ché des accoucllementsprénraturés, devait éveiller le soupçon d'une
syphilis
antécédente ; or, dans l'examen que nous avons
le amyotrophique, la sclérose en plaques, la myélite transverse, la
syphilis
médullaire, l'hématomyélie. Parmi les affection
Bibliotheca medica, 1893. SYRINGOMYÉLIE AVEC ANESTHÉSIE TOTALE 13
syphilis
médullaire. L'autopsie démontra qu'il s'agissait
de l'infection syphilitique. Il nie énergiquement et absolument la
syphilis
: il n'a jamais eu de chancre, jamais d'alopéci
et intéressant plus particulièrement l'oculo-moteur gauche. 2. La
syphilis
cérébrale. v 3. Le tabès supérieur. En faveur
'on rencontre en pareil cas. Nous allons voir que l'hypothèse d'une
syphilis
cérébrale n'estpasplus satisfaisante. La fréque
eut se montrer dans un grand nombre d'étals morbides étrangers à la
syphilis
elle ne présente aucun des grands caractères de
E j mari, minutieusement interrogé et examiné par nous, nie toute
syphilis
et,ne présente aucune trace d'une vérole méconn
encore les symptômes oculaires sont contraires il l'hypo- thèse de
syphilis
cérébrale : une lésion méningée, une infiltration
phtalmoscopique de V... Enfin ce n'est qu'exceptionnellement que la
syphilis
cérébrale se manifeste par les paralysies partiel
de spécificité n'est pas absolue. Si M.Quinquand trouve 100/100 de
syphilis
dans l'étiologie du tabes, M. Fournier et notre m
postérieurs. D'après un travail récent inspiré par M.Pitres (2) la
syphilis
ne saurait être invoquée seule que dans 25 0/0
cte (1). Nous ne croyons pas du reste devoir invoquer chez V... une
syphilis
héréditaire car elle n'en pré- sente aucun des
l présente des particularités que nous étudierons en détail. Pas de
syphilis
. Léger alcoolisme. Mais chez ce malade l'attentio
trois ans, qu'il contracta simultané- ment une blennorrhagie et la
syphilis
; le chancre, dûment constaté par un médecin et
'extrême rapidité du processus. Sottas, Lamy ont observé des cas de
syphilis
médullaire rapidement mortelle (3 jours, 19 jours
sont seules accompagnées d'un examen histologique. Le diagnostic de
syphilis
n'était solidement établi que pour les malades
e qui aboutit à la production d'une tumeur gommeuse, tuberculose et
syphilis
obéissent à un même processus : la lésion perd
éléments de différenciation (1), nous permettant d'affirmer soit la
syphilis
, soit la tuberculose; nous n'y voyons, au contrai
ces al- térations sont aujourd'hui regardées comme fonctions de la
syphilis
et se retrouvent dans notre cas. A ces faits ma
2) L'existence de cellules géantes dans les lésions spécifiques de la
syphilis
a été ob- servée par plusieurs auteurs (Bizzoze
) ; Lamy les signale également dans les nodules embryonnaires de la
syphilis
médullaire et Sottas en figure un bel exemple d
donc pas constaté ici la prédomi- nance, l'exclusivisme même de la
syphilis
veineuse, comme l'a observé Lamy dans plusieurs
ulement que ce syndrome a été plusieurs fois signalé au cours de la
syphilis
médullaire : telles sont les observations de Fole
lle qu'on la rencontre dans les cas de gliomatose médullaire ? LA
SYPHILIS
HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE PAR GILLES
Faculté de médecine, Médecin des hôpitaux. Dans ses Leçons sur la
Syphilis
héréditaire tardive publiées en 1886 (-1) notre
actuellement ». Et celte opinion s'appliquait aussi bien aux cas de
syphilis
héréditaire congénitale ou précoce, qu'aux cas
nous aurons à revenir, on peut dire, qu'en 1886, la question de la
syphilis
médullaire héréditaire était à peine posée. Dan
e nos premières connais- sances sur les paralysies spinales dans la
syphilis
acquise, se rattachent également àlanotion des
Telle mal de Pott syphilitique de Portal (4). (1) A. Fournier. La
syphilis
héréditaire tardive, in-8c, Paris, 1886. Nous a
hilis hereditaria tarda. Vierleljahl'sch1'i(t (¡il' Dermatologie u.
Syphilis
, 1878, p. 268 (obs. p. 278, 2, 79). (3) A. Four
u. Syphilis, 1878, p. 268 (obs. p. 278, 2, 79). (3) A. Fournier. La
Syphilis
héréditaire tardive. Op. cit., p. 522. (4) Port
., p. 522. (4) Portal. Nature et traitement du rachitis, 1797. LA
SYPHILIS
HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 81 En 1889, S
écrivait encore que si les notions que nous possédions alors sur la
syphilis
acquise des centres nerveux commençaient à être
lui, une seule observation où la moelle fût uniquement en cause, la
syphilis
héréditaire paraissant tou- jours envahir l'axe
és comme nombre et comme importance à ceux qui ont eu pour objet la
syphilis
médullaire acquise, mais encore les faits sont
s semble le seul auteur qui ait tenté une esquisse géné- rale de la
syphilis
héréditaire de la moelle. Peut-être, dans ces c
personnelles que nous avons recueillies. On peut considérer que la
syphilis
héréditaire frappe la moelle épinière à trois p
terme ou avant terme, présentant les manifestations cliniques d'une
syphilis
congénitale de la moelle épinière. Les cas pr
Archiv sur Psychiatrie, Berlin, 1S89, p. 102. (2) VOLI'EIiT. De la
syphilis
médullaire. Th. Nancy, 30 juillet 1S94. ix G
catégorie. A. Enfants morts-nés avant terme ou à terme, affectés de
syphilis
héréditaire de la moelle épinière. Les cas de c
ez lesquelles on ne put cons- tater pendant la vie aucune marque de
syphilis
, ni aucun symptôme mor- bide. Chez l'une d'elle
pèce, on trouva les altérations du foie décrites par Gubler dans la
syphilis
congé- nitale. l ' « Les cerveaux ne parurent
(1) POTAIN, cité par LANCEIIEAUX. Traité historique et pratique de la
syphilis
, 2e éd., 1813, p. 431. (2) Kahler et PICK. Be
ésions à celles décrites par Charcot et Gombault (1) dans un cas de
syphilis
acquise des centres nerveux. Dans leur cas, le
sch (2) a étudié l'anatomie pathologique de la moelle dans 7 cas de
syphilis
, dont 4 se rapportant à des enfants atteints de s
s 7 cas de syphilis, dont 4 se rapportant à des enfants atteints de
syphilis
-hé- réditaire. L'enfant le plus âgé avait, au
. 143. (2) A. Jarisch. Ueber den Ruckenmarksbefund in 7 Fllllen vbn
Syphilis
. Vierteljalar- schrift f. Dermatologie u. Syphi
t, sera étudié ultérieurement car il a trait à un enfant atteint de
syphilis
héréditaire précoce. En résumé, il s'agit, da
élite avec altérations vasculaires. Les faits les plus récents de
syphilis
congénitale de la moelle appartien- nent à Gang
e la moelle appartien- nent à Gangitano ('1 ) qui a publié 4 cas de
syphilis
médullaire. Les trois derniers se rapportent se
de syphilis médullaire. Les trois derniers se rapportent seuls à la
syphilis
héréditaire. Le premier a trait à un enfant de
nale. Archivio italiano di clinica medica, Milan, 1894, p.448. LA
SYPHILIS
HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 85 tenu et si
a névroglie. L'auteur résume cette observation ainsi qu'il suit : «
syphilis
congéni- tale, épaississement dès méninges, end
anglionnaires et des fibres nerveuses ». La deuxième observation de
syphilis
congénitale (la 3e du mémoire) se rapporte à un
e, dégénération des cellules ganglionnaires ». La 3e observation de
syphilis
congénitale (la 4° du mémoire) se rapporte au c
pporte au cadavre d'un enfant de quelques jours (8 à 10) suspect de
syphilis
con- génitale, la mère étant syphilitique. Ca
pas de fibres nerveuses dans les cordons de Goll. Celles-ci com- LA
SYPHILIS
, HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 87 mencent à
ordons postérieurs et celle des cellules des cornes grises., - La
syphilis
héréditaire serait donc capable de produire une v
re une véritable méningo-myélite diffuse embryonnaire. C'est à la
syphilis
aussi qu'il faut vraisemblablement attribuer l'ar
elles résument assez bien l'état actuel de nos connaissances sur la
syphilis
congénitale de la moelle. La syphilis peut'donc
de nos connaissances sur la syphilis congénitale de la moelle. La
syphilis
peut'donc frapper la moelle (ou mieux le système
e rapidement, sans qu'on puisse attribuer spécialement la mort à la
syphilis
médullaire car, presque toujours, sinon toujour
faut. Laissant de côté les vices et arrêts de développement dont la
syphilis
héréditaire est d'ailleurs coutumière (dents en
uve si souvent chez les foetus ou les enfants qui ont succombé à la
syphilis
congénitale et dont M. Iludelo (1), chef de cli
. (1) HUDELO. Contribution à l'étude des lésions viscérales dans la
syphilis
héréditaire . Lésions du foie. Th. Paris, févri
rme et pre- sentant des manifestations cliniques se rapportant à la
syphilis
congénitale de la moelle. Les faits que nous
omique des lésions tant encéphalo-mé- dullaires que viscérales delà
syphilis
constitutionnelle. L'affection est encore congé
portant à de jeunes enfants, De la première nous ne dirons rien, la
syphilis
n'étant pas en cause. La seconde a trait à une
trait à une fillette de 5 ans et mois née d'une mère enta- chée de
syphilis
. Jusqu'à 3 ans, elle ne peut marcher; à cette épo
y avoir aucun doute dans l'appréciation de ces trois faits. Que la
syphilis
héréditaire soit en cause, cela ne souffre pas
ilis. Revue mensuelle des maladies de l'enfance, 1887, p. 720. LA
SYPHILIS
HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 91 qui se rap
disease of the nervous system in patients the subjects of inherited
syphilis
. Reprinted with slight altérations from the Trans
t mourut de diphtérie. Outre des lésions osseuses attribuables à la
syphilis
, on trouva, en divers points de l'épaisseur des p
racines posté- rieures qui paraissent grisâtres. En résumé, si la
syphilis
congénitale héréditaire ne semble pas donner na
uvent être indivi- duellement envahis (simultanément ou non) par la
syphilis
héréditaire. L'exppsé des faits que nous avons
Batignolles, Paris. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE LA.
SYPHILIS
HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE PAR GILLES
nous efforcions de mettre en évidence l'influence étiologique de la
syphilis
héréditaire dans le développement de la maladie d
ton. Un cas de maladie de Little. Gaz. des hôpitaux, 89,p. 1416. LA
SYPHILIS
HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 111 iiiiale i
a paralysie spastique décrite par Charcot et par Erb au cours de la
syphilis
acquise des adultes. Nous pensons donc, en nous
nerveuse, santé débile. S... affirme n'avoir jamais contracté la
syphilis
; il a eu une blennorrhagie. En 1890, maux de tê
M<)'e.Asymétrique, Il manque l'incisive latérale droite et la LA
SYPHILIS
HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE . ' 113 média
abdominaux paraissent sains. ` ? ° catégorie. Cas dans lesquels la
syphilis
héréditaire affecte la moelle épinière, non plu
les pre- naières années qui suivent la naissance.- Cas précoces de
syphilis
héréditaire de la moelle. Dans les faits que.
e, soit méningé..De plus, il se joint probablement (surtout dans la
syphilis
tardive) à l'artérite gom- meuse proprement dit
e gom- meuse proprement dite, l'artério et la phlébo-sclérose de la
syphilis
adulte si difficiles à différencier anatomiquem
scléroses des vaisseaux observées dans les infections autres que la
syphilis
. Le cycle anatomique est alors complet. Le cham
-médul- laire,indice de la généralisation initiale du processus, la
syphilis
hérédi- taire précoce, et surtout tardive, ne d
ement, dans ses for- mes cliniques, des expressions si Variées delà
syphilis
acquise. Un jour viendra certainement où l'on p
s mais, pour le moment, clans ce sujet encore à peine ébauché de la
syphilis
hé- réditaire précoce (ou tardive) nous préféro
ions, nous réservant de comparer les cas entre eux et surtout de LA
SYPHILIS
HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 115 tirer des
res,le 12 novem- bre 1869, l'observation d'un enfant chez lequel la
syphilis
héréditaire fit son apparition après la vaccina
liti- que n'était pas douteuse. Le père avait en effet contracté la
syphilis
. La mère très probablement été infectée concept
ffections of the nervous system. Cases of paralysis associated with
syphilis
. The médical Times and Gazette, 1861, vol. II,
3rorea : Zur Kentniss der Motiiitittstoerungen bei der hereditoeren
Syphilis
, Deut. medic. Yl'ochens., n" 32, 1893, et une rép
Arbeiten. Festschrift Ile1'lln E. Ilenoch. Berlin, 1890, p. 31. LA
SYPHILIS
HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 117 drait pas
ervation de Siemerling (1), un des auteurs qui a le mieux étudié la
syphilis
héréditaire de la moelle, est des plus intéressan
it été prise et d'une façon prédominante. Dans son ouvrage sur la
syphilis
héréditaire tardive, M. le professeur Fournier
v. f. Psychiatrie, Bd. XXVI, p. 649, 189 : i. ' (2) A. Fournier. La
syphilis
héréditaire tardive, op. cit., p. 24. LA SYPHIL
) A. Fournier. La syphilis héréditaire tardive, op. cit., p. 24. LA
SYPHILIS
HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 119 « Vous n'
stem. Neurolog. Centralblatt, 1894, p. 470 (article original). LA
SYPHILIS
HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE l21 ' Les den
approchent du type de paraplégie spasmodique décrit par Erb dans la
syphilis
acquise des adultes. L'objection qu'il se pose
raplégie, qui pourrait bien d'ailleurs n'être qu'apparente, nous LA
SYPHILIS
HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 123 adopterio
araplégie spasmodique congénitale. Cette forme parait appartenir la
syphilis
héréditaire. Elle se caractérise par sa complèt
approcher de la paralysie syphilitique spasmodique observée dans la
syphilis
acquise des adultes, si elle n'en est pas la repr
la lésion cérébrale intervient presque toujours, il existe, dans la
syphilis
héréditaire, une série de transitions, de faits d
r dès l'àge de 6 ans. Les causes devaient en être cherchées dans la
syphilis
du père qui avait infecté la mère. · Enfin M. A
ivant à 32 ans, ne laissent aucun doute sur la réalité de l'hérédo-
syphilis
. Etant donnée la présence d'une cyphose dorsale
de la guerre, et l'on n'eut pas le temps de s'occuper d'elle. LA
SYPHILIS
HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 125 Elle est
véolaire et du voile du palais. Elle /orme une élevure allongée, LA
SYPHILIS
HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 127 une saill
que est rèstée statiounaire.' . 3e catégorie. -Cas dans lesquels la
syphilis
héréditaire affecte la moelle épi- nière dans l
e affecte la moelle épi- nière dans l'adolescence ou dans Page mûr.
Syphilis
médullaire héré- ditaire tardive. 1 , Les cas
'iritis. Dents présentant les déforma- tions caractéristiques de la
syphilis
héréditaire. Le malade ne peut se tenir, ni deb
e, n'ayant pas présenté d'éruptions` Elle dit qu'elle n'a pas eu la
syphilis
, et ne pense pas que son mari. (décédé) l'ait e
The Médical Times and Gazette, 1861, t. II, p. 83. Op. cit. ' LA
SYPHILIS
HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 129 / .. - .
ès amélioré. Les auteurs pensent que ce cas doit être rapporté à la
syphilis
hérédi- taire qui a produit « une inflammation
t marcher », Ces accidents paraissaient nettement attribuables à la
syphilis
, mais on pour- rait rapporter peut-être à des a
usqu'en juillet 1891. (1) Gilles de la TOURETTC. Note sur un cas de
syphilis
héréditaire tardive bulbo- médullaire. Soc. de
in Annales de dermatologie et de syphiligraphie, 1892, p. 845. LA
SYPHILIS
HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 131 Vers le 1
à la suite de l'admi- nistration de l'iodure que nous pensâmes à la
syphilis
. La syphilis acquise étant hors de cause, il fa
l'admi- nistration de l'iodure que nous pensâmes à la syphilis. La
syphilis
acquise étant hors de cause, il fallut penser a
lis. La syphilis acquise étant hors de cause, il fallut penser a la
syphilis
héréditaire. Or il n'existait chez Marius R...
oulut bien nous aider de ses conseils, jugea caractéristiques de la
syphilis
héréditaire. En haut : il existe un sillon prof
eurs, due il des manifes- tations qui doivent être rapportées il la
syphilis
héréditaire tardive. « Certaines de ces lésions
la flexion forcée de la tête sur le thorax a déterminé chez lui LA
SYPHILIS
HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 133 un sentim
s bien portante. Le n° 5 a présenté lui aussi des manifestations de
syphilis
héréditaire. Il a été atteint d'une névrite rét
omalie de développement. Evidemment, dans le cas de Marius R..., la
syphilis
n'a pas été exclusi- ' vement médullairepuisqu'
vation qui va suivre est encore un exemple de la localisation de la
syphilis
héréditaire sur la base du cerveau, le bulbeêt la
n suffit à les expliquer. Dans ce cas, comme clans le précédent, la
syphilis
héréditaire nous paraît indéniable : polyléthal
e résultats satisfaisants. (1) ViGNFs. Névrite rétro-bulbaire par
syphilis
héréditaire tardive. Journal de cli- nique et d
cli- nique et de thérapeutique infantile, 17 mai 1894, p. 431. LA
SYPHILIS
HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 135 Ons. fil
n note une asymétrie de la face toutefois peu marquée ; la bosse LA
SYPHILIS
HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE . 137 frontal
exista une paralysie transitoire des sphincters. 1 On pensa à la
syphilis
acquise, mais en présence de certains stigmates
de la luette et de l'épiglotte, cicatrices du cou, on conclut à la
syphilis
héréditaire. Le traitement anli- syphilitique d
lité où nous avons été de consulter le travail original (G.-T.). LA
SYPHILIS
HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 139 Là encore
sont intéressants à des degrés divers. ' Le premier montre que la
syphilis
héréditaire tardive peut, elle aussi, réaliser
ous avons pour notre part (1) proposé d'appeler forme commune de la
syphilis
médullaire tant sa fréquence est grande par rap
particulièrement, une trépidation épileptoïde très marquée. Pas LA
SYPHILIS
HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 141 de troubl
ation opiniâtre. La malade ayant présenté des signes indéniables de
syphilis
, tels qu'une gomme du frontal, il est légitime
mènes médullaires observés. On pourrait penser qu'il s'agit là de
syphilis
acquise. La malade, en effet, dit avoir été soi
, en bas-âge), les lésions dentaires, n'hésita pas à attribuer à la
syphilis
héréditaire-et non à la vérole acquise, les acci-
litique commune. Dans le fait qui va suivre, la manifestation de la
syphilis
héréditaire est encore exclusivement médullaire
elle n'a pas conscience de l'émission de l'urine, bien que par- LA
SYPHILIS
HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 143 fois les
autrefois pris de l'iodure de potassium, mais niant cependant toute
syphilis
, nous pensons néanmoins devoir attribuer à cette
s graves ou convulsives de l'enfance, nous pensons immédiatement la
syphilis
héréditaire, opinion que 144 NOUVELLE ICONOGRAP
semelle. De temps en temps cependanl,il existe un peu d'engour- LA
SYPHILIS
HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 145 dissemenl
l'honneur de nous demander notre avis sur ce cas particulier, à la
syphilis
acquise. Nous nous basions sur ce fait que le m
sur la nature de l'affection ; il s'agissait incontestable- ment de
syphilis
. Des renseignements ultérieurs, recueillis par
eurs, recueillis par le D'' Baudier,nous ayant permis d'éliminer la
syphilis
acquise, nous cherchâmes les stigmates de la sy
d'éliminer la syphilis acquise, nous cherchâmes les stigmates de la
syphilis
héréditaire et nous découvrîmes alors la lésion d
nous avons dit fréquemment au cours de ce travail, à savoir que la
syphilis
héréditaire semble presque toujours louchera la
ir étudié les localisations médullaires imputables directement à la
syphilis
héréditaire, il nous sera permis de dire quelques
lte question, encore si controversée, au moins en ce qui regarde la
syphilis
acquise, nous voulons simplement publier un fai
traitement par l'immobilisation et les pointes de feu ne donna que
SYPHILIS
HÉRÉDITAIRE ET TABES Arthropathies des hanches,
anches, des genoux et des pieds. ? BATTAILLE ET Cie Éditeurs - LA
SYPHILIS
HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 149 peu de ré
ns, il sembla bien, malgré la polyléthalité, qu'il n'existât pas de
syphilis
. Nous pourrions citer d'autres observations de
lis. Nous pourrions citer d'autres observations de môme ordre où la
syphilis
paraissait également faire défaut. Aussi ne nou
cerons-nous pas plus loin sur ce terrain brûlant des rapports de la
syphilis
héréditaire (ou ac- (1) A. Fournier. Tabes d'or
er les antécédents héréditaires des ma- lades au point de vue de la
syphilis
, tout comme aujourd'hui chacun de nous interrog
e jeter un regard en arrière et de résumer nos connaissances sur la
syphilis
héréditaire delà moelle épinière, question qui,
ture médicale et celles que nous avons rapportées en font foi. La
syphilis
peut frapper la moelle à trois périodes de l'exis
âge mûr ; elle est dite congénitale, précoce ou tardive. Lorsque la
syphilis
frappe l'enfant avant sa naissance, l'accouchemen
moelle, sans parler des vices et arrêts de développements, dont la
syphilis
héréditaire est d'ailleurs coutumière (dents en
iés, à la vérité difficiles à mettre en oeuvre. (1) A. Fournier. La
syphilis
héréditaire tardive, op. cit., p. 529. LA SYPHI
A. Fournier. La syphilis héréditaire tardive, op. cit., p. 529. LA
SYPHILIS
HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 151 Si l'enfa
été touché par le processus au début de son évolution. Lorsque la
syphilis
porte son action sur la moelle dans les années qu
eut siéger uniquement sur la moelle lombo-sacrée. Dans ces cas de
syphilis
précoce ou tardive les types cliniques devien-
e les types cliniques devien- nent beaucoup plus variés que dans la
syphilis
congénitale. A mesure en effet que le sujet ava
e gommeuse propre- ment dite, l'artério et la phlébo-sclérose de la
syphilis
adulte si difficiles à différencier anatomiquem
s scléroses vasculaires observées dans les infections autres que la
syphilis
. Le cycle anatomique est alors com- plet. Le ch
généralisation initiale du processus, dans ses formes cliniques la
syphilis
héréditaire précoce et surtout tardive ne diffère
dive ne diffère pas sensi- blement des expressions si variées de la
syphilis
acquise. Telles sont les conclusions que nous n
vers l'âge de trois ans et qui relevèrent, à n'en pas douter, d'une
syphilis
vac- cinale. D',une vingtaine d'enfants, inocul
susceptibles d'en produire : variétés pathogéniques, ostéites de la
syphilis
infantile héréditaire [Taylor (1), Busey (2), B
in(4), Stirling (5)) ou acquise (notre observation), ostéites de la
syphilis
adulte ordinaire [Taylor, (1) Taylor. On dactyl
dents héréditaires. Parents bien portants. Pas d'alcoolisme. Pas de
syphilis
, pas de névropathie chez les ascendants. Trois
sions encore pendantes sur l'origine du na- nisme et du rachitisme (
syphilis
héréditaire, athrepsie, scrofule, etc.), reteno
té possible e de relever chez elle le moindre indice et stigmate de
syphilis
; elle a eu 12 enfants à terme : quatre vivent
du Barnum. 264 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE En fait de
syphilis
, nous ne constatons aucun stigmate précis. Mon co
lln i quell1eJl t 'parce- qu'on"" 0"511 hahi tué à diagnostiquer la
syphilis
chez les dégénérés physiques des centres nerveux.
i comme le tabès, la [-paralysie générale progressive, comptent. la
syphilis
comme élément étio- 1, logique important mais n
ne résultante, niais dans le cas présent les facteurs .'habituels :
syphilis
,' intoxication, hérédité arthritique, nénopathiqu
i 1 DE L'nÉlIfARTIIROSE TABÉTIQUE 269 rapport avec le tabès ou la
syphilis
ou des affections surajoutées (hystérie) et vis
ralysies. D'autres, comme Minor, incriminent l'action directe de la
syphilis
. Quant au siège anatomique, mêmes divergences d
TOIRE DE M. LE PROFESSEUR RAYMOND. LOCALISATIONS SPINALES DE LA
SYPHILIS
HÉRÉDITAIRE PAR G. GASNE. Interne de la cli
de la Salpêtrière a publié celte année même(l), les observations de
syphilis
héréditaire de la moelle épi- nière parues jusq
cru d'autre part que parmi les nombreux foetus qui succombent à la
syphilis
congénitale j'en trouverais quelques-uns présenta
ai trouvé des lésions profondes et leur analogie, avec celles de la
syphilis
acquise confirmait encore qu'il s'agissait bien
ns que je veux publier ici après avoir rapporté les quelques cas de
syphilis
hérédi- tairede la moelle dont nous possédons l
279 Les organes qui paraissent le plus fréquemment, frappés par la
syphilis
héréditaire sont les méninges et les vaisseaux,
s cornes grises par le poison syphilitique, signalée à propos de la
syphilis
héréditaire par Jarisch pour la moelle et d'aut
ste, les lésions ne sont pas toujours identiques il elles-mêmes. La
syphilis
héréditaire n'est pas d'emblée tertiaire comme on
ifférence essentielle entre les lésions des diverses périodes de la
syphilis
. Mais, chez le foetus comme chez l'adulte les l
duisent dans la vie intra-utérine comme elles se conduisent dans la
syphilis
acquise, et nous pouvons à la naissance les sur
s nobles qu'elles ont détruits. Ces lésions deutét'opathiques de la
syphilis
sont elles-mêmes extrêmement variables, elles c
ainsi une double origine. , Les éléments si caractéristiques de la
syphilis
, bien qu'ils ne lui appar- tiennent pas en prop
tion avec stase leucocylique lo processus tout à fait initial de la
syphilis
, nous avons retrouvé celte congestion en effet
; il y a du reste longlemps que l'on sait le rôle étiologique de la
syphilis
héréditaire dans la fameuse di a thèse hémorrhagi
essaignes un certain nombre de cas où l'hémorrhagie due à l'hérédo-
syphilis
siégeait dans les centres nerveux, malheureusemen
ui signale l'hémorrhagie dans le canal médul- laire, dans un cas de
syphilis
congénitale. Analysons maintenant, avant d'expo
jours, on ne put contater chez elles pendant la vie aucune trace de
syphilis
, ni aucun symptôme morbide, Chez l'une d'elles
ux présentèrent les altérations du foie décrites par Gubler dans la
syphilis
congénitale. « Les cerveaux ne parurent pas alt
des tubes nerveux très nets. (1) Cité par LANCEHEAUX, Traité de la
syphilis
, 2A cl., 481, p. 43. LOCALISATIONS SPINALES DE
es lésions à celles décrites par Charcot et Gombault dans un cas de
syphilis
acquise des centres nerveux. Dans leur cas le p
'anatomie pathologique de la moelle de quatre en- fants atteints de
syphilis
héréditaire dont le plus âgé avait au moment de
e cinq observations de myélite spécifique dont trois ont trait à la
syphilis
héréditaire. « Le premier cas concerne un enfan
ntral nervous syslem. Brain, 1884 oct., p.4.0G : (2) osscsss, Ueber
syphilis
der Riickenmarks und seine ? , Haute. Charité Ann
nie, pleurésie. » b 0 t Un des auteurs qui ont le mieux étudié la
syphilis
héréditaire cérébro- spinale est Siemerling (1)
e aux lésions cérébrales. Gangitano (1) rapporte trois autopsies de
syphilis
héréditaire ayant tou- ché la moelle : La pre
fida dont un certain nombre, on le sait, peuvent se rapportera à la
syphilis
héréditaire. « Il existe, en effet, dans la rég
njonctifs et les amas nucléaires décrits par Heubner dans le cas de
syphilis
cérébro-spinale. Jamais je n'ai découvert de seco
s spinales que je soup- çonnais, en raisonnant par analogie avec la
syphilis
acquise, devoir être le siège maximum des lésio
avaient de cinq à six mois et demi, cinq huit, mois environ. Sur la
syphilis
des parents, à part l'existence ou l'absence, nou
ution, lésions secondaires presque toujours. Cependant cinq fois la
syphilis
maternelle datait déplus de deux ans de trois à
avons examinés quatre seulement étaient nés de parents indemnes de
syphilis
, des vingt-six autres, quatre avaient des lésio
uscles comme dans les organes viscéraux que nous avons examinés. La
syphilis
congénitale 300 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SAL
ue nous considérons comme de règle générale dans le processus de la
syphilis
héréditaire de la moelle épinière. Et en effet
ne sont pas sans importance, signalées chez l'adulte à propos de la
syphilis
acquise elles prennent un caractère très spécia
pécial puisque on les retrouve également chez l'individu atteint de
syphilis
congénitale (Siemerling, Boeltiger). Lorsque le
udai depuis long- temps déjà signalé par les auteurs à propos de la
syphilis
acquise et que nous avons noté plusieurs fois;
pas donné signe de vie, bien (1) HunELO, Lésions viscérales dans la
syphilis
héréditaire, lésions du foie. Th. Paris, 1890.
éréditaire, lésions du foie. Th. Paris, 1890. (2) SCIlW.\B, De la
syphilis
du placenta. Th. Paris, 1896. lx 20 306 NOUVE
inctes, coupées en travers elles tran- LOCALISATIONS spinales DE la
SYPHILIS
HÉRÉDITAIRE 313 chent par leur coloration plus
ion absolument anormale de leucocytes. LOCALISATIONS spinales DE la
SYPHILIS
HÉRÉDITAIRE 315 Les vaisseaux des racines sont
rachidien il n'y a rien qui rappelle les lésions habituelles de la
syphilis
même sur les vaisseaux, il faut se rappeler toute
MOND. HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE. LOCALISATIONS SPINALES DE la
SYPHILIS
HÉRÉDITAIRE PAR G. GASNE, Interne de la Cli
t de la circonférence, petits nodules très caracté- ristiques de la
syphilis
. Cette infiltration reste limitée aux tuniques le
rmée en un bloc fibreux imperméable. localisations spinales DE la
syphilis
héréditaire 357 Les racines sont également ento
se résu- mer d'unmot,elles sont identiques, celtes produites par la
syphilis
acquise. La moelle, le plus souvent atteinte da
ùr- gens, c'est surtout la région cervicale qui est atteinte par la
syphilis
médullaire héréditaire. Ce n'est pas tout, et
ec dissociation syrzrxgomyélique, par V. HANOT et H. Meunier, 49.
Syphilis
héréditaire de la m oe lle cp iraière, par GILL
re de la m oe lle cp iraière, par GILLES DE la TODRETTE, 80, 109.
Syphilis
héréditaire (Localisations spi- nales de la), p
ans arthropathie, 189. GASNE (G.). Localisations spinales de la
syphilis
héréditaire, 278, 352. Gilles DE la Tourette. L
s de la syphilis héréditaire, 278, 352. Gilles DE la Tourette. La
syphilis
héré- ditaire de la moelle épinière, 80. Gras
chez les tabétiques, XXXIII, XXXIV. Localisations spinales de la
syphilis
hé- réditaire, XLIV, XLV, XLI et XLVII. Luxat
VI. Pied plat dans la blennorrhagie, IV. Purpura borique, XXXV.
Syphilis
héréditaire et tabès (arthropathies des hanches
UE NERVEUSE. ESSAI DE DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL \ e , el4l ENTRE LA
SYPHILIS
ARTÉRIELLE, LA SYPHILIS MÉNINGÉE-' ET LA SYPHIL
DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL \ e , el4l ENTRE LA SYPHILIS ARTÉRIELLE, LA
SYPHILIS
MÉNINGÉE-' ET LA SYPHILIS GOMMEUSE DE L'ENCEPHA
, el4l ENTRE LA SYPHILIS ARTÉRIELLE, LA SYPHILIS MÉNINGÉE-' ET LA
SYPHILIS
GOMMEUSE DE L'ENCEPHALE; ? " - ' PAII ns DOCTEU
ET T JO.\XNY ROUX, E\.-l11lcrnc des hôpitaux , de Lyon. ' La
syphilis
peut frapper l'encéphale de façons très di- ver
e, t. V. " 1 2 CLINIQUE NERVEUSE. La richesse symptomatique de la
syphilis
cérébrale est très grande; on s'est ingénié à l
ces types cliniques serait impossible : chacun des symptômes de la
syphilis
cérébrale se rencontrant indifféremment, quelle
quelle que soit la nature de la lésion (gomme, lésions méningées,
syphilis
artérielle, etc.). « Quels que soient, dit Mauria
a n'a pas seulement une impor- tance théorique : le pronostic de la
syphilis
méningée est différent de celui de la syphilis
: le pronostic de la syphilis méningée est différent de celui de la
syphilis
artérielle, et surtout de la gomme intra-cérébr
tion, justifiée pour une gomme, serait parfaitement inutile dans la
syphilis
des artères. Sans doute ce diagnostic est extrê
Nous avons pu crbserver longuement et minutieusement trois cas de
syphilis
cérébrale dans' lesquels la vérification nécrop
érentes et assez pures gomme intra-cérébrale dans le pre- mier cas,
syphilis
méningée dans le second, syphilis arté- rielle
-cérébrale dans le pre- mier cas, syphilis méningée dans le second,
syphilis
arté- rielle dans le troisième. C'est avec ces
trois variétés de lésions syphilitiques -de l'encéphale. Mauriac.
Syphilis
tertiaire et syphilis héréditaire, p. 862 DIAGN
ons syphilitiques -de l'encéphale. Mauriac. Syphilis tertiaire et
syphilis
héréditaire, p. 862 DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE
iaire et syphilis héréditaire, p. 862 DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA
SYPHILIS
. : 1 CHAPITRE PREMIER De la syphilis artériel
IAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS. : 1 CHAPITRE PREMIER De la
syphilis
artérielle. De toutes les formes de syphilis cé
APITRE PREMIER De la syphilis artérielle. De toutes les formes de
syphilis
cérébrale, celle qui frappe les artères est cer
ez riche à cet égard, et nous lui ferons de nombreux emprunts. La
syphilis
artérielle ne possède cependant aucun symp tôme
qu'elle présente peuvent aussi se montrer dans les autres formes de
syphilis
cérébrale, et réciproquement. L'édification d'u
se de chacun des symptômes et des caractères qu'il présente dans la
syphilis
artérielle ; 2° sur l'évolution de ces symptôme
aussi l'artério-sclérose vulgaire, dans l'étiologie de laquelle la
syphilis
joue un rôle banal. 1. Caractères généraux et p
banal. 1. Caractères généraux et particuliers des symptômes de la
syphilis
artérielle de l'encéphale. Le caractère le plus
l'encéphale. Le caractère le plus général est le suivant : dans la
syphilis
des artères cérébrales comme dans presque toute
évrismes et de ruptures artérielles que nous étudierons 'à part, la
syphilis
des artères agit presque uniquement en ischémia
et paraissant en pleine santé, sont presque caractéristiques de la
syphilis
des artères. - Rarement on observe des paraly
ces phénomènes irritatifs devront faire songer à une autre forme de
syphilis
, surtout à a syphilis méningée, ou bien à des m
s devront faire songer à une autre forme de syphilis, surtout à a
syphilis
méningée, ou bien à des manifestations médul- l
ous rapportons plus loin. , L'épilepsie partielle se voit dans la
syphilis
des artères comme dans les autres formes; mais
décou- vrir une cause, tout au moins occasionnelle, autre que la
syphilis
.- Cette cause secondaire est habituellement une
n rénale. comme dans le cas rapporté plus loin. L'épilepsie de la
syphilis
artérielle semble donc relever de la combinaiso
dant elle fait défaut beaucoup plus souvent que dans la gomme ou la
syphilis
méningée. En outre elle est plus diffuse, affec
on ni par la percussion du crâne. · DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA
SYPHILIS
. S La céphalalgie, dit Thibierge', doit faire s
es objectifs de la sensibilité n'appartiennent pas au tableau de la
syphilis
artérielle ; à part, bien entendu, le cas excep
staungs-papille et la névrite optique qui sont habituelles dans la
syphilis
méningée et gommeuse, sont rares dans la syphil
bituelles dans la syphilis méningée et gommeuse, sont rares dans la
syphilis
des artères. Cependant elles ont été signalées
quefois (UtholT); leur absence est une pré- somption en faveurde la
syphilis
artérielle, mais leur présence ne doit pas fair
r un anévrisme lorsque les symptômes concomitants seront ceux de la
syphilis
artérielle plutôt que de la syphilis méningée.
concomitants seront ceux de la syphilis artérielle plutôt que de la
syphilis
méningée. Il n'y a jamais d'hallucinations chez
tions. Les troubles du langage ont une place considérable dans la
syphilis
artérielle. Toutes les modalités d'aphasie peuven
es plus précis. II. Evolution et groupements symptomatiques de la
syphilis
artérielle de l'encéphale. - On peut distinguer d
érielle de l'encéphale. - On peut distinguer dans l'évolution de la
syphilis
des artères cérébrales, deux périodes assez dis
. hebdoma- claire, 1892, p. 579). 1 DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA
SYPHILIS
. -1 exercice modéré, elle suffit à sa tâche : v
ictus épilep- tiforme. Il est rare, dans la période de début de la
syphilis
artérielle, que l'on ne trouve pas l'une de ces
rme a été magistralement décrite par Fournier dans son traité de la
syphilis
cérébrale. D'autres fois, mais plus rarement, o
Leçons sur l'aphasie syphil. (Gaz. hebd., 1877, n° 6). Traité de la
syphilis
, 1800. DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS.
, n° 6). Traité de la syphilis, 1800. DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA
SYPHILIS
. 9 intellectuel le fatigue, il comprend moins f
ie de la période de début, nous dirons qu'on a voulu rattacher à la
syphilis
cérébrale certains cas de migraine ophtalmique;
ne sommes pas encore bien fixés sur sa valeur diagnostique entre la
syphilis
artérielle et la syphilis ménin- gée ; nous y r
fixés sur sa valeur diagnostique entre la syphilis artérielle et la
syphilis
ménin- gée ; nous y reviendrons à propos de cet
e d'autres causes, d'oblitération vasculaire. Le diagnostic de la
syphilis
une fois posé, l'absence de tout phénomène irrita
rébral avec toutes ses localisations peut reconnaître pour cause la
syphilis
des artères. Nous dirons la môme chose de l'hém
offre pas de symptômes spéciaux lorsqu'elle reconnaît pour cause la
syphilis
. Une seule forme symptomatique mérite une descr
ose sont assez fréquentes. Letulle 2 a rapporté récemment un cas de
syphilis
artérielle par thrombose de la carotide interne
tulle. Presse médicale, 1896, p. 605. DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA
SYPHILIS
. '11 sont pas exceptionnels (Spillmann, Lancera
ents plus graves qui emportent le malade. Lés cas bien connus où la
syphilis
cérébrale prend le masque de la paralysie génér
que de la paralysie générale ne nous ont pas paru se rattacher à la
syphilis
des artères plutôt qu'aux autres formes; le plu
ois servir à distinguer la forme artérielle des autres variétés de [
syphilis
cérébrale. Nous avons cru bon de les réunir dan
tilement à un tableau analogue que nous donnerons plus loin pour la
syphilis
méningée. DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILI
plus loin pour la syphilis méningée. DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA
SYPHILIS
. 13 14 ? CLINIQUE NERVEUSE. ' · absolument in
nature suspecte. , Son amant interrogé confirme le diagnostic de
syphilis
. Elle n'a jamais subi aucun traitement.' . Pa
fficulté à trouver ses mots, elle les DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA
SYPHILIS
. 15 prononce difficilement, mais ne les estropi
fent en outre des dilatations monili- DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA
SYPHILIS
. 17 formes. Autour de ces dilatations anévrisma
ilité à la tempé- rature. Cette dissociation a été signalée dans la
syphilis
de la moelle par Brissaud ', Oppenheim 2, Schle
y est revenu récemment et la considère comme très fréquente dans la
syphilis
spinale (Progrès mé- dical, 1897, p. 34). La
misphère opposé (il admet toujours la DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA
SYPHILIS
. 19 nous forçait à admettre une lésion siégeant
s cas analogues ne sont pas exceptionnels. UhtholT', sur 150 cas de
syphilis
cérébrale a relevé 26 fois la paralysie de la s
pour les voies optiques. ' ' Uhthoff. Urger die Loehmung bei der
Syphilis
des Cen/mlne" vensyslems vorkommenden, Augenslo
(De Ch. Vallon.) . ' Rien de particulier dans ses antécédents. Ni
syphilis
ni alcool. C'est un homme de taille moyenne. Gr
t-elle, reçu une gifle de son ami qui lui a déboité quatre dents ».
Syphilis
? Réflexion. Dès le début de la paralysie génér
contracté des habitudes alcooliques. 11 y est resté dix-huit mois.
Syphilis
? La maladie actuelle date de 1895. Le malade f
oint, elle mange avec voracité. M. Sollier attribue la maladie à la
syphilis
avouée de son père et aussi à l'hérédité cérébr
a observé un jeune paralytique général de vingt ans chez lequel la
syphilis
ne pouvait être incriminée, mais dont l'hérédit
aussi observé un cas de paralysie générale chez une jeune fille. La
syphilis
du père n'était pas douteuse, mais elle ne se t
IE CLINIQUE NERVEUSE. ESSAI DE DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL ENTRE LA
SYPHILIS
ARTÉRIELLE, LA SYPHILIS MÉNINGÉE ET LA SYPHILIS
ESSAI DE DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL ENTRE LA SYPHILIS ARTÉRIELLE, LA
SYPHILIS
MÉNINGÉE ET LA SYPHILIS GOMMEUSE DE L'ENCÉPHALE
ÉRENTIEL ENTRE LA SYPHILIS ARTÉRIELLE, LA SYPHILIS MÉNINGÉE ET LA
SYPHILIS
GOMMEUSE DE L'ENCÉPHALE' ; -, PAR LES DOCTEURS
CHAPITRE II , , , , De la méningite syphilitique cérébrale. La
syphilis
peut porter son action sur les méninges de plu-
de coté la pachyméningite hémorrhagique, dont la cause peut être la
syphilis
, mais dont la symptomatologie, assez tranchée,
re, permettant de les distinguer quelquefois des autres formes de
syphilis
cérébrale. § 1. Caractères généraux DES symptôm
syphilis cérébrale. § 1. Caractères généraux DES symptômes DE la
syphilis
méningée. Ici, c'est l'inverse de ce qui se pas
yphilis méningée. Ici, c'est l'inverse de ce qui se passe dans la
syphilis
artérielle : il y a nettement p·éclominazce cles
urs. L'attaque épileptiforme, qui appartient à toutes les formes de
syphilis
cérébrale, est parti- culièrement fréquente dan
, dès leur début, de phénomènes spas- DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA
SYPHILIS
. 1 modiques : raideurs musculaires, contracture
alisées, se diffusent à un plus grand nombre de muscles que dans la
syphilis
artérielle, mais aussi elles sont moins complèt
les de la sensibilité. Ils sont beaucoup plus fréquents que dans la
syphilis
artérielle. La céphalalgie ne manque à peu près
posée à la fugacité des troubles analogues dus à l'ischémie dans la
syphilis
artérielle. 100 CLINIQUE NERVEUSE. Ces troubl
des vaisseaux. Plus loin nous opposerons cette neuro-rétinite de la
syphilis
méningée à la stuungs-papille de la gomme intra
st habituellement moins complète, mais plus permanente, que dans la
syphilis
artérielle. Le délire est fréquent, et il s'a
tranquillité on trouve que la mémoire DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA
SYPHILIS
. loi est à peu près intacte, qu'il n'y a souven
nt progressif de toutes les facultés, conduisant à la démence de la
syphilis
artérielle. Ajoutons enfin que la méningite s
on des divers observateurs : c'est l'existence de la fièvre dans la
syphilis
cérébrale. Depuis les travaux de Four- nier on
a fièvre syphilitique secondaire. Nous pouvons affirmer que dans la
syphilis
cérébrale on observe assez souvent aussi des él
ous avons pu hésiter pendant plusieurs jours entre le diagnostic de
syphilis
cérébrale et celui de fièvre typhoïde : le séro
une valeur au point de vue du diagnostic des différentes formes de
syphilis
cérébrale. Tout ce que nous pouvons dire, c'est
c'est que le mouvement fébrile parait relativement fréquent dans la
syphilis
méningée, assez rare dans la syphilis artériell
relativement fréquent dans la syphilis méningée, assez rare dans la
syphilis
artérielle, exceptionnel dans la gomme. § II.
é-· quente que la précédente est rare. On pourrait, comme dans la
syphilis
artérielle, distinguer deux périodes dans son évo
istinguer deux périodes dans son évo- DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA
SYPHILIS
. 103 lution. Pendant la première les symptômes
vieuue opposée. 104 CLINIQUE NERVEUSE. Observation II. Sommaire :
Syphilis
probable dans les antécédents. Début par des ic
oite a laissé encore quelques traces. DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA
SYPHILIS
. 105 Pas d'aphasie. Rien d'anormal à l'examen d
ives dans les bras et les jambes, les DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA
SYPHILIS
. 107 reins, la nuque ; ces douleurs ne sont exp
u côté droit. Incontinence d'urine. DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA
SYPHILIS
. 109 G juillet. Les douleurs sont très intenses
M. Z la compétence est bien connue. DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA
SYPHILIS
. l'l'1 '1 [ensilé de laneuro-rétinite, l'agitat
syplti- lis méningée, que l'on comparera utilement à celui de la
syphilis
artérielle : . 'H 2 - CLINIQUE NERVEUSE. Les
tableau symptomatique. § I. Caractères généraux DES symptômes de la
syphilis
Goum- MEUSE. - Nous avons vu que la syphilis ar
ux DES symptômes de la syphilis Goum- MEUSE. - Nous avons vu que la
syphilis
artérielle donnait surtout des symptômes de déf
, qu'au contraire les phé- nomènes irritatifs prédominaient dans la
syphilis
méningée Dans la syphilis gommeuse ces deux ord
nomènes irritatifs prédominaient dans la syphilis méningée Dans la
syphilis
gommeuse ces deux ordres de symptômes se trouve
Déjerine. Société de Biologie, 1897. DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA
SYPHILIS
. 113 3 femme atteinte de gomme du lobe frontal
e explication. Nous avons déjà fait ressortir dans le tableau de la
syphilis
artérielle l'importance des intoxications et au
e des intoxications et auto-intoxications. Nous croyons que dans la
syphilis
gommeuse c'est encore à elles qu'il faut avoir
ut facilement être extrait en entier, DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA
SYPHILIS
. '1 I ) La cause de ces ramollissements est trè
gnostic des tumeurs gommeuses du cerveau. Nous avons vu que dans la
syphilis
artérielle, le plus souvent la papille était sa
is artérielle, le plus souvent la papille était saine ; que dans la
syphilis
méningée on avait soit de l'atrophie simple, so
tlomi- ' Bouveret. Lyon méd., )89C. DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA
SYPHILIS
. 117 nante de l'excès de tension intra-cranienn
s le cas de tumeurs gommeuses, la névrite optique surtout dans la
syphilis
méningée. Nous avouons cependant qu'il n'y a là
Nous avouons cependant qu'il n'y a là qu'un degré de fréquence, la
syphilis
méningée pouvant parfaitement produire la stauu
du cerveau est entièrement celle des tumeurs cérébrales. Dans la
syphilis
artérielle et méningée on pose d'abord le diagn
la syphilis artérielle et méningée on pose d'abord le diagnostic de
syphilis
cérébrale; ce n'est qu'ensuite et par une analy
re pas toujours au diagnostic de la variété anato- mique. Dans la
syphilis
gommeuse, au contraire, on pose d'abord le diag
nation avec ouverture des méninges et DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA
SYPHILIS
. 119 découverte d'une gomme. Etat mental partic
a pas eu de fausses couches. Aucun signe pouvant faire songer à la
syphilis
si ce n'est une chute des cheveux assez prononc
poumons et coeur sains. Pouls = 64. Pas d'albumine. Aucune trace de
syphilis
ancienne ou actuelle. Traitement : 1° Bioxyde
emmétropie. Vision à 5 mètres = 1/6. DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA
SYPHILIS
. 121 j'oe gauche. Stase papillaire comme dans l
Il y a un très léger degré de parésie DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA
SYPHILIS
. 123 faciale droite. La démarche est légèrement
25. Analyse des phosphates urinaires DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA
SYPHILIS
. 125 qui ne présente aucune adhérence. On Sent
es du diagnostic différentiel entre trois variétés anato- miques de
syphilis
cérébrale. Nous n'apportons, il est vrai, que t
aîtres de nos jours inclinent à attri- buer comme cause générale la
syphilis
, déconcerte bien sou- vent encore les clinicien
exceptionnelle chez la femme privilégiée par la fortune ; ` 30 La
syphilis
est, d'une façon générale, plus grave chez la f
géné- rales porteuses de ces traces indélébiles si manifestes de
syphilis
grave, et cependant j'ai vu déjà un assez graud n
figurées par des altérations profondes (depuis vingt ans) ; 4° La
syphilis
étant habituellement plus grave chez la femme q
infime de paralysés généraux ; y a-t-il cependant beaucoup moins de
syphilis
en Normandie que dans les autres régions ? etc.
si qu'il peut y avoir, suivant les prédisposi- tions spéciales, des
syphilis
qui aboutissent, comme l'alcoo- lisme et le sat
at d'intoxications du même individu par excès alcooliques, tabac,
syphilis
, veilles prolongées, fatigues, etc., avec possi
ie générale que des intoxications banales, alcoolisme, nicotinisme,
syphilis
, etc., mais que l'on peut rencontrer des paraly
t rencontrer des paralysés généraux qui n'ont pas été atteints de
syphilis
, qui n'ont commis ni excès alcooliques, ni abus
de démence syphilitique; par le Dl Christian. A côté des cas où la
syphilis
agit non comme agent spécifique direct, niais s
disposé, il se rencontre des folies véritablement syphilitiques. La
syphilis
agit alors direc- - REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE
e, observations dont le schéma peut se résumer en quelques mots :
syphilis
du cerveau, ictus initial, lésions localisées (ap
t produit dans le tissu cérébral des destructions irréparables ; la
syphilis
, en tant que syphilis, a guéri chaque fois et g
cérébral des destructions irréparables ; la syphilis, en tant que
syphilis
, a guéri chaque fois et guéri définitivement ; l'
les démences syphilitiques ou parasyphilitiques qui relèven t de la
syphilis
tertiaire sont rares. En dix-huit ans, sur près d
oportion change, si l'on fait rentrer la paralysie générale dans la
syphilis
cérébrale ! La théorie syphilitique de la par
stian. Les arguments directs de démonstration des rapports entre la
syphilis
et la paralysie générale se résument en un seul
érale ' ? D'autre part, il est démontré qu'il existe des pays où la
syphilis
est très répandue, et où cependant la paralysie
il faudrait démontrer, c'est que la paralysie générale dérive de la
syphilis
, qu'il existe un enchaînement morbide évident,
t de ce travail. Tant que la démonstration ne sera pas faite que la
syphilis
est l'antécédent nécessaire, obligé, de la para
- paralysie générale syphilitique », une encéphalopathie due à la
syphilis
et présentant à peu près l'ensemble symptomatique
s processus de reproduction, principalement au point de vue de la
syphilis
et des tempéraments. Il étudie aussi l'hérédité d
ation chronique, il faut surtout retenir ceux qui dépen- dent de la
syphilis
; quand la syphilis n'existe pas, la paralysie gé
faut surtout retenir ceux qui dépen- dent de la syphilis ; quand la
syphilis
n'existe pas, la paralysie géné- rale peut être
grave, de la neurasthénie. Les neurasthéniques nerveux, chez qui la
syphilis
est venue renforcer la névropathie, n'ont que l
nts de congestifs ou d'apoplectiques, pré- sentent à la suite de la
syphilis
une neurasthénie plus cérébrale que nerveuse, s
rvation détaillée. XVII. QUELQUES remarques SUR LE rapport entre la
syphilis
ET LE TABES ET SUR LE TRAITEMENT DE CETTE DHRNI
Lakaresallikapets lanllingar, novem- bre 1897.) L'influence de la
syphilis
comme cause prédisposante au tabès paraissant d
s 32 cas, c'est-à-dire 164 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 68 p. 100, une
syphilis
généralement légère. Dans ces 32 cas, 'i l'exce
e autres par Fournier, qu'un traitement insuffisant ou tardif de la
syphilis
pré- ~dispose, ainsi qu'aux affections syphilit
ombinée avec des exercices coor- dinatoires. XVIII. SUR un cas DE
syphilis
cérébrale énergiquement traité avec LE MERCURE,
Les cas de méningo-encéphalite spécifique sont, parmi les cas de
syphilis
cérébrale, les plus susceptibles de guérison, à l
n. Hésitation de la parole. Inéga- lité pupillaire. » (Magnan.) .
Syphilis
? Marié; il n'a jamais eu d'enfant. Trois mois
de l'hémiplégie droite qui ont dis- paru au bout de plusieurs mois.
Syphilis
? J... Alphonse est grand, blond, d'un faciès i
des lacunes ; elle ne faisait plus son travail aussi bien. A eu la
syphilis
en 1890. Actuellement, l'embarras de la parole
avait des cauchemars, des pituites et une dyspepsie tenace. A eu la
syphilis
à vingt-cinq ans. Les troubles trophiques qu'il
Gâtisme par moments. » (M. Briand.) Elle a eu très probablement la
syphilis
donnée par son mari. Pas de fausse couche. Cinq
es alcooliques. » La mère est morte après une paralysie de dix ans.
Syphilis
? Depuis très longtemps B... Pierre boit un ou
enfantines de richesse et de satisfaction. La mémoire est nulle.
Syphilis
? Etait sobre, buvait de l'eau rougie. Anesthésie
gai. La mémoire est très mauvaise. Nous ne savons pas s'il a eu la
syphilis
. La peau n'est pas anes- thésiée, mais il y a r
e. Très sobre et très rangé, il n'a a jamais eu de dermatose, ni de
syphilis
. Toute son histoire patholo- gique se borne à u
les tissus. (The alienist and neurologist, oct. 97.) E. B. XXXII.
Syphilis
DU système nerveux central ; par le 1)' SYDNEY
actuel de nos connaissances sur les différentes formes que revêt la
syphilis
du système nerveux central. D'.une façon généra
er- veux jouent le rôle de causes prédisposantes ; sur 100 cas de
syphilis
cérébrale, Carnowsky a trouvé l'alcoolisme dans 4
ndemnes de prédispositions. Parmi les formes les plus fréquentes de
syphilis
spinale, l'auteur résume la méningite syphiliti
uérisons vraies de 15 à 35 p. 100. Dans la plupart des formes de la
syphilis
cérébrale, les symp- tômes les plus graves sont
à eux les nouveaux symptômes caractéfistiquesdes diverses formes de
syphilis
cérébrale dont l'au- teur décrit les trois type
térite syphilitique et les gommes. Sur une statistique de 90 cas de
syphilis
cérébrale publiée par Fournier, il y eut 14 mor
ra instituer, le mercure étant le meilleur remède de cette forme de
syphilis
. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ' 311 Alors qu
LXX. L'automatisme considéré comme une DES MA111PEST.aLIOYS DE la
syphilis
cérébrale; par le professeur BECHTEREW. Jusqu'à
ifester à titre de phénomène parfaitement indépendant aussi daus la
syphilis
cérébrale. Il s'agit d'un homme de trente-sept
t la conclusion que l'état du malade était sous la dépendance de la
syphilis
cérébrale. En faveur de cette supposition parle
mais avant tout l'anamnèse et la présence de signes objectifs de la
syphilis
sous forme de céphalalgies caractéristiques, etd'
itique à la catégorie de l'automatisme épileptique déterminé par la
syphilis
, ou faut-il considérer ces cas comme un état mo
comme un état morbide développé indépendamment sur le terrain de la
syphilis
cérébrale ? M. Bechterew considère cette dernière
personnelle. Les rapports intimes qui existent entre le tabès et la
syphilis
semblent justifier a priori, l'application au t
pplication au tabès de tous les moyens que nous possédons contre la
syphilis
elle-même. Laissant de côté les essais, encore
spéciales élaborées dans l'organisme infecté préalablement par la
syphilis
, et qui sont la cause immédiate présumée de la dé
confondue avec l'idiotie. La plupart des auteurs l'attribuent à la
syphilis
héréditaire. M. Régis partage cette opinion.
ar la paralysie générale est inconnue dans les pays musulmans où la
syphilis
est au contraire très répandue. M. BRIA-4D. L
faveur. M. B. Séance du 28 mars 1898.- Présidence DE M. Mueriot.
Syphilis
el paralysie générale. M. Brunet, répondant à l
s 1889, époque à laquelle il ne croyait pas à une relation entre la
syphilis
et la paralysie générale. Il craint qu'en plaçant
ytiques généraux à leur début, prouve qu'il faut autre chose que la
syphilis
pour faire un paralytique général. Muller de
ur faire un paralytique général. Muller de Munich n'a retrouvé la
syphilis
que 23 fois (17 hommes et 6 femmes) chez 142 pa
e relation de cause à effet. L. M. Sollier a toujours retrouvé la
syphilis
chez les paralytiques femmes qu'il a eu à obser
ysie générale. Il n'employait que l'hématoxyline comme colorant. La
syphilis
ne doit pas, selon lui, être invoquée comme cau
sans lui demander sur quels documents il s'appuie pour dire que la
syphilis
est fréquente chez les musulmans alors que la p
n effet, de dire que la paralysie générale est rare dans les pays à
syphilis
; il faudrait démontrer que la paralysie général
démontrer que la paralysie générale existe dans une région où la
syphilis
est inconnue. Je ne sais pas si la syphilis est s
e dans une région où la syphilis est inconnue. Je ne sais pas si la
syphilis
est suffisante pour faire un paralytique généra
e chose pour que l'agent virulent produise certaines lésions ? La
syphilis
ne conduit pas fatalement à la paralysie générale
pétition de principe quand il nous parlait de lésions diffuses de
syphilis
, et je lui demandais de faire une démonstration q
de lui prouver que la paralysie générale existe dans un pays où la
syphilis
serait inconnue, mais il oublie de nous dire où
s dans une ile du Pacifique où elle n'avait jamais été observée. La
syphilis
venait d'y être importée. Quinze ans après on s
l n'a eu aucune autre maladie infectieuse. Il me éner- giquement la
syphilis
, n'a présenté aucun accident vénérren, aucune m
hagique au cours delà paralysie générale, de l'alcoolisme, ou de la
syphilis
, le résultat est moins satisfaisant; et M. Wini
affection médullaire. Beaucoup d'auteurs affir- ment même que toute
syphilis
médullaire débute par une ménin- gite spinale,
ations critiques sur l'étioloflie de la paralysie générale et de la
syphilis
comme facteur essentiel; par le DrJ. CLERC, élève
i les paralysies générales produites par un véritable con- tage. La
syphilis
à elle seule, héréditaire ou acquise, peut être l
lésions de la paralysie générale qui, sou- vent, peut être appelée
syphilis
cérébrale diffuse. n La thérapeutique iodurée e
. Ophtalmoplégie sensitivo-motrice totale avec alrophie optique par
syphilis
acquise. Prodhon (Eugène-Pierre-Joseph). Des tr
ion. Aspects cliniques de 1' , par Hurd, 311. Automatisme dans la
syphilis
céré- brale, par de Bechterew, 404. Bibliogra
aTegeau, Charpentier, Ritti, Toulouse, 415. Ëtio)ogede)a et de la
syphilis
comme facteur essentiel, par Clerc, 508. Pein
catedu,parJacobso)in. 222. - et corps thyroïde, par Moral, 481.
