elconque à l'état contraire. Le centre cérébral est, comme toute la
tête
, le siège d'une circulation active , d'une sorte
à la réaction musculaire. Les muscles agissent alors pour soutenir la
tête
; ils la relèvent, redressent la région dorsale.
formée par la septième vertèbre du cou et l'inclinaison légère de la
tête
à droite. Il est impossible de confondre cette ma
s l'état fonctionnel est une douleur, quand on cherche à redresser la
tête
. Si nous résumons les divers aspects de la gibb
surfaces articulaires étendues servent au mouvement de rotation de la
tête
. Elle peut avoir également pour siège les autres
sion , par ramollissement, par écrasement de l'os sous le poids de la
tête
; elle peut être causée par un séquestre qui se d
les masses latérales de l'atlas ; il en résulte une inclinaison de la
tête
; tantôt il y a destruction des ligaments transve
gaments transverse, odontoïdiens; l'atlas entraîné par le poids de la
tête
se porte en avant ; la tête et la première vertèb
iens; l'atlas entraîné par le poids de la tête se porte en avant ; la
tête
et la première vertèbre pourront se porter en arr
rale. Elle produit, dans le premier cas, l'inclinaison latérale de la
tête
; dans le second, son inclinaison dans le sens ant
, son inclinaison dans le sens antéro-postérieur. La rotation de la
tête
est un autre phénomène de l'arthralgie sous-occip
des muscles produit, suivant les cas, diverses altitudes, renverse la
tête
en arrière ou l'incline à droite ou à gauche, etc
x pièces : la première est un exemple de luxation de l'atlas et de la
tête
en avant, avec destruction de l'apophyse odon-toï
rse peut être détaché, cette apophyse étant intacte; l'atlas, avec la
tête
, est alors incliné en bas et en avant, et la mort
la seconde en avant. On peut observer une rotation permanente de la
tête
, un torticolis, chez certains malades non affecté
quelle elle a été recueillie a présenté une flexion si complète de la
tête
, que le menton a formé une empreinte sur les tégu
nt de mon service. L'atlas s'est déplacé en avant par glissement ; la
tête
se trouvait dans l'extension et inclinée sur le c
a été prise de spasme général, d'abord douloureux, puis indolent ; la
tête
s'est ensuite penchée à droite. Quand on m'a prés
offrait aucun symptôme grave ; elle tenait seulement le cou roide, la
tête
inclinée à droite, la face tournée à gauche. Le m
musculaire essentielle. Je fus frappé cependant de la rigidité de la
tête
; on ne pouvait même pas lui imprimer un mouvement
n conseil. La section n'aurait point rétabli l'attitude normale de la
tête
; cependant elle aurait pu modifier quelque peu l
it plus qu'un point osseux de l'atlas en arrière. DÉFORMATION DE LA
TÊTE
ET DU RAGHIS. — Les lésions causées par l'affecti
t; elles en produisent de fort remarquables dans d'autres parties, la
tête
et le rachis. La nutrition et la forme de la tê
utres parties, la tête et le rachis. La nutrition et la forme de la
tête
sont modifiées. Lorsque l'affection dure quelques
des branches nerveuses cervicales. Comme ces branches s'étendent à la
tête
, atteignent le sinciput, descendent sur les côtés
dont Rust a parlé; quand ils se lèvent, ils sont obligés de tenir la
tête
solidement fixée avec les mains pour éviter un éb
it jours après sa sortie, douleur à la région mastoïdienne gauche; la
tête
s'incline du côté gauche. Admis deux mois après d
arçon offrirait une confirmation de cette remarque. La rotation de la
tête
est normale par l'étendue, mais elle se fait lent
cas. — Ce malade présente une différence légère dans l'attitude de la
tête
; il y a presque rotation pure, peu d'inclinaison.
inaison. Lorsqu'il veut regarder de côté, ses yeux tournent et non sa
tête
. Ce qui domine chez ce malade, c'est donc la rota
e de cinq ans. Lors de son entrée, sa maladie était un cas modèle. La
tête
était penchée sur l'épaule gauche, la rotation à
ves, réveillaient souvent l'enfant. Aujourd'hui on peut imprimer à la
tête
des mouvements de rotation très-étendus sans caus
, récidive de l'affection, qui, cette fois, se montre plus tenace. La
tête
, penchée d'abord à gauche, s'est ensuite inclinée
oup affaibli, la diarrhée est continuelle. Remarquez l'attitude de la
tête
: elle est renversée en arrière ; on peut la redr
ui domine chez cette enfant, c'est un renversement considérable de la
tête
; l'inclinaison latérale est peu sensible. La nuq
on sous-occipitale n'est pas ici la seule cause du renversement de la
tête
; il en existe une autre. Remarquez cette petite p
dinaire. Cette lésion suffirait seule pour expliquer l'attitude de la
tête
; aussi notre diagnostic a-t-il été quelque bouvie
usculaire énergique, l'attitude vicieuse exagérée et permanente de la
tête
, ont pu seules nous porter à admettre l'existence
d tous les ligaments sont détruits, il n'y a plus d'attitude fixe; la
tête
peut se porter indistinctement dans tous les sens
stent plus. Quelles sont les causes de ces attitudes diverses de la
tête
et du cou dans l'affection sous-occipitale? J'ai
e une luxation de l'atlas. Le plus souvent, il y a renversement de la
tête
en arrière, augmentation de la convexité antérieu
e positive. Supposez, en troisième lieu, qu'il y ait rotation de la
tête
; vous aurez une saillie des apophyses transverse
Barthez. Il existait, dans l'un, un renversement très-prononcé de la
tête
en arrière; dans l'autre, un torticolis. La contr
tracture essentielle persiste, quelle que soit l'attitude donnée à la
tête
; la contracture symptoniatique d'une lésion arti
olis. Je désigne sous ce nom une inclinaison insolite du cou et de la
tête
, ordinairement accompagnée de rotation. Je contin
lusieurs causes qui portent les malades, dans leurs actes, à tenir la
tête
inclinée d'un côté ; tels sont les enfants chez l
lié aux différents états de l'âme. Le cou, en effet, concourt avec la
tête
à l'expression des passions, des affections de l'
été de torticolis. Suétone, voulant peindre l'attitude hautaine de la
tête
de Tibère, disait : Incedebat cervice rigida et o
e ceux qui cherchent à capter des testaments, qu'ils doivent tenir la
tête
penchée et simulant la crainte : .........Davus
Perse, faisant le portrait du philosophe qui médite, le représente la
tête
penchée, obstipo capite. On s'est aussi quelque
bon ton. Dans Lucien, il est parlé des petits maîtres qui penchent la
tête
de cette manière. Ce torticolis, d'abord volont
sulte de l'action combinée de plusieurs muscles : l'inclinaison de la
tête
en avant, son renversement en arriére, etc. Elle
nclinaison latérale; mais souvent alors on observe une rotation de la
tête
du même côté que l'inclinaison; cette coïncidence
; elle est réveillée surtout par les tentatives de redressement de la
tête
. Ces efforts produisent, dans le torticolis muscu
tenir à une simple inégalité de développement des deux moitiés de la
tête
et du cou. Nous avons vu cet état être la conséqu
de la différence qui existe dans le volume des deux moitiés de cette
tête
; elle est, de plus, un peu inclinée en avant et à
tudié, au point de vue médical, l'inégalité des deux moitiés de cette
tête
et son inclinaison à droite. Ce torticolis doit
fût prêté. L'inégalité de la face prédomine sur l'inclinaison de la
tête
dans cette variété de torticolis congénial ; dans
in maternel? Cela est possible; cependant la faible inclinaison de la
tête
me donne à penser le contraire. Ajoutons que, dan
re. Ajoutons que, dans l'inégalité primordiale des deux moitiés de la
tête
, la rigidité du cou est toujours moins prononcée.
manipulations, c'est-à -dire les mouvements par lesquels on porte la
tête
en sens inverse de celui où la maladie la dirige;
aut ajouter des supports, tels que cols en carton, qui soutiennent la
tête
. Dans les cas de difformité plus prononcée, on em
us la mâchoire et sous l'occiput, afin de prévenir la déviation de la
tête
et d'obtenir l'attitude la plus favorable dans le
devenue chronique, il s'agit surtout d'obtenir le redressement de la
tête
; on conseille alors les moyens orthopédiques. Cer
avec raison que ces manœuvres n'offriraient pas de danger, lorsque la
tête
se trouve dans la flexion et qu'il s'agit de l'ét
aires. Vous comprenez que la réduction des luxations spontanées de la
tête
n'est pas produite instantanément. C'est par des
ion coxo-fémoralc. Le sens dans lequel se fait le déplacement de la
tête
du fémur est variable ; la chirurgie vous l'a déj
morales en centrale et en périphériques. 1° Luxation centrale. — La
tête
, dans la luxation centrale, passe par le centre d
n deux parties la région qui est au-devant du colyle; dans un cas, la
tête
passe au-dessus de cet os ; dans l'autre, elle pa
osléro-inférieure. Si l'on voulait rapporter les déplacements de la
tête
fémorale aux trois pièces de l'os coxal non soudé
us avons nommé sus-pubienne l'une de ces luxations ; c'est à tort. La
tête
fémorale ne repose pas sur le corps du pubis, com
s trois espèces indiquées, traumatique, pathologique, congénitale; la
tête
se place dans la fosse iliaque externe. Après cel
uxations fémorales, la sus-cotyloïdienne et la sous-cotyloïdienne. La
tête
du fémur repose, dans cette dernière , sur la gou
placement, on peut distinguer trois cas : a. Il peut arriver que la
tête
du fémur, quoique luxée, soit encore contenue dan
appartiennent toutes deux aux luxations pathologiques. Dans l'une, la
tête
du fémur, exerçant une pression constante sur un
n cas qui ne laisse aucun doute : vous voyez l'endroit où siégeait la
tête
fémorale. Dans l'autre cas, la cavité cotyloïde s
autre cas, la cavité cotyloïde s'est pour ainsi dire déplacée avec la
tête
du fémur ; en voici un exemple des plus curieux :
ne production osseuse hémisphérique bouvier. 7 correspondant à la
tête
fémorale ; c'est le ligament ovalaire ossifié qui
estable. J. L. Petit avait dit que, dans les luxations spontanées, la
tête
du fémur était chassée de la cavité cotyloïde par
dans ce cas? Le liquide distend la capsule, augmente sa capacité; la
tête
alors peut sortir, prendre la place du liquide, q
pe à son tour la cavité cotyloïde. Mais pourquoi ce déplacement de la
tête
? Il tient à la grande loi générale de l'attitude
et graisseux de l'articulation, peuvent produire le déplacement de la
tête
, l'allongement de la capsule, et par suite la lux
en qui jouissait de ce singulier privilège. c. Le déplacement de la
tête
fémorale, chez le fœtus, tient à une maladie de l
usse pas toutefois complètement cette explication; on comprend que la
tête
fémorale abandonnant en partie la cavité de récep
augmenter cette disposition, allonger la capsule, et faire sortir la
tête
du fémur de la cavité cotyloïde. 2° La luxation
aces, lorsqu'elles ont eu une longue durée. o° Le déplacement de ta
tête
du fémur est dû à une maladie de l'articulation,
tion normale du côté droit; à gauche, existe un dépla cernent de la
tête
du fémur constituant une luxation juxta-cotyloï-d
ure, on trouva la capsule étendue, allongée, ce qui avait permis à la
tête
de se loger au-dessus du rebord cotyloïdien. Il s
vité cotyloïde, ont été invoquées pour expliquer le déplacement de la
tête
fémorale. On a eu tort de rapporter à cette cause
core de relâchement, de ramollissement de la capsule, permettant à la
tête
de s'éloigner peu à peu de l'os coxal. Ce mécanis
articulation à un défaut du germe. Il n'y aurait pas eu contact de la
tête
et de la cavité cotyloïde; la capsule serait rest
ique extérieure. Dans la seconde, on suppose que le déplacement de la
tête
du fémur est dû à une maladie de la hanche. Les a
s cette première forme, la capsule, parfaitement intacte, renferme la
tête
du fémur tout entière ; elle empêche un contact i
l'articulation de l'épaule à la suite de la paralysie du deltoïde. La
tête
du fémur est solidement fixée dans la place qu'el
r qu'elle peut exister dans ces deux classes de lésions, parce que la
tête
, d'abord intra ou juxta-cotyloïdienne, peut, par
portion cotyloïdienne lui sont dévolues ; c'est elle qui contient la
tête
du fémur. Ses attaches à la base du col n'offrent
nt rien d'anormal. Sa surface interne est en rapport immédiat avec la
tête
et le col, et lubrifiée par la synovie. Sa surfac
ule ; ses rapports avec eux varient d'ailleurs suivant le siège de la
tête
fémorale. c. La portion intermédiaire ou libre
de M. Broca, la pseudarthrose étant juxia-cotyloïdienne ; lorsque la
tête
est plus éloignée de sa cavité, la portion libre
, dont les rapports avec la capsule varient suivant la position de la
tête
du fémur ; leurs tendons viennent encore fortifie
s avez dans le premier cas une organisation unitive, qui maintient la
tête
du fémur dans une position fixe. Nous pouvons d
du poids des parties supérieures. Dans le cas que nous examinons, la
tête
de ces os est située plus en arrière et tendrait
ment dans ce cas? Nous le savons pour les luxations pathologiques. La
tête
du fémur se creuse à l'intérieur du cotyle une dé
destruction de l'arête, en une immense cavité, dans laquelle joue la
tête
du fémur. Ce genre de déformation, déjà interprét
mmence à revenir sur elle-même et à se resserrer ; à quelle époque la
tête
fémorale peut repasser dans le cotyle normal; qua
qué la vingtième année comme l'époque à laquelle la translation de la
tête
d'un cotyle dans l'autre n'est plus possible. Cet
l y a des exemples d'enfants âgés de moins de 12 ans chez lesquels la
tête
fémorale était déjà invariablement fixée dans ses
nce que les dimensions de la capsule permettent le libre retour de la
tête
vis-à-vis de l'ancien cotyle ; que toutefois il e
s; le lecteur comprendra aisément pourquoi. sujet adulte, amener la
tête
du fémur sur la cavité cotyloïde, et M. Sédillot
rétrécie chez un sujet âgé de 8 ans; elle ne pouvait plus recevoir la
tête
du fémur, et présentait déjà la forme triangulair
due de la cavité reste plus longtemps en rapport avec le volume de la
tête
du fémur. Des changements considérables s'opère
fémur. Des changements considérables s'opèrent dans la forme de la
tête
et du col : la tête diminue souvent de volume, s'
ments considérables s'opèrent dans la forme de la tête et du col : la
tête
diminue souvent de volume, s'allonge, s'aplatit;
On a observé, dans des cas fort rares, une destruction complète de la
tête
et du col; en voici un exemple qui m'a été remis
Même dans le cas où il n'y a point contact immédiat entre les os , la
tête
du fémur, en comprimant l'os iliaque, y détermine
la distance verticale qui sépare le centre du cotyle du point que la
tête
fémorale occupe dans sa position vicieuse. Ce rac
issement se trouve naturellement en rapport avec le déplacement de la
tête
; plus elle est remontée, plus aussi le membre in
ution notable de longueur du membre abdominal luxé ; c'est lorsque la
tête
, déviée en arrière et un peu en bas, près de l'éc
ité cotyloïde du siège de la pseudarthrose. Plus tard, sans que cette
tête
se soit élevée davantage et par le seul fait de l
est point ainsi ; l'existence d'une cavité dans laquelle s'enfonce la
tête
, le raccourcissement de cette tête et du col crée
cavité dans laquelle s'enfonce la tête, le raccourcissement de cette
tête
et du col créent des exceptions à cette règle gén
uxé. Un autre caractère de la luxation se tire de la position de la
tête
du fémur. Dans l'état physiologique, elle est pro
e l'ancien cotyle. Dans le plus grand nombre des cas, toutefois, la
tête
fémorale ne peut être sentie lorsque le membre es
desmose que dans la pseudo-diarthrose, parce que dans la première, la
tête
, n'étant pas reçue dans une cavité, peut se prome
rc de cercle plus ou moins étendu. Dans le mouvement de flexion, la
tête
du fémur descend au-dessous des muscles qui la re
té profonde. Dans ce dernier cas, on parvient quelquefois à sentir la
tête
en avant, près de l'épine iliaque, lorsqu'on impr
et un peu d'habitude, il est rare qu'on ne finisse pas par trouver la
tête
du fémur, surtout dans la luxation simple, où l'o
peut être plus obscur si la luxation est double. Si la saillie de la
tête
en arrière, dans la flexion de la cuisse, est alo
primant des mouvements de rotation au membre luxé, on ne sent plus la
tête
rouler sous les doigts. Mais on ne la sent guère
nt qu'après avoir dénudé la capsule; la raison en est due à ce que la
tête
fémorale, même clans les mouvements de rotation l
consiste sa deuxième erreur, — qu'il y a glissement, ascension de la
tête
sur l'os iliaque; il n'en est rien cependant; la
a luxation est double, surtout quand il existe dans la position de la
tête
fémorale quelque différence d'un côté à l'autre.
le abaissée de l'épine antéro-supérieure que le trochanter gauche. La
tête
du fémur ne soulève plus les parties molles de l'
que. Vous êtes témoins du genre de claudication que j'ai indiqué. Les
têtes
fémorales sont senties par la main, sans qu'il so
ertainement affaire, chez cette fille, à une pseudo-syndesmose. Si la
tête
se trouvait renfermée dans une cavité, elle ne po
deux ou trois fois dans ma pratique. Il est impossible de sentir les
têtes
des fémurs, et cependant nous avons des signes de
nes déprimées, les trochanters saillants, l'abduction très-bornée. La
tête
doit se trouver au-dessous de l'épine iliaque.
ements ; il n'y a presque pas de mobilité du côté gauche. On sent les
têtes
fémorales dans l'extension ; l'ensellure lombaire
i déjà parlé de la luxation centrale, constituée par le passage de la
tête
à travers le fond de la cavité cotyloïde. La tête
ar le passage de la tête à travers le fond de la cavité cotyloïde. La
tête
fémorale elle-même peut être détruite, et le col
e col a quelquefois une brièveté insolite ; le grand trochanter et la
tête
du fémur sont alors moins distants l'un de l'autr
conformation avec une pseudarthrose iliaque. Dans certains cas, la
tête
du fémur est plus basse que le grand trochanter;
udarthrose. Ce qui distingue ces cas, ce sont les faits relatifs à la
tête
fémorale : la dépression inguinale fait dé faut
nale fait dé faut; on ne sent pas le relief et le déplacement de la
tête
sur l'ilium, etc. Vous voyez donc l'importance de
te sur l'ilium, etc. Vous voyez donc l'importance de cet examen de la
tête
du fémur. La saillie formée par cette tête vient-
rtance de cet examen de la tête du fémur. La saillie formée par cette
tête
vient-elle à manquer, le caractère tiré de l'exis
ements du membre, de grands arcs de cercle décrits sur l'ilium par la
tête
fémorale. A ces signes physiques s'ajoute le co
e que la chute a donné lieu à une coxalgie, à la suite de laquelle la
tête
du fémur est sortie de sa cavité. Une analogie fr
intra-cotyloïdienne a des signes propres ; si vous avez affaire à une
tête
qui ne remplisse pas la cavité cotyloïcle, vous p
de luxations fémorales. Il faut également préciser la position de la
tête
du fémur relativement au cotyle, reconnaître si l
n attentif. On doit aussi essayer de déterminer quel est l'état de la
tête
et du col fémoral, s'il y a syndesmose ou diarthr
xation sus-cotyloïdienne. Pendant la vie, on ne pouvait distinguer la
tête
du fémur. Comment reconnaître que cette tête est
ne pouvait distinguer la tête du fémur. Comment reconnaître que cette
tête
est détruite? On ne peut avoir que des présomptio
ons à cet égard ; on ne sera jamais sûr du fait. On ne sentira pas la
tête
, dira-t-on : cela est vrai; mais elle échappe dan
as. On présumera pendant la vie qu'il y a abaissement du col, si la
tête
fémorale est située sur la même ligne que le troc
e sur la même ligne que le trochanter. L'étendue des mouvements de la
tête
du fémur fournira le signe distinctif principal e
tique; la capsule présentait une ouverture en bas, vers l'ischion. La
tête
pouvait être ramenée au niveau de la cavité cotyl
r des accidents; on peut tenter par des mouvements doux de ramener la
tête
dans sa cavité de réception ; on y a réussi, mais
l'état inflammatoire est passé, il reste une luxation, et souvent la
tête
s'est déjà creusé une cavité nouvelle. On a très-
est déformé, effacé en partie, de manière à ne pouvoir plus loger la
tête
osseuse. Quelques auteurs ont avancé, il est vrai
et presque toujours chez des sujets très-jeunes, les dimensions de la
tête
et du cotyle sont restées en relation de volume.
rose est couché, pour peu qu'on tire sur le membre luxé, on ramène la
tête
du fémur au même niveau que la tète du côté oppos
oute qu'en refoulant la cuisse de bas en haut, on fait parcourir à la
tête
fémorale un trajet inverse, parallèlement à l'axe
e chirurgien de l'Hôtel-Dieu et lui a fait croire au glissement de la
tête
fémorale. Si nous prenons la précaution de fixer
nts soumis à mon observation, si je rencontrerai cette mobilité de la
tête
; je ne l'ai pas encore trouvée. Il se peut que, d
juxta-cotyloïdiennes, la capsule soit assez lâche pour permettre à la
tête
de rentrer dans sa cavité. Ces cas sont favorable
s de réduction ; on pourra réussir dans des cas pareils à replacer la
tête
fémorale dans le cotyle, mais on éprouvera de trè
avaz ont dit : la luxation était iliaque; Humbert a fait descendre la
tête
dans la région ischiatique ; il y a là une amélio
deux sujets que j'ai examinés, je n'ai rien trouvé de semblable : la
tête
du fémur, luxée dans la fosse iliaque externe, oc
e qu'elle était avant le traitement, sans même que la situation de la
tête
du fémur ait été modifiée ! Ce n'est pas une re
anda pour l'examiner une commission dont je fis partie. Je trouvai la
tête
du fémur dans la fosse iliaque externe, ainsi que
e avons essayé sans succès de réduire le déplacement congénital de la
tête
du fémur. Heine dit avoir, dans quatre cas, pro
à des manœuvres appropriées. Je n'ai pu constater l'abaissement de la
tête
du fémur chez ceux de ces sujets qu'il a pu me mo
le sur l'ilium, en supposant que l'on ail pu préalablement ramener la
tête
en contact avec le lieu de l'ancien cotyle (1).
parce qu'elle paraîtra un peu diminuée. Vous ne méconnaîtrez pas une
tête
fémorale qui continuera d'être mobile sur la face
r la face externe de l'ilium, et vous ne prétendrez pas que c'est une
tête
à demi enfoncée dans le cotyle, quoique ces deux
convénients qui en sont la conséquence : la liberté trop grande de la
tête
fémorale dans l'exercice physiologique de ses fon
ue de ses fonctions; la possibilité du déplacement successif de cette
tête
sur la face externe de l'os des îles. Voici un ex
, est la cavité ancienne; le second a été occupé momentanément par la
tête
; le troisième est celui sur lequel elle reposait
un adulte chez lequel la laxité des articulations était telle, que la
tête
du fémur pouvait être portée dans plusieurs direc
bisme dû à cette cause ; ordinairement, dans ces cas, c'est plutôt la
tête
qui se tourne que le globe oculaire. L'ophthalm
ction , l'astragale est immobile, et tout le pied pivote autour de la
tête
de cet os par un mécanisme assez compliqué, que j
. Ainsi, sur ce pied de M. Lacour, qui appartenait à un sujet âgé, la
tête
de l'astragale est déprimée du côté externe, ce q
u pied, incliné en dehors, présente une saillie osseuse formée par la
tête
de l'astragale, et une autre moins prononcée qui
paraît au-dessous de la malléole interne. La plus grande partie de la
tête
astraga-lienne est ainsi mise à nu sous les parti
L'angle médio-tarsien se traduit sur le vivant par la sailiie de la
tête
de l'astragale au dos du pied, par celle de l'ext
quoique plus rarement, à l'extrémité antérieure du calcanéum et à la
tête
de l'astragale. La peau de cette région devient é
s peu après la naissance ; vous serez frappés de la déformation de la
tête
et du col de l'astragale. Mais il y a divers degr
la facette scaphoïdienne, indiqué par un petit rebord qui traverse la
tête
cartilagineuse, et par l'empiétement de cette fac
rélrécie et tend à devenir pointue, tandis que dans un os normal, la
tête
de l'astragale déborde le col. Enfin , dans un
l'astragale déborde le col. Enfin , dans un troisième degré, cette
tête
finit par ne plus former que le sommet mousse de
i de sa surface, là où le scapboïde l'a abandonné; ce qui reste de sa
tête
, du côté externe, devient une sorte de tubérosil
ition différente. Elles proviennent des deux pieds d'un sujet âgé. La
tête
de l'astragale, au lieu de se partager en deux po
La facette cuboïdienne est en paitie convertie en tubérosité comme la
tête
de l'astragale. Nous avons déj'i vu que le calc
ité des sections tendineuses. Paris, 1841, pag. 434. laisse à nu la
tête
de l'astragale en dedans et en bas. En même temps
est formée par la malléole interne, l'autre, située plus bas, par la
tête
de l'astragale; la troisième, moins proéminente,
est portée encore plus loin ; son axe dénient presque vertical et sa
tête
regarde presque directement en bas. Sa poulie, en
tendon d'Achille ; la facette cuboïdienne se dirige en bas, comme la
tête
de l'astragale. Mais, d'une autre part, il se pro
inte, c'est-à-dire qui poserait uniquement sur les orteils et sur les
têtes
des métatarsiens; c'est ce qu'on peut appeler le
nt que lui imprime déjà dans ce sens l'inclinaison de l'astragale; la
tête
as-tragalieune se trouve à nu au dos du pied; vou
pas assez sur le long péronier pour empêcher la sustentation sur les
têtes
du métatarse, il peut arriver qu'ils se bornent à
un équin valgus, légèrement enroulé. Vous remarquez la saillie de la
tête
de l'astragale au côté interne du pied ; le talon
s étaient indépendants les uns des autres, les rachitismes : 1° de la
tête
, 2° du ra-chis, 3° du thorax, k° du bassin, 5° de
ssin, 5° des membres thoraciques et abdominaux. a. Rachitisme de la
tête
. — Le rachitisme du crâne se manifeste par la len
développement du crâne. Il rappelait l'ossification imparfaite de la
tête
des hydrocéphales, qui a tant de rapport avec cel
du cerveau, ainsi que sur la formation de l'hydrocéphalie. La grosse
tête
de beaucoup de rachitiques, même abstraction fait
courbure sensible. Le thorax est légèrement déprimé sur les côtés. La
tête
est très-petite, le front déprimé, et si vous che
de cet arrêt de développement intra-utérin décrit par M. Depaul. La
tête
, chez cet enfant, n'est pas volumineuse, et la fo
, cette courbure serait congénitale. Les fontanelles sont fermées, la
tête
est peu volumineuse et les bosses frontales ne so
pas de saillie exagérée des bosses frontales; volume ordinaire de la
tête
; chapelet à peine sensible au thorax, ce qui vien
à éburnation des os. IVe cas. — Enfant de quatre ans et trois mois.
Tête
un peu grosse, fontanelle ossifiée ; le thorax es
hitique, dont je vous entretiendrai bientôt. La taille est petite, la
tête
grosse, le thorax déprimé latéralement, avec chap
vait pu être délivrée dans deux grossesses que par le broiement de la
tête
de l'enfant. Le détroit supérieur n'a que six cen
ssi être tournée directement en dehors. Il en résulte que l'axe de la
tête
du fémur n'est plus en rapport avec celui du coty
a tête du fémur n'est plus en rapport avec celui du cotyle, et que la
tête
tend à se luxer vers le trou ovalaire. Cette situ
la tête tend à se luxer vers le trou ovalaire. Cette situation de la
tête
fémorale, l'obliquité augmentée de la partie supé
Le premier est un enfant de nos salles, âgé de quatre ans et demi. La
tête
est assez volumineuse, les bosses frontales sont
nous trouvons les particularités suivantes : fontanelles très-larges,
tête
assez volumineuse; rien aux clavicules; rachis tr
ffirme que jusqu'à cinq mois, sa santé était très-belle; seulement sa
tête
était plus volumineuse qu'elle ne l'est actuellem
urd'hui, elle est âgée de deux ans, et voici ce que nous constatons :
tête
de volume normal, fontanelle persistante, onze de
ennent : le volume disproportionné et la configuration spéciale de la
tête
et de l'abdomen, les nœuds articulaires, une fort
ure des signes que l'on observe. Le grand volume et la mollesse de la
tête
, la flexion du rachis en avant, se voient plus fr
jeunes enfants ont même de la peine à se tenir assis, à soutenir leur
tête
, qu'ils laissent tomber de côté et d'autre. C.
. — Voici une petite fille âgée de six ans, qui n'a jamais marché. Sa
tête
a un volume normal, et la fontanelle est complète
déviation rachitique des genoux. Au volume encore considérable de la
tête
, à la forte saillie des bosses frontales, vous ju
dle, âgée de deux ans. Elle a l'apparence d'une santé florissante; la
tête
a un volume ordinaire et la fontanelle est complè
e l'emploi des machines, cette petite fdle , âgée de dix-neuf mois, à
tête
volumineuse, à bosses frontales saillantes. Je lu
es au-devant du rachis, la pesanteur, l'action des fléchisseurs de la
tête
et du tronc, et deux résistances placées en arriè
i se contre-balance elle-même en grande partie dans l'équilibre de la
tête
sur la colonne vertébrale. L'équilibre est le m
e correspond directement au-dessus d'une ligne qui joindrait les deux
têtes
des fémurs. Or, dans cette attitude du bassin,
orsale au poids des membres supérieurs, de certains viscères et de la
tête
elle- (1) Des principaux vices de conformation
et par une raison semblable, pour ramener le centre de gravité de la
tête
dans la verticale avec laquelle doit coïncider l'
d de contractions musculaires. Ceux qui ont la vue courte baissent la
tête
pour regarder les objets de plus près ; d'autres
leur faisant surmonter la résistance d'un poids tendant à fléchir la
tête
en avant; j'ai moi-même fait construire plusieurs
fatigués sans doute par l'effort du poids, ne redressent nullement la
tête
et conservent leur position vicieuse, ou même l'a
l'engage à la repousser en arrière par un effort des extenseurs de la
tête
, en répétant ce mouvement plusieurs fois de suite
elque continuité dans les efforts des muscles. En maintenant alors la
tête
ou le tronc dans une meilleure attitude par des l
aux efforts de l'art; ils maintiennent au moins le statu quo. A la
tête
, on emploie spécialement des bandeaux qui la tire
ibre. La cyphose, à ce degré, déplace et déforme tout lé tronc ; la
tête
touche au sternum , les regards fixent la terre ,
reur Antorwi. 22. subite ou lente occupant les fléchisseurs de la
tête
et du tronc, et donnant lieu à une cyphose persis
la voit guère que passagèrement, chez des enfants au maillot, dont la
tête
volumineuse, ne pouvant être encore soutenue par
par flexion. Elle n'exige d'autres soins que de donner jusque-là à la
tête
un support artificiel. II. Lordose lombaire. —
che davantage de la verticale ; la ceinture pelvienne bascule sur les
têtes
des fémurs, de manière que sa partie postérieure
avec les vertèbres auxquelles ils s'insèrent. Le haut du tronc, la
tête
, les épaules, tout le membre supérieur, sont droi
seulement, au lieu de faire effort contre la partie postérieure de la
tête
ou du tronc de l'enfant, c'est en avant que les m
crire une courbe inverse de celle de la région lombaire ; on élève la
tête
, et surtout le bassin et les membres inférieurs.
ieurs. On peut, dans cette attitude, fixer le bassin d'une part, la
tête
, le haut des membres supérieurs ou la poitrine, d
une affection aiguë dans laquelle la difformité, l'inclinaison de la
tête
et des vertèbres ne jouent qu'un rôle très-second
té sont forcés de tenir le cou saillant en avant, XopSov, afin que la
tête
ne soit pas pendante (1). » Et Galien explique cl
clinaison des vertèbres dorsales dans ce cas, les malades auraient la
tête
penchée vers la terre s'ils ne relevaient le cou
al avec cyphose du haut de la région dorsale. Le renversement de la
tête
est alors d'autant plus prononcé, que la lésion e
ce eous vos yeux la photographie d'un malade de M. Duchenne , dont la
tête
est ainsi renversée par suite d'une paralysie de
alysie de ses extenseurs. Cet homme n'évitait la flexion forcée de la
tête
et la suffocation qui en eût été la suite, qu'en
minaux , la lordose cervicale dans des monstruosités partielles de la
tête
. Tl est une lordose congénitale générale, remar
sous la base du crâne. Les membres inférieurs sont suspendus sous la
tête
à des os iliaques imparfaitement développés et sé
dans tous ses mouvements aux autres sections du corps et surtout à la
tête
, au thorax, aux membres supérieurs et au bassin.
t distinct de sa flexion latérale. Dans cette attitude du tronc, la
tête
, le cou, l'une des épaules, un côté du thorax s'a
x. D. Si l'on se hanche fortement, et si en même temps on penche la
tête
du côté de la hanche qui s'abaisse, on pourra fai
ssent par les rendre habituelles. Je citerai l'habitude de pencher la
tête
en regardant de côté, qui détermine à la longue u
ompensation. — Dans toutes les espèces de torticolis qui inclinent la
tête
latéralement, une courbure de compensation, qui n
tite fille âgée de treize ans qui vous présente une inclinaison de la
tête
à droite due à une synovite cervicale , probablem
nformé. Il a une ophthalmie depuis bientôt six semaines et incline la
tête
à droite; il en est résulté une très-légère vouss
. — Fille, douze ans et demi. Ophthalmie déterminant la flexion de la
tête
à droite. Très-légère voussure dorsale du même cô
tourne en effet, dans certains cas, avec la colonne vertébrale. D.
Tête
. — La tête, malgré ses connexions et son analogie
effet, dans certains cas, avec la colonne vertébrale. D. Tête. — La
tête
, malgré ses connexions et son analogie avec les v
ors uniquement son étroitesse qui la fait paraître plus longue. Cette
tête
d'une jeune fille gibbeuse vous permettra de véri
s, de même qu'on voit le sterno-mastoïdien, par exemple, tirer sur la
tête
et la maintenir inclinée par sa seule rétraction.
ent les courbures, lorsqu'une force étrangère suspend le corps par la
tête
ou par les membres supérieurs, de manière que le
nd à se coordonner de manière à produire des attitudes spéciales : la
tête
, une des épaules, le bassin, s'inclinent à droite
dresser la colonne vertébrale en donnant une position convenable à la
tête
, aux épaules, aux membres inférieurs, quand la fl
appelle un bon maintien, devra habituer les muscles extenseurs de la
tête
et du rachis à agir avec une force convenable, de
eut être un lit ordinaire, auquel on donne un peu d'inclinaison de la
tête
aux pieds, et un peu plus de fermeté qu'aux lits
férable si on a le choix. Lorsque le plan est horizontal, on élève la
tête
au moyen d'un coussin, surtout chez les sujets pr
nmoins exempts des inconvénients attachés à la position déclive de la
tête
et à l'inertie musculaire; ils jouissent, au cont
ties supérieures. Elle le fait un peu moins complètement , puisque la
tête
, le cou, le sommet du thorax , pèsent encore sur
'a pas été modifiée. Je lui fais lever le bras gauche au-dessus de la
tête
; la courbure dorsale diminue un peu, mais la cour
rocédés : on attachait, par exemple, le malade sur une échelle par la
tête
et le haut de la poitrine, ou par les hanches et
le précipitait du haut d'un toit ou d'un mât, les pieds en bas ou la
tête
la première, en lâchant une corde de manière que
ette anglaise, qui suspendait les enfants par le dessous des bras, la
tête
et les mains, pour étendre le rachis par le poids
manière permanente, au moyen d'une tige recourbée au - dessus .de la
tête
et fixée au corset lui-même. Ce ne fut que plus
et extensibles. Lorsque, sur ces enfants, nous ne saisissions que la
tête
pour pratiquer la contre-extension, l'effet était
r des hanches. On a renoncé au bonnet deVenel, qui entourait toute la
tête
, ainsi qu'aux liens placés sur les membres inféri
is souple et bien matelassé, bouclé sous le menton, sert à retenir la
tête
et à lui transmettre la force contre-extensive. C
ont nous nous occuperons bientôt, tantôt on se contente de retenir la
tête
. La force d'extension agit sur le bassin par l'
barillet, ou un simple ressort en boudin. On fixe ces ressorts à la
tête
et au pied du lit; on fait aboutir à l'un d'eux l
s a glissé vers le pied du lit, elle devient plus forte du côté de la
tête
. L'enfant se remonte alors et le premier état se
es mouvements et des efforts musculaires, qui tendent à rapprocher la
tête
et le bassin et à augmenter la tension des ressor
excès de pression du collier, et la tendance aux congestions vers la
tête
qui pourrait en être la suite. Cette pièce , qu
e tension des courroies et du ressort inférieurs, sans danger pour la
tête
et le cou, qui cessent de supporter la contre-ext
t de repos, ne doit pas dépasser huit à dix kilogrammes du côté de la
tête
, et dix à quinze du côté du bassin. 2° Pression
e, et elles parent aux inconvénients d'une traction trop forte sur la
tête
ou sur les aisselles. Elles font porter plus spéc
vient un exercice passif utile. On peut même soulever l'enfant par la
tête
, lui faire , comme on dit vulgairement, voir son
de moyens. Nous soulevons avec les mains, sur ces enfants, soit la
tête
, soit les membres supérieurs et le haut du thorax
On produit moins d'effet, dans ces expériences, en agissant sur la
tête
que sur les membres supérieurs. Aussi les apparei
les membres supérieurs. Aussi les appareils à arbre suspenseur de la
tête
, comme celui de Levacher et les minerves modernes
dit qu'on avait à peu près renoncé à faire agir ces appareils sur la
tête
et le cou dans la scoliose dorso-lombaire. Les
71 Mécanisme de la guérison................. 75 Déformation de la
tête
et du rachis............... 78 § II. — Diagnost
isme des différentes régions............... 280 a. Rachitisme de la
tête
................. ib. / . Rachitisme des vertèbr
.................... 398 C. Bassin........................ 404 D.
Tête
......................... 406 E. Membres........
des chats auxquels elle fait la chasse. Ces animaux se-montrent à la
tête
de son lit et du côté droit. Aujourd'hui elle s
arteau sur la région tempo-rale, surtout à droite, et le sommet de la
tête
est le siège d'une vive douleur. Ces phénomènes
mêmes transports. Elle court à demi nue, les cheveux aux vents, la
tête
renversée, balançant le tronc en avant et en arri
ntissant sa marche, et élevant les bras qu'elle agite au-dessus de sa
tête
(fig. 1). Elle pousse des cris de bête féroce o
rique à gauche 17, à droite 20. Elle souffre dans le côté droit de la
tête
et dans le côté, gauche du ventre. Des douleurs e
nt les yeux. Marie B... voit des chats noirs, des rats grimper à la
tête
de son lit, du côté droit2. Aussitôt qu'elle s'as
voix qui lui commandent « toutes sortes de choses ». Elle a mal à la
tête
et se sent horriblement fatiguée. Vers le soir
ralisées qui reviennent toutes les minutes environ. Tout d'un coup la
tête
se renverse, la bouche s'ouvre, tes yeux se ferme
la figure, sifflements d'oreille surtout à droite, battements dans la
tête
, surtout dans la tempe droite. L'obnubilation de
yeux, et en même temps que son intelligence s'obscurcit, elle sent sa
tête
qui se tourne adroite et ses mains qui se crispen
t. Au même moment la douleur au ventre, au creux épigastrique et à la
tête
at-teint son summum. La suffocation est extrême,
t-taques qui, suivant sou dire, ne peuvent tarder. Elle souffre de la
tête
, du ventre et des reins. Elle laisse échapper s
louissements, de suf-focations et de vertiges. Hier les douleurs de
tête
ont augmenté de violence et l'agitation a été en-
s d'éther ne la calment qu'imparfaitement. Ce matin les douleurs de
tête
sont encore plus violentes. « C'est comme du feu,
'ai la cervelle en ébullition. » Il lui est impossible de demeurer la
tête
sur l'oreiller. « On dirait que j'ai la tête sur
mpossible de demeurer la tête sur l'oreiller. « On dirait que j'ai la
tête
sur des charbons ardents. Je ne puis me coucher s
ligne médiane, au point de venir se heurter par leur face dorsale. La
tête
se raidit, s'enfonce entre les deux épaules, droi
s, mais le plus souvent avec une prédominance marquée d'un côté. La
tête
se raidit, se renverse lentement en arrière, fais
n plusieurs temps, et le bras demeure un moment élevé au-dessus de la
tête
avant de redes-cendre (fig.18). Les jambes non se
ouvent elle est dans l'extension complète et le décubitus dorsal La
tête
est renversée en arrière, le cou gonflé au plus h
corps, courbé en arrière et ne reposant plus que sur les pieds et la
tête
, peut simuler Y arc de cercle, et que les bras, é
t lout le corps, les traits de la face sont agités convulsivement, la
tête
est animée d'oscillations rapides aussi bien que
minent sou-vent aux membres supérieurs ou d'un seul côté du corps. La
tête
elle-même participe à ces mouvements, qu'on ne sa
e plus bas de la courbe. Le corps est dans le décubitus dorsal ; la
tête
s'affaisse le plus souvent sur une épaule, la fac
nt météorisé. ï°Phase tonique. — a) Grands mouvements toniques. —La
tête
tourne à gauche. La respiration est suspendue, le
ace. La bouche est tirée sur les côtés, l'écume sort des lèvres. — La
tête
se raidit, s'enfonce entre les deux épaules, la g
gide en diverses situa-tions, le plus souvent les membres étendus, la
tête
renversée, le bassin soulevé, et le tronc tourné
e stertor. 3° Phase de résolution. — La résolution est complète, la
tête
retombe sur une épaule, l'écume coule des lèvres;
ccusées. La première période est écourtée. Les yeux se convulsent, la
tête
tourne à gauche, les bras exécutent le moulinet h
t courbé en arrière er forme d'arc, ne reposant sur le lit que par la
tête
et les pieds. Le ventre souvent météorisé forme l
de cercle. La courbe du corps peut être plus ou moins accusée et la
tête
se rapprocher des talons. Tantôt la tête ne parti
plus ou moins accusée et la tête se rapprocher des talons. Tantôt la
tête
ne participe pas à l'arc de cercle, et la malade
e sur la partie supérieure du dos (fig. 36); tantôt, au contraire, la
tête
portée, au dernier degré de l'extension, se rappr
se sur l'oreiller (fig. 44). Au lieu de reposer sur les pieds et la
tête
, la malade peut ne porter que sur un point du ven
urgiens d'Edimbourg.«J'ai pris ce dessin sur des soldats blessés à la
tête
à la bataille de Coronne. Trois hommes étaient se
et te un soldat atteint d'opisthotonos à la suite d'une blessure à la
tête
. On remarquera particulièrement la contracture de
e dans la position de Varc de cercle, les pieds fort rapprochés de la
tête
et le ventre très proéminent (fig. 44). Elle deme
ntre, au lieu de reposer sur ses deux extrémités, c'est-à-dire sur la
tête
et les pieds. Lorsque cette phase des contorsio
ands mouvements limités à un seul membre. vivement, et le dos et la
tête
frappent avec violence l'oreiller. Dans ce mouvem
t reproduit d'une façon analogue par les jambes seulement, ou bien la
tête
et les jambes participent à la fois au mouvement
nce. Ler.... se soulève, tout le corps reposant sur les pieds et la
tête
seulement, puis elle se laisse retomber sur le li
uve (fig. 55). Fig. 55. — Cris de rage. Elle frappe son lit de la
tête
en même temps que des poings, ré- Fig. 50. —Mou
ouvements désordonnés. pétant ce mouvement jusqu'à satiété, puis la
tête
est animée d'un mouvement de rotation rapide. Ell
côtés, fléchit les jambes pour les étendre brusquement, se- coue la
tête
en la balançant d'avant en arrière et en poussant
mouvement de va-et-vient d'arrière en avant ou de gauche à droite; la
tête
se fléchit et s'étend en même temps qu'elle subit
ipitent peu à peu, augmentant à la fois de vitesse et d'intensité. La
tête
, droite, renversée en arrière dans l'oreiller, su
e force invisible. Elle est couchée sur le dos, étendue en croix : la
tête
, droite, légèrement renversée en arrière ; les ye
agresseur, après l'avoir placée en travers sur le lit, lui attacha la
tête
, les deux bras enjeroix, et une-seule jambe, la j
e la vision (fig. 65), et accompagne ce geste de petits mouvements de
tête
latéraux tout à fait significatifs. Puis, tout d'
coups sont dirigés (fig. 76). Elle lutte avec le poing, les pieds, la
tête
et les dents. Elle s'acharne après l'ennemi vainc
n autre village, elle rencontra un chien qui avait les yeux hors delà
tête
, la gueule pleine de bave, la queue traînante et
t inintelligibles. Elle chante entre ses dents avec des mouvements de
tête
, et son expression devient radieuse. Enfin elle
parcourait la salle, en s'arrachant les cheveux et en frappant de la
tête
les murs et le parquet. Elle criait : « Ah! malhe
ive et joyeuse, ac-compagne le rythme du morceau, de mouvements de la
tête
et du doigt; ce sont les rats qui apparaissent to
revient un peu à elle : « Ah ! mon Dieu, mon Dieu, que j'ai mal à la
tête
, j'ai mal au cœur. Otez-moi donc cela qui me gêne
... Ah! (Piire bruyant.) Ah! du punch! Ah! donne-m'en encore!... » La
tête
appuyée sur son bras fléchi, elle demeure longtem
ignité théâtrale, et montrant du doigt un petit crucifix attaché à la
tête
de son lit : « Si je voulais te confondre, regard
ré en partie connaissance, elle se plaint de douleurs atroces dans la
tête
ou dans les membres, est prise de vertiges, et vo
crois-tu qu'il a tué sa femme ? (Elle s'assied sur son lit, tourne la
tête
de côté et d'autre.) Tiens, v'ià pour toi! (Elle
n criant : « A chat! à chat! » Elle se frotte les mains, frappe de la
tête
sur le lit, a plusieurs éructations qu'elle accom
, je veux f. mon camp... Entends-tu les bourdons... J'ai t'y mal à la
tête
... Ça m'étonne que je ne voie pas le diable (Rire
onc les bêtes... Faut que je m'en aille... J'ai une chaudière dans la
tête
, tu vois bien que ça bout. Laisse-moi... Arrête m
ts, mouvements de lappement, hoquet. Ler... prétend qu'on lui tire la
tête
, les « pés » (les pieds) ; cette dernière sensati
. Elle détire ses membres, se plaint de souffrir de l'épigastre, à la
tête
; bavarde; on court après elle, elle tente de s'ég
une contre l'autre, parce qu'elle a des « fourmiches » ; se gratte la
tête
; s'imagine que sou lit marche et roule: que tout
46. 2. Witt..., comme presque toutes les hystériques, avait orné la
tête
de son lit de fleurs artificielles. 3. Causes c
e à chat! à chat!... exécute des mouvements rapides de rotation de la
tête
, pousse des grognements de rage, demande à boire.
— Semblable à la précédente. 2° Période. — Grands mouvements; — la
tête
frappe l'oreiller; — puis arc de cercle parfait
le, avec l'accent de la plus profonde admiration ; elle exécute de la
tête
et des bras un mouvement de balancement cadencé :
mière électrique. Ah! ça balance!... » Elle imite avec les bras et la
tête
le mouvement du bateau. Mais tout d'un coupelle s
vre le visage de ses mains, pousse des cris de terreur et se cache la
tête
dans son oreiller. d). Mais bientôt elle se red
ts, cris.— Nouvel arc de cercle, la malade repose sur les pieds et la
tête
; puis tout d'un coup elle se jette sur le ventre
ange : « Elle est tout en blanc... La belle couronne qu'elle a sur la
tête
.... Ah! c'est ça, je savais bien. Tiens, il va se
vais bien. Tiens, il va se coucher à côté d'elle. Je n'aime pas cette
tête
-là. Si j'étais gentille comme elle, je ne voudrai
séant, l'œil dirigé en haut, elle chantonne et marque la mesure de la
tête
et des mains. « Y en a-t-il, des paillettes d'or!
te et des mains. « Y en a-t-il, des paillettes d'or! Ça fait mal à la
tête
... Comme elles dansent bien!... Oh! ce gaz m'étou
, moi. Ah ! ah! » Elle rit, et demeure quel-ques instants couchée, la
tête
sur son bras gauche replié. Elle se soulève, un
ante qu'elle traduit en ces termes : «Oh! la terre qui s'ouvre... des
têtes
sortent... ce sont des fantômes... Tiens!... Oh!
vre... des têtes sortent... ce sont des fantômes... Tiens!... Oh! ces
têtes
affreuses! ces grimaces qu'elles font!... je n'ai
n angepourtanl... Ah! c'est ça... c'est un acteur!... Quelle drôle de
tête
il a...Tiens! Tiens! (Elle chan-tonne en prêtant
sque verticalement, et maintiennent les genoux contre la poitrine. La
tête
est renversée, les yeux grands ouverts, et la fac
écrie : «Ah .'boucher, chameau!... sale bête!... » Elle se cache la
tête
dans les oreillers, en poussant des cris très aig
« Non, je ne veux pas; sale bête, il veut me tuer; tu n'auras pas ma
tête
. » Elle se cache la tête dans les oreil-lers, en
ale bête, il veut me tuer; tu n'auras pas ma tête. » Elle se cache la
tête
dans les oreil-lers, en poussant des cris si aigu
arrière, les jambes à demi fléchies, les bras élevés au-dessus de la
tête
. La tête est tournée un peu à droite, les yeux so
les jambes à demi fléchies, les bras élevés au-dessus de la tête. La
tête
est tournée un peu à droite, les yeux sont convul
signe avec la main comme pour éloigner. III —a). Tout d'un coup la
tête
tourne à droite. Raideur générale dans l'extensio
d dirigé en haut et à droite. IV. — 10 h. 51. a). Tout d'un coup la
tête
tourne à droite; pendant la raideur générale, la
cercle renversé (fig. 46). c). Hallucination. La malade se tient la
tête
, elle veut fuir. Cette période est très courte.
e veut fuir. Cette période est très courte. III. — 10 h. 32. a). La
tête
tourne à droite et tout le corps se tétanise-dans
qui vient... Ils ne sont pas si beaux que chez nous, ils n'ont pas de
tête
rouge. » Elle les chasse du geste. « Tiens, voilà
54. Nouvelle attaque qui survient aussitôt après le baiser. a). La
tête
tourne adroite et la phase épileptoïde se déroule
aime pas, du reste; non je ne t'aime pas... » Elle fait des signes de
tête
et son regard est dirigé en haut et à droite. V
es éblouissements, et voit souvent appa-raître à sa gauche une grosse
tête
affreuse aux cheveux hérissés, aux oreilles énorm
is elle est beaucoup plus vive dans ce dernier point. Le sommet de la
tête
devient très douloureux; il existe des batte-ment
de cercle avec décubitus latéral droit, les bras derrière le dos, la
tête
renversée et tournée à droite. 10 h. 4 m. 40 s.
entre, la respiration se précipite. Le corps est dans l'extension,'la
tête
tourne à gauche, les yeux sont fermés et le visag
omme devant une vision effrayante: «Oh! j'ai peur. » Elle se cache la
tête
dans ses bras : « Oh! j'ai peur... ce rat... »
regarde fixement sur son lit. 10 h. 17 m. La malade se renverse, la
tête
tourne à droite, tout le corps est dans l'extensi
h. 21 m. 30s. La respiration bruyante se calme peu à peu. Bientôt la
tête
tourne à droite, et tout le corps également. Ondu
peur des queues de rats... » Et elle cherche à fuir. 10 h. 24 m. La
tête
tourne à droite. Ondulation du ventre; respiratio
poing fermé et le poignet fléchi. Les pieds sont en pied botvarus. La
tête
renversée tourne la face un peu à droite. Les yeu
. 23 mars 1870. La crise commence à 7 heures. Ernestine se cache la
tête
dans ses couvertures, se tournant de côté et d'au
ers, porte les mains à son cou, à sa poitrine et princi-palement à sa
tête
. Elle enfonce ses doigts dans sa bouche, mais san
ses sens, la malade est courbaturée, elle se plaint de souffrir de la
tête
, principalement de battements dans la tempe gauch
corps l'ovarie et l'hémianesthésie. Elle souffre aussi beaucoup de la
tête
et a l'humeur noire. Ses attaques s'écartent du
n-tent les caractères suivants : Tous les membres se raidissent, la
tête
se renverse en arrière, la face se congestionne,
de tous ces mouvements, la malade aune tendance à tournera gauche, la
tête
tourne au point que la face se cache dans l'ore
r de la raideur dans la partie supérieure du corps principalement. La
tête
s'en-fonçait légèrement entre les deux épaules, l
'arc de cercle parfait; tout le corps était incurvé en arrière, et la
tête
et les pieds reposaient seuls sur le lit. Les yeu
itation grandissait, la malade prenant appui sur les talons et sur la
tête
; il était nécessaire de l'envelopper pour pouvoi
ou-leur dans là région épigastrique, la région précordiale et dans la
tête
. La malade, sentant l'invasion du mal, essaye de
aideur tétanique de tout le corps, qui dure de cinq à dix minutes, la
tête
se tourne de côté. — A cette immobilité succède u
cris perçants, il y a des soubresauts vio-lents, la malade rejette la
tête
en arrière, les mains se crispent. Les bras et le
son enfant, lui est à charge. Puis l'attaque éclate brusquement. La
tête
se tourne à droite sur l'oreiller. Les yeux roule
est alternativement projeté en avant et en arrière, et chaque fois la
tête
retombe violemment sur l'oreiller. La malade est
on, le poing fermé, l'avant-bras en supination, le poignet fléchi; la
tête
s'incline à droite, les yeux grands ouverts, les
ulaire incomplet, car le côté gauche demeure toujours contracture. La
tête
exécute un mouvement de rotation rapide, en même
e : la physionomie perd toute expression, le bras droit se raidit, la
tête
se penche à droite, les yeux se convulsent en hau
sée d'un ténia par une seule prise de kousso. Je n'ai pu savoir si la
tête
a été rendue. Dès la guérison survinrent des atta
art du ventre, s'irradie à l'estomac, monte au cou, et de là gagne la
tête
en produisant les phénomènes que nous allons expo
eux d'une locomotive. U lui semble qu'on lui en-fonce un clou dans la
tête
. Le cou est augmenté de volume, le ventre se gonf
ion, mademoiselle R... entre alors dans une fureur indescriptible. La
tête
s'agite dans tous les sens. Les yeux sont convuls
e pour décrire une courbe dans laquelle le corps ne repose que sur la
tête
et les pieds (attitude en arc de cercle). Ce dern
ion ou la continuation. Quand elle est vaincue par la compression, la
tête
et le tronc se soulèvent, et retombent sur l'orei
ent son attention. Une mouche lui fait peur. Elle enfonce dès lors la
tête
entre les épaules et se pelotonne d'effroi. Apr
trouvée dans un état de contracture et de tétanisation géné-rales, la
tête
entre les genoux et l'ensemble du corps dans une
ion à la gorge, sifflements dans l'oreille gauche, battements dans la
tête
, puis perte de connaissance. La ma-lade n'entend
lieu les grands mouvements ou la phase de clownisme. Tantôt c'est la
tête
qui est baissée jusqu'au niveau des genoux et ren
milieu et recourbé en arc de cercle, ne porte que sur le sommet de la
tête
; parfois c'est le buste que l'on voit projeté, so
coups de marteau. Puis, tout à coup, la jeune fdle pâlit, incline la
tête
à gauche et perd connaissance. L'attaque est comm
nements dans les oreilles, obnubilation de la vue, battements dans la
tête
analogues à de petits coups de marteau. Puis, per
lements dans les oreilles, obnubilation de la vue, battements dans la
tête
, puis perte de connaissance. 1° La période qui
t dans celle accompagnée de mouvements les phénomènes suivants : La
tête
raide, renversée en arrière et par côté, fait sai
le décubitus dorsal, on peut presque la soulever tout d'une pièce. La
tête
est toujours renversée en arrière, le cou plus go
à des secousses assez accentuées qui agitent les membres, la face, la
tête
et prédominent à gauche. Puis ce corps, ou cette
Dans cette phase de résolution, la malade est couchée sur le clos, la
tête
est fléchie sur le côté gauche, le visage a perdu
er en arc de cercle, le ventre météorisé au sommet et les pieds et la
tête
aux extrémités de l'arc et comme points d'appui.
des grands mouvements. Tout d'un coup, un cri strident est poussé, la
tête
qui portait sur le lit, par un mouvement rapide,
tte ibis de point d'appui, la malade, arc-boutée des pieds et de la
tête
, lance son corps dans l'espace, formant ainsi un
lownisme avec une rapidité et une furia étonnantes. Parfois, c'est la
tête
et un seul pied qui s'arc-boutent, tandis que le
dans l'attitude de la prière; tantôt assise, les jambes étendues, la
tête
penchée et les bras croisés, elle semble révéler
été-surprise par l'attaque; elle est en général clans l'extension, la
tête
renversée en arrière. Le corps est tendu et rigid
uche sont pris de trépidations, d'oscillations courtes et rapides, la
tête
s'agite également; la face reste légèrement conge
lâchement musculaire. Dans cette phase de résolution musculaire, la
tête
s'est affaissée, appuyée sur l'épaule gauche, le
ourbe et se recourbe en arc de cercle ou se plisse et se tortille, la
tête
est rejetée à droite ou à gauche, ou, fortement t
tre une langue pendante et tuméfiée. L'effroi domine-t-il, alors la
tête
est légèrement inclinée sur le cou et le thorax,
es phénomènes d'aurahysterica, il survient surtout des dou-leurs à la
tête
, à la nuque, puis la jeune fille perd connaissanc
n et une anxiété extrême, les yeux se ferment, la face reste pâle, la
tête
s'incline vers l'une ou l'autre épaule; il paroît
ion de la boule hystérique, la pâleur de la face, l'inclinaison de la
tête
vers l'une ou l'autre épaule, et les phénomènes c
de connaissance, contraction tétanique des muscles des membres, de la
tête
qui se penche en arrière, mouvements convulsifs p
étanique cesse, l'agi-tation devient plus grande, la malade frappe sa
tête
avec force à poings fer-més, veut s'en aller, et
haute et labo-rieuse, avec beaucoup d'écume à la bouche. Le mal de
tête
, des étourdissements, une lassitude succèdent aux
emment; lorsqu'elles étaient retenues, elle cherchait à se frapper la
tête
contre les objets environnants.Xes courts instant
e; elle tombe de son lit, se roule à terre et se frappe violemment la
tête
; à la visite, gaieté peinte sur ses traits, joie
e mêlée de larmes; elle a recouvré la voix, oublie ses dou-leurs à la
tête
; conte avec intérêt son rêve (il y a cependant de
accroupissait à la manière des tailleurs, en renversant avec force la
tête
en arrière pour respirer plus largement. L'inspir
seule cause appréciable est que la malade avait reçu des coups sur la
tête
. Depuis lors les attaques se sont répétées sans r
par un redoublement des souffrances habituelles, puis subite-ment la
tête
se fléchit et la face se tourne vers l'épaule dro
eux ou trois minutes de ce calme, toutàcoup se montre l'épilepsie; la
tête
se dévie à droite, la face pâlit, les membres se
emi, il y a du stra-bisme convergent. Au bout de quelques minutes, la
tête
se meut très rapide-ment par un mouvement de rota
. II n'y a pas de grands mouvements, mais la malade s'arc-bouté de la
tête
et des pieds sur son lit, dont elle fait plier
fard lui monte de l'estomac à la gorge et l'étoutfe; souvent aussi sa
tête
lui semble en feu, et elle tombe en poussant un c
er ne tarde pas à être pris de contractions toniques; par moments, la
tête
seule et les talons sont appuyés sur le lit, le s
lle a reconnu les personnes qui l'entourent, ré-pondant par signes de
tête
aux questions qu'on lui adresse, et cependant, au
souvenir de ce qui ve-nait de se passer, mais ayant un violent mal de
tête
et une grande courba-ture. Je me retirai et elle
« une série de mouvements rapides » ; de spasme opis-thotonique, « la
tête
et les talons seuls touchent le lit » ; (Yaura di
battements du cœur forts et rapides; les yeux se dévient à gauche, la
tête
se tourne aussi de ce côté. Puis survient un coll
e le corps se dresse dans le lit et s'incline en avant, tandis que la
tête
est projetée en arrière et que les membres font d
tait son corps dans diverses direc-tions. Elle battait le sol avec sa
tête
et cherchait à s'arracher les cheveux à poignées.
tôt à tous les muscles soumis à la volonté; les membres, le tronc, la
tête
sont agités de mouvements convulsifs, variés, ana
age des fonctions cérébrales souffrent des douleurs horribles dans la
tête
: il semble aux uns que l'on comprime cette parti
les murs, déchirer ce qu'ils peuvent accrocher, ramper par terre. La
tête
se renverse avec force, et les mains se portent a
; la raideur convulsive est plus grande, elle est presque tonique. La
tête
est renversée, la face rouge et tuméfiée ; la lan
ns tous les sens, bondit et s'échappe des mains qui le retiennent. La
tête
s'agite sur le tronc, en avant, en arrière, de cô
ronation forcée, le poing fermé et le poignet fléchi. l^eu à peu la
tête
quitte l'oreiller, et la face tourne du côté gauc
160 par minute. Ensuite le corps se courbe lentement, de sorte que la
tête
et les talons seuls touchent le lit; et il est si
complet, résolution de tous les membres dans le décubitus dorsal, la
tête
un peu inclinée de côté. Toutes les deux ou trois
généralisées. fléchi et la main crispée reposent sur l'abdomen. La
tête
est libre, la face très paie. Presque constamme
corps. Le tronc est sou-levé, les épaules se rapprochent en avant, la
tête
est tournée complètement à gauche. La face, cya
qu'on vient me chercher. Besch..., est dans le décubitus dorsal, la
tête
repose à droite sur l'oreiller, les yeux sont fer
es. La malade est contracturée le plus souvent dans l'extension, la
tête
renversée en arrière. Tout son corps est rigide c
obligé d'inter-poser un coussin pour amortir le choc; elle secoue la
tête
, cherche à mordre, saisit une compresse qu'on lui
tait au lit, le dos en extension forcée comme dans l'opisthotonos; la
tête
et les talons seuls tou-chaient le plan du lit; p
met à faire le tour de sa chambre en marchant sur les pieds et sur la
tête
, le corps étant penché suivant sa face antérieure
a dans l'espèce de niclie ou d'encadrement formé par les ri-deaux; sa
tête
était légèrement inclinée à gauche et en avant; l
quons un léger clignement. » 1 b. 8 min. La malade laisse tomber sa
tête
sur l'épaule gauche; même état. )) 1 h. 9 min.
Elle se cache la figure avec les mains, croise les bras, menace de la
tête
: « il m'en fait faire du mauvais sang!... J'it^a
es tant la fille ! (Allusion à son père) » L... fait des signes de la
tête
, air de mépris : « De quoi?... Tu es une mère inf
es mêmes caractères. On le voyait s'arrêter tout à coup ou dresser la
tête
, les yeux grands ouverts, faire coup sur coup une
es airs fa-voris d'Antonia; puis subitement il s'arrêtait, tendait la
tête
, écoutait et l^altait la mesure avec le bras. Il
ments vagues. Dans Tune de ces attaques, la malade était assise, la
tête
renversée en arrière, la bouche toute grande ouve
n lumineuse : si elle était debout, la malade tombe à la renverse, la
tête
rejetée en arrière, le cou saillant. Les yeux s
lément; une légère friction sur le slerno-mas-toïdien fait tourner la
tête
suivant l'action connue de ce muscle, c'est-à-dir
agoniste, c'est-à-dire du sterno-mastoïdien de l'autre côté,ramène la
tête
dans la situation droite et, si l'on insiste, la
solution n'est pas toujours complète ; chez B.par exemple, souvent la
tête
conserve un léger degré de roideur. La malade éta
e roideur. La malade étant assise, le dos renversé sur une chaise, la
tête
ne retombe pas complètement inerte, elle se maint
OU SOMNAMBULISME, En temps ordinaire B... porte sur le sommet de la
tête
une zone hyperesthésique ; la pression en est for
culaire. Si alors on vient à exercer une pression sur le sommet de la
tête
, on voit survenir une ébauche d'attaque épileptoï
en-verse et se raidit, ses membres dans l'extension se tétanisent, la
tête
s'étend, et l'écume vient aux lèvres; mais les ch
n exerce une pression sur les globes oculaires ou sur le sommet de la
tête
. (Voy. la note de la page 4J9.) Pendantune atta
r-rêté subitement les convulsions par la pression sur le sommet de la
tête
et amené la production de cette seconde sorte de
ent en tous sens au gré de l'expérimen-tateur et, le plus souvent, la
tête
suit le mouvement. Lorsque le regard est dirigé e
voit, au bout de peu d'instants, les membres se raidir davantage, la
tête
tourner un peu de côté, la respiration précipitée
un chapeau, elle le tourne entre ses mains et le place bientôt sur sa
tête
; un pardessus, aussitôt elle s'en revêt et le bou
r..., paraît fort satisfaite, elle est attentive, bat la mesure de la
tête
et de la main. Le souvenir lui apporte la matière
Au contraire si l'on montre à la malade le paradis entrouvert sur sa
tête
, la sainte Vierge, les anges et les saints... alo
ent si l'on vient en exerçant une courte friction sur le sommet de la
tête
, à faire disparaître l'hyperexcitabilité musculai
me, elle écrit, travaille, etc. Par la friction sur le sommet de la
tête
on fait disparaître lliyperexcita-bilité musculai
pour l'observateur qui, en pressant avec le doigt sur le sommet de sa
tête
, l'a plongée dans cet état. S'il s'éloigne, elle
pense qu'à prier, qu'elle se croit dans une cérémonie religieuse ; la
tête
penchée en avant, les bras fléchis, elle sent son
m'aperçois de son invasion par ceci : mademoiselle X... se rejette la
tête
en arrière, son visage exprime la douleur. Interr
aire amène une certaine douleur, puis deux doigts placés, l'un sur la
tête
, l'autre sur la main, amènent comme une forte com
quée offre le caractères suivants : Tétanisme de tout le corps : la
tête
se renverse en arrière, se conges-tionne; les tra
, la malade sent un besoin irrésis-tible de dormir, avec pesanteur de
tête
, ses paupières se ferment malgré elle. Elle bâill
ns le décubilus dorsal, le tronc un peu incurvé sur le côté droit, la
tête
penchée sur l'épaule droite et la face tournée du
enons de décrire, elle tend toujours à se déplacer vers la droite, la
tête
tourne par-fois, revient à droite ou se fixe à ga
ppelant les accès incomplets d'épilepsie. Elle a sur le som-met de la
tête
et entre les deux épaules une zone d'hyperesthési
uement les bras, cherchait à s'arracher les cheveux et frappait de la
tête
l'oreiller. La crise se termina au bout d'un quar
r ma malade, à mon entrée elle était assise sur son lit, se tenant la
tête
dans les deux mains et se plaignant, en poussant
e contracture per-manente, je vis la malade tourner plusieurs fois la
tête
de ce côté et chercher à se soustraire, en se pla
elle fit quelques mouvements des bras qu'elle ramena au-dessus de sa
tête
et s'éveilla tout doucement comme une personne qu
mbres gauches. Comme la malade se plaignait beaucoup de sa douleur de
tête
, je lui ordonnai de se coucher et elle ne fut pas
orsaux. A son réveil, la malade accuse, en outre de ses douleurs de
tête
, des points douloureux le long de l'épine dorsale
ules par un mouvement brusque et composé de plusieurs soubresauts, la
tête
se renverse par instants, la respiration est pris
des ovaires, la pression sous les deux seins, ou sur le sommet de la
tête
provoque une exacerbation de la crise que nous ne
s en vain essayé deprovoquer aux membres inférieurs, au tronc et à la
tête
. Toutes les fois que la malade est calme et dans
ue sorte concentriques ou tétaniques. Cest ainsi que, quelquefois, la
tête
et les talons servant d'appui, le tronc ou Vun de
douloureusement; bientôt après les mus-cles du cou se raidissent, la
tête
s'incline sur l'épaule gauche, en même temps que
à la gorge, palpitations, sifflements dans les oreilles, douleurs de
tête
, etc. D'après Bourdin \ « les accès d'hystérie
terrible, l'autre agréable. Dans l'ordre triste, elle voit une grosse
tête
avec des cornes et de gros yeux. Dans l'ordre gai
phalanges des doigts, le poignet, l'avant-bras, le bras, les yeux, la
tête
, tout restait immobile dans la situation où l'on
de voir cette jeune fille assise dans son lit, le tronc immobile, la
tête
penchée, les yeux tournés de tous les côtés qu'on
s avait été telle que le corps plié en arc reposait sur le lit par la
tête
et Vextrémité des^orteils, madame X... retomba su
lle répondit qu'il lui semblait qu'il lui passait une rivière dans la
tête
et qu'elle y en-tendait un bruissement qui l'obli
eçu la sainte communion. Tantôt enfin elle faisait un cercle sur sa
tête
comme si on eût dû la couronner. Tous ces signes
ent à la dernière. M. Attalin dit qu'il croit qu'elle se fut tenue la
tête
en bas et les pieds en haut. Ce qui est très surp
elle répond aux questions qu'on lui adresse par un léger mouvement de
tête
. L'anesthésie est absolue ; le pouls est calme et
les membres conservent la même raideur et la même insensibilité ; la
tête
seule est animée de quelques mou-vements, tiinsi
heureux résultats. Pendant les accès provoqués, les frictions sur la
tête
et les mem-bres faisaient disparaître les acciden
anément, soit après quelques prodromes : la tristesse, une douleur de
tête
, des lipo-thymies; divers mouvements convulsifs,
adame X... eut des mouvements con-vulsifs d'une telle énergie que, la
tête
renversée en arrière, reposant sur le sol, les pi
mentant. 9 h. 30. — La malade s'appuie sur les pieds, tandis que sa
tête
, complè-tement fléchie en arrière, repose par la
le, recouvre complètement connaissance, se plaint d'un violent mal de
tête
et demande à boire. Au bout da-20 minutes, elle s
jambes sont secoués violemment, comme par des décharges électriques ;
tête
fortement défléchie. La malade se dresse avec for
lèvres. 12 h. 18 minutes. — Croisement des bras derrière le dos, la
tête
est for-tement appuyée par la face dans les oreil
convulsions très fortes et très étendues des bras, du tronc et de la
tête
; spasme pharyngien ; pouces en abduction et étend
e tous les muscles extenseurs; les yeux étaient convulsés en haut, la
tête
fortement renversée en arrière, la face rouge, ab
ns la paume de la main, les autres doigts sont étendus ou fléchis. La
tête
se dévie à droite, la face ne grimace pas. Il y a
dine H... est grognon, triste, se plaint vivement de douleurs dans la
tête
, dans les membres, se cache sous ses couvertures
à ce que nous l'endor-mions, en déclarant que cela lui fait mal à la
tête
et lui donne des crampes d'estomac. Elle nous rac
et. (Voy. p. 360 et suiv.) malade au lit; la faiblesse et le mal de
tête
l'y retenaient; l'attaque de cata-lepsie venait d
rusques comme pour saisir l'ennemi, il secoue ensuite latéralement la
tête
, serrant les dents comme pour déchirer une proie.
nt de recul brusque, accompagné de mouvements convulsifs légers de la
tête
et du tronc, puis il tombe brusque-ment sur le cô
st faible, la parole hésitante et tremblante. Il s'a-gite, soulève la
tête
, regarde de tout côté, cfiange de conversation à
se voit entouré d'un essaim de mouches qui bour-donnent autour de sa
tête
, pénètrent dans les yeux, les oreilles, le nez et
de lacs, d'étendues immenses d'eau. — Je souffris horriblement de la
tête
pendant deux mois. Les eaux changèrent de caractè
inistre; c'étaient des squelettes horribles, portant d'une main leurs
têtes
, et de l'autre de longs cierges, qui, à la lueur
ient voulu goûter de la substance orientale, et qui voyaient déjà une
tête
de lion dans leur as-siette. Je fus assez calme j
s dans mes cheveux; je sentais des mil-lions d'insectes me dévorer la
tête
; j'envoyai chercher mon accoucheur, qui était en
rai chez moi en disant : Oh ! voyez donc ce gros rat qui court sur la
tête
de B***. Au même instant, le rat se gonfle et dev
du diable. Je le voyais, j'aurais juré que ce rat se promenait sur la
tête
où je l'avais si sin-gulièrement placé, et je reg
n avant le sternum et en arrière la ligne des apophyses épineuses. La
tête
, les membres, le tronc d'un seul côté sont simult
ion dont voici la description d'après le docteur Bourneville ^ : La
tête
et le tronc se portent en arrière et vont toucher
spondante du cou. Après un court arrêt survient un second temps. La
tête
se fléchit, le menton venant s'appliquer sur la r
ête tout net. La malade se réveille comme étonnée, porte la main à sa
tête
et reprend complètement connaissance. Dans les
mal éloigne le retour des accès. Les pôles sont appliqués l'un à la
tête
, au front, par exemple, l'autre à une jambe ou à
Belgique, ces danseurs frénétiques parurent avec des couronnes sur la
tête
, et le ventre entouré de linges, afin de pouvoir
rés de roseaux et d'autres plantes aquatiques, oîi ils plongeaient la
tête
et les bras avec une grande volupté. » {Ibid. loc
a nature de leurs hallucinations les poussait à faire retomber sur la
tête
de quelque malheu-reuse réputée sorcière, la resp
mi, ds la voulaient enlever par la cheminée, et on la trouva ayant la
tête
contre la muraille de la dite cheminée, comme si
entant point, la jeta contre le feu, et fut trouvée tout assoupie, la
tête
touchant presque le feu! » Le père Romillon fut
ièvement durant l'exorcisme et fort longtemps, lui faisant courber la
tête
par un continuel mouvement jusques à terre, tantô
t au milieu la tourmentèrent toujours par continuels mouvements de la
tête
jusqu'à terre ; et au souper lui donnèrent la mêm
ommencer â souper, par obéissance, lui causèrent des mouvements de la
tête
jusqu'à terre, continuellement comme auparavant :
u'ils faisaient aussi aux deux exorcismes du jour, faisant mouvoir la
tête
jusqu'à terre, devant, et sur le dos, ayant le vi
omac, dans la région précordiale, aux côtés de la poitrine et dans la
tête
, au front ou à la tempe, des sensations douloureu
29. 3. Procès-verbaux de Laubardemont; manuscrits 7619. mise, nue
tête
, avec une corde au cou, et un cierge à la main, e
euve moins équivoque et saisissant la boîte Fapplique aussitôt sur la
tête
de M""^ deBelciel qu'on avait amenée pour l'exorc
arfois provoquées par une action portée sur un point du corps, sur la
tête
, par exemple. Il ressort également du même passag
créatures ne se mettent pas sitôt en fougue il leur hoche parfois la
tête
bien rudement et les met-taat sur son giron il le
c»iîsce capite et manibus et icelui, finissant par une secousse de la
tête
seule, il dit contremisce saltem capite. Mais qua
ieurs convulsions, et à l'une d'icelles s'est levée sur sa couche, sa
tête
étant soutenue par une religieuse, son corps auss
tres contenances, la sœur Agnès porta un pied par le derrière de la y
tête
jusques au front, en sorte que les orteils toucha
t, et des deux côtés, en sorte qu'ede touchait presque la terre de la
tête
, le démon la retenait dans la posture oii elle av
en tous sens, en devant, en arrière, sur les côtés jusqu'à ce que la
tête
touchât par terre; et elles restaient dans la pos
tence une fosse, où il s'ente) ra jusqu'au cou, ne lui restant que la
tête
au dehors pour regarder le Ciel. Le diable ajouta
é de satisfaire de paroles, ce visage changea et devint hideux, et la
tête
se pliant en arrière, on entendit prononcer d'une
a principale porte de l'église cathédrale... faire amende hono-rable,
tête
, pieds nus et en chemise, ayant la corde au cou..
entièrement à nous, etc. » L'autre forme était seulement comme une
tête
fort grosse et fort noire que cette fdle envisage
grosse et fort noire que cette fdle envisagea en plein jour... Cette
tête
la regarda longtemps et lui causa une grande fray
en sa cellule sentit une pesanteur qui se posa par trois fois sur sa
tête
; après quoi elle demeura toute interdite des sens
et vilain diable de forme terrible, de même qu'un homme qui avait la
tête
d'un éléphant, dont la trompe était de feu, qu'il
ent, mettait les pieds contre la grille, se renversait sur le dos, la
tête
en bas, sans toutefois découvrir la fille, puis r
la tête en bas, sans toutefois découvrir la fille, puis retournant la
tête
s'approchait de ladite grdie, ouvrant la bouche d
re terre, faisant un bruit épouvantable ; et en se relevant un peu la
tête
, disait : « Je résisterai à celui d'en haut, je v
èmes, puis des airs et des chansons, se jeter par terre, se battre la
tête
avec telle vio-lence qu'elle eût été capable de f
rtant tout le corps élevé on voûte et en arcade sur le derrière de la
tête
et sur l'extrémité des talons, les bras tendus en
sa première maîtresse, et de là se lança dans un panneau de vitre la
tête
la première sans sauter et faire aucun effort et
sœur Barbe de Saint-Michel, dont nous avons déjà parlé, se battit la
tête
l'espace d'un quart d'heure entre deux chaires du
mentées en arc de cercle, ce qu'ils pratiquent en leur appro-chant la
tête
en arrière contre les talons, et les faisant port
corporels s'est trouvée bien souvent toute pliée en arc par-fait, la
tête
contre les pieds jusque sur la bouche, et le vent
air, les deux bras étendus et courbés en arrière de bas en haut... la
tête
toute renversée sur le dos presque jus-qu'aux rei
pieds et lesjambes renversés tout de môme en arrière et proches delà
tête
, sans que les genoux ni les cuisses, ni le ventre
de retirer la fille, il la veut jeter par dessus un banc, lui plie la
tête
au dedans du chœur et la descend contrele planche
trele plancher sans le toucher. Une fille vient pour lui sou-tenir la
tête
, la possédée est retenue seulement pour la décenc
cette fide en trois plis, comme quand un gros serpent s'entortille la
tête
, et lui tourna tout le corps et l'estomac v(îrs l
lonne torse, tordant lesjambes d'une autre forme de contorsion, et la
tête
repassant et retortillée par dessous les ais-sell
il lui courbe tout le corps, et lui plie les reins, lui approchant la
tête
contre les talons, en arrière, à deux doigts proc
re les talons, en arrière, à deux doigts proche de terre, sans que la
tête
y touchât aucunement, les bras raidement étendus
que par ceux qui en sont témoins. Elles se donnent de grands coups de
tête
contre les murs et le pavé, de manière à faire fr
t rester dans cette posture sans branler. » Les renversements de la
tête
en arnere jusque contre terre avec une promptitud
les bras croisés sur l'estomac, quelquefois, et dans le même état, la
tête
renversée tournant à l'entour du corps, et faisan
ent, s'est prosternée touchant la terre de la pointe de l'estomac, la
tête
, les pieds, les mains aussi bien que le reste du
ur l'estomac, se sont courbées en arrière, de sorte que le haut de la
tête
allait joindre la plante des pieds, la bouche ven
s-unes, entr'autres la sœur Catherine, dans l'exorcisme avait paru la
tête
renversée, les yeux ouverts, en sorte que la prun
lant du diable Putifar) et la fille est de-meurée comme en extase, la
tête
panchée toute plate... et avait le visage fort ag
ime, d en cassa l'extrémité la plus déliée, la flèche, et se plaça la
tête
en bas sur le sommet en chantant et gesticulant.
festa. » (Constans, loi. oit, p. 92.) Hère, de telle façon que leur
tête
reposait sur le sol en même temps que leurs pieds
'elle sejjt eiiir sa crise, ede va s'asseoir, et se met à balancer la
tête
d'arrière en avant; les mouvements lents et peu
rd, vont toujours s'accélérant, et finissent par faire parcourir à la
tête
, avec une incroyable rapidité, un arc de cercle d
uvement s'arrête un instant et les muscles contractés maintiennent la
tête
fixe dans la position oîi elle se trouvait au mom
erite Françoise Duchêne\ alors âgée de vingt et un ans, reçoit sur la
tête
une planche garnie de fer. Demeure deux heures év
is ma première neuvaine, à cause de la grande foule. Je me penchai la
tête
sur la tombe pendant un quart d'heure pour y fair
semblaitqu'on me déchiraitlesjambes, d'autres fois qu'on m'ouvrait la
tête
, il me semblait quelquefois qu'on me tirait les b
perturbation indéfinissable quifoblige à sortir dans le jar-din où sa
tête
commence à être secouée sans la participation de
qu'à la hau-teur du plancher. Apres quoi, elle fit des convulsions de
tête
et des bras; et ses mamelles, sortant de son corp
sitôt une autre convulsionnaire, qui se trouvait présente, branler la
tête
, les mains, les jambes et tout le corps, comme si
noirâtre ; ses yeux à demi fermés paraissent tout à fait éteints ; sa
tête
, ne pouvant plus se soutenir, tondje sur sa poitr
écrire : le corps est plié en deux, en forme d'arc, â la renverse, la
tête
et le front touchant la terre comme pour aller ch
édifie ; mais, avant que de le réciter, elle veut qu'on lui mette la
tête
en bas, les pieds en haut, le corps en l'air. Apr
faisant tirailler les bras, les jambes, le sein, en se renversant la
tête
en bas, les jambes en l'air, et en donnant mille
vu des hommes qui priaient pour leur santé... en secouant rudement la
tête
, en frappant des mains, en ruant des jambes, en s
« Des personnes jeunes et sans coiffure se heurtent avec violence la
tête
contre les murs, même contre le marbre; elles se
eur arrache le sein.... Quelques-uns s'enfoncent des épingles dans la
tête
sans aucun mal, et paraissent avoir le dessein de
sous le bras pour le lui soutenir à différents en-droits et aussi la
tête
; on lui met un manchon sous le dos. Cependant tou
restant à terre. A sept heures cinquante-cinq minutes, on élève la
tête
de la croix plus haut, en l'appuyant contre le mu
e pied contre la muraille, de la hauteur de trois pieds seulement, la
tête
de la croix posant sur le plancher. En cet état,
portât pas sur les clous qui attachaient ses bras. On lui soutient la
tête
et le dos avec des livres. Tous ces changements s
'à demi. A huit heures trois quarts, elle fait relever sa croix, la
tête
appuyée contre le mur à peu près de quatre pieds
dnutes à peine, il vit sa compagne soulevée de la selle, donner de la
tête
en avant au point d'atteindre la moitié du cou du
s invita à venir prendre place sur le banc d'anxiété et reposer leurs
têtes
sur son sein. — Nous allons chanter encore un hym
s'avancer en chancelant plusieurs jeunes filles,les mains jointes, la
tête
penchée sur la poitrine et tremblant de tous leur
de préparée pour recevoir les prédicateurs. Il y en avait quinze à la
tête
de ce meeting. Sauf les courts intervalles réserv
, et bientôt je n'eus plus sous les yeux qu'une horrible confusion de
têtes
et de jambes s'agitant pêle-mêle sur le sol. Tell
, avant mon départ, je la vis, la main entrelacée dans la main, et la
tête
appuyée sur la poitrine d'un homme qu'on aurait p
ait aune voiUe, reposant sur les pieds et la partie postérieure de la
tête
, resta dans c«tf,e position sans mot dire pendant
d'elle. A une autre, il apparut « entouré d'un glorieux cortège, à la
tête
d'une longue uite de justes », et levant les main
'inquié-tude et de repentir, une oppression ou douleur légère dans la
tête
et les membres une respiration difficile, peu d'a
malaise général, un commencement d'incapacité à mouvoir à volonté la
tête
, les bras et les jambes, une humeur capricieuse,
eur, leur lavait les pieds, leur drait la vermine des jambes et de la
tête
moult souvent, et curait leurs plaies. Plus ils é
ue le dernier de tous va s'échapper. Alors le visage s'incline, et la
tête
, portant tous les signes de la mort, s'affaisse d
out demeure ainsi l'espace d'une minute et demie à peu près. Puis, la
tête
se relève, les mains remontent vers la poitrine,
bondamment aux mains et aux pieds; le sang suintait du front et de la
tête
, suivant un cercle régulier, et tombait le long d
e posi-tion, elle est étendue sur le sol, couchée sur la poitrine, la
tête
reposant sur le bras gauche; les yeux sont fermés
e. Oreillons. Rougeole. Parole, attention, nulles. Rotation de la
tête
. Préhension imparfaite. Phimosis. Pneumonie gau
blépharite, otorrhée à 3 ans. Tics de la langue et rotation de la
tête
; mastication défectueuse; marche, parole, atten-
défectueuse; marche, parole, atten- tion, nulles. Balancement de la
tête
. Accès de cris la nuit; bave. Tuberculose. Cach
33 IDIOTIE. 'dents à un an. - -Accès- de cris. - COJne112en1S de
tête
.contre les Lic·s. -131e1haile, : - Parole et m
. * ? 1891. Accès de colère et de cris. Balancement latéral de la
tête
et antéro-postérieur du tronc; grimaces de la fac
oïde ( ? ) suivie d'un état d'hébétu- de. - Attitude inclinée de la
tête
. - Parole, attention- connaissance, affectivité
se pulmonaire. Ter... (Emile) est né le 17 juillet 1S7S (14 ans).
Tête
.- Cuir chevelu assez épais. Lorsque, après avoir
stance du zézaiement. Caractère doux et craintif. Tient toujours la
tête
baissée. 1889 : Petits problèmes sur les 3 prem
eté minu- tieuse du corps et des vêtements ; attitude penchée de la
tête
. A l'atelier de couture, il fait l'habillement
ment prédominant à la jambe gauche. - Gâtisme. - Tournoiement de la
tête
. Balan- cement du tronc. Première dent à 6 mois
s faible que la droite. On Il notait chez lui du tournoiement de la
tête
, des grincements » de dents et un balancement a
era. » Nos prévisions se sont amplement réalisées. Le corps et la
tête
se sont développés ainsi que le démontrent les ta
t sur les régions inguinales. Poils à l'anus. Mensurations cle la
tête
. NÉPHRITE : URÉMIE. 95 23 mai. - La quantité
s, les yeux dirigés à gauche, pas de déviation des traits, ni de la
tête
. Raideur de la nuque. Le coeur fonctionne bien;
t. Convulsions légères à 9 mois, consistant en balancements de la
tête
et en contorsions du bras ; pas de secousses. Ces
d'épilepsie. Marche des accès de 1887 à 1S93. - Développement de la
tête
, du poids, de la . taille et de la puberté dura
tique à 63 ans. Un frère, bègue ; un autre bizarre, n'aurait pas la
tête
« bien a-sise ». Pas d'accidents nerveux dans l
. TEMPÉRATURE APRÈS LA MORT. 117 ohi, la main en supination. La
tête
est dans la rotation gauche. Autopsie. 119
e. Autopsie. 119 Autopsie faite le 5 mars, 29 h. après la mort. -
Tête
. Le crâne est épaissi, principalement au niveau
t ensuite pendant quelques minutes. Etat actuel (l"r a vriI18K6.) -
Tête
petite, cnmerond ; région occipitale un peu apl
ué un accès d'aliénation men- tale. Elle se versait de l'eau sur la
tête
, mangeait des poi- gnées de sel, etc. Elle fut
uel. -Visage pâle. Physionomie légèrement égarée, inintelligente.
Tête
. Crâne ovoïde, légère asymétrie consistant en un
eaucoup d'épileptiques, écrit-il, Pout... dormait habituellement la
tête
enfouie dans ses cou- vertures et fortement inc
39 et 40). Bégass... est né dans le Cher, le 26 juillet 1854. La
tête
toute entière, les membres supérieurs et le tronc
ternelle, morte à 81 ans, de vieilesse, et ayant conservé «toute sa
tête
. » Les autres grands-pa- rents sont inconnus. U
ccès. Ces accès se tra- duisent par des convulsions bilatérales. La
tête
est tournée à gauche; la commissure labiale gau
l'oreille gauche. JJt . Description DU malade. ; 179 Etat actuel.
Tête
normalement développée. Crâne ovoïde; symétriqu
ement et sans se rendre compte de ce qu'il fait. Mensurations de la
tête
. Hydrocéphalie : état DE MAL épileptique. 181
tourmentée par des accès de colère et de jalousie. A la naissance,
tête
ordinaire. - A 6 mois, début du grossissement d
naissance, tête ordinaire. - A 6 mois, début du grossissement de la
tête
. .1 14 mois, têle volumineuse. - Faiblesse de l
prétendit même qu'il n'avait pas eu de convulsions. A six mois, la
tête
com- mence à grossir et l'on constate que l'enf
parvint que très incomplètement. Revu à 14 mois par ses parents, sa
tête
avait encore grossi et la calotte qui lui serva
à l'infirmerie pour y être soigné de plaies qu'il se faisait à la
tête
. On a constaté aussi, durant cette année, que la
ense. T.R. 40°. L'enfant meurt à 8 heures /.1' Mensurations de la
tête
. Hydrocéphalie : cerveau. 197 Autopsie faite
cadavérique prononcée. Le pied droit est en varus équin prononcé.
Tête
. - A l'ouverture du crâne, une fois la calotte en
re aurait eu des convulsions répétées. Normale à la naissance, la
tête
n'aurait commencé à grossir qu'à (le six mois,
yé de corriger. Quatre mois après le début de l'accroissement de la
tête
sont sur- venues des convulsions légères ( ? ),
éphalie). La fontanelle antérieure, au point le plus saillant de la
tête
, a 74 millimètres de longueur sur 77 millimètre
destiné à combattre sa mala- die. État actuel (30 avril 1882). -
Tête
volumineuse. Crâne asy- métrique ; saillie pron
; muqueuse cou- verte de nombreuses ecchymoses intra-muqueuscs. -
Tête
. Le cuir chevetnest gorgé de sang qui s'écoule ab
mots. Premières convulsions à 5 mots. Début de l'augmentation de la
tête
à 5 mois 112. État actuel. Rougeole. Mort. ,
t souvent « un peu partie ». Elle aurait été atteinte d'eczéma à la
tête
, il y a environ deux ans. Grand-père paternel,
employa ni ergot, ni anesthésique. Le travail ne fut pas long et la
tête
228 Hydrocéphalie; contracture. passa sans di
côtés, parfois le tronc s'incurvait en arrière au point que « la
tête
touchait presque les pieds. » Ces convulsions dur
is jours remarqua à son retour, avec surprise, l'augmentation de la
tête
de Lob... Les fontanelles s'élargirent, la face
résente actuellement. Peu à peu l'enfant ne put plus maintenir sa
tête
droite. A la suite de l'état de mal convulsif l'e
fant est très amaigri et est dans un état voisin de la cachexie. La
tête
énorme ne peut être maintenue et tombe sans cesse
ds 5 1 : . 120 gr. Taille : 0,64 centimètres. . Mensurations cle la
tête
. 53Û Hydrocéphalie : LIQUIDE CÉPHALO-RACHIDIEN.
aspect habituel; ils apparaissent comme une masse déprimée et la
tête
du noyau caudé peut seule être discernée dans la
soient restées sans influence; sur le développement de l'enfant. La
tête
de Lob... ne commença à grossir que vers le cin
ie ; observation»' 233 / gauche ( ? .). Développement anormal de la
tête
de17 mois' à 14 a ? is. A/arche et parole à 6 a
e. A la naissance, pas d'asphyxie, pas de circulaire du cordon ; la
tête
a passé facilement, quoiqu'un peu volumineuse ;
eu volumineuse ; le médecin aurait prétendu que la grosseur de la
tête
était un signe d'intelligence future ( ? ). Envoy
bout de 6 mois,1 l'enfant redevint progressivement gros et gras. Sa
tête
, bien- que volumineuse, n'avait pas attiré l'at
s- ni même de leur médecin. On attribuait la disproportion de la-
tête
et du tronc à l'amaigrissement de l'enfant. Les c
nvul-- sions n'eurent aucune influence sur le développement de la
tête
. Ce ne fut qu'à 17 mois que le crâne prit des dim
attribuées- ses crises convulsives. 7<at actuel (H mars 1889).
Tête
volumineuse. Etat d'a- diposité satisfaisant; f
te phtisique et paralysée des quatre membres. Dès la naissance la
tête
attire l'attention de l'accoucheur qui, probabl
an et à quinze mois, des. convulsions fréquentes surviennent et la
tête
grossit dans des proportions inquiétantes. Les
plète à 2 ans. Conuutsions à 4 ans. État actuel : Description de la
tête
, dentition, contracture des membres. Puberté. -
° garçon, mort à 2 mois '/3 de convul- sions; conformé normalement,
tête
normale; - 2° fille, 13 ans, bien portante, int
2° fille, 13 ans, bien portante, intelligente, pas de convulsions,
tête
normale; instruite (a son certificat d'études)
études) ; 3° fille, morte à 5 ans de bronchite, pas de convulsions,
tête
bien conformée. 4° Notre malade. Rien à noter a
ement naturel, à terme, sans accidents. A la naissance, il avait la
tête
Hydrocéphalie ; paralysie ; CONVULSIONS. 243
effrayait la nourrice. Jusqu'à trois mois, bien que volumineuse, la
tête
n'avait pas de proportions démesurées, mais à p
oppa au point d'être Ù 6 mois aussi volumineuse qu'actuellement. La
tête
était de consistance molle, probablement à caus
avait pas de déviation des yeux, mais ne reconnaissait personne. Sa
tête
énorme était inclinée à droite ou à gauche. Il
âcher de régulariser les garde-robes. État actuel (2 avril 1888).
Tête
très volumineuse, plagio céphalie, le côté droi
ois de sa grossesse. L'enfant est né du reste hydrocéphale et si la
tête
n'a pris qu'à partir de trois mois un développe
fig. 46 et 47 donnent une idée très exacte des déformations de la
tête
, de la face et de la base du crâne. II. Cas d'h
ntes maternels, morts de convulsions. Emotions durant la grossesse.
Tête
volumineuse à la nais- sance; son développement
Hémiplégie consécutive; amélioration. Développement rapide de la
tête
(7 mois). Etat du malade à l'entrée (10 mois). Tê
nt rapide de la tête (7 mois). Etat du malade à l'entrée (10 mois).
Tête
: fontanelles, hyperostose. -Strabisme, etc.. M
; élévation de la température; diminue- tion subite du volume de la
tête
. Mort. - EésuZZaZs de l'autopsie. Alli... (Eu
. Nous avons réuni en un tableau, les diverses mensurations de là
tête
de l'enfant, ainsi que la succession de ses poids
bosses frontales et pariétales sont peu accu- sées; au sommet de la
tête
, sur la ligne médiane, se trouve une saillie ar
mal soigné chez lui, car on a constaté qu'à son entrée, il avait la
tête
couverte de poux. Etat actuel (25 février 1888)
il avait la tête couverte de poux. Etat actuel (25 février 1888). -
Tête
volumineuse ; asymétri- que. - Crâne arrondi, l
ne, bien our- lées, lobule complètement adhérent. HYDROCÉPHALIE :
TÊTE
. 167 Cou : M5 mm., pas de saillie goitreuse.
8 mois, elle ne parlait pas du tout. D'après la mère, elle avait la
tête
déjà aussi volumineuse qu'aujourd'hui; les mem-
. L'enfant n'a ni gagné ni perdu. · État actuel. (Novembre 1877.)
Tête
volumineuse. Face petite, étroite, vieillote, t
es environ, sorte d'esquisse de bec-de-lièvre. Partout les os de la
tête
sont durs, très résistants ; au ni- veau de la
de ceux qui présentent une configuration toute diffé- rente de la
tête
classique, dont nous venons de donner des exemp
te classique, dont nous venons de donner des exemples. Chez eux, la
tête
présente la déformation connue sous le nom de s
ticulier. Accouchement prématuré entre 8 mois et mois 112. -Chétif,
tête
trèsallon- gée à la naissance, nourri au sein,
r ici la fin de son histoire et le résultat de l'autopsie. 1880.-
Tête
allongée volumineuse, avec prédominance des par
t à un ans. Parole à 15 mois. Marche à 22 mois. Accroissement de la
tête
2 ans 1/2. . Faiblesse des membres inférieurs.
lence. Scarlatine, bronchites, diphtérie. Etat actuel. aspect de la
tête
. - - Monorchidie. Cachexie progressive. Mort.
a pas eu d'asphyxie. Il avait en naissant et a toujours conservé la
tête
allongée. Il fut nourri au sein maternel presqu
nquiétude à ses parents. A 3 mois, il était tombé de son lit sur la
tête
et resté une heure sans connaissance; cet accid
anoe. n'a toujours pas eu de suites immédiates. A 2 ans et demi, la
tête
de l'enfant se mit à grossir, et une tumé- fact
corps de l'enfant ne commença à se développer en propor- tion de la
tête
que vers 3 ans et demi. A partir de ce moment l
tion. Pas d'onanisme. La démarche est lourde et bestiale, Il va la
tête
baissée, se tenant les mains et avançant pénible-
re des sillons accentués. Fig. 5C. Elle représente le moulage de la
tête
de Chev... CRANE ET cerveau. 289 de vaisseaux
u de la corne occipitale explique la disposition particulière de la
tête
. OBS. XV. Hydrocéphalie partielle. IDIOTIE comp
accès de colère ; présente comme tic un balancement latéral de la
tête
continuel. Il ne mâche pas, a été presque exclusi
mais eu de fièvres éruptives. État actuel. - État général médiocre.
Tête
carrée, crâne asymétrique la moitié droite du c
On aurait remar- qué dès la 77a issance la grosseur exagérée de la
tête
, et, il un an, les parents auraient été obligés
1878 et n'en aurait plus eu d'autres. Etat actuel (8 mars 1880). -
Tête
volumineuse avec prédo- minance très marquée du
< O P-4 306 HI DRO-SCAPHOCEPHALII : . Mensurations de la
tête
. Observation; antécédents. 301' .. § III. Hyd
x ans. Au début de son mariage, il aurait eu quelques douleurs de
tête
qui paraissaient avoir les caractères attenués de
gence. A 6 ans, mis à l'école, on le considérait comme une mauvaise
tête
et il n'apprenait rien. A 8 ans, il mettait à bou
s fuligineuses. Râles disséminés. 6 juin. Mort. Description de la
tête
. Le crâne est un peu allongé d'avant en arrière
nnés. Rien d'apparent comme lésion de l'estomac et des intestins.
Tête
. Crâne asymétrique, le côté droit est beaucoup pl
service de M. Bourneville) le 19 mai 1888. Les mensurations de la
tête
faites à diverses reprises sont intéressantes,
ventricules a déterminé à son tour une augmentation du volume de la
tête
très prononcée, ainsi que le fait ressortir le
que le fait ressortir le tableau comparatif des mensurations de la
tête
en 1889 et en 1890. Bien que l'enfant fût âgé d
). Lors du premierexamen de la 316 Hydrocéphalie symptomatique. ,
tête
, on avait noté que les fontanelles et les sutures
. Gdlisme. - Congestions de la face. .t1uymenlalion de volume de la
tête
. Amélioration passagère à la Fondation Vallée :
ion, d'après nos observations. Symptômes objectifs. 1° Examen de la
tête
. Le premier symptôme qui frappe il l'examen de
te. Nous ne saurions pourtant passer sans dire un mot du port de la
tête
chez les hydrocéphales. Les adultes que l'on pe
uéris ou les enfants de la seconde enfance tiennent, en général, la
tête
assez correctement, bien qu'elle ait toujours t
, surtout si la maladie est très accentuée, ne peuvent maintcnir la
tête
verti- cale : ils la laissent tomber soit en av
ir vers son centre cle gravité déplacé en avant par le poids cle sa
tête
. Quant au retard de la marche chez les enfants
ut de l'hydrocéphalie. Fré- quemment l'augmentation de volume de la
tête
coïn- cide, chez le jeune enfant, avec une séri
paternel, ivrogne. Tante paternelle, morte enfant de convulsions. -
Têtes
volumineuses dans la famille du père ( ? ). Mèr
nité. Conception, grossesse, accouche ment : rien de particulier.
Tête
petite à la naissance. Hernie ombilicale. Imper
lète de l'anus. -Sevrée à. 18 mois.- Début de l'accroissement de la
tête
à 10 mois. Parole à 2 (1) Noir (J.). - Étude su
ougeole à 5 ans. Varioloïde à 7 ans. État actuel. Description de la
tête
. Cyphoscoliose. Contracture des jambes. Gâtisme
bonne, régulière ; intelligence ordinaire, instruction médiocre. Sa
tête
est de volume normal, elle ne l'aurait jamais e
prétend que, du côté du père de l'enfant, tout le monde avait la
tête
fort grosse ( ? ). [Famille de la mère. -Père, 60
reproduisent et chaque fois on note un développement exagéré de la
tête
que l'enfant ne peut plus maintenir droite. Les
4 ans. - Parésie de la jambe droite. Début de l'augmentation de la
tête
: 5 mois. Fontanelle antérieure oblitérée à 2 a
des enfants de cette demi-soeur aliénée serait mort jeune, avec une
tête
très grosse. Cet enfant 3 li ? Hydrocéphalie ch
l'hôpital Saint- Antoine; il était hydrocéphale, la grosseur de la
tête
avait rendu l'accouchement laborieux; il serait
; 4° un garçon, mort à trois mois, du carreau ; pas de convulsions,
tête
normale; 5° notre malade; Une fille, âgée de 11
on. La fig. 62 représente cette petite fille à l'âge de 11 mois; sa
tête
est bien celle d'une hydrocéphale. Les fig. G5
ts accès de spasme glottique, qui actuellement sont assez rares. La
tête
de l'enfant est assez volumineuse et offre un t
pu avoir un prix à l'école. Voici les mensurations actuelles de sa
tête
: 344 Famille d'hydrocéphales. légères. Récem
r. 188G. Janvier. Bien que toujours signalé comme une « mau vaise
tête
», Peti.. a fait quelques progrès surtout à l'atel
lier où il fait maintenant le gilet. 26 771a ? 'S. État actuel. -
Tête
énorme. Crâne de forme carrée; bosses frontales
nvergent de l'oeil droit. Peti ? n'a ni vertiges, ni tournements de
tête
, il peut lire mais est fatigué au bout de très
gué au bout de très peu de temps. Il ne se plaint ni de douleurs de
tête
, ni de migraines, ni de nausées, n'a jamais eu
té ordinaire ; sentiments affectifs médiocres. Mensurations de la
tête
. HÉRÉDITÉ. FATUITÉ. 353 L'hérédité de l'hydro
dont le cerveau était réduit à une véritable vésicule, tournait la
tête
du côté de la personne qui l'appelait par son n
elques-uns de nos malades et voici comment nous le formulons : La
tête
de l'enfant, ayant été préalablement rasée, on
alie chronique. Sommaire. Aucun L171CC('CLB171 héréditaire. Soeur à
tête
volumineuse. Autre soeur morte de méningite. Ém
mois. Asphyxie à la naissance. A 3 semaines, augmen- tation de la
tête
. Etat actuel. Examen de la tête ; distension de
A 3 semaines, augmen- tation de la tête. Etat actuel. Examen de la
tête
; distension des fontanelles. Traitement. Dimin
eloppement normal de l'intelligence. Tableau des mensurations de la
tête
. Esc... (Valentine), née le -Il mars 1890, est
rmale, n'a jamais eu d'accidents nerveux. Elle a le front bombé, la
tête
un peu grosse, les parents auraient remarqué qu
elligente, n'avait eu ni convulsions, ni para- lysie. Elle avait la
tête
grosse, le front surtout était fort déve- loppé
staient a demi-voilés par la paupière inférieure ; en même temps la
tête
se mis il grossir progressivement au point de n
à petit, revinrent dans une position normale. État actuel, de la
tête
de l'enfant. Le crâne est volumi- neux, le fron
de 7 mois. 360 Hydrocéphalie chronique. naire, Frictions sur la
tête
avec de l'onguent mercuriel. 271ovenbre.-État s
attention, elle saisit bien les objets, tient en temps ordinaire la
tête
droite et prononce distinctement « papa. » La fon
ongucur sur 9 cm., 5 de largeur. L'enfant transpire beaucoup de la
tête
, les veines du cuir chevelu sont assez développée
evelu sont assez développées. Application d'emplâtre de Vigo sur la
tête
au moyen de bandelettes formant capeline. Fig
irre. Valentine continue à prendre deux bains salés par semaine. La
tête
, toujours couverte de transpiration, paraît avo
oo o -ce' 370 Hydrocéphalie chronique. naturel. Elle tient la
tête
droite, semble être heureuse d'avoir une belle
e l'enfant sont bien conformés. L'embonpoint est très notable. La
tête
est asymétrique, le côté gauche est un peu moins
Les formes extérieures ne sont même pas celles d'un adolescent. La
tête
est forte pour la taille. La poitrine, les memb
n du foetus à terme. Or, si après deux ou trois ans de croissance, sa
tête
reste grosse relativement au reste du corps, si
e, il sort de cette 20 . SÉGLAS immobilité pour s'agenouiller, la
tête
entre ses mains et il reste alors un temps indé
la cour, à la même place, debout au pied d'un ar- bre, immobile, la
tête
fléchie, les bras pendant le long du corps ; lors
le se contracter sur lui-même ; on ne peut arriver à lui relever la
tête
, il ouvrir la bouche, à détacher les bras du corp
elant celui du faucheur ; avec un léger mouvement de rotation de la
tête
à gauche. La seconde est un mouvement du bras g
pen- dantes et devenues oedématiées par suite de cette position, la
tête
fléchie, les yeux fixés sur l'une ou l'autre de
sur l'axe des cuisses et de la flexion de la colonne vertébrale, la
tête
en extension forcée pour rétablir la direction ho
davantage ; par contre la région cervicale est absolument libre; la
tête
se tourne, se fléchit, s'étend sans aucune diffic
el ou or- ganique ; c'est une femme de petite taille, très brune, à
tête
volumineuse, à dents saines, qui ne présente au
istique : il est constitué par quatre segments, les deux premiers :
tête
, cou et tronc, forment un angle ouvert en avant
rtaines ano- malies physiques : petite taille, volume exagéré de la
tête
, et certaines tares d'ordre névropathique ; ana
isie aiguë. Père mort à 34 ans, à la suite d'une carie des os de la
tête
. Nous notons tout spé- cialement ce point. Elle
quelconque de la santé ; en particulier jamais de douleurs dans la
tête
ni dans les membres. Elle a continué à faire de
premièrecirconvolution frontale aboutit en avant etau-dessous de la
tête
du noyau caudé sans toucher en rien celle-ci, et
ment colorée que la droite ; mais la décoloration frappe surtout la
tête
de la corne, qui sur des coupes au Gieson et à l'
dans les segments précités il existe, dans la moitié externe de la
tête
de la corne antérieure gauche, un gros foyer ty-
émonstration. C'est un homme sain, de taille moyenne, mesurant sept
têtes
et demie, à l'ossature solide, aux muscles bien
ntés avec la forme réelle qui correspond à la pose du sujet. Sur la
tête
, sont seuls indiqués les muscles qui jouent un rô
les objets situés à sa droite ; il était ainsi obligé de tourner la
tête
pour voir une voiture qu'il entendait passer à sa
e, avec les phé- monènes suivants : Fièvre 38° 2. Le corps, sauf la
tête
et le cou, était atteint d'une paralysie flasqu
tion consistait en mouvements continuels à droite et à gauche de la
tête
la seule partie restée mobile, avec des cris de
hycardie avait cessé, il pouvait mouvoir les yeux, les lèvres et la
tête
, quand il restait assis sur un siège à dos- sie
légère saillie à la partie droite, un peu en dehors du sternum ; la
tête
est enfouie dans les épaules, et repose presque s
, MACÉ DE LI : I'1NA1 ET lNFlio1'l' sif facial, les yeux à fleur de
tête
, le nez allongé, la bouche large donnent à l'en
la bouche large donnent à l'ensemble de la physionomie l'aspect de
tête
d'oiseau. Le crâne a une forme spéciale : court
viron 1 centimètre. L'extrémité supérieure du radius ne présente ni
tête
, ni col ; elle con- tinue, sans modification de
imité du fait, constaté par la radiographie, de l'as- cension de la
tête
du radius jusqu'à mi-hauteur de l'olécrâne. Nou
ns 4 générations d'une même famille décrire 7 cas de luxation de la
tête
du radius. Comme dans le cas de Meijers, dans c
e céphalique de 84 et range le malade dans les brachycéphales. La
tête
est légèrement enfoncée dans les épaules; le cou
es dans les deux pariétaux près de la suture médiane gros comme une
tête
d'épingle. Un ou deux trajets obliques. Dure-mè
il est parfois obligé de prendre certaines attitudes, de tourner la
tête
de côté, par exemple, pour faciliter la dégluti
t peine reconnue, le tact était un peu diminué; du côté droit de la
tête
seule la sensibilité thermique est troublée; à
ngomyélique n'existe que dans les zones très limitées (moitié de la
tête
à droite, territoire de C' à gau- che) ; partou
rmation; on constate surtout un certain degré d'élargissement de la
tête
humérale. En revanche l'image radiographique es
à ressentir des douleurs atroces à la nuque. Toute pression sur la
tête
, le mouve- ment de S'asseoir dans son lit lui é
men histologique démontra qu'il s'agissait d'une gomme. Les maux de
tête
diminuèrent, mais ce fut le seul résultat obtenu
, mais veut descendre en ville, vendre son cheval, etc. Il tient la
tête
raide et dit qu'elle lui fait mal. Cicatrice se
BER A... ne réussit plus à sortir la langue ; il salue encore de la
tête
et nous suit des yeux. Rxitus le 4 avril 1904.
chercherai à l'expliquer par l'étude de l'encéphale. Autopsie de la
tête
, seule autorisée. Sur le côté droit du crâne, à
un accident de voiture et a été atteint d'une forte contusion à la
tête
. Dès lors son caractère aurait toujours été moins
ssue à du liquide cérébrospinal limpide. La nuit suivante le mal de
tête
s'est beaucoup aggravé, au point que le malade
vue et des symp- tômes cérébelleux. Fin 1902, amanrose totale, maux
tête
, nausées. Janvier 1904, troubles psychiques net
tubérosités, l'une qui est située immédiatement au-des- sous de la
tête
(tubérosité bicipitale), l'autre à la partie moye
avait vu, durant la gestation, un mendiant dont le corps, outre la
tête
, était réduit au tronc et à 'un seul bras, dont
ius font défaut. On sent la mobilité d'une première phalange sur la
tête
métacarpienne ; de même au bord cubital. Ces de
ité supérieure, un peu plus grêle que dans l'état naturel, offre la
tête
, le col, la grosse et la petite tubérosités, quoi
se termine par une petite éminence convexe ressemblant à la petite
tête
du cubitus, ayant à sa partie antérieure un bor
eine plus large que la diaphyse, usée même en dehors au contact de la
tête
radiale, elle s'effile entre le radius et le cu
deux, mais ils sont en partie soudés. L'os qui s'ar- ticule avec la
tête
du métacarpien paraît formé par la fusion de la 1
n dehors. La cavité sigmoïde, fort grande, embrasse la trochlée. La
tête
du cubitus est petite, ne possède pas d'apophys
as, pyramidale à base externe, et à sommet débor- dant en dedans la
tête
cubitale ; cette dernière en effet repose sur la
u, 14 février 1902, n° 5, p. 90-93. Enfant de 3 à 4 ans, ayant la
tête
et le tronc bien conformés ; il s'est noyé. Mem
malade P... voyait des Japonais essayant de l'égorger, ou bien les
têtes
de ses compagnons défunts. Dans quatre patients
suite d'une blessure dans les deux autres après des contusions à la
tête
. Tous ces trois cas conformément à leur caractè
n'y a rien à signaler. Antécédents personnels. - A sa naissance la
tête
aurait été déformée ( ? ) par un accouchement d
remière fois on constate une tuméfaction sur la ligne médiane de la
tête
, commençant un peu eu arrière du plan vertico-tra
en- viron 30 degrés; la flexion semble arrêtée par le buttage de la
tête
péronière contre le fému Pied. - Le pied est
droit avec le corps (Pl. LXXIII) ; le cotyle manque. Le jcol, sans
tête
articulaire, apparaît taillé en bec de flûte su
e. La jambe est à peu près normale sauf la longueur (34 cent.) ; la
tête
péro- nièrè est rudimentaire, ce qui donne un a
la hanche n'existe pour ainsi dire pas ; de même qu'il n'y a pas de
têtes
fémorales, de même il n'y a pas de cavités coty
en éventail, cependant les doigts sont presque d'égale longueur.
Tête
. - De volume normal d'après les dimensions déjà d
- De volume normal d'après les dimensions déjà données ; c'est une
tête
brachycéphale. Oreilles. Les oreilles présenten
troisième au quatrième jour, elle a eu seule- ment un peu de mal de
tête
, mais sans toux, ni oppression, ni hémoptysie.
ez une jeune fille qui avait fait dans son enfance une chute sur la
tête
et qui conservait une dépression crânienne à la
t de 1 m. 55, l'envergure des bras de 1 mètre 615 mill. (PI. LXXV).
Tête
: Les dimensions de la tête sont les suivantes :
s bras de 1 mètre 615 mill. (PI. LXXV). Tête : Les dimensions de la
tête
sont les suivantes : le diamètre antéro-pos- té
POGRAPHE CÉRÉBRAL 435 quelconque de la surface du globe posé sur la
tête
, jusqu'à leur contact avec le point, correspond
d'un demi- millimètre (i) de diamètre, terminée d'un côté par une
tête
plate el de l'autre par un crayon à encre devant
elconque en qualité de rayon, jusqu'à contact avec la surface de la
tête
. Cette goupille à laquelle nous avons attribué
ure correspondante du globe jusqu'à contact avec la surface de la
tête
, dans l'exacte direction mathématique du rayon.
roblèmes de tout encé-ol)alomètre : A) Poser sur la surface de la
tête
une carte cérébrale ou un de ses points quelcon
de ses points quelconque : pour cela, en mettant l'appareil sur la
tête
, il faut mar- quer sur la peau de la tête rasée
mettant l'appareil sur la tête, il faut mar- quer sur la peau de la
tête
rasée, à l'aide du crayon de la goupille, un se
espond à .une partie donnée du crâne : en mettant l'appareil sur la
tête
, on amène la goupille indicatrice jusqu'à la pa
vue en dehors de la petite taille du sujet, c'est le vo- lume de la
tête
, qui est en quelque sorte globuleuse, et les peti
passe sous l'extrémité infé- rieure du cubitus. Les rapports de la
tête
du radius avec le carpe s'en trou- vent sensibl
XII). Il existe en outre une luxation en dehors et en arrière de la
tête
du radius, luxation sur l'origine de laquelle o
'ac- croissement tenant à la diaphyse, ont été refoulées loin de la
tête
de l'os par les couches osseuses de formation p
t le premier de nos malades. Frappé par sa petite taille, sa grosse
tête
et l'exiguïté de ses bras, le rapprochement s'i
ns l'histoire de l'achondroplasie et le développement exagéré de la
tête
figurant comme élément presque essen- tiel du t
. A ce moment son torticolis était peu accusé et la déviation de sa
tête
à gauche était légère, quoique déjà permanente.
légère : l'apposition de deux doigts de la main gauche derrière la
tête
, dans la région occipitale, suffit à faire dispar
jouter par instant des secousses spasmodiques qui p ? violemment la
tête
en arrière, en extension forcée. 460 SICARD ET
s très rapprochées des muscles de la nuque, projetant violemment la
tête
en arrière. Nous refusons de donner notre conse
r symptôme qui l'ait frappé fut le suivant : il lui semblait que sa
tête
avait tendance à tomber sur l'épaule gauche II ép
nteur à gauche. Ce qui est certain, c'est que, de temps à autre, la
tête
se rapprochait de l'épaule gauche, involontaire-
N TORTICOLIS MENTAL 463' ment. Pour y remédier, Taurone relevait la
tête
en tournant le visage à gauche. Cela, pense-t-i
tude d'utiliser surtout son oeil droit, et, pour cela, il tourne la
tête
à gauche. C'est pour écrire que cette attitude
remar- qué que,dans la conversation, il avait coutume de tourner la
tête
à gauche, et il pense que c'est pour regarder l
ue où son torticolis a débuté : autre raison pour lui de tourner la
tête
à gauche, afin de prêter attention surtout avec l
si bonne des deux côtés. Cependant le mouvement de ro- tation de la
tête
vers la gauche a persisté. Ces troubles visuels
t auditifs ont-ils vraiment provoqué une habitude de rotation de la
tête
à gauche ? Ou bien, avant que le torticolis fut f
titué, existait-il déjà une action prédominante des rotateurs de la
tête
à gauche, à laquelle Taurone ne prêtait pas atten
ticolis mental. Il est certain qu'au commencement la rotation de la
tête
passe souvent inaperçue des malades ; elle est co
t s'ajoute l'obsession de ce mal. Tel fut le cas pour Taurone. Sa
tête
tourna davantage à gauche,le visage dirigé un p
'un retour et d'un temps de repos. D'abord, il ramena facilement sa
tête
vers la droite et put la maintenir dans cette p
eu à peu la rectification devint plus difficile ; le maintien de la
tête
dans la position droite ne put se faire qu'au p
'il portait son verre, sa fourchette ou sa cuillère à la bouche, la
tête
tournait brusquement vers la gauche, comme pour f
ce geste involontaire fut possible : il suffisait de le vouloir, la
tête
revenait vers la droite ; mais, avec le temps, el
cetle hypertrophie est surtout manifeste pendant la rotation de la
tête
à gauche, c'est-à-dire pendant la contraction d
e renflement, moins saillant, il est vrai, et moins dur. Lorsque la
tête
se maintient directement en face, et que les ster
stemo-mastoïdiens se contracter, faisant saillie sous la peau ; la
tête
alors ne tourne pas. Le malade explique à ce prop
nce à dé- croître. C'est qu'en effet, au début, la rotation de la
tête
se faisait seulement de droite à gauche/sans qu
la rotation s'est accompagnée d'un mouvement de renversement de la
tête
en arrière, le menton se portant vers le haut.
on tour, et son action eut pour effet d'ajouter à la rotation de la
tête
à gauche son ren- versement en arrière. La pa
t ou qu'on le lui demande. Lorsque le mouvement de rotation de la
tête
à gauche est très violent on voit parfois quelq
xion et d'extension des doigts de la main droite. La rotation de la
tête
se produit surtout à l'occasion de gestes usuels,
, etc. , 466 HENRY MEIGE ' - Pendant la marche, la rotation de la
tête
à gauche s'accentue davanta- ge. Taurone peut c
e. Taurone peut cependant avec un léger effort marcher en tenant la
tête
tournée à droite ; il lui est plus difficile de m
la tête tournée à droite ; il lui est plus difficile de marcher la
tête
regardant en face, et plus difficile encore de
it. La lecture est presque impossible. Dès qu'il prend un livre, la
tête
est entraînée à gauche; il ne peut lire que de
façon suivante : il se tient très droit, et s'efforce de tourner la
tête
à droite, c'est-à-dire en sens inverse de son tor
à écrire pendant une heure sans trop de gêne; mais d'autres fois la
tête
est entraînée irrésistiblement à gauche ; en gé
éprouvé jusqu'à ce jour de douleurs véritables dans le cou, dans la
tête
, ni dans les épaules, mais seulement une sensatio
nt contracté ; ces sensations disparaissent complètement lorsque la
tête
reste pendant un instant dans la position droit
emières lignes. Grâce a ce dispositif, le moindre déplacement de la
tête
ou des épaules est facile à constater. Deux s
ents lents, réguliers, sans saccades. Mouvements élémentaires de la
tête
: Rotation. Inclinaison à droite et à gauche. F
e tiens le plus correctement du monde ; même dans les moments où ma
tête
a le plus de tendance à tourner à gauche, où je m
correctement un mouvement commandé de rotation ou de flexion de la
tête
. » Les immobilisations sont parfaites et atteig
rd'hui. Il a pu rester pendant une heure en ma présence sans que sa
tête
tournât une seule fois vers la gauche ; tous le
sés. A peine remarquait-on une légère raideur. Pendant la marche la
tête
se tient com- plètement droite. Aux exercices
t lui avoir rendu un grand service. Autrefois, en effet, lorsque sa
tête
tournait vers la gauche, il essayait de contreb
ron - des. Et pendant cet exercice, il doit s'efforcer de tenir la
tête
bien en face et non tournée vers la droite, com
il faisait précédemment. Taurone a constaté que les exercices de la
tête
et du cou faits avec douceur, méthodiquement, f
de ce mouvement. Mais s'il maintient pendant quel- ques instants sa
tête
fléchie, il sent peu à peu les muscles de la nuqu
nvier 1903. Pendant deux ou trois jours le cou a été plus raide, la
tête
avait plus de tendance à tourner vers la gauche;
s. 110, Enfin, Taurone peut faire actuellement 100 pas en tenant sa
tête
com- plètement droite, et cela sans effort. L
rrive à porter régulièrement son verre à sa bouche en maintenant sa
tête
droite. Pres- que toujours à la suite du repas,
a poche, etc., Taurone éprouvait une grande gêne, et chaque fois sa
tête
tournait vers la gauche. Il s'est entraîné à co
t ne se rendort guère. Une fois couché, il parvient il maintenir sa
tête
et à s'endormir en position correcte ; mais, lo
cte ; mais, lorsqu'il se réveille, les mouvements de rotation de la
tête
ne tardent pas à reparaître ; alors il se lève, f
S janvier 1903. - Depuis 3 jours, les mouvements de rotation de la
tête
à gauche sont devenus plus forts et plus fréquent
s fréquents ; le malade n'ar- rive que difficilement à maintenir sa
tête
en face, surtout au repas et dans la rue. Il fa
ntre ces contractions, mais né par- vient pas toujours à ramener sa
tête
à droite. La marche dans la rue est très diffic
alme lorsqu'il est étendu et peut rester ainsi plusieurs heures, la
tête
très droite, avant de s'endormir, sans aucune r
lui procu- raitenviron deux heures de calme,puis la rotation de la
tête
recommençait. t. Aujourd'hui, il se sent mieux
d'hui, il se sent mieux ; il a pu faire quelques pas dans la rue la
tête
droite; néanmoins, devant moi, il ne conserve que
, il faut qu'il commence par se surveiller dans le miroir, sinon la
tête
tourne toujours à gauche; quand il a répété plu
cette marche devant le miroir, il peut marcher un certain temps la
tête
droite sans se regar- der. Fait nouveau : dep
ne a retrouvé la souplesse de ses mou- vements ; il peut ramener sa
tête
à droite chaque fois qu'il le désire, et il res
amélioration continue. Le malade rencontré dans la rue, marchait la
tête
complètement droite, et sans effort. Un nouvel
nt le miroir, en prenant des immobilisations toutes les fois que ma
tête
tourne. La marche est devenue, même devant miro
complètement incorrecte : à peine quelques pas sans rotation de la
tête
. Au lit, plus une minute de bonne position. Je
es exercices, le torticolis est presque continuel ; je ne ramène la
tête
que par un grand mouvement de rotation de gauche
èze droit, sauf dans quelques rares mouvements, ayant cessé. 1 La
tête
a, pour ainsi dire, perdu une de ses racines et s
ts restent inexécutables correctement, notamment l'immobilité de la
tête
en rotation à droite et la flexion complète. A
e que je crois devoir signaler. Dans le mouvement de torticolis, ma
tête
ne s'incline plus à droite comme au début ; en
e multiplie à ce point de vue dans mes exercices les flexions de la
tête
en avant devenues assez difficiles à exécuter l'
ite pro- menade après déjeuner; je suis rentré très fatigué, car sa
tête
étant rigoureu- sement fixée en rotation à gauc
es efforts ; pour ceux que j'exé- cute, je tiens pour ainsi dire la
tête
en équilibre devant la glace, équilibre que je
is faire c'est de m'exercer le plus souvent possible il remettre la
tête
à droite en décontractant mes muscles ; il m'arri
ouver alors des oscillations de bas en haut, et toujours à peine la
tête
est-elle portée à droite, qu'elle repart brusqu
che ; je ressens seulement dans les exercices de renversement de la
tête
en arrière ou d'incli- naison à gauche une sens
s, au visage, en somme m'agiter d'une façon quelconrlue. Lorsque la
tête
est com- plètement et violemment tournée à gauc
près décontracté ; je sens nette - ment encore lorsque je ramène la
tête
de gauche à droite comme la détente de large ba
que toujours à vaincre la fixité du torticolis, à pouvoir porter la
tête
lentement jusqu'à droite et à l'y maintenir même
rsévérer dans les efforts très fréquents que je fais pour porter la
tête
à droite, alors que je ne réussis pas à l'y maint
ongées qui ne sont possibles qu'avec une position défectueuse de la
tête
. 5° Les fourmillements, les « inquiétudes » dan
rouvaient en face du croisement des lignes tracées sur la glace, la
tête
était prise d'une sorte de tremblement qui se t
s précédemment signalées. De même ont reparu les oscillations de la
tête
de bas en haut. Le mouvement que je réussis le mo
quefois à écrire quelques lignes en position correcte ; je tiens ma
tête
bien mieux lorsque je suis absolument tran- qui
te la nuit ; mais, même éveillé, je demeurais en bonne position, la
tête
directe ou légèrement inclinée dans la position
: je tenais assez bien l'immobilité daus les diverses positions de la
tête
; mais, au moindre mouvement, à la moindre vibr
quelques temps, lorsque j'étais en mouvement ou que je parlais, la
tête
se portait plus en arrière, les mouvements de f
ont pris une amplitude plus grande, surtout le renverse- ment de la
tête
en arrière. La douleur de l'épaule gauche, qui pa
e miroir agiter le sterno-mastoïdien droit. Quand je suis debout la
tête
se renverse violemment en arrière et des oscillat
ébutent par quelques légères secousses d'avant en arrière ; puis la
tête
est violemment déviée à gauche et en arrière ;
. Levé, les contractions ne cessent pas et la douleur non plus ; la
tête
est toujours portée à gauche et très en arrière
euse. Si j'essaie de décontracter le trapèze gauche en abaissant la
tête
, celle-ci est prise d'oscillations de bas en ha
ne heure ou deux, j'arrive quelquefois à m'immobiliser un moment la
tête
en face, ou complètement à droite; mais de cette
tte dernière position je ne puis pas revenir lentement en face : la
tête
repart brusquement et violem- ment à gauche et
1903. Je me décide à vous donner de mes nouvelles en écri- vant la
tête
de travers, car il serait probablement trop long
cile- ment pour les mouvements de rotation et pour l'immobilisation
tête
à droite, demi à droite et au centre, pénibleme
des épaules (élévation et abaissement, propulsion et extension), la
tête
était toujours et invinciblement entraînée à ga
le sommeil est meilleur, la station couchée peut être prolongée, la
tête
restant presque toujours en position correcte. Ce
des imperfections ; notamment dans l'immobilisa- tion au centre, la
tête
s'arrête invariablement en légère déviation à gau
erdu la faculté que j'avais de rester couché en bonne position ; la
tête
est repartie avec, à la fin du mouvement de rot
aut ; je n'arrive que rarement à m'arrêter, et pas pour longtemps, la
tête
di- recte. L'état de contracture des divers mus
r pendant long- temps contre la défectuosité du point d'arrêt de la
tête
au centre, l'axe du cou étant invariablement dé
re, l'axe du cou étant invariablement déplacé un peu à droite et la
tête
en légère rotation à gauche ; je chassais le co
du torse sont, en général, accompagnés d'une certaine roideur de la
tête
et de quelques secousses l'entraînant quelquefo
; la marche est devenue encore plus pénible, le renversement de la
tête
en arrière s'étant accentué encore davantage ;
oins poussée à l'extrême pendant que les contractions renversant la
tête
en arrière sont plus violentes et toniques comm
obtenir plus d'assouplissement, j'exécute tous les mouvements de la
tête
, des bras, des épaules et du buste ; c'est mon pr
de celui-là, mais moins bien et avec plus de difficulté; lorsque la
tête
finit par m'échapper, les contractions deviennent
me laisser aller à la position incorrecte, la condition de fixer la
tête
de temps en temps en bas et à droite, en me liv
aussi de temps en temps à droite et de maintenir quelques instants la
tête
en rotation de côté pour revenir ensuite à la p
; je lutte dès le début, et autant que je le puis, en por- tant la
tête
en rotation à droite et en flexion vers le bas, m
la rotation complète à droite, difficulté dans l'inclinaison de la
tête
à droite tandis que l'inclinaison. 498 HENRY ME
la tête à droite tandis que l'inclinaison. 498 HENRY MEIGE de la
tête
à gauche est très aisée) ; les mouvements de rota
eu soin de me munir; je le tiens un peu à droite pour entraîner la
tête
de ce côté, et, l'oeil fixé sur les caractères, e
es exercices d'écriture ou de dessin sur le sol, avec une canne, la
tête
étant maintenue en position correcte, peuvent êtr
e entièrement disparu (comme le prouve la facilité avec laquelle la
tête
peut être inclinée à gauche). Par contre, les c
éné- rale, toutes les occupations obligeant 'le malade à tourner la
tête
du côté opposé à la rotation de son torticolis,
violentes. le sens de l'attitude vicieuse est seulement modifié ; la
tête
ne se fixe pas au même point ou y arrive en par
ère séance journalière, que le cou était déplacé vers la droite, la
tête
restant à gauche de la ligne médiane du corps ;
e restant à gauche de la ligne médiane du corps ; le cou portait la
tête
comme celle-ci porte un chapeau sur l'oreille ;
rd'hui, il m'est à peu près constamment im- possible de conduire la
tête
au centre sans constater la position incorrecte q
; j'exécute des mouvements de rotation à droite et demi à droite la
tête
fléchie; la posi- tion ainsi prise demi à droit
3° On doit distinguer dans les déviations du torticolis celles de la
tête
et celle du cou. a) La position du cou peut r
tion du cou peut rester normale, son axe n'étant pas dé- placé ; la
tête
seule est inclinée ou tournée à droite ou à gauch
xercer une sorte d'attraction, produisait un effet ré- pulsif et la
tête
se portait violemment à gauche, dès que je jetais
nt de janvier, je pouvais rester assez longtemps, cau- ser même, la
tête
directe, mais le cou raidi, la nuque tirée vers l
me reste seulement un peu de raideur du cou et les mouvements de la
tête
vers la droite sont très limités. Si ces deux der
ion des mouvements consciemment voulus; au moment par exemple où la
tête
restait ordinairement droite et se fléchissait
gêne dans la dernière moitié de tous les mouvements de rotation de la
tête
, le début de ces mouvements étant normal. La ro
roideur des muscles du cou augmente lorsque je porte les mains à la
tête
pour me moucher, me grat- ter, me laver.. ; j'é
ter, me laver.. ; j'éprouve même parfois un peu de tremblement de la
tête
, de petites contractions frustes, limitées, n'e
teurs, automatiques ou surveillés. Cette sorte de tremblement de la
tête
que signale le malade et qu'il dé- crit très ex
is ils s'atténuent peu à peu ; la raideur dans les mouvements de la
tête
diminue ; de même les légères secousses, les espè
mouvements d'élévation des bras,de leur circonvolution autour de la
tête
et de rotation de celle-ci.. etc. Le peu de gêne
re avec la main droite la toilette de l'oreille gauche, de tourner la
tête
com- plètement à droite en marchant etc... De t
vulsif sont une sensation de raideur dans certains mouvements de la
tête
et du cou, rai- deur qui peut persister longtem
té tous les mouvements simples ; quelques mouvements combinés de la
tête
et du bras droit surtout, comme le port et les fr
le port et les frictions de la main droite sur le côté gauche de la
tête
et la rotation simultanée de celle-ci à droite,
it du présent, et confiant dans l'avenir. La légère raideur de la
tête
et du cou qu'il éprouvait encore l'année derniè
rsiste-t-il une petite gène pour certains mouvements combinés de la
tête
et du bras droit, qui d'ailleurs s'atténue peu
, qui fut caractérisé par des ver- tiges répétés et une lourdeur de
tête
particulière. Toutefois aucun symp- tôme grave
ois quelques heures ou quelques jours auparavant,par une douleur de
tête
, par de l'irritabilité et de la tristesse; elle
et revenait à lui se plaignant pendant quelque temps de douleurs de
tête
, de courbature, el présentant une confusion dan
38 ALBERT LONDE ET HENRY MEIGE Celle-ci se termine en effet par une
tête
bifide sur laquelle on distingue deux surfaces
hez notre premier sujet, c'est l'inverse que l'on pouvait noter, la
tête
métacarpienne correspondant-à l'auriculaire norma
position différente à l'un et à l'au- tre pied. Du côté droit, la
tête
du cinquième métatarsien est considérablement t
notablement atrophiée et déformée ; elle semble faire corps avec la
tête
de la phalange. Le doigt surnuméraire tout entier
ercule osseux, isolé, qui s'articule lui-même, sans y adhérer, à la
tête
métacarpienne. Le quatrième métacarpien est aus
ignalé. Ce der- nier représente, à n'en pas douter le vestige d'une
tête
de quatrième mé- tacarpien supplémentaire. A
is entre le lui" et le 5° métacar- pien, on distingue nettement une
tête
métacarpienne adventice qui se prolonge par un
l n'en est pas de même si la charge est exclusivement portée sur la
tête
. La né- cessité où se trouve alors le marcheur
maintenir la rectitude du cou et d'éviter les oscillations de la
tête
dans le sens vertical et dans le sens transvers
e et aux membres inférieurs. Les oscillations transversales de la
tête
sont compensées par des oscil- lations de même
penche en avant, les bras s'a- gitent de diverses manières et la
tête
revêt une expression de cir- constance, mais le
ractères de tibias humains fossiles, tels que la rétroversion de la
tête
tibiale et la platycnémie, ont conduit M. Manouvr
ession, marchent (1) L. Manouvrier, Élude sur la rétroversion de la
tête
du tibia et l'altitude humaine à l'époque quate
« Dans cette marche « toe-ancl-heel » le corps doit être droit; la
tête
bien en arrière, les coudes au côté, les avant-br
nd dorsal se prennent à leur tour, il en résulte une fixation de la
tête
, qui ordinairement se penche en avant et un peu
n le prenant par une de ses extrémités podalique ou céphalique ; la
tête
est penchée en avant, la nuque fait une grosse sa
ervateurs ont constaté au début la formation de noyaux indurés à la
tête
qui ont disparu sans laisser de trace (Uhde, Krau
a présenté trois noyaux de ce genre : à la partie supérieure de la
tête
, à l'occiput et un autre sous la mâchoire, à droi
ait conservée. A noter l'existence d'une subluxation en avant de la
tête
de l'astragale. « Au thorax et aux membres supé
mètre de hauteur ; ses jambes sont courtes, son torse est long, sa
tête
est grosse, sa face lunaire. N'a-t-il pas le vi
e connue, il s'est développé sur le front, verticalement, depuis la
tête
du sourcil gauche jusqu'à la lisière du cuir ch
iques existaient sur le côté gauche du front; « l'une partant de la
tête
au sourcil gauche, mesurant 7 cm. 5 de long et 2
rouvé dans son côté droit ; elle a rarement souffert de douleurs de
tête
auxquelles on ne reconnaît aucun caractère part
enant. Quelle est la loi qui régit la position des membres et de la
tête
? Pourquoi dans tel cas, il y a une espèce de tor
ces ostéomes qui font une saillie notable â la nuque en penchant la
tête
en avant, au dos qu'ils défigurent monstrueusemen
ioduré ; les noyaux, dit-il, disparaissaient en quelques mois, et la
tête
, qui se trouvait appuyée sur le sternum d'abord
ne tumeur osseuse de la nuque, n'a obtenu aucune amélioration. « La
tête
resta toujours fixée comme antérieurement, sans
du tibia, et une hyperostose grosse comme une noix au devant de la
tête
de l'astragale ; celle-ci limite les mouvements
rche est impossible, l'incoordination aug- mente. Vacillation de la
tête
. Réflexe rotulien aboli. Les membres supérieurs
nt soudés pen- dant la vie embryonnaire. On observe une très petite
tête
où les fonta- nielles manquent et où les os crâ
un fort degré de inicrocéphalie, les enfants en question avaient des
têtes
très grandes. La microcéphaHe dans ces. cas s'e
mort. AUTOPSIE.- Ce qui frappe avant tout, c'est la grandeur de la
tête
dont la circonférence est de 44 centimètres, la
des Enfants-Trouvés tomba à 3500 grammes. La circonférence de la
tête
était de 42 cm. 5. La distance entre les os par
A..., âgé de six jours. La même hydrocéphalie, la même grandeur de
tête
. Toute la cavité du crâne est partagée en deux mo
coles flamande et hol- landaise, représentant des Opérations sur la
Tête
(1). Parmi ces oeuvres artistiques, les unes re
simulait dans une de ses mains et qu'il affirmait être sortie de la
tête
. La farce jouée, le crédule opéré se retirait s
uéri. Tous les documents relatifs à la supercherie des « pierres de
tête
», té- moignent d'une intention satirique évide
a Médecine (Ecoles Flamande et Hollandaise) . Les Opérations sur la
Tête
. Nouv. Iconog. de la Salpêtrière, nos 4 et 5, 189
JIR031E Boscii, peintre hollandais (1450-1516). Les Pierres dans la
tête
. Rijks-Museum, Amsterdam. Opération chirurgical
le ? Janus, 50 livraison, mars- avril 1897. LES OPÉRATIONS SUR LA
TÊTE
201 de corps étrangers, etc., etc., bref, toute
MALO ( ? ), peintre flamand (XVIIe siècle [ ? ]). Opération sur la
tête
. Galerie de Mannheim. Inconnu, de l'école flama
fois que l'artiste ait peint un chirurgien rustique opérant sur la
tête
d'un client plus rustique encore. Brouwer a mon
cemment pour un prix relativement peu élevé. Une Opération sur la
tête
manquait celle série chirurgicale. Le Vieux Chi
atoire comme celles que pratiquaient les arracheurs de « pierres de
tête
». Le mal, quel qu'il soit, est bien réel, et le
Henry Meige) MASSON & (It : , Editeurs. LES OPÉRATIONS SUR LA
TÊTE
203 sur l'opéré, comparse obligatoire de toutes
ujours reléguée au second plan, un bâton à la main, un fichu sur la
tête
, rébarbative et rechignante, sans qu'on puisse en
mis à nu, est assis sur un escabeau, 'le corps tourné à droite, la
tête
de face. A ses pieds, son large chapeau de feut
eur F. Schlie du musée de Schwerin. 204 HENRY MEIGE gauche sur la
tête
du patient et de la droite soulevant les bords d'
St-Ptersbourg) MASSON & r-ie, Editeurs. LES OPÉRATIONS SUR LA
TÊTE
205 débordant de santé, jette, dans un rayon de
ans souci du respect humain, et ne craignaient pas de hurler il tue
tête
, quand le remède leur semblait plus cruel à suppo
et de vases ébréchés où piétinaient à l'aveu- LES OPÉRATIONS SUR LA
TÊTE
207 galette les bêtes de passage, et la mégère
e Mannheim, un assez joli tableau représentant une Opération sur la
tête
. Il est attribué à un peintre fia- 208 HENRY M
d'une robe rouge, avec un tablier bleu et une coiffe blanche sur sa
tête
. Elle est assise de pro- fil à gauche, sur un f
NOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. T, XI, PL. XXV11. UNE OPÉRATION SUR LA
TÊTE
Dessin à la sanguine sur vélin, par DAVID TENIE
ai aperçu, par hasard, un tableau représentant une opération sur la
tête
dans le cabinet de M. Richard, directeur de la ga
ulaire. Un très intéressant document, relatif aux opérations sur la
tête
, a été récemment communiqué au « Janus », par l
it à deux, l'opérateur et l'opéré. (1) Un arracheur de pierres de
tête
. Janus, 1898, janvier et février, p. 3T5. ' 210
niers (1). « S'agit-il ici réellement d'une extraction de pierre de
tête
, ou d'une opération banale quelconque ? Il est
êtrière, 1895, p. 312, et Janus,1891, p. 396. LES OPÉRATIONS SUR LA
TÊTE
211 signaler, car elle n'existe chez aucun autr
et de villageois. L'un d'eux est sur la sellette, abandonnant sa
tête
, non sans en pâlir, au barbier-chirurgien de l'
te, tient entre ses hras l'un des deux bambins qui, sérieuse- ment,
tête
son pouce. L'autre gamin, plus âgé, accroché aux
ète ». Puis régions diiis lltlléïéll.itible mains, en criant : « ma
tête
, ma tète o. Puis elle tomba dans un éritable accè
par- tie de ses journées au lit. Elle se plaignait sans cesse de sa
tête
; parfois elle déraisonnait. Ses nuits étaient
ne difficulté de la démarche qui est devenue titubante; des maux.de
tête
extrêmement violents ; des attaques, les unes syn
géné- rale, phénomènes de compression locale. La céphalée figure en
tête
des premiers. Elle a été d'une violence et d'un
les plantes des pieds, surtout les talons. Le cuir chevelu de la
tête
est très sensible aux irritations douloureu- se
e la tête est très sensible aux irritations douloureu- ses : sur la
tête
chauve de 0,15 à 0,2 millimètres. Le% endroits
e est moindre sur les parties découvertes du corps (le vi- sage, la
tête
). Mes observations sur les changements des sens
asquée par les cheveux et seulement appréciable par le palper de la
tête
. Mais parfois, lorsqu'elle est très accentuée (ce
ion du crâne qui présente une conformation tout à fait spéciale : «
Tête
très longue, très aplatie latéralement et présent
tion de ce crâne, d'après le texte ori- ginal. Têle allo ? îflée.
Tête
allongée. Quoique cette tête ait été prise sur
xte ori- ginal. Têle allo ? îflée. Tête allongée. Quoique cette
tête
ait été prise sur un sujet qui ne devait avoir qu
s et taille de 69 centimètres (16 centimètres à la naissance). La
tête
est d'une petitesse disproportionnée ; le crâne a
sphère gauche. Le cerveau pesait quatre onces (= 113 grammes). La
tête
de l'enfant mesurait 38 centimètres de circonfére
lle qu'un symptôme, à savoir l'exagération dispropor- tionnée de la
tête
, en m'attachant à étudier ce qui seulement ressor
céphale vers l'âge de treize mois (tout au moins l'ampliation de la
tête
n'a-t-elle été remarquée qu'à ce terme). Mort i
paternelle. L'aîné, actuellement de six ans, est un hydrocéphale il
tête
énorme ; inintelligent ; affecté, en outre, de
e Dr Ricord, dont une ordonnance (conservée par le malade) porte en
tête
le diagnostic suivant : « Chancre induré de la
n normale au double point de vue physique et intellectuel ; mais sa
tête
était très volumineuse, comme en témoigne un po
ance à une fille qui, née en bon élat, est devenue hydrocéphale. Sa
tête
, dit-on, a commencé à grossir vers le troi- siè
grossesse donnant naissance à un enfant chétif, malingre, à grosse
tête
. Hydrocéphalie se confirmant les mois suivants. M
né vers la fin de 1871. Dès la naissance il présentait « une grosse
tête
» qui a continué se développer, en sorte que, ver
nt hydrocéphale. Je le vois seulement il l'âge de sept ans et demi.
Tête
volumineuse. Marche très défectueuse, vacillante.
énéral. En octobre, c'est-à-dire quatre mois après la naissance, la
tête
de l'enfant commença a augmenter de volume, et
sta. L'enfant, qui se plaignait beaucoup, ne pouvait main- tenir sa
tête
droite ; il la laissait toujours tomber en arrièr
ètement disparu ; l'enfant ne se plaignait plus, maintenant bien sa
tête
, et l'intelligence se développait. Depuis cette é
nce d'un traitement spécifique. Mais, deux mois et demi au delà, la
tête
commence il grossir, et l'enfant de- vient hydr
. Première grossesse. Enfant venu à terme, bien constitué, ayant la
tête
un peu forte. A trois semaines, des convulsions
ment de beaucoup supérieur à celui des enfants de même âge. Mais la
tête
reste volumineuse, ne peut être maintenue en équi
s facile d'extraire un foetus, hydrocéphale, dont on put remplir la
tête
de 540 grammes d'eau. Le mari, questionné, avou
ieds ; puis coryza ; puis augmenta lion progressive du volume de la
tête
. Lorsque cet enfant est amené à l'hôpital Trous
fondre avec le ligament de la nuque ; celui-ci fixe complètement la
tête
. Exostoses multiples sur les bras indépendantes
mbres supérieurs : il était incapable de les lever, les porter à la
tête
et d'éloigner les coudes il une grande distance
s droit jusqu'à sa complète fixation au corps. Peu de temps après, la
tête
s'inclina en bas, vers le sternum. L'examen m
et de flexion du cou sont impossibles ; il peut porter seulement la
tête
un peu à droite. Les sterno-mastoïdiens sont te
ssi- fications nouvelles se trouvent en contact. De chaque côté, la
tête
de l'humérus gonfiée et présentant une sorte de
ntièrement soudée avec la cavité glénoïde ; il en est de même de la
tête
du fémur. Pas la moindre trace de luxation anci
t une trépida- tion et un craquement comme s'ils glissaient sur une
tête
humérale inégale. L'atrophie du deltoïde et l'h
libre, mais ses mouvements ne sont pas normaux : L'extension de la
tête
est empêchée par manque d'élasticité des sterno-m
a cuisse gauches, mais moins. Absence de mouvements de la mâchoire,
tête
fixée. Bras droit lléchi, ankylose de l'épaule,
'épaule, atrophie du revêtement cartilagineux. Épaississement de la
tête
de l'humérus et de ses tubérosités. Sur l'épicond
le contour des côtes. Ossification des sterno-mastoidiens fixant la
tête
. Mains et poignets libres ; ankylose des coudes
es sur l'épaule gauche et atteinte du grand dorsal de ce côté. La
tête
, le cou et le bassin étaient encore indemnes; ext
é inférieure. Dans l'intervalle d'un an, atteinte des muscles de la
tête
. Les masséters fu- rent pris d'abord et limitèr
violentes et de courte durée. Intelligence normale. Actuellement
tête
et tronc penchés en avant et : c droite, immobile
évro- tique réunie aux parties sous-jacentes, surtout il gauche. La
tête
est fixée par une masse osseuse qui commence il
appuyés contre le tronc, les avant-bras normaux ; les muscles de la
tête
, du cou, du thorax, les muscles fessiers sont d
igence particulièrement remarrluable. Front et parties molles de la
tête
durs ; la peau y est peu mobile. Une petite exo
e et indurés d'une façon irrégulière, moniliforme. Mouvements de la
tête
dans le sens antéro-postérieur de 2 à 3 centimè
ts héréditaires et personnels. Mai 1878. - Enfant pâle, mal nourri,
tête
penchée directement en bas avec DE LA MYOSITE O
la colonne cervicale très limités. On peut lui porter légèrement la
tête
il droite et il gauche, très peu, en avant et p
ans la famille. A 6 ans, formation de noyaux durs et indolores a ta
tête
, ils persistent 3 mois et disparaissent sans la
ère diminution dans l'étendue de la flexion et de la rotation de la
tête
. Dans le dos existent des tumeurs qui débutent
res précis. Il a appris larda marcher; il aurait eu des abcès il la
tête
étant jeune. A 10 ans chute sur l'épaule droite
, formation d'une induration dans les muscles du cou ; elle fixa la
tête
vers la gauche. Vers la même époque avec les symp
ormale, organes abdominaux et thoraciques normaux. Urine normale.
Tête
penchée en avant et un peu à droite ; la partie s
de bonnes conditions. Dans son enfance, il a eu quelques noyaux il la
tête
qui disparurent sans laisser de trace. Vers 187
est bien développé, intelligent,avec des organes des sens parfaits.
Tête
et épaules penchées en avant, aussi la démarche e
E 315 Pneumonie et scarlatine avec néphrite à 14 ans. En 1882, la
tête
et le corps sont penchés en avant et un peu vers
la nuque adroite. Aboli- tion presque complète des mouvements de la
tête
. Ankylose de la colonne ver- tébrale et raideur
le dos. Le corps se tient penché, la marche est très difficile. La
tête
est légèrement penchée en avant : la rotation des
clinaison en avant et sur les côtés est presque entièrement abolie.
Tête
ronde, 55 centimètres de circonférence, de struct
au des différentes tuméfactions. (A suivre) LES OPÉRATIONS SUR LA
TÊTE
(Suite) par HENRY MEIGE. Nous donnons ci-de
s la reproduction d'une gravure ancienne, relative aux « Pierres de
tête
», qui a déjà fait l'objet d'une étude parue dans
Ve au XVIle siècle, dans les Pays-Bas. Un Arracheur de « pierres de
tête
». Gravure d'après TH. de BRY (XIVe siècle). La
par le D' Liétard (de Plombières) représentant une Opération sur la
tête
, dessin à la san- guine sur vélin, attribué à D
définitivement cesser tout travail. Bientôt les mou- vements de la
tête
devinrent presque impossibles, et ceux de la cuis
intermittent. Il se produisait dans les tentatives de rotation de la
tête
et s'accompagnait d'un gros craquement. Duf...
et s'accompagnait d'un gros craquement. Duf... pouvait remettre sa
tête
en place en s'aidant des mains; la correction s
me bruit de gros craquement unique. Dans la position du torticolis la
tête
s'inclinait sur l'épaule droite, la face regard
gauche est légèrement fléchie, le pied gauche touche le sol par la
tête
des métacarpiens, le talon est en l'air à une hau
ude. - Toute la partie supérieure du corps est penchée en avant. La
tête
est fléchie légèrement, la face regarde en avant
front touche le sol à 40 centimètres en avant du talon gauche. La
tête
est immobilisée sur le cou : il persiste seulemen
rieur et dans le plan transversal. Dans le plan antéro-postéricur, la
tête
et le cou sont fléchis sur la partie supérieure
partie posté- rieure des cuisses, des fesses, des épaules et de la
tête
. Mais Duf... est formé 324 E. FEINDEL ET P. FRO
du plan; la cuisse ankylosée élève le genou de telle sorte que la
tête
du péroné gauche est il 21 centimètres au-dessu
péroné gauche est il 21 centimètres au-dessus du plan tandisquela
tête
du péroné droitn'enest distante que de 5 centim
a gauche à 26 centimètres, l'extrémité de la face postérieure de la
tête
est il une hauteur de 36 centimètres. En somme
par son sacrum, ses lombes, et la partie inférieure de son dos. La
tête
est maintenue à 16 centimètres au-dessus du plan.
cuisse gauche sur un plan. Le rachis tout entier est soulevé et la
tête
est portée à 36 centimètres au-dessus du plan.
l ne peut toucher le plan hori- zontal que par les deux extrémités,
tête
et genou gauche, de la colonne osseuse constitu
porter ses bras dans toutes les directions, mettre les mains sur sa
tête
, etc. Mais tandis que le bras gauche peut être él
sque le malade s'ell'orce de tenter la flexion ou la rotation de la
tête
. L'atrophie musculaire accentue les déformation
la secousse est forte, en môme temps se produit une douleur dans la
tête
. Si au lieu de venir d'en bas, l'ébranlement vi
côtes inférieures. Si l'on tente d'imprimer quelque mouvement à sa
tête
, ou si Duf... fait agir ses muscles du cou, il
e du corps produit la « douleur de reins » ; tout ébranlement de la
tête
produit la douleur occipito-atloïdienne. Il y a
déglutition ; consécutivement par : l'immobilisation du cou et de la
tête
, de la cuisse gauche, la limitation des mouveme
colonne vertébrale aussi était soudée dans la rectitude complète, la
tête
seule était encore mobile; ce n'est qu'en incli
te seule était encore mobile; ce n'est qu'en inclinant fortement la
tête
en avaut que H. L... arrivait à pouvoir écrire.
pos au lit. A ma première visite, même dans le décubitus dorsal, la
tête
était portée en avant, le menton rapproché du s
e ; ils s'accompagnaient de douleur, surtout pour l'extension de la
tête
en arrière. Des autres articulations, la sterno
saurait être question de mouvements de flexion ou de rotation de la
tête
; les déplacements du corps ne sont possibles qu'
rtèbres a une marche ascendante. Et ce sont les articulations de la
tête
avec la colonne qui sont prises les dernières : l
ensurations comparatives à droite et à gauche : Circonférence de la
tête
suivant le plan frontal : a) Circonférence ment
vrai bredouil- lement), présente, en outre d'une inclinaison de la
tête
à gauche, une hémihy- pertrophie faciale droite
'à l'ordinaire, et'il boit par aspiration, inclinant en même temps la
tête
vers le récipient. Il laisse d'ailleurs souvent
être délimitée au moyen d'une ligne qui, commençant au sommet de la
tête
et à l'extrémité antérieure du la suture sagitt
sé sa mort, il aurait sans doute pu vivre encore plus longtemps. La
tête
de ces enfants était augmentée de volume; les f
a photographie (PI. XLI, E, F, G). Cas III. La partie faciale de la
tête
, excepté le front qui manque,est développée rég
n corps est conformé normalement; mais elle n'a que la moitié de la
tête
(PI. XLI,I), la calotte crânienne et le cerveau
uel mécanisme peut-on invoquer pour expliquer les difformités de la
tête
dans ces quatre derniers cas (Cas III- VI), accom
s dans le formol. En ce qui concerne l'enfant âgé de .. 2 ans, sa
tête
entière a été conservée pendant 5 ans dans une so
au induré à la partie externe du genou droit. En 1886, eczéma de la
tête
ayant occasionné probablement le gonflement des
és, plus cependant à gauche (sans doute par suite de l'eczéma de la
tête
). Les pouces sont déviés en dehors avec des mou
Les pouces sont déviés en dehors avec des mouvements limités. La
tête
est un peu fléchie, fixée et déviée vers la droit
'omoplate gauche, une masse osseuse fixée aux tissus sous-jacents. La
tête
était fixée et déviée vers la gauche. Scoliose
la nuque et du dos sont ossifiés ; on constate des nodosités sur la
tête
,-les omoplates, la colonne vertébrale, les côte
intelligent, bien développé, pesant 94 ibs, hauteur 38 pouces 1/2.
Tête
fléchie en avant, ne peut étendre, ni tourner l
8 pouces 1/2. Tête fléchie en avant, ne peut étendre, ni tourner la
tête
par suite de l'ossification des muscles sterno-ma
et sterno-hyoïdiens. Sterno-mastoidien gauche dur comme du fer d'où
tête
, déviée à gauche. Large pièce sur l'éminence fr
ifficile. Thorax immobile, respiration abdominale. Mouvements de la
tête
très réduits. La tête peut être penchée, mais l
obile, respiration abdominale. Mouvements de la tête très réduits. La
tête
peut être penchée, mais la rotation n'existe pl
de 1 an 1/2 bien portants. A l'âge de quelques mois, elle eut il la
tête
des tuméfactions comme des noisettes situées l'
es situées l'une à l'occiput, d'autres à la partie supérieure de la
tête
, une autre beaucoup plus grosse au cou, immédia
ère, elle dort ordinairement mal. Etat actuel. - Enfant amaigrie.
Tête
grosse, thorax rachitique. Pas de fiè- vre : po
s. A la suite d'une chute qui porte on ne sait sur quelle région la
tête
de l'enfant se penche à droite. En janvier 188'
inférieur de l'omoplate gauche limitant les mouvements du bras. La
tête
est inclinée alors du côté gauche. A son entrée
s cervicales gauches ; au-dessus d'elle une petite tu- meur mobile.
Tête
inclinée à gauche, sterno-mastoïdien tendu au-des
mpensation lombaire gauche ; cyphose dorsale supérieure penchant la
tête
an avant. Respiration presque entièrement abdom
igne du tronc de 4raz, les doigts atteignent la bouche, mais non la
tête
. Les deux bras sont petits et minces. Sur la 8°
masse au-dessous et à droite de la rotule droite. Nuque très raide,
tête
penchée en avant. Un ou deux nodules au-dessous d
debout, mais le moindre choc peut le faire tomber. Mouvements de la
tête
très limités, nuque très raide. Masse osseuse e
localement. Etat général toujours parfait. Depuis quelque temps, la
tête
est penchée constamment en avant, et la partie
partie postérieure du cou est rigide ; impossibilité de tourner la
tête
en arrière. Pas d'antécédents pathologiques héréd
t inclinée en avant : le menton touche le sternum. Mouvements de la
tête
très limités, sur- tout en arrière. Tuméfaction
tance. Amélioration appréciable surtout dans les muscles du con; la
tête
est moins inclinée en avant et beaucoup plus mobi
cédents personnels ou héréditaires. En 1892 l'état général est bon.
