ent des douleurs, au niveau des attaches du diaphragme. l3ref, le
tableau
morbide, à cette période de la maladie, était dom
ces observations les phénomènes morbides correspondaient si bien au
tableau
classique donné par Marie qu'à l'heure actuelle l
mettre en regard les observations de nos trois malades dans un même
tableau
, où se trouvent condensées les données des anté
le et par la colo- ration au bleu de méthylène nous avons trouvé un
tableau
ordinaire qui se remarque habituellement dans l
ère est couverte par une masse qui descend du bulbe rachidien. Un
tableau
tout à fait analogue est présenté par le cas suiv
nelles sont plus normales. Au toucher la tête est molle. En un mot,
tableau
habituel de l'hydrocéphalie. L'enfant tétait ma
restait seulement le faisceau fondamental du cordon antéro-latéral (
tableau
ordinaire dans les cas de forte hydromyélie). Par
le-ci eut des illustrateurs; ils nous en ont laissé d'incomparables
tableaux
, - fout un chapitre de médecine en images. C'es
es souvenirs des jours de rire et d'abondance. A voir le nombre des
tableaux
que Jan Steen a consacrés à célébrer les plaisi
riste. Ses docteurs, ses malades, comme tous les personnages de ses
tableaux
, 60 HENRY MEIGE ne sont que des portraits sin
précieux ou pédantesques, el leur igno- rance que le sujet même du
tableau
met souvent en évidence, montrent bien qu'ils s
, XII Cliché Hansstacngl. Photogravure Hansstaengl. MAL D'AMOUR
Tableau
de JAN Steen, intitule La Malade , eu Rijks-M
urait figuré à la vente Braamcamp (citée par Sorru), dans laquelle le
tableau
accroché à la muraille représentait l'enlèvemen
II. Cliché Hansstacngl. Photogravure Hansstaengl. MAL D'AMOUR
Tableau
de JAN STEEN, intitulé Un médecin rendant visit
ls nouveaux indiqués dans le fond de la pièce : D'abord, un grand
tableau
accroché à la muraille, et qui représente des C
l'on se rappelle que le peintre repré- sentait volontiers dans ses
tableaux
les gens de son entourage, parents ou familiers
une robe de satin vert; sa chambre est décorée de sculptures et de
tableaux
; elle est servie par deux caméristes, dont l'un
IV. Cliché Hansstacngl. Photogravure Hansstacngl. MAL D'AMOUR
Tableau
de Jan Steen, intitulé Un médecin t7tant le pou
vera à Munich, dans l'ancienne Pinacothèque. La existe un quatrième
tableau
, dûment signé de Jean Steen, où le maître lui-mêm
XV. Cliché Hansstaengl. Photograuire Hansstaengl. MAL D'AMOUR
Tableau
de JAN Steen, intitule Un médecin tâtant le pou
e- ment, chaque variation d'attitude répond à une variation dans le
tableau
d'emploi de ces activités musculaires, et, ce q
radiation réflexe issue de l'appareil ampullaire, et réa- liser les
tableaux
cliniques les plus complexes, parfois durables. I
qui accompagne les paralysies du sphincter uré- thral. UN NOUVEAU
TABLEAU
REPRÉSENTANT LES ARRACHEURS DE « PIERRES DE T
avure du Rijk Muséum (PI. XXI) pour la rapprocher d'un très curieux
tableau
dont nous avons eu récemment connaissance et qu
ir été inspiré par l'oeuvre de P. Bruegel le Vieux (PI. XXII). Le
tableau
en question se trouve à Paris. Il faisait autrefo
ui laisser par testament. Charcot étant mort avant le Dr Mesnet, le
tableau
revint aux héritiers de ce der- nier. Il appart
e moindre doute. Il s'agit plus probablement d'une copie d'après un
tableau
ou une estampe de P. Bruegel, copie an- cienne
'avait pas,dit-on, commencé à s'adonner à la peinture. Ses premiers
tableaux
ne remonteraient pas au delà de l'année 1559. On
. On pourrait donc supposer que l'artiste hollandais ait composé le
tableau
d'a- près son estampe. Ce serait un de ses prem
ttribu- tion. Il est, au contraire, parfaitement démontré que les
tableaux
et les es- lampes deP.Bruegel l'Ancien ont serv
seignements qu'il a bien voulu me communiquer sur l'ori- gine de ce
tableau
. (1) Panneau de bois ; hauteur : 0 m. 31 ; larg
in, grossièrement apocryphe. (2) Je n'en citerai pour exemple qu'un
tableau
de la galerie Ilarrach, à Vienne, re- présentan
son crû, ou bien comme la copie exacte, quoique fort médiocre, d'un
tableau
de P. Bruegel l'Ancien, tableau aujourd'hui dispa
exacte, quoique fort médiocre, d'un tableau de P. Bruegel l'Ancien,
tableau
aujourd'hui disparu, qui n'était lui-même qu'un
tre d'un réel talent, ne sont pas non plus les auteurs probables du
tableau
. D'ailleurs, il n'est pas si- gné dans leur mod
de vue spécial. Elle permet en outre de soupçonner l'existence d'un
tableau
, aujourd'hui disparu, de P. Bruegel l'Ancien (1).
Bulegel 1559. Il. Cock exctcdit qui reproduit dans son ensemble le
tableau
de la rollection de llarrach,mais en diffère pa
le pélican symbolique et qui figure sur la gravure, mais non sur le
tableau
). Si l'attribution du tableau à Jean Bruegel. e
igure sur la gravure, mais non sur le tableau). Si l'attribution du
tableau
à Jean Bruegel. est exacte (et l'on n'est pas aut
n personnage de sa façon. Il se peut sans doute qu'il ait existé un
tableau
de Pierre Bruegel Vieux, présentant les mêmes d
ne copie exacte ; mais je n'ai pas trouvé traces de l'existence de ce
tableau
. (1) On remarquera que la scène représentée sur
en inférer que cette dernière gravure était renversée par rapport au
tableau
supposé de P. Bruegel. C'est celui-ci que l'aut
1. XII. PI. XXII LES ARRACHEURS DE « PIERRES DE TÈTE n D'après un
tableau
appartenant : 1 M, le D1 Paul de Molènes, Paris
e ligure pas sur la gravure d'Ams- terdam. Dans le coin gauche du
tableau
, l'artiste nous fait assister à une opéra- tion
Dr Brissaud. LES ARRACHEURS DE PIERRES DE TETE 175 la" Au fond du
tableau
du même côté, scènes de pansements. Un gros hom
e les artistes des Pays-Bas ne répugnaient pas à figurer dans leurs
tableaux
, et dont le sel ne nous apparaît plus aussi agr
onglerie chirurgicale en question est am- plement commentée par les
tableaux
de van Bosch, van IIemessen, A. Both, Fr. Hais
lles peintures relatives à des scè- nes du même genre. L'une est un
tableau
attribué (non sans raisons) à A. Brouwer et que
Amyotrophie type Claa·cot-ltaie et pour tracer il grands traits le
tableau
clinique et analomo-palbologique de la maladie.
ues, bien étudiés par les vieux cliniciens, font toujours partie du
tableau
de la chlorose et ils suffisent souvent à éta-
s ? Les flacons, les tasses ou les verres qui figurent sur tous les
tableaux
, contiennent sans doute quelque limonade ou autre
nture ait osé aborder ce sujet délicat ? ... Qui sait ? ... Certain
tableau
de Steen et certain autre de 238 HENRY MEIGE
thème favori . IV Il existe, il ma connaissance, une trentaine de
tableaux
de l'école hol- landaise que l'on peut rattache
pectée, l'auteur ayant pris soin de donner lui-même le titre de son
tableau
. D'autres, par comparaison, s'y rattachent sans
et Hoogstraaten, entre autres, ont pu puiser l'inspiration de leurs
tableaux
. Quant ;i Jan Steen, s'il est vrai qu'il ait pu
de jeune hollandaise; dans le fond un lit à 'baldaquin ; au mur, un
tableau
représentant un paysage ; une tablé recouverte
1892. - T. IL, (12, L, u2. Signé Jan Steen. - La photographie de ce
tableau
m'a été fort obligeamment communiquée par M. le
. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. T. XII. PL. XXXV. MAL D'AMOUR
Tableau
de JAN STEEN, intitulé La Malade d'Amour. Gal
et Cil'. Photogravure Rougeron, Yignel'ol, Dumoulin. MAL D'AMOUR
Tableau
de JnN STSCN, intitulé La Visite du Médecin.
V. ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIERE. T. XII. PL. LXXVII MAL D'AMOUR
Tableau
de JAN STEEN, intitulé Le Couple buvant. au R
lièrement au mal d'amour. Et en vérité, il est très possible que ce
tableau
ait été, lui aussi, ins- piré par la febris ama
, p. 11G. 246 HENRY MEIGE pour qu'on puisse songer à rattacher ce
tableau
il la série que le maître hollandais a consacré
Haye). Photogravure Ilougeron, Y'gnerot, Dumoulin. MAL D'AMOUR
Tableau
de JAN Steen, intitulé La Visite à la Malade.
ntimes. Chose curieuse cependant : la seringue que l'on voit sur le
tableau
de la galerie Steengracht n'est pas une seringu
voyait un sujet de se divertir, il trouvait également le sujet d'un
tableau
. Mais passons. L'hilarité que cause la vue de l
XXIX. Cliche Loewy (\"JeuHe\. Photogravure Loewy. MAL D'AMOUR
Tableau
de JAN STEEN, intitulé La Visite du Médecin.
e, un lit à à baldaquin; sur les murs, une guitare, une pendule, un
tableau
; dans le fond, une porte laissant voir des piè
l, et Jan Steen aimait la nature dans toutes ses manifestations. Le
tableau
de la galerie Nostitz nous ferait ainsi connaître
nous ont paru se rattacher de près ou de loin au Mal d'Amour. Neuf
tableaux
, - sans compter ceux qui ont pu nous échapper,
n peu risqués. Est-il rien de plus dévergondé, en apparence, que le
tableau
du Rïjk Museum, intitulé Après boire ? Mais n'e
à a série des malades d'amour. Il est possible que certains de ces
tableaux
se confondent avec ceux que nous avons examinés.
aminés. 3 Le médecin el sa jeune malade, vente Laperrière (t817), «
tableau
admirable : il se compose simplement de trois f
ter les conséquences natu- relles des ébats amoureux, comme dans le
tableau
de la galerie Nostitz, quel censeur maladroit s
nicien, mais surtout fidèle observateur de la nature.' . Pour les
tableaux
que nous venons de passer en revue,.cette constat
UV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. T. XII. PL. XL, MAL D'AMOUR
Tableau
de R. Brackenburgh, intitulé Il n'y a pas de re
retier, lequel d'ailleurs vécut à Ilaarlem entre 1661 et 1669. Le
tableau
que nous allons examiner est à cet égard tellemen
I. Choho liaiiistaeiigl. l'hotogravurellaasstacng MAL D'AMOUR
Tableau
de S.1MUEL VAN HooGSTRAATEN, au Rijk Muséum d'Ams
ler l'argent. Il s'occupa bientôt de gravure, puis de peinture. Ses
tableaux
d'un dessin correct et d'un vif coloris sont ra
'attacher à sa cour, en Italie, en Angleterre vendant fort cher ses
tableaux
, enfin revint se fixer dans sa ville natale où il
, et mourut prévôt de la Monnaie. Il peignait dans tous les genres,
tableaux
d'histoire, portraits, paysages, natures mor- t
s idées, et les obsédantes rêvasseries. \V. Burger, qui a décrit le
tableau
avec éloges (-1), émet des doutes sur la perspi
d'amour dont le portrait se trouve à Buckingham Palace (PI. XLII),
tableau
charmant, plein de délicatesse, d'é- légance et
sque jamais l'impression de sécheresse. On l'a dit avec raison, les
tableaux
de Gérard Dow, toujours de petites dimensions, re
LII. Cliché IIansstaeng l'hotograwro nansslacngl. MAL D'AMOUR
Tableau
de GLRARD Dow, à Buckingham Palace. Même sujet
ade d'amour de Buckingham Palace ne le cède en rien aux meil- leurs
tableaux
de Gérard Dow. Scène d'intérieur, familière et
decins. * .. Il existe, au musée de Dresde, une réplique de ce
tableau
, signé de Gans- PARU NETSCHER. On se rappellera
, puis s'adonna à la pein- ture sous la direction de Terburg. Son
tableau
du musée de Dresde semble être une copie de celui
ame de sabre et d'autres, gonflements épi- physaires) s'ajoutent au
tableau
symptomatique. Lorsqu'il y a un soupçon cle syp
ivons les enfants qu'une telle femme engendre, nous aurons tracé le
tableau
complet de l'insuffi- sance bénigne thyroïdienn
nte et analysant parfaitement ses sensations, elle put me tracer le
tableau
suivant, qui est l'image à peu près complète de
ue Metzu n'a pas négligé ce genre de sujet. Il existe d'ailleurs un
tableau
de lui dans la collection Stcengracht, il la Ha
nt et CiC. Photogravure Rougcron, Vignerut, Dumoulin. MAL D'AMOUR
Tableau
de GABRIEL Metzu, intitulé ' La Malade Musée
colonnes torses dorées entouré d'un rideau blanc. Au mur, un grand
tableau
représentant le sacrifice d'Isaac. A droite, un
. Photographie Loewy (Vienne). Photogra\ ure Loewy. MAL D'AMOUR
Tableau
de G. METZU, de la.collection G. Edlen von Preyer
e malade de Metzu aurait bien pu en dire autant. Cependant, dans le
tableau
de Vienne, il ne semble pas que le docteur ait
originalité. Son dessin demeure impeccable, il ordonne fort bien un
tableau
, il peint avec finesse; mais il est froid; on reg
tit-fils, qui furent peintres également,a laissé un grand nombre de
tableaux
dont plusieurs lui ont été inspirés par des scène
beau meuble surmonté de faïences et de verreries ; sur le meuble un
tableau
représentant un paysage; non loin de là,un esca
Photographie l.oe\\y (Vienne). Phutugmure LlC\\). MAL D'AMOUR
Tableau
de FRANS VAN Maris le Vieux La Consultation M
a réuni fait presque... . Ce qu'on appelle un médecin. Tel est le
tableau
du musée de Vienne. On y voi t encore quelques ac
Mannheim). Photogravure Rougeron, Vignerot, Dumoulin. MAL D'AMOUR
Tableau
de P. van Slingelant, intitulé Dame malade .
mieux convenir au docteur de Slingelant. (t) La photographie de ce
tableau
a légèrement déformé les personnages. La repro-
SALPÊTRIÈRE. T, XII. PL. LXIII. MAL D'AMOUR Gravure d'après un
tableau
de GODFRIED SCHALKEN, intitulé La Consultation
es amou- reuses, est rendu par Schalken avec beaucoup d'esprit. Son
tableau
de la Haye est une jolie page d'observation pby
rouvé cette fantaisie libertine de leur élève. Nous ne signalons ce
tableau
que pour le rapprocher cle celui du musée de la
s hollandais ont consacrées au Mal d'Amour (1). Comme dans tous les
tableaux
de genre de l'école des Pays-Bas, on y retrouve
donnaient des impressions nouvelles ; ils suffisaient à inspirer un
tableau
. » Un banquet de confrérie, une noce villageois
éfilé des robes longues et des cha- peaux pointus dans les nombreux
tableaux
genre de l'école hollandaise, rien ne saurait m
ment dites et les scènes humoristiques à double entente. Devant les
tableaux
de Samuel van Iloogstraaten, de Gérard Dow, de
'Amour, choisi par les artistes eux-mêmes et perpétué sur plusieurs
tableaux
, est donc applicable à cette étude. Le plus sou
nne tous les 12 à 15 jours, parfois remplacées par un vertige. Le
tableau
suivant résume les manifestations comitiales qu'a
es on voit l'importance de ces troubles de la sensibi- lité dans le
tableau
de leur affection ; un coup d'oeil jeté sur les f
T. XII. PL. LXX. Photugr. 1.J.uge. UN CABINET DE CONSULTATION
Tableau
de Thomas (Gérard). Musée de Dijon. ET Cil, E
ant une leçon de morale : Il n'en fallait pas plus pour inspirer un
tableau
à succès. A vrai dire, les médecins urologues n
données par les urologues empiriques. Le musée de Dijon possède un
tableau
de l'école flamande, attribué à un peintre peu
T-I. 0, 38. L,-0,73. Legs A. Chevalier, 1816. La photographie de ce
tableau
a été faite grâce à l'obligeance de M. A. Joliot,
regarder il la lumière le contenu d'un uri- rial. , Comme dans le
tableau
du musée.de Dijon, près de lui se tient debout
d'ailleurs indiquée de façon discrète, et les autres personnages du
tableau
(un homme blessé à la main, deux femmes avec de
en cause le mal d'amour. Peut-être, faut-il le soupçonner dans un
tableau
de DAVID RYCKAEnr (1612-1GGl), intitulé Un Slwa
E LA SALPÊTRIÈRE. T. XII. PL. LXXI. Phologr. Mauge. LE SAVANT
Tableau
de DAviD RYCIiAERT (1612-1661). Galerie de Mann
l'étrangeté et l'habileté de l'é- clairage en font un des meilleurs
tableaux
de Ryckaert. Enfin, la présence de l'homullculn
larmes de cruelles révélations. Il existe plus d'une réplique de ce
tableau
: à Pétersbourg, à Amsterdam, dans la galerie Six
perfections, les scènes de Gérard Dow. Au musée d'Orléans, un petit
tableau
attribué il 11L< : NDlllK Martinez Ro- KES,
ailleurs sont abondamment représentées dans l'art pic- tural. Les
tableaux
religieux en fournissent le plus large contingent
ques ou historiques. Mais nous ne voulons parler ici que des petits
tableaux
de genre de l'é- cole hollandaise. * .. s
leurs imitateurs (1). Il existe cependant à l'Académie de Venise un
tableau
attribué à Ter Borch (attribution contestée et
ais il est surtout familier aux (1) Dans la galerie de Mannheim, un
tableau
de Ter Borch représente une jeune femme vêtue d
xacte ? ... En tous cas, il s'agit probablement d'une étude pour un
tableau
analo- gue à ceux 'que nous avons décrits. Mais
x est magistralement représenté il la Pinacothèque de Munich par un
tableau
bien connu sous le nom de La Femme malade (3).
tre femme, parente ou amie déjà mûre. Tel est le motif principal du
tableau
, au premier plan, en belle lumière. Le costume
. Cliché llan(Waençl. Typogr. ïlansstaengl. LA FEMME ÉVANOUIE
Tableau
de Frans VA ? MIERIS le Vieux. A la Pinacothèqu
mirons l'art vrai- ment supérieur avec lequel le peintre a rendu le
tableau
cle la syncope. Il n'en est peut-être pas de pl
'en est peut-être pas de plus exacts ni de mieux observés. Un autre
tableau
attribué à FRANS UN Mieris le Vieux, conservé dan
paraison qu'on peut faire de la moribonde avec la femme évanouie du
tableau
de Munich. Elle est toute à l'avantage de celle d
(1GU2-174.7), élève et imitateur de son père, a peint un assez joli
tableau
, aujourd'hui dans le musée de l'Ermitage à Sain
é Yinkenhos et Dcwalcl. 1'liotogi,. èllaugc. LA MODERNE LUCRÈCE
Tableau
attribué à Frans VAN Mieris le Vieux. Collectio
kenbos et Dowald. l'liotogr. Mauge. SUITE D'UNE NOUVELLE FACHEUSE
Tableau
de \VILL1 : M VAN MIERIS (1662-1747). Musée de
Cliché lIansstncngl. '1'.\ pogl'. IIansstaengl. LA DAME ÉVANOUIE
Tableau
de EGLON VAN DGR NEER (164,-1703). A l'ancienne
dans le fond une imposante cheminée à colonnes surmontée d'un grand
tableau
. Le médecin, lui, est relégué au second plan. L
ellerons, mais pour les différencier des précédents, les deux seuls
tableaux
qui représentent au Louvre les malades et les mé-
ossible aujourd'hui de le diagnostiquer. Peu importe d'ailleurs. Le
tableau
se suffit à lui-môme et l'incertitude où l'arti
er, Les Difformes et les Malades dans l'Art, p. 114. (2) Un autre
tableau
La Ventouseuse, au musée de la Haye, a été étudié
vase en disant que ça sent bon et me les offre ; elle va regarder les
tableaux
en disant que « c'est ça qui est encore gentil
ulcérations rebelles qui viennent compléter la ressemblance avec le
tableau
de l'éléphantiasis des pays chauds. L'observa
lésions cutanées peuvent s'y surajouter de façon à réaliser tout le
tableau
de l'éléphantiasis. Tel semble avoir été le cas
saine, combien la déformation est considérable. (Pl. LXXXIII.) Le
tableau
comparatif des mesures de circonférence des membr
phie DE la SALPÊIRIERF. T. XII. 1'1. LXXXV1 LE VIEILLARD MALADE
Tableau
de JAK S'I EEN, Musée de l'Ermitage, à Saint-Péte
HENRY MEIGE. Le musée de l'Ermitage, à St-Pétersbourg, possède un
tableau
de Jean Steen, intitulé Le Vieillard Malade (1)
une personne ne pourrait qu'y perdre. C'est qu'en effet, si dans le
tableau
deSteen le décor et les personnages semblent em
nsister davantage sur les allusions risquées qui foisonnent dans ce
tableau
. Les plaisanteries osées ne sont tolérables que s
mbolisme à lui très familier, accroché aux parois de la chambre, un
tableau
, d'après Rubens, représentant cette scène bibli
Steen, par Henry MEIGE. (1 phot.), 497. Pierres de têtes (Nouveau
tableau
repré-- sentant les arracheurs de), par Henry
llard malade de Jean Steen (1 phot.), 197. MEIGE (Henry). Nouveau
tableau
représen- tant les arracheurs de Pierres de Têt
s les symp- tômes de la myélite chronique précèdent l'apparition du
tableau
clinique de la paralysie générale. « Il existe
a sclérose systématique du système psycho-mo- teur, donnant lieu au
tableau
clinique de la démence paralytique pure ou para
le grand nombre de symptômes communs qui figurent à la fois dans le
tableau
clinique du tabes et de la paralysie gé- nérale
1892 il fit une saison à La Malou et le 1 ? Belugou constata que le
tableau
symptomatique s'était modifié. Il y avait une amé
aurai recueilli un nombre suffisant d'observations, je puhlierai un
tableau
topographique de la sensibilité à la douleur de
es, le moulage et la photographie par exemple. A sa statue ou à son
tableau
, le sculpteur ou le peintre demande davantage.
et sur le dos du pied, quelques plaques d'anesthésie. ' Voilà un
tableau
assez net, et dont il vous est facile de faire la
eu de ses nouvelles depuis. \ Vous voyez, Messieurs, que les deux
tableaux
cliniques que je , viens de vous tracer ont enl
z une idée d'en- semble très complète des éléments qui composent le
tableau
clinique des affections de la queue de cheval.
tions du décubitus. Je passe aux indications causales. D'après le
tableau
que j'ai mis sous vos yeux, en vous exposant l'él
ce complexus la diminution des réflexes rotuliens et \ous aurez le
tableau
morbide dans son ensemble. Les princi- paux vis
), au périnée, à la marge de l'anus, à la région cruro-fessière. Ce
tableau
a été vu dans un cas de lésions en foyer, ayant
fs petits sciatiques et honteux internes, puisse reproduire le même
tableau
clinique. Dans celle seconde hypothèse, il s'agir
saine environnante, de sorte que, d'un côté, il n'a pu présenter le
tableau
géné- ral de l'affection nerveuse, et de l'autr
doubles plus ou moins compliquées, lesquelles sonl exposées dans le
tableau
de Siegerson, repro- duit par Nothnagel ('I).
esant près de 2 kilogrammes. ' Ainsi donc, en nous résumant dans ce
tableau
ci-dessous, nous arrivons à trouver, comme poid
d'eux, ainsi que dans quelques collections particulières, tous les
tableaux
, des maîtres hollandais ou llamands dont le sujet
e en relief les qualités d'observation de leurs auteurs. Les deux
tableaux
de l'École Hollandaise reproduits et analysés ci-
u ces imitateurs lointains se soient bornés souvent à pasticher les
tableaux
du maître, il serait injuste de,les reléguer to
le, en faveur de Samuel van IIoogstraaten, en raison d'un excellent
tableau
, La Malade, dûment signé de son monogramme, con
iseler l'argent. s'occupa bientôt de gravure, puis de peinture. Ses
tableaux
d'un dessin correct et d'un vif coloris sont rare
attacher à sa cour, en Italie, en Angleterre, vendant fort cher ses
tableaux
, enfin il revint se fixer dans sa ville natale où
, et mourut prévôt de la Monnaie. Il peignait dans tous les genres,
tableaux
d'histoire, portraits, paysages, natures mortes
LA SALYI : THIFRF T VIII PL XXXIII LA MALADE (La Cllaiotiltse.)
Tableau
de S \MUEL V : v f-Ioccs l'I2 ? 1'l'E au Rij',
en France où n'existe an Louvre aucune oeuvre de lui. Le nombre des
tableaux
qui peuvent lui être attribués avec certilude e
) helle.peintùre architecturale, majs frôideret vide. Il,) a deux'
tableaux
de lui à Vienne; l'un, daté 'de 1652 ? représen
an. Hoogstraaten paraît avoir séjourlréwssez long- temps, plusieurs
tableaux
lui sont également attribués.. A Amsterdam, le
t également attribués.. A Amsterdam, le Rijks-Museuni possède trois
tableaux
de S. van Hoogs- Iraalel1 : ' .' ' . · . Le P
t nue. Au fond, par une fenêtre ronde grillée on aperçoit plusieurs
tableaux
suspendus aux murs d'une galerie sombre. A droi
."i3 du Cat. l3redius (1801). Il. 2.\I : i, L. 1.10. Le pendant de ce
tableau
a été vendu Il Londres en 1891. (2) No G91 du
re un / . LES PEINTRES DE LA MÉDECINE ' 197 coin sombre-de leur
tableau
pour peindre ce qu'on ne voit pas, ou ce que l'
une armoire on d'une cheminée, ou bien il accroche à la muraille un
tableau
représentant des Centaures enlevant des femmes
u savant docteur le traitement efficace. W. Burger, qui a décrit le
tableau
avec éloges (1), émet des doutes sur la perspic
t la flamme a été couron- née ». Jan Steen, dans plusieurs de ses
tableaux
, laisse aisément deviner que la maladie suit un
pas téméraire de proposer des diagnostics précis pour les nombreux
tableaux
intitulés vaguement : La Malade on pourrait, ne f
t pas indigne de ses meilleurs élèves. Tout l'intérêt médical de ce
tableau
réside dans l'altitude et la physio- nomie d'un
: on dirait une aveugle. Le passage des Evangiles qui a inspiré ce
tableau
ne permet guère de croire à première lecture qu
ique. . D'autres détails permettent-ils de supposer que l'auteur du
tableau
ait eu l'intention de représenter un possédé ?
oir inspiré les deux peintres, à moins qu'on ne veuille regarder le
tableau
du musée d'Amsterdam comme étant, lui aussi, de
availlèrent l'un et l'autre dans l'atelier de Rembrandt. Les autres
tableaux
de S. van lloostraaten ont moins de similitudes
ordonnance el d'exécution, soit resté jusqu'à présent au nombre des
tableaux
dont l'anonymat déprécie totalement la valeur.
semblables suffisait le plus souvent à inspirer les sujets de leurs
tableaux
. Un buveur attablé, une vieille femme en prière
les seuls documents qui relèvent de la critique médicale. Dans les
tableaux
de genre, dans les compositions religieuses ou
jet reproduit franchement des épisodes de la vie médicale, un autre
tableau
du même maître, La Mé- nagerie, où ne figurent
ion. C'est ainsi que nul ne peut contester l'exactitude du titre du
tableau
de (1 ) La Jeune femme malade, ii- 31g, et la V
nce, quelqu'exaspérante qu'elle (1) Voy. la critique médicale de ce
tableau
: Henry Meige, Les peintres de la méde- cine :
um d'Amsterdam. Andries BOTII, peintre hollandais (1610-1650). Un
tableau
de la collection de M. D.-A. Koenen à Nieuwer Ams
mitif qu'il est, peut à la rigueur être suf- fisant. Pour plusieurs
tableaux
, ce diagnostic est parfaitement défendable. Dan
iraculeuse qui ne manquera pas d'attirer de nouveaux' clients. Un
tableau
de Jan Steen, an musée de Rotterdam, est une repr
t lotit le peintre des allégories fantastiques ou grotesques et ses
tableaux
ont été très appréciés de son temps. Plusieurs lu
it des malades, soit les praticiens de son temps. \ Beaucoup de ses
tableaux
paraissent la reproduction d'hallucinations mal
ation de Saint Antoine a fourni à J. Bosch prétexte à de nom- breux
tableaux
. Le musée de Bruxelles en possède un bel exemple;
t ces peintures énigmatiques et affolantes (1). La plupart de ces
tableaux
sont aujourd'hui au musée du Prado où ils n'ont
sée d'Amsterdam, dans la salle de la vieille école hol- landaise un
tableau
attribué à J. van Aeken, acquis en 1893 et qui n'
auche et en bas, porte le monogramme B dont l'ar- tiste signait ses
tableaux
. Sur le cadre en bois, on lit ces mois : IIYE
DE LA S»t t.*TuiiÎH T. VIII PL XL. « LES PIERRES DANS LA TETE »
Tableau
de Jérôme van .\1'1\1)\ (va : : Bosch) au Rijks M
nt. De la main droite, il tient une longue baguette. , Le fond du
tableau
est des plus simples. A droite, c'est un mur nu e
d'Aquapendente. * .. J'ai vu dernièrement au musée du Prado un
tableau
qui offre avec le précédent les plus grandes re
r le calque de l'inscription en caractères gothiques qui entoure le
tableau
: elle contient les deux vers suivants : Mees
res sont à Munich'et à Vienne. Le musée du Louvre possède de lui un
tableau
: Le jeune Tobie rendant la vue ci son père (n°
oeuvres des vieilles écoles flamandes et hollandaises, se trouve un
tableau
de van Hemessen, intitulé : El cir2jano de' lugar
ppuyant fortement sur un'des (1) Le musée du Prado possède un'autre
tableau
de Van Ilemessen : Une Vierge avec V En fànï Jé
ï Jésus. ' · '' " ' 'o' " ' ' . (2) D. PEDRO nE Madrazo. Calai, des
tableaux
du Musée du Prado à Madrid, je édit. 1893, p. 2
( OF LA SmrErmfrsr. r. lit 1'1.. XLI « LE CHIRURGIEN DE VILLAGE »
Tableau
de JAN SA1\DI,RS (van Hemessen) au Musée du Prado
« pier- res de la tête » ne peut venir que par comparaison avec les
tableaux
des 256 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE
peintures d'opérations sur la tète. Il se pourrait en effet que ce
tableau
eut élé inspiré par une scène de chirurgie vérita
ment à la peinture qu'à partir de l'année 1559, date de son célèbre
tableau
du musée de Vienne, La dispute du Carnaval et d
fils, Jean I Brueghel de Velours a peint un nombre considérable de
tableaux
dans tous les genres : fleurs, paysages, natures
gel a dû être considérable. Cependant le nombre des estampes ou des
tableaux
qu'on peut lui attribuer avec certitude est rel
. de son prénom, et il intercalait un II après le G. Les principaux
tableaux
de Pierre Bruegel le vieux sont signés BRUEGEL
r de la St-Jean à Meulenbeeck près de Bruxelles. / Un remarquable
tableau
de P. Bruegel, au musée de Naples, la Para- bol
ion : x Le musée du Louvre possède, depuis 1892, un très joli petit
tableau
de P. Bruegel signé et daté de 1568, un an avan
tés avec des détails d'une absolue vérité. Bien des estampes et des
tableaux
de Pierre Bruegel le Vieux contien- nent encore
De Pierre Brueghel II le Jeune, existe au musée Kums (Anvers) un
tableau
représentant les OE2cvres de Miséricorde, 1675. J
gine cérébrale chez le vieillard. Dans le Toucher, l'un de ses cinq
tableaux
du musée de Madrid (n° 1232), représentant les
e Nels (probablement contraction du nom de Nelis). (1) Sur un autre
tableau
de Jean Brueghel de Velours, au musée de Madrid,
s à semelle de bois semblables à celles que nous avons vues dans le
tableau
de Jérôme Bosch. Au bas de sa robe, P. Bruegel
ation 'présente, un an après le début des ac- cidents. Eh bien ! le
tableau
a peu varié. Vous voyez que ce petit malade pré
à récidives. De la forme bénigne ou moyenne, Trousseau (4) trace le
tableau
suivant : « L'individu éprouve une sensation de
vues préparant les pansements ou tenant la tête de l'opéré dans le
tableau
de van IIemessen. Chez le Doyen de Ronse, une v
que médicament. Nous les verrons encore, aidant l'opérateur dans un
tableau
d'A. Both, et dans un autre de Jan Steen. Le Ch
onogr. DR LA$wLPRThifhh T V111 PL YLtlll. « LES PIERRES DE TÈTE »
Tableau
de FRANS HALS LE JEUNE, peintre hollandais (X\'[[
fixa, et où il devait peindre pour l'Hôtel de Ville ces magnifiques
tableaux
de Corporations qui rivalisent avec ceux de van
ttein- dre-à celte perfection ; on a cependant de lui quelques bons
tableaux
de genre et des natures mortes. Il mourut 1 IIa
ut 1 IIaarleln en 1659. .. Frans liais le Jeune est l'auteur d'un
tableau
conservé au musée Boij- mans, à Rotterdam, inti
'Anvers, ait subi l'inlluence de Rubens. Le troisième personnage du
tableau
, un jeune négrillon, se retrouve aussi quelquefoi
1) chez un étuviste de village. Il a encore traité ce sujet dans un
tableau
du musée de Vienne. Le Pr Charcot possédait une
ion (2). Au musée du Louvre (col- lection La Caze) se trouve un bon
tableau
d'A. Brouwer représentant une Opération sur l'é
du musée d'Amsterdam est justement placé au nombre de ses meilleurs
tableaux
. (1) N 880. Dorfbaderstrcbe, Voy. : Les difform
leurs paysans sont atteints de difformités naturelles ? Dans chaque
tableau
reparaissent les mêmes types de rustres au crâne
50-1702), dont le musée Boijmans, à Rot- terdam, possède un curieux
tableau
intitulé : « Il n'y a pas de remèdes aux maux d
D" L ;S ! \b'.3T ? T. VIII. PL XLIX] 1 L. « LES PIERRES DE TETE »
Tableau
J'AXDRIES Boni, peintre hollandais (XVIIe Siècle)
). A. 1\ ? CI1, : . Vieuwcr Amstd. « UNE OPERATION CHIRURGICALE »
Tableau
de David Teniers le jeune, peintre flamand (XVIIe
our à Rome, à jeter un ecclésiastique dans le Tibre ' . , - ' Les
tableaux
d'Andries Both sont pen nombreux, si l'on distrai
te aussi un Dentiste d'après A. Both. * * * , Parmi les rares
tableaux
qui portent le nom d'Andries Both, il en est un
ses grosses mains. Quatre autres personnages occupent la droite du
tableau
. 1 Au fond, une jeune femme assise sur un banc,
hemin et des instru- ments sont suspendus au-dessous. Au milieu, un
tableau
représentant un paysage ; à côté est une gourde
es authentiques, on est arrivé au chiffre respectable de sept cents
tableaux
. Teniers le Jeune naquit à Anvers en 1610. Son
intérêt médical, je rappellerai que le Musée des Offices possède un
tableau
de lui, intitulé le Médecin, et représentant un
Teniers le Jeune, Julien, Théo- dore et Abraham. On croit avoir des
tableaux
de ce dernier au musée du Prado. Le fils et l
i renferme tant, de chefs-d'oeuvre de David Te- niers, possède deux
tableaux
représentant des opérations chirurgicales. Dans
e, dans la collection Steengracht, à la Haye. C'est une variante du
tableau
du Louvre (no 2157) portant le môme titre. Dans
ntrefaits qui sont une exacte copie de difformités naturelles. Le
tableau
de Teniers du musée de Madrid (2), représentant u
s l'artiste a traité ce sujet avec des détails caractéristiques, ce
tableau
doit être cité ici (Pl. L). Dans une chambre fo
Elle est pleine de compassion pour le malheureux opéré. A droite du
tableau
, un jeune garçon aux longs cheveux frisés fait
défaut. L'opération est donc diffi- cile à préciser, comme pour le
tableau
du musée de Madrid. La gravure est signée I. V.
e l'ensemble de son oeuvre, ce n'est que justice pour nombre de ses
tableaux
. Jan Steen ne s'est pas borné à peindre de joye
ed-bot et rachitique de La Ménagerie du musée de la Haye (1). Trois
tableaux
de Jan Steen représentent des Opérations sur la t
Voilà bien la note burlesque et sarcastique du peintre, et, dans ce
tableau
, elle éclate avec tout le naturalisme qui lui est
n présente au public n'esl proha- Fio. 61. Le Charlatan, d'après le
tableau
de Jan Steen, au Rijks .Muséum d'Amsterdam. L
défaite laissant le col à nu, res- FiG. 62. L'Opérateur, d'après un
tableau
de JAX Steen au musée de Bruxelles. 318 NOUVELL
Steen, utilisée plus tard avec quelques modifications pour d'autres
tableaux
. L'Opérateur du musée Boijmans, à Rotterdam, co
CONOGR. Dp 1.10. SAJPIUII'¡'¡ T vin PLLI. « LES PIERRES DE TETE »
Tableau
de .IA : oI SrEE : oI, peintre hollandais, Siècle
us rassuré, et sera, pour un temps, guéri de sa toquade. Ce dernier
tableau
de Jan Steen termine la série des documents que j
'expliquer dans d'autres peintures. On la retrouve en effet dans un
tableau
de la collection van der Hoop, L'Orgie qui pass
urs, l'allégorie n'est pas nouvelle. Nous avons vu un hibou dans le
tableau
de van Bosch, un autre dans le Teniers du Prado.
cidents convulsifs ou méningés. 1 AUTOMATISME AMBULATOIRE 349 /
Tableau
généalogique DE M. X... INCULPÉ DE DÉSERTION. 3
oncordent avec une unanimité remarquable. Aussi a-t-on pu tracer un
tableau
quasi-schématique des signes extérieurs de cette
ment applicable ici. Chez la malade que nous avons sous les yeux le
tableau
morphologique se complète par une exagération d
les leçons de choses, soit à-l'école, soit dans les jardins aveo le
tableau
roulant (Fig. 43), soit enfin dans les promenad
ercalons successivement les autres. 2° Surfaces. Nous employons des
tableaux
dans lesquels les figures en bois sont disposée
e. creux en bleu : la couleur n'est là que pour guider Le premier
tableau
(Fig. 37) ne comprend que deux te 1 1 z t E
. (Fig. 39), le der- nier, dix (Fig. 40). Nous ne passons au second
tableau
que quand l'enfant sait bien reconnaître les fi
en regard de figures imprimées. 4° Couleurs. - Même procédé : un
tableau
avec deux planchettes rectangulaires coloriées
tes rectangulaires coloriées l'une en rouge, l'autre en jaune, puis
tableaux
de couleurs de Bourneville, Bicêtre, 1899. ?
itre secondaire (prisme à chevilles, boulier, cahier des étoffes,
tableaux
des surfaces, jeu de dominos, etc). Tout le mat
lasses, soit dans les jardins. Pour celles-ci nous avons recours au
tableau
roulant (Fig. 43 et 44) qui nous . Fig 41. TA
s recours au tableau roulant (Fig. 43 et 44) qui nous . Fig 41.
TABLEAU
roulant. xxxvii permet, si l'enfant a une atten
rmes de ces signes, sans cependant lui faire nommer ces signes. Les
tableaux
qui servent à ces sortes d'exercices sont les s
oir ; e) le zéro et les neuf premiers chiffres en noir ; f) le même
tableau
avec nombres impairs en noir et nombres pairs e
xerçons à les recon- naître dans leurs applications. Une série de
tableaux
ont été dressés à cet effet. En face d'une vert
PL. XI et XII.) Nous croyons bon de citer à cette place, un autre
tableau
ayant trait aux couleurs, et où en face d'un
asier. Pour les commençants nous plaçons au-dessus des casiers un
tableau
représentant en gros les chiffres, afin de mieu
prit une relation entre le chiffre, le mot écrit et la quantité. Au
tableau
de chiffres imprimés succède le casier avec bât
l ig. a4. L111 Grande ÉCOLE. ses multiples et ses sous-multiples,
tableau
qui devrait être placé dans toutes les classes
Le musée s'est enrichi notablement en 1899, ainsi que le montre le
tableau
de la page LXXXIV. Nous avons continué, comme
core pour la bonne direction morale qu'ils savent leur imprimer. Le
tableau
suivant met en évidence les résultats obtenuspa
meuble il un corps pour les leçons de choses, 8 bancs, 3 tables, 2
tableaux
pour les classes, 3 tables scolaires, divers ob
ommissions. - Affiches diverses. - Entêtes de lettres, registres et
tableaux
divers pour la Direction et l'fjconomat. Circul
s, etc., pour les Ecoles municipales d'infirmiers et d'infirmières.
Tableaux
des lignes et de leurs applications, des volume
es (15G8) sur la glande thyroïde et incidemment sur le thymus. Le
tableau
ci-après (p. xcfv-xcv) donne quelques ren- seig
breux cette année et s'élèvent au chiffre jamais atteint de 28. Le
tableau
des pages xcvm il cm fournit les renseignements
mande de celle-ci; ` ? 2 ont été défalqués à la suite d'évasion. Le
tableau
de la page Civet sui- vantes indique les motifs
4 savent tricoter et 8 commencent à savoir accomplir ce travail. Le
tableau
ci-après donne mois par mois le nombre des appr
: 2 choréi- lll,e8 - 12 paraplégiques et 7 diplégiques. Voici le
tableau
du mouvement de la population en 1899. Person
ces établissements dans 18 villes, ainsi que le montre en détail le
tableau
synoptique annexé ci-après. Tandis que l'an der
enfants faiblement doués, sont dans toutes les villes nom- més au
tableau
ci-joint, des organisations publiques et commun
me fournir tous les renseignements qui me permet- lront de faire un
tableau
comparatif tel que celui qui a déjà été fait. T
seils royaux, comme suite il ma cir- culairc du 16 juin 18 ! )i, un
tableau
d'ensemble sur l'état actuel de renseignement d
ont été choisis parmi les malades les plus gravement atteints. Le
tableau
suivant est destiné montrer les dates de début
aque malade, l'indication des principaux acci- dents observés (voir
Tableau
1). .. Tableau TABLEAU 1\0.1. 1. ? EOSINATE D
dication des principaux acci- dents observés (voir Tableau 1). ..
Tableau
TABLEAU 1\0.1. 1. ? EOSINATE DE SODIUM. 5 Le
des principaux acci- dents observés (voir Tableau 1). .. Tableau
TABLEAU
1\0.1. 1. ? EOSINATE DE SODIUM. 5 Le mode d'a
sensation de tournoiement. Jamais d'évacuations involontaires.
Tableau
des accès et des vertiges. EOSINATE DE SODIUM.
par l'éosinate. - Les ongles sont tout-à-fait réguliers. - Voici le
tableau
de ses accès depuis l'admis- sion. Tableau de
réguliers. - Voici le tableau de ses accès depuis l'admis- sion.
Tableau
des accès. ÉOSINATE DE SODIUM. 9 Au point de
rieure ; pas de rougeur du pharynx ; rien aux mains ni aux pieds.
Tableau
des accès et des vertiges. EOSINATE DE SODIUM.
is sans infiltration séreuse sous- jacente. Rien aux orteils (1).
Tableau
des accès et des vertiges. 14 Epilepsie. oncl
'a pas été repris. 1899. Nou. Aucune cicatrice. Ongles réguliers.
Tableau
des accès et des vertiges. 16 Epilepsie. Ons.
itement. 1899. Nov. - Ni taches, ni cicatrices. Ongles réguliers.
Tableau
des accès et dos vertiges. 18 ÉPILEPSIE. Ous.
endu. ,1899. Nou. - Face sans aucuns cicatrice; ongles réguliers.
Tableau
des accès et des vertiges. Eosinate de SODIUM.
se décolle de plus en plus ; la sécrétion sous-jacente est tarie.
Tableau
des accès et des vertiges. EOSINATE DE SODIUM,
oûtes brunâtres, fendillées. On cesse définitivent le traitement.
Tableau
des accès et des vertiges. 24 Epilepsie. OBS.
égère diminution des accidents. Le malade prend 2 gr. d'éosinate.
Tableau
des accès et des vertiges. 26 Epilepsie. 26 m
paupière gauche. La dose maxima du médicament a été de 3 grammes.
Tableau
des accès el des vertiges. 28 . Épilepsie. OB
accès d'épilepsie à 13 ans. - Excitation maniaque. - Rougeole. v
Tableau
des accès, des vertiges et des attaques. EOSINA
accidents; les ulcérations des orteils sont complètement guéries.
Tableau
des accès et des vertiges. M . Epilepsie. z E
disparu et ils ne reparaissent plus jusqu'à la fin du traitement.
Tableau
des accès et des vertiges. 32 Épilepsie. Ors.
utres accidents qu'une rougeur diffuse et peu intense de la face.
Tableau
des accès et des vertiges. ÉOSINATE DE SODIUM.
ionnn.ire jusqu'à la fin du mois où l'on cesse le traitement. - .
Tableau
des accès et des vertiges. 34 Épilepsie. Eosi
index droit. 1899. Xov. II n'y a plus aucune lésion cutanée, etc.
Tableau
des accès el des vertiges. 36 Épilepsie.... "
gdales Volumineuses ; léger gonflement des paupières inférieures. !
Tableau
des accès et des vertiges. Eosinate DE sodium.
roite, 1899. Nu. - Rien il la face et aux ongles. a8 Epilepsie.
Tableau
des accès et dos vertiges. Eosinate de sodium.
sur le dos de l'orteil gauche. 1889. Noya. - Aucune cicatrice.
Tableau
des accès et des vertiges. 40 Epilepsie. Du 1
u 31 août. Rien qu'une légère rougeur des pommettes et des joues.
Tableau
des accès et des vertiges. Eosinate de; sodium.
Rani... (Gaston), 18 ans. - Éo-qi7-Late du 7 juillet au 31 août.
Tableau
des accès el des' vertiges. Epilepsie. 22 aoû
rnel 1t ! /pocltondJ'iar¡ue et alcoolique. - Grand oncle maternel
Tableau
des accès el des vertiges Eosinate de sodium. I
es De l'examen de ces observations, il est possible de déduire un
tableau
d'ensemble de l'intoxication éosi- ni(lite. Et
tion thcrapcuti- ([uedeleosinatedc sodium contre l'épilepsie. Les
tableaux
des accès, les )['('')1<"<vous qui les .sui
obre 1883. Extrait de sedum acre du 1"" aoÙl au 31 décembre 1807.
Tableau
des accès et des vertiges. j 5S Il Epilepsie.
écembre 188l. Extrait de dit 1"" août au 31 c]c"('Plllbl'oJ ISOi.
Tableau
des accès et des vertiges. W : uLn .w.r,r. ? 9
re 1897, à la dose d'une à six cuillerées à café, soit 106 par. 75.
Tableau
des accès et des vertiges. no Epilepsie. le m
o Epilepsie. le malade a pris 92 grammes 75 de suc do sedum acre.
Tableau
des accès et des vertiges. SEDUI ACHE, 61 Rés
alité de poids des hémisphères cérébraux e/ cérébelleux et donné un
tableau
de six cas, dans les- quels nous avons trouvé u
s avons relevé une différence de poids d'au moins 30 grammes. Les
tableaux
ci-après comprennent les pesées com- paratives
éjà diminuaient, ont disparu jusqu'au mois de février 1881 (voir le
Tableau
) et sont devenus ensuite de plus en plus rares
CJ Il s CS s Antécédents héréditaires ET personnels. 131
Tableau
des Accès, 132 SCLÉROSE EN plaques disséminées.
é la mort et souvent aussi par leur poids. Nous donnons ci-après un
tableau
général des cas examinés. 148 Thymus CHEZ l'e
thymus rouge, d'un rouge sombre même. Dans un cas (voir n° 44 du
tableau
), on voyait tant il la surface que sur les coupes
x lobes de la glande. Rapports. Dans deux cas (voir nOS 23 et 61 du
tableau
) la corne supérieure droite du thymus remontait
poids du thymus est constamment supérieur il cinq grammes. Voici un
tableau
qui résume ces 13 cas : Thymus chez l'enfant no
s avons fait suivre la relation d'un cas de Sclérose tubéreuse du
tableau
récapitulatif de tous ceux que nous avions obse
nt au nom- bre de dix. Celui que nous allons donner figure sur ce
tableau
. SOMMAIRE. - Père, eczémateux, alcoolique, affa
scles, examinés dans plusieurs régions sont pâles et comme lavés.
Tableau
du Poids et de la Taille. 192 Sclérose tubéreus
us volu- mineuse qu'en mars, offre les mêmes caractères. (Voir le
tableau
.) Il en est de même de la physionomie. La contrac
cu- lose pulmonaire. ' Poids des organes. Hydrocéphalie. ? 21
Tableau
des accès et des vertiges. 222 Hydrocéphalie.
,, un autre le 7 février et un troisième lo 8 du même mois (voir le
Tableau
). 2t juillet. Caractère toujours irascible, plu
st passé pendant ce long intervalle. Comme nous le voyons dans le
tableau
des accès, ceux-ci n'ont pas augmente; de nombre
rises. Il a maigri, il se voûte et Bourneville, Bicêtre. 1899. 16
Tableau
des accès et des vertiges. 2H il Déchéance phys
) ; dans d'autres, il a des rapports deux ou trois fois par jour.
Tableau
du poids et de la taille (2). 24G Descendance.
ni des ren- seignements intéressants sur la marche de son mal. Le
tableau
des accès (p. 242 et 243), quoique incom- plet,
nous contenté de faire résumer par notre interne, M. Bellin, en un
tableau
, le nombre des cas et leur durée : - 2 l) (; Ep
les blessures de leurs proches. On peut les voir a l'oeuvre dans un
tableau
de Van lIemessen, au musée du Prado, dont nous
arfois même n'en possédaient pas. Celles qui sont figurées dans les
tableaux
ayant trait aux « Pierres de tête » donnent plu
es créations du maître. Ou bien, au contraire, devant le succès des
tableaux
de Brouwer car ses oeuvres étaient déjà (t) Sta
Les maux du corps ne les laissent pas indifférents. Plus de vingt
tableaux
de Teniers, et un nombre presque égal de la main
ieux Teniers, s'inspira souvent des peintures paternelles, pour des
tableaux
généralement beau- coup mieux traités. . Il e
si pour ses Pédicures dont nous verrons bientôt t la collection. Le
tableau
de Teniers le Vieux, outre sa valeur artistique,
du vieux Teniers et qui est peinte sur toile, comme la plupart des
tableaux
de ce dernier. ill. Delambre, conservateur du mus
n suffisamment nette. J'en ai fait un croquis sommaire (Fig. 1). - Le
tableau
est signé en bas et à droite : I. D. TENIERS.
. D. TENIERS. Fig. 1. - Le Docteur de village. Croquis d'après un
tableau
attribué à D. TENIEns le Vieux, musée de Picardie
ée de Picardie (Amiens). LES PÉDICURES AU XVIIe SIÈCLE 61 Mais le
tableau
du musée d'Amiens mérite un examen -plus approfon
un noeud de rubans rouges sur l'é- paule. Il y a, en outre, dans ce
tableau
un cinquième personnage. A droite, en haut, par
. - t L'Etuve. (Musée de Cassel.) Le musée de Cassel possède un
tableau
de D. Teniers le Jeune, L'Etuve, qui est à la f
t à la scène de médecine villageoise qui occupe le premier plan, le
tableau
du Musée de Cassel formerait déjà un ensemble par
la main, assis sur un tabouret, dans un ha- bile contre-jour. Le
tableau
est signé, en bas, adroite, sous deux morceaux de
faire partie du blason de la famille et se retrouvent dans tous les
tableaux
, de père en fils. Tel aussi le hibou, dont bril
ure, a bien voulu me communiquer les renseignements suivants sur ce
tableau
(2) : « Il faisait partie de la collection du p
on tablier, regarde l'opération. Elle rappelle beaucoup la femme du
tableau
de Teniers le Vieux. Un jeune apprenti fait cha
ciseaux et des rasoirs. A côté, un portrait-charge avec la date du
tableau
: 1636. Teniers avait alors 26 ans. Plus à droi
s utilisé cette donnée pour symboliser la douleur. Dans l'un de ses
tableaux
qui représentent les Cinq sens, à l'Académie des
retrouvons avec le même visage et portant les mêmes habits dans un
tableau
de Teniers, au musée du Louvre, le Joueur de Co
bjets figurés presque sans changements. Sur une gravure, d'après un
tableau
de Teniers, que nous reproduisons plus loin, le
i pile des médicaments dans l'arrière-boutique, est indiqué dans un
tableau
de Brouwer, à Aix-la-Chapelle. Il n'est pas h
us avons déjà donné la description et la reproduction, se trouve un
tableau
de D. Teniers le Jeune représentant un Pédicure (
ache intimement. 4° Le Chirurgien de campagne. Gravure d'après un
tableau
de D. Teniers le Jeune. (Collection de M. le Dr
vure de sa collection, qui me parait être une reproduction, soit du
tableau
de Teniers du musée de Madrid représentant une
e la date de 1747 (1). Le décor et la scène rappellent beaucoup les
tableaux
des musées de Cas- sel et de Buda-Pest décrits
ux sur le siège du mal. Nous les retrouverons dans presque tous les
tableaux
repré- sentant des Pédicures, sans que cependan
plement de remplacer un vieil emplâtre par un nouveau comme dans le
tableau
de Buda-Pest, et, ici encore, cette substitution
ollan- dais ait choisi une scène de ce genre pour sujet d'un de ses
tableaux
. Nous avons de lui plusieurs Médecins, Charlata
erie du prince Galitzine. (2) a A gauche, dans le coin inférieur du
tableau
, on voit une fausse signature : A.V.O. (ces tro
du peintre qu'on a eu soin d'effacer. C'est ce qui explique que ce
tableau
, pendant qu'il se trouvait dans la galerie du pri
DE LA SALPETRIERE. T. X, PL. VII. L'ÉTUVE DE VILLAGE d'après un
tableau
de DAVID TENIERS LE JEUNE peintre flamand (i61o
inale des ongles est exagérée. L'état de la face palmaire achève le
tableau
que nous venons de tracer. Toujours les muscles d
N BROU\VEa, dont je n'ai eu connaissance que dernièrement. (3) Un
tableau
de BROUwER, intitulé Le Chirurgien, a figuré au m
Gilles de la Tourette (2),qui le considère comme une étude pour le
tableau
de Brouwer, conservé au musée de Vienne,et repr
- si elle est authentique, - peut avoir servi pour plusieurs de ces
tableaux
. Cependant, de tous ceux que nous avons examinés,
minés, c'est celui d'Aix-la-Chapelle qui s'en rapproche le plus. Le
tableau
de Vienne, dont parle M. Gilles de la Tourelle
avec plus de vraisemblance que l'esquisse en question est celle du
tableau
de la galerie Suermondt. ' Iig. 2. - Le Pédicur
wer. En effet, le dessin est complètement retourné par rap- port au
tableau
. Et nous savons d'autre part que la peinture de B
4° L'Etuve de Village. (Galerie Schunborn, Vienne.) C'est pour ce
tableau
(2) que, d'après M. Gilles de la Tourette, Brouwe
ire nécessairement le premier regard. Elle est la note dominante du
tableau
, évoquant l'idée principale : la souffrance de l'
rmé récemment cette remarque. Le dessin, m'a-t-il dit, reproduit le
tableau
en miroir. (2) N° 69 du Catal., B. II, 41. L, 3
Cet article contient une planche phototypique (l'l. XV) d'après le
tableau
de Brouwer. (3) On y lit le mot a ERITOM ». "
et le court tablier blanc qu'on retrouve sur ses confrères dans les
tableaux
de Teniers et de J. Steen. Son profil n'est pas s
déformé, ce n'est pas pour Fig. 3. - L'Etuve de Village d'après un
tableau
d' Adriaen Brouwer. . Galerie Schünbol'1l, il V
ntrevoit au dernier plan de l'esquisse est remplacé dans le fond du
tableau
par un jeune farceur qui ouvre brus- quement un
éjà signalé la frappante ressemblance des chirurgiens dans ces deux
tableaux
. L'Opération sur le pied. , Institut Staedel,
aces et de contorsions Fig. 4.- L'Opération sur le Pied, d'après un
tableau
d'ADRIAEN BROUWER. Institut Staedel, Frankfort-
Brouwer sait varier à l'infini les modulations de la douleur. Le
tableau
ne serait pas complet s'il y manquait une vieille
on. Les femmes surtout avaient le privilège de cette médication. Un
tableau
de QuiiiiiN BHlOEELENKAM (1GU.8-1G68) au musée
es faisant {a cuisine. Au musée du Prado, il n'y a pas moins de six
tableaux
attribués à Teniers (1) et dont les personnages s
parodiessimiesqucs. La galerie de Schwerin possède de lui un petit
tableau
(2) qui repré- sente encore un intérieur de Bar
essous. Les mêmes emblèmes ont été reproduits par J. Steen dans son
tableau
L'Orgie de la collection van der Hoop à Amsterd
o 560 Brelts- piel représente aussi des singes. - Le premier de ces
tableaux
a été attribué à TEMMa par Groth. (3) Voy. Le
ues de la main des maitres flamands : 144 HENRY MEIGE Du médiocre
tableau
du musée d'Ypres, je ne pourrais donner qu'un p
DE LA SALPÊTRIÈRE T, X, PL, Xlll, L'ÉTUVE DE VILLAGE d'après un
tableau
d'ADRIAEN BROUWER peintre hollandais (iGo-iG;3)
ns autochtones causées par le virus et cette conclusion, déduite du
tableau
anatomo- pathologique, est affirmée par les ino
ions motrices dans la moelle de vrais progrès et ils ont dressé des
tableaux
qui représentent l'innervation de chaque muscle d
t les divergences qui ne sont pas, du reste, essentielles entre les
tableaux
dressés par Thorburn et Allen Starr. Je commence
ns- tatées chez l'homme et ayant été suivies de paralysies. Dans le
tableau
sui-- vant de Thorburn, le lecteur trouvera les
dans diverses parties du corps. Notre malade ne présente rien de ce
tableau
bien stigmatisé clans la phrase souvent citée d
mme hébété dans l'intervalle des spasmes, tout, en un mot, forme un
tableau
caractéristique qu'il n'est guère possible de m
ict. eneyel. des se. mie- die. TIC DU COLPORTEUR 221 Rien de ce
tableau
caractéristique n'existe chez notre malade, qui n
n léger mouvement de supination du pouce... et vous ver- rez que ce
tableau
ne s'applique en rien à notre malade. Il s'appl
t pathologique de notre sujet. Ce classement (1) est résumé dans le
tableau
suivant : 224 GRASSET il n'est pas caractéris
mpoisonnement myxoedé- mateux sera incomplet et nous observerons un
tableau
symptomatique incomplet; certains symptômes du
edème des adultes ; et MM. Mar- fan et L. Guinon concluaient que le
tableau
clinique du myxoedème spontané des adultes peut
à l'angle de la mâchoire. Les mesures se trouvent résumées dans le
tableau
suivant : (1) Ch. Féré. Les épilepsies et les é
x particularités réunies chez trois de mes malades. ' Bien que le
tableau
indique une diminution relative plus grande pour
le fut assurément l'intention d'Holbein le Jeune, lorsque, dans son
tableau
de la Flagellation du Christ, il peignit un bourr
ifformités pathologiques aux capri- ces de l'imagination. Dans un
tableau
conservé au musée de B;\]e, et représentant la Fl
les ou d'ulcérations qui ne rig. 2. - Personnage goitreux dans le
tableau
de Mans IIOL[11 : 1,r LI' Jeune, la Flagellatio
la vérité pathologique. ' A Madrid; au musée de Prado, j'ai noté un
tableau
d'un peintre espa- gnol du XVIIe siècle, presqu
fet impression- nant, au détriment de la vérité naturelle. Un autre
tableau
de lui, au sauraient passer pour récentes. La p
d'autres, leur implantation sessile, tout cela rentre bien dans le
tableau
de la neurofibromatose généralisée; la localisati
ion des troubles convulsifs persistai comme on peut le voir dans le
tableau
des accès. . Le 4 mai il était retombé dans son
et s'est rétrécie, mais le 15 juin elle était encore assez marquée.
TABLEAU
DES ACCÈS ET VERTIGES PATHOGÉNIE ET PROPHYLAXIE
nesco, dans un récent travail (3), arrive à cetle conclusion que le
tableau
microscopique dans les deux cas est identique; se
du noyau du centre du corps cellulaire vers sa périphérie, bref le
tableau
histologique qui résume les modifications princ
maître espagnol a emprunté aux poux de la tête le sujet d'un autre
tableau
. A la Pinacothèque de Munich (1), se trouve une v
dans le giron de sa mère, que nous montre PIETER DE IIoocH, sur un
tableau
du Rijks Muséum d'Amster- dam (Fig. 5). L'art
mi-minute, enfin pendant une minute. On varie l'objet à fixer ; les
tableaux
qui servent à apprécier l'acuité visuelle sont lu
imposent en présence de figurations d'ulcères qui abondent dans les
tableaux
des peintres primitifs. Ces lésions, dont par-
eur rencontre sur la face ou les membres d'un infirme figuré sur un
tableau
plaide en faveur de la Lèpre. Lorsqu'on les voi
ls ont laissé plusieurs oeuvres importantes. On attribue à Piero un
tableau
conservé au musée de Naples, et repré- sentant
Lépreux, avec déformation en griffe et mutilations de la main, sur un
tableau
représentant la Charité de Saint Martin, par Pi
Niessen, 1888. H. 138. L. 117. - Nous devons la photographie de ce
tableau
, que nous avons vu en 1895, à, l'obligeance des
et aux infirmes de diverses maladies, et la vie aux morts ». z 1 Le
tableau
du'musée de Cologne dont nous allons parler, est
e renversant. On ne peut guère exiger d'un peintre du XVe siècle un
tableau
plus précis et plus complet du syndrome cliniqu
fait preuve dans cette intéressante peinture. Les seconds plans du
tableau
sont occupés par un paysage représentant une vi
a mitre en tête et la crosse à la main, donne deux (1) Au milieu du
tableau
, sur une banderolle, on lit en caractères gothiqu
i la Lèpre est la cause de ces déformations. - Au musée de Berlin, un
tableau
de l'Ecole de Cologne du XVe siècle représente
e monnaie à un pauvre infirme qui occupe le coin inférieur droit du
tableau
(PI. LI. C). Cet infirme peut prendre place par
du XVe siècle). Dans une église, près de Sierrentz, a été trouvé un
tableau
, actuelle- ment au musée de Bâle, et représenta
large (1) No 86, B. Il, 112. L..42.. LA CHARITE DE SAINT MARTIN
Tableau
attribué à Conrad "'Ill (fin du XV" siècle) Mus
rmuler le diagnostic de l'infirme que Conrad Witz a figuré dans son
tableau
. C'est un Lépreux. Et c'est même un des exemple
entés, ou de l'art avec lequel ils sont relégués dans les angles du
tableau
, pour laisser la Sainte elle-même attirer, rete
fformes et Malades dans l'Art la descrip- tion de ce document. Un
tableau
de l'église paroissiale de Calcar est consacré à
iques de la lèpre si bien représentée déjà par Hans Holbein dans le
tableau
que nous venons d'étudier. Nous insisterons en
Nous rapprocherons de ces deux gravures, un infirme figuré sur un
tableau
de Hans BURGKMAIER, que nous avons vu cette année
ecins. En effet, Charcot et Paul Richer ont signalé un fort curieux
tableau
où Mathias Grûnewald a pu donner libre cours à
re el leur auréole rouge vineux ? Sur le / Fig. 9. Lépreux sur un
tableau
représentant Saint Antoine tourmenté par les démo
us, lorsqu'on ne considère que les lésions cutanées figurées sur ce
tableau
. Il n'en va plus ainsi en ce qui concerne l'int
ent interprétées ? . (2) Le Dr Keller a fait remarquer aussi que le
tableau
ayant été peint vers la fin du XVe siècle, Grun
2). Au-dessus, Dieu dans une gloire. Dans la partie inférieure du
tableau
, on voit : au milieu, un paysage, lac, verdures
de la maladie qu'il désirait mettre en rapport avec le sujet de son
tableau
. N'y avait-il pas toute une série de réflexions m
genoux ; à gauche, se trouve un infirme. Ici encore, comme dans le
tableau
d'Holbein le Vieux qui se trouve à la Pinacothè
t l'avant bras estsillonné de réseaux vasculaires dilatés. Sur un
tableau
du même peintre, au même musée, formant l'un des
Siwinc, par Cosimo H053L11 il (XVI. siècle). C. : 1 crrel1 sur un
tableau
de 1'1-'cole de Cologne, par r,. \1 ? 1 ? ? , H
lle part ils ne sont représen- tés avec plus de réalisme que sur le
tableau
de van Orley. Et même, la coloration brune de l
La Charité de Saint Martin est représentée au musée de Gand par un
tableau
de valeur secondaire, mais où les infirmes secour
e. La figure est maladive, mais sans lésions spéciales. Sur le même
tableau
, un autre infirme, demi-nu, se tient debout sur
- lades sur le passage de Saint Martin. Au musée de Stockholm, un
tableau
de JAN HooGSAAT, peintre hollan- dais (1651-175
rts de plaies qui n'ont d'ailleurs aucun caractère spécifique. Un
tableau
moderne d'Albert Maignan, représentant Saint-Loui
e, quêtant en vain une aumône à la porte du cruel Epulone. Sur un
tableau
de BOl11fazio Veronèse, à l'Académie des Beaux-Ar
ant figée dans l'expression qu'elle avait à ce moment-là, comme si le
tableau
avait disparu et qu'elle ait conservé, ainsi que
e, au milieu des fleurs. C'était très joli, ça sentait bon. Enfin, le
tableau
changeant, elle sentait autour d'elle une odeur b
une, jaune, à travers un verre vert, vert, mais point de scènes ni de
tableaux
spéciaux. Elle se sent elle-même toute drôle, com
de l'opérateur. Il s'agit là de véritables hallucinations suggérées,
tableaux
qui défilent devant les yeux de la malade, ou scè
t de veille, ni pendant la période somnambulique obtenir le récit des
tableaux
ou des scènes qui, pendant la catalepsie, avaient
nir. Nous avons pu observer pendant toute cette scène dont les divers
tableaux
?e déroulent assez lentement, qu'il se produisait
nstitue son moi organique qui ne disparait jamais complètement, en un
tableau
plus ou moins compliqué. Ce sont là de véritabl
riférantes. Dans d'autres cas, au contraire, la véritable nature du
tableau
qui se peint dans le cerveau du malade est plus d
délire du sujet, le diriger jusqu'à un certain point et y ajouter des
tableaux
nouveaux. Il commença aussitôt avec l'un de nous
ade, pendant la période hallucinatoire 'de l'attaque, de raconter les
tableaux
qui se sont déroulés devant ses yeux pendant les
orielles est évidente, elle modifie la marche du délire et ajoute des
tableaux
nouveaux à ceux que le malade voyait sponta ném
ar des impressions simples, assez intenses pour donner naissance à un
tableau
de longue durée. Quoi qu'il en soit, la modificat
dans le ciel, la piqûre au ventre l'idée de laparotomie, l'éther le
tableau
d'attaques de nerfs, le chloroforme celui de cont
de diverse nature : gaies, tristes, lubriques, terrifiantes, etc. Les
tableaux
animés que les sujets interprètent alors se recom
t la phase délirante, comportant, comme d'habitude, une succession de
tableaux
toujours les mêmes. C'est alors que le sujet est
ans ce délire, mais seulement pour modifier l'ordre de succession dos
tableaux
. On n'y ajoute rien de nouveau, c'est-à-dire qu
ntion étrangère est déjà plus efficace ; non seulement on modifie les
tableaux
du délire, sans y rien ajouter de neuf toutefois,
ir dans les actes du somnambulisme hystérique pour éveiller les seuls
tableaux
qui font partie de son programme; à un degré d'
à un degré d'activité moindre, on va pouvoir développer de nouveaux
tableaux
; enfin l'activité étant réduite aux actes de la
ien existe, mais n'est peut-être pas très fort. Voici maintenant le
tableau
de quelques accès délirants que le malade a eus d
me pour l'attraper. « Elle est partie....., c'est ennuyeux. » Puis le
tableau
change. « Si je pouvais me sauver ! » Il se lève
èce où nous sommes. D. « Qu'est-ce qu'il y a sur ces murs? » R. « Des
tableaux
tout partout..., c'est beau ici. » D. « Fais atte
le poteau vert où est écrit « chasse gardée ». Cette fois un nouveau
tableau
s'ajoute : « Si j'allais à Saint-Ouen ! trouver l
teaux, Auguste Guiard,toujours séparées les unes des autres,comme des
tableaux
différents qui se dérouleraient successivement de
leraient successivement devant lui, sans se mélanger. Mais un nouveau
tableau
s'ajoute: un régiment, un colonel ; lui-même doit
e monde extérieur et les personnes qui l'entourent. La succession des
tableaux
, leur indépendance réciproque absolue, leur varié
ec sa démarche. 4° Enfin on observe de temps en temps qu'entre deux
tableaux
il existe une sorte d'ébauche de la période de co
pas absolument maître, à vrai dire, en même temps qu'à y ajouter des
tableaux
nouveaux. M. Pitres (de Bordeaux) signale, il e
délire du sujet, le diriger jusqu'à un certain point et y ajouter des
tableaux
. (1) Georges Guinon et Sophie Woltke. — De l'in
on lui ordonna de raconter ultérieurement dans une autre attaque les
tableaux
qui s'étaient déroulés devant ses yeux et les scè
t écrase pendant son délire. A cette scène succède ensuite un autre
tableau
. « Rends-moi mes outils... Rends-moi ma varlope!.
la parole. Non pas que cela soit très facile et que le changement de
tableau
s'opère avec la même instantanéité que pour les e
bleu ; avec admiration: « Oh! que c'est beau!... Superbe ce dernier «
tableau
..., il a des tons d'émail...; c'est l'Exposition
eau, si j'étais étranger à la France, Ce pays magique, enchanté, Ce
tableau
merveilleux, exempt d'ombres sinistres, Où les gr
ime abord. Sur ce point de départ le somnambule hystérique se crée un
tableau
, une série d'hallucinations qui s'enchaînent les
s'admiroit grandement (à la guise des enfants) de voir tant de beaux
tableaux
et images... Tout au long de la messe, l'ayant as
es après, le délire hallucinatoire reparaissait avec un changement de
tableau
: «Oh! cet homme..., cet homme...,» criait-elle,
ortège classique de l'aura. De sorte que maintenant rien ne manque au
tableau
et que l'existence d'une attaque cl'hystéro-épile
let dernier. Elle a vu mon portrait, chez son médecin, à C..., sur ce
tableau
de Brouilhet qui représente Une leçon à Isl Salpê
A Son arrivée dans le service, nous lui avons montré une copie de ce
tableau
qu'elle a immédiatement trouvée semblable à la gr
s si elle me reconnaissait, elle portait spontanément ses yeux sur le
tableau
et prononçait mon nom. Mais ma présence est néces
e tourne directement les yeux vers le mur, comme si elle savait qu'un
tableau
particulier est placé en cet endroit précis. Il y
que et névropathique. Gela pourrait se représenter par un fort simple
tableau
généalogique. Un individu, né d'un père goutteux
ntale. Il relève dans l'hérédité d'un jeune diabétique de onze ans le
tableau
suivant : TABLEAU I M EUE Mélancolie, suici
s l'hérédité d'un jeune diabétique de onze ans le tableau suivant :
TABLEAU
I M EUE Mélancolie, suicide. _I_ Ï i 1 i I
d'aliéné. Dans un fait de Grantham2 on voit l'alternance qui suit :
TABLEAU
è père Epilepsie et delirium tremens. _!_
te une fort intéressante observation de Legroux. La voici résumée :
TABLEAU
III COTE PATERNEL Oncle. Diabétique. Père.