Syphilis
de l'encéphale : Diagnostic dtfftienHei.par J.
e géné- rale, par Macdonald et D,,tvidson, 147. Rapports entre la
syphilis
et le-, par Homen, 163. Symptômes précoces du
pensons qu'il s'agit dans ces cas d'un stigmate chondro- osseux de
syphilis
héréditaire, et non d'un trouble trophique pouvan
gative, mais on sait combien elle manque fréquemment au cours de la
syphilis
héréditaire. Le traitement médical de ces états
l est du reste la règle, au cours des stigmates dystrophiques de la
syphilis
héréditaire. Si l'hypertrophie digitale par son
différentes époques, les auteurs ont discuté sur la question de la
syphilis
comme cause de la polynévrite et de l'intoxicatio
posés à regarder ces cas de polynévrite comme une conséquence de la
syphilis
, d'autres les regardaient comme une cônsé. quen
où le problème du diagnostic différentiel entre une polynévrite par
syphilis
oupar intoxication mercurielle, pendant unecer-
. Thorling). La santé du malade auparavant bonne. Il a contracté la
syphilis
cette année ; éruption cutanée en avril. Il a c
il y avait une po- ivnévrite. Comme le malade avait contracté de la
syphilis
, il y avait plus 6 mois cependant, il faut disc
e m'occuperai pas des opinions des différents auteurs émises sur la
syphilis
et l'intoxication mercurielle comme cause de la p
ssons pour le moment ce point de vue de côté. Pour ce qui est de la
syphilis
, le problème est d'abord le même que je rencont
aient souvent ou- 232 PETREN- blié cette loi si simple. Quant la
syphilis
, nous savons tous combien cette maladie est fré
nt, il faut toujours prendre en considération la possibilité que la
syphilis
subsiste après un temps -quelconque. Comme une
nque. Comme une très grande partie de la population est atteinte de
syphilis
, et que la polynévrite est une maladie assez (ou
vrite apparaissant chez des individus antérieurement frappés par la
syphilis
pour permettre une conclusion sur une relation
polynévrite se développant chez des individus qui ont contracté la
syphilis
il y a peu- de temps. Car; comme il faut admett
a peu- de temps. Car; comme il faut admettre la possibilité que la
syphilis
sub- siste toujours, 30 ans et plus, chez l'ind
plus petit que le pourcentage où il y a possibilité d'admettre une
syphilis
, nouvelle ou ancienne. Par conséquent, pour con
ïncidence des deux maladies beaucoup plus petit, quand il s'agit de
syphilis
con- tractée tout récemment, en comparaison ave
ce qui est du problème de l'existence d'une polynévrite causée par
syphilis
et d'une polynévrite par intoxication mercuriel
philitique, où il n'y a pas d'autres raisons pour la diagnose de la
syphilis
que le fait que les symptômes de la polynévrite o
ype ordinaire (où il y a des raisons d'ad- mettre la présence d'une
syphilis
). Il est superflu de donner ici une des- XXVIII
pèce publiées où il est établi que les malades avaient contracté la
syphilis
. Je fais suivre ici les observations que j'ai t
rouvées, où plus d'une année s'était passée entre l'infection de la
syphilis
et le développement de la polynévrite. Observat
philitique et la polynévrite. Autres remarques. PERRIN (obs. 20).
Syphilis
de 26 ans. Symptômes de polynévrite d'une inten
ement iodo-mer- curiel. Après deux mois, amélioration. OPPENHEIi.
Syphilis
de 20 ans. - Réflexes rotuliens exagérés ; symptô
nées. Amélioration sans traitement anti-syphilitique. - BUZZAIiD.
Syphilis
de 20 ans. La maladie avait envahi non seulement
vrite, et ils ont été depuis suivis par plusieurs auteurs. BuzznRn.
Syphilis
de 14 ans. Affection non seulement des quatre m
Ross et Bury regardent le cas comme une polynévrite. STIEFLRR. -
Syphilis
de 12 ans. Symptômes d'une névralgie du plexus
été utilisé, depuis guérison. Wassérmann positif. Nonne (obs. 474).
Syphilis
de 12 ans. Polynévrite subaiguë du-type ordinai
oteur oculaire externe et depuis développement de tabes. Stocker.
Syphilis
de 11 ans. - Cas de polynévrite, pas de descripti
nt de mercure, on en est venu à un résultat assez bon. Fischer. -
Syphilis
de 10 ans. - Symptômes correspondant à une poly-
E LA POLYNÉVRITE SYPHILITIQUE OU MERCURIELLE 235 PEItRIN (obs. 19).
Syphilis
de 9 ans. De la diplopie et des symptômes qui p
nt par du mercure et de l'iodure de potassium. Bonnet et LAURENT.
Syphilis
de 5 ans. Trois ans après l'infection syphiliti
ôtés. Deux années plus tard, éruption abondante ulcéro-croûteuse de
syphilis
et en même temps une polynévrite assez typique. G
lynévrite assez typique. Guérison rapide par le mercure. PLEHN. -
Syphilis
de 3-4 ans. Polynévrite avec des symptômes psy-
syphilitique cutanée en même temps que la polynévrite. FRUGONI. -
Syphilis
de 3 ans. Polynévrite du type ordinaire ; en tout
e pendant le traitement avec mercure et iodure de potassium. FRY.
Syphilis
de 26 mois. - Auparavant une hémiplégie probablem
pas voulu accepter le cas comme polynévrite syphilitique. HOFFMANN.
Syphilis
de durée inconnue. Polynévrite pas typique ; le
Pendant le traitement par le mercure amélioration lente. PLEHrr.
Syphilis
de durée inconnue. Polynévrite assez typique. A l
n. Guérison pendant le traitement par le mercure. Barié et Colombe.
Syphilis
dans la période tertiaire. Symptômes d'une poly
s de lymphocytose. Auparavant, une période avec les symptômes d'une
syphilis
cérébrale. Après deux mois, presque guéri penda
presque guéri pendant un traitement au mercure. STRASSER et Kraks.
Syphilis
héréditaire. Cas de polynévrite. Le ma- lade av
crits de polynévrite chez des individus qui avaient contracté de la
syphilis
plus d'une année 236 PETREN avant le développ
e n'est pas connu, et enfin un cas où on a admis comme probable une
syphilis
héréditaire. Mais parmi ces 17 cas, Oppenheim p
e Strasser et Kraus où les auteurs ont pensé à la possibilité d'une
syphilis
héréditaire, parce qu'on ne sait comment il faut
conclusion sur une relation de causalité entre la polynévrite et la
syphilis
- autant qu'il s'agit des cas où cette infectio
tique et la polynévrite. Autres remarques. Nonne (obs. 471). - La
syphilis
date de 1 an. z- Symptômes de polyné- vrite, ma
DE LA POLYNÉVRITE SYPHILITIQUE OU MERCURIELLE 237 TUCKWELL. - La
syphilis
date de) 1 an. Symptômes de polynévrite. Maladi
est pas établie, mais elle semble probable. Spillmann ET ET1ENNE. -
Syphilis
de 10 mois. - Symptômes ordinaires de polynévri
très généralisée. Guéri pendant le traitement mercuriel. JAFFÉ. -
Syphilis
de 9 mois. Cas d'issue mortelle sous le type de m
CROCQ (cité d'après Jah¡'esbe1'. d. Neurolog ? t. I, p. 804, 1897).
Syphilis
de 6 mois. - Symptômes de névrite d'un cubital, p
ôté du cubital ont persisté le plus longtemps. STEiNERT (obs. 1).
Syphilis
de 6 mois. - Polynévrite du type ordinaire. En
s. Bientôt guéri pendant traitement mercuriel. STEINERT (obs. 2).
Syphilis
de 6 mois. Polynévrite du type ordinaire et d'i
ercuriel l'état a d'abord empiré; depuis guéri. Nonne (obs. 472).
Syphilis
de mois. - Symptômes pas trop intenses de polyn
polynévrite. Plus tard guéri après traitement mercuriel. STRAUSS. -
Syphilis
de 3 mois. Symptômes de polynévrite, plus pro-
opsie (au moins pas de renseignement sur ce point). 'IIDDLETON. -
Syphilis
de 3 mois. Symptômes de polynévrite assez typi-
la roséole. Guéri après traitement anti- syphilitique. , WANDEL.
Syphilis
de 3 mois. D'abord névralgies intenses aux membre
iphériques. Aucun rapport sur l'état des méninges. CESTAN (obs. I).
Syphilis
de 1 mois. Paralysie d'abord d'un bras, puis de
s aggravation de l'autre. CI D 238 ' PETREN CESTAN (obs. II). -
Syphilis
de 1 mois. Paralysie des quatre membres, Deux m
ion par le traitement mercuriel au bout de quelques mois. SCHULTZE.
Syphilis
de quelques mois. Paralysie ascendante, finissant
'idée d'une affection du cerveau ou de la moelle épinière. DÉJEUNE.
Syphilis
de date inconnue, mais il y avait ecthyma syphili
onséquence de la névrite périphé- rique. - GILLES de la TOÜnETTE.
Syphilis
de date inconnue, mais syphilides croû- teuses
d'une polyné- vrite (1893), seulement « d'une paralysie flasque de
syphilis
». FonDYCE. « Outbreak of early secondary sympt
les DE la Tourette (cité d'après FnEreEL). Accidents secondaires de
syphilis
un mois avant l'apparition de la polynévrite. Cas
e n'a pas un an d'âge et encore 5 cas où les autres symptômes de la
syphilis
DE LA POLYNÉVRITE SYPHILITIQUE OU MERCURIELLE 2
e valeur pour juger la ques- tion de savoir si la coïncidence de la
syphilis
et de la polynévrite en ces cas-ci peut rendre
Barié et Colomb, Wandel et Strauss. Dans les deux derniers cas, la
syphilis
n'avait pas encore un an d'âge; les deux malades
orte, si terrible des méninges pour les processus morbides dus à la
syphilis
et de l'autre côté les lois si distinctes, si rég
s auteurs, est due assez souvent, ou au moins en quelques cas, à la
syphilis
. J'admets qu'il ne s'agit pas dans les cas cité
faits sûrs pour baser une conclusion sur la polyné- vrite due à la
syphilis
. Pour les autres cas cités ci-dessus, la syphil
vrite due à la syphilis. Pour les autres cas cités ci-dessus, la
syphilis
n'est pas établie pour le cas de Tuckwell. Pour
clusion sur une relation de causalité entre la la polynévrite et la
syphilis
, mais au contraire, que ce fait qu'on a trouvé
la forme de l'éruption syphilitique nous fait accepter l'idée d'une
syphilis
récente (Déjerine, Gilles della Tourette, 2 cas T
nt, nous avons trouvé 11 cas où la polynévrite semble être sûre, la
syphilis
étant contractée il n'y a plus guère d'un an (ou
évident que nous pouvons, grâce à ces observations, conclure que la
syphilis
peut être la cause d'une polynévrite. D'un au
aut admettre que la polynévrite est une conséquence très rare de la
syphilis
. D'abord on voudrait peut-être dire qu'il est ina
que la polynévrite soit si rare, quand les autres manifestations de
syphilis
du système nerveux sont si nombreuses. Cependant,
s'agit des processus morbides d'espèces toutes différentes. Dans la
syphilis
du système nerveux, il y a un processus gommeux,
N traire, il faut comme la cause accepter une intoxication due à la
syphilis
. C'est, ainsi que les auteurs en traitant celte
er qu'une polynévrite peut appa- raître comme une conséquence de la
syphilis
pendant la première année après l'infection, ma
, mais qu'il n'est pas prouvé qu'il existe une polynévrite due à la
syphilis
plus ancienne. Il est bien évident, comme ce fait
ce fait correspond tout à fait à nos idées sur la pathologie de la
syphilis
, sur le développement de cette, maladie, qu'ell
oumis à l'influence de mer- cure, sans qu'ils aient été atteints de
syphilis
, il faut citer l'observation 1 de Spillmann et
is à l'influence du mercure, mais ils n'ont pas été atteints par la
syphilis
, et par l'analyse des observations de cette esp
nous reste à envisager les cas de polynévrite où la présence de la
syphilis
est constatée, où les malades ont été traités p
t de juger s'il s'agit d'u ne polynévrite qu'il faut attribuer à la
syphilis
ou à l'intoxication mercurielle. Nous commenç
me est beaucoup plus facile comprendre si l'on accepte l'idée d'une
syphilis
comme la cause de cette parésie unilatérale.
lynévrite est venue six mois après que le malade avait contracté la
syphilis
. Le malade avait pendant ce temps continuelleme
ne opinion sur la question de savoir si la polynévrite est due à la
syphilis
ou au mercure. Dans le cas de Patoir, l'infecti
cas était publié par Démanche et-Ménardoù le malade atteint par la
syphilis
avait reçu deux séries de six injections d'huile
ndant le traitement antisy- philitique, a été une conséquence de la
syphilis
, mais qu'il est en tout cas pro- bable que la p
ivé au résultai et nous concluons : Qu'il faut reconnaître que la
syphilis
peut causer une polynévrite pendant la première
espèce qu'on puisse accepter) ; Mais qu'il n'est pas prouvé que la
syphilis
, après qu'un an s'est passé après l'infection,
rite. Il y a nombre de cas publiés où, chez des malades atteints de
syphilis
, une polynévrite est apparue après un traitemen
enir à une conclusion sûre, à savoir si la polynévrite est due à la
syphilis
ou à l'intoxication mercu- rielle. Cependant, p
les cas où une polynévrite est venue chez des individus atteints de
syphilis
, après un traitement par mercure qui détermine ou
urs fortes aux jambes. Il pouvait parler de la première éruption de
syphilis
, il y avait trois mois. Mes collègues, de servi
on mercurielle, ils ont conclu, après beaucoup d'hésitation, que la
syphilis
était la cause la plus probable des douleurs. En
nt dans un but prophylactique, sans qu'il y eut des symptômes de la
syphilis
. Au contraire, la troisième cure de mercure a é
diagnostic douteux, savoir si les symptômes présents sont dus à la
syphilis
ou non. C'est une règle très ordinaire que le mé-
aitement antisyphili- tique pour guérir le malade s'il s'est agi de
syphilis
et pour venir à un diagnostic sûr ex juvantibus
rcurielle. Il est bien évident que de nos jours où nous traitons la
syphilis
très souvent seulement dans un but prophylactiq
IDDLETON. - Glasgow med. Journal, vol. 45, p. 57, 1896. Nonne (M.).
Syphilis
und Nervensystem, 21' Auflage. Berlin, 1909 ; Si-
Wochenschrift, 1913, p. 2428. STRAUSS (A.). - Archiv f. Dermat. u.
Syphilis
, vol. 57, p. 421, 1901. TAYLOR<R.-W.). New-Y
réquente de l'atrophie musculaire progressive Aran-Duchenne est' la
syphilis
. La lésion essentielle est non pas une « poliom
ons pu réunir avec Lerougeplus de 80 cas d'amyotrophies pures uù la
syphilis
était en cause, plus de 140 cas en y comptant c
ans un des derniers numéros de l'Iconographie de la Salpêtrière. La
syphilis
peut être aujourd'hui consi- dérée comme la cau
nérale. (1) A. Léri, Atrophies musculaires progressives spinales et
syphilis
. Congrès, de neurologie, Bruxelles, 't9(M ; Atr
moelle de petits foyers limités de myélite vasculaire : c'est à la
syphilis
qu'il faut rapporter les amyotrophies isolées e
es antérieures qu'au niveau des cordons postérieurs ou latéraux, la
syphilis
ne limite ses effets aux étages supérieurs de l
mbres supérieurs qu'elles sont rares aux membres inférieurs; que la
syphilis
soit ou non en cause, qu'il s'agisse de myélite
de l'adulte qui ne doivent sans doute être rapportées souvent à la
syphilis
. Il n'existe guère jusqu'ici, à notre connaissane
le premier cas, Van Gehuchten nous a déclaré n'avoir pas recherché la
syphilis
, mais les lésions vasculaires qu'il a décrites
qu'il a décrites la rendent assez vraisemblable. Dans notre cas, la
syphilis
existait dans les antécédents : à cette époque, n
bservées, des relations de causalité existaient sans doute entre la
syphilis
antérieure et les lésions des cornes antérieures.
Marie; portant d'abord et surtout sur les membres infé- rieurs ; la
syphilis
est susceptible de simuler cette seconde variété
atation était pourtant insuffisante à faire porter le diagnostic de
syphilis
. L'amyotrophie Charcot-Marie est caractérisée ana
a montré les relations presque constantes de cause à effet avec la
syphilis
nerveuse, a été observé dans les cas de Siemerl
te. 2° Il s'agirait encore d'une amyotrophie Charcot-Marie, mais la
syphilis
s'y serait surajoutée ; c'est la syphilis qui a
ie Charcot-Marie, mais la syphilis s'y serait surajoutée ; c'est la
syphilis
qui aurait déterminé la réaction de Wassermann, c
été très nettement positive. En somme, il est fort possible que la
syphilis
soit en cause, bien que nous n'ayons pu trouver
nt spécifique. Dans ces conditions,.c'est peut-être une névrite par
syphilis
héréditaire ou par spécificité acquise dans le
trophie de la langue ne saurait être confondue avec une tumeur, une
syphilis
linguale, etc.. 1 Cette hypertrophie nettemen
production de l'hémorragie cérébrale ordinaire. On a attribué à la
syphilis
aussi un rôle important dans l'étiologie. Ehren
ussi un rôle important dans l'étiologie. Ehrenberg n'a trouvé de la
syphilis
indubitable que dans un seul cas (observation p
uptures (obs. III et IV). En conséquence, il faut considérer que la
syphilis
joue un rôle peu important, dans la pathogénèse
iosclérose presénile. Parmi les maladies infectieuses chroniques la
syphilis
a déjà été dis- i cutée. Quant à la tuberculose
idiennes de sérum humain. Société de Biologie, 1915. Nonne (Max). -
Syphilis
und Nervensystem, 1909. OLLIVIER (d'Angers). -
simple. Il est probable qu'une connaissance plus approfondie de la
syphilis
articulaire permettra de ranger dans ce chapitre
es' qui s'éloignent plus ou moins des deux formes classiques de 'la
syphilis
articulaire tertiaire : l'ostéo- arthropathie e
rthropathie et la périsynovite gommeuse. ' ' (1) Cn. FOUQUET, De la
syphilis
articulaire. Thèse de Paris, 1905. " (2) Traité
1905. " (2) Traité de médecine, Brouardel, GILIJEIIT. Trtomor, Art.
Syphilis
des articulations, T. XXXIX, 1912. RHUMATISME
malade présente un pied bot droit, congénital ; pas de stigmates de
syphilis
héréditaire. D'une santé générale bonne, cet ho
onne, cet homme n'a été éprouvé par aucune autre maladie que par la
syphilis
, chancre induré de la verge, à l'âge de 23 ans.
antécédents on ne trouve aucune infection causale en dehors , de la
syphilis
: ni blennorragie, ni tuberculose, ni poussées an
olores. Aussi, tant par élimination qu'en raison des antécédents de
syphilis
avérée, nous avons cru devoir soumettre ce mala
z grand nombre d'articu- lations, ce qui s'observe rarement dans la
syphilis
articulaire- tertiaire. Enfin elles diffèrent p
ra peut-être de prendre place à côté des formes déjà décrites de la
syphilis
articulaire. (1) Milian, 10C. cit. DYSTROPHIE
- santes à plus d'un titre au point de vue des manifestations de la
syphilis
sur le système nerveux et nous permettront d'ex
nale double. Depuis cette époque aucune au- tre manifestation de la
syphilis
sur la peau ou sur les muqueuses. A noter qu'au
bien typique : c'est celle que l'on observe dans 80 0/0 des cas de
syphilis
médullaire, c'est dirions- nous la forme commun
ne. A la vérité elle est surtout l'apanage des sujets plus vieux en
syphilis
, les formes flasques, douloureuses mais presque t
al peu au courant de ces manifestations à la vérité discrètes de la
syphilis
médullaire, mais dont la marche n'en est pas moin
hystériques. La coïncidence d'autres manifestations actuelles de la
syphilis
levait les doutes et l'amélioration rapide surv
réserves au point de vue d'une association de l'alcoolisme avec la
syphilis
. Les paralysies flasques d'origine syphilitique
de ces observations appartiennent à des individus jeu- nes dans la
syphilis
. Nous n'insistons pas davantage, car notre but
e note n'est pas de passer en revue toutes les manifestations de la
syphilis
sur l'axe spinal, car ces manifestations sont t
a eu affaire il des aphasies dites à répétition, en dehors de toute
syphilis
. La deuxième catégorie renferme les observation
ssociations patholo- giques de l'aphasie avec d'autres affections :
syphilis
, fièvres éruptives, lé- sions du larynx, trauma
re déjà en rapport avec le tabes. Pas de maladie infectieuse, ni de
syphilis
, ni d'excès alcooliques. Maladie actuelle. A
certain nombre de maladies cérébro-spinales comme produites par la
syphilis
, alors même que les lésions anatomiques dont el
une hypothèse curieuse, et non un fil conducteur dans l'étude de la
syphilis
du système nerveux. En attendant que les résult
ner, autant qu'il est possible, les relations qui existent entre la
syphilis
et les maladies nerveuses. En conformité avec c
ue l'on observe dans les autres organes, on sait aujourd'hui que la
syphilis
peut donner naissance, dans les centres ner- ve
ttiré l'at- tention ; et, relativement aux nombreux travaux dont la
syphilis
cérébrale (1) Ce mémoire a été présenté au conc
MÉNINGO-MYÉLITE SYPHILITIQUE 87 a été l'objet, on peut dire que la
syphilis
médullaire a été peu étudiée jus- qu'à ces dern
t et Gombault (Archives de physiologie, 1873), le nombre des cas de
syphilis
spinale publiés avec examen anatomique, s'éleva
opre aux lésions anatomiques dans les complications nerveuses de la
syphilis
. Plus récemment en France, les publications de
éjerine (5), Ilomolle (G) ont contribué à nous faire con- naître la
syphilis
de la moelle au point de vue anatomique. Dans un
ilbert et Lion (7) ont résumé nos connaissances rela- tivement à la
syphilis
médullaire précoce. Ces auteurs ont distingué dan
publications de M. le professeur Fournier nos connaissances sur la
syphilis
cérébro-spinale en général. En Allemagne, une q
général. En Allemagne, une quantité considérable de travaux sur la
syphilis
de la moelle a paru dans ces dernières années.
e étude complète de toutes les variétés, des lésions spinales de la
syphilis
.- Nous nous bornerons à la description de la fo
rme anatomique que se rapportent la très grande majorité des cas de
syphilis
médullaire que la clinique met journellement sous
n coup d'oeil d'ensemble sur le processus généralement suivi par la
syphilis
dans les divers organes et appareils où il a ét
l'a décrit admirablement (1) ; et il faut relire son travail sur la
syphilis
consti- tutionnelle pour bien se pénétrer de la
membres infé- rieurs. Dans son passé pathologique, en dehors de la
syphilis
, on ne note rien d'important. En 1869, il aurai
jamais constaté sur sa peau la présence de nodosités. Il n'a eu ni
syphilis
ni blennorrhagie. Il était de moeurs austères et
e. Scieur de long puis marchand de vin. Pas d'excès, dit-il. Pas de
syphilis
. Pas de cicatrice sur la verge. En somme la seu
vue éliologique nous n'ajouterons qu'un mot relatif à l'absence de
syphilis
chez notre malade quoique nous l'ayons recherchée
re ? S'agit-il d'une coïncidence, d'une complication étrangère à la
syphilis
, ou bien au contraire d'une lésion due à l'acti
rd si les lésions constatées peuvent être mises sur le compte de la
syphilis
, si elles sont en harmonie avec le processus ha
mbre de pro- cessus aigus et chroniques n'ayant rien à voir avec la
syphilis
. D'ailleurs nous avons considéré ces, lésions c
1) La présence de cellules géantes dans les lésions spécifiques de la
syphilis
a été maintes fois signalée (Bizzozero, Malasse
ieuses, pour ne citer que les plus vulgaires : la tuberculose et la
syphilis
. La première pouvant être éliminée ici en toute
ous avons pu relever dans la littérature. Heubner, dans son article
Syphilis
de la moelle du Ziemssen's Itazdb2ccl signale l
veuses qui en partent. Ilomolle en 1876 a publié une observation de
syphilis
spinale, avec examen anatomique, qui se rapproc
litique, et déclare que l'on n'a pas suffisamment tenu compte de la
syphilis
dans l'étiologie de certaines myélites (1). Dan
hilis (Archiv. V. Psychiatrie Bd. XII). (3) Ueber Gehirn und Ituck.
Syphilis
(Arch. V. Psychiatrie Bd. XVI p. 410). (4) Koes
du renflement cervical. En 1891 Siemerling (2) a rapporté un cas de
syphilis
médullaire avec autopsie, qui rentre de tous po
généralement à admettre que les lésions (1) Gildeut et Lion. De la
syphilis
médullaire précoce (Archives générales de médecin
nclusion à tirer est renfermée dans le dilemme suivant : ou bien la
syphilis
met en usage deux processus diffé- rents et inv
fait de Moeller se rapporte, comme la plupart des précédents, à une
syphilis
récente), ou bien il s'agit, dans le cas actuel
t, dans le cas actuel, de lésions vasculaires indé- pendantes de la
syphilis
. Nous nous garderons bien de trancher la ques-
lite convient donc ici à proprement parler, et nous avons vu que la
syphilis
procède tout différemment. Mais des recherches
tudié. L'observation suivante en est une preuve. Observation IL
Syphilis
datant de 1 an. Paraplégie complète développée en
adies du Système nerveux (Suite) (1). Les lésions méningées de la
syphilis
peuvent se limiter aux enveloppes immédiates de
présentent la grande exception, relativement au nombre de cas où la
syphilis
se localise d'emblée sur les enveloppes molles de
; 206 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Observation 111.
Syphilis
8 ans auparavant : K la suite, violentes céphalée
ette époque, beaucoup de chagrin. Il y a 8 ans, elle a contracté la
syphilis
d'un officier son amant, les accidents secondai
lle a eu de l'incontinence abso- lue. Comme stigmate extérieur de
syphilis
, on constate actuellement sur los jam- bes, les
granulations. Nous n'hésitons pas pour notre part à rattacher à la
syphilis
les lésions spinales qui viennent d'être décrit
dans leurs moindres particularités. Ces faits se rappor- tent à la
syphilis
cérébro-spinale, en ce qui concerne les lésions d
moelle épinière. Jiirgens (1) a l'ait remarquer il ce propos que la
syphilis
, dans les centres nerveux, paraissait suivre fréq
a été publié par Oppenheim (2), dans un intéressant mémoire sur la
syphilis
cérébro-spinale. Une femme de 27 ans, ayant contr
a syphilis cérébro-spinale. Une femme de 27 ans, ayant contracté la
syphilis
7 ans auparavant, présente des accidents cérébrau
lieu, au moins pour un certain nombre d'entre eux, de substituer la
syphilis
à l'inlluence du froid humide ou d'autres cause
, en l'étal actuel, de décrire chacune des for- mes cliniques de la
syphilis
médullaire en regard d'une forme anatomique exa
rons à décrire les formes les mieux caractérisées cli- niquement de
syphilis
médullaire, en prenant soin d'indiquer dans quell
st en présence d'un type morbide véritablement très spécial, que la
syphilis
semble seule capable de réaliser, et dont les dif
nsultation de M. le professeur Fournier, qui porte le diagnostic de
syphilis
(plaques muqueuses hypertrophiques végé- tantes
malade a fait l'objet d'une leçon clinique il la Salpêtrière). .
Syphilis
certaine (plaques muqueuses, psoriasis palmaire).
ans, il eut des plaques muqueuses il l'anus et dans la bouche : la
syphilis
a été reconnue par le Dr Duplouy, médecin des hôp
osis des 2 côtés; mais on ne saurait admettre une relation entre la
syphilis
et ce ptosis double : la chute de la paupière g
tique pure comporte le meilleur pronostic de toutes les variétés de
syphilis
spinale; mais il ajoute que la méningite va le pl
nt do 2 ans qui se porte ad- mirablement, dit-il. Il a contracté la
syphilis
il y a deux ans, sa femme n'est pas malade il c
st dans le service de M. le Professeur Fournier il St-Louis, que la
syphilis
a été diagnostiquée et soignée au début. Il s'y e
M. Gilbert et Lion, on trouve 40 fois la paraplégie sur h.4. cas de
syphilis
spinale. En dépit des grandes variétés qui s'ob
ensemble clinique doit faire soupçonner et rechercher avec soin la
syphilis
dans les antécédents d'un malade. La statistique
la valeur diagnostique des particularités indiquées par Erb dans la
syphilis
? L'auteur est lui-même très réservé sur ce point
us en avons observé tous les symptômes chez des malades indemnes de
syphilis
, autant que l'examen et l'interrogation le plus
rs rachi- diennes. Il existe encore actuellement des stigmates de
syphilis
a la surface de la peau. / Aux membres inférieu
ppenheim (l)a émis cette opinion, très fondée, à notre avis, que la
syphilis
spinale s'accompagne pour ainsi dire presque to
comateux passa- gers, etc. Réciproquement on pourrait dire que la
syphilis
cérébrale s'accompagne, dans un très grand nomb
ivant la prédominance des localisations, tel malade appartiendra la
syphilis
cérébrale, tel autre à la syphilis cérébro- spi
ions, tel malade appartiendra la syphilis cérébrale, tel autre à la
syphilis
cérébro- spinale, ou à la syphilis médullaire.
philis cérébrale, tel autre à la syphilis cérébro- spinale, ou à la
syphilis
médullaire. Sans vouloir envisager ici ces divers
yeux. Il est inutile de rappeler, parmi les accidents nerveux delà
syphilis
, la fréquence des paralysies oculaires, bien conn
culo-moteur commun. - Dans un récent travail deGajkiewicz(l)sur la
syphilis
des centres nerveux accompagné d'observations p
tance chez de tels malades qu'on hésite à porter le diagnos- tic de
syphilis
cérébro-spinale : ils n'en ont pas moins une gran
la faiblesse des jambes, et des engourdissements légers dans les ! 1)
Syphilis
des centres nerveux. Paris; Ballière 1892. DE L
ble, au point de vue du pronostic, des paralysies médullaires de la
syphilis
, et que l'a- mélioration sous l'action du trait
es relations de cette forme extrêmement grave de la maladie avec la
syphilis
. Jul- liard (2), dans sa thèse, rapporte le fai
. (2) JULLIARD, Élude critique sur les localisations spinales de la
syphilis
, Paris, 1879, p. 12. DE LA MÉNINGO-MYÉLITE SY
ol- lissement de la moelle. Trousseau était disposé à considérer la
syphilis
comme la cause de cette phlegmasie ; mais Ricor
rmement que les manifestations viscérales étaient le monopole de la
syphilis
tertiaire. IIeubner n'admet aussi l'influence d
de la syphilis tertiaire. IIeubner n'admet aussi l'influence de la
syphilis
dans les myélites ai- guës qu'avec de grandes r
autre chose qu'une coïncidence fortuite. Parmi les observations de
syphilis
médullaire précoce que MM. Gilbert et Lion ont
cun doute sur la relation possible d'une pareille affection avec la
syphilis
. Nous citerons en particulier le (1) nEAUnOL :
ve se montre comme une complication essentielle- ment précoce de la
syphilis
. La plupart des faits observés se sont produits
e, fait allusion pour la première fois à l'influence possible de la
syphilis
dans les cas de ce genre. Les formes de paraplé
s analogue au tabes s'est montrée, sous l'influence manifeste de la
syphilis
, et s'est trouvée améliorée ou même guérie par
insi : et, au point de vue clini- que, il est permis de dire que la
syphilis
médullaire n'affecte jamais les al- lures d'une
tes celles qui étaient publiées à cette époque, ont réuni 56 cas de
syphilis
médullaire précoce. Relativement à l'époque d'a
elles que nous avons rapportées. Dans un travail tout récent sur la
syphilis
de la moelle épinière, Goldflam (1) relate 18 cas
établissant une concordance en- tre les différentes périodes de la
syphilis
et la forme des lésions spécifi- ques de la moe
how a ruiné cette conception théorique de la division absolue de la
syphilis
en 3 périodes; il a pensé que, la nature des lési
on plus ou moins grande des lésions anatomiques, aussi bien pour la
syphilis
que pour la tuberculose, est affaire de virulen
de l'agent pathogène ? Et la virulence de l'agent spécifique de la
syphilis
, atténuée selon toute vraisemblance dans les pr
rder ici toutes ces questions, qui se rapportent à l'histoire de la
syphilis
en général. Nous ferons remarquer seulement en
. La syphi- (1) Lang, Vierlel Jal ! 1'schl'ift f. Dermatologie uncl
syphilis
, ISSI, p. 499. - Schnabel, môme journal 1881, p
eur évolution deux périodes correspon- dant aux localisations de la
syphilis
sur les méninges d'abord et sur la moelle ensui
palement en une rachialgie qui rappelle parfois les céphalées de la
syphilis
cérébrale, ainsi que l'a montré M. le professeu
se aucun doute sur la nature de cette redoutable complication de la
syphilis
, bien que les auteurs aient pendant longtemps é
Par le Dr L. MINOR, Privat-docent à l'Université de Moscou. I.
SYPHILIS
ET TARES. La coïncidence excessivement fréquent
coïncidence excessivement fréquente du tabes avec l'existence de la
syphilis
dans le passé du malade a été reconnue par les
t acquis la certitude de l'existence d'un rapport intime entre la
syphilis
et le tabes ; cette certitude est encore renfor
se de données sta- tistiques, la question du rôle étiologique de la
syphilis
dans le tabes est loin d'être résolue, même en
s aux organes génitaux après le coït; les médecins y reconnurent la
syphilis
et la malade entra à l'hôpital de la Miassnitzk
ée. Sept ans avant l'appari- tion de la maladie, le mari attrapa la
syphilis
avec une autre femme ; peu de temps après, la m
terme, de 12 enfants, dont 4 sont vivants. Elle fut infectée de la
syphilis
, en 1884 : ulcères aux organes génitaux, érupti
ritueux, refroidissement, etc. Il y a douze ans, fut atteinte de la
syphilis
et soignée à l'hôpital de la Mianitzskaïa (pour
ouze ans avant la maladie actuelle, le mari de la ma- lade reçut la
syphilis
d'une autre femme, se soigna attentivement et r
a lui-même. Bientôt après des spécialistes reconnurent chez elle la
syphilis
, la traitèrent au moyen de frictions mercuriell
douleurs dans le dos. A, l'âge de trente-neuf ans, elle acquit une
syphilis
très grave, ce qui fut constaté par des spécial
e s'adressa, lui annonça, qu'elle et son enfant étaient atteints de
syphilis
; à ce qu'elle dit, l'examen minutieux des orga
nt des ulcères aux grandes lèvres. Les médecins la traitèrent de la
syphilis
(quoique la malade dise - qu'elle était parfait
tieusement que possible, sans aucun désir de trouver à tout prix la
syphilis
et, nous pouvons dire que le résultat de ces re
plus de 87 p. 100 nous avons trouvé l'existence indubitable de la
syphilis
dans l'anamnèse et dans le premier cas, elle ét
- ment, nous pouvons ajouter que dans les cas VI, VII et VIII, la
syphilis
a été constatée par des médecins spécialistes,
pouvait y avoir l'ombre d'un doute sur l'existence antérieure de la
syphilis
. L'âge de mes malades était, par ordre descenda
izième année après l'in- fection. La question du rapport entre la
syphilis
et le labes a été étudiée avec tant de minutie
moignent en faveur du rapport qui doit exister entre le tabès et la
syphilis
. Je ne sais pas si j'ai le droit d'affirmer aus
dissement ni de travail excessif, mais par contre l'existence de la
syphilis
dans l'anamnèse des deux cas était indubitable.
udre la question de l'étiologie du tabes. Au premier plan figure la
syphilis
chez les malades; on compare la fréquence de la
igure la syphilis chez les malades; on compare la fréquence de la
syphilis
dans l'anamnèse d'autres maladies, dans la phth
dies, dans la phthisie, par exemple; on prend en considération la
syphilis
héréditaire (voir le beau cas de Strüempell, da
chez un vieillard de soixante-dix ans, atteint peu auparavant de la
syphilis
), la profession, lés fatigues de la vie militai
pourrait-on trouver dans toute l'Europe un peuple chez lequel la
syphilis
se rencontre comparativement aussi rarement que
genre de vie. Quant aux femmes juives, il est indubitable que la
syphilis
est chez elles un fait rare. D'un autre côté, à
ion grave formant époque dans les antécédents des malades, était la
syphilis
. Ayant fixé mon attention sur ce point et exami
prenant, pour plus d'exactitude, que les cas dont il était dit « la
syphilis
a existé sans faute » ou « il n'y a absolumeut
a syphilis a existé sans faute » ou « il n'y a absolumeut pas eu de
syphilis
»; quant aux cas où la syphilis était indiquée
u « il n'y a absolumeut pas eu de syphilis »; quant aux cas où la
syphilis
était indiquée comme très douteuse 200 PATHOLOG
ris en considération; j'ai marqué d'un signe particulier ceux où la
syphilis
était probable. Grâce à la sévérité que j'ai ai
s, il y avait 5 hommes et 3 femmes atteints indubi- tablement de la
syphilis
, c'est-à-dire 3,07 p. 100. Si l'on ajoute à ce
e 3,07 p. 100. Si l'on ajoute à ce chiffre, 3 cas, dans lesquels la
syphilis
était très probable (avec chancre seulement), n
Russes, il y avait 20 personnes atteintes sans doute possible de la
syphilis
, soit 16,2 p. 100. Si l'on y ajoute encore 0 ca
s, soit 16,2 p. 100. Si l'on y ajoute encore 0 cas dans lesquels la
syphilis
était très probable (avec chancre seulement), n
0 tiré de ma clientèle privée, nous voyons qu'en chiffres ronds, la
syphilis
était cinq fois plus fréquente chez les Busses
abès = 3,2 p. 100; paralysie = 4,8. 100. 2). Chez les liasses, la
syphilis
se rencontre cinq fois plus fréquemment que che
les Russes ne provienne que de l'existence plus fré- quente de la
syphilis
chez eux et non d'autres causes (par exemple la
ques de race, mais d'une cause extérieure, comme, par exemple, la
syphilis
, sur cent Juifs atteints de maladies ner- veuse
nt Juifs atteints de maladies ner- veuses et ayant eu auparavant la
syphilis
, il doit se Ot2 PATHOLOGIE NERVEUSE. trouver
une réponse concluante : Sur huit Juifs atteints indubitablement de
syphilis
, il y avait deux cas de tabes, soit 25 p. 100.
. Sur onze Juifs syphilitiques (en comptant ceux chez lesquels la
syphilis
était probable) il y avait deux malades atteint
e tabes, soit 18,18 p. 100. Sur * vingt Russes atteints pour sûr de
syphilis
, il y avait quatre cas de tabes, soit 20 p. 100
ées, fournies par M. Reumont. Il a justement examiné 3,400 cas de
syphilis
; dans le nombre se trouvèrent 290 cas de maladi
t cependant pas exactement à notre question en ce qu'il s'agit de
syphilis
dans l'état actuel et que nous avons relevé l'e
une statistique aussi petite que la nôtre et nous souvenant que le
syphilis
se retrouve non seulement dans l'anamnèse du ta
nt Juifs atteints de maladies nerveuses et ayant eu auparavant la
syphilis
, il se trouve autant de cas de tabes et de para
rencontrent plus rarement chez les Juifs que parce que chez eux la
syphilis
est plus rare que chez les Russes. Ce fait a un
uestion de l'étiologie du tabes : il est une nouvelle preuve que la
syphilis
joue un rôle capi- tal dans cette étiologie.
Sur les 5,i hommes atteints de tabès : Dans 31 cas, il y avait eu
syphilis
, sans aucun doute ; Dans 2 cas, la syphilis éta
s 31 cas, il y avait eu syphilis, sans aucun doute ; Dans 2 cas, la
syphilis
était probable ; Dans 6 cas, il y avait eu chan
Dans 6 cas, il y avait eu chancre ; Dans cas, il n'y a pas eu de
syphilis
, semble-t-il ; Dans î cas, il n'y a pour sûr pa
de syphilis, semble-t-il ; Dans î cas, il n'y a pour sûr pas eu de
syphilis
; Dans 3 cas, la question sur la syphilis était
l n'y a pour sûr pas eu de syphilis; Dans 3 cas, la question sur la
syphilis
était restée sans ré- ponse. Maintenant, si n
cluons ces trois derniers cas et que nous admettions qu'il y ait eu
syphilis
dans la moitié des cas avec chancre et des cas
us voyons que dans les cinquante-deux cas de tabes in- diqués, la
syphilis
se retrouvait dans l'anamnèse dans une proporti
e 73 p. 100. Mais si nous n'admet- tons que les trente-un cas où la
syphilis
était indiscu- table, nous aurons encore enviro
indiscu- table, nous aurons encore environ 60 p. 100 des cas avec
syphilis
dans l'anamnèse. Il y avait 5 femmes atteintes
tabes. Dans un cas, la question sur l'exis- tence antérieure de la
syphilis
était restée sans réponse; dans deux des quatre
ilis était restée sans réponse; dans deux des quatre autres cas, la
syphilis
était indis- cutable, c'est-à-dire dans 50 p. 1
ble d'obtenir des renseignements sur l'existence antérieure de la
syphilis
; il reste donc en tout trente-un cas avec anamn
ce nombre : ÉTUDE DE L'ÉTIOLOGIE DU TABES. 1205 'Dans 14 cas, la
syphilis
était prouvée ; Dans 1 cas, la syphilis était p
ES. 1205 'Dans 14 cas, la syphilis était prouvée ; Dans 1 cas, la
syphilis
était probable ; Dans 3 cas, il y avait eu chan
ait probable ; Dans 3 cas, il y avait eu chancre ; Dans 7 ctz, la
syphilis
était douteuse ; Dans 6 cas, elle n'avait pas e
isté. Par conséquent, dans les cas de paralysie progres- sive, la
syphilis
se trouvait dans une proportion de 45,16 G p. 1
s cette statistique. Chez un des deux hommes malades, il y avait eu
syphilis
; chez l'autre, elle n'a- vait pas existé. Pas d
cas indubitables de tabes et quarante-huit de paralysie). 2). La
syphilis
se rencontre dans une proportion égale dans l'a
res étaient évidemment frappés de tabes. Dans quarante-un cas, la
syphilis
était indubitable (dans dix-neuf cas, il y avai
cas, il y avait eu traitement par le mercure); dans quatre cas, la
syphilis
était très probable; dans trois cas, elle était
cystite. En ne basant le p. 100 que sur les cas indu- bitables de
syphilis
, nous trouvons une proportion de 62 p. 100 des
aurons sur soixante-six cas de tabès près de 70 p. 100 des cas avec
syphilis
dans l'anamnèse. Parmi les quatre cas de juifs
fs atteints, il y en avait 3 (2 hommes et 1 femme) chez lesquels la
syphilis
était indubitable; le quatrième niait la syphil
chez lesquels la syphilis était indubitable; le quatrième niait la
syphilis
, mais était atteint d'urétrite. Chez les 8 fe
eint d'urétrite. Chez les 8 femmes indiquées : dans trois cas, la
syphilis
était indiscutable ; dans un cas, elle était tr
aussi, 50 p. 100 des cas avec ÉTUDE DE L'ÉTIOLOGIE DU TABES. 207
syphilis
dans l'anamnèse. Il y avait 69 malades atteints
nombre, 1 juif. Sur ces soixante- neuf cas : dans quaraute cas, la
syphilis
était prouvée (dans vingt cas traitement par le
ée (dans vingt cas traitement par le mercure) ; dans neuf cas, la
syphilis
était très probable; dans douze cas, la syphili
ans neuf cas, la syphilis était très probable; dans douze cas, la
syphilis
était assez probable; -dans huit cas, la syphil
s douze cas, la syphilis était assez probable; -dans huit cas, la
syphilis
était niée. Par conséquent, la syphilis se retr
robable; -dans huit cas, la syphilis était niée. Par conséquent, la
syphilis
se retrouve dans l'anamnèse de 60 p. 100 des ca
mi les femmes atteintes de paralysie : Dans deux cas, il y avait eu
syphilis
; dans deux cas, elle était très probable; dans
niée. Le seul -juif indiqué avait été indubitablement atteint de
syphilis
. Eu examinant cette intéressante statistique, n
ixante-six cas de tabes, soixante- neuf cas de paralysie). 2). La
syphilis
se retrouve dans l'anamnèse des deux maladies d
zième, douzième paires. Dans l'observation V, t'ractute de la base.
Syphilis
supposable avec infiltration primitive des tron
rfs moteurs des yeux. Aucune autre lésion organique à l'appui de la
syphilis
. Issue rapidement mor- telle. ' ' P. K. XVIII
s d'affections nerveuses, avaient élé anciennement infectés de la
syphilis
, nous sommes néanmoins persuadé que, sous ce ra
que dans l'anamnèse des Russes, il se serait trouvé plus de cas de
syphilis
que dans l'anamnèse des Juifs. Il me reste auss
er le fait que chez les Juifs atteints de paralysie et de tabes, la
syphilis
dans l'a- namnèse est relevée dans une proporti
les statistiques de MM. Kojewiiikoff et Korsakoff, par exemple, la
syphilis
se retrouve dans 60 70 à p. 100 des cas; chez l
abes chez des Juifs. Ces cinq malades avaient eu indubitablement la
syphilis
. Dans la statistique de M. le professeur Kojewn
tatistique, nous aurons 3 cas de Juifs atteints, dont 2 ayant eu la
syphilis
. Donc, sur les 8 cas de Juifs frappés de tabes
que je connais, 7 avaient eu pour sûr 366 PATHOLOGIE NERVEUSE. là
syphilis
, ce qui donne plus de 87 p. 100 et concorde ave
ints de paralysie et 2 cas de probables. Ces cinq cas avaient eu la
syphilis
. Eu égard aux coïnci- dences que nous avons rel
s atteints pour sûr de paralysie et dans ce nombre, 3 avaient eu la
syphilis
, ce qui donne 75 p. 100; en y joignant encore 2
ables de paralysie progressive, nous aurons 5 ma- lades atteints de
syphilis
sur 6, ce qui donne 83 p. J 00. Le fait que la
ur 6, ce qui donne 83 p. J 00. Le fait que la proportion des cas de
syphilis
chez les Juifs est plus grande que celle que no
ssé et même cherchent parfois à cacher l'existence antérieure de la
syphilis
, tandis qu'au contraire les Juifs ayant eu la s
rieure de la syphilis, tandis qu'au contraire les Juifs ayant eu la
syphilis
l'avouent en général franchement au médecin.
tous les malades tabétiques appartenant à ma clientèle privée, la
syphilis
est notée dans l'anamnèse de 90 à 100 p. 100 de
a syphilis est notée dans l'anamnèse de 90 à 100 p. 100 des cas, la
syphilis
n'est relatée que dans 72 p. 100 des cas de tab
re et cela quoique les malades nias- sent opiniâtrement avoir eu la
syphilis
. Il n'y a pas encore deux mois que nous avons r
litique quoiqu'il eût encore sur la face des traces évidentes de la
syphilis
cutanée et une cicatrice caractéristique au pré
rielles que je lui avais prescrites que le malade avoua avoir eu la
syphilis
, ajoutant qu'il voulait à tout prix le cacher,
paralysie progressive est, dans la très grande majorité des cas, la
syphilis
, trouve une preuve nouvelle et à notre avis de
te aux maladies nerveuses, mais par contre, la moins sujette à la
syphilis
. , Si le développement du tabès et de la paraly
as une tendance innée aux affections nerveuses et mentales, mais la
syphilis
. Quant à l'influence d'au- tres causes agissant
tabès ? On peut sans doute supposer que, même dans les cas où la
syphilis
n'est pas relevée ou même est formel- lement ni
de tabes dans l'anamnèse desquels ne se retrouve vraiment pas la
syphilis
. Si nous admettons l'existence de cas sem- blab
faire une comparaison entre l'action de cette cause et celle de la
syphilis
comme cause du développement du tabes vulgaire.
u tabes vulgaire. En discutant la question du mode d'action de la
syphilis
causant dans l'avenir le tabes, nous nous somme
: « Einige Bewegun- gen ueber der Zusammenhang zwischen Tabès und
Syphilis
» ;llTeccnol. (,'ertralblatl). Déjà alors, nous
la catégorique déclaration faite par lui qu'il n'a jamais eu ni la
syphilis
, ni aucune autre affection véné- rienne. Un exa
action particulière du froid, ni l'abus des spiritueux, ni enfin la
syphilis
, puisque toutes ces causes sont niées catégoriq
t ? Naturellement, pas le fait que dans l'anamnèse ne figure pas la
syphilis
, puisque dans la littérature on trouve encore d
ns la littérature on trouve encore des cas typiques de tabes sans
syphilis
dans les antécédents. La marche de la mala- die
e à ce cas, on est disposé à considérer le tabes ordinaire, avec la
syphilis
dans l'anamnèse, comme une maladie toxique. Sou
ent fort pour servir de point de comparaison avec l'influence de la
syphilis
; l'in- toxication saturnine, comme on le sait,
s cas, ses effets meurtriers d'une façon très lente; de même que la
syphilis
, elle n'é- pargne aucun organe du sujet qu'elle
utanée intacte ; amaigrissement extrême et en masse des muscles. La
syphilis
est niée, mais le traitement spécifique fait di
disons-nous, de beaucoup les plus nombreuses, tout au moins dans la
syphilis
spinale compressive et dans le mal de Pott. D'a
e comme une maladie de l'âge mûr... ce qui le porte à incriminer la
syphilis
héréditaire. La syphilis serait d'ailleurs le f
âge mûr... ce qui le porte à incriminer la syphilis héréditaire. La
syphilis
serait d'ailleurs le facteur causal pour au moi
qui a lieu dans le cal osseux. P. KERA VAL. XLV11. Le rôle de la
syphilis
dans l'étiologie du tabes et le traite- ment an
nérales du Cau- case, de 1895 à 1899 se décomposent en : 201 cas de
syphilis
cer- taine, soit 62,4 p. 100; 66 cas de syphili
nt en : 201 cas de syphilis cer- taine, soit 62,4 p. 100; 66 cas de
syphilis
douteuse, ou 20,5 p. 100; 55 cas dans lesquels
6 cas de syphilis douteuse, ou 20,5 p. 100; 55 cas dans lesquels la
syphilis
est absolument niée, ou 17 p. 100. En réalité l
squels la syphilis est absolument niée, ou 17 p. 100. En réalité la
syphilis
est certaine et fort probable chez 267 malades,
tout cas le tabes doit être regardé comme : soit une modalité de la
syphilis
tertiaire du système ner- veux ; soit le résult
su nerveux; soit une maladie à causes multiples parmi lesquelles la
syphilis
joue un rôle indirect. Ce qui est certain, c'es
hilis joue un rôle indirect. Ce qui est certain, c'est que, sans la
syphilis
, le tabes serait une maladies très rare, les 9/
ucune sorte. Il se livre à des excès alcooliques quotidiens. Pas de
syphilis
. Histoire de la maladie. Lundi dernier, Bern...
onnels. Lui-même se porte fort bien : n'a jamais été malade; pas de
syphilis
. Il ne s'enivre pas souvent, mais prend volonti
Pas d'histoire pathologique : jamais un rhume, nous dit-il, pas de
syphilis
, mais, comme la plupart des gens de sa professi
incommodité, il ne tousse jamais. Il affirme qu'il n'a jamais eu la
syphilis
, qu'il ne se livre pas immodérément à la boisso
deux ou trois apéritifs et plusieurs petits verres de rhum. Pas de
syphilis
. Marié à vingt-sept ans, il a trois enfants : u
use, même occa- sionnelle, il ne connaît pas. Il a simplement eu la
syphilis
il y a vingt ans et a suivi un traitement mercu
u. IL C. ' XIX. Sur l'état atrophique de la moëlle épinière dans la
syphilis
spinale chronique; par E. Long et B. WiKi. (Nou
he lente et progressive survenue chez un sujet ayant contracté la
syphilis
38 ans auparavant. Pendant les trois premiers moi
uction de ce résultat ? On connaît la gravité et la fréquence de la
syphilis
chez les Arabes en opposition avec la rareté du
z eux, Matignon a fait la même remarque à propos des Chinois. Si la
syphilis
joue un rôle, il semble donc aussi que le terra
faut aussi tenir compte du traitement. Enfin bien que j'aie vu des
syphilis
insignifiantes causer des tabès intenses, j'ai vu
yphilis insignifiantes causer des tabès intenses, j'ai vu aussi ces
syphilis
n'amener que des cas légers. Le tabès peut donc ê
ans qui, sans avoir jamais subi de traitement spécifique pour une
syphilis
contractée à l'âge de seize ans présente simpleme
un ancien médecin militaire âgé de quatre-vingt-six ans qui a eu la
syphilis
à vingt-cinq ans et le tabès à trente-trois ans'e
tuberculose comme l'a dit Klippel pourrait bien engendrer comme la
syphilis
la paralysie générale, et se ranger parmi les a
es. J.-B. Baillrère et fils, Paris, 1901.) Si l'indication causale,
syphilis
, paludisme, anémies diverses, névroses, diabète
du Valais qui peuplent en majeure partie l'asile de Marsens. Si la
syphilis
est rare dans cette partie de la Suisse, les ex
p. (jI¡5-ûû8.) , , Deux mots résument l'étiologie de la paralysie :
syphilis
et civi- lisation, et le traitement de la malad
paralysie avec les affec- tions suivantes : alcoolisme chronique et
syphilis
cérébrale, assez en détail ; puis, plus brièvem
guérir, celles qui ont une hérédité de consomption : alcoolisme,
syphilis
, seront plus souvent victimes de dégénérescence p
ixante-quatre ans, porteur d'un vitiligo du tronc avec très vieille
syphilis
et signe d'Argyll, mais non tabétique. De tels
n un traumatisme vertébral léger, trois du rhumatisme, deux de la
syphilis
. Quatre ont été opérés et chez tous l'on a consta
ces articles, publié par le Dr Mott, porte sur les Relations de la
syphilis
sur les troubles orga- niques du cerveau et la
et article comprend deux chapitres. Chapitre I. Notes sur 60 cas de
syphilis
cérébrale observés, à l'asile et à l'hôpital (d
ans cet article, l'auteur fait surtout -ressortir l'influence de la
syphilis
sur la paralysie générale. Nous donnerons un co
ie générale. Nous donnerons un court aperçu des autres articles :
Syphilis
dans la paralysie générale des aliénés; parH.-W.
ury. Sur ces 200 malades, 23 étaient paralytiques et sur ces 23, la
syphilis
était sûre dans 16 cas ; 4 étaient douteux. et
épit de la variété des causes : rhumatisme, glycosurie, épuisement,
syphilis
. Cela ne veut pas dire qu'il ne faille pas trai
s n'est pas rare dans la démence sénile; on l'observe aussi dans la
syphilis
, après la variole. Paul Sérieux. XL111. Sur u
es crochets caractéristiques furent tetrouvés. Réveil grave d'une
syphilis
ancienne sous -l'influence de l'alcool. M. LEGR
symptômes de paralysie générale, onze ans après l'apparition d'une
syphilis
soignée régu- lièrement et paraissant guérie. E
mais. Le signe d'Argyll est SOCIÉTÉS SAVANTES. 331 un symptôme de
syphilis
et non un phénomène tabétique. Chez le sujet, l
quelques symptômes nerveux vagues. Aucun de ces malades n'avoue la
syphilis
. ' - - M. Souques rappelle que M. Broc trouve l
tiques. Vililigo et tabès sont deux manifestations diffé- rentes de
syphilis
réunies chez un même sujet. Topographie des tro
lité de l'iris est ou va être atteinte : tabès, paralysie générale,
syphilis
. ' On la rencontre bien aussi, comme l'a remarq
idéré comme un signe probable de tabes, de paralysie géné- rale, de
syphilis
, et que sa valeur séméiologique est la même que
tier et moi, il savoir que le signe de liôbertson parait dénoter la
syphilis
; les faits rapportés précé- demment par 1. Souq
r- sociétés savantes. 333 1er, ont des relations étroites avec la
syphilis
; cela n'est plus dis- cutable. Il s'agit de sa
t portés à admettre que ces accidents sont nécessairement liés à la
syphilis
; niais je tiens à faire observer que mon idée
à ceux qui nient la nécessité d'une relation entre le tabes et la
syphilis
. Mon opinion se fonde sur ce que l'ou ne voit jam
ne voit jamais de ces malades atteints de l'accident initial de la
syphilis
; ces sujets sont tiès nombreux pourtant; pourq
s plus énergiques dénégations, on découvre souvent la réalité de la
syphilis
. Sur 100 gommes du voile du palais, ne voit-on
ne voit-on pas 12 ou la cas dans lesquels on ne trouve pas trace de
syphilis
antérieure. Deux c is de trophoedème chronique
ale. Pas de paralysie, aucun signe de rachitisme. Aucun sligmate de
syphilis
. - Cet oedème congénital est, de plus, familial
1)'MMM<.S nosologiques en faveur des relations causales entre la
syphilis
el la paralysie générale. Jusqu'à présent les s
. et d'ordre nosolo.iclue. existe notamment des cas cliniques où la
syphilis
cérébro-spinale se 'complique d'altérations de
servation suivante : Il s'agit d'un malade, âgé de trente-huit ans.
Syphilis
en 1893, traitée par des frictions mercurielles
uve qu'il existe dans notre cas : 1° des altérations typiques de la
syphilis
médullaire (méningo-ulyéllte syphilitique); 2°
mme ces dernières lésions se sont développées dans le cours de la
syphilis
, on a le droit de les considérer comme étant d'oi
es conclusions suivantes : 1° On peut observer, dans le cours de la
syphilis
du système ner- veux centra), des lésions anato
tus apopleetiformes transitoires se rencontrent dans le cours de la
syphilis
et sont dus aux lésions paren- chymateuses dcs
euse généralisée du cerveau; 4° la combinaison des phénomènes de la
syphilis
tertiaire avec des-symptômes clini- ques isolés
- gique en faveur de la dépendance de la paralysie générale de la
syphilis
(acquise ou héréditarie), comme l'une des causes
r que la paralysie générale est telle- ment rare dans les cas de la
syphilis
avérée, qu'on a le droit de douter du diagnosti
grand nombre d'affections disparates : gale, maladies vénériennes,
syphilis
, etc. L'historique de la maladie est fait avec
DOUBLE. 373 ans, constitution, bien portant, pas alcoolique, pas de
syphilis
, se présenta à ma consultation en septembre 189
compliqués peuvent être exé- cutés. P. ¡(¡¡¡¡AVAL. LXVIII. De la
syphilis
comme cause de paralysie infantile cérébrale; p
et que les autres causes étaient prédisposantes, - entre autres, la
syphilis
des ascendants. Or, depuis il a observé trois 3
UE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ' cas dans lesquels, sans aucun doute la
syphilis
a été la cause de la maladie; il les résume. Qu
émoignent de l'idiotie, avec atrophie des nerfs optiques, dues à la
syphilis
héréditaire : elles appartiennent aux formes de
hez les enfants, avec quelques remarques sur le tabes greffé sur la
syphilis
héréditaire ; par L. de Dydynski. (Neurolog. Ce
es les symp- tômes tabétiques observés chez les enfants atteints de
syphilis
héréditaire ? par K. GUMPERTZ. (Neurolog. Cenlr
tellaires. Atrophie commençante du nerf optique à droite. C'est une
syphilis
héréditaire tardive, avec symptômes spinaux d'u
par Bergeron. R. C. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 393 LXXXVII.
