient semblables au point de vue de la
température
. Au-jourd'hui, 24 mars, la main, l'avant-bras, et
ouge, dont le poids spécifique est 1022, sans albumine ni sucre. — La
température
était à cinq heures du soir de 39°,8, à sept heur
bruits du cœur extraordinairement sourds. Râles dans les poumons. La
température
reste élevée toute la journée. Matin, 9 heures.
la droite plus grande, sans réaction à la lumière. A neuf heures, la
température
était de 56°,4 ; à onze heures, de 55°,6 ; une he
omie générale de la maladie n'avait rien de typhique, à part la haute
température
, mais se rap-prochait de celle de la méningite, e
sceptible de perdre ses propriétés actives, lorsqu'on la soumet à une
température
élevée. Celte substauce était considérée comme
elle reste inerte lorsqu'elle a été soumise à l'influence d'une haute
température
et que l'essence s'est évaporée? Cette question r
e produit, et notre malade en offre un exemple, puisque, chez lui, la
température
s'est élevée à 40 degrés. Le gonflement du memb
l'enve- lopper de compresses résolutives, et de le maintenir à une
température
convenable. Voici le tableau des mesures compar
. R. 37°,8. — Soir : P. 110 ; T. R.38°,2. Dans les jours suivants, la
température
a oscillé entre 57°,6 et 38°,6; le pouls entre 96
,16. Neuvième ponction : 14 litres. —Soir: P, 100; T. R. 37°,9. Cette
température
, ainsi que celles qui ont été notées le 27 et le
estin, 161. Dupuy (L. E.), 36, 124. E Eclampsie puerpérale (De la
température
dans 1'), par Bourneville, 85. Egagropiles (Des
Syphilis, 176. T Teinturier (E.),250. Tétanos {voy. Chloral). —
Température
dans le—, par Bourneville, 19, 41. — parL. E. D
lle, 19, 41. — parL. E. Dupuy, 36. Thaon, 129, 285. Thorens, 167.
Température
dans le tétanos, 19, 36,41 ; — dans l'éclampsie
e même, 263; —de la parotide, par Rosapelly, 296. G Urémie (De la
température
dans 1'), par Bourneville, 109, 147. Utérus (Ex
e du lait; début d'une pelvipéritonile, fris¬sons, etc., etc. P. 132,
température
vag. 40°,7. Les mamelles normales sont d'un vol
¬men tendu, sensibilité du ventre, vomissements bilieux, etc. P. 112,
température
vag. 40°,5. Amélioration les jours suivants : e
jours suivants : elle sort, le 11 octobre, avec un pouls à 92 et une
température
de 59°,4. Après plusieurs jours de repos chez ell
omètre aux recherches de ce genre, on croyait, dit M. Charcot, que la
température
du vieillard était moins élevée que celle de l'ad
s reste à peu près la même à tous les âges. On a même prétendu que la
température
générale s'élevait vers la fin de la vie. Mes pro
ard et l'adulte, sous ce point de vue, c'est que, chez le premier, la
température
de l'aisselle est très-inférieure à celle du rect
gée de 105 ans, jouissant d'une santé excellente, et qui présente une
température
de 57°, 2/10 dans l'aisselle et de 38° dans le re
ouis, dans le service de M. Hardy, une femme, âgée de 91 ans, dont la
température
vaginale était de 57°. publiées en France sur c
ions sommaires sur les modifications que subit, dans l'âge sénile, la
température
, pendant l'état fébrile, aux différentes phases d
e dans la clinique des vieillards (leçon II, p. 23). Onze tracés de
température
observés chez des enfants ou des vieillards attei
ue dire qu'elles coïncident; chez le vieillard, celle qui répond à la
température
de l'aisselle reste un peu inférieure à celle du
t ce sont souvent les plus graves, où v-se produit un grand écart. La
température
extérieure s'abaisse^ tandis que celles des parti
. L'auteur de cette observation, M. Habran, a pris matin et soir la
température
axillaire de sa malade. Les cas d'endocardite où
axillaire de sa malade. Les cas d'endocardite où les variations de la
température
ont été notées, étant assez rares, nous 1 A la
le début, mais elle est devenue plus intense. Pouls : 28 au 1/4. —
Température
: 40°,4. Oppression plus forte, toux plus fréqu
e et l'intensité de la fièvre (le pouls variant de 23/4 à 28/4, et la
température
de 39° à 40°), la forme quinteuse de la toux,,l'i
iques. (Ce sont ceux que j'ai signalés plus haut.) " Pouls : 23/4. —
Température
: 59°,5. » A cette date, le diagnostic avait dû
us. Le pouls redevint plus fort et plus fréquent (75 pulsations) ; la
température
s'abaissa, le délire diminua. Le malade, redevenu
ité de cette occasion favorable pour faire quelques recherches sur la
température
et le pouls dans les pre¬miers jours qui suivent
for the medie, sciences. 18e meeting, 19 août 1869. Salem. I. de la
température
et du pouls après l'accouchement ; de la fièvre d
; de la fièvre de lait. Les auteurs qui ont étudié la marche de la
température
chez les femmes en couches sont assez nombreux. T
s allons relever dans nos observations quelques détails relatifs à la
température
avant l'accouchement. Chez la ma¬lade de l'observ
ature avant l'accouchement. Chez la ma¬lade de l'observai ion VII, la
température
prise une heure avant la parlurition était à 37°,
maux. Cet auteur a remarqué que, pen¬dant chaque travail régulier, la
température
du corps s'élève un peu (de 0°,18 C. à 0°,25 en m
ôté, tandis que généralement nous avons constaté un abaissement de la
température
et parfois une diminution de la fréquence du poul
lskunde, t. IV, liv. 6, p. 464 ; 1864. notable (37°,3 à 39° G.), la
température
normale étant, placée à 37° C. Une seule de nos m
heures, le 26 décembre. A dix heures nous trouvons le pouls à 112, la
température
vaginale à 59°,5. Le soir du même jour, c'est-à-d
Le soir du même jour, c'est-à-dire onze heures après l'avortement, la
température
était descendue à 38°,3 ; le pouls, compté deux f
uerpérale, selon le même au¬teur, il y a souvent un abaissement de la
température
. Cet abaisse¬ment est d'autant plus considérable
aleur a été plus forte aussitôt après l'accouchement. D'ordinaire, la
température
la plus basse se montrerait vingt-quatre heures a
vre de lait. Quatre de nos malades rentrent clans cette catégorie. La
température
n'est pas sortie, chez elles, des limites physiol
. V. 37°,6. — 31. P. 64 ; T. V. ? l%k.Exeat le 4 janvier 1870. — La
température
n'a jamais dépassé 37°,7 chez cette femme. Le pou
ts de l'examen pour éviter les erreurs, a été ici moins précis que la
température
. Observation IL — Multipare. —■ Pas de fièvre d
ul jour et, aux cinq autres couches, il en aurait été de même ; 2° la
température
n'a point dépassé 57°,8 (troisième et cinquième j
. A. Fièvre de lait légère. En acceptant pour point de départ de la
température
fébrile 58°, nous avons considéré les trois premi
emiè¬res malades comme n'ayant pas eu de fièvre de lait, puisque leur
température
a toujours été inférieure à 58°. Chez les deux su
pérature a toujours été inférieure à 58°. Chez les deux suivantes, la
température
n'a jamais été jusqu'à 39° ; partant, la fièvre d
glandes mammaires Fig. 1. 12 heures après l'accouchement. — T.V.,
température
vaginale; P., pouls. 60, 80, etc., répondent au p
nale; P., pouls. 60, 80, etc., répondent au pouls; 36, 57, etc., à la
température
. aient, en apparence du moins, une conformation
rès la parturition sans être précédée d'aucun signe avant-coureur. La
température
était très-élevée, 40°, le pouls fréquent, 120. C
sité puisque, dès le soir, on notait un abaissement du pouls et de la
température
(110 et 59°,6) qui s'accentuait davantage encore
uait davantage encore le lendemain. Toutefois , durant cinq jours, la
température
resta au-dessus de 58° et présenta cha¬que soir u
\ / \ /1 v \ —si. 5 p y * . i \ / ■■-A' 60. Fig. 2. -h
Température
7 heures après l'accouchemenC dant; léger écoul
frisson éphémère, a été Irès-forte pendant quelques heures; puis, la
température
a baissé et a oscillé durant deux jours autour de
re 2 fait voir nettement le parallélisme des tracés du pouls et de la
température
. — La suite au prochain numéro. — Nota. — Dans
AIT ET SUR QUELQUES MALADIES PUERPÉRALES par bourneville I. de la
température
et du pouls après l'accouchement ; de la fièvre d
commencé à quatre heures ; la poche des eaux est percée. Pouls à 74 ;
température
vaginale 37°,2. — Ail heures un quart, cette femm
P. 64 ; T. V. 37°,8. — Soir: les seins sont encore un peu Fjg. 3. —
Température
1/4 d'heure après l'accouchement. tendus ; sécr
ment intense. Faut-il attribuer cette élévation si considérable de la
température
à ce que la malade ne nourrissait pas ? Nous ne p
fréquence du pouls n'a pas été proportionnelle à l'augmentation de la
température
(fig. 3). Observation VIII. — Multipare. — Fièv
milie, 38 ans, mariée, manouvricre, est entrée, le Fig. 4. — T. Ax,
température
axillaire. ■+■ Pouls et température 9 heures aprè
est entrée, le Fig. 4. — T. Ax, température axillaire. ■+■ Pouls et
température
9 heures après l'accouchement. 20 décembre au n
elle a cessé en quelque sorte subitement, puisque le sixième jour la
température
était descendue à 56°,7. Observation IX. — Seco
Observation IX. — Second accouchement. — Elévation temporaire de la
température
pendant le travail. — Fièvre de lait le cinquième
e s que plus. — Soir : P. 110 ; T. V. 39l ,7. Fig. 5. — La première
température
a été prise 1 heures avant l'accouchement. + Temp
La première température a été prise 1 heures avant l'accouchement. +
Température
2 heures après l'accouchement. 25. Pas de friss
Exeat le 28 décembre. — Relevons en premier lieu l'élévation de la
température
avant l'accouchement; 2° l'apparition tardive, co
durée (deux jours) de l'état fébrile ; enfin 5° la chute rapide de la
température
, qui descend même un peu au-dessous de la normale
— A quelle cause devons-nous attribuer l'élévation considérable de la
température
qui a eu lieu dès le second jour? L'accouchement
' \ 1 \ / ' \ ■ . ... \A 1—/-' • 60. S 6 _ ■ Fig. 6. -h
Température
onze heures après l'accouchement. passable. D'u
. Douleurs T ives à partir de dix heures, hier soir ; Fig. 7, -t-
Température
8 heures après l'accouchement. accouchement fac
tout à fait disparu. Ces phénomènes fébriles, ces modifications de la
température
nous semblent devoir être mises sur le compte de
ait trois injections deun centigramme de chlorhydrate de morphine. La
température
reste à 57°,7. Le 1er février, la contracture a
mes de chloral. La résolution relative du matin continue. Le soir, la
température
est à 58°,2. Le 4 février, l'état est moins sat
100. Il n'y a pas d'augmentation de chaleur appréciable à la main. La
température
de l'aisselle est de 57°,4; celle du rectum de 57
à peu près négatives en ce qui concerne une affection rénale, 1 La
température
prise comparativement dans les deux aisselles ne
écèdent peuvent être faites, relativement aux changements brusques de
température
, à la fraîcheur et à l'humidité des nuits : ce so
mémoire de M. Anfrun : de la Valeur diagnostique et pronostique de la
température
et du pouls dans q u elq ues ma ladies. — C...
6" — — 58°, 8 — 38°,6 Ici, la fièvre a été très-intense, mais la
température
a baissé ra¬pidement. Toutefois on peut adresser
la fièvre a été très-forte, et les deux jours sui¬vants, le soir, la
température
est encore restée assez élevée. ■— P... Estelle
ui accoucha normalement le 25 décembre 1868. Le môme jour au soir, la
température
était à 57°, le pouls à 80 ; le lendemain matin f
e, chez cette malade, environ trente heures après l'accouchement : la
température
a été très-élevée (41°,2), mais le pouls (100) n'
de¬main matin, c'est-à-dire cinquante heures après la parturition, la
température
était tombée à 56°,6 et le pouls à 76. Nous ter
7 novembre. P. 68; T. 36°,6. Soir : P. 60 1 Etudes cliniques sur la
température
, le pouls et la respiration. Strasbourg, 1869, p.
faut : le pouls était au chiffre normal ou peu fréquent, alors que la
température
était élevée. M. C. Lefort cite (loc. cit., p. 20
tion lactée pouvaient être invoquées pour expliquer l'élévation de la
température
et la fré¬quence du pouls, chez d'autres femmes,
e que le gonfle¬ment des seins, la montée du lait. Cette élévation de
température
n'a rien de surprenant. Ludwig et Spiers1 n'ont-i
nant. Ludwig et Spiers1 n'ont-ils pas constaté un accroissement de la
température
du liquide sécrété par les glandes salivaires, lo
les nerfs qui s'y rendent? Cl. Bernard n'a-t-il pas vu aussi que " la
température
du sang de la glande s'élevait d'un demi-degré,qu
plusieurs de nos nouvelles accouchées n'ont offert aucune élévaton de
température
, aucune fréquence du pouls. A quoi faut-il attrib
ataxiques ; elle est pour ainsi dire normale, car, en même temps, la
température
reste au chiffre phy¬siologique et il n'y a pas l
té est légèrement émous-sée. Le pouls est à 115, sans augmentation de
température
. En somme, il s'agit d'une ataxie locomotrice bie
1 drachme de chloral. Som¬meil; amélioration notable. — 7 février. La
température
remonte à 98°,9 Far. (37°,2) ; 1 drachme | de chl
drachme | de chloral. Sommeil un quart d'heure après. Abaissement de
température
. 8 février. —La malade a été assez calme. Temp.
refusant d'en prendre davan¬tage.Dans les cinq heures qui suivent, la
température
s'élève à 99°,7 (57°,6). On donne de nouveau \ dr
malade à des spasmes très-vio¬lents; le trismus devient très-fort. La
température
atteint 100°,4 Far. (38°) — Chloral, 1 drachme. A
les deux heures qui suivirent, des spasmes violents survinrent et la
température
monta à 99°,6 (37°,6). 10 février. — Chloral, 2
dité musculaire. Au réveil, le pouls était tombé de 112 à 100 et la
température
de 105°Far. (39°,5) à 99°,5 (37°,6), sans sueurs
tée d'huile de croton.— La pouls a varié de 70 à 120 pulsations et la
température
de 99°,4 Farenheit (37°,5), à 100°,4 (38°). Les m
on, en faveur de laquelle plaide d'ailleurs l'élévation brusque de la
température
. Observation XIII. — Tétanos traumatique. — Tra
éritonite puerpérale, en insistant plus spécialement sur un point, la
température
. On sait que les auteurs, et tout récemment M.
mois.-— Péritonite puerpérale légère et circonscrite (p. iliaque), —
Température
. — Guérison.— Perr... (Virginie), 37 ans, blanchi
fausse couche à 2 heures de l'après-midi. A 5 heures : pouls à 112 ;
température
vaginale, 37°,6. 20 décembre. P. 88; T. V. 36°,
oins considérable qu'elle ne l'est dans la péritonite généralisée. La
température
, après être tom¬bée à 36°,2, le lendemain de l'ac
isselle droite, a été tout à fait temporaire, et, le sixième jour, la
température
était redescendue au chiffre physio¬logique (37°,
tempé¬rature atteignait son maximum, 39",8. A partir de ce moment, la
température
baisse peu à peu, en présentant toutefois un accr
us ne dirons qu'un mot du pouls : son tracé, comparé avec celui de la
température
, lui est parallèle. Le début de la péritonite p
rmal. — Frisson léger. — Péritonite puerpérale généralisée.— Délire.—
Température
.— Mort. Résultats nécroscopiques. — Hu.. Thérèse,
lle a présentés, car nous voulons surlout ap¬peler l'attention sur la
température
. Voici, tout d'abord, quelques notions empruntées
bord, quelques notions empruntées aux auteurs. Comme le pouls, " la
température
s'élève, écrit M. Thierry, à me¬sure que la malad
» Ce passage nous apprend peu de chose, en somme, sur la marche de la
température
dans la péritonite puerpérale généralisée. L'aute
eur aurait pu être plus précis si, en notant dans ses observations la
température
, il n'avait pas omis souvent d'indiquer la tempér
bservations la température, il n'avait pas omis souvent d'indiquer la
température
du soir, ce qui rend toute appréciation impossibl
e, son opinion dans ces li¬gnes : u Dans la péritonite puerpérale, la
température
du corps suit le pouls dans ses variations. Mais
nclusions, M. Hervieux donne plusieurs ta¬bleaux des variations de la
température
pour un chiffre de pulsa¬tions déterminé. Ces tab
ussi bien que l'auraient fait des figures représentant le pouls et la
température
. Les deux observations que nous avons relatées
(de Hanau) a établi par l'analyse de 266 cas, la loi suivante : " La
température
la plus basse chez les femmes en couches se montr
lieu jusqu'à huit heures du soir. Alors com¬mence une rémission et la
température
s'abaisse de 0°,5 jusqu'au matin suivant1. » No
us les symptômes d'une péritonite. Elle succomba le surlendemain : la
température
vaginale, prise un quart d'heure après la mort, s
effets, son trai¬tement, par Bourneville, 63, 87, 109. Taulier, 34.
Température
(De la) dans l'endocardite puerpérale, par Habran
motrice ; - gâlisme Attitude des membrcs. -Méningite : marche de la
température
centrale; - Pneumonie. -Autopsie : atrophie des
au légèrement sèche et modéré- ment chaude malgré l'élévation de la
température
centrale. Traces méningitiques très prononcées.
°, 2. Mort à 10 heures : T. R. 40°, 3. - Une heure plus tard : même
température
. Autopsie le 18 mai. Cuir chevelu, rien. Crâne
ainsi que nous avons eu maintes fois l'occasion de l'observer, la
température
centrale demeurait à peu près normale ou ne s'é
nt reprenait connaissance, ne tombait pas dans le coma, et que la
température
oscillait autour de 38°. Une telle situation pe
ulsations. - Pas de souffles. - Les battements sont réguliers. - La
température
est à 38° dans l'aisselle du côté sain. Sinap
mastoïdes. HÉMIPLÉGIES GUÉRIES PAR LES AIMANTS. 97 1°r aV1'il.-La
température
est redevenue normale. - 80 pul sations. -Les m
Proceedings of the Royal Soc. London, p. A66, 4878, et The régional
températures
ofthe head. Londres, 1879. Recherches sur l'éch
chiv. de Phys. 4 870, 1ro série, III° année, fasc. z, z,, 3, 4.) La
température
dans les maladies, par WUNDERLICH, (traduction
et Chicago Journ. of ment, and nel'V. disease. Janvier 4879).-De la
température
dans les maladies mentales; par Voisin (France
P. Bers. (Soc. de Biologie, 18 janvier 1879 et 24 avril 1880). - La
température
du corps humain, par LORAIN, vol. I. Paris, 1877.
du corps humain, par LORAIN, vol. I. Paris, 1877. Recherches sur la
température
cérébrale, etc. ; par Maragliano, 100 REVUE CRI
1880). - Case of tubercular meningitis with measurements of cranial
températures
; par Mmo MARY PuTNAM JACOBI. (Journ. of nerv.
Ile vol. 1880.) - The effect of willed muscular move- ments on the
température
of the head : new study of cérébral cortical lo
e terme de Thermométrie cépha- [¡'que pour indiquer qu'il s'agit de
températures
locales de la tête; nous n'avons pas, au moins
ur nous autoriser à nous servir d'un terme plus précis que celui de
température
céphalique. I. Avant d'en arriver à des applica
nter), aurait été frappé de trouver, chez les animaux décapités, la
température
du cerveau inférieure à celle du rectum et des
momètre à même la pulpe cérébrale à travers le trou occipital; la
température
paraissait alors plus basse à la périphérie du
délicat peut-être, était employé par M. Lombard pour rechercher la
température
extérieure de la tête. Cet auteur procédait sur
it appliquée sur les divers points du crâne et les diffé- rences de
température
étaient étudiées par l'analyse des dévia- tions
sujet était au repos physique et mental : cependant ces écarts de
température
étaient accentués dès que l'attention du sujet
s dès que l'attention du sujet était éveillée. Souvent une chute de
température
se faisait dans la jambe au moment où une éléva
une élévation se manifestait à la tête. Lombard vit par ce moyen la
température
s'élever au niveau de la protubérance occipital
e la lecture, à haute voix ou la déclamation paraissaient élever la
température
de la tête plus facilement que le travail purem
velles que les écarts thermo-électriques sont faibles, et que la
température
moyenne de la tête peut varier d'un côté à l'autr
ruit, la vue d'une personne ou d'un objet, produit une élévation de
température
. » M. Schiff a contrôlé ces résultats chez les
étracteurs de l'oreille. Dans cette dernière région, l'élévation de
température
se produit également chez les chats; chez le di
r, observé de loin à la lunette. Le plus souvent l'accroissement de
température
se fait du côté même de l'irritation périphériq
sur l'homme, à démontrer que les régions gauches de la tête ont une
température
plus élevée que celles de droite, et que lors d
auche qu'à droite. « Pendant le dis- cours, ajoutait M. P. Bert, la
température
frontale gauche s'élève ; cette augmentation de
ert, la température frontale gauche s'élève ; cette augmentation de
température
s'observe aussi pen- dant le discours mental, m
la phonation intervient; de plus, chez l'enfant qui s'éveille la
température
frontale s'élève : ce dernier point peut éclairci
théorie du 'sommeil. » M. Bert n'avait pas observé d'élévations de
température
en rapport direct avec la doctrine des localisa-
qu'il serait préfé- 104* REVUE CRITIQUE. rable de rechercher les
températures
locales de la tête à l'aide de thermomètres con
. Da Costa Alva- renga, quelques années après, avaient recherché la
température
de la tête chez les aliénés, ou établi une sort
2noînétî,ie clinique générale, M. Da Costa Alvarenga a recherché la
température
des différentes parties du corps, soit avec un
un thermomètre à boule protégée par du coton ; il a obtenu pour les
températures
céphaliques des chiffres variant de 35°,1 à 37°
6°,05. Albers, s'occupant principalement d'alié- nation, prenait la
température
de chaque côté de la tète, en deux points : le
résultat de quelques recherches relatives 1 l'oi igine réelle de la
température
céphalique et qui confirment les conclusions de
t deux faits pathologiques à l'appui de sa thèse. Pour M. Broca, la
température
moyenne de la partie droite de la tête est de 3
imitée par un maximum de 34 ? 85 et un minimum de 32°,80 ; enfin la
température
régionale correspond au tableau ci-dessous. 1
te étudiée d'ensemble serait donc de 1°,16. Remarquons aussi que la
température
de la région pariétale gauche est un peu plus é
de Heftler. Il nous faut signaler aussi les maxima et les minima de
température
observés'. 108 REVUE CRITIQUE. DE LA THERMO
e l'après-midi, en ayant soin de choisir toujours des conditions de
température
atmosphérique identiques, et enregistrées du re
st habitué, en thermométrie clinique, à ne tenir aucun compte de la
température
extérieure, parce que l'on n'a pas à se pré- oc
que l'on n'a pas à se pré- occuper du rayonnement dans une prise de
température
rectale ou vaginale : la température axillaire
rayonnement dans une prise de température rectale ou vaginale : la
température
axillaire n'est déjà qu'un pis- aller. Il n'en
arrive jamais très complètement; donc, il faudra toujours noter la
température
ambiante et l'état hygrométrique de l'air. Du r
de l'air. Du reste, si l'on admet, probablement avec raison, que la
température
centrale chez l'homme n'est guère influen- cée
a température centrale chez l'homme n'est guère influen- cée par la
température
extérieure (ce qui se conçoit, si l'on songe à
les excrétions qui s'ensuivent), il n'en est plus de même pour les
températures
locales qui sont, pour ces mêmes raisons, plus
rieur : la tête, plus encore que toute autre région, doit avoir une
température
essentiellement mobile, car c'est une extrémité
il ne suffit pas de poser un thermomètre sur la tête pour avoir une
température
valable : il est encore des points d'élection o
il est encore des points d'élection où se prennent d'ordinaire les.
températures
céphaliques : ces points ont été indiqués par M
cherché sur toute l'étendue de la convexité du crâne des centres de
température
variable. III. Nous ne reviendrons pas sur les
rébrale. Les douleurs s'exagéraient par intervalles irréguliers. La
température
du corps était nor- male. En examinant la tempé
réguliers. La température du corps était nor- male. En examinant la
température
céphalique, M. Gray est arrivé aux chiffres sui
ductions que l'on pourrait tirer de cette répartition inégale de la
température
céphalique. On a trouvé en effet une tumeur vol
était fortement congestionné. Mra0 Mary Putnam Jacobi a comparé la
température
nor- male de la tête et celle qu'elle a observé
éralisée. Voici les chiffres observés à trois jours d'intervalle.
Températures
le 9 octobre 1879. DE LA THERMOMETRIE CEPHALIQU
pératures le 9 octobre 1879. DE LA THERMOMETRIE CEPHALIQUE. 113
Températures
le 14 octobre 1879. r M e M C ! 1 I;j
deux sexes. 116 6 REVUE CRITIQUE. De l'examen de ces tableaux de
température
il résulte que la moyenne la plus élevée de la
leaux de température il résulte que la moyenne la plus élevée de la
température
céphalique cor- respond à l'agitation maniaque
7), enfin la démence sans agitation (36°,3). · En considérant ces
températures
par régions céphaliques, on voit que le lobe oc
be occipital fournit constamment les chiffres les plus faibles. Les
températures
des lobes frontaux et occi- pitaux s'égalisent
la démence avec agitation, et dans l'im- bécillité et l'idiotie. La
température
de la région frontale sur- passe celle de la ré
ns la paralysie progressive et dans la lypémanie avec agitation, la
température
des lobes pariétaux est supé- rieure à celle de
rieure à celle des lobes frontaux. Par rapport aux différences de
température
entre la moitié droite et la moitié gauche de l
'à l'exception de l'imbécillité et de l'idiotie (dans lesquelles la
température
est plus élevée à droite d'un dixième de degré)
la température est plus élevée à droite d'un dixième de degré) , la
température
est égale à gaucho et à droite dans les autres
cho et à droite dans les autres formes de vésanie. Cette égalité de
température
tient du reste à l'inégalité même des températu
Cette égalité de température tient du reste à l'inégalité même des
températures
régionales de la tête, car souvent l'élévation
voisine. C'est donc surtout de cette élévation toute locale de la
température
céphalique qu'il faudra tenir compte en matière
la tête d'un malade en état d'agitation et de délire, alors que la
température
cépha- lique avait été notée chez le même malad
Ces résultats ont été consignés dans le tableau D qui montre que la
température
s'élève dans chacune des régions céphaliques pe
H i Pi t-i n ta- "a m e S til - 1 Tableau D.
Température
comparée dans l'état d'agitation et de calme. 1
adies mentales, comme chez l'homme sain, la région occipitale a une
température
plus basse que celle des autres régions, et que
a aussi que, dans les affections mentales d'origine congénitale, la
température
du côté droit de la tête donne des chiffres plu
que, chez le même individu et dans le cours de la même journée, la
température
céphalique oscillait sans que les écarts de tem
journée, la température céphalique oscillait sans que les écarts de
température
fussent supérieurs à un demi-degré. Nous de- vo
es phénomènes congestifs de la folie et de leurs rapports avec la
température
extérieure du crâne : nous ne citerons pas de c
anguin local pourrait se déceler à l'extérieur par une élévation de
température
en un point correspondant de la voûte crânienne
un point correspondant de la voûte crânienne. De très nombreuses
températures
ont été prises; elles forment la base d'un travai
uscles et de leur apprendre à les contracter isolément. La prise de
température
s'est faite, comme d'usage, par la couronne de
extérieurs du crâne ont été explorés à mesure que l'élévation de la
température
d'une région attirait l'attention de l'observat
dère actuellement comme non motrices, et dans lesquelles, de par la
température
, il suppose exister des centres excito-moteurs
rès quelques ins- tants de repos absolu, on note le degré normal de
température
dans chaque thermomètre. On prend ainsi en quel
it continuer ce mouvement pendant cinq à dix minutes. On note les
températures
nouvelles cinq minutes après la cessation du mo
thermomètres, et on s'attache ainsi à limiter l'aire du maximum de
température
qui correspondra à l'exécu- tion d'un mouvement
érences de quelques dixièmes de - degrés F., et ne s'occupe que des
températures
qui dépassent de 1 ° F. la normale (0° C. 3).
loie des quadrillages analogues à ceux des feuilles ordi- naires de
température
: une des ordonnées représentant la distance d'
applications de la thermométrie céphalique à la détermination de la
température
locale du crâne et aux variations de températur
étermination de la température locale du crâne et aux variations de
température
que l'on peut observer au cours des affections
ne sont pas entachés de quelque cause d'erreur, et surtout si cette
température
, obtenue à grand'peine, répond bien à celle des
en contact intime avec la paroi crânienne, on s'expose à prendre la
température
du muscle sous-jacent, dans la région temporale
ges, à l'afflux sanguin intrà-cérébral ? Faut-il tenir compte de la
température
du cuir chevelu lui-même, des influences vaso-m
chaleur, condition purement physique, mais cela veut-il dire qu'une
température
locale du cerveau correspondra à une températur
t-il dire qu'une température locale du cerveau correspondra à une
température
locale céphalique ? Devra-t-on, comme M. Amidon,
ugmen- ter un de ses modes de sensibilité, par exemple le sens de
température
, et à en diminuer un autre, supposons le sens de
d'un analgésimètre de son invention. Par l'action prolongée d'une
température
élevée (eau de 41° à 45° c), l'excitabilité du
mpérature élevée (eau de 41° à 45° c), l'excitabilité du sens de la
température
diminue, tandis que le sens de la dou- leur pou
diminue, tandis que le sens de la dou- leur pour les impressions de
température
augmente. Donc, les nerfs du tact et de la doul
et de la douleur ne sont pas identiques. L'action momentanée d'une
température
de 38° à ai° c., augmente l'excitabilité du sen
ilité du sens de lieu et de pression et dimi- nue celles du sens de
température
. Ainsi, le sens de lieu et de pression d'un côt
ature. Ainsi, le sens de lieu et de pression d'un côté, et celui de
température
de l'autre ne sont pas identiques, et par suite
paraissant comprendre, avec une paralysie faciale très marquée. La
température
oscilla, dans les trois derniers jours, entre 3
le ne traite que du nombre de pulsations et des respirations, de la
température
et de la tension artérielle chez les lypémaniaq
ses observations, il est arrivé à conclure que l'abaissement de la
température
, le ralen- tissement de la circulation, et l'au
uivo- ques ; d'autre part, le peu de temps consacré à prendre les
températures
(7 à 8 minutes en moyenne) sous l'aisselle, lai
gauche. T. It.39 ? 8. -Sozr : T. R. 40',ive. Les jours suivants la
température
oscille entre z,4 et 40°. La mort survient le 9
sacrum ; oedème des cuisses et des pieds. En juin et juil- let, la
température
oscille entre 38° et 39° le matin, 39° et 40° l
e entre 38° et 39° le matin, 39° et 40° le soir; mort le 2 juillet.
Température
du soir les deux derniers jours : Température -
r; mort le 2 juillet. Température du soir les deux derniers jours :
Température
-rectale une heure après la mort : 44°. DE LA D
mot, il y a une Rf, hyperémie, plus ou : moins marquée. De plus, la
température
de , là,peau,sélève et cette élévation peut êtr
e métal agissant sur la paume de ,-la main anosthésique en élève la
température
à mesure qu'il y ^ramène Insensibilité,, et le
isissables d'une seule des fonc- tions indiquées : une élévation de
température
de quelques dixièmes de degré, une. augmentatio
ailes du nez sont dilatées. Partout, la peau est sèche et rude. La
température
'est' abaissée. '' ,il, ' ' i' '" l' .J. 01)' ? I
nsi qu'il a vu dans/ un cas de fracture de la colonne cervicale,.la
température
des parties paralysées dépasser 401" L'autopsie
..1 '. -il , . J l M BIBLIOGRAPHIE VI. Contribution à l'étude des
températures
périphériques et en particulier des température
tion à l'étude des températures périphériques et en particulier des
températures
dites cérébrales dans les cas de pa- ralysz*es
thétisent. Le but de M. Blaise a été de contribuer à l'étude des
températures
locales physiologiques et morbides," aussi a-t-il
logiques et morbides," aussi a-t-il dû rechercher non seulement les
températures
céphaliques « dites cérébrales», mais encore le
t les températures céphaliques « dites cérébrales», mais encore les
températures
périphéri- ques dans les maladies cérébrales. N
la thèse de Montpellier indique bien que l'origine cérébrale de la
température
céphalique est con- sidérée comme au moins dout
me que M. Franck et la plupart des physiologistes, ne considérer la
température
céphalique que comme une donnée clinique intére
t parfois utile plutôt que comme une manifestation extérieure de la
température
réelle de la masse cérébrale elle-même. Pour
d'une manière générale, une certaine tendance à la diminution de la
température
dite céré- brale au niveau du point- ramolli. C
deuxième partie du travail que nous analysons est consa- crée à la
température
des aisselles et des membres dans le cas de lés
e guérison qu'avaient décrit les auteurs précités. De même pour les
températures
terminales et post-mor- tem des apoplectiques,
les et post-mor- tem des apoplectiques, M. Blaise a constaté que la
température
périphérique se comportait comme la température
e a constaté que la température périphérique se comportait comme la
température
rectale que M. Bourneville avait eu seule en vu
ue après la mort; il en conclut que : l'élévation postrmortem de la
température
n'est que l'exagération d'un processus vital or
u sang » (page 141). Dans le chapitre suivant, l'auteur étudie la
température
des aisselles et des membres en dehors de l'éta
e à l'action thermogène des vésicatoires et des rubéfiants sur la
température
des parties anesthésiées; ces recherches sont le
ives d'agitation et de lucidité. - Troubles oculaires. Marche de la
température
; ses modifications sous l'influence des bains
brancard, cette femme que l'on dit atteinte de fièvre typhoïde ; sa
température
est 374 PATHOLOGIE NERVEUSE. élevée, son abat
er l'apparition de la raie méningitique ; le pouls est fréquent, la
température
élevée (n0°, 6 dans l'aisselle, ! j 1 0,2 dans
on n'avait aucun renseignement certain : elle avait du délire, une
température
élevée et était bien évidemment dans un état mé
'endocardite aiguë ne donnant pas lieu à un délire accompagné d'une
température
aussi éle- vée) ; d'autre part, la fièvre typho
blait être contemporain des acci- dents actuels ; l'élévation de la
température
était d'ac- cord avec cette hypothèse qui avait
°,2. Soir : T. 39°,9 ; on donne un grand bain d'une heure à 25°, la
température
tombe à 37°, 6. (Fig. 18.) Fig. 18. Chaque lign
Fig. 18. Chaque ligne verticale répond 1 5 minutes. x signifie la
température
initiale. La courbe inférieure répond 1 la tempér
signifie la température initiale. La courbe inférieure répond 1 la
température
du bain, prise de 5 en 5 minutes. Les étoiles *
gramme de sulfate de quinine. P. 112; T. A. 39°,2. Fig. zut. A.,
température
axillaire. - B, température du bain. La deuxièm
ine. P. 112; T. A. 39°,2. Fig. zut. A., température axillaire. - B,
température
du bain. La deuxième partie de la figure représ
, température du bain. La deuxième partie de la figure représentera
température
de l'eau du bain. Les étoiles * indiquent les m
, bulbaire et médullaire. On donne le soir un second bain à 25°, la
température
axillaire étant de 39°, on abaisse la températu
nd bain à 25°, la température axillaire étant de 39°, on abaisse la
température
du bain il 22°,5, en trois quarts d'heure et au
e du bain il 22°,5, en trois quarts d'heure et au sortir du bain la
température
re- vient à 38°,3. Ce bain (Fa'g.. 9) a été don
e, comme le précédent, et nous avons ainsi établi la marche de la
température
, en maintenant le thermomètre dans l'aisselle p
le vestibule du larynx et les Fig. 20. - Les signes x indiquent des
températures
vaginales. Les étoiles * indiquent les grands b
émorrhagie sous-méningée et intra-encéphalique; i abaissement de la
température
. Autopsie : Anomalie artérielle. Foyer hémorrha
lectuels. Mentionnons seulement le nystagmus et l'abaissement de la
température
centrale (36°,2), suivi d'une élévation assez r
our les autres espèces de sensibilité, pour la force musculaire, la
température
, les phé- nomènes vaso-moteurs, etc. Il fut con
ion numérique du transfert se fait aussi très com- modément pour la
température
et pour la force musculaire. MÉTALLOSCOPIE, MÉT
ne du corps) indi- quent au début de l'expérience une différence de
température
, en faveur du côté sain, qui peut être de plusi
simple changement de distribution. Pour observer le transfert de la
température
, les thermo- mètres médicaux qui donnent le dix
e, en même temps que la pâleur des téguments et l'abaissement de la
température
superficielle. Chez quelques malades, il se pro
ert, mais incomplet; c'est-à- dire que les autres modifications, de
température
, de force musculaire, etc., ne s'opèrent pas en
ts. Transporté à l'hôpital le jour même, il avait à son arrivée une
température
de 39°,7 et à minuit de z,5. Le lendemain, la t
rivée une température de 39°,7 et à minuit de z,5. Le lendemain, la
température
tomba à 38°,8, et ne remonta à 40° que le matin
ux d'abord du même côté, puis du côté opposé. C'est au moment où la
température
, qui était d'abord de 39°,5 , subit un abaissem
lombaires suivie dedilatation des vais- seaux et d'augmentation de
température
des membres postérieurs ; mais on peut objecter
aire.- Anesthésie, hyperesthésie, tremblements, modifications de la
température
, atonie, etc., etc. Sang. On y observe une déso
ne action accélératrice plus forte sur le pouls, la respiration, la
température
, que les bains REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 621 <
ui- sant une pâleur unilatérale de la face avec abaissement de la
température
cutanée et la dilatation pupillaire; 2° la forme
aralysés ont souvent une coloration plus ou'moins violacée, et leur
température
est inférieure à celle des membres' du côté sai
manifester,, isolément. Ces, accès donnent lieu à une élévation de,
température
semblable à celle des accès d'épilepsie vulgaire;
ne par une période éphémère de stertor. Dans les accès isolés, la
température
ne s'élève que de quelques dixièmes, ils ne diffè
...LX' 1 La '1. ? > f"'b' '1 ? E -lIIaRAGLIA\0, i.n-8ot XI. La
température
*^ cérébrale;' par 'Maragliano, i.n-8°, ''L1 ? T
l comme' contenant de nombreux documents - nouveaux'à' propos de la
température
cérébrale; d'autant plus que ces recherches éta
s. Les chapitres les plus intéressants sont ceux qui ont trait à la
température
cérébrale pendant le sommeil naturel et provoqu
provoqué, et au moment de la douleur. M. Maragliano admet que la
température
céphalique s'élève dans le sommeil naturel et q
eil provoqué par le laudanum, il y aurait un certain abaissement de
température
, cet abaissement serait encore plus accentué da
alique. Lors de la douleur, il y aurait une élévation marquée de la
température
céphalique. D'après 16 observations, il en sera
nitrite d'amyle (15 observations). M. Maragliano a aussi pris la
température
cérébrale après l'action du bromure de potassium
à la dose de 3 à 5 grammes. Dans dix observations, il a vu que la
température
s'élevait. Ce travail est donc intéressant au p
out t pas la question physiologique, c'est-à-dire de savoir si la
température
céphalique est bien une température cérébrale l
e, c'est-à-dire de savoir si la température céphalique est bien une
température
cérébrale locale et s'il est possible d'établir
1 Archives de Neurologie, fasc. 1, p. 99,1880. 2 L'élévation de la
température
centrale a été mentionnée par divers auteurs et
Tabès dorsal (rapports de la syphi- lis et du), par Westphal, 580
Températures
cérébrales (tempéra- tures périphériques et), d
, dans les paralysies, par Blaise, 34 ? ;- par Maragliano, 633.
Température
cérébrale, par Putnam Jacobi, 306;-pardeBoyer,9
fort. - L'urine est claire, ne contient ni sucre, ni albumine. - La
température
prise sur chaque cuisse avec un thermomètre de
graisse. On ne constate pas à la main d'abaissement notable de la
température
. Le thermomètre appliqué sur le devant de la po
s tumeurs cervicales, a marqué successi- vement 3 : i°,6 et z,2, la
température
extérieure étant de : 250. La température recta
ement 3 : i°,6 et z,2, la température extérieure étant de : 250. La
température
rectale, prise matin et soir pendant huit jours
t à 37 ? le soir. Il parait donc exister un léger abaissement de la
température
centrale. Le ventre est volumineux. Les membr
actères que sur le tronc; toutefois, on y observe un abaissement de
température
, sensible même à la main; le thermomètre, appli
ale; la peau a repris sa coloration et sa rénitence habituelles, la
température
est stationnaire. 32 IDIOTIE C12R'rINOIDE.
diaques, ils sont nets, mais profonds, sourds. La respiration et la
température
axillaire sont sensiblement normales. Voici les
é prise et on a trouvé : 1 h. de l'après midi, T. ax. 3>°,4.. La
température
atmosphérique est assez froide. Celle nuit le t
nférieures.-Diminution de la glande thyroïde ; (tuais- sement de la
température
; insomnie : cris ; perte du langage arti- culé
British médical Journal, 20 janvier 1883. 60 IDIOTIE CRÉTINOÏDE.
température
tomba fréquemment à 33 ? 4. Elle restait souvent
ème. Les cheveux sont couleur de jais, assez épais, mais durs. Sa
température
en moyenne est de 37° dans le rectum, mais la t
urs. Sa température en moyenne est de 37° dans le rectum, mais la
température
de la surface est toujours subnormale 35° ou 3G°d
plus en les maintenant dans un milieu porté artificiellement à une
température
élevée : M. Horsley rapporte les symptômes obse
ujours peu abondantes. Pas de fièvre ; on note un abaissement de la
température
. Raideur de la nuque. 19 juin. L'état du mala
Cris. Respiration très irrégulière. Pouls, régu- lier, 75. (Pour la
température
, voy. Planche V.) 22 juin. La mère assure qu'au
lution; respiration un peu stertoreuse ; pouls rapide, incomptable.
Température
de la peau assez élevée. Strabisme persistant,
ce présente des plaques rouges. Coma. Mort à onze heures du soir.
Température
un quart d'heure après la mort, 42°,3 ; une heu
Coma et mort précédée de deux vomissements. Au moment de la mort la
température
s'élève de 380 à 39°, 2. La température pendant
. Au moment de la mort la température s'élève de 380 à 39°, 2. La
température
pendant la première semaine d'hôpital est const
it (3 ? o,2) ( ? ) et le pouls à 116. Dans la quinzaine suivante la
température
a oscillé entre 9E° et 99". F. (35°,5 à 37° c.)
a oscillé entre 9E° et 99". F. (35°,5 à 37° c.). A partir de là la
température
, le matin, était de 3G,,1 et le soir de 100°. F
traient en contracture dès qu'on voulait les fléchir.. RÉFLEXIONS ;
TEMPÉRATURE
. ' ' 127 Le réflexe rotulien était exagéré. Les
une constipation opiniâtre. Le pouls était très irrégulier et la
température
un peu élevée (38°,8). L'état du malade s'aggra
ote une période d'hypothermie qui mérite d'attirer l'attention : la
température
oscille entre 37° et 36°. Alors, tout d'un coup
6°. Alors, tout d'un coup, la fièvre s'alluma et, en deux jours, la
température
atteignit 41° et monta même â 42°, au moment de
ière. (La Planche V donne une idée très exacte de la mar- che de la
température
; c'est peut-être le premier tracé de ce genre q
ne différait pas sensiblement des enfants de son âge. MARCHE DE LA
TEMPÉRATURE
. z IL C'est dans le cours de la sixième année q
et fait penser que la méningite était de nature tuberculeuse. La
température
a suivi une marche ascensionnelle dont les cara
aspect de granulations miliaires et de tubercules assez l;'i[J, 17.
température
un quart d'heure après la mort. + tempéra- ture
t d'heure après la mort. + tempéra- ture une heure après la mort. X
température
deux heures après la mort. volumineux. Parmi
ouls 97, irrégulier; respira- tion irrégulière ; toux fréquente. La
température
oscille entre 37° et 38°. 18 février. Ce mati
solide. La situation est à peu près la même les jours suivants; la
température
reste normale jusqu'au 7 juin, ce jour-là on no
Uber die Bruche der Rippen und ihrer Kno1pel. Wùrzburg, 1847. 226
TEMPÉRATURE
dans LES ACCÈS isolés d'épilepsie. X. De la t
47. 226 TEMPÉRATURE dans LES ACCÈS isolés d'épilepsie. X. De la
température
dans l'épilepsie ; Par bourneville. I. Tempér
. X. De la température dans l'épilepsie ; Par bourneville. I.
Température
dans LES accès isolés d'épilepsie. En 1870, dan
s accès isolés d'épilepsie déterminaient une légère élévation de la
température
centrale. Deux ans plus tard, dans nos Etudes c
ègle posée par nous, à savoir que l'accès d'épilepsie augmente la
température
et, à l'occasion, dans les observations publiée
é- rébrale et dans quelques maladie-ode l'encéphale. Paris, 1870.
TEMPÉRATURE
DANS LES ACCÈS ISOLÉS D'ÉPILEPSIE. 227 tion est
ès pris individuellement n'exerce généralement aucune action sur la
température
du corps du patient, mais les séries d'accès ré
(Berliner Klin. 1Yochel1schl'i(t, n9 43 et 44, octobre 1886.) 228
TEMPÉRATURE
DANS LES ACCÈS ISOLÉS D'ÉPILEPSIE. TEMPÉRATURE
octobre 1886.) 228 TEMPÉRATURE DANS LES ACCÈS ISOLÉS D'ÉPILEPSIE.
TEMPÉRATURE
DANS LES ACCÈS ISOLÉS D'ÉPILEPSIE. 229 230 TEMP
ÉPILEPSIE. TEMPÉRATURE DANS LES ACCÈS ISOLÉS D'ÉPILEPSIE. 229 230
TEMPÉRATURE
DANS L'ÉPILEPSIE. Au début de son travail, M. W
ravail, M. Witkowski exprime le regret que l'existence « des hautes
températures
qui s'observent souvent chez les épileptiques d
Derou ? 3 ? ° et deux heures après 37°,3 ; une autre fois : 370,2
TEMPÉRATURE
DANS LES ACCÈS SÉRIELS D'ÉPILEPSIE. 231 espéron
tique. Conclusions. 1° Les accès isolés d'épilepsie augmentent la
température
centrale; 2° Cette augmentation varie entre un
re dixièmes ; elle est en moyenne de 5 à 6 dixièmes de degré. II.
Température
dans LES accès SÉRIELS d'épilepsie. Les accès d
avons vu que les accès isolés déterminaient une augmentation de la
température
oscillant de quel- ques dixièmes de degré à un
rit précédemment (1869, 1870, 1873, etc.). Comment se comporte la
température
dans les accès sériels ! Absolument de la même
c'est-à-dire qu'ils n'occasionnent qu'une légère augmentation de la
température
centrale. Nous l'avons démontré dans notre thès
nous avons noté une autre fois : 37°,9 au bout de deux heures. 232
TEMPÉRATURE
DANS LES ACCÈS SÉRIELS D'ÉPILEPSIE. tres public
Dr Witkowski contestant ce que nous avons dit sur la marche de la
température
dans les accès sériels, comme il a contesté ce
pris individuelle- ment n'exerce généralement aucune action sur la
température
du corps du malade, mais les séries d'accès rép
Paris, 1869, p. 165, et Bulletin de la Société analomique, 1869.
TEMPÉRATURE
DANS LES ACCÈS SÉRIELS D'ÉPILEPSIE. 233 Second
riant de 2 à 7 accès, nous avons noté une légère augmentation de la
température
, ne différant guère de celle qui s'observe aprè
d'accès de l'état de mal épileptique. Bourneville, 1886. 16 234
TEMPÉRATURE
DANS L'ÉTAT DE MAL. III. DE LA TEMPÉRATURE DANS
rneville, 1886. 16 234 TEMPÉRATURE DANS L'ÉTAT DE MAL. III. DE LA
TEMPÉRATURE
DANS L'ETAT DE MAL ÉPI- LEPTIQUE. En nous app
us avons fait voir que les accès isolés d'épilepsie augmentaient la
température
centrale de quelques dixièmes de degré à un deg
ste à doux et mémo trois séries nettement séparées, la courbe de la
température
alors est d'ordi- naire, quoique non toujours,
rouble psychique. Dès qne la connaissance récupère sa liberté,, les
températures
élevées disparaissent 1 Les lignes précédentes
e nos travaux sur ce sujet, les notes des pages 2 ? 6 et 232. 236
TEMPÉRATURE
DANS L'ÉTAT DE MAL. - ration.; 5° et surtout pa
AL. - ration.; 5° et surtout par une élévation considérable de la
température
, élévation qui persiste dans les inter- valles,
périodes, comme le fait, un peu après nous, Flg. 23. - Tracé de la
température
rectale dans un cas d'état de mal type, terminé
uyant sur des observations rigoureuses. Nous avons insisté sur la
TEMPÉRATURE
DANS L'ÉTAT DE MAL. 237 marche, la durée, le
a période méningitique; la mort survenait enfin que dans '23H 8
TEMPÉRATURE
DANS l'ÉTAT DE MAL. d'autres circonstances l'ét
ype le plus parfait. La figure 23, qui repré- sente la marche de la
température
centrale, nous offre deux ascensions : l'une qu
eures. La figure 24, inédite, nous montre une seule ascension do la
température
centrale, celle de la période convulsive. Un
près le dernier, alors que l'enfant était dans un état comateux, la
température
rectale était à 41°. Les accès disparaissent, l
ssance revient assez vite et, en même temps, au sur et à mesure, la
température
baisse jusqu'à 38". Mais bientôt la scène chang
e malade tombe dans un assoupis- sement de plus en plus profond, la
température
subit une nouvelle ascension, qui s'élève jusqu
es.-Adhérences du prépuce. Varicocèle. - Etat de znàl épileptique :
température
. Mort. Autopsie : Congestion du poumon droit)
upilles moyennement dilatées, la gauche un peu plus que la Fig. 26.
Température
dans un état de mal terminé par la mort. , T. 1/4
- phérique, à peu de distance du début de sa courbe ; cetto scis-
TEMPÉRATURE
DANS L'ÉTAT DE MAL. 249 sure est de nouveau cou
obule de l'insula possède, de chaque côté, quatre digitations. La
température
centrale a été prise à des intervalles rapproch
TAT DE MAL. son ensemble nous présente une élévation rapide do la
température
(Fig. 26). Nous rapprocherons de ce tracé celui
e tracé celui que représente la fig. 27 ; il montre la marche de la
température
dans un état de mal qui s'est terminé en trente
- nières heures qui ont précédé la mort. L'abaissement Fig. 27. -
Température
dans un état do mal épileptique limité la période
au moment de la moit ? T, une heure après la mort. relatif de la
température
(.40°) a suivi une application de sangsues (1).
ns reproduits permettent d'avoir une idée exacte do la marche de la
température
dans les principales formes de l'état de mal ép
de Se. Se. 258 EXPLICATION DES PLANCHES. TLANCHE V. Tracé de la
température
dans un cas de tuberculose de la protubérance a
annulaire. h.1a15. - 111'. V. GOUPY ET JOU11DAN, ItUE DE -dl P
Température
rectale dans un cas de tuberculose de iii ottibér
la respiration; 5° et surtout par une élévation considérable de la
température
, élévation ,(1) Note lue à la Société de Biolog
droit ; - examen ophthalmos- conique ; coma; élévation rapide de la
température
(4(°,4); - émissions sanguines, glace, etc.; ab
apparition du coma; secousses convulsives; élévation nouvelle de la
température
( ! ¡.f 0,4) ;- mort. Autopsie : Atrophie de l'
, la malade a demandé et bu du bouillon. A 10 heures ' : P. 120 ;
température
vaginale 38°. - A partir de 10 heures trois qua
; à midi, L... avait eu 17 nouveaux accès; le pouls était à 128, la
température
à 3ne, 3 : l'état de mal était constitué. Des
; R. 48; T. V. 40°,6; le pouls a donc baissé de 24 pulsations et la
température
de 8110 de degré. Glace ; 1 II lav. avec sulfat
st-à-dire lorsqu'il y a une rémission d'une heure ou même moins, la
température
n'est guère plus élevée qu'à la suite d'un seul
rès la multiplicité des accès, c'est assurément l'élévation de la
température
que nous voyons monter de 38° à 41, 4 dans l'es
doute (Loc. ciG : , p. 246), donnent lieu à une augmentation de la
température
; mais cette augmen- Fig. 1. - Température au mo
à une augmentation de la température; mais cette augmen- Fig. 1. -
Température
au moment de la mort. -f- Température' une heur
2 ÉTAT DE MAL ÉPILEPTIQUE, tation n'est que passagère et bientôt la
température
revient à son chiffre normal. Il en est de même
pilep- tique, au lieu de redescendre au chiffre physiologique, la
température
lui demeure supérieure et au sur et à mesure qu
s'affaiblissent de plus en plus jusqu'à paraître même éteintes, la
température
monte et cette ascension s'effectue avec une gr
ce. La sensibilité est moins obtuse ; le pouls moins fré- quent, la
température
moins haute (40°, 4). Cette améliora- tion, bie
ulsives; la respiration et le pouls augmentèrent de fré- quence, la
température
monta de nouveau à 41°, 4 et la malade mourut s
sur ce dernier point afin de bien in- diquer que l'élévation de la
température
n'est pas unique- ment due aux convulsions. É
ubitus, agitation maniaque, contrac- ture, etc.) ; mais toujours la
température
s'élève,. La malade doit-elle succomber ? Tous
alade doit-elle succomber ? Tous les symptômes s'accen- tuent et la
température
atteint 41°, 42° et même davantage. Doit-elle g
consume alors plus difficilement ou même ne brûle pas du tout. La
température
de la mouffle doit donc être parfaitement réglée
doit se faire dans une capsule de porcelaine au bain-ma- rie, à la
température
de 8o190. Quand l'attaque sera termi- née, que
eront reprises et épuisées par une très grande quantité d'eau, à la
température
de l'ébullition, s'il reste des particules de c
noir, obtenu après la volatilisation de l'acide sulfu- rique à une
température
suffisamment élevée, . a été de même chauffé au
ature, sa coloration et sa sensibilité normales (1), (l) Souvent la
température
dépasse même celle de la peau voisine et la mai
subissaient eux-mêmes une action analogue. , Tenapérazc7°e. - La
température
centrale est influencée d'une façon très-remarq
faites sur des lapins, M. Amez- Droz a observé un abaissement de la
température
qui des- cendit dans l'une d'elles de 39° à 36°
itement à cet égard. En effet, nous avons vu déjà, dansl'Exp. I, la
température
tomber de 390,4 4 à 3 ? 7 et dans l'Exp. III, d
38° à 34° ; deux heures et demie après le début de l'expérience, la
température
était à 38°,4.Les ex- périences que nous allons
us éprouver rien d'anormal, buvait du lait, etc. L'abaissement de
température
, produit par le nitrite d'a- myle, a été dans c
is cons- taté. Nous avons vu, par exemple, chez un jeune chat, la
température
descendre jusqu'à 28°,8 et, malgré cet énorme r
ps après la suspension des inhalations, succède une élévation de la
température
qui dépasse souvent, mais momentanément, le deg
TION XVII. Etat demal épileptique, Coma profond. Augmentation de la
température
. Inhalations de nitrite d'amyle. - Retour de la
e nitrite d'amyle. - Retour de la, connaissance. Diminution de la
température
et du nombre des accès (Crichton Browne, loc. c
compta 25 accès; le pouls était à 81; la respiration précipitée; la
température
à 390,2 2 le matin et 39°, 5 le soir. Le bromur
s de furie. -Etat de maul él)ile,vlique : coma , augmentation de la
température
. - Niloite d'amyle : diminution de la températu
ugmentation de la température. - Niloite d'amyle : diminution de la
température
, retour de la connais- MMCC ? Z)M ? MmMom du no
: aucune lueur de connaissance en1re les accès ; élévation de la
température
; Nitrite d'amyle : abaissement de la température
; élévation de la température ; Nitrite d'amyle : abaissement de la
température
. - Retour de la connaissance. (CRICHTON BROwNE
lévation de la tempé- rature. -Nit1'ite d'amyle : abaissement de la
température
; re- tour de la connaissance. (Crichton Browne,
ptique avec tous ses caractères, et en particulier l'élé- vation de
température
que nous avons depuis longtemps minutieusement
geants. Observation XXI. Etat de mal épileptique; élévation de la
température
; nitrite d'amyle, diminution de la température;
que; élévation de la température; nitrite d'amyle, diminution de la
température
; cessation des accès ? Paralysie à droite; amél
ès. La déglutition est impos* sible, le coma absolu. A ce moment la
température
vaginale est à 4.0°, 6. Nous faisons inhaler
al épileptiqu(3)' Nombre des accès ; - Elévation considérable de la
température
(42°, 4); Inhalations infructueuses de nitrite
10 décembre 1875 à 4 heures du soir. - Après le douzième accès, la
température
rectale était à 38°,7. A 10 heures, on avait co
ns de douze gouttes chaque fois. Après la dernière, T. V. 40°,8; la
température
a donc diminué de 3110 de degré sous l'influenc
t eu déjà, en moins de vingt heures, plus de cent accès et que la
température
centrale atteignait 40°, 7. Peut-être aussi, n'
r les accès qui n'ont reparu que trois heures plus tard ; 2° sur la
température
qui a diminué de 3/10 de degré. ' NITRITE D'A
eptique. Fréquence des accès. - Nitrite d'amyle : abaissement de la
température
; Amélioration. - Merl... Louise, 10 ans. 28 j
s se produit. Inhalation de nitrite d'amyle. Eu tout 40 gouttes. La
température
, prise alors, est descendue à 37°J ? il y a don
de cette substance s'est, en effet, très-nettement exer- cée sur la
température
. Si maintenant, nous jetons un coup d'oeil d'en
Hystérie et epilepsie. Nitrite d'amyle Hallucinations de la vue. -
Température
. Dan ? D., 28 ans (Service de M. CHARCOT), a ét
ttaques. A 11 heures trois quarts, les convulsions conti- nnant, la
température
vaginale est à 38". Vingt gouttes de nitrite d'
rques de M. Crichton Browne (pages 79-80). 2° L'abaissement de la
température
, qui a été noté dans tous les cas où il a été r
et marche en traînant la jambe. La sensibilité à la douleur et à la
température
est entièrement abolie sur la moi- tié droite d
gauche est normale, la droite est contractée. Le pouls est à 68, la
température
rectale à 37°, 2 à 9 heures du soir et 37° à 10
iciles à comprendre, par suite de la con- tracture de la langue. La
température
rectale, prise au mo- ment du stertor, était de
bilité est abolie sur toute la surface cutanée (contact, dou- leur,
température
). L'hyperesthésie ovarienne gauche est la même.
prétend ne pouvoir apprécier ni la forme, ni la consistance, ni la
température
. -Lorsqu'on l'engage à placer l'index sur son n
Pas de différence bien appréciable entre les membres supérieurs. La
température
prise au-dessus du genou, à la face interne de
es maladies du système nerveux; t. 1, 2 édi- tion, p. 320. (21 La
température
centrale, sous l'influence des attaques ne dépass
ffre de 38 degrés et quelques dixièmes. Pour plus de détails sur la
température
dans l'hystérie, voyez Bourneville : Etudes clini
la parole embarrassée, le pouls monte à 132 pulsations par minute, la
température
rectale s'élève à 10°, 2. Un matin, on la trouve
la trouve dans le coma. La respiration est devenue. stertoreu.se, la
température
atteint 41°,8. Mort le 11 Mars 1867. A Yautopsi
ril 1807, avec hémiplégie du côté droit, meurt le 3 mai 18G7 avec une
température
rectale de 10°,0. Al'autopsie, on trouve un foy
égie. Le pouls devient très fréquent, fa respiration s'embarrasse. La
température
monte à 39°,8 ; la mort survient deux jours après
une partie de la journée, dans une atmosphère humide, chauffée à une
température
très élevée. Plusieurs fois, pendant l'année 1865
s. — Attaque d'apoplexie, paralysie des quatre membres, coma profond,
température
axillaire 39°,0. Mort dans les vingt-quatre heure
érieurs, principalement à droite, et elle meurt dans le coma avec une
température
rectale qui s'est élevée jusqu'à 39°,6 trente-qua
he. Eschare de la fesse du côté paralysé et élévation terminale de la
température
. Mort neuf jours après l'attaque, le 31 juillet 1
s paraysés. Agitation, délire, carphologie. Elévation terminale de la
température
, qui monte jusqu'à 40°. Mort le troisième jour ap
; mouvements conservés dans les quatre membres; pas de différence de
température
d'un côté du corps à l'autre; dyspnée intense. Mo
ie de convulsions, elle meurt, avec une élévation]considérable cle la
température
centrale qui atteint 42° au rectum le 21 février
t, dans une de ces recrudescences, avec une élévation terminale de la
température
, le 10 novembre 1867. L'autopsie montre dans le
plus graves ; je veux parler de l'ascension brusque du chiffre de la
température
centrale au-dessus de 39°, symptômes qui, d'après
ux mais constants et par cela même irréfutables. VII. Note sur la
température
des parties centrales dans l'apoplexie liée à l'h
des deux dernières années, concernant les modifications que subit la
température
centrale dans l'apoplexie consécutive à l'hémorra
après, presque toujours on a trouvé, surtout dans les cas graves, la
température
notablement abaissée au-dessous du taux normal. A
° ou même un chiffre encore moins élevé; plusieurs fois, en effet, la
température
est descendue jusqu'à 36°. Bientôt le chiffre t
— même en dehors de toute complication — une brusque élévation de la
température
centrale. Dans l'espace de douze, vingt-quatre, q
sieurs fois peu de temps avant sa mort. Cette brusque élévation de la
température
, dans les circonstances qui viennent d'être indiq
omplication inflammatoire viscérale, une série de modifications de la
température
centrale répondant à trois périodes successives.
et rapidement à la mort, est marquée par une élévation brusque de la
température
au-dessus de 39°, 40° ou même 41°. Il importe de
un état fébrile proprement dit, puisqu'ils apparaissent alors que la
température
centrale ne s'élèvepas sensiblement au-dessus du
ler l'attention des physiologistes sur la cause de Vabaissement de la
température
centrale, qui, d'après les observations (au nombr
alenti, de telle sorte qu'on ne peut admettre que l'abaissement de la
température
résulte d'une diminution de Faction du cœur, d'au
a Société de biologie, 1871, p. 100. IX. Sur les variations de la
température
centrale qui s'observent dans certaines affection
aladies qui. s'accompagnent de contractions musculaires exagérées, la
température
du corps est modifiée. On sait que certaines ma
certaines maladies convulsives sont marquées par une élévation de la
température
centrale. Dans le tétanos spontané ou traumatique
rès la mort, particularité qui a été expliquée par l'équilibration de
température
qui s'établit entre les parties où plonge le ther
t des Comptes rendus de la Société de biologie, I8G6, p. 112. 2. La
température
dans le tétanos traumatique s'élève souvent jusqu
5. — Billroth, Beobachtungstudien ûber De notables élévations de la
température
ont été observées aussi dans les accès épileptifo
cette dernière maladie, nous avons pu constater plusieurs fois que la
température
s'élève d'autant plus que les crampes sont plus i
érales, et ils ont observé dans leurs expériences une élévation de la
température
, comparable à celle qu'on rencontre chez l'homme
ur se communique du muscle au sang qui le traverse. L'élévation de la
température
centrale, Wundfleber, (Archiv für Chirurgie, Bd
es atteints de ces deux affections nous ont montré constamment que la
température
centrale, quelque intense que soient les mouvemen
oscillations doubles par minute, à l'aide des membres supérieurs, la
température
rectale ne s'élève pas au-dessus de 37°,2. Dans
énérales, et nous avons recherché ce que devient dans ces deux cas la
température
centrale. Dans tous les cas, nous avons exploré
s la température centrale. Dans tous les cas, nous avons exploré la
température
du gros intestin à l'aide d'un thermomètre introd
auffer préalablement le thermomètre jusqu'au point correspondant à la
température
présumée de l'animal. Avant de commencer l'expéri
ons sous-cutanées avec le sulfate de strychnine. I. Chat vigoureux.
Température
rectale avant l'expérience, 35°, 8. Injection de
e terminent par la mort. Une minute aprèsle début des convulsions, la
température
est montée à 39 degrés ; au bout d'une demi-heure
t et pendant huit minutes après la mort. II. Lapin assez vigoureux.
Température
rectale avant l'expérience 38°, 9. Injection de 2
ite en cinq fois dans l'espace d'une demi-heure. Pendant ce temps, la
température
est descendue graduellement à 38 degrés. Les conv
d'abord, puis seulement cloniques, et une minute après leur début, la
température
est montée à 38°, G ; deux minutes et demie après
oideur ayant cessée, et les mouvements cloniques persistant seuls, la
température
descend graduellement en une demi-heure à 37°, 3.
ce moment sans nouvelles convulsions. III. Lapin de taille moyenne.
Température
rectale avant l'expérience 38°, 8. Injection de 1
e minute et demie après surviennent des convulsions cloniques et la
température
descend à 38°, 2. Les convulsions toniques arrive
convulsions toniques arrivent quatre minutes après l'injection, et la
température
remonte à 38°, 8. Deux minutes après, elle est à
encore après une minute à 39°, 6. La mort survient à ce moment et la
température
reste à 39°, 6 pendant six minutes après la mort.
