/ 189
1 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
ent des douleurs, au niveau des attaches du diaphragme. l3ref, le tableau morbide, à cette période de la maladie, était dom
ces observations les phénomènes morbides correspondaient si bien au tableau classique donné par Marie qu'à l'heure actuelle l
mettre en regard les observations de nos trois malades dans un même tableau , où se trouvent condensées les données des anté
le et par la colo- ration au bleu de méthylène nous avons trouvé un tableau ordinaire qui se remarque habituellement dans l
ère est couverte par une masse qui descend du bulbe rachidien. Un tableau tout à fait analogue est présenté par le cas suiv
nelles sont plus normales. Au toucher la tête est molle. En un mot, tableau habituel de l'hydrocéphalie. L'enfant tétait ma
restait seulement le faisceau fondamental du cordon antéro-latéral ( tableau ordinaire dans les cas de forte hydromyélie). Par
le-ci eut des illustrateurs; ils nous en ont laissé d'incomparables tableaux , - fout un chapitre de médecine en images. C'es
es souvenirs des jours de rire et d'abondance. A voir le nombre des tableaux que Jan Steen a consacrés à célébrer les plaisi
riste. Ses docteurs, ses malades, comme tous les personnages de ses tableaux , 60 HENRY MEIGE ne sont que des portraits sin
précieux ou pédantesques, el leur igno- rance que le sujet même du tableau met souvent en évidence, montrent bien qu'ils s
, XII Cliché Hansstacngl. Photogravure Hansstaengl. MAL D'AMOUR Tableau de JAN Steen, intitule La Malade , eu Rijks-M
urait figuré à la vente Braamcamp (citée par Sorru), dans laquelle le tableau accroché à la muraille représentait l'enlèvemen
II. Cliché Hansstacngl. Photogravure Hansstaengl. MAL D'AMOUR Tableau de JAN STEEN, intitulé Un médecin rendant visit
ls nouveaux indiqués dans le fond de la pièce : D'abord, un grand tableau accroché à la muraille, et qui représente des C
l'on se rappelle que le peintre repré- sentait volontiers dans ses tableaux les gens de son entourage, parents ou familiers
une robe de satin vert; sa chambre est décorée de sculptures et de tableaux ; elle est servie par deux caméristes, dont l'un
IV. Cliché Hansstacngl. Photogravure Hansstacngl. MAL D'AMOUR Tableau de Jan Steen, intitulé Un médecin t7tant le pou
vera à Munich, dans l'ancienne Pinacothèque. La existe un quatrième tableau , dûment signé de Jean Steen, où le maître lui-mêm
XV. Cliché Hansstaengl. Photograuire Hansstaengl. MAL D'AMOUR Tableau de JAN Steen, intitule Un médecin tâtant le pou
e- ment, chaque variation d'attitude répond à une variation dans le tableau d'emploi de ces activités musculaires, et, ce q
radiation réflexe issue de l'appareil ampullaire, et réa- liser les tableaux cliniques les plus complexes, parfois durables. I
qui accompagne les paralysies du sphincter uré- thral. UN NOUVEAU TABLEAU REPRÉSENTANT LES ARRACHEURS DE « PIERRES DE T
avure du Rijk Muséum (PI. XXI) pour la rapprocher d'un très curieux tableau dont nous avons eu récemment connaissance et qu
ir été inspiré par l'oeuvre de P. Bruegel le Vieux (PI. XXII). Le tableau en question se trouve à Paris. Il faisait autrefo
ui laisser par testament. Charcot étant mort avant le Dr Mesnet, le tableau revint aux héritiers de ce der- nier. Il appart
e moindre doute. Il s'agit plus probablement d'une copie d'après un tableau ou une estampe de P. Bruegel, copie an- cienne
'avait pas,dit-on, commencé à s'adonner à la peinture. Ses premiers tableaux ne remonteraient pas au delà de l'année 1559. On
. On pourrait donc supposer que l'artiste hollandais ait composé le tableau d'a- près son estampe. Ce serait un de ses prem
ttribu- tion. Il est, au contraire, parfaitement démontré que les tableaux et les es- lampes deP.Bruegel l'Ancien ont serv
seignements qu'il a bien voulu me communiquer sur l'ori- gine de ce tableau . (1) Panneau de bois ; hauteur : 0 m. 31 ; larg
in, grossièrement apocryphe. (2) Je n'en citerai pour exemple qu'un tableau de la galerie Ilarrach, à Vienne, re- présentan
son crû, ou bien comme la copie exacte, quoique fort médiocre, d'un tableau de P. Bruegel l'Ancien, tableau aujourd'hui dispa
exacte, quoique fort médiocre, d'un tableau de P. Bruegel l'Ancien, tableau aujourd'hui disparu, qui n'était lui-même qu'un
tre d'un réel talent, ne sont pas non plus les auteurs probables du tableau . D'ailleurs, il n'est pas si- gné dans leur mod
de vue spécial. Elle permet en outre de soupçonner l'existence d'un tableau , aujourd'hui disparu, de P. Bruegel l'Ancien (1).
Bulegel 1559. Il. Cock exctcdit qui reproduit dans son ensemble le tableau de la rollection de llarrach,mais en diffère pa
le pélican symbolique et qui figure sur la gravure, mais non sur le tableau ). Si l'attribution du tableau à Jean Bruegel. e
igure sur la gravure, mais non sur le tableau). Si l'attribution du tableau à Jean Bruegel. est exacte (et l'on n'est pas aut
n personnage de sa façon. Il se peut sans doute qu'il ait existé un tableau de Pierre Bruegel Vieux, présentant les mêmes d
ne copie exacte ; mais je n'ai pas trouvé traces de l'existence de ce tableau . (1) On remarquera que la scène représentée sur
en inférer que cette dernière gravure était renversée par rapport au tableau supposé de P. Bruegel. C'est celui-ci que l'aut
1. XII. PI. XXII LES ARRACHEURS DE « PIERRES DE TÈTE n D'après un tableau appartenant : 1 M, le D1 Paul de Molènes, Paris
e ligure pas sur la gravure d'Ams- terdam. Dans le coin gauche du tableau , l'artiste nous fait assister à une opéra- tion
Dr Brissaud. LES ARRACHEURS DE PIERRES DE TETE 175 la" Au fond du tableau du même côté, scènes de pansements. Un gros hom
e les artistes des Pays-Bas ne répugnaient pas à figurer dans leurs tableaux , et dont le sel ne nous apparaît plus aussi agr
onglerie chirurgicale en question est am- plement commentée par les tableaux de van Bosch, van IIemessen, A. Both, Fr. Hais
lles peintures relatives à des scè- nes du même genre. L'une est un tableau attribué (non sans raisons) à A. Brouwer et que
Amyotrophie type Claa·cot-ltaie et pour tracer il grands traits le tableau clinique et analomo-palbologique de la maladie.
ues, bien étudiés par les vieux cliniciens, font toujours partie du tableau de la chlorose et ils suffisent souvent à éta-
s ? Les flacons, les tasses ou les verres qui figurent sur tous les tableaux , contiennent sans doute quelque limonade ou autre
nture ait osé aborder ce sujet délicat ? ... Qui sait ? ... Certain tableau de Steen et certain autre de 238 HENRY MEIGE
thème favori . IV Il existe, il ma connaissance, une trentaine de tableaux de l'école hol- landaise que l'on peut rattache
pectée, l'auteur ayant pris soin de donner lui-même le titre de son tableau . D'autres, par comparaison, s'y rattachent sans
et Hoogstraaten, entre autres, ont pu puiser l'inspiration de leurs tableaux . Quant ;i Jan Steen, s'il est vrai qu'il ait pu
de jeune hollandaise; dans le fond un lit à 'baldaquin ; au mur, un tableau représentant un paysage ; une tablé recouverte
1892. - T. IL, (12, L, u2. Signé Jan Steen. - La photographie de ce tableau m'a été fort obligeamment communiquée par M. le
. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. T. XII. PL. XXXV. MAL D'AMOUR Tableau de JAN STEEN, intitulé La Malade d'Amour. Gal
et Cil'. Photogravure Rougeron, Yignel'ol, Dumoulin. MAL D'AMOUR Tableau de JnN STSCN, intitulé La Visite du Médecin.
V. ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIERE. T. XII. PL. LXXVII MAL D'AMOUR Tableau de JAN STEEN, intitulé Le Couple buvant. au R
lièrement au mal d'amour. Et en vérité, il est très possible que ce tableau ait été, lui aussi, ins- piré par la febris ama
, p. 11G. 246 HENRY MEIGE pour qu'on puisse songer à rattacher ce tableau il la série que le maître hollandais a consacré
Haye). Photogravure Ilougeron, Y'gnerot, Dumoulin. MAL D'AMOUR Tableau de JAN Steen, intitulé La Visite à la Malade.
ntimes. Chose curieuse cependant : la seringue que l'on voit sur le tableau de la galerie Steengracht n'est pas une seringu
voyait un sujet de se divertir, il trouvait également le sujet d'un tableau . Mais passons. L'hilarité que cause la vue de l
XXIX. Cliche Loewy (\"JeuHe\. Photogravure Loewy. MAL D'AMOUR Tableau de JAN STEEN, intitulé La Visite du Médecin.
e, un lit à à baldaquin; sur les murs, une guitare, une pendule, un tableau ; dans le fond, une porte laissant voir des piè
l, et Jan Steen aimait la nature dans toutes ses manifestations. Le tableau de la galerie Nostitz nous ferait ainsi connaître
nous ont paru se rattacher de près ou de loin au Mal d'Amour. Neuf tableaux , - sans compter ceux qui ont pu nous échapper,
n peu risqués. Est-il rien de plus dévergondé, en apparence, que le tableau du Rïjk Museum, intitulé Après boire ? Mais n'e
à a série des malades d'amour. Il est possible que certains de ces tableaux se confondent avec ceux que nous avons examinés.
aminés. 3 Le médecin el sa jeune malade, vente Laperrière (t817), « tableau admirable : il se compose simplement de trois f
ter les conséquences natu- relles des ébats amoureux, comme dans le tableau de la galerie Nostitz, quel censeur maladroit s
nicien, mais surtout fidèle observateur de la nature.' . Pour les tableaux que nous venons de passer en revue,.cette constat
UV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. T. XII. PL. XL, MAL D'AMOUR Tableau de R. Brackenburgh, intitulé Il n'y a pas de re
retier, lequel d'ailleurs vécut à Ilaarlem entre 1661 et 1669. Le tableau que nous allons examiner est à cet égard tellemen
I. Choho liaiiistaeiigl. l'hotogravurellaasstacng MAL D'AMOUR Tableau de S.1MUEL VAN HooGSTRAATEN, au Rijk Muséum d'Ams
ler l'argent. Il s'occupa bientôt de gravure, puis de peinture. Ses tableaux d'un dessin correct et d'un vif coloris sont ra
'attacher à sa cour, en Italie, en Angleterre vendant fort cher ses tableaux , enfin revint se fixer dans sa ville natale où il
, et mourut prévôt de la Monnaie. Il peignait dans tous les genres, tableaux d'histoire, portraits, paysages, natures mor- t
s idées, et les obsédantes rêvasseries. \V. Burger, qui a décrit le tableau avec éloges (-1), émet des doutes sur la perspi
d'amour dont le portrait se trouve à Buckingham Palace (PI. XLII), tableau charmant, plein de délicatesse, d'é- légance et
sque jamais l'impression de sécheresse. On l'a dit avec raison, les tableaux de Gérard Dow, toujours de petites dimensions, re
LII. Cliché IIansstaeng l'hotograwro nansslacngl. MAL D'AMOUR Tableau de GLRARD Dow, à Buckingham Palace. Même sujet
ade d'amour de Buckingham Palace ne le cède en rien aux meil- leurs tableaux de Gérard Dow. Scène d'intérieur, familière et
decins. * .. Il existe, au musée de Dresde, une réplique de ce tableau , signé de Gans- PARU NETSCHER. On se rappellera
, puis s'adonna à la pein- ture sous la direction de Terburg. Son tableau du musée de Dresde semble être une copie de celui
ame de sabre et d'autres, gonflements épi- physaires) s'ajoutent au tableau symptomatique. Lorsqu'il y a un soupçon cle syp
ivons les enfants qu'une telle femme engendre, nous aurons tracé le tableau complet de l'insuffi- sance bénigne thyroïdienn
nte et analysant parfaitement ses sensations, elle put me tracer le tableau suivant, qui est l'image à peu près complète de
ue Metzu n'a pas négligé ce genre de sujet. Il existe d'ailleurs un tableau de lui dans la collection Stcengracht, il la Ha
nt et CiC. Photogravure Rougcron, Vignerut, Dumoulin. MAL D'AMOUR Tableau de GABRIEL Metzu, intitulé ' La Malade Musée
colonnes torses dorées entouré d'un rideau blanc. Au mur, un grand tableau représentant le sacrifice d'Isaac. A droite, un
. Photographie Loewy (Vienne). Photogra\ ure Loewy. MAL D'AMOUR Tableau de G. METZU, de la.collection G. Edlen von Preyer
e malade de Metzu aurait bien pu en dire autant. Cependant, dans le tableau de Vienne, il ne semble pas que le docteur ait
originalité. Son dessin demeure impeccable, il ordonne fort bien un tableau , il peint avec finesse; mais il est froid; on reg
tit-fils, qui furent peintres également,a laissé un grand nombre de tableaux dont plusieurs lui ont été inspirés par des scène
beau meuble surmonté de faïences et de verreries ; sur le meuble un tableau représentant un paysage; non loin de là,un esca
Photographie l.oe\\y (Vienne). Phutugmure LlC\\). MAL D'AMOUR Tableau de FRANS VAN Maris le Vieux La Consultation M
a réuni fait presque... . Ce qu'on appelle un médecin. Tel est le tableau du musée de Vienne. On y voi t encore quelques ac
Mannheim). Photogravure Rougeron, Vignerot, Dumoulin. MAL D'AMOUR Tableau de P. van Slingelant, intitulé Dame malade .
mieux convenir au docteur de Slingelant. (t) La photographie de ce tableau a légèrement déformé les personnages. La repro-
SALPÊTRIÈRE. T, XII. PL. LXIII. MAL D'AMOUR Gravure d'après un tableau de GODFRIED SCHALKEN, intitulé La Consultation
es amou- reuses, est rendu par Schalken avec beaucoup d'esprit. Son tableau de la Haye est une jolie page d'observation pby
rouvé cette fantaisie libertine de leur élève. Nous ne signalons ce tableau que pour le rapprocher cle celui du musée de la
s hollandais ont consacrées au Mal d'Amour (1). Comme dans tous les tableaux de genre de l'école des Pays-Bas, on y retrouve
donnaient des impressions nouvelles ; ils suffisaient à inspirer un tableau . » Un banquet de confrérie, une noce villageois
éfilé des robes longues et des cha- peaux pointus dans les nombreux tableaux genre de l'école hollandaise, rien ne saurait m
ment dites et les scènes humoristiques à double entente. Devant les tableaux de Samuel van Iloogstraaten, de Gérard Dow, de
'Amour, choisi par les artistes eux-mêmes et perpétué sur plusieurs tableaux , est donc applicable à cette étude. Le plus sou
nne tous les 12 à 15 jours, parfois remplacées par un vertige. Le tableau suivant résume les manifestations comitiales qu'a
es on voit l'importance de ces troubles de la sensibi- lité dans le tableau de leur affection ; un coup d'oeil jeté sur les f
T. XII. PL. LXX. Photugr. 1.J.uge. UN CABINET DE CONSULTATION Tableau de Thomas (Gérard). Musée de Dijon. ET Cil, E
ant une leçon de morale : Il n'en fallait pas plus pour inspirer un tableau à succès. A vrai dire, les médecins urologues n
données par les urologues empiriques. Le musée de Dijon possède un tableau de l'école flamande, attribué à un peintre peu
T-I. 0, 38. L,-0,73. Legs A. Chevalier, 1816. La photographie de ce tableau a été faite grâce à l'obligeance de M. A. Joliot,
regarder il la lumière le contenu d'un uri- rial. , Comme dans le tableau du musée.de Dijon, près de lui se tient debout
d'ailleurs indiquée de façon discrète, et les autres personnages du tableau (un homme blessé à la main, deux femmes avec de
en cause le mal d'amour. Peut-être, faut-il le soupçonner dans un tableau de DAVID RYCKAEnr (1612-1GGl), intitulé Un Slwa
E LA SALPÊTRIÈRE. T. XII. PL. LXXI. Phologr. Mauge. LE SAVANT Tableau de DAviD RYCIiAERT (1612-1661). Galerie de Mann
l'étrangeté et l'habileté de l'é- clairage en font un des meilleurs tableaux de Ryckaert. Enfin, la présence de l'homullculn
larmes de cruelles révélations. Il existe plus d'une réplique de ce tableau : à Pétersbourg, à Amsterdam, dans la galerie Six
perfections, les scènes de Gérard Dow. Au musée d'Orléans, un petit tableau attribué il 11L< : NDlllK Martinez Ro- KES,
ailleurs sont abondamment représentées dans l'art pic- tural. Les tableaux religieux en fournissent le plus large contingent
ques ou historiques. Mais nous ne voulons parler ici que des petits tableaux de genre de l'é- cole hollandaise. * .. s
leurs imitateurs (1). Il existe cependant à l'Académie de Venise un tableau attribué à Ter Borch (attribution contestée et
ais il est surtout familier aux (1) Dans la galerie de Mannheim, un tableau de Ter Borch représente une jeune femme vêtue d
xacte ? ... En tous cas, il s'agit probablement d'une étude pour un tableau analo- gue à ceux 'que nous avons décrits. Mais
x est magistralement représenté il la Pinacothèque de Munich par un tableau bien connu sous le nom de La Femme malade (3).
tre femme, parente ou amie déjà mûre. Tel est le motif principal du tableau , au premier plan, en belle lumière. Le costume
. Cliché llan(Waençl. Typogr. ïlansstaengl. LA FEMME ÉVANOUIE Tableau de Frans VA ? MIERIS le Vieux. A la Pinacothèqu
mirons l'art vrai- ment supérieur avec lequel le peintre a rendu le tableau cle la syncope. Il n'en est peut-être pas de pl
'en est peut-être pas de plus exacts ni de mieux observés. Un autre tableau attribué à FRANS UN Mieris le Vieux, conservé dan
paraison qu'on peut faire de la moribonde avec la femme évanouie du tableau de Munich. Elle est toute à l'avantage de celle d
(1GU2-174.7), élève et imitateur de son père, a peint un assez joli tableau , aujourd'hui dans le musée de l'Ermitage à Sain
é Yinkenhos et Dcwalcl. 1'liotogi,. èllaugc. LA MODERNE LUCRÈCE Tableau attribué à Frans VAN Mieris le Vieux. Collectio
kenbos et Dowald. l'liotogr. Mauge. SUITE D'UNE NOUVELLE FACHEUSE Tableau de \VILL1 : M VAN MIERIS (1662-1747). Musée de
Cliché lIansstncngl. '1'.\ pogl'. IIansstaengl. LA DAME ÉVANOUIE Tableau de EGLON VAN DGR NEER (164,-1703). A l'ancienne
dans le fond une imposante cheminée à colonnes surmontée d'un grand tableau . Le médecin, lui, est relégué au second plan. L
ellerons, mais pour les différencier des précédents, les deux seuls tableaux qui représentent au Louvre les malades et les mé-
ossible aujourd'hui de le diagnostiquer. Peu importe d'ailleurs. Le tableau se suffit à lui-môme et l'incertitude où l'arti
er, Les Difformes et les Malades dans l'Art, p. 114. (2) Un autre tableau La Ventouseuse, au musée de la Haye, a été étudié
vase en disant que ça sent bon et me les offre ; elle va regarder les tableaux en disant que « c'est ça qui est encore gentil
ulcérations rebelles qui viennent compléter la ressemblance avec le tableau de l'éléphantiasis des pays chauds. L'observa
lésions cutanées peuvent s'y surajouter de façon à réaliser tout le tableau de l'éléphantiasis. Tel semble avoir été le cas
saine, combien la déformation est considérable. (Pl. LXXXIII.) Le tableau comparatif des mesures de circonférence des membr
phie DE la SALPÊIRIERF. T. XII. 1'1. LXXXV1 LE VIEILLARD MALADE Tableau de JAK S'I EEN, Musée de l'Ermitage, à Saint-Péte
HENRY MEIGE. Le musée de l'Ermitage, à St-Pétersbourg, possède un tableau de Jean Steen, intitulé Le Vieillard Malade (1)
une personne ne pourrait qu'y perdre. C'est qu'en effet, si dans le tableau deSteen le décor et les personnages semblent em
nsister davantage sur les allusions risquées qui foisonnent dans ce tableau . Les plaisanteries osées ne sont tolérables que s
mbolisme à lui très familier, accroché aux parois de la chambre, un tableau , d'après Rubens, représentant cette scène bibli
Steen, par Henry MEIGE. (1 phot.), 497. Pierres de têtes (Nouveau tableau repré-- sentant les arracheurs de), par Henry
llard malade de Jean Steen (1 phot.), 197. MEIGE (Henry). Nouveau tableau représen- tant les arracheurs de Pierres de Têt
2 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
s les symp- tômes de la myélite chronique précèdent l'apparition du tableau clinique de la paralysie générale. « Il existe
a sclérose systématique du système psycho-mo- teur, donnant lieu au tableau clinique de la démence paralytique pure ou para
le grand nombre de symptômes communs qui figurent à la fois dans le tableau clinique du tabes et de la paralysie gé- nérale
1892 il fit une saison à La Malou et le 1 ? Belugou constata que le tableau symptomatique s'était modifié. Il y avait une amé
aurai recueilli un nombre suffisant d'observations, je puhlierai un tableau topographique de la sensibilité à la douleur de
es, le moulage et la photographie par exemple. A sa statue ou à son tableau , le sculpteur ou le peintre demande davantage.
et sur le dos du pied, quelques plaques d'anesthésie. ' Voilà un tableau assez net, et dont il vous est facile de faire la
eu de ses nouvelles depuis. \ Vous voyez, Messieurs, que les deux tableaux cliniques que je , viens de vous tracer ont enl
z une idée d'en- semble très complète des éléments qui composent le tableau clinique des affections de la queue de cheval.
tions du décubitus. Je passe aux indications causales. D'après le tableau que j'ai mis sous vos yeux, en vous exposant l'él
ce complexus la diminution des réflexes rotuliens et \ous aurez le tableau morbide dans son ensemble. Les princi- paux vis
), au périnée, à la marge de l'anus, à la région cruro-fessière. Ce tableau a été vu dans un cas de lésions en foyer, ayant
fs petits sciatiques et honteux internes, puisse reproduire le même tableau clinique. Dans celle seconde hypothèse, il s'agir
saine environnante, de sorte que, d'un côté, il n'a pu présenter le tableau géné- ral de l'affection nerveuse, et de l'autr
doubles plus ou moins compliquées, lesquelles sonl exposées dans le tableau de Siegerson, repro- duit par Nothnagel ('I).
esant près de 2 kilogrammes. ' Ainsi donc, en nous résumant dans ce tableau ci-dessous, nous arrivons à trouver, comme poid
d'eux, ainsi que dans quelques collections particulières, tous les tableaux , des maîtres hollandais ou llamands dont le sujet
e en relief les qualités d'observation de leurs auteurs. Les deux tableaux de l'École Hollandaise reproduits et analysés ci-
u ces imitateurs lointains se soient bornés souvent à pasticher les tableaux du maître, il serait injuste de,les reléguer to
le, en faveur de Samuel van IIoogstraaten, en raison d'un excellent tableau , La Malade, dûment signé de son monogramme, con
iseler l'argent. s'occupa bientôt de gravure, puis de peinture. Ses tableaux d'un dessin correct et d'un vif coloris sont rare
attacher à sa cour, en Italie, en Angleterre, vendant fort cher ses tableaux , enfin il revint se fixer dans sa ville natale où
, et mourut prévôt de la Monnaie. Il peignait dans tous les genres, tableaux d'histoire, portraits, paysages, natures mortes
LA SALYI : THIFRF T VIII PL XXXIII LA MALADE (La Cllaiotiltse.) Tableau de S \MUEL V : v f-Ioccs l'I2 ? 1'l'E au Rij',
en France où n'existe an Louvre aucune oeuvre de lui. Le nombre des tableaux qui peuvent lui être attribués avec certilude e
) helle.peintùre architecturale, majs frôideret vide. Il,) a deux' tableaux de lui à Vienne; l'un, daté 'de 1652 ? représen
an. Hoogstraaten paraît avoir séjourlréwssez long- temps, plusieurs tableaux lui sont également attribués.. A Amsterdam, le
t également attribués.. A Amsterdam, le Rijks-Museuni possède trois tableaux de S. van Hoogs- Iraalel1 : ' .' ' . · . Le P
t nue. Au fond, par une fenêtre ronde grillée on aperçoit plusieurs tableaux suspendus aux murs d'une galerie sombre. A droi
."i3 du Cat. l3redius (1801). Il. 2.\I : i, L. 1.10. Le pendant de ce tableau a été vendu Il Londres en 1891. (2) No G91 du
re un / . LES PEINTRES DE LA MÉDECINE ' 197 coin sombre-de leur tableau pour peindre ce qu'on ne voit pas, ou ce que l'
une armoire on d'une cheminée, ou bien il accroche à la muraille un tableau représentant des Centaures enlevant des femmes
u savant docteur le traitement efficace. W. Burger, qui a décrit le tableau avec éloges (1), émet des doutes sur la perspic
t la flamme a été couron- née ». Jan Steen, dans plusieurs de ses tableaux , laisse aisément deviner que la maladie suit un
pas téméraire de proposer des diagnostics précis pour les nombreux tableaux intitulés vaguement : La Malade on pourrait, ne f
t pas indigne de ses meilleurs élèves. Tout l'intérêt médical de ce tableau réside dans l'altitude et la physio- nomie d'un
: on dirait une aveugle. Le passage des Evangiles qui a inspiré ce tableau ne permet guère de croire à première lecture qu
ique. . D'autres détails permettent-ils de supposer que l'auteur du tableau ait eu l'intention de représenter un possédé ?
oir inspiré les deux peintres, à moins qu'on ne veuille regarder le tableau du musée d'Amsterdam comme étant, lui aussi, de
availlèrent l'un et l'autre dans l'atelier de Rembrandt. Les autres tableaux de S. van lloostraaten ont moins de similitudes
ordonnance el d'exécution, soit resté jusqu'à présent au nombre des tableaux dont l'anonymat déprécie totalement la valeur.
semblables suffisait le plus souvent à inspirer les sujets de leurs tableaux . Un buveur attablé, une vieille femme en prière
les seuls documents qui relèvent de la critique médicale. Dans les tableaux de genre, dans les compositions religieuses ou
jet reproduit franchement des épisodes de la vie médicale, un autre tableau du même maître, La Mé- nagerie, où ne figurent
ion. C'est ainsi que nul ne peut contester l'exactitude du titre du tableau de (1 ) La Jeune femme malade, ii- 31g, et la V
nce, quelqu'exaspérante qu'elle (1) Voy. la critique médicale de ce tableau : Henry Meige, Les peintres de la méde- cine :
um d'Amsterdam. Andries BOTII, peintre hollandais (1610-1650). Un tableau de la collection de M. D.-A. Koenen à Nieuwer Ams
mitif qu'il est, peut à la rigueur être suf- fisant. Pour plusieurs tableaux , ce diagnostic est parfaitement défendable. Dan
iraculeuse qui ne manquera pas d'attirer de nouveaux' clients. Un tableau de Jan Steen, an musée de Rotterdam, est une repr
t lotit le peintre des allégories fantastiques ou grotesques et ses tableaux ont été très appréciés de son temps. Plusieurs lu
it des malades, soit les praticiens de son temps. \ Beaucoup de ses tableaux paraissent la reproduction d'hallucinations mal
ation de Saint Antoine a fourni à J. Bosch prétexte à de nom- breux tableaux . Le musée de Bruxelles en possède un bel exemple;
t ces peintures énigmatiques et affolantes (1). La plupart de ces tableaux sont aujourd'hui au musée du Prado où ils n'ont
sée d'Amsterdam, dans la salle de la vieille école hol- landaise un tableau attribué à J. van Aeken, acquis en 1893 et qui n'
auche et en bas, porte le monogramme B dont l'ar- tiste signait ses tableaux . Sur le cadre en bois, on lit ces mois : IIYE
DE LA S»t t.*TuiiÎH T. VIII PL XL. « LES PIERRES DANS LA TETE » Tableau de Jérôme van .\1'1\1)\ (va : : Bosch) au Rijks M
nt. De la main droite, il tient une longue baguette. , Le fond du tableau est des plus simples. A droite, c'est un mur nu e
d'Aquapendente. * .. J'ai vu dernièrement au musée du Prado un tableau qui offre avec le précédent les plus grandes re
r le calque de l'inscription en caractères gothiques qui entoure le tableau : elle contient les deux vers suivants : Mees
res sont à Munich'et à Vienne. Le musée du Louvre possède de lui un tableau : Le jeune Tobie rendant la vue ci son père (n°
oeuvres des vieilles écoles flamandes et hollandaises, se trouve un tableau de van Hemessen, intitulé : El cir2jano de' lugar
ppuyant fortement sur un'des (1) Le musée du Prado possède un'autre tableau de Van Ilemessen : Une Vierge avec V En fànï Jé
ï Jésus. ' · '' " ' 'o' " ' ' . (2) D. PEDRO nE Madrazo. Calai, des tableaux du Musée du Prado à Madrid, je édit. 1893, p. 2
( OF LA SmrErmfrsr. r. lit 1'1.. XLI « LE CHIRURGIEN DE VILLAGE » Tableau de JAN SA1\DI,RS (van Hemessen) au Musée du Prado
« pier- res de la tête » ne peut venir que par comparaison avec les tableaux des 256 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE
peintures d'opérations sur la tète. Il se pourrait en effet que ce tableau eut élé inspiré par une scène de chirurgie vérita
ment à la peinture qu'à partir de l'année 1559, date de son célèbre tableau du musée de Vienne, La dispute du Carnaval et d
fils, Jean I Brueghel de Velours a peint un nombre considérable de tableaux dans tous les genres : fleurs, paysages, natures
gel a dû être considérable. Cependant le nombre des estampes ou des tableaux qu'on peut lui attribuer avec certitude est rel
. de son prénom, et il intercalait un II après le G. Les principaux tableaux de Pierre Bruegel le vieux sont signés BRUEGEL
r de la St-Jean à Meulenbeeck près de Bruxelles. / Un remarquable tableau de P. Bruegel, au musée de Naples, la Para- bol
ion : x Le musée du Louvre possède, depuis 1892, un très joli petit tableau de P. Bruegel signé et daté de 1568, un an avan
tés avec des détails d'une absolue vérité. Bien des estampes et des tableaux de Pierre Bruegel le Vieux contien- nent encore
De Pierre Brueghel II le Jeune, existe au musée Kums (Anvers) un tableau représentant les OE2cvres de Miséricorde, 1675. J
gine cérébrale chez le vieillard. Dans le Toucher, l'un de ses cinq tableaux du musée de Madrid (n° 1232), représentant les
e Nels (probablement contraction du nom de Nelis). (1) Sur un autre tableau de Jean Brueghel de Velours, au musée de Madrid,
s à semelle de bois semblables à celles que nous avons vues dans le tableau de Jérôme Bosch. Au bas de sa robe, P. Bruegel
ation 'présente, un an après le début des ac- cidents. Eh bien ! le tableau a peu varié. Vous voyez que ce petit malade pré
à récidives. De la forme bénigne ou moyenne, Trousseau (4) trace le tableau suivant : « L'individu éprouve une sensation de
vues préparant les pansements ou tenant la tête de l'opéré dans le tableau de van IIemessen. Chez le Doyen de Ronse, une v
que médicament. Nous les verrons encore, aidant l'opérateur dans un tableau d'A. Both, et dans un autre de Jan Steen. Le Ch
onogr. DR LA$wLPRThifhh T V111 PL YLtlll. « LES PIERRES DE TÈTE » Tableau de FRANS HALS LE JEUNE, peintre hollandais (X\'[[
fixa, et où il devait peindre pour l'Hôtel de Ville ces magnifiques tableaux de Corporations qui rivalisent avec ceux de van
ttein- dre-à celte perfection ; on a cependant de lui quelques bons tableaux de genre et des natures mortes. Il mourut 1 IIa
ut 1 IIaarleln en 1659. .. Frans liais le Jeune est l'auteur d'un tableau conservé au musée Boij- mans, à Rotterdam, inti
'Anvers, ait subi l'inlluence de Rubens. Le troisième personnage du tableau , un jeune négrillon, se retrouve aussi quelquefoi
1) chez un étuviste de village. Il a encore traité ce sujet dans un tableau du musée de Vienne. Le Pr Charcot possédait une
ion (2). Au musée du Louvre (col- lection La Caze) se trouve un bon tableau d'A. Brouwer représentant une Opération sur l'é
du musée d'Amsterdam est justement placé au nombre de ses meilleurs tableaux . (1) N 880. Dorfbaderstrcbe, Voy. : Les difform
leurs paysans sont atteints de difformités naturelles ? Dans chaque tableau reparaissent les mêmes types de rustres au crâne
50-1702), dont le musée Boijmans, à Rot- terdam, possède un curieux tableau intitulé : « Il n'y a pas de remèdes aux maux d
D" L ;S ! \b'.3T ? T. VIII. PL XLIX] 1 L. « LES PIERRES DE TETE » Tableau J'AXDRIES Boni, peintre hollandais (XVIIe Siècle)
). A. 1\ ? CI1, : . Vieuwcr Amstd. « UNE OPERATION CHIRURGICALE » Tableau de David Teniers le jeune, peintre flamand (XVIIe
our à Rome, à jeter un ecclésiastique dans le Tibre ' . , - ' Les tableaux d'Andries Both sont pen nombreux, si l'on distrai
te aussi un Dentiste d'après A. Both. * * * , Parmi les rares tableaux qui portent le nom d'Andries Both, il en est un
ses grosses mains. Quatre autres personnages occupent la droite du tableau . 1 Au fond, une jeune femme assise sur un banc,
hemin et des instru- ments sont suspendus au-dessous. Au milieu, un tableau représentant un paysage ; à côté est une gourde
es authentiques, on est arrivé au chiffre respectable de sept cents tableaux . Teniers le Jeune naquit à Anvers en 1610. Son
intérêt médical, je rappellerai que le Musée des Offices possède un tableau de lui, intitulé le Médecin, et représentant un
Teniers le Jeune, Julien, Théo- dore et Abraham. On croit avoir des tableaux de ce dernier au musée du Prado. Le fils et l
i renferme tant, de chefs-d'oeuvre de David Te- niers, possède deux tableaux représentant des opérations chirurgicales. Dans
e, dans la collection Steengracht, à la Haye. C'est une variante du tableau du Louvre (no 2157) portant le môme titre. Dans
ntrefaits qui sont une exacte copie de difformités naturelles. Le tableau de Teniers du musée de Madrid (2), représentant u
s l'artiste a traité ce sujet avec des détails caractéristiques, ce tableau doit être cité ici (Pl. L). Dans une chambre fo
Elle est pleine de compassion pour le malheureux opéré. A droite du tableau , un jeune garçon aux longs cheveux frisés fait
défaut. L'opération est donc diffi- cile à préciser, comme pour le tableau du musée de Madrid. La gravure est signée I. V.
e l'ensemble de son oeuvre, ce n'est que justice pour nombre de ses tableaux . Jan Steen ne s'est pas borné à peindre de joye
ed-bot et rachitique de La Ménagerie du musée de la Haye (1). Trois tableaux de Jan Steen représentent des Opérations sur la t
Voilà bien la note burlesque et sarcastique du peintre, et, dans ce tableau , elle éclate avec tout le naturalisme qui lui est
n présente au public n'esl proha- Fio. 61. Le Charlatan, d'après le tableau de Jan Steen, au Rijks .Muséum d'Amsterdam. L
défaite laissant le col à nu, res- FiG. 62. L'Opérateur, d'après un tableau de JAX Steen au musée de Bruxelles. 318 NOUVELL
Steen, utilisée plus tard avec quelques modifications pour d'autres tableaux . L'Opérateur du musée Boijmans, à Rotterdam, co
CONOGR. Dp 1.10. SAJPIUII'¡'¡ T vin PLLI. « LES PIERRES DE TETE » Tableau de .IA : oI SrEE : oI, peintre hollandais, Siècle
us rassuré, et sera, pour un temps, guéri de sa toquade. Ce dernier tableau de Jan Steen termine la série des documents que j
'expliquer dans d'autres peintures. On la retrouve en effet dans un tableau de la collection van der Hoop, L'Orgie qui pass
urs, l'allégorie n'est pas nouvelle. Nous avons vu un hibou dans le tableau de van Bosch, un autre dans le Teniers du Prado.
cidents convulsifs ou méningés. 1 AUTOMATISME AMBULATOIRE 349 / Tableau généalogique DE M. X... INCULPÉ DE DÉSERTION. 3
oncordent avec une unanimité remarquable. Aussi a-t-on pu tracer un tableau quasi-schématique des signes extérieurs de cette
ment applicable ici. Chez la malade que nous avons sous les yeux le tableau morphologique se complète par une exagération d
3 (1900) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1899
les leçons de choses, soit à-l'école, soit dans les jardins aveo le tableau roulant (Fig. 43), soit enfin dans les promenad
ercalons successivement les autres. 2° Surfaces. Nous employons des tableaux dans lesquels les figures en bois sont disposée
e. creux en bleu : la couleur n'est là que pour guider Le premier tableau (Fig. 37) ne comprend que deux te 1 1 z t E
. (Fig. 39), le der- nier, dix (Fig. 40). Nous ne passons au second tableau que quand l'enfant sait bien reconnaître les fi
en regard de figures imprimées. 4° Couleurs. - Même procédé : un tableau avec deux planchettes rectangulaires coloriées
tes rectangulaires coloriées l'une en rouge, l'autre en jaune, puis tableaux de couleurs de Bourneville, Bicêtre, 1899. ?
itre secondaire (prisme à chevilles, boulier, cahier des étoffes, tableaux des surfaces, jeu de dominos, etc). Tout le mat
lasses, soit dans les jardins. Pour celles-ci nous avons recours au tableau roulant (Fig. 43 et 44) qui nous . Fig 41. TA
s recours au tableau roulant (Fig. 43 et 44) qui nous . Fig 41. TABLEAU roulant. xxxvii permet, si l'enfant a une atten
rmes de ces signes, sans cependant lui faire nommer ces signes. Les tableaux qui servent à ces sortes d'exercices sont les s
oir ; e) le zéro et les neuf premiers chiffres en noir ; f) le même tableau avec nombres impairs en noir et nombres pairs e
xerçons à les recon- naître dans leurs applications. Une série de tableaux ont été dressés à cet effet. En face d'une vert
PL. XI et XII.) Nous croyons bon de citer à cette place, un autre tableau ayant trait aux couleurs, et où en face d'un
asier. Pour les commençants nous plaçons au-dessus des casiers un tableau représentant en gros les chiffres, afin de mieu
prit une relation entre le chiffre, le mot écrit et la quantité. Au tableau de chiffres imprimés succède le casier avec bât
l ig. a4. L111 Grande ÉCOLE. ses multiples et ses sous-multiples, tableau qui devrait être placé dans toutes les classes
Le musée s'est enrichi notablement en 1899, ainsi que le montre le tableau de la page LXXXIV. Nous avons continué, comme
core pour la bonne direction morale qu'ils savent leur imprimer. Le tableau suivant met en évidence les résultats obtenuspa
meuble il un corps pour les leçons de choses, 8 bancs, 3 tables, 2 tableaux pour les classes, 3 tables scolaires, divers ob
ommissions. - Affiches diverses. - Entêtes de lettres, registres et tableaux divers pour la Direction et l'fjconomat. Circul
s, etc., pour les Ecoles municipales d'infirmiers et d'infirmières. Tableaux des lignes et de leurs applications, des volume
es (15G8) sur la glande thyroïde et incidemment sur le thymus. Le tableau ci-après (p. xcfv-xcv) donne quelques ren- seig
breux cette année et s'élèvent au chiffre jamais atteint de 28. Le tableau des pages xcvm il cm fournit les renseignements
mande de celle-ci; ` ? 2 ont été défalqués à la suite d'évasion. Le tableau de la page Civet sui- vantes indique les motifs
4 savent tricoter et 8 commencent à savoir accomplir ce travail. Le tableau ci-après donne mois par mois le nombre des appr
: 2 choréi- lll,e8 - 12 paraplégiques et 7 diplégiques. Voici le tableau du mouvement de la population en 1899. Person
ces établissements dans 18 villes, ainsi que le montre en détail le tableau synoptique annexé ci-après. Tandis que l'an der
enfants faiblement doués, sont dans toutes les villes nom- més au tableau ci-joint, des organisations publiques et commun
me fournir tous les renseignements qui me permet- lront de faire un tableau comparatif tel que celui qui a déjà été fait. T
seils royaux, comme suite il ma cir- culairc du 16 juin 18 ! )i, un tableau d'ensemble sur l'état actuel de renseignement d
ont été choisis parmi les malades les plus gravement atteints. Le tableau suivant est destiné montrer les dates de début
aque malade, l'indication des principaux acci- dents observés (voir Tableau 1). .. Tableau TABLEAU 1\0.1. 1. ? EOSINATE D
dication des principaux acci- dents observés (voir Tableau 1). .. Tableau TABLEAU 1\0.1. 1. ? EOSINATE DE SODIUM. 5 Le
des principaux acci- dents observés (voir Tableau 1). .. Tableau TABLEAU 1\0.1. 1. ? EOSINATE DE SODIUM. 5 Le mode d'a
sensation de tournoiement. Jamais d'évacuations involontaires. Tableau des accès et des vertiges. EOSINATE DE SODIUM.
par l'éosinate. - Les ongles sont tout-à-fait réguliers. - Voici le tableau de ses accès depuis l'admis- sion. Tableau de
réguliers. - Voici le tableau de ses accès depuis l'admis- sion. Tableau des accès. ÉOSINATE DE SODIUM. 9 Au point de
rieure ; pas de rougeur du pharynx ; rien aux mains ni aux pieds. Tableau des accès et des vertiges. EOSINATE DE SODIUM.
is sans infiltration séreuse sous- jacente. Rien aux orteils (1). Tableau des accès et des vertiges. 14 Epilepsie. oncl
'a pas été repris. 1899. Nou. Aucune cicatrice. Ongles réguliers. Tableau des accès et des vertiges. 16 Epilepsie. Ons.
itement. 1899. Nov. - Ni taches, ni cicatrices. Ongles réguliers. Tableau des accès et dos vertiges. 18 ÉPILEPSIE. Ous.
endu. ,1899. Nou. - Face sans aucuns cicatrice; ongles réguliers. Tableau des accès et des vertiges. Eosinate de SODIUM.
se décolle de plus en plus ; la sécrétion sous-jacente est tarie. Tableau des accès et des vertiges. EOSINATE DE SODIUM,
oûtes brunâtres, fendillées. On cesse définitivent le traitement. Tableau des accès et des vertiges. 24 Epilepsie. OBS.
égère diminution des accidents. Le malade prend 2 gr. d'éosinate. Tableau des accès et des vertiges. 26 Epilepsie. 26 m
paupière gauche. La dose maxima du médicament a été de 3 grammes. Tableau des accès el des vertiges. 28 . Épilepsie. OB
accès d'épilepsie à 13 ans. - Excitation maniaque. - Rougeole. v Tableau des accès, des vertiges et des attaques. EOSINA
accidents; les ulcérations des orteils sont complètement guéries. Tableau des accès et des vertiges. M . Epilepsie. z E
disparu et ils ne reparaissent plus jusqu'à la fin du traitement. Tableau des accès et des vertiges. 32 Épilepsie. Ors.
utres accidents qu'une rougeur diffuse et peu intense de la face. Tableau des accès et des vertiges. ÉOSINATE DE SODIUM.
ionnn.ire jusqu'à la fin du mois où l'on cesse le traitement. - . Tableau des accès et des vertiges. 34 Épilepsie. Eosi
index droit. 1899. Xov. II n'y a plus aucune lésion cutanée, etc. Tableau des accès el des vertiges. 36 Épilepsie.... "
gdales Volumineuses ; léger gonflement des paupières inférieures. ! Tableau des accès et des vertiges. Eosinate DE sodium.
roite, 1899. Nu. - Rien il la face et aux ongles. a8 Epilepsie. Tableau des accès et dos vertiges. Eosinate de sodium.
sur le dos de l'orteil gauche. 1889. Noya. - Aucune cicatrice. Tableau des accès et des vertiges. 40 Epilepsie. Du 1
u 31 août. Rien qu'une légère rougeur des pommettes et des joues. Tableau des accès et des vertiges. Eosinate de; sodium.
Rani... (Gaston), 18 ans. - Éo-qi7-Late du 7 juillet au 31 août. Tableau des accès el des' vertiges. Epilepsie. 22 aoû
rnel 1t ! /pocltondJ'iar¡ue et alcoolique. - Grand oncle maternel Tableau des accès el des vertiges Eosinate de sodium. I
es De l'examen de ces observations, il est possible de déduire un tableau d'ensemble de l'intoxication éosi- ni(lite. Et
tion thcrapcuti- ([uedeleosinatedc sodium contre l'épilepsie. Les tableaux des accès, les )['('')1<"<vous qui les .sui
obre 1883. Extrait de sedum acre du 1"" aoÙl au 31 décembre 1807. Tableau des accès et des vertiges. j 5S Il Epilepsie.
écembre 188l. Extrait de dit 1"" août au 31 c]c"('Plllbl'oJ ISOi. Tableau des accès et des vertiges. W : uLn .w.r,r. ? 9
re 1897, à la dose d'une à six cuillerées à café, soit 106 par. 75. Tableau des accès et des vertiges. no Epilepsie. le m
o Epilepsie. le malade a pris 92 grammes 75 de suc do sedum acre. Tableau des accès et des vertiges. SEDUI ACHE, 61 Rés
alité de poids des hémisphères cérébraux e/ cérébelleux et donné un tableau de six cas, dans les- quels nous avons trouvé u
s avons relevé une différence de poids d'au moins 30 grammes. Les tableaux ci-après comprennent les pesées com- paratives
éjà diminuaient, ont disparu jusqu'au mois de février 1881 (voir le Tableau ) et sont devenus ensuite de plus en plus rares
CJ Il s CS s Antécédents héréditaires ET personnels. 131 Tableau des Accès, 132 SCLÉROSE EN plaques disséminées.
é la mort et souvent aussi par leur poids. Nous donnons ci-après un tableau général des cas examinés. 148 Thymus CHEZ l'e
thymus rouge, d'un rouge sombre même. Dans un cas (voir n° 44 du tableau ), on voyait tant il la surface que sur les coupes
x lobes de la glande. Rapports. Dans deux cas (voir nOS 23 et 61 du tableau ) la corne supérieure droite du thymus remontait
poids du thymus est constamment supérieur il cinq grammes. Voici un tableau qui résume ces 13 cas : Thymus chez l'enfant no
s avons fait suivre la relation d'un cas de Sclérose tubéreuse du tableau récapitulatif de tous ceux que nous avions obse
nt au nom- bre de dix. Celui que nous allons donner figure sur ce tableau . SOMMAIRE. - Père, eczémateux, alcoolique, affa
scles, examinés dans plusieurs régions sont pâles et comme lavés. Tableau du Poids et de la Taille. 192 Sclérose tubéreus
us volu- mineuse qu'en mars, offre les mêmes caractères. (Voir le tableau .) Il en est de même de la physionomie. La contrac
cu- lose pulmonaire. ' Poids des organes. Hydrocéphalie. ? 21 Tableau des accès et des vertiges. 222 Hydrocéphalie.
,, un autre le 7 février et un troisième lo 8 du même mois (voir le Tableau ). 2t juillet. Caractère toujours irascible, plu
st passé pendant ce long intervalle. Comme nous le voyons dans le tableau des accès, ceux-ci n'ont pas augmente; de nombre
rises. Il a maigri, il se voûte et Bourneville, Bicêtre. 1899. 16 Tableau des accès et des vertiges. 2H il Déchéance phys
) ; dans d'autres, il a des rapports deux ou trois fois par jour. Tableau du poids et de la taille (2). 24G Descendance.
ni des ren- seignements intéressants sur la marche de son mal. Le tableau des accès (p. 242 et 243), quoique incom- plet,
nous contenté de faire résumer par notre interne, M. Bellin, en un tableau , le nombre des cas et leur durée : - 2 l) (; Ep
4 (1897) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 10]
les blessures de leurs proches. On peut les voir a l'oeuvre dans un tableau de Van lIemessen, au musée du Prado, dont nous
arfois même n'en possédaient pas. Celles qui sont figurées dans les tableaux ayant trait aux « Pierres de tête » donnent plu
es créations du maître. Ou bien, au contraire, devant le succès des tableaux de Brouwer car ses oeuvres étaient déjà (t) Sta
Les maux du corps ne les laissent pas indifférents. Plus de vingt tableaux de Teniers, et un nombre presque égal de la main
ieux Teniers, s'inspira souvent des peintures paternelles, pour des tableaux généralement beau- coup mieux traités. . Il e
si pour ses Pédicures dont nous verrons bientôt t la collection. Le tableau de Teniers le Vieux, outre sa valeur artistique,
du vieux Teniers et qui est peinte sur toile, comme la plupart des tableaux de ce dernier. ill. Delambre, conservateur du mus
n suffisamment nette. J'en ai fait un croquis sommaire (Fig. 1). - Le tableau est signé en bas et à droite : I. D. TENIERS.
. D. TENIERS. Fig. 1. - Le Docteur de village. Croquis d'après un tableau attribué à D. TENIEns le Vieux, musée de Picardie
ée de Picardie (Amiens). LES PÉDICURES AU XVIIe SIÈCLE 61 Mais le tableau du musée d'Amiens mérite un examen -plus approfon
un noeud de rubans rouges sur l'é- paule. Il y a, en outre, dans ce tableau un cinquième personnage. A droite, en haut, par
. - t L'Etuve. (Musée de Cassel.) Le musée de Cassel possède un tableau de D. Teniers le Jeune, L'Etuve, qui est à la f
t à la scène de médecine villageoise qui occupe le premier plan, le tableau du Musée de Cassel formerait déjà un ensemble par
la main, assis sur un tabouret, dans un ha- bile contre-jour. Le tableau est signé, en bas, adroite, sous deux morceaux de
faire partie du blason de la famille et se retrouvent dans tous les tableaux , de père en fils. Tel aussi le hibou, dont bril
ure, a bien voulu me communiquer les renseignements suivants sur ce tableau (2) : « Il faisait partie de la collection du p
on tablier, regarde l'opération. Elle rappelle beaucoup la femme du tableau de Teniers le Vieux. Un jeune apprenti fait cha
ciseaux et des rasoirs. A côté, un portrait-charge avec la date du tableau : 1636. Teniers avait alors 26 ans. Plus à droi
s utilisé cette donnée pour symboliser la douleur. Dans l'un de ses tableaux qui représentent les Cinq sens, à l'Académie des
retrouvons avec le même visage et portant les mêmes habits dans un tableau de Teniers, au musée du Louvre, le Joueur de Co
bjets figurés presque sans changements. Sur une gravure, d'après un tableau de Teniers, que nous reproduisons plus loin, le
i pile des médicaments dans l'arrière-boutique, est indiqué dans un tableau de Brouwer, à Aix-la-Chapelle. Il n'est pas h
us avons déjà donné la description et la reproduction, se trouve un tableau de D. Teniers le Jeune représentant un Pédicure (
ache intimement. 4° Le Chirurgien de campagne. Gravure d'après un tableau de D. Teniers le Jeune. (Collection de M. le Dr
vure de sa collection, qui me parait être une reproduction, soit du tableau de Teniers du musée de Madrid représentant une
e la date de 1747 (1). Le décor et la scène rappellent beaucoup les tableaux des musées de Cas- sel et de Buda-Pest décrits
ux sur le siège du mal. Nous les retrouverons dans presque tous les tableaux repré- sentant des Pédicures, sans que cependan
plement de remplacer un vieil emplâtre par un nouveau comme dans le tableau de Buda-Pest, et, ici encore, cette substitution
ollan- dais ait choisi une scène de ce genre pour sujet d'un de ses tableaux . Nous avons de lui plusieurs Médecins, Charlata
erie du prince Galitzine. (2) a A gauche, dans le coin inférieur du tableau , on voit une fausse signature : A.V.O. (ces tro
du peintre qu'on a eu soin d'effacer. C'est ce qui explique que ce tableau , pendant qu'il se trouvait dans la galerie du pri
DE LA SALPETRIERE. T. X, PL. VII. L'ÉTUVE DE VILLAGE d'après un tableau de DAVID TENIERS LE JEUNE peintre flamand (i61o
inale des ongles est exagérée. L'état de la face palmaire achève le tableau que nous venons de tracer. Toujours les muscles d
N BROU\VEa, dont je n'ai eu connaissance que dernièrement. (3) Un tableau de BROUwER, intitulé Le Chirurgien, a figuré au m
Gilles de la Tourette (2),qui le considère comme une étude pour le tableau de Brouwer, conservé au musée de Vienne,et repr
- si elle est authentique, - peut avoir servi pour plusieurs de ces tableaux . Cependant, de tous ceux que nous avons examinés,
minés, c'est celui d'Aix-la-Chapelle qui s'en rapproche le plus. Le tableau de Vienne, dont parle M. Gilles de la Tourelle
avec plus de vraisemblance que l'esquisse en question est celle du tableau de la galerie Suermondt. ' Iig. 2. - Le Pédicur
wer. En effet, le dessin est complètement retourné par rap- port au tableau . Et nous savons d'autre part que la peinture de B
4° L'Etuve de Village. (Galerie Schunborn, Vienne.) C'est pour ce tableau (2) que, d'après M. Gilles de la Tourette, Brouwe
ire nécessairement le premier regard. Elle est la note dominante du tableau , évoquant l'idée principale : la souffrance de l'
rmé récemment cette remarque. Le dessin, m'a-t-il dit, reproduit le tableau en miroir. (2) N° 69 du Catal., B. II, 41. L, 3
Cet article contient une planche phototypique (l'l. XV) d'après le tableau de Brouwer. (3) On y lit le mot a ERITOM ». "
et le court tablier blanc qu'on retrouve sur ses confrères dans les tableaux de Teniers et de J. Steen. Son profil n'est pas s
déformé, ce n'est pas pour Fig. 3. - L'Etuve de Village d'après un tableau d' Adriaen Brouwer. . Galerie Schünbol'1l, il V
ntrevoit au dernier plan de l'esquisse est remplacé dans le fond du tableau par un jeune farceur qui ouvre brus- quement un
éjà signalé la frappante ressemblance des chirurgiens dans ces deux tableaux . L'Opération sur le pied. , Institut Staedel,
aces et de contorsions Fig. 4.- L'Opération sur le Pied, d'après un tableau d'ADRIAEN BROUWER. Institut Staedel, Frankfort-
Brouwer sait varier à l'infini les modulations de la douleur. Le tableau ne serait pas complet s'il y manquait une vieille
on. Les femmes surtout avaient le privilège de cette médication. Un tableau de QuiiiiiN BHlOEELENKAM (1GU.8-1G68) au musée
es faisant {a cuisine. Au musée du Prado, il n'y a pas moins de six tableaux attribués à Teniers (1) et dont les personnages s
parodiessimiesqucs. La galerie de Schwerin possède de lui un petit tableau (2) qui repré- sente encore un intérieur de Bar
essous. Les mêmes emblèmes ont été reproduits par J. Steen dans son tableau L'Orgie de la collection van der Hoop à Amsterd
o 560 Brelts- piel représente aussi des singes. - Le premier de ces tableaux a été attribué à TEMMa par Groth. (3) Voy. Le
ues de la main des maitres flamands : 144 HENRY MEIGE Du médiocre tableau du musée d'Ypres, je ne pourrais donner qu'un p
DE LA SALPÊTRIÈRE T, X, PL, Xlll, L'ÉTUVE DE VILLAGE d'après un tableau d'ADRIAEN BROUWER peintre hollandais (iGo-iG;3)
ns autochtones causées par le virus et cette conclusion, déduite du tableau anatomo- pathologique, est affirmée par les ino
ions motrices dans la moelle de vrais progrès et ils ont dressé des tableaux qui représentent l'innervation de chaque muscle d
t les divergences qui ne sont pas, du reste, essentielles entre les tableaux dressés par Thorburn et Allen Starr. Je commence
ns- tatées chez l'homme et ayant été suivies de paralysies. Dans le tableau sui-- vant de Thorburn, le lecteur trouvera les
dans diverses parties du corps. Notre malade ne présente rien de ce tableau bien stigmatisé clans la phrase souvent citée d
mme hébété dans l'intervalle des spasmes, tout, en un mot, forme un tableau caractéristique qu'il n'est guère possible de m
ict. eneyel. des se. mie- die. TIC DU COLPORTEUR 221 Rien de ce tableau caractéristique n'existe chez notre malade, qui n
n léger mouvement de supination du pouce... et vous ver- rez que ce tableau ne s'applique en rien à notre malade. Il s'appl
t pathologique de notre sujet. Ce classement (1) est résumé dans le tableau suivant : 224 GRASSET il n'est pas caractéris
mpoisonnement myxoedé- mateux sera incomplet et nous observerons un tableau symptomatique incomplet; certains symptômes du
edème des adultes ; et MM. Mar- fan et L. Guinon concluaient que le tableau clinique du myxoedème spontané des adultes peut
à l'angle de la mâchoire. Les mesures se trouvent résumées dans le tableau suivant : (1) Ch. Féré. Les épilepsies et les é
x particularités réunies chez trois de mes malades. ' Bien que le tableau indique une diminution relative plus grande pour
le fut assurément l'intention d'Holbein le Jeune, lorsque, dans son tableau de la Flagellation du Christ, il peignit un bourr
ifformités pathologiques aux capri- ces de l'imagination. Dans un tableau conservé au musée de B;\]e, et représentant la Fl
les ou d'ulcérations qui ne rig. 2. - Personnage goitreux dans le tableau de Mans IIOL[11 : 1,r LI' Jeune, la Flagellatio
la vérité pathologique. ' A Madrid; au musée de Prado, j'ai noté un tableau d'un peintre espa- gnol du XVIIe siècle, presqu
fet impression- nant, au détriment de la vérité naturelle. Un autre tableau de lui, au sauraient passer pour récentes. La p
d'autres, leur implantation sessile, tout cela rentre bien dans le tableau de la neurofibromatose généralisée; la localisati
ion des troubles convulsifs persistai comme on peut le voir dans le tableau des accès. . Le 4 mai il était retombé dans son
et s'est rétrécie, mais le 15 juin elle était encore assez marquée. TABLEAU DES ACCÈS ET VERTIGES PATHOGÉNIE ET PROPHYLAXIE
nesco, dans un récent travail (3), arrive à cetle conclusion que le tableau microscopique dans les deux cas est identique; se
du noyau du centre du corps cellulaire vers sa périphérie, bref le tableau histologique qui résume les modifications princ
maître espagnol a emprunté aux poux de la tête le sujet d'un autre tableau . A la Pinacothèque de Munich (1), se trouve une v
dans le giron de sa mère, que nous montre PIETER DE IIoocH, sur un tableau du Rijks Muséum d'Amster- dam (Fig. 5). L'art
mi-minute, enfin pendant une minute. On varie l'objet à fixer ; les tableaux qui servent à apprécier l'acuité visuelle sont lu
imposent en présence de figurations d'ulcères qui abondent dans les tableaux des peintres primitifs. Ces lésions, dont par-
eur rencontre sur la face ou les membres d'un infirme figuré sur un tableau plaide en faveur de la Lèpre. Lorsqu'on les voi
ls ont laissé plusieurs oeuvres importantes. On attribue à Piero un tableau conservé au musée de Naples, et repré- sentant
Lépreux, avec déformation en griffe et mutilations de la main, sur un tableau représentant la Charité de Saint Martin, par Pi
Niessen, 1888. H. 138. L. 117. - Nous devons la photographie de ce tableau , que nous avons vu en 1895, à, l'obligeance des
et aux infirmes de diverses maladies, et la vie aux morts ». z 1 Le tableau du'musée de Cologne dont nous allons parler, est
e renversant. On ne peut guère exiger d'un peintre du XVe siècle un tableau plus précis et plus complet du syndrome cliniqu
fait preuve dans cette intéressante peinture. Les seconds plans du tableau sont occupés par un paysage représentant une vi
a mitre en tête et la crosse à la main, donne deux (1) Au milieu du tableau , sur une banderolle, on lit en caractères gothiqu
i la Lèpre est la cause de ces déformations. - Au musée de Berlin, un tableau de l'Ecole de Cologne du XVe siècle représente
e monnaie à un pauvre infirme qui occupe le coin inférieur droit du tableau (PI. LI. C). Cet infirme peut prendre place par
du XVe siècle). Dans une église, près de Sierrentz, a été trouvé un tableau , actuelle- ment au musée de Bâle, et représenta
large (1) No 86, B. Il, 112. L..42.. LA CHARITE DE SAINT MARTIN Tableau attribué à Conrad "'Ill (fin du XV" siècle) Mus
rmuler le diagnostic de l'infirme que Conrad Witz a figuré dans son tableau . C'est un Lépreux. Et c'est même un des exemple
entés, ou de l'art avec lequel ils sont relégués dans les angles du tableau , pour laisser la Sainte elle-même attirer, rete
fformes et Malades dans l'Art la descrip- tion de ce document. Un tableau de l'église paroissiale de Calcar est consacré à
iques de la lèpre si bien représentée déjà par Hans Holbein dans le tableau que nous venons d'étudier. Nous insisterons en
Nous rapprocherons de ces deux gravures, un infirme figuré sur un tableau de Hans BURGKMAIER, que nous avons vu cette année
ecins. En effet, Charcot et Paul Richer ont signalé un fort curieux tableau où Mathias Grûnewald a pu donner libre cours à
re el leur auréole rouge vineux ? Sur le / Fig. 9. Lépreux sur un tableau représentant Saint Antoine tourmenté par les démo
us, lorsqu'on ne considère que les lésions cutanées figurées sur ce tableau . Il n'en va plus ainsi en ce qui concerne l'int
ent interprétées ? . (2) Le Dr Keller a fait remarquer aussi que le tableau ayant été peint vers la fin du XVe siècle, Grun
2). Au-dessus, Dieu dans une gloire. Dans la partie inférieure du tableau , on voit : au milieu, un paysage, lac, verdures
de la maladie qu'il désirait mettre en rapport avec le sujet de son tableau . N'y avait-il pas toute une série de réflexions m
genoux ; à gauche, se trouve un infirme. Ici encore, comme dans le tableau d'Holbein le Vieux qui se trouve à la Pinacothè
t l'avant bras estsillonné de réseaux vasculaires dilatés. Sur un tableau du même peintre, au même musée, formant l'un des
Siwinc, par Cosimo H053L11 il (XVI. siècle). C. : 1 crrel1 sur un tableau de 1'1-'cole de Cologne, par r,. \1 ? 1 ? ? , H
lle part ils ne sont représen- tés avec plus de réalisme que sur le tableau de van Orley. Et même, la coloration brune de l
La Charité de Saint Martin est représentée au musée de Gand par un tableau de valeur secondaire, mais où les infirmes secour
e. La figure est maladive, mais sans lésions spéciales. Sur le même tableau , un autre infirme, demi-nu, se tient debout sur
- lades sur le passage de Saint Martin. Au musée de Stockholm, un tableau de JAN HooGSAAT, peintre hollan- dais (1651-175
rts de plaies qui n'ont d'ailleurs aucun caractère spécifique. Un tableau moderne d'Albert Maignan, représentant Saint-Loui
e, quêtant en vain une aumône à la porte du cruel Epulone. Sur un tableau de BOl11fazio Veronèse, à l'Académie des Beaux-Ar
5 (1893) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 2
ant figée dans l'expression qu'elle avait à ce moment-là, comme si le tableau avait disparu et qu'elle ait conservé, ainsi que
e, au milieu des fleurs. C'était très joli, ça sentait bon. Enfin, le tableau changeant, elle sentait autour d'elle une odeur b
une, jaune, à travers un verre vert, vert, mais point de scènes ni de tableaux spéciaux. Elle se sent elle-même toute drôle, com
de l'opérateur. Il s'agit là de véritables hallucinations suggérées, tableaux qui défilent devant les yeux de la malade, ou scè
t de veille, ni pendant la période somnambulique obtenir le récit des tableaux ou des scènes qui, pendant la catalepsie, avaient
nir. Nous avons pu observer pendant toute cette scène dont les divers tableaux ?e déroulent assez lentement, qu'il se produisait
nstitue son moi organique qui ne disparait jamais complètement, en un tableau plus ou moins compliqué. Ce sont là de véritabl
riférantes. Dans d'autres cas, au contraire, la véritable nature du tableau qui se peint dans le cerveau du malade est plus d
délire du sujet, le diriger jusqu'à un certain point et y ajouter des tableaux nouveaux. Il commença aussitôt avec l'un de nous
ade, pendant la période hallucinatoire 'de l'attaque, de raconter les tableaux qui se sont déroulés devant ses yeux pendant les
orielles est évidente, elle modifie la marche du délire et ajoute des tableaux nouveaux à ceux que le malade voyait sponta ném
ar des impressions simples, assez intenses pour donner naissance à un tableau de longue durée. Quoi qu'il en soit, la modificat
dans le ciel, la piqûre au ventre l'idée de laparotomie, l'éther le tableau d'attaques de nerfs, le chloroforme celui de cont
de diverse nature : gaies, tristes, lubriques, terrifiantes, etc. Les tableaux animés que les sujets interprètent alors se recom
t la phase délirante, comportant, comme d'habitude, une succession de tableaux toujours les mêmes. C'est alors que le sujet est
ans ce délire, mais seulement pour modifier l'ordre de succession dos tableaux . On n'y ajoute rien de nouveau, c'est-à-dire qu
ntion étrangère est déjà plus efficace ; non seulement on modifie les tableaux du délire, sans y rien ajouter de neuf toutefois,
ir dans les actes du somnambulisme hystérique pour éveiller les seuls tableaux qui font partie de son programme; à un degré d'
à un degré d'activité moindre, on va pouvoir développer de nouveaux tableaux ; enfin l'activité étant réduite aux actes de la
ien existe, mais n'est peut-être pas très fort. Voici maintenant le tableau de quelques accès délirants que le malade a eus d
me pour l'attraper. « Elle est partie....., c'est ennuyeux. » Puis le tableau change. « Si je pouvais me sauver ! » Il se lève
èce où nous sommes. D. « Qu'est-ce qu'il y a sur ces murs? » R. « Des tableaux tout partout..., c'est beau ici. » D. « Fais atte
le poteau vert où est écrit « chasse gardée ». Cette fois un nouveau tableau s'ajoute : « Si j'allais à Saint-Ouen ! trouver l
teaux, Auguste Guiard,toujours séparées les unes des autres,comme des tableaux différents qui se dérouleraient successivement de
leraient successivement devant lui, sans se mélanger. Mais un nouveau tableau s'ajoute: un régiment, un colonel ; lui-même doit
e monde extérieur et les personnes qui l'entourent. La succession des tableaux , leur indépendance réciproque absolue, leur varié
ec sa démarche. 4° Enfin on observe de temps en temps qu'entre deux tableaux il existe une sorte d'ébauche de la période de co
pas absolument maître, à vrai dire, en même temps qu'à y ajouter des tableaux nouveaux. M. Pitres (de Bordeaux) signale, il e
délire du sujet, le diriger jusqu'à un certain point et y ajouter des tableaux . (1) Georges Guinon et Sophie Woltke. — De l'in
on lui ordonna de raconter ultérieurement dans une autre attaque les tableaux qui s'étaient déroulés devant ses yeux et les scè
t écrase pendant son délire. A cette scène succède ensuite un autre tableau . « Rends-moi mes outils... Rends-moi ma varlope!.
la parole. Non pas que cela soit très facile et que le changement de tableau s'opère avec la même instantanéité que pour les e
bleu ; avec admiration: « Oh! que c'est beau!... Superbe ce dernier « tableau ..., il a des tons d'émail...; c'est l'Exposition
eau, si j'étais étranger à la France, Ce pays magique, enchanté, Ce tableau merveilleux, exempt d'ombres sinistres, Où les gr
ime abord. Sur ce point de départ le somnambule hystérique se crée un tableau , une série d'hallucinations qui s'enchaînent les
s'admiroit grandement (à la guise des enfants) de voir tant de beaux tableaux et images... Tout au long de la messe, l'ayant as
es après, le délire hallucinatoire reparaissait avec un changement de tableau : «Oh! cet homme..., cet homme...,» criait-elle,
ortège classique de l'aura. De sorte que maintenant rien ne manque au tableau et que l'existence d'une attaque cl'hystéro-épile
let dernier. Elle a vu mon portrait, chez son médecin, à C..., sur ce tableau de Brouilhet qui représente Une leçon à Isl Salpê
A Son arrivée dans le service, nous lui avons montré une copie de ce tableau qu'elle a immédiatement trouvée semblable à la gr
s si elle me reconnaissait, elle portait spontanément ses yeux sur le tableau et prononçait mon nom. Mais ma présence est néces
e tourne directement les yeux vers le mur, comme si elle savait qu'un tableau particulier est placé en cet endroit précis. Il y
que et névropathique. Gela pourrait se représenter par un fort simple tableau généalogique. Un individu, né d'un père goutteux
ntale. Il relève dans l'hérédité d'un jeune diabétique de onze ans le tableau suivant : TABLEAU I M EUE Mélancolie, suici
s l'hérédité d'un jeune diabétique de onze ans le tableau suivant : TABLEAU I M EUE Mélancolie, suicide. _I_ Ï i 1 i I
d'aliéné. Dans un fait de Grantham2 on voit l'alternance qui suit : TABLEAU è père Epilepsie et delirium tremens. _!_
te une fort intéressante observation de Legroux. La voici résumée : TABLEAU III COTE PATERNEL Oncle. Diabétique. Père.