Tête
un peu raide et légèrement penchée en avant ; i
gnostique M. 0. ayant atteint l'angulaire de l'omoplate. En 1893,
tête
inclinée à droite ; membres supérieurs recourbés
mbe sitôt après dans l'attitude indiquée plus haut; la rotation de la
tête
est minime, environ 10°. Clavicule droite très
rnière, royalement vêtue, capuchonnée de blanc, une couronne sur la
tête
, tient de la main gauche un livre entr'ouvert, et
considérable du sterno-mastoïdien et du tra- pèze qui inclinent la
tête
à droite en portant le menton à gauche. On voit,
Porta, Barker, Boeckel, Lebert, concourent toutes à montrer que la
tête
et le cou sont lieu d'élection pour les angiome
de violents efforts pour sauter à, bas de son lit à droite et vers la
tête
du lit, efforts dont on ne vient pas à bout san
Etal actuel (1892). L'enfant est âgé de 5 ans et 9 mois. Il tient sa
tête
en torticolis, pas de contraction du sterno-clé
reux, ou d'artères très athéromateuses. ; Pas d'ossification sur la
tête
, ni dans les muscles abdominaux, ni dans les me
euxième orteil. Les phalanges semblent petites et mal développées. La
tête
des premiers métatarsiens est grosse. O¡;\'.
e externe extrême. - Mouvements de la face normaux. Raideur de la
tête
et de la colonne verté- brale ; démarche gauche
ête et de la colonne verté- brale ; démarche gauche. Rotation de la
tête
à droite et à gauche limitée par suite de la te
ment avec le métatarse. 20 Lésions en connexion avec les muscles. -
Tête
fixée par la tension des sterno-masloïdiens, os
est difficile de trouver les limites des muscles. La flexion de la
tête
est possible, l'extension impossible. Bras fixé
. Les sterno-mastoïdiens sont moins indurés, les mou- vements de la
tête
sont plus libres. Ossification plus avancée dans
: ils devinrent bientôt plus petits. A cette époque raideur du cou,
tête
attirée vers la gauche ; quelques mois après ra
ion sacrée avec les mêmes phéno- mènes de douleur et de gonflement.
Tête
attirée sur le côté. Après des pauses plus ou m
euse, se tient debout vacillant, penché en avant et sur le côté. La
tête
est attirée en avant et sur le côté par la cont
Le masséter gauche est dur. Flexion, extension et rotation de la
tête
presque impossibles ; l'empêchement ne tient pa
tractu- rés et dégénérés. Résistance des gastro-cnémiens droits. La
tête
et la face ex- terne du péroné sont hypertrophi
utes sur le dos et à la nuque. Etat de l'enfant le 13 juin l8J,i.
Tête
penchée il gauche, en rotation à droite ; flexi
terne du tibia droit; idem à gauche; exostose un peu au-dessus de la
tête
du péroné droit ; malformation congénitale des
conographique. Témoin IUle \ igllellc quïl répéta plusieurs Ibis en
tête
de ses lettres, pour indiquer l'adresse de son
nde et hollandaise). documents nouveaux sur les opérations sur la
tête
, par Henry Meige (1 grav., 4 phot.), 199, 3 ? D
nde et hollandaise). Documents nouveaux sur les opérations sur la
tête
(1 gravure et 4 phot.), 199, 320. Meige (Henr
angiomateux de la face (LANNOIS et Bernoud), L. Opérations sur la
tête
(Henry Meige), XXV, XXVI, XXVII. Paralysie du
ures de W... sont tout à fait celles des hystériques. Elle place à la
tête
de son lit toutes sortes d'objets : une pelote bl
Après un court repos, on observe des mouvements de balancement de la
tête
qui, bientôt, se soulève et bat l'oreiller durant
r étonné : « J'étais donc malade... » Elle se plaint d'avoir mal à la
tête
, la vue embrouillée et d'être fatiguée. 21 mat.
lit avec ses mains, pousse des cris redoublés, bat l'oreiller avec la
tête
et a des mouvements alternatifs de flexion et d'e
iens vite ! » A la fin de la série, W... se plaint de douleurs à la
tête
et par tout le corps, de battements de cœur, d'un
mouvements cloniques, fléchissant et laissant retomber violemment la
tête
et le tronc, et cela cinq ou six fois de suite. P
» dit la malade, qui a des mouvements de déglutition. Elle soulève la
tête
, regarde d'un air étonné : « Où suis-je? » La con
ations se précipitent ; la malade, qui était assise, laisse tomber la
tête
sur l'oreiller. Les yeux et la face se dirigent à
e rigidité habituelle dans les attaques, avec ces différences : 1° la
tête
est dans l'extension forcée, le cou tendu, gonflé
tertoreuse ; on entend une espèce de renâclement, et en même temps la
tête
est secouée latéralement ; la commissure labiale
eure et ne reposant plus sur le lit que par les pieds et la nuque. La
tête
est dans l'extension forcée, de telle sorte que l
c) Période de délire.— Quarante secondes. Effroi « Maman! ôtez cette
tête
! » Elle regarde à gauche ; les pupilles sont nor
'une minute, on observe un léger spasme, les paupières se ferment, la
tête
s'incline sur l'épaule droite, la malade est endo
Rit, se tortille : « Mais non, faut pas. » Rit aux éclats, tourne la
tête
; croise les bras sur sa poitrine, comme si elle p
e froideur. Elle est heureuse qu'on l'embrasse; tout se passe dans la
tête
. Sommeil. — Il vient lentement; elle pense à to
res s'abaissent et se ferment; on entend un ronflement très léger, la
tête
s'incline sur l'épaule gauche : la malade est end
o-mastoïdien gauche, on détermine une contracture de ce muscle, et la
tête
se porte à droite. Pour la faire disparaître, ou
t, ou bien on frictionne le sterno-mastoïdien droit jusqu'à ce que la
tête
soit devenue rectiligne. Tandis que la malade e
es. La période cIonique n'est constituée que par des mouvements de la
tête
, qui se soulève et retombe brusquement, en battan
et en arc de cercle : le corps ne repose plus que sur le sommet de la
tête
, qui est renversée, et sur la pointe des pieds qu
utre, elle s'asseyait sur son lit, terrifiée, s'écriant : « Oh! cette
tête
! Otez la tête ! » Nous ignorons ce qui se pass
seyait sur son lit, terrifiée, s'écriant : « Oh! cette tête ! Otez la
tête
! » Nous ignorons ce qui se passe dans le délir
on d'amphithéâtre apporta au laboratoire, pour être photographiée, la
tête
d'une malade qui avait succombé à la suite des pr
pticement dans le laboratoire, on n'eut pas le temps de couvrir cette
tête
: de là une violente impression que son imaginati
ons aujourd'hui occupent le siège suivant : 1° la ligne médiane de la
tête
, à partir de la réunion du frontal aux pariétaux
à partir de la réunion du frontal aux pariétaux jusqu'au sommet de la
tête
; — 2° le sternum; —3°et 4° l'un des espaces inter
le sommeil provoqué. 10 Clou hystérique. — Il siège au sommet de la
tête
, occupe une étendue de 4 centimètres de diamètre,
ts environnants paraissent tout rouges, et cela des deux côtés ; — la
tête
est lourde ; — les tempes sont le siège de battem
axes optiques (fascination), la malade suit du regard, en tournant la
tête
; ses pieds ne tournent pas ; — l'approche des do
s consécutifs. —P... est énervée, agacée, se plaint de souffrir de la
tête
; elle n'a aucune notion, ni du temps qui s'est é
battement des paupières, état d'impatience, lar moiement; puis, la
tête
s'incline lentement, les yeux se portent en haut,
ppuyant les pouces sur l'extrémité interne des arcades orbitaires, la
tête
étant penchée en arrière afin de faire porter les
sieurs cris sourds, rauques, ondulés et, en même temps, la face et la
tête
se portent à droite. La bouche, restée ouverte, l
geur égale à celle d'une pièce de 2 francs. La pres- 1 Sommet de la
tête
. sion est très douloureuse : « Ça me porte au c
rs et s'accompagnent d'abattement et de douleurs dans le ventre et la
tête
. — Onanisme présumé. Placée à 15 ans et demi ch
ie. Dans l'intervalle des crises, elle présente l'état suivant : La
tête
est dans l'extension à peu près directe ; la face
on remarque des secousses qui soulèvent les épaules, les bras, ou la
tête
. Attaque. — a) Phase tonique. — La tête se dépl
es épaules, les bras, ou la tête. Attaque. — a) Phase tonique. — La
tête
se déplace, la face se porte fortement à droite ;
ormes dans les membres supérieurs, des mouvements de latéralité de la
tête
et quelques convulsions cloniques courtes. c) P
t son ancien amant, l'embrasse, le possède; ou bien elle aperçoit des
têtes
bizarres, des pigeons de toutes couleurs qui se s
uche. — A 11 h. 30, elle reconnaît, sur une pièce de dix centimes, la
tête
, 9 les lettres, etc. ; elle voit le rouge, le
assure qu'elle a eu hier, pendant toute l'après-midi, des douleurs de
tête
, des nausées, puis des vomissements bilieux; elle
ervalle des crises con-vulsives, le corps décrit un arc de cercle; la
tête
est si fortement étendue que le front, les yeux e
rogènes. — Pas de clou hystérique, bien que l'exploration de toute la
tête
ait été faite avec soin. — Il n'y a pas non plus
uvements de déglutition. P... se plaignait de fatigue, de douleurs de
tête
, de nausées, mais ne paraissait avoir aucune noti
ses sans signification, des figures bizarres, de toutes couleurs, des
têtes
difformes. Quand elle est endormie, elle a des ca
ations, s'imaginent qu'on leur cause, croient voir des personnes, des
têtes
bizarres, etc., autour de leur lit. Lorsque le
lle se plaint fré quemment de douleurs dans les oreilles et dans la
tête
. Ces accidents ne ressembleraient pas à des migra
s du matin), D... est endormie, dans le décubitus latéral gauche ; la
tête
est dans l'extension, le cou à peine raide; la fa
s. « Elles me pincent ! » (ter). D... pleure, sanglotte, se fourre la
tête
dans l'oreiller, a des mouvements de déglutition,
matin à 7 heures, et finissent à onze heures. Le corps est rigide, la
tête
dans l'extension. H... a des mouvements cloniques
us. Depuis quatre ou cinq jours, elle se plaint de souffrir dans la
tête
: « Ça me serre au front, j'ai des secousses dans
re au front, j'ai des secousses dans tous les membres et même dans la
tête
. J'ai des bouffées de chaleur et ma figure devien
ute rouge. Ça me travaille dur. » Elle a n des fourmillements dans la
tête
et comme des coups de couteau dans la tempe gauch
; mais, à droite, il y a une sensibilité obtuse et le contact de la
tête
d'une épingle suscite quelques mouvements réflexe
, mais ne cachent pas toujours les globes oculaires. Nous secouons la
tête
, H... se réveille et assure ne pas avoir de rêves
e bête qui dansait dans son ventre, avait une couronne blanche sur la
tête
, etc. Cette excitation a continué jusqu'à minuit;
. Ce matin, elle est dans la situation suivante : décubitus dorsal,
tête
légèrement étendue, joues colorées, battements ra
rire bruyant, avec congestion de la face et mouvements latéraux de la
tête
. 24 mai. — P. 84 ; T. V. 37°, 4. 28 mai. — P. 8
s dans les jambes et dans le bras gauche qui est engourdi ; — dans la
tête
, qui est lourde ; la tempe gauche est le siège d'
observe des attaques hystériques ébauchées : soulèvement léger de la
tête
, rigidité plus forte des bras ; face rouge, batte
site, elle est un peu excitée, prétend qu'elle a « des chiens dans la
tête
et dans le ventre » et rit aux éclats. 12 avril
opos des choses les plus insignifiantes et se plaint du ventre, de la
tête
, surtout de douleurs au niveau de la tempe gauche
vent se retenir; l'une d'elles avait des hallucinations de la vue; la
tête
est lourde; elles ont des secousses, laissent éch
ù elles se trouvent; elles se plaignent de courbature, de douleurs de
tête
, ont la vue troublée, refusent de parler. Des cri
it du délire, soit du trouble dans les idées, soit de la pesanteur de
tête
. Une de ces malades, celle qui avait eu l'attaque
ade par des passes répulsives faites à distance convenable, depuis la
tête
, en suivant le dos et les côtés, jusqu'à l'extrém
re. « Ensuite le magnétiseur fait quelques passes médiatrices de la
tête
, toujours en suivant le dos jusqu'à l'extrémité d
érieure soit en dehors, et vous les élèverez jusqu'à la hauteur de la
tête
; alors vous les poserez sur les deux épaules, vou
remières passes, vous pouvez vous dispenser de poser les mains sur la
tête
, et faire les passes suivantes sur les bras en co
ant, je crois pouvoir observer que le contact absolu des mains sur la
tête
et l'épigastre n'est point indispensable; ce cont
e vite : il vous suffira {Fig. 6) d'étendre subitement la main sur la
tête
, elle tombera comme foudroyée. Je cite ce geste p
pouvoir me soulever, mais je ne pouvais pas bouger ni mes bras ni ma
tête
. Cela durait à peu près 4 à o minutes. Puis, à la
se battaient avec des armes à feu, M... a été frappé d'une balle à la
tête
, le sang coulait, je criais, et, m'éveillant, je
t « Bonjour » ; alors je me suis sentiecomme électrisée des pieds àla
tête
; il s'en estaperçu, m'a demandé ce qui me prenai
es... un serpent est sous ses pieds... un arc-en-ciel au-dessus de sa
tête
... Il y a une belle lueur derrière elle... rouge,
, de douleurs dans les jambes, d'envie de dormir, de douleurs dans la
tête
, de nausées. Nous voulons la faire marcher, elle
dirige son regard vers un chapeau : elle s'en empare, le place sur sa
tête
, arrange ses cheveux, retire le chapeau, le remet
t comme un vrai cerceau » ; quelquefois ses pieds viennent toucher sa
tête
. Puis, elle a des « extases » qui durent 5 ou 6 m
, c'est..une ombre ». Afin d'échapper à cette vision, elle enfonce sa
tête
sous les couvertures. — D'autres fois, elle s'ima
fléchies vers le dos, les mains portées en arrière vers les pieds, la
tête
rejetée en arrière. Dans cette attitude, le corps
rcle que nous venons de décrire et dans lequel le corps repose sur la
tête
et les pieds. Brusquement, S... N... reprend le d
S... a de temps en temps des secousses dans les épaules, les bras, la
tête
, aussi parle-t-elle d'une façon entrecoupée. Ap
Après les attaques, S... se plaint de fatigue, de douleurs-dans la
tête
. Les zones hystérogènes ne seraient le siège d'au
pupilles 1 . Les yeux se portent rapidement en haut et en dedans, la
tête
s'incline sur l'épaule droite; la résolution est
de Suzanne et tourne autour d'elle en continuant à fixer ses yeux, la
tête
tourne, le corps s'incline et, à un moment, elle
e plaignaient, pendant un temps très court d'ailleurs, de douleurs de
tête
, étaient agacées, énervées, etc. Toutes, à les en
49 Méthode ordinaire.................. 4 58 Magnétisation par la
tête
............... 4 60 Magnétisation au moyen du r
stérie, 97. M Magnétisation, 158. — Par le regard, 161 ; — par la
tête
, 4 60; — des animaux, 171; — à distance 170. Ma
e sommeil et le lendemain malin tout a disparu sauf un léger mal de
tête
qui se dissipe dans la journée et n'empêche pas
rs, si je ne m'abuse, ce qui se passe dans le (1) Pièce anatomique (
tête
, cou, membres supérieurs et tronc d'un cadavre) d
sur l'un des côtés, ha- bituellement sur le côté droit, ou bien la
tête
reposant sur le bras replié comme sur un oreill
appeler, d'abord, que dans la posi- tion prise par notre malade, la
tête
humérale proémine dans l'aisselle, où elle fait
is surtout, retenez bien ce détail, à la suite d'une luxation de la
tête
humérale. Le mécanisme, dans cette dernière con
'une hroncho-pneumonie. ` . Cette enfant n'avait'jamais marché : sa
tête
se tenait difficilement, droite, rou- lant d'un
rminée à l'âge de 20 mois. L'enfant est incapable de maintenir sa
tête
droite, ;i moins que celle-ci ne re- pose par s
côté droit dont la bande scléreuse vient se terminer en pointe sur
tête
de la corne postérieure. ` Les faisceaux anté
éat auditif externe, et de la mâ- choire inférieure au sommet de la
tête
, c'est-à-dire d'avant en arrière et d'en bas en
ent à tout le corps ; le 23 août, il n'y avait pas une région de la
tête
, du tronc ou des membres qui n'ait été en- vahi
or- phes, la nature a fourni le modèle, l'artiste l'a idéalisé. Une
tête
de femme, un torse d'athlète se divinisèrent so
phalange du médius, la partie correspondante de la main jusqu'à la
tête
cubitale ; du côté palmaire, le petit doigt, la
donl la longue branche suivait le bord interne de la main depuis la
tête
du cubitus jusqu'à la tôle du 5e métacarpien, e
ce large de 4 à 5 centimètres, commençant en pointe au niveau de la
tête
cubitale; c'est en deux points bien détermi- né
RATION . . ¡'tel1due lk mouvements de Iltxioli et d'extension de la
tête
, cicatrice opératoire. NÉVRALGIE DE LA VIIIe RA
état général satisfai- sant ; il pouvait, debout ou assis, tenir sa
tête
droite; les ulcérations trophiques de l'avant-b
siégeant sur toute 188 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE la
tête
, sur le trajet des arcades dentaires, sur le deva
solant convenable. A cette même époque, pour calmer ses douleurs de
tête
, il garnit de papier de verre son bonnet pour l
lles puissent lui ser- vir de protecteurs. Il s'isole en outre la
tête
, le tronc et les cuisses avec trois demi-cylindre
e étoffe blanche légère cache toute la moitié gauche de sa jupe. Sa
tête
est prise clans une cornette blanche. A ses pie
e, se tient debout le médecin, vêtu de noir, une toque noire sur la
tête
. La tête levée, de' trois quarts, il regarde le
nt debout le médecin, vêtu de noir, une toque noire sur la tête. La
tête
levée, de' trois quarts, il regarde le contenu
it de lui que ses épaules, ses deux bras ligottés au poignet, et à sa
tête
. Cette tète, brusquement renversée en arrière,
le Convive indigne de l'autre), on retrouve derrière le dormeur une
tête
d'enfant qui semble la réplique de celle du petit
e connaissance profonde de la nature humaine. LES OPÉRATIONS SUR LA
TÊTE
229 On ne lit pas seulement le diagnostic du ma
, ii- 31g, et la Visite du Médecin, n 3f. * ) LES OPÉRATIONS SUR LA
TÊTE
231 Gérard Dou, au musée du Louvre, la Femme hy
la même région du corps. On distinguera ainsi les opérations sur la
tête
, sur les membres, sur les extrémités, etc. Rare
* , .. Y Les oeuvres d'art qui représentent des opérations sur la
tête
sont assez nombreuses pour pouvoir être subdivi
t Jérôme Boscu, peintre hollandais (1450-1516). Les pierres dans la
tête
. - Rijks Muséum d'Amsterdam. Opération chirurgi
es années plus tard, Ambroise Paré dans son Traité des plaies de la
tête
(1561) et presque simultanément Andréa a Cruce,
avantage pour les extraire. Le pansement, un ban- dage autour de la
tête
, tout primitif qu'il est, peut à la rigueur être
une intervention opératoire sur la région crânienne^ Les plaies de
tête
, les fractures du crâne pourraient être mises en
illes, dit Fabrice d'Aquapen- dente, servent pour les yeux, pour la
tête
, pour la rêverie, pour l'assou- pissemént, et s
rêverie, pour l'assou- pissemént, et semblables dispositions de la
tête
qui proviennent de replé- tion (4) ». % Plusi
n par- lant d'un individu mal équilibré : « Il a une pierre dans la
tête
o. La pierre, en France, est devenue un « grain
i de sa folie, on disait qu' « on lui avait extrait la pierre de la
tête
». Ce dicton populaire était très commun dans l
t très commun dans les farces où l'on ne man- LES OPÉRATIONS SUR LA
TÊTE
241 quaitpasde l'appliquer au personnage chargé
e nouvelle sur les documents figurés relatifs aux opérations sur la
tête
et l'on est tenté d'y voir uniquement la reprod
s compositions artistiques qui représentent des opé- rations sur la
tête
, il est certain que les artistes ont transporté l
r se guérir du « casque de plomb » qui les écrase, pour sauver leur
tête
qui « éclate », ils sont prêts à tous les sacrifi
leur crédulité et de leur désir de guérir. LES OPÉRATIONS SUR LA
TÊTE
243 Connaissant les croyances populaires, il sa
cisions vasculaires du crâne dans les affections douloureuses de la
tête
. Mais, pour une clientèle grossière, il fallait
s'asseoir, en un instant il sera soulagé. Enlever une pierre de la
tête
, mais c'est l'enfance de l'art ! Voyez plutôt c
, cette grosse, et le plein panier que voici, ce sont pierres de la
tête
, extirpées à la pointe du scalpel, sur cent mal
un aide les ligotte solidement, maintient leurs bras, soutient leur
tête
, et au besoin leur bande les yeux. Sévère et sû
'il dissimulait entre ses doigts. Le tour est joué. La pierre de la
tête
est extraite. On peut la voir, la toucher, et l
ucoup de documents figurés relatifs aux extractions de pierre de,la
tête
. Le manuel opératoire varie suivant les cas; mais
t- tribuées à J. Bosch, à Anvers, à Vienne. LES OPÉRATIONS SUR LA
TÊTE
M7 niers, etc. Réaliste et moraliste, J. Bosch
KEI (lliéronymus t'ail Aoken sicnaoaaIaé l3oscli-Les pierres de la
tête
). , La scène ^peinte sur le cercle intérieur re
l'opérateur devait mettre à ses pieds pour dominer plus ou moins la
tête
du patient. M. Obreen, directeur général du Rij
dans l'habileté de l'opérateur et dans le succès de l'opération. La
tête
semble rasée en avant, comme il est indi- qué d
vêtu de rose, avec un bonnet vert, attache un bandage autour de la
tête
d'un homme à barbe rare. Celui-ci, vient de sub
e opérer « pour l'assoupissement et semblables dis- positions de la
tête
qui proviennent de réplétion », comme dit Fabrice
unstsaunulmigen, Berlin, 18S9, t. 10, p. 121. LES OPÉRATIONS SUR LA
TÊTE
251 La satire, on le voit, s'adresse en même te
e du patient s'oppose aux mouve- ments intempestifs et maintient la
tête
avec fermeté : ses doigts marquent leur emprein
msterdam. (1-cole Ibn1.\l1de, XVI" Siècle}. LES OPÉRATIONS SUR LA
TÊTE
253 montants du siège, dans un geste de recul e
porte un bol d'étain dans lequel elle pré- pare quelque onguent. La
tête
est pleine de charme, d'une jeunesse et d'une f
5J NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE a pas de coiffure sur la
tête
. Le doute n'est, pas possible, surtout si l'on
èces à conviction pour attirer le public. - LES OPÉRATIONS SUR LA
TÊTE
? S ? La planchette est peut-être une enseigne
armi les premières représentations picturales des opérations sur la
tête
. Faut-il y voir la reproduction authentique d'u
ble. L'idée même qu'il s'agit d'une allégorie aux « pier- res de la
tête
» ne peut venir que par comparaison avec les tabl
de peintre des pay- sans (Bairen Bruegel). LES OPÉRATIONS SUR LA
TÊTE
257 La plupart de ses estampes datées de 1553 à
e voient au cabinet des Estampes (Paris). / LES OPÉRATIONS SUR LA
TÊTE
259 pendant une année entière. Ce dessin porte
ure allégo- rique est sans intérêt médical. LES OPÉRATIONS SUR LA
TÊTE
261 Une femme à demi cachée regarde curieusemen
toire, il y avait pénurie d'aides, le chirurgien, pour maintenir la
tête
de sa cliente, n'a trouvé rien de mieux que de
ns son crâne ! Comme elle a eu raison d'avoir LES OPÉRATIONS SUR LA
TÊTE
2C3 confiance en l'habile homme qui a si mervei
. Troisième fauteuil. Là, l'opération est terminée. Le patient, la
tête
enlou- rée d'un linge, semble attendre un panse
er, une jambe passée par dessus le bord, un pot en équilibre sur sa
tête
de sorcière; elle s'occupe à souffler Sur une es-
ure contrite, portant au front la marque indéniable de la pierre de
tête
. Un autre le suit en geignant, montrant à deux
rurgie burlesque et s'il a figuré tant d'arracheurs do pierre de la
tête
, c'est qu'il a eu plusieurs fois l'occasion de
érir peut conduire à toutes les folies. La maladie des pierres de
tête
et son traitement chirurgical ont dû jouir de l
ient partout dans le corps, dans les bras, dans les jambes, dans la
tête
. ' - 1 ils, , Elle était agitée par un besoin i
MÉDECINE. (ÉCOLES FLAMANDE ET HOLLANDAISE). LES OPÉRATIONS SUR LA
TÊTE
PAR R HENRY MEIGE. . (Suite et fin.) CI)
ique, et font, en plein air, une moisson fructueuse de « pierres de
tête
». Là aussi, on taille et l'on extirpe eh grand
-CFL LE vieux, 1·`.tnlu Flamande. (\'I Sicl.) LES OPÉRATIONS SUR LA
TÊTE
aU3 Pour vous guérir, je suis arrivée ici, A
ute à clore temporairement la plaie saignante. Un aide verse sur la
tête
de l'o- péré le contenu d'une cruche, et dans s
une de ces fa- meuses tenailles qui avaient raison des « pierres de
tête
» les plus re- belles. L'opération a dû parfa
l'air mécontent; il cligne les yeux sous la douche qui tombe sur sa
tête
, et, de côté, regarde malicieusement celui qui lu
es hurlements affreux, et la douleur apparemment lui fait perdre la
tête
, car il ne s'aperçoit pas qu'en se cramponnant à
estes cle sa splendeur guerrière. Un grand sabre bat à son côté, sa
tête
est couverte d'un casque, la visière baissée ;
assards de fer. Un LES OPÉRATIONS SUR LA TÈTE 295 cheval le suit,
tête
basse, flairant son pied difforme ; il est condui
anesques. Nous les avons vues préparant les pansements ou tenant la
tête
de l'opéré dans le tableau de van IIemessen. Ch
bleau de van IIemessen. Chez le Doyen de Ronse, une vieille femme à
tête
de sor- cière, fait chauffer quelque médicament
e lui saisit le menton avec sa main droite et le force à tourner la
tête
, face au public. Chacun peut voir alors sur le
me, dissimulé sous la table, puise dans un panier les « pie- res de
tête
» qui serviront tout à l'heure à faire le tour de
levant les bras au ciel : « Il faut qu'on lui retire la « pierre de
tête
». Elle veut être opérée sur lè champ. Elle l'exi
ue c'est dans le sol qu'il faut chercher la graine des « pierres de
tête
»..... La scène, on le voit, est largement remp
nt. Ils montrent la vogue insensée qu'eut la maladie des pierres de
tête
, et l'adresse avec laquelle médecins de ville et
IIe siècle, représente encore une scène d'extraction de «pierres de
tête
»..Ie dois la connaissance de ce document il l'am
nture. Cette sacoche contient peut-être une réserve de « pierres de
tête
», à moins qu'elle ne soit destinée à recevoir
ez avec grande réjouissance, On fera ici l'opération des pierres de
tête
. Le principal intérêt de ce document réside dan
t toujours une satire ,- visant l'absurde croyance aux « pierres de
tête
», la crédulité des badauds et la fourberie des
a Rotterdam. L. BA1TAILLE ET C" EOITFUNS LES OPÉRATIONS SUR LA
TÊTE
301 Au nombre de ceux qui ont cherché à s'inspi
est vêtu d'une grande robe grise, à collet et à larges manches ; sa
tête
est enveloppée d'une étoffe précieuse ornée de gl
raïques et trois sceaux verts. · L'opéré est assis devant lui, la
tête
renversée en arrière, les poings rele- vés à la
pression de souffrance et d'horreur d'une vérité saisissante. Celte
tête
est fort intéressante. L'artiste s'est cerlaineme
uv. Icon. de la Salpi^-trièi,e, n" 4, 1894. LES OPÉRATIONS SUR LA
TÊTE
303 à la hauteur cle son crédit. Le négrillon à
velé plusieurs fois pendant la même séance. Enle- ver une pierre de
tête
eut été d'un effet médiocre; faire sortir une dou
aucune peinture de ces artistes, relatifs à des opéra- tions sur la
tête
. Adriaen Brouwer (Haariem, 1608-Anvers, 1641) a
'1.tdlld. L. BATTAILLE ET C" Editi-urs . LES OPÉRATIONS SUR LA
TÊTE
. " 305 dre place à côté des meilleurs paysagis
populaire, et, vraisemblablement, d'une extirpation de « pierres de
tête
». ' L'artiste nous montre l'intérieur d'une mi
e son aide. Celle-ci est une vieille femme, horriblement bossue, la
tête
entourée d'un linge blanc, et qui bavarde, lout
Plus à droite, est assis un client qui vient d'être opéré. Il a la
tête
en- tourée de linges et montre avec sa main dro
debout un troisième individu, portant mousta- LES OPÉRATIONS SUR LA
TÊTE
307 ches et barbiche, drapé dans un grand mante
yons supportent des vases, des pots, des cornues, des palettes, une
tête
de mort, etc. : un parchemin et des instru- men
é à l'une de ses saignées familières, la jonglerie des « pierres de
tête
» qui réussissait à merveille sur le public cré
L'autre Teniers du Musée du Prado représente- une Opération sur la
tête
. Nous y reviendrons avec détails. L'artiste a d
Teniers du musée de Madrid (2), représentant une Opéra- tion sur la
Tête
, doit prendre place il côté des documents que nou
andis qu'avec la main gauche il écarte les cheveux et sou- tient la
tête
. Le patient souffre cruellement, ferme les yeux,
e eux, une vieille femme regarde, debout, une coiffe blanche sur la
tête
, les mains croisées sous son tablier, un panier p
son attention ne correspond pas au lieu d'élection des « pierres de
tête
». Il est vrai que ces dernières étant tout art
pas non plus la place où se faisaient les saignées des veines de la
tête
(frontales, temporales, auriculaires, nasales, oc
TÈTE 311 David Teniers a encore représenté deux opérations sur la
tête
. Je ne sais s'il s'agit de dessins ou de peintu
n médecin barbu, à longs cheveux, et Fit.. 39. Une opération sur la
tête
, gravure de Jan Yan der Bruggen, d'après David
aucune ambiguïté (Fig. 60). Là, il s'agit vraiment de « pierres de
tête
», et môme le malade auquel on les extrait a sub
subi plus d'une opération pour ce motif. Fig. 60. « Les Pierres de
tête
) » gravure de Jan van der Brugger, d'après Dav
à exploiter la jonglerie lucrative de l'opération des « pierres de
tête
». Il parait même la pratiquer avec une sorte de
e fureur, si l'on en juge par les incisions multiples qui ornent la
tête
de son client et par la profusion de cailloux q
n jeune docteur. (4) V° 3t6. (5) No 1312. LES OPÉRATIONS SUR LA
TÊTE
315 On trouve enfin dans ses scènes d'intérieur
(1). Trois tableaux de Jan Steen représentent des Opérations sur la
tête
: Le charlatan, au Rijks Muséum d'Amsterdam.
de Jan Steen, au Rijks .Muséum d'Amsterdam. LES OPÉRATIONS SUR LA
TÊTE
317 blement pas autre chose qu'une « pierre de
ÉRATIONS SUR LA TÊTE 317 blement pas autre chose qu'une « pierre de
tête
», extirpée au client qui est sur l'estrade, ou
ne permet de croire qu'il s'agisse de la jonglerie des « pierres de
tête
».La scène dans son ensemble présente un caractèr
1 Rotterdam. L. BATTAILLE ET C" Enl"tFURS LES OPÉRATIONS SUR LA
TÊTE
319 Du plafond pend un crocodile empaillé. Le
e bois, le bas tombé sur la cheville laissant la jambe à nu; sur sa
tête
est un bonnet jaune avec un grelot. Il est as
ésir de voir vider son crâne. Tout au plus a-t-il un petit recul de
tête
quand la pointe du scalpel le pique un peu viveme
et elle sait toute l'importance de la gravité professionnelle. La
tête
prise dans une cornette blanche et recouverte d'u
on client, il laisse échapper une à une les prétendues « pierres de
tête
», qui vont joncher le sol ou remplir le plat d
joie et ne se tient plus de rire. Un autre, dont on ne voit que la
tête
derrière la vieille femme, rit aussi joyeusement.
? ... Car ici tout se fait au grand jour. Le « truc des pierres de
tête
» est visible pour tous. L'opérateur ne se cach
que la cause de son mal n'existe plus, que toutes les pierres de sa
tête
sont extraites, il ira mieux sans doute, étant
des documents que j'ai recueillis concernant les Opérations sur la
tête
. De tous ceux que nous avons passés en revue, i
étude sur la singulière pratique de l'extirpation des « pierres de
tête
». LES OPÉRATIONS SUR LA TÊTE 321 1 - La verv
que de l'extirpation des « pierres de tête ». LES OPÉRATIONS SUR LA
TÊTE
321 1 - La verve malicieuse du joyeux peintre-c
r certains malades d'une pierre qu'ils croyaient enfermée dans leur
tête
, et laquelle ils attribuaient toutes leurs souf
ochain discrédit. Les femmes elles-mêmes opéraient les « pierres de
tête
». Les artistes qui ont voulu ligurer ces tumeu
nférieurs s'ulcère sous l'influence des moindres traumatismes. La
tête
et les membres supérieurs sont indemnes. L'état
a lésion pour la substance grise est évidente, mais au niveau de la
tête
des cornes antérieures l'ex- tension par en hau
la dernière ses deux extré- mités, enfin l'immunité relative de la
tête
de la corne antérieure, qui se dégage la premiè
. « Dans la station debout (1), le tronc est. penché en avant et la
tête
in- clinée dans le même sens. De plus, les memb
muscles extenseurs, et où les malades se présentent le torse et la
tête
for- tement rejetés en arrière (2) et les bras
alysie agitante à forme hémiplégique avec atti- tude anormale de la
tête
et du tronc {extension). Nouv. Iconogr. de la Sal
paralysie agitante. Faciès. La face est figée, sans expression ; la
tête
inclinée en avant,' le tronc, légèrement affais
une dizaine de pas environ. Tremblement. Les quatre membres et la
tête
tremblent; le tronc n'est agité que de mouvemen
. On peut diviser le corps de l'homme sain en qua- tre segments :
tête
, cou, tronc et jambes. Les axes de ces différen
inférieurs. Du centre des épaules au centre d'articulation de la
tête
et du cou, une troisième ligne forme l'axe du c
e troisième ligne forme l'axe du cou. Le quatrième axe, celui de la
tête
est formé par la verticale éle,'éedecedernier p
obtus que dans la normale, les malades ayant tendance à relever la
tête
sur le cou, pour regarder devant eux. L'anoma
en bas et les mala- des sont constamment menacés de « piquer une
tête
». C'est d'ailleurs ce qui leur arrive fréquem-
i- nes formes cliniques des maladies de Parkinson, le tronc et la
tête
peuvent être renversés en arrière d'une façon e
éninge : ainsi en sécurité et bref temps et sans grande secousse de
tête
sera parfait le travail ». S'il reste au pourto
Peintres de la médecine, par HENRY MEI- GE. Les opérations sur la
tête
, 229, 291. Samuel Van Hoogstraaten, 192. Queu
aten), 192. Les peintres de la médecine. (Les opé- rations sur la
tête
), 229, 291. MEME (Henry) et Paul Richer. Etude
Rembrandt (le Convive indi- gne), XXXIV. - Les opérations sur la
tête
(Jérôme van Bosch), XL. (Jan Sanders, van IIe
bles sensitifs, 1 et 2. Peintres de la médecine. Les « pierres de
tête
». Nicolas Woijdmans, 58. D. Teniers, 59 et 6
lle qu'à ce moment, il souf- frait dans tout le corps, sauf dans la
tête
et dans les membres supérieurs. Quand on se fui
s dont les membres ont subi un avortement plus ou moins complet, la
tête
et le tronc étant normaux ; ils se subdivisent en
) 7. Cholmogoropf, 1888. Garçon né à terme, pesant 2700 grammes ;
tête
, tronc, ceintures scapulaire et pelvienne, organe
d'un squelette rudi- mentaire. 8. CoES,R, 1889. - Garçon mort-né;
tête
et tronc bien développés, mais volumineuse hern
différents diamètres égalent à quelques millimètres près ceux d'une
tête
d'enfant à terme. La face ne présente aucune an
x externes normaux. La taille, mesurée des ischions au sommet de la
tête
, est de 36 centimètres. Des extrémités nous ne
1 i. - Epaule gauche de notre amèle : clavicule et omoplate ; T. G :
tête
glénoïde. Fig. 12. Masses musculaires : D, delt
rment un premier système qui ahoutit à une calotte fibreuse dont la
tête
glénoïde est coiffée avec interposition de syno-
oral; SC\i, sterno-cléido-mastoïdien; V, N, vaisseaux et nerfs; TG,
tête
glénoïde. AMÉLIE 25 Les vaisseaux et nerfs ax
squelette du coude est nor- mal, on sent très bien l'olécrane et la
tête
radiale ; le cubitus et le radius nettement dis
me de fourche au voisinage des doigts. Là, se voient nettement deux
têtes
arrondies pourvues de sur- faces articulaires d
ande claire longitudinale, partant de l'encoche qui sépare les deux
têtes
digitales, est l'indice d'un épaississement du ti
ulièrement conformées, el un ongle. L'articulation se fait sur la
tête
du cinquième métatarsien sur une sur- face cont
des plaies, des abcès, des furoncles, on souffrait des dents, de la
tête
, voire même des cors aux pieds A qui s'adress
s du corps, ceux des pieds ne sont pas moins urgents que ceux de la
tête
, les Barbiers-Etuveurs s'improvisèrent Pédicure
e distinctif, sans éclat, parfois même déplorablement négligé. Sa
tête
est coiffée d'une barrette informe, ou tout simpl
guent ces opérateurs rustiques, travail- lant à tour de rôle sur la
tête
et sur les pieds. Plus d'apparat serait superfl
d'un bistouri, se reculant effa- rouchées, et cependant tournant la
tête
, pour regarder quand même, tant sur la répugnan
dam, que les femmes partici- paient à la jonglerie des « Pierres de
tête
Il (2), et ne reculaient pas devant une incisio
fessionnels et servaient à la (1) Henry MEME, Les Opérations sur la
tête
. Nouv. Iconogr. de la Salpêtrière, nos 4 et 5,
es qui sont figurées dans les tableaux ayant trait aux « Pierres de
tête
» donnent plus exactement l'idée de ces meubles s
uit plusieurs documents figurés relatifs à des interventions sur la
tête
, sur l'épaule et le dos (2). (1) Cité par A.
aux des mamelles, chancre, -morsures de chiens enragés, douleurs de
tête
, goutte et autres douleurs. Prendre : céruse, u
longs et bou- clés ; un bonnet rouge entouré de fourrures couvre sa
tête
; il est vêtu d'une casaque bleue et de chausse
lui. La femme est vêtue de brun avec un tablier bleu. Elle a sur la
tête
un chapeau noir pointu,à larges bords. L'appren
rt soi- gné dans sa mise, rectifie des deux mains la position de la
tête
broussail- leuse. Un autre, encore assis, a d
a l'oeuvre du grattoir. L'emplâtre adhésif que chauffe l'apprenti à
tête
frivole protégera la surface cautérisée contre le
son perchoir. Au-dessus, par une petite lucarne, un homme passe la
tête
et regarde curieusement. C'est un souvenir de f
.) Au musée du Prado, à Madrid,faisant pendant à Y Opération sur la
tête
(1) dont nous avons déjà donné la description e
entant un Pédicure (2). (1) Voy. IIemiy MEME, Les opérations sur la
tête
. Nouv. Iconogr. de la Salpêtrière, no 5, 1893.
ici et s'apitoyant davantage, mais avec le même geste penché de la
tête
et du corps pour regarder la plaie du client.
en opère une vieille femme en présence d'un vieillard qui tient une
tête
de mort (Voy. W. Burges, Musées de Hollande, t.II
rquer, il nous répondait que cela tenait à la violente dou- leur de
tête
qui l'absorbait. Il resta quelques jours sans avo
manent. C'étaient de grands accès épileptiques au cours desquels la
tête
était inclinée à droite. Dans l'intervalle- trè
3. En 1870 il se rappelle qu'il ne pouvait plus mettre la main sur la
tête
. Une particularité intéressante à noter dans se
passent l'horizontale, mais le malade ne peut porter la main sur sa
tête
, l'écartement du tronc se fait avec facilité, l
u pli postérieur du poignet et efface la saillie si manifeste de la
tête
du cubitus. Quand la main est en extension, il
cubitus. Quand la main est en extension, il existe au niveau de la
tête
des trois métacarpiens du milieu des fossettes tr
chez Corr..., on s'aperçoit que les vallées qui existent entre les
têtes
de méta- carpiens sont remplies et la peau form
rifuge, depuis 7 centi- mètres de la partie la plus saillante de la
tête
. L'empreinte deltoïdienne se trouve très accent
tater que les douleurs, nullement exaspérées par la pression sur la
tête
de la malade ou sur les apophyses transverses,
ruhe, etc. Il existe aussi au musée de Cologne une Opération sur la
tête
d'ADRiAEN BROU\VEa, dont je n'ai eu connaissanc
ir un emplâtre et serre un couteau effilé entre ses doigts noueux. La
tête
couverte d'un linge blanc, elle se détourne à d
un poisson mystérieux pendu par une ficelle, sur une ta- blette une
tête
de mort, une fiole aux reflets étranges, deux gri
au barbier en second, qui barbifie selon les règles, renversant la
tête
en arrière pour tendre la peau du cou. Un tonne
Brouwer a donc placé une fenêtre en face de l'opéré et a relevé sa
tête
pour nous permettre de contempler la grimace et
e. Des figures courtes, ramassées, leurs grimaces, le caractère des
têtes
garnies de cheveux tout droits, vods disent sans
int que sa casaque en éclate, un étrange panier posé de côté sur sa
tête
, ayant à la ceinture une seringue en manière de
ableaux a été attribué à TEMMa par Groth. (3) Voy. Les Pierres de
tête
, Jean Steen, loc. cit. (1) Vienne, Galerie impé
u milieu, armé de longs ciseaux, pratique une taille savante sur la
tête
d'un autre client, et celui-ci surveille les pr
at, de façon à ne pas permettre le relâchement des sciati- ques. La
tête
sera libre, moyennement fléchie sur le thorax, le
d'une réfringence anormale (Fig. 17 et 18, planche XIX, B).Dans la
tête
de la corne antérieure, on note 2 ou 3 cellules à
chez la victime, il droite la paralysie de tous les muscles, cou et
tête
exceptés, une hyperesthésie qui remontait jusqu'à
perficielle, qui ne respectait que la moitié correspon- dante de la
tête
et de la partie supérieure du cou. En outre le ma
e et par l'extrémité des phalangettes. On peut appuyer alors sur la
tête
des Fig. 4. - Déviation des doigts en coup de v
e interdigital occupe les deux tiers de l'étendue comprise entre la
tête
des métacarpiens et celle des premières phalanges
t; les bourrelets graisseux qui séparent les doigts au niveau de la
tête
des métacarpiens n'existent pas. La coupe formé
les métacar- piens,elles ne présentent qu'une seule anomalie : les
têtes
des métacarpiens on[ porté le sommet de leur co
il n'y a qu'une légère augmentation de volume, sans déformation des
têtes
osseuses, ni production ostéophytique. Il est d
l invoque simplement pour l'expliquer, une déformation légère de la
tête
des métacarpiens jointe à la laxité des ligamen
s pré- dominants et ont dévié les doigts vers le bord cubital ; les
têtes
osseuses métacarpiennes et leurs cartilages se
sauf de très exceptionnelles circonstan- ces, le corps se plier, la
tête
tomber en avant, les membres se fléchir, se x 1
illon convergent qui, dans le sens de l'axe antéro-postérieur de la
tête
, répond dans près de la moitié des cas à la rég
out d'a- bord atteint de torticolis : « inclinaison du cou et de la
tête
sur le tronc, ' disent les classiques (1)), pre
les classiques (1)), presque toujours accompagnée de rotation de la
tête
? - : . - On peut -diviser (2) les torticolis e
3) décrit sous le nom de tic convulsif ou rotatoire du cou et de la
tête
, ou d'hyperkinésie de l'accessoire de Willis. Il
itale sépare complètement notre cas de ceux-là. Chez ces malades la
tête
s'incline d'un côté et regarde de l'autre. Au c
et regarde de l'autre. Au contraire,, chez notre malade actuel, la
tête
est inclinée sur l'épaule gau- che et regarde à
côté. Donc, chez lui, le tra- pèze gauche se contracte, puisque la
tête
s'incline sur l'épaule gauche, mais c'est le st
d'analogue à ce que vous voyez dans la dé- viation conjuguée de la
tête
et des yeux. Quand ce symptôme est d'ordre c911
) Un cas de maladie des tics et un cas de tremblement singulier de la
tête
et des membres gauches, in Leç. de clin, médic.
as nécessairement d'origine corticale. La déviation conjuguée de la
tête
et des yeux, que je vous ai déjà rapprochée du sp
) Un cas de maladie des lies et un cas de tremblement singulier de la
tête
et des membres gauches, in Leç. de clin. rnéd.,
ement, en produisant un mouvement inverse, ou bien en rete- nant sa
tête
avec un doigt placé dans son bonnet (photo 1 et 2
tti- rer l'attention du malade et de lui dire de vouloir retenir sa
tête
pour qu'il puisse le faire ; il ne lui suffirai
ue cette affection douloureuse obligeait notre patient à tourner la
tête
pour diminuer la ten- sion et atténuer les doul
ion et atténuer les douleurs. Le centre cortical de la rotation de la
tête
fut donc mis en action pendant un certain temps
proche de ce cas celui de Francis dans lequel « la posi- tion de la
tête
pendant le jeu du trombone donna lieu à un tic ro
un trouble des fonc- tions du centre cortical de la rotation de la
tête
». C'est une idée bien analogue à la nôtre : ce
sistance, chez l'adulte, du rapport des dimensions infantiles de la
tête
avec celles du corps. Chez l'enfant la tête est
nsions infantiles de la tête avec celles du corps. Chez l'enfant la
tête
est relativement beaucoup plus volumineuse que ch
ou pseudo-myxoedémaleux, on conçoit que la grosseur relative de la
tête
ait une signification nosologiquc sur laquelle
se méprendre. Il va sans dire que les proportions infantiles de la
tête
dépendront de l'âge auquel le développement régul
rément. Il y a même quelque chose de plus que cela : car puisque la
tête
est, quoique relativement un peu grosse, propor
dimensions étudiées sont : 1° Lé diamètre antéro-postérieur de la
tête
mesuré de la protubérance occipitale externe au
à gauche dont l'oreille du côté hémiplégique est plus écartée de la
tête
, est plus allongée grâce au déplissement de l'h
t du mois d'octobre 1890. Arthrite végétante de l'épaule droite. La
tête
humérale fait une saillie mar- quée ; douleurs
bourreau, un genou en terre, occupé à lier un paquet de verges. La
tête
relevée, il regarde le supplicié, lui jetant à
ement rendue sur ces statuettes que les autres parties du corps, la
tête
et les extrémités surtout étant plus que grossièr
gique est très exactement rendue. En somme, la réunion sur une même
tête
des deux anomalies, exophtal- mie et saillie an
ec les bras : on lui donnait à manger comme à un petit en- fant. La
tête
vacillait sur les épaules. Il aurait existé un ét
sont distendus. On peut placer le pouce tout entier au-dessus de la
tête
humérale. La luxation à volonté de la tête huméra
t entier au-dessus de la tête humérale. La luxation à volonté de la
tête
humérale peut se réduire, mais se reproduit aus
r lui-même son bras gauche avec la main droite; peut le porter sur la
tête
. Réflexes exagérés. Trépidation spinale du me
ui-même, il se plaignait de douleurs aux membres inférieurs et à la
tête
; en même temps sa démarche devint mal assurée. :
rement sur presque tous les malades. On en trouvait partout, sur la
tête
et sur le corps, sur la peau et sous la peau. C
t les plus répugnants. Le maître espagnol a emprunté aux poux de la
tête
le sujet d'un autre tableau. A la Pinacothèque
in rieur est assis sur le sol. Dans une pose câline, abandonnant sa
tête
au minutieux travail de l'aïeule, il se distrait
des insectes qui grouillent sur son crâne. ; La vieille, assise, la
tête
penchée sur les frisures suspectes, s'est armée
sant sur sa poitrine flétrie une autre espèce de parasites. Poux de
tête
et poux.de corps paraissent affectionner cette fa
pe- tite pouilleuse dont une veille femme s'efforce de nettoyer la
tête
reposant sur ses genoux. On pourra grossir la
lle moyenne des Chinois du Nord qui n'est guère que de 1 m. 65 : sa
tête
est volumineuse avec un facies de brute ; ses ext
r volume, que chez les Chinois elles sont particulièrement fines.
Tête
.- Diamètre antéro-postérieur : 20 centimètres ; b
0 centimètres. Il reste constamment « affalé », assis par terre, la
tête
penchée en avant, les bras reposant sur les cuiss
avant, les bras reposant sur les cuisses (Pl. XLIII). Lourdeur de
tête
plutôt que céphalée véritable. Le sens génésique
onne, était de très haute taille, d'une force peu commune, avec une
tête
et des mains très grandes dont le souve- nir es
moins caractéristique. On trouve alors les ligaments relâchés, les
têtes
articulaires atrophiées en général ; l'articulati
ou état stationnaire, mais jamais par dislocation avec atrophie des
têtes
osseuses. Au contraire on n'a jamais noté que l'h
à feu (W. Mitchell), tumeur (Puckard), contusion ou luxation de la
tête
humérale (W. Vlitciell), névrite du mé- dian à
wlby : ostéite raréfiante, destruction des cartilages, atrophie des
têtes
osseuses, tels sont les trois faits principaux
ticolis est le spasme tonico-clo- nique des muscles rotateurs de la
tête
. Secousses musculaires brusques et contractions
ons durables diversement entremêlées, produisent la déviation de la
tête
. Les muscles spasmodiques sont les rotateurs de
ion de la tête. Les muscles spasmodiques sont les rotateurs de la
tête
, c'est-à-dire qu'un sterno-cleido-mastoïdien se
droit et le trapèze gauche. En somme le mouvement de rotation de la
tête
(sterno-mastoïdien) peut s'accompagner, et de l'i
(sterno-mastoïdien) peut s'accompagner, et de l'in- clinaison de la
tête
du côté opposé (trapèze du même côté), ou du même
uelques instants tout au moins -, s'op- poser à la rotation de leur
tête
, par la volonté seule. De plus, et cela est car
a déviation, et, par le même artifice, ramener dans la rectitude la
tête
déviée. Le procédé est toujours le- même, ou à
t toujours le- même, ou à bien peu près, pour tous les malades : la
tête
est poussée du côté opposé à la déviation à l'aid
nelle : l'un a besoin de ses deux mains et visse pour ainsi dire sa
tête
en sens inverse de la rota- tion spasmodique ;
ts,et un doigt placé sur l'extrémité de ce bâton, faisait rester la
tête
dans la rectitude. En réalité, quelque force ut
qu'en réalité il applique une force; mais comme il résiste avec sa
tête
d'une quantité égale et contraire, le déplaceme
main, mais vainement. A mesure que nous employons plus d'énergie la
tête
tourne plus fort, le spasme s'exaspère et envah
an- donnons la partie, le malade remet son doigt sur sa joue, et la
tête
reprend sa place. De même que l'aspect extéri
quelconque. Suivant quel mécanisme s'établit le tic rotatoire de la
tête
? Presque toujours, il suffit d'un léger trauma
tateurs du cou avec participation d'autres muscles, déviation de la
tête
à laquelle le malade seul peut résis- ter grâce
le torticolis est semblable à lui-même, partout il est complet. La
tête
n'est pas un peu déviée, elle l'est à l'extrême
' Elle était incapable de maintenir, sans le secours de ses'mains, sa
tête
dans la rectitude. L'inclinaison s'exagérait en
dué. A la première séance, malgré l'appui que prenait le menton, la
tête
avait encore tendance à s'infléchir; l'appui de b
ier », en variant l'inclinaison de l'arc mobile, la rectitude de la
tête
fut obtenue à plusieurs reprises durant quelque
et dès la troisième séance la malade pouvait rester indéfiniment la
tête
droite, le menton appuyé sur le talon du campim
er plus loin ; le talon du cam- pi41.Úe est capable de maintenir la
tête
, la malade le sait. Mais la fixation des petits
n objet ou promenant son regard autour de la chambre, elle garde sa
tête
dans la rectitude indéfiniment ; debout, inoccu
upée à de la couture, par exem- ple. elle se fatigue bientôt, et sa
tête
se met à tourner au bout de peu de temps ; dans
une qua- 410 FEINDEL rantaine de mètres sont à peine parcourus la
tête
étant droite, que le spasme survient. Il n'y
t seul, elles furent régulièrement escamotées, tantôt par un mal de
tête
opportun, tantôt par une visite à recevoir, etc
par le campimètre et l'électricité, il y avait un peu de mieux. La
tête
, non appuyée, pouvait rester quelques minutes dan
éprouve des sensations douloureuses derrière l'oreille gau- che, la
tête
s'incline à gauche et tourne à droite, d'abord lé
urnée. La seule difficulté du traitement fut que la rectitude de la
tête
et du corps ne pouvaient être obtenues. Le mala
s ses leçons de la Salpêtrière. Il a perdu l'habitude de ramener sa
tête
dans la rectitude à l'aide de la main. Il incline
ramener sa tête dans la rectitude à l'aide de la main. Il incline la
tête
412 FEINDEL à droite en même temps qu'il rega
un peu'moins figée, un peu moins pénible ; mais la déviation de la
tête
était à bien peu de chose près aussi considérable
s il éprouva une certaine faiblesse de la nu- que ; pour reposer sa
tête
», il tournait celle-ci à gauche. Ce mouvement, d
açon sui- vante : Au début du traitement, le malade est assis, la
tête
maintenue par l'appui du menlon sur un objet au
il marche. Dans ces diverses positions il s'évertue à maintenir sa
tête
dans la rec- titude le plus longtemps possible.
ent seront eux aussi peu compliqués au début : On fera tourner la
tête
à droite, à gauche ; on la fera s'incliner sur
t sortir (pourchassé) du camp avec des habits déchirés el souillés,
tête
nue, la bouche recouverte d'un voile, et rester
ramassées sous le corps, s'appuyant sur une sorte de chevalet. Sa
tête
est entourée d'un linge, son nez et ses lèvres
Wallraf-Richartz. 440 HENRY MEIGE . « Une fois, elle embrassa la
tête
d'un malade si infect que personne n'en pouvait
n'en pouvait approcher ; elle lui coupa les cheveux et lui lava la
tête
comme si c'eût été son propre enfant. » . Ce
mônes aux infirmes. Elle se tient debout, la couronne royale sur la
tête
, auréolée et encapuchonnée à là façon des femmes
tout le premier plan, et un quatrième dont on ne distin- gue.que la
tête
. Ces trois misérables hères sont d'un réalisme
t Pierre, Saint Georges, etc. L'un d'eux, Saint Médard, la mitre en
tête
et la crosse à la main, donne deux (1) Au milie
où s'adapte la main gauche. La main droite tend une sébille. - La
tête
est tournée de profil dans une attitude un peu fo
écouvert porte des taches brun rouge lé- gèrement creusées ; sur la
tête
un lambeau d'éloffe blanche ou un emplâ- tre. E
i rampent à ses pieds, richement velue, la cou- ronne royale sur la
tête
, tenant de la main gauche un pain dissimulé dans
tort être du sexe féminin, est bien un homme d'un âge mûr, dont la
tête
est en effet recouverte d'un linge ou d'un empl
roi d'An- gleterre. Le Saint, revêtu des insignes de la royauté, la
tête
ceinte du dia- dème, les épaules drapées du lon
linges. Le haut de son torse est amaigri. En outre, on voit sur sa
tête
une plaque dénudée telle qu'en produit la teigne
épreux (n° 475). Celui-ci a les bras croisés sur la poitrine, et la
tête
entourée d'un bandeau blanc. Nous ferons rema
x sont souvent re- présentés les bras croisés sur la poitrine et la
tête
entourée d'un bandeau. Cette figuration qui sem
ts de Venise, Lazare est représenté sous la figure d'un infirme, la
tête
bandée, un linge autour de la cheville gauche,
rdination motrice est générale. En particulier les mouvements de la
tête
sont gênés, raides. Après le vertige ce qui inc
. Iodure de sodium. Le malade ne se plaignant d'aucun bruit dans la
tête
, nous ne l'avons mal- heureusement pas ausculté
s à gauche (du côté de la lésion). Pas de déviation conjuguée de la
tête
et des yeux. Tous les mouvements des extrémités
un noevus vas- culaire. Les petites taches ont les dimensions d'une
tête
d'épingle. Les plaques atteignent à peine la di
ur le jéjunum et l'i- léon. Les plus petites ont la dimension d'une
tête
d'épingle, les plus grosses d'une noisette. Leu
saillants et plus ou moins bosselés, autour de la face et du cou. La
tête
du malade de Virchow émerge comme d'un énorme c
- tures (Schmidt). Dans certains cas, « le volume du cou et de la
tête
allant progressive- ment en décroissant de bas
ou (région sus- hyoïdienne),. la face (région préauriculaire), à la
tête
(régions rétro- mastoïdiennes), à la nuque-et a
etites taches pigmentaires brunes, de diamètre variable (depuis une
tête
d'épingle jusqu'à une pièce de 0,50 cent.). Auc
s artistes des Pays-Bas à l'extraction fantaisiste des « pierres de
tête
» semble vraiment inépui- sable. Nous avons déj
siècle. Parmi les peintures ou gravures relatives aux pierres de
tête
que nous avons déjà eu l'occasion de commenter,
f commentaire suffit pour éclaircir loute l'histoire des pierres de
tête
. Anticyre, médecin grec des temps héroïques, av
oir un laon dans la tète». Conclusion : pour guérir ceux qui ont la
tête
dérangée, il faudrait en- lever le taon malfais
upations obsédantes qu'elle s'est attiré des nids de souris dans la
tête
(zich muisennesten in het hoofd haben.) Le taon
het hoofd haben.) Le taon, ou le rat, sont aussi devenus pierres de
tête
. Dans la légende d'une des gravures de P. Brueg
vous, dit l'opérateur dans son boniment, avez-vous la guêpe dans la
tête
, ou sont-ce les pierres qui vous tracassent ? » »
V). Dans un pauvre village des Flandres, un arracheur de pierres de
tête
est arrivé. En plein air, au milieu d'un carref
able el un terrible cou- telas, sous la garde d'une impressionnante
tête
de mort. Dans'le fond, on entrevoit une cornue
IIE DE LA SpLI'CIHIFNF. T. VIII. F'I. 1V UN ARRACHEUR DE PIERRES DE
TÊTE
'l'ahleau attribu i A. Auouwrn (I : colc 1·lama
la réussite de la supercherie ; c'est le pourvoyeur des pierres de
tête
, chargé de renouveler la provision de l'arrache
une chaise, se penche exagérément au risque de s'effon- drer sur la
tête
de mort, les pots d'onguent et les bistouris : el
achemine vers l'officine ambulante. Car l'opération de la pierre de
tête
guérit aussi du mal d'ivrognerie. Maître Jan St
s et les plus pittoresques consacrés à l'opé- ration des pierres de
tête
. Quel en est l'auteur ? Très probablement un ém
ris sont de qualité inférieure. Aux mêmes réserves près, PIERRES DE
TÊTE
ET PIERRES DE VENTRE 83 cette peinture se rappr
cité et en originalité. Une autre scène d'opération de la pierre de
tête
nous a été signalée par M. Léon Goujon (1). Ell
n du Dur Gimberr, 5 Cannes. Masson & CIC, Editeurs PIERRES DE
TÊTE
ET PIERRES DE VENTRE 85 jours quelque naïf bada
C'est un nouveau chapitre imagé annexé à l'histoire des pierres de
tête
. Il montre à quel degré de naïveté peut s'élever
c grande réjouissance . : Ici l'on fait l'opération de la pierre de
tête
. - ... Outre ce titre, quinze légendes versif
erelt t heb doorwandelt t En altoos die key beliaudelt PIERRES DE
TÊTE
ET PIERRES DE VENTRE " 87 Maer nooyt want ick m
Terwyl men beesich is syn keye quyt te maken. Arent (Aaron) à la
tête
malade frappe Siewert sur la joue, tandis qu'on e
qui attise avec un soufflet le feu d'un réchaud .Elle porte sur la
tête
une sorte de pot a fleura à trois cols, tel qu'on
ive un personnage qui porte sur son dos une victime de la pierre de
tête
. Ce dernier, dans la gravure de P. l3rue- gel e
que jeunes et vieux gardent presque toujours un caillou dans leurs
têtes
. Moet men soo veel pynnc lydo Die syn key sal
dit joucl, en ont Moest al een key int hoost belioul. PIERRES DE
TÊTE
ET PIERRES DE VENTRE 89 Cruel dilemme : souffri
, les grands et les petits, venez vite 1 Avez-vous la guêpe dans la
tête
, ou est-ce que les pierres vous gênent ? ' ? Gh
é se trouve dans une piteuse situation. Ficelé comme il est, par la
tête
et parle corps, il ne peut songer à se débattre.
e. Assurément, lui aussi, il appartient à la physiologie PIERRES DE
TÊTE
ET PIERRES DE VENTRE 91 pathologique des émotio
nt à la main une canne, et portant une aiguière en équilibre sur sa
tête
. Ses deux pieds disparaissent dans un pot muni
une nouvelle méthode thérapeutique préconisée contre les pierres de
tête
. Après l'incision ou l'extirpation, - procédé c
l'[JO ex tabaci usu frequen- li vit-- summa b)-evio7-. PIERRES DE
TÊTE
ET PIERRES DE VENTRE 93 et son langage n'est qu
pourrait imaginer aisément une nouvelle pathogénie de la pierre de
tête
. Mais cette thèse n'était assurément pas répandue
er, in art. Tabac, Dict. encycl. des sciences mëd. 94 HENRY ME1GE
tête
)) proprement. dites. Les cinq autres sujets qu'i
en- (1) V. Nouv. Icoiiorl. de la SaLplrière,n 4, 1896. PIERRES DE
TÊTE
ET PIERRES DE VENTRE 95 tes couleurs, grosses c
, el beaucoup moins dange- reuse que l'extirpation des « pierres de
tête
». Il faut croire cependant que la méthode d'ex
u d'élection, le flagellant possède au front une énorme « pierre de
tête
». » Conclusion : le plus fol des deux n'est pa
sion : le plus fol des deux n'est pas celui qu'on pense. PIERRES DE
TÊTE
ET PIERRES DE VENTRE 99 Tel est l'étrange amalg
û s'arrêter parce que son état s'est aggravé et que ses douleurs de
tête
sont devenues de plus en plus violentes. Le 8 n
en dehors, triangulaire vers son extrémité, res- semble assez à une
tête
de serpent. La crête pectinéale est très épaissie
uche. Luxation double de la hanche avec mouvements très étendus des
têtes
fémorales et râclements articu- laires intenses
ficiellement sous la peau. L'article est d'une mobilité extrême, la
tête
fémorale se luxe en arrière et les mouvements com
genou gauche est atteint d'une énorme arthropathie du volume de la
tête
d'un adulte. Les téguments ne sont nullement al
it ainsi un angle de 45° environ avec le plan horizontal du lit. La
tête
est enfoncée dans les épaules : celles-ci sont
exité regarde en dehors. Aucune opacité ne révèle l'existence de la
tête
et du col de l'os qui est re- monté de quatre t
nir une épreuve convenable. Le genou droit est de la grosseur d'une
tête
d'adulte, il est uniformément tuméfié. A la pal
Pas d'ataxie. La radiographie montre qu'il y a disparition de la
tête
et du col du fémur, et déformation de la cavité
cement d'une cavité arti- culaire, tantôt par l'aplatissement d'une
tête
normalement arrondie. Quelquefois l'articulatio
, 44 ans, s'est aperçu de la présence de tumé- factions derrière la
tête
il y au semaines. Les tumeurs sont bilatérales
I. XXX). Malade de M. François SIREDEY dont nous avons reproduit la
tête
à part (figure publiée dans la Noucelle Iconograp
nographie de.la Salpêtrière, 1900, n° 4, pl. X, p. 50). Uss. XIX (
tête
vue de face située en haut et à droite de la plan
e de la veine jugu- laire interne. ORS. XX (Corps vu de profil et
tête
vue du dos située en bas de la plan- che XXXI).
qui peuvent contenir des renseignements curieux et intéressants. En
tête
de la galerie des Arracheurs de dents nous placer
serre nerveusement son bonnet, mais l'opérateur lui tient ferme la
tête
et attaque sans faiblir la mâchoire endommagée.
ieille femme est assise, le front en- touré d'un linge et tenant sa
tête
à deux mains ; elle rappelle par son attitude les
r son attitude les clientes ordinaires des Arracheurs de pierres de
tête
, telles que les a représentées 1>. llruegel
able plusieurs objets qui pourraient être des soi-disant « pierres de
tête
». (A suivre.) NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊ
LA SALPÊTRIÈRE. T. XIII. PL. XXXII, LES ARRACHEURS DE PIERRES DE
TÊTE
Tableau du Musée de Saint-Omer. Massok et Ci'
lle, ce sont des jaunes serin, des bleus et des verts, et certaines
têtes
prennent un aspect tout à fait curieux, par exe
la médecine [Ecoles flamande et hollandaise). Les opérations sur la
tête
. Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière, no 4, 1
ie de la Salpêtrière, no 4, 1895, et Les arra- cheurs de pierres de
tête
; .lanus, 5° liv., 1891. Voir aussi Documents nou
liv., 1891. Voir aussi Documents nouveaux sur les opérations sur la
tête
, Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière, n° 2, 1
conographie de la Salpêtrière, n° 2, 1898, no 2, 1899 et Pierres de
tête
et pierres de ventre, Ibid., ne 1, 1900. NOUV.
tableau et dans celui du Dr de Molènes : dans le premier, c'est une
tête
fine, narquoise, ainsi que celle du comparse qu
s re- lief, prend une expression de méchanceté bestiale. Quant à la
tête
du pa- tient un simple examen des deux tableaux
il s'agit mani- festement de l'extraction simulée des '« Pierres de
tête
». Dans le troi- sième, la supercherie des cail
icide ont toutes eu lieu avec le revolver ; les coups donnés sur la
tête
l'ont été avec les objets les plus variés. Un hom
orté le lendemain chez lui, il commença à souf- frir beaucoup de la
tête
, et la sentait « attirée vers le côté gauche ».Il
fortement déviée et la langue tirée vers la gauche, des douleurs de
tête
très violentes, un délire assez vif, températur
avées. Les masses musculaires sont molles. Quand on fait tourner la
tête
les muscles ne se contractent pas autant qu'à l'é
l'on oppose une résistance au mouvement, le malade tourne mieux la
tête
et avec plus de force du côté droit que du côté.g
gie. Dans deux autres cas, ce sont des mineurs qui reçoivent sur la
tête
un bloc de charbon projeté par un coup de mine
rier de chemins de fer, 24 ans, fut frappé de coups de couteau à la
tête
et à la poitrine le 19 janvier 1896, au cabaret d
8 RENÉ MARTIAL Etat actuel. 21 janvier 1896. - Au côté gauche de la
tête
, existe une plaie des parties molles longue de
* OBSERVATION IV. Uiï homme reçoit deux coups de matraque sur la
tête
, il perd connaissance, tout le côté gauche est
tion V. Un jardinier, âgé de 42 ans, reçoit un coup de bêche sur la
tête
. Il regagne son domicile et quelques instants a
à peu près dix jours..... un ballon de glace avait été placé sur sa
tête
Il n'a pas eu de convulsions, mais de la fièvre
ccident au cours duquel il fait une chute, ou reçoit un coup sur la
tête
, on le relève, il se relève même seul et après
quelque temps après il se développe une hémiplégie, des douleurs de
tête
apparaissent, des troubles de la parole, etc. Il
arette, le tout en s'aidant de la main gauche. Puis il eut mal à la
tête
. Cette céphalée augmenta rapidement et l'obligea
. Cette céphalée augmenta rapidement et l'obligea à s'envelopper la
tête
de compresses fraîches. Il pouvait être quatre he
s'endormit. Il se réveilla à 6 heures avec de violentes douleurs de
tête
, des nausées, une sensation d'étourdissement, il
né que lors de l'accident le malade avait en outre été atteint à la
tête
. Il avait quelque temps après la ca- tastrophe
la partie supérieure du cou, formant un gros collier d'où émerge la
tête
, collier plus volumineux en avant qu'en arrière e
le maxillaire su- périeur droit, douleurs s'irradiant dans toute la
tête
et dans la face, comparées par elle à des coups
breuses privations, se livrait à des travaux pénibles, portait sur la
tête
de lourds fardeaux. A l'âge de cinquante ans,
itaux de Bordeaux. II OBSERVATIONS CLINIQUES SANS AUTOPSIES. En
tête
de cette deuxième série, nous plaçons les trois c
ons de fourmillements et de picotements dans tout le corps, sauf la
tête
, et surtout accentués dans les reins. Jamais de
es modifications très importantes dans la statique de la malade. La
tête
est inclinée à droite, la face tournée à gauche
es supérieurs, constrictives dans les hypochondres, l'épigastre, la
tête
. A 38 ans, clignotement intermittent des paupière
, c'est-à-dire vers l'âge de vingt-deux ans, elle eut dans toute la
tête
des douleurs névralgiques, qui la forcèrent, dit-
ûte de plus en plus. Elle remarque elle-même à cette époque, que sa
tête
s'enfonce dans les épaules, que son dos s'arron
ble grâce au peu d'ataxie des membres inférieurs : elle s'exécute, la
tête
et les épaules en avant, les bras ballants, le
prit l'attitude toute particulière du gibbeux, le dos ar- rondi, la
tête
enfoncée dans les épaules et inclinée sur l'une d
ives, des joues est normale. Jamais de douleurs fulgurantes dans la
tête
ou dans la face : le malade ne sent pas de raid
oit écarté du tronc, immobile, en ba- lancier. Le cou disparaît, la
tête
s'enfonce entre les épaules. Le'thorax est glo-
s orteils. la la face plantaire droite, on constate au niveau de la
tête
du cinquième métatarsien une lorte callosité au
et Paul Richer(1). Le patient est assis sur un banc, abandonnant sa
tête
à l'opérateur, qui, debout'derrière lui, d'une
e sous un pourpoint tailladé, est assis sur un fauteuil de bois, la
tête
renversée en arrière, soutenue par la main gauc
s'en doute, on est frappé par l'immobilité dlLk[JÈ'y'si2 ? w.mi, la
tête
semble comme figée, le regard est fixe et étonné,
- vée, la commissure labiale droite un peu abaissée. Examen de la
tête
et de la face. - L'occlusion des yeux se fait bie
peu développée. ' Les mouvements d'inclinaison et de rotation de la
tête
sur le cou, de flexion et d'extension, sont nor
oppose à leur activité : malgré cela, les mouvements qu'exécute la
tête
, en dehors du commande- ment, sont lents comme
mouvements du corps. Ajoutons que la sensibilité de la face, de la
tête
et du cou est normale sous tous ses modes, tact
lors- qu'il se réveille la nuit, il éprouve la même sensation : la
tête
est lourde, il a constamment envie de dormir, i
agité, il se porte un peu trop à droite ou à gauche ; il festonne, la
tête
est fixe, elle ne tremble ni n'oscille : le mal
ments compensateurs sont normaux : pendant la rotation à droite, la
tête
se porte et s'incline du côté gauche ; à l'arrêt
la tête se porte et s'incline du côté gauche ; à l'arrêt brusque, la
tête
revient à la ligne médiane, puis se porte légèr
t à la ligne médiane, puis se porte légèrement à droite et enfin la
tête
et le corps s'inclinent fortement à droite (ver
statique n'augmentent- pas sensiblement quand le malade incline sa
tête
d'un côté ou de l'autre sur ses épaules, ou tou
d'hypotonie ni aux membres supérieurs, ni aux membres inférieurs.
Tête
et face. Il n'y a pas de tremblement de la tête,
mbres inférieurs. Tête et face. Il n'y a pas de tremblement de la
tête
, soit au repos, soit pendant l'exécution des mo
tête, soit au repos, soit pendant l'exécution des mouvements de la
tête
et du cou, ou même pendant l'exécution des mouv
araîtplut6t redouter de perdre l'équilibre que l'avoir per- du : la
tête
n'est pas davantage animée d'oscillations de larg
précoce, à 4 ans, et les circonstances particulières (chute sur la
tête
) qui l'ont accompagné. Dans toutes les autres obs
e à 30 ans, la marche était hésitante, elle ne pouvait maintenir la
tête
dans une attitude fixe, elle tombait assez souven
rtante dans sa jeunesse, fut plus lard atteinte d'oscillation de la
tête
et sa démarche était incertaine. Les antécédent
ouvements choréiformes des bras et des jambes, le tremblement de la
tête
, les oscillations du tronc pendant la station d
ve, saccadée, sourde, gutturale et monotone. Le tremble- ment de la
tête
s'exagère pendant les mouvements, pendant l'émoti
ubles de la parole sont en rapport avec une fixité imparfaite de la
tête
, et chez le malade observé par Menzel la parole
malade observé par Menzel la parole était moins altérée lorsque la
tête
et le haut du corps étaient bien soutenus, lors
ning, des traumatismes violents : un paveur recevant un coup sur la
tête
, un homme étant précipité du haut de sa voi- tu
ur la tête, un homme étant précipité du haut de sa voi- ture sur la
tête
, n'ont pas amené de fracture apparente et visible
douze ans jouant avec un fusil se fil par mégarde une blessure à la
tête
. Le plomb était entré par l'angle interne de l'oe
miplégie survenue à la suite d'une brûlure sur le côté gauche de la
tête
chez un enfant de trois ans (Foulhioux,l81u), brû
rande faiblesse et quelques douleurs diffuses, mal limitées dans la
tête
..... au mois de décembre..... en quelques jours i
A cette époque elle tomba sur le pavé se frappant le côté droit de la
tête
. Elle fut très mal pendant quelques mois,et qua
n extré- mité supérieure et carpienne est brusquement rélrécie, ]a-,
tête
complète- ment disparu, on voit seulement un va
s sont plus min- ces que les phalanges normales, mais surtout leurs
têtes
métacarpiennes ont fondu, on n'y voit plus le r
net même dans les points les plus amincis comme ce qui reste de la
tête
cubi- tale, il y aurait même plutôt condensatio
se dandine, augmente encore son ensellure lombaire, dodeline de la
tête
et déplace alternativement ses bras en avant tout
se]; il tend à s'accrou- pir, abaisse son bassin et relève ainsi la
tête
; niais il ne peut aller plus loin et reste dan
semble intéressant de passer en revue, sont les suivants : . A la
tête
, les contractions du frontal sont normales et le
ngue sans effort visible, sans raideur du cou ni des bras. Quand la
tête
est penchée en arrière, elle ne peut se re- dre
force suffisante pour la relever. Si le malade place sa main sur sa
tête
, ou repousse un obstacle avec son bras allongé,
seule pièce (obs. XI et XII). Par entraînemenl, ils immobilisent la
tête
sur le cou, le tronc sur le bassin et ils vont
n angle de 45° avec le plan horizontal du lit. Le dos est voûté, la
tête
tombe sur la poitrine, enfoncée dans les épaules
résignation et le maintient par l'épaule. Au fond, on entrevoit les
têtes
de deux autres personnages. Au premier plan, un
leutées que Teniers affectionnait particulièrement. Il porte sur la
tête
le traditionnel petit bonne[ - rouge ici, - garni
nguent, dont un en faïence de Delft capuchonné d'un parchemin, deux
têtes
de pavot, de petits sacs, et quatre instruments :
ue nul n'ignore qu'il s'agit bien d'un adepte de la mé- decine, une
tête
de mort et un sablier symboliques complètent la d
able, longue barbe blanche, tout en- veloppé de fourrures. Sur la
tête
, un bonnet brodé, largement bordé de fourrure, et
est'celle-ci : les humeurs que les carotides auraient portées et la
tête
sont interceptées par les artères de la bouche
personnages. Un faune couché au premier plan érige au-dessus de sa
tête
une pan- carte sur laquelle sont écrits ces mot
eilles, il repousse cependant ces ébranlements trop fréquents de la
tête
. Les effets du tabac sur le cerveau ont été cél
sain, Ils guériront sans médecins. Si j'ay le coeur mauvais ou la
tête
, ' Vous y perdrez votre latin, Le tabac est s
upation de mes doigts, les délices de mon nez, le soulagement de ma
tête
. » Quels gémissements, quels soupirs, quelles p
ille n'a jamais eu de maladie antérieure. Elle ne souffre pas de la
tête
. Elle n'a pas de syphilis, et il n'y a jamais e
partie supé- rieure de la colonne, des membres supérieurs et de la
tête
, mais elles subissent encore des poussées inces
miplégie survenue à la suite d'une brûlure sur le côté gauche de la
tête
. Journal de médecine de Lyon, 184 ? VI, 4,26-32.
ents. Je trouvai une inflammation et un, abcès au côté gauche de la
tête
et du col, une ulcération à l'épaule par suite de
ière la poitrine... quatre jours après l'abcès du côté gauche de la
tête
s'était ouvert, l'intensité de l'inflammation dét
lternativement dans les régions qui se succèdent à droite depuis la
tête
jusqu'à la partie inférieure du corps. Ainsi l'or
it et antérieur gauche et ce, pendant un mouvement de flexion de la
tête
du tronc d'inclinaison vers la gauche.... » \
l est en tout cas probable qu'une balle au moins est encore dans sa
tête
. Actuellement, à l'examen de la bouche, il prés
complète- ment l'animal et la voiture versa. B... fut précipité la
tête
la première sur la chaussée. Les personnes qui
é cutanée. - Hémianalgésie gauche pour le tronc et les membres ; la
tête
est épargnée. Les sensations tactiles sont partou
s. Comme sensation subjective,B.. accuse une grande pesanteur de la
tête
; il lui semble que « sa tête est entourée d'un
B.. accuse une grande pesanteur de la tête ; il lui semble que « sa
tête
est entourée d'une croûte de pâte » ; cette sensa
ontre les conseils du médecin) et pendant le trajet, on le porta la
tête
étant plus basse que les pieds ! . D'après le m
tin en s'éveillant, elle peut placer ses deux mains au dessus de sa
tête
, ce qui n'est pas possible volontairement, à la
ce temps, il a été complè- tement anesthésique du côté gauche de la
tête
y compris la bouche et la langue qui ne sent pa
st exactement localisée. L'épreuve de la sensibilité cutanée sur la
tête
donne des résultats circons- tants, mais les ré
eur de quarante ans qui avait reçu un coup ou fait une chute sur la
tête
. Il fut amené à l'hôpital sans conscience, mais r
rier et dans sa chute, frappa le sol de la partie postérieure de la
tête
. Le cheval fut arrêté, il dégaga son pied et se d
ésion cérébrale ou cérébelleuse, se plaignant seulement d'un mal de
tête
et d'un peu de fièvre. Observation XXVI. E. L
culaires. - Le sujet porte difficilement la main droite derrière la
tête
. Dans ce mouvement il ne peut dépasser la ligne m
t immobiles. Dans la partie supérieure de la région du sommet de la
tête
à gauche, se trouve une étroite blessure de la
r un coup de mine. Il reçut un bloc de charbon au côté gauche de la
tête
. Il per- dit connaissance aussitôt après l'acci
endant un combat de boules de neige, un coup sur le côté gauche de la
tête
. Il tomba aussitôt mais ne perdit pas connaissa
était plus malhabile que sa gauche. Il avait de fortes douleurs de
tête
, mais pas de fracture. Son médecin ordonna l'enve
n, reçut dans une bataille un coup d'un instru- ment en fer, sur la
tête
. Il tomba sans connaissance, mais revint bientôt
, il n'a pas cons- taté de faiblesse des membres. La blessure de la
tête
a fortement saigné. Etat actuel, 2 décembre 189
ans une bataille. On ne sait s'il reçut un coup ou plusieurs sur la
tête
. Après la blessure il se rendit à son travail.
be sont complètement paralysés. Il est gâteux. Au côté gauche de la
tête
, au-dessus de la racine du pavillon de l'oreille,
ent toutes les deux ou quatre semaines. Il ressent une chaleur à la
tête
, ou des maux de tête et en même temps, les trou
banc de la salle d'attente, puis tomba. Il saigna abondamment de la
tête
, il vomit et perdit connaissance. Etat actuel.
u'à gauche. Exitus letalis. Autopsie. - Sur le côté droit de la
tête
, commençant au-dessus du pavillon de l'oreille,
trois ans, dans une bataille. Il avait reçu sur le côté droit de la
tête
un coup de canne terminée par une pointe de fer
année, seraient survenues des attaques pé- riodiques de douleurs de
tête
, pendant lesquelles il était souvent inconscient
lle, le premier échelon cassa, et le malade tomba à la renverse. La
tête
porta violemment, on ne retrouve aujourd'hui qu
à St-Louis, se portant assez bien mais se plaignant de douleurs de
tête
et d'une sensation de travail- lement-du côté g
escendant de wagon, la malade est tombée de toute sa hauteur sur la
tête
et a perdu connaissance. Elle n'a pas saigné. On
al est un tableau d'ANDRIES BoTO (1612-1650) relatif aux Pierres de
tête
et faisant partie de la collection de M. D. A.
eau. L'opérateur, coiffé d'un feutre lacéré, saisit à plein bras la
tête
de sa victime, tandis que de la main droite, il l
taucorps jaune largement tailladé de blanc, un bonnet' rouge sur la
tête
, il porte de longues moustaches tombantes qui lui
arité ; une jeune et jolie villageoise, un panier de légumes sur la
tête
, s'apprête à partir ; une vieille femme encapucho
jà en miroir en 1473, comme le prouve une inscription qui figure en
tête
d'un dessin déposé au musée des Offices. Or en
nous disent cependant que de tout temps, leur fillette tournait la
tête
dans tous les sens pour regarder et suivre les
dormie ou à peine éveillée et lorsqu'on la voit en outre tourner la
tête
un peu de tous côtés pour voir tout ce qui l'ento
. Lorsque le regard est horizontal (ce qui nécessite le rejet de la
tête
en arrière) le tiers supérieur de la cornée est
st peut- être un peu moins marqué à droite qu'à gauche). Lorsque la
tête
est pla- cée dans la rectitude, on remarque que
rde un objet placé horizontalement, ce qui nécessite le rejet 4e la
tête
en arrière. L'oeil droit converge d'une façon plu
xaminer à la fillette un objet placé à sa gauche en immobilisent sa
tête
, on constate que l'oeil droit converge fortement
éciale : dans la marche, pour se guider, ils rejettent fortement la
tête
en arrière. La malade de Luca- nus était obligé
guide dès, qu'on redressait sa tète. Les patients tournent aussi la
tête
de tous côtés pour voir. Dans le , cas de Mauth
ussi la tête de tous côtés pour voir. Dans le , cas de Mauthner, la
tête
était toujours tournée vers la droite, elle se re
u tiers inférieur du sternum, deux petits molluscum du volume d'une
tête
d'épingle. A gauche de l'appendice xyphoïde, un
rées ; 3° trois petites tumeurs molles pédiculées ' du volume d'une
tête
d'épingle à l'aspect de molluscum ; 4° quatre nod
enversée, la bouche ouverte ; un barbier de village lui soutient la
tête
d'une main et de l'autre lui arrache une dent.
mbeaux, assis sur un escabeau. Dans sa main gauche qui maintient la
tête
du patient, l'opérateur tient un instrument 'bi
ne de cerf brûlée, le lait de chienne, la cervelle de lièvre, l'os de
tête
(1) L. LEMERLE, Notice sur l'histoire de l'art
ir au fer,du siège exact de la douleur. Et renversant en arrière la
tête
de son client, délicatement, il touche du bout
calier, une étagère garnie de pots de pharmacie, surveillés par une
tête
de mort. Des ciseaux, des pinces, une seringue
strument d'acier la dent de son client, tandis qu'il lui maintient la
tête
avec son bras gauche contre sa poitrine. Le p
un tout jeune garçon, que la main du dentiste, posée à plat sur sa
tête
, tient encore en respect; ce- pendant l'opérati
homme à longs cheveux bouclés, à fine mous- tache, un béret sur la
tête
, se tient devant son client, de la main droite
a tête, se tient devant son client, de la main droite renversant la
tête
de ce dernier,et tenant dans la main gauche unech
nes en recueillant une riche moisson de molaires ou de « pierres de
tête
». sans parler de pièces de monnaies dont tant de
affaise sur le fauteuil opératoire ap- puyant sur sa main gauche sa
tête
enveloppée de linges. Car elle vient d'être sou
ratoire. Déjà Abulcasis recommandait au XIIe siècle de maintenir la
tête
du patient entre les deux genoux. Ambroise Paré
acher une dent. L'opérateur se met derrière luy, et ayant engagé la
tête
entre les deux cuisses, il la luy fait un peu hau
et Serge Soukhanoff (2 pi. en photocol- logr.), 418. Pierres de
tête
(A propos d'un tableau du musée de Saint-Omel'
eurs de), par H. GAUDiER (2 pl. en photograv.), 205. « Pierres de
tête
» et « Pierres du ventre », par HENRY Meige (2
mu- sée de St-Omer représentant les « Arra- cheurs de pierres de
tête
» (2 pl. en phot.), 205. GEIEH et Serge Soukh
s de la méde- cine (Ecoles Flamande et Hollandaise). « Pierres de
têtes
» et « Pierres de ven- tre ». (2 photocol., 1 p
ôle et pierres de ventre (Henry Meige), XV, XVI, XVII. Pierres de
tête
(Arracheurs de) (GAuniER), XXXII, XXXI11. Pin
ganiques qui composent chaque partie. LOGES ET CAVITÉS DU TRONC. 1°
TÊTE
. Les cavités et enveloppes de la tête sa distin
LOGES ET CAVITÉS DU TRONC. 1° TÊTE. Les cavités et enveloppes de la
tête
sa distinguent en celles du crâne et de la face.
e pavillon de l'oreille. A l'extérieur, l'appareil musculaire de la
tête
se divise en deux séries; les muscles propres ou
orme un rétrécissement cylindrique intermédiaier entre le tronc et la
tête
. Dans sa charpente osseuse, il est formé par la t
dont la première , l'atlas, formant un coussinet mobile, supporte la
tête
par les conclyles de l'occipital. Les limites d
formée par la superpo-position des loges des muscles extenseurs de la
tête
, renfermés de chaque côté, dans le segment compri
des vaisseaux deviennent plus complexes. L'appareil vasculaire de la
tête
est remarquable par le nombre immense d'anastomos
sa, et la rapidité du dégorgement de tout le système capillaire de la
tête
par d'abondantes émissions sanguines locales sur
l'anatomie topographique va se produire dans sa véritable utilité.
TÊTE
C'est surtout en anatomie chirurgicale qu'est i
surtout en anatomie chirurgicale qu'est importante la division de la
tête
en crâne et en face. CRANE. Le crâne se parta
ers la suture sagittale dans le squelette; en haut, seulement dans la
tête
osseuse, par la suture fronto-parié-tale; et, dan
en bas, par une ligne qui suit l'attache des muscles extenseurs de la
tête
, de la protubérance occipitale interne vers l'apo
nférieure étant masquée par les attaches des muscles extenseurs de la
tête
. RÉGION TEMPORALE. Situation, configuration,
uration, délimitation. Située sur la partie médiane et latérale de la
tête
, à l'union du crâne et de la face, elle est formé
nt la nuque, elle se compose de la masse des muscles extenseurs de la
tête
, limitée en haut par la bosse occipitale externe
ration entre les deux côtés. 4° Muscles. Ce sont les extenseurs de la
tête
et du cou, logés dans les deux gouttières en quar
sversaire épineux, et les petits droits et obliques postérieurs de la
tête
. 5° Vaisseaux. En petit nombre, ils se composent
es fractures du pubis ou de l'os iliaque, et la tumeur que dessine la
tête
du fémur dans la luxation en bas et en dedans.
ide se fracture aussi quelquefois; le triangle compris entre elle, la
tête
numérale et la clavicule, est le lieu d'élection
delà troisième à la cinquième; accessoirement, on doit y rapporter la
tête
et le col chirurgical de l'humérus. L'aisselle
ique, ou du col chirurgical de l'humérus, et la luxation en bas de la
tête
de cet os. RÉGION SCAPULO-HUMÉRALE \ Situatio
se présente l'extrémité supérieure del'humérus et l'articulation. La
tête
humérale, enveloppée par sa capsule qui renferme
franchissent l'arcade crurale, correspondent au contour interne de la
tête
du fémur. Outre les plaies et les accidens trau
rurales et ovalaires, les abcès par congestion et les luxations de la
tête
du fémur en bas et en dedans. La partie supérieur
tarsienne ; en haut, les extrémités du tibia et du péroné; en bas, la
tête
de l'astragale, réunies par le ligament tibio-tar
par un gonflement érysipélateux et œdémateux des tégumens, qui, à la
tête
en particulier, envahit tout le côté de la face s
tère carotide primitive. La compression du grand tronc artériel de la
tête
et du cou n'avait même pas été tentée jusqu'à ce
l'accroissement de fongus, d'anévrismes ou de tumeurs érectiles de la
tête
, soit comme moyen préventif avant de pratiquer un
té, avant de donner lieu à des signes de plé thore sanguine vers la
tête
et les extrémités supérieures. Pour bien comprime
de la face postérieure est plus facile en agissant de haut en bas, la
tête
du malade appuyée sur la poitrine de l'opérateur.
t de bas en haut, se place, comme il a été dit plus haut, derrière la
tête
du malade ; il serait surabondant de revenir sur
derrière ou à droite du malade, dont il maintient sur sa poitrine la
tête
fortement renversée en arrière; le point d'appui
oute l'étendue du corps, suivant l'objet que l'on se propose. Pour la
tête
, sur le synciput et derrière les oreilles; pour l
sèche. i° Procédé de May or. Faire immerger dans l'eau bouillante une
tête
de marteau ou toute masse de métal offrant une su
e contre la plupart des affections chroniques qui ont leur siège à la
tête
: ophthahnie, otite, ozène, céphalalgies t. vi.
la multiplicité de leurs anastomoses à tous les plans, la peau de la
tête
offre anatomiquement une garantie très supérieure
linge écru et la soie, fixe solidement, en rapport, le membre avec la
tête
, de manière à ce qu'ils ne puissent se mouvoir qu
, d'un vaste chapelet de cicatrices, après brûlure, qui maintenait la
tête
et. le tronc fléchis l'un vers l'autre. 5° Enfin,
forcée ; de la partie latérale du cou avec l'épaule, qui maintient la
tête
abaissée de côté. De ces adhérences, un grand nom
Employée par Gooch pour un cas de torticolis. Procédé de Gooch. La
tête
étant fortement inclinée sur la poitrine de maniè
a peau et le muscle peaucier dans toute sa largeur, puis maintenir la
tête
relevée et l'aire cicatriser la plaie dans cette
ncision cutanée. Procédé ancien. Le malade étant couché ou assis , la
tête
inclinée autant que possible du côté opposé, appu
ongitudinalement ; le sterno-mastoïdien fléchisseur et rotateur de la
tête
, et Yoccipito - clavieulaire élévateur de l'épaul
evé en pente sous la partie supérieure du corps. Un aide maintient la
tête
inclinée du côté opposé , de manière à faire sail
quelle on ait divisé le muscle; l'opération terminée, 011 redresse la
tête
et on la maintient, par un bandage, légèrement in
tre point. Quant à la quantité de liquide évacué et au volume de la
tête
avant et après les ponctions, M. Russell a fait é
jours, neuf onces et demie : en tout, dix-neuf onces en deux mois. La
tête
, assure-t-il, avait diminué de quatre pouces en c
é, au plus, douze onces à la fois : il ne spécifie pas de combien les
têtes
se seraient rétrécies. Dans le cas cité par M. Gr
s cité par M. Grsefe, dont l'opéré était un enfant de quatre mois, la
tête
, avant toute opération, avait dix-huit pouces et
; trois mois après, lorsque le chirurgien disait son malade guéri, la
tête
avait encore augmenté d'un demi-pouce. Enfin, dan
gestion cérébrale. M. Malgaigne ne dit pas quel était le volume de la
tête
avant et après l'opération; mais il ne croit pas
Le chirurgien est placé, debout, derrière le malade, dont il tient la
tête
fixée sur sa poitrine ; son doigt indicateur gauc
édé par la surface cutanée. Debout en face du malade assis et dont la
tête
est fixée par un aide, le chirurgien fait, à part
chirurgien, placé préférablement derrière le malade, dont il tient la
tête
fixée sur sa poitrine, renverse en bas et en deho
ulsion. 3° Le cou, spécialement sur la veine jugulaire externe. 4° La
tête
: à la face , les veines prépara te et angulaire;
ent rasée, si des cheveux la recouvrent, le malade assis ou couché la
tête
légèrement soulevée et appuyée, par la face latér
ehors ou vers soi. Quelques chirurgiens dirigent l'incision vers la
tête
du second os métatarsien. Cette plaie, qui laisse
isfranc a proposé de diriger la section de la peau obliquement, de la
tête
du péroné vers la crête du tibia, de manière à cr
ommet de sa convexité, suivant une ligne qui, dans la rectitude de la
tête
, atteindrait l'angle inférieur de la mâchoire, im
fig. 1. A et A 2 ). Le malade assis ou couché sur un plan incliné, la
tête
renversée du côté opposé et fixée dans cette posi
s ; l'isolement et la ligature en sont alors faciles. ARTÈRES DE LA
TÊTE
ET DU COU. ARTÈRES DE LA TÊTE. Nous avons déj
n sont alors faciles. ARTÈRES DE LA TÊTE ET DU COU. ARTÈRES DE LA
TÊTE
. Nous avons déjà parlé, en traitant de l'artéri
nt de l'artériotomie, de l'artère temporale. Les autres artères de la
tête
dont on fait la ligature sont la faciale et l'occ
e malade couché sur le dos , sur un plan incliné , le cou tendu et la
tête
tournée du côté opposé à l'o-pération , reconnaît
uel opératoire. Procédé ordinaire. Le malade couché sur le dos , la
tête
déjetée en haut et en arrière et légèrement incli
es tumeurs érectiles ou des fongus hématodes à diverses régions de la
tête
: l'orbite (Travers, Dalrymplc, Arendt, Roux), la
on peu sûre tient au nombre immense des anastomoses des artères de la
tête
entre les deux troncs carotidiens, qui ne tardent
A et A3). Le malade étant couché sur le dos sur un plan incliné, la
tête
fixée par des aides en arrière et légèrement tour
s sous-hyoïdiens. Parvenu à ce point, déposer le bistouri, ramener la
tête
dans sa rectitude, et la faire fléchir légèrement
clu cou, derrière le faisceau sternal du muscle sterno-mastoïdien. La
tête
étant placée dans sa rectitude, mais déjetée en a
avec lenteur entre les deux faisceaux musculaires , puis incliner la
tête
vers le côté de l'opération pour relâcher le musc
es, et que rien ne peut déterminer à l'extérieur. Pour y parvenir, la
tête
étant renversée en arrière mais dans sa rectitude
ère l'articulation sterno-claviculaire, pour peu que l'on renverse la
tête
en arrière et du côté opposé. L'anévrisme spontan
. Kincj (pl. l\G , fig. a. B et B2 ). Le malade couché sur le dos, la
tête
légèrement inclinée à droite, le chirurgien, plac
eineux bra-chio-céphaliques. L'opération à ce point, faire fléchir la
tête
du malade vers la plaie , glisser l'indicateur en
uteur. Procédé de sir A. Cooper. Le malade couché en supination, la
tête
et les cuisses légèrement fléchies sur le tronc,
u'elles sont en grand nombre, elles sont petites et ressemblent à des
têtes
de clous ou d'épingles. M. Velpeau cite quatre fa
ncipale des récidives bien plus fréquentes dans les opérations sur la
tête
que dans celles sur les membres. 5° Dès que la
u contraire, une compression préalable ne peut être faite, comme à la
tête
où le danger est d'autant plus grand que souvent
olissent par le frottement; le fragment mobile s'arrondit en forme de
tête
, l'autre se creuse en forme de cavité articulaire
trépaner constituait la partie principale du traitement des plaies de
tête
, et avait pour but, comme aujourd'hui, de faire é
lques débris de la médecine des Grecs sur le traitement des plaies de
tête
. Il n'en reste plus aucune trace en Occident, et
vations et des statistiques sur l'emploi du trépan dans les plaies de
tête
, sans aucune innovation. L'art de trépaner était
donc seulement ici des indications du trépan relatives aux plaies de
tête
. On se propose ou de relever des os enfoncés, ou
e prescrivaient sans distinction dans toutes les espèces de plaies de
tête
soit comme moyen cu-ratif des accidens consécutif
u crâne où l'on doit appliquer le trépan étant préalablement rasé, la
tête
du malade appuyée sur un plan incliné, garni d'or
donner à l'incision du cuir chevelu. S'il existe déjà une plaie à la
tête
, on se borne à agrandir la solution de continuité
itudinale sur les parties latérales du genou, afin de faire sortir la
tête
de l'os et d'en retrancher ce que la carie aurait
ujours longue; on peut citer comme exceptionnelle une résection de la
tête
de l'humérus par M. Syme, terminée en dix minutes
CTION DE L'ARTICULATION MÉTACARPO-PIIALANGIENNE. On peut enlever la
tête
de l'os métacarpien, l'extrémité de la phalange,
e plaque de bois ou de carton pour protéger les parties molles. Si la
tête
du métacarpien était malade, on en opérerait la r
verser autant que possible la main en dehors afin cle faire sortir la
tête
du cubitus pour en opérer la résection avec la sc
à travers la solution de continuité des parties molles. L'issue de la
tête
de l'os opérée, détruire le reste des fibres liga
qu'on porte le coude en dedans et en haut afin de luxer en dehors la
tête
cle l'humérus dont on fait la résection avec la s
Lorsque cette première plaie est insuffisante pour l'extraction de la
tête
de l'humérus, recourir à une seconde incision par
cessaire cle réséquer la cavité glénoïdc cle l'omoplate ou lorsque la
tête
cle l'humérus a acquis un développement pathologi
a section de la capsule fibreuse, nécessaire pour amener au dehors la
tête
cle l'humérus. Procédé de M. Malgaigne. Dans la
n aide et alors rien n'est plus facile que d'isoler convenablement la
tête
numérale ou les surfaces articulaires de l'omopla
vres du couteau, et permettent d'opérer facilement la résection de la
tête
cle l'humérus. Procédé de M. Robert. Du bord an
eur (pl. 58, fig. 3, l\ et 5). Le malade est assis sur une chaise, la
tête
maintenue penchée du côté sain par un aide qui ex
n excisant les restes de la capsule qui le maintiendraient encore. La
tête
cle l'humérus étant extraite de la plaie, on s'as
oir ouvert l'articulation métataiso-phalangienne, attirer et luxer la
tête
de l'os, et en même temps l'isoler sur les partie
tarso-phalangienne, qui est plus lâche; puis soulevant et attirant la
tête
de l'os, on incisera en même temps et successivem
t sur sa face interne, sentir avec les doigts la saillie que forme la
tête
du péroné. A quatorze millimètres (un demi-pouce)
ière, l'extrémité inférieure du fémur. Ce premier temps achevé; si la
tête
du tibia est malade, isoler les vaisseaux en arri
avant en arrière, comme dans le procédé de Parck. Si l'ablation de la
tête
du tibia est commandée par l'étendue de la maladi
TION DE L ARTICULATION COXO-FÉMORALE. Indications. L'ablation de la
tête
du fémur fut pratiquée pour la première fois et a
te opération, à son avis infiniment plus grave que la résection de la
tête
de l'humérus. Pendant long-temps l'opinion à ce s
tion. Vogcl, Schlichting, MM. Kolher, Heine et Schmalz ont réséqué la
tête
du fémur avec succès dans des cas de fractures co
dont les résultats contre-indi-quent formellement la résection de la
tête
du fémur chez des sujets déjà épuisés par une cox
altération profonde des chairs, pourrait-on préférer l'ablation de la
tête
du fémur à la désarticulation de la cuisse, qui e
attachent ; puis, en ramenant le genou en dedans et en haut, luxer la
tête
du fémur en dehors, pour la faire saillir entre l
apsulairc et triangulaire étant divisés avec la pointe du couteau, la
tête
de l'os se luxe naturellement; il devient facile
e diviser le ligament interarticulaire, de passer un couteau entre la
tête
du fémur et la cavité cotyloïde, d'arriver en ded
la même manière que pour les autres procédés à lambeaux. Si, outre la
tête
du fémur, la cavité cotyloïde elle-même est malad
le malade sur une chaise basse et commander à un aide de maintenir la
tête
légèrement renversée en arrière et solidement fix
st placé derrière la chaise; il maintient fixée contre sa poitrine la
tête
légèrement renversée du malade, dont les pieds ét
rdinairement de longue durée, et disparaît lorsqu'on fait incliner la
tête
en avant. Il n'en est cependant pas toujours ains
ant cle beaux résultats en permettant d enucléer en quelque sorte les
têtes
articulaires, et en fournissant ainsi, pour proté
ion niétacarpo-phalangienne; Heister préfère enlever en même temps la
tête
du métacarpien correspondant; Boyer lui-même n'ap
bien plus, lui préférer l'ablation totale du doigt, y compris même la
tête
du métacarpien, c'est méconnaître à la fois les p
méthode. Si la si section de l'os ne devait pas porter au delà de la
tête
articulaire antérieure, le manuel opératoire se
ne faut point, par des pressions immodérées chereber à rapprocher les
têtes
articulaires antérieures des métacarpiens voisins
r Boyer, dans les cas où il faut amputer tout-à-fait au-dessous de la
tête
numérale : à celte hauteur le deltoïde reste seul
u permet bien plus que l'incision circulaire d'apprécier l'état de la
tête
numérale, ce qui est un grand point dans cette am
t les expansions entourent l'articulation, cause moins de gêne que la
tête
d'un métatarsien. Du reste cette opération, dont
l. Cette opération est indiquée seulement quand la maladie envahit la
tête
du premier métatarsien sans s'étendre à la diaphy
e les deux os, le pied tourné en dehors, saisir le métatarsien par sa
tête
articulaire antérieure, puis le scier en biseau d
e la désarticulation tarso-métatarsienne combinée avec la section des
têtes
osseuses. M. Mayor dit avoir enlevé quatre métata
et que dans la seconde (die lest essentiellement par le volume des
têtes
osseuses. Sous le rapport chirurgical les désar
trer à plein tranchant, et que, sur plusieurs points, l'engrenage des
têtes
articulaires ou la dureté des trousseaux ligament
ans l'articulation et divise la capsule palmaire; enfin contourner la
tête
de la phalange, glisser parallèlement sous sa fac
ar les tendons extenseurs et fléchisseurs roulant dans leur gaine. La
tête
articulaire appartient à l'os du métacarpe, la ca
t encore très utile. On établit également en précepte de respecter la
tête
de l'os métacarpien, malgré le conseil de Dupuytr
u'à la phalange, ouvrir l'articulation par sa face palmaire, luxer la
tête
de la phalange et terminer par la section demi-ci
le tranchant du bistouri, tenu en première position, au milieu de la
tête
articulaire, à huit millimètres au delà de l'arti
ge, traverser le plan articulaire en contournant, sans la toucher, la
tête
de l'os métacarpien, et, lorsque la lame est parv
ns se traduit par une courbe inclinée en dehors et en arrière dont la
tête
du deuxième métacarpien forme le sommet. Méthod
endons fléchisseurs de manière à mettre immédiatement à découvert les
têtes
des os métacarpiens. Sans désemparer pour le deux
coup la peau et les tendons extenseurs. — Troisième temps. Luxer les
têtes
des phalanges, et terminer en divisant les ligame
ut que l'incision dorsale passe d'un centimètre environ au-devant des
têtes
des os, de manière que celles-ci, se trouvant déb
nfin, les articulations étant ouvertes, glisser le tranchant sous les
têtes
des phalanges et, en rasant leurs surfaces, taill
ouvrir par le côté cubital la capsule articulaire, luxer vers soi la
tête
du métacarpien , passer le bistouri derrière et s
et palmaires, entrer dans l'articulation intermétacarpienne, luxer la
tête
de l'os, contourner l'articulation carpienne, res
au-dessous de laquelle est l'articulation, et sur la face dorsale la
tête
même du métacarpien avec la dépression intermédia
ns; le quatrième est presque plane. C'est par la face dorsale, où les
têtes
des os sont le plus larges, que doivent être atta
en partant de l'angle dorsal de l'incision contourner, en piquant, la
tête
du métacarpien vers l'angle palmaire de la plaie
rès la première incision procéder à la désarticulation, contourner la
tête
de l'os et tailler ensuite le second lambeau. La
ec la pointe du bistouri les ligamens dorsal et inter-osseux, luxe la
tête
de l'os, glisse l'instrument sous sa face palmair
, en dehors le ligament externe ou interosseux entre le trapèze et la
tête
du deuxième métacarpien. Procédé opératoire. La
'étend de l'une à l'autre articulation externe : c'est-à-dire , de la
tête
du cinquième métacarpien à celle du deuxième pour
d'un seul coup, en faisant basculer avec le pouce sur les doigts les
têtes
phalangiennes des métacarpiens, luxer toute la li
les bandes fibreuses, puis les ligamens palmaires, et, contournant la
tête
des os en avant, coucher la lame le tranchant en
x, et du côté interne le tendon du cubital postérieur. Luxer alors la
tête
brisée carpienne, entrer en plein dans l'articula
dans l'articulation huméro-radiale : couper les ligamens et scier la
tête
de l'olécrane. Le résultat est une plaie au fond
per très haut pour une gangrène du bras , s étant décidé à enlever la
tête
numérale, qu'il avait trouvée vacillante. L'absen
oïde d'environ quatre centimètres (un pouce et demi), de sorte que la
tête
numérale, appliquée contre l'omoplate, se trouve
late, se trouve recouverte jusqu'au contour de son col anatomique. La
tête
humérale offre une épaisseur moyenne de cinq cent
ulte du rapport des courbes que, soit qu'on élève ou qu'on abaisse la
tête
humérale, la distance relative, entre les points
mens et les muscles jusqu'à l'os, enfin désarticuler dans la plaie la
tête
de l'humérus. Procédé de Berlrandi. Armé d'un l
er coup en avant et en dedans, couper les tendons rotateurs, luxer la
tête
humérale, et terminer la section des parties moll
endons rotateurs, contourner de dedans en dehors et de haut en bas la
tête
de l'humérus, en rasant le col chirurgical , et t
on du biceps et le contour supérieur de la capsule; luxer vers soi la
tête
de l'os, glisser le couteau en dedans, et, derriè
entrer dans l'articulation et, tirant un peu sur l'os, contourner la
tête
humérale et ressortir en achevant de diviser la c
entrer en plein dans l'articulation, glisser l'instrument derrière la
tête
de l'os, passer avec une aiguille droite une liga
apézoïdal dont la base est en haut. Le lambeau disséqué et relevé, la
tête
de l'os isolée et luxée, dénuder et lier immédiat
conseillent un lambeau en V imité par M. Syme pour la résection de la
tête
humérale. Procédé de Dupuytren (lambeau externe
parla section de leurs tendons, à ouvrir l'articulation, qui, pour la
tête
humérale, offre plus decartc-înent en arrière, so
droite, doit s'exécuter uniformément d'un seul temps. Luxant alors la
tête
de l'os en dehors, glisser en dedans le couteau ;
avec la main gauche, le pouce appliqué sur la face postérieure de la
tête
humérale, l'indicateur et le médius sur le triang
ané, le tranchant supérieur légèrement incliné en haut. Piquer sur la
tête
humérale, incliner légèrement le manche en bas po
e bas en haut, pour la dégager de dessous l'acromion et contourner la
tête
de l'os; puis descendre à pleine lame sur la face
inciser du talon à la pointe, offrir le couteau au côté interne de la
tête
humérale, abaisser le manche horizontalement, lux
re et de dedans en dehors et terminer en glissant le couteau entre la
tête
de l'os et les chairs que l'on divise en taillant
e chirurgien l'ouvre en ce sens, coupe les tendons rotateurs, luxe la
tête
de l'os, la contourne en dedans et en avant et te
ndons rotateurs par une section circulaire en un seul temps, luxer la
tête
numérale en dehors, glisser le couteau sur son cô
ations est peu différente de leurs analogues à la main, seulement les
têtes
sont davantage recouvertes par les tubercules lat
prétexte de la difformité et de la gêne causées par la saillie de la
tête
de cet os. Dupuytren a fait plusieurs fois l'une
ois l'une et l'autre opération et n'a reconnu à la conservation de la
tête
de l'os aucun des inconvéniens énoncés, de frotte
e l'os aucun des inconvéniens énoncés, de frottement douloureux de la
tête
conservée contre la chaussure, ou de renversement
qui permet de porter plus bas l'incision ovalaire et de recouvrir la
tête
de l'os, est préférable à cette dernière incision
procéder à cette opération il est bon de se rappeler que la ligne des
têtes
articulaires, convexe antérieurement avec une inc
nvexe antérieurement avec une inclinaison en dehors, a pour sommet la
tête
du second métacarpien, le premier et le troisième
erne de l'articulation du gros orteil, l'indicateur sur le côté de la
tête
du cinquième métatarsien , les trois autres doigt
ticulaire, une incision semi-circulaire étendue du bord interne de la
tête
du premier métatarsien au bord externe du cinquiè
partielles, diviser les ligamens latéraux. 4° Luxer d'un seul couples
têtes
osseuses, glisser le couteau sous les deux phalan
de manière à former deux lambeaux écartés qui permettent de luxer les
têtes
des os, doit être modifié suivant ceux des métata
té, a restreint la désarticulation tarso-métatarsienne aux cas où les
têtes
des os elles-mêmes ne peuvent être conservées.
le côté interne sur le deuxième métatarsien. Reste à désarticuler la
tête
de ce dernier os, sommet de la voûte du tarse. Po
en plonger la pointe dans l'articulation du grand cunéiforme avec la
tête
du second os métatarsien, et, par un mouvement de
cliner légèrement l'extrémité digitale du pied pour faire saillir les
têtes
métatarsiennes : s'il n'existe plus aucun débris
ur, en se bornant à désarticuler le premier métatarsien et sciant les
têtes
des quatre derniers sur la ligne transversale qui
le couteau en plein, en prenant garde d'intéresser le cartilage de la
tête
de l'astragale, diviser d'abord les ligamens plan
iveau de l'articulation de Chopart, reconnaissable à la saillie de la
tête
de l'astragale. Comme il ne s'agit plus alors que
couteau en plein, achever de fléchir la jambe pour amener vers soi la
tête
du tibia, et, contournant en arrière l'extrémité
chairs, n'est accessible au toucher qu'à la région antérieure, où la
tête
du fémur, revêtue par le psoas iliaque, forme, da
(deux pouces), inclinée obliquement en bas, en dedans et en avant. La
tête
du fémur, de même volume, qui s'y est encastrée,
e de laquelle sont situés verticalement les vaisseaux fémoraux. Cette
tête
déborde à l'extérieur la cavité où elle est fixée
, il se trouve moitié plus près du contour interne et inférieur de la
tête
et du bourrelet cotyloïdien ; aussi, dans la manœ
ce sens qu'il est le plus facile d'en faire la section pour luxer la
tête
de l'os : ainsi, comme dans les divers procédés o
reconnaître néanmoins que les plus favorables pour la luxation de la
tête
de l'os sont ceux où le bord articulaire est d'ab
er-articulaire, la cuisse portée dans l'abduction, s'enroulant sur la
tête
de l'os et venant s'offrir de lui-même à la point
stacle en lui-même, mais il est souvent difficile de pouvoir luxer la
tête
de l'os assez complètement pour y atteindre. 5° A
tête de l'os assez complètement pour y atteindre. 5° Au-dessous de la
tête
fémorale, le col chirurgical, long de quatre cent
e de l'os, à un centimètre seulement au-dessous du bord externe de la
tête
du fémur, en est écarté de trois centimètres, et
mètres (deux pouces trois lignes) au-dessous du contour interne de la
tête
, forme, dans une hauteur de deux centimètres, une
mbre en dedans, ouvrir la capsule avec la pointe du couteau, luxer la
tête
fémorale, couper le ligament inter-articulaire, a
, ouvrir la capsule, couper le ligament ïnter-articulaire et luxer la
tête
de l'os, ramener la cuisse à sa direction naturel
au-dessous du rebord cotyloïdien, comme si l'on voulait couper sur la
tête
du fémur sans essayer d'entrer dans l'articulatio
sse dans l'abduction, inciser le ligament inter-articulaire, luxer la
tête
de l'os, passer le couteau sur sa face externe et
t postérieure, inciser circulairement la capsule eu ce sens, luxer la
tête
fémorale en dehors et couper le ligament inter-ar
s et cavités organiques spéciales. — Loges et cavités du tronc, de la
tête
, du cou, du thorax et de l'abdomen, 14—16.— Loges
—Cavité thoracique, 24. — Cavité abdomino-pelvienne, 25— 27. — Cou et
tête
, 27, 28. —Membres, 28. ANATOMIE TOPOGRAPHIQUE.
67. — Axillaire, 168, 170. — Sous-clavière, 170, 171. = Artères de la
tête
et du cou. Faciale, occipitale, 171. — Linguale,
PARTIE LATERALE DU COU, ET DE l/EXTREMITE INFÉRIEURE DE LA FACE. 1°
TÊTE
. A. Os malaire. 13. Os maxillaire inférieur,
S ET NERVEUX AVEC LES APONEVROSES PRÉVERTÉBRALE ET PHARYNGIENNE. La
tête
est sciée verticalement sur le diamètre transvers
le lacs bouclé. Trois compiessions sont ici représentées sur une même
tête
. (A) Petite compresse graduée comprimant X artè
t également maintenue par un simple lacs bouclé (b), qui environne la
tête
horizontalement. (C) Compression, par une compr
ns que nous en avons faites, planches 18 et 19 pour les artères de la
tête
, et planche 21 pour celles du pied). Cette pelott
llaire. Le malade est couché, l'épaule déprimée, le cou tendu et la
tête
inclinée en sens inverse ; le membre thoracique e
aires. Le malade est couché, l'épaule abaissée, le cou tendu, et la
tête
inclinée du côté opposé aux opérations. Le membre
MI-NATURE. DISPOSITION GÉNÉRALE. Le malade, couché sur le dos, la
tête
est légèrement renversée en arrière, le menton re
AU CRANE. Figure A. Le malade, dans l'état de coma, est couché , la
tête
soulevée et disposée de manière à offrir à l'opér
numérale des os de l'avant bras. Figure 12. Carie commençante de la
tête
du fémur. Ce cas est remarquable, comme transitio
ns dont la cause première semble avoir été une carie qui a détruit la
tête
de l'os. Elle offre un bel exemple d'une sorte d'
ale et la dépression du lambeau au-dessous, indiquent l'absence de la
tête
numérale. MÊME RÉSECTION (côté gauche). ( Procé
N (côté gauche). ( Procédé de l'auteur. ) Figure 3. Résection de la
tête
humérale. Le malade étant en position assise, le
ant une double incision museulo-cutanée en manière de séton; puis, la
tête
humérale ayant été isolée, le moment choisi de l'
ection du col chirurgical de l'humérus. M, section du deltoïde. N ,
tête
humérale. Figure 4. Aspect de la plaie après la
illée. La dépression de la masse deltoïdienne indique l'absence de la
tête
humérale. Tome 6 Pl.57. Dessiné d'après nat
un cas de carie du bord interne du tarse , soit le scaphoïde avec la
tête
de l'astragale ou les cunéiformes, soit ces derni
tête de l'astragale ou les cunéiformes, soit ces derniers os avec les
têtes
des métatarsiens. (a) . Lambeau cutané quadrang
ce scaphoïdienne du grand cunéiforme. FIGURE 4. RÉSECTION DE LA
TÊTE
DU PÉRONÉ. ( Procédé de l'auteur. ) (a) . Lam
ure du soléaire. (e) . Petite incision transversale pour dégager la
tête
du péroné, (f ). Surface articulaire tibiale que
deux mains (d, e) d'un aide placé derrière le malade, dont il fixe la
tête
sur sa poitrine. Après avoir scié ou coupé succes
t par leurs extrémités coupées, en embrassant,comme dans un filet, la
tête
de l'astragale, de manière à effectuer encore, au
avec ceux du court fléchisseur en premier plan (d, d), embrassent la
tête
de l'astragale (C), et s'unissent à une membrane
L'opération est représentée lorsque le couteau glisse au-dessus de la
tête
de l'olécrâne pour achever la section du tendon d
ue des chairs de l'extrémité anti-brachiale qui laisse en saillie les
têtes
du cubitus et du radius. in, Couteau à deux tra
enue de la main droite du chirurgien, et qui opère la section de la
tête
de l'olécrâne. FIGURES 2, 3 ET 4. amputation
Elle représente le troisième temps, dont l'objet est de détacher la
tête
numérale de la cavité articulaire. Le chirurgien
re , au-devant de l'angle postérieur de l'aisselle, a glissé entre la
tête
de l'humérus et le deltoïde et ouvert la capsule
e faite à la capsule en ponctionnant. La lame ayant passé derrière la
tête
de l'os , un aide a saisi entre le pouce et les d
chaque côté, une oblique; puis, au travers de la plaie, a détaché la
tête
humérale de sa capsule et de ses tendons. Dans le
ers doigts. f. Main gauche du chirurgien qui gouverne le bras. g.
Tête
humérale désarticulée. h. Main droite du chirur
vers de cette plaie, il devra être procédé à la désarticulation de la
tête
humérale et à la section des chairs, comme dans l
avec le premier métatarsien (1), est occupé à luxer l'engrenure de la
tête
du second métatarsien avec les trois cunéiformes.
nu de la main droite du chirurgien, et dont la pointe plonge entre la
tête
du second métatarsien et le grand cunéiforme pour
moment de l'opération est celui que l'on a choisi, la luxation de la
tête
du second métatarsien, en raison de son engre-nur
Petit lambeau dorsal. La plaie montre les surfaces articulaires de la
tête
de l'astragale et de l'apophyse du cal-canéum. 1,
iquée , le chirurgien a ouvert l'articulation, luxé et désarticulé la
tête
du fémur; puis, glissant le couteau en dedans et
t de cette double incision, a ouvert l'articulation et désarticulé la
tête
du fémur; puis, glissant le couteau en dedans et
Main droite du chirurgien armée du couteau, g. Cavité cotyloïde. h.
Tête
du fémur. i. Double incision à angle des chairs
evé et appliqué sur laine par un aide, le chirurgien a désarticulé la
tête
du fémur, et, glissant le couteau le long de l'os
chiatique, le chirurgien,rentrant dans la plaie de l'autre côté de la
tête
du fémur, a détaché le lambeau interne. Dans cett
la pointe du couteau (g), le ligament inter-articulaire pour luxer la
tête
du fémur (h) non encore dégagée de la cavité coty
t interrompue depuis plusieurs années. Placés par notre maître à la
tête
des branches les plus impor- tantes de son serv
le- Guinée. Là il reçoit un coup de massue sur le côté gauche de la
tête
, perd connaissance et se réveille paralysé .de
2). Toutefois, la moitié gauche postérieure et un peu latérale de la
tête
et de la nuque est le siège d'une sensibilité e
attaque les douleurs de la mâchoire et surtout des cuisses et de la
tête
persistent avec une intensité telle que le mala
es, dans beaucoup de cas, une attitude toute particulière. Ainsi la
tête
, en vertu de la rigidité des muscles antérieurs
ient des regards obliques pour suppléer au défaut de mobilité de la
tête
véritablement soudée entre les deux épaules. Ce
difficile ; les mouvements des mains et des bras plus hésitants; la
tête
elle-même participait au tremblement, ce qu'on
ent aussi, elle a été prise de son tremble- ment des mains et de la
tête
. Quelque temps après sou retour en France, envi
transversal. Lorsque la malade est assise, léger tremblement de la
tête
. Dans la station debout, elle écarte notablemen
pas être sujette à avoir des rêves. Elle a fréquemment des maux de
têtes
(céphalalgie frontale). Du côté de la colonne v
ice de la clinique. 5° ! NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
Tête
. - Intelligence conservée. Lorsque la malade parl
g trajet ou lorsqu'elle est sous l'influence d'émotions morales; la
tête
est alors agitée de petits mouvements d'oscilla
é de légères oscillations; lesoscillations antéro-postérieuresde la
tête
que nous avons déjà citées s'accentuent encore.
ent frappés d'incoordination motrice. La difficulté de maintenir la
tête
immobile remonterait aussi à ce temps; mais, t
répond avec beaucoup de précision aux questions qu'on lui adresse.
Tête
. - Au repos, la malade se tient dans le décubitus
l, et on ne remarque aucun phénomène anormal, sinon que, lorsque la
tête
n'est pas soutenue par l'oreiller, elle est de
aux : fractures de LA tète du péroné L'étude des fractures de la
tête
du péroné est de date relativement t récente; d
la partie supérieure et externe de la ; jambe. \ Au niveau de la
tête
du péroné, point où la malade accusait la douleur
ait été pris par l'arbre de couche d'une machine. Au niveau de la
tête
de l'os, sous la peau, existait une petite tumeur
-dessus de cette dépression on ne pouvait plus suivre le péroné; la
tête
a évidemment été arrachée et est repré- sentée
ue dans peu de cas que se rencontre une dépression à la place de la
tête
du péroné et que cette dernière se trouve remonté
ve de l'articulation du genou. Or, le plus souvent, au niveau de la
tête
du péroné, on sent une légère tuméfaction, c'es
s et luxations. 188.1. DES TROUBLES NERVEUX CONSÉCUTIFS 77 sur la
tête
du péroné, de percevoir très nettement de la crép
t supérieure de la jambe, à un ou deux centimètres au-dessous de la
tête
du péroné existe un second point où la pression
upérieure de la face externe de la jambe gauche, on constate que la
tête
du péroné est notablement plus volumineuse que
E. Si le diagnostic des paralysies consécutives aux fractures de la
tête
du péroné et des paralysies toxiques peut en gé
LA SALPÊTRIÈRE, avoir longé le tendon du biceps, passe derrière la
tête
du péroné dont il est séparé par l'insertion su
, le musculo-cutané et le tibia ! antérieur. Avant de contourner la
tête
du péroné, le sciatique poplité externe a fourn
ssez facilement. Tout d'abord, le nerf a été blessé au niveau de la
tête
du péroné, puisque la branche cutanée péronière
dessus, est intacte. De plus, le nerf ayant, au niveau du col de la
tête
du péroné, la forme d'une bandelette, il est pr
ongation, dans le cas de fracture indirecte, le nerf, adhérent à la
tête
du péroné, étant entraîné avec elle par le biceps
res de Venise (ch. III, p.'151), l'apprécie fort sévèrement : « Une
tête
énorme, inhu- maine et monstrueuse, ricanante,
à Oxford, c'est le symbole de la luxure et de la gourmandise. Une
tête
de femme des boiseries sculptées (xve siècle) de
ce. Nous ne serions pas éloignés d'y voir la représen- tation d'une
tête
de possédée. On remarquera, en effet, qu'en outre
des avec le spasme qui bouleverse tout le côté gauche. Une petite
tête
en terre cuite trouvée à Myrina offre une difform
au Catalogue de MM. Pottier .et Reinach, elle est ainsi décrite : «
tête
longue, étroite, le sourcil gauche relevé, la b
ant que tout le côté gauche garde une impassibilité complète. Cette
tête
est celle d'un vieillard et son expression est d'
'elle force l'attention du médecin. Elle offre l'image, insi que la
tête
précédente, d'une affection nerveuse, plus diffic
té. Quoi qu'il en soit, il y a dans ^expression de ces deux petites
têtes
un accent de vérité qui ne saurait tromper. A n
avait toujours eu une bonne santé, bien qu'il fût sujet aux maux de
tête
; il est mort à 67 ans; sa mère était nerveuse, el
es autres couches). A la naissance, pas d'asphyxie, mais ictère, la
tête
était déjà volu- mineuse. V... a été élevé au s
s autres viscères thoraciques et abdominaux furent trouvés sains.
Tête
. Dimensions du crâne : NOUVELLE ICONOGRAPHIE
st traduit pendant la vie que par le volume et la déformation de la
tête
, quelques phénomènes diffus de dépression céréb
up à la renverse et mourut d'une attaque d'apoplexie. En ouvrant la
tête
, on trouva, qu'in- dépendamment d'une légère ac
minutes dans un sommeil sterto- reux. Il se réveille avec un mal de
tête
qui dure le reste de la journée. Il ne s'est pa
s d'un jaune brun, de dimensions très variables, depuis celle d'une
tête
d'épingle jusqu'à celle d'un haricot, surtout fon
gure; les bras reposent inertes, ramenés sur le devant du corps, la
tête
est inclinée à droite, la bouche légèrement ent
vée qu'on retrouve également dans d'autres oeuvres remarquables. La
tête
est droite, la la face impassible contraste ave
, un homme porte sur ses épaules un enfant qui lève au-dessus de sa
tête
ses deux bras atrophiés, terminés par des mains
e, un bras levé qui appartient à un individu dont on ne voit que la
tête
. La main n'est nullement contrefaite, l'avant-b
e qu'il appelle « la gourme », dont il porte encore les traces à la
tête
. Cette « gourme » a duré jusqu'à l'âge de quinz
s jambes écartées et les yeux ouverts. Mais dans cette position, sa
tête
est sujette à de légers mouvements de « salutat
typique. Je le mets au bout de la salle, et il s'avance sur moi. La
tête
est fléchie sur la poi- trine, et il fait const
bilité ». Mais les mouvements les plus remarquables sont ceux de la
tête
, lesquels ont un caractère anormal bien tranché,
tion » dont nous avons parlé, on voit, qu'à de certains moments, la
tête
est pour ainsi dire tout entière, dans son ense
ée, qu'on pourrait appeler, pour faire image, nystag- 11 ! US de la
tête
et de la face. Pas de contractures manifestes :
des mou- vements dans le cou avec prédominance de la rotation de la
tête
à droite. Les membres des deux côtés sont animé
es supérieurs, prend avec ses mains des objets ima- ginaires sur sa
tête
et les porte à sa bouche; regarde de côté et d'au
tous côtés un regard effaré, se mordant les doigts, se grattant la
tête
. Il se remet debout avec la même peine; on lui
(pl. xxxiv). Nous attirerons tout d'abord l'attention sur les deux
têtes
des in- firmes dont les physionomies offrent en
que celle des mains. Main droite. Circonférence au niveau de la
tête
des métacarpiens, 253 millimètres. Circonférenc
ourts. A la paume de la main, les bourrelets situés au niveau de la
tête
des méta- carpiens sont considérablement augmen
LE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. est cependant très développé. La
tête
du péroné et les deux malléoles parais- sent él
eur cessa complètement. Six ou huit mois plus tard, la douleur de
tête
revint, mais c'était seulement le matin, quand
r l'augmente, elle serait surtout pro- noncée quand M. C... dort la
tête
reposant sur un oreiller. En outre de cette cép
ailes du nez, et enfin de petits mouvements de « salutation » de la
tête
. L'ouïe est parfaite : jamais de bourdonnements
s. Il accuse une espèce de céphalalgie sourde, une lourdeur dans la
tête
, dit-il, qui vient par crises durant quelques h
reconnaître que la sail- lie est formée en partie aux dépens de la
tête
du péroné, en partie aux dépens du scaphoïde qu
tatarsien qui était volumineuse. Aujourd'hui, on constate que cette
tête
est volumineuse, déformée, globu- leuse, et que
e du membre inférieur. Il y six mois, mal perforant au niveau de la
tête
du premier métatarsien gauche. Quelque temps
demi de hauteur, tandis que sur le pied droit, la mensuration de la
tête
du premier métatarsien ne donne de haut en bas
t déformée. Astragale. La face supérieure est complètement usée, la
tête
a disparu. Cuboïde. - Il est représenté par u
ropathie était bien plutôt osseuse qu'articulaire. Il a présenté la
tête
du fémur d'un ataxique dont les apophyses et les
les petites articulations, qui sont douloureuses alapression : les
têtes
osseuses sont hypertrophiées. ' - L'arthrite sè
l'attitude, elle consiste dans le redressement de tout le corps, la
tête
droite, légère- ment renversée en arrière; la f
demi-occlusion des paupières et l'inclination en avant de toute la
tête
, la face tournée vers le sol; d'où l'usage des gr
Florence, une figure d'aveugle assez bien réussie, toute rigide, la
tête
droite, la face impassible, un bâton à la main
mots. Dans la station debout, le tronc est penché en avant et la
tête
incli- née dans le même sens. De plus, les memb
s confrères en maladie par l'inclinaison en avant du tronc et de la
tête
, il en diffère complètement par l'attitude des me
nt il devient rapidement violacé quand le malade est assis. Sous la
tête
du premier métatarsien, siège un durillon qui p
orsale du quatrième orteil, sur la pulpe du premier orteil, sous la
tête
du premier métatarsien, ces divers duril- lons,
bi, chez notre sujet, un^choc violent; or on sait qu'un choc sur la
tête
, et particulièrement dans la région occipi- tal
elles gagnèrent successivement les membres supérieurs, le cou et la
tête
. Ces douleurs étaient intermittentes, comparabl
ent à ce dévelop- pement extrême de la face. La circonférence de la
tête
passant par l'angle du maxillaire et le vertex
limités, et le malade arrive difficilement à mettre la main sur sa
tête
. La force des membres inférieurs est diminuée sur
nt être ceux d'un colosse. La circonférence du pied au niveau de la
tête
des métacarpiens est de 29.5. Circonférence au
e tout ce qu'elle veut. Il en est de même pour les mouvements de la
tête
qui, quoique affaiblis, comme nous le verrons tou
s moins tous. 7 ? coM. Le mouvement d'extension et de flexion de la
tête
s'opère bien, mais une pression un peu énergiqu
issé, mais ne semble pas très atteinte. Mesures et dimensions de la
tête
. - Diamètre mento-bregmatique, 27. Distance de
our de quelques semaines à l'hôpital pendant lequel les douleurs de
tête
avaient été très violentes, la malade sort sur sa
nt mettre un chapeau de l'année pré- cédente, elle s'aperçut que sa
tête
avait augmente de volume, le chapeau étant t de
Longueur du pied droit, 24. Diamètre transversal au niveau de la
tête
des métatarsiens : à droite, 10 ; à gauche, 10.
té antérieure, 5.5. Diamètre transversal de la main au niveau de la
tête
des quatre derniers métacarpiens, 8.6. Circon
it assez ample pour lui; ses yeux sont actuellement très à fleur de
tête
par l'épaississement des os de l'orbite qui ont p
ion. L'A C Il 0 M É G ALI E. 213 Quant aux divers diamètres de la
tête
, il y a, depuis la racine du nez jusqu'à la nuq
lavements. Peu de jours après, la respiration est devenue gênée et la
tête
pesante; le malade éprouvait un accablement gén
assez abondants, étaient châtains et rudes. -- Les dimensions de la
tête
sont à peu près normales, les oreilles normales d
août 1877. 218 NOUVELLE ICONOGKAPU 1E DE LA 8A1.1'liTltll : ltl ?
tête
semblait attachée sur le Ironc, par suite du peu
trèrent tantôt plus tantôt moins sur tout le corps. Les douleurs de
tête
furent particuliè- rement pénibles, elles étaie
années elles s'étaient étendues, avec moins d'intensité à toute la
tête
. Le visage a toujours été un peu pâle et l'est
des mains, des pieds, des oreilles, des lèvres et même de toute la
tête
, du cou et des genoux ; c'est l'épaississement de
s sont bien conservés. Au premier coup d'oeil, augmentation de la
tête
, des mains, des pieds, faisant un contraste fra
cyphose très prononcée qui a amené un raccourcissement du corps; la
tête
, vue par devant, est trop grosse comparativemen
r un nuage, pendant que l'enfant Jésus au bras de sa mère tourne la
tête
et sourit aux femmes syphilitiques. Le second d
170. Péroné (des troubles nerveux consécutifs aux fractures de la
tête
du), par Blin et Damaye, 75. Rachis (des suit
sur le sol, étendu sur le dos, c'est à peine s'il peut soulever la
tête
et détacher les épaules du sol. Pour se relever
s la dure-mère. Ensuite je procédais à la suspension non pas par la
tête
, mais en soutenant le cadavre sous les aisselles.
'un clignement des yeux répété' peut-être deux fois par seconde, sa
tête
était en mouvement constant el ses bras étaient a
de congestion ; les malades ont une sensation de cha- leur dans la
tête
, dans le visage; ils ont le délire sitôt qu'ils f
buste, assez fort. Tendance à l'obésité. Pas d'asymétrie crânienne,
tête
bien conformée, palais normal, dentition bonne,
tronc fait des mouvements de torsion soit à droite soit à gaucho. La
tête
qui est serrée entre les épaules tourne de temp
- tracte, la bouche également jusqu'à laisser sortir la langue ; la
tête
tourne, il fait un effort général énorme et tou
marqués on peut la voir sortir ou rentrer alternativement comme la
tête
d'une tortue au dedans et an dehors de son écai
plus loin de la démarche dans l'athétose double. Cou et tronc. - La
tête
oscille lentement sur le cou, en avant, en arri
incontinence d'urine, il est modérément développé pour son âge, sa
tête
n'est pas très volumineuse. Pas d'asymétrie de la
e « Pppaul », « ourchette » (pour dire fourchette) et «ppippi ». La
tête
oscille à droite et à gauche, mais surtout de hau
nez, de leurs lèvres, de leurs joues, et qu'il ne leur reste de la
tête
que la partie postérieure. Cette sensation, com
érieur en adduction avec rotation en dedans de luxer sans effort la
tête
fémorale en arrière. On peul alors la sentir ai-
nc descendu dans son ensemble entre les fémurs qu'il a écartés, les
têtes
fémorales apnt glissé dans les fosses iliaques ex
ulaires des hanches ont subi un déplacement considérable et que les
têtes
fémorales se sont élevées il environ 5 centimètre
té au patient un effondrement aussi complet, aussi irrémédiable des
têtes
fémorales. Il eut fallu dès le début immobilise
en aussi quelque- fois la longueur du pied. Suivant les auteurs, la
tête
est contenue dans la hauteur du corps un nombre
r un plan horizontal passant par les angles internes des yeux. La
tête
est comprise 7 fois 1/3 dans la hauteur du corps,
e des pieds. Le tronc, y compris la tète mesure quatre longueurs de
tête
. Les subdivisions correspondent ;i des points de
rtie inférieure. Le membre inférieur, comme le torse, mesure quatre
têtes
, du sol, au pli de l'aine en sa partie médiane
ise ainsi qu'il suit : du sol à l'interligne articulaire du genou 2
têtes
. Cet interligne souvent visible extérieurement
tule. De ce point au-dessus du grand trochanter, il y a également 2
têtes
. Je dis au-dessus du grand trochanter, par ce q
supérieure. Vu par sa face postérieure le membre inférieur mesure 3
têtes
1/2 du sol au pli fessier, ce qui donne 1 tête
inférieur mesure 3 têtes 1/2 du sol au pli fessier, ce qui donne 1
tête
1/2 à la longueur de la cuisse en arrière, 1 tè
esure exacte- 134 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. ment 3
têtes
. Je n'insisterai pas ici sur les subdivisions. Je
: la plus grande largeur des épaules n'atteint pas tout à fait deux
têtes
, et le diamètre bi-trochantérien ou la plus grand
rochantérien ou la plus grande largeur des hanches mesure à peine 1
tête
-1 ? Vous avez vu comment quelques-unes des règ
es. En effet cette hauteur égale 45 centimètres et la hauteur de la
tête
du sujetest juste de 22 cent. 5. Cette mesure r
est descendu il la manière d'un coin entre les deux fémurs dont les
têtes
plus ou moins usées ont quitté les cavités coty-
, Il se couche en travers de son lit, jambes pen- dantes d'un côté,
tête
pendante do l'autre. Dans cette position, la doul
me phalange de ce doigt, ni étendre complè- tement la deuxième : la
tête
do la première phalange fait une saillie anormale
lement les vertèbres. Même élat des trochanters, des rotules, de la
tête
du tibia et des os du tarse. A l'extrémité inféri
artie les extenseurs de la tète) engendre une cyphose cervicale. La
tête
se trouve ainsi portée en avant, d'où un déplac
tre de gravité dans le même sens. Pour compenser ce déplacement, la
tête
s'étend fortement sur le cou et de plus il se p
dans aucune autre observation) : Dreschfeld. (Cas du nommé 0. L.).
Tête
asymétrique. Éminence pariétale gauche plus pro
corps fortement renversé en arrière, avec les épaules voûtées, et la
tête
penchée sur la poitrine comme s'il était dans u
nte une ensellure assez marquée au niveau de la région lombaire, la
tête
est immobile, penchée en avant et légèrement incl
re inférieur du même côté. Depuis le mois d'août 1891, le cou et la
tête
ont été atteints a leur tour d'une rigidité qui
elle essaye de le redresser, il lui est impossible de marcher ; la
tête
est inclinée sur l'épaule droite, un peu ren- v
rappelle de très près celui d'un torticolis... Cette déviation de la
tête
et du cou s'est accentuée progressivement sans
ger pour quelques ins- tants cette attitude vicieuse. Mais alors la
tête
est prise d'un tremblement peu marqué. Quand on
rise d'un tremblement peu marqué. Quand on essaye, en saisissant la
tête
, de la ramener dans la position normale, on ren
e cervicale au niveau de laquelle il n'y a pas de cra- quements, la
tête
ne peut être inclinée aussi fortement du côté gau
du côté gauche que du côté droit. Pendant la marche, le tronc et la
tête
ne semblent former qu'une seule pièce absolumen
t à la chute en avant. Quand la malade est assise, le tronc et la
tête
gardent la même attitude ; la main en pronation
us le croyons, une véritable maladie de Parkinson, l'attitude de la
tête
simulant un torticolis est tout à fait en dehor
oite avec contracture... Il s'a- vance le corps penché en avant, la
tête
immobile sur les épaules, tout d'une pièce ; la
u repos, une sorte d'instabilité continuelle dans la position de la
tête
, du tronc et des membres. La démarche est ti- t
pendant l'état de repos, une sorte d'oscillation irrégulière de la
tête
et du tronc. En de- hors de tout mouvement quan
ière de la tête et du tronc. En de- hors de tout mouvement quand la
tête
se trouve sans appui, elle branle alors, suivan
nts de la face, de la lucidité de l'intelligence. « L'enfant a la
tête
volumineuse, la physionomie très intelligente, le
ion, le front se plisse, la bouche s'entrouvre natu- rellement : la
tête
est merveilleuse d'expression. Boucher, qui dan
elief comme le virtuose d'exécution que l'on connaît maintenant. La
tête
de la mère est d'un modèle fini; tout le nu de
artifice très simple les lames de ce casque emboîtent exactement la
tête
du sujet en expérience. Le casque est surmonté
au crâne tout entier par l'intermédiaire des lames du cas- que. La
tête
tout entière vibre dans son ensemble ainsi qu'il
e à sa conformation spéciale, il se moule exactement sur toutes les
têtes
. Aussitôt en place on met le moteur en mouvement
y a que la force qui réussira ou alors qu'on m'ôte celte idée de la
tête
, qu'on mette l'idée de manger à sa place. Je fi
ur, les lèvres n'ont rien de spécial. En somme on ne trouve dans la
tête
aucune des déformations de l'acromégalie. Le th
au repos. Du reste même assise il y a une certaine titubation de la
tête
qui pourrait faire croire à la maladie de Friedre
e professeur Grancher, parce que depuis 3 mois l'enfant rejetait sa
tête
en arrière et que ses bras d'abord et surtout le
igrie. L'enfant reste couché étendu dans son lit, remuant un peu la
tête
de côté, et de temps en temps les membres infé-
si on le maintient sous les bras des deux côtés, l'enfant lient sa
tête
penchée en arrière, avance assez bien. Le pied
, l'enfant meurt d'une pleurésie purulente. 14 janvier. Autopsie.
Tête
. Cuir chevelu très amaigri ; point d'ecchymose. C
PROPORTIONS DU CORPS HUMAIN 311 Fig. 36. Parties du corps ayant une
tête
comme commune mesure. Fig. 37. Parties du corps
une tête comme commune mesure. Fig. 37. Parties du corps ayant deux
têtes
comme commune mesure. Fig. 38. Parties du corps
mme commune mesure. Fig. 38. Parties du corps ayant trois et quatre
têtes
comme commune mesure. 312 NOUVELLE ICONOGRAPHIE
ons du hras du canon de J. Cousin. Mais ce dernier canon ayant huit
têtes
de hauteur, les membres lion .'i la préfecture
le que pour nous le médius est compris 2 fois dans la hauteur de la
tête
, et que la coudée égale 2 têtes et la taille 7 tê
compris 2 fois dans la hauteur de la tête, et que la coudée égale 2
têtes
et la taille 7 têtes et demie. (1) Gr. des Arts
a hauteur de la tête, et que la coudée égale 2 têtes et la taille 7
têtes
et demie. (1) Gr. des Arts du dessin, pag. 41.
SALPÊTRIÈRE. supérieurs ne sauraient convenir à une figure de sept
têtes
et demie, et sont alors manifestement trop long
e son compatriote Chrysostome Martinez, qui mesure égale- ment sept
têtes
et demie, nous semble de beaucoup préférable. Il
iques. Le canon de M. Ch. Rochet (1) malgré ses proportions de huit
têtes
doit être rapproché de notre type de sept têtes
proportions de huit têtes doit être rapproché de notre type de sept
têtes
et demie. La hauteur de huit tê- tes n'est atte
er le corps et ses différents segments au moyen de la hauteur de la
tête
prise comme unité de mesure. Nous signalerons n
pubis, en trois segments égaux chacun à une face ou trois quarts de
tête
. Le membre supérieur rappelle l'égalité déjà si
rs, pendant que celle de la page 32 répond il la proportion de sept
têtes
et demie. (1) Revue d'anthropologie, 3'' série,
est légèrement plus courte et égale exactement à deux longueurs de
tête
. Quant à la troi- sième égalité, celle qui répo
du torse mesurée suivant le procédé dent. Duhousset. Canon de huit
têtes
(type héroïque). Conformément à ce que nous avo
roïque). Conformément à ce que nous avons fait pour l'homme de sept
têtes
et demie, nous avons cherché, dans la construct
demie, nous avons cherché, dans la construction de notre type de huit
têtes
, à nous rapprocher autant que possible de la ré
ait être douteuse. Il est, en effet, d'observation vulgaire, que la
tête
ne change guère de volume malgré la taille et que
olume malgré la taille et que les hommes petits ont relativement la
tête
plus forte. Les proportions varient donc avec l
. 317 Il faut d'abord mettre hors de question les proportions de la
tête
qui est, manifestement et d'un accord unanime,
ille de 184, elle est de 185. Pour nous résumer, nous dirons que la
tête
et le torse diminuent avec la taille, pendant q
Le milieu de la figure est situé plus bas que dans le canon de sept
têtes
(1) M. A. Bertillon arrive également cette conc
à la racine des organes, il les partage environ par le milieu. La
tête
comprise huit fois dans la hauteur de tout le cor
orps se divise comme précédemment. Le torse mesure plus de quatre
têtes
du vertex au pli fessier. Les sub- divisions so
sub- divisions sont il peu près les mêmes que dans le canon de sept
têtes
et de- mie, mais il faut faire observer que les
ce dernier, les dépassent un peu, par en bas, dans le canon de huit
têtes
. C'est Fig. 39. Canon de 8 têtes (Type héroïque
par en bas, dans le canon de huit têtes. C'est Fig. 39. Canon de 8
têtes
(Type héroïque.) (Vue antérieure et vue postéri
CANON DES PROPORTIONS DU CORPS HUMAIN. 319 ainsi que la deuxième
tête
finit aux tétons, la troisième au-dessus du nom-
est donc proportionnellement plus longue que dans le canon de sept
têtes
et demie. Nous voyons, en effet, la mesure de deu
u lieu d'arriver à l'in- terligne articulaire du genou. Deux autres
têtes
mesurées du tubercule du tibia aboutissent au-d
rligne articulaire du genou, on trouve, comme pour le canon de sept
têtes
et demie, que cette mesure égale la longueur de
les mesures du torse sont moins précises que dans le canon de sept
têtes
et demie, le membre supérieur comporte, par contr
ule (extrémité externe) à l'extrémité du doigt médius, et ces trois
têtes
et demie se répartissent de la façon suivante :
a clavicule il la saignée en avant, ou à l'olécrâne en arrière, une
tête
et demie; de ce point à l'extrémité du médius,
rière, une tête et demie; de ce point à l'extrémité du médius, deux
têtes
(avant-bras et main). Les égalités du membre su
n quart de la figure. La plus grande largeur des hanches est de une
tête
et demie ou un cinquième de la hauteur totale. Ce
réalité. Si, pour nous résumer, nous comparons notre canon de huit
têtes
à ce- lui de sept têtes et demie, nous voyons q
résumer, nous comparons notre canon de huit têtes à ce- lui de sept
têtes
et demie, nous voyons que le premier diffère du s
trochanter. Le point de repère médian qui marque la mesure de deux
têtes
n'est pas moins précis ; au lieu d'être à 320 N
urtes et n'atteignant pas tout il fait les repères du cauon de sept
têtes
et demie. Il est vrai que la précision en souff
en effet, il suffirait, par exemple, de prendre notre canon de sept
têtes
et demie et, sans rien changer au torse, d'allo
HUMAIN. 321 1 sure de l'acromion il l'extrémité du médius que trois
têtes
au lieu de trois têtes et demie. Le canon don
'acromion il l'extrémité du médius que trois têtes au lieu de trois
têtes
et demie. Le canon donné par Salvage dans son «
de la jambe est bien la même dans les deux canons, elle mesure deux
têtes
du sol au-dessous du genou, au tubercule antéri
hommes de taille moyenne ou môme de petite taille. Le canon de huit
têtes
ne saurait donc lui être appliqué. La taille de
arée à l'homme et relati- vement à sa hauteur totale, la femme a la
tête
un peu plus haute, le cou plus court, le tronc
peut conclure que la hauteur de la taille reste au-dessous des sept
têtes
et demie, que le milieu du corps est situé plus h
d'au- tant plus grande qu'elle s'éloigne davantage du sommet de la
tête
. C'est ce que démontrent, en effet, les faits o
ever pour nous sont les suivants : A la naissance, la hauteur de la
tête
est à peu près la moitié de ce qu'elle sera apr
de ce qu'elle sera après le complet développement de l'individu. La
tête
se développe plus en hauteur que transversaleme
rt que celui de l'adulte, et que la ligne horizontale qui divise la
tête
en deux parties éga- les étant située, chez l'a
r totale prise pour unité. A 10 ans, le pied égale la hauteur de la
tête
. Avant 10 ans, le pied est plus court, après il
us long. Enfin les rapports simples de la taille à la hauteur de la
tête
sont les sui- vants : La hauteur de la tête e
le à la hauteur de la tête sont les sui- vants : La hauteur de la
tête
est.comprise dans la hauteur du corps : 4 fois
mensura- tions méthodiques et exposés plus haut. C'est ainsi que la
tête
est comprise 5 fois dans la hauteur du corps, c
ent remarquer que les hauteurs relatives des diverses parties de la
tête
sont parfaitement obser- vées (Fig. 41). Appe
re un sujet quelconque et le type moyen figuré par le canon de sept
têtes
et demie. . Pour comparer entre eux plusieurs s
nfance ; d'épistaxis fré- quentes, et de divers traumatismes sur la
tête
dont quelques-uns ont occa- sionné de grandes h
e située sur le pariétal droit, très près de la ligne moyenne de la
tête
. Cette lésion est la dernière reçue par notre m
e salpêtre se détacha d'une pile de ce produit, et lui tomba sur la
tête
, d'une hauteur d'à peu près 3 mètres. Le choc p
ctionnels. Vous avez observé la marche du malade : lente, raide, la
tête
fixe, les yeux grandements ouverts et complètem
tremblement dans les extrémités supérieures ; l'année suivante, la
tête
se fixe, s'immobilise et apparaissent les phéno
essairement se re- produire sous l'influence des grands chocs de la
tête
, qui parfois provo- quent les phénomènes hystér
contenant des fibres vaso-motrices qui remontent au cerveau et à la
tête
en général, il paraît rationnel de le faradiser l
dans le décubitus latéral droit, la jambe ' gauche demi fléchie, la
tête
appuyée sur le bras relevé et tournée la face e
corps, les jambes légèrement fléchies, le bassin porté en avant; là
tête
penchée, etc., concourent à mettre en lu- mière
pollon et l'Amour. Nombre de statues de Bacchus ont ab- solument la
tête
, le bassin et les cuisses d'une femme ; un bas-re
médier à la tendance qu'ont un certain nombre d'enfants il tenir la
tête
et le tronc inclinés en avant. M. Goy, maître d
des cris effrayants ; grimpe sur les bancs, court, et se frappe la
tête
de tous côtés. Pendant ces accès, son visage es
n entrée envoyé au pavillon d'isolement, car il présen- tait sur la
tête
plusieurs plaques de teigne tonsurante. Le lend
quelques ganglions inguinaux engorgés à droite (lymphatisme). - La
tête
est asymétrique ; la bosse pariétale droite est
x heu- res après, 38°; trois heures après, 36°, 1. Mesures de. la
tête
[février 189` ? ). Autopsie; crâne. 7 corresp
aissance. - Premières dents à un an. - Accès de cris. Cognements de
tête
contre les murs. - Blépharite. - Parole et marc
es. 1891. Accès de colère et de cris. - Balancement latéral de la
tête
et antéro-postérieur du tronc; grimaces de la fac
A partir de 18 mois, l'enfant se donna des coups de poing sur la
tête
, pendant 5 ou 6 mois seulement. Si elle était prè
6 mois seulement. Si elle était près d'un mur, elle s'y frappait la
tête
et riait. Son père attribue ces ac- cidents à l
e met en colère, agite ses bras et ses jambes quand on l'examine.
Tête
ronde, assez développée; bosses occipitales et pa
, fait des grimaces de la face, grince des dents. Balancement de la
tête
de droite à gau- che et du tronc d'avant en arr
as être portée, ou arrache alors les boutons, et donne des coups de
tête
. N'est pas affectueuse. N'a pas fait la moindre
1892, 24 heures après la mort. > Le cadavre est très émacié. .
Tête
. Cuir chevelu extrêmement amaigri. - Base dit crâ
la ménin- gite chronique les coups que l'enfant se donnait sur la
tête
, ses accès de cris et de colère, le strabisme int
- Grossesse : au 2""= mois la mère a reçu un tuyau de poêle sur la
tête
, ce qui détermina une plaie, mais n'amena pas d
nt, si nous on croyons le père qui en fut témoin, en rotation de la
tête
adroite et à gauche et en contractures du corps
'enfant avait mis à franchir la filière pelvienne», et il malaxa la
tête
sans doute siège d'une déformation. L'enfant put
22 mois. - A4 4 mois, de nouvelles convulsions se manifestèrent; la
tête
en fut seule le siège. Elles durèrent 4 à 5 heu
mbonpoint satisfaisant. Physionomie hébétée. - Pas d'adénopathie. -
Tête
. Cheveux châtains clairs, àimplan- tation régul
son entrée en mai 1890 il pesait 9 kilog. 250. Mensurations de la
tête
et des membres : Tête. 30 Sclérose ATROPHIQUE
il pesait 9 kilog. 250. Mensurations de la tête et des membres :
Tête
. 30 Sclérose ATROPHIQUE DU cerveau. SCLÉROSE
ble de se développer. Le tableau des mensurations successives de la
tête
vient 36 SCLÉROSE ATROPHIQUE DU cerveau. - d'
calement, serait-il sage de se rendre compte du développement de la
tête
par des mensura- tions périodiques, etc. V. L
spectueux, mais un peu sournois. 1888. 15 juin. - Etat actuel. - La
tête
offre un léger degré d'asymétrie. Le crâne est
de particulier. (Voir plus loin le tableau des men- surations de la
tête
et des membres.) Puberté. - Visage et aisselles
de 38°, 8; - 1 heure après de 38°, 8; - 2 heures après de 36°, 2.
Tête
. 46 Hémiplégie ET atrophie. de piété, que s
le. Persistance DES sutures. 49 . Autopsie faite le 24 mai 1892.-
Tête
. - Cuir chevelu très épais, très congestionné,
fïîsament connaître notre méthode habituelle : men- surations de la
tête
et des membres (quand il s'agit d'un hémiplégiq
s l'histoire du malade. Réflexions. 55 VIII. Les mensurationsdela
tête
, prises à différentes époques, montrent qu'elle
même pas éprouver le besoin de manger et de boire. Qu'on soulève la
tête
ou l'un des membres inférieurs, on enlève l'enf
bres inférieurs, on enlève l'enfant « comme un morceau de bois. »
Tête
. - Asymétrie céphalique assez marquée, due au moi
e 26 centimètres 5. Contracture Ses muscles cervicaux maintenant la
tête
dans la rectitude, et Description DE la malade.
ssex considérable, et on arrive à fléchir davantage ou à étendre la
tête
. - Corps thyroïde à peine perceptible. - Rachis
du liquide céphalo-rachidien en quantité un peu plus que normale.
Tête
. - Cuir chevelu épais et ferme. - Calotte crânien
oe de grincements de dents, d'accès de colère,de cogne- ments de
tête
, venait d'autant augmenter le doute. L'autopsie
cet âge, nous dit sa femme , il passait «pour ne pas être une bonne
tête
» ; il faisait fréquemment Idiotie méningitique
roûtes impétigineuses du cuir chevelu. Pas d'adénites chroniques.
Tête
allongée, sensiblement asymétrique, ne présentant
volumineux. Acuité auditive assez développée. Mensurations de la
tête
: 72 . Rougeole ; albumine. if mars. L'enfant
s, 35°. Autopsie faite le 15 avril 1892, 30 heures après la mort.
Tête
. - Cuir citeuflit assez épais et bien fourni de c
et consistaient en un tres- saillement des bras avec rotation de la
tête
et des yeux. Elles n'étaient pas généralisées e
fé[¡l"ile. Vers cette époque, il se mit à transpirer beaucoup de la
tête
; et à la suite, nous dit sa mère, il aurait été
se. Le faciès est absolument inintelligent et sans expression. La
tête
est celle d'un microcéphale. Aucune saillie; pas
oeufs et manifeste pour la viande un profond dégoût. Il tourne la
tête
lorsqu'on persiste lui en présenter. La masticati
es tiraillements de la bouche de divers côtés. Un balancement de la
tête
de droite à gauche et réciproquement., balancem
,3 (1). Autopsie faite le 49 juillet, 34 heures après le décès. -
Tête
. - Le cuir chevelu est assez épais et un peu rosé
sieurs : l'un d'eux consistait en un balancement, laté- ral de la
tête
. Ce genre cle tics offre, ainsi que nous l'avon
latéral; d'autres fois on observe un mouvement t de rotation de la
tête
. Toutes ces variétés peuvent être réunies chez
la porencéphalie s'accompagnait d'un arrêt cle développement de la
tête
se traduisant ainsi que cela ressort de la desc
dernières années est sensiblement le môme que celui de l'oncle. La
tête
se tournait il droite; mais il n'y avait aucune
tiers inférieur, une cicatrice résultant d'une morsure de chien.