, 6 pendant six minutes après la mort. IV. Lapin gros et vigoureux.
Température
rectale avant l'expérience 37°, 6. Injection de 5
ence 37°, 6. Injection de 5 milligrammes de sulfate de strychnine. La
température
descend d'abord, en trois minutes, jusqu'à 37°, 4
tes, jusqu'à 37°, 4. La convulsion tonique apparaît à ce moment et la
température
remonte à 37°, 5, mais les convulsions prennent i
5, mais les convulsions prennent immédiatement le type clonique et la
température
descend graduellement, et en cinq minutes et demi
es et demie, à 37°, 2. La mort survient à ce moment. V. Jeune chat.
Température
rectale avant l'expérie-nce 39 degrés, Injection
sulfate de strychnine. Trois minutes après, convulsions toniques ;la
température
monte à 39°, 2 ; une demi-minute après, elle est
ute après, elle est à 39°, 3. Les muscles redeviennent flasques et la
température
redescend à 39°, 2. Deuxième série d'expérience
jections d'extrait de fève de Calabar. VI. Lapin de taille moyenne.
Température
avant l'expérience 38°, 4. Injection de 18 centig
de 18 centigrammes d'extrait de fève de Cala-bar. En onze minutes, la
température
descend à 38 degrés. A ce moment, les convulsions
convulsions commencent, mais elles présentent le type clonique et la
température
continue à descendre graduellement, pendant dix m
éianisaiion par des courants induits. VII. Lapin gros et vigoureux.
Température
rectale avant l'expérience 39°, 5. Introduction d
on avec un élément de Bunsen. L'animal est immédiatement tétanisé, la
température
s'élève en cinq minutes trois quarts à 40°,2. On
ve en cinq minutes trois quarts à 40°,2. On interrompt le courant, la
température
redescend en cinq minutes à 39°, 8. On rétablit l
rature redescend en cinq minutes à 39°, 8. On rétablit le courant, la
température
remonte en six minutes et demie à 49°, 2. A ce mo
minutes et demie à 49°, 2. A ce moment, les contractions cessent, la
température
redescend en trois minutes, à 40°. On interrompt
en trois minutes, à 40°. On interrompt le courant. L'animal meurt. La
température
se maintient à 49° pendant dix minutes après la m
° pendant dix minutes après la mort. VIII, Lapin gros et vigoureux.
Température
rectale avant l'expérience 39°, 4. La bobine étan
chidien sans léser la moelle. L'animal est immédiatement tétanisé. La
température
monte en une minute à 39°, 5. L'animal ne respira
irant pas, on interrompt le courant, la respiration se rétablit et la
température
descend en cinq minutes, à 39°, 1. Le courant est
minutes, à 39°, 1. Le courant est rétabli, la roideur reparaît et la
température
remonte en une minute à 39°,4. A ce moment, la ro
. A ce moment, la roideur cesse, quoique le courant soit maintenu, la
température
descend en deux minutes à 39°,2. On interrompt le
9°,2. On interrompt le courant et après deux minutes trois quarts, la
température
est encore descendue à 39°, 1. Le courant est alo
ors rétabli, la roideur se reproduit, et en cinq minutes et quart, la
température
a monté à 39°, 0. Le courant est supprimé, et en
é à 39°, 0. Le courant est supprimé, et en trois minutes et demie, la
température
est revenue à 39°, 2. L'animal meurt. Ces expér
), s'accompagnent presque immédiatement d'une élévation notable de la
température
centrale ; celle-ci, au contraire, n'est pas affe
Aux membres inférieurs, les sensations de contact, de pression, de
température
sont amoindries, mais non complètement abolies ;
iirnkranhheiten. page 50, Berlin, 18558), diminuée sur ce membre.La
température
de la main droite est, ce même jour, un peu plus
s chauds que ceux du côté droit. Langue sèche, peauchaude ; pouls 66,
température
rectale 37°,8. 3 et 4 août. — Mémo état, seulem
, température rectale 37°,8. 3 et 4 août. — Mémo état, seulement la
température
centrale s'élève progressivement tle4, au soir, e
, elle atteint38°,5. Le 6 août, la déglutition est devenue diflicile.
Température
centrate le soir, 39°. Le 7 août : coma profond,
oloration violacée, vineuse ; respiration précipitée, irrégulière. La
température
de la peau paraît très-élevée : une sueur visqueu
ès-élevée : une sueur visqueuse couvre tout le corps, 116 pulsations.
Température
rectale. 40°, le matin; le soir, 11°,8. La mort s
re un peu de rigidité au niveau de la jointure. Selles involontaires.
Température
rectale : 38", 1. 8 mars, matin. —La malade par
trouve sous le jarret gauche, 30°,3, sous le jarret droit, 34°,2. La
température
rectale est de 39°, 4; à l'auscultation, on perço
scharc s'est agrandie, le 17et le 18, le coma a été moins profond; la
température
a baissé (T. R. 38°J. Les douleurs persistent dan
une eschare s'étaient produites sur la fesse du côté paralysé, et la
température
centrale avait atteint 39°, 4, bien qu'il n'exist
rsal un gonflement manifeste et une coloration d'un rouge violacé. La
température
de la main droite (3f °, 5), est plus élevée que
oite (3f °, 5), est plus élevée que celle de la main gauche (35°, o).
Température
rectale 38° 5. Le membre inférieur, demi-fléchi
sensibilité, et quand on la pince, il y a des marques de souffrance.
Température
rectale, 37°, à. 11 avril. — L'état s'est aggra
s, appréciable surtout à la paume delà main (1), et en même temps une
température
plus élevée que les membres du côté sain. Suivant
uite d'une lésion du cerveau, l'arthrite et 1. Polet. —Etude sur la
température
des parties paralysées. (Gaz. hebdom. 5 avril 186
e qui est dit doit s'entendre également de la force musculaire, de la
température
, de la tonicité des petits vaisseaux dont les mod
. « Les effets de l'application externe de l'or sont multiples : la
température
s'élève, la sensibilité reparaît, la force dyna-n
ait assuré que ces objets de fer n'agissaient pas simplement par leur
température
, par la pression qu'ils déterminaient, etc. ; d'a
produits par l'approche d'un aimant consistent dans des variations de
température
, des convulsions, des spasmes ioniques, des ane
brale du tiers'postérieur de la capsule interne.. 89 VII. Note sur la
température
des parties centrales dans l'apoplexie liée à l
e sujet.... ......"................ 94 IX. Sur les variations de la
température
centrale qui "s'observent dans certaines affect
Apoplectiques, ecchymoses viscérales chez les —, p. 86. Apoplexie,
température
centrale dans 1' —, p. 91, 94. Arachnoïde, abcè
del' —, p. 72;— du tiers postérieur de la capsule interne, p. 89 ; —
température
centrale dans I' —, p, 91. Hyperexcitabilité neur
806; — guérison d'une contracture hystérique par—, p. 474,522. T
Température
centrale dans l'apoplexie cérébrale, p. 91; — cla
ée dans notre service (6 mars). 7 mars. Impossibilité de prendre sa
température
, telle- ment II... est agitée ; préhension impo
sion de la quinine que l'enfant prenait depuis quelques jours. La
température
se maintient entre 38° et 39°. Eruption pur- pu
e dans l'après-midi. T.R. 40°, 5. - Mort à 10 heures 1/2 du soir.
Température
après décès. ' CRANE ET cerveau. 35 plagiocép
ons pris la tempéra- turc rectale durant les cinq premiers jours.
Température
à l'entrée. Manie; température. 83 Du 7 au 27
le durant les cinq premiers jours. Température à l'entrée. Manie;
température
. 83 Du 7 au 27 avril, la température rectale os
mpérature à l'entrée. Manie; température. 83 Du 7 au 27 avril, la
température
rectale oscille entre 36°,6 et 37°,4, le plus s
le 20 mai. En résumé, dans ce cas de manie bien caractérisée, la
température
n'a jamais été fébrile, malgré l'inten- sité, à
ime lacté, bains froids toutes les trois heures, chaque fois que la
température
dépasse 39°; deux lavements froids par jour.
vation de son état général en dehors de l'élévation constante de la
température
qui atteint 40°, 1, le- 30 septembre au soir. L
scrètes sur l'abdomen , légère diarrhée. - A partir do ce moment la
température
baisse, la déferrescence est com- plète le 10,
lète le 10, et le malade commence à s'alimenter. 12 septembre. - La
température
remonte le soir à .'i8, la diarrhée réapparaît,
istaxis. Examen des urines impos- sible. Jusqu'au 14 septembre la
température
baisse régulièrement, les signes stéthoscopique
comme autrefois son corps d'avant en arrière. 14 septembre. - La
température
remonte le 15 au soir et atteint 38", 9. Cepend
lonnement du ventre, pas de lâches rosées, pas de diarrhée. Puis la
température
recommence à descendre régulièrement, et le mal
taches rosées sur l'abdomen et les flancs. Céphalée persistante. La
température
reste station- naire aux environs de 39°. A p
sparait, la diarrhée est peu abondante. 22 septembre. - Chute de la
température
. A dater 'de ce jour l'amélioration s'accentue,
multueux mais cependant restent bien frappés. 19 septembre. - La
température
qui, la veille au soir, était à 39".3 tombe bru
t à partir de ce jour la convalescence s'effectue régulièrement, la
température
se maintenant tou- jours un peu au-dessous de 3
malade est continuellement assis sur son lit. 19 septembre. - La
température
, qui jusque-là avait oscillé , Cas guéris. -109
de congestion aux deux bases. Du 24 septembre au 1 cr octobre la
température
se maintient autour de 3du, presque sans rémiss
ères clans les six derniers jours de la maladie. 19 octobre. - La
température
tombe à 37° et se maintient à ce niveau, atteig
dique de bains froids toutes les trois heures et chaque fois que la
température
dépassait 39° : leur nombre s'est élevé à 58.
apyrexie pendant lesquels on a recommencé à alimenter le malade, la
température
remonte. Pas d'aggravation des signes pulmonair
- ments laudanisés. - Soir : T. IL 38-,7. - Les jours suivants la
température
oscille aulour de 39°; la diarrhée devient plus
thorax, râles fins dissimulés, mais sans troubles fonctionnels. La
température
tombe aux envi- rons de 38°. L'état général r
qu'au 12 septem- bre où la situation s'aggrave progressivement ; la
température
remonte, et atteint 39°, le 13 au soir. Il surv
l'as d'albuminurie. -.Soir : T. R. 3'.t°. Jusqu'au 18 septembre la
température
se maintient aux environs de 40° sans modificat
ables des symptômes locaux ni généraux. A partir de ce moment, la
température
tend a baisser aux environs de : 3 ! J° en même
s qu'on note une amélioration de l'état général. 2t septembre. - La
température
monte le soir 111¡00,1 ; le 2. ! à 'i0°,5. Le `
n réguliers; pouls bien frappé. Défervescence assez régulière de la
température
jusqu'au 26 septembre. 21 .septemht'ë.Chùteij
m et d'un gramme de caféine sont continuées pendant trois jours; la
température
oscille entre 38° et 39° jusqu'au 4 octobre.
° jusqu'au 4 octobre. i octobre. 0 gr. 5U de sulfate de quinine. La
température
tombe aux environs de Bio et la convalescence s
agitation du malade empêche de suivre régulièrement la marche de la
température
. Guérison. Comme nous l'avons annoncé en commen
eptembre. - Etat stationnaire; selles régulières, sans diarrhée. La
température
oscille autour de 40°. 17 septembre. Dans la jo
bre. Dans la journée convulsions limitées au côté droit. Le soir la
température
remonte à 40°,6. 18 septembre. L'état général b
rement à ce que nous avons observé dans les cas de guéri- son, la
température
après chaque bain s'abaissait en géné- ral d'un
entré à l'Infirmerie générale le 21 novembre. Jusqu'au G décembre,
température
très élevée, se maintenant outre 40° et 4)°. Si
coeur se maintiennent assez énergiques. A partir du 17 décembre, la
température
a commencé à décroître, en même temps que le ma
ue, le malade fait une rechute qui dure 'jusqu'au 21 jan- vier : la
température
n'a pas dépassé 39°, puis elle est retom- bée a
ts et quelques râles disséminés. 30 novembre. État stationnaire, la
température
oscille entre 38 et 39°. (Fig. 9). 2 décembre
la température oscille entre 38 et 39°. (Fig. 9). 2 décembre. La
température
descend : T. R. 37°, 8 et 37°, 1. Les signes st
au début, l'angine est assez intense, l'éruption peu marquée, la
température
atteint 41°, ? 2 le 30 au soir et la desquamation
l sort guéri le 17 décembre. (La fig. 10 représente la marche de la
température
.) 18Q 1. 20 janvier, zig... qui, la veille, a r
de la rate; diarrhée disparue. Pas d'albuminurie. 24 juillet. La
température
se maintient aux environs de 10°. Le malade dor
, léger ballonnement du ventre, pas de diarrhée. 26 juillet. - La
température
tombe le matin à 38° et se relève le soir à 40°
froids qui les jours précédents déterminaient des abaissements de
température
de deux degrés, l'abaissent à peine de deux ou
s et cyanosées. Respiration soufflante et rude aux deux sommets. La
température
oscille entre 40°, 3 et 391, 7. La réaction apr
es à la région précordiale. T.R. 39°, 8 et 40°, 5. 29 juillel. - La
température
tombe le matin il 39°, 8 ut se relève le soir i
ls rapide, mais régulier et assez 1 ! ,bicn,rrapl)(', Le mil tin la
température
est tombée ,iL 37°, 4 et remonte le soir à 39°.
s de glace sur la tête et l'injection d'un centigr. de morphine. La
température
monte progressi- vement à 410. (Fig. 11.) 12
i- vement à 410. (Fig. 11.) 12 août, Mort à 9 heures du matin. La
température
, deux heures avantla mort, était de 4t, 3. 3.
n de Todd; bains froids toutes les trois heures, chaque fois que la
température
dé- passait 39° ; deux lavements froids par jou
lavements froids par jour. Le nombre des bains s'est élevé à 75.
Température
après décès . s PI CI> a ta M if
eole et la scarlatine afin que l'on puisse comparer la marche de la
température
dans ces deux maladies et mieux se rendre compt
température dans ces deux maladies et mieux se rendre compte de la
température
clans la fièvre typhoïde.' ' ? : .; , V..En c
erne cette dernière maladie nous n'avons qu'à noter la marche de la
température
avec -e trois abaissements à clés intervalles p
me lacté, potion de Todll, deux lavements boriques froids par jour,
température
rectale prise toutes les 3 heures et Cas suivis
et Cas suivis de DÉCÈS. Ha bains froids toutes les fois que la
température
dépasse 39°. 7 octobre. - Etat stationnaire. T.
observés ne pouvaient pas faire prévoir d'aussi graves lésions, la
température
, en particulier, loin d'augmenter, a oscillé en
il au 6 mai, Char... est atteint d'une scar- latine peu intense. La
température
, au moment de l'éruption n'a'pas dépassé 39°, 3
e malade est mort dans le coma avec, un abaissement notable de la
température
. Considérations générales. I. Si nous considé
vent une fois de plus que les maladies aiguës, avec élévation de la
température
plus ou moins prolongée, comme la fièvre typhoï
ue la conception a eu lieu durant l'ivresse. IV. Les tracés de la
température
, dans les quatre cas qui se sont terminés par l
s'intéres- ser au chant et à la musique. Les colères ont diminué.
Température
il l'entrée. Entérite ; mort. 189 - 22 févr
Attaques limitées à la phase épileptoïde. Aura. -- Elévation de la
température
après l'accès. Cah... (Charles), âgé de dix-sep
ion de l'anesthésie est sensiblement la même. La sensi- bilité à la
température
est abolie sur la moitié gauche de la face, du
e demande à boire. Il est 11 heures quand l'attaque prend d fin. La
température
rectale prise alors est de 38°, 8. L'attaque es
Lorsque les attaques se succédaient durant un assez long temps, la
température
s'élevait un peu au-dessus de 38° sans jamais a
marqués. Attaques limitées à la phase épileptoïde. Elévation de la
température
après l'attaque. Secousses. Hallucinations. Att
le côté droit du corps. Il en est de même de la sensi- bilité à la
température
. Pas de plaques d'hypéresthésie ni d'anesthésie
inutes, puis a été pris d'une atta- que qui a duré sept minutes. Sa
température
après l'attaque était de 38°,2, un quart d'heur
ment et marche en trébuchant. Il est pâle et respire difficilement.
Température
à la fin de l'attaque, 38°,2. Une demi-heure ap
ature à la fin de l'attaque, 38°,2. Une demi-heure après l'attaque,
température
37°,9. Deux heures après, température 36°,9.
e demi-heure après l'attaque, température 37°,9. Deux heures après,
température
36°,9. 23. - Nouvelle attaque en présence de l'
rises isolées s'accompagnent parfois d'une légère éléva- tion de la
température
, comme dans l'accès d'épilepsie. Mais si les at
si les attaques se succèdent pendant une ou plusieurs heures, la
température
ne s'élève pas, tandis que le même nombre d'acc
épileptiques déterminerait au contraire une prompte élévation de la
température
. Nous avons insisté sur les faits de 1 Dans les
que d'autres faits viendront sans doute confirmer. - III, De la
température
centrale dans l'épilepsie ; l>.ui BOURNEVI
ques cliniques dont la plus importante vise les modifications de la
température
. C'est a l'occasion de ces dernières seulement
au soir, le malade a été trop agité pour qu'on puisse prendre sa
température
, mais il ne m'a pas semble avoir de fièvre, pas
in du sixième jour qu'on note, et d'une manière passagère, 38°,4 de
température
. Température dans l'épilepsie. 37 Il y a là q
our qu'on note, et d'une manière passagère, 38°,4 de température.
Température
dans l'épilepsie. 37 Il y a là quelque chose d'
elque chose d'insolite; ainsi d'après l'Ecole de la Salpêtrière, la
température
monte toujours pendant l'accès,, elle aurait do
relativement a renseigner, ment de l'Ecole de la Salpêtrière sur la
température
dans; l'épilepsie. Lorsqu'il sagit de l'épileps
uels les convulsions, sont limitées et la conscience conservée, la.
température
ne subit pas de modifications appréciables. Mai
toutes ses phases et* \se compliquent de perte de connaissance, la
température
s'élève progressivement. Alors, on a. affaire a
répon- dant correctement aux questions, il peut se faire. que, la
température
n'ait pas augmenté. En tout cas, on n'en sait,
érature n'ait pas augmenté. En tout cas, on n'en sait, rien, car la
température
n'a pas été prise exactement' matin et soir. No
r jour. / (1) A la date du 7 décembre, matin, l'auteur indique deux
températures
,' 38. et 38*4. Est-ce une erreur ou s'agit-il d
ux températures,' 38. et 38*4. Est-ce une erreur ou s'agit-il d'une
température
prise avant et après la visite ? A-t-on pris la
l d'une température prise avant et après la visite ? A-t-on pris la
température
centrale, ou s'est-on contenté de 1 a tcm pérat
trale, ou s'est-on contenté de 1 a tcm pérature axilliaire ? 38 '
Température
dans l'épilepsie. Ces lacunes auraient dû engag
engager l4f.Duflocq à s'abstenir de toute réflexion au sujet de la
température
et, à l'occa- sion d'un fait incomplet, de mett
ue les accès isolés d'épi- lepsie déterminaient une élévation de la
température
(2). En 1872, nous relations de nouveaux faits
règle posée par nous, à savoir que l'accès d'épilepsie augmente la
température
. Nous n'avions pas cru nécessaire de revenir sp
les règles que nous avions cru devoir formuler sur la marche de la
température
dans l'épilepsie. Nous avons été ainsi amené à
Nous avons été ainsi amené à publier de nouveaux documents sur la
température
dans les accès isolés d'épilepsie. dans les acc
ie. (Berline¡' Klin. Wochenschrift, n" 43 et 44, octobre 1886.) ,
Température
dans LES accès D'ÉPILEPSIE. 39 dans le Progrès
de M. le Dr Lemoine, reposant sur 182 cas (3). Relativement à la
température
centrale dans les accès sériels et l'état de ma
qui ne figurent pas dans nos publications anté- rieures. Toutes les
températures
ont été prises ultérieu- rement, c'est-à-dire,
, 1888, t. VII, p. 84. 40 TËMPÊhATUnE DANS LES ACdeS D'ÉPILFPSIE.
Température
dans LES accès D'ÉPILEPSIE. 41 42 Température d
ACdeS D'ÉPILFPSIE. Température dans LES accès D'ÉPILEPSIE. 41 42
Température
dans l'épilepsie. Température dans l'épilepsie.
e dans LES accès D'ÉPILEPSIE. 41 42 Température dans l'épilepsie.
Température
dans l'épilepsie. 43 2°Anzenb...,15 accès. T.R.
minant des troubles généraux plus graves, on est sur les Fig. 7.
Température
dans un état de mal limité à la période convulsiv
près la mort; le signe -j- à la T. huit heures après la mort. 4'4
Température
dans l'épilepsie. frontières du véritable état
rd, T. R. 38° ; douze heures plus tard, T.R 370,8, etc. Fig. 8. -
Température
dans un état de mal terminé par la mort à la péri
une heure après; le signe inférieur à la T. deux heures après. ,
Température
dans L'ÉPILEPSIE. 45 2° Sert...,4 mars 1890 : 1
, pouvaient faire craindre l'éclosion d'un état de mal. C. De la'
température
dans l'état de 12al éZiletiqzce. - « L'état de
la respiration ; 5° et surtout par une élévation considérable de la
température
, élévation qui persiste dans les intervalles, d
par la prcm'jre période. Alors, ainsi que le montre la figure i, la
température
s'élève rapidement et peut atteindre 41° et mêm
'i`2°. . , D'autres fois, après une asccnsion considérable de la
température
, correspondant à la période convulsive, les acc
isparaissant, on voit les symptômes s'amender. en même temps que la
température
diminue (fig. 7) ; puis survient la période mén
paru dans le Procès médical de 1887. - . - Fig. 9. - Tracé de la
température
rectale dans un cas d'état de mal type terminé
à une rémission (1 seul accès dans le' cinq dernières heures.) ..
Température
^ 47' courtes qu'on avait notées disparaissent e
. La . sensibilité au chatouillement, au pincement, au choc, à la
température
, est normale. Phénomène du tendon normal; pas d
soir il est sans connaissance, la respi 'ation est stertoreuse, la
température
s'élève à 38°, 9. Une écume abondante sort de l
les fesses. - Onanisme toujours fréquent. Depuis le 30 décembre,
température
assez irrégulière et accès assez fréquents ains
ue; accès sériels ou états de mal avec élévation considérable de la
température
centrale; augmentation progressive des accès, b
I ? i0^, 5.-Soü : T. R. 39", 9. 30 au),il. - Léger abaissement delà
température
. Même état général; aucun signe du côté des org
est sous-cutané. L'os ne semble pas entamé. Lavage au sublimé. - La
température
se maintient néanmoins, avec persistance du mau
ès décès : 19 k. 100. , Porencéphalie vraie, 101 Le tableau des
températures
nous parait assez intéressant pour être consign
contours irréguliers que le malade portait depuis quelque temps. La
température
a oscillé entre 3G°, 6. et 37°, 8. du 5 au 20 f
1891, p. 1272. - (2) Voir le tahleau des poids du corps. 1 (3) La
température
rectale prise matin et soir du 20 décembre 1889 a
s, peut-être d'être rattachés à l'urémie. Durant cette période la
température
a oscillé entre 37°, 9 et 36°, 6. XI. ' Note
présente le diagnostic chez, les enfants idiots. . IV. Quant à la
température
(Fig. 1), elle ne nous fournit pas, ici, d'indi
on plus de celui de la méningite qui, d'ordinaire, débute par une
température
élevée, qui se maintient avec des rémissions ma
hoïde. Paris, 1Hi : J.. Idiotie ET épilepsie méningitiques. 13 La
température
après la mort a atteint un chiffre considérable
ces maladies peuvent se terminer par une semblable élévation de la
température
. V. L'autopsie nous a révélé : 1° les lésions d
tion avec sirop de tolu et acétate d'ammoniaque. 22 février. - La
température
a considérablement diminué (37°,4). L'éruption
la substance grise d'un certain nombre de circonvolutions. IV. La
température
consignée matin et soir durant le rubéole confi
t précédem- ment dans un mémoire spécial (1). V. Le tableau de la
température
après la mort est digne d'attirer l'attention.
ttention. Progressivement la tempé- rature tombe de 3'J°, à à 2-20,
température
de la chambre; puis la température du corps des
rature tombe de 3'J°, à à 2-20, température de la chambre; puis la
température
du corps descend au-dessous de la température d
la chambre; puis la température du corps descend au-dessous de la
température
do la chambre et enfin la température du corps
orps descend au-dessous de la température do la chambre et enfin la
température
du corps remonte pour se mettre en équilibre av
u'il pesait à son entrée dans le service. Depuis le 5 février, la
température
a oscillé entre 38° et 38°,5. 16 mat. - Conjonc
r- rhée qui s'arrête avec le bismuth. Jusqu'au mois de juillet la
température
prise matin et soir se maintient entre 37° et 38°
ique. - Amélioration. - Mort sans convulsions. - Pas d'élévation de
température
après la mort. AUTOPSIE. - Synostose localisé
plus sensible ; toutefois Couil.. ne reprend pas con- naissance, la
température
s'abaisse et la mort survient dans le coma, à 9
ature s'abaisse et la mort survient dans le coma, à 9 h. du soir. z
Température
au moment de la mort : /ion,, 4; - une demie he
heures après, '200; 6 heures après, 16o; -'1) heures après, 13°. La
température
de la salle était de 13 : Tableau du poids, et
foie et rate normaux. Sensibilité générale conservée au tact, à la
température
et à la douleur. ' DESCRIPTION DU malade. 57
e. Le 8 mars, série d'accès et, à 2 h. ? il meurt en ayant eu 25.
Température
pendant les accès. 60 PSI ? UD 0-POR E-, ( : ÉP
leptiques ordinaires. Il en a dif- féré toutefois en ce sens que la
température
n'a pas atteint le degré élevé que l'on note d'
venu un état de mal pareil à celui que nous venons de relater et la
température
n'a pas dépassé 39° (1). - Le second a trait à
état de mal, offrant également les mêmes caractères, dans lequel la
température
n'a pas atteint : 390, bien que, en sept jours,
ins de 40 heures, M... eut plus de 300 accès et succomba avec une
température
atteignant silo (2). z VI. Dans la majorité des
ès. L'enfant est décédée à 4 heures. Poids après décès : 9 kilog.
Température
un quart d'heure après la mort : 35° ; - une he
de congestion pulmonaire surtout à droite. 7 juin. - Chute de la
température
et amendement consi- dérable des symptômes. - C
ble des symptômes. - Cet état satisfaisant dure du 7 au 11 juin. La
température
oscille entre 39° et 3S° et s'abaisse à 37°, 8.
à 39" (fis. 2), diminue le 12. - 13 juin. - Elévation brusque de la
température
qui, do 3S°,2, atteint le soir 41° sans grande
M Fig. 2. - Fièvre typhoïde; abcès ; rechute. 84 AUTOPSIE. la
température
3î°, 7, sans aucune amélioration de l'état géné
st très-inté- ressant car il indique avec netteté la marche de la
température
au début de la fièvre typhoïde, durant la pério
a d'une façon intermittente. Le 2 juin l'enfant a eu 15 accès. - La
température
a pré- senté la marche suivante : Etat DE MAL
8 mat. - Matin : T. R. 39°,4. L'enfant meurt dans la journée. La
température
après la mort a présenté la marche suivante. -
heures après ; 36° ; - 6 h. : 35° ; - 9 h. : 30° ; - 12 h. : 20°. (
Température
de lachambre 15°). -15 h. après : 18°. (Tempéra
- 12 h. : 20°. (Température de lachambre 15°). -15 h. après : 18°. (
Température
de la cham- bre 13°). AUTOPSIE. - Nous n'avon
is des deux côtés n'ont aucune lésion macroscopique. État de mal;
température
. 97 Les véritables accès ont paru à cette époqu
Nous trouvons ici la confirmation de ce que nous avons écrit sur la
température
centrale pendant les séries d'accès (élévation
. - Balancement. - /lave. - Gâtisme. . 1892. Rubéole : marche de la
température
. - Description de la malade. 1893-1694. même
rouve rien du côté des diffé- rents organes ou appareils. Le 27, la
température
s'élève à 38°; l'haleine est très fétide; aucun
, 36° ; - quatre heures après, 34°; - six heures après, 20°. - La
température
de la salle est à 20°. Autopsie faite 25 heures
août. Aucune modification dans l'état général, dans le pouls ni la
température
. Durant cette année le malade parait être en dé
l'articulation sacro-iliaque droite. Sensibilité au contact et à la
température
normale. Depuis un an, ainsi qu'on le voit par
55 Soir : T. R. 38°, 8, - Le malade meurt à 11 heures du soir. La
température
après la mort a eu la marche suivante : 156 II·
, de plus en plus fréquent, devient permanent. V. La marche de la
température
après la mort, ici, confirme les nombreux faits
mbreux faits que nous avons publiés. On voit que progressivement la
température
du corps se met en équilibre avec celle du mili
e, soit plus de deux mois, nous avons fait prendre régulièrement la
température
des malades ma- tin et soir, leur poids tous le
cés que nous plaçons sous vos yeux indiquent les oscillations de la
température
(tracé rouge), les modi- fications du poids (tr
macale de glande thyroïde de mouton. Amélioration : Élévation de la
température
; diminu- tion de poids; - phénomènes divers dus
issent aucun doute sur la réalité de l'idiotie myxoedémateuse. La
température
rectale (2) du malade prise avec soin à diverse
uliers. 8 juin. - En raison de l'amaigrissement rapide et d'une
température
de 38°, le malade ne prend qu'un demi-lobe. R
17 juin. - Le tremblement a diminué, les douleurs ont disparu, la
température
descend à 37°; le poids n'est plus que de 24 ki
u concert des frères Lionnet et le soir, sans cause appréciable, la
température
s'élève à 38". Durant la suspension du traiteme
à 60. 6 juillet. - Urine : 500 gr. Pouls : 60. 7 juillet. - La
température
s'élève de nouveau à 37°, li. Urine : 1 litre.
e- ment à la date du 13 août, le malade ayant gagné 500 gr. et la
température
descendant à 37 degrés et au-dessous, ainsi que
e, il n'a plus éprouvé aucun malaise et, depuis le 11 septembre, sa
température
n'est jamais descen- due au-dessous de 37 degré
s. 1895. Ingestion stomacale de glande thyroïde : élévation de la
température
;- diminution de poids;- phénomènes divers dûs a
éveloppement physique. Trois cas d'idiotie myxoedémateuse. 173 La
température
rectale, notée à différentes époques, avant le
de descendre et voulait rester . constamment à l'infirmerie oit la
température
était meilleure, 1 ! JO Thérapeutique, s'habi
nsi : dégonflement des paupières, amaigrisse- ment, élévation de la
température
rectale qui, au lieu de rester au-dessous de 37
ment. . Les tracés résument hien les changements survenus dans la
température
et dans le poids des malades. La température s'
nts survenus dans la température et dans le poids des malades. La
température
s'élève et dépasse la normale sous l'in- fluenc
symptômes, en particulier la diminution de poids, l'éléuation de la
température
, les accidents nerveux, la tachycardie, etc., e
Planche VIII. Traitement du myxoedème. La LIGNE rouge indique la
température
rectale. La ligne bleue indique les modificatio
montée à l'infirmerie à 3 heures de l'après-midi, on état de mal, la
température
est de 37°i, mais elle ne tarde pas à s'éle-ver p
que 44 accès ; après une courte rémission de 7 h. à 9 h. du soir, la
température
reprend une marche ascendante atteignant 41° à 5
usqu'à 7 heures du soir on peut en compter 82, p ndant cette série la
température
se maintient en plateau aux environs de 41°. A pa
t de mal, c'est-à-dire en 18 heu-res la malade avait eu 229 accès. La
température
au moment de la mort était de 40"5, elle tomba en
essous, atteignant la tempé-rature ambiante 9 heures après la mort.
Température
à la mort ............................. 40°5 1/
... 3ô°9 9 heures après...................................... 20°
Température
de la chambre......................... 29° Auto
Ft'g. 2. quelques-uns. Au lieu de s'accompagner d'une éléva-tion de
température
de quelques dixièmes ou d'un degré de températu
une éléva-tion de température de quelques dixièmes ou d'un degré de
température
, comme c'estlarègle, le premier accès se termine
e-grés, la connaissance ne reparait pas, un second accès apparait, la
température
s'élève, l'état de mal est cons-titué et la mort
te période convulsive, les accès cessent, la connaissance revient, la
température
s'abaisse. Cette amélioration dure 2 ou 3 jours,
-les, roidour de la nuque, injection oculaire, grincement Fig. 4. —
Température
de Mai*.. de dents, raies caractéristiques, etc
— Température de Mai*.. de dents, raies caractéristiques, etc., la
température
s'élève do nouveau, ces deux circonstances peuven
duire : l'état de mal se termine par la mort avec une élévation de la
température
qui atteint jusqu'à 40° [Fig. S), 41° et même 4-2
ême 4-2", ou bien tous les symptômes se dissipent progressivement, la
température
redevient normale {Fig. 3). Le traitement, vari
e chloro-forme. VII. —Cette observation renferme, comme toujours la
température
pendant les 5 premiers jours de l'ad-mission, les
à sui-vre la croissance, le poids des organes, enfin le tableau de la
température
après le décès. VIII. — La figure 4 représente
III. — La figure 4 représente la marche des accès et la marche cle la
température
. Durant les 6 premières heures la malade a eu 139
pérature. Durant les 6 premières heures la malade a eu 139 accès ; sa
température
s'est élevée à 41°. Ensuite elle a été plusieurs
25 février. G mars. — Il entre à l'isolement pour la coqueluche. 8a
température
jusqu'au?!], ne dépasse pas38°,1 ; du 29 au 5 avr
tense, ni larmoiement ni signes de bronchite; il n'est pas abattu, la
température
est normale, l'état général bon. Le soir, la temp
s abattu, la température est normale, l'état général bon. Le soir, la
température
atteint 38°. Les jours suivants, elle redescend à
s.2, et pommade sali-cylée. — 2 juin. L'enfant se plaint beaucoup, la
température
est de 40°,3 ; aucun symptôme pulmonaire. Le lend
pérature est de 40°,3 ; aucun symptôme pulmonaire. Le lendemain, même
température
, ventre ballonné, légère diarrhée ; le 4, diarrhé
rrhée abondante, la fièvre continue. Le 7, retour à la nor-male de la
température
qui pendant quatre jours s'était main-tenue aux e
stérieur; pas de fluctuation, mais un empâtement do toute la région ;
température
, 39° 3. Oet adéno-phlegmon, qui n'existerait que
ve. — 31 Décembre : L'en-fant entre à l'isolement pour les oreillons,
température
ne dépassant pas 37°,8; souvent au dessous de 37°
7 ans, oreillons, avec hypothermie jusqu'à 35",2 ; après la guérison,
température
restant entre 36" et 37°. —¦ A Sans, scarlatine,
°. —¦ A Sans, scarlatine, avec fièvre (jusqu'à 35",5); à la guérison,
température
revenant entre 36" et 37°. — A 10 ans, cataracte
e. A 14 ans 1/2, amaigrissement, signes de tuberculose pulmonaire ;
température
oscillant autour de 37° et plutôt au-dessous. Mor
forme, dans le rang; dents blanches, écartées, de bonne qualité. — La
température
, prise les cinq derniers jours, est normale. — Le
uvrable. La sensibilité est normale à la piqûre, au pincement, à la
température
. Les réflexes pharyngiens et rotuliens sont norma
une éruption rubéolique généralisée, d'ailleurs peu marquée ; mais la
température
est de 40°, le catarrhe lacrymo-nasal est très in
d'aucun signe d'auscultation; il existe un peu de diarrhée. — 21. La
température
est descendue au-dessous de 39°, pour subir dès l
pas raides, il n'a pas uriné ; il a dormi ensuite pendant 10 minutes.
Température
immé-diatement après l'accès et un quart d'heure
éruption sur la poitrine, le dos, les membres, angine érythémateusc,
température
38°, le soir 39°. — Le 20, 39", 5, puis défervese
a desquamation commence.— 1er mai: état général très satisfaisant; la
température
oscille du 1er au 10, entre 37° et 38°. A parti
de rensei-gnements très précis, l'enfant ne sachant pas respirer. La
température
oscille autour de 37°. La tension artérielle et l
l'admission de nos malades nous avons l'ha-bitude de faire prendre la
température
rectale. Nous n'avons pas retrouvé celle de Georg
ns celle de Maurice. Cette pratique nous permet de voir s'ils ont une
température
normale ou s'ils sont sous lop jour, 19 mars 18
une maladie contagieuse. Le tableau ci-après de Maurice montre que sa
température
était naturelle, ce qui contraste avec les périod
mbres inférieurs, des deux côtés, au pincement, à l'électricité, à la
température
sur la peau. Mouvements en partie détruits, en
e l'action du Hachisch sur la circulation capillaire. Action sur la
température
. — Suivant Fronmùller, la tempéra-ture de la peau
Voisin et H. Liouville ont noté chez des co-bayes une augmentation de
température
. Action sur les sécrétions. — S'il y a de la sé
s mouvements de l'intestin, déterminent une légère augmentation de la
température
. A hautes doses : ils déterminent une paralysie
minent une paralysie vasculaire, dimi-nuent la tension artérielle, la
température
, paralysent les mouve-ments de l'intestin. Dans t
ba vingt-quatre heures après son entrée à l'infirmerie avec une basse
température
. On s'aperçut que les deux derniers doigts de la
s les remarques qui vont suivre. I. Influence de la ponction sur la
température
. — À deux reprises nous avons noté la température
la ponction sur la température. — À deux reprises nous avons noté la
température
avant et après la ponction : la pre-mière fois, l
oté la température avant et après la ponction : la pre-mière fois, la
température
s'éleva d'un dixième de degré après l'opération;
péralure d'une manière bien sensible, nous voyons une élévation de la
température
à la suite de la thora-centèse. Il nous a paru ut
ns observé de légers accidents de péritonite, avec augmentation de la
température
, plus forte le soir (39°,4 au maximum). — Le li-q
vaisseau le plus volumineux ; — 5° Que le sang artériel des animaux à
température
constante contient plus d'O. en été qu'en hiver ;
modération des fonctions bémato-poïéticpies ; — 10° abaissement de la
température
;—11° diminution des sécrétions excentriques, muq
ion du chiffre des mouvements respiratoires ; — 7° augmentation de la
température
; — 8° la diminution de la sécrétion urinaire; —
lantes dont le principe actif est volatil ou altérable à une certaine
température
, comme la ciguë, l'aconit. Il faut être pour ains
e M. Armaingaud, et lui-même le fait remarquer, que les variations de
température
entre le matin et le soir sont très-minimes et pl
e de ce fait exceptionnel, il est bon de faire quelques réserves ; la
température
était prise dans l'aisselle, ce qui peut être une
e pouls était tombé à 116. La dyspnée était moins considérable, et la
température
n'était plus qu'à 39°,2. D'un autre côté, l'œdème
té que temporaire, et, dès le lendemain, le pouls remontait à 120, la
température
à 39°,8. En même temps le malade accusait quelque
rne. La santé générale n'a pas éprouvé de changements notables, et la
température
ne s'est jamais élevée au-dessus de 37° et quelqu
il est arrivé à cette con-clusion que la fièvre et l'élévation de la
température
sont deux phénomènes constants dans la congestion
intercostale. Mais il conclut aussi en disant que cette élévation de
température
dépasse rarement 59 degrés, tandis que dans la pn
it établi : 1° que l'on note au début de l'éclampsie une élévation de
température
, qui s'accroît assez rapi-dement, tant que les ac
ccentue encore aux approches et au moment même de la mort ; 2° que la
température
s'abaisse progressivement au fur et à mesure que
vement; 3° que le contraire a lieu dans l'urémie, c'est-à-dire que la
température
subit un abaissement progressif quand le mal s'ag
rs appelées liqueur réactif titrante et liqueur témoin. Fig. 4. -+-
Température
19 heures après la pre-mière attaque. ± Tem-pérat
bumine contenue dans l'urine, en même temps que la décroissance de la
température
et du pouls et le rétablissement graduel des fonc
il y a également à distinguer la quantité d'eau élevée à une certaine
température
et la pression de la vapeur d'eau qui, selon l'ex
on maître M. Bourgade. Les observa- tions sont prises avec soin, la
température
est toujours indiquée pendant plusieurs jours. Su
lux sanguin vers une partie sera une cause suffi-sante pour élever sa
température
, pour la rendre plus sensible, plus excitable et
pas, messieurs, que, sous le rapport des modifications imprimées à la
température
centrale, les convulsions toniques, épileptiforme
hystérique tonique, pour peu qu'elle ait quelque intensité, élève la
température
d'un degré, voire même d'un degré et quelques dix
e vraie scrépètent en grand nombre, dans un court espace de temps, la
température
centrale s'élève d'une manière très-remarquable2;
convulsions peuvent cesser complètement pendant plusieurs jours et la
température
néanmoins se mainlenir, pendant ce temps-là, à un
em-ment (Fig. 10). Il ne faut pas ignorer que cette élévation de la
température
est, dans la grande majorité des cas, même après
uelle que soit l'in-tensité des convulsions d'élévation notable de la
température
centrale. * Voy. l'observation deFadayat, qui a
est là une donnée fort impor-tante à consigner, cette élévation de la
température
, alors même qu'elle dépasse 41°, et qu'elle s'acc
ent une terminaison fatale. Vous voyez par l'observation Fie. 10. —
Température
prise un peu après le 12* accès. Du 1" jour (soir
après le 12* accès. Du 1" jour (soir) au 2° jour (matin), 51 accès. —
Température
après une rémission de 4 heures. A partir de là,
e, au milieu de toutes ces fâcheuses circonstances. L'élévation de la
température
au-des-sus de 41° n'est donc pas nécessairement t
. Je vous rappellerai, en passant, que cette élévation rapide de la
température
n'appartient pas en propre, tant s'en faut, à l'é
précède, que, si dans l'état de mal épileptique, à grandes séries, la
température
s'élève 1res-rapidement à un haut degré, en même
ontraire, dans l'état de mal hystéro-épileptique à longue série, la
température
ne dépasse guère le chiffre normal, et d'ailleurs
estreint, et qui ne s'accompagnaient pas d'augmentation notable de la
température
; sans cause connue, sans l'intervention d'acciden
a malade tomba dans le collapsus, et dans un court espace de temps la
température
s'éleva jusqu'à 45o2. Cet exemple suffira, mess
intensité des convulsions. — Mort au bout de quelques heures avec une
température
de 43° C. — Autopsie. — Anna Vogel, 19 ans, serva
6 minutes. La malade est en bon état, sa langue un peu chargée, la
température
à 58°, 12, le pouls à 140 (après l'accès), rien d
. Pas d'albu-mine dans l'urine; fort sédiment urique. Langue chargée.
Température
matin et soir 38°, 12; pouls 152, R. 24-52. Dans
R. 24-52. Dans la nuit du 20 au 21, 7 accès, 13 jusqu'au matin du 22.
Température
57°, 75; selles normales; léger trouble albumineu
par jour. Etat supportable d'ailleurs, pas d'élévation notable de la
température
(le plus souvent normale, jamais au-dessus de 58°
4 fortes convulsions respectant la tête ; pouls extrêmement fréquent,
température
41°, 87, forte cyanose, écume à la bouche, râle t
forte cyanose, écume à la bouche, râle trachéal. Mort à 2 heures 1/4;
température
45°. Un quart d'heure après température 42°,75.
rachéal. Mort à 2 heures 1/4; température 45°. Un quart d'heure après
température
42°,75. Autopsie. — Corps en bon état ; larges
ysie périphérique du nerf facial due à l'influence d'un changement de
température
. L'examen de la contractilitô électrique ne nou
es avantages de leur association. PATHOLOGIE INTERNE NOTES SUR LA
TEMPÉRATURE
DANS LES CAS DE RAMOLLISSE-MENT DU CERVEAU QUI GU
vi, aussi régulièrement que cela nous a été possible, la marche de la
température
. Après avoir rapporté en en-tier l'un de ces fait
'un de ces faits, nous nous bornerons pour les autres à l'étude de la
température
. Observation. — Hypertrophie du cœur. — Rhumati
a règle. Après une ascension à 59°,8 le matin du quatrième jour, la
température
est descendue promptement au chiffre normal, puis
ectale. — 1'. SISte; puis, SatlS Cause appre- Pouls. - I.a première
température
a été ciable, apparaît une complica- Prise lô s
on graduelle de la courbe (fig. 13). Le soir de ce troisième jour, la
température
était descendue à 37°,8. Jamais, dans l'hèmorrhag
rmale et la malade a guéri. Fig. 13. —T. Température. — P. Pouls. —
Température
deux jours après l'attaque apoplectique. Fig. 1
ique. Fig. 14. — T. Température va-ginale. — P. Pouls.— La première
température
a été prise le soir du troisième jour de l'attaqu
à ce pic succède aussi un abaissement, pour ainsi dire brusque, de la
température
qui, dès le cinquième jour, était redevenue norma
ssort que, vers le troisième ou le quatrième jour après l'attaque, la
température
subit une ascension assez rapide, assez considéra
sez considérable, mais momentanée, à laquelle succède le retour de la
température
au chiffre physiologique. REVUE ANALYTIQUE PH
ater, pour chaque animal, les limites dans lesquelles se maintient sa
température
, et en second lieu à expliquer par quel mécanisme
g chaud et ceux à sang froid; il préfère les expressions : ani-maux à
température
constante, et animaux à température variable. Che
fère les expressions : ani-maux à température constante, et animaux à
température
variable. Chez ces derniers, la température varia
e constante, et animaux à température variable. Chez ces derniers, la
température
variable oscille avec celle du milieu ambiant, et
nomènes de la vie suivent cette oscil-lation. Chez les mammifères, la
température
oscille entre 35° et 40°. III. Les hypothèses v
combustion directe, comme l'ont avancé certains chimistes. » IV. La
température
du sany. Historique des expériences depuis Haller
t de détente, d'immobilité, d'anesthésie complète. VIII. Mesure des
températures
dans l'organisme. — Indication précise des instru
e d'actions isolées ; c'est une somme de faits élémen-taires. » IX.
Température
relative du cœur droit et du cœur gauche. — Descr
tant l'animal dans des positions diverses, on devrait faire varier la
température
, ce qui n'a pas lieu; en outre, dans les cas d'ec
pas lieu; en outre, dans les cas d'ectopie du cœur, la différence de
température
entre les ventricules a été trouvée la même. Le
ériences rapportées dans cette leçon « étabiissenf'claire-ment que la
température
des animaux à sang chaud n'est pas abso-lument fi
aleur intérieure, par une prédominance constante et in-cessante de la
température
du sang veineux sur le sang artériel dans le cœur
rature du sang veineux sur le sang artériel dans le cœur. » XII. La
température
du sang artériel. — Le sang artériel est-il parto
out semblable à lui-même? « Le sang éprouve une réelle dimi-nution de
température
en s'éloignant du cœur vers la périphérie. i XI
e température en s'éloignant du cœur vers la périphérie. i XIII. La
température
du sang veineux. — « Dans la périphérie du corps
ifique du tissu musculaire. — Le muscle en se contractant augmente sa
température
. Si nous analysons le phéno-mène, nous voyons : «
pendant la contraction musculaire, la combustion augmente. XVII. La
température
du sang veineux au moment de la contrac-tion musc
tte source. — L'expérience démontre également que le repos diminue la
température
. XVIII. La chaleur est pour les muscles un exci
l'intimité du tissu des muscles ne fournit pas seulement le degré de
température
nécessaire à l'in-tégrité de ces organes et au ma
noire du sang, de tous les vais-seaux et du cœur; — 2° L'élévation de
température
dans les pre-miers moments de l'asphyxie. » On
mico-physiques bien déterminés et tout à fait opposés. » XXXIX. Les
températures
locales dans l'organisme. — « Dans l'or-ganisme,
le membre parcouru parle courant descendant. Mais cette différence de
température
ne s'ob-serve que pendant la première heure, elle
re, elle disparaît les heures sui-vantes, et pour les deux membres la
température
reste alors la môme et un peu plus élevée que pré
onstruire. La peau semble conserver ses aptitudes physiologiques ; sa
température
dépasse 37° lorsque les accidents inflammatoires
ent dans l'ordre suivant: 1° perte du tact; 2° de la sensibilité à la
température
; 3° de la sensibilité douloureuse; 4° Symptômes
d Bain et les étuves. Les sources y sont nombreuses: vingt-sept; leur
température
varie entre -f-10° et 73°. — Elles forment (d'apr
antes sont celles du bain des Dames, des Capucins : la première a une
température
à peu près fixe de 51°,40. — Elles contiennent le
Stéatose, par J. Parrot, 116. t Teinturier (E), 87, 284,312.
Température
dans le rammollissement du cerneau, par Bournevil
2. Thérapeutique, 11, 25, 77, 147, 515, 546, Thoracentèse [voy.
Température
). Tillaux, 385. Torpille (Appareil électrique d
mptômes ; - Vertiges et accès épilep- tiques. Rougeole : Symptômes;
Température
; -- Marche ; Bronchio-pzeunozie. - Mort. AUT
utive à la rougeole. La mort est survenue au bout de 10 jours. La
température
s'est toujours maintenue à un chiffre élevé.
Déformation du rachis. Stomatite ukéro-membra- neuse. Pneumonie. -
Température
hyperpy rétique (43°,4). - Mort. AUTOPSIE.-Il
T. R. 38°, i. 14 mai. Deux accès. 30 mai.-Depuis quinze jours, la
température
oscille en- tre 38° et 38°,8 ; la plaie est pre
quinquina et coucher le malade sur un matelas à air. 9 juin.- La
température
oscille toujours autour de 38°. La cicatrisatio
à 7 semaines. - Rumination. - Rougeole à 4 mois ( ? ). Rougeole. -
Température
. Guérison. Juve..., Ferdinand, estentré à l'âge
morue; sirop d'iodure de fer).- Soir : T. R. 37°,8. 26 janvier. La
température
est en plateau, à 37°,G. L'en- fant se lève. (F
s bronchiques ; l'enfant va mieux, mange un peu de viande rôtie; la
température
se maintient à 3s°. (Fig. 5.) 25 janvier. Sir
thermométrique se maintient autour de 38°. (Fig. 7.) 30 janvier. La
température
est stationnaire à 37°,6. 1 ? février. Quelques
régulière. Nous entrerons plus loin dans quelques détails sur la
température
et nous signalerons seulement aujourd'hui la pa
de somnolence. T. R. 39°. -Soir : T. R. 39°.2. 26 Janvier. : -La
température
est graduellement descen- due à 31°,4. (.Julep
ait quinquina 3 gr., rhum 50 gr.). Le soir, ascension brusque de la
température
: 38°,4. 27 Janvier. Sonorité normale dans tout
toute la poitrine ; léger souffle à la base du poumon gauche. La
température
oscille autour de 38°. (Fig. 8). 31 Janvier. -
ants dans toute la poitrine. L'état général paraît satisfaisant. La
température
oscille régulièrement de 3 ï°,S au 3S°. 12 Fé
ufflante, mélangée de râles sous-crépitants à timbre métallique. La
température
est en plateau, 37°,8. 28 Mars. L'enfant est re
on, généralisée le premier jour, pâlit dès le second, tandis que la
température
res- tait élevée au-dessus de 40". Ce fait nous
latants. De l'autre côté, râles sous-cré- pitants très nombreux. La
température
s'élève à 38°,2. 8 février. La respiration n'es
légèrement soufflante, à la base du poumon droit. Rien à gauche. La
température
est en plateau à 38°,8. 18 février. L'enfant se
éral est redevenu normal. L'enfant reste levé toute la journée ; la
température
se maintient à 37% Nous avons tenu à rapporter
9°. 26 janvier. T. R. 38°,4. - Soir : T. R. 38°,2. 27 janvier. La
température
est descendue graduellement à 38° et 38°.4 (Fia
e malade reste dans la somnolence. L'appétit est satisfaisant. La
température
oscille entre 31°,G et 37°,8. 14 février. Les s
état de som- nolence. La conjonctivite persiste. ' 15 février. La
température
est stationnaire à 37°, 6. L'en- fant est guéri
inue l'enveloppement du cuir chevelu, car l'impétigo persiste. La
température
est au-dessus de 38°. 10 janvier. L'état des ye
se; râles ronflants des deux côtés de la poi- trine, en arrière. La
température
se maintient au-dessus de 38°. 12 janvier. Su
mides aux deux bases, en arrière. La toux diminue. 20 janvier. La
température
se maintient à 37°. le, avril. L'enfant a fait
1 cr féV7'ier. '1'. R. 40° avant la mod qui survient il 6 h. du ,
Température
post avant la mort qui survient l'en- 6 h. du .
Température post avant la mort qui survient l'en- 6 h. du ..matin :
Température
postmortem : 42°. Poids de l'en- , (L'autopsie
nfant meurt au moment de la visite. La ROUGEOLES COMPLIQUÉES. 139
température
, une demi-heure avant la mort était à 38°,4. T.
ent. - Soir : T. R. 10°,4. (Fig. 15). 18 janvier. Depuis hier, la
température
qui était allée en décroissant régulièrement, r
ôt une poussée inflammatoire du côté de l'appareil respiratoire; la
température
s'élève à 41°, le malade meurt et, à l'autopsie
152 ÉPIDÉMIE DE ROUGEOLE. somnolent que les jours précédents ; la
température
oscille entre 38° et 39°. 24 janvier. On ente
e qu'on attribue à la fièvre. Pour s'en assurer, on fait prendre la
température
à 2 heu- res et on trouve 39°. (Sulfate de quin
survient un nouvel affaissement, brusque et rapide; en 48 heures la
température
remonte de 38°,8 Ù. 40°, et l'adynamic devient
'enfant mange bien, est gai : il tousse en- core un peu. Depuis, la
température
est tombée, sans oscillation, il 38°. 24 janv
; V. qq., Il. f. m.,côtelette. 2G janvier. Nouvelle ascension de la
température
de 37°, à à 38". Diarrhée liquide « de couleur
accès d'épilepsie avant, pendant et après le cours de la rougeole.
TEMPÉRATURE
. 165 Nous avons essayé de trouver le point de d
nt particulier en dehors des conditions d'observation, c'est que la
température
avait été prise avec soin. Nous n'avons pas é
moins en moins accentuée. Du- rant cette période, le maximum de la
température
a été de 40 ? ; mais, le plus souvent, la tempé
maximum de la température a été de 40 ? ; mais, le plus souvent, la
température
a os- cillé entre 39° et 40°. Ainsi que l'a fai
l'a fait remarquer Wun- derlich, « dans cette première élévation la
température
n'atteint que très exceptionnellement le maximu
/10 de degré à un degré 8/10; tantôt d'un état stationnaire de la
température
qui se traduit par un plateau sur le tracé (une
ptômes n'étaient présents pour faire éviter l'er- reur. (1) De la
température
dans les maladies, 1872, p. 349. 166 ÉPIDÉMIE D
ra- ture au même chiffre, on observe une nouvelle élévation de la
température
qui correspond à la période ou à la fièvre d'ér
mpérature qui correspond à la période ou à la fièvre d'éruption. La
température
acquiert prompte- ment son maximum (40 à 41°) q
e. Dans la plupart des cas, nous avons noté une montée rapide de la
température
(24 heures); ce n'est qu'exceptionnellement qu'
nnellement qu'elle a porté sur deux jours (Obs. III). La plus haute
température
a presque toujours coïncidé avec la généralisat
en entendu. A ce maximum a succédé presque toujours une chute de la
température
. C'est à partir de là que nous avons à étudier
cutive à la fièvre d'éruption. D'autres fois, après cette chute, la
température
s'est élevée de nou- veau, mais sans atteindre
à la période d'incubation, au moment de l'admission ; marche de la
température
; - Otite précé- dée d'une ascension thermométri
trique; - broncho-pneu- monte : mort : élévation considérable de la
température
après le décès. Autopsie : état des sutures;
n'a pas fait connaître la vérité. III. Signalons la marche de la
température
dans la rougeole et en particulier la veille de
, 5. Soir ? T. It..31 ? 4.; A/partir de là jusqu'au 28 novembre, la
température
a oscillé entre 370, 2 et 38°, 4 (une fois), re
ination sans résultat. (30 novem.) 1892. - Du l°r au 31 janvier, la
température
prise malin et soir est restée entre 37° et 38°
és, exercices des membres. 28 novembre. - Diarrhée et fièvre. (La
température
oscille entre 38° et 30"). L'examen des organes
peu. Néanmoins à partir du 19 décembre 1891, la diarrhée cesse, la
température
tombe à 36° et l'enfant sort le 28 décem- bre d
diarrhée et empêcher l'amaigrissement rapide du petit malade. La
température
oscille entre 36° et 40°, présentant sur le tra
s des idiots gâteux, nous nous bornerons à signaler la marche de la
température
. (Fig. 1.) IV. A l'autopsie, nous avons constat
vres. - La sensibilité générale est conservée : contact, douleur et
température
. - Les réflexes pharyngiens et rotuliens sont a
5 h. il a son 45' accès dans lequel il succombe (État de mal). La
température
au moment de la mort est de 39°, 4 ; - 1/4 d'he
convulsive d'un état de mal en 10 heures, avec éléva- tion de la
température
centrale. Anatomiquement, l'état de mal s'est t
a dépéri très lentement. 22 mars. - On constate une élévation de
température
: 39°; nuit tranquille, sommeil calme. 23 mar
ue morte une dizaine de minutes avant l'heure réelle de la mort. La
température
au moment de la mort était de 3 do,8 ; - 1/4 d'
s taches larges, dentelées, en for- me de corymbes sont cohérentes.
Température
de la veille au soir : 40°, 4. - Vésicatoire à
-semaine ; huile de foie de morue et sirop d'iodure de £ er. , . Sa
température
prise matin et soir à partir du 24 jusqu'au 28
8 février ne présente rien d'anormal : elle oscille autour de z. La
température
la plus basse a été de 36°, 8, la plus élevée d
2-6 octobre. Revaccination sans succès. 1892, 9 février. - Rubéole.
Température
peu élevée (38°). Eruption discrète sur la face
nt assis. Il a beau- coup maigri pendant sa rougeole. Face pâle. Sa
température
, prise régulièrement matin et soir pendant tout
se modifie pas et il présente de temps en temps des élévations de
température
qui ne dépassent jamais 38°. 2 aurii. Thill...
111 II/"I ce matin '111<'11/"1 ? en .'( plai- gllallt beaucoup.
Température
aussitôt après la mort, 39" ; - 1/rt d'heure ap
4 heures du soir, la respiration devient haletante et péni- ble. La
température
est de 40°, 5. La face est rouge, vultueuse, et
30 centigrammes. Sinapismes. L'enfant meurt à une heure du matin.
Température
après la mort : 40°, 8; un quart d'heure après
bres inférieurs. Sensibilité intacte au toucher, il la douleur, àla
température
. Puberté. Poils nombreux sur le pubis. Verge lo
9 heures avec des phénomènes d'asphyxie. Au moment de la mort, la
température
était de 3ï°; un quart d'heure après, elle étai
eure après, elle était de 3Co, 2 ; - une heure après de 3'lo. 4. La
température
de la salle était primitivement de 10°, ensuite
rotum assez développé. - Sensibilité au contact, à la douleur, à la
température
, normale. Réflexes normaux. Mesures de la tète
n poids au moment 124 Description DU crâne. du décès est de Il La
température
rectale descend de 38°, 9 au moment du décès, a
logue il celui de llug... Son tic (p. 135 et 136) se 144 Rougeole :
température
durant LES prodromes. manifestait dans le côté
inq jours, les enfants qui nous arrivent et de faire prendre leur
température
matin et soir, nous a permis d'avoir un tracé c
érature matin et soir, nous a permis d'avoir un tracé complet de la
température
de la période pro- dl'Omique de la rougeole. Le
n asile spécial. » On ne note rien de particulier à l'arrivée. ' La
température
prise sous l'aisselle pendant les 4 premiers; j
, 3. Soir : 37^, fi· - Le mieux se maintient les jours suivants. La
température
n'est pas franchement à la normale. 15 août.
lade a un appétit irrégulier. 5 septembre. - Les oscillations de la
température
se faisant toujours sentir, la quinine est repr
sse sous-épineuse. Murmure vésiculaire normal au même endroit. La
température
vespérale dépasse toujours 38". Hier, elle a at
39,. Soir : 40°. 4. 23 avril. - L'enfant est notablement mieux. La
température
vespérale est élevée néammoins. Les signes stét
ignes stéthoscopiques n'expliquent pas les oscillations de 2° de la
température
de l'enfant. T. R. Matin : 31, 4. - Soir : 37°,
t s'est plaint sans discon- tinuer. A son entrée à l'infirmerie, sa
température
atteint 39°, 6. Vers 9 h. t du matin, il est pr
rès, 38°, 4 ; 2 heures après, 36°, 2 ; - 5 heures après, 32°, 8. La
température
de la salle a oscillé entre 19° et 18°, 5. 16
bes, mais ne marche pas. Sensibilité générale normale, sauf pour la
température
, que l'enfant ne parait pas apprécier suffisamm
mbre. - Diarrhée, amaigrissement, hypothermie depuis le 31 août, la
température
variant de 36° à 35",4. Potion avec acide lacti
et de lait. - Poids ; 6 k. 500. 21 septembre. Depuis deux jours, la
température
, qui était descendue à près de 35° est remontée
ie. XV. Epilepsie. symptomatique ; état de mal, élévation de la
température
; mort. Par BOURNEVILLE et DAURIAC. Sommaire.
ne reprenait pas connaissance et restait dans un état comateux. La
température
a oscillé entre 38° et 39° durant les premiers
ci- tation. Sept heures avant la mort, après le dernier accès, la
température
était de 39°, 5 ; elle continua de monter et, a
t, aussitôt après le décès, on notait 40°, 2. Au point de vue de la
température
, ce fait confirme une fois do plus ce que nous
nt sent le contact le choc, les piqûres, et réagit sous l'effet des
températures
différentes de la sienne. - Traitement : 3 bain
plaintes continuelles, surtout la nuit. - Soir. Forte élévation de
température
: 40°, 2. Diarrhée abondante et verdàtre. Vomis
ésion concomitante de la méningite (2). (1) Voici la marche de la
température
du 30 juin au 8 juillet, qui ne tran- che pas l
illet. - T. Il. 3S°, 2. - Soir : 38°, 6. 23 juillet. - Hier soir la
température
est remontée a 40°, G. Il y a de l'oppression,
- Traitement : inhalations d'oxygène ; sirop d'ipéca. Soir. - La
température
est remontée brusquement à 39°. \V. devient rou
és. La sensibilité générale parait conservée à la douleur et à la
température
. Puberté. L'enfant est tout-à-fait glabre. On t
n peu. Il a de la fièvre : 38a,4 au matin. Depuis quelques jours sa
température
oscillait autour de 37°,8. Cet état dure depuis
ulfate de quinine; teinture d'iode en badigeonnages. 2Rjuin. - La
température
qui était hier au soir de 3S,7 7 atteint ce mat
près : 40°. - Une heure après 38·, 1. - Deux heures après : 36°. La
température
de la salle oscille entre 13° et 14°. - Poids d
n spinale. - .Accès migraineux avec ronflement et élévation de la
température
; - accès de colère. Gâtisme. - Congestions de l
ie B. a de la céphalée frontale, avec vomissements alimentaires. La
température
s'élève à 39, 5; le pouls à 86. Il est régulier
éole externe. Lavage, drai- nage. 22 octobre. - Abaissement de la
température
. La perte.de substance s'agrandit par la destru
l se produit du côté droit une eschare sacrée. Pendant ce temps, la
température
présente des élé- vations le plus souvent subit
més. Le pouls est encore perceptible. La respiration est faible. La
température
s'abaisse maintenant progressivement (Fig. 6).
ate droite. Là aussi, le décollement de la peau est considérable.
