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1 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
ché des accoucllementsprénraturés, devait éveiller le soupçon d'une syphilis antécédente ; or, dans l'examen que nous avons
le amyotrophique, la sclérose en plaques, la myélite transverse, la syphilis médullaire, l'hématomyélie. Parmi les affection
Bibliotheca medica, 1893. SYRINGOMYÉLIE AVEC ANESTHÉSIE TOTALE 13 syphilis médullaire. L'autopsie démontra qu'il s'agissait
de l'infection syphilitique. Il nie énergiquement et absolument la syphilis : il n'a jamais eu de chancre, jamais d'alopéci
et intéressant plus particulièrement l'oculo-moteur gauche. 2. La syphilis cérébrale. v 3. Le tabès supérieur. En faveur
'on rencontre en pareil cas. Nous allons voir que l'hypothèse d'une syphilis cérébrale n'estpasplus satisfaisante. La fréque
eut se montrer dans un grand nombre d'étals morbides étrangers à la syphilis elle ne présente aucun des grands caractères de
E j mari, minutieusement interrogé et examiné par nous, nie toute syphilis et,ne présente aucune trace d'une vérole méconn
encore les symptômes oculaires sont contraires il l'hypo- thèse de syphilis cérébrale : une lésion méningée, une infiltration
phtalmoscopique de V... Enfin ce n'est qu'exceptionnellement que la syphilis cérébrale se manifeste par les paralysies partiel
de spécificité n'est pas absolue. Si M.Quinquand trouve 100/100 de syphilis dans l'étiologie du tabes, M. Fournier et notre m
postérieurs. D'après un travail récent inspiré par M.Pitres (2) la syphilis ne saurait être invoquée seule que dans 25 0/0
cte (1). Nous ne croyons pas du reste devoir invoquer chez V... une syphilis héréditaire car elle n'en pré- sente aucun des
l présente des particularités que nous étudierons en détail. Pas de syphilis . Léger alcoolisme. Mais chez ce malade l'attentio
trois ans, qu'il contracta simultané- ment une blennorrhagie et la syphilis ; le chancre, dûment constaté par un médecin et
'extrême rapidité du processus. Sottas, Lamy ont observé des cas de syphilis médullaire rapidement mortelle (3 jours, 19 jours
sont seules accompagnées d'un examen histologique. Le diagnostic de syphilis n'était solidement établi que pour les malades
e qui aboutit à la production d'une tumeur gommeuse, tuberculose et syphilis obéissent à un même processus : la lésion perd
éléments de différenciation (1), nous permettant d'affirmer soit la syphilis , soit la tuberculose; nous n'y voyons, au contrai
ces al- térations sont aujourd'hui regardées comme fonctions de la syphilis et se retrouvent dans notre cas. A ces faits ma
2) L'existence de cellules géantes dans les lésions spécifiques de la syphilis a été ob- servée par plusieurs auteurs (Bizzoze
) ; Lamy les signale également dans les nodules embryonnaires de la syphilis médullaire et Sottas en figure un bel exemple d
donc pas constaté ici la prédomi- nance, l'exclusivisme même de la syphilis veineuse, comme l'a observé Lamy dans plusieurs
ulement que ce syndrome a été plusieurs fois signalé au cours de la syphilis médullaire : telles sont les observations de Fole
lle qu'on la rencontre dans les cas de gliomatose médullaire ? LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE PAR GILLES
Faculté de médecine, Médecin des hôpitaux. Dans ses Leçons sur la Syphilis héréditaire tardive publiées en 1886 (-1) notre
actuellement ». Et celte opinion s'appliquait aussi bien aux cas de syphilis héréditaire congénitale ou précoce, qu'aux cas
nous aurons à revenir, on peut dire, qu'en 1886, la question de la syphilis médullaire héréditaire était à peine posée. Dan
e nos premières connais- sances sur les paralysies spinales dans la syphilis acquise, se rattachent également àlanotion des
Telle mal de Pott syphilitique de Portal (4). (1) A. Fournier. La syphilis héréditaire tardive, in-8c, Paris, 1886. Nous a
hilis hereditaria tarda. Vierleljahl'sch1'i(t (¡il' Dermatologie u. Syphilis , 1878, p. 268 (obs. p. 278, 2, 79). (3) A. Four
u. Syphilis, 1878, p. 268 (obs. p. 278, 2, 79). (3) A. Fournier. La Syphilis héréditaire tardive. Op. cit., p. 522. (4) Port
., p. 522. (4) Portal. Nature et traitement du rachitis, 1797. LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 81 En 1889, S
écrivait encore que si les notions que nous possédions alors sur la syphilis acquise des centres nerveux commençaient à être
lui, une seule observation où la moelle fût uniquement en cause, la syphilis héréditaire paraissant tou- jours envahir l'axe
és comme nombre et comme importance à ceux qui ont eu pour objet la syphilis médullaire acquise, mais encore les faits sont
s semble le seul auteur qui ait tenté une esquisse géné- rale de la syphilis héréditaire de la moelle. Peut-être, dans ces c
personnelles que nous avons recueillies. On peut considérer que la syphilis héréditaire frappe la moelle épinière à trois p
terme ou avant terme, présentant les manifestations cliniques d'une syphilis congénitale de la moelle épinière. Les cas pr
Archiv sur Psychiatrie, Berlin, 1S89, p. 102. (2) VOLI'EIiT. De la syphilis médullaire. Th. Nancy, 30 juillet 1S94. ix G
catégorie. A. Enfants morts-nés avant terme ou à terme, affectés de syphilis héréditaire de la moelle épinière. Les cas de c
ez lesquelles on ne put cons- tater pendant la vie aucune marque de syphilis , ni aucun symptôme mor- bide. Chez l'une d'elle
pèce, on trouva les altérations du foie décrites par Gubler dans la syphilis congé- nitale. l ' « Les cerveaux ne parurent
(1) POTAIN, cité par LANCEIIEAUX. Traité historique et pratique de la syphilis , 2e éd., 1813, p. 431. (2) Kahler et PICK. Be
ésions à celles décrites par Charcot et Gombault (1) dans un cas de syphilis acquise des centres nerveux. Dans leur cas, le
sch (2) a étudié l'anatomie pathologique de la moelle dans 7 cas de syphilis , dont 4 se rapportant à des enfants atteints de s
s 7 cas de syphilis, dont 4 se rapportant à des enfants atteints de syphilis -hé- réditaire. L'enfant le plus âgé avait, au
. 143. (2) A. Jarisch. Ueber den Ruckenmarksbefund in 7 Fllllen vbn Syphilis . Vierteljalar- schrift f. Dermatologie u. Syphi
t, sera étudié ultérieurement car il a trait à un enfant atteint de syphilis héréditaire précoce. En résumé, il s'agit, da
élite avec altérations vasculaires. Les faits les plus récents de syphilis congénitale de la moelle appartien- nent à Gang
e la moelle appartien- nent à Gangitano ('1 ) qui a publié 4 cas de syphilis médullaire. Les trois derniers se rapportent se
de syphilis médullaire. Les trois derniers se rapportent seuls à la syphilis héréditaire. Le premier a trait à un enfant de
nale. Archivio italiano di clinica medica, Milan, 1894, p.448. LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 85 tenu et si
a névroglie. L'auteur résume cette observation ainsi qu'il suit : « syphilis congéni- tale, épaississement dès méninges, end
anglionnaires et des fibres nerveuses ». La deuxième observation de syphilis congénitale (la 3e du mémoire) se rapporte à un
e, dégénération des cellules ganglionnaires ». La 3e observation de syphilis congénitale (la 4° du mémoire) se rapporte au c
pporte au cadavre d'un enfant de quelques jours (8 à 10) suspect de syphilis con- génitale, la mère étant syphilitique. Ca
pas de fibres nerveuses dans les cordons de Goll. Celles-ci com- LA SYPHILIS , HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 87 mencent à
ordons postérieurs et celle des cellules des cornes grises., - La syphilis héréditaire serait donc capable de produire une v
re une véritable méningo-myélite diffuse embryonnaire. C'est à la syphilis aussi qu'il faut vraisemblablement attribuer l'ar
elles résument assez bien l'état actuel de nos connaissances sur la syphilis congénitale de la moelle. La syphilis peut'donc
de nos connaissances sur la syphilis congénitale de la moelle. La syphilis peut'donc frapper la moelle (ou mieux le système
e rapidement, sans qu'on puisse attribuer spécialement la mort à la syphilis médullaire car, presque toujours, sinon toujour
faut. Laissant de côté les vices et arrêts de développement dont la syphilis héréditaire est d'ailleurs coutumière (dents en
uve si souvent chez les foetus ou les enfants qui ont succombé à la syphilis congénitale et dont M. Iludelo (1), chef de cli
. (1) HUDELO. Contribution à l'étude des lésions viscérales dans la syphilis héréditaire . Lésions du foie. Th. Paris, févri
rme et pre- sentant des manifestations cliniques se rapportant à la syphilis congénitale de la moelle. Les faits que nous
omique des lésions tant encéphalo-mé- dullaires que viscérales delà syphilis constitutionnelle. L'affection est encore congé
portant à de jeunes enfants, De la première nous ne dirons rien, la syphilis n'étant pas en cause. La seconde a trait à une
trait à une fillette de 5 ans et mois née d'une mère enta- chée de syphilis . Jusqu'à 3 ans, elle ne peut marcher; à cette épo
y avoir aucun doute dans l'appréciation de ces trois faits. Que la syphilis héréditaire soit en cause, cela ne souffre pas
ilis. Revue mensuelle des maladies de l'enfance, 1887, p. 720. LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 91 qui se rap
disease of the nervous system in patients the subjects of inherited syphilis . Reprinted with slight altérations from the Trans
t mourut de diphtérie. Outre des lésions osseuses attribuables à la syphilis , on trouva, en divers points de l'épaisseur des p
racines posté- rieures qui paraissent grisâtres. En résumé, si la syphilis congénitale héréditaire ne semble pas donner na
uvent être indivi- duellement envahis (simultanément ou non) par la syphilis héréditaire. L'exppsé des faits que nous avons
Batignolles, Paris. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE LA. SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE PAR GILLES
nous efforcions de mettre en évidence l'influence étiologique de la syphilis héréditaire dans le développement de la maladie d
ton. Un cas de maladie de Little. Gaz. des hôpitaux, 89,p. 1416. LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 111 iiiiale i
a paralysie spastique décrite par Charcot et par Erb au cours de la syphilis acquise des adultes. Nous pensons donc, en nous
nerveuse, santé débile. S... affirme n'avoir jamais contracté la syphilis ; il a eu une blennorrhagie. En 1890, maux de tê
M<)'e.Asymétrique, Il manque l'incisive latérale droite et la LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE . ' 113 média
abdominaux paraissent sains. ` ? ° catégorie. Cas dans lesquels la syphilis héréditaire affecte la moelle épinière, non plu
les pre- naières années qui suivent la naissance.- Cas précoces de syphilis héréditaire de la moelle. Dans les faits que.
e, soit méningé..De plus, il se joint probablement (surtout dans la syphilis tardive) à l'artérite gom- meuse proprement dit
e gom- meuse proprement dite, l'artério et la phlébo-sclérose de la syphilis adulte si difficiles à différencier anatomiquem
scléroses des vaisseaux observées dans les infections autres que la syphilis . Le cycle anatomique est alors complet. Le cham
-médul- laire,indice de la généralisation initiale du processus, la syphilis hérédi- taire précoce, et surtout tardive, ne d
ement, dans ses for- mes cliniques, des expressions si Variées delà syphilis acquise. Un jour viendra certainement où l'on p
s mais, pour le moment, clans ce sujet encore à peine ébauché de la syphilis hé- réditaire précoce (ou tardive) nous préféro
ions, nous réservant de comparer les cas entre eux et surtout de LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 115 tirer des
res,le 12 novem- bre 1869, l'observation d'un enfant chez lequel la syphilis héréditaire fit son apparition après la vaccina
liti- que n'était pas douteuse. Le père avait en effet contracté la syphilis . La mère très probablement été infectée concept
ffections of the nervous system. Cases of paralysis associated with syphilis . The médical Times and Gazette, 1861, vol. II,
3rorea : Zur Kentniss der Motiiitittstoerungen bei der hereditoeren Syphilis , Deut. medic. Yl'ochens., n" 32, 1893, et une rép
Arbeiten. Festschrift Ile1'lln E. Ilenoch. Berlin, 1890, p. 31. LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 117 drait pas
ervation de Siemerling (1), un des auteurs qui a le mieux étudié la syphilis héréditaire de la moelle, est des plus intéressan
it été prise et d'une façon prédominante. Dans son ouvrage sur la syphilis héréditaire tardive, M. le professeur Fournier
v. f. Psychiatrie, Bd. XXVI, p. 649, 189 : i. ' (2) A. Fournier. La syphilis héréditaire tardive, op. cit., p. 24. LA SYPHIL
) A. Fournier. La syphilis héréditaire tardive, op. cit., p. 24. LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 119 « Vous n'
stem. Neurolog. Centralblatt, 1894, p. 470 (article original). LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE l21 ' Les den
approchent du type de paraplégie spasmodique décrit par Erb dans la syphilis acquise des adultes. L'objection qu'il se pose
raplégie, qui pourrait bien d'ailleurs n'être qu'apparente, nous LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 123 adopterio
araplégie spasmodique congénitale. Cette forme parait appartenir la syphilis héréditaire. Elle se caractérise par sa complèt
approcher de la paralysie syphilitique spasmodique observée dans la syphilis acquise des adultes, si elle n'en est pas la repr
la lésion cérébrale intervient presque toujours, il existe, dans la syphilis héréditaire, une série de transitions, de faits d
r dès l'àge de 6 ans. Les causes devaient en être cherchées dans la syphilis du père qui avait infecté la mère. · Enfin M. A
ivant à 32 ans, ne laissent aucun doute sur la réalité de l'hérédo- syphilis . Etant donnée la présence d'une cyphose dorsale
de la guerre, et l'on n'eut pas le temps de s'occuper d'elle. LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 125 Elle est
véolaire et du voile du palais. Elle /orme une élevure allongée, LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 127 une saill
que est rèstée statiounaire.' . 3e catégorie. -Cas dans lesquels la syphilis héréditaire affecte la moelle épi- nière dans l
e affecte la moelle épi- nière dans l'adolescence ou dans Page mûr. Syphilis médullaire héré- ditaire tardive. 1 , Les cas
'iritis. Dents présentant les déforma- tions caractéristiques de la syphilis héréditaire. Le malade ne peut se tenir, ni deb
e, n'ayant pas présenté d'éruptions` Elle dit qu'elle n'a pas eu la syphilis , et ne pense pas que son mari. (décédé) l'ait e
The Médical Times and Gazette, 1861, t. II, p. 83. Op. cit. ' LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 129 / .. - .
ès amélioré. Les auteurs pensent que ce cas doit être rapporté à la syphilis hérédi- taire qui a produit « une inflammation
t marcher », Ces accidents paraissaient nettement attribuables à la syphilis , mais on pour- rait rapporter peut-être à des a
usqu'en juillet 1891. (1) Gilles de la TOURETTC. Note sur un cas de syphilis héréditaire tardive bulbo- médullaire. Soc. de
in Annales de dermatologie et de syphiligraphie, 1892, p. 845. LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 131 Vers le 1
à la suite de l'admi- nistration de l'iodure que nous pensâmes à la syphilis . La syphilis acquise étant hors de cause, il fa
l'admi- nistration de l'iodure que nous pensâmes à la syphilis. La syphilis acquise étant hors de cause, il fallut penser a
lis. La syphilis acquise étant hors de cause, il fallut penser a la syphilis héréditaire. Or il n'existait chez Marius R...
oulut bien nous aider de ses conseils, jugea caractéristiques de la syphilis héréditaire. En haut : il existe un sillon prof
eurs, due il des manifes- tations qui doivent être rapportées il la syphilis héréditaire tardive. « Certaines de ces lésions
la flexion forcée de la tête sur le thorax a déterminé chez lui LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 133 un sentim
s bien portante. Le n° 5 a présenté lui aussi des manifestations de syphilis héréditaire. Il a été atteint d'une névrite rét
omalie de développement. Evidemment, dans le cas de Marius R..., la syphilis n'a pas été exclusi- ' vement médullairepuisqu'
vation qui va suivre est encore un exemple de la localisation de la syphilis héréditaire sur la base du cerveau, le bulbeêt la
n suffit à les expliquer. Dans ce cas, comme clans le précédent, la syphilis héréditaire nous paraît indéniable : polyléthal
e résultats satisfaisants. (1) ViGNFs. Névrite rétro-bulbaire par syphilis héréditaire tardive. Journal de cli- nique et d
cli- nique et de thérapeutique infantile, 17 mai 1894, p. 431. LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 135 Ons. fil
n note une asymétrie de la face toutefois peu marquée ; la bosse LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE . 137 frontal
exista une paralysie transitoire des sphincters. 1 On pensa à la syphilis acquise, mais en présence de certains stigmates
de la luette et de l'épiglotte, cicatrices du cou, on conclut à la syphilis héréditaire. Le traitement anli- syphilitique d
lité où nous avons été de consulter le travail original (G.-T.). LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 139 Là encore
sont intéressants à des degrés divers. ' Le premier montre que la syphilis héréditaire tardive peut, elle aussi, réaliser
ous avons pour notre part (1) proposé d'appeler forme commune de la syphilis médullaire tant sa fréquence est grande par rap
particulièrement, une trépidation épileptoïde très marquée. Pas LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 141 de troubl
ation opiniâtre. La malade ayant présenté des signes indéniables de syphilis , tels qu'une gomme du frontal, il est légitime
mènes médullaires observés. On pourrait penser qu'il s'agit là de syphilis acquise. La malade, en effet, dit avoir été soi
, en bas-âge), les lésions dentaires, n'hésita pas à attribuer à la syphilis héréditaire-et non à la vérole acquise, les acci-
litique commune. Dans le fait qui va suivre, la manifestation de la syphilis héréditaire est encore exclusivement médullaire
elle n'a pas conscience de l'émission de l'urine, bien que par- LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 143 fois les
autrefois pris de l'iodure de potassium, mais niant cependant toute syphilis , nous pensons néanmoins devoir attribuer à cette
s graves ou convulsives de l'enfance, nous pensons immédiatement la syphilis héréditaire, opinion que 144 NOUVELLE ICONOGRAP
semelle. De temps en temps cependanl,il existe un peu d'engour- LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 145 dissemenl
l'honneur de nous demander notre avis sur ce cas particulier, à la syphilis acquise. Nous nous basions sur ce fait que le m
sur la nature de l'affection ; il s'agissait incontestable- ment de syphilis . Des renseignements ultérieurs, recueillis par
eurs, recueillis par le D'' Baudier,nous ayant permis d'éliminer la syphilis acquise, nous cherchâmes les stigmates de la sy
d'éliminer la syphilis acquise, nous cherchâmes les stigmates de la syphilis héréditaire et nous découvrîmes alors la lésion d
nous avons dit fréquemment au cours de ce travail, à savoir que la syphilis héréditaire semble presque toujours louchera la
ir étudié les localisations médullaires imputables directement à la syphilis héréditaire, il nous sera permis de dire quelques
lte question, encore si controversée, au moins en ce qui regarde la syphilis acquise, nous voulons simplement publier un fai
traitement par l'immobilisation et les pointes de feu ne donna que SYPHILIS HÉRÉDITAIRE ET TABES Arthropathies des hanches,
anches, des genoux et des pieds. ? BATTAILLE ET Cie Éditeurs - LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 149 peu de ré
ns, il sembla bien, malgré la polyléthalité, qu'il n'existât pas de syphilis . Nous pourrions citer d'autres observations de
lis. Nous pourrions citer d'autres observations de môme ordre où la syphilis paraissait également faire défaut. Aussi ne nou
cerons-nous pas plus loin sur ce terrain brûlant des rapports de la syphilis héréditaire (ou ac- (1) A. Fournier. Tabes d'or
er les antécédents héréditaires des ma- lades au point de vue de la syphilis , tout comme aujourd'hui chacun de nous interrog
e jeter un regard en arrière et de résumer nos connaissances sur la syphilis héréditaire delà moelle épinière, question qui,
ture médicale et celles que nous avons rapportées en font foi. La syphilis peut frapper la moelle à trois périodes de l'exis
âge mûr ; elle est dite congénitale, précoce ou tardive. Lorsque la syphilis frappe l'enfant avant sa naissance, l'accouchemen
moelle, sans parler des vices et arrêts de développements, dont la syphilis héréditaire est d'ailleurs coutumière (dents en
iés, à la vérité difficiles à mettre en oeuvre. (1) A. Fournier. La syphilis héréditaire tardive, op. cit., p. 529. LA SYPHI
A. Fournier. La syphilis héréditaire tardive, op. cit., p. 529. LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 151 Si l'enfa
été touché par le processus au début de son évolution. Lorsque la syphilis porte son action sur la moelle dans les années qu
eut siéger uniquement sur la moelle lombo-sacrée. Dans ces cas de syphilis précoce ou tardive les types cliniques devien-
e les types cliniques devien- nent beaucoup plus variés que dans la syphilis congénitale. A mesure en effet que le sujet ava
e gommeuse propre- ment dite, l'artério et la phlébo-sclérose de la syphilis adulte si difficiles à différencier anatomiquem
s scléroses vasculaires observées dans les infections autres que la syphilis . Le cycle anatomique est alors com- plet. Le ch
généralisation initiale du processus, dans ses formes cliniques la syphilis héréditaire précoce et surtout tardive ne diffère
dive ne diffère pas sensi- blement des expressions si variées de la syphilis acquise. Telles sont les conclusions que nous n
vers l'âge de trois ans et qui relevèrent, à n'en pas douter, d'une syphilis vac- cinale. D',une vingtaine d'enfants, inocul
susceptibles d'en produire : variétés pathogéniques, ostéites de la syphilis infantile héréditaire [Taylor (1), Busey (2), B
in(4), Stirling (5)) ou acquise (notre observation), ostéites de la syphilis adulte ordinaire [Taylor, (1) Taylor. On dactyl
dents héréditaires. Parents bien portants. Pas d'alcoolisme. Pas de syphilis , pas de névropathie chez les ascendants. Trois
sions encore pendantes sur l'origine du na- nisme et du rachitisme ( syphilis héréditaire, athrepsie, scrofule, etc.), reteno
té possible e de relever chez elle le moindre indice et stigmate de syphilis ; elle a eu 12 enfants à terme : quatre vivent
du Barnum. 264 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE En fait de syphilis , nous ne constatons aucun stigmate précis. Mon co
lln i quell1eJl t 'parce- qu'on"" 0"511 hahi tué à diagnostiquer la syphilis chez les dégénérés physiques des centres nerveux.
i comme le tabès, la [-paralysie générale progressive, comptent. la syphilis comme élément étio- 1, logique important mais n
ne résultante, niais dans le cas présent les facteurs .'habituels : syphilis ,' intoxication, hérédité arthritique, nénopathiqu
i 1 DE L'nÉlIfARTIIROSE TABÉTIQUE 269 rapport avec le tabès ou la syphilis ou des affections surajoutées (hystérie) et vis
ralysies. D'autres, comme Minor, incriminent l'action directe de la syphilis . Quant au siège anatomique, mêmes divergences d
TOIRE DE M. LE PROFESSEUR RAYMOND. LOCALISATIONS SPINALES DE LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE PAR G. GASNE. Interne de la cli
de la Salpêtrière a publié celte année même(l), les observations de syphilis héréditaire de la moelle épi- nière parues jusq
cru d'autre part que parmi les nombreux foetus qui succombent à la syphilis congénitale j'en trouverais quelques-uns présenta
ai trouvé des lésions profondes et leur analogie, avec celles de la syphilis acquise confirmait encore qu'il s'agissait bien
ns que je veux publier ici après avoir rapporté les quelques cas de syphilis hérédi- tairede la moelle dont nous possédons l
279 Les organes qui paraissent le plus fréquemment, frappés par la syphilis héréditaire sont les méninges et les vaisseaux,
s cornes grises par le poison syphilitique, signalée à propos de la syphilis héréditaire par Jarisch pour la moelle et d'aut
ste, les lésions ne sont pas toujours identiques il elles-mêmes. La syphilis héréditaire n'est pas d'emblée tertiaire comme on
ifférence essentielle entre les lésions des diverses périodes de la syphilis . Mais, chez le foetus comme chez l'adulte les l
duisent dans la vie intra-utérine comme elles se conduisent dans la syphilis acquise, et nous pouvons à la naissance les sur
s nobles qu'elles ont détruits. Ces lésions deutét'opathiques de la syphilis sont elles-mêmes extrêmement variables, elles c
ainsi une double origine. , Les éléments si caractéristiques de la syphilis , bien qu'ils ne lui appar- tiennent pas en prop
tion avec stase leucocylique lo processus tout à fait initial de la syphilis , nous avons retrouvé celte congestion en effet
; il y a du reste longlemps que l'on sait le rôle étiologique de la syphilis héréditaire dans la fameuse di a thèse hémorrhagi
essaignes un certain nombre de cas où l'hémorrhagie due à l'hérédo- syphilis siégeait dans les centres nerveux, malheureusemen
ui signale l'hémorrhagie dans le canal médul- laire, dans un cas de syphilis congénitale. Analysons maintenant, avant d'expo
jours, on ne put contater chez elles pendant la vie aucune trace de syphilis , ni aucun symptôme morbide, Chez l'une d'elles
ux présentèrent les altérations du foie décrites par Gubler dans la syphilis congénitale. « Les cerveaux ne parurent pas alt
des tubes nerveux très nets. (1) Cité par LANCEHEAUX, Traité de la syphilis , 2A cl., 481, p. 43. LOCALISATIONS SPINALES DE
es lésions à celles décrites par Charcot et Gombault dans un cas de syphilis acquise des centres nerveux. Dans leur cas le p
'anatomie pathologique de la moelle de quatre en- fants atteints de syphilis héréditaire dont le plus âgé avait au moment de
e cinq observations de myélite spécifique dont trois ont trait à la syphilis héréditaire. « Le premier cas concerne un enfan
ntral nervous syslem. Brain, 1884 oct., p.4.0G : (2) osscsss, Ueber syphilis der Riickenmarks und seine ? , Haute. Charité Ann
nie, pleurésie. » b 0 t Un des auteurs qui ont le mieux étudié la syphilis héréditaire cérébro- spinale est Siemerling (1)
e aux lésions cérébrales. Gangitano (1) rapporte trois autopsies de syphilis héréditaire ayant tou- ché la moelle : La pre
fida dont un certain nombre, on le sait, peuvent se rapportera à la syphilis héréditaire. « Il existe, en effet, dans la rég
njonctifs et les amas nucléaires décrits par Heubner dans le cas de syphilis cérébro-spinale. Jamais je n'ai découvert de seco
s spinales que je soup- çonnais, en raisonnant par analogie avec la syphilis acquise, devoir être le siège maximum des lésio
avaient de cinq à six mois et demi, cinq huit, mois environ. Sur la syphilis des parents, à part l'existence ou l'absence, nou
ution, lésions secondaires presque toujours. Cependant cinq fois la syphilis maternelle datait déplus de deux ans de trois à
avons examinés quatre seulement étaient nés de parents indemnes de syphilis , des vingt-six autres, quatre avaient des lésio
uscles comme dans les organes viscéraux que nous avons examinés. La syphilis congénitale 300 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SAL
ue nous considérons comme de règle générale dans le processus de la syphilis héréditaire de la moelle épinière. Et en effet
ne sont pas sans importance, signalées chez l'adulte à propos de la syphilis acquise elles prennent un caractère très spécia
pécial puisque on les retrouve également chez l'individu atteint de syphilis congénitale (Siemerling, Boeltiger). Lorsque le
udai depuis long- temps déjà signalé par les auteurs à propos de la syphilis acquise et que nous avons noté plusieurs fois;
pas donné signe de vie, bien (1) HunELO, Lésions viscérales dans la syphilis héréditaire, lésions du foie. Th. Paris, 1890.
éréditaire, lésions du foie. Th. Paris, 1890. (2) SCIlW.\B, De la syphilis du placenta. Th. Paris, 1896. lx 20 306 NOUVE
inctes, coupées en travers elles tran- LOCALISATIONS spinales DE la SYPHILIS HÉRÉDITAIRE 313 chent par leur coloration plus
ion absolument anormale de leucocytes. LOCALISATIONS spinales DE la SYPHILIS HÉRÉDITAIRE 315 Les vaisseaux des racines sont
rachidien il n'y a rien qui rappelle les lésions habituelles de la syphilis même sur les vaisseaux, il faut se rappeler toute
MOND. HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE. LOCALISATIONS SPINALES DE la SYPHILIS HÉRÉDITAIRE PAR G. GASNE, Interne de la Cli
t de la circonférence, petits nodules très caracté- ristiques de la syphilis . Cette infiltration reste limitée aux tuniques le
rmée en un bloc fibreux imperméable. localisations spinales DE la syphilis héréditaire 357 Les racines sont également ento
se résu- mer d'unmot,elles sont identiques, celtes produites par la syphilis acquise. La moelle, le plus souvent atteinte da
ùr- gens, c'est surtout la région cervicale qui est atteinte par la syphilis médullaire héréditaire. Ce n'est pas tout, et
ec dissociation syrzrxgomyélique, par V. HANOT et H. Meunier, 49. Syphilis héréditaire de la m oe lle cp iraière, par GILL
re de la m oe lle cp iraière, par GILLES DE la TODRETTE, 80, 109. Syphilis héréditaire (Localisations spi- nales de la), p
ans arthropathie, 189. GASNE (G.). Localisations spinales de la syphilis héréditaire, 278, 352. Gilles DE la Tourette. L
s de la syphilis héréditaire, 278, 352. Gilles DE la Tourette. La syphilis héré- ditaire de la moelle épinière, 80. Gras
chez les tabétiques, XXXIII, XXXIV. Localisations spinales de la syphilis hé- réditaire, XLIV, XLV, XLI et XLVII. Luxat
VI. Pied plat dans la blennorrhagie, IV. Purpura borique, XXXV. Syphilis héréditaire et tabès (arthropathies des hanches
2 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
UE NERVEUSE. ESSAI DE DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL \ e , el4l ENTRE LA SYPHILIS ARTÉRIELLE, LA SYPHILIS MÉNINGÉE-' ET LA SYPHIL
DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL \ e , el4l ENTRE LA SYPHILIS ARTÉRIELLE, LA SYPHILIS MÉNINGÉE-' ET LA SYPHILIS GOMMEUSE DE L'ENCEPHA
, el4l ENTRE LA SYPHILIS ARTÉRIELLE, LA SYPHILIS MÉNINGÉE-' ET LA SYPHILIS GOMMEUSE DE L'ENCEPHALE; ? " - ' PAII ns DOCTEU
ET T JO.\XNY ROUX, E\.-l11lcrnc des hôpitaux , de Lyon. ' La syphilis peut frapper l'encéphale de façons très di- ver
e, t. V. " 1 2 CLINIQUE NERVEUSE. La richesse symptomatique de la syphilis cérébrale est très grande; on s'est ingénié à l
ces types cliniques serait impossible : chacun des symptômes de la syphilis cérébrale se rencontrant indifféremment, quelle
quelle que soit la nature de la lésion (gomme, lésions méningées, syphilis artérielle, etc.). « Quels que soient, dit Mauria
a n'a pas seulement une impor- tance théorique : le pronostic de la syphilis méningée est différent de celui de la syphilis
: le pronostic de la syphilis méningée est différent de celui de la syphilis artérielle, et surtout de la gomme intra-cérébr
tion, justifiée pour une gomme, serait parfaitement inutile dans la syphilis des artères. Sans doute ce diagnostic est extrê
Nous avons pu crbserver longuement et minutieusement trois cas de syphilis cérébrale dans' lesquels la vérification nécrop
érentes et assez pures gomme intra-cérébrale dans le pre- mier cas, syphilis méningée dans le second, syphilis arté- rielle
-cérébrale dans le pre- mier cas, syphilis méningée dans le second, syphilis arté- rielle dans le troisième. C'est avec ces
trois variétés de lésions syphilitiques -de l'encéphale. Mauriac. Syphilis tertiaire et syphilis héréditaire, p. 862 DIAGN
ons syphilitiques -de l'encéphale. Mauriac. Syphilis tertiaire et syphilis héréditaire, p. 862 DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE
iaire et syphilis héréditaire, p. 862 DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS . : 1 CHAPITRE PREMIER De la syphilis artériel
IAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS. : 1 CHAPITRE PREMIER De la syphilis artérielle. De toutes les formes de syphilis cé
APITRE PREMIER De la syphilis artérielle. De toutes les formes de syphilis cérébrale, celle qui frappe les artères est cer
ez riche à cet égard, et nous lui ferons de nombreux emprunts. La syphilis artérielle ne possède cependant aucun symp tôme
qu'elle présente peuvent aussi se montrer dans les autres formes de syphilis cérébrale, et réciproquement. L'édification d'u
se de chacun des symptômes et des caractères qu'il présente dans la syphilis artérielle ; 2° sur l'évolution de ces symptôme
aussi l'artério-sclérose vulgaire, dans l'étiologie de laquelle la syphilis joue un rôle banal. 1. Caractères généraux et p
banal. 1. Caractères généraux et particuliers des symptômes de la syphilis artérielle de l'encéphale. Le caractère le plus
l'encéphale. Le caractère le plus général est le suivant : dans la syphilis des artères cérébrales comme dans presque toute
évrismes et de ruptures artérielles que nous étudierons 'à part, la syphilis des artères agit presque uniquement en ischémia
et paraissant en pleine santé, sont presque caractéristiques de la syphilis des artères. - Rarement on observe des paraly
ces phénomènes irritatifs devront faire songer à une autre forme de syphilis , surtout à a syphilis méningée, ou bien à des m
s devront faire songer à une autre forme de syphilis, surtout à a syphilis méningée, ou bien à des manifestations médul- l
ous rapportons plus loin. , L'épilepsie partielle se voit dans la syphilis des artères comme dans les autres formes; mais
décou- vrir une cause, tout au moins occasionnelle, autre que la syphilis .- Cette cause secondaire est habituellement une
n rénale. comme dans le cas rapporté plus loin. L'épilepsie de la syphilis artérielle semble donc relever de la combinaiso
dant elle fait défaut beaucoup plus souvent que dans la gomme ou la syphilis méningée. En outre elle est plus diffuse, affec
on ni par la percussion du crâne. · DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS . S La céphalalgie, dit Thibierge', doit faire s
es objectifs de la sensibilité n'appartiennent pas au tableau de la syphilis artérielle ; à part, bien entendu, le cas excep
staungs-papille et la névrite optique qui sont habituelles dans la syphilis méningée et gommeuse, sont rares dans la syphil
bituelles dans la syphilis méningée et gommeuse, sont rares dans la syphilis des artères. Cependant elles ont été signalées
quefois (UtholT); leur absence est une pré- somption en faveurde la syphilis artérielle, mais leur présence ne doit pas fair
r un anévrisme lorsque les symptômes concomitants seront ceux de la syphilis artérielle plutôt que de la syphilis méningée.
concomitants seront ceux de la syphilis artérielle plutôt que de la syphilis méningée. Il n'y a jamais d'hallucinations chez
tions. Les troubles du langage ont une place considérable dans la syphilis artérielle. Toutes les modalités d'aphasie peuven
es plus précis. II. Evolution et groupements symptomatiques de la syphilis artérielle de l'encéphale. - On peut distinguer d
érielle de l'encéphale. - On peut distinguer dans l'évolution de la syphilis des artères cérébrales, deux périodes assez dis
. hebdoma- claire, 1892, p. 579). 1 DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS . -1 exercice modéré, elle suffit à sa tâche : v
ictus épilep- tiforme. Il est rare, dans la période de début de la syphilis artérielle, que l'on ne trouve pas l'une de ces
rme a été magistralement décrite par Fournier dans son traité de la syphilis cérébrale. D'autres fois, mais plus rarement, o
Leçons sur l'aphasie syphil. (Gaz. hebd., 1877, n° 6). Traité de la syphilis , 1800. DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS.
, n° 6). Traité de la syphilis, 1800. DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS . 9 intellectuel le fatigue, il comprend moins f
ie de la période de début, nous dirons qu'on a voulu rattacher à la syphilis cérébrale certains cas de migraine ophtalmique;
ne sommes pas encore bien fixés sur sa valeur diagnostique entre la syphilis artérielle et la syphilis ménin- gée ; nous y r
fixés sur sa valeur diagnostique entre la syphilis artérielle et la syphilis ménin- gée ; nous y reviendrons à propos de cet
e d'autres causes, d'oblitération vasculaire. Le diagnostic de la syphilis une fois posé, l'absence de tout phénomène irrita
rébral avec toutes ses localisations peut reconnaître pour cause la syphilis des artères. Nous dirons la môme chose de l'hém
offre pas de symptômes spéciaux lorsqu'elle reconnaît pour cause la syphilis . Une seule forme symptomatique mérite une descr
ose sont assez fréquentes. Letulle 2 a rapporté récemment un cas de syphilis artérielle par thrombose de la carotide interne
tulle. Presse médicale, 1896, p. 605. DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS . '11 sont pas exceptionnels (Spillmann, Lancera
ents plus graves qui emportent le malade. Lés cas bien connus où la syphilis cérébrale prend le masque de la paralysie génér
que de la paralysie générale ne nous ont pas paru se rattacher à la syphilis des artères plutôt qu'aux autres formes; le plu
ois servir à distinguer la forme artérielle des autres variétés de [ syphilis cérébrale. Nous avons cru bon de les réunir dan
tilement à un tableau analogue que nous donnerons plus loin pour la syphilis méningée. DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILI
plus loin pour la syphilis méningée. DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS . 13 14 ? CLINIQUE NERVEUSE. ' · absolument in
nature suspecte. , Son amant interrogé confirme le diagnostic de syphilis . Elle n'a jamais subi aucun traitement.' . Pa
fficulté à trouver ses mots, elle les DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS . 15 prononce difficilement, mais ne les estropi
fent en outre des dilatations monili- DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS . 17 formes. Autour de ces dilatations anévrisma
ilité à la tempé- rature. Cette dissociation a été signalée dans la syphilis de la moelle par Brissaud ', Oppenheim 2, Schle
y est revenu récemment et la considère comme très fréquente dans la syphilis spinale (Progrès mé- dical, 1897, p. 34). La
misphère opposé (il admet toujours la DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS . 19 nous forçait à admettre une lésion siégeant
s cas analogues ne sont pas exceptionnels. UhtholT', sur 150 cas de syphilis cérébrale a relevé 26 fois la paralysie de la s
pour les voies optiques. ' ' Uhthoff. Urger die Loehmung bei der Syphilis des Cen/mlne" vensyslems vorkommenden, Augenslo
(De Ch. Vallon.) . ' Rien de particulier dans ses antécédents. Ni syphilis ni alcool. C'est un homme de taille moyenne. Gr
t-elle, reçu une gifle de son ami qui lui a déboité quatre dents ». Syphilis ? Réflexion. Dès le début de la paralysie génér
contracté des habitudes alcooliques. 11 y est resté dix-huit mois. Syphilis ? La maladie actuelle date de 1895. Le malade f
oint, elle mange avec voracité. M. Sollier attribue la maladie à la syphilis avouée de son père et aussi à l'hérédité cérébr
a observé un jeune paralytique général de vingt ans chez lequel la syphilis ne pouvait être incriminée, mais dont l'hérédit
aussi observé un cas de paralysie générale chez une jeune fille. La syphilis du père n'était pas douteuse, mais elle ne se t
IE CLINIQUE NERVEUSE. ESSAI DE DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL ENTRE LA SYPHILIS ARTÉRIELLE, LA SYPHILIS MÉNINGÉE ET LA SYPHILIS
ESSAI DE DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL ENTRE LA SYPHILIS ARTÉRIELLE, LA SYPHILIS MÉNINGÉE ET LA SYPHILIS GOMMEUSE DE L'ENCÉPHALE
ÉRENTIEL ENTRE LA SYPHILIS ARTÉRIELLE, LA SYPHILIS MÉNINGÉE ET LA SYPHILIS GOMMEUSE DE L'ENCÉPHALE' ; -, PAR LES DOCTEURS
CHAPITRE II , , , , De la méningite syphilitique cérébrale. La syphilis peut porter son action sur les méninges de plu-
de coté la pachyméningite hémorrhagique, dont la cause peut être la syphilis , mais dont la symptomatologie, assez tranchée,
re, permettant de les distinguer quelquefois des autres formes de syphilis cérébrale. § 1. Caractères généraux DES symptôm
syphilis cérébrale. § 1. Caractères généraux DES symptômes DE la syphilis méningée. Ici, c'est l'inverse de ce qui se pas
yphilis méningée. Ici, c'est l'inverse de ce qui se passe dans la syphilis artérielle : il y a nettement p·éclominazce cles
urs. L'attaque épileptiforme, qui appartient à toutes les formes de syphilis cérébrale, est parti- culièrement fréquente dan
, dès leur début, de phénomènes spas- DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS . 1 modiques : raideurs musculaires, contracture
alisées, se diffusent à un plus grand nombre de muscles que dans la syphilis artérielle, mais aussi elles sont moins complèt
les de la sensibilité. Ils sont beaucoup plus fréquents que dans la syphilis artérielle. La céphalalgie ne manque à peu près
posée à la fugacité des troubles analogues dus à l'ischémie dans la syphilis artérielle. 100 CLINIQUE NERVEUSE. Ces troubl
des vaisseaux. Plus loin nous opposerons cette neuro-rétinite de la syphilis méningée à la stuungs-papille de la gomme intra
st habituellement moins complète, mais plus permanente, que dans la syphilis artérielle. Le délire est fréquent, et il s'a
tranquillité on trouve que la mémoire DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS . loi est à peu près intacte, qu'il n'y a souven
nt progressif de toutes les facultés, conduisant à la démence de la syphilis artérielle. Ajoutons enfin que la méningite s
on des divers observateurs : c'est l'existence de la fièvre dans la syphilis cérébrale. Depuis les travaux de Four- nier on
a fièvre syphilitique secondaire. Nous pouvons affirmer que dans la syphilis cérébrale on observe assez souvent aussi des él
ous avons pu hésiter pendant plusieurs jours entre le diagnostic de syphilis cérébrale et celui de fièvre typhoïde : le séro
une valeur au point de vue du diagnostic des différentes formes de syphilis cérébrale. Tout ce que nous pouvons dire, c'est
c'est que le mouvement fébrile parait relativement fréquent dans la syphilis méningée, assez rare dans la syphilis artériell
relativement fréquent dans la syphilis méningée, assez rare dans la syphilis artérielle, exceptionnel dans la gomme. § II.
é-· quente que la précédente est rare. On pourrait, comme dans la syphilis artérielle, distinguer deux périodes dans son évo
istinguer deux périodes dans son évo- DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS . 103 lution. Pendant la première les symptômes
vieuue opposée. 104 CLINIQUE NERVEUSE. Observation II. Sommaire : Syphilis probable dans les antécédents. Début par des ic
oite a laissé encore quelques traces. DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS . 105 Pas d'aphasie. Rien d'anormal à l'examen d
ives dans les bras et les jambes, les DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS . 107 reins, la nuque ; ces douleurs ne sont exp
u côté droit. Incontinence d'urine. DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS . 109 G juillet. Les douleurs sont très intenses
M. Z la compétence est bien connue. DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS . l'l'1 '1 [ensilé de laneuro-rétinite, l'agitat
syplti- lis méningée, que l'on comparera utilement à celui de la syphilis artérielle : . 'H 2 - CLINIQUE NERVEUSE. Les
tableau symptomatique. § I. Caractères généraux DES symptômes de la syphilis Goum- MEUSE. - Nous avons vu que la syphilis ar
ux DES symptômes de la syphilis Goum- MEUSE. - Nous avons vu que la syphilis artérielle donnait surtout des symptômes de déf
, qu'au contraire les phé- nomènes irritatifs prédominaient dans la syphilis méningée Dans la syphilis gommeuse ces deux ord
nomènes irritatifs prédominaient dans la syphilis méningée Dans la syphilis gommeuse ces deux ordres de symptômes se trouve
Déjerine. Société de Biologie, 1897. DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS . 113 3 femme atteinte de gomme du lobe frontal
e explication. Nous avons déjà fait ressortir dans le tableau de la syphilis artérielle l'importance des intoxications et au
e des intoxications et auto-intoxications. Nous croyons que dans la syphilis gommeuse c'est encore à elles qu'il faut avoir
ut facilement être extrait en entier, DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS . '1 I ) La cause de ces ramollissements est trè
gnostic des tumeurs gommeuses du cerveau. Nous avons vu que dans la syphilis artérielle, le plus souvent la papille était sa
is artérielle, le plus souvent la papille était saine ; que dans la syphilis méningée on avait soit de l'atrophie simple, so
tlomi- ' Bouveret. Lyon méd., )89C. DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS . 117 nante de l'excès de tension intra-cranienn
s le cas de tumeurs gommeuses, la névrite optique surtout dans la syphilis méningée. Nous avouons cependant qu'il n'y a là
Nous avouons cependant qu'il n'y a là qu'un degré de fréquence, la syphilis méningée pouvant parfaitement produire la stauu
du cerveau est entièrement celle des tumeurs cérébrales. Dans la syphilis artérielle et méningée on pose d'abord le diagn
la syphilis artérielle et méningée on pose d'abord le diagnostic de syphilis cérébrale; ce n'est qu'ensuite et par une analy
re pas toujours au diagnostic de la variété anato- mique. Dans la syphilis gommeuse, au contraire, on pose d'abord le diag
nation avec ouverture des méninges et DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS . 119 découverte d'une gomme. Etat mental partic
a pas eu de fausses couches. Aucun signe pouvant faire songer à la syphilis si ce n'est une chute des cheveux assez prononc
poumons et coeur sains. Pouls = 64. Pas d'albumine. Aucune trace de syphilis ancienne ou actuelle. Traitement : 1° Bioxyde
emmétropie. Vision à 5 mètres = 1/6. DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS . 121 j'oe gauche. Stase papillaire comme dans l
Il y a un très léger degré de parésie DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS . 123 faciale droite. La démarche est légèrement
25. Analyse des phosphates urinaires DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS . 125 qui ne présente aucune adhérence. On Sent
es du diagnostic différentiel entre trois variétés anato- miques de syphilis cérébrale. Nous n'apportons, il est vrai, que t
aîtres de nos jours inclinent à attri- buer comme cause générale la syphilis , déconcerte bien sou- vent encore les clinicien
exceptionnelle chez la femme privilégiée par la fortune ; ` 30 La syphilis est, d'une façon générale, plus grave chez la f
géné- rales porteuses de ces traces indélébiles si manifestes de syphilis grave, et cependant j'ai vu déjà un assez graud n
figurées par des altérations profondes (depuis vingt ans) ; 4° La syphilis étant habituellement plus grave chez la femme q
infime de paralysés généraux ; y a-t-il cependant beaucoup moins de syphilis en Normandie que dans les autres régions ? etc.
si qu'il peut y avoir, suivant les prédisposi- tions spéciales, des syphilis qui aboutissent, comme l'alcoo- lisme et le sat
at d'intoxications du même individu par excès alcooliques, tabac, syphilis , veilles prolongées, fatigues, etc., avec possi
ie générale que des intoxications banales, alcoolisme, nicotinisme, syphilis , etc., mais que l'on peut rencontrer des paraly
t rencontrer des paralysés généraux qui n'ont pas été atteints de syphilis , qui n'ont commis ni excès alcooliques, ni abus
de démence syphilitique; par le Dl Christian. A côté des cas où la syphilis agit non comme agent spécifique direct, niais s
disposé, il se rencontre des folies véritablement syphilitiques. La syphilis agit alors direc- - REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE
e, observations dont le schéma peut se résumer en quelques mots : syphilis du cerveau, ictus initial, lésions localisées (ap
t produit dans le tissu cérébral des destructions irréparables ; la syphilis , en tant que syphilis, a guéri chaque fois et g
cérébral des destructions irréparables ; la syphilis, en tant que syphilis , a guéri chaque fois et guéri définitivement ; l'
les démences syphilitiques ou parasyphilitiques qui relèven t de la syphilis tertiaire sont rares. En dix-huit ans, sur près d
oportion change, si l'on fait rentrer la paralysie générale dans la syphilis cérébrale ! La théorie syphilitique de la par
stian. Les arguments directs de démonstration des rapports entre la syphilis et la paralysie générale se résument en un seul
érale ' ? D'autre part, il est démontré qu'il existe des pays où la syphilis est très répandue, et où cependant la paralysie
il faudrait démontrer, c'est que la paralysie générale dérive de la syphilis , qu'il existe un enchaînement morbide évident,
t de ce travail. Tant que la démonstration ne sera pas faite que la syphilis est l'antécédent nécessaire, obligé, de la para
- paralysie générale syphilitique », une encéphalopathie due à la syphilis et présentant à peu près l'ensemble symptomatique
s processus de reproduction, principalement au point de vue de la syphilis et des tempéraments. Il étudie aussi l'hérédité d
ation chronique, il faut surtout retenir ceux qui dépen- dent de la syphilis ; quand la syphilis n'existe pas, la paralysie gé
faut surtout retenir ceux qui dépen- dent de la syphilis ; quand la syphilis n'existe pas, la paralysie géné- rale peut être
grave, de la neurasthénie. Les neurasthéniques nerveux, chez qui la syphilis est venue renforcer la névropathie, n'ont que l
nts de congestifs ou d'apoplectiques, pré- sentent à la suite de la syphilis une neurasthénie plus cérébrale que nerveuse, s
rvation détaillée. XVII. QUELQUES remarques SUR LE rapport entre la syphilis ET LE TABES ET SUR LE TRAITEMENT DE CETTE DHRNI
Lakaresallikapets lanllingar, novem- bre 1897.) L'influence de la syphilis comme cause prédisposante au tabès paraissant d
s 32 cas, c'est-à-dire 164 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 68 p. 100, une syphilis généralement légère. Dans ces 32 cas, 'i l'exce
e autres par Fournier, qu'un traitement insuffisant ou tardif de la syphilis pré- ~dispose, ainsi qu'aux affections syphilit
ombinée avec des exercices coor- dinatoires. XVIII. SUR un cas DE syphilis cérébrale énergiquement traité avec LE MERCURE,
Les cas de méningo-encéphalite spécifique sont, parmi les cas de syphilis cérébrale, les plus susceptibles de guérison, à l
n. Hésitation de la parole. Inéga- lité pupillaire. » (Magnan.) . Syphilis ? Marié; il n'a jamais eu d'enfant. Trois mois
de l'hémiplégie droite qui ont dis- paru au bout de plusieurs mois. Syphilis ? J... Alphonse est grand, blond, d'un faciès i
des lacunes ; elle ne faisait plus son travail aussi bien. A eu la syphilis en 1890. Actuellement, l'embarras de la parole
avait des cauchemars, des pituites et une dyspepsie tenace. A eu la syphilis à vingt-cinq ans. Les troubles trophiques qu'il
Gâtisme par moments. » (M. Briand.) Elle a eu très probablement la syphilis donnée par son mari. Pas de fausse couche. Cinq
es alcooliques. » La mère est morte après une paralysie de dix ans. Syphilis ? Depuis très longtemps B... Pierre boit un ou
enfantines de richesse et de satisfaction. La mémoire est nulle. Syphilis ? Etait sobre, buvait de l'eau rougie. Anesthésie
gai. La mémoire est très mauvaise. Nous ne savons pas s'il a eu la syphilis . La peau n'est pas anes- thésiée, mais il y a r
e. Très sobre et très rangé, il n'a a jamais eu de dermatose, ni de syphilis . Toute son histoire patholo- gique se borne à u
les tissus. (The alienist and neurologist, oct. 97.) E. B. XXXII. Syphilis DU système nerveux central ; par le 1)' SYDNEY
actuel de nos connaissances sur les différentes formes que revêt la syphilis du système nerveux central. D'.une façon généra
er- veux jouent le rôle de causes prédisposantes ; sur 100 cas de syphilis cérébrale, Carnowsky a trouvé l'alcoolisme dans 4
ndemnes de prédispositions. Parmi les formes les plus fréquentes de syphilis spinale, l'auteur résume la méningite syphiliti
uérisons vraies de 15 à 35 p. 100. Dans la plupart des formes de la syphilis cérébrale, les symp- tômes les plus graves sont
à eux les nouveaux symptômes caractéfistiquesdes diverses formes de syphilis cérébrale dont l'au- teur décrit les trois type
térite syphilitique et les gommes. Sur une statistique de 90 cas de syphilis cérébrale publiée par Fournier, il y eut 14 mor
ra instituer, le mercure étant le meilleur remède de cette forme de syphilis . REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ' 311 Alors qu
LXX. L'automatisme considéré comme une DES MA111PEST.aLIOYS DE la syphilis cérébrale; par le professeur BECHTEREW. Jusqu'à
ifester à titre de phénomène parfaitement indépendant aussi daus la syphilis cérébrale. Il s'agit d'un homme de trente-sept
t la conclusion que l'état du malade était sous la dépendance de la syphilis cérébrale. En faveur de cette supposition parle
mais avant tout l'anamnèse et la présence de signes objectifs de la syphilis sous forme de céphalalgies caractéristiques, etd'
itique à la catégorie de l'automatisme épileptique déterminé par la syphilis , ou faut-il considérer ces cas comme un état mo
comme un état morbide développé indépendamment sur le terrain de la syphilis cérébrale ? M. Bechterew considère cette dernière
personnelle. Les rapports intimes qui existent entre le tabès et la syphilis semblent justifier a priori, l'application au t
pplication au tabès de tous les moyens que nous possédons contre la syphilis elle-même. Laissant de côté les essais, encore
spéciales élaborées dans l'organisme infecté préalablement par la syphilis , et qui sont la cause immédiate présumée de la dé
confondue avec l'idiotie. La plupart des auteurs l'attribuent à la syphilis héréditaire. M. Régis partage cette opinion.
ar la paralysie générale est inconnue dans les pays musulmans où la syphilis est au contraire très répandue. M. BRIA-4D. L
faveur. M. B. Séance du 28 mars 1898.- Présidence DE M. Mueriot. Syphilis el paralysie générale. M. Brunet, répondant à l
s 1889, époque à laquelle il ne croyait pas à une relation entre la syphilis et la paralysie générale. Il craint qu'en plaçant
ytiques généraux à leur début, prouve qu'il faut autre chose que la syphilis pour faire un paralytique général. Muller de
ur faire un paralytique général. Muller de Munich n'a retrouvé la syphilis que 23 fois (17 hommes et 6 femmes) chez 142 pa
e relation de cause à effet. L. M. Sollier a toujours retrouvé la syphilis chez les paralytiques femmes qu'il a eu à obser
ysie générale. Il n'employait que l'hématoxyline comme colorant. La syphilis ne doit pas, selon lui, être invoquée comme cau
sans lui demander sur quels documents il s'appuie pour dire que la syphilis est fréquente chez les musulmans alors que la p
n effet, de dire que la paralysie générale est rare dans les pays à syphilis ; il faudrait démontrer que la paralysie général
démontrer que la paralysie générale existe dans une région où la syphilis est inconnue. Je ne sais pas si la syphilis est s
e dans une région où la syphilis est inconnue. Je ne sais pas si la syphilis est suffisante pour faire un paralytique généra
e chose pour que l'agent virulent produise certaines lésions ? La syphilis ne conduit pas fatalement à la paralysie générale
pétition de principe quand il nous parlait de lésions diffuses de syphilis , et je lui demandais de faire une démonstration q
de lui prouver que la paralysie générale existe dans un pays où la syphilis serait inconnue, mais il oublie de nous dire où
s dans une ile du Pacifique où elle n'avait jamais été observée. La syphilis venait d'y être importée. Quinze ans après on s
l n'a eu aucune autre maladie infectieuse. Il me éner- giquement la syphilis , n'a présenté aucun accident vénérren, aucune m
hagique au cours delà paralysie générale, de l'alcoolisme, ou de la syphilis , le résultat est moins satisfaisant; et M. Wini
affection médullaire. Beaucoup d'auteurs affir- ment même que toute syphilis médullaire débute par une ménin- gite spinale,
ations critiques sur l'étioloflie de la paralysie générale et de la syphilis comme facteur essentiel; par le DrJ. CLERC, élève
i les paralysies générales produites par un véritable con- tage. La syphilis à elle seule, héréditaire ou acquise, peut être l
lésions de la paralysie générale qui, sou- vent, peut être appelée syphilis cérébrale diffuse. n La thérapeutique iodurée e
. Ophtalmoplégie sensitivo-motrice totale avec alrophie optique par syphilis acquise. Prodhon (Eugène-Pierre-Joseph). Des tr
ion. Aspects cliniques de 1' , par Hurd, 311. Automatisme dans la syphilis céré- brale, par de Bechterew, 404. Bibliogra
aTegeau, Charpentier, Ritti, Toulouse, 415. Ëtio)ogede)a et de la syphilis comme facteur essentiel, par Clerc, 508. Pein
catedu,parJacobso)in. 222. - et corps thyroïde, par Moral, 481. Syphilis de l'encéphale : Diagnostic dtfftienHei.par J.
e géné- rale, par Macdonald et D,,tvidson, 147. Rapports entre la syphilis et le-, par Homen, 163. Symptômes précoces du
3 (1918) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 28] : iconographie médicale et artistique
pensons qu'il s'agit dans ces cas d'un stigmate chondro- osseux de syphilis héréditaire, et non d'un trouble trophique pouvan
gative, mais on sait combien elle manque fréquemment au cours de la syphilis héréditaire. Le traitement médical de ces états
l est du reste la règle, au cours des stigmates dystrophiques de la syphilis héréditaire. Si l'hypertrophie digitale par son
différentes époques, les auteurs ont discuté sur la question de la syphilis comme cause de la polynévrite et de l'intoxicatio
posés à regarder ces cas de polynévrite comme une conséquence de la syphilis , d'autres les regardaient comme une cônsé. quen
où le problème du diagnostic différentiel entre une polynévrite par syphilis oupar intoxication mercurielle, pendant unecer-
. Thorling). La santé du malade auparavant bonne. Il a contracté la syphilis cette année ; éruption cutanée en avril. Il a c
il y avait une po- ivnévrite. Comme le malade avait contracté de la syphilis , il y avait plus 6 mois cependant, il faut disc
e m'occuperai pas des opinions des différents auteurs émises sur la syphilis et l'intoxication mercurielle comme cause de la p
ssons pour le moment ce point de vue de côté. Pour ce qui est de la syphilis , le problème est d'abord le même que je rencont
aient souvent ou- 232 PETREN- blié cette loi si simple. Quant la syphilis , nous savons tous combien cette maladie est fré
nt, il faut toujours prendre en considération la possibilité que la syphilis subsiste après un temps -quelconque. Comme une
nque. Comme une très grande partie de la population est atteinte de syphilis , et que la polynévrite est une maladie assez (ou
vrite apparaissant chez des individus antérieurement frappés par la syphilis pour permettre une conclusion sur une relation
polynévrite se développant chez des individus qui ont contracté la syphilis il y a peu- de temps. Car; comme il faut admett
a peu- de temps. Car; comme il faut admettre la possibilité que la syphilis sub- siste toujours, 30 ans et plus, chez l'ind
plus petit que le pourcentage où il y a possibilité d'admettre une syphilis , nouvelle ou ancienne. Par conséquent, pour con
ïncidence des deux maladies beaucoup plus petit, quand il s'agit de syphilis con- tractée tout récemment, en comparaison ave
ce qui est du problème de l'existence d'une polynévrite causée par syphilis et d'une polynévrite par intoxication mercuriel
philitique, où il n'y a pas d'autres raisons pour la diagnose de la syphilis que le fait que les symptômes de la polynévrite o
ype ordinaire (où il y a des raisons d'ad- mettre la présence d'une syphilis ). Il est superflu de donner ici une des- XXVIII
pèce publiées où il est établi que les malades avaient contracté la syphilis . Je fais suivre ici les observations que j'ai t
rouvées, où plus d'une année s'était passée entre l'infection de la syphilis et le développement de la polynévrite. Observat
philitique et la polynévrite. Autres remarques. PERRIN (obs. 20). Syphilis de 26 ans. Symptômes de polynévrite d'une inten
ement iodo-mer- curiel. Après deux mois, amélioration. OPPENHEIi. Syphilis de 20 ans. - Réflexes rotuliens exagérés ; symptô
nées. Amélioration sans traitement anti-syphilitique. - BUZZAIiD. Syphilis de 20 ans. La maladie avait envahi non seulement
vrite, et ils ont été depuis suivis par plusieurs auteurs. BuzznRn. Syphilis de 14 ans. Affection non seulement des quatre m
Ross et Bury regardent le cas comme une polynévrite. STIEFLRR. - Syphilis de 12 ans. Symptômes d'une névralgie du plexus
été utilisé, depuis guérison. Wassérmann positif. Nonne (obs. 474). Syphilis de 12 ans. Polynévrite subaiguë du-type ordinai
oteur oculaire externe et depuis développement de tabes. Stocker. Syphilis de 11 ans. - Cas de polynévrite, pas de descripti
nt de mercure, on en est venu à un résultat assez bon. Fischer. - Syphilis de 10 ans. - Symptômes correspondant à une poly-
E LA POLYNÉVRITE SYPHILITIQUE OU MERCURIELLE 235 PEItRIN (obs. 19). Syphilis de 9 ans. De la diplopie et des symptômes qui p
nt par du mercure et de l'iodure de potassium. Bonnet et LAURENT. Syphilis de 5 ans. Trois ans après l'infection syphiliti
ôtés. Deux années plus tard, éruption abondante ulcéro-croûteuse de syphilis et en même temps une polynévrite assez typique. G
lynévrite assez typique. Guérison rapide par le mercure. PLEHN. - Syphilis de 3-4 ans. Polynévrite avec des symptômes psy-
syphilitique cutanée en même temps que la polynévrite. FRUGONI. - Syphilis de 3 ans. Polynévrite du type ordinaire ; en tout
e pendant le traitement avec mercure et iodure de potassium. FRY. Syphilis de 26 mois. - Auparavant une hémiplégie probablem
pas voulu accepter le cas comme polynévrite syphilitique. HOFFMANN. Syphilis de durée inconnue. Polynévrite pas typique ; le
Pendant le traitement par le mercure amélioration lente. PLEHrr. Syphilis de durée inconnue. Polynévrite assez typique. A l
n. Guérison pendant le traitement par le mercure. Barié et Colombe. Syphilis dans la période tertiaire. Symptômes d'une poly
s de lymphocytose. Auparavant, une période avec les symptômes d'une syphilis cérébrale. Après deux mois, presque guéri penda
presque guéri pendant un traitement au mercure. STRASSER et Kraks. Syphilis héréditaire. Cas de polynévrite. Le ma- lade av
crits de polynévrite chez des individus qui avaient contracté de la syphilis plus d'une année 236 PETREN avant le développ
e n'est pas connu, et enfin un cas où on a admis comme probable une syphilis héréditaire. Mais parmi ces 17 cas, Oppenheim p
e Strasser et Kraus où les auteurs ont pensé à la possibilité d'une syphilis héréditaire, parce qu'on ne sait comment il faut
conclusion sur une relation de causalité entre la polynévrite et la syphilis - autant qu'il s'agit des cas où cette infectio
tique et la polynévrite. Autres remarques. Nonne (obs. 471). - La syphilis date de 1 an. z- Symptômes de polyné- vrite, ma
DE LA POLYNÉVRITE SYPHILITIQUE OU MERCURIELLE 237 TUCKWELL. - La syphilis date de) 1 an. Symptômes de polynévrite. Maladi
est pas établie, mais elle semble probable. Spillmann ET ET1ENNE. - Syphilis de 10 mois. - Symptômes ordinaires de polynévri
très généralisée. Guéri pendant le traitement mercuriel. JAFFÉ. - Syphilis de 9 mois. Cas d'issue mortelle sous le type de m
CROCQ (cité d'après Jah¡'esbe1'. d. Neurolog ? t. I, p. 804, 1897). Syphilis de 6 mois. - Symptômes de névrite d'un cubital, p
ôté du cubital ont persisté le plus longtemps. STEiNERT (obs. 1). Syphilis de 6 mois. - Polynévrite du type ordinaire. En
s. Bientôt guéri pendant traitement mercuriel. STEINERT (obs. 2). Syphilis de 6 mois. Polynévrite du type ordinaire et d'i
ercuriel l'état a d'abord empiré; depuis guéri. Nonne (obs. 472). Syphilis de mois. - Symptômes pas trop intenses de polyn
polynévrite. Plus tard guéri après traitement mercuriel. STRAUSS. - Syphilis de 3 mois. Symptômes de polynévrite, plus pro-
opsie (au moins pas de renseignement sur ce point). 'IIDDLETON. - Syphilis de 3 mois. Symptômes de polynévrite assez typi-
la roséole. Guéri après traitement anti- syphilitique. , WANDEL. Syphilis de 3 mois. D'abord névralgies intenses aux membre
iphériques. Aucun rapport sur l'état des méninges. CESTAN (obs. I). Syphilis de 1 mois. Paralysie d'abord d'un bras, puis de
s aggravation de l'autre. CI D 238 ' PETREN CESTAN (obs. II). - Syphilis de 1 mois. Paralysie des quatre membres, Deux m
ion par le traitement mercuriel au bout de quelques mois. SCHULTZE. Syphilis de quelques mois. Paralysie ascendante, finissant
'idée d'une affection du cerveau ou de la moelle épinière. DÉJEUNE. Syphilis de date inconnue, mais il y avait ecthyma syphili
onséquence de la névrite périphé- rique. - GILLES de la TOÜnETTE. Syphilis de date inconnue, mais syphilides croû- teuses
d'une polyné- vrite (1893), seulement « d'une paralysie flasque de syphilis ». FonDYCE. « Outbreak of early secondary sympt
les DE la Tourette (cité d'après FnEreEL). Accidents secondaires de syphilis un mois avant l'apparition de la polynévrite. Cas
e n'a pas un an d'âge et encore 5 cas où les autres symptômes de la syphilis DE LA POLYNÉVRITE SYPHILITIQUE OU MERCURIELLE 2
e valeur pour juger la ques- tion de savoir si la coïncidence de la syphilis et de la polynévrite en ces cas-ci peut rendre
Barié et Colomb, Wandel et Strauss. Dans les deux derniers cas, la syphilis n'avait pas encore un an d'âge; les deux malades
orte, si terrible des méninges pour les processus morbides dus à la syphilis et de l'autre côté les lois si distinctes, si rég
s auteurs, est due assez souvent, ou au moins en quelques cas, à la syphilis . J'admets qu'il ne s'agit pas dans les cas cité
faits sûrs pour baser une conclusion sur la polyné- vrite due à la syphilis . Pour les autres cas cités ci-dessus, la syphil
vrite due à la syphilis. Pour les autres cas cités ci-dessus, la syphilis n'est pas établie pour le cas de Tuckwell. Pour
clusion sur une relation de causalité entre la la polynévrite et la syphilis , mais au contraire, que ce fait qu'on a trouvé
la forme de l'éruption syphilitique nous fait accepter l'idée d'une syphilis récente (Déjerine, Gilles della Tourette, 2 cas T
nt, nous avons trouvé 11 cas où la polynévrite semble être sûre, la syphilis étant contractée il n'y a plus guère d'un an (ou
évident que nous pouvons, grâce à ces observations, conclure que la syphilis peut être la cause d'une polynévrite. D'un au
aut admettre que la polynévrite est une conséquence très rare de la syphilis . D'abord on voudrait peut-être dire qu'il est ina
que la polynévrite soit si rare, quand les autres manifestations de syphilis du système nerveux sont si nombreuses. Cependant,
s'agit des processus morbides d'espèces toutes différentes. Dans la syphilis du système nerveux, il y a un processus gommeux,
N traire, il faut comme la cause accepter une intoxication due à la syphilis . C'est, ainsi que les auteurs en traitant celte
er qu'une polynévrite peut appa- raître comme une conséquence de la syphilis pendant la première année après l'infection, ma
, mais qu'il n'est pas prouvé qu'il existe une polynévrite due à la syphilis plus ancienne. Il est bien évident, comme ce fait
ce fait correspond tout à fait à nos idées sur la pathologie de la syphilis , sur le développement de cette, maladie, qu'ell
oumis à l'influence de mer- cure, sans qu'ils aient été atteints de syphilis , il faut citer l'observation 1 de Spillmann et
is à l'influence du mercure, mais ils n'ont pas été atteints par la syphilis , et par l'analyse des observations de cette esp
nous reste à envisager les cas de polynévrite où la présence de la syphilis est constatée, où les malades ont été traités p
t de juger s'il s'agit d'u ne polynévrite qu'il faut attribuer à la syphilis ou à l'intoxication mercurielle. Nous commenç
me est beaucoup plus facile comprendre si l'on accepte l'idée d'une syphilis comme la cause de cette parésie unilatérale.
lynévrite est venue six mois après que le malade avait contracté la syphilis . Le malade avait pendant ce temps continuelleme
ne opinion sur la question de savoir si la polynévrite est due à la syphilis ou au mercure. Dans le cas de Patoir, l'infecti
cas était publié par Démanche et-Ménardoù le malade atteint par la syphilis avait reçu deux séries de six injections d'huile
ndant le traitement antisy- philitique, a été une conséquence de la syphilis , mais qu'il est en tout cas pro- bable que la p
ivé au résultai et nous concluons : Qu'il faut reconnaître que la syphilis peut causer une polynévrite pendant la première
espèce qu'on puisse accepter) ; Mais qu'il n'est pas prouvé que la syphilis , après qu'un an s'est passé après l'infection,
rite. Il y a nombre de cas publiés où, chez des malades atteints de syphilis , une polynévrite est apparue après un traitemen
enir à une conclusion sûre, à savoir si la polynévrite est due à la syphilis ou à l'intoxication mercu- rielle. Cependant, p
les cas où une polynévrite est venue chez des individus atteints de syphilis , après un traitement par mercure qui détermine ou
urs fortes aux jambes. Il pouvait parler de la première éruption de syphilis , il y avait trois mois. Mes collègues, de servi
on mercurielle, ils ont conclu, après beaucoup d'hésitation, que la syphilis était la cause la plus probable des douleurs. En
nt dans un but prophylactique, sans qu'il y eut des symptômes de la syphilis . Au contraire, la troisième cure de mercure a é
diagnostic douteux, savoir si les symptômes présents sont dus à la syphilis ou non. C'est une règle très ordinaire que le mé-
aitement antisyphili- tique pour guérir le malade s'il s'est agi de syphilis et pour venir à un diagnostic sûr ex juvantibus
rcurielle. Il est bien évident que de nos jours où nous traitons la syphilis très souvent seulement dans un but prophylactiq
IDDLETON. - Glasgow med. Journal, vol. 45, p. 57, 1896. Nonne (M.). Syphilis und Nervensystem, 21' Auflage. Berlin, 1909 ; Si-
Wochenschrift, 1913, p. 2428. STRAUSS (A.). - Archiv f. Dermat. u. Syphilis , vol. 57, p. 421, 1901. TAYLOR<R.-W.). New-Y
réquente de l'atrophie musculaire progressive Aran-Duchenne est' la syphilis . La lésion essentielle est non pas une « poliom
ons pu réunir avec Lerougeplus de 80 cas d'amyotrophies pures uù la syphilis était en cause, plus de 140 cas en y comptant c
ans un des derniers numéros de l'Iconographie de la Salpêtrière. La syphilis peut être aujourd'hui consi- dérée comme la cau
nérale. (1) A. Léri, Atrophies musculaires progressives spinales et syphilis . Congrès, de neurologie, Bruxelles, 't9(M ; Atr
moelle de petits foyers limités de myélite vasculaire : c'est à la syphilis qu'il faut rapporter les amyotrophies isolées e
es antérieures qu'au niveau des cordons postérieurs ou latéraux, la syphilis ne limite ses effets aux étages supérieurs de l
mbres supérieurs qu'elles sont rares aux membres inférieurs; que la syphilis soit ou non en cause, qu'il s'agisse de myélite
de l'adulte qui ne doivent sans doute être rapportées souvent à la syphilis . Il n'existe guère jusqu'ici, à notre connaissane
le premier cas, Van Gehuchten nous a déclaré n'avoir pas recherché la syphilis , mais les lésions vasculaires qu'il a décrites
qu'il a décrites la rendent assez vraisemblable. Dans notre cas, la syphilis existait dans les antécédents : à cette époque, n
bservées, des relations de causalité existaient sans doute entre la syphilis antérieure et les lésions des cornes antérieures.