Tête
. Cheveux clairsemés, châtains, régulièrement impl
ids après décès; 43 k. 100. Autopsie faite 3O heures après décès. -
Tête
. A l'ouverture du crâne, il s'écoule du liquide
parlant à le faire sourire. Etat général de santé satisfaisant. La
tête
est de volume médiocre. Les bosses pariétales s
palper des sutures, ni des fontanelles. Sur la partie gauche de la
tête
, on remarque une cicatrice linéaire antéro- pos
ue bien que l'enfant n'ait reçu pendant sa maladie aucun soin de la
tête
plus assidu qu'autrefois, la teigne s'est notab
ite depuis sa naissance. Il fit, étant en bas Age, une chute sur la
tête
qui n'a pas amené d'accidents consécutifs. Il e
réditaires. ayant leur maximum d'intensité localisé au sommet de la
tête
. Ces céphalalgies qui n'ont aucun des caractère
natifs d'allongement et de retrait de la langue ; balancement de la
tête
et du tronc, rotation de la tête; attitudes div
t de la langue ; balancement de la tête et du tronc, rotation de la
tête
; attitudes diverses du corps se répétant réguli
'albuminurie. - Accouchement à terme, naturel, sans chloroforme; la
tête
resta engagé trois heures. - A la naissance, l'
rsqu'on attire son attention il prend un air étonné. Il détourne la
tête
quand on l'appelle il donne la main quand on lu
état. ETAT DU MALADE : LÉGÈRE AMÉLIORATION. 153 Mensurations lu
Tête
. 154 Etat du malade ; légère amélioration. Ré
de particulier. Il n'en est pas de même de l'accouche- ment : la
tête
est restée trois heures au passage et l'enfant,
ent laté- ralement sur le front. Pas d'engorgement ganglionnaire.
Tête
volumineuse proportionnellement au corps, et asy-
ité du pouls. Hyperesthésie cutanée. L'enfant parait souffrir de la
tête
, grince des dents, poursuit avec les mains des
ns mercurielles sur la tète, lavements; applications glacées sur la
tête
. - Son' ; 3S°. 10 juillet. - Gémissements plain
mel : 0 gr.25 en 5 prises, frictions mercurielles et glace sur la
tête
. 18 juillet. - L'enfant est décédé à une heure
r toute l'étendue du corps. Pas d'adénite axillaire ou inguinale.
Tête
ovoïde, plus élargie que normalement à la partie
après décès : 32 kilogr. 100. Autopsie faite le 23 décembre 1892. -
Tête
. - Cuir che- velu, peu épais, dur, légèrement c
nels de cet enfant. Etat actuel - Enfant pâle, d'aspect chétif. -
Tête
assez développée, asymétrique. Protubérance occ
DISTENSION DES SUTURES. ' Autopsie faite 34 heures après le décès.-
Tête
.- A l'enlè- vement de la calotte, on éprouve le
3 sont en bonne santé, mais l'autre,'âgé de 6 ans, paralysé, a une
tête
énorme, qui lui rentre dans les épaules; il ne
u'il a été en nourrice, il a été malade : abcès du coté droit de la
tête
sous le menton et otite suppurée, attribuées au
t supé- rieure du crâne. Impétigo sur la face. Mensurations de la
tête
. (Mai 1892.) DESCRIPTION DU malade. 211 i Cou
2 jou-s. Elles ont duré tres-peu et portaient principalement sur la
tête
. (Yeux, 218 DESCRIPTION DU malade. face). Il
3°. Poids après décès, 14 kilog. 500. Autopsie faite le 30 juillet.
Tête
. Cuir chevelu assez fortement congestionné, mêm
tempes, à tourbillon postérieur, situé àgauche de la ligne médiane.
Tête
volumineuse, d'apparence symétri- que. Bosses p
ble. Autopsie faite le 24 janvier 1892, 24 heures après le décès.
Tête
. - Cuir chevelu et tissu cellulaire sous-cutané
. Gâtisme. - Congestions de la face. - Augmentation de volume de la
tête
. - Amé- lioration passagère à ta Fondation Vall
l'âge de 6 ans. A cette époque, elle fut prise de violents maux de
tête
, qui lui fai aient pousser des cri., de douleur.
au teint pâle, émaciéè. Pas de cicatrices, pas d'adénopathies. La
tête
est arrondie, symétrique, de volume moyen relativ
barres parallèles. Elle ne grince pas des dents, ne se cogne pas la
tête
, n'a pas de roideurs dans les membres, ni de se
et on applique un large vésicatoire sur la moitié antérieure de la
tête
. 1892. 9 janvier. - Raser les cheveux et appliq
appliquer un nou- veau vésicatoire recouvrant tout le sommet de la
tête
presque jusqu'à la racine des cheveux en avant.
ssé 15 ou 16 heures. A ce moment, on reprend les dimen- sions de la
tête
qui avaient déjà été prises en octobre 1890, c'
0 mai. - Depuis une quinzaine de jours, l'enfant penche toujours la
tête
soit en avant, soit latéralement. Elle semble a
vésicatoire et tient au déve- loppement progressif et rapide de la
tête
(Hydrocéphalie). 25 juin. - L'enfant marche de
estant en arrière. Le pied gauche repose sur son bord interne. - La
tête
se penche en avant plus encore qu'auparavant. -
e pâleur jaunâtre, bistrée. Il n'y a pas de grincement de dents. La
tête
a augmenté de volume, ainsi que le montrent les
s décès est de 13 kilog, 500 gr. Autopsie, 26 heures après décès. -
Tête
. Le cuir chevelu est très mince, très pâle et a
n nombre de taches blanches, opaques, et des kystes du volume d'une
tête
d'épingle, tapissés par une membrane blanchâtre
très-bien jusqu'à 6 ans. A ce mo- ment surviennent des douleurs cle
tête
, à forme de migraines, douleurs extrêmement vio
her seule. En même temps que reparaît la paraplégie les douleurs de
tête
sont plus fréquentes et la tête augmente de vol
aît la paraplégie les douleurs de tête sont plus fréquentes et la
tête
augmente de volume, indice évident de la produc
Nous avons durant le séjour de ce malade dans notre service, vu la
tête
se développer sous nos yeux par suite de l'hydr
avons observé, Ros.. exé- cute de véritables valses. Il incline la
tête
à droite ou à gauche et tourne avec une très gr
t un instant, il se balance avec des mouvements de rotation de la
tête
et présente une posture que l'on ne saurait mieux
il se campe sur ses jambes écartées; le torse rejeté en arrière, la
tête
légèrement baissée et tendue en avant, il regar
on, laisse (lutter l'autre le long de sa cuisse gauche, détourne la
tête
avec une expression de dédain et de suprême ind
est là ce qui fait l'intérêt de cette observation. La forme de la
tête
, les tics coordonnés, complexes, multiples, et
s, de lécher les murs. Les grincements de dents, les clignements de
tête
(1) sont fréquents, surtout dans l'idiotie 1nél
ectuels sont susceptibles d'être rat- tachés à un traumatisme de la
tête
, à un abcès ou à une tumeur du cerveau, elle es
ir grognon et inintelligent. L'enfant porte sans cesse la main à sa
tête
en poussant des gémissements et des plaintes inin
a région lombaire; la paroi abdominale est dis- tendue, verdâtre.
Tête
. -Après l'incision du cuir chevelu, on note une d
lative; Le frontal est soudé. .' ? , Lors du premier examen de la
tête
, on. avait noté, que les fontanelles et les sut
à un an. - Rougeole et influenza à 5 ans. - Sueurs abondantes de la
tête
suivies d'un peu d'amélioration. - Marche et pa
orte de convulsions. - Enfant naturel : arrêt de développement et
tête
très petite à la naissance (microcéphalie très pr
and-pfh'e paternel, apoplectique. - Mère, sujette à des douleurs de
tête
; pertes de connaissance de 7 à 27 anus. - Arriè
z bien de la cuiller; colère, jaloux, se jette par terre, frappe sa
tête
contre les murs et les portes, balance son corp
issement prédominant à ta jambe gauche. Gâtisme. Tournoiement de la
tête
. - Balan- cement du tronc. Première dent à 6 mo
us faible que la droite. On notait « chez lui du tournoiement de la
tête
, des grincements de dents a et un balancement a
era. » Nos prévisions se sont amplement réalisées. Le corps et la
tête
se sont développés ainsi que le démontre le table
La préface, dédiée aux enfants de Bicetre, que nous avons placée en
tête
du premier volume, indique le but que nous avon
plus illustres méde- cins de cette maison, Leuret il y a 50 ans, en
tête
d'un volu- me analogue destiné aux adultes, nou
ndant 3 jours. - Diminution de lapar oie. Tremblement latéral de la
tête
. Torticolis à gauche. Accès de colère. -Aspect
et des bras; il fait des grimaces avec le nez qu'il tord, secoue la
tête
et les membres supérieurs; il est de plus sujet
et demi. Il était toujours très maigre, gardant l'inclinaison de la
tête
sur l'épaule droite [torticolis) qu'il présenta
but, avait été accompagnée d'un tremblement ner- veux latéral de la
tête
. L'enfant parlait moins bien qu'à trois ans et
ineries de ses condisciples, qui se moquaient de lui, l'appelant : «
tête
de singe» et le battaient. Quand quelques-uns d
n voit ça et là de petits tubercu- les blancs, de la grosseur d'une
tête
d'épingle, surtout au voi- sinage de la capsule
lions volumineux, caséeux pour la plupart. Corps thyroïde, petit.
Tête
. La calotte crânienne est mince; le diploé est
e malade lui-même d'un torticolis congénital avec tremblement de la
tête
, d'une syn- dactylie partielle des mains et des
ies, des taquineries, des coups de ses cama- des qui l'appelaient «
tête
de singe», « vilain singe », de doux qu'il étai
assez satisfaisant. L'enfant n'a pas- encore atteint sa puberté. La
tête
et le tronc sont glabres. Les testicules descen
atrices cuta- ; nées. Adénopathie cervicale assez marquée. ' ' La
tête
est arrondie, symétrique. Le crâne est iiiésaticé
Le thymus a disparu complètement. Corps thyroïde normal (10 gr.).
Tête
. Le cuir clieveluprésente son épaisseur normale.
sur un banc à l'écart. Le gâtisme reparut bientôt. Les douleurs de
tête
avaient diminué d'intensité, les vomissements é
sez fortement émacié. Son poids ne dépasse pas 25 kilo- grammes. La
tête
est symétrique. Le crâne est allongé d'avant en
15 mari. L'enfant est toujours plus faible; quand on l'assied la
tête
s'incline sur l'épaule droite et il pousse des cr
vérique. Lividités cadavériques au niveau des régions déclives. '
Tête
. Ecchymose violacée au niveau de la région orbi-.
ventricules a déterminé à son tour une augmentation du volume de la
tête
très prononcée ainsi que le fait ressortir le t
ue le fait ressortir le tableau com- paratif des mensurations de la
tête
en 1889 et en 1890. Bien que l'enfant fut âgé d
plus ou moins transpa- rent (fig. 4). Lors du premier examen de la
tête
, on avait noté que les fontanelles et les sutur
défor- 56 Description dû malade. mation trico1'l.oâphalique de la
tête
(Fig. 5) . L'enfant ftit élevé au sein par sa m
ent, ouvrant et refermant la bnuche, roulant les yeux, inclinant sa
tête
de tous côtés et exécutant un 'mouvement de rot
yait sur son lit et recom- mençait ses mouvements du tronc et de la
tête
. Il chantonnait quelquefois; sa mère prétend qu
'abord, c'est l'instabilité du malade. A chaque instant il étend la
tête
, la renverse en arrière, l'inflé- chit sur son
sutures sont oblitérées. Voici les prin- cipales mensurations de la
tête
: 58 Description DU malade. palais, de l'isth
près lamort). -Le corps est émacié et ne pèse plus que 14 kgr. 700.
Tête
. Le cuir chevelu est mince, la calotte crânienn
vements de balancement, l'habitude de se frapper et de se cogner la
tête
qu'avait l'enfant; les accès de colère et de cr
ouches qui paraissent être douloureuses. État actuel. 10 Juillet.
Tête
assez forte. La région occi- pitale est légèrem
droit (80 gr.); Il. gauche (100 gr.), légèrement lobules, sains.
Tête
. La calotte crânienne, symétrique, est d'épaisseu
ts, en particulier le balancement. Jans... balançait le tronc et la
tête
d'avant en arrière ; d'autres idiots les balanc
d'autres idiots les balancent latéralement, ou ne balancent que la
tête
. Ce balancement s'accompagne parfois de chanton
e- et c'était le cas de Jans... -par un tournoiement rapide de la
tête
, par des coups de poings que l'enfant se donne
es coups de poings que l'enfant se donne sur le front, des coups de
tête
sur les objets environnants, des grincements de
- bable) ; 5° une fille, 13 ans 1/2, délicate, souffre de maux de
tête
; 6° une fille morte à 3 ans 1/2 d'une méningite
lors très enflés; pas de rhumatismes, douleurs névralgiques de la
tête
, peurs, pas de rêves ni de cauchemars. Il n'a jam
leur suite une augmentation des accès. Etat actuel (29 avril 1880.)
Tête
: voûte, très-légèrement asymétrique : toute la
te la veille de l'attaque, le malade est triste, mo- rose ; il a la
tête
lourde, quelques éblouissements : la durée de c
bouter en arc de cercle, le corps ne reposant sur le lit que par la
tête
et les pieds, la respiration toujours suspendue
ct. 1879). 7-14 mai. - Erysipèle de la face. 27 mat. Etal actuel.
Tête
régulière et symétrique : saillie assez notable
ri au début, les membres se contractent et s'agitent violemment, la
tête
est rejetée en arrière, les yeux ouverts et le
scription DU malade. État actuel. Poids 54 kilogr. ; taille 1 ? 69.
Tête
: régu- lière, brachycéphale; bosses occipitale
e attaque. Deux ou trois jours avant 1 attaque il a des douleurs de
tête
intermittentes, la moindre des choses le contra
ois, mortes en venant au monde. Elles étaient bien conformées, la
tête
, en particulier, était bien proportionnée. Pas d'
ans la famille, 3° Fille, seize ans, bien por- tante, intelligente,
tête
et traits réguliers; caractère doux; elle n'a p
était folle et avait des crises convulsives avec renversement de la
tête
, figure hideuse, grands mouvements des membres,
ssayait pas de se relever. Clu... a, dit-on, fréquemment le sangàla
tête
; il a été sujet à des épitaxis fréquentes jusq
Etat actuel (55 avril 1889). Poids, 21 kilogr.; taille, 1 m. 30. La
tête
est très petite et relativement haute. Le crâne e
urnis en arrière, rares au contraire sur la partie supérieure de la
tête
: les deux tiers du cuir chevelu sont dénudés.
tres. Les oreilles, de dimensions moyennes, sont peu écartées de la
tête
et bien ourlées; le lobule est détaché. Les yeu
; la main, les doigts, le tronc et le bassin sont bien conformés.
Tête
. Cuir chevelu très épais et très résistant. Les o
l'ivresse, et quelques étourdissements attribués à une chute sur la
tête
du haut de sa voiture en 1872, c'est-à- dire po
Jan. mange avec la cuil- lère et la fourchette. Il fait tourner sa
tête
presque continuel- lement ; fait quelques grima
lé, la moutarde en cataplasme, casent le chameau. Veux-tu te sauver
tête
de loup, tète de prussien. Voilà une belle rose
st parfois excité, violent, et prétend que les autres l'appellent «
tête
de sanglier, cochon » . C'est là surtout cequi
es camarades le taquinent, lui jettent des clous et l'appellent «
tête
de singe ». 22 avril. Courte période d'excitati
n trente ans, domesti- que chez l'oncle de la mère. « Il n'a pas la
tête
grosse, mais elle est régulière. On m'a dit que
te, il était « tout petit, tout petit». Il avait « une toute petite
tête
, toute rondo ». Elle dit qu'elle avait le ventre
le comprenait pas. Il imitait les animaux, il donnait des coups de
tête
, bêlait comme les moutons et chevrottait comme
ce qu'on lui dit et de faire des grimaces. Etat actuel (5 avril).
Tête
. Le crâne est arrondi et coni- que, très atroph
ue vers la queue des sourcils. (Voir plus loin les dimensions de la
tête
). Face. - Les arcades sourcilières sont assez s
du nègre. Les oreilles sont bien ourlées, mais très écartées de la
tête
; le lobule est petit, détaché. Dentition. Do
d'un petit noyau de pèche. l'as d'onanisme. - Mensurations DE la
tête
de 1886 A 1889. Microcéphalie; POIDS ET taille,
pas de pyromanie, ni de kleptomanie. ' Etat actuel. 30 juin 1889.
Tête
ovoïde à grosse extrémité postérieure. La régio
eloppée; les bosses pariétales sont tout à fait déprimées; aussi la
tête
parait- elle aplatie latéralement. Le front e
est à peine marqué ; le lobule est bien détaché. L'enfant porte la
tête
un peu relevée et inclinée du côté gauche. 162
membres du Congrès le buste, les photographies, le squelette de la
tête
et le cerveau du malade de l'OBSER- VATION I.
us faible que la droite. On notait chez lui du tournoie- ment de la
tête
, des grincements de dents et un balancement ant
élioration encore peu pronon- cée, mais indubitable. Le corps et la
tête
se sont développés ainsi que le prouvent les ta
tite, ni dartres, etc., Pas d'onanisme. Etat actuel. (4 octobre).
Tête
à peu près ronde; aplatis- sement de la moitié
epas, il est pris d'une dyspnée extrême ; emphysème généralisé à la
tête
, au cou, au tronc et aux membres supérieurs. La
à l'introduction d'ali- ments liquides dans les voies aériennes :
Tête
. Os du crâne minces et durs ;,la coupe de la calo
taire. Gencives ramollies et saignantes. Voici les dimensions de la
tête
: Description DU malade. 179 Réflexes rotulie
Altération des traits. Face pâle, plombée. Lèvres et langue sèches.
Tête
très chaude, voix é- teinte, toux fréquente.
Légère congestion de l'intestin et des ganglions mésenté- riques.
Tête
. Crâne mince ; bosse frontale gauche moins arrond
is, pas d'accès de colère ; chantonnement monotone ; rotation de la
tête
, grincement des dents, onanisme. En le menant a
n épidermique sur le haut des cuisses. Fiai actuel (17 novembre).
Tête
ovoïde, régulière. Bosses frontales peu saillan
bassinet. Rein droit : 42 gr., moins lobulé que le gauche normal.
Tête
. Lavoïcte du crâne est très profonde, les sutures
maladie aux émotions éprouvées pendant la grossesse. Etal actuel. -
Tête
ronde. Crâne assez régulier, malgré un léger ap
férence fronto-occipitale, ;Ji centimètres. La configuration de la
tête
ne présente aucune anomalie, et les fontanelles
phtliérie. Taille, 94 cent. Poids, 19 k. 522. Circonférence de la
tête
, 51 cent. Circonférence thoracique, 58 cent. 7.
e. Taille, 1 mètre 11 cent. Poids, 23 k. 608. Circonférence de la
tête
, 52 cent. Circonférence du thorax, CI cent. Cir
hoodvillc. Taille, 98 cent. Poids, 21 k. 444. Circonférence de la
tête
, 49 cent. Circonférence du thorax, G2 cent. -Circ
e- velu. Taille, 81 cent.-Poids, Il k. 712. Circonférence de la
tête
, 47 cent. 5. Circonférence du thorax, 50 cent. Ci
l de la face ou de celui du ventre. Taille, 1 ? Poids, 24 kil. La
tête
est volumineuse, surtout dans sa moitié postérieu
pes des petites filles. Poids : 44 kilog.; taille : : 1111 18. Sa
tête
est très grosse, rappelant la conformation de la
ent des principales liléris,i,i¡;.i\tip1 : d\icp : p's ? \t ? : .
Tête
. Circonférence ttorizoptiy ? e ? ...... 57 c. T
p's ? \t ? : . Tête. Circonférence ttorizoptiy ? e ? ...... 57 c.
Tête
. Circonférence horzopI ! Iî, ? 1RYffi11j'H ? ....
augmente. L'Altitude de Ne présente rien Léger tremble- Idem, la
tête
. d'anormal. ment, qui dans le Pas de tremble- t
de sa démarche. Phonation. Normale. Normale. Parle d'une voix de
tête
(aiguë), avec . un petit accent d'enrouement.
vint enceinte. Pendant sa grossesse, elle eut de fortes douleurs de
tête
, de la tuméfaction ganglionnaire ; elle avorta à
r d'environ centimètres s'arrêtant à la partie la plus élevée de la
tête
de l'humérus. La mère affirme que l'enfant est
erme (8 mois). Le corps tout à fait bien conformé (Pl. VI, B). La
tête
présente une curiosité frappante (PI. VI, A). A
hydropisie du 4° ventricule qui provoqua l'absence du cervelet, la
tête
de la fillette était trop petite. Ceci explique q
es sont écartées; les fontanelles sont plus normales. Au toucher la
tête
est molle. En un mot, tableau habituel de l'hyd
ut lui fait mal, tout lui est indifférent, tout l'ennuie. Sa pauvre
tête
est si faible, si dou- ' loureuse...... Elle
e fort bien en chair et son bras nu, ferme et potelé, relevé sur sa
tête
, encadre un visage assez plaisant. Sans doute,
s'entend aux convenances : il a ôté ses gants, mais conservé sur sa
tête
son chapeau doctoral ; c'est ainsi qu'il convie
est assise et semble à bout de forces, pouvant à peine soutenir sa
tête
capuchonnée de blanc, les yeux mi-clos, un soupir
er de là. Je suis si faible, si lasse, si brisée..... Que ma pauvre
tête
est donc malade et que mon coeur me fait souffrir
limitées il des tranches ou segments cylindri- ques du tronc, de la
tête
et des membres. Si le système nerveux prend une
ouve à peu près invariablement la même. Les parties malades sont la
tête
, le cou, la région supérieure du buste, les mem
toujours spontanément par le fait du poids du membre qui ramène la
tête
Im- morale dans le grand axe de la cavité gléno
serrant entre les doigts. A l'examen radioscopique (PI. XVIII), la
tête
humérale est volumineuse par rapport au corps et
nservés (haussement). Si on demande à V... de porter la main sur la
tête
, il arrive à peine, en flé- chissant les doigts
les troubles nerveux consécutifs à ces luxations. Au niveau de la
tête
humérale, les branches du plexus brachial sont
r du muscle caraco-brachial croisant ainsi la face antérieure de la
tête
humérale. Le nerf médian situé à 1 ou 2 centimè
ne du nerf cubital. Survienne une luxation de l'épaule en avant, la
tête
humérale roule dans sa cavité de réception qu'e
nséré sur la petite tubérosité de l'humérus) s'enroule autour de la
tête
et se tend fortement. Quelle peut être l'action
llait se loger dans la gouttière que forment la paroi costale et la
tête
humérale. S'il en était ainsi, le plexus brachial
si, le plexus brachial ne pourrait être lésé que dans les cas où la
tête
humérale viendrait le comprimer directe- ATROPH
qui lui forment une coiffe charnue en avant et en dedans. Quand la
tête
se déplace en avant, cette coiffe se tend comme
davériques ont remarqué que l'abduction du bras avec rotation de la
tête
du côté opposé tend très facilement les racines
ore quand le bras est pendant le long du corps ? L'écartement de la
tête
de l'humérus de la cavité glénoïde (2 centim. e
nerfs du bras individualisés au-dessus de l'épaule, en regard de la
tête
humérale luxée. Radiculaires par suite du traum
s externes, à engainement myélinique plus tardif, aboutis sanl à la
tête
des cornes postérieures, d'où les impressions s'é
soriel que réside le vertige proprement dit. Les mouvements de la
tête
jouent dans l'exercice de l'équilibration un rô
dans l'exercice de l'équilibration un rôle des plus importants. La
tête
occupe en effet le poiut le plus élevé du corps
us le centre du monde objectif révélé par la vue est égale- ment la
tête
, et la moindre variation d'attitude de la tête mo
e est égale- ment la tête, et la moindre variation d'attitude de la
tête
modifie la dis- tribution perspective des objet
e notre milieu par rapport à nous. La notion de l'attitude de notre
tête
au moment d'un regard quelconque en- tre forcém
ts regardés, par rapport à nous. Je reviendrai sur ce point. . La
tête
est enfin en quelque sorte la base et le centre d
port. - Je préfère d'autre part le mot segment au terme membre. La
tête
, le cou, le tronc ne sont pas des membres, ce s
t créé pour les mouvements des globes associés aux mouvements de la
tête
le nom de mouvements compensateurs, mais sa thé
on des mouvements passifs des globes pendant les déplacements de la
tête
. Ils sont inertes et mobiles au moins dans une
quelque indocilité à suivre les mouvements de la tète. Si, quand la
tête
tourne d'un certain angle, l'oeil ne suit pas e
que met le globe à se conformer immédiatement au déplacement de la
tête
, de la paresse qu'il apporte à détacher le regard
'a ici rien de réflexe ni de compensateur. Quand le mouvement de la
tête
ne . permet plus à l'oeil de fixer le même poin
le globe de l'oeil met un grand retard à suivre le mouvement de la
tête
, et il revient en position normale par,une véri
i de l'oeil et par conséquent de même sens que le déplacement de la
tête
. Si notre milieu paraît tourner avec nous, nous
qui remarque qu'au moment de l'arrêt du mouvement de rotation de la
tête
, LE TABES LABYRINTHIQUE 151 il se produit un
n du globe, qui se continue dans le même sens que la rotation de la
tête
, après l'arrêt brusque de celle-ci. Certains ta
qui oscillent dans l'or- bite et dépassent à chaque rotation de la
tête
la position normale. Les yeux sont indociles à
en en faisant ouvrir les yeux du malade aussitôt le mouvement de la
tête
exécuté et en notant la position im- médiate de
r défaut de fixation oculomotrice,à l'occasion des mouvements de la
tête
. Ce trouble est fréquent chez les labyrinthiques.
ment à faire connaître la supercherie chirurgicale des « pierres de
tête
» se trou- vait une gravure de Pierre Bruegel l
la médecine (Ecoles flamande et hollandaise). Les opérations sur la
tête
. Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière, no 4, 1
vr. 1891. Voir aussi : Documents nouveaux sur les opérations sur la
tête
. Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière, n" 2, 1
E LA SALPÊTRIÈRE. T. XII. PL. XXI. LES ARRACHEURS DE « PIERRES DE
TÊTE
» Gravure d'après un dessin de Pierre BpUEGEL-L
sieurs détails (en particulier, une femme, Charilas, qui porte sur la
tête
le pélican symbolique et qui figure sur la grav
l. Derrière le fauteuil, un autre compère aux cheveux ras montre sa
tête
, une main et une partie de son dos vêtu de roug
devine une cheminée haute, avec du feu. Un enfant curieux, passe sa
tête
derrière la draperie. Un autre, tout à fait à g
herbes pharmaceutiques. Au-dessous, une collection de « pierres de
tête
» monstrueuses, accrochées à des clous, et un par
. Dans ces diverses situations des membres supérieurs, le cou et la
tête
ne présentent aucune attitude vicieuse, cependa
u nez, près de la racine du sourcil gauche, jusqu'au som- met de la
tête
. Cette plaque se continue jusqu'au lobule du nez
bligatoire contre toutes* douleurs ou névralgies. Au moindre mal de
tête
, on posait loco dolenli un emplâtre de grandeur e
analgésique coïncide justement avec le siège d'une des douleurs de
tête
qu'on observe le plus souvent dans la chlorose.
à droite-et vue jusqu'aux genoux, mouchoir blanc noué autour de la
tête
, caraco bleu sombre, jupe rouge, tablier blanc, b
(1), lui donnent pour titre La femme malade. « Une femme assise, la
tête
enveloppée, boit une liqueur que vient de lui v
is même que l'on distingue, sous le fichu blanc qui encapuchonne la
tête
, une tache noire au niveau de la tempe : indice d
le, même en cette occurrence. Le bras droit arrondi au-dessus de la
tête
,de la main gauche retenant ses draps,l'aimable
de gémir et de se lamenter. Assise de l'autre côté de la table, la
tête
soutenue par sa main gauche, elle applique la m
ans les précédentes peintures, la patiente souffre assurément de la
tête
; il faut qu'elle la soutienne dans sa main en
e étoffe blanche légère cache toute la moitié gauche de sa jupe. Sa
tête
est prise dans une cornette blanche avec un gra
e, se tient debout le médecin, vêtu de noir, une toque noire sur la
tête
. Vu de trois quarts, il regarde le contenu de l'u
t, dit-elle. Elle a des hémorrhagies intarissables, des douleurs de
tête
intolérables, des frissons fréquents. La tempér
t lors- qu'il y a en même temps du grisonnement partiel, donne à la
tête
un as- pect caractéristique qu'on n'oubliera pl
beaucoup de ce symptôme et lui attribuent une lourdeur générale de
tête
et une paresse cérébrale contre laquelle elles
tation, l'inanition thyroïdienne se manifeste par de la lourdeur de
tête
, par une somnolence inaccoutumée. La perte de la
enfants, déjà grandelets, ont une peine infinie à se loger dans la
tête
les notions les plus élémentaires de l'or- thog
s le dos et dans la région sacrée. La malade souffre beaucoup de la
tête
et est obligée de s'alitera l'approche des règl
cuisses diminuent. Le 18 août 1898, la malade n'a plus mal ni il la
tête
, ni dans le dos, ni dans le ventre ; les règles
ion. La migraine est surtout matutinale : elle se lève ayant mal de
tête
. Elle a souffert beaucoup aussi de névralgies f
rs desquelles je constatai l'amélioration progressive des douleurs de
tête
, du dos, des membres, la disparition des phénom
, il diriger ses affaires de ménage. Elle a facilement le sang à la
tête
. Le teint est très haut en couleur. Les pommettes
epuis sa dix-septième année et pres- que constamment de douleurs de
tête
. Les souffrances sont réellement intolé- rables
amendées. Le poids monte à 48 kil. 700. Le 30 septembre, le mal de
tête
a beaucoup diminué; la constipation tend à dis-
Le 6 octobre, la constipation est définitivement levée ; le mal de
tête
a presque cessé. Poids : 49 kil. 500. Le 28 novem
ulvaire qui la prive de sommeil.De plus elle souffre de douleurs de
tête
frontales, de douleurs dans Ips épaules, les bras
'IIYPOTUYHOïDIE BÉNIGNE CHRONIQUE 307 29 septembre, les douleurs de
tête
ont augmenté, les selles sont difficiles et font
des saignements de nez fré- quents. Elle a le sang facilement à la
tête
et le visage fortement coloré. Très fortement c
l'ai observé trois fois. Dans un cas, il était généralisé sauf à la
tête
, c'était une sensation de chatouil- lement exis
terne du bras gauche et au-dessus du genou gauche. Hyperalgésie à la
tête
, au tronc, aux membres supérieurs, et à la cuis
u tronc dans le même territoire que l'anesthésie. Hyperalgésie à la
tête
, aux bras et au tronc. Il[. Température. - A.
B. Face postérieure. - Thermo-hyperesthésie il tout le tronc, à la
tête
, aux bras. Hyperesthésie à la chaleur aux membr
rements d'argent, jaquette de velours rouge bordée de cygne; sur la
tête
,une coiffe et un fichu blanc ; comme parure, de
en diamant. Ainsi vêtue, l'on s'asseoit dans un grand fauteuil, la
tête
appuyée contre un oreiller, les yeux mi-clos, l
rès d'un lit, une jeune femme est assise, une coiffe blanche sur la
tête
, vêtue d'un casaquin de velours bordé de cygne :
t l'Ancien Testament. Langoureusement, la malade tourne à demi la
tête
vers son docteur, levant au ciel un oeil désesp
me couchée dans un lit à rideaux soutenue par de gros oreillers, la
tête
prise dans une cornette, une double pèlerine sur
clair garnie de cygne; une pèlerine blanche sur les épaules; sur la
tête
, une cornette de même couleur. Grande, mince,ra
te de même couleur. Grande, mince,raide, elle feint de détourner la
tête
pour ne pas voir son médecin; mais ses yeux se
qu'à moitié. Le malade arrive encore il mettre la main derrière sa
tête
, mais en l'amenant d'abord sur le front, et en
en l'amenant d'abord sur le front, et en la faisant glisser sur la
tête
. Tous ces mouvements sont douloureux. Les mou
supination à gauche. Le malade peut mettre les deux mains derrière la
tête
. Mensurations .................. D G Circonfé
ineuses sont dé- primées. Les deltoïdes sont absolument disparus.
Tête
de l'humérus saillante. Membres supérieurs . -
s à peine perceptibles sous la peau. Relief très considérable de la
tête
de l'humérus faisant saillie ; deltoïde très rédu
mollet droit 30 - gauche...... 29 Motilité. - Mouvements de la
tête
conservés. Le malade ne peut s'asseoir sur son
arrive avec le bras gauche ; il peut mettre la main gau- che sur la
tête
, mais non la main droite. Circonférence moyenne
peut plus faire usage depuis 2 mois. Depuis un mois seulement la
tête
fléchit et tombe (PI. LX, A), en même temps que
es du bras ; il est im- possible au malade de mettre le bras sur la
tête
et même d'arriver à le mettre horizontalement p
G. ÉTIE1VNE ' Muscles de la nuque considérablement atrophiés. La
tête
est fléchie forte- ment sur le sternum (Pl. LX,
e malade, qui avait toujours été légèrement voûté, s'aperçut que la
tête
tombe en avant. État actuel. - Constitution trè
dulations spontanées, s'exagérant par un léger choc. A droite, la
tête
de l'humérus frotte très nettement contre la cavi
u'à la verticale ; pour arriver à amener la main droite derrière la
tête
, il fait intervenir des mouvements de latéralit
rands dentelés et les muscles du cou ont totalement dis- paru. La
tête
pend en avant, et le malade éprouve une grande di
... se présente à la clinique, montrant une tumeur grosse comme une
tête
de foetus qui se serait formée subitement, le mat
e de l'atrophie précoce des muscles de la nuque, la malade porte la
tête
penchée en avant, ainsi que le montrent les pho
(fig.N, L). A l'intérieur, on constate la disparition totale de la
tête
humérale (fig. N). A la périphérie de l'articul
s bras plus haut, partant il est incapable de porter les mains à sa
tête
, il ne peut porter les bras en avant ni en arrièr
toïdien a conservé son aspect normal. Le malade étend et fléchit la
tête
facilement, il la tourne à droite et à gauche,
es dorsales, sans scoliose ; pas de lordose compensatrice; aussi la
tête
est-elle fortement projetée en avant. Il n'exis
n des figures, le fini des accessoires, fioles, livres, parchemins,
tête
de mort, etc., et surtout l'étrangeté et l'habile
e de satin blanc, qui, le corsage ouvert, est étendue par terre, la
tête
appuyée sur des coussins. Elle a perdu connaiss
attribué à G. Mnrsu (1). La patiente est assise sur une chaise, la
tête
appuyée sur un oreiller, un large emplâtre de t
n raclant le sol. La flaccidité des bras, la chute abandonnée de la
tête
, la pâleur du teint, la mollesse des (1) Cadre
upiè- res- mi-closes, son regard mourant, la chute abandonnée de sa
tête
, la flaccidité de ses mains, tout indique une d
lui faire faire. Elle se plaint de ne pas dormir, de souffrir de la
tête
quand je la questionne sur sa santé. APHASIE
Jamais. Question. Pourquoi ? Réponse. Tout, tout (elle montre sa
tête
). Question. Avez-vous mal à la tête ? Réponse
nse. Tout, tout (elle montre sa tête). Question. Avez-vous mal à la
tête
? Réponse. Tout (elle montre son front). Dans
mal là (Quelques tra- ces de prurigo). Question. Avez-vous'mal la
tête
? ` ? Réponse. Non du tout, je vais bien ; je v
t-ce un homme ? Non.. Une bête ? Oui une bête. Qu'a-t-elle sur la
tête
? Ça comme ça. (Elit ! fait signe qu'elle a des c
e ; mais va-t-en ; il va me faire du mal. Quitte-moi. J'ai mal à la
tête
... Viens mon vieux (en parlant à la soeur). »
rut très notablement diminuée sur toute la moitié droite du corps :
tête
, bras, tronc et jambe. C'était une hémi-hypoesthé
onnue, il sentit à deux repri- jlHl4 E. NOGUÈS ET J. SIROL ses sa
tête
brusquement et irrésistiblement entraînée du côté
dura qu'un instant et ne produisit pas d'au- tres mouvements de la
tête
: il put se livrer le jour même et les jours sui-
e cet accident. Au commencement de novembre il sentit de nouveau sa
tête
se dévier, mais cette fois du côté gauche. A pe
sterno-mastoïdien droit. Après un certain nombre de contractions la
tête
reprenait sa position normale. Mais celle-ci n'
ques instants, car une nouvelle crise spasmodique se produisant, la
tête
était entraînée, malgré les efforts du malade e
ils persistent toute la journée. Lorsqu'on observe X... on voit sa
tête
exécuter des mouvements bi- zarres (flexion en
en avant et de rotation à gauche). (Pl. LXXXIV.) Alternativement la
tête
tourne dans un sens et se relève, dépassant plus
ue. X... reste ainsi de une plu- sieurs secondes, puis il relève sa
tête
et de nouveau les contractions se reproduisent
s causer, marcher, se mouvoir de toutes façons, faire exécuter à sa
tête
tous les mouvements sans que son torticolis se pr
més (absence de tumeurs ou de corps étrangers, pas de dou- leurs de
tête
non plus que sur le trajet du nerf, pas de troubl
ou sur le menton, sans qu'il lui soit nécessaire, pour maintenir la
tête
, d'opposer la moindre pression, et de faire un
leur disait : « L'homme que voici ne peut s'empêcher de tourner la
tête
à gauche si ce n'est en la maintenant, lui auss
ression quelconque de ce nerf, le sujet ne pourrait pas replacer sa
tête
lui-même. C'est bien sa seule idée qui le force
ition vicieuse. Il semble que la volonté, assez forte pour ramener la
tête
, un instant, dans la position normale, manque d
aide du doigt en l'appliquant sur le nez, la joue ou le menton ; la
tête
est très facilement ramenée dans sa position no
omme nous l'avons dit, peut, sans effort, redresser et maintenir sa
tête
, celui du médecin ou d'une autre personne, d'ap
et n'ayant aucune résistance à vaincre, suffit pour redres- ser la
tête
très facilement. Si, chez notre malade, l'appli
oigt sur la joue, le nez, le menton, etc., lui permet de ramener sa
tête
dans la position normale, avec la plus grande f
fort violent. Le spasme recommence d'ailleurs aussitôt après que la
tête
a pris sa po- sition normale, mais enfin la mal
e à substituer son propre doigt à celui du malade pour redresser la
tête
ou la maintenir dans la po- sition normale lors
ns pas constaté chez notre malade. Si nous essayons de redresser la
tête
de X... lorsqu'elle est déviée ou si nous rempl
doigt sur la joue, le menton, le nez, etc. suflit pour redresser la
tête
et la maintenir en équilibre ; puisque un petit a
ier. Il était de plus sujet à des trans- pirations abondantes de la
tête
, à des engelures des doigts ; il y a 2 ans, il
culations du coude et, à un moindre degré, de l'épaule ; on sent la
tête
humérale rouler dans la cavité glénoïde. Il e
rrière le dos, mais difficulté extrême à les placer au niveau de la
tête
; le bras peut être écarté du tronc d'un angle
se robe de chambre jaune, les oreilles emprisonnées dans une serre-
tête
blanc que recouvre encore un chaud bonnet rouge.
ntre par la porte du fond, fraise au cou, haut feutre pointu sur la
tête
, drapé dans son long manteau noir. .« Je viens
lade de Jean Steen, par Henry MEIGE. (1 phot.), 497. Pierres de
têtes
(Nouveau tableau repré-- sentant les arracheurs
Henry). Nouveau tableau représen- tant les arracheurs de Pierres de
Tête
(2 phot.), 170. Molènes (Paul nE). Hérédité s
Sabrazès etMARTY). XVII, XVIII, XIX, XX. Arracheurs de Pierres de
Tête
(Henry Meige), XXI, XXII. Ataxie hérédo-céréb
o- difications dans l'écriture, un léger tremblement statique de la
tête
appa- rurent peu après ; beaucoup plus tard seu
vertébrale que dans la station debout, qui lui est impossible. La
tête
est agitée d'un léger tremblement statique et la
ie de développement, parut séduire au début, mais elle ne put tenir
tête
aux objections que lui firent bientôt Blocq et ll
e, sujette à un tremblement oscillatoire, rhythmique, latéral de la
tête
à propos d'une fatigue, d'une émotion. La face
d'exécuter, sans s'arrêter d'abord, un mouvement de rotation de la
tête
. Il est obligé de s'arrêter pour le faire, et u
et se durcir à chaque pas, surtout dans la marche un peu active, la
tête
in- clinée en avant. Ici la dissociation de l'a
ebout, les vieillards présentent une voussure mar- quée du dos ; la
tête
est portée en avant, mais le malade redresse le c
ois, surtout pendant la marche, lorsque le malade veut redresser la
tête
, la concavité postérieure de la région cervical
avons été plusieurs fois frappés, en faisant des mensurations de la
tête
, de voir que le diamètre transverse maximum au li
stéite déformante, voici quelle est l'attitude du malade : «...; la
tête
est penchée en avant, le menton arrivant presqu
abaissé mais élargi ; par contre, il n'y a de déformations ni à la
tête
ni aux membres (1). » Nous avons rapporté ces d
ement diminuée d'épais- seur. Dans les cas bien accusés, le col, la
tête
, le grand trochanter, en un mot toute l'extrémi
upes pratiquées dans différentes régions du fémur (trochanter, col,
tête
, diaphyse, condyle interne) nous avons trouvé che
e malheureux serviteur d'un enseigne reçut sept coups d'épée sur la
tête
, quatre sur les bras, un sur l'épaule droite. S
rins ; j'en rappellerai quelques types : « Monstre marin ayant la
tête
d'un ours et les bras d'un singe » ; « Monstre
tête d'un ours et les bras d'un singe » ; « Monstre marin ayant la
tête
d'un moine et couvert d'écaillés de pois- son »
is est per- cée d'un trou assez large pour qu'on puisse y passer la
tête
. Afin d'obtenir de Saint Menoux la guérison d'u
d'un dérangement de l'esprit il suffit que le fervent introduise sa
tête
dans l'orifice et fasse en cette posture une pr
gloire. Il guérit Regenfroid, son diacre, d'une grave blessure à la
tête
. De là sans doute vint au Saint la réputation d
te. De là sans doute vint au Saint la réputation de restaurer les «
têtes
fêlées ». Cette réputation s'étendit rapidement
et des douleurs fulgurantes ; puis viennent l'ataxie statique de la
tête
et du tronc, la scoliose, les troubles de la pa
à concavité droite, au niveau des premières vertèbres dorsales, sa
tête
était constam- ment oscillante ou retombait sur
érée d'un fibromyome utérin. Elle nous est amenée en décembre 1900.
Tête
et tronc relativement énormes, membres très cou
du qu'on ne l'avait pas remise dans sa position habituelle. Maux de
tête
violents par crises. A vomi une seule fois un jou
cun trouble à la suite de cet accident, ni céphalée, ni lourdeur de
tête
, ni autre chose qui put attirer son attention .
core et ce fut alors qu'il commença à ressentir de violents maux de
tête
, qui furent bientôt suivis de vomissements et d'u
il ne peut regarder devant lui sans plisser le front et dresser la
tête
. La diplo- pie à cette époque disparaît, mais l
, cyphose et surdité progressives, déformation hypertrophique de la
tête
, des mains et des pieds ; / te<Ms ? 7Mtjoa-
lle ne se plaint que de l'impotence de ses membres inférieurs. La
tête
est volumineuse. L'examen du crâne montre un ag
laire inférieur. Le cou est très court, épais; il en résulte que la
tête
est enfoncée entre les deux épaules. Thorax.
u de la capsule interne et se termine à la partie postérieure de la
tête
du noyau caudé ; l'autre, moins long, mais plus
nt pas. Leur siège était varié : les bras, le tronc, les fesses, la
tête
sous les cheveux. Ces oedèmes disparaissent ver
coliose droite très accusée. L'épaule droite est très abaissée : la
tête
de l'acromion droit est à centimètres plus bas
peut-être le barbier-chirurgien en chef, se charge de maintenir la
tête
et le corps du patient. L'opération est confi
e destina- tion que les mouvements de la main destinés à ramener la
tête
vers la rectitude.La nature essentiellement vol
, sa voix est éteinte ; il fait pourtant de grands mouvements de la
tête
et des membres. On observe que la main droite e
avec idées absurdes et incohérentes d'hypochondrie : il n'a plus de
tête
, on lui a arraché les yeux, etc. ; il est incon
nce qu'il décrit est d'un rayon très court et son corps est arqué, la
tête
étant rapprochée de la queue, le nez rasant le
il ne fait aucun mouve- ment pour mordre ; il éloigne simplement la
tête
. Les diverses sensibilités spéciales ont été ex
st si brusque, qu'il est nécessaire de la soutenir pour empêcher la
tête
de frapper le sol, en s'abattant à terre. II lu
d'une amplitude d'excursion tout à fait insolite (rota- tion de la
tête
, etc.), ainsi qu'on peut facilement s'en rendre c
hain, sont précisément : les extraits de muscles d'écre- visses, de
têtes
de sangsues, de corps de mollusques, l'extrait de
droite.Au bout d'une quinzaine de jours, la malade remarque que sa
tête
tourne à gauche involontairement et qu'elle a d
1903, nous constatons un torticolis mental typique mais atténué. La
tête
tourne à gauche, lentement, sans secousses et s
er. La malade arrive pres- que toujours à ramener par la volonté la
tête
dans la rectitude. Le mouve- ment est lent. Ell
saeur llLf.... lisait la page de gauche ; le léger mouvement de la
tête
et des yeux nécessaires pour passer à la page d
de droite amenait immédiatement l'apparition du torti- colis et la
tête
tournait à gauche. Pendant les prières, surtout
Les mouvements antagonistes employés ont été nombreux. Au début, la
tête
ne revenait dans la rectitude que quand la malade
ention de la malade. Pour arrêter les 288 BONNUS mouvements de la
tête
et éviter les distractions, elle plaçait les deux
stractions, elle plaçait les deux coudes sur la chaise et tenait la
tête
penchée avec les deux index sur le front ; d'au-
ux index sur le front ; d'au- tre fois le simple fait de pencher la
tête
arrêtait le mouvement. Pendant la marche, il su
e début des douleurs et de la raideur du cou, la malade tournait la
tête
tantôt à droite, tantôt à gauche pour faire dimin
le remarqua qu'elle était soulagée seulement quand elle tournait la
tête
à gauche. Alors elle avait cessé de la tourner
de la ramener dans la rectitude, elle n'ose souvent pas tourner la
tête
du côté gauche. L'idée fixe qu'elle ne guérira
é notre atten- tion : c'est la perte de la notion de position de la
tête
droite quand la malade la ramène de la gauche d
Quand elle l'a ramenée sur la ligne médiane, elle ne sent pas si sa
tête
est bien droite, et elle demande souvent : « Ma
sent pas si sa tête est bien droite, et elle demande souvent : « Ma
tête
est-elle droite ? Je ne sens pas si ma tête est
demande souvent : « Ma tête est-elle droite ? Je ne sens pas si ma
tête
est droite ». De plus, avant de commencer ce mo
est obligée de mettre le doigt sur le front, très rarement aussi la
tête
tourne à gauche pendant la lecture. Elle dit être
ctéristiques. Le crâne est volumineux, écrasant la face. Le tour de
tête
est de 61 centi- mêtres. Le pariétal gauche p
» Le malade de l'observation 2 nous a dit : « Mon père avait une
tête
aussi grosse que la mienne. Seuls dans la famille
, nous a confirmé ces renseignements : « Mon grand'père avait une
tête
énorme. Ses jambes étaient très arquées. » Une
: -. « J'avais 18 ans lorsque mon grand'père est mort. Il avait une
tête
très forte, et qui paraissait grossir : en effe
ujet qui avait l'at- titude caractéristique, les jambes arquées, la
tête
énorme et qui grossissait encore dans les derni
Les ligaments articulaires de l'épaule ont une laxité extrême ; la
tête
humé- raie se subluxe en avant et en arrière de
sur la ligne médiane, et en arrière, passage possible par dessus la
tête
, sans les disjoindre, des deux mains unies derr
re fixe. Dans l'abduction du bras, la main soulevant un fardeau, la
tête
de l'humérus se subluxe en avant et en dedans e
verticalement rejoindre la ligne de la nuque. Les diamètres de la
tête
sont les suivants : , DYSOSTOSE CLÉIDO-CHANIEni
téraux par compa- raison avec l'épaule saine. L'acromion déborde la
tête
numérale et il y a dans certainscas une véritab
il nous faut tenir compte cependant de la malformation spéciale de la
tête
et de la scoliose chez le père du cas 21 et du
em- bryons anencépales. A la vérité, il représente des individus à
tête
plus ou moins atrophiée qu'il assimile aux foet
ent et provoque, suivant Dareste, les diverses défor- mations de la
tête
des anencéphales. Au surplus, les anomalies qui c
oins constant et relevé dans tou- tes les observations publiées. La
tête
est engoncée dans les épaules, le cou disparaît
ue sorte, projetée (1) C. DARESTE, Mémoire sur un chat ileadelphe à
tête
monstrueuse. Annales des sciences naturelles, t
s. De leur côté, les épaules sont projetées en avant, tandis que la
tête
est ren- versée en arrière. Ce renversement se
e professeur Prenant. Ce sujet ne présentait ni engonce- ment de la
tête
, ni projection des épaules ; le cou était bien dé
uité directe; et la démar- cation est d'autant moins marquée que la
tête
étant fortement renversée en arrière, la base d
à un foetus sain de même volume : la différence des dimensions des
têtes
est absolument frappante. De cette différence e
Contrairement à ce que l'on pourrait supposer au premier abord, la
tête
ne suit pas nécessairement le mouvement de la p
é écrasée entre deux résistances, la colonne dorsale d'une part, la
tête
d'autre part. Nous reviendrons sur ces disposit
vant pas le doigt quand on le lui commande. Mais quand il tourne la
tête
les yeux se déplacent et gagnent la commissure
en soit responsable, quoique dans les mouvements de rotation de la
tête
, les yeux suivent le mouvement. Peut-être cette c
ormales, la voûte palatine est légèrement excavée. Dimensions de la
tête
: Circonférence maxima 55 centimètres Diamètr
t une autre sous-acromiale et immédiatement après cette dernière la
tête
de l'humérus proémine sous la peau. La force
er dans l'observation II. La mère fut très explicite à ce sujet; la
tête
de l'enfant, tout à fait droite pendant la nuit
n de chirurgie le 20 février 1904, pour une attitude vicieuse de la
tête
sur le tronc. L'histoire de l'enfant, très simp
marades quand, à un moment donné, dans une mêlée il fut pris par la
tête
et tiré violemment de côté et légèrement en arriè
nt de côté et légèrement en arrière. partir de ce moment, il eut la
tête
penchée sur l'épaule droite, avec impossibilité d
ette époque, bonne santé générale. A l'examen, '^on constate que la
tête
est inclinée fortement sur l'épaule droite, l'o
ssible de passer le doigt. Légère rotation de la face du côté où la
tête
est fléchie ; pas d'extension de la tête. L'épaul
n de la face du côté où la tête est fléchie ; pas d'extension de la
tête
. L'épaule droite ne présente rien d'a- normal ;
, soit chro- nique. Si l'on vient à imprimer des mouvements de la
tête
sur le cou, la douleur est intense, et on note
bles quand on exagère la flexion ; mais tout essai d'extension de la
tête
reste absolument infructueux, et ne réussit qu'
'peine à boire, les mouvements qu'il tente de faire pour relever la
tête
étant extrêmement douloureux. En somme, nous no
on aux membres inférieurs. Le lendemain l'appareil est en- levé, la
tête
est absolument droite, les masses musculaires son
roca]le 25 juin 1904 pour une raideur du cou avec inclinaison de la
tête
sur l'épaule droite. Comme antécédents hérédita
suite d'un faux mouvement, est tombé d'une voiture, et ce furent la
tête
et la région du cou qui portèrent sur le sol. Il
alors que toute complication paraissait devoir être écartée, que la
tête
s'inclina du côté droit, avec légère rotation de
rs constituée. L'enfant ne pouvait plus faire un seul mouvement de la
tête
sans ressentir de grandes douleurs ; il semblai
rend en outre que la nuit la déformation semblait disparue, tant la
tête
pendant le sommeil était droite par rapport au tr
oite par rapport au tronc ; elle ajoute qu'au réveil de l'enfant la
tête
est certainement moins inclinée, ce n'est que q
ude très prononcée de torticolis sterno-mastoïdien, inclinaison de la
tête
et du cou à droite avec rotation de la face du
ela à l'extension et à la contre-extension continue avec poids à la
tête
et contre-poids aux deux membres inférieurs. Le
iste plus, l'enfant ajoute même qu'il lui semble pouvoir tourner la
tête
. Deux jours après seule- ment l'appareil est en
ner la tête. Deux jours après seule- ment l'appareil est enlevé, la
tête
est parfaitement droite, le cou est souple, les
auté générale quand il fit une chute dans l'escalier de l'école. Sa
tête
et ses épaules portèrent sur le sol. Il rentra
blement du cou et de l'épaule. Le lendemain, on s'apercevait que la
tête
était inclinée sur l'épaule droite, les douleur
de amélioration, les douleurs étaient sensiblement aussi fortes, la
tête
restait inclinée sur l'épaule. Le lendemain mat
de grandes douleurs,et d'ailleurs toute tentative pour redresser la
tête
reste vaine, on arrive seulement dans ces essai
edi les douleurs ont disparu. Le jeudi 12 l'appareil est enlevé, la
tête
est tout à fait droite ; aucune trace de contra
de vue des muscles intéressés. Dans le leur cas, la position de la
tête
inclinée simplement sur l'épaule avec rotation
conté l'histoire : comme elle se tenait mal en classe, accoudée, la
tête
appuyée entre les mains, sa maîtresse, lasse de
IEITBINET une petite tape sur la nuque et fut stupéfaite de voir la
tête
s'immobiliser en flexion, le menton touchant le
veau des membres musculaires, seule une contracture immobilisant la
tête
dans la position de torticolis et rendant toute
'offre pas grande difficulté, car dans le torticolis paralytique la
tête
se dévie du côté du muscle sain, et le redresse
la main, sans aucune résistance, mais dès qu'on cesse d'appuyer, la
tête
retombe en position vicieuse. Telles sont les p
soriel. Quelques points très nets d'hyperes- thésie au niveau de la
tête
, la région ovarienne est particulièrement sensibl
en aperçoit le clocher, de l'enfant qui descend d'un haut sapin, la
tête
en bas etc., ils s'étendent sur les causes mora
ntérieure, mais n'ayant point ab- juré ses erreurs ; c'est la forte
tête
du clergé. Le curé est un pauvre homme qui tien
n 1856 comme rachitique congénital un foetus à membres 'courts et à
tête
volumineuse. M. Müller (1860) distingue, comme
in proprement dit, mais un enfant dont le tronc normal supporte une
tête
un peu grosse et des membres trop courts. Sauf
sont petits, épais, anguleux, la racine du nez enfon- cée ; mais la
tête
n'est pas augmentée de volume, les côtes, les cla
tres suivants : BP : 9; - OF : 10; OM : il,6; qui répondent t à une
tête
d'enfant à terme. Kassowitz, dans certains cas,
ins. La brièveté des membres par rapport à un tronc normal et à une
tête
en général volumineuse, enfin l'aspect athlétiq
eu écartés du corps (peut-être par. suite de la disproportion de la
tête
numérale), n'atteignent, les doigts étendus, qu
celui des deux autres segments (méso et surtout rhizomélique). La
tête
, hors de proportion avec la petite taille de l'in
chez laquelle la radiographie ne permettait pas de distin- guer la
tête
humérale demeurée cartilagineuse, et dont les épi
rapports. Limité aux seuls membres supérieurs avec intégrité de la
tête
et des membres inférieurs, il a été amélioré pa
de 18'ans (P. Marie), on voit encore un manque de soudure entre la
tête
et le corps de l'humérus, et chez Anatole, à 40
e et la moelle osseuse dont l'activité est normalement conservée.
Tête
. La face est en retrait, rétrécie et paraît d'aut
signalées par Kassowitz n'ont pas été généralement indiquées. La
tête
est ronde, brachycéphale. La voûte crânienne est
z le jeune enfant. On peut on rapprocher l'abaissement fréquent de la
tête
fémorale dont le col, petit, forme un angle pre
colonne vertébrale normaux. Col fémoral horizontal. Elévation de la
tête
du péroné. Volume relativement exagéré du crâne.
ceintures scapulo-claviculaire et pelvienne. De plus, le frout et la
tête
ayant le développement qu'ils présentent chez l
ait un poids de 2.508 grammes et une longueur de 31 centimètres. La
tête
était longue, grosse, très molle et faisait au
insi que les déformations des membres peuvent être peu marquées, la
tête
peu volumineuse, la main avoir une conformation
'achondroplasie. C'est ainsi que, dans un squelette de Regnault, la
tête
était normale et les quatre membres raccourcis
embres, l'aspect boudiné des extrémi- tés, l'égalité des doigts, la
tête
volumineuse à bosses saillantes sont des pré- s
es signes de plus de valeur. Il en est de même de l'élévation de la
tête
du péroné et de l'intégrité habituelle du thorax
es diaphyses. Dans les cas types, l'achondroplasique avec sa grosse
tête
, ses bosses fron- tales et pariétales saillante
t rhizomélique, par la main carrée et en trident, par le volume de la
tête
brachycéphale à bosses saillantes, par l'enfonc
e est caractérisée par une micromélie moins cons- .- tante, par une
tête
moins volumineuse, par l'absence d'enfoncement de
rorizomélie, l'enfonce- ment de la racine du nez, la grosseur de la
tête
ainsi que l'inclination latérale du tronc, avec
inclination latérale du tronc, avec inclinaison compensatrice de la
tête
du côté opposé. Remarquer aussi le bon développ
aire. Même malade vu de dos. On voit les grandes dimensions de la
tête
dans le sens transversal ainsi que les défor- m
xiste entre la taille, très petite, et les grandes dimensions de la
tête
. En effet sa taille mesure 1055 mm. En ce qui c
e la tête. En effet sa taille mesure 1055 mm. En ce qui concerne la
tête
,nous trouvons que sa circonférence totale-57cen-
ET ZALPLACHTA décubitus iliaque avec les mains sur le coussin et la
tête
sur les mains. Il ronfle d'une façon pénible. I
lasiques est la macrocéphalie. Dans les cas où les dimensions de la
tête
ont été prises,deux fois seulement il a été indiq
la tête ont été prises,deux fois seulement il a été indiqué que la
tête
est normale (Variot, Joachimsthal). Dans le cas
e normale. Dans les autres cas nous trouvons les dimen- sions de la
tête
très augmentées. Les plus grandes circonférences
e Dide etLeborgne (62 cm.). Cette augmentation des dimensions de la
tête
chez les achondroplasiques se fait plus dans le
ue dans celui longitudinal; ainsi l'index céphalique augmente et la
tête
devient courte. Cette brachycéphalie ressort de
. Dans l'observation de la malade de Variot il est dit qu'elle a la
tête
et le crâne normaux. Le malade dont nous veno
nner l'observation est aussi un ma- crocéphale (circonférence de la
tête
= 57) ainsi qu'un brachycéphale (index = 83,7).
ncé et aplati. En relation avec les troubles de développement de la
tête
il convient de parler de l'état psychique des a
irecte entre la réduction de l'intelligence et l'augmentation de la
tête
. C'est précisément chez les achondroplasiques l
se trouve notée comme normale ou supérieure, les dimen- sions de la
tête
sont peu augmentées ou normales. C'est ainsi que
rident; la courbure des mem- bres inférieurs. On voit encore que la
tête
comme le tronc ont leurs dimensions normales. I
e Variot, de Joachimsthal de Huet et Caruette, les dimensions de la
tête
sont normales, que dans un 552 PARHON, SHUNDA E
s sciences, 8 juin 1903. 34. Richon et jEANDELixE. Remarques sur la
tête
osseuse de lapins adultes cas- trés dans le jeu
1904. - En examinant le sujet dans son ensemble, nous voyons que la
tête
et le tronc sont à peu près normaux. Le membre in
sujet même. Il mesure 1 m. 17 : son poids est de 42 kilogrammes.
Tête
. - Brachycéphalie. [Dans la Lombardie où il est
d"arrière en avant et de dehors en dedans. Autour de l'entrée de la
tête
du péroné, sur le fémur il y a un cercle de sub
Sur la face antérieure du fémur au niveau de la pénétra- tion de la
tête
péronéale, il y a une ombre radiographique. Elle
s sains, frère de paysans sains, présente dans le thorax et dans la
tête
un exemple de beauté masculine, quoique sa vie
tion du genou est constituée par le fémur avec l'épiphyse duquel la
tête
du péroné et du tibia entre en rapport. C'est seu
ia entre en rapport. C'est seulement a une époque ultérieure que la
tête
du tibia chasse, pour ainsi dire, la tête du pé
ne époque ultérieure que la tête du tibia chasse, pour ainsi dire, la
tête
du péroné hors de l'articulation. Lorsqu'on est
rmité symétrique, mais avec un péroné luxé sans péné- tration de sa
tête
dans la diaphyse fémorale, accompagnée d'un défau
Annali di Freniatria, 1900, mars. 14. BABÈS. - Anomalie cong. de la
tête
... Acad. des sciences de Paris, 25-1-04. 15. Bi
t de le saisir et aussitôt qu'il le tient il s'agite en tous sens. Sa
tête
est ani- mée de mouvements de latéralité. Il es
t d'une seule traite avec raccourcissement de la syllabe finale. La
tête
est sans cesse oscillante. 586 CATOLA Nystagm
mains : le malade ne peut arriver à mettre son index sur son nez. La
tête
tremble légèrement. La sensibilité semble émo
C'est un homme de taille moyenne, d'aspect un peu pâle, qui tient la
tête
baissée, comme un peu soudée, et qui marche par
de très rares excep- tions près, ont exactement la même attitude :
tête
redressée, renversée, enfoncée dans les épaules
it en avant,soit en ar- rière ; lecou se trouve ainsi supprimé etla
tête
se rapproche de la région dorsale. Cette flexio
tant, la tendance passe à l'acte, la colonne cartilagineuse plie, la
tête
descend vers les épaules, tandis que ces derniè
nières, surélevées et projetées en avant, vont à la rencontre de la
tête
. La même action se répétant à intervalles très
Dès lors, les contractions musculaires qui tendent à rapprocher la
tête
du tronc attirent nécessairement t en dehors ce
produites sur le foetus par la contraction musculaire (Les veaux à
tête
de chien, ou niatas) (Thèse de Lille, 1885). '
que ses deux membres se sont allongés d'une façon inégale et que la
tête
du fémur gauche s'est dévelop- pée au point de
XXI). Parmi les exostoses, les unes ne sont pas plus grosses qu'une
tête
d'épingle, d'autres forment de véritables épine
es et, parmi elles, il en est une qui a acquis les dimensions d'une
tête
de foetus. Le fait principal qui frappe quand o
lement. A droite, au voi- sinage de l'extrémité supérieure, sous la
tête
humérale, mais implantée sur la diaphyse, exist
osité, la radio- graphie met en évidence le grand développement des
têtes
métacarpiennes et indique la présence de petite
inée à la partie supé- rieure par une grosse sphère du volume d'une
tête
de foetus et à la partie infé- rieure par une v
; il faut noter la prolifération osseuse à la partie interne de la
tête
du tibia et l'hypertrophie de l'extrémité supér
our, accom- pagnant chaque battement d'un balancement cadencé de la
tête
tantôt à droite, tantôt à gauche. Tous ces ma
l'extrémité supérieure et interne du tibia droit. La 20", près de la
tête
du péroné homonyme. La 2l", une tumeur plus gro
rne, elle doit pour regarder avec le seul oeil gauche imprimer à la
tête
des mouvements de renversement et de torsion qu
cette déformation jointe au ptosis, à la position anor- male de la
tête
, contribue à lui donner une allure toute spéciale
une allure toute spéciale qui évoque involontairement l'image d'une
tête
d'oiseau. 'L'examen de cette malade ne donne d'
e l'an- kylose vertébrale et aussi du renversement en arrière de la
tête
et du tronc provoqué par le ptosis. Il n'exis
able à 45°. Cette dé- formation exige la propulsion énergique de la
tête
numérale qui, en rai- son de la laxité des liga
rtion fixe. Comme les muscles scapulaires vont en s'irradiant de la
tête
numérale au scapulum, c'est la portion de ce de
traduisant un arrêt quelconque des processus. Seul, le volume de la
tête
est sensiblement réduit ; or nous avons vu que ce
osités. 2e édition. Paris, 1891. Mémoire sur un chat ileadelphe à
tête
monstrueuse. Annales des Se. nal., t. XVIII, 18
me parfois la figure humaine ; prenant plusieurs pieds et plusieurs
têtes
, ils deviennent des monstres par la forme et la
res par la forme et la dimension, ou bien leur silhouette forme des
têtes
grimaçantes variées, selon le sens où l'on se p
mble lui donner quelque prudent conseil. A gauche, deux individus à
têtes
grotesques et à masques multiples, les uns gais,
la femme que l'on veut réunir, à l'un de doubles bras à l'autre une
tête
à deux visages. A l'angle que forme le bras de
tude d'un' supplicié; ça et là voltigent des oiseaux gigantesques à
tête
humaine. Aux pieds du vieillard un cadavre est
oignard d'un homme agenouillé. Derrière un homme assis se gratte la
tête
comme quelqu'un de mal éveillé, égouttant de la m
ns à reconstituer l'existence pathologique, a reçu un coup sur la
tête
, qu'il a fait une chûte, qu'il a éprouvé un tra
ne légende. Il fut un temps où les coups, les blessures graves à la
tête
, pouvaient, non seulement ne pas causer dédomma
dre ou de les fléchir : il guérit subitement après une chûte sur la
tête
. C'est donc une opinion ancienne que celle qui
donc une opinion ancienne que celle qui admet que les coups sur la
tête
puissent exercer une influence favorable. Et il
génie pour la musique qu'à une violente contusion qu'il reçut à la
tête
par la chûte d'une forte pièce de bois. » (Gall
rien. Il tomba du haut d'un escalier, se fit plusieurs trous à la
tête
, et, après sa guérison, il poursuivit ses études
les plus bornées : mais au milieu de sa mé- diocrité, il reçut à la
tête
une blessure des plus fortes, et, dès ce moment
, p. 32), parle d'un idiot, qui, ayant eu une forte blessure à la
tête
, eut du bon sens tant que la plaie dura; mais q
ié à les commenter et à les expliquer. Gama (Traité des plaies de
tête
et de l'encéphalite, 2e édit., 1835, p. 146), s
ve, 1816), avait été encore plus catégorique : « Les coups sur la
tête
, dit-il (p. 280), occasionnent et guérissent auss
rtain nombre de cas où la maladie paraissait due à des coups sur la
tête
, ajoute ces réflexions significatives : « Dans
sentiments affectifs, qui succède si fréquemment aux coups sur la
tête
, il se demande « si ces changements de caractèr
'arrière-plan. Cependant Esquirol avait écrit : « Les chûtes sur la
tête
, même 1 Il est des cas qui peuvent être interpr
ve un an après : renversé de voiture, il est grièvement blessé à la
tête
, présente des accidents de méningite dont il ne
ont quelquefois la cause excitante. Ces chûtes, ou les coups sur la
tête
, précèdent de plusieurs années l'explosion du d
a paralysie générale. « Les violences exté- rieures exercées sur la
tête
, dit Bayle, peuvent dispo- ser à l'espèce d'ali
ande importance de cet élément étiologique : « Toutes les plaies de
tête
graves, dit-il, ont une influence considérable
bord à l'identité 10 PATHOLOGIE MENTALE. d'effet des coups sur la
tête
et de l'insolation, puis à l'existence d'un gen
st une chûte grave, tantôt une blessure causée par le choc sur la
tête
d'un corps pesant (p. 67). » Bien souvent, depu
ière ; le cheval s'abat ; le cavalier est lancé en avant, pique une
tête
, et reste étendu sans mouvement : amnésie compl
çoit un coup de pied DES TRAUMATISMES DU CRANE. 15 de cheval à la
tête
: fracture du crâne, enfoncement des fragments,
an, travaillant au pied du clocher de son village, fut atteint à la
tête
par une tuile tom- bant d'une hauteur de quator
lui, il ne se sou- venait de rien, sinon d'avoir reçu un coup à la
tête
. Le souvenir le plus lointain se reportait à l'
uchement, tombe dans son escalier, se fait une forte contusion à la
tête
, et perd connaissance pendant près d'un quart d
ur où il avait reçu des DES TRAUMATISMES DU CRANE. I i coups à la
tête
, il avait fait d'une façon brillante ses études e
nce pour occasionner une commotion qui fit pencher le blessé sur la
tête
de son cheval, sans cependant lui faire perdre
nt un éclat lui entra dans le crâne, et lui cloua son casque sur la
tête
. Comme on croyait qu'il allait mourir sur l'heu
, un parent du malade, homme vigoureux, appliqua son pied contre la
tête
de son ami, tandis que, réunissant toutes ses f
de chirurgie. Une fille publique reçoit un coup de revolver à la
tête
; la balle se perd dans le crâne. Après quel- qu
et (loc. cit.) a précisé davantage : « Au moment d'une chute sur la
tête
, ou par un coup sur le crâne, un flot de liquid
trente-six ans. Dans l'enfance avait fait une chute violente sur la
tête
; l'intelligence s'était fort peu développée. Para
la bataille de Woerth, coups de sabre et de crosse de fusil sur la
tête
; laissé pour mort sur le champ de bataille. Paral
enant d'infanterie, quarante-huit ans. Violent coup de sabre sur la
tête
en 1870. Paralysie générale. Meurt à Charenton
emme morte quelques mois après reçu un violent coup de bâton sur la
tête
. Elle avait une pachy- méningite tout à fait ty
l'emporte au bout de quinze mois. A l'âge de neuf ans, chute sur la
tête
du haut d'un trapèze : il lui resta une paralys
pitaine de cuirassiers, quarante- neuf ans. A la bataille de Sedan,
tête
hachée de coups de sabre. Il guérit, mais avec
d'escadron, quarante-neuf ans. A l'âge de douze ans, chute. sur la
tête
, fracture et enfoncement des os du nez. Paralys
nteur. Persécuté dangereux. Enfant naturel. A dix ans, chute sur la
tête
qui laisse au front une profonde cicatrice tria
dans une ren- contre de deux trains, il est grièvement blessé à la
tête
, guérit, mais en restant épileptique. Il dut pr
droit des personnes à lui connues, de grandeur naturelle : mais la
tête
et le^ buste de ces hommes lui apparaissaient s
se ; les yeux s'ouvrent tout grands, les pu- pilles se dilatent, la
tête
se tourne elle aussi du côté opposé. Ces mouvem
icales et un écoulement léger de l'oreille gauche. Etat actuel. -
Tête
assez forte, haute, en forme de toit, sans sail
rogrès. 1882. - 6 janvier. - La veille, il s'est couché avec mal de
tête
, frissons, courbature, raideur du cou. Ce matin
. 4 février. - C... se plaint de faiblesse générale et de maux de
tête
; remis après quelques jours de repos. 24 juin.-
r qu'il puisse aller rejoindre ses vieux camarades, dont il a vu la
tête
au musée, etc. b. 23. - Un peu de diarrhée, c
médiane composée de deux pièces secondaires servant de soutien à la
tête
pendant l'opération. Ces deux parties de la piè
ques soins. Elle devra varier quelque peu suivant la grosseur de la
tête
et du cou du sujet. En ce qui regarde la grosse
de la tête et du cou du sujet. En ce qui regarde la grosseur de la
tête
, on fera varier les di- mensions du collier en
s qui se trouvent sur le bord supérieur de la tige de fer ; plus la
tête
est volumineuse plus la boucle doit être placée e
enton et la pièce qui est destinée à le sou- tenir. Voici donc la
tête
en place. Il reste encore à placer les pièces d
e pendant l'élévation, la traction ne porte pas unique- ment sur la
tête
et sur le cou, car en pareil cas la suspension ne
, on sera fixé sur le cran où s'appuiera par en haut la pièce de la
tête
, sur la longueur qui devra être donnée à la cou
du creux axillaire, et de graduer l'intensité de l'extension de la
tête
, permettant ainsi de donner à la sus- pension t
mité antérieure du sillon précentral, les mouvements latéraux de la
tête
et des yeux, décrits par Fcrrier, commencent ne
des lèvres et de la langue comme pour la mastication. L'aire de la
tête
ou de la direction visuelle comprend une longue;
rier : ouverture des yeux, dilatation des pupilles, rotation de la
tête
du côté opposé, avec déviation conjuguée des ye
alloso-marginal, allant d'avant en arrière dans l'ordre sui- vant :
tête
, bras, tronc, membre inférieur. Les expériences e
ence com- plète. La cause de ces accidents avait été un coup à la
tête
, qui avait déterminé un enfoncement du crâne au
nne le laissa tomber dans l'escalier; il fut grièvement blessé à la
tête
, qui avait porté sur l'angle d'une marche. B...
A l'âge de quatorze ans ce malade avait fait une grave chute sur la
tête
. Observation XIX. - V..., vingt-neuf ans, entré
dans le lycée où il avait été placé. 11 fit alors une chute sur la
tête
, en tombant d'un trapèze. Les accidents immédia
l'âge de quatre ans, il avait reçu un violent coup de serpe sur la
tête
; la cicatrice en est manifeste. Cet homme a été
fant studieux et discipliné recul à l'école un coup de règle sur la
tête
. Depuis ce fait son caractère changea complètem
Acrell reconnut qu'il ne fallait l'attribuer qu'à la blessure de la
tête
, et il le fit sortir de prison'. Parmi les ch
1871, il fit, du haut d'un échafaudage, une chute très grave sur la
tête
. Il guérit, mais abandonna sa profes- sion, et
tte époque, il tomba dans une carrière et se blessa grièvement à la
tête
. Depuis lors il se mit à boire ; il a eu déjà p
sin paralytique général. Il y a douze ans chute très grave sur la
tête
, et deux ans après, accès de dipsomanie qui revie
AUMATISMES DU CRANE. 191 dix-huit ans aujourd'hui, est tombé sur la
tête
du haut d'un trapèze, lorsqu'il avait douze ans
un grave accident; il avait été grièvement blessé au som- met de la
tête
, vers la suture fronto-pariétale. Peu après, sa v
eçoit, à l'âge de quinze ans, un léger coup sur le côté droit de la
tête
. Elle resta, depuis ce temps, et pendant trente
sans parole, par suite du passage d'un boulet, qui lui effleura la
tête
. Revenu à lui, ce malade se plaignit toujours d
enu à lui, ce malade se plaignit toujours d'une douleur obtuse à la
tête
et d'un tintement d'oreilles. Six ans après, il
d il fut renversé sans z connaissance par un boulet qui lui rasa la
tête
, d'ail- leurs, sans aucune lésion apparente. Il
il tomba accidentellement du haut d'un mûrier, et se contusionna la
tête
. Il eut un mal de tête afl'reux; pendant vingt
nt du haut d'un mûrier, et se contusionna la tête. Il eut un mal de
tête
afl'reux; pendant vingt jours, il ne put ni mar
t de vingt jours seulement, il put s'habiller seul. Les douleurs de
tête
persistèrent DES TRAUMATISMES DU CRANE. 193 q
psie, dans lequel on n'ait fait figurer les coups et blessures à la
tête
parmi les causes déterminantes. Enfin, il n'est
XXVII. Th..., dix-huit ans, sans profession. A dix ans chute sur la
tête
du haut d'une maison en construction : coma, dé
de la roue d'une voiture, explosion de mine. masses tombées sur la
tête
, telles que bottes de foin, coupons de drap, ba
ures, et à partir de cette époque il n'a cessé d'éprouver dans la
tête
de violentes douleurs : il a fini par la paralysi
t gardé le souvenir de maints horions accidentellement reçus sur la
tête
, et n'ayant laissé aucune trace. 198 PATHOLOG
équilibrée : à cet âge il fait une chute, se blesse grièvement à la
tête
, gué- rit, et reprend ses affaires. Mais on s'a
ale. Dans ce cas, n'est- on pas autorisé à dire que la chute sur la
tête
a été la cause déterminante de la paralysie gén
jours joui d'une excellente santé, reçoit des coups de bâton à la
tête
; il guérit de ses blessures et n'en garde au- c
é- diate, de la folie. Un officier reçoit des coups de sabre à la
tête
à la bataille de Sedan; il guérit, et reprend s
expliquent l'apparition des premiers accidents par une chute sur la
tête
, que cet officier a faite six semaines avant so
ombe quelques jours après son entrée. On incrimine une chute sur la
tête
, faite la veille de son admission. L'autopsie f
, ce plongeur s'é- tait levé indisposé ayant des frissons, mal à la
tête
et une lassitude générale, il n'a pas voulu tra
aux épaules etsur la poitrine, les quelques endroits chauves de la
tête
se couvrirent de cheveux. En fait d'état mental
ité psychique et altération de l'humeur, taciturnité, douleurs à la
tête
et au dos, atrophie et absence de la glande thy
ent, il réussit à le faire pénétrer dans le crâne en se heurtant la
tête
contre le mur. On constata bien à cette époque un
els elle cherche à se faire le plus de mal possible, à se casser la
tête
contre les murs. Elle est tellement consciente de
ment, l'hypnotiseur qui lui suggère la réponse « oui » imprime à sa
tête
l'inclinaison positive, il n'en faut pas plus p
e des maladies du svstemc uerveuc. Constituée par des douleurs de
tête
et des troubles visuels dans sa forme simple, p
»; ces sensations durent une heure ou deux, puis un violent mal de
tête
leur succède, siégeant dans la région frontale
nicke, Gowers). Même incertitude sur les rapports anatomiques de la
tête
du noyau caudé avec diverses régions de l'écorc
qu'apparaisse l'hémiplégie avec tous ses caractères classiques : la
tête
et le tronc se courbent du côté de l'hémisphère
t de maladies depuis, n'a que des « douleurs névralgiques dans la
tête
», sans vomissements, limitées au côté droit, rev
nier il y a deux ans; le matin il s'est trouvé couché par terre, la
tête
penchée en arrière, dans une malle ouverte, un
, pour plus de précaution, à l'infirmerie. Fiat actuel. Mai 1885. -
Tête
arrondie. Pas de saillies exagérées des bosses
énérale, les jambes allongées et écartées et les bras en -croix, la
tête
dans l'extension. Puis à six reprises diffé- re
en extension, pieds un peu écartés, bras étendus en croix. Cou et
tête
en extension, yeux fermés, face colorée, poings f
ez régulier. Il se soulève en arc reposant sur les talons et sur la
tête
, puis sur le genou gauche, la jambe droite étan
tête, puis sur le genou gauche, la jambe droite étant étendue et la
tête
soulevée avec le tronc en extension. Il retombe
épare le désor- dre de ses vêtements. Il se plaint de douleurs à la
tête
et aux reins. Pupilles un peu dilatées, mais ég
allongées et légèrement écartées. Bras étendus obliquement en haut.
Tête
dans l'extension. Mains fermées, les pouces en
. A 9 h. 50, les pupilles ont diminué. Il se plaint de douleur à la
tête
et aux reins. T. R., 38,2. - 20 aoÛt, - La ve
ève pas, il se rendort très vite. Parfois, dans la journée, il a la
tête
lourde, et a des envies de dormir. Cela lui arriv
mois de février, mais il en avait eu déjà il y a 2 ans environ. La
tête
lui tourne, et il lâche ce qu'il a dans les mai
issent. Il a quelques mouvements de déglutition. Pas de stertor. La
tête
elle-même n'est pas tombée. L'excitation du ste
st alors 10 h. 7. Il est ensuite éten- du, les bras au-dessus de la
tête
, les jambes allongées, les pieds écartés. Il es
repos, même attitude, les poings fermés. Ce repos est plus long, la
tête
est droite, les doigts fer- més, le pouce par-d
bouche, crispe les mains, se tortille, et se déplace. Il tourne la
tête
, ouvre et ferme les mains, cherche à prendre le
rde d'un air étonné, mâ- chonne. Interrogé, il dit qu'il a mal à la
tête
. Les pupilles ont repris leurs dimensions norma
ment sans raideur des bras, mais avec raideur des jam- bes et de la
tête
qui est tournée à gauche. Puis il frappe le sol d
Il déboutonne sa chemise et se gratte le devant de la poitrine. La
tête
et les 420 RECUEIL DE faits. jambes sont raid
l'attitude du cruci- fiement, les poings fermés. Raideur générale,
tête
à droite, pieds à gauche. Il se relève à 9 h. 3
es paupières était très ridée, mais pas gonflée. Les cheveux sur la
tête
devinrent rares, les poils sous les aisselles t
un étrange gonflement, pâle et luisant, avec cela les cheveux de la
tête
, le^ poils des pieds et sous les bras tombèrent
tical DU cerveau ayant produit une rotation EN sens contraire DE LI
tête
ET DES yeux et une déviation inégale DES deux y
ication à cette infraction à la loi de la déviation conjuguée de la
tête
et des yeux. Le même malade présentait un kyste
Fischer, dans certaines conditions, en faisant passer à travers la
tête
un courant galva- nique, on peut provoquer des
eux ans, extrêmement halluciné; ses pen- sées lui résonnent dans la
tête
comme autant d'échos ; des voix lui répondent ;
ion, des contractions fibrillaires des lèvres, de la rotation de la
tête
du côté opposé, des contractions toniques des p
la rigidité des memhres s'effectue dans le sens de l'extension ; la
tête
subit une rotation qui la porte en arrière et d
menades même éloignées. Parmi les distractions, nous citerons, en
tête
.'le concert annuel organisé par les frères Lion
pi dans un coin, les yeux fixés à terre, immobile ou imprimant à la
tête
un balancement mono- tone. Sa physionomie n'exp
ir ; après un temps très court, deux ou trois minutes, il penche la
tête
en avant, étend le cou, contracte simultanément s
s que de son mécanisme. D'après le fait précédent, la flexion de la
tête
, l'extension du cou, la contraction simultanée
us venons d'indiquer. « Quand les regorgements vont se produire, la
tête
est portée en haut et en avant ou en bas contre
me temps le haut du corps est générale- ment incliné en avant et la
tête
portée en avant et en haut. Que se passe-t-il a
traumatismes. - Accouche- ment à terme, lent (quatorze heures) : la
tête
resta longtemps au passage et l'enfant était to
temps au passage et l'enfant était tout noir en venant au monde; la
tête
était très développée.- Il fut nourri au sein p
crises (trois ou quatre par jour) dans lesquelles il se cognait la
tête
contre les murs, ou se jetait par terre. Le m
on lui apporte des jouets qui tournent. État actuel (août 1882). -
Tête
, petite; voûte du crâne un peu irrégulière. Du
'articulation est normale. Oreilles grandes, très détachées de la
tête
, bien ourlées; lobule semi-adhérent. Cou cour
minutes, à la suite desquels, il se roule par terre et se cogne la
tête
. Pas de grincement de dents, pas de balancement
n et même lorsqu'on le fait boire, il dé- tourne le plus souvent la
tête
, ou n'avale qu'une gorgée en faisant la grimace
e ; car alors il cesse de téter ses doigts, se recueille, penche la
tête
sur le sternum ; puis il la porte en avant, allon
nt des enfants très bien constitués : un seul, de sept ans, a une
tête
très grosse, mais est intelligent : il louche et
is; vacciné, pas de variole. -A trois ans, contusion violente de la
tête
à la suite d'une chute; croup à cinq ans. A sep
amais vu de ruminants dans la famille. Etat actuel (iioùl 48S ? ).-
Tête
très volumineuse, développée dans sa partie pos
xième molaire gauche est détruite. Oreilles grandes, séparées de la
tête
, bien ourlées ; lobule détaché. Cou court : cic
rdinaire- ment, il pousse un cri, penche le dos en arrière, tend la
tête
et les bras en avant; les pieds et les mains so
tion se produit. A ce mo- ment, il allonge le cou, penche un peu la
tête
, provoque une é1'UC- tation, qui est suivie du
alancement ou sa promenade. Parfois il demeure quelques secondes la
tête
penchée en avant, les joues gonflées, semblant
eville et hounaire, loc. cit., p. 10 ? ) Etat actuel (août 1882). -
Tête
régulière et symétrique, en forme 1 Contraireme
ne marquées. L'occipitale ne fait aucune saillie et, de ce côté, la
tête
parait plate et taillée suivant un plan vertica
nt l'oeil gauche, remuant la DU MÉRYCISME. 63 bouche, tournant la
tête
; souvent il gonfle les joues, remue la bouche c
ps est agité par une se- cousse, et alors V... incline fortement la
tête
sur l'épaule droite. - On le soumet, pour ses s
chement à terme, naturel, sans chloroforme. A la nllisslln, : e, la
tête
de l'enfant était très allongée : elle était rest
ois. Vers le troisième mois, on s'est aperçu qu'il ne tenait pas sa
tête
, qu'il la laissait tomber. C'est un mois plus t
agéré diminuait le mal, mais que la vie sédentaire et le travail de
tête
le faisaient durer jusque vers minuit. Après un
a sensation de boule, mais « elle sentait le sang lui mon- ter à la
tête
»; elle avait le temps de prévenir ses amies de ra
hysique. Dans son ensemble, le corps est régulièrement conformé. La
tête
est assez développée, sans prédominance de la r
s à terre ; au bout d'un instant, survientune rigidité absolue : la
tête
est fortement élendue en opisthotonos, les membre
s'est jeté sur lui à l'improviste, et lui a donné des coups sur la
tête
. Cette rixe a causé une vive émotion à B... ; sur
ou trois fois par mois, depuis la fin de 1882, il a des douleurs de
tête
, prédominant au niveau du front ; la vue est br
eures, T. 4`3°,S. 2. -T. R. 4 ? r. Dans la journée, 199 accès. La
tête
, le tronc, et les membres sont symétriques. Org
normaux. Le ma- lade est dans le décubitus latéro-dorsal droit; la
tête
repose sur la joue droite; la face est pâle; le
spontanément sa position. On imprime facilement des mouvements à la
tête
et au cou. Il y a un peu de raideur des muscles
peine; ne parle plus et reste dans la position qu'on lui donne, la
tête
dans l'extension; P. à 134, fort, régulier ; R.
antes maternels morts de convulsions. Emotions durant la grossesse.
Tête
volumineuse à la naissance ; son développement
Hémiplégie consécutive ; amélioration. Développe- ment rapide de la
tête
(7 mois). -Etat du malade à l'en- trée (10 mois
apide de la tête (7 mois). -Etat du malade à l'en- trée (10 mois). -
Tête
: fontanelles ; hyperostose. - Stra- bisme, etc
élé- vation de la température ; diminution subite du volume de la
tête
. Mort. - Résultats de l'autopsie. Alli., Eugène
bonne. L'accouchement a été assez rapide (4 heures), bien que la
tête
fut volumineuse. A la naissance, pas d'asphyxie
( ? ), enfoncés dans les joues; il n'y avait pas de stra- bisme. La
tête
augmentait peu à peu de volume, ce dont la mère
clara à la mère que l'enfant « devait avoir quelque chose dans la
tête
». A cet âge, sans cause connue, convulsions po
s en place » ; mais, vers sept mois, l'augmentation de volume de la
tête
s'est accu- sée davantage. Pas d'autres convuls
: 7 kil. 700. Taille : 0,78 cent. Etat actuel (18 juin 1883). La
tête
est arrondie, très déve- loppée dans sa portion
e et limitée par la réunion des os. Sur les parties latérales de la
tête
, petite fontanelle de 2 cen- timètres de côté.
tête, petite fontanelle de 2 cen- timètres de côté. Au sommet de la
tête
, le crâne offre une saillie convexe, où les os
que fois qu'on le remue pour l'asseoir ou pour le sortir du lit, sa
tête
tombe en arrière et il pousse des cris, indices
araît cependant aimer la station assise, mais à la condition que la
tête
soit soutenue. Aucune paralysie ni des bras, ni
s non hydrencéphaliques; ces cris augmentent quand on lui relève la
tête
. 12 juillet. Diarrhée verdàtre. Eau de chaux ;
ment est général et porte même sur les diamètres transversaux de la
tête
. AU...boit deux litres de lait par jour, prend
écédée de convulsions ou de cris. Mais, une heure avant la mort, la
tête
a commencé à climi- nuer sensiblement, les sutu
re qui représente la fontanelle an- térieure. Le volume total de la
tête
est évidemment très inférieur à ce qu'il était
Nous avons réuni en un tableau les diverses 2nezzsura- tions de la
tête
de l'enfant, ainsi que la succession de ses poi
ions. II. Dès la naissance, on a remarqué le volume anormal de la
tête
de l'enfant. Durant les six premiers mois de la
de la tête de l'enfant. Durant les six premiers mois de la vie, la
tête
a grossi progressivement, mais avec une certaine
nsitoire affectant le même côté. Après ces accidents convulsifs, la
tête
augmente rapide- ment. Enfin, pendant le séjour
e, parfois, elle offre des intermittences. L'aspect général de la
tête
et de la face, considéré isolément ou par rappo
e plus ou moins prononcée du crâne. b) Quant aux dimensions de la
tête
, elles n'avaient encore rien d'exagéré chez AU.
portent l'observation d'un autre enfant dont la circonférence de la
tête
était de 58 centimètres ; la distance de la poi
le fait d'un hydrocé- phale, nommé Cardinal, mort à 24 ans, dont la
tête
avait 86 centimètres et demi de circonférence (
ajoute avoir vu au musée de l'hôpital Saint-Georges, à Londres, la
tête
d'un hydrocéphale décédé à 7 mois, et chez lequ
vraient étaient plus fins et moins abondants que sur le reste de la
tête
. A la pression on sent les battements du cerveau
hospice de Bicêtre pour les enfants épileptiques, et de placer à la
tête
de cet atelier un chef ouvrier payé à raison de
c'est à lui aussi que nous devons l'excellent mai- tre qui est à la
tête
de cet atelier. Nous sommes heu- reux de pouvoi
icipale d'infirmiers et infir- mières du môme hospice, ayant à leur
tête
deux des ins- tituteurs : MM. Boutillier et Boy
ouver mal, depuis son enfance. Pas de migraines, mais douleurs de
tête
jusqu'à la ménopause (32 ans). - Père mort d'apop
fièvre typhoïde à 8 ans. Il y a 10 ans, chute d'un peuplier sur la
tête
; d'où 6 mois d'aliénation. Excès de boissons ha
homme de peine, sobre, mort d'une hernie étranglée. Il aurait eu la
tête
dérangée pendant quelque temps, après une perte
lent, très brutal, et par moments « on voyait qu'il n'avait plus la
tête
à lui et qu'il lui prenait comme des mo- ments
oux. Il était très nerveux sans jamais avoir d'attaques et avait la
tête
exaltée. Il n'a pas fait d'autres maladies que
hait depuis assez longtemps. 36 6 THÉRAPEUTIQUE. Etat actuel. -
Tête
asymétrique : la partie postérieure droite est
s (2) et au Dr Morvan (3) et, d'autre part, aux auteurs anglais, en
tête
desquels il convient de placer MM. Gull, Ord, H
malade sont normaux. Le malade est très petit (77 cent. 1/2). Sa
tête
est large, les fontanelles sont ouvertes, le ne
pas très fuyant, l'occiput est un peu proéminent, le sommet de la
tête
est aplati. Les fontanelles sont fermées ( ? ),.l
SE. 59 antérieure « très creuse et occupant tout le travers de la
tête
. - Elevée au sein par sa mère jusqu'à 10 mois;
- Les oreilles, convenablement ourlées, sont appliquées contre la
tête
et ont leur lobule adhérent. - Face carrée. Le
emble encore davantage, par suite do l'inclinaison habituelle de la
tête
en avant. L'examen minutieux de la région antér
e. 67 aspect et les mêmes symptômes. Voici les dimensions de la
tête
et des membres prises en 1887 et 1889. ' 68 CLI
, quoique à un moindre degré. Pendant les deux premières années, la
tête
penchait en divers sens, mais aujourd'hui, elle
tient assez bien. Durant 70 clinique.' * les premières années, la
tête
et la langue s'étaient développées d'une façon
laborieux, sobre, d'une conduite régulière, sujet à des douleurs de
tête
et à des étourdissements, fume très peu, caract
r énergiquement; il n'a crié qu'au bout de sept ou huit minutes; la
tête
était très grosse, déformée; la sage-femme l'au
xistaient pas aupa- ravant : il pleurait, ses yeux se fermaient, la
tête
tombait; il restait inconscient pendant quelque
MYXOEDÉMATEUSE. 77 pleurait Then... dit le Pacha. Il approche sa
tête
, mais n'em- brasse pas et caresse avec sa main.
st incapable de boire seul. Il aurait eu beaucoup de gourme dans la
tête
. Pas d'adénite, ni d'abcès, ni de fièvres érupt
laré qu'il n'y avait rien à faire. État actuel (15 janvier 1888).
Tête
symétrique, un peu carrée. La région occipitale
nué durant les trois premiers mois ; de temps en temps, douleurs de
tête
avec nausées, quelquefois vomissements, acciden
s, lorsque l'en- fant est éveillée. Etat actuel (11 juin 1888). -
Tête
ovoïde, l'occipital for- mant une saillie assez
eux circulaires du cordon autour du cou; elle a crié de suite. La
tête
était grosse, non déformée; les ongles étaient ré
elle se raidissait, se renver- sait sur sa chaise et se frappait la
tête
avec ses poings. - Aucun tic. Pas d'onanisme. P
s en avons profité pour recueillir les notes sommaires ci-après :
Tête
volumineuse, se rétrécissant en avant, surtout da
ysique, le nanisme avec des troubles profonds de la nutrition. La
tête
est en général volumineuse en arrière et rétréc
'empreinte du doigt qui les comprime. Le cou est gros, court, et la
tête
semble s'enfoncer entre les deux épaules. L'exa
mes du crétinisme et de l'idiotie myxoedé- mateuse. Crétinisme.
Tête
écrasée d'avant en ar- rière, large à la base,
leurs cheveux ne blanchissent amais. Idiotie mycoclémateiese.
Tête
longue, écrasée du front au verlex, large à la
t du corps glabre. Aspect trapu, ramassé, massif, lourd et épais.
Tête
penchée sur l'épaule ou Tête penchée. la poitri
rapu, ramassé, massif, lourd et épais. Tête penchée sur l'épaule ou
Tête
penchée. la poitrine. Physionomie stupide, be
t de maladies depuis, n'a que des « douleurs névralgiques dans la
tête
», sans vomissements, limitées au côté droit, rev
nu, pour plus de précaution, à l'infirmerie. Etal actuel. Mai 1S83.
Tête
arrondie. Pas de saillies exagérées des bosses
générale, les jambes allongées et écartées et les bras en croix, la
tête
dans l'extension. Puis à six reprises dill'e- r
en extension, pieds un peu écartés, bras étendus en croix. Cou et
tête
en extension, yeux fermés, face colorée, poings f
ez régulier. Il se soulève en arc reposant sur les talons et sur la
tête
, puis sur le genou gauche, la jambe droite étan
tête, puis sur le genou gauche, la jambe droite étant étendue et la
tête
soulevée avec le tronc en extension. 11 retombe
épare le désor- dre de ses vêtements. 11 se plaint de douleurs à la
tête
et aux reins. Pupilles un peu dilatées, mais ég
allongées et légèrement écartées. Bras étendus obliquement en haut.
Tête
dans l'extension. Mains fermées, les pouces en
A 9 h. ? 0, les pupilles ont diminué. Il se plaint de douleur à la
tête
et aux reins. 'l'. H. 38»,2. 20 août. - La ve
ève pas, il se rendort très vite. Parfois, dans la journée, il a la
tête
lourde, et a des envies de dormir. Cela lui arriv
mois de février, mais il en avait en déjà il y a 2 ans environ. La
tête
lui tourne, et il lâche ce qu'il a dans les mai
issent. Il a quelques mouvements de déglutition. Pas de stertor. La
tête
elle-même n'est pas tombée. L'excitation du stc
st alors 10 h. 7. Il est ensuite éten- du, les bras au-dessus de la
tête
, les jambes allongées, les pieds écartés. Il es
repos, même attitude, les poings fermés. Ce repos est plus long, la
tête
est droite, les doigts fer- més, le pouce par-d
bouche, crispe les mains, se tortille, et se déplace. Il tourne la
tête
, ouvre et ferme les mains, cherche à prendre le
rde d'un air étonné, mâ- chonne. Interrogé, il dit qu'il a mal à la
tête
. Les pupilles ont repris leurs dimensions norma
ment sans raideur des bras, mais avec raideur des jam- bes et de la
tête
qui est tournée à gauche. Puis il frappe le sol d
Il déboutonne sa chemise et se gratte le devant de la poitrine. La
tête
et les jambes sont raides; la face est tournée
l'attitude du cruci- fiement, les poings fermés. Raideur générale,
tête
à droite, pieds il gauche. Il se relève à 9 h.
x mois, elle a des points de côté variable, et des douleurs dans la
tête
, surtout au niveau des tempes. Pas de convulsio
l 1883, elle a élé soignée pour des douleurs dans le ventre et à la
tête
. A toujours été très nerveuse. Fréquents accès
déjeuner, elle a été prise à la fin du repas de « tournoiements de
tête
» qui auraient duré trois ou quatre minutes. La
issance, la face rouge violacée, les yeux grands ouverts, fixes, la
tête
immobile, les membres flasques, la respiration
testins, journalière à la campagne, sobre, sujette à des maux de
tête
. Elle était d'une taille moyenne, forte, brune et
istoire (Fig. 19, 20, 21,22). Taille, 0m,915; poids, 24 kil. 800.
Tête
. - Elle est ovoïde avec prédominance très accusée
ribuant encore à faire paraître le cou plus court. On dirait que la
tête
s'enfonce dans le thorax. Thorax. - La partie a
e. Ils se rencontrent tous ici : aspect général, conformation de la
tête
, état du cuir chevelu (cheveux-crins. brun-roux
stématique de tous les os fournit les renseignements suivants : La-
tête
ne semble pas touchée par le processus d'hypertro
sont d'ailleurs d'ordre normal : 54 centimètres pour le tour de la
tête
pris au-dessus des oreilles ; 34 cen- timètres
ous n'avons pas constaté de modification du squelette des pieds. La
tête
du péroné est hypertrophiée à droite (4 cm. 5 de
IONS DYSTROPHIANTES DES OS (A. Léri et G. Legros). Détail de deux
têtes
fémorales : A), de maladie de Paget ; 13), d'osté
ale antérieure est le siège d'une tumeur ayant les dimensions d'une
tête
de foetus, bilobée, le lobe droit étant plus gr
la tète et une insuffi- sance fonctionnelle remarquable à tenir sa
tête
dans la position verticale. Après trois ou quat
tte façon elle ne ressentait pas beaucoup de fatigue à maintenir sa
tête
dans la position normale. En même temps que cet
ieurs, mais avec une démarche spéciale donnée par le maintien de la
tête
qui est immobile et rejetée en arrière, tandis
trou- bles dans la déglutition ; elle mange lentement en tenant sa
tête
en arrière dans sa position habituelle, le bol
ques intervenues dans cette région. La malade vue de profil avec sa
tête
maintenue légèrement en arrière, mon- tre un co
ux de basse cour.Notre malade regardée de profil semble promener sa
tête
sur un véritable cou de pou- larde (V. PI. XII,
t complètement disparue. Au contraire, alors que la malade tient sa
tête
fléchie en avant, l'on voit un relief osseux très
emarquable atrophie musculaire. Notre femme marche en maintenant sa
tête
un peu en arrière dans une po- sition d'équilib
une po- sition d'équilibre statique très instable; en effet, si la
tête
est portée un peu plus en avant, elle vient ent
e (V. PI. XII, 7). Si l'on ordonne alors il la malade de relever sa
tête
dans la position verti- cale, elle ne peut le f
'exécute avec une seule main, tandis qu'avec l'autre elle soutient sa
tête
en l'empêchant de tomber. 1 Placée dans le dé
décubitus horizontal, elle est absolument impuissante à relever la
tête
. Les mouvements de rotation et d'inclinaison la
ous les pouvons résumer ainsi : en- taille de la nuque, porte de la
tête
en arrière; chute de la tête, proéminence de la
: en- taille de la nuque, porte de la tête en arrière; chute de la
tête
, proéminence de la IlIe vertèbre cervicale dans
is une allure différente, étant obligée de porter ses épaules et sa
tête
beaucoup plus en arrière. Après sa délivrance (
nt (4), le Professeur Ferrio de Turin,en étudiant le plo- sis de ta
tête
, c'est-à-dire le syndrome clinique dû à la paraly
syndrome clinique dû à la paralysie des mus- cles extenseurs de la
tête
, a relaté l'histoire d'un cas qui a une remarquab
errio qui donna au syndrome clinique observé le nom de plosis de la
tête
. Voici le résumé du cas très intéressant illust
issant état de faiblesse dans les muscles du cou et des épaules, la
tête
devient lourde et il ne peut la tenir relevée san
a para- lysie laryngée et la paralysie des muscles extenseurs de la
tête
. En présence du syndrome de Ferrio ou ptosis de
seurs de la tête. En présence du syndrome de Ferrio ou ptosis de la
tête
, avec les signes d'une lésion bilatérale et sym
ue avec réali- sation du syndrome de Ferrio ou ptosis complet de la
tête
. Or il faut noter que, chez le malade en questi
diaques et digestives. Dans la démarche normale la position de la
tête
est telle qu'une ligne droite verticale passant
Sans l'action des muscles de la gouttière cervicale postérieure, la
tête
tomberait en avant, de telle façon que ces musc
expériences des frères Weher, il y a une position dans laquelle la
tête
peut se maintenir dans la station verticale par
ns le concours de l'ac- tivité musculaire. Dans cette position la
tête
est rejetée un peu en arrière et le regard es t
avant et légèrement en haut. Or nous avons vu que le maintien de la
tête
chez notre malade était parfaitement le même que
lle penchât un peu son corps en avant pour réaliser le ptosis de la
tête
. On conçoit facilement alors les altérations in
le, mais elles ont été déter- minées notamment par le maintien delà
tête
dans une position d'équilibre instable, de faço
de la façon suivante : A l'état normal les muscles extenseurs de la
tête
sont les antagonistes des muscles abaisseurs de
gouttière cervicale postérieure se raidissent pour empêcher que la
tête
soit fléchie en avant. Chez notre malade, étant
tre malade, étant donné l'insuffisance des muscles extenseurs de la
tête
, l'antagonisme normal était troublé et la descent
u, âgé de 44 ans, neu- rasthénique, souffrant perpétuellement de la
tête
et de l'estomac, qui, sous l'influence d'une ém
l'écriture. M. Lef... a imaginé de lui-même un moyen d'empêcher sa
tête
de tourner : il porte l'index gauche sur sa jou
l'index gauche sur sa joue gauche, et ce simple contact fait tenir la
tête
immobile ; c'est bien là le geste antagoniste d
urce de radium, distante de 3 centimètres environ du sommet de leur
tête
. La durée d'application est de 1-3 heures pour le
ont le couvercle est perforé d'un trou, répondant à la région de la
tête
. Au-dessus, se trouve la source radifère, repré
ral plus accentué à gauche qu'à droite où par le renversement de la
tête
en arrière et par la contraction du muscle fronta
s ob- jets. De cette manière elle présente le facies d'Hutchinson :
tête
renversée, brides accentuées du front, paupière
gauche étant plus tirée, le trou nasal respectif est plus étroit. La
tête
est un peu tournée et penchée à gauche par la c
endant la contraction instinctive des muscles qui main- tiennent la
tête
en équilibre entre la flexion et l'extension : sp
ue. Dès sa naissance, la mère s'aperçut qu'il avait une très grosse
tête
et les jambes et les bras très courts. Il se déve
dolescence, la disproportion dans l'accroissement du tronc et de la
tête
vis-à-vis des extrémités se maintint et sa taille
notre patient est un type classique d'achondroplasique adulte : la
tête
énorme, le nez camard, le tronc robuste ayant l
passe pas de beaucoup la moyenne. Les proportions anormales de la
tête
humérale en rapport à la petitesse de la cavité
que le tibia et l'examen radiographique montre dans mon cas que la
tête
péronéale rejoint et dépasse le plateau tibial. M
eux ; les poils sont rares aux aisselles et à la face, normaux à la
tête
et au pubis. Nous avons déjà parlé de l'hypoton
pécialement observé passa en face de l'habitation sans détourner la
tête
. Il avait compris qu'elle était inhabitée. Le p
surviennent des mouvements convulsifs des muscles de la face, de la
tête
, du tronc ou des membres, complètement étranger
se crispa, l'avant-bras et le bras s'élevè- rent en tremblant ; la
tête
se porta vers la gauche ; il perdit connaissance,
la face, de la langue. Andral a observé en 1855 a un malade dont la
tête
tournait à droite par la contraction des muscle
'auteur sur lui-même, concurremment à une crampe des écrivains : la
tête
se portait à gauche et en bas pendant la lectur
relever. Les bras sont très atrophiés ; il ne peut les mettre sur sa
tête
. Les mains présentent un certain degré d'atroph
eintes que les bras ; le malade peut encore mettre les mains sur la
tête
assez facilement. La flexion et l'extension du
raît vers 12 ans. A 15' ans, il ne pouvait plus mettre le bras sur la
tête
. Actuellement, l'impotence des membres supérieu
ants à sa thèse de doctorat sur les myopathies. Aspect extérieur. -
Tête
: Crâne fortement brachycéphale, aplati en ar-
galoche, indice céphalique élevé 99,9 ; 52 cen- timètres de tour de
tête
, diamètre mento-maximum de 22 1/2. Face indemne
ir en équilibre le malade cambre la taille et rejette en arrière sa
tête
et ses épaules. , Marche. - Se fait par le soul
au repos. Le malade, assis sur son lit, offre l'aspect suivant : la
tête
est aplatie d'avant en arrière, élargie transvers
is triste et interrogateur. Une saillie prononcée du mentou. - La
tête
a une tendance très nette à se renverser en arriè
inture scapulaire et les bras sont atrophiés dans leur ensemble, la
tête
humérale fait 241 ip VIllES ET ANGLADA sailli
. Mensurations pratiquées le 14 mai 1908 mesurées en centimètres.
Tête
: 25U VIMES ET ANGLADA Distance entre le creu
sidérer comme un phénomène nouveau. En ce qui concerne le cou et la
tête
, il ne s'est pas produit en somme, de grands ch
le. Le malade de soi-même s'aperçut encore que l'augmentation de sa
tête
NOUVELLLE Iconographie DE la Salpêtrière T. X
nt à donner à sa figure un aspect franchement sénile (PI. XXXI). La
tête
du malade dans son ensemble a une forme particuli
en s'effilant exagérément jusqu'au menton : c'est là une véritable
tête
en poire. Le cuir chevelu est parsemé d'un fin
être hypertrophiée est assez proéminente. Le cou est affaissé et la
tête
semble rentrer dans les épaules et incliner en
achitique quelconque avec sa bosse un peu déviée du côté gauche, sa
tête
en poire et ses jambes courbées en dedans. Ce n
es parties du corps du malade ont donné les chiffres suivants : '
Tête
: 258 PESCAROLO ET BERTOLOTT1 altérations pro
es et des idées de suicide. A plusieurs reprises, elle se frappa la
tête
contre les murs. Sur les conseils de son médeci
ccusait l'infirmière qui la soignait de lui donner des coups sur la
tête
, de lui enlever les amygdales, de lui casser les
nt même pendant le sommeil. Il existe une déviation conjuguée de la
tête
et des yeux, à gauche. On constate du nystagmus
lis et, de fait, on n'en trouve aucun signe, malgré les douleurs de
tête
violentes qu'elle a ressenties surtout pendant la
hmiques et continus de nutation et d'oscilla- tions latérales de la
tête
; enfin, le membre supérieur gauche est animé de
auche et s'accompagnant de mouvements latéraux et de nutation de la
tête
avec mouvements rythmés du membre supérieur gau
n mouvement brusque,rythmi- que, connexe de mouvement latéral de la
tête
à gauche. Ces mouvements du membre supérieur ga
a tête à gauche. Ces mouvements du membre supérieur gauche et de la
tête
se reproduisent parallèlement, symé- triquement
uvements convulsifs du membre supérieur et ceux de latéralité de la
tête
et du cou ont disparu. La déglutition est devenue
s pour uriner. Aucun trouble morbide aux membres supérieurs et à la
tête
, le signe d'Argyll n'est pas évident. Rien aux
INIQUES SUR LA POLIOMYELITE AIGUË 383 sements, obstruction', mal de
tête
et aussi troubles de la conscience ; il avait q
trois jours, le patient est tombé malade le 2 novembre avec mal de
tête
et douleurs dans la région lom- baire,et dans l
inférieurs. Il dit qu'il avait eu aussi des douleurs en remuant la
tête
. Le 3 novembre au soir, une température de 40° ét
uleurs dans le dos persistent encore. Quand on essaye de fléchir la
tête
en avant, il éprouve des douleurs dans la nuque ;
e Kronoberg. ' ' Elle est tombée malade le 9 mai 1905 avec mal de
tête
et une forte fièvre. Elle a eu un vomissement e
e bien et a resté debout pendant trois jours ; mais alors le mal de
tête
et des douleurs dans tout le corps ont recommencé
le 19 mars 1908. - J La maladie a commencé le 12 mars par un mal de
tête
et des frissons. De- ) puis ce jour là elle est
sentir aucune contraction des muscles abdominaux, quand il lève la
tête
. En conséquence il ne peut s'asseoir ni rester as
que très lentement, est maintenant disparue, car on peut fléchir la
tête
en avant dans des proportions normales, mais en
nt de .Taenkceping. En août 1905, il est tombé malade avec mal de
tête
, spécialement dans la nuque. Il y avait aussi u
uque. Il y avait aussi une raideur de la nuque et le malade tenait la
tête
fléchie en arrière. De plus, il avait des doule
enant trois ans qu'elle est tombée malade avec de la fièvre, mal de
tête
(surtout douleurs dans la nuque) et des vomisseme
urtout douleurs dans la nuque) et des vomissements ; elle tenait la
tête
fléchie en arrière. Il y avait encore des douleur
ent de Kronoberg. La maladie a commencé en avril 1905 par un mal de
tête
et de la fièvre. De- puis (les parents ne saven
clinique le 22 septembre 1907. Le 11 septembre il avait mal à la
tête
et fut obligé de quitter l'école. Le lendemain
e 1907. ' Le 9 novembre il a été malade et s'est plaint d'un mal de
tête
. Le lendemain il est resté au lit, et le 11 nov
e du malade tenant son fils sur ses genoux a observé qu'il avait la
tête
fléchie en arrière et qu'il évitait de la flé-
n'importe quel point de la colonne ver- tébrale. Le malade a mal de
tête
. Ces derniers symptômes ont subsisté pendant un
ladie de la fille a aussi commencé le même jour (le 20) avec mal de
tête
, frissons et douleurs le long du dos, depuis la n
ne peut sentir aucune contraction, quand la malade essaie de lever la
tête
et les épaules. Les réflexes abdominaux ont dis
scles abdominaux, quand on fait essayer à la ma- lade de relever la
tête
. Elle ne peut point du tout rester assise. La par
ans, de Werum. En octobre 1905,la maladie a commencé par un mal de
tête
très violent, qui a continué les cinq jours sui
e du membre inférieur droit se sont déclarés ; les douleurs dans la
tête
se sont aggravées, particulièrement dans la nuque
Le 12 octobre 1907, la maladie a commencé par des frissons et mal de
tête
, surtout dans la nuque; il s'est senti abattu,
s'est senti plus malade et s'est mis au lit; il avait encore mal à la
tête
et aussi de la fièvre. Un médecin a cru qu'il a
là poliomyélite aiguë. Ces symptômes n'ont rien de spécial : mal de
tête
, surtout dans la nuque (qui est probablement, é
éningite), raideur de la nuque, douleurs si l'on essaye de fléchir la
tête
en avant ou aussi douleurs pour tous les mouvem
r la tête en avant ou aussi douleurs pour tous les mouvements de la
tête
, souvent aussi opisthotonos très prononcé de la
y a deux semaines, le garçon est tombé malade avec frissons, mal de
tête
, vomissements et fièvre. Il est resté couché troi
Etal le 17 janvier. - La conscience n'est pas troublée, il a mal à la
tête
et a une raideur de la nuque très prononcée ave
elle a commencé d'être abattue ; en même temps sont venus le mal de
tête
et des vomissements qui sont revenus plusieurs fo
écubitus latéral ; mais, au contraire, si l'on essaie de fléchir la
tête
en avant dans le décubitus dorsal, une certaine r
ement en arrière, et, en conséquence, rien n'empêche la flexion de la
tête
en avant. Toutefois, cette observation prouve q
u se sont nettement parésiés.La malade couchée, immobile, laisse sa
tête
reposer sur l'oreiller sans mouvements ; quand on
sur l'oreiller sans mouvements ; quand on l'assied sur son lit, la
tête
est ballante et retombe en arrière. Cependant si
la malade d'exécuter les mouvements de flexion et d'extension de la
tête
, elle peut esquisser ces mouvements, mais bient
ion de la tête, elle peut esquisser ces mouvements, mais bientôt la
tête
retombe lourdement en arrière. Langue, voile
e liquide dans sa bouche, puis l'avale difficilement en rejetant la
tête
en arrière. Elle ne le rend pas par le nez. Cep
uche il existe un petit tubercule sous-pleural de la grosseur d'une
tête
d'épingle. , Le foie, le pancréas, les reins so
première communion, à l'âge de 12 ans, il dépassait au moins de la
tête
le plus grand de ses cama- rades. Lorsqu'il e
ujet est entré à l'hôpital. Otto éprouve rarement des douleurs de
tête
. La sensibilité est intacte dans tous ses modes
la bouche et du menton en comparaison aux dimensions réduites de la
tête
. Les yeux sont petits, enfossés. Examen des y
on- formées et adhérentes. Le nez est très grand par rapport à la
tête
; il ne l'est pas par rapport au corps. Il est
néique, nous n'avons jamais pu obtenir une immobilité absolue de la
tête
: l'énorme épaisseur des parois crâniennes a co
, l' Ili. 1J. I"IG. 20. 486 KLIPPEL ET PIERRE-WEIL seur d'une
tête
d'épingle et celle d'un gros pois; la plupart de
s partout, à l'exception de la colonne vertébrale. Le mouvement de la
tête
en bas est limité : le menton s'arrête à trois
ANKYLOSE DE LA COLONNE VERTÉBRALE ET DES CÔTES 495 mouvement de la
tête
de côté ou bien en arrière est limité de moitié.
lonne vertébrale, irradiations de ces douleurs vers les épaules et la
tête
. Sensibilité objective : légère exagération de
tel point avec les vertèbres qu'il est impossible de reconnaître la
tête
de la côte ; parfois une partie de la tète est
ébrale efdontune partie seulement est oblitérée par la fusion de la
tête
costale avec la vertèbre (comme montrent les ph
passé le costotome ; mais on s'y rend bien compte de la fusion des
têtes
costales avec les vertèbres). La direction des cô
du tissu osseux était observée au fond de la cavité cotyloïde, à la
tête
du fémur qui se présentait comme une masse spon
objective avait donné les résultats suivants : 1° Sur la face et la
tête
, normale ; 2° Sur le tronc : petites zones d'hy
ibilité a donné à cette époque les résultats suivants : 4° Sur la
tête
et la face, normale. SUR UN cas D'OSTÉO-ARTHROP
is d'une ankylose en flexion. Il n'a pas noté l'accroissement de la
tête
; il ne ressentit jamais de céphalées, ni de do
ation du squelette de la face. Par contre, pour ce qui concerne les
têtes
articulaires spécialement de l'humérus, du cubi-
Sur les photographies ci-jointes (Pl. LVII) on distingue la grosse
tête
avec le front fuyant, le thorax long qui tend à
é- senté par le malade manquent l'inclination caractéristique de la
tête
en avant, la cyphose dorsale et le pli transver
rçon s'est senti abattu ; il s'est plaint de douleurs dans toute la
tête
, entre les épaules et dans tout le dos. Le nove
ncore travaillé, mais il avait des douleurs dans le dos et mal à la
tête
. On a observé qu'il avait ce jour-là une certaine
servé qu'il avait ce jour-là une certaine raideur de la nuque et la
tête
fléchie en arrière. Il avait aussi des frissons e
frissons, alternant avec de la transpiration. Les douleurs dans la
tête
et dans le dos ont persisté. Elat le 8 novembre
e grandes scyba- les. Il y a 0,02 0/0 d'albumine dans l'urine. La
tête
ne peut point du tout être fléchie en avant ; on
le soir, de 38°I. Le malade maintenant ne se plaint plus de mal de
tête
ni de douleurs dans le dos. La sensibilité cuta
ouleurs quand on presse sur la colonne vertébrale. Il peut tourner la
tête
de côté, mais ne peut la lever, évidemment à ca
., m'a-t-il dit, « rencontrait souvent aux courses » et de qui « la
tête
lui plaisait ». Au-des- sus du général Brugère,
Sur le bras gauche, au-dessous de l'étoile signalée plus haut, une
tête
de femme, et, en dehors d'elle, la figure d'un
ure d'un clown - toujours l'idée de s'exhiber en public. Encore une
tête
de femme sur l'avant-bras et une inscription : «
ines. Sur la région scapulaire, on voit, d'un côté, une femme dont la
tête
et les épaules sont encadrées d'un serpent, et
es lèvres. Au-desscus des figures précédentes se trouvent une autre
tête
de femme en cheveux ayant une fleur au corsage et
s idées » à ses « clients », il avait jugé utile d'orner son dos de
têtes
de femmes. Il avait même eu la délicate attenti
bien. Un tatouage situé sur le dos et représentant une ou plusieurs
têtes
de fem- mes est l'indice presque certain de la
fem- mes est l'indice presque certain de la pédérastie passive. Les
têtes
de femmes varient. Il en est de fort belles. Ce
font commettre les fautes les plus graves. Il porte sur le dos une
tête
de femme. Le visage est tourné légèrement à droit
l'armée coloniale. Il porte sur le dos un tatouage représentant une
tête
de femme déguisée en matelot. Autour de la figuri
oit un pot dans lequel est enfoncé un chat duquel n'apparaît que la
tête
. D... m'apprend que c'est là un autre symbole d
Il a été fait par l'artiste tatoueur qui a dessiné le n° 4. Les deux
têtes
de femme sont presque identiques. Elles ne diff
dernier mit tous ses soins à représenter sur les épaules de S... la
tête
de femme qu'il affectionnait particulièrement et
circonstances lui donner l'illusion d'une étreinte féminine. Cette
tête
de femme est accompagnée de deux accessoires du p
rps. Observation IX. -(Tatouage. n° 9.) S... porte sur le dos une
tête
de femme coiffée d'un vaste chapeau très em- pa
e dos, tandis que le reste de son corps est indemne. On voit quatre
têtes
de femmes qui voisinent avec le portrait du roi
nt des idées anarchistes. Il porte sur la partie médiane du dos une
tête
de femme, sur les régions scapulaires un clown et
scapulaires un clown et un prêtre protant binocle. Au-dessus de la
tête
de femme est tatoué un nid dans les fleurs. V..
atelier de travaux publics, il s'était fait tatouer dans le dos une
tête
de mauresque d'un dessin assez remarquable et t
s de casier judi- ciaire au moment de l'incorporation. Il porte une
tête
de femme de grandeur naturelle sur le dos. Elle
ls S... fut arrêté, puis relaxé. Au-dessous de Bellacoscia et de la
tête
de femme, on voit un tigre prêt à bondir ; ce tig
toujours la meilleure. » Enfin, sur la région fessière gauche, une
tête
de femme ayant la même signification que celle qu
ne. Sur le pectoral droit, un matelot ; sur le pectoral gauche, une
tête
de femme. Au creux épigastrique un lion supporte
liobinet d'amour. Enfin, dans chaque région inguinale, on note une
tête
de femme. c) Les deux bras sont très abondammen
e de voies de fait sur un supérieur, il est classé parmi les fortes
têtes
, mais ne passe pas pour un irréductible. Il por
e déguisée en marin fait pendant au mousquetaire ; sur le bras, une
tête
de femme commune et sans art. Une guirlande de fl
uille la face et les bras. Il porte l'étoile sur l'épaule droite, une
tête
de femme et un tigre sur le bras et l'avant-bra
la forme d'une virgule renversée, étendue transversalement, dont la
tête
affleure la substance gélatineuse de Bolando, la
langue est légèrement déviée vers la droite. , A l'état de repos la
tête
est légèrement inclinée vers la droite et en légè
s frères du malade se portent bien, sauf un, qui a aussi une grosse
tête
. Le malade a souffert depuis sa première enfanc
te époque, en pleine santé, étant en route, il est pris d'un mal de
tête
atroce, de vertiges et de nausées. Ces troubles
tué, est petit pour son âge, et le tissu adipeux trop développé. Sa
tête
est volumineuse, ayant une circonférence de 58
eulement se contenter de l'examen somatique. Elat somatique. - La
tête
est grande, son front n'est pas haut et l'on ne
es ; C. 47 centimètres. Motilité. Les différents mouvements de la
tête
, du visage et du globe oculaire s'exécutent nor
on voit que la concavité de la voûte plantaire est augmentée et la
tête
des phalanges à la région plantaire est revêtue p
reste de son organisation, le sujet paraît absolument nor- mal ; la
tête
, le cou, le tronc, les membres inférieurs, ainsi
est aussi le plus gros et sa conformation n'est t pas régulière; sa
tête
n'est pas sphérique et la grosse tubérosité est u
,2), Les os des membres inférieurs sont normaux... bassin nor- mal,
tête
normale, colonne vertébrale sans déviation. Noton
pement très marqué du quatrième métacarpien, élévation anormale de la
tête
du péroné, hauteur du tronc. Elle n'en diffère
les cils sont conservés. La peau du visage est froide. Volume de la
tête
normal. Le malade déshabillé frappe l'observate
hauteur et pèse 98 kil. 100. La grande envergure est de 1 m. 62. La
tête
est relativement petite, la face entièrement gl
te taille, avec prédominance visible du segment inférieur du corps.
Tête
de dimensions normales. Face glabre, sans rides,
técédents morbides personnels. C'est un individu de taille moyenne.
Tête
petite de type dolichocéphale. Le visage entièr
arquable ; à tout instant on observe des tics très violents dans la
tête
, le cou et les membres, accompagnés de coprolal
lant. Sou père aurait souffert de la vue depuis l'âge de 25 ans ; «
tête
très poin- tue » (oxycépliale). Mère morte au r
LE CHEZ UNE OXYCÉPHALIQUE 17 Physiquement, femme de taille moyenne.
Tête
en forme de tour; absence de toute voussure occ
l'asile ils ont attiré l'attention sur la forme particulière de la
tête
de la malade et dépendent d'une affection bien
rouve plusieurs plis transversaux, dus à une extension forcée de la
tête
, position d'adaptation que ces malades prennent
pendant le premier temps était la position en chien de fusil, ou la
tête
entre les jambes. Le moindre mouvement ou changem
ligés, à cause de la douleur, de rester couchés pliés en deux, « la
tête
entre les jambes », suivant l'expression pittores
uche, plus laird ils sont éÏaleiiièii[obsei-1 vés du côté droit. La
tête
est renversée en arrière par la contraction spas-
omplet de tout le système musculaire et d'une chute immédiate de la
tête
sur les épaules et du corps sur le côté ou en ava
endant que quelquefois le matin, en se réveillant, il se sentait la
tête
lourde et avait du vertige. Depuis deux ans envir
il revient à lui, il s'étonne de se trouver ailleurs et sent que la
tête
lui pèse, il a du vertige et une fatigue généra
l devient terne, il se plaint de fatigue générale, de lour- deur de
tête
et de vertige. Il ne se rappelle de rien, sauf qu
travailler il se met à pleurer sans raison et sent en même temps la
tête
lourde et un malaise général. A la compression
ns la nuit que pendant le jour. Le jour qui suit l'accès, elle a la
tête
lourde, elle se sent fatiguée, elle a des diffi
le- ment, durant parfois toute la journée, et légère lourdeur de la
tête
. État actuel. Exagération des réflexes en génér
que, lorsqu'il revenait à lui, il sentait une grande fatigue et la
tête
très lourde. Depuis un an qu'ir est de retour d
pas conscience de l'accès, il se sent seu- lement très fatigué, la
tête
lourde et tombe en sommeil durant pendant plu-
e lui ai pressé le cou ». Il sent une fatigue générale, lourdeur de
tête
et vertige, tout comme après l'accès spontané.
rapidement autour de lui ; ces vertiges sont suivis de lourdeur de
tête
très pénible et de fatigue générale. Souvent il
près, il revient à lui petit à petit en se plaignant de lourdeur de
tête
, de vertige, de fatigue générale et de som- nol
ment de l'accès, elle sent une grande fatigue, de la lourdeur de la
tête
et du vertige. La fatigue, comme elle dit, dure
muscles de l'épaule. Après 4 minutes environ, elle laisse choir sa
tête
sur le canapé et la face trempée de sueur, s'en
t secouée. Elle se plaint d'une fatigue très grande, de lourdeur de
tête
et de somnolence. N'a pas conscience de l'accès
lui et répond à nos questions douce- ment, se plaint de lourdeur de
tête
, de vertige et de fatigue. Il sent la même chos
vient petit à petit comme son frère, en se plaignant de lourdeur de
tête
, de vertige et de fatigue générale. Observation
ant un malaise gé- néral. Souvent il se lève le matin en sentant la
tête
lourde et une grande fatigue. Etat actuel. An
à tourner autour de lui. Après quoi il lui reste une lour- deur de
tête
. Outre ces légers accès, il a eu depuis 9 mois ju
l'accès, il dort profondément et au réveil se plaint de lourdeur de
tête
, de vertige, fatigue générale et somnolence. Il n
pelle que l'aura de l'accès. Souvent le matin en se levant, il a la
tête
lourde et se sent très fatigué. Etat actuel.
ose des articulations, ce qui explique peut-être la subluxation des
têtes
métacarpiennes et la raideur de toutes les join
e est très souple, malgré les saillies que forment dans la main les
têtes
des métacarpiens ; le dos de fourchette est moins
agent leurs reins du poids du sac en le portant en équilibre sur la
tête
comme l'on fait chez eux de n'importe quel fardea
nt la main droite puis chacun porte la sienne à sa poitrine et à sa
tête
en signe d'affection et de soumission. lis se p
s jouant avec un pistolet. Au moment où le jeune garçon tournait la
tête
pour répondre à une demande de son parent, le p
et Franck (2), dans lesquels, également après un coup de fusil à la
tête
, avec insertion du projectile sur la selle turc
la zone hépatique, point douloureux 200 ' ETIENNE à la pression.
Tête
très mobile. Pas de raideur de la nuque. Réflexes
érieurs. Le malade ne peut fléchir les doigts ni bouger les pieds ;
tête
en boule de bilboquet. Peau bien humide, fraîch
ines : 750. 5. Peut légèrement serrer avec la main. Peut tourner la
tête
. T. vers 37°, Langue blanche. 6. Urine : 1.25
égers mouvements d'abduction. Vague ébauche de flexion des orteils.
Tête
sans raideur; moins en tête de bilboquet. Réfle
. Vague ébauche de flexion des orteils. Tête sans raideur; moins en
tête
de bilboquet. Réflexes normaux. Apyrexie confirmé
it, avec quelque difficulté. Arrive·à faire tous les mouvements de la
tête
. Il confectionne un petit panier en rafla. 12
os avec écart de un centimètre sans paralysie. Les mouvements de la
tête
sont faibles, mais pas tête en boule de bilboquet
re sans paralysie. Les mouvements de la tête sont faibles, mais pas
tête
en boule de bilboquet. Analgésie complète aux m
flement articulaire. Pouls bon. 6. Epistaxis. Céphalée, 37°6. 7.
Tête
lourde, 36°6. Langue blanchâtre. 12. - Sueurs p
es muscles de la nuque donnant aux mouvements passifs imprimés à la
tête
un bizarre aspect' très pittoresquement et exacte
u deltoïde gauche; l'épaule est nettement tombante en épaulette; la
tête
humérale se sent presque sous la peau ; au-dess
poplités externes sont très légèrement excitables au ni- veau de la
tête
du péroné, les pieds se fléchissent en se portant
éverses bras jusqu'à la ligne horizontale, ni mettre ses mains sur la
tête
: elle se coiffait avec une difficulté chaque j
lever ses bras, en avant ou latéralement, à mettre ses mains sur la
tête
et à se coiffer. A l'examen. de l'état actuel,
si est la limitation de l'adiposité qui respecte les extrémités et la
tête
, de telle façon que tête et jambes donnent l'im
diposité qui respecte les extrémités et la tête, de telle façon que
tête
et jambes donnent l'impression de ne pas apparten
LE CEN- TRE CORTICAL DE LA DÉVIATION CONJUGUÉE DES YEUX ET DE LA
TÊTE
. ' A PROPOS D'UN CAS DE SARCOME PROFOND A LA PA
uche perceptible. Rétention des urines. On lui mit de la glace à la
tête
et des sangsues aux apophyses mastoïdes. Quatre v
était normale des deux côtés. Déviation conjuguée des yeux el de la
tête
à la droite. Céphalée. A la percussion semblait
l'examen du fond de l'oeil. Déviation conjuguée des yeux et- de la
tête
à droite. te. 8° Liquide céphalo-rachidien no
ns avec hémiplégie gauche, la déviation conjuguée des yeux et de la
tête
il droite, indiquaient t le siège d'une lésion
on). Mills dit qu'il a obtenu une déviation nette des yeux et de la
tête
, en éleclri- sant la partie postérieure de la s
itées, donnent une déviation conjuguée des yeux avec rotation de la
tête
. Nous ne connaissons pas les relations existant
, La céphalée a disparu et la déviation conjuguée des yeux et de la
tête
à droite n'existe plus. Tout fait croire à un pro
ses déjections, étonnamment abattue. Se plaint de fortes douleurs de
tête
. Le médecin appelé a pu constater un peu de par
orientée. Cependant, toujours apathique, avec de fortes douleurs de
tête
. Absolument aucune flaccidité du bras gauche ne
paravant. Les deux derniers jours elle s'est plainte de douleurs de
tête
. Ce jour-là, durant un trajet en automobile, el
jour-là, durant un trajet en automobile, elle a déraisonné, pris sa
tête
à deux mains, et s'est plainte de forts bourdon
lainte de forts bourdonnements d'oreilles et de grandes douleurs de
tête
. Au bout de quelques minutes, elle a perdu conn
Les cinq dernières années, il a souvent souuért de fortes douleurs de
tête
, pas nocturnes, localisées dans le front. Il a
bouche. Il est resté couché une semaine avec de fortes douleurs de
tête
et des douleurs dans la nuque. Il répond bien, qu
, mais normalement construit. Teint blême. Se plaint de douleurs de
tête
. Est éton- namment hébété et indifférent. Répon
ssi bien dans ses réponses que dans ses mouvements. Ses douleurs de
tête
se sont un peu diminuées. La raideur de la nuqu
blancs par millimètre cube. 30. Le patient se plaint de douleur de
tête
. Le phénomène de Babinski se produit en extensi
pouls : 80. - 2 avril. Le patient ne se plaint plus de douleurs de
tête
, mais de douleurs dans le bas du dos. La raideu
il heures du soir. Le patient, qui s'est plaint de fortes douleurs de
tête
immédiatement après la ponction lombaire, a été
conflexe, du nerf radial à la gouttière humérale et au niveau de la
tête
du radius. Les troncs du média u et du cubital
Masson et Cie, Editeur \ RHUMATISME SYPHILITIQUE TERTIAIRE 387
tête
métacarpienne peut être facilement luxée en dessu
191t6, il se présente, le tronc fortement fléchi sur le bassiu, la'
tête
en extension. Il ne peut volon- tairement se re
fut évacué. Pendant les deux premiers jours, il souffrit de maux de
tête
continuels qui diminuèrent peu à peu d'intensité
de cuir. On le lui fait enlever ; aussitôt son tronc se courbe, la
tête
restant en extension. Un gros pli transversal se
ose normalement sur la région occipitale. Tous les mouvements de la
tête
s'exécutent normalement avec souplesse'et sans
mbre 1916, il est dans la même attitude qu'au début des accidents. La
tête
est en extension. Le tronc est incliné en avant
bre 1916. - Il se présente, le tronc fortement incurvé en avant, la
tête
en extension. L'extension du tronc, dans les st
les jambes sur les cuisses. Tout son corps était enseveli, sauf la
tête
. Il n'a pas perdu connaissance. Il est resté en
l a eu du côté gauche quelques troubles anesthésiques passagers. La
tête
est en extension-. Le tronc est incliné en avan
st indolore à la percussion. Vu de face, le malade se présente la
tête
en extension et un peu inclinée à gauche, le re
n debout, on constate une incur- vation du tronc très prononcée, la
tête
restant en extension. Un gros pli tra- verse l'
musculaires sacro-lombaires. Les mouvements actifs et passifs delà
tête
se font normalement et sans dou- leur. La flexi
. - Dans la station debout on constate une incurvation du tronc, la
tête
restant en extension. Cette incurvation ne change
couche le malade par terre sur le dos : les deux omo- plates et la
tête
touchent le sol. La flexion du tronc et les mouve
té- aralité se font bien et sans douleur. Tous les mouvements de la
tête
se font normalement. Il en est de même des mouv
Etat actuel (20 octobre 1916). Le tronc est plié sur le bassin, la
tête
demeurant en extension. Dans la station debout,
ur le tronc, a été enterré par un éboulement. Tout le corps sauf la
tête
était enseveli. Il est resté aiusi pendant 10 min
ssant par l'ombilic. Il marche à petits pas, sans aucun soutien, la
tête
dans l'extension. Debout, il peut se redresser,
re autrefois les singulières pratiques des Arracheurs de Pierres de
Tête
(1), commémorées par un nombre imposant de pein
ie. Dans les Flandres et les Pays-Bas, les Arracheurs de Pierres de
tête
ont été fort en vogue. On leur doit donc les prem
re le sens de notre image, il faut donc considérer que ceux dont la
tête
est « pleine de phantasie- qui les met en grand'p
rer ses hu- meurs peccanles. Un vigoureux gaillard lui introduit la
tête
dans un énorme fourneau de chimiste. Tout aussi
resque toutes les familles entomologiques seraient représentées. En
tête
, viennent les Diptères, et avec le taon toutes le
les gravures de T. Brueghel, consacrée aux Arracheurs de Pierres de
tête
, porte cette légende : « Avez-vous la guêpe dan
Pierres de tête, porte cette légende : « Avez-vous la guêpe dans la
tête
ou sont-ce les pierres qui vous travaillent ? »
d'un nid de perce-oreilles qui était, disait-elle, installé dans sa
tête
. La famille des Lépidoptères a pour délégué men
ière méthode, le patient est plongé dans un baquet d'eau chaude, la
tête
enfouie dans une sorte d'alambic transparent où s
s, Th. de Bry nous a montré l'officine d'un arracheur de pierres de
tête
richement diplômé (1). Cette autre gravure porte
es idées bizarres, qu'ils se sont fourré « des nids de souris dans la
tête
». Un dessin de C. Fischer (1655), gravé par Ba
es locutions du langage courant. Voilà pourquoi l'alambic où met sa
tête
un aliéné distille un régiment de rats. Un se
le crâne, tantôt sur l'abdomen. A côté des arracheurs de pierres de
tête
, il y eut des arracheurs de pierres de ventre.
t percé à mi-hauteur d'un orifice par où le patient peut engager sa
tête
. Au sommet se dresse un alambic dont le bec don
botté, qui vient de déposer son chapeau et son épée, se précipite,
tête
baissée, dans le four curateur. Aussitôt se dis
. z Ceci nous donne à entendre que le seigneur en question avait la
tête
férue d'une foule de phantaisies dont il était
: « Le docteur tueur de vers. » Il s'agit des vers supposés dans la
tête
des « phantaisistes ». Une longue légende en ve
uches, douves et moustiques vont entrer et sortir constamment de ta
tête
qui deviendra leur propre demeure. Par leur vol
il, tu t'imagines qu'il y a plus de malice dans ton nez que dans la
tête
de douze hommes sages. Malheur à toi alors : il
imiste où j'ai érigé mon fourneau avec son casque. Viens, avance la
tête
, et ne crains rien ; nous verrons dans peu de t
s'envolent. Eh ! que de taons, que de mou- ches ! quel amas dans ta
tête
, pauvre diable craintif comme un lièvre. « Vrai
muni de plusieurs tuyaux d'échappement. Ici le patient est plongé,
tête
première, dans l'orifice supérieur de l'appareil,
eur mort. Et, chose curieuse, elles s'obtenaient en introduisant la
tête
des insen- sés dans des trous dont sont percés
et les faibles d'esprit al laient de temps à autre introduire leurs
têtes
fêlées. (1) HENRY MEIGE et FHRNAND Rudler, Deux
420. Centre cortical de la déviation conjuguée des yeux et de la
tête
, par MoNis, 306. Cerveau (Sur la symptomatologi
ée (Considérations sur le centre cortical de la des yeux et de la
tête
), par MONIS, 306. Diabète insipide (Lésion trau
Le centre corti- cal de la déviation conjuguée des yeux et de la
tête
, 366. Monte-Serra et TEIxBIRA-M&\DSS. Syn-
ité, provoquait par des décharges électriques des convulsions sur des
têtes
de suppliciés. On avait avancé que C. Bell et S
i pensé qu'il était utile, surtout pour renseignement, de grandir les
têtes
qui peuvent servir à la démonstration des princip
s fondamentaux de la doctrine physionomique que j'ai à établir. Ces
têtes
, grandes à peu près comme nature, sont au nombre
(1) Il était alfcclé d'un spasme des muscles rotateurs droits de la
tête
, spasme qui se monlrait seulement alors qu'il vou
s traits sont beaux et réguliers. La figure photographiée placée en
tête
de ces recherches, comme spécimen de mes expérien
La ligne verticale que l'on voit sur la figure 12, en dedans de la
tête
du sourcil droit, existe même quand la physionomi
x lignes verticales profondes se sont-elles dessinées en dedans de la
tête
du sourcil. — Je dois faire remarquer que notre v
aisant pour ainsi dire la nuit autour de l'oeil, ces sourcils dont la
tête
se gonfle, dont l'espace inter-sourcilier est cre
amidal du nez se termine supérieurement dans la peau, au niveau de la
tête
du sourcil. Contraction électrique des pyramida
(P, fig. 1) dans la peau de l'espace intersourcilier, au niveau de la
tête
des sourcils et consé-quemment la complète indépe
haut en bas, et qu'un sillon transversal s'est creusé au niveau de la
tête
du sourcil, sous l'influence de la contraction mu
ransversaux. On remarque enfin, sur les figures 16,17 et 18, que la
tête
du sourcil est d'autant plus attirée en bas par l
ion. Si faiblement que le pyramidal du nez exerce son action sur la
tête
du sourcil et sur l'espace intersourcilier, on le
ement en contraction, et cependant on observe que l'abaissement de la
tête
du sourcil est modéré, de même que le gonflement
lier droit chez une petite fille âgée de six. ans. On remarque que la
tête
de son sourcil s'est gonflée et s'est élevée légè
iences (voy. son portrait, fig. 3). De ce côté on remarque: 1° que la
tête
du sourcil s'est gonflée et s'est élevée davantag
ntraction, ne donne pas une grande obliquité au sourcil, parce que la
tête
de ce dernier est retenue par un muscle pyramidal
s des directions différentes; que les unes attirent de bas en haut la
tête
du sourcil, et que les autres meuvent obliquement
peau du front placée au-dessus de lui, c'est-à-dire qu'il agit sur la
tête
du sourcil en sens contraire du sourcilier, tandi
ntagoniste du pyramidal du nez et de l'orbiculaire supérieur, pour la
tête
du sourcil. Enfin, l'expérience démontre que ce
Figures G6, G7, 68, 69, 70, 71, 72, 73. LÉGENDE. Fie. 66 et 67. —
Tête
de YArrotino (l'Espion, le Rémouleur, etc.) vue d
second, ce mouvement oblique et, sinueux du sourcil. Fig. 68. —Même
tête
, dont la courbe du sourcil est mise en harmonie
'influence du muscle frontal (voy. %. 7 et 8). 12 Fie. 69. — Même
tête
, dont les lignes frontales et le modelé des parti
s l'influence du sourcilier (voy. fig. 19, 20, 2/i, 25). Fig. 70. —
Tête
du Laocoon de Rome. Les lignes médianes du fron
delé des parties latérales du front est impossible. Fig. 71. — Même
tête
, dont la partie latérale du front est modelée com
a nature, et comme elle devrait l'être dans la figure 70. Fig. 72. —
Tête
du Laocoon de Bruxelles (appartenant au prince d'
ie. Même modelé défectueux que dans l'original, fig. 70. Fig. 73. —
Tête
de la Niobé, dont le front plat et le sourcil uni
té moi-même. Ayant obtenu de la Direction du Musée de faire mouler la
tête
de Y Arroiino, dont nous avons une belle copie en
eurs noms, le Rémouleur, le Rotateur, et aussi l'Espion, parce que sa
tête
tournée et son regard en l'air semblent exprimer
VEnéide (liv. II, 201-227). de ses sourcils et le gonflement de la
tête
de ces derniers donnent à son pleurer un caractèr
me paraît difficilement souteiiable pour les raisons suivantes. La
tête
du Laocoon do Bruxelles ne saurait convenir au gr
émotion terrible de son âme avait, comme le fait la nature, gonflé la
tête
de son sourcil oblique, si quelques plis douloure
il avance plus ou moins la main qui lient les rhéophores, et puis sa
tête
et son corps, s'il ne peut éviter de se trouver d
ière un peu triste, en cachant les mêmes parties du côté gauche. La
tête
vue isolément: — souvenir douloureux, en cachant
inale, en cachant l'œil, le sourcil et le front, du côté gauche. La
tête
vue isolément : — douleur extrême, sans caractère
les mains jointes, le tronc penché en avant, le dos un peu voûté, la
tête
renversée en arrière et tournée vers le ciel : ce
et oblique de dedans en dehors et de haut en bas, et d'en gonfler la
tête
, pour répandre la douleur sur tous les traits, qu
ez toutes deux, cependant, le sourcil décrit la même sinuosité, et la
tête
est également gonflée, les lignes frontales média
la justesse de cette remarque, on fera bien de regarder isolément la
tête
de la Cléopàtre.) J'ai observé au musée du Capi
que l'expression douloureuse est incomplète dans la Niobé, et que la
tête
de son sourcil devrait être gonflée. Telle est, à
s latéralement, avec son sourire et sa bouche entr'ouverto, avec sa
tête
et son corps légèrement renversés en arrière, ave
es cheveux en désordre, montrent assez qu'elle est à sa toilette ; sa
tête
un peu tournée à gauche et son regard blessé, dir
vers son extrémité interne, par un peu d'élévation et de relief de la
tête
de ce sourcil. — Le modelé de sa bouche et de sa
Henri IV par Devéria, dont il a été question ci-dessus, page 165. La
tête
de Marie de Médicis a donc une expression double
ppé chez la jeune fille qui s'est prêtée à ces expériences, que de sa
tête
, sur laquelle je viens de peindre l'image des émo
es émotions les plus douces et les plus touchantes, j'ai pu faire une
tête
de Méduse, de furie, etc. J'ai aussi rappelé sur
'ai pu à peine, malgré une forte excitation de ce muscle, abaisser la
tête
de son sourcil (voyez la fig. 9). La physionomie
ehors en dedans et de haut en bas, par le fait de l'abaissement de la
tête
du sourcil) a été parfaite ment senti. C'est en
risée, à des degrés divers, par l'abaissement et le gonflement cle la
tête
du sourcil, par le plissement transversal et cuta
se faisant à la peau, dans l'espace intersourcilier, au niveau de la
tête
des sourcils, sa contraction doit nécessairement
rées à l'étude de ce muscle), qui, antagoniste du pyramidal, élève la
tête
du sourcil. Il est donc incontestable que mécaniq
re les instincts cruels, de môme que le muscle sourcilier en élève la
tête
pour exprimer la douleur, on ne doit pas s'étonne
ssion, l'instinct de la cruauté ne prédomine pas, l'abaissement de la
tête
du sourcil ne sera pas très prononcé; cet abaisse
cruel et féroce. Cette expression est produite par Vabaissement de la
tête
du sourcil {dont la direction est conséquemment o
dans neuf tableaux synoptiques, sous forme de petits médaillons, les
têtes
des 82 figures qui composent la partie scientifiq
ace 2° J'ai également fait entrer dans ces tableaux synoptiques les
têtes
dont l'expression n'est pas double, afin qu'en pr
sent l'album, on puisse facilement les étudier comparativement. Les
têtes
de la partie scientifique ont dû ;être réduites d
s. Les capsules fibreuses avaient une grande laxité, en sorte que les
têtes
des fémurs n'étaient pas contenues dans les cavit
vu, i° un ligament rond LR, grêle et d'une longueur démesurée; i° des
têtes
du fémur TF, TF déformées, aplaties; on eût dit q
rieure; la saillie TA que forme la tète de l'astragale, tubérosité et
tête
qui ont en partie abandonné leurs surfaces articu
poulie astragalienne. Il n'existait pas de bourse synoviale entre la
tête
de l'astragale et la peau ^ mais bien un tissu fi
le, TA végétations osseuses formées en grande partie aux dépens de la
tête
ou face scaphoïdienne de l'astragale; C calcanéum
vieillard représenté fig. 1. J'appelle l'attention du lecteur sur la
tête
de l'astragale, qui, dans les trois dernières pet
e de se rendre compte de cette disposition. Dans l'état ordinaire, la
tête
de l'astragale est reçue dans une cavité brisée f
s par le scaphoïde et le calcanéum. Nul angle ne sépare la portion de
tête
de l'astragale qui est reçue dans la cavité navic
stragale qui est reçue dans la cavité naviculaire CN de la portion de
tête
reçue dans la facette externe du calcanéum. On di
ngement des ligamens miu-.uu^,;^ et a été Sluvje e ia déformation des
têtes
des fémurs. Il est probable que la déformation du
ression violente à laquelle il est soumis et par le déplacement de la
tête
de l'astragale, dont la moitié et quelquefois seu
ésumées ne m'ont présenté pour toute altération que cette usure. La
tête
de l'astragale, si volumineuse dans l'état nature
t quelquefois au tiers, au quart; ou plutôt une bonne partie de cette
tête
, ayant abandonné la cavité du scaphoïde, est venu
mplet. Dans quelques cas rares, la marche se fait en partie sur cette
tête
de l'astragale, devenue, par une transformation b
lors des végétations osseuses souvent considérables naissent de cette
tête
. Enfin le calcanéum a suivi l'astragale dans so
attribué à cette même compression les végétations qui entourent cette
tête
; n'y a-t-il pas contradiction? Non sans doute, ca
cède une disposition toute contraire. Le tronc se courbe en avant; la
tête
s'incline sur la poitrine; la progression devient
ens; la céphalalgie était tuuou^o ^ temps en temps congestion vers la
tête
, manifestée par une coloration plus vive de la fa
supérieures et inférieures, qui furent successivement paralysées. La
tête
était inclinée vers l'épaule droite et ne pouvait
ment jusqu'à la mort. Le malade est étendu dans son lit, immobile; la
tête
inclinée vers l'épaule droite; les mouvemens de l
immobile; la tête inclinée vers l'épaule droite; les mouvemens de la
tête
, quoique peu étendus, sont plus faciles qu'ils ne
péniblement avec le danger réel de sa position. Il ne vit que par la
tête
et par les fonctions internes, et cependant il so
du cerveau est souvent précédée et accompagnée de douleurs vives à la
tête
, souvent encore de contractions spasmodiques des
rdu de sa coloration, les yeux de leur éclat et de leur vivacité : la
tête
était pesante, mais sans douleur; point d'étourdi
t des doigts des pieds. Le scrotum surtout était d'un noir d'encre.
Tête
. « Il y avait un peu d'eau dans les ventricules d
ques, jusqu'aux mamelles, en sorte que le malade ne vivait que par la
tête
et les extrémités supérieures. Voici quel était
langue est sale; le pouls fréquent; le ventre souple et indolent : la
tête
n'est pas douloureuse. Rien du côté du thorax.
aire. TC est la tubérosité antérieure du calcanéum, C le talon , T la
tête
de l'astragale. Le cartilage était profondément a
dans les gaines fibreuses des doigts. Articulations coxofémorales.
Têtes
des fémurs dans leur état naturel. Dans la cavité
s au dire de la sage-femme). L'enfant était venu naturellement par la
tête
: mais le placenta n'avait pu être extrait que pa
ère tuberculeuse, et ouverte en dehors par un orifice fistuleux. La
tête
de l'épididyme était creusée par un vaste abcès t
ent ; il semble au malade que quelque chose l'étrangle; il respire la
tête
haute et le cou tendu; son pouls est mince et fil
m ou la soif tourmentent la petite malade, elle s'agite, se heurte la
tête
contre le bois de son lit, et cela assez violemme
es. Respiration lente ; pouls naturel. •— Application de glace sur la
tête
. —Le cinquième jour, à la visite du matin, la res
oins développé que précédemment. Le malade se plaint de douleurs à la
tête
et partout le corps. (Nouvelle saignée, sinapisme
ase avec accumulation de sérosité dans les ventricules. (Glace sur la
tête
que la malade ne veut pas supporter; quatre pilul
douleur, il semble réfléchir pour vous répondre, et indique tantôt la
tête
, tantôt l'abdomen, le plus souvent la tête. L'obs
ndre, et indique tantôt la tête, tantôt l'abdomen, le plus souvent la
tête
. L'observation suivante peut servir de type pour
e voit. Quelquefois elle dit à voix basse holà! et porte la main à la
tête
ou aux jambes. La respiration est alternativement
rassasier. Les nuits sont toujours agitées ; quelquefois elle crie ma
tête
! ma tête! D'ailleurs elle ne se plaint de la tête
. Les nuits sont toujours agitées ; quelquefois elle crie ma tête! ma
tête
! D'ailleurs elle ne se plaint de la tête que lors
uefois elle crie ma tête! ma tête! D'ailleurs elle ne se plaint de la
tête
que lorsqu'on l'interroge à ce sujet, et elle mon
d. A une autre visite, elle répondit à mes questions et me dit que la
tête
lui faisait moins de mal. Selles involontaires. J
même état. (Lavemens purgatifs; sangsues aux jugulaires; glace sur la
tête
. — Le quatrième jour, assoupissement; les réponse
ois et demi de retard, une perte utérine précédée d'un violent mal de
tête
et d'étourdissemens. Cette perte, assez abondante
obile dans son lit, insensible , dans une sorte d'engourdissement; la
tête
, les membres lui semblent d'une lourdeur excessiv
la suite d'une grande fatigue, qu'elle a débuté par un violent mal de
tête
et un sentiment de chaleur dans les intestins, bi
Le 28, stupeur mêlée de délire.—Vésicatoire à la nuque : glace sur la
tête
qu'on appliquera plusieurs fois le jour pendant u
e le délire.) —~ Le i5, délire plus considérable; le malade tourne la
tête
à droite et à gauche comme pour voir ce qui se pa
rs syncopes à la fin du dîner. La nuit fut calme. Le lendemain i4, la
tête
étant douloureuse, une saignée fut pratiquée ; le
veau. Chose bien singulière! le malade n'accusait aucune douleur à la
tête
; et la douleur, dont le siège était bien manifest
L'état général du corps offrait des signes de putréfaction avancée. —
Tête
. Une assez grande quantité de sérosité s'écoule à
lies, ploient sous le poids du corps. La malade peut à peine tenir sa
tête
en équilibre. L'extrémité inférieure gauche me pa
; je l'engage à marcher; elle fait le mouvement de la marche, mais la
tête
et la moitié supérieure du tronc l'entraînent en
s jours ce qui lui faisait mal, et tous les jours elle m'indiquait la
tête
, et le plus habituellement la région frontale, et
L'état général du corps offrait des signes de putréfaction avancée. —
Tête
. Une assez grande quantité de sérosité s'écoule à
rigidité dans les membres. La petite malade peut à peine soutenir la
tête
(même prescription). Le 19, la langue est repouss
sujet. Le pouls est fréquent, plein et dur. Battement des temporales.