Mère. Hystérique. Fils. Diabétique. Voici enfin une série de
tableaux
que nous devons à l'extrême obligeance de notre m
igeance de notre maître M. Charcot; ils se passent de commentaires.
TABLEAU
IV grand'mère maternelle Aliénation mentale.
Fils. Epilepsie typique. Fille. Morte de diabète à 16 ans.
TABLEAU
V MÈRE Diabète. Fille. Bystér\e. TABLEA
iabète à 16 ans. TABLEAU V MÈRE Diabète. Fille. Bystér\e.
TABLEAU
VI X. . . 70 ans. Epilepsie, diabète, paralysie
ie et le diabète ont disparu. La paralysie agitante seule persiste.
TABLEAU
VII père (Famille israélite). Mélancolie. (Pl
. Goutte. Diabète | nodosités d'Heber- Une fille suicidée. den.
TABLEAU
VIII père (Famille israélite). Maladie des voie
s. Diabète. Fille. Rien (?) Petit-fils. Paralysie gêné' raie.
TABLEAU
IX père (Famille israélite). Diabète et goutt
tale. I Petite-fille. Asthme, eczéma et paraplégie spasmodique.
TABLEAU
X1 père mère Alcoolique, suicidé. Arthritique
_ I I ! I I i Quatre enfants sains. Aliéné. Aliéné. Diabétique.
TABLEAU
XI Famille o... (Israélite). côté maternel côté
e. neurasthénie. Nous devons à l'obligeance de M. P. Blocq les deux
tableaux
suivants : TABLEAU XII mère (Famille israélit
s devons à l'obligeance de M. P. Blocq les deux tableaux suivants :
TABLEAU
XII mère (Famille israélite). Hy pochondr laque
ils. Fille. Goutteux. Diabétique. Colique hépatique, Arthritique.
TABLEAU
XIII Mmo F... (Famille israélite) a eu 4 filles
Morte diabétique. i Gravelle. Tics. Arriérée. Mélancolie. (1) Ce
tableau
est celui du malade qui fait le sujet de la leçon
de M. Charcot sur la paraplégie diabétique (t, I, n° XIII, p. 257).
TABLEAU
XIV l'ère. Diabétique. I Fils, 17 ans. Epil
ulement chez les ascendants, c'est aussi bien chez leurs descendants (
tableau
V), qu'on la constate fréquemment. C'est encore c
lques exemples que nous devons encore à M. le professeur Charcot2 :
TABLEAU
xv . côté paternel côte maternel i I 1 I Fr
énation. Tumeur stomacale. Diabète. Aliénation. I X. . Tabes.
TABLEAU
XVI père Tabès. Th..., fondeur en cuivre, cri
ombreux documents qu'il a si généreusement mis à noire disposition.
TABLEAU
XVII M. A. Aventureux, guerrier. Névropathe.
te. ! Tabes. Tabès. Névropathe. Névropatlte. . I Epilepsie.
TABLEAU
XVIII GRAND'MÈRE Diabète. Mélancolie. I
arcot avec M. Fournier. Tabès, s ans après la syphilis. Mélancolie.
TABLEAU
XIX père Diabète. I FILS Tabès, peu d'ann
e famille dont on peut résumer ainsi le pedigree. Fille. Tabes.
TABLEAU
XX PÈRE Diabète (mort dans le coma). _I_ I
le coma). _I_ I Fils. Diabétique. Fils. Sain. De ces divers
tableaux
, nous pouvons rapprocher l'observation suivante q
les antécédents héréditaires de ce malade de la manière suivante :
TABLEAU
XXI COTE PATERNEL COTE MATERNEL Tante. Père
mbulisme. En somme, son hérédité pathologique peut se résumer dans le
tableau
suivant : TABLEAU xxii CÔTÉ PATERNEL CÔTÉ MATER
son hérédité pathologique peut se résumer dans le tableau suivant :
TABLEAU
xxii CÔTÉ PATERNEL CÔTÉ MATERNEL Grand-père. Al
il ne connaît presque pas. La généalogie peut être représentée par le
tableau
suivant : TABLEAU XXIII fa mille israélite CÔ
e pas. La généalogie peut être représentée par le tableau suivant :
TABLEAU
XXIII fa mille israélite CÔTÉ PATERNEL COTÉ MAT
ulut bien nous envoyer quelques notes concernant cette famille et son
tableau
généalogique. On trouvera également plus loin un
et son tableau généalogique. On trouvera également plus loin un autre
tableau
qu'il nous envoya dans la suite et qui n'est pas
pte. Toute l'histoire de cette famiiile se trouve consignée dans le
tableau
suivant : TABLEAU XXIV FAMILLE A... (Dr Latil)
ire de cette famiiile se trouve consignée dans le tableau suivant :
TABLEAU
XXIV FAMILLE A... (Dr Latil) Le terme ataxie sign
XIV FAMILLE A... (Dr Latil) Le terme ataxie signifie toujours dans ce
tableau
ataxie héréditaire ou maladie de Friedreich.) A
tous les malades de sa consultation, recueillir un certain nombre de
tableaux
généalogiques. Ils peuvent, comme les précédents,
nt à celle du tabès et du diabète. 1° DIABÈTE ET MALADIES NERVEUSES
TABLEAU
XXV FAMILLE BER... (Dr Latil. d'Aix) GRAND-PÈRE
me d'arthritisme. diabétique (diabète gras), depuis l'âge de41 ans.
TABLEAU
XXVI FAMILLE ISRAÉLITE CÔTÉ PATERNEL CÔTÉ MATER
Frère. 3 sœurs. Le malade, bien portants. 32 ans. Epileptique.
TABLEAU
XXVII F xi MILLE P. . . côté maternel lticn.
Tante. Rien. I Fils unique. Obèse. — Diabétique. Comitial.
TABLEAU
XXVIII mere Nerveuse. pere Diabétique depui
s depuis l'âge de 5 2 ans. quelquefois accès ordinaires nocturnes.)
TABLEAU
XXIX CÔTÉ MATERNEL CÔTÉ PATERNEL Grand-père. Gr
o-mastoïdten gauche très considérable datant de plusieurs années.
TABLEAU
XXX famille d... PERE Coliques hépatiques. ME
liques hépatiques. MERE Diabète. _l Fils. Paralysie générale.
TABLEAU
XXXI FAMILLE ISRAÉLITE CÔTÉ MATERNEL Grand'mè
abétique. Père. MU0 X..., 18 ans. Névropathe, hypocondriaque.
TABLEAU
XXXII FAMILLE ISRAÉLITE père Mélancolique. Fi
olique. Fils. Diabétique et mélancolique. 2° TABES ET DIABÈTE
TABLEAU
XXXIII FAMILLE R... père Diabétique, avec név
vrite diabétique, zona, etc. Fils. Tabes ti paralysie générale.
TABLEAU
XXXIV FAMILLE ISRAÉLITE Frère. Tabétique.
Sa femme. Diabétique. Fille. Hystérique Fils. Tabétique.
TABLEAU
XXXV CÔTÉ PATERNEL CÔTÉ MATERNEL Tante. Man
Quelques symptômes tabétiques (?) Paralysie générale progressive.
TABLEAU
XXXVI CÔTÉ PATERNEL COTÉ MATERNEL Grand-pèr
laires souvent répétés. La malade. — Mmc X... Syphilis (?) Tabes.
TABLEAU
XXXVII famille israélite PÈRE Diabétique. MÈR
Diabétique. MÈRE Nerveuse. Fils. Neurasthénique. — Ataxique.
TABLEAU
XXXVIII famille israélite PÈKE Ataxique non s
avail, et ils y figurent au nombre de quatre (n0s 45, 49, 59 et 70 du
tableau
). D'autres malades à accès nocturnes, au contra
observations de ces malades ; on en trouvera la nomenclature dans le
tableau
placé plus loin et qui résume l'ensemble de notre
suite de cette nomenclature des cas, nous avons cru bon de placer un
tableau
synoptique permettant de jeter un coup d'œil rapi
mprenait les 115 cas de rhumatisme subaigu et chronique notés dans le
tableau
ci-dessus. Mais les malades de ce genre forment d
XXIV). Parmi les trois cas de morphinomanie qui se trouvent dans le
tableau
ci-dessus, il y en deux qui présentent quelque in
Si nous revenons maintenant sur les chiffres généraux résultant du
tableau
ci-dessus, nous trouvons dans une période de neuf
s, peu prononcé, il est vrai, mais continu. Bientôt s'ajoutent à ce
tableau
des troubles de la déglutition, le malade s'eng
tion et l'apparition du phénomène respiratoire de Cheyne-Stokes. Le
tableau
,symptomatologique permit dès le moment de l'attaq
observation ne réside pas seulement dans ce fait qu'elle réalise le
tableau
clinique, aussi complet que possible de la « neu-
i complet que possible de la « neu- rofibromatose généralisée ». Ce
tableau
est dans ses grandes lignes bien connu aujourd'
copes et par- fois jusqu'à des menaces d'asphyxie. Quelquefois le
tableau
clinique est bien moins dramatique : il s'agit
* Le musée Snermondt. à t\ia-la-Cliapelle, possède un intéressant
tableau
sur bois, attribué - mais avec de judicieuses r
solide courroie pourmain- tenir les opérés turbulents. , Voici la
tableaux
instruments où s'entassent pèle-môle les fioles,
r, s'il parvient à guérir ce fréné- tique invétéré ! 1 Tel est le
tableau
d'Aix-la-Chapelle qui peut compter parmi les docu
ir vu l'original, il est hasardeux de proposer une attribution à ce
tableau
, d'autant qu'on y retrouve comme des réminiscence
Dr Gimbert ayant eu l'obligeance de faire photographier ce curieux
tableau
, je tiens à leur en exprjmer ici mes vifs remerci
e l'a jugée insuffisante pour constituer à elle seule le sujet d'un
tableau
. Mais la place importante qu'elle occupe dans l
. T. XIII. 1,1. XVI UN ARRACHEUR DE PIERRES DE TÈTE Fragment d'un
tableau
de l'École Flamande (XVII" siècle). Collection
e Bruegel le Vieux, les peintures de Jan Steen et tant d'autres. Le
tableau
du D' Gim- bert confirme clairement la vogue po
st encore le même sujet que l'on a pu voir sur la photographie d'un
tableau
appartenant à M. le Dr Paul de Molènes. La fr
ont l'usage était alors exploité par d'innombrables charlatans. Les
tableaux
flamands et hollan- dais en témoignent surabond
suite, et aucune nouvelle manifestation n'était venue s'ajouter au
tableau
clinique précédent, lorsque, en janvier 1898, la
rnières années et de nombreux travaux nous ont appris aussi bien le
tableau
clinique que les détails histologiques des dif-
e la vérole pour l'axe cérébro-spinal ; d'ailleurs, la bénignité du
tableau
clinique des manifestations périphériques que fai
clinique, une constatation se dégage aussitôt, la diversité telle du
tableau
décrit par les auteurs qu'il paraît difficile d
vons que les lésions anatomiques de radiculile syphili- tique et le
tableau
clinique qui en découle sont très différents de c
ossession de documents suffisanls et in- discutables pour tracer le
tableau
clinique de la polynévrite syphilitique ? Rien
palhogénique doit être exclusivement demandée à la clinique. Or le
tableau
clinique est souvent complexe. Avant l'apparition
out autour, c'est plus qu'il n'en fallait pour inspirer un sujet de
tableau
. , Comme aussi les boutiques enfumées où travai
ongeaient aussitôt à faire rire les autres. Aussi, la plupart des
tableaux
qu'ils ont consacrés aux Arracheurs de dents co
es spécialistes du XVIe au XVIIIe siècle. La liste des principaux
tableaux
des écoles flamandes et hollandaises peut donne
u musée de Weimar. AuDRIES BOTH ( ? -1650). L'arracheur de dents,
tableau
disparu, gravé à l'eau forte par Jan Both. JAN
n épisode d'une composition plus importante : Tels sont parmi les
tableaux
de ce genre qui nous paraissent dignes d'être m
supercherie et désignent le voleur à la vindicte du public (1) Le
tableau
en question est daté de 1616. Il est donc postéri
s a représentées 1>. llruegel le Vieux,le père de l'auteur de ce
tableau
. Le charlatan de la Kermesse d'Augs- bourg se l
PÊTRIÈRE. T. XIII. PL. XXXII, LES ARRACHEURS DE PIERRES DE TÊTE
Tableau
du Musée de Saint-Omer. Massok et Ci', Éditeurs
au du Musée de Saint-Omer. Massok et Ci', Éditeurs. A PROPOS D'UN
TABLEAU
DU MUSÉE DE ST-OMER REPRÉSENTANT LES 1 «ARRAC
visite au musée de St-Oi-ner ? Ie Dr Bachelet nous fit remarquer un
tableau
classé sous la rubrique : « Opé- ration de la p
ration de la pierre de teste », et qui nous intéressa vivement. Ce.
tableau
situé dans la première salle du musée et fort m
enfin dans des positions diverses. " .. , '. ' ? Acheté en 1881, ce
tableau
a figuré à l'exposition rétrospective d'Arras.
es le 5 sep- tembre 1569. Une étiquette ancienne collée derrière le
tableau
donne cette indication peu précise : « Breughel
cette indication peu précise : « Breughel d'Enfer. Un hôpital ». Le
tableau
n'est pas très bien conservé; il a été reverni à
us avons rencontré à la page 170 un article intitulé « un nou- veau
tableau
représentant les Arracheurs de pierres de leste,
que nous signalons se trouvait la reproduction phototy- pique d'un
tableau
au premier abord identique à celui deSt-Omer. Ce
rossièrement apocryphe. M. Henry Meige qui étu- die de très près ce
tableau
, pense qu'en raison de certaines incorrections de
s'agirait pour lui d'une copie exacte, quoique fort médiocre.« d'un
tableau
de Breughel l'Ancien, tableau aujourd'hui dispa
exacte, quoique fort médiocre.« d'un tableau de Breughel l'Ancien,
tableau
aujourd'hui disparu». Nous ne connaissons du ta
ghel l'Ancien, tableau aujourd'hui disparu». Nous ne connaissons du
tableau
appartenant à M. Paul de Molènes que la reproduct
à laquelle nous venons de faire allusion, mais nous pensons que le
tableau
du musée de St-Omer est justement ce tableau or
is nous pensons que le tableau du musée de St-Omer est justement ce
tableau
original de Breughel l'Ancien que l'on croyait
riginal de Breughel l'Ancien que l'on croyait disparu. En effet, le
tableau
de M. de Molènes, s'il parait au premier abord
T, XIII, PL. XXXIII. LES ARRACHEURS DE PIERRES DE TÈTE Détail du
tableau
du Ilusvc du SnintOl11cr. Masson et C ? Éditeur
71 et si on la compare avec la reproduction que nous donnons ici du
tableau
du musée de St-Omer, il est facile de voir que
cile de voir que le copiste s'est contenté d'un à peu près. Dans le
tableau
de St-Omer le premier plan, constitué par un homm
le parfait. Comparez les deux expressions de physionomie dans notre
tableau
et dans celui du Dr de Molènes : dans le premier,
té bestiale. Quant à la tête du pa- tient un simple examen des deux
tableaux
montre les différences non seu- lement d'expres
s dissemblances dans le costume du patient ; pieds chaussés dans le
tableau
du musée de St-Omer, nus dans celui de Paris. N
e entre la commère assise dans un panier au premier plan dans notre
tableau
et celle du tableau de Paris. Il y a bien d'aut
ssise dans un panier au premier plan dans notre tableau et celle du
tableau
de Paris. Il y a bien d'autres dissemblances po
eux en comparant lesplan- ches photo typiques reproduisant les deux
tableaux
. Il est un fait intéressant, selon nous, c'est
us concluons qu'au point de vue de la facture et de l'exécution, le
tableau
du musée de St-Omer est bien supérieur à celui qu
d'oeuvres d'art des écoles des Pays-Bas, en particulier, dans trois
tableaux
de Jean Steen que nous avons déjà étudiés, l'Opér
e l'on rencontre en feuilletant ces pages. Bien que désireux que ce
tableau
d'ensemble soit aussi fouillé dans ses détails qu
paux musées d'Europe. Le musée du Prado, à Madrid, possède un grand
tableau
de Tmbodose Rombouts (1.9-lda compatriote et pr
e la fougue môme, et un natu- ralisme de bon aloi (PI. XLIII). Le
tableau
du Prado représente un Arracheur de dents. C'est
s avec une rare habileté. Le Dentiste ne serait pas déplacé dans un
tableau
de Corporation, avec sa joyeuse figure ronde, s
phie DE la Salpêtrière T. XIII. PI. XLIII UN ARRACHEUR DE DENTS
Tableau
de THEOIJORE RoNiBOUTS (i5 ? i6;7). École flamand
T, XIII, PL. XLIV, Cliché Hanfgstaengl. L'ARRACHEUR DE DENTS
Tableau
de GRARD HONTHORST fts9o-r6g6), École hollandaise
te s'apprêtait à arrêter le mouvement de l'opérateur. Comme dans le
tableau
de Rombouts, les figurants sont vus ami-corps s
de donner directement les divisions micrométriques. Les rapports du
tableau
ci-dessus sont chiffrés en fractions, dont le num
coloré. Un second stade nous présente, à peu de chose près, le même
tableau
(Pl. XLV, e), la seule différence à signaler, c
peu de chose près des chiffres identiques, ainsi que le démontre le
tableau
ci-dessous. Le numérateur des fractions du tabl
le démontre le tableau ci-dessous. Le numérateur des fractions du
tableau
suivant représente le plus petit diamètre de la
publiés par d'autres auteurs, comme le prouvent les chiffres de notre
tableau
. Les chiffres de ce tableau permettront de comp
comme le prouvent les chiffres de notre tableau. Les chiffres de ce
tableau
permettront de comparer simultanément les élé-
e- cousses nystagmiformes, l'exagération des réflexes complètent le
tableau
clinique qui rentre dans le cadre du syndrome c
lassification anatomique nous semble la meilleure parce que le même
tableau
clinique et peut-être les mêmes données étiologiq
es cas d'atrophie du cervelet ; d'après Londe, il y a des cas où le
tableau
clinique réduit de part et d'autre (maladie de
ment ou par contusion ? Ainsi qu'on peut le constater en lisant le
tableau
que nous avons donné ci-dessus au sujet de la f
aroi d'entrée demeurait intacte ; elle ne tomba que plus tard. ' Le
tableau
clinique que peuvent présenter les blessures du c
rsion. Les résultats de l'examen électrique sont détaillés dans les
tableaux
sui- vants : 422 ABADIE ET DENOYÉS UN CAS
iiiell). L'Al->,I ? ,ACIIEUI ? DE DENTS L'ARRACHEUR DE DENTS
Tableau
d'A ORlA EN BROUWER, au Musée de Cassel. Masson
dans la galerie de peinture de Carlsruhe une réplique exacte de ce
tableau
, mais traitée de façon assez froide. On n'y recon
r. Peut-être ferait-on aussi quelques réserves sur l'attribution du
tableau
de Cassel. Mais il semble avoir souffert des in
s Pédicures (1) de Frankfort et de Munich. Dans ces deux derniers
tableaux
, on retrouve bien le même personnage qui entr'o
II. PI. LXV Cliché Br.1l1n. Climcnt et Cie L'ARRACHEUR DE DENTS
Tableau
d'ADIZIAI-,N 13ROUWEI. Galerie Lichtcnstcin, à Vi
n- tré moins libéral qu'envers les Pédicures. Je ne connais qu'un
tableau
qui corresponde au type classique. Je l'ai vu a
. LXVI. Cli"hé Ilanfatacngl (;\ ! ullich). L'ARRACHEUR DE DENTS
Tableau
de DAVID Tcsmas le J £ U1OE, au Musée de Casscl.
icalement à sa disposition son officine et sa propre personne. Le
tableau
du musée de Cassel serait le portrait le plus ach
raphie DE la SALYL1'RILRL T. XIII. PI. LXVII L'ARRACHEUR DE DENTS
Tableau
de DAVID Teniers, le Jeune, au Musée de Dresde.
ablette est accroché au mur avec divers récipients. Il existe de ce
tableau
une copie au musée de Berlin, provenant de la c
aliste où excellait le maître hol- landais (PI. LXVIII). Ce petit
tableau
est d'une indiscutable valeur : heureux agencemen
. LXVIII, Chché Hanfotacngl ( ? IIUlllCh), L'ARRACHEUR DE DENTS
Tableau
d'ADRIAEN VA,-17 OsTADE, au Musée de Vienne. Ma
faire grouiller dans ses scènes villageoises. L'aide-dentiste du
tableau
de Vienne est peut-être de la même espèce. Il n
é assez souvent sur les dendrites basilaires. b) Région médiane. Le
tableau
microscopique a été approximativement le même que
x. Sur les prépa- rations faites de tous ces morceaux on observa un
tableau
ressemblant. (ln n'observe pas de dégénérescenc
roit. A) Lobe frontal. - Pour l'examen furent pris six morceaux. Le
tableau
microscopique a beaucoup de ressemblance avec l
rceaux. Le tableau microscopique a beaucoup de ressemblance avec la
tableau
observé sur les préparations du lobe frontal ga
se trouvant en liaison avec les vaisseaux. B) Lobe occipital. - Le
tableau
microscopique a beaucoup de ressem- blance avec
al. - Le tableau microscopique a beaucoup de ressem- blance avec le
tableau
observé sur les préparations du lobe occipital ga
t aussi auprès de la surface de l'écorce cérébrale. Concer- nant le
tableau
microscopique observé dans la substance blanche,
ral. Dans les autres régions on observe appro- ximativement le même
tableau
, que dans la région située plus haut de l'intu-
ale.- b) Région occipitale.- On observe appro- ximativement le même
tableau
que dans le lobe frontal, seulement avec cette
les nerveuses des ganglions spinaux. La paralysie générale donne un
tableau
patltologo-anatomitlue très varié; les parties
ableau patltologo-anatomitlue très varié; les parties isolées de ce
tableau
si complexe ont une signification dif- férente
s 6 cas il n'y avait point de dégénérescence nette. En comparant le
tableau
clinique avec les données histopatholoiques, St
ostéo-arthrites infectieuses, rhumatismales surtout. D'ailleurs le
tableau
symptomatique change aussitôt et la troi- sième
he dont le nerf n'a pas été réséqué. Nous n'en donnons pas moins un
tableau
de nos mensurations, car quelque relative que s
ait été traumatisé. Les quelques chiffres que nous donnons dans le
tableau
suivant permettent de se. rendre compte des dia
les du ganglion droit qui sont restées saines. Nous donnons dans le
tableau
suivant quelques chiffres qui permettent la com
ion droit comme pour le ganglion gauche; il ressort nettement de ce
tableau
que les cellules du ganglion pathologique ne so
es auront leurs divers diamètres transcrits en chiffre gras dans le
tableau
suivant : Ganglion plexiforme droit. Normal.
vue symptomatique et étiologique. Symptomatiquement, il présente le
tableau
de la paralysie alterne (ce qui est déjà assez
bas et en dehors. Acuité visuelle. L'oeil gauche lit le n° 10 du
tableau
décimal à 4 mètres, l'oeil droit ne peut lire c
s docu- ments picturaux concernant la médecine. Le principal est un
tableau
d'ANDRIES BoTO (1612-1650) relatif aux Pierres
n'a pu être retrouvé, mais que Jean Both a grave à l'eau forte. Ce
tableau
faisait; dit-on, partie d'une série intitulée l
se par céder. L'Arracheur de dents, gravé par Jean Botii d'après un
tableau
d'Andries BOTH. 560' HENRY MEIGE .' - 'A gauc
hie DE la Salpètrière T. XIII. PI. LXXVIII L'ARRACHEUR DE DENTS
Tableau
de JAN VrCTORS (1620-1682) au Rijk Muséum d'Ams
la myélite aiguë par le fait que la maladie, après avoir réalisé le
tableau
clinique de la myélite aiguë, a pris une marche
e ou centripète (C. Vogt) par rapport à cet axe, comme le montre le
tableau
ci-joint (Fig. 8) : l'écriture aryenne .est cen
lyse, en nous basant sur les faits cités dans nos expériences (Voir
tableaux
, pp. 38, 47, 57, 64, 76, 80, 85, 96, du pré- se
ous avons déjà donné pour chacune de nos expériences, sous forme de
tableaux
, les résultats inattendus auxquels nous sommes
à une boule par une chaîne. Ce singe remplace ici le petit chien du
tableau
de Dresde. En outre, sur la muraille est accroc
ien du tableau de Dresde. En outre, sur la muraille est accroché un
tableau
représentant la stigmatisation de St François.
tisation de St François. Il est possible que Teniers ait peint un
tableau
identique à celui du musée d'Augsbourg : J. van
E la SALY1 : TRI1 : RE T. XIII. PI. LXXXVI 1 L'ARRACHEUR DE DENTS
Tableau
de DiL'Duoj, dans la Galerie de Schwerin. Masso
1 J'ai déjà eu l'occasion de parler, à propos du Mal d'Amour, d'un
tableau
de Gérard Thomas (5) (commencement du XVIIIe si
PL. LXXXIV. L'ARRACHEUR DE DENTS Gravure de ÏAYLOR. D'après un
tableau
de GÎ RARD Dow, dans la galerie de Schwerin. Ma
327. B. Il, 37. L, 30. Signé. - Il existe une très bonne copie de ce
tableau
dans la galerie d'Aschafîenburb. - Notre planch
s encore un Arracheur de dents tout à fait respectable que celui du
tableau
de Gérard Dowpossédé par le Louvre (1) ? (PI. LXX
(1) Na 2355. II, 32. L, 25. B. Il existe de nombreuses copies de ce
tableau
, entre autres aux musées d'Amiens et de lfontpe
DE LA SALPÊTRIÈRE. T. L'ARRACHEUR DE DENTS Gravure - d'après le
tableau
de Gérard Dow, au musée du Louvre. Massos ET 0'
du musée de Dresde (1) (PI. LXXXVI) est presque aussi connu que le
tableau
du Louvre. C'est une de ces scènes encadrées da
e dent. i) N° 1710. B. II, 57. L, 24. Signé et daté 1672. Ce joli
tableau
a été maintes fois copié et imité. Il en existe e
graphie DE la SALPÉTRIÈRE T. XIII. PI. LXXXV L'ARRACHEUR DE DENTS
Tableau
de Gérard Dow, au Musée de Dresde. Masson &
d'un Arracheur de Dents ? « Tel est du moins le titre consacré à ce
tableau
. Et rien n'empêche de l'admettre.» Malgré son
raphie contemporaine nous a laissé plus d'une réplique imagée de ce
tableau
imprimé. Rappelons encore ce portrait de Carmel
carrefour Ce croquis plein de verve a-t-il jamais été transformé en
tableau
? Tel qu'il est, il constitue un des documents
74 . HENRY MEIGE Parmi les peintures, j'ai relevé, entre autres, un
tableau
de Pietro LONGIII, peintre vénitien, intitulé l
au de taffetas noir qui, plus tard, dégénéra en mouche, a, dans les
tableaux
du maître hollandais, la valeur d'un symbole.
Mais ne me disloquez pas la mâchoire. (1) N- 461. T. 5 : 1-r7. - Ce
tableau
fait partie d'une série dans laquelle se rouve
errant une molaire. C'est enfin, au musée de Bruxelles (N° 140), un
tableau
de l'École fla- mande du XV. siècle où l'on voi
f (2 pi. en photocol- logr.), 418. Pierres de tête (A propos d'un
tableau
du musée de Saint-Omel' représentant les arra
n- taire (2 pl. en photocollogr.), 169. Gaudier 11. A propos d'un
tableau
du mu- sée de St-Omer représentant les « Arra-
es leçons de choses, soit à l'école, soit dans les jardins (avec le
tableau
roulant), soit au Musée scolaire, soit aux atel
est arrivé à placer les lettres, les chiffres, les couleurs sur les
tableaux
, et les nomme sans se tromper. Il connaît aujou
donnons nous-même. Nous leur faisons en même temps reconnaître au
tableau
noir ou sur nos feuilles impri- mées en gros ca
nt pour l'éducation de la vue, depuis bien des années, notamment le
tableau
des couleurs, le jeu de dominos en couleur (PL.
ouleurs, le jeu de dominos en couleur (PL. I), nous avons ajouté le
tableau
des cartes Ù jouer, dis- posé en creux comme le
s ajouté le tableau des cartes Ù jouer, dis- posé en creux comme le
tableau
des surfaces (Fig. 13). III. Enfants propres et
e Bicêtre ont également obtenu le certificat d'études. 1-'ig. 13. -
Tableau
des cartes. ENSEIGNEMENT DU CHANT. xxvii à l'
Ce musée s'est notablement enrichi en 1903, ainsi que le montre le
tableau
suivant. LXVI ENSEIGNEMENT PH.OFESSiONJNEL. I
organisé. EVALUATION DU TRAVAIL DES ENFANTS, lxvii imprimer. Le
tableau
suivant met en évidence les résultats obtenus p
atteints de maladie de Lillle ; enfin 8 étaient athétosiy2ces. Le
tableau
suivant résume le mouvement de la population en
Décès. - Les décès ont été au nombre de 24 durant l'année 1903. Le
tableau
des pages LXXVIII il LXXXIII fournit les rensei
ur famille, guéris ou améliorés ou sur la demande de celle-ci. Le
tableau
des pages LXXXIV à indique les motifs de la sor
laire, ci-dessus. LXXVIII .TABLEAU DES DÉCÈS. - LXXX LXXXII
TABLEAU
DES décès. xc Consultations : traitement extern
dentelle; 4 savent faire de la tapisse- rie ; 2 savent tricoter. Le
tableau
suivant donne mois par mois le nombre des appre
arif est notablement abaissé depuis le 1b`' décembre 1902. Voici le
tableau
comparatif : .- - Promenades, distractions. c
LATION. cxxi Sorties. - Les sorties ont été au nombre de 20; le
tableau
des pages cxxiv, cxxv, indique les motifs de la
e papa, toto, caca, etc. Pour la marche à suivre, nous renvoyons au
tableau
d'articulation de M. Goguillot, retouché à beau
aussi émettre celles qui manquent, on peut du reste se reporter au
tableau
des voyelles pour constituer une liste complète
nnel nécessaire, j'aurais besoin des renseignements indiqués sur le
tableau
schématique ci- après : Asile DE Clermont (OI
Bourneville en date des 1G février dernier et 3 mars courant et des
tableaux
de traitement du personnel de la fondation Vall
int 1,353; elle a crû pendant ce troisième traitement de 2 cm. Le
tableau
ci-après indique les oscillations du poids pend
ions, ainsi que la marche de la croissance.Nous avons les mê- mes
tableaux
pour tous nos malades, il serait fastidieux de
normal. Poils assez abondants au périnée et autour de l'a- nus.
Tableau
du poids et de la taille de 1895 Il 1 no;). 10
n'a grandi que d'un centi - mètre par année ainsi que l'indique le
tableau
suivant : Nanisme par arrêt de développement si
u de lu56, à son âge, 18 ans, on lui donne de la glande thyroïde.
Tableau
des poids et taille avant, le début du traitement
eon. - Poils assez abondants au périnée et au pourtour de l'anus.
Tableau
des accès Nanisme avec infantilisme. 53 ver
la médication thyroï- dienne. Les résultats sont consignés dans les
tableaux
sui- vants : Tableau des poids et taille avan
enne. Les résultats sont consignés dans les tableaux sui- vants :
Tableau
des poids et taille avant le commencement du tr
e commencement du traitement. 68 DE quelques formes DE nanisme.
Tableau
des modifications survenues. On administre un 1/2
ne pastille puis deux pastilles de thyroïdine par jour (en mars).
Tableau
des poids et taille avant le traitement : Nanis
q mois de traitement. Le résultat est frappant si l'on rapproche ce
tableau
du précédent.. Quêm.. " est âgé. * de [Sans. 1
ication. Les règles de l'enfant ont toujours été très régulières.
Tableau
du poids et de la taille. Nanisme avec obésité.
les durent en général 4 à 5 jours; elles sont assez abon- dantes.
Tableau
des poids et laille. Nanisme avec OBÉSITÉ. 10
est entrée dans le service (Fondation Vallée), le 8 janvier 1891.
Tableau
du poids et cle la taille de 1891 à 1895. Nanis
es- sivement. Troisème traitement, du fer mars au 10 juin 1899.
Tableau
du poids et de la taille pendant le traitement.
et de la taillé avant le début du traitement sont indiqués dans le
tableau
suivant : Nanisme avec obésité. 120 De quel
Les cheveux de la plaque ne paraissent plus avoir de parasites. .
Tableau
du poids et de la taille. 128 De quelques forme
ent une très petite bosse. La région occipitale est plate. (Voir le
tableau
des mensurations détaxe). Face. - Visage jouf
res au-dessous de la taille moyenne à son Ùge (Fig. 43.) Voici un
tableau
qui ne laisse aucun doute sur la réa- lité du n
e tousse moins, et n'est pas alitée. Marche de l'épilepsie. 209
Tableau
des accès et des vertiges. Déchéance ; TUBERCUL
maigrit, mais ne reste pas alitée. Mêmes signes à l'auscultation.
Tableau
du poids et de la taille. - 212 l'UlIEIt'1'1
de cette année (84 garçons et 57 filles), soit un total de 2.987,
Tableau
statistique sur l'alcoolisme . 224 i Action DE
mentation de poids. L'inclinaison du rocher est indiquée dans le
tableau
sui- vant qui donne l'angle pétroclivien. 232
isphères cérébelleux sont égaux. C'est, au moins, ce qui ressort du
tableau
sur l'Inégalité des hémisphères cérébraux et cé
et l'enfant rend le dernier soupir à 5 h. 20 du soir. (ri ? 09).
Tableaux
DES accès, DU POIDS. ETC. 25 Tableau des accès
5 h. 20 du soir. (ri ? 09). Tableaux DES accès, DU POIDS. ETC. 25
Tableau
des accès et des vertiges. 258 État DE MAL, mor
es de degré sous l'influence de l'accès (Voir pour com- paraison le
tableau
de la T. à l'entrée, p. 252). Autopsie, faite l
pte rendu de 1899, p. 101. Thymus chez LES épileptiques. 271 Le
tableau
ci-dessus donne une idée générale de ces cas et
ileptique, et l'enfant idiot, imbécile, etc., non épileptique. Le
tableau
suivant donne âge par âge la répartition de ces
Le tableau suivant donne âge par âge la répartition de ces cas. (
Tableau
B). Tableau n, 272 Thymus chez LES anormaux.
suivant donne âge par âge la répartition de ces cas. (Tableau B).
Tableau
n, 272 Thymus chez LES anormaux. Comme on le
leau n, 272 Thymus chez LES anormaux. Comme on le voit d'après le
tableau
A, nous trou- vons une moyenne de 24. 6 0/0 pou
eux cas de synostose complète et 29 cas de synotose partielle. Le
tableau
ci-dessus, donne àge par âge la réparti- tion d
il y a 70 cas de persistance de la suture métopique, soit 9,4 ? Le
tableau
suivant, donne, âge par âge, la répartition de
xercées par les parents. 282 SATURNISME. cées par les parents. Le
tableau
suivant complète notre ancienne statistique.
Tabacs 3 Plumassiers 4 Matelassières 3 Polisseur sur métaux 1
Tableau
des hémiplégiques (Filles et garçons). XIII.
ids des hémisphères cérébraux et cérébelleux; Par BOURNEVILLE. Le
tableau
qui suit complète notre statistique de l'an der
âteux, il retour- ne au service des gâteux. Accès nombreux (Voir le
tableau
) 1903. Janvier. - L'enfant est maintenu dans le
écembre. - Pas d'accès, l'agitation continue. Mesures de la tète.
Tableau
des accès et des vertiges. 306 Etat DE MAL ;
mut, température. AI10 .-État de MAL : 'TEM1'ÉRATURÈ.. montre le
tableau
(p. 306) et se sont compliqués de vertiges par
s il devient gâteux, a de l'incontinence nocturne d'urine. (Voir le
tableau
). Après un relèvement passager, il tombe irrémé
s, le 10 avril 1903. Très honoré confrère, Vous trouverez dans le
tableau
ci-joint les renseigne- ments que vous me deman
riques ou non (Grande école).... xxv Certificats d'études obtenus
Tableau
des cartes xxvi Enseignement du chant...... ? .
. LXIX 111. Statistique. Mouvement de la population........ LXXIV
Tableau
général, ....................... LXXV Décès, So
.............. LXXV Décès, Sorties, Évasions............... LXXVI
Tableau
des décès ...................... LXX'III Tablea
.......... LXXVI Tableau des décès ...................... LXX'III
Tableau
des sorties .................... LXXXIV Transfe
.... cxvii II. Statistique. - Mouvement de la population..... cru
Tableau
général........................, cxx Décès, Sor
ransferts..... cxxi Population au 31 décembre 1901.......... cxxi
Tableau
des décès....................... cxxn Personnel
............ cxxn Personnel............................... CXXVII
Tableau
des sorties...................... Cxxiv Notes a
enseignement primaire, pour lesquels nous nous servons d'une série de
tableaux
spéciaux, de l'Alpha-bet du dessin de Mme Bru, co
les leçons de choses, soit à l'école, soit dans les jardins (avec le
tableau
roulant), s=oit au Musée scolaire, soit aux ateli
, bien l'addition et la sous-traction. 11 copie les devoirs écrits au
tableau
, mais ne peut suivre la dictée. En décembre 190
ssez lisible ; le malade copie sur son cahier les exercices écrits au
tableau
noir, mais ne peut réussir comme il le vaudrait,
e de musique. (Complément du petit solfège de notre livre de chant.
Tableau
de la durée et la valeur à donner aux notes do mu
es y assistent. L'un des maître, M. Mesnard, se sert pour sa leçon du
tableau
roulant dont nous avons parlé souvent. Il rappell
pour la bonne direction morale qu'ils essaient de leur imprimer. Les
tableaux
ci-après mettent en évi-dence les résultats obten
ent atteints de maladie de Little; enfin 9 étaient athètosiques. Le
tableau
suivant résume le mouvement de la population en 1
Décès. — Les décès ont été au nombre de 35 durant l'année 1905. Le
tableau
des pages lxiv à lxx fournit des renseignements c
la demande de celle-ci, 1 est passédansunedesdivisionsdel'hospice. Le
tableau
des pages lxxii à lxx vu indique les motifs de la
la dentelle ; 2 savent faire de la tapisse-rie ; 1 sait tricoter. Le
tableau
suivant donne mois par mois le nombre des apprent
par les malades. Sorties. — Les sorties ont été au nombre de 10; le
tableau
des pages evi, cvn. indique les motifs de la sort
de cette année (46 filles et .92 garçons), soit un total do 3.271.
Tableau
statistique sur l'alcoolisme. £ m O pq P o
1071 • 353 1424 étaient sobres. Totaux......... 2529 742 3271 Le
tableau
ci-dessus résume la situation des pères et mères
rents. Bourneville, Uicèlve, 1905. *"""* cées par les parents. Le
tableau
suivant complète notre ancienne statistique. Au
. Préparateur de plaques photographiques.. 1 Total...... 150 Le
tableau
suivant montre les affections auxquel-les ont suc
Vernisseur................................ 1 Total........ 46 Le
tableau
suivant montre les affections auxquel-les ont suc
, il y a 74 cas de persistance de la suture métopique, soit 9,2 %: Le
tableau
suivant, donne, âge par âge, la répartition de ce
deux cas de synostose complète et 30 cas de synostose partielle. Le
tableau
ci-dessus donne, âge par âge, la répar-tition de
oncernant nos enfants anormaux. (1) Compte-vendu de 1899, p. 164.
Tableau
A. ANNEE. Total des décès. Idiots et imbé
12 6 5 4 5 11 8 liTotaux. 451 171 40 312 83 123 Le
tableau
ci-dessus donne une idée générale de ces cas et l
ileptique, et l'enfant idiot) imbécile) etc., non epileptique. Le
tableau
suivant donne âge par âge la répartition de ces c
e. Le tableau suivant donne âge par âge la répartition de ces cas. (
Tableau
B). Tableau D. (1) Ce groupe comprend les épi
u suivant donne âge par âge la répartition de ces cas. (Tableau B).
Tableau
D. (1) Ce groupe comprend les épileptiques non
7 9 4 4 7 8 6 8 8 12 4 85 123 Comme on le voit d'après le
tableau
A, nous trou-vons une moyenne de 23. 3 0/0 pour l
résents dans le service le 31 décembre 1905 ; par BOURNEVILLE. Le
tableau
ci-après montre qu'il y avait dans le service, à
e. Hémiparésie. Enfant assisté. Hémiparésie. Hémiparésie. Ces
tableaux
présentent des lacunes. Malgré nos efforts pour l
le et nièce ...................... 3 Total................ ÏÏ? Le
tableau
suivant donne une idée des affections diverses do
oids des hémisphères cérébraux et cérébelleux ; Par bourney^lle. Le
tableau
suivant complète notre statis-tique de l'an derni
de coups de cloche, de bâtonnets, de billes, etc.; casier à chiffres,
tableau
des chiffres de 0 à 9. Addition et soustraction d
la marche. 2° Mensurations comparatives des membres des deux côtés (
tableau
). 3° Etat des jointures : a) contracture, b) cra-
andes et petites lèvres. Nous avons fait faire un certain nombre de
tableaux
, les uns communs à tous les enfants, les autres s
nfants, les autres spéciaux à certaines catégories d'entre eux. Les
tableaux
communs sont les suivants : a) Tableau de la te
tégories d'entre eux. Les tableaux communs sont les suivants : a)
Tableau
de la température des cinq premiers jours de l'ad
lle et le matin et nous maintenons l'enfant s'il a de la fièvre. b)
Tableau
des mensurations de la tôle. — c) Tableau des poi
t s'il a de la fièvre. b) Tableau des mensurations de la tôle. — c)
Tableau
des poids, taille et force musculaire (dynamomètr
c) Tableau des poids, taille et force musculaire (dynamomètre), — d)
Tableau
de la Puberté. — e) Tableau des urines. — /) Tabl
e et force musculaire (dynamomètre), — d) Tableau de la Puberté. — e)
Tableau
des urines. — /) Tableau de la vaccination. — g)
namomètre), — d) Tableau de la Puberté. — e) Tableau des urines. — /)
Tableau
de la vaccination. — g) Tableau de la température
uberté. — e) Tableau des urines. — /) Tableau de la vaccination. — g)
Tableau
de la température après la mort. Ces tableaux o
e la vaccination. — g) Tableau de la température après la mort. Ces
tableaux
ont été reproduits dans le Compte-rendu de 1894,
tableaux ont été reproduits dans le Compte-rendu de 1894, p. 54. Les
tableaux
spéciaux sont relatifs aux épileptiques (accès et
ner ; il peut placer les lettres, les chiffres et les couleurs sur le
tableau
, et sans se tromper. Il fait à la gym- 1891. —
llabe finale muette. Ainsi Lemaît... qui dit très bien : blanc, bleu,
tableau
, dira : « ta » pour table, « por » pour porte; de
pervers, épileptiques et hystériques ou non (Grande école).... xn
Tableau
des notices..................... xv Enseignemen
... lviii III. Statistique. Mouvement de la population........ lx
Tableau
général........................ lx Décès, Sorti
................. lx Décès, Sorties,........................ LXin
Tableau
des décès...................... lxiv Tableau de
............... LXin Tableau des décès...................... lxiv
Tableau
des sorties..................... lxxii Transfer
........ xcvm Statistique. — Mouvement de la population..... xcvm
Tableau
général......................... xcvm Décès, So
lation au 31 décembre 190 í.................................... c
Tableau
des décès....................... en Tableau des
................... c Tableau des décès....................... en
Tableau
des sorties...................... evi Personnel
roduites sous le nom de maladie de Raynaud paraissent reproduire le
tableau
de l'acro-cyanose hypertrophiante. Tel le cas réc
re pré- sente, tracer de l'acrocyanose chronique hypertrophiante le
tableau
symptomatique que voici. En général, la malad
ujours pro- gressive a débuté il y a plus de deux ans. Tel est le
tableau
clinique. Quel diagnostic nosologique porter ? :
i montré la signification sur les anciennes gravures et les anciens
tableaux
, étaient parfois remplacés par des étuis de cuir
ans le musée de la ville de Luxembourg (collection Pescatore), d'un
tableau
consacré par Gérard Dow à l'un de ces praticiens.
réaliser un chef- d'oeuvre. C'est, à ma connaissance, le sixième
tableau
de Gérard Dow consacré à l'urologie ; les autre
eintres de talent. 11 existe dans la collection Dutuit un excellent
tableau
d'Adriaen van NOUVELLE ICOVOGRAYIIIE DE LA SALP
OUVELLE ICOVOGRAYIIIE DE LA SALPÊTRIÈRE. T. XVI. Pl. X L'UROLOGUE
Tableau
de Gérard Dow, Musée de Luxembourg. (Henry Meig
lr, Editeurs LES UROLOGUES 65 Ostade représentant un Urologue. Ce
tableau
rappelle beaucoup celui que le même peintre a c
e Delft, capuchonné de rouge. Les mêmes accessoires figurent sur le
tableau
du musée de Berlin. Dans le fond, un grand pa
nullement chargé, dont on peutrépéter ce que je disais à propos du
tableau
analogue de Berlin : « Rien de satirique dans c
0. (2) On peut voir encore dans la collection Dutuit un intéressant
tableau
représentant un médecin qui fait une Opération
ires que le maître hollandais. Ne s'agirait-il pas d'une copie d'un
tableau
de Gérard Dow ignoré ou perdu ` ? .... Dans l'e
tout à fait .identiques à ceux qui figurent à la même place dans le
tableau
de Dresde. On voit en outre un vase en faïence
geait de ce soin. J'ai trouvé, en effet, il y a quelques années, un
tableau
de l'école hol- landaise, remontant vraisemblab
rge cheminée garnie d'un bandeau d'é- toffe verte et surmontée d'un
tableau
représentant un paysage ; à gauche, un lit clos
'a su donner à ces personnages ni le charme, ni la vie qui font des
tableaux
de Jan Sleen d'admirables chefs-d'oeuvre de sin
lement à jour et à he.ure fixes (1 ). Le musée de Dresde possède un
tableau
attribué à Hendrick lleerschoop (IG20-1GS` ? ),
ras le possédé de l'Ermitage rappelle de très près la démoniaque du
tableau
de l'église Saint-Ambroise de Gênes. Les mem- b
ce de son absence. Mais un phénomène cadre mal ici avec le reste du
tableau
: c'est la présence de troubles de la sensibili
rédo-syphilis. Les caractères cliniques de ce ta- bes rappellent le
tableau
du tabes infantile hérédo-syphilitique. Le tibia
ire du tibia, les malformations du squelette du pied font partie du
tableau
de l'hémimélie par absence du péroné. Nous pouv
éduction du dessin que je. possède, ou bien d'une esquisse d'après un
tableau
? q ... J'incline pour la première hypothèse; d
cline pour la première hypothèse; d'ailleurs, je n'ai pu rclrouver le
tableau
en question, et il n'est pas certain qu'il ait
orme, couvert d'ulcérations. J'ai noté aussi, au musée de Rouen, un
tableau
de Paul Véronèse, re- présentant Saint Barnaúé
graduel, ils étaient arrivés il donner en moins de six semaines le
tableau
d'une paraplégie des quatre membres, avec anest
e ou radiculaire qui ne fut pas constatée. Quoi qu'il en soit, le
tableau
des symptômes nerveux constaté au mo- ment de l
que sorte à une molaire bicuspidée. En rapport avec cette lésion le
tableau
sympto- matique (nerveux) était le suivant :
TERS.- Paralysie quelques jours après l'entrée. C'était en somme le
tableau
presque complet d'une paraplégie cervicale, causé
ébrile. D'autres fois, la tumeur intra-médullaire centrale, ouïe le
tableau
symp- tomatique d'une syringomyélie, - ou encor
antérieu- res seules sont détruites (tubercule massif, par ex.) le
tableau
d'une atro- phie musculaire et même, si la tume
1. Henry Meige (2), a donné une description parfaite et complète du
tableau
nosographique de cette anomalie du développemen
ICONOGRAPHIE DE la Salpêtrière. T. XVI. Pl. XLVI L'APOTHICAIRE
Tableau
de P. LoNGHI, à l'Académie de Venise. L'APOTHIC
IRE Tableau de P. LoNGHI, à l'Académie de Venise. L'APOTHICAIRE
Tableau
de P. Longhi (I 70-178) PAR L. E MARLANI. L
caux en verre et au milieu une grande armoire fermée surmontée d'un
tableau
religieux, la naissance de Jésus, entre deux én
er lui-même les prescriptions du médecin, le lavement compris. Le
tableau
qui se trouve actuellement dans les Galeries roya
squels son fils Alexandre qui surpassa même renommée du père. [Ce
tableau
a déjà été décrit dans une étude de M. Henry Meig
e sucre dans les urines élimine, indépendamment de la différence de
tableau
clinique, l'idée de névrite des diabétiques. L'
... écrit sur une table basse que lorsqu'il trace des caractères au
tableau
noir, le bras étant élevé; l'élévation du bras
e- ment suivant que le sujet écrit sur une table basse ou debout au
tableau
noir nous montrent qu'il ne s'agit pas du type
fois. Il exécute toute- fois dans ce sens des dessins variés sur un
tableau
noir. Le membre supé- rieur gauche sain servira
phie contient une courte étude de M. L.-E. Mariani, sur un gracieux
tableau
de P. Longhi, intitulé La Pharmacie et exposé à
, intitulé La Pharmacie et exposé à la Galerie royale de Venise. Ce
tableau
, dont M. Mariani donne une très bonne reproduct
arquable Iconographie des arracheurs de dents (2), a déjà décrit le
tableau
de Longhi. Il ne s'arrête pas à l'opinion « que
t rien de semblable. La Pharmacie fait partie d'une série de petits
tableaux
dus à l'habile pinceau de Pietro Longhi, peintr
e d'une femme galante à Venise vers le milieu du XVIII, siècle. Ces
tableaux
ont été gravés par Joseph Flipart et F. Bartolo
es ; Meige signale aussi, comme faisant partie de la même série, un
tableau
représentant un charlatan diseur de bonne avent
neuf le nombre total des ta- bleaux composant la série. Tous ces
tableaux
ont dû être gravés ; nous connaissons six de ces
en vers, et c'est précisément la légende du n° 8, c'est- à-dire du
tableau
qui nous occupe, qui nous permet d'interpréter ce
te. Sur le fourneau, dont on n'aperçoit qu'une faible partie sur le
tableau
et dont un jeune apprenti attise le feu à l'aide
rté vers la droite et un cautère gît sur le sol auprès de lui. Le
tableau
de Longhi mérite donc d'être attribué à cette rar
ont en se relevant à demi. Une inscription complète l'expression du
tableau
, la deuxième ligne très nette spécifie que : ..
nous citons, des inscriptions analogues relatant et expliquant les
tableaux
qu'elles soulignent. C'est en une série de tabl
expliquant les tableaux qu'elles soulignent. C'est en une série de
tableaux
les faits saillants delà vie du saint jusques e
s le martyre, la mort et le transport des reliques. C'estce dernier
tableau
seul que possède lemusée touchant saint Etienne ;
égitime encore l'appellation dé pseudo-18dème. Voici d'ailleurs des
tableaux
qui sembleront démonstratifs : 350 MAURICE DIDE
x qui sembleront démonstratifs : 350 MAURICE DIDE On voit par ces
tableaux
que la quantité des chlorures est au moins norm
nifeste dans nos photographies (Voir PI. LXVIII, fig. 2 el 3). Le
tableau
comparatif suivant fera très bien comprendre noir
continu ces malades avaient eu des accès de delirium tremens. Le
tableau
clinique du délire alcoolique continu au début se
peut pas être fondé sur des bases solides. Si le malade présente le
tableau
clinique de delirium tremens avec prédominance
ue chronique, quelquefois la psychose de Korsakoff, débutent par un
tableau
, ressemblant à celui du delirium tremens; on pe
il diffère d'une manière très prononcée de cette der- nière par son
tableau
clinique, par son cours et par son pronostic. L
e de la maladie susnommée (lésion de l'appareil auditif) et dans le
tableau
clinique (caractère différent des hallucinations,
hénomènes phy- 404 SOUKHANOFF ET WEDENSKY siques, accompagnant le
tableau
psychique du délire alcool)que continu et qui s
ux divers âges de la peinture italienne que de montrer une série de
tableaux
du même artiste ou de la même époque (ce qui d'
t semblables à ceux dont les divins Bambini sont enveloppés sur les
tableaux
des maîtres toscans. La première de nos photogr
antérieure à celle des fresques d'Andréa del Sarto (PI. LXX, A). Ce
tableau
de la Galerie antique et moderne de Florence, est
é par de nouvelles bandelettes, comme on peut le voir sur plusieurs
tableaux
; si la saison est rude, on le ramènera même par
t qui, vraisemblable- ment, était à peu près ignoré. Un très joli
tableau
du Baroche, bien postérieur à ceux que nous avons
manique de Nuremberg, un beau Possédé de M. M7011LCFNIUTH, sur un
tableau
qui représente une scène de la vie de saint Guy
par la fenêtre d'où on aperçoit un paysage avec un pont. Un petit
tableau
de PAUL BR1L (1sus4-1626). à la Pinacothèque de M
Gérasa est traité par BRDEGHEf. DE Velours (1568-1625) sur un petit
tableau
sur cuivre, mais sans détails caractéristiques.
quilles. Au musée d'Ypres, se trouve une esquisse de Rubens pour le
tableau
des Miracles de saint Benoit, qui fait partie d
yeux légère- ment convulsés en haut, le cou très saillant. Sur un
tableau
de PETRQS CLAEOE, dans l'Hospice de la Potterie,
type de contracture en exten- sion. Au musée de Dijon (n° 34) un
tableau
de GiusEPPE PASSARI z.4714) représente La Cessa
ce goûl précoce lui a permis de s'apercevoir qu'un grand nombre de
tableaux
étaient consacrés à des sujets médicaux et qu'i
s, en 1900. Un exemple, parmi tant d'autres : Parlant d'un charmant
tableau
, désigné dans tous les catalogues sous le nom d
pique dechtoro-anémique », et en reproduisant la photographie de ce
tableau
, il met en légende : La Chlorotique (Die Bleich
e dénomination était toute personnelle. C'est pourtant bien'ce même
tableau
qui fut reproduit dans la Nouvelle Iconographie
t.), p. 54-56 (3 phot.). Année 1892 Gilles de la Tourette. Sur un
Tableau
perdu de liaubens (Gnenson de Possédés), , ter.
lisz, p. 391-400 (1 phot.). Année 1899. Henry ME ! GE. Un nouveau
Tableau
représentant les Arracheurs de « Pierres de Têt
ravure de Denou 1188, p. 100 (1 fig.). II. GAUDIEIL - A propos d'un
tableau
du Musée de St-Omer représentant les « Arra- ch
e japonais, p. 359-376 (4 fig.). ( ? 1 : . 1\lAm.svc. - La Maladie,
tableau
de Jules Romain, p. 468-470 (1 phot.). Henry ME
2 fig., 6 schémas), par BRISSAUD et BRUANDET, 133. Apothicaire (
tableau
de P.Longhi) (1 phot.), par 1lARInNt, 201. Ar
bes occipitaux (1 pl. en photogr.), 100. Mariani . L'Apothicaire,
tableau
de Longhi (1 phot.), 201, 434 TABLE DES AUTEU
ie et Amyélie (Brissaud et Bnu- ANDRT), XXIX à XXXI. Apothicaire,
tableau
de P. Longhi (Mariani), XLVI. Arthropathie ne
çons par la verticale. La double règle ouverte est appliquée sur le
tableau
noir perpendicu- lairement au sol. L'enfant est
on de couleur donnée par l'exer- cice des planches coloriées et du ^
tableau
correspon- dant, l'un de nos anciens instituteu
re la différence entre le volume des bou- les. Leçons de choses :
tableau
roulant. - On se sou- vient que tous les espace
une étiquette où figure leur nom. Ces jardins sont des- Fig. 5. -
Tableau
roulant. xiv Grande école. nés aux leçons de
ans le but de faciliter les leçons nous avons fait fabriquer deux
tableaux
roulants. La figure 4 permet de se rendre compt
- Le Musée s'est enrichi notablement en 1895 ainsi que le montre le
tableau
suivant : Enseignement professionnel. xxiii
décision qui sera intervenue. Espérons qu'elle sera favorable. Le
tableau
ci-après met en évidence les résultats obtenus
de la population. Décès. - Les décès ont été au nombre de 24. Le
tableau
ci-après fournit les renseignements concer- nan
eur famille guéris ou améliorés, ou sur la demande de celles-ci. Le
tableau
des pages xxxiv et suivantes indique les motifs
estésunou plusieurs jours absents. Nous ne faisons figurer clans le
tableau
des sorties que les enfants qui n'ont pas été r
(1868) sur la glande thyroïde, et incidemment sur le thy- mus. Le
tableau
ci-après donne quelques renseigne- ments sur ce
2 du crochet. 8 savent marquer, 5 font assez hicn la tapisserie. Le
tableau
suivant donne mois par mois, le nombre d'appren
maladies qui ont occasionné la mort et dont on trouvera la liste au
tableau
des décès, que des accidents légers : gourmes,
rs écoles. Nous avons résumé le résultat de cette enquête dans le
tableau
suivant : LXII Enfants AIUUERËS. En ce qui co
n'est pas encore achevé ; il faut faire vivement et complètement le
tableau
do ces né- cessités de l'existence. 11 faut se
nous avons dit précédem- ment dans un mémoire spécial (1). V. Le
tableau
de la température après la mort est digne d'att
t purgatif; enveloppement dans un drap sinapisé ; bromure : 6 gr.
Tableau
des mensurations de la tète. 48 Poids, taille ;
-'1) heures après, 13°. La température de la salle était de 13 :
Tableau
du poids, et de la taille, etc. Lésions méningi
é paralysé) est un peu plus petit que le droit. Pas d'ona- nisme.
Tableau
des accès. Etat DE MAL. 59 de la même année,
nt : c'estce qu'on observe souvent chez les malades de ce genre. Le
tableau
ci-après fait constater que, sous l'influence d
st demeurée stationnairo et que le poids a notablement diminué.
Tableau
du poids et de la taille. '68 Assistance DES en
s : 20°, la tem- pérature de la chambre étant également à ` ? 0 ?
Tableau
du poids el de la laille. Autopsie : LÉSIONS in
grettable que ces accès (1) J. Noir. - Étude sur les tics, 1894).
Tableau
des mensurations de la tête. Tableau du Poids e
- Étude sur les tics, 1894). Tableau des mensurations de la tête.
Tableau
du Poids et de la Taille. 142 HÉRÉDITÉ. n'aie
ent. Le gâtisme est à peu près constant. L'enfant maigrit. (Voir le
tableau
du poids.) 152 Description DU malade. 1894. A
eu) ; les rectangles et les car- rés verts, placés en bas de chaque
tableau
répondent aux jours où l'on a administré la gla
nt une idée de sa situation à l'âge de 11 ans 1/2 et de 14 ans. Les
tableaux
ci-après permettent de se rendre compte de son
est d'autant plus intéressant, que si, jetant un coup d'oeil sur le
tableau
de sa taille de janvier 1890 à janvier 1895, on
1895, le poids et la taille ont eu la progression indiquée dans le
tableau
ci-dessous : . Croissance ET obésité. 199 200
la taille. Nous avons pu suivre son développement depuis 15 ans. Le
tableau
suivant (p. 202) permet d'avoir une idée de son
nement du 1 ? octobre au 4 novembre, soit 86 jours de traitement.
Tableau
du Poids et de la Taille. Croissance et obésité
eux, M. Hertoghe a résumé les résultats qu'il a enregistrés dans le
tableau
suivant : 204 Action DE la glande thyroïde. d
- enfin, dans un sixième cas à une débilité congénitale extrême. Le
tableau
ci-après met en relief l'augmentation de la tai
relief l'augmentation de la taille. Croissance et obésité. 2U5 Ce
tableau
sous les yeux, comparons la croissance des mala
ns qu'à relever rapi- dement les particularités consignées dans les
tableaux
que nous avons donnés plus haut. 4° Dr... (E.
t le monde. Ses parents et ses amis l'ont trouvée bien changée ».
Tableau
des mensurations de la tète, du poids et de la ta
re 186D, est entré dans notre service le 3 septembre 1885. Voici le
tableau
de ses accès et de ses vertiges : 228 Thérape
2, le bromure d'am- monium et de rubidium à la dose de 1 à 4 gr. Le
tableau
ci- après montre que les accès et les vertiges
, ayant été insérée assez longuement dans la thèse de M. Cornet. Le
tableau
suivant que nous complétons, car le tableau de
thèse de M. Cornet. Le tableau suivant que nous complétons, car le
tableau
de M. Cornet s'arrête au Bromure DE camphre. 23
D'ailleurs le premier mois la dose du médicament est peu élevée.
Tableau
des accès et des vertiges de Lel... 232 Thérape
et a succombé à une congestion pulmonaire (27 mars 18'))). Voici le
tableau
des accès et des vertiges. Bromure DE camphre
.......................... xn Boîte à trous xn Leçons de choses :
tableau
roulant........ xn Enfants propres et valides,
........ xxv III' Statistique. Mouvement de la population... xxvn
Tableau
général xxvn Décès xxvm Sorties, évasions, tr
tercurrentes L H. -Statistique : mouvement de la population. LI .
Tableau
général Li ? Décès... LI Sorties ; évasions ; t
s. Voici le relevé qui a porté sur une moyenne de 50 enfants gâteux. (
Tableau
). (1) Band.., Cohn.., Wal.., Phili..., Duv...,
les leçons de choses, soit à l'école, soit dans les jardins (avec le
tableau
roulant), soit au Musée scolaire, soit aux afeJie
e pour la bonne direction morale qu'ils essaient de leur imprimer. Le
tableau
des pages lu et lui met en évi-dence Vss résultat
teliers, 4 tremplins, une poutre avec support, barre fixe, sautoir, 4
tableaux
, 5 séries de lettres et chiffres, 10 marteaux ; 8
nt atteints de maladie de Little ; enfin 8 étaient athêtosiques. Le
tableau
suivant résume le mouvement de la population en 1
Décès. — Les décès ont été au nombre de 23 durant l'année lOO'i. Le
tableau
des pages lxii à lxv fournit les renseignements c
ande do celle-ci, 1 est passé dans une des divisions de l'hospice. Le
tableau
des pages lxvi à lxxi indique les motifs de la so
a dentelle; 4 savent faire de la tapisse-rie ; -4 savent tricoter. Le
tableau
suivant donne mois par mois le nombre des apprent
par les malades. Sorties. — Les sorties ont été au nombre de 20; le
tableau
des pages cxxiv, cxxv, indique les motifs de la s
des institutions privées dont la plupart sontcongré-ganistes (1). Le
tableau
ci-dessous donne la répartition actuelle des aveu
et épileptiques présents au 31 décembre 1903 dans leurs services. Les
tableaux
ci-après résument les renseignements que nous dev
s les professions exercées parles parents. cées par les parents. Le
tableau
suivant complète notre ancienne statistique. Au
. Préparateur de plaques photographiques.. 1 Total...... 143 Le
tableau
suivant montre les affections auxquel-les ont suc
service de nos maîtres, Delasiauve et Charcot à la Salpêtrière. Le
tableau
suivant donne une idée des affections diverses do
de cette année (41 filles et 105 garçons), soit un total de 3.133.
Tableau
statistique sur l'alcoolisme. Garçons Filles.
boisson. nous n'avons pas de renseignements. étaient sobres. Le
tableau
ci-dessus résume la situation des pères et mères
résents dans le service le 31 décembre 1904; Par BOUBjXEVILLE. Le
tableau
ci-après montre qu'il y avait dans le service, à
arrêt de développement, etc., et en y ajoutant les cas de diplégie.
Tableau
des hémiplégiques (Filles et garçons). il Bai
résie. Hémiparésie. N O M S BOURNEVILLE, Bicètre, 1904. 4 Ces
tableaux
présentent des lacunes. Malgré nos efforts pour l
il y a 73 cas de persistance de la suture métopique, soit 9,4 °/o- Le
tableau
suivant, donne, âge par âge, la répartition de ce
deux cas de synostose complète et 29 cas de synostose partielle. Le
tableau
ci-dessus donne, âge par âge, la répar-tition de
tranché 63 ayant appartenu à des malades âgés de plus de 25 ans. Le
tableau
suivant complète notre statis- inégalité de poids
oncernant nos enfants anormaux. (1) Comple-rendu de 1899, p. ICI.
Tableau
A. ANNEE. Total des décès. Idiots et imbé
2 17 3 5 1904 43 16 2 17 9 11 Totaux. 451 158 l 37 293 78 115 Le
tableau
ci-dessus donne une idée générale de ces cas et l
ileptique, et Yenf'ant idiot, imbécile, etc., non épileptique. Le
tableau
suivant donne âge par âge la répartition de ces c
e. Le tableau suivant donne âge par âge la répartition de ces cas. (
Tableau
B). Tableau B. (1) Ce groupe comprend les épi
u suivant donne âge par âge la répartition de ces cas. (Tableau B).
Tableau
B. (1) Ce groupe comprend les épileptiques non
17 5 4 7 3 7 8 4 4 5 8 6 8 7 2 3 115 Comme on le voit d'après le
tableau
À, nous trou-vons une moyenne de 23. 4 0/0 pour l
e en fournit la preuve, quand les accès sont très fréquents. (Voir le
tableau
, p. 84) (1). (I.) Voir : Bourneville et H. d'Ol
bre d'états pathologiques congénitaux ou acquis, paraissant offrir un
tableau
clinique sembla-ble, mais se traduisant par des l
, offrant une cachexie prononcée et de nom-breuses escarres. VI. Le
tableau
de la temjoéralure à l'entrée, la mort quinze jou
s décès 55 k. 600. Comme on peut s'en rendre compte par l'examen du
tableau
suivant la température à l'entrée à l'hospice ava
38 10.5 18.1 1S.5 15 13.4 13.0 16.5 15.5 10 14.5 11.6 13 7 6.5 0.5
Tableau
du poids el de la taille. Poids................
accès que nous avons mention-née dans un très û'rand nombre de cas.
Tableau
des accès'et des vertiges. Mois Janvier......
................. 40 Mort dans un accès.................... 11 Ce
tableau
(incomplet) s'arrêtait à la fin de 1897. Voici la
3 12 12.5 12.5 10.0 10.0 10.6 10.0 10.0 10.0 10.5 5.5 5 5 5 4 4 4
Tableau
du poids et de la laille. 1900 1001 1902
, pervers, épileptiques et hystériques ou non (Grande école)____ xx
Tableau
des notices..................... xxin Enseignem
........ lv HT. Statistique. Mouvement de la population........ l
Tableau
général........................ lx Décès, Sorti
................... lx Décès, Sorties......................... lx
Tableau
des décès...................... lxii Tableau de
................. lx Tableau des décès...................... lxii
Tableau
des sorties..................... lxvi Transfert
........ civ II. Statistique.— Mouvement de la population..... cv
Tableau
général......................... cvn Décès, Sor
................ cvn Population au 31 décembre 1904.......... cvn
Tableau
des décès....................... cvm Tableau de
e 1904.......... cvn Tableau des décès....................... cvm
Tableau
des sorties...................... cxn Buanderie
ment. Ces observations sont, du reste, incomplètes, et l'absence de
tableaux
d'accès durant la période de traitement ne perm
ncé de phrases, ni n'a exécuté une mimique quelconque, dénonçant le
tableau
de la troisième période avec ses deux phases ga
IER. (Arch. f. Psych., XIV, 2.) Les auteurs essaient de tracer le
tableau
clinique de la forme anatomo-pathologique en qu
comparativement avec celles des auteurs précédemment cités, dans un
tableau
de neuf colonnes. P. K. XII. Un cas d'atrophie
i si elle est à Londres ou à la campagne. Elle ne se rappelle ni un
tableau
, REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 75 ni une odeur
e, avec tendance au suicide. Puis, ou bien il s 'était développé le
tableau
cliniquecomplet delà paralysie générale (dix ca
à 11 1 : 84 h., 27 f. Une longue et savante discussion complète le
tableau
. Nous n'y pouvons que cueillir quelques for- mu
pant certains centres moteurs isolément, on élimine du même coup du
tableau
cowulslf les territoires musculaires en corresp
ésidence de M. Foville. M. Régis présente à la Société un modèle de
tableaux
pouvant permettre de représenter graphiquement
naît la justesse de cette critique, mais il pense néanmoins que ces
tableaux
, qui indiquent à grands traits les diverses pha
er et Edinger. M. L1CIITItEISt prend la parole sur les différents
tableaux
sympto- matiques de l'aphasie. Il construit le
a loi, elles résultent de ce que certains élé- ments composants des
tableaux
symptomatiques rétrocèdent plus ou moins vite e
cas à foyer bilatéral ou unilatéral dans les ganglions de la base.
Tableau
semblable à celui de la paralysie du bulbe Cas
érieurs, une dégénérescence grise des nerf optiques complétaient le
tableau
anatomo-pathologique. SOCIETES SAVANTES. 101
ate de soude) et de Penzolri (orthonitrobonzoate d'aldéhyde). Les
tableaux
et les courbes seront publiés dans les Archiv. f.
du quatrième ven- tricule. Discussion : .' M. J.ILST110WIT7. Le
tableau
clinique des cysticerques est encore assez vagu
s qu'on doit s'attendre à une complète disparition de l'ensemble du
tableau
morbide. Mais, ce résultat obtenu, ne supprimer
la commotion, on rompt avec la tradition qui met au premier rang du
tableau
syinptomatologique l'instantanéité des troubles
du cri initial de l'attaque d'épilepsie ou d'hystérie; il y a là un
tableau
consécu- tif si frappant, qu'y penser c'est le
ravail intellectuel de même nature et d'une durée de dix heures. Le
tableau
suivant indique les résultats obte- nus : * 1
et, loco citntu, p. 60. DE LA NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX. 243
Tableau
I. Influence du travail intellectuel sur l'élimin
heures et de même nature que celui des expé- riences précédentes.
Tableau
II. Influence du travail intellectuel sur l'élimi
cet acide est porté de 0 gr. 50 àOgr. 58. Dans les expériences des
tableaux
II et III, nous retrouvons, sous l'influence du
e semblables à celles que nous ont fourni les expériences 2 et 3 du
tableau
I avec cette différence que, tandis que dans l'
au I avec cette différence que, tandis que dans l'expérience 2 du
tableau
I, un travail de sept heures n'augmente pas le ch
erres, ce même travail augmente ce chiffre dans les expériences des
tableaux
II et III; il l'augmente de 8 centigr. dans le
riences des tableaux II et III; il l'augmente de 8 centigr. dans le
tableau
II et de 9 centigr. dans le tableau III. D'où
'augmente de 8 centigr. dans le tableau II et de 9 centigr. dans le
tableau
III. D'où vient cette différence d'action pour
d'action pour un même travail ? Les expériences consignées dans les
tableaux
II et III contrin- diquent-elles celles consign
tableaux II et III contrin- diquent-elles celles consignées dans le
tableau
I ? Cette différence d'action s'explique parfai
aitement ; elle tient simplement à la différence de régime. Dans le
tableau
I, en effet, l'individu soumis à un travail int
qui est végétal est moins riche en acide phosphorique ; et dans le
tableau
III, l'individu en expérience est à la diète. E
ce qui ressort de la comparaison des résul- tats consignés dans le
tableau
I (expérience 2) et dans les tableaux II et III
ésul- tats consignés dans le tableau I (expérience 2) et dans les
tableaux
II et III. Dans le tableau I (régime mixte), la d
le tableau I (expérience 2) et dans les tableaux II et III. Dans le
tableau
I (régime mixte), la diminu- tion de l'azote es
le de l'acide phosphorique uni aux alcalis de 12 centigr. ; dans le
tableau
II (régime végétal), cette diminution est pour
r l'acide phosphorique uni aux alcalis de 9 centigr. ; et dans le
tableau
Ill(diète), le chiffre de l'azote diminue, sous l
grande, ainsi que le prouve la comparaison entre l'expérience 3 du
tableau
I, et l'expérience 2 du même tableau. Ici donc,
raison entre l'expérience 3 du tableau I, et l'expérience 2 du même
tableau
. Ici donc, comme pour l'acide phosphorique uni
pas oublier que lorsque nous nous soumettions à un régime végétal (
tableau
II), le chiffre de l'acide phospho- rique total
ications nous ne ferons que les indiquer dans le ta- bleau suivant,
tableau
qui résume aussi ce que nous avons dit précédem
ant, tableau qui résume aussi ce que nous avons dit précédemment.