TEMPÉRATURE
. Fig. 6. 244 ECARTEMENT DES OS DU CRANE. 27
ant est morte ce matin à 8 heures, sans phénomènes particuliers. La
température
de la chambre étant de 20 degrés, celle du corp
eux que le gauche. Sensibilité générale au tact, à la douleur, à la
température
assez développée. Goût : Ros.. aime le sucre, m
il n'y a nulle part d'anesthésie proprement dite. 29 juillet. La
température
s'est élevée jusqu'au-dessus de 38". L'enfant n
gencives et quelques mucosités dans l'arrière-gorge. 30 juillet. La
température
est revenue à l'état normal. La fétidité de l'h
et le voile, existe une tuméfaction assez volumineuse. 2 août. - La
température
est toujours normale. Les gencives saignent moi
4. 12 octobre. L'enfant a toujours de la diarrhée. Depuis hier la
température
s'est élevée. (339°,4.) Potion avec bismuth et
ans la cavité péritonéale. Rien dans les urines. 25 octobre. - La
température
est au-dessus de 38°. Toux assez fréquente ; ri
; tym- panisme considérable ; pas d'épanchement. 29 octobre. - La
température
présente des oscillations très grandes avec une
ta période d'incubation, au moment de l'ncln21sssioi; marche de la
température
. Otite précé- dée d'une ascension thermométriqu
trique; - bmncho-pneumo- nife : mort : élévation considérable de la
température
après le décès. AUTOPSIE. - Etal des sutures;
t,leplus souvent, pâle, anémiée, en même temps que, dès l'origine, la
température
locale s'abaisse ma-nifestement (1). 11. Tell
loc. cit., p 254. — Mitchell, loc. cit., p. 134 — Polet, Élude sur la
température
des parties paralysées. Paris, 18G7, p, 7. au p
peau. Selles et urines involontaires. Peau chaude, couverte de sœur;
température
axillairc, 41°. Un commencement d'es-cadre s'est
e grande valeur dans les cas douteux. L'abaissement très marqué de la
température
centrale au-des • sous du taux normal, constaté a
n'est pas un fait constant, et quant à l'élévation remarquable de la
température
, dont les par-ties deviennent quelquefois le sièg
ob-servé par J. Ilutchinson, dès le second jour après l'accident, la
température
prise aux deux pieds, au niveau de la malléole in
a sensibilité tactile et il offre de plus une élévation notable de la
température
liée à la paralysie vaso-motrice. Le membre du cô
-motrice. Le membre du côté opposé à la lésion conserve par contre sa
température
normale et ses mou-vements, tandis que la sensibi
spondantau côté lésé ; ce membre présente une élévation notable de la
température
— fait non mentionné dans l'observation de Viguès
diminution notable de tous les modes de sensibilité et a conservé la
température
normale. En outre — et c'est là le point que nous
invoqué en faveur de la thèse que nous soutenons : L'élévation de la
température
, constatée à l'aide du thermomètre, est, nous l'a
s lieu, d'une façon générale au moins. Si une élévation marquée de la
température
a été plusieurs fois constatée sur les régions du
tusion du plexus brachial, observé par M. Lannelon-yue. (Etude sur lu
température
des parties paralysées. Paris, 1867, p. 7. ; 3.
ileuses, eschares,—accusentuneélévation plus ou moins prononcée de la
température
(1 ). Mais d'autrefois, le plus souvent peut-être
. Ht : W. -B Woodman in Sydenham Soc. Transla-tion of Wundcrlich : On
température
in Diseases,y. 152 : — W. Mitchell, In-juries of
ungen an denExtremitaten in Berlin. Klin. Wochensch., 1871, n° 13. La
température
des membres sur lesquels se produisent les troubl
vertu de ia paralysie motrice, présente une élévation relative de la
température
, évidemment liée à l'hypérémie vaso-motrice (2).
itations, présentent, comme font montré MM. Ludwig et Spiess (1), une
température
plus élevée que le sang artériel entrant dans la
besoin de déplacement. — Sensation habituelle de chaleur excessive. —
Température
dans la paralysie agitante. — Influence de la nat
connaissance de ce fait m'a, de longue date, conduit à chercher si la
température
centrale était modifiée chez ces malades. Or l'ex
egré de cette sensation subjective et aussi celui du tremble-ment, la
température
restait au terme physiologique (37°, 5 au rectum)
que l'a fait remarquer M. Béclard, occa-sionnent une élévation de la
température
appréciable au ther-momètre. A ce point de vue, a
t-à-dire avec prédomi-nance des contractions toniques, font monter la
température
d'une manière plus ou moins prononcée, tels sont
moins prononcée, tels sont le tétanos, 1. Sur les variations de la
température
centrale qui s observent dans cer-taines affectio
cette assertion. Cinq explorations faites chez Ber... ont donné comme
température
moyenne, 37°,48, et trois ex-plorations pratiquée
orie de la con-gestion. — Symptômes : État du pouls : élévation de la
température
centrale. — Cas d'attaques apoplectiformes chez d
ues apoplectiformes chez d'anciens hémiplégiques; — Impor-tance de la
température
ou point de vue du diagnostic. Des périodes dan
s ou moins accéléré, mais de plus, et c'est là le point important, la
température
des parties centrales s'élève rapidement ; elle p
r cela nécessairement compromise. Mais si le malade doit survivre, la
température
décroît bientôt rapide-ment. Un chiffre au-dessus
ène presque toujours la terminaison fatate. Ces modifications de la
température
centrale ont été étudiées par M. Wesfphal dans le
e attaque plus intense que d'habitude. Le soir même de son entrée, la
température
était au-dessus de 38°; le lendemain, elle avait
i d'état apoplectiforme. Deux heures après le début des accidents, la
température
du rectum était de 38%8; cinq heures plus lard, e
s'élevaità40°. Le lende-main malgré la cessation des convulsions, la
température
était de 41 degrés et le surlendemain, jour de la
u côté droit. Or, le même jour de l'attaque, le pouls étant à 136, la
température
atteignait 39°,6. Le lendemain, le thermomètre in
mètre inarquait40°. Le surlendemain, laparalysie s'était amendée etla
température
était retombée au chiffre physiologique. Chez le
oirée. Le lendemain matin, de bonne heure, le pouls donnait 144 et ta
température
était à38°,o- Cette atta-que, la septième que le
incomplète de la connaissance et résolution générale des membres, la
température
rectale était à 40°,3, le pouls à I2U.Lelendemain
lectiformes s'étaient dissipés et en même temps le pouls ainsi que la
température
étaient revenus à l'état normal (1). Si je me s
is arrêté avec quelque insistance sur les modifi-cations que subit la
température
du corps, dans les attaques apoplectiformes et ép
au contraire d'une simple attaque congestive. Eh bien, l'examen de la
température
centrale fournirait, en pareille occurrence, un r
princi-palement lorsqu'elle se rattache à l'hémorragie cérébrale, la
température
s'abaisse consfammentquelques instants après l'at
ralysie des nerfs vaso-moteurs qui se traduit par une élévation de la
température
du membre paralysé. Quelquefois, cette para-lysie
'hystéro-épilepsie. — Signes diagnostiques fournis par l'examen de la
température
centrale dans l'état de mal hysléro-épileptiquc e
pas, Messieurs, que, sous le rapport des modifications imprimées à la
température
centrale, les convulsions toniques épileptiformes
our l'épilepsie, on appel laG es s-érie^m Y état de mql£ Fig. 25. —
Température
prise un peu après le 11e accès. Du Lr jour (soir
vraie se répètent en grand nombre, dans un court espace de temps, la
température
cen-trale s'élève d'une manière très remarquable
onvulsions peuvent cesser com-plètement pendant plusieurs jours et la
température
néanmoins se maintenir pendant ce temps-là à un t
s sous vos yeux, etquinousmontre les modifications qu'a présentées la
température
centrale chez la nommée Chevall.., pend int le co
cemment {Fig. 25). 11 ne faut pas ignorer que cette élévation de la
température
est, dans la grande majorité descas, mêmeaprès to
est là uni' donnée fort importante à consigner, cette élévation de la
température
, alors même qu'elle dépasse il0, et qu'elle s'acc
s Je vous rappellerai, en passant, que cette élévation rapide de la
température
n'appartient pas en propre, tant s'en faut, à q
la malade n'a plus eu d'accès. Elle est morte à 3 heures du matin. La
température
vaginale, prise par une autre personne, était à 4
sur-fout insister'.jamais pendant cette longue période convulsive la
température
rectale ne s'est, chez Co..,sensiblement modifiée
précède, que si dans Y état de mal épileptique, à grandes séries, la
température
s'élève très rapi-dement à un haut degré, en même
s, aucontraire, à-msYélatdemalhystéro-épilep-tique à longue série, la
température
ne dépasse guère le chifïre normal, et d'ailleurs
d'intensité des convulsions. Mort au bout de quelques heuresjmèc une
température
de43° C,'— Autopsie. —^Annc Vog7fl7iMxinmitlin1is
x minutes. La malade est en bon état, sa langue est peu chargée: la
température
est à 38°,12, le pouls à 140 (après l'accès), rie
. Pas d'albu-mine dans l'urine; fort sédiment urique. Langue chargée.
Température
matin et soir, 38°,12; pouls 132 ; R. 24-32. Dans
R. 24-32. Dans la nuit du 20 au 21, 7 accès; ^.jus-qu'au matin du 22.
Température
o7(,,76: selles normales; léger trouble albu-mine
par jour. État supportable d'ailleurs; pas d'élévation notable de la
température
(le plus souvent normale, jamais au-dessus coup
malade tomba dans le collapsus, et dans un court es-pace de temps la
température
s'éleva jusqu'à 43°. Cet exemple suffira, Messi
fortes convulsions respectant la tête ; pouls extrêmement fréquent ;
température
41°,87 ; forte cyanose, écume à la bouche, râle t
forte cyanose, écume à la bouche, râle trachéal. Mort à 2 heures 1/4;
température
43°. Un quart d'heure après, température 42°,75.
achéal. Mort à 2 heures 1/4; température 43°. Un quart d'heure après,
température
42°,75. Autopsie. — Corps en bon état; larges t
énérale ; — Tremblement ; — Marche ; propulsion et rétropulsion ; —
Température
, pouls, etc. Modifications survenues dans la mala
tal des forces mesurées au dynamomètre, à la page 175, et celui de la
température
, à la page 179. Nous n'y reviendrons donc pas.
cepté une constipation opiniâtre, s'accomplissentrégu-lièrement. — La
température
paraît augmenter; la température moyenne de 3 jou
s'accomplissentrégu-lièrement. — La température paraît augmenter; la
température
moyenne de 3 jours a été le matin de 37°, G ; le
assise toute la jour-née, sans pouvoir remuer. -— Les changements de
température
, les temps humides ou orageux augmentent les doul
besoin de déplacement. — Sensation habituelle de chaleur excessive. —
Température
dans la paralysie agitante. — Influence de la nat
orie de la con-gestion. — Symptômes : État du pouls : élévation de la
température
centrale. — Cas d'attaques apoplectiformes chez
ues apoplectiformes chez d'anciens hémiplégiques. — Impor-tance de la
température
ou point de vue du diagnostic. Des périodes dan
ystéro-épilepsie. — Signes diagnostiques fournis par l'examen de la
température
centrale dans l'état de mal hystéro-épileptique e
tiques anciens, 25L . — Variétés, 250. — Symptômes, 253. — Pouls et
température
, 254. Attaque hystérique : Description, 435. —
épileptique, 378. (V. Décubitus.) Etat de mal épileptique, 372. (V.
Température
.) — hystéro-épilep-tique, 339, 397 , 400. (V. Tem
es distinctes, 371. — Variétés de 1' —, 370. — Nature de 1' —, 373. —
Température
dans 1' —, 376. — Etat de mal hystéro-épilep-ti
dans l'hystérie, 281. Somnambulisme, 447. T Tarentisme, 342.
Température
(Signification de l'a-baissement de la) dans l'ap
ncéphale, 81 ; — avec modification du derme, 110. — Elévation de la
température
au niveau de l'éruption, 137. FIN DE LA TABLE A
rg (Ain) et 1 dans l'Allier. — Nous avons pour habitude do prendre la
température
des malades avant leur départ, et cola dans le bu
lades sous le coup d'une affection aiguë, de même que nous prenons la
température
à l'entrée, durant les cinq premiers jours (1) po
ur tuberculose généralisée, suivi de décès; —7 pour des élévation* de
températures
, non définies; — 6 pour ictère; — 1 pour de l'urt
— Pas d'accidents scrofuleux, sauf une blépharite ciliaire à 9 ans.
Température
à l'entrée. 5 Juin 1895 ................ 1" jou
ble de l'écrire. Il lient la bouche ouverte à peu près constamment.
Température
d'accès. Dates. Au 1/4d'1'- 2h- moment. après
7, 8 et 9; — GO dans la nuit du 10 au 11 janvier ; 57 le 11, mort.
Température
après décès. Température aussitôt après la mort
it du 10 au 11 janvier ; 57 le 11, mort. Température après décès.
Température
aussitôt après la mort.................. 40°,7
cularités sont à relever. 1° L'ha-bitude que nous avons de prendre la
température
durant les cinq premiers jours de l'entrée permet
paraison (p. 71 et 77) nous montre une élévation incontesta-ble de la
température
après les accès, ainsi que nous l'avons dit un gr
avons contribué à établir, il y a eu une élévation considérable de la
température
. — 3° Pour en linir avec la température, nous dev
élévation considérable de la température. — 3° Pour en linir avec la
température
, nous devons signa-ler, après le décès, l'abaisse
essif do la chaleur centrale qui arrive à se mettre de niveau avec la
température
de la chambre (1). On a de la sorte la certitude
(1) Contrairement à l'habitude, on n'a pas poursuivi la prise de la
température
assez longtemps. (?) Cette précaution doit s'ap
assise ; affaiblissement progressif. Mort au bout de 5 jours avec une
température
rectale peu élevée. Autopsie : congestion pulmo
cho. Pas de troubles de la sensibilité cutanée. Pouls régulier, à 80.
Température
normale. Le réflexe rolulien est un peu exagéré à
u, est morte à II heures du matin, sans spasme, sans crises, avec une
température
rectale de 37°,5. Autopsie faite le 22 août à 3
e bourrelet qui existe autour de la brèche est bien plus saillan t.
Température
après décès. 1/4 d'heure après la mort.........
mort................... 8 heures après la mort...................
Température
de la salle.................. :i° 30« i; 22"
it pu constater de fracture (1) et le 21 août elle succomba. VI. La
température
a été prise dans le service de M. Ch. Monod, le 2
37°, l Contrairement à notre recommandation de toujours prendre la
température
quand il survient un accident, elle-n'a pas été n
ir p. 98.) Tous ces chiffres montrent que d'une façon géné-rale, la
température
ne serait pas élevée dans la méningite chronique.
nt d'idiotie avec para-lysie et contracture, atrophie papillaire ».
Température
à l'entrée. Matin. Soir. 14 mars ............
ratoire, respiration superficielle. — La sensibilité au contact, à la
température
, à la douleur, paraît normale. — Intelligence trè
l meurt le 30 mars 1905. Nous avons transcrit plus haut (p. 109) la
température
des cinq premiers jours de l'admission. Comme ell
... 37-Ö 38=7 2!) (1) — .... 38=2 40= (1) A Ñ heures du soir.. La
température
après la mort a été îa suivante : Température à
heures du soir.. La température après la mort a été îa suivante :
Température
à la mort (minuit et demi)............ 42», 1/4
ue, puis de l'envoi de cet asile dans un autre établissement. Si la
température
avait été prise la veille du départ pour l'Asile
une thèse sur la méningite chronique de la base (B.). III. De la
température
durant le stade initial de la fièvre typhoïde ;
yphoïde (1), on a bien rarement l'occasion d'observer la marche do la
température
durant le stade initial ou des oscillations ascen
thyroïdien et, comme toujours, en pareil cas, nous faisionsprendresa
température
régulièrement. Elle oscillait, depuis le début du
Fig. 18 lement l'attention. Durant les quatre premiers jours, la
température
n'est que de 3; 4, G dixièmes au-dessus de la tem
s jours, la température n'est que de 3; 4, G dixièmes au-dessus de la
température
normale du malade, température que nous connaissi
ue de 3; 4, G dixièmes au-dessus de la température normale du malade,
température
que nous connaissions, variant de 2 à 4 dixièmes
Comme on peut s'en rendre compte par l'examen du tableau suivant la
température
à l'entrée à l'hospice avait été nor-male. Temp
u suivant la température à l'entrée à l'hospice avait été nor-male.
Température
à l'entrée. Soir Matin 27 septembre 188G____
ès un assez long séjour dans le formol se fait assez difficilement,
Température
a)rès la mort- Temp. de la salle. Au moment d
54 1.55 1.57 1.58 1.50 1.50 27 20 35 35 30 37 30 20 35 40 34 27
Température
durant les accès. Dates. S nov. 1001 .., 15 f
servation. Nous trouvons chez ce malade l'élévation classique de la
température
des accès que nous avons mention-née dans un très
en crin et laine. VI. Idiotie traumatique. Hérédité épileptique.
Température
d'incubation à l'entrée ; par BOURNEVILLE et G.
élevée, diarrhée, signes de tuberculose pulmo-naire. — Mort en 1904.
Température
et poids après décès. Autopsie. — Os frontaux é
ît oppressée, Dans lès quatre jours qui suivent, la toux augmente, la
température
monte, la respiration est courte et sifflante. Qu
). L'enfant est agitée, il faut plusieurs infirmières pour prendre la
température
et pour les soins. Elle refuse la potion de Todd
araît soulagée. Deux autres selles diarrhé-tiques dans la journée. La
température
, qui était à 39°,9 le 22 décembre au matin, tom
un ènjsipèle (?). Pas de lièvre 37°,G et 37°,8 étant les plus hautes
températures
. Trai-tement : Gollodion sur la plaque, pulvérisa
craquements humides. —? Traitement: potion lactique. 29 mars. — La
température
descendue à 39°,2 le 28 mars, matin, a atteint 40
minutes, a eu trois ou quatre hoquets, pas de secousses ni de cris.
Température
après décès. Jinméliatcmcnt après..............
............. 16" S heures après la mort .................... 15°
Température
de la salle .................. 22° Poids après
l'appui de nos recommandations. VI. L'importance de la prise de la
température
à l'entrée est encore bien mise en relief par cet
Bourneville et Perrin................................ 90 III. De la
température
dans le stade initial de la fièvre typhoïde, pa
ites. DEUXIÈME PARTIE Clinique. I. Note sur la maladie bleue.
Température
centrale (1) : Par BonRfiVILLfi et d'OLIER. L
ention sur un phénomène clinique encore peu connu : la marche de la
température
dans la maladie bleue. Observation I. -- Anom
niveau du sacrum et des trochanters. Les jambes ont une tendance'
TEMPÉRATURE
CENTRALE. 3 à se placer dans la flexion ; l'enf
e Botal. - 0. der. oreillette droifc. - A. o. n''<o ? n«rft;.
TEMPÉRATURE
CENTRALE. constate sur la cloison inter-auricul
se, serait 6 millimètres. (Dubrueil. Anomalies artérielles, p. 23.)
TEMPÉRATURE
CENTRALE. à sont épaissis et comme bourgeonnant
pto- matologie, quelques observations relatives à la marche de la
température
chez les cyanotiques.On sait qu'on netrouve sur
, IV, p. 402. TEMPERATURE CENTRALE. 13 D'après M. Bouchut (1), la
température
serait abaissée à 33 et 35° centigrades. Cepend
. CependantH. Gintrac (2)cite. d'après les expériences de rarre,des
températures
de 36°,5 dans la paume de la main et de 38° sou
e chir. ])1'[11. Tom. X, p. 626... Fig 3. 14 MALADIE BLEUE. Les
températures
rectales prises le jour de la mort ont été : le
autopsie n'a pas été faite.) T. R. 32°,5. - Soir : T. R. 27°, 9 (la
température
de la salle étant ` ? 5° , 5' . i 3,0;. Obs
ou de Botal.Pas de persistance du canal artériel. La marche de la
température
est indiquée par le tableau suivant (Fig. 3). C
4.) 19 mai et jours suivants. Tous les accidents ont disparu. La
température
est devenue normale. On ne voit plus nulle part
comme on le voit, la règle généralement admise de l'abaissement de
température
dans la cyanose. TEMPÉRATURE CENTRALE. 15 Mai
éralement admise de l'abaissement de température dans la cyanose.
TEMPÉRATURE
CENTRALE. 15 Mais il ressort en outre de ces ob
Mais il ressort en outre de ces observations, que la mar- che de la
température
indique, jusqu'à un certain point, celle des lé
ui se sont terminés par la mort du sujet (obs. I, XIX, XX, XXI), la
température
s'est progressivement abaissée jusqu'à la mort.
vélées pendant la vie. Les observations XIX, XX, et XXI offrent des
températures
ultimes inférieures, dans la première de 7°, da
e de 7°, dans la se- conde de 10°, et dans la troisième de 8", à la
température
normale. L'observation malheureusement unique
nte, éprouve peu à peu une sorte de redressement, jusqu'à ce que la
température
devienne enfin tout fait t normale. Ce n'est là
o graisse. On ne constate pas à la main d'abaissement notable de la
température
. Le thermomètre appliqué sur le devant de la po
tu- meurs cervicales a marqué successivement 35°, 6 et 36°, 2, la
température
extérieure étant de 25°. La température rectale
ment 35°, 6 et 36°, 2, la température extérieure étant de 25°. La
température
rectale, prise matin et soir pendant 8 jours co
37°, 2 le soir. Il pa- raît donc exister un léger abaissement de la
température
cen traie. Le ventre est volumineux. Les memb
actères que sur le tronc; toutefois, on y observe un abaissement de
température
, sensible même à la main; le thermomètre appliq
conzpres- sion des zones hystérogènes. Absence d'élévation de la
température
et intégrité de l'intelligence. Coïncidence d'a
ns les oreilles. Reprise deux ou trois heures après l'atta- que, la
température
ne dépasse pas 37°,5. Lorsqu'il est tout à fait
des diverses fonctions physiologiques, respira- tion, circulation,
température
, sécrétions ; enfin, les accidents qui ont pu s
différents appareils. A. -Sur un total de plus de vingt séries de
températures
, il a été observé, pendant l'inhalation, tan- t
e que le bromure d'éthyle n'exerce pas d'in- fluence notable sur la
température
. B. Appareil circulatoire.-Rien de spécial n'a
se produit à des degrés très variables suivant les sujets; 4° La
température
, les sécrétions, l'état général ne pa- raissent
ssez faibles, étaient devenues presque continuelles. A mi- nuit, la
température
atteignit 39°,8. L'enfant succomba dans la nuit
it, la température atteignit 39°,8. L'enfant succomba dans la nuit.
Température
immédiatement après la mort : 41°,9. Autopsie.
bes furent couvertes de collodion, et, fait intéressant à noter, la
température
tomba dès le lendemain à 38°. L'érysipèle fut a
ez les personnes âgées.Vo ? in-8°de 65 pages, avec trois courbes de
température
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re. Un volume grand in-8 de 161 pages, avec 2 planches de tracés de
température
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e dents atteintes de carie. Il n'y a pas d'altéra- tion des ongles.
Température
habituelle : 36°. Nulle sensibilité anormale au
ité, sauf un certain degré de ptose du côté gauche, et déjà ancien.
Température
habituelle, 368; le patient est très sensible a
plusieurs doigts et alors il n'en sont que plus remarquables. La
température
locale est toujours abaissée par rapport au côté
au côté sain. La main et les doigts sont froids, quelle que soit la
température
exté- rieure. Il y a en même temps une diminu
ification de la formule il la galvanisation. 10. Vaso- motricité et
température
. - La main est" légèrement plus froide. Le froi
riens, et interosseux N F < N 0 < P F.- 10. Vaso-motricité et
température
. Très léger refroidissement habituel. 1 \ . Pre
onateur est remplacé par une cubito- flexion. 8. Vasomotricité et
température
. - Habituellement la main malade est plus froid
diminution de l'excitabilité des extenseurs. 10. Vaso-molricité et
température
. Pas de troubles vaso-moteurs, ni thermiques ;
anisation. Pas de réaction de dégénérescence. 10. Vaso-motricilé et
température
. Pas de troubles vaso-moteurs, ni thermiques. L
ctivité. Pas de trouble de la réflectivité. 8. Yaso-motricité. - La
température
est sensiblement égale des deux côtés. Le froid
du médius. 7. Réflectivité. Rien d'anormal. 8. Vaso-motricité et
température
. Main malade un peu plus froide habi- tuellemen
isation. - Pas de réaction de dégénérescence. 10. Vaso motricité et
température
. - Léger refroidissement habituel. 11. Pression
réflexes tendineux fléchisseurs du poignet. 8. Vaso-moiricité et
température
. Léger refroidissement habituel. Après immersio
é. Pas de modification des réflexes tendineux. 8. Vaso-motricité et
température
. Main malade considérablement plus roide. Le fr
isation. Pas de modification de la formule. ' 10. Vaso-motricité et
température
. - Léger refroidissement habituel. Cya- nose lé
eux premières ! Diminution des fléchisseurs-. 10. Vaso-motricité et
température
. - Pas de modification. 11. Pression : 108 LA
- Normale. Pas de réaction de dégénérescence. 10. Vaso-motricité et
température
. - A part un dermographisme bilatéral, pas de t
vés par le cubital. Rien à la galvanisation. 10; Vasomotricité et
température
. Refroidissement habituel de la main, Etat de c
oins marquée à droite qu'à gauche cependant. 9. Vaso-motricité et
température
. - Très léger refroidissement et cyanose de la
comme un phlegmon, bien qu'il n'y ait pas eu d'élévation notable de
température
, et, en décembre, de larges incisions y furent
pophyse styloïde. Un peu de pus se serait écoulé par les drains, la
température
resta peu élevée. L'effet favorable ne fut que
les jambes fléchissaient. En traitement à l'hôpital de du 6 au 15.
Température
abaissée. Symptôme à l'entrée. Douleurs très
nt. A gauche, clonus indéfini. Mouvements contre-latéraux. Pas de
température
. 20. - Fléchissement des genoux à la marche.
de la sensibilité. Les sensibilités au toucher, à la piqûre et à la
température
sont normales. Pas de troubles trophiques. Ré
mparées à celles provoquées par des plaies, surtout nocturnes. La
température
oscillait autour de 37°5 à 38° le matin et persis
oite. Pas de signes de Babinski. La sensibilité à la piqûre et à la
température
semble exagérée dans les deux membres inférieur
réflexes rotuliens sans phénomène du pied. 27. - Réélévation de la
température
, crise douloureuse des membres infé- rieurs, em
LITAIRES 207 empêchant le mouvement, et période d'amélioration avec
température
autour de 38°, et exagération des réflexes. P
de 38°, et exagération des réflexes. Puis le 27, réélévation de la
température
avec crise douloureuse, puis paré- sie des memb
s des jambes et des cuisses. Inappétence. Aurait eu depuis lors une
température
vers 38° tous les soirs. Symptômes à l'entrée
Le 2 mai, douleurs dans les jambes avec faiblesse. Du 15 au 30, la
température
se tient vers 37°2, 37°3. Fièvre plus violente au
ngine traînante avec légère élévation thermique. Du 8 au 11 mai, la
température
se tient entre 38° et 38°4, puis elle s'abaisse
ambes, au niveau de la crête du tibia, surtout nocturnes. Fièvre.
Température
autour de 37°2, 37°3 ; à partir du 17, aurait eu
. Langue toujours chargée. Il s'assied. Pas de signes de Kerniâ, 9.
Température
hier soir : 36°8; le matin 36°8. P. : 72. Pouls
é, mal en train depuis quelque temps ; à 13 heures, on constate une
température
de 38°9 ; cependant le malade couché cause à se
, 38°2 le matin et 39°4 le 2e jour (obs. VI). Dans d'autres cas, la
température
reste moyenne, se tenant entre 38 et 39° (obs. II
(obs. III, V, VII), ne dépassant pas 38° (obs. VII et X) ; ou avec
température
seulement le soir, à 36°7 le matin et 38°8 le s
soir, à 36°7 le matin et 38°8 le soir (obs. XII). L'élévation de
température
est parfois très fugitive ; dans l'observa- tio
température est parfois très fugitive ; dans l'observa- tion IV, la
température
s'élève dès le premier jour à 39° et tombe aussit
spécifiant qu'il aurait pu se tenir debout et marcher, alors que la
température
oscillait autour de 39° ; puis, après un temps d'
ait autour de 39° ; puis, après un temps d'amélioration nette, avec
température
se tenant autour de 38°, celle-ci fait un nouveau
11. MYÉLITES AIGUËS ÉPIDÉMIQUES. DEUX ÉPIDÉMIES MILITAIRES 221 La
température
s'élève au début de la poliomyélite épidémique ;
vu avec quelle brutalité parfois dans la période d'invasion. Cette
température
s'abaisse en général assez rapidement dans l'obse
l'observation XI. - Dans ces deux derniers cas (obs. XI el XII), la
température
oscillant entre 37° et 37°5, à type continu rém
ourbe d'embarras gastrique fébrile ou de courbature fé- brile. La
température
tombe au 13° jour dans l'observation IX, puis la
mittente vaguement ondulée. Après la forte élévation du début, la
température
s'établit en plateau vers 38° le soir j usqu :
du 12e au 158 jour, avec l'apparition des accidents parétiques ; la
température
se tient ensuite entre 37° et 37°6 jusqu'au 24°
ur rouge-brun qu'on a regardées comme une syphilide papuleuse. La
température
n'a pas dépassé 37°5. Le malade est sorti de la
prononcée, au niveau des tégu- ments de la région mentonière. La
température
locale au niveau des deux joues ne semble pas dif
non dans le cas où il existerait quelque lésion de cet appareil, La
température
, dans la plupart des cas, est normale. Du côté ps
ittente du bras. Pas de céphalée. On lui donne dé la quinine- 16.
Température
: 37°5 le matin et 38° le soir. Pouls 66. Langue
ue char- gée. Des vomissements. Pas de céphalée. Purgatif. 9 7. -
Température
: 37°2 le matin et 37"5 le soir. Pouls 64. Vomiss
édecin appelé a pu constater un peu de parésie dans le bras gauche.
Température
: 35"5. Le pouls : 85 pulsations il la minute. Du
as il répondre aux questions qu'on lui adresse. Pas de convulsions.
Température
: 37°o. - Est entrée à la clinique le 22 novemb
ligne du mamelon gauche. L'auscultation sans rien à signaler. La
température
: 37 ? Le pouls ; 95 à la minute, rythmé. La pres
lente. Incontinence d'urine pendant la nuit. - 23 novembre soir. La
température
: 37°4. Le pouls : 60. La patiente est encore p
manifeste. Selles très dures obtenues par lavement. 24. soir. - La
température
: 368. Le pouls : 73°. Toujours plus lucide psy
ments perceptibles. Toujours des douleurs de tèle, mais légères. La
température
du soir : 37°4. Le pouls : 92. 26. Perçoit les
ations de douleur. Pression du sang : 135 millimètres mercure. La
température
du soir : 38°6. Le pouls : 100. 28. Plus abattu
La température du soir : 38°6. Le pouls : 100. 28. Plus abattue. La
température
: 37°8. Le pouls : 78. xxvm 22 318 H INGVAR
de la face. Aucune douleur de tète, Aucun indice d'hémianopsie.'La
température
: 38°5. Le pouls : 96. 30. Soporeuse. Sous une
es. Le signe de Babinski se produit en extension au pied gauche. La
température
du soir : 38° 8. Le pouls : 6r, le, décembre. C
ture du soir : 38° 8. Le pouls : 6r, le, décembre. Coma complet. La
température
: 38°8. Le pouls : 88. 2. A la ronde de nuit, l
légèrement renversée. Quelque raideur de la nuque est remarquée. La
température
: 40°2. Le pouls : 76. - 3. Morte à 3 h. 45 d
lle des deux yeux : 5/6. Les fonds des yeux tout à fait normaux. La
température
: 37°, aussi bien le soir que le matin. Le pouls
Le phénomène de Babinski se produit en extension au pied gauche. La
température
du soir : 37°. Le pouls : 80. - 2 avril. Le p
urs prononcée. Le signe de Lasègue positif des deux côtés à 30. 'La
température
du soir : 37° 6. Le pouls : 86. 7 heures du s
letante et irrégulière. Parfois respira- tion à la Cheyne-Stoke. La
température
: 36°8. Le pouls : 64, irrégulier. In- continen
ir. Il a eu du chloral et du bromure en lavement, qu'il a gardé. La
température
, qui la veille au matin était de 38°9, le soir
agies méningées sont souvent accompagnées d'une exagéra- tion de la
température
, comme le démontrent mes observations 1 et V. La
n V. Ce patient avait peu de temps après le début de la maladie une
température
de 36°8, tandis que quelques heures après (le m
n entrée à l'hôpital), elle était de 38°9. Le même jour-au soir, la
température
était de 41°5, et le matin du jour suivant, imm
immédiatement avant la mort, de 42°5. L'augmentation violente de la
température
dans ce cas s'explique peut-être aussi par une
anal rachidien. Cette méningite se présente avec exacerbation de la
température
et augmen- J £ 411 SUR LES HÉMORRAGIES MÉNING
que cause de-transpiration : exercices physiques, éléva- tion de la
température
atmosphérique, ingurgitation de liquides abondant
ie et du temps utile, il faut tenir grand compte des changements de
température
, d'autant plus que, dans les syndromes d'irrita
d'importance moindre dans le syndrome de Frôhlich. En général -la
température
moyenne du corps est de 36 à 36°5 dans les cas
même temps que de raideur dans les jambes et de quelques frissons.
Température
à 39° hier soir. Ce matin, persistance de la
ite, elle l'est à la cuisse droite et légèrement à la jambe gauche.
Température
du matin 31 ? du soir, 36. 49° jour. Diminution
sin et de la racine des cuisses avec mouvement fébrile et frissons.
Température
à 3cJ°,4.. Ce matin, la raideur des membres inf
en; les corps chauds ne provoquent pas la même sensation pénible.
Température
du matin, 38°; du soir, 38°,7. 56° jour. La rai
et croyait, dit-il, qu'il allait mourir. A huit heures du matin, la
température
est à 40°,3, le soir à 38°,3. COMMOTION DE LA M
ade ne peut imprimer le moindre mouvement aux bras ni aux jambes.
Température
du soir, 39°,la. 104° jour. - Même état. Dépôt
iné immédiatement à sa sortie de la vessie, est légèrement alcalin.
Température
du matin, 390,6; du soir, 40°. On reprend les i
la dou- leur en même temps que la sensation du froid est perçue.
Température
du matin et du soir, 38°, 1. 120° jour. Lé mati
e, et un sentiment de plénitude douloureuse qui persiste longtemps.
Température
du soir, 40°,1. 121° jour. Même état, la douleu
1° jour. Même état, la douleur est très vive au creux épigastrique.
Température
, matin, 38°,7; soir, 40',2. Injection hypodermi
Persistance de la contracture ; douleur épigas- trique moins vive.
Température
du matin, 40°,IN; du soir, 40°, 1. Le malade pr
s d'une intensité presque nor- male. Les douleurs sont moins vives.
Température
du matin, 38 ? a; du soir, 38°,9. 124° jour.
uvements volontaires dans les membres supérieurs, surtout à gauche.
Température
du ma- tin, 37°,4.; du soir, 370,9. 126° jour
auche. Température du ma- tin, 37°,4.; du soir, 370,9. 126° jour.
Température
du matin, 36°,9 ; du soir, 38°,i. 1271 jour. -
ortions avant ce dernier accès, il n'en mange pas une actuellement.
Température
du soir, 37°,3. 128° jour. Température du soir,
mange pas une actuellement. Température du soir, 37°,3. 128° jour.
Température
du soir, 2°,8. 129° jour. Frissons à six heures
ve dans la cavité abdominale a fait place à une sensation de froid.
Température
du matin, 40°. Le soir, l'accès est terminé; te
de froid. Température du matin, 40°. Le soir, l'accès est terminé;
température
, 37°, 9. 131° jour. Température, soir, 39°,3.
0°. Le soir, l'accès est terminé; température, 37°, 9. 131° jour.
Température
, soir, 39°,3. 132° jour. Température, soir, 37o
pérature, 37°, 9. 131° jour. Température, soir, 39°,3. 132° jour.
Température
, soir, 37o,le. 133° jour. - Escharre large comm
mme s'il était plongé dans de l'eau froide. A cinq heures et demie,
température
38 ? a. 145° jour. - Encore un peu de malaise d
38 ? a. 145° jour. - Encore un peu de malaise dans l'après-midi.
Température
du soir, 37°,8. 8. 146° jour. -Pris à une heure
a base du thorax, sans que le malade puisse les chan- ger de place.
Température
, soir, 40°, 1. 147° jour.- Température, soir, 3
se les chan- ger de place. Température, soir, 40°, 1. 147° jour.-
Température
, soir, 39°. Les jours suivants, l'escharre s'ét
violent des membres ; il accuse la sensation d'un froid intense. La
température
est à 38°,9. Depuis le 147° jour la température
n froid intense. La température est à 38°,9. Depuis le 147° jour la
température
s'était maintenue entre 38°,1 et 39°,8, général
. Le malade est pâle et faible, la voix est complètement éteinte.
Température
soir, 36°. Les jours suivants, elle oscille de 36
à 100 R. par mi- nute, pendant que le pouls reste à 80 ou 83, et la
température
normale; ces accès de respiration accélérée dur
VII. SUR LES maladies mentales consécutives a une élévation DE la
température
EXTÉRIEURE; par R. Victor. (Allg. Zeitsch. f. Psy
ysiques ou morales, constituent autant du causes prédisposantes. La
température
du corps des victimes s'élève souvent jusqu'à -
terait encore post ruortem de trois dixièmes. On a beau abaisser la
température
somatique jus- qu'à 34° S', on n'entrave ni l'e
qui distille sans décomposition à + )04° 1 ? qui est volatile à la
température
ordinaire, a été utilisé par l'auteur sur six a
aussi qu'on a rac- courci ses membres inférieurs. En même temps, la
température
s'élève, il se forme au lieu d'opération un phl
fran- çaise à l'acide nitrique. 11. lltizig lit un mémoire sur la
température
au-dessous de /tt) ! 0 ? male cliez les paralyt
e sur les téguments, le mouvement de cette barre sur l'épidémie, la
température
du métal (elle devra être de 33° C., mais on di
souvent des contrastes brutaux entre le soleil et l'ombre, entre la
température
de midi, du matin, du soir. Sur la côte orienta
fois par semaine contribuent à en faire un endroit de rendez-vous.
Température
moyenne d'après Koerner '; annuelles - 16,63; h
influence des différentes modalités du sens du toucher (sens de la
température
, impression douloureuse, sensation de contact,
dite feGricnle hystérique, consiste en des élévations passagères de
température
observées au cours de l'hystérie inliilntoire e
singe. (Arclc. de phys., 2° série, t. VI.) 4880. Recherches sur la
température
périphérique et quelques conditions de ses variat
pendant deux jours. Bromure de potassium 3 grammes. Voici quelques
températures
durant cette période : le 3 octobre au soir, T.
Soir : T. H. 38°, 6. Hier 10 mai, il a été impossible de prendre la
température
à cause de l'agitation de l'enfant : il a mordu
s; exagérations des ré- flexes tendineux ; diminution du sens de la
température
dans les membres inférieurs, avec un peu d'exag
l'inflammation chronique puisque, même quand l'étal est grave, la
température
ne s'élève pas, tandis qu'elle monte à propos d'a
elle monte à propos d'at- taques légères, et que cette allure de la
température
doit faire songer suivant le cas, à l'atteinte
limentation assure l'entretien de l'individu et le main- tien de sa
température
. 11 faut donc surveiller l'air que nous respiro
ORTANCE AU POINT DE VUE DU PRONOSTIC D'UN ABAISSEMENT EXTRÊME DE LA
TEMPÉRATURE
DANS LE COURS DES MALADIES MENTALES ; Par N.
urg. Depuis que z a attiré l'attention sur les varia- tions de la
température
du corps durant diverses formes d'affections me
d'une affection organique, peut modifier la courbe normale de la
température
. Sans m'arrêter sur toutes les particularités q
s maladies mentales, je m'en tiendrai à l'abaissement brusque de la
température
dans quelques cas particuliers. Des faits de ce
geisleskran- ken. (Allg. zeitschrift f. psychiatrie, 1880.) DE LA
TEMPÉRATURE
DANS LES MALADIES MENTALES. 355 et dernièrement
des lapins, ont démontré que les changements qui s'opèrent dans la
température
du corps, dépendent de l'in- iluence exercée su
rce du cerveau, dans lesquels s'observaient des chan- gements de la
température
interne du corps; il admet, par suite, que les
e système nerveux central peut exercer une influence notable sur la
température
du corps, et que parmi les fonctions lésées dan
d'observer cette année, est en 1 f3ecVterew. Essai clinique sur la
température
dans quelques formes de maladies mentales. Thès
Le pouls est lent, faible, 40 par minute. A sept heures du soir, la
température
rectale donne 34°, 350. On prescrit du lait cou
e physiquement : état d'excitation comme la veille. Bon sommeil. La
température
rectale à dix heures du matin 34°, 8 C.; à deux
Nous voyons dans cette observation, un abaissement no- table de la
température
centrale; elle n'atteignait, en effet, au rectu
s des halten wassers. (Arch. /u)'M)tMC/ie« ! eeetM, 1867-68.) DE LA
TEMPÉRATURE
DANS LES MALADIES MENTALES. 359 celui que l'on
chaleur du corps peut ne pas varier, malgré les oscillations de la
température
ambiante, si celles-ci ne dépassent pas les lim
esquelles un abaissement considérable et longtemps pro- longé de la
température
n'a pas entraîné la mort. Burckhardt1 décrit un
ckhardt1 décrit un cas de mélancolie chez une femme, dans lequel la
température
au début s'était abaissée à 34°, 8 C. (1110 obs
Dans l'observation XXI, il s'agit encore d'un mélancolique dont la
température
est descendue à 3t°, 8 G. L'année dernière, Ila
ée dernière, Ilaasse publia ses recherches sur les variations de la
température
durant des psychoses périodiques. Dans ce mémoi
quelque intérêt. En effet, après un accès d'exaltation maniaque, la
température
est tombée plusieurs fois à 34°, 4 C., sans que
83.) * 360 REVUE CRITIQUE. cas, dans l'alcoolisme par exemple, la
température
peut baisser dell°C., sans entraîner la mort, c
s'agissait d'une femme âgée de trente- huit ans, chez laquelle les
températures
vaginale et axillaire s'étaient abaissées jusqu
ubliés il ressort ce fait qu'un abaissement même considérable de la
température
peut se produire dans le cours des maladies men
sur la partie inférieure de la face à droite ; perte du sens de la
température
. Six mois après le début des accidents, les petit
ur, du lieu; mais c'est la sensibilité douloureuse et le sens de la
température
qui ont le plus souffert, car on peut tra- vers
( difficulté de diagnostic), 73; consécutives à une élévation de
température
extérieure), par Victor, 76. Manie (pathologi
lesfemmes),pnr.Moebius, 253 avec trouble mental, 263; du), 429.
Température
(importance au point de vue du pronostic d'un a
lejuif, 3 à Clermont (Oise). Nous avons pour habitude de prendre la
température
des malades avant leur départ, et cela dans le
des sous le coup d'une affection aiguë, de même que nous prenons la
température
à l'entrée, durant les cinq premiers jours (1)
par des convulsions ; 3" garçon bien portant, pas de convulsions.
Température
et la première entrée. 10 Traitement thyroïdien
mme. Mars. - l3ronchite légère à droite, engelures. 11 mars. - La
température
étant de 39°, 2 on suspend la glande thyroide,
t du mois, toux de plus en plus fréquente, dyspnée, élévation de la
température
(tu- berculose). 1'" j¡¡il/. - : llt}ll1cs sy
y a un mois. Amaigrissement, sommeil mauvais à cause de la toux. La
température
se maintient élevée. Même état du corps et des
ton pendant une semaine, puis 0 gr. 50, - 0 yr. 75 et un gramme. Sa
température
rectale, plutôt un peu inférieure à la normale,
fut inutile, il mourut quatre à cinq minutes après l'acci- dent.
Température
à l'entrée Fracture DE l'atlas; écrasement DU B
uile de foie de morue. Exercices de la marche et des jointures. w
Température
à l'entrée. IDIOTIE complète ; diplégie. 57 Î
ale de glande thyroïde de 111outon.- Amélioration : Elévation de la
température
;- diminution de poids; phénomènes divers dus au
èricardique. Cyanose subite : mort ; abaissement considérable de la
température
. T. après la mort- Rigidité cadavérique. AUTO
ilité générale est normale. Deb... est très sens;- ble au froid. Sa
température
rectale a été prise du 12 au 21. Voici les chif
z des malades encore jeunes (2). 1895. Traitement lyroïdien. La
température
rectale (3) du malade prise avec soin à (1) S,'
r le même sujet qui figure dans 1 : 0 volume. (3) Nous prenons la
température
rectale des malades, la plus facile et la plus
température rectale des malades, la plus facile et la plus sûre. La
température
axillaire, pour offrir des garanties, exige, en e
ompte-rendu de 1S(5). Cette planche-indique les modifications de la
température
et du poids sous l'influence du traitement thyr
De... en Lévrier 1890. 100 . IDIOTIE myxoedémateuse. disparu, la
température
descend à 37° ; le poids n'est plus que de 24 k
ert des frères Lionnet et le soir, sans autre cause appréciable, la
température
s'élf ? ve à 38°. Durant la suspension du tra
à 60. 6 juillet. Urine : 500 grammes. Pouls : 60. 7 juillet. - La
température
s'élève de nouveau à 37°,G. Urine : 1 litre. Po
ent à la date du 13 août, le malade ayant gagné 500 gram- mes et la
température
descendant à 37° et au-dessous, ainsi que cela
lée ; D... n'a éprouvé aucun malaise et, depuis le 11 septembre, sa
température
n'est ja- mais descendue au-dessous de 37°. Le
re, 190. ` 7 Fig. 13. -3Deb... en 1901. 106 MORT : Hypothermie. ?
Température
après la mort. RIGIDITÉ cadavérique. 107 L'en
t maintenu, baignant dans quantité suffisante d'eau distillée, à la
température
d'ébullition pendant une heure, puis maintenu à
tiles, et jamais il n'a manifesté d'impul- sions génitales. V. La
température
rectale de Deb... était d'habitude, comme chez
67). A un moment, après la mort, elle a même été au-dessous de la
température
du milieu ambiant. VI. La description du squele
orteils courts. Sensibilité normale à la piqûre, au pincement, à la
température
. Réflexes rotuliens semblant disparus ainsi que
juin. -Rougeole : éruption discrète qui commence à pâlir, le 22. La
température
s'abaisse le même jour. 26 juin. - Il n'y a plu
plantaire régulière ; réflexes diminués. Sensibilité générale. A la
température
, régulière ; au contact, et à la douleur, dimin
, gymnastique, école. la02. En janvier, 2 accès. Même traitement.
Température
de l'accès. 168 Epilepsie DITE idiopathique.
u'elle a beaucoup oublié. MÉLANCOLIE; IDÉES DE CULPABILITÉ. 195
Température
des cinq premiers jours. ' 196 Mélancolie; muti
étations fausses, onanisme, amai- grissement (2), abaissement de la
température
, etc. Du 11 au 26 mars survient une rémission,
ît avoir une grande autorité sur lui. 212 Marche DE la maladie.
Températures
à l'entrée. Traitement médico-pédagogique. 213
presque jusqu'en bas, des frottements pleuraux, humides, de retour.
Température
du matin ST", 6; du soir 39°. 31 juillet. - Lar
t a disparu. T. R. matin 37°, 1 ; soir 33,4. 12 août. Chute de la
température
; on entend la respira- tion normale du poumon.
, gonflement accompagné de rougeur diffuse avec légèro élévation de
température
. Pouls 100. -- Application de pansements humide
at sans jeter une plainte, ni tousser, ni faire aucun mouvement. La
température
prise aussitôt après la mort était de 3'10,4 (1
où nous l'avons laissée c'est-à-dire depuis le mois do juin 1900.
Températures
à l'entrée. Augmentation de la contracture. 251
15 janvier. - T. IL 3° ; P. 110. 16 janvier. A 7 h. du matin, la
température
rectale prise avec deux thermomètres successive
ppa- reil pulmonaire et circulatoire. L'enfant ne tousse plus. La
température
oscille entre 36° et 37°. Le pouls est bien frap-
tat général est toujours semblable. L'hypo- thermie réapparaît : la
température
descend fréquemment au-dessous de 3 in, et de a
ines. (M. Wille, interne en pharmacie.) Albumine : néant. Urée à la
température
de 15°, 16 gr. par litre. 1° mars. - La tempé
nt. Urée à la température de 15°, 16 gr. par litre. 1° mars. - La
température
oscille entre 35° et 38°. Le pouls est petit, l
ant s'affaiblit de plus en plus ; sa maigreur s'accentue encore. La
température
est descendue à 35°. Poids : il k.200 au lieu d
n 1900, d'autre exemple de cette affection familiale. Tableau des
Températures
. Nanisme et infantilisme. 261 II. Accessoirem
eux mois. Nous avons eu soin, comme toujours, lorsqu'il s'agit de
températures
anormales, de vérifier l'hypothermie en prenant
res anormales, de vérifier l'hypothermie en prenant simultanémenlla
température
rectale avec deux thermomètres, bien appliqués
stion, nous rappellerons que nous avons signalé l'abaissement de la
température
centrale dans l'a- poplexie cérébrale (1870); d
(1880) (3); Y abstinence (4); dans la mélancolie, etc. (1) De la
température
dans l'urémie (Revue phot. des hôp. de Paris, 187
du système nerveux, etc., etc.) (2) iYote sur la maladie bleue ;
température
centrale, en collaboration avec d'Qlier (Soc. a
epuis quelque temps. Huit ou dix jours après cet entretien, par une
température
très froide à l'ombre et brûlante au soleil (c'
'il maigrissait, qu'il fléchissait sur les jambes. 9 décembre. - La
température
à 30°, le soir du 7 descend progressivement à 3
ongtemps et aboutit à un sommeil profond qui permet de prendre la
température
du malade sans qu'il réagisse. T. R., 3îo 9 1/2.
. -Soir : 31°,G. - Gr... s'est levé aujour- d'hui. la au 19. - La
température
normale s'abaisse progressive- ment jusqu'à 36,
sy, p. 121.) de l'épilepsie procursive 111 montre la marche de la
température
dans un état de mal qui se termine par la guéri
ui se termine par la guérison; le second nous donne la marche de la
température
dans un cas d'état de mal aboutissant à la mort
T. R. 42°. Le malade meurt le 16 septembre à une heure du matin.
Température
après la mort : 43°,2. Autopsie (17 septembre 1
s d'athétose double (Iteoue de médecine, 1888, p. 10). III. De la
Température
centrale dans l'épilepsie; Par BOURNEVILLE.
s que nous avons entreprises autrefois' sur les modifications de la
température
sous l'influence des accès iso- lés d'épilepsie
ées récemment par un auteur allemand, M. Witkowski 2. « De hautes
températures
, dit-il, s'observent assez souvent chez les épi
'berlines Klin. ¡Vochenschl'¡ft, n"' 43 et 44, oct. 1886. 188 DE la
température
centrale dans l'épilepsie. sence de certains pr
cès pris individuellement n'exerce pénératementaucune action sur la
température
du corps du patient, mais les séries d'accès ré
é. Sans doute l'expérience enseigne que dans les accès accumulés la
température
affecte la plupart du temps, une allure proport
uses, un certain nombre de traités dont les auteurs ont parlé de la
température
chez les épileptiques : Seguin (E.). - Médical
erv., 3° édition. Montpellier et Paris, 1886, p. 1072; etc. DE LA
TEMPÉRATURE
CENTRALE DANS L'ÉPILEPSIE. 189 des accès, fièvr
urvenant par petites sé- ries ne produisent pas une élévation de la
température
; les accès accumulés - que nous désignons en F
n France sous le nom d'Etat de mal- déterminent une élévation de la
température
proportionnelle à leur nombre. Nous allons démo
er la loi que nous avons posée sur l'élévation considérable de la
température
dans l'état de mal épileptique. Toutefois, avant
de ses extrêmement nombreuses mensurations thermiques ». I. DE LA
TEMPÉRATURE
DANS LES ACCÈS ISOLES D'ÉPILEPSIE. Dans nos pre
DANS LES ACCÈS ISOLES D'ÉPILEPSIE. Dans nos premiers travaux sur la
température
des épilep- tiques (1869-1873), nous n'avions m
qu'un petit nombre d'expériences : ce sont celles-là seu- 190 DE LA
TEMPÉRATURE
CENTRALE DANS L'ÉPILEPSIE. lementque parait con
. Chez soixante d'entre eux, nous avons observé une élévation de la
température
sous l'influence de l'accès épileptique. Pouvan
r confiance aux enseignements de l'École de la Salpêtrière. DE LA
TEMPÉRATURE
CENTRALE DANS L'ÉPILEPSIE. 191 192 DE LA TEMPÉR
rière. DE LA TEMPÉRATURE CENTRALE DANS L'ÉPILEPSIE. 191 192 DE LA
TEMPÉRATURE
CENTRALE DANS 1,'ÉPILEPSIE. DE LA TEMPÉRATURE C
PSIE. 191 192 DE LA TEMPÉRATURE CENTRALE DANS 1,'ÉPILEPSIE. DE LA
TEMPÉRATURE
CENTRALE DANS L'ÉPILEPSIE. 193 Chez vingt-sept
ccès,. - dans la seconde catégorie, n'embrassant que 13 malades, la
température
a offert plusieurs irrégularités sur lesquelles
ici d'abord le tableau des cas de la première catégorie : 194 DE LA
TEMPÉRATURE
CENTRALE DANS L'ÉPILEPSIE, DE LA TEMPÉRATURE CE
atégorie : 194 DE LA TEMPÉRATURE CENTRALE DANS L'ÉPILEPSIE, DE LA
TEMPÉRATURE
CENTRALE DANS L'ÉPILEPSIE. 195 rature a fourni
ce qui nous y engage, c'est que chaque fois que nous avons pris la
température
en dehors des accès, J le matin et le soir, nou
dehors des accès, J le matin et le soir, nous avons enregistré des
températures
normales et, par conséquent inférieures aux tem
gistré des températures normales et, par conséquent inférieures aux
températures
maxima consécutives aux crises convulsives, ain
nclusions anciennes : 1° les accès isolés d'épilepsie augmentent la
température
centrale ; - 20 cette augmentation varie entre
prochainement et rapporter un certain nombre de faits relatifs à la
température
dans les accès sériels d'épilepsie et dans l'ét
es. Nous devons signaler aussi une note de M. le D' Lemoine, sur la
Température
dans les accès isolés d'épilepsie, reposant sur
de la pression du soulier. Sensibilité générale normale (toucher,
température
, etc.). Réflexes normaux.- Vite : myopie très p
cas d'asphyxie par strangulation : abaisse- ment considérable de la
température
; gué- rison ; Par BOURNEVILLE. A propos d'u
le, à 84 ; la respiration était irrégulière, diaphragma- tique ; la
température
rectale était de 34°, 1. L'insensibilité était
es après, le pouls était à 80, la respiration ron- flante à 18 ; la
température
rectale à 38°,4 ; la peau chaude. Six heures ap
ès l'accident : le pouls était le même, la res- piration à 20 et la
température
à 40°,3. La face était devenue rouge, la chaleu
u'il importe de relever dans cette observation, c'estlamarcho de la
température
centrale. Elle présente tout d'abord un abaisse
d un abaissement considérable, puis une élévation consécutive. La
température
, une heure après la pendaison, était descendue
ison, était descendue à 34°,1, soit environ 3°,4 au-dessous de la
température
moyenne normale (37°,5). Ce n'est que trois heu
ure moyenne normale (37°,5). Ce n'est que trois heures après que la
température
se relève pour atteindre assez rapidement dix h
ment dix heures après l'accident, 40°, 3, soit 2°,S au-dessus de la
température
naturelle. Aussitôt la BOURNEVIILE, 1887. 15
le. Aussitôt la BOURNEVIILE, 1887. 15 G ASPHYXIE : HYPOTHERMIE,
température
a commencé à s'abaisser, non pas avec la rapidi
qu'elle a descendu de 39° au taux normal. Ces renseignements sur la
température
, chez un pendu ramené à la vie, nous ont paru m
sfert. Ajoutons enfin, que nous avons pour habitude de prendre la
température
des malades avant leur départ, et cela dans le
s sous le coup d'une affection aiguë, de même que nous prenons la
température
à l'entrée, durant les cinq prémiers jours (2).
re eux. Les tableaux communs sont les suivants : as Tableau de la
température
des cinq premiers jours de l'admission. - Nous
infectieuse. De même, en cas de transfert, nous faisons prendre la
température
la veille et le matin et nous maintenons l'enfa
ableau des urines. /) Tableau de la vaccination. - 0) Tableau de la
température
après la mort. Ces lablfaux ont été reproduits
ture rectale du corps, jusqu'à ce qu'elle soit en équilibre avec la
température
de la chambre, d'abord d'heure en heure, puis t
ellents. Parole et voix nettes. Propre, soigneuse de sa personne.
Température
à l'entrée. ÉPILEPSIE VERTIGINEUSE ET BROMURE D
, depuis l'entrée, paraît avoir été provoqué par une indigestion.
Température
dans l'accès. 8 THÉRAPEUTIQUE. course. En rep
et dans les premiers temps de son entrée il la Fondation Vallée.
Température
à l'entrée. 18 THÉRAPEUTIQUE. son caractère a
rquoi m'avez-vous fait monter ici ? » Elle ne se souvenait de rien.
Température
au mo- ment du ronflement, : 37«, 6 ; un quart
e même que dans le précédent, nous cons- tatons une élévation de la
température
sous l'influence de l'accès. Cette élévation es
accès. Cette élévation est bien mise en relief par le tableau de la
température
durant les cinq premiers jours de l'ad- mission
tulien et tricipital exagérés. Jambes et pieds livides, violacés, à
température
bien moins élevée que celle des mains. Pieds oe
sale de nombreuses cicatrices. La sensibilité à la piqûre et à la
température
existe sur toutes les parties du corps. l'as de
6 décembre, époque oit elle est transférée à la fondation Vallée.
Température
rectale il l'entrée. 116 Folie de l'adolescence
énote une certaine souffrance, les yeux paraissent t s'agrandir. La
température
s'est élevée à 39° et 39°, 5. Elle a dû rester
à notés persistent. Marguerite ne se lève que quel- ques heures. La
température
est peu élevée.- Traitement : lait, oeufs, côte
e différente : 4 jours, 8 jours, 6 mois et 4 mois et demi. IV. La
température
rectale, prise matin et soir, durant les cinq p
près sa réadmission, en janvier 1900 jusqu'à sa guérison en mai, la
température
s'est maintenue en général entre 37° et 37°, 0.
e attaque de folie jusqu'au début de sa tuberculose intestinale, la
température
est, comme auparavant, restée normale. Le 17 ju
anvier au 7 février entre 330,8 et 36°, 6. Elle meurt le 7 avec une
température
de 35°,3. VI. La tuberculose n'a point paru env
e à quelques syllabes : apa pour papa, ama pour maman, oui, non !
Température
à l'entrée. DESCRIPTION DU cerveau. 141 Hémis
he, la parole qui ne s'est jamais développée complètement. IV. La
température
rectale, prise pendant les cinq jours qui ont s
,1 a 37°,3. - D'où il suit que, en général, chez les mongoliens, la
température
est plutôt au-dessous de la normale, mais à un
rée dans le service, l'enfant présente une légère éléva- tion de la
température
. Température rectale à l'entrée. Description
vice, l'enfant présente une légère éléva- tion de la température.
Température
rectale à l'entrée. Description DE la malade.
face antérieure du thorax, mais disséminée surtout le corps. Pas de
température
. Pas d'angine, pas de vomissements. Conjonctive
rs minuit qu'elle a paru souffrante; la surveillante fit prendre sa
température
: on nota 34°, 2; cette hypothermie fut constat
e 29 avril, elle est atteinte d'une rubéole au cours de laquelle la
température
rectale a oscillé entre 3 il,3 et 3G,,6 le plus
,3 et 3G,,6 le plus souvent au-dessous de 37". Or, le tableau de la
température
des cinq premiers jours de l'admission nous mon
mpérature des cinq premiers jours de l'admission nous montre que sa
température
habituelle Hypothermie. 9fi était normale (7
hypothermie. Cette hypothermie s'est accusée à partir du 23 mai, la
température
restant au dessous de 37°, descendant à 36°,6 p
à 36°,6 puis dans la nuit de la mort à 34°,2 2 L'abaissement de la
température
et l'amaigrisscment(lc poids est tombé de 15kil
mie et d'apo- plexie cérébrale accompagnés d'un abaissement de la
température
, dont nous nous sommes occupé naguère nous avon
ciété de Biologie. En outre, nous avons noté un abaissement do la
température
rectale, en maintes circonstances chez les idio
tiques, en dehors des idiots 1r/'y- wmclénztztezcx chez lesquels la
température
rectale, est toujours au-dessous de 37°. (Voir
e cinq ans, morte avec des symptômes de broncho- pneumonie avec une
température
de 24° (Israélite, opposition à l'autopsie); 2°
au cours d'une grippe. Ces trois derniers enfants ont survécu. La
température
a été prise avec plusieurs thermomètres et les
soin, ainsi que nous avons l'habitude de le faire en présence de
températures
anormales. V. Les lésions trouvées à l'autopsie
cas d'asphyxie par stran- gulation : abaissement considérable de la
température
centrale (34°, 1), guérison ; par Bourneville.
tères incohérents. A noter le 31 octobre une élévation,subite de la
température
, qui .le matin est iL 38° sans que rien dans l'
tat semi-comateux ; inertie musculaire complète, ancsthésie totale,
température
38°, 5 le matin, 38°, 6 le soir; pouls bon, mai
tipation qui cède il l'administra- tion de 0. fr 50 de calomelT- la
température
est normale. L'état d'agitation persiste : la m
'à 3 heures de l'après midi. Cette fois il n'y a pas d'élévation de
température
; de plus, la résolution musculaire et l'anesthé
tôt après l'avoir pris. Elle crie et se plaint toute la journéei La
température
n'était cependant que de 36°, z 8. Mais par tro
enue à elle, elle se mit à crier. 6 juillet. - La malade n'a pas de
température
; le corps et les extrémités sont froids. Pas d
meurt à 11 heures et demie du soir, sans grimaces, ni secousses. -
Température
au moment de la mort : 40°. 42 ARBHT DE DÉVEL
ement. - Soir : T. R. 39°. 11 mai. - En raison de l'élévation de la
température
obser- vée hier soir, et bien que la températur
l'élévation de la température obser- vée hier soir, et bien que la
température
soit descendue ce matin à 380, 2, nous ne lui f
se. La respiration était pré- cipitée, l'oppression très grande, la
température
très élevée (40°). Dans la matinée, Gon.. est p
t plus calme, bien que la respi- ration soit gênée et fréquente. La
température
est descendue ;"t 380, 4. Dans la journée, alte
iaque et on a fait une nouvelle application de ventouses sèches. La
température
est descendue à 38° (une heure de l'a- près-mid
QUE. 57 tomes anormaux, en particulier la dyspnée, l'élévation de
température
, etc., notés chez Gonich... Rappelons que les p
pression, la submatité, les nausées, l'élévation persistante de la
température
nous parais- sent rendre fort probable cette op
le sont avec lenteur. La sensibilité générale au contact, à la
température
, à la douleur existe partout. L'intelligence
Vésicatoire. Potion de Todd. 1890. 2 janvier. - Épistaxis léger.
Température
vespérale 40°. Respiration à 46 par minute. 5
- Evolution de la puberté. - État de mal. - Élévation notable de la
température
. - Mort. Marche de la température et de la rigi
mal. - Élévation notable de la température. - Mort. Marche de la
température
et de la rigidité, cavadèriques. Autopsie. Liqu
es ; pas de modification nutritive de la peau ni du système pileux;
température
plus basse du côté para- lysé. Peau et tissu
t un nouvel exemple : il a succombé à cette complication avec une
température
centrale très élevée ('il0, 2). IV. La sclérose
ations. Mouvements dans tous les sens. Sensibilité au contact, à la
température
et à la douleur conservée, la même des deux côt
imace. Cette crise dure trois quarts d'heure, et s'accompagne d'une
température
de 39°,7. 29 octobre. - Ce matin, l'enfant es
ns de l'écriture permettent de suivre la marche de la maladie. La
température
rectale a oscillé du 23 septembre au 3 octobre
lutôt fré- quent. Les extrémités et les lèvres sont cyanosées. La
température
centrale est au-dessous du chiffre normal. Tous
mouton. J'ai observé, dès le lendemain, des accidents très graves :
température
à t0 degrés, pouls extrême- ment fréquent, faci
puisse aboutir a une syncope. En l'absence de toute élévation de la
température
, c'est au coeur qu'est le danger, c'est par le
cisives centrales et les latérales, ce t50 IDIOTIE MYXOHDEMATEUSE :
température
. qu'explique d'ailleurs l'absence actuelle d'au
oup d'une maladie infectieuse, et aussi de nous rendre compte si la
température
des idiots et des épileptiques est la môme que
ir, comme les accidents persistent, que l'enfant souffre, et que la
température
est élevée, la surveil- lante fait appeler l'in
« comme si elle voulait les allon- 5er n . Vomissements, diarrhée,
température
élevée (T.R. 37°, 4). - Suspension de la glande
re les deux seins et jusqu'au rebord des fausses côtes. Voici les
températures
rectales de Kr... durant les 10 premiers jours
, - Aline n'a pas dormi, a été agitée. T.R. 370,7 7 (chez elle, une
température
fébrile). Toute la figure, y compris les paupiè
arrhée, sueurs assez abondantes, occasionnées peut-être plus par la
température
extérieure que par la médication qui a été susp
camarades. Enfin elle n'a pas fait de progrès pour la marche. La
température
est redescendue entre 36° et 37°. Il y a donc u
bués aune indigestion, l'enfant était ivre-mort. Du 9 au 13 mai, la
température
rectale, prise matin et soir, a oscille entre 3
uits par la pachyméningite et la méninge-encéphalite. Celle-ci, .