Tête
extrêmement chaude au toucher. (Saignée de vingt
restait des journées entières accroupie, inclinant alternativement sa
tête
, soit à droite, soit à gauche; elle ne pouvait pa
constamment le siège essentiel de la maladie, laquelle procède de la
tête
ou de l'extrémité renflée vers la queue. Ce n'est
icules était volumineux et dur, l'autre ne l'était qu'au niveau de la
tête
de l'épididyme. Celui-ci présentait pour toute al
ration une cavité pleine de matière tuberculeuse ramollie occupant la
tête
de l'épididyme. L'autre testicule offrait dans so
ONS. (Luxations de la mainsur l'avant-bras.) « Dans l'extension, la
tête
ob longue du carpe roule d'arrière en avant sur l
d'arrière en avant sur la cavité radio-r cubitale ; mais comme cette
tête
est articulaire dans une plus grande étendue en a
rémité supérieure du radius n'est pas creusée pour recevoir la petite
tête
de l'humérus ; mais cette extrémité est convexe e
ulent avec la rangée antibrachiale. Ainsi on chercherait vainement la
tête
du grand os GO et l'apophyse de l'os crochu qui c
a tête du grand os GO et l'apophyse de l'os crochu qui complète cette
tête
; on n'en trouve que des rudimens. Les facettes su
articulation vue par devant; TH est la troklée numérale, PT la petite
tête
de l'humérus, C le cubitus, R le radius, dont la
e, PT la petite tête de l'humérus, C le cubitus, R le radius, dont la
tête
et le col sont situés en arrière et en dehors de
té inférieure de l'humérus; CF est une coupole fibreuse qui reçoit la
tête
TR du radius. Cette coupole m'a paru formée aux d
demi-fléchie vue du côté externe ; CF est la coupole fibreuse ; TR la
tête
déformée du radius; AO l'apophyse olécrane. La
ente le radius isolé, permet d'apprécier la déformation qu'a subie la
tête
, qui est convexe et oblongue; le col du même os e
u radius gauche sur l'humérus. Ainsi que dans l'exemple précédent, la
tête
du radius est au même niveau que le sommet de l'o
e espèce de déformation, ce qui prouve qu'il y a eu allongement de la
tête
et du col du radius, et non point ascension de ce
e même que dans le cas précédent, une coupole fibreuse CF coiffait la
tête
déformée et déjetée en dehors du radius et s'atta
erne de l'olécrane. Une couche très-mince de cartilage revêtait cette
tête
: il n'y avait plus de petite cavité sygmoïde du c
de ces cas, représenté fig. i, -2, 3, pl. CIII (Muséum anatomicum\ la
tête
du radius est atrophiée; la petite tête de l'humé
. CIII (Muséum anatomicum\ la tête du radius est atrophiée; la petite
tête
de l'humérus n'existe plus, et semble s'être conf
MALADIES DES ARTICULATIONS (Luxations du Coude) tement. La petite
tête
de l'extrémité inférieure du cubitus n'existe plu
a en outre déformation de l'extrémité inférieure du cubitus, dont la
tête
est réduite à un tubercule : la tête du radius, d
é inférieure du cubitus, dont la tête est réduite à un tubercule : la
tête
du radius, déformée et déjetée en dehors et en ar
ère, est divisée en deux parties, l'une qui répond encore à la petite
tête
de l'humérus, l'autre qui ne pouvait la toucher q
ment que la pression de l'extrémité inférieure de l'humérus contre la
tête
et le col du radius produise cet allongement avec
dius peut tourner sur lui-même, et reprendre, en arrière de la petite
tête
de l'humérus, la même situation relative qu'il af
ant que possible à l'ancienne articulation. Alors il se trouve que la
tête
articulaire, soumise à des causes de compression
rticulaire s'établit creusée, en quelque sorte, par la pression de la
tête
, ce qui veut dire que les points de l'os le plus
s le plus fortement comprimés de la surface osseuse, à laquelle cette
tête
correspond, s'atrophient, que ceux qui le sont mo
uer une coque plus ou moins complète qui enchâsse en quelque sorte la
tête
déplacée, de telle sorte que les mouvemens de l'a
ères de la luxation en arrière des os de l'avant-bras sur le bras. La
tête
T du radius R et l'apophyse olécrane O du cubitus
21 , M. Grellet, aidé de M. Dumas, chirurgien de la maison, enleva la
tête
pour l'examiner plus à l'aise. Voici les particul
uccessivement le siège de douleurs, auxquelles succéda l'ankylose; la
tête
elle-même se souda sur la colonne vertébrale. Enf
mérales et coxo-fémorales. Articulation scapulo-humérale droite. La
tête
de l'humérus était usée ; mais, chose remarquable
uvrait toute la surface usée, tandis qu'une assez grande partie de la
tête
de l'humérus était dépourvue de cartilage. La cav
fibreuse nouvelle. Dans F articulation scapulo-humérale gauche 7 la
tête
de l'humérus était usée, comme écrasée, en sorte
articulation précédente étaient intactes dans celle-ci. L'usure de la
tête
portait principalement sur la partie inférieure e
e portait principalement sur la partie inférieure et interne de cette
tête
; à la partie supérieure existaient des végétat
e comme hérissée de végétations osseuses. La moitié antérieure de ces
têtes
était couverte d'une lame éburnée, parsemée de pe
enir. Un lavement d'huile douce de ricin le matin, de la glace sur la
tête
pendant le jour, une potion calmante le soir me p
les deux derniers mois de sa vie, elle resta constamment couchée, la
tête
sous sa couverture. Sa mauvaise humeur était tell
ente que possible; déjà Pigray avait noté qu'à la suite des plaies de
tête
, plusieurs blessés chez lesquels la fièvre s'étai
e sympathie. Si le foie est si fréquemment affecté dans les plaies de
tête
, c'est, suivant Desault et Bichat (*), parce que
xplications bizarres et opposées des abcès du foie dans les plaies de
tête
ont été données par Pouteau et Bertrandi. M. Rich
trandi. M. Richerand émit l'opinion que ces abcès, dans les plaies de
tête
, tenaient à la contusion ou commotion simultanée
gnée, l'excision de veines variqueuses, une amputation, des plaies de
tête
, des fractures comminutives sont, au milieu d'inn
ces de phlébite : à l'appui de cette objection, on cite les plaies de
tête
qui sont si souvent accompagnées d'abcès au foie,
é la véritable explication des abcès du foie à la suite des plaies de
tête
, et cette explication c'est l'inflammation des ve
ineux; car le foie n'est pas exclusivement affecté dans les plaies de
tête
, et si un grand nombre d'observateurs ont fait un
iploïques ont été trouvées purulentes dans plusieurs cas de plaies de
tête
coexistant avec des abcès du foie ét des poumons.
oclamer aujourd'hui comme une vérité démontrée que dans les plaies de
tête
, les lésions viscérales, soit du foie, soit des p
cidens ataxo-adynamiques, qui surviennent à l'occasion d'une plaie de
tête
ou autre, deviennent très-souvent la cause occasi
urs qui égalent un œuf de dinde, le poing, les deux poings réunis, la
tête
d'un fœtus à terme. En général, le nombre de ces
ever qu'au coucher ; le malade entend battre toutes les artères de la
tête
, et croit que c'est ce battement qui s'oppose à s
ntiment de battement général qui a lieu plus particulièrement dans la
tête
; le lait passe bien, il constitue toute la nourri
oif ; quand on approche un verre, il ne fait aucun mouvement ni de la
tête
ni des bras, mais il étend avidement ses lèvres p
angsues ci l'épigastre. Bouteille très-chaude aux pieds. Glace sur la
tête
. Eau de Seltz glacée pour boisson. Le 18. Stupe
e à la pression. Dix sangsues aux apophyses mastoïdes. Glace sur la
tête
. Deux vésicatoires aux jambes. Le 19. Altératio
t comateux. Saignée au bras, de huit onces. Compresses froides sur la
tête
. Sinapismes aux pieds. Le 22 , état à peu près
te région. Bain durant la durée duquel la glace sera maintenue sur la
tête
. Lavements émollients. Cataplasmes émollients.
eurs applications de sangsues. Plusieurs bains par jour. Glace sur la
tête
. Eau glacée pour boisson. Lavements glacés. Le
l'application et prie qu'on la renouvelle plus souvent). Glace sur la
tête
. Le 5, l'étouffement est le symptôme dominant.
on observe tous les jours dans le cas de présentation du sommet de la
tête
. Très-souvent on (i) Voyez procès-verbal de la
l utérin et par les parties molles extérieures, après la sortie de la
tête
, dans le cas de présentation de l'extrémité cépha
remier fait. Enfant mort-né-venu en première position du sommet de la
tête
. Accouchement naturel qui a duré seize heures. A
n du cordon. Deuxième fait. Enfant mort-né -venupar le sommet de la
tête
. Suspension des douleurs après la sortie de la tê
r le sommet de la tête. Suspension des douleurs après la sortie de la
tête
. Sortie tardive du tronc. Un accouchement qui se
s les meilleurs auspices, fut confié à une élève peu intelligente. La
tête
étant sortie, les douleurs cessent ; les épaules
ème position de l'épaule droite, c'est-à-dire, celle dans laquelle la
tête
répond à la fosse iliaque gauche ; les eaux s'éta
fut obligé d'opérer une seconde fois. Lorsque le tronc fut sorti, la
tête
resta long-temps au passage, le col de l'utérus s
entait les fesses et le bras droit. Son extraction fut laborieuse. La
tête
resta au passage. Ouverture. Sang liquide autour
e heure après la naissance, malgré les secours les plus empressés. La
tête
était volumineuse, l'enfant énorme, le travail av
Un enfant venu naturellement par la première position du sommet de la
tête
, mourut trois heures après sa naissance : l'abdom
fig. i, xve livr.) Enfant à terme venu vivant, par le sommet de la
tête
. Fieds dépouillés d'épiderme et livides. Mort apr
7), est aussi considérable que celui de l'extrémité qu'on appelle la
tête
. Il adhère à la capsule surrénale et au rein droi
ou non de l'application du forceps, ne puisse amener la sortie de la
tête
intacte. L'état du cerveau dans l'hydrocéphalie
ité de liquide que mesure en général assez exactement le volume de la
tête
; on pourrait même dire cruelle est quelquefois e
observations que j'ai recueillies, ce sont les hydrocéphales à petite
tête
(micro-hydrocéphales ) qui ont présenté l'anencép
e proposition. Anencéphalie hydrocèphalique chez un enfant a petite
tête
. Sur un enfant mort-né, dont le crâne n'avait p
nce et les pédoncules cérébelleux. Réflexions. Les enfants à petite
tête
ne sont pas tous hydrocéphales : j'ai vu un enfan
s hydrocéphales : j'ai vu un enfant qui a vécu dix-huit mois avec une
tête
extrêmement petite, qui représentait celle d'un a
ait un enfant de cinq à six mois, et cependant il avait trois ans. La
tête
était énorme : désirant voir si l'hydrorachis acc
de cette société. (Revue médicale, avril i83i.) XVe LIVRAISON. 1
Tête
. Le crâne ouvert, la dure-mère et la tente du cer
cales. Ces abcès ayant été sur-tout observés dans le cas de plaies de
tête
, on a cru pouvoir l'interpréter, soit par des rap
ion notable de l'ictère; pouls faible; supination; renversement de la
tête
en arrière; langue et dents sèches. Facultés inte
t ramollie dans l'espace de quelques lignes. Un caillot gros comme la
tête
d'une épingle occupait le centre de ce ramollisse
le portait entre les cuisses une tumeur sphéroïdale , du volume de la
tête
d'un adulte ; je procédai à la réduction de cette
La tumeur formée par cette réunion de veines dilatées représentait la
tête
de Méduse dont parle M. A. Séverin; sa teinte éta
ssous des autres, forment une série non interrompue, représentent une
tête
de Méduse. Il y a épaississement de la veine au n
s entrelacées de manière, dit-il, que le bas-ventre ressemblait à une
tête
de Méduse. M. Boyer (Mal. chirurg., tom, i, pag.
sion organique, on peut admettre une apoplexie musculaire, (i) A la
tête
de Fapoplexie musculaire, à raison de sa gravité
menacé de le renvoyer à Montaigu , il lui lança son pot d'étain à la
tête
. Il avait la singulière manie de se mettre volont
le 2 mars 1828 , 3 mois après son entrée dans l'hôpital. Aottopsie.
Tête
. Infiltration sous-arachnoïdienne d'une matière g
die est bien dessinée dans l'observation suivante. Coup reçu sur la
tête
. Au bout de six mois , hémiplégie apparente penda
t serré, et prescrit le repos. L'enfant avait fait une chute sur la
tête
6 mois avant l'invasion des premiers accidents, 1
ligeance accoutumée de M. Blandin. Ce kyste qui était du volume de la
tête
d'un enfant d'un an a été trouvé chez une femme m
ans, portait, sur la partie moyenne du nez une croûte du volume de la
tête
d'une épingle à friser ; j'enlève cette croûte ;
es cas dans lesquels l'ovaire énormément dilaté, égalait en volume la
tête
d'un adulte, nous en trouvons d'autres dans lesqu
a matrice. L'ovaire de ce côté avait contracté des adhérences avec la
tête
de Venfant. Du reste, la matrice ainsi que l'ovai
embres, en un mot toutes les parties extérieures étaient ossifiés, la
tête
qui était monstrueuse et déformée, ne présentait
r celle des kystes dans lesquels ils étaient contenus. Les espèces de
têtes
supportées par un pédicule que présentent plusieu
aux communications que j'ai dit exister entre plusieurs kystes ,* la
tête
était reçue dans le kyste voisin et le col ou étr
e kyste communiquait avec deux ou trois kystes, il existait autant de
têtes
ou prolongements de l'acéphalocyste dans les kyst
fig. 7 remplissait un kyste étranglé à sa partie moyenne : les trois
têtes
sphêroïdales de son extrémité gauche étaient reçu
te un fœtus féminin (1/2 grandeur) vu de profil et du cote' droit. Sa
tête
fortement renversée en arrière, présente dans ce
ar le bord adhérent du voile du palais. Fig. 4. Grandeur naturelle.
Tête
vue par la région supérieure, et par derrière. Le
roduction delà main, qui se fit avec beaucoup de peine, je trouvai la
tête
dans le grand bassin, dans la position occipito-c
là que je prononçai « qu'il y avait anomalie. « Saisissant alors la
tête
de l'enfant à pleine main et un doigt introduit d
ent-elles une cause commune? Il me semble que le renversement de la
tête
en arrière domine en quelque sorte ces diverses a
ous les cas , il y aura spina bifida occipital. Le renversement de la
tête
en arrière n'explique pas moins la situation de l
da antérieur. Les mêmes raisons, c'est-à-dire le renversement de la
tête
en arrière, expliquent le mouvement d'ascension e
ois cavités splanchniques, sont une conséquence du renversement de la
tête
en arrière. Mais quelle est la cause de ce renv
r du col du fémur; une troisième, plus petite, dans l'épaisseur de la
tête
de cet os. Elle a été enlevée sur la figure pour
nes aux autres. La plus supérieure s'enfonçait dans l'épaisseur de la
tête
de l'os TC. Les parois du cylindre étaient égalem
après la visite. Bien que cette malade n'eût accusé aucune douleur de
tête
, aucun affaiblissement des membres et n'eût prése
consiste dans des gouttelettes sanguines concrètes, grosses comme la
tête
d'une épingle, que j'ai vu quelquefois coexister
état et sur tous les objets extérieurs. Douleur à l'épaule droite; la
tête
est souvent tournée à droite ou à gauche, et si o
e. Le 10 mai : cris plaintifs continuels, inarticulation des sons ;
tête
tournée à gauche, yeux tournés en haut et à droit
uels; respiration fréquente; pouls très fréquent, assez développé. La
tête
est revenue à sa rectitude naturelle; paupières a
encéphalite dans l'hémisphère droit. (Vessie remplie de glace sur la
tête
.) 12 mai : état toujours comateux. La malade es
(Dix sangsues aux jugulaires; vésicatoires aux cuisses; glace sur la
tête
; tisane de tamarin avec addition d'un grain de ta
pétit, mais point de changement dans l'état des membres. Pesanteur de
tête
; céphalalgie. Seconde saignée le 10 janvier. Le
ssance, râle, inspiration avec mouvement en dedans des ailes du nez :
tête
inclinée à gauche. Les yeux à demi découverts rou
e-vingt-un ans, était très sujette aux étourdissemens avec douleur de
tête
et perte de connaissance. Deux fois dans le coura
it en mal. Nous avons continué également à prendre le moulage de la
tête
de tous nos malades décédés. Nous devons d'auta
ies et les moulages nous conservons la calotte crânienne ou même la
tête
, lors- qu'il s'agit de corps non réclamés. Tr
enu et fait avorter l'atta- que, en donnant une douche générale, la
tête
non com- prise, au moment de l'apparition de l'
établissement; je considère en général les douches sur le dos et la
tête
et les douches en lame sturzbaider) comme plutô
ge-femme); il était pe tit, chétif, cyanose, jaunâtre ; il avait la
tête
allongée ; on croyait qu'il ? e vivrait pas ; 1
attribuent la maladie à l'onanisme. État actuel (le décembre 1880).
Tête
volumineuse avec prédo- minance des parties pos
euse avec prédo- minance des parties postérieures ; le volume de la
tête
va ré- gulièrement croissant d'avant en arrière
p de gentiane, sirop antiscorbutique. Etat actuel (19 mars 1882.) -
Tête
assez forte, ronde; saillie assez prononcée de
cavité interne; le système musculaire est passablement développé.
Tête
ovale, proéminence de l'occipital en arrière et s
c. Etat actuel. - Le faciès est celui d'un enfant de 8-10 ans; la
tête
présente comme caractère principal une prédominan
uf une des soeurs qui a eu un enfant « idiot », il avait une grosse
tête
, ne parlait pas ; il est mort à 15 ans. - Pas d
résumé rien de significatif. f. État actuel (27 août 1880). - La
tête
est bien conformée, sans exagération des partie
eurs du côté de la nuque ; il dit avoir faim, n'avoir plus mal à la
tête
. T. R. 18°,8. - Soir 39°; 6.50 centigr. de sulf
e moyenne, sujet à des rhumes, mais pas d'hémo- ptysie. Douleurs de
tête
assez fréquentes, n'ayant pas les -caractères d
gulière; intelligente; assez nerveuse, et sujette à des douleurs de
tête
ordinaires ; après les émotions, elle éprouve u
ement à terme, naturel, en deux heures. A la naissance, bien que la
tête
ne soit pas restée longtemps au passage . l'enf
ndant moins souvent. Voici en quoi ils consistent : étant assis, la
tête
se porte en arrière, les yeux tournent, la face
tête se porte en arrière, les yeux tournent, la face pâlit; puis la
tête
revient en avant, l'enfant dit : « ah ! papa, a
dans les bras et dans les jambes; quelquefois une secousse agite la
tête
.brusque- ment. A un moment de l'examen, les cr
res, mâchonnement de la lèvre infé- rieure ; secousses soulevant la
tête
et tantôt un bras, tantôt l'autre ; par moments
re ; par moments, la bouche s'ouvre largement, spas- modiquement.
Tête
inclinée sur l'épaule droite. Bras droit : pas de
i : \I\GO-);\I : I : I'If : lL1'rli CHRONIQUE. des épaules et de la
tête
; langue presque toujours en mou- vement, assez
stent. T. R. 3 £ ).,8. - Soir : T. 1-'L. Nouveau vésicatoire sur la
tête
; lotions vinai- grées ; inhalations d'ammoniaqu
ai- grées ; inhalations d'ammoniaque. 7 mai. Décubitus dorsal, la
tête
légèrement inclinée sur le côté droit ; bouche
ions n'augmentent pas. Le vésicatoire n'a pas pris ; glace sur la
tête
, inhalations d'ammoniaque. T. R. 40". - Soir : T.
T. R. 39°, 6. 11 mai. L'affaissement paraît encore plus grand. La
tête
est animée d'un mouvement de balancement en avant
anneau, mais ne sont pas descendus complètement dans les bourses.
Tête
. - Le crâne paraît symétrique en avant, mais asy-
le corps; pas d'apparence de syphilis; sujet à quelques douleurs de
tête
; pas de rhu- matisme. [Père, menuisier, mort on
n l'a saignée. Sujette depuis longtemps à des migraines (douleur de
tête
, nausées, vomissements, disparition en un jour)
uées à une peur causée par une bonne qui s'était mis un drap sur la
tête
pour faire le croquemitaine. Les secotisses éta
s prolongés et à un lavement purgatif. Etat actuel (30 mai 1882). -
Tête
assez volumineuse, symétrique; pas de saillie d
erra par cette description. Fémur droit. - Extrémité supérieure. La
tête
articu- laire est à peu près normale; sur la fa
rant environ 7 centimètres de long, dirigé en dedans et en arrière;
tête
très rugueuse, la cavité digitale a disparu. Co
ant, pas d'attaque, mais est très emporté; il passe pour avoir « la
tête
dure pour apprendre n; 3° no- tre malade. - La
Fiai actuel (3 décembre 1880). Poids 59",200; taille 1111, 61. -
Tête
assez volumineuse, sans prédominance de la part
ure que l'attaque approche. 2° Aura immédiate. Le sang remonte à la
tête
, les tem- pes battent, l'oreille droite entend,
de tonique. - Soudain, il se met sur son séant et devient raide, la
tête
est tendue en avant, la face tournée à gauche,
où il vient de se lever : il est abattu, courbaturé; il a mal à la
tête
, pousse des soupirs. L'exa- men attentif de la
e vouloir se jeter sur un ennemi imaginaire. Il retourne ensuite la
tête
vers le chevet du lit et regarde la lumière d'u
.... Ah ! c'est pas fort ; on ne sait pas ce qu'une femme a dans la
tête
, mais c'est pas grand'chose de bon... un vrai c
ille, elle avait de fréquents maux de tête ; à 24 ans, eczéma de la
tête
et de la face ; névralgies den- taires ; érysip
ier ; élevé au biberon, en nourrice ; repris à 9 mois « il avait la
tête
pleine de mal.»-Les premières convulsions se mo
uillet. Sous l'influence de l'inhalation, contracture générale ; la
tête
est fléchie en avant, les mains en l'air, les m
dance à se laisser tomber en arrière. Etal actuel z ? juin 1882). -
Tête
régulière ; bosse fron- tale droite un peu plus
ux tics : l'un con- siste en un balancement antéro-postérieur de la
tête
et du tronc ; au début du mouvement, la tête se
ntéro-postérieur de la tête et du tronc ; au début du mouvement, la
tête
semble suivre sim- plement le tronc, mais bient
enfants dont 4 sont morts en venant au monde ; « c'était clans la
tête
»; une autre fille est morte de convulsions, à 6
pousser de cri, le ma- lade tombe en avant : « il avait toujours la
tête
fendue; » aussitôt, rigidité générale, puis sec
tellectuelle a fait, chaque année, des progrès. Etat actuel. - La
tête
est volumineuse; la bosse pariétale gauche est
l n'aurait pas fait d'autres maladies. Etat actuel (\~i fèv. 1SS4).
Tête
. Forme générale irrégulière. Front étroit dans
lus marquée, mouvements plus faibles. Quand on assied le malade, sa
tête
retombe jusque sur le lit. 'l'.lt. 3`J°,G. G.
sieurs reprises, on lui a demandé où il avait mal : il a indiqué sa
tête
. Ce matin, la prostration est encore plus compl
la maladie) ; du reste il n'y a pas d'amaigris- sement apparent.
Tête
. - Cuir chevelu, rien sauf les plaques de teigne
hoïde ( ? J, suivie d'un état d'hébétude. - Altitude inclinée de la
tête
. - Parole, attention, affectivité, nulles. - Ma
tude qui ne l'a jamais quitté. C'est depuis cette époque qu'il a la
tête
dans l'attitude spéciale suivante : elle est in
yer, il pleure et se retire dans un coin où il passe des heures, la
tête
fléchie sur le tronc. Il ne joue jamais seul ou
sur cette maladie : il est resté trois jours sans connaissance ; la
tête
était brûlante ; il n'aurait pas ou de con- vul
en. Quand il est content, il pousse un petit cri ; il a toujours la
tête
inclinée sur le tronc, mais le corps reste droi
ce cependant seul. Il grince des dents continuellement, hoche de la
tête
. Le caractère est assez bon. L... aime à être e
'enfant a éprouvé des accidents cérébraux graves : congestion de la
tête
, perte de connaissance. Cette maladie a eu pour
précédemment constatée s'est arrêtée. L'attitude particulière de la
tête
, les périodes alternatives de propreté et de gâ
t par un e muet sur lequel il appuyait longuement. État actuel. -
Tête
ovoïde, aplatissement assez prononcé au niveau
ortiquant facile- ment ; le droit pèse 180 gr., le gauche 140 gr.
Tête
. - La calotte est tout à fait ovoïde. La bosse pa
très noirs, abondants, régulièrement implantés. - Pas d'adénites.
Tête
. - Elle est d'habitude penchée à droite en raison
suivie d'émission d'urine. Les bras se contractaient en dedans, la
tête
etait en extension forcée, ainsi que le tronc e
melonnaire. Au-dessous du sein gauche, il y a un petit 71CI;UIIS.
Tête
. Forme générale presque quadrangulaire, aplatie,
» ; outre les mouvements des yeux, il y avait des mouvements de la
tête
qui se portait alternative- ment à droite, puis
e.- Petite cicatrice arrondie, lenticulaire, sur la tempe gauche.
Tête
. - Il s'agit d'un enfant microcéphale ; la tète,
l'occipital est aplati et l'inion peu marqué. Mensurations de la
tête
(1). 56 Description DU malade. principalement
crises revenant à peu près tous les mois, précédées de douleurs de
tête
et se terminant par un sommeil profond. Elles o
régulièrement constitués dans toutes leurs parties. Mesures de la
tête
. Autopsie. 73 à chaque instant quand on l'hab
: 12°. Autopsie faite le 13 mars 1893, 10 heures après le décès.-
Tête
. - Le cuir chevelu, assez épais, présente une ecc
VIII. Arriération intellectuelle consécutive à une brûlure de la
tête
; instabilité mentale; - délire mystique;- fièvr
on développement a été entravé par la suppuration de la plaie de la
tête
. Il n'a bien marché et bien parlé que vers 3 an
es siégeant au-dessus de l'orbite gauche et s'étendant : ) toute la
tête
; quand elles atteignent une cer- taine intensit
. Alors survint une brûlure grave et étendue du côté gauche de la
tête
et de la face, qui a suppuré très longtemps et
ujours un peu anémique. Coliques néphrétiques il y a 2 ans. Maux de
tête
passagers. Caractère très doux mais impressionn
erle. Gland découvrable, méat el anus normaux. Mensurations de la
tête
. 94 Autopsie. 3 mais 2 accès dans la journée.
de la cham- bre 13°). AUTOPSIE. - Nous n'avons pu examiner que la
tête
. Cuir chevelu assez épais. Calotte épaisse, asy
lapin ». Premières convulsions à 8 mois : flexion prononcée de la
tête
, inclinaison légère du tronc pen lant quelques se
ou bien se cognait le front sur la table : « elle souffrait' de la
tête
. » - On n'aurait pas noté - en dehors de ces ac
ce qu'ex- plique la rubéole dont l'enfant vient d'être atteinte.
Tête
. Cheveux blonds, bien implantés. Crâne sensibleme
rche ci-après z Autopsie : état DES sutures.. 107 i Mesures de la
tête
. 108 . SCLÉROSE hypertrophique ET méningite.
con- vulsions, c'est-à-dire les accès de cris, les cognements de
tête
(krouomanic), les grincements de dents, nous le
ar une sage-femme, assez maladroitement, sur une présentation de la
tête
, ainsi qu'en témoigne le cer- tificat du médeci
étition. - Pendant le premier mois, l'enfant qui souffrait et de sa
tête
et de son pied brûlé aurait maigri beaucoup. Il
tre le vase. Il est devenu très peureux et a peur qu'on touche à sa
tête
. On note que, depuis son entrée dans le service
la région temporale droite parait un peu déprimée. En pal- pant la
tête
, on perçoit de chaque côté une dépression de l'os
et bromure est continué pendant les mois suivants. Mesures de la
tête
. ; i ! 0 CRANIECTOMlES : CICATRISATION DES OS.
; - Pancréas (25 gr.), normaux. Pas de calculs biliaires, etc...
Tête
. - Le cuir chevelu, médiocrement épais, présente
lecture de récits relatifs aux monstres. - Aspect monstrueux de la
tête
et de la face à la naissance.- Début de la marc
s de jalousie. - Amendement progressif de l'aspect monstrueux de la
tête
et de la face. - Habileté manuelle extraordinai
ent déprimé, les yeux faisaient saillie et « ils étaient à fleur de
tête
». On constatait sur les faces latérales des di
en son absence. R..., en naissant, comme nous l'avons dit, avait la
tête
déformée, au point de passer pour un monstre ;
Ganglions légèrement hypertrophiés au niveau des plis inguinaux.
Tête
. - Crâne oxycéphale, indice céphalique ; 1,32. Dé
rfois des grimaces, se mord l'index de la main droite en remuant la
tête
à droite et à gauche, pendant crue la main est
. Noir. - Étude sur les tics, 1894). Tableau des mensurations de la
tête
. Tableau du Poids et de la Taille. 142 HÉRÉDI
ne confiance secondaire. III. A la naissance, la monstruosité de la
tête
est Fig. 12. - R... à 26 ans (1895). IDIOTIE
e troubles mentaux. Les déformations physiques s'ac- centuent, la
tête
reste toujours monstrueuse ; de la cyphose cerv
ation il laquelle il a été soumis (16 ans) que quelques douleurs de
tête
mal définies, de rares accès épilepti- f ormes,
ous points normal; Antécédents personnels. 149 présentation de la
tête
; liquide amniotique en quantité moyenne, comme
core plus mauvais. L'enfant pâle, maigre, a l'aspect cachectique.
Tête
. - Cheveux bruns, abondants ; deux épis sur le fr
carré, sans pro- gnathisme. Oreilles assez grandes, écartées de la
tête
, bien ourlées ; lobule assez long, non adhérent
jourd'hui en raison des contractures. (Fig. 14). Mensurations de la
tête
. 154 DESCRIPTION DU malade. DESCRIPTION DU ma
s avions procédé à des applications répétées de vésicatoires sur la
tête
, suivies d'applications de capelines d'emplâtre
uche- ment à terme, naturel, sans chloroforme, présentation de la
tête
; elle a eu des petites douleurs pendant deux jou
nte tous les caractères de l'idiotie avec cachexie pachydermique.
Tête
. symétrique, assez grosse, de forme rectangulaire
irrégulièrement implantés ; les poils, peu nombreux au niveau de la
tête
des sourcils, sont plus fournis vers la queue.
ies par l'infiltration graisseuse. Les oreilles, peu écartées de la
tête
, sont bien ourlées, le lobule est nettement des
vres, poussée plus rapide des ongles, disparition des croûtes de la
tête
, desquamation des mains et des pieds qui perden
chacun de ces spasmes la physionomie change : l'enfant baisse la
tête
, fronce les sourcils et rejette la tête en avant
change : l'enfant baisse la tête, fronce les sourcils et rejette la
tête
en avant en fai- sant éclater sa voix. A table
x vertébrés, dans les ovipares surtout, une longue tige étendue de la
tête
à la queue se substitue à cette chaîne des annelé
la moelle épinière occupe toute la longueur du canal rachidien, de la
tête
à l'extrémité de la queue. Tous les poissons, sau
eux tout entier se trouve en quelque sorte attiré et condensé vers la
tête
; et la tige se raccourcissant, les segments nerv
du sympathique. Ceci pourra être d'autant plus aisément conçu, que la
tête
l'emportant fort peu chez les animaux articulés,
s deux moitiés du ganglion inférieur; Fig. 3. mais du coccyx à la
tête
, ce ganglion du sympathique se divise; l'anneau s
a face. Napoléon, Talleyrand, Schiller, Cuvier ont eu de très-grandes
têtes
. On peut supposer, en conséquence, que l'encéphal
andes têtes. On peut supposer, en conséquence, que l'encéphale de ces
têtes
avait un très-grand poids ; il est vrai qu'ils br
es qualités éminentes, mais on n'a point tenu compte de ces grosses
têtes
sans esprit qui abondent dans le monde (1). Des
e la face. Ces os, comme l'a enseigné M. Oken, sont des membres de la
tête
, aussi étaient ils compris par M. de Blainville
12 ou 14 ans, et dont la taille n'excédait pas lm,10. Le crâne et la
tête
étaient d'une petitesse vraiment extraordinaire.
arfaitement dessinés. D'ailleurs il y a de très-petits nains à grosse
tête
, et ces nains sont, qu'on me permette celte expre
à juste titre, que depuis Blumembach et Camper, la morphologie de la
tête
a été considérée comme l'un des points les plus i
leurs instincts, leurs aptitudes natives, oiïrent dans la forme de la
tête
des différences non moins frappantes. Même en l
. C'est dans tous la même forme et les mêmes proportions ; ainsi deux
têtes
de Diémenois, deux têtes à'Al-fouroux australiens
forme et les mêmes proportions ; ainsi deux têtes de Diémenois, deux
têtes
à'Al-fouroux australiens pris au hasard, seront c
ummum de ses dimensions normales, eu égard au volume individuel de la
tête
. Le critérium est ainsi trouvé; et l'homme le plu
plus savant et surtout beaucoup plus exact. Il consiste h regarder la
tête
par le vertex, en sorte qu'un seul coup d'œil emb
crate, la soudure précoce est un mauvais symptôme. Les hommes dont la
tête
est saine ont plus de sutures que les autres. Ceu
grande attention que les modernes. Hérodote (Thatie, XII) dit que les
têtes
des Égyptiens sont si dures qu'à peine peut-on le
d'Hippocrate, trad, par Llttré ; Paris, 1841, tome III (Des plaies de
tête
), suivant lequel telle ou telle suture manque en
elle suture manque en l'absence de telle ou telle, protubérance de la
tête
, opinion que nous voyons acceptée par Sylvius. [C
part que la région pariétale s'étend davantage sur le derrière de la
tête
et anticipe sur le domaine de la région occipital
se. Eh bien! chez tous, ce caractère fondamental de la race persiste.
Têtes
longues, courtes, hautes, basses, toutes sont sem
t semblables à cet égard, et le caractère est aussi apparent dans les
têtes
les plus abjectes que dans des crânes comparables
ode plus immédiate et plus simple. Il suffit, en effet, d'examiner la
tête
en la regardant de face. On sait qu'une crête plu
èbre sphéno-pariétale acquiert dans ces races un haut degré. Aussi la
tête
n'est pas seulement large en avant, elle est enco
ssentiellement de celle des Alfouroux et des nègres d'Afrique dont la
tête
, bien qu'assez petite en somme, est cependant dém
ur les côtés. Quelques personnes expliquent ce fait, en disant que la
tête
de l'homme blanc est sphéroïdale ou globuleuse. C
is chez l'enfant nouveau-né et dans quelques idiots et dans certaines
têtes
très-longues, mal conformées, la différence est p
l serait plus utile de mesurer dans les établissements d'éducation la
tête
des élèves, d'année en année, et cela aussi longt
héâtres ont évidemment une valeur exagérée. Les enfants à trop grande
tête
ne vivant pas, ils ne peuvent entrer en ligne de
est un signe fâcheux. Nous signalerons particulièrement à ce sujet la
tête
des Tasmaniens. La convexité des pariétaux, en
au d'un blanc? Quant à moi, je ne puis le croire. Les blancs à petite
tête
ont les instincts des blancs; ils comprennent la
prennent la civilisation, elle va à leur nature ; les nègres à grosse
tête
ont les instincts des nègres et leur tête, en se
ature ; les nègres à grosse tête ont les instincts des nègres et leur
tête
, en se développant, les rend plus parfaits sans d
s fait en aucune manière semblables aux blanc s. Qu'un blanc à grosse
tête
soit plus intelligent qu'un blanc à tête petite,
lanc s. Qu'un blanc à grosse tête soit plus intelligent qu'un blanc à
tête
petite, cela peut être et cela se conçoit; car, e
ègre soit plus intelligent et d'une intelligence semblable, s'il a la
tête
plus grande? Ne voit-on pas que, dans des questio
vations. Quoi qu'il en soit, il parait vrai qu'en général les grandes
têtes
(1) Il ressort de mesures très-curieuses, prise
ariétal l'emportait sur le plus grand diamètre frontal de 25mm. Cette
tête
, quoique étroite et longue, eu égard à sa masse,
de 110mm. Je l'ai trouvée égale à 90mm. seulement dans une idiote à
tête
fort réduite et dans un crâne appartenant à la ra
0,178 0,178 0,181 0,107 0,179 Hauteur du trou occ. au sommet de la
tête
. . . 0.130 0,140 0,138 0,133 0,!30 0,137 0,135 0,
amètre extérieur de 10mm seulement ; de même chez une femme blanche à
tête
fort petite, le diamètre longitudinal de la capac
re très-marqué. Ses parents sont parfaitement conformés, et jamais sa
tête
n'a subi de pressions anormales. Dans ces derni
rmis d'examiner un jeune enfant dont le front était si atténué que la
tête
, fort large en arrière, avait, vue d'en haut, la
fois sur le front et sur l'occiput qu'on aplatissait tous deux, et la
tête
prenait la forme d'un coin : telle est la déforma
rait en ceci que l'allongement était plus symétrique, en sorte que la
tête
prenait l'apparence d'un cylindre plutôt que d'un
ntal d'un côté sur le pariétal du côté opposé. Elle donnait lieu à la
tête
irrégulièrement comprimée et dilatée. Dans un q
rement comprimée et dilatée. Dans un quatrième cas, on donnait à la
tête
une forme carrée. L'une des déformations les pl
Y île de los Sacrificios. Un système compliqué de bandes donnait à la
tête
une forme trilobée. C'est là la cinquième déforma
nt ou d'un aplatissement du nez. Si, outre l'aplatissement du nez, la
tête
est obliquement comprimée sur le front et sur l
à donner au crâne une forme pyramidale, cette déformation produira la
tête
mongole, qui est la huitième forme anormale. Ou
e forme anormale. Outres ces déformations, M. Gosse admet : 9° La
tête
prognathe observée chez quelques Caraïbes et dont
lques Caraïbes et dont nous avons donné plus haut la raison. 10° La
tête
aplatie sur les côtés. Forme dont les Abassiens d
Furnari a retrouvée chez les Arabes modernes. Dans d'autres cas, la
tête
était à la fois déformée sur les côtés et sur le
éféraient la forme sphé-rique. Ailleurs, un lien ceint étroitement la
tête
, l'étrangle en forme de sablier, et produit cette
les nations de race toltécane. Enfin, certains peuples donnaient à la
tête
la forme d'un cône tronqué, comme l'ont observé à
l'origine, dit-il, l'usage seul était la cause de l'allongement de la
tête
, mais aujourd'hui la nature vient en aide à l'usa
ale (1)? Il est certain que les hommes de Toulouse ont une forme de
tête
qui les distingue, et qui se transmet par la géné
ure de certains animaux dévorants. Ils s'aplatissaient le front. Leur
tête
basse et fuyante leur donnait quelque chose du ti
mettre quelque chose en mémoire, nous nous frottons le derrière de la
tête
. Ainsi Gall n'a pas même imaginé les malheureux p
ves, leurs organes occupent la région postérieure et inférieure de la
tête
. Chacune de ces facultés a d'ailleurs, dans la ré
d on vient à la pincer? L'empereur Commode abattait dans le cirque la
tête
des autruches qui continuaient à courir. Enfin l'
at convulsif d'agitation, tandis que le segment qui tient encore à la
tête
exécute des mouvements coordonnés (3). La plupa
e l'intelligence. Si dans la décapitation le bulbe reste attaché à la
tête
, c'est la tête qui vit; s'il demeure uni au tronc
e. Si dans la décapitation le bulbe reste attaché à la tête, c'est la
tête
qui vit; s'il demeure uni au tronc, le tronc seul
mutilée obéit à l'instinct du caquetage, et quand elle dort, cache sa
tête
sous son aile; elle marche si on la pousse, et si
rieuse. Un pigeon privé de ses hémisphères cérébraux, suivait avec sa
tête
les mouvements d'une bougie à laquelle on donnait
e qui unit les centres optiques des deux yeux. Ainsi, en inclinant la
tête
de côté et d'autre on peut faire varier la positi
vement dont la spire paraissait animée. Semblait-elle se dérouler, la
tête
se contractera; s'enroulait-elle au contraire, la
e dérouler, la tête se contractera; s'enroulait-elle au contraire, la
tête
se dilatera (1). Plateau a conclu d'une série d
éthode est celle des grands esprits; les autres conviennent mieux aux
têtes
faibles qui ont moins d'intelligence et plus d'au
ent la cavité crânienne, en sorte que je le sentais ballotter dans ma
tête
; cette sensation me jeta dans une si étrange per
iller un cerveau étranger, quelque cause me rendit le sentiment de ma
tête
plus distinct. Songeant à la fois à ma tête et à
rendit le sentiment de ma tête plus distinct. Songeant à la fois à ma
tête
et à ce cerveau, ces deux idées durent s'associer
isons diverses, peut se produire aisément. On peut rêver d'un homme à
tête
de chien, d'une chimère ou d'un vampire. Un assas
raient renfermées pêle-mêle, avec des spécimens de toutes choses, des
têtes
, des queues, des membres d'animaux divers. Si nou
ses. dormant, lorsque tout à coup j'aperçus de mes yeux fermés, une
tête
éblouissante de couleur, dévie et de mouvement (1
ais au moment où il se courbe pour la ramasser, il sent passer sur sa
tête
un souffle léger et un baiser effleure sa joue, i
ir la troublent par instant, et la tentation vaincue renaît comme les
têtes
de l'hydre fabuleuse. Mais de quels viscères part
lammée descendait sans cesse, et il s'en élevait une vapeur formée de
têtes
grimaçantes et lumineuses. Ces têtes grimaçante
n élevait une vapeur formée de têtes grimaçantes et lumineuses. Ces
têtes
grimaçantes sont fréquentes dans les hallucinatio
eai par un effort violent et j'ouvris les yeux. J'aperçus alors une
tête
gigantesque. Cette tête était de feu, et me faisa
t et j'ouvris les yeux. J'aperçus alors une tête gigantesque. Cette
tête
était de feu, et me faisait d'épouvantables grima
ue cela deviendrait. Au bout de quelques instants, les contours de la
tête
devinrent oscillants ; elle semblait flotter dans
des axes optiques. Ces images semblent donc suivre le mouvement de la
tête
et des yeux. Je me suis convaincu de ce fait un
le remuante de petits hommes microscopiques; lorsque je détournais la
tête
, ces images suivaient le mouvement et ne cessaien
ude, assis et courbé très-près de son foyer, mais bientôt, sentant sa
tête
embarrassée, il se lève, se retourne et voit entr
t-il, habillé en ermite avec une longue barbe et deux « cornes sur la
tête
, ayant d'ailleurs une figure horrible et une « co
vue de ce « spectre, et pour ne le pas voir, tantôt il se couvrait la
tête
, « tantôt il la tournait vers les endroits où il
et bon chrétien (1). » Ainsi, ferme-t-on les yeux, dé-tourne-t-on la
tête
? l'objet fantastique disparaît; dirige-t-on les y
e suaire, elle marchait en baissant et en relevant alternativement la
tête
. Au bout d'une demi-heure environ elle disparut t
rque. De defect, orac. Cf. Etisèbe, Prœp. evany. Lib. V, cap. ix. «
tête
de donner des preuves de sa sagesse. Il pria Plot
avre d'homme; l'un voyait sa jambe, un autre distinguait nettement sa
tête
. Des cris d'horreur se firent entendre, et bientô
d'une furieuse manière au bruit d'un tambour (2). C'est en agitant la
tête
de droite à gauche au bruit de chants monotones q
en aide à cette manière de voir. 11 s'agit d'un ancien préfet dont la
tête
fut bouleversée par suite des événements militair
cination se produisent, pourquoi, d'un tourbillon de pensées dans une
tête
échauffée, ne résulterait-il pas un tourbillon d'
e duquel l'idée de la vie, se concentrant dans la poitrine et dans la
tête
, les extrémités inférieures semblent oubliées par
éveloppent suivant la loi d'homogénéité, comme par exemple lorsque la
tête
se portant en avant, tout le corps s'étend et s'a
ée, les yeux sont symboliquement attentifs. Imagine-t-on des sons, la
tête
penchée écoute. Les gourmands qui songent à certa
Quand, par exemple, nous voyons quelqu'un frappé d'un grand coup à la
tête
, nous portons symboliquement la main sur cette pa
s doubles. Tel était le cas de ce monstre à deux corps et à une seule
tête
qui, vers 1824, était en Cochinchine l'objet de l
re le monstre épicome de Home. On voyait, il est vrai, les yeux de la
tête
accessoire se mouvoir quand la tête normale dorma
yait, il est vrai, les yeux de la tête accessoire se mouvoir quand la
tête
normale dormait, mais, à d'autres égards, il y av
d'autres égards, il y avait entre elles une étroite sympathie. Si la
tête
principale tétait, la tête accessoire exprimait u
t entre elles une étroite sympathie. Si la tête principale tétait, la
tête
accessoire exprimait une satisfaction évidente, e
X.Basileae, 1680, d. 568. ticiper aux. joies et aux douleurs de la
tête
principale, mais la réciproque n'avait pas lieu.
e, décapité à Paris, dit Bodin, fut trouvé saisi d'une image ayant la
tête
et le cœur percés avec d'autres caractères (3).
e somnambule prenait la main de l'interrogateur, puis il se tâtait la
tête
, l'estomac, les bras, les jambes, les genoux, le
ec les mouvements du corps. Cet assentiment meut imperceptiblement sa
tête
, et l'ébranlement se propage sympathiquement jusq
mouvements, il se sent réellement plus courageux. Un homme porte la
tête
de côté, et, faisant tout à coup un retour sur lu
'abaissent, les zygomatiques et les canins font saillir les joues; la
tête
prend alors une attitude oblique, intermédiaire à
arrassent d'obstacles imaginaires, les mains grattent les côtés de la
tête
, un effort marqué de lutte contracte les mâchoire
motif d'aversion? les yeux se détournent ou se mettent en défense; la
tête
s'enfonce entre les deux épaules comme pour proté
presque ignoré! les yeux regardent avec une insistance pénible ; la
tête
feint d'écouter avec effort; les dents sont serré
gosier comme si des mucosités embarrassaient la gorge, se gratter la
tête
, les lèvres ou quelque autre partie du corps, com
es pressantes? on fait effort des poings et des épaules, on secoue la
tête
, on repousse avec les coudes, on tord ses mains c
de même celle de voler, quand on l'excite, de caqueter, de cacher sa
tête
sous son aile pendant le sommeil, persiste alors
r degrés. Depuis le jour où, pour la première fois, l'homme a levé la
tête
pour voir de plus loin, son horizon a peu grand
ez rapide ; à l'âge de 7 ans, à l'école, il dé- passait de toute la
tête
les compagnons de sa classe. Pendant la premièr
chel nous a dit en effet qu'à (le 7 ans, il dépas- sait,de toute la
tête
les enfants de son Age. Il s'agirait donc d'une
du sujet fournissait les renseignements suivants : Hauteur 1 m. 65,
tête
énorme : 63 centimètres,mains exagérément lourdes
l a la taille de 1 m. 18 et le poids de 36 kilogrammes. 1'éte. - Sa
tête
attire l'attention par sa grosseur (Voir les PI.
sons exprès cép/wlo1l1étrie, pour indi- quer les mensurations de la
tête
sur le vivant ou sur le cadavre, qu'il ne faut
ce et ne pas con- fondre la céplialométrie avec la craniométrie. Sa
tête
présente les mensura- tions suivantes : 36 ZO
esque d'une largeur de poing, même quand les talons se touchent. La
tête
du péroné se met en évidence, faisant partie de
ces deux affections : dans le rachitisme, les os du tronc et de la
tête
sont habituelle- UN cas d'achondroplasie 39 m
n nain d'une taille d'environ 80 centimètres. En ce qui concerne la
tête
, nous trouvons que le crâne est brachycé- phale
pend de l'élargisse- ment du plateau tibial et de la position de la
tête
du péroné, qui remonte plus haut que d'ordinair
a douleur atteint le maximum d'intensité quand le malade fléchit la
tête
en avant ou de côté plus librement, il la tourne
rale (douleurs ! ). Maximum de douleurs pendant l'abaissement de la
tête
. Pas de changements dans les nerfs crâ- niens,
es) ? Etat actuel, 17 mars 1907. Son état général est assez bon. La
tête
est mobile normalement dans tous les sens. La p
te est plus large que la gauche, cette dernière est grande comme la
tête
d'une épingle. Les deux réa- gissent faiblement
fait des efforts, on voit apparaître des mouvements associés de la
tête
et de la main gauche. Le membre supérieur gauch
ements sont ac- compagnés des mouvements de la main droite et de la
tête
. Le tronc est immo- bile. La jambe droite immob
. in-8», XIII-312 pp. ORNITHOMANCIE MÉDICALE : LE CHARADRIOS 93
tête
; si au contraire le malade doit guérir, l'oiseau
l'affaiblissement. Près d'elle un oiseau blanc à long cou avance la
tête
comme s'il voulait la poser sur ses genoux, et
eau : sur l'un, l'oiseau lixe le malade, sur l'autre il détourne la
tête
. Les miniatures représentant cette scène sont t
sur le plancher avec les bras appuyés sur un monceau de bois et la
tête
sur ses bras. Quand l'envie d'uriner ou d'aller
- La motilité du cou est assez bien conservée. Elle peut tourner la
tête
à droite et à gauche, en haut et en bas et très
'Aurélie est plutôt mince, quoique son visage soit assez gros et sa
tête
carrément dessinée. Le crâne est assez développé,
evé chez sa soeur : il s'agit d'un léger tremblement statique de la
tête
avec balancement régulier à droite et il gauche
les altérations de la parole, le nystagmus, les oscillations de la
tête
, etc., doivent faire songer à une atteinte des
1 ans. M. A. fut victime d'un accident ; il reçut une poutre sur la
tête
et fut atteint de deux plaies du cuir chevelu s
ait même une plaie superficielle. 24. M. A. cherche à se frapper la
tête
contre les murs. Mêmes idées mé- lancoliques et
138 MARCHAND 4 juin. M. A. veut à plusieurs reprises se frapper la
tête
contre le mur; il tente de s'étrangler avec ses
ment d'une perte de connais- sance d'une durée d'une heure. Maux de
tête
les jours suivants sans au- tres troubles. Douz
même temps, gon- flement de la face et du cou. Les mouvements de la
tête
sont limités et doulou- reux. La malade pouvait
qui envahit le corps thyroïde et la partie inférieure du cou. La
tête
est immobile et un peu fléchie. Le cou est un peu
rieures et dorsales supérieures sont douloureuses à la pression. La
tête
peut exécuter des mouvements bien limités sans pr
semaines avant sa mort des douleurs et des élancements derrière la
tête
. En même temps la face et le cou enflent. Neuf se
issant le bas du cou et le corps thyroïde. La figure est enflée. La
tête
reste immobile, raide. Membres supérieurs complèt
en partie au moins à la tumeur (gonflement du cou, immobilité de la
tête
). La structure histo- logique des foyers de lés
lle est normale et ne présente qu'une dilatation veineuse. Quand la
tête
se fléchit du côté droit on voit en bas les fai
toïde, splénius et sus-épineux du côté gauche. Les mouvements de la
tête
sont normaux. Le membre supérieur gauche ne peut
es solides, elle avale mal aussi les liquides. Les mouvements de la
tête
sont très restreints, elle peut seulement faire
'urine. Fièvre. Rien aux poumons. 8 septembre. - Mouvements de la
tête
impossibles. Dans le membre supérieur gauche, l
nsion de tous les orteils. 17 septembre. - Douleurs du cou et de la
tête
. Rétention de l'urine et des matières fécales.
'urine et des matières fécales. Fièvre. 2'l. Les mouvements de la
tête
sont limités (elle tient la tête toujours du cô
Fièvre. 2'l. Les mouvements de la tête sont limités (elle tient la
tête
toujours du côté droit et se plaint d'une sensa
que était intacle. Quelques semaines plus tard les mouvements de la
tête
sont devenus impossibles, aux membres supérieurs
meur arrivait jusqu'à la colonne vertébrale même (immobilité de la
tête
et du tronc pendant la vie ! ) et comprimait le
se plissera symétri- quement. Ordonnez à quelqu'un de fléchir la
tête
avec force, en vous opposant à ce mouvement par
ie morphologique. Les métatarsiens lésés ne sont pas déformés : les
têtes
sont petites, disposi- tion souvent normale ; l
e est nettement plus floue et irrégulière que sur un os normal ; la
tête
métacar- pienne et la base de la phalange adjac
flexion est normale. La palpation montre à la partie dorsale de la
tête
de la première phalange, un ressaut osseux net,
qui a 11 ans, est un garçon grand et fort, mais bêtasse et mauvaise
tête
; il n'y a pas plus de trente mois qu'il n'urin
rantes ; après quelques heures de tristesse, l'enfant se plaint de la
tête
et de- vient immobile,avant de perdre connaissa
ACHONDROPLASIE (G. Franchini el M. Zanasi). Radiographie de la
tête
de Bernabé Andréa. (Obs. 1). Masson & Cie,
çurent qu'il n'était pas comme les autres enfants et qu'il avait la
tête
très grosse. Dans son jeune âge, il a souffert
du monde entier. Notre patient, à cause de sa petite taille, de sa
tête
énormé- ment développée et de ses extrémité rac
tographie, le sujet constitue un cas typique d'achondro- plasie. La
tête
est énorme, carrée, avec des bosses frontales sai
NDROPLASIE EST-ELLE HIsnDITA1RF 251 rieur se montre irrégulier ; la
tête
du péroné surpasse en partie en hauteur la lign
l resta toujours de forme petite et de constitution assez grêle. La
tête
n'était pas très grosse, mais le devint dans la
sans qu'il y eût des dérangements particuliers pour le patient, sa
tête
commença à grossir hors de mesure, et dans les
il épousa une femme saine, mais de dimension très petite, ayant la
tête
grosse et les extrémités excessivement raccourc
très irrégulièrement constitué à cause du fort développement de la
tête
et du raccourcissement anormal des extrémités,
sement anormal des extrémités, particulièrement des inférieures (La
tête
, le tronc, les extrémités montrent les caractér
x, il fut allaité par sa mère. Dès sa naissance il a toujours eu la
tête
très grosse, le médecin affirme même qu'il s'ag
pement corporel se montra insuffisant et anormal, car tandis que la
tête
et le tronc croissaient comme chez un individu
tête et le tronc croissaient comme chez un individu normal (même la
tête
était bien plus grosse), les bras et particuliè
ur reconnaitre dans notre patient un cas typique d'achondroplasie. La
tête
grosse, carrée, ultra-brachycéphale, son tronc
de tout son corps ont toujours été évidentes dès sa naissance ; sa
tête
a été toujours grosse et les extrémités très racc
i 12 ans environ, elle est haute de 80 centimètres seule- ment ; sa
tête
est grosse, les extrémités sont très raccourcies
ie, vu sa taille très petite par rapport à son âge, la grosseur de la
tête
, le rac- courcissement des extrémités. En rés
iculation du genou, le fait remarquable est que presque toujours la
tête
du péroné arrive plus haut que d'ordinaire. Au
varient selon la grosseur de la tète, de manière que ceux ayant la
tête
la plus grosse seraient les plus insuffisants.
plus insuffisants. En.ce qui concerne nos cas, quoique dans l'un la
tête
soit fort grosse, nous pouvons parler de mental
ntion du chi- rurgien à cause de la grosseur disproportionnée de la
tête
. On dit généralement que l'on naît achondroplas
xtrémités raccourcies et le tronc normal, mais affirme aussi que sa
tête
n'était pas très grosse et que c'est seulement à
lieu nous avons dit que la mentalité de nos malades est normale; la
tête
est grosse, hyperbrachycéphalique, ce qu'on ne
soupçonner une telle forme morbide. Dans le nanisme rachitique la
tête
est grosse, mais pas de la forme que nous avons
le qui main- tenant a 12 ans, est haute de 80 centimètres, qui a la
tête
grosse, les extré- mités excessivement raccourc
peu près une quinzaine d'années, on commença à s'apercevoir que la
tête
et la mâchoire inférieure de la malade grossiss
qu'on l'aperçoit, on est immédiatement frappé par la grandeur de sa
tête
, la largeur et la difformité de son maxillaire
fecte une forme à peu près rectangulaire, mais si on consi- dère la
tête
et la figure dans leur ensemble et que l'on vise
it pas être mise en jeu, les lésions osseuses étant localisées à la
tête
. La malade,nous l'avons ditplus haut,est légère
observées à des altérations du système nerveux périphé- rique de la
tête
; on ne voudrait pas se ranger à l'hypothèse d'un
e hémianesthésie sensitive sensorielle gauche, de la rotation de la
tête
et des yeux à droite et d'une hémianopsie bilatér
lle récidive (octobre 1905) apparut une très violente douleur de la
tête
et des yeux et parfois de l'amblyopie. Chez .le s
s opérations mentales compli- quées ; comme par exemple de faire de
tête
l'inversion de nombres complexes (de cinq chiff
ilitique fut contractée, l'alcoolisme, les chocs traumatiques de la
tête
, le manque ou l'insuffisance du traitement spéc
is tenu en considération,.es1 représenté par les traumatismes de la
tête
. Ainsi-leur influence dans les tumeurs cérébral
tent entre les symptômes cérébraux et les chocs trauma tiques de la
tête
chez les syphilitiques.Nonne, bien que ne mécon
n que ne méconnaissant pas l'influence des chocs traumatiques de la
tête
sur le développement de la syphilis cérébrale, se
orte à un ouvrier chez qui, trois mois après une grave lésion de la
tête
, apparu- rent les signes d'une hémiplégie gauch
héréditaire grave, l'alcoolisme chro- nique et les traumatisme à la
tête
représentent souvent, surtout s'ils viennent se
; la vue est bonne. L'examen de la sensibilité à la face et sur la
tête
ne démontre pas de modifications pathologiques.
du nerf trijumeau ne provoque pas de douleurs, la percussion de la
tête
est indolore. Membres supérieurs. La malade peu
lade, les douleurs dans les bras apparaissent. Les mouvements de la
tête
sont peu étendus. Pas de rigidité de la nuque.
A présent la malade se plaint de douleurs de la moitié-gauche de la
tête
. Elles sont plus fortes la nuit. Outre cela, doul
e, a un mauvais état général La percussion de toute la moitié de la
tête
est douloureuse. La fente palpébrale droite est
le segment antérieur de la capsule interne, le noyau lenticulaire, la
tête
du noyau caudé, la capsule externe et l'avant-m
ieurs petits foyers de ramollissement ; un autre foyer dé- truit la
tête
du noyau caudé gauche ; la couche optique droite
un foyer de ramollis- sement, grand comme un haricot, a détruit la
tête
du noyau caudé et une partie du segment antérie
sphonique. Bien con- servés, les mouvements passifs et actifs de la
tête
, du cou et du tronc. Mouve- ments passifs et ac
La coque membraneuse, largement ouverte, laisse voir l'usure de la
tête
fémorale. HOSPICE DE BICÊTRE TRAVAIL DE SERVI
ses limites sont imprécises sur- tout vers l'extrémité distale. La
tête
métatarsienne est un peu élargie à sa base ; la
ale axiale, on en compte six à sept principales : les travées de la
tête
sont pâles, minces, dis- continues, en réseau (
on y distingue quelques tubercules crus de la grosseur d'une forte
tête
d'épingle. Les ganglions hilaires ne sont pas hyp
par la face profonde, dépolie, de la membrane, d'autre part par la
tête
fémorale vaguement convexe, bosselée, érodée, anf
l n'y avait pas trace d'amas purulents ou caséeux. Sur l'os sec, la
tête
est petite irrégu- lière, d'aspect spongieux. A
x autres en valgus. En outre quand le poing est fermé, la quatrième
tête
méta- carpienne fait peu saillie ; mais la briè
e transversa- lement ; t'épiphyse est élargie dans le même sens. La
tête
du deuxième méta- carpien est aussi élargie, la
aphie montrait deux faits essentiels : un léger élargissement de la
tête
métacarpienne, et une exagération de la trans-
et une exagération de la trans- parence osseuse, localisée à cette
tête
. Les dimensions des os, prises sur la radiograp
yse est réduite au minimum et à peine plus étroite que la base ; la
tête
est élargie et forme avec le corps un angle à s
ulaire est apla- tie. L'ombre osseuse, particulièrement celle de la
tête
et du bord radial, est avec évidence plus clair
us externe est court,-plus que son voisin de toute la hauteur de la
tête
de' celui-ci ; il est trapu et sa tête est larg
in de toute la hauteur de la tête de' celui-ci ; il est trapu et sa
tête
est large. WAGNER (2) a vu chez une jeune fille
es anomalies des surfaces articulaires : aplatis- sement inégal des
têtes
métacarpiennes, dysharmonie dans le gonflement
iitéta- tarsien dont la tète ne dépasse pas celle du cinquième ; la
tête
du qua- trième métatarsien droit présente un dé
cette jambe de même que les contractions spasmodiques nocturnes. La
tête
et la moitié supérieure du corps transpirent très
crâniens sans lésions. Pupilles égales. Le malade tient toujours la
tête
penchée un peu en avant et à droite. Les mouvem
s la tête penchée un peu en avant et à droite. Les mouvements de la
tête
en avant sont bons, en arrière * impossibles (d
transpiration de la partie su- périeure et inférieure du corps : la
tête
et la moitié supérieure du corps étaient mouill
té. Le patient est prié de répéter les paroles suivantes : Testa (
tête
). Sesta. Roma (Rome). Si...si...si... Gamba (
ses et l'épendyme ventriculaire. Nettement délimité au niveau de la
tête
et du tronc du noyau caudé, ce faisceau est en
par un' volume exagéré du crâne, il en est dont la petitesse de la
tête
retiendra votre attention^ Atteints, dès le jeune
s quelque temps; elle pesait alors 21 kilos, la circonférence de sa
tête
était de 48 centimètres, sa taille mesurait 1 m
un garcon nommé Ernest, de même très bien conformé, en dehors de la
tête
qui était plutôt grande ; il était très intelli
mauvais caractère. A l'âge de 18 ans (1865), la circonférence de sa
tête
mesurait 53 centimètres, il pesait 19 kilos; à
ssi très bien proportionné à 1 ans. en 1865, la circonférence de sa
tête
mesurait 48 centimètres. Chez lui aussi les rég
a taille avait augmenté depuis 1892 : de 0 m. 926 à 1 m. 145. Sa' 1
tête
était petite et ronde,mais aucun des auteurs qui
Les trois sujets de la famille Maggi et la demi-mondaine avaient la
tête
un peu grosse et la même déformation du nez que
ue quel- ques anomalies apparentes : le volume un peu exagéré de la
tête
, la confor- mation du nez et la déformation des
ute éducation et avec les habitudes d'éthylisme ! Examens locaux. -
Tête
. Le crâne est hyperbrachicéphalique ; vu de fac
achondroplasiques ; l'os occipital est très développé et donne à la
tête
, .vue de profil, un aspect presque carré. La
ergie et la tonicité des muscles sont normales et la mobilité de la
tête
est parfaite. f Thorax. - Le développement du t
mu,l, l'un* LA. MICROSOMIB ESSENTIELLE HÉRÉDO-rAMILIALE 549 de sa
tête
l'entraîne, comme c'était le cas chez le nain ach
total d'éducation, il sait un tas de choses et est capable de tenir
tête
en toute occation à tout enfant de son âge et mêm
males. Les glandes lymphatiques sont impalpables. La mobilité de la
tête
est parfaitement normale. Thorax. Le thorax est
et comme lui il a un développement normal des poils aussi bien à la
tête
et au visage 556 6 ETT0RI5 LEVI que sur le tr
l'éducation très relative, est parfait. Examens locaux. - Crâne. La
tête
,vue de face,paraît absolument nor- male ; en la
ée. La base et la partie adjacente du corps semblent norma- les. La
tête
peut être elle aussi de forme à peu près normale
s modifiés d'une façon différente. Cepen- dant la morphologie de la
tête
nous a paru présenter des altérations moins mar
, 1902-1903. ' XXIII 3S 574 CHEVALLIER A priori le retrait delà
tête
métacarpienne ou métatarsienne doit amoin- drir
d'orthopédie, 2' année, n· 9, 1" janvier 1910. 576 CHEVALLIER La
tête
et le tronc ont, plus encore en largeur qu'en hau
s sexuels. BRACHYMÉLIE MÉ'l'APOD1ALE CONGÉNITALE 577 lésées ; les
têtes
sont élargies, mais plus exubérantes, les surface
ou entre deux épiphyses, mais plutôt une dénivellation anormale des
têtes
. Quand le raccourcissement prédomine sur plusie
e est de règle ; le quatrième rayon est le plus souvent atteint. La
tête
de l'os bref n'était pas intacte dans 1 e cas de
souvent assez court, et sur le vivant, il n'est pas rare de voir sa
tête
ne former qu'une saillie minime quand le.poing
céphalique du troisième métacarpien a légèrement glissé de côté; la
tête
paraît aplatie; l'os est un peu raccourci (lési
3° Le raccourcissement porte sur la diaphyse. En règle générale la
tête
est plus ou moins aplatie. La paresse du cart
a enlevé 5 arcs cervicaux, le malade pourtant pouvait bien tenir la
tête
, Dans un autre cas de ëtertz, on a enlevé 6 arcs
l faut placer le malade dans laposition de 7"reHe/en&M ? < !
tête
en bas autant que possible. A partir du moment
rois supérieure et inférieure de la corne frontale, en sorte que la
tête
du noyau caudé se trouve accolée à la substance b
onc la forme d'une cavité étroite à direction oblique qui sépare la
tête
du noyau caudé des circonvolutions de la face méd
mière du troisième ventricule s'est trouvée notablement réduite. La
tête
du noyau caudé (PI. LXXVI) est en grande partie d
sage glabre, la peau fine et claire, la physionomie infantile et la
tête
relativement un peu grosse, le cou un peu court,
enne ; il se met en rapport par des surfaces planes en haut avec la
tête
métatarsienne, à peine modifiée, en bas avec le
doigt sur- numéraire s'implanle sur la partie dorsale externe de la
tête
du quatrième mé- Ons. V. - Mains du frère de Cl
obiles, et il est facile de mobiliser la base de la première sur la
tête
métacarpienne. On ne sent pas de tendon par la
riige und Aussalze, de Gaupp et Pagel. Babès. Anomalies conge de la
tête
déterminant une transformation symétrique des q
reux tics ; nuit et jour elle pratique l'onanisme ; elle balance sa
tête
de droite à gauche ; elle est flaireuse ; très
s trouve normaux. 10° Les phalangettes sont quelquefois renflées en
tête
d'épingle, quant au premier et au deuxième doig
ème et le cinquième orteils sont recour- bés en un crochet, dont la
tête
se dirige vers le pouce (PI. LXXXII). Quant à l
excavation exagérée du creux de la main, une saillie prononcée des
têtes
des métacar- piens. L'éminence hypothénar est t
ouvrage spécial. Il s'agit d'une esquisse de Rubens, étude pour la
tête
de la démoniaque du tableau du musée de- Vienne
d'un tremblement qui, d'abord localisé aux membres, avait envahi la
tête
agitée dès lors de petits mouvements d'oscillat
versal et qu'elle était accompagnée d'un renversement exagéré de la
tête
en arrière. Cette extension de la tête et du cou
n renversement exagéré de la tête en arrière. Cette extension de la
tête
et du cou était telle que, pour regarder en fac
ainsi dire de la contracture des muscles extenseurs du cou et de la
tête
. Il n'en est pas moins vrai qu'au premier abord
partirent à l'improviste. D... se baissa aussitôt, mais trop peu. La
tête
passa bien sous la voûte de la porte sans s'y h
une sensation. D... raconte qu'on le ramena chez lui en voiture, sa
tête
retombait sur sa poitrine sans qu'il lui fut po
urs extrêmement vives qu'il éprouvait aux moindres mouvements de la
tête
, douleurs qui furent soulagées par l'applicatio
catrisation s'observe sur la plante du pied gauche, au niveau de la
tête
du cinquième métatarsien. La malade dit que ses
chirurgien des hôpitaux, qui constate une subluxation en haut de la
tête
du fémur gauche. Cette subluxation met obstacle
vicieuse imposée à la cuisse gauche, une subluxation en haut de la
tête
du fémur gauche. Cette lésion assombrit assurémen
lle ne voyait presque .pas. 1 Il n'y a aucun commémoratif de mal de
tête
du côté droit. M. Nettleship fit l'examen ophta
ation excessive, ni de soif exagérée. Pas de courbure du rachis, la
tête
ne tombe pas sur le sternum. Le crâne n'avait p
eurs pas plus attention. Une couple d'années plus tard, douleurs de
tête
continues. Bientôt il remarqua que ses pieds comm
urait changé dans les dernières années. Aggravation des douleurs de
tête
qui, bien que continues, présentent des paroxys
présentent des paroxysmes très violents dans la moitié gauche de la
tête
. Dans l'été de 188G, diminution de la vue, d'ab
ds orbitaires du frontal sont aussi assez fortement proéminents. La
tête
toute entière a une forme particulière d'ovale
s la partie supérieure de la région dor- sale une cyphose plane; la
tête
est fortement courbée en avant, les parties mol
. Les fonctions cérébrales ne sont pas sensiblement Iroublées. La
tête
est épaisse, le visage grand et large, mais sa fo
jour, traitement d'essai, dit M. Erb, consista en galvanisation de la
tête
, de la nuque et du grand sympathique, bains tiè
Et même, en lui supposant une vertu plus qu'humaine, lorsqu'il a en
tête
des émotions qui établissent des besoins, la lo
parle que le patois tyrolien. Elle reste immobile sur son siège, la
tête
pen- chée, semblant réfléchir profondément, ple
illeurs le même; ses mains sont froides et violettes; elle tient la
tête
penchée, se bandant quelquefois les yeux, avec
elle prend un bain et cherche à plusieurs reprises à s'enfoncer la
tête
sous l'eau.- Esprit d'opposition très arrêté; se
ortes, le visage contre le mur; ou reste immobile sur sa chaise, la
tête
fléchie, les yeux fermés. Le 13, l'état catalep
pièce médiane subdivisable en deux parties, servant de soutien à la
tête
pendant l'opération. Ces deux parties de la piè
ssez délicate : elle dé- pend de la grosseur et de la forme de la
tête
et du cou du sujet. En ce qui regarde la grosse
de la tête et du cou du sujet. En ce qui regarde la grosseur- de'la
tête
,, on fera varier les dimen- sions du collier en
qui se trouvent sur le bord supérieur de la tige dé fer ; plus la'
tête
est volu- mineuse, plus la boucle doit être pla
menton et la pièce, qui est' destinée ne soutenir. U Voici donc la "
tête
en place, toute harnachée pour' ainsi dire. Reste
n sera fixé sur le cran où s'appuiera supérieurement la pièce de la
tête
, sur la largeur de la courroie unissant les pièce
attaques ou les vertiges sont annoncés par une violente douleur de
tête
du côté droit. Depuis son entrée jusqu'au let j
-Pres- sion dynamométrique : main droite 35, 'main gauche 30. La
tête
ne présente pas de déformation notable. ' L'oreil
ient s'adapter à celles de la mâchoire supérieure. Les lignes de la
tête
étaient peu ou pas altérées, de façon que la fa
e moyenne, fortement courbée en avant, marchant lourdement, dont la
tête
était extraordinairement grande et mal conformée;
e de l'oeil gauche; de même dans la zone périorhitaire. Là face et la
tête
sont en effet sensibles, faisant en cela except
taire. Il y a persistance des réflexes cornéen et conjonctival ; une
tête
d'épingle mise en contact avec la cornée ou la
re, mais sans réussir à romprelespasmc. Lorsqu'on lui ren- verse la
tête
en arrière, l'occlusion se maintient. On a, du re
t la protubérance occipitale sont saillantes. Les diamètres de la
tête
sont : 131 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPI :
uit minutes, et le malade se relève ; il accuse un vio- lent mal de
tête
pendant toute la journée et ses idées restent con
t. Celui de gauche est un fébricitant. Il se soulève avec peine, la
tête
retombe en avant, la figure exprime la souffrance
st en même temps plein de déférence. La jeune malade est assise, la
tête
enveloppée d'un foulard blanc et appuyée sur un
pées il mi-corps forment toute la composition. Une femme assise, la
tête
enveloppée, boit une liqueur que vient de lui v
l fait à peine attention aux questions qu'on lui pose. Il marche la
tête
penchée en avant, le dos arrondi, les jambes éc
ffira de le rappeler en quelques mots. Dans la station debout, la
tête
est fortement inclinée en avant : le tronc est
ures pour se rendre compte que si, par l'inclinaison en avant de la
tête
et du tronc, ce sujet appartient au type vulgai
forme hémiplégique. Attitude anormale. - Extension excessive de la
tête
et du tronc. Pauline Dro... âgée de 50 ans, plu
deurs dans la nuque. A partir de cette époque, les mouvements de la
tête
et du cou devinrent difficiles; peu à peu sa tè
E DE LA SALPÊTRIÈRE. malade est la suivante (pi. XXVIII, XXIX) : la
tête
est rejetée directement en arrière, en extensio
se meuvent que lentement, péniblement cl par un effort soutenu. La
tête
et le tronc restent également figés en extension.
ières très peu fréquent. 1. Ce facics associé au redressement de la
tête
el du tronc donne à la malade un air de majesté
nous venons de rapporter l'histoire, un redressement excessif de la
tête
. Cette observation et la nôtre sont, du moins à
non seulement la face mais encore la moitié gauche du front, de la
tête
, en avant et en arrière et elle se limite en ba
envahit la totalité de la face ainsi que la région postérieure de la
tête
et du cou; pour interpréter cette insensibilité
llon de l'oreille est insensible. Toute la partie postérieure de la
tête
et du cou, est restée sensible de même que la m
de doigt au-dessus de l'oreille droite. La partie postérieure de la
tête
est insensible. La cornée et la conjonctive son
, la contracture se produit; le 13, au matin, nous l'examinons. La
tête
est en rotation à droite : le sterno-cléido-mas
inclinaison du tronc en avant, le bassin a subi une rotation sur la
tête
des fémurs, rotation par laquelle la symphyse pub
qui méritent d'être particulièrement décrits, en commençant par la
tête
, on trouve ceux du crâne. Mais pour nepas tombe
tères qui se distri- buent aux parties supérieures du tronc (cou et
tête
), aussi ces artères devaient- elles s'agrandir
t-il faire que goutte à goutte : il avait outre cela une douleur de
tête
insupportable ». Pascal, hélas ! fut saigné, purg
phrase, et quelquefois même au milieu d'un mot ». Les douleurs de
tête
augmentent, il est pris de convulsions qui dure
t depuis des mois ou si c'en avait été l'effet. A l'ouverture de la
tête
, le crâne parut n'avoir aucune suture si ce n'est
ite. Par contre, à son extrémité interne, le relief au niveau de la
tête
du sourcil est plus accusé à gauche qu'à droite
ntracturée vers le bas. Si l'on tient le dia- pason au-dessus de la
tête
ou au niveau du front, la langue se replie sur
les contractures semontraient simultanément dans les muscles de la
tête
et du cou, de telle façon que la tête prenait l
nément dans les muscles de la tête et du cou, de telle façon que la
tête
prenait la même attitude que la langue, elle se
LLE ICONOGRAPHIE DE LA SAI,I)PTI11rRE. A la mâchoire inférieure les
têtes
des condyles sont relativement minces d'avant e
ur l'apophyse transverse correspondante, elles s'articulent avec la
tête
et la tubé- rosité d'une côte surnuméraire long
n 1879, âgé de trente -six ans comme matelot; était un peu mauvaise
tête
. A fait la campagne d'Italie, stationné à la Ma
uemment. Tout à coup il sent une bouffée de chaleur lui monter à la
tête
; ses- tempes battent, il devient très rouge, cr
la face ne s'accompagne pas de vertiges, seulement, s'il baisse la
tête
dans ces moments-là, elle lui tourne quand il l
uché sur le flanc droit, le ventre tourné il droite, les bras et la
tête
rejetés en arrière. Ces grands mouvements se répè
is sans altitudes passionnelles, avec quelques dé- placements de la
tête
, quelques mouvements des jambes et des bras d'ord
a sensation d'aura avant sa crise, à la poitrine, au cou et dans la
tête
; il sentait ses yeux devenir fixes et le sang l
teur maxima de la face supérieure de l'épine, 37 mill. Humérus. -
Tête
rugueuse, inégale, déformée par un certain allong
une sorte de crochet au-dessus du col anatomique. Sur tous deux, la
tête
présente à la partie inférieure une sorle de croi
iveau des tubérosités, soudées à l'extré- mité supéro-externe de la
tête
. A gauche, on voit là un trou prouvant qu'il s'
E DE L'ACROMÉGALIE. 337 rhantérienne a disparu. Tout autour de la
tête
, trous vasculaires considé- rables. Le corps a
nsions : longueur totale 20 centi- mètres ; diamètre vertical de la
tête
52 mill. il droite, 18 mill. à gauche; lar- geu
re 73 mill.; largeur de la partie articu- laire 41. mill. Radius.
Tête
et col normaux. Tubérosité bicipitale très sailla
riciers sont normaux vers le grand trochanter; un peu élargis vers la
tête
. Tête spongieuse, un peu érodéc : 47 mill. de d
sont normaux vers le grand trochanter; un peu élargis vers la tête.
Tête
spongieuse, un peu érodéc : 47 mill. de diamètre.
(sur un cas de à forme hémiplégique avec attitude anormale de la
tête
et du tronc (extension), par Dutil, 165. Para
llement larges et longs. Les membres et le dos étaient poi- lus. La
tête
était grosse; les fontanelles n'étaient pas fermé
ssion marquée d'idiotie; la face était large, le front fuyant et la
tête
petite. La .langue large pendait eu dehors de l
nte. Il estpropre et paraît susceptible d'affection (Fiq. 4 .) La
tête
est grosse et ronde; la face large; les yeux sont
kil. 530 (taille : 38 pouces (0 m. 78). Elle était très grasse ; la
tête
, aplatie au vertex, était très large latéraleme
erme. - A la naissance, il était gros, mais paraissait difforme; la
tête
surtout était « horrible voir». Il a été élevé au
manie, de pyromanie, d'onanisme; ni descrofulides. 48S0. 17 mars. -
Tête
très volumineuse, le crâne est assez ré- gulièr
e sobriquet de Pacha, sous lequel il est connu dans la maison. La
tête
, légèrement fléchie sur le thorax, est volumineus
ésentent un lobule bien développé; elles s'écartent fortement de la
tête
en arrière. CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 25 La bou
n sent distinc- tement le larynx sur la ligue médiane en plaçant la
tête
dans l'extension et en déprimant fortement les
, il était mal en train ; il semble que la peau du côté droit de la
tête
, tempe, et région pariétale, est rosée et un peu
de cet âge, et si la grosseur des diverses parties du corps, de la
tête
, du tronc, des membres, n'était démesurément ex
e la tête, du tronc, des membres, n'était démesurément exacérée. La
tête
, en effet, est volumineuse, le col est court, l
silencieuse ; elle ne sait pas diriger son regard, ne peut tenir la
tête
, remue les membres, mais sans les diriger, ne p
devi nt épaisse et indistincte ; elle souffrait de maux de tête, sa
tête
s'inclinait sur la poitrine; les mains et les pie
les yeux, les narines dilatées, les oreilles grandes et plates. La
tête
ne pend pas en avant, mais le cou semble raccourc
la Bourneville, 1886. 5 66 IDIOTIE CRÉTINOÏDE. main derrière la
tête
, mais les mouvements sont lents ; la parole est
irme la rigoureuse exactitude de ces renseignements. Cet homme a la
tête
un peu forte, mais régulière, nez aquilin'. - L
dents de lait1. Le visage est complètement imberbe. Par contre, la
tête
est couverte d'une chevelure abondante et d'un
est couverte d'une chevelure abondante et d'un châtain foncé. La
tête
est grosse et irrégulière. Le front, fuyant en ar
oncée de toute la surface cutanée. Sa taille était de om96 cent. La
tête
était assez volumineuse, plutôt brachycé- phale
é aussitôt l'attention. Les viscères abdominaux étaient normaux. La
tête
était large et d'une forme particulière; le fro
au-devant de la fontanelle antérieure. La partie postérieure de la
tête
était petite. Les traits étaient lourds et épai
d'épaississements miliaires atteignant quelquefois le volume d'une
tête
d'épingle, en partie confluents, scléreux ; il y
interstitiel abondant. - 4° La peau des diverses parties du corps (
tête
, tronc, membres, scrotum), est normale, sauf un
ts d'oreilles. Ni dartres, ni teigne. Jamais de traumatismes sur la
tête
, pas de vers. Etat actuel (21 avril 1886). Crân
il gauche. - L'ouïe semble nor- male ; en effet, l'enfant tourne la
tête
quand on l'appelle ; il se détourne aussi quand
e, yeux mi-clos, bouche ouverte. Le malade parait se plaindre de la
tête
; quand on la lui soulève il se met à pleurer.
ration.. SYMPTÔMES. 111 1 Cou flexible, mais les mouvements de la
tête
semblent toujours pénibles. La contracture a no
ne crie pas, ne s'agite pas; il remue les lèvres, tourne parfois la
tête
. Si on approche trop de son lit, il se plaint.
. Thymus persistant, mais peu développé. - Testicules infantiles.
Tête
. - A l'ouverture du crâne, il ne s'écoule que trè
nsibilité normale des deux côtés. Quand on met le malade debout, sa
tête
tombe en arrière. Hémiplégie avec contracture d
conservation de la sensibilité générale et abolition de la vision.
Tête
balante. Le lendemain de l'entrée de l'enfant,
e à gauche. Affaiblisse- ment des muscles du cou et de la nuque, la
tête
tombe en ar- rière dès qu'on asseoit l'enfant.
rdité marquée, protusion du globe de l'oeil et stra- bisme interne.
Tête
inclinée sur l'épaule droite,- la face regar- d
nuit. Il s'éveilla en criant et en se plaignant de souf- frir de la
tête
. Le lendemain, il avait de la paralysie faciale e
s'accompagne de titubation avec tendance à tomber du côté droit. La
tête
est droite. Lestrabisme divergent de l'oeil gau
ul- tation, pas de toux ni d'oppression. L'enfant se plaint de la
tête
qui est chaude partout, il a l'air un peu abattu.
onomie abattue, la peau chaude. L'enfant se plaint tou- jours de la
tête
. Langue saburrale, soif vive, ventre sou- ple.
science; quand on l'interpelle, il regarde vaguement; il incline la
tête
quand on lui dit « bonjour »; on parvient à lui
soulevée par un grand nombre de masses caséeuses, du volume d'une
tête
d'épingle et plus. Le parenchyme est parsemé de
régulière, intelligente. Depuis 4 ou 5 mois, elle a des douleurs de
tête
. Pas de convulsions dans l'enfance, ni de malad
compté une dizaine en moyenne; ils duraient quelques secondes : la
tête
se penchait, les paupières se fermaient et PARA
Etatactuel (13 juin). Poids, 16 kil. 70; - taille, 1 mè- tre 04. -
Tête
assez grosso, un peu carrée, développement modé
organes sont normaux. Chaque rein pèse 55 gr. ; le foie, 570 gr.
Tête
. A l'ouverture du crâne, la dure-mère paraît adhé
a présentation de la photographie de l'en- fant et du moulage de sa
tête
, ainsi qu'il en a été pour toutes les présentat
in phosphaté, poudre de viande, etc. Etat actuel (Février 1885).-
Tête
, un peu petite ; bosses frontales assez bien de
OLÈRE, ETC. ib9 Assis, il balance le tronc d'avant en arrière et la
tête
laté- ralement ; debout, il balance la tête en
'avant en arrière et la tête laté- ralement ; debout, il balance la
tête
en tournant le corps, ou bien encore il tourne
l balance la tête en tournant le corps, ou bien encore il tourne la
tête
. L'habitude de griffer qu'il avait à son entrée
fendant l'ont jeté à terre. Il porto continuellement les mains à la
tête
, s'égratigne les oreilles et les lèvres, mais n
catrisée. La plupart des viscères contien- nent très peu de sang.
Tête
. - Le cuir chevelu n'offre rien de notable, sauf
u près le même. DESCRIPTION DU MALADE. 169 Etat actuel (février).
Tête
volumineuse, symétrique, le front est droit et
ts sont crénelées dans le sens vertical. Voici les dimensions de la
tête
: 170 ACCIDENTS MÉNINGITIQUES. le volume d'un
ôté droit, les mouvements provoqués de l'épaule sont difficiles. La
tête
est inclinée sur l'épaule droite. Elle peut êtr
etits. Corps thyroïde sain ; trachée normale ; thymus persistant.
Tête
. Cuir chevelu, rien. La face convexe de la calo
cs : il saute, il tappe ses mains sur ses yeux, secoue fortement la
tête
; il élève les bras et tourne vive- ment les ma
ulcérations ; tuméfaction légère des ganglions mésentériques(l).
Tête
. Le cuir chevelu offre une épaisseur normale, p
e à la vue du malade B..., atteint d'un tic convulsif violent de la
tête
(chorée ? ) ; elle en aurait été «bouleversée,
d'une durée totale de 10 à 15 minutes. Etat actuel (13 mars 188G).
Tête
bien conformée; pas d'indice d'hydrocéphalie ;
ement. car les parents se sont opposés à ce que nous touchions à la
tête
. Autopsie. Les organes de la cavité thoracique
ente, du pubis au gland, une épaisseur de plus de 3 centimètres. La
tête
du fémur est à peu près nor- Fig. 22.- 1, Rectu
r la mère à la vue d'un ma- lade atteint d'un tic particulier de la
tête
, émotion qui se serait prolongée d'une façon co
es. Céphalalgie à la suite des accès. - Contusions nombreuses de la
tête
et du men- ton. - Cause de la maladie, inconnue
lair-semés noir foncé, quelques-uns gris ; calvitie du sommet de la
tête
. Poils longs assez abondants sur le devant de l
ontrarient. Dynamométrie impossible.- D'habitude le malade tient la
tête
penchée; ses mains sont ramenées en avant de la
anal inguinal droit est très dilaté. Les testicules sont normaux.
Tête
. Cuir chevelu normal. Les os du crâne durs, mais
onvulsives. Rémission de quinze mois à onze-douze ans. Coups sur la
tête
à douze ans : retour immédiat des accès. Marche
un marchand de bric-à-brac lui ayant donné plusieurs coups sur la
tête
, Lel... fut pris sur le champ d'un accès convulsi
, comme le montre ces chiffres, est bien développé pour son âge. La
tête
est assez régulièrement ovoïde. 242 OBSERVATION
. 39° ; - à 6 heures : 38°, 8 ; à 9 heures : 39°. Décubitus dorsal,
tête
tournée à droite ainsi que les yeux ; coma; res
une petite noi- sette. Prostate, vésicules séminales, etc., rien.
Tête
. Cuir chevelu sans ecchymoses. Os minces; sutures
gienne ; ils en ont conclu simplement que des adénoïdiens avaient la
tête
pointue, si bien qu'ils ont classifié l'adénoid
toire critique des théories et des doctrines du système nerveux » des
têtes
mal conformées chez lesquelles il faut considér
te, principalement ces individus dont le vulgaire dit qu'ils ont la
tête
de travers (plagiocéphalie). Chez plusieurs' d'
e. Vous trouverez que ces individus ont continuellement des maux de
tête
et des fluxions d'oreille. ' - Il est impossibl
ment en hauteur de la calotte. C'est l'acrocéphalie de Lucae, ou la
tête
et la thersile de Hamy, ou encore le turritum c
osseuse disposée en crête tout au long de la suture sagittale. La
tête
de l'enfant à cette époque était énorme, c'était
a tête de l'enfant à cette époque était énorme, c'était une véritable
tête
d'enfant rachitique et il paraît que la soudure
ès l'étrange expression de sa figure (PI. 1). Les yeux à Ileur de
tête
, la conformation du nez, la forme de la bouche et
un bel enfant bien développé avec une mine fraîche et rosée et une
tête
ronde très bien faite. Mais voici que, tout de su
avec des yeux hagards et d'un pas automatique en tenant toujours la
tête
réclinée à droite. C'est là une particularité q
oppée, de même que les veines temporales. Vue de face (PI. II) la
tête
affecte dans son ensemble la forme ovoïde avec
te. Il y a dans la position de repos, une déviation conjuguée de la
tête
et des yeux vers la droite. Aplatissement de la
eignements qu'on m'a donnés, que déjà à l'époque de la naissance la
tête
de l'enfant avait une conformation bizarre, en pa
oque, les parents avaient observé qu'elle avait les yeux à fleur de
tête
. Je n'ai pu obtenir aucun renseignement sur l'é
avons déjà relevées dans les observations I et II. Vue de face, la
tête
affecte dans son ensemble la forme d'un ovale trè
iel entre l'hydrocéphalie aiguë sans augmen- tation de volume de la
tête
et les tumeurs cérébrales au moyen des rayons de
ension cérébrale n'a pas pour conséquence d'altérer le volume de la
tête
. En effet mes recherches radiographiques sur le
bregmatiques antérieures et postérieures. C'est la réalisation de la
tête
en poire hydrocéphalique avec le front olympien
fféren- tiel dans ces cas pourrait être donné par la grosseur de la
tête
que l'on retrouve d'ordinaire dans l'hydrocépha
rocéphalie aiguë véritable sans aucune augmentation de volume de la
tête
. Il suffit de rap- peler une observation qui a
x, un peu jaunâtre. D'autre part, on remarque que le malade a une
tête
et des mains acroméga- liques, et aussi une sco
s acromégaliques se réduisaient à l'aspect caractéris- tiques de la
tête
et à des troubles visuels, sans aucun des signes
Les auteurs s'expriment de la façon suivante : « Notre malade a une
tête
d'acromégale ; est-il acromégalique ' ? L'appa-
e des membres. Seule l'une d'elles se développa sur le sommet de la
tête
au niveau d'une cicatrice du cuir chevelu. Pe
é. Il porte continuellement sa main gauche au côté douloureux de la
tête
, il gémit, et quoique un peu obnubilé et parlant
r avec que des mouve- ments limités, ni le soulever au-dessus de la
tête
. Le langage est à peine intel- ligible, le mala
sa céphalée qu'il localise cette fois nettement du côté droit de la
tête
. Il souffre de l'insomnie et il délire surtout
ste au coin d'un garde-robe s'est transformé pendant la nuit en une
tête
d'homme qui remuait, etc. Nos exhortations le t
état de prostration, il gémit et porte continuellement la main à la
tête
. Il ne répond qu'avec difficulté, en se plaigna
res fois, c'est comme si quelqu'un lui faisait des raclages dans la
tête
. Au point de vue du siège, il ne peut pas précise
l'exacerbation de la céphalée. Il présente un état comateux, avec la
tête
fléchie en arrière. On lui fait une ponction lo
ps en temps des cris provoqués par les élancements douloureux de sa
tête
. Le malade tient la tête rejetée en arrière et
oqués par les élancements douloureux de sa tête. Le malade tient la
tête
rejetée en arrière et il ne peut la rapporter en
tat d'inconscience complète, dans le dé- cubitus latéral gauche, la
tête
rejetée en arrière, en extension forcée. La res-
l a eu honte de demander qu'on lui indique sa maison. Peu il peu sa
tête
s'est dégagée et il a réussi à monter dans son ap
tns extérieur est assez particulier : attitude générale en tlexion,
tête
fléchie, ballante, comme trop lourde ; la figure,
peut faire ; il faudrait les vérifier par différentes recherches en
tête
desquelles viennent les examens histologi- ques
le menton fort et carré, la lèvre supérieure peu proéminente.' Sa
tête
est recouverte d'une sorte de calotte de toile bl
deux person- nages déjà décrits ; presque de face mais tournant la
tête
à gauche pour épier l'expression de la figure d
s aucun ricochet, la balle atteignit le blessé au côté gauche de la
tête
. Immédiatement après l'accident, le blessé garda
t qui semble se propager à travers l'os; sur la ligne médiane de la
tête
, cm. 1/2 au-dessus de la protubérance occipital
E DE LA SLPE'1'R1GRE. If .......... T. XXV. PI. XVI BLESSURE DE
TÊTE
PAR ARME A FEU - HEMIANOPSIE ET ALEXIE (Johanss
ue du siège de la lésion cérébrale. En adaptant ce crâniométre à la
tête
du malade, on trouve que le milieu de la lésion,
pagnant les blessures par arme à feu et d'autres traumatismes de la
tête
, ont depuis été étudiées surtout par Vorschutz.
Masson & Cne, Éditenrs. UN CAS DE BLESSURE PAR ARME A FEU A LA
TÊTE
109 mes au malade de l'urotropine, médication q
totalité des cas Fic. 2. 1 UN CAS DE BLESSURE PAR ARME A FEU A LA
TÊTE
113 publiés d'hémianopsie analogue. Henschen en
encer, il était incapable de UN CAS DE BLESSURE PAR ARME A FEU A LA
TÊTE
115 se représenter comment on va de la caserne
cache de ses bras son visage et ses seins en poussant, d'une voix de
tête
des cris passionnels, des soupirs et en multipl
a-t-en ! va-l-eaz ! tu me fais mal ! on m'en- fonce un clou dans la
tête
. » Ses ambitions sexuelles sont toujours passives
équemment de céphalée en casque : « un cercle de fer lui enserre la
tête
. » . En 1907 : Nouvelles crises névropathiques
OMÉLIQUE PARTIELLE 139 Description des diverses parties du corps.
Tête
et face. - Khéroufa n'a pas le type arabe pur ; e
notre service. Son aspect tout particu- lier : l'absence de cou, la
tête
reposant directement sur le tronc nous étonne.
ntait, paraît-il, outre l'absence de cou, une forte déviation de la
tête
à gauche, si bien que l'oreille touchait l'épaule
e observation : - Sur la première, vue de face, le malade relève la
tête
au maximum, et ceci nous indique déjà une des p
particularités qu'il présente ; difficultés des mou- vements de la
tête
sur le tronc. Sur la deuxième photographie, vue
ide avec la 3' apophyse dorsale. Ftc. 1. - Face postérieure de la
tête
montrant la disposition du système pileux. NOUV
e de l'occipital par une dépression que l'on augmente en mettant la
tête
en hyperflexion ; que l'on diminue, que l'on fa
; que l'on diminue, que l'on fait même disparaître en redressant la
tête
en arrière. Ces 12 vertèbres qui forment le seg
ble n'a pas été mesurée. 228 KLIPPEL ET FEIL Les mouvements de la
tête
sont seuls limités ; les bras et les jambes sont
Fif ! . 2). rie 2. - La têle est ici en byperexlension ; lorsque la
tête
est droite, le sommet des poumons arrive au niv
ojection une ligne ho- rizontale, passant par la bouche, lorsque la
tête
reste en position normale, le regard dirigé en
générale- ment d'autant plus larges qu'on s'éloigne davantage de la
tête
. A. la partie toute supérieure, les côtes se ra
hyse odontoïde qui puisse servir de pivot dans les mouvements de la
tête
sur le tronc. (1) Ce large orifice ressemble un
e est à signaler : Nous avons étudié cet orifice sur le cadavre, la
tête
restant unie la colonne vertébrale ; nous avons
la base de l'occipital étaient variables suivant la position de la
tête
: Lorsque la tête est en hyperextension, l'occi
tal étaient variables suivant la position de la tête : Lorsque la
tête
est en hyperextension, l'occipital venait au cont
t au contact de cette apophyse épineuse (voir dessin). Lorsque la
tête
était en hyperflexion, un espace de 2 centimètres
la colonne vertébrale est essentiellement une et indivisible de la
tête
à l'extrémité de la queue ; et les régions qu'o
trois signes importants : La limitation nette des mouvements de la
tête
. L'implantation basse des cheveux, venant se te
la li- gne des apophyses épineuses dorsales. L'absence de cou, la
tête
reposant directement sur le tronc. Nous avons l
cheveux implantés bas, et qui sont gênés dans les mouvements de la
tête
, des gens ayant une diminution des vertèbres ce
a seconde observation. Le malade présentait un aspect spécial de la
tête
avec prédominance du crâne, dont les dimensions
relatives les uns par rapportaux antres. La longueur du bras de la
tête
humérale à l'épitrochlée est de 26 centimètres.
ransverse de la 7e vertèbre cervicale ainsi que l'élargissement des
têtes
des premières phalanges. Chez la malade de Pina
vant. Les côtés formaient une légère saillie à la partie droite. La
tête
était en- fouie entre les épaules. La radiograp
s avec la pe- tite cavité sygmoïde du cubitus ne présentait plus ni
tête
, ni col, continuant t simplement la diaphyse. L
cularités en ce qui est des attitudes des membres, du tronc et de la
tête
dans les différentes phases de la progression.
i elle s'était blottie dans le lit, ramenant les couvertures sur sa
tête
, selon son geste favori. Le vieux ne se rap- pe
Sur les coupes plus supé- rieures (fig. 12), on voit apparaître la
tête
de la corne postérieure et en par- ticulier la
Lorsqu'il avait un an et 8 mois, il glissa, tomba en battant de la
tête
et resta quatre ou cinq minutes sans connaissan
'en s'aidant des membres supérieurs, et en arc-boutant fortement la
tête
et les pieds sur le lit, de manière à faire déc
peu actif, de toute marche ou de toute statian debout prolongée. La
tête
est normale, nullement exagérée de volume, et ne
voir des rats et disant les entendre gratter. Il voyait aussi une
tête
de mort au-dessus de son lit et « le Diable était
es livres de phy- sique qui ont fait cela, je vois le Diable... des
têtes
de mort.» - On remarque qu'il se rend compte à
ble 2 R.« Depuis trois mille ans ! ... « J'ai vu tout à l'heure une
tête
de mort qui devait être mon père... Mon pa- « t
Je croyais entendre des voleurs. « L'autre jour j'ai vu encore une
tête
de mort... que des os.. c'était lorsque « j'éta
» Il raconte encore : « Les bêtes avaient la parole. Je voyais des
têtes
de « Diables avec des couteaux. Une voiture m'e
iens que j'avais « pris un os au cimetière de Lorient... J'ai vu la
tête
de mon père... je tapais « par terre... Je voya
'ai vu la tête de mon père... je tapais « par terre... Je voyais la
tête
. » Il nous explique la cause de ses chants : il
ois comme un monsieur habillé en « rouge, d'autres fois c'était une
tête
comme dans la mythologie, des dragons, « des ch
omme dans la mythologie, des dragons, « des chimères avec plusieurs
têtes
.. Je les voyais partout... la nuit je « voyais
les « yeux et me dire d'aller à elle... Le Christ aussi remuait la
tête
... Quand il « me voyait pleurer, il remuait la
ussi remuait la tête... Quand il « me voyait pleurer, il remuait la
tête
. » « Je me souviens aussi que je vous croyais d
aideur du cou, douleurs dans les mouvements actifs ou passifs de la
tête
, de la ceinture scapulaire et pendant la pression
nt une lésion quelconque des nerfs crâ- niens. Les mouvements de la
tête
et du cou sont libres et ils ne causent au- cun
es radiographies, mais nous rappelons que tous les mouvements de la
tête
étaient parfaitement libres. Ce ne pourrait (1)
lade sort finalement, mais avec une immobilité presque complète de la
tête
. Quelque temps après l'épaule gauche est aussi
ment 38 ans d'âge et 23 ans de maladie. Des cuisses au sommet de la
tête
; elle est comme constituée d'une seule pièce. L
sommet de la tête; elle est comme constituée d'une seule pièce. La
tête
, presque complètement immobile, conserve à peine
nsi dire le suit, avec des inclinations salutatoires rythmées de la
tête
. Venue de l'intérieur pour se soigner à la capi
ton est venu se placer entre les cuisses, et comme l'ankylose de la
tête
est en ex- tension, elle regarde ses genoux. La
picote- ments du même côté. Il se plaint aussi d'une confusion à la
tête
, qu'il ne sait pas préciser. Il a eu des vomi
e malade regarde en haut il ressent une impression désagréable à la
tête
, perd l'équilibre ; il a des vertiges et de la cé
ed est difficile à gauche, impossible à droite. La percussion de la
tête
détermine une douleur parfois plus prononcée à
trois ans elle a commencé à sentir une impression désagréable à la
tête
, qu'elle ne sait pas décrire, et une sensation de
dres bruits la gênaient. Quelques mois après, les impressions de la
tête
se transformèrent en céphalées et la marche comme
à gauche. Vertige voltaïque de Babinski. Pôle positif à gauche, la
tête
tombe en arrière entre 15 et 20 milliampères. P
mbe en arrière entre 15 et 20 milliampères. Pôle positif droite, la
tête
ne commence à tomber à droite qu'à 8 milliampèr
rès. On n'observe pas ce phénomène il gauche. La percussion de la
tête
ne montre pas une localisation des douleurs. Po
gauche ; pas de vertige avec 20 milliampères. La percussion de la
tête
ne donne rien : il sent le choc partout également
t est plus forte après les efforts des malades. La percussion de la
tête
n'a pas précisé la région douloureuse. Vomiss
bres, cependant l'abduction est très limitée. Le cou est raide ; la
tête
fléchie et tournée vers la gauche ne peut être
la grosseur d'une lentille à gauche, un peu moindre il droite (une
tête
de grosse épingle en verre). On peut effondrer
tumeur épigastrique est médiane, lisse, bombée et grosse comme une
tête
de foetus. Au niveau et à droite de la pointe du
NEL-LAVASTINE et Viard, 473. Alexie (Blessure par arme à feu à la
tête
. Guérison avec reliquat d'hémianopsie et - )
l.), par Gallais, 124. Hémianopsie (Blessure par arme a feu de la
tête
, guérison avec reliquat d'- et alexie) (2 pl.),
rald) et Johansson (SvEN). Un cas de blessure par arme à feu à la
tête
Guérison avec reliquat d'hémianop- sie et d'ale
ieurs (L.11GNEL-LAVASTINE et Viard), LXV. Alexie. Coup de feu de la
tête
(Johansson et FsoruEnsTrsol, XVI et XVII. Ara
'ultramicroscope (Marinesco), XXV bis à XXVIII. Coup de feu de la
tête
. Hémianopsie et alexie (JOIIANSSON et FnOGDEP5T
sexuelle (GALL.17S), XVIII à XXI. Hémianopsie. Coup de feu de la
tête
(.10HANssoN et FROEDERSTROM), XVI à XVII. Hér
rçue qu'il était atteint d'un torticolis permanent qui inclinait la
tête
vers l'épaule droite. Ce torticolis d'ailleurs
de scoliose,tout au plus existe-l-il une légère cyphose dorsale. La
tête
est un peu inclinée vers l'épaule droite par un
ant-bras sur le bras ; de même persistent les réflexes osseux de la
tête
humérale et de l'omo- plate. Le réflexe du tr
ser sa colonne vertébrale ; elle se tenait voûtée, elle marchait la
tête
basse et encou- rait de ce fait de fréquents re
marchait encore avec des béquilles ou en se tenant aux meubles ; sa
tête
n'é- tait pas ballante, mais elle avait de la p
rs la fin de la même année il lui devient impossible de soulever la
tête
qui depuis cette époque est complètement inerte.
d'appui sur eux qu'elle peut s'incliner légèrement sur le côté. La
tête
repose immobile sur l'oreiller. Par contre les mu
son lit, sa colonne vertébrale s'infléchit dans tous les sens et sa
tête
obéit aux lois de la pesanteur sans qu'aucun effo
e. Les mus- cles de la nuque qui ont pour fonctions de redresser la
tête
(splénius, com- plexus, droits postérieurs de l
redresser la tête (splénius, com- plexus, droits postérieurs de la
tête
, etc.) et les muscles des gouttières verté- bra
l'élévation de l'épaule, mais il n'est pas suffisant pour soutenir la
tête
ou lui faire subir des mouvements de rotation.
évertébraux et les scalènes n'ont pas une action suffisante, car la
tête
renversée en arrière ne peut être ramenée en avan
des cuisses. 1 : , Flexion complète des membres et extension de la
tête
. UNE MYOPATHIE AVEC RÉTRACTIONS FAMILIALES 39
ement en flexion avec une difficulté croissante de l'extension ; la
tête
s'immobilise par impossibilité de la flexion en
mastication,de la déglutition, de la phonation, Circonférence de la
tête
58 cent. ; diam. naso-occipital 37 cent. Diamètre
o-occipital 37 cent. Diamètre biauriculaire, 37 cent. ' Tronc. La
tête
est dans l'extension. En effet, l'inclinaison pas
Aspect de dos. - J, Maximum d'extension des bras et de flexion de la
tête
. UNE MYOPATHIE AVEC RÉTRACTIONS FAMILIALES 43
la rétraction des chefs externes du trapèze, de telle sorte que la
tête
paraît enfoncée entre les deux épaules et que l
le du tronc est possible, mais limitée. La flexion en arrière de la
tête
se fait avec facilité et énergie, mais la flexion
portant en bas et en avant l'extrémité externe de la clavicule ; sa
tête
est fortement inclinée en avant, les apophyses ép
du trapèze; cette rétraction empêche complètement la flexion de la
tête
en avant tandis que la flexion de la tête en arri
lètement la flexion de la tête en avant tandis que la flexion de la
tête
en arrière a conservé sa force et son amplitude
cuisse. Les muscles du cou, qui participent aux mouvements de la
tête
en avant, en arrière aux mouvements latéraux et
arbe blanche coiffé d'un turban. De sa bouche sort un diable noir à
tête
de chauve-souris. Membres flasques; bouche ouve
le droite, l'oeil porté en haut. Un démon ailé voltige autour de la
tête
, soufflant les pires inspirations, les idées de
ts d'une femme qui déchire ses vêlements, mettant sa gorge à nu. La
tête
est rejetée en arrière, la bouche grimaçante, l
t intel- ligemment aux questions qu'on lui posait. L'examen de la
tête
, des membres supérieurs et du tronc n'a donné que
e envoie les artères striées antérieures qui vont se perdre dans la
tête
du noyau caudé. La cérébrale moyenne ou sylvi
'autre part, le mot membre ne s'applique pas au tronc, au cou, à la
tête
, à la mâchoire, segments mobiles pourtant et do
vorisent l'enregistrement sensoriel des principaux mouvements de la
tête
, et la variété de leurs formes correspond, non
ariété de locomotion des ani- maux, au port et aux mouvements de la
tête
, et, comme l'a montré Landen- bach (1), « au de
mon champ rétinien dans mon orbite, et quelle est l'attitude de ma
tête
elle- même. Alors seulement j'oriente et je loc
rensei- gent sur l'orientation et les attitudes segmentaires de la
tête
, du tronc et des membres. De plus, l'appareil d
es segmentaires se distribuant par rapport au tronc et surtout à la
tête
. Le nerf vestibulaire de l'oreille se dirige ve
consulte le pouls, tâte les côtés, la poitrine, le flanc, hoche la
tête
, A poi (peu s'en faut) ne suis venuz trop tart.
r au bras, les mains sous le ta- blier, un chapeau de paille sur la
tête
comparse que nous montrera Teniers plus d'une f
ombre, une femme attend la décision du docteur tout en pleurant, la
tête
dans ses mains (PI. XXIII). L'industrie des méd
e, en effet, est furieuse, elle appelle la justice des juges sur la
tête
d'un malheureux homme qu'elle tientpar le colle
inuelle et parfois d'une sensation très désagréable de « vide dans la
tête
». Dès le 20 septembre 1900, il commença à être
s. L'attaque commençait par un mouvement de rotation à droite de la
tête
, la moitié droite du visage se contractait, pui
. 17 oct. Le même état persiste, le malade se plaint beaucoup de la
tête
, et accuse une sensation de lourdeur du bras ga
ux attaques épilepti- formes. ' 'rt A la première, il a tourné la
tête
, s'est raidi, puis est tombé à terre et a uriné
nde crise une''heure après : il prétend se rappeler qu'il a tourné la
tête
à gauche et que son bras droit s'est agité ; l'
a assisté à la crise dit que le malade a perdu connaissance, que la
tête
était inclinée sur l'épaule droite et tournée à
a parésie n'est pas plus marquée que précédemment ; quant au mal de
tête
, il aurait duré jusqu'à la veille au soir. 14
l ne paraît pas souffrir, mais quand on lui demande s'il a mal à la
tête
, il répond « oui » et montre le front. t. Res
émisphère gauche pré- sente une très volumineuse tumeur en forme de
tête
de champignon, à contours arrondis, faisant une
rugis- sement, suivi de perte de connaissance ; le malade tourne la
tête
à droite ; les bras s'agitent convulsivement, p
qui s'est passé dans la nuit, mais il se plaint d'un violent mal de
tête
. Les réflexes tendineux sont notablement exagérés
dre son travail et est rentré chez ses parents; cependant le mal de
tête
avait cessé, et il semblait y avoir une certaine
sensation d'une bouffée de chaleur qui remonterait des membres à la
tête
; en même temps, le visage e se congestionnait
mblait devoir l'entraver. La conformation générale, sauf quant à la
tête
et quant aux extrémités (les deux mains et le p
ne petite corde dure, cornée, traces d'une adhérence amniotique .
Tête
. Configuration générale. - Le crâne est petit, bi
tion fait un angle ouvert en avant et à droite sur l'axe réel de la
tête
. 226 HAUSHALTER ET BRIQUEL Dans la cavité crâ
aidit surtout du côté gauche, étend et écarte les jambes, appuie la
tête
sur l'épaule gauche, il tient sa chaise à .deux
e du père. Lors de l'accouchement ils se sont présentés l'un par la
tête
l'autre par les pieds, se faisant mutuellement fa
'astragale s'articule avec lamalléole péronière comme le condyle à la
tête
, sur une large surface, la malléole se subluxan
profession d'aide-maçon, portant des charges très lour- des sur la
tête
. Quand l'ouvrage manquait, il changeait de métier
et des jambes. Membre inférieur . Distance de l'épine iliaque à la
tête
du péroné : 51 cen- timètres ; de la tête du pé
e de l'épine iliaque à la tête du péroné : 51 cen- timètres ; de la
tête
du péroné à la malléole externe : 89 centimètres.
antes études de M. Henry Meige parues ici-même sur les « Pierres de
tête
» et sur les « Pierres de venlre » écrites en gra
t. Adolphe Rap.... est un homme de 57 ans, de moyenne corpulence, à
tête
chauve, à barbe blanche. Il porte plus que son
guéri. , Par instants encore, il reprend son attitude immobile, la
tête
baissée, le sourcil froncé. Il mange avec dif
et raide, les bras pendant le long du corps, les poings fermés, la
tête
fléchie, les yeux baissés presque fermés; le so
ns l'atti- tude décrite au début, il reste assis sur une chaise, la
tête
cachée sous sou ves- ton. Quand on le gave, l
x pas en avant et va se figer debout dans son attitude habituelle, la
tête
baissée, le sourcil froncé, devant le lit qui e
auprès d'un tas de charbon où ii reste immobile pendant des heures,
tête
nue et quel- que temps qu'il fasse; ou bien il
,il semble percevoir les excitations cutanées. Parfois il tourne la
tête
comme pour aper- cevoir l'endroit où l'on a por
otypées (PI. XLV, I). L'hiver il reste assis au pied de son lit, la
tête
basse, les mains sur les genoux, sans faire le mo
entre, mais en vain : Kira a trop peur ; alors le chef lui coupe la
tête
, froidement, avec le même poignard dont Açano s
i ; l'abbé lui-même les reçoit à la porte. Ils entrent, déposent la
tête
de Kira devant la tombe d'Açano, brûlent de l'e
ant suffisamment saigné et débridé la plaie on penche légèrement la
tête
en avant. Chose remarquable, le suicide par dés
elatant un casd'hé- miparkinson gauche avec attitude anormale de la
tête
et du tronc (exten- sion) écrit : « La tête est
attitude anormale de la tête et du tronc (exten- sion) écrit : « La
tête
est rejetée directement en arrière, en extension
es, présentent le type ordinaire, en flexion, de la mala- die, leur
tête
est fléchie sur la poitrine ; les avant-bras sont
type d'extension,non seu- lement pour le tronc, mais aussi pour la
tête
et les membres : dans la position habituelle, s
es et des mouve- ments involontaires des membres, du tronc et de la
tête
. (1) ler avril 1902. 386 DESTARAC Le tortic
iques, t896-9' ? , p. 352). (4) Il y a aussi des mouvements de la
tête
dans l'hérédo-ataxie pendant les différents act
tre le torticolis spasmodique et les mouvements involontaires de la
tête
dans le Friedreich. Ces mouvements consistent e
qu'il se met en mouvement. « Si le malade marche, dit Soca (1), la
tête
se met à branler tout de suite, et cela jusqu'à
l'occasion des mouvements vo- lontaires, et de disparaître quand la
tête
est appuyée. Dans certains cas, en général à un
que M. Meige qualifie de paradoxal et d'illogique. Pour empêcher la
tête
de se pencher à droite, le malade se sert de sa
auche appuyée à gauche, ce qui devrait augmenter la déviation de la
tête
à droite au lieu de la redresser. Nous nous rés
raillements dans le sterno-mastoïdien qui amènent la rotation de la
tête
à gauche. Vig. est obligé, pour la redresser, d
es phénomènes s'atténuent. Il subit encore quelques secousses de la
tête
surtout par les temps froids. Seule la gène de
du même côté, avec prédominance d'action des premiers muscles. La
tête
est fléchie à droite et en arrière; cette attit
iquent au tronc, elle reste fixée dans cette oosition tant nue la
tête
est fléchie. Quand la tête se redresse, l'épaule
te fixée dans cette oosition tant nue la tête est fléchie. Quand la
tête
se redresse, l'épaule s'abaisse en même temps.
pui de la main, mais pendant un instant seulement.Pour redresser la
tête
, déviée à droite, Vig. applique sa main gauche
ourchette à la bouche sans maladresse, malgré les se- cousses de la
tête
. . Membres inférieurs. - Tous les segments des
e : le tronc est incliné à gauche, l'é- paule droite relevée, et la
tête
, portée à droite et en arrière, est agitée par de
ile à décrire, c'est un déclanchement de contractions variées de la
tête
, du tronc et des membres, que le cinématographe
gauche et en arrière, l'épaule droite relevée, en même temps que la
tête
est abaissée vers l'épaule ; quand la tête se r
ée, en même temps que la tête est abaissée vers l'épaule ; quand la
tête
se relève, l'épaule s'abaisse. Le départ se fai
auts des orteils. Mouvements involontaires au repos. - Au repos, la
tête
convenablement calée, on ne constate en fait de
s muscles du cou qui ne . produisent plus la déviation forcée de la
tête
mais de faibles déplacements. .Les jambes, le t
chement complet, alors même qu'il ne produit pas de déviation de la
tête
. Le repos n'est souvent qu'apparent, et il subs
eins sont cambrés, et le malade marche du bassin. En même temps, la
tête
et le tronc sont agités de mouvements,ce qui augm
ie ni souplesse, avec cette association grotesque des spasmes de la
tête
et du tronc, donnent l'impression d'une marionn
sèquilihralion du tonus (pied-bot, scoliose). Ataxie statique de la
tête
, du bras, du tronc, sous forme d'oscillation ou
voit pas trop à quelles lésions correspondent les mouvements de la
tête
dans la maladie de Friedreich, doit-on en faire u
particularités suivan- tes : dans la station debout, le tronc et la
tête
s'inclinent alternativement d'un côté ou de l'a
rédé- ric deGonzague,dernier des marquis de cenom,il se trouva à la
tête
d'une légion d'artistes et créa une école, en p
plan, à droite, se détache la figure traditionnelle du médecin - la
tête
à longs cheveux coiffée d'une toque, le visage so
s. Il y a huit jours, en pleine santé, il a ressenti une douleur de
tête
vive du côté gauche et il a été pris brusquemen
artant un peu de la corne antérieure et forment une virgule dont la
tête
s'adosse au faisceau pyramidal direct en toucha
nt voisines de la normale (Distance sterno-pubienne : 62 cent.). La
tête
semble petite pour un si grand corps (hau- teur
nt.). La tête semble petite pour un si grand corps (hau- teur de la
tête
, du vertex au menton : 22 cent. 5) (Pl. LXIV et L
sler (4), qui, mariée à 10 ans avec un homme qui la dépassait d'une
tête
, semit à grandir déme- surément jusqu'à atteind
93 et à dépasser à son tour son mari, plus petit delà hauteur d'une
tête
. Tous ces cas de croissance retardée, c'est-à d
quelle le corps reposait, menées respectivement par le sommet de la
tête
et par le talon et la plante du pied. Son nom
creux de l'aisselle et du pubis sont suffisamment longs et fournis.
Tête
. La partie crânienne de la tête est à peine plus
sont suffisamment longs et fournis. Tête. La partie crânienne de la
tête
est à peine plus grande qu'à l'état normal, mai
ique des mains et des pieds, ni la cyphose cervico-dorsale, etc. Sa
tête
semblé petite, sur- montant un aussi grand corp
; la longueur des mains s'est accrue (de 233 à 243 mm.) ; enfin la
tête
présente des modifications très caractéristiques.
rommelant, lorsque vint à passer une pauvre vieille, portant sur sa
tête
un grand panier, rempli de ces coquillages connus
our du pardon, qui n'ait été envoyé rouler dans un fossé boueux, la
tête
la première par les paotred ar zabat. En cas de
e, devint la propriété de l'historien Gilbert, qui le fit graver en
tête
du second volume de son Histoire du comté de Corn
nt, David est figuré seul tenant à la main, ou foulant aux pieds la
tête
de son gigantesque adversaire ; mais celle-ci n'a
s peintu- res byzantines sur lesquelles le géant était pourvu d'une
tête
de chien. On a voulu y voir une réminiscence de
disant que saint Cristophe était du pays des Cynocéphales (hommes à
tête
de chien). C'est une hypothèse. En voici une au
: si les artistes byzantins ont représenté Saint Cristophe avec un
tête
de chien, ce n'est pas parce qu'il était du pay
ommes velus et hirsutes, mais bien parce qu'étant acromégalique, sa
tête
rappelait celle d'un chien ou d'un singe à tête
t acromégalique, sa tête rappelait celle d'un chien ou d'un singe à
tête
de chien. Quoi qu'il en soit, ce mode de figura
elquefois une production osseuse, en forme d'arc-boutant étendu de la
tête
au corps de l'os; i° à la résorption du col du fé
du fémur, de telle façon qu'il n'en reste plus de vestiges, et que la
tête
de l'os s'applique contre le grand trochanter : l
n ; 3° par Y absence complète du travail d'ossification du côté de la
tête
du fémur, séparée de son col, sa vitalité n'étant
du fragment attenant au grand trochanter et presque nul du côté de la
tête
de l'os, et que s'il y a union, elle se fait au m
tre. ~3° L'absence complète du travail d ossification du côté de la
tête
du fémur, séparée de son col, est un argument de
és les uns des autres; on voit, i° le fragment supérieur formé par la
tête
et par le col de l'os; 20 le fragment inférieur f
re et leur configuration. Ils sont au nombre de quatre : un pour la
tête
et le col du fémur, un pour les deux tiers postér
de la fracture du col du fémur. Le fragment supérieur, formé par la
tête
et par le col de l'os, présente presque toujours
s auteurs exagèrent beaucoup les différens degrés d'inclinaison de la
tête
sur le corps du fémur, et suivant les âges et sui
, et surtout dans les fractures intracapsulaires du. col du fémur, la
tête
se déforme presque constamment, de même que la ca
ible. —Une coupe dirigée transversalement, de la partie moyenne de la
tête
sur le grand trochanter, a permis de voir que les
moins en partie, des rapports que contractent les fragmens : ici, la
tête
fémorale était en effet renversée en arrière, de
ébordait un peu en avant, si bien qu'il existait en arrière, entre la
tête
et le col, une rainure étroite, demi circulaire,
éplacement dans le sens vertical tel que le col du fémur débordait la
tête
en haut ; ce seul déplacement explique le raccour
onsidérer avec sir Astley-Coo-per, comme des cas de déformation de la
tête
et du col, la plupart, sinon la totalité des fait
ration de la solution de continuité: ce n'est donc point parce que la
tête
ne fournit pas son contingent de vitalité, qu e
issu spongieux en tissu compacte qu'on observe très souvent sur cette
tête
lorsqu'elle est soumise à un frottement ou à une
peut être considéré comme un moyen puissant de communication entre la
tête
du fémur et le fragment inférieur. Lorsque les
isses, polies, éburnées. Dans le cas de fausse articulation lâche, la
tête
fémorale reste ensevelie dans sa cavité; le col s
bien que le champ de ces mouvemens est non-seulement la surface de la
tête
, mais encore la partie supérieure du pourtour de
emblait pénétrée. La fracture avait lieu dans le point précis où la
tête
du fémur s'unit au col de cet os. Elle était tran
t anguleuse: le cartilage articulaire, brisé à la circonférence de la
tête
, était dentelé; et comme il était en même temps d
il présentait une bride BP décollée, étendue du petit trochanter à la
tête
du fémur. En arrière, le repli fibro-synovial P
lle était oblique fig. 2. En haut, elle avait lieu à la réunion de la
tête
et du col ; en bas elle portait sur le col lui-mê
peut en juger en prenant le niveau de la partie la plus élevée de la
tête
du fémur TF qui est de beaucoup au-dessous du niv
rticulation coxo-fémorale avec hypertrophie de l'articulation dont la
tête
avait acquis un volume considérable et la cavité
face postérieure de la cuisse et de la jambe regardent en dedans; la
tête
du péroné et le condyle externe du fémur regarden
ent congénial, déplacement produit par une violence qui aura forcé la
tête
du fémur à abandonner la cavité cotyloïdienne, et
uscle petit fessier, une déformation plus ou moins considérable de la
tête
du fémur, etc. Il suit de cette identité de con
t dans la luxation postérieure à la naissance, que la réduction de la
tête
du fémur déplacée dans l'ancienne cavité cotyloïd
re point de la surface de l'os côxal contre lequel on porterait cette
tête
. Les ligamens, d'ordinaire sipuissans, de la nouv
é cotyloïde de l'articulation nouvelle emboîte quelquefois si bien la
tête
du fémur, la capsule fibreuse de nouvelle formati
que celle nécessaire à la production d'une luxation, pour dégager la
tête
du fémur de la cavité accidentelle qu'elle s'est
ient grêles et d'une longueur démesurée ; la XXVIlIe LIVRAISON. I
tête
du fémur déformée, aplatie; les cavités cotyloïde
formation, existait l'ancienne capsule, qui coiffait complètement la
tête
du fémur: nous en avons conclu que la luxation ét
ance, présentent beaucoup de variétés: i° Variétés de situation—-La
tête
du fémur peut s'être arrêtée immédiatement au-des
ienne ancienne: elle peut être superficielle. Dans le premier cas, la
tête
du fémur a conservé son volume naturel : la direc
t dépendre du mouvement d'ascension du bassin. Dans le second cas, la
tête
du fémur est déformée, aplatie, usée, quelquefois
delà cavité cotyloïde est due à deux causes: i° au déplacement de la
tête
du fémur et en vertu de cette loi que toute cavit
rd externe de l'os regardant en avant et la ligne âpre en dehors. lia
tête
du fémur est dépourvue de cartilage sur les surfa
quelquefois masqué par des végétations qui naissent du pourtour de la
tête
et se déjettent sur lui à la manière de certains
ière de certains champignons ; je l'ai vue réduite à un tubercule. La
tête
du fémur est complètement ou incomplètement dépou
d de la cavité eotyloïde, est restée le moyen principal d'union de la
tête
du fémur à la cavité eotyloïde de nouvelle format
ouvelle formation: elle seule, dans les premiers temps, retient cette
tête
du fémur à peu de distance de l'ancienne cavité e
le degré de déchirure nécessaire pour la production de la luxation,la
tête
du fémur reste appliquée sur le rebord de la cavi
lorsque au contraire la capsule fibreuse a été largement déchirée, la
tête
du fémur se porte dans la fosse iliaque externe,
rogression, la nouvelle articulation n'étant pas encore formée, et la
tête
du fémur ne trouvant pas un point d'appui solide
caire, qu'est formée la cavité nouvelle destinée à la réception de la
tête
déplacée. Les muscles rotateurs en dehors de la c
ne qui est soulevée par une tumeur formée par le grand trochanter, la
tête
et le col du fémur. Les parties molles enlevées
e laquelle vient se terminer le tendon réfléchi du muscle droit. La
tête
du fémur TF était parfaitement emboîtée dans la n
, est déchiré et frangé, par suite des frottemens qu'il a subis. La
tête
du fémur TF, fig. 4i est déformée et érodée, comm
. Le col très court présente supérieurement une rainure qui sépare la
tête
du fémur du grand trochanter. La capsule fibreuse
fig. 4 ¦ COL, lequel est reçu dans la rainure profonde qui sépare la
tête
du grand trochanter. Le collier COL qui a été s
assez profonde et la capsule fibreuse assez serrée pour maintenir la
tête
immobile (tels sont les cas ordinaires, tel est e
luxation du fémur en haut et en dehors, XXIXe LIVRAISON. 1 que la
tête
du fémur occupait le niveau de l'épine iliaque an
a luxation incomplète de l'humérus, et ils se fondaient sur ce que la
tête
du fémur étant au même niveau que la cavité cotyl
y avoir de luxation sans déchirure de la capsule et sans issue de la
tête
à travers la capsule déchirée; les luxations de l
evés, on a éprouvé les plus grandes difficultés pour faire rentrer la
tête
dans sa cavité par une traction directe exercée s
ui avait à peine les dimensions nécessaires pour le replacement de la
tête
. Enfin nous avons pu confirmer l'importance des i
s'imprime sur lui. Les fig. 1 et 2 représentent la manière dont la
tête
fémorale, déformée, tuberculeuse, est reçue dans
rquable. La fig. 4 représente la partie supérieure du fémur dont la
tête
TF était aplatie, déformée, en grande partie dépo
galement usé et présentait çà et là quelques débris, qui donnent à la
tête
une disposition légèrement rugueuse. Entre ces dé
e disposition légèrement rugueuse. Entre ces débris, la surface de la
tête
était éburnée. L'usure la plus considérable avait
considérable avait lieu en haut et en avant. La circonférence de la
tête
du fémur était verrugueuse tuberculeuse, [renvers
euse, [renversée en quelque sorte] sur le col, ce qui donnait à cette
tête
et à ce col, l'aspect d'un cep dont la tige est e
s mouvemens de rotation du fémur ne se passent pas seulement entre la
tête
et la cavité eotyloïde, mais encore entre le col
est constamment oppressée. Elle accuse en outre au côté droit de la
tête
derrière l'oreille (et en la faisant expliquer je
lle (et en la faisant expliquer je reconnus que c'est à l'union de la
tête
avec le col) une douleur très vive, et parfois co
e la moelle, autant elles sont rares dans les maladies du cerveau. La
tête
et le cou ne me présentèrent d'ailleurs aucune dé
urce de cette paralysie dans une maladie des vertèbres cervicales. La
tête
, en effet, fortement fléchie en avant sur le thor
re, en ce sens que la malade pouvait mouvoir un peu plus librement la
tête
. Vers le 8 octobre, je trouvai, pour la premièr
; une incision cruciale ayant été faite à la partie supérieure de la
tête
, on disséqua les lambeaux, puis on scia verticale
plication des figures. Fig. i. La fig. i représente le profil de la
tête
de la malade. Le cuir chevelu, y compris le pério
dilatation de la crosse de l'aorte. En outre, la malade portait à la
tête
une douzaine de tumeurs du volume d'une grosse no
l'humérus droit avait détruit la presque totalité de cet os, dont la
tête
ne tenait plus au reste de l'os que par une langu
rte que les faces postérieures des fémurs sont devenues internes, les
têtes
des fémurs regardent en avant, les rotules en deh
ées que peu-à-peu à chaque contraction utérine. C'est le sommet de la
tête
qui s'est présenté. Le fœtus est sorti sans secou
s vu de face. On voit qu'il est hydrocéphale. *La circonférence de la
tête
, prise suivant le plan médian du corps, d'avant e
ds trochanters confondus, et les deux latérales représentent les deux
têtes
du fémur TD, chacune pourvue de son ligament rond
et même la seule qui fût possible. Elle résulte du renversement de la
tête
en arrière, renversement tel que l'occiput se con
DM est le muscle demi membraneux; B le biceps, dont les deux chefs ou
têtes
sont parfaitement distincts, et qui s'insère au p
étroite enceinte formée par la poche utérine. On sent parfaitement la
tête
sous le diaphragme. C'est à travers un flot de li
nterne d'une grosse masse molle, ellipsoïde, aplatie, du volume de la
tête
d'un adulte, qui occupait la fosse iliaque droite
nt avec le péritoine. « L'enfant est légèrement courbé en avant; la
tête
est penchée sur sa poitrine, et les membres infér
a mère, j'ai remarqué qu'il s'y trouvait placé transversalement et la
tête
dirigée à droite. « La tête est allongée et apl
y trouvait placé transversalement et la tête dirigée à droite. « La
tête
est allongée et aplatie de manière à diminuer con
lle droite est à peine visible. La partie médiane et occipitale de la
tête
donne insertion à un grand nombre de ces brides A
paquets graisseux de la grosseur d'une noisette; tout le reste de la
tête
est libre d'adhérences. Sa couleur est d'un blanc
aspect, avec une masse informe de savon ordinaire. « Au toucher, la
tête
offre beaucoup de résistance, et ce n'est qu'en p
qu'il y a chevauchement dans ce point. La petite circonférence de la
tête
est de o pouces i/â, sa hauteur de 4« « Le col
de 4« « Le col est excessivement court à cause de la flexion de la
tête
sur la poitrine; les débris membraneux, après lui
unir en arrière pour se continuer avec ceux que nous avons vus sur la
tête
. « Le tronc est fléchi de manière à continuer l
Le tronc est fléchi de manière à continuer la courbe commencée par la
tête
(i) ; la somme de ces deux courbes est de 10 pouc
ansversal. La couleur du tronc est à-peu-près la même que celle de la
tête
; il présente en outre un grand nombre de granulat
un épaississement de ces débris que nous avons trouvés au col et à la
tête
, et qui ont une analogie incontestable avec les d
arfaitement conservé; il offre à la pression plus de souplesse que la
tête
, surtout dans les points où se trouvent naturelle
e sur lui-même, de telle manière que les pieds débordaient en haut la
tête
, et venaient appuyer contre la paroi supérieure d
onstituantes du cordon spermatique. Poitrine. Poumons, cœur sains.—
Tête
. Le cerveau et ses membranes sont dans l'état d'i
s côtes et la crête de l'os des lies, et avait acquis le volume de la
tête
d'un enfant : je me fonde sur ce qu'il mentionne
; sécrétion d'urines abondante; aucun phénomène morbide du côté de la
tête
et de la poitrine. Point de hernie. Pour commém
les matins la poitrine à l'aide de l'auscultation, la pression de ma
tête
contre les parties emphysémateuses déterminait un
udanisé sur l'abdomen, d'un lavement avec décoction de guimauve et de
têtes
de pavots, et de boissons adoucissantes. Le qua
une personne est entrée avec un ictère fébrile et avec une douleur de
tête
bornée à la bosse frontale. Une chute du haut d'u
ux axillaire, je m'aperçus que le cancer était comme une hydre à cent
têtes
toujours renaissantes, dont j'abattais vainement
Sur une femme âgée delà Salpêtrière , la tumeur avait le volume de la
tête
d'un enfant : elle ne s'enfonçait pas ou n'envoya
lade avait été pris, vingt-huit jours auparavant, d'un violent mal de
tête
, bientôt suivi d'une angoisse qui fut combattue p
e côté droit du thorax. 3° A l'auscultation, l'oreille ou plutôt la
tête
appliquée contre la région antérieure et droite d
e tumeur fluctuante, pulsatile, qui soulevait fortement la main ou la
tête
appliquées contre elle.L'oreillene reconnaissait
rimitive, tumeur pulsatile que l'on reconnaît par l'application de la
tête
appuyée contre la tumeur, non moins que par le ta
ui paraît être une percussion plutôt qu'un mouvement d'ampliation. La
tête
, appliquée contre cette même tumeur, et dans tous
veillé en sursaut par une secousse de poitrine et par une secousse de
tête
, qui l'obligent de changer de position. Les secou
lade. Du reste, le malade répond très bien à toutes mes questions; la
tête
n'est nullement douloureuse, ce qui m'éloigne de
2 dé» embre. Dans toutes ces crises, la malade n'aime pas h avoir la
tête
très élevée : il y a cyanose, oppression xyphoï
pulsion ou percussion directe perceptible à la main, perceptible à la
tête
appuyée contre le thorax; or, l'impulsion et la p
tre rendue depuis l'invasion de l'attaque de l'asthme. Tout-à-coup la
tête
s'incline en avant, le pouls et la respiration se
gions parotidiennes jusqu'au larynx deux tumeurs de la grosseur de la
tête
d'un enfant à terme, celle de gauche plus volumin
ui. La seule position tolérable, c'est le décubitus latéral droit, la
tête
étant extrêmement élevée. Les jours suivans, pe
te. Céphalalgie atroce qu'elle rapporte constamment au sommet de la
tête
; engourdissement de la peau de la face, et, par i
'écoulement du sang delà saignée, la malade porte la main droite à la
tête
, en accusant une douleur atroce ; elle se plaint
uleur, qui m'avait si vivement frappé dans l'observation précitée. La
tête
resta parfaitement saine. Le cathétérisme fut néc
secousse. Du reste, les membres supérieurs, la région cervicale, la
tête
, n'ont, en aucune façon, participé à la paralysie
qui a été d'abord irritée et qui est maintenant comprimée. 11 juin;
tête
lourde; douleur légère derrière le cou: la malade
lerées de potion calmante. Le 27, pour la première fois, douleur de
tête
, qui a redoublé le soir. Cette douleur occupe le
de tête, qui a redoublé le soir. Cette douleur occupe le sommet de la
tête
: les régions frontale et occipitale en sont enti
le celle des maladies cérébrales. La malade est assise sur son lit,la
tête
inclinée à droite et la face appuyée contre son o
ue décolorées et néanmoins saignée du bras, sinapismes , glace sur la
tête
, pilules de gomme gutte : la malade prend dix pil
nsomnie,hallucinations, apyrexie complète, douleur de dos, douleur de
tête
frontale et syncipitale. Le i3,1a paralysie par
re i832, dans l'état suivant. La malade a toute son intelligence : sa
tête
est fortement inclinée à droite, si bien que la p
s par regorgement; constipatijn ; nécessité fréquente des purgatifs ;
tête
toujours doulou- XXXIIe LIVRAISON. 4 reuse; b
e l'odorat et du goût pendant six semaines, à la suite de douleurs de
tête
intolérables et d'étourdissemens. Diagnostic. M
teuil; mais on est obligé de l'y fixer avec un drap. Elle renverse la
tête
en arrière et fait effort pour changer de positio
que sorte le coup de temps, par un mouvement combiné et brusque de la
tête
, et, du membre supérieur, elle s'appliquait avec
e, la même différence qu'on établit en chirurgie entre les coups à la
tête
avec perte de connaissance, et les coups à la têt
tre les coups à la tête avec perte de connaissance, et les coups à la
tête
sans perte de connaissance. L'hémiplégie avec per
état, mais il lui est impossible de rester les jambes croisées et la
tête
baissée dans l'attitude du tailleur : bientôt il
prévenir le retour. Quatorze mois se sont passés clans cet état. La
tête
était parfaitement libre; mais Sanson ne pouvait
nterroge, sa respiration s'accélère : elle fait quelques mouvemens de
tête
et cherche à répondre : elle verse quelques larme
scrutateur semble deviner la pensée; elle exprime, par des gestes de
tête
, par des sons inarticulés, qu'elle est pénétrée d
main gauche, ses yeux, les mouvemens de son bras, les secousses de sa
tête
, ses sons inarticulés, ses larmes et ses sanglots
e l'infirmerie pour mieux l'observer; elle se plaignait souvent de la
tête
, et alors je lui faisais pratiquer une saignée, c
pirieuse , impossible dans la position horizontale , lors même que la
tête
est soulevée par plusieurs oreillers. On ne peut
ici l'histoire abrégée. Depuis long-temps il se plaignait d'un mal de
tête
léger, pour lequel il était entré plusieurs fois
cette observation avait fait, trois ans auparavant, une chute sur la
tête
avec perte de connaissance. Le ramollissement de
ou pour une blennorrhagie. Le 22 janvier, il se plaint de douleurs de
tête
et de trouble dans la vision. Le pouls était plei
de pied synapisé. Il ne restait que quelques douleurs vagues dans la
tête
, lorsque le 1e1 février, à huit heures du soir, i
calme revenu, le malade dit fort tranquillement qu'il souffrait de la
tête
, et s'endormit sans ronflement. Vers quatre heu
es, le malade est dans l'idiotisme le plus complet. Les chutes sur la
tête
, certaines attaques d'apoplexie, certaines fièvre
cher à l'aide d'une béquille, retenir ses urines: elle avait toute sa
tête
; la vue était affaiblie. La troisième attaque, qu
u 29, elle fut intense, accompagnée de vomis-semens. Cette douleur de
tête
consistait dans des élancemens extrêmement violen
ne saignée : des sangsues aux apophyses mastoides, de la glace sur la
tête
; des synapismes répétés, un vésicatoire à la nuqu
de tartre stibié, lavement purgatif, vésicatoire sur le sommet de la
tête
. La malade mourut le soir, le vingt-et-unième jou
tre une bien grande erreur que de considérer tous les foetus à petite
tête
, les microcéphales, comme affectés d'hydrocéphali
IV. J'ai eu occasion de disséquer, avec beaucoup de soin, plusieurs
têtes
de microcéphales par atrophie du cerveau : voici
onvulsions qui s'étaient fréquemment répétées depuis sa naissance, la
tête
représentait assez exactement celle d'une grenoui
rances, mort victime de son zèle, présenta à la société anatomique la
tête
d'un enfant idiot, âgé de trois ans, dont le crân
aut; système pileux du cuir chevelu très développé. Vue de profil, la
tête
représente une ellipse à-peu-près régulière, dont
ion, l'enfant ouvre largement la bouche et les narines, et rejette la
tête
en arrière. Le pouls est lent, filiforme ; le cor
s ou cérébelleuses. Comme le col du sujet était très court,jet que la
tête
, fortement renversée en arrière, paraissait impla
ou diminue, qui est sillonné circulairement à sa surface, et dont la
tête
ou l'extrémité libre, légèrement renflée, présent
is, s'affaissa immédiatement et se flétrit. Dès ce moment, douleur de
tête
; du reste, toutes les fonctions s'exécutent parfa
lit et dans la supination : et lorsqu'il est obligé de se mouvoir, la
tête
et le tronc se meuvent tout d'une pièce. Le pouls
me répond vaguement: Si j'insiste , il me prie d'attendre, secoue la
tête
et dit que ce doit être la téte, qu'il lui semble
ne femme de 83 ans, qui portait en même temps plusieurs loupes sur la
tête
: en peu de temps elle acquit de très grandes dim
e couche purulente. Les testicules étaient sains, à l'exception de la
tête
de l'épididyme de l'un d'eux, où l'on trouvait un
se à tel point que son tissu est méconnaissable. Un abcès occupait la
tête
de cet organe. Réflexions__Ainsi, rétrécissemen
n nombre plus ou moins considérable de petits calculs du volume de la
tête
d'une épingle, engagés dans quelques-uns des nomb
on d'une maladie de l'articulation coxo-fémorale droite. On trouva la
tête
du fémur usée, les trois pièces de l'os coxal sép
ssait pas altérée. A neuf heures et demie, elle ronfle avec force, la
tête
inclinée sur la poitrine : elle est immobile. L'i
Le rein droit (fig. 3, pl. m, xxxvie livraison) avait le volume de la
tête
d'un enfant nouveau-né. Il refoulait fortement le
sieurs personnes, me tendit la main, se plaignant d'un violent mal de
tête
, et ajouta qu'il était perdu. En effet, je fus fr
ève les membres : ils tombent comme une niasse inerte ; je soulève la
tête
: elle retombe par son propre poids. Il y a aboli
e, et présentait dans ce point une espèce de col , qui supportait une
tête
, laquelle était reçue dans une autre cellule. Sci
mamelle qu'il avait extirpée le même jour. Elle était du volume de la
tête
d'un enfant de six mois, sphéroïdale, enkystée, l
aissé aucune trace. La malade ne se rappelait pas d'avoir eu mal à la
tête
, mais, depuis un an, elle était sujette à un trem
ssi considérable que la masse entière, car elle avait le volume de la
tête
d'un fœtus de six mois et une livre et demie de p
de l'utérus acquièrent un développement si considérable, celui de la
tête
d'un adulte, par exemple. On a lieu de s'étonner
ence générale des figures, il est bon de dire que sur ce squelette la
tête
est fortement renversée en arrière sur la colonne
le, de telle façon que l'occiput touche l'extrémité pelvienne; que la
tête
, relativement très développée, forme la portion l
oppée, forme la portion la plus considérable du squelette ; que cette
tête
est d'ailleurs aplatie et vide comme dans le micr
nférieurs ; en arrière et en dehors, une grosse ampoule formée par la
tête
, dont l'occiput regarde en bas et dont la face re
oit, et par conséquent du côté opposé à celui représenté figure 2. La
tête
est complètement cachée dans cette figure, ce qui
tête est complètement cachée dans cette figure, ce qui prouve que la
tête
n'était pas renversée directement en arrière, mai
de telle manière, que la région postérieure qu'occupe le sommet de la
tête
regarde en haut, la face en avant, la région anté
e du squelette vu dans la même position, c'est-à-dire le sommet de la
tête
dirigé en haut, et la région sternale de la poitr
s adhésions par la région sacrée et les adhésions par le sommet de la
tête
. Les monstres par adhésion antérieure comprenne
emme en travail depuis 8 heures : c'était une troisième grossesse; la
tête
de l'enfant était sortie, mais une résistance ins
c de l'enfant: trois heures s'étaient écoulées depuis la sortie de la
tête
. C'était pour cette circonstance que la matrone q
ntimement unis : il dégagea d'abord les deux bras de l'enfant dont la
tête
était sortie; puis, portant le tronc en haut et e
ependant il paraît que le premier vivait au moment de la sortie de la
tête
. Il n'y avait qu'un seul placenta : les deux cord
tte union : i° l'union des êtres par les flancs, i° la séparation des
têtes
, 3° un sternum unique et complexe, 4° l'unité du
ette séparation : i° l'union des êtres face à face, i° la réunion des
têtes
, 3° un sternum double, 4° la dualité de l'abdomen
, pl. iv, p. /.— Anencéphalie hydrocéphalique chez un enfant à petite
tête
. lâe liv., pl. 1, p. 2. ANÉVRYSME. Théorie de l
seize heures. = Enfant mort-né par apoplexie,venu par le sommet de la
tête
. Suspension de douleurs après la sortie de la têt
ar le sommet de la tête. Suspension de douleurs après la sortie de la
tête
. Sortie tardive du tronc. m Enfant mort-né par ap
exie chez un enfant mort-né venu en première position du sommet de la
tête
. Accouchement naturel qui a duré seize heures. =
e heures. = Apoplexie chez un enfant morl-né venu par le sommet de la
tête
. Suspension des douleurs après la sortie de la tê
r le sommet de la tête. Suspension des douleurs après la sortie de la
tête
. Sortie tardive du tronc. = Apoplexie chez un enf
plus souvent consécutifs. Traitement. Observations. Coup reçu sur la
tête
. Au bout de six mois, hémiplégie apparente pendan
plus souvent consécutifs; traitement : observation. Coup reçu sur la
tête
; au bout de six mois, hémiplégie apparente pendan
cture tranversale du col du fémur au niveau de l'union du col avec la
tête
. Décollement du repli fibro-synovial. 26e liv.',
di et Richerand sur la coïncidence des abcès du foie et des plaies de
tête
. 11e liv., pl. 1, n, ni, p. 4.— Phlébite capillai
ture transversale du col du fémur au niveau de l'union du col avec la
tête
. Décollement du repli fibro-syno-vial. 26e liv.,
pl. iv, p. 1. — Anencéphalie hydrocéphalique chez un enfant à petite
tête
. Hydrocéphalie ventriculaire très considérable av
. 1, p. a. — Enfant mort-né venu en première position du sommet de la
tête
. Accouchement naturel qui a duré seize heures. —
el qui a duré seize heures. — Enfant mort-né, venu parle sommet de la
tête
. Suspension des douleurs après la sortie de la tê
arle sommet de la tête. Suspension des douleurs après la sortie de la
tête
. Sortie tardive , du tronc = Enfant mort-né à la
ture transversale du col du fémur au niveau de l'union du col avec la
tête
. Décollement du repli fibro-synovial. 26e liv., p
donnée par lui de la coïncidence des abcès viscéraux et des plaies de
tête
. 11e liv., pl. 1, n, m, p. 4. RIGIDITÉ. Fausse
plus souvent consécutifs ; traitement. Observation. Coup reçu sur la
tête
. Au bout de six mois, hémiplégie apparente pendan
es solidistes sur la coïncidence des abcès viscéraux et des plaies de
tête
. == Tout corps étranger introduit en nature dans
la que, au Conseil municipal et au Conseil général, on a placé en
tête
du programme des réformes de l'Assis- tance pub
t des circonstances tout à fait inattendues qui nous ont placé à la
tête
du service des enfants, et nous ont mis à même
commencent à prendre ses manières, à se balancer, à se cogner la
tête
comme lui. Sans cela, ajoutait-elle, si je ne cra
de connaissance, une bouffée de chaleur lui montant des pieds à la
tête
, le long de la colonne vertébrale. Pendant se
muscles du cou n'est pas non plus assez énergique pour empêcher la
tête
d'obéir aux lois de la pesanteur. Les seuls sig
le vit, pendant qu'il surveillait ses ouvriers, porter la main à la
tête
et prendre ensuite subite- ment sa course vers
rien de ce qui s'était passé après qu'il avait porté les mains à sa
tête
; ce geste avait été provoqué, suivant lui, par
), neuras- thénique, migraineuse, tl'emblement cho1'éi(01'1ne de la
tête
vers trente ans. - Deux oncles peu intelligents
e l'âge de treize ou quatorze ans à quarante-six ans, des maux de
tête
fréquents et violents accompagnés de bourdonnemen
lgie violente avec vomissements glaireux) ; tremblement de toute la
tête
vers trente ans augmentant par les émotions. De
s et de là est en- voyé à Bicètre. Etat actuel (il niai 188 1). -
Tête
ovale, symétrique; la région occipitale est mod
partie latérale du thorax, la moitié droite de la face, enfin la
tête
. Pas d'hallucinations de la vue, pas de phosphène
début par une sorte de bourdonnement; il se frappe les coudes et la
tête
sur la table; on dirait, qu'il bat la caisse avec
'urine. Autre variété d'accès. Mêmes mouvements des bras et de la
tête
; il se laisse alors tomber de son banc, se roule
accuser ses parents qui ne viennent pas le voir : « Ça m'a monté la
tête
et je me suis sauvé. » Il se serait sauvé de la
le malade des accès ainsi constitués : tapotement des bras et de la
tête
, chute du banc sur lequel il se trouve assis; -
chement à terme, naturel, après cinq jours de douleurs (sans que la
tête
soit restée engagée longtemps), sans chloroform
ation choréiformes des extrémités supérieures et inférieures, de la
tête
; la parole était saccadée ; cet état a duré une d
e de deux d'entre eux une agitation choréiforme des membres etde la
tête
, la première fois d'une durée d'une demie-heure
r. Revenu à lui, il ne se souvenait de rien, se plaignait de mal de
tête
et restait sombre pendant une heure ou deux. D'
Ce qui frappa chez l'en- fant ce fut le développement exagéré de la
tête
. Il a commencé à marcher à trois ans, à parler
aura, sans écume à la bouche. Quelques mouvements convulsifs de la
tête
et des bras, qui manquent parfois; grande pâleu
ogivale. Dents à peu près régulières. Voici les mensurations de la
tête
: DE l'épilepsie trocursive. 81 années, puis
un peu aux champs, pas d'attaques de nerfs, a souvent le sang à la
tête
. - Quatre frères, l'un est mort en huit jours,
- Rate (70 gr.). - Rien dans l'esto- mac, l'intestin, la vessie.
Tête
. ? Cuir chevelu assez épais. - Os du crâne de con
l apprenait bien. A sept ans, un ivrogne l'a enlevé et porté sur sa
tête
, il eut peur. Trois jours après, étant à table,
s, étant à table, il tape dans son assiette avec les mains, puis la
tête
tombe dans l'assiette et il a un accès. Les acc
ux côtés. On dégage les jambes de dessous le lit. A ce mo- ment, la
tête
se met dans l'extension, la bouche s'ouvre, tout
rapides, mais réguliers. 1° accès. - Subitement le malade tourne la
tête
vers la droite, les yeux sont fortement portés
oite, les yeux sont fortement portés de ce côté, puis il reporte la
tête
à gauche; la face rougit, la contracture devient
Pas de cri initial, mais un bruit étouffé. Au début de l'accès, la
tête
et les yeux sont fortement portés à gauche, pui
écriait : «Maman, bobo», il se plaignait que ça lui piquait dans la
tête
et dans le nez. Il accourait vers sa mère chez
renverse les objets qui étaient devant lui ; bientôt, flexion de la
tête
en avant, lèvres avancées, aucun cri; on le ret
utomatiques précédant immédiatement l'accès. - Mor.... se frotte la
tête
et marche en disant : « Oh ! j'ai mal à la tête
or.... se frotte la tête et marche en disant : « Oh ! j'ai mal à la
tête
, je vais tomber. » Observation XL. - Père alcoo
manifestement la suture bi-frontale. Au toucher, on constate que la
tête
est très sensible dans toutes ses parties. Les
t de tirer un tiroir droit à lui, lors- qu'il pâlit subitement ; la
tête
s'incline en avant, puis alors il commence à dé
t et de jour jusqu'à cinq fois dans les mêmes vingt- quatre heures (
tête
à gauche, ronflement, bave) '. Avant les accès
e à huit ans (chute d'une charrette). Etat actuel (21 mai 1883). --
Tête
carrée, symétrique, sans ' Il est très diflicil
places. - Le rein droit (55 gr.) a le même aspect que le gauche.