Tableau
fiv. Influence du travail intellectuel sur l'élim
e lieu enfin, si on se reporte aux recherches con- signées dans les
tableaux
qui précèdent, on voit que si, sous l'influence
sept heures qu'avec un travail de dix heures (ex- périence 1 et 2.
Tableau
I). 2° Cette augmentation n'a pas lieu parce qu
XXV. Appendice au mémoire intitulé : Sur une affection semblable au
tableau
SYIYTOll9TIQU de la DÉGÉNÉRESCENCE GRISE CLItÉISI
(A9'CIL. f. Psych., XIV, 3.) Aux cas déjà signalés ' témoignant du
tableau
clinique de la dégénérescence grise cérébro-spi
s aux sources littéraires citées, les autres au directeur Poetz. Un
tableau
réunit vingt-huit cas accom- ' Voy, Archives de
tellectuels et enfin apparition d'une pneumonie terminale, voilà le
tableau
symptomatique de ce qui s'est passé en cinq moi
commotion. A partir de ce jour, c'est la myélite qui évolue, et le
tableau
symptomatique se modifie com- plètement. 312
huit jours. Pour cela, prenons un exemple parmi plusieurs autres.
TABLEAU
V. Homme bien portant (22 ans) soumis aux conditi
ide phospho- rique par vingt-quatre heures. Nous consignons dans le
tableau
suivant les résultats que nous avons obtenus.
ons dans le tableau suivant les résultats que nous avons obtenus.
Tableau
. VI. Elimination moyenne de l'acide phosphorique
esquelles étaient placés les in- dividus sains qui font le sujet du
tableau
qui précède, le rende- ment de l'acide phosphor
phates que le travail musculaire laisse intacts ou diminue même. Le
tableau
suivant indique, on ne peut mieux, l'influence
azote et de l'acide phospho- rique, nous les synthétiserons dans le
tableau
suivant : Tableau VIII. Influence exercée par l
phospho- rique, nous les synthétiserons dans le tableau suivant :
Tableau
VIII. Influence exercée par l'état maniaque sur l
l'homme sain en général. (Voir les recherches consignées page 366,
tableau
VI.) Cela dit, voyons si cette forme d'aliénati
s à des intervalles plus ou moins éloignés. Nous consignons dans le
tableau
qui suit les résultats que nous a fournis l'exa-
de mars et avril 1881. DE LA NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX. 379
Tableau
IX. 380 REVUE CRITIQUE. avec ce qui existe ch
e travail intellectuel chez l'homme sain. Nous synthétisons dans le
tableau
suivant ce qui a trait à ce travail et à la lyp
émanie. hiairet. - Goco cilalo, p. 184-iBG. 382 REVUE CRITIQUE.
Tableau
X. -Comparaison entre l'influence qu'exercent le
us contenterons de rappeler ici en détail l'expérience qui suit :
Tableau
XI. Es..., 30 ans; épileptique, entré à l'asile l
ériode épileptique, nous obtenons les ré- sultats consignés dans le
tableau
ci-dessous : T.V11LEAU XII DE LA NUTRITION DU
de ses prédispositions héréditaires. M. Miraglia nous donne dans un
tableau
trop significatif, la géiiéa- logie d'Inisdea.
illets blancs sont destinés à la visite quotidienne du médecin; des
tableaux
tout tracés attendent l'inscription du poids du
immédiatement succédé à l'accident et plus tard on nota le complet
tableau
du tabes. Ou observe aussi fréquem- ment chez l
du nerf optique. Les hommes tabé- tiques se répartiraient en trois
tableaux
. Dans la première série, à antécédents syphilit
des gens qui entrent. Dans toutes les autopsies de ces animaux, le
tableau
anatomo-pathologi- ques est uniforme, c'est-à-d
s, et d'une eschare profonde à extension rapide. Actuellement, le
tableau
que je viens de vous tracer se trouve modifié d
40 - NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Reportons-nous donc au
tableau
clinique que nous avions devant nous à l'époque
us à l'époque dont je vous parle. Parmi les traits qui composent ce
tableau
, celui qui, par son étendue, ses caractères et
lement de la forme qui simule avec plus ou moins de ressemblance le
tableau
du tabes dorsalis. Plus récemment, il a mention
ses musculaires ne paraissent pas atrophiées. ' En présence de ce
tableau
clinique, et en se basant sur la limite de la p
le opéré sur Vlurie-Anne Couronneau. Ibid., 1890, p. 2 il. - Sur un
tableau
perdu de Rubens 7,el)i,éseiila ? îl la guérison d
nneaux peints représentant la vie de St Rornbault ou Rumold. Ces 25
tableaux
, situés sur le mur du bas côté de droite dans la
e de la composition est occupé par les portraits des dona- teurs du
tableau
, Egide van Moysene (mort en 1510) et Catherine va
Rombaut (1). Ecole DE BENOzzo GOZZOLI (2e moitié du XV. siècle),
Tableau
dans l'Église San Francisco, Montefalco, près d'A
toutes parts pour obtenir l'intervention miraculeuse du saint : Le
tableau
de Lorenzo délia Sciorina, élève de Bronzino, r
Celle-ci est fortement renversée en arrière, en arc de cercle. Un
tableau
de N. DA Foligno au palais Colonna, à Rome, repré
mains contractures. Le geste est plus dramatique que naturel. Un
tableau
de Rubens, qui fait partie de la collection du ro
refonds (Oise) représenté St Sulpice guérissant une démoniaque (1).
Tableau
fort médiocre et très détérioré. St Sulpice, en
rabisme, de nystag- mus ? etc., et l'on pourra concevoir combien le
tableau
clinique sera varié malgré l'air de famille que
u Catal. 168 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Tel, dans le
tableau
de Raphaël, le Paralytique à la porte du Temple (
parfois atteints, comme celui que P. Véronèse a représenté dans son
tableau
du Louvre, l'Evanouissement d'Expié ? '. Souven
accompagne Barbe de Brandebourg, marquise de Mantoue, dans le beau
tableau
de Mantegna,-dans les nains de Velasquez, la figu
e), dans les bas-reliefs antiques, sur les vases peints et dans les
tableaux
des plus grands maîtres. Rubens a excellé dans
t indiscutables. Le plus bel exemple dans l'art est certainement le
tableau
de Carreno de'Miranda, au musée de Madrid : Por
Monstrueuse, aurait été représentée nue par le même peintre dans un
tableau
qui resta au Palais-Royal de Madrid jusqu'au co
ion de la nature, à propos des « Pierres de Tète » (1). Un de ses
tableaux
du musée de la Haye, intitulé : « Une Ménagerie e
tre personnage, celui qui nous intéresse particuliè- rement dans ce
tableau
, est un serviteur difforme, debout sur les mar-
es que les peintres flamands et hollandais ont reproduit dans leurs
tableaux
. - Les malformations squelettiqués du serviteur
corporelle fournie par la nature. Le -Nain DE MOLENAER. Dans son
tableau
L'Atelier du Maître. , (Musée de Berlin). On
des intérieurs rustiques à la façon de Brauwer et de van Ostade. Le
tableau
du musée de' Berlin représente le peintre dans so
ollande. Amsterdam et La Haye, p. 255. UN NAIN RACHITIQUE dans le
tableau
de Jan SïEEN : La n'c%117,C1'fC. (Musée de la H
n'c%117,C1'fC. (Musée de la Haye ) LE NAIN DE MOLENAER dans bon
tableau
: L'Atelier du Maître. (Musée de Berlin.) L.
ne femme qui bat la mesure avec le doigt. Toute la partie droite du
tableau
est occupée, par un chevalet suppor- tant une t
etite portion de matière corruptible. Les Nains DE JAN UN KELLEN.
Tableau
de la Collection Raczynski, à Berlin. Dans la s
sant que.le premier, em- ployé judicieusement par. Van Kellen. Le
tableau
de l'artiste, hollandais se recommande d'ailleurs
l est souvent difficile d'en reconnaître la nature. La critique des
tableaux
représentant des bossus célèbres demande donc à
les stigmates ordinaires du 1'Uchitism"e. Au palais Pitti, dans un
tableau
de G. l3.manaeLr.i (GIOItGIONE), représentant la
se, un nain fait partie de la suite de la fille de Pharaon.' Dans ses
tableaux
du musée de Madrid et du musée de Dresde traita
ême sujet, P. Veronèse a également figuré des nains. A Naples, un
tableau
de l'école milanaise (IV, salle n° 33) représente
de leur suite. A Madrid, au musée du Prado, on voit un nain dans le
tableau
de Licha GionDANo (surnommé Fa presto) représen
ippe IV, attribué à Velasquez, se voit au musée de Cambrai.-Dans un
tableau
de Van der Venne, au Louvre, représentant une fêl
octobre 1891. - LE BORAX DANS LE TRAITEMENT DE L'EPILEPSIE 199 '
TABLEAU
DES ACCÈS DE L'OBSERVATION I 200 NOUVELLE ICONO
nre ner- veux. Tous ces accidents sont anjourd'hui classés clans le
tableau
des ma- nifestations hystériques. Mais cette in
; il confirme l'idée d'atrophie simple, de myopathie. Voilà donc le
tableau
que présente le sujet que vous avez sous les yeux
érosions spéciales des bords libres. Nous connaissons maintenant le
tableau
et l'histoire de cette dystrophie. A quoi pouvo
and (1G10-1690). Une Opération sur l'épaule. , Parmi les nombreux
tableaux
de David Teniers le Jeune relatifs aux scènes d
cument est parvenu à ma connaissance. La gravure date de 1703 et le
tableau
a été peint en 1678, comme l'atteste la légende e
-1638). L'Opération. , Musée du Louvre. Collection La Caze. Un
tableau
d'AdriaenBrouwer, qui fait partie de-la collectio
poraine que Teniers et Brouwer ont puisé les élé- ments de ces deux
tableaux
(1). (1) Ces opérations sur l'épaule dont la si
LE BARBIER DE VILLAGE Gravure de 7. Cocléraaus (1703), d'après un
tableau
de David Tuniisns i J¡ : UNI ! peint en 1678. N
s dont les observations ont été publiées par Erlicki et Rybalkin.
Tableau
général DES troubles SENSITIVO-MOTEURS causés par
intenant des données que je viens de vous exposer, pour composer un
tableau
d'ensemble des désordres ner- veux qui s'observ
et LES troubles SGNSI'fI\-0-lfOTh : UItS DE l'alcoolisme. Voilà un
tableau
, aussi 'fidèle que possible dans sa concision,
x ? Une succession d'accidents qui, presque toujours, rappellent le
tableau
de la poliomyélite antérieure, aiguë ou subaiguë,
liomyélite antérieure, aiguë ou subaiguë, beaucoup plus rarement le
tableau
d'un pseudo-tabes. Et si nous considérons les c
ion des muscles et des nerfs) tiennent une place importante dans le
tableau
morbide. Dans les deux cas l'abolition des réfl
maladie de R.V'll.tLlc. MASSON & Clu, Editeurs. L'OPERATEUR
Tableau
Û' : 1DRL4) : IS BROUWER, peintre hollandais (160
' , HENRY MEIGE. Le même Adriaen Brouwer qui nous montre dans un
tableau
de la col- lection La Caze, au Louvre, un barbi
cteur du musée Staedel, la communication de la photogra- phie de ce
tableau
reproduite PI. L. 382 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE
. Cette peinture de Brouwer offre de singulières analogies avec un.
tableau
de Teniers dont nous avons déjà donné la descri
la Salpêlrière, no 5, 1895. PI. L. Je dois signaler à propos de ce
tableau
, l'existence d'une réplique signée D. TE- NIERS
ès. Bien plus, la grimace de l'opéré de Brouwer se retrouve dans le
tableau
de Teniers, et, parmi les accessoires, la table,
ment et les attitudes des personnages sont manifestement imités des
tableaux
de Brouwer, au musée de Frankfort, et de Tenier
r, au musée de Frankfort, et de Teniers, à Madrid. Il s'agit d'un
tableau
de ÂBRAHAM Diepraem, peintre hollandais, qui vécu
e en bronze de Va- l lerio Cioli, XXIV. Nain de Molenaer dans son
tableau
: l'A- telier du Maître, XXVI. Nain rachitiqu
on tableau : l'A- telier du Maître, XXVI. Nain rachitique dans le
tableau
de Jean Steen : La Ménagerie, XXV. Opération
n : La Ménagerie, XXV. Opération sur l'épaule, gravure d'après un
tableau
de D. Teniers le Jeune, XLIII. Opération sur le
leau de D. Teniers le Jeune, XLIII. Opération sur le dos d'après un
tableau
d'A. Brouwer, L. Photographie Roentgen (ailer
es leçons de choses, soit à l'école, soit dans les jardins (avec le
tableau
roulant), soit enfin dans les promenades (1). L
aris, Petits métiers, la fécondation des plantes, les solanées, les
tableaux
du Louvre, M. Mesnard, notre premier instituteu
re pour la bonne direction morale qu'ils savent leur imprimer. Le
tableau
suivant met en évidence les résultats obtenus p
? partie). -- Affiches diverses. - Entêtes de lettres, registres et
tableaux
divers pour la Direction et l'Economat. Circula
s ou paraplégiques et 5 étaient atteints de maladie de Little. Le
tableau
suivant résume le mouvement de la population en
nt marquer ; 15 saventfaire de la tapisserie; 6 savent tricoter. Le
tableau
de la page suivante, donne mois par mois le nom
comparativement aux frais qu'occasionnent les écoles ordinaires (le
tableau
comparatif présenté par l'auteur montre que ces
s et petites lèvres. - Nous avons fait faire un certain nombre de
tableaux
, les uns communs iL tous les enfants, les autre
ants, les autres spéciaux à certaines catégories d'entre eux. Les
tableaux
communs sont les suivants : as Tableau de la te
tégories d'entre eux. Les tableaux communs sont les suivants : as
Tableau
de la température des cinq premiers jours de l'
et le matin et nous maintenons l'enfant s'il a de la fièvre. - b)
Tableau
des mensurations de la tête. - c) Tableau des p
s'il a de la fièvre. - b) Tableau des mensurations de la tête. - c)
Tableau
des poids, taille et force musculaire (dynamomè
c) Tableau des poids, taille et force musculaire (dynamomètre). -cl)
Tableau
de la Puberté. e Tableau des urines. /) Tableau
lle et force musculaire (dynamomètre). -cl)Tableau de la Puberté. e
Tableau
des urines. /) Tableau de la vaccination. - 0)
(dynamomètre). -cl)Tableau de la Puberté. e Tableau des urines. /)
Tableau
de la vaccination. - 0) Tableau de la températu
a Puberté. e Tableau des urines. /) Tableau de la vaccination. - 0)
Tableau
de la température après la mort. Ces lablfaux o
laires et manuels et la gymnastique a continué ainsi qu'il suit :
Tableau
A. Mesures de la tête 'lO THÉRAPEUTIQUE. Le c
lui accordons, sur la demande de sa mère, un congé de deux mois.
Tableau
B. - Tableau du poids et de la taille. 12 U),
teurs des traités de médecine pourraient assurément tirer profit.
Tableau
C. - Tableau des accès. 14 THÉRAPEUTIQUE. Obs
ités de médecine pourraient assurément tirer profit. Tableau C. -
Tableau
des accès. 14 THÉRAPEUTIQUE. Observation II.
nfluence de l'accès. Cette élévation est bien mise en relief par le
tableau
de la température durant les cinq premiers jour
la forme aplatie transversalement qui est celle d'un fémur normal. (
Tableau
A.) La détermination de l'indice de section, l'
sseuse. Nous en expliquerons ultérieurement le méca- nisme, mais le
tableau
précédent A est démonstratif, car il indique qn
ment favorable à l'insertion musculaire. Sans insister sur (t) Le
tableau
A montre aussi que les fémurs I, J, K, sont it pe
cliniques et médicales. La valeur angulaire est indiquée dans le
tableau
13. Les fémurs G G', Il II', I I', J J', KK', o
'affirmer le rôle bien différent des deux cols fémo- raux, aussi le
tableau
B nous révèle-t-il des variations dans leur inc
bien différente sur l'inclinaison des cols. Nous avons ajouté au
tableau
publié antérieurement des cas nouveaux ; si le
ert du côté malade. Les valeurs angulaires sont ins- crites dans le
tableau
C ci-après : Tableau C. Angle d'inclinaison d
valeurs angulaires sont ins- crites dans le tableau C ci-après :
Tableau
C. Angle d'inclinaison de l'axe des fémurs. L
pratique. En comparant les différentes mesures qui sont inscrite au
tableau
D on contrôle nos assertions. 1° On voit d'aprè
marquer que le (1) Nous avons dit pourquoi au chapitre précédent.
Tableau
D. Longueur fémorale en millimètres. 78 Squel
rofonde : le degré de torsion est inférieur ainsi qu'en témoigne le
tableau
suivant : 84 Squelette DES hémiplégiques. T
bourses. A l'autopsie, on les a trouvés dans le canal inguinal. Les
tableaux
qui accompagnent cette observation, permettent
quatrième attaque a débuté au commencement de janvier 1900. Sur le
tableau
on note à la date du 15 de ce mois «lin des règ
la règle chez les idiots du type mongolien, ainsi qu'en fait foi le
tableau
suivant : 114 i Idiotie mongolienne. IDIOTI
-corticales, sont moins bien représentées que le réseau d'Exner. Le
tableau
histologique est donc, encore dans cet ordre d'
t.» Au moment de la mort, la tem- pérature du corps était de 30°.
Tableau
des Poids et Taille. Autopsie. 161 Autopsie p
é entre 3 il,3 et 3G,,6 le plus souvent au-dessous de 37". Or, le
tableau
de la température des cinq premiers jours de l'
.. CLVIII 111. Statistique. Mouvement de la population........ LI
Tableau
générât ........................ LII Décès, Sor
................. LII Décès, Sorties ......................... ni
Tableau
des décès ...................... LIv Tableau de
................. ni Tableau des décès ...................... LIv
Tableau
des sorties ..................... LX Évasions,
IÈRES. 235 II. Statistique. - Mouvement de la population..... xcv
Tableau
général......................... xxv Décès, Sor
Transferts..... xcv Population au 31 décembre 1900.......... xcv
Tableau
des décès....................... xcviii Personn
.......... xcviii Personnel............................... XCVIII
Tableau
des sorties...................... en SECTION II
ès), un infirmier et une infir- mière en ont été atteints. Voici le
tableau
des cas : MALADIES ÉPIDÉMIQUES. XIII Dans le
Musée s'est augmenté sensiblement en 1889, ainsi que le montre le
tableau
comparatif ci-après : . XIV MUSÉE PATHOLOGIQUE.
de repos qu'elle accorde aux sous-employés et aux infirmiers. Le
tableau
suivant met en évidence les résultats obtenus :
que chaque enfant ait son trousseau numéroté. STATISTIQUE. XIX Le
tableau
suivant fait voir que les enfants qui profitent
le 24 mai et a donné des rabais considérables que fait ressortir le
tableau
suivant : Adjudication du v4 mai 118.'l. MO
drothérapie du l" juillet au 15 octobre. Ainsi qu'on le voit par le
tableau
général des accès, il y a eu, sous l'influence
is. 6 février. 0 gr. 01 centig. de bromnre d'or. THÉRAPEUTIQUE.
Tableau
général des accès et des vertiges (1). BROMURE
A partir du le, septembre, le malade a été mis à l'hydrothérapie.
Tableau
des accès et des vertiges durant la période de
d'ailleurs, ne s'est pas maintenue et la comparaison des totaux du
tableau
le montre d'une manière évidente. Nous avons
.r.i;) le 23 juillet 1884. 1889. Traitement par le bromure d'or :
Tableau
des accès et des vertiges. 12 2 THÉRAPEUTIQUE.
rapporta la période correspondante de 1888. - Voici maintenant le
tableau
du poids et de la taille. BROMURE D'OR. 13 ly
ntg. 1/2. - 21 juin, 2 centig. - Suppression le -1"" sep- tembre.
Tableau
des accès et des vertiges. BROMURE D OR. 15 I
s accès et des vertiges. BROMURE D OR. 15 Il) si THÉRAPEUTIQUE.
Tableau
des accès et des vertiges. BROMURE D'OR. 17
tement par le bromure d'or : mêmes doses. Suppression le 31 août.
Tableau
des accès et des vertiges. 18 8 THÉRAPEUTIQUE.
1889. 21 janvier. - Traitement par le bromure d'or : mêmes doses.
Tableau
des accès et des vertiges. g 0 THÉRAPEUTIQUE.
n'a pas subi de modification appré- ciable. BROMURE D'OR. 21
Tableau
des accès et des vertiges. 9 2 - THÉRAPEUTIQUE.
1889. 21 janvier. Traitement par le bromure d'or : mêmes doses.
Tableau
des accès et des vertiges. 26 6 THÉRAPEUTIQUE.
n. - Les capsules ont été suspendues le 7 juin. On peut voir par le
tableau
que les vertiges ont diminué consi- dérablement
ement par une diminution des vertiges. BROMURE DE CAMPHRE. 31 1
Tableau
des accès et des vertiges (1). 3 2 THÉRAPEUTIQU
on. Température pendant et après les accès : 3 8 THÉRAPEUTIQUE.
Tableau
des accès et des vertiges. PICROTOXINE. 39
/2 par jour. Traitement, du 1" février 1889, au 31 décembre 1889.
Tableau
des accès et des vertiges. 4 0 THÉRAPEUTIQUE.
- Du 19 au 31 août, trois millig. - Suppression le 1°r septembre.
Tableau
des accès et des vertiges. PICROTOXINE. & 9
nt a eu 4-7 accès; - en 1888, 28 accès et 7 vertiges. Il ressort du
tableau
qu'il n'y a eu une amélioration assez sensible.
e et demi jusqu'au 25 mars, 2 milligrammes jusqu'au 31 décembre.)
Tableau
des accès et des vertiges. PICROTOXINE. 43
n milligr. et demi, puis deux milligr. du 25 mars au 31 décembre.
Tableau
des accès et des vertiges. PICROTOXINE. 4 5 D
87, 97 accès et 5 vertiges; -en 1888, 62 accès et 10 vertiges. Le
tableau
ci-dessus montre qu'il y a eu une augmentation
igramme... deux milligr. du 25 mars an 19 août.) THÉRAPEUTIQUE.
Tableau
des accès et des vertiges. iCOT0g11V. OBSERVA
ent par la picrotoxine. Mêmes doses à suppression le 31 décembre.
Tableau
des accès et des vertiges. 48 THÉRAPEUTIQUE.
ervice de M. BOURNE- ville) le 11 octobre 1888, sorti le ter mai.
Tableau
des accès et des vertiges DEUXIEME PARTIE Cli
. 85, 90, 4î9. IDIOTIE N'iSOEDÉ\I3TEUSE. 53 de résumer, dans un
tableau
, les observations qui ont servi de base à nos p
rique; le cervelet a un volume normal. Nous avons essayé, dans le
tableau
qui suit, de résumer comparativement les symptô
bien les ma- lades comme lui ont de la peine à se fixer. Voici le
tableau
des attaques durant son séjour à Bicêtre : 'J6
Elle en a deux par jour de trente à quarante-cinq minutes. Voici le
tableau
des crises : 164 UNIT FAMILLE D'il YSTKRlQUli
tômes positifs, c'est-à-dire des symptômes qui peuvent figurer au
tableau
de cette forme; 2° des symptômes néga- tifs, c'
'accidents spinaux. A. Symptômes positifs. On voit que dans notre
tableau
, ces symptômes sont divisés en cinq groupes : 1
Syndrome de symptômes spasmodiques Si l'on jette un coup d'oeil au
tableau
précédent, on est en ' Voir Archives de Neurolo
psie articulaire, les contractures passagères viennent s'ajouter au
tableau
, enfin la rigidité mus- culaire ayant augmenté
au contraire plus tard, il n'y a pas un seul symptôme qui figure au
tableau
clinique. - Pour peu qu'on fixe son attention s
s ultérieure l'uniformité devient presque mono- tone ; en effet, le
tableau
clinique aboutit à un fond commun existant chez
spécialiser notre forme centrale spinale postéro-latérale. Car son
tableau
clinique, tel qu'il existe pour cette forme ne
mptômes qui peuvent, et dont quel- ques-uns même doivent figurer au
tableau
clinique, et B). Symptômes négatifs, c'est-à-di
ncorrection caractéristique des mouvements, enfin rien ne manque au
tableau
. Par contre, l'ataxie du malade de l'OI3SLIrvAT
premier temps de la période paralytique : à ce 'moment, sa place au
tableau
clinique est secondaire, la paralysie étant l'é
l'élément qui domine de la situa- tion du malade. Petit à petit, le
tableau
clinique change considérablement d'aspect et ce
me tabétoïde dominant tout à fait l'état du malade. A ce moment, le
tableau
cli- DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES
st-à-dire des symptômes qui ne peuvent et ne doivent pas figurer au
tableau
cli- nique de la force centrale postérieure. Ce
mité est encore plus prononcée chez nos trois malades. En effet, le
tableau
clinique dégagé de sa paralysie après quelque t
fois étonné de rencontrer des cas appartenant à cette forme dont le
tableau
cli- nique présente des symptômes du début. La
utres formes spinales nous donne le droit de s'y attendre. Or, le
tableau
clinique est représenté seulement par la sympto
tômes positifs, c'est-à-dire des symptômes qui peuvent figurer au
tableau
clinique et des symptômes négatifs qui ne peuve
sicaux ; génitaux. a). Syndrome spasmodique. Un coup d'oeil -1 au
tableau
qui précède suffit pour constater que le syn- d
ont fait naître de nouveaux phénomènes qui viennentse joindre au
tableau
clinique; ce sont la paralysie et, un peu plus
ée la classification établie en 1883 par M. Magnan et dont voici le
tableau
comparé avec la classification proposée pour la
de chacun des symptômes morbides, la com- paraison de l'ensemble du
tableau
pathologique avec ce que l'on sait en psychiatr
tion maniaque) avec chorée, la psychose occupant le premier plan du
tableau
morbide par son intensité et sa durée, la choré
ure des phénomè- nes morbides observés. Quant aux agents nocifs, un
tableau
vient sous forme d'appendice, donner « un aperç
quelques bonnes preuves bien palpables ne feraient pas mal dans le
tableau
, et nous constatons encore une fois avec M. Lié
; le concours sera ouvert dans chacune des régions indiquées par le
tableau
annexé audit arrêté. (Voir le numéro du Progrès
nt, l3ounnewm.e. Evreux. Ch. 11ÉRissry, imp,- 189. Z Tableau III.
TABLEAU
DE LA FORME CENTRALE SPINALE POSTÉRIEURE I ) ?
ABLEAU DE LA FORME CENTRALE SPINALE POSTÉRIEURE I ) ? - CATSARAS.
Tableau
IV. TABLEAU DE LA FORME SPINALE UNILATÉRALE. Vari
FORME CENTRALE SPINALE POSTÉRIEURE I ) ? - CATSARAS. Tableau IV.
TABLEAU
DE LA FORME SPINALE UNILATÉRALE. Variété intramyé
e la partie thoracique supérieure (P. ni) de la moelle épinière, le
tableau
ci-dessus dé- crit est moins précis, bien qu'on
mince que celle des parties autéro-externes, d'où il résulte que le
tableau
perd considérablement de sa clarté. Le motif de
comme on le sait, ce phénomène s'observe dans une quantité d'autres
tableaux
pathologiques. Dans les cas décrits, le diagnos
l'évo- lution du tabes. Eu examinant la littérature au sujet des
tableaux
étio- logiques dressés par divers auteurs, nous
simples qu'il nous sera facile d'analyser les cas complexes dont le
tableau
clinique est constitué par des symptômes appart
Les troubles de la parole font alors à eux seuls tous les frais du
tableau
clinique. Ce sont eux qui constituent toute la
'une pureté vraiment remarquables, et ils constituent alors tout le
tableau
clinique. Il nous a été donné d'observer cette
tiges n'aurait eu ni perte de connaissance, ni paralysie aucune. Le
tableau
clinique était exclusivement constitué par les
en. Les observations qui précèdent, aussi bien que dans celles du
tableau
clinique, la cécité figure comme symptôme du dé
crite par Gowers et Bechterew. Les symptômes présentés réalisent le
tableau
de la paralysie de Brown-Séquard; mais, tandis
ire qui ne s'était traduite par aucun symptôme pendant la vie. Le
tableau
clinique était celui d'une myélite aiguë et trans
mêmes conceptions délirantes, et l'habitus extérieur identique, ce
tableau
témoigne de la périodicité, de l'intermit- tenc
outes les tares héréditaires. Ces observations sont accompagnées de
tableaux
généalogiques qui facilitent considé- rablement
c le plus grand soin et à plusieurs reprises, se résu- ment dans le
tableau
suivant. Deux contacts ont été ressentis comme
plomb; outre cela, nous avons chez lui pendant nombre d'années le
tableau
d'une intoxication chronique par ce métal, grâc
symptômes ophthalmiques qui jouent un rôle si impor- tant dans le
tableau
clinique de tabès ; pourtant, en nous arrêtant
se (la diphtérie, par exemple), cas dont les symptômes formaient un
tableau
ressem- blant beaucoup à celui des symptômes du
il suffit de comparer la signification de cette particule dans les
tableaux
de la pseudo-sclérose (Weslphal, Arch. v. Psrlc
tre cas, d'après ce que nous avons dit, ne se rapproche pas de ce
tableau
clinique ou du moins, ne doit absolu- ment pas
ant le cerveau, par exemple) d'un autre côté, notre cas présente un
tableau
si pur et si net que, par cela même, il peut êt
at morbide, et nous tâcherons d'expliquer alors les éléments de son
tableau
clinique. La forme mentale peut-elle revêtir d'
eux observations qui précèdent, de reconnaître que nous avons là le
tableau
du syndrome de Ménière, les vertiges du malade
enfin la titubation viennent s'y ajouter pour que rien ne manque au
tableau
. Un syn- drome- de Ménière reconnaissant une ét
onnaissance figure parmi les symp- tômes les plus fréquents dans le
tableau
clinique des différents accidents survenant par
de forme clinique distincte. Elle constitue alors, à elle seule, le
tableau
clinique de l'accident. Voici ces deux observ
ué que nous avons affaire à une affection cérébro-spinale, car le
tableau
clinique est constitué aussi bien par des symp-
de la paralysie dans son accident de novembre 1874. On avait là un
tableau
de manie aiguë des plus caractéristiques ; en e
titre de forme clinique à part, consti- tuant à elle seule tout le
tableau
clinique de l'accident, même chez des personnes
des cas d'accidents survenant par l'emploi des scaphandres dont le
tableau
clinique soit constitué exclusivement et unique
ut de l'axe cérébro-spinal, l'on peut aisément concevoir sous quels
tableaux
multiples et variés ils peuvent se présenter au
complexe. La perte de connaissance qui peut figurer toute seule au
tableau
clinique d'un accident survenant par l'emploi d
typique, la perte de connaissance qui, à elle seule, constituait le
tableau
clinique de l'accident. Le troisième est un acc
ons rapporté des observations nombreuses qui font un la- mentable
tableau
de ces malheureux dont presque toujours la mort
deux jours après elle. Quels sont les symptômes qui constituent le
tableau
clinique de ces terribles accidents ? Ma descri
ésenté un enfant de douze ans atteint d'un gliome de la moelle : le
tableau
clinique était celui d'une hémisection gauche d
ques adoptées par M. Arndt. Les dates sont inscrites au-dessous des
tableaux
; on ne saurait mieux les comparer qu'aux planc
et en lettres sur chaque casier. Au-dessus cle ce casier se trouve un
tableau
représentant en gros les chiffres afin de mieux f
, les plantes, etc., sont étiquetés, et où notre personnel se sert du
tableau
roulant. — Les détails clans lesquels nous sommes
a dentelle ; 4 savent faire de la tapisse-rie ; 2 savent tricoter. Le
tableau
suivant donne mois par mois le nombre des apprent
par les malades. Sorties. — Les sorties ont été au nombre de 35; le
tableau
des pages xxv, àxxvnr. indiepue les motifs de la
es ont toutes pour ainsi dire le goût d'imitation. Barbouiller sur le
tableau
, les ardoises, les livres qui sont à leur portée,
s ans, les nouveaux cas qui s'étaient présentés parmi les entrants.
Tableau
statistique sur l'alcoolisme. Garçons Filles.
our faire noter par notre personnel l'état d'ébriété des visiteurs.
Tableau
statistique sur l'alcoolisme pendant l'année 1906
vaient de tout on général ; de l'absinthe plus particulièrement. Le
tableau
ci-dessus résume la situation des pères et mères
il y ait eu des opposi-tions multipliées, nous continuons à donner ce
tableau
. . ^ m Glande ^ Noms. Age. Diagnostic. Thymus
les différentes professions insalubres exer-cées par les parents. Le
tableau
suivant complète notre ancienne statistique. Au
er. Préparateur de plaques photographiques.. 1 Total...... 154 Le
tableau
suivant montre les affections auxquel-les ont suc
tra à la Fondation, le 13 décembre 1900. Nous donnons ci-dessous le
tableau
des accès et vertiges pendant le séjour de l'enfa
ieu dans la même journée et ont été suivies de sommeil. Epilepsie ;
tableau
des accès et des vertiges. 1900 11)01 1902 1903
tes mesures de la téte de la malade, pendant son séjour, ainsi que le
tableau
compa-ratif du poids et de la taille. 1901. 18
ane du front............... 5.5 5.5 5.5 5.5 5.5 5.5 5.5 5.5 5.5 5.5
Tableau
du poids et de la taille. 1901 1902 1903 1904 1
; front d'une hauteur de 6 centimètres sur la ligne médiane (voir le
tableau
spécial pour la mensuration des différents diamèt
rt était de 40"5, elle tomba ensuite régulièrement comme l'indique le
tableau
ci-dessous, atteignant la tempé-rature ambiante 9
ours la température pendant les 5 premiers jours de l'ad-mission, les
tableaux
dos accès, des vertiges, lesmensu-rations de la t
e, de manière à sui-vre la croissance, le poids des organes, enfin le
tableau
de la température après le décès. VIII. — La fi
ne maladie quelconque et en particulier d'une maladie contagieuse. Le
tableau
ci-après de Maurice montre que sa température éta
ulation........ xxvi Décès, Sorties,........................ xxvn
Tableau
des décès...................... xxvm Tableau de
............... xxvn Tableau des décès...................... xxvm
Tableau
des sorties..................... xxxn Transfert
ilepsic, par Boun- NEVILLE............................... LVI II.
Tableau
statistique sur l'alcoolisme pen- dant l'année
trémulation de tout le corps ni ces palpitations musculaires, et le
tableau
que nous venons de tracer ne répond guère qu'au
ions, les aberrations sexuelles, etc., etc. Chacun des termes de ce
tableau
nesemblc-t-il pas applicable il l'hystérie et ne
la femme dans de pareilles cir- constances, va souvent modifier le
tableau
morbide. Nous procédons comme nous l'avons* fai
ant pour ne pas continuer son travail. » Nous avons tenu à citer le
tableau
tout entier, on y voit se dessiner à chaque lig
C'est de forgerons, de mineurs, de manouvriers dont il s'agit et le
tableau
n'est guère moins sombre lorsque ce sont des in
anifesté alors d'une façon très nette, comme on peut le voir sur le
tableau
ci-après. Le US sep- tembre 1889 la dose quotid
91 ment le soir, et deux ou trois fois par mois, comme l'indique le
tableau
suivant : . 9 juin, attaque à 8 heures du soi
e et l'Opération chirurgicale qui ne le cèdent en rien au précédent
tableau
comme facture et comme finesse d'observation.
d'observation. Nous reproduisons aujourd'hui le premier de ces deux
tableaux
et nous analysons l'autre d'après des épreuves
ficine, un homme vu de dos pile des drogues dans un mortier. ' Le
tableau
du musée de Munich est plus important et plus int
lligence pendant que.son mari est tout entier à son opération. Le
tableau
dii musée de Vienne (pl. XVI) se rapproche encore
la notre dessin qui n'est en aucune façon la copie servile des deux
tableaux
? Deux hypothèses se présentent. Est-il dû à un
ent. Est-il dû à un élève de Brauwer qui voulut faireTesquisse d'un
tableau
en interprétant les oeuvres de son maître ? Cel
s probable encore c'est que le dessin sert d'intermédiaire aux deux
tableaux
. Incontestablement Brauwer fit avec quelques va
ableaux. Incontestablement Brauwer fit avec quelques variantes deux
tableaux
sur le même sujet. Le premier fait- nous suppos
itulerons la planche XV : Dessin d'Adrien \BraMwe}'; élude pour les
tableaux
des musées de Vienne et de Munich. GILLES DE la
l'ont suivi sont loin de répondre complètement, pour la plupart, au
tableau
clinique qu'en a tracé Kahlbaum lui- même, et l
rnier', et qui cependant se rapporte à beaucoup de points de vue au
tableau
de la catatonie typique. Nous imiterons cette sag
à cette règle. Il suffit, pour s'en convaincre, de considérer le
tableau
suivant relatif aux attaques de la malade dont
le rapport de l'évolution, ce cas ne répond donc pas tout à fait au
tableau
classique. D'autre part, certains symptômes soi
s, et, d'autre part, notre cas s'éloi- gnant par quelques traits du
tableau
de l'affection tel qu'il a été dressé par M. Ma
ssortir les symptômes primordiaux de l'affection, nous extrayons du
tableau
des mensurations annexées il l'observation les
,5 chez notre malade. Dès que la face intervient dans la mesure, le
tableau
change : Le diamètre mento-occipital passe de 9
les photographies de la malade; je n'y insiste pas et je renvoie au
tableau
pour le détail. Cette hypertrophie porte plus sur
rf d'origine intra-cranienne. Voici pour compléter l'observation un
tableau
des principales men- suration pratiquées chez A
é, tels sont les signes qui complètent dans ses lignes générales le
tableau
morbide présenté par Alphonsine Prev... et font
térisés et il n'existe aucun autre trouble pouvant être rattaché au
tableau
du goitre exophthalmique. On a cité des cas dans
t dans la gymnastique ordinaire. Nous résumerons plus loin, dans un
tableau
, les observations que nous avons recueillies su
\'ELÎ,I; II;oIVOGltl1'llll's U1 : L.\ S.\LI'È'lltlÎ;lih : . Dans le
tableau
suivant j'ai groupé quelques observations relativ
ce que je viens de dire au sujet du narghilé, j'expo- serai ici le
tableau
qui contient mes observations. Elles sont réparti
tout particulièrement les nerfs de l'orbite et se traduisant parle
tableau
complet de l'ophtha)- moplégie progressive. Aus
binée à la paralysie du facial et de l'hypoglosse faisait partie du
tableau
symptomatique de la maladie de Basedow; les deux
n mot et le bon état général du malade, nous en aurons fini avec le
tableau
symptomatique de l'ophthalmoplégie , externe.
nérale des personnages celle qui a été adoptée par Raphaël,dans son
tableau
si connu de 1 « Transfiguration » et suivie éga
ce qui concerne la figure du jeune possédé, s'éloigna résolument du
tableau
du chef de l'école 4 248 NOUVELLE ICONOGRAPHI
INTESTINALE. 257 258 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPËTMËRE. Le
tableau
suivant montre que c'est seulement à la dose de 1
la dose de 10 grammes que l'on obtient la suppression des accès.
Tableau
IX 11110fUIt.ITION ET ANTISEPSIE INTESTINALE. ?
embarras de la parole. BROMURATION ET ANTISEPSIE INTESTINALE. 261
TABLEAU
X 202 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA S.1L1'L'l'1;I
50 kil. 500 le 12 août 18'JO au lieu de 48,500 le 24 avril 1889). .
Tableau
XVI 268 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPËTIUË
). . Tableau XVI 268 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPËTIUËRE.
Tableau
XVII BROMURATION ET ANTISEPSIE INTESTINALE. 2
UËRE. Tableau XVII BROMURATION ET ANTISEPSIE INTESTINALE. 269
Tableau
XVIII 270 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA S.H\'IT
bleau XVIII 270 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA S.H\'ITJ : 1ÈJ : E.
Tableau
XIX NOUVELLE Iconographie de la SALPLTRIÈtE T.
- ÉDITEURS Il nO1 U £ lA TION ET ANTISEPSIE INTESTINALE. 271
Tableau
XX POLIOMYÉLITES ET POLYNÉVRITES ' Travail du
la constance des manifestations cliniques d'ordre cérébral dans le
tableau
de cette variété de polynévrites amyotrophiques
relatives à l'histoire de France. Le matériel s'est augmente de 8
tableaux
des chiffres romains qui ont été confectionnés
eprésentations des surfaces et des solides. Mention- nons encore le
tableau
de la chronologie du siècle qui commence par l'
ts qui se sont succédé en France, depuis nos jours jusqu'à 1800; le
tableau
du mètre sur lequel est appliqué un mètre et, a
Solliek, s'est enrichi notablement en 1894 ainsi que le montre le
tableau
suivant : i . Enseignement professionnel. xvii
Bourneville, Bicêtrej 1894. ** XVI Enseignement professionne
tableau
suivant met en évidence les résultats obtenu gr
s (1868) sur la glande thyroïde, et incidemment sur le thymus. Le
tableau
ci-après donne les renseignements sur ces deux
jours, l'heure des évacuations liquides ou solides et, d'après le
tableau
ainsi dressé, de placer l'enfant sur le vase ou
à la Fondation 131 enfants se répartissant ainsi : DÉCÈS. LUI
Tableau
des Décès. Personnel du ssrvice. lv Sorties.
. LUI Tableau des Décès. Personnel du ssrvice. lv Sorties. Le
tableau
ci-après indique les motifs de la sortie et la
rons rassemblé des éléments suffisants, nous essaierons de faire un
tableau
du développement de la croissance des idiots, d
es extrêmement précis et, si je ne me trompe, avec indica- tions au
tableau
. Je termine, en précisant. Nous n'admettons pas
n'a fait découvrir aucun trouble fonctionnel. (Voir plus loin le
tableau
du poids et de la taille.) 1887. Janvier. Revac
1 m. 75 et pèse 59 kilog. : à cet égard, il dépasse la moyenne. Le
tableau
des mensurations de la tête montre que, en reva
marche. 2° Mensurations comparatives des membres des deux côtés (
tableau
). 3° Etat des jointures : a) contracture, b) cr
ticules, des seins. 3° Nous avons fait faire un certain nombre de
tableaux
, les uns communs à tous les enfants, les autres
ants, les autres spéciaux à certaines catégories d'entre eux. Les
tableaux
communs sont les suivanls : a) Tableau de la te
tégories d'entre eux. Les tableaux communs sont les suivanls : a)
Tableau
de la température des cinq premiers jours de l'
d'incubation d'une affection aiguë ordinair j ou infectieuse. b)
Tableau
des mensurations de la tête. c) Tableau des poi
ir j ou infectieuse. b) Tableau des mensurations de la tête. c)
Tableau
des poids et taille. d) Tableau de la Puberté.
u des mensurations de la tête. c) Tableau des poids et taille. d)
Tableau
de la Puberté. 60 Mensurations de la tète. En
s imbéciles, arriérés, épileptiques . et aliénés. Puberté. 62
Tableau
des accès. Les tableaux particuliers se rapport
ileptiques . et aliénés. Puberté. 62 Tableau des accès. Les
tableaux
particuliers se rapportent aux épilepti- ques e
culiers se rapportent aux épilepti- ques et aux hémiplégiques. a)
Tableau
des accès ; températures durant les accès. b) T
égiques. a) Tableau des accès ; températures durant les accès. b)
Tableau
des mensurations des membres citez les hé- mipl
ensurations des membres citez les hé- miplégiques. Épileptiques :
Tableau
des accès. Eoilenticiues : Température de l'acc
èrement implantés. Crâne symétrique, d'un faible vo- lume (Yoii- le
tableau
des mensurations de la tête). Front élevé, boss
ors elle devenait très gaie. Chute du rectum presque quotidienne.
Tableau
des températures à l'entrée. Autopsie. 113 Le
les (Imbécillité morale).. 38 Annexes : Procédés d'observation 53
Tableaux
59 TROISIÈME PARTIE Clinique et anatomic path
». PREFACE « Lorsque 1 ame est agitée, la.face humaine devient un
tableau
vivant où les passions sont rendues avec autant d
ez, et élévateur commun de l'aile du nez et de la lèvre supérieure.
TABLEAU
SYNOPTIQUE. expressions complexes PAR LA COMB
que. Sourciller et triangulaire des lèvres. On remarque, clans le
tableau
précédent, qu'en général plus les muscles de la f
est, pour ainsi dire, la passion dominante. Je n'ai classé dans le
tableau
ci-dessus que les expressions qui ont pu être obt
, elle se donne la mort par la piqûre d'un aspic. À la vue de ce beau
tableau
, que tout le monde connaît, on sent que Cléopàtre
e.) J'ai observé au musée du Capitole (à Rome) une esquisse du même
tableau
, où les sourcils, dessinés obliquement, donnent à
ence ? L'aurait-il perdue sans pouvoir la retrouver, en finissant son
tableau
, comme cela lui est arrivé dans son Ecce Uomo que
uvre de l'art? Je n'en puis citer qu'un très petit nombre, dans les
tableaux
suivants : la Résurrection d'une jeune fille japo
enir de les examiner au point de vue critique. Le Poussin, dans son
tableau
du Louvre, n° nous fait assister à la résurrectio
ue je viens d'analyser, à l'occasion de la figure 79 de l'album et du
tableau
du Poussin, n° Zl36, la joie va presque jusqu'à l
ession de bonheur maternel est bien rendue dans la Jeanne d'Albret du
tableau
de Devéria : la Naissance de Henri IV (galerie du
ndits dont il faisait ses compagnons habituels; il a montré, dans son
tableau
, des types que l'on trouve en grand nombre dans l
l'art contemporain, Paul Delaroche, a commis une faute grave dans son
tableau
de Y A ssassinat du président Duranti, et qu'il s
ser. — Avant do 1(3 démontrer, je rappellerai la légende de ce beau
tableau
. Duranti, président du parlement de Toulouse, f
our les faire mieux comprendre, je puis en montrer un exemple dans le
tableau
de Prudbon, intitulé : la Justice et la Vengeance
ustice, personnifiée par les balances et le glaive. » (Notice sur les
tableaux
du Louvre, F. Yillot ) La figure ëchevelée de l
e l'âme ; son » abstention dans le sourire démasque un rire faux. »
TABLEAUX
SYNOPTIQUES DES FIGURES DE L'ALBUM J'ai réuni
TABLEAUX SYNOPTIQUES DES FIGURES DE L'ALBUM J'ai réuni dans neuf
tableaux
synoptiques, sous forme de petits médaillons, les
pression différente, de chaque côté de la face. Il en résulte que ces
tableaux
synoptiques se composent de 102 tètes. En voici
ive, les traits divers des figures qui ont une expression double. Les
tableaux
synoptiques représentent ces expériences toutes f
urs de mon ouvrage sur le mécanisme de la physionomie humaine. Or les
tableaux
synoptiques facilitent l'étude de ce phénomène, q
lus facile. Prenons seulement pour exemple les quatre figures 78 du
tableau
VIII. La première de ces figures ('78) montre l'e
tie scientifique et de la partie esthétique, démontrent l'utilité des
tableaux
synoptiques pour l'étude du contraste des lignes
ignes expressives de la face 2° J'ai également fait entrer dans ces
tableaux
synoptiques les têtes dont l'expression n'est pas
tifique ont dû ;être réduites des doux tiers, pour faire partie des
tableaux
synoptiques, composés chacun de 46 figures. Consé
ins faciles à étudier dans tous leurs détails. — D'un autre côté, ces
tableaux
synoptiques ne présentent pas l'attitude et le ge
signification plus grande et quelquefois spéciale. En somme, si les
tableaux
synoptiques ne sauraient suppléer les figures iso
beth rece- vant le roi Duncan avec un sourire faux........... 183
Tableaux
synoptiques des ligures tic l'album, au nombre
2, 3, .....10 (1·'ig. 1). Les surfaces sont enseignées à l'aide de
tableaux
en bois dans lesquelles les surfaces sont tracé
images graduées pour les projections. Le matériel s'est augmenté de
tableaux
de lettres majuscules et minuscules placées les
lier, s'est enrichi notablement en 1893, ainsi que le mon- tre le
tableau
comparatif suivant : xx Musée pathologique. n
mission à la pension de repos ou de leur accorder l'équivalence. Le
tableau
précédent (p. XXI) met en évidence les résultat
t en évidence les résultats obtenus grâce à leurs ef- forts. Ce
tableau
ne renferme pas l'évaluation des tra- vaux du j
amment en Angleterre, aux Etats-Unis, etc. Nous avons réuni dans le
tableau
synoptique ci-après les prin- cipales indicatio
phie collective témoigne des changements survenus de 1883 à 1893.
Tableau
des mensurations. 80 IDIOTIE. OBS. V. Imbécil
Le corps et la tête se sont développés ainsi que le démontrent les
tableaux
ci-contre : ta - 3 tel S M te ►a
cttonsde liquide testiculaire du 14 février au 3 mars (17 jours).
Tableau
des accès et des vertiges. TEMPÉRATURE APRÈS LA
ution dite forte. Du 'ICI' au 25 mars, 8 injections semblables.
Tableau
des accès et des vertiges. 122 Epilepsie. 3 n
le), le 18 novembre 1890. Injections DE liquide testiculaire. 123
Tableau
cles accès et cles vertiges. 124 : ÉPILEPSIE.
aire. 123 Tableau cles accès et cles vertiges. 124 : ÉPILEPSIE.
Tableau
des accès et des vertiges. INJECTIONS DE LIQUID
d M. Bourneville), le 27 avril 1891. Même traitement, même durée.
Tableau
des accès et des vertiges. 126 Épilepsie. et
i, 5 injections. Bourneville, Bicêtre, 1893. 9 130 EPILEPSIE.
Tableau
des accès et des vertiges. 132 ÉPILEPSIE; MÉN
,003 (poids 20 gr.). Pas de trace de thy- mus. 134 Épilepsie.
Tableau
des accès et des vertiges. Injections DE liquid
aitement du 6 mars au Il mai. INJECTIONS DE liquide testiculaire.
Tableau
des accès et des vertiges. 137 1 38 Epilepsie
u 21 juin : 6 injections. Du 21 juin au ? juillet : 7 injections.
Tableau
des accès et des vertiges. INJECTIONS DE LIQUID
entré à Bicétre (service de M. Bourneville) le 24 février 1892.
Tableau
des accès et des vertiges. 148 Épilepsie. T
ier 1892. Tableau des accès et des vertiges. 148 Épilepsie.
Tableau
des accès et des vertiges. INJECTIONS DE LIQUID
(3C section) le 12 mai 1893. Durée du traitement : 10 jours (1).
Tableau
des accès et des vertiges. 150 CONCLUSIONS. I
âtres; les paupières sont fermées; pas de con- tracture. Voici le
tableau
des températures prises dans la journée du 23 j
vertiges sont allés toujours en augmentant, ainsi que le montre le
tableau
ci-après : Tableau des accès et des vertiges.
toujours en augmentant, ainsi que le montre le tableau ci-après :
Tableau
des accès et des vertiges. 190 Hydrocéphalie ;
comme d'ordinaire une élé- vationrapide ainsi qu'on le voit par le
tableau
ci-après. 26 février : Malin, 6 h. T. R. 38', S
pileptiformes dans l'enfance. -État actuel somalique et psychique. -
Tableau
- des accès épileptiformes. -Description des ac
à l'asile avait diminué notablement le nombre des crises. (Voir le
tableau
.) Sa mort paraît avoir été déterminée par asphy
acture des membres. Puberté. - B ? 'OnC110-pnel,L1n07z2e. - Mort.
Tableaux
des mensurations. Autopsie : Examen du squelett
pice de Bicêtre (service de M. BOURNEVILLE). Nous avons réuni en un
tableau
, les diverses mensurations de là tête de l'enfa
ment faible dans les ventricules, tandis que le crâne est épais. Le
tableau
comparatif suivant four- niera un argument plus
un argument plus éloquent : Cerveau. 211 La première partie de ce
tableau
comprend trois enfants âgés de 2 ans à 2 ans et
rie de 500 à 1.000 gr. Les seconds sujets de la seconde partie du
tableau
ont de 18 à 19 ans ; leur poids est de 26 à 47
eux un état analogue à celui des trois pre- miers enfants de notre
tableau
. Le raisonnement réci- proque pourrait être app
dents de méningite purulente céré- bro-spinale. 31 juillet. Mort.
Tableau
des accès et des vertiges. Cerveau, .281 . AU
du volume de la tête très prononcée, ainsi que le fait ressortir le
tableau
comparatif des mensurations de la tête en 1889
elon M. Topinard, de 545 mm., on se rendra facilement compte par le
tableau
suivant de la dis- tension crânienne des malade
e. Etat mental des hydrocéphales. Il est diffi- cile de tracer un
tableau
net et précis de l'état mon- Symptômes. 331 t
raite sa mère et sa soeur avec une indifférence presque hostile, le
tableau
de leur misère le touche très médiocrement. Ass
rogressive des fontanelles. Développement normal de l'intelligence.
Tableau
des mensurations de la tête. Esc... (Valentine)
ons médullaires. Malheureusement les auteurs n'ont jamais dressé le
tableau
exact des muscles intéressés par l'atrophie. On
ussell, Scherrinaton, Thornburn, etc., les auteurs nous donnent des
tableaux
variables de l'innervation radiculaire. Thornbu
s cervicales. Au cas de notre malade paraît le mieux s'appliquer le
tableau
d'Edin- ger, de Raymond et de Déjerine. Chez lu
f claviculaire au contraire bien conservé. Nous pouvons traduire ce
tableau
ainsi : sont atrophiés les muscles innervés par
t fréquemment des cas qui retracent bien dans ses grandes lignes le
tableau
clinique de la myopathie atrophique pro- gressi
t surtout inté- ressantes par ce fait qu'elles sont familiales : le
tableau
offert par le plus jeune de nos malades est exa
craindre que dans quelques années les deux frères ne présentent un
tableau
clinique identique, avec des déformations aussi
bes de 26 ans, qui aurait eu largement le temps de déve- lopper son
tableau
clinique. Serait-ce par hasard une polynévrite
malade : donc, l'astasie est encore un symptôme à inscrire dans le
tableau
de l'amyotrophie Charcot-Marie. . On dira peu
ude des cas typi- ques a donné tout ce qu'on pouvait en exiger : un
tableau
parfait de l'af- fection. On devait en venir au
es fibres et leur disposition dans la masse musculaire, rappelle le
tableau
caractéristique pour un muscle ordinaire de Tho
s les propriétés caractéristiques de la myotonie. Plus tard, à ce
tableau
commencent et se surajouter des pheno- mènes de
il ne nous a été donné d'en constater. Nous avons résumé dans un
tableau
comparatif à la fois,le nombre et le siège des
ne moult sovent Por véoir s'il se torneroit. Nous voyons d'ici le
tableau
; le Renart est un praticien consommé, il a le
de la Bibliothèque nationale une gra- vure de J. Tardieu d'après un
tableau
de David Teniers. Nous ignorons dans quelle gal
eniers. Nous ignorons dans quelle galerie se trouve actuellement le
tableau
original, mais la gravure, très soignée, nous r
que nous montrera Teniers plus d'une fois et seule réminiscence des
tableaux
consacrés aux barbiers chirurgiens - attend ave
et n'oubliera pas sa canne à pomme d'or que nous voyons au coin du
tableau
. Le Médecin et l'urinai de GÉRARD Dow, du musée
ecins urologues a donné naissance.à une série d'aeu- vres figurées,
tableaux
ou gravures qui, sous des titres divers, reprodui
é des motifs de scènes pittoresques, mouvementées ou galantes. Un
tableau
de GODFRIED SCIIALI\EN (1643-1706) au musée de La
e. Il tient à la main (1) Le Dr Meige a donné la reproduction de ce
tableau
dans sa très sérieuse étude sur le Mal d'amour
sur le Mal d'amour dans laquelle il cite également plusieurs autres
tableaux
de méde- cins urologues (Nouvelle Iconographie,
une demande en mariage. - Il existe de DUBUCOURT (1755-1832) deux
tableaux
qui traitent des sujets analogues. Ils se font
ce chapitre, mais j'ai tenu en terminant à rappeler le sujet de ces
tableaux
qui s'y rattachent indirectement, pour bien mon
ici faire d'explora- tion méthodique de façon à pouvoir donner les
tableaux
numériques complets des chiffres obtenus dans n
Rosalina. Dans son travail cité plus haut (p. 87-104) on trouve des
tableaux
et des documents, qui plai- dent en faveur de l
t de la paralysie de certains centres sensoriels ont dominé tout le
tableau
clinique. Il s'agissait d'un homme âgé de 41 an
derniers accès, les troubles de la sphère du langage réalisèrent le
tableau
de l'aphasie sensorielle : la surdité verbale r
ladie. Il n'occupe qu'une place plus ou moins prépondérante dans le
tableau
symptomatique et pendant cer- taines phases du
récis sur tous les membres de sa famille, il les a réu- nis dans le
tableau
ci-joint. , (1) Roreu, Eludes sur les exostoses
aris, 1892. xv 25 378 SICAHD ET ALOUIËR inaugurale, réuni en un
tableau
synthétique tous les cas antérieurement publiés
our ne pas allonger outre mesure ce travail, nous résumons, en deux
tableaux
synoptiques, ce qui, dans chaque cas, nous a pa
à M. Infroit, que nous remercions vivement de son obligeance. le'
Tableau
. - Parkinsoniens présentant des déviations de la
kinsoniens présentant des déviations de la colonne vertébrale. 2°
Tableau
. - Parkinsoniens sans déviations de la colonne ve
colonne verté- brale. Parmi les 12 observations de notre premier
tableau
, la huitième (Bel, 54 ans) nous semble devoir ê
de la maladie n'est pas davantage une cause ; la malade de PREMIER
TABLEAU
. Parkinsoniens avec déviations de la colonne vert
BRALE DANS LA MALADIE DE PARKINSON (Sicnrd et ,9lguier). DEUXIÈME
TABLEAU
. Parkinsoniens sans déviations de la colonne vert
puisque celui-ci existe dans les 5 ob- servations de notre deuxième
tableau
(parkinsoniens sans déviation). Notamment dans
états morbides différents. Malgré sa physionomie bien spéciale, le
tableau
clinique offert par nos malades, rappelle par c
phénomènes spasmodiques pour la mar- che et l'écriture s'éloigne du
tableau
classique de la paraplégie spasmo- dique. Au
ais quand il s'agit de tracer quelques caractères sur le papier, le
tableau
change immédiatement. La plume est serrée convu
r le nerf : Des réactions normales, ou diminuées. Il manque il ce
tableau
, pour que l'analogie soit complète : la tétanisa-
a, de plus, des contractions fibrillaires qui ne font pas partie du
tableau
clinique des névrites et nous porteraient plutô
sse trancher la question, sans crainte d'erreur. « LA MALADIE »
Tableau
de Jules Romain. (1533-1534). l'A Il C. E.
de calendrier, frontispices, miniatures de livres, et dans quelques
tableaux
de l'école hollandaise : ni l'école italienne,
l'application des ventouses et l'uroscopie font le sujet unique du
tableau
, et ont été par le peintre groupés harmonieusem
semble pour donner un éloquent symbole de la Maladie. L'auteur du
tableau
, dont je présente aux lecteurs une reproduction
CR1ÈPE. T, XV. PL. LIV. LA ,tVJL1 SL.JL.6 r Gravure d'après un
tableau
de JULio Romano (1533-1534) (C.-E. Manant.) 2
.-E. Manant.) 21[ASSON ET Ci-, Éditeurs. LA MALADIE 469 ques et
tableaux
, vrai cycle hautement décoratif, et en faisant pe
eu- vre du Mantegna, du Perugin, du Giambellino et du Francia. Le
tableau
qui nous intéresse fait partie d'un cycle de six
, tout prés du palais du Té. La double scène que nous représente le
tableau
, se développe dans toute la largeur du cadre et
ade qu'il indique avec la main droite tendue vers le côté opposé du
tableau
. De fait dans le côté gauche de la toile nous voy
de la patience du lecteur en lui détaillant la valeur artistique du
tableau
et ses défauts : il a sous les yeux une bonne rep
surtout le sentiment dou- loureux et compatissant qui se dégage du
tableau
tout entier, malgré la conventionnalité un peu
s qui avaient été recueillies en 1899 par le même observateur,et le
tableau
ci-dessous offre ainsi le rare avantage de perm
'une manière tout à fait particulière et facile à apprécier dans le
tableau
comparatif suivant : GIGANTISME ET INFANTILISME
coup moins riche que celle des nains. Il n'existe que très peu de
tableaux
consacrés à des « géants de cour ) : . Sternber
son casque. Son combat malheureux contre David a inspiré plus d'un
tableau
. Sur aucun de ceux que j'ai pu voir, le giganti
ite pas des géants. On y trouve cependant la re- production de deux
tableaux
de Lucas Granach, du Musée de Dresde, re- prése
l'l111 attaqué par des nains et le même géant réveillé (1) Voy. les
tableaux
de Giorgione,Caravage, à Vienne ; Feti, Diamanti,
au sur et à mesure qu'ils se présentaient, un assez grand nombre de
tableaux
consacrés à saint Cristophe, et sauf les deux p
ges, à Venise. h'RaNCESCO BuoNsIGNORI, dans le Musée de Vérone : un
tableau
représen- tant la Vierge sur un trône avec Enfa
i qui figure sur un des volets de la Descente de Croix, à Anvers, -
tableau
commandé par les arquebusiers d'Anvers dont saint
es) (2 pl. en photocollogr.), par Jeaa FcnnwD, 101. Maladie (La).
Tableau
de Jules Romain (1 pl. en photograv.), par 468.
yopathie atrophique progressive (1 pl.), 32. MARIANI. La maladie.
Tableau
de Jules Romain (1 pl. en photogr.), 468. Mar
s de désintégration cérébrale (FER- rand), XII, XIII. La maladie,
tableau
de Jules Romain ( : 111ARlAl'(I), LIV. Maladi
a paralysie des muscles respiratoires. L'autopsie démontra outre le
tableau
connu de la poliomyélite, que l'inflammation av
énit. Il tend vers lui son avant bras paralysé lequel nous offre le
tableau
d'une paralysie radiale typique. L'avant-bras est
les deux jambes enserrées dans des fers semblables. Dans ce même
tableau
de la cathédrale de Malines, figure un personnage
ant du bord inférieur du cervelet, alors nous aurons devant nous le
tableau
représenté par la phot. n°2 (PI. XI). Toutes le
ée immédiatement au niveau de l'ouverture de la colonne vertébrale.
Tableau
analogue à celui du cas I. Le cervelet est mal
manque de développement du lobe médian du cervelet. Cas III. - Même
tableau
(Phot. 4 PI. XI) : le vermis est absent; aussi
inférieure de la moelle allongée. Après cette courte description du
tableau
macroscopique passons à un examen microscopique
ntinuer la description de ce cas, essayons de nous orienter dans le
tableau
que nous avons observé jusqu'à présent. Déjà à
hme ont disparu (Phot. 13) et il est absolument pâle. Après cela le
tableau
change subitement : le canal central de la moelle
tres flamands et hollandais qui nous ont laissé, parmi leurs petits
tableaux
de genre, tant de scènes de Médecine et de Chirur
formités ni les maladies. Il est vrai que, dans la plupart de leurs
tableaux
d'intérieurs, ils ont plutôt cherché à éveiller d
. XIV. PL. XXIII. LA SAIGNÉE EN IMAGES (Henry Meige) D'après un
tableau
de Dw m TENIERs le Jeune (Au Musée de Draguigna
d Bauer, interne des hôpitaux, la pho- tographie de cet intéressant
tableau
d'après laquelle M. Weisser a pu reconstituer le
peut affirmer qu'il l'a vu pratiquer selon les règles de l'art. Son
tableau
pour- rait servir d'illustration à quelque Trai
quelques onces près. Ce qui est vraiment digne de remarque dans ce
tableau
, c'est que Teniers ait choisi, parmi les différ
, et qui est, pour ainsi dire, la note psychopatltique dominante du
tableau
clini- que des tumeurs cérébrales : c'est un ét
ostérieure de la moelle allongée s'est abaissée ; de là provient ce
tableau
microscopique tellement original, montrant les di
eurs, limités aux côtés par la substance gélatineuse de Rolando. Le
tableau
est tout il fait analogue à la Phot. 24,seulement
iatement au-dessus des olives inférieures, nous rencontrons le même
tableau
, comme dans les cas précédents, seulement encore
e de l'hydropisie du quatrième ventricule il faut expliquer tout le
tableau
original que nous avons remarqué à l'examen micro
ppement de l'hydropisie et de là les différences remarquées dans le
tableau
pendant l'hydropisie du 40 ventricule ; d'un au
figures des démoniaques qui figurent à plusieurs reprises dans les
tableaux
de Ruhens. Charcot et P. Richer ont fait res- s
pinceau de Rubens ne la traçait il y a trois siècles. Or, dans le
tableau
du musée de Nancy, il est intéressant de voir le
gure de démoniaque ; il est surtout intéressant de le voir, dans un
tableau
imité de la célèbre Transfiguration de Raphaël
fférente de la conception du grand maître du siècle précédent. Le
tableau
de Nancy, relativement peu connu, est d'une authe
vée par M. Michel à la bibliothèque de Mantoue. nous apprend que ce
tableau
fut commandé à Rubens en 1604, avec deux autres
terrée dans ladite église de la Trinité. La chronique ajoute que le
tableau
de la transfiguration fut très remarqué, et qu'
GRAPHIE T. XIV. de la SALPÊTRIÈRE UN JEUNE POSSÉDÉ D'après le
tableau
de P.-P. RUBENS La Transfiguration (Musée de
ant, lors de son séjour à Rome, Rubens avait étudié de très près le
tableau
du Vatican, comme nous le prouvent les dessins
ypique des symptômes nou- veaux se superposent ou se substituent au
tableau
classique banal. L'hystérie moins tyrannique qu
parent. Les résultats des expériences se lisent facilement dans les
tableaux
suivants où sont indiqués en mètres la hauteur
es. Les arguments cliniques sont tirés de la frappante analogie des
tableaux
symptomatiques des grandes encéphalopathies tox
e, et du syndrome des tumeurs cérébrales. Or, il est certain que le
tableau
clinique des accidents présentés par TUMEUR CÉR
liquide céphalo-rachidien, fait remarquer la ressemblance des deux
tableaux
cli- niques de l'urémie et de la tumeur cérébra
00. TUMEUR CÉRÉBRALE 357 7 Après avoir insisté sur l'analogie des
tableaux
cliniques des deux encé- phalopathies, urémique
sensibilité aux toxines de l'écorce grise), cliniques (analogie des
tableaux
cliniques des encéphalopathies toxiques, de l'uré
s Gall avait fait un assez long séjour en Italie et gravé plusieurs
tableaux
de maîtres. La gravure en ques- tion représente
verus d'après Ru- bens. A Brescia, Palais Martinengo, deux petits
tableaux
de Fausto Boccnr, représentent des nains à gros
um essem parvula placui altis- simo. A l'Académie de Venise, deux
tableaux
de J. CALLOT, Le Pont Neuf à Paris, et la Foire
nains et d'estropiés (Nos 136 et 139). A Turin, Pinacothèque, deux
tableaux
de P. Véronèse (N°s 575 et 572), Moïse sauvé de
ions de nouveaux cas d'hérédo-ataxie cérébelleuse grâce auxquels le
tableau
clinique de cette maladie a été complété. L'ana
appuyant pour cela sur le résultat de notre autopsie. Justement le
tableau
anatomique de notre cas se rapproche de celui deM
as de Fraser et Nonne. Il est vrai que, dans les derniers temps, le
tableau
clinique que présentait Haud... pouvait créer c
ervation loc. citât.), malade depuis l'âge de 35 ans, présentait le
tableau
classique de l'hérédo-ataxie cérébel- leuse.
fonctions du système ner- veux sont déjà altérées et nous avons le
tableau
classique delà maladie. Si à ce moment survient
dard près du tombeau du diacre thaumaturge; dans un coin on voit un
tableau
repré- sentant un sein dont le bout est tombé e
a fibre striée semble avoir conservé sa structure nor- male. · Le
tableau
clinique que nous avons donné de notre malade se
SUR UN MUSCLE DE l'activité d'autres muscles 443 444 ri ' féré .
TABLEAU
II Représentation proportionnelle du travail de
édius droit sous l'influence de la théobromine : l09,7S. 460 FÉRÉ
TABLEAU
V Fio. 16. - Travail du médius droit sous l'inf
aphie Loew y (Vienne). 1 hotogr.iv urc La : m). LA CONSULTATION
Tableau
de FpANs VAN MIERIS le Vieux Musée de Vienne.