Température
APRÈS l'accès ET après la mort, 217 à son tour,
l'alcoolisme aurait été également absent. IV. Nous avons vu que la
température
rectale moyenne, de l'enfant d'après les tempér
vons vu que la température rectale moyenne, de l'enfant d'après les
températures
prises , matin et soir pendant 5 jours, était à
uelle des maladies de l'enfance, juillet 1895, t. XIII, p. 309. 218
Température
après l'accès ET après la mort. sur la températ
I, p. 309. 218 Température après l'accès ET après la mort. sur la
température
par les accès. Les notations ther- mométriques
le 5 et le 6 janvier 1896, ont mis en évidence l'augmentation de la
température
sous l'influence des accès : ce qui confirme to
ermo- mètre comme moyen de s'assurer de la réalité de la mort. La
température
terminale, qui était de 39°, 5, est descendue e
e terminale, qui était de 39°, 5, est descendue en 12 heures à 18°,
température
de la salle où était déposé le cadavre. XVII.
aplégie spasmodique). La sensibilité au contact, à la douleur, à la
température
est conservée et la même des deux côtés clu cor
Il en est de même de la sensibilité au toucher, à la douleur, à la
température
et pour la peau et pour les muqueuses (bouche,
des qui présentent à titre de symptôme uni- que une élévation de la
température
dont l'explication scientifique n'est rien moin
de cause à ef- fet est cependant facile, et quoique l'élévation de
température
observée ne réponde pas à un état morbide bien
me nerveux, transitoires ou prolongées, qui dans ces cas élèvent la
température
. Il n'existe pas alors de lésion matérielle à p
s aliments solides pour la première fois, car c'est la règle que la
température
s'élève; mais même alors qu'il s'est passé plus
e s'est alimenté sans faire d'excès, il est fréquent de voir que la
température
s'élève plus ou moins sans qu'un examen minutie
é ce phénomène, je me souviens sur- tout de deux typhiques dont les
températures
ne devinrent normales qu'a- près trois mois che
ommodité, comme si leurs organismes s'étaient habitués à ces hautes
températures
. De la même sorte qu'il se produit des phénomèn
ma- lades de variole qui, à la période de dessiccation, quand leur
température
était normale, furent atteints de nombreux abcè
donné d'observer chez une malade l'évolution de la variole avec des
températures
normales et hypo-normales. Il s'agit de cas exc
is peu de temps parmi ses manifestations variées, l'élévation de la
température
. Ceci servira à modifier la définition de l'hys
net, autant par les circonstances qui précédèrent l'élévation de la
température
que par l'ensemble des circonstances successive
me qu'on observa pendant plus d'un mois et demi fut la fiè- vre. La
température
oscillait entre 39 et 41°, 2 c, sans que la quini
modifier d'une manière appréciable. Le délire apparaissait quand la
température
atteignait ou dépassait 40° et il était de la m
cadre thermique lui-même est incomplet puisqu'on n'y trouve que les
températures
de 14 jours. La température était prise 4 fois
incomplet puisqu'on n'y trouve que les températures de 14 jours. La
température
était prise 4 fois dans les 24 heures : à 7 heu
u matin, à 5 heures et à 10 heures du soir. Tout le temps que les
températures
se conservèrent élevées, les mouvements respira
ns la soirée le ventre devint encore tympanique et douloureux et la
température
s'éleva comme la nuit précédente. La quinine ne
it précédente. La quinine ne produisant pas de modification dans la
température
, le traitement consista dans des bains tièdes et
ntinuèrent et il y en eut même de teintés de sang. Déjà le 17, la
température
était arrivée à la normale ; la malade se trouvai
se trouvait bien et elle ne se rendit pas compte de l'élévation de
température
de 1° que le thermomètre révéla dans la soirée
esthésique gau- che. Le pouls a eu une fréquence en rapport avec la
température
; la respiration ne s'est pas comportée de même
mes culminants étaient les douleurs lombaires et la céphalalgie. La
température
s'élevait il 38 7. Le jour suivant, elle se révei
calment vers le milieu du jour pour augmenter dans l'après-midi. La
température
qui était au matin de 38° 7 s'était élevée a 3J 7
érature qui était au matin de 38° 7 s'était élevée a 3J 7. Comme la
température
était haute et que la malade avait le délire, on
e délire, on lui donna un bain qui, au lieu d'ètre tiède, fut d'une
température
plus élevée que celle de la malade. Quand ell
rtit, le visage était congestionné, le délire avait augmenté, et la
température
s'élevait il 40" 5. La température n'était plus d
le délire avait augmenté, et la température s'élevait il 40" 5. La
température
n'était plus dans la matinée du jour suivant qu
r les douleurs s'exacerbaient et la chaleur augmentait. Le 18, la
température
commença il décroître et la malade resta trois jo
l n'y eut point de vomissements. Comme précédemment, le pouls et la
température
gardèrent le rapport général, l'opposé de la resp
calmaient pas les douleurs, mais même elles n'agissaient pas sur la
température
. Les pressions exercées avec toute la main calm
en fut pas de même et des difficultés surgissaient en voyant que la
température
s'élevait d'une façon extraordinaire. Tout d'ab
ésion orga- nique. Qu'avait donc la malade ? Est-il possible qu'une
température
oscillant entre 40° et 41° se maintienne pendan
anément la fièvre. Mais on transporte la malade à la campagne et la
température
tombe brusquement à la normale et tous les autr
l'ai démontré dans plusieurs cas, malgré un pouls de 100 à 120, la
température
de la région axillaire ne s'é- lève qu'el 37° 4
évrier 1886. , . Pendant deux mois elle eut deux accès fébriles, la
température
se main- tenant entre 37° et 40° 4, pour reveni
ce d'une fièvre hystéri- que. Il a observé que dans certains cas la
température
est plus élevée la nuit que le matin ; d'autres
e fièvre typhoïde initiale. Cependant au troisième jour, quoique la
température
eût pu appartenir à la dothiénenterie, l'en- se
e cette maladie était inad- missible déjà au cinquième jour, car la
température
était l'unique symp- (1) Médical Record. 25 Avr
dans le cas présent depuis le 11 août que l'urine fut supprimée, la
température
s'éleva jusqu'au 14, pour com- mencer à décroît
qualifier d'hystérique s'accompagne d'a- nurie et d'élévation de la
température
, il n'est ni possible, ni prudent de se prononc
rie et elle resta sans appétit. Peu de temps après s'être levée, la
température
s'éleva de nouveau et la fièvre se maintint pen
st une des manifestations possibles de l'hystérie et que les hautes
températures
. lorsqu'elles se développent simplement comme ex-
e la raideur, existent cependant, nie semblent pas être exagérés.
Température
normale. Toutes les fonctions se font très bien
ndant le sommeil il tombait de son lit. Quant à l'influence de la
température
sur les secousses, Kurella prétend que chez son
dsersena a noté que les mouvements étaient plus intenses lorsque la
température
était plus élevée. Ni la menstruation, ni les
bserve depuis un an et demi, je n'ai pas constaté l'influence de la
température
sur les mouvements athétosiques. Spasme. Rigidi
prouve une impression de froid pénible lorsqu'elle est exposée Ù la
température
exté- rieure de l'hiver. Est-ce parce que cette
ée Ù la température exté- rieure de l'hiver. Est-ce parce que cette
température
peut descendre au-dessous de celle de la glace
eur et de coloration violacée des téguments, avec abaissement de la
température
locale ; ces extrémités sont douloureuses et paré
s hystérique; la sensibilité générale au tact, à la douleur et à la
température
est complètement abolie clans toute la moitié g
s téguments. En même temps on constate un abaissement notable de la
température
locale, cette abaissement facilement perceptible
perceptible au toucher, mesuré au thermomètre donne 29°6 (pour une
température
extérieure de 19°) tandis que deux sujets sains
oteurs se caractérisent non plus par la cyanose et l'abaissement de
température
, mais par une coloration rouge foncé, une sensa
on de brûlure intense survenant par crises et correspon- dant à une
température
de plusieurs degrés plus élevée que dans l'inter-
j} ! ! ÍYJ¡¡ UN NOUVEAU CAS DE SYRINGOMYÉLIE TYPE MORVAN. 289 la
température
dans un point limité où il ne sentait pas la veil
approximativement à tous les modes d'anesthésie (contact, douleur,
température
à 80° et à 0°). Dans la zone de transition situ
ligne médiane, pour toutes les impressions de tact, de douleur, de
température
. Le sens musculaire, en tant que notion de la p
diatement d'un soulagement de la douleur, et d'un abaissement de la
température
locale très prononcé. Le résultat est le même dan
1 à Châlons, 1 au Mans. - Nous avons pour habitude de prendre la
température
des malades avant, leur départ, et cela dans le
sous le coup d'une affection aiguë, de même que nous pre- nons la
température
à l'entrée, durant les cinq premiers jours (1)
yroïde. On la supprime le 30 juillet, il cause de l'élévation de la
température
. 1899. 2 janvier. - Heprise de la glande, 0 gr.
uppression de la glande le 19 janvier, à cause de l'élévation de la
température
. Taille : 0 m. 98. Du 26 déc. 1899 au 15 avril
t. Hydrothérapie et exercice de la parole. Sirop d'iodure de fer.
Température
à l'entrée. (,le 1 : , lèle. 46 De quelques f
plus affectueux chez ses parents que depuis son entrée à Bicètre.
Température
à l'entrée. 58 8 De quelques formes nE nanisme.
e à citer. Sensibilité générale normale dans ses modes : contact,
température
, douleur. L'intelligence est celle d'un enfant de
ment ni sucre, ni albumine. Poids, 19 kgr. - Taille, lm. 09cent. La
température
, prise les 5 premiers jours de l'entrée, oscill
emaine, son poids diminuer, et dès la 3°, sa taille augmen- ter. Sa
température
a trois fois atteint 38° et une fois 38°, 5 ; e
0 et la taille de lm IL L'enfant a donc gagné 2 cent. en 3 mois. La
température
n'a dépassé qu'une fois 38° ; elle est à peu pr
é tout l'hiver à l'infirmerie. Elle a beaucoup toussé et craché, sa
température
était par- fois élevée; elle mangeait peu et bu
cidents, nous surveillons le pouls et nous prenons régulièrement la
température
rectale matin et soir, et, dès qu'elle dépasse
ntigr. de glande thy- roïde fraîche, qui est ensuite desséchée aune
température
de 40° à 50°, après mélange intime avec de la p
Elle présente une certaine émacia- tion et une pâleur générale. Sa
température
oscille les cinq premiers jours, entre 37°, 5 e
yeux sont ternes, son faciès tiré. Le pouls est petit et rapide, la
température
3gaz,7. Elle rend au sur et à mesure tout ce qu
nts, sibilants et sous-crépitants. Le pouls est petit et rapide. La
température
est le matin, de 370,1. Dans la journée, la res
tombe pour ainsi dire dans le coma et elle meurt à li h. du soir.
Température
après la mort. 194 .. Idiotie -Congénitale. I
ité. Inégalité d'âge de 2 ans (mère plus âgée). - Un seul enfant.
Température
a l'entrée. Antécédents personnels. 201 A la
de même que sauter. La sensibilité au contact, à la douleur, à la
température
, est intacte. Le tronc et les membres sont en
tume, et vu son état précaire, l'enfant est mise à l'infirmerie. Sa
température
monte le soir à 40°, 3 ; elle est très altérée,
de vertiges. Même nombre d'accès. - Les règles n'ont pas reparu. La
température
se maintient d'abord autour de 38 ; dans la sec
refuse de rien prendre, dort sans cesse et se plaint en dormant.
Température
de l'accès. Tuberculose pulmonaire et rénale. e
cture. - Marche des accès. Etat de mal, élévation progressive de la
température
; mort. Température et poids après décès. Autop
accès. Etat de mal, élévation progressive de la température ; mort.
Température
et poids après décès. Autopsie. - Asymétrie de
accès survenaient par séries, surtout au moment des changements de
température
; d'autres fois, trois mois s'écoulaient sans qu'i
alique ou autre. 252 Imbécillité, hémiplégie gauche, ÉPILEPSIE.
Température
à l'entrée (13-18 mars). DESCRIPTION DU malade.
s'en servir utilement. La sensibilité y est diminuée au tact, à la
température
, à la douleur. Pas d'hémichorée, ni d'hémi- ath
en état de contracture. La sensibilité y est diminuée au tact, à la
température
, à la douleur. Réflexe rotulien exagéré; trépidat
r, est trans- féré à l'infirmerie, à 7 heures et demie du matin. Sa
température
à 8 heures du matin est de 37°,7. A 9 heures, u
intervalle de dix minutes ou un quart d'heure. Lors du premier, la
température
est de 37°,6 au moment du ronflement, de 3do,9,
la main, s'oppose presqu'absolu- ment aux mouvements provoqués. La
température
y est diminuée. Il en est de même de la sensibi
hémiplégique. Hémiplégie. Mensurations. État DE MAL épileptique.
température
. 26S côté paralysé,, alors que le côté sain e
degré d'imbécillité, nous avons pu les faire Fig. 69.- Tracé de la
température
de l'état de mal de H... 266 Etat DE MAL ÉP
pronon- cée. Il s'est terminé par la mort en quelques heures. La
température
n'a monté que jusquà 39,9 (fig. 69). Souvent elle
fois, après la période convulsive, après la cessation des accès, la
température
s'abaisse jusqu'à la normale (lig. 70), puis el
dans d'autres cas, les acci- dents méningitiques disparaissent, la
température
s'abaisse progressivement une seconde fois et l
ux ou des deux, croisée ou non. XIV. Epilepsie. ; État de mal ;
Température
. Par BOUItNL'ILLI : et L. IZOU. SOMMAIRE. - P
ées - Début des accès à 8 ans. Etat de mal en 100J : marche de la
température
. Parotidite double consécutive. - Mort. Autopsi
essemble à son père. - On ne sait à quoi attribuer son épilepsie.
Température
à l'entrée. Etat de MAL ; mort. 303 glabres.
Pendant la nuit il a de nombreux accès très-forts avec élévation de
température
. - Les secousses sont plus marquées, a gauche.
arquées, a gauche. - Les yeux sont injectés, la face cyanosée. - La
température
monte rapidement il 40°. 9 décembre. - Deux acc
allés en augmentant ainsi que le Fig. 72. - Petit]... État de mut,
température
. AI10 .-État de MAL : 'TEM1'ÉRATURÈ.. montre
- L'enfant a été revacciné sans succès, Si§ Cachexie PROGRESSIVE.
Température
à Ventrée. Mesures de la tête. 318- ! Hydrocé
e. Cachexie tuberculeuse. Il meurt le 14 août à 2 h. 1[2 du soir.
Température
après la mort : (la température moyenne de la s
eurt le 14 août à 2 h. 1[2 du soir. Température après la mort : (la
température
moyenne de la salle étant 20°, lors de la mort)
t cérébelleux; par BOURNE- ville 299 XIV. Épilepsie; état de mal;
température
; par BOURNEVILLE et IZOU................... 300
térite. Salicylate de chaux. - Pneumonie caséeuse. - Marche de la
température
. Sommaire. Père mort tuberculeux. Mère un peu n
combé à un état de mal, accompagné de l'élévation habituelle de la
température
(42°, 2). IV. La diarrhée, maladie intercurrent
après, 36 ? ? . - six heures après, 32°. - neuf heures après, 8°. -
Température
de la salle : 10°. Autopsie, faite 29 heures ap
titre de spécimen de nos procédés d'observation le tableau de la
température
de l'enfant durant les cinq premiers jours de l
laies que l'enfant s'est faites avec ses mains. - Mort le 5 mars.
Température
après décès : Pseudo-porencéphalie double. 59
e. BlIONCHO-PNI : UMONIE ; mort. 67 au tact, à la douleur et à la
température
. L'intelligence parait nulle, l'enfant est gâte
peu rouges et enflées, produisant une gène de la dégluti- tion ; la
température
est de 3-duo,8. - Badigeonnages de la gorge et
sales, ventouses, sirop de Tolu. 7 janvier. - Etat stationnaire, la
température
a un peu baissé; elle est de 38°, 5 le matin, d
gation des bruits laryngés. La brusquerie du début, la marche de la
température
, les résultats négatifs de la percussion et de
1897. 13 février. - Le petit malade entre à l'infirmerie avec une
température
de 37°, 8. Il est un peu abattu. Signes vagues
cès. IV. Le malade a succombé à une pneumonie ca- séeuse avec une
température
centrale très élevée (41°,5). Les températures
ca- séeuse avec une température centrale très élevée (41°,5). Les
températures
prises après la mort ont montré que l'équilibre
on au ratanhia et au bismuth.). L'état général est bien mauvais, la
température
s'abaisse, remonte brusque- ment de 1° (37,6) l
bre à 9 heures 1/2 du matin. Son poids était descendu à 11 kilog.
Températures
après décès. Tableau DU poids, DE la taille ET
jours, hypo- thermie qu'il nous paraît utile de mentionner ici :
Température
rectale. 110 Sclérose TROPHIQUE. VII. L'exame
sif. 30 juin. - T. R. 41°, 4. L'enfant meurt à 8 heures du matin.
Température
après la mort. Hydrocéphalie : crâne. 119 ten
ie complète et épilepsie. Etat de mal; élévation considérable de la
température
. SOMMAIRE, - Père migraineux; rien de plus du c
ête de droite à gauche conti- nuellement, suce ses mains et bave.
Températures
après des accès. Marche DE la maladie. 127 9
40 accès depuis 6 heures du matin, c'est-à-dire 85 en z heures. La
température
s'élève progressivement et atteint 40° après le
rise après les accès avait progressivement atteint 42°. (Fig, 6).
Température
après décès. . Tableau des accès. 'IT : \IN
s le début, le coma a été absolu. En même temps, selon la règle, la
température
cen- trale s'est élevée à 42". Notons en passan
deux fois, entre les accès, on a noté un léger abaissement de la
température
, ce qui prouve une fois de plus que, sous l'act
ouve une fois de plus que, sous l'action de l'accès épileptique, la
température
s'élève. (Fig. 6). Ons. II. - Epilepsie idiop
; accès sériels; - état de mal; mort ; élévation considérable de la
température
. Sommaire. Père, grand fumeur, alcoolique, syph
re. Il est devenu glouton et mange moins propre- ment. 140 Accès;
température
. ' Température des 6 premiers jours de l'entrée
glouton et mange moins propre- ment. 140 Accès; température. '
Température
des 6 premiers jours de l'entrée. Épilepsie ET
vie. Après la mort la T. s'est élevée il. 42°.... 144 Etat DE MAL :
température
. que. Interpellé vivement, il semble regarder m
ombreux. V. Nous avons consigné plus haut (p. 140) le tableau des
températures
prises, selon la règle, pendant les cinq premie
te de l'action de l'ictus épileptique sur la Fig. 8. Fia.n. 150
Température
; accès, séries, état DE MAL. température. Dans
Fig. 8. Fia.n. 150 Température ; accès, séries, état DE MAL.
température
. Dans deux accès la température s'est élevée à
ature ; accès, séries, état DE MAL. température. Dans deux accès la
température
s'est élevée à 3 i ? i et à 31°,6 (p. 140), ce
de plus l'opinion émise par nous, à savoir l'élt;f'[I ? lion de la
température
centrale dans les accès d'épi- lepsie. VII. L
ité (1). VIII. Cette observation nous montre non seulement que la
température
s'élève pendant les accès, qu'elle n'augmente q
de tète. Le sommeil est bon. Octobre. - Revacciné sans succès,
Températures
des cinq premiers jours de l'entrée. Autopsie :
u service croyant qu'il s'agissait d'un frisson de fièvre releva la
température
centrale de la patiente, tempé- rature qui fut
r l'hémianesthésie et sur le rétrécissement du champ visuel, sur la
température
dans l'hystérie. M. Charcot, dans ses leçons, a
a malléole externe a un centimètre et demi de moins du côté gauche.
Température
de surface : bras droit, 83 ? bras gauche, e°8;
le tégument, aussi bien à la face qu'aux membres, au contact, à la
température
, à la douleur. Pas de troubles grossiers de la
us ni la chaleur d'un thermomètre à cuvette métallique, porté à une
température
de 901, ni le froid d'un bloc de glace. Le sens m
ien n'est pas aboli. Le pouls est à 70; la respiration à 20 et la
température
oscille entre 37° et 37°2. Il existe des trou
On constate alors de la dyspnée, une cyanose légère des lèvres; la
température
est de 38° 2. Il existe un affaiblissement cons
s. 39°. Le 23, la paralysie reste complète. Le 24, le 25, le 26, la
température
oscille entre 38 et 39°; on observe de -plus qu
a formation d'une escarre. Dès le 27 (six jours après le début), la
température
redevient nor- male, la paralysie est encore gé
main et du bras gauche. Chaleur plus grande à gauche. Différence de
température
entre la main droite et la main gauche = 8° 5 e
des muscles abdominaux. . 23 février. - Très peu de différence de
température
le matin : pas de différence appréciable avec l
e heures (courants descendants) sur le bras gauche, élévation de la
température
et aug- mentation de l'oedème. Différence 7° 8.
doigts. Renversement du courant. Le soir, disparition de l'oedème,
température
des deux mains égale (appréciation à la main).
l'oedème de la main gauche a complètement disparu; la différence de
température
entre les deux mains s'efface de plus en plus e
ervée sur les deux mains, la malade perçoit même des différences de
température
assez délicates. La sensi- bilité musculaire es
faire naître de secousses fibrillaires dans les muscles malades. La
température
présente un abaissement notable aux deux mains
en dehors du lit. 201 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIÈRE. .
Température
dans les deux aisselles 3G°3. L'application des
la séance (Note de M. Boudet de Paris). Salle Madeleine, n° 23. -
Température
des mains : main droite, 21 "2; main gauche, 32
Pendant l'application des courants continus sur la main droite, la
température
de la main gauche a monté de 33° à33°6. L'appli
. - Ce matin la malade présente un abaissement con- sidérable de la
température
dans tout le côté droit du corps. Elle assure q
dans tout le côté droit du corps. Elle assure que cette chute de la
température
s'est faite dans la nuit. Tem- pérature des mai
que main. Pendant l'application des courants sur la main droite, la
température
de la main gauche a monté de 33° à 33° 6. ' 2
l'après-midi d'hier, la malade a pris un bain. L'abaissement de la
température
du côté droit a disparu très rapide- ment sous
LA SALI'ËTfUËKE. droite et la gauche, cette dernière présentant une
température
de 31°. L'algidité s'est fait sentir également
ed que dans la main correspondante. 24 décembre. - La différence de
température
entre les deux mains existe toujours; la main g
ibilité tactile est parfaite sur les deux mains. La diffé- rence de
température
persiste; la main droite présente toujours un a
les courants continus descen- dants a amené des changements dans la
température
. La main droite, au lieu de l'abaissement de pl
ion assez considérable : 38°2. La gauche reste à peu près à la même
température
. Le pied droit est toujours plus froid que le g
ar restent très atrophiées. 31 décembre. Ce matin, non seulement la
température
de la main droite a encore augmenté, mais la ma
également un refroidissement notable. Le droit est à peu près à la
température
normale. 2 janvier 4875. - Ce matin le refroi
assez vive dans la région cervico-dorsale (irritation spinale). La
température
des mains est peu près* égale. Il y a toujours
y a toujours une sensation de froid dans le bras droit bien que la
température
y soit normale. La température a suivi une marc
froid dans le bras droit bien que la température y soit normale. La
température
a suivi une marche très irrégulière les jours s
'une ligne passant par les con- dylcs du fémur, de chaque côté, une
température
de 70 degrés n'est pas sen- tie ; il en est' de
ras. Le malade sent le contact du thermomètre de surface élevé à la
température
que nous venons d'indiquer- et' même 'au delà,
u coude. On peut appliquer sur la peau de la glace ou un corps à la
température
de 80., Nouvelle Iconographie DR la Salpètrière
e du sciatique poplité externe avec anesthésie à la douleur et à la
température
et conserva- tion delà sensibilité tactile 2. I
lité tactile avec altération de la sensibilité à la douleur et à la
température
. Cette dissociation syringomyélique s'observerait
n première ligne ainsi que le sens du tact, que la sensibilité à la
température
est en général conservée jusqu'au dernier momen
transition. Il a du reste été victime de ces variations brusques de
température
. Souvent, dès qu'il sortait dans la rue, il éta
nt de plus en plus rares et ne reparaissent qu'aux change- ments de
température
(froid, pluie, humidité). t La marche est aisée
es désordres vaso-moteurs. Il y a eu, en effet, des varia- tions de
températures
très manifestes d'un membre à l'autre, et même
s) sèche et glabre, luisante, sans changement de colo- ration ni de
température
. Elle est intimement unie au tissu cellulaire s
tricoter. Amélioration par Kl. Symptômes ultérieurs : élévation de
température
vespérale, vomissements, toux, céphalalgie, con
ins de vapeur, séjour du malade pendant six semaines dans un lieu à
température
élevée et constante). État général du malade
c. Tout d'abord il existe une anesthésie absolue pour le tact, la
température
et la douleur, dont la distribution est fort in
nesthésie est complète pour tous les modes de sensibilité (toucher,
température
, piqûre, sens musculaire, sensi- bilité articul
ment exagérés. Troubles vaso-moteurs : cyanose et abaissement de la
température
des extrémités inférieures. Au tiers supérieur
tact, la sensibilité articu- laire ont disparu, la sensibilité à la
température
persiste. Les mou- vements imprimés aux articul
s faire remarquer que dans ce premier examen, la sensi- bilité à la
température
n'a été recheichép que pour les membres. CAS DE
re persiste, mais les mains, les doigts sont devenus sensibles à la
température
, et seulement à ce mode de sensibilité (voir fi
érieurs. Fig. 3. Traits horizontaux : persistance de surdité à la
température
seule. 40 PATHOLOGIE NERVEUSE. Vision. OD. Ch
série des têtes des métacarpiens ; 2° un territoire sen- sible à la
température
, qui comprend, outre la zone précédente, les de
s toujours paralysées et cyanosées. 20. La zone de sensibilité à la
température
a gagné du ter- rain ; elle remonte jusqu'à une
ensibilité à la tem- pérature seule. - Pointillé : Sensibilité à la
température
et à la piqûre seulement. CAS DE PARALYSIE DES
son entier jusqu'à l'insertion du deltoïde est devenu sensible à la
température
(fig. 7). Le membre gauche (bras, avant-bras et
ain) est insensible pour tous les modes de sensibilité y compris la
température
; la moitié droite de la face est sensible ; l'o
de la sensibilité; 2° bras, coude, avant-bras : la sensibilité à la
température
existe seule ; 3° main : la sensibilité à la te
ilité à la température existe seule ; 3° main : la sensibilité à la
température
et à la piqûre se montrent seules ; 4° doigts :
ifications de la sensibilité. La zone du membre droit sensible à la
température
et à la piqûre a gagné du terrain : la limite s
tous les modes de sensibilité étaient atteints : contact, piqûre
température
, chatouillement, sens musculaire, sensibilité art
s tous les modes de sensibilité : simultanément la sensibilité à la
température
reparait, mais seule, aux faces 'dorsale et pal
zone correspondant au carpe et au métacarpe, où seule auparavant la
température
était perçue, puis gagnant encore du terrain, r
bre, un changement de coloration de la peau, un abais- sement de la
température
cutanée, une abolition des réflexes, des troubl
st des changements de coloration de la peau, dé l'abaissement de la
température
cu- tanée, de la diminution des réflexes, nous
xagérés dans le pied gauche postérieur que dans le pied droit. - La
température
de la patte paralysée est plus haute (au touche
E AVEC PERFORATION DU CRANE. 177 Suites opératoires insignifiantes.
Température
maxima 37° ,t>. Au sixième jour, on enlève l
dit-il, de s'être manqué. On place un panse- ment antiseptique. La
température
est prise une heure après l'ac- cident. T. 37°.
tre substance cérébrale. A quatre heures du soir même état général.
Température
37",6. le, mars. Le malade reste dans le même é
facilite l'évacuation. Injections d'eau phéniquée au 10/1,000. La
température
s'est toujours maintenue de 36°,2 il 3 1°,0. Etat
ticulaire s'accompagnent d'autres phénomènes presque constants : la
température
périphérique s'abaisse de 1 à 5 dixièmes de degré
s qu'on leur refusait le bromure. . M. Mairet lit un travail sur la
température
dans les accès d'épilep- sie. Il rappelle l'imp
L'épileptique étant laissé au lit vingt-quaLre heures, on prend la
température
rectale tous les quarts d'heure, sans s'occuper t
eut ainsi comparer les jours à attaques à ceux sans attaques, où la
température
n'est générale- ment pas modifiée ; cependant,
mique ; pendant l'attaque, quatre fois, il y a eu abaissement de la
température
, variant entre 0,1 et 0,3 dixièmes, trois fois
M. Magnan, en revanche n'a pas trouvé d'abais- sement initial de la
température
comme M. Mairet. Il signale en terminant le cas
ches a paru pleinement satis- faisante, ainsi que la pression et la
température
de l'eau. La combinaison du cadre métallique à
rne) et sur les muscles est très douloureuse. Légère albuminu- rie.
Température
normale. Réaction dégénérative dans le domaine
thcl'lno-dYl1al1tiquc qui fixe d'une manière précise l'échelle des
températures
; j'ai trouvé les lois de la Cosmogonie et celles
'ouverture des paupières du même côté ; exophtalmie du côté gauche;
température
abaissée; pâleur s'étendant sur toute la moitié
oreille gauche, plus froide au toucher, était aussi atrophiée et la
température
dans le méat acoustique externe était plus bass
faciale droite où il constata ce qui suit : pupille droite dilatée,
température
baissée du côté affecté de la face et sensibili
es conditions pouvant provoquer l'hypé- rémie de la face (émotions,
température
élevée, etc.), cette dernière ne s'observait qu
' Dans le cas qui nous occupe, on a constaté un abaissement de la
température
dans la région de l'anesthésie superficielle, m
e dans des cas analogues, les auteurs ont noté un abaissement de la
température
, parfois une élévation au début suivie d'un aba
ntôt, ainsi que l'a signalé M. le Dr Babiryski, une élévation de la
température
, tantôt un abaissement. Nous signalerons en der
Attaques limitées à la phase épileptoïde. - Aura. - Elévation de la
température
après l'accès. Cah... (Charles), âgé de dix-sep
n de l'anesthésie est sensiblement la même. - La sensi- bilité à la
température
est abolie sur la moitié gauche de la face, du
ade demande à boire. Il est 11 heures quand l'attaque prend fin. La
température
rectale prise alors est de 38°, 8. L'attaque es
Lorsque les attaques se succédaient durant un assez long temps, la
température
s'élevait un peu au-dessus de 38° sans jamais a
qués. - Attaques limitées à la phase épileptoïde. - Elévation de la
température
après l'attaque. Secousses. - Hallucinations. -
le côté droit du corps. Il en est de même de la sensi- bilité à la
température
. Pas de plaques d'hypéresthésie ni d'anesthésie
inutes, puis a été pris d'une atta- que qui a duré sept minutes. Sa
température
après l'attaque était de 38°2, un quart d'heure
ment et marche en trébuchant. Il est pâle et respire difficilement.
Température
à la fin de l'attaque, 38°2. Une demi-heure apr
rature à la fin de l'attaque, 38°2. Une demi-heure après l'attaque,
température
3709. Deux heures après, température 3G°9. 23
ne demi-heure après l'attaque, température 3709. Deux heures après,
température
3G°9. 23.- Nouvelle attaque en présence de l'un
rises isolées s'accompagnent parfois d'une légère éléva- tion de la
température
, comme dans l'accès d'épilepsie. Mais si les at
si les attaques se succèdent pendant une ou plusieurs heures, la
température
ne s'élève pas, tandis que le même nombre d'acc
épileptiques déterminerait au contraire une prompte élévation de la
température
. Nous avons insisté sur les faits de 1 Dans les
e. Le sulfonal fond à 125°,5 et bout vers 300°; il distille à cette
température
, mais en s'altérant en partie; le produit conde
'endort. Le professeur Lépine a étudié l'action de cet agent sur la
température
, il a opéré sur le cobaye. Il a injecté sous la
ambiant fut chaud, il s'est un peu refroidi; en quelques heures, la
température
cen- trale s'est abaissée de 14 dixièmes de deg
a température cen- trale s'est abaissée de 14 dixièmes de degré; la
température
de la peau a paru s'abaisser également; mais ce
uni 24 observations très détaillées, en notant les variations de la
température
, du pouls, de la composition de l'urine, la dos
ire. Une fois M. Roubinovich a observé une légère augmentation de
température
et trois fois une fréquence un peu plus grande
tion and value of those lésions of the braÍ11 which cause a rise of
température
. Brochure in-8' de 38 pages avec une planche. L
don, 1891. Journal of physiology. Wmrc (H.). On the relation of the
température
of the groin to that of the rectum zn the rabbi
- hydrate d'amylène dans l ? par Ùildermuth, 229, \\'eber, 419 ;
température
dans les accès d ? par Mairet, 250. Epileptiq
rais ou demi-glande. f4 . THÉRAPEUTIQUE. prendre régulièrement la
température
des malades, matin et soir, leur poids tous les
cés que nous plaçons sous vos yeux indiquent les oscillations de la
température
[tracé rouge), les mo- difications du poids [tr
ale de glande thyroïde de mouton.- Amé- lioration : Élévation de la
température
; diminution de poids; phénomènes divers dus au
issent aucun doute sur la réalité de l'idiotie myxoedémateuse. La
température
rectale du malade prise avec soin à diverses ,
re rectale du malade prise avec soin à diverses , ' Nous prenons la
température
rectale des malades, la plus facile et la plus
température rectale des malades, la plus facile et la plus sûre. La
température
axillaire, pour offrir des garanties, exige, en
4 juin. - Le tremblement a diminue, les douleurs ont disparu, la
température
descend à 37°; le poids n'est plus que de 24 kg
. Y. b . THERAPEUTIQUE. le soir, sans autre cause appréciable, la
température
s'élève à 38°. Durant la suspension du traiteme
60. 6 juillet. Urine : 500 grammes. Pouls : G0. ' 7 juillet. - La
température
s'élève de nouveau à 37°,6. Urine : 1 litre. Po
s. 1895. Ingestion stomacale de glande thyroïde : élévation de la
température
; - diminution de poids; - phénomènes divers dus a
ux phénomènes observés depuis le 31 mai jus- qu'au 30 septembre. La
température
rectale, notée à différentes époques, avant le
t des pieds continue. 30 septembre. Durant presque tout ce mois, la
température
est demeurée au-dessus de 37°. La physionomie e
racé n° 3 en rouge, bleu et vert, comme sur les autres tra- cés. La
température
a commencé à s'élever le neuvième jour; elle n'
ainsi : dégonflement des paupières, amaigrissement, élévation de la
température
rectale qui, au lieu de rester au-dessous de 37
tement. Les tracés résument bien les changements survenus dans la
température
et dans le poids des malades. La température s'
nts survenus dans la température et dans le poids des malades. La
température
s'élève et dépasse la normale sous l'in- fluenc
ymptômes, en particulier la diminution de' poids, l'élévation de la
température
, les accidents nerveux, la tachycardie, etc., e
se résumer de la façon suivante : Presque dès la première dose, la
température
commence à s'élever, et elle tend graduelle- me
ciser en disant deux fois plus lente. C'est sur deux données : la
température
du soir et l'état de la nutrition générale, qu'
ation, la dose du médicament doit être dimi- nuée alors même que la
température
se maintiendrait notable- ment au-dessous de la
és de dépression : vomissements, sueurs froides, chute rapide de la
température
suivie d'une excessive élévation, symptômes d'a
laire, l'anesthésie au toucher, l'analgésie, la perte du sens de ta
température
, celle-ci surtout accusée à la main et à tout l
uivant : l'aphasie au bout de trois minutes, la perte de sens de la
température
au bout de cinq minutes, l'analgésie au bout de
chaleur rayonnée produites par la faradisation. 11 constate que la
température
de la peau et celle obtenue par rayonnement s'é
une action toute différente de cette forme de l'électricité sur la
température
. "L'effluve négatif a une action prédominante n
hez cinq malades la psychose s'est montrée avant toute élévation de
température
. 11 ne parait pas y avoir eu, dans les autres c
avoir eu, dans les autres cas, de rapport entre l'élévation de la
température
et l'intensité des troubles psychiques. Liebermei
ont même noté la coïncidence de troubles cérébraux graves avec une
température
peu élevée. Marche, durée, terminaison. L'agita
tant attribué par les observateurs précédents à l'éléva- tion de la
température
; il rappelle les observations de Gerhardt, dans
on voit des troubles psychiques graves se produire au moment où la
température
vient à baisser, et disparaître avec l'hyperthe
faible durant tout ce temps et accéléré (120-140 bat- tements). La
température
oscillait irrégulièrement entre 37 et 40°. Les
gers, les couper en petits fragments et les dessé- cher à une basse
température
de manière à éviter la cuisson. Mais la graisse
e à peu près exempt de liquide ; on le dessèche dans le vide aune
température
qui ne dépasse pas 30° puis on la divise en petit
hagie intra-cranienne d'origine traumatique sont : les anomalies de
température
, la perte totale ou partielle de cons- cience,
on de la fonction muscu- laire, et l'irrégularité des pupilles. Une
température
qui se main- tient au-dessous de la normale ind
, et nettement indi- quée par une élévation manifeste et brusque de
température
et par une modification évidente de l'état géné
température et par une modification évidente de l'état général. Les
températures
ultérieures sont irrégulières et les symptômes
x de l'irritation corticale. Peu de modifications du pouls et de la
température
. Contusion générale. - Elle complique constamme
cience, se manifestant à une £ - époque et à un degré variables. La
température
reste ordinaire- ment au-dessus de la normale.
brale repose surtout sur la présence de certaines particularités de
température
, de troubles psychiques, du relâchement involon
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. dra les mêmes résultats en employant des
températures
moindres (47° par exemple) ; il ne faudra pas m
du malade on constata : un amaigrissement général notable; pouls et
température
normaux. Pupilles normalement dilatées, réagiss
est notablement plus froide que Ja droite et la mensuration de la
température
répétée plusieurs fois a montré une différence de
ANATOMIE PATHOLOGIQUE. lose. La fièvre est devenue plus intense, la
température
montait le soir à 39° et plus. Deux fois on a f
fois, afin de pouvoir noter les rapports des modifications de la
température
locale avec les modifications de la température g
modifications de la température locale avec les modifications de la
température
géné- rale du corps et de la température de l'a
ec les modifications de la température géné- rale du corps et de la
température
de l'air ambiant. On a observé que lorsque la t
et de la température de l'air ambiant. On a observé que lorsque la
température
ambiante baissait de 3°, la température du memb
On a observé que lorsque la température ambiante baissait de 3°, la
température
du membre supérieur droit baissait de 0°,6, cel
ependant inexplicable : l'élévation physiologique ves- pérale de la
température
générale du corps provoquait une éléva- tion de
e la température générale du corps provoquait une éléva- tion de la
température
locale de la main droite. A la main gauche, mal
a main gauche, malade, il y avait au contraire un abaissement de la
température
. En septembre, quand les malades ont été transf
quand les malades ont été transférés dans les salles d'hiver où la
température
de l'air ambiant restait station- naire, quand
vre régulière- ment tous les soirs, on a noté que l'élévation de la
température
générale du corps amenait une élévation de la t
ion de la température générale du corps amenait une élévation de la
température
au même degré à peu près de la main droite; à l
e au même degré à peu près de la main droite; à la main gauche la
température
restait sans modification ou bien il y avait même
tion ou bien il y avait même un abaissement comparativement avec la
température
du matin. Sans vouloir préjuger de l'interpréta
avait une coloration bleuâtre des extrémités avec abaissement de la
température
locale; le cas de Rosenbach (Cent1'GltJl, f. Ne
, sauf dans celui de Damaschino où il y avait une éléva- tion de la
température
, et le cas de Gajkiewicz où la tempéra- ture du
est accompagné et même est précédé d'un abaisse- ment notable de la
température
locale. Ainsi dans un cas du professeur Charcot
cale. Ainsi dans un cas du professeur Charcot la différence dans la
température
des deux membres atteignait 4ouzo ; dans les ca
rtériel. Là aussi réside la cause principale de l'abaissement de la
température
locale. L'analyse du sang capillaire chez mon m
graves adynamiques et l' ' tous les signes cliniques classiques. La
température
reste au-dessus de 40° pendant près d'une semai
imulante; allusions froides et vinaigrées. A partir du 30 mai, la ¡
température
diminue progressivement et le 7 juin le malade en
s les plus grandes avaient absolument l'aspect de meurtrissures. La
température
, l'urine étaient normales, ce qui permet déjà d
, hypothermie; 3° rupture de l'harmonie des fonctions bulbaires, la
température
, la respiration et la circulation dissociées se
une action toxique manifeste et donne lieu à un abaisse- ment de la
température
, de l'abattement psychique, de l'impotence motr
N DES PLANCHES. Planche 1. La ligne rouge indique la marche de la
température
. La ligne bleue indique les modifications du po
les bras dans l'eau chaude, il ne sentait pas à la main droite la
température
de cette eau, tandis qu'il l'appréciait parfaitem
ici ce que l'examen de sensibilité nous revèle. La sensibilité à la
température
est égale aux deux bras et aux avant-bras. Mais
s réflexes du coude, des fléchis- seurs, du genou, sont normaux. La
température
est normale et égale des deux côtés du corps.
myosis du même côté avec dilatation vascu- laire et augmentation de
température
de cette partie de la face. Frankel cite un m
s du myosis, de la rougeur des téguments et une augmen- tation de
température
. On peut faire rentrer dans cette classe les de
s de rougeur de cette partie de la face; pas d'aug- mentation de la
température
pas de troubles pupillaires. Les pupilles sont
ongtemps et aboutit à un sommeil profond qui permet de prendre la
température
du malade sans qu'il réagisse. T. R., 37° 9 1/2.
nne quatre-vingt-quinze à quatre-vingt-dix-huit fois par minute. La
température
prise plu- sieurs fois dans l'aisselle donne de
on provoquée, la face se colore, le pouls devient plus rapide et la
température
s'élève à 37°,8. Les organes thoraciques et abd
e, réflexion pénible, ralentissement du pouls et de la respiration.
Température
normale. Ne peut supporter sur la tête la glace
lité normale ; dn côté droit une anesthé- sie modérée du sens de la
température
se répand jusqu'à la crète iliaque. Le malade p
qu'à la crète iliaque. Le malade perçoit partout les différences de
température
de 4° en 4° sur le dos, a 1 exception de la r
rtie inférieure du bras gauche ne per- çoivent pas la différence de
température
entre -j- 50° et + 40°. Sur la limite des ra-
u côté droit apparaît d'abord la sensation de chaleur et des deux
températures
sus-indiquées lemalade commence à percevoir d'a
galement la piqûre provoque une sensation de douleur. Le sens de la
température
est très abaissé dans la région anal- gésique ;
et les membres infé- rieurs perçoivent maintenant la différence de
température
de 1 1/2°; à gauche au-dessus du mamelon de 2°.
ormale à la partie supérieure de l'épaule. (Fig. 6.) Le sensde la
température
est abaissé dans la même région que la sensibil
nt pas la différence de t° entre 17 et 28°. La malade trouve qu'une
température
de 7° est plus chaude que celle de 25°. Pourtan
ous ignorons l'existence d'une anesthésie par- tielle du sens de la
température
dans le courant d'une affection des nerfs périp
où elle est exposée au froid seulement pas de faiblesse à une douce
température
. Depuis cette époque, se développa l'ano- malie
paumes des mains. Le sens musculaire est conservé. Le sens de la
température
est affaibli à un degré considérable sur toute
la partie supérieure du bras de 40°, entre 0 et 40°. Aucune de ces
températures
ne provoque ici de sensations spécifiques de ch
entre la chaleur et le froid. Une anesthésie profonde du sens de la
température
avait ainsi échappé pendant très longtemps à l'
re fois en présence d'une anesthésie partielle du seul sens de la
température
, mais la première et la deuxième obser- vation
crétion sudorale coexiste avec une hypérémie et une augmentation de
température
de la région cor- respondante, tandis que, dans
une période d'excitation caracté- risée par de l'abaissement de la
température
de l'exo- phthatmie, de la mydriase, mais dans
s déterminerait de la pâleur des tégu- ments et de l'abaissement de
température
. C'est ce qui n'est pas signalé, c'est ce que n
°, 8. -Soir : 37°,6. Gr... s'est levé aujour- d'hui. 15 au 19. La
température
normale s'abaisse progressive- ment jusqu'à 36°
pilepsg, p. 121.) : 2M" CLINIQUE NERVEUSE. montre la marche de la
température
dans un état de mal qui se termine par la guéri
ui se termine par la guérison; le second nous donne la marche de la
température
dans un cas d'étal de mal aboutissant à la mort
vation, pendant près de quatre années consécutives, L'étude de la
température
est extrêmement importante; elle est même capit
urement. Il ressort clairement de toutes les observations que si la
température
centrale est le plus sou- vent élevée de quelqu
là les caractères que M. Charcot et M. Bourneville ont assigné à la
température
pendant l'attaque ou les séries d'attaques hyst
. dit M. Charcot2, pour peu qu'elle ait quelque intensité, élève la
température
1 Bourneville. - Etudes Ihel'/llOmell'iqltes su
comporte, quoiqu'un pen plus faiblement peut-être, vis-à- vis de la
température
comme une attaque tonique d'hystérie. Connaissa
Connaissant l'état'de la respiration, de la circulation et de la
température
chez nos malades, il nous est permis, avant de
préciation individuelle. Ces signes sont tirés : 1° de l'état de la
température
; 2° de l'état de la sensibilité ; 3° de la par
diverse de la face aux autres phénomènes observés. L'étude de la
température
est du plus haut intérêt : elle seule même donn
ut en effet poser la règle suivante : dans l'attaque de sommeil, la
température
reste normale ou s'élève à peine d'un demi à un
mateuse (Bourneville). , On peut donc déjà, par l'étude seule de la
température
cen- trale, alors que la connaissance est encor
urvient alors dans le coma, accompagnée d'une haute élévation de la
température
, tandis que l'hystérique contracturé vit avec s
andis que l'hystérique contracturé vit avec sa contracture et une
température
normale. Supposons donc, après cette digression
ois consécutifs. La sonde oesophagienne fut introduite 750 fois; la
température
ne dépassa pas 37° 5 ; l'autopsie ne révéla auc
celle de 20 grammes par jour ; dès le début de ce traitement, la
température
se mit à baisser et le malade se rétablit cornplè
T. R. 42°. Le malade meurt le 16 septembre à une heure du matin.
Température
après la mort : 43°,2. Autopsie (17 septembre 1
s nous sommes aperçus qu'après un balancement de trente minutes, la
température
rectale est descendue à 37° et puis à 36°. Le
ut-être par le refroidissement qui survient à l'abaissement de la
température
. Sur un lapin qui est resté attaché à la table
un lapin qui est resté attaché à la table pendant quatre heures, la
température
à la fin de l'expérience était de 37° 8. Mais d
lisation si longue, nous n'avons pas eu d'abaissement notable de la
température
. Le balancement d'une demi-heure auquel nous av
e lapin, après l'immobilisation de quatreheures, n'a pas abaissé la
température
, ce qui est en contra- diction avec l'expérienc
n contra- diction avec l'expérience précédente durant laquelle la
température
s'est abaissée de deux degrés et même plus. Il
des lapins contribue à leur refroidissement par abais- sement de la
température
normale. De plus, il faudrait fixer à partir de
c M. Dastre. PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. - DU VERTIGE MARIN. 419 La
température
rectale, pendant que la bande d'Es- bach foncti
illes se dilatent; ils ont souvent le tremble- ment des membres. La
température
rectale descend de 1° à 2° et même de plus; mai
le descend de 1° à 2° et même de plus; mais cet abaissement de la
température
n'a pas été constant. Après un balan- cement pr
de quatre heures), sans balancement, sur la table à vivisection, la
température
rectale des lapins est restée normale. 420 RE
térie, pas de perte de la sensibilité au tact, à la dou- leur, à la
température
. Pas de troubles du sens musculaire. Ce malade
a jambe gauche (analgésie partielle et anesthésie à à l'égard de la
température
); du myosi- avec rétrécissement de la fente pal
res après, 2/¡0; - huit heures après, 23°; 11 heures après, 19°. La
température
reste alors à 19°. AUTOPSIE. - Cuir chevelu, ép
avons démontré, l'urémie s'est accompagnée d'un abaissement de la
température
. III. Sclérose atrophique et méningo -encépha
ment. Déchéance physique. - Broncho-pneulnonie. - Elévation de la
température
. Mort. AUTOPSIE. - Lésions pulmonaires de bronc
près la mort, 38°; une heure après, 37°,5 ; deux heures après, 35°.
Température
de la chambre 10°. Poids après décès : 30 kilog
. 18 août. - Série d'accès (2-2). 25 septembre. Série d'accès. La
température
n'a point dépassé 38°,4. 1889. Avril. Hydroth
février au 3 mars (17 jours). Tableau des accès et des vertiges.
TEMPÉRATURE
APRÈS LA MORT. 117 ohi, la main en supination
dans lequel il a succombé. Le corps a été porté à l'infirmerie ; la
température
prise aussi- tôt était de 38 degrés. Ce matin n
es naturel- les. '. , Injections DE liquide testiculaire. 143
Température
après la mort. 144 Épilepsie. INJECTIONS DE L
. 24- janvier. L'enfant a eu 6 accès depuis 5 heures du matin. La
température
est de 4 ? °,2. - Traitement : Chloral, 4 gr. ;
aupières sont fermées; pas de con- tracture. Voici le tableau des
températures
prises dans la journée du 23 janvier, avec le n
oré la pie-mère qui ne la recouvrait plus. État DE MAL ÉPILEPTIQUE.
Température
. 113 Les cas d'hétérotopie de la substance nerv
ces adhérences diverses se sont déve- 174 État de MAL ÉPILEPTIQUE.
Température
. loppées sous l'influence des congestions ménin
177 Démence progressive. État de mal épileptique; mar- che de la
température
; mort. AUTOPSIE. - Amincissement des os du crâ
1',8. - Minuit, T. R. 41\ 5. Alors il s'est produit une chute de la
température
à 40°, 8 sous l'influence d'injections d'antypi
antypirine (de minuit à 6 heures du matin le 29 février), puis la
température
s'est élevée de nouveau pour atteindre 42°, 7 l
29 février il 11 1 heures. Ainsi, que nous l'avons vu plus haut, la
température
du cadavre est descendue à 37°. Quand aux accès
glionnaire et angine érythémateuse. La maladie dura une semaine. La
température
atteignit h0, 2 le second jour, et retomba prog
grissement rend la plagiocéphalie plus manifeste. P. à 1-lui8. La
température
qui se maintenait légèrement au- dessous de 37°
: 39° 6. Poids : 8 k. 100. 19 avril. L'enfant s'est maintenu à une
température
oscillant entre 38°, 5 et 39°, 5 du 6 au 10 avr
e température oscillant entre 38°, 5 et 39°, 5 du 6 au 10 avril. La
température
a fait alors une chute en lysis et est descendu
1 avril. T. R. 39«. 24 avril, - Chute progressive jusqu'à 37° de la
température
. Affaiblissement de plus en plus considérable.
sidérable. '' Poids après décès : 5 k. 200. Voici la marche de la
température
du 6 au 26 avril. Hydrocéphalie : crâne. '' £ 0
somnolence continuelle, tousse un peu, rejette toute nourriture. La
température
qui était de 38",2 2 et 38 ? 5 jusqu'au 8 août
8 août descend progressivement à 37°; le 13 août, jour du décès, la
température
était brusquement remonté* à 38°, 6. . Hydroc
omme les membres supérieurs. Organes génitaux, rien de particulier.
Température
rectale variant de 36°,2 à 3G°.8. 1er janvier
se complique de broncho-pneumonie, et il meurt le 6 juin 1887. La
température
était montée progressivement de 37° à 42° au mo
de croire que ces pertes, jointes à une pré- 23 ? . Hydrocéphalie;
température
. disposition héréditaire soient restées sans in
ste le nombre des accès durant l'année 1889 et les variations de la
température
durant un accès. T. R. normale de l'enfant, 3
ment des cris plaintifs analogues aux cris hydrencéphaliques. La
température
rectale moyenne de l'enfant est de 3 ï,2. ( ? )
trophiques; fonte purulente des yeux; contracture; élévation de la
température
; diminue- tion subite du volume de la tête. Mor
. 29 décembre. - Inappétence, constipation; pas d'élévation de la
température
. 31 décembre. L'inappétence continue. L'amaigri
inappétence continue. L'amaigrissement augmente de plus en plus. La
température
oscille entre 36°, 4 et 36°, 8. Régime lacté ab
1 , janvier. Matin : T. R.37 ? Soir : T. R. 36o,8. Pâleur extrême,
température
rectale, 36o,2. Potion de Todd avec extrait de
tion spinale. Accès migrai- neux avec ronflement et élévation de la
température
; accès de colère. Gdlisme. - Congestions de la
ement de la nutrition se manifeste par une diminution notable de la
température
du corps, La température rectale varie chez ces
nifeste par une diminution notable de la température du corps, La
température
rectale varie chez ces malades entre 36°,2 et 3
aimable avec ses compagnes, mais toujours vaniteuse et menteuse.
Température
rectale des 5 premiers jours : .- Marche DE l'h
sur le genou gauche, d'hydarthrose avec légère augmenta- tion de la
température
locale, sans augmentation de la tem- pérature g
sens musculaire fait aussi complètement défaut dans ce membre. La
température
du membre supérieur gauche est plus élevée que
e; et cela est surtout net en ce qui con- cerne la sensibilité à la
température
. Le membre inférieur gauche est un peu plus fai
membre supérieur gauche (sensibilité au tact, à la douleur, à la
température
, sens musculaire); dans le reste du côté gauche
les régions (voir les fig. 3 et 4). - Le côté gauche du corps a une
température
plus basse que le côté droit. - Les réflexes te
e très peu marquée ainsi que par des accidents typhiques bénins. La
température
rectale fut classique dans la folie primitive e
fin, sans autres conséquences d'ailleurs. Le bain froid abaissa la
température
de 4, 5 à 2o chez les typhiques non aliénés et
depuis douze heures, on la plonge dans l'eau froide et on ramène la
température
à 40°; mais deux heures plus tard on constate 4
résultat d'amener la rougeur de la face et une élévation locale de
température
. Cette action est attribuée aux vaso-moteurs. L
est trépané, on lui fend la dure-mère et l'on met la pie-mère à nu.
Température
rectale au commencement 36°,8. - On lui met dev
u; les oreilles, la queue et les membres; dilatation des pupilles ;
température
rec- tale 39°,8. Pour sauver l'animal, on eut
lle baisse (dicrotisme), il se produit une sudation abon- dante, la
température
monte; mais ces effets ne durent que quinze à v
27 fort. L'urine est claire, ne contient ni sucre, ni albumine. La
température
prise sur chaque cuisse avec un thermomètre de
RVEUSE. de l'atrophie musculaire. 161 t ses modes (tact, douleur,
température
, sens musculaire). Dans la région occipitale ga
e février 1883, le malade ayant passé la nuit dans une carrière, la
température
étant très froide, s'est réveillé le matin, par
rmale au point de vue de la motilité. La sensibilité, au tact, à la
température
, à la douleur, et le sens musculaire sont absol
n des courants induits. La sensibilité au tact, si la douleur, à la
température
, est complètement abolie dans les mêmes limites
des doigts, sont tout à fait abolis. La sensibilité au tact, à la
température
, à la douleur est abolie, dans les limites indi-
uable artériosclérose. Le pouls est 81 ; la respiration à 18-20; la
température
à 36. Le malade est constipé et l'émission de l
La jambe droite se présente plus pàle que la gauche; et celle de la
température
au toucher est plus basse. L'exploration thermo
trique des extrémités inférieures a montré : OU RECUEIL DE FAITS.
température
du corps pendant la maladie, elle a, d'abord nor-
sion. Le malade n'est pas en état d'expectorer. Le 9 novembre, la
température
s'est élevée à 39, la respiration à 36, le pouls
uble de la parole a duré pen- dant des mois. Aucune élévation de la
température
n'a été observée. La force dynamométrique de la
vent être qualifiées d'héréditaires. Régulateur automatique de la
température
des liquides. Présenta- tion d'appareil. M. B
es bains, présente ! un appareil des- tiné à maintenir constante la
température
des liquides. Cet appa- reil construit sous son
se contracter on de se dilater suivant qu'on abaisse ou élève leur
température
et est par conséquent automatique. Il peut se r
ille; il a des tiraillements dans les bras, il vomit de la bile; la
température
monte; tous ces phénomènes durent presque toute
des piqûres produisent seulement des douleurs. La sen- sation de la
température
n'existe plus ni dans l'un ni dans l'autre bras
aire; la gauche n'a perdu que la sensation de la douleur et de la
température
. Les réflexes tendineux des jambes sont fortement
auter du lit. Le 28 décembre, les sensations de la douleur et de la
température
reparurent dans la moitié gauche du corps, tand
pèces de sensibilité le sont aussi; il n'y a que la sensation de la
température
qui est un peu troublée; dans l'avant-bras il ne
é sur un malade (n° 5) : c'est l'abolition de la dou- leur et de la
température
sur la moitié gauche du corps et l'anesthésie c
11. Dans les 5° et 8° cas, on pouvait observer une élévation de la
température
sans qu'il y ait eu d'inflam- mation locale. Qu
température sans qu'il y ait eu d'inflam- mation locale. Quant à la
température
après les accès, une seule fois (cas 5) elle mo
d'une forte constitution, gras et musculeux, de ma- 1 C'est là une
température
tout à l'ait anormale (B). 290 0 CLINIQUE NERVE
ux, par exemple l'abolition des sensations de là douleur et de la
température
; tandis que le sentiment de l'at- touchement pe
graisse. On ne constate pas à la main d'abaissement notable de la
température
. Le thermomètre appliqué sur le devant de la po
s tumeurs cervicales, a marqué successi- vement 1°,6 et 36°, ? , la
température
extérieure étant de 250. La température rectale
vement 1°,6 et 36°, ? , la température extérieure étant de 250. La
température
rectale, prise matin et soir pendant huit jours
à 37o,2 le soir. Il parait donc exister un léger abaissement de la
température
centrale. Le ventre est volumineux. Les membr
actères que sur le tronc; toutefois, on y observe un abaissement de
température
, sensible même à la main; le thermomètre, appli
ale; la peau a repris sa coloration et sa rénitence habituelles, la
température
est stationnaire. IL - T. R. 38°,2. - Soir :
diaques, ils sont nets, mais profonds, sourds. La respiration et la
température
axillaire sont sensiblement normales. Voici les
a été prise et on a trouvé : 1 h. de l'après midi, T. ax. 32°,4. La
température
atmosphérique est assez froide. Celte nuit le t
inférieures. Diminution de la glande thyroïde ; abais- sement de la
température
; insomnie : cris ; perte du langage arti- culé;
ournal, 20 janvier 1883. IDIOTIE AVEC CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 333
température
tomba fréquemment à 3 : ï°, 4. Elle restait souve
ème. Les cheveux sont couleur de jais, assez épais, mais durs. Sa
température
en moyenne est de 37" dans le rectum, mais la t
urs. Sa température en moyenne est de 37" dans le rectum, mais la
température
de la surface est toujours subnormale 35°ou 36°da
plus en les maintenant dans un milieu porté artificiellement à une
température
élevée : M. Horsley rapporte les symptômes obse
éré- braux que la sensibilité à l'égard du froid ; 5° le sens de la
température
se compose donc de deux sens : un sens pour la
ils vivent dans une privation complète de mouvements volontaires. La
température
de toute la région est inférieure à celle du rest
visqueuses, en un mot, tous les symptômes d'une hémorrhagie interne. —
Température
rectale, 370 4. — La malade meurt deux heures plu
piration devient surtout gê^ée à l'époque des changements brusques de
température
, qui ont une grande influence sur le développemen
la fin de l'année 1856, il quitta le climat de l'île Maurice, dont la
température
moyenne est d'environ 400, et où les con dition
complètement les malades contre les variations souvent brusques de la
température
; il serait à peu près impossible de les chauffer,
le, — Hémiplégie à droite, — Attaques épi-leptiques, — Etat de mal, —
Température
durant les accès, par Bourneville. Fayadat Ro
t-elle arrivée qu'elle eut une attaque complète pendant laquelle la
température
rectale s'est élevée à 38°3. La crise épileptique
ont écoulées qu'il survient une quatrième attaque pendant laquelle la
température
un instant stationnaire s'est élevée à 38°2. Dura
es dans les vingt-quatre heures. Soir. Pouls, ioo; respiration, 40;
température
rectale, 400 pendant un accès. Durant quelques se
encent à couler. Soir. P. 88. R. 32. De 3 à 4 heures, six accès. La
température
, prise durant une crise, est restée à 400 pendant
e. — Hémiplégie à droite. — Attaques épi-leptiqu.es. — Etat de mal. —
Température
durant les accès. — Mort. — Autopsie. — Réflexion
lorsque nous étions interne dans le service de M. Delasiauve. b. La
température
, notée régulièrement, nous offre à étudier : i° l
nsionnelle (fig. 2) qui a été très rapide, puisque en quatre jours la
température
a monté de 38°3 à 42°i. Ce phénomène ne peut être
tres organes, capable de l'expliquer. Cet accroissement brusque de la
température
n'est pas spécial à l'état de mal épileptique, on
n abaissement qui va quelquefois jusqu'à deux degrés au-dessous de la
température
normale, tandis que dans la première maladie, la
re normale, tandis que dans la première maladie, la courbe part de la
température
naturelle. Quant à l'élévation de la températur
courbe part de la température naturelle. Quant à l'élévation de la
température
durant les accès, elle est indubitable. En effet,
s accès, elle est indubitable. En effet, le i3 décembre, alors que la
température
était à 400 pendant une crise, elle était seuleme
instants de calme. Même chose le 14 décembre: en dehors des crises la
température
est à 400 et pendant une attaque à 40°3. Notons e
pérature est à 400 et pendant une attaque à 40°3. Notons enfin que la
température
atteignait son maximum sitôt que les convulsions
maximum sitôt que les convulsions cessaient. Cette élévation de la
température
sous l'influence des convulsions épileptiques nou
re nous avons obtenu les mêmes résultats. Chez un malade, Th..,, la
température
normale était de 3y°6, et durant l'attaque épilep
e 3y°6, et durant l'attaque épileptique de 38n6. — Chez le second, la
température
normale était de 37°3 et à la fin des accès elle
à notre connaissance, qui, a.vant M. Charcot et nous, ait parlé de la
température
dans l'accès épileptique. Encore ne rapporte-t-il
e-t-il qu'une observation. Son malade, en dehors des accès, avait une
température
de 97° Farenheit ou 36°ii centigrades, tandis que
de 97° Farenheit ou 36°ii centigrades, tandis que durant un accès la
température
s'est élevée à 101° F. ou 38"33 C. (The Journal o
rition, ni modi- fication du côté du système pileux. Au toucher, la
température
parait plus basse du côté paralysé. Cicatrices
-t mort à huit heures du matin, sans avoir eu de nouveaux accès. La
température
rectale, prise aussitôt après la mort est de 41
ptômes de l'état de mal ordinaire, entre autres l'élé- vation de la
température
. IV. Les lésions cérébrales trouvées à l'autops
pendant deux jours. Bromure de potassium 3 grammes. Voici quelques
températures
durant cette période : le 5 octobre au soir, T.