Syphilis
du système nerveux; par B. ONU ! ' (Onuf¡'owicz)
portant de posséder des. données qui permettent de diagnostiquer la
syphilis
du système nerveux indé- pendamment des commémo
e ensuite quelle est la marche générale des symptômes nerveux de la
syphilis
. La dénomination de symp- tômes secondaires et
tômes secondaires et tertiaires est parfaitement applicable à la
syphilis
du système nerveux. On.appelle en outre métasyp
ur un ter- rain syphilitique. Un des caractères distinctifs de la
syphilis
ce sont les explosions de manifestations active
he alternante. Un autre point à noter c'est que les symptômes de la
syphilis
cérébro-spinale s'amendent facilement sous l'in
les cas, mais il ne faut pas oublier que les lésions créées par la
syphilis
sont loin d'être toujours irréparables. Enfin, l'
est toujours instructive et parfois pathogno- mouique : en cela la
syphilis
peut être rapprochée de l'hystérie. L'auteur ex
chée de l'hystérie. L'auteur examine ensuite sous quelles formes la
syphilis
céré- bro-spinale peut-se manifester : 1° Ménin
er une tumeur ; 3° Affections à foyers multiples : dans ces cas, la
syphilis
peut ressembler à la sclérose disséminée; le di
e dans la sclérose multiple : 4° Hémiplégie : forme fréquente de la
syphilis
nerveuse, souvent très accessible au traitement ;
lite : l'auteur se borne il la signaler n'ayant pas vu de cas où la
syphilis
l'ait simulée ; 10° Nerfs périphériques : la névr
r conclut qu'il y a des symptômes qui sont caractéris- tiques de la
syphilis
, mais qu'il n'en est aucun qui soit réellement
. L'ataxie spinale aiguë, non tabétique, est le résultat soit de la
syphilis
spinale, soit d'altérations séniles des artères e
. Elle a été mariée deux fois, son premier mari lui a communiqué la
syphilis
, elle avait alors vingt-quatre ans. Elle n'a eu
n résumé, voici une femme de quarante-trois ans, qui a contracté la
syphilis
à l'âge de vingt-quatre anus. Dans la suite, el
attaques d'épilepsie, chez : une femme qui paraît avoir contracté la
syphilis
, il y a vingt ans, n'ont rien qui doive nous ét
très grande majorité des cas, les manifestations convulsives de la
syphilis
cérébrale se présentent sous les .dehors de l'é
eptions; assez souvent on observe, en tant que manifestations de la
syphilis
des centres nerveux, des attaques de grand mal,
it sur l'étiologie de l'épi- lepsie et sur les manifestations de la
syphilis
cérébrale. Il est reconnu aussi qu'en pareilles
es lésions cérébrales diffuses. Rappelez-vous que les lésions de la
syphilis
cérébrale sont de trois ordres, et qu'on peut l
itemporale, soit homonyme, survenue en tant qu'épiphéno- mène de la
syphilis
cérébrale. Or, tandis que les deux premières ca
ortants. Son mari est affecté du tabes dorsal; il nie avoir eu la
syphilis
au cours de sa jeunesse. C ? n'a jamais eu ni c
xication quelconque. Elle se dit convaincue de n'avoir jamais eu la
syphilis
. Cependant, neuf mois après son mariage, elle a
tabes, maladie dont vous connaissez les étroites relations avec la
syphilis
. Sa maladie actuelle a débuté, il y a environ u
en progressant. En ce cas, j'inclinerai volontiers à incriminer la
syphilis
: les bons résultats du traitement spécifique c
emme, en admettant que sa maladie soit bien une conséquence de la
syphilis
. Symptômes communément associés A l'hémianopsie
... a eu la rougeole, dans son enfance. Il nie avoir con- tracté la
syphilis
. Il a toujours été d'unebonne santé, jusqu'en j
0 juillet 1901). 488 RECUEIL.DE faits. · vent fort difficiles. La
syphilis
notamment, pour des raisons faciles à comprendr
femme les premiers signes d'un tabes préparalytique. - , Mais la
syphilis
, ne peut être trouvée dans tous les cas, probab
indigent, d'instruction moyenne. Pas d'antécédents hérédi- taires.
Syphilis
contractée au régiment, pas d'alcoolisme. Marié
onne santé. Fut toujours bien portant. Pas alcoolique, pas trace de
syphilis
. Marié en 1878, il eut deux enfants actuellemen
quinze années d'excès' alcooliques et vénériens elle a contracté la
syphilis
. Observation III. flom ! 1/e de quarante-huit a
yenne, sans antécédents héréditaires, non alcoolique, pas traces de
syphilis
. Marié en 1877, il a eu une fille. Le 8 mars
-neuf, douze, huit, six et quatre ans. Non alcoolique, pas trace de
syphilis
. Il y a cinq mois, sans cause connue, il eut un
d'obtenir des renseignements précis, surtout lorsqu'il s'agit de la
syphilis
que l'un des conjoints, s'il a été infecté, a t
unité étiologique de la paralysie géné- rale : dans la première, la
syphilis
nous paraît seule en cause, nous n'y trouvons;
gnificatifs à ce point de vue. Dans Y observation II, le rôle de la
syphilis
est moins cer- tain, encore que l'on doive y pe
che; a-t- elle été infectée à cette époque et lui a-t-elle donné la
syphilis
? Nous n'avons pu élucider ce problème. L'alc
ause que nous y ayons relevée. Dans le quatrième cas, ni alcool, ni
syphilis
, un trauma- tisme crânien a été la cause ou tou
at d'une simple coïncidence. Si dans les deux premiers cas, où la
syphilis
conjugale paraît enjeu, le lien est évident, le
elle de Hint- zing, celle de Weil. Quelle en est la genèse ? . La
syphilis
se voit dans la paralysie agitante comme dans le
54,5 p. 100 étaient plus ou moins grevés de tares héréditaires. La
syphilis
et la tare héréditaire sont donc, pour l'auteur
teur, d'importants facteurs de paralysie générale, mais pour que la
syphilis
agisse, il faut une invalidité congénitale du cer
une invalidité congénitale du cerveau : sur ce terrain seulement la
syphilis
agira s'il s'y joint plusieurs causes dites occ
Reste à définir l'invalidité du cerveau. Quand, ce qui est rare, la
syphilis
ou une autre cause suffit à engendrer la paraly
eut aussi avoir lieu dans le cas de constitution congénitale sans
syphilis
. Prédisposition cérébrale et tare héréditaire ne
son. Les principales causes détermi- nantes sont l'alcoolisme et la
syphilis
. Les prostituées aliénées présentent toutes des
131. Voir Fibres 111US- culaires. Etat atrophique de la - dans la
syphilis
spinale chro- nique, par Long et Wiki, 143. D
nnois, 375. Synergie cérébelleuse, par Grasset et Calmette, 90.
Syphilis
. Voir Tabès. Réveil grave d'une -ancienne sous
aphie, par Dupré et Devaux, : 0. - dorsal, par Dana. 51. Rôle de la
syphilis
dans l'étiologie du - , par Anpllimow. Gi.- 1'1
rappelle pas avoir été malade étant petit, ni plus tard. Il nie la
syphilis
et toute espèce d'habitudes alcooliques. Il est c
eu la fièvre typhoïde et lés fièvres intermittentes. Il n'a pas eu la
syphilis
. Jamais il n'a abusé des boissons alcooliques.
malade; il ne présente pas de signes d'alcoolisme et n'a jamais eu la
syphilis
. Fig. 16.— Tremblement hystérique vibratoire ch
s ou acquis, ne suffît sans doute pas à lui seul pour affirmer que la
syphilis
est en jeu. Mais vous n'ignorez pas qu'en dehors
ue la syphilis est en jeu. Mais vous n'ignorez pas qu'en dehors de la
syphilis
, certaines lésions irritatives ou exsudations chr
bres ni la face ; pas d'épilepsie partielle. Pas de signes actuels de
syphilis
, acquise ou héréditaire. Rien dans le passé qui l
autonome, indépendante, dont l'étiologie sera plus ou moins évidente (
syphilis
, diphthérie) ou, au contraire, restera dans l'omb
six litres; il supporte bien la boisson ; il ne s'enivre pas. Pas de
syphilis
. A seize ans, il contracta la fièvre typhoïde.
cédents héréditaires personnels, il n'y avait rien à signaler: pas de
syphilis
, pas d'alcoolisme, pas de saturnisme. \i) Déjer
de poitrine; étant plus jeune il était déjà sujet aux rhumes; pas de
syphilis
; pas d'alcoolisme; rarement quelques cauchemars
iquement. Mais alors la tuberculose— il ne faut point songer ici à la
syphilis
— serait-elle donc en jeu? Eh bien, non. Pour éch
e, il devint garçon de café dans des lieux interlopes et contracta la
syphilis
. C'est alors qu'il fut témoin d'une tentative d'a
l'empêcher de dormir. Naturellement, on attribua cette céphalée à la
syphilis
. Mais toute céphalée vespérale n'est pas forcémen
alée incontestablement hystérique, a fait considérer comme atteint de
syphilis
cérébrale. Chez notre second malade, l'hémiplég
et trop souvent impuissants moyens de traitement. XIX. Un cas de
syphilis
cérébrale héréditaire tardive (1). Sommaire. —
syphilis cérébrale héréditaire tardive (1). Sommaire. — Rôle de la
syphilis
dans 1 etiologie de l'hémiplégie. Importance du s
le » dans le diagnostic de l'hémiplégie syphilitique. Lésions de la
syphilis
cérébrale. Historique. Plaques gom-meuses des mén
Névrite optique. Autres lésions syphilitiques : œil, oreille, nez.
Syphilis
héréditaire. Influence souvent décisive de la thé
tous les points, ce jugement hâtif et provisoire. Oui, c'est bien la
syphilis
qui est en jeu dans ce cas • oui, (1) Leçon rec
iculier. Tout porte à croire, en effet, qu'il ne s'agit pas ici de la
syphilis
acquise, mais bien d'un de ces cas de syphilis hé
e s'agit pas ici de la syphilis acquise, mais bien d'un de ces cas de
syphilis
héréditaire tardive que nous avons appris à conna
s qui nous ont amenés à reconnaître que, chez elle, tout relève de la
syphilis
et qu'il convient d'instituer sans tarder un trai
as d'épilepsie partielle chez un adulte, il y a lieu de songer que la
syphilis
est possible. Il y a lieu d'espérer, de désirer m
d'espérer, de désirer même qu'elle existe, car, si cela était, si la
syphilis
était enjeu, si les convulsions épileptiformes qu
crois utile de vous rappeler ici ce que fanatomie pathologique de la
syphilis
cérébrale enseigne en pareil cas. Règle général
cérébrale enseigne en pareil cas. Règle générale, les lésions de la
syphilis
cérébrale sont des lésions méningées, et, dans la
. ces lésions basales qui peuvent être les seules observées dans la
syphilis
du cerveau, et qui, d'autre part, ne manqueraient
art, par une hémihypoesthésie droite qui semble indiquer que, dans la
syphilis
, l'hystérie peut se mettre de la partie sous l'in
ues. Mais, m'objecterez-vous, vous avez supposé assez gratuitement la
syphilis
cérébrale, la pachyméningite gomnieuse. Tout cela
ue vous rencontrerez une céphalée de ce genre, vous pourrez dire : la
syphilis
est en cause; il y a pachyméningite gommeuse, et
aître. Il y a, en effet, des exemples du contraire, et M. Fournier (
Syphilis
du cerveau, p. 87) en a cité plusieurs. Mais, ce
clinique une telle céphalée, vous pourrez affirmer à coup sûr que la
syphilis
est en jeu. Je sais bien que dans la névrose hyst
l importait, en tout cas, de rechercher attentivement l'origine de la
syphilis
supposée. Or, de ce côté, les recherches les plus
ngite básale qui doit se trouver à peu près régulièrement clans toute
syphilis
cérébrale. Voilà donc encore, en outre de la céph
ue. J'ajouterai que cette atrophie paraît être un des attributs de la
syphilis
héréditaire tardive (Hutchinson, Fournier.) Mai
syphilitique et un stigmate de première valeur dans l'histoire de la
syphilis
héréditaire tardive, un de ceux que l'on y rencon
plus fréquemment, d'après les statistiques de M. Fournier. Donc la
syphilis
est bien établie, péremptoirement établie par l'e
ge de quatorze ans (chute des cornets), les premières atteintes de la
syphilis
. Il y a tout lieu de croire, par conséquent, et
d'après leur nature même (rhinite, choroïdite), que c'est d'un cas de
syphilis
héréditaire tardive qu'il s'agit. Il ne me rest
ien ! ces antécédents ne nous éclairent nullement sur l'origine de la
syphilis
; de ce côté, nous n'avons rien appris. Mais nous
d'hérédité m'ont paru intéressants à souligner. En effet, n'a pas la
syphilis
cérébrale qui veut. Quelques auteurs ont remarqué
Quelques auteurs ont remarqué déjà que, parmi les sujets atteints de
syphilis
du cerveau, il en est un certain nombre qui sont
e, M. Fournier, et moi, il y a près de quinze ans, à une époque où la
syphilis
cérébrale était encore dans les limbes, n'oublion
rois, quatre, cinq grammes par jour. Mais n'oubliez pas que, dans ces
syphilis
tertiaires du système nerveux, l'intervention du
t joignez à l'iodure les frictions mercu-rielles. Quand on parle de
syphilis
cérébrale en général, il ne faut pas thérapeutiqu
uronné de succès (1). Mais nous ne devons pas oublier qu'il s'agit de
syphilis
héréditaire, plus tenace certainement que la syph
qu'il s'agit de syphilis héréditaire, plus tenace certainement que la
syphilis
acquise, et que, l'épilepsie disparue, tout ne se
s pour lesquelles elle était entrée à l'hôpital. Encore deux cas de
syphilis
cérébrale (I). Sommaire. — Variétés de la syphi
core deux cas de syphilis cérébrale (I). Sommaire. — Variétés de la
syphilis
cérébrale. Artérite syphilitique ; le ramollissem
d'un malade de ce genre. Cécité verbale avec hémiopie et agraphie.
Syphilis
cérébrale par pachyméningite gommeuse. Epilepsie
urs, Dans la précédente leçon, nous avons étudié ensemble un cas de
syphilis
cérébrale (2) qui vous a montré cette affection s
édical, une paralysie des muscles de l'œil chez une femme atteinte de
syphilis
héréditaire. peut espérer, vous disais-je, la g
e vais examiner avec vous sont également, à mon avis, des exemples de
syphilis
cérébrale, mais le tableau est si différent dans
rties de l'encéphale. C'est que, dans l'anatomie pathologique de la
syphilis
cérébrale que j'ai esquissée devant vous, mardi d
ez tous ces accidents, allez-vous me dire, comme la conséquence de la
syphilis
cérébrale. Nous ne voyons-là que des méfaits vulg
uel, des caractères décisifs ? Tout d'abord, cet homme a-t-il eu la
syphilis
? Oui, incontestablement. Il a eu vers l'âge de di
ant quatre mois. Il a donc eu la vérole, et c'est, par conséquent, de
syphilis
acquise qu'il s'agit, contrairement au cas de l'a
lis acquise qu'il s'agit, contrairement au cas de l'autre jour, où la
syphilis
héréditaire était en cause. Mais vingt-sept ans,
ournier, Mauriac, Rumpf et autres auteurs où on voit l'éclosion de la
syphilis
du cerveau la mieux avérée se faire vingt-cinq, t
re vingt-cinq, trente ans et plus après l'apparition du chancre. La
syphilis
, chez cet homme, est donc bien authentique ; c'es
uit d'une façon lente, progressive ou successive. » (Fournier, in: La
syphilis
du cerveau, p. 463.) Mais sachez bien que tout
encontre pas dans le ramollissement cérébral vulgaire. Évidemment, la
syphilis
était là présente, et c'est au cours de cette cép
moi vous dire cependant que toutes les hémiplégies cérébrales dans la
syphilis
n'ont ni cette signification ni ce caractère de g
survenu sans signes prodrômiques. Espérons, vous disais-je, que la
syphilis
est en jeu. Il nia d'abord tout accident spécifiq
le de phénomènes, il n'est pas téméraire, je pense, d'affirmer que la
syphilis
est en cause. D'ailleurs, ce diagnostic se trouve
et versé dans la connaissance approfondie des moindres indices de la
syphilis
cérébrale, si on veut épargner aux malades, qui v
helxipodc (de é.x.w, traîner) chez le second. 363 XIX. Un cas de
syphilis
cérébrale héréditaire tardive. (Leçon). Somma
is cérébrale héréditaire tardive. (Leçon). Sommaire. — Rôle de la
syphilis
dans l'étiologie de l'hémiplégie. Importance du s
le » dans le diagnostic de l'hémiplégie syphilitique. Lésions de la
syphilis
cérébrale. Historique. Plaques gom-meuses des mén
Névrite optique. Autres lésions syphilitiques : œil, oreille, nez.
Syphilis
héréditaire. Influence souvent décisive de la thé
rapeutique. Pronostic..................370 XX. Encore deux cas de
syphilis
cérébrale. (Leçon). Sommaire. — Variétés de l
ux cas de syphilis cérébrale. (Leçon). Sommaire. — Variétés de la
syphilis
cérébrale. Artérite syphilitique ; le ramollissem
d'un malade de ce genre. Cécité verbale avec hémiopie et agraphie.
Syphilis
cérébrale par pachyméningite gommeuse. Epilepsie
lie dans la syringomyélie, 359. Choroïde : atrophie de la — dans la
syphilis
héréditaire tardive, 3o0. Compression de la moe
66; — pronostic, 369. I Intelligence : troubles de 1'—, dans la
syphilis
du cerveau, 390. L Lèpre, 7; Dissociation syr
poplité dans la scia-tique, 127, 169, 179. Névrite optique dans la
syphilis
cérébrale, 380. Nez : lésions du — dans la syph
optique dans la syphilis cérébrale, 380. Nez : lésions du — dans la
syphilis
héréditaire tardive, 381. Noyaux bulbaires des
ns la — 360 ; Chiro-mégalie dans la —, 359 ; — et aeromégalie, 358.
Syphilis
cérébrale, 380,385 ; — héréditaire tardive 370; —
a —, 370. 386; Pronostic de la —, 385 ; Traitement de la —. 383, 395.
Syphilis
héréditaire tardive : cérébrale, 370; Atrophie ch
sont morts jeunes. De sa seconde femme il n'a pas d'enfants. Nie la
syphilis
. Son père est mort d'une maladie du cerveau, sa
mbres inférieurs surtout le gauche commencèrent à maigrir. Pas de
syphilis
; en 1892, il fait une fièvre typhoïde avec une ps
nsation de serrement de l'abdomen. On ne constate ni tuberculose ni
syphilis
. Le diagnostic de la tumeur médullaire au niveau
es se contractèrent aussi. Il n'avoue pas d'autres maladies, pas de
syphilis
. Sa femme n'a pas eu de fausses couches. Il y a
is au traitement spécifique 154 FLATAU (il y a 4 ans il acquit la
syphilis
) et prenait des bains sulfureux. Après ce trai-
élimine par gouttes. Le malade n'a pas eu d'autres maladies, pas de
syphilis
; 4 enfants bien portants. Sa femme n'a pas eu de
onna beau- coup aux femmes ; il nie avoir jamais été atteint par la
syphilis
; à 26 et 38 ans il eut deux fois la blennorrha
intelligence supérieure à la moyenne. Il n'a jamais été atteint de
syphilis
; on a dit qu'il avait souffert d'une blen- nor
ng nécessaire pour pratiquer la séro-réaclion de Wassermann pour la
syphilis
. Pour le deuxième cas, nous avons appris que to
uxième cas, comme nous venons de le dire, on pourrait soupçonner la
syphilis
chez la mère, étant donné le fait de la mort de
s altérations du bassin. Au second appartiennent le myxoedème et la
syphilis
héréditaire et ici ce seraient les dérangements
ssible de faire une telle comparaison. La tuberculose, ainsi que la
syphilis
, sont des maladies bien déter- minées, dont l'o
foie et des reins ; dans d'autres cas on a constaté avec sûreté la
syphilis
chez la mère. Mais ce sont des exceptions rares
sme représente essentiellement une forme tardive ou ultratardive de
syphilis
héréditaire. Dans les cas, et ceux-ci constituent
o-rachidien des malades, la preuve, on peut dire péremptoire, d'une
syphilis
acquise, aussi ancienne qu'elle puisse être ou
syphilis acquise, aussi ancienne qu'elle puisse être ou même de la
syphilis
héréditaire. Or, cette réaction nous a donné, d
e cas la réaction de Wassermann ayant été complètement négative, la
syphilis
héréditaire, la syphilis acquise et même la mét
ermann ayant été complètement négative, la syphilis héréditaire, la
syphilis
acquise et même la métasyphitis doivent être mise
; par conséquent que le pagétisme n'est pas nécessairement lié à la
syphilis
. C'est donc par des faits négatifs que la patho
Directeur : Prof. G. 111'(GA7.lIN[. OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA.
SYPHILIS
CÉRÉBRALE PRÉCOCE ET MALIGNE . PAR F. COSTA
démon- tré que le système nerveux central peut être attaqué par la
syphilis
déjà dans les deux premières années et même pen
edt, lesquels font déjà, dans leurs monographies, mention de cas de
syphilis
cérébrale s'étant développée dans une période p
eux premières années après l'infection comme étant le domaine de la
syphilis
précoce. Il ne faut pas oublier non plus Oppenh
m et Gowers. Le premier dit qu'aujourd'hui plus que par le passé la
syphilis
attaque le système nerveux, non seulement fréquem
dans une période précoce. Le second fait osciller les limites de la
syphilis
cérébrale entre les 6 mois et les 12 ans qui suiv
'après sa statistique la fréquence relative de la précocité dans la
syphilis
du système nerveux central, la- quelle, selon l
n'a pas recueilli moins de 26 ohser- OBSERVATIONS CLINIQUES SUIT LA
SYPHILIS
CKRÉBRADS ' 287 vations de syphilis cérébrales,
OBSERVATIONS CLINIQUES SUIT LA SYPHILIS CKRÉBRADS ' 287 vations de
syphilis
cérébrales, dans lesquelles les premiers symptôme
rurent entre 3 et 18 mois après le syphilome initial. Sur 40 cas de
syphilis
cérébrale cités par Rumpf, 9 se développèrent p
écoce n'est pas rare. Parmi les observations les plus détaillées de
syphilis
cérébrale précoce connues jusqu'ici, je résumer
ions purement cliniques. Kahler, à l'autopsie d'un individu mort de
syphilis
cérébrale, alors que l'ulcère initial n'était p
, le patient mourut. L'autopsie fit relever une forme vasculaire de
syphilis
cérébrale avec un ramollissement dans la partie
na un résultat négatif. Mingazzini, dans son premier travail sur la
syphilis
cérébrale précoce et maligne, rapporte (Beob. I
ies, des troubles psychiques, et mal- OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA
SYPHILIS
CÉRÉBRALE 289 gré un traitement énergique d'inj
plus récent sur le même sujet, fit con- naître trois autres cas de
syphilis
cérébrale précoce et maligne, observés durant l
ole. Outre Mingazzini, Panichi a aussi publié en Italie deux cas de
syphilis
cérébrale précoce et maligne. Le premier de ces
s après l'infection, soignée au moyen OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA
SYPHILIS
CÉRÉBRALE 291 de composés mercuriels et de iodu
Enfin, Nonne, dans la dernière édition de son traité z1909) sur la
syphilis
du système nerveux, rapporte (Beob. 46) le cas d'
ob. 46) le cas d'un officier su- balterne de 54 ans chez lequel une
syphilis
cérébrale donna, quatre mois déjà après l'infec
l nne phléhosclérose. 292 COSTANTINI Ayant ainsi parlé des cas de
syphilis
cérébrale précoce et maligne fournis de données
vie des sujets. Gilles de la Tourette a fait connaître le cas d'une
syphilis
très diffuse et grave des méninges cérébrales e
miplégie gauche, dix mois après l'in- OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA
SYPHILIS
CÉRÉBRALE 293 fection syphilitique qui fuf soig
tions suivantes. 1° (Obs.113). Homme robuste qui, à 3 ans, prit une
syphilis
soignée seulement d'une manière irrégulière. Si
s et sur la cure. Il y a quelques années, Kreibich publia un cas de
syphilis
cérébrale, dans lequel les premiers symptômes a
intense. Mais le malade continua toujours à présenter des signes de
syphilis
cérébrale. Nonne, dans la dernière édition (190
-même l'occasion d'observer à l'Asile des aliénés de Rome un cas de
syphilis
cérébrale qui s'était développée quatre mois aprè
existant avec une éruption maculo-pa- OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA
SYPHILIS
CÉRÉBRALE 295 puleuse diffuse. Un second cas d'
de j'épitrochiée : 22 centimètres. Le OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA
SYPHILIS
CÉRÉBRALE 297 patient ne réussit pas à étendr
sais spéciaux, la suggestion est évi- OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA
SYPHILIS
CÉRÉBRALE 299 dente, mais en dehors de celle-ci
ourut quelques mois après. Il s'agit donc dans les deux cas d'une
syphilis
cérébrale grave, qui s'était développée déjà da
devoir démontrer que dans les deux cas il s'agissait réellement de
syphilis
et selon toute probabi- OBSERVATIONS CLINIQUES
t de syphilis et selon toute probabi- OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA
SYPHILIS
CÉRÉBRALE 301 lité, d'une arteritis luetica -et
eux cas, ontdonné le caractère de pré- cocité et de malignité si la
syphilis
du cerveau. Les moments étioiogiques, qui. dans
peu de chose sur l'importance de l'hérédité névropa- thique dans la
syphilis
du système nerveux central en généra)abstraction
ditaire certaine,névropathique ou psychopa Inique : Sur 185 cas de
syphilis
cérébrale, spinale et cérébro-spinale, 24 fois
l'influence de la tare héréditaire sur celle formeparticulièrede la
syphilis
cérébrale. L'importance de cette hérédité sur l
s la littérature, on déduit que sur 37 cas, y compris les miens, de
syphilis
cérébrale précoce et maligne, dont on con- naît
donc avec raison que Mingaz- zini affirme que la moitié des cas de
syphilis
cérébrale précoce et maligne se développent ent
ent que, bien qu'un dénouement malheureux puisse avoir lieu dans la
syphilis
cérébrale, quel que soit l'âge auquel est surve
ouement est d'autant plus facile que l'âge auquel fut contractée la
syphilis
était plus avancé. En considérant les cas ci-dess
e la moitié des cas examinés, on eut ce dénouement fatal lorsque la
syphilis
fut contractée après 35 ans. Ce qui esten parfa
me Finkelnburg, qui trouve pareillement dans l'âge avancé auquel la
syphilis
fut prise, un des facteurs principaux de la gra
advint l'infection une des principales causes de la malignité de la
syphilis
cérébrale. Cela est encore d'accord avec les vu
question de l'influence de l'âge avancé sur le développement de la
syphilis
cérébrale précoce et maligne se lie intimement à
plus haut, et qui a déjà été remarqué OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA
SYPHILIS
CÉRÉBRALE 303 par d'autres auteurs (Althaus, Ne
e fait explique à son tour un autre-caractère de la malignité de la
syphilis
cérébrale précoce, c'est-à-dire' : « la rapide su
Lochte est arrivé. Selon les études de cet auteur, non seulement la
syphilis
des alcooliques est souvent grave, mais l'intox
n à de continuelles poussées, favorisant l'apparition précoce de la
syphilis
pustuleuse et ulcéreuse, et conduisant précocemen
atistique de Tarnowski, selon laquelle sur 100 patients affectés de
syphilis
cérébrale, pas moins de 43 étaient des buveurs
ut donc déduire que, quand des individus alcooliques contractent la
syphilis
dans un âge avancé, on doit être très réservé d
de neuropathologis- tes. Pareillement Virchow avait remarqué que la
syphilis
se localise de préférence dans les parties « af
le traumatisme. Du reste, l'importance de ces traumatismes pour la
syphilis
cérébrale a été reconnue par un grand nombre d'
luence des chocs traumatiques de la tête sur le développement de la
syphilis
cérébrale, se basant sur sa propre expérience,
D'autre part, dans la nouvelle édition (1909) de son Traité sur la
syphilis
du système nerveux, il rapporte deux cas qui lui
e une comédienne de 31 ans soignée à l'hôpital deEppendorf pour une
syphilis
304 COSTANTINI cérébrale (céphalalgie, ! conv
hoc traumatique peut créer un locus minoris resistel1tiæ, et que la
syphilis
cérébrale peut succéder à un choc de la lête; d'a
ortance des chocs traumatiques eux-mêmes sur le développement de la
syphilis
cérébrale ; en général, on n'en parle pas d'une m
en général, on n'en parle pas d'une manière parti- culière dans la
syphilis
précoce et maligne, mais il n'y aurait aucune r
iamétra- lement opposée, soutenant qu'un traitement énergique de la
syphilis
ne prévient ni ne retarde les affections métasy
sur le tabes chez les femmes, soutient que la cure spécifique de la
syphilis
n'a aucune valeur par rapport à la prévention d
fisant ou énergique a la même valeur. OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA
SYPHILIS
CÉRÉBRALE 305 Rnmpf, au contraire, et avec lui
ment fut mal dirigé. Oppenheimditque.de deux personnes atteintes de
syphilis
, vu l'égalité des autres conditions, celle qui
tement insuffisant. Schuster a rédigé une statistique de il) cas de
syphilis
cérébro-spinale avec syphilis déclarée dans l'a
rédigé une statistique de il) cas de syphilis cérébro-spinale avec
syphilis
déclarée dans l'anamnésie, et de 24 cas dans le
s'il convient, au moins en ce qui concerne le moyen de prévenir la
syphilis
du système nerveux, de soumettre à une cure spéci
à une cure spécifique, non exempte d'ennuis, un individu atteint de
syphilis
. Un soupçon de ce genre ne paraîtra pas puéril,
oint : l'on ne doit pas tirer de ces résultats la conclusion que la
syphilis
doive être traitée avec moins d'intensité. »
écifique se montre parfois insuffisant à prévenir ou à retarder une
syphilis
cérébrale. Et c'est surtout évident dans la syp
à retarder une syphilis cérébrale. Et c'est surtout évident dans la
syphilis
cérébrale précoce et maligne, dans laquelle, de n
ait qui souvent nous donne un autre caractère de la malignité de la
syphilis
précoce. En effet, les premiers symptômes céréb
aît d'autres qui sont rebelles à tout OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA
SYPHILIS
CÉRÉBRALE 307 traitement et qui souvent mènent
tômes existants ou la manifestation de nouveaux symptô- mes dans la
syphilis
cérébrale précoce et maligne, nous ne la connaiss
lésions. * Tare héréditaire névropathique, âge où fut contractée la
syphilis
, alcoolisme chronique, cure spécifique nulle ou
s les plus importants qui aient été pris en considé- ration dans la
syphilis
cérébrale précoce et maligne. Mais les auteurs pa
sale. Ainsi, Lang affirme que chez beaucoup d'individus affectés de
syphilis
précoce, maligne, il y avait avant la contagion
. Lang affirme aussi que ceux dont les ancêtres étaient indemnes de
syphilis
sont frappés gravement par cette infection à ca
ans d'autres cas, la virulence plus grande de l'agent syphilitique (
syphilis
à virus nerveux), capable de résister à un trai
ues aux- quels on doit attribuer la précocité et la malignité de la
syphilis
cérébrale. Il peut parfois venir s'y mêler d'au
sh med. Journal, p. 485, sqq. Buley. Certain clinical type ol brain
syphilis
. Médical Record, vol. 61, p. 991. Biusch. -Zur
Deutsche Zeitschr. f. Nervenheillc, Bd. VIII, S. 418. CASTAGUARY.
Syphilis
cérebrale précoce. Gaz. méd. de Nantes, 1909, p.
hilis cérebrale précoce. Gaz. méd. de Nantes, 1909, p. n0. CHABYET.
Syphilis
cérébrale sept mois après l'accident primitif. Ob
ion à l'élude de l'hémiplégie précoce à la période secondaire de la
syphilis
. Thèse de Paris, 1908. FixKELXBuno. Ueber cinen
ngen des Gehirns und / ? ! <c ? e7)may/t ? im Fruhstadiunz einer
syphilis
. Deutsche Zeitschr. f. Nervenheilk., Bd. XIX, 1
tsche Zeitschr. f. Nervenheilk., Bd. XIX, 1901. FOI-1t,NIER. - La
syphilis
du cerveau. Paris, 1819, et Ann. de Dermatol. et
1819, et Ann. de Dermatol. et de Syphiligr., 1869, et Leçons sur la
syphilis
, 1813 ; Leçons cliniques sur la syphilis. Paris,
r., 1869, et Leçons sur la syphilis, 1813 ; Leçons cliniques sur la
syphilis
. Paris, 1881. GA ! K)EW;cx. Syphilis du système
1813 ; Leçons cliniques sur la syphilis. Paris, 1881. GA ! K)EW;cx.
Syphilis
du système nerveux, 1892. Gilles DE la TOURETTE
)EW;cx. Syphilis du système nerveux, 1892. Gilles DE la TOURETTE. -
Syphilis
maligne précoce du système nerveux. Bull. méd.,
66. Versammlung deutscher Naturforscher und rrzte. Vienne, 1894.
Syphilis
und Aphasie. 66. Versammlung deutscher NalurforFc
und Ærzle. Vienne, 1894. Tageblatt. OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA
SYPHILIS
CÉRÉBRALE 309 Juscurscuswo. - Ueber/ruhzeitiges
., 1880, n° S. LANG. - Vorlesungett uber Pathologie u. Thérapie der
syphilis
. Bd. II, S. 312. LocinK. Untersuchungen liber s
Thérapie der syphilis. Bd. II, S. 312. LocinK. Untersuchungen liber
syphilis
maligna und syphilis gravis . Jahrbuch d. Ilamb.
. Bd. II, S. 312. LocinK. Untersuchungen liber syphilis maligna und
syphilis
gravis . Jahrbuch d. Ilamb. Staatslcrankenausta
Staatslcrankenaustalten, 1901. LDSTO.\. Nervous diseases in early
syphilis
. Journ. of the amer. med. association. Bd. XXIV
85, t. IV, no 7. Manuel. - Die iiii hoheren Lebeitsallei, erworbene
syphilis
, elc. Dermalol. Zeitschr. Bd. I, t. V, 1890.
. a. d. medizitz. Klinik Konigsberg i. Pr.. Leipzig, 1888. Neuminx.
Syphilis
. Spezielle Pathologie und Thérapie (Nothnagel), B
elle Pathologie und Thérapie (Nothnagel), Bd. XXIII, S. 533. Nonne.
Syphilis
und Servensystem. Berlin, 1902 et 1909. Ogilue.
eniatria, 1902, fasc. IV. PICK. - Zur Kennlniss der cerebrospinalen
Syphilis
. Zeitschr. fez Heilk., Bd. XIII, H. 4 et 5. T
isysielils. Wiesbaden, 1S87, SCHUSTER. 1/al die lig. Behandlung der
Syphilis
Einfluss au/ das Zuslandekomten vietasyphilitts
he med. \V ochenschr" 1907, no 50. Spindler. Hat die Behandlung der
Syphilis
Einfluss au/ das Zuslarzdekonznzen niela6y- phi
faveur d'une tu- meur. L'absence de tout signe de tuberculose ou de
syphilis
rendait ce diagnostic plus probable. La local
rsonnelle et celle des antécédents on ne trouve ni tuber- culose ni
syphilis
. Les membres supérieurs se paralysent de plus en
e éliminait beaucoup d'urine (normale). Le diagnostic fut posé de
syphilis
cérébrale et de diabète insipide. Le trai- teme
un état pathologique). Nous avons posé le diagnostic dans ce cas de
syphilis
cérébrale. Pen- dant le dernier séjour de la ma
contre avaient des lésions profondes et bien caractéristiques de la
syphilis
. Ce cas nous montra aussi combien minime est pa
mère, primipare, âgée de 19 ans, est bien constituée. Pas trace de
syphilis
. Aucun cas analogue dans la famille. Tuberculos
teint antérieurement d'affections véné- riennes, et probablement de
syphilis
. La femme G... affirme que son mari était sujet
ention ; le père n'était pas alcoolique et n'avait pas contracté la
syphilis
. La mère n'avait jamais fait de fausses couches
iagnostic de Wassermann (déviation du complément) : négatif pour la
syphilis
. Examen chromoctttomélrique du sang. Globules r
la méthode classique, donne un résultat absolument négatif pour la
syphilis
. Examen des urines. - Quantité : 400 grammes. C
de Pott, carie de la hanche, péritonite chronique (obs. p. IV). La
syphilis
est rarement avé- rée (Ilirtz et Lemaire ? ).
issement progressif insidieux tardif des os longs. (2) Parrot, La
syphilis
héréditaire et le rachitisme, Paris, Masson, 1886
of the spinal cord. Lancet, 1907, p. 139. BAUMGAXTEN. Uber gummose
Syphilis
des Gehirns und Rl/I;kenmal'l,s. Virchow's Arch.,
tramedulldrem Tumor. Miinchner med. Wochenschr., 13, 1909, p. 680 ;
Syphilis
und Nervensystem, 1909, p. 362. OnEIIXDùIlFFRR.
bien certain cependant que les altérations décrites relèvent de la
syphilis
. Des études approfondies, des démonstrations mi
e d'aortes provenant de quelques paralytiques généraux, d'un cas de
syphilis
célé- brale diffuse et de deux cas d'anévrysmes
e. Intellectuel travaillant beaucoup, pas d'excès d'alcool, a eu la
syphilis
entre 20 et 30 ans. Mort subite dans une attaque
if, pas d'excès d'alcool, mais étant d'un pays où on boit volontiers.
Syphilis
non connue. Mort subite dans une attaque d'apop
ans, ouvrière, hérédité tuberculeuse chargée. Misère physiologique.
Syphilis
antérieure remontant à quelques années. La mala
onfir- mé par l'examen anatomique, permit de poser le diagnostic de
syphilis
céré- brale diffuse. Les lésions aortiques, com
oyenne passe avant d'atteindre la cicatrice définitive. Le cas de
syphilis
cérébrale diffuse relaté présentait des lésions a
otiques (Timidité des - essai de pa- thogénie), par Bernard, 224.
Syphilis
cérébrale précoce (Observations cliniques sur l
pl.), 233,429, 5-il, 685. CosTwTm. Observations cliniques sur la
syphilis
cérébrale précoce et maligne, 286. DEBouis et
or- tants de la thérapeutique en Neurologie : le traitement de la
Syphilis
et de ses manifestations nerveuses; le traitement
aire ou diffuse, leur siège central ou périphérique, leur na- ture (
syphilis
, tuberculose, tumeur, traumatisme) sont susceptib
beaucoup de ces affections sont le fait de la tuberculose et de la
syphilis
. La tuberculose peut donner naissance à des lés
de la température qu'on peut arriver au diagnostic véritable. La
syphilis
produit des gommes syphilitiques, lésions nodulai
et particulièrement du tabes, causes fréquentes d'hémia- nopsie. La
syphilis
est si souvent en cause dans les affections nerve
sont toujours sé- rieuses. Cependant, on en voit, surtout en cas de
syphilis
, guérir défini- tivement. D'autre part, l'hémia
X DE L'APPAREIL OCULAIRE. de l'hémianopsie, suivant qu'il s'agit de
syphilis
contre laquelle on peut beaucoup, de tuberculos
t. Localement, il n'en existe pas. Seul, le traitement de la cause (
syphilis
, tuberculose, tabes), est à instituer. Lacunes
re progressive. Dans certaines conditions, particulièrement dans la
syphilis
et dans quelques maladies nerveuses, on voit se
alysies dissociées. Tumeurs cérébrales (base). La tuberculose et la
syphilis
(li 10), sont les causes les plus fréquentes. R
pour le traitement. Méningite. C'est encore la tuberculose et. la
syphilis
qui sont le plus souvent en cause. La méningi
s. - Diphtérie : le plus souvent l'ac- commodation est prise seule.
Syphilis
: peut présenter toutes les variétés. Scarlatin
tions ou intoxications au premier rang desquelles il faut placer la
syphilis
. IV TROUBLES PUPILLAIRES Modifications des
ouveau par paralysie et, perd toute réaction. Infections générales,
syphilis
, diphtérie. La diphtérie agit de préférence sur
on), mais peut en même temps provoquer une mydriase paralytique. La
syphilis
amène la mydriase paralytique, avec ou sans par
lésion appréciable du système nerveux. Elle a pour le diagnostic de
syphilis
une valeur séméiologiquc considérable. A côté d
rouvez aucune affection nerveuse systématisée, rappelez-vous que la
syphilis
produit la mydriase souvent très près de son dé
ble. Neuf fois sur dix une mydriase para- lytique est le fait de la
syphilis
ou d'une affection nerveuse comme le tabès ou l
tions générales : Urémie, intoxication par l'opium, la nicotine. La
syphilis
, dans certains cas, agit peut-être de la même m
équentes dans lesquelles le myosis se voit très sou- vent, c'est la
syphilis
cérébrale et spinale, le tubes et la paralysie
sions ner- veuses variées, mais il faut savoir que c'est surtout la
syphilis
qui en est la cause la plus habituelle. Myosi
- veatse, plus particulièrement le tabès, la paralysie générale, la
syphilis
cérébro-spinale sous toutes ses formes. Inéga
la première manifestation du tabès, de la paralysie générale, de la
syphilis
cérébro-spinale. Certains, Babinski entre autre
Certains, Babinski entre autres, le considèrent comme un signe de
syphilis
nerveuse. Et, de fait, presque toutes les affecti
s nerveuses dans lesquelles on le rencontre ont été précédées de la
syphilis
. C'est au point que le signe d'Argyl Robertson,
'Argyl Robertson, isolé ou associé, doit toujours faire penser à la
syphilis
. On ne peut cependant affirmer qu'il n'existe p
intrinsèques ou extrinsèques du globe oculaire (type associé). La
syphilis
donne plus fréquemment que la diphtérie, des para
que l'iris peut être touché, l'accom- modation restant intacte. La
syphilis
peut atteindre isolément la mus- culature intri
ne sait pas exactement sur quels points du système nerveux agit la
syphilis
dans ces paralysies. Probablement sur les noyaux
thèse permet d'expliquer la paralysie dissociée du M. 0. C. Mais la
syphilis
pourrait aussi bien agir sur les branches périphé
du ptosis congénital ne se retrouve pas toujours. Souvent c'est la
syphilis
. Vertige paralysant de Gerlier. - Cette affecti
ves. Traitement. Il faut traiter l'affection qui a causé le ptosis (
syphilis
, intoxications, etc.). Dans certains cas, l'éle
: névrite optique, paralysies oculaires, symptômes de méningite.
Syphilis
cérébrale héréditaire, maladie de Friedreich, Ilé
de trouver chez des malades pour la plupart déjà âgés, ayant eu la
syphilis
et des affections diverses du naso-pharynx. (
seulement répéter ses interlocuteurs et celui qui, à la suite d'une
syphilis
du labyrinthe ou d'une méningite, présente une
e est favorisée par des lésions vasculaircs anté- rieures dues à la
syphilis
, au diabète, il la teucocytemie, a l'hémophilie.
ouverons plus loin le nystagmus dont l'importance est réelle. .5°
Syphilis
. C'est une cause fréquente de surdité par lésions
apyrétique susceptible de produire une surdité aussi brusque que la
syphilis
«.Bien que quelques cas puissent s'amender sous
ne), le pronostic est défavorable. Nous n'avons parlé ici que de la
syphilis
acquise de l'oreille interne. La syphilis héréd
avons parlé ici que de la syphilis acquise de l'oreille interne. La
syphilis
héréditaire peut également atteindre le labyrinth
té; chez les enfants plus âgés, de 8 a 15 ans, c'est-à-dire dans la
syphilis
héréditaire tardive, la surdité s'installe plus
la même symptomatologie que dans les formes rapides ou lentes delà
syphilis
acquise. On sait d'ailleurs que c'était l'otite
mple dans le tabès, ainsi que nous l'avons indiqué précédemment. La
syphilis
dont nous venons d'étudier l'action sur le laby
sa boisson. - La cacosmie peut être réelle, liée par exemple à la
syphilis
ou àl'ozène; mais le plus souvent elle est pure
ses, utenin- gites, tabès, sclérose en plaques, tumeurs cérébrales,
syphilis
, etc.), qui éclairciront le diagnostic étiologi
méningites, de maladies infectieuses aiguës ou de leucocythemie, de
syphilis
, de néphrite, d'art ério-sclérose, etc. Dans le
o-spinale ou tuberculeuse, de la pachyméningite hémorragique, de la
syphilis
cérébrale ou méningée, au cours et surtout au d
u des centres nerveux), de la lymphocytose (méningite tuberculeuse,
syphilis
), de la pôlynucléose avec microbes variables (m
observer des phénomènes analogues (torpeur, sommeil) au cours de la
syphilis
nerveuse; mais celte éventualité demeure exceptio
le, l'insomnie, plutôt que le sopor, étant (le règle au cours de la
syphilis
cérébrale. Dans la paralysie générale au contrair
La thérapeutique prophylactique est fort utile. L'alcoolisme et la
syphilis
sont les facteurs les plus importants dans l'étio
hydei-miquc - (BOUlE'iEVILI.E) . IDIOTIES. 275 5 Le rôle de. la
syphilis
est tout à fait minime; le rôle des intoxications
dans les différentes paraplégies médul- laires (par compression ou
syphilis
) ; dans les polynévrites et enfin dans l'hystér
tébral, par luxation ou fracture du rachis), ou spontanée (tumeurs,
syphilis
ou tuberculose des os, des méninges, de la moel
ssu conjonctif, des méninges, de la moelle; par myélite transverse,
syphilis
médullaire, mal de Pott, etc.). Caractères. Dan
ortance capitale par sa fréquence et par son intensité : ce sont la
syphilis
cérébrale et les tumeurs du cerveau. Dans la sy
: ce sont la syphilis cérébrale et les tumeurs du cerveau. Dans la
syphilis
, la céphalée peut s'observer soit il la période s
Qu'elle soit précoce ou tardive dans son apparition au cours de la
syphilis
, elle se présente toujours avec certains caract
iode tertiaire, la céphalée est un des symptômes prédominants de la
syphilis
cérébrale (forme artérielle ou méningée). On l'ob
/tf/(w/i7f.s' chroniques ; elle se rencontre souvent au cours de la
syphilis
spinale; la rachialgie syphilitique présente les
parler des dysesthésies de la pé- riode tout à fait initiale de la
syphilis
médullaire, et faisant partie du syndrome de cl
ns dues - aux troubles de la circulation artérielle par athérome ou
syphilis
. On peut observer ici, dans un membre, ou sur t
e, les arthropa- thics, les ostéites, les douleurs osléocopes de la
syphilis
, etc.... Les neurasthéniques, les psychasthéniq
pitales sont : les affections de la colonne cervicale (tuberculose,
syphilis
, tumeurs), les arthrites vertébrales rhumatisma
s se voient dans les anémies, dans les infections ou intoxications (
syphilis
, paludisme, intoxication saturnine, intoxication
ou d'auto-intoxications (rhumatisme, goutte, diabète, tuberculose,
syphilis
, paludisme, blennorragie.) . t La sciatique est
uide; céphalo-rachidien. Rappelons la valeur de la céphalée dans la
syphilis
secondaire et dans la syphilis tertiaire du név
ons la valeur de la céphalée dans la syphilis secondaire et dans la
syphilis
tertiaire du névraxe. La céphalée est un symptô
siques; tantôt la thérapeutique est pathogeuique dans les cas où la
syphilis
, le paludisme et que)ques rares autres affections
lexe pupillaire. Les réflexes rotuliens ont, été étudiés dans' la
syphilis
, et non seule- ment chez les syphilitiques d'an
, qu'il s'agit dans ces cas de tabès fruste. En dehors des cas de
syphilis
nerveuse, Lang et Casey, A. Wood ont trouvé que
Casey, A. Wood ont trouvé que 40 pour 1 no des gens atteints de la
syphilis
congénitale avec kératite interstitielle ont le
xa- géré quand il y a insuffisance labyrinthique brusque. Dans la
syphilis
, dès le début de l'éruption primitive, M. Valcnti
u'un traumatisme, la syringoinyélie, une tumeur de la moelle, ou la
syphilis
médullaire; dans ce dernier cas on pourra observe
oit d'une hémorragie, soit d'une thrombose vasculaire.Le rôle de la
syphilis
dans la production de l'hémiplégie, chez l'homm
state pas d'affection cardiaque, doit être forte- ment soupçonné de
syphilis
. L'hémiplégie syphilitique est en effet une man
eur du côté gauche était le seul symptôme clinique, en l'absence de
syphilis
, le diagnostic de cette hémiplégie était très dél
n trauluat ique dc la moelle ou d'une hémicompression (tuberculose,
syphilis
) ; il est moins pur en ce cas. On peut constate
lasque en général. ' Les .affections chroniques, la tuberculose, la
syphilis
, les maladies spéciales il l'axe cérébro-spinal
s caractères permettent de grouper les myélites syphilitiques. La
syphilis
médullaire présente des tableaux cliniques variab
légie survient de 4 à Ü ans après le chancre, il cette époque où la
syphilis
nerveuse fait des lésions beaucoup plus chroniq
e proprement dite, rencontrer toutes les transitions. Bien plus, la
syphilis
peut déterminer des plaques de sclérose produis
rd des myélites et méningo-myélites aiguës. fréquemment liées il la
syphilis
ou à la tuberculose. Ces maladies sur- viennent
ser un syndrome à peu près analogue. C'est ainsi par exemple que la
syphilis
, nous l'avons exposé déjà, peut déterminer des mé
. Il sera, selon les cas, celui de la tuberculose vertébrale, de la
syphilis
, des intoxications, de la névrose, des blessure
IGINE RADICULAIRE. ou du raehis (la padiymeningite tuberculeuse, la
syphilis
des HlÓnin,rcs la paebymeningitc cervicale hype
cer des méninges, les tumeurs des méninges, le cancer du mollis, la
syphilis
des vcrtu- bres, les tumeurs des vertèbres), en
ompressions intraraclaidiennes, les paralysies radiculaires dans la
syphilis
. Paralysies radiculaires traumatiques* Qu'elle
ssion de la moelle ou de myélite. Paralysies radiculaires dans la
syphilis
. Les paralysies du type radiculaire que l'on pe
. Les paralysies du type radiculaire que l'on peut observer dans la
syphilis
il la suite de gommes, d'infiltration méningée,
est rare d'ailleurs que l'on ne constate pas d'autres symptômes de
syphilis
médullaire ou cérébrale. De Peters a fait une é
fait une étude des paralysies que l'on observe dans certains cas de
syphilis
héréditaire avec altération radiculaire. Certaine
qui serait fre- 11O : \OPLÉGlE BIL\CIIL\LE. U21 quente lors de la
syphilis
, il l'aurait rencontrée neuf fois sur onze cas.
'il existe souvent chez les enfants d'autres stigmates de l'hérédo-
syphilis
et aussi par l'amélioration rapide que donne le t
ie faciale se voit, dans un grand nombre de. maladies infectieuses (
syphilis
secondaire, fièvre typhoïde, érysipèle, variole
.), à la suite de névrites infectieuses ou toxiques (alcool, lèpre,
syphilis
, fièvre typhoïde, etc.). Lps paralysies professio
nts de maladies graves : ils ont la phobie de la tuberculose, de la
syphilis
et surtout du cancer. Le traitement consister
gnes, quel- ques-unes d'origine pharyngée. Ce sera parfois aussi la
syphilis
. ou un vaste abcès de la base du crâne (Nothnag
récemment rapporté par Mouisset et Bouchut doit être attribué à la
syphilis
. C) Syndrome de Jackson. Il est caractérisé par
ahio-gloao-laryngée, les hémor- ragies et les tumeurs bulbaires, la
syphilis
cérébro-spinale, etc. Mais la première place do
et c'est à elle que doit s'appliquer le traitement (mercure dans la
syphilis
, santonine dans le tabès, etc.). Le traitement
abituellement héréditaire, paraît bien être acquise. L'alcool et la
syphilis
ne paraissent pas, d'après Erb, jouer un rôle d
mble toujours précéder 1. Léri. Amyotrophie progressive spinale, et
syphilis
. 'Congrès de- Bruxelles, 1905. Fig. '14. 3léiii
o'<son, signe presque caractéristique et sou- vent précoce de la
syphilis
du système nerveux central (Babinski et Char- p
importance, mais dont l'absence ne doit pas faire rejeter l'idée de
syphilis
nerveuse, car il peut l'aire défaut dans les am
iverses névrites infectieuses : l'infection serait ordinairement la
syphilis
. Les muscles les plus divers peuvent être isolé
Nous avons préco- nisé (3) ce traitement après avoir établi que la
syphilis
, considérée comme exceptionnellement la cause d
ou non les rapports de l'amyotrophie progres- sive spinale avec la
syphilis
, avaient retiré un bénéfice notable d'un traite
t a confirmé la relation que la clinique tendait à établir entre la
syphilis
et l'amyotrophie, car, sous l'influence des inj
fin, d'autres infections ou intoxications exogènes ou endogènes, la
syphilis
, l'ergotisme, l'anémie pernicieuse, le diabète, d
Leyden, Williamson, Souques et Marinesco, Leichtentritt, etc.). La
syphilis
est de beaucoup la cause la plus fréquente de l'a
combinée à forme spasmodique, paraplégie syphilitique d'Erb). La
syphilis
peut aussi provoquer l'incoordination et différen
tabes. Enfin la paralysie générale, dans l'étiologie de laquelle la
syphilis
joue aussi un rôle prépondérant et dont l'anato
cifiques à localisation nerveuse comme la tuberculose et surtout la
syphilis
, tantôt à la suite de diverses infections aiguë
ulbe et inléres- sent souvent la protubérance. La tuberculose et la
syphilis
déterminent soit une ostéite ou une méningite b
e part dans des maladies chro- niques telles que la tuberculose, la
syphilis
(début de la période secon- daire), le cancer,
aspération nocturne de la douleur, les antécédents spécifiques à la
syphilis
cérébrale. Toutes ces conditions seront quelque-
cs, ceux-ci soit symptomatiques (maladies contagieuses et toxiques,
syphilis
, épilepsie, affections centrales; une classe à
dehors des stries, des irrégularités, des malformations témoins de
syphilis
héréditaire ou de troubles de la nutrition, il
z les idiots, qu'elle soit ou non précédée de masturbation, dans la
syphilis
cérébrale et surtout dans la paralysie générale
e hyperlro- phique, [tins rarement dans la paralysie générale et la
syphilis
des rentres. Dans Ions ces cas la langue est dé
ttes d'urine s'échappent et souil- lent le linge du malade. Dans la
syphilis
de la moelle,- il existe souvent des mictions i
s avons déjà parlé des formes mutilantes de la tuberculose et de la
syphilis
des mains et des doigts : leur mode de début et l
pre où le nerf cubital est fortement hypertrophié, rarement dans la
syphilis
, dans la fièvre typho ! d la grippe, dans l'alc
t ressemeler au uma en lame de sabre, « tibia Lannelongue » de la
syphilis
osseuse, mais elle est fréquemment aussi latéra
sphacèle des orteils comme des doigts. La lèpre, la tuberculose, la
syphilis
peuvent provoquer des mutila- tions du pied trè
passagères. Gigantisme dû à l'hérédo-syphilis. On a considéré la
syphilis
comme pouvant déterminer une dystrophie gigantesq
es et naturelles, l'alcoolisme des procréateurs, la tuberculose, la
syphilis
, tout ce qui est appauvrissement et surmenage,
ur l'individu et pour la société. [F. MOUTIER.] STIGMATES DE LA
SYPHILIS
par le Dr CROUZON L'importance de la syphilis
] STIGMATES DE LA SYPHILIS par le Dr CROUZON L'importance de la
syphilis
dans l'étiologie des maladies nerveuses nous am
ie des maladies nerveuses nous amène à rechercher ici comment cette
syphilis
peut être dépistée chez un malade que l'on soup
e spéci- fique. Nous envisagerons successivement la recherche de la
syphilis
acquise, puis celle de la syphilis héréditaires
uccessivement la recherche de la syphilis acquise, puis celle de la
syphilis
héréditaires SYPHILIS ACQUISE W La syphilis a
he de la syphilis acquise, puis celle de la syphilis héréditaires
SYPHILIS
ACQUISE W La syphilis acquise pourra se reconna
ise, puis celle de la syphilis héréditaires SYPHILIS ACQUISE W La
syphilis
acquise pourra se reconnaître de deux façons : ou
ombre de cas, donner des renseignements suffisants. Quelquefois, la
syphilis
a été ignorée, a passé inaperçue par suite du peu
te. 1° Interrogatoire du malade. On pourra penser qu'il s'agit de
syphilis
quand le malade aura eu la notion du chancre. 1
ts et surtout de l'accident initial est le plus souvent absente. La
syphilis
se révèle dans la vie génitale de la femme par
es fausses couches et la polymorlalité infantile. STIGMATES DE LA
SYPHILIS
. 1105 2° Examen direct. La recherche des traces
nner les caractères spécifiques. Les cicatrices sont suspectes de
syphilis
: 1° Quand elles seront étendues; 2° Quand el
A) La forme arrondie, l'orbicularité parfaite qui est synonyme de
syphilis
. Il) La configuration arciforme en demi-lune, e
u voile du palais et du pharynx, etc. Stigmates muqueux. Enfin la
syphilis
pigmentaire du cou qui est caractérisée par son
ons- crivant des zones décolorées et presque pathognomoniques de la
syphilis
PRATIQUE : \EUII01.. 70 [0. CROUZON] 1100 S
hilis PRATIQUE : \EUII01.. 70 [0. CROUZON] 1100 STIGMATES DE LA
SYPHILIS
. et ne s'est guère rencontrée que dans quelques
n- nelles de tuberculose. L'alopécie pourra être la signature de la
syphilis
: quand elle est localisée en certains points,
ques muqueuses s'observent en dehors de la période secondaire de la
syphilis
, cependant on peut observer quelquefois des pla
certains auteurs (Landouzy, Gaucher) comme un témoignage certain de
syphilis
; dans tous les cas, elle est un indice qui doit
echercher cette maladie. Le vitiligo est aussi souvent un indice de
syphilis
: on sait qu'il est caractérisé par des zones d
per- chromie. Suivant Pierre Marie et Crouzon, il est révélateur de
syphilis
et particulièrement de syphilis nerveuse. La
ie et Crouzon, il est révélateur de syphilis et particulièrement de
syphilis
nerveuse. La glossite exfoiialrice marginée a é
porte à rechercher cette affection. L'examen du malade suspect de
syphilis
devra porter également sur le nez; on constater
n dehors de suppuration tubercu- leuse doivent être rapportées à la
syphilis
quand on voit la quantité (ral- bumine s'élever
ncore la signature de l'infection syphili- tique. STIGMATES DE LA
SYPHILIS
. 1107 Enfin, la fumeur du testicule indolent, à
lorachidien constitue le syndrome de Babinski caractéristique de la
syphilis
(Vaquez). La paralysie du moteur oculaire commu
oculaire commun survenant subitement, est également un stigmate de
syphilis
: en effet, si la paralysie de la 6e paire, est
a 5" survenant en dehors de toute cause appréciable est celui de la
syphilis
. L'hémiplégie survenant chez un sujet âgé de mo
res processus de méningite subaiguë ou chro- nique, est un signe de
syphilis
. ' L'apoplexie de l'adulte est également souven
syphilis. ' L'apoplexie de l'adulte est également souvent liée à la
syphilis
. Enfin nous avons écarté le tabès et la paralys
sie générale chez les fem- mes en dehors du milieu fréquenté par la
syphilis
; rareté de la paralysie générale chez les eccl
sont les manifestations multiples que peut laisser derrière elle la
syphilis
et qui pourront éclairer sur le diagnostic étiolo
i peuvent fré- quemment être pris pour des accidents initiaux de la
syphilis
et faire rejeter par conséquent toute influence
faits présents à l'esprit pour se garder de semblables erreurs. ,
SYPHILIS
HÉRÉDITAIRE Une enquête sur l'hérédo-syphilis d
e sur les parents de ces ascendants. On peut en effet incriminer la
syphilis
de seconde génération. D'autre part, l'enquête
ile caractérisée par les avor- [O. CROUZON ] 1108 STIGMATES DE LA
SYPHILIS
. tcments, les accouchements avant terme, les na
Quelquefois le rachitisme peut être une expression fréquente de la
syphilis
héréditaire; il y a donc, suivant Fournier, une t
e à revenir à l'opinion de Parrot qui rattachait le rachitisme à la
syphilis
. Quelquefois enfin des exostoses de développeme
ou exostoses ostéo- géniques peuvent être également un stigmate de
syphilis
. Stigmates cutanés ou muqueux. Les stigmates cu
sistant dans un testicule petit, dur et irrégulier, STIGMATES DE LA
SYPHILIS
. 110'J vestige du sarcocèle syphilitique, ou bi
horax en entonnoir (Gaucher et Crouzon). Stigmates articulaires. La
syphilis
peut produire des hy- darthroses chroniques et
ignalé également quelques signes d'incontinence d'urine par hérédo-
syphilis
. Nous ne nous arrêterons pas sur les troubles des
as sur les troubles des réflexes pupil- laires déjà décrits dans la
syphilis
acquise ni sur les troubles des réflexes rotuli
uelquefois c'est le crâne natiforme qui est spécifique de l'hérédo-
syphilis
, suivant Fournier. C'est un crâne qui représente
peut se traduire par l'hydro- [O. CROUZON.] 1110 STIGMATES DE LA
SYPHILIS
. céphalie et constitue même un élément importan
lon de l'oreille peut, lui aussi, présenter des stigmates d'hérédo-
syphilis
: ce sont les malformations connues sous le nom d
reilles de faunes, etc. Ces anomalies ne sont pas spéciales il la
syphilis
, ce sont des malforma- tions de dégénérescence
s, on peut encore signaler ' [O. CROUZON.] ! il 2 STIGMATES DE LA
SYPHILIS
. d'autres malformations dentaires qui consisten
il faudra donc faire la part des stigmates causant véritablement la
syphilis
et des stigmates simplement dystrophiques. Les st
ment dystrophiques. Les stigmates dystrophiques n'impliquent pas la
syphilis
chez les sujets qui les por- tent, elles dénonc
cent une tare héréditaire, mais ces sujets peuvent être indemnes de
syphilis
puisqu'on a observé la syphilis acquise chez des
ces sujets peuvent être indemnes de syphilis puisqu'on a observé la
syphilis
acquise chez des sujets présentant ces stigmate
ent en tournevis. RÉACTION DE WASSERMANN Le séro-diagnostic de la
syphilis
, par la méthode de Wasscrmauu. est, de l'opinio
douteux : elle se rencontre en (,n'et non seulement dans les cas de
syphilis
récente, mais dans les cas de syphilis très anc
on seulement dans les cas de syphilis récente, mais dans les cas de
syphilis
très ancienne. Nous ne pouvons entrer ici dans
d'une façon intensive. Elle se rencontre également dans les cas de
syphilis
cérébro-spinale avérée. STIGMATES DE LA SYPHI
dans les cas de syphilis cérébro-spinale avérée. STIGMATES DE LA
SYPHILIS
. 1115 Mais on l'a rencontrée aussi dans un cert
e aussi dans un certain nombre de maladies du système nerveux où la
syphilis
ne pouvait être que soupçonnée : la réaction de
que soupçonnée : la réaction de Wassermann a apporté une preuve de
syphilis
. Les recherches de M. Joltrain, sur les malades
reproduisant ci-dessous le tableau de M. Joltrain. TRAITEMENT DE LA
SYPHILIS
DU NEVRAXE par Georges GUILLAIN Les accidents
les lésions anciennes, sur les dégénérations secondaires. * Dans la
syphilis
nerveuse dont les accidents sont souvent menaçant
ules ou par les potions ne doit pas être conseillée pour traiter la
syphilis
nerveuse. Il faut avoir recours aux frictions m
e et de l'évolution du cas observé. Le traitement le meilleur de la
syphilis
nerveuse est le traitement par les injections;
tre renouvelées pendant plus ou moins longtemps. - TRAITEMENT DE LA
SYPHILIS
DU KÉVRAXF. 1115 Préparations de sels mercuriel
ercure, le sublimé. Biiodure de mercure : . 1116 TRAITEMENT DE LA
SYPHILIS
DU NÉVRAXE. Cyanure de mercure. Les solutions d
ntra- veineuses, elles ne coagulent pas le sang. TRAITEMENT DE LA
SYPHILIS
DU NÉVRAXE. 1117 7 stitué, mais il semble qu'il
iennes et très accentuées. Il parait cependant bien certain que les
syphilis
soignées au début d'une façon intensive et pend
aralysie générale. Le traitement des manifestations nerveuses de la
syphilis
chez les enfants se fera par les frictions merc
ieront suivant l'âge de l'enfant et suivant la forme clinique de la
syphilis
. Des recherches récentes sont poursuivies sur l
Des recherches récentes sont poursuivies sur le traitement de la
syphilis
du névraxe et des affections parasyphilltiqucs pa
rre et Boivin. Dans certains cas, cet état du liquide était dû à la
syphilis
des centres nerveux. La valeur de cette colorat
la réaction de Porges, peuvent être faites pour le diagnostic de la
syphilis
avec le liquide céphalo-rachidien. Les résult
ue céré- bral par la ponction lombaire, . Cyto-diagnostic dans la
syphilis
. 1° Cyto-diagnostic dans la- syphilis nerveuse.