PÊTRIÈRE. T. XiV. FL. LIX. Cliché Hausstaengl. LA DAME ÉVANOUIE
Tableau
de EGLON van DER NEER (16H-170¡). A l'ancienne
omnolence et calme relatif pendant la journée, mais on nous fait un
tableau
assez lamentable des nuits qui nécessitent l'as-
e et qu'elle posséderait même quelque droit à figurer aussi dans le
tableau
symptomatique de la paralysie infan- tile. Bien
omatologie, par une exa- gération nutritive capable de défigurer le
tableau
habituel et d'égarer le médecin (1). La fièvr
ommes trop enclins, par exemple, à associer la notion d'atrophie au
tableau
clinique de la paralysie infantile, pour lui subs
yons ici encore ce fameux bâton que n'a pas oublié Teniers dans son
tableau
du musée de Draguignan. Il faisait partie du ri
RI T. \1\', l'l.l.»1\' LA SAIGNÉE EN IMAGE La mort de Sénèque
Tableau
de Il. Il. Ruums, Pinacothèque de Munich Masson
ch Masson & CIl, Editeurs LA SAIGNÉE EN IMAGES 537 C'est un
tableau
de PP. RUBENS z77-3640), conservé à l'ancienne pi
ar la Mort de Sénèque, parmi lesquelles on peut signaler : , . Un
tableau
de SANDRAN'f, au Musée de Berlin, représentant le
eil. Le sang coule dans un grand bassin doré. o Signalons encore un
tableau
de RIBERA (Joseph dit IL SPAGNOLETTO, Es- pagno
à Munich, Pinacothèque (n° 1281, t. 259, 241) (daté de 1645). Un
tableau
de IL GUERClNO, gravé à l'eau forte par Ludovico
ait l'image J clinique du syndrome et fixerait la note dominante du
tableau
morbide. Je tiens à affirmer ici, que l'usage d
ercher il simplifier notre terminologie, et ne pas com- pliquer les
tableaux
morbides par des subdivisions inutiles. J'ai pr
s différente etcependant, aussi bien l'un que l'autre présentait le
tableau
classique de la forme clinique de Lorain ; form
me proposée par ! M. Bauer neme semble pas exprimer correctement le
tableau
cliniquede; i l'infantilisme du type Lorain. ,
chercher à simplifier notre terminologie, et ne pas compliquer les
tableaux
morbides par des subdivisions inutiles ». Réunir
a vertèbre. Quant aux symptômes de la maladie, on distingue dans le
tableau
cli- nique des tumeurs vertébrales des symptôme
d'herpès, d'atrophie musculaire et de contractures (Charcot). Un
tableau
analogue (paraplégie douloureuse) peut s'observer
mes médullaires. Quant à ces derniers ils rappellent tout à fait le
tableau
clinique d'une myélite transverse. Les symptômes
et vasomoteurs (oedème) surviennent rarement. 78 FLATTA U ' Le
tableau
décrit ci-dessus est nécessairement un peu schéma
qui durant la vie ne décelaient aucun symptôme clinique. Dans le
tableau
décrit ci-dessus nous avons donné la description
omes, etc.). Il faut attirer l'attention sur ce point encore que le
tableau
clinique même des tumeurs malignes peut être in
s, la compression peut donc ne pas intervenir dans la production du
tableau
de la myélite. Ce fait a une importance énorme qu
II) de même que dans ceux décrits par Bielschovsky, Schlesinger, le
tableau
clinique se déve- loppa très lentement et donna
ar exemple d'urée de 5 ans dans le cas d'Oppenheim et Krause). Le
tableau
clinique dans d'autres formes de tumeurs (échinoc
ique pendant la vie les symptômes médullaires forment une partie du
tableau
morbide) ; b) qu'il y a des cas dont le tableau c
rment une partie du tableau morbide) ; b) qu'il y a des cas dont le
tableau
clinique simule entièrement celui d'une tumeur
es nerfs périphériques et delà moelle. Cette dernière présentait le
tableau
d'une myélite toxique (décrit par Meyer, Crocq
à main- tenant. Nous avons voulu esquisser seulement les différents
tableaux
, se modifiant suivant la nature et le siège de
sur place, quelques heures de marche du village, le plus saisissant
tableau
morbide qui jamais m'eut été donné de voir dans m
esses parfaitement normales. Voici par ordre chronologique un petit
tableau
synoptique de ses ac- couchements : 1885. Mar
'ennui. Le fond de son caractère est aigri et ce qui domine dans le
tableau
psychique de cette pauvre fille, c'est l'instin
ue, elle a été citée par beaucoup d'auteurs et présente en effet un
tableau
symptomatique très particulier qui servi- rait
la pre- mière enfance. Les parents de ces filles étaientcousins. Le
tableau
morbide était constitué par de la diplégie avec
la symptomatologie classique de l'amyotrophie Charcot-Marie et les
tableaux
morbides présentés par les sujets de mes observat
des atrophies musculaires, etc. ; chacun de ces symptômes domine le
tableau
morbide, chacun d'eux a évolué avec une violenc
ence inouïe ; voilà pourquoi on estembarrassé au milieu de ce grand
tableau
symptomatique de définir quels sont les symptôm
us avons essayé par ce qui précède de faire une étude analytique du
tableau
symptomatique présenté par les trois échantillons
ent que la maladie familiale que nous avons décrite ici présente un
tableau
morbide tellement étendu qu'il serait difficile
iphérique : Tous trois, les rejetons de cette famille présentent un
tableau
morbide saisissant, qui est là pour démontrer la
utre que l'hérédité. - C'est une cause héréditaire qui a réalisé ce
tableau
morbide ; aucune in- fection, ni intoxication n
l'anémie per- nicieuse, la néphrite chronique, la carcinomatose. Le
tableau
de cette lésion est presque le même que celui d
es corpuscules noirs en quantité notable autour des foyers. Mais le
tableau
ne correspond pas à celui qu'on rencontre au co
ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 163 avec troubles urinaires. Depuis, le
tableau
clinique ne présenta pas de rémission, et trois
nerveuses jouait le rôle prin- cipal dans la production de tout le
tableau
anatomo-pathologique. Les fibres nerveuses ont
sur la table d'autopsie que le diagnostic devenait clair. Quant au
tableau
clinique de l'affection, il dépend entièrement de
rtains nerfs, le cubital par exemple, peuvent prendre place dans le
tableau
clinique. Tous ces phénomènes peuvent se limiter
les de la nuque ; dans le cas de Schultze, du plexus brachial. Le
tableau
clinique dans ces cas ressemble à celui décrit pl
u ou tout d'un coup éclatent les phénomènes médullaires. Souvent le
tableau
clinique se dé- veloppe rapidement en simulant
elle, il en existe d'autres où la tumeur extraverté- brale donne un
tableau
de lésion médullaire, mais l'autopsie ne montre
es lésions anatomo-patholo- giques n'expliquent pas suffisamment le
tableau
clinique et il pense que certaines substances t
tactes, dans d'autres cas elles dégénèrent et alors nous voyons des
tableaux
correspondant aux dégénérescences « radiculaires
artie). Même quand les symptômes médullaires prennent place dans le
tableau
clinique la guérison peut être complète puisque,
au niveau de la première phalange ; 50 au niveau de la seconde. Le
tableau
suivant précise le raccourcissement de l'annulair
nombre. On a dit aussi que lorsque l'infection a été forte, on a le
tableau
de l'achondroplasie foetale et la mort à la naiss
localisée aux filets nerveux intra-osseux, s'extériorisant avec un
tableau
, pour ainsi dire, monosymptomatique. , Ce qui,
« la rapide succession de ra- mollissements et d'hémorragies et le
tableau
clinique y relatif des paré- sies ou paralysies
n'étaient pas très intenses, elles occupaient le second plan dans le
tableau
cli- nique. Après trois semaines de durée des d
oite. Mais même à gauche ces masses ne sont pas très nombreuses, le
tableau
correspond à ceux que nous rencon- trons dans l
sions inflammatoires. Ce cas était assez facile à diagnostiquer. Le
tableau
clinique y était typi- que pour une affection c
donnés sont viciés par la présence d'une cyphose cervico-dorsale.
Tableau
de la croissance : brachymélie métapodiale cong
ma cette dernière opinion. Si nous prenons en considération tout le
tableau
clinique de la maladie, dans lequel au premier
e. Le présent travail n'a pas pour but la description détaillée des
tableaux
cliniques des tumeurs intra-vertébrales. Nous v
moelle. c'est-à-dire du côté où elle sié- geait. Par conséquent le
tableau
de l'affection transverse de la moelle (trouble
que le type de Brown-Séquard a pu prendre la première place dans le
tableau
clinique. Nous répétons encore une fois que le
is que le syndrome de Brown-Séquard n'est pas indispensable dans le
tableau
clinique des tumeurs méningées. Son absence mêm
own-Séquard. Peu à peu les symptômes unilatéraux s'effa- cent et le
tableau
clinique se rapproche toujours de plus en plus du
intramédullaires. Les tumeurs intramédullaires affectent plutôt le
tableau
d'une maladie aiguë ou subaiguë quoique là aussi
ques années (Ward, Boettiger). En décrivant tous les stades dans le
tableau
clinique des tumeurs méningées, nous avons voul
éter- minant le siège de la tumeur. , On se sert généralement des
tableaux
de Bruns, Edinger, Suiffer, el d'autres auteurs
phies musculaires, radiculaires et anes- thésies). Puis apparaît le
tableau
du syndrome de Brown-Séquard avec l'hémiplégie
enheim-Krause). La tumeur localisée dans la moelle dorsale donne un
tableau
clinique où les douleurs névralgiques et les pa
rminal s'annonce la plupart du temps par un développement rapide du
tableau
clinique, par l'absence presque complète des doul
deux ans après pour disparaître encore une fois et revenir quand le
tableau
typique de la tu- meur de la queue de cheval a
ire les symptômes suivants : une intensité moyenne des douleurs, un
tableau
clinique rappelant la myélite aiguë ou subaiguë,
es tumeurs intra et extramédullaires et indique les symptômes et le
tableau
clinique tout entier caractéristiques de chacune
pénibles. Les douleurs peuvent prendre la place domi- nante dans le
tableau
clinique. Dans un cas de Batten les douleurs ont
s la zone brachiale, et ces douleurs repoussaient au second plan le
tableau
de la sclérose. Dans un autre cas nous avons co
la syringomyélie). Oppenheim et Stertz font encore remarquer que le
tableau
clinique de la tumeur mé- dullaire se complète
ébrale hypotrophique congénitale donne le plus souvent lieu soit au
tableau
clinique de l'idiotie, soit à celui de l'épilep
té figurés par Velasquez dans le personnage qui occupe le centre du
tableau
des Ménines, etc.).» - Enfin M. Sainton nous di
s ébauchés. Examen objectif. Un coup d'oeil à sa photographie et au
tableau
des mensurations sera suffisant à montrer que n
e A. Wauters, s'est inspiré de ce passage pour représenter, dans un
tableau
dont nous donnons la reproduction, cet essai de t
de traitement par la musique sacrée de la mélancolie du peintre. Le
tableau
est au musée de Bruxelles. Dws une étude sur Le
aits d'Abigail s'avan- çant à la rencontre de David, dans un de ses
tableaux
les plus connus ; puis la solitude, la tristess
du tremblement, des troubles de la parole. Quelque temps après, le
tableau
symptomatique de la sclérose en plaques était a
issance, du syn- drome microsomie, est la cause de l'anornzalité du
tableau
clinique qui nous est offert à ce sujet. Nous
o- 682 ETTORE LEVI mie essentielle, elle nous montre à 22 mois un
tableau
d'arrêt- de déve- loppement peu accentué, mais
leçons de choses, soit à l'école, soit dans les jardins (avec le
tableau
roulant), soit enfin dans les promenades (1). V
llabe finale muette ainsi Lemait ? qui dit : très bien blanc, bleu,
tableau
, dira : «tau pour table «por» porte : de même i
que. Le musée s'est enrichi notablement en. 1900 comme le montre le
tableau
de lapag'oxxxn. Nous avons continué, comme les
re pour la bonne direction morale qu'ils savent leur imprimer. Le
tableau
suivant met en évidence les résultats obtenus p
ommissions. - All'iclies diverses. Entêtes de lettres, registres et
tableaux
divers pour la Direction et l'Economat. Circula
s, etc., pour les Ecoles municipales d'infirmiers et d'infirmières.
Tableaux
des lignes et de leurs applications, des volume
étaient atteints de maladie de Little et 8 étaient flaireurs. °Le
tableau
suivant résume le mouvement de la population en
es était allé en diminuant progressivement ainsi que le montre le
tableau
suivant : . - .Maladies contagieuses.. : . '. L
nt marquer; 8 savent faire de la tapisserie ; 3 savent tricoter. Le
tableau
ci-après donne mois par mois le nombre des appr
ur la demande réitérée des parents on signe la sortie de Félicie.
Tableau
du poids et de la taille. Idiotie MYXOEDËMATEUS
ateuse. Nous n'insisterons pas sur ces différents symptômes, dontle
tableau
a été tracé minutieusement dans les précédents
ion appréciable. Sous son influence le poids de l'enfant a diminué (
tableau
des poids), la taille a aug- menté, le volume d
la substance nerveuse est encore relativement conservée, on voit le
tableau
suivant : Le tissu nerveux atteint une épaisseu
re 1900, soit un total de 2.554 entrées. Nous avons résumé, dans le
tableau
suivant, la situa- tion des pères et mères de t
ie. Bourneville, Bicêtre, 1900. - ' 7 98 Alcoolisme et idiotie.
Tableau
statistique sur l'alcoolisme. Alcoolisme et NP1
5 heures du matin, sans qu'on ait remarqué rien de nouveau dans le
tableau
de sa maladie, ok l\11\SINGO-ENCI ? PHALI'l'r ?
organes. 1(n ? mGO ? rrc : rHnLrrr. 109 110 Idiotie complète.
Tableau
des ca.s de 9 o-et(,éi)iutlite observés dans le
leptiques et les enfants idiots imbéciles etc, non épileptiques. Le
tableau
suivant donne année par année le résultat de no
donne année par année le résultat de nos recherches. Le même ' ·
tableau
nous montre que si on se reporte il la compa- r
raît donc plus tôt chez l'enfant idiot I,I>ILEP'l;lnLr,. .; Le
tableau
ci-après donne la répartition de ces cas au poi
e (Proptvs méclicat, n 10 Vc 11)01, y. 163.) 154 Saturnisme. Le
Tableau
suivant montre les diverses affections auxquell
offert de particularité notable. Nous nous bornons à reproduire le
tableau
de la température rec- tale durant cette fièvre
lus de com- modité j'ai disposé toutes ces planches sur de grands
tableaux
noirs que le maire de Clermont, M. Lecuyer, a f
ont le poids variait de 171 à 785 grammes. En voici d'ailleurs le
tableau
. 168 Microcéphalie chefort. Nous ne possédons
Microcéphalie chez Cluto... nous avons dressé, pour comparaison, le
tableau
ci-après concernant 7 enfants du même âge : (
r un simple arrêt de dévelop- pement, de les grouper, de faire leur
tableau
clinique et de procéder de même pour les microc
avons trouvé 16 fois la persistance soit ............ 18 0/o, Le
tableau
A donne, âge par âge, la répartition de ces cas.
0/o, Le tableau A donne, âge par âge, la répartition de ces cas.
Tableau
A. Persistance DE la SUTURE métopique. 203
sans doute, la neurasthénie et l'hystérie. ONGLE PÈRE MÈRE TANTE
TABLEAU
DE FAMILLE______ —____ Aliéné. Mort Morte de
re et apportait même dans la lutte un certain entrain. Aujourd'hui le
tableau
s'est considérablement assombri, le pauvre diable
qu'il soit devenu très difficile de la « lire ». Voici du reste le
tableau
analytique des phénomènes qui peuvent être actuel
auvais augure. Quelques traits devront être ajoutés pour compléter le
tableau
: En premier lieu, l'amaigrissement rapide du m
n prend « du recul » à l'imitation du peintre qui veut envisager le
tableau
non plus dans les détails mais dans l'ensemble. C
re, par l'étude que nous allons faire des antécédents héréditaires.
TABLEAU
SYNOPTIQUE DES ANTÉCÉDENTS DE FAMILLE DE A... EL
us n'avons considéré encore, jusqu'ici, messieurs, qu'un des côtés du
tableau
. Ainsi que je l'ai déclaré en commençant, l'hys
ante de M. le Dr Déjerine (¦!). Je me bornerai ici à relever quelques
tableaux
de famille qui me paraissent significatifs. Voi
'abord l'histoire de la descendance d'un paralytique général (Voir le
tableau
ci-dessous) : Grand-père paternel Paralysie gén
5, 8, p. 181), offre précisément un exemple de ce genre. Un second
tableau
montrerait la paralysie infantile survenant chez
ier ces exemples ; je me bornerai pour le moment à exposer un dernier
tableau
qui me paraît être fort instructif. COTÉ PATERN
âche se Jrrou^era, je pense, singulièrement facilitée par l'examen du
tableau
synoptique que j'ai placé sous vos yeux. TABLEA
ée par l'examen du tableau synoptique que j'ai placé sous vos yeux.
TABLEAU
SYNOPTIQUE DES SYMPTOMES OCULAIRES dans le tabe
contingentes les menacent, qui peuvent, à un moment donné, changer le
tableau
en déterminant le retour de l'impuissance motrice
tations névropathiques actuelles. Il conviendra aussi de compléter le
tableau
clinique par l'exposé de quelques nouveaux traits
ation de l'ouïe et de l'odorat, également à gauche. Vous le voyez, le
tableau
est complet et il n'a guère besoin de légende.
ire signalées tout à l'heure, ne sont cependant pas déplacées dans le
tableau
. La première, en effet, s'y observerait peut-être
ont plus de mise aujourd'hui (1). J'ai fait placer sous vos yeux un
tableau
où sont inscrits les tracés obtenus par l'applica
t produites plusieurs de ces crises diarrhéiques qui appartiennent au
tableau
régulier de la maladie de Basedow et dont je vous
apidement à la terminaison fatale. L'autopsie, dans ces 1. Voici le
tableau
des moyennes des six analyses faites du 13 au 19
roduit exactement en effet, dans ses traits fondamentaux du moins, le
tableau
classique que le regretté Beard de New-York a eu
l'âge de 14 ans, été • sujet à de violentes colères. On voit que le
tableau
d'hérédité nerveuse est ici passablement chargé.
ccidents nerveux qui ouvrirent la scène. Quelques jours plus tard, le
tableau
clinique était constaté tel que nous pouvons l'ét
paroles dont on ne peut pas toujours saisir le sens, reproduisent le
tableau
des attitudes passionnelles ; et ces diverses cir
recherche des stigmates, faite ces jours-ci, a permis de compléter le
tableau
déjà cependant fort chargé (voirlesfig. 62 et 63)
éréditaires, dont vous pourrez reconnaître l'intérêt en parcourant le
tableau
ci-joint, est fort significative ; vous allez le
es, toujours présents, vous aurez complété, en ce qui le concerne, le
tableau
des symptômes hystériques tel qu'il s'offre à nou
hystéro-épileptique à forme d'épilepsie partielle.) Voilà certes un
tableau
fort complet et parfaitement classique. Personne
de traces. Il a servi et a fait la campagne de Grimée. Ci-joint un
tableau
qui fait connaître ses antécédents héréditaires.
la famille Je crois utile en manière de conclusion de grouper dans un
tableau
synoptique les principaux faits de l'histoire des
dans la séance d'aujourd'hui et dans celle qui l'a précédée. Voir le
tableau
pages 298, 299. Il suffira, je pense, de jeter
aite. Il n'en est plus de même lorsque l'on cor suite les colonnes du
tableau
relatives aux circonstances étiologiques. Il est
te singulièrement facilitée si vous voulez bien jeter les yeux sur le
tableau
synoptique que j'ai fait placer sous vos yeux ; i
péripéties de cette longue histoire, si vous voulez bien parcourir le
tableau
chronologique que j'ai fait préparer pour la circ
e me suis proposée aujourd'hui de remplir, qu'à faire figurer dans le
tableau
afin d'y mieux mettre en relief l'objet sur leque
e signaler en passant comme devant figurer sur l'ar-rière-plan dansle
tableau
clinique que j'ai voulu placer sous vos yeux tout
être pas hors de propos en manière de résumé de placer devant vous un
tableau
synoptique où vous pourrez embrasser d'un seul co
nsibilité que nous venons de relever, nous avons de quoi compléter le
tableau
clinique de la paralysie alcoolique. C'est bien d
en chantant dans les rues. Yoilà qui est fort bien, direz-vous ; le
tableau
promet d'être piquant. Mais où voulez-vous en ven
s commissures, soitdes faisceaux blancs, tandis que, cliniquement, le
tableau
symptomatique répond à ce que j'ai proposé d'appe
, le protéiforme, le contraste, l'opposition, le mystérieux (1). » Le
tableau
était un peu forcé, sans cloute, déjà pour l'époq
sa terreur étaient extrêmes, comme s'il avait encore sous les yeux le
tableau
dupéril auquel il venait d'échapperou qu'il eût r
n point capital, par lequel la paralysie de notre malade s'éloigne du
tableau
classique : 2. Settier, loc. cit. p. 115. c'e
paraplégie spasmodique venir se surajouter en proportions diverses au
tableau
clinique propre à la syringomyélie et embarrasser
oubles qu'il a tout d'abord accusés. En quoi cet état diffère-t-il du
tableau
symptomatique de la névrose de Beard? Or, ce n'es
ouvre véritablement aucun qui ne soit connu déjà comme appartenant au
tableau
clinique, soit de la neurasthénie, soit de l'hyst
ent rétrospectif. La malade dont 1. Voir la leçon 13, p. 292, et le
tableau
p. 298. 2. Extrait d'un travail publié par M. D
e. ISI1 . NOIZETlE, 8, EUE CAMI'AGKE-PEEMIÈRE, PAKIS. TABLE DES
TABLEAUX
, FIGURES ET FAC-SIMILE CONTENUS DANS CE VOLUME
DES TABLEAUX, FIGURES ET FAC-SIMILE CONTENUS DANS CE VOLUME A. —
TABLEAUX
Pages. Tableau généalogique (Sciatique, Neura
ES ET FAC-SIMILE CONTENUS DANS CE VOLUME A. — TABLEAUX Pages.
Tableau
généalogique (Sciatique, Neurasthénie et Hystérie
— — (Paralysie infantile)............ 144 — — — ............ 145
Tableau
synoptique des symptômes oculaires dans le Tabès,
Tabès, la Sclérose en plaques et l'Hystérie................. 163
Tableau
généalogique (Hystéro-neurasthénie)........... 26
)........... 261 — — — ........... 286 — — — . . ¦?........ 296
Tableau
synoptique des antécédents et des symptômes chez
s chez quatre hommes hystéro-neurasthéniques............. 298,299
Tableau
synoptique d'accès d'Automatisme ambulatoire.....
99 Tableau synoptique d'accès d'Automatisme ambulatoire...... 308
Tableau
généalogique (Abasie trépidante)............. 372
mme par lapeur de la foudre........................ 543 TABLE DES
TABLEAUX
FIGURES ET FAC-SIMILE CONTENUS DANS CE VOLUME A
e, 284. — Spasme glosso-labié, 293.— Stigmates, 289, 294, 531, 532. —
Tableau
synoptique, 298, 299. — Tremblement, 530, 531.
iens et modernes; 12 vues représentant les pre- mières syllabes des
tableaux
que nous avons faits avec xiv Promenades ET dis
euet, une feuille d'arbre, un citron, une orange, des cerises. Ce
tableau
se compose de deux parties identiquement sembla
onque avec l'objet qui en présente l'application. Les deux autres
tableaux
ont rapport aux lignes droites et à leurs combi
combinaisons. En regard de chacune d'elles se trouve, comme dans le
tableau
précédent, représentée une de leurs application
. Le musée s'est enrichi notablement en 1897 ainsi que le montre le
tableau
suivant, placé en tête de la page wr. Nous av
re pour la bonne direction morale qu'ils savent leur imprimer. Le
tableau
ci-après met en évidence les résultats obte- nu
opulation. " : \\'11 Décès. Les décès ont été au nombre de 17. Le
tableau
ci-après fournit les renseignements concer- nan
lles-ci ; 25 ont été transférés et .2 sont sortis par évasion. Le
tableau
des pages xxxtt et suivantes indique les motifs
hyroïde incidemment sur le thymus. Le XLII Maladies infectieuses.
tableau
ci-après donne quelques renseignements sur ces
du crochet; 12 savent marquer; 10 savent faire la tapisserie. Le
tableau
suivant donne mois par mois le nombre des appre
maladies qui ont occasionné la mort et dont on trouvera la liste au
tableau
des décès, les maladies suivantes : 15 enfants
répartissant ainsi : - LVI i Mouvement de la population. Voici le
tableau
du mouvement de la population en 1897 : Perso
aisser revoir i- notre ancien malade. La taille a augmenté (voir le
tableau
). Le tronc et la tête se sont développés, ainsi
t des mensurations ci-après, pour le tronc, et celles relevées au
tableau
de la tête. Etat nu .malade en 1897 9 10 Imbé
l 3 M- H M ro 0 B m M '-3 f3 a p f ta
Tableau
des mensurations de la tête, du poids et de la ta
nnels.- Voici, à titre de spécimen de nos procédés d'observation le
tableau
de la température de l'enfant durant les cinq p
te à gauche. - Mort à 11 heures du matin. 92 MÉNINGITE CHRONIQUE.
Tableau
des accès. '' Pneumonie caséeuse. 93 lève trè
tient pas de calculs. - Les testicules et l'épididyme sont sains.
Tableau
du poids et de la taille. Crâne DES épileptique
Son poids était descendu à 11 kilog. Températures après décès.
Tableau
DU poids, DE la taille ET DES accès. 103 Voici
ille ET DES accès. 103 Voici la marche des accès en 1896 et 1897.
Tableau
des accès. 104 CRANE- : HYPERTROPHIE DES FRONTA
ressivement atteint 42°. (Fig, 6). Température après décès. .
Tableau
des accès. 'IT : \IN G0-NCrPIiAI.IT. 133 Tabl
rès décès. . Tableau des accès. 'IT : \IN G0-NCrPIiAI.IT. 133
Tableau
du poids et de la taille. - " - ' 134 Épilepsie
aiblissement intellectuel attribué il des vertiges non notés sur le
tableau
et que l'instituteur signale dans ses notes de
s, à 5 h. et demie avec une T. R. de 4 L,G. - Poids : 29 kg. 800.
Tableau
des accès durant l'état de- mal. Epilepsie : cr
nt été moins nombreux. V. Nous avons consigné plus haut (p. 140) le
tableau
des températures prises, selon la règle, pendan
, qu'il ne distingue les lettres un peu grosses que d'assez près.
Tableau
du poids et de la taille. 178 Alcoolisme et idi
sique, son développement a été régulier, ainsi que cela ressort des
tableaux
du poids, de la taille et des mensurations de l
9 heures à 11 heures. Parmi les sujets, notons la reproduction des
tableaux
du musée de Versailles, relatifs à l'histoire d
llier, s'est augmenté notablement en 1890, ainsi que le montré le
tableau
comparatif ci-après. ENSEIGNEIFNT PROFESSIONNEL
tographies et des moulages. ; XVI FONCTIONNEMENT DES ATELIERS. Le
tableau
suivant met en évidence les résultats obte- nus
nnée. Ce sont : Bruck, Glène (serruriers) et Dalex (tailleur). Le
tableau
suivant fait voir que le nombre des. enfants qu
ement DE la population. Décès. Ils ont été au nombre de 19 (1) ; le
tableau
ci-après donne le diagnostic, la date et la cau
oit comme idiots où imbéciles, incapables d'être mis en liberté. Le
tableau
suivant indique les motifs de la sortie et la n
yer et Mesnard ; d'un profes- (1). Nous avons-fait figurer; dans ce
tableau
, en raison de leur petit nom- bre, les 5 décès
en fassent le partage. Il est dans mes intentions que les livres,
tableaux
, etc., soient en majeure partie attribués aux éco
s con- ditions exigées par l'hygiène. Après avoir résumé, dans le
tableau
ci-après le mouvement de la popula- tion durant
urnirons quelques détails sur les décès et les sorties. Décès. Le
tableau
suivant donne le diagnostic, la cause et la dat
ties. -Les sorties ont été au nombre de 5, dont 2 par transfert. Ce
tableau
indique les motifs de la sortie et la nature de
lier des enfants de Bicêtre à la fondation Vallée. - En avril : 3
tableaux
noirs, 2 petites boîtes pour les bains ; 2 passe-
choses; 2 nouvelles ta- bles scolaires pour les gâteuses ; 1 grand
tableau
noir. En novembre : les casiers de l'ouvroir; 1
les 3 premiers mois, puis ils se sont reproduits comme avant (v.le
Tableau
des accès,). 1886. État actuel (25 Janvier). L'
eint. La température à 5 heures du matin était de 37". 8. Voici les
tableaux
comparatifs des dimensions de son crâne, de son
du volume de la tête très prononcée ainsi que le fait ressortir le
tableau
com- paratif des mensurations de la tête en 188
ues avec pollutions sans rapport avec la période des attaques. Le
tableau
suivant permet d'apprécier la marche des acci-
an- glais, etc. 1-IYSTÉRO-tPrLEPSIr, 105 Comme onle voit par ce
tableau
le malade a eu des attaques de deux espèces : l
quelques progrès en gymnasti- que et en écriture : il trace sur le
tableau
des a, des o et des u. Il redevient gâteux de t
1 CI' mais Il connaît maintenant'les noms de tous les ani- maux des
tableaux
et les usages de quelques-uns. Distingue le cub
cer à parler, son habitude est d'écrire ce qu'il veut dire sur un
tableau
, une ardoise, du papier ou sur une table avec un
lques cas, on voit qu'il comprend. Par exemple s'il aperçoit sur un
tableau
la date de la veille, il l'efface, ou s'il la v
. L'écriture est grosse, assez lisible, il aime surtout à écrire au
tableau
noir. Il ne peut écrire une phrase dictée ; i M
e. Le corps et la tête se sont développés ainsi que le prouvent les
tableaux
suivants : Microcéphalie ; ÉDUCABILITfi. : 165
naire et avec le crétinisme et nous terminerons en vous traçant le
tableau
no.solJl'i1phique de cette forme si curieuse de
. Jamais de chutes ni d'émotions vives pendant la gros- sesse. Le
tableau
ci-après indique l'ordre de naissance, le sexe
bservation Il de II. Stirling.) « E ? âgé de 17 ans 3 mois (n° 4 du
tableau
), était une enfant d'une beauté remarquable et
bservation III de M. Stirling.) C ? II ? âgé de 13 ans 1/2 (n° G du
tableau
), est né à Whood- ville, faubourg d'Adélaïde.
(Observation V de JI. Stirling.) A ? A ? âgé de G ans 1/2 (ne 9 du
tableau
). Les premiers symp- tômes se sont montrés avan
l'enfant ne sait ni lire ni écrire. T. 36°, 1. L'auteur donne le
tableau
de la taille de ses mala- des, prise en 1884 pa
s avons fait ensuite passer sous les yeux des membres du Congrès un
tableau
statistique comprenant 44 cas d'idiotie myxoedé
es leçons de choses, soit à l'école, soit dans les jardins (avec le
tableau
roulant), soit enfin dans les promenades. Pet
Le musée s'est enrichi notablement en 1898, ainsi que le montre le
tableau
suivant : , Enseignement professionnel XIX
pour la bonne direction morale qu'ils savent leur im- primer. Le
tableau
suivant met en évidence les résul- tats obtenus
s, 1 meuble à 2 corps pour les photographies, li bancs, 3 tables, 2
tableaux
pour les classes, 1 table scolaire, 1 meuble po
Commissions. Affiches diverses. - Entêtes de lettres, registres et
tableaux
divers pour Direction et Economat. Circulaires
es (1868) sur la glande thyroïde et incidemment sur le thymus. Le
tableau
ci-après donne quelques renseignements sur ces
rquer; 12 savent faire la tapisserie ; 10 commencent à tricoter. Le
tableau
cle la page XLIX donne mois par mois le nombre
et 4S°, 1. Mort. Poids du corps après le décès : 11 kilos'. 500.
Tableau
du poids et de la taille. 22 IDIOTIE HYDDOCÈPHA
état; continuation du même traitement. Développement PHYSIQUE. 33
Tableau
des mensurations de la tête. 34 Imbécillité ath
sur le Catalogue de notre Musée de Bicêtre, nous citerons, dans le
tableau
qui précède, les cas dans les- quels l'inégalit
mélancolique dure de la mi-décembre à la mi-février. IV. Alors le
tableau
change ; la dépression mélan- colique (sans idé
sait place à un embonpoint progressif ainsi que cela res- sort du
tableau
ci-après : Tableau du poids. Manie; guérison.
onpoint progressif ainsi que cela res- sort du tableau ci-après :
Tableau
du poids. Manie; guérison. 81 grissement et
? section (épileptiques adultes) où deux cas se sont produits. Le
tableau
suivant donne une idée de la marche de l'épidém
Épidémie DE fièvre typhoïde. Nous avons cherché à rapprocher de ce
tableau
celui des cas de fièvre typhoïde qui se seraien
nglions trachéo-bronchiques engorgés. . ' IDIOTIE `CONGÉNITALE.
Tableau
du poids et de la taille. 119 Cas suivis de d
se retomber en arrière, frappant durement sa tête sur l'oreiller.
Tableau
du poids et de la taille. 1-46 Épidémie pE.FI
s microbiologiques de l'eau de Choisy telles qu'elle figu- rent aux
Tableaux
mensuels de la Statistique municipale de Paris :
cement aKfëro-postëTteMrdM 0)T.c,pa ! ett)' - (t) Voirplus loin -le
tableau
récapitulatif, p..198. - 184 Antécédents-hérédi
dyspnée, cyanose de la face et des lèvres, mort à 9 heures -1;'2.
Tableau
du poids et de la taille. Tableau des accès.
lèvres, mort à 9 heures -1;'2. Tableau du poids et de la taille.
Tableau
des accès. 190 SCLEROSE TUBEREUSE. Sclérose
s symptômes sous la dépendance de la méninge- encéphalite. VI. Le
tableau
qui précède montre que l'idiotie sym- ptomatiqu
es. Sous le rapport anatomo- pathologique nous voyons, dans le même
tableau
, qu'à la sclérose tubéreuse s'ajoute, cinq fois
liers XXIV ! Il. Statistique. Mouvement de la population .... XXIII
Tableau
général xxiv Décès XXIN, Sorties, xxtv Inva
tv Invasions xxv Transferts xxv Thymus et glande thyroïde xxv
Tableau
des décès. , , . , , ' , , , , , . , , . , , , ,
. , , , , , , , . xxvm Maladies infectieuses xxxiv Teigne xxxiv
Tableau
des sorties -xxxvi Maladies intercurrentes XLII
currentes lui ..II. Statistique : mouvement de la population. lui
Tableau
général Liv TAULE DES \C : 1'1'IItES...;i3J D
e 1898........... LV Personnel................................ LV
Tableau
des décès......................... LVI Tableall
' : 1HI.SIE linguales, symptômes objectifs les plus saillants de ce
tableau
, correspondent bien aux descriptions classi- qu
du même côté. La présence des tremblements fibrillaires complète le
tableau
. Chez notre malade, comme dans la plupart des c
laires. Dans d'autres cas, l'hé- miatrophie linguale fait partie du
tableau
de l'hémiatrophie faciale (Cal- metteetPagés, I
lle contribue également à faciliter la distinction entre les divers
tableaux
cliniques souvent très compliqués, à l'époque du
niveau de l'appendice xyphoïde, jusqu'aux pieds inclusivement. Le
tableau
clinique (6 mois après le commencement de la mala
sensibilité ainsi que le rôle prépondérant dans le développement du
tableau
clinique des douleurs persistantes au côté droi
ues (allorythmie et ary- thmie). Dans l'ensemble des symptômes du
tableau
clinique, avant le traitement, les phénomènes p
même d'oedème au haut de l'endroit comprimé. Dans l'évolution du
tableau
clinique après le traitement, en dehors de la p
u malade,qui, découragé, quitte l'Hôpital. Si nous considérons le
tableau
de la réapparition progressive des symp- tômes
lysie. L'ensemble des symptômes indiqués formant progressivement un
tableau
clinique en tout pareil au cours de la maladie
i les douleurs ont joué un rôle secondaire dans le développement du
tableau
clinique et dans le cours de la maladie, pourquoi
et des fèces. Tel est dans les termes généraux le développement du
tableau
clinique d'une maladie de la moelle, par laquel
ans notre cas, à rencontre et de la chronologie des accidents et du
tableau
cli- nique des phénomènes morbides. Aussi adm
ies, il fautbien caractériser les myoclonies, en leur attribuant un
tableau
syptomatologique qui puisse leur donner une aut
ervations (Bouveret et Devic, Massa- longo, etc.) ont pu établir le
tableau
symptoinatologique que les traités reproduisent
zeet la cho- rée fibrillaire de Morvan, qui s'identifient par leurs
tableaux
symptoma- toloiques, représentent ce premier ty
r établir sur des bases sûres cette orientation. Diagnostic. Le
tableau
symptomatologique des myoclonies étant exposé, le
st à ce jour ; il l'a vu vieillir sans changement no- table dans le
tableau
clinique. Antécédents. - Nous tenons les rensei
té de ces formes typiques, il y en a d'autres déjà décrites dont le
tableau
clinique est beaucoup moins complet et caractéris
une forme légère, de laquelle on pourra aisément passer à d'autres
tableaux
cliniques, où les signes d'achondroplasie sont
sées, à la microsomie essentielle et à l'individu normal. Dans le
tableau
ci-dessous j'ai comparé certaines données de l'ho
jours très marquée. Enfin, à mesure que l'on continue la lecture du
tableau
, on note combien les données s'éloignent peu il
ment par lui, était aphone et avait un spasme de la phonation. Le
tableau
clinique ne pourrait donc être plus ressemblant à
identité des symptômes que nous nommons bulbaires, tout le reste du
tableau
cli- nique de mon cas se détache complètement d
n'est pas non plus, une paralysie d'origine cérébrale corticale. Le
tableau
clinique qu'a tracé des paralysies corticales d
fût trouvée. Le 21 mai mort subite du malade. L'autopsie a donné le
tableau
suivant (2) : La dure-mère est très tendue, la
tion de cause à effet entre la durée de la maladie d'une part et le
tableau
anatomo-pathologique que présente la moelle dor
BATTU ET GUA VIER les résultats suivants que nous comparons dans le
tableau
ci-joint avec les chiffres que nous aurions dû
'hypophyse, etvien- nent, ainsi que l'a montré Meige, surcharger le
tableau
du gigantisme eunuchoïde. Par contre, les seu
- tisme eunuchoïde que nous avons étudié, nous pourrions dresser le
tableau
suivant : ' 1° En premier lieu nous avons l'h
s glandu- laires, mais il convient de ne pas les comprendre dans le
tableau
de l'eu- nuchisme. 5° Une autre éventualité,
des à sécrétion in- terne.vient apporter une note particulière à ce
tableau
. Les types alors réalisés peuvent varier à l'in
moins mani- feste ou même d'une guérison. Nous y pouvons ajouter le
tableau
suivant qui contient des cas chez lesquels on a
rémités inférieures, et sur ce point j'ai noté ce qui suit (voir le
tableau
) : Les parents du malade sont tous les deux viv
es pour la première fois, cinq ans après le début des accidents, le
tableau
clinique était celui de l'aphasie motrice de Br
ndrome asthénie, s'associer à d'au- tres états morbides, créant des
tableaux
cliniques complexes. Voici un exemple d'byperst
assez justement sa tante. Seule la mas- turbation s'est ajoutée au
tableau
clinique vers l'âge de 8 à 10 ans. Durant des h
joyeuse : il danse, saute, rit, chante, crie, se masturbe, etc. Le
tableau
clinique surajouté à l'idiotie est uniquement c
be). Enfin, nous ne trouvons aucune trace de rétention urémique. Le
tableau
des analyses d'urine montre que l'élimination d'u
espaces périvasculaires et au niveau de la pie- mère. Pour finir le
tableau
nous ajouterons qu'on rencontre dans les méning
gen- tiane et le violet de méthyle. Nous avons devant les yeux le
tableau
d'un lissu ]I/'otoplaslItÏr¡lle, réti- culé, co
inué mais a servi a aug- menter les corps cellulaires. Cependant le
tableau
général du gliaspon- gium modifié n'est pas le
vrogliques changent un peu de place, ne modifiant que faiblement le
tableau
normal de disposition, ici le tableau typique d
e modifiant que faiblement le tableau normal de disposition, ici le
tableau
typique de la structure de la périphérie de l'é
à la formation du réseau fibrillaire. Ainsi nous avons examiné deux
tableaux
pathologiques du tissu névro- glique ayant des
On peut voir sur la figure 7 (PI. 1,Xlll) l'aspect que présente le
tableau
complet de réseaux conjonclifs fibrillaires pro
e tuyaux, ce sont les bourgeons latéraux. En passant en revue les
tableaux
de tissu conjonctif que nous avons examinés, no
collagènes dont elle forme la continuation. Pour finir, revenons au
tableau
clinique du cas donné el prononçons nous sur l'
bral en général, jouent à ce qui parait non le dernier rôle dans le
tableau
clinique de la démence précoce. Même le grossis
ssé un arbre généalogique : xxVi .il) 446 6 KLIPPEL ET FELSTEIN
TABLEAU
GÉNÉALOGIQUE Arrière-grands-pères inconnus. N
oit de la voûte. Semblable constatation est tout à fait conforme au
tableau
ordinaire de la maladie de Paget qui, comme on
eurs membres de la famille, pareillement congénital chez tous (voir
tableau
généalogique). Il me semble superflu maintenant
enir les organes génitaux de ce genre de malades. 482 BOCKS i
TABLEAU
CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX (Hôp
laire. Les signes de localisation de la lésion manquent parfois, le
tableau
cli- nique indiquant une diffusion du procès mo
du liquide céphato-rachidien dans les néo- plasmes rachidiens. Le
tableau
clinique du quatrième malade n'indique nullement
monoplégies pures et des monoplégies associées dont ils donnent le
tableau
suivant : MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE
ganiques qui en sont la conséquence offrent, nous l'a- vons dit, un
tableau
clinique très différent. Les unes en effet, celle
ux lésions d'origine vasculaire. Rien de tout cela n'existe dans le
tableau
symptomatique des lésions d'origine méningée ;
une du Bar, chef-lieu de canton, à 9 kilomètres de Grasse, un vieux
tableau
peint à l'huile sur bois et re- présentant une
r sa tête un petit diable semblable à ceux qu'on voit fuir dans les
tableaux
représentant des scènes d'exorcisme. Suivant un
A. L. Sardou a donné une excellente description de cet intéressant
tableau
, et les détails qui suivent sont en grande partie
ur le dos et un grand diable cueille son âme. ' Au coin gauche du
tableau
, un autre diable tient par les pieds une âme co
ène que nous venons de décrire n'occupe que la partie supérieure du
tableau
, dont les deux tiers inférieurs environ sont occu
esseur Charles VIII permettent de fixer assez exactement la date du
tableau
qui peut être attribué à la fin du XVe siècle;
nt pour cause l'affaiblissement du muscle orbitaire inférieur. Le
tableau
bien connu de Kaulbach, « Narrertlactus » où les
paupière supérieure et du muscle orbitaire inférieur) pro- duit le
tableau
typique d'un regard éteint (figures et 7), c'est
pouvons constater cette expression dans le regard du philosophe du
tableau
de Kaulbach. Le troisième indice de la démence
igure 5 et aussi très distinctement' chez le personnage couronné du
tableau
de Kaulbach. Cela tient, à ce qu'il parait, à c
que cérébrale localisée a la base principalement. Mais voici que le
tableau
clinique se transforme, et que la maladie entre d
re relative- ment bénins, disparaître sans laisser de traces; et le
tableau
clinique se rapporter à un moment donné, à une
r beau livre sur les Démoniaques dans l'art, une gravure d'après un
tableau
de Rubens représentant St François de Paule le mo
Ilasselt, Bruxel- les, 1840, sous le numéro 495, l'indication d'un
tableau
représentant St Fraraçois montant au ciel avec
i qu'il en soit, nous n'avons trouvé aucune autre indication sur le
tableau
de Rubens lequel peut-être n'existe plus. » M
ravure du Louvre signalée par MM. Charcot et P. Richer, l'autre, un
tableau
appartenant à M. Tou- douze. Ce tableau comme l
t et P. Richer, l'autre, un tableau appartenant à M. Tou- douze. Ce
tableau
comme la gravure du Louvre représente St François
uvre n'a pu être exécutée sur le (1) Gilles de la Tourette : Sur un
tableau
perdu de Rubens représentant la guérison de « p
. 1 -. . ? 0. -. 1. - ? SUR UNE ESQUISSE RETROUVÉE DE RUBENS 239
tableau
de M. Toudouze ou mieux sur l'original de ce tabl
DE RUBENS 239 tableau de M. Toudouze ou mieux sur l'original de ce
tableau
. Il ajoute que Rubens a probablement fait deux
ssédée et conclut : « les rap.' prochements que nous avons faits du
tableau
appartenant à M. Toudouze avec la gravure du Lo
la gravure du Louvre ne nous donnent aucun indice pour retrouver le
tableau
jJ1'Ùnitif aujounl' hui égaré. Ils nous permettra
e, dans les deux oeuvres, quelques traits communs; le groupe (t1 Ce
tableau
se trouve dans le cabinet XII, à contre-jour, dan
existent entre ces deux compositions. Un peintre qui veut faire un
tableau
commence d'ordinaire par en brosser un certain no
ant au fond, variables quant à la forme. Ru- bens, voulant faire un
tableau
représentant S. François de Paule guérissant de
édés, a dû en faire plusieurs esquisses. Mais Rubens a-t-il fait ce
tableau
? Nous l'ignorons. Dans tous les cas, ce n'est pa
expliquerait pas les différences de ces trois oeuvres. Si ces trois
tableaux
ont été peints, on doit jusqu'à nouvel ordre le
oeil pénétrant, auquel rien n'échappait, découvrait un ex-voto, un
tableau
qui lui permettait d'écrire avec notre ami Paul
ompagne dans la règle d'impuissance sexuelle. Tel esten résumé le
tableau
clinique de la paralysie spinale syphilitique d
les. La suivante, par exemple, réalise dans ses moindres détails le
tableau
de la paralysie spinale syphilitique telle que Er
nous contenterons de prouver, par une observation nouvelle, que le
tableau
clinique de la paraplégie sy- philitique de Erb
e où nous avons pu observer le malade, nous avions sous les yeux un
tableau
clinique très analogue à celui du tabès dorsal
xagération notable des réflexes aux membres supérieurs ; en un mot,
tableau
du labes dorsal spasmodique. Dans les yeux : abol
dre d'évolution des différents symptômes n'est pas changé ; mais le
tableau
clinique est singu- lièrement plus accentué. Le
mais sans paralysie à proprement parler (1). Ces variantes dans le
tableau
clinique sont évidemment en relation avec l'étend
nheim (2), un autre à Brasch (3), deux à Eisenlohr (4). Bien que le
tableau
clinique, dans ces cas, ait rappelé à s'y mépre
tive- ment écarté. Il est hors de doute que ces particularités du
tableau
clinique tiennent à la localisation fortuite de
le publie maintenant, sans atten- dre le développement ultérieur du
tableau
général de la maladie, l'affec- tion morbide qu
s, comme l'effet clinique général d'une seule et même maladie. Le
tableau
symptomatique des changements somatiques a présen
rendra. L'examen clinique des cas analogues et l'étude attentive du
tableau
symp- tomatique des troubles trophiques qui s'o
leçons de choses, soit à l'école, soit dans les jardins (avec le
tableau
roulant), soit au Musée scolaire, soit aux atel
donnons nous-même. Nous leur faisons en même temps reconnaître au
tableau
noir ou sur nos feuilles impri- (1) Tous ces ex
leçons; après cette opération cha- que enfant, à son tour, passe au
tableau
et remplit la portée de notes et de silences, a
, rectifie les fautes et en donne la raison. L'élève en quittant le
tableau
devienl il son tour moni teur de l'élève qui lu
-Ce musée s'est notablement enrichi en 1902, ainsi que le montre le
tableau
suivant. Enseignement professionnel. \LVII ph
re pour la bonne direction morale qu'ils savent leur imprimer. Le
tableau
suivant met en évidence les résultats 'obtenus
t atteints de maladie de Utile; enfin 13 étaient athétosiques. Le
tableau
suivant résume le mouvement de la population en
Décès. Les décès ont été au nombre de 21 durant l'année 1902. Le
tableau
des pages LVII à Lxm fournit les renseignements
ur famille, guéris ou améliorés ou sur la demande de celle-ci. Le
tableau
cle la page LXIII à lxix indique les motifs de
tuellement plus tran- quille, prend plaisir à placer les'lettres au
tableau
et cela d'une façon intelligente. L'enfant est
t marquer ; 15 savent faire de la tapisserie; 5 savent tricoter. Le
tableau
suivant donne mois par mois le nombre des appre
s publiés en Angleterre et aux États-Unis surtout, d'en donner un
tableau
clinique sommaire dans le Traité de médecine de
service, le malade a plutôt une tem- pérature un peu basse (Voir le
tableau
). Dans ses urines ni sucre, ni albumine. Il pès
t pendant les mois de février et mars, comme on peut le voir sur le
tableau
de la page ! i3 ; mais les vertiges qui n'avaie
mpérature à l'entrée Fracture DE l'atlas; écrasement DU BULBE. 43
Tableau
des accès et des vertiges. 44 " " Appendice ano
s de 1902 (89 gar- çons et 47 filles), soit un total de 2.846. Le
tableau
suivant résumé la situation des pères et mères
idotie et de l'épilepsie. Action DE L'ACOOLISME sur l'idiotie. 49
Tableau
statistique sur l'alcoolisme. 50 Action DE l'al
ence à lacer ses souliers et â placer exactement les cartons sur le
tableau
de couleur, à exécuter les premiers mouvements
, ici, était compliquée de nanisme avec infan- tilisme. L'examen du
tableau
de la faille, prise deux fois par an, de 1890 à
ns le service, autrefois, deviennent de plus en plus rares'. ' Le
tableau
des mensurations de la tête, offre quelques diffé
elligence : assez ouver- te. Parole : normale, lit et écrit bien.
Tableau
du poids et de la taille. Marche de L'f· : PILI
s différentes professions insalubres exer- cées par les parents. Le
tableau
suivant complète notre ancienne statistique.
une addition, une sous- traction, une multiplication,.posées sur le
tableau
noir ; elle nous appelle par nos noms lorsqu'el
s déjà essayé de tra- IDIOTIE VIÉNINGO-ENCÉPHALITIQUE. 231 cer le
tableau
clinique de cette forme d'idiotie. Cette tâche
sphère droit. Face externe. Les circonvolutions (1) On trouvera les
tableaux
de la T. à l'entrée, du poids et de la taille, de
âle, mais la phy- sionomie est grimaçante. Poids après décès 9 k.
Tableau
du poids et de la taille. 258 Atrophie CÉRÉBELL
as plus qu'en 1900, d'autre exemple de cette affection familiale.
Tableau
des Températures. Nanisme et infantilisme. 261
par la cachexie arrivée à un degré véritablement squelettique. Le
tableau
ci-dessus permet d'apprécier la marche de l'hyp
sept cas nouveaux, que nous réindiquons avec 12 cas récents dans le
tableau
suivant. Dans quelques-uns des cas d'hypother
res cérébraux et cérébelleux ; -, l'An nOUI\ : \'E\"'LLI,. . Le
tableau
qui suit résume les cas dans lesquels nous avon
joint les pesées des hémisphères cérébelleux. Pour être complet, ce
tableau
devrait comprendre le poids du cerveau et du ce
ption qui en fut faite, de nombreux types sont t venus s'ajouter au
tableau
primordial, réunis ou séparés, suivant les au-
gmus qui ne s'observe pas dans le regard vers le haut. Tel est le
tableau
clinique de Louise V... Vous avez pu remarquer
de la parole, le nystagmus, en un mot un grand nombre d'éléments du
tableau
symptomatique pouvaient être invoqués en faveur
durer de quelques semaines à plusieurs années (V. pour le tabes le
tableau
de Spillmann et Parisot (4), durée qui n'est pas
après avoir accompli sa tâche, terminé sa carrière, voilà certes un
tableau
qu'on n'est guère habitué à observer dans les scl
un coup de foudre pendant le décours de la maladie, qui a donné le
tableau
d'une paraplégie flasque complète, a finalement e
d'après Broca de ·10 ? d'après Topinard de 109. En consultant le
tableau
suivant : DÉFORMATIONS SÉNILES DU SQUELETTE SIM
dans tous les cas de ramollissement osseux chez les vieillards, le
tableau
symptomatique de l'ostéomalacie des adultes : dou
ou moins durable, sans étiologie occasionnelle saisissable, dans le
tableau
clinique des démences organiques. Ces deux séri
: si bien que s'effacèrent chez elle progressivement les trails du
tableau
clinique. Aujourd'hui, la malade, absolument dé
le. J'ai indiqué ailleurs (1) les différents aspects que confère au
tableau
clinique des démences en général, la combinaiso
la règle, il dé- barrassait les possédés du démon. Un assez mauvais
tableau
, conservé dans l'église de Saint-Menoux, représ
LAIGNEL-LAVASTINE. Dans des oeuvres d'art très complexes, dans des
tableaux
qui procurent à qui les regarde et les regarde
tif espagnol représentant une Adoration des Mages (PI.XVII). Sur ce
tableau
un des rois, agenouillé prend dans sa main droi
s peintres ne les aient pas reproduits ; néanmoins ce geste dans le
tableau
de Burgos a des carac- tères tels qu'on peut y
rtout dans celles des primitifs. Parmi les primitifs flamands, deux
tableaux
de Memling, l'un à l'hô- pital St-Jean, à Bruge
rd externe du pied droit. L'extension du gros orteil gauche dans le
tableau
de l'hôpital St-Jean s'explique physiologiqueme
nservée dans le tryptique, que parce qu'il n'est qu'une réplique du
tableau
de l'hôpital. Celui-ci, plus près de la nature, v
re, vien- drait le premier en date ; l'autre serait postérieur ; le
tableau
de l'hôpital aurait servi à l'exécution du tryp
es Offices, dans un An- giolo Gaddi, également des Offices, dans un
tableau
du XIV' siècle, de la villa San Donato près Flo
sion volontaire, comme beaucoup de ceux que nous avons vus dans les
tableaux
des italiens de la Renaissance. Ces extensions
t de faire entrer ce malade, Henri R..., je vous prie d'examiner le
tableau
généalogique que j'ai fait tracer. Nous avons pu
e la colonne vertébrale. Pour résumer, je peux ainsi synthétiser le
tableau
clinique de ce ma- lade. Désordres de la marc
llement progressive, mais peut présenter des rémissions. » Or, ce
tableau
clinique n'est pas, vous le voyez, Messieurs, dir
arke. Le sixième malade de Sanger-Brown se rapportait fidèlement au
tableau
de l'hérédo-ataxie cérébelleuse ; notamment, il
e famaliale dutypeFriedreich au point de vue clinique, réalisant le
tableau
morbide de cette affection dans sa presque absolu
néoplasme. D'accord avec cela absence de démence prononcée dans le
tableau
clinique. OSERVATION IV. K... Fritz est né en 1
nd, de Einsenlohr, etc.). Enfin, chaque fois que pendant la vie, le
tableau
clinique fut dominé par les paralysies oculaire
CAPSULES SURRÉNALES PAR GILBERT BALLET et LAIGNEL-LAVASTINE. Le
tableau
clinique de l'acromégalie est aujourd'hui bien fi
les données des traités de diagnostic nous avons marqué d'un nom le
tableau
symptomatique qu'il présente, nous avons fait b
e d'Argyll-Robertson est à son tour manifeste et vient compléter le
tableau
cli- nique du tabes. L'ataxie est très prononcé
ir, bien qu'il nous ait paru utile cependant de réunir dans un même
tableau
d'ensemble les différentes observations déjà pa
mble les différentes observations déjà parues. Comme le montre ce
tableau
, ce sont MM. P. Marie et Sainton les pre- miers
r aplasie claviculaire ; nos observations ainsi que celles de notre
tableau
montrent que les sujets peuvent être très vigoure
es enfants et de leur persistance chez l'adulte : l'examen de notre
tableau
montre qu'il en existe actuellement beaucoup plus
ous les sujets sont de petite taille ; il suffit de parcourir notre
tableau
et nos observations pour s'en convaincre. Ils peu
et la pathogénie de la dysostose cléido-crânienne hérédi- taire.
TABLEAU
COMPARATIF DES OBSERVATIONS DÉJÀ' PUBLIÉES DE
(PI.XLV-D). Ce sont là deux phénomènes importants qui complètent le
tableau
anatomo-pathologique. Mais à ce moment, la moel
ffection dont souffrait également une autre soeur qui est morte. Le
tableau
clinique présenté par ces malades ne se couvre ex
ypes des formes inter- médiaires qui conduisent insensiblement d'un
tableau
morbide à l'autre. OBSERVATIONS Famille H....
existe des mouvements spontanés des yeux. 15 décembre 1904. Même
tableau
. Etat actuel, 26 février 1905. Le malade ne se
dans le caractère ouvrirent la scène. Avant d'essayer de ranger le
tableau
offert par ces malades dans l'une ou l'autre de
agitation. En terminant nous insisterons sur les signes négatifs du
tableau
cli- nique, c'est-à-dire sur l'absence du nysta
el évoquer l'idée d'une sclérose en pla ques familiale ou plutôt du
tableau
clinique que MM. Cestan et Guillain ont essayé
plégie spasmodique familiale. C'est avec ce dernier syndrome que le
tableau
clinique de Henri et de Jeanne II... a le plus
s nous demander maintenant à quelle lésion anatomique correspond ce
tableau
clinique. Ici, le souvenir du tabes dorsal spasmo
tremblement peut faire penser à une affection 'spasmodique. ' Le
tableau
clinique présenté par nos malades, tout en se sup
plaques vraie constituent une rareté. Dans d'autres observations le
tableau
n'est plus aussi voisin de celui de la sclérose
e maladie familiale à forme de sclérose en plaques, qui rappelle un
tableau
anatomique trop précis, sans être absolument ex
é de la parole), qui disparaissent pour ne laisser subsister que le
tableau
de la spasticité seule. Il en a été ainsi pour
e contractures, dont Souques, dans le Manuel de médecine retrace le
tableau
en nous décrivant « un état du système neuro-mu
e mobilité de quelque étendue : la région lombaire. D'où résulte un
tableau
symptomatique spécial, celui de la scoliose hys
lement par un mélange d'asthénie et de contracture mus- culaire. Le
tableau
, en tout cas, ne nous parait pas être celui de l'
de reconnaître les lésions sura- joutées qui compliquent parfois le
tableau
clinique et seraient susceptibles de dérouter u
s les os de la voûte du crâne. III FORMES ET COMPLICATIONS Le
tableau
que nous avons donné plus haut est celui de l'ach
ie et la dysplasie périostale, nous donnons ci-contre sous forme de
tableau
les caractères principaux de ces trois dystrophie
intra-utérin. Ces derniers, il est vrai, se dis- tinguaient par un
tableau
clinique généralement incomplet et des caractères
à être vérifié histologique- 1 ment qu'il ne donne pas toujours le
tableau
clinique classique et peut entraîner, } en part
ongénitale. La bilatéralité fréquente du phénomène [30 0/0 dans les
tableaux
de Lataois et 12tss (67), 35,7 0/0 dans la stat
e cas une lésion à localisation multiple réalisant au même temps le
tableau
auatomo-pathologique de la sclérose en plaque (
ite foetale se traduit par des signes indiscutables. Sans doute, le
tableau
clinique n'est pas complet; certains signes font
olmar (PI. LXV). L'église est dédiée à saint Pantaléon, médecin. Le
tableau
« représente le saint parcourant la province, s
glise a été reconstruite en pierre rouge de Sa.verne en 9Q75), deux
tableaux
représentant le saint entouré de malades. Sur les
du saint ne reçoit plus les mêmes honneurs. 11 a fallu peut-être le
tableau
de M. Feuerstein pour rappeler aux vignerons de
vait autrefois pratiqué de fa- çon éclatante l'art d'Esculape. Le
tableau
représentant Saint Pantaléon guérissant les malad
position, et peut-être la Nouvelle Pinacothèque a-t-elle disputé ce
tableau
à l'église alsacienne ? Mais je peux affirmer
iqué par un serpent. « Pour le reste, ajoute-t-il, j'ai composé mon
tableau
, avec le seul souci de l'harmonie des lignes et d
des exposés. J'ai cru bon cependant de faire connaître, à propos du
tableau
de M. Feuerstein, la vie et la légende d'un sai
verts d'exostoses. Lejars (15) a résumé ce cas pathologique dans le
tableau
suivant. 632 LAUNOIS ET TRÉMOLIÈRES Dans un a
NGÉNITALE ET HÉRÉDITAIRE (I) PAR J. CHAILLOUS et P. PAGNIEZ. Le
tableau
clinique de l'ophtalmoplégie congénitale est aujo
voisinage, ni aucune déformation bien accentuée. Il compléterait le
tableau
anatomo- pathologique de la méningite foetate e
de Madrid, M. le Dl' Laignel-Lavastine appelait l'attention sur un
tableau
du musée du Prado, Les Sorciers (1). · Goya s
ues et les proverbes. C'est à la fin de ceux-ci qu'on rencontre nos
tableaux
presque entiè- rement hallucinatoires avec des
es. LA SYPHILIS DANS L'ART (Llligllel-Lml(fStiue) Les Sorciers,
tableau
de Goya, Musée du Prado, à M.1driJ, LA SYPHILIS
driJ, LA SYPHILIS DANS L'ART, PAR R M. LAIGNEL-LAVASTINE. Les
tableaux
qui représentent des syphilitiques ne paraissent
ussi avons-nous cru intéressant de signaler et de reproduire ici un
tableau
célèbre de Goya où l'on voit une figure qui pré-
ique, décrite par M. Fournier sous le nom de nez en lorgnette. Ce
tableau
(n° 2571 du musée du Prado), grande toile largeme
chromate d'argent des tu- bercules quadrijumeaux, donna en somme un
tableau
identique : sur toutes (1) Stéfanovska, Localis
un ensemble symptomatique présentant plus d'un trait commun avec le
tableau
clinique des états démentiels or- ganiques. Nou
(2) Il Yoliclinico, 15 juillet 1897. 120 CORNU présente avec le
tableau
clinique de la paralysie générale progressive, il
lleurs dans certains asiles est totalement inventé et n'existe pas.
TABLEAU
I. - Proportion entre la population et les travai
que aiguë et des troubles de la vie végétative. z - 144 BIANCHINI
TABLEAU
III. - Proportion entre les formes cliniques tota
totales et les travailleurs. ERGOTHÉRAPIE ET PSYCHOTHÉRAPIE 145
TABLEAU
V. Femmes. Proportion entre les formes cliniques
n entre les formes cliniques et les travailleurs. 146 BIANCHINI
TABLEAU
VII. Hommes travailleurs qui ont conservé ou quit
7 7 tia, elle rentrent pour ce qui regarde leur traitement, dans le
tableau
des psychoses aiguës. - Quant à l'alcoolisme,
itées par, vieillesse ou parce qu'elles sont idiotes et sales. ..
TABLEAU
VIII. - Proportion entre les admissions, démissio
dans un asile d'aliénés, se terminent par la guérison définitive.
TABLEAU
IX. - Statistique de la mortalité en 1892-1897
; la torsion latérale de la tête ne se reverra que chez l'enfant du
tableau
du Dominiquin à Grotta- Ferrata, et dans la tra
vrant complètement le sein. Nous retrouvons aussi ce geste dans les
tableaux
de Rubens par exemple, dans la transfiguration
sque de Pascal, Unbusted'Evê- que guérissant les écrouelles, Sur un
tableau
perdu de Ilubens représentant la guérison de po
'Erb, a toujours été signalée dans la plupart des cas publiés. Un
tableau
ainsi complet de la maladie, observée déjà en son
nt aplatie d'avant en arrière. Nous nous permettons de présenter un
tableau
, dans lequel nous donnons à côté des chiffres n
du passé. ) Dans l'église paroissiale d'Echternach se trouve un
tableau
, restauré dans ces dernières années, mais qui r
scènes identiques. (1) Il existait, paraît-il, autrefois, un autre
tableau
représentant trois souverains venus en pèlerina
II. Pl. YLIV LA PROCESSION DANSANTE D'ECHTERNACH (Henry Meige.)
Tableau
représentant Saint Willibrord et le pélerinage d'
ens, les muscles innervés par le facial n'interve- naient pas. Le
tableau
clinique présenté par notre malade ne saurait êtr
antage. D'autre côté l'athéromasie ordinaire ne corres- pond pas au
tableau
histo-pathologique que nous venons de faire ci-de
Exposition des Primitifs Français). (J. Genévrier). ; . SUR DEUX
TABLEAUX
, DE L'EXPOSITION DES PRIMITIFS FRANÇAIS, PAR
uvres de nos Primitifs Français, nous reproduisons aujourd'hui deux
tableaux
que ces divers auteurs n'ont pas signalés. Chac
tableaux que ces divers auteurs n'ont pas signalés. Chacun de ces
tableaux
présente quelque intérêt au point de vue mé- di
des Alpes, les Ghirlandajo ou les Bot- ticelli ! 1 Le premier des
tableaux
que nous reproduisons est de Jean Fouquet, « no
(Exposition des Primitifs Français). (f. Gel1C7 ? icr)- SUR DEUX
TABLEAUX
DE L'EXPOSITION DES PRIMITIFS FRANÇAIS 407 Fabr
ée. Elle est de l'Ecole de Provence, et à peu près contemporaine du
tableau
de Fouquet (PI. LVII). or De chaque côté de l
le donne assez souvent, à la suite d'un simple étour- dissement, ce
tableau
d'une aphasie qui n'est que passagère, surtout si
vous. Voyez ce premier malade que je fais écrire devant vous sur le
tableau
. C'est un paralytique général' qui en est actue
ces coupes ont été dessinées au même grossissement (Voir les trois
tableaux
1, 2, 3). xvn 20 442 2 L8111 ET WILSON TABL
oir les trois tableaux 1, 2, 3). xvn 20 442 2 L8111 ET WILSON
TABLEAU
1 POLIOMYÉLITE ANTÉRIEURE AIGUË DE L'ADULTE 443
ANTÉRIEURE AIGUË DE L'ADULTE 443 ÏAHLEAU2 2 444 LÉRI ET WILSON
Tableau
3 NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T.
hode d'éle- vage du cheval. xvn a-2 IL DENTISTA (LE DENTISTE)
TABLEAU
DE ANDREA CEFALY, PAR R MARCO LEVI BIANCHINI
des aliénés de la province de Catanz.ro. à Girifalco (Italie). Ce
tableau
date de 1875 (PI. LXIV). Ce n'est donc pas le d
nt plus supportables. Le peintre a reproduit dans un des plus beaux
tableaux
modernes qui aient rapport à la médecine, un mo
Iconographie de la SALPÊTRIÈRE. T. XVII. Pl. 1-XIV LE DENTISTE
Tableau
d'ANDREA CEI--ALY (rt\7j) (M. L. Bianchini) M
rofond naturalisme qui ressort de tout l'ensemble, font de ce petit
tableau
(1 m2 à peu près) un véritable chef-d'oeuvre dont
tion artistique. Ce n'est pas le cas d'analyser ici la technique du
tableau
; je veux seu- lement- observer qu'elle est par
lorieuse de la guerre pour l'indépendance ; dans celle-ci, tous les
tableaux
sont inspirés par Nouvelle Iconographie DE la S
mmencé. L'aveugle occupe la partie latérale et inférieure droite du
tableau
, qui a une forme géométrique circulaire, encadr
qui commandèrent la tapisserie. Nous y reviendrons plus loin. Le
tableau
central a comme figure de milieu le Christ, vivem
des; cette exhibition ne laissait pas de paraître choquante dans un
tableau
religieux, et l'on sait que les maladies et les d
s inférieurs ». - A l'Académie des Beaux-Arts de Vienne, j'ai vu un
tableau
de l'Ecole Vénitienne du xvie siècle intitulé :
iser davantage le diagnostic. ' Tout le monde connaît l'admirable
tableau
de Gérard Dow; qui se' trouve au Louvre, La fem
dème compliqué de purpura (2 pl.), par L. Trepsat, 193. Dentiste,
tableau
d'ANDRÉA. Cefaly (i pi.), par LI3VI-BIANCHINI,
hogénie de la) (4 pl., 12 fig.), par A. Thomas et G. Hauser, 376.