Mère. Hystérique. Fils. Diabétique. Voici enfin une série de tableaux que nous devons à l'extrême obligeance de notre m
igeance de notre maître M. Charcot; ils se passent de commentaires. TABLEAU IV grand'mère maternelle Aliénation mentale.
Fils. Epilepsie typique. Fille. Morte de diabète à 16 ans. TABLEAU V MÈRE Diabète. Fille. Bystér\e. TABLEA
iabète à 16 ans. TABLEAU V MÈRE Diabète. Fille. Bystér\e. TABLEAU VI X. . . 70 ans. Epilepsie, diabète, paralysie
ie et le diabète ont disparu. La paralysie agitante seule persiste. TABLEAU VII père (Famille israélite). Mélancolie. (Pl
. Goutte. Diabète | nodosités d'Heber- Une fille suicidée. den. TABLEAU VIII père (Famille israélite). Maladie des voie
s. Diabète. Fille. Rien (?) Petit-fils. Paralysie gêné' raie. TABLEAU IX père (Famille israélite). Diabète et goutt
tale. I Petite-fille. Asthme, eczéma et paraplégie spasmodique. TABLEAU X1 père mère Alcoolique, suicidé. Arthritique
_ I I ! I I i Quatre enfants sains. Aliéné. Aliéné. Diabétique. TABLEAU XI Famille o... (Israélite). côté maternel côté
e. neurasthénie. Nous devons à l'obligeance de M. P. Blocq les deux tableaux suivants : TABLEAU XII mère (Famille israélit
s devons à l'obligeance de M. P. Blocq les deux tableaux suivants : TABLEAU XII mère (Famille israélite). Hy pochondr laque
ils. Fille. Goutteux. Diabétique. Colique hépatique, Arthritique. TABLEAU XIII Mmo F... (Famille israélite) a eu 4 filles
Morte diabétique. i Gravelle. Tics. Arriérée. Mélancolie. (1) Ce tableau est celui du malade qui fait le sujet de la leçon
de M. Charcot sur la paraplégie diabétique (t, I, n° XIII, p. 257). TABLEAU XIV l'ère. Diabétique. I Fils, 17 ans. Epil
ulement chez les ascendants, c'est aussi bien chez leurs descendants ( tableau V), qu'on la constate fréquemment. C'est encore c
lques exemples que nous devons encore à M. le professeur Charcot2 : TABLEAU xv . côté paternel côte maternel i I 1 I Fr
énation. Tumeur stomacale. Diabète. Aliénation. I X. . Tabes. TABLEAU XVI père Tabès. Th..., fondeur en cuivre, cri
ombreux documents qu'il a si généreusement mis à noire disposition. TABLEAU XVII M. A. Aventureux, guerrier. Névropathe.
te. ! Tabes. Tabès. Névropathe. Névropatlte. . I Epilepsie. TABLEAU XVIII GRAND'MÈRE Diabète. Mélancolie. I
arcot avec M. Fournier. Tabès, s ans après la syphilis. Mélancolie. TABLEAU XIX père Diabète. I FILS Tabès, peu d'ann
e famille dont on peut résumer ainsi le pedigree. Fille. Tabes. TABLEAU XX PÈRE Diabète (mort dans le coma). _I_ I
le coma). _I_ I Fils. Diabétique. Fils. Sain. De ces divers tableaux , nous pouvons rapprocher l'observation suivante q
les antécédents héréditaires de ce malade de la manière suivante : TABLEAU XXI COTE PATERNEL COTE MATERNEL Tante. Père
mbulisme. En somme, son hérédité pathologique peut se résumer dans le tableau suivant : TABLEAU xxii CÔTÉ PATERNEL CÔTÉ MATER
son hérédité pathologique peut se résumer dans le tableau suivant : TABLEAU xxii CÔTÉ PATERNEL CÔTÉ MATERNEL Grand-père. Al
il ne connaît presque pas. La généalogie peut être représentée par le tableau suivant : TABLEAU XXIII fa mille israélite CÔ
e pas. La généalogie peut être représentée par le tableau suivant : TABLEAU XXIII fa mille israélite CÔTÉ PATERNEL COTÉ MAT
ulut bien nous envoyer quelques notes concernant cette famille et son tableau généalogique. On trouvera également plus loin un
et son tableau généalogique. On trouvera également plus loin un autre tableau qu'il nous envoya dans la suite et qui n'est pas
pte. Toute l'histoire de cette famiiile se trouve consignée dans le tableau suivant : TABLEAU XXIV FAMILLE A... (Dr Latil)
ire de cette famiiile se trouve consignée dans le tableau suivant : TABLEAU XXIV FAMILLE A... (Dr Latil) Le terme ataxie sign
XIV FAMILLE A... (Dr Latil) Le terme ataxie signifie toujours dans ce tableau ataxie héréditaire ou maladie de Friedreich.) A
tous les malades de sa consultation, recueillir un certain nombre de tableaux généalogiques. Ils peuvent, comme les précédents,
nt à celle du tabès et du diabète. 1° DIABÈTE ET MALADIES NERVEUSES TABLEAU XXV FAMILLE BER... (Dr Latil. d'Aix) GRAND-PÈRE
me d'arthritisme. diabétique (diabète gras), depuis l'âge de41 ans. TABLEAU XXVI FAMILLE ISRAÉLITE CÔTÉ PATERNEL CÔTÉ MATER
Frère. 3 sœurs. Le malade, bien portants. 32 ans. Epileptique. TABLEAU XXVII F xi MILLE P. . . côté maternel lticn.
Tante. Rien. I Fils unique. Obèse. — Diabétique. Comitial. TABLEAU XXVIII mere Nerveuse. pere Diabétique depui
s depuis l'âge de 5 2 ans. quelquefois accès ordinaires nocturnes.) TABLEAU XXIX CÔTÉ MATERNEL CÔTÉ PATERNEL Grand-père. Gr
o-mastoïdten gauche très considérable datant de plusieurs années. TABLEAU XXX famille d... PERE Coliques hépatiques. ME
liques hépatiques. MERE Diabète. _l Fils. Paralysie générale. TABLEAU XXXI FAMILLE ISRAÉLITE CÔTÉ MATERNEL Grand'mè
abétique. Père. MU0 X..., 18 ans. Névropathe, hypocondriaque. TABLEAU XXXII FAMILLE ISRAÉLITE père Mélancolique. Fi
olique. Fils. Diabétique et mélancolique. 2° TABES ET DIABÈTE TABLEAU XXXIII FAMILLE R... père Diabétique, avec név
vrite diabétique, zona, etc. Fils. Tabes ti paralysie générale. TABLEAU XXXIV FAMILLE ISRAÉLITE Frère. Tabétique.
Sa femme. Diabétique. Fille. Hystérique Fils. Tabétique. TABLEAU XXXV CÔTÉ PATERNEL CÔTÉ MATERNEL Tante. Man
Quelques symptômes tabétiques (?) Paralysie générale progressive. TABLEAU XXXVI CÔTÉ PATERNEL COTÉ MATERNEL Grand-pèr
laires souvent répétés. La malade. — Mmc X... Syphilis (?) Tabes. TABLEAU XXXVII famille israélite PÈRE Diabétique. MÈR
Diabétique. MÈRE Nerveuse. Fils. Neurasthénique. — Ataxique. TABLEAU XXXVIII famille israélite PÈKE Ataxique non s
avail, et ils y figurent au nombre de quatre (n0s 45, 49, 59 et 70 du tableau ). D'autres malades à accès nocturnes, au contra
observations de ces malades ; on en trouvera la nomenclature dans le tableau placé plus loin et qui résume l'ensemble de notre
suite de cette nomenclature des cas, nous avons cru bon de placer un tableau synoptique permettant de jeter un coup d'œil rapi
mprenait les 115 cas de rhumatisme subaigu et chronique notés dans le tableau ci-dessus. Mais les malades de ce genre forment d
XXIV). Parmi les trois cas de morphinomanie qui se trouvent dans le tableau ci-dessus, il y en deux qui présentent quelque in
Si nous revenons maintenant sur les chiffres généraux résultant du tableau ci-dessus, nous trouvons dans une période de neuf
6 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
s, peu prononcé, il est vrai, mais continu. Bientôt s'ajoutent à ce tableau des troubles de la déglutition, le malade s'eng
tion et l'apparition du phénomène respiratoire de Cheyne-Stokes. Le tableau ,symptomatologique permit dès le moment de l'attaq
observation ne réside pas seulement dans ce fait qu'elle réalise le tableau clinique, aussi complet que possible de la « neu-
i complet que possible de la « neu- rofibromatose généralisée ». Ce tableau est dans ses grandes lignes bien connu aujourd'
copes et par- fois jusqu'à des menaces d'asphyxie. Quelquefois le tableau clinique est bien moins dramatique : il s'agit
* Le musée Snermondt. à t\ia-la-Cliapelle, possède un intéressant tableau sur bois, attribué - mais avec de judicieuses r
solide courroie pourmain- tenir les opérés turbulents. , Voici la tableaux instruments où s'entassent pèle-môle les fioles,
r, s'il parvient à guérir ce fréné- tique invétéré ! 1 Tel est le tableau d'Aix-la-Chapelle qui peut compter parmi les docu
ir vu l'original, il est hasardeux de proposer une attribution à ce tableau , d'autant qu'on y retrouve comme des réminiscence
Dr Gimbert ayant eu l'obligeance de faire photographier ce curieux tableau , je tiens à leur en exprjmer ici mes vifs remerci
e l'a jugée insuffisante pour constituer à elle seule le sujet d'un tableau . Mais la place importante qu'elle occupe dans l
. T. XIII. 1,1. XVI UN ARRACHEUR DE PIERRES DE TÈTE Fragment d'un tableau de l'École Flamande (XVII" siècle). Collection
e Bruegel le Vieux, les peintures de Jan Steen et tant d'autres. Le tableau du D' Gim- bert confirme clairement la vogue po
st encore le même sujet que l'on a pu voir sur la photographie d'un tableau appartenant à M. le Dr Paul de Molènes. La fr
ont l'usage était alors exploité par d'innombrables charlatans. Les tableaux flamands et hollan- dais en témoignent surabond
suite, et aucune nouvelle manifestation n'était venue s'ajouter au tableau clinique précédent, lorsque, en janvier 1898, la
rnières années et de nombreux travaux nous ont appris aussi bien le tableau clinique que les détails histologiques des dif-
e la vérole pour l'axe cérébro-spinal ; d'ailleurs, la bénignité du tableau clinique des manifestations périphériques que fai
clinique, une constatation se dégage aussitôt, la diversité telle du tableau décrit par les auteurs qu'il paraît difficile d
vons que les lésions anatomiques de radiculile syphili- tique et le tableau clinique qui en découle sont très différents de c
ossession de documents suffisanls et in- discutables pour tracer le tableau clinique de la polynévrite syphilitique ? Rien
palhogénique doit être exclusivement demandée à la clinique. Or le tableau clinique est souvent complexe. Avant l'apparition
out autour, c'est plus qu'il n'en fallait pour inspirer un sujet de tableau . , Comme aussi les boutiques enfumées où travai
ongeaient aussitôt à faire rire les autres. Aussi, la plupart des tableaux qu'ils ont consacrés aux Arracheurs de dents co
es spécialistes du XVIe au XVIIIe siècle. La liste des principaux tableaux des écoles flamandes et hollandaises peut donne
u musée de Weimar. AuDRIES BOTH ( ? -1650). L'arracheur de dents, tableau disparu, gravé à l'eau forte par Jan Both. JAN
n épisode d'une composition plus importante : Tels sont parmi les tableaux de ce genre qui nous paraissent dignes d'être m
supercherie et désignent le voleur à la vindicte du public (1) Le tableau en question est daté de 1616. Il est donc postéri
s a représentées 1>. llruegel le Vieux,le père de l'auteur de ce tableau . Le charlatan de la Kermesse d'Augs- bourg se l
PÊTRIÈRE. T. XIII. PL. XXXII, LES ARRACHEURS DE PIERRES DE TÊTE Tableau du Musée de Saint-Omer. Massok et Ci', Éditeurs
au du Musée de Saint-Omer. Massok et Ci', Éditeurs. A PROPOS D'UN TABLEAU DU MUSÉE DE ST-OMER REPRÉSENTANT LES 1 «ARRAC
visite au musée de St-Oi-ner ? Ie Dr Bachelet nous fit remarquer un tableau classé sous la rubrique : « Opé- ration de la p
ration de la pierre de teste », et qui nous intéressa vivement. Ce. tableau situé dans la première salle du musée et fort m
enfin dans des positions diverses. " .. , '. ' ? Acheté en 1881, ce tableau a figuré à l'exposition rétrospective d'Arras.
es le 5 sep- tembre 1569. Une étiquette ancienne collée derrière le tableau donne cette indication peu précise : « Breughel
cette indication peu précise : « Breughel d'Enfer. Un hôpital ». Le tableau n'est pas très bien conservé; il a été reverni à
us avons rencontré à la page 170 un article intitulé « un nou- veau tableau représentant les Arracheurs de pierres de leste,
que nous signalons se trouvait la reproduction phototy- pique d'un tableau au premier abord identique à celui deSt-Omer. Ce
rossièrement apocryphe. M. Henry Meige qui étu- die de très près ce tableau , pense qu'en raison de certaines incorrections de
s'agirait pour lui d'une copie exacte, quoique fort médiocre.« d'un tableau de Breughel l'Ancien, tableau aujourd'hui dispa
exacte, quoique fort médiocre.« d'un tableau de Breughel l'Ancien, tableau aujourd'hui disparu». Nous ne connaissons du ta
ghel l'Ancien, tableau aujourd'hui disparu». Nous ne connaissons du tableau appartenant à M. Paul de Molènes que la reproduct
à laquelle nous venons de faire allusion, mais nous pensons que le tableau du musée de St-Omer est justement ce tableau or
is nous pensons que le tableau du musée de St-Omer est justement ce tableau original de Breughel l'Ancien que l'on croyait
riginal de Breughel l'Ancien que l'on croyait disparu. En effet, le tableau de M. de Molènes, s'il parait au premier abord
T, XIII, PL. XXXIII. LES ARRACHEURS DE PIERRES DE TÈTE Détail du tableau du Ilusvc du SnintOl11cr. Masson et C ? Éditeur
71 et si on la compare avec la reproduction que nous donnons ici du tableau du musée de St-Omer, il est facile de voir que
cile de voir que le copiste s'est contenté d'un à peu près. Dans le tableau de St-Omer le premier plan, constitué par un homm
le parfait. Comparez les deux expressions de physionomie dans notre tableau et dans celui du Dr de Molènes : dans le premier,
té bestiale. Quant à la tête du pa- tient un simple examen des deux tableaux montre les différences non seu- lement d'expres
s dissemblances dans le costume du patient ; pieds chaussés dans le tableau du musée de St-Omer, nus dans celui de Paris. N
e entre la commère assise dans un panier au premier plan dans notre tableau et celle du tableau de Paris. Il y a bien d'aut
ssise dans un panier au premier plan dans notre tableau et celle du tableau de Paris. Il y a bien d'autres dissemblances po
eux en comparant lesplan- ches photo typiques reproduisant les deux tableaux . Il est un fait intéressant, selon nous, c'est
us concluons qu'au point de vue de la facture et de l'exécution, le tableau du musée de St-Omer est bien supérieur à celui qu
d'oeuvres d'art des écoles des Pays-Bas, en particulier, dans trois tableaux de Jean Steen que nous avons déjà étudiés, l'Opér
e l'on rencontre en feuilletant ces pages. Bien que désireux que ce tableau d'ensemble soit aussi fouillé dans ses détails qu
paux musées d'Europe. Le musée du Prado, à Madrid, possède un grand tableau de Tmbodose Rombouts (1.9-lda compatriote et pr
e la fougue môme, et un natu- ralisme de bon aloi (PI. XLIII). Le tableau du Prado représente un Arracheur de dents. C'est
s avec une rare habileté. Le Dentiste ne serait pas déplacé dans un tableau de Corporation, avec sa joyeuse figure ronde, s
phie DE la Salpêtrière T. XIII. PI. XLIII UN ARRACHEUR DE DENTS Tableau de THEOIJORE RoNiBOUTS (i5 ? i6;7). École flamand
T, XIII, PL. XLIV, Cliché Hanfgstaengl. L'ARRACHEUR DE DENTS Tableau de GRARD HONTHORST fts9o-r6g6), École hollandaise
te s'apprêtait à arrêter le mouvement de l'opérateur. Comme dans le tableau de Rombouts, les figurants sont vus ami-corps s
de donner directement les divisions micrométriques. Les rapports du tableau ci-dessus sont chiffrés en fractions, dont le num
coloré. Un second stade nous présente, à peu de chose près, le même tableau (Pl. XLV, e), la seule différence à signaler, c
peu de chose près des chiffres identiques, ainsi que le démontre le tableau ci-dessous. Le numérateur des fractions du tabl
le démontre le tableau ci-dessous. Le numérateur des fractions du tableau suivant représente le plus petit diamètre de la
publiés par d'autres auteurs, comme le prouvent les chiffres de notre tableau . Les chiffres de ce tableau permettront de comp
comme le prouvent les chiffres de notre tableau. Les chiffres de ce tableau permettront de comparer simultanément les élé-
e- cousses nystagmiformes, l'exagération des réflexes complètent le tableau clinique qui rentre dans le cadre du syndrome c
lassification anatomique nous semble la meilleure parce que le même tableau clinique et peut-être les mêmes données étiologiq
es cas d'atrophie du cervelet ; d'après Londe, il y a des cas où le tableau clinique réduit de part et d'autre (maladie de
ment ou par contusion ? Ainsi qu'on peut le constater en lisant le tableau que nous avons donné ci-dessus au sujet de la f
aroi d'entrée demeurait intacte ; elle ne tomba que plus tard. ' Le tableau clinique que peuvent présenter les blessures du c
rsion. Les résultats de l'examen électrique sont détaillés dans les tableaux sui- vants : 422 ABADIE ET DENOYÉS UN CAS
iiiell). L'Al->,I ? ,ACIIEUI ? DE DENTS L'ARRACHEUR DE DENTS Tableau d'A ORlA EN BROUWER, au Musée de Cassel. Masson
dans la galerie de peinture de Carlsruhe une réplique exacte de ce tableau , mais traitée de façon assez froide. On n'y recon
r. Peut-être ferait-on aussi quelques réserves sur l'attribution du tableau de Cassel. Mais il semble avoir souffert des in
s Pédicures (1) de Frankfort et de Munich. Dans ces deux derniers tableaux , on retrouve bien le même personnage qui entr'o
II. PI. LXV Cliché Br.1l1n. Climcnt et Cie L'ARRACHEUR DE DENTS Tableau d'ADIZIAI-,N 13ROUWEI. Galerie Lichtcnstcin, à Vi
n- tré moins libéral qu'envers les Pédicures. Je ne connais qu'un tableau qui corresponde au type classique. Je l'ai vu a
. LXVI. Cli"hé Ilanfatacngl (;\ ! ullich). L'ARRACHEUR DE DENTS Tableau de DAVID Tcsmas le J £ U1OE, au Musée de Casscl.
icalement à sa disposition son officine et sa propre personne. Le tableau du musée de Cassel serait le portrait le plus ach
raphie DE la SALYL1'RILRL T. XIII. PI. LXVII L'ARRACHEUR DE DENTS Tableau de DAVID Teniers, le Jeune, au Musée de Dresde.
ablette est accroché au mur avec divers récipients. Il existe de ce tableau une copie au musée de Berlin, provenant de la c
aliste où excellait le maître hol- landais (PI. LXVIII). Ce petit tableau est d'une indiscutable valeur : heureux agencemen
. LXVIII, Chché Hanfotacngl ( ? IIUlllCh), L'ARRACHEUR DE DENTS Tableau d'ADRIAEN VA,-17 OsTADE, au Musée de Vienne. Ma
faire grouiller dans ses scènes villageoises. L'aide-dentiste du tableau de Vienne est peut-être de la même espèce. Il n
é assez souvent sur les dendrites basilaires. b) Région médiane. Le tableau microscopique a été approximativement le même que
x. Sur les prépa- rations faites de tous ces morceaux on observa un tableau ressemblant. (ln n'observe pas de dégénérescenc
roit. A) Lobe frontal. - Pour l'examen furent pris six morceaux. Le tableau microscopique a beaucoup de ressemblance avec l
rceaux. Le tableau microscopique a beaucoup de ressemblance avec la tableau observé sur les préparations du lobe frontal ga
se trouvant en liaison avec les vaisseaux. B) Lobe occipital. - Le tableau microscopique a beaucoup de ressem- blance avec
al. - Le tableau microscopique a beaucoup de ressem- blance avec le tableau observé sur les préparations du lobe occipital ga
t aussi auprès de la surface de l'écorce cérébrale. Concer- nant le tableau microscopique observé dans la substance blanche,
ral. Dans les autres régions on observe appro- ximativement le même tableau , que dans la région située plus haut de l'intu-
ale.- b) Région occipitale.- On observe appro- ximativement le même tableau que dans le lobe frontal, seulement avec cette
les nerveuses des ganglions spinaux. La paralysie générale donne un tableau patltologo-anatomitlue très varié; les parties
ableau patltologo-anatomitlue très varié; les parties isolées de ce tableau si complexe ont une signification dif- férente
s 6 cas il n'y avait point de dégénérescence nette. En comparant le tableau clinique avec les données histopatholoiques, St
ostéo-arthrites infectieuses, rhumatismales surtout. D'ailleurs le tableau symptomatique change aussitôt et la troi- sième
he dont le nerf n'a pas été réséqué. Nous n'en donnons pas moins un tableau de nos mensurations, car quelque relative que s
ait été traumatisé. Les quelques chiffres que nous donnons dans le tableau suivant permettent de se. rendre compte des dia
les du ganglion droit qui sont restées saines. Nous donnons dans le tableau suivant quelques chiffres qui permettent la com
ion droit comme pour le ganglion gauche; il ressort nettement de ce tableau que les cellules du ganglion pathologique ne so
es auront leurs divers diamètres transcrits en chiffre gras dans le tableau suivant : Ganglion plexiforme droit. Normal.
vue symptomatique et étiologique. Symptomatiquement, il présente le tableau de la paralysie alterne (ce qui est déjà assez
bas et en dehors. Acuité visuelle. L'oeil gauche lit le n° 10 du tableau décimal à 4 mètres, l'oeil droit ne peut lire c
s docu- ments picturaux concernant la médecine. Le principal est un tableau d'ANDRIES BoTO (1612-1650) relatif aux Pierres
n'a pu être retrouvé, mais que Jean Both a grave à l'eau forte. Ce tableau faisait; dit-on, partie d'une série intitulée l
se par céder. L'Arracheur de dents, gravé par Jean Botii d'après un tableau d'Andries BOTH. 560' HENRY MEIGE .' - 'A gauc
hie DE la Salpètrière T. XIII. PI. LXXVIII L'ARRACHEUR DE DENTS Tableau de JAN VrCTORS (1620-1682) au Rijk Muséum d'Ams
la myélite aiguë par le fait que la maladie, après avoir réalisé le tableau clinique de la myélite aiguë, a pris une marche
e ou centripète (C. Vogt) par rapport à cet axe, comme le montre le tableau ci-joint (Fig. 8) : l'écriture aryenne .est cen
lyse, en nous basant sur les faits cités dans nos expériences (Voir tableaux , pp. 38, 47, 57, 64, 76, 80, 85, 96, du pré- se
ous avons déjà donné pour chacune de nos expériences, sous forme de tableaux , les résultats inattendus auxquels nous sommes
à une boule par une chaîne. Ce singe remplace ici le petit chien du tableau de Dresde. En outre, sur la muraille est accroc
ien du tableau de Dresde. En outre, sur la muraille est accroché un tableau représentant la stigmatisation de St François.
tisation de St François. Il est possible que Teniers ait peint un tableau identique à celui du musée d'Augsbourg : J. van
E la SALY1 : TRI1 : RE T. XIII. PI. LXXXVI 1 L'ARRACHEUR DE DENTS Tableau de DiL'Duoj, dans la Galerie de Schwerin. Masso
1 J'ai déjà eu l'occasion de parler, à propos du Mal d'Amour, d'un tableau de Gérard Thomas (5) (commencement du XVIIIe si
PL. LXXXIV. L'ARRACHEUR DE DENTS Gravure de ÏAYLOR. D'après un tableau de GÎ RARD Dow, dans la galerie de Schwerin. Ma
327. B. Il, 37. L, 30. Signé. - Il existe une très bonne copie de ce tableau dans la galerie d'Aschafîenburb. - Notre planch
s encore un Arracheur de dents tout à fait respectable que celui du tableau de Gérard Dowpossédé par le Louvre (1) ? (PI. LXX
(1) Na 2355. II, 32. L, 25. B. Il existe de nombreuses copies de ce tableau , entre autres aux musées d'Amiens et de lfontpe
DE LA SALPÊTRIÈRE. T. L'ARRACHEUR DE DENTS Gravure - d'après le tableau de Gérard Dow, au musée du Louvre. Massos ET 0'
du musée de Dresde (1) (PI. LXXXVI) est presque aussi connu que le tableau du Louvre. C'est une de ces scènes encadrées da
e dent. i) N° 1710. B. II, 57. L, 24. Signé et daté 1672. Ce joli tableau a été maintes fois copié et imité. Il en existe e
graphie DE la SALPÉTRIÈRE T. XIII. PI. LXXXV L'ARRACHEUR DE DENTS Tableau de Gérard Dow, au Musée de Dresde. Masson &
d'un Arracheur de Dents ? « Tel est du moins le titre consacré à ce tableau . Et rien n'empêche de l'admettre.» Malgré son
raphie contemporaine nous a laissé plus d'une réplique imagée de ce tableau imprimé. Rappelons encore ce portrait de Carmel
carrefour Ce croquis plein de verve a-t-il jamais été transformé en tableau ? Tel qu'il est, il constitue un des documents
74 . HENRY MEIGE Parmi les peintures, j'ai relevé, entre autres, un tableau de Pietro LONGIII, peintre vénitien, intitulé l
au de taffetas noir qui, plus tard, dégénéra en mouche, a, dans les tableaux du maître hollandais, la valeur d'un symbole.
Mais ne me disloquez pas la mâchoire. (1) N- 461. T. 5 : 1-r7. - Ce tableau fait partie d'une série dans laquelle se rouve
errant une molaire. C'est enfin, au musée de Bruxelles (N° 140), un tableau de l'École fla- mande du XV. siècle où l'on voi
f (2 pi. en photocol- logr.), 418. Pierres de tête (A propos d'un tableau du musée de Saint-Omel' représentant les arra
n- taire (2 pl. en photocollogr.), 169. Gaudier 11. A propos d'un tableau du mu- sée de St-Omer représentant les « Arra-
7 (1904) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1903
es leçons de choses, soit à l'école, soit dans les jardins (avec le tableau roulant), soit au Musée scolaire, soit aux atel
est arrivé à placer les lettres, les chiffres, les couleurs sur les tableaux , et les nomme sans se tromper. Il connaît aujou
donnons nous-même. Nous leur faisons en même temps reconnaître au tableau noir ou sur nos feuilles impri- mées en gros ca
nt pour l'éducation de la vue, depuis bien des années, notamment le tableau des couleurs, le jeu de dominos en couleur (PL.
ouleurs, le jeu de dominos en couleur (PL. I), nous avons ajouté le tableau des cartes Ù jouer, dis- posé en creux comme le
s ajouté le tableau des cartes Ù jouer, dis- posé en creux comme le tableau des surfaces (Fig. 13). III. Enfants propres et
e Bicêtre ont également obtenu le certificat d'études. 1-'ig. 13. - Tableau des cartes. ENSEIGNEMENT DU CHANT. xxvii à l'
Ce musée s'est notablement enrichi en 1903, ainsi que le montre le tableau suivant. LXVI ENSEIGNEMENT PH.OFESSiONJNEL. I
organisé. EVALUATION DU TRAVAIL DES ENFANTS, lxvii imprimer. Le tableau suivant met en évidence les résultats obtenus p
atteints de maladie de Lillle ; enfin 8 étaient athétosiy2ces. Le tableau suivant résume le mouvement de la population en
Décès. - Les décès ont été au nombre de 24 durant l'année 1903. Le tableau des pages LXXVIII il LXXXIII fournit les rensei
ur famille, guéris ou améliorés ou sur la demande de celle-ci. Le tableau des pages LXXXIV à indique les motifs de la sor
laire, ci-dessus. LXXVIII .TABLEAU DES DÉCÈS. - LXXX LXXXII TABLEAU DES décès. xc Consultations : traitement extern
dentelle; 4 savent faire de la tapisse- rie ; 2 savent tricoter. Le tableau suivant donne mois par mois le nombre des appre
arif est notablement abaissé depuis le 1b`' décembre 1902. Voici le tableau comparatif : .- - Promenades, distractions. c
LATION. cxxi Sorties. - Les sorties ont été au nombre de 20; le tableau des pages cxxiv, cxxv, indique les motifs de la
e papa, toto, caca, etc. Pour la marche à suivre, nous renvoyons au tableau d'articulation de M. Goguillot, retouché à beau
aussi émettre celles qui manquent, on peut du reste se reporter au tableau des voyelles pour constituer une liste complète
nnel nécessaire, j'aurais besoin des renseignements indiqués sur le tableau schématique ci- après : Asile DE Clermont (OI
Bourneville en date des 1G février dernier et 3 mars courant et des tableaux de traitement du personnel de la fondation Vall
int 1,353; elle a crû pendant ce troisième traitement de 2 cm. Le tableau ci-après indique les oscillations du poids pend
ions, ainsi que la marche de la croissance.Nous avons les mê- mes tableaux pour tous nos malades, il serait fastidieux de
normal. Poils assez abondants au périnée et autour de l'a- nus. Tableau du poids et de la taille de 1895 Il 1 no;). 10
n'a grandi que d'un centi - mètre par année ainsi que l'indique le tableau suivant : Nanisme par arrêt de développement si
u de lu56, à son âge, 18 ans, on lui donne de la glande thyroïde. Tableau des poids et taille avant, le début du traitement
eon. - Poils assez abondants au périnée et au pourtour de l'anus. Tableau des accès Nanisme avec infantilisme. 53 ver
la médication thyroï- dienne. Les résultats sont consignés dans les tableaux sui- vants : Tableau des poids et taille avan
enne. Les résultats sont consignés dans les tableaux sui- vants : Tableau des poids et taille avant le commencement du tr
e commencement du traitement. 68 DE quelques formes DE nanisme. Tableau des modifications survenues. On administre un 1/2
ne pastille puis deux pastilles de thyroïdine par jour (en mars). Tableau des poids et taille avant le traitement : Nanis
q mois de traitement. Le résultat est frappant si l'on rapproche ce tableau du précédent.. Quêm.. " est âgé. * de [Sans. 1
ication. Les règles de l'enfant ont toujours été très régulières. Tableau du poids et de la taille. Nanisme avec obésité.
les durent en général 4 à 5 jours; elles sont assez abon- dantes. Tableau des poids et laille. Nanisme avec OBÉSITÉ. 10
est entrée dans le service (Fondation Vallée), le 8 janvier 1891. Tableau du poids et cle la taille de 1891 à 1895. Nanis
es- sivement. Troisème traitement, du fer mars au 10 juin 1899. Tableau du poids et de la taille pendant le traitement.
et de la taillé avant le début du traitement sont indiqués dans le tableau suivant : Nanisme avec obésité. 120 De quel
Les cheveux de la plaque ne paraissent plus avoir de parasites. . Tableau du poids et de la taille. 128 De quelques forme
ent une très petite bosse. La région occipitale est plate. (Voir le tableau des mensurations détaxe). Face. - Visage jouf
res au-dessous de la taille moyenne à son Ùge (Fig. 43.) Voici un tableau qui ne laisse aucun doute sur la réa- lité du n
e tousse moins, et n'est pas alitée. Marche de l'épilepsie. 209 Tableau des accès et des vertiges. Déchéance ; TUBERCUL
maigrit, mais ne reste pas alitée. Mêmes signes à l'auscultation. Tableau du poids et de la taille. - 212 l'UlIEIt'1'1
de cette année (84 garçons et 57 filles), soit un total de 2.987, Tableau statistique sur l'alcoolisme . 224 i Action DE
mentation de poids. L'inclinaison du rocher est indiquée dans le tableau sui- vant qui donne l'angle pétroclivien. 232
isphères cérébelleux sont égaux. C'est, au moins, ce qui ressort du tableau sur l'Inégalité des hémisphères cérébraux et cé
et l'enfant rend le dernier soupir à 5 h. 20 du soir. (ri ? 09). Tableaux DES accès, DU POIDS. ETC. 25 Tableau des accès
5 h. 20 du soir. (ri ? 09). Tableaux DES accès, DU POIDS. ETC. 25 Tableau des accès et des vertiges. 258 État DE MAL, mor
es de degré sous l'influence de l'accès (Voir pour com- paraison le tableau de la T. à l'entrée, p. 252). Autopsie, faite l
pte rendu de 1899, p. 101. Thymus chez LES épileptiques. 271 Le tableau ci-dessus donne une idée générale de ces cas et
ileptique, et l'enfant idiot, imbécile, etc., non épileptique. Le tableau suivant donne âge par âge la répartition de ces
Le tableau suivant donne âge par âge la répartition de ces cas. ( Tableau B). Tableau n, 272 Thymus chez LES anormaux.
suivant donne âge par âge la répartition de ces cas. (Tableau B). Tableau n, 272 Thymus chez LES anormaux. Comme on le
leau n, 272 Thymus chez LES anormaux. Comme on le voit d'après le tableau A, nous trou- vons une moyenne de 24. 6 0/0 pou
eux cas de synostose complète et 29 cas de synotose partielle. Le tableau ci-dessus, donne àge par âge la réparti- tion d
il y a 70 cas de persistance de la suture métopique, soit 9,4 ? Le tableau suivant, donne, âge par âge, la répartition de
xercées par les parents. 282 SATURNISME. cées par les parents. Le tableau suivant complète notre ancienne statistique.
Tabacs 3 Plumassiers 4 Matelassières 3 Polisseur sur métaux 1 Tableau des hémiplégiques (Filles et garçons). XIII.
ids des hémisphères cérébraux et cérébelleux; Par BOURNEVILLE. Le tableau qui suit complète notre statistique de l'an der
âteux, il retour- ne au service des gâteux. Accès nombreux (Voir le tableau ) 1903. Janvier. - L'enfant est maintenu dans le
écembre. - Pas d'accès, l'agitation continue. Mesures de la tète. Tableau des accès et des vertiges. 306 Etat DE MAL ;
mut, température. AI10 .-État de MAL : 'TEM1'ÉRATURÈ.. montre le tableau (p. 306) et se sont compliqués de vertiges par
s il devient gâteux, a de l'incontinence nocturne d'urine. (Voir le tableau ). Après un relèvement passager, il tombe irrémé
s, le 10 avril 1903. Très honoré confrère, Vous trouverez dans le tableau ci-joint les renseigne- ments que vous me deman
riques ou non (Grande école).... xxv Certificats d'études obtenus Tableau des cartes xxvi Enseignement du chant...... ? .
. LXIX 111. Statistique. Mouvement de la population........ LXXIV Tableau général, ....................... LXXV Décès, So
.............. LXXV Décès, Sorties, Évasions............... LXXVI Tableau des décès ...................... LXX'III Tablea
.......... LXXVI Tableau des décès ...................... LXX'III Tableau des sorties .................... LXXXIV Transfe
.... cxvii II. Statistique. - Mouvement de la population..... cru Tableau général........................, cxx Décès, Sor
ransferts..... cxxi Population au 31 décembre 1901.......... cxxi Tableau des décès....................... cxxn Personnel
............ cxxn Personnel............................... CXXVII Tableau des sorties...................... Cxxiv Notes a
8 (1906) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1905
enseignement primaire, pour lesquels nous nous servons d'une série de tableaux spéciaux, de l'Alpha-bet du dessin de Mme Bru, co
les leçons de choses, soit à l'école, soit dans les jardins (avec le tableau roulant), s=oit au Musée scolaire, soit aux ateli
, bien l'addition et la sous-traction. 11 copie les devoirs écrits au tableau , mais ne peut suivre la dictée. En décembre 190
ssez lisible ; le malade copie sur son cahier les exercices écrits au tableau noir, mais ne peut réussir comme il le vaudrait,
e de musique. (Complément du petit solfège de notre livre de chant. Tableau de la durée et la valeur à donner aux notes do mu
es y assistent. L'un des maître, M. Mesnard, se sert pour sa leçon du tableau roulant dont nous avons parlé souvent. Il rappell
pour la bonne direction morale qu'ils essaient de leur imprimer. Les tableaux ci-après mettent en évi-dence les résultats obten
ent atteints de maladie de Little; enfin 9 étaient athètosiques. Le tableau suivant résume le mouvement de la population en 1
Décès. — Les décès ont été au nombre de 35 durant l'année 1905. Le tableau des pages lxiv à lxx fournit des renseignements c
la demande de celle-ci, 1 est passédansunedesdivisionsdel'hospice. Le tableau des pages lxxii à lxx vu indique les motifs de la
la dentelle ; 2 savent faire de la tapisse-rie ; 1 sait tricoter. Le tableau suivant donne mois par mois le nombre des apprent
par les malades. Sorties. — Les sorties ont été au nombre de 10; le tableau des pages evi, cvn. indique les motifs de la sort
de cette année (46 filles et .92 garçons), soit un total do 3.271. Tableau statistique sur l'alcoolisme. £ m O pq P o
1071 • 353 1424 étaient sobres. Totaux......... 2529 742 3271 Le tableau ci-dessus résume la situation des pères et mères
rents. Bourneville, Uicèlve, 1905. *"""* cées par les parents. Le tableau suivant complète notre ancienne statistique. Au
. Préparateur de plaques photographiques.. 1 Total...... 150 Le tableau suivant montre les affections auxquel-les ont suc
Vernisseur................................ 1 Total........ 46 Le tableau suivant montre les affections auxquel-les ont suc
, il y a 74 cas de persistance de la suture métopique, soit 9,2 %: Le tableau suivant, donne, âge par âge, la répartition de ce
deux cas de synostose complète et 30 cas de synostose partielle. Le tableau ci-dessus donne, âge par âge, la répar-tition de
oncernant nos enfants anormaux. (1) Compte-vendu de 1899, p. 164. Tableau A. ANNEE. Total des décès. Idiots et imbé
12 6 5 4 5 11 8 liTotaux. 451 171 40 312 83 123 Le tableau ci-dessus donne une idée générale de ces cas et l
ileptique, et l'enfant idiot) imbécile) etc., non epileptique. Le tableau suivant donne âge par âge la répartition de ces c
e. Le tableau suivant donne âge par âge la répartition de ces cas. ( Tableau B). Tableau D. (1) Ce groupe comprend les épi
u suivant donne âge par âge la répartition de ces cas. (Tableau B). Tableau D. (1) Ce groupe comprend les épileptiques non
7 9 4 4 7 8 6 8 8 12 4 85 123 Comme on le voit d'après le tableau A, nous trou-vons une moyenne de 23. 3 0/0 pour l
résents dans le service le 31 décembre 1905 ; par BOURNEVILLE. Le tableau ci-après montre qu'il y avait dans le service, à
e. Hémiparésie. Enfant assisté. Hémiparésie. Hémiparésie. Ces tableaux présentent des lacunes. Malgré nos efforts pour l
le et nièce ...................... 3 Total................ ÏÏ? Le tableau suivant donne une idée des affections diverses do
oids des hémisphères cérébraux et cérébelleux ; Par bourney^lle. Le tableau suivant complète notre statis-tique de l'an derni
de coups de cloche, de bâtonnets, de billes, etc.; casier à chiffres, tableau des chiffres de 0 à 9. Addition et soustraction d
la marche. 2° Mensurations comparatives des membres des deux côtés ( tableau ). 3° Etat des jointures : a) contracture, b) cra-
andes et petites lèvres. Nous avons fait faire un certain nombre de tableaux , les uns communs à tous les enfants, les autres s
nfants, les autres spéciaux à certaines catégories d'entre eux. Les tableaux communs sont les suivants : a) Tableau de la te
tégories d'entre eux. Les tableaux communs sont les suivants : a) Tableau de la température des cinq premiers jours de l'ad
lle et le matin et nous maintenons l'enfant s'il a de la fièvre. b) Tableau des mensurations de la tôle. — c) Tableau des poi
t s'il a de la fièvre. b) Tableau des mensurations de la tôle. — c) Tableau des poids, taille et force musculaire (dynamomètr
c) Tableau des poids, taille et force musculaire (dynamomètre), — d) Tableau de la Puberté. — e) Tableau des urines. — /) Tabl
e et force musculaire (dynamomètre), — d) Tableau de la Puberté. — e) Tableau des urines. — /) Tableau de la vaccination. — g)
namomètre), — d) Tableau de la Puberté. — e) Tableau des urines. — /) Tableau de la vaccination. — g) Tableau de la température
uberté. — e) Tableau des urines. — /) Tableau de la vaccination. — g) Tableau de la température après la mort. Ces tableaux o
e la vaccination. — g) Tableau de la température après la mort. Ces tableaux ont été reproduits dans le Compte-rendu de 1894,
tableaux ont été reproduits dans le Compte-rendu de 1894, p. 54. Les tableaux spéciaux sont relatifs aux épileptiques (accès et
ner ; il peut placer les lettres, les chiffres et les couleurs sur le tableau , et sans se tromper. Il fait à la gym- 1891. —
llabe finale muette. Ainsi Lemaît... qui dit très bien : blanc, bleu, tableau , dira : « ta » pour table, « por » pour porte; de
pervers, épileptiques et hystériques ou non (Grande école).... xn Tableau des notices..................... xv Enseignemen
... lviii III. Statistique. Mouvement de la population........ lx Tableau général........................ lx Décès, Sorti
................. lx Décès, Sorties,........................ LXin Tableau des décès...................... lxiv Tableau de
............... LXin Tableau des décès...................... lxiv Tableau des sorties..................... lxxii Transfer
........ xcvm Statistique. — Mouvement de la population..... xcvm Tableau général......................... xcvm Décès, So
lation au 31 décembre 190 í.................................... c Tableau des décès....................... en Tableau des
................... c Tableau des décès....................... en Tableau des sorties...................... evi Personnel
9 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
roduites sous le nom de maladie de Raynaud paraissent reproduire le tableau de l'acro-cyanose hypertrophiante. Tel le cas réc
re pré- sente, tracer de l'acrocyanose chronique hypertrophiante le tableau symptomatique que voici. En général, la malad
ujours pro- gressive a débuté il y a plus de deux ans. Tel est le tableau clinique. Quel diagnostic nosologique porter ? :
i montré la signification sur les anciennes gravures et les anciens tableaux , étaient parfois remplacés par des étuis de cuir
ans le musée de la ville de Luxembourg (collection Pescatore), d'un tableau consacré par Gérard Dow à l'un de ces praticiens.
réaliser un chef- d'oeuvre. C'est, à ma connaissance, le sixième tableau de Gérard Dow consacré à l'urologie ; les autre
eintres de talent. 11 existe dans la collection Dutuit un excellent tableau d'Adriaen van NOUVELLE ICOVOGRAYIIIE DE LA SALP
OUVELLE ICOVOGRAYIIIE DE LA SALPÊTRIÈRE. T. XVI. Pl. X L'UROLOGUE Tableau de Gérard Dow, Musée de Luxembourg. (Henry Meig
lr, Editeurs LES UROLOGUES 65 Ostade représentant un Urologue. Ce tableau rappelle beaucoup celui que le même peintre a c
e Delft, capuchonné de rouge. Les mêmes accessoires figurent sur le tableau du musée de Berlin. Dans le fond, un grand pa
nullement chargé, dont on peutrépéter ce que je disais à propos du tableau analogue de Berlin : « Rien de satirique dans c
0. (2) On peut voir encore dans la collection Dutuit un intéressant tableau représentant un médecin qui fait une Opération
ires que le maître hollandais. Ne s'agirait-il pas d'une copie d'un tableau de Gérard Dow ignoré ou perdu ` ? .... Dans l'e
tout à fait .identiques à ceux qui figurent à la même place dans le tableau de Dresde. On voit en outre un vase en faïence
geait de ce soin. J'ai trouvé, en effet, il y a quelques années, un tableau de l'école hol- landaise, remontant vraisemblab
rge cheminée garnie d'un bandeau d'é- toffe verte et surmontée d'un tableau représentant un paysage ; à gauche, un lit clos
'a su donner à ces personnages ni le charme, ni la vie qui font des tableaux de Jan Sleen d'admirables chefs-d'oeuvre de sin
lement à jour et à he.ure fixes (1 ). Le musée de Dresde possède un tableau attribué à Hendrick lleerschoop (IG20-1GS` ? ),
ras le possédé de l'Ermitage rappelle de très près la démoniaque du tableau de l'église Saint-Ambroise de Gênes. Les mem- b
ce de son absence. Mais un phénomène cadre mal ici avec le reste du tableau : c'est la présence de troubles de la sensibili
rédo-syphilis. Les caractères cliniques de ce ta- bes rappellent le tableau du tabes infantile hérédo-syphilitique. Le tibia
ire du tibia, les malformations du squelette du pied font partie du tableau de l'hémimélie par absence du péroné. Nous pouv
éduction du dessin que je. possède, ou bien d'une esquisse d'après un tableau ? q ... J'incline pour la première hypothèse; d
cline pour la première hypothèse; d'ailleurs, je n'ai pu rclrouver le tableau en question, et il n'est pas certain qu'il ait
orme, couvert d'ulcérations. J'ai noté aussi, au musée de Rouen, un tableau de Paul Véronèse, re- présentant Saint Barnaúé
graduel, ils étaient arrivés il donner en moins de six semaines le tableau d'une paraplégie des quatre membres, avec anest
e ou radiculaire qui ne fut pas constatée. Quoi qu'il en soit, le tableau des symptômes nerveux constaté au mo- ment de l
que sorte à une molaire bicuspidée. En rapport avec cette lésion le tableau sympto- matique (nerveux) était le suivant :
TERS.- Paralysie quelques jours après l'entrée. C'était en somme le tableau presque complet d'une paraplégie cervicale, causé
ébrile. D'autres fois, la tumeur intra-médullaire centrale, ouïe le tableau symp- tomatique d'une syringomyélie, - ou encor
antérieu- res seules sont détruites (tubercule massif, par ex.) le tableau d'une atro- phie musculaire et même, si la tume
1. Henry Meige (2), a donné une description parfaite et complète du tableau nosographique de cette anomalie du développemen
ICONOGRAPHIE DE la Salpêtrière. T. XVI. Pl. XLVI L'APOTHICAIRE Tableau de P. LoNGHI, à l'Académie de Venise. L'APOTHIC
IRE Tableau de P. LoNGHI, à l'Académie de Venise. L'APOTHICAIRE Tableau de P. Longhi (I 70-178) PAR L. E MARLANI. L
caux en verre et au milieu une grande armoire fermée surmontée d'un tableau religieux, la naissance de Jésus, entre deux én
er lui-même les prescriptions du médecin, le lavement compris. Le tableau qui se trouve actuellement dans les Galeries roya
squels son fils Alexandre qui surpassa même renommée du père. [Ce tableau a déjà été décrit dans une étude de M. Henry Meig
e sucre dans les urines élimine, indépendamment de la différence de tableau clinique, l'idée de névrite des diabétiques. L'
... écrit sur une table basse que lorsqu'il trace des caractères au tableau noir, le bras étant élevé; l'élévation du bras
e- ment suivant que le sujet écrit sur une table basse ou debout au tableau noir nous montrent qu'il ne s'agit pas du type
fois. Il exécute toute- fois dans ce sens des dessins variés sur un tableau noir. Le membre supé- rieur gauche sain servira
phie contient une courte étude de M. L.-E. Mariani, sur un gracieux tableau de P. Longhi, intitulé La Pharmacie et exposé à
, intitulé La Pharmacie et exposé à la Galerie royale de Venise. Ce tableau , dont M. Mariani donne une très bonne reproduct
arquable Iconographie des arracheurs de dents (2), a déjà décrit le tableau de Longhi. Il ne s'arrête pas à l'opinion « que
t rien de semblable. La Pharmacie fait partie d'une série de petits tableaux dus à l'habile pinceau de Pietro Longhi, peintr
e d'une femme galante à Venise vers le milieu du XVIII, siècle. Ces tableaux ont été gravés par Joseph Flipart et F. Bartolo
es ; Meige signale aussi, comme faisant partie de la même série, un tableau représentant un charlatan diseur de bonne avent
neuf le nombre total des ta- bleaux composant la série. Tous ces tableaux ont dû être gravés ; nous connaissons six de ces
en vers, et c'est précisément la légende du n° 8, c'est- à-dire du tableau qui nous occupe, qui nous permet d'interpréter ce
te. Sur le fourneau, dont on n'aperçoit qu'une faible partie sur le tableau et dont un jeune apprenti attise le feu à l'aide
rté vers la droite et un cautère gît sur le sol auprès de lui. Le tableau de Longhi mérite donc d'être attribué à cette rar
ont en se relevant à demi. Une inscription complète l'expression du tableau , la deuxième ligne très nette spécifie que : ..
nous citons, des inscriptions analogues relatant et expliquant les tableaux qu'elles soulignent. C'est en une série de tabl
expliquant les tableaux qu'elles soulignent. C'est en une série de tableaux les faits saillants delà vie du saint jusques e
s le martyre, la mort et le transport des reliques. C'estce dernier tableau seul que possède lemusée touchant saint Etienne ;
égitime encore l'appellation dé pseudo-18dème. Voici d'ailleurs des tableaux qui sembleront démonstratifs : 350 MAURICE DIDE
x qui sembleront démonstratifs : 350 MAURICE DIDE On voit par ces tableaux que la quantité des chlorures est au moins norm
nifeste dans nos photographies (Voir PI. LXVIII, fig. 2 el 3). Le tableau comparatif suivant fera très bien comprendre noir
continu ces malades avaient eu des accès de delirium tremens. Le tableau clinique du délire alcoolique continu au début se
peut pas être fondé sur des bases solides. Si le malade présente le tableau clinique de delirium tremens avec prédominance
ue chronique, quelquefois la psychose de Korsakoff, débutent par un tableau , ressemblant à celui du delirium tremens; on pe
il diffère d'une manière très prononcée de cette der- nière par son tableau clinique, par son cours et par son pronostic. L
e de la maladie susnommée (lésion de l'appareil auditif) et dans le tableau clinique (caractère différent des hallucinations,
hénomènes phy- 404 SOUKHANOFF ET WEDENSKY siques, accompagnant le tableau psychique du délire alcool)que continu et qui s
ux divers âges de la peinture italienne que de montrer une série de tableaux du même artiste ou de la même époque (ce qui d'
t semblables à ceux dont les divins Bambini sont enveloppés sur les tableaux des maîtres toscans. La première de nos photogr
antérieure à celle des fresques d'Andréa del Sarto (PI. LXX, A). Ce tableau de la Galerie antique et moderne de Florence, est
é par de nouvelles bandelettes, comme on peut le voir sur plusieurs tableaux ; si la saison est rude, on le ramènera même par
t qui, vraisemblable- ment, était à peu près ignoré. Un très joli tableau du Baroche, bien postérieur à ceux que nous avons
manique de Nuremberg, un beau Possédé de M. M7011LCFNIUTH, sur un tableau qui représente une scène de la vie de saint Guy
par la fenêtre d'où on aperçoit un paysage avec un pont. Un petit tableau de PAUL BR1L (1sus4-1626). à la Pinacothèque de M
Gérasa est traité par BRDEGHEf. DE Velours (1568-1625) sur un petit tableau sur cuivre, mais sans détails caractéristiques.
quilles. Au musée d'Ypres, se trouve une esquisse de Rubens pour le tableau des Miracles de saint Benoit, qui fait partie d
yeux légère- ment convulsés en haut, le cou très saillant. Sur un tableau de PETRQS CLAEOE, dans l'Hospice de la Potterie,
type de contracture en exten- sion. Au musée de Dijon (n° 34) un tableau de GiusEPPE PASSARI z.4714) représente La Cessa
ce goûl précoce lui a permis de s'apercevoir qu'un grand nombre de tableaux étaient consacrés à des sujets médicaux et qu'i
s, en 1900. Un exemple, parmi tant d'autres : Parlant d'un charmant tableau , désigné dans tous les catalogues sous le nom d
pique dechtoro-anémique », et en reproduisant la photographie de ce tableau , il met en légende : La Chlorotique (Die Bleich
e dénomination était toute personnelle. C'est pourtant bien'ce même tableau qui fut reproduit dans la Nouvelle Iconographie
t.), p. 54-56 (3 phot.). Année 1892 Gilles de la Tourette. Sur un Tableau perdu de liaubens (Gnenson de Possédés), , ter.
lisz, p. 391-400 (1 phot.). Année 1899. Henry ME ! GE. Un nouveau Tableau représentant les Arracheurs de « Pierres de Têt
ravure de Denou 1188, p. 100 (1 fig.). II. GAUDIEIL - A propos d'un tableau du Musée de St-Omer représentant les « Arra- ch
e japonais, p. 359-376 (4 fig.). ( ? 1 : . 1\lAm.svc. - La Maladie, tableau de Jules Romain, p. 468-470 (1 phot.). Henry ME
2 fig., 6 schémas), par BRISSAUD et BRUANDET, 133. Apothicaire ( tableau de P.Longhi) (1 phot.), par 1lARInNt, 201. Ar
bes occipitaux (1 pl. en photogr.), 100. Mariani . L'Apothicaire, tableau de Longhi (1 phot.), 201, 434 TABLE DES AUTEU
ie et Amyélie (Brissaud et Bnu- ANDRT), XXIX à XXXI. Apothicaire, tableau de P. Longhi (Mariani), XLVI. Arthropathie ne
10 (1896) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1895
çons par la verticale. La double règle ouverte est appliquée sur le tableau noir perpendicu- lairement au sol. L'enfant est
on de couleur donnée par l'exer- cice des planches coloriées et du ^ tableau correspon- dant, l'un de nos anciens instituteu
re la différence entre le volume des bou- les. Leçons de choses : tableau roulant. - On se sou- vient que tous les espace
une étiquette où figure leur nom. Ces jardins sont des- Fig. 5. - Tableau roulant. xiv Grande école. nés aux leçons de
ans le but de faciliter les leçons nous avons fait fabriquer deux tableaux roulants. La figure 4 permet de se rendre compt
- Le Musée s'est enrichi notablement en 1895 ainsi que le montre le tableau suivant : Enseignement professionnel. xxiii
décision qui sera intervenue. Espérons qu'elle sera favorable. Le tableau ci-après met en évidence les résultats obtenus
de la population. Décès. - Les décès ont été au nombre de 24. Le tableau ci-après fournit les renseignements concer- nan
eur famille guéris ou améliorés, ou sur la demande de celles-ci. Le tableau des pages xxxiv et suivantes indique les motifs
estésunou plusieurs jours absents. Nous ne faisons figurer clans le tableau des sorties que les enfants qui n'ont pas été r
(1868) sur la glande thyroïde, et incidemment sur le thy- mus. Le tableau ci-après donne quelques renseigne- ments sur ce
2 du crochet. 8 savent marquer, 5 font assez hicn la tapisserie. Le tableau suivant donne mois par mois, le nombre d'appren
maladies qui ont occasionné la mort et dont on trouvera la liste au tableau des décès, que des accidents légers : gourmes,
rs écoles. Nous avons résumé le résultat de cette enquête dans le tableau suivant : LXII Enfants AIUUERËS. En ce qui co
n'est pas encore achevé ; il faut faire vivement et complètement le tableau do ces né- cessités de l'existence. 11 faut se
nous avons dit précédem- ment dans un mémoire spécial (1). V. Le tableau de la température après la mort est digne d'att
t purgatif; enveloppement dans un drap sinapisé ; bromure : 6 gr. Tableau des mensurations de la tète. 48 Poids, taille ;
-'1) heures après, 13°. La température de la salle était de 13 : Tableau du poids, et de la taille, etc. Lésions méningi
é paralysé) est un peu plus petit que le droit. Pas d'ona- nisme. Tableau des accès. Etat DE MAL. 59 de la même année,
nt : c'estce qu'on observe souvent chez les malades de ce genre. Le tableau ci-après fait constater que, sous l'influence d
st demeurée stationnairo et que le poids a notablement diminué. Tableau du poids et de la taille. '68 Assistance DES en
s : 20°, la tem- pérature de la chambre étant également à ` ? 0 ? Tableau du poids el de la laille. Autopsie : LÉSIONS in
grettable que ces accès (1) J. Noir. - Étude sur les tics, 1894). Tableau des mensurations de la tête. Tableau du Poids e
- Étude sur les tics, 1894). Tableau des mensurations de la tête. Tableau du Poids et de la Taille. 142 HÉRÉDITÉ. n'aie
ent. Le gâtisme est à peu près constant. L'enfant maigrit. (Voir le tableau du poids.) 152 Description DU malade. 1894. A
eu) ; les rectangles et les car- rés verts, placés en bas de chaque tableau répondent aux jours où l'on a administré la gla
nt une idée de sa situation à l'âge de 11 ans 1/2 et de 14 ans. Les tableaux ci-après permettent de se rendre compte de son
est d'autant plus intéressant, que si, jetant un coup d'oeil sur le tableau de sa taille de janvier 1890 à janvier 1895, on
1895, le poids et la taille ont eu la progression indiquée dans le tableau ci-dessous : . Croissance ET obésité. 199 200
la taille. Nous avons pu suivre son développement depuis 15 ans. Le tableau suivant (p. 202) permet d'avoir une idée de son
nement du 1 ? octobre au 4 novembre, soit 86 jours de traitement. Tableau du Poids et de la Taille. Croissance et obésité
eux, M. Hertoghe a résumé les résultats qu'il a enregistrés dans le tableau suivant : 204 Action DE la glande thyroïde. d
- enfin, dans un sixième cas à une débilité congénitale extrême. Le tableau ci-après met en relief l'augmentation de la tai
relief l'augmentation de la taille. Croissance et obésité. 2U5 Ce tableau sous les yeux, comparons la croissance des mala
ns qu'à relever rapi- dement les particularités consignées dans les tableaux que nous avons donnés plus haut. 4° Dr... (E.
t le monde. Ses parents et ses amis l'ont trouvée bien changée ». Tableau des mensurations de la tète, du poids et de la ta
re 186D, est entré dans notre service le 3 septembre 1885. Voici le tableau de ses accès et de ses vertiges : 228 Thérape
2, le bromure d'am- monium et de rubidium à la dose de 1 à 4 gr. Le tableau ci- après montre que les accès et les vertiges
, ayant été insérée assez longuement dans la thèse de M. Cornet. Le tableau suivant que nous complétons, car le tableau de
thèse de M. Cornet. Le tableau suivant que nous complétons, car le tableau de M. Cornet s'arrête au Bromure DE camphre. 23
D'ailleurs le premier mois la dose du médicament est peu élevée. Tableau des accès et des vertiges de Lel... 232 Thérape
et a succombé à une congestion pulmonaire (27 mars 18'))). Voici le tableau des accès et des vertiges. Bromure DE camphre
.......................... xn Boîte à trous xn Leçons de choses : tableau roulant........ xn Enfants propres et valides,
........ xxv III' Statistique. Mouvement de la population... xxvn Tableau général xxvn Décès xxvm Sorties, évasions, tr
tercurrentes L H. -Statistique : mouvement de la population. LI . Tableau général Li ? Décès... LI Sorties ; évasions ; t
11 (1905) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1904
s. Voici le relevé qui a porté sur une moyenne de 50 enfants gâteux. ( Tableau ). (1) Band.., Cohn.., Wal.., Phili..., Duv...,
les leçons de choses, soit à l'école, soit dans les jardins (avec le tableau roulant), soit au Musée scolaire, soit aux afeJie
e pour la bonne direction morale qu'ils essaient de leur imprimer. Le tableau des pages lu et lui met en évi-dence Vss résultat
teliers, 4 tremplins, une poutre avec support, barre fixe, sautoir, 4 tableaux , 5 séries de lettres et chiffres, 10 marteaux ; 8
nt atteints de maladie de Little ; enfin 8 étaient athêtosiques. Le tableau suivant résume le mouvement de la population en 1
Décès. — Les décès ont été au nombre de 23 durant l'année lOO'i. Le tableau des pages lxii à lxv fournit les renseignements c
ande do celle-ci, 1 est passé dans une des divisions de l'hospice. Le tableau des pages lxvi à lxxi indique les motifs de la so
a dentelle; 4 savent faire de la tapisse-rie ; -4 savent tricoter. Le tableau suivant donne mois par mois le nombre des apprent
par les malades. Sorties. — Les sorties ont été au nombre de 20; le tableau des pages cxxiv, cxxv, indique les motifs de la s
des institutions privées dont la plupart sontcongré-ganistes (1). Le tableau ci-dessous donne la répartition actuelle des aveu
et épileptiques présents au 31 décembre 1903 dans leurs services. Les tableaux ci-après résument les renseignements que nous dev
s les professions exercées parles parents. cées par les parents. Le tableau suivant complète notre ancienne statistique. Au
. Préparateur de plaques photographiques.. 1 Total...... 143 Le tableau suivant montre les affections auxquel-les ont suc
service de nos maîtres, Delasiauve et Charcot à la Salpêtrière. Le tableau suivant donne une idée des affections diverses do
de cette année (41 filles et 105 garçons), soit un total de 3.133. Tableau statistique sur l'alcoolisme. Garçons Filles.
boisson. nous n'avons pas de renseignements. étaient sobres. Le tableau ci-dessus résume la situation des pères et mères
résents dans le service le 31 décembre 1904; Par BOUBjXEVILLE. Le tableau ci-après montre qu'il y avait dans le service, à
arrêt de développement, etc., et en y ajoutant les cas de diplégie. Tableau des hémiplégiques (Filles et garçons). il Bai
résie. Hémiparésie. N O M S BOURNEVILLE, Bicètre, 1904. 4 Ces tableaux présentent des lacunes. Malgré nos efforts pour l
il y a 73 cas de persistance de la suture métopique, soit 9,4 °/o- Le tableau suivant, donne, âge par âge, la répartition de ce
deux cas de synostose complète et 29 cas de synostose partielle. Le tableau ci-dessus donne, âge par âge, la répar-tition de
tranché 63 ayant appartenu à des malades âgés de plus de 25 ans. Le tableau suivant complète notre statis- inégalité de poids
oncernant nos enfants anormaux. (1) Comple-rendu de 1899, p. ICI. Tableau A. ANNEE. Total des décès. Idiots et imbé
2 17 3 5 1904 43 16 2 17 9 11 Totaux. 451 158 l 37 293 78 115 Le tableau ci-dessus donne une idée générale de ces cas et l
ileptique, et Yenf'ant idiot, imbécile, etc., non épileptique. Le tableau suivant donne âge par âge la répartition de ces c
e. Le tableau suivant donne âge par âge la répartition de ces cas. ( Tableau B). Tableau B. (1) Ce groupe comprend les épi
u suivant donne âge par âge la répartition de ces cas. (Tableau B). Tableau B. (1) Ce groupe comprend les épileptiques non
17 5 4 7 3 7 8 4 4 5 8 6 8 7 2 3 115 Comme on le voit d'après le tableau À, nous trou-vons une moyenne de 23. 4 0/0 pour l
e en fournit la preuve, quand les accès sont très fréquents. (Voir le tableau , p. 84) (1). (I.) Voir : Bourneville et H. d'Ol
bre d'états pathologiques congénitaux ou acquis, paraissant offrir un tableau clinique sembla-ble, mais se traduisant par des l
, offrant une cachexie prononcée et de nom-breuses escarres. VI. Le tableau de la temjoéralure à l'entrée, la mort quinze jou
s décès 55 k. 600. Comme on peut s'en rendre compte par l'examen du tableau suivant la température à l'entrée à l'hospice ava
38 10.5 18.1 1S.5 15 13.4 13.0 16.5 15.5 10 14.5 11.6 13 7 6.5 0.5 Tableau du poids el de la taille. Poids................
accès que nous avons mention-née dans un très û'rand nombre de cas. Tableau des accès'et des vertiges. Mois Janvier......