, . Cyto-diagnostic dans la syphilis. 1° Cyto-diagnostic dans la-
syphilis
nerveuse. L'existence d'une lymphocytose dans le
pitaux, 14 mars 1902) ont observé un cas analogue. Dans un cas de
syphilis
médullaire probable, Sabrazès, Muratet et LIQUI
mortifi- cation médullaire. A côté de ces grands accidents de la
syphilis
nerveuse, les petits acci- dents de la syphilis
nds accidents de la syphilis nerveuse, les petits acci- dents de la
syphilis
nerveuse ont aussi présenté de la lymphocytose :
on qui est, comme l'ont montré Babinski et Charpentier, un signe de
syphilis
acquise ou héréditaire a été particuliè- rement
, Widal et Lemierre, Déchy, Vaquez ont constaté la lymphocytose. La
syphilis
oculaire elle-même a été étudiée à ce même point
utilité de la ponction lombaire au point de vue du diagnostic de la
syphilis
oculaire; en effet, en dehors de la syphilis, le
ue du diagnostic de la syphilis oculaire; en effet, en dehors de la
syphilis
, le cyto-diagnostic n'a été positif que dans un
urs trouvée liée à des troubles nerveux. 2° Cyto-diagnostic dans la
syphilis
, sans accidents nerveux. L'existence de la lymp
. L'existence de la lymphocytose au cours d'accidents nerveux de la
syphilis
ont amené Milian, Crouzon et Paris à rechercher
celte céphalée ne pouvait pas être une première manifestation de la
syphilis
nerveuse. Sur huit syphilitiques examinés; deux o
parce que c'est la première où on constata la lymphocytose dans la
syphilis
sans accidents nerveux, elle eut d'autre part un
aître qu'il avait trouvé une lymphocytose discrète dans deux cas de
syphilis
en période secondaire. Thibierge et Bayant ont co
Thibierge et Bayant ont constaté plus tard un cas analogue dans une
syphilis
de dix-huit mois avec cépha- lée. Puis viennent
aut les cas du liquide céphalo-ra- chidien puriforme au cours de la
syphilis
des centres nerveux. Cyto-diagnostic dans les a
ns les affections oculaires. Nous avons vu plus haut à propos de la
syphilis
nerveuse que le cyto-diagnostic n'avait été pos
euse que le cyto-diagnostic n'avait été positif que dans les cas de
syphilis
oculaire et dans une névrite sympto- matique d'
lées en général. Nous aurons surtout en vue ici les céphalées de la
syphilis
, et de la chlorose. Pierre Marie et Guillain on
l'introduction de sels mercuriels solubles dans le traitement de la
syphilis
médullaire. SYNDROMES VENTRICULAIRES par le D
eumonie, coqueluche, rhinite, oreillons, gastro-entérite, typhoïde,
syphilis
). On pensera comme de juste à la syphilis héréd
astro-entérite, typhoïde, syphilis). On pensera comme de juste à la
syphilis
héréditaire, si l'enfant pré- sente la triade d
ic étiologique, on ne manquera pas de penser à la possibilité de la
syphilis
et surtout à celle des cysticerques et de la tu
niveau d'un traumatisme ancien d'une maladie générale, tuberculose,
syphilis
, tumeur, etc., détcr- mination sans doute appel
sions localisées d'une maladie générale, comme la tuberculose ou la
syphilis
, ou d'un processus néoplasique, ostéome, ostéo-
gulières, interrompant plus ou moins la continuité du con- tour. La
syphilis
du crâne peut déterminer, à côté d'usures osseuse
al de Pott sera parfois plus intéressante. Les déterminations de la
syphilis
sur le rachis paraissent très excep- 1 ionllell
s'agir d'un néoplasme ou d'une autre lésion : hypertrophie simple,
syphilis
, tuberculose, etc. - D'autres lésions osseuses
bésiquc (rhumatisme, goutte, diabète), une infection (blennorragie,
syphilis
, tuberculose, paludisme), des intoxica- tions ;
ts, à des sinusites ou il des otites, ou encore au paludisme, il la
syphilis
, etc. Il arrive parfois, que la névralgie persi
sie infantile. Tumeurs cérébrales, 1156. Autres maladies, 117.· -
Syphilis
, .1138. D Dactylite blecnorr·agique, 1020. sy
Labyrinthe. Anémie, congestion, hémor- ragie, 155. Inflammations,
syphilis
, 154. et 157. - (Lésions du ), ), syndrome de
- par dysplasie périostale. - chez les arriérés. - dans l'hérédo-
syphilis
. - dstroplriqzt.e. - essentiel, 1095. - par ano
rne, maladies, 152. Troubles circulatoires, 155. - Inflammations,
syphilis
, 13,i. - Labyrinthites, 155. Orth (Liquide de).
ingites, dans les compres- sions inirarachidiennes, 620 ? dans la
syphilis
, 621. -- - du plexus -loin- baire et du plexus
, du langage, de la sensibilité, 110` ? .- mentaux, 1105. - de la
syphilis
acquise, 1105. - cu- tanés, - muqueux, 1105. -
muqueux, 1105. - viscé- raux, 1 100. - nerveux, 1 i 0 i . - de la
syphilis
héréditaire, 1107. - cutanés, muqueux, teslicul
et paralysie de l'accommodation, 97. Syndactylie, 101 Ii, 1042.
Syphilis
, ataxie, 711 1. - Cytodiagnostic dans la - nerv
s ner- veux, 'Il ? - Vol. Stigmates. 1400 INDEX ALPHABÉTIQUE.
Syphilis
acquise. Interrogatoire du ma- lade, 1104. - Ex
19. - périphérique, exploration. Champ visuel, 9. ' Vitiligo et
syphilis
, hou Voies cérébelleuses. Lésions, syndrome c
De l'abolition des réflexes pupillaires dans ses relations avec la
syphilis
. EN collaboration avec A. Charpentier. Dans u
a troisième RÉFLEXES PUPILLAIRES ;,9 paire, constitue un signe de
syphilis
acquise ou de syphilis héréditaire presque, sin
PUPILLAIRES ;,9 paire, constitue un signe de syphilis acquise ou de
syphilis
héréditaire presque, sinon tout à fait, pathogn
avions émise sur les relations entre les troubles pupillaires et la
syphilis
(75). Nous arrivions à cetle conclusion que l'a
tique, et que le sujet chez qui on la constate est un candidat à la
syphilis
cérébro-spinale, au tabes et à la paralysie génér
outenue. Des obsenations d'abolition des réflexes pupillaires dans la
syphilis
60 SÉMIOLOGIE héréditaire ont été relatées pa
d and non paralysed idiot children and their relation to hereditary
syphilis
» (The Journal of Mental Science, July 1900). E
paraît indiquer que le système nerveux central est tou- ché par la
syphilis
(Zur Fruhdiagnoseder Tabès, J11 ünchener medizini
ris le phénomène d'Argyll Robertson est un signe presque certain de
syphilis
(SigniGcation de la pupille d'Argyll Robertson, B
e d'Argyll Robertson ; sa valeur sémiologique ; ses relations avec la
syphilis
» (Gazelle des Hôpitaux, 1901, pp. 143ti et sui
se en lumière : sa présence chez un malade doit faire soupçonner la
syphilis
, doit faire craindre l'évolution d'un tabes ou
s un mémoire sur « les relations entre les troubles pupillaires, la
syphilis
et certaines maladies nerveuses (tabes, paralysie
rès grand mérite de nous avoir indiqué les rapports qui unissent la
syphilis
et le signe d'Argyll Robertson. Les observations
dien. Chez deux de ces malades, on notait des accidents certains de
syphilis
; chez un troisième, on retrouvait les stigmate
yll, comme l'a montré M. Babinski, est cependant tellement lié à la
syphilis
, que nous avons tenu à considérer tous ces mala
que nous avons tenu à considérer tous ces malades comme atteints de
syphilis
méconnue et que nous les avons soumis sans dist
entres nerveux venant irri- ter les méninges. » Milian (voir : La
syphilis
du système nerveux, igio, Octave Doin, éditeur,
. Ce signe est, comme l'a montré Babinski, un véritable stigmate de
syphilis
et non pas seulement, comme on l'indiquait jadi
as, des états morbides que nous considérons comme le résultat de la
syphilis
diffuse : tabes. paralysie générale, signe de R
s en rapport avec la tuberculose méningée, décèle habituellement la
syphilis
diffuse. » B. J'ai -rapporté avec Gendron (i 8g
raissait liée soit à des raptus congestifs survenant au cours d'une
syphilis
des centres nerveux, à la suite d'un ictus dans l
au tabes. « Il est à remarquer enfin que, dans aucun de nos cas, la
syphilis
ne semble être en cause ; d'ailleurs la lymphoc
sa rapide disparition, se distingue de celle qu'on observe dans la
syphilis
des centres nerveux. Notons encore que, dans to
onsiste en lym- phocytose, pourrait conduire à faire dépendre de la
syphilis
une lésion nerveuse qui n'a aucun lien avec cet
aucun autre signe de tabes ; elle m'affirmait n'avoir jamais eu la
syphilis
: enfin, la recherche de la réaction de `Vasser
estes. » G. Tabes conjugal et tabes hérédo-syphilitique. Tabes et
syphilis
. On considérait autrefois le tabes conjugal com
ées font partie mes recherches, en collaboration avec Barré, sur la
syphilis
familiale (172). En voici le point de départ :
te chronique syphilitique est rare par rapport à la fréquence de la
syphilis
, il y a tout lieu de penser que les cas de méni
que conjugale sont excep- tionnels relativement au nombre de cas de
syphilis
conjugale. Or puisque, d'une façon absolue, la
ue conjugale n'est pas une rareté, il est permis de supposer que la
syphilis
conjugale est chose assez commune. C'est au moi
aucun signe objectif d'affection organique, aucune manifestation de
syphilis
, a, dans le sang, des anticorps dont une réaction
ceux leur nombre était autrefois très faible qui soutenaient que la
syphilis
est vraisemblablement une condition sine l3auws
r sur les liens qui unissent le tabes et la paralysie générale à la
syphilis
ne sont plus contestées par personne; les restric
ues depuis que l'idée d'une rela- tion étroite entre le tabes et la
syphilis
s'est imposée à la plupart des esprits, a réell
s cliniques et anatomiques, nous avons été conduits à penser que la
syphilis
est une cause assez commune des lésions vascula
'agissait delabyrinthite suppurée, de commotion laby- rinthique, de
syphilis
cérébrale avec paralysie faciale et acoustique, d
aient liées par des relations d'ordre étiologique et que c'était la
syphilis
qui les ratta- chait les unes aux autres. J'e
ion et à la lumière. Chose curieuse, c'est dans ce dernier cas que la
syphilis
est le plus indubitable. ANEVRISME DE L'AORTE
, la réunion des symptômes dont nous parlons devra faire suspecter la
syphilis
comme cause étiologique commune, puisqu'il semb
qu'il semble acquis que le signe d'Argyll Robertson est fonction de
syphilis
. « Enfin, et pour les raisons précédemment indi
hent à la cause même qui a produit cet anévrisme, c'est-à-dire à la
syphilis
. Ces conclusions n'ont pas seulement un intérêt
l'anévrisme, mais à la cause commune du tabes et de l'aortite, à la
syphilis
. Voilà pourquoi ce syndrome justement dénommé syn
(syndrome de Babinski), le signe d'Argyll permettant d'affirmer la
syphilis
. » Grégoire Odobesco, de Bucarest, accepte auss
bsence de signes soit d'une affection cardio-vasculaire, soit de la
syphilis
, ne donne pas le droit d'admettre ou d'écarter
r. De l'abolition des réflexes pupillaires dans ses relations avec la
syphilis
(en collaboration avec Charpentier. Société de
l. De l'abolition des réflexes pupillaires dans ses relations avec la
syphilis
(en collaboration avec Charpentier. Société méd
iété de Neurologie, 12 mai igio). 172. Contribution à l'étude de la
syphilis
familiale. Recherches à l'aide de la réaction d
De l'abolition des réflexes pupillaires dans ses relations avec la
syphilis
.... 58 Do la pseudo-abolition du réflexe des pu
tabétiques 95 Tabes conjugal et tabes hérédo-syphilitique. Tabes et
syphilis
...... 96 Evolution, Pronostic, Traitement 98
rte du goût et de l'odorat : insomnie. Il déclare n'avoir pas eu la
syphilis
, et conteste tous les renseignements fournis su
pensionnaire volontaire. Pas d'alcoolisme, pas d'insolation, pas de
syphilis
; pas d'antécédents héréditaires. A son entrée,
RAVE-CLAY. 54 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. IX. Les rapports de la
syphilis
acquise et de la folie; revue cri- tique ; par
re de classification que nous reprodui- sons ici : I. Folie de la
syphilis
précoce (période primaire et secon- daire) : 1°
démence, probablement due à l'anémie cérébrale. - II. Folie de la
syphilis
tardive (période tertiaire) : 1° folie due à un
philitique de la convexité. Ileaucoup de cas, sinon tous les cas de
syphilis
cérébrale dans lesquels la folie a été causée p
ie épileptique, puisqu'ils ne se rattachent qu'indirecte- ment à la
syphilis
. - III. Folie métasyphilitique (parasyphilitiqu
qu'il y a bien d'autres voies par les- quelles une maladie comme la
syphilis
peut exercer une influence pathologique sur des
t négative et en cas négatifs. Dans près de 80 p. 100 des cas, la
syphilis
peut être considérée comme certaine, ou du moins
s fac- teurs étiologiques pouvant exister seuls, soit associés à la
syphilis
, les auteurs ont noté par ordre de fréquence l'
e, la dothiénenté- rie, etc. Ils croient pouvoir en conclure que la
syphilis
semble de beaucoup la cause déterminante la plu
la prédisposition. Il semble à peu près démontré aujourd'hui que la
syphilis
n'exerce pas une action spécifique sur la paralys
t des ganglions spinaux, toute altération due soit directement à la
syphilis
ou ses suites, soit à l'alcoolisme, etc. ; 2° R
ment de nature exogène, se rapprochant de celles du tabes, mais la
syphilis
ayant précédé, ces cas sont sujets à caution. V
45 ans. Absence d'antécédents héréditaires ou personnels. Il nie la
syphilis
; il a trois enfants bien portants et sa femme
l qu'il en soit ainsi, puisque le tabès a des liens intimes avec la
syphilis
et que~cette infection produit dans bien des cas
bien chez les animaux que chez l'homme. Elle est fréquente dans la
syphilis
et on trouve chez les jumeaux qui succombent un
bout d'un an. A exercé la prostitution et a eu très probablement la
syphilis
(condylomes à l'anus); soeur jumelle, peu recom
méclullaÍ1'es. Quant à l'étiologie du tabes dorsalis, encore que la
syphilis
doive être considérée comme la cause de la plup
'anamnèse, ni la clinique, ni l'autopsie n'ont permis de déceler la
syphilis
. Les symptômes de la maladie se rangeaient sous
du tabes et de la paralysie générale, ni leur étiologie commune, la
syphilis
, encore que les opinions diffèrent sur la fréqu
" 29-M. La cause la plus grave et la plus fréquente du tabes est la
syphilis
. * Jendrassik. Ueber die Localisation der Tabes
dée », écrit l'éminent neurologiste. C'est que, si dans le tabès la
syphilis
agit comme un véritable poison organique, comme
Redlich admet que, dans « plus de la moitié des cas » de 'tabes, la
syphilis
doit être considérée comme la cause efficiente de
maladies du système ner- veux (sclérose en plaques, tumeurs), de la
syphilis
, du diabète, des intoxications, etc. L'examen o
oulouse admet avec : \1. Richet la possibilité de la guérison de la
syphilis
par l'hypocbloruration associée au traitement iod
Marie viennent à l'appui de cette hypo- thèse. Il cite deux cas de
syphilis
tertiaire, rebelles à tout traite- ment, qui on
journal préten- dant qu'un peintre célèbre AI. B. L. était mort de
syphilis
alors que celui-ci avait succombé à une affecti
ans. L'hystérie est étran- gère à la production de-l'affection. La
syphilis
et, l'alcool ne jouent aucun. rôle direct dans
Y. 2SO REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. Contribution à l'étude de la
syphilis
spinale; par William G. SPILLFR (The Nezu-ITo'l
icroscopique montre les lésions qu'on rencontre communément dans la
syphilis
. Cette observation est suivie de remarques éten
syphilis. Cette observation est suivie de remarques étendues sur la
syphilis
spinale. Il. DE itIU : G9 : 1VG CLAY. XVIII.
ion suivante que nous résumons : homme de quarante-neuf ans; pas de
syphilis
, pas d'alcoolisme : en nettoyant un revolver il
st assez peu satisfaisant. Il. DE Musgrave CLAY. XXIII. Un cas de
syphilis
spinale précoce avec paralysie deBrown Séquard;
27 avril 1898.) Il s'agit d'un homme de quarante ans chez lequel la
syphilis
ne datait que d'un an, et qui présentait le tab
de la moelle. Le type pur de cette paralysie est très rare dans la
syphilis
spinale, mais sa forme incomplète, comme dans l
et résume assez louguement l'opinion de divers auteurs tant sur la
syphilis
que sur les paralysies d'origine médullaire, pu
cette observation la résume ; l'auteur ajoute seule- ment que ni la
syphilis
, ni le saturnisme, ni l'alcoolisme ne pou- vant
six ans, planteur, grand, brun, pas de convulsions ni diatheses, ni
syphilis
, ni migraine, sobre, caractère doux. Durant six m
oit atteinte de la même manière. 2° Elle se rencontre aussi dans la
syphilis
cérébrale et peut être limitée d'une façon perm
t sur la paroi vasculaire, le plus souvent de l'alcoolisme et de la
syphilis
. On a invoqué l'alcoolisme des parents, mais ce
n ce cas, il est fort possible que les altérations soient dues à la
syphilis
héréditaire. C'est à rechercher. P. KEHAVAL.
d. L'artério-sclérose ne pouvait s'expliquer ni parl'àge, ni par la
syphilis
, la goutte ou l'intoxication (alcoolique, saturni
chez des syphilitiques sous l'influence d'intoxications multiples (
syphilis
,- mercure, alcool, etc.) ; 3° polynévrite parai
ol, etc.) ; 3° polynévrite paraissant causée exclusive- ment par la
syphilis
(huit cas dont deux personnels). Malgré la dive
e de dégénérescence graisseuse. En somme pyo- hémie. L. D. XLVII.
Syphilis
médullaire précoce avec syndrome de Brown- Séqu
sclérose en plaques. Dans les deux maladies observées, l'absence de
syphilis
hérédi- taire, le début au même âge, l'absence
tic de maladie familiale. M. H. LI. Sur le diagnostic général de la
syphilis
du cerveau et de la moelle; par B. Sachs. (Tlie
9.) Le cerveau et la moelle sont plus fréquemment atteints par la
syphilis
que les nerfs périphériques; les capillaires joue
érieure du vaisseau et ramollissement de la zone qu'il alimente. La
syphilis
dès centres nerveux est caractérisée surtout pa
r; de là une modification des symptômes : c'est ainsi que dans la
syphilis
plus que partout ailleurs on trouvera la parésie
leur pour le diagnostic. On ne se trompera guère en suspectant la
syphilis
si l'on est en présence de lésions multiples, de
omportent les pupilles, alors même que tous les autres signes de la
syphilis
manquent : les particularités pupillaires im- p
éris- tique du tabès et de la paralysie générale ne l'est pas de la
syphilis
; 4° la forme de la pupille, qui s'écarte d'un f
la vérité cette irrégularité de forme se rencontre en dehors de la
syphilis
, mais elle est beaucoup plus commune chez les syp
lus commune chez les syphiliti- ques. Il faudra aussi rechercher la
syphilis
dans les cas où l'on observera des vertiges. On
la myélite transverse, on trouve ou un traumatisme antérieur ou la
syphilis
, des phénomènes de compression localisés, la se
L'auteur estime que l'agent irritant est une toxine produite par la
syphilis
, et il donne ici au mot toxine son sens le plus
ns le plus large. La réalité de la produc- tion des toxines dans la
syphilis
est démontrée par les manifesta- tions clinique
rescence lente. L'intensité du virus joue naturellement un rôle; la
syphilis
dit l'auteur, est un créancier capricieux qui exi
er capricieux qui exige tout des uns et presque rien des autres. La
syphilis
n'est pas toujours le seul facteur en jeu ; d'a
que l'on peut dire pour le moment. Il faut ajouter cependant que la
syphilis
est une des maladies qui ont le plus de tendanc
ux, mais non certain. Le traite- ment est naturellement celui de la
syphilis
, et parmi les médica- ments antisyphilitiques c
grave-Clay. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 427 XLIV. Rapports de la
Syphilis
avec la Folie, ouverture de la discus- sion ; p
al Science, octobre 1899.) 1 ' Quand on étudie les rapports de la
syphilis
avec les maladies mentales, il faut avant tout
connu et produit des lésions qui sont elles-même bien connues : la
syphilis
détermine un processus inflammatoire spécifique
naissance; puis il passe à l'étude du deuxième mode d'action de la
syphilis
, qui se manifeste dans les affections dites par
r la pathogénie de ces affec- tions parasyphilitiques, c'est que la
syphilis
, acquise ou hérédi- taire, abaisse l'énergie vi
e l'argument le plus fort en faveur de la doctrine qui considère la
syphilis
comme le facteur étiologique le plus important
yringomyélie vraie reste inconnue : peut-être réside-t-elle dans la
syphilis
héréditaire ; peut être existe-t-il d'autres co
CLINIQUE MENTALE. 1 Un nouveau cas de paralysie générée' avec
syphilis
héréditaire ; * Nv\ Par le D' E. RÉGIS, ·1 *
phale, 1885.) Deux nouveaux cas de paralysie générale juvénile avec
syphilis
héréditaire. (Biill. de la Soc. de ii2étl. de B
ue, dont j'ai eu des spécimens sous les yeux. paralysie générale ET
syphilis
héréditaire. 451 Son voyage dura trois ans. La
çon si typique chez le paralytique général. paralysie générale ET
SYPHILIS
héréditaire. 453 Tel était l'état de Victor L..
uelques mots les principales particularités de cette observation.
Syphilis
héréditaire. La première de ces particularités,
d'un pellagreux. Lui-même était atteint de pellagre, doublée d'une
syphilis
qu'il communiqua à sa femme avant la naissance
e. La mère était sous l'influence des accidents secondaires de la
syphilis
lorsqu'elle accoucha de Victor. J'eus toutes les
er à guérir provisoirement ce malheureux garçon atteint lui-même de
syphilis
. Plus tard, la mère eut des accidents tertiaire
et que lui-même a eu dès le bas âge des accidents secondaires de
syphilis
. - 1 Il me semble difficile de souhaiter mieux
sie générale juvénile à l'origine duquel on trouve manifestement la
syphilis
. Je rap-' pelle, en ce qui concerne mes quatre
s, que la première était relative à un jeune homme chez lequel la
syphilis
fut soupçonnée en raison d'une éruption suspecte
ient une jeune fille et un jeune homme chez les parents desquels la
syphilis
fut nettement retrouvée. J'ajoute qu'il en a ét
omme dans la paralysie générale des adultes, dénoncent nettement la
syphilis
et confirment ainsi le rôle capital de cette in
Bor- deaux, 1899.) 456 ' CLINIQUE MENTALE. aine, antérieur à la
syphilis
paternelle, est, des cinq, le seul bien portant
ales n : f'(co-yc/to ? yK('6',mai-juu] 1898.) PARALYSIE GÉNÉRALE ET
SYPHILIS
HÉRÉDITAIRE. 457 rentre au corps, puis le 3 jan
ieure. Une éruption avec un violent coryza seraient en faveur de la
syphilis
secondaire. P. Kerwal. LVII. Du sourire obsédan
nt que cet individu est issu d'une famille scrofuleuse, affectée de
syphilis
héréditaire, dans laquelle le système nerveux s
pilepsie. - , SOCIÉTÉS SAVANTES. 501 S'agit-il ici de P. G. ou de
syphilis
cérébrale comparable aux myélites embryonnaires
ologie multiple et produite indifféremment par un agent infectieux,
syphilis
, alcool, aulo-inloxication (surmenage) ou etc.,
z un syphilitique devenu dément on trouve encore la signature de la
syphilis
, on ne devra par exemple, diagnostiquer qu'une
trois observations dans lescluellés on passe histologiquement de la
syphilis
cérébrale à la paralysie générale. La même inte
ès. Il est aboli en effet chez un homme de quarante ans qui a eu la
syphilis
à vingt-quatre et qui s'estbien porté jus- qu'à
s. Enfin, il est encore aboli chez un homme âgé ayant eu aussi la
syphilis
et qui présente de la rigidité pupillaire ; chez
ent. Ce phénomène paradoxal est très accusé. Le malade contracta la
syphilis
à l'âge de dix-huit ans. Neuf ans plus lard, il
es causes étiologiques, l'auteur indique : l'émotion, 24 p. 100; la
syphilis
, 18.S p. 100; l'alcoolisme 11,3 p. 100; le trau
es fatigues intellectuelles se rencontrent peu parmi les femmes. La
syphilis
figure comme cause étiologique exclusivement po
de l'artère s3,lvieiine, c) méninge-encéphalite, d) encéphalite,e)
syphilis
cérébrale, /') tumeurs cérébrales, h) ané- vris
e, a;) morphi- nisme chronique. Parmi les causes étiologiques, la
syphilis
occupe la première place, (27,03 p. 100). Vienn
ades, par 131achfor : i, 3J7. - circulaire, par Jlac-Lulich. 424.
Syphilis
et -, par Mon, 427. - et mariage, par Afould, 4
issaud et monos. 346. Sept cents cas de -, par Smith. 429. - avec
syphilis
héréditaiie. par Régis. 449. infauto-juvéulle,
autop- sie, par Souques, 394. et tttu- bation, par Touche, 507.
Syphilis
. Rapports de la - acquise et de la folie, par D
ES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE NERVEUSE CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE LA
SYPHILIS
DU SYSTÈME NERVEUX, Paralysie générale, M.NIN
ur agrégé, Médecin de la Salpêtrière. Le rôle considérable que la
syphilis
joue dans la pathologie du système nerveux n'es
de beaucoup l'étude anatomique, et -la difficulté de rapporter à la
syphilis
les processus histologiques de ces deux maladies
le lien causal saute bien mieux aux yeux que lorsqu'il s'agit d'une
syphilis
ancienne. Rien n'est variable comme la marche
ectueuse des liquides nourriciers, on peut la voir évo- ÉTUDE DE LA
SYPHILIS
DU SYSTÈME NERVEUX. 3 luer sous les allures cli
écorce cérébrale, dans un cas de paralysie générale, à celles de la
syphilis
médullaire, il déclare bien qu'il considère cet
se que nous ne pouvons pas différencier actuellement de celle de la
syphilis
. D'ailleurs n'est-on pas embarrassé à chaque in
. Ce qui en fait le principal intérêt, c'est que la signature de la
syphilis
se trouvait dans certaines lésions des gros vai
L'Observation III concerne un homme atteint autrefois ÉTUDE DE LA
SYPHILIS
DU SYSTÈME NERVEUX. 5 d'une myélite transverse
t .de vue de la marche et de l'évolu- tion de certains accidents de
syphilis
cérébrale. Observation I. Syphilis datant de qu
tion de certains accidents de syphilis cérébrale. Observation I.
Syphilis
datant de quatorze ans. Céphalalgie. Attaque ap
ans, sont envoyés au dépôt. Il y a quatorze aus, ayant contracté la
syphilis
(plaques muqueuses, céphalalgie, perte des chev
la marche est peu assurée, sans qu'il y ait d'ataxie à ÉTUDE DE LA
SYPHILIS
DU SYSTÈME NERVEUX. 1 proprement parler; la sta
ge, veines et artères, de lésions nodulaires caractéristiques de la
syphilis
; la phlébite est la cause de l'hémor- rhagie mé
contre dans la paralysie générale légitime. Fi3. 1. ÉTUDE DE LA
SYPHILIS
DU SYSTÈME NERVEUX. Il La lésion n'est pas très
corce cérébrale ; on la retrouve dans toutes les autre- ÉTUDE DE LA
SYPHILIS
DU SYSTÈME NERVEUX. 13 parties du cerveau et, p
en l'absence de tuberculose,'on ne peut guère les rapporter qu'à la
syphilis
: encore un pas; et nous aurions de véritables
pendant par sa localisation ; on pourrait déjà presque affirmer la
syphilis
à l'aspect des lésions méningées. Les éléments ce
-vasculaire du foyer. Carmin. (Obj. 3, oc. 1 Vérick.) ÉTUDE DE LA
SYPHILIS
DU SYSTÈME NERVEUX. 15 tement limitées à l'écor
;o.N/MM de Delalield, éosine. (Obj. 0, oc. 1 Vérick.) ÉTUDE DE LA
SYPHILIS
DU SYSTÈME NERVEUX. 17 l toutes leurs branches
liîzc de Delcifield, dosiize. (Obj. 1, oc. 1 Vérick.) ÉTUDE DE LA
SYPHILIS
DU SYSTÈME NERVEUX. 19 La membrane élastique in
xylizze de Delalifld, éosine. (Obj. 3, oc. 1 Vérick.) ÉTUDE DE LA
SYPHILIS
DU SYSTÈME NERVEUX. 21 de la base du cerveau et
écédents héréditaires. Son père est mort asthmatique, à ÉTUDE DE LA
SYPHILIS
DU SYSTÈME NERVEUX. 23 l'âge de cinquante-quatr
la plus grande volubilité, mais sa parole est tellement ÉTUDE DE LA
SYPHILIS
DU SYSTEME NERVEUX. 25 bredouillée qu'on a de l
la partie inférieure du renflement lombaire, on observe ÉTUDE DE LA
SYPHILIS
DU SYSTÈME NERVEUX. 27 1 une sclérose fort inte
ernes et de la zone de Westphal. Colo- ration de Pal. ÉTUDE DE LA
SYPHILIS
DU SYSTÈME NERVEUX. 29 par disparaître progress
e leurs parois). llémccloxgline de Delafield, éosine. ÉTUDE DE LA
SYPHILIS
DU SYSTÈME NERVEUX. 31 du processus de myélite
le plus important, c'est l'ivrognerie' ; puis, vient l'hérédité. La
syphilis
n'arrive qu'en, troisième ligne; après .elle,"
s, dans le contre- coup réciproque qu'eurent, l'une sur l'autre, la
syphilis
et l'intoxi- cation morphinique. Malgré des soi
zarre d'érup- tions cutanées, due à.la fois au morphinisme et. à la
syphilis
, les éruptions morphine-syphilitiques. T- n , ?
nfec- tieuses et aux délabrements organiques, à l'exclusion de la
syphilis
. L'auteur insistera spécialement sur leur pathogé
i r ' ' t* : '-j ? i ..fi )t'<H ? S< : J ? Observation III.
Syphilis
en 1885. Paraplégie complète, u pré- z cédée de
ives de Neurologie, t. XXVII, page 1. , ' ' ,, i' . - ÉTUDE DE LA
SYPHILIS
DU SYSTÈME NERVEUX. Il 1 i» réflexes, épilepsie
sque complètement.'tq sf 'le- ans.. , ? ! .... ? m J. ÉTUDE DE LA
SYPHILIS
DU SYSTÈME NERVEUX. 119 9 supposition ces fibre
" ^ ]',h,^ ".« ? , . ? . 1, ? ., O"fa m' h .5 imdnr.e ÉTUDE DE LA
SYPHILIS
DU SYSTÈME NERVEUX. 121 - M malien eiidügèiie.
atiquée au niveau de la huitième racine cervicale.' · ÉTUDE DE LA
SYPHILIS
^DU ^SYSTÈME NERVEUX. '123 f quée, surtout la sy
'infil- tration diffuse que l'on peut aussi * bien attribuer à lâ
syphilis
qu^à la- tuberculose. ? . " . a"r. * '' Les l
,,f ? ' « "™'> "'fy df'ul n ? ") ? t'T"T ? n ? T Revenons a la
syphilis
. La moelle est le siège d'une méningori tnÿélit
itekembrÿônnairéidifîüsë qui est la cause des accidents ÉTUDE DE LA
SYPHILIS
DU. SYSTÈME NERVEUX. '1 L Î. , 1 '-%'tL'lVJ1f ?
querola3tracer d'une ancienne artérite syphilitique guérie. Dans la
syphilis
,, ,.t.,r ? j : n'.Uu<<t't . sypliilitiq'
rolifération, et que, par consé- quent, les lésions veineuses de la
syphilis
ne sont nullement comparables aux lésions artér
accidents : dans les artères, au moins dans les petites artères, la
syphilis
amène l'oblitération, dans les veines elle entr
l'existence de lésions scléro-gommeuses, traces indé- niables d'une
syphilis
ancienne. Celle-ci a pu être fort bénigne. Ne s
insi que Fournier l'a indi- qué, que ce sont précisément les cas de
syphilis
bénignes, en apparence, qui se terminent par le
ffit de voir, sur les figures - e·t T · ' ,a. ! * ' ' ÉTUDE DE LA
SYPHILIS
DU SYSTÈME NERVEUX. d29 l '.>'.»- - \ .>.
ostérieurs' leur'maximum ? d'intensité dans les cas de tabes où la-
syphilis
ne figure pas dans les antécédents écolo- gique
i . ') t L observation III concerne un homme qui a contracté la 1
syphilis
en 1885 ; deux ans plus tard, c'est-à-dire aune p
du trai- ' tement, dans le cas particulier, plaide en faveur de la
syphilis
. Donc, très probablement, eh l'espèce, ! il s'a
ans les gaines de myéline; cette dernière lésion, véri- ÉTUDE DE LA
SYPHILIS
DU SYSTÈME NERVEUX. '131 ~ table myélite-trauma
ire* et qu'ils étaient,' comme celle-ci,' sous la'dépendance'de la'
syphilis
.' Or,"l'aut6psie'nous'amontré des lésions qui p
ontre,' en effet, à part les tumeurs et les méningites, que dans la
syphilis
(baux- garten). Les altérations des capillair
er jusqu'à l'évidence que, dans la méningo-encéphalite ÉTUDE DE LA.
SYPHILIS
DU,. SYSTÈME NERVAUX. '133'' diffuse *. syphili
ral ; sa mère fantasque, avait de' nombreuses manies : Il prend la,
syphilis
ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX. 135
ue, avait de' nombreuses manies : Il prend la, syphilis ÉTUDE DE LA
SYPHILIS
DU SYSTÈME NERVEUX. 135 en 1870. En 1884, survi
ion V. M. M..., âgé de cinquante ans. ; , Le malade a contracté la.
syphilis
à l'âge.de vingt-six ans; il a · un enfant idio
D'ailleurs, rien n'est variable comme l'évolution clinique de la
syphilis
cérébrale ; mais sur ce sujet il n'y a rien à ajo
y a rien à ajouter à ce qu'en a dit, Fournier dans son livre sur la
Syphilis
du cerveau, livre empreint d'une si grandet sci
ique d'une unité indiscutable ; c'est là une'belle synthèse de la
syphilis
cérébrale, à laquelle je ne peux que souscrire .'
i bien l'en- chaînement de tous ces faits et leurs rapports avec la
syphilis
, l'idée de l'origine spécifique de la paralysie
oin d'avoir éclairé la question ; alors que pour les uns c'est la Ç
syphilis
qui' constitue la' cause par excellence de la par
cool seuls reste imputable l'étiologie de la méningo-encéphahte. La
syphilis
n'est rencontrée que dans 4 cas. comme cause pr
i( ? i ? V. f ' 1 sin\ îi^9T..q . ' - Homme de quarante-quatre ans;
syphilis
en 1870 (sansitraces); en 1872, 'paresthésie 'a
ropa ! <A : e des <a&e'< ? ses et ses rapports avec la
syphilis
? ; .«Névroses consécutives aû,x âccidents » « Co
pt;mois, onmeitrouve rien d'intéressant. Iln'vlest ? p4sluestiôn de,
syphilis
.;On m'a-raconté-que lai mère n'avait jamatsïçonst
érale ayant fait son apparition à l'âge de dix-huit ans et due à la
syphilis
héréditaire : le second a trait au contraire ?
nd a trait au contraire ? à'nné'pârâlÿsie ? ériér3lèarëlêvànt"d'uné
syphilis
acquise, avec gommé du'iobe'frontadroit ? "'
de détail de notre observation : à savoir l'alcoolisme du père; la
syphilis
^probable de la.- malade (trois enfantsc mort- .
eux questions tout d'actualité : les relations étiolo- giques de la
syphilis
avec la paralysie générale, et les rap- ports d
es quatre cinquièmes des cas,la paralysie générale reconnaîtrait la
syphilis
comme un de ses facteurs étiologiques 1. Sa fré
x. A ce titre, nous publions l'observation suivante : 1 Fournier.
Syphilis
et paralysie générale. (Bulletin médical du 26
ses proches'chez un ? spécialiste qui, après' examen, conclut'à la
syphilis
, et' conseille pommade au calorriel loco dplent
la paralysie sont l'expression d'un état morbide général, comme la.
syphilis
), il nous parait plus naturel d'admettre, un proc
econd point que soulève cette observation est relatif au rôle de la
syphilis
comme facteur étiologique.'A cet égard, les ant
ée, son mari était en pleine éruption de plaques muqueuses. Donc la
syphilis
paraît très plausible. ' In Leçons sur les mala
n de plus juste, car nous ne 'comprenons' pas que -Ton dénie"' la
syphilis
toute ' action sur les centres nerveux/ alors que
cidence, une raison pour faire pencher la balancé en faveur de la
syphilis
. * - '" ? ? ? , ' Mais la malade ne rentre ' nu
e de l'affection, sans qu'il soit nécessaire de faire intervenir la
syphilis
. Agir différemment, ne tiendrait à rien moins q
remment, ne tiendrait à rien moins qu'à déclarer qu'en dehors de la
syphilis
, il n'y a point de paralysie. Et, sans vou- loi
loir tomber dans un excès contraire, il est licite d'avancer que la
syphilis
, sans le secours de l'hérédité, est impuissante l
paralytiques généraux. Sur ces 100 malades, 47 n'avaient pas eu la
syphilis
antérieurement. On en a examiné 43. Chez 9 d'entr
le grand sympathique). Sur les 53 malades ayant eu préalablement la
syphilis
, 50 ont été examinés au point de vue qui nous i
faits l'état des nerfs crâniens. Chez les 47 ma- lades indemnes de
syphilis
, il y avait cas de blépharoptose, et chez les 5
le.' avec-' parésie' de l'accommodation indiquè-pcesqûe sûrement la
syphilis
. ' r ? nkr,^, ik, ïj,14 ? M. PELMAN. Que la par
ez des indi- vidus qui,' pour la plupart, ont'eu antérieurement la'
syphilis
cela est certain. Par conséquent il est évident
s'de' la paralysie générale/'Mais le''terrain étant' préparé par la
syphilis
,' une fois' que' la paralysie générale y a germ
de 19; l'épilepsie,9 ? la folie systématique' (5'cas) ? = l''cas de
syphilis
cérébrale; 3 cas d'alcuolisméchronique; = 5'câs
à l'étude du délire d'origineparPiquéet Febvre; 140." ' ? 1, ,)
Syphilis
, contribution à l'étude de la du, système nerve
ux fois à Madagascar. Uans les antécédents personnels, on relève la
syphilis
, le malade a eu cette affection en pleine adole
mates de scrofule. Trois sont morts en bas-âge. Le malade a eu la
syphilis
et a été traité : il s'est marié en 1886 et en
nte-deux ans, gazier, entré le 20 juil- let 1891. Première période.
Syphilis
, alcool et excès vénériens, forme surtout démen
L DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 19 20 octobre 1891. Première période.
Syphilis
et hérédité congestive. Impuissance depuis plus
nte-huit ans, mécanicien; entré le 27 avril 1891. Première période.
Syphilis
et surmenage cérébral. Forme expansive calme av
ble, entré le 14 sep- tembre 1891. Pas de causes bien définies : ni
syphilis
, ni alcool. Première période, forme mixte. Déli
uit ans, bijoutier ; entré le 25 juil- let 4891 . Première période.
Syphilis
et misère. Forme expansive calme avec exagérati
trente-cinq ans, menuisier; entré le 2 août 1892. Première période.
Syphilis
et alcool. Forme mixte. Le ma- lade a des conce
ngomyélique, puisque dans l'étiologie de cette dernière maladie, la
syphilis
ne joue aucun rôle. On a dit que ces arthropath
sont deux ou trois fois plus atteintes que les classes aisées. La
syphilis
, l'alcoolisme, les excès variés, les causes moral
donné le caractère particulier des causes invoquées, sauf pour la
syphilis
. Les premiers symptômes du tabes se montrent six
importance : le médecin de la prison avait porté le diagnostic de
syphilis
cérébrale et tumeur cérébelleuse. L'auteur indi
'insertion des muscles périarticu- laires, notamment du deltoïde.
Syphilis
des centres nerveux chez les indigènes de l'Algér
nerveux chez les indigènes de l'Algérie. , M. ScuEaB (d'Alger). La
syphilis
est extrêmement fréquente parmi les indigènes d
anciens syphilitiques y abon- dent. Ceci pourrait tenir à ce que la
syphilis
a été importée en Algérie à une date relativeme
des boissons alcooliques. Leur terrain n'est pas prêt pour que la
syphilis
y évolue dans ce sens. Qnant aux lésions gommeuse
uvrier du port, alcoolique; le quatrième chez un Arabe de 27 ans, à
syphilis
grave sans tare antérieure. D'une manière génér
ve sans tare antérieure. D'une manière générale, ce ne sont pas les
syphilis
graves qui entraînent SOCIÉTÉS SAVANTES. 59 d
ès sont tellement fréquents que le malade désire être opéré. Pas de
syphilis
, ni de traumatisme, ni d'alcoolisme dans les anté
ès'souvent, relèvent des mêmes causes étiologiques, notamment de la
syphilis
, de l'alcoolisme et de la tuberculose. Discus
congrès de psychologie de 1900 l'observation d'un homme atteint de
syphilis
cérébrale chez qui à la suite d'une attaque épi
s ce cas particulier, à l'influence étiologique du paludisme pas de
syphilis
; comme cause déterminante, à l'action du froid
paraissant avoir été accompagnée de symptômes 'actéristiques de la
syphilis
: au point de vue mental, perte de mémoire, inc
, et d'excitation maniaque. La question du rôle étiologique de la
syphilis
dans la folie est obscure et controversée : ce
u somatique, en l'absence de tout alcoolisme, il semble bien que la
syphilis
ait joué un rôle prépondérant sinon exclusif. L
izaine d'années, il serait sujet à des crises de rhumatisme. Pas de
syphilis
, pas de tuber- culose, pas d'éthylisme : mentio
- ditaires ou personnels aucune affection nerveuse ou mentale, ni
syphilis
, ni alcoolisme. Porteur d'un kyste dermoïde du so
Dans les antécédents héréditaires il faut citer l'alcoolisme et la
syphilis
du père. Pneumonie à cinq ans. Développement norm
s deux observations, différentes par leur étiologie, dans l'une, la
syphilis
héréditaire doit être mise en cause; dans l'autre
s. D'autre part la P. G. juvénile est bien plutôt le résultat de la
syphilis
héréditaire que de la syphilis ac- quise. M.
le est bien plutôt le résultat de la syphilis héréditaire que de la
syphilis
ac- quise. M. Marchand insiste sur ce fait qu
Y a signalé ce cas surtout parce que ses malades ayant contracté la
syphilis
étant jeunes, sont devenus de très bonne heure
un argument irréfutable en faveur du rôle prépondérant joué par la
syphilis
dans la production de la paralysie générale : e
hylaxie de la maladie initiale. De l'avis de tous les auteurs, la
syphilis
est une cause principale de la paralysie généra
, c'est elle qui, de préférence, devient première paralytique. La
syphilis
est si bien la cause de la paralysie générale qu'
ivre cette étude de quelques considérations sur le traitement de la
syphilis
traitement spé- cifique habituel et sur la prop
philis traitement spé- cifique habituel et sur la prophylaxie de la
syphilis
. tp. Céphalées et intoxications ; par le Dr And
versée. Les deux causes surtout incriminées sont l'alcoolisme et la
syphilis
. Longtemps niée, l'influence de la syphilis appar
sont l'alcoolisme et la syphilis. Longtemps niée, l'influence de la
syphilis
apparaît de jour en jour plus prépondérante, ca
z eux de la cause vraiment efficiente de la paralysie générale : la
syphilis
. L'existence'de la syphilis dans plusieurs cas
fficiente de la paralysie générale : la syphilis. L'existence'de la
syphilis
dans plusieurs cas de paralysie générale chez l
nhibition doivent être en réalité de l'aphonie hystérique. P. XXXV.
Syphilis
du cerveau; par J.-T. Esmtdge. (The New York Mé
.-T. Esmtdge. (The New York Médical Journal, 14 juillet 1900.) La
syphilis
cérébrale est héréditaire ou acquise, et sous cet
plus fréquente chez l'homme que chez la femme : les symptômes de la
syphilis
héritée se manifestent avant ou de suite après
ellement, jusque vers la douzième ou la treizième année. Quant à la
syphilis
acquise, elle parait atteindre le cerveau dans
, suivant Hjelmann, et dans 21 p. 100 des cas, suivant Fournier, de
syphilis
tertiaire. Combien de temps après la lésion ini
cinq à douze ans; les gommes sont plus précoces : mais il y a des
syphilis
cérébrales hâtives (de un à quelques mois après l
is l'infection, on ne peut jamais déclarer le malade à l'abri de la
syphilis
cérébrale. Il est à peu près admis que toutes l
s lésions cérébrales jusque-là latentes. Les effets directs de la
syphilis
sur le cerveau, les lésions spéci- fiques, amen
que est la gomme : c'est un produit inflammatoire, déterminé par la
syphilis
et diffère des autres produits inflammatoires p
x ordres de lésions. Il étudie ensuite l'état des vaisseaux dans la
syphilis
du cerveau : toute cette partie de son travail
ue. Puis il examine sommairement le diagnostic dillé- rentiel de la
syphilis
cérébrale avec les autres affections organiques
ournal, 28 avril 1900.) On a eu raison de dire que quand on sait la
syphilis
et l'hystérie, on sait toute la médecine, car l
n sait la syphilis et l'hystérie, on sait toute la médecine, car la
syphilis
détermine des lésions, et l'hystérie des symptô
ien réellement. de paralysie générale. Dans les cas de M. Devay, la
syphilis
héréditaire se retrouve, comme cela a lieu pres
en présence de températures anormales. Noie sur l'influence de la
syphilis
héréditaire, de l'alcoolisme et de quelques pro
atten- tion de nos collègues seulement sur trois'de ces causes : la
syphilis
, l'alcoolisme, les professions insalubres. 1°
auses : la syphilis, l'alcoolisme, les professions insalubres. 1°
Syphilis
héréditaire. Sur 2.702 observations de garçons
s de maladies chroniques du système nerveux, nous n'avons relevé la
syphilis
des parents que dans 20 cas, soit 1 p. 100. Nous
ce n'est qu'ensuite que nous posons catégoriquement la queslion de
syphilis
. Sur 482 filles atteintes des mêmes maladies, n
2 filles atteintes des mêmes maladies, nous n'avons que deux cas de
syphilis
héréditaire avouée. La pro- portion est encore
19 fois des lésions dentaires, susceptibles d'être rattachées à la
syphilis
héréditaire. De ces 19 cas, une seule fois nous a
lis héréditaire. De ces 19 cas, une seule fois nous avons relevé la
syphilis
chez l'un des géniteurs. Nous avons fait une revi
revision avec notre ami le Il Hallopeau sans parvenir à déceler la
syphilis
chez les parents. Comment expliquer cette raret
la syphilis chez les parents. Comment expliquer cette rareté de la
syphilis
héréditaire comme cause de l'idiotie ou mieux d
comme cause de l'idiotie ou mieux des idioties' ? Les effets de la
syphilis
du père ou de la mère se traduisent d'abord par
mois ou dans la première année de la naissance. Ultérieurement la
syphilis
s'atténuant soit spontanément, soit sous l'influe
ques qui se surajoutent aux profes- sions insalubres, alcoolisme et
syphilis
. Nous ne vous lirons pas ces tableaux, nous ne
ses complicatiuns chez l'homme et chez la femme, le chancre mou, la
syphilis
avec ses accidents divers, les principales affe
ériennes. Considérant le danger social de la blennorrhagie et de la
syphilis
, l'auteur insiste sur la néces- sité d'une régl
es causes déterminantes, de nature toxique, telles que l'alcool, la
syphilis
, l'influenza, l'intoxication saturnine, et' d'a
iste des preuves, tant cliniques qu'ana- tomo-pathologiques, que la
syphilis
est un des antécédents les plus fréquents, et p
ts idiots, paralysés et non paralysés et sur leurs rapports avec la
syphilis
héré- ditaire ; par W.-J. KOENIr.. (The Journal
lte donc des recherches de l'auteur que puisque nous rencontrons la
syphilis
des parents, dans la majorité des cas de démenc
e, sans toutefois nous permettre d'écarter les causes autres que la
syphilis
, et cette opinion est d'ailleurs en parlait acc
des avancées de la paralysie générale : un seul cas était un cas de
syphilis
cérébrale. R. de MU5Gl\.\\'E-CL\Y. Xi. Emphys
Si nous laissons de côté naturellement la paralysie générale, la
syphilis
cérébrale, l'alcoolisme, l'épilepsie et les psych
te catarrhale chro- nique bilatérale. Rien à l'auscultation. Pas de
syphilis
. Traitement REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE
. L'- à Vienne, 285. Drames de l ? 286, 366, 414. Influence de la
syphilis
hérédi- taire de 1'- et de quelques pro- fess
IE. Un cas de -, par Deganello, 223. Professions. Influence de la
syphilis
héréditaire, de l'alcoolisme et de , quelques
543. Swcnrworsc. Histoire d'un vision- naire, par Ballet, 162.
Syphilis
du système nerveux en Algérie, par Scherh. 58.
s- tatation du signe d'Argyll Robertson vient, dans bien des cas de
syphilis
médullaire, corroborer le diagnostic ; enfin la
tion lombaire donne un bon signe différentiel, lymphocytose dans la
syphilis
, résultat négatif dans la tuberculose (Sicard e
issement des trous de conjugaison.- Le malade avait eu peut-être la
syphilis
(Comparez avec la fig. 3, B de la planche). Fig
ncs. Ce n'est qu'à sa mort qu'on découvrit les dettes. Contracta la
syphilis
après la naissance des fils, devint tabétique et
ec sa haute taille, ne rappelle en rien les faux infan- tiles de la
syphilis
, de la tuberculose, de l'alcoolisme, etc. D'autre
ompe fort, une de ces causes lointaines. Ainsi que l'hérédité de la
syphilis
, de la tu- berculose et des autres infections à
de sa mère. Du reste on ne trouve dans cette famille ni des cas de
syphilis
ni des maladies nerveuses ou mentales, ni la co
'on ne peut pas accepter un rapport causal'avec l'acromégalie. 2°
Syphilis
héréditaire. Ce sont surtout les célèbres Fournie
lade et de ses parents il me semble, que j'ai le droit d'exclure la
syphilis
héré- ditaire chez F.... Les observations intér
t l'infantilisme ne se déve- loppent pas toujours sur la base de la
syphilis
héréditaire. Voici une de leurs conclusions : i
tissus par des produits chimiques ; acide carbonique, toxines de la
syphilis
, composition altérée du sang par suite d'une fonc
toute tare cutanée. Pas de tuberculose; père buveur de vin ; pas de
syphilis
. Pas de tare ner- veuse. Antécédents personne
aisante, teint coloré. Pas de signe révélateur d'alcoolisme, pas de
syphilis
* Pas de convulsions ni d'in- continence d'urine
ment ses antécédents syphilitiques, alcooliques et de surmenage, la
syphilis
surtout, qu'il a prise à 18 ans. Mais en quelqu
entes, plusieurs séjours dans différents services hos- pitaliers.
Syphilis
à 23 ans, fièvre typhoïde dans la jeunesse, coliq
DE BICÊTRE. LABORATOIRE DE M. PIERRE MARIE SCLÉROSE EN PLAQUES ET
SYPHILIS
PAR GIUNIO CATOLA Assistant à la Clinique p
ème nerveux, dit que la sclérose en plaques n'a rien à voir avec la
syphilis
; il reconnaît cependant l'existence d'une form
vec la syphilis ; il reconnaît cependant l'existence d'une forme de
syphilis
cérébro-spinale à foyers disséminés. P. Marie d
nt dans des conditions différentes : c'est ainsi par exemple que la
syphilis
, qui ne produit guère la sclérose en plaques pro-
, en conclusion, pourrait être mise sur le compte étiologiqùe de la
syphilis
. » Nonne dans sa monographie sur la Syphilis du
te étiologiqùe de la syphilis. » Nonne dans sa monographie sur la
Syphilis
du système nerveux dit que quoiqu'on puisse avo
en plaques ordinaire. Si dans l'anamnèse du malade on rencontre la
syphilis
,cela n'en constitue pas nécessairement une preuve
t une preuve ; au contraire on peut considérer comme certain que la
syphilis
n'a aucune valeur étiologique dans le développe
l'existence d'une sclérose multiple syphili- SCLÉROSE EN PLAQUES ET
SYPHILIS
339 * tique est uniquement admissible dans le
par Charcot, Gombault, Bechterew, etc.. Gowers aussi décrit dans la
syphilis
du système nerveux des formations sclérotico-in
onstituée par la présence de nodules caséeux caractéristiques de la
syphilis
. L'existence d'une syphilis à foyers disséminés
nodules caséeux caractéristiques de la syphilis. L'existence d'une
syphilis
à foyers disséminés étant admise, on a objecté
tive d'origine congénitale, on comprend aisément qu'ils excluent la
syphilis
des causes de la maladie, et même qu'ils en exc
ur origine des infections, des intoxications, l'artériosclérose. La
syphilis
, pou- vant déterminer des lésions vasculaires s
l'origine infectieuse de la sclérose en pla- SCLÉROSE EN PLAQUES ET
SYPHILIS
341 i ques tout en acceptant une forme de myéli
st pas démontré que la sclérose en plaques ne puisse reconnaître la
syphilis
comme cause. Cela d'autant plus que dans la bib
âgée de 34 ans, était syphilitique. Quatre ans après le début de la
syphilis
elle présenta des troubles visuels, une paralysie
conclut en admettant la coexistence de la sclérose multiple avec la
syphilis
spinale. Il ne considère pas cette association
ation comme rigoureusement certaine ; mais il fait remarquer que-la
syphilis
ne peut pas être mise hors decause d'une façon
ses conclusions a été critiquée par Ladame. « La complication d'une
syphilis
spinale par une sclérose en plaques de nature d
sclérose en plaques. Cela d'au- tant plus, suivant son avis, que la
syphilis
cérébro-spinale présente sou- vent des lésions
yphi- litique. Moncorvo a maintes fois insisté sur le rôle que la
syphilis
héréditaire peut jouer dans ['étiologie de la s
a sclérose multiple de l'enfance. Une sclérose disséminée dans la
syphilis
héréditaire a été décrite aussi par Jacobsohn c
ment intentionnel, contractions fibrillaires SCLÉROSE EN PLAQUES ET
SYPHILIS
343 dans la langue et les masséters, parole sca
ous semble pas entièrement justifié d'éliminer dans tous les cas la
syphilis
des facteurs étiologiques de la sclérose en pla-
onçoit t pas pourquoi on la doit considérer comme une forme rare de
syphilis
ner- veuse. Car si la syphilis est capable de d
t considérer comme une forme rare de syphilis ner- veuse. Car si la
syphilis
est capable de donner naissance à des plaques de
e la sclérose multiple, cela cons- titue bien une forme spéciale de
syphilis
nerveuse, mais il n'y a pas de raisons pour ref
rose en plaques uni- quement parce que dans son étiologie figure la
syphilis
. SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPI11LIS 345 Après a
urs le malade dit qu'il voit double le matin SCLÉROSE EN PLAQUES ET
SYPHILIS
347 au moment où il se réveille et que ce phéno
Fig. 5 Fig. 6 Fig. 7 Fig. 8 Fig. 9 SCLÉROSE EN PLAQUES ET
SYPHILIS
(Catola.) Masson & Ci«, Éditeurs SCLÉRO
LIS (Catola.) Masson & Ci«, Éditeurs SCLÉROSE EN PLAQUES ET
SYPHILIS
349 noyau central inférieur, de l'olive supérie
ig.13 Fig. 11 t Fias Fig. 12 Fig. 15 SCLÉROSE EN PLAQUES ET
SYPHILIS
(Catola.) SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS 351
SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS (Catola.) SCLÉROSE EN PLAQUES ET
SYPHILIS
351 1 ractères d'une métamorphose hyaline ou co
3 t Fig. 4 4 ,1 : \ Fig. 5 11 I i SCLÉROSE EN PLAQUES ET
SYPHILIS
1 (Catola.) SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS 3
CLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS 1 (Catola.) SCLÉROSE EN PLAQUES ET
SYPHILIS
353 Sclérose des zones ciliaires et périciliair
Stroebe et de Kaplan nous avons pu mettre en SCLÉROSE EN PLAQUES ET
SYPHILIS
355 évidence dans les territoires scléreux une
iées ou très peu colorées par la laque hématoxylinique. En résumé :
syphilis
à 31 ans. Début de la maladie à 34 ans d'une faço
e pouvons omettre une remarque : Certains auteurs prétendent que la
syphilis
cérébro-spinale ne réalise jamais la symptomatolo
rticale, ceux-ci lorsqu'ils existent, plaident plus en faveur d'une
syphilis
cérébro-spinale. Mais il faut penser que ces symp
ces symptômes peuvent ne pas figurer dans le tableau clinique de la
syphilis
spinale, ce qui rend alors extrêmement délicat
d'au- tres auteurs qui se sont occupés de cette question. Que la
syphilis
cérébro-spinale puisse donner lieu à une symptoma
iale et des conséquences thérapeutiques. Nous admettons bien que la
syphilis
chronique du sys- tème nerveux, disséminée ou n
différentiel est très difficile sinon tout à SCLÉROSE EN PLAQUES ET
SYPHILIS
357 -1 fait impossible. Car dans la myélite dis
sclérose en plaques commune. Nous arrivons ainsi à admettre que la
syphilis
peut jouer un rôle assez important dans l'étiol
sche Zeitschrift sur Nervenheillcunde, 1902. SCLÉROSE EN PLAQUES ET
SYPHILIS
3.a 28. FLATAU urrn KLICI1CN. - Ueber die Myeli
wa . lekai-s ldeg'o, 1901. Medycyna, 1901. 29. FOUIOETTE. - De la
syphilis
héréditaire tardive. Paris, 1886. 30. Fournier
ltiple Sklerose. Deutsche Zeitschr. f. Nervenheilk. Bd. XV. 34. -
Syphilis
und Rückeîimark. Berl. klin. Wochenschrift, 1893.
tiplen Sklerose. Zeitschr. f. klin. Medizin., 1896. 37. GowEns. -
Syphilis
and nervous sys/ent, 1893. 38. Traité des malad
ntile d'origine grippale. Revue neurologique, 1893. 68. MENDEL. -
Syphilis
disséminée de l'axe cérébro-spinal. Annales de de
w. i ICindesalter. Corresp. Bl. f. Schw. Aerzte, 1891. 74. Nonne. -
Syphilis
und 7Ve/'t)e/M ! /s<eM. Karger, Berlin, 1892.
s Nervensystems Wiesdaben, 1887. 93. SAcHs Multiple cerebro-spinale
syphilis
, Brain, 1893. 94. Sonder. - Hirnrindebefunde be
71. 100. Schuster. Ein Fall von multiplen Sklerose usw. infolge von
Syphilis
. Berl. klin. Woch., 1885. SCLÉROSE EN PLAQUES
on ne retrouve aucun cas de paralysie analogue ; le père nie toute
syphilis
et n'en présente aucun stigmate, pas plus que la
le n'a pas fait de fausse couche. Rien ne permet de soupçonner la
syphilis
chez les procréateurs. Elle avait un frère gran
ers et des fonctions génitales. Pas de troubles trophiques cutanés.