Marie; portant d'abord et surtout sur les membres infé- rieurs ; la syphilis est susceptible de simuler cette seconde variété
atation était pourtant insuffisante à faire porter le diagnostic de syphilis . L'amyotrophie Charcot-Marie est caractérisée ana
a montré les relations presque constantes de cause à effet avec la syphilis nerveuse, a été observé dans les cas de Siemerl
te. 2° Il s'agirait encore d'une amyotrophie Charcot-Marie, mais la syphilis s'y serait surajoutée ; c'est la syphilis qui a
ie Charcot-Marie, mais la syphilis s'y serait surajoutée ; c'est la syphilis qui aurait déterminé la réaction de Wassermann, c
été très nettement positive. En somme, il est fort possible que la syphilis soit en cause, bien que nous n'ayons pu trouver
nt spécifique. Dans ces conditions,.c'est peut-être une névrite par syphilis héréditaire ou par spécificité acquise dans le
trophie de la langue ne saurait être confondue avec une tumeur, une syphilis linguale, etc.. 1 Cette hypertrophie nettemen
production de l'hémorragie cérébrale ordinaire. On a attribué à la syphilis aussi un rôle important dans l'étiologie. Ehren
ussi un rôle important dans l'étiologie. Ehrenberg n'a trouvé de la syphilis indubitable que dans un seul cas (observation p
uptures (obs. III et IV). En conséquence, il faut considérer que la syphilis joue un rôle peu important, dans la pathogénèse
iosclérose presénile. Parmi les maladies infectieuses chroniques la syphilis a déjà été dis- i cutée. Quant à la tuberculose
idiennes de sérum humain. Société de Biologie, 1915. Nonne (Max). - Syphilis und Nervensystem, 1909. OLLIVIER (d'Angers). -
simple. Il est probable qu'une connaissance plus approfondie de la syphilis articulaire permettra de ranger dans ce chapitre
es' qui s'éloignent plus ou moins des deux formes classiques de 'la syphilis articulaire tertiaire : l'ostéo- arthropathie e
rthropathie et la périsynovite gommeuse. ' ' (1) Cn. FOUQUET, De la syphilis articulaire. Thèse de Paris, 1905. " (2) Traité
1905. " (2) Traité de médecine, Brouardel, GILIJEIIT. Trtomor, Art. Syphilis des articulations, T. XXXIX, 1912. RHUMATISME
malade présente un pied bot droit, congénital ; pas de stigmates de syphilis héréditaire. D'une santé générale bonne, cet ho
onne, cet homme n'a été éprouvé par aucune autre maladie que par la syphilis , chancre induré de la verge, à l'âge de 23 ans.
antécédents on ne trouve aucune infection causale en dehors , de la syphilis : ni blennorragie, ni tuberculose, ni poussées an
olores. Aussi, tant par élimination qu'en raison des antécédents de syphilis avérée, nous avons cru devoir soumettre ce mala
z grand nombre d'articu- lations, ce qui s'observe rarement dans la syphilis articulaire- tertiaire. Enfin elles diffèrent p
ra peut-être de prendre place à côté des formes déjà décrites de la syphilis articulaire. (1) Milian, 10C. cit. DYSTROPHIE
4 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
- santes à plus d'un titre au point de vue des manifestations de la syphilis sur le système nerveux et nous permettront d'ex
nale double. Depuis cette époque aucune au- tre manifestation de la syphilis sur la peau ou sur les muqueuses. A noter qu'au
bien typique : c'est celle que l'on observe dans 80 0/0 des cas de syphilis médullaire, c'est dirions- nous la forme commun
ne. A la vérité elle est surtout l'apanage des sujets plus vieux en syphilis , les formes flasques, douloureuses mais presque t
al peu au courant de ces manifestations à la vérité discrètes de la syphilis médullaire, mais dont la marche n'en est pas moin
hystériques. La coïncidence d'autres manifestations actuelles de la syphilis levait les doutes et l'amélioration rapide surv
réserves au point de vue d'une association de l'alcoolisme avec la syphilis . Les paralysies flasques d'origine syphilitique
de ces observations appartiennent à des individus jeu- nes dans la syphilis . Nous n'insistons pas davantage, car notre but
e note n'est pas de passer en revue toutes les manifestations de la syphilis sur l'axe spinal, car ces manifestations sont t
a eu affaire il des aphasies dites à répétition, en dehors de toute syphilis . La deuxième catégorie renferme les observation
ssociations patholo- giques de l'aphasie avec d'autres affections : syphilis , fièvres éruptives, lé- sions du larynx, trauma
re déjà en rapport avec le tabes. Pas de maladie infectieuse, ni de syphilis , ni d'excès alcooliques. Maladie actuelle. A
certain nombre de maladies cérébro-spinales comme produites par la syphilis , alors même que les lésions anatomiques dont el
une hypothèse curieuse, et non un fil conducteur dans l'étude de la syphilis du système nerveux. En attendant que les résult
ner, autant qu'il est possible, les relations qui existent entre la syphilis et les maladies nerveuses. En conformité avec c
ue l'on observe dans les autres organes, on sait aujourd'hui que la syphilis peut donner naissance, dans les centres ner- ve
ttiré l'at- tention ; et, relativement aux nombreux travaux dont la syphilis cérébrale (1) Ce mémoire a été présenté au conc
MÉNINGO-MYÉLITE SYPHILITIQUE 87 a été l'objet, on peut dire que la syphilis médullaire a été peu étudiée jus- qu'à ces dern
t et Gombault (Archives de physiologie, 1873), le nombre des cas de syphilis spinale publiés avec examen anatomique, s'éleva
opre aux lésions anatomiques dans les complications nerveuses de la syphilis . Plus récemment en France, les publications de
éjerine (5), Ilomolle (G) ont contribué à nous faire con- naître la syphilis de la moelle au point de vue anatomique. Dans un
ilbert et Lion (7) ont résumé nos connaissances rela- tivement à la syphilis médullaire précoce. Ces auteurs ont distingué dan
publications de M. le professeur Fournier nos connaissances sur la syphilis cérébro-spinale en général. En Allemagne, une q
général. En Allemagne, une quantité considérable de travaux sur la syphilis de la moelle a paru dans ces dernières années.
e étude complète de toutes les variétés, des lésions spinales de la syphilis .- Nous nous bornerons à la description de la fo
rme anatomique que se rapportent la très grande majorité des cas de syphilis médullaire que la clinique met journellement sous
n coup d'oeil d'ensemble sur le processus généralement suivi par la syphilis dans les divers organes et appareils où il a ét
l'a décrit admirablement (1) ; et il faut relire son travail sur la syphilis consti- tutionnelle pour bien se pénétrer de la
membres infé- rieurs. Dans son passé pathologique, en dehors de la syphilis , on ne note rien d'important. En 1869, il aurai
jamais constaté sur sa peau la présence de nodosités. Il n'a eu ni syphilis ni blennorrhagie. Il était de moeurs austères et
e. Scieur de long puis marchand de vin. Pas d'excès, dit-il. Pas de syphilis . Pas de cicatrice sur la verge. En somme la seu
vue éliologique nous n'ajouterons qu'un mot relatif à l'absence de syphilis chez notre malade quoique nous l'ayons recherchée
re ? S'agit-il d'une coïncidence, d'une complication étrangère à la syphilis , ou bien au contraire d'une lésion due à l'acti
rd si les lésions constatées peuvent être mises sur le compte de la syphilis , si elles sont en harmonie avec le processus ha
mbre de pro- cessus aigus et chroniques n'ayant rien à voir avec la syphilis . D'ailleurs nous avons considéré ces, lésions c
1) La présence de cellules géantes dans les lésions spécifiques de la syphilis a été maintes fois signalée (Bizzozero, Malasse
ieuses, pour ne citer que les plus vulgaires : la tuberculose et la syphilis . La première pouvant être éliminée ici en toute
ous avons pu relever dans la littérature. Heubner, dans son article Syphilis de la moelle du Ziemssen's Itazdb2ccl signale l
veuses qui en partent. Ilomolle en 1876 a publié une observation de syphilis spinale, avec examen anatomique, qui se rapproc
litique, et déclare que l'on n'a pas suffisamment tenu compte de la syphilis dans l'étiologie de certaines myélites (1). Dan
hilis (Archiv. V. Psychiatrie Bd. XII). (3) Ueber Gehirn und Ituck. Syphilis (Arch. V. Psychiatrie Bd. XVI p. 410). (4) Koes
du renflement cervical. En 1891 Siemerling (2) a rapporté un cas de syphilis médullaire avec autopsie, qui rentre de tous po
généralement à admettre que les lésions (1) Gildeut et Lion. De la syphilis médullaire précoce (Archives générales de médecin
nclusion à tirer est renfermée dans le dilemme suivant : ou bien la syphilis met en usage deux processus diffé- rents et inv
fait de Moeller se rapporte, comme la plupart des précédents, à une syphilis récente), ou bien il s'agit, dans le cas actuel
t, dans le cas actuel, de lésions vasculaires indé- pendantes de la syphilis . Nous nous garderons bien de trancher la ques-
lite convient donc ici à proprement parler, et nous avons vu que la syphilis procède tout différemment. Mais des recherches
tudié. L'observation suivante en est une preuve. Observation IL Syphilis datant de 1 an. Paraplégie complète développée en
adies du Système nerveux (Suite) (1). Les lésions méningées de la syphilis peuvent se limiter aux enveloppes immédiates de
présentent la grande exception, relativement au nombre de cas où la syphilis se localise d'emblée sur les enveloppes molles de
; 206 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Observation 111. Syphilis 8 ans auparavant : K la suite, violentes céphalée
ette époque, beaucoup de chagrin. Il y a 8 ans, elle a contracté la syphilis d'un officier son amant, les accidents secondai
lle a eu de l'incontinence abso- lue. Comme stigmate extérieur de syphilis , on constate actuellement sur los jam- bes, les
granulations. Nous n'hésitons pas pour notre part à rattacher à la syphilis les lésions spinales qui viennent d'être décrit
dans leurs moindres particularités. Ces faits se rappor- tent à la syphilis cérébro-spinale, en ce qui concerne les lésions d
moelle épinière. Jiirgens (1) a l'ait remarquer il ce propos que la syphilis , dans les centres nerveux, paraissait suivre fréq
a été publié par Oppenheim (2), dans un intéressant mémoire sur la syphilis cérébro-spinale. Une femme de 27 ans, ayant contr
a syphilis cérébro-spinale. Une femme de 27 ans, ayant contracté la syphilis 7 ans auparavant, présente des accidents cérébrau
lieu, au moins pour un certain nombre d'entre eux, de substituer la syphilis à l'inlluence du froid humide ou d'autres cause
, en l'étal actuel, de décrire chacune des for- mes cliniques de la syphilis médullaire en regard d'une forme anatomique exa
rons à décrire les formes les mieux caractérisées cli- niquement de syphilis médullaire, en prenant soin d'indiquer dans quell
st en présence d'un type morbide véritablement très spécial, que la syphilis semble seule capable de réaliser, et dont les dif
nsultation de M. le professeur Fournier, qui porte le diagnostic de syphilis (plaques muqueuses hypertrophiques végé- tantes
malade a fait l'objet d'une leçon clinique il la Salpêtrière). . Syphilis certaine (plaques muqueuses, psoriasis palmaire).
ans, il eut des plaques muqueuses il l'anus et dans la bouche : la syphilis a été reconnue par le Dr Duplouy, médecin des hôp
osis des 2 côtés; mais on ne saurait admettre une relation entre la syphilis et ce ptosis double : la chute de la paupière g
tique pure comporte le meilleur pronostic de toutes les variétés de syphilis spinale; mais il ajoute que la méningite va le pl
nt do 2 ans qui se porte ad- mirablement, dit-il. Il a contracté la syphilis il y a deux ans, sa femme n'est pas malade il c
st dans le service de M. le Professeur Fournier il St-Louis, que la syphilis a été diagnostiquée et soignée au début. Il s'y e
M. Gilbert et Lion, on trouve 40 fois la paraplégie sur h.4. cas de syphilis spinale. En dépit des grandes variétés qui s'ob
ensemble clinique doit faire soupçonner et rechercher avec soin la syphilis dans les antécédents d'un malade. La statistique
la valeur diagnostique des particularités indiquées par Erb dans la syphilis ? L'auteur est lui-même très réservé sur ce point
us en avons observé tous les symptômes chez des malades indemnes de syphilis , autant que l'examen et l'interrogation le plus
rs rachi- diennes. Il existe encore actuellement des stigmates de syphilis a la surface de la peau. / Aux membres inférieu
ppenheim (l)a émis cette opinion, très fondée, à notre avis, que la syphilis spinale s'accompagne pour ainsi dire presque to
comateux passa- gers, etc. Réciproquement on pourrait dire que la syphilis cérébrale s'accompagne, dans un très grand nomb
ivant la prédominance des localisations, tel malade appartiendra la syphilis cérébrale, tel autre à la syphilis cérébro- spi
ions, tel malade appartiendra la syphilis cérébrale, tel autre à la syphilis cérébro- spinale, ou à la syphilis médullaire.
philis cérébrale, tel autre à la syphilis cérébro- spinale, ou à la syphilis médullaire. Sans vouloir envisager ici ces divers
yeux. Il est inutile de rappeler, parmi les accidents nerveux delà syphilis , la fréquence des paralysies oculaires, bien conn
culo-moteur commun. - Dans un récent travail deGajkiewicz(l)sur la syphilis des centres nerveux accompagné d'observations p
tance chez de tels malades qu'on hésite à porter le diagnos- tic de syphilis cérébro-spinale : ils n'en ont pas moins une gran
la faiblesse des jambes, et des engourdissements légers dans les ! 1) Syphilis des centres nerveux. Paris; Ballière 1892. DE L
ble, au point de vue du pronostic, des paralysies médullaires de la syphilis , et que l'a- mélioration sous l'action du trait
es relations de cette forme extrêmement grave de la maladie avec la syphilis . Jul- liard (2), dans sa thèse, rapporte le fai
. (2) JULLIARD, Élude critique sur les localisations spinales de la syphilis , Paris, 1879, p. 12. DE LA MÉNINGO-MYÉLITE SY
ol- lissement de la moelle. Trousseau était disposé à considérer la syphilis comme la cause de cette phlegmasie ; mais Ricor
rmement que les manifestations viscérales étaient le monopole de la syphilis tertiaire. IIeubner n'admet aussi l'influence d
de la syphilis tertiaire. IIeubner n'admet aussi l'influence de la syphilis dans les myélites ai- guës qu'avec de grandes r
autre chose qu'une coïncidence fortuite. Parmi les observations de syphilis médullaire précoce que MM. Gilbert et Lion ont
cun doute sur la relation possible d'une pareille affection avec la syphilis . Nous citerons en particulier le (1) nEAUnOL :
ve se montre comme une complication essentielle- ment précoce de la syphilis . La plupart des faits observés se sont produits
e, fait allusion pour la première fois à l'influence possible de la syphilis dans les cas de ce genre. Les formes de paraplé
s analogue au tabes s'est montrée, sous l'influence manifeste de la syphilis , et s'est trouvée améliorée ou même guérie par
insi : et, au point de vue clini- que, il est permis de dire que la syphilis médullaire n'affecte jamais les al- lures d'une
tes celles qui étaient publiées à cette époque, ont réuni 56 cas de syphilis médullaire précoce. Relativement à l'époque d'a
elles que nous avons rapportées. Dans un travail tout récent sur la syphilis de la moelle épinière, Goldflam (1) relate 18 cas
établissant une concordance en- tre les différentes périodes de la syphilis et la forme des lésions spécifi- ques de la moe
how a ruiné cette conception théorique de la division absolue de la syphilis en 3 périodes; il a pensé que, la nature des lési
on plus ou moins grande des lésions anatomiques, aussi bien pour la syphilis que pour la tuberculose, est affaire de virulen
de l'agent pathogène ? Et la virulence de l'agent spécifique de la syphilis , atténuée selon toute vraisemblance dans les pr
rder ici toutes ces questions, qui se rapportent à l'histoire de la syphilis en général. Nous ferons remarquer seulement en
. La syphi- (1) Lang, Vierlel Jal ! 1'schl'ift f. Dermatologie uncl syphilis , ISSI, p. 499. - Schnabel, môme journal 1881, p
eur évolution deux périodes correspon- dant aux localisations de la syphilis sur les méninges d'abord et sur la moelle ensui
palement en une rachialgie qui rappelle parfois les céphalées de la syphilis cérébrale, ainsi que l'a montré M. le professeu
se aucun doute sur la nature de cette redoutable complication de la syphilis , bien que les auteurs aient pendant longtemps é
5 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Par le Dr L. MINOR, Privat-docent à l'Université de Moscou. I. SYPHILIS ET TARES. La coïncidence excessivement fréquent
coïncidence excessivement fréquente du tabes avec l'existence de la syphilis dans le passé du malade a été reconnue par les
t acquis la certitude de l'existence d'un rapport intime entre la syphilis et le tabes ; cette certitude est encore renfor
se de données sta- tistiques, la question du rôle étiologique de la syphilis dans le tabes est loin d'être résolue, même en
s aux organes génitaux après le coït; les médecins y reconnurent la syphilis et la malade entra à l'hôpital de la Miassnitzk
ée. Sept ans avant l'appari- tion de la maladie, le mari attrapa la syphilis avec une autre femme ; peu de temps après, la m
terme, de 12 enfants, dont 4 sont vivants. Elle fut infectée de la syphilis , en 1884 : ulcères aux organes génitaux, érupti
ritueux, refroidissement, etc. Il y a douze ans, fut atteinte de la syphilis et soignée à l'hôpital de la Mianitzskaïa (pour
ouze ans avant la maladie actuelle, le mari de la ma- lade reçut la syphilis d'une autre femme, se soigna attentivement et r
a lui-même. Bientôt après des spécialistes reconnurent chez elle la syphilis , la traitèrent au moyen de frictions mercuriell
douleurs dans le dos. A, l'âge de trente-neuf ans, elle acquit une syphilis très grave, ce qui fut constaté par des spécial
e s'adressa, lui annonça, qu'elle et son enfant étaient atteints de syphilis ; à ce qu'elle dit, l'examen minutieux des orga
nt des ulcères aux grandes lèvres. Les médecins la traitèrent de la syphilis (quoique la malade dise - qu'elle était parfait
tieusement que possible, sans aucun désir de trouver à tout prix la syphilis et, nous pouvons dire que le résultat de ces re
plus de 87 p. 100 nous avons trouvé l'existence indubitable de la syphilis dans l'anamnèse et dans le premier cas, elle ét
- ment, nous pouvons ajouter que dans les cas VI, VII et VIII, la syphilis a été constatée par des médecins spécialistes,
pouvait y avoir l'ombre d'un doute sur l'existence antérieure de la syphilis . L'âge de mes malades était, par ordre descenda
izième année après l'in- fection. La question du rapport entre la syphilis et le labes a été étudiée avec tant de minutie
moignent en faveur du rapport qui doit exister entre le tabès et la syphilis . Je ne sais pas si j'ai le droit d'affirmer aus
dissement ni de travail excessif, mais par contre l'existence de la syphilis dans l'anamnèse des deux cas était indubitable.
udre la question de l'étiologie du tabes. Au premier plan figure la syphilis chez les malades; on compare la fréquence de la
igure la syphilis chez les malades; on compare la fréquence de la syphilis dans l'anamnèse d'autres maladies, dans la phth
dies, dans la phthisie, par exemple; on prend en considération la syphilis héréditaire (voir le beau cas de Strüempell, da
chez un vieillard de soixante-dix ans, atteint peu auparavant de la syphilis ), la profession, lés fatigues de la vie militai
pourrait-on trouver dans toute l'Europe un peuple chez lequel la syphilis se rencontre comparativement aussi rarement que
genre de vie. Quant aux femmes juives, il est indubitable que la syphilis est chez elles un fait rare. D'un autre côté, à
ion grave formant époque dans les antécédents des malades, était la syphilis . Ayant fixé mon attention sur ce point et exami
prenant, pour plus d'exactitude, que les cas dont il était dit « la syphilis a existé sans faute » ou « il n'y a absolumeut
a syphilis a existé sans faute » ou « il n'y a absolumeut pas eu de syphilis »; quant aux cas où la syphilis était indiquée
u « il n'y a absolumeut pas eu de syphilis »; quant aux cas où la syphilis était indiquée comme très douteuse 200 PATHOLOG
ris en considération; j'ai marqué d'un signe particulier ceux où la syphilis était probable. Grâce à la sévérité que j'ai ai
s, il y avait 5 hommes et 3 femmes atteints indubi- tablement de la syphilis , c'est-à-dire 3,07 p. 100. Si l'on ajoute à ce
e 3,07 p. 100. Si l'on ajoute à ce chiffre, 3 cas, dans lesquels la syphilis était très probable (avec chancre seulement), n
Russes, il y avait 20 personnes atteintes sans doute possible de la syphilis , soit 16,2 p. 100. Si l'on y ajoute encore 0 ca
s, soit 16,2 p. 100. Si l'on y ajoute encore 0 cas dans lesquels la syphilis était très probable (avec chancre seulement), n
0 tiré de ma clientèle privée, nous voyons qu'en chiffres ronds, la syphilis était cinq fois plus fréquente chez les Busses
abès = 3,2 p. 100; paralysie = 4,8. 100. 2). Chez les liasses, la syphilis se rencontre cinq fois plus fréquemment que che
les Russes ne provienne que de l'existence plus fré- quente de la syphilis chez eux et non d'autres causes (par exemple la
ques de race, mais d'une cause extérieure, comme, par exemple, la syphilis , sur cent Juifs atteints de maladies ner- veuse
nt Juifs atteints de maladies ner- veuses et ayant eu auparavant la syphilis , il doit se Ot2 PATHOLOGIE NERVEUSE. trouver
une réponse concluante : Sur huit Juifs atteints indubitablement de syphilis , il y avait deux cas de tabes, soit 25 p. 100.
. Sur onze Juifs syphilitiques (en comptant ceux chez lesquels la syphilis était probable) il y avait deux malades atteint
e tabes, soit 18,18 p. 100. Sur * vingt Russes atteints pour sûr de syphilis , il y avait quatre cas de tabes, soit 20 p. 100
ées, fournies par M. Reumont. Il a justement examiné 3,400 cas de syphilis ; dans le nombre se trouvèrent 290 cas de maladi
t cependant pas exactement à notre question en ce qu'il s'agit de syphilis dans l'état actuel et que nous avons relevé l'e
une statistique aussi petite que la nôtre et nous souvenant que le syphilis se retrouve non seulement dans l'anamnèse du ta
nt Juifs atteints de maladies nerveuses et ayant eu auparavant la syphilis , il se trouve autant de cas de tabes et de para
rencontrent plus rarement chez les Juifs que parce que chez eux la syphilis est plus rare que chez les Russes. Ce fait a un
uestion de l'étiologie du tabes : il est une nouvelle preuve que la syphilis joue un rôle capi- tal dans cette étiologie.
Sur les 5,i hommes atteints de tabès : Dans 31 cas, il y avait eu syphilis , sans aucun doute ; Dans 2 cas, la syphilis éta
s 31 cas, il y avait eu syphilis, sans aucun doute ; Dans 2 cas, la syphilis était probable ; Dans 6 cas, il y avait eu chan
Dans 6 cas, il y avait eu chancre ; Dans cas, il n'y a pas eu de syphilis , semble-t-il ; Dans î cas, il n'y a pour sûr pa
de syphilis, semble-t-il ; Dans î cas, il n'y a pour sûr pas eu de syphilis ; Dans 3 cas, la question sur la syphilis était
l n'y a pour sûr pas eu de syphilis; Dans 3 cas, la question sur la syphilis était restée sans ré- ponse. Maintenant, si n
cluons ces trois derniers cas et que nous admettions qu'il y ait eu syphilis dans la moitié des cas avec chancre et des cas
us voyons que dans les cinquante-deux cas de tabes in- diqués, la syphilis se retrouvait dans l'anamnèse dans une proporti
e 73 p. 100. Mais si nous n'admet- tons que les trente-un cas où la syphilis était indiscu- table, nous aurons encore enviro
indiscu- table, nous aurons encore environ 60 p. 100 des cas avec syphilis dans l'anamnèse. Il y avait 5 femmes atteintes
tabes. Dans un cas, la question sur l'exis- tence antérieure de la syphilis était restée sans réponse; dans deux des quatre
ilis était restée sans réponse; dans deux des quatre autres cas, la syphilis était indis- cutable, c'est-à-dire dans 50 p. 1
ble d'obtenir des renseignements sur l'existence antérieure de la syphilis ; il reste donc en tout trente-un cas avec anamn
ce nombre : ÉTUDE DE L'ÉTIOLOGIE DU TABES. 1205 'Dans 14 cas, la syphilis était prouvée ; Dans 1 cas, la syphilis était p
ES. 1205 'Dans 14 cas, la syphilis était prouvée ; Dans 1 cas, la syphilis était probable ; Dans 3 cas, il y avait eu chan
ait probable ; Dans 3 cas, il y avait eu chancre ; Dans 7 ctz, la syphilis était douteuse ; Dans 6 cas, elle n'avait pas e
isté. Par conséquent, dans les cas de paralysie progres- sive, la syphilis se trouvait dans une proportion de 45,16 G p. 1
s cette statistique. Chez un des deux hommes malades, il y avait eu syphilis ; chez l'autre, elle n'a- vait pas existé. Pas d
cas indubitables de tabes et quarante-huit de paralysie). 2). La syphilis se rencontre dans une proportion égale dans l'a
res étaient évidemment frappés de tabes. Dans quarante-un cas, la syphilis était indubitable (dans dix-neuf cas, il y avai
cas, il y avait eu traitement par le mercure); dans quatre cas, la syphilis était très probable; dans trois cas, elle était
cystite. En ne basant le p. 100 que sur les cas indu- bitables de syphilis , nous trouvons une proportion de 62 p. 100 des
aurons sur soixante-six cas de tabès près de 70 p. 100 des cas avec syphilis dans l'anamnèse. Parmi les quatre cas de juifs
fs atteints, il y en avait 3 (2 hommes et 1 femme) chez lesquels la syphilis était indubitable; le quatrième niait la syphil
chez lesquels la syphilis était indubitable; le quatrième niait la syphilis , mais était atteint d'urétrite. Chez les 8 fe
eint d'urétrite. Chez les 8 femmes indiquées : dans trois cas, la syphilis était indiscutable ; dans un cas, elle était tr
aussi, 50 p. 100 des cas avec ÉTUDE DE L'ÉTIOLOGIE DU TABES. 207 syphilis dans l'anamnèse. Il y avait 69 malades atteints
nombre, 1 juif. Sur ces soixante- neuf cas : dans quaraute cas, la syphilis était prouvée (dans vingt cas traitement par le
ée (dans vingt cas traitement par le mercure) ; dans neuf cas, la syphilis était très probable; dans douze cas, la syphili
ans neuf cas, la syphilis était très probable; dans douze cas, la syphilis était assez probable; -dans huit cas, la syphil
s douze cas, la syphilis était assez probable; -dans huit cas, la syphilis était niée. Par conséquent, la syphilis se retr
robable; -dans huit cas, la syphilis était niée. Par conséquent, la syphilis se retrouve dans l'anamnèse de 60 p. 100 des ca
mi les femmes atteintes de paralysie : Dans deux cas, il y avait eu syphilis ; dans deux cas, elle était très probable; dans
niée. Le seul -juif indiqué avait été indubitablement atteint de syphilis . Eu examinant cette intéressante statistique, n
ixante-six cas de tabes, soixante- neuf cas de paralysie). 2). La syphilis se retrouve dans l'anamnèse des deux maladies d
zième, douzième paires. Dans l'observation V, t'ractute de la base. Syphilis supposable avec infiltration primitive des tron
rfs moteurs des yeux. Aucune autre lésion organique à l'appui de la syphilis . Issue rapidement mor- telle. ' ' P. K. XVIII
s d'affections nerveuses, avaient élé anciennement infectés de la syphilis , nous sommes néanmoins persuadé que, sous ce ra
que dans l'anamnèse des Russes, il se serait trouvé plus de cas de syphilis que dans l'anamnèse des Juifs. Il me reste auss
er le fait que chez les Juifs atteints de paralysie et de tabes, la syphilis dans l'a- namnèse est relevée dans une proporti
les statistiques de MM. Kojewiiikoff et Korsakoff, par exemple, la syphilis se retrouve dans 60 70 à p. 100 des cas; chez l
abes chez des Juifs. Ces cinq malades avaient eu indubitablement la syphilis . Dans la statistique de M. le professeur Kojewn
tatistique, nous aurons 3 cas de Juifs atteints, dont 2 ayant eu la syphilis . Donc, sur les 8 cas de Juifs frappés de tabes
que je connais, 7 avaient eu pour sûr 366 PATHOLOGIE NERVEUSE. là syphilis , ce qui donne plus de 87 p. 100 et concorde ave
ints de paralysie et 2 cas de probables. Ces cinq cas avaient eu la syphilis . Eu égard aux coïnci- dences que nous avons rel
s atteints pour sûr de paralysie et dans ce nombre, 3 avaient eu la syphilis , ce qui donne 75 p. 100; en y joignant encore 2
ables de paralysie progressive, nous aurons 5 ma- lades atteints de syphilis sur 6, ce qui donne 83 p. J 00. Le fait que la
ur 6, ce qui donne 83 p. J 00. Le fait que la proportion des cas de syphilis chez les Juifs est plus grande que celle que no
ssé et même cherchent parfois à cacher l'existence antérieure de la syphilis , tandis qu'au contraire les Juifs ayant eu la s
rieure de la syphilis, tandis qu'au contraire les Juifs ayant eu la syphilis l'avouent en général franchement au médecin.
tous les malades tabétiques appartenant à ma clientèle privée, la syphilis est notée dans l'anamnèse de 90 à 100 p. 100 de
a syphilis est notée dans l'anamnèse de 90 à 100 p. 100 des cas, la syphilis n'est relatée que dans 72 p. 100 des cas de tab
re et cela quoique les malades nias- sent opiniâtrement avoir eu la syphilis . Il n'y a pas encore deux mois que nous avons r
litique quoiqu'il eût encore sur la face des traces évidentes de la syphilis cutanée et une cicatrice caractéristique au pré
rielles que je lui avais prescrites que le malade avoua avoir eu la syphilis , ajoutant qu'il voulait à tout prix le cacher,
paralysie progressive est, dans la très grande majorité des cas, la syphilis , trouve une preuve nouvelle et à notre avis de
te aux maladies nerveuses, mais par contre, la moins sujette à la syphilis . , Si le développement du tabès et de la paraly
as une tendance innée aux affections nerveuses et mentales, mais la syphilis . Quant à l'influence d'au- tres causes agissant
tabès ? On peut sans doute supposer que, même dans les cas où la syphilis n'est pas relevée ou même est formel- lement ni
de tabes dans l'anamnèse desquels ne se retrouve vraiment pas la syphilis . Si nous admettons l'existence de cas sem- blab
faire une comparaison entre l'action de cette cause et celle de la syphilis comme cause du développement du tabes vulgaire.
u tabes vulgaire. En discutant la question du mode d'action de la syphilis causant dans l'avenir le tabes, nous nous somme
: « Einige Bewegun- gen ueber der Zusammenhang zwischen Tabès und Syphilis » ;llTeccnol. (,'ertralblatl). Déjà alors, nous
la catégorique déclaration faite par lui qu'il n'a jamais eu ni la syphilis , ni aucune autre affection véné- rienne. Un exa
action particulière du froid, ni l'abus des spiritueux, ni enfin la syphilis , puisque toutes ces causes sont niées catégoriq
t ? Naturellement, pas le fait que dans l'anamnèse ne figure pas la syphilis , puisque dans la littérature on trouve encore d
ns la littérature on trouve encore des cas typiques de tabes sans syphilis dans les antécédents. La marche de la mala- die
e à ce cas, on est disposé à considérer le tabes ordinaire, avec la syphilis dans l'anamnèse, comme une maladie toxique. Sou
ent fort pour servir de point de comparaison avec l'influence de la syphilis ; l'in- toxication saturnine, comme on le sait,
s cas, ses effets meurtriers d'une façon très lente; de même que la syphilis , elle n'é- pargne aucun organe du sujet qu'elle
utanée intacte ; amaigrissement extrême et en masse des muscles. La syphilis est niée, mais le traitement spécifique fait di
6 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
disons-nous, de beaucoup les plus nombreuses, tout au moins dans la syphilis spinale compressive et dans le mal de Pott. D'a
e comme une maladie de l'âge mûr... ce qui le porte à incriminer la syphilis héréditaire. La syphilis serait d'ailleurs le f
âge mûr... ce qui le porte à incriminer la syphilis héréditaire. La syphilis serait d'ailleurs le facteur causal pour au moi
qui a lieu dans le cal osseux. P. KERA VAL. XLV11. Le rôle de la syphilis dans l'étiologie du tabes et le traite- ment an
nérales du Cau- case, de 1895 à 1899 se décomposent en : 201 cas de syphilis cer- taine, soit 62,4 p. 100; 66 cas de syphili
nt en : 201 cas de syphilis cer- taine, soit 62,4 p. 100; 66 cas de syphilis douteuse, ou 20,5 p. 100; 55 cas dans lesquels
6 cas de syphilis douteuse, ou 20,5 p. 100; 55 cas dans lesquels la syphilis est absolument niée, ou 17 p. 100. En réalité l
squels la syphilis est absolument niée, ou 17 p. 100. En réalité la syphilis est certaine et fort probable chez 267 malades,
tout cas le tabes doit être regardé comme : soit une modalité de la syphilis tertiaire du système ner- veux ; soit le résult
su nerveux; soit une maladie à causes multiples parmi lesquelles la syphilis joue un rôle indirect. Ce qui est certain, c'es
hilis joue un rôle indirect. Ce qui est certain, c'est que, sans la syphilis , le tabes serait une maladies très rare, les 9/
ucune sorte. Il se livre à des excès alcooliques quotidiens. Pas de syphilis . Histoire de la maladie. Lundi dernier, Bern...
onnels. Lui-même se porte fort bien : n'a jamais été malade; pas de syphilis . Il ne s'enivre pas souvent, mais prend volonti
Pas d'histoire pathologique : jamais un rhume, nous dit-il, pas de syphilis , mais, comme la plupart des gens de sa professi
incommodité, il ne tousse jamais. Il affirme qu'il n'a jamais eu la syphilis , qu'il ne se livre pas immodérément à la boisso
deux ou trois apéritifs et plusieurs petits verres de rhum. Pas de syphilis . Marié à vingt-sept ans, il a trois enfants : u
use, même occa- sionnelle, il ne connaît pas. Il a simplement eu la syphilis il y a vingt ans et a suivi un traitement mercu
u. IL C. ' XIX. Sur l'état atrophique de la moëlle épinière dans la syphilis spinale chronique; par E. Long et B. WiKi. (Nou
he lente et progressive survenue chez un sujet ayant contracté la syphilis 38 ans auparavant. Pendant les trois premiers moi
uction de ce résultat ? On connaît la gravité et la fréquence de la syphilis chez les Arabes en opposition avec la rareté du
z eux, Matignon a fait la même remarque à propos des Chinois. Si la syphilis joue un rôle, il semble donc aussi que le terra
faut aussi tenir compte du traitement. Enfin bien que j'aie vu des syphilis insignifiantes causer des tabès intenses, j'ai vu
yphilis insignifiantes causer des tabès intenses, j'ai vu aussi ces syphilis n'amener que des cas légers. Le tabès peut donc ê
ans qui, sans avoir jamais subi de traitement spécifique pour une syphilis contractée à l'âge de seize ans présente simpleme
un ancien médecin militaire âgé de quatre-vingt-six ans qui a eu la syphilis à vingt-cinq ans et le tabès à trente-trois ans'e
tuberculose comme l'a dit Klippel pourrait bien engendrer comme la syphilis la paralysie générale, et se ranger parmi les a
es. J.-B. Baillrère et fils, Paris, 1901.) Si l'indication causale, syphilis , paludisme, anémies diverses, névroses, diabète
du Valais qui peuplent en majeure partie l'asile de Marsens. Si la syphilis est rare dans cette partie de la Suisse, les ex
p. (jI¡5-ûû8.) , , Deux mots résument l'étiologie de la paralysie : syphilis et civi- lisation, et le traitement de la malad
paralysie avec les affec- tions suivantes : alcoolisme chronique et syphilis cérébrale, assez en détail ; puis, plus brièvem
guérir, celles qui ont une hérédité de consomption : alcoolisme, syphilis , seront plus souvent victimes de dégénérescence p
ixante-quatre ans, porteur d'un vitiligo du tronc avec très vieille syphilis et signe d'Argyll, mais non tabétique. De tels
n un traumatisme vertébral léger, trois du rhumatisme, deux de la syphilis . Quatre ont été opérés et chez tous l'on a consta
ces articles, publié par le Dr Mott, porte sur les Relations de la syphilis sur les troubles orga- niques du cerveau et la
et article comprend deux chapitres. Chapitre I. Notes sur 60 cas de syphilis cérébrale observés, à l'asile et à l'hôpital (d
ans cet article, l'auteur fait surtout -ressortir l'influence de la syphilis sur la paralysie générale. Nous donnerons un co
ie générale. Nous donnerons un court aperçu des autres articles : Syphilis dans la paralysie générale des aliénés; parH.-W.
ury. Sur ces 200 malades, 23 étaient paralytiques et sur ces 23, la syphilis était sûre dans 16 cas ; 4 étaient douteux. et
épit de la variété des causes : rhumatisme, glycosurie, épuisement, syphilis . Cela ne veut pas dire qu'il ne faille pas trai
s n'est pas rare dans la démence sénile; on l'observe aussi dans la syphilis , après la variole. Paul Sérieux. XL111. Sur u
es crochets caractéristiques furent tetrouvés. Réveil grave d'une syphilis ancienne sous -l'influence de l'alcool. M. LEGR
symptômes de paralysie générale, onze ans après l'apparition d'une syphilis soignée régu- lièrement et paraissant guérie. E
mais. Le signe d'Argyll est SOCIÉTÉS SAVANTES. 331 un symptôme de syphilis et non un phénomène tabétique. Chez le sujet, l
quelques symptômes nerveux vagues. Aucun de ces malades n'avoue la syphilis . ' - - M. Souques rappelle que M. Broc trouve l
tiques. Vililigo et tabès sont deux manifestations diffé- rentes de syphilis réunies chez un même sujet. Topographie des tro
lité de l'iris est ou va être atteinte : tabès, paralysie générale, syphilis . ' On la rencontre bien aussi, comme l'a remarq
idéré comme un signe probable de tabes, de paralysie géné- rale, de syphilis , et que sa valeur séméiologique est la même que
tier et moi, il savoir que le signe de liôbertson parait dénoter la syphilis ; les faits rapportés précé- demment par 1. Souq
r- sociétés savantes. 333 1er, ont des relations étroites avec la syphilis ; cela n'est plus dis- cutable. Il s'agit de sa
t portés à admettre que ces accidents sont nécessairement liés à la syphilis ; niais je tiens à faire observer que mon idée
à ceux qui nient la nécessité d'une relation entre le tabes et la syphilis . Mon opinion se fonde sur ce que l'ou ne voit jam
ne voit jamais de ces malades atteints de l'accident initial de la syphilis ; ces sujets sont tiès nombreux pourtant; pourq
s plus énergiques dénégations, on découvre souvent la réalité de la syphilis . Sur 100 gommes du voile du palais, ne voit-on
ne voit-on pas 12 ou la cas dans lesquels on ne trouve pas trace de syphilis antérieure. Deux c is de trophoedème chronique
ale. Pas de paralysie, aucun signe de rachitisme. Aucun sligmate de syphilis . - Cet oedème congénital est, de plus, familial
1)'MMM<.S nosologiques en faveur des relations causales entre la syphilis el la paralysie générale. Jusqu'à présent les s
. et d'ordre nosolo.iclue. existe notamment des cas cliniques où la syphilis cérébro-spinale se 'complique d'altérations de
servation suivante : Il s'agit d'un malade, âgé de trente-huit ans. Syphilis en 1893, traitée par des frictions mercurielles
uve qu'il existe dans notre cas : 1° des altérations typiques de la syphilis médullaire (méningo-ulyéllte syphilitique); 2°
mme ces dernières lésions se sont développées dans le cours de la syphilis , on a le droit de les considérer comme étant d'oi
es conclusions suivantes : 1° On peut observer, dans le cours de la syphilis du système ner- veux centra), des lésions anato
tus apopleetiformes transitoires se rencontrent dans le cours de la syphilis et sont dus aux lésions paren- chymateuses dcs
euse généralisée du cerveau; 4° la combinaison des phénomènes de la syphilis tertiaire avec des-symptômes clini- ques isolés
- gique en faveur de la dépendance de la paralysie générale de la syphilis (acquise ou héréditarie), comme l'une des causes
r que la paralysie générale est telle- ment rare dans les cas de la syphilis avérée, qu'on a le droit de douter du diagnosti
grand nombre d'affections disparates : gale, maladies vénériennes, syphilis , etc. L'historique de la maladie est fait avec
DOUBLE. 373 ans, constitution, bien portant, pas alcoolique, pas de syphilis , se présenta à ma consultation en septembre 189
compliqués peuvent être exé- cutés. P. ¡(¡¡¡¡AVAL. LXVIII. De la syphilis comme cause de paralysie infantile cérébrale; p
et que les autres causes étaient prédisposantes, - entre autres, la syphilis des ascendants. Or, depuis il a observé trois 3
UE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ' cas dans lesquels, sans aucun doute la syphilis a été la cause de la maladie; il les résume. Qu
émoignent de l'idiotie, avec atrophie des nerfs optiques, dues à la syphilis héréditaire : elles appartiennent aux formes de
hez les enfants, avec quelques remarques sur le tabes greffé sur la syphilis héréditaire ; par L. de Dydynski. (Neurolog. Ce
es les symp- tômes tabétiques observés chez les enfants atteints de syphilis héréditaire ? par K. GUMPERTZ. (Neurolog. Cenlr
tellaires. Atrophie commençante du nerf optique à droite. C'est une syphilis héréditaire tardive, avec symptômes spinaux d'u
par Bergeron. R. C. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 393 LXXXVII. Syphilis du système nerveux; par B. ONU ! ' (Onuf¡'owicz)
portant de posséder des. données qui permettent de diagnostiquer la syphilis du système nerveux indé- pendamment des commémo
e ensuite quelle est la marche générale des symptômes nerveux de la syphilis . La dénomination de symp- tômes secondaires et
tômes secondaires et tertiaires est parfaitement applicable à la syphilis du système nerveux. On.appelle en outre métasyp
ur un ter- rain syphilitique. Un des caractères distinctifs de la syphilis ce sont les explosions de manifestations active
he alternante. Un autre point à noter c'est que les symptômes de la syphilis cérébro-spinale s'amendent facilement sous l'in
les cas, mais il ne faut pas oublier que les lésions créées par la syphilis sont loin d'être toujours irréparables. Enfin, l'
est toujours instructive et parfois pathogno- mouique : en cela la syphilis peut être rapprochée de l'hystérie. L'auteur ex
chée de l'hystérie. L'auteur examine ensuite sous quelles formes la syphilis céré- bro-spinale peut-se manifester : 1° Ménin
er une tumeur ; 3° Affections à foyers multiples : dans ces cas, la syphilis peut ressembler à la sclérose disséminée; le di
e dans la sclérose multiple : 4° Hémiplégie : forme fréquente de la syphilis nerveuse, souvent très accessible au traitement ;
lite : l'auteur se borne il la signaler n'ayant pas vu de cas où la syphilis l'ait simulée ; 10° Nerfs périphériques : la névr
r conclut qu'il y a des symptômes qui sont caractéris- tiques de la syphilis , mais qu'il n'en est aucun qui soit réellement
. L'ataxie spinale aiguë, non tabétique, est le résultat soit de la syphilis spinale, soit d'altérations séniles des artères e
. Elle a été mariée deux fois, son premier mari lui a communiqué la syphilis , elle avait alors vingt-quatre ans. Elle n'a eu
n résumé, voici une femme de quarante-trois ans, qui a contracté la syphilis à l'âge de vingt-quatre anus. Dans la suite, el
attaques d'épilepsie, chez : une femme qui paraît avoir contracté la syphilis , il y a vingt ans, n'ont rien qui doive nous ét
très grande majorité des cas, les manifestations convulsives de la syphilis cérébrale se présentent sous les .dehors de l'é
eptions; assez souvent on observe, en tant que manifestations de la syphilis des centres nerveux, des attaques de grand mal,
it sur l'étiologie de l'épi- lepsie et sur les manifestations de la syphilis cérébrale. Il est reconnu aussi qu'en pareilles
es lésions cérébrales diffuses. Rappelez-vous que les lésions de la syphilis cérébrale sont de trois ordres, et qu'on peut l
itemporale, soit homonyme, survenue en tant qu'épiphéno- mène de la syphilis cérébrale. Or, tandis que les deux premières ca
ortants. Son mari est affecté du tabes dorsal; il nie avoir eu la syphilis au cours de sa jeunesse. C ? n'a jamais eu ni c
xication quelconque. Elle se dit convaincue de n'avoir jamais eu la syphilis . Cependant, neuf mois après son mariage, elle a
tabes, maladie dont vous connaissez les étroites relations avec la syphilis . Sa maladie actuelle a débuté, il y a environ u
en progressant. En ce cas, j'inclinerai volontiers à incriminer la syphilis : les bons résultats du traitement spécifique c
emme, en admettant que sa maladie soit bien une conséquence de la syphilis . Symptômes communément associés A l'hémianopsie
... a eu la rougeole, dans son enfance. Il nie avoir con- tracté la syphilis . Il a toujours été d'unebonne santé, jusqu'en j
0 juillet 1901). 488 RECUEIL.DE faits. · vent fort difficiles. La syphilis notamment, pour des raisons faciles à comprendr
femme les premiers signes d'un tabes préparalytique. - , Mais la syphilis , ne peut être trouvée dans tous les cas, probab
indigent, d'instruction moyenne. Pas d'antécédents hérédi- taires. Syphilis contractée au régiment, pas d'alcoolisme. Marié
onne santé. Fut toujours bien portant. Pas alcoolique, pas trace de syphilis . Marié en 1878, il eut deux enfants actuellemen
quinze années d'excès' alcooliques et vénériens elle a contracté la syphilis . Observation III. flom ! 1/e de quarante-huit a
yenne, sans antécédents héréditaires, non alcoolique, pas traces de syphilis . Marié en 1877, il a eu une fille. Le 8 mars
-neuf, douze, huit, six et quatre ans. Non alcoolique, pas trace de syphilis . Il y a cinq mois, sans cause connue, il eut un
d'obtenir des renseignements précis, surtout lorsqu'il s'agit de la syphilis que l'un des conjoints, s'il a été infecté, a t
unité étiologique de la paralysie géné- rale : dans la première, la syphilis nous paraît seule en cause, nous n'y trouvons;
gnificatifs à ce point de vue. Dans Y observation II, le rôle de la syphilis est moins cer- tain, encore que l'on doive y pe
che; a-t- elle été infectée à cette époque et lui a-t-elle donné la syphilis ? Nous n'avons pu élucider ce problème. L'alc
ause que nous y ayons relevée. Dans le quatrième cas, ni alcool, ni syphilis , un trauma- tisme crânien a été la cause ou tou
at d'une simple coïncidence. Si dans les deux premiers cas, où la syphilis conjugale paraît enjeu, le lien est évident, le
elle de Hint- zing, celle de Weil. Quelle en est la genèse ? . La syphilis se voit dans la paralysie agitante comme dans le
54,5 p. 100 étaient plus ou moins grevés de tares héréditaires. La syphilis et la tare héréditaire sont donc, pour l'auteur
teur, d'importants facteurs de paralysie générale, mais pour que la syphilis agisse, il faut une invalidité congénitale du cer
une invalidité congénitale du cerveau : sur ce terrain seulement la syphilis agira s'il s'y joint plusieurs causes dites occ
Reste à définir l'invalidité du cerveau. Quand, ce qui est rare, la syphilis ou une autre cause suffit à engendrer la paraly
eut aussi avoir lieu dans le cas de constitution congénitale sans syphilis . Prédisposition cérébrale et tare héréditaire ne
son. Les principales causes détermi- nantes sont l'alcoolisme et la syphilis . Les prostituées aliénées présentent toutes des
131. Voir Fibres 111US- culaires. Etat atrophique de la - dans la syphilis spinale chro- nique, par Long et Wiki, 143. D
nnois, 375. Synergie cérébelleuse, par Grasset et Calmette, 90. Syphilis . Voir Tabès. Réveil grave d'une -ancienne sous
aphie, par Dupré et Devaux, : 0. - dorsal, par Dana. 51. Rôle de la syphilis dans l'étiologie du - , par Anpllimow. Gi.- 1'1
7 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
rappelle pas avoir été malade étant petit, ni plus tard. Il nie la syphilis et toute espèce d'habitudes alcooliques. Il est c
eu la fièvre typhoïde et lés fièvres intermittentes. Il n'a pas eu la syphilis . Jamais il n'a abusé des boissons alcooliques.
malade; il ne présente pas de signes d'alcoolisme et n'a jamais eu la syphilis . Fig. 16.— Tremblement hystérique vibratoire ch
s ou acquis, ne suffît sans doute pas à lui seul pour affirmer que la syphilis est en jeu. Mais vous n'ignorez pas qu'en dehors
ue la syphilis est en jeu. Mais vous n'ignorez pas qu'en dehors de la syphilis , certaines lésions irritatives ou exsudations chr
bres ni la face ; pas d'épilepsie partielle. Pas de signes actuels de syphilis , acquise ou héréditaire. Rien dans le passé qui l
autonome, indépendante, dont l'étiologie sera plus ou moins évidente ( syphilis , diphthérie) ou, au contraire, restera dans l'omb
six litres; il supporte bien la boisson ; il ne s'enivre pas. Pas de syphilis . A seize ans, il contracta la fièvre typhoïde.
cédents héréditaires personnels, il n'y avait rien à signaler: pas de syphilis , pas d'alcoolisme, pas de saturnisme. \i) Déjer
de poitrine; étant plus jeune il était déjà sujet aux rhumes; pas de syphilis ; pas d'alcoolisme; rarement quelques cauchemars
iquement. Mais alors la tuberculose— il ne faut point songer ici à la syphilis — serait-elle donc en jeu? Eh bien, non. Pour éch
e, il devint garçon de café dans des lieux interlopes et contracta la syphilis . C'est alors qu'il fut témoin d'une tentative d'a
l'empêcher de dormir. Naturellement, on attribua cette céphalée à la syphilis . Mais toute céphalée vespérale n'est pas forcémen
alée incontestablement hystérique, a fait considérer comme atteint de syphilis cérébrale. Chez notre second malade, l'hémiplég
et trop souvent impuissants moyens de traitement. XIX. Un cas de syphilis cérébrale héréditaire tardive (1). Sommaire. —
syphilis cérébrale héréditaire tardive (1). Sommaire. — Rôle de la syphilis dans 1 etiologie de l'hémiplégie. Importance du s
le » dans le diagnostic de l'hémiplégie syphilitique. Lésions de la syphilis cérébrale. Historique. Plaques gom-meuses des mén
Névrite optique. Autres lésions syphilitiques : œil, oreille, nez. Syphilis héréditaire. Influence souvent décisive de la thé
tous les points, ce jugement hâtif et provisoire. Oui, c'est bien la syphilis qui est en jeu dans ce cas • oui, (1) Leçon rec
iculier. Tout porte à croire, en effet, qu'il ne s'agit pas ici de la syphilis acquise, mais bien d'un de ces cas de syphilis hé
e s'agit pas ici de la syphilis acquise, mais bien d'un de ces cas de syphilis héréditaire tardive que nous avons appris à conna
s qui nous ont amenés à reconnaître que, chez elle, tout relève de la syphilis et qu'il convient d'instituer sans tarder un trai
as d'épilepsie partielle chez un adulte, il y a lieu de songer que la syphilis est possible. Il y a lieu d'espérer, de désirer m
d'espérer, de désirer même qu'elle existe, car, si cela était, si la syphilis était enjeu, si les convulsions épileptiformes qu
crois utile de vous rappeler ici ce que fanatomie pathologique de la syphilis cérébrale enseigne en pareil cas. Règle général
cérébrale enseigne en pareil cas. Règle générale, les lésions de la syphilis cérébrale sont des lésions méningées, et, dans la
. ces lésions basales qui peuvent être les seules observées dans la syphilis du cerveau, et qui, d'autre part, ne manqueraient
art, par une hémihypoesthésie droite qui semble indiquer que, dans la syphilis , l'hystérie peut se mettre de la partie sous l'in
ues. Mais, m'objecterez-vous, vous avez supposé assez gratuitement la syphilis cérébrale, la pachyméningite gomnieuse. Tout cela
ue vous rencontrerez une céphalée de ce genre, vous pourrez dire : la syphilis est en cause; il y a pachyméningite gommeuse, et
aître. Il y a, en effet, des exemples du contraire, et M. Fournier ( Syphilis du cerveau, p. 87) en a cité plusieurs. Mais, ce
clinique une telle céphalée, vous pourrez affirmer à coup sûr que la syphilis est en jeu. Je sais bien que dans la névrose hyst
l importait, en tout cas, de rechercher attentivement l'origine de la syphilis supposée. Or, de ce côté, les recherches les plus
ngite básale qui doit se trouver à peu près régulièrement clans toute syphilis cérébrale. Voilà donc encore, en outre de la céph
ue. J'ajouterai que cette atrophie paraît être un des attributs de la syphilis héréditaire tardive (Hutchinson, Fournier.) Mai
syphilitique et un stigmate de première valeur dans l'histoire de la syphilis héréditaire tardive, un de ceux que l'on y rencon
plus fréquemment, d'après les statistiques de M. Fournier. Donc la syphilis est bien établie, péremptoirement établie par l'e
ge de quatorze ans (chute des cornets), les premières atteintes de la syphilis . Il y a tout lieu de croire, par conséquent, et
d'après leur nature même (rhinite, choroïdite), que c'est d'un cas de syphilis héréditaire tardive qu'il s'agit. Il ne me rest
ien ! ces antécédents ne nous éclairent nullement sur l'origine de la syphilis ; de ce côté, nous n'avons rien appris. Mais nous
d'hérédité m'ont paru intéressants à souligner. En effet, n'a pas la syphilis cérébrale qui veut. Quelques auteurs ont remarqué
Quelques auteurs ont remarqué déjà que, parmi les sujets atteints de syphilis du cerveau, il en est un certain nombre qui sont
e, M. Fournier, et moi, il y a près de quinze ans, à une époque où la syphilis cérébrale était encore dans les limbes, n'oublion
rois, quatre, cinq grammes par jour. Mais n'oubliez pas que, dans ces syphilis tertiaires du système nerveux, l'intervention du
t joignez à l'iodure les frictions mercu-rielles. Quand on parle de syphilis cérébrale en général, il ne faut pas thérapeutiqu
uronné de succès (1). Mais nous ne devons pas oublier qu'il s'agit de syphilis héréditaire, plus tenace certainement que la syph
qu'il s'agit de syphilis héréditaire, plus tenace certainement que la syphilis acquise, et que, l'épilepsie disparue, tout ne se
s pour lesquelles elle était entrée à l'hôpital. Encore deux cas de syphilis cérébrale (I). Sommaire. — Variétés de la syphi
core deux cas de syphilis cérébrale (I). Sommaire. — Variétés de la syphilis cérébrale. Artérite syphilitique ; le ramollissem
d'un malade de ce genre. Cécité verbale avec hémiopie et agraphie. Syphilis cérébrale par pachyméningite gommeuse. Epilepsie
urs, Dans la précédente leçon, nous avons étudié ensemble un cas de syphilis cérébrale (2) qui vous a montré cette affection s
édical, une paralysie des muscles de l'œil chez une femme atteinte de syphilis héréditaire. peut espérer, vous disais-je, la g
e vais examiner avec vous sont également, à mon avis, des exemples de syphilis cérébrale, mais le tableau est si différent dans
rties de l'encéphale. C'est que, dans l'anatomie pathologique de la syphilis cérébrale que j'ai esquissée devant vous, mardi d
ez tous ces accidents, allez-vous me dire, comme la conséquence de la syphilis cérébrale. Nous ne voyons-là que des méfaits vulg
uel, des caractères décisifs ? Tout d'abord, cet homme a-t-il eu la syphilis ? Oui, incontestablement. Il a eu vers l'âge de di
ant quatre mois. Il a donc eu la vérole, et c'est, par conséquent, de syphilis acquise qu'il s'agit, contrairement au cas de l'a
lis acquise qu'il s'agit, contrairement au cas de l'autre jour, où la syphilis héréditaire était en cause. Mais vingt-sept ans,
ournier, Mauriac, Rumpf et autres auteurs où on voit l'éclosion de la syphilis du cerveau la mieux avérée se faire vingt-cinq, t
re vingt-cinq, trente ans et plus après l'apparition du chancre. La syphilis , chez cet homme, est donc bien authentique ; c'es
uit d'une façon lente, progressive ou successive. » (Fournier, in: La syphilis du cerveau, p. 463.) Mais sachez bien que tout
encontre pas dans le ramollissement cérébral vulgaire. Évidemment, la syphilis était là présente, et c'est au cours de cette cép
moi vous dire cependant que toutes les hémiplégies cérébrales dans la syphilis n'ont ni cette signification ni ce caractère de g
survenu sans signes prodrômiques. Espérons, vous disais-je, que la syphilis est en jeu. Il nia d'abord tout accident spécifiq
le de phénomènes, il n'est pas téméraire, je pense, d'affirmer que la syphilis est en cause. D'ailleurs, ce diagnostic se trouve
et versé dans la connaissance approfondie des moindres indices de la syphilis cérébrale, si on veut épargner aux malades, qui v
helxipodc (de é.x.w, traîner) chez le second. 363 XIX. Un cas de syphilis cérébrale héréditaire tardive. (Leçon). Somma
is cérébrale héréditaire tardive. (Leçon). Sommaire. — Rôle de la syphilis dans l'étiologie de l'hémiplégie. Importance du s
le » dans le diagnostic de l'hémiplégie syphilitique. Lésions de la syphilis cérébrale. Historique. Plaques gom-meuses des mén
Névrite optique. Autres lésions syphilitiques : œil, oreille, nez. Syphilis héréditaire. Influence souvent décisive de la thé
rapeutique. Pronostic..................370 XX. Encore deux cas de syphilis cérébrale. (Leçon). Sommaire. — Variétés de l
ux cas de syphilis cérébrale. (Leçon). Sommaire. — Variétés de la syphilis cérébrale. Artérite syphilitique ; le ramollissem
d'un malade de ce genre. Cécité verbale avec hémiopie et agraphie. Syphilis cérébrale par pachyméningite gommeuse. Epilepsie
lie dans la syringomyélie, 359. Choroïde : atrophie de la — dans la syphilis héréditaire tardive, 3o0. Compression de la moe
66; — pronostic, 369. I Intelligence : troubles de 1'—, dans la syphilis du cerveau, 390. L Lèpre, 7; Dissociation syr
poplité dans la scia-tique, 127, 169, 179. Névrite optique dans la syphilis cérébrale, 380. Nez : lésions du — dans la syph
optique dans la syphilis cérébrale, 380. Nez : lésions du — dans la syphilis héréditaire tardive, 381. Noyaux bulbaires des
ns la — 360 ; Chiro-mégalie dans la —, 359 ; — et aeromégalie, 358. Syphilis cérébrale, 380,385 ; — héréditaire tardive 370; —
a —, 370. 386; Pronostic de la —, 385 ; Traitement de la —. 383, 395. Syphilis héréditaire tardive : cérébrale, 370; Atrophie ch
8 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
sont morts jeunes. De sa seconde femme il n'a pas d'enfants. Nie la syphilis . Son père est mort d'une maladie du cerveau, sa
mbres inférieurs surtout le gauche commencèrent à maigrir. Pas de syphilis ; en 1892, il fait une fièvre typhoïde avec une ps
nsation de serrement de l'abdomen. On ne constate ni tuberculose ni syphilis . Le diagnostic de la tumeur médullaire au niveau
es se contractèrent aussi. Il n'avoue pas d'autres maladies, pas de syphilis . Sa femme n'a pas eu de fausses couches. Il y a
is au traitement spécifique 154 FLATAU (il y a 4 ans il acquit la syphilis ) et prenait des bains sulfureux. Après ce trai-
élimine par gouttes. Le malade n'a pas eu d'autres maladies, pas de syphilis ; 4 enfants bien portants. Sa femme n'a pas eu de
onna beau- coup aux femmes ; il nie avoir jamais été atteint par la syphilis ; à 26 et 38 ans il eut deux fois la blennorrha
intelligence supérieure à la moyenne. Il n'a jamais été atteint de syphilis ; on a dit qu'il avait souffert d'une blen- nor
ng nécessaire pour pratiquer la séro-réaclion de Wassermann pour la syphilis . Pour le deuxième cas, nous avons appris que to
uxième cas, comme nous venons de le dire, on pourrait soupçonner la syphilis chez la mère, étant donné le fait de la mort de
s altérations du bassin. Au second appartiennent le myxoedème et la syphilis héréditaire et ici ce seraient les dérangements
ssible de faire une telle comparaison. La tuberculose, ainsi que la syphilis , sont des maladies bien déter- minées, dont l'o
foie et des reins ; dans d'autres cas on a constaté avec sûreté la syphilis chez la mère. Mais ce sont des exceptions rares
sme représente essentiellement une forme tardive ou ultratardive de syphilis héréditaire. Dans les cas, et ceux-ci constituent
o-rachidien des malades, la preuve, on peut dire péremptoire, d'une syphilis acquise, aussi ancienne qu'elle puisse être ou
syphilis acquise, aussi ancienne qu'elle puisse être ou même de la syphilis héréditaire. Or, cette réaction nous a donné, d
e cas la réaction de Wassermann ayant été complètement négative, la syphilis héréditaire, la syphilis acquise et même la mét
ermann ayant été complètement négative, la syphilis héréditaire, la syphilis acquise et même la métasyphitis doivent être mise
; par conséquent que le pagétisme n'est pas nécessairement lié à la syphilis . C'est donc par des faits négatifs que la patho
Directeur : Prof. G. 111'(GA7.lIN[. OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA. SYPHILIS CÉRÉBRALE PRÉCOCE ET MALIGNE . PAR F. COSTA
démon- tré que le système nerveux central peut être attaqué par la syphilis déjà dans les deux premières années et même pen
edt, lesquels font déjà, dans leurs monographies, mention de cas de syphilis cérébrale s'étant développée dans une période p
eux premières années après l'infection comme étant le domaine de la syphilis précoce. Il ne faut pas oublier non plus Oppenh
m et Gowers. Le premier dit qu'aujourd'hui plus que par le passé la syphilis attaque le système nerveux, non seulement fréquem
dans une période précoce. Le second fait osciller les limites de la syphilis cérébrale entre les 6 mois et les 12 ans qui suiv
'après sa statistique la fréquence relative de la précocité dans la syphilis du système nerveux central, la- quelle, selon l
n'a pas recueilli moins de 26 ohser- OBSERVATIONS CLINIQUES SUIT LA SYPHILIS CKRÉBRADS ' 287 vations de syphilis cérébrales,
OBSERVATIONS CLINIQUES SUIT LA SYPHILIS CKRÉBRADS ' 287 vations de syphilis cérébrales, dans lesquelles les premiers symptôme
rurent entre 3 et 18 mois après le syphilome initial. Sur 40 cas de syphilis cérébrale cités par Rumpf, 9 se développèrent p
écoce n'est pas rare. Parmi les observations les plus détaillées de syphilis cérébrale précoce connues jusqu'ici, je résumer
ions purement cliniques. Kahler, à l'autopsie d'un individu mort de syphilis cérébrale, alors que l'ulcère initial n'était p
, le patient mourut. L'autopsie fit relever une forme vasculaire de syphilis cérébrale avec un ramollissement dans la partie
na un résultat négatif. Mingazzini, dans son premier travail sur la syphilis cérébrale précoce et maligne, rapporte (Beob. I
ies, des troubles psychiques, et mal- OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA SYPHILIS CÉRÉBRALE 289 gré un traitement énergique d'inj
plus récent sur le même sujet, fit con- naître trois autres cas de syphilis cérébrale précoce et maligne, observés durant l
ole. Outre Mingazzini, Panichi a aussi publié en Italie deux cas de syphilis cérébrale précoce et maligne. Le premier de ces
s après l'infection, soignée au moyen OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA SYPHILIS CÉRÉBRALE 291 de composés mercuriels et de iodu
Enfin, Nonne, dans la dernière édition de son traité z1909) sur la syphilis du système nerveux, rapporte (Beob. 46) le cas d'
ob. 46) le cas d'un officier su- balterne de 54 ans chez lequel une syphilis cérébrale donna, quatre mois déjà après l'infec
l nne phléhosclérose. 292 COSTANTINI Ayant ainsi parlé des cas de syphilis cérébrale précoce et maligne fournis de données
vie des sujets. Gilles de la Tourette a fait connaître le cas d'une syphilis très diffuse et grave des méninges cérébrales e
miplégie gauche, dix mois après l'in- OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA SYPHILIS CÉRÉBRALE 293 fection syphilitique qui fuf soig
tions suivantes. 1° (Obs.113). Homme robuste qui, à 3 ans, prit une syphilis soignée seulement d'une manière irrégulière. Si
s et sur la cure. Il y a quelques années, Kreibich publia un cas de syphilis cérébrale, dans lequel les premiers symptômes a
intense. Mais le malade continua toujours à présenter des signes de syphilis cérébrale. Nonne, dans la dernière édition (190
-même l'occasion d'observer à l'Asile des aliénés de Rome un cas de syphilis cérébrale qui s'était développée quatre mois aprè
existant avec une éruption maculo-pa- OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA SYPHILIS CÉRÉBRALE 295 puleuse diffuse. Un second cas d'
de j'épitrochiée : 22 centimètres. Le OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA SYPHILIS CÉRÉBRALE 297 patient ne réussit pas à étendr
sais spéciaux, la suggestion est évi- OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA SYPHILIS CÉRÉBRALE 299 dente, mais en dehors de celle-ci
ourut quelques mois après. Il s'agit donc dans les deux cas d'une syphilis cérébrale grave, qui s'était développée déjà da
devoir démontrer que dans les deux cas il s'agissait réellement de syphilis et selon toute probabi- OBSERVATIONS CLINIQUES
t de syphilis et selon toute probabi- OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA SYPHILIS CÉRÉBRALE 301 lité, d'une arteritis luetica -et
eux cas, ontdonné le caractère de pré- cocité et de malignité si la syphilis du cerveau. Les moments étioiogiques, qui. dans
peu de chose sur l'importance de l'hérédité névropa- thique dans la syphilis du système nerveux central en généra)abstraction
ditaire certaine,névropathique ou psychopa Inique : Sur 185 cas de syphilis cérébrale, spinale et cérébro-spinale, 24 fois
l'influence de la tare héréditaire sur celle formeparticulièrede la syphilis cérébrale. L'importance de cette hérédité sur l
s la littérature, on déduit que sur 37 cas, y compris les miens, de syphilis cérébrale précoce et maligne, dont on con- naît
donc avec raison que Mingaz- zini affirme que la moitié des cas de syphilis cérébrale précoce et maligne se développent ent
ent que, bien qu'un dénouement malheureux puisse avoir lieu dans la syphilis cérébrale, quel que soit l'âge auquel est surve
ouement est d'autant plus facile que l'âge auquel fut contractée la syphilis était plus avancé. En considérant les cas ci-dess
e la moitié des cas examinés, on eut ce dénouement fatal lorsque la syphilis fut contractée après 35 ans. Ce qui esten parfa
me Finkelnburg, qui trouve pareillement dans l'âge avancé auquel la syphilis fut prise, un des facteurs principaux de la gra
advint l'infection une des principales causes de la malignité de la syphilis cérébrale. Cela est encore d'accord avec les vu
question de l'influence de l'âge avancé sur le développement de la syphilis cérébrale précoce et maligne se lie intimement à
plus haut, et qui a déjà été remarqué OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA SYPHILIS CÉRÉBRALE 303 par d'autres auteurs (Althaus, Ne
e fait explique à son tour un autre-caractère de la malignité de la syphilis cérébrale précoce, c'est-à-dire' : « la rapide su
Lochte est arrivé. Selon les études de cet auteur, non seulement la syphilis des alcooliques est souvent grave, mais l'intox
n à de continuelles poussées, favorisant l'apparition précoce de la syphilis pustuleuse et ulcéreuse, et conduisant précocemen
atistique de Tarnowski, selon laquelle sur 100 patients affectés de syphilis cérébrale, pas moins de 43 étaient des buveurs
ut donc déduire que, quand des individus alcooliques contractent la syphilis dans un âge avancé, on doit être très réservé d
de neuropathologis- tes. Pareillement Virchow avait remarqué que la syphilis se localise de préférence dans les parties « af
le traumatisme. Du reste, l'importance de ces traumatismes pour la syphilis cérébrale a été reconnue par un grand nombre d'
luence des chocs traumatiques de la tête sur le développement de la syphilis cérébrale, se basant sur sa propre expérience,
D'autre part, dans la nouvelle édition (1909) de son Traité sur la syphilis du système nerveux, il rapporte deux cas qui lui
e une comédienne de 31 ans soignée à l'hôpital deEppendorf pour une syphilis 304 COSTANTINI cérébrale (céphalalgie, ! conv
hoc traumatique peut créer un locus minoris resistel1tiæ, et que la syphilis cérébrale peut succéder à un choc de la lête; d'a
ortance des chocs traumatiques eux-mêmes sur le développement de la syphilis cérébrale ; en général, on n'en parle pas d'une m
en général, on n'en parle pas d'une manière parti- culière dans la syphilis précoce et maligne, mais il n'y aurait aucune r
iamétra- lement opposée, soutenant qu'un traitement énergique de la syphilis ne prévient ni ne retarde les affections métasy
sur le tabes chez les femmes, soutient que la cure spécifique de la syphilis n'a aucune valeur par rapport à la prévention d
fisant ou énergique a la même valeur. OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA SYPHILIS CÉRÉBRALE 305 Rnmpf, au contraire, et avec lui
ment fut mal dirigé. Oppenheimditque.de deux personnes atteintes de syphilis , vu l'égalité des autres conditions, celle qui
tement insuffisant. Schuster a rédigé une statistique de il) cas de syphilis cérébro-spinale avec syphilis déclarée dans l'a
rédigé une statistique de il) cas de syphilis cérébro-spinale avec syphilis déclarée dans l'anamnésie, et de 24 cas dans le
s'il convient, au moins en ce qui concerne le moyen de prévenir la syphilis du système nerveux, de soumettre à une cure spéci
à une cure spécifique, non exempte d'ennuis, un individu atteint de syphilis . Un soupçon de ce genre ne paraîtra pas puéril,
oint : l'on ne doit pas tirer de ces résultats la conclusion que la syphilis doive être traitée avec moins d'intensité. »
écifique se montre parfois insuffisant à prévenir ou à retarder une syphilis cérébrale. Et c'est surtout évident dans la syp
à retarder une syphilis cérébrale. Et c'est surtout évident dans la syphilis cérébrale précoce et maligne, dans laquelle, de n
ait qui souvent nous donne un autre caractère de la malignité de la syphilis précoce. En effet, les premiers symptômes céréb
aît d'autres qui sont rebelles à tout OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA SYPHILIS CÉRÉBRALE 307 traitement et qui souvent mènent
tômes existants ou la manifestation de nouveaux symptô- mes dans la syphilis cérébrale précoce et maligne, nous ne la connaiss
lésions. * Tare héréditaire névropathique, âge où fut contractée la syphilis , alcoolisme chronique, cure spécifique nulle ou
s les plus importants qui aient été pris en considé- ration dans la syphilis cérébrale précoce et maligne. Mais les auteurs pa
sale. Ainsi, Lang affirme que chez beaucoup d'individus affectés de syphilis précoce, maligne, il y avait avant la contagion
. Lang affirme aussi que ceux dont les ancêtres étaient indemnes de syphilis sont frappés gravement par cette infection à ca
ans d'autres cas, la virulence plus grande de l'agent syphilitique ( syphilis à virus nerveux), capable de résister à un trai
ues aux- quels on doit attribuer la précocité et la malignité de la syphilis cérébrale. Il peut parfois venir s'y mêler d'au
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eniatria, 1902, fasc. IV. PICK. - Zur Kennlniss der cerebrospinalen Syphilis . Zeitschr. fez Heilk., Bd. XIII, H. 4 et 5. T
isysielils. Wiesbaden, 1S87, SCHUSTER. 1/al die lig. Behandlung der Syphilis Einfluss au/ das Zuslandekomten vietasyphilitts
he med. \V ochenschr" 1907, no 50. Spindler. Hat die Behandlung der Syphilis Einfluss au/ das Zuslarzdekonznzen niela6y- phi
faveur d'une tu- meur. L'absence de tout signe de tuberculose ou de syphilis rendait ce diagnostic plus probable. La local
rsonnelle et celle des antécédents on ne trouve ni tuber- culose ni syphilis . Les membres supérieurs se paralysent de plus en
e éliminait beaucoup d'urine (normale). Le diagnostic fut posé de syphilis cérébrale et de diabète insipide. Le trai- teme
un état pathologique). Nous avons posé le diagnostic dans ce cas de syphilis cérébrale. Pen- dant le dernier séjour de la ma
contre avaient des lésions profondes et bien caractéristiques de la syphilis . Ce cas nous montra aussi combien minime est pa
mère, primipare, âgée de 19 ans, est bien constituée. Pas trace de syphilis . Aucun cas analogue dans la famille. Tuberculos
teint antérieurement d'affections véné- riennes, et probablement de syphilis . La femme G... affirme que son mari était sujet
ention ; le père n'était pas alcoolique et n'avait pas contracté la syphilis . La mère n'avait jamais fait de fausses couches
iagnostic de Wassermann (déviation du complément) : négatif pour la syphilis . Examen chromoctttomélrique du sang. Globules r
la méthode classique, donne un résultat absolument négatif pour la syphilis . Examen des urines. - Quantité : 400 grammes. C
de Pott, carie de la hanche, péritonite chronique (obs. p. IV). La syphilis est rarement avé- rée (Ilirtz et Lemaire ? ).
issement progressif insidieux tardif des os longs. (2) Parrot, La syphilis héréditaire et le rachitisme, Paris, Masson, 1886
of the spinal cord. Lancet, 1907, p. 139. BAUMGAXTEN. Uber gummose Syphilis des Gehirns und Rl/I;kenmal'l,s. Virchow's Arch.,
tramedulldrem Tumor. Miinchner med. Wochenschr., 13, 1909, p. 680 ; Syphilis und Nervensystem, 1909, p. 362. OnEIIXDùIlFFRR.
bien certain cependant que les altérations décrites relèvent de la syphilis . Des études approfondies, des démonstrations mi
e d'aortes provenant de quelques paralytiques généraux, d'un cas de syphilis célé- brale diffuse et de deux cas d'anévrysmes
e. Intellectuel travaillant beaucoup, pas d'excès d'alcool, a eu la syphilis entre 20 et 30 ans. Mort subite dans une attaque
if, pas d'excès d'alcool, mais étant d'un pays où on boit volontiers. Syphilis non connue. Mort subite dans une attaque d'apop
ans, ouvrière, hérédité tuberculeuse chargée. Misère physiologique. Syphilis antérieure remontant à quelques années. La mala
onfir- mé par l'examen anatomique, permit de poser le diagnostic de syphilis céré- brale diffuse. Les lésions aortiques, com
oyenne passe avant d'atteindre la cicatrice définitive. Le cas de syphilis cérébrale diffuse relaté présentait des lésions a
otiques (Timidité des - essai de pa- thogénie), par Bernard, 224. Syphilis cérébrale précoce (Observations cliniques sur l
pl.), 233,429, 5-il, 685. CosTwTm. Observations cliniques sur la syphilis cérébrale précoce et maligne, 286. DEBouis et
9 (1911) La pratique neurologique
or- tants de la thérapeutique en Neurologie : le traitement de la Syphilis et de ses manifestations nerveuses; le traitement
aire ou diffuse, leur siège central ou périphérique, leur na- ture ( syphilis , tuberculose, tumeur, traumatisme) sont susceptib
beaucoup de ces affections sont le fait de la tuberculose et de la syphilis . La tuberculose peut donner naissance à des lés
de la température qu'on peut arriver au diagnostic véritable. La syphilis produit des gommes syphilitiques, lésions nodulai
et particulièrement du tabes, causes fréquentes d'hémia- nopsie. La syphilis est si souvent en cause dans les affections nerve
sont toujours sé- rieuses. Cependant, on en voit, surtout en cas de syphilis , guérir défini- tivement. D'autre part, l'hémia
X DE L'APPAREIL OCULAIRE. de l'hémianopsie, suivant qu'il s'agit de syphilis contre laquelle on peut beaucoup, de tuberculos
t. Localement, il n'en existe pas. Seul, le traitement de la cause ( syphilis , tuberculose, tabes), est à instituer. Lacunes
re progressive. Dans certaines conditions, particulièrement dans la syphilis et dans quelques maladies nerveuses, on voit se
alysies dissociées. Tumeurs cérébrales (base). La tuberculose et la syphilis (li 10), sont les causes les plus fréquentes. R
pour le traitement. Méningite. C'est encore la tuberculose et. la syphilis qui sont le plus souvent en cause. La méningi
s. - Diphtérie : le plus souvent l'ac- commodation est prise seule. Syphilis : peut présenter toutes les variétés. Scarlatin
tions ou intoxications au premier rang desquelles il faut placer la syphilis . IV TROUBLES PUPILLAIRES Modifications des
ouveau par paralysie et, perd toute réaction. Infections générales, syphilis , diphtérie. La diphtérie agit de préférence sur
on), mais peut en même temps provoquer une mydriase paralytique. La syphilis amène la mydriase paralytique, avec ou sans par
lésion appréciable du système nerveux. Elle a pour le diagnostic de syphilis une valeur séméiologiquc considérable. A côté d
rouvez aucune affection nerveuse systématisée, rappelez-vous que la syphilis produit la mydriase souvent très près de son dé
ble. Neuf fois sur dix une mydriase para- lytique est le fait de la syphilis ou d'une affection nerveuse comme le tabès ou l
tions générales : Urémie, intoxication par l'opium, la nicotine. La syphilis , dans certains cas, agit peut-être de la même m
équentes dans lesquelles le myosis se voit très sou- vent, c'est la syphilis cérébrale et spinale, le tubes et la paralysie
sions ner- veuses variées, mais il faut savoir que c'est surtout la syphilis qui en est la cause la plus habituelle. Myosi
- veatse, plus particulièrement le tabès, la paralysie générale, la syphilis cérébro-spinale sous toutes ses formes. Inéga
la première manifestation du tabès, de la paralysie générale, de la syphilis cérébro-spinale. Certains, Babinski entre autre
Certains, Babinski entre autres, le considèrent comme un signe de syphilis nerveuse. Et, de fait, presque toutes les affecti
s nerveuses dans lesquelles on le rencontre ont été précédées de la syphilis . C'est au point que le signe d'Argyl Robertson,
'Argyl Robertson, isolé ou associé, doit toujours faire penser à la syphilis . On ne peut cependant affirmer qu'il n'existe p
intrinsèques ou extrinsèques du globe oculaire (type associé). La syphilis donne plus fréquemment que la diphtérie, des para
que l'iris peut être touché, l'accom- modation restant intacte. La syphilis peut atteindre isolément la mus- culature intri
ne sait pas exactement sur quels points du système nerveux agit la syphilis dans ces paralysies. Probablement sur les noyaux
thèse permet d'expliquer la paralysie dissociée du M. 0. C. Mais la syphilis pourrait aussi bien agir sur les branches périphé
du ptosis congénital ne se retrouve pas toujours. Souvent c'est la syphilis . Vertige paralysant de Gerlier. - Cette affecti
ves. Traitement. Il faut traiter l'affection qui a causé le ptosis ( syphilis , intoxications, etc.). Dans certains cas, l'éle
: névrite optique, paralysies oculaires, symptômes de méningite. Syphilis cérébrale héréditaire, maladie de Friedreich, Ilé
de trouver chez des malades pour la plupart déjà âgés, ayant eu la syphilis et des affections diverses du naso-pharynx. (
seulement répéter ses interlocuteurs et celui qui, à la suite d'une syphilis du labyrinthe ou d'une méningite, présente une
e est favorisée par des lésions vasculaircs anté- rieures dues à la syphilis , au diabète, il la teucocytemie, a l'hémophilie.
ouverons plus loin le nystagmus dont l'importance est réelle. .5° Syphilis . C'est une cause fréquente de surdité par lésions
apyrétique susceptible de produire une surdité aussi brusque que la syphilis «.Bien que quelques cas puissent s'amender sous
ne), le pronostic est défavorable. Nous n'avons parlé ici que de la syphilis acquise de l'oreille interne. La syphilis héréd
avons parlé ici que de la syphilis acquise de l'oreille interne. La syphilis héréditaire peut également atteindre le labyrinth
té; chez les enfants plus âgés, de 8 a 15 ans, c'est-à-dire dans la syphilis héréditaire tardive, la surdité s'installe plus
la même symptomatologie que dans les formes rapides ou lentes delà syphilis acquise. On sait d'ailleurs que c'était l'otite
mple dans le tabès, ainsi que nous l'avons indiqué précédemment. La syphilis dont nous venons d'étudier l'action sur le laby
sa boisson. - La cacosmie peut être réelle, liée par exemple à la syphilis ou àl'ozène; mais le plus souvent elle est pure
ses, utenin- gites, tabès, sclérose en plaques, tumeurs cérébrales, syphilis , etc.), qui éclairciront le diagnostic étiologi
méningites, de maladies infectieuses aiguës ou de leucocythemie, de syphilis , de néphrite, d'art ério-sclérose, etc. Dans le
o-spinale ou tuberculeuse, de la pachyméningite hémorragique, de la syphilis cérébrale ou méningée, au cours et surtout au d
u des centres nerveux), de la lymphocytose (méningite tuberculeuse, syphilis ), de la pôlynucléose avec microbes variables (m
observer des phénomènes analogues (torpeur, sommeil) au cours de la syphilis nerveuse; mais celte éventualité demeure exceptio
le, l'insomnie, plutôt que le sopor, étant (le règle au cours de la syphilis cérébrale. Dans la paralysie générale au contrair
La thérapeutique prophylactique est fort utile. L'alcoolisme et la syphilis sont les facteurs les plus importants dans l'étio
hydei-miquc - (BOUlE'iEVILI.E) . IDIOTIES. 275 5 Le rôle de. la syphilis est tout à fait minime; le rôle des intoxications
dans les différentes paraplégies médul- laires (par compression ou syphilis ) ; dans les polynévrites et enfin dans l'hystér
tébral, par luxation ou fracture du rachis), ou spontanée (tumeurs, syphilis ou tuberculose des os, des méninges, de la moel
ssu conjonctif, des méninges, de la moelle; par myélite transverse, syphilis médullaire, mal de Pott, etc.). Caractères. Dan
ortance capitale par sa fréquence et par son intensité : ce sont la syphilis cérébrale et les tumeurs du cerveau. Dans la sy
: ce sont la syphilis cérébrale et les tumeurs du cerveau. Dans la syphilis , la céphalée peut s'observer soit il la période s
Qu'elle soit précoce ou tardive dans son apparition au cours de la syphilis , elle se présente toujours avec certains caract
iode tertiaire, la céphalée est un des symptômes prédominants de la syphilis cérébrale (forme artérielle ou méningée). On l'ob
/tf/(w/i7f.s' chroniques ; elle se rencontre souvent au cours de la syphilis spinale; la rachialgie syphilitique présente les
parler des dysesthésies de la pé- riode tout à fait initiale de la syphilis médullaire, et faisant partie du syndrome de cl
ns dues - aux troubles de la circulation artérielle par athérome ou syphilis . On peut observer ici, dans un membre, ou sur t
e, les arthropa- thics, les ostéites, les douleurs osléocopes de la syphilis , etc.... Les neurasthéniques, les psychasthéniq
pitales sont : les affections de la colonne cervicale (tuberculose, syphilis , tumeurs), les arthrites vertébrales rhumatisma
s se voient dans les anémies, dans les infections ou intoxications ( syphilis , paludisme, intoxication saturnine, intoxication
ou d'auto-intoxications (rhumatisme, goutte, diabète, tuberculose, syphilis , paludisme, blennorragie.) . t La sciatique est
uide; céphalo-rachidien. Rappelons la valeur de la céphalée dans la syphilis secondaire et dans la syphilis tertiaire du név
ons la valeur de la céphalée dans la syphilis secondaire et dans la syphilis tertiaire du névraxe. La céphalée est un symptô
siques; tantôt la thérapeutique est pathogeuique dans les cas où la syphilis , le paludisme et que)ques rares autres affections
lexe pupillaire. Les réflexes rotuliens ont, été étudiés dans' la syphilis , et non seule- ment chez les syphilitiques d'an
, qu'il s'agit dans ces cas de tabès fruste. En dehors des cas de syphilis nerveuse, Lang et Casey, A. Wood ont trouvé que
Casey, A. Wood ont trouvé que 40 pour 1 no des gens atteints de la syphilis congénitale avec kératite interstitielle ont le
xa- géré quand il y a insuffisance labyrinthique brusque. Dans la syphilis , dès le début de l'éruption primitive, M. Valcnti
u'un traumatisme, la syringoinyélie, une tumeur de la moelle, ou la syphilis médullaire; dans ce dernier cas on pourra observe
oit d'une hémorragie, soit d'une thrombose vasculaire.Le rôle de la syphilis dans la production de l'hémiplégie, chez l'homm
state pas d'affection cardiaque, doit être forte- ment soupçonné de syphilis . L'hémiplégie syphilitique est en effet une man
eur du côté gauche était le seul symptôme clinique, en l'absence de syphilis , le diagnostic de cette hémiplégie était très dél
n trauluat ique dc la moelle ou d'une hémicompression (tuberculose, syphilis ) ; il est moins pur en ce cas. On peut constate
lasque en général. ' Les .affections chroniques, la tuberculose, la syphilis , les maladies spéciales il l'axe cérébro-spinal
s caractères permettent de grouper les myélites syphilitiques. La syphilis médullaire présente des tableaux cliniques variab
légie survient de 4 à Ü ans après le chancre, il cette époque où la syphilis nerveuse fait des lésions beaucoup plus chroniq
e proprement dite, rencontrer toutes les transitions. Bien plus, la syphilis peut déterminer des plaques de sclérose produis
rd des myélites et méningo-myélites aiguës. fréquemment liées il la syphilis ou à la tuberculose. Ces maladies sur- viennent
ser un syndrome à peu près analogue. C'est ainsi par exemple que la syphilis , nous l'avons exposé déjà, peut déterminer des mé
. Il sera, selon les cas, celui de la tuberculose vertébrale, de la syphilis , des intoxications, de la névrose, des blessure
IGINE RADICULAIRE. ou du raehis (la padiymeningite tuberculeuse, la syphilis des HlÓnin,rcs la paebymeningitc cervicale hype
cer des méninges, les tumeurs des méninges, le cancer du mollis, la syphilis des vcrtu- bres, les tumeurs des vertèbres), en
ompressions intraraclaidiennes, les paralysies radiculaires dans la syphilis . Paralysies radiculaires traumatiques* Qu'elle
ssion de la moelle ou de myélite. Paralysies radiculaires dans la syphilis . Les paralysies du type radiculaire que l'on pe
. Les paralysies du type radiculaire que l'on peut observer dans la syphilis il la suite de gommes, d'infiltration méningée,
est rare d'ailleurs que l'on ne constate pas d'autres symptômes de syphilis médullaire ou cérébrale. De Peters a fait une é
fait une étude des paralysies que l'on observe dans certains cas de syphilis héréditaire avec altération radiculaire. Certaine
qui serait fre- 11O : \OPLÉGlE BIL\CIIL\LE. U21 quente lors de la syphilis , il l'aurait rencontrée neuf fois sur onze cas.