Tête
. - Voûte et base du crâne symétriques. - A l'ouve
ses patronnes. - Accouchement à terme, naturel. - A la naissance la
tête
serait restée trois quarts d'heure DE l'épileps
'exécution de mouvements (fonctions) com- plaqués. - Altitude de la
tête
quelquefois penchée en arrière. - Parole lente,
iamètre. La marche était quelquefois chancelante sans paralysie. La
tête
et la nuque étaient quelque peu inclinées en ar
ent souvent sa vie en danger (saignée du bras ou scarification à la
tête
); c'est à une attaque do ce genre que succomba
nans), soit à accomplir une série de mouvements involontaires de la
tête
, du tronc ou d'un des mem- bres, etc. (chorées
rigidité; écume san- glante, ronflement. Quelques mouvements de la
tête
, mais ne se débat pas. 11 aurait eu deus crises
le au bras droit). 16 août. - Etat actuel. Poids, zip kilogr. 80. -
Tête
assez forte. Pas da saillie de la région occipi
Lorsqu'il porte le pain à sa bouche, la bouche vient en avant et la
tête
s'incline, l'avant-bras est relevé également et d
nt sur la table l'avant-bras et le rebord cubital de la main, et la
tête
vient au-devant de la bouchée en exécutant de n
les mouvements d'élévation de l'avant- bras et d'abaissement de la
tête
sont alors moins marqués que si ! se sert du br
ts d'athé- those. Une' fois le vase saisi violemment, il abaisse la
tête
qui vient ainsi au-devant du verre, puis il la
CAS .D'ATHÉTOSE DOUBLE AVEC IMBÉCILLITÉ. Le malade étant assis a la
tête
un peu tendue en arrière, les bras allongés, ma
ote des mouvements des doigts de la main droite, des épaules, de la
tête
et de la jambe droite. Ces mouvements sont à ce
que, afin de diminuer la dis- tance entre le verre et la bouche, la
tête
s'est avancée en oscillant. Quand D... veut pre
thétosiques de la face et des doigts. Dans la station verticale, la
tête
est animée de petites oscillations le tronc se
rche, D... porte le tronc un peu en arrière et incliné à droite, la
tête
dans l'extension ; le bras droit est accolé au tr
« Il m'a battu bien souvent et m'a fait bien du mal ! » Douleurs de
tête
consécutives aux excès; pas de migraines; pas d
à qua- rante-six. Sujette depuis sept à huit ans à des douleurs de
tête
; pas de migraines; pas d'attaques; n'est pas ne
première enfance; puis, de trois à quatorze ans, des douleurs de
tête
sans vomissements, pendant lesquels il devenait «
tait «comme un enfant mort». A cetle dernière époque, il eut sur la
tête
des croûtes très abon- dantes, « comme il n'y e
d'onanisme; sommeil bon, pas de cris nocturnes, pas de douleurs de
tête
appréciables pour les parents. A partir de l'âg
ents. Le bras droit s'élève, et la main se porte à la hauteur de la
tête
et un peu en arrière, en même temps que le tron
mouve- ments les plus désordonnés. Assis, il porte brusquement la
tête
de tous côtés, grimace étrangement, ouvre ou ferm
aire, à la moindre piqûre, il lui faut mettre un pansement. Maux de
tête
fréquents. Pas de si- gnes d'hystérie. Etat a
Pas de migraines ; quel- * quefois, mais rarement, des douleurs de
tête
. Pas de ma- ladie de peau ni de rhumatisme. Car
rant lesquels on n'a rien remarqué de particu- lier, ni douleurs de
tête
, ni onanisme. On l'a placé alors dans une plomb
x cernés et qu'il était parfois comme hébété, mais sans douleurs de
tête
. Le sommeil était mauvais, plus court que d'hab
le soir en rentrant de son travail. Une fois sa mère le surprit la
tête
dans ses mains et riant comme un fou, mettant s
-surveillant. Si on le pousse à travailler, il dit qu'il a mal à la
tête
. Interrogé à ce sujet, il répond qu'il n'a pas
à la tête. Interrogé à ce sujet, il répond qu'il n'a pas mal iL la
tête
. Voici les deux lettres qu'il adresse à ses par
toujours l'air pensif et périodes d'excitation. 255 préoccupé, la
tête
penchée sur la poitrine. Il n'est pas com- muni
rze ans, actuel- lement chez son oncle, a, paraît-il, très mauvaise
tête
, il est méchant pour ses camarades : « J'en sui
Examen du malade couché. Dans le décubitus horizontal, lorsque la
tête
et les membres reposent complètement sur le plan
, on ne constate rien d'anormal. Si on dit au malade de soulever sa
tête
, celle-ci s'agite aussitôt de secousses rhylhmé
roit, les membres supérieurs, le tronc appuyés ne tremblent pas. Sa
tête
tremble (n'étant pas appuyée). Si on dit au malad
il appuie ses deux avant-bras sur le bord de la table et incline sa
tête
jusqu'à ce que sa bouche atteigne l'aliment. Dans
he atteigne l'aliment. Dans ces con- ditions, quoique sa main et sa
tête
tremblent, il arrive à boire et à manger tout s
se lève, ses membres inférieurs se mettent à trembler; le tronc, la
tête
tremblent aussi. L'occlusion des yeux exagère c
emettre au lit et se rendormir. A son réveil, se sen- tant mal à la
tête
, il se leva et sortit se promener. La marche, dit
, G. Il y a aussi affaiblissement musculaire dans les muscles de la
tête
et du tronc. Les muscles de la face sont eux-mê
r seul, il répand tout sur lui à cause du tremblement. Le tronc, la
tête
se mettent à trembler dès que le 1ti NOUVELLE I
es. Il agitait les bras et les jambes, et renversait forte- ment la
tête
en arrière. Il ne perdait pas connaissance, mais
es blessés. Mais deux heures après, il est pris d'un violent mal de
tête
avec douleur lombaire, vertige et tendance à la s
es oculaires. Je remarque qu'elle ne peut marcher droite, et que sa
tête
tremble à chaque pas qu'elle fait. Elle ne peut p
cou, si bien que,les bras sont ballants le long du tronc et que la
tête
insuffisamment maintenue est entraînée en avant
este de la journée le malade était abattu, fatigué, avait mal il la
tête
. La crise n'était annoncée par aucun phénomène sp
rales, portion supérieure du tra- pèze, etc.). Il en résulte que la
tête
du malade n'est plus soutenue dans la position
de vue de la motilité, les mouvements d'extension en arrière de la
tête
ne présentent presque point de force. Le mouvemen
de; une raie soigneusement l, i tracée sépare sur le milieu de la
tête
des cheveux frisés et pommadés ; la moustache e
é par l'examen un peu prolongé de ses yeux, le malade se sentait la
tête
très lourde, et que facilement il serait tombé
t. Chloroforme. Dégoût, répulsion vive. Elle retire violemment la
tête
en arrière. Puis sa face prend une. expression tr
a prière. Chloroforme. Expression de contentement; elle renverse la
tête
en arrière, écarte et tend les bras, semblant y
ourit et salue de la main. Tout à coup elle fait quelques signes de
tête
et agite l'index comme on fait pour faire signe
s'éloigne; enfin ses mains retombent sur ses genoux, elle baisse la
tête
, l'air profondément triste comme si ce qu'elle
e. Puis elle porte sa main à son front comme si elle avait mal à la
tête
. Alors prenant le devant de sa robe entre ses m
qu'elle vaut. Après la scène de la robe secouée, revient le mal de
tête
, puis ainsi de suite. , Le sulfure de carbone
nce à cueillir des fleurs et fait une couronne qu'elle place sur sa
tête
, et pique quelques fleurs dans ses cheveux. Puis
sselle. Elle porté sa main à son front comme si elle avait mal à la
tête
. Puis elle fait le geste de rejeter ses draps a
ur être examinée au lit. Elle fait le geste de.boire. Elle remue la
tête
par oui et non comme pour répondre à des questi
éable dans le lointain (des soldats, sans doute), et scande avec sa
tête
le rhythme, de la marche que l'on joue. De même
rer ses bras contre son corps (PI. VIII, fig. 2). Elle se couvre la
tête
et les épaules d'un châle imaginaire. En présen
ndre un examen minutieux du crâne. Pour le faire convenablement, la
tête
du sujet doit être rasée; on appréciera le volu
La trémulation dont elle est le siège s'ajoutant aux saccades de la
tête
, peut gêner l'élocution. La parole est alors hé
st animé prennent une amplitude et une brusquerie plus grandes : la
tête
, le tronc, les I tc. 26. - Blumlierg .. Malade
epose dans une immobilité complète. Mais qu'il vienne à soulever sa
tête
au-dessus de l'oreiller, à élever un de ses mem
e veille, la seule attitude FiG. 27. Rlumberfi... Tremblement de la
tête
(malade au repos, puis en marche). F.r. 28. Mal
corps, qu'il peut se localiser diver- sement, respectant tantôt la
tête
, tantôt les membres inférieurs, etc., qu'il s'e
présence d'un cas de sclérose en plaques. Les oscillations dont sa
tête
est secouée, ses gestes maladroits, sa démarche
s près, le tremblement se pré- sente avec les mêmes caractères : la
tête
oscille dans le sens antéro- postérieur ou tran
ges au membre supérieur droit qu'au membre supérieur gauche. A la
tête
les oscillations se font dans le sens antéro-post
usque, mais avec son tremblement général et les oscillations, dont sa
tête
est secouée, on peut penser un instant qu'il s'
n, tranquillement assis, les avant-bras reposant sur ses genoux, la
tête
peut bien présenter quelques oscillations dans ce
la région sacrée. Sa mémoire s'amoindrit : il avait, nous dit-il, la
tête
perdue. Son sommeil était traversé chaque nuit
n trouble de la motilité, ni à la face ni aux membres supérieurs.La
tête
ne tremble pas, La parole n'est pas troublée. Pas
juin 1887, en se plaignant d'éprouver depuis un an des douleurs de
tête
continuelles, de la somnolence, de l'obnubila-
der devant lui ils oulève, la paupière avec le doigt et renverse la
tête
en arrière afin de relever le globe oculaire que
déglutition, pas de nasonnement, pas d'atrophie de la langue. La
tête
est légèrement penchée en avant, à cause de la fa
scles. Ceux-ci ré- sistent peu au mouvement passif de flexion de la
tête
en avant. Au niveau des membres supérieurs, la
eux, avait des vomissements de temps à autre et souffrait du mal de
tête
; quant au reste, il était d'une bonne santé. Il
t un grand fumeur de cigarettes. Il ne souffre pas, n'a pas de mal de
tête
. Robuste, bien bâti, il ne présente aucune alté
: 160 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. l'élévation de la
tête
ne peut elle-même s'accomplir qu'imparfaitement e
t1. Pendant l'opération, le premier médecin appuyait sa main sur la
tête
du patient et le capitaine des gardes lui tenait
saint Eutrope ne guérissait que la migraine, parce qu'il avait eu la
tête
fendue'à coups de hache, de même que saint Jubi
onnue et aurait poussé un cri d'effroi. Depuis lors, elle détourne la
tête
toutes les fois qu'elle la rencontre. A dix a
s heures après, le tremblement envahit les membres supérieurs et la
tête
; et depuis ce jour il a toujours per- sisté, av
t jamais complè- tement. Voici quels étaient ses caractères. La
tête
et les quatre membres sont animés de secousses pa
e semaine après la col- lision. Dès qu'il se met à lire, son mal de
tête
s'accroît. Il souvent des vertiges. L'appétit e
ocre, les digestions sont pénibles, il étouffe et il a le sang à la
tête
après le repas. Le 6 juillet, le malade demande
wagon-lit. Mais il ne put fermer l'oeil. Il avait, nous dit-il, la
tête
perdue; il lui semblait entendre les cris des ble
s la dernière semaine de septembre il commença à éprouver un mal de
tête
consistant en une sensa- tion continuelle de se
nt « que depuis l'accident qui lui était arrivé, il n'avait plus sa
tête
à lui, que sa mémoire était embrouillée». Après q
apparaissent dans l'épaule droite, qui se soulève par saccades; la
tête
elle-même exécute de temps il autre de brusques m
au repos, soilpendant les mouvements actifs. Le tremblement de la
tête
est plus régulièrement continu. Il ne cesse guè
ions difficiles. Après les repas elle avait toujours « le sang à la
tête
», elle étouffait; parfois elle était prise de ve
elle fut prise pour la première fois de violentes douleurs dans la
tête
. Ces douleurs la réveillèrent brusquement. Elle
lui arriva de temps en temps de souffrir de la moitié droite de la
tête
, mais seule- ment pendant une ou deux heures. E
t prise de dou- leurs très fortes dans toute la moitié droite de la
tête
, de la nuque au front, pas dans l'oeil; avec de
re que son corps décrivait un arc de cercle en avant, tandis que sa
tête
et ses pieds touchaient seuls le plan du lit. C
s onze heures et demie du soir, douleurs, élancements dans toute la
tête
des deux côtés, autour des yeux, dans la mâchoi
onnaissance vers quatre heures du matin. Le lendemain elle avait la
tête
lourde, elle put faire son service comme d'habi
e souffrant' presque plus, n'ayant plus qu'une sorte de lourdeur de
tête
qui se dissipa dans la journée. Elle reprit sa
nl, s'irradie d'avant en arrière jusqu'à la nuque; en même temps sa
tête
se renverse en extension forcée, l'oreille droi
. des points suivants, on détermine une sen- sation douloureuse :
Tête
; au vertex. Tout le cuir chevelu est un peu hyper
dmises. 1. Tète. Nous commencerons notre étude par l'examen de la
tête
, qui est celui qui a toujours été mis en première
jusque-là, il y a certaines modifications dans la morphologie de la
tête
qui se repré- sentent assez fréquemment chez le
r l'attention et faire l'objet d'une étude spéciale. L'examen de la
tête
se divise en deux parties, celui du crâne pro-
e sous la cloison du nez; la branche ver- ticale est fléchie sur la
tête
et amenée à l'autre oreille. Son point d'inters
t mouvoir l'autre branche du compas sur la partie postérieure de la
tête
, en restant toujours dans plan médian antéro- p
EN M.0RPH0L0GIQUE CHEZ LES ALIÉNÉS ET LES IDIOTS. 21a savoir si une
tête
est grosse ou petite, mais cela ne nous renseigne
s fonctions ? . Si- les manipulations de certaines matrones sur les
têtes
des nouveau- nés sont incapables de produire un
son facies si particulier, ne peut manquer d'attirer le regard. La
tête
est immobile, légèrement penchée en avant, elle
p de hache et dans ce cas la flexion en avant et l'immobilité de la
tête
sont encore bien plus accen- tuées. Cet aspect
rouvons dans la maladie de Charcot très fréquemment le même port de
tête
que dans la polioencéphalite. La tète est plus
es les directions, et remédier pour ainsi dire à l'immobilité de sa
tête
par l'agilité de ses yeux. C'est qu'en effet son
s là il existe en général une habitude particulière du cou et de la
tête
, due à ce que le cou est raide, mais nonréellemen
velle attaque de perte de connaissance avec déviation conjuguée de la
tête
et des yeux (novembre), le malade fut pris de n
erses coupes, mais la plupart étaient inférieures en grandeur à une
tête
d'épingle ; quelques-unes d'entre elles étaient n
IQUE CHEZ LES ALIÉNÉS ET LES IDIOTS. 270 repère. Le sujet appuie la
tête
sur la tablette fixée au mur, et regarde à l'ho
On peut alors obtenir les éléments principaux des proportions de la
tête
: . 10 La distance OB' du conduit auditif à la
stance CB' du point sous-nasal au même plan ou axe horizontal de la
tête
; 3° la distance AB de l'ophryon au même plan ou
t encore une indication précieuse. En effet, l'axe horizontal de la
tête
se trouve ainsi divisé en trois parties qui sont
nts pour le dévelop- pement respectif des différentes parties de la
tête
. En outre le rapport de la projection faciale C
é sont que souvent, si le sujet est très brachycéphale ou bossu, la
tête
ne peut toucher la muraille sans dépla- cer le
triangle facial et de renseigner sur les rapports respectifs de la
tête
. En résumé, la mensuration des diamètres de la
ue, système dentaire. C. Organes des sens. Messieurs, l'étude de la
tête
que nous avons pratiquée dans notre dernière co
nthropomètres. Le sujet est placé debout comme il a été dit pour la
tête
, regardant à l'horizon, les bras pendants le lo
taille est comme toujours rapportée à 100; c'est la longueur de la
tête
qui sert de module ; elle est comprise 7 fois et
100. La grande envergure dépasse un peu 100. Du vertex au menton (
tête
) 50 - 9 ? /,oU Du menton au creux sus-sternal
- 9 ? /,oU Du menton au creux sus-sternal (fourchette), = z113 de
tête
; De la fourchette à l'épine iliaque, 2 têtes;
fourchette), = z113 de tête ; De la fourchette à l'épine iliaque, 2
têtes
; Du vertex à l'ombilic, 3 tètes; De l'acromio
n peu moins de 3 tètes 1/ ; Du point condylien au bout du médius, 2
têtes
; Du dessus du grand trochanter à l'interligne
2 têtes ; Du dessus du grand trochanter à l'interligne du genou, 2
têtes
; De l'interligne du genou au sol, 2 têtes ; L
l'interligne du genou, 2 têtes; De l'interligne du genou au sol, 2
têtes
; Largeur des épaules, 2 tètes ; Diamètre bi-
ur des épaules, 2 tètes ; Diamètre bi-iliaque (épines), dépasse une
tête
; Diamètre bi-trochantérien, il tète 1/'2 ; Lo
lade sinon guéri, du moins singulièrement amélioré. Les douleurs de
tête
avaient disparu et la sensibilité était en partie
au médecin, en rentrant de l'école, il se plaignit d'un fort mal de
tête
; je le mis au lit croyant que c'était une indis
r, roi d'Angleterre. Le saint, revêtu des insignes dela royauté, la
tête
ceinte du diadème, les épaules drapées du long ma
n effet le système osseux en son entier et laisse des traces sur la
tête
(persistance des fontanelles, déformations de l
ors dans l'état somnam- bulique par la friction sur le sommet de la
tête
. Dans cet état, l'hyperoxcita- bilité neuro-mus
nifor- mément convexe de haut en bas; s'il s'agite, s'il incline la
tête
en arrière ou fléchit les cuisses, on voit s'in
tait d'appeler occipital, n'existe guère que dans l'extension de la
tête
. 11 est séparé par une dépression transversale
e cessent qu'en avril 1889. Insomnie. On lui met de la glace sur la
tête
durant un mois et demi; la diarrhée intense dur
s troubles ont disparu à la suite d'une application de glace sur la
tête
. Il aurait eu à la suite de cette attaque une d
lisés, symétriques, et occupent cer- tains sièges d'élection : à la
tête
, les joues et les régions sous-orbi- laires; le
it, il lui est souvent arrivé de refaire automatiquement son lit la
tête
aux pieds. La période de stupeur proprementjdite
animal, pendant qu'il était suspendu, par un coup de marteau sur la
tête
; la mort était instantanée; quand les battemen
s son air et dans tous ses discours, il est sérieux, parle peu : sa
tête
en tout temps paraît chargée de grandes pensées.
ire et confuse de Mesmer. A gauche Deslon ou Bergassc, soutenant la
tête
d'un magnétisé en proie à des vomissements. Sur
prend l'expression d'un profond dégoût. La main droite s'élève et la
tête
se détourne comme pour écarter une vision horribl
t. Chloroforme. — Dégoût, répulsion vive. Elle retire violemment la
tête
en arrière. Puis sa face prend une expression tri
rière. Chloroforme. — Expression de contentement ; elle renverse la
tête
en arrière, écarte et tend les bras, semblant y a
sourit et salue de la main. Tout à coup elle fait quelques signes de
tête
et agite l'index comme on fait pour faire signe à
i s'éloigne; enfin ses mains retombent sur ses genoux, elle baisse la
tête
, l'air profondément triste comme si ce qu'elle su
ace. Puis elle porte sa main à son front comme si elle avait mal h la
tête
. Alors prenant le devant de sa robe entre ses mai
ce qu'elle vaut. Après la scène de la robe secouée, revient le mal de
tête
, puis ainsi de suite. Le sulfure de carbone pro
mence à cueillir des fleurs et fait une couronne qu'elle place sur sa
tête
, et pique quelques fleurs dans ses cheveux. Puis
aisselle. Elle porte sa main à son front comme si elle avait mal à la
tête
. Puis elle fait le geste de rejeter ses draps au
pour être examinée au lit. Elle fait le geste de boire. Elle remue la
tête
par oui et non comme pour répondre à des question
gréable dans le lointain (des soldats, sans doute), et scande avec sa
tête
le rhythme de la marche que l'on joue. De même si
ait frissonner et serrer ses bras contre son corps. Elle se couvre la
tête
et les épaules d'un châle imaginaire. En présence
otalité du corps, sauf quelques points sur la poitrine, la face et la
tête
. Le 8 avril, en examinant le réflexe rotulien,
rès l'attaque et résiste aux frictions et au massage. Les douleurs de
tête
sont très violentes. Insomnie opiniâtre. Il exi
malade parle indistinctement; il veut se lever de son lit, tourne sa
tête
comme s'il fixait une personne ou un objet. Ver
— Camphre. Hallucination effrayante. Il cherche quelqu'un, incline la
tête
. Puis sa figure manifeste le contentement, il sem
— Il quitte son lit, fait quelques mouvements des lèvres, incline la
tête
et chuchote plusieurs fois le mot : « Oui. » Ve
ouge et la sueur perlait sur la peau. Compresse d'eau froide sur la
tête
. — Il fait le geste de se laver de nouveau, mais
eur Binet, j'ai un rhume de cerveau... Non, écoutez, ça me porte à la
tête
..., ça conserve les habits... Holà ! ma tête ! ¦
coutez, ça me porte à la tête..., ça conserve les habits... Holà ! ma
tête
! ¦ Eau de Cologne. — « Beau jardin ! je vais a
omme tout, cette opération ! Oh ! les charcutiers ! (Elle détourne la
tête
avec dégoût.) Il y a assez de gens qui ont des tu
pendant la guerre franco-allemande qu'il avait reçu une balle dans la
tête
) avec lequel il se battait contre des Prussiens i
i-heure le met sens dessus dessous. Il prend enfin son matelas sur sa
tête
et se promène ainsi dans la pièce où il se trouve
; elle court sur ses genoux et ses mains posées à plat sur le sol, la
tête
un peu redressée en extension; le visage a sa col
le regard maintenant est mobile, en accord avec les mouvements de la
tête
et les déplacements de la malade ; le strabisme a
exécuter quelques mouvements convulsifs consistant en : flexion de la
tête
en avant, torsion des poignets, fermeture des poi
çant à pas comptés comme un acteur en scène. Tout à coup il tourne la
tête
. D. « Qu'as-tu entendu? » R. « Rien, — une porte,
n peu plus tard nouvelle crise provoquée par la fixation d'une grosse
tête
d'épingle brillante. Même période de contorsions
a couleur de ce poteau? » R. « Rouge. » Et épelant une inscription la
tête
penchée en avant, comme s'il distinguait les lett
uées par l'excitation d'un point spasmogène situé sur le sommet de la
tête
; elles sont arrêtées par la compression de la ré
sensibles dans son état de délire ; ainsi la pression du sommet de la
tête
, qui, à l'état normal, provoque une attaque de ch
20 ans. C'est trop jeune, et j'ai beaucoup souffert. (Elle balance la
tête
et les bras, puis elle reste immobile et inerte p
Vite, vite, un petit bâton pour le tuer. Oh! il me chatouille dans la
tête
, il me ronge le cerveau, il mange mon cerveau. Ah
cerveau. Ah! qu'il me fait mal, mon Dieu! mon Dieu ! (elle secoue la
tête
et se frappe le crâne avec les mains). « .....J
gros, Alexis. Il me fait peur. Prends ton sabre pour lui couper la
tête
et la queue. Dépêche-toi. Il s'avance vers moi. V
meilleure..... Regarde ce chien, cette pauvre bête, comme elle a la
tête
baissée et la queue entre les jambes. On dit, qua
t'aimer, mais pour me marier, non, jamais; tu sais je ne suis pas une
tête
à ça..... « ..... Je vous dis que mon père n'es
ls drôles? tous ces hommes-là. Oh ! que je suis malade, j'ai mal à la
tête
..... » Le jeudi 21 juin, dans l'après-midi, ell
ieur Binet, j'ai un rhume de cerveau... Non, écoutez, came porte à la
tête
... Ça conserve les habits... Oh ! ma tête ! » A
n, écoutez, came porte à la tête... Ça conserve les habits... Oh ! ma
tête
! » Avec l'eau de Cologne : « Beau jardin ! je
ond, il me revient M. Z... Il a bon cœur, mais il se laisse monter la
tête
... Ah ! pourquoi sommes-nous venus? Je ne voulais
cette opération... Monsieur! Oh ! les charcutiers! (Elle détourne la
tête
avec dégoût)... Il y en a assez qui ont des tumeu
osa pendant une demi-heure environ sur un tas de copeaux. Il avait la
tête
lourde et des envies de dormir. Puis il se remit,
ez. Au bout de quelques secondes, le malade commençait à renverser la
tête
en arrière et à exécuter quelques mouvements de d
iée, on lui donne l'hallucination d'un régiment qui passe, musique en
tête
. Il bat la mesure de la main droite, se dresse su
n,.. Allons bon! Vlà qu'ça la reprend!... Mettez-y un matelas sous la
tête
, elle va se faire du mal... Va en acheter (en mêm
des mains) : Tenez, madame, buvez, là, ça va mieux? Appuyez là votre
tête
! (Gestes merveilleusement appropriés)... Ah! ça n
les membres redeviennent souples et le malade reste assis, calme, la
tête
un peu inclinée sur la poitrine, les yeux fermés,
e table, une marche militaire : le malade, les yeux fermés, tourne la
tête
à droite et à gauche, puis fronçant le sourcil, e
On frappe un coup sur une table, avec la main. Le malade, relevant la
tête
, et fortement: « Entrez!...» Puis, répondant à qu
t bientôt on voit le cou se gonfler, un bruit laryngé se produire, la
tête
et le tronc se renverser en arrière (esquisse d'a
aginent de la plonger dans un bain d'eau bénite, en lui maintenant la
tête
sous l'eau « si longtemps que naturellement elle
sparut subitement à la suite de la bénédiction par l'archevêque de sa
tête
, de sa langue et de toutes les parties de son cor
blépharospasme), ce qui fait que la malade est obligée cle relever la
tête
pour regarder les objets placés devant elle, à la
pris avec moi dans le cabinet du médecin et passai quelques heures en
tête
à tête avec elle, à l'examiner. En sortant de là,
ec moi dans le cabinet du médecin et passai quelques heures en tête à
tête
avec elle, à l'examiner. En sortant de là, sans m
e, etc.. etc.. » En peu de temps il retourna si bien ces deux pauvres
têtes
détraquées qu'elles devinrent indociles, insuppor
place toujours dans le bon sens et la retourne si on l'avait mise la
tête
en bas, disposition toujours facile à contrôler,
ût intelligente, mais elle était trop nerveuse et avait trop mauvaise
tête
. » Pendant son enfance, elle eut des convulsions
débattait au point qu'on était obligé de maintenir ses membres et sa
tête
pour éviter des contusions. On la délaça et après
tre mon nom. Je fus tellement émue que je m'affaissai subitement ; ma
tête
vint frapper sur le porte-aiguille de la machine
la nuit, lancinantes par momenls, exagérées par les mouvements de la
tête
et l'obligeant à tenir sans cesse sa main appliqu
'oreille. Il n'y a en avant de l'oreille, ni en d'autres points de la
tête
et du cou, aucun point douloureux. Cette douleur
resta ainsi pendant deux mois, puis un matin elle se réveilla avec la
tête
et les yeux tournés à droite, ne pouvant pas rega
ts en dedans de l'œil droit étaient conservés pour la convergence. La
tête
était fortement déviée vers la droite par une con
ttirée sur un objet spécial, il prend immédiatement la position de la
tête
et des yeux nécessaire pour réunir au même point
erre, s'il ne se trouvait auprès de lui quelqu'un pour le retenir. La
tête
et les yeux sont toujours dans la même position q
constatait déjà que le malade avait une certaine tendance à tenir la
tête
déviée à gauche. L'état des yeux était le suivant
vant tout un exemple probant de déviation conjuguée des yeux et de la
tête
, en rapport avec une lésion protubérantielle loca
bras droit ; la fourchette est saisie entre le médius et l'index; la
tête
est fléchie en avant et rapprochée de la main. Le
sque du bras droit, avec sensation d'un éclair qui monte du bras à la
tête
. Très courte. L'accès est précédé de prodromes
hés (huit à quinze jours). Accès caractéristiques. Aura: Il sent sa
tête
tourner à gauche, le corps restant immobile ; pui
a gorge, fourmillements et tortillements des bras et mouvements de la
tête
. Accès de délire post-épileptique de date récen
la bouche, puis suivent des mouvements de la face, des yeux et de la
tête
. Quelquefois prodromes éloignés consistant, dès
cès. Consiste en une sensation de vapeur chaude qui monte du cou à la
tête
et fait place à une sensation de froid. Observa
imum. Puis sensation rapide d'engourdissement remontant des bras à la
tête
, enfin perte de connaissance et accès. Quelquefoi
ne ophthalmique très violente et très intense. Elle souffre du mal de
tête
, souvent localisé au-dessus du sourcil gauche, pr
en un vertige subit ou avec sensation de froid glacial qui envahit la
tête
, et transpiration abondante subite. Elle n'est pa
tous ses membres ; « des idées vagues, bizarres » lui passent par la
tête
. A ce moment elle se couche par terre pour éviter
récédant régulièrement tous les accès diurnes. Il lui revient dans la
tête
l'air d'une vieille chanson qu'il a entendue au c
oreille l'air de la vieille chanson, mais cet air lui revient dans la
tête
. Ainsi qu'il le dit lui-même, c'est une «pensée»
rtige, tremblement. Puis « une idée, un souvenir » lui passent par la
tête
. Tantôt c'est la pensée du contremaître de son at
au cœur et l'étouffer; puis des bouffées de chaleur lui montent à la
tête
; elle éprouve de violents bourdonnements d'oreill
s manifestations de l'ordre sensitif : constriction douloureuse de la
tête
et du front. A noter également ce fait que l'aura
, sifflements très violents et très aigus dans les oreilles ; puis la
tête
et les yeux se tournent à gauche, et elle se renv
s la région stomacale, remontant à la gorge sans l'étouffer ; puis la
tête
se tourne à droite par saccades. Observation XL
oit, surtout de l'œil gauche, de petits globes de feu; les yeux et la
tête
se tournent à gauche, les bras s'élèvent en l'air
nt tous les jours aux malades et aux médecins. M. Gellé, qui est à la
tête
du service d'otologie et de laryngologie, a dress
même temps les épaules. Quelques petits mouvements concomitants de la
tête
et du tronc en arrière démontrent que certains mu
une brusque élévation des membres du côté droit en même temps que la
tête
s'incline vivementsur la droite. Ajoutez que ces
de concentration du sujet dans le —, 155, Déviation conjuguée de la
tête
et des yeux, 362. Diabète sucré : association d
riétés d'épilepsie hémiplégique : 1° Celle dont l'accès débute par la
tête
; 2° celle qui commence par le bras ; 3° celle qu
nt le long du cou : « Ça me fait mal comme des bourdonnements dans la
tête
, » Grâce à ces différents phénomènes précurseurs,
régulières et suivies pendant quelques jours de pertes blanches. La
tête
est droite ; il n'y a pas de raideur du cou. La c
e est droite ; il n'y a pas de raideur du cou. La circonférence de la
tête
mesure, en passant au niveau de la racine du nez
iennent environ tous les quinze jours. Etat de la malade en 1875. —
Tête
et face. Le front est médiocrement élevé ; les ch
ns mouvements avec le bras droit, porter, par exemple, la main sur la
tête
, mais en général, elle ne s'en sert pas. Droit.
rsque nous arrivons auprès d'elle, elle est dans l'état suivant: La
tête
est fortement tournée à droite, la bouche est tir
mal ! » La face devenait très-pale, la connaissance disparaissait, la
tête
se tournait et le corps devenait roide. Pas de cr
alors —de tomber dans la rue et de se blesser à la figure ou à la
tête
; jamais de morsure delà langue; deux fois seuleme
stions qu'on lui faisait. Souvent, elle se plaignait de douleurs à la
tête
, qui était brûlante sur toute son étendue. C'est
as. — Jamais les accès n'ont été suivis de délire. Janvier \ 87S. —
Tête
petite; front médiocrement élevé; bosse frontale
voile et les piliers du palais sont symétriques. La percussion de la
tête
n'est nulle part douloureuse. Membre supérieur
'existerait plus. Elle éprouvait une douleur à l'épigastre, puis à la
tête
; elle avait le temps d'appeler sa mère et de s'as
, au moins quelques minutes, elle éprouve une douleur au sommet de la
tête
; le point qu'elle indique répond à l'entrecroise
ec une ligne qui réunirait les deux conduits en passant par dessus la
tête
. Cette douleur, qui s'étend plus à gauche qu'à dr
es muscles de la moitié droite du cou se contracturent et attirent la
tête
vers l'épaule correspondante. Les paupières, clos
minute. Alors, la malade tourne sur sa chaise de gauche à droite, la
tête
demeurant toujours inclinée sur l'épaule droite,
rant l'attitude qu'il avait dans la première phase. Simultanément, la
tête
se redresse; la main, qui était fléchie, s'allong
in est fléchie et les doigts restent étendus. Simultanément enfin, la
tête
se tourne à gauche et la malade a beaucoup de pei
ouvenance de ce qui s'est passé. Elle se plaint d'avoir plus mal à la
tête
que ce matin. Disons à ce propos, que, maintes fo
lle nous a déclaré souffrir beaucoup plus dans la moitié gauche de la
tête
que dans la moitié droite. 17 février-?, mars.
ant la jambe et offre une attitude vraiment curieuse (Pl. VIII). La
tête
est inclinée en avant et à gauche ; le iras gauch
t le membre est pris de trépidation. En outre, le front se plisse, la
tête
s'incline sur l'épaule gauche, les yeux et la fac
iterrogée à diverses reprises, elle a répondu qu'elle souffrait de la
tête
, au niveau du front, des tempes et de la partie a
flexion dorsale du pied détermine les phénomènes suivants : La
tête
se penche sur l'épaule droite et se porte en arri
cousses qui affectent principalement les membres du côté gauche. La
tête
retombe sur l'oreiller. P... semble se plaindre,
u entièrement. deux bras, et les entrecroisent, ou qui lancent la
tête
d'un côté ou de l'autre (1). Dans les premiers
ès se présente ainsi qu'il suit : 1° Le menton s'incline en avant, la
tête
qui paraît s'enfoncer entre les épaules, se renve
situation suivante : Description des attaques. — Décubitus dorsal;
tête
rejetée en arrière ; cheveux en désordre; face mo
nt 2, 3 ou même 4 minutes. (Période tonique.) Alors, V... secoue la
tête
à gauche et à droite, ouvre les paupières, fléchi
ites plaintes, respiration saccadée, oppressée; V... secoue un peu la
tête
, essaie de lever l'un ou l'autre bras, s'asseoit
a demandé à boire. 1or novembre. — V... se plaint de souffrir de la
tête
, d'avoir les tempes serrées, les mâchoires roides
près chaque série d'attaques. Mouvements brusques, assez rares, de la
tête
; — mains sans cesse agitées ; dans la marche, fl
ents alternatifs de flexion et d'extension du tronc, dans lesquels la
tête
frappe violemment l'oreiller. Alors, elle cherche
meurs. Priez Dieu » pour moi, je m'en vais mourir. » Puis inclina la
tête
» et ne parla plus. Ce qui nous donna grande tris
tre les crises. Ces deux accidents: torsion exagérée du cou et delà
tête
, contracture du bras,reparaissent et disparaissen
force et lui mettre la camisole qu'elle a déchirée ; elle jetait à la
tête
des gens tout ce qui était à sa portée. (l) Au
là, croyons- b) Phase des secousses téta-niformes et cloniques. —La
tête
reprend sa position normale; la face se congestio
Elle te cache la figure avec les mains, croise les bras, menace de la
tête
: « Il m'en fait faire du mauvais sang!... . J'ir
mes tant ta fille ! (Allusion à son père). L... fait des signes de la
tête
; air de mépris : « De quoi?... Tu es une mère inf
Je ne pensais qu'à toi. . . Je na savais pas ce que j'avais dans la
tête
... Qu'auiions-nous fait la deuxième fois. . . En
colère ; la figure se congestionne ; L. .. montre le poing ; puis la
tête
se penche à gauche ; — effroi ; —regarde à droite
e à la porte. • Donne un baiser des lèvres. Repos ; soulère un peu la
tête
, regarde à droite, parle bas. ElFroi ; plaintes ;
Et c'est tout? Tu vas me dire la vérité, ou une giffle... (Soulève la
tête
, menace.) • Tu entends ce que je te dis, sois fra
és : « J'ai com...meun...hautde corps... quand cela... me prend. » La
tête
est brusquement rejetée en arrière, la bouche s'o
celer. Elle a de temps en temps des crises d'un genre particulier. La
tête
se porte fortement dans l'extension ; le tronc re
hmique affectant la tète, le tronc et les membres du côté droit. La
tête
et le tronc se portent en arrière et vont toucher
éther. Depuis ce jour, jusqu'au 8 mars, malaise, idées drôles dans la
tête
, nausées, etc. Hier soir, de sept à neuf heures,
venir à elle par la compression ovarienne. Bientôt, X... incline la
tête
, croise les bras, cache sa figure avec ses cheveu
ps; mais lors qu'il eut dit qu'il falloit le prendre » par dessous la
tête
, il n'y eut personne qui ne l'en-» levât aisément
a jeune Sara. C'est, aux enfers, un roi fort et puissant, qui a trois
têtes
(Fig. 9) : la première ressemble à celle d'un tau
a vu quelques jours auparavant, qui veut lui faire peur; elle voit sa
tête
, ses cheveux, qui sont rouges; il la fixe, et s'i
gneur qui, tenant une couronne d'épines à la main, la lui posa sur la
tête
en disant : « Ma fille, reçois cette couronne en
utour du front comme un cercle de feu. Elle ne pouvait pas appuyer sa
tête
, même sur un oreiller (p. 261). » Les amours de
n bien, soit en mal. De plus, nous faisons prendre le moulage de la
tête
de tous nos malades décédés. Enfin nous consevo
[ HISTOIRE DU SERVICE soit la calotte crânienne, soit même toute la
tête
. Ces différentes collections viennent compléter
portant, vif, intelligent : alors il fit une chute dans laquelle sa
tête
vint porter sur un poêle chaud. Il en résulta une
: de ? La surface du rein est en outre parsemée de petits kystes.
Tête
. L'enveloppe crânienne est normale. Au point de
nsversales ; les 2 premières siè- gent à la partie inférieure de la
tête
du noyau intra-ventri- culaire. Sur les deux
t de pleurs. - Caractères des accès convulsifs. - Examen physique :
tête
, tronc, etc. Déformation du rachis. Stomatite u
pouvait élever les mains à la hauteur du vertex ; en même temps, la
tête
, mal soutenue par les muscles cervicaux, pendai
état parétique des bras et du cou avait totalement disparu, et « la
tête
ne ballotait plus. » Etat actuel (avril 1881)
ur l'état de l'odorat,- il paraît con- tent lorsqu'on lui frotte la
tête
, mais donne des signes d'im- patience au bout d
lenticulaires et dissé- minés, moins nombreux que du côté gauche.
Tête
. La base du crâne est régulière et symétrique : l
nq ou six noyaux allongés, d'aspect grossièrement godronné sur la
tête
du noyau caudé. Il n'en existe ni sur la queue
ce « sur la recommandation d'un saint » est allé promener l'enfant,
tête
nue, dans « un champ de sei- gle au moment de l
rise, pas d'autres accès, mais le malade se plaignait souvent de la
tête
, des oreilles et criait. Enfin, il y a 5 mois e
pubis ; rien aux aisselles. Ulcérations cachecti- ques : 1° sur la
tête
du troisième métacarpien gauche, 2° à la joncti
a situation habituelle. Après celui-ci, il se plaint de douleurs de
tête
, a de la fièvre, etc. ; et, tandis que le premi
- tent bien ; 3° un garçon très maladif, « aurait un peu perdu la
tête
» à un moment donné, à la suite de chagrins de
trace de violence. Pas trace d'éjaculation : verge semi-turgide.
Tête
: Cuir chevelu excessivement épais. Crâne très
rostate. Dans le testicule gau- che, un petit kyste séreux entre la
tête
de l'épididyme et la glande. Réflexions. L'hi
n constitués, mais d'une mobilité extrême. Examen du malade. - La
tête
est assez bien conformée mais excessivement pet
s. Elle s'est mariée à 26 ans ; elle a souffert de névralgies de la
tête
qui sont aujourd'hui en voie de diminution. [Pè
es extrémités. Deux soeurs, l'une morte à 18 mois, d'un choc sur la
tête
; l'autre à 4 mois et demi : celle-ci était oc
Vitry; elle aurait débuté par une sensation de « tournoie- ment de
tête
» et, après une durée de deux heures, se serait
née, mais la pression détermine une sensation pénible dans toute la
tête
. Le clou hystérique participe à la crise nerveu
s de rire. Il dé- chire ses vêtements, crache et donne des coups de
tête
. Ici, survient une rémission de plusieurs minut
ntre en insultant quiconque le touche. Il me jette un oreiller à la
tête
; me fait signe qu'on lui a fait mal à la jambe
grammes, ferme ; léger épaississement de la capsule de Malpighi.
Tête
. Encéphale : 1350 grammes. La dure-mère, un peu
as eu depuis le 10 ; amélioration. Examen physique. (22 juillet).
Tête
: Crâne symé- trique ; calvitie complète; la su
s au putrilage pulmonaire. -L'intestin et la vessie sont intacts.
Tête
. Le cuir chevelu est très épais et très adhérent
umulation de matières fécales dures qui a presque le vo- lume d'une
tête
d'adulte. Au niveau du détroit supérieur, l'int
ns. Rougeole ( ? ) à 4 mois.-Croup à 5 ans. A 3 ans, chute sur la
tête
suivie d'un étourdissement prolongé. Etat actue
n objet brillant ou un tambour, qu'il approche de son vi- sage ; la
tête
s'incline vers le côté de la main qui tient l'ob-
assis, Duch... se balance sur sa chaise, quelquefois en heurtant sa
tête
sur le mur. Il semble re- connaître sa mère. Il
avoir 4 ou 5 à peine. Taille 0 ? J ! i ; poids, il3lcilor ? OU. La
tête
est aplatie en arrière ; les régions temporo-pa
devient fixe mais égaré dans l'espace; puis il se met à balancer sa
tête
de droite à gauche et réciproquement, ce qui ex
rno-mastotdions ; d'autres fois, l'en- fant tourne sur lui-môme, la
tête
inclinée sur l'épaule. Ce mouvement s'exécute d
est de même pour les ganglions mésentériques, et de la vessie. '
Tête
. La base du crâne est symétrique. La dure-mère
at actuel. Le petit malade est assez bien conformé et développé. La
tête
est oblonguc, le front élevé; les bosses fronta
if, comme d'ailleurs l'estomac et le gros intestin, paraît saine.
Tête
. Calotte crânienne régulière et symétrique. L'env
pli de l'aine. La peau est brune, villeuse au niveau des épaules.
Tête
, assez grosse, de forme carrée; le ventre et le
5 cent. Reins, 60 gr. Ces divers organes n'offrent aucune lésion.
Tête
. Tandis que la base du crâne est normale, la ca-
; rate (40 gr.) ; reins (49 gr. à droite; 55 à gauche), normaux.
Tête
. Elle est aplatie suivant le diamètre bi-pariétal
éter les mots : « dada, gnan, gnan. » Tandis qu'à la naissance la
tête
était petite, le corps grêle, vers l'âge d'un a
bdomen. Foie (410 gr.), reins (40 gr.) et rate (40 gr.), normaux.
Tête
. A l'ouverture du crâne, il s'écoule une très not
intérêt sous le rapport cérébral. Le développement exagéré de la
tête
se serait accusé à partir d'un an, puis l'ossific
- cinq minutes sans aucun soin. On n'a pas constaté de plaie à la
tête
, mais l'enfant est resté jaune pendant neuf jours
s de colère sont fréquents : l'enfant pousse des cris, se heurte la
tête
, s'as- sied à terre, étend les bras. Cet état d
OUGEOLE COMPLIQUÉE. 153 au même point. Toutefois, quand on place la
tête
dans une position déclive, pour faire déglutir
jette à la jalou- sie. [Père, alcoolique, mort avec des douleurs de
tête
très intenses. Pas d'accidents nerveux dans la
e, parfois même de peur. » MI , 1880. 11 novembre. - Etat actuel.
Tête
régulièrement conformée et symétrique; visage a
uentes grimaces, et, parfois exécutant des mouvements rapides de la
tête
, accompagnés de clignottement des yeux. Le cara
oïdes. L'appendice vermiculaire a une longueur de 11 centimètres.
Tête
. Encéphale, 1080 gr. Poids du, cervelet et isthme
rappelle le type morphologique féminin. Cou. Le cou, pédicule de la
tête
, n'est pas très haut, ni très gros il mesure à
me normale- ment développé ; il parait même au-dessous du normal.
Tête
. Comme on voit très nettement dans la photographi
normal. Tête. Comme on voit très nettement dans la photographie, la
tête
de José Lopes, qui, au premier abord semble pet
un matin, comme c'était convenu, pour faire les mensurations de la
tête
, et par hasard je le trouve assez content ; mai
mégalique ? La réponse ne saurait pas être dou- teuse. En effet, sa
tête
est plus grande que la moyenne ; et, comme nous
éral gauche ou droit, les membres inférieurs étant en flexion. La
tête
de conformation normale, un peu aplatie dans le s
curieux de noter la persis- tance normale de la canine gauche. La
tête
est enfoncée entre les épaules. Les téguments son
es contractions fasciculaires dans le deltoïde. La percussion de la
tête
du péronée détermine des contractions dans le bic
semblait pas malléable. L'utérus portait un fibrome du volume d'une
tête
d'enfant. Les ovaires sont atrophiés, blanchâ-
espectif par un profond sillon déterminé par la forte saillie de la
tête
cubitale. En examinant le bras en des positions v
voit la diaphyse du radius régulièrement droite sans exostoses. La
tête
du radius présente des dimensions régulières ;
ique. La diaphyse du cubitus est légèrement recourbée en dedans et la
tête
cubitale présente un contour irrégulier. Desc
rès éloignée du pisiforme et on trouve une luxation postérieure de la
tête
cubitale tandis que la facette articulaire radi
dant le développement osseux, les cartilages de conjugai- son de la
tête
radiale, au lieu de se développer suivant la dire
ue de se précipiter à sa suite ; elle reçut une blessure grave à la
tête
, et.quand elle reprit conscience, elle présenta
se souvenir de rien. Elles ont tellement couru, ont tant de choses en
tête
, n'arrivent à rien, et puis, quand on est seule
de près de l'eau ; il lui a coupé le cou complètement. J'ai pris la
tête
de mon mari dans un tablier et je me suis sauvée
. » « Je n'ai plus d'enfants, parce qu'on les tués. J'ai porté huit
têtes
coupées devant le tribunal. On m'a planté un co
es devant le tribunal. On m'a planté un coup de couteau derrière la
tête
, mais je n'ai pas été blessée, parce que j'avai
reste, d'une façon générale,conforme à celle du type moyen. « Leur
tête
n'est pas trop grosse, leur troncn'estpas trop
plète et immobilité absolue de toute la colonne vertébrale et de la
tête
, cyphose dans les régions cervicale inférieure
, amena l'immobilité complète de toute la colonne vertébrale, de la
tête
au sacrum, des deux articulations du bassin, et
s sy- noviales sont agrandies ; dans l'articulation de la hanche la
tête
du fémur est déformée, elle est aplatie. » Ob
La cage tboracique est aplatie et immobile pendant la respiration. La
tête
et toute la colonne vertébrale sont d'une immob
la région lombaire où la lordose est aplatie. Les mouvements de la
tête
sont limités; la colonne vertébrale est d'une i
malade se plaignait d'immobi- lité complète du dos, du cou et de la
tête
, d'une grande limitation des mouve- ments et de
t d'un type mixte (abdominal et costal). Tout le tronc ainsi que la
tête
sont dans une immobilité complète. Grande limit
ver- tébrale dans ses parties cervicale et dorsale se soude avec la
tête
et les arti- culations des épaules. Le même pro
e. La colonne vertébrale est immobile dans toute sa longueur, de la
tête
jusqu'au sacrum (dans 8 cas), ou bien elle n'es
ur avec déplacement de celui-ci en haut vers la fosse iliaque. La
tête
de fémur paraît atrophiée, ne se voyant presque p
est en partie dû à l'ataxie du bras, mais distingue la pointe de la
tête
de l'épingle. Pas de Stauungspapille, cinq jours
nneau de l'espèce du conseiller recteur, desa- voir que cette docte
tête
, comme l'appelait Guillaume Budé, que ce pré- c
tous par deux grandes mains d'étoffe qu'ils portaient l'une sur la
tête
, l'autre sur la poitrine, par allusion en forme
LE TRIUMPHE DE TRÈS HAULTE ET PUISSANTE DAME VÉROLLE 179 debout, la
tête
couverte ou découverte, suivant les forces. On me
;en sorteque le malade demeuroit exposé depuis les pieds jusqu'à la
tête
, à la fumée qui i s'en exhalait, jusqu'à ce qu'
emeurent rouges et esraillez qui filent la cyre et sont de couleur de
tête
de pyvert, de pied de canard et de bec de sygoi
deuxième personnage portant un croisé du genou), les pansements de
tête
, minerves, croisés de l'oeil. Tous les personnage
ts, dans un demi-sommeil, et ne répond pas aux questions posées. La
tête
est fortement penchée sur l'épaule gauche et le
ements convulsifs. Rien à la face. Pas de déviation conjuguée de la
tête
et des yeux, pas de nystagmus. L'hémiparésie dr
secousses au membre inférieur qui est seulement raidi. De nouveau, la
tête
s'incline sur l'épaule gauche, la face regardan
de est sorti de sa torpeur; il ne présente plus de déviations de la
tête
ni des yeux. Il prononce quelques phrases : « Vou
des convulsions. Il est dans le coma complet, sans déviation de la
tête
. Il y a hémiplégie gauche, avec réflexe rotulien
té tenu compte de cer- tains d'entre eux ayant les dimensions d'une
tête
d'épingle. Leur volume est très variable : il v
me. A 0 mois, convulsions suivies de l'augmentation de volume de la
tête
. A (1) BIE(.4CIIOW51(S', Z ? Patol. u. Ilistol.
ttitude profondément affaissée, le corps tout entier en flexion, la
tête
immobile, les yeux fixés en avant très légèrement
pourquoi. Pendant tout cet examen il a la physionomie ennuyée, une
tête
figée, comme de marbre (1), le sourcil froncé.
ec une démarche lente, sans signe de politesse, la casquette sur la
tête
; le corps tout entier en llexion légère, les y
tinue dans l'intervalle des repas à faire des gestes et à remuer la
tête
. Il répond un peu plus facilement et d'une façon
s rapidement en face et en dessous par suite de l'inclinaison de la
tête
en avant (Pl. XXXIII). Il fait constamment des ge
e en est la signification. Il interrompt ces gestes et se frotte la
tête
avec une main, mais ne répond pas, puis reprend
d : ' Un de ces jours. » On lui dit de mettre sa casquette sur sa
tête
; il le fait sans hésitation ; d'ouvrir la bouc
ent dans la cour, jetant son paletot qu'il vient d'en- lever sur la
tête
des malades qu'il rencontre. Paroles incohérentes
ssification intéresse les capsules articulai- res qui entourent les
têtes
des côtes et les ligments costo,ve1'tébraux qui,
rmal, sont constitués par des libres qui partent en rayonnant de la
tête
costale vers les corps des vertèbres. n'y a pas d
s masses osseuses ont conservé leur disposition radiée et là où les
têtes
des côtes s'articulent avec les deux vertèbres ad
de la tète do la côte ; /t, cavités articulaires ; i, lig. de la
tête
de la côte et du disque (nécal- cif. il la méth
Fic.. IL - Mémo coupe frontale d'une articulation prise entre la
tête
(F) de la côte et deux vertèbres (A et C) du ca
gieux qui a soudé entre eux le tissu spongieux de ? vertèbres et la
tête
de la côte. La porosité du tissu spongieux part
ansversalement ou frontalementpar le milieu de l'articulation de la
tête
delà côte avec le corps de la vertèbre, les car
te avec le corps de la vertèbre, les cartilages qui enveloppent les
têtes
des côtes elles surfaces articulaires des corps
ucture articulaire n'apparaît ; on ne distingue ni les contours de la
tête
de la côte, ni les facettes articulaires des co
lage ; C, fibre conjonctive néoformée ; Dt le corps spongieux de la
tête
. (Gross. : i fois ) LA SPONDYLOSE RHIZOMÉLIQUE
RANDES ARTICULATIONS DES MEMBRES Vue anatomique macroscopique. - La
tête
de l'humérus droit est dimi- nuée d'un tiers de
s, se séparent par un petit bourrelet cartilagineux, surtout sur la
tête
gauche. La capsule est épaissie,les membranes s
unâtres qui ont quelquefois plusieurs millimètres de longueur. La
tête
du fémur est de dimension normale, elle n'a pas s
ne a;'<WMeeHce ! 7- lilère, qui occupe tout l'angle formé par la
tête
et le corps de l'os. Celle excroissance arbores
euse ne s'y trouve point.La membrane synoviale qui entoure toute la
tête
articulaire est parsemée de petites excroissanc
rizontales est très épaissie dans ces parties; dans les parties des
têtes
des articulations qui sont aplaties et usées, l
rvations celle d'un malade avec ankylose du rachis, du cou et de la
tête
dans la même position qu'il devait garder penda
formations récentes. ? c) L'état des cartilages qui recouvrent les
têtes
des os des épaules et des hanches nous montre à
première observation, décrite par M. P. Marie, une résec- tion des
têtes
des fémurs des deux articulations ankylosées du b
charme et de la grandeur. C'est bien Brissaud : son cou massif, sa
tête
puissante, ses cheveux léo- nins, son oeil prof
la grandeur d'un petit pois, les autres à peine plus grands que la
tête
d'une épingle. Ils ont toujours été du type que M
ion lorsqu'il y a six mois elle ressentit de vives douleurs dans la
tête
le soir en revenant de son travail. - C'était
eur, et en effet il est encore impossible à la malade de tourner sa
tête
dans un sens ou dans l'autre. Depuis elle a ren
sans mobiliser sa colonne vertébrale. Elle penche beaucoup mieux la
tête
en avant mais assez mal en arrière. La pression
teur de son évolution et sa locali- sation à une seule moitié de la
tête
. Cette affection comporte trois signes ; l'hém
tituer un signe important. Enfin la malade se plaint de douleurs de
tête
qui prédominent il la région occipitale si bien
utôt grêle. Le corps thyroïde n'est pas perceptible la palpation.
Tête
. La tête qui au premier abord paraît petite, prés
e. Le corps thyroïde n'est pas perceptible la palpation. Tête. La
tête
qui au premier abord paraît petite, présente néan
ont massifs, un peu déjetés en dehors, ce qui achève de donner à la
tête
un aspect pyriforme. La bouche présente une lon
tal acluel. La taille est de 170 centimètres ; la circonférence de la
tête
est de 58 centimètres, le diamètre longitudinal
cervico-dorsale très prononcée, ce qui fait que les mouvements de la
tête
sont très lents et très maladroits. Les orteils
ilis et ne pas abuser des alcools. A l'âge de 21 ans, il subit à la
tête
un traumatisme qui fut suivi d'une hémiparésie dr
tés du radius et du cubitus plus petites que celles du côté opposé,
têtes
arrondies, apophyses styloïdes qui se dessinent à
(6) COSTANTINI, lOC. cit. (7) Babès, Anomalies congénitales de la
tête
déterminant une transformation symé- trique des
; C ? Editeurs. PARAPLÉGIE SPASTIQUE SPINALE EN FLEXION 339 Face.
Tête
inclinée fortement à gauche, mais pouvant être dé
chez notre malade, l'extrémité mo- bile du levier, c'est-à-dire la
tête
du fémur correspondant, glisse dans la cavité c
ez l'homme normal une telle consistance, une telle tonicité, que la
tête
du fémur ne peut bouger que dans le sens que l'
n tel relâchement des ligaments et de la capsule articulaire que la
tête
du fémur ne puisse plus se maintenir fixe penda
l'idée d'attribuer, à ces contractions, l'ab- sence de fixité de la
tête
du fémur, quand le membre est soulevé en l'air,
de la station bipède et de la marche, de l'absence de fixité de la
tête
du fémur dans la cavité coty- loïde, et vice-ve
faut que tout le poids de son corps reste maintenu fixement sur les
têtes
des fémurs. Cette fixité est plus difficile à êtr
xiques précédents, il nous est facile de comprendre alors que si la
tête
du fémur glisse dans tous les sens, contre la v
quilibre cinétique, provoqué par la même cause, c'est-à-dire que la
tête
du fémur est remuée latérale- ment et le tronc
, non sans quel- que difficulté, car, déclare-t-elle, elle avait la
tête
dure ; là se borna son ins- truction. Elle fu
ssent avoir été hydrocéphales, car elle déclare qu'ils avaient [une
tête
énorme et que, au dire du méde- cin, ils avaien
e énorme et que, au dire du méde- cin, ils avaient de l'eau dans la
tête
; elle ne se rappelle pas les dimensions de leu
naine présente le type classique du nanisme achondroplasique : la'
tête
volumineuse, la micromélie à prédominance rhizo-
ue ses deux seuls enfants qui sont venus à terme avaient une grosse
tête
, et que, au dire du médecin, ils avaient de l'e
osse tête, et que, au dire du médecin, ils avaient de l'eau dans la
tête
; mais elle ne sait leurs membres étaient anormale
e- ments convulsifs des membres gauches, avec chute, rotation de la
tête
à gau- che et mouvements désordonnés des yeux.
copiques lui faisaient se demander si la glande thyroïde était à la
tête
des troubles observés,ou si les glandes sexuelles
périeurs. Un coup d'oeil sur la photographie (fig. 3) montre que la
tête
, le cou, le tronc sont parfaitement proportionnés
le dépasse la stature de 5 à 10 centimètres. Les mensurations de la
tête
ont donné en centimètres les chiffres sui- vant
e des bras en croix, est de 158 centimètres. Les mensurations de la
tête
ont donné : '468 ' H. S. STANNUS ET S. A. K. WI
. Les membres inférieurs sont normaux aussi bien que le tronc et la
tête
. Comme dans les cas précédeuts, les humérus son
'extrémité infé- rieure du radius. Le carpe dans son ensemble et la
tête
des métacarpiens par- ticipent à cet accroissem
hirurgicales : un léger déplacement de l'extrémité inférieure de la
tête
du radius (déplacement visible sur les clichés ma
les os du carpe, l'extrémité inférieure du radius et du cubitus, la
tête
des méta- carpiens. Les travées osseuses sont e
a partie compacte de l'os a pénétré dans la partie spongieuse de la
tête
, amenant en outre par ce télescapage une ascens
de la tête, amenant en outre par ce télescapage une ascension de la
tête
du radius. Les lésions du cubitus sont insignif
lésions du cubitus sont insignifiantes. Tous les os du carpe, la
tête
et la base des métacarpiens, l'extrémité infé-
te raréfiante. Cette raréfaction atteint également les bases et les
têtes
des métacarpiens, et l'extrémité inférieure des
e l'avant-bras. Elle est particulièrement accentuée au niveau de la
tête
du cubitus. Or les interventions opératoires co
ont envahi tout le corps, y compris les membres supérieurs, sauf la
tête
. Puis sont survenues des douleurs assez fortes
sale, ou assis dans son lit avec les jambes croisées. Du côté de la
tête
, on ne remarque rien d'anormal. Les pupilles sont
ui passe légè- rement sur la peau - que seulement sur la peau de la
tête
, du cou et jus- qu'à deux travers de doigts au-
sur la même surface que les autres sensibilités. Les mouvements de la
tête
sont conservés et bien sentis par le malade. -
t des troubles légers tels que boule hystérique, douleur fixe de la
tête
. Elle avait t une douleur ovarienne, mais elle
s musiciens se lèvent et se livrent aux mouvements rythmiques de la
tête
sur lesquels nous reviendrons. Après une long
t ceux-ci, les musiciens élèvent leurs tambourins au-dessus de la
tête
de l'acteur et l'enveloppent en quelque sorte de
ce aux musiciens et le corps incliné en avant, se met à balancer la
tête
par un mouvement impossible à décrire. Il sembl
écrire. Il semble que les vertèbres du cou n'existent pas et que la
tête
lan- cée en l'air par un ressort retombe devant
nsemble, ils se tiennent enlacés et joignent au balancement de la
tête
une sorte de déplacement latéral qui se marie t
rtable de vapeurs de charbons. Certains des acteurs exposent leur
tête
fort longtemps au-dessus du réchaud qu'a- nime
nne, bleuit; il y a une sorte d'exophtalmie; les yeux sortent de la
tête
; les épaules, les bras sont couverts de sueur ;
ps en avant et en arrière. Mais le mouvement de circumduction de la
tête
paraît être le mouvement capital; ceux qui essa
m'a paru être propre à ajouter à l'anesthésie. L'ac- teur expose sa
tête
au-dessus des fourneaux et "le mu- sicien évent
les camarades tenant le danseur pantelant sous les bras exposent sa
tête
au-dessus du foyer. Je pense que c'est là un mo
avec une grande persistance. La longue durée des mou- vements de la
tête
et de la musique paraît un élément important po
leurs exercices. On voit, en effet, des individus venir balancer la
tête
; mais là, se borne leur partici- pation. Les d
uelquefois parole embrouillée ou même impossible. Balancement de la
tête
, tressaillement des muscles du cou, et mouvemen
ans, a souffert pendant la denti- tion de spasmes, d'éruption à la
tête
, de vers, et surtout de scrofules. Les glandes
de connaissance, une bouffée de chaleur lui montant des pieds à la
tête
, le long de la colonne vertébrale. Pendant se
muscles du cou n'est pas non plus assez énergique pour empêcher la
tête
d'obéir aux lois de la pesanteur. Les seuls sig
le vit, pendant qu'il surveillait ses ouvriers, porter la main à la
tête
et prendre ensuite subite- ment sa course vers
rien de ce qui s'était passé après qu'il avait porté les mains à sa
tête
; ce geste avait été provoqué, suivant lui, par
iagnostiquai une présentation du sommet, mais il y avait près de la
tête
quelque chose de très embarrassant au toucher.
pubis. Alors, quoique les douleurs fussent fortes et fréquentes, la
tête
refusa de chan- ger de place, et le pétitiée ne
ôlfs, mais il était évident que le diamètre antéro-postérieur de la
tête
ne pouvait permettre à l'extension de se produi
ion, j'appliquai le forceps et fis iadélivrance. A l'inspection, la
tête
avait l'apparence d'être énormément développée
action ici, sauf quand l'enfant criait ou qu'on lui pressait sur sa
tête
. La peau s'arrêtait brusquement sur le bord de
ise. Depuis ce temps, sa femme avait remarqué une tuméfaction de la
tête
. L'auteur trouva une proéminence de forme ovale
e malade s'était aperçu que son cha- peau etait trop étroit pour sa
tête
. Le troisième jour, le malade présentait la res
s les rapports : médical, économique et administratif, de placer la
tête
de ces maisons des médecins spécialement pré- p
à l'âge de dix ans, elle fut prise à la Saint-Michel de douleurs de
tête
et de ventre. Mais, le mal était plus persistan
comme elle se plaignait encore beaucoup de douleurs de ventre et de
tête
, et que, vers le commencement de cette année, s
et, certaine matière pénétrante et séreuse, en redes- cendant de la
tête
dans les parties inférieures du corps, ne 172 V
eur, il est très diffi- cile à la malade de porter la main sur la
tête
. La face n'est point pa- ralysée. Le goût, l'od
ignés. Le hasard ayant fait que je n'aie jamais été placé qu'à la
tête
de services d'hommes, j'ai cru devoir laisser c
toujours tout intellectuelle : c'est un roman qui se passe dans la
tête
, qui se fait jour dans les écrits, mais qui ne
la plus variée (chute d'un lieu élevé, chute de cheval, coup à la
tête
par éclat d'obus, coup de sabre, etc.).. 220 PA
sième avait été criblé de blessures à Gra- velotte (sans plaie à la
tête
), etc. Je pense, comme M. Strauss, que, sans ex
me par terre, et en revenant à lui, se plaignait de forts maux de
tête
. Cependant il gérait un commerce important, s'é
une rixe avec des soldats allemands, il fut frappé violemment à la
tête
(coups de poing et coups de crosse de fusil). E
et aliénés dans sa famille. Il y a douze ans, coups de sabre sur la
tête
. Se marie et se trouve dans une situation gênée
e qui frappa chez l'en- fant ce fut le développement exagéré de la.
tête
. Il a commencé à marcher à trois ans, à parler
aura, sans écume à la bouche. Quelques mouvements convulsifs de la
tête
et des bras, qui manquent parfois; grande pâleu
ogivale. Dents à peu près régulières. Voici les mensurations de la
tête
: DE l'épilepsie PROCURSIVE. 249 nomène carac
r. Revenu à lui, il ne se souvenait de rien, se plaignait de mal de
tête
et restait sombre pendant une heure ou deux. D'
, petit kyste plus petit qu'à droite dans la substance corticale.
Tête
. Cuir chevelu, moyennement épais, sans ecchymo-
un peu aux champs, pas d'attaques de nerfs, a souvent le sang à la
tête
. Quatre freines, l'un est mort en huit jours, d
r.). Rate (70 gr.). Rien dans l'esto- mac, l'intestin, la vessie.
Tête
. -- Cuir chevelu assez épais. - Os du crâne de co
étant venu voir son malade, celui-ci l'a déshabillé des pieds à la
tête
; puis, se déshabillant à son tour, il s'est mis à
ommençant par un cri, puis les poings se ferment convulsivement, la
tête
se tourne irrésistiblement vers le dos, les yeu
s, mais un matin, au réveil, on a constaté une petite blessure à la
tête
, ainsi qu'une ecchymose au bras droit. Céphalalgi
288 SOCIÉTÉS SAVANTES. allant, comme une gouttière, du sommet de la
tête
à la partie an- térieure. Depuis cette époque a
re. Depuis cette époque aussi il ressent des bourdonnements dans la
tête
qui lui enlèvent le sentiment, et le torturentcon
plus rien, sicen'estpendant quelque temps, douleurs au sommet de la
tête
et à la nuque. Depuis, repos au lit : les syn-
fois depuis quelques semaines; elle tombe alors soudain à terre, sa
tête
se fléchit en arrière; les yeux sont fixes, imm
ne disparaît pas complètement, mais la patiente gémit, se prend la
tête
dans les mains, répond quelques mots aux questi
Kl jusqu'à la dose de 3 gr. 50, des compresses froides autour de la
tête
; la gal- vanisation du grand sympathique à l'a
donnement dans mon oreille, comme si quelque vent soufflait dans ma
tête
. Le diable y est pour quelque chose. Vous ne save
eu en 1510. En 4 530, il écrit : « Quand j'essaie de travailler, ma
tête
est remplie de toutes sortes de bruits, de bour
u monde ne pourra la guérir. » Ces bruits étaient si confus dans sa
tête
et ses oreilles, qu'en 1521 quelqu'un lui ayant
liquée sur le front, il se produit des mouvements désordonnés de la
tête
qui semble vouloir se débar- rasser d'un cercle
ion; puis les mains se séparent, les bras s'élèvent au-dessus de la
tête
, retombent ensuite en croix, les mains s'étende
nouveau les 328 CLINIQUE NERVEUSE. bras s'élèvent au-dessus de la
tête
, les doigts se plient dans la paume des mains,
approche alors l'aimant d'un des bras, celui-ci se relève contre la
tête
. HISTOIRE D'UNE HYSTÉRIQUE HYPNOTISABLE. 333
id; depuis lors elle a fréquemment des poussées congestives vers la
tête
avec obnubilation de la vue. Nous lui prescrivo
se plaint d'être très fatiguée, d'avoir des douleurs vives dans la
tête
, de ne pouvoir travailler qu'avec la plus grande
n'a plus d'hémorrhagies utérines; mais elle souffre beaucoup de la
tête
, sa vue s'obscurcit et elle est sujette depuis
même temps elle présente des phénomènes congestifs du côté de la
tête
, Raccompagnant de troubles de la vue, qui lui ren
; le corps entier ne forme qu'une barre rigide. Les muscles de la
tête
échappent seuls à cette contracture. Les sens p
il est normal sur le thorax et les extrémités, mais à la face; à la
tête
et à la nuque, il a souffert au même degré qu'à
quiétait souvent le malade : elle se localisait principalement à la
tête
, la nuque, la moitié gauche du corps, sur le co
temps en temps, sensation de fourmillement, qui se répandait de la
tête
au dos; vertige parfois au lit, parfois sentime
cale du trapèze droit existait simultanément avec inclination de la
tête
à gauche et par conséquent, ne faisait qu'empêc
à gauche et par conséquent, ne faisait qu'empêcher la chute de la
tête
sur l'épaule gauche. Malgré les plaintes du malad
ment diminué : la scoliose s'est amoindrie; il s'est mis à tenir la
tête
plus droite, sa démarche est devenue plus normale
rigidité; écume san- glante, ronflement. Quelques mouvements de la
tête
, mais ne se débat pas. Il aurait eu deux crises
stule au bras droit). 16 août. - Etat actuel. Poids, 50 kilogr. 80.
Tête
assez forte. Pas de saillie de la région occipi
Lorsqu'il porte le pain à sa bouche, la bouche vient en avant et la
tête
s'incline, l'avant-bras est relevé également et d
nt sur la table l'avant-bras et le rebord cubital de la main, et la
tête
vient au-devant de la bouchée en exécutant de n
les mouvements d'élévation de l'avant- bras et d'abaissement de la
tête
sont alors moins marqués que s'il se sert du br
nts d'athé- those. Une fois le vase saisi violemment, il abaisse la
tête
qui vient ainsi au-devant du verre, puis il la
les résultats de notre dernier examen : Le malade étant assis a la
tête
un peu tendue en arrière, les bras allongés, ma
ote des mouvements des doigts de la main droite, des épaules, de la
tête
et de la jambe droite. Ces- mouvements sont à c
que, afin de diminuer la dis- tance entre le verre et la bouche, la
tête
s'est avancée en oscillant. Quand D... veut pre
t des doigts. 394 RECUEIL DE FAITS. Dans la station verticale, la
tête
est animée de petites oscillations le tronc se
rche, D... porte le tronc un peu en arrière et incliné à droite, la
tête
dans l'extension ; le bras droit est accolé au tr
Il m'a battu bien souvent et m'a fait t bien du mal ! » Douleurs de
tête
consécutives aux excès; pas de migraines; pas d
à qua- rante-six. Sujette depuis'sept à huit ans à des douleurs de
tête
; pas de migraines; pas d'attaques; n'est pas ne
première enfance; puis, de trois à quatorze ans, des douleurs de
tête
sans vomissements, pendant lesquels il devenait «
tait «comme un enfant mort». A cette dernière époque, il eut sur la
tête
des croûtes très abon- dantes, « comme il n'y e
'onanisme; sommeil bon, pas de cris nocturnes, - pas de douleurs de
tête
appréciables pour les parents. A partir de l'âg
ents. Le bras droit s'élève, et la main se porte à la hauteur de la
tête
et un peu en arrière, en même temps que le tron
de l'administration départementale et communale, s'est trouvé à la
tête
du service des aliénés et qui, précédemment, co
ître de la science, s'il pouvait voir quelques-uns de nos asiles en
tête
desquels nous devons placer les asiles de la Se
individu fuit devant des périls qui n'existent pas et se précipite,
tête
baissée, dans des dangers que la plus simple ré-
t fait pour 2,000 malades, 900 hommes et 1,100 femmes. Le coût, par
tête
, comprenant Tachai du terrain est de 230 fr. -
tité considérable de liquide à la fois dans sa bouche, et renverse là
tête
en ar- rière. Pendant cette manoeuvre, on voit
ue de 111 l., large de 77 li., dans laquelle se trouve invaginée la
tête
du parasite présentant une couronne de crochets
ule proligère ; un canal par lequel doit se faire l'évagination de la
tête
s'étend de celle-ci jusqu'au pôle opposé (PI. I
forme de V ; une troisième forme de parasite présente seulement la
tête
de forme sphérique avec une seule ventouse et d
partie fortement plissée transversalement, même en dilacérant cette
tête
, la comprimant et en augmentant le grossissement
mmarion, a rencontré des cro- chets. Rabot a trouvé dans un cas une
tête
d'échinocoque. Remarquons de suite que,dans plu
, le mot échinocoque a un sens restreint : il ne désignerait que la
tête
du ténia née par bourgeonnement et le mot hydatid
mination d'hydatide comprend tout à la fois la vésicule mère et les
têtes
de ténia nées par bourgeonnement dans la cavité d
oligères qui donnent elles-mêmes naissance par bourgeonnement à des
têtes
multiples.. Ce caractère permet de différencier
solium), dans le développement duquel il ne se forme jamais qu'une
tête
qui prend naissance à la face externe de la vés
nière larve se rapproche donc de l'échinocoque par la pluralité des
têtes
et du cysti- cerque par le lieu où chaque tête
ar la pluralité des têtes et du cysti- cerque par le lieu où chaque
tête
prend naissance et l'absence de vésicules proli
nditions on pensait que le kyste demeurait stérile et l'absence des
têtes
constatée par Laennec, lui avait fait donner pa
du mouton dans lesquelles il avait toujours reconnu La présence de
têtes
. Son opinion fut généralement acceptée. Cependa
montré que les hydatides de l'homme ne sont pas plus dépourvues de
têtes
que celles des animaux ; la preuve de ce fait f
du fait qu'à l'ouverture du kyste, les vésicules proligères et les
têtes
ont échappé à l'examen, soit de l'évo- lution e
céphalée se montre sans localisation précise, s'étendant à toute la
tête
. Dans deux observations cependant il vit la doule
établir le diagnostic de cas analogues, il propose d'aus- culter la
tête
et espère que l'oreille appliquée contre la paroi
étranger. Graham cite un cas de ce genre. Les trau- matismes de la
tête
peuvent logiquement favoriser le développement du
eignement à ce sujet. , A son arrivée à Paris, elle souffrait de la
tête
. Elle prit une place de domes- tique, mais ne l
d'iodure de potassium 1 : est tentée sans résultat. Les douleurs de
tête
deviennent si violentes qu'elles nous ( conduis
à la loupe, on retrouve la forme piriforme de l'embryon. 1 C'est la
tête
d'un futur toenia,le scolex, qui est invaginé dan
e longueur, et quatre ventouses symétriquement disposées. A cette
tête
fait suite une partie rétrécie, le cou qui l'unit
'em- bryon se continuant avec la membrane propre vésiculaire par la
tête
invaginée dans le recessus scolecis, en un mot
une vésicule remplie d'un liquide aqueux, dans laquelle s'abrite la
tête
du futur toenia. Bientôt l'encéphale réagit et
ATIONS DE L'OUÏE 43 du milieu, et il déclare « j'ai eu un moment la
tête
perdue, je me figurais un tas de choses, je cro
du sillon calloso-marginal, kyste gros comme une noisette. 8° La
tête
du noyeau caudé est le siège d'un kyste du volume
l, kyste dégénéré gros comme une noisette ; . 13° Au niveau de la
tête
du noyau caudé petit kyste dégénéré, de la gros-
, nous rappellerons cette phrase du malade : « J'ai eu un moment la
tête
perdue ; je me figurais un tas de choses qui n'
était aussi l'avis des éditeurs anglais qui insérèrent ce qui suit en
tête
de leur préface : « On aperçoit dans l'auteur
pre, peste, etc.), d'autres encore au charlatanisme (les pierres de
tête
, etc.). Mais un second point sur lequel je tien
ailleurs que les gestes sont, en général, na- turels et justes, les
têtes
très expressives, les modèles des nus suffisants.
lui soutient l'épaule gauche, tout en maintenant la main droite. La
tête
est renversée en arrière, et le bras droit est
ambe droite enveloppée de linges, le pied nu, peut-être déformé. Sa
tête
est entourée d'un linge ; mais il est chevelu e
Rémi ; nous en avons la preuve en voyant s'envoler au-dessus de sa
tête
deux diablotins à figures de singes qui semblen
sur son lit, les mains jointes : un diable s'envole au-dessus de sa
tête
, tandis que Saint Rémi fait le geste consacré.
alets. Au-dessous, toujours du même côté, deux malades sont couchés
tête
bêche sur un lit. L'un est entièrement nu, l'au
e ; cette modification s'accentue dans le 4° segment dorsal. Ici la
tête
de la corne antérieure droite paraît comme décapi
mbres. Observation G..., âgé de 24 ans, est de taille moyenne. La
tête
, la face, le tronc et les membres inférieurs pa
e dans des cas de doigts surnuméraires. L'os qui s'articule avec la
tête
du métacarpien paraît formé par la fusion de la
es yeux dirigés vers le ciel et une certaine ten- dance à porter la
tête
en arrière. Il est debout, les deux pieds écartés
, continue, sans localisation nette, avec sensation de serrement de
tête
; puis des troubles psychiques consistant en un af
n de plusieurs mètres de ver (sans doute deux individus), mais pas de
tête
. Ses crises parurent moins nombreuses et la mal
rent encore l'expulsion de quatre mètres de taenia environ, sans la
tête
. La malade n'a pas été revue depuis. ( Ici
1° A gauche. - Dans une région occupant la partie postérieure de la
tête
et limitée : en haut par une ligne transversale
ions de piqûres et de brû- lure dans les yeux, puis des douleurs de
tête
assez intenses. En même temps les lettres se br
is du foetus, et un léger arrêt du développement du squelette de la
tête
, arrêt qui détermine une malformation dentaire et
arfois telle que la malade ne pouvait faire aucun mouvement avec la
tête
. Depuis l'âge de 17 ou 18 ans les céphalées de-
je res- tais dans mes réflexions, je n'avais plus d'autres idées en
tête
. Je restais con- tinuellement dans ces pensées.
é, soit en rêve, soit en cauchemar. Elle ne sait pas comment est sa
tête
. » Parfois voyant qu'elle n'accorde pas son conse
ant diffèrent sensiblement de celles de l'adulte, que l'enfant a la
tête
grosse et les membres trop courts; cette dispropo
que, chez l'enfant normal de 8 à 10 ans, la hauteur du corps vaut 6
têtes
, la hauteur du tronc 2 tètes 1/4, la distance q
onc 2 tètes 1/4, la distance qui sépare la crête iliaque du talon 3
têtes
1/4, dont 1 tête 3/4 pour la cuisse et 1 tête 1
a distance qui sépare la crête iliaque du talon 3 têtes 1/4, dont 1
tête
3/4 pour la cuisse et 1 tête 1/2 pour la jambe,
e iliaque du talon 3 têtes 1/4, dont 1 tête 3/4 pour la cuisse et 1
tête
1/2 pour la jambe, la distance qui sépare l'acrom
mbe, la distance qui sépare l'acromion de l'extrémité des doigts, 2
têtes
1/2 dont environ 1 tête de l'acromion au pli du
re l'acromion de l'extrémité des doigts, 2 têtes 1/2 dont environ 1
tête
de l'acromion au pli du coude. Aussi, le milieu
des bosses pariétales de 17 centimètres. La taille vaut par suite 4
têtes
1/2 au lieu de 6 tètes, chiffre normal ; le milie
ui sépare la crête iliaque du talon vaut 2 tê- tes 1/2 au lieu de 3
têtes
1/4, dont partie égale pour la cuisse et la jambe
AS D'ACHONDROPLASIE 279 9 au lieu de 1 tète 3/4 pour la cuisse et i
tête
1/2 pour la jambe (chiffre normal). Le bras mes
ps humain est due à deux facteurs : d'une part la macrocéphalie, la
tête
étant trop grosse aussi bien pour les membres q
au de la cavité glénoïde qui est ainsi trop petite pour recevoir la
tête
humérale et que l'on sait d'ailleurs formée par
ette hypertrophie des épiphyses crée diverses mal- formations. La
tête
humérale est trop grosse pour la cavité glénoïde
cubitus ne peut venir se loger dans la cavité olécrànienne, que la
tête
radiale elle-même est très hypertopbiée, d'où une
XXVI, S et T). M. Marie avait remarqué chez ses deux malades que la
tête
du péroné était située plus haut que normalemen
de la cavité glénoïde, devenue ainsi trop petite pour recevoir une
tête
fé- morale très hypertrophiée. Ces détails se r
proportions de l'achondroplasie avec des membres trop courts et une
tête
trop grosse pour un tronc normal, et qu'en somme
la saillie occipitale, pas plus que le craniotabes. Cependant la 1
tête
de l'achondroplase peut être volumineuse, non seu
vement à la taille, mais même d'une façon absolue ; si Sicard a une
tête
simple- ment volumineuse (57 centimètres de cir
és, les dimensions au contraire à peu près normales du tronc et de la
tête
, l'absence de déviations ou de déformations rac
l'égalité du médius avec les autres doigts, la participation de la
tête
du péroné à l'articulation du genou, l'obliquit
qui contraste avec les faibles dimensions du condyle fémoral. La
tête
du péroné participe à l'épaississement épiphysair
Mais ces déformations paraissent tenir à une luxation en haut de la
tête
fémorale droite ainsi qu'à un certain degré de dé
et il le saisit avec les autres doigts et l'appuie seulement sur la
tête
des 2" et 3e métacarpiens. Eu somme, ces deux d
était restée à la face palmaire, et réséqua 0 m. 01 environ chaque
tête
métacar- pienne (elles étaient absolument saine
mer; ne sachant pas nager, il faillit se noyer; il s'était fendu la
tête
sur des rochers et il rentrait chez lui la figure
ieur dans sa totalité : à la main le tremblement est communiqué. La
tête
ne tremble pas, ni les membres inférieurs si ce n
(ibid., p. 143). - De l'influence de réchauffement artificiel de la
tête
sur le travail (Journ. de l'anat. et de la phys
; sur le soir il sent quelques dou- 366 DUPRÉ ET DEVAUX leurs de
tête
, mais si légères qu'il ne cesse point de travaill
fluxion de poitrine ; dix ans auparavant, il avait été blessé à la
tête
par un éclat de grenade, qui fit une plaie, en
Architecture de H. V. DE Vaccs (Holl. 1527-1604), un nain, à grosse
tête
, est accoudé sur une vasque. Ibid. (N° 818) Un
petits tableaux de Fausto Boccnr, représentent des nains à grosses
têtes
, jambes et bras minuscules, mis en déroute par de
u'elle vient nous consulter : elle a des douleurs violentes dans la
tête
revenant par accès, elle a eu des douleurs den-
avoir jamais pris de grandes crises, mais lorsque les dou- leurs de
tête
sont très violentes elle a des crises d'agitation
pertrophiés des deux côtés. Les humérus semblent normaux, sauf la
tête
, un peu accrue de volume. Les os de l'avant-bra
que, 1901, p. 143), De l'influence de l'échauffement artificiel de la
tête
sur le travail (Journ. de l'anat. et de la phys
elle tomberait'à la renverse au risque de heurter durement sa jolie
tête
aux yeux mourants. Evidemment, le docteur de ce
ile ou superflue, voire même périlleuse, elle était de bon ton. Les
têtes
couronnées prêchaient d'exemple. Louis XIV, dit
Un homme à demi-nu qui semble en pâmoison est couché sur le dos, la
tête
et les épaules reposant sur les genoux d'un jeune
et son frère et sa soeur sont boiteux ( ? ) de naissance. X... a la
tête
petite avec dépression frontale large de deux c
t de cinq ou six jours qu'ils s'étaient aperçu de l'asymétrie de la
tête
et du corps ; ils prétendent que les deux jambes
articulations du tronc, du cou et des membres supérieurs. , - La
tête
est presque totalement immobilisée ; le malade ne
té des viscères. L'intelligence et l'état psychique sont parfaits. La
tête
est volumineuse (55 centimètres de circonférenc
rge entre les trochanters et la masse volumi- neuse qui remplace la
tête
fémorale. En avant cette masse volumineuse arrive
LISÉES 523 L'axe de cette masse osseuse qui remplace à la fois la
tête
et le col du fémur n'a pas du tout la direction
ntraire cartila- vineuse, en sorte que la portion articulaire de la
tête
du fémur est beaucoup plus étendue que normalem
plutôt que sphérique, de façon à s'adapter à la forme analogue de la
tête
fé- morale. Elle a vraiment la forme d'une cuve
rrière-fond plan répondait à la surface plane qui limite en dedans la
tête
fé- morale. ' Fig. 1. Face interne de la tète
Face interne de la tète fémorale. Fig. 2. - Face postérieure de la
tête
fémorale. 524 E. APERT Le sourcil cotyloïdien
rteil et du métacarpien correspondant (face interne). - Au-dessous,
tête
du même métacarpien (face inférieure). 526 E'.
ux au pourtour du cartilage. Il en est ainsi toutes les fois que la
tête
articulaire fait directe- ment suite à l'axe de
e articulaire fait directe- ment suite à l'axe de l'os. Quand cette
tête
articulaire est oblique, comme à l'extrémité su
supérieure du fémur, la déformation est beaucoup plus grande et la
tête
semble écrasée et fortement déviée dans le sens d
liers. L'un des deux scytes de la scène B, agenouillé, porte sur la
tête
une sorte de capuchon. C'est le chirurgien. De
ne palette et le bâton. Derrière, le médecin, solennel, barrette en
tête
, surveille d'un oeil sévère le barbier-chirurgi
e faut point qu'il soit sujet à boire de crainte qu'étant appelé la
tête
pleine de vin, il fut obligé de faire une de ce
its, car on ne comptait pas moins de 45 veines saignables : 15 à la
tête
, 10 au bras, 6 aux mains, 2 au ventre, 2 au siè
vait sa vertu particulière. J'ai signalé, à propos des Pierres de
tête
(1), un certain nombre de do- cuments où il sem
la « res- verie, l'assoupissement et semblables dispositions de la
tête
qui provien- nent de pléthore » (Paul d'Egine,
sements, sont d'une parfaite exactitude anatomique. « Quant à la
tête
, elle est d'une expression vraiment supérieure ;
e du malade auquel nous allons faire l'opération delà résection de la
tête
numérale. C'est un homme fort, vigoureux, qui n'a
par les scrofules, c'est-à-dire l'ostéite : Il a une ostéite de la
tête
de l'humérus. Il paraît doué d'une très-bonne san
pus a détruit les tissus cellulaires entre la face du deltoïde et la
tête
osseuse de cette partie jusqu'à la partie antérie
e fait mouvoir l'humérus, on voit un mouvement de glissement entre la
tête
numérale et la cavité glénoïde, mouvement qui n'e
onsidération de l'état local qui me fait voir que l'os est malade. La
tête
de cet os ne présente pas une demi-sphère parfait
et a diminué de volume. Il y a, chez notre malade, une atrophie de la
tête
numérale qui tient à ce que depuis longtemps cett
trophie de la tête numérale qui tient à ce que depuis longtemps cette
tête
humérale a été minée par la suppuration, et que,
e peuvent plus se faire. S'il s'agissait simplement d'iii ladie de la
tête
de l'humérus, n'ayant pas pénétré dm? ila-tion, p
la cavité n'existe plus. Voilà une raison suffisante pour dire que la
tête
de l'os n'est pas seulement malade, que l'articul
ementeherché s'il y avait de petits mouvements de glissement entre la
tête
de l'humérus et la cavité glénoïde, s'il y avait
articulaires. Mais il y a quelque chose de plus net. C'est dans la
tête
de l'os qu'est la maladie principale, et il s'agi
ui s'est passé démontre qu'il y a une ostéite, une inflammation de la
tête
de l'os. Qu'il y ait eu une carie à une époque, c
térieurement. Il est certain qu'il y a encore des mouvements entre la
tête
de l'humérus et la cavité glénoïde, mais ces mouv
restreints. D'autre part, la capsule sêro-synoviale est collée sur la
tête
de l'os, ce qui donne une très-grande difficulté
te de l'os, ce qui donne une très-grande difficulté pour mobiliser la
tête
de l'os et faire la résection. Il existe des mouv
essité, il faudrait enlever la portion du sca-pulum fusionnée avec la
tête
de l'os. Ici, au contraire, j'établis que la mala
tête de l'os. Ici, au contraire, j'établis que la maladie est dans la
tête
de l'os, mais que dans l'articulation il y a une
rticulation il y a une certaine mobilité qui permettra de détacher la
tête
de l'os et d'emporter avec elle toute la maladie.
l ne faut pas croire qu'il soit sans danger d'avoir une ostéite de la
tête
de l'humérus, car il en résulte des bouffées infl
le. Si, plus tard, je suis obligé d'abaisser l'incision, parce que la
tête
de l'humérus serait malade plus bas que je ne pen
n'y a pas de danger. On va par l'incision, du premier coup, sur la
tête
de l'os. Alors on fait saisir avec deux crochets
l'artère ; avec le tranchant, le doigt conduisant, on cir¬conscrit la
tête
de l'os, en la détachant de ses adhérences. C'est
achant de ses adhérences. C'est là qu'est la difficulté, mobiliser la
tête
. Alors on fait saisir la tète de l'humérus avec
emploie une grosse pince servant à l'extraction des os, on écrase la
tête
de l'humérus, qui est tellement malade qu'elle se
œsophagienne par le nez, mais à condition qu'on lui maintiendrait la
tête
et les bras. La sonde a été passée facilement, et
ce-Charlotte IL., avait vingt-cinq nœvi sur différentes parties de la
tête
, du tronc et des membres; tous furent guéris par
n très-importante de ce muscle. . Tout se passa très-simplement. La
tête
humérale fut réséquée au niveau du col chirurgica
rieur. Ce qui frappe en premier lieu, c'est F en fon¬ cernent de la
tête
entre les épaules, puis l'absence de crâne. En ef
es épaules, puis l'absence de crâne. En effet, le cou fait défaut; la
tête
ou mieux la face, qui a 0m,05 de hauteur, est enf
planche VI '. La face et les vestiges du crâne ou, si l'on veut, la
tête
, est im¬mobile sur le rachis. Les membres supérie
IRE INFÉRIEUR dre ulcération, présentant iout à fait la forme de la
tête
d'un cham¬pignon, dont le pied serait inséré sur
erminait par un petit renflement qui, h la loupe, nous a paru être la
tête
. Nous avions mis cette partie de côté pour l'exam
aille de ce tae¬nia est petite. Les anneaux les plus rapprochés de la
tête
sont courts et larges (longueur, 0mm,8; lar¬geur,
un albumen assez abondant. Ces Fig. 5. Taenia solium. , . . , , .
Tête
et cou très-gros- corps, au nombre de cent vingt
i poriTonClnxéeiSàléia Pelant assez l'image d'un quinconce, ont 0mm,9
tête
du tenia ". dans leur plus grand diamètre, et Ûmm
enlèvement du corps vitré, j'ai obtenu une image à peine marquée ; la
tête
du chien seule se présentait et d'une façon peu c
t avec soin, on peut en effet y découvrir une apparence rap¬pelant la
tête
d'un chien, mais il faut en avoir été prévenu : c
sens opposé; on ne dit pas davantage si le chien vit encore et si sa
tête
ressemble plus ou moins à l'apparence signalée da
e supérieure en haut, sa partie inférieure en bas. r0 l'image de la
tête
du chien est droite, elle devrait être renversée.
rs dans l'œil droit et dans le côté correspondant de la face et de la
tête
. Deux jours après, pa¬ralysie faciale du même côt
partie cervicale était le siège de singulières anomalies : une seule
tête
surmontait ces deux corps ; la face était tournée
Journ, de méd., de chir , etc., de Bruxelles, 1865, p. 150. avec la
tête
. Je n'avais fait observer pendant ce temps ni diè
elles contenant des fragments du tœnia, et le lendemain il rendait la
tête
de l'helminthe. (Journ. de méd. et dechir. prat.,
le matin et, dès le soir, le malade rendait 2 mètres de.taenia et la
tête
. — Chez le second malade, âgé de 22 ans, on avait
très-dilatéesquoique à un moindre degré qu'au début des accidents. La
tête
étail lourde. — L'autre malade, le troisième, gis
ôtaniformes que cloniques. — 6h30 : toujours couché sur le ventre, la
tête
portant sur le sol ; selles, urines. — 6h45 -.mêm
ration rosée de la peau, au voisinage des doigts, et la saillie de la
tête
du dernier métacarpien. Toutes ces déformations
eile a des pertes utérines. Ordinairement elle se plaint d'avoir la
tête
lourde, d'être comme étourdie et d'avoir des doul
tement. Lorsqu'on imprime des mouvements au bras, on reconnaît que la
tête
de l'humérus se luxe en avant ou en arrière, suiv
ît aussitôt qu'on retire la main. On sent au-dessous des téguments la
tête
de l'humérus, irrégulière et en partie détruite.
lanche XXVIH, il y aune luxation sous-épineuse de Y épaule droite. La
tête
de l'humérus est située au-dessous de l'apophyse
me d'une orange. Il est difficile de reconnaître les dimensions de la
tête
bumérale elle-même. Le muscle deltoïde est mince,
assez de facilité : la malade soulève son bras, porte la main sur la
tête
, vers le dos, etc. La faradisation du bras et d
racture des muscles du cou et de la nuque, surtout du côté gauche; la
tête
est inclinée de côté et la face tour¬née à droite
vements de la face vers la gauche et les mouvements d'extension de la
tête
. Aux accidents qui précèdent nous devons encore a
pération modifia avantageusement la difformité : les mouvements de la
tête
s'exécutaient avec plus de facilité ; les plis ve
sus de la clavicule ; mais, malgré le soin apporté à faire tourner la
tête
de l'enfant vers la droite, il y avait toujours u
lle; la peau est lisse, unie, quel que soit le mouvement imprimé à la
tête
. 2° Une seconde cicatrice au niveau de la clavi
n bas comme elles l'étaient avant l'opération. 6° U extension de la
tête
et les mouvements de latéralité à gauche sont plu
he, il ne se lave jamais la face. La religion lui prescrit d'avoir la
tête
rasée, mais elle ne lui a pas défendu de porter l
ttait des iodoformes (sic) dans mon pain. Alors M. C... me piqua la
tête
, le front avec une épingle' et me demanda si je
ef, je disais que je voyais des fantômes, des guignols, des bêtes à
tête
humaine, en un mot tout ce que je remarquais chez
LÉGALE. que le sujet ressent une douleur perforante au-dessus de la
tête
, comme un clou que l'on enfoncerait et que l'on
sen- sibles, etc., etc. « Me basant sur ces données, je montai la
tête
à 111. le Dr G... Petit à petit j'exposai les p
égations finirent par être écoutées du tribunal; il sortit alors la
tête
haute en narguant la médecine. Depuis, il erra
naissance ; avant l'attaque il avait souffert de fréquents maux de
tête
avec nausées ; cette céphalalgie était surtout fr
contre les personnes, le tempé- rament sanguin tient de beaucoup la
tête
. Et franchement on pouvait en être certain d'av
e des gouttes, il mord convulsivement le verre... On lui mouille la
tête
et on l'em- mène... » Maigre les protestation
e de dire que ce sont des mouve- ments choréiqnes généralisés de la
tête
, du tronc, de la face et des membres; des grima
oréique, qui chercha à se noyer dans sa baignoire en plon- geant sa
tête
sous l'eau. Cette tentative eut lieu sous l'in-
sta- tion couchée ; 2° une attitude anormale, avec rigidité, de la
tête
en avant et à gauche; 3° une atrophie hémilatér
angue ; 1 4° le malade en s'asseyant et en se couchant soutenait sa
tête
. Les mouvements de flexion et de rotation de la
t soutenait sa tête. Les mouvements de flexion et de rotation de la
tête
autour de la'per- pendiculaire, par leur extrêm
sin relevé de façon à ce que la partie supérieure du corps et de la
tête
soient basses, on enfonce un tro- cart entre la
s la région sous-occipitale, entre l'atlas et le trou occipital, la
tête
étant fortement fléchie sur la poitrine (décubi
u du bassin. De là elle s'accroît graduellement, en haut jusqu'à la
tête
et jusqu'aux doigts, en bas jusqu'aux orteils.
surtout au niveau de la glabelle, à la limite du cuir chevelu de la
tête
, à la peau des joues, au-dessus du pli naso-labia
u cerveau chez un enfant de trois mois, compliqué d'érysipèle de la
tête
et de la face ; opération ; guérison ; avec que
s'est déve- loppé séparément, mais très nettement à la fois sur la
tête
et la face, avec la marche et les caractères d'
isées à la moitié droite de la face, avec déviation conjuguée de la
tête
et des yeux du même côté. Dans l'intervalle des
ette, un enfant de trois ans. Le père gisait inanimé sur le lit, la
tête
trouée par des balles de revol- ver. Le corps d
s, s'arma d'un gourdin et en asséna deux coups formi- dables sur la
tête
du jeune homme. Ce dernier riposta par deux vig
elle souffre de nombreux points douloureux qui ont leur siège à la
tête
, à la poitrine, à l'estomac, au bas- ventre, da
'estomac, au bas- ventre, dans le dos, aux membres inférieurs. Sa
tête
lui semble enserrée comme dans un étau, d'autres
écèdent, nous n'avons point encore attiré l'attention de Zoé sur sa
tête
. Plusieurs fois, elle a porté les mains à la tê
ion de Zoé sur sa tête. Plusieurs fois, elle a porté les mains à la
tête
, dans la région rolandique. Lui demandant le po
demandant le pourquoi de ces mouvements, elle nous a répondu que la
tête
lui faisait mal, précisément dans la région rol
mal, précisément dans la région rolandique gauche. Ces points de la
tête
ont disparu après la séance du 31 mars. 1-4 a
plus vives à la pression au renflement lombaire et d'un point de la
tête
, dans le lobule paracentral. Au sur et à mesure q
, a un point dou- loureux au creux épigastrique et deux points à la
tête
dont l'un prédominant à gauche et situés au-des
ille. Les yeux sursautent dans les paupières. - Ça me fait mal à la
tête
(région occipitale d'abord, puis temporale gauc
ord, puis temporale gauche dans le voisinage du pli courbe). ? - La
tête
est projetée en arrière +il y a des fils qui pa
qui éclatent, os qui craqnent. 6-9. Sentez votre cerveau : J'ai la
tête
lourde + J'ai un cercle autour de la tête. Quel
z votre cerveau : J'ai la tête lourde + J'ai un cercle autour de la
tête
. Quel âge avez-vous ? Je ne sais si j'ai vingt ou
si j'ai vingt ou vingt-un ans z J'ai un ruisseau tout autour de la
tête
. Quel âge avez-vous ? J'ai vingt ans. + Les gro
âge ? Je crois avoir vingt-un ans + J'ai des tiraillements dans la
tête
+ ça me passe vite, je n'ai plus rien + Il me v
l me vient par moments des douleurs d'un côté, de l'autre - J'ai la
tête
lourde + Je ne sais pas quel âge j'ai. Elle fait
as droit est crispé. Je lui fais sentir son bras droit. -)- J'ai la
tête
meurtrie + c'est lourd, mon cerveau est plein ?
ourquoi ? On m'a piqué dans le dos + Ça m'a passé + Le sommet de la
tête
me fait mal - - - Elle s'étire Quel âge ? Je ne
des coups de pincette dans le cerveau -f- J'ai un gros poids sur la
tête
+ Ça fait mal sur le front+ Ça me fait mal aux
e + Ça fait mal sur le front+ Ça me fait mal aux tempes + J'ai la
tête
lourde -f- Elle me fait mal tout autour + Elle s'
bérance occipitale) + On me lance des coups de pincette rougie + ma
tête
est lourde + Je ne sais si j'ai vingt ou vingt-
i j'ai vingt ou vingt-un ans -I- - Elle fait des mou- vements de la
tête
-f- J'ai la tête lourde -j- c'est meurtri + c'est
ingt-un ans -I- - Elle fait des mou- vements de la tête -f- J'ai la
tête
lourde -j- c'est meurtri + c'est lourd ? Je ne
en être sûre + Les tempes me font mal ? On dirait qu'on me serre la
tête
+ on dirait que j'ai un ruisseau dans la - tête
qu'on me serre la tête + on dirait que j'ai un ruisseau dans la -
tête
? ça coule + ça me court dans la tête + Je suis a
ue j'ai un ruisseau dans la - tête ? ça coule + ça me court dans la
tête
+ Je suis agacée des bras + et elle ébauche que
bras + et elle ébauche quelques mouvements z Je sens mes bras + La
tête
me fait mal là (point cérébral de la poitrine). J
ures 30 matin. Sentez votre cerveau : J'ai vingt à vingt-un ans, ma
tête
est lourde + Le front me fait mal + La tête me
ingt à vingt-un ans, ma tête est lourde + Le front me fait mal + La
tête
me fait mal tout autour + La poitrine me fait m
tête me fait mal tout autour + La poitrine me fait mal -f- J'ai la
tête
lourde + Elle est grosse derrière par moments +
-f- J'ai la tête lourde + Elle est grosse derrière par moments + Ma
tête
est pleine -j- J'ai près de vingt-un ans + La t
par moments + Ma tête est pleine -j- J'ai près de vingt-un ans + La
tête
me pèse -f- Ça me pique sur la tête + Quel âge
J'ai près de vingt-un ans + La tête me pèse -f- Ça me pique sur la
tête
+ Quel âge avez-vous ? Je suis en 1896. Quel mo
s de l'après-midi, c'est mercredi - c'est jeudi z- maman me lave la
tête
parce qu'elle me dit que ma tête sent mau- vais
- c'est jeudi z- maman me lave la tête parce qu'elle me dit que ma
tête
sent mau- vais + J'aide maman à faire les lits
s, je suis contrariée, mes tantes me font de la peine en montant la
tête
maman contre moi z Avant mon accident, j'étais
sse, cela ne me fait rien. Réveil à 8 heures. 11. Je languis ? La
tête
me fait mal + Je ne sais pas où je suis z il es
La tête me fait mal + Je ne sais pas où je suis z il est lundi + La
tête
me fait mal + On dirait qu'on m'y lance des cou
ais pas où je suis + Le front me fait mal + J'ai des noeuds dans la
tête
+ Je suis en 1897 ou 1898, je ne sais pas + Je
ou 1898, je ne sais pas + Je suis couchée, je ne sais où + Toute la
tête
me fait mal + Il y a quinze à dix-huit jours qu
mal, j'ai envie de rendre + novembre + décembre + Je souffre de la
tête
, de l'es- tomac, de la poitrine + Janvier + Je
à sentir mon estomac z La poitrine me fait mal z Je sens un peu la
tête
+ Oh ! c'est le 14 mai + c'est 7 heures et demie+
st le 14 mai + c'est 7 heures et demie+ Je suis couchée+ Je sens ma
tête
? Il est 8 heures -La poitrine me fait toujours
t. J'ordonne à ma malade de se sentir complètement des pieds à la
tête
+ ça se colle, dit-elle, la cheville, le genou, l
ÉCANIQUE DE L'HYSTÉRIE 21 yeux + Je lui fais sentir complètement la
tête
-f- Ma tête est plus légère + J'ai toujours com
L'HYSTÉRIE 21 yeux + Je lui fais sentir complètement la tête -f- Ma
tête
est plus légère + J'ai toujours comme un voile
contracture en flexion de tous ses segments, la main en face de la
tête
, dans une attitude de défense; la jambe droite
mée, avec des pieds et des mains parfaitement proportionnées. La
tête
était de forme régulière avec légère tendance à l
strabisme et leurs yeux sont manifestement du type mongo- lien. La
tête
est petite, souvent du type brachycéphalique, les
rer un cas : il s'agit d'un en- fant de dix ans, sans hérédité ; la
tête
était petite et le front bas; mais là s'arrêtai
e fléchir énergiquement surle bras, l'épaule gauche se soulever, la
tête
se porter en arrière et exécuter en même temps
« Lorsque tu parles, reprit le sauvage, le mauvais esprit tourne la
tête
, il a honte. » En- fin après une heure d'encour
elques instants qu'elle vivait encore, il lui a presque tranclié la
tête
à coups de rasoir. Voici, sur ce drame, les ren
espoir inexpliquée, il se tira même trois coups de revolver dans la
tête
; mais, les blessures étant insignifiantes, le je
ucher, il trouva le cadavre de la vieille femme étendu à terre : la
tête
avait été presque complètement détachée du tron
ensuite m'en aller, mais au moment où je sortais, elle a tourné la
tête
. Alors j'ai pris un rasoir, et je lui ai coupé
e crise délirante, assomma presque soii père en lui assénant sur la
tête
un coup porté avec une statue en plâtre de la V
n complète de la sensibilité affec- tive. Elle se plaint d'avoir la
tête
lourde, de ne pouvoir se tenir debout à cause d
les faits accomplis. Aspect un peu chétif, taille de ni,54 environ,
tête
globuleuse, aplatie postérieurement avec asymét
lit et à un moment où il avait le dos tourné, il lui asséna sur la
tête
un formidable coup d'une Vierge en plâtre qu'il
cinations terrifiantes, refus d'aliments, impulsions à se briser la
tête
, véritables crises de possession démoniaque pen-
emps il était resté dans le feu ; c'est un voisin qui l'a trouvé la
tête
encore au milieu eu 1 '5 5 z 1 c;
. Au niveau des points A et 13, à leur partie correspondante sur la
tête
du malade, la plaie parait dépri- mée. Ces deux
ou précoce de l'un ou des deux nerfs faciaux inférieurs; quand la
tête
est tournée vers le côté où existe la paralysie o
rs égales, le pouls est d'autant plus ample que l'inclinaison de la
tête
dans un sens ou dans l'autre favorise mieux la
e ; verge petite, testicules atrophiés, canal inguinal perméa- ble.
Tête
brachycéphale avec légère plagiocéphalie gauche.
édents de la malade on ietrouve du nystagmus avec tremblement de la
tête
(secousses, tremblement rotatoire) chez deux de
es oreilles tellement le bruit est fort, disant qu'il en a mal à la
tête
. Goût. Si l'on touche légèrement la langue avec
njonctif, tels que : les fréquents refroidissements du corps, de la
tête
ou des extrémités, surtout des extrémités infér
conscience musculaire basée sur un cas de lésion traumatique de la
tête
; par WL. Mu- nanow. (Nwl'olo[J. Ceiiii,iilbl.,
on de soulagement (détente nerveuse). Enfin, les traumatismes de la
tête
, l'insolation qui déterminent souvent l'épileps
oint de vue médico- légal. R. DE IUSGR.1VE CLAY. XLVII. Le mal de
tête
dans l'épilepsie; par L. Pierce CLARS. (The New
cès d'activité mentale. Il est intéressant de noter que le mal de
tête
est beaucoup plus intense chez les malades qui
les firent de nouveau une réapparition it la suite d'un coup sur la
tête
, et qu'elles n'ont pas cessé depuis. On peut co
s sans localisation précise, ver- tiges légers aux mouvements de la
tête
; névrite des nerfs opti- ques, parésie légère
uit chez elle et avait tenté de l'assassiner en lui assénant sur la
tête
un violent coup de sa pince-monseigneur. Et ce
itôt, Scherf appela son domestique et l'assassina sur place. « La
tête
et les bras du cadavre furent coupés, et Scherf,
bras, les mouvements choréiques se montrèrent aux jambes, puis à la
tête
. La marche était impossible cinq ans après le d
s et les bras, sont d'abord pris, et, quatre ans après le début, la
tête
est également le siège des mouvements. Non modi
t se baissent, tantôt s'élèvent et cela ensemble on isolement. La
tête
est animée de mouvements de rotation, de flexion,
». Langue. En frottant légèrement la pointe de la langue avec la
tête
d'une épingle nous provoquons des hallucinations
LE. La langue est impressionnée sous l'action de frottement d'une
tête
d'épingle. «C'est pâteux », ditle malade, en goût
.. ; ils faisaient un bruit... un bruit... ils me frappaient sur la
tête
et je me suis réveillé. » La vue réagit encore
( ? ) : rémission des accès pendant trois moisr. z Secousses de la
tête
et du tronc. Description de la malade ù l'entré
heures. Souvent, quand on la prenait sur les bras, elle rejetait la
tête
en arrière et avait 8 ou 10 secousses convulsives
prétend qu'ils étaient modifiés et consistaient en secousses de la
tête
et du tronc, revenant deux ou trois fois par jo
ion dégénérative. La langue dévie un peu à gauche; propension de la
tête
à tomber en avant. Le patient parait éprou- ver
les plus pauvres des 5° et 6° blocs correspondent à la région de la
tête
, du facial et de l'hypoglosse. P. KERAVAL. LX
bral aigu, d'oidinaire consécutif à des trauma- tismes séreux de la
tête
, amenant des symptômes semblables à ceux de la
rigidité des jambes, de la constipation. Léger délire ; douleur de
tête
; raideur du cou peut devenir excessive. Quelqu
s jours, délire doux, légère fièvre (101° ou 102° F) ; léger mal de
tête
, peu de vomissements ; pas de convul- sions. Ra
certains cas particuliers que des bromures, des vésicatoires sur la
tête
, et l'ingestion de glande thyroïde. L'interventio
par Har- ter, 425.' Attaques frustes d' , par Fé : é, 429. Mal de
tête
dans l ? par L. P. Clark, 433. - et digestion
contre nous et ainsi qu'un mouton ou une chèvre donne des coups de
tête
(indice chez lui d'une grande satisfaction).
otablement en 1897 ainsi que le montre le tableau suivant, placé en
tête
de la page wr. Nous avons continué, comme les a
d'un ulcère de la matrice ». Dans sa jeunesse, elle était mauvaise
tête
, débauchée, et ses parents, pour la corriger la
gre, la physionomie a une expression désa- gréable, sournoise. La
tête
est aplatie légèrement du côté gauche surtout en
cien malade. La taille a augmenté (voir le tableau). Le tronc et la
tête
se sont développés, ainsi que cela ressort des
ations ci-après, pour le tronc, et celles relevées au tableau de la
tête
. Etat nu .malade en 1897 9 10 Imbécillité int
-3 M 0 o m M H a r r t7 On Mensurations de la
tête
. 16 Imbécillité intellectuelle et morale. fcc
pas été tout à fait phy- siologique. Les différents diamètres de la
tête
du- rant plusieurs années n'ont pas subi de mod
nait sa mère. On ne sait à quoi attribuer l'idiotie. État actuel,
Tête
arrondie, assez grande ; aplatissement de la pa
ier 1881), a eu 76 accès et i vertiges. Autopsie le 2 janvier 1881.
Tête
. La calotte osseuse parait symétrique, la pie-m
esté encore assez affectueux. Le sommeil est bon. État actuel. - La
tête
est forte, considérablement développée à la rég
arisé. - Ganglions mésentériques normaux. Épilepsie ; démence. 33
Tête
. Os de crâne normaux; pas d'asymétrie de la base
T.R. 39°, 6. Dans un accès pendant la visite, on constate, que la
tête
se tourne il gauche et que les pupilles sont légè
u gros intestin est très-épaissic, boursouflée, pas d'ulcération.
Tête
. - Les os du crâne sont assez minces ; pas d'adhé
moyenne, d'une constitution peu robuste. - Faciès peu expressif.
Tête
symétrique, un peu allongée dans le sens antéro-
la grandeur d'une pièce de 0 fr., 50, mamelon de la grosseur d'une
tête
d'épingle; le thorax est complète- ment glabre.
u niveau des fosses iliaques et rouge foncé au niveau des fesses.
Tête
. - Cuir chevelu très amaigri, un peu ecchymotique
m M '-3 f3 a p f ta Tableau des mensurations de la
tête
, du poids et de la taille. PSEUDO-PORENCËPHALIE
-porencéphalie double. 59 Autopsie faite 36 heures après la mort.
Tête
. -- Le cuir chevelu est très maigre et très pale.
qui est en rapport avec le siège des lésions. Mensurations de la
tête
. Porencéphalie vraie ; idiotie. 63 les suivan
arole, marche, nulles. z gâtisme Accès de colère auec cognements de
tête
. - Paralysie incomplète du côté gauche. 131'071
seignements fournis par sa mère). - Père, 37 ans, typographe, a une
tête
énorme, de 61 centimètres de circonférence; le
rocéphalie ; pas de migraines ; il aurait eu des fortes douleurs de
tête
jusqu'à l'âge de 12 ans ; elles auraient dispar
prise de mouvements spasmodiques, avec secousses des yeux et de la
tête
. Première dent à 14 mois; dentition complète à
s scrofuleuses. - Très entêtée, elle avait la manie de se cogner la
tête
contre les meubles ou contre le sol, quand on l
rontales et pariétales peu développées ; par contre le sommet de la
tête
fait une saillie en pain de sucre. - Visage arr
le normale; tou- tes ces régions sont glabres. Mensurations de la
tête
. BlIONCHO-PNI : UMONIE ; mort. 67 au tact, à
le biliaire saine, ni vers ni corps étrangers dans les intestins.
Tête
. - Calotte mince sur les deux moitiés (2 à 2 5 5
eu près du tic consistant à balan- MÉNINGITE CHRONIQUE. 91 cer la
tête
de droite à gauche. Enfin il était devenu moins
t des grimaces, a toujours ses doigts dans la bouche et se cogne la
tête
lorsqu'elle est contrariée. - Elle est incapabl
de l'oeil droit. - Paralysie du côté droit. - Augmentation de la
tête
vers 10 mois. État actuel. - Aspect du crâne. -
e. - Strabisme. Puberté. - Gâtisme. Tics. - Atensura- tions de la
tête
et des membres. Traitement de l'hydro- céphalie
le du père. Les mem- bres de cette famille ont plutôt en général la
tête
petite. MÈRE, 32 ans, couturière, est une femme
me brune au visage coloré, assez sanguine, d'aspect intelligent. Sa
tête
est de dimensions moyennes. Sa santé aurait tou
ns le reste de la famille, dont les membres n'ont pas en général la
tête
grosse.] , Pas de consanguinité. - Inégalité d'
enfance; elle se porte bien, est gentille, intelligente, n'a pas la
tête
grosse et tient beau- coup de son père. - La se
d l'enfant, aurait déclaré que la vue pouvait être récupérée, si la
tête
de l'enfant diminuait et si son développement d
devenait normal. A partir de l'époque de cette crise importante, la
tête
grossit peu à peu. Des convulsions se reproduis
s soeurs, est caressante. Tics : Elle balance d'avant en arrière la
tête
et le tronc toute la journée; se déchausse cons
ne bronchite, compliquée de convulsions, à la suite desquelles la
tête
se met à grossir et l'oeil droit devient volumine
hement a eu lieu à terme, normalement; l'enfant était très gros. La
tête
est restée peu de temps au passage. Légère asph
r jour et chaque fois avec le même appareil : la face pâlissait, la
tête
se projetait en avant, puis se relevait. La pre
t porte souvent la main à sa verge. Etat actuel. (20 oct. 1888).-
Tête
. - Cheveux châtains, assez abondants. - Crâne u
bsente; pas trace d'intelligence ni de mémoire. Le malade tourne la
tête
de droite à gauche conti- nuellement, suce ses
pas, et le lendemain il se plaignait seulement de lourdeur de la
tête
. Il eut ensuite plusieurs accès sur la voie publi
: crâne et cerveau. 115 Autopsie faite 41 heures après le décès. -
Tête
. Cuir che- velu mince, pâle dans sa moitié anté
s d'autres actes d'automatisme. Il n'a jamais fait de chutes sur la
tête
et ne s'est jamais plaint de céphalalgie. Sommeil
Premières dents à 6 mois. - Balancement du tronc. - Cognemenls de
tête
(Krouomanie) . - Pas de convulsions ( ? ). A l'
- Balancement continuel du tronc d'avant en arrière; cognements de
tête
contre le dossier de sa chaise, les murs, coups
'habiller, se laver, etc. Il se balançait sans cesse, se cognait la
tête
, se masturbait, mordait ses frères et soeurs et
ssort des tableaux du poids, de la taille et des mensurations de la
tête
. La 180 Traitement \II : D1C0-PI : D9GOGIQUE.
t chez lui des cris perçants. Il avait l'habitude de se cogner la
tête
et chaque fois qu'on lui parlait, il la cognait d
notes dans l'aigu et même davantage sans le concours de la voix de
tête
, celle-ci est purement arti- ficielle et demand
avaient le tic du balancement du corps avec ou sans rotation de la
tête
; 15 avaient un tic coordonné des mains ; 1G en
ment du certificat immédiat nous examinons nous-même l'enfant de la
tête
aux pieds s'il y a lieu ; il en est ainsi depuis
4) ont le tic du balancement, du corps avec ou sans rotation de la
tête
; 17 ont un tic coordonné des mains; 14 enfants
ne peut y réussir, il se griffe la figure et se cogne violemment la
tête
sur le sol. Et ces « rages » surviennent au mil
eute les passants par ses cris, par ses « hurlements x, se cogne la
tête
. Il bat sa sieur, casse les portes, brise les o
par terre, se cogne sur les murs, casse les carreaux, soit avec sa
tête
, soit avec ses mains. Quand elle est dans une r
, des hurlements qui pourraient faire croire qu'elle est battue. La
tête
, la figure, les mains, portent souvent des ecch
sibilité parait très prononcée et l'enfant ne cesse de se cogner la
tête
, de battre les murs, les tables, comme ferait u
durillons formés par les coups qu'elle se donner constamment il la
tête
en frappant avec sa main. Ses mains, ses oreill
anes génitaux. Seins nuls ; aréoles pâles, mamelon tout petit. (Une
tête
de grosse épingle). Pénil saillant. Grandes lèv
n. U1u.\'oedf ! ma ! cllx. Disons, dès maintenant que la l'orme de la
tête
, l'aspect de la physionomie est très différente
'un voyage de Rambouillet à Paris (pas de chute) ; facile, par la
tête
, avait perdu « pas mal d'eau le matin. » - A la n
rmal; il n'avait jamais eu la moindre convulsion ; jamais un mal de
tête
, jamais un étourdissement. Studieux et appliqué
fureur et s'empare d'un lourd encrier de faïence pour le jeter à la
tête
de son maître. Un infirmier lui retient la main
éance. Il se promène, la par- tie supérieure penchée en avant et la
tête
baissée ; il marche à grands pas irréguliers, l
efois (extension et inclinaison de la Description DU malade. . 55
tête
sur la gauche, mouvements de flexion de la main).
rs. La raideur des membres de l'enfant va toujours augmentant. La
tête
reste constamment un peu inclinée sur la gauche,
tement. Mort à 6 heures. Poids après la mort 8 kgr. Mesures de la
tête
. Autopsie ASYMETRIE du crâne. 59 Poids et Tai
se contenter d'une demi-obscurité que l'on obtiendra en couvrant la
tête
du malade d'nn drap ou d'une alexe. 2° à la l
ribuant encore à faire paraitre le cou plus court. On dirait que la
tête
s'enfonce dans le thorax. Thorax. La partie ant
e. Ils se rencontrent tous ici : aspect général, conformation de la
tête
, état du cuir chevelu (cheveux-crins, brun-roux
Signalons aussi une série de petits kystes variant d'un pois à une
tête
d'épingle, situés aux limites des zones corticale
uses et saillantes et que leur action a pour résultat de presser la
tête
humérale contre laface articulaire de l'omoplate.
hâtains...., - 136 IDIOTIE PROFONDE avec nanisme ET infantilisme.
Tête
assez grosse, volumineuse à la partie supérieure.
octobre. -Eruption pustuleuse disséminée sur toute la surface de la
tête
. (Fig. 20). , . 1893. 16 juin. Amélioration con
mélioration considérable de la teigne, mais il existe encore sur la
tête
une éruption papulo-pustuleuse. - Même état des
é. Lorsqu'il est joyeux, il ouvre la bouche démesurément, baisse la
tête
et saute en crispant les poings. 1897. Août.
iennent de plus en plus rares'. ' Le tableau des mensurations de la
tête
, offre quelques différences qui s'expliquent so
rs enfants. Accouchement à terme, naturel, sans chloroforme, par la
tête
. A la naissance, l'enfant était petite, bien co
lève les épaules subitement et très fortement, en même temps que la
tête
s'incline vers l'une des épaules avec un mouve-
sse en même temps. On note également un mouvement de rotation de la
tête
, le menton se portant à droite ou à gauche par
ses Vrrents. Quelquefois alourdissements ( ? ), quelques maux ie
tête
; pas de tremblement. Sommeil bot. pas de cau-
l y a un an (à 7 anus) : un chien l'a renversé et il s'est ? Lit à la
tête
une bosse avec plaie, pas de perte de connais-
la famille. La mère se plaint de ce qu'un maître l'a frappé à la
tête
il y a un mois. - Cause de la maladie : S.. a e
re colorée. Physionomie assez intelligente et calme. Mesures delà
tête
. 1901. 166 Description DU malade. écartées
sse. L'accouchement s'est effectué dans les délais coutumiers parla
tête
et spon- tanément ; ni cordon, ni asphyxie. Nou
nt l'enfant passe la main sur son front, elle semble souffrir de la
tête
. Plu- sieurs fois dans la journée on remarque q
t qu'elle n'est plus la même, elle dit : « Je vais mieux et j'ai la
tête
beaucoup plus libre. » Au réfec- toire elle ne
est plutôt exubérante. Elle a eu quatre ou cinq fois des maux, de
tête
. Le sommeil est bon, un peu lent à venir. Les règ
isons aux jambes. 1902. 19 mari. - En avril, fréquentes douleurs de
tête
. Deux, fois, en se levant, brouillard devant le
108; 8° Arriération intellectuelle consécutive à une brûlure de la
tête
; instabi- lité mentale; délire mystique (en col
aime la musique. - Rougeole à un an et demi. 1895. Contusion de la
tête
; adénite suppurée, coque- luche. Manie de griff
ol. Accouche- ment à terme, naturel en 7 heures. Présentation de la
tête
. A la naissance, l'enfant avait plusieurs tours
stait, suivant nous, bien avant. En effet, la manie de se cogner la
tête
(Itoowontaniej, la manie de se griffer (amyssom
ier. Pli naso-labial peu marqué. Oreil- les grandes, écartées de la
tête
. Angle céphalo-auriculaire largement ouvert. Hé
t donnés, est survenu un érysipèle. Il se frappe continuellement la
tête
contre les bar- res de son lit et se cogne la f
nvoie des coups depied aux infirmières et aux enfants, se frappe la
tête
contrôles murs, les tables, le poêle, on est al
nte, il se laisse tomber de toute sa hauteur ce qui fait qu'il a la
tête
remplie de bosses et de contusions. ' Le jour
10 décembre 1902, à 9 h. 45 du matin (soit 29 h. après le décès).
TÊTE
. - Cuir chevelu très épais; ecchymose demi-circu-
terre, sur des cailloux, se contusionnant, se blessant la face, la
tête
. Avait-il des idées de sui- cide ? On ne sait.
n'ajamais eu d'accidents nerveux, sauf quelquefois des doul-urs de
tête
; pas de maladie de peau, a reçu une certaine éd
erme, naturel. Douleurs pendant deux heures. Présentation de la
tête
. Naissance : Pas d'asphy- xie, pas de circula
e muqueuse, d'an- gine grave, de vers, d'onanisme, de chutes sur la
tête
, de gourme, d'otite, d'adénite, d'abcès ni de f
10,4 (1). Autopsie faite le 15 décembre 1899. Cadavre assez gras.
Tête
. Le cuir chevelu est maigre et pâle, sans ecchymo
la T. à l'entrée, du poids et de la taille, des mensurations de la
tête
et des membres dans le Compte-rendu de 1900, p, 1
. Quand il est assis sur sa chaise, le corps est plié en deux et la
tête
penchée en dehors du siège. Il est grand gâteux
quiconque passe devant lui. Le corps de l'enfant est immobile : la
tête
seule se tourne automatiquement à droite et à g
et le genou est collé sur la face externe du bras au-dessous de la
tête
de l'humérus. Les jambes sont complétement fléc
,8 et 35°, 1. . 256 Mensurations : tète ET membres -Mesures de la
tête
. / Affection familiale. 257 8 mar.s. L'enfant
ine. 292 Explication DES planches. Planche VII. Squelette de la
tête
de Deb... (p. 1'14). Or, voûte orbitaire. N, na
ient à peu près nuls, nous avons cru devoir placer son observation en
tête
de ce volume. Elle aura encore l'avantage de mieu
au cœur, l'aura précipite sa marche et lorsqu'elle est parvenue à la
tête
, l'attaque éclate. Description des attaques. —
e un cri plus ou moins prolongé : Oue ! Oue ! et jette brusquement la
tête
sur la ligne médiane (Pl. III). g) Après un cou
e nerveux., p. 247. région ovarienne droite. Sous son influence, la
tête
se soulève doucement, la gorge semble se gonfler
es II,•LU, IV donnent une idée exacte des principales attitudes de la
tête
. Contrairement à ce que nous relèverons plus ta
autre village, elle rencontra un chien qui avait les yeux hors de la
tête
, la gueule pleine de bave, la queue traînante et
uchée que la crise éclate. La face pâlit et se tourne à gauche ; la
tête
ou s'incline sur l'épaule droite [Fig. ! et 2) ou
porte son ventre en avant, l'orgueilleuse de Strasbourg, renverse sa
tête
en arrière. ...» (Michelet : La Sorcière, p. 80.)
générale, immobilité complète de la face, du tronc et des membres. La
tête
est rectiligne, fortementportée en arrière ; }es
la surveillait. Elle a un hoquet qui se précipite de plus en plus. La
tête
se fléchit. L... semble se réveiller d'un songe :
res les attaques recommencent. a) Période tonique. — Pas de cri. La
tête
se porte dans l'extension, le cou est tendu, gonf
eux minutes, les bras et les jambes se détendent, la malade secoue la
tête
de gauche à droite et réciproquement ou bien elle
ade s'endort ; de lemps en temps, elle quenotte, se plaint, secoue la
tête
. La face et les mains sont toujours couverts de s
ur la soutenir dans sa chute et empêcher qu'elle ne se blesse. » La
tête
est droite, dans l'extension ; la face est modéré
eux heures et demie, 3 Planche XII. CRUCIFIEMENT : ATTITUDE DE LA
TÊTE
heures et même six heures; en 1874, le crucifie
ause. 19 fèù. — G... se plaint de douleurs névralgiques occupant la
tête
; elle a des contorsions des membres et de la fac
les attitudes qui sont représentées dans les Planches XVIII et XX. La
tête
était relevée sur l'oreiller, les cheveux rejetés
nt sur le lit; c'est Y attitude de la prière (Pl. XXII); — tantôt, la
tête
est un peu penchée en arrière (Pl. XXIII) ; — d'a
inées comme sainte Thérèse, etc., (Pl. XXIV). Dans ce dernier cas, la
tête
est rejetée en arrière, le regard porté vers le c
à son appel ». Juin. — G... se plaignant de douleurs vagues dans la
tête
, d'une insomnie continuelle, on lui a fait plusie
tressaute au moindre bruit et se plaint de souffrir « en dedans de la
tête
» ce qu'elle attribue au nitrite d'amyle. Après s
e. Après ses attaques, terminées naturellement, elle a aussi mal à la
tête
, mais la douleur est différente. Le nitrite d'amy
soupire, s'assied, regarde, dit: «Embrasse-moi... » Elle se frappe la
tête
. La face se couvre de rougeur. On observe ensuite
va et vient dans sa cellule, abaissant et relevant alternativement la
tête
. La face est pâle, profondément altérée. De temps
clams, ovttJti) à une douleur occupant une étendue très-limitée de la
tête
, égale à une pièce de vingt centimes, d'un franc,
Estelle légère, Geneviève recourbe brusquement le tronc, inclinant la
tête
et le haut de la poitrine en arrière ; la face pâ
en quoi elles consistent : Tout d'un coup, la malade jette un cri, la
tête
se renverse en arrière, ia face se convulsé, les
ya à l'école ; elle apprenait peu, parce que, dit-elle, elle avait la
tête
dure, mais surtout parce qu'elle faisait l'école
us les extenseurs du corps. Puis, la partie supérieure du corps et la
tête
frappent violemment le lit. Après un court mome
e quelques instants, elle se redresse tout d'un coup et s'asseoit, la
tête
est légèrement penchée en arrière ; les yeux rega
, succèdent les grandes convulsions eloni-ques : La malade soulève la
tête
et le tronc qu'elle laisse retomber brusquement,
XXXIV). Les lèvres sont pincées, les cheveux rejetés en arrière ; la
tête
est plus ou Planche XXIX. HYSTÉRO-ÉPILEPSIE :
, de temps en temps, des accès de contracture ainsi caractérisés : La
tête
se porte à gauche et en arrière, les yeux à gauch
atin, M... se plaint de douleurs « atroces » dans le côté droit de la
tête
et dans l'œil correspondant qu'elle ne peut décou
la période clonique : elle fléchit et laisse retomber brusquement la
tête
et le tronc à huit ou dix reprises, comme auparav
n avant de la poitrine. M... est attentive, aperçoit quelqu'un; de la
tête
, elle lui fait signe de venir, ouvre les bras, le
un mouvement rapide, elle porte le corps sur le côté droit du lit, la
tête
repose sur l'oreiller; la face se congestionne, l
rvue de liens qui maintiennent: 1° les épaules (et vont se fixer à la
tête
du lit) ; 2° les hras, la poitrine (et vont s'att
apore plus lentement. Elle respire, vite; secoue de temps en temps la
tête
; les paupières sont closes; la figure est grimaç
-tôt, M...bavarde à voix basse, regarde de côté et d'autre, secoue la
tête
et le ventre, sourit : « Ernest !... Viens donc !
oloration jaunâtre; les traits sont altérés. Après l'éther, M... a la
tête
pesante, boit beaucoup d'eau, saute malgré elle ;
amant, lui lançait des regards provocateurs, lui faisait signe de la
tête
; puis, après avoir dit; «Ernest! Ernest !.. viens
ectrique des paupières, souvent compliquée d'une rapide torsion dé la
tête
vers une des épaules, qui s'élève aussi tout à co
ouvement d'épaule, élever son coude vers le côté droit de la face, la
tête
s'inclinant un peu en même temps du même côté, de
nous a permis de relever. Il se plaint de souffrir constamment de la
tête
qui lui paraît enserrée comme dans un casque de p
rit ; il ne se souvient plus ; sans doute il n'a jamais été une forte
tête
, mais depuis l'accident il se trouve encore amoin
mort de la poitrine. Un de ses oncles paternels, cultivateur, a eu la
tête
complètement dérangée pendant trois ans : il étai
en même temps, le tronc se fléchit soit en avant soit en arrière; la
tête
tombe sur la poitrine. Eh bien, Messieurs voilà c
s de tout mouvement volontaire. Il en était de même du tronc et de la
tête
: celle-ci était « tombante » et reposait sur un
pendant plus d'un mois, les membres aujourd'hui paralysés et aussi la
tête
et le tronc avaient été agités de mouvements chor
embres de votre famille atteints de maladies nerveuses ou ayant eu la
tête
dérangée? Le père. — Ma grand'mère qui est mort
e.— Vers la fin de septembre, elle est tombée d'une balançoire sur la
tête
et s'est fait derrière la tête une blessure super
lle est tombée d'une balançoire sur la tête et s'est fait derrière la
tête
une blessure superficielle qui a pas mal saigné ;
ore quelques mouvements involontaires dans les bras, les jambes et la
tête
. La parole est redevenue distincte, peu de grimac
a moitié gauche du tronc, en avant, en arrière et sur la moitié de la
tête
et de la face ; que cette anesthésie n'occupé pas
rait un oiseau qui vole, cela augmente quand je tourne brusquement le
tête
, soit à gauche, soit à droite, cela augmente auss
malade : Non, monsieur, jamais ; j'ai toujours dans ces moments-là la
tête
à moi. M. Charcot : Avez-vous eu des douleurs d
e vers le cou et y produit une sensation d'étranglement, puis vers la
tête
où surviennent des bourdonnements d'oreilles et d
r plus de poids encore à notre assertion. (Fig. 22). Il existe sur la
tête
, le tronc, les membres, une hémianalgésie Fig.
ne d'années qui, il y a huit jours a souffert d'un coryza avec mal de
tête
et en même temps de douleurs derrière l'oreille d
s premiers mouvements involontaires ont paru dans les bras et dans la
tête
vers le 5 novembre, c'est-à-dire il y a environ v
uteuil où il s'assied, à des gestes de grande étendue. Il projette sa
tête
violemment de côté et d'autre et en frappe les or
l glisse incessamment sur le fauteuil où il est assis de façon que sa
tête
repose bientôt sur le siège et qu'on est à chaque
on sans importance de la part de son patron, il avait, par un coup de
tête
, quitté la pharmacie où il travaillait habituelle
r diverses parties du corps, le côté droit clu thorax, les genoux, la
tête
; voilà tout. Il'put quitter l'hôpital au bout de
est par les moindres incidents, les moindres bruits. Il a, dit-il, la
tête
vide ; il n'a plus de mémoire ou pour le moins il
idées, disposer quelque projet dans son esprit, il se sent bientôt la
tête
fatiguée. Si pour se distraire il prend un journa
l en soit, voilà ce qui s'est passé : Le 16 août, l'enfant a mal à la
tête
, il a de l'inappétence ; il souffre un peu des «
18, continuation du mieux ; il a pu aller communier. Le 19, le mal de
tête
reparaît vers le soir ; l'enfant a des courbature
cou, un affaiblissement musculaire plus prononcé que de coutume : la
tête
est tombante sur la poitrine ; la station est for
ns sur les maladies du système nerveux. T. II, p. 104 et suiv. ¿0
tête
et du tronc en avant ; les jambes sont devenues r
s les fois qu'elle voulait s'en servir en les élevant au-dessus de sa
tête
. Mais je ne saurais aujourd'hui entrer dans de
ons, à la gorge où l'on croit sentir une boule qui vous étouffe, à la
tête
enfin où les oreilles sifflent en même temps que
une au niveau du creux poplité du côté droit, l'autre au sommet de la
tête
vers la bosse pariétale (voir le schéma n° M).
e médiane composée de deux pièces secondaires servant de soutien à la
tête
pendant l'opération. Ces deux parties de la piè
e sera suspendu. L'application Fig. 47. — Appareil en place pour la
tête
. de celte petite courroie joue d'ailleurs un rô
elques soins. Elle devra varier quelque peu suivant la grosseur de la
tête
et du cou du sujet. En ce qui regarde la grosse
de la tête et du cou du sujet. En ce qui regarde la grosseur de la
tête
, on fera varier les dimensions du collier en pl
hes que se trouvent sur le bord supérieur de la tige de fer ; plus la
tête
est volumineuse plus'la boucle doit être placée e
le menton et la pièce qui est destinée à le soutenir. Voici donc la
tête
en place. 11 reste encore à placer les pièces des
t que pendant l'élévation, la traction ne porte pas uniquement sur la
tête
et sur le cou, car en paieil cas la suspension ne
s il lui semblait que son lit se soulevait par le pied, tandis que sa
tête
tombait en arrière. Les sifflements aigus dans l'
de causes banales, telles, par exemple,qu'un mouvement brusque de la
tête
ou du corps,un bruit imprévu, quelquefois sans ca
de en titubant, supporté par deux cannes, s'efforçant de maintenir la
tête
et le tronc tout d'une pièce et fixant constammen
il est toujours en éveil parce que le moindre mouvement imprévu de la
tête
sur le tronc, pendant la marche, aurait pour effe
ebout, on place la main sur une de ses épaules ou sur le sommet de sa
tête
. Vous reconnaissez même, le malade s'étant dépoui
igastrique ;puis la malade, qui quelquefois reste debout, redresse la
tête
et se courbe légèrement en arrière :lesbras, les
s hystériques assez bien formulées, précédées d'une aura : douleur de
tête
et battements clans les tempes, sifflements dans
s de volonté. Il ne peut même pas penser à ses affaires sans que sa
tête
se trouble.Enfin, au bout d'un mois la plaie et l
alement à la nuque où le malade a des craquements lorsqu'il tourne la
tête
à droite ou à gauche. — Etat vertigineux habituel
pour mieux dire, mémoire lente et difficile à mettre en œuvre : « ma
tête
est comme vide, dit le malade, mes idées sont con
ration de la céphalée. Il est à remarquer qu'en général la douleur de
tête
s'atténue temporairement ainsi que les autres sym
ée neurasthénique, à savoir plaque cérébelleuse et plaque frontale. —
Tête
vide, mémoire lente, impossibilité de fixer l'att
J'ai aussi parfois de grands élancements très vifs dans le côté de la
tête
et de la face à gauche, à la nuque. M. Charcot.
n sacrée et d'une grande fatigue dans les jambes ; pas de douleurs de
tête
cependant; mais le sommeil est souvent agité par
anifestés. Voici en quoi ils consistent aujourd'hui : Tr...lay a la
tête
lourde, comme serrée dans un cercle de fer. Il ne
ent pas de ce qu'il a fait quelque temps auparavant. Il souffre de la
tête
d'une façon à peu près constante. Il a, dit-il, s
fre de la tête d'une façon à peu près constante. Il a, dit-il, sur la
tête
comme un casque lourd qui lui comprime le front s
s ; en ce moment-là, passait un régiment avec la musique militaire en
tête
; c'est peut-être cela qui m'a réveillé. Alors je
e le 27.août de l'an dernier ; veuillez me la remettre. Elle porte en
tête
le diagnostic: « Crises comitiaies ambulatoires »
s. 42 heures. 53 heures. 3 heures. 3 heures. Accès Mal de avorté.
tête
de3 h. de durée. Accès avorté Le 27. On com
rze mois n'est plus représentée désormais que par une crise de mal de
tête
semblable à celui qu'il a ressenti plusieurs fois
lui qu'il a ressenti plusieurs fois au début de ces accès ; ce mal de
tête
a siégé,cette fois comme les autres, au niveau de
partie, le souvenir des actes moteurs qu'il a accomplis, en se pro-
tête
; je me suis réveillé seulement à 4 heures en ren
du genre (1).I1 n'est pas rare, en effet, à la suite d'un choc sur la
tête
, ayant déterminé, une commotion cérébrale,de voir
cordon et le coupe, lave l'enfant et l'essuie, lui oint légèrement la
tête
d'huile, lui panse le nombril et entoure le panse
nt à l'Hôtel de Ville, comme membre d'une société savante, sortait nu
tête
, allait jusqu'au quai et revenait à sa place pren
n autre côté, il n'est point rare, on le sait, de voir un choc sur la
tête
, agissantàla manière d'une cause provocatrice et
en construction, dans les circonstances que voici. Il portait sur la
tête
une auge de plâtre et montait à l'échelle, lorsqu
latins. Au sortir de la cérémonie, il se coucha avec un grand mal de
tête
et éprouvant un grand affaiblissement dans les me
es se fléchir sur les jambes et le tronc se fléchir sur le bassin, la
tête
éprouvant par rapport au tronc, un mouvement de f
à chaque pas l'équilibre, occasionnent les mouvements du tronc, de la
tête
, des membres supérieurs, et aussi ces mouvements
portant dans ses mains un pavé énorme qu'il lui laissa lomber sur la
tête
... Le malheureux enfant se réveilla en sursaut, t
'homme à la face couverte de sang, et enfin le pavé venant frapper sa
tête
: à ce moment là, il se réveillait poussant des c
qu'il était fortement menacé de ne plus pouvoir marcher. « J'avais la
tête
très faible, dit-il, en ce moment et nuit et jour
traumatique, collision de chemin de fer, ou tout autre. « J'avais la
tête
très faible », dit-il en rappelant les souvenirs
été de provoquer chez le malade une grande fatigue, des lourdeurs de
tête
, des douleurs dans les orbites. J'avoue que ces e
on le montre enfermé dans une cage de fer, tout noirci des pieds à la
tête
, portant un bonnet de plumes, et des chaînes aux
cinq heures du soir. Il y a une aura : le malade se plaint de mal de
tête
, de confusion dans l'esprit, de tristesse ; il re
te trop cher. On a essayé de l'instruire, mais il avait, dit-il, « la
tête
trop dure » ; il n'a jamais pu rien apprendre.
e la pression dans l'estomac, je ne puis plus respirer, j'ai mal à la
tête
, cela me serre le front; j'ai des bruits d'oreill
lque chose qui me part du ventre, de l'estomac et qui me remonte à la
tête
. J'ai le temps de me garer: c'est absolument ce q
'est l'aura ; l'attaque va commencer. Que se passe-t-il? Il a malà la
tête
, il entend des bruits dans les oreilles etc. C'es
Le malade : A l'instant même où j'entendais éclater au dessus de ma
tête
le bruit que je vous ai dit, j'ai vu sur la route
la jambe et la cuisse gauches, le côté gauche du tronc et même de la
tête
. Les parties où j'ai ressenti le choc m'ont paru
me réveillant, je me suis trouvé sur la route, couché sur le dos, le
tête
près du fossé, tournée du côté de Noisy, et les p
nerfs ; il s'est mis à trembler et à pleurer ; puis il s'est caché la
tête
dans ses draps et s'est tourné du côté du mur ; i
ié du cou, en avant comme en arrière, ainsi que sur la moitié de la
tête
, de telle sorte qu'il s'agit là d'une hémianesthé
ite 27 kilos et 19 pour la gauche. Il n'y a plus d'anesthésie ni à la
tête
, ni au tronc, ni au membre supérieur gauche. Au m
e, comme chez l'autre, vous voyez ces mouvements occuper à la fois la
tête
, le tronc, les membres à peu près au même degré;
- Fig. 99. Tracés reproduisant les mouvements involontaires de la
tête
chez une malade atteinte de tics convulsifs, et c
nique des maladies du système nerveux.) vements involontaires de la
tête
chez les deux sujets. Le premier tracé A, montre
ant dans de brusques mouvements des paupières, puis ils ont occupé la
tête
et les membres supérieurs. — Déjà à cette époque,
érer les circonstances concomitantes: c'est ainsi que les douleurs de
tête
fixes et intenses, accompagnées de vomissements,
e répandue sur la plus grande partie de la moitié gauche du corps. La
tête
seule , et les extrémités, main et pied, sont exc
t, et à part le sentiment de pesanteur qu'il dit éprouver derrière la
tête
, sur les épaules, dans les membres, et certaines
es qui suivent est en raison directe du degré de coloration. corps,
tête
, tronc, membres,extrémités,les impressions tactil
bdomen, la partie inférieure de la poitrine, surtout à gauche, sur la
tête
, le cou, le malade éprouve un sentiment pénible d
un wagon-lit. Mais il ne put fermer l'œil. Il avait, nous dit-il, la
tête
perdue, il lui semblait entendre les cris des ble
la dernière semaine de septembre, il commença à éprouver un mal de
tête
consistant en une sensation continuelle de serrem
sant « que depuis l'accident qui lui était arrivé, il n'avait plus sa
tête
à lui, que sa mémoire était embrouillée ». Aprè
conde semaine après la collision. Dès qu'il se met à lire, son mal de
tête
s'accroît. Il a souvent des vertiges. L'appétit e
diocre, les digestions sont pénibles, il étouffe et il a le sang à la
tête
après le repas. Le 6 juillet le malade demande
r le sol en même temps qu'un violent coup de tonnerre éclatait sur sa
tête
. Saisi d'une terreur folle, il se mit à courir ju
aucun pii, indice d'une contracture partielle. Les mouvements de la
tête
et du cou étaient parfaitement libres. Le membr
mpérature (froid) est abolie complètement dans la moitié gauche de la
tête
et du cou, et dans tout le membre supérieur du mê
ie s'interrompt brusque- rie. 125. ment sur la ligne médiane à la
tête
et au cou, mais à la partie supérieure du thorax,
ès. Appareil suspenseur .... 205 Fig. 47.—Appareil en place pour la
tête
. . ......... 206 Fig. 48. — Suspension du mala
une légère ten- dance à l'antépulsion ; il remarque, enfin, que sa
tête
, puis son tronc, ont tendance à se courber en a
arquée; aussi éprouve-t-il une grande gêne pour faire exécuter à sa
tête
des mouvements de flexion, d'extension, de rotati
plus facile de déplacer tout son corps que de tourner simplement la
tête
. Par contre, la force musculaire est remarquabl
ui est surtout frappant dans son habitus, c'est la projection de la
tête
en avant et la cyphose cervico-dorsale légère qu'
Pl. IV). Il se tient raide, droit comme un soldat au port d'armes, la
tête
haute, le tronc légèrement ensellé, avec un lég
, n'a pas besoin d'être définie; dans le renflement lombaire, où la
tête
de la corne est presque superficielle, cette zo
mais elle for- me un long trajet rectiligne dans les régions où la
tête
de la corne posté- rieure est située dans la pr
de chaque cordon et se perd lorsqu'elle arrive a la hau- teur de la
tête
de la corne postérieure. 4° Lombaire.- Les coup
i se détache eu avant de cette bande et qui contourne à distance la
tête
de la corne postérieure ; cette tache est très
reuse qui part de son extrémité postérieure pour se diriger vers la
tête
de la corne postérieure qu'elle contourne à dista
iannes Martin. Chancre à 17 ans, début à 35 ans par des douleurs de
tête
, de l'incertitude de la marche,de l'am- blyopie
doute dans quelque grimoire la recette d'une liqueur magique, a une
tête
dont les accidents squelettiques frappent au prem
la déformation nasale du premier sorcier dont nous avons parlé. Sa
tête
relève de l'iconographie médicale. Et c'est e
. En station debout, il est courbé et fortement penché eu avant, la
tête
relevée pour pouvoir regarder devant lui, la ja
le moyenne. Le malade vu à nu se tient le haut du dos vouté avec la
tête
portée en avant, le bas du dos aplati, les geno
le bas du dos aplati, les genoux fléchis, légèrement, et déplace la
tête
et le tronc tout d'une pièce. L'attitude est
égère, se terminapt au cou qui est légèrement fléchi et projette la
tête
en avant. Par suite de l'effacement de la courb
e est rigide sur toute son étendue : les mouvements du cou et de la
tête
eux-mêmes sont nuls, sauf un léger degré de rotat
la tête eux-mêmes sont nuls, sauf un léger degré de rotation de la
tête
. Pour regarder au plafond, le sujet est obligé de
nt réveillées. Le résultat fut très satisfaisant. La rotation de la
tête
se faisait à peu près complètement, et la flexi
ver qu'auparavant : une seule fois. La rotation et la flexion de la
tête
sont complètes, le cou lui- même restant toutef
t parce qu'il n'a plus de douleurs l'obligeant à changer de place. La
tête
est très mobile. Il peut se retourner dans son
alade se tient fortement voûté de la par- tie supérieure du dos, la
tête
portée en avant ; se déplaçant tout d'une pièce,
dorsale, se prolongeant au cou qui est un peu fléchi et projette la
tête
en avant. Le bas du dos, les régions lombo-sacr
e pouvait exécuter un certain degré de rotation et de flexion de la
tête
. Ce malade n'est pas revenu comme les 2 autres,
. Le malade vu à nu se tient le haut du corps un peu voûté, avec la
tête
portée en avant, le bas du dos aplati, les geno
t, le bas du dos aplati, les genoux légèrement fléchis, et déplace la
tête
et le tronc tout d'une pièce. L'attitude est
gère, s'arrêtant au cou qui est un peu relevé et dévié à droite, la
tête
étant portée en avant. NOUVELLE Iconographie
malade peu s'habiller facilement. Le cou est moins douloureux et la
tête
peut faire quelques mouvements de rotation. - 1
ès bien les photographies. En station debout, le malade se tient la
tête
portée en avant, le haut du corps plus ou moins
du corps est brisé en 3 points, d'où 4 segments : les 2 supérieurs,
tête
, cou et tronc formant un angle ouvert en avant,
traits, l'aspect soudé, figé étant le fait de l'immobilisaton de la
tête
, du cou, et du tronc. Tout au plus y a-t-il une d
mari lui aurait donnés. Elle dit avoir été frappée avec force à la
tête
et dans le dos ; depuis ce moment elle aurait t
cées ; la base de sustentation est élargie et le corps ainsi que la
tête
sont sensiblement inclinés à droite. Cette attitu
du lobe temporal droit sans rapport avec la position déclive de la
tête
. La pie-mère et l'arachnoïde semblent normales
he expliquait la parésie musculaire, la déviation du corps et de la
tête
à droite, les troubles de la marche, les troubl
n cas de tumeur céré- belleuse observé par M. Raymond (4) (tronc et
tête
déviés d'un côté, parole embarrassée, réflexes
e même pour l'explication relative à la déviation du corps et de la
tête
d'un même côté ; si elle se retrouve dans les lés
on électrique d'un noyau caudé. La tumeur siégeait nettement sur la
tête
du noyau caudé et l'altération de cet organe co
e. Ces troubles s'accompagnaient de céphalée généralisée à toute la
tête
avec prédominance vers les lobes frontaux. Les
al du malade est bon, les yeux sont intelligents. Quand il bouge la
tête
, elle ne s'arrête pas et subit des oscillations
bilité. Il s'en rend compte lui-même, et dit ne pouvoir soutenir sa
tête
. La céphalée toujours vive a persisté avec les mê
ie extrême ; il ne peut plus quitter le lit ; quand on l'assied, la
tête
tombe entre les épaules. Incoordination mo- tri
naire, et se tournant vers la commissure grise par un renflement en
tête
de clou. Dans les faisceaux latéraux ou remar-
épileptiques ne travail- lent pas, ils.présentent néanmoins sur la
tête
et sur le corps les cicatrices des blessures qu
ordinaires : le style des figures est noble, le dessin assuré, les
têtes
rondes, et les corps heureusement proportionnés
, nous trouvons d'excellents détails. Les cheveux sont hérissés, la
tête
violemment tordue à gauche. La bouche est ouver
de cercle. - ' La protusion de la langue, la torsion latérale de la
tête
, la contracture des quatre membres, forment ave
Poitiers du xve siècle (P. Richer) (1 ) ; la torsion latérale de la
tête
ne se reverra que chez l'enfant du tableau du Dom
UD ET MEIGE ' il énumère ainsi tous les noms qui lui passent par la
tête
. Vraie ou fausse, cette énumération témoigne en
ns qui provoquent l'oedème chez les hémi- plégiques au niveau de la
tête
du noyau caudé, du segment antérieur de la caps
out en étant aussi confluentes, sont moins larges, comme une grosse
tête
d'épingle. L'éruption siège surtout au-dessous
' les autres n'aillent pas aux cabinets. Q. Pourquoi restez-vous la
tête
baissée dans la cour ? H. L'idée que je suis da
la cour ? H. L'idée que je suis dans la cour m'empêche de lever la
tête
, car si je levais la tête et ouvrais les yeux,
e suis dans la cour m'empêche de lever la tête, car si je levais la
tête
et ouvrais les yeux, je verrais les autres malade
phénomènes d'opposition : qui l'empêchent, par exemple de lever la
tête
dans la cour, de r DÉMENCE PRÉCOCE CATATONIQU
s ; il a toujours eu du mal pour marcher car il était très gros, sa
tête
était déjà volumineuse,ce qui le faisait appele
tait déjà volumineuse,ce qui le faisait appeler par ses camarades «
tête
d'éléphant ». Jusqu'à 20 ans sa vie s'est passé
édiatement l'attention chez cet homme : c'est l'énorme volume de sa
tête
: 62 centimètres de circonférence maximum et l'ex
dernières années de sa vieil- lesse, il se baignait des pieds à la
tête
dans l'eau froide,.... mais bénite ». Cet abbé
cheren,ayantrenverséune statue du dieu païen Wodan, il reçut sur la
tête
un'violent coup d'épée ; mais il en guérit fort
droits souve- rains dans toute leur plénitude. L'abbé marchait à la
tête
des dignitaires ecclésiastiques du pays, il éta
toute sa longueur pour aller de l'autre côté de la Sûre prendre la
tête
de la procession. Voici poindre les bedeaux et
rangées de six à dix. Ce sont d'abord les enfants. Les garçons, nu
tête
, en bras de chemise, sans cravate, sans col,- t
lement, en mesure. Puis viennent les adultes. Les hommes, eux aussi
tête
nue et en bras de chemise, la veste et le chape
subitement, une coupure se fait entre ses anneaux, et tandis que la
tête
continue à progresser, la queue reste stationnair
ientôt des autres, pêle-mêle, par paquets.. D'autres fois, c'est la
tête
qui bute contre un obstacle : une onde de re- f
c et le front montre quelques rides transversales. L'attitude de la
tête
, rejetée en arrière, donne à la malade un air d
angiennes contiguës. La palpation permet encore de constater que la
tête
du 3° métacarpien est élargie et présente sur s
D'autre part l'index est manifestement plus court, la saillie de sa
tête
méta- Nouvelle Icos-ograpijie de 1 Salpêtrière.
pienne est placée à 1 centimètre 1/2 en arrière de celle que forme la
tête
du 3° métacarpien. Ici encore, la radiographi
acarpiens sont beaucoup moins longs que normalement. En outre, la
tête
du métacarpien de l'index du côté droit présente
de tous côtés les accessoires de son lit et lance la vaisselle à la
tête
des personnes de son entourage. Un jour elle expl
nt et cèdent la place l'une à l'autre. Tout est si embrouillé dans la
tête
du malade que selon votre gré il dira qu'il fai
ocessus psychiques, brode sur sa bande tout ce qui lui passe par la
tête
, ni la confusion et l'incohérence qui président a
Jean, à Meulebeek, près de Bruxel- les (Henry neige, Les pierres de
tête
, Nouv. Iconographie de la Salpêtrière, 1895 ; -,
athé- tose. Une femme saute sur un pied et incline en même temps la
tête
à gauche, dans une attitude qui fait songer au
En quoi il se montra deux fois sage, car premièrement il sauvait sa
tête
, et secondement il reconnaissait la valeur d'un
du noir qui les impressionne d'une manière fâcheuse. Ceux-ci ont la
tête
chargée de bran- chages, de guirlandes, les bra
ec des formes simples qui n'excluaient 'pas la gaieté on portait en
tête
une cruche pleine de vin et couronnée de pampre
les du cou, sans maladresse, ni impotence dans les mouvements de la
tête
. Un jour, qu'il ne précise pas exactement, la p
u cou, en particulier des sterno-cléido-mastoïdiens, qui mettent sa
tête
dans une position peu réglementaire. Le sous-offi
quand on commande au malade de faire des mouvements latéraux de la
tête
. En proie aux moqueries de ses camarades de cha
Voici ce que donne l'examen de ce malade au moment d'une crise : La
tête
est fortement penchée en avant, le menton venan
ontact du sternum ; quelquefois il y a une légère inclinaison de la
tête
sur l'épaule gauche. Ce qui frappe tout d'abord
presque un triple menton. Ce n'est pas la seule flexion forcée de la
tête
qui détermine ce plissement de la peau et du pa
ien compte de l'attitude du malade au moment des crises. Cependant la
tête
ne reste pas fixe, immobile; elle est au contra
endant la contraction instinctive des muscles qui maintien- nent la
tête
en équilibre entre la flexion et l'extension. C'é
sion. C'était ici un spasme professionnel, car cette attitude de la
tête
était celle de l'ouvrier quand il maniait la de
nfondu avec le tic de Salaam. Celui-ci consiste en mouvements de la
tête
, sur- venant par accès, avec participation le p
à gauche. Clonus du pied et signe de Babinski des deux côtés. La
tête
est fortement inclinée sur l'épaule droite et tou
ques faibles douleurs dans les deux membres inférieurs. Douleurs de
tête
, surtout le matin et dans la journée (n'avait jam
(tel Apremont, (ils d'Alerte). En résumé, l'examen d'ensemble de la
tête
n'a, au point de vue morpho- logique, qu'une va
stigmates anatomiques de dégénérescence. Les signes fournispar la
tête
doivent primer les autres caractères d'asy- mét
ivent primer les autres caractères d'asy- métrie corporelle, car la
tête
donne bien pour le cheval, suivant l'heu- reuse
du trépignement, des mouvements d'impatience,et d'inquiétude de la
tête
, des actes de mordillement, de mâchonnement, ...
après le saut. L'impatience se traduit encore par des hochements de
tête
, des trépignements. Ces mouvements, ces actes i
u médecin le siège de ses souffrances. Le vieillard lui soutient la
tête
avec la main gauche : avec la droite il .tient
ablotins à figure de singes, mêlés à des figures ailées d'oiseaux à
tête
humaine, de syrènes à tête et poitrine de femmes,
, mêlés à des figures ailées d'oiseaux à tête humaine, de syrènes à
tête
et poitrine de femmes, en bas, des attributs hé
rodées ; ils ont des barbes lisses et des moustaches peignées, leur
tête
est coiffée de bonnets brodés variés, rappelant
de la tapisserie, à droite. sont groupés huit ou neuf personnages,
têtes
découvertes ; celui du premier rang est dans t'at
tous, sauf un, fixent leurs regards sur le Christ, au-dessus de la
tête
duquel se déroule une banderolle dont l'inscripti
isses ; un aide maintenait les deux bras du patient au-dessus de la
tête
. Un médecin en costume de l'époque faisait, un pe
bras du malade suspendu. Lewis Ilickey releva ses patients par la
tête
seule, en laissant la pointe des pieds en contact
insignifiante. Quand la traction axillaire est faible; celle de la
tête
devient très forte et n'est pas sans danger pour
tient. Si, maintenant, la traction axillaire est forte, celle de la
tête
devient impuissante et le résultat est médiocre.
Cet auteur recommande de fléchir les jambes sur les cuisses et la
tête
vers les genoux, en embrassant les genoux par les
bes fléchies. Plus on raccourcit la courroie, plus on approche la
tête
aux genoux. Le quatrième mode de suspension est
he par les pieds et bascula la partie de la planche où se trouva la
tête
, de sorte que ses malades furent toujours suspe
que ses malades furent toujours suspendus par les pieds ayant la
tête
en bas. Dans cette désagréable position l'auteur
tical, introduit la planche inclinée comme mode de sus- pension, la
tête
en haut et les pieds en bas. Les expériences ph
-ci a une excavation, desti- née à loger la partie occipitale de la
tête
du patient. M. Jacob emploie ce genre de suspen
odifié par le profes- seur Motchoutkwski et fabriqué par Chazal. La
tête
du patient repose soit directement sur la planc
xcavation plus ou moins profonde dans la plan- che pour recevoir la
tête
du patient. L'occiput se trouve dans ce cas au-
THÉRAPEUTIQUE. on élève la portion de la planche correspondant à la
tête
, jusqu'à l'angle de 30°. Pour obtenir une grada
continue des membres frois- sant le plexus, rotation exagérée de la
tête
, etc. La question a son importance médico-légal
aphies de Lieving etMobius : période prodro- mique; malaise, mal de
tête
unilatéral; hyperesthésie optique et acoutisque
iante que les choses iront bien, tandis que le sentiment d'avoir la
tête
malade conduit le sujet à une hypocondrie passa
conscience, ne présente aucun signe extérieur, il éprouve un mal de
tête
occipital. Il perd alors le souvenir des événemen
de avait trouvé la geste antagoniste efficace capable d'empêcher la
tête
de tourner à droite. Le traitement appliqué pen
journée jusqu'à trois et quatre kilomètres sans trop de fatigue. La
tête
est presque immobilisée, les mouvements de rotati
vaso-moteurs. Le malade lève difficilement le bras au niveau de la
tête
; cependant toute douleur a disparu. Tous les mouv
des ongles. Du... peut porter difficilement le bras au-dessus de sa
tête
; il peut se peigner, mais avec peine, il peut p
s auteurs expérimentèrent sur les cadavres en les suspendant par la
tête
. Ils constatèrent que lorsque le corps est en p
canal cervico-médullaire est à son maximum. Si le corps n'a que la
tête
tirée en haut, le volume du canal rachidien dim
la planche, nous marquons trois points de repère : au sommet de la
tête
, à l'épaule et aux deux talons. Les deux premie
au moyen d'un..morceau de bois de c3, solidement appliqué contre la
tête
et l'épaule. Après, avoir marqué les trois poin
points de repère correspon- dant aux mêmes points, au sommet de la
tête
, à l'épaule et aux talons. De cette façon nous
collerette osseuse au pourtour de chaque surface articulaire. La
tête
fémorale surtout est profondément altérée; son ax
e surtout est profondément altérée; son axe est dévié en bas, et la
tête
, très modifiée dans sa forme est comme aplatie
avres de son mari et d'un voisin nommé Mayard. Tous deux avaient la
tête
trouée par une balle de revolver. " On put ai
de sour- cillière, était déchiquetée et relevée sur les cheveux. La
tête
de la malheureuse semblait avoir été dévorée pa
affaiblies et absentes, nous voyons la sénilité arriver toujours en
tête
avec une énorme proportion et la débilité menta
réaction, inférieure à l'affaiblissement, elle arrive néanmoins eu
tête
pour la débilité mentale et la démence. V. - Co
d'extension, le corps qui prend l'atti- tude de l'arc de cercle, la
tête
qu'il fléchit et étend sur le cou. Séance de 1/
le du membre supérieur droit me produit ceci : vous me frappez à la
tête
et je sens les coups que l'on me donne sur l'ép
entend du vent, du sifflement dans les oreilles. Il fait entrer la
tête
entre les épaules. Crise de con- tracture. aprè
Que vous écrivez avec la montre avec la main gauche. Sentez votre
tête
, votre cerveau : Ça me brûle sur la tète ? Cris
eau : Ça me brûle sur la tète ? Crise de mouvements toniques -f- Ma
tête
est toute souffrante + Elle se partage en deux
à Marseille, tout à l'heure je rêvais -(- Ma douleur a disparu + Ma
tête
est plus libre ? Je sens de l'air dans le cerve
r dans le cerveau qui est dégagé + Mouvements de salutation de la
tête
et de rotation du membre supérieur droit + Vous n
in, parce que quelque chose lui a claqué dans la tète. Sentez votre
tête
: ma tête est libre + Mouvements de salutation
que quelque chose lui a claqué dans la tète. Sentez votre tête : ma
tête
est libre + Mouvements de salutation qui se ter
'ici (pariétal gauche) qui me brûle comme du feu, descend dans la
tête
, sort de la colonne. suit mon bras en dedans et f
hyperesthésié, , 14, 16, 17. - Continuation. Le 17, j'arrive à la
tête
: elle est bloquée, puis partagée en deux ; il
urs quelque chose de bloqué (pariétal droit) + Le malade incline la
tête
sur le tronc et fait une crise de contracture q
oeud qui a claqué + Il semble que quelqu'un appuie fortement sur la
tête
et ça ne veut pas se déblo- quer -Où êtes-vous
t ça ne veut pas se déblo- quer -Où êtes-vous ? Je ne sais pas + La
tête
me fait bien mal - Crise de contracture et soub
i sauté une muraille et je suis content parce que j'ai frappé de la
tête
en tombant et quelque chose s'est débloqué -j-
oup ? Je suis couché + J'attends le médecin qui vient me voir-)- Ma
tête
travaille seule + Tout est en train de bouger l
1-- Maintenant, j'entends bien ? Il y a toujours dans le fond de ma
tête
quelque chose qui est bloqué, mais c'est dur à
douleur dans le flanc gauche et gestes pour éloigner le chien z La
tête
me fait mal Je percute la zone hyperesthésiée (bo
aquements dans la hanche -f- Levez-moi cette table qui m'a rompu la
tête
+ Crise - i- La lable m'était tombée dessus - O
mal au coeur et moi non - (-Grand soubresaut + Ça a fait cloum à la
tête
? Il y a là encore quelque chose de bloqué, en
)- Crise, sou- bresaut-Je demande à Louis ce qu'il a. J'ai mal à la
tête
+ Vous êtes M. l'instituteur. Je réveille Louis
'à la journée de hier, 20 août ? Il y a quelque chose au fond de ma
tête
qui ne veut pas se débloquer -j- Louis me fait nn
craque- ments des articulations du membre inférieur - -f- Toute la
tête
me fait mal -j- Si vous saviezlestortures qu'il
s qu'il y a là-dedans ! -(-Crise + J'ai vingt-sept ans et demi + La
tête
me fait mal toute+ Grands soubresauts ? Vous n'
uts ? Vous n'avez pas enteudu ? Un coup de fusil, il m'a partagé la
tête
qui, maintenant, ne me fait plus mal +En dedans,
droit). 27. Louis se plaint d'avoir les pieds, l'épaule droite, la
tête
bloqués. En récupérant sa sensibilité, il- régr
m'être dit et lorsque Louis en arrive à la resensibilisation de la
tête
il ne m'en- tend plus et présente de l'anesthés
e et allait jusqu'à l'estomac; l'autre partait du côté gauche de la
tête
, passait derrière l'épaule et venait au flanc g
me suis réveillé en me rappelant. Sentez les yeux, les oreilles, la
tête
: rien n'y est plus bloqué. - Réveil général.
e sens que nous 214 RECUEIL DE FAITS. , sommes cinq. Sentez votre
tête
? --1- Soubresaut ? Il s'est débloqué quelque c
la langue, sans pouvoir respirer, environ, je crois, une minute. La
tête
tomba sur l'épaule droite, le pouls ralentit co
ires, sanatolias,etc. Cela a eté fait dans l'état de New-York. A la
tête
de ces institutions, (asiles de fous complétés pa
les roues d'un tombereau chargé de cailloux. Le malheureux a eu la
tête
broyée ; la mort a été instan- tanée. (Tablette
. Mes certificats étaient toujours excellents car je n'avais pas la
tête
trop mauvaise et j'étais appliqué ; mais je fus
utres, cela me devenait si désagréable que le sang mye montait à la
tête
, me causait parfois du tremblement et tout effo
envahi par l'angoisse et le tremblement et le sang me montait à la
tête
à tel point qu'une connaissance me dit un jour
s yeux tout en son- geant combien ce serait beau de l'avoir dans la
tête
! Et alors je me tourmentais de ne l'avoir pas
découragement à un degré inconnu, un vide des plus pénibles dans la
tête
, continuellement des images fantastiques à l'état
e au sens propre du mot, si ce n'est la congestion continuelle à la
tête
, mon engourdissement, la sécheresse et souvent
une nuit agitée, ou l'a trouvé immobile dans son lit, violacé de la
tête
aux pieds. Il succombait quelques heures après.