Syphilis
à l'âge de vingl-qualre ans. Excès alcooliques. E
rme, un franc par jour. A l'âge de vingt-quatre ans il contracte la
syphilis
(chancre et plaques muqueuses). Depuis l'âge de
ffectionsoùse constate le signe d'Argyll-Robertson, en dehors de la
syphilis
, du tabès et de la paralysie générale. Ce signe
malade observé plus récemment (1896) par l'un de nous (obs.III),la
syphilis
héréditaire ou acquise pouvait être mise certaine
ce signe a moins de valeur, puisqu'il avait contracté très jeune la
syphilis
. Quant à sa soeur (obs. I) qui n'avait pas eu l
jeune la syphilis. Quant à sa soeur (obs. I) qui n'avait pas eu la
syphilis
, bien qu'il n'y eut chez elle pas de signe d'Argy
ut envisager l'hypothèse d'une action analogue à celle qui, dans la
syphilis
nerveuse, engendre les lésions spinales. L'isch
de et, proba- blement, tuberculose pulmonaire ancienne. Elle nie la
syphilis
et l'alcoolisme. Début à 58 ans, par des'crises
uer chez eux les symp- tômes et les lésions du mal de Poil et de la
syphilis
; dans la 4e, une ménin- gite cérébro-spinale t
plus brièvement possible, ces observations : 530 ALQUIER Cas avec
syphilis
. , OBS. XII (n° 862). - dlal de Pott dorsal inf
leurs névralgiformes lombo-sacrées, et succédant à des accidents de
syphilis
spinale. Homme de 41 ans. Il s'agit d'un malade
malade syphilitique ayant présenté, depuis un an, des accidents de
syphilis
spinale, qui avaient disparu depuis plusieurs m
e d'Argyll avec quelques secousses nystagmiforl1les. Hésitant entre
syphilis
et tuberculose, on pratique une injection de ca
difficile de tenter, dans ces trois cas,de dire ce qui revient à la
syphilis
ou à la tuberculose : le problème est particulièr
'observation XII nous voyons, au contraire, ce dernier succédera la
syphilis
, que l'anatomie pathologique montre presque éte
our un asile de 600 lits. Chez ces paralytiques généraux arabes, la
syphilis
est fréquente ; d'après le D1' War- nock,Médeci
rabes non paralytiques (Sur 34 entrées en 1905 nous avons relevé 28
syphilis
certaines). Ces données relatives à la patholog
s obligeamment communiquées par M. le Dl' Warnock ont révélé que la
syphilis
est très fréquente chez les Arabes et que la pro-
st très fréquente chez les Arabes et que la pro- portion des cas de
syphilis
pour l'effectif total de l'asile soumis à l'exa-
nviron 12 p. 100. On a compté, ! pour la seule année 1901,79 cas de
syphilis
, sur 561 admissions. NOUVELLE Iconographie DE l
oliose des adolescents (1 pl.), 129. CATOLA. Sclérose en plaques et
syphilis
(3 pl.), 337. CIIARTIER et Lejonne. Dystrophi
riques), par J.-C. Roux et J. HEITZ, 297. Scléroses en plaques et
syphilis
(3 pl.), par GATOLA, 331. Spondylose rhizomél
OTTE), XXXIV, XXXV, XXXVI,XXXVII, XXXVIII. Sclérose en plaques et
syphilis
(CATOLA), LI, LII, LUI, LIV. Spondylose rhizo
a maladie de Paget d'affections os- seuses analogues (ostéomalacie,
syphilis
, etc.), et de dire si, à un moment donné, c'est
, à la suite de Lannelongue (1) et de Fournier (2), font jouer à la
syphilis
un rôle capital et exclusif dans l'étiologie de c
telle théorie est-elle actuellement fondée ? C'est, on le sait, la
syphilis
héréditaire qui a été incriminée tout d'a- bord
sans exception, cela doit être, puisque les sujets, en puissance de
syphilis
héréditaire, ne sauraient contractera à nouveau
ance de syphilis héréditaire, ne sauraient contractera à nouveau la
syphilis
; ils sont vaccinés » (3). (1) LANNELONGUE, De
s maladies de Parrot et de Pa- get. Acad. de Médecine, 3 mars ]9U3.
Syphilis
héi éuitaire tardive, type Pagel. Types infanti
os de la maladie de Paget considérée comme une m'mires- talion delà
syphilis
liérédilahe tardive. Acad. de Médecine, 31 mars 1
coup de A PROPOS D'UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE il 1 Toutefois la
syphilis
acquise a pu être imputée dans cerlains cas. M. M
ole. On a beaucoup insisté sur les connexions qui existent entre la
syphilis
héréditaire tardive, et la maladie osseuse de P
philis héréditaire tardive, et la maladie osseuse de Paget, cette «
syphilis
ultra- tardive » de certains auteurs. Fréchou (
mais ces douleurs n'ont pas l'inten- sité que l'on observe dans la
syphilis
, où elles peuvent arracher des cris ; elles ne
l'origine hérédo-syphi 1 i tique sera établie, selon le profes- sa
syphilis
ancienne, n'est pas aussi fortement fondé qu'on a
. 574. (2) l1rrreTmsn et liuBCVS-D VAL. Maladie osseuse de Pagel et
Syphilis
. Soc. méd. des hôpitaux, 25 mai 1905 ; Bulletin
manifestations bérédo-syphiiitiques de la puer-adolescence ; 3° la
syphilis
avérée du procréateur ». « Cette trouvaille, di
évelopper chez les syphilitiques que chez les autres sujels, que la
syphilis
joue un certain rôle dans la pathogénie de la mal
ontrer que si certaines, maladies de Paget relèvent peut-être de la
syphilis
, grâce d'ailleurs, selon nous, à un intermédiai
ifformités qu'il attribue à une véritable osteilis déformons. Or la
syphilis
de la poule n'existe pas, on le sait, pas plus
que certaines analogies cliniques unissent l'ostéite de Paget à la
syphilis
osseuse, il n'en est pas moins vrai que des dif
x processus. En réalité un syphilitique peut devenir pagélique ; sa
syphilis
est sans doute une cause adjuvante pour le déve
CTIONS DYSTROPHIANTES DES OS 1 (A. Léri G. Legros). J Un tibia de
syphilis
osseuse héréditaire tardive (A) et un tibia de ma
re que c'est par l'intermédiaire de l'artério-sclé- rose qu'agit la
syphilis
héréditaire ou acquise ? On sait l'affinité qu'a
- DE QUELQUES AFFECTIONS DYSTROPHIANTES DES OS (MALADIE DE PAGET,
SYPHILIS
OSSEUSE, OSTÉl\L\.L.\.CIE, RACHITISME). PAR R
es certaines similitudes cliniques : d'une part maladie de Paget et
syphilis
osseuse tardive dont les manifestations sont co
ct bien spécial. Nous avons pu radiographier des tibias atteints de
syphilis
héréditaire tardive : ils présentaient à la rad
mation est considérée comme le type des déformaiions osseuses de la
syphilis
tardive ; mais elle est beaucoup plus rare qu'on
onnels. Aucune maladie antérieure, aucun signe ni d'éthylisme ni de
syphilis
, pas de fausses couches. Mariée à 17 ans, après
de 36 ans. Il a toujours eu une bonne santé, mais il a contracté la
syphilis
à l'âge de 24 ans ; il s'est d'ailleurs aussitôt
jours bien portante. Son mari est aussi bien portant. Elle nie la
syphilis
et n'en présente aucun accident ; pas d'avortemen
it la supposition d'une maladie infectieuse chronique, telle que la
syphilis
, la tuberculose, etc., et de même l'existence d
réditaires ou personnels. Ethylisme léger dans la jeunesse ; pas de
syphilis
. Le malade a été pris en janvier 1907 d'un ictu
grave ; il est depuis sa jeunesse un fervent des apéritifs ; pas de
syphilis
avouée. Au mois de mars 1906, B... a été pris s
u corps. Examens spéciaux : Séro-réaction de Wassermann pour la
syphilis
: négative. Examen chromocilométrique du sanq :
é mise en rapport avec l'in- fluence héréditaire pathologique de la
syphilis
, de la tuberculose, de l'im- paludisme, de l'al
e, et nous pouvons particulièrement meure de côté l'influence de la
syphilis
soit héréditaire soit acquise, car la sera-réac
ces auteurs dans les autres organes histologiquement examinés. La
syphilis
surtout, qui de toutes.les infections est certain
ndaire à une hérédo-intoxication venant de l'organisme maternel. La
syphilis
, la tuberculose, l'alcool pourraient être les age
Il n'y avait dans ses antécédents, ni alcoolisme, ni nicotinisme, ni
syphilis
. Pas trace non plus d'intoxications professionn
israëlites. Aucun fait ne nous permet de supposer l'existence de la
syphilis
chez les parents du malade. Antécédents personn
lle beaucoup la déformation en fourreau de sabre qu'on voit dans la
syphilis
héréditaire. Bien que les membres inférieurs soie
nte'de Paget qui serait pour ces auteurs un trouble dépendant de la
syphilis
héréditaire. La théorie de l'hérédo-syphilis dans
sitif qui nous puisse faire admettre avec la moindre probabilité la
syphilis
héréditaire chez le malade. L'examen chimique d
enfant de six mois mort et non macéré. Elle nie énergique- ment la
syphilis
et, de fait, on n'en trouve aucun signe, malgré l
, non syphilitique, après huit ans de mala- die. 11 n'existe pas de
syphilis
héréditaire. Antécédents héréditaires. Son père
e. SUR LA GENÈSE DES LÉSIONS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE DANS UN CAS DE
SYPHILIS
DU NÉVRAXE A MARCHE RAPIDE PAR L. ALQUIER.
se trouve, le plus souvent, en présence d'altérations complexes, la
syphilis
ayant évolué par poussées successives, et ses lés
ns le fait que nous allons relater, le malade a été emporté par une
syphilis
nerveuse à marche rapide, la moelle présente les
ormulées pour expliquer la destruction des éléments nerveux dans la
syphilis
médullaire. Histoire clinique (résumée). Homme,
la syphilis médullaire. Histoire clinique (résumée). Homme, 44 ans.
Syphilis
il y a dix ans, ALQUIER. LA GENÈSE DES LÉSIONS
outons Nouvelle Iconographie DE la Salpêtrière T. XXII. Pl. XLI
SYPHILIS
DU NEVRAXE A MARCHE RAPIDE (L. Alquier). Mass
paisseur. Cette lésion, importante au point de vue du diagnostic de
syphilis
, qu'elle suffirait à légitimer, ne semble pas app
nerveux, une part semble bien revenir à l'action des toxines de la
syphilis
. Souhaitons que, le jour où les toxines de la syp
oxines de la syphilis. Souhaitons que, le jour où les toxines de la
syphilis
seront iso- lées, l'expérimentation puisse nous
cise. NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière T. XXII. PI. XLII
SYPHILIS
DU NÉVRAXE A MARCHE RAPIDE (L. Alqitiei). CLI
était achevé quand nous avons appris par le traité de Nonne sur la
syphilis
du système nerveux que des auteurs autrichiens, F
yélite aiguë, par exemple dans des cas de tumeur de l'encéphale, de
syphilis
, de ménin- gite séreuse ou tuberculeuse ou enco
al. ' Séro-réaction de Wassermann (déviation du complément) pour la
syphilis
: résultat nettement positif. La description
Galezowski, Bertozzi pensent qu'elles soient strictement liées à la
syphilis
héréditaire. Le spécialiste a noté en outre que
illeurs que chez notre patient la déviation du compté- ment pour la
syphilis
(selon Wassermann) a été nettement positive. Ce
quer en admettant chez notre malade l'in- fluence héréditaire de la
syphilis
paternelle. Les arrêts de développement tels qu
SEPPE FRANCHINI nous porte à croire comme beaucoup plus probable la
syphilis
héréditaire que la syphilis acquise, car tout l
croire comme beaucoup plus probable la syphilis héréditaire que la
syphilis
acquise, car tout le syndrome s'explique beaucoup
édicale nous donne quelques rares exemples de gigan- tisme lié à la
syphilis
héréditaire ou acquise (cas deNobl, Fuelis e[Sit'
tion, le traumatisme, l'hérédité, une prédisposition de famille, la
syphilis
. Après la publication des cas de Bechterew, par
bien portant dans son enfance. Il a contracté dans sa jeu- nesse la
syphilis
pour laquelle il a été soigné à l'hôpilal par l'i
urtout incriminer le refroidissement et le rhumatisme, peut-être la
syphilis
y a été aussi pour quelque chose. Notre cas ne
sans lésions des grandes articulations. On note dans l'anamnèse la
syphilis
, le rhumatisme et le refroidissement, mais pas
es suites d'un trouble général ? Comme le malade avait contracté la
syphilis
et que, d'autre part, il a présenté des symptôm
par nous. Il faut donc admettre l'association de ces deux causes :
syphilis
(paralysie géné- rale) et refroidissement. No
athologique de notre cas de la façon suivante. Le malade atteint de
syphilis
prend un fort refroidisse- ment localisé la col
ladie qui a trouvé des conditions convenables à son développement :
syphilis
et paralysie générale. Il en est résulté des al
diqué les associations suivantes : refroidissement et traumatisme ;
syphilis
et traumatisme; hérédité et syphilis ; rhumatis
froidissement et traumatisme ; syphilis et traumatisme; hérédité et
syphilis
; rhumatisme etsyphilis. Nous considérerons not
ort fumeur mais un modeste buveur. Il nie avoir jamais contracté la
syphilis
ou des maladies vénériennes. Il y a environ 15
culations des mains et des pieds. La réaction de Wassermann pour la
syphilis
, pratiquée avec l'extrait alcoo- lique du coeur
albumo- surie, une évolution plus rapide. Pour ce qui concerne la
syphilis
osseuse je me réserve d'en parler plus tard. '
bsence de pléiade ganglionnaire, le silence de l'anamnèse quanta la
syphilis
, me firent rejeter la nature syphilitique de l'ul
bleau contraste absolument avec celui que fournitun tibia frappé de
syphilis
héréditaire tardive. Dans la figure obtenue par
e considérable. Je veux parler de la réaction de Wassermann pour la
syphilis
. Dès qu'elle fut introduite dans la clinique on
déjà affirmé sur la base de considérations cliniques, qui relie la
syphilis
et les maladies parasyphilitiques. Or, comme l'on
uccès est celle qui en fait remonter le primwn movens à une hérédo-
syphilis
(Lannelongue) (1), ou à une syphilis acquise (Mén
le primwn movens à une hérédo- syphilis (Lannelongue) (1), ou à une
syphilis
acquise (Ménétrier) (2). D'au- tre part, selon
, dans mon cas, l'anamnèse fût muette, soit pour ce qui concerne la
syphilis
héréditaire, soit pour la syphilis constitutionne
te, soit pour ce qui concerne la syphilis héréditaire, soit pour la
syphilis
constitutionnelle, la réaction de Wassermann a
il en se fondant sur ces résultats négatifs, entièrement exclure la
syphilis
de l'étiologie de la maladie de Paget ? Il est
d'os est beaucoup plus marquée dans la maladie de Paget que dans la
syphilis
,tandis que le stade douloureux fait souvent dé-
er, Chartier et Descomps (4) qui firent rentrer dans l'étiologie la
syphilis
constitutionelle, confirmée dans leurs cas. J
onfirmée dans leurs cas. Je suis bien loin de vouloir nier que la
syphilis
dans ces cas comme dans bien d'autres ait pu jo
xication acide invoquée par OhJttin- ger et Agasse-Lafont (3) et la
syphilis
. Ce n'est pas tout ; jusqu'à un certain point e
tes qu'en Allemagne et en Italie ; par contre, on ne sait pas si la
syphilis
a, chez les Anglais, plus de diffusion que chez
0 septembre 1907, mort le 1er octobre. Le malade avait contracté la
syphilis
, il y a un an. Depuis ce temps il avait été rég
les de la conscience. Pas de signes que l'on puisse attribuer à une
syphilis
manifeste. Le 1 ? octobre. la dysphagie est app
itime de supposer que dans notre cas l'influence pathogénique de la
syphilis
héréditaire ne puisse être mise en doute ; nous
ue le gigantisme doive être considéré comme nécessairement lié à la
syphilis
, mais il nous semble juste de supposer que dans
ais il nous semble juste de supposer que dans notre cas au moins la
syphilis
paternelle ait eu une influence sur le développ
dans plusieurs cas d'infantilisme du type Lorain, l'influence de la
syphilis
héréditaire. Levi a eu en effet des résultats net
lesquelles il s'était simplement borné à supposer l'influence de la
syphilis
héréditaire. Levi a eu cette année les mêmes ré
ientôt) et chez lesquels l'histoire clinique était négative pour la
syphilis
héréditaire ; l'un de ces deux cas était lié à
on devra nécessairement être toujours limitée par l'exclusion d'une
syphilis
acquise, exclusion qui ne sera pas toujours facil
rs facile comme dans notre cas. Dans notre cas, l'hypothèse de la
syphilis
héréditaire est confirmée par l'existence de de
pium zcux : deux faits qui sont liés par la majorité des auteurs à la
syphilis
héréditaire. On avait déjà assez souvent obse
e des deux côtés et localisée uniquement aux pieds. Il nie avoir eu
syphilis
ou maladies vénériennes, il n'a jamais bu de vin,
survint vers l'âge de 45 ans ; jamais de grossesse. Aucun signe de
syphilis
ni dans le passé, ni au moment de l'exploration
.), par D.\1\Los, ApEuT et PL1NDIN, 682. Moelle (Lésions dans une
syphilis
du nc·'- vraxe a marche rapide) (2 pl.), par AL
rdina- trices d'occupation), par Macé de Lépinay, 65, 189, 289.
Syphilis
du névraxe à marche rapide, le- sions de la moe
iER. Sur la genèse des lésions de la moelle épinière dans un cas de
syphilis
du névraxe à marche rapide (2 pl.), 368. - et
e de quelques affections dystrophiantes des os (maladie de Paget,
syphilis
osseuse, osteomalacie, rachitisme) (4 pl.), 24.
u cou et de la ceinture scapulaire (Rimbaud et ANGLADA), XVIII.
Syphilis
du névraxe à marche rapide ALQUlER), XLI et XLI
à noter du côté des antécédents héréditaires ou personnels. Pas de
syphilis
, pas d'alcoolisme. 1 Gowers. - Drain, t. I, p.
nt pas les moyens chirurgicaux. Les épilepsies symptomatiques de la
syphilis
, du saturnisme, de l'alcoolisme, ne nous occupe
le de se localiser diversement, quelle que soit la localisation, la
syphilis
domine l'étiologie des lésions, lesquelles sont
ns, hérédité nerveuse assez lourde, entre à la Salpêtrière en 1892.
Syphilis
douze ans auparavant, accidents secondaires, pa
érébraux en plus, et elle est certainement sous la dépendance de la
syphilis
. C. VIII. Myopathie primitive généralisée; par
eut également le provoquer, mais après les trauma- tismes, c'est la
syphilis
qui est son facteur étiologique le plus ordi- n
, misérable et d'une débilité mentale assez prononcée, contracte la
syphilis
huit ans avant le début de l'affection. Aucun t
e observation. Femme, quarante-cinq ans, tare héré- ditaire, pas de
syphilis
, excès vénériens de toutes sortes depuis l'enfa
sième observation. Homme, quarante-six ans, hérédité névropathique,
syphilis
. Début du tabes à trente-six ans par des douleu
direct, le tendon d'Achille est raccourci. Il existe des signes de
syphilis
héréditaire. Intelligence très déve- loppée. Le
ies d'origine cérébrale, les auteurs croient pouvoir avancer que la
syphilis
n'est pas tou- jours innocente de ce tabes spas
ement pour apporter sa contribution à l'étude des rapports entre la
syphilis
et la paralysie générale. L'auteur fait observer
ête patiemment poursuivie a démontré à M. Pierson l'existence de la
syphilis
est suffisant, lui parait l'auto- riser à range
entes causes comme n'ayant qu'une action prédisposante à côté de la
syphilis
. Quant au surmenage intellectuel son rôle serai
ents nerveux, fibres et cellules. Extrême altération des vaisseaux.
Syphilis
probable, mais les vais- seaux n'en présentent
turelles ou artifi- cielles) : 4 fois. 12° Cho ? ,ée : 3 fois. -13°
Syphilis
: congénitale, 1 fois; acquise, 2 fois. 94 Gros
sque toutes à l'appui de l'opinion de M. Clouston qui attribue à la
syphilis
héréditaire un rôle important, sinon prépondéra
XXXII. Rectification historique DE L'ÉTUDE DES rapports ENTRE la
SYPHILIS
ET la PARALYSIE générale progressive ; par le pro
HOLOGIE MENTALE. miers à attirer l'attention sur les rapports de la
syphilis
avec la paralysie et à avancer que la syphilis
r les rapports de la syphilis avec la paralysie et à avancer que la
syphilis
est une des graves causes de la paralysie. Ce d
t que le fait de la fréquente coexistence de la para- lysie avec la
syphilis
fut indiqué pour la première fois par Bayle, qu
aladie antérieure grave. Santé habituelle parfaite. Aucun indice de
syphilis
. AI-0 P..., s'est mariée à vingt-trois ans. Ell
ins grandes. On reconnaît de plus en plus le rôle important de la
syphilis
que l'auteur a relevé dans la moitié des cas. Mai
a relevé dans la moitié des cas. Mais il y a d'autres causes que la
syphilis
. Parmi les symptômes cliniques, aucun n'est pat
de la moelle. M. GAUSER accorde un rôle étiologique important à la
syphilis
; celle-ci se rencontre dans plus de la moitié d
uente chez l'homme. - Elle coïncide avec un athérome généralisé. La
syphilis
n'a pas été rencontrée. Les excès de bière et d
I\GO-11YL,LITE DIFFUSE DANS LE TABES, . LA PARALYSIE GÉNÉRALE ET LA
SYPHILIS
SPINALE ; Par le Dur NAGEOTTE, Chef des trava
74 CLINIQUE NERVEUSE. les rapports particulièrement étroits avec la
syphilis
, il existe des lésions diffuses, portant sur le
-myélite plus ou moins circonscrite pour les différentes espèces de
syphilis
spinale - se mettent en relief sur un fond comm
préciser davantage la 1 F. Raymond. - Contribution à l'étude de la
syphilis
du système nerveux. (Arcla. de Neurologie, 1894
ent soupçonner le tabès, sans qu'on puisse rien affirmer ; enfin la
syphilis
est considérée comme possible. Évolution ultéri
orrhagie à dix-sept ans, pas 284 CLINIQUE NERVEUSE. d'histoire de
syphilis
Marié en 1882, G... a eu trois enfants, dont de
n rien au point de vue histologique de celles qu'on observe dans la
syphilis
médullaire diffuse; sa disposition régulière su
ferme, que le malade, né d'un père ataxique, a constamment nié la
syphilis
. Observation III. Tabès; méningo-myélite diffus
cédent pathologique qu'une diarrhée intense huit ans auparavant; la
syphilis
est niée. Fatigues et habitation humide pendant
étiologiques étroits; nous voulons parler, des formes variées de la
syphilis
spinale. Ici nous n'avons pas de faits personnels
e notre maître M. le professeur Raymond, les pièoes de trois cas de
syphilis
spinale dont l'un, myélite chronique diffuse év
ique transverse chronique (F. Raymond, Contribution à l'étude de la
syphilis
du système nerveux, Arch. de Neurol., lS9u, Obs
'antécédents connus nous em- pêche seule d'attribuer fermement à la
syphilis
; si, d'autre 'part, on se rappelle que dans no
pécifique; mais ici nous sommes tenus à des réserves. Sans doute la
syphilis
peut produire cette lésion il serait oiseux d'e
es, mais elle ne nous dit pas si les z10 qui restent relèvent de la
syphilis
ignorée ou de toute autre cause morbide ; il se
semblables aux lésions syphilitiques. Mais il reste possible que la
syphilis
soit la seule cause de ce processus diffus et d
été incriminée, particulièrement dans ces derniers temps. B. Sachs (
Syphilis
and tabès dorsalis, N.-Y., Med. J., janvier or)
de par la clinique, que dans la grande majorité des cas c'est de la
syphilis
qu'il relève. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. C
Un homme de quarante-cinq ans chez lequel on n'a pu constater ni
syphilis
, ni épilepsie, ni alcoolisme mais une prédisposit
lésions de dégénérescence et non des lésions inflammatoires; 4° la
syphilis
n'est pas un facteur nécessaire dans la product
nsi : Homme de soixaate ans, conducteur de chemin de fer : pas de
syphilis
, pas d'alcoolisme; paludisme il y a trente ans; p
fait l'objet de cette lecon, la lésion parait devoir être due à la
syphilis
acquise. Or, comme la base de la pro- tubérance
ger à une influence toxique ou infectieuse et particulièrement à la
syphilis
. Mais cette influence pathogé- nique de la syph
ulièrement à la syphilis. Mais cette influence pathogé- nique de la
syphilis
ne suffit pas à l'interprétation des cas héré-
teurs de la paralysie générale. - La première malade contracte la
syphilis
en juillet 1893, eu mars 1894, elle est atteint
en quelques mois et se maintient. La deuxième ma- lade contracte la
syphilis
et fait' plusieurs séjours à l'Antiquaille pour
ne depuis son admission à l'asile. La troisième malade contracte la
syphilis
à l'âge de dix-neuf ans. Les troubles mentaux o
émence. sociétés savantes. 325 La quatrième malade a contracté la
syphilis
il y a dix ans, et fut atteinte dès les premier
iers accidents d'hypocondrie, causée par l'ennui d'être atteinte de
syphilis
. Cet état ne l'empêchait pas d'exercer sa profe
brales suspectes. Elle-même, à l'âge de dix- neuf ans, contracte la
syphilis
avec son mari (1882) et, en 1886, à la suite d'
ans hémianopsie. Une femme de trente-deux ans, ayant contracté la
syphilis
par allaitement et ayant^ présenté peu de temps a
. M. Duncan Menzils préconise le même médicament pour la cure de la
syphilis
maligne des Indes, concurremment d'ailleurs ave
es, sensibilité occipitale de certaines affections cérébrales), les
syphilis
locales anciennes de la moelle et de ses envelo
., XIII, 1894.) Jeune homme de quatorze ans, ayant été atteint de
syphilis
héré- ditaire dans les premiers mois de son exi
ux pyramidaux ou des cordons latéraux. En d'autres termes, fonds de
syphilis
héréditaire, arrêt de dévelop- pement cérébral,
Brandebourg elle était de 19,7 p. 100 et à Berlin de 26 p. 100. La
syphilis
étant parmi les causes les plus importantes qui
VÜrzbourg) montre que sur 1000 aliénés non paralytiques généraux la
syphilis
peut être incri- minée 39 fois alors que sur le
39 fois alors que sur le même nombre de paralytiques géné- raux, la
syphilis
se trouve 400 fois. Chez les paralytiques générau
a, d'après différents auteurs, une proportion de 75 p. 100 pour la
syphilis
. Comme l'apparition de la paralysie générale, d
ion syphilitique et comme la majeure partie des hommes contracte la
syphilis
de vingt à trente ans, on s'explique facilement
facilement l'époque ordinaire du début de la paralysie générale. La
syphilis
, en règle générale, étant contractée dans les r
lative des prêtres s'explique parla rareté de l'alcoolisme et de la
syphilis
. L'alcoolisme mérite d'être aussi examiné. Il d
ne de la para- lysie générale et ne tiennent pas assez compte de la
syphilis
. OEbecke donne pour l'alcool une proportion de
l'homme; la démence cepen- dant domine. Durée moyenne deux ans. La
syphilis
est un prédis- posant, elle a. été relevée chez
onique. Ils ont alors plutôt l'aspect de foyers multiples, comme la
syphilis
et la tuberculose des centres nerveux, que de v
vre typhoïde, influenza, impaludisme, choléra, rage, tu- berculose,
syphilis
, blennorrhagie, rhumatisme, etc.) provoquent de
n'y a pas un facteur toxique quelconque, albumatisme, intoxication,
syphilis
, malaria ou autre. (The ulienist and neurologis
Etude sur la z diffuse dans le tabes, la paralysie générale et la
syphilis
spinale par Nageotte, 273. " Ménopause. Folie
a période de développement physique de la -, par Middlemass, 161.
Syphilis
et - , par Kovatewsky, 163 Symp- tômes oculai
tiques, par Chi- pault et Dalerne, 3î9 ? spinale, épiphénomène de
syphilis
hérédi- taire, par Hoflmann, 386. Paranoïa .
, par Freund, 479. Syndrome de Weber, par Souques et Londe, 77.
Syphilis
et paralysie générale, par Kovalewsky, 163. S
SYNDROME DL LlT'rLE (congénital SPATIC RIGIDITY OI' LIMI3S) ET LA
SYPHILIS
HÉRÉDITAIRE PAR TOMMASI DE AMICIS Professeu
ans. Son mari, fut absent pendant quel- ques années et contracta la
syphilis
; à son retour dans sa famille, il con- tagionn
eux central. Cette artérite généralisée dépend, pensons-nous, de la
syphilis
. Quoi- que la syphilis à l'examen fut indiquée
rite généralisée dépend, pensons-nous, de la syphilis. Quoi- que la
syphilis
à l'examen fut indiquée seulement chez un anencép
utes les difformités congénitales du système nerveux central est la
syphilis
héréditaire (1). , (1) En terminant je trouve d
plaignait parfois de crampes dans le membre supérieur droit. Pas de
syphilis
. Alcoolisme modéré. A 20 ans, comme il se faisa
Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière, 1897, n" 4. UN CAS DE
SYPHILIS
HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE AVEC AUTOPSIE
) publiait une série d'obser- vations tendant à démontrer que si la
syphilis
héréditaire localisée sur le cerveau pouvait pr
u syndrome deLittle, fréquemment lui aussi sous la dépendance de la
syphilis
héréditaire (2), mais dans lequel les lésions c
très marquée sur l'axe spi- nal. » (1) Gilles DE la TouRETTE, La
syphilis
héréditaire de la moelle épinière. Nouv. Iconog
cerveau, ce qui est rare dans les détermi- nations nerveuses de la
syphilis
héréditaire. Examen histologique de la moelle e
it de préparation par la méthode de Nissl. Mais nous ne croyons pas
SYPHILIS
HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 97 que les co
iables. NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SAIPGI'RIE1LE. T. XII. PI. XVI
SYPHILIS
héréditaire DE la MOELLE ÉPINIÈRE (Gilles de 1.
de 'Pal) A. Reninndnrsjte moyenne. 13. Région cenicate inférieure
SYPHILIS
HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 99 2) Par les
ré- gion cervicale inférieure et présentent la même topographie.
SYPHILIS
HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 101 La seule
te, est croisée par rapport aux lésions des faisceaux pyramidaux.
SYPHILIS
HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 103 Les zones
es aux lésions en foyer de l'encéphale. Revue neurologique, 1898.
SYPHILIS
HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 105 malade il
e de ces lésions n'est pas ici absolument certaine, la notion de la
syphilis
des parents n'ayant pu être acquise. Toutefois la
t les dents d'Utchinson sont de fortes présomptions en faveur de la
syphilis
hé- réditaire. L'examen histologique en montran
la lésion systé- matique. D'autre part, qui dit tabes dit souvent
syphilis
, c'est-à-dire encore une chance d'athérome auri
nucléaire, bulbaire, comme il s'en voit assez fré- quemment dans la
syphilis
des centres, et irradiant dès noyaux du nerf am
1899. Peu de renseignements sur les antécédents héréditaires. Pasde
syphilis
. Soeur de 16 mois bien portante. L'enfant est n
. 54. Blépharo-conjonctivite et vulvo-vaginite gonococcique. Pas de
syphilis
. Le membre inférieur gauche est atrophié. La cu
culier, de donner une autre étiquette à l'affection en question. La
syphilis
ne semble pas pouvoir être mise en cause; elle ne
itique. D'après Boeck et nombre d'auteurs, les manifestations de la
syphilis
hé- réditaire sont d'autant moins accusées que
ns de la syphilis hé- réditaire sont d'autant moins accusées que la
syphilis
des parents est de date plus ancienne, et le de
is il se hâte d'ajouter (1) que « même dans ses étapes avancées, la
syphilis
peut conserver encore son levain de transmission
des règles fixes relatives à la durée de la transmissibilité de la
syphilis
aussi bien d'ailleurs que de la conta- giosité
de la syphilis aussi bien d'ailleurs que de la conta- giosité de la
syphilis
acquise, ce qu'llomolle (2) avait constaté quand
us graves chez les enfants qui naissent à une période avancée de la
syphilis
de leurs parents que chez les premiers nés. O
ers nés. On sait, en outre, que différents auteurs ont pensé que la
syphilis
pou- vait se transmettre à la deuxième générati
t dans cette opinion encore fort discutée, - si un sujet atteint de
syphilis
héréditaire est tellement imprégné du poison sp
l'action du temps. D'ailleurs, trop souvent nous voyons combien la
syphilis
aussi bien dans ses manifestations que dans sa
, la transmissibilité héréditaire persiste, et même quelquefois des
syphilis
en apparence légères et traitées médiocrement p
iilis (1) Loc. cilal., p. 109 et suivantes. (2) Ilonot.e, Article
Syphilis
. Dictionnaire de médecine et de chirurgie prat.,
tent le plus longtemps virulentes et peuvent donner naissance a des
syphilis
graves : la syphilis gagne rail en durée ce qu'el
s virulentes et peuvent donner naissance a des syphilis graves : la
syphilis
gagne rail en durée ce qu'elle a paru ne pas av
avoir en gravité : ces considérations relatives aux symptômes de la
syphilis
s'appliquent également à la transmissibilité cl
l faut espérer qu'ils seront beaucoup plus rares aujourd'hui que la
syphilis
est encore mieux étudiée et connue, et surtout pl
fin, s'il est prouvé qu'un père peut transmettre héréditairement la
syphilis
à son enfant, il n'en est pas moins vrai que les
l'ai vu deux ans après, en 1896, il ne présentait aucun stigmate de
syphilis
héréditaire ; puis elle eut six grossesses tout
nt porté le diagnostic de méningite sans songer, m'a-t-il dit, à la
syphilis
. Or la première atteinte de l'eczéma actuel est
symptôme ayant attiré l'attention. II est vrai que jamais le mot de
syphilis
n'ayant été prononcé par elle, et d'autre part
rmer qu'aucun de ces enfants n'ait présenté des symptômes d'hérédo-
syphilis
. La mère déclare seulement qu'ils étaient bien po
ainsi que leur père. et jamais je n'ai observé la moindre trace de
syphilis
. Depuis trois ans, elle n'avait pas eu d'eczéma
ou très découvert. Je n'hésitais donc pas à porter le diagnostic de
syphilis
ignorée, basé sur les caractères objectifs actu
25 jours après sa naissance, et qui ne présentait aucun stigmate de
syphilis
héré- ditaire, aucune malformation. Du 5 mai
enfants. Mais, comme l'a fort bien dit le professeur Fournier, « la
syphilis
céré- brale héréditaire ou acquise n'a pas et n
rêt de développement porte sur la taille ou non, qu'il soit dû à la
syphilis
héréditaire, au paludisme, à l'alcoolisme ou à la
t. Les lésions osseuses du rachitisme, de l'ostéomalacie (3), de la
syphilis
(1) Nouvelles recherches sur l'infantilisme et
déter- mine l'effondrement strumiprive du foetus. D'autres fois, la
syphilis
, l'al- coolisme, la tuberculose jouent le rôle
a plus de peine dans la DE L'BYPOTIIYROÏDIE BÉNIGNE CHRONIQUE 267
syphilis
où les deux peuvent être atteints. Examinez surto
) s'ajoutent au tableau symptomatique. Lorsqu'il y a un soupçon cle
syphilis
chez les parents, la chose est jugée. J'ai démo
la chose est jugée. J'ai démontré dans un travail antérieur que la
syphilis
héréditaire se manifeste par des phénomènes {l'
énigne avec prédominance de symptômes abdominaux. Qu'il y ait de la
syphilis
dans l'éliologie, qu'importe ? L'es- sentiel, c
traitement. L'iode et les mercuriaux sont la pierre de touche de la
syphilis
et, bien souvent, constituent l'unique moyen d'
le a eu une bronchite à 29 ans. Elle affirme n'avoir jamais eu la
syphilis
; mais, il y a cinq ans, elle a perdu les cheve
et elle est restée deux mois au lit. Elle affirme n'avoir pas eu la
syphilis
et on ne relève pas de traces de cette infectio
a maladie de Basedow. Au dire de la malade, elle n'aurait pas eu la
syphilis
, dans les commémora- tifs on ne relève aucune t
s oculaires que le médecin, probablement avec raison, rattacha à la
syphilis
antérieure. Il lui prescrivit des frictions mercu
d'une crise d'ictère qui dura 3 semaines. Pas d'alcoolisme, pas de
syphilis
. En juin 1890, le malade ressentit des picoteme
eu ni scarlatine, ni rougeole, ni fièvre typhoïde; n'a jamais eu la
syphilis
. Pas d'antécédents alcooliques. , Son atrophi
la jambe gauche a toujours été plus maigre que la droite. Pas de
syphilis
, pas d'alcoolisme ; Cinq enfants bien portants,
ROPHIES MUSCULAIRES PROGRESSIVES D'ORIGINE MYÉLOPATHIQUE 377 Pas de
syphilis
, pas d'alcoolisme, pas d'intoxication par le merc
, de grandes crises convulsives. La malade dit n'avoir jamais eu de
syphilis
, et on ne relève pas de traces de cette infecti
qui dura plusieurs mois. Au dire de la malade elle n'a jamais eu la
syphilis
; dans les commémoratifs on ne trouve aucune trac
d'une affection des centres vaso-moteurs, due le plus souvent à la
syphilis
, mais que toute autre toxine peut également réa
arates, et est difficile d'en tirer une conclusion. En tous cas, la
syphilis
n'est pas coupable chez nos huit malades. Plu
es gastro-intestinaux, métier exposant à toutes les intempéries; ni
syphilis
, ni alcoolisme, ni traumatisme. L'atrophie mu
tifs on ne relève ni alcoolisme, ni tabagisme, ni blennorrhagie, ni
syphilis
, ni traumatismes. Le malade était exposé aux re
du corps), par DARTIGUES et Bonneau, 216. Little (syndrome de) et
syphilis
hérédi- taire, par Tommasi de Amicis, 34. Mal
lisée chez les enfants), par P. IlAUSHALTËR et L. Spillmann, 197.
Syphilis
(héréditaire à 1res long terme), par P. de Molè
Syphilis (héréditaire à 1res long terme), par P. de Molènes, 219.
Syphilis
héréditaire de la moelle (un cas de), par DURAN
TABLE DES AUTEURS Awcis (de Tommasi). Le syndrome de Little et la
syphilis
héréditaire, 34. Bonneau et DAIITIGUES. Lipomat
rps (4 phot.), 216. Durante et Gilles de la TOURETTE. Un cas de
syphilis
héréditaire de la moelle (2 phot.), 95. Etien
aux (1 phot.), 312. Gilles de la TOURHTTE et Durante. Un cas de
syphilis
héréditaire de la moelle (2 phot.), 95. Gotii
vitiligo chez les enfants (HAUSHALTER et Spillmann), XXVI, XXVII.
Syphilis
héréditaire de la moelle épinière (Gilles DE la
schr., 1899. (4) HEnSCHEIMER et Hartmann, Arch. f. Dermatologie und
Syphilis
, Band. LXI, L Ileft, 1902. l'acrocyanose chro
4. - MEYER (1), femme 32ans,jardinière. Antécédents syphilitiques (
syphilis
conjugale), en 1887, les mains commencent à enfle
au myxoedëme, à l'hystérie. Il est bien possible éga- lement que la
syphilis
ait joué un rôle dans la genèse des phénomènes
blanc, quelquefois davantage. Jamais de maladie vénérienne, pas de
syphilis
. Il n'a jamais quitté Genève depuis nombre d'an
ilatérales et symétri- ques. Elles ont été sans doute créées par la
syphilis
acquise de cet homme. Celte hémiplégie infantil
, IX lleft., 1902, p. 329. FACULTÉ DE MÉDECINE DE NANCY UN CAS DE
SYPHILIS
HÉRÉDITAIRE TARDIVE A FORME CINLB10-SPINAL>;
-SPINAL>;, PAR RICHON Ancien Chef de clinique médicale. La
syphilis
héréditaire, précoce ou tardive, peut se révéler
que, comparables en tous points aux manifestations tertiaires de la
syphilis
acquise ; elle peut comme cette dernière attein
. - Garçon de 11 ans, sans lésions, ni stigmates visibles d'hérédo-
syphilis
. Lésion fistulaire du pariétal, bientôt accompagn
sie. - Perte de substance crânienne. 111éningo-eocépholite fibreuse
SYPHILIS
HÉRÉDITAIRE TARDIVE 85 sous-jacente. Méningite
n de la région postérieure de l'hémisphère (à droite de la ligure).
SYPHILIS
UÈRÉDITAIHE TARDIVE 87 entre les deux lobes par
sont Nouvelle Iconographie DE la Salpêtrière. T. XVII. PI. XXI
SYPHILIS
HEREDITAIRE TARDIVE CEREBRO - SPIN ALE ('RJcbol
ation. C. Coupe de la n : oe) ! e déformée, - D. Coupe de la moelle
SYPHILIS
HÉRÉDITAIRE TARDIVE 89 étroitement tassés et se
important, existe près de la surface médullaire, dont il est séparé
SYPHILIS
HÉRÉDITAIRE TARDIVE 91 1 par un pont de substan
e dernier caractère limite le diagnostic,en l'absence des symptômes
SYPHILIS
HÉRÉDITAIRE TARDIVE / 93 généraux qui accompagn
ite du crâne, à une localisation osseuse de la tuberculose ou de la
syphilis
. Mais, tandis que ce genre de lésions tubercule
ifestations graves de même nature, les localisations osseuses de la
syphilis
héréditaire peu- vent apparaître primitivement,
isaient défaut, mais sachant les irrégularités dans la marche de la
syphilis
héré- ditaire, les surprises de son apparition
foration large, à bords unis, d'épaisseur régulière, au crâne de la
syphilis
hérédi- taire, à perforation étroite, incomplèt
savons, depuis Fournier, la fréquence des lésions os- seuses de la
syphilis
héréditaire tardive, qui caractérisent plus du ti
s plus étendues. Avec moins de réaction osseuse, d'autres formes de
syphilis
crânienne entraînent des perforations aussi éte
ès déformés, avec leurs tuniques épaissies, infiltrées. Les petites
SYPHILIS
HÉRÉDITAIRE TARDIVE 95 plaques indépendantes of
hilitiques et qui caractérisent la paralysie générale associée à la
syphilis
cérébrale. Enfin les lésions cérébelleuses, ain
cessus syphilitique. L'histoire des localisations médullaires de la
syphilis
héréditaire, plus récente que celle de ses formes
re médullaire, due non pas comme dans la plupart (1) Voltent, De la
syphilis
médullaire, Thèse de Nancy, juillet 189 1. (2)
aire, Thèse de Nancy, juillet 189 1. (2) Gilles DE la Tournette, La
syphilis
héréditaire de la moelle épimère, in Nouv. Icon
Icon. de la Salp., 1896. (3) GASNE, Localisations spinales de la
syphilis
héréditaire, in Nouv. Icon. de la Salp., 1896 e
précédemment une région périphérique de la moelle, particulièrement
SYPHILIS
HÉRÉDITAIRE TARDIVE 97 avancée dans son évoluti
(1) Long et Kiki, Sur l'état airophique de la moelle épinière dans la
syphilis
spinale chronique, Non ! . Icon. de la Salp., 1
litique, Gaz. hebdomad., 15 septembre 1901. (3) KuppEL, Article :
Syphilis
cérébrale, in Traité de médecine et de thérapeuti
cérébrale, in Traité de médecine et de thérapeutique, Brouardel.
SYPHILIS
HÉRÉDITAIRE TARDIVE 99 caractéristique anatomiq
s avaient échappé complètement aux manifestations extérieures d'une
syphilis
héréditaire, très grave par la suite. UN CAS
générale malgré ses infirmités. Jamais de rapports sexuels. Pas de
syphilis
, ni d'alcoolisme. Quelques habi- tudes de mastu
agrégé, médecin des hôpitaux de Bordeaux. Le rôle primordial de la
syphilis
acquise dans l'étiologie du tabes est actuellem
s in- fantile réunis par l'auteur, il existait 9 fois des signes de
syphilis
héré- ditaire dents d'Hutchinson, exanthèmes, u
cornée, rhinite chronique, engorgement ganglion- naire ; 8 fois la
syphilis
des parents était avérée. Ainsi, dans le tabes
philis des parents était avérée. Ainsi, dans le tabes infantile, la
syphilis
des ascendants joue un très grand rôle étiiolog
vient de faire une étude très sugges- tive sous le titre suivant :
Syphilis
osseuse héréditaire tardive, type Paget. Types
maladies vénériennes. Mais il porte des stig- mates indélébiles de
syphilis
héréditaire, tels que : 1° Mal formations den-.
On doit le considérer comme une manifestation tardive de l'liérédo-
syphilis
. Ce labes s'est traduit par des troubles oculaire
tieuse, pas de fièvre typhoïde, ni diphtérie, ni rhumatisme; pas de
syphilis
, pas d'alcoolisme ni de saturnisme, pas de diab
qualité de quartier-maître mécanicien ; éthylisme probable, pas de
syphilis
. Grand- père paternel nerveux, très irritable ;
ganglionnaire ou autre ; il n'y a pas à invoquer de tuberculose ou
syphilis
, héréditaires ou acquises, de maladies infec- t
yons utile de rapporter cette observation. Observation. RÉSUMÉ.
Syphilis
ancienne. - Il y a dix-huit mois, maux perforants
férent ; la section des os n'a pas été perçue même légèrement. LA
SYPHILIS
DANS L'ART PAR R. BLANCFiARD Professeur à l
de la Salpêtrière, XIII, 1900. Cf. p. 4 et 38 du tirage à part. LA
SYPHILIS
DANS L'ART 267 gorge. C'est, semble-t-il, le pr
être attribué à cette rare série d'am- vres d'art qui concernent la
syphilis
et ses diverses manifestations. Rare série; en
aquelle on désignait alors la sy- philis. C'est pourtant hien de la
syphilis
qu'il s'agit ici. L'historien de la syphilis en
st pourtant hien de la syphilis qu'il s'agit ici. L'historien de la
syphilis
en Allemagne, C. II. Fuchs (3), ne s'y est pas tr
quand on sait que, précisément à l'époque où elle a été publiée, la
syphilis
se manifestait dans toute l'Europe avec une vio
partie de ma collection ; elle date, je pense, de décembre 1818. LA
SYPHILIS
DANS PART (R Blanchard } Glavurc allemande su
paralysie progressive sont une seule et même maladie dominée par la
syphilis
; les autres, avec Jof- froy, Klippel, Rabaud,
ue l'on rencontre très fréquemment dans les processus chroniques de
syphilis
et de vieille tu- berculose. Selon les études d
érale et de tabes (oupseudo-tabes, si l'on veut) ressortissant à la
syphilis
, ou à une infection banale favorisée par une sy
rtissant à la syphilis, ou à une infection banale favorisée par une
syphilis
antérieure (Klippel), les plasmazellen sont plus
lippel), les plasmazellen sont plus fréquents que dans le cas où la
syphilis
n'entre pas en ligne de compte ? Si la question
inte de rhumatisme, ni d'aucune autre maladie infec- tieuse. Pas de
syphilis
. Tels sont ses antécédents personnels avant l'épo
liques en images, p. 203-201 (1 phot 3 fig.). Il. BLANCHARD, - La
Syphilis
dans l'Art, p. 266-270 (1 phot.). Henry Meige,
ihénigues (1 pl. 2 dessins), par F. RAY- mond et P. JA\ET, 209.
Syphilis
dans l'art (1 pl.), par R. BLAN- Chiard, 266.
ET, 209. Syphilis dans l'art (1 pl.), par R. BLAN- Chiard, 266.
Syphilis
héréditaire tardive il forme cérébro-spinale (1
éné épileptique (1 planche en photocoll.), 252. Blanchard (R.) La
syphilis
dans (t planche), 266. Brissaud ET BRUANDET.
des psychasthéniques . (1 pl., 2 dessins), 209. RICHON. Un cas de
syphilis
héréditaire tar- dive à forme cérébro-spinale (
remblements chez des psychas- théniques (Raymond et JANET XLVIII.
Syphilis
dans l'Art (BLANCHARD), LUI. Syphilis héréditai
s (Raymond et JANET XLVIII. Syphilis dans l'Art (BLANCHARD), LUI.
Syphilis
héréditaire tardive (Richon), XXI. Syringomyéli
sent qu'il se donnait à la masturbation et qu'il avait contracté la
syphilis
dernièrement. Au commencement de sa maladie men
ment diminuée. Les sens spéciaux normaux. Il n'y a pas de signes de
syphilis
. Le foie, le coeur et tous les autres organes d
araissent engor- gés de deux côtés, mais pas bien classiques, de la
syphilis
. Les clavicules et les tibias sont réguliers. R
la peau vers quarante ans, pas de rhumatismes, ni de dartres, ni de
syphilis
, éclmutfement à vingt et un ans. - Grand-père p
ar MM. Charmeil et Boulogne, dans lesquelles les exanthèmes de la
syphilis
et des fièvres éruptives apparaissant chez des ma
a nutrition. A. Fenayrou. VIII. Un cas de paralysie juvénile avec
syphilis
héréditaire ; par le D' SPOmTO. Le cas rappor
ce dans le sol. {The Alienist and ivcuî,ologist, janvier 1898.) Xi.
Syphilis
cérébrale avec lésions étendues des nerfs crânien
nerfs crâniens ; par le D1' Preston. Intéressante observation de'
syphilis
cérébrale chez un nègre de trente-sept ans. L
aliéné à trente-trois, tous précocement séniles ; ni alcoolisme, ni
syphilis
, ni choc, ni trauma ; à quarante-neuf ans, secous
alades. Huit n'avaient eu ni chancre mou, ni signes constatables de
syphilis
, quoique celle- ci fût extrêmement probable che
ceux-ci avaient subi un traitement tout à fait insuffisant pour une
syphilis
d'ailleurs légère. On constatait en outre des c
vril 1895 et vit se développer ensuite une maladie de Thomsen. La
syphilis
n'a pas agi comme cause directe, mais en accentua
es syphiliti- ques doivent être considérées suivant qu'il s'agit de
syphilis
acquise ou de syphilis héréditaire. En considér
ent être considérées suivant qu'il s'agit de syphilis acquise ou de
syphilis
héréditaire. En considérant la syphilis acquise
t de syphilis acquise ou de syphilis héréditaire. En considérant la
syphilis
acquise, on doit se souvenir que les premières
lis acquise, on doit se souvenir que les premières notions sur la
syphilis
médullaire datent de 1797 avec le mémoire de Port
chyméningite cervicale hypertrophique peu- vent être rattachés à la
syphilis
. Dans la syphilis maligne pré- coce du système
cale hypertrophique peu- vent être rattachés à la syphilis. Dans la
syphilis
maligne pré- coce du système nerveux, et que Ch
oce du système nerveux, et que Charcot appelait anatomique- ment la
syphilis
tigrée, il y a cliniquement un grand luxe de sy
rmes irrégulières, et parmi celles-ci, la forme amyotrophique. La
syphilis
héréditaire de la moelle appartient presque en to
terme ou avant terme, présentant les manifestations cliniques d'une
syphilis
congénitale de la moelle épinière. Les cas précoc
eûtes, ont les caractères des ganglions engorgés spécifiques de la
syphilis
. Les os tibias ont leurs crêtes irrégulières. E
. Le crâne est aplati (pla-iocépliale), forme caractéristique de la
syphilis
héréditaire. La voûte du palais est excavéc. Le
être pourtant absolument spécifiques. Antécédents probables : la
syphilis
et l'alcoolisme. Etat psychique. L'attitude du
ôté gauche, à cause de l'ulcé- ration de la jambe. Pas de signes de
syphilis
. Etat psychique. L'attitude est tranquille, la
de pathologique à noter du côté des autres organes. Pas de signe de
syphilis
. Etat psychique. - La malade se tient habituell
comme des aiguilles qui lui traversaient le corps. Pas de signe de
syphilis
. Quel- ques stigmates de dégénérescence à noter
l'olfac- tion se trouvent à 1'état normal. Il n'y a pas de signe de
syphilis
. Etat psychique. La malade se tient dans une at
sont irré- gulier. Les ganglions inguinaux sont spécifiques de la
syphilis
, les LES MÉLANCOLIQUES. 125 crêtes tibiales
à 8-10 centimètres pour la jambe droite. Il n'y a pas de signes de
syphilis
. Le foie douloureux à la pression, de même l'ép
n gauches, et une dimi- nution de la sensibilité à la jambe. Pas de
syphilis
dans ses anté- cédents. Réflexes parcellaires e
paralytique général dans l'hérédité duquel je n'avais pu déceler la
syphilis
; j'étais mal servi par ma mémoire. Ce jeune ho
tique. Per- sonne ne conteste, en effet, la tare que fait porter la
syphilis
sur plusieurs générations successives. M. Bal
conclure à l'hérédité de la paralysie générale. Il se dit que si la
syphilis
est assez maligne pour déterminer la paralysie
paralytiques. Je crois, pour ma part, que ce sont au contraire les
syphilis
bénignes qui aboutissent à la méningo-encéphali
la méningo-encéphalite. M. Vallon. Il me semble que le jour où une
syphilis
bénigne produit la paralysie générale elle cess
tre bénigne. M. BRI.IND demande à M. Ballet si la terminaison de la
syphilis
par la paralysie générale est liée à la bénigni
ou plutôt a cette considération, qu'étant d'apparence bénigne, la
syphilis
a été mal soignée ou peut-être méconnue au début
c'est que j'ai vu un grand nombre de paralytiques généraux dont la
syphilis
avait été régulièrement soignée. M. Joffroy.
ulièrement soignée. M. Joffroy. On rencontre'souvent des lésions de
syphilis
ter- tiaire associées aux lésions habituelles d
le. On peut invoquer ces faits en faveur du peu d'influence de la
syphilis
sur l'étiologie de la paralysie générale et les c
ts infectieux au début très bénins. M. Taquet. Dans le Morbihan, la
syphilis
est très commune et cependant sur 400 aliénés i
hronique est très rare et n'infirme nullement cette formule que les
syphilis
qui conduisent à la para- lysie générale sont p
e, c'est entre dix et quinze ans après le chancre. M. JOFFr0Y. La
syphilis
n'est certainement pas sans exercer une certain
s l'existence d'un état infectieux, pourquoi ne pas admettre que la
syphilis
est l'agent producteur de la toxine ? M. JoFF
NERALE. 197 avec de telles constatations de ne pas reconnaître à la
syphilis
el à l'alcool une part tout au moins prépondéra
tact chez les paralysés généraux qui ont à la fois à leur actif la
syphilis
et l'alcool. A priori on aurait cru que l'assoc
sens n'ont jamais été constatées en dehors de l'alcoolisme et de la
syphilis
. Elles ont été plus fréquentes chez les alcooli
axique et dans la dernière période. Il étudie l'étiologie du tabes,
syphilis
, hérédité, chaleur, traumatisme; passe en revue
sa descendance. Un autre fait incontesté, c'est la fréquence de la
syphilis
dans les antécédents personnels du paralytique.