Soir : T. R. 38°, 6. Hier 10 mai, il a été impossible de prendre la
température
à cause de l'agitation de l'enfant : il a mordu
t une éruption pscudo-morbilleuso apparue sans prodromes et dont la
température
était normale. Trois semaines auparavant le mêm
e pendant l'époque de l'année où nous avons observé ces malades, la
température
atmosphérique était peu élevée et presque froid
- ? Eruption.. RUBÉOLE. 105 avons noté de 80 â 84 pulsations. La
température
i. 2. Mon... -j- Eruption, ff Fin de l ? " 1 1\
s yeux de nos lecteurs montrent que dans trois cas le maximum de la
température
est resté au-dessous de 39° et qu'une seule foi
ature est resté au-dessous de 39° et qu'une seule fois (Fig. 1), la
température
s'est élevée à 40 ? Presque toujours ce maximum
Chez un de nos malades, une nou- velle éruption étant survenue, la
température
s'est éle- vée, du soir au lendemain matin, de
ole en 1881, nous avons jugé bon de re- produire les tracés de leur
température
. Do cette com- paraison il résulte que, dans la
com- paraison il résulte que, dans la rougeole, le maximum de la
température
est atteint en plusieurs jours, qu'il y a des o
882, et le Compte rendu de 1881. Nous rappelons qu'il s'agit ici de
températures
rectales. "' ' RUBÉOLE. 107 : Nymann a. observé
rmettent de se rendre bien compte de la différence de la marche de la
température
dans les deux maladies : rubéole et rougeole. v
: Hémorrha- gie cérébrale. - Sm2tôns. - Abaissement initial de la
température
(36°,2) ; élévation consécutive (3 ! )0,2).- Au
née augmente et le malade s'éteint à 2 heures de l'après-midi. La
température
a été prise, pour la première fois, une heure e
seront l'objet d'un travail ultérieur (B). HÉMORRHAGIE CÉRÉBRALE :
TEMPÉRATURE
. 125 lacées à gauche ; en raison enfin de la dé
le foyer hémor- rhagique dans l'hémisphère droit. L'examen de la
température
, en nous indiquant un abaissement initial très
n nou- vel argument en faveur de la réalité d'une hémorrhagie. La
température
, qui était à 37°, une heure et demie après le d
e élévation. Fig. 7. - Chaque ligne verticale répond à une heure, -
température
prise une heure et demie après l'attaque; +, ;{
foyer et aux ruptures ; - M, tempéra- ture au moment de la mort. H,
température
un quart d'heure après la mort; 0, température
oment de la mort. H, température un quart d'heure après la mort; 0,
température
une heure un quart après la mort; 00, T. deux heu
quart après la mort. 12 ! i H6\LOltlitl : liifl : CiaiÎ.Illi11,L :
température
. On sait que, dans les cas réguliers qui se ter
ce, l'abaissement initial est suivi d'une ascension régulière de la
température
qui va jusqu'à 42" et même davantage. Ici le tr
t à peu près dans le même état général malgré l'abaissement de la
température
; il ne mange pas, tousse un peu. Continua- tion
de sa tuberculose, il nous a été pos- sible d'avoir la marche de la
température
durant la période prodromique. Le tracé ci-aprè
odromique semble s'être annoncée par une élévation momentanée de la
température
(icJ ? 2 2 le 2 mai au soir) ; puis la températ
momentanée de la température (icJ ? 2 2 le 2 mai au soir) ; puis la
température
a baissé, a oscillé durant deux jours un peu au
es, et notamment en 1882-1883, des observa- tions nombreuses sur la
température
dans la rougcole. Fig. 11. x, début de 1 érupti
isée et l'on s'y tient immobile ; on se couvre de sorte à assurer une
température
et une excitation de la peau uniformes (2). Ain
ie. Le travail de reconstruction des organes étant presque arrêté, la
température
du corps a considérablement baissé ; toutefois la
se plaindrede nouveau de douleurs dans les jambes ; le 8 février, la
température
monte à 38. On lui ordonne du salicylate de soude
plaint aucunement. Cet enfant avait la langue blanche, un peu de
température
et de diarrhée. Sa bonne l'avait laissé trop mang
ulations thermiques. — Il existe pour les êtres mono-plastidaires une
température
optima de veille, en deçà et au-delà de laquelle
Les diverses espèces de microbes ne commencent à proliférer qu'à une
température
supérieure à celle qui est nécessaire à l'entreti
lication devient ensuite de plus en plus active, jusqu'à une certaine
température
qui est l'optima. Au dessus de celle-ci, la multi
de celle-ci, la multiplication se ralentit. Elle s'arrête enfin à une
température
inférieure à celle qui est nécessaire à l'entreti
férieure à celle qui est nécessaire à l'entretien de la vie (2). La
température
optima est située entre 10° et 15° pour les quato
dessous de 8° le développement de Bacillus typhosus est suspendu. Aux
températures
inférieures à leur optima de veille, les mouvemen
s Amibes rétractent leurs pseudopodes et se ramassent en boule. Si la
température
s'abaisse suffisamment, il se produit (habituelle
elle ses mouvements sont suspendus, et qui persiste jusqu'à ce que la
température
remonte. Amœba diffluens peut vivre ainsi dans la
47°, la rétraction augmente et les grains deviennent plus gros. Si la
température
s'élève encore, la virulence du bacille diminue e
tre. L'effet produit est en raison directe du temps pendant lequel la
température
a agi. Si l'on inocule à un animal du sang charbo
60% l'atténuation de la virulence est d'autant plus prononcée que la
température
est plus haute. On observe en outre un retard dan
A 52°, ce retard est on raison directe du temps pendant lequel cette
température
a agi; après 15 minutes, le développement parait
eloppement parait suspendu. Si l'on soumet du virus charbonneux à une
température
de 90° pendant six heures, ce virus devient vacci
que du Bacille de Kiel disparait momentanément sous l'influence d'une
température
suffisante. On a observé chez certaines spores
ature suffisante. On a observé chez certaines spores soumises à une
température
suffisante, une sorte de coagulation qui n'est sa
qu'une rétraction du bioprotéon, et qui d'ailleurs disparait quand la
température
baisse. Sous l'influence d'un excès de températ
sparait quand la température baisse. Sous l'influence d'un excès de
température
, les Amibes retractent leurs pseudopodes et se ra
Amœba diffluens), et les spermatozoïdes s'immobilisent. Enfin si la
température
s'élève suffisamment, il se produit, chez les êtr
ur les cellules végétales, comme pour les êtres monoplastidaires, une
température
optima de veille. Dans les cellules de Nitella fl
cantia virginica (éphémère de Virginie) pendant plusieurs heures à la
température
de —14°, les mouvements bioprotéiques s'arrêtent
e même phénomène se produit, après une exposition de dix minutes à la
température
de — 8°. A 0°, le réseau se reforme en certains p
ioprotéon se rétracte et se résout en petites masses sphériques. La
température
optima de rétraction du bioprotéon des cellules d
s bioprotéiques de croissance. Or, si l'on soumet des radicules à une
température
suffisamment basse ou suffisamment élevée, les co
courbures ne se produisent plus. La germination est suspendue par une
température
trop basse ou trop élevée (1). La température o
est suspendue par une température trop basse ou trop élevée (1). La
température
optima de germination et de fructification est de
s'arrête à 34°5. Si on les soumet pendant une huitaine de jours à la
température
de 38° ou de 39°, et qu'on les ramène ensuite à l
s à la température de 38° ou de 39°, et qu'on les ramène ensuite à la
température
optima, la germination reprend mais d'autant plus
tion reprend mais d'autant plus lentement que l'exposition à la haute
température
a été plus longue (Claude Bernard) (2). Chez Pé
lium glaucum, la germination est plus lente entre 110° et 121°qu'à la
température
ordinaire (Pasteur). On sait enfin que le dével
existe pour les végétaux, comme pour les êtres monoplastidaires, une
température
optima de veille, en deçà et au-delà de laquelle
ia vesiculosa, ordinairement closes en Europe, s'ouvrent quand la
température
est suffisamment élevée. Tout changement brusqu
la température est suffisamment élevée. Tout changement brusque de
température
provoque le sommeil de la feuille de Mimosa pudic
rovoque le sommeil de la feuille de Mimosa pudica. Ici l'action de la
température
peut s'ajouter à l'action des causes mécaniques.
près de la plante, pour en provoquer le sommeil. Toute élévation de
température
détermine la somnolence ou le sommeil des Oxalis
siques. Io Ondulations thermiques. — Il existe pour les pétales une
température
optima de veille. Tout abaissement de température
our les pétales une température optima de veille. Tout abaissement de
température
provoque le sommeil des fleurs d'Ornithogalum
Crocus vernis (Safran). Crocus vernis est sensible à une variation de
température
de 0°5. La fleur s'endort complètement à 8° et à
eurs nocturnes. D'ailleurs, dans tous les cas, il est probable que la
température
et l'état hygrométrique de l'air agissent concurr
excitations et ne perçoivent ni contact, ni douleur, ni variations de
température
, ni sensations d'attitude ou de mouvement; d'autr
ouleurs très vive*. Pendant les paroxysmes qui duraient une heure, la
température
locale s'abaissait de 5° C. Puis la coloration vi
senter, sans les avoir réellement, l'insensibilité à la douleur, à la
température
, les erreurs du sens musculaire avec la persistan
s épingles. » 11 n'y avait aucun symptôme d'émotion. Le pouls et la
température
n'avaient rien d'anormal. Elle mangea un repas su
e s'est gravement enrhumée à New-York, grâce à la baisse subite de la
température
et à la défectuosité de l'équipement des croisés.
ériences sur les grenouilles d'hiver et d'été (Rana temporaria), à la
température
de la chambre variant de 12° à 19'. Il renverse l
quelquefois aussi quelques troubles digestifs et une élévation de
température
. Puis, la maladie s'installe à la période d'état.
ci n'apparaît pas avant le quatrième jour, elle tarde encore quand la
température
est basse. Or, chez nous, les inhumations sont au
décubitus dorsal, il a les yeux fermés, la respiration régulière, la
température
ainsi que le pouls normaux ; le tronc et les memb
II était temps car le malade était tombé dans un état comateux, et la
température
s'était abaissée à 35°. Cette résurrection prouve
agé. L'air et la lumière pénétraient suffisamment par une fenêtre; la
température
dans le sous-sol était modérée et la la lumière m
en pleine lumière, dans la salle souvent inondée de soleil et dont la
température
était fréquemment élevée au printemps et en été.
ez les grenouilles trouvées engourdies pendant un fort abaissement de
température
en hiver. Il est vrai que dans la narcose profond
ec du papier buvard et placées sous une cloche spacieuse en verre. La
température
de la salle est élevée et sèche. Dans ces conditi
Les grenouilles hypnotisées réagissent toujours à une élévation de la
température
, tandis qu'elles continuent à rester inertes à un
s qu'elles continuent à rester inertes à un abaissement brusque de la
température
(1). Les procès-verbaux ci-dessous le démontrent
7 juillet 1901, 3 heures de l'après-midi). — Journée très chaude ; la
température
du laboratoire où séjournent les grenouilles est
es est de 29°. Une grenouille est endormie dans un cristallisoir à la
température
ambiante. On verse à ce moment dans le cristallis
de chaleur. Lagrenouille continue de rester immobile. Mais, quand la
température
atteint 33% la grenouille se réveille brusquement
pendant quelques minutes, en y ajoutant de la glace pour maintenir la
température
de l'eau à 10°. On verse ensuite de l'eau chaude
chaude. La grenouille ne se réveille qu'à 34e. Expérience III. — La
température
de l'air ambiant est de 28°. Une grenouille endor
pérature de l'air ambiant est de 28°. Une grenouille endormie à cette
température
est placée ensuite dans de l'eau à 10° sans se ré
lle brusquement. On la rendort dans cette eau et l'on élève encore la
température
. Le second réveil s'opère à 26°, le troisième à 3
onne avec de l'eau froide salée et vinaigrée ou il reçoit un bain. La
température
de la chambre qu'il habite ne doit pas dépasser 1
alades prennent des bains salés, au moins deux fois par semaine; leur
température
descend progressivement de 28° à 25e. Les bains d
llait à six heures dans son cabinet où il entretenait constamment une
température
de 25°, s'asseyait auprès du poêle, de manière à
s expériences précédentes démontrent clairement que l'élévation de la
température
occasionne toujours le réveil; elle agit comme un
it comme un excitant. Faisons toutefois remarquer que ce n'est pas la
température
en tant que telle qui favorise le réveil, mais qu
qui produit cet effet. Une grenouille peut dormir profondément à une
température
qui produirait le réveil si elle succédait à une
nt à une température qui produirait le réveil si elle succédait à une
température
plus basse. Il est donc impossible de fixer la te
dait à une température plus basse. Il est donc impossible de fixer la
température
de sommeil et la température de réveil. Chaque no
asse. Il est donc impossible de fixer la température de sommeil et la
température
de réveil. Chaque nouvelle augmentation de la tem
mmeil et la température de réveil. Chaque nouvelle augmentation de la
température
agit comme un nouvel excitant en produisant le ré
l excitant en produisant le réveil. Par contre, l'abaissement de la
température
(lavariation thermique dans le sens delà diminuti
dormir tranquillement, sans faire un mouvement. L'abaissement de la
température
paraît même avoir une action favorable sur l'appa
expériences suivantes : Pendant une très chaude journée de juillet (
température
de la salle, 28°), deux grenouilles ont été plong
ment dû à l'action déprimante qu'exerce un fort abaissement de la
température
sur les fonctions de l'organisme. Pareille action
e à la partie ampullaire du rectum, mais ne présentant ni douleur, ni
température
, ni battement. Chose curieuse, le malade n'accu
la peau des mains et du thorax devint insensible à la douleur et à la
température
. Plus tard la maladie s'étendit au bras droit et,
e sens du toucher est normal sur tout le corps ; l'insensibilité à la
température
et à la douleur est complète notamment dans la pe
région de la 2° branche de la 5e paire gauche où la sensibilité à la
température
est seulement affaiblie. Rien de spécial du côté
est encore parvenu à lui rendre la sensibilité de la peau (douleur et
température
). Il est vrai qu'il y a quelque différence de fin
vant-bras, du bras et de l'épaule, insensibilité à ta douleur et à la
température
siégeant à la peau du cou jusqu'à la ceinture et
i est essentiel, recommence à sentir la douleur et les changements de
température
. Il résulte de tout cela que le triste visage de
es jusqu'aux hémisphères cérébraux et y produisent une élévation de
température
par le seul fait de leur transmission, II. «
Paris, 1881. Cf. De l'influence du travail t' ? tHe(;- tuel sur la
température
générale. C. IL de la Soc. de biol., 1884, 265.
ser, ou bien la consommation de ses réserves pro- duire une moindre
température
qu'à l'état normal. » C'est donc une erreur de
ndirecte de l'équivalence mécanique de la pensée, l'élévation de la
température
et l'augmenta- tion des déchets chimiques qui a
pas 2 grammes dans les vingt-quatre heures abaisse énergiquement la
température
. L'action se manifeste une heure environ après
ersiste de trois à dix heures suivant la dose. En même temps que la
température
baisse, la fréquence du pouls diminue et la ten
»du régime alimen- taire sur la masturbation, et sur l'élévation de
température
à laquelle donnent lieu les pratiques solitaire
xus physio- logique, analogue à celui de la fièvre (élévation de la
température
accélération des échanges nutritifs modificatio
nt lequel, le pouls étant très peu fréquent, ce qui est anormal, la
température
est tantôt normale, tantôt subnormale, ou ne s'
recherches thermo-élec- triques des physiologistes italiens sur la
température
des centres nerveux durant le travail psychique
aide de thermomètres gradués en 50° de degré centigrade, prenant la
température
au travers des téguments, il résultait que la c
il mécanique considérable. » Chez le chien, l'abaisse- ment de la
température
a paru plus marqué encore; il a une fois attein
onnée par ,Labordes. Ce physiologiste étudiait les variations de la
température
dans le muscle actif; il avait établi que la fi
ps, et, cette fois encore, abaissement immédiat et progressif de la
température
à 39°11 39°7. L'électricité et ses effets cesse
empérature à 39°11 39°7. L'électricité et ses effets cessent, et la
température
remonte à 39°8 - 39° 18. Or, cet abaissement
rature remonte à 39°8 - 39° 18. Or, cet abaissement initial de la
température
, qui correspond exactement au mouvement de soul
exactement au mouvement de soulève- ' Laborde. Modifications de la
température
liées au travail muscu- laire. L'échauffement p
bral, psy- chique, ne détermine pas seulement une élévation de la
température
des centres nerveux dans la phase sta- tique de
mi- naient bien moins, la plupart du temps, une éléva- tion de la
température
cérébrale, qu'un refroidissement de l'organe. A
ccordant une plus grande attention aux variations successives de la
température
durant le travail cérébral, on constatait l'exi
ase de travail positif, corres- pond à l'oscillation négative de la
température
qui accompagne le début de la contraction muscu
tions assez intenses, provo- quent des modifications étendues de la
température
de l'écorce, ayant un caractère d'alternance ou
squ'à 3° centigrade. Si l'on songe que, dans ces expériences, cette
température
étant celle des méninges, celle du cerveau devr
Tanzi, présentée par Dorta. {Etude critique et expérimentale sur la
température
cérebrale à la suite d'irritations sensitives e
avec Montefusco et Bifulco Z. Tous ces auteurs avaient noté que la
température
de la tête augmente avec le travail cérébral (t
la signification qu'il convient d'attribuer à cette élé- vation de
température
de la tête. Ces variations de la température ép
cette élé- vation de température de la tête. Ces variations de la
température
épicranienne correspondent-elles en réalité ave
cellulaire sous-cutané : il ne s'agirait pas d'une élé- vation de
température
du cerveau, mais d'un phéno- mène vaso-moteur d
Seppilli', on ne saurait nier qu'il existe quelque rapport entre la
température
externe du crâne et la 1 Seppilli et Maragliano
vilà del yensiero. Jlilano-Torino, 1886, p. 7. 232 PHYSIOLOGIE. ,
température
interne du cerveau : ce phénomène est dû non se
motion intense et de longue durée, on nota de légères variations de
température
à l'occiput. Les diverses émotions donnent lieu
ue dans les autres parties du cerveau, et si les variations de la
température
y sont plus accusées. Chez les ani- maux, il n'
ici, LES FONCTONS DU CERVEAU. 235 c'est que les variations de la
température
de la tête ont constamment présenté un caractèr
re des émotions, nous avons vu qu'il se produit des oscillations de
température
, surtout au front, sinon uniquement dans cette
e, suivi, dans la phase statique ou de repos, d'une élévation de la
température
. XII. Ces variations successives de la températ
élévation de la température. XII. Ces variations successives de la
température
du cerveau en travail constituent de véritables
T. EFFET DES lésions DU CORPS strié ET DES couches OPTIQUES SUR la
température
du corps (The effect upon the Godily tempéra- t
rps strié entraînent au bout de cinq à sept heures une élévation de
température
de 5° (Fahrenheit) qui dure jusqu'à soixante-de
moins d'influence à cet égard. Il existe de plus une différence de
température
des deux côtés du corps en faveur de celui de ces
tal, s'est rapidement aggravé et sans ictus, sans élévation de la
température
, la prostration augmentait avec une vitesse inacc
caoutchouc à un réservoir plein d'eau chlorurée et stérilisée d'une
température
de 37°, et situé à une certaine hauteur. De la
te du corps pour tous les modes de sensi- bilité (contact, douleur,
température
). Pas d'anesthésie pharyn- gée. La sensibilité
oumon. Rien au coeur, les bruits sont seu- lement un peu sourds. La
température
axillaire est normale. Pouls 84. Appétit mauvai
sibilité à la douleur, bien que la sensibilité tactile persiste. La
température
du corps diminue progressivement. Les effets ph
agit plus nettement sur la sensibilité, tandis qu'elle abaisse la
température
d'une façon moins marquée. Au point de vue thér
lle ou à peu près ; c'est à peine s'il a obtenu des abaissements de
température
de 1 à 2 dixièmes de degrés, si ce n'est dans l
es maladies aiguës dans lesquelles, par suite de leur évolution, la
température
tend spontanément à fléchir ou même à descendre
nce de -- par Jelgersma, 287. Coups oprO-S1H1ÉS (inlluence sur la
température
du corps des), par Haie White, 273. - Courant
pharynx, bouche) sont insensibles au contact, à la douleur et à la
température
. Il existe une petite plaque sen- sible au nive
sie, aucune hyperesthésie, ni Ù la douleur, ni au contact, ni il la
température
. A la face, cependant, on trouve une plaque d'a
nesthésie droite sensitivo-sensorielle, élévation persistante de la
température
, hémiplégie droite, attaques épilepti- formes ;
du tremblement du bras gauche. Coma durant toute la nuit. - Le 20,
température
élevée. Incontinence d'urine. - Le 21, la paralys
troubles de la sensibilité, ni au contact, ni à la douleur, ni à la
température
. Le sens articulaire et musculaire est partout
a coloration violacée, qu'elle devient rose; 2° qu'en môme temps la
température
s'élève, et qu'elle dépasse même la température d
qu'en môme temps la température s'élève, et qu'elle dépasse même la
température
de la main du côté opposé : dos de la main droi
Il reste à chercher la ou plutôt les causes de l'abaissement de la
température
de la main droite. Ce symptôme ne nous paraît i
hésie et des troubles trophiques. Ces causes de l'abaissement de la
température
, en eflet, sont multiples, et elles cadrent bien
capitale, nous avons observé- sur la main malade des variations de
température
remarquables, et cela en dehors de toute influe
la en dehors de toute influence extérieure apparente. Tandis que la
température
de la main saine se tenait dans d'étroites limi
E DE L'OEDÈME BLEU HYSTÉRIQUE. 75 senter une élévation locale de la
température
suffisante pour laisser croire à un processus i
squ'ici publiées d'oedème hystérique signalent un abaissement de la
température
au niveau de l'oedème. Dans une seule, celle du
issement, tantôt l'élévation, et cela dans une étendue de 1Ce4-, la
température
des parties, oedématiées dépassant de 9°8 celle
s avec la tétanie. 9° Relation des variations de coloration et de
température
avec la tension artérielle dans la radiale corr
nts électriques sur cet oedème. 5° Relation entre les variations de
température
de la main malade et les variations de l'hyperh
l. IX, fig. 2). Il en est à peu près de même pour les sensations de
température
. Une impression de froid la fait frissonner et se
fille âgée de deux ans et demi qui a succombé en 48 heures avec une
température
élevée, peut-être de septicémie aiguë; on n'ava
mption : atrophie musculaire, incontinence d'urine, élévation de la
température
, fourmillements douloureux, rachialgie osseuse,
tivement, la sensibilité cutanée (au contact, à la- douleur et à la
température
) est normale. Le tact n'est pas altéré : elle dis
minution notable de la sensibilité au contact, à la douleur et à la
température
dans toute la moitié droite du corps. Mais le m
us accentué. Sensibilité. Sensibilité au contact, à la piqûre, à la
température
chaude, froide, bien conservée et égale à droit
lle est intacte dans tous ses modes, au contact, à la douleur, à la
température
. Le sens articulaire et mus- culaire est partou
des malades est très sensible au froid; au moindre abaisse- ment de
température
il éprouve une sensation de refroidissement très
ieurs très légèrement oedématiés ont une teinte un peu violacée; la
température
y est en même temps abaissée : le malade en a c
elle, progressive jusqu'à la mort qui arrive le 17 février 1875. La
température
prise pendant le dernier mois a oscillé entre 37°
et de l'obnubilation intellectuelle avec balbutiement. Le pouls, la
température
, la sensi- bilité, la réaction électrique des m
les vaso-moteurs sont identiques à ceux signalés par M. Le Fort. La
température
locale prise au niveau de la face dorsale des deu
ce qu'il ne peut non seulement être debout, mais même rester assis.
Température
35° 8, pouls, 96, régulier, mais très faible; o
trans- parente, très concentrée, sans albumine ni sucre; le soir la
température
était de 36 ? 2.1' février. L'état du malade
omme auparavant, de grandeur moyenne et réagissent à la lumière. La
température
était le matin de 35°4 et le soir de 35°8. 25
ouls est insensible; les bruits du coeur ne sont plus perceptibles.
Température
34°5. L'abaissement des paupières est également
moteurs qu'un refroidissement des membres inférieurs. Pouls à 100 ;
température
38°. Catarrhe bronchique. Albuminurie médiocre.
ihypoesthésie droite très accusée pour le contact et la douleur. La
température
semble pervertie de ce côté; un corps froid rév
n par jour. On profite de son séjour à l'infirmerie pour prendre la
température
localesur les plaques asphyxiques et sur les ré
e n'était pas complètement guérie. Dans différentes conditions de
température
, nous avons examiné le fond de l'oeil et nous n
e délire dura deux mois environ. Durant celle période délirante, la
température
atteignit 40°, 41° et même davantage le soir po
male (Voir courbe ci-jointe). En septembre, le délire cessa mais la
température
persista avec ses caractères irréguliers et int
ccèdent chez elle, alternent et coexistent. Ils coïncident avec une
température
élevée qui dure pendant plus d'un an, avec de l
ieure du tronc du même côté). Partout ailleurs elle est absolue. La
température
(chaud, froid) n'est pas perçue dans les mêmes
ifeste pour les divers modes de la sen- sibilité (contact, douleur,
température
et électricité). Les organes des sens sont norm
ètement abolis. La sensibilité dans ses trois modes (tact, douleur,
température
) n'existe plus sur toute la surface des tégumen
e : sensibilité tactile conservée, sensibilité à la douleur et à la
température
abolie ? Sur dix-sept hystériques hémi- anesthé
ar Rotlls. Cet oedème est indolent, de teinte vio- lacée, froid (la
température
locale est en effet notablement abais- sée). Or
des hystériques est un oedème dur, cyanose, avec abaissement de la
température
locale dans les régions affectées. D'ordinaire,
exes rotuliens sont exagérés des deux côtés, mais plus à droite. La
température
de surface prise sur l'épaule de chaque côté est
mbre. - Mort à 1 heure du matin. Un quart d'heure après la mort, la
température
monte à 41,8. Depuis le début de l'état de mal, i
s inférieurs, et le quatrième jour il s'y joint une élévation de la
température
qui atteint le soir 38"5 et le lendemain matin
atin tombe à 37°5, pour remonter le soir à 38°4. Le surlendemain la
température
redevient normale. Ce n'est que huit jours plus
de nouveau ses douleurs dorsales, et le cinquième jour, le soir, la
température
est de 38° ; le len- demain elle redevient norm
hésie, les accès répétés de douleursdor- sales et l'élévation de la
température
qui ont suivi la suspension nous forcent à adme
vaso- moteurs étant intéressés, nous assistons aux troubles de la
température
, aux troubles vasomoteurs (cyanose et refroidis-
on observe très fréquemment l'a;dème des malléoles et des pieds. La
température
du corps est abaissée surtout à la périphérie o
a circulation est en défaut (pouls ralenti, cyanose des extrémités,
température
abaissée) ; ces divers troubles abou- tissent à
a parole est normale. La sensibilité cutanée à la douleur et à la
température
complè- tement abolie. Les battements cardiaq
it à goûter quelque chose. La sensibilité générale au toucher, à la
température
et à la douleur est un peu diminuée et retardée
fléchisseurs normaux. La sensibilité générale à la douleur et à la
température
, normale. Le sens musculaire ainsi que les sens
e pas de tremblements. La sensibilité générale à la douleur et à la
température
est légèrement diminuée. La sensibilité spé-, c
est aucunement troublée. La sen- sibilité générale au toucher, à la
température
et à la douleur est conservée. On observe pourt
ire et crémasté- rien. La sensibilité générale au toucher et à la
température
, conservée; la sensibilité à la douleur est un
l'apathie, l'obnubilation de l'intelli- gence, l'abaissement de la
température
du corps, la sécheresse de la peau sont des sig
toires, les localisations précoces; les traumatismes crâniens où la
température
, comme d'ailleurs dans l'épilepsie, pourra régler
om d'états coma- teux, nous trouvons au contraire un abaissement de
température
dont la chute aggrave le pronostic. Parmi ceux-
s l'absence d'antécédents nets, la situation sera éclaircie par une
température
normale, le frémissement vibratoire des paupièr
éviter le travail intellectuel, les émotions, les grands écarts de
température
, les excès de toute nature. Quant à l'accident lu
s les accès subin- trants, ainsi que l'a indiqué M. Bourneville, la
température
s'élève dans l'épilepsie et ne dépasse pas la n
st normale. La sensibilité générale conservée pour le toucher et la
température
, celle à la douleur diminuée aux jambes, où le
araît relardée pour le. toucher et pour la douleur; normale pour la
température
. Elle n'offre pas des tremblements de la langue
licates, on ne pouvait rechercher l'état des pupilles ni prendre la
température
, et surtout l'injection était sous-cutanée, l'a
3 ce. de ce sérum à un lapin de 880 gr. Au début de l'injection la
température
rectale du lapin est de 39 ? 5 minutes après, a
u plus tard elle devient irrégulière avec des arrêts momentanés. La
température
est descendue à 3G°6'. Pas de convulsions. Le l
m pour tuer une souris de 15 grammes et de 3 ce. pour abaisser la
température
d'un lapin de 880 grammes, faire contracter ses
ai à 4 heures, dans la veine auriculaire d'un lapin de 782 gr. La
température
rectale du lapin avant l'injection était de 3906'
ans les membres à 4 h. 50'. Grande faiblesse après ces convulsions.
Température
36°5'. Anesthésie des quatre membres. Somnolenc
s, le lapin reste flasque la respiration est lente, irrégulière, la
température
baisse toujours, 340,5. Myosis, nystagmus. Mo
5 ce. du sérum dans la veine auriculaire d'un lapin de 902 gr. La
température
rectale du lapin avant l'expérience était 39°.
ercle. Les convulsions durent une minute ; pendant cette attaque la
température
remonte à 39, et la respiration s'arrête. Deux
ine auriculaire d'un lapin de î25 gr. - Au début de l'expérience la
température
du lapin était 39°,1; treize minutes après l'in
ILEPSIE. 1 8o quelques secondes ; immédiatement après l'attaque, la
température
était à 39°6 ; elle descend lentement ensuite.
s- sement considérable de la respiration avec un arrêt momentané.
Température
34°8. Cet état comateux a duré 1 h. t/2. Pendan
34°8. Cet état comateux a duré 1 h. t/2. Pendant tout le temps la
température
s'est maintenue à 345, mais vers 6 h. 1 ? F, elle
e lapin se tient sur ses pattes. Nous l'avons quitté à 7 heures, la
température
était à 3801', la respiration était normale, le
tion des pupilles, ralentissement de la respiration. Somnolence. La
température
s'abaisse : 36°4. Vingt-cinq minutes après, l
se tenir sur son train postérieur dont la peau est anesthésiée. La
température
descend jusqu'à 33°, et le lapin tombe dans le
qu'il observa furent : début brusque, pas d'hérédité, élévation de
température
, augmentation du nom- bre des pulsations, insom
la fièvre typhoïde qui s'en distingue par la marche régulière de la
température
, l'éruption, la diarrhée etc.; avec l'hystérie
ystérie où on ne trouve pas d'amaigrissement rapide, d'élévation de
température
, etc.; enfin avec la manie aiguë qui se reconna
dents connus, a été reçu à l'hôpital dans un état demi-comateux. La
température
est de 38° 5-380 7. Strabisme externe de l'oeil
ts fuligineuses ; le pouls est faible, rapide, presque incomptable;
température
: 38°,2, le matin; 38 ? r, le soir; léger tremb
à six heures par nuit. L'état général est redevenu satisfaisant, la
température
, qui le 6 mai, est tombée à la normale, s'y mai
ntation est toujours suffisante ; l'état géné- ral satisfaisant, la
température
oscille d'une façon régulière entre 3T" et 3-il
sité d'une pression ou d'une traction exercée sur les téguments. La
température
des objets était mal ressentie ; pas de dissoci
la polynévrite et pas de coloration violacée ni d'abaissement de la
température
, comme dans la poliomyélite antérieure. D'un au
r la sensibilité à la douleur ; la sen- sibilité au toucher et à la
température
est normale. Il existe une rachialgie intermitt
re ordinaires, doué d'une vitalité extraordinaire et résistant à la
température
de 70°. Les inoculations pratiquées sur un gran
gnements des veilleurs sur l'état du malade la nuit, le sommeil, la
température
, signale s'il y a eu ou non des garde-robes, le
cond lieu, l'idée déli- rante s'est manifestée au moment même où la
température
est revenue à la normale et où tous les phénomè
t aboli. Les masses musculaires sont douloureuses à la pression. La
température
vespérale oscille entre 39°,5 et 40°, tandis que,
ourants induits de moyenne intensité, sensibilité à la piqûre, à la
température
légèrement émoussée, masses musculaires des cui
et des yeux. Le malade regarde sa lésion. Pupilles très resserrées,
température
normale. Pas d'écoulement sanguin ou séreux par
te des urines et des matières ; urines normales. Pas d'élévation de
température
. Au bout de huit jours, escarre sacrée médiane
re de la rétine. Parfois elle éprouvait des sueurs abondantes. La
température
a été prise au moment des crises. Une fois au d
au moment des crises. Une fois au début d'une crise avec frisson la
température
s'éleva à 40°, En somme, sous l'influence de l'
latérales, l'auteur en conclut que les sensations de douleur et de
température
passent par ces parties latérales, tandis que le
Au moment de son admission, altérations du sens du tou- cher, de la
température
, difficulté pour parler; inégalité pupil- laire
au froid sur les diffé- rentes parties du corps ? 2° quelle est la
température
qui donne la sensation de douleur par applicati
roid ou du chaud sur di- verses parties du corps ? 3° quelle est la
température
la plus basse qui donnera par application sur l
r application sur la surface cutanée la sensation de chaleur, et la
température
la plus haute qui donnera la sensation de froid
nsible à la tempéra- rature inférieure à celle de sa surface qu'aux
températures
supé- rieures ; 2° et 3° les variations de temp
face qu'aux températures supé- rieures ; 2° et 3° les variations de
température
entre 5° C. et 60° C. produisent des sensations
id sur toutes les parties du corps avec peu ou pas de douleurs. Les
températures
au-des- sous de 5° C. et supérieures à 68° C. p
un corps sur la peau; quand la main est trempée dans de l'eau à des
températures
variées, les degrés exi- gés sont 10° C. et 50°
dimensions de la surface entamée mise à l'épreuve, l'épaisseur, la
température
de la peau; 4° la sensibilité relative des différ
jours le même; 6. par le contact avec un objet ou un milieu d'une
température
supérieure; c. par une augmentation de la chaleur
anguin restant le même; b. par le contact avec des objets ayant une
température
objective égale à celle de l'air ambiant mais q
jective égale à celle de l'air ambiant mais qui conduisent mieux la
température
que l'air; c. par le contact avec un objet ou u
temps de réac- tion » au froid et au chaud est variable suivant la
température
, les régions éprouvées, etc.; toutes causes d'e
surtout de fréquence en plus ou moins sans règle bien fixée ; 5° la
température
s'abaisse 42 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. sous l'a
ne modification objective dans les membres inférieurs : coloration,
température
, sensibilité cutanée, sont normales; la force m
°,6 à gauche, 24",5 à droite. Sous l'influence de la suggestion, la
température
s'éleva progressivement tous les jours d'un deg
ssivement tous les jours d'un degré environ des deux côtés, puis la
température
continua à s'élever sans nouvelle suggestion. L
'auteur put en vingt-quatre heures faire varier en plus ou moins la
température
des mains de 10°. Un jour il dit : «la main gau
désignées. Le lendemain matin la main était froide et violette. La
température
accusait 20°, tandis que la veille le thermomèt
te main va se refroidir. » En même temps qu'une varia- tion dans la
température
, l'auteur a signalé une grande diffé- rence dan
anesthésie et analgésie complètes avec intégrité de la sensation de
température
. Il nous paraît inutile de multiplier les exemp
avril, disparition permanente du réflexe patellaire du côté droit.
Température
vespérale s'élevant à 40°; quand baisse la tempér
mussitation. Fièvre très irrégulière ; affaiblissement très rapide.
Température
36,3. Evacuations intestinales profuses, col- l
réquence du pouls; le diaphragme ne fonctionne pour ainsi dire pas,
température
37°,9 ; la vessie n'évacue plus l'urine d'aille
é des pupilles et du fond de l'oeil. Rien du côté du pouls ni de la
température
. Aucun autre trouble morbide. Si au début on av
re à peu près deux heures ; à ce ' moment le*- pouls est de 100; la
température
de 38°, T, sueur abondante. Pas de '' papille é
e que peu ouverte, les gencives sont tuméfiées, les dents branlent.
Température
de 36°,2 à 3G°,4. On ne sent pas la thyroïde. M
ès épileptiques ; elle reste en état de mal avec forte élévation de
température
pendant tout ce mois. Au cours de cet état de m
e gauche dans les accès. Le 10 mars les accès se sont espacés et la
température
est des- cendue à 370,8, le bras a retrouvé pre
eure dans la patho- , génie que l'état de mal avec son élévation de
température
et son ensemble symptomatique peut être considé
n régulière. P. KERAVAL. XXXVIII. Oscillations journalières DE la
température
DU corps dans LES psychoses FONCTIONNELLES; par
n, et la forme exaltée avec exagération de l'idéo-enèse : seule, la
température
moyenne est en général un peu plus basse dans l
ration de l'amplitude de l'excursion totale ; 7° dans la stupidité,
température
moyenne plus basse que normalement; impossibili
choses. Il est très rare en tant que phénomène régulier. Quoique la
température
vespérale soit alors plus basse que celle du ma
le du matin, généralement, à midi, il y a un maximum supérieur à la
température
matutinale; 9° de l'hy- pothermie anormale moye
stupidité, il faut encore distin- guer l'apparition accidentelle de
températures
basses tout à fait anormales. On les trouve dan
entale congénitale et acquise ; 10° différences hémilatérales de la
température
axillaire comportent plus de 0,2. Extrêmement r
que je crois qu'on peut faire le diagnostic de l'étiologie. Si la
température
centrale est au-dessous de la moyenne, c'est l'
iées à l'urémie et qui s'accompagnent, au contraire, d'élévation de
température
. M. A. Voisin pense que dans ces cas particulie
un certain rôle, et la résistance paraît plus grande à 0° qu'à la
température
ordinaire, mais ce point demande de nouvelles exp
tion, saline qui baigne la peau et les électrodes ou qu'on élève la
température
de cette solution. La résistance varie sur les
s doivent toujours être imbibées avec une solution saline de même
température
et de même concentration. Elles doivent être main
fois par semaine. Chez les deux malades il y eut augmentation de la
température
et dimi- nution du poids. Chez toutes deux auss
tie et éthylique que renferme le médicament; 3° de l'abaissement de
température
observé dans tous les cas, on peut conclure que
9° les malades soumis à ce traitement doivent être maintenus à une
température
aussi égale 472 ? ) REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. q
al, par Borgheri ! u,204. Témoignage des experts, par Mott, 69.
Température
dans les psychoses fonctionnelles, par Ziehen,
ns de ceux qui suivirent ; il a le souvenir d'avoir entendu parler de
températures
montant à M0. Une autre particularité sur laque
bnubilation ou perte du sensmusculaire; — 3° Elévation relative de la
température
; — 4° Atrophie musculaire plus ou moins rapide pa
haut,par une ligne plus ou moins horizontale; —2° Pas d'élévation de
température
de ce côté ; —3° Pas traces de paralysie motrice,
eur, qu'il n'a pas cessé depuis; — 2° Aujourd'hui, pas d'élévation de
température
sur la peau de ce membre, au contraire ce membre
ept. 1885). Il est fort remarquable qu'ainsi que je l'ai démontré, la
température
centrale ne s'élève pas notablement dans ces séri
et l'état de mal hystérique, car dans celle-là comme dans celle-ci la
température
reste au taux normal ou à peu près : ainsi, chez
que tout cela est faux et nous dit : « Mais est-ce que je rêve? » La
température
s'élève à 39° ; le pouls est à 120, régulier. (Br
et encore difficilement, que des aliments liquides. Même traitement.
Température
rectale de 38° 4 matin, 38° 8, le soir. Jeudi 2
ent à ouvrir la bouche. La langue n'est point sèche. Même traitement.
Température
rectale : matin 38° 6, soir 38° 8. Vendredi 23
sse découvrir l'existence d'une complication viscérale quelconque, la
température
s'élève brusquement à40° ;le pouls est à 120, rég
nt de tous côtés ; mais le faciès est légèrement cyanose, amaigri. La
température
est à 40° 3;le soir elle se maintient à 40°. Poul
pas reconnaître les gens qui l'en- tourent. Quoi qu'il en soit, la
température
a notablement baissé : le matin, elle est à 39° l
e ; les mouvements dans les membres ont presque complètement disparu.
Température
38°, pouls 130, 120. Fig. 24. Voici enfin l'é
ble, tout cela ne nous dit rien de bon ; et, bien que depuis hier, la
température
centrale ne se soit pas élevée au-dessus de 38°8,
début de la maladie convul-sive ; on avait constaté un peu avant une
température
vaginale de 41 degrés : Malheureusement l'autopsi
la langue, etc., etc. ; et enfin, par-dessus tout, l'élévation de la
température
centrale qui, brusquement, dans l'espace de quelq
s d'aujourd'hui fait exception à la règle, sous ce rapport, car si la
température
s'est, chez votre malade, élevée rapidement à un
chaînent de façon à constituer une série à peu près ininterrompue. La
température
s'est élevée rapidement à 38° o, 39°, 40° et au d
, ce matin, était à 120-130, ne donne plus maintenant que 80, mais la
température
qui était à 38, s'est élevée à 38,8. La mort a eu
tant ; souvent le tronc est couvert de sueurs profuses. Cependant, la
température
, notée à plusieurs reprises a donné les chiffres
des viscères et à une étude, poursuivie pendant quelques jours, de la
température
centrale. Sur le premier point les résultats ont
thermométrique rectale poursuivie pendant ces neuf derniers jours.
Température
rectale Matin Soir Le 12 janvier 38" 38°,6 Le
e longue période, par séries de 15, 20 jours et plus, marquée par des
températures
de 38°5, 39° et même, -bien que rarement, 40°. Da
vons reproduit dans notre cas, à savoir que, malgré l'élévation de la
température
centrale, la proportion des déchets urinaires n'a
pour exemple. Dans quelques-unes d'entre elles, en effet, on voit la
température
s'élever tout à coup à39°5, 40° et au-dessus, en
a beaucoup diminué et les membres inférieurs ne se dérobent plus.—La
température
rectale prise tous les jours depuis la fin de jan
tuée; amaigrissement rapide, thermophobie et sueurs profuses avec une
température
de 37° en moyenne ; crises diarrhéiques typiques
s, sueurs, chaleurs avec un pouls de 140 à 150 parfois. Cependant, la
température
centrale moyenne est de 37"4 ; elle s'élève L L
37"4 ; elle s'élève L Le pouls monte encore quelquefois à 100.— La
température
ne dépasse pas 371 37, 2. parfois jusqu'à 37°7,
phie proprement dite, pas de secousses fibrillaires entre autres ; la
température
de la peau et sa coloration sont normales. La mal
de ce côté, normal à droite. Hémianesthésie gauche totale (douleur,
température
, contact).Hémianes-thésie sensorielle. Ouïe : sur
de poids du corps de 220 grammes par jour. Pendant ces trois jours la
température
rectale moyenne a été de 37,4. Antérieurement,
ments de salutation profonde, après quoi elle s'endort de nouveau. La
température
est à 37,8 au rectum. Le lendemain 1er février.
tc. Il y a trois grandes salutations environ tous les quarts d'heure.
Température
rectale, le matin 37,8, le soir 37,6. Le 2 févr
, vous allez le reconnaître, ce qu'elles étaient les jours passés. La
température
est à 37,5. Même apparence d'un profond sommeil ,
emps qu'on a constaté chez les épileptiques une certaine élévation de
température
à la suite des accès. Il était donc intéressant d
évation du taux de l'urée qui semble coïncider avec l'élévation de la
température
. De même la quantité des phosphates terreux et al
lle le moins du monde. Il ne sent ni le contact, ni la douleur, ni la
température
. Cette ampoule que vous apercevez sur son épaule
u prés au même degré sur le tact, la sensibilité à la douleur et à la
température
. Les notions du sens musculaire sont notablement
n ce qui concerne la perte des autres modes de la sensibilité : tact,
température
. — b, plaque hystérogène. malade. Ce jeune homm
lité à la douleur et de la propriété d'apprécier les différences de «
température
, tandis que la sensibilité au tact reste indemne.
ument externe qui présente en même temps un abaissement relatif de la
température
. Ces œdèmes, signalés dans la syringomyélie par R
e d'une lampe à alcool, peut être à volonté portée à divers degrés de
température
(fig. 112). Sur toute l'étendue des deux membres
re destinée à fournir autour de la cuvette un manchon protecteur et à
température
fixe, pendant un certain temps tout au moins. U
lamme d'une lampe à alcool lentement, doucement, de façon à ce que la
température
ne s'élève pas au-dessus de 100", et ne s'accrois
la teinte des téguments sur les parties tuméfiées est violacée et la
température
y est moins élevée que sur les parties correspond
t pour la première fois le gonflement violacé, avec abaissement de la
température
qui s'est manifesté dès l'origine, dans la crise
sibilité. — La sensibilité de la peau au contact, à la piqûre et à la
température
(froid) est abolie complètement dans la moitié ga
23 — — (Champ visuel) 98 Fig. 24. — Chorée aiguë grave (Tracé de la
température
)..... 107 Fig. 25,26. — Epilepsie (Rétrécisseme
gts sont impossibles. La sensibilité au contact, à la piqûre, il la
température
, est abolie sur la moitié des deux mains, et le
quart inférieur. L'anesthésie existe au contact, à la piqûre, à la
température
; elle n'offre pas de limites très tranchées, mai
u tact est diminuée, .elle; est 'abolie pour la piqûre..et. pour la
température
. Le sens, musculaire est conservé. Ilasensilili
E DE TROUBLES NERVEUX. 15 La sensibilité au tact, à la piqûre, à la
température
est diminuée dans la. zone innervée par le cubi
e malade, antérieurement à l'accident, n'avait jamais toussé.) La
température
s'est maintenue depuis l'accident aux environs de
re. -Ce malin, 37° 8; ce soir, 38° 2, amélioration. 27 novembre. La
température
s'est maintenue aux environs de 38°. Le souffle
oux et l'oppression ont de nouveau acqnis une notable intensité. La
température
s'est élevée hier soir à 39° 2. Ce malin, 37° i,.
ue les espaces intercostaux ne soient pas soulevés. 4 décembre. -
Température
prise dans l'aisselle droite : 37° 5 ; dans l'ais
auscultation ne révélait rien d'anormal au coeur ni aux poumons. La
température
et le pouls étaient nor- maux. Le réflexe rotul
te de l'épaisseur des parties molles des organes génitaux externes.
Température
du corps complètement normale. Rien à signaler
est des plus évidentes. Le pouls petit, mais régulier, est à 52. La
température
est au-dessous de 37°. La malade ne répond que
rtout l'amener au réfectoire. Pendant ' tout ce mois de juillet, sa
température
n'a atteint que trois fois 37°. Son intestin fo
dessous de la normale, ne donnant que 52 pulsations ? ,. " ' . La
température
axillaire pendant plus d'un mois n'a atteint que
t même souvent descendue au-dessous de 36°. Cet abais- sement de la
température
est encore plus sensible il la périphérie. Les
ne vieille femme. Appétit petit, mais soif excessive. Pouls rapide.
Température
normale. L'urine ne contient ni albumine ni sucre
t et demi à 9 heures du soir le 17, elle a cent cinquante accès; la
température
vaginale donne 38°. Du dimanche 9 heures au lun
ors que B... est déshabillé, il s'écoule sans cause à trouver dans la
température
ambiante, de grosses gouttelettes de sueurs, pa
e gonflement de la main, mais la coloration en était violette et la
température
locale abaissée. M. Troisier constata qu'il y ava
Elle reste dégonflée mais toujours insensible la dou- leur et à la
température
. Vers six heures du soir, éblouissements, face
nflée, mais elle reste violacée et insensible à la douleur et il la
température
. Les mouvements des doigts reparaissent. Dyn =
lent. L'état général était parfait ; il n'y avait pas de fièvre; la
température
relevée à plusieurs reprises pendant deux ou tr
palpation et mesurée à 5 centi- mètres de plus que la jambe droite.
Température
poplitée : à gauche 37°7, à droite 35"6 C. Bi
ème dur, le doigt qui presse laisse très difficilement sa trace. La
température
de la jambe gauche est inférieure de un quart à t
d'un oedème très apparent augmentant beaucoup au moment des règles;
température
locale abaissée de deux dixièmes de degré Fahre
ifestation le nom d'oedème bleu des hystériques. Généralement, la
température
locale est abaissée; Weir Mitchell a noté trois
mple toucher permeLlait d'ailleurs de sentir cette diminution de la
température
périphérique. En un seul cas (Damaschino) il ex
é : oedème dur, bleuté, indolent ou douloureux; abaisse- ment de la
température
locale, superposition habituelle de l'oedème il
n cas, rougeur inflammatoire de la peau avec élévation locale de la
température
. 2X2 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIÈRE.
ion cutanée qui accompagne l'oedème, il faut noter une élévation de
température
pouvant dépasser 2°. Suivant Gull, il se produi
dividuellement nos malades. Nous pouvons dire déjà que chez tous la
température
est restée normale pendant la durée des accès;
mal léthargique, soit 270 grammes par jour. Pendant ces 3 jours, la
température
rectale moyenne a été de 37° 4, C. Nous empru
ue : T. 38° M. et S., d'autant qu'il s'agit presque certainement de
température
rectale. Or, pendant ces deux périodes apyrétiq
e anomalie par rapport à ce qui se passe ordinai- rement lorsque la
température
s'élève. Évidemment, comme disait M. Bertoye, c
llet, elle est de 33 à droite et de 34 et demi à gauche. Enfin la
température
paraît un peu abaissée de ce côté ; et le pied dr
aud ; ou bien elle est plus rapide et plus marquée avec ce poids.
Température
de la peau. - Il existe une différence dans la te
e poids. Température de la peau. - Il existe une différence dans la
température
de la peau entre le côté gauche et le côté droi
t-bras, le poignet et surtout la main. lle, série d'observations.
Températures
prises avec le thermomètre à température locale (
le, série d'observations. Températures prises avec le thermomètre à
température
locale (cuvette en spirale). 1. Températures
avec le thermomètre à température locale (cuvette en spirale). 1.
Températures
prises à 6 centimètres de la ligne médio-sternale
u au-dessous du mamelon. A gauche : 29° 6. Temps employé : Il' 10".
Température
de la salle : au début : Il- 5 ; à la fin : Ho
la main cette région semble plus chaude à gauche qu'à droite. | 2.
Températures
prises au-dessus du coude. A gauche : 30° ` ? â
au-dessus du coude. A gauche : 30° ` ? â. Temps employé : 12' 40".
Température
de la salle : au début : 15° 5 ; à la fin : 15°
5° 5 ; à la fin : 15° 5. A droite : 300 6. Temps employé : 12' 40".
Température
de la salle : au début : 15° 5 ; à la un : 16°.
". Température de la salle : au début : 15° 5 ; à la un : 16°. 3.
Températures
prises dans l'aisselle. A gauche : 37° 12. Temp
res prises dans l'aisselle. A gauche : 37° 12. Temps employé : 12'.
Température
de la salle : au début : 15° 5 ; il la fin : 15
15° 5 ; il la fin : 15° 5. A droite : 37° 2. Temps employé : 12.
Température
de la salle : au début : 16° ; à la fin : 16°.
. Température de la salle : au début : 16° ; à la fin : 16°. § 4.
Températures
prises à la région thoracique. A gauche : 31° 3
rises à la région thoracique. A gauche : 31° 3. Temps employé : 10.
Température
de salle : au début : 21° ; à la fin : 21°. A
ébut : 21° ; à la fin : 21°. A droite : 32°. Temps employé : 10-.
Température
de la salle : au début : 21° ; à la fin : 21°.
1° ; à la fin : 21°. 2e Série d'observations (28 déc. 1900). 4. -
Températures
prises à 6 centimètres de la ligne médio-sternale
218 BINET-SANGLÉ ET vannier A gauche : 30°. Temps employé : 10'.
Température
de la salle : au début : 14°; à la fin : 1411.
ébut : 14°; à la fin : 1411. A droite : 29°. Temps employé : 10'.
Température
de la salle : au début : 14°; it la fin : Ho.
'. Température de la salle : au début : 14°; it la fin : Ho. | 2.
Températures
prises à quatre travers de doigt de chaque côté d
chaque côté de l'ombilic. A gauche : 30° 6. Temps employé : 10'.
Température
de la salle : au début : 14» ; à la fin : 14°.
but : 14» ; à la fin : 14°. , Adroite : 31°4.Temps employé : 10'.
Température
de la salle : au début : 14° ; à la fin : 14°.
0'. Température de la salle : au début : 14° ; à la fin : 14°. 3.
Température
prise à la région thoracique gauche. Au niveau
horacique gauche. Au niveau de la tache : 30°. Temps employé : 10'.
Température
de la salle : au début : 1 ? ; à la fin : 44°.
à la fin : 44°. Au-dessous de la tache : 31°9. Temps employé : 10'.
Température
de la salle : au début : 14o ; à la fin : 14°.
le interne. Dans toutes ces régions, quand on élève suffisamment la
température
de l'objet, le malade finit par percevoir norma
sie gauche variant sensiblement sous l'influence des changements de
température
et des applications métalliques. 3° Un rétrécisse
survenant sous l'influence de la flagellation et des changements de
température
; sans compter une diminution de l'acuité auditi
ulements d'oreilles, rougeole, oreillons, dothiénentérie avec haute
température
et délire). Il présente de ces signes physiques
c'est là une hypoesthésie oscillante variant sous l'influence de la
température
et (1) VAN GEIIUCHTFN, La dissociation syringom
'impression de chaud, à moins qu'on n'augmentât considérablement la
température
de l'objet. De même, par suite de la formation
Centralbl. (3) W. Hale Frite, Report on the influence on the bodyly
température
of lesions of the corpus striatum and optic tha
thé past seven years on the value of diffé- rences observed in the
température
of the body as snaptomatio of cérébral lésions.
côté gauche, l'hypertrophisme qui se traduit par une élévation delà
température
et un épaississement de ce tissu. Recklinghause
rtrophie et le ralentissement du coeur, ainsi que l'élévation de la
température
et l'épaississement de la peau du même côté. La
ale anormale. Les poils manquent, mais comme sur la main opposée.
Température
locale prise le soir 3 ? 6. Dans la paume de la m
modifications de la peau du côté paralysé ; pas de différences de la
température
entre les deux côtés de la face. Les os ne semb
a jamais eu de maladie organique il n'est porteur d'aucune tare. La
température
a toujours oscillé régulièrement entre 36° 5 et 3
missement ni de céphalée. Mort dans le coma avec forte élévation de
température
. Autopsie. Cerveau. - La dure-mère est adhérent
e-neuf heures, présentant en même temps un abaissement notable à la
température
, une rapidité concomitante du pouls, une respir
n pouls à 124. Elle ne répond pas aux questions et semble divaguer.
Température
38°5. A l'auscultation, les battements cardiaques
asse perler une gouttelette de sérosité transparente. Le membre, de
température
peut-être légè- rement abaissée, n'a jamais été
ontré l'enfant. SUR UNE FORME D'nYPEnTROPniE DES MEMBRES 477 La
température
dé la peau parait être légèrement plus basse à la
de deux sortes : « Les nerfs destinés à la'perception des bas- ses
températures
ne sont pas ceux qui recueillent les impressions
bservations ici même (1899, p. 261). Mentionnons l'abaissement de
température
subjectivement perçue, la menstruation tardive,
r. Elle a une consistance molle, plutôt gélatineuse qu'adipeuse. La
température
et la coloration des téguments sont égales des
est égale des deux côtes; il en est de même pour la sensibilité, la
température
et la coloration des téguments. L'enfant se ser
, il n'existe aucune anomalie, de la peau, de la sensibilité, de la
température
, de la force musculaire. Les ré- flexes patella
e. La liste en est des plus disparates. Les variations locales de
température
, soit en plus, soit en moins, peuvent avoir l'e
ique, produit le trans- fert, etc. Toutefois, cette influence de la
température
, trans- mise par un liquide, constitue, on le c
es métaux sur l'anesthésie, et en même temps sur la circulation, la
température
et la force musculaire des membres anesthésiés.
ement, à la face, prend une teinte livide. Dans les cas simples, la
température
et le pouls sont normaux; toutefois, dans la fo
n laisse alors (quel- ques fractions de minutes suffisent, selon la
température
extérieure) se produire une très légère dessicc
ents de roulement et de manège. Plus la pression est forte, plus la
température
des liquides injectés est basse, plus leur acti
la. période d'anergie cardiaque, bientôt, réalisée par.fla haute
température
. A ce.moment, l'hypertrophie, l'anémie et l'oedèm
4«lrémisioiÏ"du' co-m-plé-xui' fébrile (chute souvent brusque de la
température
) ? de là ? les1 déno- minations de déliieg'd'in
. Le pouls est mou,,rapideet dicrote ; dans la majorité des cas, la
température
s'élève, et-lessueurs sont plus .ou moins abond
fréquence du pouls (de huit pul- sations par minute), abaissant la
température
de 0°,3; trois quarts d'heure à une heure et de
soir pendant huit jours, on remarque que la chute du pouls et de la
température
, de moins en moins accentuée, cède la place à u
%1 (" 17 , ,r 'Ti el ( )" 1 . 1 Wy t- r ·t,r r7 IL'élévation de la'
température
extérieure peut amener là mort par suite 'de tr
rale = 46° 111 : ' 1'Vood'`conclut de ces-expérieilces'que : 1° une
température
intra-céiélmale de4p à'47°'est suffisante si el
.J lllllr n . p || (P ' , . ! -t'il 1 l' t' ' ' ' ' '" " t r, Les
températures
indiquées par M. Wood sont en, degrés Fahrenheit,
itre suivant,[M. ? ,Wood étudie les. causes de, l'élévation de, la'
température
après la section de lajmoelle'épi- nière ; il r
ts que,, le ,plus ordinairement ? chez,\un^ animal, vigoureux, r la
température
s'élève après la section de la moelle épinière,
haleur produite d'une 1 façon i absolue, et que- cet abaissement'de
température
est encore augmenté par lai perte de calorique
ment. Un corps plus chaud perd plus de chaleur qu'un corps dont la
température
est moins élevée., Si l'on songe d'autre part q
se trouver accrus en raison.même de l'accroissement .anormal de la.
température
animale. M.'Wood paraît disposé à .admettretun.
en effet on, remarque dans ses expériences que l'élévation de, la,
température
rectale n'est complète que quelques, heures apr
ent qu'il ne`s'agit pas seulement dune, irritation' car au début la
température
se trouvait abaissée et elle ne s est accrue* q
, l'irritation d'un .nerf sensitif s'accompagne d'un abaissement de
température
,'malgré,l'élévation de' la' pression artériell
'aperçoit que l'irritation sensitive ne, cause plus la chute de la;
température
. (Résultat contradic- toire avec ceux de Heiden
t la'destruction unilatérale s'accompagnerait d'une élévation de'la
température
du membre inférieur du/côté opposé.' Il'y avait
détruire, ce centre modérateur, c'est-à-dire modérer directement la
température
animale par l'excitation de la zone de Hitzig.
d'observations dans lesquelles il y a eu une élévation locale de la
température
à la suite de lésions du mésocéphale (p. 158).
emble, supposer que les produits septiques du sang n'élèveraient la
température
qu'en irritant localement les centres nerveux.
ques suffisants pour annuler l'effet de l'élévation générale de la'
température
; on comprend donc comment certains états fébri
ions du sang agissaient directement sur, les organes pour élever la
température
générale, ou si, au contraire, toute augmentati
la température générale, ou si, au contraire, toute augmentation de
température
devait avoir, directement ou indirectement, une
émités et parfois aussi, celle des par-ties centrales, présentent une
température
peu élevée ou même au-dessous du taux normal ; le
me du pouls et de l'impulsion du cœur, avec abaissement notable de la
température
des extrémités ; 2° l'in-jection très marquée des
lquefois cependant, on observe une certaine tendance à la moiteur. La
température
s'élève à 39, 40 ou même 41 degrés centigrades, e
près la période prodromique, qui, en général, est de courte durée, la
température
s'élève à 40, 41, ou même 42 degrés centigrades ;
, le pouls descend rapidement de 100, 120, à 60 ou 40 pulsa-tions, La
température
s'abaisse de 1, 5 à 3 ou 4 degrés cen-tigrades ;
tiféré éprouve à l'intérieur une ardeur excessive, et cepen- dantla
température
du corps paraît à peu près naturelle, si ce n'est
endémique. Dans ces con-trées, en effet, le fléau a pu sévir par les
températures
et sous les latitudes les plus diverses (1754). I
sements reparaissent; la respiration devient lente et suspirieuse; la
température
s'abaisse, le pouls devient très rare; il survien
te livide, l'œil aviné, la respiration haute, inégale et anxieuse. La
température
du corps est naturelle, si ce n'est à la région p
e y est surtout meurtrière. Partout ailleurs elle peut sé-vir par les
températures
et dans les saisons les plus diverses. On a remar
science, être basée sur la nature intime des maladies. XI. Sur la
température
du rectum dans le choléra asiatique '. M. Charc
endant le cours de la dernière épidémie, dans le bat de déterminer la
température
des parties centrales, chez les cholériques, aux
s au moins. Quelque-fois, en outre, on déterminait comparativement la
température
de l'aisselle et celle de la paume des mains. Ces
périence faite cinq heures avant la mort. Une heure après la mort, la
température
rectale était descendue à 40°. L'examen microscop
e s'observe également dans des affections d'un tout autre ordre, — la
température
s'élève quelquefois d'une manière très remarquabl
tale. Les observations 1, 8, 9 sont relatives à des malades dont la
température
a été examinée, pendant la période de réaction (r
la gué-rison), le chiffre minimum 37°, 6. Dans les cas 5, 6, 8, la
température
de l'aisselle et celle du rectum ont été prises c
rie de l'aisselle, puisqu'elle accuse plus exactement que celle-ci la
température
des parties centrales. Plusieurs auteurs avaient
dans le choléra, l'examen ther-mométrique du rectum peut fournir une
température
élevée, alors que chez le même individu, l'examen
férieur au taux normal. Le doc-teur Zimmermann, entre autres, a vu la
température
du rectum s'élever, pendant l'algidité, à 39°, 2,
pas être et n'étaient pas, en réalité, sensibles à l'élé-vation de la
température
. Néanmoins, le soir même et pen-dant toute la nui
la raison du coup de soleil proprement dit. Tout le monde sait qu'une
température
élevée n'est pas une condition nécessaire pour la
ée, la peau du visage terreuse; le nez est effilé, froid, violacé. La
température
de la peau est basse, très basse ; même aux extré
mbres inférieurs ; sensation du sol très obtuse ; la sensibilité à la
température
, à la douleur, au chatouillement, semble presque
ntacts légers ne sont pas perçus. La sensibilité à la douleur et à la
température
n'est pas abolie. La malade ne sait pas indiquer
ons douloureuses. Le chatouillement est bien perçu. Les sensations de
température
sont bien conser-vées, et même l'impression du fr
le sol ; elle s'affaisse dès qu'elle ferme les yeux. Sensibilité à la
température
conservée. Sensations de douleurs provoquées par
chant parfois des cris. Ces diverses douleurs s'exaspèrent lorsque la
température
est froide et humide. Appétit très faible. Digest
ration fait des progrès, bien que la malade soit, à deux reprises, la
température
s'élant un peu refroidie, atteinte de ses anciens
de la précision ; la sensibilité à la douleur et la sen-sibilité à la
température
1 si habituellement perverties, sont rentrées jus
pas demeurer assise dans un fauteuil. La sensibilité de contact, de
température
, de douleur, paraît presque intacte ; cependant e
rave................................................ 156 XI. Sur la
température
du rectum dans le choléra asiatique....... 159
ssant pas le poignet et ne s'accompagnant d'aucune modification de la
température
. Elle s'asseoit par terre et ap- pelle. Pas d
le état de mal, accompagné d'une élévation souvent considérable de la
température
. Les convulsions durent un temps variant de 10,
n note quelque indice de conscience ; le pouls demeure fréquent et la
température
élevée ; enfin,, on constate que les membres qui
venant par crises principalement au moment des variations brusques de
température
. Quelquefois aussi on note des craquements et, à
Parfois douleurs dans IV-paule, surtout au moment des -variations de
température
; pas de rigidité, ni de craquements. Il en est d
lors la main et le pied paralysés peuvent être violacés); 2° que leur
température
est inférieure à celle des membres du côté sain.
lepsie partielle, les accès isolés donnent lieu à une élévation de la
température
semblable à celle des accès d'épilepsie vulgaire.
tine (Obs. inédite), les accès se présentent par petites séries et la
température
monte à 38° ou 38°,5 et même 39°. — Enfin, si, pa
at de mal, comme nous l'avons vu chez Pet... Marie (Obs. inédite), la
température
peut atteindre 40°,9. Les détails qui précèdent
urant cette période de dix jours, bien que P... ait eu 235 crises, la
température
, notée quotidiennement, a oscillé entre 37°,8 et
s, n'a qu'une durée éphémère. Sous l'influence des accès isoles, la
température
ne s'élève que de quelques dixièmes, d'un degré a
ltiplient, au point de constituer un véritable état de mal. Alors, la
température
ne dépasse guère 38°,5 ; la malade, bien qu'hébét
ns le coma ; tandis que, dans l'état de mal épileptique classique, la
température
s'élève rapidement et les malades sont plongés da
é normale à gauche. Au dynamomètre Burq : 39 à droite, 41 à gauche. —
Température
de la main droite, 37°,2; — de la gauche, 37°. —
st que tu ris toujours. » Durant cette longue attaque de délire, la
température
a suivi les oscillations ci-après: le 9, T. R. 38
de porter un diagnostic exact, nous nous contenterons de citer ici la
température
. Malgré la répétition des attaques, elle reste à
phie, 30. Attaques (Description des) d'hystérie, 96. 103, 162 etc.—
Température
dans les —, 98, 100, 132, 141. — Arrêt des — :
59; — Pronostic, 52; — Règles (Influence des), 44, 47, 55, 73, 89; —
Température
, 51; — Troubles trophi-ques, 54, 59. — tonique,
75, 77; — Convulsions, 69; — Etat de mal, 84, 88; — Pronostic, 68. —
Température
, 74, 84, 88; — Trépidation, 70, 76, 79, 81. — s
me, 79, 162, 164, 210, 219, etc. Etat de mal hystérique, 78, 80 ; —
Température
, 78; — épileptique, 84 88. — Hystéro-épileptique,
Caractères, 128; — Force musculaire, 122, 132; — Statistique, 119; —
Température
, 132; — Disparition, 20S, 207. I Incontinence
88, 191, 203. Soubresauts, 134, 136. Surdité hystérique, 159. t
Température
dans les accès d'épi-lepsie (V. Epilepsie partiel
ution des sécrétions sébacées et sudori- pares, l'abaissement de la
température
périphérique et les troubles de la sensibilité
rudesse particulières du tégument externe, et l'abaissement de la
température
au-dessous de la normale, l'auteur signale des
es tumeurs molles, tremblottantes, d'apparence myxoedémateuse. La
température
, recueillie sur le devant de la poi- trine et s
- trine et sur des tumeurs cervicales, a été de 35 ? et 36°,2, la
température
extérieure étant de 25", 1 .Au rec- tum, elle e
ERn21QUE. 71 n'a jamais chaud, même dans les grandes chaleurs. La
température
axillaire est de 95° Fahr. La peau est sèche, d
rable en été; enfin il existe une sensibilité exagérée au froid. La
température
prise pendant dix- huit jours consécutifs, 4 ou
tait aussi particulièrement sensible au froid et aux changements de
température
. Enfin, elle trouve mauvais goût aux aliments e
dans les urines, un pouls lent et faible, enfin l'abaissement de la
température
prise soit dans l'aisselle, soit sous la langue
Brochure in-8- de 6 pages, 1881, Genève, II. Georg. Riva (L.). La
température
nella paralisi général clegli aliezzati. Broch.