M. Souques, a'souf'ei t, après une ponction blanche, de douleurs de
tête
et de nausées qui ont duré plusieurs jours : de p
malade qui reçut, il y a onze- ans,' une balle de revolver dans la
tête
et qui eut, dans la suite, de l'hémi- plégie, p
épilepsie corticale qui débutent par des mouvements conjugués de la
tête
et des deux yeux à gauche, auxquelles succèdent
e osseuse est par endroits raréfiée, et en partie hypertrophiée. La
tête
du fémur apparaît très raréfiée et presque sépa
iment de malaise général, des vertiges, des bouffées de chaleur àla
tête
et une sensation de pesanteur dans les membres.
rsures de la langue et des lèvres, de même que les contusions de la
tête
, sont fréquentes, la miction involontaire est,
lle et remarquant que ses yeux devenaient hagards, lui versa sur la
tête
le contenu d'une cruche d'eau froide qu'elle tena
u genou gauche. - Aujourd'hui, vertiges et bouffées de chaleur à la
tête
. 24. Hier soir, violente attaque convulsive de
rien de particulier, à part des traces de contusions récentes à la
tête
et de légères morsures de la langue et de la lèvr
esse pendant quelques secondes sur son séant, tournant fortement la
tête
à gauche et regardant fixement en arrière, puis
e et tombe comme une masse. Opisthotonos de quelques secondes, avec
tête
fortement renversée en arrière et un peu tourné
ions cloniques des bras et des jambes, mouvements de rotation de la
tête
, avec violentes secousses des muscles de la fac
nfirmière, elle tombe, d'abord sur son séant, tournant fortement la
tête
à gauche et regardant pendant quelques secondes
e, lorsque les symptômes généraux habituels (tachycardie, sang à la
tête
, chaleur de la peau) nous avaient fait admettre
lles s'affaiblissent progressivement; très sombre, il détournait la
tête
et ne répondait pas lorqu'on lui parlait. Man-
r les y maintenir, il se servait du bras droit ramené par-dessus la
tête
, la main gauche appuyée sur la hanche. Il faisa
bation est nettement limitée à certains nerfs. C'est la peau de la
tête
qui est la moins affectée : à la tête, on voit la
ns nerfs. C'est la peau de la tête qui est la moins affectée : à la
tête
, on voit la zone du nerf ethmoïdal (nasal inter
une fenêtre, tombe sur le dos d'une hauteur d'un mètre et demi. Sa
tête
a frappé sur le sol. Quelques minutes plus tard,
tes plus tard, au moment où on lui place une vessie de glace sur la
tête
, elle demande, toute étonnée, pourquoi cette ve
out : depuis sa chute, elle ne se souvient de rien. Elle a mal à la
tête
, par tout le crâne, et une légère envie de vomi
plectiforme sans perte de connaissance. Puis, violentes douleurs de
tête
, vomissements, hémiplégie du bras et de la jamb
quelques minutes seulement on lui a placé les mains au-dessus de la
tête
. Au réveil les deux bras étaient paralysés : il
ns le cas de besoin réel à la rotation et à l'hyper-extension de la
tête
: il faut encore éviter toutes les compressions
t que M. Wiglesworth s'occupait de la blessée. Au premier abord, la
tête
semblait avoir été à moitié séparée du tronc, e
». Elle avoue quc son .in- tention était de couper complètement la
tête
à sa victime. Son état resta le même durant vin
ont l'un est atteint de mouvements involontaires et constants de la
tête
et des membres supérieurs. Le second, également
s étaient suivis de l'apparition, dans le champ visuel droit, d'une
tête
d'enfant blanc, assez vague, inconnue de la mal
e en garde contre leur maladresse, ils ont l'habitude de tourner la
tête
vers le côté occupé par la zonehémianopsique. Q
soit en rêve, soit en cauchemar. Elle ne sait pas comment est sa
tête
». Parfois,voyant qu'elle n'accorde pas son con
fleurant à bâton rompu tout t ce qui lui passait verbalement par la
tête
. L'attention saisie par ce phénomène et ne trou
e fille. Le 8 mars 1889, travaillant à sa forge, il est blessé à la
tête
par la roue d'une machine à cintrer, le visage
s de cette posture, ne se rappelle point ce qui vient de se passer.
Tête
un peu douloureuse, sifflements. 11 se dit alors
onne rentre, il se lève, mais doit s'asseoir terrassé par un mal de
tête
violent, de la somno- lence, des nausées,* des
urs milliampères, une sensation de vertige et une inclination de la
tête
du côté du pôle positif. C'est là le ver- tige
ni sensation de vertige, ni inclination à gauche ou à droite de la
tête
, qui reste immobile, ou bien se porte en arrièr
a tenté de se suicider en se tirant trois coups de revolver dans la
tête
. Cette jeune fille, qui était hantée d'idées no
n chapeau qui fut assez grand. En 1887 il a eu quelques douleurs de
tête
qu'il distingue nettement de ses migrai- nes ha
nstitué par le trapèze. Au milieu de ces deux dépressions émerge la
tête
, très volumineuse, pen- chée sur la poitrine re
alade (PI : VI). Ce qui frappe d'abord c'est la déforma- tion de la
tête
, de la face surtout (PI. VII). La face est asymét
gauche. En appliquant le diapason au milieu du corps, au-dessus de la
tête
il s'effectue toujours une contracture du côté
méritait d'être faite. C'est le même renversement du corps et de la
tête
en arrière, le gonflement du cou, la raideur des
galop, se tient un jeune Bacchus, velu d'une chlamyde flottante, la
tête
couronnée de feuillage. Une longue mèche de che
désordre et les cheveux épars, tombe sur les genoux, tandis que sa
tête
elle haut de son corps se renversent vio- lemme
s de certitude. Cette chute violente, ce renversement exagéré de la
tête
avec la saillie du cou en avant, tout cet ensem
a Salpêtrière : « Gcn.... court à demi nue, les cheveux au vent, la
tête
renversée, balançant le tronc en avant et en ar
e dont l'appui postérieur est au calcanéum et l'appui antérieur aux
têtes
des métatarsiens. Le bord externe de la voûte r
segments extrêmes de l'individu c'est-à-dire pour la station de la
tête
sur la colonne vertébrale et pour la station de l
et traverse le pavillon de l'oreille vers son milieu. Station de la
tête
sur la colonne vertébrale. La tête repose sur l
vers son milieu. Station de la tête sur la colonne vertébrale. La
tête
repose sur la première vertèbre cervicale on atla
n avant de l'articulation occipito-alloïdienne. D'où il suit que la
tête
tomberait en avant si elle n'en était empêchée
rieurs (Il T). Du centre des épaules au centre d'articulation de la
tête
et du cou une 3e ligne formera l'axe du cou (E
clinant les uns sur les autres de la façon suivante. De l'axe de la
tête
qui est vertical l'axe du cou se dirige en arri
ant le sujet a un plan vertical, à un mur, auquel il touchera de la
tête
, des épaules, des fesses et des talons. Au poin
brale est droite et ne subit d'inflexions que suivant le port de la
tête
qui en s'inclinant de côté entraî- ne une courb
so-lombaire.C'est ainsi que, sur un homme qui hanche, droite, si la
tête
s'incline de ce même côté, toute la colonne offre
l'image d'une courbe unique étendue du sacrum à l'occipital. Si la
tête
penche gauche la colonne prend alors la forme d
urée du sol à l'interligne articulaire est égale a deux hauteurs de
tête
. Or un homme à genoux est en réalité un homme m
u con- sidérable de la rotule. L'homme'debout ayant de hauteur sept
têtes
et de- mie, n'en aura donc que cinq et demie, l
e qui sépare l'extrémité des doigts du sol esl égale environ il une
tête
. Il est un mode de station qui est une variété
ier plus ou moins incliné qui fournit en même temps un ap- pui à la
tête
. Car alors le corps se trouvant tout entier aband
hauteur à peu près les mêmes proportions que le torse (y compris la
tête
et le cou), d'un homme debout, c'est-à-dire qua-
prouvés l'an dernier prennent une grande intensité. Les douleurs de
tête
deviennent ter- ribles ; il est dans un état ve
t dans les mains ;,une rigidité dn¡ C01,1 avec flexion légère de la
tête
et une paralysie des deux sixièmes paires (PI. XV
ssez mar- quée : les mouvements de flexion et de redressement de la
tête
sont limités, douloureux, ainsi que les mouveme
Fig. 311. - Ambroise Paré ¡\ 4 : i ans, d'après le portrait placé en
tête
de la Première Édition des « Playes et Fracture
composé, tous ces segments étant mobiles les uns sur les autres, la
tête
sur le tronc, le tronc sur les cuisses, les cui
du levier dont la résistance est constituée par le poids même de la
tête
qui tend il l'incliner en avant et en bas. L'ac
trapèze) se laisse facilement vaincre. La force d'exten- sion de la
tête
est très notablement diminuée : ainsi s'explique
g. /17. 152 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE flexion de la
tête
en avant ou de flexion latérale sont faibles auss
la paralysie pseudo-hypertropliique. J" l i z L' inclinaison de la
tête
et du cou en avant est intéressante il constater,
nuque conservant en général la .force suffisante pour redresser la
tête
. Celte attitude, comme l'a fait remarquer M. Pa
toïdiens sont très atrophiées et dans les positions latérales de la
tête
se dessinent peine. Les omo-hyoïdiens semblent re
s s'exé- cutent ; le malade résiste bien à la flexion passive de la
tête
et mal à son ex- tension. , MEMHHES supérieur
ur, qui de son côté s'en trouve rapproché par le renversement de la
tête
en arrière ; l'angle inférieur du scapulum est co
e gauche. Enfin dans un troisième temps, il redresse le tronc et la
tête
et vient placer sa main droite sur la fesse du mê
t, figurées Pl. XX. UN CAS DE MYOPATHIE PRIMITIVE PROGRESSIVE 183
tête
et le thorax en extension exagérée, joints à l'at
et l'extrémité supérieure de l'humérus. Je ne vous parle pas de la
tête
numérale : il n'y en a plus. La dia- physe flot
in, s'infiltra d'un oedème considérable. Admet- trons-nous que la
tête
lmméralcavait été décol- tee ? L'accident est b
ns. Aussi voit-on une saillie considérable en dehors, formée par la
tête
du péroné et par l'astragale. La voûte plantair
elle voyait la Vierge et les Saints dans les buissons. Elle a eu la
tête
dérangée pendant un an. Elle était de plus alco
s nerfs rachidiens et des apophyses épineuses, d'après Jadelot. « A
tête
, B trou occipital, C éminences épineuses, D pro
rochure de Jean-François Jadelot « Des- cription anatomique d'une
tête
humaine extraordinaire suivie d'un essai sur
lure bien plus vigoureuse. Sur le tableau de l'Eglise St-Lazare, la
tête
du possédé est inclinée en avant. C'est encore
- moniaques. Il a indiqué la convulsion des yeux, la rotation de la
tête
et la saillie des muscles du cou. Mais il lui a
APHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Il suffit de rapprocher de ces esquisses la
tête
de la possédée de Rubens, du musée de Vienne, p
La convulsion des yeux, la protrusion de la langue, le rejet de la
tête
en et le gonflement du cou, montrent suffisamment
érieure. Le possédé, couché dans un chemin, est vu en raccourci, la
tête
au premier plan. L'exécution en est médiocre, et
is- sant, la réduction se produit. Lorsque le bras est en repos, la
tête
de l'humérus est sentie en dehors et en arrière
lernc ; en élevant le bras, on produit facilement la luxation de la
tête
en bas. A la palpation, la tête de l'humérus pa
produit facilement la luxation de la tête en bas. A la palpation, la
tête
de l'humérus paraît inégale, érodée ; la cavité
ig. 76. 288 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE manente de la
tête
du cubitus au poignet, ou inversement « subluxati
tarso-phalangienne du petit or- teil)- à côté de cette dernière,
tête
du métatarsien, nécrosée et extraite avec une p
employé ce mode opératoire chez un syringomyélique, en suturant la
tête
humérale à l'acromion ; je ne crois pas qu'il a
mobile et impotente .qu'avant » ; Czerny, chez un ataxique dont la
tête
humorale était presque complètement détruite, e
une courte prière, les yeux fixés au ciel, et toucha de la main la
tête
de Bastida. A ce contact, celui-ci ouvrit les y
ée. Il est en léthargie; les yeux fermés, la bouche demi-close ; la
tête
tombe mollement sur l'épaule gauche, et le bras
on qui se renverse en arrière dans une attitude très expressive. La
tête
que, par un artifice heureux, l'artiste (Ange Ros
lette. On lui donne de l'eau et elle plonge à plusieurs reprises sa
tête
dans la cuvette. A par- tir de cet instant, les
lique que nous devons localiser au niveau des centres moteurs de la
tête
. b) L'attitude de la tête joue un rôle considér
liser au niveau des centres moteurs de la tête. b) L'attitude de la
tête
joue un rôle considérable dans l'équilibration
quilibration inconsciente ou consciente. Dans l'attitude debout, la
tête
est le point le plus éloigné de la base de sust
ts variant de distri- bution perspective à chaque déplacement de la
tête
. Dans la recherche du signe de Romberg, la vue
st toujours nasonnée, prend les caractères cunucoïdes de la voix de
tête
, comme si le larynx était paralysé. Ces trouble
e noyau antérieur Ci le tu- bercule acoustique, prolongements de la
tête
des cornes postérieures. C'est le nerf cochléai
inal des racines postérieures), et les cellules du noyau antérieur (
tête
des cornes postérieures), avec lesquelles elle se
jumeau, jusque sous les tuber- cules quadrijumeaux antérieurs. La
tête
des cornes postérieures, après avoir fourni les n
s l'ho- mologue de la colonne vésiculeuse de Clarke. Noyaux de la
tête
. ' 4° Le noyau antérieur (VIII a) d'IIu;uenin e
ieu, c'est en réalité un noyau terminal, homologue selon nous de la
tête
d'une corne postérieure; il n'appartient d'aill
temporale. Ces libres ont pour homologue le faisceau qui part de la
tête
de la corne postérieure, traverse la commissure
homologue LE NERF LABYRINTHIQUE 355 des fibres qui partent de la
tête
de la corne postérieure, s'entrecroisent t dans
ais le blessé resta incapable de tout travail : l'inclinaison de la
tête
sur l'épaule, partielle- ment atténuée par une
le pouls radial devenait}ai- ble et mou : enfin l'inclinaison de la
tête
s'accentuait d'une façon très marquée, les effo
n debout en même temps qu'augmentait l'inclinai- son latérale de la
tête
, leur situation du côté opposé à cette inclinaiso
ion était en grande partie réductible par traction énergique sur la
tête
. Dès lors, pendant qu'un aide maintenait cette
les. Lorsqu'il fut enlevé, le 31° jour, on put voir de suite que la
tête
était à très peu près droite, et que la légère
78 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE peut plus être perçu. La
tête
a gardé sa quasi-rectitude ; elle accomplit avec
p visuel, schémas, 6, 7, 8. Station à genoux, 29. Station de la
tête
sur la colonne vertébrale, 18. Station du tro
f des planches XVII à XXXII. Le lecteur nous saura gré de placer en
tête
de ce volume la Notice que M. le docteur Trélat a
rbitre. Autrefois on les brûlait, dit-il, maintenant on leur coupe la
tête
: dans l'un comme dans l'autre cas c'est une dépl
-8 de 426 pages. 17. Observation sur le cadavre d'une femme dont la
tête
a été brûlée (Annales d'hygiène et de méd. lég. 4
e qu'il en dit (Hist, des anim, I. iv, chap. 2) : « Les parties de la
tête
sont la bouche, qui a deux dents, et au-dessus de
ne de la vue tellement développé, qu'on pourrait presque dire de leur
tête
qu'elle est tout yeux. L'argument tiré du peu ou
Mammifères Oiseaux. Reptiles. \ Poissons Mollusques ( Céphalopodes à
tête
dis- \ Ptéropodes. tincte. ( Gastéropodes / Acéph
disposition , mais toujours simples et en paires et situés l'un à la
tête
et l'autre au thorax. C'est ce que l'on rencontre
nnant; les céphalopodes ont presque tout leur système nerveux dans la
tête
et ainsi des autres mollusques, suivant que telle
ins développée. Il n'en est pas autrement chez les arachnides (2). La
tête
de ces animaux n'est pas distinctement séparée de
glions sont tellement volumineux qu'ils constituent véritablement une
tête
, surtout si l'on y joint le ganglion optique. O
borné, la matière nerveuse montre de la tendance à se réunir vers*la
tête
. 9. Le nombre des ganglions qui entrent dans la
s à la morsure de la tarentule? Des populations entières ont perdu la
tête
, seulement pour y avoir pensé. Des auteurs très d
e à l'autre et ne lâcher prise que lorsque l'une d'elles a arraché la
tête
ou un membre de son ennemi. Ordinairement les fou
ntôt on ne voit plus aucune fourmi amazone sur la fourmilière, r « La
tête
de la légion semble quelquefois attendre que l'ar
unes d'entre elles vont dans un sens opposé, elles redescendent de la
tête
à la queue, puis reviennent sur leurs pas, et sui
e, les abeilles en paraissaient affectées, toutes baissaient alors la
tête
et restaient immobiles. «Le lendemain, la ruche
ndation qui lui est exclusivement réservé, et celui de se mettre à la
tête
d'un essaim, sont les seuls dont elle jouisse, au
nuit pour pénétrer chez elles ; cet ennemi est le sphinx atropos, ou
tête
de mort. Quand les abeilles craignent ses attaque
détail de ces éloges? Car enfin, une mouche ne doit pas tenir dans la
tête
d'un naturaliste, plus d'espace qu'elle n'en tien
s de ces allégations. Dire « qu'une mouche ne doit pas tenir, dans la
tête
d'un naturaliste, plus d'espace qu'elle n'en tien
ais, a reçu le nom de cérébro-spinal, parce qu'il est contenu dans la
tête
et dans la colonne épinière; il consiste, pour le
t la queue de cheval, (iy V. l'encéphale de la baudroie, pl. 11. La
tête
de l'animal, qui a fourni ce très petit cerveau,
rvalle entre 1er. deux, yeux, était de 89 mill., et la longueur de la
tête
, mesurée depuis la bouche jusqu'au trou occipital
'origine à des nerfs, tandis que c'est le contraire pour d'autres. En
tête
de ces derniers , il faut placer le ganglion anté
né le portrait du diable, ont pris pour modèle la baudroie. C'est une
tête
volumineuse, aplatie, coupée en avant par une bou
par derrière en une queue longue et râpeuse; puis sur les côtés de la
tête
des nageoires en éventail ; au-dessus, des yeux é
le cours des fleuves, et ils avancent, un individu très fort placé en
tête
, les autres rangés sur deux lignes qui se réuniss
ns se placent au contraire sur deux lignes parallèles, une femelle en
tête
et la première moitié des lignes composée égaleme
uns aux autres, la queue en haut, ils s'enfoncent dans la terre , la
tête
la première, jusqu'à la moitié du corps. On en a
ure , mais beaucoup s'enfoncent dans la vase ; d'autres se mettent la
tête
dans la terre pendant la saison glaciale. 10. L
la fécondation s'opère au moyen de l'union intime des deux sexes. En
tête
des poissons féroces : sont le squale et le broch
elle m'a fui. Dans ma jeunesse, je voyais Spurzheim découvrir sur une
tête
, telle saillie que je n'apercevais pas, et dans u
us de membres, ou que leurs membres ne sont pas très rapprochés de la
tête
, immédiatement au-dessous de la naissance des ner
isbène; lorsque, au contraire, les membres sont très rapprochés de la
tête
, chez les grenouilles et les crapauds, par exempl
ivant que les membres antérieurs se trouvent plus ou moins près de la
tête
. Une autre objection serait fournie par ce fait,
u'on va lire fera bien ressortir toutes ces différences : j'ai mis en
tête
, comme pour les poissons, les fibres les plus tén
es des grands fleuves, se cachant sous l'eau, ou élevant seulement la
tête
un peu au-dessus de la surface de ce liquide, pou
oportion suivante, chez les animaux ci-dessous désignés : Mésange à
tête
bleue, comme i est à 12 Mésange id........,....
galement, le choucas vient avant, la perruche et le perroquet sont en
tête
de la liste, séparés cependant par l'oie. Dans un
et......... i3 14 0,93 Pic vert............. 22 24 0,91 Mésange à
tête
bleue... ia i3 0,91 Sarcelle............. 19 21
né pauvre, il n'a pas même d'habitation, il ne sait pas où reposer sa
tête
; le partage a été fait d'avance, aucune place n'e
es se reposent pour dormir, elles ont des sentinelles qui veillent la
tête
haute, tandis que toutes les autres se cachent la
ui veillent la tête haute, tandis que toutes les autres se cachent la
tête
sous l'aile. Aristote, dans son livre si riche d'
si stupides que s'ils voient venir quelqu'un à eux, ils cachent leur
tête
derrière une branche d'arbre, croyant que cela su
r de l'éducation des perroquets, rapportait à Buffon (1). « Le crik à
tête
et à gorge jaunes, se montre très capable d'attac
flige, les suit et les rappelle à haute voix.» (i) Op. cit., Crik à
tête
et à gorge jaunes. L'antipathie que les perroqu
z les oiseaux chanteurs, et plus encore chez les oiseaux parleurs, en
tête
desquels se placent la pie et le perroquet. L'i
eaux qui est assez en rapport avec leur étal psychique. Elle place en
tête
le choucas, la pie et le perroquet; à la fin elle
ères, et surtout avec celui de l'homme. Les perroquets sont placés en
tête
du tableau et groupés les uns^ près des autres; l
e tableau que j'ai dressé pour cet objet, le pic-vert et la mésange à
tête
bleue, la mésange nonnette, le moineau et le seri
e l'élargissement du cerveau réunit dans un même groupe, la mésange à
tête
bleue , le moineau, la pie, le coq, le combattant
au moins pressentir ; car il attribue un développement latéral de la
tête
plus considérable chez les oiseaux frugivores que
s encore répéter celte sentence de Sénèque, que M. Tiedemann a mis en
tête
d'un de ses plus imporlans travaux sur l'encéphal
thème lancé contre ceux qui portent dans l'étude des dimensions de la
tête
, toute l'exactitude désirable, et sans crainte po
130 0,6 Moyenne ..... 1,07 Les cerveaux les plus allongés sont en
tête
du tableau, et les plus élargis à la fin. Au mili
ent sous le rapport dont il est ici question sur les précédens, et en
tête
de tous se trouve (e marsouin. Si le lapin, le ka
e du loup, elles placent leurs petits au milieu d'un cercle dont leur
tête
et leurs cornes forment la circonférence; les cas
ons qu'il crut ressembler à des mots allemands, et sur cela se mit en
tête
de lui apprendre à parler. Le maître qui n'avait
dans les basses-cours, qu'elle ressemble à cet animal, surtout par la
tête
, et qu'elle voit dans l'obscurité. C'est donc un
é de leurs mœurs, et nous sommes conduits à nous demander si, dans la
tête
du cabiai et dans celle du rat-d'eau, il y aurait
e j'ai dit que, pour se cacher, elle se contente souvent de cacher sa
tête
, croyant n'être pas vue parce qu'elle ne voit pas
e ; il sait se défendre contre un ennemi, soit en le heurtant avec la
tête
, soit en le frappant du pied ; tandis que le mout
ns le même parc, ils se réunissaient en deux troupes distinctes, à la
tête
desquelles se plaçait un chef, et qui devenaient
r qu'il se relève, au lieu de se défendre, il se frappe violemment la
tête
contre le sol, quelquefois jusqu'à se tuer. Aurai
s aux beaux équipages, si on les attelle à une charrette, marchent la
tête
basse et avec une apparence de tristesse-J'ai ent
ntinuer sa route. Quand les éléphans voyagent, l'un d'eux se met en
tête
de la troupe et la dirige; un autre se place le d
rsa, et le blessa grièvement; un peintre voulant le dessiner ayant la
tête
levée et la bouche ouverte, lui faisait jeter des
ta plusieurs jours sans vouloir manger, assis, les bras croisés et la
tête
appuyée sur la poitrine ; il finit par succomber.
ervations sur ses facultés intellectuelles. In-8. et se frappait la
tête
par terre, puis regardait s'il avait produit quel
a chatte que dans le chat, ce que je puis démontrer dans plus de cent
têtes
de chats de ma collection. » La collection de G
ée, ou bien Gall se faisait une singulière illusion sur le nombre des
têtes
de chat qu'il possédait; car il n'en existe pas p
car il n'en existe pas plus de 12. Si on joint à ce nombre celui des
têtes
des autres animaux appartenant à la famille des c
de la collection de Gall, nombre qui est de 3 seulement, savoir : une
tête
de tigre, une tête de lion et une tête de panthèr
Gall, nombre qui est de 3 seulement, savoir : une tête de tigre, une
tête
de lion et une tête de panthère, on aura en tout
t de 3 seulement, savoir : une tête de tigre, une tête de lion et une
tête
de panthère, on aura en tout 15 têtes, et non pas
e tigre, une tête de lion et une tête de panthère, on aura en tout 15
têtes
, et non pas plus de cent, comme Gall le disait.
de sang-froid, j'ai observé, dit le fondateur de la phrénologie, des
têtes
larges et carrées vers la région supérieure-posté
er. Quant à la loutre, l'élargissement de la partie postérieure de la
tête
et celui du cerveau, dans la même région, sont en
vert. Les changemens que les progrès de l'ossification impriment à la
tête
sont tels qu'ils ont trompé certains naturalistes
me espèce ; ainsi, il faudrait se borner, par exemple, à prendre deux
têtes
de renard et les opposer l'une à l'autre, mais ne
hevreuil et les singes (1),- puisqu'ils placent sur une même ligne la
tête
du serpent (2) et celle des grands généraux , il
itude qu'il établit, tpiant à l'organe de la circonspection, entre la
tête
du serpent et celle des grands généraux, donnerai
, etc., tous occupés de la destruction des végétaux, doivent avoir la
tête
conformée comme les meurtriers et les assassins !
ve sur une portion de circonvolution située en haut et en avant de la
tête
, correspondant et pour le lieu, et pour la forme
n. » Avant d'établir cette doctrine, Spix avait observé beaucoup de
têtes
, et pour prouver la justesse de ses déductions, i
esse de ses déductions, il a fait représenter sur une même planche la
tête
de l'homme , celle du singe, du lion, de l'autr
la tortue, du crocodile, du boa, de la grenouille et du brochet. Les
têtes
ainsi choisies sont effectivement en rapport avec
ies sont effectivement en rapport avec la doctrine de Spix 5 mais une
tête
de mouton ou de bœuf en eût bouleversé l'arrangem
isait éprouver un sentiment de chaleur intolérable, des douleurs de
tête
très vives, en un mot, toute une série de phéno
fut prise, en 1887, de vertiges, de vomisse- ments, de douleurs de
tête
; on rencontre à ce moment, une telle hypéresth
ue cet état cesse à l'instant, et elle se réveille en redressant la
tête
. La malade, assise et consciente, meut ses jamb
tite fille est prise de vertiges, de vomissements et de douleurs de
tête
, pendant un an, avant qu'on remarque les mouvem
, se trouve une ré' : ion ou un centre Ci. 2. fig. 1 ; fig. % et 3,
tête
) dont l'excitation produit l'ouverture des yeux
ture des yeux, la dilatation de la pupille, et des mouvements de la
tête
et des yeux du côté opposé. Ce centre a été d
yeux dirigée du côté oppose. - 14, Picotement de l'oreille opposée,
tête
et yeux tournes du côté opposé, pupilles largem
vrai dans les mouvements des cordes vocales. Les centres pour la
tête
et les yeux, le bras et la jambe, s'éten- dent
g. 1), pro- duit des mouvements du globe des yeux, et parfois de la
tête
vers le côté opposé, généralement combiné avec
er- ture de l'oeil, dilatation de la pupille, et la direction de la
tête
et des yeux du côté opposé. Précisément on obti
e qui a donné des mouvements, on a eu une déviation conjuguée de la
tête
du côté opposé; 2° un peu au-dessous et derrièr
déjà vu, sont des mouvements des globes oculaires, et parfois de la
tête
du coté opposé; et fréquemment aussi des mouvem
tre comprise dans ce schéma. Mon hypothèse que ces mouvements de la
tête
et des yeux sont les signes d'une sensation vis
dilatation des pu. pilles. mouvements des globes oculaires et de la
tête
du côlé opposé. - 14, Picotement ou soudaine ré
pupilles dilatées. Il montre son état de conscience en tournant la
tête
quand on l'appelle. « 5 h. 45. - Donne une preu
au milieu des chaises et des autres meubles sans jamais cogner sa
tête
d'un côté ou de l'autre, action qui eût été incom
t et le mangeait avec plaisir. L'ouïe était fine, et il tournait sa
tête
et répondait quand on l'appelait par son nom. E
ême résultai. Enfin, on place la tasse sur ses lèvres, il plonge sa
tête
dedans, il boit jusqu'à la dernière goutte, pen
plancher, il commença à marcher à tâtons en se vautrant, cognant sa
tête
sur tous les obstacles. Après quelques minutes,
s il bondit avec une expression de crainte et de surprise et courut
tête
baissée contre le pied de la table où il resta qu
13, les veux tournés du côté opposé. - 1 1, picotement de l'oreille,
tête
et jeux tournes du côté opposé. - 15, éte%atioi
acles à droite et à gauche avec une précision parfaite, baissant sa
tête
pour passer sous les tuyaux d'eaux du laboratoi
eure après l'opération, il marchait dans le laboratoire, cognant sa
tête
contre les pieds des chaises et les autres obst
geait. Il continua de marcher çà et là , de temps en temps, courant
tête
baissée contre le mur. Trois heures après l'opé
heures après l'opération, en courant dans le labora- toire, il vint
tête
baissée cogner son museau contre le mur où il r
n trouva des preuves du retour de la vision. Il ne frappait plus sa
tête
contre les obstacles maintenant, il ne mar- cha
- D. l1l(mbl'e O1nterlCUt. - C, iiienibie postérieur. - E, zone de la
tête
- F, région de l'oeil. - C, région de l'oreille
ibue une trop grande impor- tance aux idées qui lui trottent par la
tête
et aux perceptions dont il est l'objet, par cra
aient contractures en flexion. La circonfé- rence horizontale de la
tête
mesurait 75 centimètres. Il mourut d'accidents
évralgie frontale obsédante; cette femme se croit un animal dans la
tête
, le diable dans le corps. II Observation de dys-
treize mémoires dont six réalisèrent cinq grandes découvertes. En
tête
, le travail de 1860 sur la relation qui existe en
grand volume et se montre sous la forme d'un arron- dissement ou
tête
située entre la voûte à trois piliers et les co
e travail, de Tanzi et Musso, sur les varia- tions thermiques de la
tête
durant les émotions ". Dans oscillations thermi
t Bifulco Z. Tous ces auteurs avaient noté que la température de la
tête
augmente avec le travail cérébral (travail inte
qu'il convient d'attribuer à cette élé- vation de température de la
tête
. Ces variations de la température épicranienne
nt simultanément des variations de la circulation à la fois dans la
tête
et dans le cerveau. Quoi qu'il en soit, Tanzi
es. Les expériences furent répétées sur chacun des deux côtés de la
tête
, et toujours en des points d'application homolo
ésultat, assez inattendu, c'est que les variations thermiques de la
tête
observées durant les émotions ne se sont manife
était appliquée sur les régions pariétale, occipitale, etc., de la
tête
, le galva- nomètre est demeuré immobile. Trois
i- ques se sont trouvées localisées dans la région frontale de la
tête
. Voici l'interprétation de Tanzi et Musso : « S
NS DU CERVEAU. 235 c'est que les variations de la température de la
tête
ont constamment présenté un caractère décidé d'
érature, surtout au front, sinon uniquement dans cette région de la
tête
; ces oscillations thermiques du crâne, qui ne
verture des yeux, la dilatation de la pupille et la déviation de la
tête
et des yeux du côté opposé. Ce sont là justemen
autres phéno- mènes manquent; le regard étonné, la déviation de la
tête
et des yeux du côté d'où est supposé venir le s
et l'animal devint rapidement actif. Le deuxième jour, il tourna sa
tête
au bruit de clefs tenues contre son oreille gau
sieurs fois. L'animal ne fit au- cune attention et ne tourna pas la
tête
de son côté. Le 20 novembre (15 jours après l'o
aient ses cris, de l'approche de quelqu'un marchant au-dessus de sa
tête
ou ouvrant la porte conduisant dans le laborato
illeurs, il ne reconnaissait pas l'origine et il ne tournait pas la
tête
du côté du bruit. Il n'entendait pas ou néglige
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. antérieure de la
tête
des cornes postérieures, au milieu de la région
eil faradique. Dans le bain dipolaire, les deux pôles plongent à la
tête
et aux REVUE d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE patho
ires, était frappée par celle-ci de plusieurs coups de couteau à la
tête
et au cou. Ses blessures n'étaient pas graves, ma
ez singulières de la face qui s'ac- cusaient quand elle baissait la
tête
, dit-elle, et un oedème du visage très visible
ans tout le côté droit. Cette hémianeslhésie respecte la face et la
tête
; elle est complète et totale dans le reste du c
lité du corps, sauf quelques points sur la poitrine, la face et la
tête
. Le 8 avril, en examinant le réflexe rotulien,
s l'attaque et résiste aux frictions et au massage. Les douleurs de
têtes
sont très violentes. Il existe une insomnie opi-
alade parle indistinctement; il veut se lever de son lit, tourne sa
tête
comme s'il fixait une personne ou un objet. V
mphre. Hallucination effrayante. Il cherche quel- qu'un, incline la
tête
. Puis sa figure manifeste le contentement, il s
Il quitte son lit, fait quelques mouvements des lèvres, incline la
tête
et chuchote plusieurs fois le mot : i Oui. » Ve
ge et la sueur perlait sur la peau. Compresse d'eau froide sur la
tête
. -Il fait le geste de se laver de nouveau, mais
r Binet, j'ai un rhume de cerveau... Non, écoutez, ça me porte à la
tête
... ça conserve les habits... Holà ! ma tête ! 1
outez, ça me porte à la tête... ça conserve les habits... Holà ! ma
tête
! 1 Eau de Co<o ? e.Beau jardin '.je vais al
me tout, cette opération ! Oh ! les charcutiers ! (Elle détourne la
tête
avec dégoût.) Il y a assez de gens qui ont des
e hémiplégie droite presque complète avec déviation con jugée de la
tête
et des yeux du côté gauche, comme Jans les cas
e Jans les cas semblables chez l'homme, la déviation conjugée de la
tête
et des yeux fut de courte durée relativement et
uvemenst, les bras étendus en avant pour s'accrocher à un objet. La
tête
conserve son pouvoir de rotation, de flexion, d
es yeux, la dilatation des pupilles et la déviation conjuguée de la
tête
et des yeux du côté opposé. Au moment de la des
n des hémisphères, il y a toujours une déviation tem- poraire de la
tête
et des yeux du côte de la lésion. Cependant ce
tale, les ani- maux ne purent tourner ni d'un côté ni de l'autre la
tête
et les yeux pendant un jour après l'opération.
leurs oreilles, ou s'ils le faisaient, ils remuaient le tronc et la
tête
en masse. L'ablation des régions préfrontales s
ction ultérieure de la zone préfiontale produit une paralysie de la
tête
et des yeux, exactement de la même na- ture qu'
et convexe; l'animal, qui présente d'abord une grande torsion de la
tête
et des yeux du côté de la lésion, avec incapaci
oduisit le même état qu'auparavant, c'est-à-dire la déviation de la
tête
et des yeux du côté de la lé- sion, avec incapa
persiste pendant quelque temps après le retour des mouvements de la
tête
, mais au bout de trois jours, il fut impossible
Il est difficile d'enlever toute la zone frontale, sans blesser la
tête
du corps strié. 1 Expériences 19 et 20. l'hil.
moins d'énergie que les gau- ches. Quoique l'animal pût étendre sa
tête
et son tronc, il ne pouvait les maintenir dans
il ne pouvait les maintenir dans une position élevée, ni mouvoir sa
tête
et ses yeux latéralement. Les yeux étaient ferm
bilité tactile étaient intactes. Excepté l'incapacité de mouvoir la
tête
et les yeux, il n'y avait aucun autre trouble,
ures après l'opération, on le vit tourner de droite à gauche, et la
tête
, quand il était au repos, avait une tendance vers
pouvait les tourner vers la droite, mais la torsion latérale de la
tête
n'était pas si prononcée. L'inclinaison de la t
n latérale de la tête n'était pas si prononcée. L'inclinaison de la
tête
vers la gauche diminua progressivement, mais l'
égion fron- tale produit non seulement la déviation conjuguée de la
tête
et des yeux, mais aussi une paralysie temporair
ant. C'est une raison pour croire que les mouvements latéraux de la
tête
et des yeux ne peuvent être paralysés d'une faç
recte des centres. En plus de la paralysie deces mouve- ments de la
tête
et des yeux par la destruction des lobes frontaux
'attention est intimement reliée aux mouve- ments volontaires de la
tête
et des yeux. Sur ce point, qui a été discuté ai
érentes sources, dans deux il y avait une déviation conjuguée de la
tête
et des yeux ; douze chez lesquels l'intelligence
tigrammes répé- tées de temps en temps en traitement prolongé. En
tête
des affections essentiellement caractérisées par
quelques autres symptômes d'ordre physique : il existe des maux de
tête
, de l'insomnie, des étourdissements, la vue est f
n arrière des autres nations ? Conti- nuera-t-on à faire rouler les
têtes
des aliénés pauvres sur les échafauds ? Vive la
rre s'éboula sous ses pieds et il tomba dans le Rhône, où il resta la
tête
sous l'eau quelques minutes, les jambes prises so
n qu'il prend et sa démarche. Il s'avance le dos légèrement voûté, la
tête
inclinée sur l'épaule gauche (action du sterno-ma
e cache dans l'intérieur de la paume de la main. Cette position de la
tête
, qui est très accentuée, même au repos complet, e
, ce qui tient surtout à la position dans laquelle le malade tient la
tête
qu'il penche de ce côté, en même temps qu'il soul
étant inclinée sur le bord cubital. En dedans, saillie anormale de la
tête
du cubitus. L'axe du médius et du troisième mét
du moignon de l'épaule en dehors et coupant environ par le milieu la
tête
numérale. La région interne du bras est insensibl
de convulsions. Après ces vertiges prend naissance un violent mal de
tête
consistant en une constriction douloureuse fronta
nt sans raison, en causant, en travaillant, jamais la nuit. Le mal de
tête
qui les suit peut durer toute une journée. Il n'é
s la petite perte de connaissance passée, il se relève avec un mal de
tête
bien particulier, dans lequel la peau du crâne et
veillait en sursaut. Le lendemain, il se plaignit d'un violent mal de
tête
. Cette céphalalgie, qui consistait en des élancem
et de se tenir debout. Immédiatement vous voyez le corps tout entier,
tête
, tronc et membres, tout à l'heure immobiles, être
gmates hystériques permanents très accentués. Il y a sur le tronc, la
tête
et les membres, une hémianesthésie droite totale,
ion. Il est donc intentionnel. Fig. 17. —Tracé du tremblement de la
tête
chez le nommé M... Dans la moitié gauche de la fi
roite, il est en marche. Quand le malado est assis, les mains et la
tête
tremblent peu et même quelquefois pas du tout, da
ut à fait remarquable. Tout le corps est alors violemment agité et la
tête
est animée de secousses dans le sens antéro-posté
qu'on entend par migraine: migraine, hémicranie, c'est une douleur de
tête
non toujours, tant s'en faut, unilatérale, contra
te époque. La durée de chaque accès est do 5 à 6 jours. Ladov.leur de
tête
, accompagnée de frissons, siège à droite, et c'eî
-mique ? Dans l'étiologie on cite deux ou trois fois un coup sur la
tête
; on parle quelquefois d'hérédité nerveuse et mig
nt parle M. Senator dans son fort intéressant mémoire : La douleur de
tête
, en effet, reparaît par moments, à titre d'interm
alade aucun accident; tout est rentré dans l'ordre : actuellement, la
tête
est parfaitement libre, il n'y a plus trace de pt
même temps de diarrhée ; elle occupait également les deux côtés de la
tête
; elle était vive surtout vers le soir. Elle dura
e cela 5 ans, en février 1885. La malade a souffert alors d'un mal de
tête
qui se localise du côté droit, occupe d'abord la
s eu de nouveaux grands accès ; mais, très fréquemment, la douleur de
tête
reparaissait, parfois avec nausées et vomissement
e fut prise ce jour-là de son 3e grand accès. Violentes douleurs de
tête
localisées à droite dans les régions indiquées à
un accident tout particulier, une sorte de mouvement con-vulsif de la
tête
, du cou, des épaules et des bras, avec émission b
quée par la compression des branches d'origine du plexus sacré par la
tête
fœtale était déjà bien connue. Mais il était étra
cutanée péronière et l'accessoire du saphène externe, et contourné la
tête
du péroné, se divise en deux branches, le nerf mu
nt il y a eu compression des branches d'origine du sciatiquc par la
tête
fœtale. Cette compression s'est manifestée ultéri
s une-tentative d'application de forceps, on fut obligé d'extraire la
tête
à l'aide d'un crochet après avoir perforé la base
de telle sorte qu'il n'est nullement protégé contre la pression de la
tête
fœtale. Il en résulte que c'est toujours lui qui
hologique, sans compter qu'il est bien difficile de comprendre que la
tête
fœtale aille ainsi comprimer, parmi toutes les br
à la face postérieure, la ligne limitante commençant au-dessous de la
tête
du péroné, descend obliquement en dedans jusqu'au
is se reporta vers l'omoplate; et enfin les douleurs se fixèrent à la
tête
, toujours à droite. Jamais de chute de la paupièr
le compte de son métier. Elle s'est plaint fréquemment de douleurs de
tête
. Elle aurait eu aussi des fièvres intermittentes,
uvez reconnaître aisément que le malade est inhabile, s'il ne meut sa
tête
, à diriger ses yeux dans les directions les plus
artie postérieure au cou sont tellement atrophiés et paralysés que la
tête
tombe en avant et que le malade ne peut la releve
du cou, si bien que les bras sont ballants le long du tronc et que la
tête
insuffisamment maintenue est entraînée en avant p
reste de la journée le malade était abattu, fatigué, avait mal à la
tête
. La crise n'était annoncée par aucun phénomène sp
rtébrales, portion supérieure du trapèze, etc.). Il en résulte que la
tête
du malade n'est plus soutenue dans la position ve
nt de vue de la motilité, les mouvements d'extension en arrière de la
tête
ne présentent presque point de force. Le mouvemen
is, le malade ne peut regarder de côté ; il est obligé jde tourner la
tête
. De temps en temps il voit double : les deux obje
s pectoraux sont bien conservés. Cou. — Les divers mouvements de la
tête
et du cou, flexion, extension, rotation, inclinai
garder devant lui il soulève la paupière avec le doigt et renverse la
tête
en arrière afin de relever le globe oculaire que
la déglutition, pas de nasonnement, pas d'atrophie de la langue. La
tête
est légèrement penchée en avant, à cause de la fa
s muscles. Ceux-ci résistent peu au mouvement passif de flexion de la
tête
en avant. Au niveau des membres supérieurs, la
. Qu'il soit debout ou assis, le malade a toujours un certain port de
tête
, qui, joint à son facies si particulier, ne peut
à son facies si particulier, ne peut manquer d'attirer le regard. La
tête
est immobile, légèrement penchée en avant, elle t
up de hache, et dans ce cas la flexion en avant et l'immobilité de la
tête
sont encore bien plus accentuées. Cet aspect se r
trouvons dans la maladie de Charcot très fréquemment le même port de
tête
que dans la polioencéphalite. La tête est plus ou
rès fréquemment le même port de tête que dans la polioencéphalite. La
tête
est plus ou moins immobile, penchée en avant, grâ
utes les directions, et remédier pour ainsi dire à l'immobilité de sa
tête
par l'agilité de ses yeux. C'est qu'en effet son
ais là il existe en général une habitude particulière du cou et de la
tête
, due à ce que le cou est raide, mais non réelleme
e ventricule, une tumeur comprimant cette même région, un coup sur la
tête
, ne puisse devenir le point de départ ou l'occasi
ste en outre un certain degré de trismus ; les dents sont serrées, la
tête
est en rotation en gauche. Peut-on trouver là les
assez singulières de la face qui s'accusaient quand elle baissait la
tête
, dit-elle, et un œdème du visage très visible le
dans tout le côté droit. Cette hémianesthésie respecte la face et la
tête
; elle est complète et totale dans le reste du cor
t au corps vertébral, inclinée en bas et en arrière, surtout quand la
tête
est dans l'extension, attitude qui était vraisemb
que le malade regarde à gauche, derrière lui, en portant fortement la
tête
à gauche. » L'analgésie et la thermo-anesthésie
cousine germaine est aliénée. Sa sœur a des migraines, son neveu a la
tête
dérangée ; enfin, son frère est mort de rhumatism
rons, dis-je, que, vers l'âge de sept ans, elle a eu des croûtes à la
tête
, des ganglions au cou, le tout sans chute de chev
bre en gémissant. Elle semblait avoir son maximum sur le sommet de la
tête
, car c'est sous son béret qu'il portait une compr
rofonde amnésie, il ne sait pas, dit-il, s'il a eu autrefois mal à la
tête
; sa femme le lui a dit, mais il ne se rappelle p
heures de temps. Elle était toujours dans une agitation extrême: « La
tête
en opistothonos, la face grimaçante, poussant des
date à laquelle de nouveaux phénomènes survinrent. Des douleurs de
tête
apparurent, assez nettement localisées au côté ga
é gauche du front et au-dessus de l'œil du même côté. Les douleurs de
tête
ne se manifestèrent pas particulièrement la nuit.
lles sont précédées, pendant tout ce temps, de vives douleurs dans la
tête
. Elle ne tombe pas par terre, mais reste dans la
tantôt dans le ventre, tantôt dans la poitrine, d'autres fois dans la
tête
ou dans les reins. On ne peut guère être renseign
d'autres fois, plus fortement talonné, il détourne brusquement la
tête
et laisse échapper le mot habi- tuellement offe
nts cérébraux. Elle a fait, dans son enfance, une chute grave surla
tête
; elle s'est toujours montrée nonchalante, apat
avoir vivement résisté, il finit par les prononcer en détournant la
tête
. D'autres fois, ces mots s'intercalent brusquemen
t bruit guttural se fait entendre, L... détourne immé- diatement la
tête
, et son visage exprime un profond désappointe-
délire alcoolique avec hallucinations effrayantes, elle voyait des
têtes
de singe, des bêtes féroces, des serpents, quel-
omestique de ferme, il reçut un violent coup de pied de cheval à la
tête
. Il en résulta une plaie avec fracture du crâne
mais peu prononcée. Au moment de tomber, le ma- lade sentait que sa
tête
s'embarrassait, il était averti par une sorte d
uvements convulsifs à droite ou à gauche. Au début de l'attaque, la
tête
s'incline légèrement à droite. Nous avons dit q
isait du mauvais sang en se disant : j'ai épousé un garçon qui a la
tête
dérangée. On lui a dit, du reste propos de marc
e ni brutalité. Le regard hébété et hagard, « il a l'air d'avoir la
tête
dérangée ». il est assommant et trouve à redire
ce point de vue le terme d'automatisme que nous avons inscrit en
tête
de l'observation est-il sujet à critiques, mais n
e-un ans; d'une parfaite santé jusqu'à il y a dix ans (eczéma de la
tête
). Il y a cinq ans, paralysie transi- toire des
oubliez pas, ajoute- 86 SOCIÉTÉS SAVANTES. t-il, qu'il y va de la
tête
d'un homme et que votre autorité ne man- quera
On a émis l'idée qu'il valait mieux ne pas placer un médecin à la
tête
de ce genre d'asiles, parce que les formes morbid
ourrice, en descendant un escalier de pierre. Il était tombé sur la
tête
et le crâne avait été fracturé. La première opé
t se tenir assis dans son lit, il n'y avait aucune rétraction de la
tête
et l'enfant ne fut plus dès lors turbulent. Il
sion de l'orifice. A partir de là, développement considérable de la
tête
. A l'entrée à l'hôpital, la tête avait SI centi
, développement considérable de la tête. A l'entrée à l'hôpital, la
tête
avait SI centimètres de circonférence; asymétri
t passer outre, elle éprouve un malaise extrême, de la chaleur à la
tête
, de la rougeur à la face, des palpitations, un
lle éprouverait un malaise extrême, comme un frisson des pieds à la
tête
, une barre à l'esto- mac, des suffocations; et
nt tonique, projection des bras en avant,' légère projection de la'
tête
en arrière. Exorbitisme consi- dérable et brusq
. Poumons : à droite cinq petits infarctus du volume d'une petite
tête
d'épingle disséminés. OEdème congestif énorme des
tre excessivement froid, suivis de vio- lente névralgie de toute la
tête
, mais sans nausées, ni vomis- sements, ni autre
rt d'heure, tantôt une demi-heure et était suivie de violent mal de
tête
. Les crises se développaient tantôt dans le côt
près, mais elle est toute la journée souffrante. Pesanteur dans la
tête
et les 212 CLINIQUE nerveuse. yeux, surtout l
, indique comme étant un des symp- tômes de cette maladie le mal de
tête
et ses différentes formes. Parmi ces formes il
ent l'amblyopie transitoire. Néanmoins, dans certains cas le mal de
tête
se traduit parune véritable douleur et se compl
n; le membre supérieur tout entier est pris de tremblement, puis la
tête
s'incline spasmodiquement vers l'épaule droite,
16'août 1881.) , -- ' ' A fait pendant son enfance une chute sur la
tête
; il y a vingt ans a reçu un coup de pierre sur
onde époque de ses règles. La malade levait son bras tout droit, la
tête
était tournée à droite, pas de cris, pas de perte
malade dit, que devant son oeil gauche se place comme l'ombre d'une
tête
(scotôme presque circulaire) qui peu de temps a
elle a le temps de se mettre à l'a- bri d'une chute; quelquefois la
tête
se serait tournée lentement à gauche, elle se s
tables migraines, mais très souvent une sensation de pesanteur à la
tête
, fatigue de l'intelligence, surtout dans les jo
bord par des bains de pied sinapisés, des compresses glacées sur la
tête
, des purgatifs, un peu plus tard par l'iodure d
29. L'oedème monte jusqu'aux aines, la dyspnée augmente, le mal de
tête
est violent. 30. Kerl..., meurt subitement la n
tres, peut, au bout d'un certain temps, nous mettre à même de tenir
tête
plus avantageusement aux calamités et aux dange
ocaliser des centres spéciaux pour les mouve- ments du tronc, de la
tête
et des yeux, des membres'supérieurs et inférieu
ré le crâne en plusieurs endroits, par suite de la projection de sa
tête
contre un tronc d'arbre, fut trépané dix-sept f
ette opération, il guérit complètement, et prouva la solidité de sa
tête
en buvant au point d'entraîner la mort de trois
hute six jours aupa- ravant. Il avait plusieurs meurtrissures de la
tête
et de la face et une légère hébétude d'esprit.
e lentement sur le sol, s'y couche en appuyant le tronc, le cou, la
tête
. En vain- l'appelle-t-on de n'importe quelle fa
ire mal. Si vous le suspendez par la peau de la nuque, il abandonne
tête
, oreilles, pattes, comme s'il était mort. Dimin
ranche postérieure de la capsule interne, le noyau leuticulaire, la
tête
du noyau caudé, une grande partie de la substan
les enfants de notre section en mettant un maître jardinier à leur
tête
, mais jus- qu'ici, le projet n'a pas eu de suit
Blois où a eu lieu la réception du Congrès par la municipalité à la
tête
de laquelle étaitM. Guérite, maire de Blois. La
ui brouille mes idées; je crois qu'il y a lutte entre elles. « Ma
tête
se vide peu à peu et les idées galopent, galopent
la question où sont consi- gnées les observations françaises et en
tête
celles de notre ami le pro- fesseur Lannelongue
'est une enfant chétive et peu développée. Ses os sont petits et sa
tête
est très petite et légèrement prognathe, mal dé
les autres choses. Elle parait contente d'avoir son chapeau sur la
tête
, car elle sait que c'est pour elle le signe qu'
temps l'enfant a des envies de dormir ; plusieurs fois par jour sa
tête
tombe et elle s'endort presque, mais se réveille
ncision, puisque le développement du cerveau est symé- trique. La
tête
a été moulée et, à différentes époques delà crois
moulages, afin de déterminer ainsi l'étendue du développement de la
tête
. Comme le mode ordinaire d'opération du moulage
mpossible dans le cas présent j'ai proposé la manière suivante : La
tête
a été rasée et frottée d'huile d'amandes douces.
a été rasée et frottée d'huile d'amandes douces. On appliqua sur la
tête
une mince couche de plâtre de Paris, pour obtenir
es premières fois que j'opérai sur le cuir chevelu, je comprimai la
tête
au moyen d'une bande étroite d'Esmarch afin d'e
r à la mère que l'endroit tendre (fontanelle) situé au sommet de la
tête
s'était fermé par ossification et que ce dérange-
le 7 janvier 1891, je procédai de la façon suivante : Chloroforme;
tête
rasée; précautions antiseptiques. Incision sur
t. Il a été élevé au sein, est hydrocéphale ; circonfé- rence de la
tête
: 53e,3. La malade est née à terme. Le travail
s très faible. On ne trouva pas de fontanelles à la naissance et sa
tête
n'a pas- grossi depuis, son corps cependant a g
vis qu'elle est plus tranquille; elle se griffe beau- coup moins la
tête
qu'elle ne le faisait avant l'opération quoique
'hui j'ai pratiqué une crd- nionomie linéaire de l'autre côté de la
tête
absolument de la même manière que la première f
ence ; aucune contracture ni autre difformité autre que celle de la
tête
. Vu de face, le crâne est visiblement conique,
e, le crâne est visiblement conique, la face large, le sommet de la
tête
est étroit et arqué. 344 THÉRAPEUTIQUE CHIRURGI
eu. Les fontanelles avaient disparu. Les mensurations prises sur la
tête
rasée étaient : DU TRAITEMENT CHIRURGICAL DE L'
microcé- phalie. On ne donne pas son âge, ni les mensurations de la
tête
et la date de l'opération. On enleva deux bouto
. L'opération ingénieuse de Lannelongue a pour but de rétablir la
tête
d'un microcéphale solidement fermée aux condition
; l'un d'eux, âgé de seize ans, est imbécile. La mère déclare quela
tête
de l'enfant se referma peu après sa naissance.
it de suite à première vue la dimension relativement petite de la
tête
et le tiraillement presque continuel des muscles
lable au cri encéphalique qui précède une attaque d'épilepsie. La
tête
est petite et en forme de pain de sucre type de l
faite le 9 février, au chloroforme. Pansements antiseptiques sur la
tête
. Application de la bande d'Esmarch autour de la
ptiques sur la tête. Application de la bande d'Esmarch autour de la
tête
pour prévenir l'hémorragie du cuir chevelu. L'inc
Les inspirations de Wyeth conseillant d'opérer des deux côtés de la
tête
d'un seul coup, et de séparer de ce fait forcém
tamment et cela depuis sa naissance jusqu'à l'époque actuelle. La
tête
était très étroite, le front bas et la face porta
ques. Il conviendrait aussi de nous donner les mensuralions de la
tête
que l'on pourrait mettre en regard des mensuratio
ir si leurs idiots craniectomisés présentent un développement de la
tête
plus rapide que celui des idiots soumis à un trai
é tous les ans ou tous les six mois les changements de volume de la
tête
de nos malades. IV. D'une façon générale, aussi
e cravate et se promenait au travers des groupes en criant à tue-
tête
: « Qui veut voir la lune ? Qui veut voir le sole
galement du Christ, et en se. coiffant, elle devait dire : « divine
tête
couronnée d'épines » ; ces souvenirs pieux ainsi
je vois soient 13. Et eu même temps je m'imaginais au-dessus de ma
tête
tous les astres changés en nombre 13, composés d'
primer, d'autres fois, d'un mouvement volontaire (contraction de la
tête
; mou- vement de la main; recul, etc.) que le pa
à huit secondes seu- lement, sur tout le corps, à l'exception de la
tête
, en ayant le soin d'insister à la fin de la dou
use et impressionnable; elle a toujours souffert de douleurs à la
tête
, tantôt diffuses, tantôt à forme de migraines : e
ant le jour elle s'endormait pour de courts instants en appuyant sa
tête
sur son bras gauche. En septembre de la même an
u cou, de la face et de la langue, et envahit tout le restant de la
tête
, du tronc et du membre inférieur du même coté.-
par la fatigue, elle s'abandonnait sur une chaise en appuyant sa
tête
sur son bras gauche; elle s'endormait comme cela
que le vrai coupable fut découvert. Après cet incident, les maux de
tête
, qui avaient continué à le tourmenter, devinrent
que et il tombe à la renverse perdant complètement connaissance. La
tête
est alors dans une extension exagérée, sa face
s fréquemment de hauteurs parfois consi- dérables en frappant de la
tête
: à dix ans il tomba sur son bras droit en se l
, Fiq..., nous le répétons, ce qui domine la scène, c'est le mal de
tête
. Il persistait depuis plusieurs mois. C'était l
obscurcissement (Fuchs) ; 3° Le fait, que la position déclive de la
tête
ou l'impression du frais sur la figure (Dianoux
valle de quelques minutes à une heure et même plus. Les douleurs de
tête
, compliquées parfois d'une sensation de vertige
cidents extérieurement visibles, ces malades ont sans cesse dans la
tête
des idées d'une impor- tance exagérée. Je trouv
artées comme si elle sentait entre elles une résistance, abaisse la
tête
et respire l'odeur; elle a dans l'esprit une én
pas bien les choses... Je ne comprends pas bien ce qu'on me dit, ma
tête
est devenue trop dure et les paroles ne peuvent
er, je ne vois plus rien du tout, je n'ai plus qu'une seule idée en
tête
, danser. » D'ailleurs j'avais déjà vu chez elle
elles ne sont pas suggestibles parce qu'elles ont une autre idée en
tête
; rien n'est difficile comme de suggestionner un
iter un acci- dent, John veut arrêter son cheval qui se dérobe : la
tête
du cava- 472 RECUEIL DE FAITS. lier est proje
actérisés par des bourdonnements d'oreilles, des battements dans la
tête
et dans les tempes. Ces vertiges se produisent
ale, le tremblement est extrêmement marqué et propagé du tronc à la
tête
qui oscille dans le sens antéro-postérieur. (Il
morale. Troubles intellectuels chez les dégénérés psychiques. - En
tête
des manifestations délirantes que présentent le
pâle, présentait des mouvements désordonnés, involontaires, de la
tête
, des extrémités, du tronc. Bien que déprimée, ell
révéla par l'immobilité du masque, l'attitude caractéristique de la
tête
et des mains, les oscillations prononcées des e
coup de temps. Cependant les 1. Nous croyons utile de reproduire en
tête
de cette nouvelle édition la pré-face que M. Char
rs à tous les progrès de l'esprit humain, est un oreiller commode aux
têtes
paresseuses ; mais à l'époque où nous vivons, il
les électeurs de Rerlin, et abuser du mot science pour échauffer les
têtes
allemandes au profit d'un patriotisme étroit 2. 1
ils se durcissent pour former de petites masses blan- contours des
têtes
osseuses qui leur sont juxtaposées. Elles exercen
éburnationdes cartilages et des os, d'où résulte une défor-mation des
têtes
osseuses. Enfin, c'est là que se manifeste, au pl
s membres inférieurs ; — de la colonne vertébrale. — Déviation delà
tête
. — Envahissement général de toutes les jointures.
plus communs dans d'autres ; des bourrelets osseux qui déforment des
têtes
des os ; enfin des subluxations des extrémités ar
halangine sur la phalange ; 3° Par la flexion de la phalange sur la
tête
des métacar-piens. 4° Par la flexion, à angle m
9. — Première variété du premier type. paraît excavé à partir de la
tête
saillante des métacarpiens. Fig. 20. — Seconde
s, les déformations sont nettement caracté-risées. 11 y a saillie des
têtes
osseuses par suite des subluxa-tions qui se sont
s de l'avant-bras, en arrière des os du carpe ; — une subluxation des
têtes
des phalanges, en avant et en dehors sur les tête
ne subluxation des têtes des phalanges, en avant et en dehors sur les
têtes
métacarpiennes, qui font sur le dos de la main un
peu prononcée des phalangines, en avant, sur les pha-langes, dont les
têtes
font saillie du côté de la paume de la main. Enfi
s. Aussi les déviations sont-elles moins prononcées, et le volume des
têtes
des os, et des stalactites osseuses, est-il plus
bsolue. L'extrémité inférieure du fémur fait saillie en avant de la
tête
du tibia ; Le condyle interne du fémur devient
; La rotule, rejetée en dehors, repose sur le condyle externe; La
tête
du péroné fait saillie en dehors. Il est rare d
lusieurs cas que j'ai ob-servés moi-même à la Salpêtrière, j'ai vu la
tête
inclinée en avant et fléchie sur le sternum ; le
sternum ; le menton touchait presque la poitrine. Les mouvements delà
tête
étaient fort bornés et fai-saient entendre des cr
s offraient le type le mieux caractérisé de l'arthrocace sénile : les
têtes
osseuses étaient aplaties et éburnées, ainsi qu
rond avait complètement dis-paru. Le col du fémur était raccourci; la
tête
du fémur gauche était rouge et vascularisée, et d
rigidité extrême de l'articulation qui résulte de la défor-mation des
têtes
osseuses, ou des cavités de réception. E. Nodos
lus ou moins régulières, souvent acuminées et toujours adhérentes aux
têtes
des os, et qui circonscrivent plus ou moins compl
s ostéides, et reconnaître pour cause la subluxation des os, dont les
têtes
viennent faire saillie sous les tégu-ments amaigr
n de l'extré-mité supérieure des phalanges, en avant et en dehors des
têtes
des métacarpiens qui font dès lors, sur le dos de
en avant et un peu en dedans des phalanges, détermine une saillie des
têtes
osseuses des premières du côté de la paume de la
ormes de tubercules, et qui ne circonscrivent jamais complètement les
têtes
des os. Tous ces détails complémentaires peuven
es plialangines sur les phalanges; c) extension des phalanges sur les
têtes
des méta-carpiens; flexion plus ou moins prononcé
a phalangine, et alors le dos de la main paraît excavé à partir de la
tête
saillante des métacarpiens. Variétés du deuxièm
plus habituellement dans une abduction forcée, avec subluxation de la
tête
de la première phalange en dehors de l'extrémité
uement la direction. En tout cas, il arrive assez fré-quemment que la
tête
du métatarsien correspondant l'ait saillie à la p
ophie qu'ont subi les muscles ; les stalactites osseuses, ou même les
têtes
des os subluxés, semblent sur le •point de percer
t reconnaître, par la palpation, qu'il ne s'agit pas là simplement de
têtes
d'os saillantes par suite de subluxation, il y a
le dos de la main. Il y a subluxation des phalanges, en arrière de la
tête
des méta-carpiens, flexion au niveau des articula
eau des articulations des phalanges avec les phalangines, saillie des
têtes
osseuses à ce niveau, extension de quelques phala
ut manger seule, mais elle est obligée pour le faire de rapprocher sa
tête
de ses mains. Rien dans les hanches ; demi-flexio
t tout récemment par MM. Deville et Broca, de l'arthrite sèche. Les
têtes
des os, au voisinage des jointures malades, pa-ra
t déjà noté la pulpart de ces lésions dans la goutte mthénique. Les
têtes
des os présentent presque toujours, au pourtour d
s, la main est sèche, la peau y est comme collée sur les os, dont les
têtes
font saillie sous forme de tubercules; il n'y a p
, une sorte de luxation de cette dernière en avant et en dedans de la
tête
du métatarsien ;.en même temps, les mouvements pr
s ; les phalanges paraissent en outre déformées un peu en avant de la
tête
des métacarpiens ; déformation analogue, mais plu
un pois ; mais, le plus souvent, elles sont à peine grosses comme une
tête
d'épingle ou un grain de millet. Elles se présent
ces de proéminences, de tu-meurs autres que celles que produisent les
têtes
des ossublu-xés; ou, autrement dit, il n'existe p
s, d'aspect crayeux, ne dépassant pas en général, le vo- lume d'une
tête
d'épingle et formées également d'urate de soude.
subie à la longue les tissus fibreux. Par suite de la subluxation des
têtes
des phalanges en arrière, les têtes des métacarpi
. Par suite de la subluxation des têtes des phalanges en arrière, les
têtes
des métacarpiens devenus presque complètement lib
surface blanche, d'aspect crayeux. En outre, sur la face dorsale des
têtes
métacarpiennes, immédiatement en arrière des surf
s immédiatement sous la peau, et pressés, pour ainsi dire, contre les
têtes
osseuses, ils étaient aplatis et ne formaient pas
gulière, du côté de la surface articulaire, festonnée, clu côté de la
tête
osseuse. A un plus fort grossissement (200 diamèt
n'existait aucun signe apparent de tophus. Dans ce cas, en effet, les
têtes
des métacarpiens étaient saillantes; les pha-lang
articulaires ; on en trouve même parfois dans le tissu spongieux des
têtes
osseuses. Ces alté-rations ont été parfaitement d
aunâtre, et des granulations à peine saillantes, de la grosseur d'une
tête
d'épingle, généralement plus opaques que le reste
outte, S... éprouva tout à coup une sensation de choc violent dans la
tête
et perdit connaissance pendant à peu près une heu
rgescente, et qu'il se produit quelques secousses convulsives dans la
tête
et dans le bras. Il ne se mord pas la langue, n'u
, une sorte de luxation de cette dernière en avant et en dedans de la
tête
du métatarsien; en même temps, les mouvements pro
e ; les phalanges paraissent en outre déformées un peu en avant de la
tête
des métacarpiens ; déformation analogue, mais plu
t, il existe une petite concrétion blanche, arrondie, du volume d'une
tête
d'é-pingle. — Des altérations analogues se rencon
y a, de plus, subluxation des pha-langes en arrière et en dehors des
têtes
métacarpiennes, qui font sous les téguments amaig
aces de proéminences, de tumeurs autres que celles que produisent les
têtes
des os subluxés ; il n'existe pas la moindre appa
ieures mérite une mention spéciale : par suite de la su-bluxation des
têtes
des phalanges en arrière, les extrémités antérieu
surface blanche, d'aspect crayeux. En outre, sur la face dorsale des
têtes
métacarpiennes, immé-diatement en arrière des sur
surfaces diarthrodiales, en partie de la subluxa-tion des os dont les
têtes
arrondies font saillie sous la peau. Conséquemmen
e sur les parties du corps où la peau est recouverte de poils, — à la
tête
, au cou, sur la poitrine, — dans certains cas d'u
et de la face vers l'épaule droite, et l'impossibilité de tourner la
tête
à gauche. L'autopsie n'a pas eu lieu, mais il est
n de la phalangine sur la phalange ; c) flexion de la phalange sur la
tête
des métacarpiens (à angle obtus ou droit) ; d) fl
, et alors le clos des doigts de la main paraît excavé à partir de la
tête
saillante des métacarpiens. Variétés du deuxièm
plus habituellement dans une abduction forcée avec subluxation de la
tête
de la première phalange en dehors de l'extrémité
s végétations ou stalactites osseuses se sont formées au pourtour des
têtes
des os ou des cavités de réception, dans le voi
dépeint daus leurs comédies les vieillards tremblant à l'excès de la
tête
et des membres. C'est là une erreur que Shakespea
quoi consiste surtout le tremblement sénile. C'est principa-lement la
tête
qui est intéressée. Les mouvements dont elle est
se tantôt les mouvements qui répondent à l'affirmation (flexion de la
tête
, puis extension), ou à la négation (mouvements de
re variété, celle-là un peu plus complexe. Outre le tremblement de la
tête
, on note une trômulation intéressant la lèvre inf
envahit quelquefois les mains. Pourtant, nous le répétons, c'est à la
tête
qu'il prédomine; il n'est pas spécial aux personn
êmes conditions que le tremblement sénile. En pareille occurrence, la
tête
tourne toujours de gauche à droite ou de droite à
présen-tées. Cas I. — Mag..., 70 ans : tremblement prédominant à la
tête
, ayant débuté subitement pendant la guerre, consé
et le tronc tremblent. Cas II. — Ki..., 68 ans : tremblement de la
tête
surtout et du bras droit, survenu en 1871, à la s
compose de mouvements de latéralité, de flexion et d'extension de la
tête
. CasIII.—Men...,82 ans : tremblement intéressan
côté des jambes. CasIV. —Blon..., 71 ans : tremblement limité à la
tête
qui fait alternativement oui et non. Ce trembleme
ins ou de la mâchoire (1). Cas V. —Pot..., 84ans : tremblement delà
tête
, sans partici-pation de la mâchoire inférieure. L
étaient incrustés d'urate de soude. En outre, sur la face dorsale des
têtes
métacar-piennes, existaient des dépôts tophacés,
es membres inférieurs ; — de la colonne vertébrale. — Déviation de la
tête
. — Envahissement général de toutes les join-tures
umatisme, 228 ; — senile, historique, 576, 577; — prédominance à la
tête
, 488 ; — —? diagnostic avec les spasmes ryth-més
-flexion est lancé avec force sur l'abdomen; ramené ensuite vers la
tête
, la main par sa face dorsale, répondant au pre-
uite ramené Archives, t. XXV. 2 18 PATHOLOGIE NERVEUSE. vers la
tête
; du côté de la face on note simplement la projec
taine violence; la preuve en est que la malade, pour se garantir la
tête
, est obligée de la blin- 'der avec de nombreux
s se font entendre au moment où le bras gauche est ramené vers la
tête
. Le mode d'émission de ces mots est vraiment ca
droit; géné- DE LA MALADIE DES TICS. 27 ralisés, ils occupent la
tête
, les membres et le tronc; ces derniers sont de
ut, déviés à gauche, le front se ride, les sourcils se froncent, la
tête
subit un mouvement de torsion de droite à gauch
ite à gauche; 2e temps : Clignement brusque des yeux, flexion de la
tête
sur l'épaule droite, qui s'élève en même temps
droite, dont le pied frappe le barreau de la chaise ; 3° temps : La
tête
est ramenée brusquement de droite à gauche; ell
à terre de tout son long, les seules particularités portent sur la
tête
et les épaules qui sont détachées du sol à chaque
t convulsif. Dans la station debout, en plus des contractions de la
tête
et des membres supérieurs, on observe une légèr
s limités à un Fig. 8. - Inscription des muscles du cou, lorsque la
tête
est fléchie sur l'épaule droite. La durée de la
cement des sourcils, l'occlusion des paupières, la flexion de la
tête
sur les épaules, la projec- tion du bras sur la
e, et comme antécédents personnels, de nombreux traumatismes sur la
tête
. Chez le quatrième, des signes de rachitisme da
ture hystérique. Donc le diagnostic d'apoplexie hystérique 1 mis en
tête
de ce travail est pleinement justifié. - Observ
our tous ses groupes muscu- laires. B... peut placer la main sur la
tête
¡; il peut fléchir complè- tement l'avant-bras s
côté gauche, la mamelle de ce côté étant devenue grosse comme la
tête
, excessivement dure et toute enflammée. " Ceci
ieds reliés à une barre fixe. L'opérateur, age- nouillé derrière la
tête
du sujet, s'est préalablement muni d'une servie
enserre ainsi comme dans un demi-cercle la partie postérieure de la
tête
. Il attire alors brusquement et avec force la t
ostérieure de la tête. Il attire alors brusquement et avec force la
tête
du malade en arrière. Ce premier mouve- ment ex
ivre immé- diatement cette traction d'un redressement brusque de la
tête
du sujet comme pour en porter la face au-devant
que les pensées se présentaient à elle ; qu'elle sen- tait dans sa
tête
des murmures et des fredonnements ; que Dieu lu
a température, elle allait de 39 à 41 degrés centigrades. Le mal de
tête
était intense, et une fois il y eut perte de co
les hommes normaux le sphincter se contracte quand, à l'aide d'une
tête
d'épingle ou d'une plume, 'on touche la peau et
'exci- tation transversale de la moelle étudiée chez le chien de la
tête
à la queue, montre qu'au-dessus du milieu du re
ur la rétine a son centre sur la macula lutea. Tout mouvement de la
tête
produit' une nouvelle image déterminant un autr
té douloureuse en sens inverse du trajet des nerfs de la peau de la
tête
, et dans le sens des filets dure-mériens, leurs
différente, disposée avec beaucoup de symétrie sur une partie de la
tête
, du tronc et des extrémités ; quelques petites
de la langue n'est pas connue. Il y a un an fort traumatisme de la
tête
. La malade est toujours sujette à prendre froid
a trouvé la mort par asphyxie dans quelques centimètres d'eau où sa
tête
est venue baigner. (Rappel de l'Eure, 27 juin 1
ait l'enfant avec une rage sans pareille. Blessée grièvement à la
tête
et aux reins, la malheureuse fillette pleurait
illit s'effondrer en changeant de chemise ; celle-ci passant sur la
tête
, obtura la vue et presque immédiatement provoqu
peu plus élevée à gauche. Amygdales grosses. Les fléchisseurs de la
tête
ne peuvent résister à une tentative un peu fort
ien résiste assez bien des deux côtés. Les muscles extenseurs de la
tête
résistent parfaitement bien. Le deltoïde de chaqu
ésistance est peu forte. La malade porte assez bien son bras sur sa
tête
, quoique pour faire ce mouvement elle soit obli
e sent pas non plus l'épaisseur de ce muscle entre l'acromion et la
tête
de l'humérus et, même à l'état de repos, on con
ement, prostration, insomnie, inappétence, incapacité de travail de
tête
, de penser, inertie complète, faiblesse et surdit
ête, de penser, inertie complète, faiblesse et surdité croissantes.
Tête
lourde qui s'étourdit vite; sentiment de vague et
de chute; tournoiement, nausées sans perte de connaissance ; mal de
tête
constant au-dessus des yeux; si elle fixe, la vue
nes normale ? Le vertige vient au moindre mouvement des yeux, de la
tête
; elle a dû garder le lit très souvent etlongtem
s souvent etlongtemps depuis deux ans. Même au lit ou renversant la
tête
, tout tourne. M = 3 centimètres à droite et non
sme et de la neurasthénie. Les moin- dres troubles congestifs de la
tête
retentissent vivement sur les nerfs de l'oreill
nier (hiver 1890). Depuis le le, mars, elle est plus malade; mal de
tête
continuel, pas de bourdonnements,. mais crises
sensation de tournoiement fugace dans les mouvements brusques de la
tête
en arrière, rien de plus; la ma- lade se trouve
eau de bois par exemple (fig. 21). Etat du malade (19 mars 1887).
Tête
: crâne pointu en pain de sucre. Front fuyant.
ueil DE faits. de temps à autre de véritables valses. Il incline la
tête
à droite ou il gauche et tourne avec une très g
plus rapides, après il ne paraît pas, étourdi, s'assied ensuite la
tête
entre les genoux, puis recommence et cela parfo
l se campe sur ses jambes écartées ; le torse rejeté en arrière, la
tête
légèrement baissée et tendue en avant, il regarde
on, laisse flotter l'autre le long de sa cuisse gauche, détourne la
tête
avec une expression de dédain et de suprême ind
c'est là ce qui fait l'intérêt de cette observation. La forme de la
tête
, les tics coordonnés complexes, multiples, et r
une brebis qui avait un tic de ce genre. Elle ne se cognait pas la
tête
comme les moutons qui ont le tournis, mais cher
uatre semaines avant son admission, il s'était heurté violemment la
tête
contre le linteau d'une porte. Quelques jours a
re lambdoïde et 75 millimètres en arrière de la suture coronale, la
tête
d'un clou galvanisé' fortement implanté dans la
r, mesure 75 millimètres de longueur, 3 millimètres de diamètre, la
tête
présente un diamètre de G milli- mètres. Le tra
erveuses dans sa famille. Aucun accident pendant l'accouchement. La
tête
du jeune homme est grosse; le corps très maigre
ues sur ce sujet des religieux ou de leurs agents actuellement à la
tête
d'asiles privés d'idiots. La psychologie de l'i
che, ou bien il ne l'ava- lait pas, et il faisait tout sous lui. Sa
tête
décelait un microcéphalie bien marqué; les sutu
s, et les bases des os étaient bien marquées. Pas d'asymétrie de la
tête
ou de la face. Les pupilles inégales, la gauche
au bout du troisième jour. Ensuite, on vit que les mouvements de la
tête
étaient beaucoup moins fréquents et que l'expre
nt,peu marquées; le front en arrière et étroit; circonférence de la
tête
au-dessous de la nor- male. L'enfant était bien
ce matin, sur la route de Laruac, gisant dans une mare de sang, la
tête
affreusement fracassée et détachée du tronc. No
é sur elle et l'a abattue d'un coup de crosse. Puis il a détaché la
tête
, qu'il a mise en bouillie en la frappant avec l
ques paroles violentes, frappa le concierge d'un coup de canne à la
tête
, qui ne le blessa point. Il redescendit, suivi du
depuis longtemps. Pendant que sa femme dormait, il lui porta sur la
tête
et sur différentes par- ties du corps plusieurs
Le trapèze se contracte bien dans les mouvements d'extension de la
tête
et dans l'élévation de l'épaule. Sens musculair
oteurs. Cette anesthésie s'étend à la moitié corres- pondante de la
tête
, du cou et du thorax. Elle dépasse par conséque
n connue (15 cas), ou bien s'étend à la moitié correspondante de la
tête
et à la partie supérieure du corps, descendant
ce qui lui permet de hisser en quelque sorte le haut du tronc et la
tête
jusqu'à la situation cherchée. Il ne peut pas s
ucune déforma- tion. Rien d'anormal également à noter du côté de la
tête
, sauf quelques manifestations acnéiques. Cet
a une certaine diminution de l'appétit. 1892. 23 avril. - A part la
tête
qui continue à rester à peu près indemne, les a
donner ses mains à serrer; à peine sent-on une faible pression, La
tête
a conservé la plupart de ses mouvements. Par
isés auprès de ses parents; il fait ces opérations entière- ment de
tête
. Il ne sait pas écrire. La peau des jambes est
res inférieurs. Toutes les espèces de la sensibilité cutanée sur la
tête
, les extrémités supérieures et sur le tronc dem
nt à décrire les sensations pénibles qu'ils éprouvent du côté de la
tête
. M. Campbell les rattache à trois groupes princ
tache à trois groupes principaux : 1° sensations de pression sur la
tête
; 2° sensations de pesanteur de la tête; 3° sens
ensations de pression sur la tête; 2° sensations de pesanteur de la
tête
; 3° sensations plus vagues, mais analogues, et
es sous la dépendance du sens musculaire. Leur persistance quand la
tête
est soutenue (quand le malade est cou- ché par
rs 1889) qu'il est pris d'un refroidissement ( ? ) qui lui tient la
tête
et le membre supérieur gauche. Il ne peut incli
tient la tête et le membre supérieur gauche. Il ne peut incliner la
tête
de ce côté, se sert très difficile- ment de son
s, puis lajambe du même côté ; le tronc s'est infléchi en avant; la
tête
est devenue immobile, la face a revêtu un aspec
non moins caractéristique : le haut du tronc infléchi enrayant, la
tête
comme soudée sur les épaules, on dirait un auto-
M. le D' Lafforâue. PARALYSIE AGITANTE ET HYSTÉRIE. 443 mate. La
tête
, néanmoins, peut exécuter encore quelques légers
ieur. Il se plaint encore d'une fatigue générale, de bruits dans la
tête
qu'il compare au a cri-cri » non interrompu du
croirait, dit-il que quelqu'un me tire les paupières par-dessus la
tête
et me tient le poing appliqué sous le menton. L
employé par le malade pour qualifier le bruit qu'il ressent dans la
tête
, mérite d'être retenu, car il dépeint, sous une f
t à Londres, il a dû être séquestré dans un asile d'aliénés, que sa
tête
est depuis plusieurs années aliénée (délire de
atine bien conformée. Volume de la langue normal, en somme, dans la
tête
, aucune des modifica- tions de l'acromégalie.
int de paresthésie aux mains. Pas de céphalées. Circonférence de la
tête
58-2. Nez augmenté de volume. Maxil- laires nor
ole ; il eut à ce moment des abcès dans les deux oreilles et sur la
tête
. La marche ne commença qu'à 21 mois. Un peu de
n que dans notre cas 1'liéniiatropliie est strictement limitée à la
tête
et que le tronc, le cou et les membres ne prése
en taillant;jdeux lambeaux latéraux; le doigt tombé, je dénudai la
tête
du métacarpien, et, au niveau de son col, je la f
o-phalangienne, que l'activité anormale du cartilage conjugal de la
tête
métacarpienne ne puisse créer un allongement seco
continuité du métacarpien ou, tout au moins.de l'excision large de la
tête
métacarpienne et du cartilage conjugal compléta
tant la désarticulation du doigt-géant. Il y en a d'autres. Cette
tête
métacarpienne, qu'on laisse en place, ne reste pa
es gens sont malades. Et s'ils languissent, il les guérit du mal de
tête
, des dou- leurs d'yeux, des maux de dents et de
ateur et opéré. Le premier, velu de violet très foncé, porte sur la
tête
un béret à créneaux, comme la plupart des Urolo
de la Salpêtrière, 1900, n" 3, 4 5, 6). L'opération a lieu sur la
tête
, dans la région fronlale gauche. Le chirurgien, a
, tandis qu'avec les doigts de la main gauche il ramène vers lui la
tête
du patient, qui, de douleur, grimace et crispe
la supercherie chirurgicale familière aux Arracheurs de pierres de
tête
. Peut-être l'artiste a-t-il voulu représenter u
de ceux que nous avons déjà signalés à propos des Opérations sur la
tête
(Nouv. Iconographie de la Salpê- trière...).
ons ; l'apothicaire, debout derrière son comptoir, un bonnet sur la
tête
, ceint d'un tablier bleu, est en train de piler
idique par l'attitude des membres, le renversement en arrière de la
tête
, le gonflement du cou. De toutes façons, c'est un
de volume et déformée. L'humérus est luxé en avant et en dedans. La
tête
de l'os, disloquée et mobilisable en tous sens, e
re des portions horizontales de l'acro- mion et de la coracoïde. La
tête
numérale est fortement hypertrophiée surtout en
e y est là dépoli, légèrement villeux. La portion sous-jacente à la
tête
, qui normalement recouverte de la synoviale est
n cartilage néoformé, épais,villeux, qui se continue avec celni de la
tête
humérale. La cavité glénoïde de l'omoplate ne p
artilage normal ; il est plutôt moins altéré que les cartilages de la
tête
numérale et des cavités glénoïdes, il est moins
Des mouvements spasmodiques du peaucier du même côté inclinaient la
tête
sur l'épaule gauche. La langue était légèrement
'épilepsie. B... est de petite taille et d'un embonpoint normal. La
tête
est petite, de forme brachycéphale. Le diamètre
t cariées et mal plantées. Rien d'anormal du côté des oreilles ; la
tête
est inclinée légèrement à gauche ; la figure es
verre à sa bouche - mais sa bouche à son verre. l'été et face. - La
tête
présente très nettement l'aplatissement postérieu
re du fémur. L'extrémité su- péro-interne, effilée, représentant la
tête
, vient s'appuyer contre le rebord inférieur et
s'attaque ici aune femme jeune, jolie, luxuriante de santé. A la
tête
du lit se trouve une table avec un petit panier d
e excavation peu profonde, ovalaire, longue de 10 centimètres de la
tête
au sacrum et large de 6 centimètres au crâne, d
ortion ventrale du foetus. Extérieurement le cou existe à peine, la
tête
est enfoncée fortement entre les deux épaules.
s cervico-faciale et temporo-faciale aux muscles superficiels de la
tête
. Le nerf auditif que l'on reconnaît facilement
avaient re- levé les particularités suivantes (PI. XXXVI) : A la
tête
: Enfoncement des fosses temporales et saillie ex
ans ces construc- tions extrêmes (nains et géants) est justement la
tête
» » (1). Le problème qui se pose en présence du
ins de cinq suivantes occupées à tenir chacune un des membres ou la
tête
. La sage-femme à genoux reçoit le se- cond enfa
ps est fortement penché à gauche, l'épaule gauche est relevée et la
tête
tordue, du côté gauche s'appuie sur cette épaule
e, demain elle pourra ètre'tout aussi raide dans l'abaissement ; la
tête
penche à gauche ; à de certains moments elle pe
rt de volonté, avec calme, sans émotion, elle redresse très bien sa
tête
. Il y a, en particulier, dans la salle, un fauteu
bois qui semble lui offrir un appui favorable. Quand elle appuie sa
tête
sur une de ces oreilles du fauteuil à droite, i
c- 212 RAYMOND ET JANET cidents uniquement limités au cou et à la
tête
. A chaque instant, la tête se renverse à gauche
cidents uniquement limités au cou et à la tête. A chaque instant, la
tête
se renverse à gauche; le moindre bruit la lui f
le prétend que cela la tire de ce côté et que ces se- cousses de la
tête
à gauche l'énervent.Ces accidents ne sont pas sup
agitations et des secousses qui lui tirent presque tout le temps la
tête
à gauche. Il en est ainsi pendant quatre mois ;
me de 48 ans, Nov..., qui tremble énormément de tout son corps : la
tête
rem'ue fortement comme les bras et les jambes. Ce
cement des pectoraux ; 220 RUDLER l'humérus n'est pas abaissé, sa
tête
est en place. Par contre, en arrière, l'omo- pl
culaire du même côté; dans le mouvement d'élévation des bras sur la
tête
, le bras droit décrit un arc de cercle il rayon p
ur du coude ; l'avant-bras fléchi, le coude s'élève à hauteur de la
tête
; la main arrive à la bouche par sa face palmai
t partout doublé d'une forte panne adipeuse. Le cou est court, la
tête
un peu enfoncée dans les épaules. La hanche dro
celui de la deuxième phalange par une facette concave remplaçant la
tête
que cet os devrait normalement avoir. La partie
t orteil rejeté comme s'il y avait eu une résection partielle de la
tête
du 5e métatar- sien ; la cicatrice adhère à l'o
ore actuellement la trace de l'incision; elle siège au niveau de la
tête
du 3e métatarsien et est adhérente à l'os. La c
se décide à intervenir. Sans anesthésie, il fit la résection de la
tête
humérale, qui était déformée, épaissie, considéra
dais qui veu- lent dire : Quand je vous pouille, tenez donc votre
tête
tranquille. Je remercie encore bien notre Seign
s muscles était normal. Tous ses mouvements passifs et actifs de la
tête
, du tronc et des extrémités se faisaient sans dou
aidit surtout du côté gauche, étend et écarte les jambes, appuie la
tête
sur l'épaule gauche, il tient sa chaise à deux ma
a berge de pierre, un groupe de miséreux, béquilleux, au-dessus des
têtes
desquels s'envole, noir et vert un diable grima
tes par M. Mater et M. l'abbé Guitard. 304 MARIE Elles portent en
tête
, comme celles que nous citons, des inscriptions
mme figuration de cure de la folie par fuite du démon s'envolant de
têtes
guéries. Les tapisseries de Saint-Ursin, de m
e lourde tresse de cheveux. Derrière la malade, et lui soutenant la
tête
à deux mains, une femme d'un certain âge, proba
it des malades. Le possédé du rétable de Ste-Dymphne porte sur la
tête
un bonnet assez singulier, qui rappelle les bon
ne cloche bien timbrée, mal timbrée, fêlée » de même on a dit « une
tête
, une cervelle, bien timbrée, mal timbrée, fêlée »
Dans un autre ordre d'idées, on disait « avoir des grillons dans la
tête
» « avoir le ver coquin » - nom vulgaire du cxn
de la locution usitée dans les Pays-Bas « avoir une pierre dans la
tête
». La légende des « pierres de tête » a été l'o
-Bas « avoir une pierre dans la tête ». La légende des « pierres de
tête
» a été l'occasion d'une foule de compositions hu
elle Iconographie de la Salpêtrière (Voy. HENRY Meige, Les pierres de
tête
), no, 4 et 5, 1895, no 3, 1898, n" 2, 1899, n"
tient. Les pieds eux-mêmes semblent violemment contorsionnés. De la
tête
hérissée de ce jeune lunatique s'échappe un dia
tr'ouverte, les z joues creusées légèrement, les yeux demi-clos, la
tête
indifféremment t haute ou basse, le sujet sort
'impatience se traduit, chez quelques sujets, par des hochements de
tête
et du trépignement pendant l'examen ; Ciseau ne
, L'impatience pendant l'examen se traduisant par des hochements de
tête
, du trépignement, se manifeste fréquemment chez
rtes molettes et éparvins. Lèche exclusivement ses voisins, il la
tête
et à l'épaule, en sueur ou non. Accès quotidien
encolure, de l'épaule, du rein; l'examen provoque des hochements de
tête
violents, le frémissement des mus- cles de l'ép
lade entend des « voix », il perçoit en même temps du bruit dans la
tête
et dans les oreilles. En causant avec le malade,
tantôt c'est une voix intérieure qu'il entend, par exemple, dans sa
tête
. Les voix, dont se plaignent les malades, sont
s légères de l'eau : « Voyez-vous, Signore, disait-il en hochant la
tête
, il n'y a que les pauvres pour avoir autant d'e
DE L'ENFANT 409 peut, d'un bien joli mouvement, s'incliner vers la
tête
chauve du vieillard pour lui poser les doigts s
tableaux; si la saison est rude, on le ramènera même par dessus la
tête
; il tiendra lieu du bonnet, que jamais l'on ne
usée civique de celte ville, on voit l'Enfanl-Jésus, abrité par les
têtes
de l'âne et du boeuf, couché dans leur mangeoir
es de la Médecine [Écoles flamande et hollandaise) : les Pierres de
tête
, le Mal d'amour, les Opérations sur la tête, l'ép
daise) : les Pierres de tête, le Mal d'amour, les Opérations sur la
tête
, l'épaule, le dos, les yeux, les Pédicures, les
es Arracheurs de dents, etc. Enfin, la charlatanerie des Pierres de
tête
, à laquelle fut consacrée, en 1895, dans la Nouve
es de la Médecine - qui avait figuré depuis une dizaine d'années en
tête
des publications de M. Henry Meige, dans la Nouve
la Médecine (Ecoles flamande et hollandaise). Les Opérations sur la
tête
, p. 228-264 (3 phot.), p. 291-322 (5 phot., 5 fig
GE. Un nouveau Tableau représentant les Arracheurs de « Pierres de
Têtes
», p. 110-116 (2 phot.). Henry MEiGE. Les Peint
Année 1900 Henry MEiGE. Les Peintres de la Médecine. « Pierres de
Tête
» et « Pierres de Ven- tre », p. 17-99 (3 phot.
e siècle (La Nature, 9 novembre 1891). Les Arracheurs de pierres de
tête
(Janus, 5° livr., 1891). . Sur une gravure oit
de la Trépanation, dont un certain nombre empruntés aux Pierres de
tête
. Dans ces dernières années, plusieurs auleurs f
a physionomie intelligente. Lèvres et conjonctives bien colorées.
Tête
: Cheveux châtains bien plantés. Crâne, configura
rmaux. Dentition régulière. Oreilles. Pavillon grand, ,écarté de la
tête
. Physionomie douce, intelligente. Attitude bonne.
cès de petits rires, courts et « nerveux ». . Elle ne souffre de la
tête
qu'après ses vertiges, la céphalalgie dure peu.
lle dit à sa voisine : «,Je n'y vois plus bien clair. » Aussitôt sa
tête
s'est rejetée en arrière, elle est tombée sur s
ption d'un vertige. L'enfant est de- bout. Subitement, sans çri, la
tête
et le tronc sont jetés en avant et si l'on n'ét
bout en le soutenant sous les bras, sans cela il s'affaisserait. La
tête
, dans l'extension, est pen- chée sur l'épaule d
vertiges, nausées et vomissements qui augmentent dès qu'il lève la
tête
ou essaye de se lever : ces symp- tômes datent
existe des sen- sations de poids, de corps pesants pressant sur la
tête
, sur les articulations, etc., qui sont toujours
l'examen. Bien que nous soyons convaincus que le tremblement de la
tête
et le tremblement des globes oculaires soient d
es con- sécutifs à une diarrhée infantile. Celui-ci tremblait de la
tête
depuis sa naissance. Il avait des attaques épil
a remarqué que, dès /'t ! g'6 de quinze jours, l'enfant remuait la
tête
dans le sens horizontal. Ces mouvements rappellen
ns appré- ciables de la voix : elle crie comme tous les enfants. La
tête
est bien conformée, les oreilles sont un peu gr
s, avec ourlet aplati. La fontanelle antérieure est bien tendue, la
tête
est recouverte de petits cheveux bruns. A l'é
ecouverte de petits cheveux bruns. A l'état de repos, l'enfant a la
tête
agitée d'un petit tremblement à oscillation ass
te dès que l'enfant regarde devant elle, mais, dès quelle tourne la
tête
et que, la baissant, elle prend un point d'appu
d'appui même léger, le tremblement cesse. Lorsque l'enfant dort, la
tête
appuyée, le tremblement cesse encore. Si l'enfant
la tête appuyée, le tremblement cesse encore. Si l'enfant tourne la
tête
sans prendre de point d'appui, le tremblement c
tômes principaux consistent dans des mouvements involontaires de la
tête
avec nystagmus ocu- . laire. Ce dernier peut ma
er peut manquer quelquefois. La relation entre les mouvements de la
tête
et le nystagmus est démon- trée par ce fait que
ée par ce fait que lorsqu'on ferme les yeux, les mouve- ments de la
tête
s'arrêtent, et que si on immobilise la tête, le
les mouve- ments de la tête s'arrêtent, et que si on immobilise la
tête
, le nystagmus s'accentue ou apparaît s'il n'exi
lité pupillaire) qui les accompagnaient. Parmi les mouvements de la
tête
que l'on rencontre très fréquemment avec le nys
les positions extrêmes de l'oeil. Le sujet incline naturellement la
tête
pour arriver à immobi- liser les yeux. Il n'a p
s de tremblement ni d'oscillations (mouve- ments pendulaires) de la
tête
, mais des mouvements lents de la tête qui s'exa
e- ments pendulaires) de la tête, mais des mouvements lents de la
tête
qui s'exagèrent, disent les parents, sous l'influ
mandés. Ce nystagmus s'accompagne de mouvements pendu- laires de la
tête
caractérisés par de petites oscillations. 108 P
out exagéré à partir de deux ans. Instinctivement le sujet porte la
tête
à droite et fixe dans la position droite extrême
Fond d'oeil et milieux oculaires normaux. Pas de tremblement de la
tête
. La mère raconte que le nystagmus aurait toujou
entionnel des membres supérieurs. Il n'y a pas de tremblement de la
tête
, du corps ou des mains, il n'existe pas de trou
'= . Réactions pupillaires normales. Oscillations pendulaires de la
tête
. Le sujet ne présente pas de tremblement des m
0,75 V = -^-. Lec- ture facile. Ni mouvements ni tremblements de la
tête
. Réflexes normaux (patellaires). Observation
tères que chez le frère. Pas de mouvements ni de tremblements de la
tête
. Bonne vision. Le jeune homme est entré au serv
existe depuis la naissance. 11 s'accompagne d'oscil- lations de la
tête
nettement pendulaires à amplitude très courte,
d'anormal dans les milieux et le fond de l'oeil. Oscillalions de la
tête
nettement pendulaires à amplitudes très courtes
en des yeux. - Nystagmus horizontal. Mouvements pen- dulaires de la
tête
à amplitude assez grande. Ces mouvements semble
nt normaux. ' Examen des yeux. Le nystagmus et le tremblement de la
tête
présentent les mêmes caractères que chez le frè
Bonne vision de chaque oeil : emmétropie. Pas de tremblement de la
tête
. Réflexes oculaires normaux. Milieux oculaires
d d'oeil normal. Rien dans les milieux de l'oeil. Tremblement de la
tête
peu accentué, mais nettement pendulaire. Nous n
iliales. La loi de l'hérédité similaire que l'on peut ins- crire en
tête
de toutes les affections familiales du système
uit de petites attaques : il se lève fré- quemment le matin avec la
tête
lourde, la langue douloureuse, l'oreiller taché
i dicter. Comme santé physique, elle éprouvait un tel bruit dans la
tête
et une telle faiblesse dans le corps qu'à peine
douleurs insupportables qui me tenaient depuis les pieds jusqu'à la
tête
, et bientôt je fus en état de mort î. 4a Des co
vais des douleurs excessives qui me tenaient des pieds jusqu'à la
tête
». : 1° Les crises convulsives, durant lesquelles
des douleurs excessives qui me tenaient depuis les pieds jusqu'à la
tête
». Comme, à un moment où elle se croyait plus m
emblable entre le diapason et la peau. Alignez 6 personnes dont les
têtes
sont appliquées les unes contre les autres, pos
s crânes suivants, le son ne se transmettra pas à«Lravers plus de G
têtes
. L'âge produit une petite abréviation de la trans
ales : n'a plus qu'une seule dent. Palais étroit à voûte surélevée,
tête
ronde aplatie à la partie posté- rieure, cheveu
. Le sieur Eugène Goubert, habitant rue Brûlée, à Honneur, ayant la
tête
un peu dérangée, chercha à attenter à ses jours
ver il empira; la malade commença souvent à pleurer en pre- nant sa
tête
dans les mains ; tantôt elle devenait gaie, riait
de marcher, elle commença à parler mal, se plai- gnait d'un mal de
tête
et d'un tremblement des mains. La malade parlai
une toiture, et dans cette chute de 7 ou 8 mètres, se fracassait la
tête
sur le rebord d'un vase à fleurs placé sur le s
nsistance et qui, médecins ou autres, lui mettent le diable dans la
tête
, devinent sa pensée, et, conséquemment, ne devr
mittente ses membres supérieurs et inférieurs, tourne violemment la
tête
, veut se relever, puis se rejette brusquement s
n par l'encéphale. On dit parfois qu'un fou est un homme ayant la
tête
à l'envers; on pourrait dire avec plus de rai-
quelquefois alors, elle se donnait malgré elle de grands coups à la
tête
, aux bras et par tout le corps. Ceux qui étaien
Quelque- fois j'y réussissais un peu, mais avec un grand effort de
tête
, comme une personne qui combattrait un géant, e
e passe et la frayeur va jusqu'à faire dresser les che- veux sur la
tête
. » ' (A suivre.) SOCIÉTÉS SAVANTES. XIIe CO
ns doute venu, comme il l'écrivait à P. Marsenne : « anatomiser les
têtes
de divers « animaux pour expliquer en quoi cons
rice. L'Université de Grenoble, qui est heureuse de vous avoir à sa
tête
, n'a-t-elle pas précisément pour devise : , Ver
st infinie et qu'il est impossible de les signaler tous; tics de la
tête
, du cou, des membres supérieurs et inférieurs,
façon à empêcher tout acte de phona- tion ; un autre, un tic de la
tête
et du cou qui se renversaient brus- quement en
ois un malade atteint de mouvements involontaires de rotation de la
tête
et du cou, je commence par observer la nature d
oigt du malade sur le menton, je dis : voilà un tic rotatoire de la
tête
et du cou. S'ils sont lents, progressifs, régul
ante ans, atteint d'un tic à forme de torticolis du côté gauche. Sa
tête
se tournait vers l'épaule' d'abord en contracti
uta- née générale, et depuis quelques années s'établit un tic de la
tête
, et aujourd'hui la fillette, qui a huit ans, es
oche et tira à bout portant sur son interlocuteur qui, atteint à la
tête
, tomba foudroyé. Les autres voyageurs se pré- c
ous avons toujours habile seules..., nous pouvons passer partout la
tête
haute..., nous n'avons rien à nous reprocher, e
TALE. non pas se reposant, mais tout le corps visiblement tendu. La
tête
baissée, cachant sous ses sourcils un regard qu
ilencieuse par inactivité d'esprit. Son attitude est affaissée ; sa
tête
, ses paupières, sa bouche tombent : toute sa fa
re pas mal- « honnêtes. » Clotilde. « Alors, je me suis creusé la
tête
pour savoir ce que .nous pouvions être. Nous no
pparence démentielle, comme de rap- porter pour les faire cuire des
têtes
de harengs qu'il a trouvées dans le ruisseau. C
, G... ne cesse de s'agiter sur place, remuant sans interruption la
tête
de gauche à droite, se tournant et retournant d
dos, les yeux fermés, avec toujours le même mouvement latéral de la
tête
qui lui use les cheveux. Ces hallucinations sur-
vulsives des membres, avec seulement des grincements de dents : la
tête
est tournée à gauche, le bras gauche soulevé reto
e vous occupez pas des autres ». « Je sortais de ces transports, la
tête
si épuisée et l'esprit si peu capable d'attenti
it dans sa chambre loin du bruit; et là assise dans un fauteuil, la
tête
renversée sur le dossier du siège, le regard pe
diminuées; la figure illuminée d'un rayon de bonheur indicible, la
tête
renversée en arrière, le cou tendu, les membres
nnaissait pas les parties de son corps, il montrait son nez pour sa
tête
, son pied pour sa main, etc. ' Rapport à la Cha
le fortune, M. Herry qui était d'une nature impressionnable, eut la
tête
tournée et ses facultés mentales s'altérèrent.
e sa fortune qui flambait, il se tira une balle de revolver dans la
tête
. Il se blessa 'peu grièvement, put sortir au ma
ouchant votre conduite ? R. Jamais ! nous pouvons passer partout la
tête
haute. Depuis la mort de notre mère, nous avons
me temps qu'elle à l'infirmerie spéciale. Agé de trente-sept ans,
tête
blonde d'artiste aux longs cheveux, paraissant
qu'elle a demandé des soins « pour son pauvre fils, qui perdait la
tête
. » « Il a des idées noires, dit-elle, il ne sait
périodes. Chutes nombreuses. Gourmes fréquentes : les plaies de sa
tête
étaient longues à guérir ; enge- lures depuis s
commissaire, c'était parce que « des voisines lui avaient monté la
tête
», sans vouloir déclarer formellement qu'elle n
d'examen des aliénés du département, annexé il l'asile, avait à sa
tête
le Dr Girard (de Cailleux), inspecteur général
atin, il décloua une planche du siège, et les pieds dans un sac, la
tête
protégée par une casserole, il plongea dans l'inc
elques jours, la veuve Buffeteau éprouvait de terribles douleurs de
tête
et parfois déraisonnait. Elle disait qu'on voul
É AUTOMUTILATEUR 487 bas et d'avant en arrière. Cette épingle, sans
tête
, mesure 25 mil- limètres. Elle était enfoncée d
A 7 h. 30 minutes, c'est-à-dire quinze minutes après la chute de la
tête
, l'excitabilité de la surface de section baisse
ation ordinairement employés pour estimer le volume d'un corps ; la
tête
peut être petite' chez une personne de grande i
t, la conscience disparaît à son tour, le malade délire, restant en
tête
à tête avec l'esprit imposé et persécuteur-né d
onscience disparaît à son tour, le malade délire, restant en tête à
tête
avec l'esprit imposé et persécuteur-né de son aut
ièvre éruptive; pas de diphtérie; pas de chorée; pas de douleurs de
tête
. Un jour son père l'ayant envoyé porter 7 fr. 8
s marquée; la face est rouge, le tronc se soulève à demi rigide; la
tête
est en extension, la face tournée à droite. Pui
de survient marquée par le cri c Euh ! » puis rigidité générale, la
tête
dans l'extension, la face tournée à gauche, pui
minute; les pieds se posent sur la plante et non sur la pointe; la
tête
repose sur la nuque. Durant t l'arc de cercle i
ntôt dans les membres inférieurs. Tout d'un coup il se relève, la
tête
étendue dans une attitude extatique; rigidité e
tantôt sur le ventre, tantôt sur le dos. Ou bien il se place sur la
tête
dans l'attitude d'un clown, le tronc étendu, les
ntaire d'urine. Repos. Puis arc de cercle, le corps reposant sur la
tête
et les pieds. Il profère des obscénités, puis s'a
nzaine de secondes environ. Pas de cri initial. Durant l'attaque la
tête
est dans l'extension; le malade est pris de mou
de stertor avec écume. Il est bientôt pris d'une nouvelle crise. La
tête
se soulève un peu, le corps devient rigide, les
attitude passionnelle; le malade se redresse et se met à genoux, la
tête
renversée en arrière, les yeux regardant au ciel
mment, la bouche se tord affreusement. 11 pousse un gémissement; la
tête
se soulève, tout le corps devient rigide, les m
en plus depuis le début des crises. Etat actuel. 5 juillet 1887. -
Tête
. Pas d'asymétrie crânienne appréciable. Cheveux
u bout de quatre à cinq minutes il entr'ouvre les yeux et tourne la
tête
à gauche. Frémissement des paupières, pâleur marq
tes. Il entr'ou- vre les yeux,.se redresse sur son séant, tourne la
tête
à droite et à F'ig. 8. 28 DEUX NOUVELLES OBSE
t coeur réguliers, pendant vingt minutes. Il tourne de nouveau la
tête
à droite et à gauche; frémissements des paupières
se met à genoux tout à coup en fermant les yeux et exécute avec sa
tête
et ses bras le mouvement du morceau joué. La fa
tout à coup il s'est élancé à travers la salle et est venu se jeter
tête
baissée contre la porte dans laquelle il donna de
issée contre la porte dans laquelle il donna de vio- lents coups de
tête
pendant deux ou trois minutes. Puis il s'est re
ELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE MALE. musique. Il bat la mesure de la
tête
, et reste ainsi, les mains jointes, environ dou
un peu écartée ; le bras droit élevé, le gauche allongé en bas, la
tête
dans l'exten- sion. Il se tourne sur le ventre,
bras en croix, rigides, les mains fermées, les pouces en dehors, la
tête
dans l'extension. Nouvelle attaque. Rigidité tr
ne avec violence de son poing droit fermé; se met sur les genoux la
tête
appuyée par terre entre ses deux mains. Il se r
dique : « Lors cet esprit print le métailler qui l'injuriait par la
tête
, laquelle il lui tordit en telle sorte que le d
ude spéciale à la conservation peut être signalée également pour la
tête
. Celle-ci ayant été conservée après le décès av
r les antécédents héréditaires ni person- ne ! ? . - Etat actuel.
Tête
assez volumineuse. Crâne symétri- que, sutures
ix par une sorte de ressaut transversal. Voici les dimensions de la
tête
: CONTRACTURES ET DLI'ORnL1TI01S DES MEMBRES.
. La mort parait être due à un état adynanique de cause inconnue.
Tête
. Calotte crânienne; épaisseur normale, un peu dur
a eu 5 enfants (4 sont morts en venant au monde; « c'était dans la
tête
. » Une autre fille est morte de convulsions à 6
e intellectuelle a fait chaque année des progrès. Etat actuel. La
tête
est volumineuse; la bosse pariétale gauche est
er- trophié, symétrique, a déjà subi une dégénérescence colloïde.
Tête
. Rien au cuir chevelu. Crâne très dur, notable-
'aura, chute brutale sur le front, plaies confuses fréquentes de la
tête
; - périodes d'excitation maniaque; accès série
nière à faire saillie en avant de la face antérieure prolongée delà
tête
du fémur (Fig. 12). La face antérieure de l'exo
expression d'hébétude ; crie con- tinuellement pendant l'examen.
Tête
arrondie, volumineuse, symétrique en apparence. B
le ne sait ni lire, ni écrire. Elle est migraineuse ; les n1'lux de
tête
la prennent la nuit, se compli- quent d'étourdi
s elle casse et déchire ce qui lui tombe sous la main. Se frappe la
tête
, se mord, se griffe. Secousses brusques dans le
s vêtements, se mord elle-même, quitte ses' chaussures, se cogne la
tête
, s'égratigne et battrait ses com- pagnes si l'o
on. Grand-père paternel cancéreux. Mère nerveuse, tremblement de la
tête
. Frère, convulsions, mort de méningite. Arrêt d
ans, brodeuse. Elle a, depuis l'âge de 35 ans, un tremblement de la
tête
, comparable au tremblement sénile. Ce trembleme
rveuse, mais sujette depuis la ménopause (50 ans) à des douleurs de
tête
revenant une ou deux fois par mois. l'as de con
érapie du 1 ? avril au 15 octobre. 1885, - État actuel. (Juillet.)-
Tête
régulièrement t arrondie, petite; bosses fronta
ès à l'école. Il exprime son conten- tement en tournant vivement la
tête
de droite à gauche. Il olyéit assez facilement,
ts tubercules DU cerveau. dation très prononcée. 11 se plaint de la
tête
et d'une douleur vive dans le bas-ventre. Les u
groupe, d'un diamètre variant entre celui d'un pois et celui d'une
tête
d'épingle. Dégénérescence gra- nulo-graisseuse
ignait vaguement, autant que son idiotie le lui permettait, de la
tête
et du ventre. Il était dans un état d'émaciation
eut-être, cette année, y ajoutera-t-on une quatrième classe. A la
tête
de l'école se trouve un directeur ; puis il y a,
tre livres et cahiers. Les écoles sont divisées on 10 cercles. A la
tête
de chaque cercle se trouve un inspecteur commun
n'a jamais eu d'accidents nerveux, sauf quelquefois des douleurs de
tête
; pas de maladie de peau, a reçu une certaine éd
erme, naturel. Douleurs pendant deux heures. Présentation de la
tête
. André Mouvements à 4 mois ; rien de partic
bes, c'est-à-dire après la rougeole. Cou sans raideur. Tient sa
tête
assez droite. Prend les objets dans ses mains
ent depuis sa rou- geole ; se cogne fréquemment le derrière de la
tête
. André. A les yeux un peu déviés en bas, on
pelle pas vers cluelle époque il a eu les bras raides. Cou roide,
tête
toujours penchée. Préhension un peu moins b
nt. Tire la langue souvent. Bave, grince des dents. Se cogne la
tête
moins souvent que son frère. Description DES
e muqueuse, d'an- gine grave, de vers, d'onanisme, de chutes sur la
tête
, de gourme, d'otite, d'adénite, d'abcès ni de f
ntrée (René). DESCRIPTION DU MALADE DRCÉDt : . 15 Mesures de la
tête
. 16 Autopsie. Membres inférieurs. Autopsi
certain nombre de publications que nous croyons devoir rappeler en
tête
de cette nouvelle observation : 1° Note sur un
it pas de cordon autour du cou, elle a crié tout de suite ( ? ). Sa
tête
était plutôt grosse ; ses cheveux étaient noirs;
nde facilité, malgré les soins de propreté les plus minutieux. La
tête
est volumineuse, surtout si on la compare au rest
poids et de la taille. Idiotie MYXOEDËMATEUSE. 39 Mesures de la
tête
An Idiotie myxoedémateuse. Membres inférieu
.jours plus agité. Une tante maternelle rappelle qu'à l'entrée, sa
tête
ressemblait à une «noix de coco. » Elle a maint
après-midi au cours de sa troisième hématémèse. - . Mesures de la
tête
. Corps étranger DE l'oesophage. 2 heures 30-
Première dent à 6 mois. Marche à 13 mois. - Parole à ? Chute sur la
tête
à un an. Onanisme. Pneumonie ai 14 mois. Hernie
. - Idiotie complète. - Ophtalmie purulente; cécité. - Cou flasque,
tête
retombante. - Développement régulier du corps et
égulier du corps et même des membres ; arrêt de développement de la
tête
, du front surtout. Accidents Mten ! 'n9 : <
. Vers six ou sept ans en jouant, elle s'est cognée le sommet de la
tête
contre le timon d'une voiture. Elle s'est évano
essions violentes. Elle éprouve d'abord une douleur au niveau de la
tête
, puis une sensation de boule avec strangulation
bes. Il ne pouvait se retourner dans son lit qu'en se renversant la
tête
en arrière, comme appui. Les convulsions ont di
les bras, de les étendre en croix et de les porter au-dessus de la
tête
. Il aurait fait les mêmes exercices aux membres
eurs. Il était parvenu à diminuer la contracture. Per... remue la
tête
, mais seulement dans certaines circons- tances,
trois fois par semaine, on notait des secousses des reins et de la
tête
. En même temps, les bras étaient projetés en av
sauf quand on le caressait : il avait l'air de sourire, frottait sa
tête
contre la personne qui le caressait et poussait
rumination. Constipation habituelle. L'enfant semblait supporter sa
tête
difficilement, comme si elle était lourde. Les
paru, dit le père, « peu développés, il avait l'air de rattraper sa
tête
». Jamais on aurait remarqué de raideurs de la
mort a offert la marche ci-après : 90 Idiotie microcéphalique.
Tête
. Le cuir chevelu est très pâle sans ecchymose. La
ssible de s'en rendre compte, l'enfant ne parait pas souffrir de la
tête
, qu'elle ne cogne pas. Le visage est, en généra
umineux à gauche qu'à droite. Pas de liquide, pas de tuberculose.
Tête
. - Cuis- chevelu maigre et pâle. Os du crâne asse
pas de détails sur le cer- veau (1). Voici les mensurations de la
tête
: Microcéphalie. 169 La comparaison de ses
phies du malade Cluto ? celles de son cerveau et le squelette de sa
tête
. OBS. III. IDIOTIE MICI1.0CIPHALIQUE. f0\Ili
s de donner, nous mettons sous vos yeux : 1° le sque- lette de la
tête
de Cher.. ; 2° le squelette de la tête de Cluto
ux : 1° le sque- lette de la tête de Cher.. ; 2° le squelette de la
tête
de Cluto.. ; 3° le squelette de la tête de Loui
r.. ; 2° le squelette de la tête de Cluto.. ; 3° le squelette de la
tête
de Louis ; 4° la calotte crânienne de Dubillo..
re morte de convulsions. Enfant naturel : arrêt de développement et
tête
très petite à la naissance (microcéphalie très
issement prédominant à la jambe gauche. Gâtisme, tournoiement de la
tête
. - Balance- ment du tronc, attention nulle. Amé
rte de convulsions : - Enfant naturel : arrêt de développement et
tête
très petite à la naissance (microcéphalie très pr
ment durant un quart d'heure . Accouchement à terme. A la naissance
tête
toute petite. Première dent à 4 mois. Dentition
Sommaire. Conception, grossesse, accouchement, rien de particulier.
Tête
petite à la naissance. - Première dent à 5 mois
des jambes prédominant à gauche. - Gâtisme. - Tournoiement de la
tête
. - Balancement du tronc - Grincement de dents.
te d'un cancer utérin. - Mère, un peu nerveuse, parfois douleurs de
tête
. Conception, grossesse, accouchement, rien de p
trois semaines. - Accouchement à terme et normal. A la naissance,
tête
très petite. 1- dent à 9 mois. Mar- che presque
. De même que les années précédentes, depuis que nous sommes à la
tête
du service (1879), il a été procédé à la vaccinat
résenté des modifications en bien ou en mal et de 23 moulages de la
tête
des malades décédés ou de malformations. Nous n
a réalisation des voeux les plus anciennement exprimés par vous, en
tête
(1) Si un voile épais n'avait couvert les yeux
! » » A partir de cette époque, Grar... se plaignit de douleurs de
tête
à peu près générales, mais principalement dans
n qu'il éprouve et qu'il dit très difficile à dé- peindre, gagne la
tête
, mais il n'est pas possible d'en reconnaitre le
e trajet exact. Les muscles du côté gauche se contractureraient, la
tête
s'inclinerait sur l'épaule gauche et la face se d
sans phosphènes, ni vision colorée. Une fois l'aura arrivée à la
tête
, le malade perd connaissance. C'est au moment o
nnait ses bourses et sa verge). État actuel (Il mars ¡8R : ! ), -
Tête
normalement développée. Crâne, assez régulier,
.) présente deux nodules crétacés de la grosseur d'un petit pois.
Tête
. - Le cuir chevelu est normal sans ecchymose. Les
anu), vingt ans; début probable en 185o à la suite d'un coup sur la
tête
; pas d'hérédité, vertiges fréquents et accès; d
le ma- lade accusait une sensation de chaleur qui lui montait à la
tête
, parfois précédée d'une forte oppression. En si
s'endormir il s'amusait à lire, à compter, puis « il balan- çait sa
tête
en la roulant sur l'oreiller, il aurait toujours
que cela me prend», il accusait une douleur dans le ventre et à la
tête
dont il ne s'é- tait jamais plaint auparavant.
is ne leur a pas parlé (avril 1881). Etat actuel (21 avril 1880).
Tête
: crâne petit, régulier, la partie DANS L'ÉPILE
ule est tombante, il boite; il peut toutefois mettre le bras sur la
tête
. Le bassin est projeté en arrière ; il fauche d
'alcoolisme. -Accouche- ment à terme, naturel, sans chloroforme; la
tête
est restée assez longtemps au passage. - A la n
battait, disait que, s'il avait vingt ans, il lui ferait tomber la
tête
. Pas d'autres maladies que celles qui ont été n
maladies que celles qui ont été notées. État actuel (2 mai 1882). -
Tête
: crâne petit, ne paraissant pas asymétrique ;
ion moins fréquente. 44 DU CURARE lit; la face pâlit très peu, la
tête
s'incline à gauche, les yeux regar- dent en hau
ois, la période clonique manque. - Au bout d'une minute environ, la
tête
revient de gauche à droite, l'enfant regarde av
rapports dans les excès alcoo- liques : « s'il a bu, dès qu'il a la
tête
sur l'oreiller, il dort ». - Grossesse bonne, p
s à trois mois, revenues plusieurs fois jusqu'à deux ans. - Maux de
tête
cinq à six fois par an de huit à douze ans. - V
olique, mort aliéné. - Premières convulsions à trois ans. - Maux de
tête
fréquents. - Absences depuis janvier 1882. Bena
de quelques minutes, par un peu de somno- lence et de douleur à la
tête
, par une rêvasserie nocturne et quelques agitat
malaise avec mouvement fébrile assez marqué, en frissons, mal de
tête
, inappétence, soif vive, agitation ou au contrair
a veille. En ville, une de nos mala- des nous dit avoir eu mal à la
tête
la veille, mais le soir elle était assez bien p
tteint son summum d'intensité en 24 heures. Elle se développe de la
tête
vers les extrémités. La forme de l'éruption sem
hiasma est-il en quelque sorte disséqué. On remarque en avant de la
tête
du corps strié une perforation qui fait communi
face externe du corps strié et de la couche optique. Il a touché la
tête
du corps strié et séparé le chiasma. La circon-
en même temps nous avons fait voir la photographie, le moule de la
tête
, le crâne et le cerceau du malade. VI. Idio
t pas porter à sa bouche. Il ne bave ni ne suce ; balancement de la
tête
seulement ; fréquent grince- ment des dents. As
, ni ophthalmie, ni engelures, ni diphthérie, etc. Etat actuel. -
Tête
: l'occiput est saillant; il existe un méplat à
, plus foncée (l'enfant place habituellement les deux mains sous la
tête
reposant sur l'oreiller par la face dor- sale).
intestinale). On trouve encore dans l'intestin quelques lombrics.
Tête
. Sur le cuir chevelu on constate une petite ecc
eu. Il n'avait pas de migraines, mais était sujet à des douleurs do
tête
et avait habituellement la face congestionnée.
es, criait, se couchait sous son lit. Souvent, il souffrait de la
tête
, « il lui semblait qu'on le frappait avec un mart
« Où suis-je ? ». Le matin, à la visite, S... dit qu'il a mal à la
tête
, et paraît un peu hébété; il prétend ne se souv
s d'autres attaques à Sainte-Anne; mais il se plaignait d'un mal de
tête
continu, localisé à l'occiput; de douleurs et d
n, ou encore : « Je ne pense qu'aux filles, je n'ai que ça dans la
tête
, je veux les.... Il. Il dit aussi avoir composé
nistra du kousso,qui expulsa un ruban de 10 mètres, mais sans la
tête
(1). Bien que l'état mental, ainsi qu'on vient
suite de la- quelle il rendit vingt mètres y compris cette fois la
tête
. Du- rant le premier mois, il fut assez tranqui
MARS ; ÉVASIONS. pas mauvais sujet, mais quand il avait une idée en
tête
, aucun rai- sonnement ne pouvait lui faire chan
livre à l'onanisme. Vers le mi- lieu d'octobre 1882, il se met à la
tête
d'une quinzaine de ses camarades pour organiser
vembre 1882. Etat actuel. Poids : 41 kilogr.; Taille : 1 ? 48. La
tête
est régulièrement conformée; la région occipitale
Deux mois avant la conception de notre malade, son père avait eu la
tête
un peu dérangée pendant quinze jours : il ne tr
r à l'Asile clinique (Sainte-Anne). Etat actuel (5 septembre 1880).
Tête
régulière; front assez élevé, droit ; visage sy
le chatouille- ment de la plante du pied et qui lui répond dans la
tête
. Plus bas, au niveau de la fosse iliaque droite
égère, donne la sensation d'un poids considérable et répond dans la
tête
en donnant au malade une sensation particulière
ans, est entrée il l'hôpital se plaiguant de douleurs vives dans la
tête
, le cou et les épaules et de faiblesse progress
ë lorsque, dans la position assise, on appuie sur les épaules et la
tête
; alors la douleur est plus forte dans la région
us haut. Le malade supporte saus douleur la pression exercée sur la
tête
et les épaules ; par contre la pression sur la
due, la condamnation- de l'anarchiste retomberait lourdement sur la
tête
du Président et il lui arriverait malheur. On l'i
dents personnels . - A 8 ans, l'enfant commence à avoir des maux de
tête
presque journellement. Ces maux de tête s'accompa
ctine sans aucun résultat. A cette époque il souffre toujours de la
tête
et vomit, mais pas plus qu'aupa- ravant. - Pa
Quelques années plus tard (à 17 ans), elle commence à souffrir de la
tête
et à s'apercevoir que sa vue baisse. A 20 ans
duits ». Les secousses musculaires siégeaient sur divers segments :
tête
, jambes, bras, etc. La maladie était extrêmemen
ès : « Quant à leur répartition, elles peuvent être localisées à la
tête
et aux membres, mais le plus ordinairement elle
x membres, mais le plus ordinairement elles sont généralisées. A la
tête
les spasmes déterminent des brusques mouvements
ecous- ses dans les membres, ensuite dans le tronc et enfin dans la
tête
. Un an après, elle a récupéré la voix et les se
es très rapides et brusques, localisés aux quatre mem- bres et à la
tête
. Ces contractions ne l'empêchent pas de marcher e
ou plus généralisés au tronc et aux membres (fig. E) et encore à la
tête
( fig. B). Nous ne pouvons pas donner une grande
supérieurs avec soulèvement des épaules, une petite rotation de la
tête
et un entraînement de la jambe droite. Pour bien
quelques fascicules muscu- laires qui entrent en contraction. La
tête
exécute aussi des mouvements-latéraux, dans le se
des mouvements similaires et les muscles du tronc, du cou et de la
tête
, subissent aussi des secousses égales à celles
et du bras du même côté, qui est levé en extension au-dessus de la
tête
, -sont des plus fréquentes. Souvent ce mouvemen
pagné d'autres mouvements du membre supérieur, du déplacement de la
tête
et de mouvements des muscles de la face. Il arr
roduisent. L'extension du tronc et le redressement en arrière de la
tête
, la flexion du tronc et le soulè- vement du bra
is ; les dents se serrent; la lèvre supérieure s'é- lève, etc. La
tête
est aussi atteinte par des mouvements de latérali
a flexion des bras, le soulèvement des épaules, la projection de la
tête
en arrière, a fermé les yeux, etc., en six cent
t en crise. Elle s'était couchée, quand soudain elle s'est jetée la
tête
contre terre, poussant des cris, se plaignant, de
ent à la jambe où le péroné, étant moins raccourci que le tibia, la
tête
du premier remonte de manière à s'articuler avec
cre. Cependant la stature très réduite, une évidente micromélie, la
tête
grosse au nez retroussé, une lordose lombaire m
ainsi les difformités des membres peuvent être à peine marquées, la
tête
peu volumineuse, les mains avoir leur conformat
si l'on ne considère que la base. Quant aux membres supérieurs, la
tête
de l'humérus apparaît grosse spécia- lement si
qui a grossi sur toute sa longueur jusqu'à la malléole interne. La
tête
du péroné au lieu de rester au-dessous de l'art
ie, non sinueuse; les condyles sont très développés. Au genou, la
tête
du péroné n'arrive pas à l'articulation. Les deux
le sujet de la troisième observation de M. Lévi, bien qu'il ait une
tête
assez grosse et un léger degré de microsomie nett
ien de parti- culier et celle des membres ni est très réduite. La
tête
est volumineuse. La protubérance occipitale exter
ne présentent pas l'aspect athlétique. La longueur du fémur, de la
tête
trochantérienne à l'interligne articulaire du g
antérienne à l'interligne articulaire du genou : 21 centimètres. La
tête
du péroné semble prendre part à l'articulation
ndre part à l'articulation du genou. La longueur de la jambe, de la
tête
, du péroné au bord inférieur de la maléole exte
s latéraux semblent perceptibles. Le membre supérieur est court. La
tête
humérale se sent de deux côtés dans l'aisselle.
nstate que la distance entre l'angle inférieur de l'omoplate, et la
tête
de son apophyse épineuse : 14 centi- mètres. La
igne de l'articulation du genou : 18 cen- timètres. La jambe, de la
tête
du péronée (qui prend part à l'articulation du
nte le thorax on est surtout frappé par la forme peu arrondie de la
tête
humérale. La radiographie du membre supérieur m
que l'évase - ment des surfaces articulaires surtout du fémur. La
tête
du péroné semble participer à l'articulation. Nou
arque également l'évasement des surfaces articulaires. Ici aussi la
tête
péronéale semble participer l'articulation. O
16,5 sur un crâne d'aliéné sans déformations. En ce qui concerne la
tête
on remarque que les os nasaux sont plus larges
oncerne les os longs (PI. XXXII), notons que l'humérus présente une
tête
un peu aplatie et non pas franchement sphérique,
te que le diamètre transversal prédomine sur celui longitudinal. La
tête
humérale forme avec le corps de l'os un angle d
col anatomique se continue par un véritable sillon au-dessous de la
tête
de l'os. La partie supérieure de la diaphyse humé
26 cent.) que le droit. Lecol fémoral est très courtde sorte que la
tête
fémorale n'est séparée du grand trochanter que
TUDE DE L'ACHONDROPLASIE 195 grand trochanter dépasse en hauteur la
tête
fémorale. La crète trochantérienne du fessier m
un péroné normal est peu remarquable. La surface articulaire de la
tête
du péroné s'articule avec une facette similaire d
e semblé exister un certain rapport inverse entre le vo- lume de la
tête
et le développement de l'intelligence. De nos d
mille. Dès la naissance de l'enfant, on a constaté qu'elle avait la
tête
très volumi- neuse et le corps tout petit. Jusq
· ACHONDROPLASIE (J. Baumel et J. Mm,;arot). Radiographie de la
tête
. Masson & Cie, Editeurs A PROPOS D'UN CAS
llaitement maternel. A sa naissance ses parents remarquèrent que la
tête
de l'enfant. commençait à grossir plus qu'à l'é
ions épileptiformes, ni de vomissements, encore moins de douleur de
tête
, ni de vertige. C'est dans ces conditions qu'il
ne réussit cependant à faire spontané- ment aucun mouvement avec la
tête
. Le malade n'accomplit aucun mouvement des memb
, en oulre, jamais de convulsions épileptiformes, ni aucun mal à la
tête
. La forme spéciale du crâne, les notables troub
te malade, avec les signes d'une hydrocéphalie hy- diopalhique, une
tête
énormément grande, sans sensibilité à la pression
léger rétrécissement du bassin, en rapportavec les diamètres de la
tête
du foetus, on lui fait tout de suite une applicat
cuisine que peu de temps. A signaler cependant chez lui des maux de
tête
assez fréquents, et surtout pendant dix ans des c
qu'il ressentit une « piquée » dans le coude gauche au niveau de la
tête
du radius et une autre « piquée » au poignet, v
par le poumon et nul doule que le malade n'en ait absorbé ainsi, la
tête
penchée sur son travail. L'essence de térébenth
joint à la mobilisation du bras, on sent une crépitation sourde. La
tête
de l'humérus est légèrement en avant et en deda
le bras et l'avant-bras de chaque côté, des boutons gros comme une
tête
d'épingle, indo- lents, évoluant progressivemen
e. Voilà, ça y est. J'ai été à la Charité. Je n'en ai pas... mal à la
tête
». Il faut poser plusieurs fois la question à l
Vous savez... je rappelle plus. Je ne peux pas expliquer, c'est la
tête
... depuis deux ans. Avez-vous des enfants ? - J
ustraction bonnes. Multiplication et division erro- nées. Calcul de
tête
; nombreuses erreurs. Dessins. - Spontanés et c
extrémité supérieure du premier. Du noyau caudé, il ne reste que la
tête
, partiellement endommagée dans sa moitié antéro
... médecin... mon mari... malade... médecin... Cochin... malade...
tête
« . Elle désigne bien et sans hésiter plusieurs
s ans à l'école. Avez-vous eu des crises ? Non, non... Cochin... la
tête
. Avez-vous essayé de lire ? - Oui... peux pas..
chin... la tête. Avez-vous essayé de lire ? - Oui... peux pas... la
tête
. Et d'écrire ? Mon nom... c'est tout. Qu'avez
lpêtrière est une grande ville. - Sai..pi..ti..ère... J'ai mal à la
tête
. - J'ai mal... la tête. DE LA RESTAURATION DU L
e ville. - Sai..pi..ti..ère... J'ai mal à la tête. - J'ai mal... la
tête
. DE LA RESTAURATION DU LANGAGE DANS L'APHASIE D
courtes : celles-ci sont bien musclées : la che- ville est fine. La
tête
est un peu grosse et en pointe (acrocéphalie). La
sal de gauche à droite et d'avant en arrière et réciproquement ; la
tête
reste immobile, cependant que les doigts des main
la cuisse gauche, frappe de la main droite son pied droit, agite la
tête
activement, crie, chante, puis passe à un autre o
remier, surtout appréciable dans la partie inférieure du visage. La
tête
dans son en- semble est légèrement inclinée ver
ontaire des paupières en touchant la cornée ou la conjonctive avec la
tête
d'une épingle par exemple, on provoque du même
es compare à la sensation très douloureuse d'un grand poids dans la
tête
avec élancements douloureux sur le front et les
pression exercée sur le crsne ou la moindre commotion imprimée à la
tête
augmentaient considérablement les douleurs ; ce
s sont nombreuses et accusées. Le contact du globe oculaire avec la
tête
d'une épingle provoque un cligne- ment réflexe
réflexes ou dans les contractions électriques... Si on applique la
tête
d'une épingle sur la conjonctive droite, la contr
touchement de la conjonctive d'un oeil ou de l'autre à l'aide de la
tête
d'une épingle par exemple, on fait apparaître à
un nom particulier suivant l'aspect spécial qu'elles impriment à la
tête
de celui qui en est porteur. L'acro- céphalie o
er la perversité ou la bêtise derrière les fronts fuyants, dans les
têtes
en forme de poire et sous les crânes en pains de
e décrite par Léri (Soc. méd. des Hôpitaux, 17 janvier 1913) avec «
tête
énorme et déformations presque symétriques des
t, et l'on peut s'assurer facilement que la largeur excessive de la
tête
des pagétiques n'est pas due seulement à l'hypert
es pagétiques un aspect fuyant très spécial, extrêmement net sur la
tête
de notre malade n° 1 (PI. LXVIII, fig. 1) et su
Sur la figure 1, on voit l'énorme 'augmentation transversale de la
tête
et l'aspect fuyant de la face. 4B8 LEHJ Sur
é. On voit aussi très nettement les caractères acromégaliques de la
tête
, des mains et des pieds (Voir Pl. LXXI). Il y a
Fic. 3. UN CAS DE MÉGALODACTYLIE UNILATÉRALE DES ORTEILS 479 La
tête
de la phalange, facile à reconnaître, bien que la
t2" phalanges est marquée la face dorsale par un profond sillon. La
tête
de la lre phalange est facile à distinguer. L
aussi une atrophie légère du 1e' métatarsien portant surtout sur la
tête
de l'os. Le squelette des 4e et 5e orteils offr
dant la visite médicale, le malade perd subitement connaissance, la
tête
pend inerte à gauche, l'expression de la face est
nimé de faibles tremblements. Ces tremblements se transmettent à la
tête
entière. 24. On note une remarquable améliorati
t de Priedreich. Un homme vigoureux, à la suite d'un coup reçu sur la
tête
, devint sujet à de violentes douleurs, fixées sur
devint sujet à de violentes douleurs, fixées sur le côté droit de la
tête
, et éprou-vait de temps en temps des accès épilcp
irrégulière, est calme, sans stertor. Il n'y a pas de déviation de la
tête
ou des yeux. Les commissures labiales ne sont poi
s souvent, facilitées consi-dérablement par l'usure qu'ont subies les
têtes
osseuses. J'ai noté plusieurs fois une atrophie r
pace de temps, les extrémités articulaires. Au bout de trois mois, la
tête
numérale que je vous présente et qui provient d'u
e rendent à la glande, sur un animal tué d'hémorragie ou même sur une
tête
détachée du corps. Ajoutons enfin ce fait très re
l est lent ou brusque. — Période d'état. — Le tremblement respecte la
tête
et le cou. — Changements dans la parole. — Rigidi
mbre, puis se généralisant peu à peu, tout en respectant cependant la
tête
. A ce phénomène s'ajoute tôt ou tard une diminuti
que), ou encore aux deuxmernbres inférieurs (forme paraplégique ). La
tête
est toujours à peu près respectée à toutes les ép
encore dans le service de M. Charcot (salle S t-Alexandre, n° 9). La
tête
, fixée en quelque sorte sur la colonne cervicale,
es, dans beaucoup de cas, une attitude toute particu-lière. Ainsi, la
tête
, en vertu de la rigidité des muscles an-térieurs
e du reste, que j'emprunte à un malade; c'est elle aussi qui tient la
tête
et le front inclinés en avant, et cette dernière
, dit-elle, je caracolais. » Aujourd'hui, son état est le suivant :
Tête
un peu inclinée en avant; cou L'aide. Les plis du
e que le centre de gravité se trouve dé-placé par l'inclinaison de la
tête
et du tronc ? Cette explication, admissible peut-
érisent la para-lysie agitante : physionomie, attitude spéciale de la
tête
, fixité du regard, du tronc,démarche,propulsion,r
mon collègue ; mais que pensez-vous des mouvements rythmiques dont la
tête
et les membres supérieurs sont agités ? — C'est j
de, c'est sans conteste le tremblement rythmique tout spécial dont sa
tête
et ses membres étaient, pendant la marche, violem
s les membres supérieurs et inférieurs, mais en partie seulement à la
tête
et au tronc. J'insiste sur ce dernier point en vo
ysie agitante. Vous observerez en outre, chez ces deux femmes, que la
tête
ne prend point part au tremblement, ou, si elle p
les membres et le torse sont le siège. L'absence du tremblement delà
tête
me paraît être un fait à peu près général dans la
8, Pl. I et II. rieurs ; mais nous savons déjà qu'il peut agiter la
tête
,le tronc, les membres inférieurs. 11 se présente
ement dans les cas, exceptionnels d'ailleurs, où le tremblement de la
tête
et des extrémités supé-rieures fait défaut. Ace
e très prononcée des extrémités, surtout à gauche : tremblement de la
tête
; parole difficile : atrophie des jambes. — Autop
sans intérêt, par contre, de noter que les physio-logistes, Haller en
tête
,puis Carpenter et Cl. Bernard, ceux-ci toutefois
s considérable, la sensation bien connue de boule ou de globe ; 3° la
tête
, où Virradiation est caractérisée par des bourdon
encore un caractère impor-tant de l'hémianesthésie hystérique. Sur la
tête
, la face, le cou, sur le tronc, la délimitation e
autre dans le lobe anté-rieur du môme côté, deux de la grosseur d'une
tête
d'épingle dans la partie anté-rieure de la couche
cite des chiffres imposants. Mais il ne faut pas toujours courber la
tête
devant les chiffres, et l'on est en droit de se d
ient du ventre est arrêté et qu'on l'empêche de monter au cou et à la
tête
, par une compression def abdomen, faiteàl'aide de
ette sorte de généralisation de l'anesthésie à tout un côté du corps,
tête
, tronc et membres, cette limitation, en quelque s
urée, occupe l'abdomen, l'épigastre et n'affecte pas, en tout cas, la
tête
seule et d'emblée, ou l'une des extrémités, ainsi
particuliers. Au matin, agitation des bras, stra-bisme divergent. La
tête
penche à droite et à gauche, connaissance conserv
r : à midi, trismus ; a 1 heure 3/4, fortes convulsions respectant la
tête
; pouls extrêmement fréquent ; température 41°,87
us, certainement, tout d'abord, ce sont les grands mouvements dont la
tête
, le tronc et les membres d'un côté du corps, ceux
e tronc s'infléchir fortement sur le bassin, {Fig. 27), entraînant la
tête
qui, à son tour, s'incline sur la poi-trine, et i
Salpêtrière, t. II. p. 1-22-18G. dans l'extension forcée , puis la
tête
et le tronc se redressent, décrivant une trajecto
oques, dans leur isochronisme. Prenons le temps où la flexion de la
tête
et du tronc est aussi prononcée que possible (Fig
ci. Lorsque la révolution est accomplie, c'est-à-dire au moment où la
tête
Fig. 27. — Dessinée par P. Richer, d'après un c
ion. Celui-ci s'accuse de plus en plus, à mesure que la flexion de la
tête
et du tronc, qui a recommencé à se produire, s'ac
inez avec attention ce qui se passe du côté delà face au moment où la
tête
et le tronc se renversent en arrière; vous voyez
tirée en dehors et à droite. La déviation cesse au moment même où la
tête
s'infléchit en avant. Il se produit ainsi une gri
1874, p. 278. cou, latête,etc.— Toute la moitié droite du corps, la
tête
, cou, tronc, membres, — est occupée par une anest
de la chorée vulgaire. As-sise, il n'y a pas de repos pour elle ; la
tête
, le tronc, les mem-bres des deux côtés, sont sans
faiblesse qui envahit successivement les membres.— Tremblement de la
tête
, puis desmem-r bres. État de la malade en 1874:
te si fidèfement fa Planche dessinée par M. P. Richer. Le tronc et la
tête
sont inclinés en avant; le cou est tendu et on di
la tête sont inclinés en avant; le cou est tendu et on dirait que la
tête
est fixée sur une tige rigide. Les traits de fa p
en marche. Le tremblement est à peine accusé, surtout au repos. La
tête
tremble un peu plus, par moments, que les mains.
lomb, elles restent généralement immobiles. La malade peut fléchir la
tête
plus qu'elle ne l'est d'ordinaire, mais il lui es
allée en augmentant. L'attitude générale est la même ; toutefois, la
tête
et le tronc s'inclinent de plus en plus en avant,
ue tremble ; allongée, elle tremble davantage. Le tremblement de la
tête
se compose de secousses antéro-pos-térieures, que
es sur le parquet. En résumé, le tremblement a fait des pro-grès à la
tête
et aux membres inférieurs, mais n'a guère changé
e générale deGav... s'est modifiée en ce sens que l'inclinaison de la
tête
sur l'épaule gauche s'est accusée da-vantage ains
ssertions de M. Charcot relatives aux caractères du tremblement de la
tête
. D'après M. Charcot, le tremblement de la malad
autre endroit de ses Leçons, M. Charcot répète que, dans la règle, la
tête
etle cou restent indemnes. (Loc. cit., 1er éditio
les membres et le torse sont le siège. L'absence du tremblement de la
tête
me paraît être un fait à peu près général dans la
dans la paralysie agitante, les mouvements qui animent quelquefois la
tête
lui sont communiqués par le tronc. M. Char-cot co
explication est vraie, M. Charcot a eu l'idée défaire disposer sur la
tête
de ses malades, et perpendi-culairementau front,
ouvements des membres supérieurs, on suspend du môme coup celui de la
tête
et les plumets devien-nent immobiles. 11 ressort
ans, M. R..., a souffert pendant deux ou trois mois d'une douleur de
tête
très vive, siégeant sur le front du côté gauche e
pièce ; on le dirait empoté, soudé dans toutes les articulations. La
tête
est légèrement incli-née en avant ; il lui est im
ôté gauche. {Latéro-pulsion.) Au repos, comme pendant la marche, la
tête
reste immobile, lé-gèrement fléchie. Les traits s
à ce qui existait il y a deux ans, il n'y a pas de trem-blement de la
tête
ni de nystagmus. En un mot, on remarque chez cett
érieurs. A 7 ans, l'enfant marchait comme une personne ivre. Puis, la
tête
et les membres supérieurs sont envahis. La malade
le parquet ou sur le mur voisin. Plus rarement, c'est l'apparition de
têtes
grimaçantes qui a été cause de l'ef- froi. On a
t l'arc de cercle: la ma-lade est courbée en arrière, les pieds et la
tête
reposent seuls sur le lit, le ventre formant le s
-ci : la malade se redresse comme pour se re-mettre sur son séant; sa
tête
s'abaisse jusqu'au niveau de ses genoux, puis ell
ns tous les sens, bondit et s'échappe des mains qui le retiennent. La
tête
s'agite sur le tronc, en avant, en arrière, décot
étendit au bras jusqu'à l'aisselle, puis au même côté du cou et de la
tête
. Le plus petit mouvement du membre, même l'action
guedoc (1632, 1639). « Le pli, courbement et remuement du corps, la
tête
tou-chant quelquefois la plante des pieds, avec a
l est lent Ou brusque. — Période d'état. — Le tremblement respecte la
tête
et le cou. — Changements clans la parole. — Rigid
troubles moteurs. Analyse des mouvements du tronc, des membres, de la
tête
, de la langue. — Chorea ma-jor. — Nature de l'aff
e en outre un certain degré de trismus ; les dents sont serrées, la
tête
est en rotation en gauche. Peut-on trouver là l
MENTALE. Antécédents héréditaires. - Mère, morte d'un asthme. « Sa
tête
était la même chose que celle de sa fille (notr
ans le dos, dans le ventre. A l'église, elle sentait du vent sur sa
tête
, et ses cheveux tremblaient : elle a changé de pl
ensorcelée par cinq prêtres qui la possèdent : il y en a un dans sa
tête
, deux dans sa gorge, un dans son ventre, un dans
fois elle sent du froid comme de la glace; elle sent du vent sur la
tête
. Le soir elle est maigre quand elle se couche,
ler. » Ces voix intérieures viennent du ventre, de l'estomac, de la
tête
, du dos, de la gorge et surtrut de la langue. I
elle est maintenue dans un matelas roulé au- tour de son corps, la
tête
seule dépassant : le tout est ficelé comme un s
aillir ; ces mouvements convulsifs portent plus spécialement sur la
tête
et les membres supérieurs; -, les bras se rappr
ne sont susceptibles que d'un mouvement d'extension très limité. La
tête
est mobile dans tous les sens. Actuellement, no
bres supérieurs. MD : 20 MG : 15. D... peut mettre les mains sur sa
tête
, fléchir les avant-bras, contracter les pectora
aut par uue ligne circulaire supérieure et parallèle à la série des
têtes
des métacarpiens ; 2° un territoire sen- sible
iennent dans les muscles de la nuque, des épaules, des membres. La.
tête
est attirée en avant ou rejetée en arrière; de
du même genre dès qu'on l'applique aux centres de la nuque et de la
tête
. Les centres les plus excitables sont ceux qui
repos comme poussés par une force irrésistible, ils donnaient de la
tête
contre les obstacles, se heurtaient aux objets
asier de feu » ; elle était accompagnée du côté correspondant de la
tête
, de violents bruits d'oreille, d'hypeihémie cut
ité de la vue et celle de l'ouïe était diminuée sur la moitié de la
tête
hyper- hémiée. ' Zur Frage der experimentelle
rdt concerne un homme de quarante- six ans; il fit une chute sur la
tête
de 3 mètres de haut, mais en se préservant le c
cessaire, quand, par le repos au lit, l'application de glace sur la
tête
, l'administration simultanée de 0.50 de K 1. et
le malade, homme de dix-huit ans, sept mois après un coup reçu à la
tête
dans une chute faite d'assez haut : hémiparésie d
issons alcooliques, c'est l'Angleterre proprement dite qui tient la
tête
, avec 9 p. 100 d'aug- mentation sur l'année pré
presque identique. Il s'agissait alors d'un aliéné qui se frappa la
tête
d'un coup de marteau pour se donner la mort. Ce
rrière, s'en donne un coup violent dans la région postérieure de la
tête
. Il tombe aussitôt sans connaissance, roule à ter
t demie du matin (trente-six heures après la mort). Au sommet de la
tête
et en arrière, à la réunion des deux pariétaux
çon consécutive et pro- gressive. La violence du coup derrière la
tête
a d'abord terrassé le malade par suite de commo
er- sonnes vivement impressionnées. Quelques-unes ressentent à la
tête
une douleur ausssi vive que dans un véritable tra
ensuite le septum, se recourbe en bas le long du bord interne de la
tête
du corps strié, puis se dirige en dehors et va
épenses pour cet exercice, 137,109 dollars, soit moins de 2 fr. par
tête
. - P. KERAVAL. VIII. La double meurtrière. K. B
ssement des membres inférieurs, des mouve- ments cboréiformes de la
tête
et du cou; changement de caractère de l'animal.
erret : étiologie générale des maladies mentales : insomnie, mal de
tête
, constipation. L'électricité statique est un ag
uze cas, décrit une affection caractérisée par des mouvements de la
tête
associés le plus souvent à du nystagmus. Les mo
tête associés le plus souvent à du nystagmus. Les mouvements de la
tête
sont des mouvements cloniques plus ou moins bru
nts constituent une sorte d'état de mal durant plusieurs jours : la
tête
du malade semble alors agitée de tremblements,
urs, présente une indépen- dance relative avec les mouvements de la
tête
. Pouvant survenir avant eux, il peut aussi disp
ps. De plus, il est beaucoup plus ra- pide que les mouvements de la
tête
(cinq à six mouvements par seconde). Comme eux,
nt ou qu'on cherche à arrêter vigoureusement les mouvements de la
tête
. Quelquefois le nystagmus est unilatéral ; enfin,
ntre la direction du mouvement des yeux et celle du mouvement de la
tête
. , A côté des deux symptômes essentiels, le nys
s deux symptômes essentiels, le nystagmus et les mou- vements de la
tête
, s'en rencontrent d'autres, plus ou moins cons-
ition peut, dans certains cas, donner naissance aux secousses de la
tête
ou les aggraver, mais comme les accidents peuvent
tisme crânien a été consécutif à une chute résultant dn rejet de la
tête
en arrière, signe que nous avons vu marquer sou
mi les mouvements volontaires,- les premiers acquis sont ceux de la
tête
et du cou, mais ce n'est guère que vers le qua-
n'est guère que vers le qua- ' trième mois que les mouvements de la
tête
et des yeux deviennent harmonieusement associés
in temps des mou- vements ataxiques peuvent encore se voir quand la
tête
est mue volontairement : c'est précisément ce q
manquent pas entre les deux affections : mouvements de salut de la
tête
, nystagmus, changement de caractère, âge des ma
femme qui était épileptique. La victime porte deux blessures à la
tête
faites à l'aide d'un instrument contondant et des
ibution du Gouvernement est limité à 4 shillings par semaine et par
tête
; ou si la dépense totale des aliénés pauvres a
rant passage Saulnier, n° 8, s'est tiré un coup de revolver dans la
tête
, alors qu'il passait rue Grange-Batelière. Le mal
parvint à se rendre mai- tre du malheureux qui voulait se briser la
tête
sur les murs. C'est un nommé Briquet, sorti réc
si, bien d'au- tres extravagances. Il brisa les carreaux, jeta à la
tête
de M. Du- ranton et de M. Debigny, son secrétai
soeur, qui est religieuse, et qui, au dire de sa supérieure, a a la
tête
faible ». Au moment de la guerre de 1870, R...
uoiqu'il ne se soit, jamais occupé que des lettres, il s'est mis en
tête
de devenir un grand inventeur, et il prétend avoi
que. A l'âge de vingt-trois ans, chute de voiture; est tombé sur la
tête
, a perdu connaissance et est resté plusieurs sema
avaient blanchi à la partie supérieure de la moitié gauche de la
tête
, et la moitié gauche de la langue s'était atrophi
èvre éruptive; pas de diphthérie; pas de chorée; pas de douleurs de
tête
. Un jour son père l'ayant envoyé porter 7 fr. 8
marquée; la face est rouge, le tronc se soulève à demi rigide ; la
tête
est en extension, la face tournée à droite. Pui
e survient marquée par le cri « Euh ! », puis rigidité générale, la
tête
dans l'extension, la face tournée à gauche, pui
minute; les pieds se posent sur la plante et non sur la pointe; la
tête
repose sur la nuque. - Durant l'arc de cercle i
tôt dans les membres inférieurs. Tout d'un coup il se' relève, la
tête
étendue dans une attitude extatique; rigidité e
tantôt sur le venlre, tantôt sur le dos. Ou bien il se place sur la
tête
dans l'attitude d'un clown, le tronc étendu, les
ntaire d'urine. Repos. Puis arc de cercle, le corps reposant sur la
tête
et les pieds. Il profère des obscénités, puis s'a
nzaine de secondes environ. Pas de cri initial. Durant l'attaque la
tête
est dans l'extension; le malade est pris de mou
de stertor avec écume. Il est bientôt prisd'une nouvelle crise. La
tête
se soulève un peu, le corps devient rigide, les
attitude passionnelle; le malade se redresse et se met à genoux, la
tête
renversée en arrière, les yeux regardant au ciel
mment, la bouche se tord affreusement. Il pousse un gémissement; la
tête
se soulève, tout le corps devient rigide, les m
en plus depuis le début des crises. Etat actuel. 5 juillet 1887. -
Tête
. Pas d'asymétrie crânienne appréciable. Cheveux
Au bout de quatre à cinq minutes il entrouvre les yeux et tourne la
tête
à gauche. Frémissement des paupières, pâleur marq
tes. Il entr'ou- vre les yeux, se redresse sur son séant, tourne la
tête
à droite et à F'lq. 39. DEUX NOUVELLES OBSERV
t coeur réguliers, pendant vingt minutes. Il tourne de nouveau la
tête
à droite et à gauche; frémissements des paupières
se met à genoux tout à coup en fermant les yeux et exécute avec sa
tête
et ses bras le mouvement du morceau joué. La fa
tout à coup il s'est élancé à travers la salle et est venu se jeter
tête
baissée contre la porte dans laquelle il donna de
issée contre la porte dans laquelle il donna de vio- lents coups de
tête
pendant deux ou trois minutes. Puis il s'est re
un peu écartée ; le bras droit élevé, le gauche allongé en bas, la
tête
dans l'exten- sion. Il se tourne sur le venlre,
s. Il ouvre alors les yeux, parait étonné, se lève, se plaint de la
tête
. - Durée 10 minutes. T. R. 38°,1. - Un quart d'
ne avec violence de son poing droit fermé; se met sur les genoux la
tête
appuyée par terre entre ses deux mains. Il se r
bl., 1890.) On emprunte à la pièce à examiner gros comme une petite
tête
d'épingle, et on le place sur le porte-objet; o
ngt et un, douze ans. Durée : six à sept ans. Vertiges, lourdeur de
tête
, douleurs céphaliques, fatigue générale, diminu
scientifique à l'égard des malheureux épileptiques et plaçons à la
tête
des établissements qu'ils contiennent des méde-
yait un groupe de petites vési- cules (chacune de la grosseur d'une
tête
d'épingle). Après un second examen à trois heur
re atteignit un homme conduisant une faneuse et un cheval, placé en
tête
, fut tué sur le coup. Le conducteur resta sur s
en tête, fut tué sur le coup. Le conducteur resta sur son siège la
tête
penchée en avant. Le Dr Palmer constata chez cet
cerveau, par Soury, 285; - Mouvements de salut et se- cousses de
tête
chez les enfants, par Hadden, 288 ; Diffusion
à et sort : à peine dans la rue, il est pris d'éblouis- semenls, la
tête
lui tourne et il chancelé. On le conduit dans une
de temps, dans nos salles, et qui offrait également, du côté de la
tête
et de l'épaule, des troubles cloniques constitu
mouvements de salutation ; 2° des mouvements de projection de la
tête
en arrière ; 3° des mouvements d'élévation de l
ts et les plus étendus. Brusquement et comme mue par un ressort, la
tête
se fléchit sur la poitrine, sans déviation laté-
oordon- nés et intentionnels : la salutation, le redressement de la
tête
ou le haussement d'épaule. Mais, si l'on peut d
ens déterminé), tendances aux attitudes spéciales du corps ou de la
tête
{l'étroJlexiol1 de la tôle, REVUE DE PATHOLOGIE
diverses reprises que le médicament est trop fort et lui monte à la
tête
. L'améliora- tion est assez marquée, le malade
après être sorties de la corne antérieure, dont elles traversent la
tête
, et gagnent, en affectant une direc- tion verti
masse centrale peut s'appeler corps restiforme primitif (virgule à
tête
épaisse se terminant par une queue) : la couche l
en rapport avec les longues fibres des cordons postérieurs, avec la
tête
du corps restiforme de l'autre côté, avec trois
nexion avec les fibres cérébelleuses (surtout du même côté) par la
tête
du corps restiforme primitif ;au système des fibr
épha- lalgie intense et persistante ; sensibilité douloureuse de la
tête
à la percussion; pouls rapide : attaques épilep
sociétés savantes. jusque-là bien portante, travailla aux champs la
tête
découverte peu après la Pentecôte. Le soir, ses
une sert pour la suspension sous les aisselles, la deuxième pour la
tête
: comme celle-ci est dirigée d'avant en arrière
soutenir le menton et la nuque s'entre-croisent, il s'ensuit que la
tête
est mieux soutenue, qu'il ne peut y avoir de co
ée par la compression des branches d'origine du plexus sacré par la
tête
foetale était déjà bien connue. Mais il était é
tanée péronière et l'accessoire du saphène externe, et contourné la
tête
du péroné, se divise en deux branches, le nerf
il y a eu compression des branches d'origine du sciatique par la
tête
foetale. Cette compression s'est manifestée -ul
une tentative d'application de forceps, on fut obligé d'extraire la
tête
à l'aide d'un crochet après avoir perforé la base
elle sorte qu'il 1 n'est nullement protégé contre la pression de la
tête
foetale. Il en résulte que c'est toujours lui q
logique, sans compter qu'il est bien difficile de comprendre que la
tête
foetale aille ainsi comprimer, parmi toutes les
uleur. Il existe une zone d'analgésie com- mençant au-dessous de la
tête
du péroné, et limitée ainsi : a) sur la face an
face postérieure, la ligne limitante com- mençant au-dessous de la
tête
du péroné, descend obliquement en dedans jusqu'
reporta vers l'omo- plate ; et enfin les douleurs se fixèrent a la
tête
, toujours à droite. Jamais de chute de la paupi
dans la salle Sainte-Marie et qui présente, principalement dans la
tête
et les membres, des mouvements très bizarres et
ion, les premiers accidents. La jcune fille éprouve une lourdeur de
tête
constante et, par intervalles, une céphalalgie
symptôme prédominant, ils ont une prédilection particulière pour la
tête
et la face ; l'extrémité céphahque oscille d'un
d'égale amplitude de part et d'autre d'une position d'équilibre. La
tête
est animée d'un mouvement d'oscil- lation verti
chef ». Mais, en même temps que cette trépidation d'ensemble de la
tête
, il existe des mouvements partiels provoqués pa
t animé d'un violent tremblement, mais c'est encore au niveau de la
tête
que les mouvements prédominent. La malade sent
laquelle on songe, en présence de cette instabilité constante de la
tête
, persistant depuis des an- nées, est la chorée
s sommes en présence d'un tremblement ayant pour siège principal la
tête
, également localisé dans le bras gauche et, à u
nimée de ce mouvement de propulsion qui lance les Parkinsonniens la
tête
en avant, le corps plié en deux, à la poursuite
un si remarquable échantillon. Enfin dans la paralysie agitante, la
tête
est le plus souvent respectée. Gliarcot a même
ans certains cas, on peut constater un trem- blement apparent de la
tête
, celle-ci participant alors à un ébranlement d'
z notre malade, au contraire, c'est l'inverse que l'on observe : la
tête
est surtout et presque exclusivement animée- de
te, la ma- lade étant généralement observée debout ou assise, et la
tête
se trouvant à ce moment non pas au repos vrai,
s, nous notons habituellement la per- sistance des mouvements de la
tête
. Au lieu que si l'extrémité céphalique est mise
ans le but unique de maintenir une position fixe. Le maintien de la
tête
en situation d'équilibre, la malade étant assis
commence le plus souvent'par les muscles de la nuque et du cou ; la
tête
branle plus rarement, le début a lieu par les m
e tremblement peut rester longtemps, tou- jours même, localisé à la
tête
, mais habituellement il occupe la tête et les m
jours même, localisé à la tête, mais habituellement il occupe la
tête
et les membres supérieurs ; très rarement, il env
st dans la résolution musculaire, complètement étendu sur un lit la
tête
reposant sur l'oreiller. 11 est nul également pen
se dès que l'effort ou le mou- vement voulu est terminé, dès que la
tête
, le bras ou la jambe ont trouvé un point d'appu
air est chargé d'élec- - trioté. - i - - , » Le tremblement de la
tête
est surtout caractéristique; les se- ,-couses d
es mem- bres ou du tronc peut lui transmettre. Le braillement de la
tête
a lieu tantôt dans le sens horizontal (tremblem
ers) ; par- fois la combinaison de ces deux mouvements imprime à la
tête
'des oscillations obliques. ' ...... Le tremb
ement des membres supérieurs est moins cons- , tant que celui de la
tête
; nous l'avons observé cinq fois sur six malade
1 Le diagnostic définitif est donc le suivant : Tremblement de la
tête
et des membres du côté gauche cons- taté chez u
En revenant à lui, il ne peut remuer le bras gauche ni le porter sa
tête
. A l'examen, mouvements d'abduction et d'élévat
e montre, puis de la dysphagie; bientôt impossibilité de mouvoir la
tête
, elle étouffe, elle meurt. La maladie a duré 3
psie doit venir, le malade ressent d'abord une certaine lourdeur de
tête
et une légère sensation de tension et de traction
. Koca (Neurolog. Centralbl., 1887.) L'enfant avait été blessé à la
tête
; il eut des convulsions pen- dant trois jours.
pusillanime. Trois ou quatre semaines à la suite d'une chute sur la
tête
, réponses lentes, après longue réflexion, propo
a reproduction d'un certain nombre de ma- lades des auteurs ; 3° la
tête
du Pacha (voir Arch. de Neul ? 1886), plusieurs
rsonnes. Langage correct. Ne peut plus coudre : calcule très mal de
tête
, quoique caissière. MM. Séglas et Sollier font
oint allèrent dans le quartier. Les six rebelles leur jetèrent à la
tête
SOCIÉTÉS SAVANTES. 289 toute la vaisselle pui
re qu'il prit une hache et tua net la petite fille d'un coup sur la
tête
. Cet assassin de quatre ans sera, d'après les l
nt du côté gauche. Pendant toute la durée du scotome, la douleur de
tête
persiste, mais elle est réduite à de simples él
épendamment de toute crise convulsive. Parfois aussi, la douleur de
tête
qui précède le scotome se développe et disparaî
trois mois, et la première manifestation a consisté en douleurs de
tête
surve- nant par accès, apparaissant tous les jo
apides d'élévation et d'abaissement. Il se développB une douleur de
tête
très violente analogue au point' de vue de son
qu'on disait auprès d'elle. Elle éprouvait aussi un violent mal de
tête
du côté gauche. Quinze jours après, nouvel accè
que la vision lumineuse disparaît rapidement quand la malade met sa
tête
dans une situation déclive. DE LA MIGRAINE OPHT
étaient placés devant elle ; elle ressentit alors une douleur de
tête
diffuse, mais prédominant dans la région temporal
rs paraissent avoir augmenté car elle disait dans son délire que sa
tête
allait éclater, qu'elle FOLIE PUERPÉRALE AMNÉSI
un grand abattement, une faiblesse générale, une grande fatigue de
tête
. Elle ne pouvait voir per- sonne, ni entendre p
lant, ramènent le souvenir. Nous essayons de la faire calculer de
tête
, ce qui en général se fait à l'aide de la vision
ils rencon- traient sur leur route. Jetés en l'air, ils volaient la
tête
rétractée, le tronc à moitié levé, les jambes p
d'après Bcevor et 1 forsley - - Yes, oui ? llouth, houche. - Head,
tête
. - Longue,langue.- Skoulder, épaule.- Elbow, cO
hallucinations le patient a con- servé la notion de position de sa
tête
, puisque les images sont animées de mouvements
sont animées de mouvements correspondants aux déplacements de la
tête
. Expériences faites en wagon. P. K. LIX. CONTRI
signes de péritonite. Le 2 mars, la malade accuse des douleurs de
tête
et présente du stertor et de l'assoupissement. Le
ité aune communauté de religieuses qui en prenaient soin à tant par
tête
et par an. On serait porté à croire qu'une pers
uche, par Proskauer, 77. Tics, maladie des et tremblement de la
tête
et des membres gauches, par Grasset, 27. 187; é
ué, son sommeil est devenu agité, et il a éprouvé des dou- leurs de
tête
assez fortes, limitées au côté gauche, qui ont pe
ent : le malade tombe brusquement en avant et à droite; il place sa
tête
sur son bras droit qui est dans l'extension et
rvice de M. Després, où l'on constata une plaie des téguments de la
tête
de douze centimètres de longueur, s'étendant de
les le traumatisme a agi : le choc a porté sur le côté gauche de la
tête
et la paralysie des membres s'est développée du
st ce qui est l'état de veille. Un courant électrique appliqué à la
tête
aura aussi le même effet. Rieger dut s'en servi
éfinitives. Le second cas relate une chute sur le côté gauche de la
tête
, ayant enfoncé la suture sagittale, sur une lon
que, et le pôle négatif était promené lentement, du même côté de la
tête
depuis la région sourcilière jusqu'àl'occiput;
lière jusqu'àl'occiput; les applications sur chacun des côtés de la
tête
duraient environ sept minutes : elles étaient f
e dernier courant, la durée des applications pour chaque côté de la
tête
était réduite à cinq minutes. R. M. C. REVUE
che; rigidité intervallaire, privation de sentiment, rotation de la
tête
et des yeux à gauche, langue déchiquetée; de temp
es zygoma- tiques et des bosses frontales, oreilles détachées de la
tête
, mas- culinité de la femme, analgésie, daltonis
l'augmen- tation de leur volume; la distension des vaisseaux de la
tête
a 1 Voy. Archives de Neurologie. REVUE DE THÉ
ible, on aurait pu constater une augmentation de volume de toute la
tête
, comme on constate la tuméfaction et la rougeur
e à des inhalations nouvelles, se plaignant d'avance de douleurs de
tête
aussitôt qu'on les introduisait dans une chambre
'amylnitrite. Les symptômes connus, tels que rougeur, chaleur de la
tête
, augmentation des sécrétions des muqueuses ocul
ions des muqueuses oculaires, nasales, battements des artères de la
tête
, s'observaient toujours. Une fols, on observa c
ruenheilk., 1885.) Epilepsie survenue à la suite d'une chute sur la
tête
, ne recon- naissant aucune autre cause. Le pari
e de trente ans affecté d'anes- thésie complète et persistante à la
tête
, aux mains, aux pieds, atteinte des organes des
ccès de céphalalgie. Depuis longtemps il sait qu'il ne sent plus sa
tête
et qu'il a perdu le goût et l'odorat. (Arch. f.
llement larges et longs. Les membres et le dos étaient poi- lus. La
tête
était grosse; les fontanelles n'étaient pas fermé
ssion marquée d'idiotie; la face était large, le front fuyant et la
tête
petite. La langue large pendait en dehors de la
nte. Il est propre et paraît susceptible d'affection. (Fig. 5) La
tête
est grosse et ronde; la face large; les yeux sont
kil. 530 (taille : 38 pouces (0 m. 78). Elle était très grasse ; la
tête
, aplatie au vertex, était très large latéraleme
rme. A la naissance, il était gros, mais paraissait dil- forme ; la
tête
surtout était « horrible à \oir ». -Il a été élev
e ses injections habituelles, il est pris de douleurs vives dans la
tête
et dans le rachis, ses membres se raidissent, s
tanée, on y constate l'analgésie universelle, excepté la peau de la
tête
et de la face où la sensibilité n'est pas troub
rquement, il fut forcé de garder le lit à cause d'un violent mal de
tête
, qui augmentait à chaque mou- vement qu'il fais
Ce mal lui semblait un peu plus localisé dans le côté gauche de la
tête
; outre cela, il ressentait une certaine rigidit
à la main gauche, le malade n'a observé rien d'anormal. Le mal de
tête
a, peu à peu, disparu dans l'espace de quelques
émités digitales qui pendent; les genoux sont tournés en dehors; la
tête
estdroite, mais le men- ton s'applique vers le
mal auquel on a extirpé le lobe frontal gauche tient constamment la
tête
tournée à gau- che et la colonne dorso-lombaire
ssance ; puis, se montrent des phé- nomènes, d'abord localisés à la
tête
, et finalement généralisés d'un parfait caractè
n enfant qui, dès l'âge de cinq ans, a des érections à la vue d'une
tête
de vieille femme et qui plus tard est obligé d'in
e la sensibilité générale (le malade se croit pourri, il n'a pas de
tête
) et dans le second fait, une angoisse à motif g
enteuse elle sentait ses membres lourds, puis c'etait le tour de sa
tête
: il lui était impossible d'ouvrir les yeux, el
é, d'une constitution féminine; les testicules sont très petits; la
tête
aussi. Un examen laryngoscopique donne les résu
che; spasme tonique à la jambe gauche; flexion du coude gauche ; la
tête
se rejette en arrière et le tronc se courbe aus
ule et fléchi au coude. Dès le 14 mars, S... se plaint de maux de
tête
, de reins et de l'insomnie. Le 23 mars, il marche
lui-même, quoiqu'il puisse distinguer la pointe d'une épingle de sa
tête
, mais il ne res- sent pas de mal à la piqûre; l
la vache et, jetant le tronc d'arrière en avant, donne des coups de
tête
contre le chevet. La force des mouvements est s
ccès du matin se répète. L'attaque est précédée d'un violent mal de
tête
, de tremblements des jambes et d'un spasme doul
etée en arrière qu'il touche le cou de l'occiput; le som- met de la
tête
s'appuie au coussin, le cou et le menton ne for
tonus ou de pleurosthotonus, ou bien le sujet frappe le lit de la
tête
à plusieurs reprises, etc. En un mot, cette pério
nt dans un pro- fond sommeil, ou se plaignent de violents maux de
tête
, etc. 9. Deux malades (1, 4) souffraient d'une
e sobriquet de Pacha, sous lequel il est connu dans la maison. La
tête
, légèrement fléchie sur le thorax, est volumineus
ésentent un lobule bien développé; elles s'écartent fortement de la
tête
en arrière. La bouffissure de la face, mentionn
n sent distinc- tement le larynx sur la ligne médiane en plaçant la
tête
dans l'extension et en déprimant fortement les
, il était mal en train ; il semble que la peau du côté droit de la
tête
, tempe, et région pariétale, est rosée et un peu
e la fête, du tronc, des membres, n'était démesurément exagérée. La
tête
, en effet, est volumineuse, le col est court, l
silencieuse ; elle ne sait pas diriger son regard, ne peut tenir la
tête
, remue les membres, mais sans les diriger, ne p
devi nt épaisse et indistincte ; elle souffrait de maux de tête, sa
tête
s'inclinait sur la poitrine; les mains et les pie
les yeux, les narines dilatées, les oreilles grandes et plates. La
tête
ne pend pas en avant, mais le cou semble raccourc
ttre la IDIOTIE AVEC CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 339 main derrière la
tête
, mais les mouvements sont lents ; la parole est
irme la rigoureuse exactitude de ces renseignements. Cet homme a la
tête
un peu forte, mais régulière, nez aquilin. - L'
ents de lait'. - Le visage est complètement imberbe. Par contre, la
tête
est couverte d'une chevelure abondante et d'un
est couverte d'une chevelure abondante et d'un châtain foncé. La
tête
est grosse et irrégulière. Le front, fuyant en ar
ncée de toute la surface cutanée. Sa taille était de 0'"96 cent. La
tête
était assez volumineuse, plutôt brachycé- phale
é aussitôt l'attention. Les viscères abdominaux étaient normaux. La
tête
était large et d'une forme particulière; le fro
au-devant de la fontanelle antérieure. La partie postérieure de la
tête
était petite. Les traits étaient lourds et épai
d'épaississements miliaires atteignant quelquefois le volume d'une
tête
d'épingle, en partie confluents, scléreux ; il y
interstitiel abondant. - 4° La peau des diverses parties du corps (
tête
, tronc, membres, scrotum), est normale, sauf un
né en arrière et en bas, et était pris entre le corps et le mur. La
tête
s'était aussi portée du même côté. Aussi le sil
pénibles, et il est difficile à la malade de porter la main sur la
tête
. La légère amélioration que l'on avait constaté
tatus epilepticus. Etat actuel. - Sur le côté gauche du sommet delà
tête
(la place exacte déterminée par mensuration est
uche, s'étendait sur le côté droit de la face et faisait tourner la
tête
et les yeux vers la droite. » En somme, les dif
ie actuelle. - A cinq ans, la flèche d'une voiture lui tomba sur la
tête
, lui fit une légère blessure et une légère frac
malade est grand, fort ; il porte de nombreu- ses cicatrices sur la
tête
, dues à des chutes, etc., quand les attaques ar
resser- rement de la gorge et quelquefois une toux spasmodique. La
tête
et souvent les yeux étaient tournés vers la dro
DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 397 tré que le centre des mouvements de la
tête
et du cou est au- dessous de ce sillon et que c
iet, préoccupé, ne peut tenir en place; il éprouve des lourdeurs de
tête
, un sentiment de constriction à l'estomac. Par
ntes, des hommes descendant par les fenêtres ; dans sa chambre, des
têtes
s'élèvent du plancher au plafond ; elle aperçoi
es. L'enfant n'a ni gagné ni perdu. État actuel. (Novembre 1877.)