................. 40 Mort dans un accès.................... 11 Ce tableau (incomplet) s'arrêtait à la fin de 1897. Voici la
3 12 12.5 12.5 10.0 10.0 10.6 10.0 10.0 10.0 10.5 5.5 5 5 5 4 4 4 Tableau du poids et de la laille. 1900 1001 1902
, pervers, épileptiques et hystériques ou non (Grande école)____ xx Tableau des notices..................... xxin Enseignem
........ lv HT. Statistique. Mouvement de la population........ l Tableau général........................ lx Décès, Sorti
................... lx Décès, Sorties......................... lx Tableau des décès...................... lxii Tableau de
................. lx Tableau des décès...................... lxii Tableau des sorties..................... lxvi Transfert
........ civ II. Statistique.— Mouvement de la population..... cv Tableau général......................... cvn Décès, Sor
................ cvn Population au 31 décembre 1904.......... cvn Tableau des décès....................... cvm Tableau de
e 1904.......... cvn Tableau des décès....................... cvm Tableau des sorties...................... cxn Buanderie
12 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ment. Ces observations sont, du reste, incomplètes, et l'absence de tableaux d'accès durant la période de traitement ne perm
ncé de phrases, ni n'a exécuté une mimique quelconque, dénonçant le tableau de la troisième période avec ses deux phases ga
IER. (Arch. f. Psych., XIV, 2.) Les auteurs essaient de tracer le tableau clinique de la forme anatomo-pathologique en qu
comparativement avec celles des auteurs précédemment cités, dans un tableau de neuf colonnes. P. K. XII. Un cas d'atrophie
i si elle est à Londres ou à la campagne. Elle ne se rappelle ni un tableau , REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 75 ni une odeur
e, avec tendance au suicide. Puis, ou bien il s 'était développé le tableau cliniquecomplet delà paralysie générale (dix ca
à 11 1 : 84 h., 27 f. Une longue et savante discussion complète le tableau . Nous n'y pouvons que cueillir quelques for- mu
pant certains centres moteurs isolément, on élimine du même coup du tableau cowulslf les territoires musculaires en corresp
ésidence de M. Foville. M. Régis présente à la Société un modèle de tableaux pouvant permettre de représenter graphiquement
naît la justesse de cette critique, mais il pense néanmoins que ces tableaux , qui indiquent à grands traits les diverses pha
er et Edinger. M. L1CIITItEISt prend la parole sur les différents tableaux sympto- matiques de l'aphasie. Il construit le
a loi, elles résultent de ce que certains élé- ments composants des tableaux symptomatiques rétrocèdent plus ou moins vite e
cas à foyer bilatéral ou unilatéral dans les ganglions de la base. Tableau semblable à celui de la paralysie du bulbe Cas
érieurs, une dégénérescence grise des nerf optiques complétaient le tableau anatomo-pathologique. SOCIETES SAVANTES. 101
ate de soude) et de Penzolri (orthonitrobonzoate d'aldéhyde). Les tableaux et les courbes seront publiés dans les Archiv. f.
du quatrième ven- tricule. Discussion : .' M. J.ILST110WIT7. Le tableau clinique des cysticerques est encore assez vagu
s qu'on doit s'attendre à une complète disparition de l'ensemble du tableau morbide. Mais, ce résultat obtenu, ne supprimer
la commotion, on rompt avec la tradition qui met au premier rang du tableau syinptomatologique l'instantanéité des troubles
du cri initial de l'attaque d'épilepsie ou d'hystérie; il y a là un tableau consécu- tif si frappant, qu'y penser c'est le
ravail intellectuel de même nature et d'une durée de dix heures. Le tableau suivant indique les résultats obte- nus : * 1
et, loco citntu, p. 60. DE LA NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX. 243 Tableau I. Influence du travail intellectuel sur l'élimin
heures et de même nature que celui des expé- riences précédentes. Tableau II. Influence du travail intellectuel sur l'élimi
cet acide est porté de 0 gr. 50 àOgr. 58. Dans les expériences des tableaux II et III, nous retrouvons, sous l'influence du
e semblables à celles que nous ont fourni les expériences 2 et 3 du tableau I avec cette différence que, tandis que dans l'
au I avec cette différence que, tandis que dans l'expérience 2 du tableau I, un travail de sept heures n'augmente pas le ch
erres, ce même travail augmente ce chiffre dans les expériences des tableaux II et III; il l'augmente de 8 centigr. dans le
riences des tableaux II et III; il l'augmente de 8 centigr. dans le tableau II et de 9 centigr. dans le tableau III. D'où
'augmente de 8 centigr. dans le tableau II et de 9 centigr. dans le tableau III. D'où vient cette différence d'action pour
d'action pour un même travail ? Les expériences consignées dans les tableaux II et III contrin- diquent-elles celles consign
tableaux II et III contrin- diquent-elles celles consignées dans le tableau I ? Cette différence d'action s'explique parfai
aitement ; elle tient simplement à la différence de régime. Dans le tableau I, en effet, l'individu soumis à un travail int
qui est végétal est moins riche en acide phosphorique ; et dans le tableau III, l'individu en expérience est à la diète. E
ce qui ressort de la comparaison des résul- tats consignés dans le tableau I (expérience 2) et dans les tableaux II et III
ésul- tats consignés dans le tableau I (expérience 2) et dans les tableaux II et III. Dans le tableau I (régime mixte), la d
le tableau I (expérience 2) et dans les tableaux II et III. Dans le tableau I (régime mixte), la diminu- tion de l'azote es
le de l'acide phosphorique uni aux alcalis de 12 centigr. ; dans le tableau II (régime végétal), cette diminution est pour
r l'acide phosphorique uni aux alcalis de 9 centigr. ; et dans le tableau Ill(diète), le chiffre de l'azote diminue, sous l
grande, ainsi que le prouve la comparaison entre l'expérience 3 du tableau I, et l'expérience 2 du même tableau. Ici donc,
raison entre l'expérience 3 du tableau I, et l'expérience 2 du même tableau . Ici donc, comme pour l'acide phosphorique uni
pas oublier que lorsque nous nous soumettions à un régime végétal ( tableau II), le chiffre de l'acide phospho- rique total
ications nous ne ferons que les indiquer dans le ta- bleau suivant, tableau qui résume aussi ce que nous avons dit précédem
ant, tableau qui résume aussi ce que nous avons dit précédemment. Tableau fiv. Influence du travail intellectuel sur l'élim
e lieu enfin, si on se reporte aux recherches con- signées dans les tableaux qui précèdent, on voit que si, sous l'influence
sept heures qu'avec un travail de dix heures (ex- périence 1 et 2. Tableau I). 2° Cette augmentation n'a pas lieu parce qu
XXV. Appendice au mémoire intitulé : Sur une affection semblable au tableau SYIYTOll9TIQU de la DÉGÉNÉRESCENCE GRISE CLItÉISI
(A9'CIL. f. Psych., XIV, 3.) Aux cas déjà signalés ' témoignant du tableau clinique de la dégénérescence grise cérébro-spi
s aux sources littéraires citées, les autres au directeur Poetz. Un tableau réunit vingt-huit cas accom- ' Voy, Archives de
tellectuels et enfin apparition d'une pneumonie terminale, voilà le tableau symptomatique de ce qui s'est passé en cinq moi
commotion. A partir de ce jour, c'est la myélite qui évolue, et le tableau symptomatique se modifie com- plètement. 312
huit jours. Pour cela, prenons un exemple parmi plusieurs autres. TABLEAU V. Homme bien portant (22 ans) soumis aux conditi
ide phospho- rique par vingt-quatre heures. Nous consignons dans le tableau suivant les résultats que nous avons obtenus.
ons dans le tableau suivant les résultats que nous avons obtenus. Tableau . VI. Elimination moyenne de l'acide phosphorique
esquelles étaient placés les in- dividus sains qui font le sujet du tableau qui précède, le rende- ment de l'acide phosphor
phates que le travail musculaire laisse intacts ou diminue même. Le tableau suivant indique, on ne peut mieux, l'influence
azote et de l'acide phospho- rique, nous les synthétiserons dans le tableau suivant : Tableau VIII. Influence exercée par l
phospho- rique, nous les synthétiserons dans le tableau suivant : Tableau VIII. Influence exercée par l'état maniaque sur l
l'homme sain en général. (Voir les recherches consignées page 366, tableau VI.) Cela dit, voyons si cette forme d'aliénati
s à des intervalles plus ou moins éloignés. Nous consignons dans le tableau qui suit les résultats que nous a fournis l'exa-
de mars et avril 1881. DE LA NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX. 379 Tableau IX. 380 REVUE CRITIQUE. avec ce qui existe ch
e travail intellectuel chez l'homme sain. Nous synthétisons dans le tableau suivant ce qui a trait à ce travail et à la lyp
émanie. hiairet. - Goco cilalo, p. 184-iBG. 382 REVUE CRITIQUE. Tableau X. -Comparaison entre l'influence qu'exercent le
us contenterons de rappeler ici en détail l'expérience qui suit : Tableau XI. Es..., 30 ans; épileptique, entré à l'asile l
ériode épileptique, nous obtenons les ré- sultats consignés dans le tableau ci-dessous : T.V11LEAU XII DE LA NUTRITION DU
de ses prédispositions héréditaires. M. Miraglia nous donne dans un tableau trop significatif, la géiiéa- logie d'Inisdea.
illets blancs sont destinés à la visite quotidienne du médecin; des tableaux tout tracés attendent l'inscription du poids du
immédiatement succédé à l'accident et plus tard on nota le complet tableau du tabes. Ou observe aussi fréquem- ment chez l
du nerf optique. Les hommes tabé- tiques se répartiraient en trois tableaux . Dans la première série, à antécédents syphilit
des gens qui entrent. Dans toutes les autopsies de ces animaux, le tableau anatomo-pathologi- ques est uniforme, c'est-à-d
13 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
s, et d'une eschare profonde à extension rapide. Actuellement, le tableau que je viens de vous tracer se trouve modifié d
40 - NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Reportons-nous donc au tableau clinique que nous avions devant nous à l'époque
us à l'époque dont je vous parle. Parmi les traits qui composent ce tableau , celui qui, par son étendue, ses caractères et
lement de la forme qui simule avec plus ou moins de ressemblance le tableau du tabes dorsalis. Plus récemment, il a mention
ses musculaires ne paraissent pas atrophiées. ' En présence de ce tableau clinique, et en se basant sur la limite de la p
le opéré sur Vlurie-Anne Couronneau. Ibid., 1890, p. 2 il. - Sur un tableau perdu de Rubens 7,el)i,éseiila ? îl la guérison d
nneaux peints représentant la vie de St Rornbault ou Rumold. Ces 25 tableaux , situés sur le mur du bas côté de droite dans la
e de la composition est occupé par les portraits des dona- teurs du tableau , Egide van Moysene (mort en 1510) et Catherine va
Rombaut (1). Ecole DE BENOzzo GOZZOLI (2e moitié du XV. siècle), Tableau dans l'Église San Francisco, Montefalco, près d'A
toutes parts pour obtenir l'intervention miraculeuse du saint : Le tableau de Lorenzo délia Sciorina, élève de Bronzino, r
Celle-ci est fortement renversée en arrière, en arc de cercle. Un tableau de N. DA Foligno au palais Colonna, à Rome, repré
mains contractures. Le geste est plus dramatique que naturel. Un tableau de Rubens, qui fait partie de la collection du ro
refonds (Oise) représenté St Sulpice guérissant une démoniaque (1). Tableau fort médiocre et très détérioré. St Sulpice, en
rabisme, de nystag- mus ? etc., et l'on pourra concevoir combien le tableau clinique sera varié malgré l'air de famille que
u Catal. 168 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Tel, dans le tableau de Raphaël, le Paralytique à la porte du Temple (
parfois atteints, comme celui que P. Véronèse a représenté dans son tableau du Louvre, l'Evanouissement d'Expié ? '. Souven
accompagne Barbe de Brandebourg, marquise de Mantoue, dans le beau tableau de Mantegna,-dans les nains de Velasquez, la figu
e), dans les bas-reliefs antiques, sur les vases peints et dans les tableaux des plus grands maîtres. Rubens a excellé dans
t indiscutables. Le plus bel exemple dans l'art est certainement le tableau de Carreno de'Miranda, au musée de Madrid : Por
Monstrueuse, aurait été représentée nue par le même peintre dans un tableau qui resta au Palais-Royal de Madrid jusqu'au co
ion de la nature, à propos des « Pierres de Tète » (1). Un de ses tableaux du musée de la Haye, intitulé : « Une Ménagerie e
tre personnage, celui qui nous intéresse particuliè- rement dans ce tableau , est un serviteur difforme, debout sur les mar-
es que les peintres flamands et hollandais ont reproduit dans leurs tableaux . - Les malformations squelettiqués du serviteur
corporelle fournie par la nature. Le -Nain DE MOLENAER. Dans son tableau L'Atelier du Maître. , (Musée de Berlin). On
des intérieurs rustiques à la façon de Brauwer et de van Ostade. Le tableau du musée de' Berlin représente le peintre dans so
ollande. Amsterdam et La Haye, p. 255. UN NAIN RACHITIQUE dans le tableau de Jan SïEEN : La n'c%117,C1'fC. (Musée de la H
n'c%117,C1'fC. (Musée de la Haye ) LE NAIN DE MOLENAER dans bon tableau : L'Atelier du Maître. (Musée de Berlin.) L.
ne femme qui bat la mesure avec le doigt. Toute la partie droite du tableau est occupée, par un chevalet suppor- tant une t
etite portion de matière corruptible. Les Nains DE JAN UN KELLEN. Tableau de la Collection Raczynski, à Berlin. Dans la s
sant que.le premier, em- ployé judicieusement par. Van Kellen. Le tableau de l'artiste, hollandais se recommande d'ailleurs
l est souvent difficile d'en reconnaître la nature. La critique des tableaux représentant des bossus célèbres demande donc à
les stigmates ordinaires du 1'Uchitism"e. Au palais Pitti, dans un tableau de G. l3.manaeLr.i (GIOItGIONE), représentant la
se, un nain fait partie de la suite de la fille de Pharaon.' Dans ses tableaux du musée de Madrid et du musée de Dresde traita
ême sujet, P. Veronèse a également figuré des nains. A Naples, un tableau de l'école milanaise (IV, salle n° 33) représente
de leur suite. A Madrid, au musée du Prado, on voit un nain dans le tableau de Licha GionDANo (surnommé Fa presto) représen
ippe IV, attribué à Velasquez, se voit au musée de Cambrai.-Dans un tableau de Van der Venne, au Louvre, représentant une fêl
octobre 1891. - LE BORAX DANS LE TRAITEMENT DE L'EPILEPSIE 199 ' TABLEAU DES ACCÈS DE L'OBSERVATION I 200 NOUVELLE ICONO
nre ner- veux. Tous ces accidents sont anjourd'hui classés clans le tableau des ma- nifestations hystériques. Mais cette in
; il confirme l'idée d'atrophie simple, de myopathie. Voilà donc le tableau que présente le sujet que vous avez sous les yeux
érosions spéciales des bords libres. Nous connaissons maintenant le tableau et l'histoire de cette dystrophie. A quoi pouvo
and (1G10-1690). Une Opération sur l'épaule. , Parmi les nombreux tableaux de David Teniers le Jeune relatifs aux scènes d
cument est parvenu à ma connaissance. La gravure date de 1703 et le tableau a été peint en 1678, comme l'atteste la légende e
-1638). L'Opération. , Musée du Louvre. Collection La Caze. Un tableau d'AdriaenBrouwer, qui fait partie de-la collectio
poraine que Teniers et Brouwer ont puisé les élé- ments de ces deux tableaux (1). (1) Ces opérations sur l'épaule dont la si
LE BARBIER DE VILLAGE Gravure de 7. Cocléraaus (1703), d'après un tableau de David Tuniisns i J¡ : UNI ! peint en 1678. N
s dont les observations ont été publiées par Erlicki et Rybalkin. Tableau général DES troubles SENSITIVO-MOTEURS causés par
intenant des données que je viens de vous exposer, pour composer un tableau d'ensemble des désordres ner- veux qui s'observ
et LES troubles SGNSI'fI\-0-lfOTh : UItS DE l'alcoolisme. Voilà un tableau , aussi 'fidèle que possible dans sa concision,
x ? Une succession d'accidents qui, presque toujours, rappellent le tableau de la poliomyélite antérieure, aiguë ou subaiguë,
liomyélite antérieure, aiguë ou subaiguë, beaucoup plus rarement le tableau d'un pseudo-tabes. Et si nous considérons les c
ion des muscles et des nerfs) tiennent une place importante dans le tableau morbide. Dans les deux cas l'abolition des réfl
maladie de R.V'll.tLlc. MASSON & Clu, Editeurs. L'OPERATEUR Tableau Û' : 1DRL4) : IS BROUWER, peintre hollandais (160
' , HENRY MEIGE. Le même Adriaen Brouwer qui nous montre dans un tableau de la col- lection La Caze, au Louvre, un barbi
cteur du musée Staedel, la communication de la photogra- phie de ce tableau reproduite PI. L. 382 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE
. Cette peinture de Brouwer offre de singulières analogies avec un. tableau de Teniers dont nous avons déjà donné la descri
la Salpêlrière, no 5, 1895. PI. L. Je dois signaler à propos de ce tableau , l'existence d'une réplique signée D. TE- NIERS
ès. Bien plus, la grimace de l'opéré de Brouwer se retrouve dans le tableau de Teniers, et, parmi les accessoires, la table,
ment et les attitudes des personnages sont manifestement imités des tableaux de Brouwer, au musée de Frankfort, et de Tenier
r, au musée de Frankfort, et de Teniers, à Madrid. Il s'agit d'un tableau de ÂBRAHAM Diepraem, peintre hollandais, qui vécu
e en bronze de Va- l lerio Cioli, XXIV. Nain de Molenaer dans son tableau : l'A- telier du Maître, XXVI. Nain rachitiqu
on tableau : l'A- telier du Maître, XXVI. Nain rachitique dans le tableau de Jean Steen : La Ménagerie, XXV. Opération
n : La Ménagerie, XXV. Opération sur l'épaule, gravure d'après un tableau de D. Teniers le Jeune, XLIII. Opération sur le
leau de D. Teniers le Jeune, XLIII. Opération sur le dos d'après un tableau d'A. Brouwer, L. Photographie Roentgen (ailer
14 (1902) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1901
es leçons de choses, soit à l'école, soit dans les jardins (avec le tableau roulant), soit enfin dans les promenades (1). L
aris, Petits métiers, la fécondation des plantes, les solanées, les tableaux du Louvre, M. Mesnard, notre premier instituteu
re pour la bonne direction morale qu'ils savent leur imprimer. Le tableau suivant met en évidence les résultats obtenus p
? partie). -- Affiches diverses. - Entêtes de lettres, registres et tableaux divers pour la Direction et l'Economat. Circula
s ou paraplégiques et 5 étaient atteints de maladie de Little. Le tableau suivant résume le mouvement de la population en
nt marquer ; 15 saventfaire de la tapisserie; 6 savent tricoter. Le tableau de la page suivante, donne mois par mois le nom
comparativement aux frais qu'occasionnent les écoles ordinaires (le tableau comparatif présenté par l'auteur montre que ces
s et petites lèvres. - Nous avons fait faire un certain nombre de tableaux , les uns communs iL tous les enfants, les autre
ants, les autres spéciaux à certaines catégories d'entre eux. Les tableaux communs sont les suivants : as Tableau de la te
tégories d'entre eux. Les tableaux communs sont les suivants : as Tableau de la température des cinq premiers jours de l'
et le matin et nous maintenons l'enfant s'il a de la fièvre. - b) Tableau des mensurations de la tête. - c) Tableau des p
s'il a de la fièvre. - b) Tableau des mensurations de la tête. - c) Tableau des poids, taille et force musculaire (dynamomè
c) Tableau des poids, taille et force musculaire (dynamomètre). -cl) Tableau de la Puberté. e Tableau des urines. /) Tableau
lle et force musculaire (dynamomètre). -cl)Tableau de la Puberté. e Tableau des urines. /) Tableau de la vaccination. - 0)
(dynamomètre). -cl)Tableau de la Puberté. e Tableau des urines. /) Tableau de la vaccination. - 0) Tableau de la températu
a Puberté. e Tableau des urines. /) Tableau de la vaccination. - 0) Tableau de la température après la mort. Ces lablfaux o
laires et manuels et la gymnastique a continué ainsi qu'il suit : Tableau A. Mesures de la tête 'lO THÉRAPEUTIQUE. Le c
lui accordons, sur la demande de sa mère, un congé de deux mois. Tableau B. - Tableau du poids et de la taille. 12 U),
teurs des traités de médecine pourraient assurément tirer profit. Tableau C. - Tableau des accès. 14 THÉRAPEUTIQUE. Obs
ités de médecine pourraient assurément tirer profit. Tableau C. - Tableau des accès. 14 THÉRAPEUTIQUE. Observation II.
nfluence de l'accès. Cette élévation est bien mise en relief par le tableau de la température durant les cinq premiers jour
la forme aplatie transversalement qui est celle d'un fémur normal. ( Tableau A.) La détermination de l'indice de section, l'
sseuse. Nous en expliquerons ultérieurement le méca- nisme, mais le tableau précédent A est démonstratif, car il indique qn
ment favorable à l'insertion musculaire. Sans insister sur (t) Le tableau A montre aussi que les fémurs I, J, K, sont it pe
cliniques et médicales. La valeur angulaire est indiquée dans le tableau 13. Les fémurs G G', Il II', I I', J J', KK', o
'affirmer le rôle bien différent des deux cols fémo- raux, aussi le tableau B nous révèle-t-il des variations dans leur inc
bien différente sur l'inclinaison des cols. Nous avons ajouté au tableau publié antérieurement des cas nouveaux ; si le
ert du côté malade. Les valeurs angulaires sont ins- crites dans le tableau C ci-après : Tableau C. Angle d'inclinaison d
valeurs angulaires sont ins- crites dans le tableau C ci-après : Tableau C. Angle d'inclinaison de l'axe des fémurs. L
pratique. En comparant les différentes mesures qui sont inscrite au tableau D on contrôle nos assertions. 1° On voit d'aprè
marquer que le (1) Nous avons dit pourquoi au chapitre précédent. Tableau D. Longueur fémorale en millimètres. 78 Squel
rofonde : le degré de torsion est inférieur ainsi qu'en témoigne le tableau suivant : 84 Squelette DES hémiplégiques. T
bourses. A l'autopsie, on les a trouvés dans le canal inguinal. Les tableaux qui accompagnent cette observation, permettent
quatrième attaque a débuté au commencement de janvier 1900. Sur le tableau on note à la date du 15 de ce mois «lin des règ
la règle chez les idiots du type mongolien, ainsi qu'en fait foi le tableau suivant : 114 i Idiotie mongolienne. IDIOTI
-corticales, sont moins bien représentées que le réseau d'Exner. Le tableau histologique est donc, encore dans cet ordre d'
t.» Au moment de la mort, la tem- pérature du corps était de 30°. Tableau des Poids et Taille. Autopsie. 161 Autopsie p
é entre 3 il,3 et 3G,,6 le plus souvent au-dessous de 37". Or, le tableau de la température des cinq premiers jours de l'
.. CLVIII 111. Statistique. Mouvement de la population........ LI Tableau générât ........................ LII Décès, Sor
................. LII Décès, Sorties ......................... ni Tableau des décès ...................... LIv Tableau de
................. ni Tableau des décès ...................... LIv Tableau des sorties ..................... LX Évasions,
IÈRES. 235 II. Statistique. - Mouvement de la population..... xcv Tableau général......................... xxv Décès, Sor
Transferts..... xcv Population au 31 décembre 1900.......... xcv Tableau des décès....................... xcviii Personn
.......... xcviii Personnel............................... XCVIII Tableau des sorties...................... en SECTION II
15 (1890) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1889
ès), un infirmier et une infir- mière en ont été atteints. Voici le tableau des cas : MALADIES ÉPIDÉMIQUES. XIII Dans le
Musée s'est augmenté sensiblement en 1889, ainsi que le montre le tableau comparatif ci-après : . XIV MUSÉE PATHOLOGIQUE.
de repos qu'elle accorde aux sous-employés et aux infirmiers. Le tableau suivant met en évidence les résultats obtenus :
que chaque enfant ait son trousseau numéroté. STATISTIQUE. XIX Le tableau suivant fait voir que les enfants qui profitent
le 24 mai et a donné des rabais considérables que fait ressortir le tableau suivant : Adjudication du v4 mai 118.'l. MO
drothérapie du l" juillet au 15 octobre. Ainsi qu'on le voit par le tableau général des accès, il y a eu, sous l'influence
is. 6 février. 0 gr. 01 centig. de bromnre d'or. THÉRAPEUTIQUE. Tableau général des accès et des vertiges (1). BROMURE
A partir du le, septembre, le malade a été mis à l'hydrothérapie. Tableau des accès et des vertiges durant la période de
d'ailleurs, ne s'est pas maintenue et la comparaison des totaux du tableau le montre d'une manière évidente. Nous avons
.r.i;) le 23 juillet 1884. 1889. Traitement par le bromure d'or : Tableau des accès et des vertiges. 12 2 THÉRAPEUTIQUE.
rapporta la période correspondante de 1888. - Voici maintenant le tableau du poids et de la taille. BROMURE D'OR. 13 ly
ntg. 1/2. - 21 juin, 2 centig. - Suppression le -1"" sep- tembre. Tableau des accès et des vertiges. BROMURE D OR. 15 I
s accès et des vertiges. BROMURE D OR. 15 Il) si THÉRAPEUTIQUE. Tableau des accès et des vertiges. BROMURE D'OR. 17
tement par le bromure d'or : mêmes doses. Suppression le 31 août. Tableau des accès et des vertiges. 18 8 THÉRAPEUTIQUE.
1889. 21 janvier. - Traitement par le bromure d'or : mêmes doses. Tableau des accès et des vertiges. g 0 THÉRAPEUTIQUE.
n'a pas subi de modification appré- ciable. BROMURE D'OR. 21 Tableau des accès et des vertiges. 9 2 - THÉRAPEUTIQUE.
1889. 21 janvier. Traitement par le bromure d'or : mêmes doses. Tableau des accès et des vertiges. 26 6 THÉRAPEUTIQUE.
n. - Les capsules ont été suspendues le 7 juin. On peut voir par le tableau que les vertiges ont diminué consi- dérablement
ement par une diminution des vertiges. BROMURE DE CAMPHRE. 31 1 Tableau des accès et des vertiges (1). 3 2 THÉRAPEUTIQU
on. Température pendant et après les accès : 3 8 THÉRAPEUTIQUE. Tableau des accès et des vertiges. PICROTOXINE. 39
/2 par jour. Traitement, du 1" février 1889, au 31 décembre 1889. Tableau des accès et des vertiges. 4 0 THÉRAPEUTIQUE.
- Du 19 au 31 août, trois millig. - Suppression le 1°r septembre. Tableau des accès et des vertiges. PICROTOXINE. & 9
nt a eu 4-7 accès; - en 1888, 28 accès et 7 vertiges. Il ressort du tableau qu'il n'y a eu une amélioration assez sensible.
e et demi jusqu'au 25 mars, 2 milligrammes jusqu'au 31 décembre.) Tableau des accès et des vertiges. PICROTOXINE. 43
n milligr. et demi, puis deux milligr. du 25 mars au 31 décembre. Tableau des accès et des vertiges. PICROTOXINE. 4 5 D
87, 97 accès et 5 vertiges; -en 1888, 62 accès et 10 vertiges. Le tableau ci-dessus montre qu'il y a eu une augmentation
igramme... deux milligr. du 25 mars an 19 août.) THÉRAPEUTIQUE. Tableau des accès et des vertiges. iCOT0g11V. OBSERVA
ent par la picrotoxine. Mêmes doses à suppression le 31 décembre. Tableau des accès et des vertiges. 48 THÉRAPEUTIQUE.
ervice de M. BOURNE- ville) le 11 octobre 1888, sorti le ter mai. Tableau des accès et des vertiges DEUXIEME PARTIE Cli
. 85, 90, 4î9. IDIOTIE N'iSOEDÉ\I3TEUSE. 53 de résumer, dans un tableau , les observations qui ont servi de base à nos p
rique; le cervelet a un volume normal. Nous avons essayé, dans le tableau qui suit, de résumer comparativement les symptô
bien les ma- lades comme lui ont de la peine à se fixer. Voici le tableau des attaques durant son séjour à Bicêtre : 'J6
Elle en a deux par jour de trente à quarante-cinq minutes. Voici le tableau des crises : 164 UNIT FAMILLE D'il YSTKRlQUli
16 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tômes positifs, c'est-à-dire des symptômes qui peuvent figurer au tableau de cette forme; 2° des symptômes néga- tifs, c'
'accidents spinaux. A. Symptômes positifs. On voit que dans notre tableau , ces symptômes sont divisés en cinq groupes : 1
Syndrome de symptômes spasmodiques Si l'on jette un coup d'oeil au tableau précédent, on est en ' Voir Archives de Neurolo
psie articulaire, les contractures passagères viennent s'ajouter au tableau , enfin la rigidité mus- culaire ayant augmenté
au contraire plus tard, il n'y a pas un seul symptôme qui figure au tableau clinique. - Pour peu qu'on fixe son attention s
s ultérieure l'uniformité devient presque mono- tone ; en effet, le tableau clinique aboutit à un fond commun existant chez
spécialiser notre forme centrale spinale postéro-latérale. Car son tableau clinique, tel qu'il existe pour cette forme ne
mptômes qui peuvent, et dont quel- ques-uns même doivent figurer au tableau clinique, et B). Symptômes négatifs, c'est-à-di
ncorrection caractéristique des mouvements, enfin rien ne manque au tableau . Par contre, l'ataxie du malade de l'OI3SLIrvAT
premier temps de la période paralytique : à ce 'moment, sa place au tableau clinique est secondaire, la paralysie étant l'é
l'élément qui domine de la situa- tion du malade. Petit à petit, le tableau clinique change considérablement d'aspect et ce
me tabétoïde dominant tout à fait l'état du malade. A ce moment, le tableau cli- DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES
st-à-dire des symptômes qui ne peuvent et ne doivent pas figurer au tableau cli- nique de la force centrale postérieure. Ce
mité est encore plus prononcée chez nos trois malades. En effet, le tableau clinique dégagé de sa paralysie après quelque t
fois étonné de rencontrer des cas appartenant à cette forme dont le tableau cli- nique présente des symptômes du début. La
utres formes spinales nous donne le droit de s'y attendre. Or, le tableau clinique est représenté seulement par la sympto
tômes positifs, c'est-à-dire des symptômes qui peuvent figurer au tableau clinique et des symptômes négatifs qui ne peuve
sicaux ; génitaux. a). Syndrome spasmodique. Un coup d'oeil -1 au tableau qui précède suffit pour constater que le syn- d
ont fait naître de nouveaux phénomènes qui viennentse joindre au tableau clinique; ce sont la paralysie et, un peu plus
ée la classification établie en 1883 par M. Magnan et dont voici le tableau comparé avec la classification proposée pour la
de chacun des symptômes morbides, la com- paraison de l'ensemble du tableau pathologique avec ce que l'on sait en psychiatr
tion maniaque) avec chorée, la psychose occupant le premier plan du tableau morbide par son intensité et sa durée, la choré
ure des phénomè- nes morbides observés. Quant aux agents nocifs, un tableau vient sous forme d'appendice, donner « un aperç
quelques bonnes preuves bien palpables ne feraient pas mal dans le tableau , et nous constatons encore une fois avec M. Lié
; le concours sera ouvert dans chacune des régions indiquées par le tableau annexé audit arrêté. (Voir le numéro du Progrès
nt, l3ounnewm.e. Evreux. Ch. 11ÉRissry, imp,- 189. Z Tableau III. TABLEAU DE LA FORME CENTRALE SPINALE POSTÉRIEURE I ) ?
ABLEAU DE LA FORME CENTRALE SPINALE POSTÉRIEURE I ) ? - CATSARAS. Tableau IV. TABLEAU DE LA FORME SPINALE UNILATÉRALE. Vari
FORME CENTRALE SPINALE POSTÉRIEURE I ) ? - CATSARAS. Tableau IV. TABLEAU DE LA FORME SPINALE UNILATÉRALE. Variété intramyé
e la partie thoracique supérieure (P. ni) de la moelle épinière, le tableau ci-dessus dé- crit est moins précis, bien qu'on
mince que celle des parties autéro-externes, d'où il résulte que le tableau perd considérablement de sa clarté. Le motif de
comme on le sait, ce phénomène s'observe dans une quantité d'autres tableaux pathologiques. Dans les cas décrits, le diagnos
l'évo- lution du tabes. Eu examinant la littérature au sujet des tableaux étio- logiques dressés par divers auteurs, nous
simples qu'il nous sera facile d'analyser les cas complexes dont le tableau clinique est constitué par des symptômes appart
Les troubles de la parole font alors à eux seuls tous les frais du tableau clinique. Ce sont eux qui constituent toute la
'une pureté vraiment remarquables, et ils constituent alors tout le tableau clinique. Il nous a été donné d'observer cette
tiges n'aurait eu ni perte de connaissance, ni paralysie aucune. Le tableau clinique était exclusivement constitué par les
en. Les observations qui précèdent, aussi bien que dans celles du tableau clinique, la cécité figure comme symptôme du dé
crite par Gowers et Bechterew. Les symptômes présentés réalisent le tableau de la paralysie de Brown-Séquard; mais, tandis
ire qui ne s'était traduite par aucun symptôme pendant la vie. Le tableau clinique était celui d'une myélite aiguë et trans
mêmes conceptions délirantes, et l'habitus extérieur identique, ce tableau témoigne de la périodicité, de l'intermit- tenc
outes les tares héréditaires. Ces observations sont accompagnées de tableaux généalogiques qui facilitent considé- rablement
c le plus grand soin et à plusieurs reprises, se résu- ment dans le tableau suivant. Deux contacts ont été ressentis comme
plomb; outre cela, nous avons chez lui pendant nombre d'années le tableau d'une intoxication chronique par ce métal, grâc
symptômes ophthalmiques qui jouent un rôle si impor- tant dans le tableau clinique de tabès ; pourtant, en nous arrêtant
se (la diphtérie, par exemple), cas dont les symptômes formaient un tableau ressem- blant beaucoup à celui des symptômes du
il suffit de comparer la signification de cette particule dans les tableaux de la pseudo-sclérose (Weslphal, Arch. v. Psrlc
tre cas, d'après ce que nous avons dit, ne se rapproche pas de ce tableau clinique ou du moins, ne doit absolu- ment pas
ant le cerveau, par exemple) d'un autre côté, notre cas présente un tableau si pur et si net que, par cela même, il peut êt
at morbide, et nous tâcherons d'expliquer alors les éléments de son tableau clinique. La forme mentale peut-elle revêtir d'
eux observations qui précèdent, de reconnaître que nous avons là le tableau du syndrome de Ménière, les vertiges du malade
enfin la titubation viennent s'y ajouter pour que rien ne manque au tableau . Un syn- drome- de Ménière reconnaissant une ét
onnaissance figure parmi les symp- tômes les plus fréquents dans le tableau clinique des différents accidents survenant par
de forme clinique distincte. Elle constitue alors, à elle seule, le tableau clinique de l'accident. Voici ces deux observ
ué que nous avons affaire à une affection cérébro-spinale, car le tableau clinique est constitué aussi bien par des symp-
de la paralysie dans son accident de novembre 1874. On avait là un tableau de manie aiguë des plus caractéristiques ; en e
titre de forme clinique à part, consti- tuant à elle seule tout le tableau clinique de l'accident, même chez des personnes
des cas d'accidents survenant par l'emploi des scaphandres dont le tableau clinique soit constitué exclusivement et unique
ut de l'axe cérébro-spinal, l'on peut aisément concevoir sous quels tableaux multiples et variés ils peuvent se présenter au
complexe. La perte de connaissance qui peut figurer toute seule au tableau clinique d'un accident survenant par l'emploi d
typique, la perte de connaissance qui, à elle seule, constituait le tableau clinique de l'accident. Le troisième est un acc
ons rapporté des observations nombreuses qui font un la- mentable tableau de ces malheureux dont presque toujours la mort
deux jours après elle. Quels sont les symptômes qui constituent le tableau clinique de ces terribles accidents ? Ma descri
ésenté un enfant de douze ans atteint d'un gliome de la moelle : le tableau clinique était celui d'une hémisection gauche d
ques adoptées par M. Arndt. Les dates sont inscrites au-dessous des tableaux ; on ne saurait mieux les comparer qu'aux planc
17 (1907) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1906
et en lettres sur chaque casier. Au-dessus cle ce casier se trouve un tableau représentant en gros les chiffres afin de mieux f
, les plantes, etc., sont étiquetés, et où notre personnel se sert du tableau roulant. — Les détails clans lesquels nous sommes
a dentelle ; 4 savent faire de la tapisse-rie ; 2 savent tricoter. Le tableau suivant donne mois par mois le nombre des apprent
par les malades. Sorties. — Les sorties ont été au nombre de 35; le tableau des pages xxv, àxxvnr. indiepue les motifs de la
es ont toutes pour ainsi dire le goût d'imitation. Barbouiller sur le tableau , les ardoises, les livres qui sont à leur portée,
s ans, les nouveaux cas qui s'étaient présentés parmi les entrants. Tableau statistique sur l'alcoolisme. Garçons Filles.
our faire noter par notre personnel l'état d'ébriété des visiteurs. Tableau statistique sur l'alcoolisme pendant l'année 1906
vaient de tout on général ; de l'absinthe plus particulièrement. Le tableau ci-dessus résume la situation des pères et mères
il y ait eu des opposi-tions multipliées, nous continuons à donner ce tableau . . ^ m Glande ^ Noms. Age. Diagnostic. Thymus
les différentes professions insalubres exer-cées par les parents. Le tableau suivant complète notre ancienne statistique. Au
er. Préparateur de plaques photographiques.. 1 Total...... 154 Le tableau suivant montre les affections auxquel-les ont suc
tra à la Fondation, le 13 décembre 1900. Nous donnons ci-dessous le tableau des accès et vertiges pendant le séjour de l'enfa
ieu dans la même journée et ont été suivies de sommeil. Epilepsie ; tableau des accès et des vertiges. 1900 11)01 1902 1903
tes mesures de la téte de la malade, pendant son séjour, ainsi que le tableau compa-ratif du poids et de la taille. 1901. 18
ane du front............... 5.5 5.5 5.5 5.5 5.5 5.5 5.5 5.5 5.5 5.5 Tableau du poids et de la taille. 1901 1902 1903 1904 1
; front d'une hauteur de 6 centimètres sur la ligne médiane (voir le tableau spécial pour la mensuration des différents diamèt
rt était de 40"5, elle tomba ensuite régulièrement comme l'indique le tableau ci-dessous, atteignant la tempé-rature ambiante 9
ours la température pendant les 5 premiers jours de l'ad-mission, les tableaux dos accès, des vertiges, lesmensu-rations de la t
e, de manière à sui-vre la croissance, le poids des organes, enfin le tableau de la température après le décès. VIII. — La fi
ne maladie quelconque et en particulier d'une maladie contagieuse. Le tableau ci-après de Maurice montre que sa température éta
ulation........ xxvi Décès, Sorties,........................ xxvn Tableau des décès...................... xxvm Tableau de
............... xxvn Tableau des décès...................... xxvm Tableau des sorties..................... xxxn Transfert
ilepsic, par Boun- NEVILLE............................... LVI II. Tableau statistique sur l'alcoolisme pen- dant l'année
18 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
trémulation de tout le corps ni ces palpitations musculaires, et le tableau que nous venons de tracer ne répond guère qu'au
ions, les aberrations sexuelles, etc., etc. Chacun des termes de ce tableau nesemblc-t-il pas applicable il l'hystérie et ne
la femme dans de pareilles cir- constances, va souvent modifier le tableau morbide. Nous procédons comme nous l'avons* fai
ant pour ne pas continuer son travail. » Nous avons tenu à citer le tableau tout entier, on y voit se dessiner à chaque lig
C'est de forgerons, de mineurs, de manouvriers dont il s'agit et le tableau n'est guère moins sombre lorsque ce sont des in
anifesté alors d'une façon très nette, comme on peut le voir sur le tableau ci-après. Le US sep- tembre 1889 la dose quotid
91 ment le soir, et deux ou trois fois par mois, comme l'indique le tableau suivant : . 9 juin, attaque à 8 heures du soi
e et l'Opération chirurgicale qui ne le cèdent en rien au précédent tableau comme facture et comme finesse d'observation.
d'observation. Nous reproduisons aujourd'hui le premier de ces deux tableaux et nous analysons l'autre d'après des épreuves
ficine, un homme vu de dos pile des drogues dans un mortier. ' Le tableau du musée de Munich est plus important et plus int
lligence pendant que.son mari est tout entier à son opération. Le tableau dii musée de Vienne (pl. XVI) se rapproche encore
la notre dessin qui n'est en aucune façon la copie servile des deux tableaux ? Deux hypothèses se présentent. Est-il dû à un
ent. Est-il dû à un élève de Brauwer qui voulut faireTesquisse d'un tableau en interprétant les oeuvres de son maître ? Cel
s probable encore c'est que le dessin sert d'intermédiaire aux deux tableaux . Incontestablement Brauwer fit avec quelques va
ableaux. Incontestablement Brauwer fit avec quelques variantes deux tableaux sur le même sujet. Le premier fait- nous suppos
itulerons la planche XV : Dessin d'Adrien \BraMwe}'; élude pour les tableaux des musées de Vienne et de Munich. GILLES DE la
l'ont suivi sont loin de répondre complètement, pour la plupart, au tableau clinique qu'en a tracé Kahlbaum lui- même, et l
rnier', et qui cependant se rapporte à beaucoup de points de vue au tableau de la catatonie typique. Nous imiterons cette sag
à cette règle. Il suffit, pour s'en convaincre, de considérer le tableau suivant relatif aux attaques de la malade dont
le rapport de l'évolution, ce cas ne répond donc pas tout à fait au tableau classique. D'autre part, certains symptômes soi
s, et, d'autre part, notre cas s'éloi- gnant par quelques traits du tableau de l'affection tel qu'il a été dressé par M. Ma
ssortir les symptômes primordiaux de l'affection, nous extrayons du tableau des mensurations annexées il l'observation les
,5 chez notre malade. Dès que la face intervient dans la mesure, le tableau change : Le diamètre mento-occipital passe de 9
les photographies de la malade; je n'y insiste pas et je renvoie au tableau pour le détail. Cette hypertrophie porte plus sur
rf d'origine intra-cranienne. Voici pour compléter l'observation un tableau des principales men- suration pratiquées chez A
é, tels sont les signes qui complètent dans ses lignes générales le tableau morbide présenté par Alphonsine Prev... et font
térisés et il n'existe aucun autre trouble pouvant être rattaché au tableau du goitre exophthalmique. On a cité des cas dans
t dans la gymnastique ordinaire. Nous résumerons plus loin, dans un tableau , les observations que nous avons recueillies su
\'ELÎ,I; II;oIVOGltl1'llll's U1 : L.\ S.\LI'È'lltlÎ;lih : . Dans le tableau suivant j'ai groupé quelques observations relativ
ce que je viens de dire au sujet du narghilé, j'expo- serai ici le tableau qui contient mes observations. Elles sont réparti
tout particulièrement les nerfs de l'orbite et se traduisant parle tableau complet de l'ophtha)- moplégie progressive. Aus
binée à la paralysie du facial et de l'hypoglosse faisait partie du tableau symptomatique de la maladie de Basedow; les deux
n mot et le bon état général du malade, nous en aurons fini avec le tableau symptomatique de l'ophthalmoplégie , externe.
nérale des personnages celle qui a été adoptée par Raphaël,dans son tableau si connu de 1 « Transfiguration » et suivie éga
ce qui concerne la figure du jeune possédé, s'éloigna résolument du tableau du chef de l'école 4 248 NOUVELLE ICONOGRAPHI
INTESTINALE. 257 258 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPËTMËRE. Le tableau suivant montre que c'est seulement à la dose de 1
la dose de 10 grammes que l'on obtient la suppression des accès. Tableau IX 11110fUIt.ITION ET ANTISEPSIE INTESTINALE. ?
embarras de la parole. BROMURATION ET ANTISEPSIE INTESTINALE. 261 TABLEAU X 202 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA S.1L1'L'l'1;I
50 kil. 500 le 12 août 18'JO au lieu de 48,500 le 24 avril 1889). . Tableau XVI 268 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPËTIUË
). . Tableau XVI 268 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPËTIUËRE. Tableau XVII BROMURATION ET ANTISEPSIE INTESTINALE. 2
UËRE. Tableau XVII BROMURATION ET ANTISEPSIE INTESTINALE. 269 Tableau XVIII 270 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA S.H\'IT
bleau XVIII 270 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA S.H\'ITJ : 1ÈJ : E. Tableau XIX NOUVELLE Iconographie de la SALPLTRIÈtE T.
- ÉDITEURS Il nO1 U £ lA TION ET ANTISEPSIE INTESTINALE. 271 Tableau XX POLIOMYÉLITES ET POLYNÉVRITES ' Travail du
la constance des manifestations cliniques d'ordre cérébral dans le tableau de cette variété de polynévrites amyotrophiques
19 (1895) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1894
relatives à l'histoire de France. Le matériel s'est augmente de 8 tableaux des chiffres romains qui ont été confectionnés
eprésentations des surfaces et des solides. Mention- nons encore le tableau de la chronologie du siècle qui commence par l'
ts qui se sont succédé en France, depuis nos jours jusqu'à 1800; le tableau du mètre sur lequel est appliqué un mètre et, a
Solliek, s'est enrichi notablement en 1894 ainsi que le montre le tableau suivant : i . Enseignement professionnel. xvii
Bourneville, Bicêtrej 1894. ** XVI Enseignement professionne tableau suivant met en évidence les résultats obtenu gr
s (1868) sur la glande thyroïde, et incidemment sur le thymus. Le tableau ci-après donne les renseignements sur ces deux
jours, l'heure des évacuations liquides ou solides et, d'après le tableau ainsi dressé, de placer l'enfant sur le vase ou
à la Fondation 131 enfants se répartissant ainsi : DÉCÈS. LUI Tableau des Décès. Personnel du ssrvice. lv Sorties.
. LUI Tableau des Décès. Personnel du ssrvice. lv Sorties. Le tableau ci-après indique les motifs de la sortie et la
rons rassemblé des éléments suffisants, nous essaierons de faire un tableau du développement de la croissance des idiots, d
es extrêmement précis et, si je ne me trompe, avec indica- tions au tableau . Je termine, en précisant. Nous n'admettons pas
n'a fait découvrir aucun trouble fonctionnel. (Voir plus loin le tableau du poids et de la taille.) 1887. Janvier. Revac
1 m. 75 et pèse 59 kilog. : à cet égard, il dépasse la moyenne. Le tableau des mensurations de la tête montre que, en reva
marche. 2° Mensurations comparatives des membres des deux côtés ( tableau ). 3° Etat des jointures : a) contracture, b) cr
ticules, des seins. 3° Nous avons fait faire un certain nombre de tableaux , les uns communs à tous les enfants, les autres
ants, les autres spéciaux à certaines catégories d'entre eux. Les tableaux communs sont les suivanls : a) Tableau de la te
tégories d'entre eux. Les tableaux communs sont les suivanls : a) Tableau de la température des cinq premiers jours de l'
d'incubation d'une affection aiguë ordinair j ou infectieuse. b) Tableau des mensurations de la tête. c) Tableau des poi
ir j ou infectieuse. b) Tableau des mensurations de la tête. c) Tableau des poids et taille. d) Tableau de la Puberté.
u des mensurations de la tête. c) Tableau des poids et taille. d) Tableau de la Puberté. 60 Mensurations de la tète. En
s imbéciles, arriérés, épileptiques . et aliénés. Puberté. 62 Tableau des accès. Les tableaux particuliers se rapport
ileptiques . et aliénés. Puberté. 62 Tableau des accès. Les tableaux particuliers se rapportent aux épilepti- ques e
culiers se rapportent aux épilepti- ques et aux hémiplégiques. a) Tableau des accès ; températures durant les accès. b) T
égiques. a) Tableau des accès ; températures durant les accès. b) Tableau des mensurations des membres citez les hé- mipl
ensurations des membres citez les hé- miplégiques. Épileptiques : Tableau des accès. Eoilenticiues : Température de l'acc
èrement implantés. Crâne symétrique, d'un faible vo- lume (Yoii- le tableau des mensurations de la tête). Front élevé, boss
ors elle devenait très gaie. Chute du rectum presque quotidienne. Tableau des températures à l'entrée. Autopsie. 113 Le
les (Imbécillité morale).. 38 Annexes : Procédés d'observation 53 Tableaux 59 TROISIÈME PARTIE Clinique et anatomic path
20 (1862) Mécanisme de la physionomie humaine : ou analyse électro-physiologique de l'expression des passions
». PREFACE « Lorsque 1 ame est agitée, la.face humaine devient un tableau vivant où les passions sont rendues avec autant d
ez, et élévateur commun de l'aile du nez et de la lèvre supérieure. TABLEAU SYNOPTIQUE. expressions complexes PAR LA COMB
que. Sourciller et triangulaire des lèvres. On remarque, clans le tableau précédent, qu'en général plus les muscles de la f
est, pour ainsi dire, la passion dominante. Je n'ai classé dans le tableau ci-dessus que les expressions qui ont pu être obt
, elle se donne la mort par la piqûre d'un aspic. À la vue de ce beau tableau , que tout le monde connaît, on sent que Cléopàtre
e.) J'ai observé au musée du Capitole (à Rome) une esquisse du même tableau , où les sourcils, dessinés obliquement, donnent à
ence ? L'aurait-il perdue sans pouvoir la retrouver, en finissant son tableau , comme cela lui est arrivé dans son Ecce Uomo que
uvre de l'art? Je n'en puis citer qu'un très petit nombre, dans les tableaux suivants : la Résurrection d'une jeune fille japo
enir de les examiner au point de vue critique. Le Poussin, dans son tableau du Louvre, n° nous fait assister à la résurrectio
ue je viens d'analyser, à l'occasion de la figure 79 de l'album et du tableau du Poussin, n° Zl36, la joie va presque jusqu'à l
ession de bonheur maternel est bien rendue dans la Jeanne d'Albret du tableau de Devéria : la Naissance de Henri IV (galerie du
ndits dont il faisait ses compagnons habituels; il a montré, dans son tableau , des types que l'on trouve en grand nombre dans l
l'art contemporain, Paul Delaroche, a commis une faute grave dans son tableau de Y A ssassinat du président Duranti, et qu'il s
ser. — Avant do 1(3 démontrer, je rappellerai la légende de ce beau tableau . Duranti, président du parlement de Toulouse, f
our les faire mieux comprendre, je puis en montrer un exemple dans le tableau de Prudbon, intitulé : la Justice et la Vengeance
ustice, personnifiée par les balances et le glaive. » (Notice sur les tableaux du Louvre, F. Yillot ) La figure ëchevelée de l
e l'âme ; son » abstention dans le sourire démasque un rire faux. » TABLEAUX SYNOPTIQUES DES FIGURES DE L'ALBUM J'ai réuni
TABLEAUX SYNOPTIQUES DES FIGURES DE L'ALBUM J'ai réuni dans neuf tableaux synoptiques, sous forme de petits médaillons, les
pression différente, de chaque côté de la face. Il en résulte que ces tableaux synoptiques se composent de 102 tètes. En voici
ive, les traits divers des figures qui ont une expression double. Les tableaux synoptiques représentent ces expériences toutes f
urs de mon ouvrage sur le mécanisme de la physionomie humaine. Or les tableaux synoptiques facilitent l'étude de ce phénomène, q
lus facile. Prenons seulement pour exemple les quatre figures 78 du tableau VIII. La première de ces figures ('78) montre l'e
tie scientifique et de la partie esthétique, démontrent l'utilité des tableaux synoptiques pour l'étude du contraste des lignes
ignes expressives de la face 2° J'ai également fait entrer dans ces tableaux synoptiques les têtes dont l'expression n'est pas
tifique ont dû ;être réduites des doux tiers, pour faire partie des tableaux synoptiques, composés chacun de 46 figures. Consé
ins faciles à étudier dans tous leurs détails. — D'un autre côté, ces tableaux synoptiques ne présentent pas l'attitude et le ge
signification plus grande et quelquefois spéciale. En somme, si les tableaux synoptiques ne sauraient suppléer les figures iso
beth rece- vant le roi Duncan avec un sourire faux........... 183 Tableaux synoptiques des ligures tic l'album, au nombre
21 (1894) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie, l'idiotie et l'hydrocéphalie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1893
2, 3, .....10 (1·'ig. 1). Les surfaces sont enseignées à l'aide de tableaux en bois dans lesquelles les surfaces sont tracé
images graduées pour les projections. Le matériel s'est augmenté de tableaux de lettres majuscules et minuscules placées les
lier, s'est enrichi notablement en 1893, ainsi que le mon- tre le tableau comparatif suivant : xx Musée pathologique. n
mission à la pension de repos ou de leur accorder l'équivalence. Le tableau précédent (p. XXI) met en évidence les résultat
t en évidence les résultats obtenus grâce à leurs ef- forts. Ce tableau ne renferme pas l'évaluation des tra- vaux du j
amment en Angleterre, aux Etats-Unis, etc. Nous avons réuni dans le tableau synoptique ci-après les prin- cipales indicatio
phie collective témoigne des changements survenus de 1883 à 1893. Tableau des mensurations. 80 IDIOTIE. OBS. V. Imbécil
Le corps et la tête se sont développés ainsi que le démontrent les tableaux ci-contre : ta - 3 tel S M te ►a
cttonsde liquide testiculaire du 14 février au 3 mars (17 jours). Tableau des accès et des vertiges. TEMPÉRATURE APRÈS LA
ution dite forte. Du 'ICI' au 25 mars, 8 injections semblables. Tableau des accès et des vertiges. 122 Epilepsie. 3 n
le), le 18 novembre 1890. Injections DE liquide testiculaire. 123 Tableau cles accès et cles vertiges. 124 : ÉPILEPSIE.
aire. 123 Tableau cles accès et cles vertiges. 124 : ÉPILEPSIE. Tableau des accès et des vertiges. INJECTIONS DE LIQUID
d M. Bourneville), le 27 avril 1891. Même traitement, même durée. Tableau des accès et des vertiges. 126 Épilepsie. et
i, 5 injections. Bourneville, Bicêtre, 1893. 9 130 EPILEPSIE. Tableau des accès et des vertiges. 132 ÉPILEPSIE; MÉN
,003 (poids 20 gr.). Pas de trace de thy- mus. 134 Épilepsie. Tableau des accès et des vertiges. Injections DE liquid
aitement du 6 mars au Il mai. INJECTIONS DE liquide testiculaire. Tableau des accès et des vertiges. 137 1 38 Epilepsie
u 21 juin : 6 injections. Du 21 juin au ? juillet : 7 injections. Tableau des accès et des vertiges. INJECTIONS DE LIQUID
entré à Bicétre (service de M. Bourneville) le 24 février 1892. Tableau des accès et des vertiges. 148 Épilepsie. T
ier 1892. Tableau des accès et des vertiges. 148 Épilepsie. Tableau des accès et des vertiges. INJECTIONS DE LIQUID
(3C section) le 12 mai 1893. Durée du traitement : 10 jours (1). Tableau des accès et des vertiges. 150 CONCLUSIONS. I
âtres; les paupières sont fermées; pas de con- tracture. Voici le tableau des températures prises dans la journée du 23 j
vertiges sont allés toujours en augmentant, ainsi que le montre le tableau ci-après : Tableau des accès et des vertiges.
toujours en augmentant, ainsi que le montre le tableau ci-après : Tableau des accès et des vertiges. 190 Hydrocéphalie ;
comme d'ordinaire une élé- vationrapide ainsi qu'on le voit par le tableau ci-après. 26 février : Malin, 6 h. T. R. 38', S
pileptiformes dans l'enfance. -État actuel somalique et psychique. - Tableau - des accès épileptiformes. -Description des ac
à l'asile avait diminué notablement le nombre des crises. (Voir le tableau .) Sa mort paraît avoir été déterminée par asphy
acture des membres. Puberté. - B ? 'OnC110-pnel,L1n07z2e. - Mort. Tableaux des mensurations. Autopsie : Examen du squelett
pice de Bicêtre (service de M. BOURNEVILLE). Nous avons réuni en un tableau , les diverses mensurations de là tête de l'enfa
ment faible dans les ventricules, tandis que le crâne est épais. Le tableau comparatif suivant four- niera un argument plus
un argument plus éloquent : Cerveau. 211 La première partie de ce tableau comprend trois enfants âgés de 2 ans à 2 ans et
rie de 500 à 1.000 gr. Les seconds sujets de la seconde partie du tableau ont de 18 à 19 ans ; leur poids est de 26 à 47
eux un état analogue à celui des trois pre- miers enfants de notre tableau . Le raisonnement réci- proque pourrait être app
dents de méningite purulente céré- bro-spinale. 31 juillet. Mort. Tableau des accès et des vertiges. Cerveau, .281 . AU
du volume de la tête très prononcée, ainsi que le fait ressortir le tableau comparatif des mensurations de la tête en 1889
elon M. Topinard, de 545 mm., on se rendra facilement compte par le tableau suivant de la dis- tension crânienne des malade
e. Etat mental des hydrocéphales. Il est diffi- cile de tracer un tableau net et précis de l'état mon- Symptômes. 331 t
raite sa mère et sa soeur avec une indifférence presque hostile, le tableau de leur misère le touche très médiocrement. Ass
rogressive des fontanelles. Développement normal de l'intelligence. Tableau des mensurations de la tête. Esc... (Valentine)
22 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
ons médullaires. Malheureusement les auteurs n'ont jamais dressé le tableau exact des muscles intéressés par l'atrophie. On
ussell, Scherrinaton, Thornburn, etc., les auteurs nous donnent des tableaux variables de l'innervation radiculaire. Thornbu
s cervicales. Au cas de notre malade paraît le mieux s'appliquer le tableau d'Edin- ger, de Raymond et de Déjerine. Chez lu
f claviculaire au contraire bien conservé. Nous pouvons traduire ce tableau ainsi : sont atrophiés les muscles innervés par
t fréquemment des cas qui retracent bien dans ses grandes lignes le tableau clinique de la myopathie atrophique pro- gressi
t surtout inté- ressantes par ce fait qu'elles sont familiales : le tableau offert par le plus jeune de nos malades est exa
craindre que dans quelques années les deux frères ne présentent un tableau clinique identique, avec des déformations aussi
bes de 26 ans, qui aurait eu largement le temps de déve- lopper son tableau clinique. Serait-ce par hasard une polynévrite
malade : donc, l'astasie est encore un symptôme à inscrire dans le tableau de l'amyotrophie Charcot-Marie. . On dira peu
ude des cas typi- ques a donné tout ce qu'on pouvait en exiger : un tableau parfait de l'af- fection. On devait en venir au
es fibres et leur disposition dans la masse musculaire, rappelle le tableau caractéristique pour un muscle ordinaire de Tho
s les propriétés caractéristiques de la myotonie. Plus tard, à ce tableau commencent et se surajouter des pheno- mènes de
il ne nous a été donné d'en constater. Nous avons résumé dans un tableau comparatif à la fois,le nombre et le siège des
ne moult sovent Por véoir s'il se torneroit. Nous voyons d'ici le tableau ; le Renart est un praticien consommé, il a le
de la Bibliothèque nationale une gra- vure de J. Tardieu d'après un tableau de David Teniers. Nous ignorons dans quelle gal
eniers. Nous ignorons dans quelle galerie se trouve actuellement le tableau original, mais la gravure, très soignée, nous r
que nous montrera Teniers plus d'une fois et seule réminiscence des tableaux consacrés aux barbiers chirurgiens - attend ave
et n'oubliera pas sa canne à pomme d'or que nous voyons au coin du tableau . Le Médecin et l'urinai de GÉRARD Dow, du musée
ecins urologues a donné naissance.à une série d'aeu- vres figurées, tableaux ou gravures qui, sous des titres divers, reprodui
é des motifs de scènes pittoresques, mouvementées ou galantes. Un tableau de GODFRIED SCIIALI\EN (1643-1706) au musée de La
e. Il tient à la main (1) Le Dr Meige a donné la reproduction de ce tableau dans sa très sérieuse étude sur le Mal d'amour
sur le Mal d'amour dans laquelle il cite également plusieurs autres tableaux de méde- cins urologues (Nouvelle Iconographie,
une demande en mariage. - Il existe de DUBUCOURT (1755-1832) deux tableaux qui traitent des sujets analogues. Ils se font
ce chapitre, mais j'ai tenu en terminant à rappeler le sujet de ces tableaux qui s'y rattachent indirectement, pour bien mon
ici faire d'explora- tion méthodique de façon à pouvoir donner les tableaux numériques complets des chiffres obtenus dans n
Rosalina. Dans son travail cité plus haut (p. 87-104) on trouve des tableaux et des documents, qui plai- dent en faveur de l
t de la paralysie de certains centres sensoriels ont dominé tout le tableau clinique. Il s'agissait d'un homme âgé de 41 an
derniers accès, les troubles de la sphère du langage réalisèrent le tableau de l'aphasie sensorielle : la surdité verbale r
ladie. Il n'occupe qu'une place plus ou moins prépondérante dans le tableau symptomatique et pendant cer- taines phases du
récis sur tous les membres de sa famille, il les a réu- nis dans le tableau ci-joint. , (1) Roreu, Eludes sur les exostoses
aris, 1892. xv 25 378 SICAHD ET ALOUIËR inaugurale, réuni en un tableau synthétique tous les cas antérieurement publiés
our ne pas allonger outre mesure ce travail, nous résumons, en deux tableaux synoptiques, ce qui, dans chaque cas, nous a pa
à M. Infroit, que nous remercions vivement de son obligeance. le' Tableau . - Parkinsoniens présentant des déviations de la
kinsoniens présentant des déviations de la colonne vertébrale. 2° Tableau . - Parkinsoniens sans déviations de la colonne ve
colonne verté- brale. Parmi les 12 observations de notre premier tableau , la huitième (Bel, 54 ans) nous semble devoir ê
de la maladie n'est pas davantage une cause ; la malade de PREMIER TABLEAU . Parkinsoniens avec déviations de la colonne vert
BRALE DANS LA MALADIE DE PARKINSON (Sicnrd et ,9lguier). DEUXIÈME TABLEAU . Parkinsoniens sans déviations de la colonne vert
puisque celui-ci existe dans les 5 ob- servations de notre deuxième tableau (parkinsoniens sans déviation). Notamment dans
états morbides différents. Malgré sa physionomie bien spéciale, le tableau clinique offert par nos malades, rappelle par c
phénomènes spasmodiques pour la mar- che et l'écriture s'éloigne du tableau classique de la paraplégie spasmo- dique. Au
ais quand il s'agit de tracer quelques caractères sur le papier, le tableau change immédiatement. La plume est serrée convu
r le nerf : Des réactions normales, ou diminuées. Il manque il ce tableau , pour que l'analogie soit complète : la tétanisa-
a, de plus, des contractions fibrillaires qui ne font pas partie du tableau clinique des névrites et nous porteraient plutô
sse trancher la question, sans crainte d'erreur. « LA MALADIE » Tableau de Jules Romain. (1533-1534). l'A Il C. E.
de calendrier, frontispices, miniatures de livres, et dans quelques tableaux de l'école hollandaise : ni l'école italienne,
l'application des ventouses et l'uroscopie font le sujet unique du tableau , et ont été par le peintre groupés harmonieusem
semble pour donner un éloquent symbole de la Maladie. L'auteur du tableau , dont je présente aux lecteurs une reproduction
CR1ÈPE. T, XV. PL. LIV. LA ,tVJL1 SL.JL.6 r Gravure d'après un tableau de JULio Romano (1533-1534) (C.-E. Manant.) 2
.-E. Manant.) 21[ASSON ET Ci-, Éditeurs. LA MALADIE 469 ques et tableaux , vrai cycle hautement décoratif, et en faisant pe
eu- vre du Mantegna, du Perugin, du Giambellino et du Francia. Le tableau qui nous intéresse fait partie d'un cycle de six
, tout prés du palais du Té. La double scène que nous représente le tableau , se développe dans toute la largeur du cadre et
ade qu'il indique avec la main droite tendue vers le côté opposé du tableau . De fait dans le côté gauche de la toile nous voy
de la patience du lecteur en lui détaillant la valeur artistique du tableau et ses défauts : il a sous les yeux une bonne rep
surtout le sentiment dou- loureux et compatissant qui se dégage du tableau tout entier, malgré la conventionnalité un peu
s qui avaient été recueillies en 1899 par le même observateur,et le tableau ci-dessous offre ainsi le rare avantage de perm
'une manière tout à fait particulière et facile à apprécier dans le tableau comparatif suivant : GIGANTISME ET INFANTILISME
coup moins riche que celle des nains. Il n'existe que très peu de tableaux consacrés à des « géants de cour ) : . Sternber
son casque. Son combat malheureux contre David a inspiré plus d'un tableau . Sur aucun de ceux que j'ai pu voir, le giganti
ite pas des géants. On y trouve cependant la re- production de deux tableaux de Lucas Granach, du Musée de Dresde, re- prése
l'l111 attaqué par des nains et le même géant réveillé (1) Voy. les tableaux de Giorgione,Caravage, à Vienne ; Feti, Diamanti,
au sur et à mesure qu'ils se présentaient, un assez grand nombre de tableaux consacrés à saint Cristophe, et sauf les deux p
ges, à Venise. h'RaNCESCO BuoNsIGNORI, dans le Musée de Vérone : un tableau représen- tant la Vierge sur un trône avec Enfa
i qui figure sur un des volets de la Descente de Croix, à Anvers, - tableau commandé par les arquebusiers d'Anvers dont saint
es) (2 pl. en photocollogr.), par Jeaa FcnnwD, 101. Maladie (La). Tableau de Jules Romain (1 pl. en photograv.), par 468.
yopathie atrophique progressive (1 pl.), 32. MARIANI. La maladie. Tableau de Jules Romain (1 pl. en photogr.), 468. Mar
s de désintégration cérébrale (FER- rand), XII, XIII. La maladie, tableau de Jules Romain ( : 111ARlAl'(I), LIV. Maladi
23 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
a paralysie des muscles respiratoires. L'autopsie démontra outre le tableau connu de la poliomyélite, que l'inflammation av
énit. Il tend vers lui son avant bras paralysé lequel nous offre le tableau d'une paralysie radiale typique. L'avant-bras est
les deux jambes enserrées dans des fers semblables. Dans ce même tableau de la cathédrale de Malines, figure un personnage
ant du bord inférieur du cervelet, alors nous aurons devant nous le tableau représenté par la phot. n°2 (PI. XI). Toutes le
ée immédiatement au niveau de l'ouverture de la colonne vertébrale. Tableau analogue à celui du cas I. Le cervelet est mal
manque de développement du lobe médian du cervelet. Cas III. - Même tableau (Phot. 4 PI. XI) : le vermis est absent; aussi
inférieure de la moelle allongée. Après cette courte description du tableau macroscopique passons à un examen microscopique
ntinuer la description de ce cas, essayons de nous orienter dans le tableau que nous avons observé jusqu'à présent. Déjà à
hme ont disparu (Phot. 13) et il est absolument pâle. Après cela le tableau change subitement : le canal central de la moelle
tres flamands et hollandais qui nous ont laissé, parmi leurs petits tableaux de genre, tant de scènes de Médecine et de Chirur
formités ni les maladies. Il est vrai que, dans la plupart de leurs tableaux d'intérieurs, ils ont plutôt cherché à éveiller d
. XIV. PL. XXIII. LA SAIGNÉE EN IMAGES (Henry Meige) D'après un tableau de Dw m TENIERs le Jeune (Au Musée de Draguigna
d Bauer, interne des hôpitaux, la pho- tographie de cet intéressant tableau d'après laquelle M. Weisser a pu reconstituer le
peut affirmer qu'il l'a vu pratiquer selon les règles de l'art. Son tableau pour- rait servir d'illustration à quelque Trai
quelques onces près. Ce qui est vraiment digne de remarque dans ce tableau , c'est que Teniers ait choisi, parmi les différ
, et qui est, pour ainsi dire, la note psychopatltique dominante du tableau clini- que des tumeurs cérébrales : c'est un ét
ostérieure de la moelle allongée s'est abaissée ; de là provient ce tableau microscopique tellement original, montrant les di
eurs, limités aux côtés par la substance gélatineuse de Rolando. Le tableau est tout il fait analogue à la Phot. 24,seulement
iatement au-dessus des olives inférieures, nous rencontrons le même tableau , comme dans les cas précédents, seulement encore
e de l'hydropisie du quatrième ventricule il faut expliquer tout le tableau original que nous avons remarqué à l'examen micro
ppement de l'hydropisie et de là les différences remarquées dans le tableau pendant l'hydropisie du 40 ventricule ; d'un au
figures des démoniaques qui figurent à plusieurs reprises dans les tableaux de Ruhens. Charcot et P. Richer ont fait res- s
pinceau de Rubens ne la traçait il y a trois siècles. Or, dans le tableau du musée de Nancy, il est intéressant de voir le
gure de démoniaque ; il est surtout intéressant de le voir, dans un tableau imité de la célèbre Transfiguration de Raphaël
fférente de la conception du grand maître du siècle précédent. Le tableau de Nancy, relativement peu connu, est d'une authe
vée par M. Michel à la bibliothèque de Mantoue. nous apprend que ce tableau fut commandé à Rubens en 1604, avec deux autres
terrée dans ladite église de la Trinité. La chronique ajoute que le tableau de la transfiguration fut très remarqué, et qu'
GRAPHIE T. XIV. de la SALPÊTRIÈRE UN JEUNE POSSÉDÉ D'après le tableau de P.-P. RUBENS La Transfiguration (Musée de
ant, lors de son séjour à Rome, Rubens avait étudié de très près le tableau du Vatican, comme nous le prouvent les dessins
ypique des symptômes nou- veaux se superposent ou se substituent au tableau classique banal. L'hystérie moins tyrannique qu
parent. Les résultats des expériences se lisent facilement dans les tableaux suivants où sont indiqués en mètres la hauteur
es. Les arguments cliniques sont tirés de la frappante analogie des tableaux symptomatiques des grandes encéphalopathies tox
e, et du syndrome des tumeurs cérébrales. Or, il est certain que le tableau clinique des accidents présentés par TUMEUR CÉR
liquide céphalo-rachidien, fait remarquer la ressemblance des deux tableaux cli- niques de l'urémie et de la tumeur cérébra
00. TUMEUR CÉRÉBRALE 357 7 Après avoir insisté sur l'analogie des tableaux cliniques des deux encé- phalopathies, urémique
sensibilité aux toxines de l'écorce grise), cliniques (analogie des tableaux cliniques des encéphalopathies toxiques, de l'uré
s Gall avait fait un assez long séjour en Italie et gravé plusieurs tableaux de maîtres. La gravure en ques- tion représente
verus d'après Ru- bens. A Brescia, Palais Martinengo, deux petits tableaux de Fausto Boccnr, représentent des nains à gros
um essem parvula placui altis- simo. A l'Académie de Venise, deux tableaux de J. CALLOT, Le Pont Neuf à Paris, et la Foire
nains et d'estropiés (Nos 136 et 139). A Turin, Pinacothèque, deux tableaux de P. Véronèse (N°s 575 et 572), Moïse sauvé de
ions de nouveaux cas d'hérédo-ataxie cérébelleuse grâce auxquels le tableau clinique de cette maladie a été complété. L'ana
appuyant pour cela sur le résultat de notre autopsie. Justement le tableau anatomique de notre cas se rapproche de celui deM
as de Fraser et Nonne. Il est vrai que, dans les derniers temps, le tableau clinique que présentait Haud... pouvait créer c
ervation loc. citât.), malade depuis l'âge de 35 ans, présentait le tableau classique de l'hérédo-ataxie cérébel- leuse.
fonctions du système ner- veux sont déjà altérées et nous avons le tableau classique delà maladie. Si à ce moment survient
dard près du tombeau du diacre thaumaturge; dans un coin on voit un tableau repré- sentant un sein dont le bout est tombé e
a fibre striée semble avoir conservé sa structure nor- male. · Le tableau clinique que nous avons donné de notre malade se
SUR UN MUSCLE DE l'activité d'autres muscles 443 444 ri ' féré . TABLEAU II Représentation proportionnelle du travail de
édius droit sous l'influence de la théobromine : l09,7S. 460 FÉRÉ TABLEAU V Fio. 16. - Travail du médius droit sous l'inf
aphie Loew y (Vienne). 1 hotogr.iv urc La : m). LA CONSULTATION Tableau de FpANs VAN MIERIS le Vieux Musée de Vienne.