'il existe souvent chez les enfants d'autres stigmates de l'hérédo- syphilis et aussi par l'amélioration rapide que donne le t
ie faciale se voit, dans un grand nombre de. maladies infectieuses ( syphilis secondaire, fièvre typhoïde, érysipèle, variole
.), à la suite de névrites infectieuses ou toxiques (alcool, lèpre, syphilis , fièvre typhoïde, etc.). Lps paralysies professio
nts de maladies graves : ils ont la phobie de la tuberculose, de la syphilis et surtout du cancer. Le traitement consister
gnes, quel- ques-unes d'origine pharyngée. Ce sera parfois aussi la syphilis . ou un vaste abcès de la base du crâne (Nothnag
récemment rapporté par Mouisset et Bouchut doit être attribué à la syphilis . C) Syndrome de Jackson. Il est caractérisé par
ahio-gloao-laryngée, les hémor- ragies et les tumeurs bulbaires, la syphilis cérébro-spinale, etc. Mais la première place do
et c'est à elle que doit s'appliquer le traitement (mercure dans la syphilis , santonine dans le tabès, etc.). Le traitement
abituellement héréditaire, paraît bien être acquise. L'alcool et la syphilis ne paraissent pas, d'après Erb, jouer un rôle d
mble toujours précéder 1. Léri. Amyotrophie progressive spinale, et syphilis . 'Congrès de- Bruxelles, 1905. Fig. '14. 3léiii
o'<son, signe presque caractéristique et sou- vent précoce de la syphilis du système nerveux central (Babinski et Char- p
importance, mais dont l'absence ne doit pas faire rejeter l'idée de syphilis nerveuse, car il peut l'aire défaut dans les am
iverses névrites infectieuses : l'infection serait ordinairement la syphilis . Les muscles les plus divers peuvent être isolé
Nous avons préco- nisé (3) ce traitement après avoir établi que la syphilis , considérée comme exceptionnellement la cause d
ou non les rapports de l'amyotrophie progres- sive spinale avec la syphilis , avaient retiré un bénéfice notable d'un traite
t a confirmé la relation que la clinique tendait à établir entre la syphilis et l'amyotrophie, car, sous l'influence des inj
fin, d'autres infections ou intoxications exogènes ou endogènes, la syphilis , l'ergotisme, l'anémie pernicieuse, le diabète, d
Leyden, Williamson, Souques et Marinesco, Leichtentritt, etc.). La syphilis est de beaucoup la cause la plus fréquente de l'a
combinée à forme spasmodique, paraplégie syphilitique d'Erb). La syphilis peut aussi provoquer l'incoordination et différen
tabes. Enfin la paralysie générale, dans l'étiologie de laquelle la syphilis joue aussi un rôle prépondérant et dont l'anato
cifiques à localisation nerveuse comme la tuberculose et surtout la syphilis , tantôt à la suite de diverses infections aiguë
ulbe et inléres- sent souvent la protubérance. La tuberculose et la syphilis déterminent soit une ostéite ou une méningite b
e part dans des maladies chro- niques telles que la tuberculose, la syphilis (début de la période secon- daire), le cancer,
aspération nocturne de la douleur, les antécédents spécifiques à la syphilis cérébrale. Toutes ces conditions seront quelque-
cs, ceux-ci soit symptomatiques (maladies contagieuses et toxiques, syphilis , épilepsie, affections centrales; une classe à
dehors des stries, des irrégularités, des malformations témoins de syphilis héréditaire ou de troubles de la nutrition, il
z les idiots, qu'elle soit ou non précédée de masturbation, dans la syphilis cérébrale et surtout dans la paralysie générale
e hyperlro- phique, [tins rarement dans la paralysie générale et la syphilis des rentres. Dans Ions ces cas la langue est dé
ttes d'urine s'échappent et souil- lent le linge du malade. Dans la syphilis de la moelle,- il existe souvent des mictions i
s avons déjà parlé des formes mutilantes de la tuberculose et de la syphilis des mains et des doigts : leur mode de début et l
pre où le nerf cubital est fortement hypertrophié, rarement dans la syphilis , dans la fièvre typho ! d la grippe, dans l'alc
t ressemeler au uma en lame de sabre, « tibia Lannelongue » de la syphilis osseuse, mais elle est fréquemment aussi latéra
sphacèle des orteils comme des doigts. La lèpre, la tuberculose, la syphilis peuvent provoquer des mutila- tions du pied trè
passagères. Gigantisme dû à l'hérédo-syphilis. On a considéré la syphilis comme pouvant déterminer une dystrophie gigantesq
es et naturelles, l'alcoolisme des procréateurs, la tuberculose, la syphilis , tout ce qui est appauvrissement et surmenage,
ur l'individu et pour la société. [F. MOUTIER.] STIGMATES DE LA SYPHILIS par le Dr CROUZON L'importance de la syphilis
] STIGMATES DE LA SYPHILIS par le Dr CROUZON L'importance de la syphilis dans l'étiologie des maladies nerveuses nous am
ie des maladies nerveuses nous amène à rechercher ici comment cette syphilis peut être dépistée chez un malade que l'on soup
e spéci- fique. Nous envisagerons successivement la recherche de la syphilis acquise, puis celle de la syphilis héréditaires
uccessivement la recherche de la syphilis acquise, puis celle de la syphilis héréditaires SYPHILIS ACQUISE W La syphilis a
he de la syphilis acquise, puis celle de la syphilis héréditaires SYPHILIS ACQUISE W La syphilis acquise pourra se reconna
ise, puis celle de la syphilis héréditaires SYPHILIS ACQUISE W La syphilis acquise pourra se reconnaître de deux façons : ou
ombre de cas, donner des renseignements suffisants. Quelquefois, la syphilis a été ignorée, a passé inaperçue par suite du peu
te. 1° Interrogatoire du malade. On pourra penser qu'il s'agit de syphilis quand le malade aura eu la notion du chancre. 1
ts et surtout de l'accident initial est le plus souvent absente. La syphilis se révèle dans la vie génitale de la femme par
es fausses couches et la polymorlalité infantile. STIGMATES DE LA SYPHILIS . 1105 2° Examen direct. La recherche des traces
nner les caractères spécifiques. Les cicatrices sont suspectes de syphilis : 1° Quand elles seront étendues; 2° Quand el
A) La forme arrondie, l'orbicularité parfaite qui est synonyme de syphilis . Il) La configuration arciforme en demi-lune, e
u voile du palais et du pharynx, etc. Stigmates muqueux. Enfin la syphilis pigmentaire du cou qui est caractérisée par son
ons- crivant des zones décolorées et presque pathognomoniques de la syphilis PRATIQUE : \EUII01.. 70 [0. CROUZON] 1100 S
hilis PRATIQUE : \EUII01.. 70 [0. CROUZON] 1100 STIGMATES DE LA SYPHILIS . et ne s'est guère rencontrée que dans quelques
n- nelles de tuberculose. L'alopécie pourra être la signature de la syphilis : quand elle est localisée en certains points,
ques muqueuses s'observent en dehors de la période secondaire de la syphilis , cependant on peut observer quelquefois des pla
certains auteurs (Landouzy, Gaucher) comme un témoignage certain de syphilis ; dans tous les cas, elle est un indice qui doit
echercher cette maladie. Le vitiligo est aussi souvent un indice de syphilis : on sait qu'il est caractérisé par des zones d
per- chromie. Suivant Pierre Marie et Crouzon, il est révélateur de syphilis et particulièrement de syphilis nerveuse. La
ie et Crouzon, il est révélateur de syphilis et particulièrement de syphilis nerveuse. La glossite exfoiialrice marginée a é
porte à rechercher cette affection. L'examen du malade suspect de syphilis devra porter également sur le nez; on constater
n dehors de suppuration tubercu- leuse doivent être rapportées à la syphilis quand on voit la quantité (ral- bumine s'élever
ncore la signature de l'infection syphili- tique. STIGMATES DE LA SYPHILIS . 1107 Enfin, la fumeur du testicule indolent, à
lorachidien constitue le syndrome de Babinski caractéristique de la syphilis (Vaquez). La paralysie du moteur oculaire commu
oculaire commun survenant subitement, est également un stigmate de syphilis : en effet, si la paralysie de la 6e paire, est
a 5" survenant en dehors de toute cause appréciable est celui de la syphilis . L'hémiplégie survenant chez un sujet âgé de mo
res processus de méningite subaiguë ou chro- nique, est un signe de syphilis . ' L'apoplexie de l'adulte est également souven
syphilis. ' L'apoplexie de l'adulte est également souvent liée à la syphilis . Enfin nous avons écarté le tabès et la paralys
sie générale chez les fem- mes en dehors du milieu fréquenté par la syphilis ; rareté de la paralysie générale chez les eccl
sont les manifestations multiples que peut laisser derrière elle la syphilis et qui pourront éclairer sur le diagnostic étiolo
i peuvent fré- quemment être pris pour des accidents initiaux de la syphilis et faire rejeter par conséquent toute influence
faits présents à l'esprit pour se garder de semblables erreurs. , SYPHILIS HÉRÉDITAIRE Une enquête sur l'hérédo-syphilis d
e sur les parents de ces ascendants. On peut en effet incriminer la syphilis de seconde génération. D'autre part, l'enquête
ile caractérisée par les avor- [O. CROUZON ] 1108 STIGMATES DE LA SYPHILIS . tcments, les accouchements avant terme, les na
Quelquefois le rachitisme peut être une expression fréquente de la syphilis héréditaire; il y a donc, suivant Fournier, une t
e à revenir à l'opinion de Parrot qui rattachait le rachitisme à la syphilis . Quelquefois enfin des exostoses de développeme
ou exostoses ostéo- géniques peuvent être également un stigmate de syphilis . Stigmates cutanés ou muqueux. Les stigmates cu
sistant dans un testicule petit, dur et irrégulier, STIGMATES DE LA SYPHILIS . 110'J vestige du sarcocèle syphilitique, ou bi
horax en entonnoir (Gaucher et Crouzon). Stigmates articulaires. La syphilis peut produire des hy- darthroses chroniques et
ignalé également quelques signes d'incontinence d'urine par hérédo- syphilis . Nous ne nous arrêterons pas sur les troubles des
as sur les troubles des réflexes pupil- laires déjà décrits dans la syphilis acquise ni sur les troubles des réflexes rotuli
uelquefois c'est le crâne natiforme qui est spécifique de l'hérédo- syphilis , suivant Fournier. C'est un crâne qui représente
peut se traduire par l'hydro- [O. CROUZON.] 1110 STIGMATES DE LA SYPHILIS . céphalie et constitue même un élément importan
lon de l'oreille peut, lui aussi, présenter des stigmates d'hérédo- syphilis : ce sont les malformations connues sous le nom d
reilles de faunes, etc. Ces anomalies ne sont pas spéciales il la syphilis , ce sont des malforma- tions de dégénérescence
s, on peut encore signaler ' [O. CROUZON.] ! il 2 STIGMATES DE LA SYPHILIS . d'autres malformations dentaires qui consisten
il faudra donc faire la part des stigmates causant véritablement la syphilis et des stigmates simplement dystrophiques. Les st
ment dystrophiques. Les stigmates dystrophiques n'impliquent pas la syphilis chez les sujets qui les por- tent, elles dénonc
cent une tare héréditaire, mais ces sujets peuvent être indemnes de syphilis puisqu'on a observé la syphilis acquise chez des
ces sujets peuvent être indemnes de syphilis puisqu'on a observé la syphilis acquise chez des sujets présentant ces stigmate
ent en tournevis. RÉACTION DE WASSERMANN Le séro-diagnostic de la syphilis , par la méthode de Wasscrmauu. est, de l'opinio
douteux : elle se rencontre en (,n'et non seulement dans les cas de syphilis récente, mais dans les cas de syphilis très anc
on seulement dans les cas de syphilis récente, mais dans les cas de syphilis très ancienne. Nous ne pouvons entrer ici dans
d'une façon intensive. Elle se rencontre également dans les cas de syphilis cérébro-spinale avérée. STIGMATES DE LA SYPHI
dans les cas de syphilis cérébro-spinale avérée. STIGMATES DE LA SYPHILIS . 1115 Mais on l'a rencontrée aussi dans un cert
e aussi dans un certain nombre de maladies du système nerveux où la syphilis ne pouvait être que soupçonnée : la réaction de
que soupçonnée : la réaction de Wassermann a apporté une preuve de syphilis . Les recherches de M. Joltrain, sur les malades
reproduisant ci-dessous le tableau de M. Joltrain. TRAITEMENT DE LA SYPHILIS DU NEVRAXE par Georges GUILLAIN Les accidents
les lésions anciennes, sur les dégénérations secondaires. * Dans la syphilis nerveuse dont les accidents sont souvent menaçant
ules ou par les potions ne doit pas être conseillée pour traiter la syphilis nerveuse. Il faut avoir recours aux frictions m
e et de l'évolution du cas observé. Le traitement le meilleur de la syphilis nerveuse est le traitement par les injections;
tre renouvelées pendant plus ou moins longtemps. - TRAITEMENT DE LA SYPHILIS DU KÉVRAXF. 1115 Préparations de sels mercuriel
ercure, le sublimé. Biiodure de mercure : . 1116 TRAITEMENT DE LA SYPHILIS DU NÉVRAXE. Cyanure de mercure. Les solutions d
ntra- veineuses, elles ne coagulent pas le sang. TRAITEMENT DE LA SYPHILIS DU NÉVRAXE. 1117 7 stitué, mais il semble qu'il
iennes et très accentuées. Il parait cependant bien certain que les syphilis soignées au début d'une façon intensive et pend
aralysie générale. Le traitement des manifestations nerveuses de la syphilis chez les enfants se fera par les frictions merc
ieront suivant l'âge de l'enfant et suivant la forme clinique de la syphilis . Des recherches récentes sont poursuivies sur l
Des recherches récentes sont poursuivies sur le traitement de la syphilis du névraxe et des affections parasyphilltiqucs pa
rre et Boivin. Dans certains cas, cet état du liquide était dû à la syphilis des centres nerveux. La valeur de cette colorat
la réaction de Porges, peuvent être faites pour le diagnostic de la syphilis avec le liquide céphalo-rachidien. Les résult
ue céré- bral par la ponction lombaire, . Cyto-diagnostic dans la syphilis . 1° Cyto-diagnostic dans la- syphilis nerveuse.
, . Cyto-diagnostic dans la syphilis. 1° Cyto-diagnostic dans la- syphilis nerveuse. L'existence d'une lymphocytose dans le
pitaux, 14 mars 1902) ont observé un cas analogue. Dans un cas de syphilis médullaire probable, Sabrazès, Muratet et LIQUI
mortifi- cation médullaire. A côté de ces grands accidents de la syphilis nerveuse, les petits acci- dents de la syphilis
nds accidents de la syphilis nerveuse, les petits acci- dents de la syphilis nerveuse ont aussi présenté de la lymphocytose :
on qui est, comme l'ont montré Babinski et Charpentier, un signe de syphilis acquise ou héréditaire a été particuliè- rement
, Widal et Lemierre, Déchy, Vaquez ont constaté la lymphocytose. La syphilis oculaire elle-même a été étudiée à ce même point
utilité de la ponction lombaire au point de vue du diagnostic de la syphilis oculaire; en effet, en dehors de la syphilis, le
ue du diagnostic de la syphilis oculaire; en effet, en dehors de la syphilis , le cyto-diagnostic n'a été positif que dans un
urs trouvée liée à des troubles nerveux. 2° Cyto-diagnostic dans la syphilis , sans accidents nerveux. L'existence de la lymp
. L'existence de la lymphocytose au cours d'accidents nerveux de la syphilis ont amené Milian, Crouzon et Paris à rechercher
celte céphalée ne pouvait pas être une première manifestation de la syphilis nerveuse. Sur huit syphilitiques examinés; deux o
parce que c'est la première où on constata la lymphocytose dans la syphilis sans accidents nerveux, elle eut d'autre part un
aître qu'il avait trouvé une lymphocytose discrète dans deux cas de syphilis en période secondaire. Thibierge et Bayant ont co
Thibierge et Bayant ont constaté plus tard un cas analogue dans une syphilis de dix-huit mois avec cépha- lée. Puis viennent
aut les cas du liquide céphalo-ra- chidien puriforme au cours de la syphilis des centres nerveux. Cyto-diagnostic dans les a
ns les affections oculaires. Nous avons vu plus haut à propos de la syphilis nerveuse que le cyto-diagnostic n'avait été pos
euse que le cyto-diagnostic n'avait été positif que dans les cas de syphilis oculaire et dans une névrite sympto- matique d'
lées en général. Nous aurons surtout en vue ici les céphalées de la syphilis , et de la chlorose. Pierre Marie et Guillain on
l'introduction de sels mercuriels solubles dans le traitement de la syphilis médullaire. SYNDROMES VENTRICULAIRES par le D
eumonie, coqueluche, rhinite, oreillons, gastro-entérite, typhoïde, syphilis ). On pensera comme de juste à la syphilis héréd
astro-entérite, typhoïde, syphilis). On pensera comme de juste à la syphilis héréditaire, si l'enfant pré- sente la triade d
ic étiologique, on ne manquera pas de penser à la possibilité de la syphilis et surtout à celle des cysticerques et de la tu
niveau d'un traumatisme ancien d'une maladie générale, tuberculose, syphilis , tumeur, etc., détcr- mination sans doute appel
sions localisées d'une maladie générale, comme la tuberculose ou la syphilis , ou d'un processus néoplasique, ostéome, ostéo-
gulières, interrompant plus ou moins la continuité du con- tour. La syphilis du crâne peut déterminer, à côté d'usures osseuse
al de Pott sera parfois plus intéressante. Les déterminations de la syphilis sur le rachis paraissent très excep- 1 ionllell
s'agir d'un néoplasme ou d'une autre lésion : hypertrophie simple, syphilis , tuberculose, etc. - D'autres lésions osseuses
bésiquc (rhumatisme, goutte, diabète), une infection (blennorragie, syphilis , tuberculose, paludisme), des intoxica- tions ;
ts, à des sinusites ou il des otites, ou encore au paludisme, il la syphilis , etc. Il arrive parfois, que la névralgie persi
sie infantile. Tumeurs cérébrales, 1156. Autres maladies, 117.· - Syphilis , .1138. D Dactylite blecnorr·agique, 1020. sy
Labyrinthe. Anémie, congestion, hémor- ragie, 155. Inflammations, syphilis , 154. et 157. - (Lésions du ), ), syndrome de
- par dysplasie périostale. - chez les arriérés. - dans l'hérédo- syphilis . - dstroplriqzt.e. - essentiel, 1095. - par ano
rne, maladies, 152. Troubles circulatoires, 155. - Inflammations, syphilis , 13,i. - Labyrinthites, 155. Orth (Liquide de).
ingites, dans les compres- sions inirarachidiennes, 620 ? dans la syphilis , 621. -- - du plexus -loin- baire et du plexus
, du langage, de la sensibilité, 110` ? .- mentaux, 1105. - de la syphilis acquise, 1105. - cu- tanés, - muqueux, 1105. -
muqueux, 1105. - viscé- raux, 1 100. - nerveux, 1 i 0 i . - de la syphilis héréditaire, 1107. - cutanés, muqueux, teslicul
et paralysie de l'accommodation, 97. Syndactylie, 101 Ii, 1042. Syphilis , ataxie, 711 1. - Cytodiagnostic dans la - nerv
s ner- veux, 'Il ? - Vol. Stigmates. 1400 INDEX ALPHABÉTIQUE. Syphilis acquise. Interrogatoire du ma- lade, 1104. - Ex
19. - périphérique, exploration. Champ visuel, 9. ' Vitiligo et syphilis , hou Voies cérébelleuses. Lésions, syndrome c
10 (1913) Exposé des travaux scientifiques
De l'abolition des réflexes pupillaires dans ses relations avec la syphilis . EN collaboration avec A. Charpentier. Dans u
a troisième RÉFLEXES PUPILLAIRES ;,9 paire, constitue un signe de syphilis acquise ou de syphilis héréditaire presque, sin
PUPILLAIRES ;,9 paire, constitue un signe de syphilis acquise ou de syphilis héréditaire presque, sinon tout à fait, pathogn
avions émise sur les relations entre les troubles pupillaires et la syphilis (75). Nous arrivions à cetle conclusion que l'a
tique, et que le sujet chez qui on la constate est un candidat à la syphilis cérébro-spinale, au tabes et à la paralysie génér
outenue. Des obsenations d'abolition des réflexes pupillaires dans la syphilis 60 SÉMIOLOGIE héréditaire ont été relatées pa
d and non paralysed idiot children and their relation to hereditary syphilis » (The Journal of Mental Science, July 1900). E
paraît indiquer que le système nerveux central est tou- ché par la syphilis (Zur Fruhdiagnoseder Tabès, J11 ünchener medizini
ris le phénomène d'Argyll Robertson est un signe presque certain de syphilis (SigniGcation de la pupille d'Argyll Robertson, B
e d'Argyll Robertson ; sa valeur sémiologique ; ses relations avec la syphilis » (Gazelle des Hôpitaux, 1901, pp. 143ti et sui
se en lumière : sa présence chez un malade doit faire soupçonner la syphilis , doit faire craindre l'évolution d'un tabes ou
s un mémoire sur « les relations entre les troubles pupillaires, la syphilis et certaines maladies nerveuses (tabes, paralysie
rès grand mérite de nous avoir indiqué les rapports qui unissent la syphilis et le signe d'Argyll Robertson. Les observations
dien. Chez deux de ces malades, on notait des accidents certains de syphilis ; chez un troisième, on retrouvait les stigmate
yll, comme l'a montré M. Babinski, est cependant tellement lié à la syphilis , que nous avons tenu à considérer tous ces mala
que nous avons tenu à considérer tous ces malades comme atteints de syphilis méconnue et que nous les avons soumis sans dist
entres nerveux venant irri- ter les méninges. » Milian (voir : La syphilis du système nerveux, igio, Octave Doin, éditeur,
. Ce signe est, comme l'a montré Babinski, un véritable stigmate de syphilis et non pas seulement, comme on l'indiquait jadi
as, des états morbides que nous considérons comme le résultat de la syphilis diffuse : tabes. paralysie générale, signe de R
s en rapport avec la tuberculose méningée, décèle habituellement la syphilis diffuse. » B. J'ai -rapporté avec Gendron (i 8g
raissait liée soit à des raptus congestifs survenant au cours d'une syphilis des centres nerveux, à la suite d'un ictus dans l
au tabes. « Il est à remarquer enfin que, dans aucun de nos cas, la syphilis ne semble être en cause ; d'ailleurs la lymphoc
sa rapide disparition, se distingue de celle qu'on observe dans la syphilis des centres nerveux. Notons encore que, dans to
onsiste en lym- phocytose, pourrait conduire à faire dépendre de la syphilis une lésion nerveuse qui n'a aucun lien avec cet
aucun autre signe de tabes ; elle m'affirmait n'avoir jamais eu la syphilis : enfin, la recherche de la réaction de `Vasser
estes. » G. Tabes conjugal et tabes hérédo-syphilitique. Tabes et syphilis . On considérait autrefois le tabes conjugal com
ées font partie mes recherches, en collaboration avec Barré, sur la syphilis familiale (172). En voici le point de départ :
te chronique syphilitique est rare par rapport à la fréquence de la syphilis , il y a tout lieu de penser que les cas de méni
que conjugale sont excep- tionnels relativement au nombre de cas de syphilis conjugale. Or puisque, d'une façon absolue, la
ue conjugale n'est pas une rareté, il est permis de supposer que la syphilis conjugale est chose assez commune. C'est au moi
aucun signe objectif d'affection organique, aucune manifestation de syphilis , a, dans le sang, des anticorps dont une réaction
ceux leur nombre était autrefois très faible qui soutenaient que la syphilis est vraisemblablement une condition sine l3auws
r sur les liens qui unissent le tabes et la paralysie générale à la syphilis ne sont plus contestées par personne; les restric
ues depuis que l'idée d'une rela- tion étroite entre le tabes et la syphilis s'est imposée à la plupart des esprits, a réell
s cliniques et anatomiques, nous avons été conduits à penser que la syphilis est une cause assez commune des lésions vascula
'agissait delabyrinthite suppurée, de commotion laby- rinthique, de syphilis cérébrale avec paralysie faciale et acoustique, d
aient liées par des relations d'ordre étiologique et que c'était la syphilis qui les ratta- chait les unes aux autres. J'e
ion et à la lumière. Chose curieuse, c'est dans ce dernier cas que la syphilis est le plus indubitable. ANEVRISME DE L'AORTE
, la réunion des symptômes dont nous parlons devra faire suspecter la syphilis comme cause étiologique commune, puisqu'il semb
qu'il semble acquis que le signe d'Argyll Robertson est fonction de syphilis . « Enfin, et pour les raisons précédemment indi
hent à la cause même qui a produit cet anévrisme, c'est-à-dire à la syphilis . Ces conclusions n'ont pas seulement un intérêt
l'anévrisme, mais à la cause commune du tabes et de l'aortite, à la syphilis . Voilà pourquoi ce syndrome justement dénommé syn
(syndrome de Babinski), le signe d'Argyll permettant d'affirmer la syphilis . » Grégoire Odobesco, de Bucarest, accepte auss
bsence de signes soit d'une affection cardio-vasculaire, soit de la syphilis , ne donne pas le droit d'admettre ou d'écarter
r. De l'abolition des réflexes pupillaires dans ses relations avec la syphilis (en collaboration avec Charpentier. Société de
l. De l'abolition des réflexes pupillaires dans ses relations avec la syphilis (en collaboration avec Charpentier. Société méd
iété de Neurologie, 12 mai igio). 172. Contribution à l'étude de la syphilis familiale. Recherches à l'aide de la réaction d
De l'abolition des réflexes pupillaires dans ses relations avec la syphilis .... 58 Do la pseudo-abolition du réflexe des pu
tabétiques 95 Tabes conjugal et tabes hérédo-syphilitique. Tabes et syphilis ...... 96 Evolution, Pronostic, Traitement 98
11 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rte du goût et de l'odorat : insomnie. Il déclare n'avoir pas eu la syphilis , et conteste tous les renseignements fournis su
pensionnaire volontaire. Pas d'alcoolisme, pas d'insolation, pas de syphilis ; pas d'antécédents héréditaires. A son entrée,
RAVE-CLAY. 54 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. IX. Les rapports de la syphilis acquise et de la folie; revue cri- tique ; par
re de classification que nous reprodui- sons ici : I. Folie de la syphilis précoce (période primaire et secon- daire) : 1°
démence, probablement due à l'anémie cérébrale. - II. Folie de la syphilis tardive (période tertiaire) : 1° folie due à un
philitique de la convexité. Ileaucoup de cas, sinon tous les cas de syphilis cérébrale dans lesquels la folie a été causée p
ie épileptique, puisqu'ils ne se rattachent qu'indirecte- ment à la syphilis . - III. Folie métasyphilitique (parasyphilitiqu
qu'il y a bien d'autres voies par les- quelles une maladie comme la syphilis peut exercer une influence pathologique sur des
t négative et en cas négatifs. Dans près de 80 p. 100 des cas, la syphilis peut être considérée comme certaine, ou du moins
s fac- teurs étiologiques pouvant exister seuls, soit associés à la syphilis , les auteurs ont noté par ordre de fréquence l'
e, la dothiénenté- rie, etc. Ils croient pouvoir en conclure que la syphilis semble de beaucoup la cause déterminante la plu
la prédisposition. Il semble à peu près démontré aujourd'hui que la syphilis n'exerce pas une action spécifique sur la paralys
t des ganglions spinaux, toute altération due soit directement à la syphilis ou ses suites, soit à l'alcoolisme, etc. ; 2° R
ment de nature exogène, se rapprochant de celles du tabes, mais la syphilis ayant précédé, ces cas sont sujets à caution. V
45 ans. Absence d'antécédents héréditaires ou personnels. Il nie la syphilis ; il a trois enfants bien portants et sa femme
l qu'il en soit ainsi, puisque le tabès a des liens intimes avec la syphilis et que~cette infection produit dans bien des cas
bien chez les animaux que chez l'homme. Elle est fréquente dans la syphilis et on trouve chez les jumeaux qui succombent un
bout d'un an. A exercé la prostitution et a eu très probablement la syphilis (condylomes à l'anus); soeur jumelle, peu recom
méclullaÍ1'es. Quant à l'étiologie du tabes dorsalis, encore que la syphilis doive être considérée comme la cause de la plup
'anamnèse, ni la clinique, ni l'autopsie n'ont permis de déceler la syphilis . Les symptômes de la maladie se rangeaient sous
du tabes et de la paralysie générale, ni leur étiologie commune, la syphilis , encore que les opinions diffèrent sur la fréqu
" 29-M. La cause la plus grave et la plus fréquente du tabes est la syphilis . * Jendrassik. Ueber die Localisation der Tabes
dée », écrit l'éminent neurologiste. C'est que, si dans le tabès la syphilis agit comme un véritable poison organique, comme
Redlich admet que, dans « plus de la moitié des cas » de 'tabes, la syphilis doit être considérée comme la cause efficiente de
maladies du système ner- veux (sclérose en plaques, tumeurs), de la syphilis , du diabète, des intoxications, etc. L'examen o
oulouse admet avec : \1. Richet la possibilité de la guérison de la syphilis par l'hypocbloruration associée au traitement iod
Marie viennent à l'appui de cette hypo- thèse. Il cite deux cas de syphilis tertiaire, rebelles à tout traite- ment, qui on
journal préten- dant qu'un peintre célèbre AI. B. L. était mort de syphilis alors que celui-ci avait succombé à une affecti
ans. L'hystérie est étran- gère à la production de-l'affection. La syphilis et, l'alcool ne jouent aucun. rôle direct dans
Y. 2SO REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. Contribution à l'étude de la syphilis spinale; par William G. SPILLFR (The Nezu-ITo'l
icroscopique montre les lésions qu'on rencontre communément dans la syphilis . Cette observation est suivie de remarques éten
syphilis. Cette observation est suivie de remarques étendues sur la syphilis spinale. Il. DE itIU : G9 : 1VG CLAY. XVIII.
ion suivante que nous résumons : homme de quarante-neuf ans; pas de syphilis , pas d'alcoolisme : en nettoyant un revolver il
st assez peu satisfaisant. Il. DE Musgrave CLAY. XXIII. Un cas de syphilis spinale précoce avec paralysie deBrown Séquard;
27 avril 1898.) Il s'agit d'un homme de quarante ans chez lequel la syphilis ne datait que d'un an, et qui présentait le tab
de la moelle. Le type pur de cette paralysie est très rare dans la syphilis spinale, mais sa forme incomplète, comme dans l
et résume assez louguement l'opinion de divers auteurs tant sur la syphilis que sur les paralysies d'origine médullaire, pu
cette observation la résume ; l'auteur ajoute seule- ment que ni la syphilis , ni le saturnisme, ni l'alcoolisme ne pou- vant
six ans, planteur, grand, brun, pas de convulsions ni diatheses, ni syphilis , ni migraine, sobre, caractère doux. Durant six m
oit atteinte de la même manière. 2° Elle se rencontre aussi dans la syphilis cérébrale et peut être limitée d'une façon perm
t sur la paroi vasculaire, le plus souvent de l'alcoolisme et de la syphilis . On a invoqué l'alcoolisme des parents, mais ce
n ce cas, il est fort possible que les altérations soient dues à la syphilis héréditaire. C'est à rechercher. P. KEHAVAL.
d. L'artério-sclérose ne pouvait s'expliquer ni parl'àge, ni par la syphilis , la goutte ou l'intoxication (alcoolique, saturni
chez des syphilitiques sous l'influence d'intoxications multiples ( syphilis ,- mercure, alcool, etc.) ; 3° polynévrite parai
ol, etc.) ; 3° polynévrite paraissant causée exclusive- ment par la syphilis (huit cas dont deux personnels). Malgré la dive
e de dégénérescence graisseuse. En somme pyo- hémie. L. D. XLVII. Syphilis médullaire précoce avec syndrome de Brown- Séqu
sclérose en plaques. Dans les deux maladies observées, l'absence de syphilis hérédi- taire, le début au même âge, l'absence
tic de maladie familiale. M. H. LI. Sur le diagnostic général de la syphilis du cerveau et de la moelle; par B. Sachs. (Tlie
9.) Le cerveau et la moelle sont plus fréquemment atteints par la syphilis que les nerfs périphériques; les capillaires joue
érieure du vaisseau et ramollissement de la zone qu'il alimente. La syphilis dès centres nerveux est caractérisée surtout pa
r; de là une modification des symptômes : c'est ainsi que dans la syphilis plus que partout ailleurs on trouvera la parésie
leur pour le diagnostic. On ne se trompera guère en suspectant la syphilis si l'on est en présence de lésions multiples, de
omportent les pupilles, alors même que tous les autres signes de la syphilis manquent : les particularités pupillaires im- p
éris- tique du tabès et de la paralysie générale ne l'est pas de la syphilis ; 4° la forme de la pupille, qui s'écarte d'un f
la vérité cette irrégularité de forme se rencontre en dehors de la syphilis , mais elle est beaucoup plus commune chez les syp
lus commune chez les syphiliti- ques. Il faudra aussi rechercher la syphilis dans les cas où l'on observera des vertiges. On
la myélite transverse, on trouve ou un traumatisme antérieur ou la syphilis , des phénomènes de compression localisés, la se
L'auteur estime que l'agent irritant est une toxine produite par la syphilis , et il donne ici au mot toxine son sens le plus
ns le plus large. La réalité de la produc- tion des toxines dans la syphilis est démontrée par les manifesta- tions clinique
rescence lente. L'intensité du virus joue naturellement un rôle; la syphilis dit l'auteur, est un créancier capricieux qui exi
er capricieux qui exige tout des uns et presque rien des autres. La syphilis n'est pas toujours le seul facteur en jeu ; d'a
que l'on peut dire pour le moment. Il faut ajouter cependant que la syphilis est une des maladies qui ont le plus de tendanc
ux, mais non certain. Le traite- ment est naturellement celui de la syphilis , et parmi les médica- ments antisyphilitiques c
grave-Clay. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 427 XLIV. Rapports de la Syphilis avec la Folie, ouverture de la discus- sion ; p
al Science, octobre 1899.) 1 ' Quand on étudie les rapports de la syphilis avec les maladies mentales, il faut avant tout
connu et produit des lésions qui sont elles-même bien connues : la syphilis détermine un processus inflammatoire spécifique
naissance; puis il passe à l'étude du deuxième mode d'action de la syphilis , qui se manifeste dans les affections dites par
r la pathogénie de ces affec- tions parasyphilitiques, c'est que la syphilis , acquise ou hérédi- taire, abaisse l'énergie vi
e l'argument le plus fort en faveur de la doctrine qui considère la syphilis comme le facteur étiologique le plus important
yringomyélie vraie reste inconnue : peut-être réside-t-elle dans la syphilis héréditaire ; peut être existe-t-il d'autres co
CLINIQUE MENTALE. 1 Un nouveau cas de paralysie générée' avec syphilis héréditaire ; * Nv\ Par le D' E. RÉGIS, ·1 *
phale, 1885.) Deux nouveaux cas de paralysie générale juvénile avec syphilis héréditaire. (Biill. de la Soc. de ii2étl. de B
ue, dont j'ai eu des spécimens sous les yeux. paralysie générale ET syphilis héréditaire. 451 Son voyage dura trois ans. La
çon si typique chez le paralytique général. paralysie générale ET SYPHILIS héréditaire. 453 Tel était l'état de Victor L..
uelques mots les principales particularités de cette observation. Syphilis héréditaire. La première de ces particularités,
d'un pellagreux. Lui-même était atteint de pellagre, doublée d'une syphilis qu'il communiqua à sa femme avant la naissance
e. La mère était sous l'influence des accidents secondaires de la syphilis lorsqu'elle accoucha de Victor. J'eus toutes les
er à guérir provisoirement ce malheureux garçon atteint lui-même de syphilis . Plus tard, la mère eut des accidents tertiaire
et que lui-même a eu dès le bas âge des accidents secondaires de syphilis . - 1 Il me semble difficile de souhaiter mieux
sie générale juvénile à l'origine duquel on trouve manifestement la syphilis . Je rap-' pelle, en ce qui concerne mes quatre
s, que la première était relative à un jeune homme chez lequel la syphilis fut soupçonnée en raison d'une éruption suspecte
ient une jeune fille et un jeune homme chez les parents desquels la syphilis fut nettement retrouvée. J'ajoute qu'il en a ét
omme dans la paralysie générale des adultes, dénoncent nettement la syphilis et confirment ainsi le rôle capital de cette in
Bor- deaux, 1899.) 456 ' CLINIQUE MENTALE. aine, antérieur à la syphilis paternelle, est, des cinq, le seul bien portant
ales n : f'(co-yc/to ? yK('6',mai-juu] 1898.) PARALYSIE GÉNÉRALE ET SYPHILIS HÉRÉDITAIRE. 457 rentre au corps, puis le 3 jan
ieure. Une éruption avec un violent coryza seraient en faveur de la syphilis secondaire. P. Kerwal. LVII. Du sourire obsédan
nt que cet individu est issu d'une famille scrofuleuse, affectée de syphilis héréditaire, dans laquelle le système nerveux s
pilepsie. - , SOCIÉTÉS SAVANTES. 501 S'agit-il ici de P. G. ou de syphilis cérébrale comparable aux myélites embryonnaires
ologie multiple et produite indifféremment par un agent infectieux, syphilis , alcool, aulo-inloxication (surmenage) ou etc.,
z un syphilitique devenu dément on trouve encore la signature de la syphilis , on ne devra par exemple, diagnostiquer qu'une
trois observations dans lescluellés on passe histologiquement de la syphilis cérébrale à la paralysie générale. La même inte
ès. Il est aboli en effet chez un homme de quarante ans qui a eu la syphilis à vingt-quatre et qui s'estbien porté jus- qu'à
s. Enfin, il est encore aboli chez un homme âgé ayant eu aussi la syphilis et qui présente de la rigidité pupillaire ; chez
ent. Ce phénomène paradoxal est très accusé. Le malade contracta la syphilis à l'âge de dix-huit ans. Neuf ans plus lard, il
es causes étiologiques, l'auteur indique : l'émotion, 24 p. 100; la syphilis , 18.S p. 100; l'alcoolisme 11,3 p. 100; le trau
es fatigues intellectuelles se rencontrent peu parmi les femmes. La syphilis figure comme cause étiologique exclusivement po
de l'artère s3,lvieiine, c) méninge-encéphalite, d) encéphalite,e) syphilis cérébrale, /') tumeurs cérébrales, h) ané- vris
e, a;) morphi- nisme chronique. Parmi les causes étiologiques, la syphilis occupe la première place, (27,03 p. 100). Vienn
ades, par 131achfor : i, 3J7. - circulaire, par Jlac-Lulich. 424. Syphilis et -, par Mon, 427. - et mariage, par Afould, 4
issaud et monos. 346. Sept cents cas de -, par Smith. 429. - avec syphilis héréditaiie. par Régis. 449. infauto-juvéulle,
autop- sie, par Souques, 394. et tttu- bation, par Touche, 507. Syphilis . Rapports de la - acquise et de la folie, par D
12 (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE NERVEUSE CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX, Paralysie générale, M.NIN
ur agrégé, Médecin de la Salpêtrière. Le rôle considérable que la syphilis joue dans la pathologie du système nerveux n'es
de beaucoup l'étude anatomique, et -la difficulté de rapporter à la syphilis les processus histologiques de ces deux maladies
le lien causal saute bien mieux aux yeux que lorsqu'il s'agit d'une syphilis ancienne. Rien n'est variable comme la marche
ectueuse des liquides nourriciers, on peut la voir évo- ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX. 3 luer sous les allures cli
écorce cérébrale, dans un cas de paralysie générale, à celles de la syphilis médullaire, il déclare bien qu'il considère cet
se que nous ne pouvons pas différencier actuellement de celle de la syphilis . D'ailleurs n'est-on pas embarrassé à chaque in
. Ce qui en fait le principal intérêt, c'est que la signature de la syphilis se trouvait dans certaines lésions des gros vai
L'Observation III concerne un homme atteint autrefois ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX. 5 d'une myélite transverse
t .de vue de la marche et de l'évolu- tion de certains accidents de syphilis cérébrale. Observation I. Syphilis datant de qu
tion de certains accidents de syphilis cérébrale. Observation I. Syphilis datant de quatorze ans. Céphalalgie. Attaque ap
ans, sont envoyés au dépôt. Il y a quatorze aus, ayant contracté la syphilis (plaques muqueuses, céphalalgie, perte des chev
la marche est peu assurée, sans qu'il y ait d'ataxie à ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX. 1 proprement parler; la sta
ge, veines et artères, de lésions nodulaires caractéristiques de la syphilis ; la phlébite est la cause de l'hémor- rhagie mé
contre dans la paralysie générale légitime. Fi3. 1. ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX. Il La lésion n'est pas très
corce cérébrale ; on la retrouve dans toutes les autre- ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX. 13 parties du cerveau et, p
en l'absence de tuberculose,'on ne peut guère les rapporter qu'à la syphilis : encore un pas; et nous aurions de véritables
pendant par sa localisation ; on pourrait déjà presque affirmer la syphilis à l'aspect des lésions méningées. Les éléments ce
-vasculaire du foyer. Carmin. (Obj. 3, oc. 1 Vérick.) ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX. 15 tement limitées à l'écor
;o.N/MM de Delalield, éosine. (Obj. 0, oc. 1 Vérick.) ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX. 17 l toutes leurs branches
liîzc de Delcifield, dosiize. (Obj. 1, oc. 1 Vérick.) ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX. 19 La membrane élastique in
xylizze de Delalifld, éosine. (Obj. 3, oc. 1 Vérick.) ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX. 21 de la base du cerveau et
écédents héréditaires. Son père est mort asthmatique, à ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX. 23 l'âge de cinquante-quatr
la plus grande volubilité, mais sa parole est tellement ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTEME NERVEUX. 25 bredouillée qu'on a de l
la partie inférieure du renflement lombaire, on observe ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX. 27 1 une sclérose fort inte
ernes et de la zone de Westphal. Colo- ration de Pal. ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX. 29 par disparaître progress
e leurs parois). llémccloxgline de Delafield, éosine. ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX. 31 du processus de myélite
le plus important, c'est l'ivrognerie' ; puis, vient l'hérédité. La syphilis n'arrive qu'en, troisième ligne; après .elle,"
s, dans le contre- coup réciproque qu'eurent, l'une sur l'autre, la syphilis et l'intoxi- cation morphinique. Malgré des soi
zarre d'érup- tions cutanées, due à.la fois au morphinisme et. à la syphilis , les éruptions morphine-syphilitiques. T- n , ?
nfec- tieuses et aux délabrements organiques, à l'exclusion de la syphilis . L'auteur insistera spécialement sur leur pathogé
i r ' ' t* : '-j ? i ..fi )t'<H ? S< : J ? Observation III. Syphilis en 1885. Paraplégie complète, u pré- z cédée de
ives de Neurologie, t. XXVII, page 1. , ' ' ,, i' . - ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX. Il 1 i» réflexes, épilepsie
sque complètement.'tq sf 'le- ans.. , ? ! .... ? m J. ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX. 119 9 supposition ces fibre
" ^ ]',h,^ ".« ? , . ? . 1, ? ., O"fa m' h .5 imdnr.e ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX. 121 - M malien eiidügèiie.
atiquée au niveau de la huitième racine cervicale.' · ÉTUDE DE LA SYPHILIS ^DU ^SYSTÈME NERVEUX. '123 f quée, surtout la sy
'infil- tration diffuse que l'on peut aussi * bien attribuer à lâ syphilis qu^à la- tuberculose. ? . " . a"r. * '' Les l
,,f ? ' « "™'> "'fy df'ul n ? ") ? t'T"T ? n ? T Revenons a la syphilis . La moelle est le siège d'une méningori tnÿélit
itekembrÿônnairéidifîüsë qui est la cause des accidents ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU. SYSTÈME NERVEUX. '1 L Î. , 1 '-%'tL'lVJ1f ?
querola3tracer d'une ancienne artérite syphilitique guérie. Dans la syphilis ,, ,.t.,r ? j : n'.Uu<<t't . sypliilitiq'
rolifération, et que, par consé- quent, les lésions veineuses de la syphilis ne sont nullement comparables aux lésions artér
accidents : dans les artères, au moins dans les petites artères, la syphilis amène l'oblitération, dans les veines elle entr
l'existence de lésions scléro-gommeuses, traces indé- niables d'une syphilis ancienne. Celle-ci a pu être fort bénigne. Ne s
insi que Fournier l'a indi- qué, que ce sont précisément les cas de syphilis bénignes, en apparence, qui se terminent par le
ffit de voir, sur les figures - e·t T · ' ,a. ! * ' ' ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX. d29 l '.>'.»- - \ .>.
ostérieurs' leur'maximum ? d'intensité dans les cas de tabes où la- syphilis ne figure pas dans les antécédents écolo- gique
i . ') t L observation III concerne un homme qui a contracté la 1 syphilis en 1885 ; deux ans plus tard, c'est-à-dire aune p
du trai- ' tement, dans le cas particulier, plaide en faveur de la syphilis . Donc, très probablement, eh l'espèce, ! il s'a
ans les gaines de myéline; cette dernière lésion, véri- ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX. '131 ~ table myélite-trauma
ire* et qu'ils étaient,' comme celle-ci,' sous la'dépendance'de la' syphilis .' Or,"l'aut6psie'nous'amontré des lésions qui p
ontre,' en effet, à part les tumeurs et les méningites, que dans la syphilis (baux- garten). Les altérations des capillair
er jusqu'à l'évidence que, dans la méningo-encéphalite ÉTUDE DE LA. SYPHILIS DU,. SYSTÈME NERVAUX. '133'' diffuse *. syphili
ral ; sa mère fantasque, avait de' nombreuses manies : Il prend la, syphilis ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX. 135
ue, avait de' nombreuses manies : Il prend la, syphilis ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX. 135 en 1870. En 1884, survi
ion V. M. M..., âgé de cinquante ans. ; , Le malade a contracté la. syphilis à l'âge.de vingt-six ans; il a · un enfant idio
D'ailleurs, rien n'est variable comme l'évolution clinique de la syphilis cérébrale ; mais sur ce sujet il n'y a rien à ajo
y a rien à ajouter à ce qu'en a dit, Fournier dans son livre sur la Syphilis du cerveau, livre empreint d'une si grandet sci
ique d'une unité indiscutable ; c'est là une'belle synthèse de la syphilis cérébrale, à laquelle je ne peux que souscrire .'
i bien l'en- chaînement de tous ces faits et leurs rapports avec la syphilis , l'idée de l'origine spécifique de la paralysie
oin d'avoir éclairé la question ; alors que pour les uns c'est la Ç syphilis qui' constitue la' cause par excellence de la par
cool seuls reste imputable l'étiologie de la méningo-encéphahte. La syphilis n'est rencontrée que dans 4 cas. comme cause pr
i( ? i ? V. f ' 1 sin\ îi^9T..q . ' - Homme de quarante-quatre ans; syphilis en 1870 (sansitraces); en 1872, 'paresthésie 'a
ropa ! <A : e des <a&e'< ? ses et ses rapports avec la syphilis ? ; .«Névroses consécutives aû,x âccidents » « Co
pt;mois, onmeitrouve rien d'intéressant. Iln'vlest ? p4sluestiôn de, syphilis .;On m'a-raconté-que lai mère n'avait jamatsïçonst
érale ayant fait son apparition à l'âge de dix-huit ans et due à la syphilis héréditaire : le second a trait au contraire ?
nd a trait au contraire ? à'nné'pârâlÿsie ? ériér3lèarëlêvànt"d'uné syphilis acquise, avec gommé du'iobe'frontadroit ? "'
de détail de notre observation : à savoir l'alcoolisme du père; la syphilis ^probable de la.- malade (trois enfantsc mort- .
eux questions tout d'actualité : les relations étiolo- giques de la syphilis avec la paralysie générale, et les rap- ports d
es quatre cinquièmes des cas,la paralysie générale reconnaîtrait la syphilis comme un de ses facteurs étiologiques 1. Sa fré
x. A ce titre, nous publions l'observation suivante : 1 Fournier. Syphilis et paralysie générale. (Bulletin médical du 26
ses proches'chez un ? spécialiste qui, après' examen, conclut'à la syphilis , et' conseille pommade au calorriel loco dplent
la paralysie sont l'expression d'un état morbide général, comme la. syphilis ), il nous parait plus naturel d'admettre, un proc
econd point que soulève cette observation est relatif au rôle de la syphilis comme facteur étiologique.'A cet égard, les ant
ée, son mari était en pleine éruption de plaques muqueuses. Donc la syphilis paraît très plausible. ' In Leçons sur les mala
n de plus juste, car nous ne 'comprenons' pas que -Ton dénie"' la syphilis toute ' action sur les centres nerveux/ alors que
cidence, une raison pour faire pencher la balancé en faveur de la syphilis . * - '" ? ? ? , ' Mais la malade ne rentre ' nu
e de l'affection, sans qu'il soit nécessaire de faire intervenir la syphilis . Agir différemment, ne tiendrait à rien moins q
remment, ne tiendrait à rien moins qu'à déclarer qu'en dehors de la syphilis , il n'y a point de paralysie. Et, sans vou- loi
loir tomber dans un excès contraire, il est licite d'avancer que la syphilis , sans le secours de l'hérédité, est impuissante l
paralytiques généraux. Sur ces 100 malades, 47 n'avaient pas eu la syphilis antérieurement. On en a examiné 43. Chez 9 d'entr
le grand sympathique). Sur les 53 malades ayant eu préalablement la syphilis , 50 ont été examinés au point de vue qui nous i
faits l'état des nerfs crâniens. Chez les 47 ma- lades indemnes de syphilis , il y avait cas de blépharoptose, et chez les 5
le.' avec-' parésie' de l'accommodation indiquè-pcesqûe sûrement la syphilis . ' r ? nkr,^, ik, ïj,14 ? M. PELMAN. Que la par
ez des indi- vidus qui,' pour la plupart, ont'eu antérieurement la' syphilis cela est certain. Par conséquent il est évident
s'de' la paralysie générale/'Mais le''terrain étant' préparé par la syphilis ,' une fois' que' la paralysie générale y a germ
de 19; l'épilepsie,9 ? la folie systématique' (5'cas) ? = l''cas de syphilis cérébrale; 3 cas d'alcuolisméchronique; = 5'câs
à l'étude du délire d'origineparPiquéet Febvre; 140." ' ? 1, ,) Syphilis , contribution à l'étude de la du, système nerve
13 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ux fois à Madagascar. Uans les antécédents personnels, on relève la syphilis , le malade a eu cette affection en pleine adole
mates de scrofule. Trois sont morts en bas-âge. Le malade a eu la syphilis et a été traité : il s'est marié en 1886 et en
nte-deux ans, gazier, entré le 20 juil- let 1891. Première période. Syphilis , alcool et excès vénériens, forme surtout démen
L DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 19 20 octobre 1891. Première période. Syphilis et hérédité congestive. Impuissance depuis plus
nte-huit ans, mécanicien; entré le 27 avril 1891. Première période. Syphilis et surmenage cérébral. Forme expansive calme av
ble, entré le 14 sep- tembre 1891. Pas de causes bien définies : ni syphilis , ni alcool. Première période, forme mixte. Déli
uit ans, bijoutier ; entré le 25 juil- let 4891 . Première période. Syphilis et misère. Forme expansive calme avec exagérati
trente-cinq ans, menuisier; entré le 2 août 1892. Première période. Syphilis et alcool. Forme mixte. Le ma- lade a des conce
ngomyélique, puisque dans l'étiologie de cette dernière maladie, la syphilis ne joue aucun rôle. On a dit que ces arthropath
sont deux ou trois fois plus atteintes que les classes aisées. La syphilis , l'alcoolisme, les excès variés, les causes moral
donné le caractère particulier des causes invoquées, sauf pour la syphilis . Les premiers symptômes du tabes se montrent six
importance : le médecin de la prison avait porté le diagnostic de syphilis cérébrale et tumeur cérébelleuse. L'auteur indi
'insertion des muscles périarticu- laires, notamment du deltoïde. Syphilis des centres nerveux chez les indigènes de l'Algér
nerveux chez les indigènes de l'Algérie. , M. ScuEaB (d'Alger). La syphilis est extrêmement fréquente parmi les indigènes d
anciens syphilitiques y abon- dent. Ceci pourrait tenir à ce que la syphilis a été importée en Algérie à une date relativeme
des boissons alcooliques. Leur terrain n'est pas prêt pour que la syphilis y évolue dans ce sens. Qnant aux lésions gommeuse
uvrier du port, alcoolique; le quatrième chez un Arabe de 27 ans, à syphilis grave sans tare antérieure. D'une manière génér
ve sans tare antérieure. D'une manière générale, ce ne sont pas les syphilis graves qui entraînent SOCIÉTÉS SAVANTES. 59 d
ès sont tellement fréquents que le malade désire être opéré. Pas de syphilis , ni de traumatisme, ni d'alcoolisme dans les anté
ès'souvent, relèvent des mêmes causes étiologiques, notamment de la syphilis , de l'alcoolisme et de la tuberculose. Discus
congrès de psychologie de 1900 l'observation d'un homme atteint de syphilis cérébrale chez qui à la suite d'une attaque épi
s ce cas particulier, à l'influence étiologique du paludisme pas de syphilis ; comme cause déterminante, à l'action du froid
paraissant avoir été accompagnée de symptômes 'actéristiques de la syphilis : au point de vue mental, perte de mémoire, inc
, et d'excitation maniaque. La question du rôle étiologique de la syphilis dans la folie est obscure et controversée : ce
u somatique, en l'absence de tout alcoolisme, il semble bien que la syphilis ait joué un rôle prépondérant sinon exclusif. L
izaine d'années, il serait sujet à des crises de rhumatisme. Pas de syphilis , pas de tuber- culose, pas d'éthylisme : mentio
- ditaires ou personnels aucune affection nerveuse ou mentale, ni syphilis , ni alcoolisme. Porteur d'un kyste dermoïde du so
Dans les antécédents héréditaires il faut citer l'alcoolisme et la syphilis du père. Pneumonie à cinq ans. Développement norm
s deux observations, différentes par leur étiologie, dans l'une, la syphilis héréditaire doit être mise en cause; dans l'autre
s. D'autre part la P. G. juvénile est bien plutôt le résultat de la syphilis héréditaire que de la syphilis ac- quise. M.
le est bien plutôt le résultat de la syphilis héréditaire que de la syphilis ac- quise. M. Marchand insiste sur ce fait qu
Y a signalé ce cas surtout parce que ses malades ayant contracté la syphilis étant jeunes, sont devenus de très bonne heure
un argument irréfutable en faveur du rôle prépondérant joué par la syphilis dans la production de la paralysie générale : e
hylaxie de la maladie initiale. De l'avis de tous les auteurs, la syphilis est une cause principale de la paralysie généra
, c'est elle qui, de préférence, devient première paralytique. La syphilis est si bien la cause de la paralysie générale qu'
ivre cette étude de quelques considérations sur le traitement de la syphilis traitement spé- cifique habituel et sur la prop
philis traitement spé- cifique habituel et sur la prophylaxie de la syphilis . tp. Céphalées et intoxications ; par le Dr And
versée. Les deux causes surtout incriminées sont l'alcoolisme et la syphilis . Longtemps niée, l'influence de la syphilis appar
sont l'alcoolisme et la syphilis. Longtemps niée, l'influence de la syphilis apparaît de jour en jour plus prépondérante, ca
z eux de la cause vraiment efficiente de la paralysie générale : la syphilis . L'existence'de la syphilis dans plusieurs cas
fficiente de la paralysie générale : la syphilis. L'existence'de la syphilis dans plusieurs cas de paralysie générale chez l
nhibition doivent être en réalité de l'aphonie hystérique. P. XXXV. Syphilis du cerveau; par J.-T. Esmtdge. (The New York Mé
.-T. Esmtdge. (The New York Médical Journal, 14 juillet 1900.) La syphilis cérébrale est héréditaire ou acquise, et sous cet
plus fréquente chez l'homme que chez la femme : les symptômes de la syphilis héritée se manifestent avant ou de suite après
ellement, jusque vers la douzième ou la treizième année. Quant à la syphilis acquise, elle parait atteindre le cerveau dans
, suivant Hjelmann, et dans 21 p. 100 des cas, suivant Fournier, de syphilis tertiaire. Combien de temps après la lésion ini
cinq à douze ans; les gommes sont plus précoces : mais il y a des syphilis cérébrales hâtives (de un à quelques mois après l
is l'infection, on ne peut jamais déclarer le malade à l'abri de la syphilis cérébrale. Il est à peu près admis que toutes l
s lésions cérébrales jusque-là latentes. Les effets directs de la syphilis sur le cerveau, les lésions spéci- fiques, amen
que est la gomme : c'est un produit inflammatoire, déterminé par la syphilis et diffère des autres produits inflammatoires p
x ordres de lésions. Il étudie ensuite l'état des vaisseaux dans la syphilis du cerveau : toute cette partie de son travail
ue. Puis il examine sommairement le diagnostic dillé- rentiel de la syphilis cérébrale avec les autres affections organiques
ournal, 28 avril 1900.) On a eu raison de dire que quand on sait la syphilis et l'hystérie, on sait toute la médecine, car l
n sait la syphilis et l'hystérie, on sait toute la médecine, car la syphilis détermine des lésions, et l'hystérie des symptô
ien réellement. de paralysie générale. Dans les cas de M. Devay, la syphilis héréditaire se retrouve, comme cela a lieu pres
en présence de températures anormales. Noie sur l'influence de la syphilis héréditaire, de l'alcoolisme et de quelques pro
atten- tion de nos collègues seulement sur trois'de ces causes : la syphilis , l'alcoolisme, les professions insalubres. 1°
auses : la syphilis, l'alcoolisme, les professions insalubres. 1° Syphilis héréditaire. Sur 2.702 observations de garçons
s de maladies chroniques du système nerveux, nous n'avons relevé la syphilis des parents que dans 20 cas, soit 1 p. 100. Nous
ce n'est qu'ensuite que nous posons catégoriquement la queslion de syphilis . Sur 482 filles atteintes des mêmes maladies, n
2 filles atteintes des mêmes maladies, nous n'avons que deux cas de syphilis héréditaire avouée. La pro- portion est encore
19 fois des lésions dentaires, susceptibles d'être rattachées à la syphilis héréditaire. De ces 19 cas, une seule fois nous a
lis héréditaire. De ces 19 cas, une seule fois nous avons relevé la syphilis chez l'un des géniteurs. Nous avons fait une revi
revision avec notre ami le Il Hallopeau sans parvenir à déceler la syphilis chez les parents. Comment expliquer cette raret
la syphilis chez les parents. Comment expliquer cette rareté de la syphilis héréditaire comme cause de l'idiotie ou mieux d
comme cause de l'idiotie ou mieux des idioties' ? Les effets de la syphilis du père ou de la mère se traduisent d'abord par
mois ou dans la première année de la naissance. Ultérieurement la syphilis s'atténuant soit spontanément, soit sous l'influe
ques qui se surajoutent aux profes- sions insalubres, alcoolisme et syphilis . Nous ne vous lirons pas ces tableaux, nous ne
ses complicatiuns chez l'homme et chez la femme, le chancre mou, la syphilis avec ses accidents divers, les principales affe
ériennes. Considérant le danger social de la blennorrhagie et de la syphilis , l'auteur insiste sur la néces- sité d'une régl
es causes déterminantes, de nature toxique, telles que l'alcool, la syphilis , l'influenza, l'intoxication saturnine, et' d'a
iste des preuves, tant cliniques qu'ana- tomo-pathologiques, que la syphilis est un des antécédents les plus fréquents, et p
ts idiots, paralysés et non paralysés et sur leurs rapports avec la syphilis héré- ditaire ; par W.-J. KOENIr.. (The Journal
lte donc des recherches de l'auteur que puisque nous rencontrons la syphilis des parents, dans la majorité des cas de démenc
e, sans toutefois nous permettre d'écarter les causes autres que la syphilis , et cette opinion est d'ailleurs en parlait acc
des avancées de la paralysie générale : un seul cas était un cas de syphilis cérébrale. R. de MU5Gl\.\\'E-CL\Y. Xi. Emphys
Si nous laissons de côté naturellement la paralysie générale, la syphilis cérébrale, l'alcoolisme, l'épilepsie et les psych
te catarrhale chro- nique bilatérale. Rien à l'auscultation. Pas de syphilis . Traitement REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE
. L'- à Vienne, 285. Drames de l ? 286, 366, 414. Influence de la syphilis hérédi- taire de 1'- et de quelques pro- fess
IE. Un cas de -, par Deganello, 223. Professions. Influence de la syphilis héréditaire, de l'alcoolisme et de , quelques
543. Swcnrworsc. Histoire d'un vision- naire, par Ballet, 162. Syphilis du système nerveux en Algérie, par Scherh. 58.
14 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
s- tatation du signe d'Argyll Robertson vient, dans bien des cas de syphilis médullaire, corroborer le diagnostic ; enfin la
tion lombaire donne un bon signe différentiel, lymphocytose dans la syphilis , résultat négatif dans la tuberculose (Sicard e
issement des trous de conjugaison.- Le malade avait eu peut-être la syphilis (Comparez avec la fig. 3, B de la planche). Fig
ncs. Ce n'est qu'à sa mort qu'on découvrit les dettes. Contracta la syphilis après la naissance des fils, devint tabétique et
ec sa haute taille, ne rappelle en rien les faux infan- tiles de la syphilis , de la tuberculose, de l'alcoolisme, etc. D'autre
ompe fort, une de ces causes lointaines. Ainsi que l'hérédité de la syphilis , de la tu- berculose et des autres infections à
de sa mère. Du reste on ne trouve dans cette famille ni des cas de syphilis ni des maladies nerveuses ou mentales, ni la co
'on ne peut pas accepter un rapport causal'avec l'acromégalie. 2° Syphilis héréditaire. Ce sont surtout les célèbres Fournie
lade et de ses parents il me semble, que j'ai le droit d'exclure la syphilis héré- ditaire chez F.... Les observations intér
t l'infantilisme ne se déve- loppent pas toujours sur la base de la syphilis héréditaire. Voici une de leurs conclusions : i
tissus par des produits chimiques ; acide carbonique, toxines de la syphilis , composition altérée du sang par suite d'une fonc
toute tare cutanée. Pas de tuberculose; père buveur de vin ; pas de syphilis . Pas de tare ner- veuse. Antécédents personne
aisante, teint coloré. Pas de signe révélateur d'alcoolisme, pas de syphilis * Pas de convulsions ni d'in- continence d'urine
ment ses antécédents syphilitiques, alcooliques et de surmenage, la syphilis surtout, qu'il a prise à 18 ans. Mais en quelqu
entes, plusieurs séjours dans différents services hos- pitaliers. Syphilis à 23 ans, fièvre typhoïde dans la jeunesse, coliq
DE BICÊTRE. LABORATOIRE DE M. PIERRE MARIE SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS PAR GIUNIO CATOLA Assistant à la Clinique p
ème nerveux, dit que la sclérose en plaques n'a rien à voir avec la syphilis ; il reconnaît cependant l'existence d'une form
vec la syphilis ; il reconnaît cependant l'existence d'une forme de syphilis cérébro-spinale à foyers disséminés. P. Marie d
nt dans des conditions différentes : c'est ainsi par exemple que la syphilis , qui ne produit guère la sclérose en plaques pro-
, en conclusion, pourrait être mise sur le compte étiologiqùe de la syphilis . » Nonne dans sa monographie sur la Syphilis du
te étiologiqùe de la syphilis. » Nonne dans sa monographie sur la Syphilis du système nerveux dit que quoiqu'on puisse avo
en plaques ordinaire. Si dans l'anamnèse du malade on rencontre la syphilis ,cela n'en constitue pas nécessairement une preuve
t une preuve ; au contraire on peut considérer comme certain que la syphilis n'a aucune valeur étiologique dans le développe
l'existence d'une sclérose multiple syphili- SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS 339 * tique est uniquement admissible dans le
par Charcot, Gombault, Bechterew, etc.. Gowers aussi décrit dans la syphilis du système nerveux des formations sclérotico-in
onstituée par la présence de nodules caséeux caractéristiques de la syphilis . L'existence d'une syphilis à foyers disséminés
nodules caséeux caractéristiques de la syphilis. L'existence d'une syphilis à foyers disséminés étant admise, on a objecté
tive d'origine congénitale, on comprend aisément qu'ils excluent la syphilis des causes de la maladie, et même qu'ils en exc
ur origine des infections, des intoxications, l'artériosclérose. La syphilis , pou- vant déterminer des lésions vasculaires s
l'origine infectieuse de la sclérose en pla- SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS 341 i ques tout en acceptant une forme de myéli
st pas démontré que la sclérose en plaques ne puisse reconnaître la syphilis comme cause. Cela d'autant plus que dans la bib
âgée de 34 ans, était syphilitique. Quatre ans après le début de la syphilis elle présenta des troubles visuels, une paralysie
conclut en admettant la coexistence de la sclérose multiple avec la syphilis spinale. Il ne considère pas cette association
ation comme rigoureusement certaine ; mais il fait remarquer que-la syphilis ne peut pas être mise hors decause d'une façon
ses conclusions a été critiquée par Ladame. « La complication d'une syphilis spinale par une sclérose en plaques de nature d
sclérose en plaques. Cela d'au- tant plus, suivant son avis, que la syphilis cérébro-spinale présente sou- vent des lésions
yphi- litique. Moncorvo a maintes fois insisté sur le rôle que la syphilis héréditaire peut jouer dans ['étiologie de la s
a sclérose multiple de l'enfance. Une sclérose disséminée dans la syphilis héréditaire a été décrite aussi par Jacobsohn c
ment intentionnel, contractions fibrillaires SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS 343 dans la langue et les masséters, parole sca
ous semble pas entièrement justifié d'éliminer dans tous les cas la syphilis des facteurs étiologiques de la sclérose en pla-
onçoit t pas pourquoi on la doit considérer comme une forme rare de syphilis ner- veuse. Car si la syphilis est capable de d
t considérer comme une forme rare de syphilis ner- veuse. Car si la syphilis est capable de donner naissance à des plaques de
e la sclérose multiple, cela cons- titue bien une forme spéciale de syphilis nerveuse, mais il n'y a pas de raisons pour ref
rose en plaques uni- quement parce que dans son étiologie figure la syphilis . SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPI11LIS 345 Après a
urs le malade dit qu'il voit double le matin SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS 347 au moment où il se réveille et que ce phéno
Fig. 5 Fig. 6 Fig. 7 Fig. 8 Fig. 9 SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS (Catola.) Masson & Ci«, Éditeurs SCLÉRO
LIS (Catola.) Masson & Ci«, Éditeurs SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS 349 noyau central inférieur, de l'olive supérie
ig.13 Fig. 11 t Fias Fig. 12 Fig. 15 SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS (Catola.) SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS 351
SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS (Catola.) SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS 351 1 ractères d'une métamorphose hyaline ou co
3 t Fig. 4 4 ,1 : \ Fig. 5 11 I i SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS 1 (Catola.) SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS 3
CLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS 1 (Catola.) SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS 353 Sclérose des zones ciliaires et périciliair
Stroebe et de Kaplan nous avons pu mettre en SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS 355 évidence dans les territoires scléreux une
iées ou très peu colorées par la laque hématoxylinique. En résumé : syphilis à 31 ans. Début de la maladie à 34 ans d'une faço
e pouvons omettre une remarque : Certains auteurs prétendent que la syphilis cérébro-spinale ne réalise jamais la symptomatolo
rticale, ceux-ci lorsqu'ils existent, plaident plus en faveur d'une syphilis cérébro-spinale. Mais il faut penser que ces symp
ces symptômes peuvent ne pas figurer dans le tableau clinique de la syphilis spinale, ce qui rend alors extrêmement délicat
d'au- tres auteurs qui se sont occupés de cette question. Que la syphilis cérébro-spinale puisse donner lieu à une symptoma
iale et des conséquences thérapeutiques. Nous admettons bien que la syphilis chronique du sys- tème nerveux, disséminée ou n
différentiel est très difficile sinon tout à SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS 357 -1 fait impossible. Car dans la myélite dis
sclérose en plaques commune. Nous arrivons ainsi à admettre que la syphilis peut jouer un rôle assez important dans l'étiol
sche Zeitschrift sur Nervenheillcunde, 1902. SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS 3.a 28. FLATAU urrn KLICI1CN. - Ueber die Myeli
wa . lekai-s ldeg'o, 1901. Medycyna, 1901. 29. FOUIOETTE. - De la syphilis héréditaire tardive. Paris, 1886. 30. Fournier
ltiple Sklerose. Deutsche Zeitschr. f. Nervenheilk. Bd. XV. 34. - Syphilis und Rückeîimark. Berl. klin. Wochenschrift, 1893.
tiplen Sklerose. Zeitschr. f. klin. Medizin., 1896. 37. GowEns. - Syphilis and nervous sys/ent, 1893. 38. Traité des malad
ntile d'origine grippale. Revue neurologique, 1893. 68. MENDEL. - Syphilis disséminée de l'axe cérébro-spinal. Annales de de
w. i ICindesalter. Corresp. Bl. f. Schw. Aerzte, 1891. 74. Nonne. - Syphilis und 7Ve/'t)e/M ! /s<eM. Karger, Berlin, 1892.
s Nervensystems Wiesdaben, 1887. 93. SAcHs Multiple cerebro-spinale syphilis , Brain, 1893. 94. Sonder. - Hirnrindebefunde be
71. 100. Schuster. Ein Fall von multiplen Sklerose usw. infolge von Syphilis . Berl. klin. Woch., 1885. SCLÉROSE EN PLAQUES
on ne retrouve aucun cas de paralysie analogue ; le père nie toute syphilis et n'en présente aucun stigmate, pas plus que la
le n'a pas fait de fausse couche. Rien ne permet de soupçonner la syphilis chez les procréateurs. Elle avait un frère gran
ers et des fonctions génitales. Pas de troubles trophiques cutanés. Syphilis à l'âge de vingl-qualre ans. Excès alcooliques. E
rme, un franc par jour. A l'âge de vingt-quatre ans il contracte la syphilis (chancre et plaques muqueuses). Depuis l'âge de
ffectionsoùse constate le signe d'Argyll-Robertson, en dehors de la syphilis , du tabès et de la paralysie générale. Ce signe
malade observé plus récemment (1896) par l'un de nous (obs.III),la syphilis héréditaire ou acquise pouvait être mise certaine
ce signe a moins de valeur, puisqu'il avait contracté très jeune la syphilis . Quant à sa soeur (obs. I) qui n'avait pas eu l
jeune la syphilis. Quant à sa soeur (obs. I) qui n'avait pas eu la syphilis , bien qu'il n'y eut chez elle pas de signe d'Argy
ut envisager l'hypothèse d'une action analogue à celle qui, dans la syphilis nerveuse, engendre les lésions spinales. L'isch
de et, proba- blement, tuberculose pulmonaire ancienne. Elle nie la syphilis et l'alcoolisme. Début à 58 ans, par des'crises
uer chez eux les symp- tômes et les lésions du mal de Poil et de la syphilis ; dans la 4e, une ménin- gite cérébro-spinale t
plus brièvement possible, ces observations : 530 ALQUIER Cas avec syphilis . , OBS. XII (n° 862). - dlal de Pott dorsal inf
leurs névralgiformes lombo-sacrées, et succédant à des accidents de syphilis spinale. Homme de 41 ans. Il s'agit d'un malade
malade syphilitique ayant présenté, depuis un an, des accidents de syphilis spinale, qui avaient disparu depuis plusieurs m
e d'Argyll avec quelques secousses nystagmiforl1les. Hésitant entre syphilis et tuberculose, on pratique une injection de ca
difficile de tenter, dans ces trois cas,de dire ce qui revient à la syphilis ou à la tuberculose : le problème est particulièr
'observation XII nous voyons, au contraire, ce dernier succédera la syphilis , que l'anatomie pathologique montre presque éte
our un asile de 600 lits. Chez ces paralytiques généraux arabes, la syphilis est fréquente ; d'après le D1' War- nock,Médeci
rabes non paralytiques (Sur 34 entrées en 1905 nous avons relevé 28 syphilis certaines). Ces données relatives à la patholog
s obligeamment communiquées par M. le Dl' Warnock ont révélé que la syphilis est très fréquente chez les Arabes et que la pro-
st très fréquente chez les Arabes et que la pro- portion des cas de syphilis pour l'effectif total de l'asile soumis à l'exa-
nviron 12 p. 100. On a compté, ! pour la seule année 1901,79 cas de syphilis , sur 561 admissions. NOUVELLE Iconographie DE l
oliose des adolescents (1 pl.), 129. CATOLA. Sclérose en plaques et syphilis (3 pl.), 337. CIIARTIER et Lejonne. Dystrophi
riques), par J.-C. Roux et J. HEITZ, 297. Scléroses en plaques et syphilis (3 pl.), par GATOLA, 331. Spondylose rhizomél
OTTE), XXXIV, XXXV, XXXVI,XXXVII, XXXVIII. Sclérose en plaques et syphilis (CATOLA), LI, LII, LUI, LIV. Spondylose rhizo
15 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
a maladie de Paget d'affections os- seuses analogues (ostéomalacie, syphilis , etc.), et de dire si, à un moment donné, c'est
, à la suite de Lannelongue (1) et de Fournier (2), font jouer à la syphilis un rôle capital et exclusif dans l'étiologie de c
telle théorie est-elle actuellement fondée ? C'est, on le sait, la syphilis héréditaire qui a été incriminée tout d'a- bord
sans exception, cela doit être, puisque les sujets, en puissance de syphilis héréditaire, ne sauraient contractera à nouveau
ance de syphilis héréditaire, ne sauraient contractera à nouveau la syphilis ; ils sont vaccinés » (3). (1) LANNELONGUE, De
s maladies de Parrot et de Pa- get. Acad. de Médecine, 3 mars ]9U3. Syphilis héi éuitaire tardive, type Pagel. Types infanti
os de la maladie de Paget considérée comme une m'mires- talion delà syphilis liérédilahe tardive. Acad. de Médecine, 31 mars 1
coup de A PROPOS D'UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE il 1 Toutefois la syphilis acquise a pu être imputée dans cerlains cas. M. M
ole. On a beaucoup insisté sur les connexions qui existent entre la syphilis héréditaire tardive, et la maladie osseuse de P
philis héréditaire tardive, et la maladie osseuse de Paget, cette « syphilis ultra- tardive » de certains auteurs. Fréchou (
mais ces douleurs n'ont pas l'inten- sité que l'on observe dans la syphilis , où elles peuvent arracher des cris ; elles ne
l'origine hérédo-syphi 1 i tique sera établie, selon le profes- sa syphilis ancienne, n'est pas aussi fortement fondé qu'on a
. 574. (2) l1rrreTmsn et liuBCVS-D VAL. Maladie osseuse de Pagel et Syphilis . Soc. méd. des hôpitaux, 25 mai 1905 ; Bulletin
manifestations bérédo-syphiiitiques de la puer-adolescence ; 3° la syphilis avérée du procréateur ». « Cette trouvaille, di
évelopper chez les syphilitiques que chez les autres sujels, que la syphilis joue un certain rôle dans la pathogénie de la mal
ontrer que si certaines, maladies de Paget relèvent peut-être de la syphilis , grâce d'ailleurs, selon nous, à un intermédiai
ifformités qu'il attribue à une véritable osteilis déformons. Or la syphilis de la poule n'existe pas, on le sait, pas plus
que certaines analogies cliniques unissent l'ostéite de Paget à la syphilis osseuse, il n'en est pas moins vrai que des dif
x processus. En réalité un syphilitique peut devenir pagélique ; sa syphilis est sans doute une cause adjuvante pour le déve
CTIONS DYSTROPHIANTES DES OS 1 (A. Léri G. Legros). J Un tibia de syphilis osseuse héréditaire tardive (A) et un tibia de ma
re que c'est par l'intermédiaire de l'artério-sclé- rose qu'agit la syphilis héréditaire ou acquise ? On sait l'affinité qu'a
- DE QUELQUES AFFECTIONS DYSTROPHIANTES DES OS (MALADIE DE PAGET, SYPHILIS OSSEUSE, OSTÉl\L\.L.\.CIE, RACHITISME). PAR R
es certaines similitudes cliniques : d'une part maladie de Paget et syphilis osseuse tardive dont les manifestations sont co
ct bien spécial. Nous avons pu radiographier des tibias atteints de syphilis héréditaire tardive : ils présentaient à la rad
mation est considérée comme le type des déformaiions osseuses de la syphilis tardive ; mais elle est beaucoup plus rare qu'on
onnels. Aucune maladie antérieure, aucun signe ni d'éthylisme ni de syphilis , pas de fausses couches. Mariée à 17 ans, après
de 36 ans. Il a toujours eu une bonne santé, mais il a contracté la syphilis à l'âge de 24 ans ; il s'est d'ailleurs aussitôt
jours bien portante. Son mari est aussi bien portant. Elle nie la syphilis et n'en présente aucun accident ; pas d'avortemen
it la supposition d'une maladie infectieuse chronique, telle que la syphilis , la tuberculose, etc., et de même l'existence d
réditaires ou personnels. Ethylisme léger dans la jeunesse ; pas de syphilis . Le malade a été pris en janvier 1907 d'un ictu
grave ; il est depuis sa jeunesse un fervent des apéritifs ; pas de syphilis avouée. Au mois de mars 1906, B... a été pris s
u corps. Examens spéciaux : Séro-réaction de Wassermann pour la syphilis : négative. Examen chromocilométrique du sanq :
é mise en rapport avec l'in- fluence héréditaire pathologique de la syphilis , de la tuberculose, de l'im- paludisme, de l'al
e, et nous pouvons particulièrement meure de côté l'influence de la syphilis soit héréditaire soit acquise, car la sera-réac
ces auteurs dans les autres organes histologiquement examinés. La syphilis surtout, qui de toutes.les infections est certain
ndaire à une hérédo-intoxication venant de l'organisme maternel. La syphilis , la tuberculose, l'alcool pourraient être les age
Il n'y avait dans ses antécédents, ni alcoolisme, ni nicotinisme, ni syphilis . Pas trace non plus d'intoxications professionn
israëlites. Aucun fait ne nous permet de supposer l'existence de la syphilis chez les parents du malade. Antécédents personn
lle beaucoup la déformation en fourreau de sabre qu'on voit dans la syphilis héréditaire. Bien que les membres inférieurs soie
nte'de Paget qui serait pour ces auteurs un trouble dépendant de la syphilis héréditaire. La théorie de l'hérédo-syphilis dans
sitif qui nous puisse faire admettre avec la moindre probabilité la syphilis héréditaire chez le malade. L'examen chimique d
enfant de six mois mort et non macéré. Elle nie énergique- ment la syphilis et, de fait, on n'en trouve aucun signe, malgré l
, non syphilitique, après huit ans de mala- die. 11 n'existe pas de syphilis héréditaire. Antécédents héréditaires. Son père
e. SUR LA GENÈSE DES LÉSIONS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE DANS UN CAS DE SYPHILIS DU NÉVRAXE A MARCHE RAPIDE PAR L. ALQUIER.
se trouve, le plus souvent, en présence d'altérations complexes, la syphilis ayant évolué par poussées successives, et ses lés
ns le fait que nous allons relater, le malade a été emporté par une syphilis nerveuse à marche rapide, la moelle présente les
ormulées pour expliquer la destruction des éléments nerveux dans la syphilis médullaire. Histoire clinique (résumée). Homme,
la syphilis médullaire. Histoire clinique (résumée). Homme, 44 ans. Syphilis il y a dix ans, ALQUIER. LA GENÈSE DES LÉSIONS
outons Nouvelle Iconographie DE la Salpêtrière T. XXII. Pl. XLI SYPHILIS DU NEVRAXE A MARCHE RAPIDE (L. Alquier). Mass
paisseur. Cette lésion, importante au point de vue du diagnostic de syphilis , qu'elle suffirait à légitimer, ne semble pas app
nerveux, une part semble bien revenir à l'action des toxines de la syphilis . Souhaitons que, le jour où les toxines de la syp
oxines de la syphilis. Souhaitons que, le jour où les toxines de la syphilis seront iso- lées, l'expérimentation puisse nous
cise. NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière T. XXII. PI. XLII SYPHILIS DU NÉVRAXE A MARCHE RAPIDE (L. Alqitiei). CLI
était achevé quand nous avons appris par le traité de Nonne sur la syphilis du système nerveux que des auteurs autrichiens, F
yélite aiguë, par exemple dans des cas de tumeur de l'encéphale, de syphilis , de ménin- gite séreuse ou tuberculeuse ou enco
al. ' Séro-réaction de Wassermann (déviation du complément) pour la syphilis : résultat nettement positif. La description
Galezowski, Bertozzi pensent qu'elles soient strictement liées à la syphilis héréditaire. Le spécialiste a noté en outre que
illeurs que chez notre patient la déviation du compté- ment pour la syphilis (selon Wassermann) a été nettement positive. Ce
quer en admettant chez notre malade l'in- fluence héréditaire de la syphilis paternelle. Les arrêts de développement tels qu
SEPPE FRANCHINI nous porte à croire comme beaucoup plus probable la syphilis héréditaire que la syphilis acquise, car tout l
croire comme beaucoup plus probable la syphilis héréditaire que la syphilis acquise, car tout le syndrome s'explique beaucoup
édicale nous donne quelques rares exemples de gigan- tisme lié à la syphilis héréditaire ou acquise (cas deNobl, Fuelis e[Sit'
tion, le traumatisme, l'hérédité, une prédisposition de famille, la syphilis . Après la publication des cas de Bechterew, par
bien portant dans son enfance. Il a contracté dans sa jeu- nesse la syphilis pour laquelle il a été soigné à l'hôpilal par l'i
urtout incriminer le refroidissement et le rhumatisme, peut-être la syphilis y a été aussi pour quelque chose. Notre cas ne
sans lésions des grandes articulations. On note dans l'anamnèse la syphilis , le rhumatisme et le refroidissement, mais pas
es suites d'un trouble général ? Comme le malade avait contracté la syphilis et que, d'autre part, il a présenté des symptôm
par nous. Il faut donc admettre l'association de ces deux causes : syphilis (paralysie géné- rale) et refroidissement. No
athologique de notre cas de la façon suivante. Le malade atteint de syphilis prend un fort refroidisse- ment localisé la col
ladie qui a trouvé des conditions convenables à son développement : syphilis et paralysie générale. Il en est résulté des al
diqué les associations suivantes : refroidissement et traumatisme ; syphilis et traumatisme; hérédité et syphilis ; rhumatis
froidissement et traumatisme ; syphilis et traumatisme; hérédité et syphilis ; rhumatisme etsyphilis. Nous considérerons not
ort fumeur mais un modeste buveur. Il nie avoir jamais contracté la syphilis ou des maladies vénériennes. Il y a environ 15
culations des mains et des pieds. La réaction de Wassermann pour la syphilis , pratiquée avec l'extrait alcoo- lique du coeur
albumo- surie, une évolution plus rapide. Pour ce qui concerne la syphilis osseuse je me réserve d'en parler plus tard. '
bsence de pléiade ganglionnaire, le silence de l'anamnèse quanta la syphilis , me firent rejeter la nature syphilitique de l'ul
bleau contraste absolument avec celui que fournitun tibia frappé de syphilis héréditaire tardive. Dans la figure obtenue par
e considérable. Je veux parler de la réaction de Wassermann pour la syphilis . Dès qu'elle fut introduite dans la clinique on
déjà affirmé sur la base de considérations cliniques, qui relie la syphilis et les maladies parasyphilitiques. Or, comme l'on
uccès est celle qui en fait remonter le primwn movens à une hérédo- syphilis (Lannelongue) (1), ou à une syphilis acquise (Mén
le primwn movens à une hérédo- syphilis (Lannelongue) (1), ou à une syphilis acquise (Ménétrier) (2). D'au- tre part, selon
, dans mon cas, l'anamnèse fût muette, soit pour ce qui concerne la syphilis héréditaire, soit pour la syphilis constitutionne
te, soit pour ce qui concerne la syphilis héréditaire, soit pour la syphilis constitutionnelle, la réaction de Wassermann a
il en se fondant sur ces résultats négatifs, entièrement exclure la syphilis de l'étiologie de la maladie de Paget ? Il est
d'os est beaucoup plus marquée dans la maladie de Paget que dans la syphilis ,tandis que le stade douloureux fait souvent dé-
er, Chartier et Descomps (4) qui firent rentrer dans l'étiologie la syphilis constitutionelle, confirmée dans leurs cas. J
onfirmée dans leurs cas. Je suis bien loin de vouloir nier que la syphilis dans ces cas comme dans bien d'autres ait pu jo
xication acide invoquée par OhJttin- ger et Agasse-Lafont (3) et la syphilis . Ce n'est pas tout ; jusqu'à un certain point e
tes qu'en Allemagne et en Italie ; par contre, on ne sait pas si la syphilis a, chez les Anglais, plus de diffusion que chez
0 septembre 1907, mort le 1er octobre. Le malade avait contracté la syphilis , il y a un an. Depuis ce temps il avait été rég
les de la conscience. Pas de signes que l'on puisse attribuer à une syphilis manifeste. Le 1 ? octobre. la dysphagie est app
itime de supposer que dans notre cas l'influence pathogénique de la syphilis héréditaire ne puisse être mise en doute ; nous
ue le gigantisme doive être considéré comme nécessairement lié à la syphilis , mais il nous semble juste de supposer que dans
ais il nous semble juste de supposer que dans notre cas au moins la syphilis paternelle ait eu une influence sur le développ
dans plusieurs cas d'infantilisme du type Lorain, l'influence de la syphilis héréditaire. Levi a eu en effet des résultats net
lesquelles il s'était simplement borné à supposer l'influence de la syphilis héréditaire. Levi a eu cette année les mêmes ré
ientôt) et chez lesquels l'histoire clinique était négative pour la syphilis héréditaire ; l'un de ces deux cas était lié à
on devra nécessairement être toujours limitée par l'exclusion d'une syphilis acquise, exclusion qui ne sera pas toujours facil
rs facile comme dans notre cas. Dans notre cas, l'hypothèse de la syphilis héréditaire est confirmée par l'existence de de
pium zcux : deux faits qui sont liés par la majorité des auteurs à la syphilis héréditaire. On avait déjà assez souvent obse
e des deux côtés et localisée uniquement aux pieds. Il nie avoir eu syphilis ou maladies vénériennes, il n'a jamais bu de vin,
survint vers l'âge de 45 ans ; jamais de grossesse. Aucun signe de syphilis ni dans le passé, ni au moment de l'exploration
.), par D.\1\Los, ApEuT et PL1NDIN, 682. Moelle (Lésions dans une syphilis du nc·'- vraxe a marche rapide) (2 pl.), par AL
rdina- trices d'occupation), par Macé de Lépinay, 65, 189, 289. Syphilis du névraxe à marche rapide, le- sions de la moe
iER. Sur la genèse des lésions de la moelle épinière dans un cas de syphilis du névraxe à marche rapide (2 pl.), 368. - et
e de quelques affections dystrophiantes des os (maladie de Paget, syphilis osseuse, osteomalacie, rachitisme) (4 pl.), 24.
u cou et de la ceinture scapulaire (Rimbaud et ANGLADA), XVIII. Syphilis du névraxe à marche rapide ALQUlER), XLI et XLI
16 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
à noter du côté des antécédents héréditaires ou personnels. Pas de syphilis , pas d'alcoolisme. 1 Gowers. - Drain, t. I, p.
nt pas les moyens chirurgicaux. Les épilepsies symptomatiques de la syphilis , du saturnisme, de l'alcoolisme, ne nous occupe
le de se localiser diversement, quelle que soit la localisation, la syphilis domine l'étiologie des lésions, lesquelles sont
ns, hérédité nerveuse assez lourde, entre à la Salpêtrière en 1892. Syphilis douze ans auparavant, accidents secondaires, pa
érébraux en plus, et elle est certainement sous la dépendance de la syphilis . C. VIII. Myopathie primitive généralisée; par
eut également le provoquer, mais après les trauma- tismes, c'est la syphilis qui est son facteur étiologique le plus ordi- n
, misérable et d'une débilité mentale assez prononcée, contracte la syphilis huit ans avant le début de l'affection. Aucun t
e observation. Femme, quarante-cinq ans, tare héré- ditaire, pas de syphilis , excès vénériens de toutes sortes depuis l'enfa
sième observation. Homme, quarante-six ans, hérédité névropathique, syphilis . Début du tabes à trente-six ans par des douleu
direct, le tendon d'Achille est raccourci. Il existe des signes de syphilis héréditaire. Intelligence très déve- loppée. Le
ies d'origine cérébrale, les auteurs croient pouvoir avancer que la syphilis n'est pas tou- jours innocente de ce tabes spas
ement pour apporter sa contribution à l'étude des rapports entre la syphilis et la paralysie générale. L'auteur fait observer
ête patiemment poursuivie a démontré à M. Pierson l'existence de la syphilis est suffisant, lui parait l'auto- riser à range
entes causes comme n'ayant qu'une action prédisposante à côté de la syphilis . Quant au surmenage intellectuel son rôle serai
ents nerveux, fibres et cellules. Extrême altération des vaisseaux. Syphilis probable, mais les vais- seaux n'en présentent
turelles ou artifi- cielles) : 4 fois. 12° Cho ? ,ée : 3 fois. -13° Syphilis : congénitale, 1 fois; acquise, 2 fois. 94 Gros
sque toutes à l'appui de l'opinion de M. Clouston qui attribue à la syphilis héréditaire un rôle important, sinon prépondéra
XXXII. Rectification historique DE L'ÉTUDE DES rapports ENTRE la SYPHILIS ET la PARALYSIE générale progressive ; par le pro
HOLOGIE MENTALE. miers à attirer l'attention sur les rapports de la syphilis avec la paralysie et à avancer que la syphilis
r les rapports de la syphilis avec la paralysie et à avancer que la syphilis est une des graves causes de la paralysie. Ce d
t que le fait de la fréquente coexistence de la para- lysie avec la syphilis fut indiqué pour la première fois par Bayle, qu
aladie antérieure grave. Santé habituelle parfaite. Aucun indice de syphilis . AI-0 P..., s'est mariée à vingt-trois ans. Ell
ins grandes. On reconnaît de plus en plus le rôle important de la syphilis que l'auteur a relevé dans la moitié des cas. Mai
a relevé dans la moitié des cas. Mais il y a d'autres causes que la syphilis . Parmi les symptômes cliniques, aucun n'est pat
de la moelle. M. GAUSER accorde un rôle étiologique important à la syphilis ; celle-ci se rencontre dans plus de la moitié d
uente chez l'homme. - Elle coïncide avec un athérome généralisé. La syphilis n'a pas été rencontrée. Les excès de bière et d
I\GO-11YL,LITE DIFFUSE DANS LE TABES, . LA PARALYSIE GÉNÉRALE ET LA SYPHILIS SPINALE ; Par le Dur NAGEOTTE, Chef des trava
74 CLINIQUE NERVEUSE. les rapports particulièrement étroits avec la syphilis , il existe des lésions diffuses, portant sur le
-myélite plus ou moins circonscrite pour les différentes espèces de syphilis spinale - se mettent en relief sur un fond comm
préciser davantage la 1 F. Raymond. - Contribution à l'étude de la syphilis du système nerveux. (Arcla. de Neurologie, 1894
ent soupçonner le tabès, sans qu'on puisse rien affirmer ; enfin la syphilis est considérée comme possible. Évolution ultéri
orrhagie à dix-sept ans, pas 284 CLINIQUE NERVEUSE. d'histoire de syphilis Marié en 1882, G... a eu trois enfants, dont de
n rien au point de vue histologique de celles qu'on observe dans la syphilis médullaire diffuse; sa disposition régulière su
ferme, que le malade, né d'un père ataxique, a constamment nié la syphilis . Observation III. Tabès; méningo-myélite diffus
cédent pathologique qu'une diarrhée intense huit ans auparavant; la syphilis est niée. Fatigues et habitation humide pendant
étiologiques étroits; nous voulons parler, des formes variées de la syphilis spinale. Ici nous n'avons pas de faits personnels
e notre maître M. le professeur Raymond, les pièoes de trois cas de syphilis spinale dont l'un, myélite chronique diffuse év
ique transverse chronique (F. Raymond, Contribution à l'étude de la syphilis du système nerveux, Arch. de Neurol., lS9u, Obs
'antécédents connus nous em- pêche seule d'attribuer fermement à la syphilis ; si, d'autre 'part, on se rappelle que dans no
pécifique; mais ici nous sommes tenus à des réserves. Sans doute la syphilis peut produire cette lésion il serait oiseux d'e
es, mais elle ne nous dit pas si les z10 qui restent relèvent de la syphilis ignorée ou de toute autre cause morbide ; il se
semblables aux lésions syphilitiques. Mais il reste possible que la syphilis soit la seule cause de ce processus diffus et d
été incriminée, particulièrement dans ces derniers temps. B. Sachs ( Syphilis and tabès dorsalis, N.-Y., Med. J., janvier or)
de par la clinique, que dans la grande majorité des cas c'est de la syphilis qu'il relève. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. C
Un homme de quarante-cinq ans chez lequel on n'a pu constater ni syphilis , ni épilepsie, ni alcoolisme mais une prédisposit
lésions de dégénérescence et non des lésions inflammatoires; 4° la syphilis n'est pas un facteur nécessaire dans la product
nsi : Homme de soixaate ans, conducteur de chemin de fer : pas de syphilis , pas d'alcoolisme; paludisme il y a trente ans; p
fait l'objet de cette lecon, la lésion parait devoir être due à la syphilis acquise. Or, comme la base de la pro- tubérance
ger à une influence toxique ou infectieuse et particulièrement à la syphilis . Mais cette influence pathogé- nique de la syph
ulièrement à la syphilis. Mais cette influence pathogé- nique de la syphilis ne suffit pas à l'interprétation des cas héré-
teurs de la paralysie générale. - La première malade contracte la syphilis en juillet 1893, eu mars 1894, elle est atteint
en quelques mois et se maintient. La deuxième ma- lade contracte la syphilis et fait' plusieurs séjours à l'Antiquaille pour
ne depuis son admission à l'asile. La troisième malade contracte la syphilis à l'âge de dix-neuf ans. Les troubles mentaux o
émence. sociétés savantes. 325 La quatrième malade a contracté la syphilis il y a dix ans, et fut atteinte dès les premier
iers accidents d'hypocondrie, causée par l'ennui d'être atteinte de syphilis . Cet état ne l'empêchait pas d'exercer sa profe
brales suspectes. Elle-même, à l'âge de dix- neuf ans, contracte la syphilis avec son mari (1882) et, en 1886, à la suite d'
ans hémianopsie. Une femme de trente-deux ans, ayant contracté la syphilis par allaitement et ayant^ présenté peu de temps a
. M. Duncan Menzils préconise le même médicament pour la cure de la syphilis maligne des Indes, concurremment d'ailleurs ave
es, sensibilité occipitale de certaines affections cérébrales), les syphilis locales anciennes de la moelle et de ses envelo
., XIII, 1894.) Jeune homme de quatorze ans, ayant été atteint de syphilis héré- ditaire dans les premiers mois de son exi
ux pyramidaux ou des cordons latéraux. En d'autres termes, fonds de syphilis héréditaire, arrêt de dévelop- pement cérébral,
Brandebourg elle était de 19,7 p. 100 et à Berlin de 26 p. 100. La syphilis étant parmi les causes les plus importantes qui
VÜrzbourg) montre que sur 1000 aliénés non paralytiques généraux la syphilis peut être incri- minée 39 fois alors que sur le
39 fois alors que sur le même nombre de paralytiques géné- raux, la syphilis se trouve 400 fois. Chez les paralytiques générau
a, d'après différents auteurs, une proportion de 75 p. 100 pour la syphilis . Comme l'apparition de la paralysie générale, d
ion syphilitique et comme la majeure partie des hommes contracte la syphilis de vingt à trente ans, on s'explique facilement
facilement l'époque ordinaire du début de la paralysie générale. La syphilis , en règle générale, étant contractée dans les r
lative des prêtres s'explique parla rareté de l'alcoolisme et de la syphilis . L'alcoolisme mérite d'être aussi examiné. Il d
ne de la para- lysie générale et ne tiennent pas assez compte de la syphilis . OEbecke donne pour l'alcool une proportion de
l'homme; la démence cepen- dant domine. Durée moyenne deux ans. La syphilis est un prédis- posant, elle a. été relevée chez
onique. Ils ont alors plutôt l'aspect de foyers multiples, comme la syphilis et la tuberculose des centres nerveux, que de v
vre typhoïde, influenza, impaludisme, choléra, rage, tu- berculose, syphilis , blennorrhagie, rhumatisme, etc.) provoquent de
n'y a pas un facteur toxique quelconque, albumatisme, intoxication, syphilis , malaria ou autre. (The ulienist and neurologis
Etude sur la z diffuse dans le tabes, la paralysie générale et la syphilis spinale par Nageotte, 273. " Ménopause. Folie
a période de développement physique de la -, par Middlemass, 161. Syphilis et - , par Kovatewsky, 163 Symp- tômes oculai
tiques, par Chi- pault et Dalerne, 3î9 ? spinale, épiphénomène de syphilis hérédi- taire, par Hoflmann, 386. Paranoïa .