ètre a donné les résultats suivants : 22 février (3 h., soir), la
température
ambiante étant 19° c. If4S PATHOLOGIE NERVEUSE.
s, il serait difficile de conclure à un véritable abaissement de la
température
périphérique. En prévision d'antécédents syphil
très souvent émoussée. Les malades sont en général très frileux. La
température
des téguments et de l'aisselle est habituelleme
colo- ration spéciale, troubles anesthésiques, abaissement de la
température
, diminution des sécrétions sébacées et sudoripa
flement. La langue est sale, l'appétit nul, mais pas d'élévation de
température
. Purgatif. 30. Les douleurs sont restées à peu
- tion. T. 38° le matin, 38°, 2 le soir. A partir de ce moment la
température
ne monta plus au dessus de 38°, et la période a
cas aigu avec douleurs vives, et une élévation considérable de la
température
; les douleurs articulaires ont persisté pendan
eu d'une émaciation et d'une déchéance pondérale pro- gressives, la
température
s'abaissant entre 32° et 30 ? 5 c. La grossesse
'au moment de la mort survenue le quatorzième jour dans le délire :
température
38°,6 6 à 39°. L'autopsie démontre l'intégrité
yperesthésie au toucher, au cha- touillement, à la douleur, et à la
température
dans les parties paralysées ; 3° zone d'anesthé
ète, absolue au toucher, au chatouillement, à la douleur, et à la
température
dans les parties correspondantes à celles qui s
a peau du malade. Dans toutes ces régions aussi, la sensibilité aux
températures
est absolument abolie ; mais il n'en est pas to
oteurs sont très marqués, et ont entraîné des modifications dans la
température
et la coloration respec- tives des deux membres
on acide ; elle ne renferme ni albumine, ni sucre, ni indican. La
température
est normale (37 ? a) ; le pouls est régulier et
l'insensibilité ont encore un peu diminué, sauf l'insensibilité aux
températures
qui est toujours absolue. La rétention d'urine
us dans les vingt-quatre heures. Il y a toujours constipa- tion. La
température
est normale, le pouls est remarquable par sa le
chatouillement sont de plus en plus distinctes. La sensibilité aux
températures
commence à renaître. La perte incomplète du sen
act, au chatouillement demeurent un peu obtuses. La sensibilité aux
températures
est encore presque totalement abolie. Les troub
ouillement, ladouleur,diminuarapidement; seule, l'insensibilité aux
températures
était encore entière dix jours après l'accident
FAITS. 325 d'une façon moins nette qu'adroite; la sensibilité à la
température
n'est point encore revenue, l'application d'un
u à peu et devinrent de moins en moins obtuses ; lasensibilité à la
température
fut la dernière à se montrer et à redevenir nor
. R. 38°,h. Le I 4, deux accès, etc. 30 mai. Depuis quinze jours la
température
oscille entre 38° et 38°,8 ; la plaie est presq
e quinquina et coucher le malade sur un matelas à air. 9 juin. La
température
oscille toujours autour de 38°. La ci- atrisati
tractures rapprochent celle-ci de la pre- mière, fait important. La
température
constamment normale, la reprise rapide de la co
ammes), guérissent l'état de mal ou les accès graves en ramenant la
température
de 42 à 40 puis de 40 à 38 en faisant dis- para
ont nettement diminué pendant les dix nuits suivant les bains. Les
températures
rectales montaient par le bain à 39 et 40°; mai
x fois sur vingt bains, il y eut attaques dans le bain, malgré la
température
du malade à 39°. L'hyperthermie n'est donc pas
n quart d'heure, à 220, toutes les trois heures, chaque fois que la
température
atteint 39°. Le 26, la température oscille entr
trois heures, chaque fois que la température atteint 39°. Le 26, la
température
oscille entre 40° et 40°,5, elle baisse de 6 à
dans les vingt-quatre heures. Le 28, le pouls faiblit, bat 125, la
température
se maintient au- dessus 'de 40°; le sang persis
tobre, même état, sept bains et 500 grammes de sérum artificiel; la
température
a fléchi à 38°,8; elle remonte le soir; les bru
ques sont sourds, le pouls est à 125. Le 2, même état. ' Le 3, la
température
atteint 41°, à à neuf heures du matin : le mala
e heure, il sort de la crise cyanosé, très abattu, cependant que la
température
tombe progressivement jusqu'au lendemain, neuf
endemain, neuf heures, à 38°, 3. ZD Le 4, à partir de ce moment, la
température
remonte; l'adyna- mie s'accentue; le pouls faib
t2 : z ci ta m t4 N c ! en M l'ig. 1. Indique la
température
prise toutes les trois heures ; X, une attaque; X
at jugé très grave nous fait suspendre les bains. Le 5, au matin,
température
40°,4; à 8 heures et demie, les crises réappara
s, de la diar- 24 CLINIQUE NERVEUSE. rhée, une langue grillée, la
température
à 40°, le pouls dicrote à 100; légère bronchite
. Nous pensons à unefièvre typhoïde. Rien au coeur. Le 2 elle 3, la
température
se maintient entre 40° et 41°. Le 4, apparaît u
e. Tous deux ont résisté à la première attaque. Chez le' Fig. 2. La
température
rectale après le bain d'un quart d'heure a 24°, X
ion se modifie ; diminu- tion notable de OC2 avec abaissement de la
température
, parfois allant jusqu'à six degrés, sous l'infl
grise ; la région antérieure par le tact, la région moyenne par la
température
et la région postérieure par la dou- leur. Pour
ons de chaleur; effectivement on trouve dans le creux axillaire une
température
augmentée (3î ? à 380,4 dans le cas de l'auteur
née. La surface cutanée, même aux extrémités, est partout à la même
température
, celle du creux de l'aisselle. Un autre symptôm
oïde chez lesquels le nombre des accès a diminué quand s'élevait la
température
. Ceux-ci ont repris progressivement leur fréque
ence. Ils étaient toujours suivis d'une élévation plus grande de la
température
. Les grands lavements d'eau bouillie froids lui
uillie froids lui paraissent d'un puissant secours pour abaisser la
température
aussi bien dans la fièvre typhoïde que dans l'é
sque complète. Leur apparition a eu pour effet d'élever aussitôt la
température
. . M. B. Séance du 26 novembre 1900. - PRÉSID
t ? Après avoir noté la date, le lieu, le substlratum, l'état de la
température
, il devra d'abord rechercher le sang : 1° sur l
ut accompagné 248 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. d'élévation de la
température
, de troubles gastro-intestinaux, d'anarsaque gé
mbe au niveau normal au bout d'une semaine au plus : quelquefois la
température
normale, présente des irré- gularités, probable
e, l'alitement a une action régulatrice évidente sur le pouls et la
température
; BIBLIOGRAPHIE. ' 2G 1 la perte de poids net
l'intelligence, gâtisme, spasmes, attaques épileptiformes et haute
température
à la fin. Entré le 6 octobre, le patient meurt
s plaintes, mêmes cris, l'enfant meurt' avec une T. R. de 40°,5. La
température
après la mort au offert la marche ci-après :
de que nous avons dans le service de faire prendre matin et soir la
température
rectale des entrants pendant cinq jours, nous a
e la poussée méningilique à laquelle l'enfant a succombé'. IV. La
température
après la mort montre que progres- sivement, en
transfert de malades de notre sec- lion, nous faisons prendre leur
température
pour être sur qu'ils ne sont pas sous le coup d
l'ordre, le malade avait conservé le souvenir de cette crise, et la
température
prise à ce moment aurait dénoté l'existence d'u
oir épistaxis de 60 centimètres cubes environ par la narine droite.
Température
toujours infé- rieure à 38°. Le pouls oscille e
est fétide. Le pouls qui était le matin à 94 est maintenant à 178.
Température
du malin 37°7. Température du soir 38°9. ABGÀ
tait le matin à 94 est maintenant à 178. Température du malin 37°7.
Température
du soir 38°9. ABGÀS DU LOBE TEMPORAL DROIT DU C
t le malade meurt le len- demain 3 novembre à 8 heures du matin. La
température
prise dix minutes avant la mort s'élevait à 40-
ontaires ; il transpire très abondamment. Pas de vomis- sements, la
température
d'hier soir s'est élevée à 38,-1. Ce matin à 10
Cette sensation est absolument indépendante de l'abaissement de la
température
et ne s'accom- pagne d'aucun signe objectif d'a
utrition, de l'augmentation de la pression, des modifications de la
température
. Outre les altérations parenchymateuses des aut
bas du tronc et des jambes était abolie ; le pouls était normal, la
température
aussi. En vingt-quatre heures, la motilité avai
n, hallucina- tions visuelles et auditives, confusion mentale. La
température
oscille entre 37,2° et 39,5°. Le pouls est de 100
e, excitation générale, refus d'alimentation, insomnie. Etat grave.
Température
36°-38°,4, P = 400-120 ; inéga- lité des pupill
2° ce fait est prouvé dans la plupart des cas par une élévation de
température
REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 481 qui peut aller ju
pouls; 8° Comme ce signe est constant, tandis que l'élévation de la
température
ne l'est pas, c'est l'action sur le pouls qui d
fets bienfaisants sont entièrement indépendants de la réaction de
température
; 23° Par conséquent l'idée directrice initiale du
carlatine (éruption, oedème de la face et des pali- pières, angine,
température
élevée, et ultérieurement desquama- tion, pas d
inurie; dans le cas actuel il n'y eu a jamais eu. L'élévation de la
température
est un fait digne de remarque, le chloral étant
malade une seule dose de 10 grains (0,00 centigr.) a fait monter la
température
de 3° (Fahrenheit). L'engorgement ganglionnaire
UPIÈRES La sensibilité des paupières au contact, à la douleur, à la
température
, se fait de la même façon que pour le tégument.
s. Examen de l'oreille, foyer de suppuration lointain, élévation de
température
. Traumatisme, - Choc, plaie à l'occiput ou à l'
r la découverte d'une tuberculose préexistante, par la marche de la
température
qu'on peut arriver au diagnostic véritable. La
UBLES DE L'ODORAT. 149 chiffre varie avec la substance employée, la
température
, etc. ; il est donc assez approximatif. , . L
isfaire à cette question, il importe de connaître l'évolution de la
température
chez les apoplectiques. Immédiatement après l'i
s, de la respiration. Il est important de connaître et de suivre la
température
, d'interroger l'état des viscères : il peut y a
de fait vibrer les paupières sur les globes oculaires convulsés, la
température
est normale, tarespi- [MOUTIER] 18-4 . - , '
ent caractéristique des paupières et de l'orbiculaire. Le pouls, la
température
de la respiration sont calmes le plus souvent.
sont au nombre de trois : la sensation de contact, la sensation de
température
qui se divise en sensation de chaud et de froid
tants. - Les excitants sont pour les uns an nombre de deux (tact et
température
), pour d'autres au nombre de trois (tact, doule
t et température), pour d'autres au nombre de trois (tact, douleur,
température
). Le contact est un excitant de nature mécanique,
la spécificité des excitants pour la douleur, pour le tact, pour la
température
, etc., on doit admettre également l'existence d
s sensibilités superficielles comprennent : le tact, la douleur, la
température
et la sensibilité électrique cutanée. Les sensi
obtenus. Le même schéma peut servir pour le tact, la douleur et la
température
, en indiquant par. exemple les troubles tactile
la sensibilité objective, et cela aussi bien pour la douleur- et la
température
que pour le tact, qu'on donne en France le nom
'un trouble de la sensibilité thermique, de prendre des corps à des
températures
très différentes, et non pas, comme on le fait
non pas, comme on le fait très souvent pour le froid, de l'eau à la
température
ordinaire, et pour le chaud, de l'eau tiède. On
eau tiède. On ne doit pas dépasser, pour le chaud, 50 degrés; à une
température
plus élevée, l'excitant perd sa valeur spécifiq
de la douleur; de même pour le froid, ou choisira un corps dont la
température
est voisine de 0 degré. On ap- plique alors les
on syringomyélique, coiiiine on la vu ci-dessus, l'anesthésie il la
température
accompagne t'anesthésie douloureuse. Comme po
aines régions sont capables de discerner des différences minimes de
température
. Notlmagel, au moyen d'un appareil spécial, a m
montré que la sensibilité thermique était surtout exquise pour des
températures
s'approchant de celle de la peau, entre 25 degr
e des dillérences de 1 degré C. Tableau des différences de degré de
température
perçues par la peau (d'après Nothnagel). ? .9
acl, it la pirplre, avec erreur de loca- lisation, paresthésie à la
température
. Troubles de la notion des attitudes au pied et i
é peut être touchée dans ses différentes modalités : tact, douleur,
température
, sensibilité profonde (sens musculaire, sens sté-
moins marquée pour les sensibilités superficielles (tact. douleur,
température
) , mais toujours très prononcée pour les sensibi-
(suivant le siège en hau- teur de la lésion); de l'élévation de la
température
et des phénomènes paralytiques sympathiques (my
à la lésion : y une anesthésie superficielle totale (tact, douleur,
température
) dans les régions correspondant aux parties par
e mal de Pott. Ancsthésie au tact, à la douleur, moins marquée à la
température
(Cas Jouss..., Bicêtre, 1898). TROUBLES DE LA S
ngomyélique (conservation du tact, abolition de la douleur et de la
température
, avec intégrité habituelle des sensibilités pro
Y.] ] Fig. 33. - Distribulion dos troubles sensitifs (lad, douleur,
température
) chez un syrih- gomyéliqne à l'orme spasmodique
nsibilité (anesthésie au tact ou à la douleur, conservation de la
température
, ou plus rarement une dissociation à type syrin
ubles sensitifs. L'anesthésie complète pour le tact, la douleur, la
température
, va en diminuant de la périphérie à la racine des
avec l'organe lésé. L'hyperesthésie est nette pour la douleur et la
température
, elle manque pour le tact; aussi, pour la reche
oteurs, de la rougeur ou pâleur de la peau, des modifications de la
température
locale, etc. Lorsque les douleurs siègent au nive
nt être soigneusement recher- chées. L'influence des saisons, de la
température
, de l'humidité est évi- dente ; variable pour c
ois de la pâleur des téguments à laquelle succède de la cyanose. La
température
locale est, dans certains cas, augmentée. a a a
xten- sion. On note de l'hyperesthésie au tact, il la douleur, à la
température
, hypereslhésie prononcée surtout vers le haut d
sseuse. On rencontre parfois de la dissociation syringomyeliquc. La
température
du membre paralysé est supérieure il celle de l'a
la rage, débâcles polyuriques. Les convulsions peuvent augmenter la
température
: c'est ce qui a lieu particulièrement dans le
soigneu- sement. Le praticien appelé auprès de l'enfant prendra sa
température
et s'enquerra avec grand soin, auprès des paren
re aisément le diagnostic qui est confirmé par l'appa- rition de la
température
et quelquefois par le stade de sueur qui termine
dans le liquide céphalo-rachidien. Complications de la chorée. - La
température
peut, s'élever : die peut être l'indice d'une c
S. ' l'état de mal choréique; dans certains cas, l'apparition de la
température
fait disparaître les mouvements, mais cette dis
once par des agitations extrêmes, l'insomnie et l'éléva- tion de la
température
. Évolution. - Il nous est impossible de décrire
nous l'avons déjà indiqué, par l'état de mal, par l'élévation dé la
température
, par l'existence d'une septicémie dont le point
ormales, mais il existe d'une façon constante une élé- vation de la
température
. La marche de la maladie est rapide, les secous
r se ter- miner par le coma, les mouvements s'atténuent alors et la
température
, s'élève. La mort survient dans 90 pour. 100 de
ne couleur rose (généralement au début) avec légère élévation de la
température
locale, tantôt une couleur pâle avec légère hyp
ATOIRES par le D' CROUZON HYPERTHERMIE. Les modifications de la
température
peuvent se manifester par la fièvre ou hypelth(
n des processus proléolyliques qui se traduit par l'élévation de la
température
. Nous ne nous attacherons pas à rechercher la n
mes satellites.- La fièvre est caractérisée par une élévation de la
température
au-dessus de 58° : en effet, chez l'homme norma
la température au-dessus de 58° : en effet, chez l'homme normal, la
température
peut osciller entre 3Go et 58°, c'est-à-dire su
sur une échelle de 20 sans qu'on puisse dire qu'il y ail fièvre. La
température
varie, d'autre part, de 1° environ entre le matin
e part, de 1° environ entre le matin et le soir; c'est ainsi que la
température
est de 5C ? à 4 heures du matin, de 7)1", il à
es. On peut encore distinguer les fièvres d'après leur élévation de
température
: fièvres légères a 58 et quelques degrés; lièv
la respiration. Le pouls suit en général une marche parallèle à la
température
: cepen- dant cette loi n'est pas absolue, il y
nce : c'est ainsi que Bruck et Gùnther ont produit une élévation de
température
par des piqûres répétées de la région protubérant
la lièvre. Fièvre dans les maladies nerveuses. - L'élévation de la
température
[O. r.aonzoN.7 956 HYPERTHERMIE. a été cons
observe dans la méningite tuberculeuse à la période du début, et la
température
est généralement modérée, dépassant exception-
° et plus. Le pouls, comme nous l'avons dit, ne sui pas toujours la
température
, il y a alors dissociation des deux grands sign
re, il y a alors dissociation des deux grands signes de la fièvre :
température
et pouls, c'est la fièvre dissociée; vers la fi
s'observer encore dans d'autres affections organiques telle est la
température
de 1'(pil(,I)sie. Dans la première heure de Y h
1'(pil(,I)sie. Dans la première heure de Y hémorragie cérébrale, la
température
centrale est abaissée en dépit de la fréquence
nce du pouls et de la chaleur de la peau ; au bout de 24 heures, la
température
est redevenue normale ou même a atteint 58", c'
rmale ou même a atteint 58", c'est-à-dire qu'il y a élévation de la
température
, qui se maintient pendant plusieurs jours, la t
ion de la température, qui se maintient pendant plusieurs jours, la
température
redescend alors au chiffre normal ou bien s'élè
d alors au chiffre normal ou bien s'élève encore. L'élévation de la
température
dans ce cas a un pronostic extrêmement grave, e
s ; cet ensemble de trois symptômes entraîne un pronostic fatal. La
température
locale dans l'hémorragie cérébrale est toujours
membres une diffé- rence d'un demi-degré ou de 2(5 de degrés. La
température
peut s'élever encore dans un certain nombre de ma
hénique est quelquefois caractérisée par une légère élévation de la
température
. Enfin, les élévations de température se voient
une légère élévation de la température. Enfin, les élévations de
température
se voient encore au début de la paralysie infan
e en plaques et de la paralysie générale. - Dans les névrites, la
température
peut être augmentée localement ; dans la sciati
température peut être augmentée localement ; dans la sciatique, la
température
du membre malade peut être abaissée de Fou 2".
la chorée grave; dans ces cas, nous avons vu que l'apparition de la
température
pouvait avoir une inlluence sur la cessation des
cha- leur, de malaises, de fréquence du pouls sans élévation de la
température
. Dans le ramollissement cérébral il n'y a pas d
le ramollissement cérébral il n'y a pas d'abaissement initial de la
température
comme dans l'hémorragie; celle-ci s'élève brusque
ptique, et un des signes capitaux de cet état est l'élévation de la
température
; cette température reste élevée jusqu'il la mor
ignes capitaux de cet état est l'élévation de la température; cette
température
reste élevée jusqu'il la mort et monte même enc
élrilcpsie jacl : .onnienne, s'accompagne aussi d'éléva- tion de la
température
. Au contraire, s'il y a épilepsie urémique, il y
ire, s'il y a épilepsie urémique, il y a toujours abaissement de la
température
ou température normale (Rour- neville), et l'ex
pilepsie urémique, il y a toujours abaissement de la température ou
température
normale (Rour- neville), et l'existence de la f
raudeau, Crouron). HYPOTHERMIE L'hypothermie ou abaissement de la
température
est plus rare que i hyperthermie, elle a été co
attitude du sujet, à l'émotion, il l'exercice, à la digestion, à la
température
. Il faut se placer autant que possible dans des
célération des battements du coeur qui se produit sans élévation de
température
. On dit qu'il y a accélération des battements d
le repos prolongé chez les uns, la marche chez les autres, par les
températures
élevées ou abaissées ; mais presque constamment
Le pouls est fréquent, et sa pression diminue de même que baisse la
température
. Plus tard, il y a parfois un peu de fièvre. Ic
e alors des vomissements abondants, du hoquet, de l'élévation de la
température
avec fréquence du pouls et myosis. Le malade es
uses, d'augmentation des pulsations artérielles,- d'élévation de la
température
locale. 1 L'atrophie d'un- membre congénitale e
des cercles de Weber. Appréciation fruste des notions de poids, de
température
, de résistance. , ' , Troubfes intellectuels.
s exceptionnels; quelquefois, des vomisse- ments s'y adjoignent, la
température
peut s'élever à 58° ou 39° ; on a alors un tabl
ou 50 centimètres cubes de sérum, et on les injections tant que la
température
n'a pas baissé ou tant qu y y a des microbes da
e fracture infectée du frontal présente une ascension brusque de sa
température
qui monte à 3H degrés ou 59°, 5; le pouls se ra
s extrémités, de dyspnée. Le pouls battait 44 fois à la seconde; la
température
était légèrement abaissée (50°, 8). D'autres fo
scères sont ou paraissent intacts, l'amaigrissement est, tardif, la
température
manque. Anatomiquement même, l'hésitation peut
lus longue, l'absence de paralysies, de troubles vaso- moteurs,, de
température
, du coma apoplectique, compliqué d oedème papil
nts modes de la sensibilité cutanée; le tact et la sensibilité à la
température
doivent être explorés par des procédés spéciaux
que. Ainsi dans des cas de tabès, où le tact et la sensibilité à la
température
étaient conservés, tandis qu'il existait de l'ana
ectrodes restent bien humectées, on voit diminuer la résistance. La
température
des électrodes a encore quelque influence, mais
côté paralysé surtout quand il existe de ce côté un abaissement de
température
. Pour Silva et Pescarolo cette augmenta- tion d
te augmentation de la résistance, non seulement à l'élévation de la
température
, mais encore à la sécheresse de l'épiderme et à
ne chauffée jusqu'à dégagement de vapeurs ou pendant 24 heures à la
température
du laboratoire. La décoloration se fait par l'a
qu'on observe d'habitude un abaissement plus ou moins prononcé de la
température
centrale qui des-cend à 36°, 5. M. Rohrig (2) e
insi, chez un malade atteint de variole hé-morrhagique, alors, que la
température
se maintenait à 40° ou 40° S, M. Brouardel a cons
sont marqués encore par une élévation brusque et très prononcée de la
température
centrale : 40, 41 degrés, avec algidité extérieur
ladies fébriles, celle dans laquelle la concordance des courbes de la
température
avec celles de l'excrétion d'urée est la plus fac
tableau placé sous vos yeux, et où sont consignées les cour-bes de la
température
et celles de l'urée (Pl. IV). (1) Voy. article
vent très violents et accompagnés d'une élé-vation très marquée de la
température
40% 41% apparaissaient, comme vous le voyez, à pe
trentaine de ces accès. Ils étaient séparés par des intervalles où la
température
ne s'est jamais élevée beaucoup au-dessus de 37°.
ent les jours où la seconde s'élève; c'est-à-dire que les jours où la
température
s'élève, le taux de l'urée diminue d'une façon co
iée sous ce rap-port. Ainsi, dans les périodes d'apyrexie, avec une
température
de 37% 4, vous voyez le chiffre de l'urée des 24
oscil-ler entre 14 et 20 gr. Les jours de fièvre, vous avez avec une
température
de 40% 8 sept grammes d'urée, avec une tem-pératu
milation azotée s'exalte comme dans le cas précédent, et, en fait, la
température
s'élève ; mais les produits de cette désassimilat
apidement placé, suivant la méthode de Ludwig, dans un milieu dont la
température
rappelle les conditions vitales. On fait passer p
es caractères; points cys-tique, épigastrique, scapulaire. — Pouls et
température
. — Lypothy-mies, et syncopes; mort rapide. — Intr
iolent et accompagné d'une élévation plus ou moins considérable de la
température
qui, parfois, se sura-joute aux phénomènes ordina
ès fébriles dans certains cas de colique hépatique. — Élévation de la
température
. — Complications de la migration des calculs. — P
nsitoire, caractérisé par une élévation plus ou moins prononcée de la
température
centrale et dont le début est marqué, en général,
cès fébriles liés au passage d'un calcul dans les voies biliaires. La
température
centrale, notée dans deux de ces cas, s'est élevé
u cœur. Fièvre intermittente hépatique : Frisson; — élévation de la
température
; —pé-riodes apyrétiques ; — diminution du taux d
elquefois assez intense pour que le lit du malade en soit ébranlé. La
température
centrale s'élève à 39°, 40°, 41°. Les sueurs sont
rlich (1), que d'un phé-nomène purement nerveux, sans élévation de la
température
centrale. D'autres fois, au contraire, dans des c
ois survenir spontanément de vio-lents frissons, avec élévation de la
température
, suivis quelques fois de sueurs et simulant des a
re, est déterminée par le syndrome ictère grave avec élé-vation de la
température
centrale, délire, coma, etc., mode de terminaison
it à peine affectée, mais il y avait de la difficulté pour avaler; la
température
dans l'aisellc était de 101°, 8 F. (38°, 8). Le m
e la nuit. — Le 4 octobre, l'éruption persistait sur l'abdomen, et la
température
était à 103°, 4 F. (39° 7). — Le malade mourut le
s le sang de l'acide hippurique. Cette synthèse peut se faire par une
température
fraîche dans un rein extirpé déjà depuis 48 heure
d. (Voir pages 97, 120). — La ligne bleue re-présente la marche de la
température
; — la ligne verte les variations de l'urée. Cha
es caractères; points cys-tique, épigastrique, scapulaire. — Pouls et
température
. — Lypothy-mies, et syncopes; mort rapide. — Intr
ès fébriles dans certains cas de colique hépatique. — Élévation de la
température
. — Complications de la migration des calculs. —
u cœur. Fièvre intermittente hépatique : Frisson; — élévation de la
température
: —pé-riodes apyrétiques ; — diminution du taux d
167. Syphilis (Foie lobé dans la ,248,253. T Taurine, 78 80.
Température
dans la fièvre intermit-tente hépatique, 195. T
ertiges soit le matin en se levant, soit à propos de changements de
température
. La mémoire semble s'affaiblir. D'après la desc
rait être distinguée de l'attaque épileptique; et la marche de la
température
rapproche l'accès d'éclampsie de l'état de mal
de mal épileptique. L'urémie s'accompagne toujours d'abaissement de
température
malgré les convulsions. Observation V. -Hé7,édi
nt étudiée au point de vue de sa pathogénie et des modifications de
température
qui l'accompagnent. Thèse de Nancy, J879. 48 PA
. 28li. Ht : vC'13 D1 : 'l'tIIsRW'N : U'l'ItZUI;. 99 maintenir la
température
de l'eau : en couvrant la baignoire avec une ét
anie simple, mais bientôt le tableau change, la fièvre s'allume, la
température
s'élève et la maladie s'affirme par des caractè
M. Legrand du SAULE. Quelle action la paraldéhyde a-t-ellu sur la
température
? z M. Kéraval. Nous avons observé dans un cas
eil irrégulier, des troubles du caractère et un abaissement de la
température
assez marque. Elle est elle-même effrayée de son
erve 940 dans lajournée du 19-, et 't,3t2 dans la journée du 13. La
température
reste normale, malgré le nombre considérable de
e questions, elle répond : Fig. 3. - Courbes fies attaques et de la
température
chez Rosa z , uf\ ? ) ? = ? <... ? - . 1 D
t le chiffré énorme f de 21,708 accès '. Pendant tout ce'temps*, la
température
n'appas cessé d'étre . normâle".i(1%ig · 3.) '"
Examen de' la sensibilité. La sensibilité générale au tact, à la
température
et à la douleur a.disparu d'une façon complète
étions du nombre) à renoncer à leur hypothèse. La recherche de la
température
peut donc être considérée comme un moyen de dia
00 environ. Or, jamais, pendant cette longue période convulsive, la
température
ne s'est, chez Co..., sensiblement modifiée;'el
approche l'observation d'une épileptique Cheval... chez laquelle la
température
s'éleva jus- qu'à 40°, A, durant l'état de mal.
a affaire ci de l'épilepsie jaclisoîî- nienne; si, au contraire, la
température
reste normale ou au voisinage de la normale, l'
dia- gnostique du moins, de constater l'absence d'élévation de la
température
, de paralysie, etc. Il n'en a point été ainsi c
onaires à REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 205 forme congestive, avec
température
élevée; mauvais état général. Elle est irritabl
s sur un même sujet, parce que diverses circonstances telles que la
température
, la fatigue, la marche antérieure, une lension
vies incessantes d'uriuer. Le 14 janvier, vomissements; le soir, la
température
est des plus normale, de telle sorte que tout d
phénomènes nerveux de la fièvre ty- I)hoîde, leurs rapports avec la
température
; par E. R113EROLLES. (Thèse de Paris, 1854.).l
ité au contact est simplement diminuée, celles à la douleur et à la
température
sont presque complètement abolies. Le sens musc
endant plusieurs jours, durant les crises, a paru sans effet. IV.
Température
. Quel qu'ait été durant les différentes crises
ce des attaques, dont le nombre a atteint plus de cent par jour, la
température
rectale n'a jamais dépassé 37°, 5. V. État de
uite de quelques-unes des attaques seulement. Pas d'élévation de la
température
; pas de paralysie consécutive aux accès, mais
de l'hystérie. La sensibilité générale (au tact, à la douleur, à la
température
) est conservée des deux côtés du corps. 11 n'y
re, d'une série d'accès, les éléments symptomatiques accessoires (
température
et autres) qui seuls peuvent permettre de porte
rition, ni modi- fication du côté du système pileux. Au loucher, la
température
parait plus basse du côté paralysé. Cicatrices
-t mort à huit heures du matin, sans avoir eu de nouveaux accès. La
température
rectale, prise aussitôt après la mort est de 41
ptômes de l'état de mal ordinaire, entre autres l'élé- vation de la
température
. IV. Les lésions cérébrales trouvées à l'autops
après un troisième accès, la malade inanimée hors de son lit. La
température
n'a pas été prise au moment des attaques. En de
re droite : accélération de l'activité cardiaque, sans élévation de
température
. La soudai- neté des accidents, leur nature, le
e la sensibilité farado-cutanée, indépendante, elle aussi, et de la
température
du bain et de la résistance de la con- ductibil
ultérieures auxquelles il se livre, notamment sur l'action de la
température
, nous reproduirons simplement ses conclusions :
ne analgésie et une anesthésie, portant sur le tact, la douleur et la
température
. M. Morvan le dit expressément dans son cinquième
is ailleurs. Enfin, la main tout entière devient violacée, livide. La
température
s'y abaisse au-dessous de la normale. Elle est qu
notées. « Il n'existe pas de troubles trophiques sur le membre ; la
température
paraît seulement un peu inférieure à celle du côt
nte de la sensibilité générale pour tous ses modes (contact, douleur,
température
) dans toute la moitié droite du corps, soit une h
éfaut (1). Etat actuel. — Anesthésie pour le tact, la douleur et la
température
dans la moitié gauche de la face, du front et de
Le pavillon de l'oreille a conservé sa sensibilité au toucher et à la
température
, mais est analgésique. Le conduit auditif est tot
de troubles de la sensibilité cutanée au contact, à la douleur, à la
température
. Pas de douleurs fulgurantes. Pas de signe de Rom
ère par deux caractères essentiels, à savoir : l°un abaissement de la
température
locale qui peut aller jusqu'à deux, trois, quatre
méfaction de couleur bleuâtre. De plus, il existait une différence de
température
entre le côté sain et le côté malade, qui s'éleva
oucher, et qui est rendu encore plus manifeste par la recherche de la
température
locale de la peau à cet endroit. Celle de la main
anesthésie pour tous les modes de la sensibilité, contact, douleur et
température
, remontant sur le bras jusqu'aux environs de l'ar
rou-geâtre plus ou moins foncée des téguments, avec abaissement de la
température
. Cet œdème occupe plus particulièrement le dos de
es que la coloration des téguments, l'anesthésie, l'abaissement de la
température
. Mais le siège de l'asphyxie des extrémités est a
douleur, l'analgésie remonte à un travers de main plus haut. Pour la
température
, il y a thermoanesthésie absolue en manche de ves
ligne de sensibilité complète, de telle sorte que la sensibilité à la
température
ne s'est pas transférée comme les autres, au moin
s'est pas transférée comme les autres, au moins pour l'instant. La
température
de la main malade est de 26°5 (centigr.). Celle d
t au froid chez le malade de l'Observation VII. 2° Sensibilité a la
température
. — Le trouble est distribué de même façon pour le
ue poplité externe) et une hypoesthésie au tact, à la douleur et à la
température
, dans toute l'étendue du membre inférieur droit.
que, sous l'influence d'un traitement approprié qui serait surtout
Température
du pied malade. — du pied sain . — des deux c
e troubles de la sensibilité, ni au contact, ni à la douleur, ni à la
température
. Le sens articulaire et musculaire est partout co
érieures servent de conducteurs aux sensibilités à la douleur et à la
température
, tandis que la sensibilité au tact, d'après Schif
s. De plus, l'application du thermoesthésiomètre porté à une certaine
température
laisse des plaques rouges assez persistantes ; ce
n le tégument de l'avant-bras et de la main gauche est violacé, et sa
température
est abaissée. Jusqu'ici tout ou à peu près est
re même, qui le force à sortir ses jambes hors du lit. En réalité, la
température
n'est nullement augmentée dans la région à ces mo
ostic. Tout d'abord il existe une anesthésie absolue pour le tact, la
température
et la douleur, dont la distribution est fort inté
reste du corps pour tous les modes de sensibilité (contact, douleur,
température
). Pas d'anesthésie pharyngée. La sensibilité conj
in de Florence. Pas de drainage. Suites opératoires insignifiantes.
Température
maxima 37°,5. Au sixième jour, on enlève les crin
, la langue et le pharynx. Le malade déclare qu'il ne perçoit que les
températures
très élevées ou très basses. Il porte sur la régi
.., le pouls radial était imperceptible, les extrémités froides, la
température
vaginale donnait près de 42°. En un mot, c'était
arqué que sa voix soit modifiée. La sensibilité à la douleur, il la
température
et il l'électricité est conservée. Cette derniè
es accès, absence de paralysies post-épileptiques et d'élévation de
température
; enfin, existence d'une hémi-anesthésie droite
rmer encore la nature hystérique des convul- sions partielles si la
température
reste normale, si les accès ne sont pas suivis
absolue, totale et porte \ sur les trois modes de sensibilité, à la
température
, à la douleur et au con / tact. C'est donc une
généralement dans le territoire du nerf lésé une élévation I de la
température
locale. Puis des changements se manifestent du cô
act et à la douleur est conservée partout; mais la sensibilité à la
température
est fortement diminuée sur les membres inférieu
oute spéciale. Dans la méningite, elle est en général modérée et la
température
suit une courbe assez irrégulière ; quelquefois
déviations. Raie méningitique. Pas de troubles sphinctériens. La
température
reste normale. Le pouls est lent, régulier. Mais
contrat coïn- cidant avec la perle des sensations de douleur et de
température
) sur les mem- bres inférieurs, les organes géni
de la Ihermo-anesthésie. Membre supérieur droit. Contact, chaleur,
température
sont conser- vés dans les parties supérieures d
ORME SYRINGOMYÉLIQUE 131 absolument insensibles à la piqûre et à la
température
, bien que la sensi- bilité au contact soit cons
roids de l'hiver ; elles s'effacent graduel- lement à mesure que la
température
s'élève. Au moment où nous écrivons ces lignes
anifeste avec la résorption septique au niveau de cette eschare. La
température
s'élève à plusieurs reprises au- dessus de 39°,
s ses modes dans l'é- tendue des deux membres inférieurs : contact,
température
, douleur, tout a été exploré négativement. La
ement une légère di- minution de la sensibilité à la piqûre et à la
température
: A gauche, dans la sphère cutanée du brachial
ner sans aide dans son lil. Sensibilité. Le contact, la douleur, la
température
sont perçus partout sur le tronc aussi bien que
st tellement vive que le simple contact d'une cuiller en métal à la
température
de la salle arrache des cris au malade. Le contac
épigastrique. La maladie a évolué depuis le début sans fièvre : la
température
a été prise régulièrement matin et soir depuis
physiques tirés des troubles de la sensibilité, de la marche de la
température
, au-dessus de toute contestation. Là encore il pr
chronique. A aucun moment de la maladie on n'observe d'élévation de
température
, sauf cependant lorsqu'il se produit accidentel
malade garde le lit. 7 février. Les vomissements ont cessé et la
température
est redeve- nue normale ; 8 février, 3 mars.
ient un gonflement de l'articulation cubitale gauche. 26 juin. La
température
du corps est normale ; la température de la pea
cubitale gauche. 26 juin. La température du corps est normale ; la
température
de la peau sur la face interne de l'articulatio
pas de fluctuation ; l'extrémité est courbée à angle droit. 27. La
température
du corps est normale. Les tâches bleuâtres dis-
paisseur donne une augmentation de là 1, 5 centimètres. 28-30. - La
température
est normale. Les phénomènes de tension mus- cul
iminuent aussi et les mouvements passifs y deviennent possibles. La
température
de la peau sur la face interne de l'articulatio
e de l'articulation cubitale diminue encore. Sur sa face interne la
température
de la peau est normale. A partir du 4 l'intestm
la tempé- rature est de 38°. On constate également une élévation de
température
de la peau. 3-9 février.- La température du c
alement une élévation de température de la peau. 3-9 février.- La
température
du corps est normale. Au centre de la ré- gion
d'une eschare ; l'in- filtration disparaît, la rougeur cesse et la
température
de la peau redevient normale. Bandage sec sans
a peau dans la région située au- dessus du genou, abaissement de la
température
de la peau des extrémités inférieures. Tous ces
est question, nous trouvons ce qui suit : variations inégales de la
température
de la peau, apparition sur la peau de taches de t
e of ya·otitis followed by o)'c/<t<M<K ! MCK : ny)7 ? < ?
température
, ^ecocerJ The Lancet, août 1883). MANIFESTATI
me jour, coma, pouls filiforme et presque insensible. Toutefois, la
température
s'étant légèrement abaissée le lendemain (39°,4
dilatées. On constate à la main une éléva- tion très notable de la
température
. On interroge ses voisins sur les phénomènes qu
e malade, qu'il avait encore fallu sonder la veille, urine seul. La
température
s'abaisse, 38°,5 le matin, 38°,7 le soir. Pen
ui et non et répète le mot pain quand on le prononce devant lui. La
température
après avoir suivi une marche régulièrement décr
signe physique à l'auscultation. Le pouls est vif, précipité et la
température
s'élève jusqu'à 380,5 et 39°. Ce n'est qu'après
moins longtemps et même ne pas aboutir, qu'apparaît le coma, que la
température
baisse et que la mort survient dans la prostrat
dé par une période d'excitation et de réaction avec élévation de la
température
qui n'existe jamais dans le col- lapsus diabéti
a gravité fatale des accidents, s'accompagne d'un abaissement de la
température
centrale et périphérique. Le thermomètre est au
table néanmoins au ther- momètre. On a dit que dans l'acétonémie la
température
était au-dessous de la normale. Cela est vrai,
a phase comateuse. Mais, au début, si l'on prend, soir et matin, la
température
du ma- lade, on note assez souvent une élévatio
vés retombent flasques et inertes. Les extrémités sont froides ; la
température
centrale s'abaisse à 36°, 35° (OBs. LXXV) et mê
nuelle de refroi- dissement. Malheureusement le chiffre exact de la
température
n'a pas été relevé. Grande faiblesse musculaire
s chroniques. Depuis décembre 1882, l'auteur a noté la pression, la
température
, l'étal hygrométrique et ozaométrique de l'air.
au, rouge, tendue ; la pression du doigt y laisse son empreinte, la
température
locale est à la main plus élevée de ce côté que
enses au poignet (très gonflé), au genou et au pied gauches; que la
température
donne 4 ou 5 dixièmes de plus et que les phénom
observés chez des rhumati- sants non hystériques ; ceci quoique la
température
ait été de 40° pendant deux jours. Les désord
d'une grande lassitude. P. K. XVII. Sur LES limites DU sens DE la
température
A l'état sain . ET A l'état malade ; par J. Don
s de la Charité de Berlin. L'auteur s'est proposé de déterminer les
températures
les plus élevées et les plus basses qui commenc
ut inventé un instrument destiné à préciser la limite algigèize des
températures
inférieures (cryalgimètre) et un autre appareil
ètre) et un autre appareil capable d'indiquer le point algigène des
températures
supérieures (thermalgimètre). Ces deux genres d
étiques, la douleur thermique ne se montre que lorsqu'on arrive aux
températures
élevées ; parfois cette sensibilité douloureuse e
assez souvent c'est en vain qu'on prolonge l'action de très basses
températures
, on ne provoque pas de douleur. 3o C'est générale
nstitue une sensation bien plus grossière que la per- ception de la
température
(degrés de chaleur modérés), et il s'en faut de
ent tendus. Type de respiration coslo-abdominale. Peau très chaude.
Température
normale dans l'aisselle et dans le rectum. Circ
es mêmes; le patient criait beaucoup, gâtait, devait être alimenté.
Température
normale, mais augmentation de la chaleur cutané
continues excessives à l'occasion des changements de temps et de
température
, sensations de poids dans les yeux, au milieu du
galvaniques. A l'inverse des tabétiques, il se sent mieux quand la
température
est basse; actuellement, on constate de l'a- .t
ès pendant la nuit du 13 au 44 4 juin avec lièvre de 38° 9 à 40o 4 (
température
vectale). Le 16 juin, lematin, surexcitation ma
rexcitation maniaque, crises aiguës, ré- pétées, subintrantes, avec
température
de 40° 2 suivies d'une grande prostration penda
ve : une dilatation pupillaire moyenne et égale des deux côtés, une
température
axillaire de 38° 9, un pouls lent mais régulier
e; l'auteur toutefois insiste sur ce point que, chez son malade, la
température
était, -et est demeurée, au-dessous de la norma
amyotrophique, 291. Sénile (folie), par Savage, 92. Sens de la
température
à l'état sain et a l'état morbide, par Donatli,
téguments. En même temps, on constate un abaissement notable de la
température
locale ; cet abaissement, facilement perceptible
perceptible au toucher, mesuré au thermomètre, donne 29°6 (pour une
température
extérieure de 19°). Les symptômes subjectifs co
réables, sans que des douleurs à proprement parler se déclarent. La
température
froide est particulièrement mal supportée. La col
es objets. Au printemps, vers le mois de mars ou d'avril dès que la
température
com- mence à devenir un peu plus douce, les phé
t l'examen, sans qu'on puisse attribuer le changement à un écart de
température
ou à une émotion. Mais jamais il n'y a de la pâ
Les ongles sont normaux, sans cannelure, sans courbure exagérée. La
température
de la peau a été prise au moyen du thermomètre à
ogressive : le début de la recherche ayant été à 3 h. 22', avec une
température
du laboratoire de 16°, on obtenait à 5 h. 30, 3
sont toujours aussi vives quand le malade est exposé au froid. (La
température
extérieure est assez basse.) Il a essayé de desce
a méthode du professeur Hutinel. L'injection a été faite à midi. La
température
était de 37°2. Voici le détail des températures
été faite à midi. La température était de 37°2. Voici le détail des
températures
prises de deux en deux heures environ. 16 péuu
au malade : désormais il est toujours d'une sensibilité extrême aux
températures
froides, voire même seulement fraîches. Entre t
SE CHRONIQUE HYPERTROPHIANTE 21 Au niveau des régions atteintes, la
température
cutanée est. modifiée : mais il n'y a pas comme
° de l'autre, alors que au même moment je trouvais sur moi-même une
température
de 33°. Le mercure du thermo- mètre à notation
vent même quelquefois des différences assez peu considérables de la
température
. Les phénomènes décrits par eux consistent en e
ntenses pendant 22 FÉRU l'hiver, quand le patient est exposé à la
température
froide; mais toul rentre dans l'ordre quand il
on thermique tardive et encore relativement peu élevée. De 37°2, la
température
n'a atteint 38°4,qu'au bout de vingt-huit heures.
au, nous la trouvons normale pour tous ses modes (contact, douleur,
température
) : il n'y a ni hyperexcitabilité, ni persistanc
a joue malade est plus pàle, mais peut rougir par les émotions. Les
températures
locales sont égales des deux côtés. Enfin not
au tact bien conservée partout. La sensibilité à la douleur et à la
température
est également conservée partout; mais elle est
re. Le malade tousse de plus en plus. Il est très agité la nuit. La
température
procède par grandes oscillations. Il se sent très
s et tombe dans le coma ; le lendemain, elle a encore 42 accès ; la
température
s'élève il 40°2 ; la malade meurt le 16 juillet
la température s'élève il 40°2 ; la malade meurt le 16 juillet ; la
température
s'était élevée à 49. L'autopsie est faite 26 he
digestives; inappétence absolue. Le 24 novembre, la malade a 39" de
température
. Elle se plaint d'une dysp- née croissante, la
onnent uu résultat négatif. Le 25 novembre, la dyspnée est intense.
Température
à 38° 5. La face est vultueuse, les lèvres viol
l'épaule; la sensibilité au tact, à la pression, à la douleur, à la
température
est conservée ; il y a toutefois exagération de l
r. Pas de rougeur des téguments, pas d'oedème, pas d'abaissement de
température
locale, pas de lésion des poils ni des ongles,
après l'opération ; l'état général était rapidement devenu bon, la
température
avait cédé dès le lendemain de l'intervention.
e la mononucléose. Le le, mars l'état de la malade s'aggrave : la
température
qui,jusqu'à présent n'avait presque jamais dépa
rrhagique. 11. - Face cyanosée, coeur affolé, oedème des malléoles,
température
40, mort. Diagnostic. Tabes, paralysie généra
'a rien d'exagéré, cet intervalle ne dépasse guère 1 centimètre. La
température
de la peau est normale, sauf au niveau des memb
point faible et d'un teint jaunâtre. Les organes de la poitrine, la
température
et le pouls normaux. Artériosclé- rose légère.
est sous la dépendance du froid et il n'est pas rare, d'observer la
température
locale notablement abaissée. Mais la cyanose pe
u pouls ; la tension artérielle reste au- dessous de la normale. La
température
axillaire est, en moyenne, au-des- sous de la n
des- sous de la normale et oscille autour de 36°; chez certains, la
température
du matin est de quelques dixièmes supérieure à
elques dixièmes supérieure à celle du soir. J'ai vu. ré- cemment la
température
s'élever au moment de la production de gan- grè
és dans le péritoine d'un cochon d'Inde entraînent une élévation de
température
pendant les vingt-quatre heures suivantes. 2°
régulières de quatre ou cinq élé- ments. Un tube de bouillon à la
température
de 22°. Trois jours après l'ensemencement, ce b
ang examinées immédiatement restent négatives. Un tube de bouillon.
Température
, 39°, se trouble nettement au-bout de trois jou
iatement, restent négatives ou incertaines. Deux tubes de bouillon (
température
, 39°). Au bout de deux jours, ces tubes sont tr
une élévation de tem- pérature de 4°,4, puis il est redescendu à la
température
normale et a guéri. 2e examen. - Les lamelles
men. - Les lamelles de sang restent négatives. Un tube de bouillon (
température
, 39°), se trouble le troisième jour, puis donne
en zooglées, très petits et prenant le Gram. Un tube de bouillon (
température
, 22°), se trouble le quatrième jour, puis dépos
quel- ques coccus isolés ou en diplocoques. Un tube de bouillon (
température
, 39°) a poussé le quatrième jour. Il est troubl
de petits coccus en zooglées, prenant le Gram. Un tube de bouillon (
température
, 22°). Ce bouillon se trouble le cinquième jour
ang. L'examen de ces lamelles reste négatif. Un tube de bouillon (
température
, 39°) a poussé le troisième jour et dépose au f
en courtes chaînettes. Ils prennent le Gram. Un tube de bouillon (
température
, 22°) se trouble le troisième jour et montre un
sser de la même façon que les deux premiers ; nous l'avons mis à la
température
de 39°. La gélatine fondue à cette températur
s l'avons mis à la température de 39°. La gélatine fondue à cette
température
s'est troublée, et au mi- croscope, par la méth
mange et ne vomit plus. Trois mois après elle pesait 59 kilog., la
température
qui était de 35° était remontée à 37*. La guéri
nt sur les autres qualités de la sensation telles que le sens de la
température
. P. KERAVAL. V. Maladie DE ET lèpre; par Frenke
examen des malades, 2° un labora- toire de chimie avec les étuves à
température
constante, 3° une chambre pour les appareils de
qui sont en état de mal épileptique avec élévation croissante de la
température
, les bains prolongés de deux à trois heures à l
de la température, les bains prolongés de deux à trois heures à la
température
de 32° à 34° ont été d'un heureux effet; de mêm
ntre dans une série d'accès, dans un véritable état de mal avec une
température
élevée, 40°. Hébétude, état saburral des voies
uvelle purgation. Le 11 août lavage de l'estomac; abaissement de la
température
. Le 13 et le 14 août injection de 24 et 80 gram
les accès ont disparu, l'intelligence revient progressive- ment, la
température
est normale. En janvier 1894 elle prend 4 gramm
10° Affections ycestro-intestinales : 4 fois. 11° Action des hautes
températures
(naturelles ou artifi- cielles) : 4 fois. 12° C
Là, en effet, tout a évolué en trois ours et dès le premier jour la
température
s'est élevée à 40°. '166 SOCIÉTÉS SAVANTES. L
éjà une demi-heure a deux heures après l'ingestion (élévation de la
température
, fréquence plus grande des battements de coeur)
encore d'être relevés dans cette observation. Les rapports entre la
température
, le pouls et la respiration semblent se dérober
et la respiration semblent se dérober à toute règle. Tandis que la
température
suit une courbe régulière d'une interprétation
ent, diminuant de fréquence le soir, où se produit une élévation de
température
. La respiration a toujours été rapide et sa fré
oyens de découvrir la simulation, dans ces cas, c'est de prendre la
température
rectale, à la période de ronflement ou terminal
e, une heure ou deux après l'accès. Il y a toujours élévation de la
température
. Il va de soi qu'il ne faut pas se contenter d'
, nous avons recours à leurs avis éclairés Messieurs, Par cette
température
torride, alors que le champagne est frais, qu'i
Wek... est dans un état comateux, les sphincters sont paralysés; la
température
est de 38°, elle monte à 38°,9, puis à 40° le j
nt aucun des caractères de l'épilepsie par- tielle. Le lendemain la
température
atteint 39°,4, puis redevient normale : les aut
s et le facial droit. Troubles fréquents de la circulation et de la
température
. Affai- blissement intellectuel. En décembre 18
rieurs; troubles de la miction et de la défécation, élévation de la
température
, foyer de broncho-pneumonie du côté gauche. Mor
récier nettement les modifications; 2° des tracés indiquant : a) la
température
rectale prise, matin et soir, pendant deux mois,
mptômes, en particulier la diminution du poids, l'élé- vation de la
température
, la gravité des symptômes et partant la nécessi
ait avoir d'opinion ferme à cet égard. Les tracés du poids et de la
température
montrent que la diminution du poids, l'élévatio
du traitement, tant du côté de la peau, du tissu cellulaire, de la
température
, que de l'état général et dans la sphère intell
int. L'influence du pays, du climat, de la lune, des saisons, de la
température
, de la lumière et des couleurs, de la nuit a ét
re le tableau suivant : . - .Maladies contagieuses.. : . '. LI la
température
des malades avant leur départ, et éela dans le
oujours dans le vague, il ne dit aucun mot et ne comprend rien.
Température
à l'entrée (René). DESCRIPTION DU MALADE DRCÉDt
lente des orteils. La sensibilité à la douleur, au contact, et à la
température
est conservée. L'enfant craint le froid. L'ex
lle. 130URNE ville, Bicêtre, 1900. 3 3 Í Traitement thyroïdien.
Température
à l'entrée. Traitement thyroïdien. 35 .5 cout
omuré de 2 à 8 grammes ; douches ; petite école, demi temps. >
Température
rectale à l'entrée. Marche DES accès ; températ
mi temps. > Température rectale à l'entrée. Marche DES accès ;
température
. 51 pupillaire. L'examen des autres organes res
st-à-dire durant les accidents occasionnés par le corps étranger.
Température
pendant les accès. iIT : VINGO-1',NCÎsPI3ALITP;
'enfant crie sans motif et est plus irritable que d'habi- tude. .
Température
à l'entrée. 62 Idiotie profonde. 30 janvier.
qu'il n'avait rien. Il a d'ailleurs pris le sein aussitôt après.
Température
à l'entrée. 72 Idiotie profonde lantes. Paupi
es plaintes, mêmes cris, l'enfant meurt avec une T. R. de 40°,5. La
température
après la mort a offert la marche ci-après : 9
de que nous avons dans le service de faire prendre matin et soir la
température
rectale des entrants pendant cinq jours, nous a
la poussée méningifiqlle à laquelle l'enfant a succombé 1. IV. La
température
après la mort montre que progres- sivement, en
transfert de malades de notre sec- tion, nous faisons prendre leur
température
pour être sur qu'ils ne sont pas sous le coup d
ticularité notable. Nous nous bornons à reproduire le tableau de la
température
rec- tale durant cette fièvre. 162 IDIOTIE my
ourir quand M.. a été enlevée par une pleurésie purulente. IV. La
température
centrale des 1nyxoedémateux infantiles est touj
fantiles est toujours inférieure à la normale. Chez notre malade la
température
moyenne était de 36°. Durant l'évolution de la
rant l'évolution de la pleurésie purulente, qui a causé sa mort, la
température
a atteint un seul jour 39° et n'a jamais dépass
dont l'enfant a été atteinte, dès quinze jours après son entrée, la
température
est montée à 39°,5 et n'est jamais allée au-del
tolique, recherchée de nouveau, n'est plus que de 5. A noter que la
température
rectale mesurée à ce moment est de 3SA,2 alors
n bas, y compris les racines sacrées, il existe une anesthésie à la
température
et à la douleur. A droite, le même trouble s'ét
mme à l'état normal, une irrigation de l'oreille avec de l'eau à la
température
de 15" à 20" pratiquée suivant la méthode de Bara
se lie à une hypo- thermie locale qui ne dépend qu'en partie de la
température
du milieu ambiant et qui décèle une vaso-constr
e marche. Sensibilité. La sensibilité au tact, à la douleur et à la
température
est affaiblie aux membres inférieur et supérieu
u cou présente un affaiblissement de la sensibilité au tact et à la
température
; l'anesthésie est surtout très accusée à la ja
ion d'un morceau de glace éveille une vive sensation de chaleur. La
température
est à peu près égale des deux côtés du corps et l
i n'existe pas à gauche. /J mars. Les extrémités présentent la même
température
des deux côtés ; après immersion prolongée dans
froide que la gauche, mais elle reprend plus vite que le tg mars sa
température
normale. rer avril. La différence de températur
que le tg mars sa température normale. rer avril. La différence de
température
, après l'épreuve de l'eau froide, apparait tou-
; il n'existe plus, à droite, qu'une très légère hypoesthésie à la
température
et à la piqûre. La fente palpébrale gauche est
so-dilatation relative dans cette main, et élévation relative de sa
température
superficielle. 3° Lorqu'un sujet sain est dans
ps s'est complètement rétablie, ce n'est pas le côté gauche dont la
température
s'est abaissée, mais c'est le côté droit qui s'
es deux côtés du corps au point de vue de la vaso-motilité et de la
température
. Cette perturbation peut être brièvement dénommée
plus grêle que le gauche ; la sensibilité au tact, à la piqûre, à la
température
est conservée, mais la malade ressent, quand el
engelures. Au contraire, la main gauche a gardé la coloration et la
température
normales. La force que la malade peut déployer de
ur une grande part, à la vaso-constriction et à l'abaissement de la
température
, qui, étant très mar- quées, doivent un état de
3, S'=, SI, sont sensibles, et que le tact (fig. 3o), la piqûre, la
température
(le froid surtout) (fig. 3 1 sont perçus sur des
iste donc une anesthésie étendue qui intéresse , Fig. 31. - Obs. I.
Température
. : . 364 P ¡1H11P LÉGIES - AFFECTIONS DE LA MOE
racines dorsales. La sensibilité superficielle dans tous ses modes (
température
, douleur, tact) y est extrêmement affaiblie ; tou
es. Il n'y eut dans les jours suivants aucun phénomène de choc ; la
température
rectale ne dépassa pas 3 ? 8 et le pouls 84.
'urine. Au bout d'un mois environ l'infection urinaire augmente, la
température
s'élève, la malade tombe dans un demi-coma et meu
plus prononcés à droite; l'anesthésie porte sur la sensibilité à la
température
et à la douleur; elle n'atteint guère la sensib
tile a reparu, mais il existe une hypoesthésie à la douleur et à la
température
bien caractérisée. En outre, on trouve au nivea
is, tandis que la sensibilité au tact est peu amoindrie, celle à la
température
et à la douleur est, au contraire, fortement atte
s; ils atteignent tous les modes, mais surtout la sensiuiiuc a la
température
et a la douleur; ces troubles s'étendent jusqu'
té gauche, en D5 D6, on trouve une bande d'anesthésie complète à la
température
et à la douleur, avec conservation de la sensib
parait convaincante ; ou bien il s'agit de sujets chez lesquels la
température
n'a pas été prise avec toutes les précautions p
conque, une marche d'une demi-heure peut provoquer une élévation de
température
; chez un pareil malade, la fatigue due à une gra
st facile de découvrir la fraude ; il suffit de prendre soi-même la
température
avec un thermo- mètre ordinaire étalonné, et de
mplitude des oscillations à la péri- - phérie du membre, lorsque la
température
ambiante est basse); des troubles sécrétoires e
que le membre malade subit d'une manière anormale l'influence de la
température
du milieu ambiant, ce qui implique une perturba
ercep- tible au toucher et qui peut être très accentuée. L'écart de
température
observé entre le membre malade et le membre sai
rt de température observé entre le membre malade et le membre sain (
température
locale et superficielle prise avec le pyromètre
efl'ace aussi rapidement et quel- quefois plus vite. Le retour à la
température
antérieure est généralement plus rapide au memb
rature antérieure est généralement plus rapide au membre sain. La
température
locale peut encore subir des modifications notabl
ion de l'excitabilité musculaire ne correspond qu'aux élévations de
température
modérées. Par contre un réchauffement excessif
(3) Souques, Megevand, Miles : \ardileb et Balba1ls, Troubles de la
température
locale 1\ propos d'un cas de paralysie, dite ré
secousse provoquée par la percussion est très lente, surtout si la
température
du milieu ambiant est basse. La main dans toute
s légèrement atrophiés présentent une colo- ration rouge saumon. La
température
de ces régions est de 3° à 4° plus basse du côt
n de 2 à A centimètres de la pression artérielle et élévation de la
température
des téguments ; ces phénomènes restent très net
e traduisant au pyromètre par un écart qui n'excède pas 8" entre la
température
du côté malade et celle du côté sain, toute exc
d'une série d'actions qui s'ajoutent les unes aux autres lorsque la
température
du milieu ambiant n'est pas favorable à ces org
assure la rapidité et la précision des mouvements (liée à une haute
température
) par ce mouvement lui-même qui élève la températu
iée à une haute température) par ce mouvement lui-même qui élève la
température
. » Cette supériorité des organismes homéotherme
i de l'aine ; raideur musculaire peu prononcée. La sensibilité à la
température
semble à certains moments un peu affaiblie aux me
les divers modes de sensibilité, mais surtout la sensibi- lité à la
température
; le froid et le chaud sont très mal perçus, part
re eux. Les tableaux communs sont les suivanls : a) Tableau de la
température
des cinq premiers jours de l'admission. Ainsi q
Ainsi que nous l'avons dit, nous faisons prendre, matin et soir, la
température
rectale de tous les enfants qui entrent clans l
t aux épilepti- ques et aux hémiplégiques. a) Tableau des accès ;
températures
durant les accès. b) Tableau des mensurations d
miplégiques. Épileptiques : Tableau des accès. Eoilenticiues :
Température
de l'accès 66 Mémento des autopsies. " ASIL
). Durée totale des accès et, si cela est possible, des périodes.
Température
. (Voir p. 63). Les infirmiers et les infirmière
ien cle particulier, si ce n'est une tendance à l'abaissement de la
température
, l'on note aussi un prolapsus du rectum diffici
les quintes de coqueluche. 28 février. - Tandis qu'hier matin la
température
élait à 30°, le soir elle était à 39°, 5 ; aujo
, 9; 4 heures après 34°, 5 ; 15 heures après le décès : 20°, 5 ; La
température
de la chambre où était déposé le cadavre était
et pousse des cris. Aucun progrès en classe et à l'ouvroir, 112
Température
, poids, taille. 1893. Janvier. Pas d'améliorati
enait très gaie. Chute du rectum presque quotidienne. Tableau des
températures
à l'entrée. Autopsie. 113 Les mensurations co
me et le poids du corps s'est accru de 4 à o kilogrammes ». V. La
température
rectale prise suivant l'habi- tude, matin et so
emiers jours de l'admission a montré qu'elle est au-dessous de la
température
normale et, en général, au-dessous de 37". A ce
vons écrit dans nos précédentes publications. Puisqu'il s'agit de
température
, relevons aussi la marche de la température apr
. Puisqu'il s'agit de température, relevons aussi la marche de la
température
après lu mort. Les notations qui ont été faites
ent chez Thén... La figure 5 met bien en évidence la marche de la
température
durant la coqueluche et ses compli- cations.
s poumons et du- coeur normale, Pouls il 100. Pas d'élévation de la
température
. On inter- rompt l'eosinate; le malade est mis
selles fortement colorées en rouge. Pouls à 78. Pas d'élévation de
température
. 27 avril. Rougeur diminuée d'intensité ; gonfl
'engor- gement ganglionnaire. Respiration naturelle; pouls à 63 :
température
normale. 27 avril. - Gonflement un peu diminué
ès souvent de faire sous elle, aussi bien le jour que la nuit. - La
température
rectale prise matin et soir durant les cinq pre
2 traitement et badigeonnage de teinture d'iode. 10 février. - La
température
est montée brusquement à 40° le soir. Le matin,
, l'état empira considé- rablement et l'enfant mourut à 9 heures.
Température
après décès. 78 : Idiotie ET hémiplégie spasmod
ticulier du côté de la sensibilité qui est normale au contact, à la
température
, à la douleur. Les fonctions digestives s'accom
ssements, de constipation, de cris nocturnes, avec- élévation de la
température
, le tout accompagné d'assou- pissement. Le méde
même temps qu'elle tourne la n'ain g mche et agite les doigts. La
température
rectale, prise matin et soir pendant les cinq p
t sans doute encore développée de juillet à la mort (octobre). La
température
n'a jamais été très élevée dans le cours de la
au 14 entre 36°,4 4 et 3,4; du 14 au 17 entre 37° et 38°; le 18 la
température
tombe à 3 ? oi (11) fi, Fis. 10. P Lésion du
sonnels. t7'lCttl)'C'. - Cachexie tuberculeuse progressive; mort.
Température
pendant la maladie et après le décès. AUTOPSIE.
14 avril. - Bronchite légère qui n'explique pas l'élévation de la
température
(39°), due plutôt, probablement, il une in- fec
tuberculose pulmonaire. Mort le 5 mai. Du G au 11 avril (matin), la
température
a oscillé de 37° à 38°; - du il avril (soir) au
t. » Elle ne veut pas Excitation maniaque. 203 laisser prendre sa
température
. Elle regrette son couvent des Andelys, manifes
at persiste jusqu'au 7 mars. Le 7, au matin, G... laisse prendre sa
température
sans difficulté ( : ;1 ? 1,). Dans la journée,
er ni se déshabiller seule, on est obligé de lui faire sa toilette.
Température
normale. - Trai- tement : chloral, bromure, dou
ientôt, bavarde, crie, gesticule. - Toujours même gâtisme. - Pas de
température
. Même traitement, doses plus élevées. 28 mars
du certilicat de la préfecture de police. "88 Guérison. ' IV. La
température
rectale, du 7 au 15 mars n'a point dépassé 37%
s'améliorant, l'appétit revient. Il n'y a pas eu, jusqu'alors, de
température
. @ 10 mars. État assez satisfaisant. .Juin. -
s ? , soir : 38°, 8. - L'enfant succombe le 23 septembre 18 ! )9.
Température
après décès. Hydrocéphalie ventriculaire. 219
14 mars. La diarrhée recommence depuis hier. Jusqu'à ce jour, la
température
a été normale; elle a oscillé entre 37° et 370,
R. 38°. Soir : 38°. 4. Décoction blanche de Sydenham. 5 Avril. La
température
était revenue à la normale les 2, 3, 4 avril. T
mu- guet sur la langue. 21 avril. T. R. 37", 2. Soir : 37°, 4. La
température
oscille entre 37° et 37o, 4 jusqu'au 25 avril.
rogrès lents mais oonstants ont été notés assez régulièrement. La
température
, qui a été prise durant la plus grande partie d
e.C'est à ce moment qu'on le descend à l'infirmerie : 8 janvier. La
température
atteint le soir 39. A partir de ce jour, elle r
s rien dit jusqu'à 7 heures et demie, moment où il s'est éteint. La
température
à 5 heures du matin était de 37". 8. Voici les
n 1887 et surtout en 1888. Signalons en passant l'élévation de la
température
sous l'influence de l'accès. Parmi les autres s
psie. La mort survient à midi et demie sans autres phénomènes. La
température
est de 36°. Une demi-heure après la mort elle est
modifications jusqu'à la mort qui sur- vient à 5 heures du soir. La
température
descend à 37°, un quart d'heures après la mort
ant : cette différence est très sen- sible pour la sensibilité à la
température
. A la face, la diffé- rence est à peine marquée
: du côté droit, le frottement, le chatouillement, la piqûre, la
température
sont très nettement perçus : pas de retard dans
e camphre. 1 ? août : Taille le, 57 Poids 55 k, 50. 25 novembre :
Température
au moment de la période de; ronflement d'une at
otomie en raison de la gène croissante de la respiration, malgré la
température
élevée du malade et les signes stélliGscopiqLie
elle persiste sur les fesses et la face antérieure des cuisses. La
température
qui a atteint 40°, 2 le soir de l'éruption, s'a
Le 17 toute l'érup- tion a disparu, sans laisser de trace, le 18 la
température
est normale. Juillet. Jan mange proprement, s
nne. Rentré en classe, on l'a couché sur un matelas pour prendre sa
température
. « Je connais ça, a-t-il dit, on ma l'a déja fa
t-il dit, on ma l'a déja fait à l'infirmerie, je ne bouge pas. » La
température
prise, il dit ; « Henri, j'ai du sang, vous allez
ALII;. C'est un des rares cas observés par nous, dans lesquels la
température
n'ait pas été plus basse du côté paralysé, - Di
peut être pincée sans comprendre du tissu sous-cutané. Pouls à 88.