Tableaux
de l'exposition des primitifs français (2 pl.),
ance tar- dive, diabète (1 planche), 175. Bianchini. Le dentiste,
tableau
d'Andréa Cefaly (1 planche), 490. Bianchini (
moteurs chez une hystérique (3 figures), 459. Genévrier. Sur deux
tableaux
de l'expo- sition des primitifs français (2 pla
écoce catatonique dermogra- phisme (L. TasrsAT), XXVII. Dentiste,
tableau
d'Andréa Céfaly (M.Lévi- ]31ANciii,Ni), LXIV.
s rémissions (64 p. 100) et les mixtes calmes (G0 p 100). Avec le
tableau
suivant nous-aurons l'influence que peut exerce
surtout dans la paralysie générale de l'âge moyen; en effet, notre
tableau
semble bien indiquer que la normalité croît d'a
après cinquante ans. De même, on constate très nettement dans notre
tableau
que l'altération en plus croît, elle aussi, par
ansformations de la personnalité chez nos paralytiques généraux. Le
tableau
sui- vant nous l'apprendra : 16 CLINIQUE MENT
exceptionnel il existe un rap- port quelconque. Or nous obtenons le
tableau
qui suit, fourni par 144 constatations dans les
ens génital, le sens algésique étant altéré, cas qui fournissent le
tableau
suivant : 18 CLINIQUE MENTALE. les ont viveme
t très variable à ces deux phases initiales selon les individus. Le
tableau
suivant basé sur 1.495 constatations est fort i
e sur les altérations du sens génital. A cet égard nous obtenons le
tableau
suivant : DU SENS GENITAL DANS LA PARALYSIE GEN
l'hystérie chez l'enfant, on l'a rencontrée très couramment, et le
tableau
statistique dressé déjà par Clopatt en '1888 po
hallucinations sont' extrêmement intenses. Dans ces conditions, le
tableau
que nous présente la malade est absolument diff
ées et dans les- actes. 216 6 PSYCHOLOGIE MORBIDE. V . / Ce
tableau
nous semble intéressant pour la psychiatrie exp
nous sont parfaitement connues. Dans quel cadre clinique placer ce
tableau
symptomatique ? Ce cas de psy- chiatrie expérim
mment compte que de l'aspect symptomatique. Ce qui caractérise ce
tableau
symptomatique, c'est en résumé l'état de distra
nt la dépendance des hallucinalions. Il ne s'agit évidemment pas du
tableau
de la manie vraie. Le diagnostic symptomatique
'il s'agit d'idées de persécution ; la malade a devant ses yeux des
tableaux
effrayants auxquels elle réagit automatiquement
our un certain temps dans un monde fictif encore tout impreigné des
tableaux
dont l'avaient peuplé tant d'hallucinations. Le
ences, au nombre de 1000, résumées par des chiffres disposés en des
tableaux
, il résulte que l'pmmagasi- nement des sensatio
me un syn- drome dû à des phénomènes toxi-infectieux. Clinique. -
Tableau
filmique. Le délire aigu peut être primi- tif,
de l'ijasio7d'une-vésanic : - . SOCIÉTÉS SAVANTES. 251 D'après le
tableau
clinique, M. Carrier reconnaît deux formes au d
nt, et le malade succombe dans le marasme. On ne peut nier que ce
tableau
ne se rapproche ''de celui qu'offrent tous les
aire aigu, la granulie, dans les septicémies ressemblent aux divers
tableaux
que l'on a donnés sous le nom de délire aigu. S
té et conduit dans une maison de santé. L'alcoolisme A VIENNE. Le
tableau
suivant donne une idée du nombre de malades alc
es. Elles semblent quelquefois prendre une place importante dans le
tableau
clinique de la maladie, tandis que les manifest
rfaite dans l'intervalle des attaques rendent très caractérisque le
tableau
clinique. L'examen d'une parcelle de muscle, pr
90, jusqu'au 31 décembre 1900, soit un total de 2.554 entrées. Le
tableau
statistique ci-après résume nos constatations sur
voquer l'action des professions insalubres. Nous avons dressé des
tableaux
comprenant : le nom des enfants, les profession
ons insalubres, alcoolisme et syphilis. Nous ne vous lirons pas ces
tableaux
, nous ne demandons pas non plus leur reproducti
nc de céruse. (Progrès il- 10 de 1901, p. 1G3.) z On trouvera ces
tableaux
dans le Compte rendu de notre service pour 1900
be finale muette; ainsi Lemait..., qui dit : très bien blanc, bleu,
tableau
, dira : « ta » pour table « por » porte; de même
aces de sa chambre, etc. En un mot, il réalise de façon complète le
tableau
clinique de la Catatonie de Kahlbaum. La natu
fois à l'individu et à sa descendance. Les hygiénistes ont fait des
tableaux
plutôt sombres de l'alcoolisme et du tabagisme,;
des tableaux plutôt sombres de l'alcoolisme et du tabagisme,; ces
tableaux
ont peu impressionné la foule qui continue à bo
ortion de 20,96 p. 100 et ils ont groupé leurs observations dans le
tableau
suivant d'autant plus intéressant à reproduire
érie, t. XII. 25 386 . CLINIQUE MENTALE. Voici ce très instructif
tableau
: RÉACTIONS DE LA PEAU CHEZ LES ALIÉNÉS. 387
que nous avons examinés la première fois en hiver. On voit dans les
tableaux
qui sui- vent que parmi les sujets qui n'avaien
s que nous avons relevées : 392 . CLINIQUE MENTALE. - Mais si ces
tableaux
nous permettent d'apprécier les varia- tions ap
es 14 aliénés et ne tabler que sur 312 cas. Ils nous fournissent le
tableau
suivant : RÉACTIONS DE LA PEAU CHEZ LES ALIÉNÉS
dermographies chez nos aliénés que M. Féré chez les siens. Dans le
tableau
de cet aliéniste reproduit plus haut, la propor
ne trouverait certainement pas chez le sain d'esprit. Enfin notre
tableau
établit que quand l'altération en plus alterne
t les ivrognes ont depuis cette époque un médecin spécial. Voici le
tableau
que fournissent nos 3112 sujets. Mal- heureusem
minations de dégénérés, délirants et mélancoliques. Si, d'après son
tableau
nous faisons la somme de ces trois catégories d
ien plus souvent dans l'hystérie que dans l'épilepsie puisque notre
tableau
donne en faveur de la première une différence d
ons trouvé aucun cas de dermographie, ils ne figurent pas dans le
tableau
de MM. Féré et Lance. ' Les hystériques qui ont
concernant sa spécialité. L'annuaire de 1901 contient notamment le
tableau
d'avancement du personnel médical des Asiles pu
typies dyspraxiq2tes. Pour exposer ses observations, il dresse le
tableau
suivant : -. . CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES STÉRÉ
re de la folie et jusqu'à quel point elles suffisent à expliquer le
tableau
morbide. J. Les lésions Il ne s'agit ici que
r Bi- 1\ET-S11\GLL. (Journ. de Neurologie, 1901, n° 14.) Voici un
tableau
comparatif de l'état des réflexes chez 13 sujets
utique de certaines variétés de folie ? L'article donne en outre un
tableau
résumant les résultats con- signés dans 24 arti
les de divers auteurs empruntés à des périodiques anglais; un autre
tableau
analysant G1 cas, une feuille de poids et des h
s devoir signaler pour cette der- nière indication, et un troisième
tableau
enfin indiquant l'état du sang avant et après l
c'est que les troubles mentaux observés se rapprochent beaucoup du
tableau
que M. Chante- messe trace des troubles intelle
e nerveux. Les résultats obtenus par l'auteur sont présentés par le
tableau
suivant : FAITS DIVERS. 545 inutile- dans la
ce genre, avec toute l'attention dont je suis capable, j'ai dressé le
tableau
des facultés instinctives, intellectuelles et mor
'encéphale avec le poids du corps, chez les poissons, résultent de ce
tableau
. Les proportions sont tellement variables que che
s différences suivant (i) V. Hollard, Précis d'anatomie comparée ou
Tableau
de l'organisa- qu'elles appartiennent aux gangl
nfiniment petits, toutes les chances d'erreur sont à considérer. Le
tableau
suivant indique le diamètre des fibres de l'en-
a moelle épinière et des nerfs de quelques poissons : j'ai disposé ce
tableau
suivant le volume des fibres nerveuses, en commen
xactement, Les pondérations dont les résultats sont consignés dans le
tableau
suivant, ont été faites par Caldesi (1), Cuvier (
u, parce que les parois en sont formées par un névrilème solide. Le
tableau
qu'on va lire fera bien ressortir toutes ces diff
s reptiles ne diffère pas en réalité de celui des poissons ; les deux
tableaux
(4) , commencent en effet par le même chiffre, 0l
e pleine du nerf crural. ........ 0,02 vrilème qui terminent chaque
tableau
, et pour le tableau concernant les reptiles, c'es
ral. ........ 0,02 vrilème qui terminent chaque tableau, et pour le
tableau
concernant les reptiles, c'est une fibre remplie
ner le poids de l'encéphale des oiseaux comparé au reste du corps. Le
tableau
suivant offre le résultat de quelques pondération
ce sujet quelques observations. Parmi les oiseaux mentionnés dans le
tableau
ci-dessus, il s'en trouve dont le tissu cellulair
........ 1,1 0,4 2,7^ 0,6 1,8 3 Moyenne........ 6,18 4,11 Dans ce
tableau
, les animaux sont classés d'après le Volume propo
upant l'oc cipital. Toutefois, en coordonnant les oiseaux portés au
tableau
, d'après le volume relatif de la moelle allongée,
et sont en tête de la liste, séparés cependant par l'oie. Dans un des
tableaux
suivans, qui a pour objet de déterminer quel est
ain nombre d'oiseaux; chez tous ceux dont il est fait mention dans le
tableau
suivant, excepté l'oie etles perroquets, la longu
précédemment prises, ainsi qu'on peut s'en assurer en consultant les
tableaux
publiés par les frères YVenasel, M. Serres et M.
velet et recouvrent les lobes optiques. Parmi les oiseaux inscrits au
tableau
qui précède, quelques-uns de ceux dont les lobes
s oiseaux. Les extrêmes sont moins éloignés l'un de l'autre dans le
tableau
suivant, qu'ils ne le sont chez les reptiles et c
elle on peut les aplatir et les distendre; les nerfs qui terminent le
tableau
étant pourvues de névrilème, sont peu extensibles
12 fois plus pesant que son encéphale. En jetant un coup-d'œil sur le
tableau
qui a fourni cette moyenne, on voit de suite qu'e
orable au plus grand nombre des oiseaux, car sur 37 oiseaux portés au
tableau
, il y en a 6 seulement placés au-dessus de la mo
rons maintenant les oiseaux les uns aux autres. Dans quelle partie du
tableau
trouverons-nous les oiseaux les plus inlelligens?
ge r( .',. 0) / /., page i34. iniers, parmi les oiseaux inscrits au
tableau
, seraient les mésanges, les derniers seraient l'a
ont à côté l'un de l'autre, et le geai vient après la pie. Des deux
tableaux
qui précèdent, on peut tirer celte conclusion, sa
donc le cerveau considéré dans son ensemble et dans ses parties. Le
tableau
indiquant le rapport (2) qui existe entre le dia-
ux d'une manière assez remarquable. La première chose à noter dans ce
tableau
, c'est que presque tous les oiseaux ont le diamèt
surtout avec celui de l'homme. Les perroquets sont placés en tête du
tableau
et groupés les uns^ près des autres; la chouette,
op éloignés du perroquet, les mésanges devraient se trouver au bas du
tableau
et non au-dessus du coq et de la pie. Le rappro
ro-postérieur, sera le même.Or, il faudra placer ensemble, d'après le
tableau
que j'ai dressé pour cet objet, le pic-vert et la
mètre antéro-postérieur, est plus long que chez les derniers. Si le
tableau
dressé par M. Lélut et dont on a vu plus haut le
, surtout à l'étal frais. Quoique le nombre des animaux inscrits au
tableau
qui va suivre, soit considérable, cependant je re
après le bœuf et le cheval. Le chien est dafts la dernière moitié du
tableau
, c'est-à-dire qu'il est un des moins bien partagé
Souris................... » » 2 Moyenne............. r à 5.91 Ce
tableau
rédigé d'après des observations recueillies les u
t aussi mal placé que la souris, animal dont le nom est le dernier du
tableau
. Quant à la moyenne, elle est de 5,91, tandis q
ité crânienne du cervelet, quelque exacte qu'on puisse la faire. Le
tableau
suivant contient îe poids absolu et le poids rela
( t) Op. cit., t, ii, p. i3 t. Parmi les animaux compris dans le
tableau
qui suit, l'éléphant est le seul dont je n'aie pu
Moyenne ..... 1,07 Les cerveaux les plus allongés sont en tête du
tableau
, et les plus élargis à la fin. Au milieu de la co
les plus élargis à la fin. Au milieu de la confusion que présente ce
tableau
, où se trouvent à côté les uns des autres des ani
marquée. Ainsi tous les singes sont compris dans le premier tiers du
tableau
, et presque tous les rongeurs dans le dernier. Le
rieur de cet organe étant pris pour unité. Les animaux portés dans le
tableau
suivant sont rangés d'après la longueur relative
e cérébrale, en arrière du corps calleux, range les animaux portés au
tableau
qui précède dans l'ordre que voici : Marsouin.
. 19 c. (4) ld., id., p. : -;. Or, si l'on veut bien consulter le
tableau
que j'ai dressé de l'élargissement comparé du cer
ouin ayant le cerveau plus large que tous les animaux inscrits sur le
tableau
, et avec lui l'éléphant et le porc-épic, il faudr
a l'avantage chez les mammifères les plus intelligens? Le résultat du
tableau
que j'ai dressé pour résoudre cette question, n'e
us intelli- gens sont inégalement répartis à toutes les hauteurs du
tableau
: il en est de même du poids de la moelle allongé
s en une description clinique les traits primordiaux fournis par le
tableau
symptomatique si semblable dans chacun de ces c
triquement. C'est pourquoi, quelque caractéristique que paraisse le
tableau
clinique si uniforme dans chacune de nos observ
d'une esquisse de Rubens, étude pour la tête de la démoniaque du
tableau
du musée de- Vienne, 'Saint Ignace de Loyola déli
oduites avec l'écartement habituel des bobines. Ici M. Erb donne un
tableau
des diverses réactions électriques. Le ré- sumé
t fraternellement à panser un malade; de Ricci de Lorenzo dans un
tableau
aux Offices à Florence, Saint Côme et saint Damie
umière, au milieu des paysans, que nous conduit A. Brauwer dans son
tableau
du musée de Vienne, intitulé Opération chirurgi
es du malheureux. Il existe du même peintre au musée de Munich un
tableau
intitulé le Pédicure. L'opérateur procède avec
t toute l'attention nécessaire, au succès de son opéra- tion. ,Le
tableau
dont nous donnons la gravure (fig. 51) se trouve
le musée du Louvre (collection La Caze) possède également un petit
tableau
de Brauwer, consacré à la chirurgie. Assis sur le
e. LES MALADES DANS L'ART. 151 C'est ici que nous devons citer le
tableau
si connu de Gérard Dow, la Femme hydropique, ég
plaçant à contre-jour a été reproduite par Gérard Dow dans un autre
tableau
du musée de Vienne. Il existe aussi au musée du
e tableau du musée de Vienne. Il existe aussi au musée du Louvre un
tableau
du même peintre représentant un arracheur de de
ménagères, Quiryng 13rel : elenl : ,im, a peint un excellent petit
tableau
intitulé la Consultation, le seul de ce maître
ur la cheminée une statue de l'amour tenanl une flèche. Un second
tableau
de Jan Steen sur le même sujet se trouve au mus
musée de Munich; nous en donnons la gravure. (Fig. 52). Un autre
tableau
où Jan Steen nous montre un médecin également l
olie malade, son mal ne doit pas être bien sérieux. Dans un autre
tableau
du musée de la Haye, Jan Steen met égale- ment
C'est le traitement qui commence. ' Citons encore de Jan Steen nn
tableau
du musée d'Amsterdam intitulé la Femme malade.
sang remplit encore un petit bassin posé à terre, sur la gauche du
tableau
, à côté d'une éponge. Nous citerons encore deux
lius Dusart, dont les eaux-forles ne sont pas moins prisées que les
tableaux
. Dans un genre pittoresque, et presque caricatura
ur du corps tiennent, on le sait, une place fort importante dans le
tableau
clinique de la maladie de Par- kinson. Peu d'af
tracture somnambulique, et je me contenterai de donner le résumé du
tableau
clinique que j'ai tracé de la forme cérébrale d
ans le mois de juin : il n'a plus aucun vertige depuis quatre mois.
Tableau
des accès de V.. SUR UN CAS D'ÉPILEPSIE. 1-119
s'affaise et diminue de largeur. Quelques heures : plus rien. Ce
tableau
qui est à peu près exactement celui tracé par Zun
e attaque de sommeil n'ayant pas dépassé la période de 24 heures.
TABLEAU
A. - ATTAQUE DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. Will, 10 an
NS SUR LA COURBE DES EXCRÉTIONS. 29 Si l'on veut bien considérer le
tableau
A, on verra que l'attaque de sommeil bornée à l
able, au point de vue chimique, à l'attaque convulsive ordinaire.
TABLEAU
B. - ÉTAT DE MAL DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE 16 ans.
aroles dont on ne peut pas toujours saisir le sens, reproduisent le
tableau
des attitudes passionnelles; et ces diverses ci
ates faite le premier jour de sommeil donna, ainsi que le montre le
tableau
C l'inversion de la formule. TABLEAU C. - ÉTA
onna, ainsi que le montre le tableau C l'inversion de la formule.
TABLEAU
C. - ÉTAT DE JIAL LÉTHARGIQUE St.-Bon..., le, a
elle n'atteint son taux ordinaire que le 7 et les jours suivants.
TABLEAU
C. MOYENNES DE CINQ ÉTATS DE MAL DE SOMMEIL HYSTÉ
On ne s'étonnera donc pas, étant donné les dates, en considérant le
tableau
C, que nous n'ayons pas différencié les phosphate
étudié les manifestations fébriles de la maladie de Basedow, et le
tableau
qu'il donne est certainement le plus complet qu
matières extractives, parfois aussi même d'urée... Mais c'est là un
tableau
dont il manque presque toujours plusieurs parti
Ces analyses ont duré huit jours consécutifs pour chaque malade; le
tableau
A est le résumé, pour chacune d'elles, de huit an
normales pour tous les éléments, l'acide phosphorique y compris.
TABLEAU
A. NOUVELLE ICONOGRAPHIE T. II PL. XLVII. FAC
angue ; la tête tourne, il fait un effort général énorme et tout ce
tableau
se répète à chaque lettre (V. la lig. 4). Dans
hototype A. LONDE. PHOTOCOLLOGRAPHIE Chêne ET LONGUET. GRAVURE D'UN
TABLEAU
ÉGARÉ DE RUBENS (musée DU LOUVRE) VVE BABE &a
I. Phototype A. LONDE. PHOTOCOLLOGqAPHIE Chêne LONGUET COPIE D'UN
TABLEAU
ÉGARÉ DE RUBENS (COLLECTION TOUDOUZE) VVE BAS
BENS (COLLECTION TOUDOUZE) VVE BASÉ & C'E ÉDITEURS SUR UN
TABLEAU
PERDU DE RUBENS HEl'ItESE\'1W\T LA GUlil1lS0N D
au livre sur les Démoniaques dans l'art (1), une gravure d'après un
tableau
de Rubens représentant Suint François de Paule
n Hasselt; Bruxel- les, 1840, sous le numéro 495, l'indication d'un
tableau
représentant Saint François montant au ciel ave
ami Paul Richer, et nous fûmes frappé de sa ressem- blance avec un
tableau
appartenant à M. Toudouze, le peintre bien connu
is les artis- tes, la gravure du Louvre n'a pu être exécutée sur le
tableau
qui appartient à M. Toudouze ou mieux sur l'ori
tableau qui appartient à M. Toudouze ou mieux sur l'original de ce
tableau
. Celui-ci en effet n'est qu'une copie, assez ma
d'ailleurs, duc il un peintre fort peu expérimenté dans son art. Le
tableau
est il la fois trop « poussé » et trop maladroi
gulièrement plus élevée. Les rapprochements que nous avons faits du
tableau
appartenant à M. Toudouze avec la gravure du Lo
la gravure du Loutre ne nous donnent aucun indice pour retrouver le
tableau
primitif aujourd'hui égaré. Ils nous permettraien
la gravure. Nous ajouterons en oulre que dans l'angle de droite du
tableau
du Musée de Vienne, on retrouve, mais cette foi
s hien traité, le chien que l'on remarque dans l'angle de droite du
tableau
appartenant à M. Toudouze. C'est le même chien,
gueule demi-ouverte, que Rubens s'est complu à reproduire dans deux
tableaux
qui, s'ils diffèrent entièrement par la compositi
que du tabes considéré en général. J'ai fait placer sous os yeux un
tableau
où se trouvent inscrits et grou- pés plus ou mo
des réflexes rotuliens ; 4° la parésie vésicale, qui constituent le
tableau
clinique de la période préataxique. Mais, Messieu
xiste que de faibles divergences sur certains points de détail. Les
tableaux
et les tracés, que nous reproduisons plus bas,
forme arrondie que prend la courbe de la contraction. Enfin sur nos
tableaux
et sur nos tracés on peut constater encore la lon
iverses particularités que nous venons d'énumérer en consultant les
tableaux
et les tracés suivants : muscle biceps brachial
u l'occasion de signaler dans ce journal (1) un remar- quable petit
tableau
d'un peintre hollandais fort estimé, QuiryngBreke
agréable à nos lecteurs en en donnant ici une. reprodilcli on'. Ce
tableau
fait partie de la collection privée deVl. le Dr B
e. C'est ici une.vieille femme qui ap- plique -(les - ventouses. Le
tableau
, est connu en Hollande sous le nom do «.K9pstei
de Feer est mieux connu aujourd'hui. Les malades qui présentent le
tableau
de l'athétose double se confondent quel- quefoi
res. Si nous nous rappelons la description de l'athétose double, le
tableau
est frappant et il ne se retrouve nulle part ai
btenues par les anthropolo- gistes. Nous avons réuni dans un même
tableau
les mensurations prises sur no- tre canon et ce
paraissent de nature à intéres- ser les artistes. Il résulte des
tableaux
de Quételet, que, comparée à l'homme et relati-
es articles et par l'abondance de ses renseignements, elle donne un
tableau
complet du mouvement philosophique et scientifiqu
les unes des autres. Ce mode de répartition des lé- sions domine le
tableau
clinique et commande les symptômes. S'agit-t-il
pportées par l'auteur en ques- tion offrent, il n'en pas douter, le
tableau
très complet et très exact d'atta- ques d'hysté
urs dont on peut prédire à coup sûr la lésion correspondante par le
tableau
du syn- drome révélateur. Ce tableau étant lui-
a lésion correspondante par le tableau du syn- drome révélateur. Ce
tableau
étant lui-même reproduit plus ou moins exacteme
s, fondamentaux de la maladie. Comme phénomènes contingents dans le
tableau
général de l'hémiplégie spasmo- dique infantile
e déduction plus facile et plus sûre. Nous avons vu dans le court
tableau
tracé plus haut de l'hémiplégie spasmodique inf
rait sur le théàtre représenter l'expression de la terreur. Mais ce
tableau
, à présent si complet, s'est développé lentement.
ement un corps pesant et le porter il sa bouche. IV. En présence du
tableau
symptomatique que nous av ons esquissé, le diag
satiriques sur -), par Gilles de la Tourette, S5. Rubens (Sur un
tableau
perdu de - répré- sentant la guérison de posséd
esmer (Documents satiriques sur -), 6, 7,8. 8. Rubens (Copie d'un
tableau
égaré de ) ), 16 ; (Gravure d'un tableau égaré
8. 8. Rubens (Copie d'un tableau égaré de ) ), 16 ; (Gravure d'un
tableau
égaré de -), 15. Syringomyélie (Scoliose dans l
symptômes qui traduisent l'action de l'acétone sur l'organisme. Le
tableau
peut être plus ou moins fruste, plus ou moins c
as aussi nette, les troubles digestifs faisant eux- mêmes partie du
tableau
symptomatique, il est assez difficile d'ordinai
lgré l'absence par ci par là de certains éléments, présente le même
tableau
. 3" Le .symptôme le plus constant en est le rétré
ns céphaliques, la sclérose multiloculaire, la névrose de Weatphal (
tableau
clinique de la dégénéres- cence grise cérébro-s
de concert avec les anomalies psychiques sus-énoncées, en tant que
tableau
morbide autonome; II de concert avec d'autres a
sie sensorielle dans les affections qui évoluent en pré- sentant le
tableau
clinique d'une affection en foyer cérébro-spinale
mment consignés par Mme Steinlechner, dans sa thèse. Des dessins et
tableaux
, il résulte que, quand le cerveau antérieur (hé
ptée à l'unanimité. Auparavant, M. l3EaEOihr (de Vienne) a tracé un
tableau
très complet des différentes formes de ,1a neur
altérations sont complexes, et sur les modifications qu'apporte au
tableau
clinique habituel des lésions simples la combin
e sont empruntées les ob- servations 11" 1, 9-, 15, 18 et 19 de nos
tableaux
. En 1867, dans un travail consacré à l'étude de
le des aliénés2, West- phal cite quelques faits (nous 3, 4 et 5 des
tableaux
), qui appartiennent aussi à la maladie que nous
ions. Puis vient l'observation de Pierret (1871-72)3, n° 6 de nos
tableaux
. Leyden4 cite un nouveau cas (u° 7) ; mais il n
e cinq obser- vations nouvelles (nos 11, 1'2, 13, 14 et 17 de nos
tableaux
), les discute, les rapproche des autres faits d
la physionomie propre du tabes se dégageait de plus en plus dans le
tableau
clinique. » A la même époque cependant, Raymond
ondre à ce désir par l'ensemble des obser- vations réunies dans nos
tableaux
. ' Les observations continuent à se multiplier
es raisons faciles à comprendre, nous n'avons fait figurer dans nos
tableaux
ci-après, que des faits avec autopsie. Or, la p
n- dant, à titre de documents que sur les 33 cas résumés dans nos
tableaux
, il y a vingt hommes et treize femmes, que l'hé
SYMPTOMATOLOGIE. Pour donner immédiatement une idée d'ensemble du
tableau
clinique du tabes combiné, je vais d'abord résu
ccédant à l'extension forcée, les membres de polichinelle. Ici le
tableau
est bien différent, ou tout au moins a des trai
l'homme. Pour abréger, j'ai réuni les observations sous forme de
tableaux
correspondant à la division que j'ai adoptée. Je
etrina. In t'rayer Zcitsch. f. Heillc, Il,. p ? 9;i, Cas VIII. Voy.
tableau
1. Archives, t. Xi. 14 210 PATHOLOGIE NERVEUS
iculaire ; quant à sa famille nous. résumerons ses maladies dans un
tableau
rappelant celui qu'on voit dans le livre de M.
ifférenciation de la sensation physiologique du milieu ambiant. Six
tableaux
à l'appui. P. K. XVIII. Contribution A la QUEST
(Suite de la discussion.) M. Cotard rend hommage à la vérité des
tableaux
cliniques présentés par MM. Falret etMagnan; ma
t.X,p.298. 3 Id. à Id. .294 SOCIÉTÉS SAVANTES. ' .. 1 .... '
TABLEAU
STATISTIQUE .SOCIETES SAVANTES. 295 plus souv
l existe une forme de poliomyélite antérieure aiguë qui emprunte le
tableau
symptomatique de la paralysie de Landry, mais i
elon laquelle la paralysie générale se traduit cliniquement par des
tableaux
symptoma- tiques différents 1. C'est aussi l'av
n couleur, en éloigne- ment, c'est au contraire un système formé de
tableaux
etd'é\éne' ments liés entre eux, aboutissant à
ptomatique qu'on ne saurait inter- préter ciiniquement que comme le
tableau
d'une maladie spino- bulbaire. Sur ce, les tr
ois histoires de malades ne peuvent que donner une idée générale du
tableau
clinique du tabes com- biné. Mais elles ne peuv
e j'ai pu trouver. Pour évi- ter les longueurs, j'ai réuni dans les
tableaux
qui sui- vent les traits principaux de toutes c
combiné, pressentie par nos observations personnelles. I 1 1 i
TABLEAUX
i e i TA.BLEA.UX. z 392 PATHOLOGIE NERVEUSE.
relever et étudier les symptômes notés dans ces observations de nos
tableaux
, nous les grouperons en deux catégories : d'abo
pouvons donc dire, en somme, que dans tous les cas réunis dans nos
tableaux
, on a noté quelque phénomène de tabes postérieu
se rapportant aux cordons latéraux; et encore nous trouvons dans le
tableau
, pour lui, « troubles de la marche » sans détai
eu aride me paraît très claire. Dans tous les cas relatés sur nos
tableaux
on a noté quelque symptôme du tabes ataxique ;
amwell signaler toute l'importance. C'est pour cela que, dans nos
tableaux
, nous avons consacré à ce symptôme une colonne
tance à cette statistique. Comme les observations résumées dans nos
tableaux
sont toutes accompagnées d'autopsie, elles ont,
succès de ce genre. Toutefois, parmi les cas mentionnés « dans les
tableaux
ou commentés dans le texte de ce mémoire, « plu
ées toutes les grandes variétés de la grande attaque, dont un grand
tableau
d'ensemble représen- tant les diverses attitude
is pendant un temps plus ou moins long le trait le plus saillant du
tableau
symptomatique, et peut donner faussement l'idée
. Mais il s'isole souvent d'une façon si nette, il acquiert dans le
tableau
morbide une prépondérance si caractérisée, qu'i
sa durée la place dominante et pour ainsi dire exclusive dans le
tableau
clinique. Nosoloiquemeut la distinction n'a peu
mme hébété dans l'intervalle des spasmes, tout, en un mot, forme un
tableau
caractéristique qu'il n'est guère possible de m
méconnaître. » Notre jeune fille ne présente aucun des traits de ce
tableau
caractéristique : la contraction musculaire ano
ement... » Notre malade présente certainement quelques traits de ce
tableau
; mais il existe aussi des différences notables.
et que de la sorte, il se produise certaines diffé- rences dans le
tableau
anatomo-pathologique. # Ceci est une simple con
se déclare chez un épileptique, il y a quelqueintérêtàindi- quer le
tableau
clinique présenté par le sujet atteint simulta-
nt l'expression d'un même processus cérébral ; l'allure générale du
tableau
morbide résulte du déve- loppement par tel ou t
A. KOEHLER, (Allg. Zeitsch. f. Psych., XLIII, 4,5.) Statistique.
Tableaux
. Listes. Conclusions. - 1° L'épilepsie abrège l
ologique. 85 II. Rapports de la faiblesse psychique avec les divers
tableaux
psychopathiques et en particulier avec la folie
uché sur le côté droit, comme pour dormir, il provoque une série de
tableaux
par le mécanisme en question, qui consiste, en
S; par BARTELS. (Allu. Zeil.sch f. Psychiat., XL1V, 2-3.) Pesées.
Tableaux
. Analyse. Le poids du cerveau diminue dans tout
. Ce travail, qui se résume en de nombreuses courbes et de nombreux
tableaux
, porte sur 205 cerveaux d'individus dont l'in-
dite de l'établissement où nous voyons passer il chaque instant des
tableaux
saisissants de la vie de cette maison où ont dé
- tion de chaque région est composée comme il est indiqué dans le
tableau
ci-dessus. Les candidats doivent être Français et
première séance de lecture des compositions écrites. VARIA. 133
TABLEAU
DÉTERMINANT LA CIRCONSCRIPTION DE CHACUNE DES SIX
e cadre symptomatique de cette maladie. On peut aussi rapprocher le
tableau
de notre malade d'un syndrome sur lequel Benedi
nnienne sans troubles psychiques, puis finalement, longtemps après,
tableau
clinique de la para- lysie générale. Le premier
une curiosité. Un homme de trente-quatre ans, buveur, présente le
tableau
symptomatique de la paralysie générale ; le tabes
nt pas progressé, même pour ceux des intoxiqués qui ont présenté le
tableau
de la pseu- do-paralysie générale. En ce qui a
irling. Il fait passer sous les yeux des membres du Congrès : 1° un
tableau
statistique comprenant qua- rante-quatre cas ;
- tion de chaque région est composée comme il est indiqué dans le
tableau
ci-après. Les candidats doivent être Français et
quelques résultats de nos expériences, représen- tés sous forme de
tableaux
dans lesquels OD signifie oeil droit, OG -- oei
'aide des deux méthodes précitées : celle des ombres et celle des
tableaux
. La perceptibilité différentielle de nos yeux f
istance telle, que l'ombre projetée par elle fût à peine perçue. Le
tableau
suivant contient DE LA PERCEPTIBILITÉ DIFFÉRENT
ffres que nous avons tracé la courbe précédente. 366 PHYSIOLOGIE.
tableaux
; elle montrait également la diminution de la pe
nt de l'intensité lumineuse. Nous nous servions de la méthode des
tableaux
à la lumière du jour, celle-ci étant consi- dér
près constante. Ainsi, dans la courbe obtenue par la méthode des
tableaux
, elle est de 1/75 depuis l'inten- sité lumineus
tablement plus considérables que celles obtenues par la méthode des
tableaux
. Ce fait dépend de deux causes : 1° en opérant
plus énergiquement que l'excitant en repos; 2° dans la méthode des
tableaux
, il ne s'agit pas seule- ment de percevoir une
IP PHYSIOLOGIE. les chiffres dont un échantillon se trouve dans le
tableau
suivant : DE LA PERCEPTIBILITÉ DIFFÉRENTIELLE
nos ta- bleaux et nous servir du photomètre de Parinaud. Avec nos
tableaux
, il est impossible d'atteindre rigou- reusement
damentale entre les deux mé- thodes est celle-ci : dans méthode des
tableaux
, 376 PHYSIOLOGIE. l'objet à percevoir est fon
lité différentielle, mesurée à la lumière du jour. On verra dans le
tableau
suivant, combien la valeur du seuil est relativ
moins que la chose est praticable, - conditions réalisées dans nos
tableaux
par les grands types de 10 centimètres, qui son
dégage de nos nombreuses expériences, est très évi- dent dans le
tableau
suivant, qui représente une de ces expériences
ue insurmontables, lisent ensuite avec une surprenante facilité nos
tableaux
et cela presque jusqu'aux numéros les plus élev
i est arrivé de voir sa mère devant elle. « Je rêve et je vois un
tableau
, dit-elle. » Elle se voit elle-même dans son cerc
er partiel, une sorte d'hypermétropie peuvent nuire à la netteté du
tableau
clinique ; il faut aussi savoir distinguer le sco
éclairer la théorie médullaire de la convul- sion épileptique : un
tableau
résume ces expériences (genre d'ex- citation, l
e statistique de 643 hommes reçus et morts à, Dalldorf en huit ans (
tableaux
instructifs^. La plupart d'entre eux, malades e
pidement terminé par la démence. Actuellement cette malade offre le
tableau
habituel de la démence paranoïde avec état chro
l'index ; fourchette saillante ; quelques poils à l'anus et au .
Tableau
des accès el des vertiges. SCLÉROSE ATROPHIQUE
s d'auscultation augmentent beaucoup, en intensité et en étendue.
Tableau
du poids et de la taille. 32. RECUEIL DE FAITS.
ues dus au refoulement du sang veineux. L'observation 11 fournil le
tableau
du ramollissement jaune REVUE D'ANATOMIE ET DE
non sur la considération d'un seul élément, mais sur l'ensemble du
tableau
qui comprend les altérations vasculaires avec l
et constituant dans l'immense majorité des cas la note dominante du
tableau
morbide, la maladie débute graduel- lement, che
taux, mais ils sont si passagers qu'il est difficile d'en tracer un
tableau
précis, lise peut que les allures de ces compos
es troubles hysléro-neuraslhéniques et phobiques qui compliquent lu
tableau
morbide (exagération (1(, stit- so-hasophobie,
ce à prendre une im- portance prédominante. Et ce n'est pas la un
tableau
schématique. Sans doute la subdivision des phén
spetites et grandes cellules mononucléaires 01 éosinophiles. Deux
tableaux
enregistrent : l'époque de la saignée par rapport
(06o;ren ! c).f;'e/t<i ? IX, 1904.) Après avoir démontré par des
tableaux
statistiques que les hopi- taux d'aliénés des p
is en évidence dès le début. Or. dans une grande partie des cas, le
tableau
de la démence précoce se déroule réellement en
plus de valeur qu'il oc- cupe une place plus prépondérante dans le
tableau
mor- bide, on peut dire que parmi les symptômes
ent une myélite à marche suraigue qui se rapproche plus ou moins du
tableau
clinique dressé par Landry et qui est certainem
ins; par CALVO. (Rie. crit. di clioicct med., 1904, 11 31 et 33.)
Tableau
d'ensemble de cette affection qui commence seulem
i explique non seulement toutes les altérations anatomiques, maille
tableau
clinique. P. Keraval. XXXVIII. -Des symptômes
bien l'aile, démontrant l'impossibilité d'établir et de sérier les
tableaux
cliniques de l'hystérie. Les symptômes sont émi
épileptiques présents au 31 décembre 1903 dans leurs services. Les
tableaux
ci-après résument les renseignements que nous d
al du torticolis spasmodique et du Iiys- lériquc, L'auteur trace un
tableau
1res complet du torticolis men- tal, d'après le
primitif de ceux dans lesquels c'est un simple phénomène dans un
tableau
clinique plus ou moins complexe comme chez l'al-
: r lioN.v- MOUR. (Nouv. Iconogr. de la Salpétrière, n° , 10'I).
Tableau
clinique complet de la maladie de F. avec les par
eurs, guérison totale du tronc et des memhressuperieurs, tel fut le
tableau
d'ensemble. Ajoutons des battements de coeur dè
ication alcoolique ayant introduit des élé- ments étrangers dans le
tableau
clinique de la syphilis cérébrale. P. Keraval.
méningite. Trois mois plus lard, le malade revient en présentant le
tableau
complet de celle dernière. La syphilis esl niée
lilé (grossesse, accouchement, lactation) peuvent se traduire en un
tableau
clinique identique, développé sous l'influence
l'écrande f)'< ? 'fs) ? Et'pO't'eMCe 10. - J'écris une phrase au
tableau
et fais'asseoir Valentine devant, àcourle dista
disparu dans la vision binoculaire. Expérience 11. de rapproche le
tableau
à 0,50 cm. du sujet et écris une phrase à la cr
ence 13. Je trace une croix avec de la craie blanche au milieu d'un
tableau
noir placé à30centimèlresdes yeux <le la mal
su-peiid (le%-an[ une vitreéclairée, à quelques mètres du sujet, un
tableau
rectangulaire en verre noir sur le mi- lieu duq
e est rouge et l'autre vert, puis on lui fait L lire les lettres du
tableau
transparent. Si le sujetala ,ne normale,il lita
ciaux vers lesquels l'attention des mala- des était attirée par des
tableaux
indicateurs. Nous n'avons pas cru devoir nous e
méritent aussi d'être mis sous les yeux de nos lecteurs. «Dans le
tableau
des admissions nous voyons que, dès l'entrée, l
on, croyons-nous. Il n'est peut-être pas encore suffisant. Dans des
tableaux
joints à notre rapport sur la réorganisation de
ieur de l'Assistance publique. In 41 de ;18 pages, avec de nombreux
tableaux
. ( : OUIrELI,EION"I' (\'Iclol'). Contribution à
par suite des défectuosités de la méthode de recherches adoptée.Les
tableaux
de ce mémoire sont donc les premiers qni parais
nt d'après ces nombres que sont établies les proportions dans les
tableaux
qui suivent : > 4'2<J CLl1<IQI'I'; 1l
andis qu'aux deux autres le contraire avait été vu. Dans le présent
tableau
, l'anor- malité prédomine à toutes les phases.
ités d'une durée plus courte. En réalité, ainsi que le montre notre
tableau
, tandis que la normalité constante va en diminu
anées à l'inter- médiaire. Un second fait intéressant qu'établit le
tableau
T c'est que les anormalités unilatérales diminu
ce est celle que nous avons déjà donnée plus haut à propos de notre
tableau
géné- ral, il savoir la très courte durée, il l
le constater beaucoup de l'ois. Dans ces conditions, forcément, un
tableau
d'après le nombre des constatations doit en don
utant moins que la paralysie générale est plus avancée. Enfin, ce
tableau
confirme l'erreur que nous avons déjà signalée
nification. Le fait intéressant il relever est qu'il résulte de nos
tableaux
qu'à la phase ultime, les altérations sont touj
les documents que nous désirions connaître. Malgré ces lacunes, le
tableau
VU montre (IU'on attend toujours trop longtemps a
1156 bibliographie. dressaient à des malades en voie de guérison (
tableau
Xlt) ; au- cune de celles-ci n'a été réintégrée
tations du Rapport de ,)I. le D ? 1. Bonnet, en premier lieu sur le
tableau
de l'âge des admissions. « On voit donc comme
térieurs ; sclérose des vaisseaux, corpusculesamyloïdes. Le même
tableau
se retrouvait presqu'en totalité au niveau du d
tres quant à leurs contours; en un mot, nous avons sous les yeux le
tableau
d'une sclérose diffuse du cordon postérieur.
vité intellectuelle; de plus, quand l'alimenta- tion, comme dans le
tableau
III, est à peu près supprimée, les mêmes modifi
ois, que c'est lorsque le travail intellectuel est le plus intense (
tableau
I, n° 3) que la diminution du rapport entre l'a
de nos différentes recherches sur l'homme sain consignées dans les
tableaux
qui précèdent, se dégage non moins nettement de
lus diminue le second. Ainsi,' chez l'individu qui fait le sujet du
tableau
I, tandis que, à l'état de Voir, pour toutes le
s onctions mercurielles produisent une amélioration instable ; le
tableau
morbide se complique d'accidents gangreneux au
es combinaisons de manie, mélancolie, délire systématique, et à des
tableaux
de transition épisodiques anormaux. Ainsi les t
es. Tous ces genres sont constitués par la projection extérieure de
tableaux
sensoriels; 5° Une perception sensorielle subje
subjective ne peut être appelée hallucination vraie que lorsque le
tableau
senso- riel pénètre la connaissance, et se trou
précision sensorielle, le détail etlaper- fection, la stabilité du
tableau
. Il y a également des pseudo-hal- lucinationshy
es névroses des organes centraux. - 6° Il est des cas qui, par leur
tableau
clinique, relèvent indubitablement de formes mo
index bibliographique. 137 un élement doctrinaire qui enlève aux
tableaux
morbides leur ingrate sécheresse. Les maladies
mpte tout ce qui lui est servi à table, il dresse à chaque repas un
tableau
sur lequel sont indiqués le nombre de morceaux
e des cadres delà sclérose latérale amyo- trophique des cas dont le
tableau
clinique presque tout entier est exactement cel
à peu près le même aspect symptoma- tique que celui présenté par le
tableau
de la sclérose latérale amyotrophique, d'après
symptôme qui permet de reconnaître l'af- fection dans les cas où le
tableau
clinique n'est que peu marqné, et n'existe pour
hapitre des anomalies.... celles-ci ne changent rien d'essentiel au
tableau
qui vient d'être tracé. Ainsi la maladie dans c
dicaments n'ont amené aucuue amélioration ainsi que cela ressort du
tableau
et aussi de ce fait que du 1er janvier au 31 ju
( ? ,° .' ? . '" " 4 ., . . paraît s aggraver, comme, l'indique le
tableau
des accès et aussi ."·... t r . tçio aJ 1 4 1.
yu ,3ech =ylu..i.f=oJ Jj-iuooii jf.1J <i . Il.1' : 11 ? 1, Le.
tableau
ci-contre met en, relief, les. points particulier
s volontaires et qui nous ont, paru reproduire très fidèlement le
tableau
de la iiialadie'-dI'É'O'tilsei3. cf . Antécéden
venir plus violents après les premières couches. Enfin se montre le
tableau
complet observé à la prison dont l'affai- bliss
aitement par rapport aux diverses formes de l'aliéna- tion mentale (
tableau
); enfin quelques mots sur l'emploi des moyens d
on de troubles intellectuels, sensoriels et P1oteqr, qui forment un
tableau
morbide très complexe dont l'analyse, à raison
ablissement n'avait présenté aucun accès; ou constatait chez lui le
tableau
de l'épilepsie. Le second jour de son arrivée il
omme à Bicêtre, c'est Pinel qui a été l'ini- tiateur. L'intéressant
tableau
de Toiiy Hoberl-Fleury et celle belle statue le
inévitables de la nature ? » N'est-ce pas l'auteur de l'admirable
Tableau
du progrès de l'esprit humain qui dénonçait l'ins
lassificazione délie frenopatie. Brochure in-8° de 25 pages, avec 2
tableaux
. Palerme, 1885. Journal ll Pisani. - Il Pensier
voix, rares jusqu'à présent, il est vrai, assurant que beaucoup de
tableaux
cliniques s'expliquent d'eux-mêmes sans supposi
ines des qua- trième et cinquième paires cervicales se voit le même
tableau
, seulement dans les parties inférieures la sclé
développe- ment. De tout ce qui précède, on voit que quoique le
tableau
clinique de la maladie d'Anna 0... réponde à ce
st pourquoi je crois nécessaire de l'expliquer un peu. On voit du
tableau
clinique, qui malheureusement est court et peu
pouvaient être la cause de cette allure n'existaient pas. Quant au
tableau
anatomique nous voyons que la sclérose quoique
une lésion des faisceaux pyramidaux, mais une analyse attentive du
tableau
anatomique démontre que dans tous ces cas outre
anatomique qui ont été publiés, nous pou- vons les présenter par le
tableau
suivant : . 1 1Viener ntedic. 117ocheischi,ilt,
t; Par conséquent, les paroles de M. Charcot qui dit, au sujet du
tableau
clinique de la paralysie spastique, que nous ra
que; 2) On trouve l'ensemble des symptômes qui caracté- risent le
tableau
clinique du tabes dorsal spasmodique dans les d
366 CLINIQUE MENTALE. notre sujet, nous ne résumerons dans notre
tableau
que les points qui nous occupent en particulier
idée délirante, pas de troubles soma- tiques : sommeil très bon.
TABLEAU
DES SEANCES D'HYPNOTISME DE LA THÉRAPEUTIQUE SU
rsonnellement relevés chez nos malades et qui forment d'ailleurs un
tableau
varié des manifestations les plus importantes.
ations de l'ouïe chroniques, intenses, finissant par former tout le
tableau
pathologique d,al- SOCIÉTÉS SAVANTES. 449 tér
propre de la seule gliomatose ; d'autres symptômes complètent le
tableau
clinique de cette maladie, et aucun n'est en co
rne, se trouve sur un plan sensiblement horizontal. Or, d'après les
tableaux
donnés par M. Topinard, ce plan forme, au-desso
n morbide présente dans l'espèce une ressemblance'frappante avec le
tableau
patho- logique qui aboutit à la poliomyélite in
a rien à avoir et où le but principal parait être de pré- senter un
tableau
complet de la question, l'auteur met-il décote,
anatomo-palhologique est un des bons cha- pitres et il renferme un
tableau
de 109 observations d'épilepsie Jacksonmenne où
s paralysés étaient insensibles à la piqûre. Enfin, pour achever le
tableau
cli- nique de cet accident, ajoutons qu'il y av
survenait quelquefois d'une façon isolée, constituant à lui seul le
tableau
clinique de l'accident sans aucun autre symptôm
tation des réflexes, surtout du membre droit, constituait tout le
tableau
clinique. 186 CLINIQUE NERVEUSE. Les treize o
, On peut facilement constater si l'on jette un coup d'oeil sur le
tableau
suivant que l'explosion de cette forme d'accide
roupes en com- mençant par celui qui figure le premier dans notre
tableau
. - A. Groupe de symptômes céphaliques. Les sy
lus constants que les autres, car si on jette un coup-d'oeil sur le
tableau
, on ne les voit figurer que sept fois ; car, da
elier au développement de la maladie actuelle. Symptômes De tout le
tableau
de lasymptôma- tologie compliquée, que nous exa
lement ils ne caractérisent pas la maladie, mais obscurcissent le
tableau
caractéristique; nous nous en occuperons peu en
l'OBSERVATION IV, la marche ultérieure de la maladie présentera ce
tableau
. En général, nous n'avons pas observé dans les
de la moelle épinière et obscurcir ou détruire complète- ment le
tableau
caractéristique de la maladie. Schup- pel a déc
tteintes. Dans les périodes ultérieures de la maladie, lorsque le
tableau
fondamental se complique ou s'obscurcit même pa
', elle était localisé dans les muscles de la main et présentait le
tableau
considéré comme caractéristique de l'atrophie m
ce qui, à notre point de vue, constitue déjà une com- plication du
tableau
clinique pur. Des complications semblables par
'agisse ici que des amyotrophies myélopathiques, nous pensons qu'un
tableau
synoptique de la division des .amyotrophies en
par l'acide arsé- nieux, l'auteur arrive à cette conclusion que le
tableau
macro- scopique et les détails microscopiques d
tômes nerveux si fréquents et si variables qu'on observe dans le
tableau
clinique de l'intoxication arsenicale aiguë ou ch
tion de chaque région sera composée comme il est indiqué dans le
tableau
annexé au présent arrêté. ART. 3. Les candidats
Paris c'est une prérogative qui sent le favoritisme. VARIA. 317
Tableau
déterminant la circonscription de chacune des six
gérant, Bourneville. Iereu : , Ch. IIsmsser, mp. -- 56. Catsaras,
Tableau
I. TABLEAU DE LA FORME CENTRALE SPINALE LATÉRAL
eville. Iereu : , Ch. IIsmsser, mp. -- 56. Catsaras, Tableau I.
TABLEAU
DE LA FORME CENTRALE SPINALE LATÉRALE Vol. XVI.
it possédée par un esprit malin. En même temps, se dévelop- pait un
tableau
clinique des plus curieux qui n'était que l'expre
Enfin, des symptômes de plusieurs groupes peuvent cons- tituer le
tableau
clinique du début : comme par exemple à ! 'OBSE
cédents. En effet, ils ne figurent guère que deux fois dans notre
tableau
. Les symptômes génitaux qui ont été présen- tés
fs, c'est-à-dire divers groupes de symptômes qui peuvent figurer au
tableau
clinique de notre forme ; B), des cortèges symp
). Symptômes positifs. Les divers symptômes qui figurent dans notre
tableau
peuvent être ramenés aux six groupes suivants :
367 disparaissent dans la majorité des cas. En effet, dans notre
tableau
, les symptômes rectaux ne figurent plus qu'une
itale, car ils ne manquent jamais et ne doivent pas manquer dans le
tableau
clinique et d'autres d'une importance moindre,
En effet, les symptômes divers et multiples, que Ton remarque au
tableau
précédent se divisent d'eux- mêmes en quatre gr
é de loscou. Anatomie pathologique. Le substratum auato- mique du
tableau
, que nous avons décrit, est constitué par des p
omiques, mais en partie sur les particularités pathogéniques et les
tableaux
cliniques de la maladie; il faut seulement ne p
ré l'au- topsie faite par Schultz". Les cas correspondant à notre
tableau
clinique se rapportent justement à cette quatri
teintes. Dans bien des cas , on ne voit pas du tout correspondre au
tableau
de la destruction com- plète de la partie centr
ces cas des 1 Sauf la ressemblance très marquée qui existe entre le
tableau
symp- tomatique que j'ai décrit avec les phénom
t été déjà attirée sur ce point. Nous avons vu (OBSERV. VI) qu'un
tableau
précisé- ment pareil - la thermanesthésie parti
intensités des échelons) se trouve ainsi comparativement fixée. Des
tableaux
complémentaires dans le texte précisent les lieux
rdons postérieurs. Etieui. Ch. lial,issuv, imp. - 1188. CATSARAS.
Tableau
II. TABLEAU DE LA FORME CENTRALE SPINALE POSTÉR
urs. Etieui. Ch. lial,issuv, imp. - 1188. CATSARAS. Tableau II.
TABLEAU
DE LA FORME CENTRALE SPINALE POSTÉRO-LATÉRALE.
opie, des troubles de la mémoire et de l'écriture. C'est bien là un
tableau
fait pour les méprises. Et cependant les plaques
emblement intentionnel et des divers troubles. N'est-ce pas là un
tableau
morbide qui ressemble étrangement à la sclérose
s être mise en cause. Mais, comme il est des scléroses en plaques à
tableau
incomplet, à marche lente, on aurait posé ce di
e nouvelle manifestation : le spasme saltatoire, ce qui complète le
tableau
hystérique. Ons. Vil (résumée) (Bristowe, in Di
les crampes spontanées et les spasmes subits qui appar- tiennent au
tableau
de l'ataxie locomotrice. En outre, chez cet homme
erdu ce qu'ils avaient gagné au mois de juillet. Voici dans un même
tableau
les mensurations telles qu'elles ont été faites
figée dans l'expression qu'elle avait à ce moment-là, comme si le
tableau
avait disparu et qu'elle ait conservé, ainsi que
, au milieu des fleurs. C'était très joli, ça sentait bon. Enfin le
tableau
changeant, elle sentait autour d'elle une odeur
e, jaune, à travers un verre vert, vert, mais point de scènes ni de
tableaux
spéciaux. Elle se sent elle-même toute drôle, com
l'opérateur. Il s'agit là de véritables halluci- nations suggérées,
tableaux
qui défilent devant les yeux de la malade, ou s
veille, ni pendant la période som- nambulique obtenir le récit des
tableaux
ou des scènes qui, pendant la catalepsie, avaie
). Nous avons pu'observer pendant toute cette scène dont les divers
tableaux
se déroulent assez lentement, qu'il se produisait
titue son moi organique qui ne disparaît jamais complètement, en un
tableau
plus ou moins compliqué. " Ce sont là de véri
doriférantes. Dans d'autres cas au contraire la véritable nature du
tableau
qui se peint dans le cerveau du malade est plus
ngo- encéphaliles, limitées ou diffuses, rappelant plus ou moins le
tableau
clinique de ! a paralysie générale de l'adulte;
vacille évoquent assez justement dans l'esprit de l'observateur le
tableau
que présentent la plupart des malades atteints
quer chez lui une foule de détails qui sont évidemment étrangers au
tableau
clinique que présente le tremblement de la sclé
ehors de l'hystérie, des états dynamiques capables de reproduire le
tableau
delà sclérose en plaques, il faudrait ouvrir un
es, leur différence dans la névrose et la myélopathie ressortira du
tableau
synoptique suivant emprunté aux Leçons de M. Ch
ue suivant emprunté aux Leçons de M. Charcot (18SS185'J, p. 103).
Tableau
synoptique des symptômes oculaires dans la scléro
différence entre les pupilles. Mais la malade présente en outre le
tableau
typique de l'atrophie muscu- laire progressive.
ement, de contracture, de troubles de la sensibilité, complètent le
tableau
cli- nique. Il est inutile d'insister sur la va
lbrnies et les Malades dans l'art', nous avons déjà cité le célèbre
tableau
de Gros au musée du Louvre, les Pestiférés de J
us empruntons à Ch. Blanc les quelques détails qui suivent : ,cI Ce
tableau
fut commandé à Gros par le Premier Consul. Mais c
de passer par le chemin qu'a parcouru son génie avant d'arriver au
tableau
de Jaffa tel que nous le connaissons. Dans ce pro
hototype négatif A. LOND1Î. Piiotocollooraphie L. SAUVE. Gravure DU
Tableau
DE GROS, au MUSÉE DU LOUVRE « LES PESTIFÉRÉS DE
ATIF A LONDH. PIiOTOCOLLOOIlAP1111 : L SAUVE. ESQUISSE originale DU
Tableau
DE GROS CI LES PESTIFÉRÉS DE JAFFA » (Apparti
une inconvenance héroïque. Dans l'esquisse, Napoléon agit; dans le
tableau
il joue son action... Qui saura décider si la v
ion d'ajouter il la description de Ch. Blanc, un trait qui donne au
tableau
une signification plus élevée que celle que cet
élevée que celle que cet auteur lui attribuait. En effet, dans le
tableau
, Bonaparte, dans son geste de dignité un peu th
pendant que le bras droit soulevé met l'aisselle à découvert. Ce
tableau
, lorsqu'il figura au Salon de 1804, fit une vérit
tendre l'arrêt de l'opinion, les artistes suspendirent au sommet du
tableau
de Jaffa une longue branche de palmier; le publ
s attributs fondamentaux. La présence, la prédominance même dans le
tableau
clinique des panaris analgésiques ne change rie
s d'un mérite inégal, mais parmi lesquelles il convient de'citer un
tableau
des plus remarquables de Hans Holbein de Vienne.
hypertrophie ! . UNE MALFORMATION SPÉCIALE DE LA POITRINE. 337 Le
tableau
précédent résume, au point de vue de l'état menta
demment qu'une coexis- tence, une malformation de plus à ajouter au
tableau
déjà si chargé des signes physiques dégénératif
pendant plus d'un an, avec de la diarrhée, des sueurs, etc. Mais le
tableau
est trop chargé pour être vrai. Il ne s'agit pa
l est un certain nombre d'affections morbides qui peuvent offrir un
tableau
clinique analogue à celui de la maladie de Duchen
dée d'un tabès vrai puisse s'imposer à l'esprit. El, en réalité, ce
tableau
est assez souvent réalisé dans la pratique. Non
nce capitale. Nous ne saurions mieux faire que de reproduire ici le
tableau
synoptique suivant dû à M. le professeur Charco
noptique suivant dû à M. le professeur Charcot (Leçons du mardi).
TABLEAU
SYNOPTIQUE DES SYMPTOMES OCULAIRES DANS LE TABES
bien plus vraisemblable d'admettre que ces symptômes, malgré que le
tableau
soit incomplet, relèvent d'une atrophie partiel
ervation est un type d'hystérie simulatrice. Si, aujourd'hui que le
tableau
estall grand complet, lediabnoslic estfacile, il
as, il est vrai, d'exemple d'hystérie simulatrice ayant présenté ce
tableau
au grand complet, mais l'avenir pourrait bien n
urprises à cet égard. Il n'est du reste nullement nécessaire que le
tableau
soit complet pour qu'il y ait si- mulation et.
tte dernière maladie sont particulièrement intéressantes. Dans le
tableau
ci-dessous nous résumons les observations de 3G a
s des nerfs périphériques, par exemple dans la polyné- vrite, où le
tableau
clinique peut ressembler beaucoup au tabes, il
olement pour les maladies contagieuses. Nous reproduisons dans le
tableau
ci-dessous quelques chiffres concernant les cli
érison, notamment chez les alcooliques. Il peut même arriver que le
tableau
morbide en impose pour un délire systématisé ch
e. La folie chez les jumeaux malgré de notables divergences dans le
tableau
symptomatique qui ne permet pas, comme le montr
it totale. Schaffer surprit donc une sorte de parallélisme entre le
tableau
clinique et l'état histologique de l'amyotrophi
mes de la maladie se rangeaient sous deux chefs : 10 symp- tômes du
tableau
typique du tabes, inégalité et rigidité pupillair
ec intégrité des cornes antérieures et des nerfs périphériques Le
tableau
clinique diffère, quant à l'excitabilité galvaniq
et a relevé le résultat de 'ses recherches sur le point dans un des
tableaux
qui accompagnent 'son travail. 1 Substance ch
leraient même indiquer le contraire. Ici l'auteur intercale - trois
tableaux
où. les faits observés ont été groupés, et qui se
résentant les mêmes lésions à des degrés divers, correspondant à un
tableau
clinique spécial qu'ils résument par ces mots :
vent insurmontables, mais ils lisent avec une grande facilité nos
tableaux
servant à déterminer les différents degrés de la
au contraire sont arrêtés du premier coup par les caractères de nos
tableaux
d'un ton grisâtre encore net, mais ils lisent s
n a pas une : i retrancher. La plupart d'entre eux sont disposés en
tableaux
synoptiques ce qui permet au praticien qui s'en
ervations qui ont été publiées sous ce nom s'écartent absolument du
tableau
clinique présenté par nos malades. Elle doit fa
u pourrait être retrouvée et admise pour l'axe spinal, rien dans le
tableau
clinique présenté ne nous autorise à trancher l
ée en 1899 le professeur Kraepelin. Nous reproduisons ci-dessous le
tableau
de cette classification, renvoyant pour les dét
of Mental Science, avril 1897.) En parcourant les dix-huit pages de
tableaux
annexés à ce travail, on constate que l'auteur
astérien, abdominal et plantaire) sont normaux. En présence de ce
tableau
clinique, l'auteur déclare qu'il ne peut s'agir
avait envahi le noyau du moteur oculaire. A la seconde visite, le
tableau
clinique indiquait la propagation de l'hémorrhagi
ulement par des douleurs vagues, du malaise, le tout aboutissant au
tableau
de la névrite sans fièvre et sans troubles géné
nq observations qui correspondent aux iiuliiéi os, 2,3, G, et 13 du
tableau
placé en tête de cet article'. 1. H. de 111USGR.1
chez lequel la syphilis ne datait que d'un an, et qui présentait le
tableau
incomplet d'une paralysie croisée du mouvement
la substance nerveuse est encore relativement conservée, on voit le
tableau
suivant : Le tissu nerveux atteint une épaisseu
ATHOLOGIE MENTALE. Contribution a l'étude de la mélancolie, avec un
tableau
, montrant les résultats de l'examen du sang da
cin de la division des femmes. Ces rapports contiennent de nombreux
tableaux
de statistique, concernant le mouvement de la p
pect symptomatique, dans sa forme cérébrale a des analogies avec le
tableau
symptomatique des néoplasmes crâniens. La théo-
de dégénérescence. Chez le second malade, la polynévrite réalise le
tableau
du pseudo-tabes. Ces deux polynévrites sont sur
à mélancolie. En un historique rapide, il montre que le remarquable
tableau
clinique de la lypémanie, tracé par Esquirol. b
est accompagné de figures qui en facilitent l'intelligence et d'un
tableau
où figurent les différentes données à recueilli
et Couve- laire. (Nouv. Inconogr. de la Salpétrière, n° 1, 1900.)
Tableau
clinique et anatomo-pathologique complet de cette
nt de les ranger dans le cadre de cette curieuse affection, dont le
tableau
clinique peut-être résumé comme suit : développ
bétiques ne pré- sentant, en dehors du symptôme arthropathie, qu'un
tableau
clinique presque nul, et conduisant l'auteur au
pide et une terminai- son invariablement funeste. L'auteur après ce
tableau
clinique se propose d'insister sur le diagnosti
ilà pour la thérapeutique. - Un appendice à ce mémoire contient des
tableaux
statistiques. R. DE Musgrave-Clay. REVUE DE P
analyser puisqu'il est composé presque uniquement de chiffres et de
tableaux
: nous aurions pourtant été tenté de reproduire
de de la Clinique, paysanne âgée de quarante ans, qui présentait le
tableau
typique de la syringomyélie, à savoir : dissoci
3° A la syringomyélie gliomateuse (et à elle seule) correspond un
tableau
clinique bien caractéristique (la triade d'Iloffn
yélie peut ne se lévéler par aucun symptôme clinique, tandis que le
tableau
clinique de la syringomyélie gliomateuse'répond à
moins nets par la lecture, par auditions musicales, ou par vues de
tableaux
, statues, paysages, etc. La masturbation dans s
'edoiiale corne ipnolico xzegli alienati. In-8» de 13 pages, avec 6
tableaux
. Ferrara, 1901. Tipographia dell'Eridano. Garni
ature des phénomènes qui provoquent cette modification urinaire, le
tableau
clinique des symptômes qui l'accompagnent est m
sclérosés ainsi que la bandelette externe de Charcot et Pierret. Ce
tableau
ressemble a ceux que les auteurs donnent de la
n foyer de ramollissement dans l'autre hémisphère. Il en résulta le
tableau
ordinaire de la para- lysie pseudo-bulbaire. Le
chez lui de corrélation absolue entre le délire et les attaques. Le
tableau
clinique aurait dû être complété de cette const
bles pupillaires dans la paralysie générale. En comparant, dans les
tableaux
qui sont donnés, les statistiques des différent
ccupe au moins 50a pages imprimées, accompagné d'un grand nombre de
tableaux
compara- tirs, concernant les différentes discu
1,8 p. 100 de la septicémie et 1,9 p. 100 du cirhose du foie. Les
tableaux
des malades au point de vue étiologique se rappor
k ont rappelé les nombreux titres de leur maître et ami, et fait un
tableau
vibrant de ses hautes qualités de coeur, de car
er de façon magistrale son goût pour les représentations figurées. Le
tableau
noir et les craies de couleur étaient les accesso
ystématiques, toutes ces relations devenaient apparentes sur un vaste
tableau
synoptique que le spectateur embrassait d'un coup
e collaboration fructueuse. Un jour, Charcot se trouve en face d'un
tableau
de Rubens, représentant la Guérison d'une Possédé
phases les plus dramatiques de la grande attaque d'hystérie. Mais ce
tableau
de Rubens n'est pas seul en son genre. N'y aurait
n anachronisme ; rien ne choquait ; aucune tache disgracieuse dans ce
tableau
. La note dominante était celle de l'art de la R
e de plats, que d'assiettes ont été transformés par sa main en petits
tableaux
commé-moratifs ! Il excella surtout dans l'art
rticulture rétrospective que les artistes nous ont laissés dans leurs
tableaux
? Pour toute cette œuvre ornementale, qui n'est
, est une esquisse exécutée, pendant un voyage en Espagne, d'après un
tableau
de l'hôpital de la Charité, à Séville. Rien n'est
omme dans les peintures de Holbein le vieux ou de Hans Baldung. L,e
tableau
de l'Espagnol Valdes Leal attira donc son attenti
reconnaissait les familiers du peintre, figurants inattendus dans ce
tableau
d'histoire religieuse. Puis, il faisait ressortir
loges adressés à Corot ; et, ayant eu l'occasion de se dessaisir d'un
tableau
de ce maître, il le fit sans regret. A aucun prix
me cas les idées de négation prédominèrent un certain temps dans le
tableau
morbide d'un délire poly- morphe '. Observati
e et une légère anesthésie de la conjonctive de ce côté. C'est le
tableau
banal de la mélancolie simple accompa- gnée d'i
début de tout mou- vement, pour sortir des bancs, pour se rendre au
tableau
noir ou pour prendre part aux jeux. Ses premier
amma- tion diffuse et de dégénération cellulaire, et, par suite, le
tableau
clinique de la maladie reste le même dans son f
lyooes. Ensaios de Esta- tistica. Volume m-8° de 136 pages, avec 20
tableaux
hors texte. Ponta Delgada, 1898. Typogralia elz
ou moins sommairement. Impossible de tracer même à grands traits un
tableau
cli- nique de cette affection, étant donné le n
e V'estpllal 3, de Busch' et d'Ollivicr ; dans les deux premiers le
tableau
clinique était 1 olivier, Traité des maladies d
la nature sarcomateuse fut re- connue ultérieurement ; néanmoins le
tableau
clinique simu- lait si complètement la sclérose
pour former en- suite un contour rempli d'éléments sarcomateux. Ce
tableau
s'étend à la hauteur de plusieurs segments, san
. sac à parois con- jonctives. Quant à la cavité supérieure où le
tableau
anatomique n'est pas embrouillé par la particip
gue, ainsi que nous avons pu nous en rendre compte en consultant le
tableau
des attaques dressé dans le service. ' J. Voi
Quelle pouvait être la cause d'une transformation aussi complète du
tableau
clinique ? C'est seulement l'autopsie qui nous
nérescences primitives des neurones psychiques qui donnent lieu au
tableau
symptomatique de la démence sont encore très peu
t la poitrine. Le défenseur de la malheureuse a fait au tribunal le
tableau
de son long mar- tyre qui a duré douze ans, sou
ction inflammatoire des centres nerveux vis-à-vis du parasite. Le
tableau
clinique de celte affection a été, d'une façon gé
phale avec la périphérie. Etant donnée l'impossibilité de tracer un
tableau
d'ensemble des tumeurs du bulbe, il convient d'
des variétés indivi- duelles et même régionales chez le même sujet (
tableaux
de Stint- zing) qui nuisent à l'application des
1CII. (Nezerolog. Ceizt2-alb., XVI, 1897.) Cette méthode fournit un
tableau
remarquable de la division des arborisations te
interne. L'examen microscopique offre tout d'abord de la moelle le
tableau
habituel du tabes, notamment (dans les régions
atrophie des racines postérieures, etc. Dans la région cervicale le
tableau
est compliqué du fait de la présence d'une tume
bes dorsalis, il n'est qu'une combinaison fortuite qui complique le
tableau
anatomo-pathologique. Discussion. M. W. MOURATO
a été trop négligée jusqu'ici. Cette méthode consiste à dresser un
tableau
symptomatique de la maladie et à avoir la patie
mentale expansive, dépressive, mixte, démente ou en rémission ? Le
tableau
suivant répond à cette question. Nous avons pen
paralytiques aux moments des recherches. Quoi qu'il en soit, notre
tableau
met bien en évidence six faits intéressants. En
mais seule- ment amélioré. En second lieu, nous voyons par notre
tableau
que le sens tactile est, d'une manière générale,
étaient calmes. Un troisième fait mis encore en évidence par notre
tableau
qui étonne, c'est l'état constam- ment normal d
vec du délire hypochondriaque. Une quatrième particularité de notre
tableau
est celle de l'exagé- ration et de l'abolition
te fois encore les faits démentent les vues de l'esprit. Puis notre
tableau
, en cin- quième lieu, établit que de toutes les
en ont fourni les bases. Toutefois, il est juste d'ajouter que les
tableaux
statis- tiques des divers ouvrages sont diffici
ent invoquée du nombre des suicides. Je présenterai tout d'abord le
tableau
suivant, qui au premier abord semble réellement
émontrer d'une façon péremptoire cet accroissement progressif. Le
tableau
suivant donne, calculée d'après les documents d
icides pour 30 années (1865-1894). 394 STATISTIQUE SOCIALE. des
tableaux
reposent sur une base instable à ce point de vu
qu'on doit en tenir compte lorsqu'on examine les statistiques. Le
tableau
suivant montre que les proportions sont consi-
des suicides. J'attirerai maintenant l'attention du lecteur sur le
tableau
ci-après, qui donne les procédés de mort adopté
395 Procédés de suicide. 396 STATISTIQUE SOCIALE. daison des
tableaux
qui méritent toute confiance. J'ai noté les déc
périodes quinquennales comprises dans les mêmes trente années. Le
tableau
ci-joint indique les résultats obtenus. Suicide
ments qui vont suivre perdraient beaucoup.de leur force. Dans le
tableau
suivant, je donnerai les proportions de sui- ci
eésastres de toutes sortes qu'elles amènent sur nos côtes. Mais le
tableau
ci-après montrera que si les morts par empoison
euses héréditaires ou fami- liales se rapprochent plus ou moins des
tableaux
cliniques des maladies nerveuses communes, mais
pileptique se manifeste comme symptôme isolé ; dans les deux cas le
tableau
de la fureur épileptique est pareil. Plus l'acc
en passant- par les formes intermédiaires. C'est pour ainsi dire un
tableau
schématique de l'inflammation en général et de
la paroi vasculaire ? : ' . 3. Les foyers forme B représentent le
tableau
fidèle de l'encéphalite chronique, ou ce qu'on
'encéphalite aiguë, quoique datant de plusieurs mois, présentent le
tableau
assez exact de l'inflammation aiguë en général.
grandeur en poids aune grandeur volu- métrique et de figurer sur un
tableau
en colonnes et pavillons noirs et gris sur fond
médian. Voyons si notre cas peut être placé dans un des différents
tableaux
des myopathies. ' Dans le type scapulo-huméra
lisation atypique. Il faut se rappeler encore que dans notre cas le
tableau
morbide est dominé par des symptômes bulbaires.
inal et par la moelle cervicale donne des réactions cadrant avec le
tableau
de la D. R.partielle. L'auteur posa : le diagno
u longtemps. Le malade étant instituteur écrivait beaucoup, soit au
tableau
, soit pour la correction des devoirs. Pour écrire
oit au tableau, soit pour la correction des devoirs. Pour écrire au
tableau
il était obligé d'élever le bras ; or, au bout
aisant. Il peut écrire longtemps sans fati- gue, mais l'écriture au
tableau
noir lui est encore impossible s'il est obligé
i qu'il lui est possible de tracer des figures de géométrie, sur le
tableau
, ou même des cartes géographiques, au moins pen
t de crampe que lorsqu'il écrivait des lettres, non des figures, au
tableau
noir ; ou lorsqu'il écrivaitsur le papier ; mais
(vers 1837), ou comme la célèbre Casa de Locos de Goya, ou enfin le
tableau
de T. Rohert-Fleury représentant Pillel à la Salp
ment la Loca de Ximénès Aranda. Enfin, l'auteur a collationné les
tableaux
inspirés par les grands drames historiques enge
rit, l'opium et surtout le haschich ? Enfin peut-on oublier que les
tableaux
d'El Bosco aientservià orner cet oratoire de l'
... Autre exemple. Le Dr Portigliotti a reproduit dans son livre un
tableau
de A. Wiertz, représentant la Folie. Non moins
sculaire diffuse, soit monoplégies ou paraplégies : dans un cas, le
tableau
fut celui de la paralysie ascendante de Landry. L
. Actuellement, D... ne présente que d'une façon très incomplète le
tableau
plus haut résumé. Au point de vue hémiplégique,
ste naturellement pas du côté du larynx puis- que pour présenter ce
tableau
le malade doit garder le silence absolu. Lorsqu
Au contraire, s'agit-il de tracer à main-levée, sur du papier ou au
tableau
noir, des arabesques, des spirales, des majuscu
ticulières dans notre cas se réunissent au contraire pour former un
tableau
d'ensemble s'écartant de toutes les ma- ladies
stérien per- siste. Nous faisons suivre cette observation de deux
tableaux
: dans l'un sont les différentes mensurations q
la plupart des muscles du corps. On peut encore dans le cadre de ce
tableau
différencier quelques types qui se fondront bie
as). Je refis l'examen complet de la malade et le retrouvai le même
tableau
que j'avais noté 18 mois auparavant, j'ai fait
e à celui qui avait suivi mon premier examen. En ce qui concerne le
tableau
clinique, des douleurs atroces y figuraient en
térique, compli- quée de névrite. La psychalgie prédominait dans le
tableau
clinique à un tel point que, évidemment, le tra
AS DE PSYCHALGIE 285 précis de l'existence de la côte cervicale. Le
tableau
clinique et la marche de la maladie de leur côt
tervention chirurgicale, sans avoir préalablement examiné à fond le
tableau
clinique en entier, vu que l'opération par elle
s et dont les lésions ont amené trop rapidement la mort pour que le
tableau
clinique de cette affection ait pu se développer.
ment insisté sur l'importance des symptômes de la méningite dans le
tableau
clinique de la période d'invasion ; de même, un a
un moyen de contrôler la méthode. Nous groupons ci-dessous dans un
tableau
ces recherches pour les cas de poliomyélite aiguë
pour la poliomyélite aiguë, nous avons réuni ces résultats dans le
tableau
suivant. 410 O PETREN ET EHRENBERG '. ÉTUDES
poliomyélite par la ponction lombaire est résumé et groupé dans le
tableau
ci-dessous. 412 PETREN ET EHHENBERG ETUVE : ;
, et il est bien naturel qu'il soit difficile dans ces cas. Dans le
tableau
ci-dessus contenant nos recherches cytolo- giqu
as auparavant). Quant aux résultats des ponctions lombaires, cf. le
tableau
. Le 23 janvier, la raideur du dos s'est amélior
des deux côtés. La ponction lombaire est faite le 7 octobre (cf le
tableau
). Plus tard les symptômes disparaissent, aussi
Quant aux trois ponctions lombaires que nous avons pratiqué, cf.le
tableau
. Quand trois ou quatre jours se sont écoulés sa
A POLIOMYÉLITE AIGUË 421 1 observé chez des enfants des cas avec le
tableau
clinique d'une tumeur cérébrale causée par une
n, leur distribution, leurs analogies ; nous les rappe- lons par le
tableau
suivant : 492 KLIPPEL ET PIERÜE-WE1L FACULTÉ
qu'on aura découvert des formes intermédiaires, car, en réalité, le
tableau
clinique et les lésions anatomiques trouvées, par
des centres nerveux ni de modifications au niveau des méninges. Le
tableau
anatomo-pathologique de notre cas ne concorde p
Comme nous l'avons dit plus haut, notre cas se rapproche par son
tableau
clinique et par l'étiologie de la forme deBechter
us de conjugaison partout perméables. « Os légers, poreux. » Le
tableau
anatomo-pathologique de l'arthropathie tabétique
e 'déformante et devra nous faire admettre celui-ci quoique dans le
tableau
général pré- senté par le malade manquent l'inc
stomosées entre elles, quelquefois avec l'aspect de tourbillon ; ce
tableau
contraste absolument avec celui que fournitun t
is il a une très grande difficulté à parler. Le trait qui domine le
tableau
clinique, c'est la difficulté énorme à respirer.
moitié correspondante du cervelet. Le cas est cité ci-dessus dans le
tableau
résumant nos recherches sur le liquide céphalo-
x dans l'autre et avec hydrocépalie), cité ci-dessus dans le même e
tableau
, la respiration a cessé soudainement quelques heu
s et dont les lésions ont amené trop rapidement la mort pour que le
tableau
clinique de cette affection ait pu se développe
eures et les matières 1 568 ETTORE LEVI ET GIUSEPPE FRANCHINI j
Tableau
Mario Palazzi, de Florence, 66 ans. 70 ETTORE
dernières on procéda au même dosage que pour les aliments (Voir les
tableaux
spéciaux). Dans les urines, outre la quantité,
bstances. En résumant les résultats obtenus, on trouve que (voir le
tableau
n° 1) la quantité de l'urine dans les 24 heures
eux premiers jours, alla ensuite en diminuant jusqu'à la normale.