, par Freund, 479. Syndrome de Weber, par Souques et Londe, 77. Syphilis et paralysie générale, par Kovalewsky, 163. S
17 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
SYNDROME DL LlT'rLE (congénital SPATIC RIGIDITY OI' LIMI3S) ET LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE PAR TOMMASI DE AMICIS Professeu
ans. Son mari, fut absent pendant quel- ques années et contracta la syphilis ; à son retour dans sa famille, il con- tagionn
eux central. Cette artérite généralisée dépend, pensons-nous, de la syphilis . Quoi- que la syphilis à l'examen fut indiquée
rite généralisée dépend, pensons-nous, de la syphilis. Quoi- que la syphilis à l'examen fut indiquée seulement chez un anencép
utes les difformités congénitales du système nerveux central est la syphilis héréditaire (1). , (1) En terminant je trouve d
plaignait parfois de crampes dans le membre supérieur droit. Pas de syphilis . Alcoolisme modéré. A 20 ans, comme il se faisa
Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière, 1897, n" 4. UN CAS DE SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE AVEC AUTOPSIE
) publiait une série d'obser- vations tendant à démontrer que si la syphilis héréditaire localisée sur le cerveau pouvait pr
u syndrome deLittle, fréquemment lui aussi sous la dépendance de la syphilis héréditaire (2), mais dans lequel les lésions c
très marquée sur l'axe spi- nal. » (1) Gilles DE la TouRETTE, La syphilis héréditaire de la moelle épinière. Nouv. Iconog
cerveau, ce qui est rare dans les détermi- nations nerveuses de la syphilis héréditaire. Examen histologique de la moelle e
it de préparation par la méthode de Nissl. Mais nous ne croyons pas SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 97 que les co
iables. NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SAIPGI'RIE1LE. T. XII. PI. XVI SYPHILIS héréditaire DE la MOELLE ÉPINIÈRE (Gilles de 1.
de 'Pal) A. Reninndnrsjte moyenne. 13. Région cenicate inférieure SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 99 2) Par les
ré- gion cervicale inférieure et présentent la même topographie. SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 101 La seule
te, est croisée par rapport aux lésions des faisceaux pyramidaux. SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 103 Les zones
es aux lésions en foyer de l'encéphale. Revue neurologique, 1898. SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 105 malade il
e de ces lésions n'est pas ici absolument certaine, la notion de la syphilis des parents n'ayant pu être acquise. Toutefois la
t les dents d'Utchinson sont de fortes présomptions en faveur de la syphilis hé- réditaire. L'examen histologique en montran
la lésion systé- matique. D'autre part, qui dit tabes dit souvent syphilis , c'est-à-dire encore une chance d'athérome auri
nucléaire, bulbaire, comme il s'en voit assez fré- quemment dans la syphilis des centres, et irradiant dès noyaux du nerf am
1899. Peu de renseignements sur les antécédents héréditaires. Pasde syphilis . Soeur de 16 mois bien portante. L'enfant est n
. 54. Blépharo-conjonctivite et vulvo-vaginite gonococcique. Pas de syphilis . Le membre inférieur gauche est atrophié. La cu
culier, de donner une autre étiquette à l'affection en question. La syphilis ne semble pas pouvoir être mise en cause; elle ne
itique. D'après Boeck et nombre d'auteurs, les manifestations de la syphilis hé- réditaire sont d'autant moins accusées que
ns de la syphilis hé- réditaire sont d'autant moins accusées que la syphilis des parents est de date plus ancienne, et le de
is il se hâte d'ajouter (1) que « même dans ses étapes avancées, la syphilis peut conserver encore son levain de transmission
des règles fixes relatives à la durée de la transmissibilité de la syphilis aussi bien d'ailleurs que de la conta- giosité
de la syphilis aussi bien d'ailleurs que de la conta- giosité de la syphilis acquise, ce qu'llomolle (2) avait constaté quand
us graves chez les enfants qui naissent à une période avancée de la syphilis de leurs parents que chez les premiers nés. O
ers nés. On sait, en outre, que différents auteurs ont pensé que la syphilis pou- vait se transmettre à la deuxième générati
t dans cette opinion encore fort discutée, - si un sujet atteint de syphilis héréditaire est tellement imprégné du poison sp
l'action du temps. D'ailleurs, trop souvent nous voyons combien la syphilis aussi bien dans ses manifestations que dans sa
, la transmissibilité héréditaire persiste, et même quelquefois des syphilis en apparence légères et traitées médiocrement p
iilis (1) Loc. cilal., p. 109 et suivantes. (2) Ilonot.e, Article Syphilis . Dictionnaire de médecine et de chirurgie prat.,
tent le plus longtemps virulentes et peuvent donner naissance a des syphilis graves : la syphilis gagne rail en durée ce qu'el
s virulentes et peuvent donner naissance a des syphilis graves : la syphilis gagne rail en durée ce qu'elle a paru ne pas av
avoir en gravité : ces considérations relatives aux symptômes de la syphilis s'appliquent également à la transmissibilité cl
l faut espérer qu'ils seront beaucoup plus rares aujourd'hui que la syphilis est encore mieux étudiée et connue, et surtout pl
fin, s'il est prouvé qu'un père peut transmettre héréditairement la syphilis à son enfant, il n'en est pas moins vrai que les
l'ai vu deux ans après, en 1896, il ne présentait aucun stigmate de syphilis héréditaire ; puis elle eut six grossesses tout
nt porté le diagnostic de méningite sans songer, m'a-t-il dit, à la syphilis . Or la première atteinte de l'eczéma actuel est
symptôme ayant attiré l'attention. II est vrai que jamais le mot de syphilis n'ayant été prononcé par elle, et d'autre part
rmer qu'aucun de ces enfants n'ait présenté des symptômes d'hérédo- syphilis . La mère déclare seulement qu'ils étaient bien po
ainsi que leur père. et jamais je n'ai observé la moindre trace de syphilis . Depuis trois ans, elle n'avait pas eu d'eczéma
ou très découvert. Je n'hésitais donc pas à porter le diagnostic de syphilis ignorée, basé sur les caractères objectifs actu
25 jours après sa naissance, et qui ne présentait aucun stigmate de syphilis héré- ditaire, aucune malformation. Du 5 mai
enfants. Mais, comme l'a fort bien dit le professeur Fournier, « la syphilis céré- brale héréditaire ou acquise n'a pas et n
rêt de développement porte sur la taille ou non, qu'il soit dû à la syphilis héréditaire, au paludisme, à l'alcoolisme ou à la
t. Les lésions osseuses du rachitisme, de l'ostéomalacie (3), de la syphilis (1) Nouvelles recherches sur l'infantilisme et
déter- mine l'effondrement strumiprive du foetus. D'autres fois, la syphilis , l'al- coolisme, la tuberculose jouent le rôle
a plus de peine dans la DE L'BYPOTIIYROÏDIE BÉNIGNE CHRONIQUE 267 syphilis où les deux peuvent être atteints. Examinez surto
) s'ajoutent au tableau symptomatique. Lorsqu'il y a un soupçon cle syphilis chez les parents, la chose est jugée. J'ai démo
la chose est jugée. J'ai démontré dans un travail antérieur que la syphilis héréditaire se manifeste par des phénomènes {l'
énigne avec prédominance de symptômes abdominaux. Qu'il y ait de la syphilis dans l'éliologie, qu'importe ? L'es- sentiel, c
traitement. L'iode et les mercuriaux sont la pierre de touche de la syphilis et, bien souvent, constituent l'unique moyen d'
le a eu une bronchite à 29 ans. Elle affirme n'avoir jamais eu la syphilis ; mais, il y a cinq ans, elle a perdu les cheve
et elle est restée deux mois au lit. Elle affirme n'avoir pas eu la syphilis et on ne relève pas de traces de cette infectio
a maladie de Basedow. Au dire de la malade, elle n'aurait pas eu la syphilis , dans les commémora- tifs on ne relève aucune t
s oculaires que le médecin, probablement avec raison, rattacha à la syphilis antérieure. Il lui prescrivit des frictions mercu
d'une crise d'ictère qui dura 3 semaines. Pas d'alcoolisme, pas de syphilis . En juin 1890, le malade ressentit des picoteme
eu ni scarlatine, ni rougeole, ni fièvre typhoïde; n'a jamais eu la syphilis . Pas d'antécédents alcooliques. , Son atrophi
la jambe gauche a toujours été plus maigre que la droite. Pas de syphilis , pas d'alcoolisme ; Cinq enfants bien portants,
ROPHIES MUSCULAIRES PROGRESSIVES D'ORIGINE MYÉLOPATHIQUE 377 Pas de syphilis , pas d'alcoolisme, pas d'intoxication par le merc
, de grandes crises convulsives. La malade dit n'avoir jamais eu de syphilis , et on ne relève pas de traces de cette infecti
qui dura plusieurs mois. Au dire de la malade elle n'a jamais eu la syphilis ; dans les commémoratifs on ne trouve aucune trac
d'une affection des centres vaso-moteurs, due le plus souvent à la syphilis , mais que toute autre toxine peut également réa
arates, et est difficile d'en tirer une conclusion. En tous cas, la syphilis n'est pas coupable chez nos huit malades. Plu
es gastro-intestinaux, métier exposant à toutes les intempéries; ni syphilis , ni alcoolisme, ni traumatisme. L'atrophie mu
tifs on ne relève ni alcoolisme, ni tabagisme, ni blennorrhagie, ni syphilis , ni traumatismes. Le malade était exposé aux re
du corps), par DARTIGUES et Bonneau, 216. Little (syndrome de) et syphilis hérédi- taire, par Tommasi de Amicis, 34. Mal
lisée chez les enfants), par P. IlAUSHALTËR et L. Spillmann, 197. Syphilis (héréditaire à 1res long terme), par P. de Molè
Syphilis (héréditaire à 1res long terme), par P. de Molènes, 219. Syphilis héréditaire de la moelle (un cas de), par DURAN
TABLE DES AUTEURS Awcis (de Tommasi). Le syndrome de Little et la syphilis héréditaire, 34. Bonneau et DAIITIGUES. Lipomat
rps (4 phot.), 216. Durante et Gilles de la TOURETTE. Un cas de syphilis héréditaire de la moelle (2 phot.), 95. Etien
aux (1 phot.), 312. Gilles de la TOURHTTE et Durante. Un cas de syphilis héréditaire de la moelle (2 phot.), 95. Gotii
vitiligo chez les enfants (HAUSHALTER et Spillmann), XXVI, XXVII. Syphilis héréditaire de la moelle épinière (Gilles DE la
18 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
schr., 1899. (4) HEnSCHEIMER et Hartmann, Arch. f. Dermatologie und Syphilis , Band. LXI, L Ileft, 1902. l'acrocyanose chro
4. - MEYER (1), femme 32ans,jardinière. Antécédents syphilitiques ( syphilis conjugale), en 1887, les mains commencent à enfle
au myxoedëme, à l'hystérie. Il est bien possible éga- lement que la syphilis ait joué un rôle dans la genèse des phénomènes
blanc, quelquefois davantage. Jamais de maladie vénérienne, pas de syphilis . Il n'a jamais quitté Genève depuis nombre d'an
ilatérales et symétri- ques. Elles ont été sans doute créées par la syphilis acquise de cet homme. Celte hémiplégie infantil
, IX lleft., 1902, p. 329. FACULTÉ DE MÉDECINE DE NANCY UN CAS DE SYPHILIS HÉRÉDITAIRE TARDIVE A FORME CINLB10-SPINAL>;
-SPINAL>;, PAR RICHON Ancien Chef de clinique médicale. La syphilis héréditaire, précoce ou tardive, peut se révéler
que, comparables en tous points aux manifestations tertiaires de la syphilis acquise ; elle peut comme cette dernière attein
. - Garçon de 11 ans, sans lésions, ni stigmates visibles d'hérédo- syphilis . Lésion fistulaire du pariétal, bientôt accompagn
sie. - Perte de substance crânienne. 111éningo-eocépholite fibreuse SYPHILIS HÉRÉDITAIRE TARDIVE 85 sous-jacente. Méningite
n de la région postérieure de l'hémisphère (à droite de la ligure). SYPHILIS UÈRÉDITAIHE TARDIVE 87 entre les deux lobes par
sont Nouvelle Iconographie DE la Salpêtrière. T. XVII. PI. XXI SYPHILIS HEREDITAIRE TARDIVE CEREBRO - SPIN ALE ('RJcbol
ation. C. Coupe de la n : oe) ! e déformée, - D. Coupe de la moelle SYPHILIS HÉRÉDITAIRE TARDIVE 89 étroitement tassés et se
important, existe près de la surface médullaire, dont il est séparé SYPHILIS HÉRÉDITAIRE TARDIVE 91 1 par un pont de substan
e dernier caractère limite le diagnostic,en l'absence des symptômes SYPHILIS HÉRÉDITAIRE TARDIVE / 93 généraux qui accompagn
ite du crâne, à une localisation osseuse de la tuberculose ou de la syphilis . Mais, tandis que ce genre de lésions tubercule
ifestations graves de même nature, les localisations osseuses de la syphilis héréditaire peu- vent apparaître primitivement,
isaient défaut, mais sachant les irrégularités dans la marche de la syphilis héré- ditaire, les surprises de son apparition
foration large, à bords unis, d'épaisseur régulière, au crâne de la syphilis hérédi- taire, à perforation étroite, incomplèt
savons, depuis Fournier, la fréquence des lésions os- seuses de la syphilis héréditaire tardive, qui caractérisent plus du ti
s plus étendues. Avec moins de réaction osseuse, d'autres formes de syphilis crânienne entraînent des perforations aussi éte
ès déformés, avec leurs tuniques épaissies, infiltrées. Les petites SYPHILIS HÉRÉDITAIRE TARDIVE 95 plaques indépendantes of
hilitiques et qui caractérisent la paralysie générale associée à la syphilis cérébrale. Enfin les lésions cérébelleuses, ain
cessus syphilitique. L'histoire des localisations médullaires de la syphilis héréditaire, plus récente que celle de ses formes
re médullaire, due non pas comme dans la plupart (1) Voltent, De la syphilis médullaire, Thèse de Nancy, juillet 189 1. (2)
aire, Thèse de Nancy, juillet 189 1. (2) Gilles DE la Tournette, La syphilis héréditaire de la moelle épimère, in Nouv. Icon
Icon. de la Salp., 1896. (3) GASNE, Localisations spinales de la syphilis héréditaire, in Nouv. Icon. de la Salp., 1896 e
précédemment une région périphérique de la moelle, particulièrement SYPHILIS HÉRÉDITAIRE TARDIVE 97 avancée dans son évoluti
(1) Long et Kiki, Sur l'état airophique de la moelle épinière dans la syphilis spinale chronique, Non ! . Icon. de la Salp., 1
litique, Gaz. hebdomad., 15 septembre 1901. (3) KuppEL, Article : Syphilis cérébrale, in Traité de médecine et de thérapeuti
cérébrale, in Traité de médecine et de thérapeutique, Brouardel. SYPHILIS HÉRÉDITAIRE TARDIVE 99 caractéristique anatomiq
s avaient échappé complètement aux manifestations extérieures d'une syphilis héréditaire, très grave par la suite. UN CAS
générale malgré ses infirmités. Jamais de rapports sexuels. Pas de syphilis , ni d'alcoolisme. Quelques habi- tudes de mastu
agrégé, médecin des hôpitaux de Bordeaux. Le rôle primordial de la syphilis acquise dans l'étiologie du tabes est actuellem
s in- fantile réunis par l'auteur, il existait 9 fois des signes de syphilis héré- ditaire dents d'Hutchinson, exanthèmes, u
cornée, rhinite chronique, engorgement ganglion- naire ; 8 fois la syphilis des parents était avérée. Ainsi, dans le tabes
philis des parents était avérée. Ainsi, dans le tabes infantile, la syphilis des ascendants joue un très grand rôle étiiolog
vient de faire une étude très sugges- tive sous le titre suivant : Syphilis osseuse héréditaire tardive, type Paget. Types
maladies vénériennes. Mais il porte des stig- mates indélébiles de syphilis héréditaire, tels que : 1° Mal formations den-.
On doit le considérer comme une manifestation tardive de l'liérédo- syphilis . Ce labes s'est traduit par des troubles oculaire
tieuse, pas de fièvre typhoïde, ni diphtérie, ni rhumatisme; pas de syphilis , pas d'alcoolisme ni de saturnisme, pas de diab
qualité de quartier-maître mécanicien ; éthylisme probable, pas de syphilis . Grand- père paternel nerveux, très irritable ;
ganglionnaire ou autre ; il n'y a pas à invoquer de tuberculose ou syphilis , héréditaires ou acquises, de maladies infec- t
yons utile de rapporter cette observation. Observation. RÉSUMÉ. Syphilis ancienne. - Il y a dix-huit mois, maux perforants
férent ; la section des os n'a pas été perçue même légèrement. LA SYPHILIS DANS L'ART PAR R. BLANCFiARD Professeur à l
de la Salpêtrière, XIII, 1900. Cf. p. 4 et 38 du tirage à part. LA SYPHILIS DANS L'ART 267 gorge. C'est, semble-t-il, le pr
être attribué à cette rare série d'am- vres d'art qui concernent la syphilis et ses diverses manifestations. Rare série; en
aquelle on désignait alors la sy- philis. C'est pourtant hien de la syphilis qu'il s'agit ici. L'historien de la syphilis en
st pourtant hien de la syphilis qu'il s'agit ici. L'historien de la syphilis en Allemagne, C. II. Fuchs (3), ne s'y est pas tr
quand on sait que, précisément à l'époque où elle a été publiée, la syphilis se manifestait dans toute l'Europe avec une vio
partie de ma collection ; elle date, je pense, de décembre 1818. LA SYPHILIS DANS PART (R Blanchard } Glavurc allemande su
paralysie progressive sont une seule et même maladie dominée par la syphilis ; les autres, avec Jof- froy, Klippel, Rabaud,
ue l'on rencontre très fréquemment dans les processus chroniques de syphilis et de vieille tu- berculose. Selon les études d
érale et de tabes (oupseudo-tabes, si l'on veut) ressortissant à la syphilis , ou à une infection banale favorisée par une sy
rtissant à la syphilis, ou à une infection banale favorisée par une syphilis antérieure (Klippel), les plasmazellen sont plus
lippel), les plasmazellen sont plus fréquents que dans le cas où la syphilis n'entre pas en ligne de compte ? Si la question
inte de rhumatisme, ni d'aucune autre maladie infec- tieuse. Pas de syphilis . Tels sont ses antécédents personnels avant l'épo
liques en images, p. 203-201 (1 phot 3 fig.). Il. BLANCHARD, - La Syphilis dans l'Art, p. 266-270 (1 phot.). Henry Meige,
ihénigues (1 pl. 2 dessins), par F. RAY- mond et P. JA\ET, 209. Syphilis dans l'art (1 pl.), par R. BLAN- Chiard, 266.
ET, 209. Syphilis dans l'art (1 pl.), par R. BLAN- Chiard, 266. Syphilis héréditaire tardive il forme cérébro-spinale (1
éné épileptique (1 planche en photocoll.), 252. Blanchard (R.) La syphilis dans (t planche), 266. Brissaud ET BRUANDET.
des psychasthéniques . (1 pl., 2 dessins), 209. RICHON. Un cas de syphilis héréditaire tar- dive à forme cérébro-spinale (
remblements chez des psychas- théniques (Raymond et JANET XLVIII. Syphilis dans l'Art (BLANCHARD), LUI. Syphilis héréditai
s (Raymond et JANET XLVIII. Syphilis dans l'Art (BLANCHARD), LUI. Syphilis héréditaire tardive (Richon), XXI. Syringomyéli
19 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sent qu'il se donnait à la masturbation et qu'il avait contracté la syphilis dernièrement. Au commencement de sa maladie men
ment diminuée. Les sens spéciaux normaux. Il n'y a pas de signes de syphilis . Le foie, le coeur et tous les autres organes d
araissent engor- gés de deux côtés, mais pas bien classiques, de la syphilis . Les clavicules et les tibias sont réguliers. R
la peau vers quarante ans, pas de rhumatismes, ni de dartres, ni de syphilis , éclmutfement à vingt et un ans. - Grand-père p
ar MM. Charmeil et Boulogne, dans lesquelles les exanthèmes de la syphilis et des fièvres éruptives apparaissant chez des ma
a nutrition. A. Fenayrou. VIII. Un cas de paralysie juvénile avec syphilis héréditaire ; par le D' SPOmTO. Le cas rappor
ce dans le sol. {The Alienist and ivcuî,ologist, janvier 1898.) Xi. Syphilis cérébrale avec lésions étendues des nerfs crânien
nerfs crâniens ; par le D1' Preston. Intéressante observation de' syphilis cérébrale chez un nègre de trente-sept ans. L
aliéné à trente-trois, tous précocement séniles ; ni alcoolisme, ni syphilis , ni choc, ni trauma ; à quarante-neuf ans, secous
alades. Huit n'avaient eu ni chancre mou, ni signes constatables de syphilis , quoique celle- ci fût extrêmement probable che
ceux-ci avaient subi un traitement tout à fait insuffisant pour une syphilis d'ailleurs légère. On constatait en outre des c
vril 1895 et vit se développer ensuite une maladie de Thomsen. La syphilis n'a pas agi comme cause directe, mais en accentua
es syphiliti- ques doivent être considérées suivant qu'il s'agit de syphilis acquise ou de syphilis héréditaire. En considér
ent être considérées suivant qu'il s'agit de syphilis acquise ou de syphilis héréditaire. En considérant la syphilis acquise
t de syphilis acquise ou de syphilis héréditaire. En considérant la syphilis acquise, on doit se souvenir que les premières
lis acquise, on doit se souvenir que les premières notions sur la syphilis médullaire datent de 1797 avec le mémoire de Port
chyméningite cervicale hypertrophique peu- vent être rattachés à la syphilis . Dans la syphilis maligne pré- coce du système
cale hypertrophique peu- vent être rattachés à la syphilis. Dans la syphilis maligne pré- coce du système nerveux, et que Ch
oce du système nerveux, et que Charcot appelait anatomique- ment la syphilis tigrée, il y a cliniquement un grand luxe de sy
rmes irrégulières, et parmi celles-ci, la forme amyotrophique. La syphilis héréditaire de la moelle appartient presque en to
terme ou avant terme, présentant les manifestations cliniques d'une syphilis congénitale de la moelle épinière. Les cas précoc
eûtes, ont les caractères des ganglions engorgés spécifiques de la syphilis . Les os tibias ont leurs crêtes irrégulières. E
. Le crâne est aplati (pla-iocépliale), forme caractéristique de la syphilis héréditaire. La voûte du palais est excavéc. Le
être pourtant absolument spécifiques. Antécédents probables : la syphilis et l'alcoolisme. Etat psychique. L'attitude du
ôté gauche, à cause de l'ulcé- ration de la jambe. Pas de signes de syphilis . Etat psychique. L'attitude est tranquille, la
de pathologique à noter du côté des autres organes. Pas de signe de syphilis . Etat psychique. - La malade se tient habituell
comme des aiguilles qui lui traversaient le corps. Pas de signe de syphilis . Quel- ques stigmates de dégénérescence à noter
l'olfac- tion se trouvent à 1'état normal. Il n'y a pas de signe de syphilis . Etat psychique. La malade se tient dans une at
sont irré- gulier. Les ganglions inguinaux sont spécifiques de la syphilis , les LES MÉLANCOLIQUES. 125 crêtes tibiales
à 8-10 centimètres pour la jambe droite. Il n'y a pas de signes de syphilis . Le foie douloureux à la pression, de même l'ép
n gauches, et une dimi- nution de la sensibilité à la jambe. Pas de syphilis dans ses anté- cédents. Réflexes parcellaires e
paralytique général dans l'hérédité duquel je n'avais pu déceler la syphilis ; j'étais mal servi par ma mémoire. Ce jeune ho
tique. Per- sonne ne conteste, en effet, la tare que fait porter la syphilis sur plusieurs générations successives. M. Bal
conclure à l'hérédité de la paralysie générale. Il se dit que si la syphilis est assez maligne pour déterminer la paralysie
paralytiques. Je crois, pour ma part, que ce sont au contraire les syphilis bénignes qui aboutissent à la méningo-encéphali
la méningo-encéphalite. M. Vallon. Il me semble que le jour où une syphilis bénigne produit la paralysie générale elle cess
tre bénigne. M. BRI.IND demande à M. Ballet si la terminaison de la syphilis par la paralysie générale est liée à la bénigni
ou plutôt a cette considération, qu'étant d'apparence bénigne, la syphilis a été mal soignée ou peut-être méconnue au début
c'est que j'ai vu un grand nombre de paralytiques généraux dont la syphilis avait été régulièrement soignée. M. Joffroy.
ulièrement soignée. M. Joffroy. On rencontre'souvent des lésions de syphilis ter- tiaire associées aux lésions habituelles d
le. On peut invoquer ces faits en faveur du peu d'influence de la syphilis sur l'étiologie de la paralysie générale et les c
ts infectieux au début très bénins. M. Taquet. Dans le Morbihan, la syphilis est très commune et cependant sur 400 aliénés i
hronique est très rare et n'infirme nullement cette formule que les syphilis qui conduisent à la para- lysie générale sont p
e, c'est entre dix et quinze ans après le chancre. M. JOFFr0Y. La syphilis n'est certainement pas sans exercer une certain
s l'existence d'un état infectieux, pourquoi ne pas admettre que la syphilis est l'agent producteur de la toxine ? M. JoFF
NERALE. 197 avec de telles constatations de ne pas reconnaître à la syphilis el à l'alcool une part tout au moins prépondéra
tact chez les paralysés généraux qui ont à la fois à leur actif la syphilis et l'alcool. A priori on aurait cru que l'assoc
sens n'ont jamais été constatées en dehors de l'alcoolisme et de la syphilis . Elles ont été plus fréquentes chez les alcooli
axique et dans la dernière période. Il étudie l'étiologie du tabes, syphilis , hérédité, chaleur, traumatisme; passe en revue
sa descendance. Un autre fait incontesté, c'est la fréquence de la syphilis dans les antécédents personnels du paralytique.
. Enfin et surtout il faudra distinguer les enfants conçus avant la syphilis , de ceux conçus postérieurement à elle, mais av
e source de diverses monstruosités du système nerveux central. La syphilis congénitale, qui dans les organes internes appara
mpression exercée par le liquide épanché. D'autre part le rôle delà syphilis dans les cas de S..., n'est pas suffisamment démo
ique ; sarcomes mul- tiples. Malade âgé de vingt-deux ans; pas de syphilis ; abus d'alcool; chancre mou il y a un an. Penda
moelle. L'auteur pense que cette artérite généralisée dépend de la syphilis et con- clut que toutes les difformités congéni
fformités congénitales du système nerveux central ont pour cause la syphilis héréditaire. R. Ciiaron. LXIII. Trois cas d'ata
masturbation forcée.) R. Ciiaron. LXIV. Le syndrome de Little et la syphilis héréditaire ; par Tommasi DE Amicis. (iVouu. Ic
ans eut un accès de délirium tremens. Il y a deux ans contracta la syphilis , laquelle récidiva au mois de jan- vier 1898. A
siiy considère la troisième observation des auteurs comme un cas de syphilis cérébro-spinale, tant au point de vue des sympt
cas de polynévrite. M. KOJLIW.NIKOFF croit à l'associa- tion de la syphilis et de l'alcoolisme dans ce cas. M. Tokarsky ne
adulte : existence des plus nzozme- menlées. - A trente-deux ans : syphilis . - A quarante-deux ans : première manifestation
secondaires, il consulte Diday qui le déclare également atteint de syphilis . En 1878, éruption de pustules à la face, il va
ait difficile de le dire. On ne saurait, semble-t-il, incriminer la syphilis : le chancre s'est produit dix ans plutôt et il
étosique. M. Boinet. Marie M..., âgée de dix-huit ans, indemne de syphilis , légèrement alcoolique, entre le 20 juillet t898
ance. Le placenta et le cordon étaient normaux. Parents indemnes de syphilis et d'alcoolisme. La mère a eu six autres enfants
ce cas, d'un défaut de dévelop- pement des faisceaux pyramidaux. La syphilis doit aussi être éli- minée. Ce fait peut être r
14. Syndrome D'EriB. Une observation nouvelle, par Roques, 321. Syphilis cérébrale avec lésions éten- dues des uelfs crâ
20 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
terniser et même s'arrêter spontanément dans sa marche. 9 ? -. La syphilis , provoque, aussi, tmais moins souvent, des paraly
intelligence peu dévelop- pée, tare héréditaire peu lourde, pas de syphilis .- Le tabès est an- cien, il est difficile d'en
itique, avec autopsie. - ' , Ire observation. Homme, cinquante ans, syphilis un an avant l'apparition desfaeeidentst médulla
ment ? '. " t .. 2e observation. Homme, vingt-six ans; alors que la syphilis est * ancienne dej un an,' paraplégie complète
i. >'> " ' ? z ? F ? . t· ? z 3e observation. Il s'agit d'une syphilis qui date de huit ans et qui s'est toujours acco
aractères spéci- fiques assez tranchés, communs à 'la vérité .à 'la syphilis , et,à la tuberculose ainsi- les- granulations e
deux périodes. La première qui correspond à la localisation de la., syphilis sur les méninges seules, c'est la période prodr
nt mortelle, elle survient en général dans les premiers temps de la syphilis ,- elle' est caractérisée par'une courte et vagu
nte. Pas de fausse couche. Antécédents personnels. Hérédité : oui ; syphilis : non ; alcoo- lisme : oui; excès vénériens : o
es et du bromure, a toujours été calme. Le malade nie absolument la syphilis . Il recon- naît avoir eu 4 ou 5 blennorrhagies,
conque de l'organisme. Sous ce rapport, le paludisme ressemble à la syphilis . Comme dans les pays de malaria, on observe par
ession de la moelle, la myélite par compression, les cas anciens de syphilis médullaire, quelques cas de myélite transverse.
t une très complète. Conclusion. 1° Le rapport étiologique entre la syphilis et la paralysie générale est encore vague; -2°
x non syphilitiques et il y a des paralysies générales issues de la syphilis ; 3° la cause pro- chaine et essentielle de la p
s probable qu'il y a un rapport entre la para- lysie générale et la syphilis , il vaut mieux employer le traitement antisyphi
oyer le traitement antisyphilitique que le repousser; 5° traiter la syphilis , c'est élémentaire, mais il' faut aussi joindre
le professeur Fournier. On voit parfois se produire au cours de la syphilis une épilepsie très différente à divers titres d
pelé l'épilepsie syphi- litique ou mieux la forme épileptique de la syphilis cérébrale. Cette épilepsie présente les caractè
rée qui la modère ; ' 6° Elle appartient à l'époque tertiaire de la syphilis et paraît même n'en constituer qu'une manifesta
ces symptômes, elle ne présente rien qui appartienne en propre à la syphilis ; 3° en ce qu'elle n'est pas influencée par le t
pas influencée par le traitement antisyphi- litique. Elle est à la syphilis ce qu'est à cette même maladie la syphilide pig
abes ou la paralysie géné- rale ; c'est-à-dire qu'elle dérive de la syphilis comme origine, sans avoir la nature, l'essence
trois élé- ments étiologiques simultanés (excès chagrins, hérédité, syphilis , etc ? ) parmi lesquels la syphilis joue pour l
anés (excès chagrins, hérédité, syphilis, etc ? ) parmi lesquels la syphilis joue pour les deux sexes, un rôle également pré
un rôle également prédominant et important. , Chez les femmes, la syphilis se rencontre dans la proportion de 68 p. 100 su
e de la paralysie générale, dite forme féminine. 6° Le rôle de la syphilis dans la paralysie générale est double. Le plus
ysie générale classique. Dans d'autres cas, beaucoup plus rares, la syphilis , agit d'une façon directe, immédiate, car en pr
yer un traitement modéré antisyphilitique notamment dans ceux où la syphilis a été notée dans les antécé- dents du malade et
dents du malade et dans les cas où les accidents antérieurs de la syphilis ont été traités de façon négligée. (Annales médic
re la misère. Ajoutons que la malade ne présente pas de traces de syphilis ni, comme on le verra, de stigmates hystériques,
z la plupart des femmes tabétiques, les commémo- ratifs décèlent la syphilis , chez presque toutes il existe des condi- tions
ez les femmes mariées. Mais il n'y a pas un seul cas dans lequel la syphilis soit improbable. Age moyen. : trente-quatre ans
. Age moyen. : trente-quatre ans et demi. Intervalle moyen entre la syphilis et le tabès : huit ans.. P. K. XLVI11. DES ac
ent comme cause déterminante une influence tout aussi grande que la syphilis et que ses antécédents expliquaient la prédispo
cès sans iodure et sans mercure. Or, si l'accès venait à guérir, la syphilis restant la même, il faudrait bien admettre l'ab
l'adage post hoc, ergo propter hoc si souvent invoqué en matière de syphilis , démontrerait que la manie et la syphilis étaie
ent invoqué en matière de syphilis, démontrerait que la manie et la syphilis étaient ici deux états coexistants, avec une ét
-cinq ans qui, cinq ans auparavant, avait présenté des accidents de syphilis cérébrale extrêmement graves. Elle avait conser
pour une raison anatomique à chercher. P. K. LX. Neurasthénie ET SYPHILIS ; par Kowalewsky. (Centralbl. f. Ner- venheil4 ?
e neurasthénie syphilitique s'im- posent : 1° Neurasthénie due à la syphilis des parents, neurastlsé- nie syphilitique héréd
neurastlsé- nie syphilitique héréditaire; 2° Neurasthénie due à la syphilis acquise, neurasthénie syphilitique acquise ; La
thénies con- génitales ou acquises ordinaires qui se compliquent de syphilis , sans que celle-ci ait rien à voir avec la neur
ivre en rêve quoique éveillé. P. K. XXI. Troubles mentaux dans la syphilis ; par P. IOIVALI,NSIil'. (Allg. Zeitsch. f. Psyc
ystématique (plus rare), la démence aiguë (amentia), l'idiotie (par syphilis héréditaire). Observations. Etiologie syphiliti
Etiologie syphilitique de la paralysie générale. - A. Ou bien la syphilis n'y est qu'une complication accidentelle. B. Ou l
bien la syphilis n'y est qu'une complication accidentelle. B. Ou la syphilis participe activement à la genèse de la paralysi
énérale syphilitique. Elle se diagnostique d'après les traces de la syphilis antérieure, par les aveux du ma- lade, par la d
veux du ma- lade, par la découverte de l'évolution antérieure de la syphilis . C'est une paralysie générale atypique. , REV
DE pathologie mentale. 403 Enfin l'auteur établit l'existence de la syphilis héréditaire du système nerveux et de la syphili
l'existence de la syphilis héréditaire du système nerveux et de la syphilis nerveusejnalimie précoce. P. K. XXII. De la r
ns la paralysie générale, dans leurs rapports avec L question DE la syphilis ; par (CEKE. (Allg. Zeitsch. ? Psychiat., L. 1 e
L. 1 et 2.) . Sur 100 paralytiques généraux, 47 n'avaient pas eu la syphilis antérieurement, 43 seulement ont été examinés.
la médecine, sociétés de patronage pour les aliénés mis en liberté, syphilis cérébrale et démence paralytique, injections hy
ysie radiale gauche, qui guérit au bout de trois semaines. Pas de syphilis . Trois ou quatre blennorrhagies, la dernière, il
IQUE ; Par H. LA111Y 1 HISTORIQUE. Etat actuel DE la QUESTION. La syphilis médullaire n'a été l'objet que d'un nombre asse
ement à la grande quantité de docu- ments que nous possédons sur la syphilis cérébrale. Cette pénurie relative s'explique pa
qu'il y a vingt ans, on possédait au total quatre ou cinq faits de syphilis médullaire authentique, publiés avec au- topsie
plus nom- breuses, jusqu'à l'emporter sur celles qui concernent la syphilis cérébrale actuellement mieux connue. Les exam
es observées. En résumé, on admet généralement aujourd'hui que la syphilis peut engendrer directement des myélites (aiguës o
ques bons esprits portés au doute par la prudence : à savoir que la syphilis peut très bien n'avoir ici qu'une influence pré
s favorable, au point de vue pronostique, de toutes les variétés de syphilis spinale, la plus accessible au traitement. Dans
ît avoir aucune action sur elles. Remarque sur le pronostic de la syphilis médullaire en général. - Il nous paraît bien ét
ution suivant le mode des affections similaires indépendantes de la syphilis . Nous savons, au contraire, combien les symptôm
es dans les veines que dans les artères (fait déjà constaté dans la syphilis médullaire par Siemerling, Godflam, etc.), enfi
xpéri- mentales ne s'étendent d'ailleurs au delà du domaine de la syphilis médullaire. 1 La technique expérimentale que no
l'action de l'alcool s'ajoute celle de quelques maladies générales ( syphilis , tuberculose, hépatisme, ictère). Isolée, la tube
hologie et en anthropologie, par 1\oeche, 313 ; médullaires de la syphilis , par Lamy, 'r6lE. llAL1'RACTRICE, par Cl. Bell,
par Trian- taphittides, 91 ; trépanation, par Levillain, 325; -et syphilis , par liowalewsky, 33î;-accès anxieux dans la
Tou- rette etHudelo,45; de la mémngo- myélite -, par Lamy, 48. Syphilis , sur un cas de cérébrale, par Bitot, 41; troubl
21 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
otuliens sont exagérés. Analgésie. Etat général excellent. Pas de syphilis . -Rien au coeur, rien dans le bassin. Pas d'hys
uarante-six ans. L'anamnèse démontre l'héré- dité neuropathique, la syphilis et l'alcoolisme. Chez ce malade se développèren
serve l'existence d'une hématomyélie du renflement cer- vical. La syphilis héréditaire peut frapper la moelle. Un enfant, do
pper la moelle. Un enfant, dont le père et la mère sont atteints de syphilis cérébrale, présente une monoplégie brachiale av
ment la forme et la localisation de la maladie. Puis on a'étudié la syphilis et son influence sur le déve- loppement des mal
istinct et séparé du bloc des maladies du système nerveux. Quand la syphilis envahit la neuropathologie ordinaire, c'est sou
u les maladies vul- gaires du système nerveux hors du domaine de la syphilis ordinaire. Puis on a étudié le rôle des intoxic
de tabac de 0 fr. 50. Enfin il a eu la blen- norrhagie mais pas de syphilis . Voilà bien l'étiologie com- plexe et l'étiolog
qu'on ne lui a pas volés : '1887, Fournier : hémiplégie gauche et syphilis cérébrale. Oreillons. - Décembre 1893, Raymond
observateur. Lancereaux dia- gnostique l'arthritisme.et Fournier la syphilis , comme Ray- mond voit l'atrophie musculaire et
de rougeole et de coque- luche. A vingt ans (1866), il contracta la syphilis ; il est soi- gné par Le Fort à l'hôpital du Mi
exclusivement dans aucune des mala- dies qu'il a eues; notamment la syphilis , l'alcoolisme, le rhumatisme ont tous une part
ltiples disséminés. En tête des causes du tabes est certainement la syphilis . C'est l'élément étiologique le plus fréquent,
114 CLINIQUE NERVEUSE. D'autres causes collaborent souvent avec la syphilis . C'est d'abord l'arthritisme. Hosenthal a indiq
abétiques : rhumatisme, IS; herpé- tisme, 1 ; eczéma chronique, 1 ; syphilis , 1 J ; hérédité névro- pathique, 13; abus fonct
ique. Dans les cas dits parasyphilitiques, le labes par exemple, la syphilis intervient bien comme cause très fréquente sino
rès fréquente sinon constante, mais elle n'intervient pas seule. La syphilis a des collaborateurs, d'autres causes coagissent
pas la même efficacité que dans les manifestations reconnaissant la syphilis pour seule cause. Voilà- donc, après les atroph
coolisme chronique, le saturnisme, le tabagisme, le palu- disme, la syphilis , la sénilité. Voilà l'ensemble des causes de la
xcès fait de la sclérose multiple disséminée sous l'influence de la syphilis ou de l'arthritisme : la sclérose se localise s
é étiologique que nous substituons à l'idée de parasyphilis. - La syphilis joue un rôle étiologique ; mais ce rôle est lim
ation locale. Mais sa nature reste obscure. Le malade n'a pas eu la syphilis . L'auteur analyse ensuite quelques symptômes ac
J'ai montré antérieurement combien était grande la fréquence de la syphilis dans les antécédents des paralytiques généraux
elle était le siège de lésions identiques à celles que détermine la syphilis .' Le rôle que jouent les maladies infectieuses
énie de la paralysie générale est moins bien établi que celui de la syphilis ; cependant, on a déjà rapporté plusieurs cas de p
est une maladie post-infectieuse, consécutive presque toujours à la syphilis et plus rarement à des maladies aiguës. Cette t
des pseudo-paralysies générales ? Je ne le pense, pas. De ce que la syphilis , en effet, est susceptible de provoquer' l'appa
as déterminer d'autres lésions des centres nerveux : ces lésions de syphilis cérébrale don- nent souvent lieu à un complexus
ysie générale. Je' me sépare de M. Régis relativement au rôle de la syphilis dans l'étiologie de la paralysie générale. La s
u rôle de la syphilis dans l'étiologie de la paralysie générale. La syphilis ne fait, selon moi, que préparer le terrain à l
ique les paralysies générales survenant chez un individu entaché de syphilis . SOCIÉTÉS SAVANTES. 247 Î Il admet, par contr
e dedans en dehors; l'inverse se produit dans les autres formes, la syphilis par exemple, dont chacun connaît la prédilectio
econnaître : 1° des péricéré- brites d'origine toxique (alcoolisme, syphilis , saturnisme, états infectieux à lésions plus ou
alcoolisme, mais semble plutôt liée à l'extension plus grande de la syphilis . Je dois ajouter du reste, que la paralysie génér
r du même côté. Deuxième cas. - Homme de quarante six-ans, commis ; syphilis quelques années aupalavanl. Alcoolisme. Jusqu'a
e cas. - Femme de quarante-huit ans, toujours bien portante. Pas de syphilis ni d'alcoolisme. La maladie débuta par de forte
par lui : dans le premier il y avait une tumeur; dans le second la syphilis avec des symptômes d'une lésion multiple des ne
ors qu'il n'est que phase d'une maladie ou d'une intoxication. La syphilis , l'alcoolisme, le saturnisme, l'oxyde de car- b
t état s'est manifesté il la suite d'une attaque apoplectiforme par syphilis artérielle du cerveau ; au début, il y a eu un gr
ës, fièvre typhoïde, influenza, paludisme; chroniques, tuberculose, syphilis ; c, les excès divers : excès génésiques, surmen
tés cérébrale, arthritique, alcoolique ; l'alcoolisme personnel, la syphilis , l'oxyde de carbone. N'existent jamais seuls : le
ls dans l'étiologie, ont une action pathogène. En particulier, la syphilis ne produit pas la paralysie générale vraie ; el
us les allures de la paralysie générale, elle donne naissance à une syphilis céré- brale à forme de paralysie générale. En
Korniloff et MM. les professeurs KojEWNiMFF et Rora. M. Oar.ovsxr. Syphilis et sclérose disséminée des centres nerveux. - L
z une femme de vingt-quatre ans, trois ans après une conta- gion de syphilis , apparurent de légers troubles des organes pel-
édents héréditaires inconnus mais suspects. Antécédents personnels. Syphilis et alcoolisme. Etat physique. Quelques stigmate
trouvons des données plus certaines et précises. Le malade a eu la syphilis et présente actuellement sur le prépuce une cic
bservations : 96 de ces paralytiques généraux avaient en souvent la syphilis . Ces 996 syphilitiques .paralytiques étaient su
individus de trente à quarante ans. Ils avaient généralement eu la syphilis (36), cinq à dix ans avant la paralysie général
00 d'iode, associés à l'hémoglobine. Ou la donne en pilules dans la syphilis avancée, d'après la formule : , sociétés sava
, parmi les principales, l'obsession de la folie, de la gale, de la syphilis , du cancer, de l'attaque d'apoplexie, de la mort
érale. 1\1. CH, Vallon (de Paris). Suivant l'auteur, l'hérédité, la syphilis et l'alcool constituent une sorte de trépied qu
générale. Quelquefois, en l'absence d'antécédents héréditaires, la syphilis peut, seule causer la para- lysie générale ; il
héréditairement prédisposé aux maladies cérébrales, con- tracte la syphilis et, de plus, se livre à des excès alcooliques. La
enfants idiots. épi ! eptiques`eu vésaniques. On a prétendu que la syphilis et l'alcool ne produisaient pas la paralysie gé
(Paris). I. Les rapports intimes qui existent entre le tabes et la syphilis 448 SOCIÉTÉS savantes. et qui nous font consi
able. , Moyens thérapeutiques qui s'adressent aux causes du tabès '( syphilis , arthritisme, surmenage, etc.) ; par M. Grasset
sset, de Montpellier, rapporteur. i 11, En tête, nous trouvons la syphilis et la grave question du trai-' tendent spécifiq
era le traitement spéci- fique dans le tabes toutes les fois que la syphilis sera certaine dans les antécédents du sujet. Qu
e qu'on fera bien d'instituer le traitement, toutes les fois que la syphilis antérieure sera probable, ou même seule- ment p
dans ce sens que si on est absolument certain de l'absence de toute syphilis antérieure. Or, il me paraît absolument difficile
15 milligrammes de cyanure d'or et de potassium ; 2° A côté de la syphilis et après elle, il faut placer l'arthritisme com
s emploient ainsi l'iodure dans un but autre que la lutte contre la syphilis . Je citerai Lancereaux, Magnan, Teissier. « Je
? On n'osait poiut songer d'ailleurs à l'artério sclérose, ni à la syphilis , dont on connaît les rava- ges et leurs modalit
rd aux causes de cette affection. Dans les cas de tabes précédés de syphilis , le traitement spécifique est indiqué ; dans ce
lin) eslime que jusqu'à présent on n'est pas autorisé à regarder la syphilis comme la cause essentielle ou exclusive du tabe
du kyste cérébral déjà mentionné. Le mieux passager dans les cas de syphilis cérébrale (syphilome méningé) n'a donné que le
ème nerveux et - multiple disséminée, par Gras- set et Vedel, 97. Syphilis et - en plaques, par Orlovhs, 349. Pa- thogél
avec trou- bles cérébraux, par liernardbei' et Duharry, 339. ` Syphilis et sclérose disséminée, par Orlovsky, 349. Sy
22 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
as de folie aiguë dé- veloppée pendant la période florissante de la syphilis . C'est une forme de trouble mental assez peu fr
es relations de ces altérations, d'une part avec l'alcoolisme et la syphilis envisagés comme agents étiologiques de cette af
ourni le plus ; 5° la combinaison de plusieurs causes telles que la syphilis , l'al- coolisme, l'hérédité, les émotions moral
e, en ce qui concerne l'adulte, rapprochée de la constatation de la syphilis que l'on trouve dans plus de 75 p. 100 des fait
ce le poison syphilitique qui s'est modifié ; il est certain que la syphilis des autres organes internes est aussi devenue p
eut résulter encore de la similitude d'étiologie : l'alcoolisme, la syphilis peuvent produire aussi bien l'une que l'autre m
mis au monde un crétin. En le proposant on a évidemment pensé à la syphilis , où cette méthode peut, en effet être utile; ma
e artériel et des modifications histologiques dues à l'action de la syphilis en d'autres agents toxiques : de là tout naturell
cel- lules nerveuses ou neurones. R. de \luscnAVr.-CLar. XXII. La syphilis cérébrale et méningée, son traitement par les i
aitement auquel le malade a été soumis. L'auteur expose que dans la syphilis tertiaire, tout comme aux autres périodes de la
remiers symptômes d'iodisme. Le mer- cure est l'agent curatif de la syphilis , et l'iodure l'agent prophy- lactique de l'enda
Nous n'avons pas voulu dans ce travail étudier les relations de la syphilis et de la paralysie générale. C'est une question
1), ne s'explique ici ni par une lésion des os (Virchow), ni par la syphilis (Huber). L'ingestion de liquides et d'alcool es
syphilitique plus de trois ans après la guérison apparente de la syphilis ; par Charles 0'Dovov,N. (The New-York Médical jou
inement de plus remarquable c'est la brus- querie avec laquelle une syphilis en apparence guérie fait explosion chez ce jeun
d'infection. Le diagnostic était à faire entre l'épi- lepsie et la syphilis du système nerveux central; le retour nocturne
élevées de bromure, faisaient pencher la balance en faveur de la syphilis . D'ailleurs si les renseignements fournis par le
rt peu satisfaisants, ils ont été dans la suite très explicites. La syphilis n'avait laissé ni marques ni cicatrices sur auc
mptions sont plutôt en faveur d'une lésion cir- conscrite, ou d'une syphilis cérébrale plutôt qu'en faveur d'une paralysie g
s maladies du système nerveux. Enfin M... n'a jamais con- tracté la syphilis . Il n'a jamais, en France comme aux colonies, a
dystocie, traumatisme somatique ou psychique, infection, hérédo- syphilis . Les symptômes apparaissent Les symptômes appar
ion d'abcès multiples, dont quelques-uns ressemblaient à ceux de la syphilis congénitale, à laquelle pourtant ils ne se ratta-
de New-York. R. M. C. XXXVI. Les points de différenciation entre la syphilis cérébrale et la paralysie générale des aliénés
Hirschl ee Vlobius cette maladie n'est qu'une forme tardive de la syphilis ; pour l'autre, représentée par Naecke, la syphili
me tardive de la syphilis; pour l'autre, représentée par Naecke, la syphilis serait un facteur important, mais insuffisant s
ion à un processus encéphalitique dont le moment étiologique est la syphilis . Observation III. Malade tabétique présentant l
dans la première enfance, pas de convulsions. Pas d'alcoolisme, ni syphilis . Pas d'excès vénériens. Fièvre typhoïde à l'dge
aves et complexes dans la méningite basilaire tuberculeuse. Dans la syphilis centrale, l'iné- galité est presque constante;
ion porte sur 111 cas et voici ce que donne celte sta- tistique : Syphilis : Certaine dans 12 cas ; douteuse dans 63 cas. Da
retrouve aucune trace de maladies vénériennes, et il semble que la syphilis ne soit pas le seul facteur du tabes. Symptôm
paralytiques généraux admis pour la première fois que quatre cas de syphilis et n'en a pas noté un seul cas sur les 13 décéd
; Par professeur S. TCI31ftII : \\-. I. - Sur le traitement de la syphilis en général et du tabès post-syphilitique. Il
observations m'ont définitivement convaincu que l'in- iection de la syphilis comme une maladie constitutionnelle ne peut jam
fique. Par suite de cela, à la fin de la période plus aiguë de la syphilis qui donne diverses affections du derme et des mem
nts spécifiques réitérés des malades nerveux, qu'avaient déjà eu la syphilis antérieurement, concerne le traitement spécifiq
cifique lui-même. Le traitement spécifique, assez répandu contre la syphilis chez nous en Russie, de même que dans les autre
ions iodurées, surtout dans le traitement des cas invétérés de la syphilis . En outre, l'introduction du mercure ioduré, dire
on rencontre beaucoup plus souvent, d'un côté, les récidives de la syphilis et toutes les affections secon- daires du tissu
cir- culant qu'aux dépens de l'albumine organisée ; tandis que la syphilis est une affection constitutionnelle. Ensuite, int
our un kilo de malade dans le but de le guérir radicalement de la syphilis ! En outre, connaissant cette quantité de mercure
ants. Voici quelques exemples de l'insuffisance du traitement de la syphilis par les injections sous-cutanées de mercure.
ure. Un jeune étudiant du deuxième cours avait été infecté par la syphilis au mois de mars 1894. Au mois d'avril de la mêm
affaiblissent pas du tout. Le jeune officier qui fut traité de la syphilis par les injec- tions sous-cutanées de mercure,
us-cutanées de mercure, nous avons constaté que les récidives de la syphilis , les affec- tions consécutives des vaisseaux sa
rcurielles ; enfin, la cause même du traitement infruc- tueux de la syphilis par les injections sous-cutanées, nommé- ment l
ien simple : la cause en est dans le traite- ment insuffisant de la syphilis , en même temps, que certaines conditions climat
ans tous ces cas de tabès atactica gagné vous constatez toujours la syphilis dans , les antécédents, avec de rares exception
pourquoi la circulation du bulbe est-elle préservée, tandis que la syphilis de la moelle pro- duit l'endartérite de ce dern
de l'en- céphale. C'est pourquoi sont de préférence atteints par la syphilis les nerfs crâniens qui se trouvent près du cerc
Examen des pièces anatomiques de l'enfant de quelques jours mort de syphilis (Jahrbiu : l. f. Kwule1'heilk.). On trouva une mé
mmes syphilitiques, traumatismes, etc. ; 2° al- coolisme chronique, syphilis en tant que virus, saturnisme, etc., sans signe
lui-même tabétique, mais encore à la période préataxique. Il nie la syphilis et reconnaît avoir eu à la verge, à l'âge de di
actuellement, le syndrome tabétique complet ; cette femme nie la syphilis pour elle-même, mais son mari, qui a eu un chancr
coïncidence ; il y a relation de causalité, et celle-ci est bien la syphilis . Enfin, ces faits corroborent l'hypothèse que d
bien la syphilis. Enfin, ces faits corroborent l'hypothèse que des syphilis , puisées à la même source, produisent les mêmes
effets. N'a-t-on pas montré cinq paralytiques généraux tenant leur syphilis de la même personne et aussi plusieurs tabétiqu
vérole à une même femme ? Pourquoi d'ail- leurs ne pas étendre à la syphilis ce que MM. Bezançon et Labbé ont prouvé pour d'
être compris que si, après avoir admis l'importance du rôle de la syphilis dans la genèse du tabes, on suppose que l'un des
e genre, c'est le mari qui avait le premier subi l'infection, et la syphilis n'avait paru mani- fester son action chez la fe
ux paraissent normaux. On ne relève pas chez ce malade de traces de syphilis ni d'alcoo- lisme. Mais ce qui frappe surtout c
ent il est marchand au panier. Il a eu trois blennorrhagies, pas de syphilis , et aucune autre maladie. M... Alphonse est h
e.) Hère, vingt-huit ans, ménagère, ni convulsions, ni indices de syphilis ; rhumatisante, cardiaque, nerveuse, sans migraine
tte affection se distingue de l'ataxie locomotrice par l'absence de syphilis , l'apparition rapide, l'anémie, la faiblesse mu
senté une vision oculaire normale. G. DE Majewska. XLV. Un cas de syphilis héréditaire de la moelle épinière avec autopsie
. Syndrome de Weher, par Souques, par Cestan et Bourgeois, 533. Syphilis céiébrale et méningée, trai- tement par les inj
Rucli, 20t z observé à Johns Hopkins Itospital, par Thomas, 344. Syphilis et - port syphilitique, par 'l'chirrem, 399.
23 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
agnostic avec le tabes dorsalis. L'âge de Louise V..., l'absence de syphilis dans ses antécédents personnels, l'absence de p
ou 5 verres de rhum, ! à 2 litres de vin). Il n'a pas contracté la syphilis , je n'ai pu en trouver de stigmate. Il fut pris,
tions banales dont ils ont d'ailleurs guéri. Quelques-uns ont eu la syphilis ou la blennorrhagie, ou ont avoué quelques habi
rappeler de coupables expé- riences faites sur l'inoculation de la syphilis , de la lèpre, du cancer... Nous ne saurions tro
, il est pris de fièvres in- termittentes. Il nie toute atteinte de syphilis et tout excès alcoolique. Pour résumer, avant l
20 avril 1901. Elat actuel. - Homme d'apparence robuste ; il nie la syphilis et toute autre infection. Facies caractéristi
NSCRITS AIGUS ET CHRONIQUES 207 froid, ni fatigue, ni paludisme, ni syphilis , ni hystérisme dans l'étiologie. Rien de spécia
ents héréditaires. - Aucun renseignement. Antécédents personnels. - Syphilis probable. A son entrée, le diagnostic de paraly
typhoïde dans sa jeunesse. Il fait de nombreux excès alcooli- ques. Syphilis probable. - Il a un enfant de 3 ans, très nerve
s. Interrogé sur ses antécédents, il se défend d'avoir contracté la syphilis . 22 mai. M... se montre très affaibli, sa voix
rt à 109 ans, qu'il connaissait beaucoup, etc... Il dit avoir eu la syphilis à de 17 ans. . D'après les renseignements de sa
ents fournis sur lui ne permettent pas d'affirmer l'existence de la syphilis . Marié une première fois à 21 ans, il eut un enfa
tions pathogéniques des dernières années relativement au rôle de la syphilis dans l'éclosion du tabes et de la paralysie génér
près les uns, la para- lysie générale aurait toujours pour cause la syphilis ; pour d'autres, il n'y aurait aucun rapport en
voque d'ordinaire la chorée. En conséquence, si, chez l'homme, la syphilis est une cause puissante, habituelle de la ménin
ntiques à celles qui sont d'ordinaire rapportées, chez l'homme à la syphilis . FACULTÉ DE MÉDECINE DE MONTPELLIER SERVICE D
u (Sec- chi) (115) qui suivent la tuberculose de la peau ou bien la syphilis (soit sous la forme de lymphangite spécifique,
alité relativement restreinte, que tout en un mot plaide contre une syphilis des ascendants ? Une autre pathogénie d'ailleur
M. Pierre Marie. Enfin, étant donné l'existence incontestable de la syphilis osseuse de l'adolescent et de l'adulte (2), on
tué, se disant sobre, mais d'une émotivité très marquée ; il nie la syphilis ; il présente un strabisme léger, congénital d'apr
établissent bien la nature spéciale du syndrome. L'hypothèse de la syphilis héréditaire avait été à ce propos soulevée par
. . i DYSOSTOSE CLÉIDO-CRANIENNE HÉRÉDITAIRE 325 Il semble que la syphilis soit la cause la plus probable. Dans notre cas
rait souffert de violents maux de tête. Il pa- raît qu'il n'y. a ni syphilis , ni tuberculose chez les ascendants. Antécédent
vraie ; il les distingue du rachitisme et tend à les rapporter à la syphilis . Virchow décrit en 1856 comme rachitique congén
e ce qui revenait au rachitisme vrai acquis de ce'qui concernait la syphilis congé- nitale. Il isola, en outre, à côté de ce
oetus d'une affection osseuse distincte du rachitisme vrai et de la syphilis . Parmi les plus importants, signalons le mémoir
t un petit nombre de faits et de les séparer du rachitisme et de la syphilis , elle devient aujourd'hui insuffisante en pré-
ement du nez peut être parfois assez accusé pour faire penser de la syphilis héréditaire (Kassowitz). Le crâne est volumineu
ion. Injection expérimentale de toxine streptococ- cique (Dor). , Syphilis héréditaire (Fournier, Rivington, Endlitz, Apert)
Parrot, toutes les dystrophies osseuses congénitales en dehors de la syphilis LES MICROMÉLIES CONGÉNITALES 517 étaient rega
pour en faire une affection particulière. Il I se peut aussi que la syphilis en soit la cause. 4° Le diagnostic entre l'Acho
our ne plus voir que de l'achondroplasie, de l'ostéoporose ou de la syphilis . Apert, dans un travail du reste excellent et a
es puissent relever toutes deux d'une cause semblable (tuberculose, syphilis , etc., etc.), agissant, ici par lésion directe,
est appuyée par l'état pathologique relevé parfois chez la mère. La syphilis a été notée dans quelques observations. Dans de
publiés antérieurement, nous avons trouvé chez la mère une fois une syphilis récente, l'autre fois une tuberculose chronique
s autres orga- nes de nos malades. - De toutes les infections, la syphilis est, sans contredit, la plus sclérosante. La sy
nfections, la syphilis est, sans contredit, la plus sclérosante. La syphilis congénitale détermine, chez le nouveau-né, des lé
et le coeur du tuberculeux. Parmi les os de nouveau-nés atteints de syphilis héréditaire latente que nous avons eu l'occasio
semblait étrangement au début des lésions achon- . droplasiques. La syphilis semble donc, en tant qu'affection sclérosante,sus
e, il ne s'ensuit pas que cette altération osseuse soit un signe de syphilis : N'oublions pas que la syphilis, à côté des lési
ltération osseuse soit un signe de syphilis : N'oublions pas que la syphilis , à côté des lésions spécifi- ques donne naissan
traîneraient sa sclérose, base anatomique de l'achondroplasie. La syphilis étant une affection essentiellement sclérosante,
ous les systèmes paraissent intéressés. |Telle est, par exemple, la syphilis du nouveau-né se manifestant par des plaques muqu
ne est, en elle-même, une sclérose banale et probablement variable ( syphilis , tubercu- lose, alcool) ; mais la caractéristiq
chitisme (Ac. de méd., 1851 et Arch. de Tocologie, 1877 et 1878). Syphilis héréditaire et rachitisme (Arch. de Physiol., 187
ion und die Erkrank. d. Knochensystems bei Rachitis und hereditaire Syphilis (Vienne, 1881,1882 et 1885). Rachit. congén. (S
ehre d. Knochenwachsthum (Izzaug. Diss. Greisswald, 1874). TnEUYEY. Syphilis osseuse congénitale (Séance annuelle de la Soc. o
des lésions rénales de nature toxique. L'autre était atteinte d'une syphilis récente et présentait des accidents secondaires
Des ma- nifestations si différentes entre elles comme celles d'une syphilis récente de la mère ou d'altérations graves et p
ANNOIS, Agrégé, Médecin des hôpitaux de Lyon. Le rôle joué par la syphilis dans l'étiologie de l'atrophie musculaire pro-
- drothérapie, eaux sulfureuses, etc.), qui eut enfin l'idée que la syphilis jouait un rôle dans son affection, se mit au tr
'un an, « était en pleine voie de guérison ». Hammond (3) cite la syphilis comme pouvant être quelquefois la cause de l'at
citait un cas analogue et ajoutait que le rôle pa- thogénique de la syphilis lui paraissait indiscutable. (1) Graves, Clin.