PÊTRIÈRE. T. XiV. FL. LIX. Cliché Hausstaengl. LA DAME ÉVANOUIE Tableau de EGLON van DER NEER (16H-170¡). A l'ancienne
omnolence et calme relatif pendant la journée, mais on nous fait un tableau assez lamentable des nuits qui nécessitent l'as-
e et qu'elle posséderait même quelque droit à figurer aussi dans le tableau symptomatique de la paralysie infan- tile. Bien
omatologie, par une exa- gération nutritive capable de défigurer le tableau habituel et d'égarer le médecin (1). La fièvr
ommes trop enclins, par exemple, à associer la notion d'atrophie au tableau clinique de la paralysie infantile, pour lui subs
yons ici encore ce fameux bâton que n'a pas oublié Teniers dans son tableau du musée de Draguignan. Il faisait partie du ri
RI T. \1\', l'l.l.»1\' LA SAIGNÉE EN IMAGE La mort de Sénèque Tableau de Il. Il. Ruums, Pinacothèque de Munich Masson
ch Masson & CIl, Editeurs LA SAIGNÉE EN IMAGES 537 C'est un tableau de PP. RUBENS z77-3640), conservé à l'ancienne pi
ar la Mort de Sénèque, parmi lesquelles on peut signaler : , . Un tableau de SANDRAN'f, au Musée de Berlin, représentant le
eil. Le sang coule dans un grand bassin doré. o Signalons encore un tableau de RIBERA (Joseph dit IL SPAGNOLETTO, Es- pagno
à Munich, Pinacothèque (n° 1281, t. 259, 241) (daté de 1645). Un tableau de IL GUERClNO, gravé à l'eau forte par Ludovico
24 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
ait l'image J clinique du syndrome et fixerait la note dominante du tableau morbide. Je tiens à affirmer ici, que l'usage d
ercher il simplifier notre terminologie, et ne pas com- pliquer les tableaux morbides par des subdivisions inutiles. J'ai pr
s différente etcependant, aussi bien l'un que l'autre présentait le tableau classique de la forme clinique de Lorain ; form
me proposée par ! M. Bauer neme semble pas exprimer correctement le tableau cliniquede; i l'infantilisme du type Lorain. ,
chercher à simplifier notre terminologie, et ne pas compliquer les tableaux morbides par des subdivisions inutiles ». Réunir
a vertèbre. Quant aux symptômes de la maladie, on distingue dans le tableau cli- nique des tumeurs vertébrales des symptôme
d'herpès, d'atrophie musculaire et de contractures (Charcot). Un tableau analogue (paraplégie douloureuse) peut s'observer
mes médullaires. Quant à ces derniers ils rappellent tout à fait le tableau clinique d'une myélite transverse. Les symptômes
et vasomoteurs (oedème) surviennent rarement. 78 FLATTA U ' Le tableau décrit ci-dessus est nécessairement un peu schéma
qui durant la vie ne décelaient aucun symptôme clinique. Dans le tableau décrit ci-dessus nous avons donné la description
omes, etc.). Il faut attirer l'attention sur ce point encore que le tableau clinique même des tumeurs malignes peut être in
s, la compression peut donc ne pas intervenir dans la production du tableau de la myélite. Ce fait a une importance énorme qu
II) de même que dans ceux décrits par Bielschovsky, Schlesinger, le tableau clinique se déve- loppa très lentement et donna
ar exemple d'urée de 5 ans dans le cas d'Oppenheim et Krause). Le tableau clinique dans d'autres formes de tumeurs (échinoc
ique pendant la vie les symptômes médullaires forment une partie du tableau morbide) ; b) qu'il y a des cas dont le tableau c
rment une partie du tableau morbide) ; b) qu'il y a des cas dont le tableau clinique simule entièrement celui d'une tumeur
es nerfs périphériques et delà moelle. Cette dernière présentait le tableau d'une myélite toxique (décrit par Meyer, Crocq
à main- tenant. Nous avons voulu esquisser seulement les différents tableaux , se modifiant suivant la nature et le siège de
sur place, quelques heures de marche du village, le plus saisissant tableau morbide qui jamais m'eut été donné de voir dans m
esses parfaitement normales. Voici par ordre chronologique un petit tableau synoptique de ses ac- couchements : 1885. Mar
'ennui. Le fond de son caractère est aigri et ce qui domine dans le tableau psychique de cette pauvre fille, c'est l'instin
ue, elle a été citée par beaucoup d'auteurs et présente en effet un tableau symptomatique très particulier qui servi- rait
la pre- mière enfance. Les parents de ces filles étaientcousins. Le tableau morbide était constitué par de la diplégie avec
la symptomatologie classique de l'amyotrophie Charcot-Marie et les tableaux morbides présentés par les sujets de mes observat
des atrophies musculaires, etc. ; chacun de ces symptômes domine le tableau morbide, chacun d'eux a évolué avec une violenc
ence inouïe ; voilà pourquoi on estembarrassé au milieu de ce grand tableau symptomatique de définir quels sont les symptôm
us avons essayé par ce qui précède de faire une étude analytique du tableau symptomatique présenté par les trois échantillons
ent que la maladie familiale que nous avons décrite ici présente un tableau morbide tellement étendu qu'il serait difficile
iphérique : Tous trois, les rejetons de cette famille présentent un tableau morbide saisissant, qui est là pour démontrer la
utre que l'hérédité. - C'est une cause héréditaire qui a réalisé ce tableau morbide ; aucune in- fection, ni intoxication n
l'anémie per- nicieuse, la néphrite chronique, la carcinomatose. Le tableau de cette lésion est presque le même que celui d
es corpuscules noirs en quantité notable autour des foyers. Mais le tableau ne correspond pas à celui qu'on rencontre au co
ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 163 avec troubles urinaires. Depuis, le tableau clinique ne présenta pas de rémission, et trois
nerveuses jouait le rôle prin- cipal dans la production de tout le tableau anatomo-pathologique. Les fibres nerveuses ont
sur la table d'autopsie que le diagnostic devenait clair. Quant au tableau clinique de l'affection, il dépend entièrement de
rtains nerfs, le cubital par exemple, peuvent prendre place dans le tableau clinique. Tous ces phénomènes peuvent se limiter
les de la nuque ; dans le cas de Schultze, du plexus brachial. Le tableau clinique dans ces cas ressemble à celui décrit pl
u ou tout d'un coup éclatent les phénomènes médullaires. Souvent le tableau clinique se dé- veloppe rapidement en simulant
elle, il en existe d'autres où la tumeur extraverté- brale donne un tableau de lésion médullaire, mais l'autopsie ne montre
es lésions anatomo-patholo- giques n'expliquent pas suffisamment le tableau clinique et il pense que certaines substances t
tactes, dans d'autres cas elles dégénèrent et alors nous voyons des tableaux correspondant aux dégénérescences « radiculaires
artie). Même quand les symptômes médullaires prennent place dans le tableau clinique la guérison peut être complète puisque,
au niveau de la première phalange ; 50 au niveau de la seconde. Le tableau suivant précise le raccourcissement de l'annulair
nombre. On a dit aussi que lorsque l'infection a été forte, on a le tableau de l'achondroplasie foetale et la mort à la naiss
localisée aux filets nerveux intra-osseux, s'extériorisant avec un tableau , pour ainsi dire, monosymptomatique. , Ce qui,
« la rapide succession de ra- mollissements et d'hémorragies et le tableau clinique y relatif des paré- sies ou paralysies
n'étaient pas très intenses, elles occupaient le second plan dans le tableau cli- nique. Après trois semaines de durée des d
oite. Mais même à gauche ces masses ne sont pas très nombreuses, le tableau correspond à ceux que nous rencon- trons dans l
sions inflammatoires. Ce cas était assez facile à diagnostiquer. Le tableau clinique y était typi- que pour une affection c
donnés sont viciés par la présence d'une cyphose cervico-dorsale. Tableau de la croissance : brachymélie métapodiale cong
ma cette dernière opinion. Si nous prenons en considération tout le tableau clinique de la maladie, dans lequel au premier
e. Le présent travail n'a pas pour but la description détaillée des tableaux cliniques des tumeurs intra-vertébrales. Nous v
moelle. c'est-à-dire du côté où elle sié- geait. Par conséquent le tableau de l'affection transverse de la moelle (trouble
que le type de Brown-Séquard a pu prendre la première place dans le tableau clinique. Nous répétons encore une fois que le
is que le syndrome de Brown-Séquard n'est pas indispensable dans le tableau clinique des tumeurs méningées. Son absence mêm
own-Séquard. Peu à peu les symptômes unilatéraux s'effa- cent et le tableau clinique se rapproche toujours de plus en plus du
intramédullaires. Les tumeurs intramédullaires affectent plutôt le tableau d'une maladie aiguë ou subaiguë quoique là aussi
ques années (Ward, Boettiger). En décrivant tous les stades dans le tableau clinique des tumeurs méningées, nous avons voul
éter- minant le siège de la tumeur. , On se sert généralement des tableaux de Bruns, Edinger, Suiffer, el d'autres auteurs
phies musculaires, radiculaires et anes- thésies). Puis apparaît le tableau du syndrome de Brown-Séquard avec l'hémiplégie
enheim-Krause). La tumeur localisée dans la moelle dorsale donne un tableau clinique où les douleurs névralgiques et les pa
rminal s'annonce la plupart du temps par un développement rapide du tableau clinique, par l'absence presque complète des doul
deux ans après pour disparaître encore une fois et revenir quand le tableau typique de la tu- meur de la queue de cheval a
ire les symptômes suivants : une intensité moyenne des douleurs, un tableau clinique rappelant la myélite aiguë ou subaiguë,
es tumeurs intra et extramédullaires et indique les symptômes et le tableau clinique tout entier caractéristiques de chacune
pénibles. Les douleurs peuvent prendre la place domi- nante dans le tableau clinique. Dans un cas de Batten les douleurs ont
s la zone brachiale, et ces douleurs repoussaient au second plan le tableau de la sclérose. Dans un autre cas nous avons co
la syringomyélie). Oppenheim et Stertz font encore remarquer que le tableau clinique de la tumeur mé- dullaire se complète
ébrale hypotrophique congénitale donne le plus souvent lieu soit au tableau clinique de l'idiotie, soit à celui de l'épilep
té figurés par Velasquez dans le personnage qui occupe le centre du tableau des Ménines, etc.).» - Enfin M. Sainton nous di
s ébauchés. Examen objectif. Un coup d'oeil à sa photographie et au tableau des mensurations sera suffisant à montrer que n
e A. Wauters, s'est inspiré de ce passage pour représenter, dans un tableau dont nous donnons la reproduction, cet essai de t
de traitement par la musique sacrée de la mélancolie du peintre. Le tableau est au musée de Bruxelles. Dws une étude sur Le
aits d'Abigail s'avan- çant à la rencontre de David, dans un de ses tableaux les plus connus ; puis la solitude, la tristess
du tremblement, des troubles de la parole. Quelque temps après, le tableau symptomatique de la sclérose en plaques était a
issance, du syn- drome microsomie, est la cause de l'anornzalité du tableau clinique qui nous est offert à ce sujet. Nous
o- 682 ETTORE LEVI mie essentielle, elle nous montre à 22 mois un tableau d'arrêt- de déve- loppement peu accentué, mais
25 (1901) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1900
leçons de choses, soit à l'école, soit dans les jardins (avec le tableau roulant), soit enfin dans les promenades (1). V
llabe finale muette ainsi Lemait ? qui dit : très bien blanc, bleu, tableau , dira : «tau pour table «por» porte : de même i
que. Le musée s'est enrichi notablement en. 1900 comme le montre le tableau de lapag'oxxxn. Nous avons continué, comme les
re pour la bonne direction morale qu'ils savent leur imprimer. Le tableau suivant met en évidence les résultats obtenus p
ommissions. - All'iclies diverses. Entêtes de lettres, registres et tableaux divers pour la Direction et l'Economat. Circula
s, etc., pour les Ecoles municipales d'infirmiers et d'infirmières. Tableaux des lignes et de leurs applications, des volume
étaient atteints de maladie de Little et 8 étaient flaireurs. °Le tableau suivant résume le mouvement de la population en
es était allé en diminuant progressivement ainsi que le montre le tableau suivant : . - .Maladies contagieuses.. : . '. L
nt marquer; 8 savent faire de la tapisserie ; 3 savent tricoter. Le tableau ci-après donne mois par mois le nombre des appr
ur la demande réitérée des parents on signe la sortie de Félicie. Tableau du poids et de la taille. Idiotie MYXOEDËMATEUS
ateuse. Nous n'insisterons pas sur ces différents symptômes, dontle tableau a été tracé minutieusement dans les précédents
ion appréciable. Sous son influence le poids de l'enfant a diminué ( tableau des poids), la taille a aug- menté, le volume d
la substance nerveuse est encore relativement conservée, on voit le tableau suivant : Le tissu nerveux atteint une épaisseu
re 1900, soit un total de 2.554 entrées. Nous avons résumé, dans le tableau suivant, la situa- tion des pères et mères de t
ie. Bourneville, Bicêtre, 1900. - ' 7 98 Alcoolisme et idiotie. Tableau statistique sur l'alcoolisme. Alcoolisme et NP1
5 heures du matin, sans qu'on ait remarqué rien de nouveau dans le tableau de sa maladie, ok l\11\SINGO-ENCI ? PHALI'l'r ?
organes. 1(n ? mGO ? rrc : rHnLrrr. 109 110 Idiotie complète. Tableau des ca.s de 9 o-et(,éi)iutlite observés dans le
leptiques et les enfants idiots imbéciles etc, non épileptiques. Le tableau suivant donne année par année le résultat de no
donne année par année le résultat de nos recherches. Le même ' · tableau nous montre que si on se reporte il la compa- r
raît donc plus tôt chez l'enfant idiot I,I>ILEP'l;lnLr,. .; Le tableau ci-après donne la répartition de ces cas au poi
e (Proptvs méclicat, n 10 Vc 11)01, y. 163.) 154 Saturnisme. Le Tableau suivant montre les diverses affections auxquell
offert de particularité notable. Nous nous bornons à reproduire le tableau de la température rec- tale durant cette fièvre
lus de com- modité j'ai disposé toutes ces planches sur de grands tableaux noirs que le maire de Clermont, M. Lecuyer, a f
ont le poids variait de 171 à 785 grammes. En voici d'ailleurs le tableau . 168 Microcéphalie chefort. Nous ne possédons
Microcéphalie chez Cluto... nous avons dressé, pour comparaison, le tableau ci-après concernant 7 enfants du même âge : (
r un simple arrêt de dévelop- pement, de les grouper, de faire leur tableau clinique et de procéder de même pour les microc
avons trouvé 16 fois la persistance soit ............ 18 0/o, Le tableau A donne, âge par âge, la répartition de ces cas.
0/o, Le tableau A donne, âge par âge, la répartition de ces cas. Tableau A. Persistance DE la SUTURE métopique. 203
26 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
sans doute, la neurasthénie et l'hystérie. ONGLE PÈRE MÈRE TANTE TABLEAU DE FAMILLE______ —____ Aliéné. Mort Morte de
re et apportait même dans la lutte un certain entrain. Aujourd'hui le tableau s'est considérablement assombri, le pauvre diable
qu'il soit devenu très difficile de la « lire ». Voici du reste le tableau analytique des phénomènes qui peuvent être actuel
auvais augure. Quelques traits devront être ajoutés pour compléter le tableau : En premier lieu, l'amaigrissement rapide du m
n prend « du recul » à l'imitation du peintre qui veut envisager le tableau non plus dans les détails mais dans l'ensemble. C
re, par l'étude que nous allons faire des antécédents héréditaires. TABLEAU SYNOPTIQUE DES ANTÉCÉDENTS DE FAMILLE DE A... EL
us n'avons considéré encore, jusqu'ici, messieurs, qu'un des côtés du tableau . Ainsi que je l'ai déclaré en commençant, l'hys
ante de M. le Dr Déjerine (¦!). Je me bornerai ici à relever quelques tableaux de famille qui me paraissent significatifs. Voi
'abord l'histoire de la descendance d'un paralytique général (Voir le tableau ci-dessous) : Grand-père paternel Paralysie gén
5, 8, p. 181), offre précisément un exemple de ce genre. Un second tableau montrerait la paralysie infantile survenant chez
ier ces exemples ; je me bornerai pour le moment à exposer un dernier tableau qui me paraît être fort instructif. COTÉ PATERN
âche se Jrrou^era, je pense, singulièrement facilitée par l'examen du tableau synoptique que j'ai placé sous vos yeux. TABLEA
ée par l'examen du tableau synoptique que j'ai placé sous vos yeux. TABLEAU SYNOPTIQUE DES SYMPTOMES OCULAIRES dans le tabe
contingentes les menacent, qui peuvent, à un moment donné, changer le tableau en déterminant le retour de l'impuissance motrice
tations névropathiques actuelles. Il conviendra aussi de compléter le tableau clinique par l'exposé de quelques nouveaux traits
ation de l'ouïe et de l'odorat, également à gauche. Vous le voyez, le tableau est complet et il n'a guère besoin de légende.
ire signalées tout à l'heure, ne sont cependant pas déplacées dans le tableau . La première, en effet, s'y observerait peut-être
ont plus de mise aujourd'hui (1). J'ai fait placer sous vos yeux un tableau où sont inscrits les tracés obtenus par l'applica
t produites plusieurs de ces crises diarrhéiques qui appartiennent au tableau régulier de la maladie de Basedow et dont je vous
apidement à la terminaison fatale. L'autopsie, dans ces 1. Voici le tableau des moyennes des six analyses faites du 13 au 19
roduit exactement en effet, dans ses traits fondamentaux du moins, le tableau classique que le regretté Beard de New-York a eu
l'âge de 14 ans, été • sujet à de violentes colères. On voit que le tableau d'hérédité nerveuse est ici passablement chargé.
ccidents nerveux qui ouvrirent la scène. Quelques jours plus tard, le tableau clinique était constaté tel que nous pouvons l'ét
paroles dont on ne peut pas toujours saisir le sens, reproduisent le tableau des attitudes passionnelles ; et ces diverses cir
recherche des stigmates, faite ces jours-ci, a permis de compléter le tableau déjà cependant fort chargé (voirlesfig. 62 et 63)
éréditaires, dont vous pourrez reconnaître l'intérêt en parcourant le tableau ci-joint, est fort significative ; vous allez le
es, toujours présents, vous aurez complété, en ce qui le concerne, le tableau des symptômes hystériques tel qu'il s'offre à nou
hystéro-épileptique à forme d'épilepsie partielle.) Voilà certes un tableau fort complet et parfaitement classique. Personne
de traces. Il a servi et a fait la campagne de Grimée. Ci-joint un tableau qui fait connaître ses antécédents héréditaires.
la famille Je crois utile en manière de conclusion de grouper dans un tableau synoptique les principaux faits de l'histoire des
dans la séance d'aujourd'hui et dans celle qui l'a précédée. Voir le tableau pages 298, 299. Il suffira, je pense, de jeter
aite. Il n'en est plus de même lorsque l'on cor suite les colonnes du tableau relatives aux circonstances étiologiques. Il est
te singulièrement facilitée si vous voulez bien jeter les yeux sur le tableau synoptique que j'ai fait placer sous vos yeux ; i
péripéties de cette longue histoire, si vous voulez bien parcourir le tableau chronologique que j'ai fait préparer pour la circ
e me suis proposée aujourd'hui de remplir, qu'à faire figurer dans le tableau afin d'y mieux mettre en relief l'objet sur leque
e signaler en passant comme devant figurer sur l'ar-rière-plan dansle tableau clinique que j'ai voulu placer sous vos yeux tout
être pas hors de propos en manière de résumé de placer devant vous un tableau synoptique où vous pourrez embrasser d'un seul co
nsibilité que nous venons de relever, nous avons de quoi compléter le tableau clinique de la paralysie alcoolique. C'est bien d
en chantant dans les rues. Yoilà qui est fort bien, direz-vous ; le tableau promet d'être piquant. Mais où voulez-vous en ven
s commissures, soitdes faisceaux blancs, tandis que, cliniquement, le tableau symptomatique répond à ce que j'ai proposé d'appe
, le protéiforme, le contraste, l'opposition, le mystérieux (1). » Le tableau était un peu forcé, sans cloute, déjà pour l'époq
sa terreur étaient extrêmes, comme s'il avait encore sous les yeux le tableau dupéril auquel il venait d'échapperou qu'il eût r
n point capital, par lequel la paralysie de notre malade s'éloigne du tableau classique : 2. Settier, loc. cit. p. 115. c'e
paraplégie spasmodique venir se surajouter en proportions diverses au tableau clinique propre à la syringomyélie et embarrasser
oubles qu'il a tout d'abord accusés. En quoi cet état diffère-t-il du tableau symptomatique de la névrose de Beard? Or, ce n'es
ouvre véritablement aucun qui ne soit connu déjà comme appartenant au tableau clinique, soit de la neurasthénie, soit de l'hyst
ent rétrospectif. La malade dont 1. Voir la leçon 13, p. 292, et le tableau p. 298. 2. Extrait d'un travail publié par M. D
e. ISI1 . NOIZETlE, 8, EUE CAMI'AGKE-PEEMIÈRE, PAKIS. TABLE DES TABLEAUX , FIGURES ET FAC-SIMILE CONTENUS DANS CE VOLUME
DES TABLEAUX, FIGURES ET FAC-SIMILE CONTENUS DANS CE VOLUME A. — TABLEAUX Pages. Tableau généalogique (Sciatique, Neura
ES ET FAC-SIMILE CONTENUS DANS CE VOLUME A. — TABLEAUX Pages. Tableau généalogique (Sciatique, Neurasthénie et Hystérie
— — (Paralysie infantile)............ 144 — — — ............ 145 Tableau synoptique des symptômes oculaires dans le Tabès,
Tabès, la Sclérose en plaques et l'Hystérie................. 163 Tableau généalogique (Hystéro-neurasthénie)........... 26
)........... 261 — — — ........... 286 — — — . . ¦?........ 296 Tableau synoptique des antécédents et des symptômes chez
s chez quatre hommes hystéro-neurasthéniques............. 298,299 Tableau synoptique d'accès d'Automatisme ambulatoire.....
99 Tableau synoptique d'accès d'Automatisme ambulatoire...... 308 Tableau généalogique (Abasie trépidante)............. 372
mme par lapeur de la foudre........................ 543 TABLE DES TABLEAUX FIGURES ET FAC-SIMILE CONTENUS DANS CE VOLUME A
e, 284. — Spasme glosso-labié, 293.— Stigmates, 289, 294, 531, 532. — Tableau synoptique, 298, 299. — Tremblement, 530, 531.
27 (1898) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1897
iens et modernes; 12 vues représentant les pre- mières syllabes des tableaux que nous avons faits avec xiv Promenades ET dis
euet, une feuille d'arbre, un citron, une orange, des cerises. Ce tableau se compose de deux parties identiquement sembla
onque avec l'objet qui en présente l'application. Les deux autres tableaux ont rapport aux lignes droites et à leurs combi
combinaisons. En regard de chacune d'elles se trouve, comme dans le tableau précédent, représentée une de leurs application
. Le musée s'est enrichi notablement en 1897 ainsi que le montre le tableau suivant, placé en tête de la page wr. Nous av
re pour la bonne direction morale qu'ils savent leur imprimer. Le tableau ci-après met en évidence les résultats obte- nu
opulation. " : \\'11 Décès. Les décès ont été au nombre de 17. Le tableau ci-après fournit les renseignements concer- nan
lles-ci ; 25 ont été transférés et .2 sont sortis par évasion. Le tableau des pages xxxtt et suivantes indique les motifs
hyroïde incidemment sur le thymus. Le XLII Maladies infectieuses. tableau ci-après donne quelques renseignements sur ces
du crochet; 12 savent marquer; 10 savent faire la tapisserie. Le tableau suivant donne mois par mois le nombre des appre
maladies qui ont occasionné la mort et dont on trouvera la liste au tableau des décès, les maladies suivantes : 15 enfants
répartissant ainsi : - LVI i Mouvement de la population. Voici le tableau du mouvement de la population en 1897 : Perso
aisser revoir i- notre ancien malade. La taille a augmenté (voir le tableau ). Le tronc et la tête se sont développés, ainsi
t des mensurations ci-après, pour le tronc, et celles relevées au tableau de la tête. Etat nu .malade en 1897 9 10 Imbé
l 3 M- H M ro 0 B m M '-3 f3 a p f ta Tableau des mensurations de la tête, du poids et de la ta
nnels.- Voici, à titre de spécimen de nos procédés d'observation le tableau de la température de l'enfant durant les cinq p
te à gauche. - Mort à 11 heures du matin. 92 MÉNINGITE CHRONIQUE. Tableau des accès. '' Pneumonie caséeuse. 93 lève trè
tient pas de calculs. - Les testicules et l'épididyme sont sains. Tableau du poids et de la taille. Crâne DES épileptique
Son poids était descendu à 11 kilog. Températures après décès. Tableau DU poids, DE la taille ET DES accès. 103 Voici
ille ET DES accès. 103 Voici la marche des accès en 1896 et 1897. Tableau des accès. 104 CRANE- : HYPERTROPHIE DES FRONTA
ressivement atteint 42°. (Fig, 6). Température après décès. . Tableau des accès. 'IT : \IN G0-NCrPIiAI.IT. 133 Tabl
rès décès. . Tableau des accès. 'IT : \IN G0-NCrPIiAI.IT. 133 Tableau du poids et de la taille. - " - ' 134 Épilepsie
aiblissement intellectuel attribué il des vertiges non notés sur le tableau et que l'instituteur signale dans ses notes de
s, à 5 h. et demie avec une T. R. de 4 L,G. - Poids : 29 kg. 800. Tableau des accès durant l'état de- mal. Epilepsie : cr
nt été moins nombreux. V. Nous avons consigné plus haut (p. 140) le tableau des températures prises, selon la règle, pendan
, qu'il ne distingue les lettres un peu grosses que d'assez près. Tableau du poids et de la taille. 178 Alcoolisme et idi
sique, son développement a été régulier, ainsi que cela ressort des tableaux du poids, de la taille et des mensurations de l
28 (1891) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1890
9 heures à 11 heures. Parmi les sujets, notons la reproduction des tableaux du musée de Versailles, relatifs à l'histoire d
llier, s'est augmenté notablement en 1890, ainsi que le montré le tableau comparatif ci-après. ENSEIGNEIFNT PROFESSIONNEL
tographies et des moulages. ; XVI FONCTIONNEMENT DES ATELIERS. Le tableau suivant met en évidence les résultats obte- nus
nnée. Ce sont : Bruck, Glène (serruriers) et Dalex (tailleur). Le tableau suivant fait voir que le nombre des. enfants qu
ement DE la population. Décès. Ils ont été au nombre de 19 (1) ; le tableau ci-après donne le diagnostic, la date et la cau
oit comme idiots où imbéciles, incapables d'être mis en liberté. Le tableau suivant indique les motifs de la sortie et la n
yer et Mesnard ; d'un profes- (1). Nous avons-fait figurer; dans ce tableau , en raison de leur petit nom- bre, les 5 décès
en fassent le partage. Il est dans mes intentions que les livres, tableaux , etc., soient en majeure partie attribués aux éco
s con- ditions exigées par l'hygiène. Après avoir résumé, dans le tableau ci-après le mouvement de la popula- tion durant
urnirons quelques détails sur les décès et les sorties. Décès. Le tableau suivant donne le diagnostic, la cause et la dat
ties. -Les sorties ont été au nombre de 5, dont 2 par transfert. Ce tableau indique les motifs de la sortie et la nature de
lier des enfants de Bicêtre à la fondation Vallée. - En avril : 3 tableaux noirs, 2 petites boîtes pour les bains ; 2 passe-
choses; 2 nouvelles ta- bles scolaires pour les gâteuses ; 1 grand tableau noir. En novembre : les casiers de l'ouvroir; 1
les 3 premiers mois, puis ils se sont reproduits comme avant (v.le Tableau des accès,). 1886. État actuel (25 Janvier). L'
eint. La température à 5 heures du matin était de 37". 8. Voici les tableaux comparatifs des dimensions de son crâne, de son
du volume de la tête très prononcée ainsi que le fait ressortir le tableau com- paratif des mensurations de la tête en 188
ues avec pollutions sans rapport avec la période des attaques. Le tableau suivant permet d'apprécier la marche des acci-
an- glais, etc. 1-IYSTÉRO-tPrLEPSIr, 105 Comme onle voit par ce tableau le malade a eu des attaques de deux espèces : l
quelques progrès en gymnasti- que et en écriture : il trace sur le tableau des a, des o et des u. Il redevient gâteux de t
1 CI' mais Il connaît maintenant'les noms de tous les ani- maux des tableaux et les usages de quelques-uns. Distingue le cub
cer à parler, son habitude est d'écrire ce qu'il veut dire sur un tableau , une ardoise, du papier ou sur une table avec un
lques cas, on voit qu'il comprend. Par exemple s'il aperçoit sur un tableau la date de la veille, il l'efface, ou s'il la v
. L'écriture est grosse, assez lisible, il aime surtout à écrire au tableau noir. Il ne peut écrire une phrase dictée ; i M
e. Le corps et la tête se sont développés ainsi que le prouvent les tableaux suivants : Microcéphalie ; ÉDUCABILITfi. : 165
naire et avec le crétinisme et nous terminerons en vous traçant le tableau no.solJl'i1phique de cette forme si curieuse de
. Jamais de chutes ni d'émotions vives pendant la gros- sesse. Le tableau ci-après indique l'ordre de naissance, le sexe
bservation Il de II. Stirling.) « E ? âgé de 17 ans 3 mois (n° 4 du tableau ), était une enfant d'une beauté remarquable et
bservation III de M. Stirling.) C ? II ? âgé de 13 ans 1/2 (n° G du tableau ), est né à Whood- ville, faubourg d'Adélaïde.
(Observation V de JI. Stirling.) A ? A ? âgé de G ans 1/2 (ne 9 du tableau ). Les premiers symp- tômes se sont montrés avan
l'enfant ne sait ni lire ni écrire. T. 36°, 1. L'auteur donne le tableau de la taille de ses mala- des, prise en 1884 pa
s avons fait ensuite passer sous les yeux des membres du Congrès un tableau statistique comprenant 44 cas d'idiotie myxoedé
29 (1899) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1898
es leçons de choses, soit à l'école, soit dans les jardins (avec le tableau roulant), soit enfin dans les promenades. Pet
Le musée s'est enrichi notablement en 1898, ainsi que le montre le tableau suivant : , Enseignement professionnel XIX
pour la bonne direction morale qu'ils savent leur im- primer. Le tableau suivant met en évidence les résul- tats obtenus
s, 1 meuble à 2 corps pour les photographies, li bancs, 3 tables, 2 tableaux pour les classes, 1 table scolaire, 1 meuble po
Commissions. Affiches diverses. - Entêtes de lettres, registres et tableaux divers pour Direction et Economat. Circulaires
es (1868) sur la glande thyroïde et incidemment sur le thymus. Le tableau ci-après donne quelques renseignements sur ces
rquer; 12 savent faire la tapisserie ; 10 commencent à tricoter. Le tableau cle la page XLIX donne mois par mois le nombre
et 4S°, 1. Mort. Poids du corps après le décès : 11 kilos'. 500. Tableau du poids et de la taille. 22 IDIOTIE HYDDOCÈPHA
état; continuation du même traitement. Développement PHYSIQUE. 33 Tableau des mensurations de la tête. 34 Imbécillité ath
sur le Catalogue de notre Musée de Bicêtre, nous citerons, dans le tableau qui précède, les cas dans les- quels l'inégalit
mélancolique dure de la mi-décembre à la mi-février. IV. Alors le tableau change ; la dépression mélan- colique (sans idé
sait place à un embonpoint progressif ainsi que cela res- sort du tableau ci-après : Tableau du poids. Manie; guérison.
onpoint progressif ainsi que cela res- sort du tableau ci-après : Tableau du poids. Manie; guérison. 81 grissement et
? section (épileptiques adultes) où deux cas se sont produits. Le tableau suivant donne une idée de la marche de l'épidém
Épidémie DE fièvre typhoïde. Nous avons cherché à rapprocher de ce tableau celui des cas de fièvre typhoïde qui se seraien
nglions trachéo-bronchiques engorgés. . ' IDIOTIE `CONGÉNITALE. Tableau du poids et de la taille. 119 Cas suivis de d
se retomber en arrière, frappant durement sa tête sur l'oreiller. Tableau du poids et de la taille. 1-46 Épidémie pE.FI
s microbiologiques de l'eau de Choisy telles qu'elle figu- rent aux Tableaux mensuels de la Statistique municipale de Paris :
cement aKfëro-postëTteMrdM 0)T.c,pa ! ett)' - (t) Voirplus loin -le tableau récapitulatif, p..198. - 184 Antécédents-hérédi
dyspnée, cyanose de la face et des lèvres, mort à 9 heures -1;'2. Tableau du poids et de la taille. Tableau des accès.
lèvres, mort à 9 heures -1;'2. Tableau du poids et de la taille. Tableau des accès. 190 SCLEROSE TUBEREUSE. Sclérose
s symptômes sous la dépendance de la méninge- encéphalite. VI. Le tableau qui précède montre que l'idiotie sym- ptomatiqu
es. Sous le rapport anatomo- pathologique nous voyons, dans le même tableau , qu'à la sclérose tubéreuse s'ajoute, cinq fois
liers XXIV ! Il. Statistique. Mouvement de la population .... XXIII Tableau général xxiv Décès XXIN, Sorties, xxtv Inva
tv Invasions xxv Transferts xxv Thymus et glande thyroïde xxv Tableau des décès. , , . , , ' , , , , , . , , . , , , ,
. , , , , , , , . xxvm Maladies infectieuses xxxiv Teigne xxxiv Tableau des sorties -xxxvi Maladies intercurrentes XLII
currentes lui ..II. Statistique : mouvement de la population. lui Tableau général Liv TAULE DES \C : 1'1'IItES...;i3J D
e 1898........... LV Personnel................................ LV Tableau des décès......................... LVI Tableall
30 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
' : 1HI.SIE linguales, symptômes objectifs les plus saillants de ce tableau , correspondent bien aux descriptions classi- qu
du même côté. La présence des tremblements fibrillaires complète le tableau . Chez notre malade, comme dans la plupart des c
laires. Dans d'autres cas, l'hé- miatrophie linguale fait partie du tableau de l'hémiatrophie faciale (Cal- metteetPagés, I
lle contribue également à faciliter la distinction entre les divers tableaux cliniques souvent très compliqués, à l'époque du
niveau de l'appendice xyphoïde, jusqu'aux pieds inclusivement. Le tableau clinique (6 mois après le commencement de la mala
sensibilité ainsi que le rôle prépondérant dans le développement du tableau clinique des douleurs persistantes au côté droi
ues (allorythmie et ary- thmie). Dans l'ensemble des symptômes du tableau clinique, avant le traitement, les phénomènes p
même d'oedème au haut de l'endroit comprimé. Dans l'évolution du tableau clinique après le traitement, en dehors de la p
u malade,qui, découragé, quitte l'Hôpital. Si nous considérons le tableau de la réapparition progressive des symp- tômes
lysie. L'ensemble des symptômes indiqués formant progressivement un tableau clinique en tout pareil au cours de la maladie
i les douleurs ont joué un rôle secondaire dans le développement du tableau clinique et dans le cours de la maladie, pourquoi
et des fèces. Tel est dans les termes généraux le développement du tableau clinique d'une maladie de la moelle, par laquel
ans notre cas, à rencontre et de la chronologie des accidents et du tableau cli- nique des phénomènes morbides. Aussi adm
ies, il fautbien caractériser les myoclonies, en leur attribuant un tableau syptomatologique qui puisse leur donner une aut
ervations (Bouveret et Devic, Massa- longo, etc.) ont pu établir le tableau symptoinatologique que les traités reproduisent
zeet la cho- rée fibrillaire de Morvan, qui s'identifient par leurs tableaux symptoma- toloiques, représentent ce premier ty
r établir sur des bases sûres cette orientation. Diagnostic. Le tableau symptomatologique des myoclonies étant exposé, le
st à ce jour ; il l'a vu vieillir sans changement no- table dans le tableau clinique. Antécédents. - Nous tenons les rensei
té de ces formes typiques, il y en a d'autres déjà décrites dont le tableau clinique est beaucoup moins complet et caractéris
une forme légère, de laquelle on pourra aisément passer à d'autres tableaux cliniques, où les signes d'achondroplasie sont
sées, à la microsomie essentielle et à l'individu normal. Dans le tableau ci-dessous j'ai comparé certaines données de l'ho
jours très marquée. Enfin, à mesure que l'on continue la lecture du tableau , on note combien les données s'éloignent peu il
ment par lui, était aphone et avait un spasme de la phonation. Le tableau clinique ne pourrait donc être plus ressemblant à
identité des symptômes que nous nommons bulbaires, tout le reste du tableau cli- nique de mon cas se détache complètement d
n'est pas non plus, une paralysie d'origine cérébrale corticale. Le tableau clinique qu'a tracé des paralysies corticales d
fût trouvée. Le 21 mai mort subite du malade. L'autopsie a donné le tableau suivant (2) : La dure-mère est très tendue, la
tion de cause à effet entre la durée de la maladie d'une part et le tableau anatomo-pathologique que présente la moelle dor
BATTU ET GUA VIER les résultats suivants que nous comparons dans le tableau ci-joint avec les chiffres que nous aurions dû
'hypophyse, etvien- nent, ainsi que l'a montré Meige, surcharger le tableau du gigantisme eunuchoïde. Par contre, les seu
- tisme eunuchoïde que nous avons étudié, nous pourrions dresser le tableau suivant : ' 1° En premier lieu nous avons l'h
s glandu- laires, mais il convient de ne pas les comprendre dans le tableau de l'eu- nuchisme. 5° Une autre éventualité,
des à sécrétion in- terne.vient apporter une note particulière à ce tableau . Les types alors réalisés peuvent varier à l'in
moins mani- feste ou même d'une guérison. Nous y pouvons ajouter le tableau suivant qui contient des cas chez lesquels on a
rémités inférieures, et sur ce point j'ai noté ce qui suit (voir le tableau ) : Les parents du malade sont tous les deux viv
es pour la première fois, cinq ans après le début des accidents, le tableau clinique était celui de l'aphasie motrice de Br
ndrome asthénie, s'associer à d'au- tres états morbides, créant des tableaux cliniques complexes. Voici un exemple d'byperst
assez justement sa tante. Seule la mas- turbation s'est ajoutée au tableau clinique vers l'âge de 8 à 10 ans. Durant des h
joyeuse : il danse, saute, rit, chante, crie, se masturbe, etc. Le tableau clinique surajouté à l'idiotie est uniquement c
be). Enfin, nous ne trouvons aucune trace de rétention urémique. Le tableau des analyses d'urine montre que l'élimination d'u
espaces périvasculaires et au niveau de la pie- mère. Pour finir le tableau nous ajouterons qu'on rencontre dans les méning
gen- tiane et le violet de méthyle. Nous avons devant les yeux le tableau d'un lissu ]I/'otoplaslItÏr¡lle, réti- culé, co
inué mais a servi a aug- menter les corps cellulaires. Cependant le tableau général du gliaspon- gium modifié n'est pas le
vrogliques changent un peu de place, ne modifiant que faiblement le tableau normal de disposition, ici le tableau typique d
e modifiant que faiblement le tableau normal de disposition, ici le tableau typique de la structure de la périphérie de l'é
à la formation du réseau fibrillaire. Ainsi nous avons examiné deux tableaux pathologiques du tissu névro- glique ayant des
On peut voir sur la figure 7 (PI. 1,Xlll) l'aspect que présente le tableau complet de réseaux conjonclifs fibrillaires pro
e tuyaux, ce sont les bourgeons latéraux. En passant en revue les tableaux de tissu conjonctif que nous avons examinés, no
collagènes dont elle forme la continuation. Pour finir, revenons au tableau clinique du cas donné el prononçons nous sur l'
bral en général, jouent à ce qui parait non le dernier rôle dans le tableau clinique de la démence précoce. Même le grossis
ssé un arbre généalogique : xxVi .il) 446 6 KLIPPEL ET FELSTEIN TABLEAU GÉNÉALOGIQUE Arrière-grands-pères inconnus. N
oit de la voûte. Semblable constatation est tout à fait conforme au tableau ordinaire de la maladie de Paget qui, comme on
eurs membres de la famille, pareillement congénital chez tous (voir tableau généalogique). Il me semble superflu maintenant
enir les organes génitaux de ce genre de malades. 482 BOCKS i TABLEAU CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX (Hôp
laire. Les signes de localisation de la lésion manquent parfois, le tableau cli- nique indiquant une diffusion du procès mo
du liquide céphato-rachidien dans les néo- plasmes rachidiens. Le tableau clinique du quatrième malade n'indique nullement
31 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
monoplégies pures et des monoplégies associées dont ils donnent le tableau suivant : MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE
ganiques qui en sont la conséquence offrent, nous l'a- vons dit, un tableau clinique très différent. Les unes en effet, celle
ux lésions d'origine vasculaire. Rien de tout cela n'existe dans le tableau symptomatique des lésions d'origine méningée ;
une du Bar, chef-lieu de canton, à 9 kilomètres de Grasse, un vieux tableau peint à l'huile sur bois et re- présentant une
r sa tête un petit diable semblable à ceux qu'on voit fuir dans les tableaux représentant des scènes d'exorcisme. Suivant un
A. L. Sardou a donné une excellente description de cet intéressant tableau , et les détails qui suivent sont en grande partie
ur le dos et un grand diable cueille son âme. ' Au coin gauche du tableau , un autre diable tient par les pieds une âme co
ène que nous venons de décrire n'occupe que la partie supérieure du tableau , dont les deux tiers inférieurs environ sont occu
esseur Charles VIII permettent de fixer assez exactement la date du tableau qui peut être attribué à la fin du XVe siècle;
nt pour cause l'affaiblissement du muscle orbitaire inférieur. Le tableau bien connu de Kaulbach, « Narrertlactus » où les
paupière supérieure et du muscle orbitaire inférieur) pro- duit le tableau typique d'un regard éteint (figures et 7), c'est
pouvons constater cette expression dans le regard du philosophe du tableau de Kaulbach. Le troisième indice de la démence
igure 5 et aussi très distinctement' chez le personnage couronné du tableau de Kaulbach. Cela tient, à ce qu'il parait, à c
que cérébrale localisée a la base principalement. Mais voici que le tableau clinique se transforme, et que la maladie entre d
re relative- ment bénins, disparaître sans laisser de traces; et le tableau clinique se rapporter à un moment donné, à une
r beau livre sur les Démoniaques dans l'art, une gravure d'après un tableau de Rubens représentant St François de Paule le mo
Ilasselt, Bruxel- les, 1840, sous le numéro 495, l'indication d'un tableau représentant St Fraraçois montant au ciel avec
i qu'il en soit, nous n'avons trouvé aucune autre indication sur le tableau de Rubens lequel peut-être n'existe plus. » M
ravure du Louvre signalée par MM. Charcot et P. Richer, l'autre, un tableau appartenant à M. Tou- douze. Ce tableau comme l
t et P. Richer, l'autre, un tableau appartenant à M. Tou- douze. Ce tableau comme la gravure du Louvre représente St François
uvre n'a pu être exécutée sur le (1) Gilles de la Tourette : Sur un tableau perdu de Rubens représentant la guérison de « p
. 1 -. . ? 0. -. 1. - ? SUR UNE ESQUISSE RETROUVÉE DE RUBENS 239 tableau de M. Toudouze ou mieux sur l'original de ce tabl
DE RUBENS 239 tableau de M. Toudouze ou mieux sur l'original de ce tableau . Il ajoute que Rubens a probablement fait deux
ssédée et conclut : « les rap.' prochements que nous avons faits du tableau appartenant à M. Toudouze avec la gravure du Lo
la gravure du Louvre ne nous donnent aucun indice pour retrouver le tableau jJ1'Ùnitif aujounl' hui égaré. Ils nous permettra
e, dans les deux oeuvres, quelques traits communs; le groupe (t1 Ce tableau se trouve dans le cabinet XII, à contre-jour, dan
existent entre ces deux compositions. Un peintre qui veut faire un tableau commence d'ordinaire par en brosser un certain no
ant au fond, variables quant à la forme. Ru- bens, voulant faire un tableau représentant S. François de Paule guérissant de
édés, a dû en faire plusieurs esquisses. Mais Rubens a-t-il fait ce tableau ? Nous l'ignorons. Dans tous les cas, ce n'est pa
expliquerait pas les différences de ces trois oeuvres. Si ces trois tableaux ont été peints, on doit jusqu'à nouvel ordre le
oeil pénétrant, auquel rien n'échappait, découvrait un ex-voto, un tableau qui lui permettait d'écrire avec notre ami Paul
ompagne dans la règle d'impuissance sexuelle. Tel esten résumé le tableau clinique de la paralysie spinale syphilitique d
les. La suivante, par exemple, réalise dans ses moindres détails le tableau de la paralysie spinale syphilitique telle que Er
nous contenterons de prouver, par une observation nouvelle, que le tableau clinique de la paraplégie sy- philitique de Erb
e où nous avons pu observer le malade, nous avions sous les yeux un tableau clinique très analogue à celui du tabès dorsal
xagération notable des réflexes aux membres supérieurs ; en un mot, tableau du labes dorsal spasmodique. Dans les yeux : abol
dre d'évolution des différents symptômes n'est pas changé ; mais le tableau clinique est singu- lièrement plus accentué. Le
mais sans paralysie à proprement parler (1). Ces variantes dans le tableau clinique sont évidemment en relation avec l'étend
nheim (2), un autre à Brasch (3), deux à Eisenlohr (4). Bien que le tableau clinique, dans ces cas, ait rappelé à s'y mépre
tive- ment écarté. Il est hors de doute que ces particularités du tableau clinique tiennent à la localisation fortuite de
le publie maintenant, sans atten- dre le développement ultérieur du tableau général de la maladie, l'affec- tion morbide qu
s, comme l'effet clinique général d'une seule et même maladie. Le tableau symptomatique des changements somatiques a présen
rendra. L'examen clinique des cas analogues et l'étude attentive du tableau symp- tomatique des troubles trophiques qui s'o
32 (1903) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1902
leçons de choses, soit à l'école, soit dans les jardins (avec le tableau roulant), soit au Musée scolaire, soit aux atel
donnons nous-même. Nous leur faisons en même temps reconnaître au tableau noir ou sur nos feuilles impri- (1) Tous ces ex
leçons; après cette opération cha- que enfant, à son tour, passe au tableau et remplit la portée de notes et de silences, a
, rectifie les fautes et en donne la raison. L'élève en quittant le tableau devienl il son tour moni teur de l'élève qui lu
-Ce musée s'est notablement enrichi en 1902, ainsi que le montre le tableau suivant. Enseignement professionnel. \LVII ph
re pour la bonne direction morale qu'ils savent leur imprimer. Le tableau suivant met en évidence les résultats 'obtenus
t atteints de maladie de Utile; enfin 13 étaient athétosiques. Le tableau suivant résume le mouvement de la population en
Décès. Les décès ont été au nombre de 21 durant l'année 1902. Le tableau des pages LVII à Lxm fournit les renseignements
ur famille, guéris ou améliorés ou sur la demande de celle-ci. Le tableau cle la page LXIII à lxix indique les motifs de
tuellement plus tran- quille, prend plaisir à placer les'lettres au tableau et cela d'une façon intelligente. L'enfant est
t marquer ; 15 savent faire de la tapisserie; 5 savent tricoter. Le tableau suivant donne mois par mois le nombre des appre
s publiés en Angleterre et aux États-Unis surtout, d'en donner un tableau clinique sommaire dans le Traité de médecine de
service, le malade a plutôt une tem- pérature un peu basse (Voir le tableau ). Dans ses urines ni sucre, ni albumine. Il pès
t pendant les mois de février et mars, comme on peut le voir sur le tableau de la page ! i3 ; mais les vertiges qui n'avaie
mpérature à l'entrée Fracture DE l'atlas; écrasement DU BULBE. 43 Tableau des accès et des vertiges. 44 " " Appendice ano
s de 1902 (89 gar- çons et 47 filles), soit un total de 2.846. Le tableau suivant résumé la situation des pères et mères
idotie et de l'épilepsie. Action DE L'ACOOLISME sur l'idiotie. 49 Tableau statistique sur l'alcoolisme. 50 Action DE l'al
ence à lacer ses souliers et â placer exactement les cartons sur le tableau de couleur, à exécuter les premiers mouvements
, ici, était compliquée de nanisme avec infan- tilisme. L'examen du tableau de la faille, prise deux fois par an, de 1890 à
ns le service, autrefois, deviennent de plus en plus rares'. ' Le tableau des mensurations de la tête, offre quelques diffé
elligence : assez ouver- te. Parole : normale, lit et écrit bien. Tableau du poids et de la taille. Marche de L'f· : PILI
s différentes professions insalubres exer- cées par les parents. Le tableau suivant complète notre ancienne statistique.
une addition, une sous- traction, une multiplication,.posées sur le tableau noir ; elle nous appelle par nos noms lorsqu'el
s déjà essayé de tra- IDIOTIE VIÉNINGO-ENCÉPHALITIQUE. 231 cer le tableau clinique de cette forme d'idiotie. Cette tâche
sphère droit. Face externe. Les circonvolutions (1) On trouvera les tableaux de la T. à l'entrée, du poids et de la taille, de
âle, mais la phy- sionomie est grimaçante. Poids après décès 9 k. Tableau du poids et de la taille. 258 Atrophie CÉRÉBELL
as plus qu'en 1900, d'autre exemple de cette affection familiale. Tableau des Températures. Nanisme et infantilisme. 261
par la cachexie arrivée à un degré véritablement squelettique. Le tableau ci-dessus permet d'apprécier la marche de l'hyp
sept cas nouveaux, que nous réindiquons avec 12 cas récents dans le tableau suivant. Dans quelques-uns des cas d'hypother
res cérébraux et cérébelleux ; -, l'An nOUI\ : \'E\"'LLI,. . Le tableau qui suit résume les cas dans lesquels nous avon
joint les pesées des hémisphères cérébelleux. Pour être complet, ce tableau devrait comprendre le poids du cerveau et du ce
33 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
ption qui en fut faite, de nombreux types sont t venus s'ajouter au tableau primordial, réunis ou séparés, suivant les au-
gmus qui ne s'observe pas dans le regard vers le haut. Tel est le tableau clinique de Louise V... Vous avez pu remarquer
de la parole, le nystagmus, en un mot un grand nombre d'éléments du tableau symptomatique pouvaient être invoqués en faveur
durer de quelques semaines à plusieurs années (V. pour le tabes le tableau de Spillmann et Parisot (4), durée qui n'est pas
après avoir accompli sa tâche, terminé sa carrière, voilà certes un tableau qu'on n'est guère habitué à observer dans les scl
un coup de foudre pendant le décours de la maladie, qui a donné le tableau d'une paraplégie flasque complète, a finalement e
d'après Broca de ·10 ? d'après Topinard de 109. En consultant le tableau suivant : DÉFORMATIONS SÉNILES DU SQUELETTE SIM
dans tous les cas de ramollissement osseux chez les vieillards, le tableau symptomatique de l'ostéomalacie des adultes : dou
ou moins durable, sans étiologie occasionnelle saisissable, dans le tableau clinique des démences organiques. Ces deux séri
: si bien que s'effacèrent chez elle progressivement les trails du tableau clinique. Aujourd'hui, la malade, absolument dé
le. J'ai indiqué ailleurs (1) les différents aspects que confère au tableau clinique des démences en général, la combinaiso
la règle, il dé- barrassait les possédés du démon. Un assez mauvais tableau , conservé dans l'église de Saint-Menoux, représ
LAIGNEL-LAVASTINE. Dans des oeuvres d'art très complexes, dans des tableaux qui procurent à qui les regarde et les regarde
tif espagnol représentant une Adoration des Mages (PI.XVII). Sur ce tableau un des rois, agenouillé prend dans sa main droi
s peintres ne les aient pas reproduits ; néanmoins ce geste dans le tableau de Burgos a des carac- tères tels qu'on peut y
rtout dans celles des primitifs. Parmi les primitifs flamands, deux tableaux de Memling, l'un à l'hô- pital St-Jean, à Bruge
rd externe du pied droit. L'extension du gros orteil gauche dans le tableau de l'hôpital St-Jean s'explique physiologiqueme
nservée dans le tryptique, que parce qu'il n'est qu'une réplique du tableau de l'hôpital. Celui-ci, plus près de la nature, v
re, vien- drait le premier en date ; l'autre serait postérieur ; le tableau de l'hôpital aurait servi à l'exécution du tryp
es Offices, dans un An- giolo Gaddi, également des Offices, dans un tableau du XIV' siècle, de la villa San Donato près Flo
sion volontaire, comme beaucoup de ceux que nous avons vus dans les tableaux des italiens de la Renaissance. Ces extensions
t de faire entrer ce malade, Henri R..., je vous prie d'examiner le tableau généalogique que j'ai fait tracer. Nous avons pu
e la colonne vertébrale. Pour résumer, je peux ainsi synthétiser le tableau clinique de ce ma- lade. Désordres de la marc
llement progressive, mais peut présenter des rémissions. » Or, ce tableau clinique n'est pas, vous le voyez, Messieurs, dir
arke. Le sixième malade de Sanger-Brown se rapportait fidèlement au tableau de l'hérédo-ataxie cérébelleuse ; notamment, il
e famaliale dutypeFriedreich au point de vue clinique, réalisant le tableau morbide de cette affection dans sa presque absolu
néoplasme. D'accord avec cela absence de démence prononcée dans le tableau clinique. OSERVATION IV. K... Fritz est né en 1
nd, de Einsenlohr, etc.). Enfin, chaque fois que pendant la vie, le tableau clinique fut dominé par les paralysies oculaire
CAPSULES SURRÉNALES PAR GILBERT BALLET et LAIGNEL-LAVASTINE. Le tableau clinique de l'acromégalie est aujourd'hui bien fi
les données des traités de diagnostic nous avons marqué d'un nom le tableau symptomatique qu'il présente, nous avons fait b
e d'Argyll-Robertson est à son tour manifeste et vient compléter le tableau cli- nique du tabes. L'ataxie est très prononcé
ir, bien qu'il nous ait paru utile cependant de réunir dans un même tableau d'ensemble les différentes observations déjà pa
mble les différentes observations déjà parues. Comme le montre ce tableau , ce sont MM. P. Marie et Sainton les pre- miers
r aplasie claviculaire ; nos observations ainsi que celles de notre tableau montrent que les sujets peuvent être très vigoure
es enfants et de leur persistance chez l'adulte : l'examen de notre tableau montre qu'il en existe actuellement beaucoup plus
ous les sujets sont de petite taille ; il suffit de parcourir notre tableau et nos observations pour s'en convaincre. Ils peu
et la pathogénie de la dysostose cléido-crânienne hérédi- taire. TABLEAU COMPARATIF DES OBSERVATIONS DÉJÀ' PUBLIÉES DE
(PI.XLV-D). Ce sont là deux phénomènes importants qui complètent le tableau anatomo-pathologique. Mais à ce moment, la moel
ffection dont souffrait également une autre soeur qui est morte. Le tableau clinique présenté par ces malades ne se couvre ex
ypes des formes inter- médiaires qui conduisent insensiblement d'un tableau morbide à l'autre. OBSERVATIONS Famille H....
existe des mouvements spontanés des yeux. 15 décembre 1904. Même tableau . Etat actuel, 26 février 1905. Le malade ne se
dans le caractère ouvrirent la scène. Avant d'essayer de ranger le tableau offert par ces malades dans l'une ou l'autre de
agitation. En terminant nous insisterons sur les signes négatifs du tableau cli- nique, c'est-à-dire sur l'absence du nysta
el évoquer l'idée d'une sclérose en pla ques familiale ou plutôt du tableau clinique que MM. Cestan et Guillain ont essayé
plégie spasmodique familiale. C'est avec ce dernier syndrome que le tableau clinique de Henri et de Jeanne II... a le plus
s nous demander maintenant à quelle lésion anatomique correspond ce tableau clinique. Ici, le souvenir du tabes dorsal spasmo
tremblement peut faire penser à une affection 'spasmodique. ' Le tableau clinique présenté par nos malades, tout en se sup
plaques vraie constituent une rareté. Dans d'autres observations le tableau n'est plus aussi voisin de celui de la sclérose
e maladie familiale à forme de sclérose en plaques, qui rappelle un tableau anatomique trop précis, sans être absolument ex
é de la parole), qui disparaissent pour ne laisser subsister que le tableau de la spasticité seule. Il en a été ainsi pour
e contractures, dont Souques, dans le Manuel de médecine retrace le tableau en nous décrivant « un état du système neuro-mu
e mobilité de quelque étendue : la région lombaire. D'où résulte un tableau symptomatique spécial, celui de la scoliose hys
lement par un mélange d'asthénie et de contracture mus- culaire. Le tableau , en tout cas, ne nous parait pas être celui de l'
de reconnaître les lésions sura- joutées qui compliquent parfois le tableau clinique et seraient susceptibles de dérouter u
s les os de la voûte du crâne. III FORMES ET COMPLICATIONS Le tableau que nous avons donné plus haut est celui de l'ach
ie et la dysplasie périostale, nous donnons ci-contre sous forme de tableau les caractères principaux de ces trois dystrophie
intra-utérin. Ces derniers, il est vrai, se dis- tinguaient par un tableau clinique généralement incomplet et des caractères
à être vérifié histologique- 1 ment qu'il ne donne pas toujours le tableau clinique classique et peut entraîner, } en part
ongénitale. La bilatéralité fréquente du phénomène [30 0/0 dans les tableaux de Lataois et 12tss (67), 35,7 0/0 dans la stat
e cas une lésion à localisation multiple réalisant au même temps le tableau auatomo-pathologique de la sclérose en plaque (
ite foetale se traduit par des signes indiscutables. Sans doute, le tableau clinique n'est pas complet; certains signes font
olmar (PI. LXV). L'église est dédiée à saint Pantaléon, médecin. Le tableau « représente le saint parcourant la province, s
glise a été reconstruite en pierre rouge de Sa.verne en 9Q75), deux tableaux représentant le saint entouré de malades. Sur les
du saint ne reçoit plus les mêmes honneurs. 11 a fallu peut-être le tableau de M. Feuerstein pour rappeler aux vignerons de
vait autrefois pratiqué de fa- çon éclatante l'art d'Esculape. Le tableau représentant Saint Pantaléon guérissant les malad
position, et peut-être la Nouvelle Pinacothèque a-t-elle disputé ce tableau à l'église alsacienne ? Mais je peux affirmer
iqué par un serpent. « Pour le reste, ajoute-t-il, j'ai composé mon tableau , avec le seul souci de l'harmonie des lignes et d
des exposés. J'ai cru bon cependant de faire connaître, à propos du tableau de M. Feuerstein, la vie et la légende d'un sai
verts d'exostoses. Lejars (15) a résumé ce cas pathologique dans le tableau suivant. 632 LAUNOIS ET TRÉMOLIÈRES Dans un a
NGÉNITALE ET HÉRÉDITAIRE (I) PAR J. CHAILLOUS et P. PAGNIEZ. Le tableau clinique de l'ophtalmoplégie congénitale est aujo
voisinage, ni aucune déformation bien accentuée. Il compléterait le tableau anatomo- pathologique de la méningite foetate e
de Madrid, M. le Dl' Laignel-Lavastine appelait l'attention sur un tableau du musée du Prado, Les Sorciers (1). · Goya s
ues et les proverbes. C'est à la fin de ceux-ci qu'on rencontre nos tableaux presque entiè- rement hallucinatoires avec des
34 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
es. LA SYPHILIS DANS L'ART (Llligllel-Lml(fStiue) Les Sorciers, tableau de Goya, Musée du Prado, à M.1driJ, LA SYPHILIS
driJ, LA SYPHILIS DANS L'ART, PAR R M. LAIGNEL-LAVASTINE. Les tableaux qui représentent des syphilitiques ne paraissent
ussi avons-nous cru intéressant de signaler et de reproduire ici un tableau célèbre de Goya où l'on voit une figure qui pré-
ique, décrite par M. Fournier sous le nom de nez en lorgnette. Ce tableau (n° 2571 du musée du Prado), grande toile largeme
chromate d'argent des tu- bercules quadrijumeaux, donna en somme un tableau identique : sur toutes (1) Stéfanovska, Localis
un ensemble symptomatique présentant plus d'un trait commun avec le tableau clinique des états démentiels or- ganiques. Nou
(2) Il Yoliclinico, 15 juillet 1897. 120 CORNU présente avec le tableau clinique de la paralysie générale progressive, il
lleurs dans certains asiles est totalement inventé et n'existe pas. TABLEAU I. - Proportion entre la population et les travai
que aiguë et des troubles de la vie végétative. z - 144 BIANCHINI TABLEAU III. - Proportion entre les formes cliniques tota
totales et les travailleurs. ERGOTHÉRAPIE ET PSYCHOTHÉRAPIE 145 TABLEAU V. Femmes. Proportion entre les formes cliniques
n entre les formes cliniques et les travailleurs. 146 BIANCHINI TABLEAU VII. Hommes travailleurs qui ont conservé ou quit
7 7 tia, elle rentrent pour ce qui regarde leur traitement, dans le tableau des psychoses aiguës. - Quant à l'alcoolisme,
itées par, vieillesse ou parce qu'elles sont idiotes et sales. .. TABLEAU VIII. - Proportion entre les admissions, démissio
dans un asile d'aliénés, se terminent par la guérison définitive. TABLEAU IX. - Statistique de la mortalité en 1892-1897
; la torsion latérale de la tête ne se reverra que chez l'enfant du tableau du Dominiquin à Grotta- Ferrata, et dans la tra
vrant complètement le sein. Nous retrouvons aussi ce geste dans les tableaux de Rubens par exemple, dans la transfiguration
sque de Pascal, Unbusted'Evê- que guérissant les écrouelles, Sur un tableau perdu de Ilubens représentant la guérison de po
'Erb, a toujours été signalée dans la plupart des cas publiés. Un tableau ainsi complet de la maladie, observée déjà en son
nt aplatie d'avant en arrière. Nous nous permettons de présenter un tableau , dans lequel nous donnons à côté des chiffres n
du passé. ) Dans l'église paroissiale d'Echternach se trouve un tableau , restauré dans ces dernières années, mais qui r
scènes identiques. (1) Il existait, paraît-il, autrefois, un autre tableau représentant trois souverains venus en pèlerina
II. Pl. YLIV LA PROCESSION DANSANTE D'ECHTERNACH (Henry Meige.) Tableau représentant Saint Willibrord et le pélerinage d'
ens, les muscles innervés par le facial n'interve- naient pas. Le tableau clinique présenté par notre malade ne saurait êtr
antage. D'autre côté l'athéromasie ordinaire ne corres- pond pas au tableau histo-pathologique que nous venons de faire ci-de
Exposition des Primitifs Français). (J. Genévrier). ; . SUR DEUX TABLEAUX , DE L'EXPOSITION DES PRIMITIFS FRANÇAIS, PAR
uvres de nos Primitifs Français, nous reproduisons aujourd'hui deux tableaux que ces divers auteurs n'ont pas signalés. Chac
tableaux que ces divers auteurs n'ont pas signalés. Chacun de ces tableaux présente quelque intérêt au point de vue mé- di
des Alpes, les Ghirlandajo ou les Bot- ticelli ! 1 Le premier des tableaux que nous reproduisons est de Jean Fouquet, « no
(Exposition des Primitifs Français). (f. Gel1C7 ? icr)- SUR DEUX TABLEAUX DE L'EXPOSITION DES PRIMITIFS FRANÇAIS 407 Fabr
ée. Elle est de l'Ecole de Provence, et à peu près contemporaine du tableau de Fouquet (PI. LVII). or De chaque côté de l
le donne assez souvent, à la suite d'un simple étour- dissement, ce tableau d'une aphasie qui n'est que passagère, surtout si
vous. Voyez ce premier malade que je fais écrire devant vous sur le tableau . C'est un paralytique général' qui en est actue
ces coupes ont été dessinées au même grossissement (Voir les trois tableaux 1, 2, 3). xvn 20 442 2 L8111 ET WILSON TABL
oir les trois tableaux 1, 2, 3). xvn 20 442 2 L8111 ET WILSON TABLEAU 1 POLIOMYÉLITE ANTÉRIEURE AIGUË DE L'ADULTE 443
ANTÉRIEURE AIGUË DE L'ADULTE 443 ÏAHLEAU2 2 444 LÉRI ET WILSON Tableau 3 NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T.
hode d'éle- vage du cheval. xvn a-2 IL DENTISTA (LE DENTISTE) TABLEAU DE ANDREA CEFALY, PAR R MARCO LEVI BIANCHINI
des aliénés de la province de Catanz.ro. à Girifalco (Italie). Ce tableau date de 1875 (PI. LXIV). Ce n'est donc pas le d
nt plus supportables. Le peintre a reproduit dans un des plus beaux tableaux modernes qui aient rapport à la médecine, un mo
Iconographie de la SALPÊTRIÈRE. T. XVII. Pl. 1-XIV LE DENTISTE Tableau d'ANDREA CEI--ALY (rt\7j) (M. L. Bianchini) M
rofond naturalisme qui ressort de tout l'ensemble, font de ce petit tableau (1 m2 à peu près) un véritable chef-d'oeuvre dont
tion artistique. Ce n'est pas le cas d'analyser ici la technique du tableau ; je veux seu- lement- observer qu'elle est par
lorieuse de la guerre pour l'indépendance ; dans celle-ci, tous les tableaux sont inspirés par Nouvelle Iconographie DE la S
mmencé. L'aveugle occupe la partie latérale et inférieure droite du tableau , qui a une forme géométrique circulaire, encadr
qui commandèrent la tapisserie. Nous y reviendrons plus loin. Le tableau central a comme figure de milieu le Christ, vivem
des; cette exhibition ne laissait pas de paraître choquante dans un tableau religieux, et l'on sait que les maladies et les d
s inférieurs ». - A l'Académie des Beaux-Arts de Vienne, j'ai vu un tableau de l'Ecole Vénitienne du xvie siècle intitulé :
iser davantage le diagnostic. ' Tout le monde connaît l'admirable tableau de Gérard Dow; qui se' trouve au Louvre, La fem
dème compliqué de purpura (2 pl.), par L. Trepsat, 193. Dentiste, tableau d'ANDRÉA. Cefaly (i pi.), par LI3VI-BIANCHINI,
hogénie de la) (4 pl., 12 fig.), par A. Thomas et G. Hauser, 376. Tableaux de l'exposition des primitifs français (2 pl.),
ance tar- dive, diabète (1 planche), 175. Bianchini. Le dentiste, tableau d'Andréa Cefaly (1 planche), 490. Bianchini (
moteurs chez une hystérique (3 figures), 459. Genévrier. Sur deux tableaux de l'expo- sition des primitifs français (2 pla
écoce catatonique dermogra- phisme (L. TasrsAT), XXVII. Dentiste, tableau d'Andréa Céfaly (M.Lévi- ]31ANciii,Ni), LXIV.