Tableau
n° II. Tableau de l'azote el des différents gro
s, alla ensuite en diminuant jusqu'à la normale. Tableau n° II.
Tableau
de l'azote el des différents groupes azotés. 57
différents groupes azotés. 572 ETTORE LEVI ET GH1SEPPE FRANCHINI
Tableau
no IV. Absorption. CONTRIBUTION A LA CONNAISS
ntion de 10 grammes d'azote, un déficit de 1 gr. 36 de P' 0' (V. le
tableau
n° IV) et une rétention de 0 gr. 14 de Ca 0.
'examen chimique du sang nous a donc donné les résultats suivants :
Tableau
n° V. CONTRIBUTION A LA CONNAISSANCE DU GIGANTI
ut en ne leur donnant pas une valeur constante el absolue. Dans les
tableaux
qui suivent nous allons donc mettre en comparai
la chaux. Si nous jetons à présent un coup d'oeil d'ensemble sur ce
tableau
com- paratif, nous voyons tout de suite que l'é
chimiques et histologi- ques du sang, tout en somme nous montre un
tableau
tout à fait analogue à celui qui ressort des ét
l'abdomen un tatouage assez curieux qui est la reproduction d'un des
tableaux
militaires de Détaille. Au-dessus de cette repr
articulier pour baser sur lui une classification anato- mique. Le
tableau
suivant résume la classification des atrophies du
e. L'ex- tension de l'avant-bras se fait incomplètement. Voici un
tableau
comparatif des différentes dimensions de tous les
t voir, à côté de squelettes pieusement conservés et restaurés, des
tableaux
indiquant la généalogie des animaux préhistoriq
tait applicable, nous écrivions ceci : « Il y a ce- pendant dans le
tableau
de l'infantilisme, un symptôme assez important,
ma, etc. ; et il y a lieu d'en prendre note dans l'ex- plication du
tableau
clinique que le gigantisme présente dans chaque c
nouvelle, il convient de préciser, d'après les lertes originaux, le
tableau
morbide décrit, sous nom de Presbyophrénie, par l
cet auteur n'étant nulle part indiquée, la description initiale du
tableau
morbide est pratiquement celle de Wer- nicke ;
uvent dit qu'en psychiatrie, on ne peut établir de rapport entre le
tableau
clinique et l'étiologie, que dans les cas où de
éclatante du fait que nous pouvons rencontrer exac- tement le même
tableau
clinique, sans polynévrite. Un cas de ce genre m'
grave à la tête, et.quand elle reprit conscience, elle présenta le
tableau
typique de la forme délirante de la psycho-polyné
re comme des psy- choses symptomatiques ou d'inanition, présente un
tableau
clinique analogue à celui de la psycho-polynévr
ynévrite ; mais l'argument le plus probant pour notre thèse, est le
tableau
morbide de la presbyophrénie. presque identique,
tre, des hallucinations, surtout visuelles. « L'ensemble donne le
tableau
atténué dit delirium tremens, avec durée analog
spécifique, relève de cette étiologie. Vous vous souve- nez que ce
tableau
clinique, dans ses traits importants, ressemble à
de fixation, et de la mé- moire en général. « Nous désignerons ce
tableau
clinique très particulier, sous le nom de pres-
peuvent disparaître et, par le retour de la lucidité, reproduire le
tableau
clinique antérieur. «D'autre part,dans la presb
ne démence simple et stupide. « De temps il autre, on voit aussi le
tableau
clinique de la presbyophrénie durer des années,
ernicke et de Kraepelin sur la Presbyophrénie. Kraepelin, dans le
tableau
clinique qu'il trace de la Presbyophrénie, isol
pré et ses élèves, ont, à leur tour, insisté sur la confor- mité du
tableau
clinique de la Presbyophrénie avec la symptomatol
de Korsakoff. « Dans les cas que nous avons observés, l'ensemble du
tableau
morbide, psy- chopathique et névritique, peut ê
démence sénile sont, l'une et l'autre, susceptibles de réaliser le
tableau
clinique de la Presbyophrénie. Voilà donc la sy
que dans la vieillesse ; elle est précise parce qu'elle répond à un
tableau
morbide bien délimité, assez typique, et dont l'a
se de Korsakoff, par exemple, que dans la démence sénile ; et si le
tableau
clinique d'ensemble est différent, dans les deu
t par conséquent, à rapporter trop vite, et comme de parti pris, le
tableau
morbide à une forme clinique de la démence sénile
la presbyophrénie doit, logiquement, perdre son nom ; en effet, le
tableau
clinique, n'étant plus spécial à une variété de d
nullement constant celui-là, et même assez insolite, qui imprime au
tableau
morbide une physionomie à part, propre à dérout
'association de l'amnésie de fixation à la confabulation imprime au
tableau
morbide une allure très particulière, qui assure
on existence (entre 30 et 40 ans). Dans d'autres cas, on observe le
tableau
clinique du Puérilisme, décrit par Dupré (1) et
uve représentés dans nombre d'objets d'art, en particulier dans les
tableaux
que nous ont laissés les maîtres de la Renaissa
te une ankylose incomplète dans les articulations de l'épaule. Le
tableau
spécial de cette affection est complété par la cy
r la littérature de la question, nous allons essayer d'esquisser un
tableau
de la spondylose rhizomélique, étudiée au point
ique. Le rapport réciproque de ces deux symptômes constitue tout le
tableau
clinique de la maladie. 7° Le début de la malad
que de temps en temps, comme des crises isolées. Au premier plan du
tableau
de la maladie ressort le second et le principal
s variations rapides des symptômes cliniques. On distingue, dans le
tableau
clinique de l'apoplexie, les symptômes initiaux
plus tard la paralysie fut si forte qu'elle domina complètement le
tableau
clinique. On sait que l'on a déjà cherché à exp
e retiré : il fut d'ailleurs remplacé au rabais, ce qui complète le
tableau
. Il est consolant pour des médecins en butte au
état actuel, il ne semble pas qu'il puisse y avoir d'hésitation. Le
tableau
clinique, dans son ensemble, est très caractéris-
ue ce trait particulier, comme d'ailleurs les détails principaux du
tableau
clinique, se retrouvaient, depuis le début de l
ymptômes l'immobilité la déviation de la colonne vertébrale. Sur le
tableau
ci-après sont réunies les variétés cliniques les
vec l'opinion de M. P. Marie, son existence comme entité morbide.
TABLEAU
COMPARATIF 1. Spondylose rhizomélique {P. Marie
ou- leurs, aboutit à une ankylose complète du rachis. Opposons le
tableau
de cette forme dernière avec celle de la spondylo
t général satisfaisant. Tous ces symptômes, bien que constituant un
tableau
clinique particulier, rappellent de très près l
s deux membres supérieurs. Il suffit de jeter un coup d'oeil sur le
tableau
que nous avons dressé pour cons- tater que le d
puis quelques instants après, se prêtant de bonne grâce à l'examen.
Tableau
DE TOUTES LES mensurations. Hauteurs au-dessus
d'observer dans la syphilis il détermination cérébro-spinale. Le
tableau
anatomique correspondant à une telle complication
. Bien que l'absence du- réflexe patellaire ne fut pas observée, ce
tableau
rappelait le labes de très près. Le traitement sp
rg, brûlures de la plante des pieds. Ce fui la première atteinte au
tableau
qui dès lors devint imprécis. Les manifestati
te des membres, une légère infériorité intellectuelle et morale. Le
tableau
clinique ne rappelle en rien celui de l'infantili
tion symptomatique : ainsi l'on pourra mieux comparer entre eux les
tableaux
cliniques relatés par les auteurs, retrouver pl
fférents aspects, 12 vues représen- tant les premières syllabes des
tableaux
que nous avons faits avec M. noyer pour l'ensei
100 fr. à 2.h00 fr. Pour la petite école nous avons fait faire un
tableau
divisé en deux carrés peints en rouge et jaune
ttention des idiots les plus malades, ce qui est plus facile que le
tableau
qui renferme toutes les couleurs et qui égare l
de cette catégorie d'enfants, au lieu de le fixer ; de plus avec ce
tableau
ils acquièrent la notion de ces deux couleurs.
- Le musée s'est enrichi notablement en 189G ainsi que le montre le
tableau
suivant : XXII Musée pathologique. C'est ce
re pour la bonne direction morale qu'ils savent leur imprimer. Le
tableau
ci-après met en évidence les résultats obtenus
lz2)'euTS d'ongles. Décès.- Les décès ont été au nombre de 27. Le
tableau
ci-après fournit les renseignements concer- nan
eur famille, guéris ou améliorés ou sur la demande de celles-ci. Le
tableau
des pages XXXIII et suivantes indique les motif
(1868) sur la glande thyroïde, et incidemment sur le thy- mus. Le
tableau
ci-après donne quelques renseigne- ments sur ce
maladies qui ont occasionné la mort et dont on trouvera la liste au
tableau
des décès, que des accidents légers dont voici
e leurs cahiers scolaires en fournit également la démonstration. Le
tableau
suivant donne sur chacun d'eux, les principaux
eurs écoles. Nous avons résumé le résultat de cette enquête dans le
tableau
ci-dessus qui figure dans le Rap- port (I) que
sses. J'espère, M. le Directeur, que les définitions ou mieux les
tableaux
en raccourci qui précèdent, malgré leur insuffi
saillies très nettes. Ils sont plus volumineux il gauche (voir le
Tableau
des mensurations des membres). Les coudes sont dé
I1eS et nocturnes ; ils sont très fréquents, ainsi que le montre le
tableau
ci- après (1). L'état d'idiotie prononcée de
s. Appétit revenu. > n R o M r ro C en S w
Tableau
des accès et des vertiges. 94 Etat de MAL; mort
ans avoir repris connaissance et sans avoir eu de nouveaux accès.
Tableau
du poids et de la taille. État du corps après d
it de 38 à 3 ans. A ce propos, nous avons tracé une fois de plus le
tableau
s ylnptomaticl2ce de cette affection. L'un de c
hangements survenus dans le poids et la taille sont résumés dans le
tableau
ci-après : Premier traitement. MÉDICATION THY
s des leucocytes sont peu accentuées ; comme on le voit, d'après le
tableau
précédent, leur nombre total est sensiblement é
lés croissant parallèlement et progres- sivement comme le montre le
tableau
ci-après. Com- parée chaque année la taille moy
es ans et [aussi à ce que, pour la ? D Il 5 cn - 3 >
Tableau
du Poids et de la Taille. Tableau ci2atométricl
? D Il 5 cn - 3 > Tableau du Poids et de la Taille.
Tableau
ci2atométricluc es 1 Il z en c, =)
1 Il z en c, =) > a 0 v n Et ni H 71
Tableau
des mensurations de la tête. ,1/e mores supérie
un certain nombre de planches destinées à l'en- seignement. 1° Un
tableau
des couleurs divisé en deux parties sembla- ble
lette, myosotis, feuille d'arbre, citron, orange, cerises). 2o Un
tableau
divisé également en deux parties semblables et
es mouvements du maître et de les reproduire avec le doigt. 3° Un
tableau
des lignes et de leurs applications. Par exem-
sont représentés des poteaux et des fils télégraphiques, etc. 4m Un
tableau
des figures géométriques et de leurs appli- cat
ns. C'est ainsi qu'on face du carré se trouve un damier, etc. 5° Un
tableau
des solides géométriques et de leurs applica- t
mide quadrangulaire est dessiné un clocher de village, etc. Go Un
tableau
de lettres (majuscules, minuscules et manus- cr
rticulation (voyelles labiales, dentales, gutturales, etc.). 7 Un
tableau
des sons équivalents où les syllabes homo- nyme
Bricon, s'est enrichi de nombreuses pièces, ainsi que le montre le
tableau
com- paratif suivant : MUSÉE PATHOLOGIQUE. XX
louer du zèle que les maitres apportent dans leurs fonctions. Le
tableau
suivant met en évidence les résultats obtenus.
eusement, l'année s'est écoulée sans nous donner satisfaction. Le
tableau
suivant fait voir que le nombre des enfants qui
e père et la mère des malades a tou- jours été exactement notée. Le
tableau
suivant donnera une idée d'ensemble du résultat
EVILLE, 1888. 2 18 ÉTIOLOGIE DE ^'EPILEPSIE. DE 1,'HY.TÉ[ilE ETC.
Tableau
des Consanguinités. DE LA CONSANGUINITÉ. 19 s
uccession d'une tare nerveuse ac- quise ou héréditaire. Or, dans le
tableau
dressé par M. Déjerine dans les mêmes condition
ire de penser que l'en- fant a été asphyxié dans un accès. Voici le
Tableau
des accès depuis l'entrée à Bicêtre jusqu'à la
et 0 gr. 75 du 16 au 30 septembre. Si l'on veut bien se reporter au
tableau
des accès, on verra que durant cette période, l
a même une blennorrhagie. VIL- Nous avons cru devoir réunir dans le
tableau
suivant le développement du poids et de la tail
même et pour lui- même, ainsi que pour la place qu'il tient dans le
tableau
clinique de telle ou telle affection; et par ce
que 50 ou 10'. . Dans ce cas, on le fait approcher il mi-chemin du
tableau
Il lit )a première ligne. S611 acuité visuelle
cette même ligne à 5 mètres. Le malade, si près qu'on l'approche du
tableau
, ne peut lire aucun caractère. Il faut alors em
ace de. projection, on peut déduire le degré du stra- bisme. , Un
tableau
représentant la projection centrale d'une sphère
l'autre. Grâce à un calcul préalablement fait, on petit lire sur le
tableau
, dans le point occupé par la fausse image, quel
quel est le degré de déviation oculaire. ' , On peut suivre sur ce
tableau
, par la constatation d'un rapprochement ou d'un
me chose, clans la déviation oculaire. " ' : '...- . Avec le même
tableau
, on peut, par un autre moyen, mesurer le degré
précédente, l'observateur promène unebougie dans toute l'étendue du
tableau
en suivant les divers méridiens. Il note sur ch
découlent mécaniquement des fonctions physiolo- giques abolies. Le
tableau
indique successivement : 1" L'action physio- lo
rdination motrice; les réflexes rotuliens disparais- sent. C'est le
tableau
clinique de la maladie de Friedreich. Le nystagmu
uvrage. Je me contente donc de les présenter résumées sous forme de
tableau
. Tumeurs corticales. Iléniianopsic à caractères
cas, le vertige n'est qu'un élément accessoire dans l'ensemble 'du
tableau
clinique, de la maladie infectieuse. 4° Le vert
que le syndrome vertigineux n'est qu'un des éléments accessoires du
tableau
morbide dans une maladie générale ou dans une m
comprend aussi que le vertige ne fasse pas habituellement partie du
tableau
des atrophies congénitales du cervelet. La céph
toires lui tracent, en dehors même des conditions déterminantes, un
tableau
bien distinct du coma. ' Diagnostic étiologique
que peuvent commettre les aliénés. Nous reproduisons, ci-dessous le
tableau
synop- tique donné par Séglas (Traité de pathol
ient dans la mélancolie, sont alors sou- vent prédominantes dans le
tableau
clinique et réalisent une forme spé- ciale de c
IDIOTIES par le D' CROUZON On désigne sous le nom d idiotie un
tableau
clinique caractérisé par un déficit ou une abse
Souvent l'épilepsie, comme l'hémiplégie ou la diplégie, s'ajoute au
tableau
de l'idiotie; quelquefois, au contraire, " chez
plus riche, qu'ils sont le plus étroits. Voici, d'après Weber, un
tableau
de l'état normal du seuil extensif des principa
/10 C., celle du dos n'apprécie que des dillérences de 1 degré C.
Tableau
des différences de degré de température perçues
distance nécessaire pour provoquer une sensation -i douloureuse.
Tableau
de la sensibilité électrique cutanée (d'après B
oubles de la vue, rétrocèdent rapidement, et ne font plus partie du
tableau
symptomatique quelques mois après le début de l
L'hémianesthésie d'origine protubérantielle l'ait enfin partie du
tableau
clinique du « syndrome prolubéranliel supérieur »
ux) et génitaux. . L'anesthésie n'est donc ici qu'une composante du
tableau
symptoma- tique présenté par le malade. , ' L
SIBILITÉ.. " ? ' - ' 1 Topographie périphérique. En se reportant au
tableau
d'innciv vation cutanée ci-joint, on peut se re
r attribuait, il y a peu de temps encore, la première place dans le
tableau
symptomatique de 1 affection et qu'ils semblaie
559 se rencontrent fréquemment dans le tabès, où ils font partie du
tableau
svmptomatique de l'affection. On ne les a pas n
res symptômes sensitifs ou moteurs, elles concourent à compléter le
tableau
clinique d'un grand nombre d'affections du syst
t son moment de début, elle occupe une des premières places dans le
tableau
symptomatique de la maladie, et peut, par sa pré-
de Raynaud, les dysesthésies prennent une place importante dans le
tableau
clinique; elles sont ordinairement le [ROUSSY.]
fec- tieuses ou toxiques; dans les névralgies. Elles font partie du
tableau
clinique de l'affection dite méralgie paresthés
linique par le syndrome névralgie. - le donnerai plus loin quelques
tableaux
cliniques schématiques des névralgies les plus
incters et quelquefois eschares et anesthésie : nous avons alors le
tableau
de la paraplégie spasmodique. L'exagération des
lysie localisée aux muscles fléchisseurs et au muscle pectine. Ce
tableau
clinique s'oppose à celui de la myélite transvers
niais ce phéno- mène n'a rien de constant. Paraplégie flasque. Le
tableau
clinique est ici tout différent de ce que nous
également assez divers pour qu'il soit impos- sible d'en tracer un
tableau
précis. Il n'existe point de troubles tro- phiq
euvent encore une fois se présenter successive- ment ces différents
tableaux
. Diagnostic différentiel du syndrome paraplégie
t. et ,T 0 f1'ro y . Nous sommes amenés ainsi il nous préoccuper du
tableau
clinique de la compression par tumeur intra-lné
s de la sensi- bilité. La syringomyélie proprement dite présente un
tableau
clinique des plus nets. Les membres inférieurs
per les myélites syphilitiques. La syphilis médullaire présente des
tableaux
cliniques variables. Comme dans le mal de Pott,
i des formes curables à rechutes. Il est peu de chose à modifier du
tableau
précédent pour le faire cadrer avec la descript
revêtir une allure subaiguë ou chronique, la polynévrite offrir le
tableau
d'une paralysie aiguë, fébrile, généralisée. No
souvent le bulbe adjacent, et les -troubles bulbaires dominant le
tableau
morbide. La compression cervicale détermine une
aco-brachial, long supinateur. TOPOGRAPHIE RADICULAIRE. ' ' 605
Tableau
de l'innervation motrice des nerfs rachidiens 1.
tre spécialement au point de vue de la chirurgie médul- làire. Lé
tableau
suivant est emprunté à Reid (Journal of Analomy a
d'après l'Anatomie de Poirier (tome 111, fascicule 3, p. 956). .
Tableau
des rapports qui existent . entre les émergence
de ces para- lysies peut se faire on clinique. On trouvera daiis le
tableau
que j'ai reproduit plus haut quels sont les mus
orsque la lésion siège au-dessus du ganglion géniculé on observe le
tableau
clinique précédent, il l'exception toutefois de
n son, le larynx se relâche et la respiration redevient normale. Le
tableau
symptomatique n'est pas toujours aussi accentué :
2 [A. LÉRI.] progressive comprend la pseudo-hypertrophie dans son
tableau
clinique ordinaire et dans sa dénomination même
e sont qu'un des éléments, accessoire el plus ou moins tardif, d'un
tableau
morbide préalablement reconnu : ce ne sont pas
e par Gombault, Dejerine et Sottas, Pierre Marie. Nous tracerons un
tableau
des diverses amyotrophies d'après la classi- fi
; les déformations thoraciques et vertébrales ne font pas partie du
tableau
morbide; les troubles psychiques sont exceptionne
naire. Le plus souvent l'amyotrophie n'est qu'un symp- tôme dans un
tableau
clinique : les signes associés montrent que d'aut
rome DUCIIG\\I ? iIIAV. Le syndrome d'Aran-Duchenne l'ait partie du
tableau
clinique habituel de la sclérose latérale amyot
le plus souvent comme une névrite généralisée; la similitude de ces
tableaux
cliniques, l'appareil fébrile ordinaire du débu
(s'il s'agit d'un nerf mixte) se paralysent, puis s'atrophient : le
tableau
clinique est complet en un ou deux mois. Plus r
êcher la formation de nouvelles attitudes vicieuses. [A. LÉRI.]
TABLEAU
DES CARACTÈRES ET VARIÉTÉS CLINIQUES DES ATROPH
des réflexes tendineux; peu ou pas de troubles du développement.
TABLEAU
DES CARACTÈRES ET VARIÉTÉS CLINIQUES. 755 2. Va
s sensitifs périphériques : elles déterminent ainsi l'apparition de
tableaux
cliniques fort semblables au tabes et dont l'at
fections ne provoquent pas d'ataxie ou que l'ataxie n'entre dans le
tableau
clinique que d'une façon tout à fait accessoire
se (Lichtheim, Minnich, Risien Russell, Batten et Collier). Dans ce
tableau
l'anémie peut passer au second plan. Dans le di
stérieurs); dans ce cas, les symptômes oculaires font défaut, et le
tableau
clinique évolue beaucoup plus rapidement que le
ononcée, signe de Romberg, abolition des réflexes, qui réalisent un
tableau
clinique très semblable à celui du tabes : on adm
la lésion des nerfs périphériques joue dans la consti- tution de ce
tableau
un rôle prédominant, parfois exclusif (nervo-tabe
t du liquide, se met il nager. L'Iiémiat;iYie ne fait pas partie du
tableau
clinique habituel de l'hémi- plégie cérébrale i
avec les troubles de la marche. [A. LÉRI.] 782 INCOORDINATIONS.
TABLEAU
DES CARACTÈRES ET VARIÉTÉS CLINIQUES DES INCOOR
ou lui succéder, ou le précéder. Dans ce dernier cas se déroule le
tableau
d'une tumeur encéphalique de siège d'abord impréc
saud, la ]Jf : .eudo-pam- 11S2L bulbaire. Il est des variantes au
tableau
précédent : le syndrome peut se consti- ; tuer
eptiques. - 5'ne, Ibis la convulsion survenue, elle affecte tantôt le
tableau
de la crise clonique, tantôt celui de la crise
es cas de Rendu, d'Oppcnheim. [CROUZON.] 846 TREMBLEMENTS. ' Le
tableau
ci-dessous résume les caractères de ces trembleme
peut se manifester suivant les deux formes différentes, et les deux
tableaux
cliniques que nous venons de décrire, nous voul
répéter ce syndrome à sa véritable cause, et c'est par l'élude des
tableaux
cliniques qui vont suivre que l'on pourra faire
est celle de chorée de Sydenham, du nom de l'auteur qui en traça un
tableau
magistral en 1688 : c'est la chorée des enfants
alée au cours de la chorée chronique et même peut la précéder. Le
tableau
clinique est celui d'une chorée, mais différente
ale, dans d'autres, au contraire, elles feront partie intégrante du
tableau
cli- nique banal de la maladie étudiée. Il en e
veux ou une dys- trophie glandulaire, peut-être thyroïdienne ? Le
tableau
clinique de la maladie de Dercum est assez vari
des cas de névralgie, vraie, par congestion intense de l'organe. Le
tableau
clinique n'est pas toujours aussi sombre, et on v
est aboli; les troubles électriques manquent en général. Tel est le
tableau
d'une paralysie périphérique , [F. MOUTIER.] .]
athieu et J.-Ch. Roux) chez lequel des phobies viennent aggraver le
tableau
clinique. Ce neurasthénique dégénéré, phobique, n
aniques pures, sans phénomènes démentiels, tantôt il fait partie du
tableau
clinique d'une psychopathie. Gâtisme et malad
ne de ces affections, elles peuvent constituer dans l'ensemble d'un
tableau
morbide une indication qui met l'observateur sur
t olympien ou un crâne nati- ',il ventre bombé, etc., complètent le
tableau
morbide. Le rachi- tisme tardif ou des adolesce
inés; mais l'étatde la main n'est qu'un des éléments accessoires du
tableau
morbide, et le faciès InYXoedématm : 'est bien
mener une exagération des réflexes et une extension des orteils; le
tableau
clinique simule alors une sclérose latérale amy
e s'étend généralement aux autres segments du membre. L'ensemble du
tableau
clinique est très caracté- ristique. P ! I.\T
térêt comparatif de ces recherches qu'en reproduisant ci-dessous le
tableau
de M. Joltrain. TRAITEMENT DE LA SYPHILIS DU NE
joignent, la température peut s'élever à 58° ou 39° ; on a alors un
tableau
qui simule absolument la méningite; et Milian rap
ces secondaires. le syndrome inflammatoire ressemble étrangement au
tableau
clinique de la maladie du sommeil qui, à côté d
endant trois ou quatre mois et aboutit à une idiotie complète. Ce
tableau
clinique ne diffère de celui d'une méningite que
q ou six mois /après les premiers symptômes. 11 est probable que ce
tableau
clinique encore très rudimentaire ne manquera p
ignorer que les épendymites suppurées peuvent donner naissance à un
tableau
clinique assez semblable. Le début, il est vrai
r les nerfs moteurs, l'excitation produite peut être résumée par le
tableau
suivant, indiquant les contractions obtenues sur
at de l'appareil auditif. (') Ces indications sont résumées dans le
tableau
ci-contre, page 1277 () : RÉSISTANCE ÉLECTRIQUE
gnostic différentiel, 661. Formes cliniques, classification, 662.
Tableau
de classification, 66-lui. Tableau des caractèr
liniques, classification, 662. Tableau de classification, 66-lui.
Tableau
des caractères et variétés cliniques des atroph
tonique, 742. de causes diverses, 745. d'origine vasculaire, 745.
Tableau
des caractères et va- riétés cliniques des hype
ies héréditaires ou /icmi- liales, 777. - dans les névroses, 781.
Tableau
des caractères et variétés cliniques des incoor
e a consacré de nombreuses pages à l'étude et à la reproduction des
tableaux
, sculptures, gravures, etc., qu'ont inspirés le
pré- coces. N'y a-t-il pas les plus grandes ressemblances entre ce
tableau
sym- ptomatique et celui que Erb a tracé de la
ibilité, enfin, une légère cypho-scoliose, simulaient assez bien le
tableau
de la syringomyélie ; le diagnostic n'avait pu êt
on par un ensemble de données anthropométriques, sans lesquelles le
tableau
somatique resterait incomplet. Mesures de la tê
ro- phié, parce que la croissance n'a pas été arrêtée, parce que le
tableau
sympto- matique du myxoedème n'est pas accentué
masque les reliefs osseux et musculaires. Il y a cependant dans le
tableau
de l'infantilisme, un symptôme assez important,
cérébro- spinales susceptibles d'influencer la descendance ; et le
tableau
que nous en donnons démontre l'influence fâcheu
développé aux membres hypertrophiés correspon- dent parfaitement au
tableau
clinique de cette maladie remarquable. Le peau
ée anormalement. La faiblesse musculaire considérable appartient au
tableau
clinique de l'acromégalie et le muscle du coeur s
nce du corps « le type eunuchial ». Il n'est nullement rare, que le
tableau
morbide de l'acromégalie soit compli- qué par d
evue les symptômes cardinaux de notre ma- lade, il nous présente un
tableau
morbide très extraordinaire. Le crâne et la fig
t rendre plus intelligibles les expériences en les résumant dans le
tableau
suivant : PSYCHOPHYSIOLOGIE DE L'USAGE DES LUNE
s. C'est pourquoi nous rencontrons si rarement les lunettes sur les
tableaux
des xve et xvie siècles, particulièrement dans
xvie siècles, particulièrement dans la peinture italienne. Dans les
tableaux
de Véronèse, Titien et Tintoretto, nous ne voyons
Tintoretto, nous ne voyons aucun personnage pourvu de lunettes, les
tableaux
où on les rencontre, par hasard se rangent pour
ES OBSERVATIONS OCULISTIQUES DANS L'ART ITALIEN (llJilzior Reis.)
Tableau
représentant le Couronnement de la Vierge, par NI
sitant la pinacothèque du Vatican, j'ai remarqué sur la predella du
tableau
de Niccolo Alunno da Foligno de 1465 toute une sé
cés sur le nez et le regard dirigé en haut (Pl. XVIII et XIX). Ce
tableau
d'autel représente le couronnement de la Vierge,
prouve que les lunettes étaient déjà connues par le peintre. ' Ce
tableau
représente donc un document inédit de la première
e en général, des scolioses avec gibbosité très accusée dominant le
tableau
clinique, constituée avec une rapidité spéciale,
actères de la triade symptomatiqne de Recklinghausen : il manque au
tableau
morbide les tumeurs des nerfs. Tout diagnostic
manifestes d'une mé- ningo-encéphalopathie diffuse, aiguë, dont le
tableau
était celui d'une mé- ningite tuberculeuse. I
que de toutes les séreuses cérébrales chez un sujet qui a offert le
tableau
clinique classique de la méningo-bacillose. Cet
TRE. T. XIX. Pl. XLVII Phototypie l3ert6aud Paris L'OPÉRATEUR
Tableau
de GÉRARD Dow (collection Léopold Favre, il Genèv
is sont fort bien représentés. Parmi eux, Gérard Dow figure avec un
tableau
intitulé Le Chirurgien. M. Léopold Favre a bien
e a bien voulu faire faire à notre intention une photographie de ce
tableau
, pour laquelle nous tenons à lui adresser nos p
de tête, des Pédicures, du Mal d'Amour, des Dentistes, etc. (1). Le
tableau
de M. Léopold Favre vient heureusement augmente
icham, à Erlesdene (Cheshire) (1). Et l'on retrouve dans ce dernier
tableau
le même fauteuil, les mêmes pots de pharmacie,
qui porte un petit vase. Ce comparse est presque constant dans les
tableaux
de Téniers. A droite, on distingue dans la pé
térieur sont assurément les plus liabiles. A ce titre artistique le
tableau
de M. Léopold Favre mérite une place très hono-
multiples d'origine spécifique dans le tissu nerveux, néanmoins le
tableau
symptomatique n'est pas le même que celui de la
n'a pas reparu. Pas de céphalalgie. Dans les jours qui suivent le
tableau
clinique s'aggrave de nouveau. z Le malade se t
giques des plaques de la sclérose multiple légitime. Dans ce cas le
tableau
clinique était dominé par une paraplégie spasmo-
ais il faut penser que ces symptômes peuvent ne pas figurer dans le
tableau
clinique de la syphilis spinale, ce qui rend al
stagmus, les troubles vésicaux, tout comme on les rencontre dans le
tableau
de la sclérose en plaques vraie. Notre premier ca
mai, 13 juin, 20 juin,. 27 juin), traçant les grandes lignes de son
tableau
clinique. Ces leçons, publiées en Italie par Mili
héorique. Il se proposa, pour ainsi dire, de tracer un « cadre sans
tableau
», c'est l'expression même employée par Charcot;
° l'amimie musicale : impossibilité d'exécution instrumentale. Ce
tableau
, plus clinique que celui de Knoblauch, fut adopté
f ou mo- teur en excluant les paramusies, comme on le verra dans le
tableau
sui- vant, compris dans leur schéma général des
les deux. Les données brièvement énoncées suffisent à compléter le
tableau
des troubles du langage mu- sical. X. Schéma
iennent plus longs. Enfin l'on voit chez la plu- part des géants le
tableau
nosographique suivant : la croissance excessive
tiste ou du sa- vant. Avec des milliers de malades, présentant le
tableau
de toutes les misé- 414 HOMMAGE A M. PAUL RICHE
de la sensi- bilité et une déformation des deux mains, rappelant le
tableau
de la sy- ringomyélie, et par des placards cuta
us renverrons aux travaux publiés par l'un de nous sur ce sujet. Le
tableau
clinique est celui d'un ataxique atrophique avec
rophie dans les muscles des mem- bres supérieurs, qui s'écartent du
tableau
clinique ordinaire à la maladie. C'est cependan
ssière. Remarquons enfin les nombreuses différences que présente le
tableau
symptomatique dans ces trois cas, où cependant
(Rev. Neurol., 1906, n° 6, p. 291). Cette fois, on nous présente le
tableau
des dégénérescences secondaires de la totalité
us sommes à la partie antérieure du foyer ancien (p. 114) et que ce
tableau
est l'expression d'une lésion purement occipitale
tuer. 594 A. MARIE. ARABES SYPHILITIQUES ET PARALYTIQUES GÉNÉRAUX
TABLEAU
DES CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE ADMIS EN 1905 A L'A
lui accordons, sur la demande de sa mère, un congé de deux mois.
Tableau
B. Tableau du poids et de la taille. 10 THÉRAPE
urs des traités de médecine pourraient assurément tirer profit. 1
Tableau
C. Tableaît des accès. 12 THÉRAPEUTIQUE. Obse
ez les vieillards une hémiplégie à symptomatologie particulière. Le
tableau
clinique est le suivant : ictus sans perte de c
ture du néoplasme, l'autre anatomo-clinique, les relations entre le
tableau
symp- tomatique observé et le siège de la lésio
es affections du système nerveux, et nous avons tenté, d'après leur
tableau
clinique, de les enchaîner aux grandes affectio
te, le nystagmus est à peine esquissé dans le cas présent ; mais le
tableau
est le même que chez les enfants M... et de plu
ndant d'autres symptômes se surajoutent et viennent compliquer le
tableau
morbide : par exemple l'asymétrie faciale si inté
ournal of Mental Science, janvier 1901.) A l'aide de chiffres et de
tableaux
, qui paraissent judicieuse- ment établis et pui
base indispensable de la pathologie nerveuse. Après avoir fait le
tableau
de l'anatomie clinique générale des centres ner
. 6° De la circulation, de la respiration et de la digestion. Des
tableaux
résument les voies sensitives et motrices des cin
chacune de quatre années, nous recevrons les données suivantes :
Tableau
I - 194 CLINIQUE mentale. Ces données ont été
ar périodes de quatre années nous aurons les résultats suivants :
Tableau
III 196 ' CLINIQUE mentale.. du nombre des fe
générale d'après nos données, nous eûmes les résultats suivants :
Tableau
V - PARALYSIE GÉNÉRALE. 201 ment.de la paraly
l'envers. Je m'explique : Je suis, sain d'esprit, placé devant un
tableau
noir sur lequel un arbre est dessiné; je le voi
n cerveau la perçoit. Conséquence : Je vois un arbre dessiné sur le
tableau
. Au contraire, je suis aliéné; sur le tableau n
arbre dessiné sur le tableau. Au contraire, je suis aliéné; sur le
tableau
noir, aucun dessin ; tout à coup dans mon cerve
t le nerf optique ; 1° elle s'étale sur la rétine et je vois sur le
tableau
l'image non réelle du diable; je suis halluciné
te Thérèse ne s'est pas mise en campagne pour nous offrir le sombre
tableau
d'un enfer espagnol. Mais la sainte, disons-le,
frant sa vie pour sauver une âme damnée ; c'est une douceur dans le
tableau
. Hallucinations démoniaques. Bien des fois enco
tion qui avait lieu, même entre les mains d'un ennemi de Dieu. » Le
tableau
de ce prêtre tenant l'hostie avec le cou engonc
de défense, procédé libérateur, occupe une place importante dans le
tableau
de l'obsession et du tic; de même que l'obsédé a
n plus ou moins grand nombre de nerfs donnant ainsi naissance à des
tableaux
cliniques très variables. Le début de ces névri
s les zones périphériques. S'il s'agit de cas très envahissants, le
tableau
est tout différent.. - - Les vaisseaux sont s
ont débuté à sept ans; 2° le début mono, puis hémiplégique ; 3° le
tableau
clinique caractérisé par la prédominance exclus
risliques, · Le pronostic est très sombre, comme il découle d'un
tableau
où l'auteur a recueilli les terminaisons relaté
s, les Condamnées à mort, l'armée du Salut, les trumeaux, les vieux
tableaux
, les trois donneuses, les trois clocheuses les
tions et de déboires. Artiste peintre, il ne pouvait vendre aucun
tableau
; aussi était-il découragé et se plaignait-il à
G. ET1E¡O;NE. (Nouv. lcoaogr. de la Salpêtrière, n° 5, 1899). Le
tableau
classique de cette affection (maladie de Duchenne
l'auteur les expose en détail dans : on travail et les résume dans le
tableau
suivant : 1t3' REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
ndaires à des âastropatbies ; ces troubles occupent parfois dans le
tableau
clinique une place si prépondérante, que, contr
ant, pour ces raisons, les accidents cliniques qui consti- tuent le
tableau
du délire des maladies aiguës et la confusion m
nt pas toujours simultanément affectées au début. C'est pourquoi le
tableau
, clinique varie, les conducteurs sensitifs de l
e, surdité mentale et cécité mentale qui dessinent toujours le même
tableau
morbide chez le même patient, mais produisent des
ns son trajet auditif. M. Il. XLIX. La sensibilité à l'aimant, avec
tableaux
et 32 figures ; par Cli. MUE. (Revue de médecin
e intervient cependant pour en modifier quelque peu la marche et le
tableau
clinique habituels. Dans un autre groupe de fai
ale préexistant, à titre d'épisode transitoire, de complication. Le
tableau
clinique de l'affection se trouve ainsi brusque
écoce puisqu'il y a des moments où son intelligence est entière. Le
tableau
clinique se rapproche de celui des psychores pa
nsidé- rables dans les asiles. Ici se placent des chiffres et des
tableaux
, documents intéres- sants, mais naturellement i
lières des asiles. Nous y reviendrons probablement. Signalons les
tableaux
, en outre des tableaux ordinaires, sur l'état c
y reviendrons probablement. Signalons les tableaux, en outre des
tableaux
ordinaires, sur l'état civil, les professions (
fessions insalubres), l'hérédité, sur l'alcoolisme, etc. Ce dernier
tableau
qui va de 189 à 1901 montre que la proportion d
intervention médicale, le service des enfants, après avoir tracé un
tableau
très déplacé des malheureux enfants, décrit ain
e dans cette « infirmerie ». Nous invitons ceux qui trouveraient ce
tableau
trop chargé à venir visiter cette salle au mome
ons de choses. Le matériel indispensable s'est accru peu à peu; aux
tableaux
de Dayrolle se sont ajoutées les collections du
pouvant quant à présent avoir rien de mieux, ces collections et ces
tableaux
nous ont rendu de réels services. Les enfants y
ons : 1 baro- mètre, 1 thermomètre, 1 hygromètre, 2 boussoles, un
tableau
de gros chiffres, un tableau des couleurs du sp
momètre, 1 hygromètre, 2 boussoles, un tableau de gros chiffres, un
tableau
des couleurs du spectre solaire, etc., etc. P
eront avantageux à l'Adminis- tration, quoi qu'on en dise (2). Le
tableau
suivant permet de se rendre compte du travail d
ces moyens thérapeutiques et hygié- niques, ainsi que le montre le
tableau
ci-dessous : STATISTIQUE. XVII de l'année, on
opres et sont en pantalons, 16 sont gâteux et portent la robe. Le
tableau
ci-dessous résume le mouvement de la population
e 26 : 14 enfants (au-dessous de 18 ans) et 12 adultes. En voici le
tableau
: STATISTIQUE. XXIX Evasions. - Le 4 juin, 8
EPSIE APOPLECTI- FORME OU COMATEUSE. Comme on peut le voir par le
tableau
ci-dessus, l'ins- tallation hydrothérapique du
s-cutanées de curare. OBSERVATIONS. 19 9 On voit, en examinant le
tableau
ci-dessus, que le nombre des accès a considérab
perdu de son épaisseur. Nous ne pouvons, pour le moment, donner le
tableau
symptomatique de la forme d'idiotie qui corresp
rétrécies. T. R. 38°. Les accès qui reviennent fréquemment (voir le
tableau
) ne sont ordinairement pas suivis d'agitation ;
constipation opiniâtre. - Mort le 4 juin, à 5 heures 30 du matin.
Tableau
des accès depuis l'entrée à Bicëlre jusqu'à la mo
s de la sensi- bilité, on pourrait avec M. Van Gehuchten dresser un
tableau
parallèle à celui que cet auteur a tracé pour l
e (Ilabel). Voilà encore des formes qui ne sont pas prévues dans le
tableau
de M. Van Gehuchten. Il est vrai qu'un tableau
pas prévues dans le tableau de M. Van Gehuchten. Il est vrai qu'un
tableau
de classification, même très complet, comprendr
similaire et l'époque de leur début, leur évolution clinique, leur
tableau
symptomatique restent à peu de chose près semblab
Fig. 16. 108 CLINIQUE NERVEUSE. bien est uniforme et monotone le
tableau
des monoplégies hystéro-alcooliques bénignes su
e et la portion dorsale comprise entre l'épaule et les talons. Le
tableau
suivant donne un aperçu des différentes mensura-
unsKY. (Obozrénié psicltiah·èi, V, 1900.) Onze observations, deux
tableaux
et des tracés aboutissent aux conclusions suiva
t. XHI. 10 146 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES.
tableaux
cliniques des encéphalopathies toxiques, de l'uré
erlines lilin. Woclzens- christ, -1599, 118.) 18. Friedlander. Le
tableau
clinique de la prétendue Erythrophobie. 182 CLI
de près l'épilepsie. Il résulte donc des chiffres fournis par notre
tableau
comme de ceux d'un tableau précédent que cette
ulte donc des chiffres fournis par notre tableau comme de ceux d'un
tableau
précédent que cette alternance des alté- ration
e m z > RÉACTIONS DE LA PEAU CHEZ LES ALIENES. 197 7 Ce
tableau
montre que nous n'avons rencontré la dermo- gra
ière et 7 à la troisième desquels trois figurant à la seconde. Le
tableau
que nous obtenons par cette fusion est très net
t se montrer et qui existent il en juger par le second de nos trois
tableaux
, car nous voyons là un paralytique chez lequel
nous poser cette question. Voici ce que nous avons trouvé (voir le
tableau
ci-contre) : ' Ce tableau, en dépit de quelques
Voici ce que nous avons trouvé (voir le tableau ci-contre) : ' Ce
tableau
, en dépit de quelques oscillations, si on l'envi-
ans nous le trouvons inférieur à l'état anormal. mais dans notre
tableau
le maximum de normalité se montre aux deux ex
et la sénilité, avant trente ans et après soixante au'. Dans un
tableau
précédent nous avons vu, au contraire, que ch
différence que nous consta- tons tient à ce' que dans le présent
tableau
figurent non seulement nos 7 vieillards en en
stade de la folie est souvent un stade mélancolique. Puis après ces
tableaux
cliniques qui montrent la 'ressemblance, il se
'appui des idées exposées et des résultats du traitement préconisé,
tableau
résumant les effets obtenus dans 53 cas. Simon.
ux avaient existé aux époques de l'adolescence et de la puberté. Un
tableau
analyse 60 cas. La plus grande paitie des fem
n ou à la démence, voilà la clef de la pathologie men- tale. (Trois
tableaux
de classification appuient ces idées). - SIllON
stérique, il y a parfois des périodes, plus ou moins courtes, où le
tableau
clinique est très voisin de celui de la paralys
es du cerveau, peuvent présenter à un plus ou moins grand degré, le
tableau
de la paralysie géné- 23G 6 REVUE DE PATHOLOGIE
es sur lesquelles s'appuie l'idée de quelques auteurs rattachant le
tableau
entier de la neurasthénie antécédente, qui parfoi
sorte que sou- vent on est embarrassé à appliquer le terme exact au
tableau
his- tologique. Des remarques ont été faites pa
urieuse en ce sens que la pièce anatomique laisse- rait supposer un
tableau
clinique semblable à celui de la pachy- méningi
Code brésilien en ce qui concerne le régime des aliénés. D'après le
tableau
de la situation actuelle des aliénés au Brésil,
traste avec le rôle effacé de troubles sensoriels, occupent dans le
tableau
symp- tomaliclue de psychoses très distinctes,
considérer comme étant d'oiigine parasyphilitique. De même dans le
tableau
clinique, on trouve des phénomènes qui correspo
parasyphililiclue des ictus apoplec- tiformes, mais non de tout le
tableau
de la paralysie générale. JI. Versilotf pense q
épileptique des acci- dents observés. Le 27 février, par contre, le
tableau
est tout différent : La malade, qui a été très
de véritable bégaiement dans l'acte de sonner du cor. L'analyse du
tableau
symp- tomatique révèle en effet un trouble de l
loin d'être toujours irréparables. Enfin, l'extrême variabilité du
tableau
clinique a beau être bien connue, il faut y y i
s jusqu'ici s'il ne présentait deux symptômes en opposition avec le
tableau
clinique aujourd'hui classique de la myopathie
és, l'auteur aborde le côté statistique de son sujet, et le premier
tableau
qu'il donne (il est médecin adjoint de l'asile
- niers accès les troubles de la sphère du langage réalisèrent le
tableau
de l'aphasie sensorielle : la surdité verbale res
malade, qui réalise une symptomatologie peu complexe; chez elle, le
tableau
morbide se réduit à : Une hémianopsie homonyme
profit les cas de nos trois malades, pour vous tracer une sorte de
tableau
d'ensemble de la séméiolo- gie de l'hémianopsie
, en manière de conclusion finale, je vais vous tracer une sorte de
tableau
récapitulatif des caractères avec lesquels se p
ce qui concerne la logique, par conséquentcelles qui sont dans ce
tableau
qui flotte autour du domaine conscient de la pen-
malade, on est déjà en droit de dire que ces accès appartiennent au
tableau
de la folie mania- que-dépressive, puisque les
voie sensitive médullaire peut se faire en des points différents Le
tableau
clinique révélateur de la lésion tabétique a pa
s de psychiatrie a été extrêmement avantageux à la connaissance des
tableaux
cliniques des maladies mentales et des méthodes
vue presque intacte. Il meurt avant d'être aveugle (1). Tel est le
tableau
(1) Jean GAL ! : XOSKt. Le fond de l'oeil dans
ntal du malade, mais il est tou- jours possiblede retrouver dans le
tableau
clinique la part de chacun des fadeurs surajout
s : le régime fut poursuivi pendant cinq périodes de 30 jours. Le
tableau
I donne pour chaque malade le nombre des 1(i
re ; 231 accès en mai 1905 contre 224 en mai 1904. En comparant les
tableaux
de z0 et de 1905, nous avons alors remarqué que
ntêtement opi- niâtre, les troubles psychographiques complètent les
tableaux
\ cliniques. Les crises d'inertie avec leur a
duisent insensiblement de l'un à l'autre. Lés auteurs rapportent le
tableau
clinique d'une affection familiale spasmodique
1906, n- 12.) . Le Dr Morel donne, dans ce travail, sous forme de
tableau
, les résultats de l'examen au point de vue ment
alcooliques, ni fils d'alcooliques. Les données contenues dans ces
tableaux
confirment la nécessité tant de fois exprimée,
ychique,qui vivaient séparés, devinrent alié- nés en même temps. Le
tableau
du trouble mental chez l'un et l'autre présenta
umeaux. Il trouve que c'est assez pour cela de la ressemblance du
tableau
de la maladie et du développement indépendant d
qu'il est décrit dans les livres pieux et représenté dans les vieux
tableaux
des anciennes églises : la face hideuse et grima-
tite l'opération de l'addition qu'elle n'était pas en réalité. Le
tableau
IV du travail de Lcwald contient les don- nées
nus du sujet Ru. La durée de chaque épreuve était d'une heure. Le
tableau
VI du travail de l'auteur contient le nombre de
toutes les épreuves. , Des résultats obtenus et interprétés dans un
tableau
général, on a pu voir que toutes les épreuves s
re la quantité du travail et l'influence du temps de réaction. Le
tableau
X contient les données moyennes vraisem- blable
ion que Bettmann en a donnée. Les deux points les plus saillants du
tableau
sont : tout d'abord le nombre des fausses réact
ues correspondants. As Mémorisation DES syllabes avec TROUBLE. Un
tableau
\ : SI) du travail de LŒWALI> représ
statistique une déduction intéressante par comparaison entre les
tableaux
des décès classés selon le temps d'internement
0 malades, cette dé- penauoscille entre 25 et 30.000 francs. » Un
tableau
du personnel avec indications du traitement et de
inlluence delà bugggestion médicale et. inconsciente et il trace un
tableau
de toutes les causes organi- ques qui peuventèt
2'J ; total, 154. Décès : 11. 43 ; F. 33 ; total, 76. Suivent deux
tableaux
schématiques, dont l'un concerne la population
atiques, dont l'un concerne la population totale de 1895 à 1905. Ce
tableau
montre l'extension rapide du chiffre des aliéné
tificat médical motivé soit exigé dans chaque cas particulier. Un
tableau
intitulé : Mouvement des aliénés dont l'affection
ortion déjà formidable des aliénés buveurs telle qu'elle ressort du
tableau
n 1(ï de ce rapport. Et puisque la Sarthe est p
t un pays de bouilleurs de cru, il sera intéressant de comparer les
tableaux
des années ultérieures avec ceux que j'ai établ
e, etc. Il faut reconnaître toutefois que, jusqu'à présent, seul le
tableau
anatomo-paLltuloâüluc de la paralysie générale
i en trois mois el demi de traitement. Nous donnons ci-dessous un
tableau
comparatif du poids et de la taille pendant la
aitement thyroï- dien. Imbécillité prononcée congénitale. 433
Tableau
comparatif du poids et de la taille. , 434
apports anato- ntiqucsdelag)ande. 6 CLINIQUL MENTAL ! 1.. '
Tableau
du poids et de la taille pendant le second traite
la taille sont cette fois très appréciables, comme le démontre le
tableau
ci-contre. Cott ? a donc gagné en 3 mois : deux
entent généralement les enfants qui sui- vent le même traitement.
Tableau
du poids et de la taille pendant le troisième tl
A l'entrée. Leptoméningite aiguë suppurée diffuse, prouvée parle
tableau
clinique et la ponction lombaire (liquide séro-pu
n ? ' ! Comptes rendus d'actions faits par l'enfant : J'ai écrit au
tableau
. J'ai caressé le chien. Paul a poussé Louis. De
l'urine après un mois. Le cas donné, d'après l'auteur, présente un
tableau
clinique très compliqué et de certaines particu
e (presque exclusivement dans la substance grise), et 3° à cause du
tableau
histologique. Aux débats prirent part encore M.
are Ileclkllndige Bilsan- dling. Volume in-S° de 130 pages, avec 18
tableaux
et une planche hors texte. Amsterdam, 1897. Lib
ulaires et de la déviation en hallux des extrémités. Prenez tout ce
tableau
symptomatique, en laissant pour le moment de cô
moment de côté la sclérose latérale amyotrophique, et vous avez le
tableau
symptomatique de la sclérose multiple dissé- mi
tisme articulaire, surmenage physique, alcool, tabac. Donc c'est le
tableau
complet, la caractéris- tique vraie de la sclér
t la forme Aran-Duchenne de l'atrophie musculaire progressive. Le
tableau
de la sclérose multiple disséminée est peut-être
périeurs de l'enseignement de leur généreux appui, et fait enfin le
tableau
des travaux et des résul- tats obtenus pendant
e intitulée : « Ce que peut la femme contre l'alcoolisme », fait un
tableau
rapide de ce qu'était jadis la situation de la
lumpke. Après une étude minutieuse des racines et fibres d'après le
tableau
de Féré, M. Schuster croit à la destruction des
rifié à l'ensemble; leurs observations de malades sont, toutes, des
tableaux
de genre d'un scrupuleux réalisme. « Aussi la
essaire que les deux ordres de symptômes soient représentés dans le
tableau
clinique, au moins par les plus essentiels d'en
es qui cherchent à nier. M. le professéur Pierret a donné un pei.it
tableau
résumant ce que doit être l'expression des état
semblait avoir pleine connaissance. Bien peu de choses manquent au
tableau
de la méningite : nous avons des vomissements,
son début, sa marche, sa terminaison brusque, n'of- frent guère le
tableau
ordinaire de la fièvre typhoïde; elle n'était p
ants pendant les pre- mières années de la vie et présentant le même
tableau
clinique que la rigidité spasmodique spinale de
t à son remplacement par un Moi patho- logique qui vit en plusieurs
tableaux
ou accès épisodiques ; cette modification psych
. On peut s'expliquer ainsi cette scène pathologique : le premier
tableau
est dû à l'infection paludique; chez les sujets n
as l'infection syphilitique a mis un cachet très marqué sur tout le
tableau
de la maladie et donna tous les symptômes posit
des oscillations très marquées dans le cours de la maladie ; 3° le
tableau
général de la maladie très grave d'un cours rap
a lésion est symétrique, avec des limites très accentuées et par le
tableau
microscopique elle est caractéristique pour la
er causé par la dégéné- rescence de la substance cérébrale donna un
tableau
d'idiotisme paralytique. Les accès locaux, pour
accès locaux, pourtant, n'étaient pas tout à fait l perdus dans le
tableau
compliqué de la maladie et laissaient la pos- s
très accentuée. C'est donc bien, à part l'absence du craquement, le
tableau
de la coxal- gie organique. Et pourtant l'évolu
t la durée variait de quatre à six heures, c'est tou- jours le même
tableau
: premièrephase,sommeilcalmesans paroles, membr
é- rence dans tous ces récits ceux qui présentent les images, les
tableaux
les plus terrifiants parce que ce sont ceux qui
anglots, et l'obligeaient à quitter la salle. Dans sa collection de
tableaux
, il en était dont il ne pouvait faire ressortir
u l'exten- sion de l'hématomyélie dans les cordons pyramidaux. Le
tableau
histologique de ces foyers localisés consiste ava
es. 447 ï mais leurs combinaisons diffèrent pour les deux sexes. Le
tableau
clinique chez les femmes offre certaines singul
gue). Dans différents cas il est impos- sible d'établir, suivant le
tableau
clinique de l'atrophie, une sépa- ration nette
ymptomatologie est plus nette. On peut dresser schématique- ment le
tableau
suivant : une première phase de prodomes carac-
a moyenne des résultats que nous avons obtenus est indiquée dans le
tableau
suivant : Les chiffres précédents confirment
f M w ti- lu P 13 lu N e c M tu 4.- ci
Tableau
I. - Statistique décadaire des accès épileptiques
à diverses époques et dont les résultats ont été rassemblés dans le
tableau
suivant. Pour nos examens, nous avons appliqué
t; V. ? m m N M v. pi- r i E c m ? c : ce
Tableau
Il. - Variations quotidiennes du taux de l'alcale
eptembre; les attaques reparaissent en séries très nombreuses (voir
tableau
plus loin). Pas de modification de l'état menta
ns régulières, Examen du sang et des urines du 1 ? au 7 juillet :
TABLEAU
III ( 1. lll2qrres ennureluues de* malade* dont
sentiment de reproche en vertu duquel l'esprit tente de chasser le
tableau
commémoratif deces hontes : tel est le premier
dans l'étiologie de la syringo- mvélie. La grande ressemblance du
tableau
clinique des deux affections n'autorise nulleme
halite diffuse 538 , bibliographie. qui se présente alors avec un
tableau
clinique spécial. Le nombre des cas de paralysi
inte d'une affection dont je vous ai présenté bien des exemples; le
tableau
symp- tomatique qu'elle offre est accusé, très
nfin une hyperesthésie de la moitié droite du corps. , Tel est le
tableau
présenté aujourd'hui par la malade ; on voit qu
t, comme vous pouvez aisément le voir sur ces dessins reproduits au
tableau
, à de grosses amandes allongées dans le sens an
gent la catatonie comme une entité morbide, d'autres regardent le
tableau
décrit par cet investigateur comme un symptomo-
clique, où les symptômes psy- chiques présentent consécutivement un
tableau
de mélanco- lie, de manie, de stupeur, de confu
Donc, d'après Kahlbaum, le cas typique de la catatonie présente un
tableau
de lésion mentale à cours périodique (dont les
ques aussi. Au mois de janvier de l'année 1898, nous voyons déjà un
tableau
d'une démence catatonique très profonde : des p
table qu'au commence- ment de l'année 1892, le malade présentait un
tableau
typique du ; syndrome de Kahlbaum, à savoir : d
n en 1883, puis une nouvelle exacerbation en 1887; en 1889-1892, un
tableau
typique de catatonie et une démence terminale t
ues relativement aux formes infectieuses, il se compose : 1° D'un
tableau
clinique défini et d'un cours typique et consta
aum citée par lui encore en 1874, concernant l'unité génétique du
tableau
clinique décrit par lui. Pourtant nous devons d
même ordre, d'un autre côté Kahlbaum décrit lui-même l'intégrité du
tableau
clinique, en admettant la possibilité de l'enlè
CLINIQUE MENTALE. coce et très stable qui ressort nettement dans le
tableau
de confusion de conscience. En évaluant les r
nte alors une belle teinte rouge diffus de la nuance rouge n° 1 des
tableaux
de Newton. Si maintenant nous superposons à la
ominant, l'absence de parallélisme entre le syndrome clinique et le
tableau
anatomo-pathologique. La première est un cas de
érieur. Le tubercule inférieur n'a eu qu'un rôle secondaire dans le
tableau
clinique ayant probablement entrainé la faibles
s Epilepsies et les épi- leptiques, M. Ch. Féré1 nous montre en des
tableaux
très précis qu'il s'est attaché d'une façon ass
s actuels dans laquelle il importe de signaler tout spécialement le
tableau
deMartius et la termino- logie de Lewin et Jaks
t de résistance à tout ce qu'on lui proposait. Puis, assez vite, le
tableau
clinique changea ; la malade commença à' manger
tain temps. Survienne une crise, et surtout une série de crises, le
tableau
change ; ils tombent dans la prostration et la
t, est rare, et présente chez les imbéciles, où elle est précoce le
tableau
exact, de la paralysie générale de l'adoles- ce
8 janvier 1903, comme il avait mal écrit quelques chif- fres sur le
tableau
noir, Detitius,son professeur, lui heurta violem-
st l'impotence douloureuse du membre antérieur gauche qui domine le
tableau
morbide. Vous voyez qu'il s'agit ici d'une para
rachidiennes et autour du plexus peuvent coexister et compliquer le
tableau
morbide; seule une analyse attentive vous perme
teinte « intra-vertébrate des nerfs rachidiens ne donne pas des «
tableaux
cliniques identiques à celle des nerfs définitive
rvation périphérique déterminée. Aussi conçoit-on la variabilité du
tableau
clinique : on a même publié des cas de paralysi
e d'origine gastrique. Le malade, qu'ils ont observé, présentait le
tableau
symptoma- . tique qui caractérise la deuxième f
avait eu de' syndromes ou de stigmates de l'hystérie. Finalement le
tableau
carastéristique 332 , REVUE DE PATHOLOGIE MENTA
d'hallucinations et de symptômes de lésions en foyer surajontés au
tableau
clinique commun de la P. G. d'écarter, comme on
l of Mental Science, octobre 1903). Travail accompagné de plusieurs
tableaux
, et que l'auteur après quelques rectifications
citation génitale. Nous donnerons simplement à titre d'exemple un
tableau
exprimant numériquement la diminution pendant l
de pou- voir se décomposer en ses nombreux éléments, ainsi qu'un
tableau
panoramique aux tons multiples, complexes, aux
PATHOLOGIE MENTALE. composé presque exclusivement de chiffres et de
tableaux
, il cons. titue une source précieuse de documen
ment analysé la reproduction de questionnaires, de chiffres et de
tableaux
. R. M. C. LXXIX. La toxémie dans l'étiologie de
ésentés par 111. N... ne sont pas assez marqués pour qu'il offre le
tableau
complet d'un affaiblis- sement intellectuel acc
ifesta une anesthésie pro- fonde, symptôme faisant plutôt partie du
tableau
du délire tremens. Pendant son séjour à l'asi
les membres supérieurs s'étaient pris à leur tour, de sorte que le
tableau
clinique avait été celui d'une paralysie ascendan
se conserve très longtemps ; sa désagrégation laisse après elle le
tableau
de la dégénérescence de Waller; 3° La multiplic
arties des segments. W.,A.' Mouratoff insiste sur l'irrégularité du
tableau
compa- ratif de la « fragmentation » et de la d
190 femmes. On voit par les chiffres que l'auteur a réunis dans un
tableau
que nous ne pouvons pas repro- duire, que si le
ystérique siège toujours du côté où se trouve l'hémianesthésie ; ce
tableau
clinique diffère sensiblement de l'hé- mianopsi
suivante : La malade lisait avec l'oeil droit la cinquième ligne du
tableau
de Snel- len à une distance de 104 centimètres.
à prédire l'avenir. On le voit, à plusieurs siècles de distance, le
tableau
n'avait pas changé. Et les exemples abondent da
t fort intéressant de rapprocher de ce bas-relief antique, certains
tableaux
des maîtres italiens reproduisant des scènes de p
eux qu'on peut faire au sujet de ce bas-relief. Je veux parler d'un
tableau
tout moderne d'un artiste de talent qui a été g
rophie, tantôt vraie, tantôt fausse (lipomatose), qui appartient au
tableau
de la maladie. Dans quelques muscles on voit ce
si bien que ceux qu'innerve le nerf maxillaire inférieur. Dans le
tableau
I, les réactions normales des différents muscles
s points de repère. 192 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE .
TABLEAU
1 Il .. Réactions électriques de Suzan. S., âgé
nce con- sidérable. Ils ne sont pas mentionnés par Duchenne dans le
tableau
clini- que qu'il a tracé. Une question se pos
'une diminution gé- 196 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE
TABLEAU
Il Réactions électriques de Suzan. S., à l' £ l
la Société médicale des Hôpi- taux (2), M. Landouzy a résumé en un
tableau
très précis tous les carac- tères du facies myo
r la certitude de ce diagnostic, je vous dirai dès à présent que le
tableau
symptoma- tique se trouve aujour(l'hui réalisé
t déjà le diagnostic de labes. Il n'y a que dix- huit mois que le
tableau
symplonialique s'est dessiné définitivement : i
a plus typique. Elles figurent avec leur maximum de netteté dans le
tableau
clinique du tab('s sensitif. Elles accusent un
utes les observations précédemment signalées on arrive à dresser le
tableau
suivant : 234 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊ
ues. Il est temps d'en revenir à l'arthropathie proprement dite. Le
tableau
de ses localisations est très significatif. Ell
e retrouver des signes caractéristiques de l'hystérie, le mérite du
tableau
n'en est pas diminué, et il reste néanmoins un de
fixer avec tant d'effet et de sûreté les traits fonda- mentaux d'un
tableau
si changeant et si complexe. Le type créé par R
ovence. Il vivait très retiré, travaillant consciencieusement à des
tableaux
de sainteté, pour les communautés et les maison
après Van Orley (XVI siècle) (2). Citons encore, pour mémoire, un
tableau
reproduisant le même sujet, du à un maître inco
cel (XVIIe siècle) ; plusieurs estampes du 1VI11° siècle, etc. Le
tableau
de Pierre Bronzet est d'une composition étroite.
udes au crayon ou il l'huile que fit Bronzet avant de commencer son
tableau
. Sur le dessin que nous reproduisons (pl. XXXII
faite sans modèle, est d'une allure bien plus vigoureuse. Sur le
tableau
de l'Eglise St-Lazare, la tête du possédé est inc
r. Il existe encore à l'église célèbre de St-Maximin (Var) un autre
tableau
de Bronzet représentant la guérison d'un posséd
e diagnostic, l'importance que peut prendre chaque symptôme dans le
tableau
clini- que imprime au cas particulier sa physio
rche à reproduire aussi fidèlement que possible le même paysage. Le
tableau
du peintre est comme une épreuve obtenue avec l'a
ui permettraient en quelque sorte d'attribuer à la syringomyélie le
tableau
de la maladie de Charcot. Dans l'arthropathie t
nt guéri. 2° Une forme atrophique, qui pré- sente en raccourci le
tableau
clinique des arthropathies nerveuses classi-
e suffi- sant pour jouer un rôle à part, utile à distinguer dans le
tableau
clinique. Notons enfin après ces observations u
tation du.mardi à la; Salpêtrière dans l'état suivant : Il offre le
tableau
d'une. hémiplégie droite complète respectant le f
tous les ans l'histoire de l'établissement. Une fois qu'un premier
tableau
a été tracé, il faudrait se borner à consi- gne
s intellectuels qu'on observe dans la manie simple, mais bientôt le
tableau
change, la fièvre s'allume, la température s'él
aucune conclusion de son travail ; mais il espère que les nombreux
tableaux
qu'il a dressés avec le plus giand soin pourront
114 VARIA. la statistique officielle de la Suède ; il fourmille de
tableaux
statis- tiques d'ordre médical et d'ordre admin
n'est pas besoin qu'un malade présente dans toute son extension le
tableau
clinique de l'ataxie BIBLIOGRAPHIE. 119 locom
rçon de treize ans qui a présenté avec ses principaux caractères le
tableau
de ]'hystero-épi)cpsie. périodes épileptoide, c
uelques cas, reproduit avec une exac- titude à peu près parfaite le
tableau
de I'épilepsie partielle (épilepsie jacksonnien
à un côté de la face ou à l'un des membres. Dans le premier cas, le
tableau
clinique était celui de l'épilep- sie jacksonni
omprenant un grand nombre d attaques, comme on peut en juger par le
tableau
ci-dessous, qui indiquera- lai fois l'époque d'
un.fait de Bouchard (de Paris) nous per- mettrqnt de= compléter le.
tableau
.' -aoqr9'ui9 : 3rr> ? pa»i Itptli ! lr " ` .
de l'homme. Mai-octobre 1883. 1 t0 REVUE CRITIQUE. Les traits du
tableau
de cette zone sont fréquemment défi- gurés par
ction du lobule pariétal inférieur d'Ecker. Un résumé sous forme de
tableau
de correspondance des termes et desdivi- sions,
onvolution occipitale; Os, troisième circonvo- lotion occipitale.
TABLEAU
DES TERMES APPLIQUÉS A LA DENOMINATION DES DEUX S
l'accord qui existe entre la théorie qui vient d'être exposée et le
tableau
clinique de la para- lysie générale. - R. M. C.
ainsi que sur les centres; b), un mode combiné caractérisé par des
tableaux
symptomatiques spinaux des plus variés ; ,I9
gé les m6mes"6pinions sur la pâ- ralysie1 générale alcoolique.JSoii
tableau
clinique ne correspond pas : a' 'celui db là'pa
iques, qui ne, se- traduisent pas fatale- a ment, forcément, par le
tableau
de l'atrophie dégénératie,tomate 8'de la zone d
erveux semblables en tous points à ceux des hystériques. Tel est le
tableau
complet des processus patho- logiques sus-menti
ent aux valeurs absolues des courants, a se con- 3'f'ectionnei'iUii
tableau
empirique des,plus précieux. , , o·t4 : nicusio
ANTES. 249 encore, la démence arrive et la mort a lieu au milieu du
tableau
clinique de la paralysie générale. Autopsie. Ad
simple hystérique ou d'une épilep- tique par lésion cérébrale ? Le
tableau
symptomatique autorisait à la fois les deux hyp
e l'attaque hystérique reproduit avec une remarquable exactitude le
tableau
de l'épi- lepsie partielle (épilepsie jacksonni
d, ce sont des symptômes de paralysie générale qui constituent le
tableau
clinique; la marche typique aboutit en deux année
ffet de l'âge, et surtout.de la sénilité précoce. 11 termine par le
tableau
des dimensions des diverses régions de la moelle
p. 4.) Travail intéressant de statistique, renfermant de nombreux
tableaux
, propres à éclairer les diverses faces de la ques
é ne perd connaissance; il se rend même parfaitement compte que les
tableaux
fantastiques ne sont perçus que lorsqu'il ferme
ncolie désignent simplement, à l'époque con- sidérée, les genres de
tableaux
morbides dont la réunion va cons- tituer la psy
implement que l'auteur n'ait pas construit à la fin un ou plusieurs
tableaux
synoptiques montrant d'emblée l'ensemble de la
d'un excédent équivalent de recette. Paris, 1855, I vol. in-4° avec
tableaux
; De l'influence des trans- lations des aliénés
pratiques sur les maladies ner- veuses et mentales accompagnées de
tableaux
statistiques suivie^ du rapport de M. le sénate
ographe sont très différentes. Le premier s'attache principalement au
tableau
abstrait des maladies ; il néglige à dessein, ou
l'époque où les douleurs fulgurantes composent à elles seules tout le
tableau
clinique, sans accompagnement d'incoordination mo
qui constituent, sans contredit, un des aspects les plus saillants du
tableau
symptomatique ; mais il est rare que ceux-ci exis
urrait recevoir la désignation de période dincoordination motrice, le
tableau
clinique se compose, en premier lieu, des symptôm
u près seules toute la maladie. Quelques symptômes signalés dans le
tableau
clinique de l'alcoolisme chronique rappellent la
ession régulière des symptô-mes de l'ataxie locomotrice. Tel est le
tableau
symptomatologique qu'offre ordinaire-ment l'arthr
nnaissance des maladies nerveuses pourront d'ailleurs reconstituer ce
tableau
classique en se re-portant aux nombreuses descrip
ntôt, Messieurs, la raison de ces dénominations. tions remplies, le
tableau
symptomatique se présente néces-sairement. La con
tudiants en médecine. e) Je dois signaler, mais pour les écarter du
tableau
, d'au-tres symptômes qu'à mon sens on a compris à
ntièrement dans l'ombre tout un coin, fort intéressant d'ailleurs, du
tableau
. J'y reviendrai quand j'étudierai les amyotrophie
sclérose latérale amyotrophique, il importe actuellement d'animer le
tableau
en vous montrant quel est l'ensemble des symptôme
le temps à propos de Yataxie locomotrice progressive, et cependant le
tableau
cli-nique tracé par Duchenne (de Boulogne), à l'a
pour ne pas omettre tout à fait une des parties les plus curieuses du
tableau
, les symptômes suivants : 1° La paralysie de la
-ci sont peu nombreuses toutefois et ne chan-gent rien d'essentiel au
tableau
qUe je viens de tracer. Ainsi la maladie, dans ce
nt, ce chapitre de nosographie me fait un peu l'effet d'un cadre sans
tableau
. Il n'existe pas en réalité, à ma connaissance du
à l'heure. Mais je crois opportun, au préalable, de vous présenter un
tableau
où je m'attacherai à mettre en relief les symptôm
avait été remarquée déjà par Ollivier (d'An-gers), qui en a tracé un
tableau
réussi dans un passage que je ne saurais omettre
et d'évolution ; leur isolement surtout, d'où résulte la monotonie du
tableau
clinique si particulière à la maladie, devra être
eçons sur les maladies du système nerveux, t. II, p. llQ, pléter le
tableau
, que, dès l'origine, le besoin de la mixtion étai
puisse, parfois, faire défaut. Ainsi, pour ne citer qu'un exemple, le
tableau
clinique de la sclérose en plaques se trouve dans
aissé pressentir, de ceux qui distinguent la myélite uri-yiaire. Le
tableau
, tracé par M. Brown-Séquard, de ce qu'il nomme la
époque. Pendant longtemps, la malade Afin de ne point surcharger un
tableau
clinique déjà fort complexe, j'ai négligé à desse
es dans les écoles américaines, je ferai tous mes efforts pour que le
tableau
de l'hémichorée post-hémiplégique ressorte pleine
, une céphalalgie d'un genre particulier vinrent bientôt compléter le
tableau
. Cette céphalalgie n'a jamais entièrement cessé
sur tous les points ; et ainsi se trouve reproduit par conséquent le
tableau
classique de l'épilepsie vulgaire. Le cas dont je
nels, et qui ne sauraient modifier en rien d'es-sentiel l'ensemble du
tableau
clinique. Il nous faut montrer maintenant que l
si, énergiquement sous l'influence de la faradisation. Tel était le
tableau
des symptômes au mois de septembre 1865, un an ap
iculté de la prononciation et tous les autres phénomènes rappelant le
tableau
de la paralysie labio-glosso-pharyngée s'étaient
nt plus satisfait, que la crise dont il venait de me présenter le
tableau
, devait être identique à celles d'autrefois, mais
. Quelles modifications a, dans ces dix dernières années, subies le
tableau
clinique de la paralysie générale des aliénés ; p
tement antisyphilitique antérieur, car qu'il ait eu lieu on non, le
tableau
clinique demeure le même ; on ne saurait davantag
eur décrit ensuite longuement les symptômes de la mala- die, et son
tableau
ne diffère pas du tableau classique. Il iusiste
ent les symptômes de la mala- die, et son tableau ne diffère pas du
tableau
classique. Il iusiste longuement aussi sur le t
it rentrer dans cette rubrique tous les cas de chorée chronique, le
tableau
symp- tomatologique sera singulièrement étendu,
ons d'emblée tous les éléments qui seraient de nature à troubler le
tableau
symptomatologique, déjà suffisamment compliqué,
ieuse et sans cause apparente. .,lntécé lents héréditaires (voir le
tableau
ci-contre). - Sa tare héréditaire, est très cha
qui marque souvent le début de la maladie et qui domine ensuite le
tableau
symp- tomalologique. Il s'allie communément à l
que le suicide ou les tentatives de suicide n'appartiennent pas au
tableau
symptomatologique des troubles mentaux dans la
mence complète et, comme plusieurs auteurs l'ont fait remarquer, le
tableau
dé la maladie devient alors fréquemment absolum
à laquelle on doit s'attendre dans le ressort de chaque territoire (
tableaux
), montrent qu'il faut que l'assistance des alié
lques colons. Et le mouvement inhérent aux asiles correspon- dants (
tableaux
) rend obligatoire d'isoler l'établissement d'un
règle. Dans les cas rares de compression légère, on peut trouver le
tableau
histologique d'une myélite par compression. 3°
use de l'apophyse odontoide de l'axis présente exac- tement le même
tableau
pathologique, si ce n'est que, dans les 140 REV
chauves sentent la douleur à 0,15 et 0,02 millimètre.... Dessins et
tableaux
établissant les détails des régions chez l'homm
rts de cette affection dont il a résumé les résultats dans quelques
tableaux
. Il a trouvé un poids moyen de z47 grammes chez
sont montrés de suite et nous retrouvons dans l'observation tout un
tableau
qu'il serait trop long et fastidieux de rapport
service on n'a relevé que le nombre des grandes attaques. De par le
tableau
ci-dessus ou voit que pendant les cinq mois qui
eur cérébrale particulière. Enfin la prédominance du rouge dans les
tableaux
du rêve est à remarquer. Si le diagnostic de ce
l ou foetal, soit ap- paraître quelque temps après la naissance. Le
tableau
clinique du crétinisme endémique et du crétinis
dans laquelle les crachats contenaient d'innombrables bacilles. Le
tableau
clinique rappelait absolument ce que l'on décriva
succession, l'attitude à laquelle ils donnent lieu reproduisent le
tableau
classique de l'affection connue sous la dénominat
e serait-ce qu'en raison de la fièvre, on n'avait pas affaire là au
tableau
classique de l'hémiplégie hystérique. Pour ma par
s nerveuses de l'écorce cérébrale peu- vent se modifier, donnant un
tableau
d'un état moniliforme, qui n'est pas toujours é
s la mort de l'animal se modifient comparativement vite, donnant le
tableau
d'un état moniliforme plus ou moins marqué. E
'influence des narcotiques sur le cerveau, elle donne un tout autre
tableau
, c'est-à-dire, qu'on ne peut pas constater dans
ndu, des dendrites cor- ticales chez l'homme doit correspondre à un
tableau
clinique de démence. Nous sommes venu à cette c
l'on devra soupçonner une tumeur du genou du corps calleux quand le
tableau
clinique est dominé longtemps avant l'apparitio
normale. Marche. - Des arrêts momentanés; pas de rétrocession. Le
tableau
clinique montre qu'il s'agit là d'un trouble pure
dical indique le mouvement de la population et contient de nombreux
tableaux
de statistique, relatifs aux admis- sions, aux
'appréciations autorisées et sincères. Depuis de longues années, le
tableau
des experts légistes s'honorait du nom du savan
édecin. On m'a dit aussi, et la simplicité du cadre avive encore le
tableau
, - qu'une pauvre malade infirme avait demandé à
ription de chaque région sera composée comme il est indiqué dans le
tableau
annexé au présent arrêté. Dans la ire ré- gion,
issage, dégénérescence et crime. Brochure in-8° de 40 pages, avec 2
tableaux
hors texte. Layon, 1899. Librairie A. Storck.
nt dormir. Il y a donc excita;ti} ? J : \¡, ; évoqué la pensée d'un
tableau
; j'ai donc agi sur UTh.'Cn.tre, je vois à prése
e d'un tableau; j'ai donc agi sur UTh.'Cn.tre, je vois à présent le
tableau
mentalement. Cette faculté ^ acquiert parfois u
baire à la dernière période : liquide séreux, abondant, stérile.