1897, au Congrès de Moscou, Vizioli (1) cita cependant un cas où la syphilis , prise par son sujet à 20 ans, lui paraissait la
ayant tous les caractères du type Aran- Duchenne et chez lequel la syphilis nous paraissaitjouerun rôle indéniable : il éta
oute Misserbi et Seeligmüller,il fait remar- quer qu'on retrouve la syphilis signalée dans les antécédents de myopathi- ques
la pachyméningite cervicale hypertrophique et la syringomyélie, la syphilis est destinée à recueillir le plus grand nombre
fait des excès alcooliques, mais prétend être tout à fait corrigé. Syphilis acquise en 1884, à l'âge de 26 ans : il eut un ch
t consulter, a débuté il y a 16 ans, 4 à 5 ans après le début de la syphilis . Il s'aperçut que le pouce droit fonctionnait m
sible. En résumé il s'agit ici d'un homme qui, 4 ou 5 ans après une syphilis sérieuse, vit apparaître les premiers signes d'
lésions osseuses qui ne laissent aucun doute sur la gra- vité de la syphilis dont il a été atteint. Il y a lieu de faire rem
lui-même qui fut surtout marqué dans les années qui précédèrent la syphilis et dont nous retrouvons une trace dans les cauc
. Les cas comme les deux que j'ai eu l'occasion d'observer et où la syphilis a laissé des stigmates indélébiles ont donc une
nifestement à la syringomyélie. Mais cette notion étiologique de la syphilis dans l'atrophie musculaire a une certaine impor
donc être tenté toutes les fois qu'on aura dépisté ou soupçonné la syphilis , et il faut espérer qu'il donnera quelques succ
et exempt de toute tare et de toute déformation. Il n'a pas eu la syphilis et est relativement sobre. Un état fébrile cont
lle n'a pas laissé de trace. Ce père est hernieux, il n'a pas eu la syphilis , il n'est pas alcoolique. Sa mère fut toujours
ques, et aux trau- matismes. On peut donner quelque importance à la syphilis , spécialement à l'égard des exostoses du crâne.
es trois familles étudiées, on n'a trouvé trace d'alcoolisme, ni de syphilis . Il me semble donc, qu'en aucune d'elles on ne
autres que la lésion oculaire, qu'au point de vue de stigmates des syphilis . Nous n'insis- terons donc pas sur les phases d
t bien développée, pas de signes de rachitisme, pas de stigmates de syphilis héréditaire. Systèmes musculaires et osseux norma
pe une roséole syphilitique très nette. Le point de départ de cette syphilis acquise est un accident à localisation vulvaire
s. Quoi qu'il en soit nous retiendrons seulement l'apparition de la syphilis chez cette enfant qui démontre l'état de récept
l'anamnèse que par l'examen même des sujets. Pour ce qui est de la syphilis en particulier qu'on est souvent tenté d'incrim
'observation IV est actuellement en pleine période secondaire d'une syphilis acquise, c'est un nouvel argument, dont la vale
aucune affection nerveuse dans la famille ; pas d'alcoolisme ni de syphilis , pas de tuberculose. En un mot, aucune tare hér
de rhumatisme articulaire, pas de dothiénentérie. Aucun stigmate de syphilis , pas d'intoxication éthylique ou nicotinique.
nos moyens d'inves- tigations. Tel est, en particulier, celui de la syphilis (3). La question se pose alors de savoir si la
eut contester que dans un assez grand nombre de cas, on retrouve la syphilis soit chez le père, soit chez la mère des pseudenc
dans nombre de cas pu- bliés,ce point est complètement négligé ; la syphilis , ni d'ailleurs aucune autre infection, n'a été
s par nous, pour tomber dans l'exagération du jour, et voir dans la syphilis l'agent spécifique de la méningite foetale ? Tout
acile des plus grandes difficultés. Admettons, si l'on veut, que la syphilis existe dans tous les cas de pseudencéphalie hum
s à part, ni les mam- mifères, ni l'oiseau ne contractent encore la syphilis . Et cela nous suffit pour affirmer que la ménin
firment qu'il ne saurait y avoir in- flammation puisqu'il n'y a pas syphilis . Il est hors de doute que le processus observé
ration parallèle à celle qui veut faire intervenir exclusivement la syphilis , envers et contre le bon sens. II. Adhérences
24 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
. Notre enquête personnelle n'a pu démontrer chez les parents ni la syphilis , ni la tuberculose, ni l'alcoolisme. Le père et
tous vivants et bien portants ; il a été militaire, mais il nie la syphilis ou tout autre maladie vénérienne. Pas alcooliqu
à l'âge de 22 ans une blenorrhagie, il nie d'une manière absolue la syphilis et l'alcoolisme dans ses antécédents. il ne fum
ébrale et dans de tels cas il peut être question égale-, ment de la syphilis cérébrale,de la thrombose des sinus. Saenger est
toute lésion nerveuse, n'a-t-il pas orienté le diagnostic vers une syphilis méconnue, vers un tabès commençant, maladies qu'u
es ou personnels ne retiennent pas l'attention. Lui-même n'avoue ni syphilis , ni alcoolisme. Pleurésie en 1908. Paludisme lo
eurs, consisterait surtout en ce qu'on pourrait soigner plus tôt la syphilis , qui reste bien certainement la cause prédomina
ie de ces névrites est, il est vrai, obscure ; les malades niaient la syphilis el l'alcoolisme ; ils n'étaient pas diabétiques
absente : toutefois il est bien vraisemblable qu'il s'agit là d'une syphilis méconnue, plutôt que d'un autre agent morbide.
ement concomitantes et indépendantes des lésions nerveuses ou de la syphilis (gastrites médicamenteuse, étlylique, cancer, u
raient peut-être des altérations syphilitiques de l'estomac, car la syphilis gastrique, d'après Pater (I), serait moins rare q
s, Pin- ' (il Pater, Gaz. des Hôpitaux, 1907, Revue générale sur la syphilis gastrique. (2) E. Long, Contribution à l'étude
(18 novembre 1904) est considéré par les uns comme appartenant à la syphilis , par les autres comme relevant de l'achondropla
le qui a évolué sans laisser de traces. Il ne croit pas avoir eu la syphilis , avoue un degré d'éthylisme accen- tué et jouit
exceptionnelle avant la 24e année : c'est que la blennorragie et la syphilis , de très rares, deviennent brusquement très fré
rs 9, varices 12, rhumatisme 2, hlennorragie 13 dont 8 compliquées, syphilis 4, tubercu- lose plenro-pulmouaire 2, bronchite
eux, et leurs contaminations vénériennes ne sont pas identiques. La syphilis semble un peu plus fréquente dans la cavalerie (s
tiques. La syphilis semble un peu plus fréquente dans la cavalerie ( syphilis pri- maire 2,15 % en 1905, z16 % en 1906) que d
riqueuses, les névrites et radiculites dues à la blennorragie, à la syphilis , à la tuberculose, à l'alcoolisme, aux affections
n. Dans les antécédents morbides du malade, rien à signaler, pas de syphilis , pas de blennorrhagie, pas de signe de tubercul
- tervenir, elles sont multiples : la tuberculose, l'alcoolisme, la syphilis , la variole, le mal de Bright, les cardiopathie
ette très importante communication, Rendu et Jacquet soupçonnent la syphilis héréditaire comme facteur étio- logique, mais C
fférents facteurs toxiques ou infectieux, tels que l'alcoolisme, la syphilis héréditaire, la tuberculose, ne sont nullement pr
quatrième de maladie indéterminée. Antécédents personnels. - Pas de syphilis connue ; pas d'alcoolisme.Bonne santé habituell
jusqu'au début des accidents qu'il présente actuellement.il nie la syphilis , il aurait toujours été sobre, il ne fume pas. Ma
ont voulu ne voir qu'une cause unique, et l'on sait que- c'est à la syphilis que Fournier et Lannelongue rapportent la maladie
de la pachyméningite cervicale dont elle est la cause fréquente, la syphilis peut causer des syndromes très analogues. L'on
entrale. Dans d'autres cas, par contre, tributaires également de la syphilis ner- veuse, il s'agit de lésions centrales, et
Pierre Merle, Wilson, Mosny et Ba- rat, etc. Dans son livre sur la syphilis des centres nerveux, Nonne cite trois cas analo
es suivant qu'il existe ou qu'il n'existe pas de signes évidents de syphilis du système nerveux. I Sur nos quatre cas avec e
cas avec examen anatomique, deux se rattachent cer- tainement il la syphilis nerveuse dont' on pouvait poser le diagnoslic p
de la lymphocytose et une réaction de Wassermann positive. " , La syphilis est improbable dans les trois autres cas. Cette
s autres cas. Cette variabilité pathogénique, cette fréquence de la syphilis nerveuse, et en particulier l'association possi
tionnée dans un certain nombre d'observations. 1 Dans les cas de syphilis nerveuse et plus particulièrement de tabès, elle
blancs. Les lésions ménino-vasculair sont celles habituelles de la syphilis . 1 Ep,iississeincti[7piè--ii-iéieii.ivec infilt
e. Ces lgo-vasculaires comportent la signature histologique de la syphilis ; ajoutons cependant que, dans un de nos trois ca
re ici susceptible de produire des lésions analogues à celles de la syphilis , Arrivons maintenant à l'élément essentiel de l
rhumatisme. Antécédents personnels. Rien à noter. Il n'a pas eu la syphilis , il n'est ni buveur, ni fumeur. Il s'est marié
iers ont disparu depuis quatre mois. Il déclare qu'il n'a pas eu la syphilis . Il avoue seulement un chancre mou, contracté i
r la table, surfont après les repas. Il déclare qu'il n'a pas eu la syphilis . Il ne présente pas de symptômes de cette infec
Pa..., mort à 81 ans en décembre 1910, cordonnier, anciencolonial. Syphilis non avouée. Mais Wassermann positif, liquide, c
ales et de la 1 ? dorsale. Observation V F..., 61 ans, menuisier; syphilis à 20 ans, 7 enfants dont 3 morts en bas âge. Le
syphilitique avec Wassermann positif, sans autre signe clinique de syphilis des centres nerveux. Observation VI Ga..., 70
ns, ménagère. Mariée, pas d'enfants, pas de fausses couches. Pas de syphilis avouée. La malade a refusé la ponction lombaire.
ucteur du pouce. Observation VIf 13..., manoeuvre, 52 ans. Nie la syphilis et l'éthylisme. Pas d'antécédents sa- turnins.
ements commandés bien exécutés. En résumé chez un ma- lade niant la syphilis , apparition en un an environ d'une atrophie mixte
Rien de très notable en dehors de cela dans les antécédents. Pas de syphilis avouée. A l'examen, la main gauche est dans l'e
ésion radiculaire. Observation IX B...,49 ans, journalier. Nie la syphilis , présente une atrophie des petits mus- cles de
es au courant gal- vanique. En résumé, c'est un malade atteint de syphilis nerveuse, à type de tahes supérieur. Atrophie
té. Observation X M..., 6(¡ ans, représentant de commerce. Nie la syphilis , présente une atro- phie strictement limitée il
musculaires plus ou moins progressives chez des malades atteints de syphilis cérébro-spinale.L'on peut y ranger aujourd'hui
st de la maladie causale, il faut avant tout mettre hors de pair la syphilis . De nos 4casanatomo-cliniques, 2 sont d'origine
philitique. . Parmi nos 6 cas cliniques, 3 présentent des signes de syphilis nerveuse. La syphilis sera donc d'emblée soupço
s 6 cas cliniques, 3 présentent des signes de syphilis nerveuse. La syphilis sera donc d'emblée soupçonnée, et reconnue par le
re (ponction lombaire et réaction de Wassermann). En dehors de la syphilis on peut penser a l'artério-sclérose sénile (qui
et d'interprétation délicate : c'est la curieuse prédilection de la syphilis pour ce segment inférieur de la moelle cervical
re 1909, p. 1014. HUET in de Massary, Ion. cit. Japeia. Un cas de syphilis médullaire avec formation cavitaire,Deutsche Medi
achial. Revue de Médecine, 1885, p. 591 et 139. Iannois et PoHOT. Syphilis spinale à forme amyotrophique, Revue de Médecine,
hilitique (un cas d'). Revue Neurologique, 1910, p. 461. NONNE. - Syphilis iiiid Servensyslem. Berlin, 1909. Yoossanu. - A
ques, Thèse de Paris, 1893. DAYMon. Les relations éventuelles de la syphilis avec certaines amyotrophies a marche progressiv
préciser de quoi ils sont morts. Notre malade n'aurait pas eu la syphilis (mais cette information est sujette à caution).
rt. Sa mère est bien portante. Nous igno- rons si le malade a eu la syphilis . Il a une fillette de 6 ans. Est veuf. Ses pre-
25 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
die du pays ; mais, malgré cela, sa santé était assez bonne. Pas de syphilis . Pas d'alcoolisme. Il était de très petite taille
que de P. Marie) (PI. XVI). Anamnèse, - L'hérédité pathologique, la syphilis et l'urétrorrhée sont ex- clues : le malade éta
lcooliques et lui-même est alcoo- lique ; le malade nie avoir eu la syphilis et la blennorrhagie. A 14 ans, ayant pris froid
mais elles réapparurent plusieurs fois ; à 26 ans le malade eut la syphilis . Un an et demi après, c'est-à-dire 8 ans et dem
aules ; à 19 ans, le malade eut la fièvre typhoïde et, à 20 ans, la syphilis ; il n'a pas eu d'urétrorrhée, pas de contusion
iagn. clin. Spoud. rhiz.). Anamnèse. Le malade dit n'avoir eu ni la syphilis ni l'urétrorrllée. Avant la maladie actuelle, i
olique et lui-même s'adonne à la boisson. Il dit ne pas avoir eu la syphilis . A 21 aus il a eu l'urètrorrhée qui évolua sans
pleurésie du côté droit et un érysipèle. Le malade nie avoir eu la syphilis , il n'est pas alcoolique. Etat du malade au mom
sthésie locale; il 31 ans, blennorrhagie. Le malade nie avoir eu la syphilis . Abus marqués in venere et in 13acclfo. Il est ma
ne grande force physique et n'était jamais malade. Il nie avoir eu la syphilis ou la blenuorrhagie. A 29 ans, sans aucune caus
d'affection comme celle dont souffre le malade. A 18 ans, il eut la syphilis , it 23 ans, 1'tiréti-oi@rliée. De 18 à 30 ans, il
eu la gonorrhée ; 9 mois avant son entrée à l'hôpital, il eut la la syphilis . Etal du malade au moment de l'examen. Le malad
an, apparurent des douleurs et une immo- bilité dans le rachis. La syphilis , la gonorrhée et l'alcoolisme sont exclus. Etat
positive, malgré que le malade niait qu'il eût jamais contracté la syphilis . Vu cette réaction positive et le manque de sig
aires et osseuses analogues surviennent chez les tabétiques ? Et la syphilis , quel rûlejoua-t-elle là-dedans ? Peut- on attri-
injections mercurielles intra-musculaires dans le traitement (le la syphilis , 1909, p. Il. (2) M \'Q ! 1.\T, Principes de th
dernières constatations chez un homme de 29 ans firent penser à la syphilis et prescrire le traitement mercuriel : injections
de toute pratique mercurielle bypo- (1) Fournier, Traitement de la syphilis , 1909, p. 186. (2) Raconicéanu et BItOCQ, Socié
mercure aux hémiplégiques, dont la maladie a souvent pour cause la syphilis , il ne nous semble pas qu'on puisse ré- pondre
érieurs et remontent à z39, aux temps héroïques de l'histoire de la syphilis , en plein règne de François ICI' (2) : les déta
presque identiques aux estampes de Blois (4). L'iconographie de la syphilis est pauvre en documents datant de l'épo que de
. (5) Comme ouvrage d'histoire de la médecine le plus récent sur la syphilis , signa- lons A. von NOTTnAFT.Die Légende von de
syphilis, signa- lons A. von NOTTnAFT.Die Légende von der dltertums Syphilis , 1908 (voir France mé- dicale, li,)07, p. ! t%3
philis, 1908 (voir France mé- dicale, li,)07, p. ! t%3). (0) Art. Syphilis , Dictionnaire encyclopédique des sciences médical
jamais ». L'auteur du Triumphe est inconnu. La bibliographie, de la syphilis du Dictionnaire encyclopédique des sciences méd
et publié ses loix et droitz diffusément ». La première épidémie de syphilis (1525) y fut en effet des plus graves. La syphi
ière épidémie de syphilis (1525) y fut en effet des plus graves. La syphilis actuelle n'y a pas démérité : il y a peu d'années
e courte, puante, punaise », une bouche édentée, car on sait que la syphilis (à moins que ce ne soit le traitement) en fait, a
été intéressant de voir dès cette époque la repré- sentation d'une syphilis héréditaire. La mère est couverte d'emplâtres, a
rapprochement que l'on fai- sait de son temps de la goutte et de la syphilis . Dans le répertoire des li- vres que Pantagi-Li
qu'il gardait pendant son ouvrage (Obs. du D' Lubovitcli). 6° La syphilis est signalée dans cinq cas sur quatorze. Nous n
savoir quelle en est la cause. L'on peut soupçonner une tumeur, la syphilis , la tuberculose. L'hypothèse de tumeur a pour e
avons déjà exposés nous paraît éliminer le mal de Pott. Reste la syphilis sous ses diverses.formes, gommes, méningite bacil
sérum (négative il est vrai dans le liquide céphalo-rachidien). La syphilis d'autre part est une cause fréquenlede ces syndro
, plutôt petit. Il nous a été impossible de trouver des traces de syphilis chez le père ou chez la mère. Quant aux trois
a mère. Quant aux trois avortements, ils ne paraissent pas dus à la syphilis . Au point de vue personnel, voici ce que nous a
e, il a été fréquemment surpris en train de se masturber. Il nie la syphilis et la blennorrhagie. Son appareil digestif ne p
. ACROMÉGALIE ATYPIQUE 325 effet la disparition des symptômes de la syphilis , mais les facultés intellec- tuelles de l'enfan
à marche lente. Il faut noter également que notre malade a eu de la syphilis dans son enfance. Il est difficile à dire jusqu
égalie ; le rapport entre ces deux affections - l'acromégalie et la syphilis z- n'est pas bien défini jusqu'à présent. Le fa
à terme, d'un accouchement normal. Il dit ne pas avoir contracté la syphilis et ne pas abuser des alcools. A l'âge de 21 ans,
CURIEUSE ET RARE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA MOELLE ALLONGÉE ( SYPHILIS CRÉBItO-SP1NALE. PAR R A. HEIMANOWITSCH Grâ
possible de faire l'étude d'un cas particulièrement intéressant de syphilis cérébro-spinale. Le malade était demeuré en obs
s maladies nerveuses de l'Université de Moscou. Il s'agissait d'une syphilis du système nerveux dont l'évolution progressive
de la plupart des phénomènes qu'il est possible d'observer dans la syphilis il détermination cérébro-spinale. Le tableau an
361 C'est à l'âge de 18 ans, en 1878, que notre homme s'infecta de syphilis et déjà, deux ans plus tard, celle-ci s'annonça
. En d'autres termes, l'action lente et prolongée des toxines de la syphilis sur le névraxe nous parait constituer la cause
appareils fonctionnent régulièrement. Il n'existe aucun stigmate de syphilis , et la tuberculose ne peut être soupçonnée. Au
ditaire, notre sujet présente-t-il des stigmates de tuberculose, de syphilis ? Nous avons noté le résultat négatif de nos re
mblent avoir présenté de maladies sérieuses, ni d'alcoolisme, ni de syphilis . Tous deux sont morts rapidement d'affections a
s). Il était mécanicien aux che- mins de fer. Il paratt avoir eu la syphilis . Malade depuis deux ans. Trois mois avant le dé
e par une blennorragie (obs. III, VIII, IX, XI, XII, XV) ou par une syphilis . Enfin,si la présence du système pileux antérie
est grand et vigoureux. Sa verge et ses testicules sont volumineux. Syphilis à 24 ans. Orchite syphi- litique bilatérale à 2
DIER ET REBATTU Observation V (DALCHË, résumée). Homme de 36 ans. Syphilis il 20 ans ; orchite à 30 ans. Début à la même é
o-conjrnctivile droite ; une blpnuorrhée ; des hémorroïdes ; pas de syphilis . Marié à 26 ans ; était « très fort », au dire de
de ses deux mariages A partir de 33 ans, érysipèles à répétition et syphilis dont la porte d'entrée reste douteuse. Perte pr
yé. Une blennorragie sans orchite. Une otite. Pas d'oreillons ni de syphilis . Marié à 20 ans, il n'a eu qu'un enfant qui ne vé
hôpital pour de l'hyposystolie. Une blen- norragie à 18 ans. Pas de syphilis . Habitudes alcooliques. Il reçut à 25 ans un vi
s simultanément et enfin il contracta une blennorragie, mais pas de syphilis . Six mois après sa fièvre typhoïde, il s'aperçu
tiologie infectieuse de ces lésions : tubercn- lose dans notre cas, syphilis dans d'autres. « Déjà plusieurs auteurs : Colli
blennorragie qui n'a pas eu de suite ; il ne semble pas avoir eu la syphilis dont on ne trouve aucun stigmate, il ne sem- bl
avec des séquelles d'épiphysites post-natales ; aucune cause, ni la syphilis , ni les yaws, ni la tuberculose, ni d'autres pr
avoir souffert de taenia et de blennorrhagie, mais nie avoir eu la syphilis . Il reconnaît avoir souffert longtemps de'maux de
1l, 481. Atrophie de la moelle épinière el de la moelle allongée. Syphilis médullaire, par flctxa- vownrscn, 360. Jl'f.S
lité morbide spéciale) (7 pl.), par EI.n \1101'1', 1'-)l, 236. Syphilis médullaire (Atrophie curieuse et rare de la moe
26 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ntellectuels consécutifs; céphalalgies mais pas de migraines, ni de syphilis , ni alcoolisme, vive et emportée. [Père : sobre
nité. Différence d'âge de huit ans (père plus âgé). Aucun indice de syphilis ni chez l'un, ni chez l'autre. Deux enfants. 1°
tion; urine légèrement albumineuse. Pas d'hérédité fâcheuse. Pas de syphilis : il menait sans effort une vie de travail fati
s atteints dans la famille, bien que pour l'un d'eux l'absence de syphilis fût prouvée. La névrite hypertrophique serait don
erait donc la seule affection pouvant donner le signe d'Argyll sans syphilis . M. Meunier communique un cas d'atrophie muscul
onnels dignes d'être signa- lés ; il a un fils bien portant. Pas de syphilis , pas d'alcoolisme. La santé générale est bonne
te pas d'éruption sur la peau. Elle ne présente aucun stig- mate de syphilis (oreilles, anus, lèvres, bouche etc.), pas de pla
u son par les os du crâne dans la paralysie infantile cérébrale, la syphilis céré- brale, l'alcoolisme chronique avancé, l'é
ce, octobre 1901). Obs. 1. Femme de vingt-sept ans; comme signes de syphilis congénitale, on trouve le crâne volumineux, le
: Il n'est pas commun de rencontrer chez les idiots des exemples de syphilis congénitale : on trouve, à la vérité, souvent d
ompte - de ces deux faits 1° que l'idiotie est rare dans les cas de syphilis congénitale, 2* que la paralysie générale est o
que la paralysie générale est ordinairement une consé- quence de la syphilis acquise, on est amené à -se demander pourquoi l
litique, souvent longtemps continué chez les enfants atteints de syphilis héréditaire : la mère, en ellet, demande promptem
la paralysie générale. On admet aujourd'hui que l'alcoolismeet la syphilis sont les deux principaux facteurs de la paralys
e ses malades juifs en deux classes, dans la première desquelles la syphilis et l'alcoolisme sont rares (ces deux tares sont
es par Bonnet etPoincaré, 'Foville, J. Falret. Les rapports avec la syphilis furent discutées plusieurs reprises, mais « la
sse. M. Leredde revient sur sa communication antérieure, tabes et syphilis , insistant sur l'utilité du traitement intensif m
nel buvait aussi et a eu dans la vieillesse une maladie mentale. La syphilis héréditaire est probable. La malade vint au monde
ladies mentales. Passons à présent à l'examen de la fréquence de la syphilis dans l'anamnèse de 'la paralysie générale. 520
sie générale chez les hommes, les périodes entre l'infection par la syphilis et l'apparition de la maladie mentale en questi
d'enfants. Né à terme, G... n'aurait jamais fait de maladie. Pas de syphilis connue. Il vient à Paris à dix-sept ans comme g
à ce moment d'accrocs de la parole. Pas de stig- mates apparents de syphilis . Le 9 juin, G... est transféré à l'asile de Vil
tte troisième catégorie. On peut toujours dire il est vrai que la syphilis a échappé à l'examen clinique ou que G... était u
xquels on attribue généralement la genèse de la paralysie générale. Syphilis , alcoolisme, surmenage physique, dégénérescence
me antécédents personnels, on retrouve chez l'un l'alcoolisme et la syphilis ; chez l'autre, le paludisme et un surmenage phys
u'à l'origine de . la grande majorité des cas de tabes on relève la syphilis ; mais il n'est pas contestable, non plus, que
ntestable, non plus, que les cas où il est impossible d'admettre la syphilis sans baser le diagnostic sur une pétition de pr
de la sénilité. Il est aussi des cas où d'autres infections que la syphilis semblent avoir agi et avoir, à elles seules, en
arition d'une de ces infections, alors que pendant la période où la syphilis était seule, aucun accident tabétique n'était a
ismales, la blennorragie. Il semble que la SOCIÉTÉS SAVANTES. 379 syphilis crée, dans ces cas, un lieu de moindre résistance
a sclérose multiloculaire; 61 l'importance étiologique de l'hérédo- syphilis dans le développement de la sclérose en plaques c
particulièrement' envisagé les rapports du signe d'Argyll et de la syphilis . Ils n'ont jamais trouvé le signe au cours de l
le hypertro- phique et de syringomyélie avec signe d'Argyll et sans syphilis . Mais dans la pratique, la présence du signe d'
la pratique, la présence du signe d'Argyll doit faire soupçonner la syphilis , selon la règle posée par M. Babinski. De l'avi
e faire comprendre cette locali- sation singulière, E. B. XXXVII. Syphilis cérébrale sept mois après l'accident primitif.
s lésions cérébrales préco- ces de nature artérielle au cours de la syphilis et sur le temps nécessaire à la production d'un
ie puerpérale. 1. DE IUf,AAVE-CL : 1Y. XIV. Paralysie générale et syphilis : revue critique ; par W.-H.-B. STODD : 1RT. (T
ivantes : - Il est remarquable dans l'histoire delà médecine que la syphilis du foie, la syphilis du cerveau, la syphilis de
marquable dans l'histoire delà médecine que la syphilis du foie, la syphilis du cerveau, la syphilis de la peau, ont toutes
e delà médecine que la syphilis du foie, la syphilis du cerveau, la syphilis de la peau, ont toutes traversé une période pen
de l'iodure de potassium : mais quelle que soit l'importance de la syphilis comme facteur étiologique de la paralysie génér
lir l'étiologie syphili- tique de cette maladie. On a montré que la syphilis se rencontre plus fréquemment que toute autre c
re- nante, surtout si l'on tient compte îles cas très nombreux de syphilis occulte ou ignorée et de la diliculté d'obtenir d
hérédité, profession, rang, race, etc.), qui feraient déclarer la syphilis coupable devant n'importe quel tribunal. Dans l
ment de valeur, c'est sa rareté dans les races non civilisées où la syphilis est florissante. Il REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE
écouvrir quel est celui des éléments de la civilisation qui aide la syphilis à engendrer la paralysie générale, et en d'autr
er la paralysie générale, et en d'autres termes, de quelle façon la syphilis est influencée par la civilisation. En premier
la syphilis est influencée par la civilisation. En premier lieu, la syphilis est moins grave chez les peuples civilisés que
tré à l'auteur que les paralytiques généraux n'avaient jamais eu de syphilis grave. La conclusion logique qui résulté de ces d
ve. La conclusion logique qui résulté de ces don- nées c'est que la syphilis ne donne la paralysie. générale qu'à la conditi
ion d'être bénigne, reductio ad absiti-diti ? i. En second lieu, la syphilis demeuré sans traitement dans les pays civilisés :
les pays civilisés : les Maho- métans par exemple quand ils ont la syphilis disent « Kismet » et c'est tout. Mais chez les
arshatko a étudié avec beaucoup de soin la question de savoir si la syphilis tertiaire est ou n'est pas causée par le mercur
rencontré un seul ouvrier maniant le mer- cure qui ait contracté la syphilis pendant qu'il était en état de mcrcurialisme. C
a paralysie générale. On peut conclure de toutes ces données que la syphilis est un antécédent tellement ordinaire de la par
au moins peut on affirmer pratiquement que quiconque n'a pas eu la syphilis ne court guère de risque de devenir paralytique
l. Mais la question de savoir si la paralysie générale est due à la syphilis per se ou la mercurisation consécutive du malade
lcool semble jouer le principal rôle-à la première période, puis la syphilis et le traumatisme. AI. IIAMEL XXXV. Contribut
-moteur externe du môme côté; par Lad. Haskover, 438. générale et syphilis : revue cri- tique ; par Stcddart, 512 Le pru-
ib. Voir Epilepsie. S1DH0\IE occipital I)OLBLE, j)iU Dide, 179. Syphilis cérébrale sept mois après l'accident, par Clumr
27 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
ns qu'il n'a pas eu de graves maladies, mais qu'il a été infecté de syphilis à l'âge de 30 ans. Jamais il n'a souffert de trau
enons de décrire, nous voyons que 'd'un homme de 68 ans, infecté de syphilis dans sa trentième anné ! ".s jouissant d'une sa
et il n'avait pas cessé de souffrir, quand, en 1897, il contracta la syphilis (chancre du sillon balano-préputial, puis roséo
igner » avant son entrée à l'hô- pital. C'est à l'occasion de cette syphilis que se seraient développés les accidents spécia
sence de lésion organique définie et de manifestations actuelles de syphilis , sa bonne foi n'élant pas en cause, on est surt
service de blessés où l'on confirme l'absence actuelle de signes de syphilis , il retourne à son corps. Tant mal que bien il
dents héréditaires, ni personnels sauf des bien - norrhagies et une syphilis récente qui est obligé d'interrompre sa pro- fe
jours mené une vie très réglée, très laborieuse, sans vices. Pas de syphilis , pas d'alcoolisme. - Voici comment aurait début
tandis que l'autre jouit d'une bonne santé. Bad... n'a jamais eu la syphilis ; il n'a jamais fait d'excès de boisson ou de f
e. Observation IL - (Pitres et Vaillard.) SOMMAIRE. Femme 66 ans. Syphilis probable. A 41 ans, luxation spontanée de la ha
embres inférieurs. Dans ses antécédents personnels, on retrouve une syphilis conjugale bien nette. Elle a eu neuf grossesses
de 25 ans. L'enquête est entièrement négative en ce qui concerne la syphilis . L'histoire de sa maladie est bien intéressante
me nerveux est lésé par la tu- berculose. En est-il de même pour la syphilis et pourrions-nous sur le plan que nous venons d
er pour la tuberculose étudier les mani- festations nerveuses de la syphilis ? ' ! L'histoire anatomo-clinique de la syphili
ns nerveuses de la syphilis ? ' ! L'histoire anatomo-clinique de la syphilis des centres nerveux a été ap- profondie dans ce
les détails histologiques des dif- férentes manifestations de cette syphilis . Il en est au contraire, tout au- trement des a
toubles ner- veux dus à l'altération des nerfs périphériques par la syphilis est indiquée depuis longtemps par les clinicien
e de M. le professeur Raymond, à la Salpêtrière). Résumé clinique : Syphilis ,grave le 1. cr mai 4899, apparition de la paraly
OBs. IL - Personnelle (Service de M. Babinski à la Pitié). Résumé : Syphilis le le, octobre 1895 ; début de la paralysie le Il
lides de la peau et des muqueuses, syphilidcs qui font découvrir la syphilis seu- lement à cette époque. Ou fait des frictio
ereal Dis., 1861, p 174. J. B..., 40 ans, usage modéré de l'alcool. Syphilis avec syphilides secondaires Démarche et station
OBs. VI. - Gnosz, Société de dermatologie de Vienne. Malade prend syphilis en 1896. En 1897, éruption papuleuse disséminée ;
mond, Leçon XXII, 4° série. P... âgée de 26 ans. Pas d'antécédents. Syphilis en 1896 avec accidents se- condaires. Traitemen
de maladie antérieure. Très nerveuse. Mariée le 16 septembre 1893. Syphilis en octobre 1893 avec accidents secon- 160 ' R.
- Brauer, Neurolo,g. CentralLlatl., 1896, p. 671. Homme de 24 ans. Syphilis en août 1895. Cure par frictions mercurielles de
syphilitique, on voit survenir, avec ou sans phénomènes associés de syphilis cérébrale, des paralysies lentement progressives,
ork med. journal, p. 1, juillet 1890). Femme de 40 ans, atteinte de syphilis en 1880 ; deux ans plus tard, anes- thésie et a
IX.) Ces. XIII. - Sorrentino (Riforvla medica, 1892). Ange. L.... Syphilis en 1890, six mois après vient consulter pour mani
d'Astier, 1898. Mais une telle preuve ne saurait être faite pour la syphilis dont nous ignorons, le principe infectieux et qui
remier chef, intoxiqués souvent par l'al- coolisme, toujours par la syphilis et le mercure, auto-intoxiqués enfin par les lé
mplexe. Et tout cela s'est passé à l'époque où elle a contracté une syphilis assez sérieuse et où elle a été soumise à des c
liorent les troubles moteurs. Quant au 2° malade, on ne découvre la syphilis qu'au mois de décembre, et les troubles moteurs
chez des syphilitiques sous l'influence d'intoxications multiples, syphilis , mercure, lésions rénales, alcool (cas de Braue
enfin les polynévrites qui paraissent exclusivement causées par la syphilis (2 cas personnels, cas de Rodet, Midleton, Ford
es nerveux font leur apparition pendant la période secondaire de la syphilis à une date du chancre infectant variant depuis 1
rs les auteurs ne font pas mention d'une gravité particulière de la syphilis . Cependant notre premier malade paraît avoir été
autres formes de polyné- vrite. Il faut pourtant se rappeler que la syphilis affectionne les centres nerveux et parfois d'un
i 1 is maligne précoce dunévraxe, justement dénommé par Charcot, la syphilis tigrée de la moelle. La myélite aiguë se reconnaî
te, soit de la poliomyélite d'autant plus qu'on a pu rattacher à la syphilis certaines poliomyélites subaiguës ou chroniques
pleurésie que l'on voit survenir pendant la période se- condaire de syphilis . La rareté et la bénignité des polynévrites syp
les altérations des éléments nerveux, observées dans le coeur de la syphilis cérébro-spinale. 1 Nouv. ! cOlWG"APHIF 0" L
elle était la cause de cette artérite ? Nous avons pu soupçonner la syphilis , mais le traitement antisyphilitique n'a donné au
matose a parfois coïncidé avec d'autres états morbides, tels que la syphilis , l'albuminurie, le cancer, les varices, la goutte
e la pathologie du système lymphati- que, que l'on retrouve dans la syphilis , l'infection chancrelleuse et môme dans les inf
il a eu des échauffements, mais pas de blennorra- gie intense ni de syphilis . Il y a dix ans, le malade s'aperçut de la prés
ortions normales. Pas trace de manifestations rachi- tiques. Pas de syphilis . Sur la paroi abdominale antérieure, à peu près
ation IX. - (Personnelle.) SOMMAIRE. Femme, 45 ans. Pas de trace de syphilis . A 28 ans, privations physiques et ennuis morau
ssantes. Observation X. - (Personnelle.) SOMMAIRE. Homme, 51 ans. Syphilis à 23 ans. Traitement anti-syphilitique régulier
ier dans ses antécédents héréditaires. Il a contracté lui-même la syphilis vers l'âge de vingt-trois ans : il suivit dès c
Observation XI. (Inédite.) SOMMAIRE. Homme, 54 ans. Pas de trace de syphilis . Abus des plaisirs véné- riens.A 45 ans, premiè
de trente- six ans, a eu un enfant qui est mort. Il n'accuse pas de syphilis , il a toujours abusé des plaisirs vénériens.
Observation XII. - (Personnelle.) SOMMAIRE. Homme 59 ans. Pas de syphilis . Alcoolisme probable. A 41 ans, douleurs rhumat
ns, une blennorrhagie guérie rapidement. Il n'a jamais contracté la syphilis . L'alcoolisme est probable chez lui, car il a é
rvation XIII. - (Inédite.) SOMMAIRE. Homme, 57 ans. Pas de trace de syphilis . Abus des plaisirs véné- riens. A 45 ans, premi
sait habituellement d'une santé parfaite. 11 n'a jamais contracté la syphilis . Il est marié, mais n'a point d'enfants. Il a t
- .. Observation XIV. - (Personnelle.) SOMMAIRE. Homme, 58 ans. Syphilis à 25 ans, non traitée spécifiquement. A 40 ans,
oïde. Plus tard, il contracta plusieurs blennorrha- gies. Il eut la syphilis à vingt-cinq ans et ne suivit, à son dire, aucun
ES 289 Il y a une quinzaine d'années environ, dix-huit ans après sa syphilis , vers t'age de quarante ans, le malade ressenti
O-CÉRÉBELLEUSE 343 che ; il nie avoir eu des maladies vénériennes : syphilis ou blennorrhagie. Il a même toujours joui d'une
s fait de fausse couche et n'a pas eu d'enfant mort en bas âge ; la syphilis ne paraît pas exister dans les an- técédents hé
, le 23 février 1900. Antécédents héréditaires. - Du côté paternel, syphilis chez une arrière- grand'mère qui contamine ensu
une répulsion marquée, intelligence médiocre, prognathisme, pas de syphilis . Du côté maternel, tuberculose pulmonaire chez
de la maladie actuelle. Dans son passé rien d'extraordi- naire, ni syphilis , ni alcoolisme, en un mot aucune maladie. Ses par
maladie antérieure. Elle ne souffre pas de la tête. Elle n'a pas de syphilis , et il n'y a jamais eu de tuberculose dans la fam
ulement vaginal. En tout cas on ne relève chez elle aucune trace de syphilis . A Lourcine elle a eu des attaques de nerfs qui c
olisme. Il est impossible de retrouver dans l'histoire du malade la syphilis . Marié à 27 ans, le ma- lade a eu un premier en
tismale soit aiguë, soit chronique. Quelques infections banales, la syphilis dans la proportion habituelle du tabès. Certain
phie et de défense. Si l'on excepte les exostoses silencieuses de la syphilis , 516 JEAN ABADIE les déformations dues à des
-même n'avait jamais été malade. En particulier il n'a jamais eu la syphilis ni aucune maladie nerveuse, il ne boit pas. L
t le plus souvent : on a noté cependant, mais titre exceptionnel, a syphilis (Tilley),la tuberculose des parents (Heuck), la
loro-anémique (Obs. 111). Il ne semble y avoir eu ni alcoolisme, ni syphilis chez les parents. La malade est le deuxième enf
28 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nguait depuis longtemps par sa nervosité qui augmenta encore par la syphilis acquise il y a neuf ans. Il y a 12 ans que le m
aux fonctions sexuelles normales. bientôt, après avoir contracté la syphilis , il y a G ans, le ma- lade manifesta de l'impot
u dans la partie supéro-externe du chiasma. Paralysie générale et syphilis cérébrale diffuse. M. Duprk et Devaux. Les cara
ante formation de néo- vaisseaux. 54 sociétés savantes. Dans la syphilis cérébrale, l'infiltration périvasculaire, lors-
fant de quinze ans. MM. Déjérine, 11OR1 : R0 CL LEENHARDT. - Pas de syphilis , in- coordination des membres supérieurs depuis
totale et paralysie faciale gauche sans troubles de la sensibilité. Syphilis probable ; lésion pédon- culo-prolubérantielle
EUTIQUE. 109 la paralysie générale des formes non inflammatoires de syphilis cérébrale. Usemble que dans ces dernières, comm
- choses non syphilitiques mais entées sur des sujels ayant eu la syphilis , on puisse constater un état positif, bien que da
ence précoce, l'épilepsie (I cas, 1 ponc- tion), ou encore entre la syphilis cérébrale, et la paralysie géné- rale (4 cas, 8
lcooliques chro- niques ; de 4 démences séniles ; de 1 tabès ; de 1 syphilis ancien- ne ; de 1 manie ; de 1 mélancolie ; de
t d'une forte mul- tiplication des lymphocytes. La question de la syphilis n'est pas tranchée. Une imbécile pros- tituée d
chée. Une imbécile pros- tituée de 25 ans, atteinte il y a 4 ans de syphilis secondaire, in- demne d'une affection syphiliti
ux, il s'agit d'une personne solide, qui ne présente pas tra- ce de syphilis antérieure. La psychose est depuis des années abs
re bien portante, D'après l'historique et le rapport du médecin, la syphilis des parents était improba- ble. L'autopsie révé
e n'ait point éprouvé d'accidents secondaires, l'auteur croit à une syphilis cérébrale compliquée d'endartérile (thrombose)
oelle, dans le tabès, dans la pachyméningite hypertrophique,dans la syphilis spinale, dans la myélite par compression et dan
. Pas de troubles pupillaires. Pas d'antécédents ni de stigmates de syphilis . La ponction lombaire donna des résul- IaLs nég
cause occa- sionnelle, l'alcoolisme est invoqué dans 2G cas. « La syphilis a été relevée seulement cinq fois sur les 17 para
digentes qu'ils l'ont été pour les 3 paralytiques pensionnaires, la syphilis aurait été retrouvée bien plus fréquemment dans l
er- ne de l'un ou de l'autre oeil, laquelle dépend toujours de la syphilis , . ils CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEURO
rsque la pupille est paresseuse et immobilisée pathologiquement. La syphilis seule ne donne pas lieu au phénomène d'Argyll-R
a fois.) Les lésions causales de ces troubles pupil- laires dans la syphilis sont rarement d'origine nucléaire, mais le plus
es de la paralysie générale sc rapprochent beau- coup de ceux de la syphilis . L'inégalité pupillaire correspond toujours à u
ble à ce qu'elle aurait été à la suite de la même amputation sans syphilis . - - Ces 2 faits nous ont mis en éveil et nous
s, il eut quatre en- fants, donttrois sont vivants etbien portants. Syphilis à 40 ans, avec chancre, roséole, plaques muqueu
entrée à l'asile, on ne trouva pas sur le corps des stigmates de la syphilis ; tremblement des mains et de la langue ; réfle
t il existe actuellement, chez ce malade, des stigmates évidents de syphilis sous forme de rétractions pal- maires, de cicat
t a confirmé la relation que la clinique tendait à établir entre la syphilis et l'amyotrophie, car, sous l'in- fluence des i
uis, Paris. FOUIINIER (A.) et Raymond (F.). - Paralysie générale et syphilis . 1 vol. In-8, de 100 pages. (Librairie Masson,
et impressionnable, a souffert de névralgies de 20 à 40 ans, pas do syphilis . Mère, 57 ans, bien portante, caractère faible. 5
infection) de ces altérations vasculaires était vraisemblablemenlla syphilis . F. T. XXXI. Un cas de myopathie avec rétract
nous l'approuvons vivement. BOURNEVILLE. XIV. Paralysie générale et syphilis . parL. MARCHAND, médecin adjoint de l'Asile de
decin adjoint de l'Asile de mois. Pour éclairer lerôlejoué par la syphilis dans la paralysiegéné- rale, il faut s'appuyer
ains cas de paralysie générale n'ont certainement pas pour cause la syphilis , puisque plusieurs malades ont contracté la vér
xpériences négati- ves de Kiaf[7EI)iii,, inoculant sans résultat la syphilis à parai;) ti- ques généraux; et dans la symptom
la constatation du signe tl'Arnll-llobertsou, semblent donner à la syphilis un rôle important. L'anatomie pathologique perm
la paralysie géné- rale s'associent à des lésions non douteuses de syphilis cérébrale la coexistence de ces lésions est bea
Ces diverses considé- rations permettent à l'auteur d'envisager la syphilis comme une cause puissante de paralysie générale
i- quement syphilitique de ceux où d'autres causes, autres que la syphilis , les excès alcooliques par exemple, entrent seuls
ations de glace ; il n'aurait pas eu de convulsions. Ni dartres, ni syphilis , ni rhumatisme. Mort en 1901 des suites d'une p
u'il présente actuellement. . Il n'v a, chez lui, ni alcoolisme. ni syphilis . Il était de caractère triste et vif, comme sa
, il résulte que la grande cause de la j ! ara)\sie générale est la syphilis ,. dont l'action est, en parlicu- lier, évidente
sus anatomiques différents. » (Iig. °3, 24 et ` ? .) En somme, la syphilis est la cause dominante, mais nous ne pourrons d
ce et les caractères des paralysies générales ne relevant pas de la syphilis . Il. -Ulcérations trophiques chez deux déments
e tension, du surmenage du cerveau dans la lui le pour l'existence; syphilis , alcoolisme, héré- dite,traumatisme, etc., ne s
e celte famille n'avait eu d'all'edions mentales, nerveuses ou la syphilis . Durant la grossesse, la mèreavail eu beaucoup d'
serait mort tuberculeux ; jamais d'enfants ni de fausses couches : syphilis niée. La maladie actuelle aurait commencé en dé
pathogéniques, le rôle des lésions des glandes th) i-oides, (le la syphilis congénitale, de la tuberculose : puis s'appuvan
iennes, ont donné éga- lement des résultats encourageants : Xlll. Syphilis cérébrale et injections d'hermophényl ; par MM.
neloup. (Lyon médical, 21 mai 1905, no 21.) Quatrcohservations de syphilis cérébrale à manifestations va- l'iées, que les
par le^ injections d'hermophényl à hautes doses. Observation 1 ? Syphilis cérébrale, céphalée en un point fixe, à recrude
es injections d'hermoplu- nyl constituent un traitement actif de la syphilis cérébrale. ' ' Les auteursontinjecté à ces dive
l'hermophényl on soit en posses- sion d'un mode de traitement delà syphilis cérébrale, permettant de pousser, aussi loin qu
equaI'l1 et de la queue de chenal. Tuberculose des centres nerveux. Syphilis des centres nerveux. Paralysie générale. Atroph
ment hérédo-syphilitique tar- dive, par Rose, p. 314. générale et syphilis , par Mar- chand, p. 331. Leçon sur la riénér.
ité verbale familiale con- génitale, pal Taguet et Fov. p. 131. Syphilis cérébrale. Voir Para- lysre pén`s7ale. - cérébr
29 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
age, a voulu le faire monter sur l'échafaud. Il prétend avoir eu la syphilis il y a 12 ans, et depuis, dit-il, il est devenu
it-il, il est devenu « loufoque »; chacune des manifestations de sa syphilis l'a beaucoup préoccupé. Il ne présente à l'heur
ne peut trouver chez les parents aucun degré de consanguinité : ni syphilis ni hérédité nerveuse ou mentale. D'ailleurs, le
tre ans et s'est marié en rentrant du service, n'ayant jamais eu la syphilis . De concert avec sa femme qui s'occupait princi
migraines. Pas de dartres ou d'affections cutanées. Aucun indice de syphilis . W renseignement sur sa famille. MÈRE, trente-t
A quatorze ans, a eu un eczéma. Pas de migraines, pas de signes de syphilis . Intelligence moyenne. Famille de la mère. Père
. Il s'agit d'un malade, âgé de soixante-sept ans, qui contracta la syphilis à seize ans. Depuis 76 SOCIÉTÉS SAVANTES. deu
que trente années. ni. Raymond, a vu un officier ayant contracté la syphilis en Cri- mée lors de la campagne et dont le tabe
après. M. Babinski, a vu un cas de tabes débuter en 1896 pour une syphilis prise en 1858, soit trente-huit ans après. Mala
a paralysie générale peut-elle être distinguée anatomiquement de la syphilis cérébrale diffuse ? (Thèse). in-8° de Si pages.
s réflexes patellaires, affaiblisse- ment intellectuel et euphorie, syphilis ancienne. L'examen clinique des urines fut néga
es divers médicaments et termine en rapportant une observation de syphilis cérébrale sérieusement améliorée par des doses fo
ugmentation; les plus importantes sont l'hé- rédité, l'alcool et la syphilis , et ces facteurs peuvent agir isolément ou se r
Las-âge appartenant aux premières, on a de la tendance à accuser la syphilis . La syphilis n'est-elle pas aussi souvent la caus
tenant aux premières, on a de la tendance à accuser la syphilis. La syphilis n'est-elle pas aussi souvent la cause de la sté
bilité et de la coordination. Impossible de constater sûrement la syphilis héréditaire : elle est cependant fort probable, s
dissociée des principales branches de la 3° pair fait penser à la syphilis cérébrale, maisl'échec du traitement spécifique p
tte tumeur serait une néoplasie maligne (sarcome ou gliome), car la syphilis n'existe pas ici et la tuberculose se déve- lop
commerce à l'étranger, très sobre, rhumatisant, n'aurait pas eu la syphilis . Pa, d'accidents nerveux. Il aurait été « débauch
age cette manière de voir, si l'on considère comment se présente la syphilis encéphalique avérée, suivant la date à laquelle
moindre degré ! ' Il est vrai qu'en accordant une grande part à la syphilis , beau- coup d'aliénistes en sont venus à défini
énérale asso- ciée, l'alcoolisme, l'arthritisme, la tuberculose. la syphilis . Si .'auto-infection y intervient aussi, du moi
ètement d'accord avec M. Klippel. L'en- dartérite oblitérante de la syphilis ne s'observe pas chez les para- lytiques généra
s méningites syphilitiques d'aspect très variable. A mon avis, la syphilis et la tuberculose, la seconde au moins autant q
génie et pronostic du tabès M. Maurice FAURE (Lamalou, Hérault). La syphilis n'exerce pas, dans la genèse et l'évolution du
asculin est plus fréquem- ment atteint dans la proportion 3 à 1. La syphilis peut être incri- BIBLIOGRAPHIE. 285 minée dan
té sarcolyti- que. Atrophies musculaires progressives spinales et syphilis , (Note préliminait e). M. André LÉRI. La syph
ves spinales et syphilis, (Note préliminait e). M. André LÉRI. La syphilis n'a paru entrer jusqu'à ce jour que pour une pa
élites syphilitiques. Nous avons pu réunir près de trente cas où la syphilis existait manifes- tement dans les antécédents d
dence, d'une part, à cause de l'extrême fréquence avec laquelle la syphilis a été rencontrée dans les cas où elle a été reche
es que l'on considère aujourd'hui comme presque spécifi- ques de la syphilis . Les portions périphériques, immédiatement sous
e. Au point de vue thérapeutique, la notion de la fréquence de la syphilis dans l'étiologie des amyotrophies spinales progre
coexistaient avec elle des troubles mentaux de diverse nature. La syphilis , l'alcoolisme, le surmenage, l'hérédité, etc., po
n et dépression périodique. Délire circulaire fruste dans un cas de syphilis héréditaire. MM. F. Raymond et PIERRE Janet (de
hymateusc. Ces troubles oculaires semblent bien en rapport avec une syphilis héréditaire ; les auteurs recherchent si les tr
nséquence indi- recte. Une vérification curieuse de ce rôle de la syphilis dans un élat mental de ce genre a été fourni pa
douleurs aiguës dans la vessie pleine. Le malade ne souffre pas de syphilis : ni héréditaire, ni acquise. La semaine précéd
gues eux-mêmes '. ' Professeur S. Tchiriev, Sur le traitement de la syphilis en cénérezlel sur celui de Tabes. poslsyphilili
ques quatre d'entre eux ne présentant dans leurs antécédents que la syphilis seule. Les lésions papillaires constatées à l'o
éflexe» pupillaires abolis, réflexe du genou aboli, pas d'ata- xie, syphilis . 2e cas : homme de 39 ans, démena cécité, réflexe
esseux, puis abolis, pas d'ataxie, réflexe du genou bien conservé ; syphilis . 31 cas : homme de 33 ans, dément, réflexes pup
e, puis améliorée, sensations normales, réflexe du genou con- servé, syphilis .-4°cas : llomme de 48 ans, vision défectueuse, pu
émarche ataxique, sen- sations normales, réflexe du genou conservé, syphilis . Dans le premier cas, le seul où le diagnostic
si l'on remarque que dans les trois premiers cas, l'existence de la syphilis était avérée, et que, dans les deux derniers une
ti-syphilitique, on sera autorisé à conclure que cette cause est la syphilis . Si de non- veaux faits de cet ordre viennent à
t un mélancolique anxieux, presque panophubique, qui croit avoir la syphilis et s'attend à tout instant à être puni pour ce
cupation unique était la 496 CLINIQUE mentale. crainte d'avoir la syphilis et de la transmettre au genre humain entier.
le, pour y retrouver les traces de son chancre et les ravages de la syphilis ? Ce malade est moit a cette période, sans cela
je suis ! Malheureuse victime. Je suis possédé du diable. C'est la syphilis . Je suis perdu. C'est trop puni. - Vous êtes cr
populations voisines, qu'on ignorait au^si bien l'alcoolisme et la syphilis que le surmenage physique et iulellec- tuel, la
mené à admettre que si à la base de la paralysie générale il y a la syphilis , cette syphilis ne suffit pas à elle seule et q
que si à la base de la paralysie générale il y a la syphilis, cette syphilis ne suffit pas à elle seule et qu'elle exige, po
conditions principales dans ce gouvernement sont : l'ivrognerie, la syphilis , l'hérédité, chez l'homme ; chez la femme, ASIL
atteinte de paralysie générale précoce. Cette jeune fille avait la syphilis au moment de son allaitement, ainsi que sa mère
Gery réside dans la coexistence de la paralysie géné- rale et de la syphilis , que celle-ci soit héréditaire ou acquise Hallu
1,(tties enfants, par Neustacdter, 76. - progressives spinales et syphilis , par Leri, 311. 1. Automatisme L'-mentaldesapha
Intejko, 3îl . Excitations SERSORIEI les. Voir Epi- lepsie - Voir Syphilis . Faculté de Médecine, de Paris, 288 Fatigue.
30 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
e-six, sans être jamais ma- lade. A dix-sept ans, blennorrhagie. Ni syphilis ni alcoolisme. A vingt-cinq ans, il se marie. I
aussi pissé au lit jusqu'à dix ans. l'as d'autres maladies. Pas de syphilis , pas s d'acoolisme. En 1870 (à l'âge de dix-hui
torze ans. A vingt ans, fièvre ty- phoïde. Pas d'alcoolisme, pas de syphilis . Depuis t'age de vingt-neuf ans, M.. a des atta
es fièvres paludéennes en 1869. Il y a trois ans, il a contracté la syphilis (deux chancres indurés suivis de plaques muqueu
de l'oeil n'a pas été fait. L'hystérie peut donc tout expliquer. La syphilis , si elle a joué un rôle, n'a joué que celui d'a
at mental bizarre : il était comme abruti. En 1874, il contracta la syphilis . Repos. Mouvement. (Action de porter un verre à
ute maladie infectieuse fait défaut dans les anté- cédents, sauf la syphilis qui ne doit pas être mise en cause. Mais, comme i
moscope. Dans les antécédents du malade on relève une his- toire de syphilis remontant à vingt-deux ans auparavant. Dans ces d
ix litres; il supporte bien la boisson ; il ne s'enivre pas. Pas de syphilis . A seize ans, il contracta la fièvre typhoïde.
depuis vingt ans, il a souvent soif devant ses fourneaux. l'as de syphilis . Première attaque d'oedème. En août 1888, L...
lus souvent qu'un état morbide qui a pour causes le plus souvent la syphilis héréditaire, l'alcoolisme et le rachitisme. L
franc. Je ne ferai que mentionner les hyperosloses crâniennes de la syphilis héréditaire avec éburnation, et enfin les épais
a de se soumettre au traitement iodé, parce qu'il n'avait pas eu la syphilis . Sa paralysie du côté droit l'obligeait à se serv
eut l'occasion de l'examiner. Le malade nie la blennorrhagie et la syphilis . On ne trouve du reste pas trace de ces affecti
sulter àj trois reprises pendant l'été de 1884. A l'exception de la syphilis , il a joui d'une excellente santé jusqu'il y a
atomiquement il y ait une réelle inflamma- tion. Il faut exclure la syphilis , encore moins faut-il invoquer une ' autre caus
, acrocéphalie, scaphocé- phalie, etc.), ou à des lésions osseuses ( syphilis ), à de simples troubles de la circulation sous
rtenant au service de notre maître M. liuurncvilfc. 2. Parrot, la Syphilis héréditaire. UVtLLE Iconographie DE la Salpêtri
ents héréditaires personnels, il n'y avait rien à signaler : pas de syphilis , pas d'alcoolisme, pas de saturnisme. En 1880, il
st pas plus éclairé en ce qui concerne la polioencéphalomyélite. La syphilis , à laquelle Hutchinson attribue la majorité sinon
indres traces de vérole. Il est donc bien difficile d'accorder à la syphilis quelque influence sur le développement de la po
vec ophthalmoplégie (IIuLchinson-GolI"ersl). Le malade qui niait la syphilis , mais dont l'un de ses enfants présentait les d
enfants présentait les dents et la kératite caractéristiques de la syphilis héréditaire, avait une ophthalmoplégie interne
phthalmoplégie (James Ross'). 'Homme de trente-cinq ans ayant eu la syphilis .en 1870. Début de la maladie en 1881, par des c
ONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Homme de trente-cinq ans; soupçons de syphilis dans sa jeunesse, sans cer- titude; bonne santé
nettes sur le pénis, mais le malade affirmait ne jamais avoir eu la syphilis ; l'expression de la figure trahissait l'apathie
natiforrne » de Parrot. Sans vouloir, dans ce cas, établir entre la syphilis héréditaire et la syringomyélie une relation de
la syringomyélie, de relever la présence des stigmates de l'hérédo- syphilis . Quant à la conclusion à tirer de cette observa
de la Clinique des maladies du système nervoux. 1. FonrniCI', la Syphilis héréditaire tardive. Paris, I 86, 2. A propos d
'il ait jamais eu de maladie sérieuse; il n'a jamais été atteint de syphilis et n'a jamais subi de traumatisme de quelque impo
tismes (épilepsie) ou d'affections accidentelles, en particulier la syphilis dont les mani- festations buccales sont toujour
ruptions diverses ou les traces d'éruptions anciennes, notamment la syphilis ; les cicatrices de tatouages dont l'importance c
; l'état des ganglions et les cicatrices ganglionnaires (scrofule, syphilis ); la flaccidité de la peau, l'état du tissu cellu
les lésions trophiques dont ils peuvent être atteints (arthritisme, syphilis ). z En résumé, vous voyez, messieurs, que l'exa
lie); 2° les stigmates d'une maladie constitutionnelle (rachitisme, syphilis congénitale); 3° les caractères pathologiques de
t duré un an. Il y a onze ans (il avait vingt-cinq ans), il a eu la syphilis : chancre il la verge, plaques muqueuses, etc.,
ci d'un homme de taille moyenne, pâle et un peu amaigri. Il a eu la syphilis à vingt-cinq ans et a pu, chose extraordinaire, s
qui font penseràune affaire spécifique. Il est fort possible que la syphilis à cette époque ait été en jeu, mais l'hystérie co
ssion contradictoire et conclut à l'hystérie seule provoquée par la syphilis . Assurément, le diagnostic ne s'impose pas. Un
surément, le diagnostic ne s'impose pas. Un an après le début d'une syphilis ignorée quant à l'accident initial, survient une
st développée sous l'influence d'un agent provocateur puissant : la syphilis , qui, de ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMU
xtrême obligeance de notre maître M. le (1) Fournier, Leçons sur la syphilis . Paris, 187.i, p. 816. 30S NOUVELLE ICONOGRAPHI
palpébraux, il ne serait pas impossible qu'il y eût chez elle de la syphilis héréditaire. A vingt ans (1889), elle entre à l'h
ces troubles moteurs et sensitifs et ces signes probables d'hérédo- syphilis , la malade présente un état mental caractéristiqu
n scrofuleuse, il n'était pas sujet aux engelures. Il n'a pas eu la syphilis .' nie toute habitude alcoolique. C'est sans cau
tôme bien caractéristique d'hystérie. Je sais que la malade a eu la syphilis et que vous tous et mon chef de clinique lui-mê
t qu'on songe fatalement à un mal de Pott, à la tuber- culose, à la syphilis médullaire, à une tumeur de la moelle, etc. Nous
xcitations. Le diagnostic, au début, peut être très difficile. La syphilis pourrait être soupçonnée; le traitement servira d
n soit rapide. Car l'iodure de potassium réussit dans des cas où la syphilis ne peut être incriminée, et de plus, tout médic
eut réussir chez un hysté- rique. On risquera donc de conclure à la syphilis sans quele diagnostic soit prouvé rigoureusemen
(quatre grossesses dont deux suivies d'accouchement avant terme. Ni syphilis ni alcoolisme). A vingt-trois ans, attaque de rhu
st morte d'hé- morrhagie apoplectique. Antécédents personnels. Ni syphilis ni alcoolisme. Le malade a toujours été bien po
essant à signaler. Antécédents personnels. Pas d'alcoolisme, pas de syphilis , pas d'acci- dents saturnins. En 187G, le malad
he. Il n'est pas rhumatisant, et on ne trouve pas chez lui trace de syphilis . Il n'a jamais eu d'attaques de nerfs avant 188
31 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
l est nécessaire de revenir. Et d'abord, nous n'avons pas trouvé de syphilis ; cette constatation est importante. J'ai été
suivante, à accepter les idées de Fournier sur la fré- quence de la syphilis chez les tabétiques. « En France, il est vrai,
impressionnable, par des prédispositions héréditaires diverses, la syphilis ait une cer- taine tendance à porter volontiers
ns avant que Chauvet affirmât dans sa thèse d'agrégation 2 * que la syphilis ne donnera jamais lieu au développement d'une s
as prouve une fois de plus qu'il ne faut rien exagérer et que si la syphilis est fréquente, elle n'est pas cons- tante chez
: « La vraie, je dirais presque la seule cause du tabès, c'est la syphilis (p. 313). Au point de vue pratique, soyez bien co
s cellulaires, » et il admet avec Strümpell * que dans le tabès, la syphilis agit comme un véritable poison organique, comme
philigraphie, 1875-76, t. VII, p. 187. 1 Chauvet. - Influence de la syphilis sur les maladies du système nerveux central, th
eçons sur les maladies de la moelle, 1892. ' 6 CLINIQUE NERVEUSE. syphilis l'origine unique et constante du tabès. Cette cau
es n'étant pas à l'abri de tout soupçon, on peut encore invoquer la syphilis ! ! Les médecins allemands ont étudié encore un
tabès exclusivement moteur à incoordination précoce, développé sans syphilis anté- rieure chez un surmené des jambes, avec u
re, quarante-huit ans, sanguin, coléreux; pas de rhumatisme, pas de syphilis . Un oncle, âgé de quarante-deux ans, est atteint
sion de représentant de commerce. Dans ses antécédents on relève la syphilis à l'âge de dix-sept ans. Constitution vigoureus
le-ci s'était développée chez un individu très vigoureux, exempt de syphilis , avec des artères saines, absent de tout symptô
ul- tanées de l'écorce. C'est une paralysie générale entée sur la syphilis . P. K. XX. DES altérations DE la COUCHE OPTIQUE
sme de la tête. La malade est toujours sujette à prendre froid ; la syphilis et l'uréthrite sont exclues. Il semble très pro-
tout à l'heure ? Je ne vois guère quelle en serait l'origine, ni la syphilis , ni aucune autre maladie infec- tieuse, ne saur
la ceinture. Il alla le montrer au major qui déclara qu'il avait la syphilis . Le malade fit remarquer qu'il n'avait pas et n
éruption suspecte. Il est plus que probable qu'il n'a jamais eu la syphilis . En rentrant de son congé de convalescence, il fu
'a jamais été atteint de dermatoses et ne présente pas de traces de syphilis . Sobre actuellement, il s'enivrait fréquemment à
et de vomissements. Elle est très sobre, ne porte pas de traces de syphilis , est vive, nerveuse sans avoir jamais eu de crise
éphrose bilatérale très pro- noncée. L'auteur base le diagnostic de syphilis sur l'évolution et les accidents cliniques, l'a
fugacité des accidents paralytiques. P. K. VII. UNE observation DE syphilis DU système nerveux central BEVL- tant l'aspect
s suivantes : 1° Le nombre des myélites dorsales se rattachant à la syphilis est-il assez grand pour pouvoir être séparé des
u dorsale) montrent que 35 à 40 p. 100 de ces malades avaient eu la syphilis . 2° Cette forme syphilitique de la myélite dors
dité très chargée au point de vue de la phtisie pulmonaire, mais ni syphilis , ni alcoolisme, ni maladies nerveuses dans sa f
20 p. 100 de ces malheureuses; les dos- siers ne mentionnent pas la syphilis ; l'alcoolisme est rarement signalé, il n'y est
omplet qui ait été encore fait, à notre con- naissance. P. S. IX. Syphilis du système nerveux (Syphilis and the nel'VQUS ssl
t, à notre con- naissance. P. S. IX. Syphilis du système nerveux ( Syphilis and the nel'VQUS sslems) ; par W.-R. GOVERS. Lo
au nombre de trois. La première est consacrée à la pathologie de la syphilis ; l'auteur y passe en revue les caractères des
e. La seconde leçon a trait aux symptômes nerveux attribuables à la syphilis ; leur diagnostic est souvent possible d'après l
ipzig, 1893 : - Neuro- logisc7zez Centralblatt. GOWERS (W,-R.). - Syphilis and the nervous System. Volume in-8" cartonné d
e antécédents personnels, on note deux attaques de rhumatisme et la syphilis . Cette affection vaso-motrice a-t-elle un rappo
l'étiologie de la paralysie générale l'ont amené à conclure que la syphilis est l'agent le plus commun et le plus puissant
secondaire et les considère simplement comme des auxiliaires de la syphilis . R. M.-C. XLIV. La parotidite chez les aliénés;
malies de la réfraction; les maladies des oreilles, et peut-être la syphilis . La position du malade a quelquefois une influe
résulte que sur 40 paralytiques qu'il a examinés, 21 auraient eu la syphilis de dix à trente ans avant leur entrée à l'asile
que très accidentellement les lésions osseuses si communes dans la syphilis ; on fait entrer dans la syphilis beaucoup de ca
sions osseuses si communes dans la syphilis; on fait entrer dans la syphilis beaucoup de cas qui ne devraient pas y figurer. T
rantaine ils perdent leurs cheveux. M. A. Voisin considère aussi la syphilis comme une cause peu fréquente de paralysie géné
ie générale. (Voir l'opinion de Jacobson, p. 385.) M. Vallon. Si la syphilis joue un rôle dans l'étiologie de la paralysie g
té retrouvé sept fois, mais jamais seul et toujours associé ou à la syphilis ou à l'hé- rédité, ou à un traumatisme crânien.
e crânien. De même, dans cinq obser- vations, on voit mentionner la syphilis , mais également jamais seule et combinée tantôt
de ces facteurs réunis. 11 résulterait de ces recherches que ni la syphilis seule, ni l'alcoo- lisme seul, ni l'hérédité se
92. Alienist and Neurologist. KONALEWSTY (P.). Sur Rehandlung der syphilis des centralen Ner- vensystems. Brochure in-8° d
ubles de la marche dans les maladies nerveuses, par Blocq, 306; syphilis du système nerveux, par Gowers, 308; leçons cli
gari, 114; névrite périphérique dans la -, par Fuerstner, 125; et syphilis , par Jacobson, 385; par Lefilliatre, -39G; tr
e, 456. Sutures crâniennes, sensibilité des , par Kreuser, 127. Syphilis du système nerveux, par Schultz, Brasch, 263.
32 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
stérique. Comme antécédents personnels : rougeole, fièvre typhoïde, syphilis , trau- matisme grave, hystérie qui s'accuse que
V, 1895 ) 11 s'agit d'un dipsomane de vingt-six ans, infecté par la syphilis en 1892, atteint la même année de polynévrite a
léments (fonctionnel et organique) ont une source com- mune dans la syphilis . Les troubles locaux n'apparaissent que dans le
le d'établir que l'irritation spinale soit sous la dépendance de la syphilis . Quant aux troubles locaux, ils appartiennent à
x troubles locaux, ils appartiennent à ceux qu'il faut imputer à la syphilis . Voici, par exemple une perturbation locale à p
mentielle chez une fillette de dix-neuf ans, vierge; aucun signe de syphilis héré- ditaire ou acquise, aucune tare héréditai
n II. Paralysie générale chez le mari à cinquante ans (mégalomanie, syphilis ), et chez la femme à quarante-quatre ans (infec
ques, ni de paralytiques généraux, malgré l'extrême fréquence de la syphilis . L'épilepsie est rare. Les aliénés entrent et sor
firmer l'absence de la paralysie générale malgré la fréquence de la syphilis . M. RITTI fait remarquer qu'il en est de même e
radiales sont un peu dures, les mains tremblent légèrement. Pas de syphilis , pas d'alcoolisme. La démence a lentement pro-
73. 102 PATHOLOGIE NERVEUSE. puisse évoquer l'idée d'une ancienne syphilis ; marié jeune, il a eu de beaux enfants, sa femm
tiologie seule aurait pu nous faire réfléchir ; il n'y avait pas de syphilis ; et la paralysie générale sans syphilis est te
chir ; il n'y avait pas de syphilis ; et la paralysie générale sans syphilis est tellement rare que, devant cette absence co
me nerveux imparfai- tement développé'. » F. Borssrca. II. Sur la syphilis du système nerveux; par J. Mickle. (Brain, prin
roduits du virus syphilitique; les cépha- lées, les insomnies de la syphilis crânienne et intracrauieune. Un chapitre spécia
rs, montrèrent que le tabes avait des rapports de causalité avec la syphilis et que loin d'être, comme on le pensait communé
recherches que firent plusieurs d'entre eux sur les rapports de la syphilis et de la para- lysie générale, recherches dont
onstater aucune hyperostose ou exostose pouvant laisser présumer la syphilis . La malade était vierge. Après lecture de l'obs
i doit dominer pour établir le diagnostic, c'est la recherche de la syphilis . L'hérédité cérébrale est une présomp- tion de
aillance dans le fonctionnement de ses organes senso- riels. Pas de syphilis . Pas d'alcoolisme. Actuellement l'état général
ladie sérieuse à l'époque de la conception ? Ont-ils jamais eu la syphilis ? Auquel de ses parents ressemble le malade, ph
, fièvres éruptives, désordres chro- niques de l'appareil digestif, syphilis , scrofule, tuberculose, satur- nisme ? S'il a
elativement rares, alors qu'ils sont excessivement nombreux dans la syphilis nerveuse. On' voit les cylindres-axes à peine d
ans, antécédents hérédi- taires mal connus, bonne santé habituelle, syphilis trois ans avant l'éclosion des accidents actuel
L'examen histologique sera fait et publié plus tard. C. XXXIV. La syphilis héréditaire DE la MOELLE ÉPINIÈRE; par M. GILLES
hôpitaux. (Nouv. iconogr. de la Salpêtrière, 9S9G, ni 2 et 3.) La syphilis héréditaire de la moelle est une question encore
rassemblé un certain nombre d'inédites dans le travail actuel. La syphilis peut frapper la moelle à trois périodes de l'exis
l'âge adulte. Elle est dite congénitale, précoce, tardive. Quand la syphilis médullaire héréditaire est congénitale, l'enfan
ui se rencontre avec la myélite. A noter que si les observations de syphilis héréditaire congénitale de la moelle sont rares,
ares, il ne s'en- suit pas que cette manifestation médullaire de la syphilis , elle, soit rare. On la rencontrerait certainem
modiques indemnes de symptômes cérébraux concomitants. Lorsque la syphilis touche la moelle dans la première enfance, et pen
'est faite uniquement sur la moelle lombo-sacrée. Dans les cas de syphilis précoce ou tardive, les types cliniques devienn
médullaire, indice de la géné- ralisation initiale du processus, la syphilis médullaire héréditaire précoce et surtout tardi
dive ne diffère pas sensiblement des expres- sions si variées de la syphilis acquise. - Telles sont les conclusions du trava
is diagnostics doivent être discutés : la tuberculose cérébrale, la syphilis cérébrale, le tabes supérieur. La méningite b
e vomis- sements, etc. L'auteur rejette également l'hypothèse de la syphilis , parce qu'on ne la retrouve pas dans les antécé
e. (Rivista clinica e terapezelica. Naples, 1896, 110 2.) C. 11.11. Syphilis cérébrale ; parle professeur DE l3EVZr, de l'Univ
La situation reste telle pendant deux jours. On diag- nostique une syphilis cérébrale, diagnostic que l'autopsie vint bient
dans la couche optique gauche. La nature de ces lésions indique la syphilis d'une façon certaine. (Rivista clinica e terapc
. Il s'agit d'un jeune homme robuste qui, six ans après avoir eu la syphilis , est pris subitement d'une attaque convulsive ; c
Observation d'un jeune homme de vingt-sept ans, n'ayant pas eu la syphilis , chez lequel s'établit lentement, sans convulsion
'à l'âge de vingt et un ans la malade était d'une très bonne santé. Syphilis à l'âge de vingt et un ans, pour laquelle elle
l'âge de vingt-deux ans. Elle n'a jamais été enceinte.. Elle nie la syphilis . Cependant son mari est mort ataxique à l'âge de
Parfois elle ne sentait pas les matières partir. La malade nie la syphilis . Elle n'a jamais abusé de boissons alcooliques.
, fièvre typhoïde Réglée après sa fièvre typhoïde et régulièrement. Syphilis à dix-sept ans (chancre, roséole), suit pendant
fait de maladie grave. Il n'a pas abusé d'alcool, et n'a pas en de syphilis . Il y a quatre ans, pendant deux ans et demi, e
e. Il n'a jamais eu de manifestations secondaires, ni tertiaires de syphilis , Dans sa jeunesse il a beau- coup abusé des alc
'a jamais fait d'excès de boissons ni véné- riens. It n'a pas eu de syphilis . Marié depuis douze ans. Sa femme a eu une faus
excès alcooliques. Excès vénériens dans la jeunesse. N'a pas eu de syphilis . Marié à l'âge de trente ans. Un an après le ma
sécutif à l'explosion de la maladie. Tare héréditaire, et peut-être syphilis héréditaire (foie un peu plus volu- mineux que
laires. Ces lésions, dis- tinctes de celles que l'on tiouve dans la syphilis , peuvent être caractérisées comme une périeucép
la-, par Dufour, 81 . Gomme syphilitique de la-, par Ilanot, 299. Syphilis héréditaire de la -, par Gilles de la 'l'ou-
et Halipré, 407. Surveillance. Quartiers de -, par Dehio, 489. Syphilis du système nerveux, par Itchle, 126. - cétéhral
33 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
et l'examen de la malade ne nous donnent aucun motif d'admettre la syphilis ; cependant l'un de mes chefs de clini- que a cr
e mes chefs de clini- que a cru pouvoir étayer la possibilité de la syphilis cérébrale sur les faits suivants : le mari de l
érébrale sur les faits suivants : le mari de la malade aurait eu la syphilis et serait mort de paralysie générale; de sorte
ait mort de paralysie générale; de sorte qu'on peut supposer que la syphilis trans- mise à la malade par le mari aurait pass
ouvent entendu dire, que dans ces cas douteux, par cela seul que la syphilis peut être en jeu, il y a lieu de recourir penda
'eczéma. Antécédents personnels. -- Pas d'excès alcooliques. Pas de syphilis . Il n'a jamais eu de convulsions, ni fait aucun
nons le résumé : OBs. I. Malade de 37 ans, cuisinière, exempte de syphilis , prise ci l'âge de 32 ans, il la suite do l'inl
toïde.. » Ons. IV. -Malade de 33 ans, bijoutier, ayant contracté la syphilis à 18 ans, présente de la diplopie par parésie d
malade recul, en apprenant que toute sa famille avait contracté la syphilis d'un domestique de la maison. VI. Jeune fille d
encore vivant, s'est toujours très bien porté ; il n'a jamais eu la syphilis ; mais il avoue avoir fait quelques excès de bois
rophique vasculaire congénital, l'anangioplasie; l'alcoo- lisme, la syphilis , la tuberculose, la cachexie palustre, les mauvai
laissent aucun doute sur la réalité de ses lésions. D'ailleurs la syphilis ne semble pas en cause. La mère est bien portante
ns les cas d'arrêts de développement imputables au rachitisme, à la syphilis héréditaire, etc., on observait presque toujours
s à la couronne du gland, guéries par l'iodoforme. Pas de signes de syphilis , Le malade s'aperçoit par hasard qu'il était po
) un cas de Morphée. Il s'agissait d'un homme de 31 ans ayant eu la syphilis il l'âge de 21 ans. En novembre l8cJG il aperçut
rs attaques de rhumatisme articulaire aigu. Pas d'éthylisme. Pas de syphilis . La maladie semble avoir débuté en 1883 ; il y
supposer que le néoplasme s'est développé sous l'in- fluence de la syphilis héréditaire ou acquise. Aussi bien, le traitement
L'asymétrie crânienne s'observe assez fréquemment dans l'hérédo- syphilis . Pour l'énorme majorité des cas, elle n'y est q
de seize ans, ayant présenté depuis l'enfance des manifestations de syphilis héréditaire. Actuellement affecté d'une otite s
certainement, nombre de ces malformations ressortissent à l'hérédo- syphilis . Mais j'ai dû m'abstenir de les citer, en l'absen
lésions qui appellent notre attention au point de vue de l'hérédo- syphilis . A savoir : L'angle postérieur du pariétal gauc
névropathe et ayant un frère affecté de neurasthénie, contracte la syphilis a t'age de trente-deux ans. Cette syphilis se tra
urasthénie, contracte la syphilis a t'age de trente-deux ans. Cette syphilis se traduit par divers ac- cidents, à savoir : c
ord à une neurasthénie, puis, plus certainement, à l'invasion d'une syphilis cérébrale. Guérison d'une rapidité significativ
paru très rapidement sous l'influence d'un traitement spécifique. Syphilis ancienne, contractée à l'âge de vingt et un ans,
s encore très éloigné, de nous où Trousseau, dans ses Leçons sur la syphilis des nouveau-nés, parlait de l'hydrocéphalie sans
0 EDMOND FOURNIER . céphalies ou autres idioties congénitales et la syphilis » ; où Parrot lui-même mettait fortement en dou
(1) parlait avec une réserve pleine de doute de cette action de la syphilis que, d'après lui, le Dr Sandoz seul semblait av
Ce stigmate est pourtant d'observation assez commune dans l'hérédo- syphilis ; beaucoup plus commune en tout cas qu'on ne veut
, dès 1880, mon père avait, dans son enseignement et dans son livre Syphilis et mariage, affirmé sa croyance à l'origine syphi
malades qui, ayant eu l'imprudence de contracter mariage malgré une syphilis non traitée, a eu coup sur coup trois enfants hyd
s ». Plus tard, mon père écrivait encore ceci dans son livre sur la Syphilis héréditaire tardive : « Il m'est vraiment impos
0, date à laquelle mon père indiquait si formellement le rôle de la syphilis dans l'étiologie de l'hydrocéphalie, pour diviser
et dans laquelle l'hydrocé- phalie commence à être l'attachée à la syphilis comme un effet à sa cause. (1) Traité des malad
conde grossesse donnant un enfant hdro-céplalc- X... contracte la syphilis en 1879 (chancre induré de la verge, roséole, pla
». Sur aucun do ces enfants, on n'a observé d'accidents propres de syphilis . Deux ans après la mort de son dernier enfant,
, puis d'hémiplégie. X..., âgé de trente et un ans, a contractée la syphilis il y a huit ans, et ne s'en est traité que fort
huit mois ; il est toujours resté exempt de tout symptôme propre de syphilis . Le jeune est né sain et bel enfant. Jusqu'à ce
yphilitique. M. X..., homme de constitution robuste, a contracté la syphilis en 1844 et en a été traité par M. le Dr Ricord, d
ite).- Hérédo-syphilis avec hydrocéphalie. - M. X... a contracté la syphilis dans les derniers mois de 1869. Sa maladie, à l
un enfant issu d'un père syphilitique. - Jeune homme contractant la syphilis à l'âge de vingt-trois ans. Chancre induré. Tra
jamais constaté sur elle le moin- dre phénomène qui ait trait à la syphilis . Elle est donc très vraisemblablement affectée
lle est donc très vraisemblablement affectée de ce qu'on appella la syphilis conceptionnelle à manifestations tar- dives ».
A. Fournie») (inédite). M. X... a contracté, il y a vingt ans, une syphilis qui a été originairement des plus bénignes : chan
ttres : « on ne peut rien lui apprendre ». Jamais aucun accident de syphilis n'a été relevé sur lui, non plus que sur les de
TION (M. le professeur A. Fournier) (inédite). M. X... contracte la syphilis en 1880. Chancre induré, roséole, alopécie, plaqu
muniquée par M. le Dr 13AnTnr : r.EUY). - Père ayant con- tracté la syphilis en 1879, et n'ayant subi de traitement qu'en 188G
remplir la tête de 540 grammes d'eau. Le mari, questionné, avoua la syphilis , dont il présentait encore d'ailleurs des manif
n (communiquée par M. le professeur GEam). - lui. X... contracte la syphilis à dix-huit ans (chancre, plaques muqueuses, syphi
p sûr, ajouterai-je une fois de plus, ce stigmate n'implique pas la syphilis pour cause, et bien loin de moi l'intention de di
ei- neuse exagérée. ' « Il n'est là, certes, rien de spécial à la syphilis , rien qui lui appar- tienne en propre, et je su
'élévation de tempéra- ture. Coeur normal. Pas de tuberculose ni de syphilis . Je conseillai le décubitus horizontal complet
nts rhumatismaux font défaut dans notre cas, que l'alcoo- lisme, la syphilis manquent souvent, M. P. Marie fait remarquer que
ant l'étiologie de ces cas ; aussi est-il difficile de savoir si la syphilis joue un rôle dans cette maladie. On peut seulem
e, KI,Hg la maladie a progressé. Antécédents héréditaires. - Pas de syphilis chez le père. 2 février 1891. - Tentative de li
34 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
urs bien porté, et n'a jamais eu d'accidents de rhuma- tisme, ni de syphilis . Ses parents (père et mère) sont bien portants;
ques d'apoplexie. Père alcoolique violent, pas d'attaques. Pas de syphilis appréciable; l'impaludisme n'est pas en cause.
lquefois ainsi dans la paralysie générale, dans certaines formes de syphilis cérébrale, où les rechutes échappent à toute rè
est depuis longtemps adonné à l'alcoolisme. On ne sait s'il a eu la syphilis , etc... Serviteur intelligent et dévoué jusqu'à
sans aucun antécédent suspect du côté de la famille, ayant eu la syphilis dans sa jeunesse, mais ne paraissant en avoir gar
rcices physiques. M. Berger. Sur les rapports étiologiques entre la syphilis et le tubes. -- Voici deux malades. L'un en pro
soixante-douzième année (preuve nécroscopique), après avoir eu la syphilis puur la première fois deux ans auparavant. Ces de
ans auparavant. Ces deux faits prouvent qu'il ne faut pas rayer la syphilis de l'étiologie du tabès. Un récolement de cent
Mais il est incorrect de vouloir que le tabes concor- dant avec la syphilis se traduise par d'autres symptômes que le tabes
uence de l'hérédité à l'influence des diathèses, spécialement de la syphilis . J'avoue n'avoir jamais bien compris cette sort
. Dans le premier groupe se placent les diathèses et, en tête, la syphilis et l'arthritisme; dans le deuxième groupe, on t
-même l'un et l'autre : tel sera le tabétique qui aura contracté la syphilis et surmené son système nerveux par des excès vé
re venant de l'hérédité : tels seront le tabétique qui contracte la syphilis et a hérité de la disposition névropathique et
ique est signalée huit fois (nos 1, 2, 3, 15, 18, 21, 24 et 31), la syphilis trois fois (11" 7, 26, 29), l'hérédité alcooliq
né- vropathique, toute espèce d'excès, alcoolisme ; chez l'autre, syphilis et excès vénériens nombreux. Ce ne sont là, je
nstitué avoue toute espèce d'excès, notamment en alcoolisme. Pas de syphilis nette. En 1871, début des douleurs fulgurantes,
stique de quarante-cinq ans, un peu exalté de caractère, atteint de syphilis il y a quatre ans, se plaint en 1878, à la suit
ulatoire, une encéphalite dontle facteur pourrait bien avoir été la syphilis . Evidemment ces lésions remontent à l'époque fo
es traumatismes comme causes. 111. GOLDSTGIN. Sur les rapports delà syphilis avec la paralysie progressive. Mémoire publié i
e à cette assertion de l'au- teur d'après laquelle, quand il y a eu syphilis , la marche de la maladie est très rapide. M.
vant lequel la paralysie générale serait un acci- dent tardif de la syphilis . Il est, comme l'auteur, d'avis que le traiteme
ciété, Jung a parlé sur le même sujet. Evidemment l'influence de la syphilis constitue plus qu'un facteur simplement prédisp
d'après les médecins ou les profanes instruits, bien réellement la syphilis . Il ne s'agit donc pas d'une simple prédisposit
'une femme publique atteinte de paralysie générale consécutive à la syphilis ; la paralysie générale n'évolua pas du tout rap
paralysie géné- rale. M. FALK. Dans les temps les plusreculés, la syphilis , pas plus que la paralysie générale, ne constit
rale, ne constituaient des affections si fré- quentes. Du reste, la syphilis constitutionnelle s'accompagne de foyers de ram
es différences accusées par les statistiques sur la fréquence de la syphilis dans laparatysie géné- rale. Jessen, à l'asile
es grandes villes qui avoisinent les asiles. Quoi qu'il en soit, la syphilis dans la paralysie générale atteint une proporti
utres psychoses. Snell n'a cessé de professer que quiconque a eu la syphilis il y a vingt ans n'est point aliéné de par la syp
nque a eu la syphilis il y a vingt ans n'est point aliéné de par la syphilis , surtout s'il est établi qu'il ait eu des enfan
s, t. XI. 19 9 290 SOCIÉTÉS SAVANTES.- Il. ROUMKLL. Du rôle de la syphilis dans la paralysie générale. (En français.) J.
e spasmodique est un musi- cien né en 845, indemne d'hérédité et de syphilis . Début de l'affection médullaire en 1870, par d
n 1832, marié, père aussi d'enfants sains. Dans le premier fait, la syphilis n'est probablement pas en jeu. A Pâques 1883, l
ration des réflexes patellaires. Le second malade, indemne aussi de syphilis , accuse des troubles de la marche depuis à peu
es.) Chez un dernier malade et divers autres tabétiques ayant eu la syphilis , on constatait, au lieu d'une résignation calme
états qui se montrent chez des gens qui, antérieurement, ont eu la syphilis (abstraction faite naturellement des affections
ndant un simple tabes dorsal spasmodique. 10 mai 1883, M. de L... Syphilis (chancre, ulcérations àla'gorge, psoriasis palmai
psoriasis palmaire) traitée par Ricord; plus tard, traitement de la syphilis des centres nerveux appliqué par Charcot, Fourn
e de soixante ans d'une fluxion de poitrine. Pas d'alcoolisme ni de syphilis . Mère bien portante; un frère et une soeur en b
ns sa jeunesse et se livrait à la boisson. Jamais d'abus vénériens; syphilis non probable. Il a subi des pertes d'argent à l
On ne relève dans ses antécédents ni rhumatisme, ni alcoolisme, ni syphilis , mais seulement des habitudes invétérées d'onanis
urmenage et puberté, par Jelm, 106. 468 TABLE DES \i \1'Ii;2LS. Syphilis et tabès, par Berger, 108. « Système nerveux ce
ilité du), par Eulenburg, 989; (cas de,, par Nicol, 296; - ( '-et syphilis ), par Berger, 108. Tabëtique(pied),parBoyer,8D.