35 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s rémissions (64 p. 100) et les mixtes calmes (G0 p 100). Avec le tableau suivant nous-aurons l'influence que peut exerce
surtout dans la paralysie générale de l'âge moyen; en effet, notre tableau semble bien indiquer que la normalité croît d'a
après cinquante ans. De même, on constate très nettement dans notre tableau que l'altération en plus croît, elle aussi, par
ansformations de la personnalité chez nos paralytiques généraux. Le tableau sui- vant nous l'apprendra : 16 CLINIQUE MENT
exceptionnel il existe un rap- port quelconque. Or nous obtenons le tableau qui suit, fourni par 144 constatations dans les
ens génital, le sens algésique étant altéré, cas qui fournissent le tableau suivant : 18 CLINIQUE MENTALE. les ont viveme
t très variable à ces deux phases initiales selon les individus. Le tableau suivant basé sur 1.495 constatations est fort i
e sur les altérations du sens génital. A cet égard nous obtenons le tableau suivant : DU SENS GENITAL DANS LA PARALYSIE GEN
l'hystérie chez l'enfant, on l'a rencontrée très couramment, et le tableau statistique dressé déjà par Clopatt en '1888 po
hallucinations sont' extrêmement intenses. Dans ces conditions, le tableau que nous présente la malade est absolument diff
ées et dans les- actes. 216 6 PSYCHOLOGIE MORBIDE. V . / Ce tableau nous semble intéressant pour la psychiatrie exp
nous sont parfaitement connues. Dans quel cadre clinique placer ce tableau symptomatique ? Ce cas de psy- chiatrie expérim
mment compte que de l'aspect symptomatique. Ce qui caractérise ce tableau symptomatique, c'est en résumé l'état de distra
nt la dépendance des hallucinalions. Il ne s'agit évidemment pas du tableau de la manie vraie. Le diagnostic symptomatique
'il s'agit d'idées de persécution ; la malade a devant ses yeux des tableaux effrayants auxquels elle réagit automatiquement
our un certain temps dans un monde fictif encore tout impreigné des tableaux dont l'avaient peuplé tant d'hallucinations. Le
ences, au nombre de 1000, résumées par des chiffres disposés en des tableaux , il résulte que l'pmmagasi- nement des sensatio
me un syn- drome dû à des phénomènes toxi-infectieux. Clinique. - Tableau filmique. Le délire aigu peut être primi- tif,
de l'ijasio7d'une-vésanic : - . SOCIÉTÉS SAVANTES. 251 D'après le tableau clinique, M. Carrier reconnaît deux formes au d
nt, et le malade succombe dans le marasme. On ne peut nier que ce tableau ne se rapproche ''de celui qu'offrent tous les
aire aigu, la granulie, dans les septicémies ressemblent aux divers tableaux que l'on a donnés sous le nom de délire aigu. S
té et conduit dans une maison de santé. L'alcoolisme A VIENNE. Le tableau suivant donne une idée du nombre de malades alc
es. Elles semblent quelquefois prendre une place importante dans le tableau clinique de la maladie, tandis que les manifest
rfaite dans l'intervalle des attaques rendent très caractérisque le tableau clinique. L'examen d'une parcelle de muscle, pr
90, jusqu'au 31 décembre 1900, soit un total de 2.554 entrées. Le tableau statistique ci-après résume nos constatations sur
voquer l'action des professions insalubres. Nous avons dressé des tableaux comprenant : le nom des enfants, les profession
ons insalubres, alcoolisme et syphilis. Nous ne vous lirons pas ces tableaux , nous ne demandons pas non plus leur reproducti
nc de céruse. (Progrès il- 10 de 1901, p. 1G3.) z On trouvera ces tableaux dans le Compte rendu de notre service pour 1900
be finale muette; ainsi Lemait..., qui dit : très bien blanc, bleu, tableau , dira : « ta » pour table « por » porte; de même
aces de sa chambre, etc. En un mot, il réalise de façon complète le tableau clinique de la Catatonie de Kahlbaum. La natu
fois à l'individu et à sa descendance. Les hygiénistes ont fait des tableaux plutôt sombres de l'alcoolisme et du tabagisme,;
des tableaux plutôt sombres de l'alcoolisme et du tabagisme,; ces tableaux ont peu impressionné la foule qui continue à bo
ortion de 20,96 p. 100 et ils ont groupé leurs observations dans le tableau suivant d'autant plus intéressant à reproduire
érie, t. XII. 25 386 . CLINIQUE MENTALE. Voici ce très instructif tableau : RÉACTIONS DE LA PEAU CHEZ LES ALIÉNÉS. 387
que nous avons examinés la première fois en hiver. On voit dans les tableaux qui sui- vent que parmi les sujets qui n'avaien
s que nous avons relevées : 392 . CLINIQUE MENTALE. - Mais si ces tableaux nous permettent d'apprécier les varia- tions ap
es 14 aliénés et ne tabler que sur 312 cas. Ils nous fournissent le tableau suivant : RÉACTIONS DE LA PEAU CHEZ LES ALIÉNÉS
dermographies chez nos aliénés que M. Féré chez les siens. Dans le tableau de cet aliéniste reproduit plus haut, la propor
ne trouverait certainement pas chez le sain d'esprit. Enfin notre tableau établit que quand l'altération en plus alterne
t les ivrognes ont depuis cette époque un médecin spécial. Voici le tableau que fournissent nos 3112 sujets. Mal- heureusem
minations de dégénérés, délirants et mélancoliques. Si, d'après son tableau nous faisons la somme de ces trois catégories d
ien plus souvent dans l'hystérie que dans l'épilepsie puisque notre tableau donne en faveur de la première une différence d
ons trouvé aucun cas de dermographie, ils ne figurent pas dans le tableau de MM. Féré et Lance. ' Les hystériques qui ont
concernant sa spécialité. L'annuaire de 1901 contient notamment le tableau d'avancement du personnel médical des Asiles pu
typies dyspraxiq2tes. Pour exposer ses observations, il dresse le tableau suivant : -. . CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES STÉRÉ
re de la folie et jusqu'à quel point elles suffisent à expliquer le tableau morbide. J. Les lésions Il ne s'agit ici que
r Bi- 1\ET-S11\GLL. (Journ. de Neurologie, 1901, n° 14.) Voici un tableau comparatif de l'état des réflexes chez 13 sujets
utique de certaines variétés de folie ? L'article donne en outre un tableau résumant les résultats con- signés dans 24 arti
les de divers auteurs empruntés à des périodiques anglais; un autre tableau analysant G1 cas, une feuille de poids et des h
s devoir signaler pour cette der- nière indication, et un troisième tableau enfin indiquant l'état du sang avant et après l
c'est que les troubles mentaux observés se rapprochent beaucoup du tableau que M. Chante- messe trace des troubles intelle
e nerveux. Les résultats obtenus par l'auteur sont présentés par le tableau suivant : FAITS DIVERS. 545 inutile- dans la
36 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome premier
ce genre, avec toute l'attention dont je suis capable, j'ai dressé le tableau des facultés instinctives, intellectuelles et mor
'encéphale avec le poids du corps, chez les poissons, résultent de ce tableau . Les proportions sont tellement variables que che
s différences suivant (i) V. Hollard, Précis d'anatomie comparée ou Tableau de l'organisa- qu'elles appartiennent aux gangl
nfiniment petits, toutes les chances d'erreur sont à considérer. Le tableau suivant indique le diamètre des fibres de l'en-
a moelle épinière et des nerfs de quelques poissons : j'ai disposé ce tableau suivant le volume des fibres nerveuses, en commen
xactement, Les pondérations dont les résultats sont consignés dans le tableau suivant, ont été faites par Caldesi (1), Cuvier (
u, parce que les parois en sont formées par un névrilème solide. Le tableau qu'on va lire fera bien ressortir toutes ces diff
s reptiles ne diffère pas en réalité de celui des poissons ; les deux tableaux (4) , commencent en effet par le même chiffre, 0l
e pleine du nerf crural. ........ 0,02 vrilème qui terminent chaque tableau , et pour le tableau concernant les reptiles, c'es
ral. ........ 0,02 vrilème qui terminent chaque tableau, et pour le tableau concernant les reptiles, c'est une fibre remplie
ner le poids de l'encéphale des oiseaux comparé au reste du corps. Le tableau suivant offre le résultat de quelques pondération
ce sujet quelques observations. Parmi les oiseaux mentionnés dans le tableau ci-dessus, il s'en trouve dont le tissu cellulair
........ 1,1 0,4 2,7^ 0,6 1,8 3 Moyenne........ 6,18 4,11 Dans ce tableau , les animaux sont classés d'après le Volume propo
upant l'oc cipital. Toutefois, en coordonnant les oiseaux portés au tableau , d'après le volume relatif de la moelle allongée,
et sont en tête de la liste, séparés cependant par l'oie. Dans un des tableaux suivans, qui a pour objet de déterminer quel est
ain nombre d'oiseaux; chez tous ceux dont il est fait mention dans le tableau suivant, excepté l'oie etles perroquets, la longu
précédemment prises, ainsi qu'on peut s'en assurer en consultant les tableaux publiés par les frères YVenasel, M. Serres et M.
velet et recouvrent les lobes optiques. Parmi les oiseaux inscrits au tableau qui précède, quelques-uns de ceux dont les lobes
s oiseaux. Les extrêmes sont moins éloignés l'un de l'autre dans le tableau suivant, qu'ils ne le sont chez les reptiles et c
elle on peut les aplatir et les distendre; les nerfs qui terminent le tableau étant pourvues de névrilème, sont peu extensibles
12 fois plus pesant que son encéphale. En jetant un coup-d'œil sur le tableau qui a fourni cette moyenne, on voit de suite qu'e
orable au plus grand nombre des oiseaux, car sur 37 oiseaux portés au tableau , il y en a 6 seulement placés au-dessus de la mo
rons maintenant les oiseaux les uns aux autres. Dans quelle partie du tableau trouverons-nous les oiseaux les plus inlelligens?
ge r( .',. 0) / /., page i34. iniers, parmi les oiseaux inscrits au tableau , seraient les mésanges, les derniers seraient l'a
ont à côté l'un de l'autre, et le geai vient après la pie. Des deux tableaux qui précèdent, on peut tirer celte conclusion, sa
donc le cerveau considéré dans son ensemble et dans ses parties. Le tableau indiquant le rapport (2) qui existe entre le dia-
ux d'une manière assez remarquable. La première chose à noter dans ce tableau , c'est que presque tous les oiseaux ont le diamèt
surtout avec celui de l'homme. Les perroquets sont placés en tête du tableau et groupés les uns^ près des autres; la chouette,
op éloignés du perroquet, les mésanges devraient se trouver au bas du tableau et non au-dessus du coq et de la pie. Le rappro
ro-postérieur, sera le même.Or, il faudra placer ensemble, d'après le tableau que j'ai dressé pour cet objet, le pic-vert et la
mètre antéro-postérieur, est plus long que chez les derniers. Si le tableau dressé par M. Lélut et dont on a vu plus haut le
, surtout à l'étal frais. Quoique le nombre des animaux inscrits au tableau qui va suivre, soit considérable, cependant je re
après le bœuf et le cheval. Le chien est dafts la dernière moitié du tableau , c'est-à-dire qu'il est un des moins bien partagé
Souris................... » » 2 Moyenne............. r à 5.91 Ce tableau rédigé d'après des observations recueillies les u
t aussi mal placé que la souris, animal dont le nom est le dernier du tableau . Quant à la moyenne, elle est de 5,91, tandis q
ité crânienne du cervelet, quelque exacte qu'on puisse la faire. Le tableau suivant contient îe poids absolu et le poids rela
( t) Op. cit., t, ii, p. i3 t. Parmi les animaux compris dans le tableau qui suit, l'éléphant est le seul dont je n'aie pu
Moyenne ..... 1,07 Les cerveaux les plus allongés sont en tête du tableau , et les plus élargis à la fin. Au milieu de la co
les plus élargis à la fin. Au milieu de la confusion que présente ce tableau , où se trouvent à côté les uns des autres des ani
marquée. Ainsi tous les singes sont compris dans le premier tiers du tableau , et presque tous les rongeurs dans le dernier. Le
rieur de cet organe étant pris pour unité. Les animaux portés dans le tableau suivant sont rangés d'après la longueur relative
e cérébrale, en arrière du corps calleux, range les animaux portés au tableau qui précède dans l'ordre que voici : Marsouin.
. 19 c. (4) ld., id., p. : -;. Or, si l'on veut bien consulter le tableau que j'ai dressé de l'élargissement comparé du cer
ouin ayant le cerveau plus large que tous les animaux inscrits sur le tableau , et avec lui l'éléphant et le porc-épic, il faudr
a l'avantage chez les mammifères les plus intelligens? Le résultat du tableau que j'ai dressé pour résoudre cette question, n'e
us intelli- gens sont inégalement répartis à toutes les hauteurs du tableau : il en est de même du poids de la moelle allongé
37 (1889) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 02] : clinique des maladies du système nerveux
s en une description clinique les traits primordiaux fournis par le tableau symptomatique si semblable dans chacun de ces c
triquement. C'est pourquoi, quelque caractéristique que paraisse le tableau clinique si uniforme dans chacune de nos observ
d'une esquisse de Rubens, étude pour la tête de la démoniaque du tableau du musée de- Vienne, 'Saint Ignace de Loyola déli
oduites avec l'écartement habituel des bobines. Ici M. Erb donne un tableau des diverses réactions électriques. Le ré- sumé
t fraternellement à panser un malade; de Ricci de Lorenzo dans un tableau aux Offices à Florence, Saint Côme et saint Damie
umière, au milieu des paysans, que nous conduit A. Brauwer dans son tableau du musée de Vienne, intitulé Opération chirurgi
es du malheureux. Il existe du même peintre au musée de Munich un tableau intitulé le Pédicure. L'opérateur procède avec
t toute l'attention nécessaire, au succès de son opéra- tion. ,Le tableau dont nous donnons la gravure (fig. 51) se trouve
le musée du Louvre (collection La Caze) possède également un petit tableau de Brauwer, consacré à la chirurgie. Assis sur le
e. LES MALADES DANS L'ART. 151 C'est ici que nous devons citer le tableau si connu de Gérard Dow, la Femme hydropique, ég
plaçant à contre-jour a été reproduite par Gérard Dow dans un autre tableau du musée de Vienne. Il existe aussi au musée du
e tableau du musée de Vienne. Il existe aussi au musée du Louvre un tableau du même peintre représentant un arracheur de de
ménagères, Quiryng 13rel : elenl : ,im, a peint un excellent petit tableau intitulé la Consultation, le seul de ce maître
ur la cheminée une statue de l'amour tenanl une flèche. Un second tableau de Jan Steen sur le même sujet se trouve au mus
musée de Munich; nous en donnons la gravure. (Fig. 52). Un autre tableau où Jan Steen nous montre un médecin également l
olie malade, son mal ne doit pas être bien sérieux. Dans un autre tableau du musée de la Haye, Jan Steen met égale- ment
C'est le traitement qui commence. ' Citons encore de Jan Steen nn tableau du musée d'Amsterdam intitulé la Femme malade.
sang remplit encore un petit bassin posé à terre, sur la gauche du tableau , à côté d'une éponge. Nous citerons encore deux
lius Dusart, dont les eaux-forles ne sont pas moins prisées que les tableaux . Dans un genre pittoresque, et presque caricatura
ur du corps tiennent, on le sait, une place fort importante dans le tableau clinique de la maladie de Par- kinson. Peu d'af
tracture somnambulique, et je me contenterai de donner le résumé du tableau clinique que j'ai tracé de la forme cérébrale d
ans le mois de juin : il n'a plus aucun vertige depuis quatre mois. Tableau des accès de V.. SUR UN CAS D'ÉPILEPSIE. 1-119
s'affaise et diminue de largeur. Quelques heures : plus rien. Ce tableau qui est à peu près exactement celui tracé par Zun
e attaque de sommeil n'ayant pas dépassé la période de 24 heures. TABLEAU A. - ATTAQUE DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. Will, 10 an
NS SUR LA COURBE DES EXCRÉTIONS. 29 Si l'on veut bien considérer le tableau A, on verra que l'attaque de sommeil bornée à l
able, au point de vue chimique, à l'attaque convulsive ordinaire. TABLEAU B. - ÉTAT DE MAL DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE 16 ans.
aroles dont on ne peut pas toujours saisir le sens, reproduisent le tableau des attitudes passionnelles; et ces diverses ci
ates faite le premier jour de sommeil donna, ainsi que le montre le tableau C l'inversion de la formule. TABLEAU C. - ÉTA
onna, ainsi que le montre le tableau C l'inversion de la formule. TABLEAU C. - ÉTAT DE JIAL LÉTHARGIQUE St.-Bon..., le, a
elle n'atteint son taux ordinaire que le 7 et les jours suivants. TABLEAU C. MOYENNES DE CINQ ÉTATS DE MAL DE SOMMEIL HYSTÉ
On ne s'étonnera donc pas, étant donné les dates, en considérant le tableau C, que nous n'ayons pas différencié les phosphate
étudié les manifestations fébriles de la maladie de Basedow, et le tableau qu'il donne est certainement le plus complet qu
matières extractives, parfois aussi même d'urée... Mais c'est là un tableau dont il manque presque toujours plusieurs parti
Ces analyses ont duré huit jours consécutifs pour chaque malade; le tableau A est le résumé, pour chacune d'elles, de huit an
normales pour tous les éléments, l'acide phosphorique y compris. TABLEAU A. NOUVELLE ICONOGRAPHIE T. II PL. XLVII. FAC
38 (1892) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 05] : clinique des maladies du système nerveux
angue ; la tête tourne, il fait un effort général énorme et tout ce tableau se répète à chaque lettre (V. la lig. 4). Dans
hototype A. LONDE. PHOTOCOLLOGRAPHIE Chêne ET LONGUET. GRAVURE D'UN TABLEAU ÉGARÉ DE RUBENS (musée DU LOUVRE) VVE BABE &a
I. Phototype A. LONDE. PHOTOCOLLOGqAPHIE Chêne LONGUET COPIE D'UN TABLEAU ÉGARÉ DE RUBENS (COLLECTION TOUDOUZE) VVE BAS
BENS (COLLECTION TOUDOUZE) VVE BASÉ & C'E ÉDITEURS SUR UN TABLEAU PERDU DE RUBENS HEl'ItESE\'1W\T LA GUlil1lS0N D
au livre sur les Démoniaques dans l'art (1), une gravure d'après un tableau de Rubens représentant Suint François de Paule
n Hasselt; Bruxel- les, 1840, sous le numéro 495, l'indication d'un tableau représentant Saint François montant au ciel ave
ami Paul Richer, et nous fûmes frappé de sa ressem- blance avec un tableau appartenant à M. Toudouze, le peintre bien connu
is les artis- tes, la gravure du Louvre n'a pu être exécutée sur le tableau qui appartient à M. Toudouze ou mieux sur l'ori
tableau qui appartient à M. Toudouze ou mieux sur l'original de ce tableau . Celui-ci en effet n'est qu'une copie, assez ma
d'ailleurs, duc il un peintre fort peu expérimenté dans son art. Le tableau est il la fois trop « poussé » et trop maladroi
gulièrement plus élevée. Les rapprochements que nous avons faits du tableau appartenant à M. Toudouze avec la gravure du Lo
la gravure du Loutre ne nous donnent aucun indice pour retrouver le tableau primitif aujourd'hui égaré. Ils nous permettraien
la gravure. Nous ajouterons en oulre que dans l'angle de droite du tableau du Musée de Vienne, on retrouve, mais cette foi
s hien traité, le chien que l'on remarque dans l'angle de droite du tableau appartenant à M. Toudouze. C'est le même chien,
gueule demi-ouverte, que Rubens s'est complu à reproduire dans deux tableaux qui, s'ils diffèrent entièrement par la compositi
que du tabes considéré en général. J'ai fait placer sous os yeux un tableau où se trouvent inscrits et grou- pés plus ou mo
des réflexes rotuliens ; 4° la parésie vésicale, qui constituent le tableau clinique de la période préataxique. Mais, Messieu
xiste que de faibles divergences sur certains points de détail. Les tableaux et les tracés, que nous reproduisons plus bas,
forme arrondie que prend la courbe de la contraction. Enfin sur nos tableaux et sur nos tracés on peut constater encore la lon
iverses particularités que nous venons d'énumérer en consultant les tableaux et les tracés suivants : muscle biceps brachial
u l'occasion de signaler dans ce journal (1) un remar- quable petit tableau d'un peintre hollandais fort estimé, QuiryngBreke
agréable à nos lecteurs en en donnant ici une. reprodilcli on'. Ce tableau fait partie de la collection privée deVl. le Dr B
e. C'est ici une.vieille femme qui ap- plique -(les - ventouses. Le tableau , est connu en Hollande sous le nom do «.K9pstei
de Feer est mieux connu aujourd'hui. Les malades qui présentent le tableau de l'athétose double se confondent quel- quefoi
res. Si nous nous rappelons la description de l'athétose double, le tableau est frappant et il ne se retrouve nulle part ai
btenues par les anthropolo- gistes. Nous avons réuni dans un même tableau les mensurations prises sur no- tre canon et ce
paraissent de nature à intéres- ser les artistes. Il résulte des tableaux de Quételet, que, comparée à l'homme et relati-
es articles et par l'abondance de ses renseignements, elle donne un tableau complet du mouvement philosophique et scientifiqu
les unes des autres. Ce mode de répartition des lé- sions domine le tableau clinique et commande les symptômes. S'agit-t-il
pportées par l'auteur en ques- tion offrent, il n'en pas douter, le tableau très complet et très exact d'atta- ques d'hysté
urs dont on peut prédire à coup sûr la lésion correspondante par le tableau du syn- drome révélateur. Ce tableau étant lui-
a lésion correspondante par le tableau du syn- drome révélateur. Ce tableau étant lui-même reproduit plus ou moins exacteme
s, fondamentaux de la maladie. Comme phénomènes contingents dans le tableau général de l'hémiplégie spasmo- dique infantile
e déduction plus facile et plus sûre. Nous avons vu dans le court tableau tracé plus haut de l'hémiplégie spasmodique inf
rait sur le théàtre représenter l'expression de la terreur. Mais ce tableau , à présent si complet, s'est développé lentement.
ement un corps pesant et le porter il sa bouche. IV. En présence du tableau symptomatique que nous av ons esquissé, le diag
satiriques sur -), par Gilles de la Tourette, S5. Rubens (Sur un tableau perdu de - répré- sentant la guérison de posséd
esmer (Documents satiriques sur -), 6, 7,8. 8. Rubens (Copie d'un tableau égaré de ) ), 16 ; (Gravure d'un tableau égaré
8. 8. Rubens (Copie d'un tableau égaré de ) ), 16 ; (Gravure d'un tableau égaré de -), 15. Syringomyélie (Scoliose dans l
39 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
symptômes qui traduisent l'action de l'acétone sur l'organisme. Le tableau peut être plus ou moins fruste, plus ou moins c
as aussi nette, les troubles digestifs faisant eux- mêmes partie du tableau symptomatique, il est assez difficile d'ordinai
lgré l'absence par ci par là de certains éléments, présente le même tableau . 3" Le .symptôme le plus constant en est le rétré
ns céphaliques, la sclérose multiloculaire, la névrose de Weatphal ( tableau clinique de la dégénéres- cence grise cérébro-s
de concert avec les anomalies psychiques sus-énoncées, en tant que tableau morbide autonome; II de concert avec d'autres a
sie sensorielle dans les affections qui évoluent en pré- sentant le tableau clinique d'une affection en foyer cérébro-spinale
mment consignés par Mme Steinlechner, dans sa thèse. Des dessins et tableaux , il résulte que, quand le cerveau antérieur (hé
ptée à l'unanimité. Auparavant, M. l3EaEOihr (de Vienne) a tracé un tableau très complet des différentes formes de ,1a neur
altérations sont complexes, et sur les modifications qu'apporte au tableau clinique habituel des lésions simples la combin
e sont empruntées les ob- servations 11" 1, 9-, 15, 18 et 19 de nos tableaux . En 1867, dans un travail consacré à l'étude de
le des aliénés2, West- phal cite quelques faits (nous 3, 4 et 5 des tableaux ), qui appartiennent aussi à la maladie que nous
ions. Puis vient l'observation de Pierret (1871-72)3, n° 6 de nos tableaux . Leyden4 cite un nouveau cas (u° 7) ; mais il n
e cinq obser- vations nouvelles (nos 11, 1'2, 13, 14 et 17 de nos tableaux ), les discute, les rapproche des autres faits d
la physionomie propre du tabes se dégageait de plus en plus dans le tableau clinique. » A la même époque cependant, Raymond
ondre à ce désir par l'ensemble des obser- vations réunies dans nos tableaux . ' Les observations continuent à se multiplier
es raisons faciles à comprendre, nous n'avons fait figurer dans nos tableaux ci-après, que des faits avec autopsie. Or, la p
n- dant, à titre de documents que sur les 33 cas résumés dans nos tableaux , il y a vingt hommes et treize femmes, que l'hé
SYMPTOMATOLOGIE. Pour donner immédiatement une idée d'ensemble du tableau clinique du tabes combiné, je vais d'abord résu
ccédant à l'extension forcée, les membres de polichinelle. Ici le tableau est bien différent, ou tout au moins a des trai
l'homme. Pour abréger, j'ai réuni les observations sous forme de tableaux correspondant à la division que j'ai adoptée. Je
etrina. In t'rayer Zcitsch. f. Heillc, Il,. p ? 9;i, Cas VIII. Voy. tableau 1. Archives, t. Xi. 14 210 PATHOLOGIE NERVEUS
iculaire ; quant à sa famille nous. résumerons ses maladies dans un tableau rappelant celui qu'on voit dans le livre de M.
ifférenciation de la sensation physiologique du milieu ambiant. Six tableaux à l'appui. P. K. XVIII. Contribution A la QUEST
(Suite de la discussion.) M. Cotard rend hommage à la vérité des tableaux cliniques présentés par MM. Falret etMagnan; ma
t.X,p.298. 3 Id. à Id. .294 SOCIÉTÉS SAVANTES. ' .. 1 .... ' TABLEAU STATISTIQUE .SOCIETES SAVANTES. 295 plus souv
l existe une forme de poliomyélite antérieure aiguë qui emprunte le tableau symptomatique de la paralysie de Landry, mais i
elon laquelle la paralysie générale se traduit cliniquement par des tableaux symptoma- tiques différents 1. C'est aussi l'av
n couleur, en éloigne- ment, c'est au contraire un système formé de tableaux etd'é\éne' ments liés entre eux, aboutissant à
ptomatique qu'on ne saurait inter- préter ciiniquement que comme le tableau d'une maladie spino- bulbaire. Sur ce, les tr
ois histoires de malades ne peuvent que donner une idée générale du tableau clinique du tabes com- biné. Mais elles ne peuv
e j'ai pu trouver. Pour évi- ter les longueurs, j'ai réuni dans les tableaux qui sui- vent les traits principaux de toutes c
combiné, pressentie par nos observations personnelles. I 1 1 i TABLEAUX i e i TA.BLEA.UX. z 392 PATHOLOGIE NERVEUSE.
relever et étudier les symptômes notés dans ces observations de nos tableaux , nous les grouperons en deux catégories : d'abo
pouvons donc dire, en somme, que dans tous les cas réunis dans nos tableaux , on a noté quelque phénomène de tabes postérieu
se rapportant aux cordons latéraux; et encore nous trouvons dans le tableau , pour lui, « troubles de la marche » sans détai
eu aride me paraît très claire. Dans tous les cas relatés sur nos tableaux on a noté quelque symptôme du tabes ataxique ;
amwell signaler toute l'importance. C'est pour cela que, dans nos tableaux , nous avons consacré à ce symptôme une colonne
tance à cette statistique. Comme les observations résumées dans nos tableaux sont toutes accompagnées d'autopsie, elles ont,
succès de ce genre. Toutefois, parmi les cas mentionnés « dans les tableaux ou commentés dans le texte de ce mémoire, « plu
ées toutes les grandes variétés de la grande attaque, dont un grand tableau d'ensemble représen- tant les diverses attitude
is pendant un temps plus ou moins long le trait le plus saillant du tableau symptomatique, et peut donner faussement l'idée
40 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
. Mais il s'isole souvent d'une façon si nette, il acquiert dans le tableau morbide une prépondérance si caractérisée, qu'i
sa durée la place dominante et pour ainsi dire exclusive dans le tableau clinique. Nosoloiquemeut la distinction n'a peu
mme hébété dans l'intervalle des spasmes, tout, en un mot, forme un tableau caractéristique qu'il n'est guère possible de m
méconnaître. » Notre jeune fille ne présente aucun des traits de ce tableau caractéristique : la contraction musculaire ano
ement... » Notre malade présente certainement quelques traits de ce tableau ; mais il existe aussi des différences notables.
et que de la sorte, il se produise certaines diffé- rences dans le tableau anatomo-pathologique. # Ceci est une simple con
se déclare chez un épileptique, il y a quelqueintérêtàindi- quer le tableau clinique présenté par le sujet atteint simulta-
nt l'expression d'un même processus cérébral ; l'allure générale du tableau morbide résulte du déve- loppement par tel ou t
A. KOEHLER, (Allg. Zeitsch. f. Psych., XLIII, 4,5.) Statistique. Tableaux . Listes. Conclusions. - 1° L'épilepsie abrège l
ologique. 85 II. Rapports de la faiblesse psychique avec les divers tableaux psychopathiques et en particulier avec la folie
uché sur le côté droit, comme pour dormir, il provoque une série de tableaux par le mécanisme en question, qui consiste, en
S; par BARTELS. (Allu. Zeil.sch f. Psychiat., XL1V, 2-3.) Pesées. Tableaux . Analyse. Le poids du cerveau diminue dans tout
. Ce travail, qui se résume en de nombreuses courbes et de nombreux tableaux , porte sur 205 cerveaux d'individus dont l'in-
dite de l'établissement où nous voyons passer il chaque instant des tableaux saisissants de la vie de cette maison où ont dé
- tion de chaque région est composée comme il est indiqué dans le tableau ci-dessus. Les candidats doivent être Français et
première séance de lecture des compositions écrites. VARIA. 133 TABLEAU DÉTERMINANT LA CIRCONSCRIPTION DE CHACUNE DES SIX
e cadre symptomatique de cette maladie. On peut aussi rapprocher le tableau de notre malade d'un syndrome sur lequel Benedi
nnienne sans troubles psychiques, puis finalement, longtemps après, tableau clinique de la para- lysie générale. Le premier
une curiosité. Un homme de trente-quatre ans, buveur, présente le tableau symptomatique de la paralysie générale ; le tabes
nt pas progressé, même pour ceux des intoxiqués qui ont présenté le tableau de la pseu- do-paralysie générale. En ce qui a
irling. Il fait passer sous les yeux des membres du Congrès : 1° un tableau statistique comprenant qua- rante-quatre cas ;
- tion de chaque région est composée comme il est indiqué dans le tableau ci-après. Les candidats doivent être Français et
quelques résultats de nos expériences, représen- tés sous forme de tableaux dans lesquels OD signifie oeil droit, OG -- oei
'aide des deux méthodes précitées : celle des ombres et celle des tableaux . La perceptibilité différentielle de nos yeux f
istance telle, que l'ombre projetée par elle fût à peine perçue. Le tableau suivant contient DE LA PERCEPTIBILITÉ DIFFÉRENT
ffres que nous avons tracé la courbe précédente. 366 PHYSIOLOGIE. tableaux ; elle montrait également la diminution de la pe
nt de l'intensité lumineuse. Nous nous servions de la méthode des tableaux à la lumière du jour, celle-ci étant consi- dér
près constante. Ainsi, dans la courbe obtenue par la méthode des tableaux , elle est de 1/75 depuis l'inten- sité lumineus
tablement plus considérables que celles obtenues par la méthode des tableaux . Ce fait dépend de deux causes : 1° en opérant
plus énergiquement que l'excitant en repos; 2° dans la méthode des tableaux , il ne s'agit pas seule- ment de percevoir une
IP PHYSIOLOGIE. les chiffres dont un échantillon se trouve dans le tableau suivant : DE LA PERCEPTIBILITÉ DIFFÉRENTIELLE
nos ta- bleaux et nous servir du photomètre de Parinaud. Avec nos tableaux , il est impossible d'atteindre rigou- reusement
damentale entre les deux mé- thodes est celle-ci : dans méthode des tableaux , 376 PHYSIOLOGIE. l'objet à percevoir est fon
lité différentielle, mesurée à la lumière du jour. On verra dans le tableau suivant, combien la valeur du seuil est relativ
moins que la chose est praticable, - conditions réalisées dans nos tableaux par les grands types de 10 centimètres, qui son
dégage de nos nombreuses expériences, est très évi- dent dans le tableau suivant, qui représente une de ces expériences
ue insurmontables, lisent ensuite avec une surprenante facilité nos tableaux et cela presque jusqu'aux numéros les plus élev
i est arrivé de voir sa mère devant elle. « Je rêve et je vois un tableau , dit-elle. » Elle se voit elle-même dans son cerc
er partiel, une sorte d'hypermétropie peuvent nuire à la netteté du tableau clinique ; il faut aussi savoir distinguer le sco
éclairer la théorie médullaire de la convul- sion épileptique : un tableau résume ces expériences (genre d'ex- citation, l
e statistique de 643 hommes reçus et morts à, Dalldorf en huit ans ( tableaux instructifs^. La plupart d'entre eux, malades e
41 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
pidement terminé par la démence. Actuellement cette malade offre le tableau habituel de la démence paranoïde avec état chro
l'index ; fourchette saillante ; quelques poils à l'anus et au . Tableau des accès el des vertiges. SCLÉROSE ATROPHIQUE
s d'auscultation augmentent beaucoup, en intensité et en étendue. Tableau du poids et de la taille. 32. RECUEIL DE FAITS.
ues dus au refoulement du sang veineux. L'observation 11 fournil le tableau du ramollissement jaune REVUE D'ANATOMIE ET DE
non sur la considération d'un seul élément, mais sur l'ensemble du tableau qui comprend les altérations vasculaires avec l
et constituant dans l'immense majorité des cas la note dominante du tableau morbide, la maladie débute graduel- lement, che
taux, mais ils sont si passagers qu'il est difficile d'en tracer un tableau précis, lise peut que les allures de ces compos
es troubles hysléro-neuraslhéniques et phobiques qui compliquent lu tableau morbide (exagération (1(, stit- so-hasophobie,
ce à prendre une im- portance prédominante. Et ce n'est pas la un tableau schématique. Sans doute la subdivision des phén
spetites et grandes cellules mononucléaires 01 éosinophiles. Deux tableaux enregistrent : l'époque de la saignée par rapport
(06o;ren ! c).f;'e/t<i ? IX, 1904.) Après avoir démontré par des tableaux statistiques que les hopi- taux d'aliénés des p
is en évidence dès le début. Or. dans une grande partie des cas, le tableau de la démence précoce se déroule réellement en
plus de valeur qu'il oc- cupe une place plus prépondérante dans le tableau mor- bide, on peut dire que parmi les symptômes
ent une myélite à marche suraigue qui se rapproche plus ou moins du tableau clinique dressé par Landry et qui est certainem
ins; par CALVO. (Rie. crit. di clioicct med., 1904, 11 31 et 33.) Tableau d'ensemble de cette affection qui commence seulem
i explique non seulement toutes les altérations anatomiques, maille tableau clinique. P. Keraval. XXXVIII. -Des symptômes
bien l'aile, démontrant l'impossibilité d'établir et de sérier les tableaux cliniques de l'hystérie. Les symptômes sont émi
épileptiques présents au 31 décembre 1903 dans leurs services. Les tableaux ci-après résument les renseignements que nous d
al du torticolis spasmodique et du Iiys- lériquc, L'auteur trace un tableau 1res complet du torticolis men- tal, d'après le
primitif de ceux dans lesquels c'est un simple phénomène dans un tableau clinique plus ou moins complexe comme chez l'al-
: r lioN.v- MOUR. (Nouv. Iconogr. de la Salpétrière, n° , 10'I). Tableau clinique complet de la maladie de F. avec les par
eurs, guérison totale du tronc et des memhressuperieurs, tel fut le tableau d'ensemble. Ajoutons des battements de coeur dè
ication alcoolique ayant introduit des élé- ments étrangers dans le tableau clinique de la syphilis cérébrale. P. Keraval.
méningite. Trois mois plus lard, le malade revient en présentant le tableau complet de celle dernière. La syphilis esl niée
lilé (grossesse, accouchement, lactation) peuvent se traduire en un tableau clinique identique, développé sous l'influence
l'écrande f)'< ? 'fs) ? Et'pO't'eMCe 10. - J'écris une phrase au tableau et fais'asseoir Valentine devant, àcourle dista
disparu dans la vision binoculaire. Expérience 11. de rapproche le tableau à 0,50 cm. du sujet et écris une phrase à la cr
ence 13. Je trace une croix avec de la craie blanche au milieu d'un tableau noir placé à30centimèlresdes yeux <le la mal
su-peiid (le%-an[ une vitreéclairée, à quelques mètres du sujet, un tableau rectangulaire en verre noir sur le mi- lieu duq
e est rouge et l'autre vert, puis on lui fait L lire les lettres du tableau transparent. Si le sujetala ,ne normale,il lita
ciaux vers lesquels l'attention des mala- des était attirée par des tableaux indicateurs. Nous n'avons pas cru devoir nous e
méritent aussi d'être mis sous les yeux de nos lecteurs. «Dans le tableau des admissions nous voyons que, dès l'entrée, l
on, croyons-nous. Il n'est peut-être pas encore suffisant. Dans des tableaux joints à notre rapport sur la réorganisation de
ieur de l'Assistance publique. In 41 de ;18 pages, avec de nombreux tableaux . ( : OUIrELI,EION"I' (\'Iclol'). Contribution à
par suite des défectuosités de la méthode de recherches adoptée.Les tableaux de ce mémoire sont donc les premiers qni parais
nt d'après ces nombres que sont établies les proportions dans les tableaux qui suivent : > 4'2<J CLl1<IQI'I'; 1l
andis qu'aux deux autres le contraire avait été vu. Dans le présent tableau , l'anor- malité prédomine à toutes les phases.
ités d'une durée plus courte. En réalité, ainsi que le montre notre tableau , tandis que la normalité constante va en diminu
anées à l'inter- médiaire. Un second fait intéressant qu'établit le tableau T c'est que les anormalités unilatérales diminu
ce est celle que nous avons déjà donnée plus haut à propos de notre tableau géné- ral, il savoir la très courte durée, il l
le constater beaucoup de l'ois. Dans ces conditions, forcément, un tableau d'après le nombre des constatations doit en don
utant moins que la paralysie générale est plus avancée. Enfin, ce tableau confirme l'erreur que nous avons déjà signalée
nification. Le fait intéressant il relever est qu'il résulte de nos tableaux qu'à la phase ultime, les altérations sont touj
les documents que nous désirions connaître. Malgré ces lacunes, le tableau VU montre (IU'on attend toujours trop longtemps a
1156 bibliographie. dressaient à des malades en voie de guérison ( tableau Xlt) ; au- cune de celles-ci n'a été réintégrée
tations du Rapport de ,)I. le D ? 1. Bonnet, en premier lieu sur le tableau de l'âge des admissions. « On voit donc comme
42 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
térieurs ; sclérose des vaisseaux, corpusculesamyloïdes. Le même tableau se retrouvait presqu'en totalité au niveau du d
tres quant à leurs contours; en un mot, nous avons sous les yeux le tableau d'une sclérose diffuse du cordon postérieur.
vité intellectuelle; de plus, quand l'alimenta- tion, comme dans le tableau III, est à peu près supprimée, les mêmes modifi
ois, que c'est lorsque le travail intellectuel est le plus intense ( tableau I, n° 3) que la diminution du rapport entre l'a
de nos différentes recherches sur l'homme sain consignées dans les tableaux qui précèdent, se dégage non moins nettement de
lus diminue le second. Ainsi,' chez l'individu qui fait le sujet du tableau I, tandis que, à l'état de Voir, pour toutes le
s onctions mercurielles produisent une amélioration instable ; le tableau morbide se complique d'accidents gangreneux au
es combinaisons de manie, mélancolie, délire systématique, et à des tableaux de transition épisodiques anormaux. Ainsi les t
es. Tous ces genres sont constitués par la projection extérieure de tableaux sensoriels; 5° Une perception sensorielle subje
subjective ne peut être appelée hallucination vraie que lorsque le tableau senso- riel pénètre la connaissance, et se trou
précision sensorielle, le détail etlaper- fection, la stabilité du tableau . Il y a également des pseudo-hal- lucinationshy
es névroses des organes centraux. - 6° Il est des cas qui, par leur tableau clinique, relèvent indubitablement de formes mo
index bibliographique. 137 un élement doctrinaire qui enlève aux tableaux morbides leur ingrate sécheresse. Les maladies
mpte tout ce qui lui est servi à table, il dresse à chaque repas un tableau sur lequel sont indiqués le nombre de morceaux
e des cadres delà sclérose latérale amyo- trophique des cas dont le tableau clinique presque tout entier est exactement cel
à peu près le même aspect symptoma- tique que celui présenté par le tableau de la sclérose latérale amyotrophique, d'après
symptôme qui permet de reconnaître l'af- fection dans les cas où le tableau clinique n'est que peu marqné, et n'existe pour
hapitre des anomalies.... celles-ci ne changent rien d'essentiel au tableau qui vient d'être tracé. Ainsi la maladie dans c
dicaments n'ont amené aucuue amélioration ainsi que cela ressort du tableau et aussi de ce fait que du 1er janvier au 31 ju
( ? ,° .' ? . '" " 4 ., . . paraît s aggraver, comme, l'indique le tableau des accès et aussi ."·... t r . tçio aJ 1 4 1.
yu ,3ech =ylu..i.f=oJ Jj-iuooii jf.1J <i . Il.1' : 11 ? 1, Le. tableau ci-contre met en, relief, les. points particulier
s volontaires et qui nous ont, paru reproduire très fidèlement le tableau de la iiialadie'-dI'É'O'tilsei3. cf . Antécéden
venir plus violents après les premières couches. Enfin se montre le tableau complet observé à la prison dont l'affai- bliss
aitement par rapport aux diverses formes de l'aliéna- tion mentale ( tableau ); enfin quelques mots sur l'emploi des moyens d
on de troubles intellectuels, sensoriels et P1oteqr, qui forment un tableau morbide très complexe dont l'analyse, à raison
ablissement n'avait présenté aucun accès; ou constatait chez lui le tableau de l'épilepsie. Le second jour de son arrivée il
omme à Bicêtre, c'est Pinel qui a été l'ini- tiateur. L'intéressant tableau de Toiiy Hoberl-Fleury et celle belle statue le
inévitables de la nature ? » N'est-ce pas l'auteur de l'admirable Tableau du progrès de l'esprit humain qui dénonçait l'ins
lassificazione délie frenopatie. Brochure in-8° de 25 pages, avec 2 tableaux . Palerme, 1885. Journal ll Pisani. - Il Pensier
voix, rares jusqu'à présent, il est vrai, assurant que beaucoup de tableaux cliniques s'expliquent d'eux-mêmes sans supposi
ines des qua- trième et cinquième paires cervicales se voit le même tableau , seulement dans les parties inférieures la sclé
développe- ment. De tout ce qui précède, on voit que quoique le tableau clinique de la maladie d'Anna 0... réponde à ce
st pourquoi je crois nécessaire de l'expliquer un peu. On voit du tableau clinique, qui malheureusement est court et peu
pouvaient être la cause de cette allure n'existaient pas. Quant au tableau anatomique nous voyons que la sclérose quoique
une lésion des faisceaux pyramidaux, mais une analyse attentive du tableau anatomique démontre que dans tous ces cas outre
anatomique qui ont été publiés, nous pou- vons les présenter par le tableau suivant : . 1 1Viener ntedic. 117ocheischi,ilt,
t; Par conséquent, les paroles de M. Charcot qui dit, au sujet du tableau clinique de la paralysie spastique, que nous ra
que; 2) On trouve l'ensemble des symptômes qui caracté- risent le tableau clinique du tabes dorsal spasmodique dans les d
366 CLINIQUE MENTALE. notre sujet, nous ne résumerons dans notre tableau que les points qui nous occupent en particulier
idée délirante, pas de troubles soma- tiques : sommeil très bon. TABLEAU DES SEANCES D'HYPNOTISME DE LA THÉRAPEUTIQUE SU
rsonnellement relevés chez nos malades et qui forment d'ailleurs un tableau varié des manifestations les plus importantes.
ations de l'ouïe chroniques, intenses, finissant par former tout le tableau pathologique d,al- SOCIÉTÉS SAVANTES. 449 tér
43 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
propre de la seule gliomatose ; d'autres symptômes complètent le tableau clinique de cette maladie, et aucun n'est en co
rne, se trouve sur un plan sensiblement horizontal. Or, d'après les tableaux donnés par M. Topinard, ce plan forme, au-desso
n morbide présente dans l'espèce une ressemblance'frappante avec le tableau patho- logique qui aboutit à la poliomyélite in
a rien à avoir et où le but principal parait être de pré- senter un tableau complet de la question, l'auteur met-il décote,
anatomo-palhologique est un des bons cha- pitres et il renferme un tableau de 109 observations d'épilepsie Jacksonmenne où
s paralysés étaient insensibles à la piqûre. Enfin, pour achever le tableau cli- nique de cet accident, ajoutons qu'il y av
survenait quelquefois d'une façon isolée, constituant à lui seul le tableau clinique de l'accident sans aucun autre symptôm
tation des réflexes, surtout du membre droit, constituait tout le tableau clinique. 186 CLINIQUE NERVEUSE. Les treize o
, On peut facilement constater si l'on jette un coup d'oeil sur le tableau suivant que l'explosion de cette forme d'accide
roupes en com- mençant par celui qui figure le premier dans notre tableau . - A. Groupe de symptômes céphaliques. Les sy
lus constants que les autres, car si on jette un coup-d'oeil sur le tableau , on ne les voit figurer que sept fois ; car, da
elier au développement de la maladie actuelle. Symptômes De tout le tableau de lasymptôma- tologie compliquée, que nous exa
lement ils ne caractérisent pas la maladie, mais obscurcissent le tableau caractéristique; nous nous en occuperons peu en
l'OBSERVATION IV, la marche ultérieure de la maladie présentera ce tableau . En général, nous n'avons pas observé dans les
de la moelle épinière et obscurcir ou détruire complète- ment le tableau caractéristique de la maladie. Schup- pel a déc
tteintes. Dans les périodes ultérieures de la maladie, lorsque le tableau fondamental se complique ou s'obscurcit même pa
', elle était localisé dans les muscles de la main et présentait le tableau considéré comme caractéristique de l'atrophie m
ce qui, à notre point de vue, constitue déjà une com- plication du tableau clinique pur. Des complications semblables par
'agisse ici que des amyotrophies myélopathiques, nous pensons qu'un tableau synoptique de la division des .amyotrophies en
par l'acide arsé- nieux, l'auteur arrive à cette conclusion que le tableau macro- scopique et les détails microscopiques d
tômes nerveux si fréquents et si variables qu'on observe dans le tableau clinique de l'intoxication arsenicale aiguë ou ch
tion de chaque région sera composée comme il est indiqué dans le tableau annexé au présent arrêté. ART. 3. Les candidats
Paris c'est une prérogative qui sent le favoritisme. VARIA. 317 Tableau déterminant la circonscription de chacune des six
gérant, Bourneville. Iereu : , Ch. IIsmsser, mp. -- 56. Catsaras, Tableau I. TABLEAU DE LA FORME CENTRALE SPINALE LATÉRAL
eville. Iereu : , Ch. IIsmsser, mp. -- 56. Catsaras, Tableau I. TABLEAU DE LA FORME CENTRALE SPINALE LATÉRALE Vol. XVI.
it possédée par un esprit malin. En même temps, se dévelop- pait un tableau clinique des plus curieux qui n'était que l'expre
Enfin, des symptômes de plusieurs groupes peuvent cons- tituer le tableau clinique du début : comme par exemple à ! 'OBSE
cédents. En effet, ils ne figurent guère que deux fois dans notre tableau . Les symptômes génitaux qui ont été présen- tés
fs, c'est-à-dire divers groupes de symptômes qui peuvent figurer au tableau clinique de notre forme ; B), des cortèges symp
). Symptômes positifs. Les divers symptômes qui figurent dans notre tableau peuvent être ramenés aux six groupes suivants :
367 disparaissent dans la majorité des cas. En effet, dans notre tableau , les symptômes rectaux ne figurent plus qu'une
itale, car ils ne manquent jamais et ne doivent pas manquer dans le tableau clinique et d'autres d'une importance moindre,
En effet, les symptômes divers et multiples, que Ton remarque au tableau précédent se divisent d'eux- mêmes en quatre gr
é de loscou. Anatomie pathologique. Le substratum auato- mique du tableau , que nous avons décrit, est constitué par des p
omiques, mais en partie sur les particularités pathogéniques et les tableaux cliniques de la maladie; il faut seulement ne p
ré l'au- topsie faite par Schultz". Les cas correspondant à notre tableau clinique se rapportent justement à cette quatri
teintes. Dans bien des cas , on ne voit pas du tout correspondre au tableau de la destruction com- plète de la partie centr
ces cas des 1 Sauf la ressemblance très marquée qui existe entre le tableau symp- tomatique que j'ai décrit avec les phénom
t été déjà attirée sur ce point. Nous avons vu (OBSERV. VI) qu'un tableau précisé- ment pareil - la thermanesthésie parti
intensités des échelons) se trouve ainsi comparativement fixée. Des tableaux complémentaires dans le texte précisent les lieux
rdons postérieurs. Etieui. Ch. lial,issuv, imp. - 1188. CATSARAS. Tableau II. TABLEAU DE LA FORME CENTRALE SPINALE POSTÉR
urs. Etieui. Ch. lial,issuv, imp. - 1188. CATSARAS. Tableau II. TABLEAU DE LA FORME CENTRALE SPINALE POSTÉRO-LATÉRALE.
44 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
opie, des troubles de la mémoire et de l'écriture. C'est bien là un tableau fait pour les méprises. Et cependant les plaques
emblement intentionnel et des divers troubles. N'est-ce pas là un tableau morbide qui ressemble étrangement à la sclérose
s être mise en cause. Mais, comme il est des scléroses en plaques à tableau incomplet, à marche lente, on aurait posé ce di
e nouvelle manifestation : le spasme saltatoire, ce qui complète le tableau hystérique. Ons. Vil (résumée) (Bristowe, in Di
les crampes spontanées et les spasmes subits qui appar- tiennent au tableau de l'ataxie locomotrice. En outre, chez cet homme
erdu ce qu'ils avaient gagné au mois de juillet. Voici dans un même tableau les mensurations telles qu'elles ont été faites
figée dans l'expression qu'elle avait à ce moment-là, comme si le tableau avait disparu et qu'elle ait conservé, ainsi que
, au milieu des fleurs. C'était très joli, ça sentait bon. Enfin le tableau changeant, elle sentait autour d'elle une odeur
e, jaune, à travers un verre vert, vert, mais point de scènes ni de tableaux spéciaux. Elle se sent elle-même toute drôle, com
l'opérateur. Il s'agit là de véritables halluci- nations suggérées, tableaux qui défilent devant les yeux de la malade, ou s
veille, ni pendant la période som- nambulique obtenir le récit des tableaux ou des scènes qui, pendant la catalepsie, avaie
). Nous avons pu'observer pendant toute cette scène dont les divers tableaux se déroulent assez lentement, qu'il se produisait
titue son moi organique qui ne disparaît jamais complètement, en un tableau plus ou moins compliqué. " Ce sont là de véri
doriférantes. Dans d'autres cas au contraire la véritable nature du tableau qui se peint dans le cerveau du malade est plus
ngo- encéphaliles, limitées ou diffuses, rappelant plus ou moins le tableau clinique de ! a paralysie générale de l'adulte;
vacille évoquent assez justement dans l'esprit de l'observateur le tableau que présentent la plupart des malades atteints
quer chez lui une foule de détails qui sont évidemment étrangers au tableau clinique que présente le tremblement de la sclé
ehors de l'hystérie, des états dynamiques capables de reproduire le tableau delà sclérose en plaques, il faudrait ouvrir un
es, leur différence dans la névrose et la myélopathie ressortira du tableau synoptique suivant emprunté aux Leçons de M. Ch
ue suivant emprunté aux Leçons de M. Charcot (18SS185'J, p. 103). Tableau synoptique des symptômes oculaires dans la scléro
différence entre les pupilles. Mais la malade présente en outre le tableau typique de l'atrophie muscu- laire progressive.
ement, de contracture, de troubles de la sensibilité, complètent le tableau cli- nique. Il est inutile d'insister sur la va
lbrnies et les Malades dans l'art', nous avons déjà cité le célèbre tableau de Gros au musée du Louvre, les Pestiférés de J
us empruntons à Ch. Blanc les quelques détails qui suivent : ,cI Ce tableau fut commandé à Gros par le Premier Consul. Mais c
de passer par le chemin qu'a parcouru son génie avant d'arriver au tableau de Jaffa tel que nous le connaissons. Dans ce pro
hototype négatif A. LOND1Î. Piiotocollooraphie L. SAUVE. Gravure DU Tableau DE GROS, au MUSÉE DU LOUVRE « LES PESTIFÉRÉS DE
ATIF A LONDH. PIiOTOCOLLOOIlAP1111 : L SAUVE. ESQUISSE originale DU Tableau DE GROS CI LES PESTIFÉRÉS DE JAFFA » (Apparti
une inconvenance héroïque. Dans l'esquisse, Napoléon agit; dans le tableau il joue son action... Qui saura décider si la v
ion d'ajouter il la description de Ch. Blanc, un trait qui donne au tableau une signification plus élevée que celle que cet
élevée que celle que cet auteur lui attribuait. En effet, dans le tableau , Bonaparte, dans son geste de dignité un peu th
pendant que le bras droit soulevé met l'aisselle à découvert. Ce tableau , lorsqu'il figura au Salon de 1804, fit une vérit
tendre l'arrêt de l'opinion, les artistes suspendirent au sommet du tableau de Jaffa une longue branche de palmier; le publ
s attributs fondamentaux. La présence, la prédominance même dans le tableau clinique des panaris analgésiques ne change rie
s d'un mérite inégal, mais parmi lesquelles il convient de'citer un tableau des plus remarquables de Hans Holbein de Vienne.
hypertrophie ! . UNE MALFORMATION SPÉCIALE DE LA POITRINE. 337 Le tableau précédent résume, au point de vue de l'état menta
demment qu'une coexis- tence, une malformation de plus à ajouter au tableau déjà si chargé des signes physiques dégénératif
pendant plus d'un an, avec de la diarrhée, des sueurs, etc. Mais le tableau est trop chargé pour être vrai. Il ne s'agit pa
l est un certain nombre d'affections morbides qui peuvent offrir un tableau clinique analogue à celui de la maladie de Duchen
dée d'un tabès vrai puisse s'imposer à l'esprit. El, en réalité, ce tableau est assez souvent réalisé dans la pratique. Non
nce capitale. Nous ne saurions mieux faire que de reproduire ici le tableau synoptique suivant dû à M. le professeur Charco
noptique suivant dû à M. le professeur Charcot (Leçons du mardi). TABLEAU SYNOPTIQUE DES SYMPTOMES OCULAIRES DANS LE TABES
bien plus vraisemblable d'admettre que ces symptômes, malgré que le tableau soit incomplet, relèvent d'une atrophie partiel
ervation est un type d'hystérie simulatrice. Si, aujourd'hui que le tableau estall grand complet, lediabnoslic estfacile, il
as, il est vrai, d'exemple d'hystérie simulatrice ayant présenté ce tableau au grand complet, mais l'avenir pourrait bien n
urprises à cet égard. Il n'est du reste nullement nécessaire que le tableau soit complet pour qu'il y ait si- mulation et.
tte dernière maladie sont particulièrement intéressantes. Dans le tableau ci-dessous nous résumons les observations de 3G a
45 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s des nerfs périphériques, par exemple dans la polyné- vrite, où le tableau clinique peut ressembler beaucoup au tabes, il
olement pour les maladies contagieuses. Nous reproduisons dans le tableau ci-dessous quelques chiffres concernant les cli
érison, notamment chez les alcooliques. Il peut même arriver que le tableau morbide en impose pour un délire systématisé ch
e. La folie chez les jumeaux malgré de notables divergences dans le tableau symptomatique qui ne permet pas, comme le montr
it totale. Schaffer surprit donc une sorte de parallélisme entre le tableau clinique et l'état histologique de l'amyotrophi
mes de la maladie se rangeaient sous deux chefs : 10 symp- tômes du tableau typique du tabes, inégalité et rigidité pupillair
ec intégrité des cornes antérieures et des nerfs périphériques Le tableau clinique diffère, quant à l'excitabilité galvaniq
et a relevé le résultat de 'ses recherches sur le point dans un des tableaux qui accompagnent 'son travail. 1 Substance ch
leraient même indiquer le contraire. Ici l'auteur intercale - trois tableaux où. les faits observés ont été groupés, et qui se
résentant les mêmes lésions à des degrés divers, correspondant à un tableau clinique spécial qu'ils résument par ces mots :
vent insurmontables, mais ils lisent avec une grande facilité nos tableaux servant à déterminer les différents degrés de la
au contraire sont arrêtés du premier coup par les caractères de nos tableaux d'un ton grisâtre encore net, mais ils lisent s
n a pas une : i retrancher. La plupart d'entre eux sont disposés en tableaux synoptiques ce qui permet au praticien qui s'en
ervations qui ont été publiées sous ce nom s'écartent absolument du tableau clinique présenté par nos malades. Elle doit fa
u pourrait être retrouvée et admise pour l'axe spinal, rien dans le tableau clinique présenté ne nous autorise à trancher l
ée en 1899 le professeur Kraepelin. Nous reproduisons ci-dessous le tableau de cette classification, renvoyant pour les dét
of Mental Science, avril 1897.) En parcourant les dix-huit pages de tableaux annexés à ce travail, on constate que l'auteur
astérien, abdominal et plantaire) sont normaux. En présence de ce tableau clinique, l'auteur déclare qu'il ne peut s'agir
avait envahi le noyau du moteur oculaire. A la seconde visite, le tableau clinique indiquait la propagation de l'hémorrhagi
ulement par des douleurs vagues, du malaise, le tout aboutissant au tableau de la névrite sans fièvre et sans troubles géné
nq observations qui correspondent aux iiuliiéi os, 2,3, G, et 13 du tableau placé en tête de cet article'. 1. H. de 111USGR.1
chez lequel la syphilis ne datait que d'un an, et qui présentait le tableau incomplet d'une paralysie croisée du mouvement
la substance nerveuse est encore relativement conservée, on voit le tableau suivant : Le tissu nerveux atteint une épaisseu
ATHOLOGIE MENTALE. Contribution a l'étude de la mélancolie, avec un tableau , montrant les résultats de l'examen du sang da
cin de la division des femmes. Ces rapports contiennent de nombreux tableaux de statistique, concernant le mouvement de la p
pect symptomatique, dans sa forme cérébrale a des analogies avec le tableau symptomatique des néoplasmes crâniens. La théo-
de dégénérescence. Chez le second malade, la polynévrite réalise le tableau du pseudo-tabes. Ces deux polynévrites sont sur
à mélancolie. En un historique rapide, il montre que le remarquable tableau clinique de la lypémanie, tracé par Esquirol. b
est accompagné de figures qui en facilitent l'intelligence et d'un tableau où figurent les différentes données à recueilli
et Couve- laire. (Nouv. Inconogr. de la Salpétrière, n° 1, 1900.) Tableau clinique et anatomo-pathologique complet de cette
nt de les ranger dans le cadre de cette curieuse affection, dont le tableau clinique peut-être résumé comme suit : développ
bétiques ne pré- sentant, en dehors du symptôme arthropathie, qu'un tableau clinique presque nul, et conduisant l'auteur au
pide et une terminai- son invariablement funeste. L'auteur après ce tableau clinique se propose d'insister sur le diagnosti
ilà pour la thérapeutique. - Un appendice à ce mémoire contient des tableaux statistiques. R. DE Musgrave-Clay. REVUE DE P
analyser puisqu'il est composé presque uniquement de chiffres et de tableaux : nous aurions pourtant été tenté de reproduire
de de la Clinique, paysanne âgée de quarante ans, qui présentait le tableau typique de la syringomyélie, à savoir : dissoci
3° A la syringomyélie gliomateuse (et à elle seule) correspond un tableau clinique bien caractéristique (la triade d'Iloffn
yélie peut ne se lévéler par aucun symptôme clinique, tandis que le tableau clinique de la syringomyélie gliomateuse'répond à
moins nets par la lecture, par auditions musicales, ou par vues de tableaux , statues, paysages, etc. La masturbation dans s
'edoiiale corne ipnolico xzegli alienati. In-8» de 13 pages, avec 6 tableaux . Ferrara, 1901. Tipographia dell'Eridano. Garni
ature des phénomènes qui provoquent cette modification urinaire, le tableau clinique des symptômes qui l'accompagnent est m
sclérosés ainsi que la bandelette externe de Charcot et Pierret. Ce tableau ressemble a ceux que les auteurs donnent de la
n foyer de ramollissement dans l'autre hémisphère. Il en résulta le tableau ordinaire de la para- lysie pseudo-bulbaire. Le
chez lui de corrélation absolue entre le délire et les attaques. Le tableau clinique aurait dû être complété de cette const
bles pupillaires dans la paralysie générale. En comparant, dans les tableaux qui sont donnés, les statistiques des différent
ccupe au moins 50a pages imprimées, accompagné d'un grand nombre de tableaux compara- tirs, concernant les différentes discu
1,8 p. 100 de la septicémie et 1,9 p. 100 du cirhose du foie. Les tableaux des malades au point de vue étiologique se rappor
k ont rappelé les nombreux titres de leur maître et ami, et fait un tableau vibrant de ses hautes qualités de coeur, de car
46 (1925) Charcot artiste
er de façon magistrale son goût pour les représentations figurées. Le tableau noir et les craies de couleur étaient les accesso
ystématiques, toutes ces relations devenaient apparentes sur un vaste tableau synoptique que le spectateur embrassait d'un coup
e collaboration fructueuse. Un jour, Charcot se trouve en face d'un tableau de Rubens, représentant la Guérison d'une Possédé
phases les plus dramatiques de la grande attaque d'hystérie. Mais ce tableau de Rubens n'est pas seul en son genre. N'y aurait
n anachronisme ; rien ne choquait ; aucune tache disgracieuse dans ce tableau . La note dominante était celle de l'art de la R
e de plats, que d'assiettes ont été transformés par sa main en petits tableaux commé-moratifs ! Il excella surtout dans l'art
rticulture rétrospective que les artistes nous ont laissés dans leurs tableaux ? Pour toute cette œuvre ornementale, qui n'est
, est une esquisse exécutée, pendant un voyage en Espagne, d'après un tableau de l'hôpital de la Charité, à Séville. Rien n'est
omme dans les peintures de Holbein le vieux ou de Hans Baldung. L,e tableau de l'Espagnol Valdes Leal attira donc son attenti
reconnaissait les familiers du peintre, figurants inattendus dans ce tableau d'histoire religieuse. Puis, il faisait ressortir
loges adressés à Corot ; et, ayant eu l'occasion de se dessaisir d'un tableau de ce maître, il le fit sans regret. A aucun prix
47 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
me cas les idées de négation prédominèrent un certain temps dans le tableau morbide d'un délire poly- morphe '. Observati
e et une légère anesthésie de la conjonctive de ce côté. C'est le tableau banal de la mélancolie simple accompa- gnée d'i
début de tout mou- vement, pour sortir des bancs, pour se rendre au tableau noir ou pour prendre part aux jeux. Ses premier
amma- tion diffuse et de dégénération cellulaire, et, par suite, le tableau clinique de la maladie reste le même dans son f
lyooes. Ensaios de Esta- tistica. Volume m-8° de 136 pages, avec 20 tableaux hors texte. Ponta Delgada, 1898. Typogralia elz
ou moins sommairement. Impossible de tracer même à grands traits un tableau cli- nique de cette affection, étant donné le n
e V'estpllal 3, de Busch' et d'Ollivicr ; dans les deux premiers le tableau clinique était 1 olivier, Traité des maladies d
la nature sarcomateuse fut re- connue ultérieurement ; néanmoins le tableau clinique simu- lait si complètement la sclérose
pour former en- suite un contour rempli d'éléments sarcomateux. Ce tableau s'étend à la hauteur de plusieurs segments, san
. sac à parois con- jonctives. Quant à la cavité supérieure où le tableau anatomique n'est pas embrouillé par la particip
gue, ainsi que nous avons pu nous en rendre compte en consultant le tableau des attaques dressé dans le service. ' J. Voi
Quelle pouvait être la cause d'une transformation aussi complète du tableau clinique ? C'est seulement l'autopsie qui nous
nérescences primitives des neurones psychiques qui donnent lieu au tableau symptomatique de la démence sont encore très peu
t la poitrine. Le défenseur de la malheureuse a fait au tribunal le tableau de son long mar- tyre qui a duré douze ans, sou
ction inflammatoire des centres nerveux vis-à-vis du parasite. Le tableau clinique de celte affection a été, d'une façon gé
phale avec la périphérie. Etant donnée l'impossibilité de tracer un tableau d'ensemble des tumeurs du bulbe, il convient d'
des variétés indivi- duelles et même régionales chez le même sujet ( tableaux de Stint- zing) qui nuisent à l'application des
1CII. (Nezerolog. Ceizt2-alb., XVI, 1897.) Cette méthode fournit un tableau remarquable de la division des arborisations te
interne. L'examen microscopique offre tout d'abord de la moelle le tableau habituel du tabes, notamment (dans les régions
atrophie des racines postérieures, etc. Dans la région cervicale le tableau est compliqué du fait de la présence d'une tume
bes dorsalis, il n'est qu'une combinaison fortuite qui complique le tableau anatomo-pathologique. Discussion. M. W. MOURATO
a été trop négligée jusqu'ici. Cette méthode consiste à dresser un tableau symptomatique de la maladie et à avoir la patie
mentale expansive, dépressive, mixte, démente ou en rémission ? Le tableau suivant répond à cette question. Nous avons pen
paralytiques aux moments des recherches. Quoi qu'il en soit, notre tableau met bien en évidence six faits intéressants. En
mais seule- ment amélioré. En second lieu, nous voyons par notre tableau que le sens tactile est, d'une manière générale,
étaient calmes. Un troisième fait mis encore en évidence par notre tableau qui étonne, c'est l'état constam- ment normal d
vec du délire hypochondriaque. Une quatrième particularité de notre tableau est celle de l'exagé- ration et de l'abolition
te fois encore les faits démentent les vues de l'esprit. Puis notre tableau , en cin- quième lieu, établit que de toutes les
en ont fourni les bases. Toutefois, il est juste d'ajouter que les tableaux statis- tiques des divers ouvrages sont diffici
ent invoquée du nombre des suicides. Je présenterai tout d'abord le tableau suivant, qui au premier abord semble réellement
émontrer d'une façon péremptoire cet accroissement progressif. Le tableau suivant donne, calculée d'après les documents d
icides pour 30 années (1865-1894). 394 STATISTIQUE SOCIALE. des tableaux reposent sur une base instable à ce point de vu
qu'on doit en tenir compte lorsqu'on examine les statistiques. Le tableau suivant montre que les proportions sont consi-
des suicides. J'attirerai maintenant l'attention du lecteur sur le tableau ci-après, qui donne les procédés de mort adopté
395 Procédés de suicide. 396 STATISTIQUE SOCIALE. daison des tableaux qui méritent toute confiance. J'ai noté les déc
périodes quinquennales comprises dans les mêmes trente années. Le tableau ci-joint indique les résultats obtenus. Suicide
ments qui vont suivre perdraient beaucoup.de leur force. Dans le tableau suivant, je donnerai les proportions de sui- ci
eésastres de toutes sortes qu'elles amènent sur nos côtes. Mais le tableau ci-après montrera que si les morts par empoison
euses héréditaires ou fami- liales se rapprochent plus ou moins des tableaux cliniques des maladies nerveuses communes, mais
pileptique se manifeste comme symptôme isolé ; dans les deux cas le tableau de la fureur épileptique est pareil. Plus l'acc
en passant- par les formes intermédiaires. C'est pour ainsi dire un tableau schématique de l'inflammation en général et de
la paroi vasculaire ? : ' . 3. Les foyers forme B représentent le tableau fidèle de l'encéphalite chronique, ou ce qu'on
'encéphalite aiguë, quoique datant de plusieurs mois, présentent le tableau assez exact de l'inflammation aiguë en général.
grandeur en poids aune grandeur volu- métrique et de figurer sur un tableau en colonnes et pavillons noirs et gris sur fond
48 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
médian. Voyons si notre cas peut être placé dans un des différents tableaux des myopathies. ' Dans le type scapulo-huméra
lisation atypique. Il faut se rappeler encore que dans notre cas le tableau morbide est dominé par des symptômes bulbaires.
inal et par la moelle cervicale donne des réactions cadrant avec le tableau de la D. R.partielle. L'auteur posa : le diagno
u longtemps. Le malade étant instituteur écrivait beaucoup, soit au tableau , soit pour la correction des devoirs. Pour écrire
oit au tableau, soit pour la correction des devoirs. Pour écrire au tableau il était obligé d'élever le bras ; or, au bout
aisant. Il peut écrire longtemps sans fati- gue, mais l'écriture au tableau noir lui est encore impossible s'il est obligé
i qu'il lui est possible de tracer des figures de géométrie, sur le tableau , ou même des cartes géographiques, au moins pen
t de crampe que lorsqu'il écrivait des lettres, non des figures, au tableau noir ; ou lorsqu'il écrivaitsur le papier ; mais
(vers 1837), ou comme la célèbre Casa de Locos de Goya, ou enfin le tableau de T. Rohert-Fleury représentant Pillel à la Salp
ment la Loca de Ximénès Aranda. Enfin, l'auteur a collationné les tableaux inspirés par les grands drames historiques enge
rit, l'opium et surtout le haschich ? Enfin peut-on oublier que les tableaux d'El Bosco aientservià orner cet oratoire de l'
... Autre exemple. Le Dr Portigliotti a reproduit dans son livre un tableau de A. Wiertz, représentant la Folie. Non moins
sculaire diffuse, soit monoplégies ou paraplégies : dans un cas, le tableau fut celui de la paralysie ascendante de Landry. L
. Actuellement, D... ne présente que d'une façon très incomplète le tableau plus haut résumé. Au point de vue hémiplégique,
ste naturellement pas du côté du larynx puis- que pour présenter ce tableau le malade doit garder le silence absolu. Lorsqu
Au contraire, s'agit-il de tracer à main-levée, sur du papier ou au tableau noir, des arabesques, des spirales, des majuscu
ticulières dans notre cas se réunissent au contraire pour former un tableau d'ensemble s'écartant de toutes les ma- ladies
stérien per- siste. Nous faisons suivre cette observation de deux tableaux : dans l'un sont les différentes mensurations q
la plupart des muscles du corps. On peut encore dans le cadre de ce tableau différencier quelques types qui se fondront bie
as). Je refis l'examen complet de la malade et le retrouvai le même tableau que j'avais noté 18 mois auparavant, j'ai fait
e à celui qui avait suivi mon premier examen. En ce qui concerne le tableau clinique, des douleurs atroces y figuraient en
térique, compli- quée de névrite. La psychalgie prédominait dans le tableau clinique à un tel point que, évidemment, le tra
AS DE PSYCHALGIE 285 précis de l'existence de la côte cervicale. Le tableau clinique et la marche de la maladie de leur côt
tervention chirurgicale, sans avoir préalablement examiné à fond le tableau clinique en entier, vu que l'opération par elle
s et dont les lésions ont amené trop rapidement la mort pour que le tableau clinique de cette affection ait pu se développer.
ment insisté sur l'importance des symptômes de la méningite dans le tableau clinique de la période d'invasion ; de même, un a
un moyen de contrôler la méthode. Nous groupons ci-dessous dans un tableau ces recherches pour les cas de poliomyélite aiguë
pour la poliomyélite aiguë, nous avons réuni ces résultats dans le tableau suivant. 410 O PETREN ET EHRENBERG '. ÉTUDES
poliomyélite par la ponction lombaire est résumé et groupé dans le tableau ci-dessous. 412 PETREN ET EHHENBERG ETUVE : ;
, et il est bien naturel qu'il soit difficile dans ces cas. Dans le tableau ci-dessus contenant nos recherches cytolo- giqu
as auparavant). Quant aux résultats des ponctions lombaires, cf. le tableau . Le 23 janvier, la raideur du dos s'est amélior
des deux côtés. La ponction lombaire est faite le 7 octobre (cf le tableau ). Plus tard les symptômes disparaissent, aussi
Quant aux trois ponctions lombaires que nous avons pratiqué, cf.le tableau . Quand trois ou quatre jours se sont écoulés sa
A POLIOMYÉLITE AIGUË 421 1 observé chez des enfants des cas avec le tableau clinique d'une tumeur cérébrale causée par une
n, leur distribution, leurs analogies ; nous les rappe- lons par le tableau suivant : 492 KLIPPEL ET PIERÜE-WE1L FACULTÉ
qu'on aura découvert des formes intermédiaires, car, en réalité, le tableau clinique et les lésions anatomiques trouvées, par
des centres nerveux ni de modifications au niveau des méninges. Le tableau anatomo-pathologique de notre cas ne concorde p
Comme nous l'avons dit plus haut, notre cas se rapproche par son tableau clinique et par l'étiologie de la forme deBechter
us de conjugaison partout perméables. « Os légers, poreux. » Le tableau anatomo-pathologique de l'arthropathie tabétique
e 'déformante et devra nous faire admettre celui-ci quoique dans le tableau général pré- senté par le malade manquent l'inc
stomosées entre elles, quelquefois avec l'aspect de tourbillon ; ce tableau contraste absolument avec celui que fournitun t
is il a une très grande difficulté à parler. Le trait qui domine le tableau clinique, c'est la difficulté énorme à respirer.
moitié correspondante du cervelet. Le cas est cité ci-dessus dans le tableau résumant nos recherches sur le liquide céphalo-
x dans l'autre et avec hydrocépalie), cité ci-dessus dans le même e tableau , la respiration a cessé soudainement quelques heu
s et dont les lésions ont amené trop rapidement la mort pour que le tableau clinique de cette affection ait pu se développe
eures et les matières 1 568 ETTORE LEVI ET GIUSEPPE FRANCHINI j Tableau Mario Palazzi, de Florence, 66 ans. 70 ETTORE
dernières on procéda au même dosage que pour les aliments (Voir les tableaux spéciaux). Dans les urines, outre la quantité,
bstances. En résumant les résultats obtenus, on trouve que (voir le tableau n° 1) la quantité de l'urine dans les 24 heures
eux premiers jours, alla ensuite en diminuant jusqu'à la normale. Tableau n° II. Tableau de l'azote el des différents gro
s, alla ensuite en diminuant jusqu'à la normale. Tableau n° II. Tableau de l'azote el des différents groupes azotés. 57
différents groupes azotés. 572 ETTORE LEVI ET GH1SEPPE FRANCHINI Tableau no IV. Absorption. CONTRIBUTION A LA CONNAISS
ntion de 10 grammes d'azote, un déficit de 1 gr. 36 de P' 0' (V. le tableau n° IV) et une rétention de 0 gr. 14 de Ca 0.