. Enfin et surtout il faudra distinguer les enfants conçus avant la
syphilis
, de ceux conçus postérieurement à elle, mais av
e source de diverses monstruosités du système nerveux central. La
syphilis
congénitale, qui dans les organes internes appara
mpression exercée par le liquide épanché. D'autre part le rôle delà
syphilis
dans les cas de S..., n'est pas suffisamment démo
ique ; sarcomes mul- tiples. Malade âgé de vingt-deux ans; pas de
syphilis
; abus d'alcool; chancre mou il y a un an. Penda
moelle. L'auteur pense que cette artérite généralisée dépend de la
syphilis
et con- clut que toutes les difformités congéni
fformités congénitales du système nerveux central ont pour cause la
syphilis
héréditaire. R. Ciiaron. LXIII. Trois cas d'ata
masturbation forcée.) R. Ciiaron. LXIV. Le syndrome de Little et la
syphilis
héréditaire ; par Tommasi DE Amicis. (iVouu. Ic
ans eut un accès de délirium tremens. Il y a deux ans contracta la
syphilis
, laquelle récidiva au mois de jan- vier 1898. A
siiy considère la troisième observation des auteurs comme un cas de
syphilis
cérébro-spinale, tant au point de vue des sympt
cas de polynévrite. M. KOJLIW.NIKOFF croit à l'associa- tion de la
syphilis
et de l'alcoolisme dans ce cas. M. Tokarsky ne
adulte : existence des plus nzozme- menlées. - A trente-deux ans :
syphilis
. - A quarante-deux ans : première manifestation
secondaires, il consulte Diday qui le déclare également atteint de
syphilis
. En 1878, éruption de pustules à la face, il va
ait difficile de le dire. On ne saurait, semble-t-il, incriminer la
syphilis
: le chancre s'est produit dix ans plutôt et il
étosique. M. Boinet. Marie M..., âgée de dix-huit ans, indemne de
syphilis
, légèrement alcoolique, entre le 20 juillet t898
ance. Le placenta et le cordon étaient normaux. Parents indemnes de
syphilis
et d'alcoolisme. La mère a eu six autres enfants
ce cas, d'un défaut de dévelop- pement des faisceaux pyramidaux. La
syphilis
doit aussi être éli- minée. Ce fait peut être r
14. Syndrome D'EriB. Une observation nouvelle, par Roques, 321.
Syphilis
cérébrale avec lésions éten- dues des uelfs crâ
terniser et même s'arrêter spontanément dans sa marche. 9 ? -. La
syphilis
, provoque, aussi, tmais moins souvent, des paraly
intelligence peu dévelop- pée, tare héréditaire peu lourde, pas de
syphilis
.- Le tabès est an- cien, il est difficile d'en
itique, avec autopsie. - ' , Ire observation. Homme, cinquante ans,
syphilis
un an avant l'apparition desfaeeidentst médulla
ment ? '. " t .. 2e observation. Homme, vingt-six ans; alors que la
syphilis
est * ancienne dej un an,' paraplégie complète
i. >'> " ' ? z ? F ? . t· ? z 3e observation. Il s'agit d'une
syphilis
qui date de huit ans et qui s'est toujours acco
aractères spéci- fiques assez tranchés, communs à 'la vérité .à 'la
syphilis
, et,à la tuberculose ainsi- les- granulations e
deux périodes. La première qui correspond à la localisation de la.,
syphilis
sur les méninges seules, c'est la période prodr
nt mortelle, elle survient en général dans les premiers temps de la
syphilis
,- elle' est caractérisée par'une courte et vagu
nte. Pas de fausse couche. Antécédents personnels. Hérédité : oui ;
syphilis
: non ; alcoo- lisme : oui; excès vénériens : o
es et du bromure, a toujours été calme. Le malade nie absolument la
syphilis
. Il recon- naît avoir eu 4 ou 5 blennorrhagies,
conque de l'organisme. Sous ce rapport, le paludisme ressemble à la
syphilis
. Comme dans les pays de malaria, on observe par
ession de la moelle, la myélite par compression, les cas anciens de
syphilis
médullaire, quelques cas de myélite transverse.
t une très complète. Conclusion. 1° Le rapport étiologique entre la
syphilis
et la paralysie générale est encore vague; -2°
x non syphilitiques et il y a des paralysies générales issues de la
syphilis
; 3° la cause pro- chaine et essentielle de la p
s probable qu'il y a un rapport entre la para- lysie générale et la
syphilis
, il vaut mieux employer le traitement antisyphi
oyer le traitement antisyphilitique que le repousser; 5° traiter la
syphilis
, c'est élémentaire, mais il' faut aussi joindre
le professeur Fournier. On voit parfois se produire au cours de la
syphilis
une épilepsie très différente à divers titres d
pelé l'épilepsie syphi- litique ou mieux la forme épileptique de la
syphilis
cérébrale. Cette épilepsie présente les caractè
rée qui la modère ; ' 6° Elle appartient à l'époque tertiaire de la
syphilis
et paraît même n'en constituer qu'une manifesta
ces symptômes, elle ne présente rien qui appartienne en propre à la
syphilis
; 3° en ce qu'elle n'est pas influencée par le t
pas influencée par le traitement antisyphi- litique. Elle est à la
syphilis
ce qu'est à cette même maladie la syphilide pig
abes ou la paralysie géné- rale ; c'est-à-dire qu'elle dérive de la
syphilis
comme origine, sans avoir la nature, l'essence
trois élé- ments étiologiques simultanés (excès chagrins, hérédité,
syphilis
, etc ? ) parmi lesquels la syphilis joue pour l
anés (excès chagrins, hérédité, syphilis, etc ? ) parmi lesquels la
syphilis
joue pour les deux sexes, un rôle également pré
un rôle également prédominant et important. , Chez les femmes, la
syphilis
se rencontre dans la proportion de 68 p. 100 su
e de la paralysie générale, dite forme féminine. 6° Le rôle de la
syphilis
dans la paralysie générale est double. Le plus
ysie générale classique. Dans d'autres cas, beaucoup plus rares, la
syphilis
, agit d'une façon directe, immédiate, car en pr
yer un traitement modéré antisyphilitique notamment dans ceux où la
syphilis
a été notée dans les antécé- dents du malade et
dents du malade et dans les cas où les accidents antérieurs de la
syphilis
ont été traités de façon négligée. (Annales médic
re la misère. Ajoutons que la malade ne présente pas de traces de
syphilis
ni, comme on le verra, de stigmates hystériques,
z la plupart des femmes tabétiques, les commémo- ratifs décèlent la
syphilis
, chez presque toutes il existe des condi- tions
ez les femmes mariées. Mais il n'y a pas un seul cas dans lequel la
syphilis
soit improbable. Age moyen. : trente-quatre ans
. Age moyen. : trente-quatre ans et demi. Intervalle moyen entre la
syphilis
et le tabès : huit ans.. P. K. XLVI11. DES ac
ent comme cause déterminante une influence tout aussi grande que la
syphilis
et que ses antécédents expliquaient la prédispo
cès sans iodure et sans mercure. Or, si l'accès venait à guérir, la
syphilis
restant la même, il faudrait bien admettre l'ab
l'adage post hoc, ergo propter hoc si souvent invoqué en matière de
syphilis
, démontrerait que la manie et la syphilis étaie
ent invoqué en matière de syphilis, démontrerait que la manie et la
syphilis
étaient ici deux états coexistants, avec une ét
-cinq ans qui, cinq ans auparavant, avait présenté des accidents de
syphilis
cérébrale extrêmement graves. Elle avait conser
pour une raison anatomique à chercher. P. K. LX. Neurasthénie ET
SYPHILIS
; par Kowalewsky. (Centralbl. f. Ner- venheil4 ?
e neurasthénie syphilitique s'im- posent : 1° Neurasthénie due à la
syphilis
des parents, neurastlsé- nie syphilitique héréd
neurastlsé- nie syphilitique héréditaire; 2° Neurasthénie due à la
syphilis
acquise, neurasthénie syphilitique acquise ; La
thénies con- génitales ou acquises ordinaires qui se compliquent de
syphilis
, sans que celle-ci ait rien à voir avec la neur
ivre en rêve quoique éveillé. P. K. XXI. Troubles mentaux dans la
syphilis
; par P. IOIVALI,NSIil'. (Allg. Zeitsch. f. Psyc
ystématique (plus rare), la démence aiguë (amentia), l'idiotie (par
syphilis
héréditaire). Observations. Etiologie syphiliti
Etiologie syphilitique de la paralysie générale. - A. Ou bien la
syphilis
n'y est qu'une complication accidentelle. B. Ou l
bien la syphilis n'y est qu'une complication accidentelle. B. Ou la
syphilis
participe activement à la genèse de la paralysi
énérale syphilitique. Elle se diagnostique d'après les traces de la
syphilis
antérieure, par les aveux du ma- lade, par la d
veux du ma- lade, par la découverte de l'évolution antérieure de la
syphilis
. C'est une paralysie générale atypique. , REV
DE pathologie mentale. 403 Enfin l'auteur établit l'existence de la
syphilis
héréditaire du système nerveux et de la syphili
l'existence de la syphilis héréditaire du système nerveux et de la
syphilis
nerveusejnalimie précoce. P. K. XXII. De la r
ns la paralysie générale, dans leurs rapports avec L question DE la
syphilis
; par (CEKE. (Allg. Zeitsch. ? Psychiat., L. 1 e
L. 1 et 2.) . Sur 100 paralytiques généraux, 47 n'avaient pas eu la
syphilis
antérieurement, 43 seulement ont été examinés.
la médecine, sociétés de patronage pour les aliénés mis en liberté,
syphilis
cérébrale et démence paralytique, injections hy
ysie radiale gauche, qui guérit au bout de trois semaines. Pas de
syphilis
. Trois ou quatre blennorrhagies, la dernière, il
IQUE ; Par H. LA111Y 1 HISTORIQUE. Etat actuel DE la QUESTION. La
syphilis
médullaire n'a été l'objet que d'un nombre asse
ement à la grande quantité de docu- ments que nous possédons sur la
syphilis
cérébrale. Cette pénurie relative s'explique pa
qu'il y a vingt ans, on possédait au total quatre ou cinq faits de
syphilis
médullaire authentique, publiés avec au- topsie
plus nom- breuses, jusqu'à l'emporter sur celles qui concernent la
syphilis
cérébrale actuellement mieux connue. Les exam
es observées. En résumé, on admet généralement aujourd'hui que la
syphilis
peut engendrer directement des myélites (aiguës o
ques bons esprits portés au doute par la prudence : à savoir que la
syphilis
peut très bien n'avoir ici qu'une influence pré
s favorable, au point de vue pronostique, de toutes les variétés de
syphilis
spinale, la plus accessible au traitement. Dans
ît avoir aucune action sur elles. Remarque sur le pronostic de la
syphilis
médullaire en général. - Il nous paraît bien ét
ution suivant le mode des affections similaires indépendantes de la
syphilis
. Nous savons, au contraire, combien les symptôm
es dans les veines que dans les artères (fait déjà constaté dans la
syphilis
médullaire par Siemerling, Godflam, etc.), enfi
xpéri- mentales ne s'étendent d'ailleurs au delà du domaine de la
syphilis
médullaire. 1 La technique expérimentale que no
l'action de l'alcool s'ajoute celle de quelques maladies générales (
syphilis
, tuberculose, hépatisme, ictère). Isolée, la tube
hologie et en anthropologie, par 1\oeche, 313 ; médullaires de la
syphilis
, par Lamy, 'r6lE. llAL1'RACTRICE, par Cl. Bell,
par Trian- taphittides, 91 ; trépanation, par Levillain, 325; -et
syphilis
, par liowalewsky, 33î;-accès anxieux dans la
Tou- rette etHudelo,45; de la mémngo- myélite -, par Lamy, 48.
Syphilis
, sur un cas de cérébrale, par Bitot, 41; troubl
otuliens sont exagérés. Analgésie. Etat général excellent. Pas de
syphilis
. -Rien au coeur, rien dans le bassin. Pas d'hys
uarante-six ans. L'anamnèse démontre l'héré- dité neuropathique, la
syphilis
et l'alcoolisme. Chez ce malade se développèren
serve l'existence d'une hématomyélie du renflement cer- vical. La
syphilis
héréditaire peut frapper la moelle. Un enfant, do
pper la moelle. Un enfant, dont le père et la mère sont atteints de
syphilis
cérébrale, présente une monoplégie brachiale av
ment la forme et la localisation de la maladie. Puis on a'étudié la
syphilis
et son influence sur le déve- loppement des mal
istinct et séparé du bloc des maladies du système nerveux. Quand la
syphilis
envahit la neuropathologie ordinaire, c'est sou
u les maladies vul- gaires du système nerveux hors du domaine de la
syphilis
ordinaire. Puis on a étudié le rôle des intoxic
de tabac de 0 fr. 50. Enfin il a eu la blen- norrhagie mais pas de
syphilis
. Voilà bien l'étiologie com- plexe et l'étiolog
qu'on ne lui a pas volés : '1887, Fournier : hémiplégie gauche et
syphilis
cérébrale. Oreillons. - Décembre 1893, Raymond
observateur. Lancereaux dia- gnostique l'arthritisme.et Fournier la
syphilis
, comme Ray- mond voit l'atrophie musculaire et
de rougeole et de coque- luche. A vingt ans (1866), il contracta la
syphilis
; il est soi- gné par Le Fort à l'hôpital du Mi
exclusivement dans aucune des mala- dies qu'il a eues; notamment la
syphilis
, l'alcoolisme, le rhumatisme ont tous une part
ltiples disséminés. En tête des causes du tabes est certainement la
syphilis
. C'est l'élément étiologique le plus fréquent,
114 CLINIQUE NERVEUSE. D'autres causes collaborent souvent avec la
syphilis
. C'est d'abord l'arthritisme. Hosenthal a indiq
abétiques : rhumatisme, IS; herpé- tisme, 1 ; eczéma chronique, 1 ;
syphilis
, 1 J ; hérédité névro- pathique, 13; abus fonct
ique. Dans les cas dits parasyphilitiques, le labes par exemple, la
syphilis
intervient bien comme cause très fréquente sino
rès fréquente sinon constante, mais elle n'intervient pas seule. La
syphilis
a des collaborateurs, d'autres causes coagissent
pas la même efficacité que dans les manifestations reconnaissant la
syphilis
pour seule cause. Voilà- donc, après les atroph
coolisme chronique, le saturnisme, le tabagisme, le palu- disme, la
syphilis
, la sénilité. Voilà l'ensemble des causes de la
xcès fait de la sclérose multiple disséminée sous l'influence de la
syphilis
ou de l'arthritisme : la sclérose se localise s
é étiologique que nous substituons à l'idée de parasyphilis. - La
syphilis
joue un rôle étiologique ; mais ce rôle est lim
ation locale. Mais sa nature reste obscure. Le malade n'a pas eu la
syphilis
. L'auteur analyse ensuite quelques symptômes ac
J'ai montré antérieurement combien était grande la fréquence de la
syphilis
dans les antécédents des paralytiques généraux
elle était le siège de lésions identiques à celles que détermine la
syphilis
.' Le rôle que jouent les maladies infectieuses
énie de la paralysie générale est moins bien établi que celui de la
syphilis
; cependant, on a déjà rapporté plusieurs cas de p
est une maladie post-infectieuse, consécutive presque toujours à la
syphilis
et plus rarement à des maladies aiguës. Cette t
des pseudo-paralysies générales ? Je ne le pense, pas. De ce que la
syphilis
, en effet, est susceptible de provoquer' l'appa
as déterminer d'autres lésions des centres nerveux : ces lésions de
syphilis
cérébrale don- nent souvent lieu à un complexus
ysie générale. Je' me sépare de M. Régis relativement au rôle de la
syphilis
dans l'étiologie de la paralysie générale. La s
u rôle de la syphilis dans l'étiologie de la paralysie générale. La
syphilis
ne fait, selon moi, que préparer le terrain à l
ique les paralysies générales survenant chez un individu entaché de
syphilis
. SOCIÉTÉS SAVANTES. 247 Î Il admet, par contr
e dedans en dehors; l'inverse se produit dans les autres formes, la
syphilis
par exemple, dont chacun connaît la prédilectio
econnaître : 1° des péricéré- brites d'origine toxique (alcoolisme,
syphilis
, saturnisme, états infectieux à lésions plus ou
alcoolisme, mais semble plutôt liée à l'extension plus grande de la
syphilis
. Je dois ajouter du reste, que la paralysie génér
r du même côté. Deuxième cas. - Homme de quarante six-ans, commis ;
syphilis
quelques années aupalavanl. Alcoolisme. Jusqu'a
e cas. - Femme de quarante-huit ans, toujours bien portante. Pas de
syphilis
ni d'alcoolisme. La maladie débuta par de forte
par lui : dans le premier il y avait une tumeur; dans le second la
syphilis
avec des symptômes d'une lésion multiple des ne
ors qu'il n'est que phase d'une maladie ou d'une intoxication. La
syphilis
, l'alcoolisme, le saturnisme, l'oxyde de car- b
t état s'est manifesté il la suite d'une attaque apoplectiforme par
syphilis
artérielle du cerveau ; au début, il y a eu un gr
ës, fièvre typhoïde, influenza, paludisme; chroniques, tuberculose,
syphilis
; c, les excès divers : excès génésiques, surmen
tés cérébrale, arthritique, alcoolique ; l'alcoolisme personnel, la
syphilis
, l'oxyde de carbone. N'existent jamais seuls : le
ls dans l'étiologie, ont une action pathogène. En particulier, la
syphilis
ne produit pas la paralysie générale vraie ; el
us les allures de la paralysie générale, elle donne naissance à une
syphilis
céré- brale à forme de paralysie générale. En
Korniloff et MM. les professeurs KojEWNiMFF et Rora. M. Oar.ovsxr.
Syphilis
et sclérose disséminée des centres nerveux. - L
z une femme de vingt-quatre ans, trois ans après une conta- gion de
syphilis
, apparurent de légers troubles des organes pel-
édents héréditaires inconnus mais suspects. Antécédents personnels.
Syphilis
et alcoolisme. Etat physique. Quelques stigmate
trouvons des données plus certaines et précises. Le malade a eu la
syphilis
et présente actuellement sur le prépuce une cic
bservations : 96 de ces paralytiques généraux avaient en souvent la
syphilis
. Ces 996 syphilitiques .paralytiques étaient su
individus de trente à quarante ans. Ils avaient généralement eu la
syphilis
(36), cinq à dix ans avant la paralysie général
00 d'iode, associés à l'hémoglobine. Ou la donne en pilules dans la
syphilis
avancée, d'après la formule : , sociétés sava
, parmi les principales, l'obsession de la folie, de la gale, de la
syphilis
, du cancer, de l'attaque d'apoplexie, de la mort
érale. 1\1. CH, Vallon (de Paris). Suivant l'auteur, l'hérédité, la
syphilis
et l'alcool constituent une sorte de trépied qu
générale. Quelquefois, en l'absence d'antécédents héréditaires, la
syphilis
peut, seule causer la para- lysie générale ; il
héréditairement prédisposé aux maladies cérébrales, con- tracte la
syphilis
et, de plus, se livre à des excès alcooliques. La
enfants idiots. épi ! eptiques`eu vésaniques. On a prétendu que la
syphilis
et l'alcool ne produisaient pas la paralysie gé
(Paris). I. Les rapports intimes qui existent entre le tabes et la
syphilis
448 SOCIÉTÉS savantes. et qui nous font consi
able. , Moyens thérapeutiques qui s'adressent aux causes du tabès '(
syphilis
, arthritisme, surmenage, etc.) ; par M. Grasset
sset, de Montpellier, rapporteur. i 11, En tête, nous trouvons la
syphilis
et la grave question du trai-' tendent spécifiq
era le traitement spéci- fique dans le tabes toutes les fois que la
syphilis
sera certaine dans les antécédents du sujet. Qu
e qu'on fera bien d'instituer le traitement, toutes les fois que la
syphilis
antérieure sera probable, ou même seule- ment p
dans ce sens que si on est absolument certain de l'absence de toute
syphilis
antérieure. Or, il me paraît absolument difficile
15 milligrammes de cyanure d'or et de potassium ; 2° A côté de la
syphilis
et après elle, il faut placer l'arthritisme com
s emploient ainsi l'iodure dans un but autre que la lutte contre la
syphilis
. Je citerai Lancereaux, Magnan, Teissier. « Je
? On n'osait poiut songer d'ailleurs à l'artério sclérose, ni à la
syphilis
, dont on connaît les rava- ges et leurs modalit
rd aux causes de cette affection. Dans les cas de tabes précédés de
syphilis
, le traitement spécifique est indiqué ; dans ce
lin) eslime que jusqu'à présent on n'est pas autorisé à regarder la
syphilis
comme la cause essentielle ou exclusive du tabe
du kyste cérébral déjà mentionné. Le mieux passager dans les cas de
syphilis
cérébrale (syphilome méningé) n'a donné que le
ème nerveux et - multiple disséminée, par Gras- set et Vedel, 97.
Syphilis
et - en plaques, par Orlovhs, 349. Pa- thogél
avec trou- bles cérébraux, par liernardbei' et Duharry, 339. `
Syphilis
et sclérose disséminée, par Orlovsky, 349. Sy
as de folie aiguë dé- veloppée pendant la période florissante de la
syphilis
. C'est une forme de trouble mental assez peu fr
es relations de ces altérations, d'une part avec l'alcoolisme et la
syphilis
envisagés comme agents étiologiques de cette af
ourni le plus ; 5° la combinaison de plusieurs causes telles que la
syphilis
, l'al- coolisme, l'hérédité, les émotions moral
e, en ce qui concerne l'adulte, rapprochée de la constatation de la
syphilis
que l'on trouve dans plus de 75 p. 100 des fait
ce le poison syphilitique qui s'est modifié ; il est certain que la
syphilis
des autres organes internes est aussi devenue p
eut résulter encore de la similitude d'étiologie : l'alcoolisme, la
syphilis
peuvent produire aussi bien l'une que l'autre m
mis au monde un crétin. En le proposant on a évidemment pensé à la
syphilis
, où cette méthode peut, en effet être utile; ma
e artériel et des modifications histologiques dues à l'action de la
syphilis
en d'autres agents toxiques : de là tout naturell
cel- lules nerveuses ou neurones. R. de \luscnAVr.-CLar. XXII. La
syphilis
cérébrale et méningée, son traitement par les i
aitement auquel le malade a été soumis. L'auteur expose que dans la
syphilis
tertiaire, tout comme aux autres périodes de la
remiers symptômes d'iodisme. Le mer- cure est l'agent curatif de la
syphilis
, et l'iodure l'agent prophy- lactique de l'enda
Nous n'avons pas voulu dans ce travail étudier les relations de la
syphilis
et de la paralysie générale. C'est une question
1), ne s'explique ici ni par une lésion des os (Virchow), ni par la
syphilis
(Huber). L'ingestion de liquides et d'alcool es
syphilitique plus de trois ans après la guérison apparente de la
syphilis
; par Charles 0'Dovov,N. (The New-York Médical jou
inement de plus remarquable c'est la brus- querie avec laquelle une
syphilis
en apparence guérie fait explosion chez ce jeun
d'infection. Le diagnostic était à faire entre l'épi- lepsie et la
syphilis
du système nerveux central; le retour nocturne
élevées de bromure, faisaient pencher la balance en faveur de la
syphilis
. D'ailleurs si les renseignements fournis par le
rt peu satisfaisants, ils ont été dans la suite très explicites. La
syphilis
n'avait laissé ni marques ni cicatrices sur auc
mptions sont plutôt en faveur d'une lésion cir- conscrite, ou d'une
syphilis
cérébrale plutôt qu'en faveur d'une paralysie g
s maladies du système nerveux. Enfin M... n'a jamais con- tracté la
syphilis
. Il n'a jamais, en France comme aux colonies, a
dystocie, traumatisme somatique ou psychique, infection, hérédo-
syphilis
. Les symptômes apparaissent Les symptômes appar
ion d'abcès multiples, dont quelques-uns ressemblaient à ceux de la
syphilis
congénitale, à laquelle pourtant ils ne se ratta-
de New-York. R. M. C. XXXVI. Les points de différenciation entre la
syphilis
cérébrale et la paralysie générale des aliénés
Hirschl ee Vlobius cette maladie n'est qu'une forme tardive de la
syphilis
; pour l'autre, représentée par Naecke, la syphili
me tardive de la syphilis; pour l'autre, représentée par Naecke, la
syphilis
serait un facteur important, mais insuffisant s
ion à un processus encéphalitique dont le moment étiologique est la
syphilis
. Observation III. Malade tabétique présentant l
dans la première enfance, pas de convulsions. Pas d'alcoolisme, ni
syphilis
. Pas d'excès vénériens. Fièvre typhoïde à l'dge
aves et complexes dans la méningite basilaire tuberculeuse. Dans la
syphilis
centrale, l'iné- galité est presque constante;
ion porte sur 111 cas et voici ce que donne celte sta- tistique :
Syphilis
: Certaine dans 12 cas ; douteuse dans 63 cas. Da
retrouve aucune trace de maladies vénériennes, et il semble que la
syphilis
ne soit pas le seul facteur du tabes. Symptôm
paralytiques généraux admis pour la première fois que quatre cas de
syphilis
et n'en a pas noté un seul cas sur les 13 décéd
; Par professeur S. TCI31ftII : \\-. I. - Sur le traitement de la
syphilis
en général et du tabès post-syphilitique. Il
observations m'ont définitivement convaincu que l'in- iection de la
syphilis
comme une maladie constitutionnelle ne peut jam
fique. Par suite de cela, à la fin de la période plus aiguë de la
syphilis
qui donne diverses affections du derme et des mem
nts spécifiques réitérés des malades nerveux, qu'avaient déjà eu la
syphilis
antérieurement, concerne le traitement spécifiq
cifique lui-même. Le traitement spécifique, assez répandu contre la
syphilis
chez nous en Russie, de même que dans les autre
ions iodurées, surtout dans le traitement des cas invétérés de la
syphilis
. En outre, l'introduction du mercure ioduré, dire
on rencontre beaucoup plus souvent, d'un côté, les récidives de la
syphilis
et toutes les affections secon- daires du tissu
cir- culant qu'aux dépens de l'albumine organisée ; tandis que la
syphilis
est une affection constitutionnelle. Ensuite, int
our un kilo de malade dans le but de le guérir radicalement de la
syphilis
! En outre, connaissant cette quantité de mercure
ants. Voici quelques exemples de l'insuffisance du traitement de la
syphilis
par les injections sous-cutanées de mercure.
ure. Un jeune étudiant du deuxième cours avait été infecté par la
syphilis
au mois de mars 1894. Au mois d'avril de la mêm
affaiblissent pas du tout. Le jeune officier qui fut traité de la
syphilis
par les injec- tions sous-cutanées de mercure,
us-cutanées de mercure, nous avons constaté que les récidives de la
syphilis
, les affec- tions consécutives des vaisseaux sa
rcurielles ; enfin, la cause même du traitement infruc- tueux de la
syphilis
par les injections sous-cutanées, nommé- ment l
ien simple : la cause en est dans le traite- ment insuffisant de la
syphilis
, en même temps, que certaines conditions climat
ans tous ces cas de tabès atactica gagné vous constatez toujours la
syphilis
dans , les antécédents, avec de rares exception
pourquoi la circulation du bulbe est-elle préservée, tandis que la
syphilis
de la moelle pro- duit l'endartérite de ce dern
de l'en- céphale. C'est pourquoi sont de préférence atteints par la
syphilis
les nerfs crâniens qui se trouvent près du cerc
Examen des pièces anatomiques de l'enfant de quelques jours mort de
syphilis
(Jahrbiu : l. f. Kwule1'heilk.). On trouva une mé
mmes syphilitiques, traumatismes, etc. ; 2° al- coolisme chronique,
syphilis
en tant que virus, saturnisme, etc., sans signe
lui-même tabétique, mais encore à la période préataxique. Il nie la
syphilis
et reconnaît avoir eu à la verge, à l'âge de di
actuellement, le syndrome tabétique complet ; cette femme nie la
syphilis
pour elle-même, mais son mari, qui a eu un chancr
coïncidence ; il y a relation de causalité, et celle-ci est bien la
syphilis
. Enfin, ces faits corroborent l'hypothèse que d
bien la syphilis. Enfin, ces faits corroborent l'hypothèse que des
syphilis
, puisées à la même source, produisent les mêmes
effets. N'a-t-on pas montré cinq paralytiques généraux tenant leur
syphilis
de la même personne et aussi plusieurs tabétiqu
vérole à une même femme ? Pourquoi d'ail- leurs ne pas étendre à la
syphilis
ce que MM. Bezançon et Labbé ont prouvé pour d'
être compris que si, après avoir admis l'importance du rôle de la
syphilis
dans la genèse du tabes, on suppose que l'un des
e genre, c'est le mari qui avait le premier subi l'infection, et la
syphilis
n'avait paru mani- fester son action chez la fe
ux paraissent normaux. On ne relève pas chez ce malade de traces de
syphilis
ni d'alcoo- lisme. Mais ce qui frappe surtout c
ent il est marchand au panier. Il a eu trois blennorrhagies, pas de
syphilis
, et aucune autre maladie. M... Alphonse est h
e.) Hère, vingt-huit ans, ménagère, ni convulsions, ni indices de
syphilis
; rhumatisante, cardiaque, nerveuse, sans migraine
tte affection se distingue de l'ataxie locomotrice par l'absence de
syphilis
, l'apparition rapide, l'anémie, la faiblesse mu
senté une vision oculaire normale. G. DE Majewska. XLV. Un cas de
syphilis
héréditaire de la moelle épinière avec autopsie
. Syndrome de Weher, par Souques, par Cestan et Bourgeois, 533.
Syphilis
céiébrale et méningée, trai- tement par les inj
Rucli, 20t z observé à Johns Hopkins Itospital, par Thomas, 344.
Syphilis
et - port syphilitique, par 'l'chirrem, 399.
agnostic avec le tabes dorsalis. L'âge de Louise V..., l'absence de
syphilis
dans ses antécédents personnels, l'absence de p
ou 5 verres de rhum, ! à 2 litres de vin). Il n'a pas contracté la
syphilis
, je n'ai pu en trouver de stigmate. Il fut pris,
tions banales dont ils ont d'ailleurs guéri. Quelques-uns ont eu la
syphilis
ou la blennorrhagie, ou ont avoué quelques habi
rappeler de coupables expé- riences faites sur l'inoculation de la
syphilis
, de la lèpre, du cancer... Nous ne saurions tro
, il est pris de fièvres in- termittentes. Il nie toute atteinte de
syphilis
et tout excès alcoolique. Pour résumer, avant l
20 avril 1901. Elat actuel. - Homme d'apparence robuste ; il nie la
syphilis
et toute autre infection. Facies caractéristi
NSCRITS AIGUS ET CHRONIQUES 207 froid, ni fatigue, ni paludisme, ni
syphilis
, ni hystérisme dans l'étiologie. Rien de spécia
ents héréditaires. - Aucun renseignement. Antécédents personnels. -
Syphilis
probable. A son entrée, le diagnostic de paraly
typhoïde dans sa jeunesse. Il fait de nombreux excès alcooli- ques.
Syphilis
probable. - Il a un enfant de 3 ans, très nerve
s. Interrogé sur ses antécédents, il se défend d'avoir contracté la
syphilis
. 22 mai. M... se montre très affaibli, sa voix
rt à 109 ans, qu'il connaissait beaucoup, etc... Il dit avoir eu la
syphilis
à de 17 ans. . D'après les renseignements de sa
ents fournis sur lui ne permettent pas d'affirmer l'existence de la
syphilis
. Marié une première fois à 21 ans, il eut un enfa
tions pathogéniques des dernières années relativement au rôle de la
syphilis
dans l'éclosion du tabes et de la paralysie génér
près les uns, la para- lysie générale aurait toujours pour cause la
syphilis
; pour d'autres, il n'y aurait aucun rapport en
voque d'ordinaire la chorée. En conséquence, si, chez l'homme, la
syphilis
est une cause puissante, habituelle de la ménin
ntiques à celles qui sont d'ordinaire rapportées, chez l'homme à la
syphilis
. FACULTÉ DE MÉDECINE DE MONTPELLIER SERVICE D
u (Sec- chi) (115) qui suivent la tuberculose de la peau ou bien la
syphilis
(soit sous la forme de lymphangite spécifique,
alité relativement restreinte, que tout en un mot plaide contre une
syphilis
des ascendants ? Une autre pathogénie d'ailleur
M. Pierre Marie. Enfin, étant donné l'existence incontestable de la
syphilis
osseuse de l'adolescent et de l'adulte (2), on
tué, se disant sobre, mais d'une émotivité très marquée ; il nie la
syphilis
; il présente un strabisme léger, congénital d'apr
établissent bien la nature spéciale du syndrome. L'hypothèse de la
syphilis
héréditaire avait été à ce propos soulevée par
. . i DYSOSTOSE CLÉIDO-CRANIENNE HÉRÉDITAIRE 325 Il semble que la
syphilis
soit la cause la plus probable. Dans notre cas
rait souffert de violents maux de tête. Il pa- raît qu'il n'y. a ni
syphilis
, ni tuberculose chez les ascendants. Antécédent
vraie ; il les distingue du rachitisme et tend à les rapporter à la
syphilis
. Virchow décrit en 1856 comme rachitique congén
e ce qui revenait au rachitisme vrai acquis de ce'qui concernait la
syphilis
congé- nitale. Il isola, en outre, à côté de ce
oetus d'une affection osseuse distincte du rachitisme vrai et de la
syphilis
. Parmi les plus importants, signalons le mémoir
t un petit nombre de faits et de les séparer du rachitisme et de la
syphilis
, elle devient aujourd'hui insuffisante en pré-
ement du nez peut être parfois assez accusé pour faire penser de la
syphilis
héréditaire (Kassowitz). Le crâne est volumineu
ion. Injection expérimentale de toxine streptococ- cique (Dor). ,
Syphilis
héréditaire (Fournier, Rivington, Endlitz, Apert)
Parrot, toutes les dystrophies osseuses congénitales en dehors de la
syphilis
LES MICROMÉLIES CONGÉNITALES 517 étaient rega
pour en faire une affection particulière. Il I se peut aussi que la
syphilis
en soit la cause. 4° Le diagnostic entre l'Acho
our ne plus voir que de l'achondroplasie, de l'ostéoporose ou de la
syphilis
. Apert, dans un travail du reste excellent et a
es puissent relever toutes deux d'une cause semblable (tuberculose,
syphilis
, etc., etc.), agissant, ici par lésion directe,
est appuyée par l'état pathologique relevé parfois chez la mère. La
syphilis
a été notée dans quelques observations. Dans de
publiés antérieurement, nous avons trouvé chez la mère une fois une
syphilis
récente, l'autre fois une tuberculose chronique
s autres orga- nes de nos malades. - De toutes les infections, la
syphilis
est, sans contredit, la plus sclérosante. La sy
nfections, la syphilis est, sans contredit, la plus sclérosante. La
syphilis
congénitale détermine, chez le nouveau-né, des lé
et le coeur du tuberculeux. Parmi les os de nouveau-nés atteints de
syphilis
héréditaire latente que nous avons eu l'occasio
semblait étrangement au début des lésions achon- . droplasiques. La
syphilis
semble donc, en tant qu'affection sclérosante,sus
e, il ne s'ensuit pas que cette altération osseuse soit un signe de
syphilis
: N'oublions pas que la syphilis, à côté des lési
ltération osseuse soit un signe de syphilis : N'oublions pas que la
syphilis
, à côté des lésions spécifi- ques donne naissan
traîneraient sa sclérose, base anatomique de l'achondroplasie. La
syphilis
étant une affection essentiellement sclérosante,
ous les systèmes paraissent intéressés. |Telle est, par exemple, la
syphilis
du nouveau-né se manifestant par des plaques muqu
ne est, en elle-même, une sclérose banale et probablement variable (
syphilis
, tubercu- lose, alcool) ; mais la caractéristiq
chitisme (Ac. de méd., 1851 et Arch. de Tocologie, 1877 et 1878).
Syphilis
héréditaire et rachitisme (Arch. de Physiol., 187
ion und die Erkrank. d. Knochensystems bei Rachitis und hereditaire
Syphilis
(Vienne, 1881,1882 et 1885). Rachit. congén. (S
ehre d. Knochenwachsthum (Izzaug. Diss. Greisswald, 1874). TnEUYEY.
Syphilis
osseuse congénitale (Séance annuelle de la Soc. o
des lésions rénales de nature toxique. L'autre était atteinte d'une
syphilis
récente et présentait des accidents secondaires
Des ma- nifestations si différentes entre elles comme celles d'une
syphilis
récente de la mère ou d'altérations graves et p
ANNOIS, Agrégé, Médecin des hôpitaux de Lyon. Le rôle joué par la
syphilis
dans l'étiologie de l'atrophie musculaire pro-
- drothérapie, eaux sulfureuses, etc.), qui eut enfin l'idée que la
syphilis
jouait un rôle dans son affection, se mit au tr
'un an, « était en pleine voie de guérison ». Hammond (3) cite la
syphilis
comme pouvant être quelquefois la cause de l'at
citait un cas analogue et ajoutait que le rôle pa- thogénique de la
syphilis
lui paraissait indiscutable. (1) Graves, Clin.
1897, au Congrès de Moscou, Vizioli (1) cita cependant un cas où la
syphilis
, prise par son sujet à 20 ans, lui paraissait la
ayant tous les caractères du type Aran- Duchenne et chez lequel la
syphilis
nous paraissaitjouerun rôle indéniable : il éta
oute Misserbi et Seeligmüller,il fait remar- quer qu'on retrouve la
syphilis
signalée dans les antécédents de myopathi- ques
la pachyméningite cervicale hypertrophique et la syringomyélie, la
syphilis
est destinée à recueillir le plus grand nombre
fait des excès alcooliques, mais prétend être tout à fait corrigé.
Syphilis
acquise en 1884, à l'âge de 26 ans : il eut un ch
t consulter, a débuté il y a 16 ans, 4 à 5 ans après le début de la
syphilis
. Il s'aperçut que le pouce droit fonctionnait m
sible. En résumé il s'agit ici d'un homme qui, 4 ou 5 ans après une
syphilis
sérieuse, vit apparaître les premiers signes d'
lésions osseuses qui ne laissent aucun doute sur la gra- vité de la
syphilis
dont il a été atteint. Il y a lieu de faire rem
lui-même qui fut surtout marqué dans les années qui précédèrent la
syphilis
et dont nous retrouvons une trace dans les cauc
. Les cas comme les deux que j'ai eu l'occasion d'observer et où la
syphilis
a laissé des stigmates indélébiles ont donc une
nifestement à la syringomyélie. Mais cette notion étiologique de la
syphilis
dans l'atrophie musculaire a une certaine impor
donc être tenté toutes les fois qu'on aura dépisté ou soupçonné la
syphilis
, et il faut espérer qu'il donnera quelques succ
et exempt de toute tare et de toute déformation. Il n'a pas eu la
syphilis
et est relativement sobre. Un état fébrile cont
lle n'a pas laissé de trace. Ce père est hernieux, il n'a pas eu la
syphilis
, il n'est pas alcoolique. Sa mère fut toujours
ques, et aux trau- matismes. On peut donner quelque importance à la
syphilis
, spécialement à l'égard des exostoses du crâne.
es trois familles étudiées, on n'a trouvé trace d'alcoolisme, ni de
syphilis
. Il me semble donc, qu'en aucune d'elles on ne
autres que la lésion oculaire, qu'au point de vue de stigmates des
syphilis
. Nous n'insis- terons donc pas sur les phases d
t bien développée, pas de signes de rachitisme, pas de stigmates de
syphilis
héréditaire. Systèmes musculaires et osseux norma
pe une roséole syphilitique très nette. Le point de départ de cette
syphilis
acquise est un accident à localisation vulvaire
s. Quoi qu'il en soit nous retiendrons seulement l'apparition de la
syphilis
chez cette enfant qui démontre l'état de récept
l'anamnèse que par l'examen même des sujets. Pour ce qui est de la
syphilis
en particulier qu'on est souvent tenté d'incrim
'observation IV est actuellement en pleine période secondaire d'une
syphilis
acquise, c'est un nouvel argument, dont la vale
aucune affection nerveuse dans la famille ; pas d'alcoolisme ni de
syphilis
, pas de tuberculose. En un mot, aucune tare hér
de rhumatisme articulaire, pas de dothiénentérie. Aucun stigmate de
syphilis
, pas d'intoxication éthylique ou nicotinique.
nos moyens d'inves- tigations. Tel est, en particulier, celui de la
syphilis
(3). La question se pose alors de savoir si la
eut contester que dans un assez grand nombre de cas, on retrouve la
syphilis
soit chez le père, soit chez la mère des pseudenc
dans nombre de cas pu- bliés,ce point est complètement négligé ; la
syphilis
, ni d'ailleurs aucune autre infection, n'a été
s par nous, pour tomber dans l'exagération du jour, et voir dans la
syphilis
l'agent spécifique de la méningite foetale ? Tout
acile des plus grandes difficultés. Admettons, si l'on veut, que la
syphilis
existe dans tous les cas de pseudencéphalie hum
s à part, ni les mam- mifères, ni l'oiseau ne contractent encore la
syphilis
. Et cela nous suffit pour affirmer que la ménin
firment qu'il ne saurait y avoir in- flammation puisqu'il n'y a pas
syphilis
. Il est hors de doute que le processus observé
ration parallèle à celle qui veut faire intervenir exclusivement la
syphilis
, envers et contre le bon sens. II. Adhérences
. Notre enquête personnelle n'a pu démontrer chez les parents ni la
syphilis
, ni la tuberculose, ni l'alcoolisme. Le père et
tous vivants et bien portants ; il a été militaire, mais il nie la
syphilis
ou tout autre maladie vénérienne. Pas alcooliqu
à l'âge de 22 ans une blenorrhagie, il nie d'une manière absolue la
syphilis
et l'alcoolisme dans ses antécédents. il ne fum
ébrale et dans de tels cas il peut être question égale-, ment de la
syphilis
cérébrale,de la thrombose des sinus. Saenger est
toute lésion nerveuse, n'a-t-il pas orienté le diagnostic vers une
syphilis
méconnue, vers un tabès commençant, maladies qu'u
es ou personnels ne retiennent pas l'attention. Lui-même n'avoue ni
syphilis
, ni alcoolisme. Pleurésie en 1908. Paludisme lo
eurs, consisterait surtout en ce qu'on pourrait soigner plus tôt la
syphilis
, qui reste bien certainement la cause prédomina
ie de ces névrites est, il est vrai, obscure ; les malades niaient la
syphilis
el l'alcoolisme ; ils n'étaient pas diabétiques
absente : toutefois il est bien vraisemblable qu'il s'agit là d'une
syphilis
méconnue, plutôt que d'un autre agent morbide.
ement concomitantes et indépendantes des lésions nerveuses ou de la
syphilis
(gastrites médicamenteuse, étlylique, cancer, u
raient peut-être des altérations syphilitiques de l'estomac, car la
syphilis
gastrique, d'après Pater (I), serait moins rare q
s, Pin- ' (il Pater, Gaz. des Hôpitaux, 1907, Revue générale sur la
syphilis
gastrique. (2) E. Long, Contribution à l'étude
(18 novembre 1904) est considéré par les uns comme appartenant à la
syphilis
, par les autres comme relevant de l'achondropla
le qui a évolué sans laisser de traces. Il ne croit pas avoir eu la
syphilis
, avoue un degré d'éthylisme accen- tué et jouit
exceptionnelle avant la 24e année : c'est que la blennorragie et la
syphilis
, de très rares, deviennent brusquement très fré
rs 9, varices 12, rhumatisme 2, hlennorragie 13 dont 8 compliquées,
syphilis
4, tubercu- lose plenro-pulmouaire 2, bronchite
eux, et leurs contaminations vénériennes ne sont pas identiques. La
syphilis
semble un peu plus fréquente dans la cavalerie (s
tiques. La syphilis semble un peu plus fréquente dans la cavalerie (
syphilis
pri- maire 2,15 % en 1905, z16 % en 1906) que d
riqueuses, les névrites et radiculites dues à la blennorragie, à la
syphilis
, à la tuberculose, à l'alcoolisme, aux affections
n. Dans les antécédents morbides du malade, rien à signaler, pas de
syphilis
, pas de blennorrhagie, pas de signe de tubercul
- tervenir, elles sont multiples : la tuberculose, l'alcoolisme, la
syphilis
, la variole, le mal de Bright, les cardiopathie
ette très importante communication, Rendu et Jacquet soupçonnent la
syphilis
héréditaire comme facteur étio- logique, mais C
fférents facteurs toxiques ou infectieux, tels que l'alcoolisme, la
syphilis
héréditaire, la tuberculose, ne sont nullement pr
quatrième de maladie indéterminée. Antécédents personnels. - Pas de
syphilis
connue ; pas d'alcoolisme.Bonne santé habituell
jusqu'au début des accidents qu'il présente actuellement.il nie la
syphilis
, il aurait toujours été sobre, il ne fume pas. Ma
ont voulu ne voir qu'une cause unique, et l'on sait que- c'est à la
syphilis
que Fournier et Lannelongue rapportent la maladie
de la pachyméningite cervicale dont elle est la cause fréquente, la
syphilis
peut causer des syndromes très analogues. L'on
entrale. Dans d'autres cas, par contre, tributaires également de la
syphilis
ner- veuse, il s'agit de lésions centrales, et
Pierre Merle, Wilson, Mosny et Ba- rat, etc. Dans son livre sur la
syphilis
des centres nerveux, Nonne cite trois cas analo
es suivant qu'il existe ou qu'il n'existe pas de signes évidents de
syphilis
du système nerveux. I Sur nos quatre cas avec e
cas avec examen anatomique, deux se rattachent cer- tainement il la
syphilis
nerveuse dont' on pouvait poser le diagnoslic p
de la lymphocytose et une réaction de Wassermann positive. " , La
syphilis
est improbable dans les trois autres cas. Cette
s autres cas. Cette variabilité pathogénique, cette fréquence de la
syphilis
nerveuse, et en particulier l'association possi
tionnée dans un certain nombre d'observations. 1 Dans les cas de
syphilis
nerveuse et plus particulièrement de tabès, elle
blancs. Les lésions ménino-vasculair sont celles habituelles de la
syphilis
. 1 Ep,iississeincti[7piè--ii-iéieii.ivec infilt
e. Ces lgo-vasculaires comportent la signature histologique de la
syphilis
; ajoutons cependant que, dans un de nos trois ca
re ici susceptible de produire des lésions analogues à celles de la
syphilis
, Arrivons maintenant à l'élément essentiel de l
rhumatisme. Antécédents personnels. Rien à noter. Il n'a pas eu la
syphilis
, il n'est ni buveur, ni fumeur. Il s'est marié
iers ont disparu depuis quatre mois. Il déclare qu'il n'a pas eu la
syphilis
. Il avoue seulement un chancre mou, contracté i
r la table, surfont après les repas. Il déclare qu'il n'a pas eu la
syphilis
. Il ne présente pas de symptômes de cette infec
Pa..., mort à 81 ans en décembre 1910, cordonnier, anciencolonial.
Syphilis
non avouée. Mais Wassermann positif, liquide, c
ales et de la 1 ? dorsale. Observation V F..., 61 ans, menuisier;
syphilis
à 20 ans, 7 enfants dont 3 morts en bas âge. Le
syphilitique avec Wassermann positif, sans autre signe clinique de
syphilis
des centres nerveux. Observation VI Ga..., 70
ns, ménagère. Mariée, pas d'enfants, pas de fausses couches. Pas de
syphilis
avouée. La malade a refusé la ponction lombaire.
ucteur du pouce. Observation VIf 13..., manoeuvre, 52 ans. Nie la
syphilis
et l'éthylisme. Pas d'antécédents sa- turnins.
ements commandés bien exécutés. En résumé chez un ma- lade niant la
syphilis
, apparition en un an environ d'une atrophie mixte
Rien de très notable en dehors de cela dans les antécédents. Pas de
syphilis
avouée. A l'examen, la main gauche est dans l'e
ésion radiculaire. Observation IX B...,49 ans, journalier. Nie la
syphilis
, présente une atrophie des petits mus- cles de
es au courant gal- vanique. En résumé, c'est un malade atteint de
syphilis
nerveuse, à type de tahes supérieur. Atrophie
té. Observation X M..., 6(¡ ans, représentant de commerce. Nie la
syphilis
, présente une atro- phie strictement limitée il
musculaires plus ou moins progressives chez des malades atteints de
syphilis
cérébro-spinale.L'on peut y ranger aujourd'hui
st de la maladie causale, il faut avant tout mettre hors de pair la
syphilis
. De nos 4casanatomo-cliniques, 2 sont d'origine
philitique. . Parmi nos 6 cas cliniques, 3 présentent des signes de
syphilis
nerveuse. La syphilis sera donc d'emblée soupço
s 6 cas cliniques, 3 présentent des signes de syphilis nerveuse. La
syphilis
sera donc d'emblée soupçonnée, et reconnue par le
re (ponction lombaire et réaction de Wassermann). En dehors de la
syphilis
on peut penser a l'artério-sclérose sénile (qui
et d'interprétation délicate : c'est la curieuse prédilection de la
syphilis
pour ce segment inférieur de la moelle cervical
re 1909, p. 1014. HUET in de Massary, Ion. cit. Japeia. Un cas de
syphilis
médullaire avec formation cavitaire,Deutsche Medi
achial. Revue de Médecine, 1885, p. 591 et 139. Iannois et PoHOT.
Syphilis
spinale à forme amyotrophique, Revue de Médecine,
hilitique (un cas d'). Revue Neurologique, 1910, p. 461. NONNE. -
Syphilis
iiiid Servensyslem. Berlin, 1909. Yoossanu. - A
ques, Thèse de Paris, 1893. DAYMon. Les relations éventuelles de la
syphilis
avec certaines amyotrophies a marche progressiv
préciser de quoi ils sont morts. Notre malade n'aurait pas eu la
syphilis
(mais cette information est sujette à caution).
rt. Sa mère est bien portante. Nous igno- rons si le malade a eu la
syphilis
. Il a une fillette de 6 ans. Est veuf. Ses pre-
die du pays ; mais, malgré cela, sa santé était assez bonne. Pas de
syphilis
. Pas d'alcoolisme. Il était de très petite taille
que de P. Marie) (PI. XVI). Anamnèse, - L'hérédité pathologique, la
syphilis
et l'urétrorrhée sont ex- clues : le malade éta
lcooliques et lui-même est alcoo- lique ; le malade nie avoir eu la
syphilis
et la blennorrhagie. A 14 ans, ayant pris froid
mais elles réapparurent plusieurs fois ; à 26 ans le malade eut la
syphilis
. Un an et demi après, c'est-à-dire 8 ans et dem
aules ; à 19 ans, le malade eut la fièvre typhoïde et, à 20 ans, la
syphilis
; il n'a pas eu d'urétrorrhée, pas de contusion
iagn. clin. Spoud. rhiz.). Anamnèse. Le malade dit n'avoir eu ni la
syphilis
ni l'urétrorrllée. Avant la maladie actuelle, i
olique et lui-même s'adonne à la boisson. Il dit ne pas avoir eu la
syphilis
. A 21 aus il a eu l'urètrorrhée qui évolua sans
pleurésie du côté droit et un érysipèle. Le malade nie avoir eu la
syphilis
, il n'est pas alcoolique. Etat du malade au mom
sthésie locale; il 31 ans, blennorrhagie. Le malade nie avoir eu la
syphilis
. Abus marqués in venere et in 13acclfo. Il est ma
ne grande force physique et n'était jamais malade. Il nie avoir eu la
syphilis
ou la blenuorrhagie. A 29 ans, sans aucune caus
d'affection comme celle dont souffre le malade. A 18 ans, il eut la
syphilis
, it 23 ans, 1'tiréti-oi@rliée. De 18 à 30 ans, il
eu la gonorrhée ; 9 mois avant son entrée à l'hôpital, il eut la la
syphilis
. Etal du malade au moment de l'examen. Le malad
an, apparurent des douleurs et une immo- bilité dans le rachis. La
syphilis
, la gonorrhée et l'alcoolisme sont exclus. Etat
positive, malgré que le malade niait qu'il eût jamais contracté la
syphilis
. Vu cette réaction positive et le manque de sig
aires et osseuses analogues surviennent chez les tabétiques ? Et la
syphilis
, quel rûlejoua-t-elle là-dedans ? Peut- on attri-
injections mercurielles intra-musculaires dans le traitement (le la
syphilis
, 1909, p. Il. (2) M \'Q ! 1.\T, Principes de th
dernières constatations chez un homme de 29 ans firent penser à la
syphilis
et prescrire le traitement mercuriel : injections
de toute pratique mercurielle bypo- (1) Fournier, Traitement de la
syphilis
, 1909, p. 186. (2) Raconicéanu et BItOCQ, Socié
mercure aux hémiplégiques, dont la maladie a souvent pour cause la
syphilis
, il ne nous semble pas qu'on puisse ré- pondre
érieurs et remontent à z39, aux temps héroïques de l'histoire de la
syphilis
, en plein règne de François ICI' (2) : les déta
presque identiques aux estampes de Blois (4). L'iconographie de la
syphilis
est pauvre en documents datant de l'épo que de
. (5) Comme ouvrage d'histoire de la médecine le plus récent sur la
syphilis
, signa- lons A. von NOTTnAFT.Die Légende von de
syphilis, signa- lons A. von NOTTnAFT.Die Légende von der dltertums
Syphilis
, 1908 (voir France mé- dicale, li,)07, p. ! t%3
philis, 1908 (voir France mé- dicale, li,)07, p. ! t%3). (0) Art.
Syphilis
, Dictionnaire encyclopédique des sciences médical
jamais ». L'auteur du Triumphe est inconnu. La bibliographie, de la
syphilis
du Dictionnaire encyclopédique des sciences méd
et publié ses loix et droitz diffusément ». La première épidémie de
syphilis
(1525) y fut en effet des plus graves. La syphi
ière épidémie de syphilis (1525) y fut en effet des plus graves. La
syphilis
actuelle n'y a pas démérité : il y a peu d'années
e courte, puante, punaise », une bouche édentée, car on sait que la
syphilis
(à moins que ce ne soit le traitement) en fait, a
été intéressant de voir dès cette époque la repré- sentation d'une
syphilis
héréditaire. La mère est couverte d'emplâtres, a
rapprochement que l'on fai- sait de son temps de la goutte et de la
syphilis
. Dans le répertoire des li- vres que Pantagi-Li
qu'il gardait pendant son ouvrage (Obs. du D' Lubovitcli). 6° La
syphilis
est signalée dans cinq cas sur quatorze. Nous n
savoir quelle en est la cause. L'on peut soupçonner une tumeur, la
syphilis
, la tuberculose. L'hypothèse de tumeur a pour e
avons déjà exposés nous paraît éliminer le mal de Pott. Reste la
syphilis
sous ses diverses.formes, gommes, méningite bacil
sérum (négative il est vrai dans le liquide céphalo-rachidien). La
syphilis
d'autre part est une cause fréquenlede ces syndro
, plutôt petit. Il nous a été impossible de trouver des traces de
syphilis
chez le père ou chez la mère. Quant aux trois
a mère. Quant aux trois avortements, ils ne paraissent pas dus à la
syphilis
. Au point de vue personnel, voici ce que nous a
e, il a été fréquemment surpris en train de se masturber. Il nie la
syphilis
et la blennorrhagie. Son appareil digestif ne p
. ACROMÉGALIE ATYPIQUE 325 effet la disparition des symptômes de la
syphilis
, mais les facultés intellec- tuelles de l'enfan
à marche lente. Il faut noter également que notre malade a eu de la
syphilis
dans son enfance. Il est difficile à dire jusqu
égalie ; le rapport entre ces deux affections - l'acromégalie et la
syphilis
z- n'est pas bien défini jusqu'à présent. Le fa
à terme, d'un accouchement normal. Il dit ne pas avoir contracté la
syphilis
et ne pas abuser des alcools. A l'âge de 21 ans,
CURIEUSE ET RARE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA MOELLE ALLONGÉE (
SYPHILIS
CRÉBItO-SP1NALE. PAR R A. HEIMANOWITSCH Grâ
possible de faire l'étude d'un cas particulièrement intéressant de
syphilis
cérébro-spinale. Le malade était demeuré en obs
s maladies nerveuses de l'Université de Moscou. Il s'agissait d'une
syphilis
du système nerveux dont l'évolution progressive
de la plupart des phénomènes qu'il est possible d'observer dans la
syphilis
il détermination cérébro-spinale. Le tableau an
361 C'est à l'âge de 18 ans, en 1878, que notre homme s'infecta de
syphilis
et déjà, deux ans plus tard, celle-ci s'annonça
. En d'autres termes, l'action lente et prolongée des toxines de la
syphilis
sur le névraxe nous parait constituer la cause
appareils fonctionnent régulièrement. Il n'existe aucun stigmate de
syphilis
, et la tuberculose ne peut être soupçonnée. Au
ditaire, notre sujet présente-t-il des stigmates de tuberculose, de
syphilis
? Nous avons noté le résultat négatif de nos re
mblent avoir présenté de maladies sérieuses, ni d'alcoolisme, ni de
syphilis
. Tous deux sont morts rapidement d'affections a
s). Il était mécanicien aux che- mins de fer. Il paratt avoir eu la
syphilis
. Malade depuis deux ans. Trois mois avant le dé
e par une blennorragie (obs. III, VIII, IX, XI, XII, XV) ou par une
syphilis
. Enfin,si la présence du système pileux antérie
est grand et vigoureux. Sa verge et ses testicules sont volumineux.
Syphilis
à 24 ans. Orchite syphi- litique bilatérale à 2
DIER ET REBATTU Observation V (DALCHË, résumée). Homme de 36 ans.
Syphilis
il 20 ans ; orchite à 30 ans. Début à la même é
o-conjrnctivile droite ; une blpnuorrhée ; des hémorroïdes ; pas de
syphilis
. Marié à 26 ans ; était « très fort », au dire de
de ses deux mariages A partir de 33 ans, érysipèles à répétition et
syphilis
dont la porte d'entrée reste douteuse. Perte pr
yé. Une blennorragie sans orchite. Une otite. Pas d'oreillons ni de
syphilis
. Marié à 20 ans, il n'a eu qu'un enfant qui ne vé
hôpital pour de l'hyposystolie. Une blen- norragie à 18 ans. Pas de
syphilis
. Habitudes alcooliques. Il reçut à 25 ans un vi
s simultanément et enfin il contracta une blennorragie, mais pas de
syphilis
. Six mois après sa fièvre typhoïde, il s'aperçu
tiologie infectieuse de ces lésions : tubercn- lose dans notre cas,
syphilis
dans d'autres. « Déjà plusieurs auteurs : Colli
blennorragie qui n'a pas eu de suite ; il ne semble pas avoir eu la
syphilis
dont on ne trouve aucun stigmate, il ne sem- bl
avec des séquelles d'épiphysites post-natales ; aucune cause, ni la
syphilis
, ni les yaws, ni la tuberculose, ni d'autres pr
avoir souffert de taenia et de blennorrhagie, mais nie avoir eu la
syphilis
. Il reconnaît avoir souffert longtemps de'maux de
1l, 481. Atrophie de la moelle épinière el de la moelle allongée.
Syphilis
médullaire, par flctxa- vownrscn, 360. Jl'f.S
lité morbide spéciale) (7 pl.), par EI.n \1101'1', 1'-)l, 236.
Syphilis
médullaire (Atrophie curieuse et rare de la moe
ntellectuels consécutifs; céphalalgies mais pas de migraines, ni de
syphilis
, ni alcoolisme, vive et emportée. [Père : sobre
nité. Différence d'âge de huit ans (père plus âgé). Aucun indice de
syphilis
ni chez l'un, ni chez l'autre. Deux enfants. 1°
tion; urine légèrement albumineuse. Pas d'hérédité fâcheuse. Pas de
syphilis
: il menait sans effort une vie de travail fati
s atteints dans la famille, bien que pour l'un d'eux l'absence de
syphilis
fût prouvée. La névrite hypertrophique serait don
erait donc la seule affection pouvant donner le signe d'Argyll sans
syphilis
. M. Meunier communique un cas d'atrophie muscul
onnels dignes d'être signa- lés ; il a un fils bien portant. Pas de
syphilis
, pas d'alcoolisme. La santé générale est bonne
te pas d'éruption sur la peau. Elle ne présente aucun stig- mate de
syphilis
(oreilles, anus, lèvres, bouche etc.), pas de pla
u son par les os du crâne dans la paralysie infantile cérébrale, la
syphilis
céré- brale, l'alcoolisme chronique avancé, l'é
ce, octobre 1901). Obs. 1. Femme de vingt-sept ans; comme signes de
syphilis
congénitale, on trouve le crâne volumineux, le
: Il n'est pas commun de rencontrer chez les idiots des exemples de
syphilis
congénitale : on trouve, à la vérité, souvent d
ompte - de ces deux faits 1° que l'idiotie est rare dans les cas de
syphilis
congénitale, 2* que la paralysie générale est o
que la paralysie générale est ordinairement une consé- quence de la
syphilis
acquise, on est amené à -se demander pourquoi l
litique, souvent longtemps continué chez les enfants atteints de
syphilis
héréditaire : la mère, en ellet, demande promptem
la paralysie générale. On admet aujourd'hui que l'alcoolismeet la
syphilis
sont les deux principaux facteurs de la paralys
e ses malades juifs en deux classes, dans la première desquelles la
syphilis
et l'alcoolisme sont rares (ces deux tares sont
es par Bonnet etPoincaré, 'Foville, J. Falret. Les rapports avec la
syphilis
furent discutées plusieurs reprises, mais « la
sse. M. Leredde revient sur sa communication antérieure, tabes et
syphilis
, insistant sur l'utilité du traitement intensif m
nel buvait aussi et a eu dans la vieillesse une maladie mentale. La
syphilis
héréditaire est probable. La malade vint au monde
ladies mentales. Passons à présent à l'examen de la fréquence de la
syphilis
dans l'anamnèse de 'la paralysie générale. 520
sie générale chez les hommes, les périodes entre l'infection par la
syphilis
et l'apparition de la maladie mentale en questi
d'enfants. Né à terme, G... n'aurait jamais fait de maladie. Pas de
syphilis
connue. Il vient à Paris à dix-sept ans comme g
à ce moment d'accrocs de la parole. Pas de stig- mates apparents de
syphilis
. Le 9 juin, G... est transféré à l'asile de Vil
tte troisième catégorie. On peut toujours dire il est vrai que la
syphilis
a échappé à l'examen clinique ou que G... était u
xquels on attribue généralement la genèse de la paralysie générale.
Syphilis
, alcoolisme, surmenage physique, dégénérescence
me antécédents personnels, on retrouve chez l'un l'alcoolisme et la
syphilis
; chez l'autre, le paludisme et un surmenage phys
u'à l'origine de . la grande majorité des cas de tabes on relève la
syphilis
; mais il n'est pas contestable, non plus, que
ntestable, non plus, que les cas où il est impossible d'admettre la
syphilis
sans baser le diagnostic sur une pétition de pr
de la sénilité. Il est aussi des cas où d'autres infections que la
syphilis
semblent avoir agi et avoir, à elles seules, en
arition d'une de ces infections, alors que pendant la période où la
syphilis
était seule, aucun accident tabétique n'était a
ismales, la blennorragie. Il semble que la SOCIÉTÉS SAVANTES. 379
syphilis
crée, dans ces cas, un lieu de moindre résistance
a sclérose multiloculaire; 61 l'importance étiologique de l'hérédo-
syphilis
dans le développement de la sclérose en plaques c
particulièrement' envisagé les rapports du signe d'Argyll et de la
syphilis
. Ils n'ont jamais trouvé le signe au cours de l
le hypertro- phique et de syringomyélie avec signe d'Argyll et sans
syphilis
. Mais dans la pratique, la présence du signe d'
la pratique, la présence du signe d'Argyll doit faire soupçonner la
syphilis
, selon la règle posée par M. Babinski. De l'avi
e faire comprendre cette locali- sation singulière, E. B. XXXVII.