Tête
volumineuse; face petite, étroite, vieillotte,
es environ, sorte d'esquisse de bec-de-lièvre. Partout les os de la
tête
sont durs, très résistants; au niveau de la sut
la bouche ouverte, pousse des cris de temps en temps, balance la
tête
latéralement ou d'avant en arrière. La face par
très prononcées. Rien à l'auscultation. 78 CLINIQUE MENTALE. - La
tête
est dans l'extension, bien qu'il n'y ait pas de r
st moins longue de 6 millimètres que la couche optique gauche. La
tête
du corps strié est séparée par une dépression ass
peine raides et se tournaient légèrement. « C'était surtout dans la
tête
que cela se passait. » Aucune affection scrof
e). - Traitement : Purgatif, bain, com- presses d'eau glacée sur la
tête
. Soir : De midi à une heure, trois accès ; à qu
x ans, les accidents se seraient aggravés, tout en prédominant à la
tête
. Jamais l'enfant n'aurait offert de manifestati
du genou. A 6 b. 1/2, le malade ressent, dans le côté gauche de la
tête
principalement, une violente douleur. A 7 heu
orat sont très affaiblis. La malade accuse un très violent mal de
tête
et des nausées. - La respiration est libre,-le
lever la jambe et le bras. Elle se plaint toujours de la douleur de
tête
. La peau est assez chaude. P. 96 ; T. Ax. 38°,5.
ébrale et à la valeur diagnostique de l'exploration thermique de la
tête
dans la recherche des lésions circonscrites du
- [¡'que pour indiquer qu'il s'agit de températures locales de la
tête
; nous n'avons pas, au moins au début de cette étu
d'en arriver à des applications cliniques, la thermo- métrie de la
tête
avait attiré l'attention des physiologistes : c
n arrière. Ces résultats étaient peu étonnants si l'on songe que la
tête
séparée du tronc était exsangue et soumise au r
loyé par M. Lombard pour rechercher la température extérieure de la
tête
. Cet auteur procédait sur l'homme vivant, par l
sait dans la jambe au moment où une élévation se manifestait à la
tête
. Lombard vit par ce moyen la température s'élever
ute voix ou la déclamation paraissaient élever la température de la
tête
plus facilement que le travail purement intelle
hermo-électriques sont faibles, et que la température moyenne de la
tête
peut varier d'un côté à l'autre, sans qu'il y a
façon excessivement éclatante dans les appendices érectiles de la
tête
et du cou. » On voit, par cette dernière phrase,
arrivait, sur l'homme, à démontrer que les régions gauches de la
tête
ont une température plus élevée que celles de dro
REVUE CRITIQUE. rable de rechercher les températures locales de la
tête
à l'aide de thermomètres convenablement constru
enga, quelques années après, avaient recherché la température de la
tête
chez les aliénés, ou établi une sorte de moyenne
se. Pour M. Broca, la température moyenne de la partie droite de la
tête
est de 33°,90, celle de.la partie gauche de 31°;
e est donc de un dizième de degré en faveur du côté gauche. Pour la
tête
considérée dans son entier, la tempé- rature mo
E CRITIQUE. DE LA THERMOMETRIE CEPHALIQUE. 107 La moyenne de la
tête
étudiée d'ensemble serait donc de 1°,16. Remarq
raisons, plus directement influencées par le milieu extérieur : la
tête
, plus encore que toute autre région, doit avoir
mètres en des positions absolument symétriques de chaque côté de la
tête
, d'écarter les cheveux ou de les couper, enfin
di- quent bien qu'il ne suffit pas de poser un thermomètre sur la
tête
pour avoir une température valable : il est encor
e de 34 ans chez laquelle de l'apoplexie papillaire, une douleur de
tête
à la tempe et au front, des nausées, du ptosis
Mra0 Mary Putnam Jacobi a comparé la température nor- male de la
tête
et celle qu'elle a observée chez un enfant de 2
ces de température entre la moitié droite et la moitié gauche de la
tête
, prises d'ensemble, on remarque qu'à l'exceptio
tient du reste à l'inégalité même des températures régionales de la
tête
, car souvent l'élévation thermique d'une seule de
recherché aussi de combien s'élevait un thermomètre appliqué sur la
tête
d'un malade en état d'agitation et de délire, a
mentales d'origine congénitale, la température du côté droit de la
tête
donne des chiffres plus élevés que celle du côt
ux. Ils président aux impressions visuelles et aux mouvements de la
tête
et du cou; c'est en vertu de leur existence que
vue d'anatomie. 129 son cerveau, suit une lumière des yeux et de la
tête
. Vient une assez longue étude histologique et a
tôme ni aucune lésion pût en donner l'explication. Les plaies de la
tête
étaient complètement cicatrisées; il n'y avait
urs qui s'étendirent bientôt à tout le côté droit du front et de la
tête
. Le 15, il eut du délire et sa femme remarqua q
persécuté succombant instantanément à un coup que lui donna sur la
tête
un autre aliéné. (Ibid., janv. 1880.) 148 REV
à les "marty- riser, que Gilles de Rays, de lui-même, de sa propre
tête
, sans conseild'autrui, aurait pris ses imagi2za
du malade, et nous fixons les 'deux extrémités de cette bande à la
tête
du lit. Dans ces con- ditions, si on tend le ca
peu marqué et qui n'apparaît que dans certaines positiorÍs ! 'A la
tête
,' petit mouvement oscillatoire de droite à gauc
ours restée enfant.' ' ' -- 'Etart'actuel (9 déc.) , Attitude de la
tête
normale; ectropion et blépharite ciliaire à gau
, v , ^ -- , AUTOPSIE.- La famille n'a autorisé que l'examen de la
tête
. Le crâne, les méninges, le liquide céphalo-rac
Il s'est levé pour uriner alors qu'il n'avait pas de bourrelet à la
tête
.) Retour à l'infirmerie. Ce même jour, il voit sa
omprendre encore : lorsqu'il entend parler de sa mère, il tourne la
tête
. L'affaisse- ment intellectuel est tel que l'en
les idées de suicide. Plusieurs fois, on l'a surpris se frappant la
tête
le long des murs. En février 1880, ces tentativ
posé. Disons seulement que le nom de oesthésiogcne, qui figure en
tête
de ces pages, est le nom général proposé par M. C
ont bien conformés et ne présentent aucun signe de rachi- tisme. La
tête
, très irrégulière, est relativement volumineuse.
s attaques qui semblaient des attaques de rigi- dité tétanique ; sa
tête
était tirée en arrière par les contractions spa
, p. 56.) G. P., âgé de 13 ans, se fit le 29 août une blessure à la
tête
en tombant sur,une pierre. Le 10 septembre, rai
trouve à côté de lui une cause quelconque, telle qu'un coup sur la
tête
ou une insolation. Lorsque l'alcoolisme est cau
t démontré par M. Blaise est que « les tracés thermométriques de la
tête
recueillis chez les apoplectiques présentent un
contre l'abdomen, et les jambes contre les cuisses ; on trouvait la
tête
et le tronc tordus en arrière et en forme d'arc
squelette, que traduisent du reste très clairement la Fî'g. 17. La
tête
est tournée à droite, de sorte que le menton se
plètement sa raison : cependant elle raconte qu'elle souffre de la
tête
, qu'elle a mal dans le cou, qu'elle n'est malade
amisole et des planches. M... est couchée sur le dos ; le cou et la
tête
assez renver- sés en arrière, les muscles de la
ale des deux pupilles. La malade se plaint de grandes douleurs à la
tête
, au cou et dans tous les membres. Tremblement l
couchée sur le dos, courbée du côté gauche en pleurostoto- nos ; la
tête
est déviée à gauche par une contracture prononcée
urnée, la malade a continué à être très abattue, la déviation de la
tête
et du cou s'est exagérée ; la malade est toujou
te et du cou s'est exagérée ; la malade est toujours sur le dos, sa
tête
est tellement inclinée à gauche que l'oreille d
he. - La rigidité cadavérique est peu prononcée, la déviation de la
tête
persiste encore à gauche, elle a été ter- minal
vaincue comme la première fois en tentant de force la flexion de la
tête
, -l'hyperesthésie des membres est très marquée.-
à peine dans chacune d'elles un petit noyau purulent gros comme une
tête
de ca- mion. La base, la protubérance et le bul
lles-mêmes sur le bassin ; les talons s'appuient sur les fesses. La
tête
est fléchie sur le sternum, et par conséquent à
eu de distance des genoux. Les mains reposent sur la poitrine. La
tête
est petite ; la protubérance occipitale est très
resque pédicule ; pas de lésions. Chaque rein pèse 35 gr. ; rien.
Tête
.-Les os du crâne sont normaux. Pas d'asymétrie ap
tube ainsi placé (tube interauri- culaire) est soutenue derrière la
tête
du patient; on promène sur son contour une mont
sensible la région pal- maire voisine du pli du coude, et que, à la
tête
et au cou, elle est encore assez éloignée de la
entre eux est le rudiment de l'articulation de l'enclume avec la
tête
de l'étrier; on voit apparaître en cet endroit un
il a souffert beaucoup de tremblement des membres, d'embarras de la
tête
et d'humeur noire. Depuis quelque an- nées, il
En ces dernières années, elle mentionne un léger tremblement de la
tête
ainsi que des mains et des pieds. Voici le résumé
GIE NERVEUSE. 449 ture alternative des mâchoires. Oscillation de la
tête
de droite à gauche et d'avant en arrière. Le br
it. Croisant les bras sur la tablette de celle-ci, elle y couche sa
tête
, tandis qu'elle engage ses jambes dans l'ouvert
IL Un enfant de 4 ans est pris le 14 décem- bre 1879 de douleurs de
tête
, de vomissements,- de fièvre intense. Le deuxiè
jours plus tard, ptosis de la paupière droite, puis déviation de la
tête
et des yeux vers la droite. Vers la fin de juin,
uel- quefois à ceux du côté gauche avec déviation conjuguée de la
tête
et des yeux vers la droite, consécutives à une mé
éphalite développée dans un cas plusieurs années après une plaie de
tête
, dans le second après une insolation. M. XLVIII
és de nombreuses tumeurs mélaniques, variant de la grosseur d'une
tête
d'épingle à celle d'une petite cerise. Tout le ve
efois rien de celle des paralytiques; léger rejet en arrière, de la
tête
et de la nuque. Embarras de la parole caractéri
consignées au procès-verbal juridique : « Oui j'ai jour et nuit en
tête
l'idée que je gagnerai le monde. Ce n'est pas s
ans mon ' coeur d'or. J'ai sans difficultés tout renfermé dans ma
tête
. » Ses attitudes étaient d'ailleurs en rapport av
utres phénomènes secondaires que de la céphalalgie et des maux de
tête
qui ont duré trois à quatre semaines. Ce malade a
id prolongé (7 heures) avec application ou irrigation froide sur la
tête
. Ce résultat est certainement remarquable ; tou
interne du cerveau et passant à la fois par la partie moyenne de la
tête
du corps strié et par le point de réunion du ti
t les fibres du faisceau pyramidal qui actionnent les muscles de la
tête
et du visage ; dans l'aphasie ce faisceau est g
'l a;/ , - - Pj i+;TTm ? ., 1 'r c>7f"ic noyau lenticulaire. La
tête
du noyau caudé n est sépa- z rée de 1 S a , nR
? io aai u'v h b tion olfactive, et, dépasse en haut notablement la
tête
,.903 m 9H ')9Pi ly.RT : ? ,110;r,fi 1 ^,9"/IB
aiiB.'oeï acr'iu ,'A''i0 Il convexe en dehors embrasse en dedans la
tête
du -nn°Of. fjj a'iofl9h (Kl ..97lilfi0jli ? l 0
liers, des animaux de toutes sortes, mais, mais, mais,... ». Ici sa
tête
se pencha sur sa poitrine, ses yeux se fermèrent,
ffections idiopathiques des oreilles, affections traumatiques de la
tête
, maladies diverses. Les lésions auxquelles se r
if était placé au creux de l'estomac, et le positif au sommet de la
tête
, sur le sympathique cervical et de chaque côté
ment soignée. On lui fit porterdes verres convexes. Les douleurs de
tête
cessèrent rapidement et il ne resta qu'une légè
20 à 30 éléments peut être utile dans les diverses névralgies dela
tête
. ha. faradisation augmente la douleur dans la m
olentes. Les muscles d'un côté du cou se contractent, entraînant la
tête
vers l'épaule correspondante, les paupières bat
ouvent l'accès se présente ainsi : le menton s'incline en avant, la
tête
, qui parait s'enfoncer entre les épaules, se ren-
, vers les mamelles ou les aînés, sur le rachis, quelquefois à la
tête
, vers le sommet. Ces régions sont quelquefois le
s du thorax et aux membres in- férieurs. Flexion et extension de la
tête
douloureuses ainsi que la pression des première
à 6 centimètres. Rien à noter du côté des membres supérieurs de la
tête
et du cou, pas de troubles intellectuels. Somme
ssentit. alors, à la suite d'un brusque mouvement d'extension de la
tête
de vives douleurs dans la région occipitale et la
du genou, un enfant de 8 ans présentait une attitude spéciale de la
tête
: flexion gauche avec légère extension, immobit
imitation des mouvements du cou, avec douleurs dans la rotation de la
tête
à gauche, et, quelques jours avant la mort, sen
rchant ou dans la station assise, elle était obligée de soutenir sa
tête
à deux mains ce qui amenait la sédation des dou
cette époque, à la Salpêtrière, voici les résultats de l'examen :
Tête
penchée en avant avec faiblesse et gêne de tous l
la 6e dorsale. Aucun symptôme morbide aux membres supérieurs, à la
tête
et au cou. Le traitement antisyphilitique avait
s, telles qu'on les observe dans les mal de Pott ; l'attitude de la
tête
, la déformation du cou n'appartiennent pas à la
rtout par la gêne et la limitation des mouvements de rotation de la
tête
; ils seront de plus en plus lents et limités,
la partie supérieure du rachis était en- traînée par le poids de la
tête
. Nous avons décrit nous-même deux types de spon
par le simple effet de la pe- santeur. Ainsi Baumler signale que la
tête
de son malade, qui était anky- losée en forte f
ique, publiés en 1899. La hauteur de tous les sujets, mesurée de la
tête
aux pieds, en suivant les contours de la colonn
ale, et la lordose cervicale normale n'existe plus, de sorte que la
tête
était fortement penchée, le menton touchant presq
gament vertébral commun pos- térieur et des ligaments d'union de la
tête
avec la colonne vertébrale. La colonne a été br
ur ou inférieur, est seul ossifié au niveau de certaines côtes. Les
têtes
des côtes et la partie voisine des corps vertéb
égulier qui occupe tout le pourtour de la cavité cotyloïde et de la
tête
fémorale. Ce bourrelet, beaucoup plus volumineux
a été faite obliquement à gauche à travers la cavité cotyloïde, la
tête
, le col et le trochanter du fémur ; cette coupe,
ment rond subsistait intacte. Le reste de la cavité cotyloïde et la
tête
fémorale étaient rugueuses et recouvertes de sa
tilage, butait contre un bourre- let de même genre qui entourait la
tête
fémorale. Très manifestement la seule mobilisat
la seule mobilisation possible, d'une fraction de millimètre, de la
tête
fémorale était ar- rêtée par le contact immédia
Il existait de plus un bourrelet osseux néoformé au pourtour de la
tête
du fémur ; or il n'existe pas normalement à ce
s parait se justifier par le fait qu'au même endroit en avant de la
tête
fémorale se trouve à l'état normal une empreinte
vu mince et transparente à un tel degré. Sur la coupe oblique de la
tête
fémorale, région où normalement il n'existe que
l'ossification des ligaments et des bourrelets, les résections des
têtes
articulaires seront inefficaces si elles ne com
Marie : un très habile chirurgien lui avait fait la résection de la
tête
articulaire des fémurs ; or l'amélioration qui s'
résection des bourrelets ou ligaments avec ou sans résection de la
tête
articulaire, il serait nécessaire de savoir si
s dit, donné un bon résultat Baumler qui'a rapi- dement redressé la
tête
de son malade en-la laissant pendre en arrière,
esquelles le tableau somatique resterait incomplet. Mesures de la
tête
: . 62 . MAGALHAES LEMOS A l'âge de 37 ans, i
ficilement et lentement. Parfois on le surprend assis, immobile, la
tête
penchée sur la poitrine et dans un certain état
l'organis- me humain. Vous voyez déjà par un examen superficiel une
tête
normale, un corps d'une petite circonférence, m
profonds, elle ressemble à la peau des mains des blanchisseuses. La
tête
, la bouche, les lèvres et surtout le menton et
est un peu plus grande que l'oreille droite et plus éloignée de la
tête
, la langue est d'une grandeur normale. Les cils
tion du crâne est, pour ainsi dire, normale. La circonférence de la
tête
est un peu agrandie grâce à la proéminence de l
o- nantes, que l'ouïe est parfaite, je finirai la description de la
tête
en vous don- rant les mesures du crâne. ACROM
est restreinte à certaines parties du corps. Comme dans notre cas la
tête
ne (1) Revue de Médecine, 1890. 86 PEL . pa
veux ondulés, retombant sur les épaules, contraste frappant avec la
tête
chauve de ses deux prédécesseurs. En voulant ex
pe de « Laocoon » au Vatican, c'est à cette époque qu'appartient la
tête
du Perse mourant (« Persiano morente »), de l'é
édiatement au-dessus de cette cypho-scoliose dorsale supérieure, la
tête
est ramenée à la verticale par une légère courbur
rappé de la petitesse de la taille, comparée au développement de la
tête
. Le crâne surtout est augmenté de volume. Mais la
'un sujet normal ; A droite, radiographie de J'achondropL1siquc (la
tête
du péroné remonte jusqu'aux plateaux des tibias
ences à suivre un objet le malade était obligé de tourner de suite la
tête
. Parmi les insuffisances asymétriques se rappro
(3) presque sur toute la surface de la peau, sauf sur la peau de la
tête
, du cou, sur les (1) Voir Nouvelle Iconographie
au toucher. La même, le 10 novembre 1905. pieds, du cou et de la
tête
sentent les piqûres les plus superficielles (Fig.
rovoquent aucune sensation sur tout le corps, sauf sur le cou et la
tête
où la sensation de pression est bien perçue.
hypoesthésie et surtout des troubles de localisation. La peau de la
tête
, du cou, celle des faces plantaires, des pieds et
aires et plante des pieds, sur la peau de l'abdomen, sur le cou et la
tête
les pressions sont normalement senties. Les o
développent principalement sur les parties supérieures du corps, la
tête
, le cou, le dos ou les parois costales (3). « Ils
duites par les coups sur l'épaule déterminant l'abais- sement de la
tête
humérale et sa projection en avant les paralysies
ouvements d'abduction forcée en hyperextension projetant de même la
tête
de l'humérus en bas et en avant les paralysies,
n for- cées, ils ont vu le plexus brachial s'appliquer aussi sur la
tête
de l'hu- mérus, comme sur une poulie de réflexi
une légère impotence du membre supérieur droit et un violent mal de
tête
. 6 septembre. Nouvel ictus plus grave, avec dou
e une hémiplégie flasque à droite, avec dé- viation conjuguée de la
tête
et des yeux, abaissement de la commissure la- b
nts de lui ; lorsqu'on l'interroge il cherche à porter la main à la
tête
, mais sans y arriver. C'est un homme de grande
de 36 heures environ, sans en être jamais sorti. L'autopsie de la
tête
put seule être faite. Dure-mère tendue, face inte
e typique du paralytique général. Il y a un léger tremblement de la
tête
et des bras, mais il est variable et non continue
, les raidit et les rejette en arrière en même temps qu'il rejette la
tête
un peu en arrière, fléchit légèrement les membr
Revue de nombreux spécimens, à propos des Arracheurs de pierres de
tête
, des Pédicures, du Mal d'Amour, des Dentistes,
ire ? Aurions-nous affaire à l'un de ces « arracheurs de pierres de
tête
» qui firent fortune dans les Pays-Bas ? Mais»
résentent pas de raideur. La flexion, l'extension,la rotation de la
tête
sont bonnes. Quoi- que^ les membres supérieurs
il est émotionné ou à l'occasion de mouvements intention- nels, sa
tête
tremble et ses dents s'entrechoquent. , Les mem
el et leur force musculaire est très diminuée. Les mouvements de la
tête
restent toujours bien conservés. Les réflexes
e fait significatif d'un jeune homme qui, après un traumatisme à la
tête
, ne pouvait plus exécuter un seul morceau en res-
Ses traits sont déviés vers la droite avec une grande intensité. La
tête
est éga- lement tournée à droite. Il n'y a pas
tion, on obtient un culot d'hématies d'un volume égal à celui d'une
tête
d'épingle environ. Ajoutons que le malade réagi
che. Le 18 mai, à 9 heures du matin, la température est de 40°8. La
tête
est plus déviée que la veille vers la droite. L
gauche caracté- ristique. Ces traits sont déviés vers la droite, la
tête
se tourne également de ce côté. Le malade clign
de la pie-mère. Dans les deux cas encore, il y eut déviation de la
tête
du côté de la lé- sion. Il a été impossible de
iog.9 , PI. LVII) une modi- fication dans la forme et le volume des
têtes
des phalanges et des métacar- piens (extrémité
evons étudier les diverses parties de son corps par le détail. A la
tête
on constate que la partie supérieure est plus réd
fait pas de saillie mais une courbure régulièrement ar- rondie ; la
tête
se dégage nettement au-dessus de la colonne cervi
de la courbure des os longs des membres et des os du tronc et de la
tête
produisant un aspect tout particulier : les fém
ans, mais jamais chez un enfant de 5 à 6 ans. La radiographie de la
tête
montrait égale- ment que les os du crâne étaien
mparer avec ceux qui furent décrits dans mon premier tra- vail. '
Tête
et main (en comparant les radiographies de 1903 à
mois, la mère a remarqué que l'enfant ne pouvait pas soute- nir sa
tête
, et qu'elle retombait, suivant la position du cor
qu'il « ne se tient pas »,tout le corps s'affaisse sur lui-même, la
tête
est absolument ballante et retombe sans aucune
sous-cutané. Il faut signaler également l'aspect particulier de la
tête
, dû à ce que le menton est fuyant, ainsi que le
s muscles du cou, qui rendait impossible à la malade de soulever sa
tête
au-dessus du plan du lit, bien qu'elle pût la t
res supérieurs et inférieurs, parfois les quatre membres et même la
tête
, ne peuvent se mouvoir libre- ment. Il existe u
ore pas. Le chien reste constamment couché, immobile, somnolent, la
tête
appuyée sur ses membres antérieurs allongés, le
on équilibre est instable, .il titube, steppe légèrement et marche la
tête
baissée, comme un automate. Il va tantôt en lig
eu rt il finit par tomber. La chute se fait habituellement sur la
tête
, mais aussi en arrière, à la renverse ou sur le
l'un avec l'autre, nous constatons que le bras droit mesuré, de la
tête
humérale à l'épicondyle n'a qu'une longueur de
(1 à 2 cent.) de la périphérie des deux principaux seg- ments. La
tête
fait saillie en avant ; elle est enfoncée entre l
s quelques mois. , La petitesse de la malade (taille : 1 m. 28), sa
tête
volumineuse attirent de suite l'attention. Dans
anangioplasique (1), nanisme simple (2), hypotrophie (3). La grosse
tête
, les malformations faciales, thoraciques, (1) B
hitectural des plus intéressants. Saint Etienne se tient debout, la
tête
auréolée, au milieu d'une vaste cour entourée de
semble-t-il.L'attitude de la démoniaque est assez bien observée, la
tête
est bien convulsée en arrière, la bouche ouverte,
pied creux, par des rétractions fibreuses, étendues du calcanéum à la
tête
du premier métatarsien, trousseaux fibreux qui
face interne du bras, le sciatique poplité externe au niveau de la
tête
du péroné, tous ces nerfs sont augmentés de vol
fig.). -A la voûte plantaire, par suite de la saillie marquée de la
tête
du premier et du cinquième métatar- siens, il e
vent mar- cher qu'avec une canne dans la main droite et marchent la
tête
penchée en avant et regardant le sol avec soin.
angle sus-claviculaire, scia- tique poplité externe au niveau de la
tête
du péroné mais encore sur les rameaux nerveux c
t,pas de troubles sphinctériens.Rien aux membres supérieurs et à la
tête
. Rachis : mouvements gênés dans la région dorso
dans le service du professeur Raymond où on constate ce qui suit : la
tête
est penchée en avant, raide et immobile ; aux m
ureuse au palper et à la percussion ; il évite tout mouvement de la
tête
, qu'il tient inclinée en avant et à gauche, et de
Il existe 4 foyers de dégénérescence. L'un, en avant, en virgule à
tête
antérieure, correspond au pédoncule cérébelleux
ses, mais on voit la blancheur un peu éteinte de la sclérotique. Sa
tête
est tournée à droite ; et ce fait est caractéri
nt (autant au sens littéral que figuré) ; les idoles ont encore des
têtes
d'animaux exprimant telle qualité de la divinit
, ne pouvaient plus se débarrasser de lui, il était resté en tète à
tête
avec son persécuteur et se croyait 'lié par un
e ; lorsqu'il a été interné, il se mettait en devoir de trancher la
tête
à sa maîtresse qui cependant déli- rait avec lu
ement ses deux mains avec des clous longs et acérés, en frappant la
tête
des clous sur le sol de sa chambre, élève ses m
siques de la dégénérescence mentale : oreilles très écartées de la
tête
et très développées, lobule sessile, etc. Sa phys
dans une sorte d'extase; il prend des airs penchés et inspirés; la
tête
, après avoir subi quelques oscillations, tombe
t plusieurs jours, il éprouva des étourdissements, des lourdeurs de
tête
; les idées s'embrouillaient : il allait et vena
siègent son idéation. Cet homme a été il y peu de temps blessé à la
tête
; il est phtisique. Observation (SELLE, loco cil
oup ; dès ce moment il conçut des soupçons, et l'idée entra dans sa
tête
qu'un jour il aurait la preuve que cet homme av
avait entendu le mot, et ce nom de la Tré- moille se grava dans sa
tête
. C'était donc un représentant de la plus vieill
la plupart des sens et la sensibilité générale. On lui a ouvert la
tête
et accroché, à l'intérieur du crâne, une cloche
que tel que pierre, diamant ou clochette, je veux qu'on me coupe la
tête
pour pouvoir prendre l'objet en question, sinon
s savoir pourquoi, depuis que je suis ici, l'on m'a flanqué dans la
tête
, des idées que j'étais l'Etre suprême. « Il f
(sauts par exemple) pour les rap- peler : c'est le côté droit de la
tête
qui est le plus endolori. Le 1 ? janvier 1898,
ne apparence. Les extrémités de l'os au contraire sont normales; la
tête
de l'humérus a le même volume des deux côtés. D
es et des défaillances auxquels il est sujet, et augmente un mal de
tête
qui se cantonne avec ténacité dans la région pari
e près d'un enfant de tiois il quatre ans, couché sur le ventre, la
tête
relevée en haut, le front ridé, lèvres contract
EUTIQUE. 13 tomba. Le lendemain on a remarqué que l'enfant avait la
tête
un peu de côté, après survinrent les secousses.
teinte depuis trois ans et demi, d'un tic convulsif du cou et de la
tête
. Elle n'a ni hérédité chargée, ni antécédents p
coup de couteau à la cuisse et lui a tiré un coup de revolver il la
tête
; puis, croyant l'avoir tuée, il s'est appuyé cont
enfants qu'il n'a jamais corrigés outre mesure. Pierre Martin a la
tête
un peu dérangée par suite d'excès de boisson. Q
ichy, un cocher, déséquilibré également, qui leur avait jeté sur la
tête
un seau BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. 175 d'eau,
.due à une lésion des hémisphères. - a) Déviation conjuguée de la
tête
et des yeux associée il l'hémianopsie latérale.
eurs jours; elle peut être facilement corrigée, le malade tourne sa
tête
et ses yeux du DOUBLE CENTRE D'INNERVATION CORT
nt l'existence d'un centre cortical de la déviation conjuguée de la
tête
et des yeux au pied du lobule pariétal inférieu
n même temps que de l'hémianopsie de la déviation conjuguée de la
tête
et des yeux. Faut-il généraliser et dire que si l
centre postérieur sensol'io-moteur. c) Déviation conjuguée de la
tête
et des yeux par lésion du centre oculo-moteur &
lèvres, des muscles de la face, trismus, déviation conjuguée de la
tête
et des yeux. Du côté des yeux on note une « oph
temps ; le malade revient à lui et peut marcher, mais la douleur de
tête
persiste. Après un temps qui peut varier de que
es yeux presque constante, avec par- fois déviation conjuguée de la
tête
et des yeux, sur la- forma- tion rapide d'escha
ie droite avec anes- thésie. Température 38°. Le 3, déviation de la
tête
et îles yeux du côté gauche. Température 3'J,2
reux de l'en remercier... 20' : 1 2 PATHOLOGIE NERVEUSE. Le 4, la
tête
et les yeux tournent brusquement à droite; conv
e jusque-là en état de santé convenable, a éprouvé un fort mal à la
tête
avec vertige et s'est laissé choir. Il a pu se
ndort aux trois quarts. 11 existe de la déviation conjuguée de la
tête
et des yeux : la tête est inclinée sur l'épaule
. 11 existe de la déviation conjuguée de la tête et des yeux : la
tête
est inclinée sur l'épaule gauche, le menton et le
lètement affaissé. Le myosis persiste. La déviation conjuguée de la
tête
n'existe plus. Le bras gauche est complètement
paralysie flasque et les paupières sont abaissées. Déviation de la
tête
et des yeux à droite; pupilles punctiformes, im
; paupières'abaissées, léger nystagmus latéral ; la déviation de la
tête
et des yeux a disparu, mais on constate par mom
ue, avec phénomènes paralytiques, hémianes- thésie, déviation de la
tête
et des yeux, sans perte de connaissance ; enfin
usquement avec une hémiplégie gauche flasque, de la déviation de la
tête
et des yeux à gauche, des convulsions à droite,
e Gull : en se promenant, la malade s'écrie tout à coup : « oh ! ma
tête
» laisse aller sa DE .L'APOPLEXIE PROGRESSIVE.
nait depuis une quinzaine de jours de dyspepsie et de douleurs de
tête
. Le 26 février 1858, il 7 heures du matin, servan
du matin, servant ses clients, elle s'écria brusquement : « Oh ! ma
tête
, je vais mourir ! » et elle tomba. Après sa chu
me les yeux fermés. Pendant la marche en avant, l'inclinaison de la
tête
de gauche à droite fuit perdre l'équi- libre, l
os. Pas de nystagmus de rotation, quelle que soit la position de la
tête
. Pas de vertiges de rotation. Quand elle voit l
ccessoire du même côté. Anesthésie totale de la moitié gauche de la
tête
et de la face et, en outre, uneothésie dans la
t de la crédulité et de la sottise humaines. Qu'ils se jettent à la
tête
le célèbre mentiris impudentissime, c'est affaire
alée au début persiste seule. 15 décembre. Rotation conjuguée de la
tête
et des yeux à droite, par conséquent du côté de
té de la lésion encéphalique. Toute tentative de redressement de la
tête
est extrêmement pénible ; il est impossible de
s articulations du pied. Disparition de la rotation conjuguée de la
tête
et des yeux. 12. Les douleurs s'étendent au côt
un vice de conformation des cornets inférieurs. La résection de la
tête
de ces cornets rétablit la perméabilité des fosse
n d'insister sur les mouvements irréguliers en forme de tics (de la
tête
) des deux enfants, et sur ceux (des doigts) qui
e un cas d'hémiplégie faciale également produite par un coup sur la
tête
, Archives, 2° série, t. VIII. 21 322 REVUE DE
de ou à ce que l'on lui dit de faire, il répond par un mouvement de
tête
, mais il est impossible d'obtenir de lui ni l'e
semble parfois qu'il veuille interpeller quelqu'un, en tournant la
tête
vers lui, et qu'il se dispose à écou- ter, mais
jambes ; ataxie et tremblement de mains; parfois tremblement de la
tête
; intégrité de la sensibilité et des céffexes; l
ine Joachim, âgé de soixante-dix ans; la mort a été instantanée, la
tête
ne tenait plus que par les vertèbres. La coup
à la tombée de la nuit, elle voyait des fantômes autour d'elle, des
têtes
grimaçantes. Mais les hallucinations de la vue
ù l'on oonstate une fracture du bassin et plu- sieurs plaies sur la
tête
et sur le corps. Elle s'était précipitée d'un 3
s comme un souffle, un fluide dans la poitrine, la gorge, dans la
tête
, et pourtant je ne l'entends pas par les oreilles
, il remarquait une chose bizarre : « des fois, on me cause dans la
tête
, je ne puis dire si c'est une voix d'homme ou de
is tout de même c'est bizarre. » Au moment où la voix parle dans la
tête
ou dans la poitrine, il éprouve une sorte d'ang
sie, poussé par ses idées de per- sécution, il frappa sa femme à la
tête
et l'aurait tuée, mais il prit la fuite et se r
nage. Pas d'autres détails. - Accouchement à terme, naturel, par la
tête
( ? ). A la naissance, rien de particulier. Jam
che. On l'essuie et elle se reproduit à intervalles rapprochées. La
tête
et le regard sont légèrement tournés à gauche.
n partie connaissance, il peut nous dire qn'il soutire un peu de la
tête
. Le corps est affaissé comme brisé de fatigue.
tes d'intervalles. Quelquefois elles sont accompagnées d'un coup de
tête
en avant ; assis l'enfant ne tombe pas, mais de
bres mais rien que des pattes. Forte dilatation des vaisseaux de la
tête
, rougeur intense des oreilles, de la muqueuse nas
emiers atteints. Dauby, aidé par son personnel, tint courageusement
tête
au fléau et parvint à enrayer le mal, à le limi
aciale, malform a tions dentaires, grandes oreilles détachées de la
tête
, mal ourlées, voûte palatine rétrécie, asymétri
ntastiques et marche sur du sable parsemé de diamants. Ou bien à la
tête
de ses armées, il fait la guerre à l'Allemagne,
ginaire. Les murs de sa cellule lui semblent des caveaux remplis de
têtes
d'hommes ; il veut construire des maisons jusqu
. Le sommeil lui est impossible, il doit marcher toute la nuit la
tête
couverte d'un drap, sinon les voix l'insultent :
et renfermée; ratatinée sur elle-même, les extré- mités froides, la
tête
un peu rouge, maussade, elle ne se laisse point
la moitié gauche du corps comprenant le bras, la jambe, la face; la
tête
est tournée à gauche ainsi que les globes ocula
ligible. Mais la connaissance est entière, il semble souffrir de la
tête
, car il se saisit souvent le front. Marche lente,
e produit une attaque d'épilepsie corticale; brusque rotation de la
tête
à gauche, avec convulsions cloniques violentes de
n de la colonne cervicale; des douleurs dans la moitié gauche de la
tête
et de la face; des névral- gies dans le maxilla
'que le sus-épineux et le grand pectoral pressent énergiquementla
tête
humérale dans la cavité articulaire. P. Keraval.
lle de gauche mais elle réagit bien) intégrité des mouvements de la
tête
, du facial, de la langue, de la parole, de la d
sensibilité au tronc, à droite seulement; sensibilité normale à la
tête
et au bras gauche, disparue à la partie inférieur
n dans le sang. Intégrité de la rate et des viscères. Le 2 juin, la
tête
penche un peu à droite; paralysie flasque des d
lles. De temps à autre nystagmus intentionnel. Les mouvements de la
tête
deviennent douloureux ; la nuque est raide.l3=3
t parait hébétée; elle délire et le nystagmus progresse. Dysphagie.
Tête
rejetée en arrière et à droite ; raideur de la nu
de la paille. 11 aurait pu dans un moment d'agitation se fendre la
tête
contre les murs ou contre les barreaux puisqu'il
ns même qu'il aurait presque été humain de l'enchaîner, au moins sa
tête
aurait été préservée. « La religieuse s'apercev
a attaché à un des barreaux son mouchoir dans lequel il a passé sa
tête
. Le gar- dien, qui arrivait quelques instants a
nt point là pour la rassurer, la malheureuse a perdu tout à fait la
tête
: elle s'est asphyxiée hier avec ses deux enfants
, Lagnel prit un râteau et en asséna trois coups si violents sur la
tête
du jeune soldat que le râteau se brisa et que l
ervée aux enfants simplement arriérés. Mule Anna Bohl, qui est a la
tête
de la première depuis 1893, a présenté un mémoi
s. « A mesure que quelques connaissances trouvent accès dans leur
tête
, jadis si rebelle, leur coeur s'ouvre ; ils ne
aucune anomalie cra- nienne ; pas de stigmates de dégénérescence.
Tête
un peu dolichocéphale; bosses frontales symétriqu
arquée de la région postérieure donnant une apparence de coeur à la
tête
. Plagiocéphalie : bosse frontale gauche et surt
peu particulière et n'est pas celle qu'affecte ordinai- rement la
tête
des hydrocéphales. La paraplégie de l'enfant do
e du reste du poumon. - Gros ganglions caséeux au niveau. de la ,
tête
du pancréas. Pet... (Emile), né à Grand-Ralleco
de secousses, pas de grincements de dents, pas de balancement de la
tête
, mais seulement un léger tour- noiement latéral
tement. Développement PHYSIQUE. 33 Tableau des mensurations de la
tête
. 34 Imbécillité athétosique. et au menton, co
maternel. II. La conception, la grossesse, l'accouchement (par la
tête
) et l'état de l'enfant à la naissance n'ont offer
, ... z t : Ó O : - ? ' - ' .. ' C .. ' g ' - Mesures- délai
tête
. : . <1 - ' . p 1888 1889 1890 1891 1892 1
opsie : CRANE ET cerveau. Autopsie faite 33 heures après la mort. -
Tête
. Cuir che- velu : maigre, pâle, ecchymose. Cr
doute sur la réalité d'une paraplégie prédominant à gauche. V. La
tête
a augmenté progressivement de volume dans tous
oigne.... L'examen physique révèle les particularités suivantes :
Tête
arrondie, symétrique; cheveux chatains, denses ;
ns digestives paraissent se troubler, indigestions avec douleurs de
tête
, se plaint d'avoir mal aux tempes, reste huit j
ect diminue sensiblement quand les bras sont élevés au-dessus de la
tête
, pas de malformation des omo- plates ; un peu d
ser : il porte, en pous- sant des cris rauques, les deux mains à la
tête
et se préci- pite sur un banc en essayant de se
à la tête et se préci- pite sur un banc en essayant de se cogner la
tête
. On essaye de le maintenir, il donne des coups
l. Le 6, les parents le ramènent chez eux. Les men- surations de la
tête
à l'entrée et à la sortie n'accusaient qu'une a
he, grince cons- tamment des dents, tourne les yeux en balançant la
tête
. Il ne baue pas, ne se livre pas it l'onanisme.
es sont situés dans les bourses et sont du vo- lume d'un haricot.
Tête
. - La dure-mère est très adhérente au crâne. La
.. que nous avons rap- porté plus haut (p. 17-25). La forme de la
tête
de Le Ga.. et de Pint.. (PL. IX) est tout à fai
s), Il ans, entré à l'infirmerie lé 31 août, se plaignant de mal de
tête
. Toux fréquente, et à l'ausculta- tion râles de
: - " ? ? ' ;. ? - - 6 septembre. Se plaint toujours de. mal : de :
tête
délire^ peu bruyante insomnie.. - Langue large,
convulsions : l'un est mort à quelques mois après une chiite sur la
tête
; l'autre est mort à vingt-sept ans des suites d'
e peu intelligente; G .. a l'air assez bien portant physiquement.
Tête
. Le co.îtne offre un volume normal ; les bosses p
novembre. Entré an pavillon d'isolement. Le malade accuse du mal de
tête
. La face est rouge, les conjonctives injectées.
ée, agitation violente traitée par des applications de glace sur la
tête
et l'injection d'un centigr. de morphine. La te
èvre TYPHOIDE, Autopsie faite vingt-quatre heures après la mort. --
TÊTE
. - Cuia chevelu maijre. - Crâne un peu épais (5
sur son lit et se laisse retomber en arrière, frappant durement sa
tête
sur l'oreiller. Tableau du poids et de la taill
iples. Sommaire. - Père alcoolique ; otite entraînant des maux de
tête
continuels. - Grand' mère paternelle, caractère d
ance trois circulaires du cordon autour du cou, état asphyxique, La
tête
était volumineuse, ce qui retardait l'accouchem
gai mais très irascible ; lorsqu'il est en colère, il se frappe la
tête
contre les murs. Il est assez affectueux et rec
a peau est fine et assez blanche, le visage et le cou sont hâlés.
Tête
. Les cheveux, châtains clairs, descendent bas sur
els nous offrent à noter : a) l'asphyxie et le volume exagéré de la
tête
à la naissance ; b) une méningite grave à trois
de cas pré- cédemment publiés. 164 Épidémie de fièvre typhoïde.
tête
(krouomanie), clastomanio, gloutonnerie, excita-
enfants », pas de migrai- nes, cependant depuis 18 mois douleurs de
tête
avant les rè- gles. Caractère assez vif. Jamais
le, 16 ans, pas de convulsions, intelligente, douce ;dou- ! eu)\'. de
tête
se reproduisant trois ou quatre fois par semaine
érine : - 10° fille morte à 6 mois, convulsions chaque semaine ; sa
tête
était toujours rejetée en arrière, tombant entr
e mélancolie et de taciturnité, le tout accompagné de douleurs de
tête
. En môme temps les sentiments affectifs dimi- n
de vomissements. - Accouchement en six heures, présenta- tion de la
tête
; elle ne peut dire si elle a perdu beaucoup d'
trée. On n'a pas noté de krouomanie, mais souvent elle mettait la
tête
entre les mains comme quelqu'un qui souffre. On n
, presque méchant. - Balancement . Etat actuel. 1S7 latéral do la
tête
. - Cheveux blonds, abondants au sommet de la tè
moindre, est également perceptible sur les cuisses, mais non sur la
tête
et les bras. Lorsqu'on lui dit de remuer les me
trouble, sans aucune cause apparente, et se plaignit de douleurs de
tête
, en même temps qu'il lui était impossible de se
ant deux jours, après quoi il fut atteint d'nne violente douleur de
tête
qui le contraignit à garder le lit. Il fut si.i
léchissent sur les jambes, et le tronc se fléchit sur le bassin, la
tête
éprouve, par rapport au tronc, un mouvement de
saccades qu'elle présente dans la marche, mais les mouvements de la
tête
sont beaucoup plus accentués, et sa face est gr
e l'état général restant satisfaisant, les membres supérieurs et la
tête
auraient été paralysés au point qu'elle ne pouv
es mouvements violents sont également sans influence. Quand il a la
tête
couverte, le DES ÉPHIDROSES DE LA FACE. ' -1<
i de se retenir : il n'est jamais tombé. Il n'accuse ni douleurs de
tête
, ni perte de mémoire, ni aucun trouble de sensi
ne congestion cérébrale vit survenir des sueurs du côté droit de la
tête
et du moignon de l'épaule. Les repas les émotio
einte depuis plusieurs années de douleurs dans le côté gauche de la
tête
. Ces douleurs survenaient à inter- valles irrég
ur, hyper- thermie et éphidrose de la moitié correspondante de la
tête
. Pendant ces accès la pupille gauche était dilaté
xcitation émotionnelle fut suivie d'une éphidrose unilatérale de la
tête
. Bartholow cite l'observation d'une femme qui p
l apprenait bien. A sept ans, un ivrogne l'a enlevé et porté sur sa
tête
, il eut peur. Trois jours après, étant à table,
s, étant à table, il tape dans son assiette avec les mains, puis la
tête
tombe dans l'assiette et il a un accès. Les acc
ux côtés. On dégage les jambes de dessous le lit. A ce mo- ment, la
tête
se met dans l'extension, la bouche s'ouvre, tout
ronique prédisposé, avec malformations crâniennes' congénitales. La
tête
est longue, le front fuyant et en carène. La ph
t d'ordinaire sans expression ; les yeux saillants, demi-clos, la
tête
penchée, la lèvre inférieure pendante, Mistral re
que de la zone sensible qui s'étendit au tronc et aux mem- bres. La
tête
resta toujours insensible, et cette anesthésie re
dermiques. En enlevant les oreillers sur lesquels semble appuyée la
tête
de M. IL., afin de rechercher s'il n'existe pas
rieure du tronc quelque zone hystérogène, nous remarquons que la
tête
ne repose pas directement sur ces oreillers ; ell
t se retenir; l'une d'elles avait des hallucinations de la vue ; la
tête
est lourde ; elles ont des secousses, laissent
dans nos établissements aux enfants des deux sexes comportent par
tête
et par jour . albumine, 75 gr. ; giaisse, 55 gr.
iner, mais non à lire. Si c'est la mémoire de la forme qui tient la
tête
, l'enfant apprendra bien à lire, mais non à écr
rfs crâniens et des organes sensoriels situés dans le domaine de la
tête
. A une certaine période de leur développement, le
gie des centres corticaux moteurs. Homme de trente ans, frappé à la
tête
d'un coup de fourche à fumier qui l'étend sans
et de la respiration. Température normale. Ne peut supporter sur la
tête
la glace qui augmente ses douleurs. Mal- gré le
aire dilaté : un drain est placé. On favorise par la position de la
tête
l'écoulement d'une sécrétion d'abord purulente, p
veau de le mettre sous garde. Il vociférait à chaque instant que sa
tête
était perdue. En cette même année I 5 60, le di
ité, de pesanteur, de chaleur, etc., tantôt de la pesanteur de la
tête
, chaleur dans le côté gauche et le dos au momen
et descendant du dos et de la paume de la main jusqu'au niveau des
têtes
métacarpiennes. La maladie dura près de cinq se
vements secondaires compensateurs des membres supérieurs et de la
tête
, destinés à maintenir l'équilibre autant que po
ements coordonnés pour la marche est dans la moelle.-Si on coupe la
tête
d'un canard d'un coup de couteau, il s'agite et
On dit que l'empereur Commode faisait, dans le cirque, trancher la
tête
à des autruches à l'aide de faulx et que ces an
aient capables de produire des actes conscients. - Tieel tranche la
tête
à un serpent d'un seul coup, puis le touche ave
pides, mais réguliers. '18" accès. - Subitement le malade tourne la
tête
vers la droite, les yeux sont fortement portés
oite, les yeux sont fortement portés de ce côté, puis il reporte la
tête
à gauche; la face rougit, la contracture devient
0 centimètres du plan du lit; la jambe droite reste horizontale. La
tête
se reporte à gauche. Les con- vulsions continue
Pas de cri initial, mais un bruit étouffé. Au début de l'accès, la
tête
et les yeux sont fortement portés à gauche, pui
écriait : «Maman, bobo», il se plaignait que ça lui piquait dans la
tête
et dans le nez. Il accourait vers sa mère chez
renverse les objets qui étaient devant lui ; bientôt, flexion de la
tête
en avant, lèvres avancées, aucun cri, on le ret
omatiques précédant immédiatement l'accès. - ¡\lor.... se frotte la
tête
et marche en disant : « Oh ! j'ai mal il la tèt
, si un malade qui parlait se tait d'une façon continue en avant la
tête
et les membres raides, c'est sûrement de la Cat
re examen les muscles antérieurs du cou contracturés empêchaient la
tête
de reposer sur l'oreiller; si on levait un bras
une transpiration abondante des deux côtés du corps et surtout à la
tête
... » Voici maintenant les deux analyses que nou
trique delazone sensible qui s'étendit au tronc et aux membres. La
tête
resta toujours insensible et cette anesthésie rep
du délire, soit du trouble dans les idées, soit de la pesanteur de
tête
. » z En somme, les malades sortent fréquemment
de suite jusqu'à huit par jour. L'assoupissement, la pesanteur de
tête
, les éruptions indiquent la nécessité de diminuer
impressionnable nous dit qu'elle souffre habituellement de maux de
tête
; depuis trois ans environ elle a des douleurs né
ionnable et qu'elle souffre très souvent de violentes dou- leurs de
tête
. Pas d'autre accident nerveux à signaler. La pa
t et de jour jusqu'à cinq fois dans les mêmes vingt- quatre heures (
tête
à gauche, ronflement, bave) '. Avant les accès
oite à huit ans (chute d'une charrette). Etat actuel (21 mai 1883).
Tête
carrée, symétrique, sans proéminence de l'occip
ar places. Le rein droit (55 gr.)-a le même aspect que le gauche.
Tête
. Voûte et base du crâne symétriques. A l'ouvertur
les chevaux et les buffles ne mangeaient pas; ils avaient appuyé la
tête
sur le rebord de leur cage, comme accablés d'un
levé les deux pattes antérieures en se cramponnant aux rebords, la
tête
soulevée. Après une demi-minute, nous avons con
euxième minute, non seulement il ne mange plus, mais il détourne-la
tête
pour ne pas voir l'aliment. Onzième expérience.
tard, non seulement il refuse de manger, mais il détourne aussi la
tête
: Le trem- blement, s'accusant vers la fin des
d, nous avons pris les tracés en repos; ensuite, les tracés avec la
tête
en haut ou en bas; enfin, les tracés du balance
ncements, nous avons entrevu très nettement qu'à chaque chute de la
tête
, le diaphragme se sou- levait en repoussant les
s intestins qui remontaient vers le diaphragme à chaque chute de la
tête
, et redescendaient du côté opposé à chaque soul
mal, pendant le balancement. Là où le tracé commence (à gauche), la
tête
était en haut; ensuite la tète descend par l'ab
. Balancement simple. - Pendant le balancement, les lapins ont la
tête
appuyée sur la planche; les oreilles dressées;
secousses intestinales qui se font sentir à l'abaissement de la
tête
, en pressant sur le diaphragme. Donc, l'influ
a pression intes- tinale, qui se fait sentir pendant la chute de la
tête
. Nous avons obtenu le même résultat parla secti
mouve- ments les plus désordonnés. Assis, il porte brusquement la
tête
de tous côtés, grimace étrangement, ouvre ou ferm
s que nous n'apercevons pour notre part, qu'un front fuyant sur une
tête
un peu allongée. L'examen de la bouche nous fait
nous présente deux photographies de la malade D... : sur l'une, la
tête
est fortement fléchie, l'occiput très relevé, s
eu de réllexion suffit à faire reconnaître que ce n'est point là la
tête
en pain de sucre, la tête acrocéphale dans laqu
aire reconnaître que ce n'est point là la tête en pain de sucre, la
tête
acrocéphale dans laquelle, on le sait, le bregm
er- ticale. Du reste, par la seconde photographie, dans laquelle la
tête
est laissée libre, dans sa position naturelle,
sure aisément qu'il n'y a pas d'acrocéphalie. La conformation de la
tête
de 111'"e D", (aplatissement frontal et dotycoc
, à l'habitude que les matrones ont dans certains pays de serrer la
tête
des jeunes enfants pour assujettir la coiffure.
il est évi- dent que tous ces signes réunis "Ill' une seule et même
tête
suffiraient à caractériser une dégénérescence d
que j'ai eu l'honneur de vous soumettre ainsi que les mesures de sa
tête
vous renseignent sur la réalité des faits que j
foyer de ramollissement ancien, gros comme un lentille, occupe la
tête
du corps strié gauche; un autre foyer de ramollis
la calotte est plus aplatie et forme un plan oblique très escarpé,
tête
trigonocéphale, à base relative- ment courte et
Faculté La physiologie pathologique de la déviation conjuguée de la
tête
et de yeux a suscité de nombreuses -discussions
phénomène à la lésion d'un centre cortical des mouve-' ments de la
tête
et des yeux, centre qui serait situé au niveau du
ade était subitement prise d'une crise de déviation conjuguée de la
tête
et des yeux sans aucune convulsion des bras. La t
onjuguée de la tête et des yeux sans aucune convulsion des bras. La
tête
se déviait vers la gauche par petites saccades,
ents jacksonniens exactement limités à la déviation conjuguée de la
tête
et des yeux vers la gauche, c'est-à-dire du côté
CAS d'épilepsie JACKSONNIENNE portant sur le centre conjugué de la
tête
et des yeux. (Cbiray) . NOUVELLE ICONOGRAPHIE
ndiculairement à la surface qui leur donné naissance. On dirait une
tête
chargée de mousse. Les mêmes productions ostéop
clusivement localisèe à la phalangette. Cependant le pé- rioste des
têtes
de la phalangine de l'auriculaire et de la premiè
par un angle à peine arrondi se continue avec le sommet aplati de la
tête
. En arrière, la paroi est constituée du haut en
acquise, et voici le récit qu'il nous a fait : dans le jeune âge, la
tête
fut serrée d'avant en arrière entre une roue de
stose couvrent la plus grande partie de ces épiphyses. Cependant la
tête
voisine de l'ayant-dernière phalange peut t com
ypothèses est t donc assez circonscrit. - Bien que la forme de la
tête
de notre malade n'ait peut-être aucun rapt port
1902, Bd. 44. S. 251, etc. (5) BABÉS, Anomalies congénitales de la
tête
déterminant une transformation symé- 10 0 CHEVA
périeur il présente une bifurcation exactement symétrique avec deux
têtes
articulaires qui commandent chacune un rayon digi
Salpêtrière, 1911, p. 329. (2) 13ABÈs, Anomalies congénitales de la
tête
déterminant une transformation symé- trique des
persistèrent, elles s'accroissaient pendant la marche. Douleurs de la
tête
. La névrose traumatique avec rigidité de la col
faisceau de Gowers (fig.7) atteint par un déplacement progressif la
tête
de la corne postérieure, si bien que sur la figur
se servitude son bras droit, car chaque mouve- ment fait tourner la
tête
à droite. « Je suis, dit-elle, obligée de regar
est évident que, pensant à son ennemie, cette jeune fille tourne la
tête
à son insu, vers l'endroit où se trouve la femme.
. Par un processus de substitution mentale, le besoin de tourner la
tête
se fait sentir chaque fois qu'elle se sert de l
ESSIONNELLES 1 J 1 se servir de sun couteau à table sans tourner la
tête
. Il s'ensuit une rigidité du bras et de la tête
ble sans tourner la tête. Il s'ensuit une rigidité du bras et de la
tête
par suite de l'effort de corriger le torticolis e
e tâche de maîtriser. Par suite du besoin automatique de tourner la
tête
et de l'effort fait pour ne pas la tourner (don
nt pendant longtemps. Même au repos, la malade tourne maintenant sa
tête
un peu à droite et maintient contractés les mus
les muscles du cou et de J'épaule de ce côté. L'effort de tenir la
tête
droite, ou tournée à gauche n'est pas accompagné
jours après n'ayant pas suivi mes instructions, se plaignant de la
tête
; le tic était pire que jamais. Je lui ai donné
, leur vibration était légère et elles n'affectaient que le corps, la
tête
et les bras, mais non les mains. Ce tremblement
rt grec. Une harmonie parfaite unit toutes les parties du corps. La
tête
se dresse fièrement sur un cou droit et fort. D
ent regardé par les médecins. Ils y découvriront, dans le rendu des
têtes
et des extrémités, dans les attitudes et jusque
ppartient il la même femme étant en marche. Le cou est rigide et la
tête
est légèrement portée en arrière (comme Babinski
ver à une plus grande rapidité dans les variations d'attitude de la
tête
et du corps que les autres, beaucoup de labyrinlh
embre, mais même plusieurs membres et par conséquent le tronc et la
tête
. Les secousses peuvent être produites par les e
cités directement que s'ils le sont en plaçant le pôle actif sur la
tête
du péroné. Lorsqu'un homme jeune, sans qu'il y
tant plus accentué que Péquin; la face dorsale est très convexe, la
tête
de l'aslragale faisant saillie sous la peau ; l
'ACROMÉGALIE 229 par de nombreux auteurs ; de plus, ces os ont leur
tête
déformée et agrandie. On observe en outie un ag
pas articulés dans le prolongement l'un de l'autre : tandis que la
tête
du De métacarpien se trouve au contact de la tète
fois la phalangine supplémentaire et la phalange du 5e orteil ; la
tête
du S' métatarsien est notablement réduite. En déf
phalangette du 5° orteil eUes deux ensem- ble s'articulent avec la
tête
volumineuse de la phalange anormale. Enfin il e
imitée : le malade n'arrive que péniblement à mettre la main sur la
tête
, et ne peut élever son bras à la verticale. Il
la flexion de Pavant-bras et de la cuisse, ou après l'extension de la
tête
. Ces examens pratiqués sur un grand nombre de s
uvre la bouche largement, la referme sans avoir prononcé un mot, la
tête
est jetée en avant, les épaules sont relevées, su
térisant ce'cerveau. Coupe /(intéressant la moitié antérieure de la
tête
du noyau caudé). Il I y a une réduction du corp
corps strié jusqu'au tiers du volume normal. La proé- minence de la
tête
du noyau caudé a presque disparu. La surface vent
osition suivante : les membres pendant inertes le long du tronc, la
tête
fortement penchée en avant, le menton arrivant
possibles, mais l'extension s'effectue sans force, la flexion de la
tête
par contre est vigou- reuse ; les muscles stern
chutes, et peut éviter, en s'aidant des membres supérieurs, que sa
tête
ne heurte le sol. Jamais il n'a perdu connaissa
rencontre fréquemment; les doigts sont déli- cats et effilés. La
tête
est quelquefois volumineuse, le maxillaire supéri
xamen de la malade nous constatons une taille réduite : 1 m. 35. La
tête
, un peu trop grande, a l'aspect de l'hydrocéphali
UDIÈRE Au point de vue morphologique, on remarque : Du côté de la
tête
: l'asymétrie du crâne ; la bosse frontale gauche
ième métacarpien s'articule un nodule osseux arrondi, tandis que la
tête
des trois autres métacarpiens est absolument li
n travail. Il y a quelques jours, dans une chute, il a frappé de la
tête
(région temporale droite) contre PATHOGÉNIE DE
nçaient toujours par le côté gauche : le malade tourne fortement la
tête
vers la gauche, dirige le regard à gau- che, et
infectieuses susdites, avec peut-être le typhus et la pneumonie en
tête
, produisent souvent une méningite, dans quelque
técé- dents : à )'age d'environ deux ans le malade est tombé sur la
tête
; il est resté sans connaissance pendant douze
- sivement de l'état mental. Il est vrai qu'ils ont /' abdomen à la
tête
, mais nous reconnaissons en eux un état névropa
probables), limitant légèrement les mouvements d'élé- vation de la
tête
. Marié deux fois, la première à 27 ans, la deuxiè
de la'route. Notre malade, pro- jeté à 7 ou 8 mètres, tombe sur la
tête
. Il reste sans connaissance environ une demi-he
and de char- lion vers dix heures du soir. Il avait des plaies à la
tête
; la plus grave sié- geait au niveau de la boss
t fut agitée, il ne dormit pas, il était énervé, se plaignait de la
tête
, du corps, mais ne cherchait pas à se lever. Il
nfectées, il ne tarde pas à éprouver des douleurs horribles dans la
tête
, de sorte que le médecin doit pratiquer des inc
chute-là. Il 11 accusait des étourdissements et des douleurs dans la
tête
, dans les yeux. Il dormait peu, mangeait mal :
ns qui lui sont posées ; quelquefois il fait un signe négatif de la
tête
. Il n'a pas de confusion mentale ; on constate qu
sur une de ses pupilles, il ferme les yeux, mais ne détourne pas la
tête
. Pouls petit et rapide (96 pulsations). Hyperes
e ne pouvais pas parler. C'était comme une paralysie intérieure. Ma
tête
était comme vide. Je me rappelle bien tout. Je
, si je frappe un peu dur les pieds sur le sol, ça me sonne dans la
tête
. Je ne peux pas lire, ça m'épuise. Je travaille
dire que je déraisonne, mais c'est comme un voile qui passe dans la
tête
. Je reste quelquefois un quart d'heure sans pense
eil est quelquefois mauvais. Il accuse des douleurs légères dans la
tête
et dans les reins. Le faciès est rosé. Juillet.
jacksonienne portant sur le centre conjugué des mouvements de la
tête
el des yeux, par CRIRAY, 1. - Groupe « Ires i
ackso- nienne portant sur le centre conjugué des mouvements de la
tête
et des yeux, 1. CLUZET et Lf : vr (L.). Etude c
urs peu vives, avant l'apparition de la rougeur, et des douleurs de
tête
assez intenses pour l'avoir empêché de dormir l
aire le malade porte sans difficulté et sans douleur la main sur la
tête
. La pression ne donne aucun point douloureux, s
nce de la lèvre inférieure. - Oreilles moyennes, peu écartées de la
tête
, assez bien ourlées, mais le lobule est adhéren
'articulation du genou correspondant, a des cartilages normaux. -
Tête
. - Cuir chevelu amaigri. Le crâne, ovoïde, à gr
ho. On l'essuie et elle se repro- duit à intervalles rapprochés. La
tête
et le regard sont légèrement tournés à gauche.
n partie connaissance, il peut nous dire qu'il souffre un peu de la
tête
. Le corps est affaissé comme brisé de fatigue.
tes d'intervalles. Quelquefois elles sont accompagnées d'un coup de
tête
en avant; assis l'enfant ne tombe pas, mais deb
uement projette les jambes et les bras de tous côtés et renverse la
tête
en arrière ; à diverses reprises l'incurvation
rusquement à terre comme foudroyé en poussant un cri de terreur. La
tête
se rejette en arrière, les yeux se portent en h
plusieurs 8 tours sur lui-même, puis le corps reste en spirale, la
tête
tournée il droite, les jambes portées il gauche
de deux mois. C'est il ce moment que l'on nota le tremblement de la
tête
. L'oeil droit, resté dévié après les convulsion
ont il se plaignait « il chaque changement de saison. » Ces maux do
tête
duraient deux ou trois jours. A l'âge de 4 ans,
table période de rémission. - Debout, pendant assez longtemps, la
tête
ne tremble que très peu, contrairement avec l'agi
a z 0 a. - 2 « Est 130 Croissance : développement DE la
tête
. injections de permanganate de potasse. A cet é
éliora peu à peu en deux mois ; - 3° tremblement des mains et de la
tête
; - lao déviation de l'oeil droit qui persista
tremblement. Dans la station verticale, il intéresse tout le corps,
tête
, tronc, membres, plus prononcé pourtant dans le
a station assise, les bras et les jambes sont immobiles ; seule, la
tête
tremble, mais moins que dans la station vertica
décubitus dorsal, peu après le coucher, tout le corps, y compris la
tête
, est immobile. Il serait superflu de comparer c
ouvent dans son lit. Tandis que, avant, il ne souf- frait pas de la
tête
, depuis, il s'en plaint souvent. Il n'aurait ja
que sur les coupes de petits foyers sanguins de la dimension d'une
tête
d'épingle et d'une couleur très foncée, véritab
e ( ? ) : rémission des accès pendant trois mois. - Secousses de la
tête
et du tronc. Description de la malade à l'ent
heuivs. Souvent, quand on la prenait sur les bras, elle rejetait la
tête
en arrière et avait 8 ou 10 secousses convulsiv
étend qu'ils étaient transformés et consistaient en secousses de la
tête
et du tronc, revenant deux ou trois fois par jo
ieux. Elle crie ou pleure sans cesse et ne reste pas tranquille. La
tête
est bien développée mais asymétrique, la bosse
tressautait et c'est par là qu'on s'apercevait qu'il entendait. Sa
tête
tombait de côté. Il ne souriait point. » A troi
nomie n'exprime aucune intelligence, mais dénote un état maladif.
Tête
un peu carrée, assez développée, symétrique; les
ite, en poussant un léger grognement, tout près des yeux ; remue sa
tête
de droite et de gauche. Onanisme très fréquent
qui est du à la manie qu'avait l'enfant de se frotter sans cesse la
tête
contre son oreiller. - Le crâne, peu épais et p
a Taille. 192 Sclérose tubéreuse ou hypertrophique. Mesures de la
tête
. , ' ' Hérédité. 193 Un oncle, alcoolique, es
bituellement une bonne santé, se plaignait seulement de douleurs de
tête
de temps en temps. Il était d'un caractère natu
à se rouler sur les matelas, monter sur la table, en chantant à tue
tête
: « Oh ! ce qu'on est bête quand on est amoureu
. - Convulsions à 6 mois suivies d'une augmentation du volume de la
tête
. - A partir de 9 ans crises épileptiformes. - D
- Onanisme. Crises et vertiges épileptiformes. - Description de la
tête
. - Cachexie progressive. - Mort. Autopsie : C
a naissance. A 6 mois, la fillette est prise de convulsions et sa
tête
se met à grossir, jusqu'alors la mère n'avait rie
a direction postéro-antéricure. Pas de cicatrices, ni de séborrhée.
Tête
offrant le type classique de l'hydrocé- phalie,
eux. On a remarqué en outre des vertiges assez fréquents. 5 mars.
Tête
énorme, ovoide il grosse extrémité posté- rieur
nsidération. Notons toutefois que, durant les six premiers mois, la
tête
de la fillette aurait été normale. - IV. A 6
ulsions se multiplient de 6 à 18 mois, puis elles cessent mais la
tête
a, depuis, continué à grossir. V. Jusqu'à 8 ans
direction de notre ami le prof. Raymond Tripier, le squelette de la
tête
d'un hydro- uép12n1e offrant une forme très rar
aphies des ligures a bien voulu nous envoyer les mensurations de la
tête
. 226 Hydrocéphalie' : ; forme DU CRANE.' XVII
peu après survint un accès : Rigidité générale ; mou- vements de la
tête
; ronflement, écume à la bouche. Il revint à lui
s. - La mère ne sait à quelle cause la maladie. État actuel. - La
tête
est volumineuse, la région occipitale est peu s
e matin à 6 heures, il s'est fortement contusionné le poignet et la
tête
. Au moment où nous le voyons, il se ressent enc
ant quelques jours. Il a des névralgies dans la moitié gauche de la
tête
, surtout au- tour de l'oreille. La mémoire bais
cesse, elle pousse un soupir et tout est fini. Elle se plaint de la
tête
quelquefois. Quand on la couche elle a peur, il
parce qu'elle a des terreurs nocturnes. Elle se plaint un peu de la
tête
; joue moins ; se réveille la nuit, fait des «
profondes de la langue ; contusions du poignet, de la main et de la
tête
; - surdité et névral- gies temporaires. Nous d
ment du certificat immédiat nous examinons nous-méme l'enfant de la
tête
aux pieds s'il y a lieu ; il en est ainsi depuis
de nul effet, qui ne conservent pas leur pansement, frottent leur
tête
contre -colle de leurs camarades. De temps immé
) 45 ont le tic du balancement du corps avec ou sans rotation de la
tête
; 15 ont un tic coordonné des mains; 16 enfants
es employés de la Maison, puis tous réunis ont parcouru, musique en
tête
, les sections d'aliénés et les cours de l'hospi
s l'enfant s'il a de la fièvre. - b) Tableau des mensurations de la
tête
. - c) Tableau des poids, taille et force muscul
s oreilles et de la face ; pâleur. Accès de colère. Douleurs de
tête
. Grincements de dents. Tics. Manies. Onycho
ons Brachycéphale. (De deux mots grecs, brakus, court et héphalè,
tête
.) Le diamètre transversal se rap- proche sens
diamètre trans- versal. Donc dans la hrachycéphalie, crâne large,
tête
carrée. Les deux moitiés du crâne chevau- che
arcades sourcilières au-dessus de la racine du nez. Sommet de la
tête
. Protub. occipitale ext. Milieu de la suture
evant vous, ou qui termi- nent les phrases. Manie de se cogner la
tête
. Manie de se manger les ongles. Manie de répé
Échokninésie (écho, écho, Icinésis, mou- vement) APPENDICE
Tête
pointue. Tète en forme de triangle. Tète peti
PENDICE Tête pointue. Tète en forme de triangle. Tète petite.
Tête
volumineuse. Tête renfermant de l'eau. Manie
ue. Tète en forme de triangle. Tète petite. Tête volumineuse.
Tête
renfermant de l'eau. Manie du vol. Répétition
a physionomie intelligente. Lèvres et conjonctives bien colorées.
Tête
: Cheveux châtains bien plantés. Crâne, configura
gymnastique a continué ainsi qu'il suit : Tableau A. Mesures de la
tête
'lO THÉRAPEUTIQUE. Le caractère s'améliore, m
leptiques qui motivent l'entrée dans le ser- vice. Étal actuel. -
Tête
petite, arrondie, cheveux châtains, pas d'anoma
ion d'un vertige. - L'enfant est de- bout. Subitement, sans cri, la
tête
et le tronc sont jetés en avant et si l'on n'ét
bout en le soutenant sous les bras, sans cela il s'affaisserait. La
tête
, dans l'extension, est pen- chée sur l'épaule d
périodes. Chutes nombreuses. Gourmes fréquentes : les plaies de sa
tête
étaient longues à guérir ; enge- lures depuis s
ivants : Albertine n'a pas le regard franc, elle baisse toujours la
tête
quand on lui parle ; très peu expansive ; est loi
commissaire, c'était parce que « des voisines lui avaient monté la
tête
»,sans vouloir déclarer formellement qu'elle n'
le cervico-diaphysaire est plus ouvert du côté malade ; 2° Que la
tête
fémorale correspondant au fémur malade est sur
le bord interne de l'os est dirigé en bas, le condyle interne et la
tête
fémorale touchent seuls le plan horizontal sur
l point de repère doit être pris il la partie supérieure. Est-ce la
tête
? Est-ce le grand tro- chanter ? ' ? En se so
e mal); tics multiples; balance- ment du tronc, etc., cognements de
tête
, bave, grincement de dents. - Accès de colère,
ne les premiers mois, puis fati- gue pendant les derniers temps, la
tête
très basse, ce qui l'empêchait de marcher. Pas
it malade ne présente plus de plaques où les cheveux se cassent. La
tête
est encore 96 IDIOTIE symptomatique DE SCLÉROSE
16 mars. L'enfant a la teigne tondante très intense au sommet de la
tête
. Epilation et lotions parasiticides. 9 avril. P
a teigne. Depuis trois jours environ il est survenu au sommet de la
tête
un petit NOUVELLE description DU malade. 97 a
une, filant. Pansement au sublimé. 20 avril. - Tout le sommet de la
tête
étant épilé, friction au sublimé éthéré et appl
. 5 juin. -État assez satisfaisant ; les pustules du sommet de la
tête
ont disparu. Même traitement. L'enfant est atte
cemment, il lui est survenu une éruption pustuleuse au sommet de la
tête
, qui nécessite encore un traitement pro- longé.
ns engorgés. Cheveux blonds bien implan- tés ; teigne tonsurante.
Tête
. Crâne de volume moyen, peu allongé ; bosses peu
a marche; douches. 1896. Sjuillet. -Continuar les douches. Raser la
tête
. Mettre un vésicatoire sur la moitié delà tête.
es douches. Raser la tête. Mettre un vésicatoire sur la moitié delà
tête
. 1;) jours après en mettre un autre sur le côté
En nous appuyant sur un certain nombre de symptômes : cognements de
tête
, grincement des dents, accès de colère, congest
i avait un caractère très doux, elle ne se plaignait jamais de la
tête
. Famille de la mère. Son père et sa mère sont m
gueur insolite du rameau postérieur de la scissure de Sylvius. La
tête
de la circonvolution est très volumineuse et exce
Bibliographie. 135 intellectuelle consécutive à une brûlure de la
tête
; instabi- lité mentale; délire mystique (en col
ères elliptiques fendues en amande, nez un peu écrasé. (PL. XIV.)
Tête
. Le crâne est court, les bosses frontales sont ef
ez elle que chez les autres mongoliens. Ouïe bonne. Mesures de la
tête
. 140 IDIOTIE mongolienne. Pas de douleurs de
Mesures de la tête. 140 IDIOTIE mongolienne. Pas de douleurs de
tête
( ? ), grincements des dents fréquents, pas de
e dépasse pas une vingtaine. En voici les caractères principaux :
tête
petite, arrondie, parfois un peu bra- chycéphal
par- ticularités de détail, sur lesquelles nous reviendrons.] La
tête
est d'ordinaire penchée. , «Les mains, idiotes,
ly 1877, p. 169-179). Avec un portrait, une planche du crâne, de la
tête
, du pied et une planche du cerveau. Ces deux mé
74 débite assise sur son lit, gesticulant, grimaçant, secouant là
tête
en tous sens, s'interrompant parfois pour chanter
riodes d'accalmie, de dépression même, où la malade vite enfouit la
tête
sous les draps, ne répondant il aucune question
n le plaça au lycée. Il commença alors à se plaindre de douleurs de
tête
, qu'on croyait d'abord causées par la chaleur d
u courante. Dès les premiers jours de ce traitement les douleurs de
tête
diminuèrent, les vomissements s'arrêtèrent. Mai
er avec ses camarades aux épreuves du baccalauréat. Les douleurs de
tête
étaient devenues de nouveau beaucoup plus inten
rnée, et était, par moments, excessivement pénible. Tout travail de
tête
l'exaspérait. Le jeune homme, qui avait beaucou
eau matin il accusa, sans cause bien appréciable, un violent mal de
tête
, accompagné d'étourdissements et de maux de coe
érapeutiques. Seul l'état gastrique s'amenda ; mais les douleurs de
tête
persis- tèrent. L'enfant, jusque-là d'un caract
pou de bien, en ce sens qu'il fut plus calme, et que la douleur de
tête
diminua d'intensité; mais il ne fut pas questio
du front, ou ne s'étend aux régions latérales ou postérieures de la
tête
. L'exploration du crâne ne révèle aucune sensib
campagne, au mois de juillet, en excellente disposition. Le mal de
tête
ne le reprenait que quand le travail était trop
- tinue régulièrement son traitement hydrothérapique; les maux de
tête
ont complètement disparu, et, au jour où nous imp
ut du dixième jour, ils avaient tota- lement disparu. La douleur de
tête
subit aussi rapidement DE LA CÉPHALÉE DES ADOLE
oir, il se réveilla le matin avec de la fièvre et un violent mal de
tête
qu'il compare à celui qu'il a ressenti depuis.
. Mais, dans les derniers mois de l'année scolaire, les douleurs de
tête
reparurent avec assez de violence. Doué de beau
ns à la distribution des prix. Pendant ces deux mois, la douleur do
tête
ne se manifestait du reste qu'après le travail;
ments, il éprouve une sensation de vive chaleur sur le sommet de la
tête
. A la pression, pas de douleur sur aucune parti
qu'elle ne réside que sur le devant du front. Il lui semble que sa
tête
se resserre dans ce point, qu'il y a quelque ch
primait très facilement. Depuis un an, il se plaignait de maux de
tête
siégeant sur le devant du front, et qui, disait-i
quenter une école à Paris; mais, depuis qu'il avait ses douleurs de
tête
, il avait dû y renoncer complètement. 11 avait un
II. - X..., né d'un père rhumatisant, a com- mencé à souffrir de la
tête
à huit ans. La douleur était fron- tale et s'ac
ravailler durant toute une année. Mais, l'année suivante, le mal de
tête
reparut avec une telle intensité qu'on fut obli
l'enfant de reprendre ses études à la rentrée. Mais les douleurs de
tête
reparurent, de telle sorte qu'il ne put travail
aliénés. Doué d'une bonne santé physique'ét psychique, il perdit la
tête
il trente-cinq ans, .f il la suite 'd'une .pert
de trente-deux ans. Durant 1 année 1878, Mec lu.. eut'des niâux dé1
tête
, des insoiruiié's'] des J inquiétudes* f\ràl/dra
. i-lJuiji.iTi, ,-i... ? \ ,l', -. t'.t ? f ? ? < ? <-f,n il
tête
porta avec violence contre un meuble. A partir de
t leimal. C'est elle qui -l'avait fait tom- ber.de l'échelle sur la
tête
pourilui troubler.i'espritc'est elle qui, après
" " II ? fH.1 ? s'lq ? le diapason applique sur le squelette de. la
tête
, la - ? »ic. ? <- li1 ? ? i.iii,- m.iJii i,1
onétique,, une paraplégie complète avec projection du tronc et delà
tête
en avant, dc l'éma- 81u ? <tt ! /tn ? f ? t
us vu. Si on le ren- verse suivant ses bords, le portrait est vu la
tête
en bas. Jamais l'hypnotique n'est prise en défa
er en se guidant sur la soif, la sécheresse buccale, la lourdeur de
tête
, l'abattement, la diplopie, en quelques cas l'agg
ertigineux. A dix-sept ans, il a reçu un jour sur le sommet de la
tête
une pièce de bois, et il a été grièvement blessé.
puis deux ou trois ans, il éprouvait parfois de grandes douleurs de
tête
et quelques secousses; sa vue s'obscurcissait m
tillerie, au Mans, en qualité de réser- viste. Là, il souffre de la
tête
, est pris de peur à chaque instant et s'halluci
orps enveloppé d'un drap et portant une ceinture rouge autour de la
tête
. Il entend chuchoter auprès de lui; il voit qu'
lui; il voit qu'on le menace, qu'on en veut à sa vie, qu'on met sa
tête
à prix. Glacé d'épouvante, il tire son sabre et
l ne pouvait pas boire un ou deux verres de vin sans souffrir de la
tête
, sans avoir des éblouissements, sans trembler b
roduits. Le 10 mai 1883, Nouaux est triste; il pleure, se sent la
tête
lourde, mange à peine, craint de ne plus retour
rmes et pousse des sanglots. Le soir, il se plaint beaucoup de la
tête
, se couche, et, d'après le rapport du veilleur, i
14 mai, Nouaux est un peu larmoyant. A son réveil, il a eu mal à la
tête
. Son langage est un peu diffus. Aurait-il eu qu
tale. Ils ne se sont jamais plaints de la partie occi- pitale de la
tête
et rarement des régions latérales. La plupart i
de lumière ne les incommodait pas particulièrement; la douleur de
tête
persistait malgré le repos le plus com- plet de
scents. Nos malades se plaignent d'ailleurs souvent de chaleur à la
tête
; ils ont la face congestionnée, les oreilles r
el est donc des plus évidentes : il entretient et aggrave le mal de
tête
. Il y a là une sorte d'action en retour du mal
as de vraies douleurs; les malades se plaignaient d'é- prouver à la
tête
une sensation de compression qui sié- geait sur
qui dut quitter le lycée à l'âge de treize ans pour des douleurs de
tête
de cette nature. On essaya de lui donner l'inst
s avaient essayés presque tous sans résultat. Le repos absolu de la
tête
, le grand air soulagent les malades, et peuvent
tours. Au commencement de la cure, on fera cesser tout travail de
tête
, pour placer l'enfant dans les meilleures con-
douze ans que nos jeunes malades ont commencé à se plaindre de la
tête
. Jusque-là ils avaient tous une santé assez bonne
, ·1·, 4.o°,ü. ' 2. zut. R. 42°,4. Dans la journée, 199 accès. La
tête
, le tronc, et les membres sont symétriques. Org
normaux. Le ma- lade est dans le décubitus lotéro-dorsal droit; la
tête
repose sur la joue droite; la face est pâle; le
2t0 0 RECUEIL DE FAITS. On imprime facilement des mouvements à la
tête
et au cou. Il y a un peu de raideur des muscles
peine; ne parle plus et reste dans la position qu'on lui donne, la
tête
dans l'extension ; P. à 4 r, fort, régulier; R.
s égales, peu saillantes; bosses pa- riétales très proéminentes; la
tête
est relativement volumineuse surtout dans sa pa
sept ans. Un an après tout au plus ', elle commença à avoir dans la
tête
et dans 1 Maintes fois déjà nous avons fait la
ent reconnaissahles. La face supé- rieure est complètement usée, la
tête
a disparu ou du moins a été séparée (12) au niv
du mari qui le repousse, et lui assène deux coups de balai sur la
tête
. Conduit au poste, il reste silencieux, hébété,
l commence à entendre par l'oreille droite des propos grossiers : «
Tête
de cochon, hure de cochon, bon à tuer, fainéant
dans un coin, les yeux fixés s il terre, immobile ou imprimant à la
tête
un balancement mono- toue. Sa physionomie n'exp
ir ; après un temps très court, deux ou trois minutes, il penche la
tête
en avant, étend le cou, contracte simultanément s
e cours de la rumination, si on le maintenait couché sur le dos, la
tête
renversée en arrière. Malgré le mérycisme phy
us venons d'indiquer. « Quand les regorgements vont se produire, la
tête
est portée en haut et en avant ou en bas contre
me temps le haut du corps est générale- ment incliné en avant et la
tête
portée en avant et en haut. Que se passe-t-il a
traumatismes. - Accouche- ment à terme, lent (quatorze heures) : la
tête
resta longtemps au passage et l'enfant était to
temps au passage et l'enfant était tout noir en venant au monde; la
tête
était très développée.-11 fut nourri au sein pa
crises (trois ou quatre par jour) dans lesquelles il se cognait la
tête
contre les murs, ou se jetait par terre. 1 Le
'articulation est normale. Oreilles grandes, très détachées de la
tête
, bien ourlées; lobule semi-adhérent. Cou cour
minutes, à la suite desquels, il se roule par terre et se cogne la
tête
. Pas de grincement de dents, pas de balancement
n et même lorsqu'on le fait boire, il dé- tourne le plus souvent la
tête
, ou n'avale qu'une gorgée en faisanl la grimace
e ; car alors il cesse de têter ses doigts, se recueille, penche la
tête
sur le sternum; puis il la porte en avant, allong
des enfants très bien constitués : un seul, âgé de sept ans, a une
tête
très grosse, mais est intelligent : il louche et
is; vacciné, pas de variole. -A trois ans, contusion violente de la
tête
à la suite d'une chute ; croup à cinq ans. A se
nants dans la famille. DU MÉRYCISME. 397 Etat actuel(août 1882).-
Tête
très volumineuse, développée dans sa partie pos
xième molaire gauche est détruite. Oreilles grandes, séparées de la
tête
, bien ourlées; lobule dé- taché. Cou court :
rdinaire- ment, il pousse un cri, penche le dos en arrière, tend la
tête
el les bras en avant; les pieds et les mains so
tion se produit. A ce mo- ment, il allonge le cou, penche un peu la
tête
, provoque une értec- tation, qui est suivie du
alancement ou sa promenade. Parfois il demeure quelques secondes la
tête
penchée en avant, les joues gonflées, semblant
actérisée par de l'obnubilation de la vue, de violentes douleurs de
tête
, des vomis- sements, des hallucinations de la v
esque tous les muscles étaient paralysés, sauf cependant ceux de la
tête
et du cou. C'est ainsi que sur l'ordre qu'on lu
mplète sur toute l'étendue du tégument externe, à l'exception do la
tête
, de la partie droite du cou et de la région pec
mpagnée parfois de petits foyers de choroïdite de la longueur d'une
tête
d'épin- gle (1). Le corps vitré présente parfoi
. Fournier a appelée le doigt en radis, doigt piriforme, oviforme, la
tête
du ra- dis étant située au niveau de l'extrémit
allique ; dans le fond, un per- sonnage donl on ne distingue que la
tête
et les épaules. Est-ce un jeune éphèbe ? ... Es
(1). D'un coup de hache, le-pasleur Alsus fend en deux morceaux la
tête
de Podalire (2). D'un re- vers d'épée, Turnus d
A SALPÊTRIÈRE doute, lance en main, bouclier au bras, casque sur la
tête
, retournent au combat. A gauche, lapis, drapé
eurs vives, continues, qu'exaspère toute tentative de flexion de la
tête
. Nous compléterons plus loin les signes fournis
e est une femme tombant à la renverse entre les bras d'un homme, la
tête
rejetéë en arrière et à droite, les yeux convul
es accolés l'un à l'autre. Le haut du corps est penché en avant; la
tête
tournée à gauche fait une horrible grimace. Che
tes barbares. Il est debout maintenu par deux solides gaillards, la
tête
et le haut du corps renversés en arrière, les y
ndus avec une vérité saisissante. Le renversement du corps et de la
tête
en arrière, la saillie du cou et de la poitrine
philitique. Développement normal, sauf un maintien défectueux de la
tête
d'origine congénitale. - A 1 an 1/2, apparition
e très petite. Couchée, elle mesure I m. 10 environ du sommet de la
tête
jusqu'aux talons. Sa taille est en réalité un peu
xiondes jambes sur les cuisses et des cuisses sur le bas- sin. La
tête
est régulièrement conformée ; rien il noter aux y
st meilleure qu'elle ne l'a été depuis des mois. Pas de douleurs de
tête
. 5 novembre. Sensibilité des doigts et des niai
r cor- rectement les objets à 2 mètres de distance ; ni douleurs de
tête
ni vomisse- ments. Troubles de l'articulation
us avons vu le malade pour la première fois la flexion forcée de la
tête
sur le thorax a déterminé chez lui LA SYPHILIS
e bras droit ni d'engourdissement dans les membres infé- rieurs, la
tête
élant en flexion forcée, et que la guérison se ma
dans la région lomhaire surtout lorsqu'il fléchissait fortement la
tête
sur la poitrine. D'ailleurs, depuis le début de s
nitale des 2 hanches. Elle marche en canard, en se dandinant. Les 2
têtes
des fémurs proéminent sous les grands fessiers.
t fendillés et ont disparu en partie. Au pied droit,au niveau-de la
tête
du premier métatarsien, durillon volumineux et
ation en ar- rière,; la cavité cotyloide est vide et l'on trouve la
tête
fémorale,' en arrière et au-dessus d'elle, immo
où l'ostéite listuleuse avait siégé, chez un adulte, au niveau de la
tête
du troisième métacarpien de la première phalang
e la tête du troisième métacarpien de la première phalange et de la
tête
de la deuxième phalange du doigt correspondant.
nes, la conforma- tion crânienne des crétins et des idiots dans les
têtes
grotesques en terre cuite de l'Asie Mineure, l'
dans leurs exercices athlétiques. A part le volume exagéré de leur
tête
et un embonpoint abdominal, sur- tout manifeste
guïté de la taille, peut-être aussi le volume disproportionné de la
tête
par rapport au reste du corps. Il est d'ailleur
ans la nature, comme dans la majorité des images, le vo- lume de la
tête
est plus souvent exagéré. Cette exagération peut
de fossettes aux mains et aux pieds, est, abstraction faite' de la
tête
, comme un bébé très gras ou comme un infantile my
able habit troué qui descend presque aux chevilles (l'1. XXV). La
tête
grossière, pourvue d'une forte mâchoire inférieur
de chausses ridiculement bouffantes. Son torse dispa- rail entre sa
tête
énorme et son volumineux séant. Les jambes écarté
établit l'échelle des proportions. Le petit homme n'a guère que la
tête
de plus que lui. Il peut, sans se baisser, appu
t surtout intéressant par sa très petite taille et l'énormité de sa
tête
qui paraît appartenir à un adulte de belle pres-
E lier du chien dont la croupe arrive à peu près à la hauteur de sa
tête
. Deux inscriptions sur le dallage de la ferrass
^ se trouve celui d'un nain de cour accompagné d'un grand chien. La
tête
, très expressive, porte les stigmates ordinaire
er sa propre gibbosité sur le frontispice de ses oeuvres. Et,à la
tête
de ce cortège de dos voûtés où figurent de grands
les proportions et les particularités de la chair ». En général, la
tête
seule était un portrait fidèle. « C'était seuleme
agneraient alors d'autres anomalies squeletti- ques, portant sur la
tête
, sur les mains et sur les pieds. La face n'est pa
bres qui ont chevauché les unes sur les autres, l'enfoncement de la
tête
rejetée fortement en arrière entre les épaules,
à la cage thoracique, et aux rapports réciproques des membres, de la
tête
et du tronc. Les bossus ont aussi leur facies
développées. Le faciès acromégalique se retrouve aussi sur quelques
têtes
isolées. J'ai noté, au musée de Bruxelles, un j
nous coucherons tous nos sujets sur un plan horizontal résistant, la
tête
seule étant soulevée et soutenue. Le membre inf
telle qu'un léger degré de flexion, l'absence d'un oreiller sous la
tête
, etc.), modifient nettement les résultats. ATTI
l'extrême, la peau présente une sclérose des plus étendues. Par sa
tête
, il évoque l'image de Sainte Marie l'Égyptienne
mion, l'apophyse coracoïde, l'extrémité interne de la clavicule, la
tête
fémorale émergen en saillies. Aux coudes, les
nombre assez important de documents relatifs aux Opérations sur la
tête
qui ont fait l'objet d'une monographie particu-
la médecine (Ecoles flamande et hollandaise). Les opérations sur la
tête
. Nouv. Iconogr. de la Salpêtrière, no' 4 et 5, 18
gauche à nu, les mains croisées sous son menton, corps de profil et
tête
de face, le pa- tient, jeune encore, fait le gr
ne main un bistouri dans l'épaule, tandis que de l'autre retient la
tête
de son client. Sa grosse figure, son nez volu
ssi s'expliquer par une supercherie analogue à celle des « Pierres de
tête
». n. Un homme de grand savoir, qui veut bien s
i nécessitent la contraction des muscles du thorax, du cou et de la
tête
s'exécutent d'une façon tout à fait normale.
nnement arsenical peut donner lieu à des troubles intellectuels, en
tête
desquels figure l'amnésie. Cette manifestation
est très macéré. Les organes viscéraux ont leur aspect normal. La
tête
est déformée, allongée dans le sens antéro-postér
ux et sains, mais les cordons latéraux sont absolument détruits, la
tête
de la corne anté- rieure vient en effet au cont
ssemble d'unema- nière frappante aux acromégales de nos jours. La
tête
de Maccus est augmentée de volume et cette hypert
romégales. .1 1 Enfin les pieds sont hypertrophiés et sont comme la
tête
hors de pro- portion avec la stature du personn
ssoires. Au milieu, un homme assis, le corps de profil à droite, la
tête
de face, a retiré sa veste et baissé sa chemise
, avec une physionomie attentive et sou- riante, une blessure de la
tête
. « Derrière le chirurgien, immédiatement sous l
de Diepraem ne semble pas se livrer à la jonglerie des « Pierres de
tête
». Comme dans le Teniers du musée du Prado, on pe
. veur flamand (1528-1598). Elle rappelle beaucoup les « Pierres de
tête
» de P. Brueghel le Vieux. (1) On a de lui un
89. Clonographe, appareil pour enregistrer les hyperkinèses de la
tête
et des extré- mités, par G. Rossolimo, 33. Dé
Le clonographe ; appareil pour enregistrer les hyperkinèses de la
tête
et des extrémités, 33. Souques. Maccus, Polichi
résulte de ces considérations que, dans les diverses attitudes de la
tête
, le cer-veau, sollicité par l'action de la pesant
litude des mouvements du cerveau dans les différentes attitudes de la
tête
{Journal l'Encéphale, 1885). DEUXIÈME PARTIE
ventri-culaire. Son extrémité antérieure est arrondie et constitue la
tête
; l'extrémité posté-rieure s'effile progressiveme
antérieure du noyau lenticulaire n'est pas complètement séparée de la
tête
du corps strié; de petites traînées de substance
mée par Gratiolet canal de la commissure antérieure, se porte vers la
tête
du corps strié, traverse la scissure interhémisph
re positivement affirmée, quoiqu'on trouve un fascicule blanc dans la
tête
du corps strié, présentant quelque analogie avec
ions antérieures et supérieures se portent vers le bord externe de la
tête
du corps strié, qu'elles traversent sous l'aspect
quatre colonnettes formées de chaque côté de la ligne médiane par la
tête
des cornes antérieure et postérieure décapitées.
postérieures vient se ranger sur le côté externe de la précédente. La
tête
de la corne antérieure est portée en avant et en
. La tête de la corne antérieure est portée en avant et en dehors, la
tête
de la corne postérieure est fortement rejetée en
econd prolongement, appelé noyau des corps restiformes (PL. XXXV). La
tête
de la corne antérieure se porte en avant, la tête
rmes (PL. XXXV). La tête de la corne antérieure se porte en avant, la
tête
de la corne postérieure devient de plus en plus a
émergent les fibres radiculaires du nerf moteur oculaire commun. La
tête
de la corne antérieure, située sur un plan plus a
i avec un ou plusieurs nucléoles et ont un prolongement ramifié. La
tête
de la corne postérieure constitue le tubercule ce
prennent naissance dans le tubercule cendré de Rolando, formé par la
tête
des cornes postérieures décapitées. La substanc
. Elle est restée en avant et en contact avec l'extrémité libre de la
tête
de la corne postérieure. Elle continue son trajet
abondante se dirige vers la face inférieure du noyau caudé et vers la
tête
du corps strié, qu'elle aborde. Les fibres nerv
Un premier groupe de fibres, le plus considérable, se porte dans la
tête
du corps strié et s'éparpille dans sa substance.
ines du nerf grand hypoglosse. d. Noyau des corps restiformes. e.
Tête
de la corne antérieure. f. Portion motrice des
d. Substance gélatineuse de la corne postérieure. e. Vestiges de la
tête
de la corne antérieure. f. Olive bulbaire. g.
, montrant la disposition arrondie de son extrémité antérieure nommée
tête
, et la terminaison en queue de son extrémité post
Il ne reste de ce noyau que l'extrémité postérieure ou caudale et la
tête
. Les fibres convergentes des régions postérieures
ociation des fibres convergentes et des fibres commissurantes. 5. —
Tête
du noyau caudé ou noyau intra-ventriculaire du co
. Le corps strié occupe seul la région centrale des hémisphères. Sa
tête
plonge dans la corne frontale des ventricules lat
bulbe le trajet direct ascendant. Ce faisceau est en rapport avec la
tête
de la corne postérieure et le noyau du corps rest
artérioles fournies par l'artère cérébrale antérieure, qui irrigue la
tête
du corps strié, et celle qu'émet l'artère sylvien
e est épuisé. 10. — Substance grise du noyau intra-ventriculaire ou
tête
du corps strié. Les fibres convergentes et les fi
iculaire (voir Pl. X et 3 Pl. XXIV). Le noyau intra-ventriculaire, ou
tête
du corps strié, est en rapport en dedans avec la
voir Pl. II). 10. — Substance grise du noyau intra-ventriculaire ou
tête
du corps strié. Les fibres convergentes pénètrent
échie ou genou du corps culleux. 7. — Noyau intra-ventriculaire, ou
tête
du corps strié ; occupant la corne frontale de la
gard monoculaire. Un oeil, pris indépendamment de son congénère, la
tête
étant fixe, peut occuper de multiples posi- t
au même résultat en laissant l'ohjet fixe, et en imprimant à la .
tête
du malade des mouvements en différents sens, en
schémas du champ visuel), est placé à ? 2 du sujet à examiner. . La
tête
de celui-ci, bien fixée, est à la hauteur du cent
faut la mettre en évidence. Signes pour déceler l'hémianopsie. - La
tête
prend quelquefois une attitude spéciale; elle s
xcursions normales (Voir Technique, p. 18). Position inusitée de la
TÊTE
. - La tète se tourne de façon que le muscle par
e saturnine, les douleurs viscérales du tabès, les névralgies de la
tête
, l'urémie convulsive. C'est encore une mydriase
rrière. La chute des paupières, les plis frontaux, l'attitude de la
tête
donnent au malade un aspect et une allure très pa
, chute de la paupière, contractions frontales, extension de la
tête
, sont moins accusés, quelque- fois très léger
ême temps que le nystagmus, on peut observer des oscillations de la
tête
qui se font autour du même axe que le nystagmus,
derniers. Toutes les conditions qui amèneront l'afflux de sang à la
tête
, émotions, digestion, ingestion d'alcool et inh
es bronches, du ralentissement du coeur, de la vasodilatation de la
tête
avec vaso-constriction générale, tous phénomène
couche. Il est fréquemment provoqué par un mouvement brusque de la
tête
ou du corps ou par un déplacement rapide des obje
des mouvements de protection et des mouvements compensateurs de la
tête
,. des bras et surtout des jambes; 1. La sensati
cia- lement destiné à nous donner le sens de l'orientation de notre
tête
et de noire corps dans l'espace : c'est le laby
aux varie dans chacun d'eux avec chaque changement d'attitude de la
tête
. Ces variations de pression excitent les extrém
1. Bii31îsKi. Sur les mouvements d'inclination et de rotation de la
tête
dans le vertige voltaïque. Soc. de biologie, 25
mpes ; b) on augmente pro- gressivement l'intensité du courant : la
tête
s'incline d'un côté. Si le pôle positif est placé
ntré qu'il ne résultait ni de ce que le pôle positif attire plus la
tête
que le négatif, ni de ce que le négatif repouss
us la tête que le négatif, ni de ce que le négatif repousse plus la
tête
que le positif : il ne pouvait s'agir de la prédo
n du labyrinthe par le pôle positif détermine une inclination de la
tête
, du côté excité, que l'excitation par le pôle nég
une oreille interne, on constate en général que l'inclination de la
tête
déterminée par l'application des électrodes gal
ge paralysant (en japonais kubisagari, c'est-à-dire « celui dont la
tête
tombe »). Celle maladie est caractérisée, par d
négal; il peut ou non s'accompagner de parésie des extenseurs de la
tête
et de parésie des membres inférieures, d'où les
rmi (ptosis), type du recueillement (paralysie des extenseurs de la
tête
), type de l'aveugle ivre (paralysie des membres
ssent à toute occasion, regard au loin ou eu haut, mouvements de la
tête
, efforts ou travail prolongé, etc.; elles se prod
iplégie, inspiré par les déviations de la commissurc labiale, de la
tête
et du regard. Dans les yeux saillants, humides,
appareil doit être interrogé avec soin. La présence de sang sur la
tête
fait envisager la possibilité d'un trauma- tism
n précise, immédiate, il vaut mieux ne pas saigner. La glace sur la
tête
, les injections de sérum sont pour le moins inu
ES DE LA PAROLE. ou sans claquement de langue et retournement de la
tête
. La convulsion de la maladie des tics, plus vio
Levez votre petit doigt gauche ». « Mettez la main gauche sur voire
tête
et louchez ensuite votre oreille avec le pouce
le malade, qui présente des hallucinations visuelles, a souvent la
tête
en rotation, le regard fixe. Les hallucinations
d on tirait auprès de lui un coup de pistolet, mais qui tournait la
tête
lorsqu'on laissait tomber derrière lui des noix q
s encore, ce sont des mouve- ments de balancement du tronc on de la
tête
, des chocs de la tète contre les murs et quelqu
des enfants normaux; quelquefois, ils sont atteints de nanisme, la
tête
présente toutes les malformations possibles : m
tie microcéphalique. Elle est caractérisée par la petitesse de la
tête
et par ce fait que le poids du cerveau est lez
ronique qui est carac- térisée par l'augmentation du volume de la
tête
avec largeur et hauteur du front et quelque-
itl'ochlé<'l1lw. nerf scialique poplité externe au .niveau de la
tête
du péroné, par exemple. '. Lorsque la sensibili
, des zones d bypcrestbesie cutanée sur le tronc, les membres et la
tête
, zones dont la topographie est directement en l
, généralisées ou localisées au niveau d'un membre, du tronc, de la
tête
, d'un viscère, et peuvent correspondre au trajet
er séparément chacune d'elles. I. DOULEURS LOCALISÉES Douleurs de
tête
. Céphalalgie ou céphalée. La céphalée ou céphal
algie de Fournier), le plus souvent diffuse, généralisée à toute la
tête
avec maximum d'intensité au niveau du front, de
nocturnes qui sont presque pathognomoniques; en effet, les maux de
tête
des syphilitiques apparaissent le soir, acquièren
! heures. Entre les accès, le migraineux ne souffre nullement de la
tête
. Les accès de migraine constituent la maladie mig
en placards, tantôt diffuses, et siègent au niveau du tronc, de la
tête
et des membres, surtout à leurs extrémités. .
lgie du grand nerf occipital est réveillée par les mouvements de la
tête
, par la toux, l'éternuement, la déglutition; elle
rvico-occipitale amène des douleurs à la nuque, sur le sommet de la
tête
et jusqu'au front (grand nerf occipital), dans la
moignon de l'épaule (branche sus-claviculaire et sus-acromiale). La
tête
est immobile pendant les accès et tous ses mou-
sion bilatérale de l'avant-pied rapprochant les unes des autres les
têtes
métatarsiennes réveille aussi des douleurs. La
céphalalgie et de' la rachialgie. - LES CÉPHALALGIES Le mal de
tête
est un symptôme fréquent et commun à de nombreuse
dissement ou de compression des régions latérales et frontale de la
tête
(sensation de casque). Les algies cérébrales des
s prononcée du côté de l'hémiplégie. La déviation conjuguée de la
tête
et des yeux se fait, quand elle existe, selon d
t dans celle-ci qu'on voit se produire la déviation conjuguée de la
tête
et des yeux et le type respiratoire de Cheyne-S
ouche toute grande, ou bien encore en lui demandant de flé- chir la
tête
énergiquement et en cherchant à s'opposer à ce mo
sions de ce nerf. Il existe enfin des troubles de la motilité de la
tête
, flexion, rotation, extension, accom- pagnés pa
it rond détermine la rotation en dehors de l'humérus et applique la
tête
de cet os dans la cavité glénoïde. Grand rond.
glenoï- dien ; ce tendon d'origine contourne de dedans en dehors la
tête
de l'humérus et vient se loger dans la gouttièr
tend; ce tendon, véritable ligament actif, contribue il maintenir la
tête
humorale au niveau de la cavité glénoïde. Quand
r contraction peuvent-ils déter- miner une subluxation en bas de la
tête
de l'humérus. Brachial antérieur. Insertions. L
até- ral s'insère en haut sur la partie antérieure et externe de la
tête
du péroné, sur le tiers supérieur de la face ex
i réunit le tibia et le péroné : celte arcade naît en dehors sur la
tête
du péroné, se porte en bas et en dedans, et vie
- nier, le pied est entraîné en abduction et rotation en dehors, la
tête
du prcmier métatarsien s'abaisse, le calcanéum
tion sternale a une action plus importante dans la rota- tion de la
tête
que la portion claviculaire. Quand les deux stern
ens se contractent ensemble, ils sont simplement fléchisseurs de la
tête
. ' - Le chef profond du muscle, le cléïdo-masto
observe, pour un léger degré de contrac- ture, l'inclinaison de la
tête
du côté malade; si la contracture est plus fort
muscle on observe, au con- traire, principalement la rotation de la
tête
. D'après Farabeuf le torticolis a frigore n'att
-mastoïdien. Quand le sterno-mastoïdien prend son point fixe sur la
tête
, il devient inspirateur surtout par son chef st
'acte de porter sur la tète un lourd fardeau. Droit latéral de la
tête
. Insertions. Le droit latéral de la tète s'insè
ieure du premier nerf cervical. Physiologie. Le droit latéral de la
tête
incline la tête de son côté. Région de l'os hyo
nerf cervical. Physiologie. Le droit latéral de la tête incline la
tête
de son côté. Région de l'os hyoïde. Sterno-cl
e maxillaire. - Région prévertébrale. Grand droit antérieur de la
tête
. Insertions. Le grand droit antérieur de la têt
it antérieur de la tête. Insertions. Le grand droit antérieur de la
tête
s'insère en haut sur la face inférieure de l'apo-
rofond. Physiologie. Le grand droit antérieur de la tôle fléchit la
tête
sur la colonne vertébrale et les premières vert
face vers le muscle qui se contracte. Petit droit antérieur de la
tête
. Insertions. Le petit droit antérieur de la tèt
premier nerf cervical. Physiologie. Le petit droit antérieur de la
tête
fléchit la tête et l'incline latéralement. Lo
rvical. Physiologie. Le petit droit antérieur de la tête fléchit la
tête
et l'incline latéralement. Long du cou. Inser
face du côté opposé. Quand le trapèze se contracte bitatératement, la
tête
MUSCLES DE LA RÉGION POSTÉRIEURE DU TRONC ET DU
de l'épaule. En prenant son point fixe sur l'omoplate il incline la
tête
de son côté. La paralysie de l'angulaire n'amèn
en deux portions distinctes : la portion interne ou splénius de la
tête
s'insère sur les deux tiers externes de la ligne,
vicaux et grand nerf occipital. Physiologie. Le sptenius étend la
tête
, l'incline de son côté, lui imprime un mouvemen
contraction bilatérale des splénius amène l'extension directe de la
tête
. Grand complexus. Insertions. Le grand conillem
grand comptcxus. en se coutractantsitnui- tant'ment, renversent la
tête
en arrière. Sappcy et Cruveilhier disent que la
cervicale et l'incline latéralement. Grand droit postérieur de la
tête
. Insertions. Le grand droit postérieur de la tè
premier nerf cervical. Physiologie. Le grand droit postérieur de la
tête
étend la tête. l'incline, latéralement et lui i
ervical. Physiologie. Le grand droit postérieur de la tête étend la
tête
. l'incline, latéralement et lui imprime un mouv
ru, ils renversent la tète en arrière. Petit droit postérieur de la
tête
. Insertions. Le 1H'lil droit postérieur de la t
postérieur de la tête. Insertions. Le 1H'lil droit postérieur de la
tête
s'insère d'une part sur le tubercule postérieur
premier nerf cervical. Physiologie. Le petit droit postérieur de la
tête
est un extenseur de la tète. MUSCLES DE LA RÉ
RE DU TRONC ET DU COU. 575 Grand oblique ou oblique inférieur de la
tête
. - Inser- tions. Le grand oblique de la tête s'
blique inférieur de la tête. - Inser- tions. Le grand oblique de la
tête
s'insère en bas sur la face latérale de l'apoph
deuxième nerf grand occipital. Physiologie. Le grand oblique de la
tête
, rapprochant de la ligne médiane l'apophyse tra
yse transverse de l'atlas, détermine un mouvement de rotation de la
tête
qui porte la face de son côté. Petit oblique ou
porte la face de son côté. Petit oblique ou oblique supérieur de la
tête
. Inser- tions. Le petit oblique de la tête s'in
oblique supérieur de la tête. Inser- tions. Le petit oblique de la
tête
s'insère sur le sommet de l'apo- physe transver
ieure du premier nerf cervical. Physiologie. Le petit oblique de la
tête
étend la tète et l'incline latéralement. MUSC
de la queue des mammifères. VII. MUSCLES PEAUCIERS DU COU ET DE LA
TÊTE
Les muscles peauciers ont avec la peau des conn
ères se ferment. L'élévation des .MUSCLES PEAUCIERS DU COU ET DE LA
TÊTE
. 585 sourcils se voit aussi dans des états psyc
ransversal dans l'espace inter- sourcilier. Par l'abaissement de la
tête
du sourcil l'angle interne de 1 oeil est rétréc
tinguer les paralysies qui surviennent dans les présentations de la
tête
et celles qui succèdent à des accouche- ments p
dent à des accouche- ments par le siège. Dans la présentation de la
tête
, le pronostic est géné- ralement bénin et la pa
la présentation du siège, les tractions nécessaires pour dégager la
tête
sont souvent excessives et le pronostic est bea
és. L'une est due il une lésion du nerf produite par le forceps, la
tête
étant saisie par le diamètre 1ran ? versal; par
alysé unilatéralement (voir ET DES NERFS SPINAUX. C29 p, 5,(i) la
tête
est inclinée sur l'épaule du côté sain, la face e
colis. Si l'on prie le malade de faire des efforts pour abaisser la
tête
que l'on maintient dans l'extension, on constat
deux muscles sterno-Illastoïdiens sont paralysés, la flexion de la
tête
n'est possible qu'avec les muscles accessoires.
ive aux luxations de l'épaule, aux luxations et aux fractures de la
tête
du radius, elle se voit chez les porteurs d'eau
ir dans les poumons : il s'accroche aux objets voisins, renverse la
tête
en arrière, dilate les ailes du nez, il y a du
nt à angle droit la partie supérieure : au lieu d'être oblongue, la
tête
paraît carrée ; la protubérance occipitale s'ef
pathie facio-scapitlo-huniérale. On voit bien sur cette figure la «
tête
carrée », la saillie des omoplates ailées, le r
se, et de la lordose lombaire. Exceptionnellement et tardivement la
tête
retombe tout à fait sur le sternum et ne peut ê
aux pectoraux volumineux, le cou court et large, cou de taureau, la
tête
relativement trop petite qui sont les caractère
s, mais aussi ceux du tronc et même des membres supérieurs et de la
tête
, en somme, presque toute la musculature du corp
par les membres supérieurs (tabès supérieur), presque jamais par la
tête
. Membres inférieurs. Les mouvements isolés des
ins troubles viscé- raux et dans certaines crises des tabétiques.
Tête
et face. - Rarement on observe des oscillations b
ce des troubles de l'équi- '' libre, titubation, oscillations de la
tête
et du corps, et de l'incoordination sensitive p
nstants sans bouger, mais dans la plupart des cas, le corps et la
tête
oscillent alternativement d'un côté et de l'au-
ants, sont : le tremblement des membres inférieurs, du tronc, de la
tête
, moins souvent des membres supérieurs, tremblem
Le sujet étant encore dans la station debout, on lui dit de porter la
tête
Fig. et 9. Signe-du renversement en arrière. J,
fiée de tabéto-cérébel- leuse. Souvent aussi, pendant la marche, la
tête
oscille d'avant en arrière comme chez les céréb
e tronc participe aux mou- vements de salutation ; d'autres fois la
tête
est maintenue volontairement fléchie. Dans la
on le varie encore en faisant mettre la main du malade derrière la
tête
de façon qu'il ne puisse la voir avant d'exécut
existe enfin des para- lysies spinales plus ou moins accusées : la
tête
s'incline en arrière ou se fléchit sur la poitr
sis, puis .une certaine p.arésie des extenseurs aux membres et à la
tête
. En même : temps se.manifestTit des troubles de
ie. Puis sont atteints les muscles de la face, les extenseurs de la
tête
, la langue, les masticateurs, le larynx, le phary
euvent même disparaître complètement, et d'autres les remplacer. La
tête
se penche ensuite sur le tronc, les extenseurs
ut. Des grimaces résultent des mouvements des muscles peauciers. La
tête
est- . portée en tous sens, le cou et le tronc
a langue. Un enfant (de 1 à 2 ans par exemple) pâlit subitement, sa
tête
se porte en arrière et l'accès convulsif généra
ns les muscles de la face et des yeux, mouvements alternatifs de la
tête
à droite et à gauche). Nous insistons sur ces sig
iption générale des convulsions. Dans la phase tonique en effet, la
tête
s'incline ou se porte en arrière, les globes oc
emblement. Le tremblement peut être généra- lisé aux membres, il la
tête
et au tronc. Il peut au contraire être limité à
u des bras, des jambes, de la langue, dans tout le corps, sauf à la
tête
. Au niveau des mains, ce sont de petits mouvement
le malade marmotte une litanie interminable. Nous. avons vu que la
tête
ne participe pas au tremblement. Damaschino fai
e, des lèvres et de la langue ne constitue pas un tremblement de la
tête
proprement dit; la tète ne tremble donc pas dans
i- tante qu'il a examinés, il y avait fois tremblement propre de la
tête
. Plus récemment (Société de Neurologie, juin 19
rse du tremblement parkinsonien, il se localise spécialement sur la
tête
et détermine un tremblement dans le sens antei'
eut également s'étendre aux membres inférieurs, il peut affecter la
tête
, à la façon du tremblement sénile; enfin chez des
ier a même décrit une variété spéciale de tic de. balancement de la
tête
et du tronc chez les enfants n'existant que pen-
muscles conservent l'attitude imprimée aux membres, au tronc, il la
tête
, mais ne sont point contractures. Vient-on à ch
des peuvent alors exagérer leurs mouvements en avant et placer leur
tête
entre leurs jambes. D'autre part, la mobilité des
ormations congénitales) les héinihyperlrophies limitées ou non à la
tête
, intéressant les parties molles aussi bien que
lle se montre par paroxysmes de bouffées de chaleur au niveau de la
tête
, du tronc, de tout le corps, et l'on voit apparaî
- nostic qui sera complété par le nanisme, le volume excessif de la
tête
,' la micromélie, l'intellect infantile ou puéri
tacarpe est peu déformé,, sauf un léger élargissement au niveau des
têtes
des fjg. 3. Gigantisme. PeuL-nh'0 ncromégalie T
usé des hypertrophies ou nouures et des suùluxa- tions : aussi les.
têtes
articulaires sont souvent très saillantes; entre
vent très saillantes; entre la saillie du poignet et la saillie des
têtes
métacarpiennes la face dorsale de la main est s
parition du cartilage, ni déformation et pénétration réciproque des
têtes
articulaires, mais apparition de taches blanche
on peut s'assurer que ces déformations sont dues au gonflement ides
têtes
articulaires et surtout à une' subluxa- tion de
séries dans lesquelles on ignore si le D. ant.-post. maximum de la
tête
a été pris -avec pour point de repère l'ophryon
n selon l'indication fournie plus .loin (Voir D. ,lnt.-llost. de la
tête
). Les mesures doivent être exprimées en millimè
Céphalométrie. La céphaloméll'ie est l'étude des dimensions de la
tête
, par opposition il la cl'lÎnio1nétl'ie qui mesure
fait glisser l'ongle sur la branche graduée, placée aux côtés de la
tête
, jusqu'à ce que l'on atteigne le milieu ou trag
es crânes de type infantile. Dans l'hydrocéphalie, la largeur de la
tête
est accrue aux dépens de la hauteur. - D. bizyg
la varia- tion des dimensions longitudinales et transversales de la
tête
. C'est le rapport centésimal du D. transverse m
ans les pages précédentes. , Le vertex est le point culminant de la
tête
; sa hauteur représente la taille; on l'obtient
e la taille; on l'obtient en abaissant l'équerre directement sur la
tête
du sujet, dont le conduit auditif et le plan so
pu être remplie, on le signalerait. On pourrait, du reste, caler la
tête
avec des doubles de linge, par exemple. Pour pr
ffi est caractéristique du facies lunaire. Les pau- pières de cette
tête
plutôt volumineuse sont gonflées et cachent à dem
le entre 0 m. 90 et 1 m. 40; il convient de noter aussitôt que la
tête
et le tronc sont nor- maux en hauteur sinon en
édomine à la racine-du membre. Le corps réduit est surmonté d'une
tête
aux diamètres énor- mes ; souvent cependant, l'
ins mal conformés, ou plutôt déformés, dont le 'gros ventre et la
tête
carrée figurent une « gourde» mons- trueuse (Co
nférieurs. Dans de tels cas, le tronc et les membres supérieurs, la
tête
sont d'un homme normal. Le raccourcissement de
de l'oreille, ou de torticolis congénitaux ou du moins précoces.
Tête
. Il faut examiner à. ce niveau, les anomalies de
gère la sonorité (signe de Mac Ewcn'l. Le malade doit être assis la
tête
rigoureusement droite, autrement les pres- sion
s LIQUIDE I;IPII1L0-R : 1CIIIDIG\. 1121 I genoux et rapprocher la
tête
de ses genoux, en cherchant à lui faire faire «
Le plus important des accidents tardifs est la céphalée; le mal de
tête
est assez fréquent après la ponction lombaire.
pour l'éviter on conseillera au malade le repos, ou on le mettra la
tête
en bas, sorte de position de Trendelenburg ; ce
it que ce vertige vollaïque est caractérisé par l'inclinaison de la
tête
sous l'influence d'un courant galvanique. La ponc
déformations portant principalement sur les os des membres ou de la
tête
, et ces déformations. .sont assez caractéristiq
de l'avancement des Sciences, l3eims, 1907. [A. zar.7 Fig. 5. C)
Tête
de. fémur de maladie de Pagel. 1182 RADIOLOGIE.
on de pèles virtuels. Fie. 21 (d'après Erb). Points moteurs de la
tête
et du cou. -1. 1. Muscle- frontal; - 2. Nerf
ènes objectifs, il se produit une inclination et une rotation de la
tête
vers le côté armé de l'électrode positive, et l
r non seulement à quelle intensité se reproduit l'inclination de la
tête
, mais encore dans quel sens elle se fait. Dans
normal. En qualité la sensation d'entraînement et l'inclination de la
tête
au lieu de se produire régulièrement vers le cô
es électrodes au niveau d'une apophyse mas- toïde et l'autre sur la
tête
du côté du foyer hémorragique et à la bailleur
pas sans inconvénient d'employer le courant galvanique dirigé sur la
tête
dans des conditions où les vaisseaux cérébraux
ois même des frictions; contre la céphalée le souffle dirigé sur la
tête
ou la douche statique se trouvent indiqués; les m
s demeningtte cérébro-spinale aiguë les applications froides sur la
tête
et la colonne vertébrale (vessie de glace, tube
x et l'écaillé de l'occipital ont été ainsi enlevés, on plonge « la
tête
dans une solution très faible de liqueur de Milli
coupe de FIcchsig, se pratiquant de dehors en dedans, passe par la
tête
du noyau caudé et par la partie moyenne de la cou
bdomen. In- nervation, physiologie, 566. - droit postérieur de la
tête
, petit droit posté- rieur de la tète. Innervati
, 578. épineux, 578. - du coccyx, 579 : peauciers du cou et de la
tête
, 579, des pau- piètres, 582. dit nez, 584. - de
Pendant ce temps, affirme-t-il, l'infirmière me parlait, j'avais la
tête
tournée et je ne m'apercevais de rien. » Il pri
sa langue. - Grincements de dents à partir de leur apparition, La
tête
, qu'elle se cognait contre le lit, paraissait à c
t. Ses lèvres sont très décolo- rées, ainsi que ses conjonctives.
Tête
. Cheveux châtains, abondants bien plantés, avec u
long que le membre inférieur du côté droit. Les mouve- ments de la
tête
du fémur dans la cavité cotyloide droite parais
très douloureuse et l'enfant pousse des cris. Elle ne peut tenir sa
tête
droite ; elle se renverse d'elle-même un peu da
ncements de dents, cognements SYNOSTOSE PARTIELLE DU CRANE. 47 de
tête
(krouomanie), sommeil agité, accès de cris, etc
emaines avant terme. - Asphyxie à la naissance, due au volume de la
tête
qui est restée longtemps au passage, ongles peu
sité, cachexie pachyder- mique, absence de la glande thyroïde. La
tête
est brachycéphale. Les cheveux sont longs, châtai
ée reparaît, la toux persiste. L'enfant se gratte le nez, frotte sa
tête
contre l'oreiller. Une selle sans lavement. - S
, est assez grande; douleurs névralgiques dans les deux côtés de la
tête
; caractère calme, serait sujette à des migrain
issance, l'enfant était asphyxiée, parce que, dit-on, elle avait la
tête
volumineuse et que celle-ci était restée longte
e corps trapu, arrêté dans son développement est sur- monté d'une
tête
relative- ment énorme (Fig. 11). L'habitus ex
nt moins étendues. IDIOTIE avec cachexie Y : 1CH1'DERniI(UE. 63
Tête
brachycéphale, avec plagiocéphalie légère. 1%
lèvres sont épaisses ; l'inférieure mesure à peu près 8 milli-
Tête
: même conformation. Fontanelles. - La f. anté-
sversal y constitue un double menton, d'autant plus accusé que la
tête
est incli- née en avant. Oreilles, rien à not
9 ans, sans avoir parlé, ni marché. - Une cousine germaine « a la
tête
faible », mais gagne sa vie]. Pas de consanguin
usages, il répond le plus souvent par un rire bête et détourne la
tête
. 11 est grossier, et s'il prononce spontanément u
- tère, testicules, intestin grêle et colon, rien de particulier.
Tête
. - A l'ouverture de la cavité crânienne, il s'éco
érence sensible, pas d'asymétrie notable entre les deux côtés de la
tête
; - 2° les dégé- nérations secondaires, intéres
ans, il avait des accès d'agitation dans lesquels il se cognait la
tête
, jetait 108 Description DU malade. tout ce qu
s ce qu'on lui commande. Il est parfois agité la nuit et soulève la
tête
sur son oreiller. La mère s'est décidée à le pl
grit, refusa 'de manger, fut pris de vomissements et de douleurs de
tête
. État actuel (2f) juillet 1893). Teint très pâl
nt maigres. - Abdomen assez volumineux et distendu. Mesures de la
tête
. Autopsie : état DU crâne. 109 État de la den
TETAL. Sommaire. - Père, rhumatisant, migraineux, contusion de la
tête
. - Une tante et deux oncles sourds et muets. Ta
elle a eu une nouvelle crise : elle a laissé tomber tout à coup sa
tête
dans son assiette. A la suite, le côté droit fu
ois, après le repas, l'enfant devenait blême, puis très colorée, la
tête
et les oreilles prenant alors une teinte cramoi
on attention sur un objet quelconque qu'elle regarde en baissant la
tête
. Elle est peu agile, a de la difficulté à jouer
ure reste entre 37° et 37°, 6. 9 juillet.- Large yésicatoire sur la
tête
, sans aucun effet appréciable. FI(I. 18. - ,l
près régulier et symétrique (10 gr.). - Pas de traces de thymus.
Tête
. - Le cuir chevelu est maigre avec une large plaq
be droite, embarras de la parole, congestion delà face, douleurs de
tête
, vomissements bilieux, etc. Pendant les huit pr
mpreinte du doigt qui les comprime. Le cou est gros, court, et la
tête
semble s'enfoncer entre les épaules. L'examen l
ui à tout. Une porte qu'on ouvre la fait retourner. Elle incline sa
tête
et pose sa joue sur celle de la personne qui la
i elle veut manger ou boire. Elle refuse par un signe négatif de la
tête
. Elle distingue les personnes, témoigne ses pré
00 avec quelques oscillations, puis est remonté à 10 hil. 500. La
tête
a profité du développement général du sys- tème
d on veut la placer dans le chariot, se mord les mains, se cogne la
tête
, trépigne, pousse des cris épouvantables. Elle
i tics, ni céphalalgie, ni grincements de dents, ni cognements de
tête
, ni troubles vaso-motcurs, ni bave. Caractère a
nt rosées. Léger affaissement dans l'habitude générale du corps. La
tête
est un peu rejetée en arrière, le tronc arqué,
lade en 1886 et en '1896, - Développement physique : poids, taille,
tête
, membres, puberté. - Amé- lioration intellectue
; c'était vers le 4" mois. (Note de 1896). (3) Présentation de la
tête
; a rendu peu d'eau à toutes ses couches, chaque
qu'à près de 10 ans, il balançait le tronc d'avant en arrière et la
tête
latéralement ; il avait les « yeux en l'air. »
n le contrarie et qu'alors il est grossier. État actuel (488G).- La
tête
est arrondie, sans déformation ; les bosses crâ
; a 0 v n Et ni H 71 Tableau des mensurations de la
tête
. ,1/e mores supérieurs. 248 .. PARAPLÉGIE spa
la tête. ,1/e mores supérieurs. 248 .. PARAPLÉGIE spasmodique.
tête
, les cheveux sont plus ou moins longs, et, pour l
ement insensibles les deux membres inférieurs et le côté gauche de la
tête
. Alors je lui enfonçai deux aiguilles le long du
je continuai mes expériences. Je demandai si la moitié gauche de la
tête
était encore bien insensible. Le magnétiseur, apr
nter encore la rigidité de leurs membres. Si M. Regazzoni touche leur
tête
en différents endroits, elles doivent rire, pleur
monieuse de leur globe d’or qui roulent avec majesté au-dessus de nos
têtes
, selon la belle expression du prophète David, rac
......................id. *0. E. Newland Seplien. — Affection de la
tête
..................id. Il est à remarquer que tou
qu’elle a écrite à une de ses amies : « M. Capern m’a magnétisée la
tête
seulement six fois, et les douleurs que j’éprou
n de Maria Fauveau, nous a épargné la douleur de lui voir trancher la
tête
. Kl le est étendue sur la planche de la guillotin
n’en était pas moins une vérité : la sorcière avait vu Maria ayant la
tête
sous le couteau de la guillotine, et elle avait v
? Bon nombre d’anathèmes sont retombés comme de lourds pavés sur la
tête
de ceux qui les avaient lancés. Ne nous laisson
ous la ligne, sur le pont d’un navire et eut un coup de soleil sur la
tête
; il devint épileptique. Esquirol le guérit par d
épileptique. Esquirol le guérit par des affusions d’eau froide sur la
tête
. La cause du mal, la nature du remède et sou heur
épileptique venait sans avant-coureur, ce serait à la nuque et sur la
tête
qu’il faudrait les placer. On pourrait encore en
ont commentées, vos intentions dénaturées, et vous aurez à courber la
tête
plus d’une fois devant des maîtres en imposture.
assons à d’autres faits : Voici une jeune fille lymphatique dont la
tête
est d’une grosseur monstrueuse ; elle peut à pein
redressera spontanément de toute sa hauteur et rejetera légèrement la
tête
en arrière; alors sa contenance prend l’expressio
ste, il suffit d’étendre les jambes et l’épine et de porter un peu la
tête
en arrière pour susciter le sentiment et l’expres
sité. Durant la plus complète domination de ce sentiment., courbez la
tête
en avant, fléchissez doucement le corps et les me
passait en lui, M. *** nous a déclaré avoir ressenti d’abord dans la
tête
un mouvement giratoire qui bientôt avait gagné le
us importants d’un corps qui aurait dû, dès longtemps, se placer à la
tête
d’une science dont le maniement lui a, dans l’ant
rire, et quand 011 a voulu leur proposer de voir, ils ont détourné la
tête
et refusé de voir la lumière. « C’est que la sa
qui veut que le somnambulisme soit l’œuvre du démon, et l’autre à la
tête
de laquelle se trouvent des prélats romains, des
, et nous nous plaisons à y voir un appel au clergé de se mettre à la
tête
de l’étude et de la pratique du magnétisme; nous
nt de place et s’effaçaient pour en laisser paraître de nouvelles. La
tête
seule était visible dans ces apparitions, mais el
m’enfonçai dans mon lit et tirai vivement la couverture pardessus ma
tête
. Mais la curiosité l’emportant sur la peur, je ri
t recevoir un souverain. Dans l’intervalle, notre dupe se fourra en
tête
que c’était la femme de son propriétaire qui l’av
u’il fut devant elle, elle le magnétisa pendant un certain temps à la
tête
afin, disait-elle, de modifier le fluide qui y ét
aractère particulier la singulière tendance de la malade à pencher la
tête
sur l’épaule droite et à la frapper contre un cor
à la frapper contre un corps dur. 11 fut suivi d’un tremblement de la
tête
qui persista pendant plusieurs semaines. Les accè
le droite, elle cherchait un corps dur contre lequel elle heurtait sa
tête
.avec une violence extraordinaire et d’une manièr
pression d’idiotisme ; elle accusait constamment des douleurs dans la
tête
, et était sujette à des congestions fréquentes ve
s maux de dents violents qui s’irradient sur tout le côté droit de la
tête
; elle se couche vers dix heures du soir. A onze
sommeil sur la cause de ses accès ; elle me répond qu’elle a dans lu
tête
un ver avec beaucoup de pattes. A une heure et
de lucidité. « Où est le siège de votre maladie ? — J’ai dans la
tête
un ver qui va du milieu de la tête jusque vers le
e votre maladie ? — J’ai dans la tête un ver qui va du milieu de la
tête
jusque vers le nez. — Comment peut-on vous deba
guérir? — Non. A la quatrième, il faudra faire une incision sur la
tête
et extraire le ver. — Trouverai-je l’insecte?
ure de sommeil, puis demande un verre d’eau et quelques passes sur la
tête
, parce que l’insecte lui fait mal. M. Gros essaie
ue d’hier, la malade se plaint d’une douleur perçante au sommet de la
tête
. Dans la journée, elle prend 15 centigrammes de s
e saisirai facilement.» Nous soulevons sa main gauche au-dessus de sa
tête
, introduisons le pouce sous le lambeau; avec l’in
que, contrairement à ses accès antécédents, elle ne se frappe plus la
tête
d’une manière rhythmique contre un corps dur# L
l’insecte ne me fait plus de mal. — Pourquoi vous frappiez-vous la
tête
dan s vosautres accès? — Pour tuer l’insecte.
vous lucide? — Oui. — Comment cet insecte est-il entré dans votre
tête
? — Après une chute que je fis sur la tête, il s
e est-il entré dans votre tête? — Après une chute que je fis sur la
tête
, il s’est formé dans un caillot de sang. — Quel
lée dans mon cabinet, et me dit : « Monsieur, j’ai des vertiges, la
tête
prise ; vous verrez que j’aurai un accès. Je lu
et l’oppression la forcent d’aller dans sa chambre et de s’appuyer la
tête
contre son lit. A trois heures, en marchant, elle
ue des compresses d’eau sédative concentrée sur le cou, le cœur et la
tête
, des sinapismes aux mollets, et je pratique une l
vec des maux de tête atroces; à une heure après midi, les douleurs de
tête
deviennent intolérables. La malade se couche sur
ion des deux lobes antérieurs du rer\etiu. Il faut m’appliquer sur la
tête
des compresses vinaigrées froides, me donner un b
n. Je prescris des sinapismes et des compresses d’eau sédative sur la
tête
, un cataplasme sédatif sur l’abdomen. Le 24, pe
t fortement irrités. Je prescris des compresses d’eau sédative sur la
tête
et sur le cou, des cataplasmes sédatifs sur le ve
u fond du sac de nos sommités scientifiques ; ce qui est sorti de nos
têtes
les plus fortes ! « Pauvreté sera vice ! dit M.
/ et cent mille autres diables! 1 !... Voyons votre mot d'ordre. En
tête
du Journal Publié par les soins de votre général,
r. Je ne sais quelles imaginations absurdes me passèrent alors par la
tête
, mais je me figurai que c’était un symptôme de gu
, nous le faisons cesser à volonté rien qu’en souillant à froid de la
tête
au bassin seulement. Je ne vous ferai point la
s reconnussent qu’ils ont erré ? Le roi Sicambre a bien pu courber la
tête
sous la main de saint Rémi et abandonner ses idol
ns et demi reçut d’un de ses camarades quelques coups de poing sur la
tête
; des douleurs vives survinrent dans le crâne et
le reçut du magnétisme par irradiation, et quitta la séance, ayant la
tête
embarrassée et les jambes lourdes. Arrivée chez e
tat de résolution complète; les muscles du col ne soutenaient plus la
tête
. Il n’y avait que les muscles qui concourent à la
au sein gauche, depuis six mois, un petit bouton de la grosseur d’une
tête
d’épingle. Ce bouton, survenu sans cause connue,
depuis deux ans : 30 magnétisations, eau magnétisée. Erysipèle à la
tête
: 4 magnétisations. Panaris charbonneux au peti
s lustres, éclairaient cette salle; puis mes yeux .« se fermaient, ma
tête
se penchait en avant, et tout d’un •« coup, senta
se tournèrent en haut. Neuf minutes après, ceux-ci se fermèrent et sa
tête
s’inclina, puis elle retomba dans le dossier du f
bs, pendant tout le temps de l’opération fit des passes lentes sur sa
tête
penchée en arrière. M. Tubbs s’assit devant elle,
e pour chacun d'eux? que la conviction est entrée dans chacune de ces
têtes
dont la moitié peut-être, sinon les tfôis quarts,
ostic. « Ainsi la malade de M. Dittmar annonce «qu’elle a dans « la
tête
un ver avec beaucoup de pattes qui va du milieu «
être qui doit avoir séjourné plusieurs années dans l’intérieur de la
tête
. Etait-ce un entozoaire ou bien une larve dévelop
« Les douleurs, dit-elle, sont sensibles dans le dos, la nuque et la
tête
; là pourtant ne se borne pas l'affection. Le poi
mie entière participe à cette manifestation ; ainsi les organes de la
tête
et du tronc, les membres et leurs articulations n
nrent violentes, les tables furent renversées, un canif fut jeté à la
tête
d’une personne, sans toutefois lui faire de mal ;
yeux se convulsaient ensemble et à la fois vers la racine du nez, la
tête
se renversait en arrière ou de côté, les artères
que Bruxelles était en rumeur par un événement qui mettait toutes les
têtes
en ébullition. Un homme était apparu, un pauvre d
a comtesse de Convvay, souffrait depuis plusieurs années, d’un mal de
tête
invétéré ; il la confia aux soins de Greatrakes,
cures nombreuses. Il racontait que, tourmenté longtemps d’un mal de
tête
intolérable que les médecins d’Insprucket de Prag
Davidson rapporte un fait curieux de fascination. Il traversait, à la
tête
d’un détachement, une forêt qui passait pour un r
fixes. C’est alors qu’on observa dans la direction de ses regards la
tête
d’un tigre dont les yeux étincelants étaient atta
mme qui a la conscience de ce qu’il vaut et de ce qu’il peut, dont la
tête
puissante et féconde renferme toute une révolutio
ié en bandeau fut appliqué sur le tout, attaché et serré autour de sa
tête
. Avec ces obstacles il était aussi impossible à t
le, ou à une certaine distance, ou nous les liâmes à la hauteur de sa
tête
; les positions parurent produire une certaine dif
enir strictement au plan de cet Exposé ; ils ont, notamment, mis en
tête
du présent ouvrage les textes où Babinski a ins
jet qui se plaint d'éprouver depuis quel- que temps des douleurs de
tête
entravant ses occupations habituelles et lui ôt
illiampères, on n'obtient ni inclination ni rotation latérale de la
tête
on peut affirmer qu'il existe une lésion labyrint
le malade ouvre la bouche toute grande, tantôt quand il fléchit la
tête
et s'oppose au mouvement d'extension qu'on cher
'ouverture énergique de la bouche, ainsi qu'une forte flexion de la
tête
et du cou sur le tronc sont des actes dans lesque
e deuxième, le membre supérieur se soulève, la main se porte sur Ja
tête
et vient s'appliquer soit à sa partie antérieure,
es mouvements en sens inverse : la main était-elle appliquée sur la
tête
à la suite du pincement du côté malade, on obtena
é malade, le bras s'élevait de nouveau et la main se portait sur la
tête
. z> Revue Neurologique, mai ig2. : : (2) fie
ur centre dans l'encéphale. Quant aux mouvements de la main vers la
tête
constatés chez les hémi- plégiques dans notre n
rébelleuses de la protubérance. Le tremblement des membres et de la
tête
, la scansion de la parole, le nystagmus, la titub
station debout. Lorsque le malade étant debout cherche à porter la
tête
en arrière et à incliner le tronc dans le même se
a) Le malade se tenant debout et immobile, on l'invite à porter la
tête
en arrière et à courber le tronc dans le même sen
es pieds et les cuisses sur les jambes ; c'est tout le corps, de la
tête
aux pieds, qui s'incurve en arrière, et les genou
areil voltaï- que sont appliquées chez l'homme des deux côtés de la
tête
, soit aux apophyses mastoïdes, soit aux tempes,
s, une sensation de vertige ainsi qu'une inclination latérale de la
tête
et de la partie supé- rieure du corps du côté o
lors de la manière la plus nette qu'à la fermeture du cou- rant, la
tête
s'inclinait du côté du labyrinthe excité si l'éle
tact était positive, et que, lorsque l'électrode était négative, la
tête
s'inclinait du côté opposé. J'ajoute que le mou
e de piles aux tempes, on constate au moment de la fermeture que la
tête
s'incline du côté de l'oreille bouchée quand le
le positif est de ce côté, et que, lorsqu'on inverse le courant, la
tête
s'incline beaucoup moins du côté oppo.sé ou se po
expériences. ' 212 SÉMIOLOGIE delà, détermine une rotation de la
tête
de l'animal autour de son axe occipito-nasal et
gal- vanique de courte durée, la réaction voltaïque conjuguée de la
tête
et des yeux fait pour ainsi dire défaut, quand
ou supérieure à la normale ; la rotation voltaïque conjuguée de la
tête
et des yeux devient unilatérale. Les résultats
pères à chaque fer- meture de circuit, une rotation conjuguée de la
tête
et des yeux vers le pôle positif. Ces résultats
y chez certains animaux à qui on a détruit le vermis ; il dresse la
tête
le museau en l'air, le cou tendu, le corps pelo
ique on peut provoquer des deux côtés la rota- tion conjuguée de la
tête
et des yeux ; mais le corps reste relativement
long. EXPÉRIMENTATION SUR L'HOMME (Inclination et rotation de la
tête
.) Chez l'homme normal, le courant galvanique, o
nation connue depuis longtemps, provoque souvent une rotation de la
tête
et parfois aussi du tronc. La région qui me s
on, on obtient généralement, à l'état normal, une inclination de la
tête
avec un courant de très faible intensité. J'ai pu
ciale. En outre, on constate parfois un mouvement de rotation de la
tête
. Pour le faire apparaître, il suffit de modifie
ieure du tragus, au devant du lobule de l'oreille. On voit alors la
tête
exécuter une rotation du côté opposé au pôle né
egments du corps. Les mouvements d'inclination et de rotation de la
tête
et du tronc qu'on peut obtenir par différents e
que j'ai observée il y a dix ans. Elle se plaignait de douleurs de
tête
qui avaient apparu environ trois ans auparavant,
de bicyclette et se heurta forte- ment la partie postérieure de la
tête
contre le sol. Un mois après cet accident, elle
emière fois le 7 janvier dernier. Elle me déclare que la douleur de
tête
, devenue intolérable, occupe le front, l'occipu
de QI ans, commence au mois d'août igi8 à souffrir d'une douleur de
tête
siégeant au front, continue, avec paroxysmes. De
peine la main que l'on déplace devant son oeil. Les douleurs de la
tête
augmentent ; les crises, qui deviennent plus fréq
collègue le Dr Lion, qui veut bien me l'adresser. Les douleurs de
tête
sont devenues plus fortes et s'accompagnent de vo
a papille sont nettement limités. Depuis l'opération, les douleurs de
tête
ne se sont pas reproduites, mais l'affaiblissem
. Il est vrai que dans les néoplasmes de l'encéphale, la douleur de
tête
est bien souvent diffuse ; elle est susceptible
s le soir, il se déclara complètement soulagé. Les douleurs de la
tête
ont complètement disparu, ainsi que les vomisseme
de l'affection, le malade qui se plaint de lourdeur, de douleurs de
tête
, d'une faiblesse générale, est considéré comme
que sur l'index et le petit doigt. L'épaule gauche se soulève ; la
tête
se porte en arrière, s'incline légèrement à dro
ches; en effet, quand il apparaît, l'épaule gauche se sou- lève, la
tête
se porte en arrière et exécute en même temps un m
travail, il est obligé, paraît-il, de porter presque constamment la
tête
en rotation à droite; quant à ses mains, elles
t du cou s'accompagna de mouvements involontaires de rotation de la
tête
à gauche. Il lui fut encore possible pendant quel
modiques intermittents du cou et du membre supé- rieur gauche. La
tête
est à peu près constamment en rotation à gauche,
le mouvement de rotation; en même temps le menton se soulève et la
tête
se porte en arrière. Le spasme du cou est assoc
ble, à certains moments, de réagir contre le spasme et de placer la
tête
ainsi que le bras dans leur position naturelle, m
e 2Go AFFECTIONS NON PYRAMIDALES instinctivement, à soutenir sa
tête
avec la main, et il peut par cette manoeuvre atté
ges. Au mois de mars 1921, voici quel est l'aspect du malade : La
tête
est légèrement inclinée à gauche et en rotation v
edans. Le tronc est incliné en haut et à droite. La déviation de la
tête
devient bientôt telle que le malade s'efforce de
je soumets de nouveau à l'observation de la Société, peut tenir sa
tête
absolument immobile et elle paraît tout à fait
lorsque le malade déclare que les spasmes incessants qui mettent sa
tête
en mouvement lui rendent la vie impossible à su
vain qu'on la sollicite à ouvrir la bouche ou à émettre un son. Sa
tête
, son visage, restent figés et elle ne semble ne
ce, des peauciers, des muscles de la nuque. Ses yeux se ferment, sa
tête
se renverse en arrière, etc... et, après un stade
qu'on l'examine dans la position assise c'est une inclinaison de la
tête
à droite, un abaissement de l'épaule droite, un
e (voir fig. 10). On observe aussi une légère oscilla- tion de la
tête
de droite à gauche et parfois d'avant en arrière.
tenir son corps au repos on observe, outre les oscillations de la
tête
déjà signalées, un léger tremble- ment des me
ouvements de flexion, d'extension, d'inclinaison et de rotation de la
tête
semblent être exécutés d'une manière à peu près
Dans cet acte le sujet titube, la partie supérieure du corps et la
tête
présentent des oscillations en divers sens qui am
x soient ouverts ou fermés. ' Lorsque le malade cherche à porter la
tête
en arrière et à courber le tronc dans le même s
- Attitude du malade dans la station debout, cherchant à porter la
tête
en arrière et à courber le tronc dans le même s
artant un peu de la corne antérieure et forment une virgule dont la
tête
s'adosse au faisceau pyramidal direct en toucha
inclination et la rotation sont remplacées par un mou- vement de la
tête
en arrière. Parfois, bien plus rarement, la tête
mou- vement de la tête en arrière. Parfois, bien plus rarement, la
tête
se porte en avant. Dans certains cas, pendant
des modalités variées. Tantôt, quel que soit le sens du courant, la
tête
s'incline du côté de l'oreille malade ; en pare
é de l'oreille malade ; en pareil cas, à l'ouverture du courant, la
tête
reprend immédia- tement sa position primitive o
core l'inclination provoquée par le passage du cou- rant. Tantôt la
tête
s'incline, comme à l'état normal, du côté du pôle
ruction complète du labyrinthe chez le cobaye). La rotation de la
tête
subit fréquemment aussi des modifications. Elle
n'a pas eu la syphilis. Elle souffre depuis deux ans de douleurs de
tête
qui seraient survenues à la suite d'un chagrin,
de. Il y a aussi de la raideur du cou avec inclinaison à gauche de la
tête
qu'on a beaucoup de peine à redresser. Les musc
is échapper son urine. Pas de troubles rectaux. Trem- blement de la
tête
, ayant les caractères du tremblement dit sénile.
les sont normales. Le malade ne souffre pas, n'a pas de douleurs de
tête
, son urine ne contient ni sucre ni albumine. Le
évrite optique intense sans provoquer de nausées, ni de douleurs de
tête
à une période quelconque de son évolution et que,
jambes. Il y a quelques semaines, elle a été prise d'une douleur de
tête
qui a été en s'accentuant et qui est toujours bea
ai vue pour la première fois, elle était en proie à des douleurs de
tête
de la plus grande violence qui avaient, m'a-t-ell
ans, est entrée à l'hôpital se plaignant de douleurs vives dans la
tête
, le cou et les épaules et de faiblesse progressiv
nt appréciables : il ne distingue pas la pointe d'une épingle de sa
tête
, un corps rugueux d'un corps lisse, il sent le
iographie, faite après que la malade est restée quelques minutes la
tête
en bas, montre que l'huile nouvellement injecté
sur la radiographie, laquelle a été faite la malade étant placée la
tête
en bas, qu'une grosse partie de la bille supéri
qu'on ne constate aucun trouble ni aux membres supérieurs, ni à la
tête
. Étant donné les troubles observés chez cette m
éflexes cutanés abdominaux sont abolis. Rien à signaler du côté de la
tête
et des yeux, pas d'Arc, 11-Robertson ; rien non
ul-de-sac sacré : la malade est placée en position presque verticale,
tête
en bas. L'une des deux billes, l'inférieure, re
e G... Radiographie faite le 1er juillet 1926, la malade étant placée
tête
en bas. 418 .t ? G/ËS AFFECTIONS DE LA MOELLE
e, bien entendu, qu'un temps très court dans la position verticale,
tête
en bas, nous ne savons pas si l'obstacle était in
s les divers points dou- loureux, tels que le clou hystérique de la
tête
et l'hyperesthésie ovarienne. Les crises ou att
ar suggestion, développer une phobie, une obsession, une douleur de
tête
en forme de casque, etc., et l'on créerait ains
éclaré séance tenante qu'ils se sentaient plus à l'aise et que leur
tête
était plus libre. Bien qu'on soit, à priori, te
lectuelles, et constata alors qu'il lui était difficile de mouvoir la
tête
et qu'il lui était impossible de remuer le memb
nstate alors : Je suis frappé d'abord par l'attitude anormale de la
tête
qui est fortement fléchie et que le petit malad
he, à la suite d'un autre accident survenu il y a plus d'un an ; la
tête
, outre qu'elle est fléchie en avant, est inclin
on horizontale, incapable de se mettre sur son séant, de mouvoir la
tête
, les membres inférieurs et les membres supérieurs
se des difficultés opératoires provenant de l'attitude vicieuse de la
tête
; quelques jours après, on fait une deuxième ra
ins raide, il est en mesure d'étendre et de faire tourner un peu la
tête
, les mouvements de son membre supérieur droit son
le de mouvoir ses jambes, de se mettre sur son séant, de tourner la
tête
, de porter ses aliments à la bouche. L'état d
ur droit et en partie celui du membre supérieur gauche; il remue la
tête
et le tronc avec assez d'aisance, il est capabl
d très bien ce qu'on lui dit et répond oui et non par des signes de
tête
. Il porte fréquemment la main gauche à sa tête
on par des signes de tête. Il porte fréquemment la main gauche à sa
tête
et fait com- prendre qu'il souffre beaucoup. Le
midi, en laissant une sensation de lourdeur très prononcée dans la
tête
. La nuit suivante, le sommeil est assez bon et,
e l'oculo-moteur commun gauche. Celle-ci commen- çait par du mal de
tête
et des vomissements et durait trois jours. La m
une saignée pratiquée à la tempe à cause de violentes douleurs de
tête
. Ces douleurs de tête, siégeant surtout du côté d
e à la tempe à cause de violentes douleurs de tête. Ces douleurs de
tête
, siégeant surtout du côté droit, se sont d'aill
es, dit le malade; elle est toujours précédée des mêmes douleurs de
tête
hémicrâ- niennes qui, dès l'apparition de la pa
yant voulu continuer son voyage; déjà le second jour, la douleur de
tête
avait complètement disparu, et le ptosis était
ait fermé; il était indisposé depuis 3 jours (Sickness) avec mal de
tête
, mais sans douleur localisée. Un an auparavant,
, un jour qu'il était en état d'ivresse, il a fait une chute sur la
tête
, laquelle a déterminé une commotion cérébrale i
me de la mâchoire inférieure, de grandes oreilles détachées de la
tête
,, coïncidant surtout avec un lobule sessile, le
elles sont survenues de jour comme de nuit. Très souvent, un mal de
tête
violent prévient le malade qu'il va tomber, il
cutanée, et, inversement, une insensibilité totale de la peau de la
tête
contrastant avec un fonctionnement presque abso
tion oedémateuse des parties molles, une hyper- trophie notable des
têtes
de l'astragale, du calcanéuni et du scaphoide e
e, il s'agit d'un accès de marne ayant succédé à une blessure de la
tête
. UBSIGRVA11UN 1. - Ilououe de quarante-cinq ans
ntrée, il s'est fait, en tombant de cheval, une grave blessure à la
tête
: relevé sans connaissance, il n'a pas tardé à
Le 29 décembre 4882, elle présente des douleurs à la nuque, dans la
tête
, par tout le corps, avec vertiges et abattement.
ant pendant deux ans occupé le côté droit du Li one et gauche de la
tête
, avec affai- SOCIÉTÉS SAVANTES. 109 blissenie
urs lombaires, des sensations de froid et dechaud, une pesanteur de
tête
, la perte de l'appétit, bref, par tous les symp
, l'examen des différents organes ne révèle rien de particulier, la
tête
n'est pas chaude, la tempé- rature axillaire ne
d'ordinaire dans la manie simple. B... se plaint d'une douleur de
tête
violente; il nous dit que cette douleur existe de
e nerveux. Dans le premier groupe se placent les diathèses et, en
tête
, la syphilis et l'arthritisme; dans le deuxième
NÉ. 171 t constante (pêcheur) une fois (n° 9) et une chute sur la
tête
une fois (Il' -91). Quant à nos 3 cas personnel
té le seul signe pendant vingt-trois ans, et que la cicatrice de la
tête
est encore assez distincte pour permettre l'étu
omson). - P. Il..., soldat, âgé de vingt-trois ans, fut blessé à la
tête
par une balle de carabine à la bataille d'Autie
ensibilité tactile est un peu plus lente sur la moitié droite de la
tête
et la main droite. Pas de troubles du sens mus-
faible autrefois, mais il n'y a jamais eu d'amnésie des mots. La
tête
présente deux cicatrices : celle de l'entrée de l
n) est indiqué par la portion ombrée, dans la partie occipitale de la
tête
, coupant les lignes 2 et B. - ) j i I . ; .
mâle dans les points correspondant aux cicatrices observées sur la
tête
de H... et une pointe de fer fut poussée à traver
éphalalgie. Au- milieu de mai, on s'aperçut que la malade tenait sa
tête
oblique- ment vers la gauche. Le 20, l'examen r
-il, voir les objets situés à sa gauche, sans tourner de ce côté sa
tête
et ses yeux. L'examen à l'aide d'un objet brill
ux blanchir en quelques jours, surtout à la partie antérieure de la
tête
. ~~ Antécédents personnels : pas de convulsions
intense, la malade est oppressée; elle ressent des tournoiements de
tête
et présente un peu de gonflement aux jambes; les
ement après, un sentiment de lassitude prononcée, des douleurs à la
tête
, au tronc et aux jointures, alors ce brisement
hez un individu sain. Nous n'avons pu noter aucune déformation à la
tête
de la ma- lade ; comparaison a été faite avec l
ormation à la tête de la ma- lade ; comparaison a été faite avec la
tête
de trois employées du service, lesquelles ne so
e éprouve à l'épigastre des bouffées de cha- leur qui atteignent la
tête
; cette agitation pénible qu'elle ne pouvait rép
bonne santé, pousse un gémissement au milieu duquel elle tourne sa
tête
à gauche, se raidit de tous ses membres, princi
pâleur à la face, les paupières closes, comme une masse inerte; la
tête
est alors un peu inclinée à droite, les pupille
plus souvent la goutte '. » Notre malade offre des névralgies à la
tête
, certains troubles nerveux (gastralgie, hypothy
s membres. Stabilité musculaire cataleptique dans les muscles de la
tête
et du cou, dans ceux des membres droits ; dans
diens ; les faciaux ne se contractent que pendant la léthargie. La
tête
est cataleptisable. Insensibilité cutanée presque
contracture disparut après la mort. Le malade ne pouvait relever la
tête
ni même les yeux. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYS
connue, l'agitation a reparu tout d'un coup : mouvements de la
tête
, des yeux , des membres, envie de pleurer, et
tombé dans le mutisme à lasuite d'uu coup qu'il avait reçu sur la
tête
à l'âge de cinq ans en allant à l'école, et dont
comportait comme les autres enfants. A cet âge, il est frappé à la
tête
, il rentre chez lui très effrayé. Cette frayeur
t faible, fortement amaigri, demeurant dans le décubitus dorsal, la
tête
un peu fléchie en arrière. Visage pâle et défai
ncement d'escarre par décubitus au sacrum. Impossible de fléchir la
tête
en avant; mais, quand l'enfant est couché sur l
, humeurmorose. Pendant l'été de 4882, sensations impor- lunes à la
tête
et dans les yeux, affaiblissement de la mémoire.
leurs reparaissent bien plus violentes, elles s'étendent à toute la
tête
, en avant et vers les arcades sourcilières ; en
nt au bout de cinq semaines; il se met travailler; de la douleur de
tête
il reste une inexprimable sensation de boulimie
faite. Sortie, à Litre d'essai, le 24 janvier 11885 ; la douleur de
tête
est devenue supportable ; l'écriture et le styl
ulièrement jusqu'à l'âge de quatre ans, époque à laquelle il eut la
tête
prise et gravement lésée dans une machine(perte d
; physionomie intelligente, regard sou- vent vif, mais généralement
tête
baissée et sombre. Crâne de forme normale ; rie
ut marcher à l'aide d'une canne, mais le corps entier et surtout la
tête
sont agités pendant cet exercice comme dans la
cevoir 2 malades pour 1,000 habitants. On a décidé d'appeler à leur
tête
des médecins résidents et des direc- teurs médi
; nous constatons : 40 Une insensibilité complète de la piqûre à la
tête
, au cou et aux mains ; 2° L'abolition du réfl
de est prise d'oscilla- tions rhythmiques antéro-postérieures de la
tête
, oscillations peu accentuées et durant quelques
i avait reçu quelques années auparavant un traumatisme violent à la
tête
, traumatisme qui avait déterminé une fracture d
mètres dans l'amplitude énorme d'un champ usuel; le maintien de la
tête
exerce aussi une influence et il peut varier dans
s convulsifs bien accentués; le lendemain, douleurs dans toute la
tête
, idées délirantes, agitation, qui motivent son ad
ce initiale du pouls, suivie de sensation subjective de lourdeur de
tête
avec hébétude, fatigue, lassitude (intégrité de
« un certain nombre de cas, par la galvanisation directe de la «
tête
et du cou. » « 2o Relever l'innervation périphé
- ladies utérines),428; - (consécu- tive dt un traumatisme sur là
tête
), 429; - (et delirium tremens), 434. Gliose d
sonnes; f) d'un tambourin, d'une sonnette dans l'air, au-dessus des
têtes
des personnes présentes (dans l'obscurité). 9 per
isse fut transportée de derrière le rideau sur la table par-dessus la
tête
d'Eusapia, et puis la lampe allumée, plus faiblem
gonflait dans ce cas et dont le Dr Watras-zewski eut même une fois la
tête
enveloppée (1). Quand les assistants étaient touc
ait, qu'on avait vue aussi à Milan, planait librement au-dessus de la
tête
du médium, était blanche à nuance bleuâtre et sem
llume deux fois ; bientôt dans l'ouverture du rideau, au-dessus de la
tête
d'Eusapia, se montre une main, d'abord indistinct
s quelques minutes, à droite d'Eusapia, une demi-aune au-dessus de sa
tête
, sortit de derrière le rideau un objet de couleur
Eusapia d'une voix altérée m'ordonna de tenir la main au-dessus de sa
tête
. Je me suis approché du rideau, j'ai pris de ma m
it cette main), j'ai tiré ma main droite à 3 pouces au-dessus de la
tête
d'Eusapia. Certes, c'était un moment extraordinai
. Soudain, j'entendis le bruit caractéristique des doigts derrière la
tête
d'Eusapia, une demi-minute après, le bruit comme
ignotement des paupières, leur demi-occlusion, le laisser aller de la
tête
en arrière, l'occlusion définitive des paupières
tomba en arrière sur moi, criant en italien : « Tenez-moi » ; puis sa
tête
s'inclina à gauche, reposant sur mon épaule et su
l'air les pieds de la table, dont la planche planait au-dessus de la
tête
de Mme Szadkowska. C'était l'autre table, celle d
s cette position, se leva lentement et passa de nouveau par dessus la
tête
de Mme Szadkowska à sa place antérieure. Il était
plus souvent au-dessus de la table des séances, ou bien au-dessus des
têtes
et à proximité des assistants » (H. Siemiradzki).
ideau, devant lequel était assis le médium, et planer au-dessus de sa
tête
à la hauteur dune 1/2 aune. Le degré de l'éclat e
rs fois les points lumineux au-dessus de la table à la hauteur de nos
têtes
à peu près, quand je tenais moi-même une main du
une grande main avec la manchette, puis de la partie inférieure d'une
tête
. Ce phénomène apparaissait plusieurs fois, plus p
et autres assistants, je suis persuadé que ce ne fut ni la main ni la
tête
de quelqu'un des assistants. » (Szadkowski). M. S
nuit elle fut empêchée de dormir par une douleur violente derrière la
tête
. Insensiblement, le bras droit devint paralysé
mains rarement et faiblement ; le plus fort souffle au visage, de la
tête
du médium, du côté où il a le crâne blessé. « Le
. « Eusapia leva une fois ma main au-dessus de la moitié gauche de sa
tête
, et je sentis alors distinctement un souffle froi
tête, et je sentis alors distinctement un souffle froid, allant de la
tête
du médium en haut ; je ne peux pas m'en expliquer
ma main échauffée et couverte de sueur et la promena au-dessus de sa
tête
. J'ai eu l'impression absolument comme si je sent
autre nature. Pour l'examiner, j'ai passé à la séance suivante sur la
tête
du médium une lame de laiton avec un aiguillon, c
s il n'en fut rien. Le même jour Eusapia tint ma main au-dessus de sa
tête
, mais je ne sentis plus aucun souffle, seulement
gts. Quand je l'approchai à distance de quelques pouces, elle leva la
tête
avec mécontentement, regarda les voisins et murmu
, et assis à sa place, je réussis à lever ma jambe à la hauteur de la
tête
d'un des voisins. Pendant les mouvements de la ta
du tambourin qui, ayant passé de derrière le rideau au-dessus de nos
têtes
et sonné pendant un moment dans l'air, tomba par
et sexuelle), les névroses traumatiques, l'insomnie, les douleurs de
tête
habituelles, la dyspepsie nerveuse, les idées fix
uant un réveil graduel. Les troubles fugaces, comme la lourdeur de la
tête
, la lassitude persistant encore après le réveil s
'année 1891, d'accidents nerveux, états de sommeil, vertiges, maux de
têtes
, convulsions. Ces symptômes se produisirent, sans
bord antérieur de la sonnette. — Eusapia portait souvent la main à la
tête
; une fois elle était probablement trop fortement
qu'elle éprouvait après les expériences un tel engourdissement de la
tête
, qu'elle voulait se la gratter à l'aide du peigne
epuis assez longtemps ; la sonnette se taisait. Enfin Eusapia posa sa
tête
sur l'appareil ; après un certain temps quelque c
ait bien difficile d'introduire un fil dans l'appareil à l'aide de la
tête
, et demande à M. Reichman pourquoi, étant contrôl
déterminé ne pouvait plus en sortir, quoi qu'il fasse, se mit dans la
tête
, y ayant' pénétré, qu'il avait passé dans l'endro
dianique (N° 19). — M. Ochorowicz lui oppose le souffle sortant de la
tête
d'Eusapia, qui ne souffre pas cette explication.