'examen chimique du sang nous a donc donné les résultats suivants : Tableau n° V. CONTRIBUTION A LA CONNAISSANCE DU GIGANTI
ut en ne leur donnant pas une valeur constante el absolue. Dans les tableaux qui suivent nous allons donc mettre en comparai
la chaux. Si nous jetons à présent un coup d'oeil d'ensemble sur ce tableau com- paratif, nous voyons tout de suite que l'é
chimiques et histologi- ques du sang, tout en somme nous montre un tableau tout à fait analogue à celui qui ressort des ét
l'abdomen un tatouage assez curieux qui est la reproduction d'un des tableaux militaires de Détaille. Au-dessus de cette repr
articulier pour baser sur lui une classification anato- mique. Le tableau suivant résume la classification des atrophies du
e. L'ex- tension de l'avant-bras se fait incomplètement. Voici un tableau comparatif des différentes dimensions de tous les
t voir, à côté de squelettes pieusement conservés et restaurés, des tableaux indiquant la généalogie des animaux préhistoriq
49 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
tait applicable, nous écrivions ceci : « Il y a ce- pendant dans le tableau de l'infantilisme, un symptôme assez important,
ma, etc. ; et il y a lieu d'en prendre note dans l'ex- plication du tableau clinique que le gigantisme présente dans chaque c
nouvelle, il convient de préciser, d'après les lertes originaux, le tableau morbide décrit, sous nom de Presbyophrénie, par l
cet auteur n'étant nulle part indiquée, la description initiale du tableau morbide est pratiquement celle de Wer- nicke ;
uvent dit qu'en psychiatrie, on ne peut établir de rapport entre le tableau clinique et l'étiologie, que dans les cas où de
éclatante du fait que nous pouvons rencontrer exac- tement le même tableau clinique, sans polynévrite. Un cas de ce genre m'
grave à la tête, et.quand elle reprit conscience, elle présenta le tableau typique de la forme délirante de la psycho-polyné
re comme des psy- choses symptomatiques ou d'inanition, présente un tableau clinique analogue à celui de la psycho-polynévr
ynévrite ; mais l'argument le plus probant pour notre thèse, est le tableau morbide de la presbyophrénie. presque identique,
tre, des hallucinations, surtout visuelles. « L'ensemble donne le tableau atténué dit delirium tremens, avec durée analog
spécifique, relève de cette étiologie. Vous vous souve- nez que ce tableau clinique, dans ses traits importants, ressemble à
de fixation, et de la mé- moire en général. « Nous désignerons ce tableau clinique très particulier, sous le nom de pres-
peuvent disparaître et, par le retour de la lucidité, reproduire le tableau clinique antérieur. «D'autre part,dans la presb
ne démence simple et stupide. « De temps il autre, on voit aussi le tableau clinique de la presbyophrénie durer des années,
ernicke et de Kraepelin sur la Presbyophrénie. Kraepelin, dans le tableau clinique qu'il trace de la Presbyophrénie, isol
pré et ses élèves, ont, à leur tour, insisté sur la confor- mité du tableau clinique de la Presbyophrénie avec la symptomatol
de Korsakoff. « Dans les cas que nous avons observés, l'ensemble du tableau morbide, psy- chopathique et névritique, peut ê
démence sénile sont, l'une et l'autre, susceptibles de réaliser le tableau clinique de la Presbyophrénie. Voilà donc la sy
que dans la vieillesse ; elle est précise parce qu'elle répond à un tableau morbide bien délimité, assez typique, et dont l'a
se de Korsakoff, par exemple, que dans la démence sénile ; et si le tableau clinique d'ensemble est différent, dans les deu
t par conséquent, à rapporter trop vite, et comme de parti pris, le tableau morbide à une forme clinique de la démence sénile
la presbyophrénie doit, logiquement, perdre son nom ; en effet, le tableau clinique, n'étant plus spécial à une variété de d
nullement constant celui-là, et même assez insolite, qui imprime au tableau morbide une physionomie à part, propre à dérout
'association de l'amnésie de fixation à la confabulation imprime au tableau morbide une allure très particulière, qui assure
on existence (entre 30 et 40 ans). Dans d'autres cas, on observe le tableau clinique du Puérilisme, décrit par Dupré (1) et
uve représentés dans nombre d'objets d'art, en particulier dans les tableaux que nous ont laissés les maîtres de la Renaissa
te une ankylose incomplète dans les articulations de l'épaule. Le tableau spécial de cette affection est complété par la cy
r la littérature de la question, nous allons essayer d'esquisser un tableau de la spondylose rhizomélique, étudiée au point
ique. Le rapport réciproque de ces deux symptômes constitue tout le tableau clinique de la maladie. 7° Le début de la malad
que de temps en temps, comme des crises isolées. Au premier plan du tableau de la maladie ressort le second et le principal
s variations rapides des symptômes cliniques. On distingue, dans le tableau clinique de l'apoplexie, les symptômes initiaux
plus tard la paralysie fut si forte qu'elle domina complètement le tableau clinique. On sait que l'on a déjà cherché à exp
e retiré : il fut d'ailleurs remplacé au rabais, ce qui complète le tableau . Il est consolant pour des médecins en butte au
état actuel, il ne semble pas qu'il puisse y avoir d'hésitation. Le tableau clinique, dans son ensemble, est très caractéris-
ue ce trait particulier, comme d'ailleurs les détails principaux du tableau clinique, se retrouvaient, depuis le début de l
ymptômes l'immobilité la déviation de la colonne vertébrale. Sur le tableau ci-après sont réunies les variétés cliniques les
vec l'opinion de M. P. Marie, son existence comme entité morbide. TABLEAU COMPARATIF 1. Spondylose rhizomélique {P. Marie
ou- leurs, aboutit à une ankylose complète du rachis. Opposons le tableau de cette forme dernière avec celle de la spondylo
t général satisfaisant. Tous ces symptômes, bien que constituant un tableau clinique particulier, rappellent de très près l
s deux membres supérieurs. Il suffit de jeter un coup d'oeil sur le tableau que nous avons dressé pour cons- tater que le d
puis quelques instants après, se prêtant de bonne grâce à l'examen. Tableau DE TOUTES LES mensurations. Hauteurs au-dessus
d'observer dans la syphilis il détermination cérébro-spinale. Le tableau anatomique correspondant à une telle complication
. Bien que l'absence du- réflexe patellaire ne fut pas observée, ce tableau rappelait le labes de très près. Le traitement sp
rg, brûlures de la plante des pieds. Ce fui la première atteinte au tableau qui dès lors devint imprécis. Les manifestati
te des membres, une légère infériorité intellectuelle et morale. Le tableau clinique ne rappelle en rien celui de l'infantili
tion symptomatique : ainsi l'on pourra mieux comparer entre eux les tableaux cliniques relatés par les auteurs, retrouver pl
50 (1897) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1896
fférents aspects, 12 vues représen- tant les premières syllabes des tableaux que nous avons faits avec M. noyer pour l'ensei
100 fr. à 2.h00 fr. Pour la petite école nous avons fait faire un tableau divisé en deux carrés peints en rouge et jaune
ttention des idiots les plus malades, ce qui est plus facile que le tableau qui renferme toutes les couleurs et qui égare l
de cette catégorie d'enfants, au lieu de le fixer ; de plus avec ce tableau ils acquièrent la notion de ces deux couleurs.
- Le musée s'est enrichi notablement en 189G ainsi que le montre le tableau suivant : XXII Musée pathologique. C'est ce
re pour la bonne direction morale qu'ils savent leur imprimer. Le tableau ci-après met en évidence les résultats obtenus
lz2)'euTS d'ongles. Décès.- Les décès ont été au nombre de 27. Le tableau ci-après fournit les renseignements concer- nan
eur famille, guéris ou améliorés ou sur la demande de celles-ci. Le tableau des pages XXXIII et suivantes indique les motif
(1868) sur la glande thyroïde, et incidemment sur le thy- mus. Le tableau ci-après donne quelques renseigne- ments sur ce
maladies qui ont occasionné la mort et dont on trouvera la liste au tableau des décès, que des accidents légers dont voici
e leurs cahiers scolaires en fournit également la démonstration. Le tableau suivant donne sur chacun d'eux, les principaux
eurs écoles. Nous avons résumé le résultat de cette enquête dans le tableau ci-dessus qui figure dans le Rap- port (I) que
sses. J'espère, M. le Directeur, que les définitions ou mieux les tableaux en raccourci qui précèdent, malgré leur insuffi
saillies très nettes. Ils sont plus volumineux il gauche (voir le Tableau des mensurations des membres). Les coudes sont dé
I1eS et nocturnes ; ils sont très fréquents, ainsi que le montre le tableau ci- après (1). L'état d'idiotie prononcée de
s. Appétit revenu. > n R o M r ro C en S w Tableau des accès et des vertiges. 94 Etat de MAL; mort
ans avoir repris connaissance et sans avoir eu de nouveaux accès. Tableau du poids et de la taille. État du corps après d
it de 38 à 3 ans. A ce propos, nous avons tracé une fois de plus le tableau s ylnptomaticl2ce de cette affection. L'un de c
hangements survenus dans le poids et la taille sont résumés dans le tableau ci-après : Premier traitement. MÉDICATION THY
s des leucocytes sont peu accentuées ; comme on le voit, d'après le tableau précédent, leur nombre total est sensiblement é
lés croissant parallèlement et progres- sivement comme le montre le tableau ci-après. Com- parée chaque année la taille moy
es ans et [aussi à ce que, pour la ? D Il 5 cn - 3 > Tableau du Poids et de la Taille. Tableau ci2atométricl
? D Il 5 cn - 3 > Tableau du Poids et de la Taille. Tableau ci2atométricluc es 1 Il z en c, =)
1 Il z en c, =) > a 0 v n Et ni H 71 Tableau des mensurations de la tête. ,1/e mores supérie
51 (1889) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1888
un certain nombre de planches destinées à l'en- seignement. 1° Un tableau des couleurs divisé en deux parties sembla- ble
lette, myosotis, feuille d'arbre, citron, orange, cerises). 2o Un tableau divisé également en deux parties semblables et
es mouvements du maître et de les reproduire avec le doigt. 3° Un tableau des lignes et de leurs applications. Par exem-
sont représentés des poteaux et des fils télégraphiques, etc. 4m Un tableau des figures géométriques et de leurs appli- cat
ns. C'est ainsi qu'on face du carré se trouve un damier, etc. 5° Un tableau des solides géométriques et de leurs applica- t
mide quadrangulaire est dessiné un clocher de village, etc. Go Un tableau de lettres (majuscules, minuscules et manus- cr
rticulation (voyelles labiales, dentales, gutturales, etc.). 7 Un tableau des sons équivalents où les syllabes homo- nyme
Bricon, s'est enrichi de nombreuses pièces, ainsi que le montre le tableau com- paratif suivant : MUSÉE PATHOLOGIQUE. XX
louer du zèle que les maitres apportent dans leurs fonctions. Le tableau suivant met en évidence les résultats obtenus.
eusement, l'année s'est écoulée sans nous donner satisfaction. Le tableau suivant fait voir que le nombre des enfants qui
e père et la mère des malades a tou- jours été exactement notée. Le tableau suivant donnera une idée d'ensemble du résultat
EVILLE, 1888. 2 18 ÉTIOLOGIE DE ^'EPILEPSIE. DE 1,'HY.TÉ[ilE ETC. Tableau des Consanguinités. DE LA CONSANGUINITÉ. 19 s
uccession d'une tare nerveuse ac- quise ou héréditaire. Or, dans le tableau dressé par M. Déjerine dans les mêmes condition
ire de penser que l'en- fant a été asphyxié dans un accès. Voici le Tableau des accès depuis l'entrée à Bicêtre jusqu'à la
et 0 gr. 75 du 16 au 30 septembre. Si l'on veut bien se reporter au tableau des accès, on verra que durant cette période, l
a même une blennorrhagie. VIL- Nous avons cru devoir réunir dans le tableau suivant le développement du poids et de la tail
52 (1911) La pratique neurologique
même et pour lui- même, ainsi que pour la place qu'il tient dans le tableau clinique de telle ou telle affection; et par ce
que 50 ou 10'. . Dans ce cas, on le fait approcher il mi-chemin du tableau Il lit )a première ligne. S611 acuité visuelle
cette même ligne à 5 mètres. Le malade, si près qu'on l'approche du tableau , ne peut lire aucun caractère. Il faut alors em
ace de. projection, on peut déduire le degré du stra- bisme. , Un tableau représentant la projection centrale d'une sphère
l'autre. Grâce à un calcul préalablement fait, on petit lire sur le tableau , dans le point occupé par la fausse image, quel
quel est le degré de déviation oculaire. ' , On peut suivre sur ce tableau , par la constatation d'un rapprochement ou d'un
me chose, clans la déviation oculaire. " ' : '...- . Avec le même tableau , on peut, par un autre moyen, mesurer le degré
précédente, l'observateur promène unebougie dans toute l'étendue du tableau en suivant les divers méridiens. Il note sur ch
découlent mécaniquement des fonctions physiolo- giques abolies. Le tableau indique successivement : 1" L'action physio- lo
rdination motrice; les réflexes rotuliens disparais- sent. C'est le tableau clinique de la maladie de Friedreich. Le nystagmu
uvrage. Je me contente donc de les présenter résumées sous forme de tableau . Tumeurs corticales. Iléniianopsic à caractères
cas, le vertige n'est qu'un élément accessoire dans l'ensemble 'du tableau clinique, de la maladie infectieuse. 4° Le vert
que le syndrome vertigineux n'est qu'un des éléments accessoires du tableau morbide dans une maladie générale ou dans une m
comprend aussi que le vertige ne fasse pas habituellement partie du tableau des atrophies congénitales du cervelet. La céph
toires lui tracent, en dehors même des conditions déterminantes, un tableau bien distinct du coma. ' Diagnostic étiologique
que peuvent commettre les aliénés. Nous reproduisons, ci-dessous le tableau synop- tique donné par Séglas (Traité de pathol
ient dans la mélancolie, sont alors sou- vent prédominantes dans le tableau clinique et réalisent une forme spé- ciale de c
IDIOTIES par le D' CROUZON On désigne sous le nom d idiotie un tableau clinique caractérisé par un déficit ou une abse
Souvent l'épilepsie, comme l'hémiplégie ou la diplégie, s'ajoute au tableau de l'idiotie; quelquefois, au contraire, " chez
plus riche, qu'ils sont le plus étroits. Voici, d'après Weber, un tableau de l'état normal du seuil extensif des principa
/10 C., celle du dos n'apprécie que des dillérences de 1 degré C. Tableau des différences de degré de température perçues
distance nécessaire pour provoquer une sensation -i douloureuse. Tableau de la sensibilité électrique cutanée (d'après B
oubles de la vue, rétrocèdent rapidement, et ne font plus partie du tableau symptomatique quelques mois après le début de l
L'hémianesthésie d'origine protubérantielle l'ait enfin partie du tableau clinique du « syndrome prolubéranliel supérieur »
ux) et génitaux. . L'anesthésie n'est donc ici qu'une composante du tableau symptoma- tique présenté par le malade. , ' L
SIBILITÉ.. " ? ' - ' 1 Topographie périphérique. En se reportant au tableau d'innciv vation cutanée ci-joint, on peut se re
r attribuait, il y a peu de temps encore, la première place dans le tableau symptomatique de 1 affection et qu'ils semblaie
559 se rencontrent fréquemment dans le tabès, où ils font partie du tableau svmptomatique de l'affection. On ne les a pas n
res symptômes sensitifs ou moteurs, elles concourent à compléter le tableau clinique d'un grand nombre d'affections du syst
t son moment de début, elle occupe une des premières places dans le tableau symptomatique de la maladie, et peut, par sa pré-
de Raynaud, les dysesthésies prennent une place importante dans le tableau clinique; elles sont ordinairement le [ROUSSY.]
fec- tieuses ou toxiques; dans les névralgies. Elles font partie du tableau clinique de l'affection dite méralgie paresthés
linique par le syndrome névralgie. - le donnerai plus loin quelques tableaux cliniques schématiques des névralgies les plus
incters et quelquefois eschares et anesthésie : nous avons alors le tableau de la paraplégie spasmodique. L'exagération des
lysie localisée aux muscles fléchisseurs et au muscle pectine. Ce tableau clinique s'oppose à celui de la myélite transvers
niais ce phéno- mène n'a rien de constant. Paraplégie flasque. Le tableau clinique est ici tout différent de ce que nous
également assez divers pour qu'il soit impos- sible d'en tracer un tableau précis. Il n'existe point de troubles tro- phiq
euvent encore une fois se présenter successive- ment ces différents tableaux . Diagnostic différentiel du syndrome paraplégie
t. et ,T 0 f1'ro y . Nous sommes amenés ainsi il nous préoccuper du tableau clinique de la compression par tumeur intra-lné
s de la sensi- bilité. La syringomyélie proprement dite présente un tableau clinique des plus nets. Les membres inférieurs
per les myélites syphilitiques. La syphilis médullaire présente des tableaux cliniques variables. Comme dans le mal de Pott,
i des formes curables à rechutes. Il est peu de chose à modifier du tableau précédent pour le faire cadrer avec la descript
revêtir une allure subaiguë ou chronique, la polynévrite offrir le tableau d'une paralysie aiguë, fébrile, généralisée. No
souvent le bulbe adjacent, et les -troubles bulbaires dominant le tableau morbide. La compression cervicale détermine une
aco-brachial, long supinateur. TOPOGRAPHIE RADICULAIRE. ' ' 605 Tableau de l'innervation motrice des nerfs rachidiens 1.
tre spécialement au point de vue de la chirurgie médul- làire. Lé tableau suivant est emprunté à Reid (Journal of Analomy a
d'après l'Anatomie de Poirier (tome 111, fascicule 3, p. 956). . Tableau des rapports qui existent . entre les émergence
de ces para- lysies peut se faire on clinique. On trouvera daiis le tableau que j'ai reproduit plus haut quels sont les mus
orsque la lésion siège au-dessus du ganglion géniculé on observe le tableau clinique précédent, il l'exception toutefois de
n son, le larynx se relâche et la respiration redevient normale. Le tableau symptomatique n'est pas toujours aussi accentué :
2 [A. LÉRI.] progressive comprend la pseudo-hypertrophie dans son tableau clinique ordinaire et dans sa dénomination même
e sont qu'un des éléments, accessoire el plus ou moins tardif, d'un tableau morbide préalablement reconnu : ce ne sont pas
e par Gombault, Dejerine et Sottas, Pierre Marie. Nous tracerons un tableau des diverses amyotrophies d'après la classi- fi
; les déformations thoraciques et vertébrales ne font pas partie du tableau morbide; les troubles psychiques sont exceptionne
naire. Le plus souvent l'amyotrophie n'est qu'un symp- tôme dans un tableau clinique : les signes associés montrent que d'aut
rome DUCIIG\\I ? iIIAV. Le syndrome d'Aran-Duchenne l'ait partie du tableau clinique habituel de la sclérose latérale amyot
le plus souvent comme une névrite généralisée; la similitude de ces tableaux cliniques, l'appareil fébrile ordinaire du débu
(s'il s'agit d'un nerf mixte) se paralysent, puis s'atrophient : le tableau clinique est complet en un ou deux mois. Plus r
êcher la formation de nouvelles attitudes vicieuses. [A. LÉRI.] TABLEAU DES CARACTÈRES ET VARIÉTÉS CLINIQUES DES ATROPH
des réflexes tendineux; peu ou pas de troubles du développement. TABLEAU DES CARACTÈRES ET VARIÉTÉS CLINIQUES. 755 2. Va
s sensitifs périphériques : elles déterminent ainsi l'apparition de tableaux cliniques fort semblables au tabes et dont l'at
fections ne provoquent pas d'ataxie ou que l'ataxie n'entre dans le tableau clinique que d'une façon tout à fait accessoire
se (Lichtheim, Minnich, Risien Russell, Batten et Collier). Dans ce tableau l'anémie peut passer au second plan. Dans le di
stérieurs); dans ce cas, les symptômes oculaires font défaut, et le tableau clinique évolue beaucoup plus rapidement que le
ononcée, signe de Romberg, abolition des réflexes, qui réalisent un tableau clinique très semblable à celui du tabes : on adm
la lésion des nerfs périphériques joue dans la consti- tution de ce tableau un rôle prédominant, parfois exclusif (nervo-tabe
t du liquide, se met il nager. L'Iiémiat;iYie ne fait pas partie du tableau clinique habituel de l'hémi- plégie cérébrale i
avec les troubles de la marche. [A. LÉRI.] 782 INCOORDINATIONS. TABLEAU DES CARACTÈRES ET VARIÉTÉS CLINIQUES DES INCOOR
ou lui succéder, ou le précéder. Dans ce dernier cas se déroule le tableau d'une tumeur encéphalique de siège d'abord impréc
saud, la ]Jf : .eudo-pam- 11S2L bulbaire. Il est des variantes au tableau précédent : le syndrome peut se consti- ; tuer
eptiques. - 5'ne, Ibis la convulsion survenue, elle affecte tantôt le tableau de la crise clonique, tantôt celui de la crise
es cas de Rendu, d'Oppcnheim. [CROUZON.] 846 TREMBLEMENTS. ' Le tableau ci-dessous résume les caractères de ces trembleme
peut se manifester suivant les deux formes différentes, et les deux tableaux cliniques que nous venons de décrire, nous voul
répéter ce syndrome à sa véritable cause, et c'est par l'élude des tableaux cliniques qui vont suivre que l'on pourra faire
est celle de chorée de Sydenham, du nom de l'auteur qui en traça un tableau magistral en 1688 : c'est la chorée des enfants
alée au cours de la chorée chronique et même peut la précéder. Le tableau clinique est celui d'une chorée, mais différente
ale, dans d'autres, au contraire, elles feront partie intégrante du tableau cli- nique banal de la maladie étudiée. Il en e
veux ou une dys- trophie glandulaire, peut-être thyroïdienne ? Le tableau clinique de la maladie de Dercum est assez vari
des cas de névralgie, vraie, par congestion intense de l'organe. Le tableau clinique n'est pas toujours aussi sombre, et on v
est aboli; les troubles électriques manquent en général. Tel est le tableau d'une paralysie périphérique , [F. MOUTIER.] .]
athieu et J.-Ch. Roux) chez lequel des phobies viennent aggraver le tableau clinique. Ce neurasthénique dégénéré, phobique, n
aniques pures, sans phénomènes démentiels, tantôt il fait partie du tableau clinique d'une psychopathie. Gâtisme et malad
ne de ces affections, elles peuvent constituer dans l'ensemble d'un tableau morbide une indication qui met l'observateur sur
t olympien ou un crâne nati- ',il ventre bombé, etc., complètent le tableau morbide. Le rachi- tisme tardif ou des adolesce
inés; mais l'étatde la main n'est qu'un des éléments accessoires du tableau morbide, et le faciès InYXoedématm : 'est bien
mener une exagération des réflexes et une extension des orteils; le tableau clinique simule alors une sclérose latérale amy
e s'étend généralement aux autres segments du membre. L'ensemble du tableau clinique est très caracté- ristique. P ! I.\T
térêt comparatif de ces recherches qu'en reproduisant ci-dessous le tableau de M. Joltrain. TRAITEMENT DE LA SYPHILIS DU NE
joignent, la température peut s'élever à 58° ou 39° ; on a alors un tableau qui simule absolument la méningite; et Milian rap
ces secondaires. le syndrome inflammatoire ressemble étrangement au tableau clinique de la maladie du sommeil qui, à côté d
endant trois ou quatre mois et aboutit à une idiotie complète. Ce tableau clinique ne diffère de celui d'une méningite que
q ou six mois /après les premiers symptômes. 11 est probable que ce tableau clinique encore très rudimentaire ne manquera p
ignorer que les épendymites suppurées peuvent donner naissance à un tableau clinique assez semblable. Le début, il est vrai
r les nerfs moteurs, l'excitation produite peut être résumée par le tableau suivant, indiquant les contractions obtenues sur
at de l'appareil auditif. (') Ces indications sont résumées dans le tableau ci-contre, page 1277 () : RÉSISTANCE ÉLECTRIQUE
gnostic différentiel, 661. Formes cliniques, classification, 662. Tableau de classification, 66-lui. Tableau des caractèr
liniques, classification, 662. Tableau de classification, 66-lui. Tableau des caractères et variétés cliniques des atroph
tonique, 742. de causes diverses, 745. d'origine vasculaire, 745. Tableau des caractères et va- riétés cliniques des hype
ies héréditaires ou /icmi- liales, 777. - dans les névroses, 781. Tableau des caractères et variétés cliniques des incoor
e a consacré de nombreuses pages à l'étude et à la reproduction des tableaux , sculptures, gravures, etc., qu'ont inspirés le
53 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
pré- coces. N'y a-t-il pas les plus grandes ressemblances entre ce tableau sym- ptomatique et celui que Erb a tracé de la
ibilité, enfin, une légère cypho-scoliose, simulaient assez bien le tableau de la syringomyélie ; le diagnostic n'avait pu êt
on par un ensemble de données anthropométriques, sans lesquelles le tableau somatique resterait incomplet. Mesures de la tê
ro- phié, parce que la croissance n'a pas été arrêtée, parce que le tableau sympto- matique du myxoedème n'est pas accentué
masque les reliefs osseux et musculaires. Il y a cependant dans le tableau de l'infantilisme, un symptôme assez important,
cérébro- spinales susceptibles d'influencer la descendance ; et le tableau que nous en donnons démontre l'influence fâcheu
développé aux membres hypertrophiés correspon- dent parfaitement au tableau clinique de cette maladie remarquable. Le peau
ée anormalement. La faiblesse musculaire considérable appartient au tableau clinique de l'acromégalie et le muscle du coeur s
nce du corps « le type eunuchial ». Il n'est nullement rare, que le tableau morbide de l'acromégalie soit compli- qué par d
evue les symptômes cardinaux de notre ma- lade, il nous présente un tableau morbide très extraordinaire. Le crâne et la fig
t rendre plus intelligibles les expériences en les résumant dans le tableau suivant : PSYCHOPHYSIOLOGIE DE L'USAGE DES LUNE
s. C'est pourquoi nous rencontrons si rarement les lunettes sur les tableaux des xve et xvie siècles, particulièrement dans
xvie siècles, particulièrement dans la peinture italienne. Dans les tableaux de Véronèse, Titien et Tintoretto, nous ne voyons
Tintoretto, nous ne voyons aucun personnage pourvu de lunettes, les tableaux où on les rencontre, par hasard se rangent pour
ES OBSERVATIONS OCULISTIQUES DANS L'ART ITALIEN (llJilzior Reis.) Tableau représentant le Couronnement de la Vierge, par NI
sitant la pinacothèque du Vatican, j'ai remarqué sur la predella du tableau de Niccolo Alunno da Foligno de 1465 toute une sé
cés sur le nez et le regard dirigé en haut (Pl. XVIII et XIX). Ce tableau d'autel représente le couronnement de la Vierge,
prouve que les lunettes étaient déjà connues par le peintre. ' Ce tableau représente donc un document inédit de la première
e en général, des scolioses avec gibbosité très accusée dominant le tableau clinique, constituée avec une rapidité spéciale,
actères de la triade symptomatiqne de Recklinghausen : il manque au tableau morbide les tumeurs des nerfs. Tout diagnostic
manifestes d'une mé- ningo-encéphalopathie diffuse, aiguë, dont le tableau était celui d'une mé- ningite tuberculeuse. I
que de toutes les séreuses cérébrales chez un sujet qui a offert le tableau clinique classique de la méningo-bacillose. Cet
TRE. T. XIX. Pl. XLVII Phototypie l3ert6aud Paris L'OPÉRATEUR Tableau de GÉRARD Dow (collection Léopold Favre, il Genèv
is sont fort bien représentés. Parmi eux, Gérard Dow figure avec un tableau intitulé Le Chirurgien. M. Léopold Favre a bien
e a bien voulu faire faire à notre intention une photographie de ce tableau , pour laquelle nous tenons à lui adresser nos p
de tête, des Pédicures, du Mal d'Amour, des Dentistes, etc. (1). Le tableau de M. Léopold Favre vient heureusement augmente
icham, à Erlesdene (Cheshire) (1). Et l'on retrouve dans ce dernier tableau le même fauteuil, les mêmes pots de pharmacie,
qui porte un petit vase. Ce comparse est presque constant dans les tableaux de Téniers. A droite, on distingue dans la pé
térieur sont assurément les plus liabiles. A ce titre artistique le tableau de M. Léopold Favre mérite une place très hono-
multiples d'origine spécifique dans le tissu nerveux, néanmoins le tableau symptomatique n'est pas le même que celui de la
n'a pas reparu. Pas de céphalalgie. Dans les jours qui suivent le tableau clinique s'aggrave de nouveau. z Le malade se t
giques des plaques de la sclérose multiple légitime. Dans ce cas le tableau clinique était dominé par une paraplégie spasmo-
ais il faut penser que ces symptômes peuvent ne pas figurer dans le tableau clinique de la syphilis spinale, ce qui rend al
stagmus, les troubles vésicaux, tout comme on les rencontre dans le tableau de la sclérose en plaques vraie. Notre premier ca
mai, 13 juin, 20 juin,. 27 juin), traçant les grandes lignes de son tableau clinique. Ces leçons, publiées en Italie par Mili
héorique. Il se proposa, pour ainsi dire, de tracer un « cadre sans tableau », c'est l'expression même employée par Charcot;
° l'amimie musicale : impossibilité d'exécution instrumentale. Ce tableau , plus clinique que celui de Knoblauch, fut adopté
f ou mo- teur en excluant les paramusies, comme on le verra dans le tableau sui- vant, compris dans leur schéma général des
les deux. Les données brièvement énoncées suffisent à compléter le tableau des troubles du langage mu- sical. X. Schéma
iennent plus longs. Enfin l'on voit chez la plu- part des géants le tableau nosographique suivant : la croissance excessive
tiste ou du sa- vant. Avec des milliers de malades, présentant le tableau de toutes les misé- 414 HOMMAGE A M. PAUL RICHE
de la sensi- bilité et une déformation des deux mains, rappelant le tableau de la sy- ringomyélie, et par des placards cuta
us renverrons aux travaux publiés par l'un de nous sur ce sujet. Le tableau clinique est celui d'un ataxique atrophique avec
rophie dans les muscles des mem- bres supérieurs, qui s'écartent du tableau clinique ordinaire à la maladie. C'est cependan
ssière. Remarquons enfin les nombreuses différences que présente le tableau symptomatique dans ces trois cas, où cependant
(Rev. Neurol., 1906, n° 6, p. 291). Cette fois, on nous présente le tableau des dégénérescences secondaires de la totalité
us sommes à la partie antérieure du foyer ancien (p. 114) et que ce tableau est l'expression d'une lésion purement occipitale
tuer. 594 A. MARIE. ARABES SYPHILITIQUES ET PARALYTIQUES GÉNÉRAUX TABLEAU DES CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE ADMIS EN 1905 A L'A
54 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
lui accordons, sur la demande de sa mère, un congé de deux mois. Tableau B. Tableau du poids et de la taille. 10 THÉRAPE
urs des traités de médecine pourraient assurément tirer profit. 1 Tableau C. Tableaît des accès. 12 THÉRAPEUTIQUE. Obse
ez les vieillards une hémiplégie à symptomatologie particulière. Le tableau clinique est le suivant : ictus sans perte de c
ture du néoplasme, l'autre anatomo-clinique, les relations entre le tableau symp- tomatique observé et le siège de la lésio
es affections du système nerveux, et nous avons tenté, d'après leur tableau clinique, de les enchaîner aux grandes affectio
te, le nystagmus est à peine esquissé dans le cas présent ; mais le tableau est le même que chez les enfants M... et de plu
ndant d'autres symptômes se surajoutent et viennent compliquer le tableau morbide : par exemple l'asymétrie faciale si inté
ournal of Mental Science, janvier 1901.) A l'aide de chiffres et de tableaux , qui paraissent judicieuse- ment établis et pui
base indispensable de la pathologie nerveuse. Après avoir fait le tableau de l'anatomie clinique générale des centres ner
. 6° De la circulation, de la respiration et de la digestion. Des tableaux résument les voies sensitives et motrices des cin
chacune de quatre années, nous recevrons les données suivantes : Tableau I - 194 CLINIQUE mentale. Ces données ont été
ar périodes de quatre années nous aurons les résultats suivants : Tableau III 196 ' CLINIQUE mentale.. du nombre des fe
générale d'après nos données, nous eûmes les résultats suivants : Tableau V - PARALYSIE GÉNÉRALE. 201 ment.de la paraly
l'envers. Je m'explique : Je suis, sain d'esprit, placé devant un tableau noir sur lequel un arbre est dessiné; je le voi
n cerveau la perçoit. Conséquence : Je vois un arbre dessiné sur le tableau . Au contraire, je suis aliéné; sur le tableau n
arbre dessiné sur le tableau. Au contraire, je suis aliéné; sur le tableau noir, aucun dessin ; tout à coup dans mon cerve
t le nerf optique ; 1° elle s'étale sur la rétine et je vois sur le tableau l'image non réelle du diable; je suis halluciné
te Thérèse ne s'est pas mise en campagne pour nous offrir le sombre tableau d'un enfer espagnol. Mais la sainte, disons-le,
frant sa vie pour sauver une âme damnée ; c'est une douceur dans le tableau . Hallucinations démoniaques. Bien des fois enco
tion qui avait lieu, même entre les mains d'un ennemi de Dieu. » Le tableau de ce prêtre tenant l'hostie avec le cou engonc
de défense, procédé libérateur, occupe une place importante dans le tableau de l'obsession et du tic; de même que l'obsédé a
n plus ou moins grand nombre de nerfs donnant ainsi naissance à des tableaux cliniques très variables. Le début de ces névri
s les zones périphériques. S'il s'agit de cas très envahissants, le tableau est tout différent.. - - Les vaisseaux sont s
ont débuté à sept ans; 2° le début mono, puis hémiplégique ; 3° le tableau clinique caractérisé par la prédominance exclus
risliques, · Le pronostic est très sombre, comme il découle d'un tableau où l'auteur a recueilli les terminaisons relaté
s, les Condamnées à mort, l'armée du Salut, les trumeaux, les vieux tableaux , les trois donneuses, les trois clocheuses les
tions et de déboires. Artiste peintre, il ne pouvait vendre aucun tableau ; aussi était-il découragé et se plaignait-il à
G. ET1E¡O;NE. (Nouv. lcoaogr. de la Salpêtrière, n° 5, 1899). Le tableau classique de cette affection (maladie de Duchenne
l'auteur les expose en détail dans : on travail et les résume dans le tableau suivant : 1t3' REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
ndaires à des âastropatbies ; ces troubles occupent parfois dans le tableau clinique une place si prépondérante, que, contr
ant, pour ces raisons, les accidents cliniques qui consti- tuent le tableau du délire des maladies aiguës et la confusion m
nt pas toujours simultanément affectées au début. C'est pourquoi le tableau , clinique varie, les conducteurs sensitifs de l
e, surdité mentale et cécité mentale qui dessinent toujours le même tableau morbide chez le même patient, mais produisent des
ns son trajet auditif. M. Il. XLIX. La sensibilité à l'aimant, avec tableaux et 32 figures ; par Cli. MUE. (Revue de médecin
e intervient cependant pour en modifier quelque peu la marche et le tableau clinique habituels. Dans un autre groupe de fai
ale préexistant, à titre d'épisode transitoire, de complication. Le tableau clinique de l'affection se trouve ainsi brusque
écoce puisqu'il y a des moments où son intelligence est entière. Le tableau clinique se rapproche de celui des psychores pa
nsidé- rables dans les asiles. Ici se placent des chiffres et des tableaux , documents intéres- sants, mais naturellement i
lières des asiles. Nous y reviendrons probablement. Signalons les tableaux , en outre des tableaux ordinaires, sur l'état c
y reviendrons probablement. Signalons les tableaux, en outre des tableaux ordinaires, sur l'état civil, les professions (
fessions insalubres), l'hérédité, sur l'alcoolisme, etc. Ce dernier tableau qui va de 189 à 1901 montre que la proportion d
55 (1883) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1882
intervention médicale, le service des enfants, après avoir tracé un tableau très déplacé des malheureux enfants, décrit ain
e dans cette « infirmerie ». Nous invitons ceux qui trouveraient ce tableau trop chargé à venir visiter cette salle au mome
ons de choses. Le matériel indispensable s'est accru peu à peu; aux tableaux de Dayrolle se sont ajoutées les collections du
pouvant quant à présent avoir rien de mieux, ces collections et ces tableaux nous ont rendu de réels services. Les enfants y
ons : 1 baro- mètre, 1 thermomètre, 1 hygromètre, 2 boussoles, un tableau de gros chiffres, un tableau des couleurs du sp
momètre, 1 hygromètre, 2 boussoles, un tableau de gros chiffres, un tableau des couleurs du spectre solaire, etc., etc. P
eront avantageux à l'Adminis- tration, quoi qu'on en dise (2). Le tableau suivant permet de se rendre compte du travail d
ces moyens thérapeutiques et hygié- niques, ainsi que le montre le tableau ci-dessous : STATISTIQUE. XVII de l'année, on
opres et sont en pantalons, 16 sont gâteux et portent la robe. Le tableau ci-dessous résume le mouvement de la population
e 26 : 14 enfants (au-dessous de 18 ans) et 12 adultes. En voici le tableau : STATISTIQUE. XXIX Evasions. - Le 4 juin, 8
EPSIE APOPLECTI- FORME OU COMATEUSE. Comme on peut le voir par le tableau ci-dessus, l'ins- tallation hydrothérapique du
s-cutanées de curare. OBSERVATIONS. 19 9 On voit, en examinant le tableau ci-dessus, que le nombre des accès a considérab
perdu de son épaisseur. Nous ne pouvons, pour le moment, donner le tableau symptomatique de la forme d'idiotie qui corresp
rétrécies. T. R. 38°. Les accès qui reviennent fréquemment (voir le tableau ) ne sont ordinairement pas suivis d'agitation ;
constipation opiniâtre. - Mort le 4 juin, à 5 heures 30 du matin. Tableau des accès depuis l'entrée à Bicëlre jusqu'à la mo
56 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s de la sensi- bilité, on pourrait avec M. Van Gehuchten dresser un tableau parallèle à celui que cet auteur a tracé pour l
e (Ilabel). Voilà encore des formes qui ne sont pas prévues dans le tableau de M. Van Gehuchten. Il est vrai qu'un tableau
pas prévues dans le tableau de M. Van Gehuchten. Il est vrai qu'un tableau de classification, même très complet, comprendr
similaire et l'époque de leur début, leur évolution clinique, leur tableau symptomatique restent à peu de chose près semblab
Fig. 16. 108 CLINIQUE NERVEUSE. bien est uniforme et monotone le tableau des monoplégies hystéro-alcooliques bénignes su
e et la portion dorsale comprise entre l'épaule et les talons. Le tableau suivant donne un aperçu des différentes mensura-
unsKY. (Obozrénié psicltiah·èi, V, 1900.) Onze observations, deux tableaux et des tracés aboutissent aux conclusions suiva
t. XHI. 10 146 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. tableaux cliniques des encéphalopathies toxiques, de l'uré
erlines lilin. Woclzens- christ, -1599, 118.) 18. Friedlander. Le tableau clinique de la prétendue Erythrophobie. 182 CLI
de près l'épilepsie. Il résulte donc des chiffres fournis par notre tableau comme de ceux d'un tableau précédent que cette
ulte donc des chiffres fournis par notre tableau comme de ceux d'un tableau précédent que cette alternance des alté- ration
e m z > RÉACTIONS DE LA PEAU CHEZ LES ALIENES. 197 7 Ce tableau montre que nous n'avons rencontré la dermo- gra
ière et 7 à la troisième desquels trois figurant à la seconde. Le tableau que nous obtenons par cette fusion est très net
t se montrer et qui existent il en juger par le second de nos trois tableaux , car nous voyons là un paralytique chez lequel
nous poser cette question. Voici ce que nous avons trouvé (voir le tableau ci-contre) : ' Ce tableau, en dépit de quelques
Voici ce que nous avons trouvé (voir le tableau ci-contre) : ' Ce tableau , en dépit de quelques oscillations, si on l'envi-
ans nous le trouvons inférieur à l'état anormal. mais dans notre tableau le maximum de normalité se montre aux deux ex
et la sénilité, avant trente ans et après soixante au'. Dans un tableau précédent nous avons vu, au contraire, que ch
différence que nous consta- tons tient à ce' que dans le présent tableau figurent non seulement nos 7 vieillards en en
stade de la folie est souvent un stade mélancolique. Puis après ces tableaux cliniques qui montrent la 'ressemblance, il se
'appui des idées exposées et des résultats du traitement préconisé, tableau résumant les effets obtenus dans 53 cas. Simon.
ux avaient existé aux époques de l'adolescence et de la puberté. Un tableau analyse 60 cas. La plus grande paitie des fem
n ou à la démence, voilà la clef de la pathologie men- tale. (Trois tableaux de classification appuient ces idées). - SIllON
stérique, il y a parfois des périodes, plus ou moins courtes, où le tableau clinique est très voisin de celui de la paralys
es du cerveau, peuvent présenter à un plus ou moins grand degré, le tableau de la paralysie géné- 23G 6 REVUE DE PATHOLOGIE
es sur lesquelles s'appuie l'idée de quelques auteurs rattachant le tableau entier de la neurasthénie antécédente, qui parfoi
sorte que sou- vent on est embarrassé à appliquer le terme exact au tableau his- tologique. Des remarques ont été faites pa
urieuse en ce sens que la pièce anatomique laisse- rait supposer un tableau clinique semblable à celui de la pachy- méningi
Code brésilien en ce qui concerne le régime des aliénés. D'après le tableau de la situation actuelle des aliénés au Brésil,
traste avec le rôle effacé de troubles sensoriels, occupent dans le tableau symp- tomaliclue de psychoses très distinctes,
considérer comme étant d'oiigine parasyphilitique. De même dans le tableau clinique, on trouve des phénomènes qui correspo
parasyphililiclue des ictus apoplec- tiformes, mais non de tout le tableau de la paralysie générale. JI. Versilotf pense q
épileptique des acci- dents observés. Le 27 février, par contre, le tableau est tout différent : La malade, qui a été très
de véritable bégaiement dans l'acte de sonner du cor. L'analyse du tableau symp- tomatique révèle en effet un trouble de l
loin d'être toujours irréparables. Enfin, l'extrême variabilité du tableau clinique a beau être bien connue, il faut y y i
s jusqu'ici s'il ne présentait deux symptômes en opposition avec le tableau clinique aujourd'hui classique de la myopathie
és, l'auteur aborde le côté statistique de son sujet, et le premier tableau qu'il donne (il est médecin adjoint de l'asile
- niers accès les troubles de la sphère du langage réalisèrent le tableau de l'aphasie sensorielle : la surdité verbale res
malade, qui réalise une symptomatologie peu complexe; chez elle, le tableau morbide se réduit à : Une hémianopsie homonyme
profit les cas de nos trois malades, pour vous tracer une sorte de tableau d'ensemble de la séméiolo- gie de l'hémianopsie
, en manière de conclusion finale, je vais vous tracer une sorte de tableau récapitulatif des caractères avec lesquels se p
ce qui concerne la logique, par conséquentcelles qui sont dans ce tableau qui flotte autour du domaine conscient de la pen-
57 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
malade, on est déjà en droit de dire que ces accès appartiennent au tableau de la folie mania- que-dépressive, puisque les
voie sensitive médullaire peut se faire en des points différents Le tableau clinique révélateur de la lésion tabétique a pa
s de psychiatrie a été extrêmement avantageux à la connaissance des tableaux cliniques des maladies mentales et des méthodes
vue presque intacte. Il meurt avant d'être aveugle (1). Tel est le tableau (1) Jean GAL ! : XOSKt. Le fond de l'oeil dans
ntal du malade, mais il est tou- jours possiblede retrouver dans le tableau clinique la part de chacun des fadeurs surajout
s : le régime fut poursuivi pendant cinq périodes de 30 jours. Le tableau I donne pour chaque malade le nombre des 1(i
re ; 231 accès en mai 1905 contre 224 en mai 1904. En comparant les tableaux de z0 et de 1905, nous avons alors remarqué que
ntêtement opi- niâtre, les troubles psychographiques complètent les tableaux \ cliniques. Les crises d'inertie avec leur a
duisent insensiblement de l'un à l'autre. Lés auteurs rapportent le tableau clinique d'une affection familiale spasmodique
1906, n- 12.) . Le Dr Morel donne, dans ce travail, sous forme de tableau , les résultats de l'examen au point de vue ment
alcooliques, ni fils d'alcooliques. Les données contenues dans ces tableaux confirment la nécessité tant de fois exprimée,
ychique,qui vivaient séparés, devinrent alié- nés en même temps. Le tableau du trouble mental chez l'un et l'autre présenta
umeaux. Il trouve que c'est assez pour cela de la ressemblance du tableau de la maladie et du développement indépendant d
qu'il est décrit dans les livres pieux et représenté dans les vieux tableaux des anciennes églises : la face hideuse et grima-
tite l'opération de l'addition qu'elle n'était pas en réalité. Le tableau IV du travail de Lcwald contient les don- nées
nus du sujet Ru. La durée de chaque épreuve était d'une heure. Le tableau VI du travail de l'auteur contient le nombre de
toutes les épreuves. , Des résultats obtenus et interprétés dans un tableau général, on a pu voir que toutes les épreuves s
re la quantité du travail et l'influence du temps de réaction. Le tableau X contient les données moyennes vraisem- blable
ion que Bettmann en a donnée. Les deux points les plus saillants du tableau sont : tout d'abord le nombre des fausses réact
ues correspondants. As Mémorisation DES syllabes avec TROUBLE. Un tableau \ : SI) du travail de L&#x152;WALI> représ
statistique une déduction intéressante par comparaison entre les tableaux des décès classés selon le temps d'internement
0 malades, cette dé- penauoscille entre 25 et 30.000 francs. » Un tableau du personnel avec indications du traitement et de
inlluence delà bugggestion médicale et. inconsciente et il trace un tableau de toutes les causes organi- ques qui peuventèt
2'J ; total, 154. Décès : 11. 43 ; F. 33 ; total, 76. Suivent deux tableaux schématiques, dont l'un concerne la population
atiques, dont l'un concerne la population totale de 1895 à 1905. Ce tableau montre l'extension rapide du chiffre des aliéné
tificat médical motivé soit exigé dans chaque cas particulier. Un tableau intitulé : Mouvement des aliénés dont l'affection
ortion déjà formidable des aliénés buveurs telle qu'elle ressort du tableau n 1(ï de ce rapport. Et puisque la Sarthe est p
t un pays de bouilleurs de cru, il sera intéressant de comparer les tableaux des années ultérieures avec ceux que j'ai établ
e, etc. Il faut reconnaître toutefois que, jusqu'à présent, seul le tableau anatomo-paLltuloâüluc de la paralysie générale
i en trois mois el demi de traitement. Nous donnons ci-dessous un tableau comparatif du poids et de la taille pendant la
aitement thyroï- dien. Imbécillité prononcée congénitale. 433 Tableau comparatif du poids et de la taille. , 434
apports anato- ntiqucsdelag)ande. 6 CLINIQUL MENTAL ! 1.. ' Tableau du poids et de la taille pendant le second traite
la taille sont cette fois très appréciables, comme le démontre le tableau ci-contre. Cott ? a donc gagné en 3 mois : deux
entent généralement les enfants qui sui- vent le même traitement. Tableau du poids et de la taille pendant le troisième tl
A l'entrée. Leptoméningite aiguë suppurée diffuse, prouvée parle tableau clinique et la ponction lombaire (liquide séro-pu
58 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
n ? ' ! Comptes rendus d'actions faits par l'enfant : J'ai écrit au tableau . J'ai caressé le chien. Paul a poussé Louis. De
l'urine après un mois. Le cas donné, d'après l'auteur, présente un tableau clinique très compliqué et de certaines particu
e (presque exclusivement dans la substance grise), et 3° à cause du tableau histologique. Aux débats prirent part encore M.
are Ileclkllndige Bilsan- dling. Volume in-S° de 130 pages, avec 18 tableaux et une planche hors texte. Amsterdam, 1897. Lib
ulaires et de la déviation en hallux des extrémités. Prenez tout ce tableau symptomatique, en laissant pour le moment de cô
moment de côté la sclérose latérale amyotrophique, et vous avez le tableau symptomatique de la sclérose multiple dissé- mi
tisme articulaire, surmenage physique, alcool, tabac. Donc c'est le tableau complet, la caractéris- tique vraie de la sclér
t la forme Aran-Duchenne de l'atrophie musculaire progressive. Le tableau de la sclérose multiple disséminée est peut-être
périeurs de l'enseignement de leur généreux appui, et fait enfin le tableau des travaux et des résul- tats obtenus pendant
e intitulée : « Ce que peut la femme contre l'alcoolisme », fait un tableau rapide de ce qu'était jadis la situation de la
lumpke. Après une étude minutieuse des racines et fibres d'après le tableau de Féré, M. Schuster croit à la destruction des
rifié à l'ensemble; leurs observations de malades sont, toutes, des tableaux de genre d'un scrupuleux réalisme. « Aussi la
essaire que les deux ordres de symptômes soient représentés dans le tableau clinique, au moins par les plus essentiels d'en
es qui cherchent à nier. M. le professéur Pierret a donné un pei.it tableau résumant ce que doit être l'expression des état
semblait avoir pleine connaissance. Bien peu de choses manquent au tableau de la méningite : nous avons des vomissements,
son début, sa marche, sa terminaison brusque, n'of- frent guère le tableau ordinaire de la fièvre typhoïde; elle n'était p
ants pendant les pre- mières années de la vie et présentant le même tableau clinique que la rigidité spasmodique spinale de
t à son remplacement par un Moi patho- logique qui vit en plusieurs tableaux ou accès épisodiques ; cette modification psych
. On peut s'expliquer ainsi cette scène pathologique : le premier tableau est dû à l'infection paludique; chez les sujets n
as l'infection syphilitique a mis un cachet très marqué sur tout le tableau de la maladie et donna tous les symptômes posit
des oscillations très marquées dans le cours de la maladie ; 3° le tableau général de la maladie très grave d'un cours rap
a lésion est symétrique, avec des limites très accentuées et par le tableau microscopique elle est caractéristique pour la
er causé par la dégéné- rescence de la substance cérébrale donna un tableau d'idiotisme paralytique. Les accès locaux, pour
accès locaux, pourtant, n'étaient pas tout à fait l perdus dans le tableau compliqué de la maladie et laissaient la pos- s
très accentuée. C'est donc bien, à part l'absence du craquement, le tableau de la coxal- gie organique. Et pourtant l'évolu
t la durée variait de quatre à six heures, c'est tou- jours le même tableau : premièrephase,sommeilcalmesans paroles, membr
é- rence dans tous ces récits ceux qui présentent les images, les tableaux les plus terrifiants parce que ce sont ceux qui
anglots, et l'obligeaient à quitter la salle. Dans sa collection de tableaux , il en était dont il ne pouvait faire ressortir
u l'exten- sion de l'hématomyélie dans les cordons pyramidaux. Le tableau histologique de ces foyers localisés consiste ava
es. 447 ï mais leurs combinaisons diffèrent pour les deux sexes. Le tableau clinique chez les femmes offre certaines singul
gue). Dans différents cas il est impos- sible d'établir, suivant le tableau clinique de l'atrophie, une sépa- ration nette
ymptomatologie est plus nette. On peut dresser schématique- ment le tableau suivant : une première phase de prodomes carac-
a moyenne des résultats que nous avons obtenus est indiquée dans le tableau suivant : Les chiffres précédents confirment
f M w ti- lu P 13 lu N e c M tu 4.- ci Tableau I. - Statistique décadaire des accès épileptiques
à diverses époques et dont les résultats ont été rassemblés dans le tableau suivant. Pour nos examens, nous avons appliqué
t; V. ? m m N M v. pi- r i E c m ? c : ce Tableau Il. - Variations quotidiennes du taux de l'alcale
eptembre; les attaques reparaissent en séries très nombreuses (voir tableau plus loin). Pas de modification de l'état menta
ns régulières, Examen du sang et des urines du 1 ? au 7 juillet : TABLEAU III ( 1. lll2qrres ennureluues de* malade* dont
sentiment de reproche en vertu duquel l'esprit tente de chasser le tableau commémoratif deces hontes : tel est le premier
dans l'étiologie de la syringo- mvélie. La grande ressemblance du tableau clinique des deux affections n'autorise nulleme
halite diffuse 538 , bibliographie. qui se présente alors avec un tableau clinique spécial. Le nombre des cas de paralysi
59 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
inte d'une affection dont je vous ai présenté bien des exemples; le tableau symp- tomatique qu'elle offre est accusé, très
nfin une hyperesthésie de la moitié droite du corps. , Tel est le tableau présenté aujourd'hui par la malade ; on voit qu
t, comme vous pouvez aisément le voir sur ces dessins reproduits au tableau , à de grosses amandes allongées dans le sens an
gent la catatonie comme une entité morbide, d'autres regardent le tableau décrit par cet investigateur comme un symptomo-
clique, où les symptômes psy- chiques présentent consécutivement un tableau de mélanco- lie, de manie, de stupeur, de confu
Donc, d'après Kahlbaum, le cas typique de la catatonie présente un tableau de lésion mentale à cours périodique (dont les
ques aussi. Au mois de janvier de l'année 1898, nous voyons déjà un tableau d'une démence catatonique très profonde : des p
table qu'au commence- ment de l'année 1892, le malade présentait un tableau typique du ; syndrome de Kahlbaum, à savoir : d
n en 1883, puis une nouvelle exacerbation en 1887; en 1889-1892, un tableau typique de catatonie et une démence terminale t
ues relativement aux formes infectieuses, il se compose : 1° D'un tableau clinique défini et d'un cours typique et consta
aum citée par lui encore en 1874, concernant l'unité génétique du tableau clinique décrit par lui. Pourtant nous devons d
même ordre, d'un autre côté Kahlbaum décrit lui-même l'intégrité du tableau clinique, en admettant la possibilité de l'enlè
CLINIQUE MENTALE. coce et très stable qui ressort nettement dans le tableau de confusion de conscience. En évaluant les r
nte alors une belle teinte rouge diffus de la nuance rouge n° 1 des tableaux de Newton. Si maintenant nous superposons à la
ominant, l'absence de parallélisme entre le syndrome clinique et le tableau anatomo-pathologique. La première est un cas de
érieur. Le tubercule inférieur n'a eu qu'un rôle secondaire dans le tableau clinique ayant probablement entrainé la faibles
s Epilepsies et les épi- leptiques, M. Ch. Féré1 nous montre en des tableaux très précis qu'il s'est attaché d'une façon ass
s actuels dans laquelle il importe de signaler tout spécialement le tableau deMartius et la termino- logie de Lewin et Jaks
t de résistance à tout ce qu'on lui proposait. Puis, assez vite, le tableau clinique changea ; la malade commença à' manger
tain temps. Survienne une crise, et surtout une série de crises, le tableau change ; ils tombent dans la prostration et la
t, est rare, et présente chez les imbéciles, où elle est précoce le tableau exact, de la paralysie générale de l'adoles- ce
8 janvier 1903, comme il avait mal écrit quelques chif- fres sur le tableau noir, Detitius,son professeur, lui heurta violem-
st l'impotence douloureuse du membre antérieur gauche qui domine le tableau morbide. Vous voyez qu'il s'agit ici d'une para
rachidiennes et autour du plexus peuvent coexister et compliquer le tableau morbide; seule une analyse attentive vous perme
teinte « intra-vertébrate des nerfs rachidiens ne donne pas des « tableaux cliniques identiques à celle des nerfs définitive
rvation périphérique déterminée. Aussi conçoit-on la variabilité du tableau clinique : on a même publié des cas de paralysi
e d'origine gastrique. Le malade, qu'ils ont observé, présentait le tableau symptoma- . tique qui caractérise la deuxième f
avait eu de' syndromes ou de stigmates de l'hystérie. Finalement le tableau carastéristique 332 , REVUE DE PATHOLOGIE MENTA
d'hallucinations et de symptômes de lésions en foyer surajontés au tableau clinique commun de la P. G. d'écarter, comme on
l of Mental Science, octobre 1903). Travail accompagné de plusieurs tableaux , et que l'auteur après quelques rectifications
citation génitale. Nous donnerons simplement à titre d'exemple un tableau exprimant numériquement la diminution pendant l
de pou- voir se décomposer en ses nombreux éléments, ainsi qu'un tableau panoramique aux tons multiples, complexes, aux
PATHOLOGIE MENTALE. composé presque exclusivement de chiffres et de tableaux , il cons. titue une source précieuse de documen
ment analysé la reproduction de questionnaires, de chiffres et de tableaux . R. M. C. LXXIX. La toxémie dans l'étiologie de
ésentés par 111. N... ne sont pas assez marqués pour qu'il offre le tableau complet d'un affaiblis- sement intellectuel acc
ifesta une anesthésie pro- fonde, symptôme faisant plutôt partie du tableau du délire tremens. Pendant son séjour à l'asi
les membres supérieurs s'étaient pris à leur tour, de sorte que le tableau clinique avait été celui d'une paralysie ascendan
se conserve très longtemps ; sa désagrégation laisse après elle le tableau de la dégénérescence de Waller; 3° La multiplic
arties des segments. W.,A.' Mouratoff insiste sur l'irrégularité du tableau compa- ratif de la « fragmentation » et de la d
190 femmes. On voit par les chiffres que l'auteur a réunis dans un tableau que nous ne pouvons pas repro- duire, que si le
60 (1894) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 07] : clinique des maladies du système nerveux
ystérique siège toujours du côté où se trouve l'hémianesthésie ; ce tableau clinique diffère sensiblement de l'hé- mianopsi
suivante : La malade lisait avec l'oeil droit la cinquième ligne du tableau de Snel- len à une distance de 104 centimètres.
à prédire l'avenir. On le voit, à plusieurs siècles de distance, le tableau n'avait pas changé. Et les exemples abondent da
t fort intéressant de rapprocher de ce bas-relief antique, certains tableaux des maîtres italiens reproduisant des scènes de p
eux qu'on peut faire au sujet de ce bas-relief. Je veux parler d'un tableau tout moderne d'un artiste de talent qui a été g
rophie, tantôt vraie, tantôt fausse (lipomatose), qui appartient au tableau de la maladie. Dans quelques muscles on voit ce
si bien que ceux qu'innerve le nerf maxillaire inférieur. Dans le tableau I, les réactions normales des différents muscles
s points de repère. 192 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE . TABLEAU 1 Il .. Réactions électriques de Suzan. S., âgé
nce con- sidérable. Ils ne sont pas mentionnés par Duchenne dans le tableau clini- que qu'il a tracé. Une question se pos
'une diminution gé- 196 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE TABLEAU Il Réactions électriques de Suzan. S., à l' £ l
la Société médicale des Hôpi- taux (2), M. Landouzy a résumé en un tableau très précis tous les carac- tères du facies myo
r la certitude de ce diagnostic, je vous dirai dès à présent que le tableau symptoma- tique se trouve aujour(l'hui réalisé
t déjà le diagnostic de labes. Il n'y a que dix- huit mois que le tableau symplonialique s'est dessiné définitivement : i
a plus typique. Elles figurent avec leur maximum de netteté dans le tableau clinique du tab('s sensitif. Elles accusent un
utes les observations précédemment signalées on arrive à dresser le tableau suivant : 234 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊ
ues. Il est temps d'en revenir à l'arthropathie proprement dite. Le tableau de ses localisations est très significatif. Ell
e retrouver des signes caractéristiques de l'hystérie, le mérite du tableau n'en est pas diminué, et il reste néanmoins un de
fixer avec tant d'effet et de sûreté les traits fonda- mentaux d'un tableau si changeant et si complexe. Le type créé par R
ovence. Il vivait très retiré, travaillant consciencieusement à des tableaux de sainteté, pour les communautés et les maison
après Van Orley (XVI siècle) (2). Citons encore, pour mémoire, un tableau reproduisant le même sujet, du à un maître inco
cel (XVIIe siècle) ; plusieurs estampes du 1VI11° siècle, etc. Le tableau de Pierre Bronzet est d'une composition étroite.
udes au crayon ou il l'huile que fit Bronzet avant de commencer son tableau . Sur le dessin que nous reproduisons (pl. XXXII
faite sans modèle, est d'une allure bien plus vigoureuse. Sur le tableau de l'Eglise St-Lazare, la tête du possédé est inc
r. Il existe encore à l'église célèbre de St-Maximin (Var) un autre tableau de Bronzet représentant la guérison d'un posséd
e diagnostic, l'importance que peut prendre chaque symptôme dans le tableau clini- que imprime au cas particulier sa physio
rche à reproduire aussi fidèlement que possible le même paysage. Le tableau du peintre est comme une épreuve obtenue avec l'a
ui permettraient en quelque sorte d'attribuer à la syringomyélie le tableau de la maladie de Charcot. Dans l'arthropathie t
nt guéri. 2° Une forme atrophique, qui pré- sente en raccourci le tableau clinique des arthropathies nerveuses classi-
e suffi- sant pour jouer un rôle à part, utile à distinguer dans le tableau clinique. Notons enfin après ces observations u
tation du.mardi à la; Salpêtrière dans l'état suivant : Il offre le tableau d'une. hémiplégie droite complète respectant le f
61 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
tous les ans l'histoire de l'établissement. Une fois qu'un premier tableau a été tracé, il faudrait se borner à consi- gne
s intellectuels qu'on observe dans la manie simple, mais bientôt le tableau change, la fièvre s'allume, la température s'él
aucune conclusion de son travail ; mais il espère que les nombreux tableaux qu'il a dressés avec le plus giand soin pourront
114 VARIA. la statistique officielle de la Suède ; il fourmille de tableaux statis- tiques d'ordre médical et d'ordre admin
n'est pas besoin qu'un malade présente dans toute son extension le tableau clinique de l'ataxie BIBLIOGRAPHIE. 119 locom
rçon de treize ans qui a présenté avec ses principaux caractères le tableau de ]'hystero-épi)cpsie. périodes épileptoide, c
uelques cas, reproduit avec une exac- titude à peu près parfaite le tableau de I'épilepsie partielle (épilepsie jacksonnien
à un côté de la face ou à l'un des membres. Dans le premier cas, le tableau clinique était celui de l'épilep- sie jacksonni
omprenant un grand nombre d attaques, comme on peut en juger par le tableau ci-dessous, qui indiquera- lai fois l'époque d'
un.fait de Bouchard (de Paris) nous per- mettrqnt de= compléter le. tableau .' -aoqr9'ui9 : 3rr> ? pa»i Itptli ! lr " ` .
de l'homme. Mai-octobre 1883. 1 t0 REVUE CRITIQUE. Les traits du tableau de cette zone sont fréquemment défi- gurés par
ction du lobule pariétal inférieur d'Ecker. Un résumé sous forme de tableau de correspondance des termes et desdivi- sions,
onvolution occipitale; Os, troisième circonvo- lotion occipitale. TABLEAU DES TERMES APPLIQUÉS A LA DENOMINATION DES DEUX S
l'accord qui existe entre la théorie qui vient d'être exposée et le tableau clinique de la para- lysie générale. - R. M. C.
ainsi que sur les centres; b), un mode combiné caractérisé par des tableaux symptomatiques spinaux des plus variés ; ,I9
gé les m6mes"6pinions sur la pâ- ralysie1 générale alcoolique.JSoii tableau clinique ne correspond pas : a' 'celui db là'pa
iques, qui ne, se- traduisent pas fatale- a ment, forcément, par le tableau de l'atrophie dégénératie,tomate 8'de la zone d
erveux semblables en tous points à ceux des hystériques. Tel est le tableau complet des processus patho- logiques sus-menti
ent aux valeurs absolues des courants, a se con- 3'f'ectionnei'iUii tableau empirique des,plus précieux. , , o·t4 : nicusio
ANTES. 249 encore, la démence arrive et la mort a lieu au milieu du tableau clinique de la paralysie générale. Autopsie. Ad
simple hystérique ou d'une épilep- tique par lésion cérébrale ? Le tableau symptomatique autorisait à la fois les deux hyp
e l'attaque hystérique reproduit avec une remarquable exactitude le tableau de l'épi- lepsie partielle (épilepsie jacksonni
d, ce sont des symptômes de paralysie générale qui constituent le tableau clinique; la marche typique aboutit en deux année
ffet de l'âge, et surtout.de la sénilité précoce. 11 termine par le tableau des dimensions des diverses régions de la moelle
p. 4.) Travail intéressant de statistique, renfermant de nombreux tableaux , propres à éclairer les diverses faces de la ques
é ne perd connaissance; il se rend même parfaitement compte que les tableaux fantastiques ne sont perçus que lorsqu'il ferme
ncolie désignent simplement, à l'époque con- sidérée, les genres de tableaux morbides dont la réunion va cons- tituer la psy
implement que l'auteur n'ait pas construit à la fin un ou plusieurs tableaux synoptiques montrant d'emblée l'ensemble de la
d'un excédent équivalent de recette. Paris, 1855, I vol. in-4° avec tableaux ; De l'influence des trans- lations des aliénés
pratiques sur les maladies ner- veuses et mentales accompagnées de tableaux statistiques suivie^ du rapport de M. le sénate
62 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
ographe sont très différentes. Le premier s'attache principalement au tableau abstrait des maladies ; il néglige à dessein, ou
l'époque où les douleurs fulgurantes composent à elles seules tout le tableau clinique, sans accompagnement d'incoordination mo
qui constituent, sans contredit, un des aspects les plus saillants du tableau symptomatique ; mais il est rare que ceux-ci exis
urrait recevoir la désignation de période dincoordination motrice, le tableau clinique se compose, en premier lieu, des symptôm
u près seules toute la maladie. Quelques symptômes signalés dans le tableau clinique de l'alcoolisme chronique rappellent la
ession régulière des symptô-mes de l'ataxie locomotrice. Tel est le tableau symptomatologique qu'offre ordinaire-ment l'arthr
nnaissance des maladies nerveuses pourront d'ailleurs reconstituer ce tableau classique en se re-portant aux nombreuses descrip
ntôt, Messieurs, la raison de ces dénominations. tions remplies, le tableau symptomatique se présente néces-sairement. La con
tudiants en médecine. e) Je dois signaler, mais pour les écarter du tableau , d'au-tres symptômes qu'à mon sens on a compris à
ntièrement dans l'ombre tout un coin, fort intéressant d'ailleurs, du tableau . J'y reviendrai quand j'étudierai les amyotrophie
sclérose latérale amyotrophique, il importe actuellement d'animer le tableau en vous montrant quel est l'ensemble des symptôme
le temps à propos de Yataxie locomotrice progressive, et cependant le tableau cli-nique tracé par Duchenne (de Boulogne), à l'a
pour ne pas omettre tout à fait une des parties les plus curieuses du tableau , les symptômes suivants : 1° La paralysie de la
-ci sont peu nombreuses toutefois et ne chan-gent rien d'essentiel au tableau qUe je viens de tracer. Ainsi la maladie, dans ce
nt, ce chapitre de nosographie me fait un peu l'effet d'un cadre sans tableau . Il n'existe pas en réalité, à ma connaissance du
à l'heure. Mais je crois opportun, au préalable, de vous présenter un tableau où je m'attacherai à mettre en relief les symptôm
avait été remarquée déjà par Ollivier (d'An-gers), qui en a tracé un tableau réussi dans un passage que je ne saurais omettre
et d'évolution ; leur isolement surtout, d'où résulte la monotonie du tableau clinique si particulière à la maladie, devra être
eçons sur les maladies du système nerveux, t. II, p. llQ, pléter le tableau , que, dès l'origine, le besoin de la mixtion étai
puisse, parfois, faire défaut. Ainsi, pour ne citer qu'un exemple, le tableau clinique de la sclérose en plaques se trouve dans
aissé pressentir, de ceux qui distinguent la myélite uri-yiaire. Le tableau , tracé par M. Brown-Séquard, de ce qu'il nomme la
époque. Pendant longtemps, la malade Afin de ne point surcharger un tableau clinique déjà fort complexe, j'ai négligé à desse
es dans les écoles américaines, je ferai tous mes efforts pour que le tableau de l'hémichorée post-hémiplégique ressorte pleine
, une céphalalgie d'un genre particulier vinrent bientôt compléter le tableau . Cette céphalalgie n'a jamais entièrement cessé
sur tous les points ; et ainsi se trouve reproduit par conséquent le tableau classique de l'épilepsie vulgaire. Le cas dont je
nels, et qui ne sauraient modifier en rien d'es-sentiel l'ensemble du tableau clinique. Il nous faut montrer maintenant que l
si, énergiquement sous l'influence de la faradisation. Tel était le tableau des symptômes au mois de septembre 1865, un an ap
iculté de la prononciation et tous les autres phénomènes rappelant le tableau de la paralysie labio-glosso-pharyngée s'étaient
63 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nt plus satisfait, que la crise dont il venait de me présenter le tableau , devait être identique à celles d'autrefois, mais
. Quelles modifications a, dans ces dix dernières années, subies le tableau clinique de la paralysie générale des aliénés ; p
tement antisyphilitique antérieur, car qu'il ait eu lieu on non, le tableau clinique demeure le même ; on ne saurait davantag
eur décrit ensuite longuement les symptômes de la mala- die, et son tableau ne diffère pas du tableau classique. Il iusiste
ent les symptômes de la mala- die, et son tableau ne diffère pas du tableau classique. Il iusiste longuement aussi sur le t
it rentrer dans cette rubrique tous les cas de chorée chronique, le tableau symp- tomatologique sera singulièrement étendu,
ons d'emblée tous les éléments qui seraient de nature à troubler le tableau symptomatologique, déjà suffisamment compliqué,
ieuse et sans cause apparente. .,lntécé lents héréditaires (voir le tableau ci-contre). - Sa tare héréditaire, est très cha
qui marque souvent le début de la maladie et qui domine ensuite le tableau symp- tomalologique. Il s'allie communément à l
que le suicide ou les tentatives de suicide n'appartiennent pas au tableau symptomatologique des troubles mentaux dans la
mence complète et, comme plusieurs auteurs l'ont fait remarquer, le tableau dé la maladie devient alors fréquemment absolum
à laquelle on doit s'attendre dans le ressort de chaque territoire ( tableaux ), montrent qu'il faut que l'assistance des alié
lques colons. Et le mouvement inhérent aux asiles correspon- dants ( tableaux ) rend obligatoire d'isoler l'établissement d'un
règle. Dans les cas rares de compression légère, on peut trouver le tableau histologique d'une myélite par compression. 3°
use de l'apophyse odontoide de l'axis présente exac- tement le même tableau pathologique, si ce n'est que, dans les 140 REV
chauves sentent la douleur à 0,15 et 0,02 millimètre.... Dessins et tableaux établissant les détails des régions chez l'homm
rts de cette affection dont il a résumé les résultats dans quelques tableaux . Il a trouvé un poids moyen de z47 grammes chez
sont montrés de suite et nous retrouvons dans l'observation tout un tableau qu'il serait trop long et fastidieux de rapport
service on n'a relevé que le nombre des grandes attaques. De par le tableau ci-dessus ou voit que pendant les cinq mois qui
eur cérébrale particulière. Enfin la prédominance du rouge dans les tableaux du rêve est à remarquer. Si le diagnostic de ce
l ou foetal, soit ap- paraître quelque temps après la naissance. Le tableau clinique du crétinisme endémique et du crétinis
dans laquelle les crachats contenaient d'innombrables bacilles. Le tableau clinique rappelait absolument ce que l'on décriva
succession, l'attitude à laquelle ils donnent lieu reproduisent le tableau classique de l'affection connue sous la dénominat
e serait-ce qu'en raison de la fièvre, on n'avait pas affaire là au tableau classique de l'hémiplégie hystérique. Pour ma par
s nerveuses de l'écorce cérébrale peu- vent se modifier, donnant un tableau d'un état moniliforme, qui n'est pas toujours é
s la mort de l'animal se modifient comparativement vite, donnant le tableau d'un état moniliforme plus ou moins marqué. E
'influence des narcotiques sur le cerveau, elle donne un tout autre tableau , c'est-à-dire, qu'on ne peut pas constater dans
ndu, des dendrites cor- ticales chez l'homme doit correspondre à un tableau clinique de démence. Nous sommes venu à cette c
l'on devra soupçonner une tumeur du genou du corps calleux quand le tableau clinique est dominé longtemps avant l'apparitio
normale. Marche. - Des arrêts momentanés; pas de rétrocession. Le tableau clinique montre qu'il s'agit là d'un trouble pure
dical indique le mouvement de la population et contient de nombreux tableaux de statistique, relatifs aux admis- sions, aux
'appréciations autorisées et sincères. Depuis de longues années, le tableau des experts légistes s'honorait du nom du savan
édecin. On m'a dit aussi, et la simplicité du cadre avive encore le tableau , - qu'une pauvre malade infirme avait demandé à
ription de chaque région sera composée comme il est indiqué dans le tableau annexé au présent arrêté. Dans la ire ré- gion,
issage, dégénérescence et crime. Brochure in-8° de 40 pages, avec 2 tableaux hors texte. Layon, 1899. Librairie A. Storck.