Syphilis
cérébrale sept mois après l'accident primitif.
s lésions cérébrales préco- ces de nature artérielle au cours de la
syphilis
et sur le temps nécessaire à la production d'un
ie puerpérale. 1. DE IUf,AAVE-CL : 1Y. XIV. Paralysie générale et
syphilis
: revue critique ; par W.-H.-B. STODD : 1RT. (T
ivantes : - Il est remarquable dans l'histoire delà médecine que la
syphilis
du foie, la syphilis du cerveau, la syphilis de
marquable dans l'histoire delà médecine que la syphilis du foie, la
syphilis
du cerveau, la syphilis de la peau, ont toutes
e delà médecine que la syphilis du foie, la syphilis du cerveau, la
syphilis
de la peau, ont toutes traversé une période pen
de l'iodure de potassium : mais quelle que soit l'importance de la
syphilis
comme facteur étiologique de la paralysie génér
lir l'étiologie syphili- tique de cette maladie. On a montré que la
syphilis
se rencontre plus fréquemment que toute autre c
re- nante, surtout si l'on tient compte îles cas très nombreux de
syphilis
occulte ou ignorée et de la diliculté d'obtenir d
hérédité, profession, rang, race, etc.), qui feraient déclarer la
syphilis
coupable devant n'importe quel tribunal. Dans l
ment de valeur, c'est sa rareté dans les races non civilisées où la
syphilis
est florissante. Il REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE
écouvrir quel est celui des éléments de la civilisation qui aide la
syphilis
à engendrer la paralysie générale, et en d'autr
er la paralysie générale, et en d'autres termes, de quelle façon la
syphilis
est influencée par la civilisation. En premier
la syphilis est influencée par la civilisation. En premier lieu, la
syphilis
est moins grave chez les peuples civilisés que
tré à l'auteur que les paralytiques généraux n'avaient jamais eu de
syphilis
grave. La conclusion logique qui résulté de ces d
ve. La conclusion logique qui résulté de ces don- nées c'est que la
syphilis
ne donne la paralysie. générale qu'à la conditi
ion d'être bénigne, reductio ad absiti-diti ? i. En second lieu, la
syphilis
demeuré sans traitement dans les pays civilisés :
les pays civilisés : les Maho- métans par exemple quand ils ont la
syphilis
disent « Kismet » et c'est tout. Mais chez les
arshatko a étudié avec beaucoup de soin la question de savoir si la
syphilis
tertiaire est ou n'est pas causée par le mercur
rencontré un seul ouvrier maniant le mer- cure qui ait contracté la
syphilis
pendant qu'il était en état de mcrcurialisme. C
a paralysie générale. On peut conclure de toutes ces données que la
syphilis
est un antécédent tellement ordinaire de la par
au moins peut on affirmer pratiquement que quiconque n'a pas eu la
syphilis
ne court guère de risque de devenir paralytique
l. Mais la question de savoir si la paralysie générale est due à la
syphilis
per se ou la mercurisation consécutive du malade
lcool semble jouer le principal rôle-à la première période, puis la
syphilis
et le traumatisme. AI. IIAMEL XXXV. Contribut
-moteur externe du môme côté; par Lad. Haskover, 438. générale et
syphilis
: revue cri- tique ; par Stcddart, 512 Le pru-
ib. Voir Epilepsie. S1DH0\IE occipital I)OLBLE, j)iU Dide, 179.
Syphilis
cérébrale sept mois après l'accident, par Clumr
ns qu'il n'a pas eu de graves maladies, mais qu'il a été infecté de
syphilis
à l'âge de 30 ans. Jamais il n'a souffert de trau
enons de décrire, nous voyons que 'd'un homme de 68 ans, infecté de
syphilis
dans sa trentième anné ! ".s jouissant d'une sa
et il n'avait pas cessé de souffrir, quand, en 1897, il contracta la
syphilis
(chancre du sillon balano-préputial, puis roséo
igner » avant son entrée à l'hô- pital. C'est à l'occasion de cette
syphilis
que se seraient développés les accidents spécia
sence de lésion organique définie et de manifestations actuelles de
syphilis
, sa bonne foi n'élant pas en cause, on est surt
service de blessés où l'on confirme l'absence actuelle de signes de
syphilis
, il retourne à son corps. Tant mal que bien il
dents héréditaires, ni personnels sauf des bien - norrhagies et une
syphilis
récente qui est obligé d'interrompre sa pro- fe
jours mené une vie très réglée, très laborieuse, sans vices. Pas de
syphilis
, pas d'alcoolisme. - Voici comment aurait début
tandis que l'autre jouit d'une bonne santé. Bad... n'a jamais eu la
syphilis
; il n'a jamais fait d'excès de boisson ou de f
e. Observation IL - (Pitres et Vaillard.) SOMMAIRE. Femme 66 ans.
Syphilis
probable. A 41 ans, luxation spontanée de la ha
embres inférieurs. Dans ses antécédents personnels, on retrouve une
syphilis
conjugale bien nette. Elle a eu neuf grossesses
de 25 ans. L'enquête est entièrement négative en ce qui concerne la
syphilis
. L'histoire de sa maladie est bien intéressante
me nerveux est lésé par la tu- berculose. En est-il de même pour la
syphilis
et pourrions-nous sur le plan que nous venons d
er pour la tuberculose étudier les mani- festations nerveuses de la
syphilis
? ' ! L'histoire anatomo-clinique de la syphili
ns nerveuses de la syphilis ? ' ! L'histoire anatomo-clinique de la
syphilis
des centres nerveux a été ap- profondie dans ce
les détails histologiques des dif- férentes manifestations de cette
syphilis
. Il en est au contraire, tout au- trement des a
toubles ner- veux dus à l'altération des nerfs périphériques par la
syphilis
est indiquée depuis longtemps par les clinicien
e de M. le professeur Raymond, à la Salpêtrière). Résumé clinique :
Syphilis
,grave le 1. cr mai 4899, apparition de la paraly
OBs. IL - Personnelle (Service de M. Babinski à la Pitié). Résumé :
Syphilis
le le, octobre 1895 ; début de la paralysie le Il
lides de la peau et des muqueuses, syphilidcs qui font découvrir la
syphilis
seu- lement à cette époque. Ou fait des frictio
ereal Dis., 1861, p 174. J. B..., 40 ans, usage modéré de l'alcool.
Syphilis
avec syphilides secondaires Démarche et station
OBs. VI. - Gnosz, Société de dermatologie de Vienne. Malade prend
syphilis
en 1896. En 1897, éruption papuleuse disséminée ;
mond, Leçon XXII, 4° série. P... âgée de 26 ans. Pas d'antécédents.
Syphilis
en 1896 avec accidents se- condaires. Traitemen
de maladie antérieure. Très nerveuse. Mariée le 16 septembre 1893.
Syphilis
en octobre 1893 avec accidents secon- 160 ' R.
- Brauer, Neurolo,g. CentralLlatl., 1896, p. 671. Homme de 24 ans.
Syphilis
en août 1895. Cure par frictions mercurielles de
syphilitique, on voit survenir, avec ou sans phénomènes associés de
syphilis
cérébrale, des paralysies lentement progressives,
ork med. journal, p. 1, juillet 1890). Femme de 40 ans, atteinte de
syphilis
en 1880 ; deux ans plus tard, anes- thésie et a
IX.) Ces. XIII. - Sorrentino (Riforvla medica, 1892). Ange. L....
Syphilis
en 1890, six mois après vient consulter pour mani
d'Astier, 1898. Mais une telle preuve ne saurait être faite pour la
syphilis
dont nous ignorons, le principe infectieux et qui
remier chef, intoxiqués souvent par l'al- coolisme, toujours par la
syphilis
et le mercure, auto-intoxiqués enfin par les lé
mplexe. Et tout cela s'est passé à l'époque où elle a contracté une
syphilis
assez sérieuse et où elle a été soumise à des c
liorent les troubles moteurs. Quant au 2° malade, on ne découvre la
syphilis
qu'au mois de décembre, et les troubles moteurs
chez des syphilitiques sous l'influence d'intoxications multiples,
syphilis
, mercure, lésions rénales, alcool (cas de Braue
enfin les polynévrites qui paraissent exclusivement causées par la
syphilis
(2 cas personnels, cas de Rodet, Midleton, Ford
es nerveux font leur apparition pendant la période secondaire de la
syphilis
à une date du chancre infectant variant depuis 1
rs les auteurs ne font pas mention d'une gravité particulière de la
syphilis
. Cependant notre premier malade paraît avoir été
autres formes de polyné- vrite. Il faut pourtant se rappeler que la
syphilis
affectionne les centres nerveux et parfois d'un
i 1 is maligne précoce dunévraxe, justement dénommé par Charcot, la
syphilis
tigrée de la moelle. La myélite aiguë se reconnaî
te, soit de la poliomyélite d'autant plus qu'on a pu rattacher à la
syphilis
certaines poliomyélites subaiguës ou chroniques
pleurésie que l'on voit survenir pendant la période se- condaire de
syphilis
. La rareté et la bénignité des polynévrites syp
les altérations des éléments nerveux, observées dans le coeur de la
syphilis
cérébro-spinale. 1 Nouv. ! cOlWG"APHIF 0" L
elle était la cause de cette artérite ? Nous avons pu soupçonner la
syphilis
, mais le traitement antisyphilitique n'a donné au
matose a parfois coïncidé avec d'autres états morbides, tels que la
syphilis
, l'albuminurie, le cancer, les varices, la goutte
e la pathologie du système lymphati- que, que l'on retrouve dans la
syphilis
, l'infection chancrelleuse et môme dans les inf
il a eu des échauffements, mais pas de blennorra- gie intense ni de
syphilis
. Il y a dix ans, le malade s'aperçut de la prés
ortions normales. Pas trace de manifestations rachi- tiques. Pas de
syphilis
. Sur la paroi abdominale antérieure, à peu près
ation IX. - (Personnelle.) SOMMAIRE. Femme, 45 ans. Pas de trace de
syphilis
. A 28 ans, privations physiques et ennuis morau
ssantes. Observation X. - (Personnelle.) SOMMAIRE. Homme, 51 ans.
Syphilis
à 23 ans. Traitement anti-syphilitique régulier
ier dans ses antécédents héréditaires. Il a contracté lui-même la
syphilis
vers l'âge de vingt-trois ans : il suivit dès c
Observation XI. (Inédite.) SOMMAIRE. Homme, 54 ans. Pas de trace de
syphilis
. Abus des plaisirs véné- riens.A 45 ans, premiè
de trente- six ans, a eu un enfant qui est mort. Il n'accuse pas de
syphilis
, il a toujours abusé des plaisirs vénériens.
Observation XII. - (Personnelle.) SOMMAIRE. Homme 59 ans. Pas de
syphilis
. Alcoolisme probable. A 41 ans, douleurs rhumat
ns, une blennorrhagie guérie rapidement. Il n'a jamais contracté la
syphilis
. L'alcoolisme est probable chez lui, car il a é
rvation XIII. - (Inédite.) SOMMAIRE. Homme, 57 ans. Pas de trace de
syphilis
. Abus des plaisirs véné- riens. A 45 ans, premi
sait habituellement d'une santé parfaite. 11 n'a jamais contracté la
syphilis
. Il est marié, mais n'a point d'enfants. Il a t
- .. Observation XIV. - (Personnelle.) SOMMAIRE. Homme, 58 ans.
Syphilis
à 25 ans, non traitée spécifiquement. A 40 ans,
oïde. Plus tard, il contracta plusieurs blennorrha- gies. Il eut la
syphilis
à vingt-cinq ans et ne suivit, à son dire, aucun
ES 289 Il y a une quinzaine d'années environ, dix-huit ans après sa
syphilis
, vers t'age de quarante ans, le malade ressenti
O-CÉRÉBELLEUSE 343 che ; il nie avoir eu des maladies vénériennes :
syphilis
ou blennorrhagie. Il a même toujours joui d'une
s fait de fausse couche et n'a pas eu d'enfant mort en bas âge ; la
syphilis
ne paraît pas exister dans les an- técédents hé
, le 23 février 1900. Antécédents héréditaires. - Du côté paternel,
syphilis
chez une arrière- grand'mère qui contamine ensu
une répulsion marquée, intelligence médiocre, prognathisme, pas de
syphilis
. Du côté maternel, tuberculose pulmonaire chez
de la maladie actuelle. Dans son passé rien d'extraordi- naire, ni
syphilis
, ni alcoolisme, en un mot aucune maladie. Ses par
maladie antérieure. Elle ne souffre pas de la tête. Elle n'a pas de
syphilis
, et il n'y a jamais eu de tuberculose dans la fam
ulement vaginal. En tout cas on ne relève chez elle aucune trace de
syphilis
. A Lourcine elle a eu des attaques de nerfs qui c
olisme. Il est impossible de retrouver dans l'histoire du malade la
syphilis
. Marié à 27 ans, le ma- lade a eu un premier en
tismale soit aiguë, soit chronique. Quelques infections banales, la
syphilis
dans la proportion habituelle du tabès. Certain
phie et de défense. Si l'on excepte les exostoses silencieuses de la
syphilis
, 516 JEAN ABADIE les déformations dues à des
-même n'avait jamais été malade. En particulier il n'a jamais eu la
syphilis
ni aucune maladie nerveuse, il ne boit pas. L
t le plus souvent : on a noté cependant, mais titre exceptionnel, a
syphilis
(Tilley),la tuberculose des parents (Heuck), la
loro-anémique (Obs. 111). Il ne semble y avoir eu ni alcoolisme, ni
syphilis
chez les parents. La malade est le deuxième enf
nguait depuis longtemps par sa nervosité qui augmenta encore par la
syphilis
acquise il y a neuf ans. Il y a 12 ans que le m
aux fonctions sexuelles normales. bientôt, après avoir contracté la
syphilis
, il y a G ans, le ma- lade manifesta de l'impot
u dans la partie supéro-externe du chiasma. Paralysie générale et
syphilis
cérébrale diffuse. M. Duprk et Devaux. Les cara
ante formation de néo- vaisseaux. 54 sociétés savantes. Dans la
syphilis
cérébrale, l'infiltration périvasculaire, lors-
fant de quinze ans. MM. Déjérine, 11OR1 : R0 CL LEENHARDT. - Pas de
syphilis
, in- coordination des membres supérieurs depuis
totale et paralysie faciale gauche sans troubles de la sensibilité.
Syphilis
probable ; lésion pédon- culo-prolubérantielle
EUTIQUE. 109 la paralysie générale des formes non inflammatoires de
syphilis
cérébrale. Usemble que dans ces dernières, comm
- choses non syphilitiques mais entées sur des sujels ayant eu la
syphilis
, on puisse constater un état positif, bien que da
ence précoce, l'épilepsie (I cas, 1 ponc- tion), ou encore entre la
syphilis
cérébrale, et la paralysie géné- rale (4 cas, 8
lcooliques chro- niques ; de 4 démences séniles ; de 1 tabès ; de 1
syphilis
ancien- ne ; de 1 manie ; de 1 mélancolie ; de
t d'une forte mul- tiplication des lymphocytes. La question de la
syphilis
n'est pas tranchée. Une imbécile pros- tituée d
chée. Une imbécile pros- tituée de 25 ans, atteinte il y a 4 ans de
syphilis
secondaire, in- demne d'une affection syphiliti
ux, il s'agit d'une personne solide, qui ne présente pas tra- ce de
syphilis
antérieure. La psychose est depuis des années abs
re bien portante, D'après l'historique et le rapport du médecin, la
syphilis
des parents était improba- ble. L'autopsie révé
e n'ait point éprouvé d'accidents secondaires, l'auteur croit à une
syphilis
cérébrale compliquée d'endartérile (thrombose)
oelle, dans le tabès, dans la pachyméningite hypertrophique,dans la
syphilis
spinale, dans la myélite par compression et dan
. Pas de troubles pupillaires. Pas d'antécédents ni de stigmates de
syphilis
. La ponction lombaire donna des résul- IaLs nég
cause occa- sionnelle, l'alcoolisme est invoqué dans 2G cas. « La
syphilis
a été relevée seulement cinq fois sur les 17 para
digentes qu'ils l'ont été pour les 3 paralytiques pensionnaires, la
syphilis
aurait été retrouvée bien plus fréquemment dans l
er- ne de l'un ou de l'autre oeil, laquelle dépend toujours de la
syphilis
, . ils CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEURO
rsque la pupille est paresseuse et immobilisée pathologiquement. La
syphilis
seule ne donne pas lieu au phénomène d'Argyll-R
a fois.) Les lésions causales de ces troubles pupil- laires dans la
syphilis
sont rarement d'origine nucléaire, mais le plus
es de la paralysie générale sc rapprochent beau- coup de ceux de la
syphilis
. L'inégalité pupillaire correspond toujours à u
ble à ce qu'elle aurait été à la suite de la même amputation sans
syphilis
. - - Ces 2 faits nous ont mis en éveil et nous
s, il eut quatre en- fants, donttrois sont vivants etbien portants.
Syphilis
à 40 ans, avec chancre, roséole, plaques muqueu
entrée à l'asile, on ne trouva pas sur le corps des stigmates de la
syphilis
; tremblement des mains et de la langue ; réfle
t il existe actuellement, chez ce malade, des stigmates évidents de
syphilis
sous forme de rétractions pal- maires, de cicat
t a confirmé la relation que la clinique tendait à établir entre la
syphilis
et l'amyotrophie, car, sous l'in- fluence des i
uis, Paris. FOUIINIER (A.) et Raymond (F.). - Paralysie générale et
syphilis
. 1 vol. In-8, de 100 pages. (Librairie Masson,
et impressionnable, a souffert de névralgies de 20 à 40 ans, pas do
syphilis
. Mère, 57 ans, bien portante, caractère faible. 5
infection) de ces altérations vasculaires était vraisemblablemenlla
syphilis
. F. T. XXXI. Un cas de myopathie avec rétract
nous l'approuvons vivement. BOURNEVILLE. XIV. Paralysie générale et
syphilis
. parL. MARCHAND, médecin adjoint de l'Asile de
decin adjoint de l'Asile de mois. Pour éclairer lerôlejoué par la
syphilis
dans la paralysiegéné- rale, il faut s'appuyer
ains cas de paralysie générale n'ont certainement pas pour cause la
syphilis
, puisque plusieurs malades ont contracté la vér
xpériences négati- ves de Kiaf[7EI)iii,, inoculant sans résultat la
syphilis
à parai;) ti- ques généraux; et dans la symptom
la constatation du signe tl'Arnll-llobertsou, semblent donner à la
syphilis
un rôle important. L'anatomie pathologique perm
la paralysie géné- rale s'associent à des lésions non douteuses de
syphilis
cérébrale la coexistence de ces lésions est bea
Ces diverses considé- rations permettent à l'auteur d'envisager la
syphilis
comme une cause puissante de paralysie générale
i- quement syphilitique de ceux où d'autres causes, autres que la
syphilis
, les excès alcooliques par exemple, entrent seuls
ations de glace ; il n'aurait pas eu de convulsions. Ni dartres, ni
syphilis
, ni rhumatisme. Mort en 1901 des suites d'une p
u'il présente actuellement. . Il n'v a, chez lui, ni alcoolisme. ni
syphilis
. Il était de caractère triste et vif, comme sa
, il résulte que la grande cause de la j ! ara)\sie générale est la
syphilis
,. dont l'action est, en parlicu- lier, évidente
sus anatomiques différents. » (Iig. °3, 24 et ` ? .) En somme, la
syphilis
est la cause dominante, mais nous ne pourrons d
ce et les caractères des paralysies générales ne relevant pas de la
syphilis
. Il. -Ulcérations trophiques chez deux déments
e tension, du surmenage du cerveau dans la lui le pour l'existence;
syphilis
, alcoolisme, héré- dite,traumatisme, etc., ne s
e celte famille n'avait eu d'all'edions mentales, nerveuses ou la
syphilis
. Durant la grossesse, la mèreavail eu beaucoup d'
serait mort tuberculeux ; jamais d'enfants ni de fausses couches :
syphilis
niée. La maladie actuelle aurait commencé en dé
pathogéniques, le rôle des lésions des glandes th) i-oides, (le la
syphilis
congénitale, de la tuberculose : puis s'appuvan
iennes, ont donné éga- lement des résultats encourageants : Xlll.
Syphilis
cérébrale et injections d'hermophényl ; par MM.
neloup. (Lyon médical, 21 mai 1905, no 21.) Quatrcohservations de
syphilis
cérébrale à manifestations va- l'iées, que les
par le^ injections d'hermophényl à hautes doses. Observation 1 ?
Syphilis
cérébrale, céphalée en un point fixe, à recrude
es injections d'hermoplu- nyl constituent un traitement actif de la
syphilis
cérébrale. ' ' Les auteursontinjecté à ces dive
l'hermophényl on soit en posses- sion d'un mode de traitement delà
syphilis
cérébrale, permettant de pousser, aussi loin qu
equaI'l1 et de la queue de chenal. Tuberculose des centres nerveux.
Syphilis
des centres nerveux. Paralysie générale. Atroph
ment hérédo-syphilitique tar- dive, par Rose, p. 314. générale et
syphilis
, par Mar- chand, p. 331. Leçon sur la riénér.
ité verbale familiale con- génitale, pal Taguet et Fov. p. 131.
Syphilis
cérébrale. Voir Para- lysre pén`s7ale. - cérébr
age, a voulu le faire monter sur l'échafaud. Il prétend avoir eu la
syphilis
il y a 12 ans, et depuis, dit-il, il est devenu
it-il, il est devenu « loufoque »; chacune des manifestations de sa
syphilis
l'a beaucoup préoccupé. Il ne présente à l'heur
ne peut trouver chez les parents aucun degré de consanguinité : ni
syphilis
ni hérédité nerveuse ou mentale. D'ailleurs, le
tre ans et s'est marié en rentrant du service, n'ayant jamais eu la
syphilis
. De concert avec sa femme qui s'occupait princi
migraines. Pas de dartres ou d'affections cutanées. Aucun indice de
syphilis
. W renseignement sur sa famille. MÈRE, trente-t
A quatorze ans, a eu un eczéma. Pas de migraines, pas de signes de
syphilis
. Intelligence moyenne. Famille de la mère. Père
. Il s'agit d'un malade, âgé de soixante-sept ans, qui contracta la
syphilis
à seize ans. Depuis 76 SOCIÉTÉS SAVANTES. deu
que trente années. ni. Raymond, a vu un officier ayant contracté la
syphilis
en Cri- mée lors de la campagne et dont le tabe
après. M. Babinski, a vu un cas de tabes débuter en 1896 pour une
syphilis
prise en 1858, soit trente-huit ans après. Mala
a paralysie générale peut-elle être distinguée anatomiquement de la
syphilis
cérébrale diffuse ? (Thèse). in-8° de Si pages.
s réflexes patellaires, affaiblisse- ment intellectuel et euphorie,
syphilis
ancienne. L'examen clinique des urines fut néga
es divers médicaments et termine en rapportant une observation de
syphilis
cérébrale sérieusement améliorée par des doses fo
ugmentation; les plus importantes sont l'hé- rédité, l'alcool et la
syphilis
, et ces facteurs peuvent agir isolément ou se r
Las-âge appartenant aux premières, on a de la tendance à accuser la
syphilis
. La syphilis n'est-elle pas aussi souvent la caus
tenant aux premières, on a de la tendance à accuser la syphilis. La
syphilis
n'est-elle pas aussi souvent la cause de la sté
bilité et de la coordination. Impossible de constater sûrement la
syphilis
héréditaire : elle est cependant fort probable, s
dissociée des principales branches de la 3° pair fait penser à la
syphilis
cérébrale, maisl'échec du traitement spécifique p
tte tumeur serait une néoplasie maligne (sarcome ou gliome), car la
syphilis
n'existe pas ici et la tuberculose se déve- lop
commerce à l'étranger, très sobre, rhumatisant, n'aurait pas eu la
syphilis
. Pa, d'accidents nerveux. Il aurait été « débauch
age cette manière de voir, si l'on considère comment se présente la
syphilis
encéphalique avérée, suivant la date à laquelle
moindre degré ! ' Il est vrai qu'en accordant une grande part à la
syphilis
, beau- coup d'aliénistes en sont venus à défini
énérale asso- ciée, l'alcoolisme, l'arthritisme, la tuberculose. la
syphilis
. Si .'auto-infection y intervient aussi, du moi
ètement d'accord avec M. Klippel. L'en- dartérite oblitérante de la
syphilis
ne s'observe pas chez les para- lytiques généra
s méningites syphilitiques d'aspect très variable. A mon avis, la
syphilis
et la tuberculose, la seconde au moins autant q
génie et pronostic du tabès M. Maurice FAURE (Lamalou, Hérault). La
syphilis
n'exerce pas, dans la genèse et l'évolution du
asculin est plus fréquem- ment atteint dans la proportion 3 à 1. La
syphilis
peut être incri- BIBLIOGRAPHIE. 285 minée dan
té sarcolyti- que. Atrophies musculaires progressives spinales et
syphilis
, (Note préliminait e). M. André LÉRI. La syph
ves spinales et syphilis, (Note préliminait e). M. André LÉRI. La
syphilis
n'a paru entrer jusqu'à ce jour que pour une pa
élites syphilitiques. Nous avons pu réunir près de trente cas où la
syphilis
existait manifes- tement dans les antécédents d
dence, d'une part, à cause de l'extrême fréquence avec laquelle la
syphilis
a été rencontrée dans les cas où elle a été reche
es que l'on considère aujourd'hui comme presque spécifi- ques de la
syphilis
. Les portions périphériques, immédiatement sous
e. Au point de vue thérapeutique, la notion de la fréquence de la
syphilis
dans l'étiologie des amyotrophies spinales progre
coexistaient avec elle des troubles mentaux de diverse nature. La
syphilis
, l'alcoolisme, le surmenage, l'hérédité, etc., po
n et dépression périodique. Délire circulaire fruste dans un cas de
syphilis
héréditaire. MM. F. Raymond et PIERRE Janet (de
hymateusc. Ces troubles oculaires semblent bien en rapport avec une
syphilis
héréditaire ; les auteurs recherchent si les tr
nséquence indi- recte. Une vérification curieuse de ce rôle de la
syphilis
dans un élat mental de ce genre a été fourni pa
douleurs aiguës dans la vessie pleine. Le malade ne souffre pas de
syphilis
: ni héréditaire, ni acquise. La semaine précéd
gues eux-mêmes '. ' Professeur S. Tchiriev, Sur le traitement de la
syphilis
en cénérezlel sur celui de Tabes. poslsyphilili
ques quatre d'entre eux ne présentant dans leurs antécédents que la
syphilis
seule. Les lésions papillaires constatées à l'o
éflexe» pupillaires abolis, réflexe du genou aboli, pas d'ata- xie,
syphilis
. 2e cas : homme de 39 ans, démena cécité, réflexe
esseux, puis abolis, pas d'ataxie, réflexe du genou bien conservé ;
syphilis
. 31 cas : homme de 33 ans, dément, réflexes pup
e, puis améliorée, sensations normales, réflexe du genou con- servé,
syphilis
.-4°cas : llomme de 48 ans, vision défectueuse, pu
émarche ataxique, sen- sations normales, réflexe du genou conservé,
syphilis
. Dans le premier cas, le seul où le diagnostic
si l'on remarque que dans les trois premiers cas, l'existence de la
syphilis
était avérée, et que, dans les deux derniers une
ti-syphilitique, on sera autorisé à conclure que cette cause est la
syphilis
. Si de non- veaux faits de cet ordre viennent à
t un mélancolique anxieux, presque panophubique, qui croit avoir la
syphilis
et s'attend à tout instant à être puni pour ce
cupation unique était la 496 CLINIQUE mentale. crainte d'avoir la
syphilis
et de la transmettre au genre humain entier.
le, pour y retrouver les traces de son chancre et les ravages de la
syphilis
? Ce malade est moit a cette période, sans cela
je suis ! Malheureuse victime. Je suis possédé du diable. C'est la
syphilis
. Je suis perdu. C'est trop puni. - Vous êtes cr
populations voisines, qu'on ignorait au^si bien l'alcoolisme et la
syphilis
que le surmenage physique et iulellec- tuel, la
mené à admettre que si à la base de la paralysie générale il y a la
syphilis
, cette syphilis ne suffit pas à elle seule et q
que si à la base de la paralysie générale il y a la syphilis, cette
syphilis
ne suffit pas à elle seule et qu'elle exige, po
conditions principales dans ce gouvernement sont : l'ivrognerie, la
syphilis
, l'hérédité, chez l'homme ; chez la femme, ASIL
atteinte de paralysie générale précoce. Cette jeune fille avait la
syphilis
au moment de son allaitement, ainsi que sa mère
Gery réside dans la coexistence de la paralysie géné- rale et de la
syphilis
, que celle-ci soit héréditaire ou acquise Hallu
1,(tties enfants, par Neustacdter, 76. - progressives spinales et
syphilis
, par Leri, 311. 1. Automatisme L'-mentaldesapha
Intejko, 3îl . Excitations SERSORIEI les. Voir Epi- lepsie - Voir
Syphilis
. Faculté de Médecine, de Paris, 288 Fatigue.
e-six, sans être jamais ma- lade. A dix-sept ans, blennorrhagie. Ni
syphilis
ni alcoolisme. A vingt-cinq ans, il se marie. I
aussi pissé au lit jusqu'à dix ans. l'as d'autres maladies. Pas de
syphilis
, pas s d'acoolisme. En 1870 (à l'âge de dix-hui
torze ans. A vingt ans, fièvre ty- phoïde. Pas d'alcoolisme, pas de
syphilis
. Depuis t'age de vingt-neuf ans, M.. a des atta
es fièvres paludéennes en 1869. Il y a trois ans, il a contracté la
syphilis
(deux chancres indurés suivis de plaques muqueu
de l'oeil n'a pas été fait. L'hystérie peut donc tout expliquer. La
syphilis
, si elle a joué un rôle, n'a joué que celui d'a
at mental bizarre : il était comme abruti. En 1874, il contracta la
syphilis
. Repos. Mouvement. (Action de porter un verre à
ute maladie infectieuse fait défaut dans les anté- cédents, sauf la
syphilis
qui ne doit pas être mise en cause. Mais, comme i
moscope. Dans les antécédents du malade on relève une his- toire de
syphilis
remontant à vingt-deux ans auparavant. Dans ces d
ix litres; il supporte bien la boisson ; il ne s'enivre pas. Pas de
syphilis
. A seize ans, il contracta la fièvre typhoïde.
depuis vingt ans, il a souvent soif devant ses fourneaux. l'as de
syphilis
. Première attaque d'oedème. En août 1888, L...
lus souvent qu'un état morbide qui a pour causes le plus souvent la
syphilis
héréditaire, l'alcoolisme et le rachitisme. L
franc. Je ne ferai que mentionner les hyperosloses crâniennes de la
syphilis
héréditaire avec éburnation, et enfin les épais
a de se soumettre au traitement iodé, parce qu'il n'avait pas eu la
syphilis
. Sa paralysie du côté droit l'obligeait à se serv
eut l'occasion de l'examiner. Le malade nie la blennorrhagie et la
syphilis
. On ne trouve du reste pas trace de ces affecti
sulter àj trois reprises pendant l'été de 1884. A l'exception de la
syphilis
, il a joui d'une excellente santé jusqu'il y a
atomiquement il y ait une réelle inflamma- tion. Il faut exclure la
syphilis
, encore moins faut-il invoquer une ' autre caus
, acrocéphalie, scaphocé- phalie, etc.), ou à des lésions osseuses (
syphilis
), à de simples troubles de la circulation sous
rtenant au service de notre maître M. liuurncvilfc. 2. Parrot, la
Syphilis
héréditaire. UVtLLE Iconographie DE la Salpêtri
ents héréditaires personnels, il n'y avait rien à signaler : pas de
syphilis
, pas d'alcoolisme, pas de saturnisme. En 1880, il
st pas plus éclairé en ce qui concerne la polioencéphalomyélite. La
syphilis
, à laquelle Hutchinson attribue la majorité sinon
indres traces de vérole. Il est donc bien difficile d'accorder à la
syphilis
quelque influence sur le développement de la po
vec ophthalmoplégie (IIuLchinson-GolI"ersl). Le malade qui niait la
syphilis
, mais dont l'un de ses enfants présentait les d
enfants présentait les dents et la kératite caractéristiques de la
syphilis
héréditaire, avait une ophthalmoplégie interne
phthalmoplégie (James Ross'). 'Homme de trente-cinq ans ayant eu la
syphilis
.en 1870. Début de la maladie en 1881, par des c
ONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Homme de trente-cinq ans; soupçons de
syphilis
dans sa jeunesse, sans cer- titude; bonne santé
nettes sur le pénis, mais le malade affirmait ne jamais avoir eu la
syphilis
; l'expression de la figure trahissait l'apathie
natiforrne » de Parrot. Sans vouloir, dans ce cas, établir entre la
syphilis
héréditaire et la syringomyélie une relation de
la syringomyélie, de relever la présence des stigmates de l'hérédo-
syphilis
. Quant à la conclusion à tirer de cette observa
de la Clinique des maladies du système nervoux. 1. FonrniCI', la
Syphilis
héréditaire tardive. Paris, I 86, 2. A propos d
'il ait jamais eu de maladie sérieuse; il n'a jamais été atteint de
syphilis
et n'a jamais subi de traumatisme de quelque impo
tismes (épilepsie) ou d'affections accidentelles, en particulier la
syphilis
dont les mani- festations buccales sont toujour
ruptions diverses ou les traces d'éruptions anciennes, notamment la
syphilis
; les cicatrices de tatouages dont l'importance c
; l'état des ganglions et les cicatrices ganglionnaires (scrofule,
syphilis
); la flaccidité de la peau, l'état du tissu cellu
les lésions trophiques dont ils peuvent être atteints (arthritisme,
syphilis
). z En résumé, vous voyez, messieurs, que l'exa
lie); 2° les stigmates d'une maladie constitutionnelle (rachitisme,
syphilis
congénitale); 3° les caractères pathologiques de
t duré un an. Il y a onze ans (il avait vingt-cinq ans), il a eu la
syphilis
: chancre il la verge, plaques muqueuses, etc.,
ci d'un homme de taille moyenne, pâle et un peu amaigri. Il a eu la
syphilis
à vingt-cinq ans et a pu, chose extraordinaire, s
qui font penseràune affaire spécifique. Il est fort possible que la
syphilis
à cette époque ait été en jeu, mais l'hystérie co
ssion contradictoire et conclut à l'hystérie seule provoquée par la
syphilis
. Assurément, le diagnostic ne s'impose pas. Un
surément, le diagnostic ne s'impose pas. Un an après le début d'une
syphilis
ignorée quant à l'accident initial, survient une
st développée sous l'influence d'un agent provocateur puissant : la
syphilis
, qui, de ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMU
xtrême obligeance de notre maître M. le (1) Fournier, Leçons sur la
syphilis
. Paris, 187.i, p. 816. 30S NOUVELLE ICONOGRAPHI
palpébraux, il ne serait pas impossible qu'il y eût chez elle de la
syphilis
héréditaire. A vingt ans (1889), elle entre à l'h
ces troubles moteurs et sensitifs et ces signes probables d'hérédo-
syphilis
, la malade présente un état mental caractéristiqu
n scrofuleuse, il n'était pas sujet aux engelures. Il n'a pas eu la
syphilis
.' nie toute habitude alcoolique. C'est sans cau
tôme bien caractéristique d'hystérie. Je sais que la malade a eu la
syphilis
et que vous tous et mon chef de clinique lui-mê
t qu'on songe fatalement à un mal de Pott, à la tuber- culose, à la
syphilis
médullaire, à une tumeur de la moelle, etc. Nous
xcitations. Le diagnostic, au début, peut être très difficile. La
syphilis
pourrait être soupçonnée; le traitement servira d
n soit rapide. Car l'iodure de potassium réussit dans des cas où la
syphilis
ne peut être incriminée, et de plus, tout médic
eut réussir chez un hysté- rique. On risquera donc de conclure à la
syphilis
sans quele diagnostic soit prouvé rigoureusemen
(quatre grossesses dont deux suivies d'accouchement avant terme. Ni
syphilis
ni alcoolisme). A vingt-trois ans, attaque de rhu
st morte d'hé- morrhagie apoplectique. Antécédents personnels. Ni
syphilis
ni alcoolisme. Le malade a toujours été bien po
essant à signaler. Antécédents personnels. Pas d'alcoolisme, pas de
syphilis
, pas d'acci- dents saturnins. En 187G, le malad
he. Il n'est pas rhumatisant, et on ne trouve pas chez lui trace de
syphilis
. Il n'a jamais eu d'attaques de nerfs avant 188
l est nécessaire de revenir. Et d'abord, nous n'avons pas trouvé de
syphilis
; cette constatation est importante. J'ai été
suivante, à accepter les idées de Fournier sur la fré- quence de la
syphilis
chez les tabétiques. « En France, il est vrai,
impressionnable, par des prédispositions héréditaires diverses, la
syphilis
ait une cer- taine tendance à porter volontiers
ns avant que Chauvet affirmât dans sa thèse d'agrégation 2 * que la
syphilis
ne donnera jamais lieu au développement d'une s
as prouve une fois de plus qu'il ne faut rien exagérer et que si la
syphilis
est fréquente, elle n'est pas cons- tante chez
: « La vraie, je dirais presque la seule cause du tabès, c'est la
syphilis
(p. 313). Au point de vue pratique, soyez bien co
s cellulaires, » et il admet avec Strümpell * que dans le tabès, la
syphilis
agit comme un véritable poison organique, comme
philigraphie, 1875-76, t. VII, p. 187. 1 Chauvet. - Influence de la
syphilis
sur les maladies du système nerveux central, th
eçons sur les maladies de la moelle, 1892. ' 6 CLINIQUE NERVEUSE.
syphilis
l'origine unique et constante du tabès. Cette cau
es n'étant pas à l'abri de tout soupçon, on peut encore invoquer la
syphilis
! ! Les médecins allemands ont étudié encore un
tabès exclusivement moteur à incoordination précoce, développé sans
syphilis
anté- rieure chez un surmené des jambes, avec u
re, quarante-huit ans, sanguin, coléreux; pas de rhumatisme, pas de
syphilis
. Un oncle, âgé de quarante-deux ans, est atteint
sion de représentant de commerce. Dans ses antécédents on relève la
syphilis
à l'âge de dix-sept ans. Constitution vigoureus
le-ci s'était développée chez un individu très vigoureux, exempt de
syphilis
, avec des artères saines, absent de tout symptô
ul- tanées de l'écorce. C'est une paralysie générale entée sur la
syphilis
. P. K. XX. DES altérations DE la COUCHE OPTIQUE
sme de la tête. La malade est toujours sujette à prendre froid ; la
syphilis
et l'uréthrite sont exclues. Il semble très pro-
tout à l'heure ? Je ne vois guère quelle en serait l'origine, ni la
syphilis
, ni aucune autre maladie infec- tieuse, ne saur
la ceinture. Il alla le montrer au major qui déclara qu'il avait la
syphilis
. Le malade fit remarquer qu'il n'avait pas et n
éruption suspecte. Il est plus que probable qu'il n'a jamais eu la
syphilis
. En rentrant de son congé de convalescence, il fu
'a jamais été atteint de dermatoses et ne présente pas de traces de
syphilis
. Sobre actuellement, il s'enivrait fréquemment à
et de vomissements. Elle est très sobre, ne porte pas de traces de
syphilis
, est vive, nerveuse sans avoir jamais eu de crise
éphrose bilatérale très pro- noncée. L'auteur base le diagnostic de
syphilis
sur l'évolution et les accidents cliniques, l'a
fugacité des accidents paralytiques. P. K. VII. UNE observation DE
syphilis
DU système nerveux central BEVL- tant l'aspect
s suivantes : 1° Le nombre des myélites dorsales se rattachant à la
syphilis
est-il assez grand pour pouvoir être séparé des
u dorsale) montrent que 35 à 40 p. 100 de ces malades avaient eu la
syphilis
. 2° Cette forme syphilitique de la myélite dors
dité très chargée au point de vue de la phtisie pulmonaire, mais ni
syphilis
, ni alcoolisme, ni maladies nerveuses dans sa f
20 p. 100 de ces malheureuses; les dos- siers ne mentionnent pas la
syphilis
; l'alcoolisme est rarement signalé, il n'y est
omplet qui ait été encore fait, à notre con- naissance. P. S. IX.
Syphilis
du système nerveux (Syphilis and the nel'VQUS ssl
t, à notre con- naissance. P. S. IX. Syphilis du système nerveux (
Syphilis
and the nel'VQUS sslems) ; par W.-R. GOVERS. Lo
au nombre de trois. La première est consacrée à la pathologie de la
syphilis
; l'auteur y passe en revue les caractères des
e. La seconde leçon a trait aux symptômes nerveux attribuables à la
syphilis
; leur diagnostic est souvent possible d'après l
ipzig, 1893 : - Neuro- logisc7zez Centralblatt. GOWERS (W,-R.). -
Syphilis
and the nervous System. Volume in-8" cartonné d
e antécédents personnels, on note deux attaques de rhumatisme et la
syphilis
. Cette affection vaso-motrice a-t-elle un rappo
l'étiologie de la paralysie générale l'ont amené à conclure que la
syphilis
est l'agent le plus commun et le plus puissant
secondaire et les considère simplement comme des auxiliaires de la
syphilis
. R. M.-C. XLIV. La parotidite chez les aliénés;
malies de la réfraction; les maladies des oreilles, et peut-être la
syphilis
. La position du malade a quelquefois une influe
résulte que sur 40 paralytiques qu'il a examinés, 21 auraient eu la
syphilis
de dix à trente ans avant leur entrée à l'asile
que très accidentellement les lésions osseuses si communes dans la
syphilis
; on fait entrer dans la syphilis beaucoup de ca
sions osseuses si communes dans la syphilis; on fait entrer dans la
syphilis
beaucoup de cas qui ne devraient pas y figurer. T
rantaine ils perdent leurs cheveux. M. A. Voisin considère aussi la
syphilis
comme une cause peu fréquente de paralysie géné
ie générale. (Voir l'opinion de Jacobson, p. 385.) M. Vallon. Si la
syphilis
joue un rôle dans l'étiologie de la paralysie g
té retrouvé sept fois, mais jamais seul et toujours associé ou à la
syphilis
ou à l'hé- rédité, ou à un traumatisme crânien.
e crânien. De même, dans cinq obser- vations, on voit mentionner la
syphilis
, mais également jamais seule et combinée tantôt
de ces facteurs réunis. 11 résulterait de ces recherches que ni la
syphilis
seule, ni l'alcoo- lisme seul, ni l'hérédité se
92. Alienist and Neurologist. KONALEWSTY (P.). Sur Rehandlung der
syphilis
des centralen Ner- vensystems. Brochure in-8° d
ubles de la marche dans les maladies nerveuses, par Blocq, 306;
syphilis
du système nerveux, par Gowers, 308; leçons cli
gari, 114; névrite périphérique dans la -, par Fuerstner, 125; et
syphilis
, par Jacobson, 385; par Lefilliatre, -39G; tr
e, 456. Sutures crâniennes, sensibilité des , par Kreuser, 127.
Syphilis
du système nerveux, par Schultz, Brasch, 263.
stérique. Comme antécédents personnels : rougeole, fièvre typhoïde,
syphilis
, trau- matisme grave, hystérie qui s'accuse que
V, 1895 ) 11 s'agit d'un dipsomane de vingt-six ans, infecté par la
syphilis
en 1892, atteint la même année de polynévrite a
léments (fonctionnel et organique) ont une source com- mune dans la
syphilis
. Les troubles locaux n'apparaissent que dans le
le d'établir que l'irritation spinale soit sous la dépendance de la
syphilis
. Quant aux troubles locaux, ils appartiennent à
x troubles locaux, ils appartiennent à ceux qu'il faut imputer à la
syphilis
. Voici, par exemple une perturbation locale à p
mentielle chez une fillette de dix-neuf ans, vierge; aucun signe de
syphilis
héré- ditaire ou acquise, aucune tare héréditai
n II. Paralysie générale chez le mari à cinquante ans (mégalomanie,
syphilis
), et chez la femme à quarante-quatre ans (infec
ques, ni de paralytiques généraux, malgré l'extrême fréquence de la
syphilis
. L'épilepsie est rare. Les aliénés entrent et sor
firmer l'absence de la paralysie générale malgré la fréquence de la
syphilis
. M. RITTI fait remarquer qu'il en est de même e
radiales sont un peu dures, les mains tremblent légèrement. Pas de
syphilis
, pas d'alcoolisme. La démence a lentement pro-
73. 102 PATHOLOGIE NERVEUSE. puisse évoquer l'idée d'une ancienne
syphilis
; marié jeune, il a eu de beaux enfants, sa femm
tiologie seule aurait pu nous faire réfléchir ; il n'y avait pas de
syphilis
; et la paralysie générale sans syphilis est te
chir ; il n'y avait pas de syphilis ; et la paralysie générale sans
syphilis
est tellement rare que, devant cette absence co
me nerveux imparfai- tement développé'. » F. Borssrca. II. Sur la
syphilis
du système nerveux; par J. Mickle. (Brain, prin
roduits du virus syphilitique; les cépha- lées, les insomnies de la
syphilis
crânienne et intracrauieune. Un chapitre spécia
rs, montrèrent que le tabes avait des rapports de causalité avec la
syphilis
et que loin d'être, comme on le pensait communé
recherches que firent plusieurs d'entre eux sur les rapports de la
syphilis
et de la para- lysie générale, recherches dont
onstater aucune hyperostose ou exostose pouvant laisser présumer la
syphilis
. La malade était vierge. Après lecture de l'obs
i doit dominer pour établir le diagnostic, c'est la recherche de la
syphilis
. L'hérédité cérébrale est une présomp- tion de
aillance dans le fonctionnement de ses organes senso- riels. Pas de
syphilis
. Pas d'alcoolisme. Actuellement l'état général
ladie sérieuse à l'époque de la conception ? Ont-ils jamais eu la
syphilis
? Auquel de ses parents ressemble le malade, ph
, fièvres éruptives, désordres chro- niques de l'appareil digestif,
syphilis
, scrofule, tuberculose, satur- nisme ? S'il a
elativement rares, alors qu'ils sont excessivement nombreux dans la
syphilis
nerveuse. On' voit les cylindres-axes à peine d
ans, antécédents hérédi- taires mal connus, bonne santé habituelle,
syphilis
trois ans avant l'éclosion des accidents actuel
L'examen histologique sera fait et publié plus tard. C. XXXIV. La
syphilis
héréditaire DE la MOELLE ÉPINIÈRE; par M. GILLES
hôpitaux. (Nouv. iconogr. de la Salpêtrière, 9S9G, ni 2 et 3.) La
syphilis
héréditaire de la moelle est une question encore
rassemblé un certain nombre d'inédites dans le travail actuel. La
syphilis
peut frapper la moelle à trois périodes de l'exis
l'âge adulte. Elle est dite congénitale, précoce, tardive. Quand la
syphilis
médullaire héréditaire est congénitale, l'enfan
ui se rencontre avec la myélite. A noter que si les observations de
syphilis
héréditaire congénitale de la moelle sont rares,
ares, il ne s'en- suit pas que cette manifestation médullaire de la
syphilis
, elle, soit rare. On la rencontrerait certainem
modiques indemnes de symptômes cérébraux concomitants. Lorsque la
syphilis
touche la moelle dans la première enfance, et pen
'est faite uniquement sur la moelle lombo-sacrée. Dans les cas de
syphilis
précoce ou tardive, les types cliniques devienn
médullaire, indice de la géné- ralisation initiale du processus, la
syphilis
médullaire héréditaire précoce et surtout tardi
dive ne diffère pas sensiblement des expres- sions si variées de la
syphilis
acquise. - Telles sont les conclusions du trava
is diagnostics doivent être discutés : la tuberculose cérébrale, la
syphilis
cérébrale, le tabes supérieur. La méningite b
e vomis- sements, etc. L'auteur rejette également l'hypothèse de la
syphilis
, parce qu'on ne la retrouve pas dans les antécé
e. (Rivista clinica e terapezelica. Naples, 1896, 110 2.) C. 11.11.
Syphilis
cérébrale ; parle professeur DE l3EVZr, de l'Univ
La situation reste telle pendant deux jours. On diag- nostique une
syphilis
cérébrale, diagnostic que l'autopsie vint bient
dans la couche optique gauche. La nature de ces lésions indique la
syphilis
d'une façon certaine. (Rivista clinica e terapc
. Il s'agit d'un jeune homme robuste qui, six ans après avoir eu la
syphilis
, est pris subitement d'une attaque convulsive ; c
Observation d'un jeune homme de vingt-sept ans, n'ayant pas eu la
syphilis
, chez lequel s'établit lentement, sans convulsion
'à l'âge de vingt et un ans la malade était d'une très bonne santé.
Syphilis
à l'âge de vingt et un ans, pour laquelle elle
l'âge de vingt-deux ans. Elle n'a jamais été enceinte.. Elle nie la
syphilis
. Cependant son mari est mort ataxique à l'âge de
Parfois elle ne sentait pas les matières partir. La malade nie la
syphilis
. Elle n'a jamais abusé de boissons alcooliques.
, fièvre typhoïde Réglée après sa fièvre typhoïde et régulièrement.
Syphilis
à dix-sept ans (chancre, roséole), suit pendant
fait de maladie grave. Il n'a pas abusé d'alcool, et n'a pas en de
syphilis
. Il y a quatre ans, pendant deux ans et demi, e
e. Il n'a jamais eu de manifestations secondaires, ni tertiaires de
syphilis
, Dans sa jeunesse il a beau- coup abusé des alc
'a jamais fait d'excès de boissons ni véné- riens. It n'a pas eu de
syphilis
. Marié depuis douze ans. Sa femme a eu une faus
excès alcooliques. Excès vénériens dans la jeunesse. N'a pas eu de
syphilis
. Marié à l'âge de trente ans. Un an après le ma
sécutif à l'explosion de la maladie. Tare héréditaire, et peut-être
syphilis
héréditaire (foie un peu plus volu- mineux que
laires. Ces lésions, dis- tinctes de celles que l'on tiouve dans la
syphilis
, peuvent être caractérisées comme une périeucép
la-, par Dufour, 81 . Gomme syphilitique de la-, par Ilanot, 299.
Syphilis
héréditaire de la -, par Gilles de la 'l'ou-
et Halipré, 407. Surveillance. Quartiers de -, par Dehio, 489.
Syphilis
du système nerveux, par Itchle, 126. - cétéhral
et l'examen de la malade ne nous donnent aucun motif d'admettre la
syphilis
; cependant l'un de mes chefs de clini- que a cr
e mes chefs de clini- que a cru pouvoir étayer la possibilité de la
syphilis
cérébrale sur les faits suivants : le mari de l
érébrale sur les faits suivants : le mari de la malade aurait eu la
syphilis
et serait mort de paralysie générale; de sorte
ait mort de paralysie générale; de sorte qu'on peut supposer que la
syphilis
trans- mise à la malade par le mari aurait pass
ouvent entendu dire, que dans ces cas douteux, par cela seul que la
syphilis
peut être en jeu, il y a lieu de recourir penda
'eczéma. Antécédents personnels. -- Pas d'excès alcooliques. Pas de
syphilis
. Il n'a jamais eu de convulsions, ni fait aucun
nons le résumé : OBs. I. Malade de 37 ans, cuisinière, exempte de
syphilis
, prise ci l'âge de 32 ans, il la suite do l'inl
toïde.. » Ons. IV. -Malade de 33 ans, bijoutier, ayant contracté la
syphilis
à 18 ans, présente de la diplopie par parésie d
malade recul, en apprenant que toute sa famille avait contracté la
syphilis
d'un domestique de la maison. VI. Jeune fille d
encore vivant, s'est toujours très bien porté ; il n'a jamais eu la
syphilis
; mais il avoue avoir fait quelques excès de bois
rophique vasculaire congénital, l'anangioplasie; l'alcoo- lisme, la
syphilis
, la tuberculose, la cachexie palustre, les mauvai
laissent aucun doute sur la réalité de ses lésions. D'ailleurs la
syphilis
ne semble pas en cause. La mère est bien portante
ns les cas d'arrêts de développement imputables au rachitisme, à la
syphilis
héréditaire, etc., on observait presque toujours
s à la couronne du gland, guéries par l'iodoforme. Pas de signes de
syphilis
, Le malade s'aperçoit par hasard qu'il était po
) un cas de Morphée. Il s'agissait d'un homme de 31 ans ayant eu la
syphilis
il l'âge de 21 ans. En novembre l8cJG il aperçut
rs attaques de rhumatisme articulaire aigu. Pas d'éthylisme. Pas de
syphilis
. La maladie semble avoir débuté en 1883 ; il y
supposer que le néoplasme s'est développé sous l'in- fluence de la
syphilis
héréditaire ou acquise. Aussi bien, le traitement
L'asymétrie crânienne s'observe assez fréquemment dans l'hérédo-
syphilis
. Pour l'énorme majorité des cas, elle n'y est q
de seize ans, ayant présenté depuis l'enfance des manifestations de
syphilis
héréditaire. Actuellement affecté d'une otite s
certainement, nombre de ces malformations ressortissent à l'hérédo-
syphilis
. Mais j'ai dû m'abstenir de les citer, en l'absen
lésions qui appellent notre attention au point de vue de l'hérédo-
syphilis
. A savoir : L'angle postérieur du pariétal gauc
névropathe et ayant un frère affecté de neurasthénie, contracte la
syphilis
a t'age de trente-deux ans. Cette syphilis se tra
urasthénie, contracte la syphilis a t'age de trente-deux ans. Cette
syphilis
se traduit par divers ac- cidents, à savoir : c
ord à une neurasthénie, puis, plus certainement, à l'invasion d'une
syphilis
cérébrale. Guérison d'une rapidité significativ
paru très rapidement sous l'influence d'un traitement spécifique.
Syphilis
ancienne, contractée à l'âge de vingt et un ans,
s encore très éloigné, de nous où Trousseau, dans ses Leçons sur la
syphilis
des nouveau-nés, parlait de l'hydrocéphalie sans
0 EDMOND FOURNIER . céphalies ou autres idioties congénitales et la
syphilis
» ; où Parrot lui-même mettait fortement en dou
(1) parlait avec une réserve pleine de doute de cette action de la
syphilis
que, d'après lui, le Dr Sandoz seul semblait av
Ce stigmate est pourtant d'observation assez commune dans l'hérédo-
syphilis
; beaucoup plus commune en tout cas qu'on ne veut
, dès 1880, mon père avait, dans son enseignement et dans son livre
Syphilis
et mariage, affirmé sa croyance à l'origine syphi
malades qui, ayant eu l'imprudence de contracter mariage malgré une
syphilis
non traitée, a eu coup sur coup trois enfants hyd
s ». Plus tard, mon père écrivait encore ceci dans son livre sur la
Syphilis
héréditaire tardive : « Il m'est vraiment impos
0, date à laquelle mon père indiquait si formellement le rôle de la
syphilis
dans l'étiologie de l'hydrocéphalie, pour diviser
et dans laquelle l'hydrocé- phalie commence à être l'attachée à la
syphilis
comme un effet à sa cause. (1) Traité des malad
conde grossesse donnant un enfant hdro-céplalc- X... contracte la
syphilis
en 1879 (chancre induré de la verge, roséole, pla
». Sur aucun do ces enfants, on n'a observé d'accidents propres de
syphilis
. Deux ans après la mort de son dernier enfant,
, puis d'hémiplégie. X..., âgé de trente et un ans, a contractée la
syphilis
il y a huit ans, et ne s'en est traité que fort
huit mois ; il est toujours resté exempt de tout symptôme propre de
syphilis
. Le jeune est né sain et bel enfant. Jusqu'à ce
yphilitique. M. X..., homme de constitution robuste, a contracté la
syphilis
en 1844 et en a été traité par M. le Dr Ricord, d
ite).- Hérédo-syphilis avec hydrocéphalie. - M. X... a contracté la
syphilis
dans les derniers mois de 1869. Sa maladie, à l
un enfant issu d'un père syphilitique. - Jeune homme contractant la
syphilis
à l'âge de vingt-trois ans. Chancre induré. Tra
jamais constaté sur elle le moin- dre phénomène qui ait trait à la
syphilis
. Elle est donc très vraisemblablement affectée
lle est donc très vraisemblablement affectée de ce qu'on appella la
syphilis
conceptionnelle à manifestations tar- dives ».
A. Fournie») (inédite). M. X... a contracté, il y a vingt ans, une
syphilis
qui a été originairement des plus bénignes : chan
ttres : « on ne peut rien lui apprendre ». Jamais aucun accident de
syphilis
n'a été relevé sur lui, non plus que sur les de
TION (M. le professeur A. Fournier) (inédite). M. X... contracte la
syphilis
en 1880. Chancre induré, roséole, alopécie, plaqu
muniquée par M. le Dr 13AnTnr : r.EUY). - Père ayant con- tracté la
syphilis
en 1879, et n'ayant subi de traitement qu'en 188G
remplir la tête de 540 grammes d'eau. Le mari, questionné, avoua la
syphilis
, dont il présentait encore d'ailleurs des manif
n (communiquée par M. le professeur GEam). - lui. X... contracte la
syphilis
à dix-huit ans (chancre, plaques muqueuses, syphi
p sûr, ajouterai-je une fois de plus, ce stigmate n'implique pas la
syphilis
pour cause, et bien loin de moi l'intention de di
ei- neuse exagérée. ' « Il n'est là, certes, rien de spécial à la
syphilis
, rien qui lui appar- tienne en propre, et je su
'élévation de tempéra- ture. Coeur normal. Pas de tuberculose ni de
syphilis
. Je conseillai le décubitus horizontal complet
nts rhumatismaux font défaut dans notre cas, que l'alcoo- lisme, la
syphilis
manquent souvent, M. P. Marie fait remarquer que
ant l'étiologie de ces cas ; aussi est-il difficile de savoir si la
syphilis
joue un rôle dans cette maladie. On peut seulem
e, KI,Hg la maladie a progressé. Antécédents héréditaires. - Pas de
syphilis
chez le père. 2 février 1891. - Tentative de li
urs bien porté, et n'a jamais eu d'accidents de rhuma- tisme, ni de
syphilis
. Ses parents (père et mère) sont bien portants;
ques d'apoplexie. Père alcoolique violent, pas d'attaques. Pas de
syphilis
appréciable; l'impaludisme n'est pas en cause.
lquefois ainsi dans la paralysie générale, dans certaines formes de
syphilis
cérébrale, où les rechutes échappent à toute rè
est depuis longtemps adonné à l'alcoolisme. On ne sait s'il a eu la
syphilis
, etc... Serviteur intelligent et dévoué jusqu'à
sans aucun antécédent suspect du côté de la famille, ayant eu la
syphilis
dans sa jeunesse, mais ne paraissant en avoir gar
rcices physiques. M. Berger. Sur les rapports étiologiques entre la
syphilis
et le tubes. -- Voici deux malades. L'un en pro
soixante-douzième année (preuve nécroscopique), après avoir eu la
syphilis
puur la première fois deux ans auparavant. Ces de
ans auparavant. Ces deux faits prouvent qu'il ne faut pas rayer la
syphilis
de l'étiologie du tabès. Un récolement de cent
Mais il est incorrect de vouloir que le tabes concor- dant avec la
syphilis
se traduise par d'autres symptômes que le tabes
uence de l'hérédité à l'influence des diathèses, spécialement de la
syphilis
. J'avoue n'avoir jamais bien compris cette sort
. Dans le premier groupe se placent les diathèses et, en tête, la
syphilis
et l'arthritisme; dans le deuxième groupe, on t
-même l'un et l'autre : tel sera le tabétique qui aura contracté la
syphilis
et surmené son système nerveux par des excès vé
re venant de l'hérédité : tels seront le tabétique qui contracte la
syphilis
et a hérité de la disposition névropathique et
ique est signalée huit fois (nos 1, 2, 3, 15, 18, 21, 24 et 31), la
syphilis
trois fois (11" 7, 26, 29), l'hérédité alcooliq
né- vropathique, toute espèce d'excès, alcoolisme ; chez l'autre,
syphilis
et excès vénériens nombreux. Ce ne sont là, je
nstitué avoue toute espèce d'excès, notamment en alcoolisme. Pas de
syphilis
nette. En 1871, début des douleurs fulgurantes,
stique de quarante-cinq ans, un peu exalté de caractère, atteint de
syphilis
il y a quatre ans, se plaint en 1878, à la suit
ulatoire, une encéphalite dontle facteur pourrait bien avoir été la
syphilis
. Evidemment ces lésions remontent à l'époque fo
es traumatismes comme causes. 111. GOLDSTGIN. Sur les rapports delà
syphilis
avec la paralysie progressive. Mémoire publié i
e à cette assertion de l'au- teur d'après laquelle, quand il y a eu
syphilis
, la marche de la maladie est très rapide. M.
vant lequel la paralysie générale serait un acci- dent tardif de la
syphilis
. Il est, comme l'auteur, d'avis que le traiteme
ciété, Jung a parlé sur le même sujet. Evidemment l'influence de la
syphilis
constitue plus qu'un facteur simplement prédisp
d'après les médecins ou les profanes instruits, bien réellement la
syphilis
. Il ne s'agit donc pas d'une simple prédisposit
'une femme publique atteinte de paralysie générale consécutive à la
syphilis
; la paralysie générale n'évolua pas du tout rap
paralysie géné- rale. M. FALK. Dans les temps les plusreculés, la
syphilis
, pas plus que la paralysie générale, ne constit
rale, ne constituaient des affections si fré- quentes. Du reste, la
syphilis
constitutionnelle s'accompagne de foyers de ram
es différences accusées par les statistiques sur la fréquence de la
syphilis
dans laparatysie géné- rale. Jessen, à l'asile
es grandes villes qui avoisinent les asiles. Quoi qu'il en soit, la
syphilis
dans la paralysie générale atteint une proporti
utres psychoses. Snell n'a cessé de professer que quiconque a eu la
syphilis
il y a vingt ans n'est point aliéné de par la syp
nque a eu la syphilis il y a vingt ans n'est point aliéné de par la
syphilis
, surtout s'il est établi qu'il ait eu des enfan
s, t. XI. 19 9 290 SOCIÉTÉS SAVANTES.- Il. ROUMKLL. Du rôle de la
syphilis
dans la paralysie générale. (En français.) J.
e spasmodique est un musi- cien né en 845, indemne d'hérédité et de
syphilis
. Début de l'affection médullaire en 1870, par d
n 1832, marié, père aussi d'enfants sains. Dans le premier fait, la
syphilis
n'est probablement pas en jeu. A Pâques 1883, l
ration des réflexes patellaires. Le second malade, indemne aussi de
syphilis
, accuse des troubles de la marche depuis à peu
es.) Chez un dernier malade et divers autres tabétiques ayant eu la
syphilis
, on constatait, au lieu d'une résignation calme
états qui se montrent chez des gens qui, antérieurement, ont eu la
syphilis
(abstraction faite naturellement des affections
ndant un simple tabes dorsal spasmodique. 10 mai 1883, M. de L...