35 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
b, il a eu une dizaine de crises au moins. Pas d'alcoolismu. Pas de syphilis . An mois de janvier 1886, par suite des circons
es, un chancre induré sur la verge; il ne présentait aucun signe de syphilis et l'autopsie n'a constaté sur aucun organe de
ux ; nul trouble de la vision. Impossible de savoir s'il y avait eu syphilis . L'auteur diagnostiqua : lésion centrale du cen
ostic. Embolie de Tarière sylvienue gauche; affection car- diaque ; syphilis . Autopsie, pleurésie sérofibrineuse, pneumonie
t mentales, étudier l'enchaîne- ment des symptômes et rechercher la syphilis dans les anté- cédents du malade. L'histoire pa
11 ne auts jamai oublier, - l'auteur a raison de le rappeler que la syphilis est un facteur troublant dans l'étiologie des m
XVII. Contribution A la question DES rapports QUI existent ENTRE la syphilis et la démence paralytique ; par P. Siemens. (Ne
dew an=, in- demne d'hérédité psychoneuropathique, indemne aussi de syphilis , 11 sociétés savantes. jusque-là bien portant
ortance pratique de la question de la para- lysie générale et de la syphilis . Ce mémoire sera publié in ea;tenso r : Discuss
une classe sociale relevée, 62 p. 100 avaient eu antérieurement la syphilis . Les onctions mercurielles ne pro- duisirent pa
s. Tabes à peu près certain. - 06s. IV. Tabétique ayant eu jadis la syphilis . Paresthésie et anesthésie du trijumeau; accéléra
A la QUESTION DE la relation entre la para- LYSIE PROGRESSIVE ET la syphilis ; par TH. ZIEHEN, (Neurol. Cen- tralbl., 1887.)
ses. Si l'hérédité prédispose à l'aliénation mentale en général, la syphilis prédispose surtout à la paralysie générale. L'h
ement malade, le paralytique héré- ditaire a uno allure empesée. La syphilis , au contraire, ne marque la paralysie générale
tabac influent seulement sur la marche de la maladie. Comme dans la syphilis cérébrale à lésion diffuse, le traitement spéci
- ments ; mari mort quatre ans auparavant paralytique général. La syphilis et l'alcool ne jouent ici, comme pour les aliénés
des causes douteuses ou du moins non admises par tous, telle que la syphilis par exemple. 11 expose ensuite ses recherches s
uses, sont loin d'être concluants en ce qui concerne l'action de la syphilis ; mais en revanche ils affirment nettement l'influ
a paralysie générale progressive, ainsi que sur l'in- fluence de la syphilis sur la genèse et l'évolution de cette affection.
la genèse et l'évolution de cette affection. II sépare nettement la syphilis cérébrale de la paralysie générale, admettant q
Il ne faut pas confondre les coïncidences, c'est-à- dire les cas de syphilis chez un paralytique général, par exemple. En un
e générale syphilitique. M. Régis parle ensuite des relations de la syphilis et de la para- lysie générale. Il trouve la syp
elations de la syphilis et de la para- lysie générale. Il trouve la syphilis chez les paralytiques généraux plus de 85 fois
tion, surtout chez ceux qui ne se sont pas suffisamment soignés. La syphilis peut avoir été très brusque chez eux et n'avoir
portion de 42 p. 100 environ, en ce qui concerne la fréquence de la syphilis chez les paralytiques généraux. Bien qu'elle jo
statistique de 560 observations de paralysie générale que 9 cas de syphilis certaine. Il est nécessaire d'être ri- goureux
taine. Il est nécessaire d'être ri- goureux dans la recherche de la syphilis et de ne pas prendre des cas de syphilis cérébr
ux dans la recherche de la syphilis et de ne pas prendre des cas de syphilis cérébrale pour des paralysies générales. Le trait
s qu'un symptôme. M. Charpentier a été frappé de la fréquence de la syphilis chez les paralytiques généraux. Mais il croit l
ins grande avec laquelle leurs au- teurs admettent le diagnostic de syphilis , d'ailleurs fort ardu à établir. Il faudrait s'
établir. Les observateurs rejettent ou admettent l'influence de la syphilis , selon leur état d'esprit plutôt que sur des ra
il en soit autrement. Mais d'autre part il est vraisemblable que la syphilis seule ne suffit pas pour créer la paralysie gén
généraux pour deux d'entre elles, et tabétique pour la dernière. La syphilis n'était rien moins 278 8 SOCIÉTÉS SAVANTES. q
Aussi l'hypothèse de Mendel et des Allemands, que c'est toujours la syphilis qui détermine la paralysie générale conjugale,
uoique plausible dans certains cas. Elle n'explique pas pourquoi la syphilis détermine chez les deux conjoints la même manif
a paralysie générale vraie et la pseudo-paralysie générale due à la syphilis , il y a grand avantage à faire usage du traitem
our nos abonnés. 2 fr. 75 SEVESTRE. - Etudes de clinique infantile. Syphilis héréditaire pré- coce, laryngite syphilitique,
dications données par le père et la consta- tation des accidents de syphilis héréditaires revètent-elles une importance de p
taire que chez 31 p. 100 de ces malades ; 34,7 p. 100 avaient eu la syphilis ; 37,6 p. 100 étaient alcooliques. P. K. LXII
ETIN bibliographique. 463 SEVESTRE. - Etudes de clinique infantile. Syphilis héréditaire pré- coce, laryngite syphilitique,
par Buchholz, 441. Démence, rapport de la paraly- tique avec la syphilis , parSiemens, 110; - forme dépressive 1 évolu-
veau dans la - par Zacher, 87 : syphilitique, par Brie, 119; - et syphilis , par Thomssen, 119, Zieben, 25 ; - anatomie.
x ans, 143. Surdité verbale, aphasie avec, par Rosenthal, 78. Syphilis , rapports de la - avec la démence paralytique,
36 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
cheveux châ- lain foncé, nez aquilin, pas de maladie de peau ni de syphilis . Bien qu'elle se soit mariée il y a dix ans ell
bétique. Le rôle de l'infection parait établi, mais non celui de la syphilis . P. K. 11 ? Observation DE myélite aiguë dans l
e laquelle ? P. K. XXV. LES maladies nerveuses fonctionnelles ET la syphilis ; par P. ICON.1LE\\'SEY. (Archiv f. Psychiat.,
hilis ; par P. ICON.1LE\\'SEY. (Archiv f. Psychiat., XXVI, 2.) La syphilis peut agir directement sur le sang, les parois vas
trice de l'alcool, de la cocaïne, de la morphine, du chloral, de la syphilis , de certaines maladies infectieuses aiguës, des
ble, - sur le réveil tardif (la malade avait trente-neuf ans) de la syphilis infantile par un traumatisme. « Il semble, qu
té d'une sypliilis acquise à l'âge adulte, mais on m'apprend que la syphilis est très souvent communiquée dans l'enfance par
t hypochon- driarlue depuis de nombreuses années; il croit avoir la syphilis et un cancer de l'estomac. Toute son existence,
ques de paralysie générale, et nulle- ment à ceux où l'alcool et la syphilis ont joué un rôle pathogé- nique, donnant nature
alysie des muscles du pharynx, dans la démence paralytique, dans la syphilis cérébrale, la mé- ningite, etc. ; spasme du pha
veuse. H. ;\1. C. XI. Observation DE déformation DU crâne due A la syphilis llÉItl3- DITAIRE ; par Charles-E. NAMMACK. (The
tre un céphalhémalorne ossifié et une hypertrophie osseuse due à la syphilis héréditaire. L'auteur expose les raisons qui lui
E ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 23 le calibre de l'artériole. La syphilis est la grande cause de ces alté- rations de la
mais la plus importante parait être la toxicité du sang ZD (alcool, syphilis , ptomaïnes ou autres agents similaires). Ces agen
muniquée à l'asile. Elle ne présentait d'ailleurs aucune trace de syphilis . , A cette excitation maniaque qui persiste pen
e dix à quarante cigarettes par jour. Il nie absolument avoir eu la syphilis . Il y a trois ans et demi, il commença à exerce
erculose ou un abcès du cervelet. R. DE MUSGRAVE CLAY. XLVIII. La syphilis cérébrale : étude clinique; par Léo STIEGLITZ.
l'engourdissement du bras gauche. Le diagnostic porté fut celui de syphilis cérébrale. Le chancellement vers la gauche indi
le traitement ioduré. Ce cas se rattache à la première catégorie de syphilis cérébrale de Fournier, c'est-à-dire à la syphilis
ière catégorie de syphilis cérébrale de Fournier, c'est-à-dire à la syphilis à forme céphalalgique : il est remarquable par
ue la céphalalgie est le symptôme précurseur par excellence dans la syphilis cérébrale en même temps qu'elle est le phénomèn
mais tous les stig- mates hystériques manquaient : le diagnostic de syphilis fut donc adopté, et vérifié par le résultat du
sant en ce qu'il démontre la valeur du traitement mercuriel dans la syphilis cérébrale; la malade, en effet, avait pris des do
d'une lésion de la convexité devait naturellement faire penser à la syphilis dont on ne trouvait cependant aucun autre sympt
auteur conclut que, en raison des allures protéiformes que revêt la syphilis cérébrale, elle donne lieu, à son début, à de fré
ui doivent plus spécialement diriger l'attention du médecin vers la syphilis ; ces symptômes d'après lui sont les sui- vants
-indication spéciale et absolue il faut dans la thérapeutique de la syphilis cérébrale associer le mercure à l'iodure de pot
, bonne santé antérieure; pas d'excès de tabac, ni d'alcool, pas de syphilis au dire du malade. Il y a cinq mois, cet homme
s très musclé, sans antécédents héréditaires d'aucune sorte. Pas de syphilis , pas de blennorragie, pas de masturbation. aucu
de l'auteur, le pro- cessus pathologique est analogue à celui de la syphilis médullaire, et avec il il croit qu'il serait pl
se succèdent les deux maladies. Et alors, comme dans notre cas, la syphilis peut être rendue responsable des deux maladies.
ne peut être invoqué en faveur d'une lésion- histologique due à la syphilis . Les altérations vasculaires ne sont caractéris
ne vraie gomme, et non un infiltrat gommeux est une signature de la syphilis , mais c'est un fait extrêmement rare dans la mo
orts prolongés; intégrité de la mofilité. Causes : fièvre typhoïde, syphilis , refroidissement. Amélioration, mais non guéris
ou graisseuse. LVIII. NOTE A PROPOS DES lésions vasculaires dans la syphilis DES centres NERVEUX ; par le D1' Lamy. (Revue n
t le plus souvent à une infection du sang et rarement du fait de la syphilis seule. Il faut être servi en quelque sorte par
lésions pathologiques des vaisseaux dans la paralysie générale, la syphilis cérébrale, etc... P. K. LXVIII. POINTS relatifs
gence. Pas de troubles de la parole. Réflexes rotuliens conservés. Syphilis probable mais non démontrée. Autopsie : athérome
générale dans un asile d'aliénés. On n'a pu faire la preuve de la syphilis de la femme. Il n'y a pas eu d'enfants. Le début
estations scrofuleuses, ni convulsions, ni fièvres infectieuses, ni syphilis , ni migraines, ni maladies de peau, ni panaris.
cessite un autre facteur essentiel, spécifique, infectieux comme la syphilis , etc. J. S. LXVI. LES caractères cliniques di
autres symptômes secondaires sont les mêmes, que lorsqu'on note la syphilis elle n'est jamais le seul antécédent, que l'aut
ques osseuses, nerveuses, hépatiques, etc., on peut affirmer que la syphilis n'est qu'une des causes de la paralysie général
alysie générale, grave si l'on veut, mais pas autre chose. Entre la syphilis et la paralysie générale il n'y a pas le terme
générale il n'y a pas le terme moyen de pseudo-paralysie. Quand la syphilis céré- brale prend le moins du monde l'aspect de
de violents maux de tête, des vomissements. Le patient avait eu la syphilis , quarante ans auparavant, mais n'avait jamais j
dulte. M. BOULER. Considérations cliniques sur les rapports de la syphilis et des maladies mentales. Sera publié in extens
nférieurs du -, par Vogt, 380. Crâne. Déformation du - due à la syphilis héréditaire, par Nam- mack, 215. Craniotonosc
par Biuns, 486. Nerveuses. Les maladies - fonc- tionnelles et la syphilis , par Kowa- TABLE DES MATIÈRES. 503 lewsky, 51
, 59. - et aphasie hystérique chez un homme, par Sanphear, 365. Syphilis cérébrale, par Stiéglitz,274. Lésions vasculair
37 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nce prépondérante sur l'éclosioo de la folie chez les Arabes; 8° la syphilis , sous forme de syphilis conceplionnelle, doit êtr
éclosioo de la folie chez les Arabes; 8° la syphilis, sous forme de syphilis conceplionnelle, doit être également incriminée
éressés. (The aliezzist and neurologist, oct. 1896.) E. B. IV. LA SYPHILIS COMME FACTEUR ÉTIOLOG1QUE DANS LA PRODUCTION DE
uments fournis par les nombreux partisans du rôle importa n t de la syphilis dans l'étiolo- gie du tube. ' Il estime que l
lis dans l'étiolo- gie du tube. ' Il estime que l'influence de la syphilis sur la production du tabes a été exagérée ; à l
l'appui de son opinion il remarque que, d'une part, au Japon où la syphilis est fréquente, les cas de tabès sont rares et d
s cas de tabès sont rares et d'autre part, dans la race nègre où la syphilis est des pluscommunes, le tabès est si rare que,
mpu, de fortes doses d'iodure de potassium dans le traitement de la syphilis ; ce remède, par son action irritative, peut pr
) Sur 340 malades, 208 avaient eu les accidents secondaires de la syphilis , ce qui donne la proportion de 61 p. 100 ; cette
. D'autre part, sur 100 tabétiques 83 avaient eu un chancre ou la syphilis ; sur 100 neurasthéniques 83 étaient indemnes de c
hilis; sur 100 neurasthéniques 83 étaient indemnes de chancre ou de syphilis . Si l'on en rapproche que les pasteurs sont rarem
gênants dans l'oreille droite; pas de lésions de l'oreille moyenne. Syphilis cérébrale probable. Papille stasique déjà en voie
ysipèle, la rougeole et les fièvres éruptives, la tuberculose et la syphilis . Toutes ces affections ont paru exaspérer la di
èrement ses différents outils. Je n'ai trouvé en lui nulle trace de syphilis . Très adonné aux boissons alcooli- ques, il ava
à trente-cinq; c'est dans cette période qu'est né le malade. Pas de syphilis . [Père inconnu. SCLÉROSE CÉRÉBRALE HÉMISPHÉRIQU
tats favorables au moins temporaires dans les cas d'imbécillité par syphilis héréditaire'. 1. R. DE l\IUSGRAVE CLAY. V. Plai
r ce nombre, 86 p. 100 étaient des hommes. Dans 42 cas pour 100, la syphilis était l'unique agent étiologique; dans 31 p. 10
de fait. En ce qui concerne l'étiologie, l'auteur n'a rencontré la syphilis bien démontrés que dans 21 cassur 100, mais dan
bitudes d'intem- pérance ou du genre de vie des malades ; aussi, la syphilis , 'à son avis, est-elle l'élément étiologique pr
tisme articulaire aigu, l'influenza, la pneumonie, la phtisie, la syphilis , la septicémie, la goutte et le diabète. Il est p
n état de marasme. Le diagnostic différentiel est à faire avec la syphilis héréditaire et avec l'idiotie congénitale commu
mation crânienne analogue dans la famille. Le malade a contracté la syphilis il y a douze ans; il a SOCIÉTÉS SAVANTES. 249
posantes, il faut citer surtout l'artério-clérose, l'alcoolisme, la syphilis , les chocs moraux, les maladies cérébrales, etc
. Les paraplégies aiguës que l'on observe assez fréquemment dans la syphilis ne doivent pas être attribuées à une myélite (à
ladies infectieuses de longue durée et à récidives multiples. Si la syphilis provoque si fréquemment la dégénération du syst
du liséré saturnin. La malade ne présente actuellement pas trace de syphilis ou d'alcoolisme et un interrogatoire minutieux
alcoolisme, l'intoxication saturnine, les fièvres, le paludisme, la syphilis , l'insolation ; à propos de chacune d'elles, il
alade; âge auquel est survenue la mort; antécé- dents héréditaires; syphilis ; autres facteurs étiologiques; état mental et d
fille, enfant naturelle, antécédents héréditaires inconnus sauf, la syphilis du père. Stig- mates d'hérédo-syphilis.A trois
ésumée : Enfant naturel; mère : d'une famille névrôpathique; père : syphilis anté- rieure au mariage. Signes probables d'hér
mi les particularités intéressantes de ce cas il faut signaler : la syphilis héréditaire, l'hydrocéphalie, le début très préco
tes qui avaient observé la malade avaient-ils posé le diagnostic de syphilis céré- brale, de tumeur du cerveau, de sclérose
des 34 cas sur lesquels on a des renseignements précis, on note la syphilis comme certaine dans 17 cas (50 p. 100) ; si on
17 cas (50 p. 100) ; si on y ajoute, eu premier lieu, les 12 cas de syphilis très probable, et en second lieu les 2 cas de syp
es 12 cas de syphilis très probable, et en second lieu les 2 cas de syphilis pro- bable on a les proportions de 85 p. 100 da
et de 91 p. 100 dans le second. (Chez les adultes l'auteur trouve : syphilis certaine, 86 p. 100; syphilis certaine et très
. (Chez les adultes l'auteur trouve : syphilis certaine, 86 p. 100; syphilis certaine et très probable 93 p. 100.) 380 REVUE
érébrales organiques (tumeurs, lésions vasculaires par allié- rome, syphilis ; paralysie générale). Furstner termine en décri
t d'une malade X..., âgée de vingt-six ans. Pas d'alcoolisme, ni de syphilis . Depuis neuf ans elle ressentit des douleurs à
M. le Rapporteur. BIBLIOGRAPHIE. VI. Localisations spinales de la syphilis héréditaire; par Georges GASNE, ancien interne
E, ancien interne de hôpitaux de Paris. L'étude des relations de la syphilis héréditaire avec les maladies du système nerveu
nt d'étudier les localisations, sur l'axe spinal, des lésions de la syphilis héréditaire. Rappelant les observations que M.
s lésions les rapproche absolument de celles qu'on constate dans la syphilis acquise, infiltration, gommes, sclérose avec at
ment et absolument nouveau de l'histoire anatomopathologi que de la syphilis héréditaire; la communication récente de M. Déj
ravail d'ensemble très remarquable que M. Gasne nous donne sur la syphilis spinale héréditaire. J.-B. Charcot. VII. Morphi
sque toute sa vie. Excès alimentaires, mais non alcooliques. Pas de syphilis avouée. Non fumeur. Il y a trois semaines, doul
maux. Rien aux poumons ni aux organes abdominaux; aucun stigmate de syphilis . -Sphincters sains. Urine normale sans sucre ni
à la paralysie par hérédité ou des modifications acquises (diabète, syphilis , tabes). - 2° Des élé- ments matériels d'origin
la rapidité de l' - chez les aliénés, par Zlehen, 137. t1T wE et syphilis , par Drennen, 47. Atrophie atuscuLUnE, à début
use par Grant, 52. Paraphasie et - verbale, par Worcester, 473. Syphilis et ataxie locomotrice, par Dreunen, 47. Localis
38 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
cérébrale (intégrité du fond de l'oeil), ni paralysie générale, ni syphilis , ni épilepsie. Aucun des symp- tômes prémonitoi
ériphérique. (Revue iieiii,olo- gique, février 1899.) E. B. VIII. Syphilis et tabes; par M. E. Touche. (Presse médicale, 1
impossible de pré- voir, en se basant sur l'époque d'invasion de la syphilis , la date de l'apparition du tabes. Le fait que
on de la syphilis, la date de l'apparition du tabes. Le fait que la syphilis ait été traitée dès le début, qu'elle ait été b
trente-quatre ans, qui, trois ans et demi après avoir contracté la syphilis , fut atteint brusquement d'hémiplégie droite. C
re, aux descriptions, à l'établisse- ment des types cliniques de la syphilis médullaire, » L'auteur glisse rapidement sur le
passe successivement en revue les grandes formes médullaires de la syphilis acquise : la syphilis maligne précoce du systèm
en revue les grandes formes médullaires de la syphilis acquise : la syphilis maligne précoce du système nerveux, les myélites
nde partie de l'ouvrage traite des déterminations spé- ciales de la syphilis héréditaire : syphilis héréditaire congénitale,
traite des déterminations spé- ciales de la syphilis héréditaire : syphilis héréditaire congénitale, syphilis héréditaire p
ales de la syphilis héréditaire : syphilis héréditaire congénitale, syphilis héréditaire précoce et tardive. Tous ces chapit
iaque, se plaint de troubles divers et redoute d'être atteint de la syphilis . De plus en plus déprimé, des actes d'anxiété s
halie, grande anémie, nutrition ralentie, du reste pas de traces de syphilis . Sous l'action d'un traitement reconstituant et
est toujours allée en se redres- sant insensiblement. » Il n'y a ni syphilis ni alcoolisme chez les ascendants. ARRÊT DE D
ication, qui soutient, que le corps irritant peut venir du dehors, ( syphilis , saturnisme), ou ètre le résultat de la transfo
t des névralgies faciales graves que l'on ne peut rattacher ni à la syphilis ni à l'impaludisme, ni à une lésion locale, la
ions des nerfs, des vais- seaux, des viscères, scléreuses à base de syphilis , se trouvent bien de Ilg et de Ag. La pommade d
, âgée de vingt-sept ans, sàns anté- cédents héréréditaires. Pas de syphilis ni d'alcoolisme. Il y a cinq ans, affection sto
as). Contribution à l'étude de l'hystérie dans ses rapports avec la syphilis acquise et héréditaire. Lacroix (Joseph). Trait
d'éliminer au point de vue personnel toutes les intoxications, la syphilis et les traumatismes. Le bilan des antécédents com
re infé- rieur, pas de cri initial, etc. Recherche des antécédents, syphilis . Guérison par le traitement mixte. (Revisla. me
st-ce de sa part une supposition basée sur une croyance populaire : syphilis légère ; jamais de maladies antérieures ni de b
chez les syphilitiques (6,6 p. 100), sans qu'on puisse dire que la syphilis joue un rôle dans l'espèce; - HO Une troisième
fférentiel d'avec : la sclérose en plaques, le tabe, ordinaire ; la syphilis héréditaire ; la paraplégie ataxique de Gowers;
dix-sept et présentant tousles symptômes de la paralysie générale. Syphilis congénitale chez quatre frères. L'autopsie con-
ie. (The Amel'ican journal of izzsunlly, avril 1899.) E. Dux. XX. Syphilis et folie; par le Dl' Collotti. Dans une étude i
sont très parta- gées. Un premier groupe d'aliénistes estime que la syphilis peut donner naissance à la paralysie générale ;
er naissance à la paralysie générale ; un second groupe refuse à la syphilis la possibilité d'être une cause de paralysie géné
re les deux affections ; une opinion intermédiaire considère que la syphilis ne donne pas REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 329
s'est produite une dernière théorie éclectique d'après laquelle la syphilis peut conserver non seule- ment la pseudo-paraly
té publiées de nom- breuses observations d'épilepsie vraie due à la syphilis . A côté de nombreux auteurs qui trouvent défect
au- tres auteurs affirment l'existence d'une forme épileptique de syphilis cérébrale secondaire qui peut être regardée non s
ade). Cocher, âgé de trente-neuf ans, toujours bien portant. Pas de syphilis . Abus de boissons à partir de l'âge de vingt-qu
e ce phéno- mène dans tous les cas examinés d'épilepsie (8 cas), de syphilis cérébro-spinale (6 ca), d'affections diverses d
nes avant ses couches, éruption généralisée et rhinite persistante ( syphilis ? ). Quinze jours après les couches, première a
urés ou laborieux, simples convulsions, intoxications héréditaires ( syphilis ou alcoolisme) : voilà autant de causes étio- l
eu égard à la nature des causes de la maladie des ascendants : -. syphilis , alcoolisme et surmenage ; ils sont d'autre part
pposent au traumatisme le plus de résis- tance, tandis que, dans la syphilis , ce sont les fibres des cordons postérieurs qui
VAL. XXV. Tabes et paralysie générale dans leurs rapports avec la syphilis ; proposition thérapeutique; par ADL>;R (Cenhoa
Il existe un grand nombre d'altérations morbides produites par la syphilis qui ont pour caractère la sclérose. La syphilis p
es produites par la syphilis qui ont pour caractère la sclérose. La syphilis produit ainsi la cirrhose de l'appareil respira
nom d'affections, para, méta ou post-syphili- tiques, qui sont à la syphilis ce que les[maladies nerveuses épiphé- noménales
même rang que les manifestations secon- daires ou tertiaires de la syphilis . Pourquoi donc alors le mercure donne-t-il de s
er les accidents paralytiques; point d'excès alcooliques , point de syphilis . Une seconde observation est celle de diplégie
est celle de diplégie faciale ; on ne lui trouve aucune cause ; ni syphilis , ni affection auriculaire ; point de signe de lés
e survenue chez un labélique. Dégé- nérescence mentale héréditaire. Syphilis . Accès maniaque avec idées incohérentes de gran
et présenta des convulsions à plusieurs reprises. Il contracta la syphilis à l'âge de vingt ans en 1874 et fut soigné pendan
males. Appétit et sommeil bons. Aucune intoxication chronique; ni syphilis , ni tuberculose. Aucun traumatisme. Famille névro
s aiguës, l'apyrexie, l'exclusion forcée de la tuberculose ou de la syphilis ; tout cela milite en faveur d'un néoplasme. Il s'
onstances, indiquent le tabes. Pas de symptômes pupillaires. Pas de syphilis . Depuis quatre ans, il fait mouvoir avec les deux
du -, par Grasset, 50. Folie. Mysticisme et -, par Ma- ne, 31. Syphilis et -, par Col- lotti, 328. L'imbécillité et la
Schafler, 403. et paralysie générale dans leurs rapports avec la syphilis ; proposition théra- peutique, par Adler, =r21.
39 (1934) Oeuvre scientifique
ommunes des affections les plus courantes du système nerveux, de la syphilis , du tabes qui d'ailleurs n'est qu'une forme de
x, de la syphilis, du tabes qui d'ailleurs n'est qu'une forme de la syphilis nerveuse, de diverses autres infections, de cer
s les conditions que j'ai précisées, semble patho- gnomonique de la syphilis acquise ou delà syphilis héréditaire (Babinski
précisées, semble patho- gnomonique de la syphilis acquise ou delà syphilis héréditaire (Babinski et Charpentier), et, pour
éningée capable de conduire au tabès, à la paralysie générale ou la syphilis conglomérée des centres nerveux; il en constitu
tique, je relèverai en 16 LA MÉTHODE EN SÉMIOLOGIE particulier la syphilis cérébrale, les diverses néoplasies intracrânienne
er ici. Quoi qu'il en soit, diverses affections spinales diffuses : syphilis médul- laire, sclérose multiloculaire , lésions
et au bras droit ; ces douleurs existent encore. Le malade nie la syphilis ; d'ailleurs la réaction de Wassermann, faite à p
le diagnostic de tabes fruste. Il y a tout lieu de supposer que la syphilis est le lien qui unit chez cette malade la lésio
ON DES REFLEXES PUPILLAIRES .. .. w . .' DANS SES RELATIONS AVEC LA SYPHILIS ^) ;[ : ~ Dans un travail présenté, il y a deux
pas associée à une paralysie de la 3" paire, constitue un signe de syphilis acquise ou de syphilis héré- ditaire presque, s
alysie de la 3" paire, constitue un signe de syphilis acquise ou de syphilis héré- ditaire presque, sinon tout à fait, patho
pporte plusieurs faits d'abolition des réflexes pupillaires dans la syphilis héréditaire, par Erb ("), qui déclare que ce sign
ui paraît indiquer que le système nerveux central est touché par la syphilis , par Harris ('), pour qui le phénomène d'Argyll
i le phénomène d'Argyll Robertson est un signe pres- que certain de syphilis , par Parinaud, qui nous autorise à dire qu'il par
and non-paralysed idiot cbildren and their relation tohere- ditary syphilis , The Journal of Mental Science, July igoo. (t)
LOGIE Cette autre femme, âgée de cinquante-huit ans, a contracté la syphilis il y a quarante-deux ans, à l'âge de seize ans;
nerveux. Voici un homme âgé de quarante-six ans, qui a contracté la syphilis à l'âge de trente et un ans. Il a le signe de R
s en lame de sabre. Nous sommes portés à croire qu'il s'agit ici de syphilis héréditaire. Relativement au grand nombre d'ind
s héréditaire. Relativement au grand nombre d'individus atteints de syphilis , les cas d'abolition des réflexes pupillaires s
nstate est un can- didat au tabes, à la paralysie générale, ou à la syphilis cérébro-spinale confirmée. Il y a du reste to
tion de la céphalée après la ponction. Le malade qui a contracté la syphilis à l'âge de 20 ans est soumis à des frictions me
ait faire penser que les lésions intra-crâniennes dépendaient de la syphilis . Nous fîmes cependant nos réserves à ce sujet,
irement on a affaire alors à un sujet qui affirme n'avoir pas eu la syphilis et qui ne porte aucune trace apparente de cette i
gé de 5o ans, entre le 5 octobre igoi à la Pitié. Il a contracté la syphilis à l'âge de 3o ans. Il y a huit jours, en pleine
A 33 ans érysipèle. Pas d'alcoolisme (quoique sommelier); pas de syphilis . En septembre igo4, B..., qui avait prêté tout
point de vue des antécédents héréditaires. La malade n'a pas eu la syphilis . Elle souffre depuis deux ans de douleurs de tê
igoo, p. 8o3. 3/|fi PARAPLÉGIES AFFECTIONS DE LA MOELLE plutôt de syphilis cérébro-spinale que de tabès ; sans discuter à fo
ion, je me contenterai de faire remarquer que le tabès est lié à la syphilis et que, quand la syphilis du système nerveux frap
faire remarquer que le tabès est lié à la syphilis et que, quand la syphilis du système nerveux frappe les racines postérieu
avoir jamais été contaminé, on pourrait supposer qu'il s'agit d'une syphilis acquise. Toutefois, si l'on prend en considérat
macéré, la coexistence du tabes chez le père et la fille, l'idée de syphilis transmise héréditairement me semble s'imposer à l
- trent seulement une fois de plus que les accidents initiaux de la syphilis peuvent être méconnus. Il est à remarquer que
ssance et les altérations dentaires, n'a eu aucune manifestation de syphilis jusqu'à l'âge de dix-huit ans ; c'est donc un c
tabes du père ou de la mère au tabès de l'enfant est évidemment la syphilis , mais il y a lieu de rechercher la cause pour l
e être compris que si, après avoir admis l'importance du rôle de la syphilis dans la genèse du tabes, on suppose que l'un de
ce genre, c'est le mari qui avait le premier subi l'infection et la syphilis n'avait paru manifester son action chez la femme
présentait des signes de tabes fruste. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE LA SYPHILIS FAMILIALE ? ) En principe, lorsque, dans un mén
pe, lorsque, dans un ménage, un des conjoints reconnaît avoir eu la syphilis ou en présente des stigmates, l'autre conjoint et
uve du séro-diagnostic. Il serait intéressant aussi dans les cas de syphilis familiale de savoir quel était, au moment du ma
liale de savoir quel était, au moment du mariage, l'âge exact de la syphilis chez le conjoint qui a apporté la maladie. A no
reuse qu'on ne l'a fait jusqu'à présent, le délai au delà duquel la syphilis ne risque plus d'être transmissible. ' (1) J.
mpossible d'affirmer que l'infection soit en cause. S'agirait-il de syphilis ? On serait en droit de le supposer en se fondant
ctérisé, associé à des troubles qui dépendent manifeste- ment de la syphilis . Voici les observations de ces deux malades : O
oir en faveur de l'opi- nion d'après laquelle le tabès relève de la syphilis . vin . D7 CiP F ? E'Z. ? à F ? C'A C/A 77M
iner un second cas de syndrome de Brown-Séquard, très net (dû à une syphilis médullaire), où nous avons constaté le même phéno
ôt lieu de penser que chez cette malade, malgré ses dénégations, la syphilis est en cause et qu'elle a provoqué des lésions
aît aujourd'hui guérie n'étaient pas aussi sous la dépendance de la syphilis . Cette idée n'a rien de révolutionnaire quand o
ressive et dans le tabes, affections dont les liens intimes avec la syphilis ne sont plus guère contestés, les inflammations
se. Parmi les affections organiques de l'encéphale chez l'homme, la syphilis céré- brale est la seule qui puisse guérir comp
ple, un pho- bique qui, après avoir assisté à une conférence sur la syphilis , est pris de cette espèce de phobie du toucher
re tabétique. Ol3SErtVA1'r0\ I. Homme de 35 ans, ayant contracté la syphilis à l'age de 23 ans. Il y a cinq ans le malade a
s, on retrouve des symptômes de méningites. Chez un seul malade, la syphilis aurait été en cause. Chez trois de ces malades,
x ans, exerçant la profession de modiste. Affirme n'avoir pas eu la syphilis . Parait bien pondérée au point de vue mental et
ver- tébrale est en parfait état. Je ne crois pas non plus que la syphilis soit en cause. Outre les décla- rations de la m
, et ce fait que la lympho- cytose, d'habitude très intense dans la syphilis du système central en voie d'évolution, n'était
n ici de mal de Pott. En réalité, en dehors du mal de Pott et de la syphilis , on n'observe guère de paralysie spasmodique qu
abord essayé, bien qu'il n'y eut aucune bonne raison de penser à la syphilis ; puis, comme les douleurs étaient encore vives e
4. De l'abolition des réflexes pupillaires dans ses relations avec la syphilis (en col- laboration avec Charpentier. Société d
4. De l'abolition des réflexes pupillaires dans ses relations avec la syphilis (en col- laboration avec Charpentier. Société m
iété de Neurologie, 12 mai 1910). 172. Contribution à l'étude de la syphilis familiale. Recherches à l'aide de la réaction d
40 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tion. H..., âgé de trente-huit ans, indemne de tare héréditaire, de syphilis , d'alcoolisme, brillamment doué. Influenza en d
Le complexus symptomatique est tantôt autonome (surtout après la syphilis ), tantôt greffé sur d'autres maladies du système
Dr M1N : 1R. Contribution à la statistique des rapports ' entre la syphilis et le tabès. La nouvelle statistique de l'auteur
des appréciations statistiques sur les rapports du tabès et de la syphilis qu'il avait fait il y a quelques années. Parmi le
. Parmi les malades venus à la consultation de l'auteur en 1889, la syphilis chez les hommes russes était quatre fois et che
enquête pourrait aider à élucider la question des rapports entre la syphilis et le tabès, autant que la méthode de la comparai
ction de la paralysie géné- rale la concomitlance de trois causes : syphilis , hérédité morbide et certaines conditions de vi
a para- lysie diabétique, l'hystérie mâle, le syndrome de Weber, la syphilis cérébrale, les formes frustes de la sclérose en
a part à rendre attachante la lecture de ce livre. Paul BLOCQ. VII. Syphilis du système nerveux; par le Dr W. GijKOEWicH, Pa
les données, dès longtemps accumulées sur les déterminations de la syphilis sur'le système nerveux. Il expose dans des chapit
es descriptions successives, celles-ci intercalées dans ceux-là, la syphilis de l'encéphale, de la moelle et des nerfs péri-
e complète, s'il nous avait parlé de l'influence provocatrice de la syphilis sur certaines névroses, des types cliniques ainsi
ention d'un mot. Plus tard à la suite de mani- festations graves de syphilis cérébrale, ces syndromes se sont nota- blement
à son début l'existence d'une maladie grave, dans les cas où, ni la syphilis (qui peut produire l'épi- lepsie partielle), ni
topo- graphique qui est consigné dans le dossier. En l'absence de syphilis avérée nousincriminons une embolie rhumatismale,
sans tares. En 1879, atrophie de t'éminence thénar gauche. En 1881, syphilis . A la fin de 1889, douleurs gastriques et vomis
ésions des noyaux nerveux homologues, avec une telle précision. ~La syphilis étant écartée, la variation dans l'intensité de
du crâne. P. K. XVIII. SUR UNE affection cérébrale PRODUITE FAR la syphilis CONGÉ- NITALE ; par A. ERLENMEYER. (Centralbl.
consécutive à la scarlatine. Mais pour- quoi ne pas admettre que la syphilis congénitale, restée latente jusqu'à l'époque de
ntralbl., 1891.) Paralysie faciale périphérique tout au début de la syphilis , à la période du premier exanthème, alors qu'il
rlatine, la pneumonie sont en cause. P. K. XXVII. Contribution A la syphilis DU système nerveux central ET des psychopathes
énés, l'auteur en a compté 72, c'est-à-dire 22,5 p. 100 atteints de syphilis certaine, 40 (soit 12,5 p. 100) atteints à la foi
0 (soit 12,5 p. 100) atteints à la fois de paralysie générale et de syphilis . La proportion de la syphilis chez les aliénés
à la fois de paralysie générale et de syphilis. La proportion de la syphilis chez les aliénés ou céréhropathes quelconque es
puis comparativement. La pre- mière se rattache cliniquement à une syphilis cérébrale certaine, mais à l'autopsie on ne tro
e la névroglie qui remonte jus- qu'à l'encéphale. Le second fait de syphilis cérébrale certaine a été confirmé par l'autopsi
es 14 cas de perturbation intellectuelle en rapport certain avec la syphilis antécédente. Sans doute, d'autres facteurs entr
° le groupe des aliénés qui doivent évidemment la psychopathie à la syphilis ; 2° celui de ceux qui, quoique syphilitiques, ne
, quoique syphilitiques, ne doivent pas sûrement leur psychose à la syphilis , voici les proportions que nous trouvons : .
y vient de rapporter est-il un cas de paralysie générale type ou de syphilis cérébrale ? M. JOFF&oY. La syphilis n'est p
ralysie générale type ou de syphilis cérébrale ? M. JOFF&oY. La syphilis n'est pas en cause dans les lésions ana- tomiqu
as de paralysie générale de nature, mais d'origine syphilitique; la syphilis est une simple cause prédis- posante. La vraie
ntrer dans le cadre de ce que M. Fournier a décrit sous le nom de syphilis pseudo-démente ou torpide : ce diagnostic eût mér
empérature notée chez le malade, qui ne cadre pas avec l'idée d'une syphilis torpide ou pseudo-démente. En ce qui regarde le
ut de suite à discuter en première ligne l'hypothèse d'une : a. - Syphilis cérébrale : 1° Ses phénomènes les plus carac- t
céphalée nocturne, intense, profonde, qui est caractéristique de la syphilis cérébrale. La céphalée ici est très superficiel
'. 1. Enfin l'évolution de la maladie est bien différente dans la syphilis cérébrale. Ici, les phénomènes ont été plus grave
e sont pas représentés. C'est le contraire que l'on observe dans la syphilis cérébrale. Si l'on ajoute à cela l'absence de t
. En effet, si le foyer cortical eût été unique l'on 1 Fournier. La syphilis du cerveau, Paris, 1889. L'HYSTÉRIE ET LES mala
ie à forme d'épilepsie partielle motrice simulant l'évolution de la syphilis cérébrale. Fiq... âgé de trente-cinq ans, grave
cédents personnels. - F... n'a jamais eu de maladies graves. Pas de syphilis ni d'alcoolisme. Il est marié depuis onze ans; ce
Ce cas nous offre un tableau extrêmement ressemblant à celui de la syphilis cérébrale : céphalée atroce s'exacerbant la nui
ique qui a été si bien décrit par M. Fournier dans son livre sur la syphilis cérébrale; et en effet, les médecins de l'hôpit
e à des excès génésiques la maladie qui l'amène à l'hôpital. Pas de syphilis . L'accident actuel est le troisième du même gen
BILA et MM. Hadjès et Cossa. Les discussions sur les rapports de la syphilis et de la paralysie générale sont loin d'être te
olog. Cenircilblatt '.) M. BRASCII. Des lésions artérielles dans la syphilis cérébrale avec présentation de malades et prépa
dorsal. Il s'agit d'un négociant de cinquante-deux ans, atteint de syphilis . Le tabès se manifesta par l'immobilité réflexe d
ot, 139; - Troubles du langage chez les aliénés, par Séglas, 140; Syphilis du sys- tème nerveux, par Gajkiewicz, 141 ; O
ar Janet, 448; au point de vue médico-légal, par Deventer, 485. Syphilis , et tabes, par Minar, 128 ; affections cérébral
Bernhardt,-503;- et paralysie agitante, par Plac- zeck, 506; - et syphilis , par Mi- nar, 128 ; traumatique, par Ilinz, 2
41 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
ion. On peut donc conclure qu'un processus infectieux (peut-être la syphilis ) a produit par des oblitérations vasculaires, p
nt montré l'importance dans le syndrome de Ray- naud manque ici. La syphilis invoquée par Monro, par Morgan et plu- sieurs a
le malade, on a cependant eu le devoir d'y penser, d'autant que la syphilis semble agir dans certains cas de maladie de Ray
'a eu d'autre maladie que la variole, à l'âge de dix ans. Il nie la syphilis , et on n'en retrouve aucune trace actuelle. Il s'
ieurs vinrent compléter le tableau sympto- matique. En l'absence de syphilis , et l'auscultation révélant, au sommet droit, d
i même n'a jamais eu au- cune maladie infectieuse, n'a jamais eu la syphilis , n'est pas alcoolique. Jusqu'à l'âge de 21 ans,
loppée.Pas de traces de rachitisme. Pas de tares os- seuses. Pas de syphilis héréditaire ou acquise.Conformation crânienne nor
ôme, et n'est porteur d'aucun stigmate qui puisse faire songer à la syphilis . L'intoxication alcoolique est de même chez cet
connu ; comme maladie antérieure, une va- riole légère en 1890, ni syphilis , ni blennorrhagie au dire du malade. « Après le
s un manège. Deux ou trois ans après sa libération, il contracte la syphilis , présente des accidents secondaires, des plaque
es, etc.. ; il fait un traitement assez court et ne songe plus à sa syphilis . Au bout. de 17 ans, des douleurs réapparaissen
ce tabes avec la lésion vertébrale ? Notre ma- lade a contracté la syphilis après le début des accidents spinaux ; il ne s'
inaux ; il ne s'agit pas de spondylose syphilitique. Par contre, la syphilis parait bien avoir été l'origine de son tabes. I
s le pseudo- tabes spondylotique de Babinski. Cette action, si la syphilis intervient, peut être bien plus étendue. Elle f
is intervient, peut être bien plus étendue. Elle fournit alors à la syphilis l'incitation qui lui permettra de réaliser la p
ections blennorragiques et des chancres mous ; il nie absolument la syphilis ; L'examen somatique ne permet de constater en e
en somatique elle ne présente aucun stigmate ni de rachitisme ni de syphilis héréditaire ; les dents sont saines et bien formé
accentuées ne sont cependant pas nettement caractéristiques pour la syphilis héréditaire. Le palais est du type ogival. Aucu
n bas-âge. Pendant son âge adulte, aucune maladie grave : il nie la syphilis . Il est entré à Bicêtre pour troubles de la vue
du squelette ne permet de rien déceler qui puisse se rapporter à la syphilis ou à un rachitisme ancien. Le crâne présente un
ires. OBSERVATION Il (PI. LVIII). G...,36 ans. Pas d'apparence de syphilis dans ses antécédents familiaux. Lui-même est né
s inflam- matoires des enveloppes du cerveau ». Parmi ces causes la syphilis tient une place qu'il est difficile de préciser
s'arrêter; un certain nombre d'autopsies leur donnent raison. La syphilis ne paraît pas probable (Patry). Dans un seul cas
un seul cas elle paraît bien établie. Deux malades ont contracté la syphilis , l'un dans l'enfance (Bourneville) (4), l'autre
eux stigmates physiques de dégénéres- cence qui, ayant contracté la syphilis , devint ultérieurement paralytique général. Le
inirait par compromettre notablement le foie. Brissaud a dit que la syphilis « est de toutes les influences morbides la plus
utes les influences morbides la plus dystrophianle » et en effet la syphilis joue un grand rôle dans la ge- nèse de l'infant
i que dans les cas d'arrêt de développement dus au rachitisme, à la syphilis héréditaire et à l'alcoo- lisme, on observe pre
erprétation facile, maison doit plus probablement les rattachera la syphilis héréditaire qu'au rachitisme. Nous savons du
s de Parrot pour qui le rachitisme aurait toujours été causé par la syphilis héréditaire, il est au contraire généralement a
es maladies vé- nériennes avouées par le père (qui nie cependant la syphilis ), les quatre fausses couches de la mère ; la co
ux soeurs Ser... nous admettons donc l'influence déterminante de la syphilis héréditaire très probable, et l'influence patho
tieuses aiguës, tu- berculose, mais surtout il l'alcoolisme et à la syphilis héréditaire. Si cette forme d'hydrocéphalie idi
cas spécial le maximum de probabilité. Les symptômes-cérébraux delà syphilis héréditaire sont plus fréquents dans le premier
es symptômes cérébraux. Rien ne nous empêche donc d'admettre que la syphilis héréditaire ait préparé le terrain sur lequel à
avec des faits d'anémie légère qui peuvent aussi s'expliquer par la syphilis héréditaire, une méningite séreuse chronique pr
été très probable- ment déterminée chez elles par l'influenceoe la syphilis héréditaire qui a eu pour causes morbides adjuv
la méningite chronique chez les enfants et de ses rapports avec la syphilis héréditaire tardive. Annales de Dermat., 1884, p.
UTION A L'ÉTUDE DE L'INFANTILlS;\1E DU TYPE LORAIN 467 FouR'OEn. La syphilis héréditaire tardive. Paris, 1886, p. 29. Founwe
737. SELLER. Ein Fall von chronischen Hydrocephalus bei heredilârer Syphilis . Deut.med. Wuch., 1892, n°26. Weitere Milleil
en itber einen Fall von chronischem Hydrocephalus bei heredi- lârer Syphilis . Deut. med., Woch., 1898, n° 5. · R6ntge; ? pho
eplaalie. Wiener Klin., 1904, 6 H. - Studien über die heredital'e Syphilis , 1904. HuETEH. Tuberculose de l'hypophyse chez
- tilages épiphysaires. L'Encéphale, 1908, no 1, p. 1. Kassowrrz. Syphilis el rachitisme. Wiener med. Presse, 1881, no 35.
indesalters. Ibid.,1 u. 2. H. ZU73FR. - Maladies du corps thyroïde. Syphilis de la glande thyroïde. Traité des mal. de l'enf
t mort à la fois tabétique* et paralytique général. Il contracta la syphilis en 1894. deux ans après la naissance de l'enfan
tire un gros intérêt de son étiologie. Tout d'abord il s'agit d'une syphilis acquise, fait rare : de plus le père est mort t
de paralytiques géné- raux, parmi les nombreux enfants atteints de syphilis héréditaire ou ac- quise, est en accord avec ce
ubles ; très intelligent; caractère très nerveux, irritable. Pas de syphilis , pas d'éthylisme. Il a toujours été bien portant.
ndit vivement celle thèse, qni lui était chère, à savoir que, si la syphilis est une cause fréquente de la paralysie générale,
42 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sous l'influence de certains' « agents stimulants », par exemple la syphilis , l'alcool, la pella-- gre, etc. ' D'autre par
du facial. On a trouvé ce réflexe diminué (à gauche) dans un cas de syphilis cérébrale avec paraly- sie complète de la 5° pa
, 1903, n° 2.) Cette obseruation concerne un homme qui contracta la syphilis à vingt-deux ans et chez lequel survint pendant
é à l'âge de seize ans il ne paraît pas possible d'incri- miner une syphilis acquise, la malade n'en présente d'ailleurs soc
succombé à la méningo-encéphalite. Ce confrère ne croit pas à la syphilis des conjoints, n'ayant jamais eu à soigner chez
ue très sommaires, conduit presque irrésisti- blement à admettre la syphilis parmi les antécédents des deux malades. La femm
par des neurologistes autorisés, serait nécessairement liée à la syphilis (Joffroy, Babinski.)'. Je considère donc ce nou
e idée dans un travail intitulé : Rela- tions qui existent entre la syphilis et les troubles des réflexes piipil-, I 'aires,
éminines. Les causes principales de la paralysie générale sont : la syphilis , l'alcoolisme et l'hérédité. - Il serait désira
gent au pourcentage de cette maladie mentale sur laquelle, après la syphilis , le facteur du surmenage intellectuel, l'épuisa
pas invoquer uniquement l'étiologie syphilitiqne. Il pense que la syphilis ne peut développer un tabes légitime que chez d
lcoolisme, auto-intoxications, grippe, tuberculose). En outre si la syphilis influe très souvent sur le développement des prem
D (The American journal of Insanily, avril 1902, p. 565, 574). La syphilis est la cause la plus habituelle de la paralysie g
équente dans les grandes cités que dans les campagnes; 7° hérédité, syphilis , alcool, sont trois facteurs importants de sa p
malade était, en outre, syphilitique ; on doit se demander si la syphilis n'a pas eu quelque influence sur le syndrome para
on. M. B. Séance du 30 décembre 1903. Présidence de M. G. Ballet. Syphilis cérébrale et démence. M. \TCCOUnoUx communique
émence. M. \TCCOUnoUx communique l'observation d'un homme mort de syphilis cérébrale et dont l'état démentiel rappelait celu
acquise, 1 hémiplégie infantile, 1 affection du cône terminal et 1 syphilis cérébro-spinale), le réflexe adduc- teur exista
nalogue chez une jeune fille de quinze ans, fille d'un père mort de syphilis cérébrale. C'était une para- lysie générale juv
et tendineux. MM.E. Duphé et P. Camus. Homme de soixante-cinq ans. syphilis il vingt-cinq ans, traitée, au moment des accid
en du 9 septembre 1903. Délire d'énormité ; cette malade dit que la syphilis qu'elle aurait contractée il y a environ dix ans,
vraisembla- blement de tumeur cérébelleuse sans qu'on ait trouvé ni syphilis ni tuberculose. Le traitement mercuriel semble
raît, non seulement dans la sclérose disséminée, mais aussi dans la syphilis cérébrale. L'aggravation temporaire des symptô-
rai-je pas à vous démontrer que dans l'espèce, ni l'hystérie, ni la syphilis , ni la tuberculose, ni une intoxication exogène
des nerfs de la base du crâne, à la tuberculose méningée ou à la syphilis ; semblables erreurs ont été maintes fois commises
ues, les anévrismes de l'aorte et surtout les pachyméningites, la syphilis , la tuberculose du rachis, les tumeurs des nerfs
Lui même n'a jamais eu de maladies infectieuses et notamment pas de syphilis . H a toujours pu travailler sans être arrêté pa
ue la lymphocytose, est commune à toutes les formes cliniques de la syphilis nerveuse. Elle ne peut donc pas expliquer à elle
iminé la méningite cérébro-spinale, la méningite tuber- culeuse, la syphilis , le tubercule cérébral, l'intoxication chronique
du 29 février 1904. Présidence de M. Brunet. Paralysie générale et syphilis cérébrale. M,l", TISSOT, interne à Villejuif, c
de lésions diffuses de paralysie générale et de lésions locales de syphilis est assez intéressante, car elle peut expliquer
uses de la paralysie générale, avec les lésions circonscrites de la syphilis , explique pourquoi beaucoup d'observateurs nien
dehors de ces deux affections, et plus, par- ticulièrement dans la syphilis (Babinski-Dufour). Aussi y a-t-il grand intérêt
able que l'état granuleux de l'épen- dyme a pour cause primitive la syphilis ; et, ce premier point admis, la fréquence des g
e sa jonction avec la trachée. Autres constatations pathologiques : syphilis généralisée, folie avec démence très accusée. U
psie tardive et jacksonienne. Ellea manqué dans l'hystérie, dans la syphilis secondaire, ainsi que dans quelques cas où il n
re : il s'est marié à vingt-sept ans. Excès alcooliques; quant à la syphilis il a été impossible de savoir s'il l'avait contra
rand nombre de cas, viennent à l'appui de cette manière de voir, la syphilis don- nant lieu à ce que Sir William Gowers appe
généraux modifiés, améliorés ou guéris du moins temporairement, la syphilis doit être incriminée dans une proportion de 90
a, paralysie générale a été observée chez une femme de 22 ans, avec syphilis héréditaire probable et avec phénomènes très ac
l'on songe au rôle considérable que l'on attribue actuellement à la syphilis dans l'étiologie de la paralysie générale. , .
érations de même ordre peuvent être invoquées quand il s'agit de la syphilis dite héréditaire. Ici encore il s'agit d'un éta
ence .morbide, de caractère non spécifique, quoique dépendant d'une syphilis antérieure, s'est exercée sur la cellule germin
prépare le développement de la paralysie générale chez l'adulte. La syphilis détermine donc, comme le pense mort, une diminuti
t reconnue, mais il ne croit pas que le rapport qui existe entre la syphilis parentale et la paralysie générale juvénile soi
ues et de convalescents. Les rapports de la neurasthénie puis de la syphilis , avec la folie ont fait l'objet des exposés spé
ues éiEments de di,ynoslic de la précoce, par Dunlllll, 161. Voir Syphilis . - précoce nt cafa- lonie. par Séglas, 334. Un
- tiel Aan-Duchenne, par Meiklen et Guiard, 309. - générale, et syphilis célébrai ? , par'l'isaot, 339. - vésicale d'ori
mplant, 324. Sur un - thalamique, pal' Tho- mas et Chiray, 496. Syphilis cérébrale et démence, par Vigoureux. 101. Voir
43 (1896) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1895
ons situées en avant et en arrière. IV. Idiotie méningitique; - Syphilis héréditaire; Par DOURNEVILLE et DARDEL. Somma
aire; Par DOURNEVILLE et DARDEL. Sommaire. Enfant naturelle. Mère syphilis ; Renseigne- ments insuffisants sur lui et sa fa
ique (traitement spécifique à Saint-Louis). Pas de consanguinité. Syphilis héréditaire. Névrite optique et perte de la vue
mais fumait beaucoup et avait une conduite irrégulière. Il a eu la syphilis qu'il soigna longtemps. Son apparence extérieur
aisait subir de mauvais traitements. Il lui a probablement donné la syphilis , bien qu'elle ne l'avoue pas. Elle présente; en
0. Quant à la pie-mère, elle est un peu plus grise à ce niveau. ' SYPHILIS héréditaire. 39 Thorax. - Coeur normal (150 gr.
vons toujours soin d'inter- roger les parents de nos malades sur la syphilis , indi- rectement d'abord en posant un certain n
Eh bien, malgré ces enquêtes minutieuses, le nombre des cas, où la syphilis peut être invoquée pour expliquer la genèse des
re, des deux familles n'étant qu'imparfaitement connue. III. - La syphilis ne paraît s'être manifestée que tardivement, à
tisme ; n'est pas sujet aux migraines; ne présente aucun signe de syphilis , ni d'alcoolisme. Il ne fume pas, mais chique éno
r- ., trophique du cerceau. 100 Antécédents héréditaires : FOLIE, SYPHILIS . - et nocturnes. Krouomanie. Tics. - Grincement
deux fessées », dit-elle. Pas de migraines. Son mari lui a donné la syphilis peu après le mariage : » on m'a fait prendre do
is après le mariage. 'Foules paraissent devoir être attribuées à la syphilis donnée par le mari à sa; femmes7" notre ma ! a
r- me-t-on, était sous le coup d'une nouvelle manifestation de la syphilis , entre autres il avait une poussée ganglionnaire
nne intelli- gence avec son mari et n'a su qu'il lui avait donné la syphilis que quand il a été interné à l'A-ile clinique l
olumineuse, siège sur la moitié infé- Fin. 5. - HÉRÉDITÉ : FOLIE, SYPHILIS . 109 rieure de la frontale ascendante; une. aut
La mère, très nerveuse, sans accidents convulsifs, a contracté la syphilis du fait de son mari. Deux oncles maternels ont
E ET SCLÉROSE HYPERTROPHIQUE. seml)le-t-il, étaient en puissance de syphilis , les six fausses couches précédentes en témoign
», dit la mère, n'a jamais eu de maladies de peau, ni de signes de syphilis . - [Son père, cultivateur, est mort à GO ans, d
ose cervico-dorsale. - Écholalie. - Tics. - Sur- dité incomplète. - Syphilis acquise. - Épilepsie. - Antécédents héréditaire
rares accès épilepti- f ormes, de l'ecthymaet des manifestations de syphilis acquise dont il a été impossible de décéler l'o
cheveux châtain foncé, nez aquilin, pas de maladie de peau ni de syphilis . Bien qu'elle se soit mariée il y a 10 ans elle
Accès à 14 ans et demi. - Vers intestinaux. - Rougeole en mai 1887. Syphilis en 1888 Rubéole en 18\10. - Marche des accès et
44 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
our l'auteur, bien qu'il ne fasse mention ni de l'existence d'une syphilis , ni de la présence d'une lymphocytose rachidienne
r de nombreuses cau- ses d'erreur dues à l'hérédité et peut-être la syphilis . Cet article de Jlal'anÜon de llunlyel donne l'
psychopathiques héritées. -a) directement, par des toxiques ou non ( syphilis , tuberculose, fièvre thyphoïde, vérole, etc., tro
poi- sonnement par le haschich, et chez nous par la morphine. IV. Syphilis . 1. Recherche des effets diroctset indirects de l
. IV. Syphilis. 1. Recherche des effets diroctset indirects de la syphilis sur le système nerv eux central. 2. Organisation
ion du ma- tériel concernant les aliénations mentales causées parla syphilis . 3° «(.Effets delà contagion syphilitique chez
és à l'alcool. 5. Etudes sur le nombre des victimes annuelles de la syphilis dans les différentes communes et les différents
férents Etats. - 6. Comparaison entre les différents ef- fets de la syphilis sur le cerveau, ayant trait à la capacité de tra-
ouvent dans toufes les psychoses aussi bien que dans le tabes et la syphilis , et même chez l'in- dividu sain. Toutefois on p
des yeux, qui n'existe que dans la paralysie générale, le tabès, la syphilis et la catatonic. Tous ces symptômes, les uns
ctus, au début de la Paralysie gé nérale, indique l'existence de la syphilis (1). Lorsque l'anestlièsie corneen ? le existe
son travail) et peut-être alors faut-il invoquer l'influence de la syphilis , la vue est conservée presque intacte jusqu'à l
p visuel est normal. Lorsqu'il y a 7tc;ntiopie, il faut penser à la syphilis , La migraine ophtalmique , qu'elle soit simple
e diagnos- ticétiologique, elles résultent presque toujours de la syphilis qui a laissé sur la rétine et la choroïde, sa m
guérison de la paralysie générale par le traitement habituel de la syphilis . M. MAURICE FAURE rappelle les travaux qu'il fi
avec elles (paludisme, fièvre ty- phoïde, tuberculose, alcoolisme, syphilis , puerpéralité, etc..) 110 CONGRÈS DES MÉDECIN
é à une méningo- myélite ascendante aigué développée au cours d'une syphilis récente. M. DIDE. Succombant sous le poids de
constants et plus rapides. Onlui reconnaît surtout deux causes : la syphilis ,par l'in- termédiaire de plaques de méningite s
DE FAITS Athétose double. Mort au cours de variole. - Autopsie. - Syphilis héréditaire probable ; i Par le D' .1. CRESPI.N
nt conformée. On ne trouvait aucun stigmate de dégénérescence ou de syphilis héréditaire. Voici la description des mouvement
ssir le dossier de l'athétose, d'autant mieux que l'influence de la syphilis s'y trouve constatée et par les commémoratifs e
-il pas simplement actionné et orienté vers les centres nerveux une syphilis en évolution qui sans lui les aurait peut-être
ient antérieurs au traumatisme, et que dans l'autre il existait une syphilis conjugale ; ici encore, par con- séquent, le tr
réé un dommage qui doit être réparé. M. Vallon (de Paris). Que la syphilis joue un rôle dans le développement de la paraly
oujours la paralysie généraleest le résultat de l'association de la syphilis avec un autre fac- teur étiologique. Le plus so
s un certain nombre de cas ce soit un traumatisme qui s'ajoute à la syphilis . M. CHRISTIAN insiste sur le rôle du surmenage
ervation pour démontrer une fois de plus le rôle indiscutable de la syphilis dans le développement de certaines amyotrophies
XII. 15 220 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. psychique. Absence de syphilis dans l'ascendance, rendue plus probable encore
ans l'ascendance, rendue plus probable encore par l'évolution d'une syphilis acquise chez le malade de la troisième générati
ccasion- nelle avec, en particulier, l'alcoolisme, le paludisme, la syphilis : ce sont les psychoses à l'occasion d'une inso
uen- cesdu rétablissement du privilège. « Pour ce qui est de ]11. syphilis ,qucsLion décidément d'acLualibé, la commission
émoire de M. Marie (deVillejuif) intitulé : « Paralysie générale et syphilis chez les Arabes. Chargé d'une mission en Egyp
En 1904 on y a admis 35 paralytiques sur lesquels 23 avaient eu la syphilis . La méningo-encéphalite diffuse est donc fréque
La méningo-encéphalite diffuse est donc fréquente en Egypte et la syphilis est notablement plus commune chez les les aliénés
le vraie. Il n'a pas été possible à Marie de déterminer l'âge de la syphilis au mo- ment du début de la P. G. ni l'âge delà
e fièvres éruptives, pas de rhumatismes, pas de mi- graines, pas de syphilis . C'était un homme très sobre, de caractère très
l'enfance ; pas de rhuma- tismes, pas de fièvres éruptives, pas de syphilis ; quelques maux de tête assez fréquents, sans p
s, éthylique présentant une association h\s- léro-labéliquc. Nie la syphilis . Les symptômes relevant du (abcs sont les plus
u pneumogastrique cardiaque avec des épisodes de dépression. Pas de syphilis . Il s'agit d'un pouls lent permanent ou plutôt,
Voir Marche. Athétose double. Mort au cours de variole. Autopsie, syphilis héréditaire probable, par Cres- pin, p. 191.
M. Motet sur un mémoire de M. A, Marie, intitulé : générale et syphilis chez les Arabes, p. 403. L'accommodateur dans l
45 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
dans les antécédents du malade : pas de maladie antérieure, pas de syphilis , de saturnisme, d'épi- lepsie, de maux de tête
n foyer hémorra- gique dans le cerveau. H. D'O. IV. SUR UN cas DE syphilis INTRA-CRA1'lIENI<E; par HUGHLINGS JACKSON. (
els sont les symptômes que II. Jackson croit pouvoir rapporter à la syphilis . Il étudie successivement ces différents phénom
istant surtout sur les caractères spéciaux qu'ils affectent dans la syphilis céré- brale. Aucun symptôme nerveux n'est carac
r 1880.) II. D'O. X. L'aliénation mentale dans SES rapports avec la SYPHILIS ; observations par 111..TULIUS MICIiLE, médecin
démence chez des sujets syphilitiques. Chez le premier malade, la syphilis s'est présentée avec son cortège habituel : cha
es s'étaient amendés. M. Mickle fait remarquer que, dans ce cas, la syphilis n'a sans doute agi, pour produire ces troubles
servation est celle d'un mélancolique qui ne portait aucun signe de syphilis à son arrivée à l'asile et qui i mourut de tube
s un état de profonde démence avec une parésie faciale droite. - La syphilis ne fut découverte chez ce malade que deux ans p
et de la pachyméningite apparte- nant à la période secondaire de la syphilis . La démence ne surviendrait que plus tard et se
. Ve Adrien Delahaye et Lecrosnier éditeurs. III. Influence de la Syphilis sur les maladies du système nerveux central, pa
la faculté. Il s'agissait de discuter l'influence étiologique de la syphilis sur quelques-unes des affections du système ner
es, à la fin du volume). M. Chauvet n'admet pas l'in- fluence de la syphilis sur la congestion, l'anémie cérébrales, l'hémor
ingite cérébrale, et de l'encé- phalite. M. Chauvet ne croit pas la syphilis capable de pro- duire la paralysie générale, ma
premier groupe, M. Chauvet reconnaît une influence étiologique à la syphilis , pour le second groupe, au contraire, il n'adme
faut pas l'oublier, le titre de la thèse était : « Influence de la syphilis » et non pas « lésions syphilitiques . » Dé mêm
ême, quelques pages plus loin, M. Chauvet admet l'in- fluence de la syphilis sur des scléroses ascendantes ou descen- dantes
M. Fournier; aussi est- il peu disposé à admettre l'influence de la syphilis sur les né- vroses, tout en reconnaissant, cela
tL fJ ! : ML> : SJ DISSOÇIÉE IDEpLA TROISIÈME J PAIRE,' DANS; LA SYPHILIS , CÉRÉBRALE J parjPARINAUD ? 5oC. \ l'^>Wj99h
itement')') antisyphilitique ? P les' médecins lui affirmant que.la syphilis n'avait-, rien à faire avecf cette ]|Rj9 stftqa
('i, ï, 1-i-J à ;< i- ' Il n ." ' '^ '' ,' i-J4 ? 'i annee de sa syphilis , ayant .plusieurs gommes sur, les bras, lut fra
J L'auteur indique encore les excès de tabac, de the, de'café,'la syphilis et la plus grande fréquence de la maladie dans le
i c y ? >. quelois, relever d une cause unique (excès génitaux , syphilis ), tH ? h ? . Ilnl IIIIY11 9'1 Illr 1' l1[/1 n r
3'i'rnir' (;Dans cesjhuit cas, les, trois conditions. étiologiques, syphilis , froid et humidité,, surmèneraient, existent is
rent' atteints . ? ^* z L observation y est' ,plus compliquée; la r syphilis ; le 1 coït de out, une vié' irréâulièrë, dè nom
icatoires ; l'iodure de potassium est indiqué 's'il y a a 1- eu' 11 syphilis . i 1 ? 1 '1 1 . J - I ' il c. fc - .. r . ' ,,
t otiIi 'i.)'J)i'lH'iq i. sa ? ' `ill' . "'l'1TIIOlI"r -j XXXIX : Syphilis ; DU[ système1 nerveux; par f.-Ti.IÇFUT.I(Çlçieago
c, 14 février 1880.) L'auteur rapporte d'abord deux observations de syphilis céré- brale, qui peuvent se résumer de la maniè
aquelle Heubner attache une grande importance au point de vue de la syphilis cérébrale, REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 459
ales médico-psychol., nov. 1880). REVUE DE THÉRAPEUTIQUE XVIII. SYPHILIS ; accès D'ÉPILEPSIE ET hémiplégie gauche ; NÉVR
plètement repris leur disposition normale. H. D'O. XIX. UN cas DE SYPHILIS cérébrale ; par GAMBERINI (Giornale Jtaliano dé
de la dégénérescence névro-musculaire. P. K. XV. DES rapports DE la SYPHILIS avec LE tabès DORSALIS ET D'UNE FORME particuli
ournit que quatorze pour cent d'ataxiques en puissance manifeste de syphilis secondaire, et encore aux âges propres à la maj
en trouver beaucoup rattachant les manifestations ataxiques à une syphilis antérieure ou actuelle ; M. W. attribue une cause
r la question. Ce serait, de plus, la seule systématisation de la syphilis que l'on rencontrerait. Jusqu'à présent, les lési
t indiqué de s'adresser à ce genre de médication dans les cas où la syphilis 582 REVUE D'ANATOMIE PATHOLOGIQUE. peut être
lement soupçonnée, car, en somme, cette question des rapports de la syphilis avec le tabes dorsal est loin d'être résolue. L
L'auteur communique à l'appui de ces assertions une observation de syphilis constitutionnelle (gommes du cerveau et dufoie)
nlc., 1880.) -10 : . - Le malade dont il est question avait eu la syphilis trente- trois ans auparavant ainsi qu'en témoig
ans une foule d'autres affections céré- brales ou spinales, dans la syphilis , etc. Depuis son dernier mémoire, Erbaréuni qua
Veurologa'st, 1880, n° 1, p. 78.) M. Mac Lane Hamilton croit que la syphilis est en cause dans certaines formes d'hypochondr
tat latent, en créant une prédisposition organique. Souvent même la syphilis des parents devra être recherchée, ou bien le m
En somme, M. Hamilton considère qu'il faut souvent soupçonner la syphilis ancienne et bénigne chez un homme hypochondriaque
par J. Hussell, li53. Paralysie de la 3e paire, dissociée dans la syphilis cérébrale, par Parinaud, 299. Paresthésie (su
9. Sympatique (altération pathologi- que du), par Blanchi, 284. Syphilis nerveuse. Affections pré- coces, par Mauriac, 4
4. Syphilis nerveuse. Affections pré- coces, par Mauriac, 463 - Syphilis (rapports de la) et du tabès dorsal, par Westph
Syphilis (rapports de la) et du tabès dorsal, par Westphal, 580. Syphilis (influence de la), sur les maladies nerveuses,
influence de la), sur les maladies nerveuses, par Chauvet. 164. Syphilis cérébrale, parStenger,5SS. Syphilis cérébrale,
erveuses, par Chauvet. 164. Syphilis cérébrale, parStenger,5SS. Syphilis cérébrale, par H. Jackson, 142. Syphilis (rap
brale, parStenger,5SS. Syphilis cérébrale, par H. Jackson, 142. Syphilis (rapports de la) et de l'a- liénation, par Mick
Syphilis (rapports de la) et de l'a- liénation, par Mickle, 152. Syphilis nerveuse, par Fut, 313. - Système nerveux centr
ctricité, par Beard, 333; l'épilepsie, etc, par Rus- sell, 491; - syphilis cérébrale, par Gamberini, 492; de l'épi- leps
u, par Bristo\ve, 142, Tumeurs intracrâniennes du pont de Varole ( syphilis ), par Stenger, 588 ; (leçons cliniques sur les)
46 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
presque tous, l'alcoolisme était le facteur étiologique signalé, la syphilis étant notée dix fois la dégénérescence vingt-qu
mplement que dans ces cas nos rensei- gnements n'indiquaient pas la syphilis dans les antécédents). Les altérations pouvaien
in les lésions n'étaient pas bilatérales. Pour ce qui concerne la syphilis , nous n'avons pas observé de lésions dechorio-r
sieurs cas de lésions des centres nerveux manifestement indemnes de syphilis et pourtant améliorées ou guéries sous l'influe
te pas de' REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 183 douleurs de tête; la syphilis est catégoriquement niée. Reste l'hypothèse de
admissible, il s'agit probablement d'un hématorachis. G. C. XVII. Syphilis médullaire et bulbaire précoce ; par M. Collet .
du bulbe, d'une polyoméhte avec polieucéphalite circonscrite. La syphilis est la raison très probable de ces lésions. Les a
un jeune homme de vingt-neuf ans sans antécédents pathologiques (ni syphilis , ni alcoolisme, ni cardiopa- thie, ni albuminur
consécutifs. Les auteurs portèrent, dès ce moment, le diagnostic de syphilis héréditaire. En octobre 1897, la malade présent
culaire du processus qui, pour les auteurs, ne peut être ici que la syphilis . Les notions récentes acquises au point de vue
siques ou mentales sont créées par l'alcoolisme, la tuberculose, la syphilis , etc., autant de fléaux contre lesquels elles o
toutes les encéplalo- pathies syphiliques. Or, toutes les formes de syphilis cérébrales ne se terminent pas par la paralysie
rimitivement dans le tabès, et, si l'on admet que les lésions de la syphilis sont avant tout lymphatiques, on peut dire que
pelle les cas extrêmement nombreux de tabétiques d'une part et de syphilis cérébro-spinales d'autre part, dont il a eu à exa
toutes les étiolo- gies de carie dentaire, hystérie, neurasthénie, syphilis , si souvent invoquées sans fondement bien réel.
ssance, aplasie diverses); chez tous on constatait des stigmates de syphilis ancienne, d'ordre héréditaire et chez deux d'en
s d'après l'auteur ne reconnaissait pas d'autre cause que l'hérédo- syphilis . ' G. D. XXXI. Nouveau cas de tabès fruste chez
e, 1902, n° 10). Un homme de cinquante-sept ans, ayant contracté la syphilis , il y a dix-sept ans, présente des symptômes in
d'une sclérose disséminée chez une enfant de douze ans, atteinte de syphilis héréditaire probable, ayant débuté cinq ans REV
. Et puisque la cause du tabès doit surtout être recherchée dans la syphilis , on comprend aisément la fréquence de l'aortite
nt la fréquence de l'aortite comme manifestation vasculaire de la syphilis . La même chose peut être affirmée pour l'alcool
ses parties inséparables que débute le tabès sous l'influence de la syphilis . M. Raymond admet le tabès comme ne se produisa
nd admet le tabès comme ne se produisant que sous l'influence de la syphilis ; mais il survient dans un organisme syphilisé p
lutôt que comme accident directement syphilitique. D'ailleurs si la syphilis crée seule le tabès vrai, la lésion systéma- ti
postérieur médullaire peut se produire dans d'autres maladies sans syphilis antérieure, telle par exemple la maladie de Fri
cédentes on parvint seulement à apprendre que le malade avait eu la syphilis à l'âge de vingt ans et comment est survenue la
ns terminaux de la longue série des formes morbides provenant de la syphilis . , . DISCUSSIONS. De B. Sémidaloff et le Dr V
ne voit pas de raison d'attribuer la cause de la lésion donnée à la syphilis , car un symptomocomplexus pareil est aussi poss
symptomocomplexus pareil est aussi possible sans l'existence de la syphilis . Les docteurs S. Soukiianoff, A. POPOFF et V. V
s, pas de coryza chronique antérieur, pas de rhinite spécifique. La syphilis ne parait pas non plus devoir être incriminée b
droite survenue en 1880. Le malade ne pense pas avoir contracté la syphilis . Traitement. Le traitement a été commencé le 22
e nous ayions recherché cette cause avec le plus grand soin; pas de syphilis , pas d'épilepsie et rien de particulier dans le
roubles oculaires, pas de signe 356 CLINIQUE NERVEUSE. d'it,-yll. Syphilis improbable. La seule éliologie plausible mais b
paralysie générale. Nous ignorons notamment si cette malade a eu la syphilis . La seule chose d'ailleurs qui nous. paraisse i
uche et une démangeaison à la lèvre. Il eut peur d'avoir attrape la syphilis , courut de médecin en médecin en suppliant qu'o
d'alarme poussés, pour ne parler que des plus grands dan- gers, la syphilis et l'alcool, dont quelques-uns vivent et dont tou
causes variables; dans 1 cas, la manifestation des symptômes de la syphilis cérébrale influa d'une manière favorable sur les
otte, coexistence d'une tachycardie assez mar- quée. G. C. LXXVH. Syphilis cérébrale ? Souffle céphalique ; par M. CLAMENT
ts, la présence d'un ganglion occi- pital, M. Clément pense à de la syphilis héréditaire, et institue un traitement mixte qu
it que signaler le fait. G. Carrier. LXXVIII. Paralysie générale et syphilis en apparence bénigne; par M. Devay (Echo médica
p. 33). , M. Devay met en évidence le rôle important que joue la syphilis dans l'étiologie de la paralysie générale. D'ap
nne apporte deux nouvelles observations dans lesquelles, au lieu de syphilis et d'affection spinale, existait diabète sucré
ésidence DE 11. PAUL RICHER Abolition du réflexe pupillaire dans la syphilis . M. Polguère rapporte quelques cas de syphilis
e pupillaire dans la syphilis. M. Polguère rapporte quelques cas de syphilis qu'il suit depuis six ans au moins, quelques-un
hasard malgré l'absence de tout stigmate et de tout commémoratif de syphilis , la malade est partie guérie. Elle a eu à inter
de paraplégie organique, nous trouvons le mal de Pott (la cas), la syphilis médullaire (4 cas), le cancer de la colonne ver
588 TABLE DES MATIÈRES. par Delille et Egger, 473. gfné- raie et syphilis en apparence bé- nigne, par Devay, 534. - ocu-
roubles psychi- ques dans la -, par P. Marie et. Guillain, 203. Syphilis . Traitement de lésions non syphilitiques, par G
47 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
quet publie quatre observations (une de sclérose mul- tiple, une de syphilis , une de ramollissement cérébral chronique et un
n TENANT PLUS p.\nTlCULrÈl\E1 ! E'-¡T COMPTE DE L'INFLUENCE DE LA syphilis ; par C REI,1;11.IRD. (Allg. Zeitsclv. f. Psych.
utte pour la vie, puis l'ivrognerie (du moins pour les femmes) ; la syphilis n'occupe que le troisième rang et l'hérédité le q
P. K. XLII. Sur LES rapports ENTRE la paralysie PROGRESSIVE ET la syphilis ; par M. GOLDSTEIN. (Allg. Zeitschr. f. Psch ? XL
de 466 malades montre d'abord que, lorsque les hommes qui ont eu la syphilis sont atteints d'affections psychiques, ils sont
; en secondlieu, le nombre des paralytiques généraux qui ont eu la syphilis plus ou moins longtemps avant l'explosion de la
avant l'explosion de la psychose est remarquablement élevé. Mais la syphilis est- elle le facteur propre, direct, de la para
e différence -clinique entre la paralysie générale qui succède à la syphilis et celle qui se produit sans qu'il y ait eu pré
syphilis et celle qui se produit sans qu'il y ait eu préalablement syphilis , comme il n'existe pas non plus de signe anatom
si merveilleux contre toutes les localisations encéphaliques de la syphilis , aggrave la situation, quelques précautions que
dement ; c'est tout au plus si l'on est en droit de supposer que la syphilis diminue la force de résistance du cerveau et pe
c'est-à-dire par des matières étrangères à l'organisme (bactéries, syphilis ), malaria, alcool, ergotine, narcotiques, gaz t
ontre la rigidité, l'immo- bilité des pupilles à la lumière dans la syphilis et ce symptôme se combine de la manière la plus
re eux était soupçonné de tabes, l'autre avait eu antérieurement la syphilis . Sur six cent soixante-dix alcooliques, on renc
r trois démences séniles, trois labétiques, deux épilep- tiques, un syphilis de la base, une folie systématique, soit une pr
congénitale de l'écran irien, et une fois chez un enfant atteint de syphilis héréditaire. Il importe du reste, de bien disti
'oculomoteur commun et du trijumeau du côté droit, impu- table à la syphilis , la malade ne pouvait plus pleurer qu'avec l'oeil
que neuropsychiatrique de Berlin. On rencontre ces troubles dans la syphilis spinale, la chorée, les tumeurs cérébrales, l'h
muscles du larynx ne sont pas affectés de mouvements choréiques. Syphilis spinale (un cas), immobilité de la corde vocale g
signaler. Antécédents personnels. Rougeole dans l'enfance. Pas de syphilis . Pas d'alcoolisme. Le malade depuis 1871 a mené u
nt deux verres de sang le matin, depuis qu'il est à Paris. Pas de syphilis . Il travaillait en dernier lieu aux Halles cen-
que ses parents, sa mère ainsi que son père étaient atteints de la syphilis . Le père est mort paralytique et la mère est mo
- anatomiques de cet organe : l'un chronique, ayant pour cause la syphilis et développé sur le terrain syphilitique et de
iques malgré trois ans de durée, absence d'alcoolisme, absence de syphilis . L'hypothèse d'une maladie de Friedreich survenue
eux central, par Tu. RUMPF. (A9'CIE. f. Psyeh., XVI, 2.) I. De lu syphilis du cerveau et de la moelle. - Un homme de trente
ar l'auteur, ou 1883 et 1884 comprenaient L cinquante-neuf faits de syphilis secondaire ayant précédé l'ataxie locomotrice;
buveur acharné indemne de toute tare héréditaire névropathique, de syphilis , en proie à du désordre dans les idées, qui en
nomènes intermédiaires entre la grossesse et le premier signe de la syphilis passée, dans l'espèce, inaperçue ? Est-ce que p
11 n'a jamais fait aucun excès de boisson et n'a jamais souffert de syphilis . Le 22 décembre, à huit heures du soir, l'accès
il n'y avait aucuns antécédents héréditaires de maladies, tels que syphilis ou mal de Bright, aucun antécé- dent d'alcoolis
e; il a éprouvé parfois des céphalalgies, mais pas de migraines; ni syphilis , ni rhuma- trisme. etc. En 1878, coup de pied d
normal. Le cerveau de'para- lytiques généraux consécutivement à la syphilis décèle des alté- ration, des gaines lymphatique
traitement antisyphilitique, dans les cas de tabes où il y avait eu syphilis antérieure. Sur vingt-quatre malades, quatre guér
- (et sclérose latérale), 71 ; - (et pachyméningile), 73; - (et syphilis ), 80, 86 ; - (lé- sons épendymaires dans la),
elative aux tentatives de) , 78. j Suicidés (cerveaux des), 89. Syphilis et paralysie générale, 80, 86. Système nerveu
48 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
extrémités inférieures, avec atrophies muscu- laires partielles. La syphilis est en jeu, car il existe une infil- tration ch
inq observations, dont quatre reconnaissent, d'après l'au- teur, la syphilis comme seule cause (syphilis du mari - avor- tem
e reconnaissent, d'après l'au- teur, la syphilis comme seule cause ( syphilis du mari - avor- tements = syphilis de la femme)
, la syphilis comme seule cause (syphilis du mari - avor- tements = syphilis de la femme), forment le fond du premier mémoir
are partisan de la genèse syphilitique' de l'ataxie locomotrice; la syphilis produit, dans l'immense majorité des cas, l'aff
observations concernant des femmes tabétiques, ou a pu constater la syphilis dans les commémoratifs ; chez presque toutes, o
tre l'infection et le tabes est représenté par sept années. - 4o La syphilis dans ces cas a tou- jours été légère. 5«On a vu
s de FOYERS DE ramollissement MULTIPLES dans l'encéphale, DE par la syphilis ; par A. ROSENTIiAL. (Cen- tralbl. f. lVervenhe
té des circonvolutions temporales mêmes. P. K. XIX. Tabès dorsal ET syphilis ; par. W.-TH. de RENZ. (Centralbl. f. Ne2,ve2zh
xus pudendo-hémor- rhoïdal, qu'il s'agisse de refroidissement ou de syphilis . D'ail- leurs, la théorie parasitaire cadre par
enage (fatigue, refroidissement, 100 REVUE DE pathologie mentale. syphilis ), les nerfs périphériques; leur lésion, due aux c
uestion de la genèse de la paraly- sie générale : sénilité précoce, syphilis , etc... : question à revoir). Conclusions prati
ce. Il lui semble impossible de rattacher l'affection nerveuse à la syphilis . Ce malade, de même que d'autres paralytiques g
milière à chacun de nous (Charcot et l'école de la Salpêtrière). La syphilis cérébrale mérite encore un chapitre spécial dep
et sur deux obser- vations de M. Charcot. G. D. XXI II. UN cas DE syphilis centrale secondaire; par M. le Dr LANDOUZY. (FI
te-sept ans, présentant des manifestations cutanées et muqueuses de syphilis qui fut atteint d'une hémiplégie de la face du
état de mal présenté par cette malade. G. D. XXV. Observation DE syphilis cérébrale; par le Dr Le DENTU, chirurgien de l'
avait une ancienne blessure non cicatrisée du frontal contracta la syphilis , celle-ci provoqua par la suite une série d'acc
ixe spinal à marche ascendante, dans la patho- génie de laquelle la syphilis aurait joué le principal rôle. XXVII. Hémiplégi
e Neurologie, t. VII, p. 379. 266 SOCIÉTÉS^ SAVANTES. mentale, de syphilis , d'une affection consécutive à une altercation,
à sept ans et demi; bave, succion, parole nulle, gdtisme, etc... - Syphilis : roséole, plaques muqueuses anales, adénites.