. Szadkowski : la lévitation, le mouvement du rideau qui enveloppe la
tête
d'un des assistants, le nuage ; le Dr Watraszewsk
ême un point de controverse entre les convertis avec M. Ochorowicz en
tête
, et les sceptiques, qui, remarquant un mouvement
meilleure position pour dormir est sur le côté droit. Enfin, on sera
tête
nue, les cheveux des filles retenus dans un filet
-elle n ; et le lendemain, elle ne la sentait plus. Les douleurs de
tête
et du genou furent encore guéries de la même mani
longtemps elle a supporté le typhus; dans le délire elle se blessa la
tête
à la partie antérieure de la région temporale gau
entier; quand on faisait subitement de la lumière, elle retournait la
tête
en gémissant, et le visage exprimait la souffranc
les symptômes analogues), l'irritation générale des nerfs, le mal de
tête
et des yeux, le tremblement du corps entier et le
rt de sueur, près de s'évanouir ; il se plaignait d'un violent mal de
tête
. Avant l'expérience, les assistants mirent, sur l
dans son lit! » Mais s'il avait fait cela, on n'aurait pas tranché la
tête
à Castaing, on l'aurait tout bonnement enfermé da
rs peur de se trouver mal. Elle a la sensation d'un casque serrant la
tête
, une douleur très vive entre les épaules, les pie
le cancer. Ils attachent une touffe de cheveux sur le derrière de la
tête
avec un mouchoir rouge, puis impriment de fories
ontenter de faire frire dans du beurre chaud des poux cueillis sur la
tête
d'un enfant et d'avaler chaud. Mais l'efficacité
ontrôle . .. aucune n'est valable. Si j'avais l'honneur d'être à la
tête
d'une clinique comme celle de Lourdes, je voudrai
ans les jambes, éprouvait de la difficulté à marcher, des douleurs de
tête
et de temps en tempsde la faiblesse de la vue. So
e a toujours eu la colonne vertébrale incurvée, et qu'en marchant, sa
tête
était toujours fixe et légèrement penchée en avan
davantage en marchant, et qu'elle éprouvait de la souffrance dans la
tête
et dans le cou ; ce ne fut que huit mois plus tar
iculièrement dans la région dorsale intérieure. En faisant appuyer la
tête
sur la colonne vertébrale, on cause de la douleur
ère de cela. Elle ne traîne pas les jambes. En marchant elle tient la
tête
penchée en avant, inclinant plutôt du côté droit.
i un, entre autres, qui, sans s'éveiller, détourna instinctivement sa
tête
d'un pilier contre lequel elle allait frapper. Ev
qui portent sur les quatre membres et le cou, le tronc, le cou et la
tête
. Les mains sont fortement fléchies; les pouces en
pendant ces sommeils, elle affirme n'avoir au début aucune idée en
tête
et même avoir à peu près oublié ses anciennes émo
t à rien de semblable et qu'elles ne se souviennent pas d'avoir eu en
tête
des idées de ce genre. On comprend donc que bea
la rassure, les pleurs cessent et je poursuis à mon aise l'examen. Là
tête
bien conformée présente à la partie postérieure,
L'accablement reprend vite le dessus. Accrou- pie sur sa chaise, la
tête
inclinée sur le thorax, les paupières à demi-ba
auts, qu'il doit à un commerce honteux avec son frère. Il a dans la
tête
une anguille enroulée entre le cerveau et le cr
bruits infernaux, qui lui déchirent le tympan. Elle reçoit dans la
tête
des chocs mortels. Des fusées traversent ses me
crois pouvoir conclure que la mort est le résultat du choc de la
tête
sur l'angle de la première marche de l'escalier d
en ; 3° un garçon très ii-lalidif « aii ? ,ttit iiz 2)ezt perdu 1(t
tête
» à un moment donné, à la suite de chagrins de
la prostate. Dans le testicule gauche, petit kyste séreux entre la
tête
de l'épididyine et la glande. L'histoire de Che
envoyer le lecteur à la bibliographie assez détaillée qui figure en
tête
de cet article. I. ° ESSAI DE DÉTERMINATION A
i- nution de la tension sanguine dans le système vasculaire de la
tête
et du coil. Le manque d'action des vaso-constrict
des manifestations psychi- ques que lorsqu'il occupe ou envahit la
tête
et se transporte sur l'aponévrose épicrànienne.
ecin italien, se basant sur ce fait qu'en appliquant la main sur la
tête
d'une personne qui parle on perçoit une vibrati
e peut le considérer comme un faible d'esprit, c'est au moins une
tête
extrêmement légère; une idée lui traverse le cerv
us éveillée était impuissante contre ce qu'on appelait ses coups de
tête
. Jamais avec lui une heure de tranquillité et d
me dans tous les membres et au tronc : intégrité de la motilité; la
tête
qui auparavant était agitée de tremblements par
e la paralysie du facial et de l'hypoglosse. Le tremble- ment de la
tête
serait dû, pour l'auteur, à l'excitation d'un réc
KNTALK. ni père, ni mère, ni femme ni enfants; s'ils ont ma] à la
tête
, mal à l'estomac, mal en quelque point de leur
à l'estomac, mal en quelque point de leur corps ? ils n'ont pas de
tête
, pas d'estomac, quelques- uns même n'ont point
ques : les malades n'ont plus d'estomac, plus de cerveau, plus de
tête
, ils ne mangent plus, ne digèrent plus, ne vont
s de manie aiguë "par un fibrome' de 'l'utérus de là grosseur de la
tête
'd'diï'ho'iiiin6 adulte, 'ei'ùii'autre de papil
s dans mon service; durant ce laps de temps elle a eu du côté de la
tête
deux poussées conges- tives assez fortes : la l
is le col, on trouve une surface rugueuse, d'aspect spongieux. La
tête
numérale était luxée en avant et fai- sait sail
où l'os est éburné qui était en rapport avec ce qui reste de la
tête
JiUfnerale. 13. Ilumérus.A la partie antéri
t plusieurs petites excavations qui logeraient une lentille. La
tête
humérateestpro- fondément défor- mée ; le c
de sorte que la tu- hérosité externe semble confondue avec la
tête
. La grosse tubérosité semble d'ailleurs dim
9). Rien de parti- culici- du côté des tubérosilés, ni du col. La
tête
fémorale est à peu près lisse dans toute son ét
s qu'une petite éminence ru- gueuse à peine saillante. Le col et la
tête
du fémur ont complètement disparu ; le moi- g
réfaction de l'os. ' B. Fémur (Fig. 12 La moitié inférieure de la
tête
fémorale est coupée obliquement de haut en bas
o- inférieure et l'éminence iléo-pectinée. B. Fémur (Fig. 14). La
tête
et le col ont complètement disparu, il ne reste
partie voisine. Fig. Ki. Fémur gauche, disparition totale de la
tête
. LÉSIONS OSSEUSLS ET ARTICULAIRES DES ATAXIQUES
e la fosse iliaque avec laquelle elle se confond. · ' B. -Fémur. La
tête
et le col ont complètement disparu, la perte Fi
de qui lui est intimement soudée. Cette masse est constituée par la
tête
fémorale sur une petite étendue, mais il n'y re
une trace de cartilage. La partie du col qui reste adhé- rente à la
tête
montre une surface irrégulière et spongieuse. S
oite, déformation de la cavité cotyloïde au fond de laquelle est la
tête
fémorale. LÉSIONS OSSEUSES ET ARTICULAIRES DES
n de conti- nuité peimet d'apercevoir la surface rugueuse de la
tête
fémorale, qui vient ainsi, en quelque sorte,
un gouffre sans fond, tournoyant, enlevé en l'air, suspendu par la
tête
ou les pieds, projeté diversement. Au contraire
nducteur du tramway fit savoir que le blessé avait été atteint à la
tête
par une pièce saillante de la machine. M. Wood
etite ouver- ture vers l'augle interne de l'oeil ; puis il banda la
tête
en fai- sant de son mieux la coaptation des os.
(septembre 1871) que soudain, sans prodromes, la face, le front, la
tête
, les oreilles deviennent le siège d'une éruptio
, accompagnés de crise convulsive incom- lilète et de torsion de la
tête
. M. Westphal appelle l'attention, au cours du d
ysie conjuguée et encore bien moins de la déviation conjuguée de la
tête
et des yeux. Inté- grité dufacia) à gauche ; pa
es de /ti/s<ët'o-] ! 7epSM n'avaient observé ces zones 4lui'à la
tête
et au tronc, et M. Charcot, dans une récente leço
de sang, qu'il n'a pas de pouls, que son coeur ne bat plus, que sa
tête
est vide, qu'il n'a pas figure humaine. Il attend
en lui donnant de l'acide prussique. Son cer- veau est ramolli, sa
tête
est comme une noisette creuse, il n'a pas de se
soulier de femme, tantôt le bonnet de nuit coiffant un homme ou la
tête
ridée d'une vieille femme ;'le bonnet jï t fy,
crises plus rares ; il avait à soutenir des assauts terribles : la
tête
en feu, les membres raidis, les dents serrées,
. M. X... éprouve, en tout temps, une douleur vague au sommet de la
tête
; il lui semble que cette partie du crâne est m
; c'est surtout quand il est plongé dans un travail absorbant, la
tête
dans les mains, méditant profondément sur une aff
uleurs durent t quelques heures ; rien n'a encore pu les calmer; sa
tête
est entraînée en arrière, et il a besoin de l'a
s noces; devoirs conjugaux remplis à l'évocation de l'i- mage d'une
tête
de vieille femme ridée couverte d'un bonnet de
- biller une vieille servante, et dès que celle-ci mettait sur sa
tête
une coiffe de nuit, il se sentait très excité et
e, une chaleur brûlante au front. La douleur peut se localiser à la
tête
. Le malade la compare à une calotte de plomb pe
perçus et localisés assez rapidement et exactement. La pointe et la
tête
d'une aiguille sont distinguées ; mais une piqû
t naturelle. Lui faisait-on directement une question, il remuait la
tête
, mais ne parlait pas. Lorsqu'on le priait d'art
stration de la téré- benthine. Il y avait quelques contusions de la
tête
, l'une por- tant sur l'occipital gauche, et une
ster sou- dainement à la suite d'une insolation, d'une lésion de la
tête
, d'une affection fébrile aiguë, ainsi qu'à la p
. Le pronostic doit toujours être réservé dans les cas de plaies de
tête
; et chez les paralytiques généraux il faut évi
s du crâne, 517. Auscultation de la parole à la sur- face de la
tête
, par Adriani, 925. nains dans les hôpitaux et l
la vie animale, en particulier aux muscles des membres; le tronc, la
tête
ne sont pas épargnées, tant s'en faut ; niais les
qu'il présente : État actuel (janvier 1872). — Aspect extérieur. —
Tête
. Maigreur notable. Apparence cachectique. Les muq
rtain moment, des sortes de vertige, comme du délire. Le volume de la
tête
est normal. Il lit beaucoup. Il cause facile-ment
les premiers symptômes qu'il éprouva consistèrent en des douleurs de
tête
et en une inflam-mation de la conjonctive oculair
s'accompa-gnant d'une sensation de fourmillement et de picotement. La
tête
paraît chaude, lourde ; il y a des bourdonnements
nombre d'années, des tumeurs qui avaient depuis le volume d'une large
tête
d'épingle jusqu'à celui d'une petite pomme. La pl
lombaire. De plus, on note un grand nombre de tumeurs du volume d'une
tête
d'épingle, les unes sessiles, les autres pédiculé
a-cile. Chez notre malade, il n'y a évidemment pas de paralysie. La
tête
est déviée à gauche (voy. Planche VI) ; le sterno
ractère du torticolis par para-lysie : le malade ne peut redresser la
tête
; le chirurgien, au con-traire, lui rend facilemen
ré-traction consécutive du muscle du côté sain n'a pas encore fixé la
tête
dans sa position anormale. Il s'agit donc, chez
erai aussi qu'immédiatement après l'opération et le redressement delà
tête
, le malade a été pris de convulsions clo-niques,
que lui a causée l'opération, le changement brusque d'altitude, de la
tête
, nous rendent un compte suffisant des phénomènes
isseur des fibres à ce niveau. Néanmoins, et c'est là l'essentiel, la
tête
est complètement libre, et la présence de cette c
use un changement profond dans la nutrition et le développement de la
tête
. REVUE PHOTOGRAPHIQUE DES HOPITAUX Planche
autres diamètres transverses de la face ; vous verrez que, lorsque la
tête
n'est pas maintenue par l'appareil, tous sont dév
otre malade est bien en rapport avec l'atrophie de cette moitié de la
tête
. L'exploration des organes des sens nous a démo
nisme un torticolis peut-il amener ces anomalies de développement? La
tête
, ont dit quelques-uns, est inclinée vers la terre
en-semble des phénomènes, un mécanisme applicable à la totalité de la
tête
. Nous le trouvons dans le système artériel. La co
res et diminue la force de la circulation dans toute une moitié de la
tête
. Sans doute, la carotide clu côté sain subit auss
au cathétérisme. Le sujet est couché hori-zontalement sur le dos, la
tête
légèrement relevée, la bouche ouverte ; les jam
e apophyse, mastoïde à l'autre et passant par le bord supérieur de la
tête
, est de 10 centimètres 1/2. En avant de la tumeur
lade a eu du larmoiement; il a éprouvé du vertige, de la pesanteur de
tête
et s'est plaint d'une soif vive et de sécheresse
a perte de sang qu'il venait de subir. — On dut aussitôt le placer la
tête
en bas, et pratiquer la respiration artificielle.
nt presque toujours à nous montrer la glande atteinte d'abord dans la
tête
de rôpididyme, bien plus rarement dans la queue,
avan-cées que ne le dévoilait le toucher extérieur : au niveau de la
tête
et de la queue, un point caséeux, ramolli et pres
le gauche d'une manière très-nette et donnent du sang à la coupe. La
tête
de l'épididyme offre un point diffluent, la queue
sans intérêt, par contre, de noter que les physiolo-gistes, Haller en
tête
, puis Carpenler et Cl. Bernard, ceux-ci toute-foi
s con-sidérable, la sensation bien connue de boule ou de globe; 5° la
tête
, où Yïrradiation est caractérisée par des bourdon
de M. Tarnier). La tumeur était alors aussi grosse au moins qu'une
tête
de fœtus à terme; elle était absolument indolente
et la femme s'écria : « J'accouche, prenez l'enfant ». En effet, la
tête
était entre les cuisses et l'accouchement se term
Si le périnée, dans certains cas, peut être rompu et traversé par la
tête
du fœtus au moment de l'accouchement, on voit dan
ntimètres envi-ron de profondeur et fermé de toutes parts. Lorsque la
tête
fut arrivée au niveau du détroit inférieur, elle
devra pas confondre la tumeur cancéreuse avec une présentation de la
tête
, une présentation des fesses ou une insertion vic
aissance revient; la malade parle; elle se plaint d'un grand mal à la
tête
. — La tumeur est plus molle, moins œdématiée, moi
entes, présentant de petits tubercules variant du volume d'une grosse
tête
d'épingle à celui d'une lentille, représentés par
s particuliers. Au matin, agitation des bras, strabisme divergent. La
tête
penche en avant et à gauche, connais-sance conser
à 12 heures trismus ; à 1 heure 3/4 fortes convulsions respectant la
tête
; pouls extrêmement fréquent, température 41°, 87
diminution delà paralysie. Il parvient à mettre sa main droite sur sa
tête
; il serre médiocrement fort; il ne peut pas allo
nt. Le ma-lade meurt à onze heures du soir. Autopsie le 30 janvier.
Tête
. L'encéphale pèse 1 270 grammes. Les artères de l
il ne peut plus se servir de ses mains ; il se plaint de douleurs de
tête
continues, occupant surfout la région occipitale
u'il est préoccupé, on voit par moments des secousses convulsives. La
tête
reposant sur un oreiller est tout à fait calme; m
es cas de névralgie, d'irri-tation spinale, lorsqu'on agit près de la
tête
ou sur la tête. Dans ces cas, il faut que la sens
lgie, d'irri-tation spinale, lorsqu'on agit près de la tête ou sur la
tête
. Dans ces cas, il faut que la sensation soit à pe
ui la parole est plus facile, elle peut presque porter le bras sur la
tête
, se servirmi peu de sa main, et étendre un ou deu
es paralysés, mais encore nous faisons passer un courant à travers la
tête
. Ce courant de 8 à 12 éléments n'est maintenu que
-crânienne n'est pas toujours de faire passer un courant à travers la
tête
, en met-tant par exemple le pôle positif sur le f
çà et là se trouvent quelques saillies arrondies de la grosseur d'une
tête
d'épingle ou même d'un pois. La coupe présente
mble percé de trous dont quelques-uns atteignent les dimensions d'une
tête
d'épingle. Au microscope, on voit les faisceaux
dans les membres supérieurs et les extrémités inférieures, et dans la
tête
, mais là d'une façon insensible. Peu à peu, le tr
ravant. 50 janvier. Les secousses vives ont absolument disparu ; la
tête
ne tremble plus du tout; à certains moments, il y
pital Lariboisière. État actuel. Lorsque le malade est au repos, la
tête
a de légers mouve-ments de latéralité. Les muscle
laire a persisté, symptôme favo-rable pour la réduction, parce que la
tête
osseuse peut s'être atro-phiée alors, mais non co
oieprésente, à sa face supérieure, un kyste hydatique du volume d'une
tête
de fœtus à terme, — certain degré de dégénérescen
eur extrême du travail, inertie utérine, immobilité per-manente de la
tête
); le second groupe comprend les accidents qui aur
ctions utérines seront absentes ou insuffisantes, pour permettre à la
tête
de franchir le col, et de triompher de l'obstacle
rt ef-frayée en s'apercevant qu'il était monstrueux et n'avait pas de
tête
. Elle prétend qu'il remua les deux jambes aussitô
che molle, presque fluctuante. Il paraît tout de suite évident que la
tête
manque et que nous avons affaire à un acéphalien.
es. Les quatre premières ont une portion commune en arrière, à quatre
têtes
, traversées de trous pour le passage des nerfs; l
ut lieu à 9 heures, spontané-ment, preuve, qu'au début du travail, la
tête
ne s'engageait point. La perte d'eau fut abondant
ut du traitement quel- ques troubles qu'on a évités en mouillant la
tête
avec de l'eau froide. Les accès ont nettement d
et facilitant ainsi le séjour pro- longé au lit l'installation à la
tête
et au pied du lit de tablettes verticales, en s
des 46 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. fausses couches ; douleurs de
tête
, quelquefois avec vomissements. Vers le mois d'
lalgie, rapportée surtout à la tempe gauche et au côté gauche de la
tête
. Un autre point important, c'est la rapi- dité
difficulté les malades tiennent leurs mains droites au-dessus de la
tête
. On sait de longue date, par des observations r
monde que jadis, les gens lui paraissent avoir les yeux à fleur de
tête
; il prend les personnes les unes pour les autr
° frontale. (Monoplégie brachiale gauche. Déviation conjuguée de la
tête
et des yeux.) - Eruptions cutanées ci disposi
uite qu'un fils venu au monde vingt mois après elles et qui est une
tête
faible, un débile excitable porté à la méchance
xcitation maniaque : elle se plaint de souffrir de douleurs dans la
tête
au niveau du ver- tex et de l'occiput; ,il lui
oule lui traverse le corps ; elle a des sensations de froid dans la
tête
; elle se plaint aussi de ne pas .voir clair ou d
ont toutes concordantes à cet égard (/t ? 3 et 4). Prudence a une
tête
globuleuse, un front proéminent dont la bosse g
a seconde enfance. Elle se plaint continuellement de souffrir de la
tête
, d'éprouver des élancements et des douleurs dan
urant, poussant des cris inarticulés et se frap- pant violemment la
tête
à coups de poing, à la façon de certains- idiot
coins, parlait seul et faisait constamment de la main autour de sa
tête
un geste auto- matique comme s'il eût voulu cha
frère encore, il a la voix comme flûtée, un peu eunuchoïde. Il a la
tête
un peu plus volumineuse et l'occiput moins aplati
immobilité, lenteur des idées; il disait lui-même qu'il perdait la
tête
. Après une période de mieux, il fut repris d'exci
) Homme de trente-huit ans, alcoolique invétéré, est tombé sur la
tête
du haut d'une échelle : à la suite de sa chute, i
que chaque malade peut complètement et instantanément redresser sa
tête
par un procédé de son choix; grâce à un artitic
un procédé de son choix; grâce à un artitice puéril, soutien de la
tête
par une main, par un doigt, la volonté débile d
e par une main, par un doigt, la volonté débile du sujet replace sa
tête
droite, alors que cette même volonté est impuis
t, elle trouvait que ses membres étaient diminués de volume, que sa
tête
était rétrécie, que ses seins avaient disparu.
nvahissait rapidement toutes les extrémités, pouvant s'étendre à la
tête
et aux muscles de la respiration, s'accompagnan
ique, sans paresthésie, avec seulement parfois des douleurs dans la
tête
et. dans les-jambes. Chaque attaque durait une
açait les professeurs des clinique^ médicales et chirurgicales à la
tête
d'hospices d'incurables. » « Wernicke, à Bresla
gorge, un léger trouble de la vue, quelquefois, et un peu de mal de
tête
. Si on donne le médicament par la bouche, il y
10 de sciatique, lo de maladies mentales, 7 de goutte, 22 de mal de
tête
, 10 de dyspepsie, 10 d'ar- thrite rhumatismale,
ans la seconde observation on voit également un tic (rotation de la
tête
et des yeux) avec idée fixe corrélative servir de
ui correspondent aux iiuliiéi os, 2,3, G, et 13 du tableau placé en
tête
de cet article'. 1. H. de 111USGR.1VE-CLAY. XX.
re des maladies nerveuses. Beau- coup de gens souffrent d'un mal de
tête
qui reparait à des inter- valles irréguliers, q
affecte surtout une portion ou la totalité de l'un des côtés de la
tête
, dont la durée va de quelques heures à deux ou
elle communément migraine hémicranie, céphalalgie nauséeuse, mal de
tête
bilieux, mal de tête nerveux, névralgie de la t
ne hémicranie, céphalalgie nauséeuse, mal de tête bilieux, mal de
tête
nerveux, névralgie de la tête : pour ne pas s'emb
auséeuse, mal de tête bilieux, mal de tête nerveux, névralgie de la
tête
: pour ne pas s'embarrasser des idées préconçue
atomie pathologique, Pathologie géné- rale, Pathologie spéciale. En
tête
de chaque maladie, se place une. nomenclature a
nant de douanes à Cancale, vient de se suicider en se fracassant la
tête
avec une balle de revolver d'or- donnance. Le d
tsés. Idiotie complète. Ophtalmie purulente; cécité. ('oit flasque,
tête
retombante. Développement régulier du corps et
bes. Il ne pouvait se retourner dans son lit qu'en se renversant la
tête
en arrière, comme appui. Les convulsions ont di
les bras, de les étendre en croix. et de les porter au-dessus de la
tête
. 11 aurait fait les mêmes exercices aux membres
eurs. Il était parvenu à diminuer la contracture. Per... remue la
tête
, mais.seulement dans certaines circons- tances,
trois fois par semaine, on notait des secousses des reins et de la
tête
. En même temps, les bras étaient projetés en av
sauf quand on le caressait : il avait l'air de sourire, frottait sa
tête
contre la personne qui le caressait et poussait
TIE MICROCÉPHALIQUE. 279 Ni tics, ni balancements, ni cognements de
tête
, ni grincements de dents, ni troubles vaso-mote
mination. Constipation habituelle. - L'enfant semblait supporter sa
tête
difficilement, comme si elle était lourde. Les
paru, dit le père, « peu développés, il avait l'air de rattraper sa
tête
». Jamais on aurait remarqué de raideurs de la
rt au offert la marche ci-après : 282 -) ANATOMIE PATHOLOGIQUE.
Tête
. Le' cuir. chevelu est très pâle sans ecchymose.
ssi intense, la nuque.. est raidie et douloureuse à la pression, la
tête
est lourde, les mou-. vements sont pénibles, se
ine de vives douleurs de telle sorte que la position favorite de la
tête
, que nous pouvons considérer suivant les lois o
Le 2 novembre, la raideur de la nuque a augmenté, la position de la
tête
est toujours la même, la rotation à gauche est pl
ènes semblables à ceux que nous avons pu observer : déviation de la
tête
à droite, céphalée, occipitale, raideur modérée
extrêmement fréquents et dont le volume varie de la grosseur d'une
tête
d'épingle à celui d'un pois. L'auteur étudie leur
mplète. Alors ils commencent leurs exercices. Ils se mettent sur la
tête
un plateau métallique chauffé au rouge et ils le
de soixante-quatre ans, et lui a porté six coups.de son arme sur la
tête
. Il s'est ensuite jeté sur sa femme, âgée de ving
eu, lorsque Girault, apparais- sant à la fenêtre, lui asséna sur la
tête
deux violents coups de son terrible couperet. L
teuil sur lequel le malheureux était assis, il lui en asséna sur la
tête
deux coups furieux. Laper- uue a été littéralem
t qui se généralisa ensuite : elle débuta par une dévia- tion de la
tête
vers le côté droit, puis des convulsions agitèren
ent en extension, l'avant-bras en pronation, le bras en flexion; la
tête
se tournait et s'inclinait vers le côté droit. Le
cousses gagnèrent en fréquence et en durée; l'avant-bras gauche, la
tête
et les yeux se mirent à participer aux secousses.
re abduction, exécutait des mou- vements de flexion sur le bras; la
tête
s'inclinait trois ou quatre fois à droite; les
d droit. Au sortir de ces accès, elle se plaignait d'avoir mal.à la
tête
, et elle avait l'esprit un peu troublé. . Dur
avait reçu, à l'âge de quinze ans, un coup de pied de cheval sur la
tête
; il était resté sans connaissance un jour duran
ainsi que l'avant-bras qui, de plus, était porté en supination; la
tête
se tournait à droite; le bras et la jambe gauch
t à droite; le bras et la jambe gauches se raidissaient. Bientôt la
tête
se tournait vers la gauche ; les doigts de la mai
obs. II). Un jeune homme de vingt-un ans avait reçu un coup sur la
tête
. Quelques années plus tard, le 29 novembre 1894
était encore ivre. Il éprouve aussi du vertige, de la pesanteur de
tête
, parfois des nausées, même des vomissements. Av
usion mentale, état vertigineux, plus ou moins vague, lour- deur de
tête
, sans bruit aigu dans les oreilles, et parfois, d
nd cas, il s'agit de l'ablation d'un fibrome utérin du volume d'une
tête
foetale : l'opération fut pratiquée par les voies
du côté gauche, aux endroits qui cor- respondent à l'insertion des
têtes
costales aux cartilages interver- tébraux, on v
fant, nous avons compté six attaques, produites en cette forme : la
tête
penchée en avant, contracture générale en flexi
ron, dit-il, un jeune homme qui, à l'âge de douze ans, reçut sur la
tête
un objet très lourd qui lui occasionna une frac
il n'y a aucun symptôme prémonitoire, tout au plus un peu de mal de
tête
ou de légers troubles gastriques; mais le plus so
morsure de chien. A dix-sept ans, il fut frappé par un cheval à la
tête
. 11 s'en suivit, dans les deux cas, des pertes de
r par sa fenêtre, puis chercha à se couper la gorge, se frappait la
tête
contre les murs pour obéir aux esprits, sans di
peut aisément suivre un doigt qu'on abaisse et cela sans baisser la
tête
, le mouvement en bas des globes oculaires est d
Marie, une véritable paralysie de l'abaissement, car en plaçant la
tête
du malade dans une cer- taine attitude, ce mouv
nnent encore meilleurs et presque normaux lors- qu'en même temps la
tête
exécute un mouvement dans le sens contraire. Le
ments latéraux peut être atteinte par une rotation simultanée de la
tête
dans le sens contraire, ce qui facilite sans do
aires devien- nent même tout à fait normaux lorsqu'on même temps la
tête
exécute une rotation dans un sens contraire. Ma
n de 1' , par Haskovex, Ibi. Alcoolique. Effets d'une lésion de i
tête
eliez un -, par Raw, 937. - Signe plnsique de l
. 7 moniaque. Sous l'influence de celles-ci, la malade déplace la
tête
, ouvre les yeux et pousse quelques plaintes comme
and on essaye d'examiner les yeux à l'ophthalmoscope, L... agite la
tête
et remue le bras gauche. La face est pâle, terr
pratiquée le 10 juin à 4 lteures avec le concours de M. PIERRET. -
Tête
. Péricrâne, rien. - Os du crâne très-durs, épai
es répétés sur les cuisses et les jambes, purgatifs, glace sur la
tête
, sulfate de quinine, émissions sanguines, inhalat
late sans cri; la face, le cou et la poi- trine sont très-pâles; la
tête
est dans l'extension; la face regarde à droite
oignet; cette sensation fait monter son bras « en l'air. » Puis, la
tête
se tourne à droite. A ce moment de l'aura, H...
hébétée; les membres supérieurs sont envahis par des secousses ; la
tête
s'incline sur l'épaule droite; les pupilles son
toute sombre : il y aurait là une guillotine, que je mettrais ma
tête
sous le couteau.... Si j'étais seule, je crois qu
nt tout d'un coup. Le tronc participe à cette rigidité ainsi que la
tête
qui se porte dans l'extension. 40 heures 4S.
hala- tion, on n'observe plus aucun phénomène anormal du côté de la
tête
. Les battements du coeur étaient à 154 avant l'
'homme. Cette congestion qui pa- rait prédominer chez l'homme, à la
tête
, au cou, à la partie supérieure du tronc et sur
. Selon Me Bride (2), la congestion superficielle, si évidente à la
tête
et à la face, ne se produit point au-des- sous
ent et s'éten- dent. 4 lz. li. - La contracture est générale ; la
tête
est dans l'extension. Mâchonnement. T. R. 38°,
lles extrêmement dilatées. A chaque expi- ration, soulèvement de la
tête
et secousses dans les pattes de devant qui s ét
ion de la face; puis, quand ces premiers phéno- mènes diminuent, la
tête
est lourde, l'intelligence pares- seuse, la vue
t que le nitrite d'amyle produit une dilatation des vaisseaux de la
tête
et d'autre part sur cette hypothèse qu'il exist
t la face congestionnée, les carotides battaient avec violence ; la
tête
était lourde, mais, le spasme disparaissant, po
cès. Malgré cet heureux résultat, la sensation de pesanteur dans la
tête
alarme miss E..., personne très-impressionnable
s d'inhalations. A quatre heures de l'après-midi, les mouvements de
tête
et les sanglots reparurent. Alors, pour vérifie
ci l'état de mal épileptique, L'observation détaillée qui figure en
tête
de nos Reclzer- elles nous dispense d'entrer da
n 40 secondes, le malade ouvrit les yeux; en une minute, il leva la
tête
et regarda autour de lui; après deux minutes, i
. Voici en quoi con- siste ses crises : . Petites secousses de la
tête
qui se porte à gauche, en arrière, à droite. La
urs crises nerveuses qui se réduisent-à quelques mouve- ments de la
tête
et des bras, à des spasmes pharyngiens et à des
face devient excessivement pâle. Revenue à elle, M... dit avoir la
tête
lourde,, être étourdie. Ces phénomènes seraient
r extrême qui a duré cinq ou six minutes. G... se plaint d'avoir la
tête
plus lourde et d'être plus étourdie qu'elle, ne
Î (Noireterre), rencontra un chien qui avait les yeux hors de la
tête
, la gueule pleine de bave, la queue traînante et
it des « four- miches » dans les membres et des sifflements dans la
tête
, dans les tempes, etc. Elle n'en continuait p
is incomplètement. L... crie qu'on lui tire la jambe, le bras ou la
tête
, qu'elle a des animaux dans les yeux, la tète o
à peine déshabillée, les yeux se tournent à droite et en haut ; la
tête
se porte à droite. Les membres sont pris de con
objet qu'ils déchirent.. Enfin, elle retombe sur son lit et avec sa
tête
qu'elle soulève et abaisse, elle frappe rapidem
en amenant des 1 L) i II STÎ : RO-ÉPILl';PSIL . mouvements de la
tête
et à la face, où elles produisent des grimaces.
oeil gauche ayant été lésées, Etch... ne voyait plus de ce côté. La
tête
et la face étaient gonflées. Toutes les dents d
ade, par signes, fait comprendre qu'elle a tout le côté droit de la
tête
serré comme dans un étau. Analgésie de la main
eu avec votre voisine hier matin ? Elle vous a jeté ses crosses à la
tête
et vous a attrapée sur le nez. Vous vous rappelez
re, je n'ai pas été maîtresse de moi. Je lui ai jeté mes crosses à la
tête
! — Et vous lui avez dit un gros vilain mot. — Ma
rût ressentir aucune douleur, et les deux bras élevés au-dessus de la
tête
restèrent ainsi quand je les abandonnai à eux-mêm
oureux, âgé de 40 ans environ, riche propriétaire et industriel, à la
tête
d'affaires considérables un moment compromises pa
ons spéciales à la nature de l'agent et à son point d'application; en
tête
de ces forces externes, ils placent le fluide des
n sujet leur fait défaut. Le maître emmagasine trop de choses dans la
tête
de l'élève, qui n'a le temps d'en étudier aucune,
ent des bras ou des mains dans un mouvement de rotation, ou de la
tête
dans ce même mouvement, persiste aussi longtemps
tr'ouvert, laissait passer facilement l'extrémité du doigt, et que la
tête
était dans la position : O. I. G. A. A minuit.
frira plus, qu'elle peut dormir... Elle reste étendue sur son lit, la
tête
reposant sur son oreiller, dans une immobilité co
Après une série de spasmes, sa jambe gauche reste en extension, sa
tête
est fléchie sur l'épaule gauche. Il est à l'hospi
u-de-vie. Les bains prolongés avec ou sans affusions froides sur la
tête
ont surtout paru utiles dans les cas où il y avai
l'exorcisme et l'imposition des mains; il promenait celles-ci sur la
tête
, le cou, la nuque du patient et sur les parties a
s effrayants dont le souvenir l'inquiète jusque dans le jour. Maux de
tête
continuels. Je constate que l'haleine est pro
cauchemars. Il existe une céphalée incessante et de la lourdeur de
tête
qui aggrave et entretient le trouble du caractère
soigner. » Vous continuerez a ne plus avoir de soif, de douleur de
tête
, d'insomnie » et de cauchemar. » Le 4 août. —
impressionner la rétine et le cerveau de L..., celui-ci apercevait la
tête
de la tierce personne émergeant au-dessus de la b
te façon pour L... des mains, des doigts, des bras, des chapeaux, des
têtes
même, des objets quelconques, etc. Quelques secon
la notion du châtiment? Le soldai qui. dans une bataille, baisse la
tête
quand il entend siffler une balle, ne baisserait
se la tête quand il entend siffler une balle, ne baisserait jamais la
tête
s'il n'était pas intelligent, c'est-à-dire sachan
composée du père et de deux fils, le diamètre antéro-postéricur de la
tête
du père, âgé de quarante-huit ans . mesurait 19 c
était resté stationnaire sous ce rapport. Le second enfant, dont la
tête
a été mesurée à l'âge de six ans, présentait déjà
ne faucille. Il tua raide deux Individus, en leur séparant presque la
tête
du tronc, puis en blessa trois autres usez griève
nu de très bons résultats en tapotant sur les différents points de la
tête
comme si l'on jouait du piano. On tirera toujours
rnante ment sur la joue de ses deux voisins qui avaient chacun sur la
tête
un bonnet rouge avec des plumes de coq, et qui, d
is le malade se trouva comme au lendemain d'un jour d'ivresse. Mal de
tête
, énervement, fièvre, mais il n'éprouva pas le sen
er. Peu à peu les grimaces sont apparues, puis des mouvements dans la
tête
et dans le cou. C'était au début des mouvements d
nts nouveaux. A son arrivée, elle a des mouvements incessants dans la
tête
, dans le cou et dans les bras. Elle pousse des cr
ncurremment a divers moyens, tels que la pulvérisation d'éther sur la
tête
, les bains chauds prolongés et les laxatifs. J'
ntracturantes. mais encore hypnogènes, quand elles sont faites sur la
tête
. C'est même parce qu'elles sont contracturantes q
liqués, ils anesthésient ou contractures et. s'ils sont portés sur la
tête
(fig. 1, a, 3), ils endorment; s'ils sont de même
), ils décontracturent ou ils esthésient et. s'ils sont portés sur la
tête
. ils réveillent (1). (i) Les phases du sommeil
EMBRES. PRODUISANT DES EFFETS SEMBLABLES EN POSITION ISONOME Sur la
tête
(Fig.1) (Fig. 2) (Fig 3). Le courant de direc
bres produisant des effets semblables EN POSITION HÉTÉRONOME Sur la
tête
(Fig.7) (Fig. 8) (Fig. 9) Le courent de direc
es si elle nous entend bien. Elle fait des signes affirmatifs avec la
tête
. Nous obtenons d'elle, de même, la promesse d'exé
ion cérébrale, comme une friction assez énergique sur le sommet de la
tête
, un souffle sur les yeux, une application polaire
phénomènes doivent disparaître sous l'influence de la friction sur la
tête
, par exemple: si, au contraire, les phénomènes ob
mande comment elle va. Elle accuse une sensation de faiblesse vers la
tête
, absence de force dans les bras et de l'oppressio
igue à la nuque : elle croit que cela est dû à l'action d'avoir eu la
tête
appuyée sur le fauteuil. — Aucun malaise. A 5 h
: «Que sentez-vous ? » Elle répond vaguement, par exemple: « J'ai la
tête
lourde; on dirait que je tourne. » On ne peut s'e
mait. Or, le matin, elle avait été prise à 9 heures 45 de douleurs de
tête
et était restée dans un état de somnolence et de
ge de la tondeuse mécanique qui passait successivement sur toutes les
têtes
, la fit mettre de côté : peu à peu les progrès de
plaque de pelade placée au même endroit que celle qui existait sur la
tête
du libéré. M. Coutant ajoute que le capitaine d'h
dans une enveloppe cachetée, portant une épigraphe qui est répétée en
tête
du mémoire. Cette enveloppe n'est ouverte que si
onner libre cours aux manifestations désordonnées de l'hystérie. En
tête
des circonstances propres à déterminer le passage
ommodée : probablement la chaleur de la boutique qui lui a monté à la
tête
. Elle achetait des tabliers ; mais elle s'est pou
s'habillent, elle s'est sentie prise tout d'un coup d'un grand mal de
tête
. Elle pensait que ce mal de tète se dissiperait e
à dix minutes après qu'elle a ressenti le commencement de son mal de
tête
. Puis, le mal de tète continuant à augmenter, ell
ces différentes heures est donc 9 h. 20. Si l'on admet que son mal de
tête
a commencé 7 minutes auparavant, cela fait 9 h. 1
C h. 49, elle s'assoit, s'accoude sur la table de la cuisine, avec sa
tête
reposant dans la main gauche. A 6h. 5a Mme X... é
'œil gauche devait me fournir l'explication du fait. Le contact de la
tête
d'une épingle sur la conjonctive du côté gauche d
omme celles-ci : J'ai frotte le torchon avec le tableau ; j'ai mis ma
tête
sur ton chapeau, pour : J'ai frotté le tableau av
J'ai frotté le tableau avec mon torchon; j'ai mis ton chapeau sur ma
tête
. Et encore : Le lièvre le chien chasse, pour
heté portant le nom de l'auteur et reproduisant l'épigraphe placée en
tête
du mémoire, et être adresses franco, avant le 1er
eures sans s'arrêter. Elle s'est éveillée an disant : « J'ai mal à la
tête
, laissez-moi tranquille; » puis elle s'est remise
ée, — que le réveil est accompagné d'un sentiment de lourdeur dans la
tête
, — que le sommeil hypnotique fatigue le sujet,
nt ce qu'elle doit être ; et, à leur réveil, ils n'accusent ni mal de
tête
, ni fatigue, mais le plus souvent le regret d'êtr
ble. A peine dehors elle se sentit, raconte-t-elle, tout étourdie, la
tête
lourde, avec une confusion complète dans les idée
est bien simple : ils pressent fortement avec deux doigts, près de la
tête
de l'animal, et il s'endort immédiatement: j'en a
Les Aïssaouas, qui se mettent en état de somnambulisme en secouant la
tête
d'avant en arriére, en sont la preuve. D'autre pa
xiste plus de gesticulations des bras ni de mouvements d'épaule et de
tête
: très neu de grimaces. A vrai dire, il existe bie
beaucoup s'étaient retirés. Cependant un homme vint encore offrir sa
tête
et alla rejoindre ses camarades. La même scène se
r les musiciens et exécute une sorte de danse pyrrhique, en jetant la
tête
en avant et en arrière, les cheveux défaits. Il a
eu avec votre voisine hier matin ? Elle vous a jeté ses crosses à la
tête
et vous a attrapée sur le nez. Vous vous rappelez
re, je n'ai pas été maîtresse de moi. Je lui ai jeté mes crosses à la
tête
! — Et vous lui avez dit un gros vilain mot. — Ma
rût ressentir aucune douleur, et les deux bras élevés au-dessus de la
tête
restèrent ainsi quand je les abandonnai à eux-mêm
oureux, âgé de 40 ans environ, riche propriétaire et industriel, à la
tête
d'affaires considérables un moment compromises pa
ons spéciales à la nature de l'agent et à son point d'application; en
tête
de ces forces externes, ils placent le fluide des
n sujet leur fait défaut. Le maître emmagasine trop de choses dans la
tête
de l'élève, qui n'a le temps d'en étudier aucune,
ent des bras ou des mains dans un mouvement de rotation, ou de la
tête
dans ce même mouvement, persiste aussi longtemps
tr'ouvert, laissait passer facilement l'extrémité du doigt, et que la
tête
était dans la position : O. I. G. A. A minuit.
frira plus, qu'elle peut dormir... Elle reste étendue sur son lit, la
tête
reposant sur son oreiller, dans une immobilité co
Après une série de spasmes, sa jambe gauche reste en extension, sa
tête
est fléchie sur l'épaule gauche. Il est à l'hospi
u-de-vie. Les bains prolongés avec ou sans affusions froides sur la
tête
ont surtout paru utiles dans les cas où il y avai
l'exorcisme et l'imposition des mains; il promenait celles-ci sur la
tête
, le cou, la nuque du patient et sur les parties a
s effrayants dont le souvenir l'inquiète jusque dans le jour. Maux de
tête
continuels. Je constate que l'haleine est pro
cauchemars. Il existe une céphalée incessante et de la lourdeur de
tête
qui aggrave et entretient le trouble du caractère
soigner. » Vous continuerez a ne plus avoir de soif, de douleur de
tête
, d'insomnie » et de cauchemar. » Le 4 août. —
impressionner la rétine et le cerveau de L..., celui-ci apercevait la
tête
de la tierce personne émergeant au-dessus de la b
te façon pour L... des mains, des doigts, des bras, des chapeaux, des
têtes
même, des objets quelconques, etc. Quelques secon
la notion du châtiment? Le soldai qui. dans une bataille, baisse la
tête
quand il entend siffler une balle, ne baisserait
se la tête quand il entend siffler une balle, ne baisserait jamais la
tête
s'il n'était pas intelligent, c'est-à-dire sachan
composée du père et de deux fils, le diamètre antéro-postéricur de la
tête
du père, âgé de quarante-huit ans . mesurait 19 c
était resté stationnaire sous ce rapport. Le second enfant, dont la
tête
a été mesurée à l'âge de six ans, présentait déjà
ne faucille. Il tua raide deux Individus, en leur séparant presque la
tête
du tronc, puis en blessa trois autres usez griève
nu de très bons résultats en tapotant sur les différents points de la
tête
comme si l'on jouait du piano. On tirera toujours
rnante ment sur la joue de ses deux voisins qui avaient chacun sur la
tête
un bonnet rouge avec des plumes de coq, et qui, d
is le malade se trouva comme au lendemain d'un jour d'ivresse. Mal de
tête
, énervement, fièvre, mais il n'éprouva pas le sen
er. Peu à peu les grimaces sont apparues, puis des mouvements dans la
tête
et dans le cou. C'était au début des mouvements d
nts nouveaux. A son arrivée, elle a des mouvements incessants dans la
tête
, dans le cou et dans les bras. Elle pousse des cr
ncurremment a divers moyens, tels que la pulvérisation d'éther sur la
tête
, les bains chauds prolongés et les laxatifs. J'
ntracturantes. mais encore hypnogènes, quand elles sont faites sur la
tête
. C'est même parce qu'elles sont contracturantes q
liqués, ils anesthésient ou contractures et. s'ils sont portés sur la
tête
(fig. 1, a, 3), ils endorment; s'ils sont de même
), ils décontracturent ou ils esthésient et. s'ils sont portés sur la
tête
. ils réveillent (1). (i) Les phases du sommeil
EMBRES. PRODUISANT DES EFFETS SEMBLABLES EN POSITION ISONOME Sur la
tête
(Fig.1) (Fig. 2) (Fig 3). Le courant de direc
bres produisant des effets semblables EN POSITION HÉTÉRONOME Sur la
tête
(Fig.7) (Fig. 8) (Fig. 9) Le courent de direc
es si elle nous entend bien. Elle fait des signes affirmatifs avec la
tête
. Nous obtenons d'elle, de même, la promesse d'exé
ion cérébrale, comme une friction assez énergique sur le sommet de la
tête
, un souffle sur les yeux, une application polaire
phénomènes doivent disparaître sous l'influence de la friction sur la
tête
, par exemple: si, au contraire, les phénomènes ob
mande comment elle va. Elle accuse une sensation de faiblesse vers la
tête
, absence de force dans les bras et de l'oppressio
igue à la nuque : elle croit que cela est dû à l'action d'avoir eu la
tête
appuyée sur le fauteuil. — Aucun malaise. A 5 h
: «Que sentez-vous ? » Elle répond vaguement, par exemple: « J'ai la
tête
lourde; on dirait que je tourne. » On ne peut s'e
mait. Or, le matin, elle avait été prise à 9 heures 45 de douleurs de
tête
et était restée dans un état de somnolence et de
ge de la tondeuse mécanique qui passait successivement sur toutes les
têtes
, la fit mettre de côté : peu à peu les progrès de
plaque de pelade placée au même endroit que celle qui existait sur la
tête
du libéré. M. Coutant ajoute que le capitaine d'h
dans une enveloppe cachetée, portant une épigraphe qui est répétée en
tête
du mémoire. Cette enveloppe n'est ouverte que si
onner libre cours aux manifestations désordonnées de l'hystérie. En
tête
des circonstances propres à déterminer le passage
ommodée : probablement la chaleur de la boutique qui lui a monté à la
tête
. Elle achetait des tabliers ; mais elle s'est pou
s'habillent, elle s'est sentie prise tout d'un coup d'un grand mal de
tête
. Elle pensait que ce mal de tète se dissiperait e
à dix minutes après qu'elle a ressenti le commencement de son mal de
tête
. Puis, le mal de tète continuant à augmenter, ell
ces différentes heures est donc 9 h. 20. Si l'on admet que son mal de
tête
a commencé 7 minutes auparavant, cela fait 9 h. 1
C h. 49, elle s'assoit, s'accoude sur la table de la cuisine, avec sa
tête
reposant dans la main gauche. A 6h. 5a Mme X... é
'œil gauche devait me fournir l'explication du fait. Le contact de la
tête
d'une épingle sur la conjonctive du côté gauche d
omme celles-ci : J'ai frotte le torchon avec le tableau ; j'ai mis ma
tête
sur ton chapeau, pour : J'ai frotté le tableau av
J'ai frotté le tableau avec mon torchon; j'ai mis ton chapeau sur ma
tête
. Et encore : Le lièvre le chien chasse, pour
heté portant le nom de l'auteur et reproduisant l'épigraphe placée en
tête
du mémoire, et être adresses franco, avant le 1er
eures sans s'arrêter. Elle s'est éveillée an disant : « J'ai mal à la
tête
, laissez-moi tranquille; » puis elle s'est remise
ée, — que le réveil est accompagné d'un sentiment de lourdeur dans la
tête
, — que le sommeil hypnotique fatigue le sujet,
nt ce qu'elle doit être ; et, à leur réveil, ils n'accusent ni mal de
tête
, ni fatigue, mais le plus souvent le regret d'êtr
ble. A peine dehors elle se sentit, raconte-t-elle, tout étourdie, la
tête
lourde, avec une confusion complète dans les idée
est bien simple : ils pressent fortement avec deux doigts, près de la
tête
de l'animal, et il s'endort immédiatement: j'en a
Les Aïssaouas, qui se mettent en état de somnambulisme en secouant la
tête
d'avant en arriére, en sont la preuve. D'autre pa
xiste plus de gesticulations des bras ni de mouvements d'épaule et de
tête
: très neu de grimaces. A vrai dire, il existe bie
beaucoup s'étaient retirés. Cependant un homme vint encore offrir sa
tête
et alla rejoindre ses camarades. La même scène se
r les musiciens et exécute une sorte de danse pyrrhique, en jetant la
tête
en avant et en arrière, les cheveux défaits. Il a
'une façon considérable, surtout dans le premier cas où l'usure de la
tête
de l'humérus et de la cavité glénoïde nous semble
laires entre le fémur et le tibia, nous avons trouvé en arriére de la
tête
du péroné deux corps étrangers, du volume d'une p
sive. — Fièvres intermittentes. — Chlorose. — Douleurs vagues dans la
tête
. — Raideur des pieds. — Douleurs des genoux. — Fa
thrite sèche. On constate, au contraire, une véritable atrophie de la
tête
de l'humérus. La cavité glénoïde de l'omoplate
sation de roi-deur sur chaque côté du cou et fléchit difficilement la
tête
en raison de la contracture des muscles extenseur
mouvements convulsifs des bras. Le malade dit souffrir beaucoup de la
tête
et demande souvent qu'on la lui relève parce qu'e
uche et nécessitent, pour être avalés, des efforts considérables ; la
tête
est en quelque sorte en-foncée entre les deux épa
que les bords de l'orifice étaient tendus, irréguliers. On sentait la
tête
du fœtus, sans interposition de la poche des eaux
poche des eaux, et, de plus, une sorte de chevauchement des os de la
tête
les uns sur les autres. L'auscultation ne fait pa
ticulier les jours précédents, elle trouve son épaule grosse comme la
tête
d'un enfant. Elle a cessé complètement de travail
s-difficile de reconnaître les parties osseuses de l'articulation. La
tête
numérale elle-même est à peine perceptible. 15
dans l'aisselle. Il existe donc une luxation intra-coracoïdienne. La
tête
de l'humérus paraît plus petite qu'à l'état norma
même façon : les membres paralysés pendaient flasques et inertes. La
tête
étaitfrétraclée entre les épaules, le cou roide.
ription : Les deux moitiés de la tète de la face sont inégales1. La
tête
a 51 centimètres de circonférence au niveau de sa
accompagnent: (a) de douleurs occupant surtout la moitié droite de la
tête
et plus spécialement la région pariétale ;— (b) p
eux tubérosités. Une pre-mière, située immédiatement au-dessous de la
tête
(lubérosité bici-pitale) ; une seconde, très-volu
gidité ou imperforation du col utérin, obliquité de l'utérus ou de la
tête
de l'enfant); les autres sont déterminantes (viol
re aussitôt après la mort. — Chaque ligne correspond à deux heures.
tête
est dans l'excavation. L'accouchement s'opère ave
ps; et si le forceps ne réussit pas, réduire bientôt le vo-lume de la
tête
fœtale par la crâniotomie et la céphalotripsie.
es rétrécissements de 0,07 à 0,08, il faut réduire le plus souvent la
tête
fœtale par la crâniotomie et la céphalotripsie Da
e grand trochanter, l'ischion. Martin a vu la grosse tubérosité de la
tête
numérale détachée par la suppuration. Le tissu
tude des membres (voy. Planche VIII), l'inégalité de la face et de la
tête
, sur l'état de la parole, etc. Avant de résumer c
régulières et suivies pendant quelques jours de pertes blanches. La
tête
est droite ; il n'y a pas de roideur du cou. La c
e est droite ; il n'y a pas de roideur du cou. La circonférence de la
tête
mesure,- en passant au niveau de la racine du nez
, moins développés, mais ils ont à peu près conservé leur forme. — La
tête
, par rapport au reste du corps, est longue, volum
z douloureuse pour déterminer par action réflexe des mouvements de la
tête
. La percussion des lombes produit le même phénomè
tes et le thermomètre étant bien placé. 9 heures. Le malade meut la
tête
en divers sens ; la face est pâle et froide au mê
sant voir une bride cicatricielle résistante, nous avertissait que la
tête
ne franchirait la vulve qu'après des tentatives r
incision sur la partie inférieure et latérale droite de la vulve, la
tête
n'a pu sortir qu'en brisant la cicatrice. Nous av
ientôt offert les mêmes caractères. — Enfin, le séjour prolongé de la
tête
du fœtus dans l'excavation, les pressions alterna
ette sorte de généralisation de l'anesthésie à tout un côté du corps,
tête
, tronc et membres ; cette limitation, en quelque
ples ou multiples ; leur volume est très-variable, depuis celui d'une
tête
d'épingle jusqu'à celui d'une grosse pomme et plu
met du V deltoïdien. Puis j'extrais successivement les morceaux de la
tête
de l'humérus, qui sont au nombre de cinq, en coup
égnée d'alcool. L'opéré est couché horizontalement dans son lit, la
tête
sur un coussin. Son bras mis dans une gouttière e
figure, Gimel peut porter la main à la bouche, en inclinant un peu la
tête
; il peut porter l'avant-bras en arrière et le ll
dullaire de l'hu-mérus. Puis, suivant ce canal en éclatant l'os et sa
tête
articulaire ar-rondie, elle est entrée dans l'art
llures et son langage qu'à une femme. Son intelligence est faible; sa
tête
est peu volumineuse (48 centimètres un peu au-des
. A dix heures du matin, apparition de pétéchies de la grandeur d'une
tête
d'épingle à celle d'une pièce de six pfennings su
utes les heures, puis toutes les demi-heures, avec de la glace sur la
tête
. — Le pronostic devait être très-mau-vais et fair
el des muscles du cou. Sa grosseur peut être comparée à celle d'une
tête
de fœtus à terme; sa coloration rouge doit être a
à la contraction du muscle paralysé, par une rotation en dehors de la
tête
. Pour peu qu'il existe une paralysie de plusieurs
u'il existe une paralysie de plusieurs muscles, ces mou-vements de la
tête
devront être très-variés ; dès lors, certains act
, manifestement contracture. L'épaule est évidemment démise : mais la
tête
humérale sort de la cavité glénoïde et y rentre a
sous vos yeux (Voy. planche III)l. Vousremarquerez qu'autour de la
tête
humérale,détruite en partie, il existe de nombreu
de l'axe gris chez la femme dont je vous ai montré tout à l'heure la
tête
numérale atrophiée. Comme vous le voyez, la corne
d, le malade a du larmoiement, éprouve du vertige, de la pesanteur de
tête
; il se plaint d'une soif vive et de sécheresse de
ils existent, puisque vous-même les avez subis faiblement ; puisqu'en
tête
à tête avec vous, expérimentant sur vous-même, je
stent, puisque vous-même les avez subis faiblement ; puisqu'en tête à
tête
avec vous, expérimentant sur vous-même, je vous a
upide ou méchant. Mais j’ai quelque chose dans la poitrine et dans la
tête
qui me force à parler, et sans m’inquiéter du jug
ratique, de procéder toujours avec prudence, et ce, parce que dans ma
tête
l’imagination n’a point vôix délibérative, et n’e
e sa physionomie décèlent une intelligence peu commune. Elle porte la
tête
haute, et son air de jeunesse rehausse encore la
i devint de plus en plus violent. Bientôt après, on vit apparaître la
tête
d’un serpent, puis un second se montra, tous deux
AT. Depuis quatre ans, j’éprouvais de violentes souffrances dans la
tête
; j’avais consulté plusieurs docteurs qui m’avaie
e prestidigitation, persuadé que Robert-Houdin ou un autre a coupé la
tête
à un homme ou rendu invisible sa femme 1 « Mais
be, puis par le bas-ventre, la colonne vertébrale et ainsi jusqu’à la
tête
; lorsqu’elle y était parvenue, l’accès se déclar
ent un orage intérieur. Ma main droite, chargée du môme fluide que la
tête
produisait au moyen des passes de légères décharg
e. Aussitôt je dénoue un des souliers, je le porte à la hauteur de la
tête
, et que vois-je ! ô merveille ! après deux ou tro
es épreuves répétées, je reconnus que le pôle austral, dirigé vers la
tête
en forme dépasse, produisait toujours un sent
sent l’un avec l'autre, et que les pôles semblables se repoussent, la
tête
fut donc pour moi le siège du fluide austral ou n
et dans cette situation, à plusieurs pieds de distance, j’attirai sa
tête
dans la direction qu’il me plaisait de choisir. D
eux jours après, un axillaire se déclara, et dès lors les douleurs de
tête
disparurent. '■ Joiltet 1856. Le jeune Prxhler
que je vous l’ai prescrit, faites tenir par quelqu’un au-dessus de la
tête
de votre malade un verre rempli d’eau, et vous n’
dont le nom suffirait pour produire le même effet que l’aspect de la
tête
de Méduse. Il devra être bien entendu que M. Mabr
pprocha toujours plus du reptile. La couleuvre, roulée en spirale, la
tête
au-dessus des anneaux, et immobile comme un morce
era peut-être pour y substituer le sien. « A quoi bon se creuser la
tête
pour construire ce château cil Espagne dont la du
bla de questions sur le nouveau phénomène qui bouleversait toutes les
têtes
, et l’on montra bientôt la plus vive impatience d
était alors et dans sa grandeur naturelle. Il portait en outre sur la
tête
, dans cette représentation, une couronne fermée à
nça dans l’espace. — Une plus roide. On lui donna alors une brosse de
tête
avec laquelle elle se frictionna avec une sorte d
t il l’était en effet ! ! ! « Quant à moi, j’avais presque perdu la
tête
; et, comme j’allais le démagnétiser : — Gardez-v
isparition, me retrouvèrent au pied d’un arbre, sous mon cheval et la
tête
brisée. Je faillis mourir, et ce ne fut qu’après
dit mon père. — Pénitence ! murmura ma mère en penchant sur moi sa
tête
désolée. — Prière! fit la plus jeune de mes sœu
Combien de temps pour convaincre les incrédules ? pour persuader les
têtes
dures? pour étouffer l’orgueil opposant? pour fai
Les lits, dans les ¡dortoirs, ne touchaient au mur que d'uD côté, la
tête
. L’été, entre le point du jour et l’heure du leve
Ce dernier semblait immobile, tenant sa queue élevée au-dessus de sa
tête
; bientôt je le vis sauter ou plutôt se laisser t
s serpent noir (coluber constrictor), arrondi en spirale et tenant sa
tête
élevée dans la direction de la pauvre victime, qu
au théâtre de North-Waltham. Au moment où elle posait sa main sur une
tête
de mort que son rôle .l’obligeait à toucher, elle
lle fit appeler le régisseur et lui demanda qui lui avait remis cette
tête
. « — C'est le fossoyeur, répondit-il, qui m’a d
’église. « Norris était le premier mari de l'actrice, et c’était la
tête
de celui-ci qu’elle avait touchée. Cette révélati
itàcetteoccasiondiversesexpériencespour savoir dans laquelle des deux
têtes
se trouvait le siège du mal, ou plutôt la percept
d’un couvent pour pénétrer dans le réduit d’un pauvre moine, levez la
tête
, et vous verrez voltiger au-dessus de vous notre
suite bouillir avec un coq auquel on aurait préala-« blement coupé la
tête
; de faire, en outre, un bouillon par-« ticulier
oupé la tête ; de faire, en outre, un bouillon par-« ticulier avec la
tête
dudit coq; de prendre de chaque « boisson autant
e cette personne se sera amusée à faire aller les mains au tour de la
tête
d’un enfant. Mais si le magnétisme a quelque chos
ilfit autour de lui une sorte d'exorcisme, luiimposa les mains sur la
tête
, et tousdeux, dans cette attitude, adressèrent le
ant de nouveau exorcisé, ayant les mains du vénérable imposées sur sa
tête
, et les prières habituelles ayant été adressées a
s cependant le courage de lui dire : Qu’as-tu, mon frère? Il avait la
tête
entourée d’un linge sanglant; il était très-pale
oin d’un odomètre. La deuxième polarité est celle de la longueur : la
tête
, comme il a été dit plus haut, est od négative, t
cette veine de lutter contre la loi de la pesanteur : aussitôt que la
tête
se trouve dans une position déclive par rapport a
ance , au moyen d’une canne tenue à trente centimètres au moins de la
tête
, de la poitrine, du ventre et des pieds.— « La de
face d’elle, je m'approchai davantage, et je tins en quelque sorte sa
tête
entre mes mains. Le visage, ordinairement très-co
tants, je m'aperçus avec surprise que mes mains seules empêchaient la
tête
de tomber sur la poitrine, comme il arrive quand
re ce que je désire. J’ai essayé sur un homme de 60 ans ; il avait la
tête
déprimée et bosselée en divers endroits. Je l’ai
nes assises comme moi, je remarquai, en passant mon regard entre deux
têtes
, une dame modestement vêtue, au visage pâle, aux
ables tournantes : pendant deux ans, on pouvait croire que toutes les
têtes
allaient tourner avecles tables. Depuis le salon
tude complète d’avoir raison , que toutes les réponses sortent de nos
têtes
? Quant à moi, je suis bien loin d'avoir la ce
elle semblait absorbée dans ses pensées ou en proie à la douleur. Sa
tête
était immobile. « Une cheminée se dresse au mil
aractère particulier la singulière tendance de la malade à pencher la
tête
sur l'épaule droite et à la frapper contre un cor
à la frapper contre un corps dur. 11 fut suivi d’un tremblement de la
tête
qui persista pendant plusieurs se- maines. Le
ou se gonflait, la respiration devenait saccadée, irrégulière, et, la
tête
penchée sur l’épaule droite , elle cherchait un c
e droite , elle cherchait un corps dur contre lequel elle heurtait la
tête
avec une violence extraordinaire et d’une manière
s maux de dents violents qui s’irradient sur tout le côté droit de la
tête
; elle se couche vers dix heures du soir. A onze h
maladie? « Réponse.—J’ai dans la tète un ver qui va du milieu de la
tête
jusque vers le nez. « Deuxième question.— Comme
n Réponse. — Non.—A la quatrième il faudra faire une incision sur la
tête
et extraire le ver. n Septième question. — Trou
ure de sommeil, puis demande un verre d’eau et quelques passes sur la
tête
, parce que l’insecte lui fait mal. — M. Gros essa
saisirai facilement, « Nous soulevons sa main gauche au-dessus de sa
tête
, introduisons le pouce sous le lambeau. Avec l’in
et nous dit : «Je l'ai. » — Serrant toujours la main au-dessus de la
tête
de la patiente, M. Gros saisit l'insecte avec une
que, contrairement à ses accès antécédents, elle ne se frappe plus la
tête
d’une manière rhytlimique contre un corps dur. —
rfs. «Troisième question.—Pourquoi ne vous êtes-vous plus frappé la
tête
? « Réponse. — Parce que l’insecte ne me fait p
« Huitième question. — Comment cet insecte est-il entré dans votre
tête
? u Réponse. — Après une chute que je fis sur l
ré dans votre tête ? u Réponse. — Après une chute que je fis sur la
tête
, il s’est formé dans un caillot de sang. « Neuv
solée dans mon cabinet et me dit : « Monsieur, j’ai des 'vertiges, la
tête
prise, vous verrez que j’aurai un acGès. » Je lui
et l’oppression la forcent d’aller dans sa chambre et de s’appuyer la
tête
contre son lit. A 3 heures, en marchant elle tomb
ue des compresses d’eau sédative concentrée sur le cou, le cœur et la
tête
, des sinapismes aux mollets, et je pratique une l
vec des maux de tête atroces. A une heure après midi, les douleurs de
tête
deviennent intolérables. La malade se couche sur
tion des deux lobes antérieurs du cerveau. 11 faut m’appliquer sur la
tête
des compresses vinaigrées froides, me donner un b
alo-mel est resté sans effet, et des compresses d’eau sédative.sur la
tête
. « Le 22. Onn’aappHqué que.six sangsues qui ont
, un peu de transpiration. Oui applique des compresses froides sur la
tête
. Diète absolue. «Le 23, pendant la nuit, plusie
t fortement irrités. Je prescris des compresses d'eau sédative sur la
tête
et sur le cou, des cataplasmes sédatifs sur le ve
-namique complet, presque en syncope. Le pouls est filiforme à 60. La
tête
, les mains et les pieds sont froids. On a de la p
sibilité du patient était telle, qu’on lui portait alternativement la
tête
d’un côté ou d’un autre; qu'on imprimait à toute
vous permettez le moindre doute, ils renfoncent leur chapeau sur leur
tête
et vôus regardent de travers. Ainsi fait M. Piéra
, Excroissance cancéreuse. 297. Expulsion d'un ver logé dans la
tête
, 618. Faiblesse des muscles locomoteurs, 593.
moins par de là l'ordre des faits réputés naturels et possibles. En
tête
de ces faits, et les premiers qui se montrèrent a
rnant après la pauvre sœur Marie duSamUEsprit, il lui jeta un jour la
tête
et une main dans le feu, ce qui eut lieu sans lam
ransporta sur un mur haut dedixpiedsd’oùil la fit tomber violemmentla
tête
la première, sans qu’il s’ensuivit aucune lésion
s y toucher, s’élançant et passant par des fenêtres impétueusement la
tête
la première sans se blesser. 7° Que, s’estant b
ment la tête la première sans se blesser. 7° Que, s’estant battu la
tête
, les mains, les coudes et les pieds fort longtemp
religieuses, et dit qu’il n'y eut tout au plus dans leur sein que des
têtes
égarées, des femmes nerveuses, atrabilaires, exal
les tenir ferme. Aujourd’hui nous nous rappelons en souriant ces deux
têtes
blanches s’encensant ainsi l’une l’autre ; mais a
ente des membres qui tendent à se porter vers le centre du corps ; la
tête
est fortement inclinée, le menton touche presque
n est manifeste. Les muscles du cou sont encore un peu douloureux, la
tête
est aussi un peu tiraillée, mais tous les symptôm
. On convenait d un signal auquel la porte de l’écurie, où il restait
tête
à tête Tous xvu. — Ko !t®. _ 2. Série. —10 Mars 1
nvenait d un signal auquel la porte de l’écurie, où il restait tête à
tête
Tous xvu. — Ko !t®. _ 2. Série. —10 Mars 1858. 5
sait prendre uu vif plaisir à l’épreuve qu’il subissait, et levait la
tête
pour mieux recevoir l’haleine qu’on lui insufflai
demment Jules Bernard ? Il y a quelques années, il se trouvait à la
tête
d'une manufacture considérable : il y régnait, ma
a pas bougé ; il a ouvert devant lui et passé sous ses yeux et sur sa
tête
un parapluie qu’il a ensuite refermé, et Stafford
ndeurs, dont l’un de trois pouces, d'une coulent- rougeâtre , avec la
tête
noire. C’est,le 21 juin fwele malade s'est débarr
forme la partie la plus élevée de la science, peut être comparé à la
tête
. 11 nous ouvre des horizons sans bornes ; c’est u
finité naturelle de la religion et de la science les réunisse dans la
tête
d’un seul homme de génie : l’apparition de cet ho
heureusement, ils n’ont pas le don de la parole. Je poursuis : La
tête
du cheval est attachée à l’extrémité de la partie
, se contractant par la volonté de l’animal, relèvent ou abaissent la
tête
. Or, un léger frôlement répété, exercé par la mai
ar la main de l’homme sur ces muscles, exactement sur le sommet de la
tête
, entre les oreilles, et sur l’espace qui relie la
e sommet de la tête, entre les oreilles, et sur l’espace qui relie la
tête
à l’encolure, amène aussitôt le relâchement de ce
rascible , le plus fougueux, allonger aussitôt l’encolure, baisser la
tête
, avancer les épaules, céder de partout, et cela a
la terreur dont était saisi le nécromant. L’enfant s’était fourré la
tête
entre ses genoux et criait : Je veux mourir ainsi
gnolino Gaddi. Il était si épouvanté que les yeux lui sortaient de la
tête
et qu'il semblait être plus qu’a demi mort. Allon
ce bruit et à cette affreuse puauteur, l’enfant se hasarda à lever la
tête
. En m’entendant rire, il se rassura un peu et dit
ns et en dehors. Oh! cela va jusqu’au bout des pieds et monte dans ma
tête
; il y a des filets rouges, roses et blancs, tend
este une autre fois. — C est singulier, îe n’ai plus qu’un corps sans
tête
. — Cela prouve que votre esprV est délivré de la
notre ami, car il frappait la mesure sur le dos de la guitare, sur ma
tête
, mon dos, mes bras, et tout autour de la chambre.
xistence, lorsque je crus entendre des coups de pioche non loin de ma
tête
. J’écoutai, le bruit devenait de plus en plus dis
vous donc peur d’une faible femme ? » J n Mon bras resta suspendu, ma
tête
se troubla ; je ne compris pas comment mon nom po
a-bles par leur piété et leur savoir, dont quelques-uns figurent à la
tête
des grands séminaires et même des évêchés, se son
sa en deux minutes. Je fis sur elle quelques passes magnétiques de la
tête
à la plante des pieds, afin de répandre également
pause pendant laquelle je remarquai divers mouvements des bras, de la
tête
et des membres inférieurs, des soubresauts et des
tions musculaires. Enfin, en dirigeant spécialement son action sur la
tête
où paraissait s’être concentrée mon influence bea
uffrait toujours de l’estomac, et elle avait en outre son même mal de
tête
, pareil à celui des jours précédents. Elle ne se
sme. « Le jour suivant (3 du mois), elle eut encore des douleurs de
tête
sans qu’elles fussent plus fortes que de coutume,
je m’étais faite que les souffrances dont elle s'était plainte, de la
tête
et de l’estomac, tenaient à une névrose. Depuis,
Dieu ! le garde « national étend l’officier par terre et lui coupe la
tête
! » Et l’enfant tombe à la renverse.... « Nous
, semblait dire qu’un rayon du soleil spirituel était descendu sur sa
tête
pour y déposer, en caractères qui devaient dispar
la malade devint en état de répondre aux questions par des signes de
tête
, mais sans pouvoir encore parler. Elle demeura
ux soupçons, aux conjectures ; ainsi, lorsque vous voulez affecter la
tête
, les effets parfois ont lieu loin de la direction
sait d’agiter le point choisi, et on voyait bientôt les muscles de la
tête
de l’animal et surtout ceux des lèvres et des mâc
une forte tension spasmodique faisait courber le corps en arrière, la
tête
et les extrémités inférieures se rapprochant pres
rait pu être sauvée ! » Madame Tripple posa une de ses mains sur la
tête
de la malade, et appliqua l’autre sur l’estomac;
nous, avait à peine fait quelques passes sur le bras malade et sur la
tête
de M. Milet, que celui-ci déclara sentir un effet
risque de recevoir un coup de pierre dans le dos ou une averse sur la
tête
, trop heureux de pouvoir à ce prix faire connaiss
qu’un fait : une personne montant l’escalier a reçu une ondée sur la
tête
, comme si, l'eau eût été lancée avec une pompe ou
grand intérêt ; mais ori ne voit pas ‘ pourquoi l’auteur a inscrit en
tête
de son ouvrage le nom de M. Mabru ; car il ne s’o
e du repos avant de retourner chez moi. J’étais couché sur le dos, ma
tête
penchée à gauche, et les yeux fermés, quand je se
s et je sentis deux mains passer sur moi en sens iliflérents entre la
tête
et l’estomac. Je tournai la tête et je vis distin
sur moi en sens iliflérents entre la tête et l’estomac. Je tournai la
tête
et je vis distinctement une personne se tenant to
ceur céleste ; puis tout disparut. Cette personne avait le haut de la
tête
entièrement chauve, des boucles de cheveux blancs
blancs comme la neige étaient ramenées des tempes jusque derrière la
tête
, une longue barbe blanche descendait sur la poitr
s avec la main droite, ayant soin de placer votre main gauche .sur la
tête
et de laisser tomber vos doigts perpendi- cul
endant ces deux séances, et durant la magnétisation, il sortait de la
tête
du magnétiseur une sorte de vapeur qu’on ne pouva
et enfin il avait éprouvé des douleurs de crâne inouïes, comme si sa
tête
allait éclater (quasi gli si spezzusse). Ou déc
u le fil : il avait éprouvé aussi des éblouissements, des douleurs de
tête
aiguës et un sifflement douloureux dans les oreil
soudainement réveillée par deux ou trois coups frappés très-fort à la
tête
de mon lit. Aussitôt cette idée jaillit en quelqu
génie, se décide à exécuter les ordres du proconsul : il se rend à la
tête
d’une troupe de soldats au lieu où se rassemblant
érius, après avoir assisté comme tribun au supplice de Lucie, perd la
tête
, quitte le service, et longtemps après retrouve S
seur dirigea sa main sur son visage, et tout à coup le sujet remua la
tête
et les épaules et se réveilla ; il souriait et ne
puis, M. Collyer lui ayant lancé un regard sévère, le sujet baissa la
tête
, et, au bout de dix autres secondes, retomba dan
our le réveiller : deux minutes après , le sujet commence à remuer la
tête
; après deux autres minutes, il est debout, soupir
rtain de passer l'année entière, et si, en 1788, il avait eu assez de
tête
pour faire le même calcul, il aurait vu sans crai
ts inconnus, des livres de conjuration, des squelettes d’animaux, des
têtes
de mort, une foule d’herbes de toutes les façons
e préconisée par l’auteur sous le titre de Système Perroquet : « La
tête
du cheval est attachée à l’extrémité de la partie
i se contractent par la volonté de l’animal, relèvent ou abaissent la
tête
. Or, un léger frôlement répété, exercé par la mai
par la main de l’homme sur ces muscles exactement sur le sommet de la
tête
, entre les oreilles, et sur l’espace qui relie la
e sommet de la tête, entre les oreilles, et sur l’espace qui relie la
tête
à l’encolure, amène aussitôt le relâchement de ce
irascible, le plus fougueux, allonger aussitôt l’encolure, baisser la
tête
, avancer les épaules, céder de partout, et cela a
chappe, et pendant ce temps-là une guitare se promènera au-dessus des
têtes
des assistants et fera entendre des airs. On ente
aire, 119, 258. Lumbago, 86. Maladie de foie, 538, 605- Maux de
tête
, migraines, 132, 175, 343. Névralgies, 85, 22
l'enfant à l'entrée (juillet 1899). Le IG août 1899 : chute sur la
tête
étant assise ; affaiblissement progressif. Mort
ril 1898 par M. le Dr Brissaud : On trouve cette malade abattue, la
tête
cachée dans les couvertures, cons- tammentsomno
ront haut présentant une petite cicatrice à 4 cent. au-dessus de la
tête
du sourcil droit. La cicatrice qui résulte de l
lesquelles les règles cessaient, elle n'avait plus ses douleurs de
tête
, ni pendant l'allaitement; elles reparais- saie
e de nul effet, à moins que l'affusion froide soit appliquée sur la
tête
. Il n'est pas fa- cile dans la pratique courant
re. 111. - Pathogénie de la déviation conjuguée dos yeux et de la
tête
; par le ])1" Debray. [Journal de Neurologie, 1905
servé plusieurs cas d'hémianopsie sans déviation concomitante de la
tête
et des yeux, ou de per- sistance de cette dévia
cause de la déviation conjuguée, que celle-ci et la rotation de la
tête
ne sont pas toujours d'ordre paralytique lorsqu
in que le centre cervical d'innervation pour les mou- vements de la
tête
et des yeux ne saurait être unique, puis- REV
modes de déviation conjuguée. S'il est détruit, le malade tourne la
tête
et les yeux du côté de sa lésion ; s'il est exc
si ses voies de communication sont tiraillées, le malade tourne la
tête
et les yeux du côté opposé. Quant à la dissocia
dissociation du syndrome, la déviation des yeux sans rotation de la
tête
, elle peut aussi s'expli- quer par la localisat
plus accusé à droite. Hémiplégie spasmodique complète à gauche. La
tête
est inclinée du côté gau- elleetse redresse dif
xcavations profonde, : le long de la crête du tibia du même côté.
Tête
. - Le crâne est recouvert d'une ullicràne mince,
rimentait sur les hystériques, l'Ecole de Nancy, avec Bernheim en
tête
, étudiait le sommeil hypnotique chez les sujets b
mains de l'expérimentateur ; il doit être assis sur une chais ? la
tête
rejelée en aurüru cLe faun 11 mnarclur lc plafoml
u d'anxiété avec acropares- thésiu des lueurs orangées autour de la
tête
et des mains. Sont- ce des phénomènes de radioa
décembre 1()Oj. Théorie sensorielle de la déviation conjuguée de la
tête
et des yeux. M. DuFoUR rapporte le cas d'une fe
vi d'aphasie, d'hémiplégie incomplète, de déviation conjuguée de la
tête
et des yeux vers la gauche et d'hémianopsie S
n lui créa des difficul- tés, le ministre les aplanit. Il avait une
tête
olympique, des cheveux ondulants. Ses sens avai
ies d'altitudes et de mouvements (assis dans la salle, se couvre la
tête
de ses vêtements). A. : ltefusd'ali- ments, gav
se figer debout devant le lit en face du sien, restant immobile, la
tête
baissée, contractée. 28 juillet 1901. S : : Lit
continuellcmcnt couchée sur le côté gauche, en chien de fttsil, la
tête
llencltée sur la poitrine, et complètement reco
rs enfermée dans son mutisme, elle serrait les dents, détournait la
tête
dC\tll1tla cuillel' pl (,'l ? t en présence de
hée sur le côté gauche, dans la même altitude en chien de fusil, la
tête
cachée sous les couver- tures et ne laissant dé
mmédiatement son alli- tude accoutumée. Mais cependant, bien que sa
tête
soit sous ses couvertures et qu'elle paraisse d
e de place soit ses chaussons, soit sa descente délit, elle sort la
tête
vive- ment et gémi 0 jusqu'à ce qu'on ait répar
ugulaires, saillantes sous la peau. La nuque se raidit en fixant la
tête
en extension et la projetant en arrière sur l'o
ÉRALITÉ CHEZ' UNE ÉPILEPTIQUE. 177 jetés en arrière en masse, et la
tête
retombe sur l'oreiller. - Quand le-, mouvements
par exagération du mouvement : si la malade portait la main sur sa
tête
. la main est projetée latéralement et dépasse le
n, nouvelle crise : tous les muscles du corps sont contractures, la
tête
se renverse en arrière, les membres se placent
pratiqué le 30 mars, avait révélé une pré- sentation du sommet (la
tête
du la'tus élanl retenue encore au- dessus du dé
externe seul. Le 3 avril, à 7 heures du matin, le palper montre la
tête
foetale légèrement fixée, défléchie ; la région
dant toute la durée du travail. Malgré l'arrêt de la dilatation, la
tête
se défléchit dans la soirée du 4 avril : à 8 he
qu'au moment du travail, et le défléchissement trop prématuré de la
tête
foetale qui a déterminé une présen- tation du l
éprouver lies douleurs hémilatérales au niveau du côté gauche de la
tête
, avec engourdissement dans tout le côté similaire
ieurs ictus une cécité complète, une perle ra- pide de l'odorat. La
tête
a une tendance invincible à tomber du côté droi
issement s'étendantsur sa partie interne. L'altitude vicieuse de la
tête
pourrait être expliquée d'après les auteurs par c
ntellectuels. Tremblement de la langue et mouvements brusques de la
tête
et des muscles sourciliers. (. C. XXVIII. Épi
re épi- leptique. A 12 ans, elle reçut un coup de balançoire sur la
tête
dans la région occipitale. Depuis lors elle eut
Il S3 tenait continuellement affaissé, ne pouvait même pas tenir sa
tête
pour prendre la nourriture et à chaque repas il
t chez lui des cris perçants. Il avait 1 habitude de se cogner la
tête
, et chaque fois qu'on lui parlait, il la cognait
s amusements favoris, est de prendre les enfants et leur plonger la
tête
dans l'eau, ou bien encore à les brûler en chau
particulière, il en est de même pour le calcul mental, il compte de
tête
avec une exactitude et une rapidité surprenante
nte de noire jeune malade. Elle avait en outre le tic de tourner sa
tête
de droite et de gauche, le soir avant de s'endo
peut distinguer les plaies siégeant en tel ou tel point de de la
tête
ou de la face et les commotions générales ou to
st tombé dans un incendie en participant au sauvetage; il buta delà
tête
sur une charpente d'où il sortait un long clou,
an ou seulement des soins chirurgicaux ordinaires de la plaie de la
tête
sont donc à considé- rer encore avec leurs suit
aumatisme de la région frontale (chute d'un tamis métallique sur la
tête
, dans la rue). La plaie frontale avec enfonceme
e sont manifestés à la suite d'un traumatisme cranien (chute sur la
tête
d'un grand livre à coins de cuivre). Renseignem
commerce, qua- rante-quatre ans. Attaqué dans la rue et frappé à la
tête
avec une barre de fer : enfoncement du crâne, p
ENTALE. consécutive à une série de chutes professionnelles sur la
tête
: des fractures variées des quatre membres, des
t ouvert les téguments, du périnée au pli de l'aine, retombé sur la
tête
, a perdu l'oeil gauche (V = 0) et s'est brisé l
fournir dans les pages qui suivent. folle est la Préface placée en
tête
de la traduction que Mme la baronne Il. de, Rot
s à son Traité de 1846 et à ce Traité lui-même (volume III bis). En
tête
du Traité, dont la première édition (18li6) est é
ion XVII. - welter, CI ans, démolisseur reçoit une charpente sur la
tête
. A l'hôpital présente de l'excitation mania- qu
Dubuisson, entourée d'ailleurs d'obscurités, un ouvrier blessé à la
tête
par une voiture aurait éprouvé ensuite certains
ve, tapait des pieds, s'arrachait la chevelure des deux côtés de la
tête
à un tel poiht que ses cheveux étaient tout à f
encore une certaine expression ; elle se tient un peu ratatinée, la
tête
incli- née sur la poitrine, les bras collés au
deux ans,il serait tombé d'une hauteurde deux mètres etdemi sur la
tête
, sans se faire de bles- sure apparente. C'est à
mbreuses anomalies, telles que balance- ments de son corps et de sa
tête
de droite et de gauche. Pour satisfaire cette m
sont les contractions musculaires, en effet,qui,répétées, fixent la
tête
et le coudans l'attitude engoncée bien connue,
pique au genou avec capsule articulaire descendant au-dessous de la
tête
du péroné. Tabès et paralysie générale conjugal
l'administration économique et médicale de l'asile qui possède à sa
tête
un médecin-directeur actif et dévoué. Il procla
a l'étude du mysticisme universel. 13. ! JOURDON. Sur le rôle de la
tête
dans' la perception de l'espace. -- Analyses et
tola, 132. Déviation conjuguée. Théorie sen- sorielle de la de la
tête
et des yeux, par Dufour, 152. Distinctions ho
édical ou spontané, influence de la cha- leur, par Kelsch, 421.
Tête
. Voir Yeux, Déviation. Thomsen. Un cas de malad
lérose. Yeux. Pathogcnic de la dévialion conjuguée des - et de la
tête
, par Debray, 56. Voir Dévia- tion. Zona, pa
ertige, des nausées, du nystagmus et une inclination latérale de la
tête
du côté du pôle positif. C'est là le vertige vo
vec cette partie est positive ou négative ; dans le premier cas, la
tête
s'incline du côté du labyrinthe excité, et du c
the excité, et du côté opposé dans le second cas; c'est comme si la
tête
était attirée par le pôle positif et repoussée
nation connue depuis longtemps, provoque souvent une rotation de la
tête
et parfois aussi du tronc. Pour obtenir ce mouv
TOLOGIE NORMALE ET PHYSIOLOGIE. PATHOLOGIE EXPÉRIMENTALE tragus. La
tête
exécute du côté du pôle positif une rotation qui
galvanique de courte durée, la « rotation voltaïque conjuguée de la
tête
et des yeux» » fait pour ainsi dire défaut quan
ou supérieure à la normale ; la rotation voltaïque conjuguée de la
tête
et des yeux devient unilatérale. Nous avons vu
ilité, mouvements de manège) ; l'ani- mal s'enroule davantage et la
tête
se porte vers le flanc du côté de la lésion en
S 109 mouvoir ses jambes, de se mettre sur son séant, de tourner la
tête
, de porter les aliments à sa bouche. « L'état
ur droit et en partie celui du membre supérieur gauche, il remue la
tête
et le tronc avec assez d'aisance, il est capabl
tegrande (voir fig. 13), tantôt quand il fléchit for- tement la
tête
, lut- tant contre une résistance que l'ob-
e la maladie d'une durée de 2 ans et demi envi- ron, ni douleurs de
tête
, ni nausées ; quant à la stase papillaire, elle
moins longtemps dans cette attitude. S'il cherche alors à porter la
tête
en arrière et à courber le tronc dans le même s
donc ce phénomène de retard des mouvements des yeux sur ceux de la
tête
, au sens de Babinski, comme un symptôme cérébelle
un cou- rant atteignant 15 ou 20 milliampères, l'inclination de la
tête
fait totalement défaut, au lieu qu'à l'état nor
inclination et la rotation sont remplacées par un mou- vement de la
tête
en arrière. Parfois, bien plus rarement, la tête
mou- vement de la tête en arrière. Parfois, bien plus rarement, la
tête
se porte en avant. Dans certains cas, pendant
avant. Dans certains cas, pendant le passage du courant, on voit la
tête
exécuter des mouvements alternatifs d'inclinati
des modalités variées. Tantôt, quel que soit le sens du courant, la
tête
s'incline du côté de l'oreille malade ; en pare
é de l'oreille malade ; en pareil cas, à l'ouverture du courant, la
tête
reprend immédiatement sa position primitive ou bi
encore l'inclination provoquée par le passage du courant. Tantôt la
tête
s'incline, comme à l'état normal, du côté du pô
s le mouvement est plus étendu d'un côté que de l'autre. Parfois la
tête
s'incline du côté malade lorsque le pôle positi
ruction complète du labyrinthe chez le cobaye). La rotation de la
tête
subit fréquemment aussi des modifications. Elle
e de 5 ma., le pôle + étant à droite, fait dévier très nettement la
tête
à droite et la déviation s'accompagne de rotation
positive étant à droite, le seuil du ver- tige apparaît à 10 ma. La
tête
s'incline à droite et en arrière. Pendant que le
ite et en arrière. Pendant que le courant passe, la déviation de la
tête
persiste et on constate un nystagmus dont la se
tant à gauche, on n'obtient aucune incli- naison ni déviation de la
tête
. Mais, pendant que le courant passe, on cons- t
laré séance tenante qu'ils se sen- taient plus à l'aise et que leur
tête
était plus libre. Bien qu'on soit, à priori, te
alades accusent une sensation de légèreté de la tète, comme si leur
tête
était dégagée. » Trétrop, d'Anvers (Annales des
ait encore déclencher le nystagmus par les mouvements rapides de la
tête
, mais les malades n'en paraissaient plus vraiment
no-mastoïdien et associé à un spasme du membre supérieur gauche. La
tête
, à peu près constamment en rotation à gauche, é
de avait été amené, en quelque sorte automatiquement, à soutenir sa
tête
avec la main, comme cela est la règle dans le t
principa- lement par des mouvements involontaires de rotation de la
tête
de gauche à droite, est traitée sans succès par
que j'ai observée il y a dix ans. Elle se plaignait de douleurs de
tête
qui, ayant apparu environ trois ans auparavant,
ns froides (il ne dit pas où) et des passes, à grands courants, de la
tête
au bas du tronc. « Il est possible, d’après cet
magnétisme qu’il faut employer; il faut, comme on le dit, dégager la
tête
pour éviter une apoplexie imminente, dégager le c
après ces principes, doivent faire tous leurs efforts pour dégager la
tête
, et le moyen le plus avantageux pour y arriver n’
pour couvrir ses os sans muscles ; il a des yeux malades, souvent une
tête
sans cervelle. La misère morale et l’orgueil sont
soupire et y pleure. Quelle stupidité ! va dire un savant dont la
tête
contient le savoir académique, a-t-on rien vu de
puyait sa tète sur un coussin. Deux coups ont été frappés derrière sa
tête
, sur un désir exprimé par lui. L’intérêt et la
ive que j’avais sous la main, et j’en appliquai des compresses sur la
tête
, aux poignets et aux chevilles. A peine étaient-e
s : J’en frissonne d’horreur ; _ cela fait dresser les cheveux sur la
tête
. Peut-on rapporter à une autre origine ces locuti
à une distance d’un mètre environ , au moyen de grandes passes de la
tête
aux genoux. « Dieu me pardonne mon ignorance, j
bout de vingt-cinq minutes au plus, l’animal a commencé à relever la
tête
et à se trouver mieux. Environ dix minutes après,
é faite par ce médium, et il faut remarquer que nous étions seuls, en
tête
à tête. On lit dans cet article : Et maintenant q
par ce médium, et il faut remarquer que nous étions seuls, en tête à
tête
. On lit dans cet article : Et maintenant que vous
ute sa force et de tout le poids de sa juridiction. Au nombre et à la
tête
de ces derniers journaux, figure i’Univers. L’U
couverte d’un tapis. Il a appuyé ses deux coudes sur la table, et sa
tête
sur ses mains, comme pour recueillir sa pensée, o
nt la prétention de copier les vagues de l’Océan à grands renforts de
têtes
de comparses. Il était de toute évidence qu’aucun
Ma fille me dit alors : « Mon père, iLy a un homme qui me soutient la
tête
. » Je lui dis de ne rien craindre, et qu’on n
vous ne ressentiez aucune douleur. — Attendez!... magnétisez-moi la
tête
, bouchez-moi les yeux et les oreilles, et allez s
l’eau, elle se lave tranquillement la bou* che, et, renversant sa
tête
sur le dossier du fauteuil : — Continuez , fit-el
. Je lui touchai légèrement le cou en lui disant qu’elle avait la
tête
coupée. Elle poussa aussitôt un cri de terreur, c
de se réchauffer ; et, tout en sautant, il agitait fréquemment sa
tête
de haut en bas, comme s’il arait eu les vertèbres
un enfant sur une cuiller à confitures ; après quoi, l’écartant de sa
tête
, il la battit à tappes prolongées et se prit à de
les côtés ; il se la mit aux dents , et, toujours à gnoux, tendant la
tête
et le col dans l’attitude d’un chien bien dressé
comme une courte échelle. Puis ils se couchèrent sur le tranchant, la
tête
et le buste pendant d’un côté, les reins et les j
n tout sens, et gardant sans broncher, pendant une minute entière, sa
tête
inoffensive dans la bouche ouverte de son gardien
l, parcourant la scène, allant d’une lumière à l’autre, renversant sa
tête
pour se montrer mieux. Cet homme était hideux !
atient ni le praticien. — Exemples : — Vous vous plaignez d’un mal de
tête
. — Après quelques questions et de mûres réflexion
tes atteint d'une céphalalgie (c’est-à-dire, en français, d’un mal de
tête
). — Vous souffrez d’une articulation , les ti
souvent déraisonné ; ils ont agité bien des tables et tourné bien des
têtes
, et quel avantage la science et l’humanité en ont
glement tous vos savants ont niée. d Oui, je viens m’assurer si les
têtes
allemandes sont accessibles aux idées philosophiq
er? Oublions-nous donc que notre place, partout et toujours, est à la
tête
des nations intelligentes, et que rien de ce qui
ment, elle en ressent les prodromes quelques secondes d’avance , — la
tête
lui tourne, — souvent même assez tôt pour que j’a
prévenir l’am'.s; dans ce cas, il me suffit de dégager rapidement la
tête
par des passes transversales et du souffle frais.
dait toute la cavalerie, y coucha également. Le lendemain , déjeûnant
tête
à tête avec lui, je le trouvai triste, et je fus
ute la cavalerie, y coucha également. Le lendemain , déjeûnant tête à
tête
avec lui, je le trouvai triste, et je fus longtem
- enfiler la grande route. Le premier boulet qui en partit emporta la
tête
d’un maréchal-des-logis des chevau-légers polonai
'unité trinitaire de la Divinité. La Vierge écrasant sous son pied la
tête
du serpent, est le symbole de l'intelligence trio
suis pas rendu directement dans cette maison. — « Magnétisez-moi la
tête
, et dégagez l’épigastre ; il m’étouffe. « Je f
z comme un homme de neige informe, tantôt cuirassé, un haut casque en
tête
, enfin redoutable comme un géant luisant. Faites
pied. Là , ne saisissant que l’image rayonnante, il se met à tâter la
tête
... dam l’air, en désignant les endroits endoloris
is d’une sonorité parfaite. _ Madame 0... s’incline, en avançant la
tête
vers l’endroit d où sort cette cadence improvisée
t les propres paroles dont se sert en se les appliquant M. Viennet en
tête
de son épltre. Maintenant voici ce qu’écrit,
plus grand mal qui puisse exister pour une nation, c’est d’avoir à sa
tête
de faux savants, des orgueilleux et des hypocrite
ensuite elle refusa de continuer en disant qu’elle ressentait dans la
tête
des douleurs étranges. Le lendemain, interrogée d
ie ! à quoi je répondis, avec le même sérieux , et en lui montrant ma
tête
: Vous êtes bienvenu. Il s’élança hors du lit, fo
tomber sur le lit, ce qui nous fit tirer la couverture par-dessus nos
têtes
; et aussitôt nous nous sentîmes assez rudement f
lorsque nous nous étions couchés. Redman essaya de mieux garantir sa
tête
, à l’aide de la couverture ; mais il découvrit se
eva lorsque nous passâmes près d'elle, et un livre frappa Redman à la
tête
, au moment où celui-ci ouvrait la porte extérieur
son enfant, était affectée depuis trois semaines, d’un violent mal de
tête
qui présentait souvent des redoublements pendant
jeter par la fenêtre. Malgré l’état de souffrance de la malade , la
tête
était fraîche, mais le pouls était petit et fréqu
aisseaux du col explorés présentaient un bruit de souffle continu. La
tête
ayant été prise pendant dix minutes entre les
minutes de sommeil, la malade fut réveillée ; elle se sentit alors la
tête
très-légère et entièrement débarrassée de son mal
Deux jours après, je vis la jeune femme et j’appris que son mal de
tête
n’avait pas reparu , qu'elle avait sué abondammen
gu-Comique un drame fantastique intitulé : la Légende de l'homme sans
tête
, où le magnétisme joue un grand rôle ; un des per
urs, raisonneurs ou déraisonneurs, tourneurs de tables et surtout (le
têtes
? et, se répondre, — comme moi encore , — avcun
fonctionnaient avec assez d’aisance pour pouvoir être ramenés sur la
tête
, sans faire éprouver la moindre douleur. Le somme
iliter ses recherches, elle me pria de placer une de mes mains sur sa
tête
, et, quelques instants après, elle me fit le réci
ssements et les diarrhées cessèrent. Des passes à grand courant de la
tête
aux extrémités inférieures, tout en calmant l’exa
s muscles du cou étaient tendus, raides ; impossibilité de tourner la
tête
à droite ou à gauche s is exciter de vives douleu
dans les branches nerveuses. Il existait une douleur au sommet de la
tête
, fixe , gravative, s’irradiant par moments et pén
is, sans interruption , plaçant ma main gauche tantôt au sommet de la
tête
, d’autres fois à la base , et, de ma main — 6
position horizontale, n’étant appuyé sur les deux chaises que par la
tête
et les talons; le ventre s’enfle, prend un volume
père dans les miennes, je les éle\ai et les retins à la hauteur de sa
tête
. Au bout de quelques secondes, je sentis la table
s, et enfin l’instrument se fait entendre directement au-dessus de ma
tête
, apparemment à une distance de deux mètresdans la
qui restent cependant insaisissables. Me trouvant assis le dos et la
tête
appuyés contre la cloison de la cellule, je deman
et la paume d’une main de grandeur ordinaire s’appliquent derrière ma
tête
, et sont promenés pendant une minute sur toute la
ccomplir le moindre mouvementde leurs jambes, de leurs bras onde leur
tête
à mon insu. Comment donc pouvaient-ils être les a
es actes. J’entends comme un violon frapper en guise de massue sur la
tête
de mon voisin de gauche qui se plaint à John de c
e main le maniait par le manche, frappe de la panse sur le haut de ma
tête
, d'abord faiblement., et puis plus fort, et plus
me faire grâce de tels arguments que je l’engage à réserver pour les
têtes
dures en grand nombre, qui, impénétrables à toute
magnétisé madame P... de la rue Saint-Honoré? j’avais un grand mal de
tête
et froid aux pieds, instantanément mon mal de tèt
ne nous verra pas flatter la fausse science des écoles et courber la
tête
devant elle ; au contraire, nous allons attaquer
soleil qui nous éclaire? ,, _ Non ; mon soleil est à Dieu ce que sa
tête
est à « l’homme ; les astres visibles et matériel
ordonnier se calmèrent, et il 11e lui resta plus qu’un balancement de
tête
qui indiquait qu’il subissait encore une crise ne
du sur des feuilles de lotus, « enveloppé depuis les pieds jusqu’à la
tête
, et qui lui défi manda le lait de ses mamelles; c
ous n’auriez jamais pu franchir 1 — Oh ! oh I fit-il en relevant la
tête
à plusieurs reprises d’un air vaillant, ce n’est
ffinité de la science et des idées religieuses soient réunies dans la
tête
d’un seul homme, et vous verrez que Newton nous
as, il appliquait ses doigts successivement : ■ Sur le sommet de la
tête
, aux deux coins du front, au nez, sur la descente
serpent tout meurtri du coup que le pied de la femme lui a porté à la
tête
, et pour l’inviter en quelque sorte à régner de n
ertu dans l’âme ! Réveillez-vous, car la menace est suspendue sur vos
têtes
; c’est à vous que l’on déclare la guerre; c'est à
rdis, comme de vieilles et faibles femmes; vous ne releverez point la
tête
pour regarder en face ceux qui insultent aux nova
Cette enfant était alitée depuis quatre jours, pour un violent mal de
tête
, qui s’était accru beaucoup la nuit précédente, a
ablement, je ne sortirais pas de chez eux sans avoir enlevé le mal de
tête
à leur fille, ce qui parut les surprendre beaucou
lieu ; une sueur générale se manifesta, mais plus abondante vers la
tête
, et au réveil, qui survint au bout de dix minutes
êlée de surprise, leur enfant déclarer qu’elle 11’avait plus mal à la
tête
. Un fait digne de remarque dans cette observati
la malade était aussi sensible au magnétisme, avait souvent mal à la
tête
, et présentait, comme sa lille, un douille bruit
gueur, une espèce d’engourdissement dans les membres, des douleurs de
tête
qui disparaissent souvent lorsque le sujet est co
r de ses devoirs la femme du prochain ; u D'appeler un malheur sur la
tête
(le quelqu’un, même sur celles des hérétiques.
magnétisée, rappelée à la vie, en a été quitte pour un violent mal de
tête
, et le magnétiseur pour une salutaire frayeur qui
ue. Non ! grâce à quelques tours de mains et quelques balancements de
tête
(voir les Chinois de porcelaine), tous les phénom
e et souple comme un chat, d’un bond il est sur une tablette d’appui,
tête
et corps en avant, soutenu par une autre tablette
ble vouloir dormir ; le corps se pelote, se rainasse sur lui-même, la
tête
est sur la poitrine ; il se relève avec peine, ma
tion aussi utile ; mais aucun n’avait savoir suffisant pour être à la
tête
, et elle périclitait. C’est dans ces conditions d
. Il ressemble beaucoup à celui de l’autruche qui, dit-on, enfouit sa
tête
dans le sable pour ne pas voir l’ennemi qui la po
lusieurs livres déjà anciens, notamment de celui dont le titre est en
tête
de cet article, et qui a pour auteur M. Henri De-
ctionnelle comme délit d’escroquerie. Avant de lancer l’anathèmo à la
tête
des académies, de la magistrature et de la police
usqu’à me demander si M. Babinet n’avait pas voulu jeter un pavé à la
tête
de ses confrères les académiciens, et si, en bon
er l’un des opérateurs par le sujet. Après plusieurs mouvements de la
tête
vers l’opérateur désigné, mais non suivis de l’ef
issent facilement la crise ont la partie supérieure postérieure de la
tête
saillante (penchants affectifs) très-développée.
rait songer à MM. l’abbé Châtel et de Toureille, qui sont chacun à la
tête
d’une église et interprètent théologiquement les
tine dans un accoutrement b izarre ; les chefs de la bande ont sur la
tête
une peau de panthère, coupée en forme de capuchon
en avant, à la fois et en cadence. Les Aïssaoua laissent tomber leur
tête
alternativement à droite ou à gauche ; leurs yeux
eur vive ayant son siège à la partie supérieure et transversale de la
tête
, ce qui occasionnait une insomnie et des rêves pé
extraordinaire autour de la table ? » Alors ce garçon, dirigeant sa
tête
de notre côté, se mit à sourire d’un air ravissan
e trouva si fatigué qu’il ne put continuer : le sang lui montait à la
tête
. Le plus incrédule de cette réunion, homme d’en
l’état d’inconscience, des secousses me parcouraient des orteils à la
tête
et me faisaient plier les articulations comme si
alité du cerveau, réveiller son inertie, ramener à l’intelligence des
têtes
ineptes, et donner le savoir à l’ignorance; il ou
it que la torpille de mer appliquée en entier, guérit les douleurs de
tête
, et qu’elle fait rentrer le boyau du fondement :
dans le néant, probablement parce qu’il n’y avait pas de médecin à la
tête
: une clinique ne peut être bien dirigée que par
de journaux, qui ont obtenu la sanction du clergé ; nous placerons en
tête
celui de M. Eudes tle Mirville. C’est à la suite
sième observation. Un jour, cette même somnambule fit tomber sur sa
tête
, en ouvrant une porte, une marmite en fonte du po
Aussitôt on accourt, on lui fait respirer des sels, on lui lave la
tête
avec de l'alcool camphré, mais en vain. Pendant
Pendant ce temps on m’avait envoyé chercher ; —j’arrive, je prends sa
tête
dans mes mains, en portant l’action de ma volonté
aux extrémités ; de cette manière j’empêche le sang de se porter à la
tête
; puis, partant de cet aphorisme : que le souffle
cependant se dit éclairée et civilisée ; elle a fait tourner plus de
têtes
que de chapeaux ; les consciences se sont troublé
magnétisai pendant une bonne demi-heure, lui faisant des passes de la
tête
au bassin, insistant principalement sur l’abdomen
men. Je magnétisai ensuite des chemises de flanelle, des mouchoirs de
tête
et de l’eau. Je fis remplacer les linges qu’il po
le, qu’il avait été pendu, que l’éclielle avait été repoussée, que la
tête
avait été coupée avec une hache. « On lui montr
sans tourner vers elle ses yeux fermés, La plaça sur le sommet de sa
tête
, et dit : « C’est de M. ***, prêtre à ***. 11 d
l’habitude de s’asseoir. 11 devint aussitôt inquiet, mit la main à sa
tête
, changea de siège en se plaignant d’être mal à l
ain, je remarquai que tout son corps était roidc comme un pieu, de la
tête
aux pieds, comme si elle eût été plongée dans le
nes électriques. Un certain nombre de physiologistes physiciens, en
tête
desquels nous placerons Galvani, — sans vouloir d
ci celui qu’il indique comme le plus parfait. Une pièce en bois (la
tête
) en forme de demi-ellipsoïde aplatie, a de cinq à
mètre d’épaisseur, et une largeur double de son épaisseur. Dans cette
tête
sont implantées, parallèles entre elles et parall
t implantées, parallèles entre elles et parallèles au grand axe de la
tête
, deux cylindres eu baleine d’un demi-centimètre d
dernier lieu les eaux thermales d’Ussat et des douches froides sur la
tête
. Ces prescriptions, loin d’amener uu soulagement,
il ne restait qu’une légère sensation de picottement au sommet de la
tête
, dans le cuir chevelu. — Vingt-cinq jours plus ta
ut parfaitement visible ; elle parcourut la chambre, au-dessus de nos
têtes
, avec la rapidité de l’éclair. Elle saisit une de
a autour de la salle, en effleurant dans son passage nos mains et nos
têtes
. Quelquefois elle glissait sous nos pieds, puis e
ur la première fois que sa main cesse de diriger son aiguille, que sa
tête
s’incline et qu’elle dort. On la réveille, on l’e
rd, rien ne s’anéantit. » A ces mots, Ségélius posa une main sur la
tête
du poëte et l’autre sur son cœur, et, d’une voix
upir, s’arrêta au bout du corridor pour la regarder, et resta dans sa
tête
très-longtemps. Sa vue était deve-Bue extraordina
erfs, sentit trois autres jours comme des gouttes d’eau tomber sur sa
tête
, et finit par voir sa propre image reproduite dan
stionna à ce sujet la jeune personne, et, après avoir cherché dans sa
tête
ce que cette apparition pouvait être, elle lui di
ves douleurs dans le bas-ventre et l’épine, puis une pression dans la
tête
, puis un sommeil suivi de douleurs nouvelles et d
e vis le corps soulever lentement sa main gauche. Je pris aussitôt la
tête
entre mes mains, et j’essayai de magnétiser avec
ont à magné- Tome XIII. — N“ f9S. — 25 octobre 185t. 20 tiscr la
tête
, et particulièrement les yeux, étant assis, ils s
nts. Elle a été guérie en très-peu de temps au moyen de passes sur la
tête
. « 3° M, B.... confirait d’une paralysie au côt
connaître l’époque de son arrivée. Il s’assit à terre, s’enveloppa la
tête
d’une couverture, et après être resté quelques mi
geste magnétique : l’enfant quittait aussitôt le sein et tournait la
tête
vers le magnétiseur. Certes, voilà encore un fait
enus debout, diverses postures ont été imposées à leurs corps ; leurs
têtes
, leurs pieds, leurs bras, leurs bouches sont deve
ande route. Le premier boulet qui partit de cette batterie emporta la
tête
d’un maréchal-des-logis des chevau-légers polonai
e, qui a puisé dans toutes les précédentes. « L’école moderne, à la
tête
de laquelle brillent des savants du premier ordre
sser le génie. Aussi fait-il le plongeon, c’est à qui lui fourrera la
tête
sous l’eau, et rien ne fait rire les immortels co
Excellence M. le comte de Cagliostro! » « Je tournai promptement la
tête
. J’avais entendu parler cle cet aventurier depuis
ée de la fureur de passion avec laquelle tout le monde se jetait à sa
tête
" il faut l’avoir vu. On l’entourait, on l’obsédai
fices, « ainsi que disaient les anciens? » « Le grand-duc secoua la
tête
. « — Kourakin sait bien, répliqua-t-il, que j’a
en me regardant toujours de cet « œil qui semblait se détacher de sa
tête
; et, de même que « j'avais été forcé de m’arrête
passion, et s’approcha du jeune homme, auquel elle dit en baissant la
tête
: ■ — Je vois votre pensée. Vous avez accepté d
aime-t-elle? « — Non ; dit la jeune (ille en secouant tristement la
tête
. « — Elle ne m’aime pas ! En aime-t-elle un aut
roule presque uniquement sui-ces matières; elles occupent toutes les
têtes
, elles frappent toutes les imaginations, même les
— L’erreur n’empêche pas les cheveux de blanchir, et le volume d’une
tête
n’est pas toujours une preuve de savoir. — Quoi
pas toujours une preuve de savoir. — Quoi! tu verrais sans pâlir la
tête
de Flourens, ce créateur du ciel et de la terre ?
des paupières, 486. Lumbago, 657. Maladie mentale, 615. Maux de
tête
, migraine, 133, 549 Néphrite, 546. Névralgie fa
ement en étendue : il peut élever le bras gauche à la hauteur de la
tête
, et porte la main de ce côté à la poignée de la
tantôt des deux côtés à la fois. Ces mouvements sont rapides : à la
tête
ils occupent les muscles du front, épicràniens,
s'abaissant à plusieurs reprises, levant les épaules, renversant la
tête
en arrière et de côté. Ces paroles sont telleme
se ferment. Les mouve- ments qui se passent dans les muscles de la
tête
et de la face sont très caractéristiques ; la t
es muscles de la tête et de la face sont très caractéristiques ; la
tête
s'incline brusquement vers DE L'INCOORDINATION
ifs. Les yeux se ferment, les commissures sont tirées en dehors, la
tête
s'incline de temps à autre sur l'une ou l'autre
ctions des deux côtés sont assez rapidement alternantes pour que la
tête
subisse une rotation double qui la porte altern
nn), vingt ans; début probable en 183'3 à la suite d'un coup sur la
tête
; pas d'hérédité, vertiges fréquents et accès;
ele ma- lade accusait une sensation de chaleur qui lui montait à la
tête
, parfois précédée d'une forte oppression. En si
ls s'ajoutèrent plus tard des phénomènes congestifs du côté de la
tête
et des accès de suffocation. Les narcotiques et l
, l'action du calorique, plutôt locale, porte principalement sur la
tête
et la nuque; le soleil ou toute autre source de
pieds pour lui infiltrer de l'eau par le nez dans l'intérieur de la
tête
, ou lui séparer la tête du tronc pour lui faire c
de l'eau par le nez dans l'intérieur de la tête, ou lui séparer la
tête
du tronc pour lui faire cesser les sensa- tions
descendante du trijumeau qui renferme des fibres sensitives de la
tête
, de l'oeil ( ? ), de la dure-mère ( ? ). M. Tuc
n entées sur un fond d'anémie prononcé; rabattement est extrême, la
tête
ballotte de ci delà; station presque constammen
exagérée du système vasculaire des membres inférieurs, il dégage la
tête
; d'où la diminution des congestions céphaliques.
, mais revêtent le caractère de toitures (douleurs, machines). A la
tête
, on accuse des sensations de tension, pression,
engendre les sensations pathologiques les plus violentes dans la
tête
, le dos, l'épigastre; en même temps tendance à la
ute cette période, et il s'y joignit également des douleurs dans la
tête
et dans les membres. Il y eut une insomnie pres
consé- quences. Il cite à l'appui le fait suivant : Chute sur la
tête
, étourdissement pendant quelques' minutes, reto
autres traces de traumatisme que' quelques légères contusions de la
tête
et un léger" saignement de nez; mais perte comp
nne verté- brale. Il en est de même dans des traumatismes de la
tête
où j'ai vu la mort survenir presque immédiate-
bre supérieur droit était engourdi etL... pouvait à peine lever la
tête
. La salive s'écoulait et il'ne pouvait The 7n&l
par Gore. Un hommede quarante-huit ans, actif, intelligent, à la
tête
d'affaires importantes, reçut dans une collision
leurs, tomba lourdement sur les talons et ensuite en arrière sur la
tête
. Il fut étourdi quelque temps, mais se remit gr
à la suite de douleurs et de raideur dans les mouve- ments de la
tête
. Plus tard et lentement se développe de la faib
trapèzes et aux muscles qui soustendent la colonne vertébrale. La
tête
se fléchit en avant et ne peut être rejetée en
ue qu'il a eue devant nous s'est passée de la manière suivante : la
tête
s'est tournée à gauche, la langue est sortie br
rop brusque (Obs. IV). Les muscles du cou entrant en ac- tion, la
tête
est portée alternativement dans la flexion et d
se relevant à plusieurs reprises, levant les épaules, renversant la
tête
en arrière et de côté. Ces paroles sont émises
que cela me prend, » il accusait une douleur dans le ventre et à la
tête
dont il ne s'é- tait jamais plaint auparavant.
ule est tombante, il boîte; il peut toutefois mettre le bras sur la
tête
. Le bassin est projeté en arrière; il fauche de
alcoolisme. -Accouche- ment à terme, naturel, sans chloroforme ; la
tête
est lestée assez longtemps au passage. A la nai
battait, disait que, s'il avait vingt ans, il lui ferait tomber la
tête
. Pas d'autres maladies que celles qui ont été n
maladies que celles qui ont été notées. État actuel (2 mai 1882). -
Tête
: crâne petit, ne paraissant pas asymétrique ;
DU CURARE DANS 1,'ÉPILEFSIK. 217 Î lit; la face pâlit très peu, la
tête
s'incline à gauche, les yeux regar- dent en hau
rfois, la période clonique manque. Au bout d'une minute environ, la
tête
revient de gauche à droite, l'enfant regarde av
e le cas d'un imbécile qui, trouvant un homme endormi, lui coupa la
tête
, pcpsant qu'il serait fort plat- sant devoir le
pcpsant qu'il serait fort plat- sant devoir le dormeur chercher sa
tête
à son réveil ; cet imbécile croyait avoir fait
eurs, s'observent généralement au bras, rarement à la jambe ou à la
tête
. Les uns émanent probablement de pares- thésies
s où l'on constate des phénomènes d'excitation unilatéraux purs, la
tête
et les yeux regardent le côté lésé; dans celles
se traduisent par des paralysies simples également unilatérales, la
tête
et les yeux regardent le côté opposé à la lésio
ux, déchire ses vêtements, menace de jeter de l'eau bouillante à la
tête
du premier qui entrera et finit par mettre dans l
arié; des garçons de dix-huit ans qui, par l'attitude du cou, de la
tête
, des épaules et des bras, ont l'air de vieillar
forts énergiques et persévérants d'hommes absolument convaincus, en
tête
desquels nous devons placer M. le Dr Bournevill
gue l a décritscomme manifestation tardive des traumatismes de la
tête
, ainsi que dans l'étiologie de la paralysie gén
rapports dans les excès alcoo- liques : « s'il a bu, dès qu'il a la
tête
sur l'oreiller, il dort ». Grossesse bonne, pas
ns ci trois mois, revenues plusieurs fois jusqu'A deux ans. Maux de
tête
cinq ci six fois par an de huit ci douze ans. V
oolique, mort aliéné. Premières convulsions cc trois ans. - Maux de
tête
fréquents. Absences depuis janvier 1882. Benar.
r de l'apathie, un vague sentiment de tristesse, de la pesanteur de
tête
, etc., l'élimination de l'azote et de l'acide p
l'individu reste affaissé, se plaint de pesanteur, et de douleur de
tête
, où parfois on a beaucoup de peine à lui arracher
Ne m'ennuie pas, parce que ce soir il me passe des frissons par la
tête
, et je suis bon pour répondre à qui voudra se m
ea prononça alors ces paroles « cadra, cette nuit je te couperai la
tête
». Le soldat Codara informa de cette menace le
d'autant plus regrettable qu'on eût pu voir la malforma- tion de la
tête
, dont la moitié droite était plus développée que
le, il était de plus épileptique; la difformité et l'asymétrie delà
tête
a toujours existé. Il appartient à une famille d'
contractions du grand dentelé. Intégrité complète des muscles de la
tête
et de la face. Disparition des convulsions pend
que si l'on fixe un animal sur une table, en lui assujettissant la
tête
sur le bord de cette table et que si l'on fait
provoqué de l'liype- rémie cérébrale. Inversement, si l'on place la
tête
au milieu de la table, la rotation détermine de
constate sur le crâne, les méninges, le cerveau, les muscles de la
tête
et du cou, un état d'hyperémie très prononcé, a
crâne ; trépanation ; coma; paralysie plus marquée; érysipèle de la
tête
. A la fin d'avril, le malade peut marcher et éc
ractérisés par du clignotement, des mouvements in- conscients de la
tête
, des bras et des pouces. Constipation, pertes b
carac- téristiques : cri initial, pâleur de la face, rotation de la
tête
à droite, convulsionstoniquesetcloniques, micti
lontaire inconsciente; sommeil profond, suivi de violents maux de
tête
. Ce qu'il appelle vertige répond plutôt à des acc
l'ab- domen ; urines rares très chargées d'albumine. Grand mal de
tête
, suspension du bromure; régime lacté. 19 octobr
indolence. Elle ne souffrait pas, se plaignait seulement d'avoir la
tête
vide; la sensibilité spéciale, surtout celle de
elle demanda un prêtre pour l'exorciser. Elle se jetait à genoux la
tête
pros- ternée à terre, elle marchait sans chauss
mposé et le renouveler. Janvier 1884. État actuel. Taille élevée,
tête
assez bien confor- mée ; les bosses frontale, p
souvent des idées d'empoisonnement. Les malades alors sentent leur
tête
vide ou brûlante, leur bouche collée, ils se plai
s je sais que le latah qui, au simple commandement, se tient-sur la
tête
, saisit une barre de fer rouge, ou frappe un sp
perexcitabilité extrême, de tics particuliers, de soubresauts de la
tête
et du tronc à la fin desquels il prononce presq
ne resta qu'une faiblesse et un sentiment d'engourdissement dans la
tête
. Quant à l'hérédité, on ne trouve dans sa nombreu
l au reflux du liquide céphalo-rachidien par les lymphatiques de la
tête
, la fréquence terrninale du poulsh la paralysie d
et que vous le suspeniiex, en lui assujettissant confortablement la
tête
, les épaules et la nuque (coussin d'air bien fi
nt la conséquence. La séance se termine par l'électrisa- tion de la
tête
et des ganglions cervicaux du sympathique; ici
ouleurs dans le dos et l'arti- culation du pied droit, pesanteur de
tête
; sensation de faiblesse générale et de débilit
es (primitivement du moins) à un côté du corps, avec rotation de la
tête
et des yeux du côté convulsé, tantôt par des sp
fois, les mouvements cloniques restent prédominants à droite, et la
tête
se tourne toujours de ce côté, c'est-à-dire du
début des con- vulsions toniques par le côté droit, rotation de la
tête
et des yeux droite, l'imitation des secousses c
orcée ; 2° après quelques secondes, commence la deuxième phase : la
tête
se porte vers la gauche, la bouche et les yeux
r à l'athérome de la cérébrale antérieure chargée d'artérialiser la
tête
du noyau caudé et la partie de la substance méd
'inquiétude. Comme troubles généraux, elle éprouve des lourdeurs de
tête
qu'elle attribue à ses persécuteurs, de la cons
t resté aucune trace de cetfincidelialeltiy sci plaint; dernnau.d'e
tête
, 'qui cependant yn'entravent'pastsos études (el
t, le sourire fixe ou hésitant s'accompagne d'une inclinaison de la
tête
qui regarde en «bas. Dans bien des cas, Je sour
regard de côté, un sourire sans motif, une situation spéciale de la
tête
et du regard trahit leur double vie. D'autres m
dire à des adultes bien des choses dont on redouterait l'exposé en
tête
à tête. yr 1 La lecture de ces deux mémoires ay
des adultes bien des choses dont on redouterait l'exposé en tête à
tête
. yr 1 La lecture de ces deux mémoires ayant abs
le sotte que l'intervalle de deux d'entre eux ne puisse admettre la
tête
. Les agités sont chauffés à l'eau chaude; elle
situés au premier, renferment dix à douze lits; ils dispensent par
tête
600 pieds cu- biques d'air. Lits en fer ou en b
ment qu'il est situé. Un gardien et une gardienne en chef sont à la
tête
d'infirmiers dont la proportion est de un pour
rtoirs. Toutes les salles dis- pensent 600 pieds cubiques d'air par
tête
, et même 800 pour les gâteux. Dans les cellules
naissance, ou du moins cesse de donner tout signe de conscience, la
tête
s'incline vers l'épaule gauche, la commissure l
période de convulsions cloniques. L'attaque est alors terminée, la
tête
reste un peu inclinée vers le côté gauche, mais
, lorsqu'on la questionne vivement, Ang... répond : « J'ai mal à la
tête
». Dans l'attaque, telle que nous venons de la
après les notes que nous avons recueillies au lit de la malade : la
tête
s'incline vers la gauche, le côté gauche de la
comme si elle avait peur : elle nous dit voir une perruche verte à
tête
rouge. Tout à coup elle s'écrie : «Tiens, la vo
nts : Accès convulsifs, les uns localisés aux muscles moteurs de la
tête
et de DES ATTAQUES D'HYSTÉRIE. 285 la face ga
int de déterminer une douleur assez vive. Presque en même temps, la
tête
s'incline vers ladroite. -Dans une seule matiné
racté- risés pas un monospasme brachio-facial avec rotation de la
tête
et des yeux du côté convulsé. La malade ne .per
epsie partielle vraie, soit par de l'hémispasme avec rotation de la
tête
et des yeux du côté convulsé (forme hémiplégiqu
son bras. De onze à quatorze ans, Grar... ne se plaignait pas de la
tête
; il n'avait pas de migraines : le sommeil était r
! )) » A partir de cette époque, Grar... se plaignit de douleurs de
tête
à peu près générales, niais principalement dans
n qu'il éprouve et qu'il dit très difficile à dé- peindre, gagne la
tête
, mais il n'est pas possible d'en reconnaître le
e trajet exact. Les muscles du côté gauche se contractureraient, la
tête
s'inclinerait sur l'épaule gauche et la face se d
sans phosphènes, ni vision colorée. Une fois l'aura arrivée à la
tête
, le malade perd connaissance. C'est au moment o
hiffonnait ses bourses et sa verge). État actuel (W mars 1882). -
Tête
normalement développée. Crâne, assez régulier,
nt »; je ne puis dormir, et, le matin en vie levant, j'ai un mal de
tête
à ne pas pouvoir la lever, et qui se dissipe peti
.) présente deux nodules crétacés de la grosseur d'un petit pois.
Tête
. Le cuir chevelu est normal sans ecchymose. Les o
eux derniers mois de la mala- die, on notait des tremblements de la
tête
et des extrémités à l'occasion des mouvements v
enant le facial, avec disparition de la sensibilité; rotation de la
tête
à gauche, mort dans le coma. La tumeur occupe l
paire cervicale. La destruction n'a porté que sur le segment de la
tête
de la corne postérieure situé entre le bord pos
strer un bain de cathode et de procéder en approchant l'anode de la
tête
, au gonflement et au dégon- flement des courant
ésultats de l'examen desorganes génitaux et de la mensuration de la
tête
, et, de plus, un rapide résumé de la question d
, attaché aune partie du système musculaire, tous les muscles de la
tête
, du cou, du tronc et des extrémités sont envahis,
défaut de perception, une sensation de chaleur ou de froid dans la
tête
, des vertiges, de la photopsie, de l'obnubila-
t la malade et l'invitant à nous faire comprendre par des signes de
tête
s'il n'y avait rien à modifier. Les antécédents
'en se tenant aux lits voisins, et encore faut-il la soute- nir. La
tête
et le tronc sont très penchés en avant. La plus
muscles du cou sont atteints eux aussi, la malade ne peut tenir sa
tête
, celle-ci tombe en arrière quand elle n'est pas
elle est obligée de remuer presque tout le tronc pour imprimer à sa
tête
le mouvement désiré. On constate aussi une atro
Le réflexe guttural est, lui aussi, conservé; quand la malade a la
tête
basse, il existe un certain ronflement produit pa
nous faisions regarder notre malade soit à gauche soit à droite, la
tête
étant dans l'immobilité, nous voyons que le bord
st pas tout, elle a aussi quelques tics dans les membres ou dans la
tête
, et souvent il lui arrive d'agiter un bras ou l'a
ieurs fois de suite le mot de Cambrone, en inclinant brusquement la
tête
sur l'une des épaules. Dans le même port, se tr
itique). A ce moment, s'est établie une graduelle inclinaison de la
tête
à droite ; il a lentement appris à parler et à ma
s extrémités, des muscles de la nuque et du visage du même côté; la
tête
est tirée en arrière et à gauche; l'enfant fait
MM. Bourneville et Re-nard, M. Richer n'en ont rencontré que sur la
tête
et le tronc; il résulte des explorations de M. Pi
s seulement sur les membres; il y en avait aussi sur le tronc ou la
tête
. Dans la majorité des cas, les zones des membre
océdés inutiles, absurdes, par exemple : lorsqu'elles baissent la
tête
, lorsqu'elles se balancent, etc.; mais, chez la
ait eues à DE 1,'ONONI 165 ce moment. Dans les rues, il baisse la
tête
, ferme quelquefois les yeux pour ne voir ni les
un pressentiment et, s'adressant à sa femme, il ajoute « Voilà une
tête
qui, je le crains bien, va me faire de l'ennui.
à Brest en 1850. La mensuration ne donne pas de différence entre sa
tête
et celle de son frère. Le front est aussi effac
à peu près conformé comme ses frères, quant à ce qui concerne la
tête
. La dépression sus-sourcilière est légère, les ar
t-à-dire six ans avant son mariage. Elles consistent en douleurs de
tête
frontales vives, accompagnées de mouches violet
male ; menton rond ; oreilles grandes, bien ourlées, écartées de la
tête
, lobule détaché. Le cou ne présente rien de par
e scènes que sa belle-mère venait lui faire, étant ivre, montant la
tête
au mari auquel elle reprochait de nourrir [des
llet. Poids : 50 kil. 10. Taille : 4m,57. 1884. 7 mai. Etat actuel.
Tête
volumineuse, ovale, régulière et symétrique : b
imé sa racine.-Oreilles grandes,'bien ourlées, très écartées de la'
tête
, lobule aux trois quarts distinct. Bouche grande,
dans leur contraction, gênent considérablement les mouvements de la
tête
. La mensuration des membres donne les chiffres
ur le muscle reposé. MALADIE DE THOMSEN. 209 Les mouvements de la
tête
et du tronc sont gênés de la même façon que les
es mouvements des membres. M.M...,sot)icité détourner rapidement la
tête
à droite ou à gauche, exécute tout d'abord ce m
es résistances semblent se dissiper et le malade arrive à porter la
tête
à droite et à gauche aussi vite que pourrait le f
ru. Il s'est endormi, le corps plié, les mains relevées derrière la
tête
, et a tranquillement sommeillé. Le matin il se
rofondi révèle tou- jours erronée. Les auteurs français,' Falret en
tête
, ont eu raison de signaler le fréquent retour'
re les yeux, roule les globes oculaires dans les orbites, relève sa
tête
affaissée; il semble que l'écorce affaiblie à l
Psychose avec éléments hystériques. Fibrome utérin du volume d'une
tête
d'enfant.. Amputation supravagmale de l'utérus.
enflamme pas dans une âme vulgaire, Pinel l'avail à la fois dans la
tête
et dans le coeur ! « La Convention nationale, q
usin et Thoul'et, que le mou- vement des affaires avait portés à la
tête
des hôpitaux, firent appel au dévouement de leu
ar le nombre et la valeur de ses disciples, il se trouva placé à la
tête
d'une école médicale que l'on appela l'école de
alle d'autopsie et de microscopie. Les nouveaux édifices cubent par
tête
, dans les chambres d'habitation : 22 cent. cube
Il a commencé par me dire : « C'est une idée qui me passait par la
tête
». Je lui ai alors demandé d'entrer dans les dé
nception. DES FAMILLES D'IDIOTS. 35 Ik 1884. 14 mai. Etat actuel.
Tête
ronde, assez volumineuse et régu- lière. 352
aru sur le dos; il n'y a plus rien sur le reste du corps; rien à la
tête
, à la bouche, à la gorge, ni à l'anus. Poids, 2
1 janvier. Poids : 26 kil. 20; taille : lm,30. 14 mui. Etat actuel.
Tête
moyenne; léger degré d'acrocéphalie et de plctc
n. Poids : 21 kil. 900; taille : 1 m. 19. 9 juillet. Etat actuel. -
Tête
ovoïde assez développée; l'occipital fait uns l
vaisselle. En juillet et août, on remarque qu'il a parfois mauvaise
tête
, qu'il est menteur, a de mauvaises habitudes et
lle le 27 juillet 1868. Mort le 30 avril 1872. Idiotie congénitale.
Tête
petite, front bas, déprimé : ne parle pas, peu
t demi à son entrée à l'asile de Maréville le 14- septembre 1868.
Tête
assez bien conformée, figure assez intelligente;
émités sont froides et très cyanosées; la maigreur est prononcée.
Tête
peu développée, asymétrique. La moitié droite de
ux parents, s'accumuleront, aggravées par la transmission, sur la
tête
des enfants. De là, les dégénérescences si frappa
t laver ses aliments pour chasser cepoison qui lui fait si mal à la
tête
(clou). 4. - Attaque : dans la période de délir
n ventre, dit-elle, va beaucoup mieux, le clos un peu mieux mais la
tête
lui fait toujours mal. (On continue l'application
oujours identique mais moins expansif. Elle garde un chapeau sur sa
tête
pour la protéger contre le poison en poussière
friction du vertex, nous suggérons simplement la guérison du mal de
tête
(clou) et aussi la disparition des voix. Il est
les yeux et quelques heures après elle dit toujours souffrir de la
tête
, mais bien moins et elle n'entend plus de voix,
istaient avant la séance d'hypnotisme. Après l'attaque, le mal de
tête
est toujours moins violent qu'a l'ordinaire et
malade réveillée n'a aucune conscience de cette période. Le mal de
tête
est toujours moins fort, et les hallucinations de
notisons la malade et lui suggérons qu'elle ne souffre plus dans la
tête
, ni dans le dos (et, pour l'en convaincre, nous
ulement que la vie est trop longue puisqu'elle souffre encore de la
tête
. A ce niveau, hyperesthé- sie notable; comme le
ttaques. Ce tremblemenl dure toute la nuit. Au matin, dou- leurs de
tête
sus-orbitaires et dans la région pariétale à gauc
de, au poignet, au genou, au coup-de-pied. Tremblement latéral delà
tête
peu accentué, pas de déviation de la 'ace. petite
médicaments, je lui ordonne un peu de chloral. 1 1. - La douleur de
tête
est limitée au point pariétal. Outre la trépida
de pesanteur au niveau de la région postérieure ou antérieure de la
tête
; il leur semble qu'elles ont comme du plomb sur
I, LXI) ; dans d'autres cas, il n'y a qu'une simple pesanteur de la
tête
(OBs. XXXIII). Enfin une des formes les plus co
t cet autre dégénéré, dont la frigidité cessait à l'évocation de la
tête
ridée d'une vieille femme; ce dégénéré avait co
ctrique ou l'application de l'aimant sur la partie antérieure de la
tête
. Débarrassé de toute paralysie, le sujet est re
lation totale de l'asile, y compris tout le personnel, comptait 510
têtes
. L'épidémie, d'une énorme densité, se montra béni
DU VERTIGE MARIN. 5 il occupait la place opposée à la chute de la
tête
; notons que la cage a été placée à une des ext
'expérience, non seulement il refuse de manger, mais il retourne la
tête
. Nous avons constaté cet état de choses chez to
lignes verticales qui sont rappro- chées indiquent le moment où la
tête
se trouve en bas; la ligne qui suit indique le
- fin, les deux cin- quièmes repré- sentent le mo- ment où la
tête
était en bas, pour recommencer une nouvelle é
olonne avec le bord du collier et cela peu- dant la chute de la
tête
. Cette espèce de ba- lancement, en imitant
us les deux respirations s'ac- commodent, en s'approchant, quand la
tête
est en chute, et en s'éloignant quand la table
t, il restait immobile sur place en relevant de temps en temps la
tête
, peut-être pour voir ce qui se passait autour de
tracés en balancement lent, et de la façon suivante : tète en bas ;
tête
au niveau ;tête en haut. 16 PHYSIOLOGIE PATHOLO
ement lent, et de la façon suivante : tète en bas ; tête au niveau ;
tête
en haut. 16 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. ché et
hangent constamment de place, mais ils préfèrent surtout tourner la
tête
du côté opposé à chute de la table; ils crient;
. En produisant sur l'appareil des secousses pendant la chute de la
tête
, l'état de l'animal s'aggrave, il ravale alors
tanées, pas bien aiguës, s'élevant de la nuque vers le sommet de la
tête
; douleurs dans la partie inférieure du dos et
nts de la colonne vertébrale ne provoquent pas de douleurs. Dans la
tête
, la malade éprouvait parfois un malaise, de la
e une série de symptômes subjectifs ; pesanteur continuelle dans la
tête
, céphalalgies parfois très inten- ses du côté g
dystrophies cutanées, à l'exception de quel- ques éruptions sur la
tête
et le corps, ayant eu une marche aiguë pendant
e, nerveuse sans attaques, intelligence faible, tremble- ment de la
tête
. Pas de consanguinité; pas de renseignements po
hystérie ; pas de raideurs. Taille élevée, conformation régulière ;
tête
petite, asymétrie faciale, dents mal rangées, c
de profil, n'est pour M. Magnan que « le résultat d'un artifice, la
tête
étant fortement fléchie, l'occiput très relevé,
vient saillante ». D'abord, cette position légèrement penchée de la
tête
n'est pas le résultai d'un artifice : et elle e
de la pose de 3/4, dans l'autre photographie, où, dit M. Magnan, la
tête
est laissée libre, dans sa position naturelle.
peut d'ailleurs essayer de déterminer le degré d'inclinaison de la
tête
. En effet, dans la photographie incriminée, com
Tel serait donc, à peu de chose près, le degré d'inclinaison de la
tête
de ma malade ; il y a entre l'attitude de ma ph
pports ? D'après M. Magnan, la simple inspection lui dénoterait une
tête
dolichocéphale ? L'examen même des premières ph
en même des premières photographies, ainsi que d'une nouvelle où la
tête
est laissée libre, me semble au contraire prouv
ction établie par certains anthropologistes entre les acrocéphales,
têtes
à front fuyant, élevées en arrière, c'est ainsi
urs défini ce que j'ai observé, chez ma malade, et les oxycéphales,
têtes
à front plus ou moins droit et élevées dans la
uvé 17 cas d'affections des méninges, et 5,6 p. 100 de blessures de
tête
. Les affections de l'organe de l'ouïe donnent u
ale, l'étude minutieuse des antécédents montre que les coups sur la
tête
, qu'on retrouve souvent au début de cette affec
e symptômes céphaliques le malade a des frayeurs la nuit ; voit des
têtes
grimaçantes et des animaux de diverses espèces ;
n autre symptôme céphalique, sauf un cer- tain degré de lourdeur de
tête
. Mais par contre, les membres infé- rieurs du m
au côté droit. Le malade marche très bien, sans vertiges ni mal de
tête
, ni embarras de la parole; enfin aucun symptôme
plus haut, qu'à gauche, en occupant la moitié de la nuque et de la
tête
jusqu'à la région du nerf trijumeau. La sensibi
toute la moitié gauche du corps, et occupant la moitié gauche de la
tête
et de la face (à un degré moindre). Du côté dro
aciques et des racines lombaires supérieures d'un seul côté. Sur la
tête
, le cou et le thorax, la therma- nesthésie se d
niers cas, nous trouverons que tantôt toute la moitié du cou, de la
tête
et de la face sont atteints, tantôt que l'anest
thogénie du vertige marin. Nous savons déjà que quand on abaisse la
tête
d'un animal, le liquide céphalo-rachidien s'élè
bateau se fait 228 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. subitement; alors la
tête
du voyageur fait des mouve- ments de balancier
linaison que dans le soulève- ment du navire ; ces mouvements de la
tête
sont suivis par de pareils mouvements d'ascensi
Par conséquent, c'est surtout pendant la descente du navire que la
tête
s'abaisse aussi brusquement; alors le liquide c
qui provoquent le vertige, comme nous l'avons' démontré; serrer la
tête
et surtout le front; mettre des rideaux devant
s patroiines. - Accoitcheineiii à terme, naturel. A la naissance la
tête
serait restée trois quarts d'heure., 236 CLIN
: les membres et le tronc étaient à l'état de légère flexion, et la
tête
REVUE DE MEDECINE LEGALE. 275 était courbée d
s considérations physiologiques ont démon- tré que la flexion de la
tête
était également un acte volontaire. Restait la
odeur de la salle lui était insupportable : il tenait cette fois la
tête
et le tronc bien droits et parlait très raisonnab
ffection, au dire du malade, aurait débuté par de violents .maux de
tête
, accompagnés de vomissements fréquents, surve-
avail, hébétude, allure enfantine timorée et penaude. rougeur de la
tête
, parole lourde et hésitante; il ne peut que don
philis : puis, délire des persécutions avec plaintes de douleurs de
tête
et de battements de coeur. En janvier 1886, crise
, des battements de coeur, SOCIÉTÉS SAVANTES. 305 des douleurs de
tête
. Plus lai il, tremblement dans les bras et les
Mme L... remarque tout à coup qu'un agent de police la toise de la
tête
aux pieds, et qu'en la regardant, celui-ci touc
'occuper à quoi que ce soit, elle reste assise toute la journée, la
tête
inclinée sur la poitrine, la bouche entr'ouverte,
nt d'une céphalalgie intense qui siégeait surtout au sommet de la
tête
et de douleurs lancinantes à l'épaule droite. La
ités ne pouvait exécuter le moindre mouvement; il ne remuait que la
tête
. La sensibilité à son tour était tout à fait abo-
D'une intensité remarquable, elle siégeait surtout au sommet de la
tête
. Symptômes oculaires. Illusions visuelles. On v
iamètre. La marche était quelquefois chancelante sans paralysie. La
tête
et la nuque étaient quelque peu inclinées en ar
nans), soit à accomplir une série de mouvements involontaires de la
tête
, du tronc ou d'un des mem- bres, etc. (chorées
ment, lentement. Sa physionomie est tout à fait caractéristique; sa
tête
ressemble à celle du Pacha et de Graf..., dont
presque généralisées du cuir chevelu se reformant très rapidement.
Tête
grosse, surtout en arrière ; pariétaux très fuy
rincipale- ment sur la région moyenne de la moitié antérieure de la
tête
; 2° le cuir chevelu est le siège d'une éruptio
tquatre degrés caractérisés par de l'hébétude, des mouvements de la
tête
, des mouvements des yeux, la mobilité apparente
mobilité apparente des objets. Ainsi quand on ferme le circuit, la
tête
se penche ou s'élève du côté où se trouve l'ano
s se tenir debout, à ne plus demeurer assis, à no plus conserver la
tête
droite. Il cessa progres- sivement aussi de par
s'éboula sous ses pieds et il tomba dans le Rhône, où il - resta la
tête
sous l'eau quelques minutes, les jambes prises so
qu'il prend et sa démarche. Il s'avance le dos légèrement voûté, la
tête
inclinée sur l'épaule gauche (action de sternom
che dans l'intérieur de la paume de la main. Cette position de la
tête
, qui est très accentuée même au repos com- plet
ce qui tient surtout à la position dans laquelle le malade tient sa
tête
, qu'il penche de côté, en même temps qu'il soulèv
ille élevée, d'apparence robuste. Lorsqu'il est debout, il tient sa
tête
fortement penchée en avant et un peu inclinée à
complètes et des déformations très prononcées. 1 Aux doigts, les
têtes
phalangiennes sont notablement hyper- trophiées
s, le système musculaire paraissait en voie de régénération, et les
têtes
osseuses avaient certainement un peu diminué de
ment des mouvements et de la marche, de la diminution de volume des
têtes
osseuses et de l'amélioration de l'atrophie mus-
ntinuelle et il suffit de poser les mains sur ses épaules ou sur sa
tête
pour percevoir les oscillations rapides et vert
que nous avons toujours choisis sont les suivants : le sommet de la
tête
; au membre supérieur, la face dorsale du métacarp
omme, quelquefois seule- ment des jambes et des pieds de bouc. Leur
tête
est plus humaine que celle des satyres et souve
pas de ce' qu'il a fait quelque temps auparavant. Il souffre de la
tête
d'une façon il peu près. constante, Il a, dit-i
d'une céphalée constrictive, s'étendant à tout le crâne. Ce mal de
tête
ne le quittait guère, et il y avait des jours o
inférieurs se changer en paralysie. « Il avait cette idée-1 : ') en
tête
». Tel était l'état du malade lorsqu'il eut sa
es sont précédées, pendant tout ce temps, de vives douleurs dans la
tête
. Elle ne tombe pas par terre, mais reste dans l
s du régiment ont raconté qu'il n'avait déjà plus à cette époque sa
tête
à lui ; il allait à l'exercice, restait immobil
n temps. Mais un jour, des camarades lui ayant jeté de l'eau sur la
tête
en manière de plaisanterie et l'ayant enfermé a
e, il restait assis dans un fauteuil, ne disant absolument rien, la
tête
inclinée, les poings fermés placés sur ses genoux
sortir de son attitude. Lorsqu'il était dehors, il se promenait la
tête
baissée, à grands pas; puis, tout à coup, se me
ntôt dans le ventre, tantôt dans la poitrine, d'autres fois dans la
tête
ou dans les reins. On ne peut guère être rensei
tent toujours dans la position ordinaire de la station assise. La
tête
est ordinairement tournée un peu à gauche et incl
ite d'une façon quelconque, en le pinçant par exemple, il tourne la
tête
, retire le- membre pincé, sourit si l'excitatio
nt pas plus d'une deux séances de début, se moule exactement sur la
tête
du patient, à l'inverse de l'an- cien appareil
cela, était censé devoir s'appliquer indistinctement sur toutes les
têtes
. De cette façon, la tête est maintenue, pendant
'appliquer indistinctement sur toutes les têtes. De cette façon, la
tête
est maintenue, pendant l'opération, dans sa rec
ue un point de comparaison tout à fait applicable à notre malade.
Tête
. - Les mensurations mettent bien en évidence l'al
rminer l'exposé des autres signes rencontrés chez notre sujet. La
tête
penchée en avant repose sur un cou très gros, cou
les très considérables. En général, dans le regard hori- zontal, la
tête
droite, la paupière supérieure ne laisse pas voir
it une apparence d'exophthalmie : on dit que les yeux sortent de la
tête
. En général, il existe en même temps une diminuti
refois la malade était sujette de temps en temps à quelques maux de
tête
, à quelques. névralgies dentaires. Mais depuis, d
difficile et pour y remédier il renverse plus ou moins fortement la
tête
en arrière; Fait remarquable, la paralysie du r
oeil gauche. Immobilité des yeux complète. Obligation de tourner la
tête
pour fixer un objet placé de côté; pas de diplopi
à laquelle de nou- veaux phénomènes survinrent. Des- douleurs de
têtes
apparurent, assez nettement localisées au côté
auche du front et au-dessus de l'oeil du même côté. Les douleurs de
têtes
ne se manifestèrent pas particulière- ment la n
a droite; les mains descendent approximativement au même niveau. La
tête
est dans la rectitude physiologique. L'inclin
, en état de crise et soutenue par sa mère. Les cheveux dénoués, la
tête
est rejetée en arrière, les yeux sont convulsés e
intact. La malade a fait une chute sur la partie postérieure de la
tête
quatre ans auparavant. Deux ans et demi après,
à gauche ensuite; enfin perte de la mobilité des yeux. Douleurs de
tête
. A eu une fois pendant quelques jours de la fai
le facial. Rien du côté des organes des sens. Quelques douleurs de
tête
. Santé bonne. Syphilis douteuse. 1. Rotenstein,
tion de diplopie qui n'a été précédée ni accompagnée d'aucun mal de
tête
. Bientôt s'est établi un strabisme divergent para
immobile, regardant en avant, les yeux « parais- sant sortir de la
tête
». Les mouvements des yeux sont absolument impos-
nnent à leur tour, et bientôt le patient ne peut plus respirer que la
tête
en bas. On pratique la respiration artificielle
ite. . Actuellement le malade commence à se plaindre de douleurs de
tête
et de difficulté de la marche (lourdeur), sympt
▲