Tableau
clinique ressemble à celui des méningites, les se
De la chez la I*etnine,pai,('rei(letibei-g '6 Trans- formation du
tableau
clinique de la -, par menuet. 50. Pachymé- ni
tisfaction. Quelques idées de persé- cution viennent s'ajouter à ce
tableau
: on lui en veut, on lui vole ses effets. Aucun
tôt l'un, tantôt l'autre de ces deux éléments qui prédomine dans le
tableau
clinique. L'état de torpeur intellectuelle peut
aujourd'hui tous les neurologistes s'accordent à reconnaître que ce
tableau
si sombre ne répond plus, bien souvent, à la ré
9r côté de l'hérédo-ataxie de Friedreich, présente aujourd'hui un
tableau
clinique complet, mais le tableau anatomo-patholo
iedreich, présente aujourd'hui un tableau clinique complet, mais le
tableau
anatomo-pathologique de cette affection ne repo
ar l'auteur est loin de contribuer à la détermination bien nette du
tableau
anatomopathologique en question. Un seul caract
détaillée par l'auteur lui per- met de conclure, de concert avec le
tableau
clinique, à une polyné- vrite infectieuse du ch
plaques névoopathique doivent, en bien des cas, être tenus pour des
tableaux
morbides auto- nomes. P. KERAVAL. REVUE DE TH
du sujet passif sur les phéno- mènes délirants peut faire varier le
tableau
clinique : ou bien il y a simplement exagératio
ènes morbides surajoutés peuvent prendre le dessus et former toutle
tableau
clinique au milieu duquel disparaissent les tro
nuité de la suggestion morbide du sujet actif, peut faire varier le
tableau
clinique offert par le sujet passif. Cette cont
lirants dans les folies communiquées a donc sa nécessité. Dans le
tableau
clinique présenté par le sujet passif, trois él
être admises, étant donnée la coïncidence fréquente de ces divers
tableaux
cliniques. ' Travail fait dans le Service de M.
e piésente cette fois des idées mystiques qui prédominent dans le
tableau
morbide ; en outre des préoccupations hypocondria
ainsi que les réflexes. Pas de douleurs, pas d'atrophie. Devant ce
tableau
, M. Josserand songe à une paralysie hystéri- qu
rer des formes sévères où la nutrition est gravement atteinte. Ce
tableau
symptomatique se rapproche de celui delà dyspepsi
d'une -manière très mar- quée. En comparant les données des divers
tableaux
publiés par les auteurs, on voit que l'existenc
rvalles des états anxieux avec hallucinations multiples suivant des
tableaux
donnant l'état des courbes respiratoires pendan
est extrêmement rare, n'en est pas moins une entité morbide dont le
tableau
cli- nique et anatomo-pathologique peut être tr
50 l'abasie sénile peut se compliquer d'une artériosclérose, et le
tableau
cli- nique des symptômes est donc modifié en ce
uté cinq ans REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 287 auparavant avec le
tableau
clinique d'une hémiplégie spasmo- dique avec un
rits (même par lui-même). Le malade comprend mal les dessins et les
tableaux
. En suivant la main de celui qui écrit, il peut
ne lui réussit pas toujours et la copie même gros- sière de divers
tableaux
quelconques n'est pas du tout à sa portée. Il r
quelconques n'est pas du tout à sa portée. Il reconnaît fort malles
tableaux
et les dessins, il mêle souvent les images; par
pour des gens, etc. Il ne peut pas non plus concevoir le sens d'un
tableau
. L'ouïe est affaiblîmes deux côtés, plus du côté
e 16 janvier 1662. « Le lendemain 17, comme elle prioit devant un
tableau
de la mère Angélique 3 » (Jacqueline Arnauld), «
t substantiel accompagné de six observations person- nelles et d'un
tableau
des mensurations craniométriques. Conclusions.
peu positives qui se déga- gent de l'examen des cas publiés.. Le
tableau
clinique des troubles intellectuels chez la malad
rdres nerveux mal définis et non classés qui n'appartenaient pas au
tableau
classique de l'hystérie et de l'épilepsie. De l
ies et des obsessions ! Tel est, dans sa plus grande simplicité, le
tableau
clinique de la névrose d'angoisse. Ces différen
Mais il n'en reste pas moins vrai qu'il se présente des cas où le
tableau
de l'affection existe à l'état pur, sans aucune p
GMATES OBSTÉTRICAUX DE LA DÉGÉNÉRESCENCE. 445 Voici, d'ailleurs, le
tableau
général des stigmates obstétricaux de la dégéné
cordons, avec les voies de conduction. Enfin il expose d'après les
tableaux
d'Edinger et de Jakob les principales localisat
tous les locaux se montre le soin de la décoration : jardi- nières,
tableaux
, rideaux aux fenêtres, etc. Téléphone. Le systè
gr. de la Snlpétrière, p° 1-1902). Enfant de huit ans présentant le
tableau
complet de la myopa- thie primitive avec cette
actéristi- ques de la myotonie (maladie de Thomsen). Plus tard à ce
tableau
commencent à se surajouter, comme particularité
02). L'auteur montre ce qu'il y a de vague et d'incertain dans le
tableau
clinique et anatomo-pathologique de cette affecti
et lllonalcow), le rappor- teur trouve possible (1) d'instituer le
tableau
clinique, consistant en symptômes basilaires et
r Trenga nous peint la men- talité de certains Juifs algériens. Les
tableaux
brossés de main de maître, sont d'une vérité si
bilité (stupeur), se cache souvent un délire des plus actifs, et ce
tableau
extérieur des plus trompeurs cache souvent des
Raymond, avec sa précision et sa netteté habituelles, établit en
tableaux
parallèles. Quelles sont les relations de la ma
erches inédites sur la structure des artères cérébrales, suivi d'un
tableau
clinique de l'attaque d'apoplexie. Le pronostic
ple mais plus généralement l'artério-sclérose. Il fait ensuite un
tableau
précis du vertige, montrant la diffé- rence ent
e Royal Asylum for liiii(ilics. Brochure in-8" de 43 pages, avec un
tableau
. Dundee, 1898. - Royal lunatic Asylum. TATS (
st-à-dire à 39/'100. Si l'on jette maintenant un coup d'oeil sur le
tableau
d'en- semble de ces derniers, il est facile de
nisation, soit de désorganisation. C'est bien ce que confirme notre
tableau
. Nous trouvons le plus d'analgésiques chez les
firmées de la paralysie générale ; ici la mélancolie n'a été que le
tableau
clinique extérieur (l'Itabitus clinique) d'une
les représentés dans chaque racine prise a part. Même résumée en un
tableau
, la réponse à ces questions représente une ampl
une seule de ces questions ; chaque muscle exige à lui seul tout un
tableau
. Mais les conclusions générales ne sont pas san
de malformations, de traumatismes, de maladies diverses. Après un
tableau
clinique, tracé de main de maitre, du myxoedème s
aux troubles de la motilité, c'est ce qui ressort nettement d'un
tableau
précédent, lequel montre l'augmentation progressi
e paral- lélisme constaté dans l'ensemble de la maladie. Les deux
tableaux
qui suivent répondent à cette question par l'affi
était plus atteinte. Il suffit, en effet, d'un regard sur nos deux
tableaux
pour constater la diminution progressive de la
nt l'apanage des sujets à troubles moteurs accusés. Voir nos deux
tableaux
détachés, ci-contre. Plusieurs auteurs, avons-n
e qu'il y a pour ce motif une part à accorder à la maladie. Notre
tableau
établit en troisième lieu que dans les consta-
at d'accroître le nombre des altérations de ce sens. Or. dans notre
tableau
à la colonne consacrée à cette association il n
auteur reprenant l'ancienne entité de Bayle, cherche à en tracer un
tableau
conforme en son ensemble aux plus récentes décou-
traitement qu'il préconise par ingestion directe de la glande même.
Tableau
des modifications urinaires corrélatives au trai-
te que ce cas réalise cli- niquement, de la façon la plus nette, le
tableau
des maladies toxi-infectieuses graves terminées
rimitive, tardive, hallucinatoire ou non). Riva et Tanzi7 dans leur
tableau
de sept formes de paranoïa, rangent la folie re
t que la psychose des auto-intoxications répond trait pour trait au
tableau
de la confusion mentale LES PSYCHOSES d'auto-
re aigu et à la pseudo-paralysie générale. C'est absolument le même
tableau
clinique. Nous arrivons donc déjà à cette premi
e a diminué. En se basant sur l'étiologie, l'évolution rapide et le
tableau
cli- nique de l'affection, l'auteur la considèr
nts d'effroi, de répulsion, comme si elle avait devant elle quelque
tableau
effrayant ; elle voit des animaux, parle de cra-
stics qui peuvent se discuter, à ne s'en tenir simplement qu'à ce
tableau
clinique. , De la Mélancolie, il ne peut en êtr
de Collapsdelirium, de la Folie asthénique, de la Démence aiguë. Le
tableau
clinique que trace Krcepe- lin de cette maladie
maladie de Marie et d'en faire une analyse clinique minutieuse. Le
tableau
classique décrit par Marie se retrouve intégral
oser pour la myo- pathie primitive progressive. Quelques détails du
tableau
symp- tomatique judicieusement mis en relief, o
fre toujours croissant de nos ad- missions ! Nous avons réuni en un
tableau
comparatif les chiffres de la population mascul
l'Asile Saint-Pierre depuis 1887 Nous y avons ajouté, en regard, le
tableau
de la population de Marseille. L'étude comparat
e tableau de la population de Marseille. L'étude comparative de ces
tableaux
vous montrera le nombre des aliénés s'élevant,
mble et dans ses rapports avec l'état mental antérieur du sujet, le
tableau
clinique actuel, l'analyse précise des symptôme
TÉMATIQUE PRIMITIF D'AUTO-ACCUSATION. 449 9 Dans ces conditions, le
tableau
symptomatique est un peu différent et ressemble
ue l'on note des améliorations ou des rechutes dans la maladie. Les
tableaux
que nous joignons à ce travail le montrent d'un
teurs passent en revue les diverses affections pouvant présenter le
tableau
symptomatique constaté : paralysie hystérique,
cinquante-sept ans ayant eu deux attaque-; nerveuses présentant le
tableau
clinique com- plet de la paralysie pseudo-bulba
barbue. Mme Tinayre, qui a bien voulu se charger de constater si ces
tableaux
existaient toujours au musée de Stuttgard, n'a pu
n poussé au maximum pour un objet quelconque ; on s'extasie devant un
tableau
d'un grand maître, en écoutant un éloquent discou
catalepsie, comme on peut leur donner des hallucinations. Voici le
tableau
d'un extatique hypnotisé tiré d'un livre sur le m
ravissent ; la divinité lui apparaît dans toute sa splendeur. » Ce
tableau
peut s'appliquer mot pour mot à Bernadette, car c
de toutes les représentations de sainte Wilgeforte est assurément le
tableau
qui se trouve dans l'église d'Eltersdorf, près d'
re), au-dessus de la porte de la sacristie (fig. 90). Au-dessous du
tableau
se trouve une inscription à demi effacée, sur laq
effacée, sur laquelle on déchiffre à droite les mots suivants : « Ce
tableau
représente la brave Sainte KumaTius avec son viol
a deux personnages. L'un représente la dame pieuse qui a fait don du
tableau
à l'église : l'autre est le ménétrier dont tous l
tées accompagnées d'un ménétrier agenouillé à ses pieds. La date du
tableau
d'Esteldorf, qui remonte à 1513. ainsi que les dé
e de l'opéra, et dans le cadre de la fenêtre, il vit se reproduire le
tableau
des Anges purs et radieux, tableau qui l'avait si
a fenêtre, il vit se reproduire le tableau des Anges purs et radieux,
tableau
qui l'avait si fort impressionné la veille; les s
voulut se rendre compte des machinations nécessaires pour obtenir un
tableau
si compliqué dans l'encadrement d'une fenêtre: lo
pposé à l'état normal. Nous n'insisterons pas, bien entendu, sur le
tableau
général de la maladie que tout le monde connaît;
rit; lui apprendre les rudiments de l'histoire naturelle, non plus au
tableau
noir ou dans les livres, mais aux champs, dans de
, peinte par Lutolff, en 1673. Un grand Fig. 9?. Sainte Liberala. —
Tableau
do I.ùtoUT (1673). nombre de copies de celte im
de remarque, tandis que le pied déchaussé est celui de droite dans le
tableau
d'Eltersdorf, dans cette image, c'est le pied gau
beaucoup d'endroits, et il lui envoyait une image dessinée d'après le
tableau
de Cuper, tableau qu'on avait pris la précaution
s, et il lui envoyait une image dessinée d'après le tableau de Cuper,
tableau
qu'on avait pris la précaution de protéger par un
alités. A Arques-la-Bataille (Seine-Inférieure), on la prie devant un
tableau
qui la représente en croix et portant de la barbe
e aux enfants qui lui sont présentés. A Béthune (Pas-de-Calaisj, un
tableau
de 40 centimètres de large sur 70 de haut la mont
clure sans réserve l'Influence de certaine intempérance), complète le
tableau
. M. Cavier se plaint, enfin, de dyspnée, de dou
t HbImIxt, âgée de 75 ans, Sladl Suerroont .Muscum (Aix-la-Chapelle).
Tableau
d'Antonio Moro ilSIÎ-liôS). Le portrait de Marg
, femme à barbe âgée de M ans. j. Ribera (1583-1636; Il s'agit d'un
tableau
fort peu connu de Ribera. Voici dans quels termes
dre et qui méritent une attention plus détaillée. (>) Au centre du
tableau
, l'on voit une tête de vieil homme, à barbe noire
é. On lit l'explication suivante, écrite en espagnol dans un angle du
tableau
: « Portrait de Madeleine Ventura, ï?ée dans les
ivants, par Joseph de Ribéra ». Curieux et singulier par le sujet, ce
tableau
du grand Valencien n'offre pas, au point de vue d
ucoup plus barbue que lui. La taille de Mme Ventura était, d'après le
tableau
, un peu moins élevée que la sienne. Mais nous p
es, la force, l'audace, la grandeur, l'éclat et la solidité. Dans ses
tableaux
, tous les détails sont rendus avec une fidélité m
auditoire les illusions visuelles et parfois les hallucinations. Le
tableau
suivant contient les 100 cas rangés suivant l'âge
s'appelle ce que je liens à la main et qui me sert à écrire sur ce
tableau
noir, vous la voyez faire des efforts visibles
ait de nombreux états pathologiques très divers. A côté de cela son
tableau
s'est énormément agrandi par la découverte de ses
en- dant à l'Opération sur l'oeil dont nous allons parler (2). Ce
tableau
est intitulé : Dans la chambre d'un chirurgien (P
t autres troubles trophiques de la peau. On doit croire que tout le
tableau
des altérations maladives de la peau qui s'expr
face, et en particulier des paupières. L'examen de la vision avec les
tableaux
de Parinaud ne montre pas de différences latéra
hôpital Ancien interne à l'hôpital de Rotschild. de Rotschild. Le
tableau
que nous venons de tracer de la myosite ossifiant
eum, Amsterdam. Andries Borrl, peintre hollandais (1610-1650). Un
tableau
de la collection de M. D. A. Koenen, à Amsterdam.
). Ce n'est pas un des meilleurs morceaux du maître hollandais ; le
tableau
d'ailleurs, autant qu'il m'en souvienne, est as
uzaine, ont déjà été passées en revue dans ce recueil (3). (i) Ce
tableau
a été décrit et reproduit dans notre précédente é
r le choix des sujets. 1 Dans la galerie de Schwerin se trouve un
tableau
de Diepraem intitulé La chambre du chirurgien (
l. Betbnnd. LES OPÉRATIONS SUR LA TETE La 'Boutique du 'Barbier
Tableau
de JAN VA\ MIERIS (1660-1690) (Musée de l'Ermit
. Il existe, dans la Galerie de Peinture de Mannheim, un assez joli
tableau
représentant une Opération sur la tête . Il est
vieille femme, un panier et deux cannes-béquilles. Dans le haut du
tableau
, une draperie verle rappelle encore un procédé
nt du Catalogue de la Galerie de 1\lannheirn, par C. Roux, 1891. Le
tableau
porte le n°286. - B. II., 51, L. 39. IiOUV ICON
t nouveau qui n'a rien de déplaisant. J'ai aperçu, par hasard, un
tableau
représentant une opération sur la tête dans le
à ce qui se voit dans la plupart des reproductions de dessins ou de
tableaux
publiés dans ces derniers temps, la scène n'a pas
iers pour l'une de ses nombreuses scènes de chirurgie populaire. Un
tableau
a-t-il été fait d'après celle esquisse ? Je n'e
ège, fait sur le crâne une incision avec un bistouri. Mais, dans le
tableau
de Madrid, le malade est tourné il droite ; il
alie. C'est assurément en Italie que l'auteur de la gravure - ou du
tableau
Il original, s'il existe a pris ses modèles, da
st un mur orné de plats à barbe, d'une flûte, d'une guitare et d'un
tableau
; au milieu une table de- vant une fenêtre; à ga
de difformités congénitales du cerveau (2). Dans ces trois cas, le
tableau
ana- tomo-pathologique était analogue. Malgré u
ait propagé plus loin, nous aurions vu chez cette fillette aussi un
tableau
analogue à ceux des cas précédents c'est-à-dire
considérer la parfaite exécu- tion des autres figures dans le même
tableau
. Une telle déformation est certainement voulue.
rouvées dans l'antiquité et le moyen âge. Ceux dont il a évoqué les
tableaux
n'avaient-ils pas aussi leurs élèves, n'avaient-i
pulum. 3° Déformation du thorax. Un coup d'oeil jeté sur ces deux
tableaux
symptomatiques permet d'en saisir les traits co
dyspnée absolument pareille à celle dont nous avons déjà exposé le
tableau
(160 à 170 respirations par minute, pouls et te
se faisant aider daus tous ses besoins. En 1897, le malade offre le
tableau
typique d'un ossifié. Presque toute la musculatur
façon magistrale son goût pour les repré- sentations figurées ? Le
tableau
noir et les craies de couleur étaient les acces
matiques, toutes ces relations devenaient apparentes sur un vaste
tableau
synoptique que le spectateur cnlhl'assaiL d'lIl
a ln la Salpèliïèrc. 19 j Un jour, Charcot se trouve en face d'un
tableau
de Rubens, repré- sentant la CMe)'<soH d'une
hases les plus dramatiques de la grande attaque d'hystérie. Mais ce
tableau
de nuhens n'est pas seul eu son genre. N'y aura
anachronisme : rien ne choquait : aucune tache disgracieuse dans ce
tableau
. La note dominante était, eelle-de art' ! c la
plats, que d'as- siettes ont été transformés par sa main en petits
tableaux
connueuiora- til's ! (l'1. LV).. Nouv. Iconog
nllnre rétrospective que les artistes nous o ! d laissés dans leurs
tableaux
? - Pour colle oell\J'C ornementale, qui n'est
st une esquisse exécutée, pendant, un voyage en Espagne, d'après un
tableau
de l'hôpital de la* Charité, 11 Séville. Rien n
mme dans les peintures de Ilolbein le vieux ou de Hans Baldllng. Le
tableau
de l'Espagnol Vatdes Leal attira donc son attenti
connais- : -ailles familiers du peintre, figurants inattendus dans ce
tableau
d'his- toire religieuse. Puis. il faisait resso
ges adressés 11 Corot; et. ayant eu l'occasion de se dessaisir d'un
tableau
de ce maître, il le fil sans regret. aucun prix
fs optiques. On a donc restreint pendant longtemps le cadre de ce
tableau
morbide à une symptomatologie très limitée, com
s donc, à l'aide de la mise au point de cette question que, dans le
tableau
que nous désirons bien mettre en lumière, c'est à
auteurs, ultérieurement, ont relaté des observations réa- lisant le
tableau
de tumeurs intrâ-craniennes, et qui, en réalité,
ès légitime du reste, parce que, avant la synostose des sulures, le
tableau
symptomatique des deux affections est parfaitem
du même processus rachitique. Ce n'est qu'après la synostose que le
tableau
sympto- matique et morphologique de l'oxycéphal
ressant de contribuer à la compréhension de l'allure clinique de ce
tableau
morbide, il fallait relever comment, dans un ca
sur les différents processus pathologiques qui donnent naissance au
tableau
clinique d'une tumeur cérébrale, et nous nous l
cale située à l'union des deux tiers avec le tiers du côté droit du
tableau
sépare ces deux scènes d'inégale importance. Su
mplètent le costume du blessé. Très en lumière et bien au centre du
tableau
est placé le chirurgien un genou à terre, tenan
n cinquième personnage également bien en vue est au premier plan du
tableau
et à l'extrémité droite de la toile. C'est un app
ail habituel des boutiques du barbier de celte époque (1). (1) Ce
tableau
est actuellement au Musée de Dijon auquel j'en ai
bles dans d'autres régions de l'hémisphère intéressé. Cependant, le
tableau
des symptômes cliniques semble prouver que le pro
le nombre des éléments sensibles de la macula ait été diminué. Les
tableaux
montrent que l'anop- sie intéresse dans une mes
... lut spontanément le nom du fabri- cant imprimé tout en bas d'un
tableau
de Monnoyer : « ,Ilbeî-t Stille, Stockholm ». L
ant d'après, il était incapable de nommer la plupart des lettres du
tableau
en question et aussi de nommer les lettres compo-
tion du genou. Il y a en outre des signes qui ne font pas partie du
tableau
clinique de l'acliondroplasie : l'absence de so
il suffit seulement de préciser certains détails et d'en tracer un
tableau
d'ensemble. Il ressemble étrangement à ces mala
re déterminé par l'épaississement des téguments, il apparaît que le
tableau
pathologique de ce malade se ramène à cet aspect
partit suivant t'age ces cas d'abolition, comme il est fait dans le
tableau
I et le graphique I, on voit que leur proportion,
t A. Charpentier. 156 DUPUY La répartition par âge, faite dans le
tableau
I, et figurée sur le graphi- quel, montre que l
re que le nombre des cas augmente progressivement avec l'âge. 1 0
Tableau
I. - Réflexe achilléen. Nombre et proportion des
ro- portion varie avec t'age suivant la progression indiquée par le
tableau
I et le graphique I. Cette progression peut êtr
e 2,17 0/00 en moyenne, augmente avec l'âge comme il est indiqué au
tableau
II et sur le graphique II. L'abolition était bi
e montrent de moins en moins rares en même temps que l'âge s'élève (
tableau
II, graphique II). Tableau II. - Réflexe rotuli
s rares en même temps que l'âge s'élève (tableau II, graphique II).
Tableau
II. - Réflexe rotulien. Nombre et proportion des
omplète sans défectuosités ni rechutes,et cela surtout au cas où le
tableau
des symptômes considéré seul n'a pis été- absolum
nces qu'elles présentent au point de vue clinique ; seule- ment, le
tableau
des symptômes de l'un aussi bien que de l'autre c
t été influencés par des circonstances extérieures qui ont donné au
tableau
de la maladie leur caractère psychologique part
nde variété les éléments ainsi obtenus, on aura une foule de petits
tableaux
qui re- présentent les diverses modalités possi
t les diverses modalités possibles de l'ostéite déformante. » A des
tableaux
aussi variés les auteurs ont voulu donner une cau
e. Ainsi donc, dans l'enfance et dans l'adolescence l'apparition du
tableau
clinique de la carie des vertèbres se marque av
trent jusqu'à un certain point ce fait que si du vivant du sujet le
tableau
clinique peut don- ner des symptômes très carac
us mettons en parallèle les changements histo-pathologiques avec le
tableau
clinique dans sa marche initiale et dans sa pério
sible à poser. Dans le cours subséquent de la maladie, alors que le
tableau
clinique pouvait suggérer l'idée d'un processus
sion progressive et diffuse des lésions achèvera de dissocier les 2
tableaux
cliniques. L'atteinte globale de la main est lo
es lésions rénales. Comment donc pourtant concilier la gravité du
tableau
clinique avec la faible rétention uréique dans
rnée et la nuit précédentes : cette remarque est à retenir. Dans un
tableau
très simple on a les résul- tats de toutes les
u qu'on n'a jamais commis la moindre erreur. Eh bien, l'étude de ce
tableau
fait voir que, dès le début de la période de dé
précédant les troubles psychiques, elles ne leur succèdent pas. Le
tableau
donne encore d'autres indications : la diminution
de, 1,81. En résumé, toutes les considérations tirées de l'étude du
tableau
confirment cette théorie de l'auteur : la dimin
archer sans appui. A aucun moment, ces 18 malades n'ont présenté le
tableau
classique du paralytique général à la période u
uction pathologique d'un territoire plus ou moins étendu. Dans le
tableau
qui va suivre, l'auteur donne un résumé de onze
l'aide d'images concrètes visuelles, il leur eût suffi de copier le
tableau
formé par leurs représentations intérieures pou
p t- f M M . w lui M M- m S c m co ce
TABLEAU
DES ACCÈS ET DES VERTIGES 194 RECUEIL DE FAIT
rnes et nocturnes ; ils sont très fréquents, ainsi que le montre le
tableau
ci-devant. L'état d'idiotie prononcée de Doue..
'écume : stertor ter- minal et sommeil consécutif assez prolongé.
TABLEAU
DU POIDS ET DE LA TAILLE. SCLÉROSE CÉRÉBRALE HÉ
e travail est accompagné de dix-huit observations et de plu- sieurs
tableaux
statistiques; les conclusions qui se dégagent pou
E paralytique; par le 1) IRwING Neff. L'auteur donne une série de
tableaux
statistiques sur 368 cas de démence paralytique
détaillés. Le pronostic était déjà à ce moment fort sombre, mais le
tableau
clinique ne présentait pas (comme l'a dit M. We
ubles psychiques ayant débuté cinq ans auparavant, et présentant le
tableau
clinique de la démence secondaire. En novembre
ations publiées çà et là, on rencontre encore assez souvent dans le
tableau
complet du malade quel- que particularité touch
n nous résumons tout d'abord l'ensemble des symptômes dans les deux
tableaux
suivants : TABLEAU DES SYMPTOMES I. Appareil
'abord l'ensemble des symptômes dans les deux tableaux suivants :
TABLEAU
DES SYMPTOMES I. Appareil DE l'olfaction A. S
e de la gustation sur les sécrétions gastriques. A la lecture des
tableaux
précédents on se. rend compte de la multiplicit
en connues au cours du tabes. Nous désignons cette modalité dans le
tableau
précédent sous le nom de crise nasale. Crise
autorise le terme de langue saburrale névropathique employé dans le
tableau
précédent. Ainsi que nous le dirons plus loin,
rique s'organise surtout s'il s'agit du goût et de l'odorat. , Le
tableau
de la persécution peut devenir dans ces cas très
es on est autorisé à diagnostiquer une myélite transverse, quand le
tableau
symptomatique est celui d'une section plus ou m
n chien, à l'aide d'injections de morphine : l'animal a présenté le
tableau
clinique du tabès; à l'autopsie on a trouvé une
oit elles-mêmes de date peu éloignée. Pas de' microorganismes. Le
tableau
clinique et l'examen histologique montrent que -d
uvénile, se divise en trois parties : I. L'auteur a rassemblé en un
tableau
tous les cas de paralysie générale à début préc
és jusqu'à ce jour; ces cas sont au nombre de 38. Chaque colonne du
tableau
est consacrée à une des rubriques suivantes : n
toute une série de cas dans lesquels, malgré une analyse précise du
tableau
clinique, il n'est pas possible, du moins à l'a
nfeld et Bourneville par une critique savante. En s'appuyant sur un
tableau
raisonné de 70 cas d'épilepsie symptomatique et d
ses et profondes (p. 1530). A la même époque, Calmeil' traçait un
tableau
de tous points semblable. Presque toujours, au
s gêne no- table. A aucun moment, ces 18 malades n'ont réalisé le
tableau
classique du paralytique général à sa dernière pé
é de ces eschares si graves, dont les auteurs tracent l'ef- frayant
tableau
. Toutes les conditions favorables se trouvaient
remanier complètement, en ce qui concerne les signes physiques, le
tableau
uniforme que les auteurs ont tracé de sa périod
ue les symptômes dyspeptiques dominent si souvent chez nous dans le
tableau
symptomatique de la neuras- thénie. LXV. Tube
dépendantes de lésions médullaires. L'auteur résume ensuite dans un
tableau
succinct les symptômes des principales -affecti
nxiété (états dépressifs de concentration, d'expecta- tion) dans le
tableau
clinique de la neurasthénie. 1° D'après l'opini
nt la théorie de S. Freud qui pro- pose de détacher complètement du
tableau
clinique de la neuras- thénie le complexus symp
ose postéro-laté- rale. Toutes les observations résumées dans nos
tableaux
confirment cette manière de voir. Aucune ne fai
ntes et l'incoordina- tion chez un sujet présentant d'autre part le
tableau
clinique du tabes spasmodique indiqueront aussi
ela que, pour établir ce travail, nous n'avons voulu citer dans nos
tableaux
et utiliser que les observations suivies d'auto
tout les trente-trois cas (suivis d'autopsie) qui figurent dans nos
tableaux
me paraissent établir l'existence d'un type cli
actérise. L'individualité du tabes combiné est constituée par son
tableau
symptomatique et sa lésion anatomique. Symptoma
estion en Espagne, sous tous ses aspects avec analyse de documents,
tableaux
, statistiques. En 1847, on y comptait 66 établi
nd presque chaque jour de petites quantités de liquide. Guérison.
Tableaux
très détaillés à tous égards dont les conclusions
Chagrins de famille (y compris la perte de parents ou d'amis) : le
tableau
suivant montre que la proportion des cas dus à ce
lleurs l'opinion exprimée par Boyd et plusieurs autres auteurs ; le
tableau
suivant en indique la fréquence : REVUE DE PA
ons accompagnées de la mise en relief des résultats thérapeutiques (
tableaux
, analyses, etc.). Les courants continus ont par
périphériques représente le substratum anatomique fonda- mental du
tableau
morbide, on note fréquemment aussi des symptôme
s de poliomyélite qui datent de plu,ieurs mois se traduisent par un
tableau
clinique exactement semblable à celui de la név
chelling et 6 pences pour les femmes. Dans ce prix était compris un
tableau
anatomi- que, et chaque élève dut acheter le ma
micros- copiques de la moelle épinière expliquent suffisamment le
tableau
clinique de la maladie, quoique notre cas s'éloig
le épinière ont été constatées, il n'en est pas moins vrai que le
tableau
clinique conclusif de la maladie qui a conduit Ma
due à la sclérose des faisceaux et cornes posté- rieures. Dans le
tableau
clinique nous trouvons à signaler la con- serva
cliniquement saines se rattachent à des poussées névritiques. Deux
tableaux
finaux résument les cas de Struempell, Mueller,
que des gommes syphilitiques entées sur de l'artérite syphilitique (
tableau
microscopique des lésions décrites par Heubner)
ormelles à l'égard du genre de boisson exclusivement absorbé. De ce
tableau
, dans lequel les forts buveurs sont ceux qui qu
r une femme de trente- six ans. La décroissance est moins nette. Le
tableau
des accès relevé par mois, donne des résultats
ques cas de psychoses présentant, pendant leur évolution, tantôt le
tableau
de la paralysie générale, tantôt celui de la ca
ssage étaient extrêmement nets ainsi qu'on le peut voir d'après les
tableaux
qui montrent la surexcrétion d'urine. d'urée, d
e la lèpre. Un \olume in-4^ raisin de 360 piges, avec 48 figures, 7
tableaux
dans le texte et 22 planches en chromolithograp
lendemain, à l'heure de la visite du matin, le malade présentait le
tableau
suivant : sans connaissance, les yeux fermés; l
plus que des extirpations partielles'. . Nous donnons ci-après le
tableau
des cas de ca- chexie pachydermique observés à
nchant un cas de Kocher sur lequel les détails nous manquent). - Le
tableau
suivant donne la proportion selon l'âge : 368
formes de transition de ce genre exigent l'exacte connaissance des
tableaux
morbides qui constituent des types ; le clinicien
auteur a observé neuf cas de paralysie cérébrale corres- pondant au
tableau
morbide de la poliencéphalite aiguë de Struempe
Or, si ces formes légères de paralysies - (1) En se reportant à un
tableau
de l'irrigation vasculaire de cette région (DEJEt
nt leur modalité dans les différentes ma- ladies mentales. Mais les
tableaux
nosographiques de la classification Kraepelinie
, enfin, un gros oedème des membres inférieurs vinrent compléter le
tableau
sympto- matique. En l'absence de syphilis, et l
ard,devint presque irréfrénable : pendant une vingtaine de jours le
tableau
symptomatique resta à peu près le même, mais à
'ART CHEZ DEUX ALIÉNÉS 167 aussitôt, M. X... de se rappeler un beau
tableau
représentant une martyre noyée et doucement emp
Pourquoi ne pas combiner cette idée avec celle d'un autre très beau
tableau
, beaucoup plus récent, intitulé : l'Etoile de la
tus » comme l'indique la légende placée en haut du dessin. » Sur le
tableau
noir indiqué par les lettres t. n. et qui est ass
ois embelli, amplifié, détaillé, complété, devenir un vrai sujet de
tableau
, nous l'intitulerions simplement : Métamorphose..
dessin d'une explication : a) Scène cynégétique. b) Explication du
tableau
. La victime (Geneviève). Le lapin (Fernand). La l
rien qui puisse faire penser à l'hystérie. En présence d'un pareil
tableau
symptomatique j'ai porté le diagnostic de syrin
ne, ne sont pas synonymes, car, non seulement les uns désignent des
tableaux
cliniques et les autres des modalités secréloires
er, les troubles psychiques myxoedémateux font partie intégrante du
tableau
clinique et dépendent directement de l'insuffisan
; la coexistence avec l'hystérie est un fait banal. » Lorsque le
tableau
se complique, il est évident que les idées de per
es tuberculeux avancés (2e ou 3e période). Si nous sépa- rons, en 2
tableaux
, ces tuberculeux, et les autres malades, nous arr
de l'Ecole française qui en a largement éclairé la pathogénie et le
tableau
clinique. Cependant, malgré tant d'études et de
ntiles dysthyroïdiens de Brissaud peut au contraire faire partie du
tableau
le plus pur de l'infantilisme de Lorain. Un d
Pour les temps d'ossification normale aux différents âges, voir les
tableaux
dressés par Dupont et Fürnrohr.) Thorax (Marg
laire sous-cutané, épaississement de la peau ; tout cela réalise un
tableau
très semblable à celui que présentent les myxoedé
s éléments fonctionnels. Même con- clusion si l'on veut comparer le
tableau
clinique de la maladie de Flajani- Basedow avec
'abolition - (le la sécrétion de la glande thyroïde ; mais certains
tableaux
morbides qui se placent à un côté du myxoedème
s os forme ENCORE SUR L'ACROMÉGALIE 337 une partie essentielle du
tableau
morbide, les examens radioscopi- que et radiogr
les étudier avec suite afin d'en tirer quelque enseignement pour le
tableau
de la maladie. Certes la présence de normoblast
s dans cet état, puis subitement la crise s'aggrave. C'est alors le
tableau
de l'inertie la plus complète de la stupeur. Le m
esté d'affection à l'égard de sa famille. Actuellement, il offre le
tableau
de l'indifférence la plus- complète. Nous l'avo
rs-radius pour l'avant- bras, tibia pour la jambe se traduit par un
tableau
symptomatique ri- goureusement identique. Les d
lisme de Lorain est l'expression de la misère physiologique, est le
tableau
morphologique d'un organisme qui n'a pas en soi
ux classique (Ord, 1877), mais je devrai nécessairement comparer le
tableau
qui est offert par mes sujets à celui qu'on obser
s apparentes chez un sujet qui-cependant réalisait de son vivant le
tableau
de l'infantilisme myxoedémateux. Les idées de H
férentiel de nos cas ; il ne nous reste qu'à conclure lequel de ces
tableaux
symptomatiques corres- pond le mieux au type d'
me qui, selon les auteurs français, ne serait point compris dans le
tableau
clinique de l'infantilis- me de Lorain. Cette
u myxoedème s'ajoute à la dystrophie préexistante. La complexité du
tableau
clinique ne permet plus de reconnaître la part
Chez ceux-ci, les seuls qui intéressent directement notre étude, le
tableau
psychique n'est pas très facile à décrire et nous
rtionné à leur âge. Si nous traçons à présent un parallèle entre le
tableau
de l'infantilisme psychique tel qu'il nous a él
us comparons il présent aux conditions psychiques de nos malades le
tableau
symptomatique tracé par Gaspero pour les sujets d
d groupe de Gaspero correspond au contraire mieux que tout autre au
tableau
psychique présenté par nos malades ; elles s'en d
ération des réflexes tendineux aux extrémités. Depuis deux ans ce
tableau
symptomatique initial ne s'est presque pas modi
est encore entourée de nombreuses obscurités. Très variable est le
tableau
sympto- matique qu'elles peuvent réaliser ; et,
ésions. Peut-être arrivera-t-on ainsi à expliquer la variabilité du
tableau
clinique, variabilité très frappante lorsqu'on
ôté, enfin parfois se généralisant et rappelant alors assez bien le
tableau
de la crise d'épilepsie vraie. Mais il n'y a ni
vement bruyante, or si o,m ânalys un à un chacun des éléments de ce
tableau
clinique on marque non sans étonnement qu'un ce
s voudrions insister sur cette variabilité d'un moment à l'autre du
tableau
clinique chez le même sujet, variabilité qui, j
dépens d'une pupille tantôt aux dépens de l'autre. Ainsi donc le
tableau
clinique change d'aspect avec une grande facili
pelle que les phénomènes spasmodiques occupaient le premier plan du
tableau
clinique. Enfin nous avons trouvé un point d'ef
ions en plus ou en moins aux trois périodes, il est fourni par le
tableau
suivant : DU SENS GÉNITAL DE LA PARALYSIE GÉNÉR
formes démentielles et de rémission, formes calmes ou agitées ? Le
tableau
suivant répond à cette question : 28 CLINIQUE
: 28 CLINIQUE MENTALE. Un premier fait intéressant fourni par ce
tableau
est la fré- quence excessive de l'altération en
mais été relevé avec les formes démentielles agitées. D'après notre
tableau
, en effet, il ne serait pas vrai non plus, que
s avons fait suivre la relation d'un cas de Sclérose tubéreuse du
tableau
récapitulatif de tous ceux que nous avions observ
s sont au nombre de dix. Celui que nous allons donner ligure sur ce
tableau
. SOmIA1H¡ ? Père, eczémateux, alcoolique, affai
du cerveau les éléments d'un diagnostic différentiel. Si parfois le
tableau
clinique est identique à celui de la paralysie
T. (Bull. de la Soc. de méd. mentale de Belgique, mars 1900.) Les
tableaux
statistiques contenus dans ce travail montrent
nement professionnel ; c) Le mouvement de la population illustré du
tableau
des lésions trouvées chez les décédés, en face
ions trouvées chez les décédés, en face des diagnostics ; un second
tableau
indique les sorties et leurs ï Il BIBLIOGRAPHIE
ement. 3 d'entre eux n'ont pas été modifiés. Pour les 3 autres, les
tableaux
montreront la marche des accès avant et après l
uvait marcher dans la rue environ 1 kilomètre sans ses éclisses. Le
tableau
suivant donnera une idée plus claire de la prog
tante. Le mesurage des forces de la main endommagée nous offre le
tableau
suivant : - 0 CURE DE MALADIES DE NERFS. 93 m
s tendineux ; bientôt les réflexes se suppri- ment, créant ainsi le
tableau
d'un tabes légitime. A l'autop- sie on constate
rain, vol. 20, p. 276 ) Dans le Drain de 1892, M. Meyer a publié le
tableau
d'une famille de 53 personnes dont 24 avaient s
réditaire transmise par une aieule. Le cas présenté est le n° VI du
tableau
. Femme de soixante-sept ans atteinte à quarante
les malades, plus tranquilles, dorment mieux et sans narcotiques (
tableau
de la consommation des soporifiques) ; 5° l'isole
s spiritueux. Il est presque absurde de prétendre que, lorsque deux
tableaux
morbides se ressemblent par leurs symptômes, le
considérations générales : nous avons cherché à rassembler, dans un
tableau
d'ensemble, les traits les plus intéres- sants
celles qui se rapprochent le plus des formes pures, présentent des
tableaux
atypiques, des formes mixtes qui guérissent dan
rvé et suivi un cas de névrose d'angoisse, ne saurait douter que le
tableau
et la marche cliniques diffèrent absolument de
s crises de palpitations, venaient au dire du malade, compliquer ce
tableau
; mais elles n'ont jamais été constatées objecti
ma- lade fut obligé de tourner la tête du côté correspondant. Le
tableau
morbide ne s'est pas sensiblement modifié jusqu'à
s formes de la folie. En outre des troubles de la vie affective, le
tableau
cli- nique de la mélancolie comprend encore en
ATIONAL DE MÉDECINE. rive gauche qui est à 92 périodes. Arrivant au
tableau
au potentiel de 110 volts et à l'intensité do 1
ns les mêmes séances, on examinait l'état du réflexe rotulien. Le
tableau
ci-après résume les résultats que nous avons ob
ultats que nous avons obtenus pour chaque malade. Afin de rendre ce
tableau
à la fois plus simple et plus clair, nous avons
dans un état plus ou moins avancé de la maladie, il se produit des
tableaux
différents ou des modifications cliniques, mais
présentant encore. Deux fois les phénomènes nerveux ont réalisé le
tableau
d'une myélite aiguë bénigne. Dans une autre o
s postérieurs, chez les annimaux, et rien que ces effets. Eh bien, le
tableau
est tout différent si par suite de circonstances
e la moelle épinière. (Ar-chives de Physiologie, t. II, p. 635). Le
tableau
changeraitnécessairement si,dépassant les limites
ce dernier trait à votre attention, parce que 1. Gurlt, loc. cit.,
Tableau
n° 97. 2. Gurlt id., n° 86. plusieurs auteurs
coupé. L'animal tombe ma-lade ou on le prive de nourriture: alors le
tableau
change tout à coup, et l'on voit, dit M. Claude B
En 1859, M. Trousseau, dans ses Leçons sur la chorée, réu-nit dans un
tableau
succinct les principaux traits de la paralysie ag
nécessaires ; assez souvent même, ils font défaut et figurent dans le
tableau
symptomatologique de maladies autres que la paral
ait-il vraiment de la paralysie agitante ou avait-on sous les yeux le
tableau
clinique de la sclérose en plaques ? Le fait est
adie figure au cinquième rang, à côté de l'ataxie locomotrice, sur le
tableau
étiologique des infirmités traitées à la Salpêtri
ectum venir se joindre aux autres symptômes. Enfin, pour compléter le
tableau
, nous devons l'aire ressortir l'absence habituell
tions relatives à cette affection permettront un jour de compléter le
tableau
. Parmi les autres maladies organiques des centr
x. Paris, 1870-73. Charcot. Œuvres complètes, t. i. 17 fatale, le
tableau
symptomatologique reste incomplet. Or, c'est surt
elle ne fut prise en défaut. Je vous prie de jeter les yeux sur les
tableaux
(Pl. IX, X et XI) que je vous présente, et où vou
r évolution les accidents qui se sont offerts à notre observation. Le
tableau
commence au 16 juil-let 1871, époque à partir de
n relief par l'examen et la comparaison des courbes consignées sur le
tableau
, c'estque la ligne des vomis-sements s'élève, d'u
des matières vomies et d'urine rendue et, après avoir indiqué dans un
tableau
ces quantités jour par jour, il ajoute; l'examen
dans un tableau ces quantités jour par jour, il ajoute; l'examen du
tableau
qui précède permet d'établir une relation étroite
t a fait analyser par M. E. Hardy l'urine et les matières vo-mies. Du
tableau
récapitulatif de ces analyses, il ressort qus l'u
s élevé. Nous pouvons reconnaître et suivre ces particularités sur le
tableau
que je mets sous vos yeux, etquinousmontre les mo
ement. Quelques nouveaux détails sont nécessaires pour compléter le
tableau
dont l'esquisse vient d'être tracée. Examinez a
ègles, qui a eu lieu il y a 2 ans, n'a modifié en rien d'essentiel le
tableau
clinique. Les paroxys-mes convulsifs et les phéno
ents se partagent ordinai-rement les hallucinations de la malade ; le
tableau
a deux faces, l'une gaie et l'autre triste : dans
ctions antérieures et les scènes eroti-ques suiventquelquefois. — Les
tableaux
tristes sontdes incen-dies, la guerre, la Commune
ignent assez clairement. « Les malades présentent une succession de
tableaux
dans les-quels on peut retrouver l'expression de
tura; des cris affreux, des accès de rage, complètent l'horreur de ce
tableau
. — La lre période épileptoïde est le plus souvent
car leur mise est à peu près celle des paysans qui figurent dans les
tableaux
de Téniers et de Brauwer. L'ordre de la process
en homme discret, a relégués dans les parties les moins en vue de son
tableau
, font reconnaître jusqu'à l'évidence que la lu-br
et qui, en effet, ne paraît pas indigne du maître] En examinant ce
tableau
qui représente, dans toute leur vérité, les conto
ccèdent ou s'entremêlent sans interruption. Dans une même attaque, le
tableau
gai fait place au tableau triste, ou inversement,
ans interruption. Dans une même attaque, le tableau gai fait place au
tableau
triste, ou inversement, avec la rapidité des imag
la faire monter dans leur char. Elle leur demande pardon. Tous ces
tableaux
sont reliés entre eux et se succèdent le plus sou
hase gaie de l'hallucination. Cette phase se compose d'une série de
tableaux
qui sont d'une précision et d'une régularité non
que de brèves exclamations ou quelques mots isolés ; tous ces divers
tableaux
se succèdent comme dans une pantomime d'une rare
s laquelle M. Charcot désigne cette période de l'at-taque. Les divers
tableaux
qui la composent reviennent invariable-ment. Tout
idée de la rapidité avec laquelle se succèdent parfois ces différents
tableaux
, j'indiquerai la durée de chacun d'eux, notée pen
Ernest, qui voit le danger, la retient. Tel est le côté lugubre du
tableau
; mais de l'autre côté, du côté d'Ernest, c'est bi
1° — Période épileptoïde..................................... 55"
Tableau
gai................................ .......... 45
3° .— Période épileptoïde..................................... 40"
Tableau
terrible».......................................
taque précé-dente............................. ................. 30
Tableau
gai........................................... 30
... 30 Tableau gai........................................... 30"
Tableau
terrible....................................... 1
eure, les attitudes passionnelles ne cessent pas un seul instant. Les
tableaux
gais et les tableaux tristes se succèdent. Et tou
assionnelles ne cessent pas un seul instant. Les tableaux gais et les
tableaux
tristes se succèdent. Et tour à tour r Ernest : e
é au même endroit. — Aussi promptement qu'il était devenu affreux, le
tableau
reprend son calme et sa gaieté : « Oh! c'est joli
ée, la tête sur son bras gauche replié. Elle se soulève, un nouveau
tableau
se déroule à ses yeux. « Oh! il y en a au moins d
.., etc. Attitude de menace, de crainte, de colère, de joie, etc. Les
tableaux
gais et terribles se succèdent tour à tour. Voi
s, en poussant des cris très aigus. On dirait qu'on l'étrangle1. Un
tableau
plus riant succède à cette agitation. Assise sur
mmeil fait également défaut, l'anémie est profonde. Pour compléter ce
tableau
, des crises nerveuses, avec pertes de connaissanc
contre eux; sa figure exprime tantôt l'effroi, tantôt la colère. Le
tableau
change subitement : le drame fait place à la comé
rayantes comme cris, comme fureur; c'était une vraie rage. Voici le
tableau
de ses attaques accès depuis le mois de février 1
e respiration bruyante, sifflante, et vous aurez, à très peu près, le
tableau
de la première scène. Deuxième période. —C'est
iption de la grande attaque. Dans les quinze autres rien ne manque au
tableau
et toutes nos diverses périodes, depuis les phéno
e force. Ce matin, accès complexe hystéro-épileptiforme dont voici le
tableau
. Après quelques mou-vements convulsifs de la face
que j'avais devant les yeux une attaque d'épilepsie; mais bientôt le
tableau
changea; les mouvements de torsion des membres su
ignent assez clairement. « Les malades présentent une succession de
tableaux
dans lesquels on peut retrouver l'expression de t
trouvons soit épars, soit parfaitement coordonnés, tous les traits du
tableau
que nous avons tracé de la grande attaque hystéri
de nombre et d'intensité. Il suffira de modifier quelques traits au
tableau
de la grande hystérie, d'atténuer les uns, d'effa
ne dorsal que Gen... possède entre les deux épaules pour compléter le
tableau
et transformer ces menaces d'épilepsie en une vér
an, des moulons frisés, des diamants qui brillaient, des dessins, des
tableaux
, des étoiles de toutes les couleurs... Notre-Seig
n horrible «le dégoût et de colère : « Vieux B... pourceau!... » Ce
tableau
dure peu; elle revient à ses chansons. Les contra
bolique, dont on peut se faire une idée en lisant dans la Messiade le
tableau
du diable offrant une pierre à Jésus. Le 26 jan
état cataleptiforme, il nous est facile de les consigner dans un même
tableau
; CATALEPSIE — Yeux ouverts. — Pas de convuls
eubles, les objets qu'elle renferme qui luisent familiers. D'autres
tableaux
de plus en plus complexes et dont les auteurs son
ortant en fréquence et en durée sur celles-ci. Ici le côté som-bre du
tableau
paraît s'accuser encore davantage et les impres-s
ent des musiques, des voix mélodieuses; ils voient des pay-sages, des
tableaux
qui les charment; l'un d'eux prétendait sentir le
mières de mille couleurs..., mais epcore, quelques instants après, le
tableau
s'assombrissait, et les lions, les hyènes elles s
sont analogues aux applications prolongées 1. On peut sous forme de
tableau
résumer ainsi les différents effets d'une action
reste, le surnat;:rel est bien plus marqué et plus frappant dans les
tableaux
vivants, qu'ils metleid sous nos yeux, des suppli
lices que doivent endurer plusieurs des disciples du prophète (Elle),
tableaux
qui ne sont guère moins propres à édifier noire p
faisaient percer la langue et larder les chairs avec des épées... Ces
tableaux
, disait-on, faisaient ressortir la laideur dupécl
reux que le corps subit graduel-lement après la mort, et il arriva au
tableau
de la décomposition. Tout à coup le ton de son di
tance qu'elle n'a pu apprendre par les moyens extérieurs, puisque les
tableaux
d'églises ne reproduisent point cette ancienne at
alors au prix d'un grand effort. Tous les jours il a été dressé un
tableau
de la quantité d'urine et des crises qui est co
lleurs. Cette idée, elle l'a gardée à l'état de veille. L'examen du
tableau
des crises montre que les crises d'asphyxie dis
délirantes en rapport avec elles, tantôt pour engendrer de simples
tableaux
kaléidoscopiques producteurs d'idées passagères
ec la même rapidité au sur et à mesure, des changements à vue des
tableaux
sensoriels. Les rémissions n'y sont pas rares.
u corps ? Ses conclusions sont les suivantes : 1° l'auteur donne un
tableau
très détaillé des résultats de ses recherches; il
tsch. f. Psychiat, L. 3, 4.) Quarante et une observations, nombreux
tableaux
, de 1888-1890. Ce médicament serait plutôt un s
continue M. Cramer, appartient à l'École qui résume les différents
tableaux
morbides envisagés suprà. Il en forme une malad
-ci ne la quittant plus, et exerçant une influence constante sur le
tableau
morbide. Ces deux formes sont tantôt aiguës, ta
die de Raynaud.Il décrit sous le nom d'attaques épi- leptiformes un
tableau
, facile à reconnaître, de l'hystérie. Le malade
que le diabète insipide est rare chez les hystériques femmes. Le
tableau
clinique de la polyurie hystérique est d'une gran
u d'en faire un groupe à part. Il y a au contraire entre les divers
tableaux
cliniques de la paranoïa des rapports étroits,
viser la paranoïa, il faut savoir ce que c'est, quels sont ceux des
tableaux
morbides décrits qui appar- tiennent à la paran
aisant par sa forme essentielle aux nécessités de la clinique. Le
tableau
de la classification nouvelle de M. Korsakow avec
res de caractère moteur constituent le symptôme le plus saillant du
tableau
clinique et dirigent la scène pathologique. Ce
déjà cité de 11. Cramer. Il existe des symptômes communs aux trois
tableaux
morbides de la folie systématique chronique (Ve
ls se rencontrent sur un terrain morbide commun. Car dans ces trois
tableaux
morbides il y a : 1° altération pri- mordiale d
iles. '' " ' lf'l l Il'est intéressant de présenter "sous, forme de
tableau
les points principaux du diagnostic différentie
.) Mensurations des plus intéressantes et des plus patientes avec
tableaux
en couleurs. Conclusions également très détaillée
i conduisent rapidement à la démence, dont on nous a tracé d'autres
tableaux
sous les noms d'hébéphré- nie (Hecker), cataton
IÉTÉS SAVANTES. 325 - ,'JN h in et présenter des modifications du
tableau
ordinaire de la stupeur. 'En quelques cas,' il
t, celui : 'du'cal(dans'êé cas ? onîeriiverra1 le'résultatldans le'
tableau
ci- : dessous : 9*8 iuP ? ctlrs sbstsrll si sb uo
ir apparaître un peu de rire spasmodique de temps à autre. C'est le
tableau
que présente actuellement la malade Cir... Plus
ssi par poussées et arriver à cette même démence terminale; mais ce
tableau
clinique du tabès spasmo- dique, de la diplégie
faite à la Salpêtrière le 19 janvier 1894, ont montré des cas où le
tableau
clinique de la diplégie cérébrale apparaissait
érèrent les doigts par une-opération qu'ils décrivent et donnent un
tableau
généalogique intéressant de la famille de cet h
ode anxieux, les maximas accessoires sont irrégulièrement répartis (
tableaux
des courbes); °dans la manie il y a hyperthermi
alyse, au premier. M. Friand. Il serait intéressant de faire ici le
tableau
de l'in- terrogatoire des aliénés par les magis
rticularités, tantôt, c'est le trouble mental qui prédomine dans le
tableau
clinique, la confusion ou le ralentissement int
e va jusqu'à l'arrêt presque com- plet du cours des images, on a le
tableau
de la démence aiguë avec ses différentes variét
les sièges pour les repas, la vaisselle. Le réfectoire sera orné de
tableaux
représentant des natures mortes, de statuettes
le mur à hauteur convenable, sera également très ornementée par des
tableaux
représentant des sujets divers le long des pann
al de sa section qui soit comme le salon de son habitation, orné de
tableaux
, de fleurs, de statuettes aux angles, d'une gar
rapportées en détail et les résultats en sont condensés dans quatre
tableaux
: le premier donne les valeurs maxima et minima
ome confiée aux états provinciaux « semslmo ». On trouvera dans des
tableaux
insérés dans le travail de M. Rothe des chiffres
mentation de poids. L'inclinaison du rocher est indiquée dans le
tableau
sui- vant aui donne l'angle nétroclivien. ATR
isphères cérébelleux sont égaux. C'est, au moins, ce qui ressort du
tableau
sur l'Inégalité des hémisphères cérébraux et cé
uérison doit légitimement être attribuée à une autre cause. Si le
tableau
des succès chirurgicaux dans l'épilepsie n'est pa
re, observé à la Clinique Psychiatrique de Moscou, où il y avait un
tableau
très typique de la psychose de Korsakoff (chez
nous nous la représentons. Pour la poliomyélite est néces- saire le
tableau
clinique ainsi que le tableau anatomique, et dans
r la poliomyélite est néces- saire le tableau clinique ainsi que le
tableau
anatomique, et dans le cas donné il n'y a rien
'habitat et les réactions qu'il provoque dans les tissus donne au
tableau
clinique telle physionomie particulière; du même
- lies avérées peuvent réaliser du côté des membres supérieurs un
tableau
clinique rappelant de tous points la maladie de
ropos aussi de la signification du syndrome de Morvan. En face d'un
tableau
clinique caractérisé par des paralysies-et des
es qui l'occupent beaucoup ont fourni une partie des éléments de ce
tableau
à son imagination subsconsciente. Le monde reel
hodiquement la nature des processus histolo- tiques sous-jacents au
tableau
morbide à différencier les uns des autres aussi
f, à une intensité et pendant un temps connus, provoquent en lui un
tableau
de modifications tout à fait analogue à celui q
. 1902.) Trois expériences sur des chiennes soumises au mâle avec
tableaux
. On lie toutes les branches d'une des carotides s
ne sont pas les tiraillements « fibrillaires », mais présentent le
tableau
clinique décrit par SCHULTT,E sous le nom de myok
être identiques en commun, ce qui donne tou- jours un seul et même
tableau
fondamental de, maladie. Il faut différer la pe
t accompagné d'une déchéance très marquée des facultés mentales. Un
tableau
d'accès ressemblant, mais pas identique, à la p
cérébrales, etc. Dans la démence sénile peut aussi être observé un
tableau
, ressemblant au tableau de la maladie donnée, m
a démence sénile peut aussi être observé un tableau, ressemblant au
tableau
de la maladie donnée, mais le diagnostic différ
mence appoplectique, sans névrites, répétant du côté psychique le
tableau
de la maladie de KoRSAKOFF. L'un des phénomènes d
er des désordres de l'activité motrice et volontaire qui rendent le
tableau
de la maladie encore plus saisissant. Naturelle
la synthèse mentale. Il me resterait maintenant, pour compléter le
tableau
sympto- matique de la démence précoce, à passer
de ne pas admettre un rapport de causalité entre ces lésions et le
tableau
symptoma- tique de la démence. M. Pierret, le p
al malformé; 2° La polynévrite diphtéritique venant compli- quer le
tableau
morbide; 3e L'existence d'une syringomyélie abso-
ancolie sur le terrain de la constitution idéo-obsessive donne un
tableau
clinique particulier de mélancolie avec idées obs
ur 112 affec- tions mentales diverses on en a rencontré 85. Voir le
tableau
détaillé. Conclusions. 1. Les vaisseaux de la
apoplectiformes. Le diagnostic de paralysie générale ressort et du
tableau
clinique, et des lésions macroscopiques. Les co
l "" ro 1;>;1' C ..., A C 1;>;1 M uc t3
TABLEAU
indiquant l'âge, la taille, le poids, etc., dan
conséquent que les os étaient' capables de s'accroître encore. Le
tableau
suivant montre les résultats du traitement : SO
à des institutions privées, dont la plupart sont congréganistes. Le
tableau
ci-dessous donne la répar- tition actuelle des
t rend le dernier soupir à 5 h. 20 du soir. 470 RECUEIL DE FAITS.
Tableau
des accès et des vertiges. ÉTAT DE MAL, MORT. 4
es de degré sous l'influence de l'accès (Voir pour com- paraison le
tableau
de la T. à l'entrée, p. 465). Autopsie, faite l
ns laquelle l'évolution néoplasique ne s'est manifestée que, par un
tableau
cli- nique restreint, montre la grande difficul
et J... continuent la discussion diagnostique tendant à établir le
tableau
clinique de la névrose spéciale dite psychasthéni
ologique connue, devenue totale en huit à dix jours et réalisant le
tableau
d'une section médullaire com- plète ; impotence
llicr, s'est augmenté notablement en 1891, ainsi que le montre le
tableau
comparatif ci-après. xiv Musée pathologique.
du Conseil général ne ferait que réaliser un acte de justice. Le
tableau
suivant met en évidence les résultats obte- nus
anc, menuisiers;- Guyot, serrurier et Malfilâtre, tailleur. .. Le
tableau
suivant fait voir que le nombre des enfants qui
cette question importante. Décès. Ils ont été au nombre de 19 ; le
tableau
ci-après donne le diagnostic, la date et la cau
décembre, le produit du travail avait été de 771 fur. 75.) Voici le
tableau
mensuel : L11 " Visites, permissions, promenade
tion. En janvier : 1 grande table pour l'atelier de repassage, 1
tableau
des surfaces, un socle pour les boules, des tab
repassage, 1 tableau des surfaces, un socle pour les boules, des
tableaux
pour la classe de géographie ; en mars : 1 port
te-serviettes, 1 meuble pour la sphère, 2 tables scolaires, 1 grand
tableau
noir; en avril : 1 porte-serviettes, 16 bancs p
a plupart des résultats thermométriques que nous résu- mons dans le
tableau
ci-après ont été constatés chez des malades qui
justifient ce que nous avons dit plus haut, comme on le voit par le
tableau
suivant : 48 Etat DE MAL épileptique. - malad
sez irrégulière et accès assez fréquents ainsi qu'on le voit par le
tableau
ci- après. , 4 janvier. - Aujourd'hui, le mal
a mort 3')° 8; 1/2 heure après le clèeès3cJ ? l heure après 37 : Le
tableau
suivant (p. 70) donne une idée précise de la marc
rale; augmentation progressive des accès, bien mis en relief par le
tableau
; insuccès du bromure de potassium, du chloral,
t un peu du couteau. Il connait les couleurs, les place bien sur le
tableau
et recon z naît les objets qu'on lui désigne.
; pieds bots équins. La marche se fait sur la pointe des pieds.
Tableau
des mensurations (mai 1890). - 1 . 1- Crâne. --
s. Poids après décès : 19 k. 100. , Porencéphalie vraie, 101 Le
tableau
des températures nous parait assez intéressant
les travaux qui suivirent, M. Morvan modifia quelque peu le précédent
tableau
et fut conduit a admettre l'existence de cas frus
e et surtout ces anesthésies sensorielles qui ne font point partie du
tableau
clinique de la parésie analgésique à panaris ? Ic
Les atrophies musculaires font, nous le savons aujourd'hui, partie du
tableau
symptomatique de l'hystérie. L'élément spasmodiqu
es muscles, qui va croissant de la cuisse à la jambe, atrophie que le
tableau
suivant indique : Fig. 34. — Points douloureux.
ans les cas plus vulgaires quelque phénomène inattendu qui modifie le
tableau
clinique habituel. Nous en avons la preuve dans l
n que cette description offre quelques points de ressemblance avec le
tableau
clinique que je vous ai exposé tout à l'heure, je
perdu ce qu'ils avaient gagné au mois de juillet. Voici dans un même
tableau
les mensurations telles qu'elles ont été faites e
rent qu'à titre d'éléments relativement rares, exceptionnels, dans le
tableau
du type clinique : syringomyélie. Voilà ce que no
ses attributs fondamentaux. La présence, laprédominance même dans le
tableau
clinique des panaris analgésiques ne change rien
divers me paraissent réaliser un type nosogra-phique défini, dont le
tableau
clinique pourrait, si je ne me trompe, être carac
G.) névropathique. Gela pourrait se représenter par un fort simple
tableau
généalogique. Un individu, né d'un père goutteux
me paire, du même côté que la paralysie faciale, venant compliquer le
tableau
classique. Vous pouvez supposer encore telle loca
teinte déjà depuis longtemps de folie à double forme. Voilà bien un
tableau
complet d'hérédité convergente, et certes, notre
. En somme, à part l'absence d'atrophie musculaire, rien ne manque au
tableau
. Et même, si l'on voulait pousser plus loin le di
nt également, à mon avis, des exemples de syphilis cérébrale, mais le
tableau
est si différent dans les deux cas que le contras
formes ou épileptiformes, etc. Tel est, dans ses grandes lignes, le
tableau
classique de la sclérose en plaques cérébro-spina
Sans doute, lorsque le tremblement et la dysar-thrie existent, que le
tableau
est complet, en un mot, ou à peu près, le diagnos
ue qui ne puisse faire défaut. Ainsi, pour ne citer qu'un exemple, le
tableau
clinique de la sclérose en plaques se trouve cl
tique où je me suis laissé entraîner et poursuivons notre étude. Le
tableau
général des formes frustes de la sclérose en plaq
de l'adjonction de phénomènes tabétiques. Ici vous verrez figurer au
tableau
les douleurs fulgurantes, le signe de Romberg....
lus simple expression. Cet exemple vous montre avec évidence que le
tableau
complet peut se dégrader, s'user, s'effacer et la
ion avec retour des liquides par le nez, tous phénomènes étrangers au
tableau
vulgaire de la sclérose disséminée. Depuis cinq
on à cette règle. Il suffit, pour s'en convaincre, de considérer le
tableau
suivant relatif aux attaques de la malade dont l'
el, mais le cas diffère en certains points des cas typiques dont le
tableau
clinique est esquissé plus, haut. C'est ainsi q
lente, causée par la lésion nerveuse elle-même. C'est en réalité le
tableau
clinique, sauf la douleur de certaines myélopathi
ns au niveau de certaines régions cérébrales elle peut provoquer le
tableau
clinique qui ressemble à la paralysie générale
re à 35 degrés. Tous ces chiffres un peu arides, -sont le résumé de
tableaux
fort complets annexés au mémoire. Ils mon- tren
Verrûcktheit ne peuvent supprimer le substratum commun à ces trois
tableaux
pathologiques, mais ils sont tout à fait indiqu
iques, mais ils sont tout à fait indiqués pour distinguer ces trois
tableaux
morbides sur le fonds commun de la paranoïa.
ns délirantes qui, en s'isolant ou se prolongeant, prennent dans le
tableau
clinique une part exclusive ou au moins prépond
psychopathiques chez les aliénés d'Eure-et-Loir, je note dans le
tableau
suivant le nombre des aliénés de ce département e
l'expression, que les conceptions délirantes des premiers. Notre
tableau
démontre aussi le bien fondé de plusieurs remar
oolique et la paralysie générale. ' A s'en tenir scrupuleusement au
tableau
, les cas de folie alcoo- lique seraient rares,
ssus (segmentation) : les cylindres-axes dispa- raissent et on a le
tableau
classique de la dégénérescence wallé- rienne.
par un simple arrêt de développement, de les grouper, de faire leur
tableau
cli- nique et de procéder de même pour les micr
rie d'enfants commencer par les voyelles. M. B. montre une série de
tableaux
comprenant des syllabes simples et des syllabes
orbant par exemple dans la contemplation d'un objet extérieur, d'un
tableau
pendu au mur qu'elle regarde longuement et sans
énérale. A. Caractères GÉNERAUX. - 1° Quantité. En consultant les
tableaux
I (Urines des hommes) et II (Urines des femmes),
ntée, tandis qu'Addison déclare qu'elle est diminuée. Nos analyses (
tableau
I et II) montrent que très généralement c'est c
andis que Addison, Merson, le notent comme diminué. Nos analyses ' (
tableau
I et II) en montrent partout l'excré- FEMMES
'excré- FEMMES ÉTUDE DE L'URINE DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 375
TABLEAU
III. Rapport de l'acide phosphorique à l'urée.
u normaux ; presque toujours ils sont considérablement augmentés.