en à la verge : ganglions inguinaux très développés des deux côtés ( syphilis ). r. 7 octobre. L'éruption est plus conlluente
e; kleptomanie, mendi- cité. Onanisme. - Accès de colère, jalousie. Syphilis (1882-1883); injections sous-cutanées de pepton
tie moyenne une petite élévation de deux millimètres de lon- gueur ( syphilis ). ' , , 1883. 30 janvier. La syphilis est en vo
millimètres de lon- gueur (syphilis). ' , , 1883. 30 janvier. La syphilis est en voie de diminution ; des- quamation des
58. - Aucun antécédent héréditaire, pas d'excès alcooliques; pas de syphilis ; excès vénériens et onanistillues. ' Chagrins d
s du second lit n'ont jamais été ma- lades. Dans ces conditions, la syphilis ne peut guère être mise en doute chez le père d
oportion de l'ivresse = 24,2 p. 100. Im- portance très minime de la syphilis : sur cent-soixante-et-un cas, il n'y avait sûr
de la syphilis : sur cent-soixante-et-un cas, il n'y avait sûrement syphilis que chez dix-neuf individus (anamnestiques); or
a paralysie générale; les hommes en sont plus aisément atteints. La syphilis , en tant qu'élément étiologique, doit être envi
la paralysie générale, ou à une affection organique du cerveau, la syphilis n'est peut-être que la cause occasionnelle de c
ales, dans les grandes villes qui environnentGrafenberg. Quant à la syphilis , à Siegburg, il y a parmi les paralytiques généra
proportion de plus de 1 p. 100. En tout cas, il est clair que la syphilis a, dans la paralysie générale, plus d'importance
certain, comme le dit Snell, qu'il faut se garder d'attribuer à la syphilis une influence pathogéné- tique en ce sens quand
lyse anatomo-pathologique de l'observation. M. FINHELNBURG. Si la syphilis jouait un aussi grand rôle dans la production d
sses sociales relevées, on ne ment que trop souvent sur le chapitre syphilis . M. HURLE. La syphilis se comporte vis-à-vis de
n ne ment que trop souvent sur le chapitre syphilis. M. HURLE. La syphilis se comporte vis-à-vis de la paralysie générale,
psychiatrique de la province du Rhin, 445. Surdité verbale, 95. Syphilis , 99; - (centrale secon- daire), 226 j - (cérébr
tret, 76. Tabes chez la femme, par Moebius, 98. Tabes dorsal et syphilis , par de Reuz,99; (avec atrophie), par Eulenbu
49 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
veux, aux maladies mentales, aux rapports de ces affections avec la syphilis et la der- matologie. Comme par le passé, nou
ouche de 5 mois 1/2). Le père de Louis X..., âgé de 34 ans, a eu la syphilis . Louis X... est donc venu au monde à 6 mois 1/2
opre » d'assez bonne heure. Louis X... présente divers stigmates de syphilis héréditaire. Disons cepen- dant qu'il est fort
s'est marié à 24 ans, en 1889. Trois ans auparavant, il avait eu la syphilis . Son oncle paternel est ataxique. Il a épousé M
nfants sont issus de pères syphilitiques ; dans un cas (obs. II) la syphilis ne datait que de 3 ans; les mères semblent être r
tion nerveuse dont il souffre soit sous la dépendance directe de la syphilis ou au moins se soit développée sous son influen
de rapporter. Mais enfin ces faits nous permettent d'établir que la syphilis ne doit pas toujours être innocentée dans la prod
ue les deux mala- dies ne sont pas réunies par une cause commune la syphilis , car celle-ci fait assez fréquemment défaut soi
cérébro- spinal ». Dans tous ces cas d'ailleurs, une même cause, la syphilis , domine l'étiologie des lésions encéphaliques e
ès léger. - De plus X... est syphilitique depuis plus de il ans. Sa syphilis a été d'intensité moyenne et traitée régulièrem
Elle ne faisait pas d'ex- cès éthylique. Elle n'a pas contracté la syphilis . Elle exerçait le métier pénible de blanchisseu
n admettant qu'elles soient des produits directs ou indirects de la syphilis . Le traite- ment spécifique ne me paraît avoir
gieeten 1880 un chancre mou qui guérit en quelques jours. Pas de syphilis , de rhumatisme, de paludisme. Son affection act
ient faire ex- clure une tumeur proprement dite. Enfin l'absence de syphilis et de tuber- culose, éloignait l'hypothèse d'un
ents chapitres de la pathologie interne. " Les maladies de peau, la syphilis , la lèpre, les maladies épidémiques, la peste e
e coup sur coup, la fièvre typhoïde, .puis il peine convalescent la syphilis , et trois mois plus tard chute d'un 3e étage su
saltimbanque. Il raconte que c'est depuis sa fièvre typhoïde et sa syphilis , qu'à certains moments, sans motifs, il ne peut p
était une syphilitique avérée et sa lésion médullaire relève de la syphilis . Obs. 1 (1). C..., àgée de 31 ans, couturière,
éguliers, que l'on ne voit pas dans les lésions vascu- laires de la syphilis nerveuse, sont infiniment plus nombreux que les
sont ici bien évidemment sous la dépendance d'une cause pyogène. La syphilis , à moins de complication infectieuse, n'est pas p
et à configuration plus irrégulière que ceux que l'on voit dans la syphilis . Mais la grande différence réside clans la natu
nts de ceux qui sont appelés électivement par l'agent morbide de la syphilis , ces leucocytes sont en voie de dégénérescence en
jamais présenté d'acci- dents nerveux. En 1883, elle contracta la syphilis . Pendant trois mois elle fut soignée à la consu
endant trois mois elle fut soignée à la consultation externe. Cette syphilis , sur l'existence de laquelle il n'y a aucun dou
la malade, il en est ainsi depuis 17 ans, c'est-à-dire dès avant sa syphilis . , Les membres inférieurs et l'abdomen sont le
ielles, diffuses, qu'il faut évidemment mettre sur le compte, de la syphilis ; ces altérations, tout en gardant en partie un a
qui précèdent habituellement l'explosion dès accidents graves de la syphilis cérébro-spinale : céphalalgies, paralysie faciale
que l'on a l'habitude de considérer comme carac- téristiques de la syphilis dans un cas, l'absence complète de lésions ana-
ogique ne nous permet de soupçonner qu'une infection, associée à la syphilis , donne à celle-ci une marche spéciale. Il est,
re observation est fort importante au point de vue de l'étude de la syphilis médullaire, car elle représente un type extrême d
e et à la stase hyperhémique. C'est une allure toute spéciale de la syphilis qui ha- bituellement a une évolution néoplasiqu
appliquée à la cause anatomi- que de certains accidents aigus de la syphilis médullaire, me paraît donc être, clans un certa
surmontable à son avan- cement. Entre temps (1895), il contracte la syphilis qui se traduit actuel- lement chez lui par une
amais dû exister ». Notons qu'il est d'apparence robuste, malgré la syphilis qu'il a contrac- tée et que la situation de for
50 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
2 ans, suivie d'une névralgie intercostale. Pas de commémoratifs de syphilis . Deux enfants bien portants, trois enfants mort
ont eu lieu. Antécédents héréditaires. - Père bien portant. Pas de syphilis , pas d'al- coolisme. Mère morte il y a trois an
s. Il affirme qu'il n'a jamais eu ni de maladies vénériennes, ni de syphilis . Et lorsqu'il gagne suffisamment, il e,st bon man
opinion surtout on peut dire que de ces intoxications (alcoolisme, syphilis , tuberculose) il manque assez souvent toute trace
les causes, qui peu- vent produire les anévrismes (artériosclérose, syphilis , traumatisme, etc.). La névrite multiple pouvan
es causes de la forme congénitale il faut rappeler l'alcoolisme, la syphilis , la cachexie des parents : donc dans mon cas, on
La femme du malade est bien portante, mais obèse. Le malade nie la syphilis . Il a exercé les professions de maçon et de men
Beitrag zur Casuislsk der Sclerodermia. Archiv für Dermatologie und Syphilis , 1898, vol. 43. ' (4) Eddowes, Alopecia, Leucod
urs régulièrement, elle n'est pas mariée. Elle nie l'alcoolisme, la syphilis ou toute autre affection vénérienne. Pas de tra
faits que nous allons citer, il plaide pour le rôle important de la syphilis dans l'étiologie du vililigo. Nous donnerons d'
ésumé, il s'agit d'une malade présentant de multiples symptômes (je syphilis tels que déformations tilriales, troubles laryngé
e la nu- trition générale, des infections telles que la lèpre on la syphilis ainsi que de lésions nerveuses. Pour Gaucher
re on la syphilis ainsi que de lésions nerveuses. Pour Gaucher la syphilis agi t en déterminant des troubles de la nutri-
sclérose superficielle de la langue qui imposait le diagnos- tic de syphilis bien qu'elle n'ait pas présenté d'autres symplôme
s, car il a vu un malade atteint d'un vitiligo ancien contracter la syphilis . Il est évident que ce dernier cas n'exclut nul
tour, tout en reconnaissant l'existence du vitiligo en dehors de la syphilis , insiste sur lerôle de cette dernière maladie dan
es pressions répétées ou des lésions traumatiques banales. Enfin la syphilis pourrait déterminer parfois des troubles de la
de ce dernier. Notre cas parle également dans le même sens, car la syphilis est cer- taine. Mais comme le trouble trophique
ble trophique cutanéest congénital, il faut admet- tre alors que la syphilis a dû être héréditaire dans ce cas, ce qui concord
itre exophtalmique. Ainsi que nous l'avons vu, Gaucher pense que la syphilis agit en déter- minant des troubles de la nutril
ues, un viti- ligo des plus caractéristiques. Dans les deux cas, la syphilis était niée et en tout cas incertaine. Ils rappe
flexes tendineux et sans douleurs fulguran- tes. Le malade niait la syphilis , mais il était pourtant en pleine évolution d'u
arquer que pareils troubles de développement se rencontrent dans la syphilis héréditaire. Nous rappellerons que l'hypertroph
s la R. neurol., 1903, p. 418. 3. Marie et CROUZON. - Vitiligo el syphilis , Soc. de dermatologie, 6 novembre 1902, analysé
1903, p. 478. 4. Thibierge. Sur les relations du vitiligo el de la syphilis . An. de dermatologie, n" 2, 1905, analysé dans
neurologique, p. 685, 1905. 5. Gaucher et GOUGEIIOT. - Vitiligo et syphilis , Soc. de dermal. et syphil., 8 mai 1913. La Pre
ie infectieuse quelconque, et chez lui il n'y a pas de symptômes de syphilis ; la réaction de Wassermann a été négative. C
d'aucune sorte : on ne peut retrouver dans son passé aucune trace de syphilis . Histoire de la maladie. - Il y a deux ans, en
à précession hypophysaire et à prédominance génitale secondaire. Syphilis à part, c'est la même filiation des accidents qui
ogie satisfaisante. Ici nous sommes sur un terrain moins solide. La syphilis ne peut être invoquée comme dans le cas de MM.
n par insuffisance ou viciation de la circulation. Pour Fournier la syphilis suffirait à produire ce résultat. Pour Meltzer (2
rien de particulier dans les antécédents personnels du malade : ni syphilis ni maladie infectieuse ou traumatique quelconque.
antécédents personnels on trouve la variole à l'âge de 20 ans et la syphilis à celui de 21 ; le malade n'a suivi aucun traitem
lui de 21 ; le malade n'a suivi aucun traitement spécifique pour la syphilis , si ce n'est une injection de néo-salvarsan il y
ement prononcée que la marche est tout à fait impossible. Il nie la syphilis . Sa maladie actuelle date de l'automne 1909 ; dep
12. Diagnostic : sar- come de la colonne vertébrale ( ? ). Nie la syphilis , il dit pourtant avoir eu il y a 14 ans une érupt
Comme antécédents, il aurait eu la fièvre palustre à 23 ans ; nie la syphilis et toute autre maladie infectieuse. Le 28 nov
ques ou de pachyméningites, ces lésions peuvent avoir pour cause la syphilis , la tuberculose, ou bien être le reliquat de quel
binski, de Cestan et Ravaut ont été rigoureuse- ment attribués à la syphilis . De même dans plusieurs observations à marche e
lé attribuée à un néoplasme médullaire ou de voisinage. En résumé syphilis , tuberculose, microbes banals, néoplasme ou autle
est 0 gr. 50-0 gr. 68. Ce chiffre peut être déterminé aussi par une syphilis du névraxe, ou par les méningites alcooliques.
eiten, Deutsche Zeitschr. f. Nervenheilk., 1911, Bd. 42 S. 201. - Syphilis und Nervensyslem. Neunzelin Vorlesungen, Berlin,
51 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
corps et de la langue; ni convulsions, ni migraines, ni indices de syphilis ; poussées d'eczéma; otite double. Fume beau- co
ies frontales n'ayant pas le caractère des migraines; nul indice de syphilis ; mariée à vingt et un ans. (l'ère, aucun détail
nt. Science. (iL). REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 43 ou plutôt la syphilis congénitale, qui toutefois reste douteuse. Un a
différent. Le malade est un homme de trente-neuf ans ayant eu une syphilis peu intense en 1891 ; vers 18ut, ictus légers noc
té atteint de fièvre typhoïde à l'âge de quinze ans; a contracté la syphilis au régiment; 18 mois après, iritis de l'oeil ga
ante-neuf ans, femme de ménage. Absence d'antécédents héréditaires. Syphilis conceptionnelle ; le mari est mort en effet de
n ans, boulanger. Absence d'antécédents héréditaires et personnels. Syphilis en 1883 avec cortège classique d'accidents seco
sie générale. Or, il ne faut pas oublier le rôle si important de la syphilis dans l'éclosion de ces deux maladies; d'autre p
es; d'autre part, M. Babinski et son élève, M. Charpentier, dans la syphilis héréditaire ou acquise, ont pu observer le sign
autre trouble du système nerveux. Faut-il, dès lors, faire de la syphilis la cause fréquente, sinon exclusive du signe d'Ar
ui peut expliquer la perte du réflexe lumineux chez nos malades, la syphilis créant la myélite spasmodique et le signe d'Arg
'enfance d'une hémi- plégie cérébrale droite spasmodique ; prend la syphilis , pré- sente des douleurs fulgurantes, des troub
rale, la droite relevant de l'enfance, la gauche provo- quée par la syphilis cérébrale, paralysie qui évolue avec des douleu
ctéristique de leur maladie, aussi peut-on admettre que chez eux la syphilis a créé une lésion médullaire combinée, d'une pa
à l'heure actuelle, avec les idées régnantes sur l'influence de la syphilis dans la création du tabes. Cependant nous n'avo
l chez nos deux ma- lades, d'une part que ce signe soit créé par la syphilis en dehors de toute lésion tabétiforme des cordo
vingt-deux ans, atteint de tabès vrai avec prédisposition due à la syphilis paternelle ; père également alcoolique; ce n'es
e; ce n'est pas une allection syphilitique héréditaire directe, une syphilis cérébrospinale. Douleurs lancinantes, absence d
culose est produite par un bacille, l'alcoolisme par un liquide, la syphilis par un agent syphilogin, ne nous donne pas la cle
d'abolition des réflexes rotu- liens et du tendon d'Achille. Pas de syphilis , la vision est très limi- tée d'un côté avec lé
es associations morbides principales du tabes : paralysie générale, syphilis des centres nerveux, ophtalmie pro- gressive, h
umis au traite- ment mercuriel, si bien'que l'on peut incriminer la syphilis ou le mercure. Après une étude de l'hystéro-t
cas était intéressant en ce qu'il présentait un exemple très net de syphilis extra-spinale. Les douleurs et l'atro- phie ava
os. (Journal de Neurologie, 1900, n° 6.) XLI. Paralysie générale et Syphilis ; par MM. Sérieux et F.\RNA- RIER. (Bulletin de
bre 1900.) Ce travail se termine par les conclusions suivantes : la syphilis est de beaucoup la cause la plus fréquente de l
deux ans comme chiffres extrêmes. Quelle que soit la valeur de la syphilis comme cause de para- lysie générale, ce facteur
e para- lysie générale, ce facteur étiologique n'est pas unique. La syphilis n'a qu'une action banale, nullement spécifique
b ou alcool), poisons végétaux (maïs altéré), poisons micro- biens ( syphilis , variole), peut-être aussi les auto-intoxications
lente.' Un grand nombre d'auteurs lui assignent comme étiologie la syphilis héréditaire; 10° Les psychoses dégénératrices
vraie et seule cause de la paralysie générale progressive, c'est la syphilis non traitée ou négligée. Des observations soigneu
uvent que tous les paralytiques ne se faisaient pas traiter pour la syphilis ou bien qu'ils ne se faisaient pas assez traite
atteintes que très rarement de la paralysie progres- sive ou de la syphilis cérébrale. , M. WAHL. - La prédisposition héréd
dans l'étiologie de la paralysie générale. M. GREIDENllEIIG. - La syphilis ne peut être considérée comme la seule cause de
antérieurs. Entre les deux accès de folie, son malade contracta la syphilis . (.1 suivre.) Section de Neurologie. Le jeu
nation des infections et plus spécialement contre les ravages de la syphilis , la plus fréquente et la plus funeste de toutes
llaires frappés de dégénérescence crétacée ou graisseuse. III. La syphilis , comme on le sait, n'est pas une cause commune
t suivre sur une grande distance le long du plancher du crâne. La syphilis est, d'ailleurs, une cause commune de paralysie g
x formes de cécité tabétique, car l'étiologie est la même, c'est la syphilis . Mais il s'agit de localisations différentes d'un
ose latérale amyotrophique, de la syringomyélie, de la lèvre, de la syphilis , appartient bien à diverses espèces nosologique
osé par P. Marie et Castie ne vaut par suite rien ; d'autant que la syphilis n'y est peut-être pas étrangère. L'auteur pro
que (partielle) des cordons postérieurs. 11 en sera de même dans la syphilis ; on constatera les mêmes alternatives.des phén
o- mène du genou présente de bien plus grands changements dans la syphilis de la moelle, que dans des hémorragies apoplectiq
ique, parKlippel, 43. Hérédité dans la -, par Hameline, 161. - et syphilis , par Sérieux et Farnarier, 224. Vraie cause d
52 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
coeur, un varicocèle à gauche depuis quatre ou cinq ans ; pas de syphilis ni d'alcoolisme. N'a rien remarqué au point de vu
turie ; un seul témoignait de la polyurie. P. K. X. Sur un cas de SYPHILIS CRÉ13RO-SPINkLE ; par J. ALTHAUS. (Centralblutt
l était buveur. Cinq avaient eu jadis une maladie grave. Absence de syphilis . Une affection organique du coeur. En général,
e et de l'orbite : forme du globe oculaire dans le rachitisme et la syphilis ). L'albinisme n'est peut-être qu'une dyscrasie
o-meteur commun du côté droit, mais rien de plus. Rien n'indique la syphilis congénitale ou acquise ; la paralysie rétrocède
ans la majorité des cas de tabes chez la femme on a pu retrouver la syphilis dans les antécédents, et, dans presque tous, se
ec- tion et le début du tabès était en moyenne de sept ans. 4) La syphilis avait toujours été d'une forme légère. On ne trou
urs été d'une forme légère. On ne trou- vait plus de signes nets de syphilis , ni sur les malades chez lesquelles l'infection
es et trois femmes. Dans ce nombre dix avaient certainement eu la syphilis dont trois femmes, cinq l'avaient peut-être eue (
ique en rapport avec le tabès. Sur les quinze individus atteints de syphilis , vraie ou dou- teuse, huit accusaient en même t
pauvre; on y compte neuf syphilitiques et six individus indemnes de syphilis : onze ressortissent à la clientèle privée, et se
és par poisons lents, alcool, plomb, tabac, opium, morphine, par la syphilis , par la glycémie, ou par la rétention de produi
il a joui d'une bonne santé jusqu'à il y a deux ans et demi. Pas de syphilis ; pas d'alcoolisme. En octobre 1881, il res- sen
es nerveuses de la Charité de Berlin (56 h., 30 f.). Dans 51 cas la syphilis est niée; aucun signe, aucun commémoratif en pe
Chez un seul malade, on constate encore actuellement des signes de syphilis constitution- nelle (plaques muqueuses buccales
causes différentes (refroidissement, fatigues physiques exagérées, syphilis ) sans compter d'autres facteurs inconnus, et qu
en- tèle, 5 à la policlinique. Les premiers malades avaient eu la syphilis . Parmi les ! i autres, 3 en accusaient l'existenc
tion demeure la même; un très grand nombre de tabétiques ont eu la syphilis un peu avant. (Voy. Cetatral6latt. sur Nervenheil
dres que sur 8 autopsies de tabétiques, il a constaté trois fois la syphilis . Il partage la ma- nière de voir de Westphal au
mmes et de leurs avorte- ments. D'après l'orateur, sur 3,400 cas de syphilis on trouverait 290 névropathes dont 40 tabétique
nfants sains, sans aucun avortement, 3 pouvaient être soupçonnés de syphilis (avortements répétés, exostose du tibia chez un
du nerf optique. Si maintenant on adopte la théorie unitaire de la syphilis , on doit calculer que, sur les 49 cas précédents,
que, on relève la proportion de 28,5 et tout au plus 36,7 p. 100 de syphilis , c'est-à-dire une;proportion moyenne de 33 p. 1
s (58 h., 9 f.) et formulait la proportion de 40 p. 100 ayant eu la syphilis auparavant; en en défalquant les chancres mous,
mnes de tabes se traduit par 62 p. 100 n'ayant assurément pas eu la syphilis ; 26 p. 100, ou, si l'on exclut le chancre mou,
: 61,8 p. 100 non tabétiques, dont un indubitablement indemne de syphilis et 23,6 p. 100, ou, si l'on ajoute les chancres m
ue voici : sur 125 ta- bétiques, 46,8 p. 100 avaient sûrement eu la syphilis ; sur 155 non tabétiques, 15,8 p. 100 avaient à
ilis ; sur 155 non tabétiques, 15,8 p. 100 avaient à coup sûr eu la syphilis ; com- prend-on dans la répartition les chancre
M. REMAK. En aucun cas de tabes il n'a vu de phénomènes érup- tifs ( syphilis cutanée, etc.), tandis que chez les hémiplégiques
servations lui ont laissé l'impression, que, dans cette maladie, la syphilis joue peut- être un rôle. M. MENDEL. Communica
Iliologischen Ccntralblatt o. Ërtaugen, 1880 Die Beziehztîigeib der syphilis zur Dcmentia paralytica. Separatab- druck ans D
viug potassium iodide in very large doses for the la ter lésions of syphilis ; more especiali'ty syphilis of the nervous Syst
y large doses for the la ter lésions of syphilis; more especiali'ty syphilis of the nervous System. Brochure iii-8o de 18 pa
Lambl, 269. Stéréognostiques (recherches), par Hoffmann, 134. Syphilis cérébro-spinale, par AI- tbaus, G4. 64. Syrit
53 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
cas d'hydromyélie, soit 5B p. 100 d'altérations de la moelle. La syphilis antérieure était certaine chez six d'entre eux, p
est décerné à M. Bonnet, auteur d'un travail sur les Rapports de la syphilis et de la paralysie générale. Un seul mémoire av
ogie est restée obscure; pas de preuves ou d'indices d'hérédité, de syphilis , d'intoxication. MM. les Drs Korsakof, Minor, K
Un prêtre, âgé de 41 ans, sans hérédité psychique ou nerveuse ni syphilis dans l'anamnèse, mais ayant abusé des spiritueux,
ses symétriques semblables étant surtout fréquentes dans les cas de syphilis du système nerveux (et peut-être aussi dans l'a
parenchymateuse, mais seulement symétrique, périvasculaire. Dans la syphilis du système nerveux, on peut observer des névri-
otons toutefois la plus grande fréquence de l'alcoo- lisme et de la syphilis associés qui forment, avec l'hérédité, une tria
M. Ballet l'a vu pour lui-même en ce qui a trait aux rapports de la syphilis et de la paralysie générale. ' En attendant des
épétition du délire dans les attaques d'hystérie. 3° observation. Syphilis antérieure, fièvre typhoïde, à la suite démence
des nerfs optiques. Malade, soixante-deux ans, sans alcoolisme, ni syphilis , présen- tant une atrophie des deux nerfs optiq
de l'oculomoteur commun et du trijumeau. Le malade a en effet eu la syphilis . Tout récemment enfin, il a éprouvé des douleur
ralbl : de 1800. M. SIEUERLING. Etude clinique et anatomique sur la syphilis de la moelle. Voy. Archiv. f. Psychiatrie. -
athologique de la paralysie géné- rale ; Drs llloeli et Marinesco : syphilis du système nerveux; Dr Sioli : sur un cas de cé
einte d'hémiplégie d'origine céré- brale. Rec... n'a jamais eu la syphilis . En juillet 1889, il a été victime d'un acciden
e l'hérédité nerveuse est représentée par le chiffre dix-sept et la syphilis par le chiffre quatorze dans la même statistiqu
t eu des convulsions dans l'enfance. - Marié à vingt un ans. Pas de syphilis . Céphalalgies assez fréquentes, sans vomissements
e causalité entre le mariage et la folie paralytique. ' G. D. Il. Syphilis ET paralysie générale; par le Dr CUYLITS. (BüLi.
générale, deux éléments sont nécessaires : l'hérédité d'abord et la syphilis ensuite. La statistique qui a servi de base i
11 femmes). Sur ces 30 paralytiques, 13 avaient eu certainement la syphilis , chez 8 la syphilis était seulement probable, et
30 paralytiques, 13 avaient eu certainement la syphilis, chez 8 la syphilis était seulement probable, et chez les 9 autres
nn. nzédico-psychol., février 1891.) La question des rapports de la syphilis avec la paralysie gêné* raie est l'ordre du jou
ujours à savoir si, oui ou non, les paralytiques généraux ont eu la syphilis . ' ,l Il est probable que des statistiques bien
ettront d'élu- cider un des points importants de la question : « La syphilis est-elle un facteur étiologique de la paralysie
ue, a trouvé que nombre de paralytiques généraux n'ont jamais eu la syphilis , mais que, d'autre part, les paralytiques génér
ment une contribution d'un autre genre à l'étude des rapports de la syphilis et de la para- lysie générale : quand la syphil
es rapports de la syphilis et de la para- lysie générale : quand la syphilis précède de peu le début de la paralysie général
ux, particulièrement instruc- tives à cet égard, dans lesquelles la syphilis avait précédé d'un an le début de la paralysie
l'on a le plus de raison de considérer comme étant provoquées parla syphilis . 2 A ce caractère principal s'ajoutent, quoique
sur le degré de son influence, il n'en est pas moins certain que la syphilis est reconnue comme une des causes de la paralys
ux et l'on est amené à conclure que l'opinion qui fait jouer à la syphilis un grand rôle dans la production de la paralysie
nérale, est celle qui se rapproche le plus de la vérité. Comme la syphilis , l'alcoolisme est susceptible de donner nais- s
corollaire, on est autorisé à considérer les excès véné- riens, la syphilis et l'alcoolisme, très rares chez les religieux, c
'association des symptômes de l'hystérie avec la gliose spinale, la syphilis cérébrale, la paralysie faciale périphé- rique.
e, âgée de vingt-deux ans, qui niait obstinément avoir jamais eu la syphilis n'ayant, disait-elle, jamais eu aucun rapport a
amenait à son observation, elle était mariée; elle avait avorté, la syphilis était nettement mise en évidence, et elle avoua
an dans un cas de - , par Rey, 260 ; à Gheel, par Peeters, 402; - syphilis et -, par Cuylits, 403; surmenage et -, par C
54 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rhumatisme, pas de dar- tres ; rien ne permettant de soupçonner la syphilis . Ne boit pas d'alcool, dit la mère. Fume 0 fr.
ni dartres. Pas d'alcoo- lisme. Rien n'autorisant de soupçonner la syphilis . Pas de traumatismes. Caractère un peu vif. Mar
sénile, à l'artério-sclérosc cérébrale, aux tumeurs cérébrales, la syphilis cérébrale, la pa- ralyiu générale, à la polioen
en France, déclarait « qu'en fait de paralysie générale à deux, la syphilis , tout en étant encore l'hypothèse la plus plaus
e ; et enfin dans le troisième, la femme, primitivement infectée de syphilis ne devint L paralytique qu'après que son mari e
eurologie (1904, no 98), M. Gullcrre posa cette fois net- tement la syphilis comme l'élément étiologique de la 'paralysie gé
l'l )l ? chiquc habituels il celle maladie. 11 avait contrarié la syphilis au régiment, puisqu .on dire il avait eu la couro
lle du mariage. (28 janvier 1\1'1), semble assez démonstratif d'une syphilis récente et acquise pen- dant le mariage. Il est
nce de leur cerveau il faire de la paralysie générale, parce que la syphilis était entrée enjeu ? - La marche de l'infecti
s observations do paralysie générale chez des conjoints infectés de syphilis . Depuis, les faits se sont multipliés, tant il
aisé d'attribuer à chaque cause pathogène : hérédité, intoxication, syphilis , qui ont successivement intervenu, les différen
réditaire, accidents alcooliques, paralysie générale il laquelle la syphilis n'est sans doute pas étrangère, coe- xistent ch
oncernaient une tumeur céré- brale. Vingt-sept avaient LraiL à la syphilis du cervea i ; d'ordinaire ici, il s'agit d'un n
érale, fréquence des éosinophiles dans la sclérose en plaques el la syphilis cérébrale ; 7° hydrocéphalie chronique, abondan
i)Y[ ? XXIII, 1901.) Il s'agit d'un général de 41 ans, atteint de syphilis à 22 ans. De- puis 1896, douleurs lancinantes e
plus que précaire qui résulte de celle promiscuité ; d) la terrible syphilis qui se transmet aux descendants ; e) les profes
que l'existence actuelle du sujet ne Iralut de cau- ses telles que syphilis , alcoolisme, traumatisme, infection. Trai- teme
( ? l1P[le qu'en soit l'origine (pellagre, ergofine, plomb, alcool, syphilis , diabète, affection organique du coeur), une fois
e fait qu'on est en présence d'une modalité relativement rare de la syphilis héréditaire du névraxe ; de plus, la rétroces-
suivante il y a une fausse-couche de 2 mois. On devait penser l-,t syphilis : cependant l'examen iso- INFLUENCE DE L'INCONT
par Parmenlier. L. W. 3l0 REVUE DE PATHOLOGIE -NERVEUSE. LV1.La, syphilis héréditaire; leçon deM. le Prof. Gaucher, (l3ul
sant résumé des notions aujourd'hui acquises su ri es dangers de'la syphilis héréditaire, aussi bien dans sa forme pré- coce
t introduit des élé- ments étrangers dans le tableau clinique de la syphilis cérébrale. P. Keraval. LXV. De l'angoisse dan
lade revient en présentant le tableau complet de celle dernière. La syphilis esl niée, il n'en existe nul signe, et cependan
a hase all'edanl t exclusivement les nerfs optiques, grelfée sur la syphilis . lil et petites doses de préparations mercuriel
se sont terminés par la mort : ils ne sem- ])lent relever ni de la syphilis ni de la tuberculose. L. WAHL. REVUE DE THÉRAPE
es formes démente et com- mune, montrant soif l'action isolée de la syphilis ou de l'alcoo- li.me, soit, la réunion de ces d
u chronique (pneumonie, fièvre typhoïde, tubercu- lose, rhumatisme, syphilis , etc., etc.), l'infection puerpérale peut chez
imen- taires (alcool, tabac, opium) ou microbiens (tuberculose, -^ syphilis , cancer, lèpre) sur les éléments cellulaires et e
d'aliénés. Prix Cil'1'Íeu,I' : 800 francs. Question : du rôle de la syphilis dans les maladies de l'encéphale. Deux mémoires
s pour I ! 107 : Prix Civrieux : 800 francs (annuel). Question : La syphilis spi- nale.- Pri ? 1,'ttl)-et : 100 francs (bien
ur apparition. Près de la moitié des malades observés ignorent leur syphilis . L'auteur rappelle que le professeur Four- nier
taxique du tubes. \Vl H 1,. LXXVIII. Syndrome de Brown-Séquard et syphilis spi- nalè ; par L'épine. (Revue de niés., décem
, bien étudiées par Démange 1884-85, qui les a attribuées soit à la syphilis , soit à l'artério-sclérose géné- ralisée. De Gr
les énumé- rer. Parmi les causes : hérédité, 92 ; alcoolisme, 82 ; syphilis , 21, lll·l'l'llo-Sy111lilIS, ; excès vénériens,
aire. Paru de Xeuilly, 91, rue Perronnet, 100 ? Marchand (1..), - Syphilis et paralysie. In-8" de 20 pages. Extl'. de la P
ndrome de-,par Siciliano, p. 240. Brown-Séquard. Syndrome de et syphilis spinale, par Lé- pine, 447. Bulbe antirabique
acrée, 54 ans après l'amputation de la jambe, par de Buck, 295. Syphilis . La héréditaire, par Gaucher, 316. Voir Brown-
55 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
cause primordiale de l'ataxie locomo- trice, que les autres causes, syphilis , excès -de tous genres, traumatisme, etc., ne j
que. Observation XXXVI. M. T..., trente-huit ans, Grec d'origine; syphilis à dix-huit ans; migraine ophthalmique; ataxie a
. - Atrophie des tubes nerveux dans les nerfs de la deuxième paire. Syphilis probable. Sarrazin, âgée de quarante-deux ans,
u'elle nous décrit assez mal, mais qui paraissent se rapporter à la syphilis . Au reste, Sar- razin suspecte elle-même son ma
i considérons-nous qu'elle a été atteinte très pro- bablement do la syphilis . Histoire de la maladie. - Il y a quatre ans, e
LE. 77 cette femme comme atteinte d'une maladie infec- tieuse, la syphilis . Au reste, il y a de très bonnes rai- sons à in
utume de faire ailleurs ? » j Julliard. Localisations spinales delà syphilis , Layon, 1879. Il,. I''oumiui ? <a.rte syphil
A MOELLE. 79 Nous ne nions pas, tant s'en faut, la tendance de la syphilis à faire de la sclérose. Mais quelle sclérose, p
rès sobre. Aucune maladie; pas de migraine, d'accidents nerveux, de syphilis . [Aucun antécédent névropathique dans sa famille;
Pas d'affections sérieuses. Excès alcooliques et vénériens; pas de syphilis . Début de l'affection actuelle, il y a deux ans
n ans d'une .tu- meur du ventre, cette femme n'avait jamais eu la syphilis et ne présentait aucune trace de scrofule. Ve
-huit mois, tous de méningite, dit le ma- lade. Il n'a jamais eu la syphilis . Le malade est très catégorique à cet égard, et
complexus symptomatique devait faire songer tout naturellement à la syphilis , et bien que le malade niât tout antécédent sus
progresser. En l'absence 206 CLINIQUE NERVEUSE. de toute trace de syphilis ancienne, de tout antécédent avouéetde l'ineffi
potassium constituent le meilleur mode de traitement. G. D. XII. SYPHILIS cérébrale, guérison; par M. CHANTEMESSE. (Franc
s le sens de M. Fournier. Est-ce à dire que les pré- tentions de la syphilis aient été reconnues et acceptées sans con- test
rguments dé- cisifs. L'hérédité avait à faire ses preuves, comme la syphilis pré- SOCIÉTÉS SAVANTES. 261 tendait avoir fai
multiples susceptibles de jouer un rôle dans l'étiologie du tabes ( syphilis et hérédité en premier lieu, froid, excès, mala
oici au point de vue de l'influence comparée de l'hérédité et de la syphilis , les enseignements qui résultent de la comparai
urs antécédents de famille. Si l'on réfléchit, d'autre part, qu'une syphilis antérieure laisse quelquefois après elle des st
es enseignements qui en décou- lent : En faisant la part belle à la syphilis , la part faible à l'héré- dité, les cas d'ataxi
e simple prédisposition de nature à favoriser la localisation de la syphilis sur la moelle ? Nous vous laissons le soin de f
re à la dé- monstration de notre thèse. Que le froid, les excès, la syphilis , bien d'autres causes encore interviennent à ti
s personnels. -Bonne santé jusqu'en 1878. Excès alcooliques. Pas de syphilis . Il y a cinq ans, étourdissements passagers, ac
examiner les tabétiques dans celte direction, que l'on rencontre la syphilis chez beaucoup de ces malades. Il signale deux d
'entre eux actuellement en traitement, ayant successive- ment eu la syphilis , une ataxie évidente et, de plus, quelques symp-
syphilis, une ataxie évidente et, de plus, quelques symp- tômes de syphilis cérébrale (amnésie, troubles' de la parole, név
e oculaire progressive (ophthalmoplégie externe de cet auteur) à la syphilis . Le gland de l'un de ses patients était af- fec
nts antérieurs. On sait en effet que l'aliénation mentale, comme la syphilis ou toute maladie imputable à une faute de l'ind
OSNIER, place de l'École-de-Médecine. CACHER (G.). - Etude sur la syphilis pulmonaire. Volume in-8- de 101 pages. Paris, l
5t,, 265. Surmenage dans les établissements d'instruction, 363. Syphilis cérébrale, par Chante- messe, 249. Système ne
56 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s de rhumatisme, pas de dartres; rien ne permettant de soupçonnerla syphilis ; boit le samedi, rentre ivre au moins une fois
ANTECEDENTS PERSONNELS. 3 ment. Rien ne permet de soupçonner la syphilis . Alcoolisme peu marqué : cependant, cauchemars
nvulsions dans l'enfance, pas de chorée, pas de rhumatismes, pas de syphilis , pas d'alcoolisme. Caractère plutôt calme. Elle
ique de la cause principale du tabes peut dépendre des suites de la syphilis mieux que d'un agent co-opérant. En quoi consis
fforce de faire en déterminant d'une façon certaine la marche de la syphilis . Quand cela sera connu avec cer- titude, lorsqu
1. Discussion sur les rapports de la paralysie géné- rale et de la syphilis . [Académie de médecine ; séance des 21 et 28 fé
r- tiarisme moyen dans 81 0/0 des cas ; tandis qu'au contraire la syphilis cérébrale, à début hémiplégique se rencontrait
encéphalite diffuse est d'ailleurs moitié moins fréquente que la syphilis à forme hémiplégique. La cause occasionnelle de
use, seulement, 18 fois chez 112 malades de la ville, tandis que la syphilis avait été insuffisamment traitée 79 fois sur 11
Le professeur Four- nier insiste d'ailleurs sur la fréquence de la syphilis , dans les antécédents, des paralytiques générau
x jusqu'à 96 0/0; la rareté de cette maladie dans les milieux où la syphilis est rare : chez les femmes d'un certain monde,
lis. M. Lancereaux qui, dès 1861, croyait à la fréquence de la syphilis chez les paralytiques généraux a changé d'opinion
de la maladie de Baillarger ne rappelle les modalités connues de la syphilis tertiaire qui, loin d'être diffuse et progressi
ie, en effet, rien ne distin- gue la sclérose du testicule due à la syphilis héréditaire de celle qui est d'origine banale.
de celle qui est d'origine banale. M. Joffroy reconnaît bien que la syphilis est une bonne « fumure » pour la paralysie sur
e que 11 paralytiques généraux soit envi- ron 2 0/0. Et pourtant la syphilis est aussi fréquente dans cette contrée que dans
lité d'une tumeur inflammatoire liée à de la tuberculose ou à de la syphilis . 1. Jofi'rov (1) cite en efl'et un ky<te(lu
serait mQrt à 24 ans d'une affection cardiaque. Le malade nie la syphilis . Comme signes physiques, il pré- sente de l'iné
ié ; deux enfants bien portants. Antécédents pcrsonnels. - Nie la syphilis ; mais a eu une suppuration il l'aine et a été
les intoxications exogènes (alcool, plomb, etc.), ou endo- gènes ( syphilis , diabète) ; nos observations s'en rappro- chent
sions cardiaques. La malade ne présente ni stigmates, ni lésions de syphilis anciennes ou ré- centes. Les troubles choréiq
res tarés, dans la descendance duquel on rencontre l'alcoolisme, la syphilis , l'hystérie, la folie ; si, de plus, l'enfance
ution anatomo-pathologique et clinique à l'étude des rapports de la syphilis et de la paralysie générale ; par IIODOLFO TANZ
HYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 201 que de la question des rapports de la syphilis et de la paralysie générale ; il insiste surtou
conclusions suivantes : 1° Sur cent cas de paralysie générale, la syphilis a pu être re- trouvée 87 fois dans les antécéde
fois cette infection comme fadeur étiologique unique, et 38 fois la syphilis associée à une autre cause. 3° La syphilis pe
unique, et 38 fois la syphilis associée à une autre cause. 3° La syphilis peut constituer à elle seule l'affection causale
as de paralysie générale développée sur les indi- vidus ayant eu la syphilis , le système artériel cérébral montre des lésion
ures. Crise de rhumatisme articulaire aigu il y a trois ans. Pas de syphilis acquise. L'affection actuelle a débuté il y six
son enfance des acci- dents tuberculeux, et contracta plus lard la syphilis . A de 36 ans, il eut des troubles qui débutèren
llaire ; mère démente ayant été internée ; quatre soeurs nerveuses. Syphilis il y a dix-huit ans (soigné au Midi). Traumatis
ap- port est tel que l'une de ces maladies se joint à l'autre. La syphilis , l'alcoolisme et d'autres intoxications sont le
ne saurait,être patllognomoniyue et n'est qu'une manifestation de syphilis nerveuse ; de môme le signe de Romberg ne peut êt
affirme qu'il s'agissait bien uniquement de blennorrhagie et que la syphilis n'était pas en cause.L'iritis fut sé- vère, mai
lite. - Discussion sur les rap- ports de la - générale et de la syphilis , par Wahl, 50. - Quelques réflexions sur le dév
anatomo-patholo- gique et clinique il l'élude des rapports de la syphilis et de la - générale, par Rodolfo Stan- zinle,
oir Landry, Korsakoff. thainmique. par Déjerine et Roussy, 503. Syphilis . Voir Paralysie générale. Syringobulbie. Un cas
57 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
e, qu'il provienne indirectement de la pellagre (Agostini), ou delà syphilis (Fournier),ou de l'alcoolisme (Lombroso), ou du p
générale. En voici deux exemples : Observation 1 B..., 38 ans. Syphilis ; tabes antérieur, puis paralysie générale dont le
tu- liens abolis, signe de Homberg ; paralysie générale manifeste ; syphilis à 20 ans. Jusqu'à sa mort (13 mars 1901), M.. n
, de richesses, achats inconsi- dérés ; actes de violence, fugues ? syphilis antérieure. A l'entrée, état d'excitation avec
t mis en lumière leurs rapports avec les infections : blennorragie, syphilis , rhumatisme articulaire aigu ; avec les auto-into
âge avancé, 50 à 70 ans, évolution lenle et progressive, absence de syphilis dans les antécédents l'aspect clinique n'était ce
duquel est à noter seulement une jaunisse à 20 ans et l'absence de syphilis . La maladie actuelle aurait débuté vers l'âge d
A toujours eu une bonne santé, jamais d'accidents de plomb. Pas de syphilis . L'affection actuelle débuta vers 1902, à l'âge
dans les antécédents morbides du malade qu'une blennorragie. Pas de syphilis . En 1896 perd sa femme, en ressent beaucoup de
t chez tous intacte. L'étiologie de cette affection est obscure. La syphilis n'existe dans aucun des trois cas. Dans un seul
l'hypothèse d'une influence héréditaire. Notre malade n'a pas eu la syphilis ; il nous manque donc même cette donnée anamnésiqu
e indiscutable de l'hérédo-syphilis est née la notion du rôle de la syphilis acquise, dans la production de l'ostéite déform
son tabes, l'hypothèse qui se présente alors à notre esprit est la syphilis . Le tabes à lui seul nous permettrait d'envisager
rouvons pas dans les antécédents les manifesta- tions avérées de la syphilis , les ictus multiples et la mort subite et préma-
ercher par l'examen cli- nique de cette malade les caractères de la syphilis osseuse. Il est certain que nous nous trouvons
en dehors. Cette déformation doit-elle rentrer dans le cadre de la syphilis osseuse ? Au point de vue clinique, ces déforma
de déformations type Paget, considérées comme manifestations d'une syphilis acquise, sont beaucoup plus rares. La littérature
à l'hôpital. Dans les antécédents, rien qui permette d'affirmer la syphilis . Ni érup- tions, ni fausses couches (pas de gro
de l'ophtalmoplégie totale, on ne rencontre guère que le tabes, la syphilis , le diabète. Ce dernier n'est pas en cause. Quant
la syphilis, le diabète. Ce dernier n'est pas en cause. Quant à la syphilis , elle est possible; mais nous ne trouvons comme i
ue, soit d'une pachyméningite syphilitique. Pour ce qui est de la syphilis cérébrale en particulier, où l'on voit si souve
eim a pu ob- server dans un cas de syndrome de Weber au cours d'une syphilis céré- brale. Dans cette observation en effet, l
re n'était pas due, comme c'est le cas plus habituel au cours de la syphilis cérébrale, à une gomme ou à un foyer de ramolli
sculaire, le manque de toute autre cause étiologique (surtout de la syphilis ) et l'évolution de la maladie, firent admettre
étudiées comme étant un des plus importants stigmates de l'hérédo- syphilis . Pour Edmond Fournier (4), l'absence de certaines
qu'il y ait eu une intoxication ou une infec- tion. Parmi elles, la syphilis doit être soupçonnée comme étant une des causes
ons digitaux qui tiennent lieu de la main absente. Chez la mère, ni syphilis , ni bydramnios. Père absolument sain. XXVI. -
ien constitués, sobres, sains. Aucun signe ne permet de dépister la syphilis chez les ascendants directs. Mais signes nets d
de ohocomélie avec hémimélie par absence du péroné à gauche. Pas de syphilis dans les antécédents. XXXVIII. - KLIPPEL et RAB
sibles d'infections di- verses en particulier du paludisme et de la syphilis , et le parasitisme en- démique en Egypte de l'a
nt ils sont distincts et que j'ai signalés comme en rapport avec la syphilis . Les deux formes peuvent cependant se combiner,
centimètres de longueur. Pas d'autre maladie dans l'enfance. Pas de syphilis , pas de tuberculose, pas d'alcoolisme. Le déb
e l'hémimélie dans une lé- sion du système nerveux, parfois dans la syphilis des centres. C'est ainsi que Cousin attribue à
« Le père était, au moment de la conception, en pleine évolution de syphilis secondaire et de syphilis grave touchant avec u
de la conception, en pleine évolution de syphilis secondaire et de syphilis grave touchant avec une insistance remarquable
nts syphiliti- ques, les lésions de la moelle ne sont pas rares, la syphilis héréditaire agit, avant la naissance, comme fai
es, la syphilis héréditaire agit, avant la naissance, comme fait la syphilis acquise chez les adultes. Nous appellerons l'at
e chez les adultes. Nous appellerons l'attention sur ce fait que la syphilis est coutumière de ces malformations congénitale
c. Nous admettons ici l'hypothèse d'une lésion médullaire, due à la syphilis héréditaire, et ayant évolué pendant la vie foeta
a pa- thogénésie que nous devons admettre. On doit exclure que la syphilis ait donné lieu à un tel processus, parce que la
58 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rs 2. » 1 Dans aucun de ces deux mémoires, Baillarger ne parle de syphilis cérébrale, et nous ne serions pas surpris que pou
ze ans; il était doué d'une grande force physique. 11 n'a pas eu la syphilis et n'a jamais fait d'excès alcooliques. . Ce
rees sont tombées et les globes ocu- laires ont cessé de remuer. La syphilis , autant que les recherches effectuées permetten
té des lésious nerveuses. - En ce qui concerne les rapports de la syphilis et de la paralysie générale, il dit qu'à Vanves
il dit qu'à Vanves M. Falret et lui retrouvent presque toujours la syphilis dans les antécédents des paralytiques hommes. C
les statistiques antérieures, ne démontrent mathématiquement que la syphilis est la cause de la paralysie générale, au moins
té admises au rang de causes pathogènes. Les apparences sont que la syphilis pourrait être envisagée de même. En réalité, il
hérédité alcoolique et pour l'hérédité tuberculeuse et qu'enfin la syphilis et l'hérédité mentale et nerveuse ont un rôle abs
itiques dans la proportion de 98 p. 100 des cas. La fréquence de la syphilis dans les anté- cédents de la paralysie générale
eurs avocals ? Donc, la clinique nous oblige à tenir compte de la syphilis dans la paralysie générale, et l'anatomie patholo
auteurs, à tort ou à raison, considèrent comme la signature de la syphilis . Nous faisons allusion ici aux lésions vasculaire
s dont la fréquence et l'intensité nous ont frappé. A l'article : Syphilis MÉDULLAIRE du Traité de médecine, ' Semaine méd
e aujourd'hui à leur faire jouer un rôle de pre- mier ordre dans la syphilis de la moelle. Les modifications du côté des vei
noncées. Greif, le premier, a signalé les lésions veineuses dans la syphilis des centres nerveux; elles ont été retrouvées,
cas de paralysie générale juvénile, affirme qu'elle est due à la syphilis , parce que l'anatomie pathologique lui a montré d
une d'elles, ils méritent d'être pris en sérieuse considération. La syphilis agirait-elle direc- tement et primitivement sur
outre, les lésions vasculaires observées sont bien de celles que la syphilis a coutume de produire. IV. - Envisagées à un
P. KERAVAL. XL VI. DE l'atteinte précoce du système nerveux par la syphilis : par A.-G. JuscHTSGHENKO (Cei ? 12,albl. f. Ne
t d'individus jeunes, de vingt-cinq à trente ans, n'ayant eu que la syphilis , qui tantôt se sont soignés, tantôt ont été nég
e reste que le cas de David (1889). En voici un autre concernant la syphilis qui a d'ail- leurs complètement guéri. Il y eut
C'était en réalité une combinaison fortuite de deux lésions par la syphilis . P. IEnA vAL. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
hempelltica, N° 1, 1898.) Pour expliquer les rapports intimes de la syphilis et du tabès, l'auteur professe qu'en l'état act
sie progressive sont des affections éminemment dégénératives, et la syphilis est un puissant facteur de dégénérescence ; c'e
comprimer le nerf dans le bassin. S'il y a, en sus, tuberculose ou syphilis , il faut traiter la maladie sous-jacente. Les m
lin, 1898. Librairie S. Karger. . CIILRON (J.). Du traitement de la syphilis par les injections inlNI- musculaires de sérum
e est ici la cause de la paralysie générale. Après avoir éliminé la syphilis , l'alcool, les excès véné- riens, il s'arrête à
ées chez les imbéciles. Peut-être faut-il incriminer là souvent, la syphilis héréditaire; i la paralysie générale juvénile p
yphilis héréditaire; i la paralysie générale juvénile prouve que la syphilis héréditaire ne doit pas être négligée, loin de
nesco. Il s'agit d'un homme de quarante et un ans, qui contracta la syphilis il y a six années et fut soigné pendant cinq mo
des centres nerveux ou des nerfs, d'autres maladies, telles que la syphilis , etc. ; en un mot, reconnaître que l'inculpé co
nt primitivement sur la tunique externe 240 SOCIÉTÉS SAVANTES. ( syphilis , tuberculose, etc.). Cette localisation est due t
de San Francisco, l'auteur estime que l'influence étiologique de la syphilis a été exagérée. Quand il y a antécédent syphili
sept'ans, deux enfants bien portants. Aucun soupçon, ni trace de syphilis , ni d'alcoolisme. En mai 1897, apparition d'une r
nts écolo- giques : l'hérédité, l'artériosclérose, l'alcoolisme, la syphilis , des lésions organiques diffuses du cerveau et
ont le cerveau, invalide dès la naissance ou plus tard, subit de la syphilis acquise un affaiblissement tel qu'à un moment d
es semblent être les causes occasionnelles les plus importantes. La syphilis , en tout cas, n'est jamais la seule cause de pa
orte qu'il y a des cas où l'addition à l'invalidité cérébrale de la syphilis suffit pour engendrer la para- lysie générale.
- co, 489. · SYDROMr DE Weber avec hémiopie, par Jolh'oy, 47. Syphilis précoce du système nerveux par Juschtschenko, 1
59 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
prendre qu'il était impuissant. Il y a quelques années S... a eu la syphilis ( ? ) dont il ne se croit pas guéri : autre sou
cou Deux blcnnorihagies, à vingt-cinq et à trente-cinq ans. Pas de syphilis . Excès alcooliques durant une quinzaine d'année
ans, rentier, vu par M. Charcot. Pas d'antécédents héréditaires. Syphilis dans la première jeunesse (vingt-deux ans ? ). Ob
, XXII, 3.) 1 Un homme ayant présenté les accidents primitifs de la syphilis est affecté de tabes; impotence, absence de dou
tale ou du travail de l'accouchement. P. K. XL. CONTRIBUTION A la syphilis DU système NERVEUX central, par E. SIEUERLING.
) Etude clinique et anatomo-pathologique de trois observations de syphilis du système nerveux central, qui se résument brièv
herché avec soin, et sans en constater un seul, les stigmates de la syphilis héréditaire. On le voit, c'est bien la paraly
halmique) un des signes avant-coureurs. Remarquons enfin, que ni la syphilis , soit hérédi- taire soit acquise, ni une autre
ssi celle de la paralysie générale des adultes : l'hérédité et la syphilis . La syphilis est signalée, mais d'une façon dou
la paralysie générale des adultes : l'hérédité et la syphilis. La syphilis est signalée, mais d'une façon douteuse dans le
: enfin, chez le sujet observé par M. Ballet, les stigmates de la syphilis héréditaire tardive se retrouvaient au complet.
tion d'aucune lésion de nature.nette- ment spécifique. En somme, la syphilis semble agir ici CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE PROGR
ns pu trouver dans la famille A... les traces d'au- cune diathèse : syphilis , arthritisme, etc., pouvan-t jouer un rôle étio
219 Enfin il est intéressant de remarquer que la malade a eu la z syphilis , et cela au moment de l'apparition des premiers
disséminés et une altération des vaisseaux, symptômes propres à la syphilis du système nerveux. Le rapporteur considère la sc
de, ni de fièvre maremmatique. Il se peut cependant qu'il ait eu la syphilis avant son mariage, c'est du moins ce qu'il prét
ants sont très bien constitués, ils ne présentent aucun stigmate de syphilis héré- ditaire et sa femme n'a jamais eu de faus
on doit noter l'existence, sinon probable au moins possible, de la syphilis dans ses antécédents. - . Au point de vue men
st ici que doit intervenir la pensée .de l'existence possible de la syphilis dans les antécédents du malade. Mais rien ne la
ochondriaque qui tenait les propos suivants : « On lui a infecté la syphilis en lui en déposant le poison sur son « mouchoir
gtemps de maux de tête. Sa mère a été dix ans dans un asile. Pas de syphilis . A son entrée, elle est calme, se tient volonti
hiatres. M. ERLENMEYER. Sur une affection cérébrale produite par la syphilis ' Voy. Archives de Neurologie, XLVI" session de
i nous occupe ? Dans trois de nos observations, le père avait eu la syphilis avant son mariage. Deux de nos petits malades é
ance ou dans les premières années de la vie, des signes certains de syphilis congénitale. Par conséquent, il n'est pas témér
ne paralysie infantile syphilitique ? Il ne faut pas oublier qu'une syphilis congénitale peut demeurer latente et ne se mani
ine ou toute autre maladie infectieuse, et que, par suite, c'est la syphilis , et non la scarlatine, qui devient responsable
côté droit et aphasie; intégrité du facial. On fit le diagnostic de syphilis héréditaire par les indications du père, car il
père, car il n'y avait aucun élément d'infection, aucun symptôme de syphilis ; en tout cas, l'iodure de potassium et le mercu
névroglie. Il serait possible que l'on fût en droit d'incriminer la syphilis dans les altérations du bulbe. Les altérations
: 5 fr. Paris, 1892 ? J.-B. Baillière et fils. GAJKIEWICZ (W.) : Syphilis du système nerveux. Volume m-8° de 210 pages. P
térieures de la moelle, par Hoche, 242. CÉHÉBBOPATHIE, due à -la syphilis congénitale, par Edenmever, 421. Cerveau, foy
60 (1888) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 01] : clinique des maladies du système nerveux
E LA SALPÊTRIÈRE, fait pour dérouter un clinicien inexpérimenté. La syphilis avait été la cause occasionnelle d'accidents hy
e et à la partie interne et supérieure des cuisses, il contracta la syphilis (1879). 1. L'observation a été recueillie par M
la corona Yeneris ap- paraissait sur le front. De 1880 à 1884, la syphilis reste silencieuse; le malade en profite pour se
sont encore peu connues : on a invoqué tour à tour l'alcoolisme, la syphilis , le crétinisme, la 106 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE
s n'a jamais eu un teint très coloré. - A l'âge de vingt-trois ans, syphilis nettement établie, peu d'accidents ulté- rieurs
dans le service de M. le professeur Damas- chino. Le malade a eu la syphilis à l'âge de vingt-cinq ans. Il y a cinq ans envi
à signaler dans les antécédents du malade. Pas d'éthylisme, pas de syphilis . Vers l'âge de vingt-cinq ans, il a commencé à
ans son enfance ? Réglée à quinze ans; toujours bonne santé; pas de syphilis . Elle a eu un enfant vers l'âge de trente ans.
(contusion, section, plaie par arme à feu, compression par tumeur, syphilis , etc.) La tumeur blanche est parfois d'un diagn
aire pendant laquelle il ne présenta aucun accident nerveux. Pas de syphilis ni d'alcoolisme. Au mois d'août 1877, il exerça
e même que les crises signalées ci-dessus, de songer chez lui à une syphilis ignorée ou dissimulée. A propos de ce malade, p
la chute et persistant encore aujourd'hui ? On pourrait songer à la syphilis ; cependant cette dernière hypothèse ne s'appuie-
sauf ce fait, parfaite- ment explicable d'ailleurs sans invoquer la syphilis , que depuis sa chute, il est sujet à des céphal
sirop de Gibert est demeuré sans résul- tat. Bref, en l'absence dé syphilis , en l'absence de toute cause appré- ciable, cet
n bonne santé. A eu la rougeole. N'ajamais eu de rhumatisme. Pas de syphilis . Toujours très forte, faisant de gros ouvrages;
haute Italie pour l'exercice de sa profession, et là il attrappa la syphilis . Lorsqu'il retourna à Florence, en 1859, il éta
L) f>" f' > . l'ji J ? . r . , C'ést au xy° siècle que -la- syphilis .se .montra en Europe et qu'telle sévit' d'une-
e et en Angleterre; Or les deux documents artistiques relatifs à la syphilis que nous connaissons datent précisément de cett
nsidérable, des Démoniaques dans l'art. Par la place qu'oc- cupe la syphilis dans les maladies de l'axe cérébro-spinal, par l'
ésions et quelle autre maladie pourrait les produire si ce n'est la syphilis ? « Ce qui donne à ce tableau une importance to
vre la jambe et le bras droîl ne trouvons-nous pas les signes de la syphilis , des pustules catanëûs ans leurs croûtes d'une
que l'on avait donné à la maladie. Enfin tous les caractères de la syphilis ne se retrouvent-ils pas dans les altérations d
61 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
des deux côtés). R. C. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 57 Un cas de syphilis héréditaire tardive à forme cérébro- spinale ;
s savons, en effet, avec quelle fréquence et quelle prédilection la syphilis crée des lésions dans les lymphatiques. (Revue
Joffroy, d'après laquelle les diverses causes - parmi lesquelles la syphilis - qui déterminent la paralysie générale, n'agis
voir aucun rapport avec l'hémiplégie infantile, mais dépendre de la syphilis acquise. L'absence de toute lésion de la voie p
ère du liquide céphalorachidien et de ce fait que le malade a eu la syphilis font penser qu'il s'agit là d'une méningite rad
s années il le prend quotidiennement et en dosses assez grandes. La syphilis est réfutée. Au commencement de l'année 1902, p
ses seuls antécédents pathologiques personnels. Il n'a jamais eu de syphilis , de paludisme ni de dysenterie. DEUX CAS DE L
lle de Morselli dans la démence paraly- tique, de Bechterew dans la syphilis cérébrale, de Leitz dans là méningite tubercule
s centres trophiques ou bien de dystrophies générales diathésiques ( syphilis acquise ou héréditaire). M. CHRISTIAN. - Les fr
off. B.-A. GuiLiAnovsKY. Malade de cinquante trois ans, marié. La syphilis est réfutée ; le malade buvait quotidiennement en
R, MONKE : .IOLLER et KAPLAN); z ici se rapportent aussi les cas de syphilis cérébrale, où, d'après l'avis de M. Mouravieff,
de 15 à 30 p. 100). Examen des causes les plus fréquemment admises ( syphilis et alcoolisme). Or, ces deux causes existent da
'était formé sous les tro- piques. Il eut la chance d'échapper à la syphilis , mais il contracta quatre blennorrhagies qui, c
es affections mentales et nerveuses à la période secon- daire de la syphilis ; par M. Scu.ISwvrTSCU. (06oxrézié psichiatrii,
a dans ce cas non alcoolisme chronique, mais tare héréditaire et syphilis . La cause occasionnelle fut, en l'espèce, une int
ènes très fréquents dans la paralysie générale, le tabès dorsal, la syphilis cérébrospinale. - ici. Elles se montrent aussi da
intervention chirurgicale. Elle est utile encore pour distinguer la syphilis cérébrale des autres maladies du cerveau et de
70 indigènes aliénés, il n'a pas trouvé un paralytique ou un cas de syphilis cérébrale, tandis que sur 50 aliénés européens il
ndant une période d'observation suffisante à l'asile. SIMON. III. Syphilis et divorce ; par Prince A. Morroir. (Médical Neus
ts où le médecin peut être appelé à formuler un avis au sujet d'une syphilis transmise par des rapports conjugaux, l'auteur
de la cour, qui fait l'état des circonstances dans les- quelles la syphilis a été traumatisée, traitant différemment les co
é, rapports avant le ma- riage adultère, dans la transmission de la syphilis , ou que la syphilis contractée en dehors des co
a- riage adultère, dans la transmission de la syphilis, ou que la syphilis contractée en dehors des contacts vénériens, a ét
ge, divorce. En ce qui concerne le premier point, l'existence de la syphilis chez un des fiancés est suffisante pour empêche
sexuels normaux; dans un autre cas de fraude, l'homme ayant nié la syphilis avant son mariage. En ce qui concerne le divo
cond cas seul un cas de sépara- tion. La femme qui a contracté la syphilis de son mari et qui désire en faire un sujet de
ui désire en faire un sujet de divorce doit prouver : 1° qu'il a la syphilis ; 1° qu'elle a la syphilis ; 3° que la syphilis
de divorce doit prouver : 1° qu'il a la syphilis ; 1° qu'elle a la syphilis ; 3° que la syphilis de son mari est la cause d
ver : 1° qu'il a la syphilis ; 1° qu'elle a la syphilis ; 3° que la syphilis de son mari est la cause de la sienne. Ces tr
ni chorée, ni fièvre typhoïde, ni rhumatismes, ni derma- toses, ni syphilis . Il a fait, avant son mariage, quelques excès de
- vulsions, ni fièvre typhoïde, ni rhumatismes, ni dermatoses, ni syphilis ; elle était très sobre, d'un caractère très doux,
aralysie générale sont-ils une seule et même maladie dominée par la syphilis , ou bien y a-t-il lieu de différen- cier le tab
e pella- - REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 505 greuse (Warpocke). La syphilis comme cause de folie (Mott : pas de syphilis, p
greuse (Warpocke). La syphilis comme cause de folie (Mott : pas de syphilis , pas de paralysie générale). - Tuberculose et dys
151. Des - mentales et nerveuses à la période secon- daire de la syphilis , par Schai- kewitsch, 33G. Agiuphie. Voir Céc
mes solaires. Les - expéri- mentaux, par Laignel-Lavastme, 407. Syphilis . Un cas de - héréditaire tardive à forme cérébr
62 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
symptômes de myélite transverse. Homme ayant contracté récemment la syphilis . Quinze mois avant son admission, souffre de do
générale qu'un nouvel élément nuisible autogène ; c'est celui de la syphilis . Après 86 SOCIÉTÉS SAVANTES. être resté un ce
Messager Neurologique, t. II, fasc. n° 3.) , D'après l'auteur, la syphilis peut être considérée comme un des principaux fa
ts excès ne jouent le rôle que de simples causes occasionnelles. La syphilis cérébrale peut déter- miner dans l'organisme de
; par Henry HANDFORD. (Brain, part. III, 1893, p. 440.) Deux cas de syphilis cérébrale, dont l'un accompagné d'accès épilept
polyurie qui disparut sous l'influence du traitement. P. S. XXIV. Syphilis DE la moelle; par SAciis. (Brain, part. III, 1893
1893, p. 405.) L'auteur pense qu'on peut arriver au diagnostic de syphilis de la moelle en dehors de l'aveu même du malade
n type de paralysie spinale syphilitique. Il rapporte quatre cas de syphilis médullaire à l'appui de ses vues. Le fait le pl
as épuisé cependant, surtout en ce qui concerne le rôle joué par la syphilis dans sa production. Il paraît certain, à l'he
sie générale, dans ses formes typiques, peut être consécutive à une syphilis récente, les témoignages en sont nombreux : tou
nt que dans 70 à 90 cas sur 100, la paralysie a été précédée par la syphilis ; la paralysie peut se com- muniquer du mari à l
re dans les campagnes; elle apparaît de bonne heure dans les cas de syphilis héréditaire ; elle est plus fréquente dans les
itaire ; elle est plus fréquente dans les classes d'individus où la syphilis est plus commune et récipro- quement. Mais co
la syphilis est plus commune et récipro- quement. Mais comment la syphilis agit-elle ? Laissant de côté les cas encore ass
ans lesquels on trouve à l'autopsie des gommes caractéristiques, la syphilis ayant alors agi comme cause directe, l'auteur e
tte toxine existant à l'état latent dans l'organisme, du fait de la syphilis , ne produit ses effets que sous l'influence de
c'est ce qui se produit dans quelques régions comme l'Egypte, où la syphilis est commune et la paralysie rare, régions où la
ci indique une lésion de lobes frontaux, sans la région motrice. La syphilis anté- rieure, jointe à des soucis et à des chag
du plan incliné. Dans ces anomalies la scrofule, la tuberculose, la syphilis jouent un rôle important. On les trouve surtout
marchant. Absence d'ataxie et de troubles de la sensibilité. Pas de syphilis antérieure. La percussion de l'occiput exagère
premier cas concerne un homme de cinquante-quatre ans indemne de syphilis et d'alcoolisme chez lequel, à chaque accès (atte
ans, fort surmené par le travail (c'était un négociant), indemne de syphilis , il y avait aphasie, hémiparesthésie faciale et
a paralysie générale (abstraction faite de l'étiologie connue de la syphilis ) ont un point commun, c'est l'atrophie primitiv
rapport à la chorée le même rôle d'agent pro- vocateur que joue la syphilis par rapport à, l'ataxie locomo- trice... Il n'y
E L'ETIOLOGIE DE lA para- LYSIE progressive, en tenant compte DE la SYPHILIS ; par E. IIOUG- BERG. (Allg. Zeitschr. f. Psychi
mi les femmes de bonne condition; 2° l'importance étiologique de la syphilis pour la paralysie progres- sive, paraît'être tr
la paralysie progres- sive, paraît'être très grande, tandis que la syphilis ne joue aucun -rôle important dans les autres f
ou cinq ans après l'infection syphilitique ; 4° les symptômes de la syphilis qui précèdent un processus para- lytique parais
sus para- lytique paraissent relativement bénins ; 5° en face de la syphilis , les prédispositions héréditaires, les causes p
00 ; rémis- sions rares ; 8° la paralysie générale qui succède à la syphilis ne présente dans sa marche aucun symptôme spéci
résente dans sa marche aucun symptôme spécial caractéristique de la syphilis ; 9° le traitement antisyphilitique n'a produit a
hopa- thies, la goutte, le diabète, la phtisie, le rhumatisme, la syphilis , l'alcoolisme, le saturnisme, etc. La dégénéres
, est régulièrement prise chaque mois à ce moment. Citons encore la syphilis (Fournier) 442 PHYSIOLOGIE pathologique. le s
de s'assurer s'il n'existe pas d'affection chro- nique du rein, de syphilis , de lésion organique du cerveau, de dépression
ar Sioli et Kroepetin, 227. Syndrome de Weber, par Lacour, 131. Syphilis de la moelle, par Sachs, 127. Syringomyélie,
63 (1904) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1903
de profession insa- lubre. Aucune maladie grave. Ni rhumatisme, ni syphilis , ni alcoolisme. Aucune maladie nerveuse. Pas de
nfants normaux. Un frère normal.] Mère, 30 ans, ni alcoolisme, ni syphilis , aucune in- toxication, aucune maladie grave, d
oïde, pas de rhumatisme, de chorée, pas de maladies de peau, pas de syphilis , ni alcoolisme, ni tabagisme. Carac- tère empor
infec- tieuse, ni rhumatismes, ni chorée. Ni maladies de peau, ni syphilis ,ni alcoolisme, ni caféisme.Pas de traumatismes cé
enant d'un tremblement dû à l'intoxication par l'alcool. Tabagisme. Syphilis peu probable. Caractère vio- lent et emporté, v
on névropathe. Pas de con- vulsions dans l'enfance. Pas d'indice de syphilis . Caractère très calme. Il était grand et non ob
ditaires. Père éthylisme, ago- raphobie, neurasthénie ; bégaiement. Syphilis douteuse. Grand-père maternel asthmatique depui
actère vif et emporté, intelligence normale. Bégaiement peu marqué. Syphilis douteuse ; pas d'affections cutanées. Pas de rh
'aurait jamais eu aucun symptô- me qui permette de faire penser àla syphilis . [Famille de la mère. Père alcoolique, mort à 5
ladie infectieuse aucune» maladie nerveuse. Pas de migraine. Pas de syphilis , ni d'affection de la peau. Il y a six ans, dou
2 ans et demi à 4 ans. Ni rhumatisme articulaire, ni chorée. Pas de syphilis . Céphalalgies fréquentes sans vomissements. Inl
eu des coliuul.ion.s jusclu'à de 7 ans. Coléreux, ni alcoolisme, ni syphilis , ni rhumatisme. Famille du père : Aucune tare m
aractère très violent, mais non brutal. Pas de renseignement sur la syphilis . [Famille du père : Père sobre, de caractère do
ELQUES formes DE nanisme. Mère, 35 ans, ménagère, ni alcoolisme, ni syphilis , myope, migraine à chaque menstrue. Sa conduite
eux ; pas de convulsions, pas de fièvre typhoïde ; pas d'indices de syphilis ; exempté du service militaire pour défaut de t
eux ; pas d'alcoolisme; aucun indice il Nanisme mongolien. 151 de syphilis . - [Son père, mort à 48 ans des suites d'un acci-
rhumatisme, pas de dar- tres ; rien ne permettant de soupçonner la syphilis . Ne boit pas d'alcool, dit la mère. Fume 0 fr.
ni dartres. Pas d'alcoo- lisme. Rien n'autorisant de soupçonner la syphilis . Pas de traumatismes. Caractère un peu vif. Mar
ni chorée, ni fièvre typhoïde, ni rhumatismes, ni derma- toses, ni syphilis . Il a fait, avant son mariage, quelques excès de
- vulsions, ni fièvre typhoïde, ni rhumatismes, ni dermatoses, ni syphilis ; elle était très sobre, d'un caractère très doux,
souvent des bronchites. - Il s'enivre très rarement. N'a pas eu la syphilis . - Il fume un peu. Pas de migraine. [Son père
de chorée, ni de rhumatismes, ni de migraines. Pas d'alcool, ni de syphilis . Caractère un peu vif. - Ses grands-parents pat
64 (1898) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1897
ortante. Pas de fièvre typhoïde, ni migraines, ni con- vulsions, ni syphilis ; sobre, non nerveuse. [Père, 67 ans, d'habitude
le garde parce qu'il est un très ancien ouvrier. Très sobre, pas de syphilis , etc. - Mère, 60 ans, n'a jamais été malade, n'
les ongles quand il ne sait que faire. - [Père, aurait contracté la syphilis , après la naissance de son fils, très coureur,
9 ans, menuisier, est un enfant naturel. Pas de convulsions, pas de syphilis , pas de rhumatisme, pas d'excès de boisson ou d
e. Mère, 37 ans, n'a jamais été malade, sobre, ni convulsions, ni syphilis , ni maladie de peau. - Elle n'est pas nerveuse,
i convulsions dans l'enfance, ni rhumatisme, ni fièvre typhoïde, ni syphilis . Aurait eu un eczéma vers l'âge de 27 ans. Mari
ditaires ET personnels. rangé, il n'a jamais eu de dermatose, ni de syphilis . Toute son histoire pathologique se borne à une
l'âge adulte ; sobre, fume peu, de caractère calme, sans traces de syphilis , de maladies de peau ni de rhumatismes. Migrain
bijoutier, n'a jamais eu ni convul- sions ni migraines. Il a eu la syphilis deux ans avant son mariage. Il est alcoolique,
atteint d'une arthrite du genou droit ; il présente des lésions de syphilis héréditaire oculaire reconnues par le D1' Trous
ons de l'enfance. II. Le père, avons-nous dit, avait contracté la syphilis deux années avant son mariage. Il était encore
enus morts-nés et le troisième a des accidents oculaires dus à la syphilis héréditaire. Notre malade et deux frères, venus
èslui, paraissent avoir été exempts de l'infection syphilitique. La syphilis héréditaire ne paraît pas exercer, d'ailleurs,
tie, ou, si l'on préfère, des idioties. Le plus souvent, quand la syphilis est encore en puissance chez les conjoints, les
ci, en est la preuve, - offrant des manifes- tations diverses de la syphilis héréditaire, mais rare- ment des lésions cérébr
erveux, mais serait sujet il des poussées d'eczéma. Aucun indice de syphilis . Famille du père. - Son père, paveur, sobre, a
65 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ent d'oreilles et d'adénopathie cervicale. On ne trouve chez lui ni syphilis , ni rhumatisme, ni alcoolisme, ni impalu- disme
TRIBUTION au rapport qui EXISTE ENTRE la paralysie GÉNÉ- RALE ET la syphilis . Contribution casuistique ; par W. Sommer (Neur
uche blanche sont intéressées.. P. K. > X. UN CAS REMARQUABLE DE SYPHILIS CÉRÉBRALE-, par L. GOLBSTEIN, (Cenlmlbl. f. Ner
tain que le paralyptique général eu question a eu antérieurement la syphilis , les cordons poslé- lieurs sont-ils prédisposés
nt observé quatre cas dans lesquels les anamnestiques révélaient la syphilis ; ce furent les faisceaux pyramidaux et non les
De l'influence des bains d'étuve dans le traitement mercuriel de la syphilis . Nouvelles éludes sphygmo- graphiques d'après l
cilles syphilitiques. Quand, par exemple, il s'agit de savoir si la syphilis est guérie ou demeure latente, la sudation en m
iterons : Des tumeurs sanguines de l'oreille (1859); Observation de syphilis constitution avec zona et ictère (Gaz. hebd., 1
paralytique (1882); - Contribution à l'étude des rapports entre la syphilis et la paralysie générale (1879); Symptômes pass
s. Dans sa famille, autant qu'il sache, il n'y a eu ni scrofule, ni syphilis . Personne de ses pa- rents ne présente de phéno
rtes douleurs à la nuque. A l'âge de vingt-neuf ans il contracta la syphilis ; il s'était ré- gulièrement soigné et n'a pas e
le coeur est normal, les vais- seaux athéromateux. Pas de traces de syphilis . L'urine n'a pas subi d'altérations pathologiqu
upe d'ouvrage manuel. Pas de neuropathies, ni de tuberculose, ni de syphilis dans la famille. Ses parents avaient eu onze en
e travail épuisant autant qu'il s'en souvienne. Jamais il n'a eu ni syphilis , ni fièvre intermittente. Pas d'excès alcooliques
Homme de quarante-quatre ans. Pas d'hérédité névropathique. Pas de syphilis ni d'alcoolisme. Excès vénériens habituels. En
du reste, ni orchite, ni variole, ni scarlatine, ni oreillons, ni syphilis qui puissent en être la cause. Le testicule gauch
es paralysies de la septième paire placées sous la dépendance de la syphilis cérébrale, celles qui peu- vent être occasionné
et fièvre typhoïde dans l'enfance. En 1880 le malade a contracté la syphilis . Au mois de mars 1881, trois mois après l'appar
sis dura cinq mois environ. En 4883, trois ans après le début de la syphilis , ont paru les pre- mières douleurs fulgurantes,
du tabes. La paralysie de la face est également indépendante de la syphilis , car dans la syphilis cérébrale,, si le facial
de la face est également indépendante de la syphilis, car dans la syphilis cérébrale,, si le facial vient à être touché, l
e tout autant, quoique cela sorte de notre sujet, de l'action de la syphilis qui a trouvé les voies bien préparées et bien f
a loi espagnole sur les aliénés. P.K. XXIII. Démence paralytique ET syphilis ; par C. DIETZ. (Allg. Zeitsch. f. Psych., XLIII
sies générales vraies. Dans ce nombre, 5 avaient eu certainement la syphilis antérieu- rement, soit une proportion de 61,4 p
ter que sur les 88 paralytiques généraux, 39 étaient porteurs de la syphilis seule comme facteur nocif, soit une moyenne de
lique des deux côtés. Contraction paradoxale du pied gauche. Pas de syphilis . La maladie a débuté, à la fin de 1877, par des
arésie bilatérale du pathétique. Homme de vingt-six ans, indemne de syphilis , de tuberculoses présente, depuis des années, d
la démence paralyti- que), par Zieben, 111 ; - (para- lytique et syphilis ), parDietz,445. Dipsomanie guérie par la strych
faciulu a frigore, par Neu- lllallll, 3J'1. Paralysie générale et syphilis , par Son])))er,HO;(et aphasie sen- sorielle),
Suggestion au point de \ue théra- peutique, par Couturier, 303. Syphilis (cas remarquable de - cE- rébrale), par Goldsto
66 (1894) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 07] : clinique des maladies du système nerveux
es ordinaires sans scotome. Pas de ma- ladies infectieuses ; pas de syphilis , une blennorrhagie sans complications. R. aserv
dant pas spéciale à la maladie de Paget, car on la retrouve dans la syphilis héréditaire. Notre maître, M. le pro- fesseur F
and'mère maternelle morte à 104 ans. Ni al- coolisme, ni goutte, ni syphilis connus dans la famille. A. P. - Le malade a eu
traumatismes avant le développement de l'affection actuelle. Pas de syphilis . cJ ans, fracture des os du nez avec déformatio
a SALPLTRiLRE T. vu, PL. fil. Tibias en « Lime de sabre » de la Syphilis héréditaire. (Collection A. Fournie)-). Défor
araît de nature à établir une relation étiologique directe entre la syphilis et une forme de méningite spinale accompagnée d
ertrophique de Charcot et Joll'roy. Non pas que du l'ait seul d'une syphilis avérée dans les anté- cédents du sujet, nous no
temps que de la double paralysie oculaire. Résumé DE l'observation. Syphilis 12 ans auparavant, accidents secondai- res. Déb
ns de toutes sortes). Il y a une douzaine d'années, il contracte la syphilis au Brésil (chan- cre induré sur la verge). Rent
médecin en province, qui diagnostiqua : accidents secondaires de la syphilis et lui donna des pilules de mercure à prendre.