Température
normale. La malade marche en se dandinant un pe
ont normaux. La malade est sensible au chatouillement des pieds. La
température
buccale est de 3Go,l. Les facultés mentales s
ne constatait pas de troubles vaso-moteurs bien nets; toutefois la
température
était manifestement abaissée, aux mains et aux pi
à la minute ; la pression de la dixième paire était douloureuse. La
température
interne était normale. La respiration également
ées. Elle urinait bien et les selles étaient normales. A sa mort la
température
était élevée, ce qui démontre que l'inflammation
xylol pendant une nuit et après dans la paraffine pure fondue à une
température
de 45°. Ainsi le dixième jour je recevais déjà
uré quelques heures, le 8 mai 1898 ; quatre jours avant la mort, la
température
axillaire au lieu d'osciller comme précé- demme
mentaire. On trouva de 1'lipoestliésie au tact, à la piqûre, à la
température
, sur la cuisse gauche, tandis que la sensibilit
es et la sudation exagérées, la réaction 'vaso-motrice retardée, la
température
plus basse. Exagération des réflexes périostiques
il a eu des fourmillements dans les mains. Interrogé au sujet de la
température
subjective de ses membres, le malade prétend av
er il droite qu'il gauche. Actuellement, il n'a aucune sensation de
température
anormale, ni d'un côté, ni de l'autre. La tempé
sensation de température anormale, ni d'un côté, ni de l'autre. La
température
objective du membre supérieur droit est un peu
à 70° ; le malade ne sut à peine faire la différence entre les deux
températures
alors que nous avions de la peine à maintenir les
ous avions de la peine à maintenir les doigts dans de l'eau à celte
température
; enfin un malade du service à qui nous injectâ
e droite tous les signes d'une pneumonie lobaire franche aiguë ; la
température
reste il 40° jusqu'au 7 jour, époque à laquelle
qui ne se maintient pas, car dès le 9e jour le malade avait 40° de
température
vespérale, malgré une dis- parition presque com
bles, des douleurs de tête intolérables, des frissons fréquents. La
température
buccale est de 35°7. La face est bouffie, ambré
lentis- sement de vitalité organique de la peau et l'abaissement de
température
du corps ont pu permettre au micropllyte psoria
nez ; la bouffissure évidente de la face, des pieds, des mains; la
température
subnormale ; la voix coassante; la parole traîn
ercice musculaire et l'alimentation ont déterminé l'ascension de la
température
du corps, transi durant la nuit. DE L'HYYOTHYRO
tisme. Cette expli- cation rencontre d'autant plus de crédit que la
température
est sensible- ment subnormale. Malgré une charg
on de la dysthyroïdie, et si l'on se donnait la peine de prendre la
température
des chlorotiques, on serait vite édifié sur la
s douleurs matuti- nales les chassent du lit, malgré le sommeil. La
température
du corps est sub-normale. Les malades transpire
courte et le coeur très émotif. Le sommeil est lourd et profond, la
température
est subnormale. Ce serait ici le lieu de répé
tres nerveux (céphalalgie, rachialgie, névralgies), de rele- ver la
température
du corps en brûlant plus complètement la graisse,
, 3". Aux jambes la piqûre est ressentie comme un pincement. III.
Température
. - A. Face antérieure. - A la jambe droite hypoes
talon, au gros orteil, aux quatrième et cin- quième orteils. III.
Température
. A. Face antérieure. Hypoesthésie il la chaleur,
l'anesthésie. Hyperalgésie à la tête, aux bras et au tronc. Il[.
Température
. - A. Face antérieure. - Thermo-hyperesthésie tou
elle s'étend atout le thorax à partir de la région lombaire. III.
Température
. - A. Face antérieure. - Thermo-hypoesthésie depu
grandes douleurs, la même co- loration que la jambe saine, dont la
température
ne se modifie pas, dont les artères semblent no
ie aux deux plantes des pieds et hyperal- gésie en ceinture. III.
Température
. - A. Face antérieure. - Hyperesthésie au froid,
ce supérieure, de 4" à la face plantaire, de 2" aux artères. III.
Température
. A. Face antérieure. A la chaleur, hypoesthésie a
algésie au crâne disposée de la même manière que l'anesthésie. III.
Température
. Chaleur. - A. Face antérieure. - Hyperesthésie à
L'altitude tombante des membres supérieurs, les abaissements de la
température
extérieure augmentent considérablement la cyanose
insi réchauffée se refroidit très vite quand elle est replacée à la
température
ambiante, prin- 492 sabrazès cipalement en hi
température ambiante, prin- 492 sabrazès cipalement en hiver. La
température
locale du dos des mains est dès lors de 27°.
nt plus émoussée qu'on se rapproche de l'extrémité libre du membre.
Température
: thermanes- thésie au chaud depuis le tiers mo
bulles pempliigoïdes. La sensibilité au contact, à la piqûre, à la
température
est normale sur toute l'étendue des membres inf
ourent. Elle se rappelle seulement que l'externe du service a pris sa
température
: ses souvenirs s'arrêtent là. J'ai beau la mettr
ussière sur sa figure et ses mains. Fait assez curieux, le sens de la
température
était moins délicat que chez la moyenne de» perso
de plomb, paralysie d'un des avant-bras (le droit), abaissement de la
température
normale, obtusion du goût et de l'odorat, réducti
s différentes phases de l'hypnotisme; c'était l'a lumière, le son, la
température
, les vibrations de l'atmosphère, l'électricité, l
noir pour la vue, donne la sensation d'une chaleur étouffante pour la
température
, la sensation de chute dans un précipice pour le
a joue) une carte pour laquelle je lui avais suggéré une sensation de
température
différente des autres ; ce fait ne peut s'expliqu
, comme me l'ont indiqué des expériences comparatives, on voit que la
température
de ces régions avait subi un abaissement considér
che et de 7°5 à droite. La suggestion hypnotique fut employée et la
température
s'éleva progressivement tous les jours d'un deg
27° 30 » » 23°6. » 27°8 Sans répéter ls suggestion, j'ai pris la
température
locale..tous les jours et vers le 10 avril les de
e..tous les jours et vers le 10 avril les deux mains présentaient une
température
d'environ 30°. Il avait suffi de donner l'impulsi
insi, la suggestion a pu, en quelques jours, faire remonter de 10° la
température
dans une région considérablement refroidie. Une
facilement la chaleur. En même temps je taisais la suggestion que la
température
allait s'élever. Une demi-heure après, je tus éto
la suggestion, un abaissement de 20. Toutefois le lendemain matin la
température
de la main gauche était à 27°8, c'est-à-dire que
ure provoquée. Le malade est sorti de l'hôpital le 8 juin; avec une
température
de 320 aux deux mains. Au mois de Septembre 1889,
ssa. Il m'a été beaucoup plus facile que la première fois d'élever sa
température
, ce qui se comprend aisément si l'on songe avec q
ocale. En 24 heures je pouvais faire varier en plus ou en moins, la
température
des mains de 10°. Un jour, je lui dis: c La main
ssus du pli du coude, sous l'extension du biceps. Le 13 décembre la
température
des deux mains était à 320. En pré-sence de plusi
mbre. Main droite 30°. Main gauche 19°. Ainsi donc en 48 heures, la
température
de la main gauche s'était abaissée de 13 degrés s
qu'il se produisait un tremblement dans la main et l'avant-bras. La
température
a été prise d'heure en heure. 9 heures 20°5.
res 20°5. 10 heures 23°5 11 heures 26° 5 Midi Le 17 Décembre la
température
était à 31* \ gauche comme à droite. Les tracés s
asphyxie de la main droite. Avant l'expérience à 9 heures du matin la
température
des deux mains était de 30°. une demi-heure après
er phénomène et que le refroidissement est consécutif. A 11 heures la
température
était de 20° 5; à droite et de 30° à gauche; à 3
t après une petite en se, je pus facilement obtenir l'abaissement des
températures
recherché ; ce qui prouve une lois de plus que po
oduire à une heure fixée d'avance par la suggestion l'apparence d'une
température
demandée (p.ex.de 36,0 et 38, 5 degrés). Mais que
pérature demandée (p.ex.de 36,0 et 38, 5 degrés). Mais quelquefois la
température
demandée dans certains cas anormaux se produisait
ce musculaire, que le jour où je constatai que les oscillations de la
température
périphérique des malades mar- chaient parallèle
tilité. et. à ce transport de la sensibilité, de La motilité et de la
température
d'un côté à l'autre côté du corps, je donnai le n
ût complet, la peau fortement érythémateuse, et descendue a une basse
température
, je fis sur les deux épaules, aux régions symétri
OT paris. — imprimerie clamaron-graff, 57, rue de vaugirard de la
température
de deux à trois degrés et quelquefois davantage.
est froid, très froid mème : le membre envahi offre une différence de
température
de trois à cinq degrés inférieure au membre sain
dissociation syringomyclique avec perte totale de la sensibilité à la
température
et à la douleur et conservation intégrale du tact
s, contrastant au plus haut point avec la main opposée, de volume, de
température
et de coloration normales. M. Charcot présente à
e à la pression et le doigt ne s'y enfonce pas ; enfin elle est d'une
température
de trois degrés au dessous de la température norm
s ; enfin elle est d'une température de trois degrés au dessous de la
température
normale de tout le reste du corps. Elle ressemble
plète- ment intact. La sensibilité au contact, à la douleur, à la
température
, sont intacts sur toute l'étendue du corps. La
ifférents observés sur leurs épileptiques. D. Bernard. III. SUR LES
températures
inférieures des malades atteints d'une lésion c
ratscla, 1880, n° 12.) L'auteur a observé chez un paralytique une
température
de 31°, 9 - 33°, 3 sous l'aisselle, et de 32°,
31°, 9 - 33°, 3 sous l'aisselle, et de 32°, 3 dans le rectum. Cette
température
a duré jusqu'à la mort, et l'autopsie a fait reco
cule céré- belleux moyen. M. MENDELSSOHN. IV. SUR un cas de basse
température
; par IASYREFF. ('acA, 1880, n° 12.) L'auteur
('acA, 1880, n° 12.) L'auteur a observé pendant quatre jours une
température
oscillant entre 30°, 1 et 26°, 5 chez un sujet
sés par des stades habituels de frisson, de chaleur et de sueur. La
température
atteint de 38° à 'i.0°; la rate est augmentée d
es pneumonies du sommet et que l'évolution, suivant la marche de la
température
, ne dépasse pas quelques jours. La mort ne se m
us- quement au cours de la deuxième semaine, en même temps que la
température
baisse, accident d'ailleurs passager. L'évo- lu
pendant l'application des plaques de zinc, les différences entre la
température
centrale et les tem- pératures périphériques ét
piration. La respiration stertoreuse est fréquente et précoce. Se
Température
. Le frisson, la sensation du froid sont des rev
t des revue de pathologie mentale. 229 phénomènes peu communs. La
température
a été notée dans trop peu de cas pour que l'on
n d'énergie des battements cardiaques, une légère augmentation de
température
, l'accélération des mouvements respiratoires. D
pendant deux ou trois semaines, l'abandonnant ainsi im- prégné à la
température
de la chambre. L'acide pyroligneux se substitue
tendue et leur nombre varient avec l'intensité de l'affection. Leur
température
est la même que celle des régions voisines. L'é
s manifestations n'étaient accompagnées ni d'un accroissement de la
température
, ni d'une plus grande fréquence du pouls. ' i
plus profonds. Le malade s'assoupit, tombe dans le collapsus, la
température
s'abaisse, les extrémités se refroidissent et enf
t. IV. 21 370 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. Pas de différence de
température
ou de coloration aux mem- bres inférieurs. Sens
her plus fin, celui de la douleur notablement augmenté, celui de la
température
normale. La sensibilité de la peau au courant g
correspondant à la zone d'anesthésie du côté droit. Le sens de la
température
est normal à gauche. Les réflexes tendineux, no
ns, fut reçu, le 27 mai 1881, au 6'a ! /H ? HC ? 'as Tent /«7a/. Sa
température
, qui était de 100 à 103°, s'éleva subitement le
11 fut alors plongé dans un bain à 68° pendant quinze minutes. La
température
tomba à 9(>^, mais s'éleva dans les dix-huit
coeur parce que le pouls présente une réduction plus forte que la
température
, et qu'en aucun cas il n'eut à noter de phéno-
du), 351. Cerveau (casuistique des blessures du), 123. Cerveau (
températures
inférieures des malades atteints d'une lésion
ontre l'abus du), 142. Tabes incipiens, par Erlenmever, ,t36.
Températures
inférieures des ma- lades atteints d'une lésion
ma- lades atteints d'une lésion céré- brale, par Sklowsky, 88.
Température
(basse), par Kasyreff,- 88. Thomsen (Maladie
at somnolent; ils ne remuaient plus vers la fin de l'expérience. La
température
rectale, même après de longs mouvements, n'a pa
plus ou moins longue, selon lavirulence dumicrobe, sa nature, la
température
, le milieu nutritif, etc. Mais pour le vertige
la ligne moyenne (fig. L7). La main ne z sent pas une différence de
température
jusqu'à 150; l'avant-bras et le bras celle de
ine, la nuque et le membre inférieur sentent des diffé- rences de
température
moindres, mais partout supérieures à celles du
nnervées par les nerfs spinaux ne percevant pas la différence des
températures
de 10°. L'.analgésie est venue se surajouter pa
a main droite distinguait la différence entre 17 et 19°, mais cette
température
paraissait tiède, peut-être sous l'in- fluence
te température paraissait tiède, peut-être sous l'in- fluence de la
température
peu élevée de la main. Traitement. On avait d'a
discussion; tandis que la thermanes- thésie partielle du sens de la
température
avec loca- lisation caractéristique est justeme
aules et des bras et ne se voit presque pas aux mains. Le sens de
température
est normal sur les membres inférieurs, le ventr
algésie seulement est restée dans la région des épaules. Le sens de
température
s'est également amélioré. Il reste une zone the
s des symptômes aussi électifs que le trouble partiel du sens de la
température
, ne peut dépendre, d'après ce que nous savons,
5 66 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. vases pleins d'eau à diverses
températures
. Le présent mémoire contient : trois observatio
sensibilité examinée sous tous ses modes paraît annihilée (douleur,
température
contact) au membre droit, surtout à la région d
douleur, surtout à droite, mais non sous celui du contact et de la
température
. Nulle trace de paralysie du membre supérieur dro
degrés différents tout le mem- bre supérieur droit. Le sens de la
température
est diminué sur un large espace. Il n'est compl
la science. Cela tient certainement à ce que la sensibilité à la
température
est très rarement recherchée et alors qu'on a c
pas avoir prêté une attention suffisante à l'examen du sens de la
température
; néanmoins il a vu des lésions de sensibilité à
; néanmoins il a vu des lésions de sensibilité à la douleur et à la
température
avec conservation du sens du toucher. Distrib
anes- thésie thermique, sans percevoir pourtant la différence de
température
à 20°-30°. 204 PATHOLOGIE NERVEUSE. Les degré
a neige lui était indifférent), tandis qu'à l'endroit symétrique la
température
perçue comme chaleur du côté gauche, ne provoqu
oid ou à la chaleur. Il peut y avoir aussi perversion du sens de la
température
les objets froids produisent une sensation de c
caux, un abaissement de nutri- tion générale avec abaissement de la
température
du corps. Nous n'avons pas l'intention d'énum
o-rachidien par l'injection de sérum étendu d'eau distillée et à la
température
de 37°, alors on voit survenir les résultats de
avec cela existait toujours parallèle- ment la lésion du sens de la
température
et de dou- leur, cette explication fournirait l
abilité. Mais nous savons que la sensibilité à la douleur et à la
température
peuvent être atteintes isolément ; que le proce
lus constant de la maladie est l'anesthésie partielle du sens de la
température
, plus souvent combiné à de l'analgésie. Le diag
on, il est donc nécessaire de toujours examiner la sensibilité à la
température
et à la dou- leur : 1) dans les troubles trophi
rminé par une plateforme de un centimètre de diamètre, ramené à une
température
de 150 centig. ou au contraire échauffé jusqu'à
a-t-il pour déterminer le pronostic de la durée d'une attaque ? La
température
donne peu d'aide, mais le pouls peut servir. Qu
se dessine en relief de deux ou trois millimètres de hauteur; la
température
locale augmente en même temps ; mais au bout d'un
) par Hebold, 15 ; - - (contribution au), par Holl- maiin, 447.
Température
(méthode pour éprnu- ver le sens de la), par Go
ellents. Parole et voix nettes. Propre, soigneuse de sa personne.
Température
à Ventrée. ÉPILEPSIE VERTIGINEUSE ET BROMURE DE
, depuis l'entrée, paraît avoir été provoqué par une indigestion.
Température
dans l'accès. 6 THÉRAPEUTIQUE. course. En rep
t et dans les premiers temps de son entrée à la Fondation Vallée.
Température
à l'entrée. 16 THÉRAPEUTIQUE. ' son caractère
rquoi m'avez-vous fait monter ici ? » Elle ne se souvenait de rien.
Température
au mo- ment du ronflement, 37°, 6 ; un quart d'
même que dans le précédent, nous cons-; tâtons une élévation de la
température
sous l'influence de l'accès. Cette élévation es
ccès. Cette élévation est bien mise en relief par le tableau' de la
température
durant les cinq premiers jours de l'ad= mission
e et circonspection. G. D. X. Dissociation hystérique du sens de la
température
avec inver- sion de la sensibilité au froid ; p
Du le, février au 10, même situation. La figure 27 montre que la
température
est restée normale en janvier et qu'il y a une lé
les pupilles toujours inégales et dilatées, la langue sabur- rale.
Température
37",9. Dans l'après-midi, l'agitation reparait.
",9. Dans l'après-midi, l'agitation reparait. Les jours suivants la
température
oscille autour de 38° : quelques râles de bronc
âles de bronchite et des signes de congestion pulmonaire. Le 18, la
température
monte à 39°,5 le matin pour redescendre le soir
toire professionnel (voitures, chevaux). A partir du 24 février, la
température
revient à la normale, la peau est plus fraîche,
sses dans la jambe et le bras droil, sans perte de connaissance; la
température
, 38°,4 4 le soir, monte le 26 à 39°,4 4 pour re
age, organisent le déchargement d'une voiture. Le soir du 7 août la
température
monte de nouveau à 39° pour retomber le lendema
e; le 10, l'état subdéli- rant persiste avec inconscience absolue ;
température
38;°2; les attaques reviennent de plus en plus
u du côté droit et sont moins intenses. Mais les jours suivants, la
température
monte et atteint le 15 juillet 39,06. L'état géné
matique, langue sèche, fuligineuse, extrémités froides, gâtisme,
température
39°. Le 16, le malade succombe. , Autopsie fait
n, enfin prédisposition. Nous noterons qu'aucune modification de la
température
ne coïncidait avec ces bouffées hallucinatoires
n des poussées très intenses de délire hallucinatoire. Or voici les
températures
rectales correspondantes. 312 RECUEILS DE FAI
e aux lécithines elles-mêmes. Le seul fait de se maintenir dans des
températures
biologiques a changé le résultat. La choline n'
s opérations il faudra s'astreindre v se tenir dans les limites des
températures
physiologiques. Aucun coips ne sera chauffé au-
é au-dessus de 38° et les synthèses seront faites à l'étuve à cette
température
. Si des distillations sont nécessaires, on les
e qu'il suffit, pour les obtenir, de maintenir leurs éléments à une
température
fixe pendant un temps souvent assez long. Ils n
froidissement et cyanose des extrémités ; abaissement notable de la
température
centrale qui est en même temps inversée, le deg
vant pendant la nuit et s'abaissant pendant le jour; différence de
température
matinale et vespérale plus forte que de coutume e
rir. Le traitement consiste dans le repos au lit, jusqu'à ce que la
température
redevienne normale, la réglementation de l'alim
uérison du phlegmon décrit précédemment), -T ? présente le soir une
température
de 39°2. L'examen physique ne décèle à ce momen
ir flliforme, presque impercep- tible les deux derniers jours. La
température
de 39°2 le soir du 6 avril, passe à 39°3 le 7 ^au
ssement. Le 16, coma, puis mort. Ni les symptômes observés, ni la
température
ne permettaient de conclure à une pneumonie. L'
cette péricardite nous explique le caractère anormal apparent de la
température
pendant la pneumonie. Les deux feuillets de la
la péricardite nous expliqua le carac- tère anormal apparent de la
température
pendant la pneu- monie. On a remarqué en effe
vient au cours d'une maladie primitive, il arrive parfois que la
température
s'abaisse; ce fait s'observe surtout chez les v
Or c'est bien là le cas de notre malade, et on comprend pourquoi la
température
a commencé à baisser dès le troisième jour. A
, à cause de la localisation du mal au centre du poumon. Quant à la
température
, nous venons de voir à quoi tenait sa courbe an
s dans l'organisme même, lorsque ce- lui.ci est infecté, lorsque la
température
s'élève, lorsque se pro- duisent des fermentati
gnés de' dépression générale avec tendance au sommeil, élévation de
température
, céphalée et quelques vo- missements. Il n'y eu
usieurs fois de véritables fugues. Dans les périodes d'accalmie, la
température
revenait la normale. Les périodes d'asthénie et
gravèrent progressivement et aboutirent au coma véritable, avec une
température
de 3\)° : >. A l'autopsie on trouva une napp
icité des accidents et leur l'apport avec les modi- fications de la
température
. Les tendances actuelles les ratta- chent à des
es. z Séglas. XXIV. Les oscillations périodiques mensuelles de la
température
, du pouls, et de la respiration chez les aliéné
omie ET de PHYSIOLOGIE Pathologiques, une légère augmentation de la
température
, du pouls, et de la respiration. Ces modificati
ielle et intellectuelle. Il y a déficit de la sensibilité (douleur,
température
), des fonc- tions sensorielles (sens des couleu
accidents caractérisés par la perte de connaissance, l'élévation de
température
, l'ébauche de crises convulsives ; diagnostic c
caractère discret de l'éruption, en dépit du degré peu élevé de la
température
(38°).le pronostic devenait très sombre. En eff
s'augmentent chaque jour de nou- velles méthodes de laboratoire.
Température
. C'est d'abord la température qui, normale chez
ou- velles méthodes de laboratoire. Température. C'est d'abord la
température
qui, normale chez les tuberculeux sains d'espri
Il est donc utile de faire prendre pendant la première semaine la
température
des malades entrants le, matin et le soir vers
centimètre cube d'une solution à 1 /100 de tuberculine de Koch ; la
température
, notée avant l'injection, est prise toutes les
u millième dont il injecte deux milligrammes et note l'élévation de
température
dans un délai de 8 à 15 heures après l'injectio
utomne, il son minimum en hiver, et secultive surtoutàun de- gré de
température
qui correspond à l'optimum de son dévelop- peme
sans doute étendre son application, sans avoir à tenir compte de la
température
extérieure. Dans l'état actuel, nous avons dû li-
s. Au onzième jour l'enfant a pris neuf fois la dose de 0,25 cg. La
température
s'est dès le troisième jour élevée de quelques
est obligé de suspendre la glande thyroïde, pendant la période de
température
qui dure une dizaine de jours. Le 28 janvier le
de 1 gramme de glande thyroïde (en 62 jours). Pendant ce temps, la
température
se maintient très régu- lièrement entre 37' et
ces quatre mois, l'enfant a gagné encore trois centimètres ; et la
température
s'est maintenue pendant les 3 premiers mois, av
e fut de nouveau reprise de bron- chite avec une forte élévation de
température
, et l'on dut cesser la glande thyroïde. Après
était assez difficile à soi- gner et très exigeante, s'améliore. La
température
s'élève toujours le soir, mais l'enfant augment
l'enfant s'aggrave rapi- dement ; elle maigrit progressivement. La
température
à grandes oscillations donne des différences de
est de plus en plus courte, l'oppression augmente, en même temps la
température
baisse un peu. 8 juillet. Aggravation, soif i
a précédé la mort de 24 heu- res, alors que plus habituellement la
température
s'élève il la période finale. L'étude des cas
p. 239. Aliénés. Voir Condamnés. Voir Sang. Voir Scorbut. Voir
Température
. en liberté, p. 157, 413. Les - étrangers int
s de la paralysie générale, par A. Ma- rie, p. 217. Pouls. Voir
Température
. PSEUDO-PARAL l'SIE générale progressive, par
ologique et psy- chiatrique, par Hamel, p. 230. Respiration. Voir
Température
. RÉTICULUM FIBRILLAIRE. RC; cherches sur le -
ouls lents permanent chez le même sujet, par Josserand, p. 469.
Température
. Les oscillation périodiques mensuelles de le
période apparente de délire. — Refus de manger. — Modifications de la
température
sous l'influence des attaques. Variétés des att
lles constituaient un véritable état de mal dans lequel, du reste, .a
température
ne dépassait pas 38°. Vers le milieu de février
trite d'amyle, de Y ammoniaque, de V électricité.—Modifications de la
température
, des sécrétions. Electrisation : retour partiel
étant moindre qu'au moment de la phase tonique. En second lieu, la
température
centrale se maintenait au-dessous de 38° après 20
auchemars, insomnies, crampes, troubles digestifs, augmentation de la
température
, etc. — Disparition de ces accidents. — Retour à
a pression. — Prodromes et symptômes des attaques de sommeil : pouls,
température
, etc. — Attaques hystériques. — Troubles vaso-m
ntôt s'est endormie. On l'a 'déshabillée et couchée et l'on a pris sa
température
sans qu'elle s'en aperçoive. T. R. 37°,4. La nuit
Attaques de sommeil : Prodromes. — Symptômes. — Pouls, respiration et
température
. — Phénomènes cataleptiques. — Contracture. — Sig
e. Description de l'att;ique de sommeil de 1876 : abaissement de la
température
centrale. — Attaques hystériques ébauchées. É
ins moments, elle est précipitée, ce qui correspond à des rêves. — La
température
vaginale est élevée de quelques dixièmes au-dessu
.. (Obs. X); à 37°,8 et une fois à 38",2 chez H... (Obs. XI), dont la
température
, en dehors des attaques, oscillait entre 36°,9 et
le pouls à 28-32; la respiration très ralentie (3-0 par minute) ; la
température
au-dessous de 36°; la face cyanosée. En un mot, n
— Modes d'arrêt : compression, éther, chloroforme, nitrite d'amyle. —
Température
. Sommation ou léthargie : hyperexcitabilité neu
ques heures (états de mal hystéro-épileptiques), sans élévation de la
température
centrale. Elles étaient justiciables de la compre
bisme, 62. Succube, 444. Suggestion, 27, 44, 74, 4 94, 205. T
Température
dans les attaques, 44, 49, 53, 65, 67, 68, 69, 76
1899. Extrait du Journal de Neurologie. - Marchand (L.). Pouls et
température
dans les accès épileptiques, les vertiges épile
tion de l'enfaut sur le \ entre. Facultés intellectuelles intactes,
température
35°, ; pouls, 10 à. L'enfant regardait à la gra
t 3 centimètres cubes (chaque tube est de 10 centimètres cubes), la
température
de 35° a monté à 38°; les secousses cessèrent.
qu'au commencement du traitement, l'organisme réa- gissait bien, la
température
montait, les secousses disparaissaient, mais av
36 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. On a observé cinq fois l'élévation de la
température
, trois fois de l'urticaire, éruption pigmentair
e 2 mai matin, on constate une hémiplégie droite avec anes- thésie.
Température
38°. Le 3, déviation de la tête et îles yeux du
rature 38°. Le 3, déviation de la tête et îles yeux du côté gauche.
Température
3'J,2 à droite, 38°,8 à gauche. il. le professe
rieur. Les réflexes tendineux sont exagérés. Pas de contractures.
Température
38°,3, pouls 80. DE L APOPLEXIE PROGRESSIVE 203
ccentue, l'indifférence devient complète, l'apoplexie se constitue.
Température
38°,9. Le 19 au matin, le tableau de l'apoplexi
ins atteinte. Les réflexes demeurent exagérés. Pas de contractures.
Température
3cJ°,5. Poulsl20. Bientôt survient du stertor.
pétés se faisait sans efforts et par gorgées de liquide jaunâtre.
Température
axillaire, 38° à gauche. Le lendemain 14, même
réflexes des deux côtés, surtout des réflexes rotuliens. Pouls 120,
température
axillaire 38°,8 à droite, 38°,2 à gauche. DE L'
er. Pouls IbO, embryo- cardie. Relâchement des sphincters. Le soir,
température
40°,8 il à gauche, 40°,0 à droite. Elle meurt à
homme permet à l'auteur d'émettre les conclusions suivantes : 1° La
température
inférieure à 10°, même quand elle se prolonge p
hermie expérimentale ; 2° Dans des cas infectieux fébriles, où la
température
a dépassé 40°, il peut se rencontrer des lésion
it par l'élév, tion thermique ; 3° C'est surtout dans les cas où la
température
a atteint ! ¡ 1°, et s'est maintenue à cette él
rent. Elles ressemblent à celles qu'on réalise en faisant varier la
température
de l'animal entre 43° et 4o : le corps cellu- l
rien de mieux que les bains permanents à 28" Il entretenus à cette
température
du matin au soir, en prenant toutes les précaut
vaseline aux endroits qui portent).- en surveillant le pouls et la
température
du patient dont préalablement on aura attentive
rs plus prononcée du côté droit. Pouls 100, quelquefois irrégulier.
Température
36,8-37,5, puis le 19, elle monte à 39°, en mêm
stipation, anurie, constriction thora- cique, céphalée et vertiges,
température
normale, lucidité d'esprit jusqu'à la mort, lég
volution, mais toujours elle prend naissance pendant l'élévation de
température
. On y retrouve : une ébauche de période d'excit
quantité de pus. Le membre opéré est considérablement oedématié; la
température
en est sensiblement inférieure à celle du membr
iminué. Le teint reste pâle; le pouls est toujours pré- cipité ; la
température
est normale. 21 mai. Pas de changement apprécia
délire a cessé en même temps que s'est produit l'abaissement de la
température
. Sans avoir besoin de voir, ni de toucher son m
droit. Impotence absolue de lout le membre ; paralysie flasque. La
température
parait plus élevée que celle du membre sain, la
Membre inférieur droit. -Impotence absolue. Paralysie flasque. La
température
parait plus élevée. , Sensibilité. Tact. Nous t
on membre supérieur droit dont il apprécie fort bien l'élévation de
température
. Au niveau du membre inférieur droil, résultat
ns et des organes pelviens (les autres réflexes sont affaiblis), la
température
est normale. Après une aggravation passagère de
bilité complète des membres et de la plupart des muscles moteurs.
Température
: 39°. Pouls : 120°, rapide, fort et bondissant.
lète ; le malade reconnaît ses parents et essaie de leur parler. La
température
monte (39°.0 hier soir, 40°2 ce matin) ; la pea
0 par minute). Pendant la journée l'état continue de s'aggraver, la
température
monte à 40°,0 et le malade meurt dans la nuit.
pour la trans- mission de la douleur et pour la transmission de la
température
. Après la compression des fibres du faisceau de
déformée, est libre de ses mouvements et indolore à la pression. La
température
monte à 3 î°,8 et 40 ? Accidents gangreneux du
mouvements- respiratoires, élève la pression artérielle. abaisse la
température
centrale, il diminue la destruction des globules
tensité, le pronostic cst très mauvais. Pendant plusieurs jours, la
température
axillaire oscille dans les environs de 39°,5 et
mouvoir. L'opislhotonos n'existe plus, le dos repose sur le lit. La
température
est à 38°, â. L'attaque ne diffère en rien des
66 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. d'aspect corné, mous et flexibles à la
température
ordinaire ; leur densité est égale à z3 ; ils p
. Le phosphore entre faci- lement en fusion et devient liquide à la
température
de 44°,2 ; il bout à 290° et distille sans rési
empêché par les vapeurs d'étber ou d'essence de térébenthine. A la
température
ordinaire le phosphore s'oxyde lentement et ver
nt d'abondantes fumées blanches d'acide phosphorique anhydre. Cette
température
d'inflam- mation du phosphore est facilement at
e blanc en phosphore rouge en l'expo- sant pendant huit jours à une
température
de 250 degrés. Le phosphore rouge se présente e
s'enflamme pas au-dessous de 260° : -. il fond et distille à cette
température
en repassant à l'état de phosphore blanc. Le
nd froid, mais simple- ment la sensation d'un morceau de bois à une
température
de 10 à il° R.; la chaleur les dissipe sous tou
ot, c'est-à-dire l'abolition de la sensibilité à la douleur et à la
température
et la conservation de la sensibilité au contact
a face postérieure de la jambe. (V. la fig. 11.) 2 Sensibilité à la
température
. - Le trouble est distribué de même façon pour
poplilé externe) et une hypoesthésie au tact, à la douleur et à la
température
, dans toute l'étendue du membre inférieur droit
est complète pour tous les modes de sensibilité (toucher, pression,
température
, piqûre, sensibilité ar-* ticulaire). La main d
ie, action de l'eau froide ou impression brusque d'eaux de diverses
températures
, excès de travaux professionnels (couture, repa
ermie très pro- noncée, tandis que le côté sain pâlit et diminue de
température
. Intégrité de la sensibilité. Le repos met fin
au bout de quelques jours, sans avoir présenté aucune élévation de
température
. Les crises qui avaient lieu douze fois par moi
aille, chétif. La sensibilité générale, au tact, à la douleur, à la
température
, et le sens musculaire sont notablement affaibl
nt. Placée dans un vase rempli d'eau dont on élève graduellement la
température
, elle sautera en dehors aussitôt que la tempéra
raduellement la température, elle sautera en dehors aussitôt que la
température
devient trop chaude. Placée au fond d'un seau d
en résulle toujours des lacunes de la mémoire. P. K. LXVII. DE la
température
CHEZ LES paralytiques généraux; par II. ROTTENB
ux; par II. ROTTENB1LLEIt. (Centralbl. f. Ne1'venheilk, 1889.) La
température
du paralytique est le plus souvent au-dessous de
omatique. Toutes les fois que se produit une attaque congestive, la
température
monte pendant plusieurs jours. Quand il existe un
Quand il existe un profond marasme, c'est un profond abaissement de
température
que l'on constate. Enfin, la température de l'a
un profond abaissement de température que l'on constate. Enfin, la
température
de l'agonie est très va- riable. La température
constate. Enfin, la température de l'agonie est très va- riable. La
température
de l'épileptique ne présente aucun carac- tère,
'épileptique ne présente aucun carac- tère, les attaques élèvent la
température
. P. K. LXVIII. Deux cas D'ÉRYSIPÈLE DE la face
don, 1890. .1. A. Churchill. Hale White. The etlect upon the bodily
température
of lésions of the corpus 8t1'iatum and optic Th
ar Struempell, ;1; - marche et etiotogie de la par Ascher, 442;
température
dans la par Rot- tenblller, rf3 ; et aphasie, p
Dida, les habiles successeurs de Ruggieri. Ce mélange est porté à une
température
suffisante et produit une lumière magnifique et t
très fin que l'on constate après l'inflammation. Pour porter à une
température
convenable le mélange en question, nous nous serv
i ces accidents surviennent rarement dans la belle saison, lorsque la
température
est élevée et le tirage rapide, ils se produisent
elle se mélange avec l'eau distillée froide et donne un bain dont la
température
est convenable. Les épreuves, mises dans ce bai
en l'agitant dans l'eau tiède, on la voit se dépouiller peu à peu. La
température
de l'eau permettra de corriger dans une certaine
t la presse. On devra pouvoir maintenir dans celte dernière pièce une
température
moyenne de i5° à i8° et y éviter toute humidité.
sable permet de la chauffer el d'obtenir dans la partie supérieure la
température
convenable. Le système le plus avantageux est le
. Pour se servir de l'étuve on allume la rampe de gaz et lorsque la
température
est au degré voulu on place les planches sur les
aura dû être chauffée à 4o° et les glaces mises de niveau. Lorsque la
température
du bain-marie sera descendue à 45°, on mettra sur
petite quantité d'eau et on la maintient pendant une demi-heure à la
température
de 5o° à 6o°. Tl ne faut pas dépasser cette tempé
mi-heure à la température de 5o° à 6o°. Tl ne faut pas dépasser cette
température
sous peine de décomposer la gélatine; on pèsera a
émité de l'agitateur. On fermera alors l'étuve et on maintiendra la
température
à 4o° pendant une heure et demie ou deux. On étei
. On éteindra alors le feu, et, lorsque l'étuve sera redescendue à la
température
de la pièce, on pourra sortir les planches. Ins
........................... 35o La solution ne doit pas dépasser la
température
de i5"; après 5 minutes d'immersion, le papier es
que forcément on me verra rougir, amène précisément la rougeur. La
température
? J'aime l'été avec beaucoup, beaucoup de solei
ur com- mence à baisser. INFLUENCES DIVERSES 1° Influence de la
température
. - a) Par les temps chauds, quant on sue facile
du diabète proprement dit manquaient, mais presque tous avaient une
température
au-dessous de la normale et des antécédents alc
rale. (The alienist and neurologist, juillet 1896.) E. B. II. LA.
TEMPÉRATURE
SUPERFICIELLE DU CRANE DANS LES MALADIES cérébr
DANS LES MALADIES cérébrales; par le Dr MAc-C%srry. L'étude de la
température
superficielle de la tête peut-elle aider au dia
iques de Lombard, faites sur un ensemble de G000 observa- tions, la
température
normale de la surface de la tête oscille entre
5° et36°, 5, variationquiserapprochede celles qu'on observe dans la
température
prise dans la bouche ou le rectum. La tempéra-
che ou le rectum. La tempéra- ture extérieure influence beaucoup la
température
superficielle de la tête, surtout lorsqu'elle e
ceront, de la sorte, le minimum d'influence sur l'éléva- tion de la
température
. Cette prise de température locale est en somme
m d'influence sur l'éléva- tion de la température. Cette prise de
température
locale est en somme une opération délicate, qui
empérature locale est en somme une opération délicate, qui donne la
température
de la peau en un endroit déter- miné et dont la
eur repose entièrement sur la netteté avec laquelle elle indique la
température
approximative de la portion de cerveau sous-jac
GIE NERVEUSE. 47 Dans les méningites de types aigus et subaigus, la
température
crânienne est invariablement plus élevée que la
gus, la température crânienne est invariablement plus élevée que la
température
géné- rale, et l'élévation la plus grande corre
matoire est le plus développé. Dans la folie, les recherches sur la
température
superficielle du crâne n'ont pas encore donné d
gliano, Seppilli et quelques auteurs ont trouvé une élévation de
température
dans la manie aiguë. (The alienist and neizrologi
remblement, les points atteints non douloureux mais hyperesthésiés.
Température
38° ; pouls 70, petit contracté. Traitement : i
e, intelligence intacte comme dans le premier cas, pouls filiforme,
température
38 ? Pas d'antécédents REVUE DE PATHOLOGIE NERV
rent la douleur et l'attitude est reprise aussitôt qu'on les cesse.
Température
38°; pouls 130, sueur profuse inondant les drap
sie bulbaire. La sueur est encore excessive, le pouls filiforme, la
température
40°, la voix éteinte, l'intelligence est intact
hates, sortant du phosphate ter- reux ; 2° perturbe la marche de la
température
générale ; 3° modifie enfin la toxicité urinair
de mal. Elévation notable de la tempéra- rature. Mort. Marche de la
température
et de la rigidité cadavériques. Autopsie. Liq
s ; pas de modification nutritive de la peau ni du système pileux ;
température
plus basse du côté paralysé. Peau et tissu ce
Soir : T. R. 38°,9. 7. - L'enfant meurt à 7 h. 15 du matin avec une
température
de 41°,2, sans avoir repris connaissance, et sa
nce, et sans avoir eu de nou veaux accès. 198 RECUEIL DE FAITS.
Température
après décès. SCLÉROSE CÉRÉBRALE HÉMISPHÉRIQUE.
nit un nouvel exemple : il a succombé à cette complication avec une
température
cen- trale très élevée (41°, 2). IV. La sclér
it défaut dans deux cas de diabète avancé. Chez tous les malades la
température
restait au-dessous, et quelquefois très au-dess
hyroïdien ayant été donnée à l'enfant, on constata une élévation de
température
, de la prostration et des symptômes nerveux dur
si que la décussation des fibres du toucher, de la douleur et de la
température
se fait à des niveaux légèrement différents. La
des vertiges, puis des vomissements, de l'ictère avec élévation de
température
. La mort survient après des convulsions coniques
sie accompagnée de péricardite. Au bout de deux mois l'élévation de
température
fut notée Ja fièvre, de 38,8, qui dura assez lo
étaient volumineux. Les urines ne contenaient pas d'al- bumine. La
température
oscillait entre 38° et 39°. Après quelques jour
pe, 490. Tnsso. : orquato- et ses biographes, par Ireland, 255.
Température
superficielle du crâne dans les maladies cérébr
diamètres ; le diamètre le plus usuel est de 13 millimètres. La
température
de l'eau doit être de + 8° à T- 10° et ne jamai
au : 1 m. 10. Le diamètre de la lance est de 10 millimètres. La
température
de l'eau le 29 mars 1882 à 9 heures du matin es
séjourné un certain temps, une nuit chaude d'été, par exemple, sa
température
tend à s'équilibrer avec la température ambiant
de d'été, par exemple, sa température tend à s'équilibrer avec la
température
ambiante. Le sous-sol du réservoir est à 4 m.
servoir ne permet pas à certaines saisons dedonner les douches à la
température
voulue, et qu'enfin l'aménagement des locaux ba
urtout adroite. Badig. iode. T. R. 38°. - Soir : 39-. 21 janv. La
température
se maintient à 38° ; quelques râles, bon appéti
de secousses convulsives de peu d'étendue. T. R. 37°,8. 6-10 fév.
Température
invariable de 37°,6 ; la convalescence est assu
ce de l'aimantation, mais il ne s'agissait pas d'épileptiques. La
température
rectale, prise avec un thermomètre clinique ord
éningo-encéphalite chronique. - Accidents aigus : leurs caractères,
température
. Autop- sie : séparation complète de la substan
ontre-visite, on s'aperçoit que les convulsions ont recommencé : la
température
qui, jusqu'à présent, oscillait autour de 38°,
n n'a jamais été en danger; le pouls a toujours été bon. Quant à la
température
prise immédiatement après le réveil, elle n'a p
. La sen- sibilité au chatouillement, au pincement, au choc, à la
température
, est normale. Phénomène du tendon normal ; pas
tants mécaniques, chimiques, élec- triques de la peau; sensibilité;
température
locale. R... (Georges), entre le 3 août 1883 à
prurit. A leur niveau cependant, il existe une notable élévation de
température
ainsi que nous nous en sommes assuré en appliqu
circulation est peut-être défectueuse, aux extrémités au moins; la
température
des extrémités est, en effet, relativement trop
en rythmés et réguliers. Le pouls bat 93 pulsations à Ja minute. La
température
axillaire est de 35°,5. Mais les examens du pou
pérature axillaire est de 35°,5. Mais les examens du pouls et de la
température
ont été trop peu nombreux, la malade n'étant pa
qu'à la surface des jambes (dans ces dernières, la sensibilité à la
température
et la sensibilité farado-edtatiée ont surtout b
me, retard dans la transmission des sensations. La sensibilité à la
température
est aussi très affai- blie, la malade sent à pe
résie assez marquée des extrémités de la moitié gauche du corps. La
température
s'est élevée à midi à une grande hauteur : 41°
un peu augmenté de volume; tous les soirs le malade se sent mal.
Température
, le matin, 36° 4; le soir, elle est ordinairement
e est par exemple de 37° 2. Après la prescription de la quinine, la
température
tombe, le matin à 36° 4 et le soir à 36° 8, et
ts où la piqûre fai- sait l'effet d'un simple contact. Quant à la
température
, le malade la distingue à peine aux jambes, mêm
sition. Dans la région des nerfs peroniers de la jambe gauche une
température
de 330 n'est pas ressentie comme une impression d
t par places remarquer une diffé- rence entre 28° c. et 33° c. ; la
température
de 28° produit alors une impression de froid; d
ntée de volume. Après l'absorption d'une petite dose de quinine, la
température
descendit, le soir, de 37°6 à 36°2 3G°,8, et le
t une douleur dans tout le corps apparaissent dereclief ; à midi la
température
est de 37°, 4 le pouls a 96 pulsations à la min
ute; le soir, transpiration. Après une nouvelle dose de quinine, la
température
tombe le lendemain à 3605 ; l'état général s'am
tion du malade est assez satisfaisante, mais le soir de ce jour, la
température
remonte de nouveau à 38°p. La rate augmente de
ntes dans les deux poumons. Après une amélioration de peu de durée (
température
36°o 37°), pendant laquelle le malade commença
actéristique à la partie inférieure de la poitrine et au ventre, la
température
monta, le soir du 31 décembre 1880, à 40° et le
8 PATHOLOGIE XERVEUSE. couverte d'une épaisse couche. Le 2 janvier,
température
, au matin, 39°8, au soir, 3805, pouls 72; trans
doigts de la main droite. Le 27 juillet, nouvel accès de fièvre (
température
, soir, 39°,2) qui se prolongea 3 jours et se term
annonçant un malaise et des frissons qui durèrent toute la nuit, la
température
remonta de nouveau à 39°,2; le pouls 120. Cet a
tuméfaction temporaire de la rate, accom- pagnée d'une élévation de
température
de caractère paludéen cédant rapidement à la qu
1887 (chaque fois pendant 2 ou trois jours); le reste du temps la
température
atteignit à peine 37° 6 et cela de temps à autr
accès et enfin depuis le mois d'octobre 1887 jusqu'à maintenant la
température
n'a plus remonté. Et maintenant, voici comment
ultation, on entend au coeur des gargouillements très mar- qués. La
température
est normale. Il y a une dilatation énorme de l'
tée par des doses supérieures. On n'obtient pas d'abaissement de la
température
si on sépare l'encéphale de la moelle (Svvadows
rs. La sensibilité cutanée et les réflexes tendineux diminuent ; la
température
ne s'élève qu'au moment descrises épileptiforme
hésie tactile de la face, du bras et des doigts du côté affecté. La
température
et le sens musculaire sont normaux. La tumeur é
tablit définitivement avec atrophie musculaire et abaissement de la
température
du membre abdominal atteint. Deux d'entre eux a
rt et abandonnés pendant plusieurs jours dans le laboratoire, à une
température
constante de 16 degrés sans aucune précaution d
t court. que lorsque la faim ou l'in sexuel, ou encore l'état de la
température
ou de l'a phère réveille leur excitabilité asso
anie,.et plus encore dans la démence, les sensations de contact, de
température
, de douleur, sont émoussées : elles sont 136 RE
tion appréciable.' de la sensibilité au contact, à la douleur, à la
température
dans. ' la partie supérieure et interne de la c
s impressions tactiles et la conservation des sens de pression de
température
et de douleur sont suffisantes pour prévenir la p
ennogénèse des tabétiques. MM. Marie et GUILOIN ont constaté que la
température
des ta- bétiques est constamment au-dessous de
che qu'à droite, mais il n'y a pourtant pas de différence entré les
températures
de chaque côté. Nous avons déjà indiqué l'abo
la carphologie, enfin de la diarrhée. Le pouls devient miahle , la
température
monte fi-10 et les malades meurent dans le coma
des sécrétions et des excrétions, de la nutrition générale, de la
température
(hyperthermie), l'aspect général ; au point de vu
sujet de laquelle les rapporteurs ont bien fait il d'insister. La
température
est toujours très élevée, mais dans la conva- l
ions. Ils sont SOCIÉTÉS SAVANTES. 259 en proie à une élévation de
température
que n'explique aucune localisation organique ;
s'ulcère parfois, devient fuligineuse, le pharynx se dessèche; la
température
dépasse 40. Parfois l'albumine se montre en petit
urseur de la mort prochaine. 11 tombe ensuite dans le collapsus, sa
température
baisse parfois au-dessous de la normale, la dia
hermie de deux à trois dixièmes de degré, toujours par rapport à la
température
primitive. Nous croyons que ce fait n'a pas été
que l'hydrate de chloral, auquel on le compare, abaisse toujours la
température
, soit immédiate- ment après l'absorption, soit
d les principaux états morbides dans lesquelles on a noté de basses
températures
: athrepsie, sclérème des nouveau-nés, maladie
il insiste sur ce point que de nom- breuses constatations de basse
température
ont déjà été faites soit chez des aliénés, soit
temps. Ce malade ayant eu attaque apoplectilorme, on prit alors sa
température
rectale et l'on constata qu'elle n'était que de
t que de 3j°3. Le lendemain, le malade étant resté dans le coma, la
température
resta au même chiffre de 35°3. Le surlendemain,
, la température resta au même chiffre de 35°3. Le surlendemain, la
température
rectale n'est plus au matin que de 27°2 et peu
malade étant alité fit des eschanres et l'on constata alors que sa
température
rectale n'était que de 3'501. Progressivement e
émie et d'apo- plexie cérébrale, accompagnés d'un abaissement de la
température
, dont il s'est occupé naguère comme M. Jofl'roy
de la Société de biologie. En outre, il a noté un abaissement de la
température
rectale, en maintes circonstances chez les idio
ez les idiotes, en dehors des idiots myxoedémateux chez lesquels la
température
rectale est toujours au-dessous de 37° : 1° Fel
cinq ans, morte avec des symptômes de bron- cho-pneumonie avec une
température
de 2f¡.0 (Israélite, opposi- tion à l'autopsie)
enfants sont morts durant les jours les plus froids de l'hiver. La
température
a été SOCIÉTÉS SAVANTES. 331 i prise avec plu
ec soin, ainsi que nous avons l'habitude de le faire en présence de
températures
anormales. Noie sur l'influence de la syphilis
70 à 80 par minute. Pres- sion artérielle 120 à 130 millimètres; 3°
température
non fébrile; 4° urine plus abondante, augmentat
aux méthodes ordinaires de traitement ; 6° Une forte réac- tion de
température
n'est pas essentielle, puisque nous avons trouv
température n'est pas essentielle, puisque nous avons trouvé que la
température
maxima moyenne dans les cas recueil- lis sur de
elé phlyetéhoïde de la face. La malade resta deux jours avec 41° de
température
, 120 au pouls, et avec un dé-'1 lire violent. L
rmaux; elle conserve sa sensibilité à la piqûre, au contact et à la
température
. Il existe cependant une plaque anesthésique de
id dans les deux pieds. Cette sensation est purement subjective, la
température
de ces parties n'est pas abaissée. La sensibili
vation thermométrique ne permit de constater aucune éleva ? tion de
température
. Dans ces conditions, M. Bncquoy conseilla de sus
e en dernier lieu dans le service de M. le professeur Charcot. La
température
normale du sujet oscille de 37° à 37 ? 3 pour s
inquante-huit nocturnes. Le 5 novembre, elle est dans le coma, avec
température
de 38°,3, précédant de trois jours la mort qui
sécutive dune méningo-encéphalile ; épilepsie. Du au 28 octobre, la
température
s'est toujours maintenue entre 38° et 38°,8, sa
&]&L('8tib ? Jth6e)''p' titi la période d'agitation. Ici la
température
baisse égâ]61HéYiti'ài" n]bsure'que'i'ahc61 pre
que le fait serait moins étonnant. A combien de degrés s'élevait la
température
pendant les crises ? M. Legrand du S.11;LLE.
it la température pendant les crises ? M. Legrand du S.11;LLE. La
température
n'a pas dépassé 37 ? M. Magnan. Ce n'est pas la
dépassé 37 ? M. Magnan. Ce n'est pas la règle. Dans l'épilepsie, la
température
s'élève ! davantage pendant l'attaque. Peut-êtr
ômes d'une phthisie pulmonaire très avancée. Etat général fébrile ;
température
variable, s'élevant, le soir, jusqu'à 39°c.; la
l se forma des cavernes ; la fièvre prit un caractère hectique ; la
température
atteignait parfois 40°; par- fois aussi, le mal
'amaurose complète (obs. II, V et VII). P. K. XVI. SUR L'ÉTAT DE LA
TEMPÉRATURE
DANS QUELQUES FORMES DE MALADIES mentales (rapp
Psych. u. Nervenk., XIII, 1.) .) L'auteur étudie successivement la
température
dans la mélan- colie, la manie, la démence cons
épression; hypothermie parfois très accusée; 3° stade de guérison :
température
normale ou hypothermie au début qui, dans ce ca
bien pour l'hypothermie du stade de guérison quand elle existe. La
température
périphérique présente outre un fréquent abaisse
à la période d'agitation extrême, une hypo- thermie qui restitue la
température
normale; à la période de calme ou d'épuisement
e (100-128) et une tension très faible du pouls presque dicrote, la
température
marquant 31°,5 à 31°,6. Inverse- ment, la phase
'auteur montrent que chez les paralysés généraux et les déments, la
température
peut systématiquement, et progressivement, s'ab
de 20 p. 100. Dans la plupart des cas le pouls suit la marche de la
température
et souvent dans les mêmes rapports que chez les
ience (connaissance), avec hallucinations variées et nombreuses. La
température
a monté plusieurs fois à 39°. Mort vers la fin de
fauts'entourer de précautions, examiner chaque jour le pouls et la
température
, analyser les urines. Voici au surplus les conc
ntité du médicament usité ; 2° Contrôler chaque jour le pouls et la
température
; - 3° Examiner chaque jour l'u- rine ; y recher
dans l'un des cas brusque- ment avec la défervescence subite de la
température
, devrait être rapportée, dans l'espèce, à la mo
rôle des écoles pour la pro- duction des maladies mentales ; 6. La
température
du corps pendant les stades primaires.des malad
ie et divorce, 261. Folie aiguë partielle, 429. Folie périodique (
température
dans la), 272; - (impulsive), 407; - (circula
enfants, par Sikorsky, 319. Loi de 1838, 121. Maladies mentales (
température
dans quelques formes de), 403. Manie transito
x dans le), 101. t. Tabétique (pied), par Charcot et Féré, 305.
Température
dans la folie périodi- que, 272. Trijumeau (a
avec précision aux questions. Le soir de son entrée à l'hôpital, la
température
était de 98,6°; le pouls de 78 ; le matin à la vi
tait de 98,6°; le pouls de 78 ; le matin à la visite, 25 novembre, la
température
était redescendue à 36,5, le pouls à 88. Le thora
ant va bien et dit ne plus sentir la douleur que lorsqu'il tousse. La
température
, le soir, s'était élevée à 39°, le matin elle est
réitère la suggestion thérapeutique sans autre expérience. Le soir la
température
est de 36°,4. Le 27 au matin, elle est à 37°. 11
se sous-épineuse lorsqu'il tousse. Il ne prend pas de phénacétine. La
température
est de 38°, 4 le soir. Le 28 au matin elle est
s qui n'existent plus que par la toux sont beaucoup moins vives. La
température
reste normale, grâce à la phénacétine, le 28 et l
t encore une douleur un peu plus vive vers l'angle de l'omoplate ; la
température
s'était élevée à 39°. Le 1er décembre je l'enlè
En même temps je supprime la lièvre avec 1 gramme de.phénacétine. La
température
reste normale du l'r décembre au matin jusqu'au 4
comment ça va. Il me montre que la douleur est revenue. Le soir, la
température
s'élève de nouveau à 37°,6. Le lendemain 5, au
d'un tempérament lymphatico-nerveux. Le 8 au soir, à son entrée, la
température
était à 37°4, le pouls à 108 ; le 9, au matin
; le 9, au soir, temp. 37°8,le pouls à 116. Les jours suivants, la
température
est normale, sauf une poussée à 38° le 12 au soir
les excès plus que par les maladies. A son entrée, le 17 au soir, la
température
était à 38°; le 18 au matin, elle est à37°6 ; la
icale droite. Cependant, on ne constate aucun empâtement. Le soir, la
température
est à 37°8, le pouls à 96. Le 19, au matin, ell
heure. On ne constate rien à l'examen du ventre et de la poitrine; la
température
est normale. La sœur du service nous dit que le m
n entrée: Constitution un peu débilitée, mais primitivement bonne. La
température
oscille entre 37 et 38e. La toux n'est pas très f
constate aucun trouble circulatoire; les deux membres ont la même
température
et la même coloration ;les artères battent avec l
née est normale au toucher comme à la douleur ou aux modifications de
température
. Les fonctions des organes des sens ne sont pas a
rieures dans lesquelles j'ai opéré, et j'ai constaté que l'état de la
température
et les variations atmosphériques exercent une inf
t obtenir. Pour que les expériences réussissent le mieux, il faut une
température
élevée, un temps clair et calme ; si l'on opère,
e tels sujets qui dépendent de leur digestion, de leur sommeil, de la
température
, des émotions, des veilles, etc. Quelques-uns d
sur le rôle que jouent dans les rêves le sens du toucher (contact et
température
) et le sens musculaire, et sur la relation exista
en même temps une influence sur le toucher (sens du contact et de la
température
), par quel moyen pouvais-je faire abstraction de
ts rêvés. Aussi voit-on que les faits rêvés tenant au contact et à la
température
sont beaucoup plus nombreux les nuits où l'on por
t plus discret. Son thermomètre n'est pas gradué et pour connaître la
température
qu'on vient de prendre, il faut le remettre dans
sthésie ovarienne. — Description des attaques : périodes. — Urines. —
Température
. — Traitement et marche des attaques. — Relation
olorées. Elles ne contiennent ni sucre, ni albumine. L'examen de la
température
chez Th. confirme l'opinion que nous avons émise
ébut de la série à 9 h. 3/4; à 10 h. 1/2 : T. V. 37°, 8. — 28 oct. La
température
est prise quand la malade est en attaques depuis
oue la tête. La face et les mains sont toujours couverts de sueur. La
température
vaginale est de 38°, 1. On relève la malade et
t placée, elle se rendort. Un quart d'heure plus tard, je reprends sa
température
sans qu'elle s'en rende compte. T. V. 38°. Quel
sie ovarienne du côté gauche. — Caractères et périodes des attaques :
température
. — Délire hystérique. — Action de la compression
On voit donc que, sous Vinfluence des attaques d'hystéro-épilepne, la
température
s'élève de près d'un degré. 26 octobre. — Elle
ubles des sens spéciaux du côté gauche. — Hallucinations de la vue. —
Température
comparative entre les mains et les aisselles. — I
les attaques, des vomissements bilieux ou alimentaires. Soir. — La
température
est moins élevée dans la main anesthésiée que d
: T. de la main droite après 20m. 34°, 4 — gauche — 20 31°, 3 La
température
est la même (37°,9)dans les deux aisselles. A dix
5, 87, 104. Suicide (Tentatives de), 52, 54, 38, 59, 98, 126. T
Température
centrale dans les attaques d'hystérie, 9, 38,59,
rature centrale dans les attaques d'hystérie, 9, 38,59, 115, 137. —
Température
des mains et des aisselles du côté sain et du côt
pétence, avait des vomissements bilieux, et 112 pulsations avec une
température
normale. Ces phénomènes se sont dissipés rapide
nt le traitement, outre l'examen du pouls, de la respiration, de la
température
(axillaire et rectale), et des manifestations myx
750 le 13 août. Il a donc perdu en deux mois 32 kilogr. 250 ! ! La
température
centrale, prise au rectum, s'est élevée de 37°5
e poids supérieure à 32 kilogrammes, la polyurie, l'élévation de la
température
centrale et la fréquence du pouls. Mais ce n'es
pourtant une .certaine- faiblesse, qu'on peut appeler maladive. La
température
du matin est de 36°2 à 36°9, le soir 37 ? . Cer
je suis convaincu que vous avez reconnu dans le sens contraire à la
température
, qu'on peut constater aux deux jambes de notre ma
douleurs spontanées, les douleurs a la pression, l'élévation de la
température
, les gonflements des articulations, observés de
ème, on remarque de nombreuses taches plus claires, rouge vif. La
température
de l'oedème au niveau du dos dn pied est seulemen
n pied est seulement de ? c'est-à-dire, de très peu supérieure à la
température
de la salle, 18°. De plus, on note à droite, au
'urée, 10 grammes de chlorures, 1 gr. 85 de phosphate par litre. La
température
générale prise à l'aisselle matin et soir pendant
rquable-que la pupille gauche est plus dilatée que la droite." La
température
de l'oedème ne s'est pas modifiée. Mais la tempér
droite." La température de l'oedème ne s'est pas modifiée. Mais la
température
générale prise à l'aisselle pendant tout le moi
ont égales, réagissent bien à la lumière et à l'accommodation. La
température
générale est franchement hyponormale avec type iu
e iuverse. Prise à l'aisselle matin et soir pendant une semaine, la
température
oscille entre 36°5 le matin, et 35°4 le soir.
tamment aux 1er, 3e et 5° orteils droits et au 2E orteil gauche. La
température
prise sur le métatarse avec le thermomètre à cuve
é n'a amené aucune modification de l'oedème, de sa teinte, ni de sa
température
. 100 TREPSAT Traitement par la thyroïdine. No
par la thyroïdine. Les résultats obtenus furent les suivants : La
température
s'est notablement élevée. La moyenne est 37° ; le
ntes), mais les variations de l'oedème ont été insignifiantes et la
température
locale n'a pas changé : la teinte seule était un
iderme, voilà la seule modification qu'entraine l'abaissement de la
température
extérieure. Il nous reste encore à envisager l'
icielles. Ces petites eschares ne sont nullement en rapport avec la
température
extérieure : on les trouve en juin,juillet ; ni
ires d'intensité nor- male. Pouls accéléré, environ 100 par minute.