nt dormir. Il y a donc excita;ti} ? J : \¡, ; évoqué la pensée d'un tableau ; j'ai donc agi sur UTh.'Cn.tre, je vois à prése
e d'un tableau; j'ai donc agi sur UTh.'Cn.tre, je vois à présent le tableau mentalement. Cette faculté ^ acquiert parfois u
baire à la dernière période : liquide séreux, abondant, stérile. Tableau clinique ressemble à celui des méningites, les se
De la chez la I*etnine,pai,('rei(letibei-g '6 Trans- formation du tableau clinique de la -, par menuet. 50. Pachymé- ni
64 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tisfaction. Quelques idées de persé- cution viennent s'ajouter à ce tableau : on lui en veut, on lui vole ses effets. Aucun
tôt l'un, tantôt l'autre de ces deux éléments qui prédomine dans le tableau clinique. L'état de torpeur intellectuelle peut
aujourd'hui tous les neurologistes s'accordent à reconnaître que ce tableau si sombre ne répond plus, bien souvent, à la ré
9r côté de l'hérédo-ataxie de Friedreich, présente aujourd'hui un tableau clinique complet, mais le tableau anatomo-patholo
iedreich, présente aujourd'hui un tableau clinique complet, mais le tableau anatomo-pathologique de cette affection ne repo
ar l'auteur est loin de contribuer à la détermination bien nette du tableau anatomopathologique en question. Un seul caract
détaillée par l'auteur lui per- met de conclure, de concert avec le tableau clinique, à une polyné- vrite infectieuse du ch
plaques névoopathique doivent, en bien des cas, être tenus pour des tableaux morbides auto- nomes. P. KERAVAL. REVUE DE TH
du sujet passif sur les phéno- mènes délirants peut faire varier le tableau clinique : ou bien il y a simplement exagératio
ènes morbides surajoutés peuvent prendre le dessus et former toutle tableau clinique au milieu duquel disparaissent les tro
nuité de la suggestion morbide du sujet actif, peut faire varier le tableau clinique offert par le sujet passif. Cette cont
lirants dans les folies communiquées a donc sa nécessité. Dans le tableau clinique présenté par le sujet passif, trois él
être admises, étant donnée la coïncidence fréquente de ces divers tableaux cliniques. ' Travail fait dans le Service de M.
e piésente cette fois des idées mystiques qui prédominent dans le tableau morbide ; en outre des préoccupations hypocondria
ainsi que les réflexes. Pas de douleurs, pas d'atrophie. Devant ce tableau , M. Josserand songe à une paralysie hystéri- qu
rer des formes sévères où la nutrition est gravement atteinte. Ce tableau symptomatique se rapproche de celui delà dyspepsi
d'une -manière très mar- quée. En comparant les données des divers tableaux publiés par les auteurs, on voit que l'existenc
rvalles des états anxieux avec hallucinations multiples suivant des tableaux donnant l'état des courbes respiratoires pendan
est extrêmement rare, n'en est pas moins une entité morbide dont le tableau cli- nique et anatomo-pathologique peut être tr
50 l'abasie sénile peut se compliquer d'une artériosclérose, et le tableau cli- nique des symptômes est donc modifié en ce
uté cinq ans REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 287 auparavant avec le tableau clinique d'une hémiplégie spasmo- dique avec un
rits (même par lui-même). Le malade comprend mal les dessins et les tableaux . En suivant la main de celui qui écrit, il peut
ne lui réussit pas toujours et la copie même gros- sière de divers tableaux quelconques n'est pas du tout à sa portée. Il r
quelconques n'est pas du tout à sa portée. Il reconnaît fort malles tableaux et les dessins, il mêle souvent les images; par
pour des gens, etc. Il ne peut pas non plus concevoir le sens d'un tableau . L'ouïe est affaiblîmes deux côtés, plus du côté
e 16 janvier 1662. « Le lendemain 17, comme elle prioit devant un tableau de la mère Angélique 3 » (Jacqueline Arnauld), «
t substantiel accompagné de six observations person- nelles et d'un tableau des mensurations craniométriques. Conclusions.
peu positives qui se déga- gent de l'examen des cas publiés.. Le tableau clinique des troubles intellectuels chez la malad
rdres nerveux mal définis et non classés qui n'appartenaient pas au tableau classique de l'hystérie et de l'épilepsie. De l
ies et des obsessions ! Tel est, dans sa plus grande simplicité, le tableau clinique de la névrose d'angoisse. Ces différen
Mais il n'en reste pas moins vrai qu'il se présente des cas où le tableau de l'affection existe à l'état pur, sans aucune p
GMATES OBSTÉTRICAUX DE LA DÉGÉNÉRESCENCE. 445 Voici, d'ailleurs, le tableau général des stigmates obstétricaux de la dégéné
cordons, avec les voies de conduction. Enfin il expose d'après les tableaux d'Edinger et de Jakob les principales localisat
tous les locaux se montre le soin de la décoration : jardi- nières, tableaux , rideaux aux fenêtres, etc. Téléphone. Le systè
gr. de la Snlpétrière, p° 1-1902). Enfant de huit ans présentant le tableau complet de la myopa- thie primitive avec cette
actéristi- ques de la myotonie (maladie de Thomsen). Plus tard à ce tableau commencent à se surajouter, comme particularité
02). L'auteur montre ce qu'il y a de vague et d'incertain dans le tableau clinique et anatomo-pathologique de cette affecti
et lllonalcow), le rappor- teur trouve possible (1) d'instituer le tableau clinique, consistant en symptômes basilaires et
r Trenga nous peint la men- talité de certains Juifs algériens. Les tableaux brossés de main de maître, sont d'une vérité si
65 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
bilité (stupeur), se cache souvent un délire des plus actifs, et ce tableau extérieur des plus trompeurs cache souvent des
Raymond, avec sa précision et sa netteté habituelles, établit en tableaux parallèles. Quelles sont les relations de la ma
erches inédites sur la structure des artères cérébrales, suivi d'un tableau clinique de l'attaque d'apoplexie. Le pronostic
ple mais plus généralement l'artério-sclérose. Il fait ensuite un tableau précis du vertige, montrant la diffé- rence ent
e Royal Asylum for liiii(ilics. Brochure in-8" de 43 pages, avec un tableau . Dundee, 1898. - Royal lunatic Asylum. TATS (
st-à-dire à 39/'100. Si l'on jette maintenant un coup d'oeil sur le tableau d'en- semble de ces derniers, il est facile de
nisation, soit de désorganisation. C'est bien ce que confirme notre tableau . Nous trouvons le plus d'analgésiques chez les
firmées de la paralysie générale ; ici la mélancolie n'a été que le tableau clinique extérieur (l'Itabitus clinique) d'une
les représentés dans chaque racine prise a part. Même résumée en un tableau , la réponse à ces questions représente une ampl
une seule de ces questions ; chaque muscle exige à lui seul tout un tableau . Mais les conclusions générales ne sont pas san
de malformations, de traumatismes, de maladies diverses. Après un tableau clinique, tracé de main de maitre, du myxoedème s
aux troubles de la motilité, c'est ce qui ressort nettement d'un tableau précédent, lequel montre l'augmentation progressi
e paral- lélisme constaté dans l'ensemble de la maladie. Les deux tableaux qui suivent répondent à cette question par l'affi
était plus atteinte. Il suffit, en effet, d'un regard sur nos deux tableaux pour constater la diminution progressive de la
nt l'apanage des sujets à troubles moteurs accusés. Voir nos deux tableaux détachés, ci-contre. Plusieurs auteurs, avons-n
e qu'il y a pour ce motif une part à accorder à la maladie. Notre tableau établit en troisième lieu que dans les consta-
at d'accroître le nombre des altérations de ce sens. Or. dans notre tableau à la colonne consacrée à cette association il n
auteur reprenant l'ancienne entité de Bayle, cherche à en tracer un tableau conforme en son ensemble aux plus récentes décou-
traitement qu'il préconise par ingestion directe de la glande même. Tableau des modifications urinaires corrélatives au trai-
te que ce cas réalise cli- niquement, de la façon la plus nette, le tableau des maladies toxi-infectieuses graves terminées
rimitive, tardive, hallucinatoire ou non). Riva et Tanzi7 dans leur tableau de sept formes de paranoïa, rangent la folie re
t que la psychose des auto-intoxications répond trait pour trait au tableau de la confusion mentale LES PSYCHOSES d'auto-
re aigu et à la pseudo-paralysie générale. C'est absolument le même tableau clinique. Nous arrivons donc déjà à cette premi
e a diminué. En se basant sur l'étiologie, l'évolution rapide et le tableau cli- nique de l'affection, l'auteur la considèr
nts d'effroi, de répulsion, comme si elle avait devant elle quelque tableau effrayant ; elle voit des animaux, parle de cra-
stics qui peuvent se discuter, à ne s'en tenir simplement qu'à ce tableau clinique. , De la Mélancolie, il ne peut en êtr
de Collapsdelirium, de la Folie asthénique, de la Démence aiguë. Le tableau clinique que trace Krcepe- lin de cette maladie
maladie de Marie et d'en faire une analyse clinique minutieuse. Le tableau classique décrit par Marie se retrouve intégral
oser pour la myo- pathie primitive progressive. Quelques détails du tableau symp- tomatique judicieusement mis en relief, o
fre toujours croissant de nos ad- missions ! Nous avons réuni en un tableau comparatif les chiffres de la population mascul
l'Asile Saint-Pierre depuis 1887 Nous y avons ajouté, en regard, le tableau de la population de Marseille. L'étude comparat
e tableau de la population de Marseille. L'étude comparative de ces tableaux vous montrera le nombre des aliénés s'élevant,
mble et dans ses rapports avec l'état mental antérieur du sujet, le tableau clinique actuel, l'analyse précise des symptôme
TÉMATIQUE PRIMITIF D'AUTO-ACCUSATION. 449 9 Dans ces conditions, le tableau symptomatique est un peu différent et ressemble
ue l'on note des améliorations ou des rechutes dans la maladie. Les tableaux que nous joignons à ce travail le montrent d'un
teurs passent en revue les diverses affections pouvant présenter le tableau symptomatique constaté : paralysie hystérique,
cinquante-sept ans ayant eu deux attaque-; nerveuses présentant le tableau clinique com- plet de la paralysie pseudo-bulba
66 (1905) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 20
barbue. Mme Tinayre, qui a bien voulu se charger de constater si ces tableaux existaient toujours au musée de Stuttgard, n'a pu
n poussé au maximum pour un objet quelconque ; on s'extasie devant un tableau d'un grand maître, en écoutant un éloquent discou
catalepsie, comme on peut leur donner des hallucinations. Voici le tableau d'un extatique hypnotisé tiré d'un livre sur le m
ravissent ; la divinité lui apparaît dans toute sa splendeur. » Ce tableau peut s'appliquer mot pour mot à Bernadette, car c
de toutes les représentations de sainte Wilgeforte est assurément le tableau qui se trouve dans l'église d'Eltersdorf, près d'
re), au-dessus de la porte de la sacristie (fig. 90). Au-dessous du tableau se trouve une inscription à demi effacée, sur laq
effacée, sur laquelle on déchiffre à droite les mots suivants : « Ce tableau représente la brave Sainte KumaTius avec son viol
a deux personnages. L'un représente la dame pieuse qui a fait don du tableau à l'église : l'autre est le ménétrier dont tous l
tées accompagnées d'un ménétrier agenouillé à ses pieds. La date du tableau d'Esteldorf, qui remonte à 1513. ainsi que les dé
e de l'opéra, et dans le cadre de la fenêtre, il vit se reproduire le tableau des Anges purs et radieux, tableau qui l'avait si
a fenêtre, il vit se reproduire le tableau des Anges purs et radieux, tableau qui l'avait si fort impressionné la veille; les s
voulut se rendre compte des machinations nécessaires pour obtenir un tableau si compliqué dans l'encadrement d'une fenêtre: lo
pposé à l'état normal. Nous n'insisterons pas, bien entendu, sur le tableau général de la maladie que tout le monde connaît;
rit; lui apprendre les rudiments de l'histoire naturelle, non plus au tableau noir ou dans les livres, mais aux champs, dans de
, peinte par Lutolff, en 1673. Un grand Fig. 9?. Sainte Liberala. — Tableau do I.ùtoUT (1673). nombre de copies de celte im
de remarque, tandis que le pied déchaussé est celui de droite dans le tableau d'Eltersdorf, dans cette image, c'est le pied gau
beaucoup d'endroits, et il lui envoyait une image dessinée d'après le tableau de Cuper, tableau qu'on avait pris la précaution
s, et il lui envoyait une image dessinée d'après le tableau de Cuper, tableau qu'on avait pris la précaution de protéger par un
alités. A Arques-la-Bataille (Seine-Inférieure), on la prie devant un tableau qui la représente en croix et portant de la barbe
e aux enfants qui lui sont présentés. A Béthune (Pas-de-Calaisj, un tableau de 40 centimètres de large sur 70 de haut la mont
clure sans réserve l'Influence de certaine intempérance), complète le tableau . M. Cavier se plaint, enfin, de dyspnée, de dou
t HbImIxt, âgée de 75 ans, Sladl Suerroont .Muscum (Aix-la-Chapelle). Tableau d'Antonio Moro ilSIÎ-liôS). Le portrait de Marg
, femme à barbe âgée de M ans. j. Ribera (1583-1636; Il s'agit d'un tableau fort peu connu de Ribera. Voici dans quels termes
dre et qui méritent une attention plus détaillée. (>) Au centre du tableau , l'on voit une tête de vieil homme, à barbe noire
é. On lit l'explication suivante, écrite en espagnol dans un angle du tableau : « Portrait de Madeleine Ventura, ï?ée dans les
ivants, par Joseph de Ribéra ». Curieux et singulier par le sujet, ce tableau du grand Valencien n'offre pas, au point de vue d
ucoup plus barbue que lui. La taille de Mme Ventura était, d'après le tableau , un peu moins élevée que la sienne. Mais nous p
es, la force, l'audace, la grandeur, l'éclat et la solidité. Dans ses tableaux , tous les détails sont rendus avec une fidélité m
auditoire les illusions visuelles et parfois les hallucinations. Le tableau suivant contient les 100 cas rangés suivant l'âge
67 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
s'appelle ce que je liens à la main et qui me sert à écrire sur ce tableau noir, vous la voyez faire des efforts visibles
ait de nombreux états pathologiques très divers. A côté de cela son tableau s'est énormément agrandi par la découverte de ses
en- dant à l'Opération sur l'oeil dont nous allons parler (2). Ce tableau est intitulé : Dans la chambre d'un chirurgien (P
t autres troubles trophiques de la peau. On doit croire que tout le tableau des altérations maladives de la peau qui s'expr
face, et en particulier des paupières. L'examen de la vision avec les tableaux de Parinaud ne montre pas de différences latéra
hôpital Ancien interne à l'hôpital de Rotschild. de Rotschild. Le tableau que nous venons de tracer de la myosite ossifiant
eum, Amsterdam. Andries Borrl, peintre hollandais (1610-1650). Un tableau de la collection de M. D. A. Koenen, à Amsterdam.
). Ce n'est pas un des meilleurs morceaux du maître hollandais ; le tableau d'ailleurs, autant qu'il m'en souvienne, est as
uzaine, ont déjà été passées en revue dans ce recueil (3). (i) Ce tableau a été décrit et reproduit dans notre précédente é
r le choix des sujets. 1 Dans la galerie de Schwerin se trouve un tableau de Diepraem intitulé La chambre du chirurgien (
l. Betbnnd. LES OPÉRATIONS SUR LA TETE La 'Boutique du 'Barbier Tableau de JAN VA\ MIERIS (1660-1690) (Musée de l'Ermit
. Il existe, dans la Galerie de Peinture de Mannheim, un assez joli tableau représentant une Opération sur la tête . Il est
vieille femme, un panier et deux cannes-béquilles. Dans le haut du tableau , une draperie verle rappelle encore un procédé
nt du Catalogue de la Galerie de 1\lannheirn, par C. Roux, 1891. Le tableau porte le n°286. - B. II., 51, L. 39. IiOUV ICON
t nouveau qui n'a rien de déplaisant. J'ai aperçu, par hasard, un tableau représentant une opération sur la tête dans le
à ce qui se voit dans la plupart des reproductions de dessins ou de tableaux publiés dans ces derniers temps, la scène n'a pas
iers pour l'une de ses nombreuses scènes de chirurgie populaire. Un tableau a-t-il été fait d'après celle esquisse ? Je n'e
ège, fait sur le crâne une incision avec un bistouri. Mais, dans le tableau de Madrid, le malade est tourné il droite ; il
alie. C'est assurément en Italie que l'auteur de la gravure - ou du tableau Il original, s'il existe a pris ses modèles, da
st un mur orné de plats à barbe, d'une flûte, d'une guitare et d'un tableau ; au milieu une table de- vant une fenêtre; à ga
de difformités congénitales du cerveau (2). Dans ces trois cas, le tableau ana- tomo-pathologique était analogue. Malgré u
ait propagé plus loin, nous aurions vu chez cette fillette aussi un tableau analogue à ceux des cas précédents c'est-à-dire
considérer la parfaite exécu- tion des autres figures dans le même tableau . Une telle déformation est certainement voulue.
rouvées dans l'antiquité et le moyen âge. Ceux dont il a évoqué les tableaux n'avaient-ils pas aussi leurs élèves, n'avaient-i
pulum. 3° Déformation du thorax. Un coup d'oeil jeté sur ces deux tableaux symptomatiques permet d'en saisir les traits co
dyspnée absolument pareille à celle dont nous avons déjà exposé le tableau (160 à 170 respirations par minute, pouls et te
se faisant aider daus tous ses besoins. En 1897, le malade offre le tableau typique d'un ossifié. Presque toute la musculatur
façon magistrale son goût pour les repré- sentations figurées ? Le tableau noir et les craies de couleur étaient les acces
matiques, toutes ces relations devenaient apparentes sur un vaste tableau synoptique que le spectateur cnlhl'assaiL d'lIl
a ln la Salpèliïèrc. 19 j Un jour, Charcot se trouve en face d'un tableau de Rubens, repré- sentant la CMe)'<soH d'une
hases les plus dramatiques de la grande attaque d'hystérie. Mais ce tableau de nuhens n'est pas seul eu son genre. N'y aura
anachronisme : rien ne choquait : aucune tache disgracieuse dans ce tableau . La note dominante était, eelle-de art' ! c la
plats, que d'as- siettes ont été transformés par sa main en petits tableaux connueuiora- til's ! (l'1. LV).. Nouv. Iconog
nllnre rétrospective que les artistes nous o ! d laissés dans leurs tableaux ? - Pour colle oell\J'C ornementale, qui n'est
st une esquisse exécutée, pendant, un voyage en Espagne, d'après un tableau de l'hôpital de la* Charité, 11 Séville. Rien n
mme dans les peintures de Ilolbein le vieux ou de Hans Baldllng. Le tableau de l'Espagnol Vatdes Leal attira donc son attenti
connais- : -ailles familiers du peintre, figurants inattendus dans ce tableau d'his- toire religieuse. Puis. il faisait resso
ges adressés 11 Corot; et. ayant eu l'occasion de se dessaisir d'un tableau de ce maître, il le fil sans regret. aucun prix
68 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
fs optiques. On a donc restreint pendant longtemps le cadre de ce tableau morbide à une symptomatologie très limitée, com
s donc, à l'aide de la mise au point de cette question que, dans le tableau que nous désirons bien mettre en lumière, c'est à
auteurs, ultérieurement, ont relaté des observations réa- lisant le tableau de tumeurs intrâ-craniennes, et qui, en réalité,
ès légitime du reste, parce que, avant la synostose des sulures, le tableau symptomatique des deux affections est parfaitem
du même processus rachitique. Ce n'est qu'après la synostose que le tableau sympto- matique et morphologique de l'oxycéphal
ressant de contribuer à la compréhension de l'allure clinique de ce tableau morbide, il fallait relever comment, dans un ca
sur les différents processus pathologiques qui donnent naissance au tableau clinique d'une tumeur cérébrale, et nous nous l
cale située à l'union des deux tiers avec le tiers du côté droit du tableau sépare ces deux scènes d'inégale importance. Su
mplètent le costume du blessé. Très en lumière et bien au centre du tableau est placé le chirurgien un genou à terre, tenan
n cinquième personnage également bien en vue est au premier plan du tableau et à l'extrémité droite de la toile. C'est un app
ail habituel des boutiques du barbier de celte époque (1). (1) Ce tableau est actuellement au Musée de Dijon auquel j'en ai
bles dans d'autres régions de l'hémisphère intéressé. Cependant, le tableau des symptômes cliniques semble prouver que le pro
le nombre des éléments sensibles de la macula ait été diminué. Les tableaux montrent que l'anop- sie intéresse dans une mes
... lut spontanément le nom du fabri- cant imprimé tout en bas d'un tableau de Monnoyer : « ,Ilbeî-t Stille, Stockholm ». L
ant d'après, il était incapable de nommer la plupart des lettres du tableau en question et aussi de nommer les lettres compo-
tion du genou. Il y a en outre des signes qui ne font pas partie du tableau clinique de l'acliondroplasie : l'absence de so
il suffit seulement de préciser certains détails et d'en tracer un tableau d'ensemble. Il ressemble étrangement à ces mala
re déterminé par l'épaississement des téguments, il apparaît que le tableau pathologique de ce malade se ramène à cet aspect
partit suivant t'age ces cas d'abolition, comme il est fait dans le tableau I et le graphique I, on voit que leur proportion,
t A. Charpentier. 156 DUPUY La répartition par âge, faite dans le tableau I, et figurée sur le graphi- quel, montre que l
re que le nombre des cas augmente progressivement avec l'âge. 1 0 Tableau I. - Réflexe achilléen. Nombre et proportion des
ro- portion varie avec t'age suivant la progression indiquée par le tableau I et le graphique I. Cette progression peut êtr
e 2,17 0/00 en moyenne, augmente avec l'âge comme il est indiqué au tableau II et sur le graphique II. L'abolition était bi
e montrent de moins en moins rares en même temps que l'âge s'élève ( tableau II, graphique II). Tableau II. - Réflexe rotuli
s rares en même temps que l'âge s'élève (tableau II, graphique II). Tableau II. - Réflexe rotulien. Nombre et proportion des
omplète sans défectuosités ni rechutes,et cela surtout au cas où le tableau des symptômes considéré seul n'a pis été- absolum
nces qu'elles présentent au point de vue clinique ; seule- ment, le tableau des symptômes de l'un aussi bien que de l'autre c
t été influencés par des circonstances extérieures qui ont donné au tableau de la maladie leur caractère psychologique part
nde variété les éléments ainsi obtenus, on aura une foule de petits tableaux qui re- présentent les diverses modalités possi
t les diverses modalités possibles de l'ostéite déformante. » A des tableaux aussi variés les auteurs ont voulu donner une cau
e. Ainsi donc, dans l'enfance et dans l'adolescence l'apparition du tableau clinique de la carie des vertèbres se marque av
trent jusqu'à un certain point ce fait que si du vivant du sujet le tableau clinique peut don- ner des symptômes très carac
us mettons en parallèle les changements histo-pathologiques avec le tableau clinique dans sa marche initiale et dans sa pério
sible à poser. Dans le cours subséquent de la maladie, alors que le tableau clinique pouvait suggérer l'idée d'un processus
sion progressive et diffuse des lésions achèvera de dissocier les 2 tableaux cliniques. L'atteinte globale de la main est lo
es lésions rénales. Comment donc pourtant concilier la gravité du tableau clinique avec la faible rétention uréique dans
69 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rnée et la nuit précédentes : cette remarque est à retenir. Dans un tableau très simple on a les résul- tats de toutes les
u qu'on n'a jamais commis la moindre erreur. Eh bien, l'étude de ce tableau fait voir que, dès le début de la période de dé
précédant les troubles psychiques, elles ne leur succèdent pas. Le tableau donne encore d'autres indications : la diminution
de, 1,81. En résumé, toutes les considérations tirées de l'étude du tableau confirment cette théorie de l'auteur : la dimin
archer sans appui. A aucun moment, ces 18 malades n'ont présenté le tableau classique du paralytique général à la période u
uction pathologique d'un territoire plus ou moins étendu. Dans le tableau qui va suivre, l'auteur donne un résumé de onze
l'aide d'images concrètes visuelles, il leur eût suffi de copier le tableau formé par leurs représentations intérieures pou
p t- f M M . w lui M M- m S c m co ce TABLEAU DES ACCÈS ET DES VERTIGES 194 RECUEIL DE FAIT
rnes et nocturnes ; ils sont très fréquents, ainsi que le montre le tableau ci-devant. L'état d'idiotie prononcée de Doue..
'écume : stertor ter- minal et sommeil consécutif assez prolongé. TABLEAU DU POIDS ET DE LA TAILLE. SCLÉROSE CÉRÉBRALE HÉ
e travail est accompagné de dix-huit observations et de plu- sieurs tableaux statistiques; les conclusions qui se dégagent pou
E paralytique; par le 1) IRwING Neff. L'auteur donne une série de tableaux statistiques sur 368 cas de démence paralytique
détaillés. Le pronostic était déjà à ce moment fort sombre, mais le tableau clinique ne présentait pas (comme l'a dit M. We
ubles psychiques ayant débuté cinq ans auparavant, et présentant le tableau clinique de la démence secondaire. En novembre
ations publiées çà et là, on rencontre encore assez souvent dans le tableau complet du malade quel- que particularité touch
n nous résumons tout d'abord l'ensemble des symptômes dans les deux tableaux suivants : TABLEAU DES SYMPTOMES I. Appareil
'abord l'ensemble des symptômes dans les deux tableaux suivants : TABLEAU DES SYMPTOMES I. Appareil DE l'olfaction A. S
e de la gustation sur les sécrétions gastriques. A la lecture des tableaux précédents on se. rend compte de la multiplicit
en connues au cours du tabes. Nous désignons cette modalité dans le tableau précédent sous le nom de crise nasale. Crise
autorise le terme de langue saburrale névropathique employé dans le tableau précédent. Ainsi que nous le dirons plus loin,
rique s'organise surtout s'il s'agit du goût et de l'odorat. , Le tableau de la persécution peut devenir dans ces cas très
es on est autorisé à diagnostiquer une myélite transverse, quand le tableau symptomatique est celui d'une section plus ou m
n chien, à l'aide d'injections de morphine : l'animal a présenté le tableau clinique du tabès; à l'autopsie on a trouvé une
oit elles-mêmes de date peu éloignée. Pas de' microorganismes. Le tableau clinique et l'examen histologique montrent que -d
uvénile, se divise en trois parties : I. L'auteur a rassemblé en un tableau tous les cas de paralysie générale à début préc
és jusqu'à ce jour; ces cas sont au nombre de 38. Chaque colonne du tableau est consacrée à une des rubriques suivantes : n
toute une série de cas dans lesquels, malgré une analyse précise du tableau clinique, il n'est pas possible, du moins à l'a
nfeld et Bourneville par une critique savante. En s'appuyant sur un tableau raisonné de 70 cas d'épilepsie symptomatique et d
ses et profondes (p. 1530). A la même époque, Calmeil' traçait un tableau de tous points semblable. Presque toujours, au
s gêne no- table. A aucun moment, ces 18 malades n'ont réalisé le tableau classique du paralytique général à sa dernière pé
é de ces eschares si graves, dont les auteurs tracent l'ef- frayant tableau . Toutes les conditions favorables se trouvaient
remanier complètement, en ce qui concerne les signes physiques, le tableau uniforme que les auteurs ont tracé de sa périod
ue les symptômes dyspeptiques dominent si souvent chez nous dans le tableau symptomatique de la neuras- thénie. LXV. Tube
dépendantes de lésions médullaires. L'auteur résume ensuite dans un tableau succinct les symptômes des principales -affecti
nxiété (états dépressifs de concentration, d'expecta- tion) dans le tableau clinique de la neurasthénie. 1° D'après l'opini
nt la théorie de S. Freud qui pro- pose de détacher complètement du tableau clinique de la neuras- thénie le complexus symp
70 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ose postéro-laté- rale. Toutes les observations résumées dans nos tableaux confirment cette manière de voir. Aucune ne fai
ntes et l'incoordina- tion chez un sujet présentant d'autre part le tableau clinique du tabes spasmodique indiqueront aussi
ela que, pour établir ce travail, nous n'avons voulu citer dans nos tableaux et utiliser que les observations suivies d'auto
tout les trente-trois cas (suivis d'autopsie) qui figurent dans nos tableaux me paraissent établir l'existence d'un type cli
actérise. L'individualité du tabes combiné est constituée par son tableau symptomatique et sa lésion anatomique. Symptoma
estion en Espagne, sous tous ses aspects avec analyse de documents, tableaux , statistiques. En 1847, on y comptait 66 établi
nd presque chaque jour de petites quantités de liquide. Guérison. Tableaux très détaillés à tous égards dont les conclusions
Chagrins de famille (y compris la perte de parents ou d'amis) : le tableau suivant montre que la proportion des cas dus à ce
lleurs l'opinion exprimée par Boyd et plusieurs autres auteurs ; le tableau suivant en indique la fréquence : REVUE DE PA
ons accompagnées de la mise en relief des résultats thérapeutiques ( tableaux , analyses, etc.). Les courants continus ont par
périphériques représente le substratum anatomique fonda- mental du tableau morbide, on note fréquemment aussi des symptôme
s de poliomyélite qui datent de plu,ieurs mois se traduisent par un tableau clinique exactement semblable à celui de la név
chelling et 6 pences pour les femmes. Dans ce prix était compris un tableau anatomi- que, et chaque élève dut acheter le ma
micros- copiques de la moelle épinière expliquent suffisamment le tableau clinique de la maladie, quoique notre cas s'éloig
le épinière ont été constatées, il n'en est pas moins vrai que le tableau clinique conclusif de la maladie qui a conduit Ma
due à la sclérose des faisceaux et cornes posté- rieures. Dans le tableau clinique nous trouvons à signaler la con- serva
cliniquement saines se rattachent à des poussées névritiques. Deux tableaux finaux résument les cas de Struempell, Mueller,
que des gommes syphilitiques entées sur de l'artérite syphilitique ( tableau microscopique des lésions décrites par Heubner)
ormelles à l'égard du genre de boisson exclusivement absorbé. De ce tableau , dans lequel les forts buveurs sont ceux qui qu
r une femme de trente- six ans. La décroissance est moins nette. Le tableau des accès relevé par mois, donne des résultats
ques cas de psychoses présentant, pendant leur évolution, tantôt le tableau de la paralysie générale, tantôt celui de la ca
ssage étaient extrêmement nets ainsi qu'on le peut voir d'après les tableaux qui montrent la surexcrétion d'urine. d'urée, d
e la lèpre. Un \olume in-4^ raisin de 360 piges, avec 48 figures, 7 tableaux dans le texte et 22 planches en chromolithograp
lendemain, à l'heure de la visite du matin, le malade présentait le tableau suivant : sans connaissance, les yeux fermés; l
plus que des extirpations partielles'. . Nous donnons ci-après le tableau des cas de ca- chexie pachydermique observés à
nchant un cas de Kocher sur lequel les détails nous manquent). - Le tableau suivant donne la proportion selon l'âge : 368
formes de transition de ce genre exigent l'exacte connaissance des tableaux morbides qui constituent des types ; le clinicien
auteur a observé neuf cas de paralysie cérébrale corres- pondant au tableau morbide de la poliencéphalite aiguë de Struempe
71 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
Or, si ces formes légères de paralysies - (1) En se reportant à un tableau de l'irrigation vasculaire de cette région (DEJEt
nt leur modalité dans les différentes ma- ladies mentales. Mais les tableaux nosographiques de la classification Kraepelinie
, enfin, un gros oedème des membres inférieurs vinrent compléter le tableau sympto- matique. En l'absence de syphilis, et l
ard,devint presque irréfrénable : pendant une vingtaine de jours le tableau symptomatique resta à peu près le même, mais à
'ART CHEZ DEUX ALIÉNÉS 167 aussitôt, M. X... de se rappeler un beau tableau représentant une martyre noyée et doucement emp
Pourquoi ne pas combiner cette idée avec celle d'un autre très beau tableau , beaucoup plus récent, intitulé : l'Etoile de la
tus » comme l'indique la légende placée en haut du dessin. » Sur le tableau noir indiqué par les lettres t. n. et qui est ass
ois embelli, amplifié, détaillé, complété, devenir un vrai sujet de tableau , nous l'intitulerions simplement : Métamorphose..
dessin d'une explication : a) Scène cynégétique. b) Explication du tableau . La victime (Geneviève). Le lapin (Fernand). La l
rien qui puisse faire penser à l'hystérie. En présence d'un pareil tableau symptomatique j'ai porté le diagnostic de syrin
ne, ne sont pas synonymes, car, non seulement les uns désignent des tableaux cliniques et les autres des modalités secréloires
er, les troubles psychiques myxoedémateux font partie intégrante du tableau clinique et dépendent directement de l'insuffisan
; la coexistence avec l'hystérie est un fait banal. » Lorsque le tableau se complique, il est évident que les idées de per
es tuberculeux avancés (2e ou 3e période). Si nous sépa- rons, en 2 tableaux , ces tuberculeux, et les autres malades, nous arr
de l'Ecole française qui en a largement éclairé la pathogénie et le tableau clinique. Cependant, malgré tant d'études et de
ntiles dysthyroïdiens de Brissaud peut au contraire faire partie du tableau le plus pur de l'infantilisme de Lorain. Un d
Pour les temps d'ossification normale aux différents âges, voir les tableaux dressés par Dupont et Fürnrohr.) Thorax (Marg
laire sous-cutané, épaississement de la peau ; tout cela réalise un tableau très semblable à celui que présentent les myxoedé
s éléments fonctionnels. Même con- clusion si l'on veut comparer le tableau clinique de la maladie de Flajani- Basedow avec
'abolition - (le la sécrétion de la glande thyroïde ; mais certains tableaux morbides qui se placent à un côté du myxoedème
s os forme ENCORE SUR L'ACROMÉGALIE 337 une partie essentielle du tableau morbide, les examens radioscopi- que et radiogr
les étudier avec suite afin d'en tirer quelque enseignement pour le tableau de la maladie. Certes la présence de normoblast
s dans cet état, puis subitement la crise s'aggrave. C'est alors le tableau de l'inertie la plus complète de la stupeur. Le m
esté d'affection à l'égard de sa famille. Actuellement, il offre le tableau de l'indifférence la plus- complète. Nous l'avo
rs-radius pour l'avant- bras, tibia pour la jambe se traduit par un tableau symptomatique ri- goureusement identique. Les d
lisme de Lorain est l'expression de la misère physiologique, est le tableau morphologique d'un organisme qui n'a pas en soi
ux classique (Ord, 1877), mais je devrai nécessairement comparer le tableau qui est offert par mes sujets à celui qu'on obser
s apparentes chez un sujet qui-cependant réalisait de son vivant le tableau de l'infantilisme myxoedémateux. Les idées de H
férentiel de nos cas ; il ne nous reste qu'à conclure lequel de ces tableaux symptomatiques corres- pond le mieux au type d'
me qui, selon les auteurs français, ne serait point compris dans le tableau clinique de l'infantilis- me de Lorain. Cette
u myxoedème s'ajoute à la dystrophie préexistante. La complexité du tableau clinique ne permet plus de reconnaître la part
Chez ceux-ci, les seuls qui intéressent directement notre étude, le tableau psychique n'est pas très facile à décrire et nous
rtionné à leur âge. Si nous traçons à présent un parallèle entre le tableau de l'infantilisme psychique tel qu'il nous a él
us comparons il présent aux conditions psychiques de nos malades le tableau symptomatique tracé par Gaspero pour les sujets d
d groupe de Gaspero correspond au contraire mieux que tout autre au tableau psychique présenté par nos malades ; elles s'en d
ération des réflexes tendineux aux extrémités. Depuis deux ans ce tableau symptomatique initial ne s'est presque pas modi
72 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
est encore entourée de nombreuses obscurités. Très variable est le tableau sympto- matique qu'elles peuvent réaliser ; et,
ésions. Peut-être arrivera-t-on ainsi à expliquer la variabilité du tableau clinique, variabilité très frappante lorsqu'on
ôté, enfin parfois se généralisant et rappelant alors assez bien le tableau de la crise d'épilepsie vraie. Mais il n'y a ni
vement bruyante, or si o,m ânalys un à un chacun des éléments de ce tableau clinique on marque non sans étonnement qu'un ce
s voudrions insister sur cette variabilité d'un moment à l'autre du tableau clinique chez le même sujet, variabilité qui, j
dépens d'une pupille tantôt aux dépens de l'autre. Ainsi donc le tableau clinique change d'aspect avec une grande facili
pelle que les phénomènes spasmodiques occupaient le premier plan du tableau clinique. Enfin nous avons trouvé un point d'ef
ions en plus ou en moins aux trois périodes, il est fourni par le tableau suivant : DU SENS GÉNITAL DE LA PARALYSIE GÉNÉR
formes démentielles et de rémission, formes calmes ou agitées ? Le tableau suivant répond à cette question : 28 CLINIQUE
: 28 CLINIQUE MENTALE. Un premier fait intéressant fourni par ce tableau est la fré- quence excessive de l'altération en
mais été relevé avec les formes démentielles agitées. D'après notre tableau , en effet, il ne serait pas vrai non plus, que
s avons fait suivre la relation d'un cas de Sclérose tubéreuse du tableau récapitulatif de tous ceux que nous avions observ
s sont au nombre de dix. Celui que nous allons donner ligure sur ce tableau . SOmIA1H¡ ? Père, eczémateux, alcoolique, affai
du cerveau les éléments d'un diagnostic différentiel. Si parfois le tableau clinique est identique à celui de la paralysie
T. (Bull. de la Soc. de méd. mentale de Belgique, mars 1900.) Les tableaux statistiques contenus dans ce travail montrent
nement professionnel ; c) Le mouvement de la population illustré du tableau des lésions trouvées chez les décédés, en face
ions trouvées chez les décédés, en face des diagnostics ; un second tableau indique les sorties et leurs ï Il BIBLIOGRAPHIE
ement. 3 d'entre eux n'ont pas été modifiés. Pour les 3 autres, les tableaux montreront la marche des accès avant et après l
uvait marcher dans la rue environ 1 kilomètre sans ses éclisses. Le tableau suivant donnera une idée plus claire de la prog
tante. Le mesurage des forces de la main endommagée nous offre le tableau suivant : - 0 CURE DE MALADIES DE NERFS. 93 m
s tendineux ; bientôt les réflexes se suppri- ment, créant ainsi le tableau d'un tabes légitime. A l'autop- sie on constate
rain, vol. 20, p. 276 ) Dans le Drain de 1892, M. Meyer a publié le tableau d'une famille de 53 personnes dont 24 avaient s
réditaire transmise par une aieule. Le cas présenté est le n° VI du tableau . Femme de soixante-sept ans atteinte à quarante
les malades, plus tranquilles, dorment mieux et sans narcotiques ( tableau de la consommation des soporifiques) ; 5° l'isole
s spiritueux. Il est presque absurde de prétendre que, lorsque deux tableaux morbides se ressemblent par leurs symptômes, le
considérations générales : nous avons cherché à rassembler, dans un tableau d'ensemble, les traits les plus intéres- sants
celles qui se rapprochent le plus des formes pures, présentent des tableaux atypiques, des formes mixtes qui guérissent dan
rvé et suivi un cas de névrose d'angoisse, ne saurait douter que le tableau et la marche cliniques diffèrent absolument de
s crises de palpitations, venaient au dire du malade, compliquer ce tableau ; mais elles n'ont jamais été constatées objecti
ma- lade fut obligé de tourner la tête du côté correspondant. Le tableau morbide ne s'est pas sensiblement modifié jusqu'à
s formes de la folie. En outre des troubles de la vie affective, le tableau cli- nique de la mélancolie comprend encore en
ATIONAL DE MÉDECINE. rive gauche qui est à 92 périodes. Arrivant au tableau au potentiel de 110 volts et à l'intensité do 1
ns les mêmes séances, on examinait l'état du réflexe rotulien. Le tableau ci-après résume les résultats que nous avons ob
ultats que nous avons obtenus pour chaque malade. Afin de rendre ce tableau à la fois plus simple et plus clair, nous avons
dans un état plus ou moins avancé de la maladie, il se produit des tableaux différents ou des modifications cliniques, mais
présentant encore. Deux fois les phénomènes nerveux ont réalisé le tableau d'une myélite aiguë bénigne. Dans une autre o
73 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
s postérieurs, chez les annimaux, et rien que ces effets. Eh bien, le tableau est tout différent si par suite de circonstances
e la moelle épinière. (Ar-chives de Physiologie, t. II, p. 635). Le tableau changeraitnécessairement si,dépassant les limites
ce dernier trait à votre attention, parce que 1. Gurlt, loc. cit., Tableau n° 97. 2. Gurlt id., n° 86. plusieurs auteurs
coupé. L'animal tombe ma-lade ou on le prive de nourriture: alors le tableau change tout à coup, et l'on voit, dit M. Claude B
En 1859, M. Trousseau, dans ses Leçons sur la chorée, réu-nit dans un tableau succinct les principaux traits de la paralysie ag
nécessaires ; assez souvent même, ils font défaut et figurent dans le tableau symptomatologique de maladies autres que la paral
ait-il vraiment de la paralysie agitante ou avait-on sous les yeux le tableau clinique de la sclérose en plaques ? Le fait est
adie figure au cinquième rang, à côté de l'ataxie locomotrice, sur le tableau étiologique des infirmités traitées à la Salpêtri
ectum venir se joindre aux autres symptômes. Enfin, pour compléter le tableau , nous devons l'aire ressortir l'absence habituell
tions relatives à cette affection permettront un jour de compléter le tableau . Parmi les autres maladies organiques des centr
x. Paris, 1870-73. Charcot. Œuvres complètes, t. i. 17 fatale, le tableau symptomatologique reste incomplet. Or, c'est surt
elle ne fut prise en défaut. Je vous prie de jeter les yeux sur les tableaux (Pl. IX, X et XI) que je vous présente, et où vou
r évolution les accidents qui se sont offerts à notre observation. Le tableau commence au 16 juil-let 1871, époque à partir de
n relief par l'examen et la comparaison des courbes consignées sur le tableau , c'estque la ligne des vomis-sements s'élève, d'u
des matières vomies et d'urine rendue et, après avoir indiqué dans un tableau ces quantités jour par jour, il ajoute; l'examen
dans un tableau ces quantités jour par jour, il ajoute; l'examen du tableau qui précède permet d'établir une relation étroite
t a fait analyser par M. E. Hardy l'urine et les matières vo-mies. Du tableau récapitulatif de ces analyses, il ressort qus l'u
s élevé. Nous pouvons reconnaître et suivre ces particularités sur le tableau que je mets sous vos yeux, etquinousmontre les mo
ement. Quelques nouveaux détails sont nécessaires pour compléter le tableau dont l'esquisse vient d'être tracée. Examinez a
ègles, qui a eu lieu il y a 2 ans, n'a modifié en rien d'essentiel le tableau clinique. Les paroxys-mes convulsifs et les phéno
ents se partagent ordinai-rement les hallucinations de la malade ; le tableau a deux faces, l'une gaie et l'autre triste : dans
ctions antérieures et les scènes eroti-ques suiventquelquefois. — Les tableaux tristes sontdes incen-dies, la guerre, la Commune
ignent assez clairement. « Les malades présentent une succession de tableaux dans les-quels on peut retrouver l'expression de
tura; des cris affreux, des accès de rage, complètent l'horreur de ce tableau . — La lre période épileptoïde est le plus souvent
car leur mise est à peu près celle des paysans qui figurent dans les tableaux de Téniers et de Brauwer. L'ordre de la process
en homme discret, a relégués dans les parties les moins en vue de son tableau , font reconnaître jusqu'à l'évidence que la lu-br
et qui, en effet, ne paraît pas indigne du maître] En examinant ce tableau qui représente, dans toute leur vérité, les conto
74 (1881) Études cliniques sur l'hystéro-épilepsie, ou Grande hystérie
ccèdent ou s'entremêlent sans interruption. Dans une même attaque, le tableau gai fait place au tableau triste, ou inversement,
ans interruption. Dans une même attaque, le tableau gai fait place au tableau triste, ou inversement, avec la rapidité des imag
la faire monter dans leur char. Elle leur demande pardon. Tous ces tableaux sont reliés entre eux et se succèdent le plus sou
hase gaie de l'hallucination. Cette phase se compose d'une série de tableaux qui sont d'une précision et d'une régularité non
que de brèves exclamations ou quelques mots isolés ; tous ces divers tableaux se succèdent comme dans une pantomime d'une rare
s laquelle M. Charcot désigne cette période de l'at-taque. Les divers tableaux qui la composent reviennent invariable-ment. Tout
idée de la rapidité avec laquelle se succèdent parfois ces différents tableaux , j'indiquerai la durée de chacun d'eux, notée pen
Ernest, qui voit le danger, la retient. Tel est le côté lugubre du tableau ; mais de l'autre côté, du côté d'Ernest, c'est bi
1° — Période épileptoïde..................................... 55" Tableau gai................................ .......... 45
3° .— Période épileptoïde..................................... 40" Tableau terrible».......................................
taque précé-dente............................. ................. 30 Tableau gai........................................... 30
... 30 Tableau gai........................................... 30" Tableau terrible....................................... 1
eure, les attitudes passionnelles ne cessent pas un seul instant. Les tableaux gais et les tableaux tristes se succèdent. Et tou
assionnelles ne cessent pas un seul instant. Les tableaux gais et les tableaux tristes se succèdent. Et tour à tour r Ernest : e
é au même endroit. — Aussi promptement qu'il était devenu affreux, le tableau reprend son calme et sa gaieté : « Oh! c'est joli
ée, la tête sur son bras gauche replié. Elle se soulève, un nouveau tableau se déroule à ses yeux. « Oh! il y en a au moins d
.., etc. Attitude de menace, de crainte, de colère, de joie, etc. Les tableaux gais et terribles se succèdent tour à tour. Voi
s, en poussant des cris très aigus. On dirait qu'on l'étrangle1. Un tableau plus riant succède à cette agitation. Assise sur
mmeil fait également défaut, l'anémie est profonde. Pour compléter ce tableau , des crises nerveuses, avec pertes de connaissanc
contre eux; sa figure exprime tantôt l'effroi, tantôt la colère. Le tableau change subitement : le drame fait place à la comé
rayantes comme cris, comme fureur; c'était une vraie rage. Voici le tableau de ses attaques accès depuis le mois de février 1
e respiration bruyante, sifflante, et vous aurez, à très peu près, le tableau de la première scène. Deuxième période. —C'est
iption de la grande attaque. Dans les quinze autres rien ne manque au tableau et toutes nos diverses périodes, depuis les phéno
e force. Ce matin, accès complexe hystéro-épileptiforme dont voici le tableau . Après quelques mou-vements convulsifs de la face
que j'avais devant les yeux une attaque d'épilepsie; mais bientôt le tableau changea; les mouvements de torsion des membres su
ignent assez clairement. « Les malades présentent une succession de tableaux dans lesquels on peut retrouver l'expression de t
trouvons soit épars, soit parfaitement coordonnés, tous les traits du tableau que nous avons tracé de la grande attaque hystéri
de nombre et d'intensité. Il suffira de modifier quelques traits au tableau de la grande hystérie, d'atténuer les uns, d'effa
ne dorsal que Gen... possède entre les deux épaules pour compléter le tableau et transformer ces menaces d'épilepsie en une vér
an, des moulons frisés, des diamants qui brillaient, des dessins, des tableaux , des étoiles de toutes les couleurs... Notre-Seig
n horrible «le dégoût et de colère : « Vieux B... pourceau!... » Ce tableau dure peu; elle revient à ses chansons. Les contra
bolique, dont on peut se faire une idée en lisant dans la Messiade le tableau du diable offrant une pierre à Jésus. Le 26 jan
état cataleptiforme, il nous est facile de les consigner dans un même tableau ; CATALEPSIE — Yeux ouverts. — Pas de convuls
eubles, les objets qu'elle renferme qui luisent familiers. D'autres tableaux de plus en plus complexes et dont les auteurs son
ortant en fréquence et en durée sur celles-ci. Ici le côté som-bre du tableau paraît s'accuser encore davantage et les impres-s
ent des musiques, des voix mélodieuses; ils voient des pay-sages, des tableaux qui les charment; l'un d'eux prétendait sentir le
mières de mille couleurs..., mais epcore, quelques instants après, le tableau s'assombrissait, et les lions, les hyènes elles s
sont analogues aux applications prolongées 1. On peut sous forme de tableau résumer ainsi les différents effets d'une action
reste, le surnat;:rel est bien plus marqué et plus frappant dans les tableaux vivants, qu'ils metleid sous nos yeux, des suppli
lices que doivent endurer plusieurs des disciples du prophète (Elle), tableaux qui ne sont guère moins propres à édifier noire p
faisaient percer la langue et larder les chairs avec des épées... Ces tableaux , disait-on, faisaient ressortir la laideur dupécl
reux que le corps subit graduel-lement après la mort, et il arriva au tableau de la décomposition. Tout à coup le ton de son di
tance qu'elle n'a pu apprendre par les moyens extérieurs, puisque les tableaux d'églises ne reproduisent point cette ancienne at
75 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
alors au prix d'un grand effort. Tous les jours il a été dressé un tableau de la quantité d'urine et des crises qui est co
lleurs. Cette idée, elle l'a gardée à l'état de veille. L'examen du tableau des crises montre que les crises d'asphyxie dis
délirantes en rapport avec elles, tantôt pour engendrer de simples tableaux kaléidoscopiques producteurs d'idées passagères
ec la même rapidité au sur et à mesure, des changements à vue des tableaux sensoriels. Les rémissions n'y sont pas rares.
u corps ? Ses conclusions sont les suivantes : 1° l'auteur donne un tableau très détaillé des résultats de ses recherches; il
tsch. f. Psychiat, L. 3, 4.) Quarante et une observations, nombreux tableaux , de 1888-1890. Ce médicament serait plutôt un s
continue M. Cramer, appartient à l'École qui résume les différents tableaux morbides envisagés suprà. Il en forme une malad
-ci ne la quittant plus, et exerçant une influence constante sur le tableau morbide. Ces deux formes sont tantôt aiguës, ta
die de Raynaud.Il décrit sous le nom d'attaques épi- leptiformes un tableau , facile à reconnaître, de l'hystérie. Le malade
que le diabète insipide est rare chez les hystériques femmes. Le tableau clinique de la polyurie hystérique est d'une gran
u d'en faire un groupe à part. Il y a au contraire entre les divers tableaux cliniques de la paranoïa des rapports étroits,
viser la paranoïa, il faut savoir ce que c'est, quels sont ceux des tableaux morbides décrits qui appar- tiennent à la paran
aisant par sa forme essentielle aux nécessités de la clinique. Le tableau de la classification nouvelle de M. Korsakow avec
res de caractère moteur constituent le symptôme le plus saillant du tableau clinique et dirigent la scène pathologique. Ce
déjà cité de 11. Cramer. Il existe des symptômes communs aux trois tableaux morbides de la folie systématique chronique (Ve
ls se rencontrent sur un terrain morbide commun. Car dans ces trois tableaux morbides il y a : 1° altération pri- mordiale d
iles. '' " ' lf'l l Il'est intéressant de présenter "sous, forme de tableau les points principaux du diagnostic différentie
.) Mensurations des plus intéressantes et des plus patientes avec tableaux en couleurs. Conclusions également très détaillée
i conduisent rapidement à la démence, dont on nous a tracé d'autres tableaux sous les noms d'hébéphré- nie (Hecker), cataton
IÉTÉS SAVANTES. 325 - ,'JN h in et présenter des modifications du tableau ordinaire de la stupeur. 'En quelques cas,' il
t, celui : 'du'cal(dans'êé cas ? onîeriiverra1 le'résultatldans le' tableau ci- : dessous : 9*8 iuP ? ctlrs sbstsrll si sb uo
ir apparaître un peu de rire spasmodique de temps à autre. C'est le tableau que présente actuellement la malade Cir... Plus
ssi par poussées et arriver à cette même démence terminale; mais ce tableau clinique du tabès spasmo- dique, de la diplégie
faite à la Salpêtrière le 19 janvier 1894, ont montré des cas où le tableau clinique de la diplégie cérébrale apparaissait
érèrent les doigts par une-opération qu'ils décrivent et donnent un tableau généalogique intéressant de la famille de cet h
ode anxieux, les maximas accessoires sont irrégulièrement répartis ( tableaux des courbes); °dans la manie il y a hyperthermi
alyse, au premier. M. Friand. Il serait intéressant de faire ici le tableau de l'in- terrogatoire des aliénés par les magis
rticularités, tantôt, c'est le trouble mental qui prédomine dans le tableau clinique, la confusion ou le ralentissement int
e va jusqu'à l'arrêt presque com- plet du cours des images, on a le tableau de la démence aiguë avec ses différentes variét
les sièges pour les repas, la vaisselle. Le réfectoire sera orné de tableaux représentant des natures mortes, de statuettes
le mur à hauteur convenable, sera également très ornementée par des tableaux représentant des sujets divers le long des pann
al de sa section qui soit comme le salon de son habitation, orné de tableaux , de fleurs, de statuettes aux angles, d'une gar
rapportées en détail et les résultats en sont condensés dans quatre tableaux : le premier donne les valeurs maxima et minima
ome confiée aux états provinciaux « semslmo ». On trouvera dans des tableaux insérés dans le travail de M. Rothe des chiffres
76 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
mentation de poids. L'inclinaison du rocher est indiquée dans le tableau sui- vant aui donne l'angle nétroclivien. ATR
isphères cérébelleux sont égaux. C'est, au moins, ce qui ressort du tableau sur l'Inégalité des hémisphères cérébraux et cé
uérison doit légitimement être attribuée à une autre cause. Si le tableau des succès chirurgicaux dans l'épilepsie n'est pa
re, observé à la Clinique Psychiatrique de Moscou, où il y avait un tableau très typique de la psychose de Korsakoff (chez
nous nous la représentons. Pour la poliomyélite est néces- saire le tableau clinique ainsi que le tableau anatomique, et dans
r la poliomyélite est néces- saire le tableau clinique ainsi que le tableau anatomique, et dans le cas donné il n'y a rien
'habitat et les réactions qu'il provoque dans les tissus donne au tableau clinique telle physionomie particulière; du même
- lies avérées peuvent réaliser du côté des membres supérieurs un tableau clinique rappelant de tous points la maladie de
ropos aussi de la signification du syndrome de Morvan. En face d'un tableau clinique caractérisé par des paralysies-et des
es qui l'occupent beaucoup ont fourni une partie des éléments de ce tableau à son imagination subsconsciente. Le monde reel
hodiquement la nature des processus histolo- tiques sous-jacents au tableau morbide à différencier les uns des autres aussi
f, à une intensité et pendant un temps connus, provoquent en lui un tableau de modifications tout à fait analogue à celui q
. 1902.) Trois expériences sur des chiennes soumises au mâle avec tableaux . On lie toutes les branches d'une des carotides s
ne sont pas les tiraillements « fibrillaires », mais présentent le tableau clinique décrit par SCHULTT,E sous le nom de myok
être identiques en commun, ce qui donne tou- jours un seul et même tableau fondamental de, maladie. Il faut différer la pe
t accompagné d'une déchéance très marquée des facultés mentales. Un tableau d'accès ressemblant, mais pas identique, à la p
cérébrales, etc. Dans la démence sénile peut aussi être observé un tableau , ressemblant au tableau de la maladie donnée, m
a démence sénile peut aussi être observé un tableau, ressemblant au tableau de la maladie donnée, mais le diagnostic différ
mence appoplectique, sans névrites, répétant du côté psychique le tableau de la maladie de KoRSAKOFF. L'un des phénomènes d
er des désordres de l'activité motrice et volontaire qui rendent le tableau de la maladie encore plus saisissant. Naturelle
la synthèse mentale. Il me resterait maintenant, pour compléter le tableau sympto- matique de la démence précoce, à passer
de ne pas admettre un rapport de causalité entre ces lésions et le tableau symptoma- tique de la démence. M. Pierret, le p
al malformé; 2° La polynévrite diphtéritique venant compli- quer le tableau morbide; 3e L'existence d'une syringomyélie abso-
ancolie sur le terrain de la constitution idéo-obsessive donne un tableau clinique particulier de mélancolie avec idées obs
ur 112 affec- tions mentales diverses on en a rencontré 85. Voir le tableau détaillé. Conclusions. 1. Les vaisseaux de la
apoplectiformes. Le diagnostic de paralysie générale ressort et du tableau clinique, et des lésions macroscopiques. Les co
l "" ro 1;>;1' C ..., A C 1;>;1 M uc t3 TABLEAU indiquant l'âge, la taille, le poids, etc., dan
conséquent que les os étaient' capables de s'accroître encore. Le tableau suivant montre les résultats du traitement : SO
à des institutions privées, dont la plupart sont congréganistes. Le tableau ci-dessous donne la répar- tition actuelle des
t rend le dernier soupir à 5 h. 20 du soir. 470 RECUEIL DE FAITS. Tableau des accès et des vertiges. ÉTAT DE MAL, MORT. 4
es de degré sous l'influence de l'accès (Voir pour com- paraison le tableau de la T. à l'entrée, p. 465). Autopsie, faite l
ns laquelle l'évolution néoplasique ne s'est manifestée que, par un tableau cli- nique restreint, montre la grande difficul
et J... continuent la discussion diagnostique tendant à établir le tableau clinique de la névrose spéciale dite psychasthéni
ologique connue, devenue totale en huit à dix jours et réalisant le tableau d'une section médullaire com- plète ; impotence
77 (1892) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1891
llicr, s'est augmenté notablement en 1891, ainsi que le montre le tableau comparatif ci-après. xiv Musée pathologique.
du Conseil général ne ferait que réaliser un acte de justice. Le tableau suivant met en évidence les résultats obte- nus
anc, menuisiers;- Guyot, serrurier et Malfilâtre, tailleur. .. Le tableau suivant fait voir que le nombre des enfants qui
cette question importante. Décès. Ils ont été au nombre de 19 ; le tableau ci-après donne le diagnostic, la date et la cau
décembre, le produit du travail avait été de 771 fur. 75.) Voici le tableau mensuel : L11 " Visites, permissions, promenade
tion. En janvier : 1 grande table pour l'atelier de repassage, 1 tableau des surfaces, un socle pour les boules, des tab
repassage, 1 tableau des surfaces, un socle pour les boules, des tableaux pour la classe de géographie ; en mars : 1 port
te-serviettes, 1 meuble pour la sphère, 2 tables scolaires, 1 grand tableau noir; en avril : 1 porte-serviettes, 16 bancs p
a plupart des résultats thermométriques que nous résu- mons dans le tableau ci-après ont été constatés chez des malades qui
justifient ce que nous avons dit plus haut, comme on le voit par le tableau suivant : 48 Etat DE MAL épileptique. - malad
sez irrégulière et accès assez fréquents ainsi qu'on le voit par le tableau ci- après. , 4 janvier. - Aujourd'hui, le mal
a mort 3')° 8; 1/2 heure après le clèeès3cJ ? l heure après 37 : Le tableau suivant (p. 70) donne une idée précise de la marc
rale; augmentation progressive des accès, bien mis en relief par le tableau ; insuccès du bromure de potassium, du chloral,
t un peu du couteau. Il connait les couleurs, les place bien sur le tableau et recon z naît les objets qu'on lui désigne.