; et depuis il n'a jamais présenté de manifestations externes de la syphilis , et il n'a jamais repris le traitement spécifiq
re environ 4 ans après les premiers acci- dents, il a communiqué la syphilis à sa femme. Celle-ci en effet a présenté quelqu
ltérieur des méninges rachidiennes, c'est là un fait commun dans la syphilis et la méningite syphilitique parait la plus fré
doit admettre qu'il s'agit là surtout de pachyméningite externe. La syphilis produit cette lésion beaucoup plus rarement que
s'amé- liora considérablement par un traitement non spécifique. La syphilis ne figure pas dans les antécédents du sujet.
rrhagiques, tumeurs, syphilomes, hystérie. De toutes ces causes, la syphilis est celle qui occupe le premier rang, après le
elle parait avoir été toujours bien por- tante. Elle a contracté la syphilis à une époque qu'il est difficile de dé- termine
é en hercule et qui ne vous semble pas bien ma- Il n'a jamais eu la syphilis , du moins il nous a élé absolument impossible d
elle il nous est absolument impossible de retrouver aucune trace de syphilis . Elle n'est pas alcoolique, elle n'a éprouvé ja
Il s'agit dans noire cas d'un homme de quarante-six ans, atteint de syphilis à vingt-deux ans.C'est seulement il l'âge de
ne éruption suspecte. Du reste, la malade semble avoir contracté la syphilis de son mari, dès la première année de son maria
tait, paraît-il, aucune lésion cutanée. Du reste, la malade nie la syphilis et ni l'interrogatoire, ni l'examen physique ne
père ni sa mère. Variole à 8 ans. Aucune maladie nerveuse ; pas de syphilis . Céphalalgies fré- quentes ; caractère vif. Mar
semble donc, malgré les caractères de la céphalée initiale, que la syphilis ne soit pas ici en jeu. Du reste la malade n'en
s héréditaires tuberculeux plaident en faveur de la tuberculose. La syphilis ne semble pas être en jeu. L'âge de la malade e
emble pas davantage admissible et, en l'absence de tout stigmate de syphilis , en présence de lésions avancées du sommet et d
67 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
p. 368; t. li. 161. 24 ik PATHOLOGIE NERVEUSE. été atteinte de la syphilis , ni des fièvres intermittentes ; jamais elle ne
as eu de maladies graves, quelques an- gines, une uréthrite; pas de syphilis ni des fièvres intermittentes. Il y a longtemps
ingt-cinq ans. Pas d'hérédité neuropathique, ni d'alcoolisme, ni de syphilis , ni de fièvres, ni de traumatismes ou d'autres
t peu probable, car, si sur 217 paralytiques généraux il y avait eu syphilis antérieurement chez 42 (proportion 19,3 p. 100),
on 19,3 p. 100), tandis que sur 2508 individus non paralytiques, la syphilis existait chez 52,6 (proportion = 2,1 p. 400), e
s d'erreur ! tandis que les autres aliénés cachent soigneusement la syphilis , les paraly- tiques généraux parlent à coeur ou
x parlent à coeur ouvert ; que de paralytiques géné- raux ont eu la syphilis 4 0, 20 ans, et plus, avant la maladie actuelle
enfin sur cent autopsies, on ne note nul signe caractéristique de syphilis dans l'encéphale et ses enveloppes. P. K. II. C
onn). Contribution à la question de l'intoxication chronique par la syphilis , avec pièces anatomiques de syphilis du système
'intoxication chronique par la syphilis, avec pièces anatomiques de syphilis du système nerveux. On sait que Struempell croi
d'individus non syphilitiques ; et là où il y avait certainement syphilis on rencontre souvent des vaisseaux ayant conservé
lique. Homme de vingt-neuf ans, indemne de tare héré- ditaire et de syphilis , adonné depuis des années à l'alcool; il se dév
extenso dans le Neurolog. Centralbl.1. M. SII'sllERLING. Un cas de syphilis cérébrospinale héréditaire.- Publié itt extenso
p. 100 pour les femmes, la tuberculose un de : 6,32 p. 400 ; et la syphilis 4,20 chez les hommes. En additionnant le nombre
en comme antécédents héréditaires. Bonne santé antérieure; pas de syphilis , ni paludisme, ni maladies fébriles. 11 a commenc
de dispositions neuropathiques, ni de fièvres intermittentes, ni de syphilis , ni de traumatisme du dos, ni d'excès alcooliqu
Par moments, étourdissements et diplopie. Pas d'alcoolisme, pas de syphilis . Le malade succombe à une pneumonie chronique.
la paralysie progressive. Il y a six ans, traumatisme céphalique, syphilis : puis, délire des persécutions avec plaintes de
ans. Pas d'antécédents héréditaires. Bonne santé antérieure, pas de syphilis , pas d'alcoolisme, pas d'impaludisme. Il a commen
ans. Pas d'antécédents héréditaires, bonne santé antérieure. Pas de syphilis . Pas d'impa- ludisme. Pas d'alcoolisme. Il a co
cédents personnels, il n'y a rien de remarquable à signaler. Pas de syphilis , pas d'impalu- disme, pas de maladies antérieur
es frictions à l'onguent gris chez un sujet qui avait eu jadis la syphilis , parurent nuisibles. Les vésicatoires, les poin
ralysie musculaire de l'aeil, unilatérale niais totale. Diagnostic. Syphilis circonscrite du revêtement de la fosse moyenne
4'l4 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. inexpliquée, si ce n'est par la syphilis (infection deux ans aupara- vant), et suivie qu
dès maintenant,c'est que les névrites du tabès ne tiennent pas à la syphilis , car l'existence ou l'absence de syphilis en pa
abès ne tiennent pas à la syphilis, car l'existence ou l'absence de syphilis en pareils cas comporte une proportion égale. P.
ale, à la paralysie générale alcoolique, aux rapports qu'affecte la syphilis avec la paralysie générale6 (Voy. Zeitsch. f. P
. Psych., t. XLII). M. Hertz. L'expérience nous apprend-elle que la syphilis céré- orale puisse revêtir la forme d'une psych
, 450. Surdi-mutité (méningite aiguë et), 1),Ir Selililtze, 86. Syphilis (intoxication chronique par la), par Rumpf, 88;
68 (1869) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 1ère année
s été bien poftant, et ne présente aucun antécédent de scrofule ou de syphilis . Tailleur de pierres depuis l'âge de vingt-un a
r Guibout, médecin de l'hôpital Saint-Louis, Sous l'influence de la syphilis comme pendant le cours de la grossesse, on voit s
phénomène intermédiaire ¿1 la seconde et à la première période de la syphilis , ne cède jamais au traitement spécifique. La pigm
se fait le plus souvent, sinon toujours, chez des sujets atteints de syphilis ; l'une et l'autre affection se montrent rebelles
lennorrhagies, les trois quarts des chancres mous, les deux tiers des syphilis . M. Léon Le Fort étudie ensuite chacune des cat
emmes légitimes figurent pour trois cas de chancres mous, neuf cas de syphilis , soixante-trois cas de blennorrhagie. En recherch
é) ont donné 576 uréthrites, 82 chancres mous, 171 chancres suivis de syphilis , en totalité 829 cas de maladie vénérienne. Dans
euse, que c'est celui qui a fourni la plus forte proportion de cas de syphilis constitutionnelle. Presque tous les bals de Paris
e ses leçons, M. Fournier aborde son sujet par l'étude du début de la syphilis chez la femme. Chez elle comme chez l'homme, di
la syphilis chez la femme. Chez elle comme chez l'homme, dit-il, la syphilis obéit dans son éclosion et dans son développement
tion syphilitique primitive. Elles sont au nombre de quatre : i° La syphilis n'a pas de génération spontanée; elle résulte tou
emme comme chez l'homme, dit-il, l'éclosion et le développement de la syphilis procèdent d'une façon méthodique et peuvent se di
e que l'on englobait sous ce nom les différentes manifestations de la Syphilis et les autres maladies cutanées , REVUE PHOTOGR
à la vulve notamment. Elle apparaît dans la période secondaire de la syphilis , mais toujours à un terme un peu avancé de cette
69 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
houé. Lors de la consultation, il fut parfaitement établi que ni la syphilis , ni l'hystérie, ni une cause traumatique quelconq
mmaire. — Épilepsïe partielle ou hémiplégique. — Ses rapports avec la syphilis cérébrale. — Considérations historiques. — Descri
s observa-tions, est une des manifestations les plus fréquentes de la Syphilis cérébrale. C'est là un fait, on peut le dire, hau
cer-taines particularités qu'offre souvent cette forme clinique de la syphilis cérébrale. Mais j'aurai surtout à cœur de mettre
j'avais été tout naturellement conduit à soupçonner que, chez lui, la syphilis pouvait être en jeu et je procédai immédiatement
ncre induré, suivi bientôt de diverses manifestations rele-vant de la syphilis constitutionnelle, parmi lesquelles a figuré la r
, dans les diverses formes d'épilepsie partielle, indépendantes de la syphilis . Néanmoins, dans cette maladie, elle est, en géné
rouvés par M. X... depuis dix-huit mois, devaient être rattachés à la syphilis , èt que vrai-semblablement ils céderaient tous à
'observation suivante où, comme dans la première, il s'agit encore de syphilis cérébrale. Un confrère étranger, de passage à P
e les traces. Je n'hésitai pas, vous l'avez prévu, à rattacher à la syphilis 1 Sur l'état cachectique et la pâleur terreuse
pâleur terreuse que présentent habituellement les malades atteints de syphilis cérébrale, voir au point de vue du diagnostic les
s derniers temps. En mai 1874, six ans environ après le début de la syphilis , bien que la diarrhée se fût un peu amendée depui
d'épilepsie par-tielle d'origine syphilitique 1 ou indépendante de la syphilis ; et peut-être la relation dont il s'agit sera-t-
préparations mercurielles contre l'état cachectique qui relève de la syphilis tertiaire ont été parfaitement mis en relief par
nt, et je n'ignore pas qu'il se-rait aisé de citer nombre de faits de syphilis cérébrale avec épi-lepsiepartielle où, malgré l'a
é de l'épilepsie partielle, parmi les manifestations si variées de la syphilis cérébrale. En septembre 1872, je fus consulté p
aient rattachés, à tort ou à raison, par les médecius consultés, à la syphilis . Sous l'influence de je ne sais quelles préoccupa
ée par Lackerbauer et publiée par M. Lancereaux dans son Traité de la syphilis s. Malheureuse-ment, les faits cliniques que ces
rs de l'épilepsie partielle, des formes cliniques très diverses de la syphilis cérébrale peuvent relever encore de la pachyménin
nnent d'être relatées me frappèrent très vivement : l'influence de la syphilis ne me paraissait plus méconnaissable et j'étais d
tion héréditaire, ou encore celle d'un élément diathésique tel que la syphilis , le cancer, la goutte, le rhumatisme. J'ajouterai
mmaire. — Epilepsie partielle ou hémiplégique. — Ses rapports avec la syphilis cérébrale. — Considérations historiques. — Descri
ons du grand, 293, 488. Symptômes récurrents ou rétrogra-des, 22. Syphilis (V.Epilepsie,Moelle, Mo-noplégie, Psoriasis, Réti
70 (1897) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 10]
st l'objet, était au moment de la conception en pleine évolution de syphilis secondaire, et de syphilis grave touchant avec
de la conception en pleine évolution de syphilis secondaire, et de syphilis grave touchant avec une insistance remarquable
arents syphilitiques les lésions de la moelle ne sont pas rares, la syphilis héréditaire agit, avant la naissance, comme (1)
UN CAS D'III : 1111111ÉL1)J CHEZ UN FILS DE SYPHILITIQUE 35 fait la syphilis acquise chez les adultes. Et voilà pourquoi nous
nte le père du jeune malade, pourquoi nous faisons remarquer que sa syphilis est une syphilis nerveuse et qu'elle était en p
une malade, pourquoi nous faisons remarquer que sa syphilis est une syphilis nerveuse et qu'elle était en pleine période d'acu
conception. Enfin, nous appellerons l'attention sur ce fait que la syphilis est cou- tumière de ces malformations congénita
nue par bien des auteurs, ce que nous savons de la tendance qu'a la syphilis congénitale à frapper le système nerveux ne fai
que nous présentons, l'hypothèse d'une lésion médullaire, due à la syphilis héréditaire, et ayant évolué pendant la vie foe
; rien également à noter dans les anté- cédents personnels ; pas de syphilis , ni d'alcoolisme. La maladie actuelle a dé- but
est morte de suites de couches. Personnellement, s'il n'a pas eu la syphilis et s'il n'accuse que la diph- térie à l'âge de
e. Les circonstances auxquelles je fais allusion sont multiples. La syphilis héréditaire serait la plus gravement prédisposant
e parmi les affections parasyphilitiques (1). Il est certain que la syphilis est de toutes les influences morbides la plus dys
paralytiques, p.296.Paris, 189'E.Inluence dystrophique de l'hérédo- syphilis . Médecine moderne, 1890. La syphilis héréditaire
ence dystrophique de l'hérédo- syphilis. Médecine moderne, 1890. La syphilis héréditaire tardive. Paris, 1886, p. 29. DE L'I
mère, primipare, âgée de 19 ans, est bien constituée. Pas trace de syphilis . Aucun cas analogue dans la famille. Tuberculos
ilitiques. Il le rejette judicieusement en faisant remarquer que la syphilis était de date trop récente et qu'elle était tro
sions et quelle autre maladie pourrait les produire, si ce n'est la syphilis ? « Il est permis de croire aussi que le peintr
mbe et le bras du côté droit, ne trouvons-nous pas les signes de la syphilis , des pustules cutanées avec leurs croûtes d'une
l'on avait donné à la maladie. « Enfin tous les caractères de la syphilis ne se retrouvent-ils pas dans les ulcérations d
l nous semble difficile d'accepter, sans réserves, le diagnostic de syphilis . D'abord, en ce qui concerne les ulcérations do
est pas douteux qu'on peut, non sans vraisem- blance, incriminer la syphilis ; elle est capable desemblablesméfai1s.14lais on
dait quelle autre maladie pourrait produire ces lé- sions, sinon la syphilis ? -Mais, sans multiplier les exemples, il nous se
ute. - La Lèpre mutilante est bien la cause de ces mutilations; les syphilis les plus sévères ne les réalisent que très exce
t rudimentaire. » Cette critique seraitjuste avec l'hypothèse de la syphilis . Elle cesse de l'être, si l'on admet qu'il s4ag
lement défendable, mais beaucoup plus vraisemblable que celle de la syphilis . Elle est d'ailleurs conforme aux traditions pi
it pu prendre pour modèle une des victimes de la grande épidémie de syphilis qui ravagea, dit-on, l'Europe entière à cette épo
71 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
aralysie. Le malade lui- même n'était pas alcoolique, il n'avait ni syphilis , ni maladies internes. Le 23 janvier 1895, il e
rdinaire l'existence d'une tumeur de l'encéphale, les hypothèses de syphilis , de tuberculose, de cancer s'offrent immédiatemen
plica- tion de ventouses scarifiées. Aucune autre maladie (pas de syphilis , etc.). Etat actuel. Aspect extérieur. Debo
n'a pu fournir un seul signe douteux. Il n'y a pas de stig- mate de syphilis héréditaire. Les urines ne contiennent ni sucre n
le époque, la lèpre pou- vait produire des accidents semblables. La syphilis n'existait pas, ou du moins ses ravages étaient
E DE GENÈVE. SUR L'ÉTAT ATROPIIIQUE DE LA MOELLE ÉPIN1ÈRE DANS LA SYPHILIS SPINALE CHRONIQUE PAR E. LONG et B. WIKI (de
démontrer que la moelle épi- niére, lorsqu'elle est frappée par la syphilis , présente dans les formes à évolution rapide de
culier. Antécédents personnels : blen- norrhagie à l'âge de 15 ans, syphilis à l'âge de 18 ans. Pas d'autres maladies infect
s foyers ne se montrent pas, comme on l'observe fréquemment dans la syphilis spinale, sous l'aspect de la myélomalacie ; ce
che lente et progressive, survenue chez un sujet ayant contracté la syphilis 38 ans au- paravant. Pendant les trois premiers
stent ici avec le ca- ractère de diffusion qui est habituel dans la syphilis spinale. 11 est à noter cependant qu'elles se s
cée de la forme chronique, si les locali- sations vasculaires de la syphilis ne régressent pas, il peut se former, sui- vant
nombre de segments. Il est donc possible que, dans quelques cas, la syphilis spinale n'agisse que par une diminution de l'ap
PE DES ÉCRIVAINS 151 Chez ce malade, on ne retrouve aucune trace de syphilis , et, sans entrer dans tous les détails, on peut
posantes, nous signalerons encore l'anémie et ses complications, la syphilis , et, dans beaucoup de cas, )'inf ! uenza.Une<o
de 23 ans. Au retour du service militaire, il contracta, dit-il, la syphilis et suivit alors un traitement régulier, dont il
nt. Elle n'a jamais eu de gros- sesse ; elle nie l'alcoolisme et la syphilis . Le début des crises comitiales remonte à huit
S'il faut en croire la mère de la malade, elle aurait contracté une syphilis conjugale un an après le ma- riage, assertion c
on des fac- teurs habituels de la dégénérescence : l'alcoolisme, la syphilis , la tuber- culose, le paludisme, l'infection go
trophie à des affections telles que la tuberculose, la scrofule, la syphilis (1), qu'on pouvait en effet retrouver assez sou
ause pré- disposante uniquement. C'est ainsi que la tuberculose, la syphilis , tout comme les mauvaises conditions hygiénique
onques. . Le père, cultivateur, est bien portant (ni alcoolisme, ni syphilis ). L'enfanta un frère parfaitement constitué.
t mère de 2 enfants bien portants. Antécédents personnels. - Pas de syphilis . Dysenterie en 1870. Pneumonie en 1872. D'aille
40 ans. Elle a présenté de fréquentes périodes d'anémie ; elle nie la syphilis et l'alcoolisme. Réglée à 11 ans, avec une fr
n par brûlure électrique du nerf; Grosz, observ. VI de Cestan,unpar syphilis ; Ballet, deux cas par compression habituelle du
lcooliques; Huet, par compression; Gaucher, Dejerine et Thomas, par syphilis ; Bernhardt et Pitres, par fièvre typhoïde ; Deje
déterminé une atrophie du bras droit. Ce malade ayant contracté la syphilis a vu survenir des syphilides malignes précoces
ques du cerveau, par PAUL SE- RIçUX et ROGER Mignot (4 fig.), 39. Syphilis spinale (Atrophie de la moelle dans la), par E.
LONG E. et Wiki. Sur l'état atiophique de la moelle épinière de la syphilis spi- nale chronique (21 fig.), 105. MAntLLE.
iki et E. Long. Sur l'état atrophique de la moelle épinière dans la syphilis spinale chronique (21 fig.), 105. Zmamn.r A.
72 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e faciale périphérique, l'hémiplégie ne peut être imputée ni à la syphilis , ni à un traumatisme, ni à une carie du rocher,
M. IL.. avoue avoir fait des excès alcooliques et vénériens; pas de syphilis . La paralysie faciale pour laquelle il vient no
vons chez lui l'émotivité caractéristique de la neurasthénie pas de syphilis ; - pas d'excès alcooliques. La paralysie facial
fre depuis l'âge de vingt-cinq ans; pas d'excès alcooliques, pas de syphilis . Il y a cinq jours, hémiplégie faciale droite.
on du tabac atteint ses dernières limites (Hollande, Allemagne) ? Syphilis . Beaucoup de paralytiques généraux ont eu, à un
es généraux ont eu, à une époque antérieure de leur existence, la syphilis . De là à attribuer à la syphilis la paralysie g
e antérieure de leur existence, la syphilis. De là à attribuer à la syphilis la paralysie générale elle-même, il n'y avait q
approprié, au moins dans un certain nombre de cas. Ajoutons que la syphilis , quand elle atteint le cer- veau, y détermine d
que la paralysie géné- rale soit jamais de nature syphilitique. La syphilis est une cause d'affaiblissement général; elle a
ysie générale n'est pas une altération de nature syphilitique. La syphilis du cerveau, se traduisant par la gomme, est tou
n j'ai fait l'autopsie de paralytiques, qui avaient eu autrefois la syphilis : je n'ai jamais trouvé que les lésions classiq
oncle paternel morts aliénés. A mené une jeunesse dissipée, a eu la syphilis et a subi un traitement spéci- fique énergique.
accusent ex- clusivement les excès vénériens; d'autres encore la syphilis . Je crois que le problème n'est pas aussi simpl
tre lui-même se transfor- mant tout à coup en délire des grandeurs. Syphilis . Observa- TION III. Etat d'obnubilation psychiq
fiant, il était devenu communicatif et exubérant. Il pense que la syphilis cérébrale chez un fou héréditaire pourrait expliq
ignaler par- ticulièrement les faits qu'on aurait pu rapporter à la syphilis cérébrale et dans lesquels l'application des oe
ypertrophique. De toutes les causes, telles que traumatisme, froid, syphilis , la plus accréditée est l'hérédité qui serait v
s, se portent bien. A ce qu'il paraît ils n'étaient pas atteints de syphilis . Cependant, de treize enfants il ne leur en res
de migraines; pas de maladies de la peau; on ne sait s'il a eu la syphilis ; pas d'angines, d'ulcérations, etc.; il fumait tr
rescrire un traitement général s'il existe une diathèse, surtout la syphilis , et combattre l'hémichorée elle-même par la gym
rapport QUI EXISTE entre LE TABES OU LA PARALYSIE PROGRESSIVE ET LA SYPHILIS ; par A. STRUEMPELL. (Neul'ol. Centralbl , l 88
ent des tabétiques observés par l'auteur avaient eu certainement la syphilis .antérieurement ; le Labes, exceptionnel chez l
es inférieures. Quand il existe dans le premier cas, on constate la syphilis à coup sûr ou très proba- blement (anamnestique
t donc les mêmes agents nocifs dépendant le plus généralement de la syphilis , qui atteignent, en un cas, lesyslème des fibre
ychiatrique de Berlin. 285. - Surdité verbale, par Perret, 108. Syphilis (rapports entre le tabès ou la paralysie généra
73 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
- sionnable mais il n'a jamais eu de maladie grave. Toutefois, la syphilis , sans être absolument confirmée, semble probable
oitié gauche de l'axe gris. Ch. BONNE. IX. Sclérose en plaques et syphilis ; par CATALA. (Nouv. Icon. de la Salpêtrière,19
d'être résolue ; la plupart des auteurs nient ou contes- tent à la syphilis un rôle étiologique dans le développement de la
ns la sclérose en plaques vraie. Rien n'autorise donc à éliminer la syphilis de l'étiologie de cette affection. L'auteur appor
histologiques de la sclérose en plaque vraie, et il conclut que la syphilis peut jouer un rôle impor- tant dans l'étiologie
érale de nature alcoolique est très rare en Grèce. A propos de la syphilis cérébrale diffuse. M. Ch. Ladame (asile de Sain
rébrale diffuse. M. Ch. Ladame (asile de Saint-Pirminsberg). - La syphilis cérébrale diffuse appartient au groupe des formes
le on peut la confon- dre. Les symptômes cliniques principaux de la syphilis céré- brale diffuse sont : a) S. somatiques : R
e, neu- ronophagie et destruction des cellules ganglionnaires. La syphilis cérébrale diffuse se distingue essentiellement
c'est mi virus toxique encore inconnu qui intervient à côté de la syphilis dans le déterminisme de cette affection. M. L.
ce que, depuis les campagnes médicales et extra-médicales contre la syphilis , cette affection est mieux et plus longtemps so
minou (Moscou) représente au tableau par un schéma les périodes de syphilis simple chez les malades et celles de syphilis t
éma les périodes de syphilis simple chez les malades et celles de syphilis tabétique. Il donne du mercure naturellement dans
.Lesparents de ces malades ne sont pas des consanguins, et comme la syphilis ou tout autre infection paraît devoir être écar
tique de son arthritisme, un hérédo-syphilitique, de son hérédo- syphilis . Par une médication appropriée, une hygiène sév
personnels une pneumonie à 19 ans, plusieurs blennorra- gies et la syphilis probable, mais non absolument certaine. Le débu
probablement blennorrhagique ; elle n'a jamais, semble-t- il, eu la syphilis . Dans les derniers temps, surtout après l'apparit
s'agit d'un paralytique général, âgé de 45 ans, qui avait acquis la syphilis au moins 10 a.ns auparavant.Il est entré à Gel-Ai
la P. G. de celles de la démence sénile, l'artério- sclérose de la syphilis cérébrale » arrivent jamais à déceler des dif-
éthyliques très forts depuis l'adolescence. Abus vénériens. Pas de syphilis . Il y a deux ans, le malade avait eu de l'insom
as de 4' ? 0 clinique nerveuse. fièvre typhoïde ; aucun indice de syphilis ; pas de maladies de peau. Avant d'être marié,
daire, rôle de sim- ple « cause occasionnelle «.qu'il attribue à la syphilis dans l'étio- logie du tabès et de la P. G. : la
sse pas sensiblement la moyenne. L. WAIIL. Niai. Traitement de la syphilis par l'anilarsinate de soude sui- vant le-procéd
ppe jamais en l'absence d'une prédisposition con- ceptionne)le ; la syphilis , l'alcoolisme, le traumat'sme, etc., seraient t
tuberculose doit être mise sur le même rang que l'alcoolisme et la syphilis . Un France, on ne lui reconnaît généralement pas
ntres nerveux et est capable à elle seule, comme l'alcoolisme ou la syphilis , d'engendrer les différents états d'idiotie chez
este à faire, la possibilité de l'existence du signe d'Argyll, sans syphilis . Bléphaarospasme. MM. Rociion-Duvignaud et A.
. \'oir .Syphilis. Schaefer. Voir Réflexe. Sclérose en plaques et syphilis , par Catala, p. 73. Contribution analol11o-pn
I Ienschen, p. 69. Sur le ves- tibulaire, par Raymond, p. 231. Syphilis . Voir Sclérose. A propos de la cérébrale diffus
74 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
RESSIVE, AVEC LÉSIONS VASCL'LAIRES ÉTENDUES, PROBABLEMENT DUE A UNE SYPHILIS HÉRÉDITAIRE TARDIVE ; par E.-A. HOMES. (Archiv
eize ans. Son père est bien portant et ne présente pas de traces de syphilis ; sa mère est nerveuse, son grand-père maternel,
e a pour critérium clinique les troubles moteurs et sensitifs de la syphilis cérébrale, et comme critérium anatomo-pathologi
érébrale, et comme critérium anatomo-pathologique les lésions de la syphilis ; c'est en vertu de ces critériums que l'auteur
litique, m la paralysie générale syphilitique; mais il admet que la syphilis cérébrale peut au début revêtir le masque sympt
troubles révelant la nature organique de la folie; de même aussi la syphilis cérébrale peut revêtir le masque de la para- ly
litiques avec les lésions qu'il appelle banales, coïncidant avec la syphilis ou produites à son occasion; ce sont ces lésion
quent tout entier sur la constata- tion des phénomènes propres à la syphilis , antécédents, troubles NÉCROLOGIE. 65 moteurs
Marié, il a un enfant de douze ans, bien portant. Pas de trace de syphilis . Quelques excès alcooliques. M... a fait son se
Fh. ! ")lllli (1,0 IV. Contribution statistique A la question DE la syphilis ? , . tScu w.,i...ym·'1 JI'r.1J 1,,) \ 'hÍfr ?
ques certains = 24 à 25 p. 100; chez les femmes russes, il y a : 18 syphilis indéniables =9 à111' p. 100. Chez les 118'Russe
! III "1 PI dlH ho ? tfJP qn f)c''1l1c. V. Un CAS D APHASIE DANS la syphilis cérébrale; p.r K..H ! f.llO ? r ? E,R '.1 ,^v J
ux' qui voûdraient'mettre ces-arlliropathies sur'le compte' de la'1 syphilis , '' les' auteurs font remarquer que si; dans le
on L-H... de trente-quatre ans; tare héréditaire; débutaigu. Pas de syphilis . Puis alternatives régulières de dépression et d'
ssion. Observation II. Débile de trente-six ans; tare héréditaire ; syphilis grave. Début brusque à l'occasion de la mort de
claudication intermittente par oblitération artérielle; Hystérie et syphilis ; De l'in- fluence d'une maladie ou d'une intox
re (1889) ; - Traitement du vertige de Minière (1890) - Un cas de syphilis cérébrale héréditaire tardive; Encore deux cas de
n cas de syphilis cérébrale héréditaire tardive; Encore deux cas de syphilis 206 J.-M. CHARCOT. cérébrale ; Sur un cas de
ssium, malgré l'affirmation du malade qu'il n'a jamais contracté la syphilis . Vers le 20 du mois de septembre, il fut attein
ie ne donne que des résultats négatifs. Il n'existe aucune trace de syphilis à la surface du corps. Les renseignements, que
tre eux ne présentaient, comme cause de paralysie géné- rale que la syphilis antérieure, chez tous les autres, il y avait à
phal l'a rejetée. Enfin c'est aussi progresser que d'extraire de la syphilis spinale certaines formes justifiant de leur exi
luence des maladies du coeur et, dans un cas (Schmidt), celle de la syphilis . Mais, indépendamment de l'action directe d'un
un autre frère mort pendant son ser- vice miltaire. Ni scrofule, ni syphilis . Pas d'alcoolisme. Il y a dix ans, auraient app
ns organiques diffuses mal limitées, la psychose polynévritique, la syphilis céré- brale et l'affaiblissement intellectuel p
'postérieure', celui qui^anime.la partie. supérieure de la moelle;' syphilis probable Z1 'q A q , ni .1 ').tl(ht ? t't,<
llgemeinen fortschreitendon Pal'laysie mit Beriicksich- tigurzg der Syphilis /rage. Brochure in-81 de 28 pages. Bonn, 1893.
,- un cas d' hystérique; par llolst, 1 ia. i 1 1 Aphasie, dans la syphilis cérébrale, par Heilbronner, 132; de l' - dans
philitique, aliénation mentale ? ,' par l\Iairet,' 64. Il I : '1' Syphilis , contribution statistique' à à I ! f la questio
q ? jA Tabès, contribution 1 statistique ? à la question» de' la' syphilis et du 1 . .1 1 1, - , par L. l\11nor, 132; co
75 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
ille, il est un peu nerveux. Nous n'avons pu déceler aucun signe de syphilis ou de tuberculose. Les réflexes tendineux, cuta
de pédiatrie, 11 juin 1902, etc. ; Chrétien SCIISfIDT invoquent la Syphilis . (3) Première hypothèse du professeur Pierre Ma
morte. Parenté bien portante. Lui-même toujours bien portant. Pas de syphilis , pas d'alcoolisme, 4 enfants bien portants. E
inégalement répartie au niveau d'une même région. S'agit-il d'une syphilis héréditaire ayant pu, au cours de la vie intra-
itive. Mais, nous fait remarquer notre confrère, peut s'agir d'une- syphilis acquise. De sorte qu'en définitive, il est diffic
ronchites légères chaque hiver. Pas d'éthylisme appréciable. Pas de syphilis : le Wassermann est négatif. Le malade est mari
sept ans de service militaire en France. Pas de blennorragie ni de syphilis ; il n'a jamais été malade. Il a vu un méde- cin
t-Philippe) ou d'infections atténuées telles que la tuberculose, la syphilis , les enfants présentant un retard dans leur dév
et ne paraissant pas avoir laissé de séquelles. Le malade nie toute syphilis , mais avoue un alcoolisme accentué ; il a l'hab
udo-sysléma- tique. A notre avis, celte méningomyélile relève d'une syphilis restée ignorée : pour admettre l'existence de l
ève d'une syphilis restée ignorée : pour admettre l'existence de la syphilis , nous nous Irlsonsd'une part sur cette particip
ns. Nous n'invoquons pas, bien entendu, la fréquence reconnue de la syphilis dans l'étiologie des amyotroph ies Arall-Duchenne
à défaut de commémoratifs, suffirait à démontrer l'existence d'une syphilis antérieure. NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtr
ypophyse, la dystrophie adiposo-génilale, les différentes formes de syphilis du système nerveux central (syphilis héréditair
ale, les différentes formes de syphilis du système nerveux central ( syphilis héréditaire, paralysie cérébrale progressive, s
eux central (syphilis héréditaire, paralysie cérébrale progressive, syphilis cérébrale comme l'encéphalite gommeuse, la méni
it toujours affaire à l'épilepsie cérébrale (hydrocéphalie interne, syphilis héréditaire, méningo-encéphalite). Les altération
symptôme en foyer quelconque appréciable. Mentionnons encore que la syphilis héréditaire peut donner lieu à une maladie, don
identiques à celles de l'épilepsie essentielle ; seulement dans la syphilis cérébrale congénitale, les troubles de l'intellig
aques épileptiformes), trois cas classiques, absolument évidents. Syphilis héréditaire, un cas douteux et deux cas certains.
de porencéphalie, ceux d'hy- drocéphalie interne et les deux cas de syphilis congénitale, il reste donc 40 cas qui, au point
en dehors de l'alcool. Le fils du syphilitique, qui a échappé v la syphilis héréditaire, présente une tendance accentuée pour
rveuses, de type familial, si, par hasard, il vient à contracter la syphilis . . Les intoxications accentuent cette hypersens
n les prend quelquefois pour des symptômes d'artério-sclérose et de syphilis , mais par un examen minu- tieux on vérifie l'ab
76 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
Père syphilitique, serait mort ataxique. Le malade n'a jamais eu la syphilis . Douleurs fulgurantes et amblyopie vers l'âge d
sé à Bicêtre (service de M. P. Marie). Sclérose combinée tabétique. Syphilis en l<885 à 18 ans. Début par une crise de ré
ngement ou seule- ment un allongement de quelques millimètres. LA SYPHILIS DANS L'ART (Llligllel-Lml(fStiue) Les Sorcier
iue) Les Sorciers, tableau de Goya, Musée du Prado, à M.1driJ, LA SYPHILIS DANS L'ART, PAR R M. LAIGNEL-LAVASTINE. Les
ûté. Dans les antécédents du malade, on ne trouve ni alcoolisme, ni syphilis , ni blennorrhagie ; il a eu deux congestions pu
jamais eu ni enfant ni fausse couche. On ne trouve pas de trace de syphilis dans son histoire. Histoire de l'affection. La
ntiels or- ganiques. Nous ne retrouvions pas de traces évidentes de syphilis , le trai- tement spécifique étant d'ailleurs re
h a débuté sous l'influence d'une rougeole, d'une coqueluche, d'une syphilis ou d'une infection ganglionnaire. Soca, en 1888
phtérie à 10 mois, rougeole à 7 ans. Bonne santé habituelle. Pas de syphilis . Ethylisme (pituite, tremblement des mains). Au
ormante de l'aget, en col- laboration avec Marinesco. En 1896, La syphilis héréditaire de la moelle^épinière . En 1897, Pa
la moelle épinière, en collaboration avec Gasne. En 1899, Un cas de syphilis héréditaire de la moelle, en col- laboration av
uis neuf ans et qui a été l'objet de diagnostics variés : hystérie, syphilis des centres nerveux, neurasthénie et particuliè
xostoses spécifiques. - Mais le malade affirme n'avoir jamais eu la syphilis (ni chancre, ni roséole, ni plaques muqueuses)
a femme n'a jamais fait de fausse couche. Reste l'hypothèse d'une syphilis héréditaire. Malheureusement il est impossible
core un sérieux appoint. Le malade ne' semblant pas avoir acquis la syphilis ; malgré l'absence des stigmates classiques de l
, fistules persistantes, cicatrices déprimées et adhé- rentes. La syphilis héréditaire déforme le squelette, mais elle le dé
n'a ja- n mais eu de crises nerveuses, il n'y a pas de signes d'une syphilis antérieure. Notons seulement une rougeole et un
dû à une grosse hémorragie, l'emporta. Le malade a toujours nié la syphilis . L'autopsie révéla une hémorragie assez grosse
elles de toute sclérose syphili- tique, de beaucoup de formes de la syphilis tertiaire que l'on a dites para- syphilitiques
tissus qui se traduit par la formation de la sclérose. Mais dans la syphilis l'altération vasculaire est prédomi- nante ; da
, elle aussi, de déterminer une aphasie passagère transitoire. La syphilis cérébrale donne assez souvent, à la suite d'un si
des vaisseaux, nous serions fort tentés d'attribuer l'affection a la syphilis . Il s'agissait non d'une iiiéningo-iiiy,lite sy
iminuaient et dis- paraissaient vers la périphérie de la moelle; la syphilis n'avait pas été recherchée. Un fait paraissait
hoïde au service militaire. Il avoue une biennorrhagic, mais nie la syphilis : il a bien présenté des végétations sur la ver
aladies nerveuses et mentales ; intoxications diverses, alcoolisme, syphilis , saturnisme ; infections, tuberculose, affections
ral des muscles du cou et de la face (2 phot.), par GAUSSEL, 337. Syphilis dans l'art (1 pl.), par Laignel- LAVASTINE, 83.
ématomyélie trau- matique (9 figures), 240. LAiGNEL-LAVASTINE. La syphilis dans l'Art (1 planche), 83. LANNOIS. Myotonie
, XLVII. Spondylose rhumatismale (H. FORESTIER), XV, XVI, XVII. Syphilis dans l'art (LAtGEL-LAVASTi.'OE), X. Syringomy
77 (1883) Archives de neurologie [Tome 06, n° 16-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
te, Ilnrl nf, 'rllM ? ci, i'j si 1 X, Des ItAI'PORTS nui lient la. syphilis au T11S1 : S; par 111 : l'usmr.Liln 1 9lrp 9'lw
' E. Chambard. " II. Des rapports DE la démence paralytique avec la syphilis ; ? par SNELL. (Allg : Zeitsch. f. psych., XXXIX,
ntés à l'ob- servation de 1\1. 1 Snell avaient eu antérieurement la syphilis . La ' rareté'de'la'paralysie générale chez là f
érale chez là femme,' rapprochée de la bien moindre fréquence de'la syphilis chez elle que chez l'homme, ? ajoute l'auteur pou
minin souvent infecLé. On sait, au reste, que la localisation de la syphilis sur le cerveau engendre souvent des phénomènes mo
une altération spécifique du cerveau. Peut-être certaines formes de syphilis sont-elles capables de déterminer dans l'organe c
arec les contractures; 4 ? la nature du. processus rapprochée de la syphilis artérielle; le cas sera publié in 1t ? SO. ;.iH
d'éclampsie puerpérale précoce ; par CAIX. Thèse de Paris, 1883. Syphilis cérébrale précoce; par Manchon. Thèse de Paris, 1
Observation III. Ataxie locomotrice ; début à dix-huit ans, pas de syphilis ; Douleurs fulgurantes, troubles vésicaux et oc
lle. A toujours été bien portante dans sa jeunesse. Pas de trace de syphilis . Elle s'est mariée à dix-sept ans. Un an après
au plus haut point. Observation IV. Ataxie locomotrice. - Hérédité, syphilis , émotions morales pénibles. - Troubles de la vi
de l'hérédité nerveuse (tante et oncle maternels aliénés), et de la syphilis . AFFECTIONS DU PIED CHEZ LES TABETIQUES. 313 i
inger- main, aliéné, a été à Sainte-Anne en 1878 : il a eu aussi la syphilis . - Pas de suicides, ni de criminels, ni de diff
eu à dix-huit ans « un coup de sang » et le « sang brûlé ». Pas de syphilis . [Père, soixante-dix- huit ans, receveur -d'oct
AVANTES. 413 philis, l'auteur attire l'attention sur le fait que la syphilis grave du cerveau avec les manifestations spécif
ent. La marche de la maladie est la suivante : Trois ans après la syphilis primaire, forme très bénigne maux de tête et di
aussi chez cette malade les éléments de deux maladies différentes : syphilis et paralysie générale. Un paralytique général p
alysie générale. Un paralytique général peut en effet contracter la syphilis . M. DEL.\sI.\UVE, On entend depuis quelque temp
appelle combien selon lui M. Lasègue avait raison de ne voir que la syphilis cérébrale là où M. Fournier croyait avoir une p
cient donc de celles de l'alcoolisme; encore mieux, de celles de la syphilis ; dans l'alcoo- lisme, l'étude des antécédents d
met, dans une cer- taine mesure, d'annoncer leur imminence; dans la syphilis , où les étapes sont encore mieux marquées, alor
es qui peuvent remplacer un accès épi- leptique ; 10. Le rôle de la syphilis dans la paralysie gé- nérale ; 4 1. Des caractè
henne) ; - 9. La curabilité du tabes dorsalis ; - 10. Le rôle de la syphilis dans l'étiologie du tabès dorsalis; - 446 faits
u), 151, 41, 423. Délirantes (idées), 408. Démence paralytique et syphilis , par Snell, 264. Démence aigué, stupeur, état
rescence secondaire de la). t). 81 ; - (structure de la), 97 ; - ( syphilis de la), 105; - z (maladies de la), par Byrom-
rvée chez les buveurs), 109. Superstition et responsabilité, 268. Syphilis et tabès, 107. Système nerveux central (affecti
78 (1893) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1892
cutanées, ni rhu- matismes. Aucun signe ne permet de soupçonner la syphilis (1), l. Il été soldat durant la guerre et s'est
s, de l'absinthe ou du vermouth. Marié à 29 ans, ni migraines, ni syphilis , ni dartres. Il vivait en bonne intelligence avec
sions, de migraines, de chorée, de rhumatismes, de dartres, ou de syphilis . Tuberculose pulmonaire chronique; dyspepsie. (
up- tions cutanées. Aucun signe ne permet de le croire atteint de syphilis . Sa femme prétend qu'il boit et fume beaucoup,
tisme, ni d'affections cutanées. Elle ne présente aucun stigmate de syphilis , ni d'alcoolisme. Très nerveuse et très émotive
deux pneumonies, à 19 ans et 39 ans. 11 ne présente aucun signe de syphilis . Il serait légèrement alcoolique et cet. état s
'était un homme très vigoureux, il ne paraissait pas avoir eu, la syphilis et n'a jamais eu aucun accident nerveux. Il buvai
très peu. Rien ne nous permet de penser qu'il ait pu contracter la syphilis . Petit, brun, maigre, il offre une physionomie
, pas de fièvre typhoïde, de rhumatisme, de chorée, ni de traces de syphilis . Sobre ourdi- nairement, sauf quelquefois les j
lle n'a eu ni cho- rée, ni rhumatisme, ni dartres. Pas de traces de syphilis . Elle est sobre, pas emportée, n'a pas de migra
pour faux à 4 mois de prison. Certains détails feraient présumer la syphilis , anté- rieurement au mariage (1). Nous notons e
r une anémie du cerveau. Il n'a pas de migraine et n'a jamais eu la syphilis . Il est né à Marseille de parents lor- rains. I
e chorée, de rhumatis- mes, d'affections cutanées et aucun signe de syphilis . Conges- tion pulmonaire à 61 ans, 'depuis lary
u ni convulsions, ni fièvre typhoïde, ni rhumatisme, ni dartres, ni syphilis . Il a eu jusqu'à 13 ans de fortes migraines, d'
ni chorée, ni rhumatisme, ni dartres, ni migraines, ni symptômes de syphilis . Elle n'est pas alcoolique. En résu- mé, elle a
jamais été atteint de dermatoses et ne présente pas do traces de syphilis . Sobre actuellement, il s'enivrait fréquemment à
et de vomissements. Elle est très sobre, ne porte pas de traces de syphilis , est vive, nerveuse, sans avoir jamais eu de cr
oue pourtant quelques excès avant son mariage. Ni blennorrhagie, ni syphilis . Santé habituelle bonne. - [Père, mort à 57 ans
79 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
7 ,· au Le malade, âgé de quarante et un ans n'avait jamais eu la syphilis . 11 souffrait depuis seize ans d'une névralgie sc
XI. Quelques POINTS DE LA pathologie DES lésions oculaires DE LA SYPHILIS CÉRÉBRALE ET SPINALE ; par STE111AN BULL. (Amer
se, avril 1881 , p. 382.) La fréquence des troubles oculaires de la syphilis cérébro- spinale a été mise en relief par les é
'tout' individu 'qui présente quelques'symptômes attribuables'à'la syphilis céré- t brale. Si étrange que paraisse le fait;
i-même. D'autre part, toutes les côiiditiôris`(gôiitté, alcoolisme, syphilis , etc.) qui, en provo- quant l'altération des pa
. SUR UNE lésion DE l'axe GRIS DE la moelle épinière dans un cas DE SYPHILIS RÉCENTE ; par A. JARISCH. (IViene2- Medizin. l3
1881, il Milan, Dumolard. Brousse (A.). Réflexions sur un cas de syphilis cérébrale (Hémiplégie gauche, à forme intermitt
quents excès vénériens. Elle ne présente d'ailleurs aucune trace de syphilis . Son caractère, très turbulent jusque vers l'âg
il n'exis- tait pas de raison bien probante pour l'existence d'une syphilis antérieure, ce traitement fut remplacé par des
de tête depuis quatreans; doux quoique colérique , pas de trace de syphilis , a chiqué autrefois dans ses voyages; aurait eu d
. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XIX. NOTE SUR la relation ENTRE la SYPHILIS ET l'ataxie locomotrice; par J. Althaus, (TVte
ait manifestée de dix-huit mois àvingt ans après l'apparition de la syphilis ; mais ils ne prouvent pas qu'il y ait relation
s existait certainement en Europe longtemps avant l'apparition delà syphilis . L'ataxie n'est pas une conséquence inévitable
gés comme les autres par des remèdes qui n'ont aucune action sur la syphilis . Il est possible que la syphilis puisse imiter
des qui n'ont aucune action sur la syphilis. Il est possible que la syphilis puisse imiter l'ataxie; mais les symptômes clin
litique sont identiques. Que l'ataxie soit si souvent associée à la syphilis , cela peut tenir à la dété- rioration de la con
63. Asphyxie locale des extrémités, 230. Ataxie locomotrice (et syphilis ), par Althaus. 3'9 - (conservation des réflex
t Smith, 31 ? i ; - (lésions de l'axe gris de la), dans un cas de syphilis pil' .1LI-ISCII, 103 ; - (un cas (le la), par
t des maladies nerveuses de Berlin, 529. d'anthropolo- iC ? 7J. Syphilis (et ataxie locomotiice), 3'iU; - (lésions de l'
80 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ien portante, son père est mort d'une pneumonie. Il n'accuse pas de syphilis , ni d'excès alcoo- lique; il n'est pas sujet au
rois ans ; mais elle soutient que c'est de son mari qu'elle prit la syphilis vers l'âge de trente ans. Depuis lors elle parait
M. Lap ? trente-sept ans'. Aucune maladie grave antérieure, pas de syphilis , un frère aliéné. Après plusieurs mois de cépha-
rgence. Sey..., 67 ans. Pas de maladies graves antérieures, ni de syphilis . Il y a six ans, rétention d'urine qui a cessé ap
t modifiés. Observation IX. -i4lm° Pied..., cinquante ans. Pas de syphilis ni d'antécédents héréditaires avoués. Depuis pl
e- ment d'une complication ou de la cause première de la maladie ( Syphilis ). L'auteur croirait volontiers, avec Grasset, que
aurait être examinée qu'à la lumière de l'anatomie pathologique. La syphilis exerçant son action sur le tissu conjonctif et
ait plutôt penser, dans l'espèce, à z héréditaire aggravée par la syphilis . Les discussions que soulève le problème, à laq
ns de la Sallétrière, JI. Charcot insiste souvent sur le rôle de la syphilis dans le développement de certaines affections du
ne l'invasion de la maladie chez un prédisposé héréditairement : la syphilis provoque l'ataxie locomotrice comme le traumatism
avail ayant pour titre : Rapports de la démence paralytique avec la syphilis . Ce mé- moire publié in-extenso sera l'objet d'
rmi ses paralytiques généraux il a également très souventohservé la syphilis précédant l'affection mentale. 11 croit être en
de psychose. M. Hundoegger attaque la question de la latence de la syphilis . Il rapporte à ce propos l'observation d'un hom
lis. Il rapporte à ce propos l'observation d'un homme ayant eu la syphilis vingt-cinq ans auparavant, ayant engendré d.'s en
ans auparavant, ayant engendré d.'s enfants indemnes, et mourant de syphilis cérébrale. Il n'3- avait pas lieu dans l'espèce
as ,d'autépélleursl.rlrédiaGs`y,sgnal ? tpasildjÎl ? - lisme, ni de syphilis ? ' ? T joon -l ? ' ? ' "l'il'l'ifllilf'îl >"»
le n'a jamais' eu de troubles ' sérieux de la menstruation.. Pas de syphilis . Il toi, l"rny ? .. Les premiers symptômes, tab
isecopvçJlyes etc., etc. On ne retrouve chez, elle aucune, trace de syphilis ,, llgn'¢1 . ni'-ht.u J `l1 J t ? jt. m. J . i W
phincters, de la nutrition de la peau. Santé généralement bonne. Ni syphilis , ni saturnisme. Au bout de deux ans pour l'un'
ppelant aussi la constatation 'des 'altérations vasculaires dans la syphilis (Lancereaux et Parrot), éliminant l'hémophilie ch
trait pas comme cause la diathèsi liéiiiorrliagiquo, symptôme de la syphilis , de, son malade, favorisée occasionnelle- ment
cérébrale : il s'agit d'un médecin de campagne atteint autrefois de syphilis , qui, après avoir joui d'une longue période de
bdivisions (Westplial); la surmenage intellectuel, l'ona- nisme, la syphilis héréditaire ne seront pas représentés. M. Nasse
81 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
bis; les jambes sont presque glabres. Pas de trace d'adénite, ni de syphilis , de scrofule ou d'eczéma. Intelligence. A premi
er. En ce qui regarde l'étiolo- gie, il n'existait pas de traces de syphilis héréditaire ou acquise ; il n'y avait pas non p
n nombre d'auteurs, et Duchenne tout le premier, avaient signalé la syphilis dans les antécédents des ataxiques ; mais c'est
ré- sulte que quatre-vingts ataxiques sur cent ont eu la vérole; la syphilis semble jouer souvent le rôle de cause effective
année. Les causes adjuvantes qui déterminent la localisation de la syphilis sur les cordons postérieurs de la moelle épiniè
accidents, à leur peu d'intensité et de durée. Presque toujours la syphilis a été insuffisamment traitée au début. On ne pe
es dans le tabès spécifique en raison delà tendance que présente la syphilis à mul- tiplier ses lésions et à les disséminer
nte des phénomènes tabétiques avec divers symptômes com- muns de la syphilis , les paralysies oculaires en particulier; 4° in
'on éprouve fréquemment à trouver à l'ataxie une autre cause que la syphilis . Il en découle comme dé- duction pratique la né
tion pratique la nécessité de traiter énergiquement et longtemps la syphilis à ses débuts, en prévision de cette manifestation
urris, atteints de maladies ignobles, quelques-uns croient avoir la syphilis , et Fodéré ' avait déjà remarqué la connexion
a chaleur, aux aliments 'et surtout aux médicaments. S'il s'agit de syphilis , ce n'est pas la syphilis, mais le mercure qui
t surtout aux médicaments. S'il s'agit de syphilis, ce n'est pas la syphilis , mais le mercure qui devient la cause de toutes
peu plus haut que dans les observations communiquée* jusqu'ici. La syphilis étant possible, le malade sera soumis aux injec
, 1882. Des périostoses crâniennes dans la période secondaire de la syphilis ; pat' N,UDET. Thèse de Paris, 1882. Etudes s
ir causé la mort de sa femme et de son fils, il est pourri, il a la syphilis , il est perdu, il est damné, il est le plus gra
fièvre typhoïde, de la tuberculose pulmo- naire. La scrofule et la syphilis jouent aussi un rôle important dans l'étiologie
fs ou sexuels. Chez les adolescents et les adultes, en dehors de la syphilis et des néphrites, les convulsions, surtout si e
82 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
. CettrulGl., 188 ? ) Sur vingt-sept tabétiques examinés quant à la syphilis , M. Rumpf trouva la proportion de 66 p. 100; to
ns d'ataxie loco- motrice ; pas de complications psychiques, pas de syphilis , pas d'affection cardiaque. En quelques semaine
pas indiquées avec plus de détails. - 1)AUGE. XXI. Du RÔLE DE LA SYPHILIS COMME CAUSE DE L'ATAXIE LOCOMOTRICE PRO- GRESSI
mptomatique spécial; 3" Elle appartient aux périodes tardives de la syphilis et n'appa- rait généralement que de sept à ving
Très peu de cas d'ataxie ont pu, chez la femme, être rapportés à la syphilis ; Quant au traitement mercuriel ou ioduré, il a
symptômes. Signalons aussi le chapitre relatif à l'influence de la syphilis sur l'apparition du tabès; dans une statistique
urs le seul passage de ce livre où il soit ques- tion du rôle de la syphilis sur le système nerveux ; dans la leçon XVI l'au
XVI l'auteur rapporte plusieurs cas de somnolence prolongée dans la syphilis cérébrale, il rattache ce phénomène à des lésions
pide et presque généralisée, semblant être sous la dépendance de la syphilis , et caractérisés par la perte de la sensi- bili
e grande violence, ainsi que les idées ordi- naires de grandeur. La syphilis est recherchée avec le plus grand soin; on n'en
ne médication n'a été entreprise. Il n'y avait à soup- çonner ni la syphilis , ni l'alcoolisme, ni le saturnisme, ni une lési
ans les divers cordons. Un homme de quarante-neuf ans en proie à la syphilis tertiaire estaussien proieàdu tremblementavec a
tion concerne un homme de trente-deux ans, indemne d'hérédité et de syphilis , présentant successivement delà céplialal- gie,
ÉS SAVANTES. 377 mortel, et chez un malade encore en traitement, la syphilis avait précédé l'accident ; dans ce dernier fait
ept cas. En l'absence de prédispositon héréditaire, en l'absence de syphilis , sans qu'il existe d'étiologie nette, il s'instal
ectique. L'homme enquestion, âgé de cinquante- neuf ans, indemne de syphilis et d'alcoolisme, était ataxique depuis longtemp
s ! , 350. Asiles d'aliénés de Rennes, 127. Ataxie locomotrice et syphilis , 88. Atrophie spinale chronique chez l'enlant
Surdité centrale unilatérale, 82. Surdité (sur une cause de), 86. Syphilis et ataxie, 88. Syphilis et démence paralytique,
le, 82. Surdité (sur une cause de), 86. Syphilis et ataxie, 88. Syphilis et démence paralytique, 361. I . Système nerv
83 (1871) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 3ème année
la médullite aiguë primitive. Je fais exception, cepen-dant, pour la syphilis , dont les manifestaiions gommeuses, qui sont de v
e est un des caractères essentiels des manifesta-tions cutanées de la syphilis . Cette polymorphie ne comporte pas seulement une
d'une bonne santé, jusqu'à il y a deux ans, époque où il contracta la syphilis : chancre, roséole, plaques muqueuses. Cet homme
re incisives (deux supérieures, deux infé-rieures). Il est indemne de syphilis et ne présente aucun autre vice de conformation q
résence de ces ostéophytes, cette malade n'ayant ja-mais contracté la syphilis .— Nous ajouterons que ces tumeurs, dont l'apparit
dire celles qui se trouvent liées à la tuberculose, au cancer ou à la syphilis : il les considère plus spécialement et avec just
, relatives : 1° à la déchirure du périnée, 2° à l'érysipôle, 5° à la syphilis . I. Déchirure vulvo-périnéale ; vulvite. — L'ex
ent napolitain constituent un excellent moyen de traitement contre la syphilis , et plus particulièrement chez les enfants. Nous
celle qui a coïncidé avec l'appa-rition de sueurs abondantes. III. Syphilis . Nous serons bref sur ce qui concerne la syphilis
abondantes. III. Syphilis. Nous serons bref sur ce qui concerne la syphilis . Nous ferons remarquer seulement : 1° le caractèr
IL BIBLIOGRAPHIE Diagnostic des manifestations secondaires de la syphilis sur la langue, par le docteur C. Saison, ancien
ne par les conclusions suivantes : « 1° La période secondaire de la syphilis ne se manifeste pas seu-lement sur la langue par
idence habituelle, les restes d'une affection chronique des os, d'une syphilis constitutionnelle, d'une tuberculisation, d'un ca
G. Peltier), 188. — Diagnostic des manifestations se-condaires de la syphilis sur la langue, par C. Saison (anal. Bourneville),
leuse plate, modifiée par la grossesse, par A. de Montméja, 65. Syphilis , 176. T Teinturier (E.),250. Tétanos {voy. Ch
84 (1906) Archives de neurologie [3ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ec fièvre intense et éry- tltèiiie aux jambes et aux fesses. Pas de syphilis . Pas d'accidents convulsifs. A toujours été d'h
ensions et ce poids sont exceptionnels. R. de Musgrave-Clay. III. Syphilis cérébrale avec ophthalmoplégie double; par lcHa
mais ils montrent d'une façon certaine l'action étiologi- que de la syphilis dans les cas où cette infection a été ignorée.
rg, Ilischl et beaucoup d'autres, ont montré la préexistence .de la syphilis dans la grande majorité des paralysies générales
ans la même propor- tion relativement à l'exposition aux chances de syphilis (exem- ple : prostituées). La paralysie général
ats, marins, voyageurs, etc.) qui plus fréquem- ment contractent la syphilis . Krafft-Ebbing, sur près de 3.000 hommes attein
presque toujours (probablement toujours) le résultat de l'hérédo- syphilis ou de la syphilis infantile ; tabes dorsalis et p
(probablement toujours) le résultat de l'hérédo- syphilis ou de la syphilis infantile ; tabes dorsalis et paralysie général
nvenir de leur ignorance entière de la part exacte prise ici par la syphilis tant pour la paralysie générale que pour le tab
lanches,est celle d'un homme de 33 ans, alcoolique et syphilitique ( syphilis douze ans avant l'entrée à l'asile) et ayant pr
m, et, on devra surveiller l'alimentation. . . L. Waiil. XVII. La syphilis spinale à forme amyotrophique ; par LAU- Nois e
ue, il n'y a d'autre différence étiolo- gique que la présence d'une syphilis héréditaire ou d'une syphilis acquise. R. DE Mu
e étiolo- gique que la présence d'une syphilis héréditaire ou d'une syphilis acquise. R. DE Musgrave CLAY. XXXIV.-Sur les
e trouve aucune des cau- ses habituelles de la paralysie générale : syphilis , alcool ou pré- disposition. 11. Briand insis
rêt de développement du cerveau sous l'influence dystrophique de la syphilis des parents. ' En somme, la coexistence surtout
auteurs les ont savamment développées. Il n'est pas douteux que la syphilis joue ici un rôle important, mais ce rôle n'est
fièvre ni d'infection, pas de lymphocytose céphalo- rachidienne. La syphilis est peu probable et le diagnostic se pose entre
aire, l'auteur a recueilli des éléments statistiques sûr les cas de syphilis et de paralysie générale chez les Arabes d'origin
ron) arabes égyptiens. Il fut relevé pour la même an- née 76 cas de syphilis et sur 25 paralytiques généraux arabes 2' furen
la malade peut à volonté mouvoir isolément. Chorée de Sydenham et syphilis secondaire MM. CIIARTIER et F. RosE signalent l
dix-sept ans, deux mois après l'apparition des signes primitifs de syphilis ; les auteurs pensent qu'il existe entre les deux
thyle.Voir7<'e< ! - calum fvritlaiuc. Chorée de Sydenham et syphilis secondaire ; par Chartier et Rose, p. 501.
liénés ; par Mézie et Bailliart, p. 1. OPIITAL71OPLL : CiIE. Voir Syphilis . nucléaire chez un tabétique; par Grenet et T
x. Voir 111C/- ladies somatiques. Syndrome méningé. Voir Abcès. Syphilis cérébrale avec ophtal- moplégie double ; par Ac
85 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
tard. m. 1 2 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Il nie la syphilis , et toute espèce d'habitude alcoolique. 11 y a
tze1). Résumé. B..., âgé de quarante-deux ails, sans antécédents ni syphilis . On ne relève d'autre cause que le froid. Le 21
ont bien portants tous deux et n'ont aucun signe d'alcoolisme ou de syphilis . Ils sont de taille moyenne, le père est plutôt
normal, pas de modification électrique. Pas de signes de tabes. Ni syphilis , ni tare héréditaire. A l'âge de neuf ans, chute
Après une légère amélioration, état stationnaire au 12 avril. Ni syphilis , ni diphthérie. L'auteur croit à une lésion cen
à la Salpêtrière pendant la guerre. Pas de traces de scrofule ni de syphilis . Une seule grossesse il y a quinze ans. Elle a
tion de la mémoire depuis six ans. Céphalalgie depuis un an. Pas de syphilis . Légère parésie du facial. Ptosis double. Immob
côté des organes des sens. Quelques douleurs de tête. Santé bonne. Syphilis douteuse. 1. Rotenstein, 1882, cité par ¡1Jalll
PII'CII1LMOPL$GIE EXTERNE. 293 D..., soixante ans, n'a jamais eu la syphilis . En novembre 1879 il a eu une paralysie faciale
ptosis. Strabisme divergent. Diplopie aux images croisées. Pas de syphilis , pas d'ataxie, ni rhumatisme, ni refroidissement
e sa profession. Interrogé sur ses antécédents, le malade nia toute syphilis , etjen'ai aucune raison de douter de sa véracit
tre indiquée. Ces. XV. - Ophthalmoplégie nucléaire à la suite de la syphilis secon- daire, avec symptômes de poliencéphalite
técédents ni rhu- matisme ni alcoolisme, non plus qu'aucun signe de syphilis . Il y a onze ans, apparition de diplopie qui n'
n d'autres affections du système nerveux, la cause nous échappe. La syphilis a bien été mise en avant par quelques auteurs, ma
86 (1897) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1896
estations scrofuleuses, ni convulsions, ni fièvres infectieuses, ni syphilis , ni migraines, ni maladies de peau, ni panaris.
ni convulsions, ni fièvre typhoïde, ni rhumatismes, ni dartres, ni syphilis . Très sobre, mais fume beaucoup, ni migraines,
plète à 4 ans. - Gâtisme. - Tics. Etat actuel. - Notes d'école. - Syphilis acquise. - Con- gestion pulmonaire ; mort. AU
Il n'a jamais fait d'excès véné- riens, n'a jamais eu de traces de syphilis , ni de dermatoses. - Caractère violent, il se m
s fait d'excès et n'aurait jamais eu de traces de dermatoses. ni de syphilis . - [Père, mort à 35 ans, sa fille ne peut donne
s de n il 35 ; c'est dans cette période qu'est né le malade. Pas de syphilis . - [Père, inconnu, Mère, faisait des excès de b
ulsions, ni accidents nerveux; rhu- matisant, pas de dartres, ni de syphilis : il fume beaucoup, est sujet iL des migraines
illée. Caractère vif et emporté. [Père, 72 ans, cordonnier, a eu la syphilis , mais après la naissance de sa fille; excès de
convulsions, ni de migraines ou de rhumatismes ; aucun stigmate de syphilis . Pas d'excès de boisson ; pus de goitre. - [Fam
ve rien à signaler dans ses antécé- dents, ni accidents nerveux, ni syphilis , ni alcoolisme, ni fièvres intermittentes, etc.
anté, ne boit pas, n'a jamais eu de convulsions, ni aucune maladie, syphilis , etc. ; caractère très doux. [Famille du père.
hites avec hémoptysie ; a eu un rhumatisme articulaire aigu. Pas de syphilis . Caractère assez calme. [Famille du père. Son p
87 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
e a démontré qu'il est sous la dépendance immédiate d'une lésion ( syphilis , tumeur d'une autre nature, légère in- flammati
tenir compte des tabes et des lésions grossières du cerveau, de la syphilis , de l'alcoolisme, considérées comme agents pathou
comité destiné à élaborer un questionnaire sur les rapports de la syphilis et de la paralysie générale. Ce questionnaire ser
ns les anamnestiques, de la lenteur de l'évolution, on soupçonne la syphilis . L'administration de Kl fait disparaître en deu
E PATHOLOGIE NERVEUSE. 245 ques. On n'a pas trouvé le bacille de la syphilis . - L'auteur exa- mine de plus près la polydipsi
ptôme d'après lui s'obser- verait assez fréquemment dans les cas de syphilis à lésions géné- ralisées : il tiendrait à des t
cas concernant : l'un, une hystérique, l'autre un sujet indemne de syphilis et de tuberculose), on voit généralement la pol
diphthérite, à la fièvre typhoïde, à la dia- thèse cancéreuse, à la syphilis , etc..., soit trente-deux autres obser- vations
aux. Il s'agissait ici de : 19 cas de démence paralytique, 3 cas de syphilis cérébrale, 2 cas de tumeuis du cerveau, 4 cas de
, les autres de 40 à 46 ans; quatre d'entre eux étaient atteints de syphilis constitutionnelle, quatre autres avaient probab
ctés avant. le dénouement paralytique. Les trois individus morts de syphilis cérébrale étaient âgés de 35, 50, 52, ans. Des
Il existait un cas dans lequel on notait des traces anatomiques de syphilis chez un paralytique général; le bord supérieur
rale), une endartérite avec dégénérescence grais- seuse et hyaline ( syphilis cérébrale), et vingt et une endartérites chroni
la plupart ordinaires). Il est donc impossible de diagnostiquer la syphilis antérieure par les lésions vasculaires constaté
l du district. C'était un homme de 43 ans, marié, sobre, indemne de syphilis , mais dont les deux oncles paternels sont morts
e poitrine; étant plus jeune il était déjà sujet aux rhumes; pas de syphilis ; pas d'alcoolisme; rarement quelques cauchemar
s abonnés, 1 fr. 60. SEVESTRE. - Etudes de clinique infantile. - ( Syphilis héréditaire pré- coce, laryngite syphilitique b
88 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
STINCTS ET IMPULSIONS GÉNITALES (IClep- tomanie, onanisme, sodomie, syphilis ); Par BOURNEVILLE et KAOULT. Observation. - G
ystagmus; léger tremblement des paupières; hypospadias. - Sodomie : syphilis ; balano-postlvite; adénite suppurée. Evasion;
e- mières victimes de l'infirmier pédéraste qui lui communiqua la syphilis . Il ne s'agit pas ici d'une véritable inversion
personnels : rougeole à quatre ans ; pas d'autres maladies, pas de syphilis . Marié, une fille de seize ans bien portante.
: Père et mère vifs, emportés. Antécédents personnels nuls, pas de syphilis . En 1879, début de la maladie par des faiblesse
dont la grand'mère et l'oncle paternels ont été aliénés. Absence de syphilis ou d'alcoolisme chez les parents; six frères et
inze ans que se déclare la paralysie générale classique. Absence de syphilis . Deux de ces malades furent déclaréspar rapport m
ne, le rhumatisme articulaire aigu ; le diabète, le paludisme et la syphilis (l'étude des troubles de la sensibilité dans la
isme et la syphilis (l'étude des troubles de la sensibilité dans la syphilis mérite une mention spéciale) ; les intoxication
e l'alcoolisme). M. CHRISTIAN lit un travail sur les rapports DE LI syphilis et de la paralysie générale. Ces rapports sont
pathologique, il n'y a aucune relation entre les diverses formes de syphilis cérébrale et les lésions de la périencéphalite ch
és du combat pour l'existence. Après eux, il convient d'inscrire la syphilis et l'hérédité. Symptomatologie. La fixité réile
indiquée par M. Siemerting. M. Mendel s'étonne de la rareté de la syphilis . Il a vu cinq fois le mari et la femme être sim
ale atteindre le mari et la femme ; dans un seul cas il constata la syphilis , les deux autres exemples témoignaient des cond
en portante. Son. père est mort d'une pneumouie. Il n'accuse pas de syphilis ni d'excès alcooliques; il n'est pas sujet aux
aractère... Enfant naturel. Pas de maladie de peau, pas de trace de syphilis ; pas d'attaques de nerfs. On ne sait s'il a en
fait consommé. C'est un négociant de quarante-cinq ans, atteint de syphilis il y a vingt ans, qui au printemps de 1887 fut
quelques autres maladies nerveu- ses par la), par Raoult, 129. Syphilis (rapports de la- et de la paralysie générale),
89 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
ni antécédents héréditaires ni antécédents personnels ; elle nie la syphilis et toute intoxication alcoolique. Dès l'âge de
ésente pas d'antécédents person- nels ou héréditaires ; elle nie la syphilis . A )'age de 23 ans, elle voit appa- raître une
ole, lorsqu'elle était tout enfant. Elle n'a pas eu certainement la syphilis . Célédo- nia a toujours habité la campagne, occ
12 janvier 1901 ; marié, a 3 enfants vivants, trois morts ; pas de syphilis , pas d'alcoo- lisme, ne fume pas, exerce son mé
mais il y a des raisons positives d'admettre que le malade a eu la syphilis . C'est le cas de soup- çonner une compression d
et à 18 ans une blennorrhagie, mais il nie formellement avoir eu la syphilis . Sa première femme mourut en couches ; l'enfant
particulier à signaler. Le père est bien portant, n'a jamais eu la syphilis . La mère est morte à 38 ans de cancer de l'utér
t bien portant, ayant eu un pied coupé accidentellement, indemne de syphilis et d'alcoolisme. Mère âgée de 23 ans (fille-mèr
âgée de 23 ans (fille-mère), bien constituée, indemne elle aussi de syphilis . Un an 1/2 auparavant elle avait eu un enfant, de
congé et, à la suite d'une « noce avec des camarades, contracta la syphilis . Il en res- sentit une vive contrariété à raiso
de la santé et de moralité. Il reprend à ce propos l'histoire de la syphilis qu'on lui aurait. fait contracter exprès en l'eni
s antérieurement, dénote combien les idées sont désordonnées : « La syphilis , première cause que j'ai été enfermé, Pillou, v
infection ou l'intoxi- cation (rachitisme, rhumatisme, tuberculose, syphilis ). Mais il n'en est pas moins vrai que l'évoluti
ois à quatre absinthes par jour, mais nie avoir jamais contracté la syphilis . A cette époque, ses forces déclinant, il ne ta
ais de maladies graves à garder le lit. - Pas d'alcoolisme, ni de syphilis . Il a toujours vécu de la vie saine des champs,
méningo-myélite diffuse dans le tabes, la paralysie générale et la syphilis spinale. Id. Soc. de Biologie, 1900. Note sur l
gé de 50 ans, entre le 5 octobre 1901 à la Pitié. Il a contracté la syphilis à l'âge de 30 ans. Il y a huit jours, en pleine
es lésions méningées généralisées nous paraît être la règle dans la syphilis nerveuse en voie d'évolution, quelle qu'en soit l
nt ensuite les lésions caractéristiques de chacune des formes de la syphilis du système nerveux. Les récents travaux accompl
ement précoce, qu'elle accompagne les tout premiers symptômes de la syphilis nerveuse, qu'elle peut même en être la seule ma
le premier stade des lésions du système nerveux, qui dérivent de la syphilis . L'observation que nous rapportons vient à l'appu
a méningite présente des lésions vasculaires caractéristiques de la syphilis . C'est une méningite syphilitique. La méningite
90 (1893) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 2
(4), d'hémorrhagie (5), de tumeurs (cancers, psammomes, etc.) (6), de syphilis cérébrale (7), intéressant la région du lobule pa
cas contrôlés par l'autopsie, car, particulièrement dans les faits de syphilis , les observations cliniques semblent plus fréquen
pouvez songer à une hémorrhagie, à un ramollissement ou surtout à la syphilis ; mais, si la marche ultérieure de la maladie per
est assuré que ce n'est ni d'hémorrhagie, ni de ramollissement, ni de syphilis qu'il s'agit. D'autre part, les signes de phthisi
développé. Les antéoédents héréditaires ne sont point connus. Pas de syphilis . La démarche est celle d'un parétique. Los réfl
. 32 ans, mu par M. Charcot avec M. Fournier. Tabès, s ans après la syphilis . Mélancolie. TABLEAU XIX père Diabète. I
TABLEAU XIX père Diabète. I FILS Tabès, peu d'années après la syphilis . L'un de nous a eu l'occasion d'observer divers
atteinte d'hémiplégie d'origine cérébrale. Rec... n'a jamais eu la syphilis . En juillet 1889, il a été victime d'un accident
que l'hérédité nerveuse est représentée par le chiffre dix-sept et la syphilis par le chiffre quatorze dans la même statistique3
u cou. Deux blennorrhagies, à vingt-cinq et à trente-cinq ans. Pas de syphilis . Excès alcooliques durant une quinzaine d'années.
ns, rentier, vu par M. Gharcot. Pas d'antécédents héréditaires (?). Syphilis dans la première jeunesse (vingt-deux ans?). Obès
'avons pu trouver dans la famille A... les traces d'aucune diathèse : syphilis , arthritisme, etc., pouvant jouer un rôle étiolo-
. Rhumatismes articulaires souvent répétés. La malade. — Mmc X... Syphilis (?) Tabes. TABLEAU XXXVII famille israélite P
le 13 janvier par M. le docteur Parinaud. Pas d'alcoolisme; pas de syphilis ; pas de saturnisme. État actuel. — Couche, auss
émiathétose.............. 3 Paralysie pseudo-bulbaire.......... 1 Syphilis cérébrale............. 14 Tumeurs cérébrales...
a dépendance d'une lésion cérébrale? On ne peut guère incriminer la syphilis , puisque le malade paraît n'avoir jamais présenté
91 (1882) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1881
'un des sous-surveillants, M. Hure), qui s'est chargé du moulage. Syphilis ; pédérastie. En reprenant notre service au comm
jour que l'une de ses victimes, Legr... Etienne, était atteint de syphilis . Nous avons alors interrogé tous les enfants, e
apports avec l'infirmier Dom. la dernière huitaine du mois d'août : syphilis ; l'intelligence est conservée. 3° Gauth., I-I
eudis de suite. Durant l'acte, D. le masturbait juqu'à éjaculation. Syphilis (1). 4° Court. Ch. Frédéric, 1h ans : Imbécilli
avec l'infirmier D. le 2" sep- tembre, dans le lit de l'infirmier. Syphilis . 5° Blo., J. Louis : Epilepsie idiopathique; on
ssé entre eux et lui. Sur sept enfants, trois ont été atteints de syphilis . Dom... a été examiné à Mazas par M. Brouardel,
érastie active ou passive; qu'il était atteint actuelle- ment d'une syphilis constitutionnelle caractérisée par la Il) L'obs
et d'une éruption papuleuse ;-que la date d'inoculation de cette syphilis paraissait remonter à trois ou quatre mois ; -)
ux de tête depuis 4 ans ; doux quoi- que colérique; pas de trace de syphilis ; a chiqué autre- fois dans ses voyages; aurait
92 (1905) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1904
ot. Père excès de en bâtiments. N. m., née à 8 mois, idio- boisson; syphilis . te. Mère syphilis. Redl............. Peintre
n bâtiments. N. m., née à 8 mois, idio- boisson; syphilis. te. Mère syphilis . Redl............. Peintre » 5 f. morte à 3 ans
........... Peintre » 2 i fausse couche à 3 mois. at. m., idiot. Mère syphilis . en bâtiments. Duv............ Mouleur » 8 i
le père et la mère ; — 2° que 4 mères et 4 pères étaient atteints de syphilis . — Ces statisti-ques portent sur 3.133 observatio
ications de glace ; il n'aurait pas eu de convulsions. Ni dartres, ni syphilis , ni rhumatisme. Mort en 1901 des suites d'une ple
as de rhumatisme, pas de dartres; rien ne permettant de soupçonner la syphilis ; boit le samedi, rentre ivre au moins une fois to
e quelques jours de durée seule-ment. Rien ne permet de soupçonner la syphilis . Alcoolisme peu marqué; cependant, cauchemar'; la
convulsions dans l'enfance, pas de chorée, pas de rhumatismes, pas de syphilis , pas d'alcoolisme. Caractère plutôt calme. Elle a
s, n'est pas migraineux, ni rhumatisant. Pas le plus léger soupçon de syphilis . Caractère emporté. [Son père, mort subitement
eu ni convulsions ni chorée, ni fièvre typhoïde, ni rhuma-tismes, ni syphilis , soldat pendant un an, marié à 27 ans. Il est sob
93 (1870) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 2è année
tionnels du cerveau étaient accom¬pagnés d'accidents manifestes d'une syphilis invétérée. Dans la première observation, des tume
la nature de l'altération. 11 est évident que ces malades avaient la syphilis à la période dite des formations gommeuses, pér
ifs (deuxième et troisième observation), puis toutes les formes de la syphilis tertiaire : tumeurs gommeu¬ses, exostoses, syphil
et com¬plet de toutes les formes d'aphasie qui peuvent accompagner la syphilis cérébrale?Non. — Et d'ailleurs, peut-on réaliser
ement constitué. Pas de diathèse scrofuleuse ou rhumatis¬male, pas de syphilis . 11 n'a jamais fait de maladie, sauf une blen-nor
illk Observation. —Scrofules dans l'enfance. — Double varioloïde. — Syphilis .— Syphilide croûteuse en coquillages : caractères
ie très-intense mais qui pouvait tenir à la varioloïde autant qu'à la syphilis , car la malade, d'ailleurs peu intelligente, n'in
rée, le 25 avril 1868, à l'hôpi¬tal (salle St-Alexis, n° 20) pour une syphilis constitutionnelle. Elle avait eu des plaques muqu
andre Aizias-Turenne, bien connu par ses nombreuses recherches sur la syphilis et en particu¬lier sur le traitement préventif de
dies constitutionnelles dans quatre grandes unités pathologiques : la syphilis , la scrofule, l'arthritis, l'herpétis, et c'est s
les caractères de la scrofule, de l'arthritis, de l'herpétis et de la syphilis . Cette classification rie manque pas de simplifie
94 (1903) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1902
sur- tout à l'époque de la conception ; ne semble pas avoir eu la syphilis . Employé dans une Cie d'assurances, il est resté
migraines. Pas de dartres ou d'affections cutanées. Aucun indice de syphilis . Nul renseignement sur sa famille. Mère, trente
A quatorze ans, a eu un eczéma. Pas de migraines, pas de signes de syphilis . Intelligence moyenne. Famille DE la sikre. Pèr
commerce à l'étranger, très sobre, rhumatisant, n'aurait pas eu la syphilis . Pas d'accidents nerveux. Il aurait été « débauch
ions, ni fièvre typhoïde, ni chorée, ni rhumatismes, ni dartres, ni syphilis ; pas de maladie de peau ; pas d'alcoolisme, ta
éformé à 25 ans pour « faiblesse de constitution. » Pas d'indice de syphilis . Caractère plutôt égal et doux. Sa famille : Pè
nstincts et impulsions génitales (Klepto- manie, onanisme, sodomie, syphilis ) (en collaboration avec Raoult). Compte-rendu d
31 ans, cocher; marié à 25 ans, réformé pour rhu- matismes ; pas de syphilis . Céphalgies à partir de 10 ans. Très sobre, mai
ans, fièvre muqueuse à 5-6 ans, assez nerveuse, cépha- lalgies, ni syphilis , ni dartres, morte de tuberculose pulmo- naire
ué. Il n'a pas eu de convulsions; marié à 23 ans ; pas d'indices de syphilis . - [Père, mort à 71 ans, subitement d'une malad
blable. De plus, si nous pouvons Ù peu près affirmer l'absence de syphilis et l'absence de traumatisme obstétrical, nous n
95 (1899) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1898
hites jusqu'à l'âge de 8 ans; fièvre de croissance a 13 ans; pas de syphilis , pas d'ethylisme. - [Père mort il 50 ans, après
ersistant pendant les grossesses. Aucune maladie de la peau; pas de syphilis . [Père, 55 ans, cultivateur, en bonne sauté, ai
d'anomalie de forme, d'implantation, de volume ; aucune trace de syphilis héréditaire ou acquise. Oreilles peu détachées du
dent morbide sérieux, n'a pas eu de convul- sions ; aucun indice de syphilis , marié' à 22 ans. Depuis la naissance de l'enfa
de migraines. Par- fois céphalalgies violentes. Pas de syncope, ni syphilis , ni excès de boisson. [Père, vigneron, a fait b
feç- Antécédents héréditaires. 65 tions cutanées, ni d'indices de syphilis ; de temps en temps, douleurs articulaires ne n
la peau vers quarante ans, pas de rhumatismes, ni de dartres, ni de syphilis , échaufferaient à vingt et un ans. - Grand-père
Traitement : Diète lactée, bains froids au nombre de 10. OBs. VI. Syphilis héréditaire ; idiotie congénitale. SoMMA)HE. Pè
s bruyant mais pas méchant. Ne fume pas. Pas de rhumatismes, pas de syphilis probable. [Sa famille. - Père, cultivateur, mor
96 (1900) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1899
nfants sont entrées il l'infirmerie atteintes de tuberculose : 1 de syphilis ; 3 de congestion pulmonaire ; 4 de cachexie ; 6
tisme céphalique ; pas de dartres ni de mala- dies de peau ; pas de syphilis . Caractère calme, mais cause peu. - [Père, mort
nt 15 mois. Boitait, à la suite d'un traumatisme. Ni alcoolisme, ni syphilis . Mère, 78 ans, bien portante, pas nerveuse, mai
a famille.] Mère, 28 ans, ménagère, ni convulsions, ni indices de syphilis ; rhumatisante, cardiaque, nerveuse, sans migraine
corps et de la langue ; ni convulsions, ni migraines, ni indices de syphilis ; poussées d'eczéma; otite double. Fume beaucoup
es frontales n'ayant pas le caractère des migraines ; nul indice de syphilis ; mariée il 21 ans. - [Père, aucun détail, ni s
u de maladie nerveuse, caractère calme, non impressionnable, pas de syphilis , ni d'affections cutanées, pas d'excès de boiss
t parfois, cela dure un jour et disparaît après le sommeil ; pas de syphilis , ni aucune autre maladie. Elle a eu le ver soli
suivis d'acci- dents vénériens; mais il ne parait pas avoir eu la syphilis . Nous n'en avons jamais observé de manifes- tat
nes. La fausse couche ne nousparaît pas devoir être rattachée il la syphilis ; la chutesignalée est suffisante pour l'expliq
97 (1906) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1905
ot. Père excès de en bâtiments. N. m., née à 8 mois, idio- boisson; syphilis . te. Mère syphilis. RedI............. Peintre
n bâtiments. N. m., née à 8 mois, idio- boisson; syphilis. te. Mère syphilis . RedI............. Peintre » 5 morte a 3 ans 1/
chétive. Père alcoolique, méningite. 1 garçon 5 ans 1/2, bien por- syphilis probable. tant. N. m., arriération mentale.
............ Peintre » 2 1 fausse couche à 3 mois. N. m., idiot. Mère syphilis . en bâtiments. Duv............ Mouleur » 8 i
le père et la mère ; — 2° que 4 mères et 4 pères étaient atteints de syphilis . — Ces statisti-ques portent sur 3.271 observatio
e boisson (soit 60 °/0) ; que une mère et un père étaient atteints de syphilis , et que un père et une mère étaient épileptiques
hoïde (délire, mémoi-inlècédenls \ rc'' chori5e rhumatismes, dartres, syphilis (I), , alcool, tabac, thé, café, cocaïne ou autre
enfant indique ses besoins. Alcoolisme de la nourrice ; grossesse ; syphilis . Accidents nerveux, Son mari, ses père et mère bu
ctylie, palmature). Thorax : forme, volume, saillies (rachitisme ou syphilis ) ; inégalité des deux moitiés ; forme de la respi
98 (1901) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1900
. Il n'a pas eu de convul- sions ; marié à 23 ans; pas d'indices de syphilis . - [Père, mort it 7'1 ans, subitement, d'une ma
emblable. De plus, si nous pouvons à peu près affirmer l'absence de syphilis et l'absence de trauma- tisme obstétrical, nous
aignait souvent de céphalalgies ; fièvre typhoïde à 35 ans ; pas de syphilis . Ethylique, il buvait plusieurs litres de vin d
es, pas de Antécédents héréditaires. 69 convulsions, d'indices de syphilis . En 189 ? il la suite de chagrins, de revers, l
six ans, planteur, grand, brun, pas de convulsions ni diathèses, ni syphilis , ni migraine, sobre, caractère doux. Durant six m
s de typhoïde, pas de rhumatismes, pas de dartres, pas d'indices de syphilis , boit bien mais ne s'enivre jamais, pas fumeur,
èvre typhoïde, pas de rhumatismes, pas de dartres, pas d'indices de syphilis , pas de chorée, sobre, pas de traumatismes céph
ue présentent des traces de rachitisme surtout visibles la base. La syphilis existe aussi exerçant un effet particulier sur
99 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
omme de tlellte-neuf ans. Deux ans auparavant il avait contracté la syphilis et au moment de son eiiiiée il avait un ulcère
fibres anato- miques destinées aux deux moitiés du corps. Enfin la syphilis se trouve relevée chez deux de ces malades : ma
la pellagre, à l'alcoolisme, au saturnisme, à J'hydrargirisme, à la syphilis et il des auto-intoxications issues du diabète,
second ca., concerne un fonctionnaire de trente-six ans. Atteint de syphilis il y a huit ans, il présente, depuis cinq années,
là. DES CENTRES TROPHIQUES DE la MOELLE 163 Cependant il a eu la syphilis , il y a vingt-cinq ans. Il prétend s'être bien
lgurantes du tabès vrai. Joignez à cela que le malade a eu jadis la syphilis et nul ne conteste l'influence prédisposante de
e bonne jusqu'à il y a trois ans, époque à laquelle il contracta la syphilis . A Noël 1883, il observa qu'il avait une certai
danse de Saint Guy. P. KERAVAL. XII. Contribution A l'étude DE la SYPHILIS CÉRÉBRO-SPINALE congénitale; par E. SIElIERLI1'
le tabes, la paralysie générale, l'acromé- galie, le saturnisme, la syphilis . P. B. XXI. Observation DE CÉCIfÉ psychique. -
uement. Mais alors la tuberculose- il ne faut point songer ici à la syphilis serait-elle donc en jeu ? Eh bien, non. Pour éc
éveloppé. Les antécédents héréditaires ne sont point connus. Pas de syphilis . La démarche est celle d'un parétique. Les réfl
ments, SI ont eu sûrement la 483 U-) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. syphilis , 53 l'ont eue selon toutes probabilités. Sur 24 p
indemnes de lésions médullaires; 62 p. 100 avaient eu sûrement - la syphilis : Ce nombre se décompose lui-même en : lésions co
0 des paralytiques avec lésion des cor- dons postérieurs avaient la syphilis sûrement; 50 p. 100 des para- lytiques avec lés
Swnonr nr\Vcuen, hystérie sinno- latrice du- , par Cliarcot, 321. Syphilis cérébro-spinale congénitale, par Siemerliaô, 26
100 (1894) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie, l'idiotie et l'hydrocéphalie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1893
IV. Imbécillité prononcée, d'origine congénitale. Sommaire. Pè7'e, syphilis en 1873 marié en 181 (i ; quelques excès de boi
amais eu de convulsions ; pas de chorée, ni de rhu- matismes, ni de syphilis ( ? ). Avant la naissance de l'enfant 92 Imbéci
typhoïde, de chorée, de migraines, de rhumatismes, de dartres ni de syphilis ; il a eu de l'acné rosacea au visage. A 28 ans,
cès ASPHYXIÉ PAR UN CORPS ÉTRANGER DE LA TRACHÉE. Sommaire. Père, syphilis à 19 c12s. Jlè1'e, migraineuse aliénation menta
; ni lièvre typhoïde, ni chorée, ni migraines, ni maladies de peau. Syphilis a 19 ans, sans accidents secondaires après 2 mo
éjour de deux semaines au lit. Aucun autre antécédent mor- bide, ni syphilis , ni dermatose, ni trouble nerveux quelconque; r
eu d'accidents nerveux, ni arthritiques. Pas de der- matoses, ni de syphilis probable. Il boit plusieurs absinthes par jour,
tion, n'ajamais eu de mala- die grave, il ne parait pas avoir eu la syphilis ; il a le visage couvert d'acné. Jusqu'à l'époq
algies. - Cousin maternel, épilep- tique. Peur durant la grossesse. Syphilis vaccinale probable. Jamais de convulsions. - Fu
e, a toujours joui relativement d'une bonne santé. Il n'a pas eu la syphilis . Alcoolique, absinthique, il a dû se corriger r
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