Température
: 38°5. Urine, rien de particulier. Le malade
divers, oppression, dyspnée, vestiges, bourdonnements d'oreille. La
température
reste normale et l'examen objectif ne permet de r
t aux questions qu'on lui pose. 30. L'état subcomateux persiste. La
température
s'est élevée à 40°3. Urine purulente. Eschare é
ine purulente. Eschare étendue au niveau de la fesse gauche. 31. La
température
donne 39- 5 ; l'état du malade est un peu meilleu
après-midi, il a perdu connaissance. Il ne sortira plus du coma. La
température
vespérale est ce jour-là de 38°. Le 17 mai, on
nt à droite. Le réflexe cutané abdominal est aboli à gauche. ' La
température
est ce jour-là de 38°8 le matin et de 38°6 le soi
érieurs et même son bras gauche. Le 18 mai, à 9 heures du matin, la
température
est de 40°8. La tête est plus déviée que la vei
AGIE PROTUBÉKANT1ELLE 385 Le décès survient le 15 mai au matin ; la
température
est peu de temps avant la mort de 2°t. Examen
yperthermie que ces deux vieillards ont présentée. L'élévation de
température
fut intense, puisqu'elle atteignit (en chiffres
ressant d'être fixé exactement sur la valeur diagnostique de telles
températures
obser- vées au cours de lésions des centres ner
nd difficilement le sein, nouvelle crise de dyspnée pro- longée. La
température
s'élève un peu. 22. Pâleur, dyspnée ; on consta
rouve point les senti- ments de coquetterie d'une jeune fille. La
température
oscille entre 37° et 37°7. Poids : 32 kil. 500.
froid (glace), dimi- nution et retard qui, pour la sensibilité à la
température
comme pour les autres, sont d'autant plus prono
res supérieurs. Les différents modes de sensibilité, tact, douleur,
température
, sont également altérés ; l'altération, un peu mo
t la clavicule. En même temps on constate une forte albuminurie; la
température
s'élève progressivement et atteint 40 degrés le
sibilités et l'intelligence s'éteignent alors progressivement, la
température
s'abaisse, la respiration et les battements car
résection, l'écorce devient cide, et d'autantplus rapidement que la
température
ambiante 88 REVUE D ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE.
ait si elle souffrait du froid, elle affirmait au contraire, que la
température
lui était complètement indif- férente. Enfin, l
r Aled. Wochenschrift, 1883, n<" 51 et 52. y Loc. cit. DE LA
TEMPÉRATURE
CENTRALE DANS L'ÉPILEPSIE. 209 clonusme parait
oisi que celui de myoclonie que lui propose See- ligmüller. DE LA
TEMPÉRATURE
CENTRALE DANS L'ÉPILEPSIE; Par BOURNEVILLE. -
s que nous avons entreprises autrefois' sur les modifications de la
température
sous l'influence des accès iso- lés d'épilepsie
ès pris individuellement n'exerce généralement aucune action sur la
température
du corps du patient, mais les séries d'accès ré
é. Sans doute l'expérience enseigne que dans les accès accumulés la
température
affecte la plupart du temps, une allure proport
uses, un certain nombre de tiaités dont les auteurs ont parlé de la
température
chez les épileptiques : Seguin (E.). Médical Th
rv., 3' éditzoz,. Ioutpellier et Paris, 1886, p. 1072; etc. DE LA
TEMPÉRATURE
CENTRALE DANS 1,'ÉPILEPSIE. '2) ! 1 semblant à
urvenant par petites sé- ries ne produisent pas une élévation de la
température
; les accès accumùtésque nous désignons en Fran
France sous le nom (1'Étai de mal - déterminent une élévation de la
température
proportionnelle à leur nombre. Nous allons démo
er la loi que nous avons posée sur l'élévation considérable de la
température
dans l'état de mal épileptique. Toutefois, avant
de ses extrêmement nombreuses mensurations thermiques ». I. DE LA
TEMPÉRATURE
DANS LES ACCÈS ISOLÉS D'ÉPILEPSIE. Dans nos pre
DANS LES ACCÈS ISOLÉS D'ÉPILEPSIE. Dans nos premiers travaux sur la
température
des épilep- tiques (1859-1873), nous n'avions m
. Chez soixante d'entre eux, nous avons observé une élévation de la
température
sous l'influence de l'accès épileptique. Pouvan
CENTRALE DANS L'ÉPILEPSIE. 2)3 3 - 21 le CLINIQUE NERVEUSE. DE LA
TEMPÉRATURE
CENTRALE DANS 1/ÉPILEPSIE. 215 Chez vingt-sept
accès; - dans la seconde catégorie, n'embrassant que 13 malades, la
température
a offert plusieurs irrégularités sur lesquelles
ce qui nous y engage, c'est que chaque fois que nous avons pris la
température
en dehors des accès, le matin et le soir, nous
en dehors des accès, le matin et le soir, nous avons enregistré des
températures
normales et, par conséquent inférieures aux tem
gistré des températures normales et, par conséquent inférieures aux
températures
maxima consécutives aux crises convulsives, ain
nclusions anciennes : lo les accès isolés d'épilepsie augmentent la
température
centrale ; 2° cette augmentation varie entre un
iste souvent des troubles de la sensibilité cutanée (tact, douleur,
température
, réaction électrique); elle est quelquefois exa
r- quable, après chaque injection, le pouls, la respiration et la
température
s'élevaient. Or, après dix-neuf jours d'injection
mande s'il veut de nouveau s'enivrer, il répond non, de la tète. La
température
périphérique est toujours abaissée. La températ
, de la tète. La température périphérique est toujours abaissée. La
température
rectale est au taux normal. Le rapport normal d
ar Schramm, 319 ; procursive par Bourneville et Bricon , 3121 ;
Température
centrale dans l', par Bourneville, 209. Gland
impressions thermiques. B... dis- tingue très bien la différence de
température
qu'il y a entre la partie métallique du marteau
élimination des toxines est plus longue et le danger plus grand. La
température
monte démesurément comme dans les maladies infe
ous l'avons fait avec succès dans un cas de mal épilep- tique où la
température
avait atteint 41°,2. L'antisepsie intes- tinale
gien. (Annales médico-psychologiques, juillet 1891.) E. B. XX. La
température
dans L'LILE11SIE, par Bénédikt (British Médical
luet âgé de quinze ans. On prit attentivement pendant huit jours la
température
, elle allait de 39 à 41 degrés centigrades. Le
émission, la céphalalgie et une sensation fiévreuse reparurent ; la
température
s'éleva vivement à 42u5. Cet état calo- rique d
e crise arriva soudaine- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 99 ment, la
température
descendit à 36°, l'appétit revint et le malade
de précision quel degré de fièvre existait. Toutes les fois que la
température
allait de 43°4 à 43°, le malade perdait connais-
ration porcelainée; dilata- tion des vaisseaux avec élévation de la
température
; tous accidents accompagnant la paralysie. Parf
d'abord l'influence de l'air, de la pression atmosphé- rique, de la
température
, de l'état hygrométrique, de la tension électri
périphérique, de la résistance électrique, de la respiration, de la
température
, de la digestion, des sécrétions, de la tension
ile étant parfaitement conservée, les sensations de douleur et de
température
ne sont plus perçues. Ce n'est pas tout : la sc
s le sol. Il n'y a aucune modifica- tion de la coloration, ni de la
température
du membre, aucun trouble de la sensibilité. Les
eux que le gauche. Sensibilité générale au tact, à la douleur, à la
température
assez développée. Goût : Ros... aime le sucre,
d et de chaleur, on voit persister les fonctions régulatrices de la
température
somatique. Ces expériences donnent un démenti a
jours la plaie était parfaitement cicatrisée. Pas d'élévation de la
température
. Ou constata une amélioration distincte dans l'
ts ne gardant pas l'empreinte du doigt; 2° par un abaissement de la
température
locale qui peut aller jusqu'à deux, trois, quat
. Cette besogne consistait à enfourner des briques préparées - la
température
des pièces de chauffe est de 60 à 80°. Douze heur
élévation de la tempéra- ture et deux autres avec abaissement de la
température
. Un simple abaissement avec ou sans coloration
son apparition, l'état grave, REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 379 la
température
, serviront à tenter d'établir la différence qui s
une sensation de froid très caractérisée, car le malade, malgré la
température
élevée est chaudement vêtu; elle est limitée ex
ifférences très minimes, mais qui dénotent une légère diminution de
température
du côté droit, bien que la coloration du tégume
e sur la circulation, la respira- tion, l'appétit, la digestion, la
température
, la santé générale. Au bout d'un certain temps,
que le malade réagit bien contre les causes qui tendent à élever sa
température
, il réagit au contraire insuffisamment contre l
re les causes qui tendent à la dimi- nuer ; que la diminution de la
température
observée à la suite du jeûne ou d'un bain froid
blissement général de l'organisme. Un fait qui le prouve est que la
température
se relève rapidement en augmentant la pro- duct
ck- sounienne, par Isramer, z symptomatique, par Bellat, ! 1S;-
température
dans l ? par I)éiié- dickt, 95; circulation du
sible de découvrir un point d'élection douloureux. L'élévation de
température
locale est frappante ; elle est nette- ment per
rque 37.2 du côté sain et 39.6 du côté ma- lade. Cette élévation de
température
concorde avec une hyper- hydrose manifeste : la
té en avant. Le troisième jour,il survenait un léger délire et la
température
s'élevait à 41°. Le 4° jour, on constatait un
comme dans la moelle, les fibres intervenant dans les sensations de
température
et de douleur, cheminent dans le bulbe à côté l
gie, de la psychologie et de la pathologie hu- maine (menstruation,
température
, rêves, humeur, etc.), mais certaines psychoses
égalité pupillaire. Crises d'excitation. Mort à l'âge de 57 ans. La
température
rectale est tombée la veille de la mort à 28° ;
visuelles. Ni albumine ni sucre dans les urines. Mort à 40 ans. La
température
rectale est tombée trois jours avant la mort à
es urines. Mort à 57 ans. Du 18 au 24 mai 1906, époque du décès, la
température
rectale est tombée progressivement de 36° à 30°
ultérieurement coma. La fièvre ne fut, jamais bien élevée, mais les
températures
des premiers jours n'ont pas été connues. Coïnci-
après deux jours de maladie : elle présenta une légère élévation de
température
avec un ralentissement du pouls dont les paroxy
à plusieurs reprises, le malade a vomi de nouveau. Vers le soir, la
température
s'est élevée jusqu'à 38° ; affaiblissement des
ardiaque ; la nuit il a eu le délire. Troisième jour de la maladie.
Température
normale, pas de vomissements ; la diarrhée et l
ée, presque noire. Qua- criènce jour. Pas de vertige, de diarrhée ;
température
normale (elle n'est jamais descendue au-dessous
notre cas, a le caractère infec- tieux assez net (l'élévation de la
température
, l'affaiblis- sement des forces, troubles de l'
ontée à l'infirmerie à 3 heures de l'après-midi, en étal de mal, la
température
est de 37°4, mais elle ne larde pas à s'éle- ve
ue 44 accès ; après une courte rémission de 7 h. à 9 h. du soir, la
température
reprend une marchc ascendante atteignant 41° à
qu'à 7 heures du soir on peut en compter 82, pendant cette série la
température
se maintient en plateau aux environs de 41°. A
e mal, c'est-à-dire en 18 heu- res la malade avait eu 229 accès. La
température
au moment de la mort était de 40°5, elle tomba
ité à quel- ques-uns. Au lien de s'accompagner d'une élévation de
température
de quelques dixièmes ou d'un degré de Fig. 1.
u d'un degré de Fig. 1. DE LETAL DE MAL imLL1>nQt ? ? 3; : )
température
, comme c'est la règle, le premier accès se term
és, la connaissance ne reparait pas, un second accès apparaît, la
température
s'élève, l'état de mal est-constitué et la mort
période convulsive, les accès cessent, la connaissance revient, la
température
s'abaisse. Cette amélioration dure 2 ou 3 jours
ion oculaire, grincement de dents, raies caractéristiques, etc., la
température
s'élève de nouveau, ces deux circonstances peuv
duire : l'état de mal se termine par la mort avec unélévation de la
température
qui atleint,jusqu'à40o, (Fig.2), 41° et même 42
ême 42°, oubien tous les symptômes se dissipent progressivement, la
température
redevient normale (Pif). 3). Le traitement va
oro- forme. VII. Cette observation renferme, comme toujours, la
température
pendant les G premiers jours de l'ad- mission,
- vre la croissance, le poids des organes, enfin le tableau de la
température
après le décès. n VIII. La figure 4 représente
VIII. La figure 4 représente la marche des accès et la marche de la
température
. Durant les 6 premières heures le malade a eu 1
rature. Durant les 6 premières heures le malade a eu 139 accès ; sa
température
s'est élevée à 41°. Ensuite elle a été plusieur
élevée à 41°. Ensuite elle a été plusieurs heures sans accès etla
température
s'est abaissée 3 3-1. La mort est survenue aprè
ais dont les crises m'avaient paru, malgré l'absence d'élévation de
température
, tout à fait épilep- tiques. J'ai dit que, dans
partielle avec prédominance des convulsions du côté droit; mais la
température
restait toujours normale, tandis que le pouls é
e partielle, c'est la paralysie post- épileptique et l'élévation de
température
. On ne note ni morsures linguales, ni incontine
con- vulsé. On note à ce moment de l'hémianesthésie au tact, à la
température
et à la douleur du côté droit. L'examen opthtlial
paralysie post-épileptique et surtout t l'absence d'élévation de la
température
, enfin l'apparition de l'hé- mianesthésie droit
t de diagnostic de la plus grande valeur : l'absence d'élévation de
température
et de paralysie excluait l'idée du mal comitial
ques d'épilepsie se répéter plus de z100 fois par jour, sans que la
température
s'élève, et ordinairement si l'état de mal se p
rive. M. Charcot a relevé depuis longtemps l'absence d'élévation de
température
dans l'état de mal hystéro-épileptlque 1. On
tait de l'épilepsie jackson- nienne, moins cependant l'élévation de
température
, qui accom- pagne d'ordinaire cette dernière. A
u'à ce jour, ou d'une épilepsie à forme partielle sans élévation de
température
. Or, la supposition qui précède n'est pas purem
ues hystériques ou d'accès d'épilepsie partielle (sans élévation de
température
) chez une hystérique ? Telle est la question qu
ques de la papille étranglée. L'analyse des urines est négative; la
température
normale. 17 mai. - La céphalalgie continue à au
mi et nous le retrouvons ce matin dans son état habituel,' avec une
température
normale. La douleur frontale s'est portée vers
à'hémorrhagie cérébrale, la quantité d'urée diminue à mesure que la
température
s'abaisse; puis l'urée revient au chiffre norma
est considérable, elle constitue en même temps que l'é- lévation de
température
un signe fâcheux au point de vue du pronostic.
se (trente-quatre respirations à la minute), sans Cheyne-Stokes, la
température
monte à 40°,5 5 et la mort survient dans la nui
t bruyante, 2'a par minute. Pouls petit, accélé, irrégulier, 104. -
Température
Fiy. 9. - Coupe transverse dp la protubérance
xemple ou un boulan- ger ou un forgeron, de séparer l'élément haute
température
de la profession qui exige cet élément physique
horror (Dietrich), ragle, calenture doivent être rapportés àlabaute
température
ouà l'inso- lation; les impulsions subites au s
ce que les observa- teurs tendent à les attribuer de préférence aux
températures
élevées. On voit donc que l'influence de ces ca
nce des professions où elles se rencontrent. Et cependant, si les
températures
excessives (froid ou chaleur), si les transitio
tures excessives (froid ou chaleur), si les transitions brusques de
température
, si les variations brusques et considérables de
. Entre cinq et sept heures, bain prolongé tous lés deux jours : la
température
de l'eau marquera + 27 degrés au début, on l'ab
. - Traitement des accès par l'acide sclérotinique. - État de mal. -
Température
élevée.- Amélio1'ation,- l3rozzcho-pzezz- monie
e à une méczictqo-eatcéplcctlile; épilepsie. Du 5 au 28 octobre, la
température
s'est toujours maintenue entre 38° et 38n,8, sa
hiques ; fonte purulente des yeux ; contracture ; élé- vation de la
température
; diminution subite du volume de la tête. Mort.
ommissure labiale droite paraît un peu plus en- 116 HYDROCÉPHALIE :
TEMPÉRATURE
. traînée dans ce sens. La bouche est assez gran
2 juillet. Diarrhée verdàtre. Eau de chaux ; laudanum, 1 goutte.-La
température
, régulièrement prise matin et soir depuis l'ent
u'à ce matin (17 août), on avait, par erreur, cessé de prendre la
température
. On la trouve aujourd'hui brusquement élevée, e
la tête est évidemment très inférieur à ce qu'il était le matin. La
température
rectale était ce matin de 39°, 1 ; de 40°, à 5
humain à gauche et du vaccin de génisse à droite. 10-31 mars. La
température
rectale oscille entre 38° et 39°,8. lot-22 av
température rectale oscille entre 38° et 39°,8. lot-22 avril. La
température
varie entre 38° et 3; °,G. Mai. Amélioration as
er- siste malgré des doses élevées de bismuth. 4-21 septembre. La
température
n'atteint que rarement 38°,8 : elle se maintien
ouleur, ni de ténesme. Pas de vomissements. 25 nov.-1G décembre. La
température
ojcille entre 37°,8 et 37-.6. 1883. Il ? 10 j
anvier. Congestion pulmonaire double sur- tout marquée à droite; la
température
varie entre zon",6 et 38°,4. La diarrhée persis
e, il n'a jamais fait saillie vers la paroi abdo- minale. Enfin, la
température
, qui s'est toujours main- tenue à un degré modé
rtrophie et le ralentissement du coeur, ainsi que l'élévation de la
température
et l'épaississement de la peau du même côté. La
chial supérieur. Sensibilité au tact conser- vée ; sensibilité à la
température
abolie sur la partie supérieure du thorax en av
uel il vient à la consultation, est normal de forme, de couleur, de
température
: sans troubles trophiques, sans hyperhydrose,
dessus à l'hypoesthésie au-dessous (fig. 13). Les sensibilités à la
température
et au contact sont normale- ment conservées, ai
ormale sur tout le membre : la piqûre, le pincement, le contact, la
température
sont perçus également des deux côtés. Rien à si
droite 1 kilogramme. La sensibilité à la piqûre, au contact, à la
température
est abolie sur toute la face antérieure de l'av
nent des personnes qui m'entourent, du milieu, de la lumière, de la
température
- et aussi de mes dispositions physiques et mor
paralysie faciale gauche et une paralysie du bras du même côté. La
température
monte jusqu'à 39°,3. Mort au bout de huit jours
pannicule adipeux très développé. Taille 1 m. 'J3, poids 64 kg. 5.
Température
36°,8.. L'examen des organes de la poitrine et
de palpitations et d'une sensation désagréable dans la gorge. La
température
dans l'aisselle est de 38°,3 ; la fréquence du po
ugmentent, ac- compagnées de vertiges et de bouffées de chaleur. La
température
dans l'aisselle) est de 39°, la fréquence du po
es attaques de ces dernières semaines. A partir d'au- jourd'hui, la
température
est prise régulièrement matin et soir, jusqu'à
e 2 k. 1/2 ces derniers temps (poids : 59 k. 1/2). 23. - Hier soir,
température
de 38°; ce matin, 36°,8; ce soir, 37°5. La mala
mieux aujourd'hui. Le matin, tempéra- ture 36°, pouls 120; le soir,
température
38°,4, pouls 128. 25. -Encore un peu de douleur
28. 25. -Encore un peu de douleurs dans le côté gauche. Le matin,
température
36,6°, pouls 104; le soir, température 37°4. 26
ns le côté gauche. Le matin, température 36,6°, pouls 104; le soir,
température
37°4. 26. Le matin, température 37°,2; pouls 11
pérature 36,6°, pouls 104; le soir, température 37°4. 26. Le matin,
température
37°,2; pouls 116; le soir, tempéra- ture 38°,1.
is au début de ses dernières attaques convulsives. - 3. Ce matin,
température
de 37°,9 ; rien de particulier à l'exa- men obj
a été obligée de se tenir à son lit pour ne pas tomber. Le soir, la
température
est de nouveau normale (3 î ? ). 6. Par suite
ses dont souffrait la malade. Dans l'épilepsie, les élévations de
température
sont fré- quentes ; elles s'observent régulière
cherches antérieures de l'auteur sur ce sujet). 3 L'élévation de la
température
dans l'accès épileptique étant due surtout au t
ent, par suggestion pendant le sommeil hypnotique, une élévation de
température
de 'l,5 1. D'autre part, il a été possible de r
ue, dans certains cas, des malades ont pu simuler des élévations de
température
en faisant monter artificiellement (par exemple
avaient accusé une hyperthermie considérable, Chez notre malade, la
température
fut prise (dans l'aisselle) plusieurs fois en n
Nous n'hésitons donc pas à attribuer à l'hystérie les élévations de
température
observées chez notre malade, aussi bien que les
aux périphériques : ils se traduisent, et par des différences de la
température
du corps à la périphérie, et par des différences
ifférences de la réaction vaso-motrice de la peau. Si l'on prend la
température
en des points symétriques, il n'est pas rare de
sant par voie de modification chimique du sang; il ajoute que ni la
température
ni la lumière n'agissent d'une manière évidente
e la sensation de REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 399 douleur ou de
température
. Les réflexes du genou étaient abolis dans deux
nsibilité normale à la tète et au cou : anesthésie au toucher, à la
température
et à la douleur depuis la clavicule jus- qu'au-
e et.continue dans les jambes ; paralysies dissociées du sens de la
température
et de la douleur dans le dos. Paralysie de tous
fixes et volatiles, l'éther. Propriétés thérapeutiques. Abaisse la
température
diminue le nombre des pulsations cardiaques, ra
reins (Rabuteau) et par la muqueuse bronchique. L'abaissement de la
température
se pro- Bourneville et P. Bricon. Manuel des in
n peut admettre : 1° que l'opium agit favorablement en diminuant la
température
du cerveau et les mu- tations nutritives qui s'
lors l'ordonnance. loi PATHOLOGIE NERVEUSE. sance, pouls à 102 et
température
38° le matin et 41°,4 le soir, mort dans le com
Au-dessus des genoux, il n'y a plus de retard. - Les différences de
température
(le chaud et le froid) sont bien distinguées. I
ent fortement bruyante et d'un timbre rauque tout spécial. Pouls et
température
normaux. Urine de quantité normal, non albumine
qui lui arrive d'ailleurs assez sou- vent par accès. A ce moment la
température
locale s'est abaissée de 0°,8. Mais la couleu
n'obtient que 19 centimètres. Coloration normale, légèrement rosée.
Température
de la main gauche, 24°,2 ; de la main droite, 2
1/2. T. G. 29°,6 ; T. D., 30°,8. L'oedème persiste aux sourcils, la
température
y est de 33°, 3. Dans la journée, à 4 heures,
de Quincke. On se basera, pour ces derniers, sur le rap- port de la
température
avec leur apparition, les antécédents rhumatism
ané peu abondant, dans le cas particulier. Les mensurations de la
température
locale, faites chaque jour sur la face dorsale, n
rt à ,la gauche, restée normale, et, le lendemain, reprise de, la
température
ordinaire. Il ne nous a pas été donné d'observer
dinaire. Il ne nous a pas été donné d'observer les'relations de ces
températures
locales avec la température générale, la malade
donné d'observer les'relations de ces températures locales avec la
température
générale, la malade étant restée apyrétique. Qu
de étant restée apyrétique. Quant à l'élévation physiologique de la
température
vespérale, elle tendrait plutôt à atténuer les
ou bien à l'occasion d'une émotion, d'un léger abaisse- ment de la
température
; ils ne s'accompagnent d'aucune dou- leur, mais
une tache blanche et un godet qui s'effacent assez douce- ment ; la
température
des membres atteints est abaissée de plusieurs
résie et de contracture. L'état général du malade est excellent, sa
température
nor- male. Dans les deux cas que nous avons eu
et les pieds récupérèrent insensiblement leur coloration et leur
température
normales; au bout de deux mois de traitement, la
culier sur la taille. - L'auteur présente une série de tracés de la
température
, du poids et de la taille, concernant plusieurs
x malades, en ce qui concerne la fréquence, le renouvellement et la
température
de l'eau, la fourniture des serviettes, etc. ; y
l'intolérance pour les liqueurs alcooliques, les drogues, la haute
température
ou le tabac ? A-t-il été sujet aux céphalalgies
et extrémités... Organes génitaux... Cheveux... Divers : Pouls,
température
, respiration, langue... Essais de : La vue, l
refroidit par la pulvérisation et frappe le corps du sujet à une
température
très agréable, c'est-à-dire à environ celle du sa
sont violacées. OEdème considérable des pieds et des jambes avec
température
très basse de la peau. A l'auscultation du coeur,
ux extrémités inférieures. Sur le reste du corps la sensation de la
température
est normale. 3lotilité. - Les muscles des bra
dans l'état hygrométrique de l'air ou à l'état électrique, ou à la
température
? On ne sait. On ne sait même pas si elle coïnc
présente comme un corollaire du premier, est connu depuis peu : la
température
du côté gauche de la tête est nette- ment supér
°. 16. Les limites supérieures des thermo-anesthésies à l'égard des
températures
supérieures à ? 50°, par exemple à l'égard de ?
ie. 17. Les limites supérieures des thermo-anesthésies à l'égard de
températures
inférieures à 0°, par exemple à l'égard de - 5^
18. Les limites supérieures de la thermo-anesthésie à l'égard de
températures
intermédiaires à 0° et + 50° gisent entre les l
et + 50° gisent entre les limites supérieures à l'égard de ces deux
températures
. P. KERAVAL. XXV11. - De la nature et de la s
", les bains et demi-bains froids ou chauds, les bains prolongés à
température
agréable, l'enve- loppement humide, les pédiluv
lire maniaque agité qu'il a soumis à l'action prolongée d'un bain à
température
agréable, l'auteur écrit lui-même : « Huit heur
sera combattue par les bains pro- longés d'une heure ou deux, à la
température
constante de 28à32o ou à l'aide du drap mouillé
travail du coeur varie dans de très grandes propor- tions, selon la
température
de l'eau, mais aussi suivant les sujets. Le pou
re. Note anatomo-clinique sur un cas d'hémiplégie an- cienne avec
température
plus élevée du côté para- lysé. DL hARHON etP
récemment et qui avait avec la nôtre de commun l'élévation de la
température
du côté atteint par les troubles moteurs, il ex
nifestée seulement par un accès de délire aigu et l'élévation de la
température
. Il faut donc se méfier tou- jours des accès de
sanguinolents, le troisième est lim- pide. Les jours suivants, la
température
s'élèveet,la veille de la mort, apparaît le sig
as de manifes- tations cutanées en particulier de taches rosées. La
température
est élevée (Strambio). Le pouls peut s'élever j
. Le pouls peut s'élever jusqu'à 120 et il y a de la dyspnée et une
température
abondante et fétide. Les troubles du système ne
Pas d'accidents scrofuleux, sauf unc blépharite ciliaire à 9 ans.
Température
à l'entrée. ' 340 ' CLINIQUE NERVEUSE. contre
1397. 1. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE LA DÉMENCE ÉPILI;PTJQI1E. 345
Température
CZSCCJ. Décembre. La déchéance s'accentue; clic
7,8 et 9 ; GO dans la nuit du 10 au Il 1 janvier ; 57 le 11, mort.
Température
après décès. contribution A l'étude de la DKMHX
ons contribué à établir, il y a eu une élévation considérable de la
température
. ."j" Pour en Unir avec la température, nous de
élévation considérable de la température. ."j" Pour en Unir avec la
température
, nous devons signa- ler, après le décès, l'abai
f de la chaleur centrale qui arrive à se mettre de niveau avec la
température
de la chambre ('2). On a de la sorte la certitu
pendant la grossesse. Constipai ion. Le pouls marque 82 il 8G. La
température
est entre 3G"Set ? Foie ef raie anormaux. Les
Purpura disséminé sur le corps. Le foie et la rate sont normaux. La
température
oscille entre 36 ? ) et 37°2, sans perturbation
Teint bilieux : lâches pigmenlaires sur la ligure. Constipation. La
température
est normale, régulière. Le pouls, un peu pelit,
s ne con- tiennent plus d'urobiline. SUS CLINIQUE MENTAL 13. La
température
est normale, sans inversion. Le l'oie et la rate
é notable, parait grosse h la palpa- lion. Rien au cu-ur. Pouls 80.
Température
entre, 36 ? et 37. ? C) anose légère des extrém
bles de la respiration et de la déglutition. Enfin trou- bles de la
température
: fièvre légère et hypothermie notable. Dans un
erniers 20 jours la malade présente des oscillations très fortes de
température
: persiste l'abolition des réflexes ; les troub
; le souffle persiste au sommet. — Le 7, soixante-huit pulsations, la
température
de la peau tout à fait normale. — Du 8 au 11, mêm
ayant eu lieu le huitième jour, brusquement, avec un abaissement delà
température
au-dessous delà normale; comme cela a lieu chez l
par leurs caractères cliniques principaux et même par la marche de la
température
, il existe une forme subaiguë qui se montre dès l
a fièvre hectique à son maximum. C'est une fièvre à oscillations ; la
température
est souvent peu élevée le matin, mais atteint le
signes stéthoscopiques avaient été abso-lument négatifs, alors que la
température
oscillait entre 39 et 41 degrés. A l'autopsie non
une verdâtre d'abord et plus tard offrant l'apparence du chocolat. La
température
, pendant les 14 jours que la maladie a duré, a ét
e vingt-quatre heures après la mort, le cadavre est encore chaud : la
température
paraît élevée, surtout au moment où. la main est
u chaude, vers 60° à 70° centigrades; ils se dissolvent aussi à cette
température
dans le sang qui les contient, et si on les a fai
eurs-tiocturnes. Sa peau paraît, quand on la touche, au-dessous de la
température
normale, surtout aux extrémités : le pouls est fa
ymptômes ataxo-adyna-miques; laprostration des forces est extrême, la
température
très élevée ; il y a des frissons erratiques, de
stion plus haut, mais sans changement de couleur et sans élévation de
température
. Le lendemain, il se manifeste un œdème de toute
sévèrement proscrits. Le malade habitera une chambre maintenue à une
température
modérée ; il évitera les exercices violents et ne
nsion forcée : les bat-tements des artères n'y sont point perçus ; la
température
s'y abaisse très manifestement, et la sensibilité
e sa mobilité, prend sur le sol un appui solide, en même temps que la
température
et la sensibilité y redeviennent normales, Bientô
rmales. II nous a été impos-sible de savoir si, pendant les accès, la
température
s'y abaisse, et si la peau y est affectée d'une a
à plusieurs reprises, que la peau n'y est pas anesthésiée, et que la
température
n'y est point sensiblement abaissée. Le 12 août
dents. Il eût été important de rechercher si, pendant les accès, la
température
du membre s'abaissait et si la sensibilité cutané
sie du membre et la contracture ; pour ce qui est de l'abaissement de
température
, c'est une des conséquences les plus immédia-tes
xas que la sensibilité des parties superficielles y est éteinte; 3°la
température
s'y abaisse et les battements artériels cessent d
dans les membres; on sent de nouveau les battements arté-riels, et la
température
y est redevenue normale ; en même temps que la do
es symptômes (Exp. de Schiffer) !. Or, successivement, on voit que la
température
du membre s'a-baisse, les artères cessent de batt
ol., 1855, p. 213. volumineuses, mais ne semblent pas ossifiées. La
température
du corps est assez élevée ; il n'y a pas eu, assu
re et l'état adynamique se prononce. Le membre inférieur gauche a une
température
très basse ; il prend une coloration bleuâtre, su
is en contact avec des vases remplis d'eau tiède, ne présente pas une
température
inférieure à celle du corps. La ma-lade ne cesse
85;— contractures, 585, 596; — dou-leur, 591 ; — sensibilité, 591 ; —
température
, impuissance mo-trice, 591 ; — pathogénie, 594; —
ou provoqué. Sensibilité intacte au toucher, à la douleur et à la
température
. Le mouvement d'élévation des bras est impos- s
ralysie plus ou moins mar- quée et persistante, et une élévation de
température
de ce membre. Non seulement les parties animées
libres, pendant lesquels surgissaient les idées mélan- coliques. La
température
n'était pas élevée. Seulement, un jour, M. Limp
es régions voisines; l'application d'un morceau de glace abaisse la
température
sur une large zone. Dans le premier cas, la con
es centres nerveux péri- phériques séparés du centre spinal), et la
température
du voisi- nage ne s'abaisse, après l'ablation d
e de ouate et d'un tour de bande légèrement serré. On attend que la
température
demeure constante pendant trois à cinq miuutes,
détermine la contraction du ventre mus- culaire sous-jacent. Si la
température
monte, l'individu vit. Second procédé. Dans les
erve en même temps, de par le courant faradique une élévation de la
température
; de par le courant galvanique, de l'hypothermi
surviennent pendant les quel, ques jours qui suivent la chute de la
température
(état d'inani- tion) et disparaissent dès que l
ndant le sommeil, la malade est immobile, le pouls est régulier, la
température
nor- male ; les paupières sont agitées d'un tre
DIE DE THOMSEN. - 211 i piqûre sont partout perçus avec netteté; la
température
des corps est exactement appréciée; la notion d
eur saumon, disparaissant en grande partie lorsqu'on élève à 40° la
température
du liquide. Ce dépôt parait constitué par des u
t la présence d'urates acides. Après dissolution de ces urates à la
température
de 40°, il reste un léger dépôt formé de corpus
de stase dans les jugulaires. II y a plutôt polypnée que dyspnée.
Température
et pouls normaux. Rien au coeur.-Pas d'al- bumi
ons, même par signes; le regard est fixe et sans expression. - La
température
est normale. Il ne paraît plus souffrir quand on
re ne semble pas ressentie. Même insensibilité au frôlement et à la
température
. Amblyopie de l'oeil gauche; la vision à droite
fehts psychiques sans troubles moteurs. Deux exemples à l'appui; la
température
n'a pas été prise. - M. \VThowshl. Evidemment
en de particulier il la conception. DES familles D'IDIOTS. 359 La
température
oscille toujours entre 38° et 39°. L'e. fant sort
nts; les selles sont normales. Le malade sort le 1 août sans que la
température
ait dépassé 39°. - Poids : 21 kil. 800; taille
he; Je foie n'a pas augmenté de volume ; pas d'ictère, diarrhée. La
température
n'est pas très élevée et oscille toujours aux e
rs l'aisselle et au sommet droit; quelques frottements pleuraux. La
température
, qui n'a guère dépassé 39°, est revenue à la no
pa- résie des extrémités du même côté ; hémiathétose de la main,
température
un peu plus élevée àgauche. -Autopsie. C'est une
harge excessive et prolongée de chaleur, abaisse considérabiementia
température
du corps, la caféine, en conservant la chaleur,
la caféine, en conservant la chaleur, tend à rétablir rapidement la
température
normale. L'auteur ajoute que si l'on administre
12. acide chlorhydrique, '0 gouttes. Faites digérer 6 heures à la
température
de 30-32" R. ' Il reste alors 240 gr. de liquid
trice ; elle se traduit, du moins au début, par une élévation de la
température
locale, dont la valeur peut dépasser 1°. e) Enf
s'élever au-dessus du plan du lit. Cet état dura deux jours, et la
température
pendant ce temps ne descen- dit pas au-dessous
idement. La tuméfaction est uniforme. La main est chaude, mais sa
température
varie avec celle du milieu am- biant. Le poul
f des tendons dé l'extenseur commun. La peau est fine, mollasse. La
température
de la main très basse.. - Les doigts du malad
l, mais il faut le reconnaître, cette couleur dépend beaucoup de la
température
du milieu ambiant. Pendant l'hiver la couleur de
t et de la main s'associe souvent il l'oedème bleu hysté- rique. La
température
locale est abaissée dans les deux cas et dans lou
s met en contact avec un corps froid, souffrent des variations delà
température
ambiante. Ainsi un fragment de glace appliqué sur
alade s'expose au dehors, il souffre du froid, et alors môme que la
température
ambiante estsupportabie pour un individu sain.
et qui se réveille à chaque instant par suite des variations de la
température
du 'milieu ambiant. (A suivre.) CLINIQUE DES
membre inférieur gauche avec hyperesthésie, élévation notable de la
température
locale ; hyperesthésie prononcée à droite, inté
, le réflexe rotulien était exagéré à droite, affaibli à gauche, la
température
locale était moins élevée à la jambe droite qu'
olition complète des réllexes ten- dineux, un peu d'élévation de la
température
locale. De plus, à sa limite supérieure, la zon
pouls (au-dessous de 40°), de la gène respi- et une élévation de la
température
superficielle du côté paralysé. Le sujet est mo
u'aux troubles sensitivo-moteurs s'associaient une éléva- tion delà
température
locale, il la face, et du rétrécissement pupillai
r de la 2° côte, de l'exagération des réflexes, une élévation de la
température
lo- cale, appréciable dans le creux axillaire;
iblissement de la contractilité faradique et un abais- sement de la
température
locale. Dans une observation de Vix (1), on rel
superficielle, d'une anesthésie pro- fonde et d'une élévation de la
température
locale. Les muscles du côté droit de la face ét
es recouvre est atteinte de troubles vaso-moteurs. Sans compter une
température
inférieure à celle du reste du corps, des sueurs
OGIE PATHOLOGIQUE DE LA POLYNÉVRITE 349 Au commencement d'avril, la
température
chez notre malade s'éleva, et cette élévation d
s phénomènes d'agitation fébrile, coïncidant avec l'élévation de la
température
. L'examen des yeux pendant le séjour du malade
(Gold- scheider et Flatau) (8), dans l'élévation artificielle de la
température
du corps (Goldscheider et Flatau), etc. Il n'
is causes, à savoir : 1° d'une éléva- tion assez considérable de la
température
du corps chez notre malade, 2° de l'abus de boi
en outre elle montre que le métacarpien est normal (PI. XLIV). La
température
, la mobilité et la sensibilité sous tous les diff
es de troubles vasculaires tels que mevi, varices', élévation de la
température
locale, d'autre part sur les expériences de Claud
moins semblables. C'est ainsi que la notion de tact, de douleur, de
température
, que la localisation de ces sensa- tions à tel
avec ses modes délicatement différenciés : tact, pression, douleur,
température
, sensibilité articulaire, sensibilité musculaire,
étiologie de cette maladie et se contente de démontrer que la haute
température
, agissant sur la peau nue, y prédispose. Kaposi
sibilité tactile est partout bien conservée. La sensibilité pour la
température
est parfont considérablement diminuée. Ainsi da
ouvent au dos. .Dans d'autres cas, il y a un léger état fébrile, la
température
atteint 38°, 38° et quelques dixièmes (Munchmey
ues cutanés se réduisaientà l'illfilLration myxoedé- mateuse. «La
température
corporelle a été trouvée sub-normale; elle oscill
oïdienne, et il en a subi rapidement les heureux effets. D'abord sa
température
et son pouls se sont élevés rapidement; puis il a
vers la jarretière. La sensibilité au contact, il la douleur, à la
température
paraît normale dans tout le membre inférieur. L
il n'est pas permis d'admettre une para- lysie du sympathique. La
température
locale et générale du corps reste dans les limite
xclusivement il la perception.de la douleur. ' Nous savons que la
température
haute ou basse au delà des limites dé- finies c
her, dépression et la sensation de la douleur. Le même corps, à une
température
constante et sans influence sur la peau, faibleme
déli- mite nettement ; elle est très dure. Pendant ce processus la
température
de la jambe gauche était tombée tandis que l'oe
atteintes des ta- ches nfcviformes et notent une augmentation de la
température
locale. Les travaux de Lewin, de Fischer (1879)
côté droit ; ces régions sont couvertes de taches naeviformes et le
température
y est plus élevée qu'à gauche. Obs. VIL - (LE
ion est éva- luée à 1 centimètre. La motilité, la sensibilité, la
température
, la coloration du visage sont égales des deux c
trophie atteint même l'index, le médius et l'annulaire gauches ; la
température
locale est plus élevée à gauche qu'à droite. On
iver, les gerçures sont nombreuses sur le coté droit de la face; la
température
s'abaisse alors davantage sur la joue droite ;
reich, la malade se plaint de sensations subjectives de chaleur. La
température
de la face est plus élevée du côté hypertrophié
stribution des nerfs sectionnés, de la rougeur, une élévation de la
température
et ultérieurement une augmen- tation de volume-
e troubles, fonctionnels tels que sialorrhée, modi- fications de la
température
locale, etc. Les cas d'hémihypertrophie faciale
ottements ou sibilances). Coeur normal, pouls 120, urines normales,
température
38., Tous ces symptômes étaient manifestement c
es ; aucun des phénomènes qui dénoncent l'as- 464 J. SOCA phyxie.
Température
380, pouls plein et régulier avec 100 pulsations.
it, mais tranquille, sereine, lucide, avec un pouls de 80 et 37° de
température
; pas de torpeur, pas de délire, pas de cyanose,
rations par minute, l'intelligence est parfaite, le pouls calme, la
température
normale, sans ombre de cyanose. Elle n'a même p
déjà exposé le tableau (160 à 170 respirations par minute, pouls et
température
normale ; pas de cyanose, état général satisfaisa
n de tout cela,la malade est tranquille et assez gaie ; le pouls,la
température
sont normaux, pas môme la moindre trace de cyan
m à la mâchoire. Rougeur de la peau. 4$6 A. 'WEIL ET J. NISSIM La
température
revient à la normale le 1er février. Le 3 février
à la normale le 1er février. Le 3 février élévation nouvelle de la
température
et formation d'une tumeur somhlablo au côté gauch
sens de la vue, elle est de 1/3 pour le sens de la pression, de la
température
et du son, et de 1/17 pour l'effort musculaire.
epuis quelque temps. Huit ou dix jours après cet entretien, par une
température
très froide à l'ombre et brûlante au soleil (c'
thésie reparaissait d'une façon transitoire avec les changements de
température
. A la fin de juin, trois mois après le commence
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 107 ses divers modes (tact, douleur,
température
), la perte du sens musculaire sont aussi des ca
respiration de Cheyne-Stokes, le pouls battait 110 pul- sations, la
température
était de 97°,6 (36°,40). L'urine contenait des
orps. Bien plus, elles sont consumées parce qu'elles ont dépassé la
température
du sang, et étant devenues à l'état d'excrément
ifications dans la forme, l'aspect extérieur, la colora- tion et la
température
du membre affecté. Mouvements. - Rien d'anormal
. Par contre, la sensibilité à la douleur et l'appréciation de la
température
sont presque complètement abolies. On peut pi
galement incapable de distin- guer le chaud du froid, sauf pour les
températures
extrêmes : il y a quelques semaines, elle s'est
ésie absolue à tous les modes de la sensibilité : contact, douleur,
température
, sensibi- lité faradique, tout est aboli : il y
qu'il maigrissait, qu'il fléchissait sur les jambes. 9 décembre. La
température
à 36°,G le soir du 7 descend progressivement à
sensation constante de chaleur anormale ; aucune modification de la
température
somatique. Dans les derniers jours de janvier jus
ervalle, grande somnolence, mais humeur amicale. Pas d'élévation de
température
après les accès. P., 90. Jusqu'au 10 mars, même
ire des membres supérieurs, une suppression partielle du sens de la
température
, de l'analgésie dans les membres supérieurs et
du thorax, du cou et de la nuque. Les sens de la douleur et de la
température
étaient le plus atteints, en même temps qu'on c
trale, carac- térisée par la perte du sens de la douleur et de la
température
, dans la partie supérieure gauche du corps et d
ésions de la peau et du tissu cellulaire sous-cutané. Le sens de la
température
n'avait pas été étudié d'une manière spéciale.
s facilement déterminable, mais bien une altération du sens de la
température
, n'étant point accompagnée d'autres troubles de
ous de la clavicule à la surface antérieure du tronc. Le sens de la
température
est considérablement touché sur tout le côté ga
que, ralentissement du pouls, etc.), sans élévation notable de la
température
. La maladie se termina par la guérison et l'auteu
n unique, etc. ' Le volume se termine par des considérations sur la
température
dans l'épilepsie, tant dans les accès isolés qu
r les conclusions qu'il avait formulées en 1870 sur la marche de la
température
dans l'épilepsie, conclusions qui, jusqu'alors
ent de grandes difficultés. La symp-tomatologie indiquée par Jansen —
température
élevée, langue sèche, céphalalgie intense, vertig
squement de violents maux de tête, de vertiges et de vomissements. La
température
est au-dessous de la normale. « Le 8 juin, il e
s fois dans la journée. Céphalalgie frontale et occipitale, vertiges,
température
37°, le matin. Pouls 80. Rien au fond de l'œil. L
supérieures sont sensibles à la pression, mais le crâne ne l'est pas.
Température
370 6, le soir. «Le 26 juin, température 370 3,
ais le crâne ne l'est pas. Température 370 6, le soir. «Le 26 juin,
température
370 3, le matin; pouls 84, plein, régulier : céph
iolente : sensorium intact. Erissonde trois quarts d'heure de durée ;
température
, 4o°2. « Il ne répond plus aux questions qu'on
s de streptocoques. Même état après la ponction lombaire. ((A midi:
température
390 9, pouls l44 petit: respiration de Cheyne-Sto
le tamponnement, qui est enlevé au troisième jour. Au cinquième jour,
température
très élevée ; mort quatre jours après par thrombu
sie; la force musculaire est diminuée à droite. Pas d'hémianesthésie.
Température
, 37,5. « Le 1/1 juin, le malade passe dans le s
ppréciable sans déviation de la langue; sensibilité générale intacte.
Température
, 3y,6. « Les phénomènes aphasiques persistent a
iolente hémicrânie, affaiblissement progressif des forces, 38-38,5 de
température
. Il présente ensuite de l'obnubilation intellectu
ectement avec le bistouri ; il nota seu- lement une augmentation de
température
, jusqu'à 43° C. Richard Schultz (2) a communiqu
trouble de sensibilité objective cutanée ou articu- laire. Mais la
température
est plus élevée sur la jambe difforme que sur l'a
partie de la journée. Nous attirons l'attention sur l'élévation de
température
dont la peau est le siège, au niveau de l'infir
s observations de trophoe- dème chronique ne font pas mention de la
température
locale, ce qui laisse penser que celle-ci est n
e chemin de retour. Elle se coucha aussitôt rentrée à la maison. Sa
température
était seulement de 97° 4 F., et son pouls batta
ffecté, et également la seule fois où il n'y eut pas d'élévation de
température
pendant l'attaque aiguë. OEDÈME PERSISTANT HE
mbe du côté droit, du liga- ment de Poupard jusqu'à la cheville. Sa
température
était de 1040 F. Son pouls battait 126, et sa r
ue ne démontra point d'éléments anormaux. Pas d'excès d'indican. La
température
variait de 97° F., à 98° 8 F., demeurant la plupa
taient aug- mentés de volume, rouges et douloureux. Le lendemain la
température
du malade était de 100° F., la fréquence de son
mais ils n'étaient plus douloureux ni sensibles. Le 12 novembre la
température
était de 100" 2 F., ; le pouls était à 90 et la
rougeur s'était étendue un peu au-dessus du pied. Le 13 novembre la
température
était à 99° F., le pouls à 80, la respiration à
vaisseaux fémoraux jusqu'autour du creux poplité. Le 14 novembre la
température
était tombée à la normale. La rougeur au-dessus
missement. Les frissons continuèrent jusqu'à 8 heures, moment où sa
température
s'éleva beaucoup. Sa jambe droite, qui lui faisai
près-midi, commença à enfler vers 8 heures. Le len- demain matin sa
température
était de 103° F., la fréquence du pouls de 108
la rotule. Deux jours plus 188 HOPE ET FRENCH tard, le 3 juin, la
température
était à 98° F., la fréquence du pouls-à 78 par
tin sa tem- pérature était de 109° F. A 4 heures de l'après-midi sa
température
était de 103°2 F., et la fréquence de son pouls
même de l'eau. OEDÈME PERSISTANT HÉRÉDITAIRE 191 Le 8 juillet, la
température
était de 98° 4 F. ; le gonflement et la rougeur
, elle était rouge et enflée comme au commencement de l'attaque. La
température
de la peau rougie était de 99° 4 F. prise avec
re de la jambe gauche prise de la même manière était de 95° 4 F. La
température
de la bouche était alors de 102° F. Le 12 juillet
dilatées, mais il n'y a pas de rougeur bien nette ; au, toucher, la
température
du bras droit paraît un peu plus élevée que cel
De plus, depuis le début de-l'affection, les érections ont disparu.
Température
normale. On institue comme traitement : des inj
t nul. Les organes génitaux ont le type nette- Il ment infantile.
Température
axillaire : 3G'{i. Respiration rythmique, réguliè
olive. Le patient n'a jamais eu d'érection ni de pertes séminales.
Température
axillaire : 3608. Respiration normale : 18 par mi
e aiguë ou subaiguë car on n'eut jamais la moindre altération de la
température
, du pouls ni de la respiration, pas de symptôme
, les selles étaient noires de sang, le coeur était très faible, la
température
rectale de 35°-2-C, l'intelligence parfaite. L'
un service de médecine interne où, selon l'habi- tude, on mesure la
température
trois fois par jour; où l'interne de service CO
mais une altération des tons du coeur ; jamais une altération de la
température
; jamais un accès de tachycardie, pas même aprè
se du pouls, sécrétion d'une sueur froide. L'état du pouls et de la
température
indique le degré de gravité du shock. La tempér
pouls et de la température indique le degré de gravité du shock. La
température
peut s'abaisser de plusieurs de- grés. Dans les
blissement de la réaction à la lumière. Durant toute la maladie la
température
resta normale. Dans deux semaines la malade mou-
ain sans force, sans énergie. La couleur de la peau varie avec la
température
du milieu ambiant; pendant l'hiver elle donne à
le, buccale), des organes des sens (vue, goût, odorat, ouïe), de la
température
et de la circulation (fièvre, pouls), des organes
de arrive à la période de cachexie, sans albumine cependant et sans
température
qui oscille entre 36 et 37, le plus souvent 36°
t pas de nature hystérique. Elle ne présentait pas, je l'ai dit, de
température
ni d'albumine, mais un mois aupara- REVUE DE PA
nir albumineuses et la fièvre s'élever de 37 à41, l'ascension de la
température
s'était faite dans les vingt- quatre heures ant
fuses du côté droit. Dissociation en plaques de la sensibilité à la
température
et au contact à gauche. Rachis cer- vical conve
e de relations entre le nombre des pulsations, la respiration et la
température
, etc. 160 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 3° Les résu
ments concrets d'un asile. - 5° Exercices pratiques. Prendre une
température
; savoir lever et porter les faibles; enlever les
Lien porter. Pas de fièvre, pouls cependant un peu agité quoique la
température
fut normale; tube digestif en bon état, langue
m'indique rien, la voix est nette et non nasillarde ; le pouls, la
température
, tout est normal; les réflexes sont conservés.
eu rétracté et la raie méningitique était assez nette. Pouls agité,
température
37°,5. Dans l'incertitude du diagnostic je fais
trême, le pouls très petit et très agité 150 à 160 à la minute : la
température
en désaccord avec le pouls 36 1/2; sueurs froid
vue manquer. J'ai noté également le désaccord entre le pouls et la
température
: tandis que dans la vraie méningite c'est le p
andis que dans la vraie méningite c'est le pouls qui est lent et la
température
élevée, ici c'est le con- traire. Enfin la term
sant bien à la lumière. Pas de perte de connaissance; pouls, à 140;
température
39. Quatre jours après, je revois le malade, il
culaire : la face est pâle, le pouls est petit et en plus agité, la
température
n'est pas abaissée. c 316 CLINIQUE NERVEUSE
1894 l'enfant est pris subitement d'une fièvre violente, pouls 180,
température
41°; malgré le sulfate de quinine la fièvre per
suicide. Un an après, en janvier 189G, survint une phase aiguë avec
température
élevée, céphalée intolérable, puis prostration.
collection purulente, le. malade a pour- tant un peu d'élévation de
température
(38°5). Cette tuméfaction résiste à tous les tr
n froide à 20° ou une application de linges imbibés d'eau à la même
température
, ou une immersion dans un bain de pieds froid (
itation a disparu.T.37,4.' Les 14, 15, 16, 17, pas d'injections. La
température
est retombée à son chiffre habituel, 36,5. Fonc
dans l'état physique ont été une élévation peu considérable de la
température
, avec amaigrissement progressif, sans troubles
nt. cubes desolution alcaline il 1/25, suivie d'une déviation de la
température
de 1°. Pas d'autres trou- ble notable. Le 3,
ibilité; paralysie partielle de la sensibilité à la douleur et à la
température
dans la partie supérieure du tronc et dans les
100); date et durée de leur apparition ; forme, volume, écartement,
température
, mobi- lité de l'extrémité fantôme;' douleurs s
limentaire, offre la faculté do se rendre compte exacte- ment de la
température
du liquide à injecter. Enfin un niveau permet d
quelqu'un. Le poids de son corps était un peu plus de 35 kilos, la
température
36°0, le pouls très faible (50 par minute); oed
0 kg. 500 grammes, c'est-à-dire il augmente presque de 16 kilos; la
température
'devint 37 à 37°,2; le pouls était assez plein,
syphilis cérébrale on observe assez souvent aussi des élévations de
température
parfois considérables : elle peut atteindre et
hilitique. Céphalalgie extrême- ment intense, vomissements répétés,
température
quelque- fois élevée, tels sont les symptômes q
e. Rien d'anormal à l'examen des divers organes. Pas d'albuminurie.
Température
normale. On institue le traitement spécifique.
usculature externe de l'oeil. Depuis trois jours, sans élévation de
température
, la malade a pris autour des lèvres de nombreus
e. Les jours suivants, les symptômes méningitiques s'accentuent; la
température
atteint jusqu'à 41 degrés. Enfin, au bout de ci
l'action du trai- tement en évitant aux malades les changements de
température
et les écarts de régime. Le même médecin publie
it jours. On constata les - changements physiques ; ascension de la
température
, rapidité et faiblesse du pouls, nausées, moite
: plonger dans la solution de Fol pendant vingt-quatre heures à la
température
de 35 à 40° C. ou pendant quarante-huit heures
la température de 35 à 40° C. ou pendant quarante-huit heures à la
température
ordinaire ; laver et plonger dans l'alcool à 80
fine au point de fusion (50° C.) ; les laisser seize heures à cette
température
; faire des coupes et les fixer par attraction
ce électrique est un symptôme du même ordre que l'abaissement de la
température
locale et les troubles de nutrition (Vuillaumie
progressif. 30. T. R. 41°,4. L'enfant meurt à 8 heures du matin.
Température
après la mort. 296 RECUEIL DE FAITS. miens, l
cohérence, de l'agitation, de la constipation, de l'élévation de la
température
, de la fétidité de l'haleine, la peau sèche et ch
ion à délirer pour la moindre pyrexie, régulation désordonnée de la
température
), cau- sant une difficulté particulière d'adapt
des troubles circulatoires avec dyspnée, cyanose et élévation de la
température
. L'enfant meurt dans des conditions analogues a
qu'on a pu appeler la fausse tuberculose des mélan- coliques. La
température
se trouve par suite abaissée d'autant plus que
n'avaient tenu compte, dans leurs résultats, ni des différences de
température
, ni des différences de durcissement des coupes. S
ps, une dénutrition très notable. A partir du mois de dé- cembre la
température
du corps monte jusqu'à 380,6, grimaces demi-con
nt. Presque tous les ans, érysipèle de la face sans élévation de la
température
; la dernière fois l'érysipèle laissa après sa d
n, au mois de juin, un trouble vague, du bien être. Le 3 juillet la
température
monte à 38,5 ; à partir du 6 juillet obnubilati
complète des muscles des globes oculaires. Mort le 14 mars 1896. La
température
du corps resta toujours normale. L'examen anato
cutanée est absolument abolie dans tous ses modes : tact, douleur,
température
. Les mouvements iinpii- i- més passifs provoque
grandes quantités d'eau froide ou encore mieux d'eau tiède, dont la
température
ne doit pas dépasser 40 degrés ; le lavage est
laire est indépendante de l'anesthésie au tact, à la douleur et aux
températures
et vice versa. En examinant ses observations il
ntégrité complète des sensibilités à la chaleur, au contact et à la
température
de notion, de localisation, de position et de poi
ingt-huit ans, mariée ; cinq jours après son troisième accouchement
température
très élevée, congestion de la face, troubles me
uggérées se réalisent : sensation de bien être et abaissement de la
température
. Guérison lente, mais complète. Observation V
contrastant avec la perte de la sensibilité à la douleur et à la
température
, dans les segments immédiatement sus-jacents au
troubles légers sur le compte du changement brusque de climat et de
température
. Cet état de choses empire après son arrivée à
ées : l'état myxoedémateux, la macroglossie, et l'abaissement de la
température
rectale. La mar- che avait été très tardive, et
tin. L'aspect absolument stupide de l'enfant, l'a- baissement de la
température
rectale, la conformation particulière des extré
olontiers avec d'autres enfants; elle ne parle que depuis un an. La
température
rectale est normale. L'enfant se met facilement
Mais l'hydrémie s'étend rare- ment à d'autres parties du corps. La
température
rectale est nor- male, et l'intelligence de ces
'apparition chez des dégénérés primitifs d'une affection aiguë avec
températures
élevées et pros- tration considérable, s'accomp
rd embarras de la parole et dispha- gie et titubation très accusée.
Température
38,6-38,7. Pouls 110. Ensuite paralysie du voil
ale inférieure et supérieure. La conscience est presque intacte. La
température
monte jusqu'à 39,2. Pendant huit jours l'état d
supérieurs et au tronc. Anesthésie complète à la douleur et à la
température
dans le domaine de la main gauche, du poignet et
xpériences sur dif- férents animaux (souris, cobayes, lapins). La
température
basse empêche l'apparition de l'état mo- nilifo
ésente rien de particulier. Si le cadavre d'un cobaye restait à une
température
de 15" Réau- mur durant dix-huit heures, les mo
rès vingt-quatre heures elles étaient plus marquées. Si on prend la
température
un peu plus basse, alors on ne peut constater a
ne boriquée, renouvelé tous les jours. Le malade n'a jamais eu de
température
, ni de réaclion géné- rale. Au mois de juin 189
douches sont déjà réduites à 12° C., il faut les continuer à celte
température
et il faut prendre ces douches simulta- nément
sont hagards, les traits inquiets. Tremblement généralisé ; pas de
température
; le pouls est bon. Il raconte son histoire inc
issements, de constipation, de cris nocturnes, avec élévation de la
température
, le tout accompagné d'assoupissement. Le mé- de
même temps qu'elle tourne la main gauche et agite les doigts. La
température
rectale, prise matin et soir pendant les cinq pre
est continuelle. L'enfant tousse très rarement. Le 2r septembre la
température
rectale était descendue à 35°,4 (vérifiée avec
s avoir présenté de symptômes nouveaux; la cachexie est complète.
Température
après décès. IDIOTIE SYMPTOMATIQUE : LÉSIONS DE
t sans doute encore développée de juillet à la mort (octobre). La
température
n'a jamais été très élevée dans le cours de la
1 au 14 entre 36°,4 et 37°,4; du 14 au 17 entre 37° et 38; le 18 la
température
tombe à 35°,6, reste entre 36° et 37° jusqu'au
ant un jour, puis le cou se raidit, les pupilles se contractent, la
température
s'élève, la peau devient hyperesthésique ; il s
es Chinois », détaillant les différences de mesures, de rythmes, de
températures
, de réactions motrices et sensibles qui caracté
6, avec tension faible, et un peu irrégulier : respiration normale;
température
au-dessous de la normale : l'ar- ticulation de
demi-corps thyroïde, très frais, au repas de onze heures du matin,
température
axillaire, prise à une heure, trois heures et c
re malades du premier groupe auquel fut donné du corps thyroïde, la
température
s'éleva très promptement dès le premier jour, m
omptement dès le premier jour, mais pour retomber aussi rapidement.
Température
à une heure, 38°; à 3 heures, 37°,5; à 5 heures
La défervescence ne se produisitpas de même le second jour, ainsi :
Température
à une heure, 38°,3;, à 3 heures, 38°,2; 'il à 5
nt per- sistante et intense qu'il devint impossible de prendre la
température
le troisième jour. Chez les trois autres malade
à manifestations épileptiques les plus graves et très anciennes, la
température
moyenne s'éleva d'un jour à l'autre, recevant u
a- tions que nous relatons à la fin de ce mémoire. L'élévation de
température
si sensible que nous avons "notée chez nos mala
. On détermine par suggestion l'insensibilité à la douleur, et à la
température
. Ces anesthésiques se comportant dans toutes le
la convalescence. Elles sont surtout attribuables l'élévation de la
température
et à ses conséquences; 3° Les psychoses asthéni
de violentes dou- leurs dans les cuisses. Au bout de huit jours, la
température
s'élève au-dessus de 38° et oscille pendant les
c est seulement un peu violent et la ligne - d'ascension élevée. La
température
s'élève beaucoup, pour 232 REVUE D'ANATOMIE ET
lleurs notre malade ne tarde pas à entrer dans un état comateux, la
température
s'élève, et, le décès survient peu de jours apr
abolition de toutes les sensibilités au contact, à la douleur, à la
température
, à l'électricité. Les réflexes cutanés et tendi
e, on provoque chez eux un état de malaise, avec irrégularité de la
température
, aug- mentation des réflexes cutanés et hébétud
érysipèle oedémateux ou oedème malin. Il n'y eut pas d'élévation de
température
; celle-ci resta même au-dessous de la normale,
yne-Stokes ; enfin l'élévation considérable et sans rémission de la
température
. , R. DE Musgrave-Clay. XXXVIII. Pseudo-tabes
s réflexes ; anesthésie droite. Deux grandes crises épileptiformes,
température
constante autour de 38°. Pouls lent, cachexie rap
des maladies toxiques ou bactériennes. 10° De simples élévations de
température
peuvent être produites par la stimulation et la
nternement, il soit fait mention que le malade ne pré- sente pas de
température
fébrile. {Annales médico-psychologique, juin 19
vent, sans apporter la conviction, sur la néces- sité de prendre la
température
des malades aliénés avant leur dépait de l'hôpi
des malades fébriles et d'aggraver leur état. Comme nous prenons la
température
de nos malades à l'entrée et durant les cinq jo
ENCE PRÉCOCE. 437 Î C'est aujourd'hui, me dit-on, le 13 octobre, la
température
est excel- lente et tiède. Il n'a qu'un souve
ion, nausées et quelquefois vomissements, un peu de fièvre avec des
températures
irrégulières ; amaigrissement avec pâleure de l
ion sanguine, affaiblissent le contrôle vaso-moteur et abaissent la
température
du corps. Le réveil est d'abord agréable, parce
rose, sialorrhée, modification du rythme du coeur, diminution de la
température
, troubles de la menstruation, augmentation du v
au bout de 2 3 3 jours une analgésie complète (à la piqûre et il la
température
, au chaud et au froid) qui occupe tout le côté
e cependant avec un peu d'atten- tion. Le gâtisme est complet. La
température
s'élève rapidement; sueurs profuses; râles traché
us- ses musculaires. Longue agonie. La mort arrive dans le coma, la
température
mesurée sous l'aisselle, dépassant 40 C. et le
la mort on constata une analgésie avec perte de la sensibilité à la
température
, dans tout le côté droit du corps, y compris le
uvements et analgé- sie il droite, troubles de la sensibilité il la
température
, troubles oculaires à gauche). On pouvait suppo
mme l'on sait, dans la perte de la sensibilité à la douleur et à la
température
avec conservation de la sensibilité au contact.
était parfaitement conser- vée, la sensibilité à la douleur et à la
température
étaient complètement abolies. Comme le ruban de
tion de sérum. Peu à peu l'état général se relève, malgré un peu de
température
cha- que soir, et un muguet qui dura 4 ou 5 jou
e qui est jugé inutile. Suture et drainage. Les jours suivants la
température
revient à la normale, l'état général est très b
s absolument normales. Le pouls a toujours oscillé autour de 80. La
température
a varié entre 36°4 et 36°8. La respiration entr
espiration entre 12 et 16 jusqu'au 9 mai. Le 9 104 F. SOCA mai la
température
monte à 38°,c'était le premier signe d'une bronch
exa- gérés ni diminués. Les urines contenaient de l'albumine, la
température
et le pouls étaient normaux. 4 signaler enfin u
a gauche, des douleurs de tête très violentes, un délire assez vif,
température
: 1,9. Il bredouillait un peu en parlant et ne
avant-bras et regardant en haut. La sensibilité à la piqûre et à la
température
est conservée. L'examen du champ visuel pratiqu
le pouls est calme et plutôt lent. La respiratiou est régulière, la
température
normale. Il n'y a pas d'émissions involontaires d
n à la période aiguë appartiennent encore les grandes élévations de
température
qui peuvent aller jusqu'à fdo2, nous n'avons pas
ansporta à l'hôpital. le patient se plaint de forts maux de tête,
température
37°5, pouls 68, plaie un peu eu avant et au-des
nts. En 1870, retour des douleurs, crises aiguës aux changements de
température
. En 1875, perte de la sensibilité plantaire. In-
érées par la marche, augmentent de violence dans les changements de
température
et disparaissent parfois brusquement. Des fourmil
scéralgiques quelconques. , La sensibilité cutanée au contact, à la
température
, à la douleur paraît dimi- nuée il gauche, mais
pas les objets cassants ; ellepermet une transition plus douce des
températures
en passant de l'alcool à la paraffine. Elle a néa
e la tête et du cou est normale sous tous ses modes, tact, douleur,
température
. Les sensibilités spéciales (vue, odorat, ouïe,
sibilité des membres supérieurs sous tous ses modes (tact, douleur,
température
) est normale. Les réflexes olécranien et du g
ffet, est totale du coté paralysé..... Le ventre est en bateau.....
Température
: 36°2, pouls 120 et il existe des sueurs abon-
est chargée et large..... le malade amené le 8 janvier meurt le 14
Température
40°8. Autopsie. Adhérence considérable de la du
plus aiguë à droite par rapport à la normale. Mais les différentes
températures
sont mieux perçues, à ce qu'il semble, du côté
on le soulevait, la face paraissait légèrement déviée à gauche, la
température
était de 37°8, le pouls légèrement irrégulier.
rapproche de l'extrémité des doigts, existe aussi un abaissement de
température
très notable pas de sueurs locales troubles tro
s sons inarticulés, la peau et les mu- queuses visibles très pâles.
Température
37°6, pouls 72, petit et irrégulier. En l'appel
tres de lame de couteau. Jusqu'au 30 dé- cembre, augmentation de la
température
, la paralysie ne s'améliore pas, le malade est
la sensibilité est conservée. Au pied gauche, signe de Babinski.
Température
, 36° 8 ; - pouls, 60. Hémicraniectomie droite p
de la' motilité persistent. Il n'y a pas de troubles trophiques, la
température
est normale. L'aphasie du début a disparu. 19
sans aucune hésitation. Les jours suivants l'agitation persista, la
température
s'éleva rapide- ment, il se produisit de la séc
r à .cause des douleurs qu'il éprouve à la langue et dans la gorge.
Température
très basse. La peau se desquame en larges lambeau
'à la maladie de peau, à la gastro- entérite et à la diarrhée. La
température
a été prise régulièrement depuis le commencement
ée normale ou inférieure à la normale. On a noté deux élévations de
température
: du 26 au 28 août, le thermomètre a varié chaq
chaque jour de 37°3 le matin à 38o4 le soir. Du 3 au 9 septembre la
température
s'est élevée graduelle- ment jusqu'à 39°4 ; pui
en quelques endroits. Pendant les six derniers jours de la vie, la
température
était 2 ou vm 4 50 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE L
utes, sans motif, ou à la suite d'un frottement, d'un changement de
température
, d'un courant d'air, cette douleur locale prena
de la surface décollée.' ' ' ' .' ' De^ce fait, l'opéré dont là-
température
: s'éleva à 38°, 3805,lé soir pen- dantune' h.u
sté très susceptible au froid, et, lorsqu'il est exposé à l'air, sa
température
s'abaisse très ra- pidement en même temps qu'il
ement ouaté destiné à lui éviter tout contact et tout changement de
température
, provocateurs de crises douloureuses atroces, pou
pital, la malade n'a plus été affectée de symp- tômes fébriles ; la
température
est restée stationnaire autour de 37°. t1 la; f
s paralysés. Sauf cola les sensibilités générale et spéciale (tact,
température
), sont normales. Les réflexes des membres sont
u, abolition complète de la sensibilité au tact, à la douleur, à la
température
(thermo-custhésiomètro à 110"; Glace). Mêmes zo
qu'à une ligne horizontale passant par l'épigastre ; en arrière les
températures
élevées sont encore perçues. A gauche, dans la
somme il existe une abolition plus ou moins complète du sens de la
température
répartie symétriquement au-dessous d'une ligne
Les bases pulmonaires présentent de la congestion hypostatique. La
température
oscille entre 38° et 39°. Les jours suivants l'
le, tombe dans un assoupissement progressif qui aboutit au coma; la
température
monte entre 40° et 41°. La mort survient le 28
lité sont également atteints : le tact, la douleur, la sensation de
température
, la sensibilité profonde, le sens musculaire, le
a malade n'accepte plus qu'un peu de lait ; la langue est sèche. La
température
monte à 38°5 le soir. Bientôt il se développe u
plorée par injection, à travers le cathé- ter, d'eau chaude dont la
température
se transmit rapidement aux parois métalliques d
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