Tableau
IV. Excrétion des phosphates. ÉTUDE DE L'URINE
fluctuations du volume d'urine émis dans les vingt-quatre heures.
Tableau
V. Élimination des chlorures en dehors de la pa
WAGNER. .Illlt1'IJtICIt. f. ' Psychiat., XII, 1 et 2.) En treize
tableaux
, l'auteur essaye d'établir le nombre des cré- t
vivement l'imagination, les folies impressionnantes qui forment un
tableau
saisissant, et profondément émotif pour les ass
aitement expliquer cette diminution de poids. Un petit extrait du
tableau
, dressé par M. Yvon, donnera des renseignements
te autre nature. · Comme comparaison des ingesta et des excréta, le
tableau
ci- dessous suffira : ÉTUDE DE LA POLYURIE HY
on clinique : a. La période prodromique ou méningitique répond au
tableau
clinique de la méningite spinale. Dans certains c
les provoquant une diminution de l'afflux d'eau dans la glande), le
tableau
de la struc- ture des cellules glandulaires cha
asseoir de définitions fondamentales sur la description de quelques
tableaux
morbides momentanés ou d'états morbides qui se
ombinés entre eux en syndromes. Dans ces conditions ils forment des
tableaux
morbides, des phases nosographiques, des épisod
pe clinique, si on avait tenté, d'après les traits et les signes du
tableau
morbide, de déter- miner ceux qui étaient capab
téristique de la maladie, et à sa dénomination, c'est l'ensemble du
tableau
morbide et sa terminaison. L'étiologie même est i
t fournies par les sens; c'est une fantasmagorie kaléidoscopique de
tableaux
et d'idées n'ayant entre eux aucuns liens ou n'
uillement des idées et des concepts qui prédomine jusqu'à la fin du
tableau
morbide. Dans certaines circonstances cela peut
; chacun d'eux s'est efforcé de tracer de nouvelles descriptions de
tableaux
morbides et de prendre celles-ci pour base de s
mation du délire. Il s'est contenté d'esquisser à grands traits les
tableaux
morbides; ses travaux sur ce sujet sont suffisa
réaction profondesur l'intelligence et le groupement de chacun des
tableaux
morbides. Je m'en tiendrai là d'autant mieux qu
(menui- sier, 1 ; cordonniers, 3 ; rempaillcurs, 2 ; Fig. fi. -
Tableau
dans lequel sont sculptés des creux figurant un
e cas en avril ; onze cas en mai; trois en juin; six décès (voir le
tableau
, p. XX). - En septembre, quatre enfants ont été
. BmcoN, s'est enrichi de nombreuses pièces, ainsi que le montre le
tableau
com- paratif suivant : ENSEIGNEMENT PROFESSIO
açon générale nous n'avons eu qu'à nous louer de leur concours : le
tableau
suivant met d'ailleurs en évidence les résultat
effets d'habillements] et que chaque enfant ait son trousseau. Le
tableau
suivant fait voir que le nombre des enfants qui
de ce qui s'était passé. Eraste en ces quelques lignes a retracé le
tableau
exact de l'épilepsie procursive : course en ava
lep avec 0 gr. 06 centigr. de nitrate de pilo- carpine. Bien que le
tableau
des vertiges ne mentionne pas de vertiges, il e
e minutes semble plutôt devoir les faire assimiler à un accès. Le
tableau
suivant résume les caractères principaux des tr
t même quelquefois, mais avec la démarche d'un homme ivre. Voici le
tableau
des accès : 1 Il gâte parfois dans ses accès et
déterminant enfin la 70 . DE L'ÉPILEPSIE PROCUR1VI ? démence. Le
tableau
des accès comprenant une période de treize ans
séjour ici, il voulait écrire à Jeanne d'Arc. On lui a présenté un
tableau
noir, et il n'a tracé que des lignes informes.
sur ce sujet, qui relève de la neurologie, nous allons donner un
tableau
résumant plus de 360 explorations faites sur cent
sur lesquelles nous reviendrons tout à l'heure. ZD Voici d'abord le
tableau
des cas de la première catégorie : 194 DE LA TE
comme des exceptions ou seule- ment, de môme que ceux du précédent
tableau
, comme des irrégularités ? Nous inclinerions vo
s de Bicêtre. Pour plus de simplicité, nous avons dressé les deux
tableaux
ci-après, nous réservant de tirer ensuite les c
tomique de l'appareil sexuel mâle chez les dégénérés. 197 PREMIER
TABLEAU
a 107 bi" , DEUXIÈME TABLEAU ? I . - VERGE EN
mâle chez les dégénérés. 197 PREMIER TABLEAU a 107 bi" , DEUXIÈME
TABLEAU
? I . - VERGE EN BATTANT DE CLOCHE. 197 Suiva
puberté, on verra descendre les testicules. Le cas du n° 13 du 5*'
tableau
est bien fait pour nous engager à le 202 ANOMAL
jeunes gens ad- mis à participer au tirage, après rectification des
tableaux
de recensement, s'est élevé à 306.854. Sur ce n
fres font facilement justice de toutes les théories, et d'après les
tableaux
très précis que l'auteur présente, on voit que
de Pestallozzi et de Froebel ; une boîte pour leçons de choses; des
tableaux
représentant des animaux, des métiers, etc... P
u (1) Elles ont été fournies en 1880. (2) On a acheté 22 nouveaux
tableaux
pour la Lanterne magique. STATISTIQUE. XXVII
à contribution le service hydrothérapique. On peut en juger par le
tableau
sui- vant (2) : STATISTIQUE. XXXI changemen
janvier, on comptait dans la section 144 adultes et 118 enfants. Le
tableau
ci-dessous résume le mou- vements de la populat
vement quelques-unes des indications fournies par ces deux derniers
tableaux
. C'est, en premier lieu, la guérison de deux en
ches exigées d'habitude. f Décès. - 17 enfants : 12 adultes. Le
tableau
suivant fournit les principales indications.
du canal artériel. La marche de la température est indiquée par le
tableau
suivant (Fig. 3). Cas. XXII. (Bourneville). Vac
fixer les idées et éviter les redites, de présenter d'a- bord en un
tableau
général , sorte de synthèse de toutes les descr
ant se souvient nettement de ses rêves et les raconte. Tel est le
tableau
général des attaques présentées par notre malad
qui fut constatée le 2 septembre. Ainsi qu'on peut le voir dans le
tableau
que nous avons rapporté plus haut, il n'y a pas
liniques et expérimentales, Gr. in-8 de 112 pages, avec de nombreux
tableaux
. 10 figures intercalées dans le texte, 36 planche
cations de l'uréthrotomie, externe. Un volume de 168 pages, avec un
tableau
. Prix : 3 fr.50.- Pour nos abonnés 2 fr. 60 M
ELLE ÉPINIÈRE. 53 tion, j'ai voulu faire plus ample connaissance'du
tableau
de la, paralysie de Brown-Séquard chez le cobay
OELLE ÉPINIÈRE. , 57 Donc, dans ce cas, il y avait en même temps un
tableau
in- complet de la paralysie de Brown-Séquard, i
les ganglionaires, et l'actus, à peu près; plus haut se présente un
tableau
gardant le même caractère jusqu'au bulbe rachid
uvements. Quoique, malheu- reusement, il ne donne la description du
tableau
microsco- pique de la cicatrice de la moelle, o
ues, qui suivent l'excitation de l'écorce, elles dis- paraissent du
tableau
symptomatique de l'épilepsie avec l'ex- tirpati
ir, si on peut atteindre chez un cobaye bien portant jusqu'alors le
tableau
ordinaire de la paralysie de lirown-béquard en
otrices dans la région de deettssatio pyramidum, on peut obtenir le
tableau
de la paralysie de Brown- Séquard, même en fais
rappe à peu près également les deux sexes. Il ressort également des
tableaux
qu'il publie que les actes de violences contre
ésumé, ce travail, qui a exigé de longs et pénibles labeurs, est le
tableau
le mieux présenté de nos jours sur les fonctions
et névropathique. Cela pourrait se représenter par un fort simple
tableau
généalogique. Un individu, né d'un père goutteu
e. Il relève dans l'hérédité d'un jeune diabétique de onze ans le
tableau
suivant : TABLEAU I 1 ASSOCIATION DU TABES AV
l'hérédité d'un jeune diabétique de onze ans le tableau suivant :
TABLEAU
I 1 ASSOCIATION DU TABES AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ.
une fort intéressante observation de Lèjroux. La voici résumée :
TABLEAU
III 314 CLINIQUE NERVEUSE. TABLEAU VI : . X..
Lèjroux. La voici résumée : TABLEAU III 314 CLINIQUE NERVEUSE.
TABLEAU
VI : . X... 70 ans. Epilepsie, diabète, paralys
et le diabète ont disparu. La paralysie agitante seule persiste. .
TABLEAU
VII ASSOCIATION DU TABES AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ.
. . TABLEAU VII ASSOCIATION DU TABES AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ. 315
TABLEAU
X' 316 CLINIQUE NERVEUSE. TABLEAU XIV ASSOC
ES AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ. 315 TABLEAU X' 316 CLINIQUE NERVEUSE.
TABLEAU
XIV ASSOCIATION DU TABES AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ.
ement chez les ascendants, c'est aussi bien chez leurs descendants (
tableau
V), qu'on la constate fré- quemment. C'est enco
exemples que nous devons encore à M. le professeur Charcot 2 : -
TABLEAU
XV 320 CLINIQUE NERVEUSE. TABLEAU XVII ASSO
le professeur Charcot 2 : - TABLEAU XV 320 CLINIQUE NERVEUSE.
TABLEAU
XVII ASSOCIATION DU TABES AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ
VII ASSOCIATION DU TABES AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ. 321 De ces quatre
tableaux
, nous pouvons rapprocher l'observation suivante
a façon suivante : ARCHIVES, t. XXII. 21 323 CLINIQUE NERVEUSE.
TABLEAU
XXI ASSOCIATION DU TABES AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ.
oubles vaso-moteurs dont maintes fois elle est accompagnée, tout le
tableau
clinique se réduit à une affection du nerf sym-
ore il ne détermine pas avec une rigueur suffisante le caractère du
tableau
clinique. En effet, la connaissance même superf
té, et voilà comment s'explique l'évolution plus ou moins rapide du
tableau
clinique, d'une part, et, d'autre part, ses par
auteurs ont constaté à bien des reprises. Mais à part cela, dans le
tableau
de la maladie se produisent parfois des symptôm
s évi- Archives, t. XXII. 23 354 ' CLINIQUE NERVEUSE. dente, le
tableau
clinique est, en beaucoup de points, semblable
'atrophie d'un membre, l'atrophie de la langue, etc., et traite les
tableaux
cliniques correspondants dans des chapitres sép
s, et que l'épilepsie consécu- tive a eu pour complexus clinique le
tableau
morbide classique. On n'observe, ni dans le coc
oteur; et si nous ne connaissions d'une manière assez com- plète le
tableau
de l'ataxie locomotrice, nous pourrions être em
été tracé de cette affection. Quelques-uns cependant manquent au
tableau
; mais de ce que, dans un cas donné, on ne retrouv
it motrice. Or, que l'hystérie puisse reproduire très fidèlement le
tableau
de l'é- pilepsie partielle, c'est une chose bie
avec l'apo- plexie cérébrale était frappante, d'autant plus que ce
tableau
se présentait chez un homme d'âge avancé, et av
leur état mental paraissent avoir une hypotoxicité constante (voir
tableau
de Hug...), mais néanmoins, la toxicité la plus
orte de bronze de Saint-Zénon, à Vérone (xi° siècle), ou dans les
tableaux
de Rubens ou de Jordaens, qui ornent les sanctuai
ue nous sai- sissons les détails, nous avons toujours pour pivot du
tableau
le cheval. Nous recevons ainsi, en deux minutes
. le professeur Kaorsakow serait plutôt d'avis que la similitude du
tableau
clinique de la maladie dans les différents cas in
é sur la partie cervicale ; après cette con- tusion se développe le
tableau
clinique d'une myélite ex ecmpres- sione (à évo
n sur le rôle physiologique du tractus peduncularis qui s'ensuit du
tableau
anatomique, tracé par le rapporteur. Le rapport
à chaque page cou- rageusement défendue et appuyée sur de nombreux
tableaux
rap- portant des analyses d'urine dans des cas
Aacr3wE, t. ? V. Il Î6Q2 CLINIQUE NERVEUSE. quelques égards le
tableau
des atrophies progressives en vous signalant un
us d'une heure et se renouvelait fréquemment. D'un autre côlé, le
tableau
d'hérédité ne laisse rien à désirer. Ainsi donc
ns de dégénérescence ; cela étant dit, si vous envisagez ce côté du
tableau
sans préjugé, sans idée préconçue, vous verrez
Romberg est un symptôme distinct, séparé, ne faisant pas partie du
tableau
de l'ataxie. Donc il a une pathogénie spéciale,
en nécroscopique d'une malade qui, pendant sa vie avait offert le
tableau
devenu classique de cette forme de myopathie prim
, 11 février 1888); elle figure dans l'observation " J. Lav... » du
tableau
produit par ces auteurs. 196 " PATHOLOGIE NERVE
COT. SERVICE OTOLOGIQUE années 1891-1892; Par le Dr GELLÉ. Le
tableau
publié à la fin de cette revue montre que la cli-
n des souffrances des nerfs labyrinthi- ques est univoque. C'est un
tableau
symptomatique com- plexe, mais qui donne une im
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 259 XXX. DÉVELOPPEMENTS A L'APPUI DE
TABLEAUX
STATISTIQUES EMPRUNTES A l'asile d'aliénés DE T
peu de clarté dans un sujet si vaste il a commencé par dresser un
tableau
synoptique des troubles du langage parlé, qui tie
et aussi sa belle dentelle noire de Chantilly, unique au monde, ses
tableaux
de vieux maîtres, son velours de Gênes, ses meu
e à monter les escaliers, et offre de l'hypertrophie des jambes. Le
tableau
suivant permet de bien saisir les particularité
des cas, où le tremblement en gardant le caractère dominant dans le
tableau
clinique de la maladie apparaissait périodiquem
symptomatique déjà décrit. En considérant le caractère singulier du
tableau
clinique de la maladie, on peut aisément conclu
ts et ne s'étendait qu'au membre inférieur, où par con- séquence le
tableau
clinique rappelait notre cas sous plusieurs rap
ymptomaliques aux états idiopathiques. Les états maniaques, dont le
tableau
rappelle de plus ou moins loin celui de la mani
corps. Lors même que des malades affirment avoir devant les yeux le
tableau
des scènes empruntées à leur vie, c'est l'exagé
epose sur un grand nombre d'obser- vations personnelles groupées en
tableaux
statistiques des plus in- téressants à constate
u myxoedème s'ajoute à la dystrophie préexistante. La complexité du
tableau
clinique ne permet plus de reconnaître la part
tion. Il n'est pas rare cependant de noter par intervalles, dans le
tableau
clinique si varié de la paralysie générale, que
s et les signes cliniques d'ordre secondaire qu'on retrouve dans le
tableau
clinique de notre cas en dehors de ceux apparte
articulairesque de l'hyper- trophie vraie des extrémités. ? Si le
tableau
clinique des malformations squelettiques de cette
notre cas il semble donc exister une concordance parfaite entre le
tableau
clinique particulier, donné par l'association aus
processus aigu, inflammatoire, d'origine vasculaire, entraînent des
tableaux
morbides naturellement différents mais qui ont
s symptômes paralytiques qui chez deux d'en- tre eux affectèrent le
tableau
clinique de la paralysie spinale infantile, che
présentent pas d'une manière aussi frappante la juxta- position des
tableaux
cliniques, avec leurs caractères distinctifs si t
a- lite, localisés dans la zone motrice, auraient pu donner lieu au
tableau
clinique de la paralysie cérébrale infantile.
as dans 3 générations). , On trouvera dans la thèse d'Ouvry (9) les
tableaux
généalogiques de ces différents cas. Mais dan
l'on puisse voir dans cette affection une névrite périphérique, le
tableau
et l'évolution cli- nique sont d'ailleurs tout
, l'as- thénie, l'extrême apathie, troubles qui font tous partie du
tableau
symp- tomatique du myxoedème ; mais dans ce der
mais moins que dans les cas de mydriase paralytique. Ici encore, ce
tableau
clinique ne répond pas à celui que nous avons o
dans les moeurs indigènes modernes des centres européanisés. (1)
Tableau
des folies haschichiques et opiomaniaques placées
du palais et de la corde vocale du même côté. En face d'un pareil
tableau
clinique, qui a évolué peu à peu, sournoi- seme
ber dans des erreurs. Un point particulièrement intéressant dans le
tableau
clinique présenté par F..., c'est l'intensité d
sionnabilité et des hallucinations conscientes ayant pour objetdes
tableaux
de siège ou de vie paisible dans leur pays au m
armée active souffrant de l'une ou de l'autre forme d'aliénation.
TABLEAU
II. 348 WLADYCZKO étaient malades avant la gu
où les malades se prome- naient ordinairement. Cet asile offrait un
tableau
assez original pendant le bombardement. Quelque
sèulement pendant la première période du siège que de sembla- bles
tableaux
se présentèrent à nos regards, plus tard, tous le
é à la Société de Neurologie par MM. Raymond et G, Guillain (6), le
tableau
clinique était le suivant. Au bras droit il e
nt de chacun des muscles de ce membre, on voit aisément, d'après le
tableau
ci-joint, construit d'après les indications de Wa
ncient les uns des autres à cette date. Il suffit de se reporter au
tableau
ci-joint pour s'en rendre compte. Développement
savent bien peu de médecins, c'est qu'Horace Vernet dans un de ses
tableaux
a fixé le souvenir d'une opération chirurgicale
ôtel de la Société de Chirurgie de Paris. C'est là que se trouve le
tableau
qui nous occupe. Il appartient à la Société de
en chirurgien de l'hôpital de la Charité, trois photographies et un
tableau
peint par Horace Vernet, représentant une malad
ion au sujet des relations de son aïeul avec le docteur Manec. Le
tableau
de la Société de chirurgie est à l'huile ; il mes
risation est moins avancée de ce côté. Les fils ont été retirés. Le
tableau
n'est pas signé, mais le cadre porte à sa partie
docteur Manec donna à la Société de chirurgie en même temps que le
tableau
, une seule représente la malade après l'opérati
nt exagéré de la tête figurant comme élément presque essen- tiel du
tableau
clinique ne peut s'expliquer par une dystrophie d
à la circulation mécanique de la lymphe ne peuvent pas réaliser un
tableau
plus ou moins semblable, voire même identique à
glande thyroïde et son absence ou ses troubles nous expliqueront le
tableau
clinique complet ou à peu près de l'insuffisanc
rusquement la poi- gnée de la porte de l'appartement. 'Tel est le
tableau
certainement noir, mais réel, de mon état actuel.
ers pas doivent être les plus difficiles. Mais i ! y a une ombre au
tableau
. Au moment où je comptais commencer bientôt les
ence à lacer ses souliers et à placer exactement les cartons sur le
tableau
de couleur, à exécuter les premiers mouvements
, ici, était compliquée de nanisme avec infan- lilisnm. L'examen du
tableau
de la taille, prise deux fois par an, de 1890 à
pathiques, l'auteur conclut que le réseau de Golgi est bien un ' Le
tableau
des mensurations de la tête, offre quelques diffé
sudat. Les autres cas ne présentaient pas toute la complexité de ce
tableau
. Il existe une analogie entre la compression méca
enry MEMK (de Paris). Bu. Henry MEIGE a fait une étude critique des
tableaux
du musée du Prado, qui présentent un intérêt mé
les peintures re- présentant des scènes médicales. Tout d'abord, le
tableau
de Muriilo, de l'Académie Saint-Ferdinand, repr
au xviie siècles, un Arracheur de dents de Théodore Rombouts, deux
tableaux
de Téniers le Jeune représentant une opération
ation. Seules les préoccu- pations hypochondriaques s'effacèrent du
tableau
clinique et lais- sètent la place à un état eup
ontenu intes- tinal qui y a pénétré. P. Kerwal. XIX. D'un nouveau
tableau
morbide analogue à la tétanie dans le saturnism
d'une malade; c'était une morphinique. Et Lancereaux lui faisait un
tableau
sai- sissant de sa déchéance physique et morale
oppement du faisceau pyramidal et, s'il se prolonge, constituent le
tableau
presque par- fait du syndrome de Little. Léri
e- vint complètement dément. C'était bien là, on en conviendra le
tableau
classique de la démence précoce : l'âge du patien
ue les couleurs, les lettres et les chif- fres qu'il place dans les
tableaux
correspondants. 1899. Progrès scolaires sensibl
couleurs, quelques chiffres, mais n'arrive pas à les placer sur le
tableau
correspondant. 1897. Il mange seul; mais ne peu
zur Lehrevon den Geschlechts-Unlerschieden, 1903. L'auteur trace un
tableau
intéressant et complet des différentes modifica
emars caractérisés souvent par la vision du rouge (objets rouges ou
tableaux
où le sang ruisselle). Les hystériques dorment,
niaque, le confus, l'anxieux, le dément agité, etc., présentent des
tableaux
cliniques trop connus. De plus, pour expo- ser
28 SOCIÉTÉS SAVANTES. une sieste dans la journée : ceci ressort des
tableaux
que l'auteur présente et qui lui ont été fourni
cas, à l'exagération des réflexes et à l'extension des orteils : un
tableau
clinique simulant presque complètement la sclér
essive. M. le Professeur Thomsen (Bonn). Aperçus sur l'étendue du
tableau
clinique delà folie maniaque dépressive. Formes p
ns frémissements parcellaires, comme on l'observe dans les tics. Ce
tableau
clinique est soumis à des variations individuelle
ses temples de La Haye, d'Amsterdam. d'Harlem et d'Anvers, quelques
tableaux
qui pré- ' Nous avons fait tous nos efforts pou
isent une sélection qui seule permet l'application du système. A ce
tableau
tout de lu- mière, il faudrait ajouter quelques
oujours assez. Dans les musées, nous avons retrouvé tous ces exquis
tableaux
de Steen, Van Ostade, Brake'nbourgh que M. Meig
lques détails médicaux. « L'amputation de la jambe » est un grand
tableau
du musée d'Anvers, dû à Francken, autant qu'il
Anatomie» pour être étonnés au premier moment, mais à mesure que le
tableau
, longuement regardé, nous a permis de nous abst
par le sang, se dégager peu à peu du sillon interhemisphérique. Ce
tableau
parait dater d'hier ; il aurait pu illustrer le r
ite le la novembre )903, à l'aide du périmètre de main, présente le
tableau
suivant : (Fig. 18, dex. et sizz.) Dans l'oeil
ves, 2" série, t. XVI. 2G Fig. : n. 402 THÉRAPEUTIQUE. donna le
tableau
suivant. L'étendue du champ visuel périphéri- q
cessus pathologiques les plus différents. La variété capricieuse du
tableau
clinique de la syringomyélie s'explique par la
inentles idées hypocondriaques et les idées de négation, réalise le
tableau
de la mélancolie, psychose d'involution, selon
rente-huit ans, ori- ginaire de l'Arménie turque et qui présente le
tableau
symptoma- tique de Briquet. Voici la descript
re, ni strabisme, ni aucun trouble visuel. Placé à cinq mètres d'un
tableau
sur lequel est peint un disque coloré, le malade
du - poméro- médian, par Bikeles. 4-)'k 1 'rElA'ZIE. D'un nouveau
tableau
morbide analogue la- dans le saturnisme chron
ée, les événements de la vie courante peuvent prendre place dans le
tableau
de l'état délirant d'halluci- natoire. En som
ème ordre de phénomènes, contemporains de l'hystérie, s'ajoute à ce
tableau
: c'est une perversion profonde de la sensibili
, variétés de la même entité morbide. Ces deux auteurs tracèrent le
tableau
clinique de la nouvelle ma- ladie, en fixèrent
ent dans la para- lysie générale. M. minou (Moscou) représente au
tableau
par un schéma les périodes de syphilis simple c
tendances sexuelles dans le sens strict du mot ; les romans, les
tableaux
et les conversations suggestifs qui produisaient
présente cliniquement sous une forme assez pure, parce que dans le
tableau
cli- nique,nous ne trouvons aucuns symptômes de
elles, le but tout à fait indépendant ; elle se représente juste ce
tableau
bien précis, quand elle est en proie à ses dési
is, quand elle est en proie à ses désirs sexuels; elle voit le même
tableau
dans ses rêves érotiques, tandis que le coït n'
gues heures et il ne pouvait pas débarrasser son imagination de ces
tableaux
. Parfois d'autres idées de même nature se prése
chaînettes et la forçait de se promener ainsi dans la chambre : ce
tableau
qui réalisait à peu près ses rêves d autrefois,
ait pas une dérogation aux prescrip- tions de la loi de 1885 et des
tableaux
annexes. Cette loi, en effet, n'a eu en vue que
ent lésés du fait que, de- vant être compris dans la section 111 du
Tableau
annexe de la loi de 1853, notre rattachement pu
chez les V..., un roman du Petit Journal qui répond tout à fait au
tableau
de son existence per- sonnelle. Et puis il y av
rces d'arrêt ou répulsives. Ces données, présen- tées sous forme de
tableau
, permettent de concevoir la responsa- bilité co
aractère partiel de ces troubles reste toujours, comme le montre le
tableau
suivant, représentant t les altérations de la s
- rique aigu) associée à l'acronévrite des mains et des pieds. Au
tableau
clinique particulier de la polynévrite cor- res
e sang s'est épanché en petite quantité dans l'intestin grêle. Le
tableau
clinique de l'empoisonnement aigu chez notre ma
a à la Fondation, le 13 décembre 1900. Nous donnons ci-dessous le
tableau
des accès et vertiges pendant le séjour de l'en
u dans la même journée et ont été suivies de sommeil. Epilepsie ;
tableau
des accès et dos vertiges. 424 CLINIQUE NERVEUS
s mesures de la tête de la malade, pendant son séjour, ainsi que le
tableau
compa- ratif du poids et de la taille. 1901.
front d'une hauteur de 6 centimètres sur la ligne médiane (voir le
tableau
spécial pour la mensuration des différents diam
était de 40°5, elle tomba ensuite régulièrement comme l'indique le
tableau
ci-dessous, atteignant la tempé- rature ambiant
la température pendant les G premiers jours de l'ad- mission, les
tableaux
des accès, des vertiges, la mensu- ration de la
de manière'à sui- vre la croissance, le poids des organes, enfin le
tableau
de la température après le décès. n VIII. La
s sur l'accablement insurmontable du moi font partie essentielle du
tableau
clinique : pas de confusion ; erreurs senso- ri
s avons cru devoir en relater brièvement les grands traits avec des
tableaux
résumant la vie courante de cet intéressant éta
trées ; 50 décès dont 10 par tuberculose. 31. Déricq a note dans un
tableau
à imiter les épiphénomènes observés chez les tu
érébraux chez les femmes, situation au 1 cr janvier ¡vomi ; 2° Même
tableau
pour les hommes ; 3° Alcoolisme compli- qué de
escence ou de débilité mentale ou d'hérédité al- coolique ; 4° Même
tableau
pour les hommes : jo Intoxication alcoolique ca
use déterminante des troubles cérébraux chez les femmes ; ! l° Même
tableau
pour les hommes. Dans tous ces ta- bleaux, M. D
? Il. le Dr Déricq termine par une remarque générale concernant les
tableaux
statistiques : « On trouve rarement, dit-il, une
empêchant de troubler le repos des autres malades. Il résulte du
tableau
des entrées par profession qu'aucune pro- fessi
le diagnostic exact du siège des affec- tions cérébrales. Voici le
tableau
où le savant médecin du manicome d'lmola présen
DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI CES SCAPHANDRES. 103 pas oublié que le
tableau
clinique d'un certain nombre de mes observation
même une blennorrhagie. Vit. - Nous avons cru devoir réunir dans le
tableau
suivant le développement du poids et de la tail
'est en effet ce quita lieu : soixante-dix-huit figures animent les
tableaux
les plus arides, et dissipent toute obscurité;
variété dans la nature même des traumatismes : on en jugera par le
tableau
suivant : 196 PATHOLOGIE MENTALE. d'un arbre,
ues qui doivent être tirées de nos observations, nous avons fait le
tableau
ci-contre. L'étude attentive des conditions éti
s que nous avons eu l'embarras du choix. 'Les faits insérés dans le
tableau
précédent suffisent pour établir d'une manière
s la même méthode, nous allons choisir parmi les accidents de notre
tableau
ceux qui sont d'une simplicité et d'une pureté
té de cette cause, nous allons analyser tous les accidents de notre
tableau
, qui n'admettent comme élément étiologique que
vait été atteint, on n'a pas d'accidents graves, comme le montre le
tableau
XVIII avant d'avoir atteint sept atmosphères, n
utres causes, nous allons choisir parmi les observa- tions de notre
tableau
celles dont les accidents recon- naissent comme
des immersions successives. Si l'on jette un coup d'ceil sur notre
tableau
, on peut déjà vaguement concevoir la fréquence
oidissement. Parmi le grand nombre d'accidents qui figurent à notre
tableau
, il n'y en a guère que deux qui doivent être at
pulmonaires. 2° Affections pulmonaires. Il n'y a guère dans notre
tableau
que deux accidents dont le seul et unique éléme
agée de tout mélange, rien n'est plus fa- cile de concevoir ceux du
tableau
, dont l'étiologie est complexe, à savoir dont l
d'une haute importance clinique : si l'on étudie un peu à fond le
tableau
précédent, on arrivera à cette conclusion, qu'i
nde si ce qu'il appelle les symp- tômes procéduriers font partie du
tableau
clinique de l'hystérie. Un ouvrier traumatisé c
mptôme qui par lui-même prouve la simula- tion. L'ensemble seul des
tableaux
en fournit la certitude à l'ex- périmentateur e
isc7tes statistisches Bu- reatt), 51. Guttstadt dresse une série de
tableaux
très utiles à consulter. En somme, en Prusse, d
a été placé à cet hospice, en 1888, 40 aliénés en observation et un
tableau
joint au rapport de M. le conseil- ler R... mon
re les réduits dont les rapports administratifs font un si triste .
tableau
; elle mettrait les malades en situation d'être
Mental Science, avril 1886). Dans ce travail qui contient plusieurs
tableaux
, l'auteur s'est varia. 315 proposé de compare
comparaison avec les asiles d'Ecosse, ceux-ci ne publiant pas leurs
tableaux
de régime dans leurs comptes rendus. R. M. C.
térieurement, certaines observations où elle appa- raissait dans le
tableau
de la paralysie générale et de l'hystérie, semb
ffuse de la moelle pourra, dans certaines conditions donner lieu au
tableau
systéma- tique de la maladie de Parkinson. G. D
euses; par Mlle Blanche Edwards. Thèse de doctorat 1889. Après un
tableau
succinct de l'hémiplégie vulgaire, l'auleur élu
gné. Le délire systématisé absorbe l'être entier. La stabilité du
tableau
pathologique qui, par suite de son immobilité,
éclaté chez ces 12 malades à une époque très variable. D'après le
tableau
donné par l'auteur, il est tout à fait impossible
isonnement critique. Les hallucinations manquent absolument dans le
tableau
mor- bide fait de rapports illogiques, d'interp
ndis chez un brocanteur. « Mon attention fut alors attirée par un
tableau
(parchemin noir avec ma devise : Ferro non auto
de fer que je portais imprimé au fond de mon chapeau. Evidemment ce
tableau
avait été placé là pour moi. Il a dû appartenir
que chez Chen... à un segment du squelette. M. Féréa résumé dans un
tableau
les chiffres recueillis dans ses mensurations.
api ès la durée ascendante de leur affection mentale, on obtient le
tableau
suivant qui indique, par période de dix ans, la
apportant à chacune de ces périodes décennales : 11 résulte de ce
tableau
que d'après la durée de l'affection le nombre d
également en périodes décennales, et où on voit également dans les
tableaux
synoptiques dressés par divers pays, un groupemen
es deux observations sont extrêmement intéressantes et réalisent un
tableau
clinique tout particulier et qui mérite de rete
Tiling, Tournier, Magnus et Grasset, pour établir l'existence d'un
tableau
clinique tout particulier caractérisé par l'abo
dral et celui de Thomson, avait parfaitement -vu .tout l'intérêt du
tableau
clinique que nous avons décrit. Il assimile abs
oculo-moteurs antérieurs ou leurs fibres de projec- tion produit un
tableau
clinique tout particulier caractérisé par l'abo
e l'évo- lution des symptômes et la localisation de la lésion. Le
tableau
symptomatiq1te de l'apoplexie progressive avait
te, l'apoplexie se constitue. Température 38°,9. Le 19 au matin, le
tableau
de l'apoplexie est réalisé. La connais- sance a
et non aux symptômes eux-mêmes. Ces derniers se retrouvent dans le
tableau
de l'apoplexie cérébrale en général. Dans l'a
ure même de la région envahie. Chez un malade qui avait présenté le
tableau
de l'apoplexie pro- gressive, on ne constata à
ment, les altérations périodiques de l'état général, constituent un
tableau
assez complet de la neurasthénie grave. (Annale
uation présente, et n'a entrevu que d'une façon Liés indistincte le
tableau
de l'ensemble des faits qui se sont écoulés penda
classe ses obser- vations, donne neuf faits nouveaux, et dresse un
tableau
de 60 cas personnels avec analyses correspondan
, de la moelle et du bulbe en particulier, peut donner naissance au
tableau
d'une paralysie ascendante typique ». J, Ross e
s par- ties du neurone moteur périphérique viennent compliquer le
tableau
, faut-il distinguer deux formes de paralysie asce
re actuelle de créer plutôt que d'éviter une confusion, puisque des
tableaux
cliniques assez différents et des lésions anato
ons présentant cet avan- tage de correspondre, comme la nôtre, à un
tableau
clinique bien net, sans adjonction de symptômes
Même attes- tation par une lettre de sa grand'mère du 7 octobre.
TABLEAU
DES ACCIDENTS NERVEUX REVUE D'ANATOLE ET DE PHY
ce des nerfs intra- musculaires. Cela posé, l'auteur réunit dans le
tableau
suivant, les formes les plus typiques de parapl
drothérapie qui sont cependant très appréciables comme l'indique le
tableau
des Il cas cités dans le travail. Quant à la pa
par l' M. Lacroix, directeur de l'École spéciale de Bruxelles. Des
tableaux
x synthétisent un grand nombre de renseignement
on a lieu par excitation, pression, dégé- nérescence secondaire. Le
tableau
clinique est, dans ces cas, celui de l'imbécill
nous gardent de généraliser hâtivement et de chercher à dresser le
tableau
clinique de l'état mental qui accompagne les fo
mande la mort ; des voix l'insultent, lui reprochent ses crimes. Un
tableau
noir présent devant ses yeux porte le nom du ca
surtout par ses réac- tions électriques (signe d'Erb), réalisait le
tableau
classique. Elle mourut au bout de vingt-cinq jo
e d'états pathologiques congénitaux ou acquis, paraissant offrir un
tableau
clinique sembla- ble, mais se traduisant par de
ffrant une cachexie prononcée et de nom- breuses escarres. VI. Le
tableau
do la température à l'entrée, la mort quinze jo
psychopathiques évoluer même pour leur propre compte et dominer le
tableau
clinique chez de pa- reils malades. Ces manifes
ndant la quelle tous les symptômes ont disparu. En présence de ce
tableau
clinique on avait songé à une méningite anormal
altérations des centres nerveux et que, en matière de psychoses, le
tableau
anatomo-pathologique se réduit ou à des lésions
de dégénérescence ou infirmités psychiques d'évolution et donne un
tableau
des stigmates de déchéance caractérisant les In
ssions. Programmes. Règlements. In-4" de 150 pages avec de nombreux
tableaux
. IIAMEL. - Rapport médical de l'asile d'aliénés
biceps est ossifié. - Les os sont atrophiés, ainsi que le montre le
tableau
ci-joint ; ils portent la trace de lésions suppu-
é encourageantes et on n'a eu guère a enregistrer que des échecs.
Tableau
. 120 CLINIQUE MENTALE. Les premiers succès
ie, existe dans la zone corticale du cerveau et l'auteur dresse des
tableaux
que nous nu pouvons reproduire des nerfs ar- (l
e, et, sur les artères radiculaires postérieures, au quatrième, son
tableau
montre une chute marquée des courbes a mesure q
mbres sont le siège de convulsions généralisées et violentes, et le
tableau
cli- nique précédemment observé se renouvelle.
i du 21 mars 1905 réserve, en effet, certains emplois, désignés aux
tableaux
annexés E et G. aux anciens sous-officiers ayan
s soldats ayant également passé quatre années sous les drapeaux. Le
tableau
E comprend les emplois de commis aux écritures,
oncierges, de surveillants, sous-surveillants et de mécaniciens. Le
tableau
G com- prend le personnel subalterne permanent
d'attirer l'attention. La répartition des di- vers emplois dans les
tableaux
E et G tendrait à faire croire que les situatio
ègent au cerveau d'une façon presque constante, et il la moelle. Un
tableau
d'ensemble montre la variété extrême de ces lés
r ; il peut placer les lettres, les chiffres et les couleurs sur le
tableau
, et sans se tromper. Il fait à la gym- 252
labe finale muette. Ainsi Lemaît ? qui dit très bien : blanc, bleu,
tableau
, dira : « ta » pour table, « por » pour porte;
tiples grouillantes et muettes. On a montré la possibilité d'un tel
tableau
clinique avec une insuffisance rénale sans éthy
atoires caractéristiques. La m. primitive représente.par contre, un
tableau
anatomique particulier, qui se distingue surtou
ons. Programmes. Règlements. Iu-1° de 150 pa- tres avec de nombreux
tableaux
. l'AimAS (B). Ballléatioli et hydrothérapie dan
des boules de feu ; ils sont affectés du scotoma et même de tout le
tableau
de la migraine ophtalmique. C'est un obstacle i
érieurs. Les auteurs, rejetant les cas douteux, ont ainsi dressé le
tableau
de quaranle-six observations, où le diagnostic
- vant l'âge, l'état intellectuel et le séjour il l'école, tous les
tableaux
426 varia. complets et classe par classe de
ions. Programmes. Règlements. In-1" de 150 pa- ges avec de nombreux
tableaux
. Marie (A.). La démence, 1 vol. in-18 de 500 pa
omme très fréquents et comme formant, en quel- que sorte, partie du
tableau
clinique de cette affection : ce seraient surto
sfaction et de richesses. Bref, nous nous trouvons en présence du
tableau
, presque au complet, des psychopathies dites or
iré l'attention des cliniciens qui se sont efforcés de lui créer un
tableau
clinique spécial. La littérature est assez rich
formes de syphilis cérébrale, et réciproquement. L'édification d'un
tableau
clinique spécial doit donc se baser : 1 ° sur l
. Les troubles objectifs de la sensibilité n'appartiennent pas au
tableau
de la syphilis artérielle ; à part, bien entendu,
és de [syphilis cérébrale. Nous avons cru bon de les réunir dans un
tableau
synoptique qu'on comparera utilement à un table
es réunir dans un tableau synoptique qu'on comparera utilement à un
tableau
analogue que nous donnerons plus loin pour la s
and trochanter à la malléole externe. M. Jendrassik à réuni dans un
tableau
: A l'an- gle obtenu par l'élévation passive ma
es qu'il anime dans un cas de paralysie par compression de radical,
Tableaux
. Tracés. Lenteur des convulsions directes et in
ie xanthique, l'alloxane ou les corps qui en fournissent. Voyez les
tableaux
. IL en résulte que, pendant la période, d'exalt
e torticolis mental présentent toujours et invariable- ment le même
tableau
clinique. Ils sont presque tous mathémati- quem
ès bien développé, il ne pouvait expliquer le plus simple sujet des
tableaux
et même ne discernait pas les enfants des vieil
tivité psychique du malade est tout à fait normale. Dans ce cas, le
tableau
clinique de la cécité corticale s'explique parf
lade, et la restauration à un certain' degré de sa vue physique, le
tableau
de cécité psychique ressort bien plus nettement
s variétés de lésions méningées susceptibles d'être réunies dans un
tableau
symptomatique commun : l'infiltration gommeuse,
imitée. On peut dire que la paralysie flasque n'appartient pas au
tableau
de lasyphilis méningée. Les paralysies sont il pe
alors d'un délire actif. L'agitation peut être extrême et donner le
tableau
de la manie aiguë. Les hallucinations sont fréq
n profonde, puis dans le coma terminal. C'est souvent au complet le
tableau
de la méningite tuberculeuse. Si la méningite
'intégrité relative de la substance cérébrale Nous donnons ici un
tableau
symptomatique de la syplti- lis méningée, que l
ses. Ces deux formes paraissent pou- voir être réunies dans le même
tableau
symptomatique. § I. Caractères généraux DES sym
s lui aussi une explication. Nous avons déjà fait ressortir dans le
tableau
de la syphilis artérielle l'importance des into
équemment dans la convales- cence des maladies infectieuses, et son
tableau
clinique ressemble assez exactement à celui des
- nine, observés par M. Thouvenet chez des ouvriers poudreurs, le
tableau
clinique se rapprochait beaucoup de celui de la m
: Que les troubles mentaux soient au premier ou au second plan, le
tableau
de cette psychose est toujours très carac- téri
symptomatoiogique qu'au point de vue pathologique, elle présente un
tableau
clinique des mieux marqués dont l'auteur donne le
nomie. Le diagnostic de la neurasthénie simple est facile ; mais le
tableau
clinique se trouve singulièrement compliqué qua
essentielles. Toutes les fois qu'il y a délire de persécution, le
tableau
clinique reste sensiblement le même et les grands
;e«e ! 'G ? 'M ? tde). Volume ion-8" de vi-238 pages, avec nombreux
tableaux
et tracés. Leipzig, 1898. Verlag von J.-A. Bart
quand l'état général n'a pas encore subi d'atteinte grave et que le
tableau
clinique n'est pas encore au summum de son évol
génératives dans la région de la tige cérébrale. Si l'on compare le
tableau
clinique au tableau ana- tomique, on peut admet
région de la tige cérébrale. Si l'on compare le tableau clinique au
tableau
ana- tomique, on peut admettre qu'il s'agit dan
les symptômes; c'est cette hypothèse simple qui répond le mieux au
tableau
objectif de la maladie. L'excitation centrale d
constatent que les tables, les chaises et les meubles oscillent; un
tableau
représentant saint Joseph se décroche et atteint
etc.) ; la gymnastique, les leçons de choses, l'éducation des sens (
tableaux
et cartons de. couleurs, gamme de sonnettes, fl
primaire du département de la Seine, a bien voulu nous adresser les
tableaux
pro- grammes servant à l'enseignement du dessin
ollier, s'est enrichi notablement en 1892, ainsi que le montre le
tableau
comparatif suivant (p. xvm) : 1) 1111e A. Janno
mission à la pension de repos ou de leur accorder l'équivalence. Le
tableau
suivant met en évidence les résultats obtenus g
professionnels n'ont pu se faire dans de bonnes con- ditions. Le
tableau
ci-après donne le produit mensuel du travail en
sont encore en vigueur aujourd'hui. Cependant, si on se reporte au
Tableau
statistique des placements d'office et des plac
ence assez prononcées entre les membres droits et gauches. (Voir le
tableau
p. 29). 1891. Jaiiviei,. - T3riiip-,tnisme et r
qui montre que le crâne était encore capable de se développer. Le
tableau
des mensurations successives de la tête vient 3
spiration et circula- tion, rien de particulier. (Voir plus loin le
tableau
des men- surations de la tête et des membres.)
ions diverses, que l'on ne saurait tracer de cette affec- tion un
tableau
symptomatique précis. Nous dirons seulement que
3 ou 4 ans. A cette époque, voici quel était approximativement le
tableau
de l'accès : l'enfant « tournait sur lui-même » s
placer les cartons de couleur, les chiffres et les lettres sur les
tableaux
. Il parait content lorsqu'on lui cause, mais ne
'un acci- dent, le pouce est luxé en dehors et en arrière. Voici le
tableau
des mensurations comparatives de ses membres su
é prises en octobre 1890, c'est-à-dire 15 mois auparavant. Voici le
tableau
de ces men- surations, avec celles qui ont été
essant de connaître exactement la situation actuelle des opérés. Un
tableau
détaillé des âges, des particularités du cas, d
atiqué la craniectomie chez les idiots. Nous avons résumé dans ce
tableau
, non tous les cas, mais au moins le plus grand
. - 292 Idiotie. Malgré le soin que nous avons mis à dresser ce
tableau
, il est assurément incomplet et présente des la
t figuré par une mince lamelle osseuse. Nous avons résumé dans le
tableau
ci-après les points principaux de nos 12 observ
ouvant nommer les couleurs il place bien les cartons colorés sur le
tableau
des couleurs. . OBS. IV. - IDIOTIE congénitale.
es. Le corps et la tête se sont développés ainsi que le démontre le
tableau
ci- après (p. 332). De plus Mazi..., ainsi qu
ant l'application du masque. Tantôt, elles reproduisent exactement le
tableau
visuel, toujours à peu près le même, qui accompag
furieux, mais je n'ai pas pu m'en empêcher! » Quand, au réveil, les
tableaux
du rêve apparaissent nettement dans la mémoire, i
s appartiennent. La statistique complète du Dc Rybakoff répond au
tableau
suivant: Quant aux résultats du traitement, sui
ats du traitement, suivant chaque forme de maladie, voici quel est le
tableau
de l'auteur : Alcooliquesaccidentels Alcoolique
néalogies m'a permis de découvrir. Veuillez en effet considérer les
tableaux
que je fais passer sous vos yeux, et dont je donn
Robert, que le pape obligea de se séparer de sa femme et qui fit un
TABLEAU
III pèlerinage à Rome, menait partout avec lui
u rang des hommes qui ont eu l'influence la Une leçon de Charcot. —
Tableau
de Brouille! plus profonde sur les esprits de l
ens d'une émotivité accrue, dès qu'une affection du cœur complique le
tableau
. L'Anglais, l'Américain semblent parfois moins im
, de simulation ou d'exagération. Tenons-nous-en à ces dernières : le
tableau
en est classique et mérite d'être reproduit: On
n va. indifférent, à n'importe quel sort. Mais, soudainement, autre
tableau
: les motifs à punition ne se sont pas reproduits
e. Messieurs, j'ai dû indiquer, ici, seulement les grands traits du
tableau
que je voudrais dresser des actes psychiques dans
scope sur la disposition accidentelle des figures, interprétée sur un
tableau
conventionnel. Les sillons de vos mains et le som
l jusqu'au membre terminal de l'hiérosyncrotème; 3° par sa formule ou
tableau
hiérosyncrotèmal. (I) Voir Revue de l'Hypnotism
arrêtent, dès qu'ils s'assoient, dès qu'ils regardent une gravure, un
tableau
. Une simple tape sur l'épaule, un pincement, Un a
ransmettent par suggestion. D'autre part il résulte de l'examen des
tableaux
de corrélation que les sujets frappés de préféren
existence, le but et la valeur de sa vie, et il le fait mieux que le
tableau
superficiel et capricieux que déroulent à nos yeu
ait entourée. Le docteur Liébeault Les Nancéicns se rappellent le
tableau
de Vierling exposé, il y a deux ans, au Salon des
l ni d'élevé, pourvu que l'exécution soit excellente, témoins tant de
tableaux
des anciens maîtres hollandais, les Jan Steen, le
nt un attrait irrésistible. Cela ne vient point du tout de ce que ces
tableaux
font connaître les mœurs d'autrefois et satisfont
me sous forme de jouissance esthétique peut se trouver dans la vue de
tableaux
tragiques, et cela en vertu de la liberté d'espri
ue l'on pense trop à soi-même. Ayez devant vos yeux le plus splendide
tableau
présenté par la nature, mais qu'il y ait danger,
u'il se forme, arrêtera son attention sur de toutes autres parties du
tableau
d'ensemble que les deux autres, et leurs âmes ser
. 74. FIGURES Charcot (Médaillon), p. 97. Une leçon de Charcot (
Tableau
de Brouillet), p. 99. M. le Dr Liébeault (de Na
sch. f. Psych. XLVI., 2, 3.) Série de recherches analytiques avec
tableaux
et observations. Conclusions : Il Le sommeil
traumatique (homme); 3 paralysies agitantes (femmes). ' Nombreux
tableaux
; étude critique complète. Il est impossible, co
applique naturellement aussi aux affections corticales. L'examen de
tableaux
dans lesquels sont con- signés l'analyse du sen
s cours de M. Charcot à la Salpêtrière ont tous remarqué ces grands
tableaux
si largement traités qui représentent les diver
't1pia delle mallalie mentali. Brochure in-8° de 36 pages avec deux
tableaux
hors texte. Nocera Inf., 1890. Tipografia del à
-R. Marina. (Arch. f. Psych., XIX, 3.) Revue critique présentant un
tableau
de vingt-deux faits, y com- pris deux observati
isies comme types.- II. Résultats de l'examen oplatlwlmoscopique. -
Tableau
statistique de cent observations et neuf descri
mbécillité, idiotie). Nous appellerons également l'attention sur le
tableau
comparatif de 119 autopsies propres à détermine
ouffrent au contraire le plus dans les folies secondaires. Nombreux
tableaux
. P. K. VIII. Examen DE 453 encéphales d'alién
roite du cerveau continue à peser davan- tage que la moitié gauche.
Tableaux
nombreux. P. K. IX. Sur LE CERVEAU d'un aphasiq
s; par J. JENSEN. (A1'CIL. f. Psych., XX, 1.) L'auteur a refait les
tableaux
et les publie à nouveau; les nom- bres précédem
es prostituées et les voleuses. - Volume in-8° de 226 pages, avec 8
tableaux
anthropomé- triques et 20 dessins. Prix 5 fr.
paire, du même côté que la paralysie faciale, venant compliquer le
tableau
classique. Vous pouvez supposer encore telle lo
inte déjà depuis longtemps de folie à double forme. Voilà bien un
tableau
complet d'hérédité conver- gente, et certes, no
lire du sujet, le diriger jusqu'à un certain point et y ajouter des
tableaux
nouveaux. Il commença aussitôt avec l'un de nou
ade pendant la période hallucinatoire de l'attaque, de raconter les
tableaux
qui se sont déroulés devant ses yeux pen- dant
ielles est évidente, elle modifie la marche du délire et ajoute des
tableaux
nouveaux à ceux que le malade voyait spontanéme
es impressions simples, assez in- tenses pour donner naissance à un
tableau
de longue durée. Quoi qu'il en soit, la modific
M. le D'Daniiet s'est proposé d'étudier pour en tracer uue sorte de
tableau
clinique et pour montrer qu'il n'est pas une es
la conva- lescence. Tandis que les psychoses fébriles offrent un
tableau
clinique assez monotone, on voit les psychoses
e des fibres musculaires. Chaque espèce d'atrophie musculaire a son
tableau
clinique et son substratum anatomo-pathologique
alcoolique fondé sur de nombreuses observations personnelles. Le
tableau
clinique de la paralysie alcoolique se caractéris
NTES. gnifie confusion, démence. Après avoir décrit brièvement le
tableau
clinique de la folie aiguë M. Roasvxorr a proposé
mptômes très variables d'ordre physique qui donnent à l'ensemble du
tableau
clinique un aspect multicolore. La marche de la
usion que les jeunes sujets dont il vient de parler présentaient le
tableau
clinique de la confusion aiguë, d'amentia. Quan
SM(R.). Ueberlzafluenzapscbosen.I3rochure in-8° de 13 pages avec un
tableau
hors texte. - Leipsig, 1881. Verl(1g von G. Thiem
sont développées avec rapidité, en deux jours, et reproduisaient le
tableau
clinique de la paralysie générale à sa période te
onnerons sont rapportés à l'alcool absolu, à 100° centésimaux. Le
tableau
suivant indique la proportion pour 100, en volu
s de vin ingéré en vingt- quatre heures. Nous indiquerons dans le
tableau
suivant à quel volume ou poids des diverses boi
e ce chef; il lui sera ensuite facile d'apprécier, en consultant le
tableau
que nous avons dressé, la quantité qui proviend
dans lesquels les idées délirantes passent au second plan, dans le
tableau
clinique, devant la prédo- minance des anomalie
que du délire de grandeur. Enfin la démence est loin de composer le
tableau
clinique de la dernière période. A ce moment, c
e des troubles de la sphère auditive peut être repré- sentée par le
tableau
suivant : Troubles. SOCIÉTÉS SAVANTES. 213
rriérés atteints de nanisme; 3° des enfants atteints d'obésité. Des
tableaux
et des tracés mis sous les yeux des membres du
issipe en partie et progressivement la malade arrive à présenter le
tableau
clinique actuel noté à son entrée à la Sal- pêt
servé et décrit. C'est Wilis le premier qui, en 1678, en a tracé un
tableau
clinique exact et qui en a compris la nature.
ts, eschare profonde à extension rapide. En résumé donc, c'est le
tableau
clinique classique de la syrin- gomyélie, sauf
ce dans les psychoses -dégénératives. Il termine son étude par un
tableau
d'histoire familiale qui met bien en évidence l
it intercalés dans le texte d'excellents dessins re- présentant les
tableaux
plus ou moins connus, dont on a ainsi à VARIA.
e son travail l'indique, a recherché dans les différents musées les
tableaux
et les gravures des anciennes écoles flamande e
ical, que celles qui avaient trait à la chi- rurgie de la tête. Les
tableaux
de cette sorte sont, parait-il, assez nombreux
n peut les ranger par catégories. Ainsi, il y a d'abord de nombreux
tableaux
qui représentent des extractions de dents : on
ue et anecdotique. C'est, en réalité, les douze études de ces douze
tableaux
ou gravures qui constituent le fond de son trav
avures qui constituent le fond de son travail. Eh bien, ces douze
tableaux
ou gravures représentent presque tous d'une faç
moment donné une véri- table industrie. Comme conclusion, tous ces
tableaux
et toutes ces gravures qui représentent des scè
'autant plus profonds qu'on les étudie de plus près. Rappelons le
tableau
comparatif de l'évolution parallèle des deux va
r la fenêtre. Le Chiist me soutenait en ce CI "cillement ! ! ! Le
tableau
légendaire de la tentation de saint Antoine et
sont généralement immobiles; quelquefois aussi c'est la figure d'un
tableau
, ou une statue ' Sémerie. Th. Paris 1867, p. 35
ur ainsi dire, toutes ses richesses et enfante les plus merveilleux
tableaux
. « Une femme de la Salpêtrière voit tout à coup
ement sous ses yeux et se dérouler devant lui, les plus magnifiques
tableaux
. » (Histoire d'un fou guéri deux fois par les m
viter la municipalité à porter simplement ses trois épileptiques au
tableau
des citoyens ayant droit à la bien- faisance na
lissent toutes bien. L'auteur compare cet ensemble symptomatique au
tableau
clinique classique de la compression de la moelle
e les diverses affections de la moelle, aucune d'elles ne répond au
tableau
symptomatique résumé ci-dessus. Il discute ensu
- raissait ainsi chaussé de hautes bottes, éclairant au besoin ce
tableau
par l'inflammation d'allumettes à flammes de beng
soir, imposait un surcroit de tra- vail à tout le personnel. « Le
tableau
imparfait et bien an-dessous de la réalilé que no
: crête sus-mastoïdienne............... ^ ^ [5 — 21 ' 6 — i5 Ce
tableau
indique, tout d'abord, que la direction oblique à
méatique........................' Minima .... » 10,0 7,0 5,o 4,o Ce
tableau
lui démontrait que le plancher de la fosse cérébr
re la ligne de l'étage moyen du crâne de la ligne b. De son premier
tableau
, qui donne les mesures prises à l'extrémité du pl
ons, cette moyenne se rapproche de 35 millimètres chez l'adulte. Le
tableau
suivant, dressé par Okada aux différentes période
tant plus accentuée que l'angle mastoïdien externe est plus grand. Le
tableau
suivant synthétise de nombreuses et minutieuses m
trois chefs : pneumatique, diploïque et scléreux (Zuckerkandl). Le
tableau
suivant indique leur fréquence relative. Les apop
......................... 4 5 Okada présente dans sa monographie un
tableau
qui permet d'apprécier les variations de la mesur
ault par les profondeurs différentes du sillon sigmoïde? L'analyse du
tableau
suivant, qui résume nos mensurations comparatives
2 4 - i ii 2 4 ii - i - 2 — - 2 - 2 2 - 2 - I . - I I - Ce
tableau
indique que la mesure sillon-Chipault oscille :
e malades dont l'âge variait de 10 à 20 ans. Gradenigo considère le
tableau
clinique constitué par une otite moyenne purulent
entimètres de haut en bas, et l\ centimètres de dedans en dehors Le
tableau
clinique de l'abcès cérébral ne se prête pas à un
ine labyrinthique. La prépondérance des symptômes pyohémiques dans le
tableau
morbide révélera l'abcès externe inastoïdo-cérébe
em- ployâmes en 1880-1881 et voici les quelques observations elle
tableau
comparatif des accès chez les mêmes malades trait
nsuite le traitement bromuré. Si nous jetons un coup d'oeil sur les
tableaux
, nous ne voyons pas de grandes différences dans
les mois de juillet et d'août 1892, au Tribunal, fait en réalité le
tableau
symptomatique le plus exact de l'excitation ma-
La neurasthénie revêt le plus souvent la forme hypocondriaque; le
tableau
clinique est parfois modifié par l'existence de t
ier rang des facteurs de la paralysie générale. Voici d'ailleurs un
tableau
assez démonstratif : TOTAL DES CAS DE PARALYSIE
, appartient sous ce rapport, à l'école de Raphaël. Aussi dans un
tableau
de lui, que l'on voit à Marseille, et qui représe
ical pour l'an- née 1894). Brochure in-4 de 25 pages, avec nombreux
tableaux
. a Rouen, 1895. - Imprimerie Cagniard. Asile
tisepsie, au moins relative du tube digestif. On a pu voir dans les
tableaux
précédents les résultats assez bons que nous a
s difficiles à exciter que les nerfs et les muscles des adultes (XI
tableaux
résumant les examens électriques). A quoi cela
tique et généralisée, elle se propage gra- duellement en causant le
tableau
de la myélite aiguë ou subaiguë ou enfin de la
r- gée 2, une prédisposition faible, d'où netteté moins grande du
tableau
clinique. Les deux observations que nous rappor
si quelques-uns seulement de ces centres sont excités ou inhibés le
tableau
clinique sera incomplet et fruste et de même qu'i
ton a provoqué chez nos animaux et cela d'une façon cons- tante, un
tableau
symptomatique, identique dans ses allures mais
mes. Il a eu en outre de l'exophtalmie. Ces symptômes rappellent le
tableau
clinique de la maladie de Basedow sauf l'augmen
ratiqué des injections sous-cutanées. Dans presque tous les cas, le
tableau
symptomatique était ana- SOCIÉTÉS SAVANTES. 123
ire général. - Le menu est une oeuvre d'art, il représente les deux
tableaux
: Pinel, délivrant des folles, et Charcot étudi
ns lésions dégénératives. Pourtant, comment expliquer l'analogie du
tableau
clinique ? le cervelet est-il touché dans la ma
xerce l'anneau fibreux pachyméningitique sur la moelle épinière, Le
tableau
clinique diffère de celui de la 36 SOCIÉTÉS SAV
L'auteur présente les résultats de ses recherches en deux ordres de
tableaux
: dans les premiers il donne les moyennes, les ma
, M. Joffroy remercie la municipalité et la ville de Royan. Dans un
tableau
habilement tracé, il peint la riche station bal
tion de cette entité symptomatique caractérisée généralement par le
tableau
suivant : des individus de vingt à quarante ans
ter que sur un petit nombre d'années. Le nom de la maladie dans les
tableaux
de morbidité générale manque sou- vent par suit
ivante du nombre de para- lysies générales pour cent admissions :
TABLEAU
I 402 '1) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. . En 1
L'alcoolisme mérite d'être aussi examiné. Il donne naissance à un
tableau
qui rappelle souvent celui de la paralysie généra
2° Pl ! 1'l ! l¡}sie'agitante. -l\Iassalongo, après en avoir tracé un
tableau
très fidèle et très détaillé, émet des doutes s
que de légers troubles psychiques ne sont pas incompatibles avec le
tableau
typique deFriedreich; que ce tableau de la mala
sont pas incompatibles avec le tableau typique deFriedreich; que ce
tableau
de la maladie de Friedreich même circonscrit aux
rconscrit aux formes absolument spinales, correspond précisément au
tableau
des expé- rimentations sur les ablationsdu cerv
réveillés, l'activité logique de l'esprit réapparaît; elle impose aux
tableaux
du rêve les lois de la pensée vigile ; .elle coor
me on voit sur l'écran de toile les peintures sur verre; le sujet des
tableaux
varie suivant le caractère et les préoccupations
cupe, elle verra des Démons effrayants. Un homme voluptueux verra des
tableaux
érotiques, par exemple des femmes nues se roulant
iers, « chercheurs de trésors, » dont elle devint la magicienne. Le
tableau
de cette bande est une curieuse et pittoresque re
éesses si elles venaient m'épouvanter de leur rage insensée... » Ce
tableau
, qu'on pourrait suivre et commenter détail par dé
ession mélancolique. De ces deux états, le grand tragédien a tracé un
tableau
aussi exact que possible, attribuant à chacun d'e
le page dramatique, admirée de tous, mais aussi, nous le répétons, un
tableau
clinique d'une saisissante vérité. Ce qui achèv
cre ou la détourner du but qu'elle poursuit. Ici c'est l'amateur de
tableaux
, de faïences, atteint du « choléra de la terre cu
sser à ce que me racontait son père, il attachait ses regards sur les
tableaux
de mon cabinet, et quand je l'interrogeais, son p
athie lorsque la maladie s'aggrave et devient pyrétique. Ces divers
tableaux
schématisés et même synoptiques que nous avons cl
t. VI, p. 404. ¦ Cette formule n'est, on le voit, qu'une sorte de
tableau
généalogique. L'hiérosyncrotème Jouvenel peut a
x traits dominants: l'égoisme et l'irritabilité créent le fond du
tableau
. Plus ou moins sombre, plus ou moins chargé, c'es
net, solide; l'essentiel, mais tout l'essentiel. Pas de cours sans
tableau
: la craie à la main le professeur démontre. Pa
es affections gastrointestinales. Il me faudrait pour cela faire le
tableau
de presque toutes les hantises de l'humanité, le
hologique du stomacal reviendrait donc à faire défiler devant vous le
tableau
de presque tous les troubles psychiques de l'homm
caractères violemment tranchés. Une fois que les grandes lignes du
tableau
sont tracées, les détails viennent facilement se
e toutes les phases. C'est là, Messieurs, que je vis se dérouler ce
tableau
dont je vous parlais tout à l'heure, tableau viol
ue je vis se dérouler ce tableau dont je vous parlais tout à l'heure,
tableau
violent dont les lignes nettes et arrètées permet
l'envers. Je m'explique : Je suis, sain d'esprit, placé devant un
tableau
noir sur lequel un arbre est dessiné ; je le vois
cerveau la perçoit.- Conséquence : Je vois un arbre dessiné sur le
tableau
. Au contraire, je suis aliéné; sur le tableau n
arbre dessiné sur le tableau. Au contraire, je suis aliéné; sur le
tableau
noir, aucun dessin; tout à coup dans mon cerveau,
it le nerf optique. 1° Elle s'étale sur la rétine et je vois sur le
tableau
l'image non réelle du diable; Je suis halluciné.
nce de ses crises convulsives, son imagination ne lui fournit que des
tableaux
vulgaires. Les symptômes permanents de Tliystér
ean, des moutons frisés, des diamants qui brillaient, des dessins des
tableaux
, des étoiles de toutes les couleurs... Notre Seig
suffisamment tranchés pour qu'il soit aisé, ainsi que le démontre le
tableau
qui précède, de les séparer des accès d'épilepsie
s des attaques hystéro-épileptiques de Geneviève ; nous avons fait le
tableau
d'un certain nombre de ses attaques, décrit leurs
nt été moins nombreuses, mais les étouffe-ments ont augmenté (Voir le
tableau
). 1875. Janvier-mars. — M... se plaignant sans
de ce jour, la malade prend son médicament au moment de la visite. Le
tableau
suivant indique les changements observés quant à
obre et le 1er décembre. Le point le plus important qui ressort de ce
tableau
, c'est le prompt retour de la sensibilité (11.
i prononcée que chez Geneviève. Nous avons essayé de donner dans le
tableau
suivant quelques indications sur la marche de la
suivant quelques indications sur la marche de la maladie chez M... Ce
tableau
est loin d'être parfait, parce que, le personnel
4 à 6 grammes, n'a pas procuré d'amélioration plus sérieuse. (Voir le
Tableau
des attaques.) D'ailleurs, la glace, la cautéri
d' —, 89. — Mode de notation des —, 143 — Modifica-tiou des —, 124. —
Tableau
des —, 144. — démoniaques, 20, 21, 24, 125, 127.
, des serpents, des oiseaux, elle voit grimacer les personnages des
tableaux
; à l'église, les saints et les saintes re- muen
teté, que l'analyse en devient des plus simples. Pour compléter le
tableau
clinique, il eût été nécessaire de déterminer l
un minimum de 32°,80 ; enfin la température régionale correspond au
tableau
ci-dessous. 106 REVUE CRITIQUE. DE LA THERM
tures le 14 octobre 1879. r M e M C ! 1 I;j S a 5
Tableau
A. Moyenne des hommes. c ta r 3 M M
ta" 11 H 5 S n M- 10 m P> t-1 10 M m
Tableau
C. Moyenne des deux sexes. 116 6 REVUE CRITIQUE
Moyenne des deux sexes. 116 6 REVUE CRITIQUE. De l'examen de ces
tableaux
de température il résulte que la moyenne la plu
ndant une période de calme. Ces résultats ont été consignés dans le
tableau
D qui montre que la température s'élève dans ch
x o ra- H i Pi t-i n ta- "a m e S til - 1
Tableau
D. Température comparée dans l'état d'agitation
e de Yarra à environ huit kilomètres de Melbourne. L'auteur fait un
tableau
peu attrayant de l'organisation de cet asile qu
verses époques, la physionomie est différente. Dans l'antiquité, le
tableau
des moeurs est surtout reflété par les exemples
ses se révèle, en effet, dans les autres parties du livre. Point de
tableaux
nettement séparés, indiquant une catégorisation
le satyriasis. Afin d'aider à leur délimitation, l'auteur, dans un
tableau
compa- ratif, en a condensé les traits différen
bre de la commission chargée d'examiner les titres et de dresser le
tableau
de classement des candidats à un emploi d'inspe
tre, 'MÏ Délasülilve, en a résumé les caractères principaux dans un
tableau
saisissant. V Suivant' là gravité de cet état,
st probable qu'ils étaient plus nombreux ,que ,I;L,e('l'n.cFque. l,
tableau
, jcar ces accidents réchappent» souvent..C'est
que et pratique, assez défini pour qu'il' soit"utile d'en tracer un
tableau
complet, 3 sinon définitlif ? C'est ce que nous
ents : nous avons pris soin d'établir leur réelle existence par des
tableaux
cliniques aussi complets que possible. C'est
et l'animal mourut le 12° jour. E.ramenélectl,¡'que, Il résulte des
tableaux
donnés par l'auteur qu'il n'y eut sous l'influe
paralysie saturnine (chez un fondeur de caractères) qui présente le
tableau
ordinaire : paralysie des extenseurs, etc. On y
ésiogene, tantôt avant elle et même sans elle. 22 observations et 9
tableaux
de courbes terminent cette thèse et servent de
et de beaucoup plus grêles que ceux des mem- bres supérieurs. Les
tableaux
suivants donnent les dimensions des os de Bog-
isamment la méningite tuberculeuse, mais il manquait cependant au
tableau
clinique, le vomissement, la constipation opini
e de l'encéphale. La véritable physionomie de la maladie diffère du
tableau
ordinaire du rhumatisme cérébral, surtout par s
tées en physique pour les faits de polarité ou de vibra- tion. Le
tableau
suivant indique les distributions de la sensibili
o-spinale, quoique l'ensemble symptomatique ne réponde nullement au
tableau
qu'en a tracé M. Charcot, et que, par exemple,
et même tronc nerveux. R. BL. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XL.
Tableau
CLINIQUE DES dégénérations secondaires DES fais
les tympans tout à fait normaux. Ces deux cas concordent avec le
tableau
clinique tracé par Voltolini, Toynbee et von Tr
? reoHe.'tez ! NK ! o ? e'dt ? o brochure in-8" de 34 pages avec 4
tableaux
. pogra(ia G. Frederici a Pesai d;9CJJJU0 eau é`
t (expériences sur des chiens et des) lapins). Voici, sous forme de
tableau
, ses conclusions : REVUE D ANATOMIE PATHOLOGIQU
IELD. (Virginia med. aazontlzly, 1880, p. 184.) Après avoir fait un
tableau
des souffrances morales du bègue, l'auteur se d
ie, do l'hystérie, de l'épi- lepsie partielle, et l'ensemble de ces
tableaux
, fort heureuse- ment exécutés, permet de voir p
raitement dans les) -infirmeries des, -par Burman, 153. Asiles (
tableau
des directeurs des), 170 ? (visites aux) de Hol
ulisme. En somme, son hérédité pathologique peut se résumer dans le
tableau
suivant : TABLEAU XXI Antécédents personnels.
n hérédité pathologique peut se résumer dans le tableau suivant :
TABLEAU
XXI Antécédents personnels. Lem... n'a fait auc
e connaît presque pas. La généa- logie peut être représentée par le
tableau
suivant : TABLEAU XXIII FAMILLE ISRAÉLITE A
s. La généa- logie peut être représentée par le tableau suivant :
TABLEAU
XXIII FAMILLE ISRAÉLITE Antécédents PERSONNEL
, d'autre part, les altérations tabétiques n'ont pas déter- miné le
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clinique du tabes syphilitique, mais la présence,
on limitée DE la protubérance; par MM. LANNOIS et E. REGNAULT. Le
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symptomatique dans ce cas, a été absolument celui
e) ; les dégénérescences descendantes et ascendantes compliquent le
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symptomatique, sans déro- ger aux lois anatomiq
HRISTIAN ne croit pas qu'il soit nécessaire de faire ces nou- veaux
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. Il y en a dans tous les asiles qui ne servent à
u patient le diagnostic s'impose véritablement. Rien ne manque au
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: Une déchéance profonde de la mémoire et de l'
extérieure, ces troubles de la marche ne sont points étrangers au
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de la paralysie générale. Ils s'observent même
bien nous envoyer quelques notes con- cernant cette famille et son
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généalogique. On trou- vera également plus loin
on tableau généalogique. On trou- vera également plus loin un autre
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qu'il nous envoya dans la suite et qui n'est pa
. Toute l'histoire de cetle famille 'se trouve consignée dans le
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suivant. 0) '1 : 1 19 M o t-< 0
s les malades de sa consultation, recueillir un cer- tain nombre de
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généalogiques. Ils peuvent, comme les précédent
la gangrène symétrique des extrémités a présenté très exactement le
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clinique décrit jadis par Maurice Raynaud ; il
urnal of Mental Science, octobre 1889.) Ce travail, accompagné de
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, porte sur un nombre assez considérable de cas;
ractéristique. A une certaine période, dans l'un et l'autre cas, le
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symplomatique rappelait plutôt celui de la scléro
s, des audi- tifs, des moteurs, des troubles du langage, et font au
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noir un schéma célèbre que vous connaissez bien
n animal vivant extrêmement vorace, une sorte d'amibe étalée sur le
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qui envoie un prolongement pour saisir et absor
ent accessoires; elles peuvent alors modifier considérable- ment le
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clinique de la mélancolie. Peut-être bien qu'ici
; quand celle-ci existe et imprime de même un caractère spécial au
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clinique, il y a lieu de rechercher si la mélan
l'hyperexci- tabilité du centre sensoriel et, par suite, forment un
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. Enfin, c'est par l'élément de la conscience mo
ui s'est terminé par l'Avare et son trésor, comédie-bouffe en trois
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. Pendant les entr'actes, llfiie Darthenay s'est
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