; pieds bots équins. La marche se fait sur la pointe des pieds. Tableau des mensurations (mai 1890). - 1 . 1- Crâne. --
s. Poids après décès : 19 k. 100. , Porencéphalie vraie, 101 Le tableau des températures nous parait assez intéressant
78 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
les travaux qui suivirent, M. Morvan modifia quelque peu le précédent tableau et fut conduit a admettre l'existence de cas frus
e et surtout ces anesthésies sensorielles qui ne font point partie du tableau clinique de la parésie analgésique à panaris ? Ic
Les atrophies musculaires font, nous le savons aujourd'hui, partie du tableau symptomatique de l'hystérie. L'élément spasmodiqu
es muscles, qui va croissant de la cuisse à la jambe, atrophie que le tableau suivant indique : Fig. 34. — Points douloureux.
ans les cas plus vulgaires quelque phénomène inattendu qui modifie le tableau clinique habituel. Nous en avons la preuve dans l
n que cette description offre quelques points de ressemblance avec le tableau clinique que je vous ai exposé tout à l'heure, je
perdu ce qu'ils avaient gagné au mois de juillet. Voici dans un même tableau les mensurations telles qu'elles ont été faites e
rent qu'à titre d'éléments relativement rares, exceptionnels, dans le tableau du type clinique : syringomyélie. Voilà ce que no
ses attributs fondamentaux. La présence, laprédominance même dans le tableau clinique des panaris analgésiques ne change rien
divers me paraissent réaliser un type nosogra-phique défini, dont le tableau clinique pourrait, si je ne me trompe, être carac
G.) névropathique. Gela pourrait se représenter par un fort simple tableau généalogique. Un individu, né d'un père goutteux
me paire, du même côté que la paralysie faciale, venant compliquer le tableau classique. Vous pouvez supposer encore telle loca
teinte déjà depuis longtemps de folie à double forme. Voilà bien un tableau complet d'hérédité convergente, et certes, notre
. En somme, à part l'absence d'atrophie musculaire, rien ne manque au tableau . Et même, si l'on voulait pousser plus loin le di
nt également, à mon avis, des exemples de syphilis cérébrale, mais le tableau est si différent dans les deux cas que le contras
formes ou épileptiformes, etc. Tel est, dans ses grandes lignes, le tableau classique de la sclérose en plaques cérébro-spina
Sans doute, lorsque le tremblement et la dysar-thrie existent, que le tableau est complet, en un mot, ou à peu près, le diagnos
ue qui ne puisse faire défaut. Ainsi, pour ne citer qu'un exemple, le tableau clinique de la sclérose en plaques se trouve cl
tique où je me suis laissé entraîner et poursuivons notre étude. Le tableau général des formes frustes de la sclérose en plaq
de l'adjonction de phénomènes tabétiques. Ici vous verrez figurer au tableau les douleurs fulgurantes, le signe de Romberg....
lus simple expression. Cet exemple vous montre avec évidence que le tableau complet peut se dégrader, s'user, s'effacer et la
ion avec retour des liquides par le nez, tous phénomènes étrangers au tableau vulgaire de la sclérose disséminée. Depuis cinq
on à cette règle. Il suffit, pour s'en convaincre, de considérer le tableau suivant relatif aux attaques de la malade dont l'
79 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
el, mais le cas diffère en certains points des cas typiques dont le tableau clinique est esquissé plus, haut. C'est ainsi q
lente, causée par la lésion nerveuse elle-même. C'est en réalité le tableau clinique, sauf la douleur de certaines myélopathi
ns au niveau de certaines régions cérébrales elle peut provoquer le tableau clinique qui ressemble à la paralysie générale
re à 35 degrés. Tous ces chiffres un peu arides, -sont le résumé de tableaux fort complets annexés au mémoire. Ils mon- tren
Verrûcktheit ne peuvent supprimer le substratum commun à ces trois tableaux pathologiques, mais ils sont tout à fait indiqu
iques, mais ils sont tout à fait indiqués pour distinguer ces trois tableaux morbides sur le fonds commun de la paranoïa.
ns délirantes qui, en s'isolant ou se prolongeant, prennent dans le tableau clinique une part exclusive ou au moins prépond
psychopathiques chez les aliénés d'Eure-et-Loir, je note dans le tableau suivant le nombre des aliénés de ce département e
l'expression, que les conceptions délirantes des premiers. Notre tableau démontre aussi le bien fondé de plusieurs remar
oolique et la paralysie générale. ' A s'en tenir scrupuleusement au tableau , les cas de folie alcoo- lique seraient rares,
ssus (segmentation) : les cylindres-axes dispa- raissent et on a le tableau classique de la dégénérescence wallé- rienne.
par un simple arrêt de développement, de les grouper, de faire leur tableau cli- nique et de procéder de même pour les micr
rie d'enfants commencer par les voyelles. M. B. montre une série de tableaux comprenant des syllabes simples et des syllabes
orbant par exemple dans la contemplation d'un objet extérieur, d'un tableau pendu au mur qu'elle regarde longuement et sans
énérale. A. Caractères GÉNERAUX. - 1° Quantité. En consultant les tableaux I (Urines des hommes) et II (Urines des femmes),
ntée, tandis qu'Addison déclare qu'elle est diminuée. Nos analyses ( tableau I et II) montrent que très généralement c'est c
andis que Addison, Merson, le notent comme diminué. Nos analyses ' ( tableau I et II) en montrent partout l'excré- FEMMES
'excré- FEMMES ÉTUDE DE L'URINE DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 375 TABLEAU III. Rapport de l'acide phosphorique à l'urée.
u normaux ; presque toujours ils sont considérablement augmentés. Tableau IV. Excrétion des phosphates. ÉTUDE DE L'URINE
fluctuations du volume d'urine émis dans les vingt-quatre heures. Tableau V. Élimination des chlorures en dehors de la pa
WAGNER. .Illlt1'IJtICIt. f. ' Psychiat., XII, 1 et 2.) En treize tableaux , l'auteur essaye d'établir le nombre des cré- t
vivement l'imagination, les folies impressionnantes qui forment un tableau saisissant, et profondément émotif pour les ass
aitement expliquer cette diminution de poids. Un petit extrait du tableau , dressé par M. Yvon, donnera des renseignements
te autre nature. · Comme comparaison des ingesta et des excréta, le tableau ci- dessous suffira : ÉTUDE DE LA POLYURIE HY
on clinique : a. La période prodromique ou méningitique répond au tableau clinique de la méningite spinale. Dans certains c
les provoquant une diminution de l'afflux d'eau dans la glande), le tableau de la struc- ture des cellules glandulaires cha
asseoir de définitions fondamentales sur la description de quelques tableaux morbides momentanés ou d'états morbides qui se
ombinés entre eux en syndromes. Dans ces conditions ils forment des tableaux morbides, des phases nosographiques, des épisod
pe clinique, si on avait tenté, d'après les traits et les signes du tableau morbide, de déter- miner ceux qui étaient capab
téristique de la maladie, et à sa dénomination, c'est l'ensemble du tableau morbide et sa terminaison. L'étiologie même est i
t fournies par les sens; c'est une fantasmagorie kaléidoscopique de tableaux et d'idées n'ayant entre eux aucuns liens ou n'
uillement des idées et des concepts qui prédomine jusqu'à la fin du tableau morbide. Dans certaines circonstances cela peut
; chacun d'eux s'est efforcé de tracer de nouvelles descriptions de tableaux morbides et de prendre celles-ci pour base de s
mation du délire. Il s'est contenté d'esquisser à grands traits les tableaux morbides; ses travaux sur ce sujet sont suffisa
réaction profondesur l'intelligence et le groupement de chacun des tableaux morbides. Je m'en tiendrai là d'autant mieux qu
80 (1888) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1887
(menui- sier, 1 ; cordonniers, 3 ; rempaillcurs, 2 ; Fig. fi. - Tableau dans lequel sont sculptés des creux figurant un
e cas en avril ; onze cas en mai; trois en juin; six décès (voir le tableau , p. XX). - En septembre, quatre enfants ont été
. BmcoN, s'est enrichi de nombreuses pièces, ainsi que le montre le tableau com- paratif suivant : ENSEIGNEMENT PROFESSIO
açon générale nous n'avons eu qu'à nous louer de leur concours : le tableau suivant met d'ailleurs en évidence les résultat
effets d'habillements] et que chaque enfant ait son trousseau. Le tableau suivant fait voir que le nombre des enfants qui
de ce qui s'était passé. Eraste en ces quelques lignes a retracé le tableau exact de l'épilepsie procursive : course en ava
lep avec 0 gr. 06 centigr. de nitrate de pilo- carpine. Bien que le tableau des vertiges ne mentionne pas de vertiges, il e
e minutes semble plutôt devoir les faire assimiler à un accès. Le tableau suivant résume les caractères principaux des tr
t même quelquefois, mais avec la démarche d'un homme ivre. Voici le tableau des accès : 1 Il gâte parfois dans ses accès et
déterminant enfin la 70 . DE L'ÉPILEPSIE PROCUR1VI ? démence. Le tableau des accès comprenant une période de treize ans
séjour ici, il voulait écrire à Jeanne d'Arc. On lui a présenté un tableau noir, et il n'a tracé que des lignes informes.
sur ce sujet, qui relève de la neurologie, nous allons donner un tableau résumant plus de 360 explorations faites sur cent
sur lesquelles nous reviendrons tout à l'heure. ZD Voici d'abord le tableau des cas de la première catégorie : 194 DE LA TE
comme des exceptions ou seule- ment, de môme que ceux du précédent tableau , comme des irrégularités ? Nous inclinerions vo
s de Bicêtre. Pour plus de simplicité, nous avons dressé les deux tableaux ci-après, nous réservant de tirer ensuite les c
tomique de l'appareil sexuel mâle chez les dégénérés. 197 PREMIER TABLEAU a 107 bi" , DEUXIÈME TABLEAU ? I . - VERGE EN
mâle chez les dégénérés. 197 PREMIER TABLEAU a 107 bi" , DEUXIÈME TABLEAU ? I . - VERGE EN BATTANT DE CLOCHE. 197 Suiva
puberté, on verra descendre les testicules. Le cas du n° 13 du 5*' tableau est bien fait pour nous engager à le 202 ANOMAL
jeunes gens ad- mis à participer au tirage, après rectification des tableaux de recensement, s'est élevé à 306.854. Sur ce n
fres font facilement justice de toutes les théories, et d'après les tableaux très précis que l'auteur présente, on voit que
81 (1881) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1880
de Pestallozzi et de Froebel ; une boîte pour leçons de choses; des tableaux représentant des animaux, des métiers, etc... P
u (1) Elles ont été fournies en 1880. (2) On a acheté 22 nouveaux tableaux pour la Lanterne magique. STATISTIQUE. XXVII
à contribution le service hydrothérapique. On peut en juger par le tableau sui- vant (2) : STATISTIQUE. XXXI changemen
janvier, on comptait dans la section 144 adultes et 118 enfants. Le tableau ci-dessous résume le mou- vements de la populat
vement quelques-unes des indications fournies par ces deux derniers tableaux . C'est, en premier lieu, la guérison de deux en
ches exigées d'habitude. f Décès. - 17 enfants : 12 adultes. Le tableau suivant fournit les principales indications.
du canal artériel. La marche de la température est indiquée par le tableau suivant (Fig. 3). Cas. XXII. (Bourneville). Vac
fixer les idées et éviter les redites, de présenter d'a- bord en un tableau général , sorte de synthèse de toutes les descr
ant se souvient nettement de ses rêves et les raconte. Tel est le tableau général des attaques présentées par notre malad
qui fut constatée le 2 septembre. Ainsi qu'on peut le voir dans le tableau que nous avons rapporté plus haut, il n'y a pas
liniques et expérimentales, Gr. in-8 de 112 pages, avec de nombreux tableaux . 10 figures intercalées dans le texte, 36 planche
cations de l'uréthrotomie, externe. Un volume de 168 pages, avec un tableau . Prix : 3 fr.50.- Pour nos abonnés 2 fr. 60 M
82 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ELLE ÉPINIÈRE. 53 tion, j'ai voulu faire plus ample connaissance'du tableau de la, paralysie de Brown-Séquard chez le cobay
OELLE ÉPINIÈRE. , 57 Donc, dans ce cas, il y avait en même temps un tableau in- complet de la paralysie de Brown-Séquard, i
les ganglionaires, et l'actus, à peu près; plus haut se présente un tableau gardant le même caractère jusqu'au bulbe rachid
uvements. Quoique, malheu- reusement, il ne donne la description du tableau microsco- pique de la cicatrice de la moelle, o
ues, qui suivent l'excitation de l'écorce, elles dis- paraissent du tableau symptomatique de l'épilepsie avec l'ex- tirpati
ir, si on peut atteindre chez un cobaye bien portant jusqu'alors le tableau ordinaire de la paralysie de lirown-béquard en
otrices dans la région de deettssatio pyramidum, on peut obtenir le tableau de la paralysie de Brown- Séquard, même en fais
rappe à peu près également les deux sexes. Il ressort également des tableaux qu'il publie que les actes de violences contre
ésumé, ce travail, qui a exigé de longs et pénibles labeurs, est le tableau le mieux présenté de nos jours sur les fonctions
et névropathique. Cela pourrait se représenter par un fort simple tableau généalogique. Un individu, né d'un père goutteu
e. Il relève dans l'hérédité d'un jeune diabétique de onze ans le tableau suivant : TABLEAU I 1 ASSOCIATION DU TABES AV
l'hérédité d'un jeune diabétique de onze ans le tableau suivant : TABLEAU I 1 ASSOCIATION DU TABES AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ.
une fort intéressante observation de Lèjroux. La voici résumée : TABLEAU III 314 CLINIQUE NERVEUSE. TABLEAU VI : . X..
Lèjroux. La voici résumée : TABLEAU III 314 CLINIQUE NERVEUSE. TABLEAU VI : . X... 70 ans. Epilepsie, diabète, paralys
et le diabète ont disparu. La paralysie agitante seule persiste. . TABLEAU VII ASSOCIATION DU TABES AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ.
. . TABLEAU VII ASSOCIATION DU TABES AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ. 315 TABLEAU X' 316 CLINIQUE NERVEUSE. TABLEAU XIV ASSOC
ES AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ. 315 TABLEAU X' 316 CLINIQUE NERVEUSE. TABLEAU XIV ASSOCIATION DU TABES AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ.
ement chez les ascendants, c'est aussi bien chez leurs descendants ( tableau V), qu'on la constate fré- quemment. C'est enco
exemples que nous devons encore à M. le professeur Charcot 2 : - TABLEAU XV 320 CLINIQUE NERVEUSE. TABLEAU XVII ASSO
le professeur Charcot 2 : - TABLEAU XV 320 CLINIQUE NERVEUSE. TABLEAU XVII ASSOCIATION DU TABES AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ
VII ASSOCIATION DU TABES AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ. 321 De ces quatre tableaux , nous pouvons rapprocher l'observation suivante
a façon suivante : ARCHIVES, t. XXII. 21 323 CLINIQUE NERVEUSE. TABLEAU XXI ASSOCIATION DU TABES AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ.
oubles vaso-moteurs dont maintes fois elle est accompagnée, tout le tableau clinique se réduit à une affection du nerf sym-
ore il ne détermine pas avec une rigueur suffisante le caractère du tableau clinique. En effet, la connaissance même superf
té, et voilà comment s'explique l'évolution plus ou moins rapide du tableau clinique, d'une part, et, d'autre part, ses par
auteurs ont constaté à bien des reprises. Mais à part cela, dans le tableau de la maladie se produisent parfois des symptôm
s évi- Archives, t. XXII. 23 354 ' CLINIQUE NERVEUSE. dente, le tableau clinique est, en beaucoup de points, semblable
'atrophie d'un membre, l'atrophie de la langue, etc., et traite les tableaux cliniques correspondants dans des chapitres sép
s, et que l'épilepsie consécu- tive a eu pour complexus clinique le tableau morbide classique. On n'observe, ni dans le coc
83 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
oteur; et si nous ne connaissions d'une manière assez com- plète le tableau de l'ataxie locomotrice, nous pourrions être em
été tracé de cette affection. Quelques-uns cependant manquent au tableau ; mais de ce que, dans un cas donné, on ne retrouv
it motrice. Or, que l'hystérie puisse reproduire très fidèlement le tableau de l'é- pilepsie partielle, c'est une chose bie
avec l'apo- plexie cérébrale était frappante, d'autant plus que ce tableau se présentait chez un homme d'âge avancé, et av
leur état mental paraissent avoir une hypotoxicité constante (voir tableau de Hug...), mais néanmoins, la toxicité la plus
orte de bronze de Saint-Zénon, à Vérone (xi° siècle), ou dans les tableaux de Rubens ou de Jordaens, qui ornent les sanctuai
ue nous sai- sissons les détails, nous avons toujours pour pivot du tableau le cheval. Nous recevons ainsi, en deux minutes
. le professeur Kaorsakow serait plutôt d'avis que la similitude du tableau clinique de la maladie dans les différents cas in
é sur la partie cervicale ; après cette con- tusion se développe le tableau clinique d'une myélite ex ecmpres- sione (à évo
n sur le rôle physiologique du tractus peduncularis qui s'ensuit du tableau anatomique, tracé par le rapporteur. Le rapport
à chaque page cou- rageusement défendue et appuyée sur de nombreux tableaux rap- portant des analyses d'urine dans des cas
Aacr3wE, t. ? V. Il Î6Q2 CLINIQUE NERVEUSE. quelques égards le tableau des atrophies progressives en vous signalant un
us d'une heure et se renouvelait fréquemment. D'un autre côlé, le tableau d'hérédité ne laisse rien à désirer. Ainsi donc
ns de dégénérescence ; cela étant dit, si vous envisagez ce côté du tableau sans préjugé, sans idée préconçue, vous verrez
Romberg est un symptôme distinct, séparé, ne faisant pas partie du tableau de l'ataxie. Donc il a une pathogénie spéciale,
en nécroscopique d'une malade qui, pendant sa vie avait offert le tableau devenu classique de cette forme de myopathie prim
, 11 février 1888); elle figure dans l'observation " J. Lav... » du tableau produit par ces auteurs. 196 " PATHOLOGIE NERVE
COT. SERVICE OTOLOGIQUE années 1891-1892; Par le Dr GELLÉ. Le tableau publié à la fin de cette revue montre que la cli-
n des souffrances des nerfs labyrinthi- ques est univoque. C'est un tableau symptomatique com- plexe, mais qui donne une im
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 259 XXX. DÉVELOPPEMENTS A L'APPUI DE TABLEAUX STATISTIQUES EMPRUNTES A l'asile d'aliénés DE T
peu de clarté dans un sujet si vaste il a commencé par dresser un tableau synoptique des troubles du langage parlé, qui tie
et aussi sa belle dentelle noire de Chantilly, unique au monde, ses tableaux de vieux maîtres, son velours de Gênes, ses meu
e à monter les escaliers, et offre de l'hypertrophie des jambes. Le tableau suivant permet de bien saisir les particularité
des cas, où le tremblement en gardant le caractère dominant dans le tableau clinique de la maladie apparaissait périodiquem
symptomatique déjà décrit. En considérant le caractère singulier du tableau clinique de la maladie, on peut aisément conclu
ts et ne s'étendait qu'au membre inférieur, où par con- séquence le tableau clinique rappelait notre cas sous plusieurs rap
ymptomaliques aux états idiopathiques. Les états maniaques, dont le tableau rappelle de plus ou moins loin celui de la mani
corps. Lors même que des malades affirment avoir devant les yeux le tableau des scènes empruntées à leur vie, c'est l'exagé
epose sur un grand nombre d'obser- vations personnelles groupées en tableaux statistiques des plus in- téressants à constate
84 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
u myxoedème s'ajoute à la dystrophie préexistante. La complexité du tableau clinique ne permet plus de reconnaître la part
tion. Il n'est pas rare cependant de noter par intervalles, dans le tableau clinique si varié de la paralysie générale, que
s et les signes cliniques d'ordre secondaire qu'on retrouve dans le tableau clinique de notre cas en dehors de ceux apparte
articulairesque de l'hyper- trophie vraie des extrémités. ? Si le tableau clinique des malformations squelettiques de cette
notre cas il semble donc exister une concordance parfaite entre le tableau clinique particulier, donné par l'association aus
processus aigu, inflammatoire, d'origine vasculaire, entraînent des tableaux morbides naturellement différents mais qui ont
s symptômes paralytiques qui chez deux d'en- tre eux affectèrent le tableau clinique de la paralysie spinale infantile, che
présentent pas d'une manière aussi frappante la juxta- position des tableaux cliniques, avec leurs caractères distinctifs si t
a- lite, localisés dans la zone motrice, auraient pu donner lieu au tableau clinique de la paralysie cérébrale infantile.
as dans 3 générations). , On trouvera dans la thèse d'Ouvry (9) les tableaux généalogiques de ces différents cas. Mais dan
l'on puisse voir dans cette affection une névrite périphérique, le tableau et l'évolution cli- nique sont d'ailleurs tout
, l'as- thénie, l'extrême apathie, troubles qui font tous partie du tableau symp- tomatique du myxoedème ; mais dans ce der
mais moins que dans les cas de mydriase paralytique. Ici encore, ce tableau clinique ne répond pas à celui que nous avons o
dans les moeurs indigènes modernes des centres européanisés. (1) Tableau des folies haschichiques et opiomaniaques placées
du palais et de la corde vocale du même côté. En face d'un pareil tableau clinique, qui a évolué peu à peu, sournoi- seme
ber dans des erreurs. Un point particulièrement intéressant dans le tableau clinique présenté par F..., c'est l'intensité d
sionnabilité et des hallucinations conscientes ayant pour objetdes tableaux de siège ou de vie paisible dans leur pays au m
armée active souffrant de l'une ou de l'autre forme d'aliénation. TABLEAU II. 348 WLADYCZKO étaient malades avant la gu
où les malades se prome- naient ordinairement. Cet asile offrait un tableau assez original pendant le bombardement. Quelque
sèulement pendant la première période du siège que de sembla- bles tableaux se présentèrent à nos regards, plus tard, tous le
é à la Société de Neurologie par MM. Raymond et G, Guillain (6), le tableau clinique était le suivant. Au bras droit il e
nt de chacun des muscles de ce membre, on voit aisément, d'après le tableau ci-joint, construit d'après les indications de Wa
ncient les uns des autres à cette date. Il suffit de se reporter au tableau ci-joint pour s'en rendre compte. Développement
savent bien peu de médecins, c'est qu'Horace Vernet dans un de ses tableaux a fixé le souvenir d'une opération chirurgicale
ôtel de la Société de Chirurgie de Paris. C'est là que se trouve le tableau qui nous occupe. Il appartient à la Société de
en chirurgien de l'hôpital de la Charité, trois photographies et un tableau peint par Horace Vernet, représentant une malad
ion au sujet des relations de son aïeul avec le docteur Manec. Le tableau de la Société de chirurgie est à l'huile ; il mes
risation est moins avancée de ce côté. Les fils ont été retirés. Le tableau n'est pas signé, mais le cadre porte à sa partie
docteur Manec donna à la Société de chirurgie en même temps que le tableau , une seule représente la malade après l'opérati
nt exagéré de la tête figurant comme élément presque essen- tiel du tableau clinique ne peut s'expliquer par une dystrophie d
à la circulation mécanique de la lymphe ne peuvent pas réaliser un tableau plus ou moins semblable, voire même identique à
glande thyroïde et son absence ou ses troubles nous expliqueront le tableau clinique complet ou à peu près de l'insuffisanc
rusquement la poi- gnée de la porte de l'appartement. 'Tel est le tableau certainement noir, mais réel, de mon état actuel.
ers pas doivent être les plus difficiles. Mais i ! y a une ombre au tableau . Au moment où je comptais commencer bientôt les
85 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ence à lacer ses souliers et à placer exactement les cartons sur le tableau de couleur, à exécuter les premiers mouvements
, ici, était compliquée de nanisme avec infan- lilisnm. L'examen du tableau de la taille, prise deux fois par an, de 1890 à
pathiques, l'auteur conclut que le réseau de Golgi est bien un ' Le tableau des mensurations de la tête, offre quelques diffé
sudat. Les autres cas ne présentaient pas toute la complexité de ce tableau . Il existe une analogie entre la compression méca
enry MEMK (de Paris). Bu. Henry MEIGE a fait une étude critique des tableaux du musée du Prado, qui présentent un intérêt mé
les peintures re- présentant des scènes médicales. Tout d'abord, le tableau de Muriilo, de l'Académie Saint-Ferdinand, repr
au xviie siècles, un Arracheur de dents de Théodore Rombouts, deux tableaux de Téniers le Jeune représentant une opération
ation. Seules les préoccu- pations hypochondriaques s'effacèrent du tableau clinique et lais- sètent la place à un état eup
ontenu intes- tinal qui y a pénétré. P. Kerwal. XIX. D'un nouveau tableau morbide analogue à la tétanie dans le saturnism
d'une malade; c'était une morphinique. Et Lancereaux lui faisait un tableau sai- sissant de sa déchéance physique et morale
oppement du faisceau pyramidal et, s'il se prolonge, constituent le tableau presque par- fait du syndrome de Little. Léri
e- vint complètement dément. C'était bien là, on en conviendra le tableau classique de la démence précoce : l'âge du patien
ue les couleurs, les lettres et les chif- fres qu'il place dans les tableaux correspondants. 1899. Progrès scolaires sensibl
couleurs, quelques chiffres, mais n'arrive pas à les placer sur le tableau correspondant. 1897. Il mange seul; mais ne peu
zur Lehrevon den Geschlechts-Unlerschieden, 1903. L'auteur trace un tableau intéressant et complet des différentes modifica
emars caractérisés souvent par la vision du rouge (objets rouges ou tableaux où le sang ruisselle). Les hystériques dorment,
niaque, le confus, l'anxieux, le dément agité, etc., présentent des tableaux cliniques trop connus. De plus, pour expo- ser
28 SOCIÉTÉS SAVANTES. une sieste dans la journée : ceci ressort des tableaux que l'auteur présente et qui lui ont été fourni
cas, à l'exagération des réflexes et à l'extension des orteils : un tableau clinique simulant presque complètement la sclér
essive. M. le Professeur Thomsen (Bonn). Aperçus sur l'étendue du tableau clinique delà folie maniaque dépressive. Formes p
ns frémissements parcellaires, comme on l'observe dans les tics. Ce tableau clinique est soumis à des variations individuelle
ses temples de La Haye, d'Amsterdam. d'Harlem et d'Anvers, quelques tableaux qui pré- ' Nous avons fait tous nos efforts pou
isent une sélection qui seule permet l'application du système. A ce tableau tout de lu- mière, il faudrait ajouter quelques
oujours assez. Dans les musées, nous avons retrouvé tous ces exquis tableaux de Steen, Van Ostade, Brake'nbourgh que M. Meig
lques détails médicaux. « L'amputation de la jambe » est un grand tableau du musée d'Anvers, dû à Francken, autant qu'il
Anatomie» pour être étonnés au premier moment, mais à mesure que le tableau , longuement regardé, nous a permis de nous abst
par le sang, se dégager peu à peu du sillon interhemisphérique. Ce tableau parait dater d'hier ; il aurait pu illustrer le r
ite le la novembre )903, à l'aide du périmètre de main, présente le tableau suivant : (Fig. 18, dex. et sizz.) Dans l'oeil
ves, 2" série, t. XVI. 2G Fig. : n. 402 THÉRAPEUTIQUE. donna le tableau suivant. L'étendue du champ visuel périphéri- q
cessus pathologiques les plus différents. La variété capricieuse du tableau clinique de la syringomyélie s'explique par la
inentles idées hypocondriaques et les idées de négation, réalise le tableau de la mélancolie, psychose d'involution, selon
rente-huit ans, ori- ginaire de l'Arménie turque et qui présente le tableau symptoma- tique de Briquet. Voici la descript
re, ni strabisme, ni aucun trouble visuel. Placé à cinq mètres d'un tableau sur lequel est peint un disque coloré, le malade
du - poméro- médian, par Bikeles. 4-)'k 1 'rElA'ZIE. D'un nouveau tableau morbide analogue la- dans le saturnisme chron
86 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ée, les événements de la vie courante peuvent prendre place dans le tableau de l'état délirant d'halluci- natoire. En som
ème ordre de phénomènes, contemporains de l'hystérie, s'ajoute à ce tableau : c'est une perversion profonde de la sensibili
, variétés de la même entité morbide. Ces deux auteurs tracèrent le tableau clinique de la nouvelle ma- ladie, en fixèrent
ent dans la para- lysie générale. M. minou (Moscou) représente au tableau par un schéma les périodes de syphilis simple c
tendances sexuelles dans le sens strict du mot ; les romans, les tableaux et les conversations suggestifs qui produisaient
présente cliniquement sous une forme assez pure, parce que dans le tableau cli- nique,nous ne trouvons aucuns symptômes de
elles, le but tout à fait indépendant ; elle se représente juste ce tableau bien précis, quand elle est en proie à ses dési
is, quand elle est en proie à ses désirs sexuels; elle voit le même tableau dans ses rêves érotiques, tandis que le coït n'
gues heures et il ne pouvait pas débarrasser son imagination de ces tableaux . Parfois d'autres idées de même nature se prése
chaînettes et la forçait de se promener ainsi dans la chambre : ce tableau qui réalisait à peu près ses rêves d autrefois,
ait pas une dérogation aux prescrip- tions de la loi de 1885 et des tableaux annexes. Cette loi, en effet, n'a eu en vue que
ent lésés du fait que, de- vant être compris dans la section 111 du Tableau annexe de la loi de 1853, notre rattachement pu
chez les V..., un roman du Petit Journal qui répond tout à fait au tableau de son existence per- sonnelle. Et puis il y av
rces d'arrêt ou répulsives. Ces données, présen- tées sous forme de tableau , permettent de concevoir la responsa- bilité co
aractère partiel de ces troubles reste toujours, comme le montre le tableau suivant, représentant t les altérations de la s
- rique aigu) associée à l'acronévrite des mains et des pieds. Au tableau clinique particulier de la polynévrite cor- res
e sang s'est épanché en petite quantité dans l'intestin grêle. Le tableau clinique de l'empoisonnement aigu chez notre ma
a à la Fondation, le 13 décembre 1900. Nous donnons ci-dessous le tableau des accès et vertiges pendant le séjour de l'en
u dans la même journée et ont été suivies de sommeil. Epilepsie ; tableau des accès et dos vertiges. 424 CLINIQUE NERVEUS
s mesures de la tête de la malade, pendant son séjour, ainsi que le tableau compa- ratif du poids et de la taille. 1901.
front d'une hauteur de 6 centimètres sur la ligne médiane (voir le tableau spécial pour la mensuration des différents diam
était de 40°5, elle tomba ensuite régulièrement comme l'indique le tableau ci-dessous, atteignant la tempé- rature ambiant
la température pendant les G premiers jours de l'ad- mission, les tableaux des accès, des vertiges, la mensu- ration de la
de manière'à sui- vre la croissance, le poids des organes, enfin le tableau de la température après le décès. n VIII. La
s sur l'accablement insurmontable du moi font partie essentielle du tableau clinique : pas de confusion ; erreurs senso- ri
s avons cru devoir en relater brièvement les grands traits avec des tableaux résumant la vie courante de cet intéressant éta
trées ; 50 décès dont 10 par tuberculose. 31. Déricq a note dans un tableau à imiter les épiphénomènes observés chez les tu
érébraux chez les femmes, situation au 1 cr janvier ¡vomi ; 2° Même tableau pour les hommes ; 3° Alcoolisme compli- qué de
escence ou de débilité mentale ou d'hérédité al- coolique ; 4° Même tableau pour les hommes : jo Intoxication alcoolique ca
use déterminante des troubles cérébraux chez les femmes ; ! l° Même tableau pour les hommes. Dans tous ces ta- bleaux, M. D
? Il. le Dr Déricq termine par une remarque générale concernant les tableaux statistiques : « On trouve rarement, dit-il, une
empêchant de troubler le repos des autres malades. Il résulte du tableau des entrées par profession qu'aucune pro- fessi
87 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
le diagnostic exact du siège des affec- tions cérébrales. Voici le tableau où le savant médecin du manicome d'lmola présen
DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI CES SCAPHANDRES. 103 pas oublié que le tableau clinique d'un certain nombre de mes observation
même une blennorrhagie. Vit. - Nous avons cru devoir réunir dans le tableau suivant le développement du poids et de la tail
'est en effet ce quita lieu : soixante-dix-huit figures animent les tableaux les plus arides, et dissipent toute obscurité;
variété dans la nature même des traumatismes : on en jugera par le tableau suivant : 196 PATHOLOGIE MENTALE. d'un arbre,
ues qui doivent être tirées de nos observations, nous avons fait le tableau ci-contre. L'étude attentive des conditions éti
s que nous avons eu l'embarras du choix. 'Les faits insérés dans le tableau précédent suffisent pour établir d'une manière
s la même méthode, nous allons choisir parmi les accidents de notre tableau ceux qui sont d'une simplicité et d'une pureté
té de cette cause, nous allons analyser tous les accidents de notre tableau , qui n'admettent comme élément étiologique que
vait été atteint, on n'a pas d'accidents graves, comme le montre le tableau XVIII avant d'avoir atteint sept atmosphères, n
utres causes, nous allons choisir parmi les observa- tions de notre tableau celles dont les accidents recon- naissent comme
des immersions successives. Si l'on jette un coup d'ceil sur notre tableau , on peut déjà vaguement concevoir la fréquence
oidissement. Parmi le grand nombre d'accidents qui figurent à notre tableau , il n'y en a guère que deux qui doivent être at
pulmonaires. 2° Affections pulmonaires. Il n'y a guère dans notre tableau que deux accidents dont le seul et unique éléme
agée de tout mélange, rien n'est plus fa- cile de concevoir ceux du tableau , dont l'étiologie est complexe, à savoir dont l
d'une haute importance clinique : si l'on étudie un peu à fond le tableau précédent, on arrivera à cette conclusion, qu'i
nde si ce qu'il appelle les symp- tômes procéduriers font partie du tableau clinique de l'hystérie. Un ouvrier traumatisé c
mptôme qui par lui-même prouve la simula- tion. L'ensemble seul des tableaux en fournit la certitude à l'ex- périmentateur e
isc7tes statistisches Bu- reatt), 51. Guttstadt dresse une série de tableaux très utiles à consulter. En somme, en Prusse, d
a été placé à cet hospice, en 1888, 40 aliénés en observation et un tableau joint au rapport de M. le conseil- ler R... mon
re les réduits dont les rapports administratifs font un si triste . tableau ; elle mettrait les malades en situation d'être
Mental Science, avril 1886). Dans ce travail qui contient plusieurs tableaux , l'auteur s'est varia. 315 proposé de compare
comparaison avec les asiles d'Ecosse, ceux-ci ne publiant pas leurs tableaux de régime dans leurs comptes rendus. R. M. C.
térieurement, certaines observations où elle appa- raissait dans le tableau de la paralysie générale et de l'hystérie, semb
ffuse de la moelle pourra, dans certaines conditions donner lieu au tableau systéma- tique de la maladie de Parkinson. G. D
euses; par Mlle Blanche Edwards. Thèse de doctorat 1889. Après un tableau succinct de l'hémiplégie vulgaire, l'auleur élu
88 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
gné. Le délire systématisé absorbe l'être entier. La stabilité du tableau pathologique qui, par suite de son immobilité,
éclaté chez ces 12 malades à une époque très variable. D'après le tableau donné par l'auteur, il est tout à fait impossible
isonnement critique. Les hallucinations manquent absolument dans le tableau mor- bide fait de rapports illogiques, d'interp
ndis chez un brocanteur. « Mon attention fut alors attirée par un tableau (parchemin noir avec ma devise : Ferro non auto
de fer que je portais imprimé au fond de mon chapeau. Evidemment ce tableau avait été placé là pour moi. Il a dû appartenir
que chez Chen... à un segment du squelette. M. Féréa résumé dans un tableau les chiffres recueillis dans ses mensurations.
api ès la durée ascendante de leur affection mentale, on obtient le tableau suivant qui indique, par période de dix ans, la
apportant à chacune de ces périodes décennales : 11 résulte de ce tableau que d'après la durée de l'affection le nombre d
également en périodes décennales, et où on voit également dans les tableaux synoptiques dressés par divers pays, un groupemen
es deux observations sont extrêmement intéressantes et réalisent un tableau clinique tout particulier et qui mérite de rete
Tiling, Tournier, Magnus et Grasset, pour établir l'existence d'un tableau clinique tout particulier caractérisé par l'abo
dral et celui de Thomson, avait parfaitement -vu .tout l'intérêt du tableau clinique que nous avons décrit. Il assimile abs
oculo-moteurs antérieurs ou leurs fibres de projec- tion produit un tableau clinique tout particulier caractérisé par l'abo
e l'évo- lution des symptômes et la localisation de la lésion. Le tableau symptomatiq1te de l'apoplexie progressive avait
te, l'apoplexie se constitue. Température 38°,9. Le 19 au matin, le tableau de l'apoplexie est réalisé. La connais- sance a
et non aux symptômes eux-mêmes. Ces derniers se retrouvent dans le tableau de l'apoplexie cérébrale en général. Dans l'a
ure même de la région envahie. Chez un malade qui avait présenté le tableau de l'apoplexie pro- gressive, on ne constata à
ment, les altérations périodiques de l'état général, constituent un tableau assez complet de la neurasthénie grave. (Annale
uation présente, et n'a entrevu que d'une façon Liés indistincte le tableau de l'ensemble des faits qui se sont écoulés penda
classe ses obser- vations, donne neuf faits nouveaux, et dresse un tableau de 60 cas personnels avec analyses correspondan
, de la moelle et du bulbe en particulier, peut donner naissance au tableau d'une paralysie ascendante typique ». J, Ross e
s par- ties du neurone moteur périphérique viennent compliquer le tableau , faut-il distinguer deux formes de paralysie asce
re actuelle de créer plutôt que d'éviter une confusion, puisque des tableaux cliniques assez différents et des lésions anato
ons présentant cet avan- tage de correspondre, comme la nôtre, à un tableau clinique bien net, sans adjonction de symptômes
Même attes- tation par une lettre de sa grand'mère du 7 octobre. TABLEAU DES ACCIDENTS NERVEUX REVUE D'ANATOLE ET DE PHY
ce des nerfs intra- musculaires. Cela posé, l'auteur réunit dans le tableau suivant, les formes les plus typiques de parapl
drothérapie qui sont cependant très appréciables comme l'indique le tableau des Il cas cités dans le travail. Quant à la pa
par l' M. Lacroix, directeur de l'École spéciale de Bruxelles. Des tableaux x synthétisent un grand nombre de renseignement
on a lieu par excitation, pression, dégé- nérescence secondaire. Le tableau clinique est, dans ces cas, celui de l'imbécill
nous gardent de généraliser hâtivement et de chercher à dresser le tableau clinique de l'état mental qui accompagne les fo
mande la mort ; des voix l'insultent, lui reprochent ses crimes. Un tableau noir présent devant ses yeux porte le nom du ca
surtout par ses réac- tions électriques (signe d'Erb), réalisait le tableau classique. Elle mourut au bout de vingt-cinq jo
89 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e d'états pathologiques congénitaux ou acquis, paraissant offrir un tableau clinique sembla- ble, mais se traduisant par de
ffrant une cachexie prononcée et de nom- breuses escarres. VI. Le tableau do la température à l'entrée, la mort quinze jo
psychopathiques évoluer même pour leur propre compte et dominer le tableau clinique chez de pa- reils malades. Ces manifes
ndant la quelle tous les symptômes ont disparu. En présence de ce tableau clinique on avait songé à une méningite anormal
altérations des centres nerveux et que, en matière de psychoses, le tableau anatomo-pathologique se réduit ou à des lésions
de dégénérescence ou infirmités psychiques d'évolution et donne un tableau des stigmates de déchéance caractérisant les In
ssions. Programmes. Règlements. In-4" de 150 pages avec de nombreux tableaux . IIAMEL. - Rapport médical de l'asile d'aliénés
biceps est ossifié. - Les os sont atrophiés, ainsi que le montre le tableau ci-joint ; ils portent la trace de lésions suppu-
é encourageantes et on n'a eu guère a enregistrer que des échecs. Tableau . 120 CLINIQUE MENTALE. Les premiers succès
ie, existe dans la zone corticale du cerveau et l'auteur dresse des tableaux que nous nu pouvons reproduire des nerfs ar- (l
e, et, sur les artères radiculaires postérieures, au quatrième, son tableau montre une chute marquée des courbes a mesure q
mbres sont le siège de convulsions généralisées et violentes, et le tableau cli- nique précédemment observé se renouvelle.
i du 21 mars 1905 réserve, en effet, certains emplois, désignés aux tableaux annexés E et G. aux anciens sous-officiers ayan
s soldats ayant également passé quatre années sous les drapeaux. Le tableau E comprend les emplois de commis aux écritures,
oncierges, de surveillants, sous-surveillants et de mécaniciens. Le tableau G com- prend le personnel subalterne permanent
d'attirer l'attention. La répartition des di- vers emplois dans les tableaux E et G tendrait à faire croire que les situatio
ègent au cerveau d'une façon presque constante, et il la moelle. Un tableau d'ensemble montre la variété extrême de ces lés
r ; il peut placer les lettres, les chiffres et les couleurs sur le tableau , et sans se tromper. Il fait à la gym- 252
labe finale muette. Ainsi Lemaît ? qui dit très bien : blanc, bleu, tableau , dira : « ta » pour table, « por » pour porte;
tiples grouillantes et muettes. On a montré la possibilité d'un tel tableau clinique avec une insuffisance rénale sans éthy
atoires caractéristiques. La m. primitive représente.par contre, un tableau anatomique particulier, qui se distingue surtou
ons. Programmes. Règlements. Iu-1° de 150 pa- tres avec de nombreux tableaux . l'AimAS (B). Ballléatioli et hydrothérapie dan
des boules de feu ; ils sont affectés du scotoma et même de tout le tableau de la migraine ophtalmique. C'est un obstacle i
érieurs. Les auteurs, rejetant les cas douteux, ont ainsi dressé le tableau de quaranle-six observations, où le diagnostic
- vant l'âge, l'état intellectuel et le séjour il l'école, tous les tableaux 426 varia. complets et classe par classe de
ions. Programmes. Règlements. In-1" de 150 pa- ges avec de nombreux tableaux . Marie (A.). La démence, 1 vol. in-18 de 500 pa
omme très fréquents et comme formant, en quel- que sorte, partie du tableau clinique de cette affection : ce seraient surto
sfaction et de richesses. Bref, nous nous trouvons en présence du tableau , presque au complet, des psychopathies dites or
90 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
iré l'attention des cliniciens qui se sont efforcés de lui créer un tableau clinique spécial. La littérature est assez rich
formes de syphilis cérébrale, et réciproquement. L'édification d'un tableau clinique spécial doit donc se baser : 1 ° sur l
. Les troubles objectifs de la sensibilité n'appartiennent pas au tableau de la syphilis artérielle ; à part, bien entendu,
és de [syphilis cérébrale. Nous avons cru bon de les réunir dans un tableau synoptique qu'on comparera utilement à un table
es réunir dans un tableau synoptique qu'on comparera utilement à un tableau analogue que nous donnerons plus loin pour la s
and trochanter à la malléole externe. M. Jendrassik à réuni dans un tableau : A l'an- gle obtenu par l'élévation passive ma
es qu'il anime dans un cas de paralysie par compression de radical, Tableaux . Tracés. Lenteur des convulsions directes et in
ie xanthique, l'alloxane ou les corps qui en fournissent. Voyez les tableaux . IL en résulte que, pendant la période, d'exalt
e torticolis mental présentent toujours et invariable- ment le même tableau clinique. Ils sont presque tous mathémati- quem
ès bien développé, il ne pouvait expliquer le plus simple sujet des tableaux et même ne discernait pas les enfants des vieil
tivité psychique du malade est tout à fait normale. Dans ce cas, le tableau clinique de la cécité corticale s'explique parf
lade, et la restauration à un certain' degré de sa vue physique, le tableau de cécité psychique ressort bien plus nettement
s variétés de lésions méningées susceptibles d'être réunies dans un tableau symptomatique commun : l'infiltration gommeuse,
imitée. On peut dire que la paralysie flasque n'appartient pas au tableau de lasyphilis méningée. Les paralysies sont il pe
alors d'un délire actif. L'agitation peut être extrême et donner le tableau de la manie aiguë. Les hallucinations sont fréq
n profonde, puis dans le coma terminal. C'est souvent au complet le tableau de la méningite tuberculeuse. Si la méningite
'intégrité relative de la substance cérébrale Nous donnons ici un tableau symptomatique de la syplti- lis méningée, que l
ses. Ces deux formes paraissent pou- voir être réunies dans le même tableau symptomatique. § I. Caractères généraux DES sym
s lui aussi une explication. Nous avons déjà fait ressortir dans le tableau de la syphilis artérielle l'importance des into
équemment dans la convales- cence des maladies infectieuses, et son tableau clinique ressemble assez exactement à celui des
- nine, observés par M. Thouvenet chez des ouvriers poudreurs, le tableau clinique se rapprochait beaucoup de celui de la m
: Que les troubles mentaux soient au premier ou au second plan, le tableau de cette psychose est toujours très carac- téri
symptomatoiogique qu'au point de vue pathologique, elle présente un tableau clinique des mieux marqués dont l'auteur donne le
nomie. Le diagnostic de la neurasthénie simple est facile ; mais le tableau clinique se trouve singulièrement compliqué qua
essentielles. Toutes les fois qu'il y a délire de persécution, le tableau clinique reste sensiblement le même et les grands
;e«e ! 'G ? 'M ? tde). Volume ion-8" de vi-238 pages, avec nombreux tableaux et tracés. Leipzig, 1898. Verlag von J.-A. Bart
quand l'état général n'a pas encore subi d'atteinte grave et que le tableau clinique n'est pas encore au summum de son évol
génératives dans la région de la tige cérébrale. Si l'on compare le tableau clinique au tableau ana- tomique, on peut admet
région de la tige cérébrale. Si l'on compare le tableau clinique au tableau ana- tomique, on peut admettre qu'il s'agit dan
les symptômes; c'est cette hypothèse simple qui répond le mieux au tableau objectif de la maladie. L'excitation centrale d
constatent que les tables, les chaises et les meubles oscillent; un tableau représentant saint Joseph se décroche et atteint
91 (1893) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1892
etc.) ; la gymnastique, les leçons de choses, l'éducation des sens ( tableaux et cartons de. couleurs, gamme de sonnettes, fl
primaire du département de la Seine, a bien voulu nous adresser les tableaux pro- grammes servant à l'enseignement du dessin
ollier, s'est enrichi notablement en 1892, ainsi que le montre le tableau comparatif suivant (p. xvm) : 1) 1111e A. Janno
mission à la pension de repos ou de leur accorder l'équivalence. Le tableau suivant met en évidence les résultats obtenus g
professionnels n'ont pu se faire dans de bonnes con- ditions. Le tableau ci-après donne le produit mensuel du travail en
sont encore en vigueur aujourd'hui. Cependant, si on se reporte au Tableau statistique des placements d'office et des plac
ence assez prononcées entre les membres droits et gauches. (Voir le tableau p. 29). 1891. Jaiiviei,. - T3riiip-,tnisme et r
qui montre que le crâne était encore capable de se développer. Le tableau des mensurations successives de la tête vient 3
spiration et circula- tion, rien de particulier. (Voir plus loin le tableau des men- surations de la tête et des membres.)
ions diverses, que l'on ne saurait tracer de cette affec- tion un tableau symptomatique précis. Nous dirons seulement que
3 ou 4 ans. A cette époque, voici quel était approximativement le tableau de l'accès : l'enfant « tournait sur lui-même » s
placer les cartons de couleur, les chiffres et les lettres sur les tableaux . Il parait content lorsqu'on lui cause, mais ne
'un acci- dent, le pouce est luxé en dehors et en arrière. Voici le tableau des mensurations comparatives de ses membres su
é prises en octobre 1890, c'est-à-dire 15 mois auparavant. Voici le tableau de ces men- surations, avec celles qui ont été
essant de connaître exactement la situation actuelle des opérés. Un tableau détaillé des âges, des particularités du cas, d
atiqué la craniectomie chez les idiots. Nous avons résumé dans ce tableau , non tous les cas, mais au moins le plus grand
. - 292 Idiotie. Malgré le soin que nous avons mis à dresser ce tableau , il est assurément incomplet et présente des la
t figuré par une mince lamelle osseuse. Nous avons résumé dans le tableau ci-après les points principaux de nos 12 observ
ouvant nommer les couleurs il place bien les cartons colorés sur le tableau des couleurs. . OBS. IV. - IDIOTIE congénitale.
es. Le corps et la tête se sont développés ainsi que le démontre le tableau ci- après (p. 332). De plus Mazi..., ainsi qu
92 (1903) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 18
ant l'application du masque. Tantôt, elles reproduisent exactement le tableau visuel, toujours à peu près le même, qui accompag
furieux, mais je n'ai pas pu m'en empêcher! » Quand, au réveil, les tableaux du rêve apparaissent nettement dans la mémoire, i
s appartiennent. La statistique complète du Dc Rybakoff répond au tableau suivant: Quant aux résultats du traitement, sui
ats du traitement, suivant chaque forme de maladie, voici quel est le tableau de l'auteur : Alcooliquesaccidentels Alcoolique
néalogies m'a permis de découvrir. Veuillez en effet considérer les tableaux que je fais passer sous vos yeux, et dont je donn
Robert, que le pape obligea de se séparer de sa femme et qui fit un TABLEAU III pèlerinage à Rome, menait partout avec lui
u rang des hommes qui ont eu l'influence la Une leçon de Charcot. — Tableau de Brouille! plus profonde sur les esprits de l
ens d'une émotivité accrue, dès qu'une affection du cœur complique le tableau . L'Anglais, l'Américain semblent parfois moins im
, de simulation ou d'exagération. Tenons-nous-en à ces dernières : le tableau en est classique et mérite d'être reproduit: On
n va. indifférent, à n'importe quel sort. Mais, soudainement, autre tableau : les motifs à punition ne se sont pas reproduits
e. Messieurs, j'ai dû indiquer, ici, seulement les grands traits du tableau que je voudrais dresser des actes psychiques dans
scope sur la disposition accidentelle des figures, interprétée sur un tableau conventionnel. Les sillons de vos mains et le som
l jusqu'au membre terminal de l'hiérosyncrotème; 3° par sa formule ou tableau hiérosyncrotèmal. (I) Voir Revue de l'Hypnotism
arrêtent, dès qu'ils s'assoient, dès qu'ils regardent une gravure, un tableau . Une simple tape sur l'épaule, un pincement, Un a
ransmettent par suggestion. D'autre part il résulte de l'examen des tableaux de corrélation que les sujets frappés de préféren
existence, le but et la valeur de sa vie, et il le fait mieux que le tableau superficiel et capricieux que déroulent à nos yeu
ait entourée. Le docteur Liébeault Les Nancéicns se rappellent le tableau de Vierling exposé, il y a deux ans, au Salon des
l ni d'élevé, pourvu que l'exécution soit excellente, témoins tant de tableaux des anciens maîtres hollandais, les Jan Steen, le
nt un attrait irrésistible. Cela ne vient point du tout de ce que ces tableaux font connaître les mœurs d'autrefois et satisfont
me sous forme de jouissance esthétique peut se trouver dans la vue de tableaux tragiques, et cela en vertu de la liberté d'espri
ue l'on pense trop à soi-même. Ayez devant vos yeux le plus splendide tableau présenté par la nature, mais qu'il y ait danger,
u'il se forme, arrêtera son attention sur de toutes autres parties du tableau d'ensemble que les deux autres, et leurs âmes ser
. 74. FIGURES Charcot (Médaillon), p. 97. Une leçon de Charcot ( Tableau de Brouillet), p. 99. M. le Dr Liébeault (de Na
93 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sch. f. Psych. XLVI., 2, 3.) Série de recherches analytiques avec tableaux et observations. Conclusions : Il Le sommeil
traumatique (homme); 3 paralysies agitantes (femmes). ' Nombreux tableaux ; étude critique complète. Il est impossible, co
applique naturellement aussi aux affections corticales. L'examen de tableaux dans lesquels sont con- signés l'analyse du sen
s cours de M. Charcot à la Salpêtrière ont tous remarqué ces grands tableaux si largement traités qui représentent les diver
't1pia delle mallalie mentali. Brochure in-8° de 36 pages avec deux tableaux hors texte. Nocera Inf., 1890. Tipografia del à
-R. Marina. (Arch. f. Psych., XIX, 3.) Revue critique présentant un tableau de vingt-deux faits, y com- pris deux observati
isies comme types.- II. Résultats de l'examen oplatlwlmoscopique. - Tableau statistique de cent observations et neuf descri
mbécillité, idiotie). Nous appellerons également l'attention sur le tableau comparatif de 119 autopsies propres à détermine
ouffrent au contraire le plus dans les folies secondaires. Nombreux tableaux . P. K. VIII. Examen DE 453 encéphales d'alién
roite du cerveau continue à peser davan- tage que la moitié gauche. Tableaux nombreux. P. K. IX. Sur LE CERVEAU d'un aphasiq
s; par J. JENSEN. (A1'CIL. f. Psych., XX, 1.) L'auteur a refait les tableaux et les publie à nouveau; les nom- bres précédem
es prostituées et les voleuses. - Volume in-8° de 226 pages, avec 8 tableaux anthropomé- triques et 20 dessins. Prix 5 fr.
paire, du même côté que la paralysie faciale, venant compliquer le tableau classique. Vous pouvez supposer encore telle lo
inte déjà depuis longtemps de folie à double forme. Voilà bien un tableau complet d'hérédité conver- gente, et certes, no
lire du sujet, le diriger jusqu'à un certain point et y ajouter des tableaux nouveaux. Il commença aussitôt avec l'un de nou
ade pendant la période hallucinatoire de l'attaque, de raconter les tableaux qui se sont déroulés devant ses yeux pen- dant
ielles est évidente, elle modifie la marche du délire et ajoute des tableaux nouveaux à ceux que le malade voyait spontanéme
es impressions simples, assez in- tenses pour donner naissance à un tableau de longue durée. Quoi qu'il en soit, la modific
M. le D'Daniiet s'est proposé d'étudier pour en tracer uue sorte de tableau clinique et pour montrer qu'il n'est pas une es
la conva- lescence. Tandis que les psychoses fébriles offrent un tableau clinique assez monotone, on voit les psychoses
e des fibres musculaires. Chaque espèce d'atrophie musculaire a son tableau clinique et son substratum anatomo-pathologique
alcoolique fondé sur de nombreuses observations personnelles. Le tableau clinique de la paralysie alcoolique se caractéris
NTES. gnifie confusion, démence. Après avoir décrit brièvement le tableau clinique de la folie aiguë M. Roasvxorr a proposé
mptômes très variables d'ordre physique qui donnent à l'ensemble du tableau clinique un aspect multicolore. La marche de la
usion que les jeunes sujets dont il vient de parler présentaient le tableau clinique de la confusion aiguë, d'amentia. Quan
SM(R.). Ueberlzafluenzapscbosen.I3rochure in-8° de 13 pages avec un tableau hors texte. - Leipsig, 1881. Verl(1g von G. Thiem
94 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sont développées avec rapidité, en deux jours, et reproduisaient le tableau clinique de la paralysie générale à sa période te
onnerons sont rapportés à l'alcool absolu, à 100° centésimaux. Le tableau suivant indique la proportion pour 100, en volu
s de vin ingéré en vingt- quatre heures. Nous indiquerons dans le tableau suivant à quel volume ou poids des diverses boi
e ce chef; il lui sera ensuite facile d'apprécier, en consultant le tableau que nous avons dressé, la quantité qui proviend
dans lesquels les idées délirantes passent au second plan, dans le tableau clinique, devant la prédo- minance des anomalie
que du délire de grandeur. Enfin la démence est loin de composer le tableau clinique de la dernière période. A ce moment, c
e des troubles de la sphère auditive peut être repré- sentée par le tableau suivant : Troubles. SOCIÉTÉS SAVANTES. 213
rriérés atteints de nanisme; 3° des enfants atteints d'obésité. Des tableaux et des tracés mis sous les yeux des membres du
issipe en partie et progressivement la malade arrive à présenter le tableau clinique actuel noté à son entrée à la Sal- pêt
servé et décrit. C'est Wilis le premier qui, en 1678, en a tracé un tableau clinique exact et qui en a compris la nature.
ts, eschare profonde à extension rapide. En résumé donc, c'est le tableau clinique classique de la syrin- gomyélie, sauf
ce dans les psychoses -dégénératives. Il termine son étude par un tableau d'histoire familiale qui met bien en évidence l
it intercalés dans le texte d'excellents dessins re- présentant les tableaux plus ou moins connus, dont on a ainsi à VARIA.
e son travail l'indique, a recherché dans les différents musées les tableaux et les gravures des anciennes écoles flamande e
ical, que celles qui avaient trait à la chi- rurgie de la tête. Les tableaux de cette sorte sont, parait-il, assez nombreux
n peut les ranger par catégories. Ainsi, il y a d'abord de nombreux tableaux qui représentent des extractions de dents : on
ue et anecdotique. C'est, en réalité, les douze études de ces douze tableaux ou gravures qui constituent le fond de son trav
avures qui constituent le fond de son travail. Eh bien, ces douze tableaux ou gravures représentent presque tous d'une faç
moment donné une véri- table industrie. Comme conclusion, tous ces tableaux et toutes ces gravures qui représentent des scè
'autant plus profonds qu'on les étudie de plus près. Rappelons le tableau comparatif de l'évolution parallèle des deux va
r la fenêtre. Le Chiist me soutenait en ce CI "cillement ! ! ! Le tableau légendaire de la tentation de saint Antoine et
sont généralement immobiles; quelquefois aussi c'est la figure d'un tableau , ou une statue ' Sémerie. Th. Paris 1867, p. 35
ur ainsi dire, toutes ses richesses et enfante les plus merveilleux tableaux . « Une femme de la Salpêtrière voit tout à coup
ement sous ses yeux et se dérouler devant lui, les plus magnifiques tableaux . » (Histoire d'un fou guéri deux fois par les m
viter la municipalité à porter simplement ses trois épileptiques au tableau des citoyens ayant droit à la bien- faisance na
lissent toutes bien. L'auteur compare cet ensemble symptomatique au tableau clinique classique de la compression de la moelle
e les diverses affections de la moelle, aucune d'elles ne répond au tableau symptomatique résumé ci-dessus. Il discute ensu
- raissait ainsi chaussé de hautes bottes, éclairant au besoin ce tableau par l'inflammation d'allumettes à flammes de beng
soir, imposait un surcroit de tra- vail à tout le personnel. « Le tableau imparfait et bien an-dessous de la réalilé que no
95 (1905) Oreille et encéphale : étude d'anatomie chirurgicale
: crête sus-mastoïdienne............... ^ ^ [5 — 21 ' 6 — i5 Ce tableau indique, tout d'abord, que la direction oblique à
méatique........................' Minima .... » 10,0 7,0 5,o 4,o Ce tableau lui démontrait que le plancher de la fosse cérébr
re la ligne de l'étage moyen du crâne de la ligne b. De son premier tableau , qui donne les mesures prises à l'extrémité du pl
ons, cette moyenne se rapproche de 35 millimètres chez l'adulte. Le tableau suivant, dressé par Okada aux différentes période
tant plus accentuée que l'angle mastoïdien externe est plus grand. Le tableau suivant synthétise de nombreuses et minutieuses m
trois chefs : pneumatique, diploïque et scléreux (Zuckerkandl). Le tableau suivant indique leur fréquence relative. Les apop
......................... 4 5 Okada présente dans sa monographie un tableau qui permet d'apprécier les variations de la mesur
ault par les profondeurs différentes du sillon sigmoïde? L'analyse du tableau suivant, qui résume nos mensurations comparatives
2 4 - i ii 2 4 ii - i - 2 — - 2 - 2 2 - 2 - I . - I I - Ce tableau indique que la mesure sillon-Chipault oscille :
e malades dont l'âge variait de 10 à 20 ans. Gradenigo considère le tableau clinique constitué par une otite moyenne purulent
entimètres de haut en bas, et l\ centimètres de dedans en dehors Le tableau clinique de l'abcès cérébral ne se prête pas à un
ine labyrinthique. La prépondérance des symptômes pyohémiques dans le tableau morbide révélera l'abcès externe inastoïdo-cérébe
96 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
em- ployâmes en 1880-1881 et voici les quelques observations elle tableau comparatif des accès chez les mêmes malades trait
nsuite le traitement bromuré. Si nous jetons un coup d'oeil sur les tableaux , nous ne voyons pas de grandes différences dans
les mois de juillet et d'août 1892, au Tribunal, fait en réalité le tableau symptomatique le plus exact de l'excitation ma-
La neurasthénie revêt le plus souvent la forme hypocondriaque; le tableau clinique est parfois modifié par l'existence de t
ier rang des facteurs de la paralysie générale. Voici d'ailleurs un tableau assez démonstratif : TOTAL DES CAS DE PARALYSIE
, appartient sous ce rapport, à l'école de Raphaël. Aussi dans un tableau de lui, que l'on voit à Marseille, et qui représe
ical pour l'an- née 1894). Brochure in-4 de 25 pages, avec nombreux tableaux . a Rouen, 1895. - Imprimerie Cagniard. Asile
tisepsie, au moins relative du tube digestif. On a pu voir dans les tableaux précédents les résultats assez bons que nous a
s difficiles à exciter que les nerfs et les muscles des adultes (XI tableaux résumant les examens électriques). A quoi cela
tique et généralisée, elle se propage gra- duellement en causant le tableau de la myélite aiguë ou subaiguë ou enfin de la
r- gée 2, une prédisposition faible, d'où netteté moins grande du tableau clinique. Les deux observations que nous rappor
si quelques-uns seulement de ces centres sont excités ou inhibés le tableau clinique sera incomplet et fruste et de même qu'i
ton a provoqué chez nos animaux et cela d'une façon cons- tante, un tableau symptomatique, identique dans ses allures mais
mes. Il a eu en outre de l'exophtalmie. Ces symptômes rappellent le tableau clinique de la maladie de Basedow sauf l'augmen
ratiqué des injections sous-cutanées. Dans presque tous les cas, le tableau symptomatique était ana- SOCIÉTÉS SAVANTES. 123
ire général. - Le menu est une oeuvre d'art, il représente les deux tableaux : Pinel, délivrant des folles, et Charcot étudi
ns lésions dégénératives. Pourtant, comment expliquer l'analogie du tableau clinique ? le cervelet est-il touché dans la ma
xerce l'anneau fibreux pachyméningitique sur la moelle épinière, Le tableau clinique diffère de celui de la 36 SOCIÉTÉS SAV
L'auteur présente les résultats de ses recherches en deux ordres de tableaux : dans les premiers il donne les moyennes, les ma
, M. Joffroy remercie la municipalité et la ville de Royan. Dans un tableau habilement tracé, il peint la riche station bal
tion de cette entité symptomatique caractérisée généralement par le tableau suivant : des individus de vingt à quarante ans
ter que sur un petit nombre d'années. Le nom de la maladie dans les tableaux de morbidité générale manque sou- vent par suit
ivante du nombre de para- lysies générales pour cent admissions : TABLEAU I 402 '1) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. . En 1
L'alcoolisme mérite d'être aussi examiné. Il donne naissance à un tableau qui rappelle souvent celui de la paralysie généra
2° Pl ! 1'l ! l¡}sie'agitante. -l\Iassalongo, après en avoir tracé un tableau très fidèle et très détaillé, émet des doutes s
que de légers troubles psychiques ne sont pas incompatibles avec le tableau typique deFriedreich; que ce tableau de la mala
sont pas incompatibles avec le tableau typique deFriedreich; que ce tableau de la maladie de Friedreich même circonscrit aux
rconscrit aux formes absolument spinales, correspond précisément au tableau des expé- rimentations sur les ablationsdu cerv
97 (1902) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 17
réveillés, l'activité logique de l'esprit réapparaît; elle impose aux tableaux du rêve les lois de la pensée vigile ; .elle coor
me on voit sur l'écran de toile les peintures sur verre; le sujet des tableaux varie suivant le caractère et les préoccupations
cupe, elle verra des Démons effrayants. Un homme voluptueux verra des tableaux érotiques, par exemple des femmes nues se roulant
iers, « chercheurs de trésors, » dont elle devint la magicienne. Le tableau de cette bande est une curieuse et pittoresque re
éesses si elles venaient m'épouvanter de leur rage insensée... » Ce tableau , qu'on pourrait suivre et commenter détail par dé
ession mélancolique. De ces deux états, le grand tragédien a tracé un tableau aussi exact que possible, attribuant à chacun d'e
le page dramatique, admirée de tous, mais aussi, nous le répétons, un tableau clinique d'une saisissante vérité. Ce qui achèv
cre ou la détourner du but qu'elle poursuit. Ici c'est l'amateur de tableaux , de faïences, atteint du « choléra de la terre cu
sser à ce que me racontait son père, il attachait ses regards sur les tableaux de mon cabinet, et quand je l'interrogeais, son p
athie lorsque la maladie s'aggrave et devient pyrétique. Ces divers tableaux schématisés et même synoptiques que nous avons cl
t. VI, p. 404. ¦ Cette formule n'est, on le voit, qu'une sorte de tableau généalogique. L'hiérosyncrotème Jouvenel peut a
x traits dominants: l'égoisme et l'irritabilité créent le fond du tableau . Plus ou moins sombre, plus ou moins chargé, c'es
net, solide; l'essentiel, mais tout l'essentiel. Pas de cours sans tableau : la craie à la main le professeur démontre. Pa
es affections gastrointestinales. Il me faudrait pour cela faire le tableau de presque toutes les hantises de l'humanité, le
hologique du stomacal reviendrait donc à faire défiler devant vous le tableau de presque tous les troubles psychiques de l'homm
caractères violemment tranchés. Une fois que les grandes lignes du tableau sont tracées, les détails viennent facilement se
e toutes les phases. C'est là, Messieurs, que je vis se dérouler ce tableau dont je vous parlais tout à l'heure, tableau viol
ue je vis se dérouler ce tableau dont je vous parlais tout à l'heure, tableau violent dont les lignes nettes et arrètées permet
l'envers. Je m'explique : Je suis, sain d'esprit, placé devant un tableau noir sur lequel un arbre est dessiné ; je le vois
cerveau la perçoit.- Conséquence : Je vois un arbre dessiné sur le tableau . Au contraire, je suis aliéné; sur le tableau n
arbre dessiné sur le tableau. Au contraire, je suis aliéné; sur le tableau noir, aucun dessin; tout à coup dans mon cerveau,
it le nerf optique. 1° Elle s'étale sur la rétine et je vois sur le tableau l'image non réelle du diable; Je suis halluciné.
98 (1877) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1877
nce de ses crises convulsives, son imagination ne lui fournit que des tableaux vulgaires. Les symptômes permanents de Tliystér
ean, des moutons frisés, des diamants qui brillaient, des dessins des tableaux , des étoiles de toutes les couleurs... Notre Seig
suffisamment tranchés pour qu'il soit aisé, ainsi que le démontre le tableau qui précède, de les séparer des accès d'épilepsie
s des attaques hystéro-épileptiques de Geneviève ; nous avons fait le tableau d'un certain nombre de ses attaques, décrit leurs
nt été moins nombreuses, mais les étouffe-ments ont augmenté (Voir le tableau ). 1875. Janvier-mars. — M... se plaignant sans
de ce jour, la malade prend son médicament au moment de la visite. Le tableau suivant indique les changements observés quant à
obre et le 1er décembre. Le point le plus important qui ressort de ce tableau , c'est le prompt retour de la sensibilité (11.
i prononcée que chez Geneviève. Nous avons essayé de donner dans le tableau suivant quelques indications sur la marche de la
suivant quelques indications sur la marche de la maladie chez M... Ce tableau est loin d'être parfait, parce que, le personnel
4 à 6 grammes, n'a pas procuré d'amélioration plus sérieuse. (Voir le Tableau des attaques.) D'ailleurs, la glace, la cautéri
d' —, 89. — Mode de notation des —, 143 — Modifica-tiou des —, 124. — Tableau des —, 144. — démoniaques, 20, 21, 24, 125, 127.
99 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
, des serpents, des oiseaux, elle voit grimacer les personnages des tableaux ; à l'église, les saints et les saintes re- muen
teté, que l'analyse en devient des plus simples. Pour compléter le tableau clinique, il eût été nécessaire de déterminer l
un minimum de 32°,80 ; enfin la température régionale correspond au tableau ci-dessous. 106 REVUE CRITIQUE. DE LA THERM
tures le 14 octobre 1879. r M e M C ! 1 I;j S a 5 Tableau A. Moyenne des hommes. c ta r 3 M M
ta" 11 H 5 S n M- 10 m P> t-1 10 M m Tableau C. Moyenne des deux sexes. 116 6 REVUE CRITIQUE
Moyenne des deux sexes. 116 6 REVUE CRITIQUE. De l'examen de ces tableaux de température il résulte que la moyenne la plu
ndant une période de calme. Ces résultats ont été consignés dans le tableau D qui montre que la température s'élève dans ch
x o ra- H i Pi t-i n ta- "a m e S til - 1 Tableau D. Température comparée dans l'état d'agitation
e de Yarra à environ huit kilomètres de Melbourne. L'auteur fait un tableau peu attrayant de l'organisation de cet asile qu
verses époques, la physionomie est différente. Dans l'antiquité, le tableau des moeurs est surtout reflété par les exemples
ses se révèle, en effet, dans les autres parties du livre. Point de tableaux nettement séparés, indiquant une catégorisation
le satyriasis. Afin d'aider à leur délimitation, l'auteur, dans un tableau compa- ratif, en a condensé les traits différen
bre de la commission chargée d'examiner les titres et de dresser le tableau de classement des candidats à un emploi d'inspe
tre, 'MÏ Délasülilve, en a résumé les caractères principaux dans un tableau saisissant. V Suivant' là gravité de cet état,
st probable qu'ils étaient plus nombreux ,que ,I;L,e('l'n.cFque. l, tableau , jcar ces accidents réchappent» souvent..C'est
que et pratique, assez défini pour qu'il' soit"utile d'en tracer un tableau complet, 3 sinon définitlif ? C'est ce que nous
ents : nous avons pris soin d'établir leur réelle existence par des tableaux cliniques aussi complets que possible. C'est
et l'animal mourut le 12° jour. E.ramenélectl,¡'que, Il résulte des tableaux donnés par l'auteur qu'il n'y eut sous l'influe
paralysie saturnine (chez un fondeur de caractères) qui présente le tableau ordinaire : paralysie des extenseurs, etc. On y
ésiogene, tantôt avant elle et même sans elle. 22 observations et 9 tableaux de courbes terminent cette thèse et servent de
et de beaucoup plus grêles que ceux des mem- bres supérieurs. Les tableaux suivants donnent les dimensions des os de Bog-
isamment la méningite tuberculeuse, mais il manquait cependant au tableau clinique, le vomissement, la constipation opini
e de l'encéphale. La véritable physionomie de la maladie diffère du tableau ordinaire du rhumatisme cérébral, surtout par s
tées en physique pour les faits de polarité ou de vibra- tion. Le tableau suivant indique les distributions de la sensibili
o-spinale, quoique l'ensemble symptomatique ne réponde nullement au tableau qu'en a tracé M. Charcot, et que, par exemple,
et même tronc nerveux. R. BL. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XL. Tableau CLINIQUE DES dégénérations secondaires DES fais
les tympans tout à fait normaux. Ces deux cas concordent avec le tableau clinique tracé par Voltolini, Toynbee et von Tr
? reoHe.'tez ! NK ! o ? e'dt ? o brochure in-8" de 34 pages avec 4 tableaux . pogra(ia G. Frederici a Pesai d;9CJJJU0 eau é`
t (expériences sur des chiens et des) lapins). Voici, sous forme de tableau , ses conclusions : REVUE D ANATOMIE PATHOLOGIQU
IELD. (Virginia med. aazontlzly, 1880, p. 184.) Après avoir fait un tableau des souffrances morales du bègue, l'auteur se d
ie, do l'hystérie, de l'épi- lepsie partielle, et l'ensemble de ces tableaux , fort heureuse- ment exécutés, permet de voir p
raitement dans les) -infirmeries des, -par Burman, 153. Asiles ( tableau des directeurs des), 170 ? (visites aux) de Hol
100 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ulisme. En somme, son hérédité pathologique peut se résumer dans le tableau suivant : TABLEAU XXI Antécédents personnels.
n hérédité pathologique peut se résumer dans le tableau suivant : TABLEAU XXI Antécédents personnels. Lem... n'a fait auc
e connaît presque pas. La généa- logie peut être représentée par le tableau suivant : TABLEAU XXIII FAMILLE ISRAÉLITE A
s. La généa- logie peut être représentée par le tableau suivant : TABLEAU XXIII FAMILLE ISRAÉLITE Antécédents PERSONNEL
, d'autre part, les altérations tabétiques n'ont pas déter- miné le tableau clinique du tabes syphilitique, mais la présence,
on limitée DE la protubérance; par MM. LANNOIS et E. REGNAULT. Le tableau symptomatique dans ce cas, a été absolument celui
e) ; les dégénérescences descendantes et ascendantes compliquent le tableau symptomatique, sans déro- ger aux lois anatomiq
HRISTIAN ne croit pas qu'il soit nécessaire de faire ces nou- veaux tableaux . Il y en a dans tous les asiles qui ne servent à
u patient le diagnostic s'impose véritablement. Rien ne manque au tableau : Une déchéance profonde de la mémoire et de l'
extérieure, ces troubles de la marche ne sont points étrangers au tableau de la paralysie générale. Ils s'observent même
bien nous envoyer quelques notes con- cernant cette famille et son tableau généalogique. On trou- vera également plus loin
on tableau généalogique. On trou- vera également plus loin un autre tableau qu'il nous envoya dans la suite et qui n'est pa
. Toute l'histoire de cetle famille 'se trouve consignée dans le tableau suivant. 0) '1 : 1 19 M o t-< 0
s les malades de sa consultation, recueillir un cer- tain nombre de tableaux généalogiques. Ils peuvent, comme les précédent
la gangrène symétrique des extrémités a présenté très exactement le tableau clinique décrit jadis par Maurice Raynaud ; il
urnal of Mental Science, octobre 1889.) Ce travail, accompagné de tableaux , porte sur un nombre assez considérable de cas;
ractéristique. A une certaine période, dans l'un et l'autre cas, le tableau symplomatique rappelait plutôt celui de la scléro
s, des audi- tifs, des moteurs, des troubles du langage, et font au tableau noir un schéma célèbre que vous connaissez bien
n animal vivant extrêmement vorace, une sorte d'amibe étalée sur le tableau qui envoie un prolongement pour saisir et absor
ent accessoires; elles peuvent alors modifier considérable- ment le tableau clinique de la mélancolie. Peut-être bien qu'ici
; quand celle-ci existe et imprime de même un caractère spécial au tableau clinique, il y a lieu de rechercher si la mélan
l'hyperexci- tabilité du centre sensoriel et, par suite, forment un tableau . Enfin, c'est par l'élément de la conscience mo
ui s'est terminé par l'Avare et son trésor, comédie-bouffe en trois tableaux . Pendant les entr'actes, llfiie Darthenay s'est
/ 189