Syphilis
(chancre, ulcérations àla'gorge, psoriasis palmai
psoriasis palmaire) traitée par Ricord; plus tard, traitement de la
syphilis
des centres nerveux appliqué par Charcot, Fourn
e de soixante ans d'une fluxion de poitrine. Pas d'alcoolisme ni de
syphilis
. Mère bien portante; un frère et une soeur en b
ns sa jeunesse et se livrait à la boisson. Jamais d'abus vénériens;
syphilis
non probable. Il a subi des pertes d'argent à l
On ne relève dans ses antécédents ni rhumatisme, ni alcoolisme, ni
syphilis
, mais seulement des habitudes invétérées d'onanis
urmenage et puberté, par Jelm, 106. 468 TABLE DES \i \1'Ii;2LS.
Syphilis
et tabès, par Berger, 108. « Système nerveux ce
ilité du), par Eulenburg, 989; (cas de,, par Nicol, 296; - ( '-et
syphilis
), par Berger, 108. Tabëtique(pied),parBoyer,8D.
b, il a eu une dizaine de crises au moins. Pas d'alcoolismu. Pas de
syphilis
. An mois de janvier 1886, par suite des circons
es, un chancre induré sur la verge; il ne présentait aucun signe de
syphilis
et l'autopsie n'a constaté sur aucun organe de
ux ; nul trouble de la vision. Impossible de savoir s'il y avait eu
syphilis
. L'auteur diagnostiqua : lésion centrale du cen
ostic. Embolie de Tarière sylvienue gauche; affection car- diaque ;
syphilis
. Autopsie, pleurésie sérofibrineuse, pneumonie
t mentales, étudier l'enchaîne- ment des symptômes et rechercher la
syphilis
dans les anté- cédents du malade. L'histoire pa
11 ne auts jamai oublier, - l'auteur a raison de le rappeler que la
syphilis
est un facteur troublant dans l'étiologie des m
XVII. Contribution A la question DES rapports QUI existent ENTRE la
syphilis
et la démence paralytique ; par P. Siemens. (Ne
dew an=, in- demne d'hérédité psychoneuropathique, indemne aussi de
syphilis
, 11 sociétés savantes. jusque-là bien portant
ortance pratique de la question de la para- lysie générale et de la
syphilis
. Ce mémoire sera publié in ea;tenso r : Discuss
une classe sociale relevée, 62 p. 100 avaient eu antérieurement la
syphilis
. Les onctions mercurielles ne pro- duisirent pa
s. Tabes à peu près certain. - 06s. IV. Tabétique ayant eu jadis la
syphilis
. Paresthésie et anesthésie du trijumeau; accéléra
A la QUESTION DE la relation entre la para- LYSIE PROGRESSIVE ET la
syphilis
; par TH. ZIEHEN, (Neurol. Cen- tralbl., 1887.)
ses. Si l'hérédité prédispose à l'aliénation mentale en général, la
syphilis
prédispose surtout à la paralysie générale. L'h
ement malade, le paralytique héré- ditaire a uno allure empesée. La
syphilis
, au contraire, ne marque la paralysie générale
tabac influent seulement sur la marche de la maladie. Comme dans la
syphilis
cérébrale à lésion diffuse, le traitement spéci
- ments ; mari mort quatre ans auparavant paralytique général. La
syphilis
et l'alcool ne jouent ici, comme pour les aliénés
des causes douteuses ou du moins non admises par tous, telle que la
syphilis
par exemple. 11 expose ensuite ses recherches s
uses, sont loin d'être concluants en ce qui concerne l'action de la
syphilis
; mais en revanche ils affirment nettement l'influ
a paralysie générale progressive, ainsi que sur l'in- fluence de la
syphilis
sur la genèse et l'évolution de cette affection.
la genèse et l'évolution de cette affection. II sépare nettement la
syphilis
cérébrale de la paralysie générale, admettant q
Il ne faut pas confondre les coïncidences, c'est-à- dire les cas de
syphilis
chez un paralytique général, par exemple. En un
e générale syphilitique. M. Régis parle ensuite des relations de la
syphilis
et de la para- lysie générale. Il trouve la syp
elations de la syphilis et de la para- lysie générale. Il trouve la
syphilis
chez les paralytiques généraux plus de 85 fois
tion, surtout chez ceux qui ne se sont pas suffisamment soignés. La
syphilis
peut avoir été très brusque chez eux et n'avoir
portion de 42 p. 100 environ, en ce qui concerne la fréquence de la
syphilis
chez les paralytiques généraux. Bien qu'elle jo
statistique de 560 observations de paralysie générale que 9 cas de
syphilis
certaine. Il est nécessaire d'être ri- goureux
taine. Il est nécessaire d'être ri- goureux dans la recherche de la
syphilis
et de ne pas prendre des cas de syphilis cérébr
ux dans la recherche de la syphilis et de ne pas prendre des cas de
syphilis
cérébrale pour des paralysies générales. Le trait
s qu'un symptôme. M. Charpentier a été frappé de la fréquence de la
syphilis
chez les paralytiques généraux. Mais il croit l
ins grande avec laquelle leurs au- teurs admettent le diagnostic de
syphilis
, d'ailleurs fort ardu à établir. Il faudrait s'
établir. Les observateurs rejettent ou admettent l'influence de la
syphilis
, selon leur état d'esprit plutôt que sur des ra
il en soit autrement. Mais d'autre part il est vraisemblable que la
syphilis
seule ne suffit pas pour créer la paralysie gén
généraux pour deux d'entre elles, et tabétique pour la dernière. La
syphilis
n'était rien moins 278 8 SOCIÉTÉS SAVANTES. q
Aussi l'hypothèse de Mendel et des Allemands, que c'est toujours la
syphilis
qui détermine la paralysie générale conjugale,
uoique plausible dans certains cas. Elle n'explique pas pourquoi la
syphilis
détermine chez les deux conjoints la même manif
a paralysie générale vraie et la pseudo-paralysie générale due à la
syphilis
, il y a grand avantage à faire usage du traitem
our nos abonnés. 2 fr. 75 SEVESTRE. - Etudes de clinique infantile.
Syphilis
héréditaire pré- coce, laryngite syphilitique,
dications données par le père et la consta- tation des accidents de
syphilis
héréditaires revètent-elles une importance de p
taire que chez 31 p. 100 de ces malades ; 34,7 p. 100 avaient eu la
syphilis
; 37,6 p. 100 étaient alcooliques. P. K. LXII
ETIN bibliographique. 463 SEVESTRE. - Etudes de clinique infantile.
Syphilis
héréditaire pré- coce, laryngite syphilitique,
par Buchholz, 441. Démence, rapport de la paraly- tique avec la
syphilis
, parSiemens, 110; - forme dépressive 1 évolu-
veau dans la - par Zacher, 87 : syphilitique, par Brie, 119; - et
syphilis
, par Thomssen, 119, Zieben, 25 ; - anatomie.
x ans, 143. Surdité verbale, aphasie avec, par Rosenthal, 78.
Syphilis
, rapports de la - avec la démence paralytique,
cheveux châ- lain foncé, nez aquilin, pas de maladie de peau ni de
syphilis
. Bien qu'elle se soit mariée il y a dix ans ell
bétique. Le rôle de l'infection parait établi, mais non celui de la
syphilis
. P. K. 11 ? Observation DE myélite aiguë dans l
e laquelle ? P. K. XXV. LES maladies nerveuses fonctionnelles ET la
syphilis
; par P. ICON.1LE\\'SEY. (Archiv f. Psychiat.,
hilis ; par P. ICON.1LE\\'SEY. (Archiv f. Psychiat., XXVI, 2.) La
syphilis
peut agir directement sur le sang, les parois vas
trice de l'alcool, de la cocaïne, de la morphine, du chloral, de la
syphilis
, de certaines maladies infectieuses aiguës, des
ble, - sur le réveil tardif (la malade avait trente-neuf ans) de la
syphilis
infantile par un traumatisme. « Il semble, qu
té d'une sypliilis acquise à l'âge adulte, mais on m'apprend que la
syphilis
est très souvent communiquée dans l'enfance par
t hypochon- driarlue depuis de nombreuses années; il croit avoir la
syphilis
et un cancer de l'estomac. Toute son existence,
ques de paralysie générale, et nulle- ment à ceux où l'alcool et la
syphilis
ont joué un rôle pathogé- nique, donnant nature
alysie des muscles du pharynx, dans la démence paralytique, dans la
syphilis
cérébrale, la mé- ningite, etc. ; spasme du pha
veuse. H. ;\1. C. XI. Observation DE déformation DU crâne due A la
syphilis
llÉItl3- DITAIRE ; par Charles-E. NAMMACK. (The
tre un céphalhémalorne ossifié et une hypertrophie osseuse due à la
syphilis
héréditaire. L'auteur expose les raisons qui lui
E ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 23 le calibre de l'artériole. La
syphilis
est la grande cause de ces alté- rations de la
mais la plus importante parait être la toxicité du sang ZD (alcool,
syphilis
, ptomaïnes ou autres agents similaires). Ces agen
muniquée à l'asile. Elle ne présentait d'ailleurs aucune trace de
syphilis
. , A cette excitation maniaque qui persiste pen
e dix à quarante cigarettes par jour. Il nie absolument avoir eu la
syphilis
. Il y a trois ans et demi, il commença à exerce
erculose ou un abcès du cervelet. R. DE MUSGRAVE CLAY. XLVIII. La
syphilis
cérébrale : étude clinique; par Léo STIEGLITZ.
l'engourdissement du bras gauche. Le diagnostic porté fut celui de
syphilis
cérébrale. Le chancellement vers la gauche indi
le traitement ioduré. Ce cas se rattache à la première catégorie de
syphilis
cérébrale de Fournier, c'est-à-dire à la syphilis
ière catégorie de syphilis cérébrale de Fournier, c'est-à-dire à la
syphilis
à forme céphalalgique : il est remarquable par
ue la céphalalgie est le symptôme précurseur par excellence dans la
syphilis
cérébrale en même temps qu'elle est le phénomèn
mais tous les stig- mates hystériques manquaient : le diagnostic de
syphilis
fut donc adopté, et vérifié par le résultat du
sant en ce qu'il démontre la valeur du traitement mercuriel dans la
syphilis
cérébrale; la malade, en effet, avait pris des do
d'une lésion de la convexité devait naturellement faire penser à la
syphilis
dont on ne trouvait cependant aucun autre sympt
auteur conclut que, en raison des allures protéiformes que revêt la
syphilis
cérébrale, elle donne lieu, à son début, à de fré
ui doivent plus spécialement diriger l'attention du médecin vers la
syphilis
; ces symptômes d'après lui sont les sui- vants
-indication spéciale et absolue il faut dans la thérapeutique de la
syphilis
cérébrale associer le mercure à l'iodure de pot
, bonne santé antérieure; pas d'excès de tabac, ni d'alcool, pas de
syphilis
au dire du malade. Il y a cinq mois, cet homme
s très musclé, sans antécédents héréditaires d'aucune sorte. Pas de
syphilis
, pas de blennorragie, pas de masturbation. aucu
de l'auteur, le pro- cessus pathologique est analogue à celui de la
syphilis
médullaire, et avec il il croit qu'il serait pl
se succèdent les deux maladies. Et alors, comme dans notre cas, la
syphilis
peut être rendue responsable des deux maladies.
ne peut être invoqué en faveur d'une lésion- histologique due à la
syphilis
. Les altérations vasculaires ne sont caractéris
ne vraie gomme, et non un infiltrat gommeux est une signature de la
syphilis
, mais c'est un fait extrêmement rare dans la mo
orts prolongés; intégrité de la mofilité. Causes : fièvre typhoïde,
syphilis
, refroidissement. Amélioration, mais non guéris
ou graisseuse. LVIII. NOTE A PROPOS DES lésions vasculaires dans la
syphilis
DES centres NERVEUX ; par le D1' Lamy. (Revue n
t le plus souvent à une infection du sang et rarement du fait de la
syphilis
seule. Il faut être servi en quelque sorte par
lésions pathologiques des vaisseaux dans la paralysie générale, la
syphilis
cérébrale, etc... P. K. LXVIII. POINTS relatifs
gence. Pas de troubles de la parole. Réflexes rotuliens conservés.
Syphilis
probable mais non démontrée. Autopsie : athérome
générale dans un asile d'aliénés. On n'a pu faire la preuve de la
syphilis
de la femme. Il n'y a pas eu d'enfants. Le début
estations scrofuleuses, ni convulsions, ni fièvres infectieuses, ni
syphilis
, ni migraines, ni maladies de peau, ni panaris.
cessite un autre facteur essentiel, spécifique, infectieux comme la
syphilis
, etc. J. S. LXVI. LES caractères cliniques di
autres symptômes secondaires sont les mêmes, que lorsqu'on note la
syphilis
elle n'est jamais le seul antécédent, que l'aut
ques osseuses, nerveuses, hépatiques, etc., on peut affirmer que la
syphilis
n'est qu'une des causes de la paralysie général
alysie générale, grave si l'on veut, mais pas autre chose. Entre la
syphilis
et la paralysie générale il n'y a pas le terme
générale il n'y a pas le terme moyen de pseudo-paralysie. Quand la
syphilis
céré- brale prend le moins du monde l'aspect de
de violents maux de tête, des vomissements. Le patient avait eu la
syphilis
, quarante ans auparavant, mais n'avait jamais j
dulte. M. BOULER. Considérations cliniques sur les rapports de la
syphilis
et des maladies mentales. Sera publié in extens
nférieurs du -, par Vogt, 380. Crâne. Déformation du - due à la
syphilis
héréditaire, par Nam- mack, 215. Craniotonosc
par Biuns, 486. Nerveuses. Les maladies - fonc- tionnelles et la
syphilis
, par Kowa- TABLE DES MATIÈRES. 503 lewsky, 51
, 59. - et aphasie hystérique chez un homme, par Sanphear, 365.
Syphilis
cérébrale, par Stiéglitz,274. Lésions vasculair
nce prépondérante sur l'éclosioo de la folie chez les Arabes; 8° la
syphilis
, sous forme de syphilis conceplionnelle, doit êtr
éclosioo de la folie chez les Arabes; 8° la syphilis, sous forme de
syphilis
conceplionnelle, doit être également incriminée
éressés. (The aliezzist and neurologist, oct. 1896.) E. B. IV. LA
SYPHILIS
COMME FACTEUR ÉTIOLOG1QUE DANS LA PRODUCTION DE
uments fournis par les nombreux partisans du rôle importa n t de la
syphilis
dans l'étiolo- gie du tube. ' Il estime que l
lis dans l'étiolo- gie du tube. ' Il estime que l'influence de la
syphilis
sur la production du tabes a été exagérée ; à l
l'appui de son opinion il remarque que, d'une part, au Japon où la
syphilis
est fréquente, les cas de tabès sont rares et d
s cas de tabès sont rares et d'autre part, dans la race nègre où la
syphilis
est des pluscommunes, le tabès est si rare que,
mpu, de fortes doses d'iodure de potassium dans le traitement de la
syphilis
; ce remède, par son action irritative, peut pr
) Sur 340 malades, 208 avaient eu les accidents secondaires de la
syphilis
, ce qui donne la proportion de 61 p. 100 ; cette
. D'autre part, sur 100 tabétiques 83 avaient eu un chancre ou la
syphilis
; sur 100 neurasthéniques 83 étaient indemnes de c
hilis; sur 100 neurasthéniques 83 étaient indemnes de chancre ou de
syphilis
. Si l'on en rapproche que les pasteurs sont rarem
gênants dans l'oreille droite; pas de lésions de l'oreille moyenne.
Syphilis
cérébrale probable. Papille stasique déjà en voie
ysipèle, la rougeole et les fièvres éruptives, la tuberculose et la
syphilis
. Toutes ces affections ont paru exaspérer la di
èrement ses différents outils. Je n'ai trouvé en lui nulle trace de
syphilis
. Très adonné aux boissons alcooli- ques, il ava
à trente-cinq; c'est dans cette période qu'est né le malade. Pas de
syphilis
. [Père inconnu. SCLÉROSE CÉRÉBRALE HÉMISPHÉRIQU
tats favorables au moins temporaires dans les cas d'imbécillité par
syphilis
héréditaire'. 1. R. DE l\IUSGRAVE CLAY. V. Plai
r ce nombre, 86 p. 100 étaient des hommes. Dans 42 cas pour 100, la
syphilis
était l'unique agent étiologique; dans 31 p. 10
de fait. En ce qui concerne l'étiologie, l'auteur n'a rencontré la
syphilis
bien démontrés que dans 21 cassur 100, mais dan
bitudes d'intem- pérance ou du genre de vie des malades ; aussi, la
syphilis
, 'à son avis, est-elle l'élément étiologique pr
tisme articulaire aigu, l'influenza, la pneumonie, la phtisie, la
syphilis
, la septicémie, la goutte et le diabète. Il est p
n état de marasme. Le diagnostic différentiel est à faire avec la
syphilis
héréditaire et avec l'idiotie congénitale commu
mation crânienne analogue dans la famille. Le malade a contracté la
syphilis
il y a douze ans; il a SOCIÉTÉS SAVANTES. 249
posantes, il faut citer surtout l'artério-clérose, l'alcoolisme, la
syphilis
, les chocs moraux, les maladies cérébrales, etc
. Les paraplégies aiguës que l'on observe assez fréquemment dans la
syphilis
ne doivent pas être attribuées à une myélite (à
ladies infectieuses de longue durée et à récidives multiples. Si la
syphilis
provoque si fréquemment la dégénération du syst
du liséré saturnin. La malade ne présente actuellement pas trace de
syphilis
ou d'alcoolisme et un interrogatoire minutieux
alcoolisme, l'intoxication saturnine, les fièvres, le paludisme, la
syphilis
, l'insolation ; à propos de chacune d'elles, il
alade; âge auquel est survenue la mort; antécé- dents héréditaires;
syphilis
; autres facteurs étiologiques; état mental et d
fille, enfant naturelle, antécédents héréditaires inconnus sauf, la
syphilis
du père. Stig- mates d'hérédo-syphilis.A trois
ésumée : Enfant naturel; mère : d'une famille névrôpathique; père :
syphilis
anté- rieure au mariage. Signes probables d'hér
mi les particularités intéressantes de ce cas il faut signaler : la
syphilis
héréditaire, l'hydrocéphalie, le début très préco
tes qui avaient observé la malade avaient-ils posé le diagnostic de
syphilis
céré- brale, de tumeur du cerveau, de sclérose
des 34 cas sur lesquels on a des renseignements précis, on note la
syphilis
comme certaine dans 17 cas (50 p. 100) ; si on
17 cas (50 p. 100) ; si on y ajoute, eu premier lieu, les 12 cas de
syphilis
très probable, et en second lieu les 2 cas de syp
es 12 cas de syphilis très probable, et en second lieu les 2 cas de
syphilis
pro- bable on a les proportions de 85 p. 100 da
et de 91 p. 100 dans le second. (Chez les adultes l'auteur trouve :
syphilis
certaine, 86 p. 100; syphilis certaine et très
. (Chez les adultes l'auteur trouve : syphilis certaine, 86 p. 100;
syphilis
certaine et très probable 93 p. 100.) 380 REVUE
érébrales organiques (tumeurs, lésions vasculaires par allié- rome,
syphilis
; paralysie générale). Furstner termine en décri
t d'une malade X..., âgée de vingt-six ans. Pas d'alcoolisme, ni de
syphilis
. Depuis neuf ans elle ressentit des douleurs à
M. le Rapporteur. BIBLIOGRAPHIE. VI. Localisations spinales de la
syphilis
héréditaire; par Georges GASNE, ancien interne
E, ancien interne de hôpitaux de Paris. L'étude des relations de la
syphilis
héréditaire avec les maladies du système nerveu
nt d'étudier les localisations, sur l'axe spinal, des lésions de la
syphilis
héréditaire. Rappelant les observations que M.
s lésions les rapproche absolument de celles qu'on constate dans la
syphilis
acquise, infiltration, gommes, sclérose avec at
ment et absolument nouveau de l'histoire anatomopathologi que de la
syphilis
héréditaire; la communication récente de M. Déj
ravail d'ensemble très remarquable que M. Gasne nous donne sur la
syphilis
spinale héréditaire. J.-B. Charcot. VII. Morphi
sque toute sa vie. Excès alimentaires, mais non alcooliques. Pas de
syphilis
avouée. Non fumeur. Il y a trois semaines, doul
maux. Rien aux poumons ni aux organes abdominaux; aucun stigmate de
syphilis
. -Sphincters sains. Urine normale sans sucre ni
à la paralysie par hérédité ou des modifications acquises (diabète,
syphilis
, tabes). - 2° Des élé- ments matériels d'origin
la rapidité de l' - chez les aliénés, par Zlehen, 137. t1T wE et
syphilis
, par Drennen, 47. Atrophie atuscuLUnE, à début
use par Grant, 52. Paraphasie et - verbale, par Worcester, 473.
Syphilis
et ataxie locomotrice, par Dreunen, 47. Localis
cérébrale (intégrité du fond de l'oeil), ni paralysie générale, ni
syphilis
, ni épilepsie. Aucun des symp- tômes prémonitoi
ériphérique. (Revue iieiii,olo- gique, février 1899.) E. B. VIII.
Syphilis
et tabes; par M. E. Touche. (Presse médicale, 1
impossible de pré- voir, en se basant sur l'époque d'invasion de la
syphilis
, la date de l'apparition du tabes. Le fait que
on de la syphilis, la date de l'apparition du tabes. Le fait que la
syphilis
ait été traitée dès le début, qu'elle ait été b
trente-quatre ans, qui, trois ans et demi après avoir contracté la
syphilis
, fut atteint brusquement d'hémiplégie droite. C
re, aux descriptions, à l'établisse- ment des types cliniques de la
syphilis
médullaire, » L'auteur glisse rapidement sur le
passe successivement en revue les grandes formes médullaires de la
syphilis
acquise : la syphilis maligne précoce du systèm
en revue les grandes formes médullaires de la syphilis acquise : la
syphilis
maligne précoce du système nerveux, les myélites
nde partie de l'ouvrage traite des déterminations spé- ciales de la
syphilis
héréditaire : syphilis héréditaire congénitale,
traite des déterminations spé- ciales de la syphilis héréditaire :
syphilis
héréditaire congénitale, syphilis héréditaire p
ales de la syphilis héréditaire : syphilis héréditaire congénitale,
syphilis
héréditaire précoce et tardive. Tous ces chapit
iaque, se plaint de troubles divers et redoute d'être atteint de la
syphilis
. De plus en plus déprimé, des actes d'anxiété s
halie, grande anémie, nutrition ralentie, du reste pas de traces de
syphilis
. Sous l'action d'un traitement reconstituant et
est toujours allée en se redres- sant insensiblement. » Il n'y a ni
syphilis
ni alcoolisme chez les ascendants. ARRÊT DE D
ication, qui soutient, que le corps irritant peut venir du dehors, (
syphilis
, saturnisme), ou ètre le résultat de la transfo
t des névralgies faciales graves que l'on ne peut rattacher ni à la
syphilis
ni à l'impaludisme, ni à une lésion locale, la
ions des nerfs, des vais- seaux, des viscères, scléreuses à base de
syphilis
, se trouvent bien de Ilg et de Ag. La pommade d
, âgée de vingt-sept ans, sàns anté- cédents héréréditaires. Pas de
syphilis
ni d'alcoolisme. Il y a cinq ans, affection sto
as). Contribution à l'étude de l'hystérie dans ses rapports avec la
syphilis
acquise et héréditaire. Lacroix (Joseph). Trait
d'éliminer au point de vue personnel toutes les intoxications, la
syphilis
et les traumatismes. Le bilan des antécédents com
re infé- rieur, pas de cri initial, etc. Recherche des antécédents,
syphilis
. Guérison par le traitement mixte. (Revisla. me
st-ce de sa part une supposition basée sur une croyance populaire :
syphilis
légère ; jamais de maladies antérieures ni de b
chez les syphilitiques (6,6 p. 100), sans qu'on puisse dire que la
syphilis
joue un rôle dans l'espèce; - HO Une troisième
fférentiel d'avec : la sclérose en plaques, le tabe, ordinaire ; la
syphilis
héréditaire ; la paraplégie ataxique de Gowers;
dix-sept et présentant tousles symptômes de la paralysie générale.
Syphilis
congénitale chez quatre frères. L'autopsie con-
ie. (The Amel'ican journal of izzsunlly, avril 1899.) E. Dux. XX.
Syphilis
et folie; par le Dl' Collotti. Dans une étude i
sont très parta- gées. Un premier groupe d'aliénistes estime que la
syphilis
peut donner naissance à la paralysie générale ;
er naissance à la paralysie générale ; un second groupe refuse à la
syphilis
la possibilité d'être une cause de paralysie géné
re les deux affections ; une opinion intermédiaire considère que la
syphilis
ne donne pas REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 329
s'est produite une dernière théorie éclectique d'après laquelle la
syphilis
peut conserver non seule- ment la pseudo-paraly
té publiées de nom- breuses observations d'épilepsie vraie due à la
syphilis
. A côté de nombreux auteurs qui trouvent défect
au- tres auteurs affirment l'existence d'une forme épileptique de
syphilis
cérébrale secondaire qui peut être regardée non s
ade). Cocher, âgé de trente-neuf ans, toujours bien portant. Pas de
syphilis
. Abus de boissons à partir de l'âge de vingt-qu
e ce phéno- mène dans tous les cas examinés d'épilepsie (8 cas), de
syphilis
cérébro-spinale (6 ca), d'affections diverses d
nes avant ses couches, éruption généralisée et rhinite persistante (
syphilis
? ). Quinze jours après les couches, première a
urés ou laborieux, simples convulsions, intoxications héréditaires (
syphilis
ou alcoolisme) : voilà autant de causes étio- l
eu égard à la nature des causes de la maladie des ascendants : -.
syphilis
, alcoolisme et surmenage ; ils sont d'autre part
pposent au traumatisme le plus de résis- tance, tandis que, dans la
syphilis
, ce sont les fibres des cordons postérieurs qui
VAL. XXV. Tabes et paralysie générale dans leurs rapports avec la
syphilis
; proposition thérapeutique; par ADL>;R (Cenhoa
Il existe un grand nombre d'altérations morbides produites par la
syphilis
qui ont pour caractère la sclérose. La syphilis p
es produites par la syphilis qui ont pour caractère la sclérose. La
syphilis
produit ainsi la cirrhose de l'appareil respira
nom d'affections, para, méta ou post-syphili- tiques, qui sont à la
syphilis
ce que les[maladies nerveuses épiphé- noménales
même rang que les manifestations secon- daires ou tertiaires de la
syphilis
. Pourquoi donc alors le mercure donne-t-il de s
er les accidents paralytiques; point d'excès alcooliques , point de
syphilis
. Une seconde observation est celle de diplégie
est celle de diplégie faciale ; on ne lui trouve aucune cause ; ni
syphilis
, ni affection auriculaire ; point de signe de lés
e survenue chez un labélique. Dégé- nérescence mentale héréditaire.
Syphilis
. Accès maniaque avec idées incohérentes de gran
et présenta des convulsions à plusieurs reprises. Il contracta la
syphilis
à l'âge de vingt ans en 1874 et fut soigné pendan
males. Appétit et sommeil bons. Aucune intoxication chronique; ni
syphilis
, ni tuberculose. Aucun traumatisme. Famille névro
s aiguës, l'apyrexie, l'exclusion forcée de la tuberculose ou de la
syphilis
; tout cela milite en faveur d'un néoplasme. Il s'
onstances, indiquent le tabes. Pas de symptômes pupillaires. Pas de
syphilis
. Depuis quatre ans, il fait mouvoir avec les deux
du -, par Grasset, 50. Folie. Mysticisme et -, par Ma- ne, 31.
Syphilis
et -, par Col- lotti, 328. L'imbécillité et la
Schafler, 403. et paralysie générale dans leurs rapports avec la
syphilis
; proposition théra- peutique, par Adler, =r21.
ommunes des affections les plus courantes du système nerveux, de la
syphilis
, du tabes qui d'ailleurs n'est qu'une forme de
x, de la syphilis, du tabes qui d'ailleurs n'est qu'une forme de la
syphilis
nerveuse, de diverses autres infections, de cer
s les conditions que j'ai précisées, semble patho- gnomonique de la
syphilis
acquise ou delà syphilis héréditaire (Babinski
précisées, semble patho- gnomonique de la syphilis acquise ou delà
syphilis
héréditaire (Babinski et Charpentier), et, pour
éningée capable de conduire au tabès, à la paralysie générale ou la
syphilis
conglomérée des centres nerveux; il en constitu
tique, je relèverai en 16 LA MÉTHODE EN SÉMIOLOGIE particulier la
syphilis
cérébrale, les diverses néoplasies intracrânienne
er ici. Quoi qu'il en soit, diverses affections spinales diffuses :
syphilis
médul- laire, sclérose multiloculaire , lésions
et au bras droit ; ces douleurs existent encore. Le malade nie la
syphilis
; d'ailleurs la réaction de Wassermann, faite à p
le diagnostic de tabes fruste. Il y a tout lieu de supposer que la
syphilis
est le lien qui unit chez cette malade la lésio
ON DES REFLEXES PUPILLAIRES .. .. w . .' DANS SES RELATIONS AVEC LA
SYPHILIS
^) ;[ : ~ Dans un travail présenté, il y a deux
pas associée à une paralysie de la 3" paire, constitue un signe de
syphilis
acquise ou de syphilis héré- ditaire presque, s
alysie de la 3" paire, constitue un signe de syphilis acquise ou de
syphilis
héré- ditaire presque, sinon tout à fait, patho
pporte plusieurs faits d'abolition des réflexes pupillaires dans la
syphilis
héréditaire, par Erb ("), qui déclare que ce sign
ui paraît indiquer que le système nerveux central est touché par la
syphilis
, par Harris ('), pour qui le phénomène d'Argyll
i le phénomène d'Argyll Robertson est un signe pres- que certain de
syphilis
, par Parinaud, qui nous autorise à dire qu'il par
and non-paralysed idiot cbildren and their relation tohere- ditary
syphilis
, The Journal of Mental Science, July igoo. (t)
LOGIE Cette autre femme, âgée de cinquante-huit ans, a contracté la
syphilis
il y a quarante-deux ans, à l'âge de seize ans;
nerveux. Voici un homme âgé de quarante-six ans, qui a contracté la
syphilis
à l'âge de trente et un ans. Il a le signe de R
s en lame de sabre. Nous sommes portés à croire qu'il s'agit ici de
syphilis
héréditaire. Relativement au grand nombre d'ind
s héréditaire. Relativement au grand nombre d'individus atteints de
syphilis
, les cas d'abolition des réflexes pupillaires s
nstate est un can- didat au tabes, à la paralysie générale, ou à la
syphilis
cérébro-spinale confirmée. Il y a du reste to
tion de la céphalée après la ponction. Le malade qui a contracté la
syphilis
à l'âge de 20 ans est soumis à des frictions me
ait faire penser que les lésions intra-crâniennes dépendaient de la
syphilis
. Nous fîmes cependant nos réserves à ce sujet,
irement on a affaire alors à un sujet qui affirme n'avoir pas eu la
syphilis
et qui ne porte aucune trace apparente de cette i
gé de 5o ans, entre le 5 octobre igoi à la Pitié. Il a contracté la
syphilis
à l'âge de 3o ans. Il y a huit jours, en pleine
A 33 ans érysipèle. Pas d'alcoolisme (quoique sommelier); pas de
syphilis
. En septembre igo4, B..., qui avait prêté tout
point de vue des antécédents héréditaires. La malade n'a pas eu la
syphilis
. Elle souffre depuis deux ans de douleurs de tê
igoo, p. 8o3. 3/|fi PARAPLÉGIES AFFECTIONS DE LA MOELLE plutôt de
syphilis
cérébro-spinale que de tabès ; sans discuter à fo
ion, je me contenterai de faire remarquer que le tabès est lié à la
syphilis
et que, quand la syphilis du système nerveux frap
faire remarquer que le tabès est lié à la syphilis et que, quand la
syphilis
du système nerveux frappe les racines postérieu
avoir jamais été contaminé, on pourrait supposer qu'il s'agit d'une
syphilis
acquise. Toutefois, si l'on prend en considérat
macéré, la coexistence du tabes chez le père et la fille, l'idée de
syphilis
transmise héréditairement me semble s'imposer à l
- trent seulement une fois de plus que les accidents initiaux de la
syphilis
peuvent être méconnus. Il est à remarquer que
ssance et les altérations dentaires, n'a eu aucune manifestation de
syphilis
jusqu'à l'âge de dix-huit ans ; c'est donc un c
tabes du père ou de la mère au tabès de l'enfant est évidemment la
syphilis
, mais il y a lieu de rechercher la cause pour l
e être compris que si, après avoir admis l'importance du rôle de la
syphilis
dans la genèse du tabes, on suppose que l'un de
ce genre, c'est le mari qui avait le premier subi l'infection et la
syphilis
n'avait paru manifester son action chez la femme
présentait des signes de tabes fruste. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE LA
SYPHILIS
FAMILIALE ? ) En principe, lorsque, dans un mén
pe, lorsque, dans un ménage, un des conjoints reconnaît avoir eu la
syphilis
ou en présente des stigmates, l'autre conjoint et
uve du séro-diagnostic. Il serait intéressant aussi dans les cas de
syphilis
familiale de savoir quel était, au moment du ma
liale de savoir quel était, au moment du mariage, l'âge exact de la
syphilis
chez le conjoint qui a apporté la maladie. A no
reuse qu'on ne l'a fait jusqu'à présent, le délai au delà duquel la
syphilis
ne risque plus d'être transmissible. ' (1) J.
mpossible d'affirmer que l'infection soit en cause. S'agirait-il de
syphilis
? On serait en droit de le supposer en se fondant
ctérisé, associé à des troubles qui dépendent manifeste- ment de la
syphilis
. Voici les observations de ces deux malades : O
oir en faveur de l'opi- nion d'après laquelle le tabès relève de la
syphilis
. vin . D7 CiP F ? E'Z. ? à F ? C'A C/A 77M
iner un second cas de syndrome de Brown-Séquard, très net (dû à une
syphilis
médullaire), où nous avons constaté le même phéno
ôt lieu de penser que chez cette malade, malgré ses dénégations, la
syphilis
est en cause et qu'elle a provoqué des lésions
aît aujourd'hui guérie n'étaient pas aussi sous la dépendance de la
syphilis
. Cette idée n'a rien de révolutionnaire quand o
ressive et dans le tabes, affections dont les liens intimes avec la
syphilis
ne sont plus guère contestés, les inflammations
se. Parmi les affections organiques de l'encéphale chez l'homme, la
syphilis
céré- brale est la seule qui puisse guérir comp
ple, un pho- bique qui, après avoir assisté à une conférence sur la
syphilis
, est pris de cette espèce de phobie du toucher
re tabétique. Ol3SErtVA1'r0\ I. Homme de 35 ans, ayant contracté la
syphilis
à l'age de 23 ans. Il y a cinq ans le malade a
s, on retrouve des symptômes de méningites. Chez un seul malade, la
syphilis
aurait été en cause. Chez trois de ces malades,
x ans, exerçant la profession de modiste. Affirme n'avoir pas eu la
syphilis
. Parait bien pondérée au point de vue mental et
ver- tébrale est en parfait état. Je ne crois pas non plus que la
syphilis
soit en cause. Outre les décla- rations de la m
, et ce fait que la lympho- cytose, d'habitude très intense dans la
syphilis
du système central en voie d'évolution, n'était
n ici de mal de Pott. En réalité, en dehors du mal de Pott et de la
syphilis
, on n'observe guère de paralysie spasmodique qu
abord essayé, bien qu'il n'y eut aucune bonne raison de penser à la
syphilis
; puis, comme les douleurs étaient encore vives e
4. De l'abolition des réflexes pupillaires dans ses relations avec la
syphilis
(en col- laboration avec Charpentier. Société d
4. De l'abolition des réflexes pupillaires dans ses relations avec la
syphilis
(en col- laboration avec Charpentier. Société m
iété de Neurologie, 12 mai 1910). 172. Contribution à l'étude de la
syphilis
familiale. Recherches à l'aide de la réaction d
tion. H..., âgé de trente-huit ans, indemne de tare héréditaire, de
syphilis
, d'alcoolisme, brillamment doué. Influenza en d
Le complexus symptomatique est tantôt autonome (surtout après la
syphilis
), tantôt greffé sur d'autres maladies du système
Dr M1N : 1R. Contribution à la statistique des rapports ' entre la
syphilis
et le tabès. La nouvelle statistique de l'auteur
des appréciations statistiques sur les rapports du tabès et de la
syphilis
qu'il avait fait il y a quelques années. Parmi le
. Parmi les malades venus à la consultation de l'auteur en 1889, la
syphilis
chez les hommes russes était quatre fois et che
enquête pourrait aider à élucider la question des rapports entre la
syphilis
et le tabès, autant que la méthode de la comparai
ction de la paralysie géné- rale la concomitlance de trois causes :
syphilis
, hérédité morbide et certaines conditions de vi
a para- lysie diabétique, l'hystérie mâle, le syndrome de Weber, la
syphilis
cérébrale, les formes frustes de la sclérose en
a part à rendre attachante la lecture de ce livre. Paul BLOCQ. VII.
Syphilis
du système nerveux; par le Dr W. GijKOEWicH, Pa
les données, dès longtemps accumulées sur les déterminations de la
syphilis
sur'le système nerveux. Il expose dans des chapit
es descriptions successives, celles-ci intercalées dans ceux-là, la
syphilis
de l'encéphale, de la moelle et des nerfs péri-
e complète, s'il nous avait parlé de l'influence provocatrice de la
syphilis
sur certaines névroses, des types cliniques ainsi
ention d'un mot. Plus tard à la suite de mani- festations graves de
syphilis
cérébrale, ces syndromes se sont nota- blement
à son début l'existence d'une maladie grave, dans les cas où, ni la
syphilis
(qui peut produire l'épi- lepsie partielle), ni
topo- graphique qui est consigné dans le dossier. En l'absence de
syphilis
avérée nousincriminons une embolie rhumatismale,
sans tares. En 1879, atrophie de t'éminence thénar gauche. En 1881,
syphilis
. A la fin de 1889, douleurs gastriques et vomis
ésions des noyaux nerveux homologues, avec une telle précision. ~La
syphilis
étant écartée, la variation dans l'intensité de
du crâne. P. K. XVIII. SUR UNE affection cérébrale PRODUITE FAR la
syphilis
CONGÉ- NITALE ; par A. ERLENMEYER. (Centralbl.
consécutive à la scarlatine. Mais pour- quoi ne pas admettre que la
syphilis
congénitale, restée latente jusqu'à l'époque de
ntralbl., 1891.) Paralysie faciale périphérique tout au début de la
syphilis
, à la période du premier exanthème, alors qu'il
rlatine, la pneumonie sont en cause. P. K. XXVII. Contribution A la
syphilis
DU système nerveux central ET des psychopathes
énés, l'auteur en a compté 72, c'est-à-dire 22,5 p. 100 atteints de
syphilis
certaine, 40 (soit 12,5 p. 100) atteints à la foi
0 (soit 12,5 p. 100) atteints à la fois de paralysie générale et de
syphilis
. La proportion de la syphilis chez les aliénés
à la fois de paralysie générale et de syphilis. La proportion de la
syphilis
chez les aliénés ou céréhropathes quelconque es
puis comparativement. La pre- mière se rattache cliniquement à une
syphilis
cérébrale certaine, mais à l'autopsie on ne tro
e la névroglie qui remonte jus- qu'à l'encéphale. Le second fait de
syphilis
cérébrale certaine a été confirmé par l'autopsi
es 14 cas de perturbation intellectuelle en rapport certain avec la
syphilis
antécédente. Sans doute, d'autres facteurs entr
° le groupe des aliénés qui doivent évidemment la psychopathie à la
syphilis
; 2° celui de ceux qui, quoique syphilitiques, ne
, quoique syphilitiques, ne doivent pas sûrement leur psychose à la
syphilis
, voici les proportions que nous trouvons : .
y vient de rapporter est-il un cas de paralysie générale type ou de
syphilis
cérébrale ? M. JOFF&oY. La syphilis n'est p
ralysie générale type ou de syphilis cérébrale ? M. JOFF&oY. La
syphilis
n'est pas en cause dans les lésions ana- tomiqu
as de paralysie générale de nature, mais d'origine syphilitique; la
syphilis
est une simple cause prédis- posante. La vraie
ntrer dans le cadre de ce que M. Fournier a décrit sous le nom de
syphilis
pseudo-démente ou torpide : ce diagnostic eût mér
empérature notée chez le malade, qui ne cadre pas avec l'idée d'une
syphilis
torpide ou pseudo-démente. En ce qui regarde le
ut de suite à discuter en première ligne l'hypothèse d'une : a. -
Syphilis
cérébrale : 1° Ses phénomènes les plus carac- t
céphalée nocturne, intense, profonde, qui est caractéristique de la
syphilis
cérébrale. La céphalée ici est très superficiel
'. 1. Enfin l'évolution de la maladie est bien différente dans la
syphilis
cérébrale. Ici, les phénomènes ont été plus grave
e sont pas représentés. C'est le contraire que l'on observe dans la
syphilis
cérébrale. Si l'on ajoute à cela l'absence de t
. En effet, si le foyer cortical eût été unique l'on 1 Fournier. La
syphilis
du cerveau, Paris, 1889. L'HYSTÉRIE ET LES mala
ie à forme d'épilepsie partielle motrice simulant l'évolution de la
syphilis
cérébrale. Fiq... âgé de trente-cinq ans, grave
cédents personnels. - F... n'a jamais eu de maladies graves. Pas de
syphilis
ni d'alcoolisme. Il est marié depuis onze ans; ce
Ce cas nous offre un tableau extrêmement ressemblant à celui de la
syphilis
cérébrale : céphalée atroce s'exacerbant la nui
ique qui a été si bien décrit par M. Fournier dans son livre sur la
syphilis
cérébrale; et en effet, les médecins de l'hôpit
e à des excès génésiques la maladie qui l'amène à l'hôpital. Pas de
syphilis
. L'accident actuel est le troisième du même gen
BILA et MM. Hadjès et Cossa. Les discussions sur les rapports de la
syphilis
et de la paralysie générale sont loin d'être te
olog. Cenircilblatt '.) M. BRASCII. Des lésions artérielles dans la
syphilis
cérébrale avec présentation de malades et prépa
dorsal. Il s'agit d'un négociant de cinquante-deux ans, atteint de
syphilis
. Le tabès se manifesta par l'immobilité réflexe d
ot, 139; - Troubles du langage chez les aliénés, par Séglas, 140;
Syphilis
du sys- tème nerveux, par Gajkiewicz, 141 ; O
ar Janet, 448; au point de vue médico-légal, par Deventer, 485.
Syphilis
, et tabes, par Minar, 128 ; affections cérébral
Bernhardt,-503;- et paralysie agitante, par Plac- zeck, 506; - et
syphilis
, par Mi- nar, 128 ; traumatique, par Ilinz, 2
ion. On peut donc conclure qu'un processus infectieux (peut-être la
syphilis
) a produit par des oblitérations vasculaires, p
nt montré l'importance dans le syndrome de Ray- naud manque ici. La
syphilis
invoquée par Monro, par Morgan et plu- sieurs a
le malade, on a cependant eu le devoir d'y penser, d'autant que la
syphilis
semble agir dans certains cas de maladie de Ray
'a eu d'autre maladie que la variole, à l'âge de dix ans. Il nie la
syphilis
, et on n'en retrouve aucune trace actuelle. Il s'
ieurs vinrent compléter le tableau sympto- matique. En l'absence de
syphilis
, et l'auscultation révélant, au sommet droit, d
i même n'a jamais eu au- cune maladie infectieuse, n'a jamais eu la
syphilis
, n'est pas alcoolique. Jusqu'à l'âge de 21 ans,
loppée.Pas de traces de rachitisme. Pas de tares os- seuses. Pas de
syphilis
héréditaire ou acquise.Conformation crânienne nor
ôme, et n'est porteur d'aucun stigmate qui puisse faire songer à la
syphilis
. L'intoxication alcoolique est de même chez cet
connu ; comme maladie antérieure, une va- riole légère en 1890, ni
syphilis
, ni blennorrhagie au dire du malade. « Après le
s un manège. Deux ou trois ans après sa libération, il contracte la
syphilis
, présente des accidents secondaires, des plaque
es, etc.. ; il fait un traitement assez court et ne songe plus à sa
syphilis
. Au bout. de 17 ans, des douleurs réapparaissen
ce tabes avec la lésion vertébrale ? Notre ma- lade a contracté la
syphilis
après le début des accidents spinaux ; il ne s'
inaux ; il ne s'agit pas de spondylose syphilitique. Par contre, la
syphilis
parait bien avoir été l'origine de son tabes. I
s le pseudo- tabes spondylotique de Babinski. Cette action, si la
syphilis
intervient, peut être bien plus étendue. Elle f
is intervient, peut être bien plus étendue. Elle fournit alors à la
syphilis
l'incitation qui lui permettra de réaliser la p
ections blennorragiques et des chancres mous ; il nie absolument la
syphilis
; L'examen somatique ne permet de constater en e
en somatique elle ne présente aucun stigmate ni de rachitisme ni de
syphilis
héréditaire ; les dents sont saines et bien formé
accentuées ne sont cependant pas nettement caractéristiques pour la
syphilis
héréditaire. Le palais est du type ogival. Aucu
n bas-âge. Pendant son âge adulte, aucune maladie grave : il nie la
syphilis
. Il est entré à Bicêtre pour troubles de la vue
du squelette ne permet de rien déceler qui puisse se rapporter à la
syphilis
ou à un rachitisme ancien. Le crâne présente un
ires. OBSERVATION Il (PI. LVIII). G...,36 ans. Pas d'apparence de
syphilis
dans ses antécédents familiaux. Lui-même est né
s inflam- matoires des enveloppes du cerveau ». Parmi ces causes la
syphilis
tient une place qu'il est difficile de préciser
s'arrêter; un certain nombre d'autopsies leur donnent raison. La
syphilis
ne paraît pas probable (Patry). Dans un seul cas
un seul cas elle paraît bien établie. Deux malades ont contracté la
syphilis
, l'un dans l'enfance (Bourneville) (4), l'autre
eux stigmates physiques de dégénéres- cence qui, ayant contracté la
syphilis
, devint ultérieurement paralytique général. Le
inirait par compromettre notablement le foie. Brissaud a dit que la
syphilis
« est de toutes les influences morbides la plus
utes les influences morbides la plus dystrophianle » et en effet la
syphilis
joue un grand rôle dans la ge- nèse de l'infant
i que dans les cas d'arrêt de développement dus au rachitisme, à la
syphilis
héréditaire et à l'alcoo- lisme, on observe pre
erprétation facile, maison doit plus probablement les rattachera la
syphilis
héréditaire qu'au rachitisme. Nous savons du
s de Parrot pour qui le rachitisme aurait toujours été causé par la
syphilis
héréditaire, il est au contraire généralement a
es maladies vé- nériennes avouées par le père (qui nie cependant la
syphilis
), les quatre fausses couches de la mère ; la co
ux soeurs Ser... nous admettons donc l'influence déterminante de la
syphilis
héréditaire très probable, et l'influence patho
tieuses aiguës, tu- berculose, mais surtout il l'alcoolisme et à la
syphilis
héréditaire. Si cette forme d'hydrocéphalie idi
cas spécial le maximum de probabilité. Les symptômes-cérébraux delà
syphilis
héréditaire sont plus fréquents dans le premier
es symptômes cérébraux. Rien ne nous empêche donc d'admettre que la
syphilis
héréditaire ait préparé le terrain sur lequel à
avec des faits d'anémie légère qui peuvent aussi s'expliquer par la
syphilis
héréditaire, une méningite séreuse chronique pr
été très probable- ment déterminée chez elles par l'influenceoe la
syphilis
héréditaire qui a eu pour causes morbides adjuv
la méningite chronique chez les enfants et de ses rapports avec la
syphilis
héréditaire tardive. Annales de Dermat., 1884, p.
UTION A L'ÉTUDE DE L'INFANTILlS;\1E DU TYPE LORAIN 467 FouR'OEn. La
syphilis
héréditaire tardive. Paris, 1886, p. 29. Founwe
737. SELLER. Ein Fall von chronischen Hydrocephalus bei heredilârer
Syphilis
. Deut.med. Wuch., 1892, n°26. Weitere Milleil
en itber einen Fall von chronischem Hydrocephalus bei heredi- lârer
Syphilis
. Deut. med., Woch., 1898, n° 5. · R6ntge; ? pho
eplaalie. Wiener Klin., 1904, 6 H. - Studien über die heredital'e
Syphilis
, 1904. HuETEH. Tuberculose de l'hypophyse chez
- tilages épiphysaires. L'Encéphale, 1908, no 1, p. 1. Kassowrrz.
Syphilis
el rachitisme. Wiener med. Presse, 1881, no 35.
indesalters. Ibid.,1 u. 2. H. ZU73FR. - Maladies du corps thyroïde.
Syphilis
de la glande thyroïde. Traité des mal. de l'enf
t mort à la fois tabétique* et paralytique général. Il contracta la
syphilis
en 1894. deux ans après la naissance de l'enfan
tire un gros intérêt de son étiologie. Tout d'abord il s'agit d'une
syphilis
acquise, fait rare : de plus le père est mort t
de paralytiques géné- raux, parmi les nombreux enfants atteints de
syphilis
héréditaire ou ac- quise, est en accord avec ce
ubles ; très intelligent; caractère très nerveux, irritable. Pas de
syphilis
, pas d'éthylisme. Il a toujours été bien portant.
ndit vivement celle thèse, qni lui était chère, à savoir que, si la
syphilis
est une cause fréquente de la paralysie générale,
sous l'influence de certains' « agents stimulants », par exemple la
syphilis
, l'alcool, la pella-- gre, etc. ' D'autre par
du facial. On a trouvé ce réflexe diminué (à gauche) dans un cas de
syphilis
cérébrale avec paraly- sie complète de la 5° pa
, 1903, n° 2.) Cette obseruation concerne un homme qui contracta la
syphilis
à vingt-deux ans et chez lequel survint pendant
é à l'âge de seize ans il ne paraît pas possible d'incri- miner une
syphilis
acquise, la malade n'en présente d'ailleurs soc
succombé à la méningo-encéphalite. Ce confrère ne croit pas à la
syphilis
des conjoints, n'ayant jamais eu à soigner chez
ue très sommaires, conduit presque irrésisti- blement à admettre la
syphilis
parmi les antécédents des deux malades. La femm
par des neurologistes autorisés, serait nécessairement liée à la
syphilis
(Joffroy, Babinski.)'. Je considère donc ce nou
e idée dans un travail intitulé : Rela- tions qui existent entre la
syphilis
et les troubles des réflexes piipil-, I 'aires,
éminines. Les causes principales de la paralysie générale sont : la
syphilis
, l'alcoolisme et l'hérédité. - Il serait désira
gent au pourcentage de cette maladie mentale sur laquelle, après la
syphilis
, le facteur du surmenage intellectuel, l'épuisa
pas invoquer uniquement l'étiologie syphilitiqne. Il pense que la
syphilis
ne peut développer un tabes légitime que chez d
lcoolisme, auto-intoxications, grippe, tuberculose). En outre si la
syphilis
influe très souvent sur le développement des prem
D (The American journal of Insanily, avril 1902, p. 565, 574). La
syphilis
est la cause la plus habituelle de la paralysie g
équente dans les grandes cités que dans les campagnes; 7° hérédité,
syphilis
, alcool, sont trois facteurs importants de sa p
malade était, en outre, syphilitique ; on doit se demander si la
syphilis
n'a pas eu quelque influence sur le syndrome para
on. M. B. Séance du 30 décembre 1903. Présidence de M. G. Ballet.
Syphilis
cérébrale et démence. M. \TCCOUnoUx communique
émence. M. \TCCOUnoUx communique l'observation d'un homme mort de
syphilis
cérébrale et dont l'état démentiel rappelait celu
acquise, 1 hémiplégie infantile, 1 affection du cône terminal et 1
syphilis
cérébro-spinale), le réflexe adduc- teur exista
nalogue chez une jeune fille de quinze ans, fille d'un père mort de
syphilis
cérébrale. C'était une para- lysie générale juv
et tendineux. MM.E. Duphé et P. Camus. Homme de soixante-cinq ans.
syphilis
il vingt-cinq ans, traitée, au moment des accid
en du 9 septembre 1903. Délire d'énormité ; cette malade dit que la
syphilis
qu'elle aurait contractée il y a environ dix ans,
vraisembla- blement de tumeur cérébelleuse sans qu'on ait trouvé ni
syphilis
ni tuberculose. Le traitement mercuriel semble
raît, non seulement dans la sclérose disséminée, mais aussi dans la
syphilis
cérébrale. L'aggravation temporaire des symptô-
rai-je pas à vous démontrer que dans l'espèce, ni l'hystérie, ni la
syphilis
, ni la tuberculose, ni une intoxication exogène
des nerfs de la base du crâne, à la tuberculose méningée ou à la
syphilis
; semblables erreurs ont été maintes fois commises
ues, les anévrismes de l'aorte et surtout les pachyméningites, la
syphilis
, la tuberculose du rachis, les tumeurs des nerfs
Lui même n'a jamais eu de maladies infectieuses et notamment pas de
syphilis
. H a toujours pu travailler sans être arrêté pa
ue la lymphocytose, est commune à toutes les formes cliniques de la
syphilis
nerveuse. Elle ne peut donc pas expliquer à elle
iminé la méningite cérébro-spinale, la méningite tuber- culeuse, la
syphilis
, le tubercule cérébral, l'intoxication chronique
du 29 février 1904. Présidence de M. Brunet. Paralysie générale et
syphilis
cérébrale. M,l", TISSOT, interne à Villejuif, c
de lésions diffuses de paralysie générale et de lésions locales de
syphilis
est assez intéressante, car elle peut expliquer
uses de la paralysie générale, avec les lésions circonscrites de la
syphilis
, explique pourquoi beaucoup d'observateurs nien
dehors de ces deux affections, et plus, par- ticulièrement dans la
syphilis
(Babinski-Dufour). Aussi y a-t-il grand intérêt
able que l'état granuleux de l'épen- dyme a pour cause primitive la
syphilis
; et, ce premier point admis, la fréquence des g
e sa jonction avec la trachée. Autres constatations pathologiques :
syphilis
généralisée, folie avec démence très accusée. U
psie tardive et jacksonienne. Ellea manqué dans l'hystérie, dans la
syphilis
secondaire, ainsi que dans quelques cas où il n
re : il s'est marié à vingt-sept ans. Excès alcooliques; quant à la
syphilis
il a été impossible de savoir s'il l'avait contra
rand nombre de cas, viennent à l'appui de cette manière de voir, la
syphilis
don- nant lieu à ce que Sir William Gowers appe
généraux modifiés, améliorés ou guéris du moins temporairement, la
syphilis
doit être incriminée dans une proportion de 90
a, paralysie générale a été observée chez une femme de 22 ans, avec
syphilis
héréditaire probable et avec phénomènes très ac
l'on songe au rôle considérable que l'on attribue actuellement à la
syphilis
dans l'étiologie de la paralysie générale. , .
érations de même ordre peuvent être invoquées quand il s'agit de la
syphilis
dite héréditaire. Ici encore il s'agit d'un éta
ence .morbide, de caractère non spécifique, quoique dépendant d'une
syphilis
antérieure, s'est exercée sur la cellule germin
prépare le développement de la paralysie générale chez l'adulte. La
syphilis
détermine donc, comme le pense mort, une diminuti
t reconnue, mais il ne croit pas que le rapport qui existe entre la
syphilis
parentale et la paralysie générale juvénile soi
ues et de convalescents. Les rapports de la neurasthénie puis de la
syphilis
, avec la folie ont fait l'objet des exposés spé
ues éiEments de di,ynoslic de la précoce, par Dunlllll, 161. Voir
Syphilis
. - précoce nt cafa- lonie. par Séglas, 334. Un
- tiel Aan-Duchenne, par Meiklen et Guiard, 309. - générale, et
syphilis
célébrai ? , par'l'isaot, 339. - vésicale d'ori
mplant, 324. Sur un - thalamique, pal' Tho- mas et Chiray, 496.
Syphilis
cérébrale et démence, par Vigoureux. 101. Voir
ons situées en avant et en arrière. IV. Idiotie méningitique; -
Syphilis
héréditaire; Par DOURNEVILLE et DARDEL. Somma
aire; Par DOURNEVILLE et DARDEL. Sommaire. Enfant naturelle. Mère
syphilis
; Renseigne- ments insuffisants sur lui et sa fa
ique (traitement spécifique à Saint-Louis). Pas de consanguinité.
Syphilis
héréditaire. Névrite optique et perte de la vue
mais fumait beaucoup et avait une conduite irrégulière. Il a eu la
syphilis
qu'il soigna longtemps. Son apparence extérieur
aisait subir de mauvais traitements. Il lui a probablement donné la
syphilis
, bien qu'elle ne l'avoue pas. Elle présente; en
0. Quant à la pie-mère, elle est un peu plus grise à ce niveau. '
SYPHILIS
héréditaire. 39 Thorax. - Coeur normal (150 gr.
vons toujours soin d'inter- roger les parents de nos malades sur la
syphilis
, indi- rectement d'abord en posant un certain n
Eh bien, malgré ces enquêtes minutieuses, le nombre des cas, où la
syphilis
peut être invoquée pour expliquer la genèse des
re, des deux familles n'étant qu'imparfaitement connue. III. - La
syphilis
ne paraît s'être manifestée que tardivement, à
tisme ; n'est pas sujet aux migraines; ne présente aucun signe de
syphilis
, ni d'alcoolisme. Il ne fume pas, mais chique éno
r- ., trophique du cerceau. 100 Antécédents héréditaires : FOLIE,
SYPHILIS
. - et nocturnes. Krouomanie. Tics. - Grincement
deux fessées », dit-elle. Pas de migraines. Son mari lui a donné la
syphilis
peu après le mariage : » on m'a fait prendre do
is après le mariage. 'Foules paraissent devoir être attribuées à la
syphilis
donnée par le mari à sa; femmes7" notre ma ! a
r- me-t-on, était sous le coup d'une nouvelle manifestation de la
syphilis
, entre autres il avait une poussée ganglionnaire
nne intelli- gence avec son mari et n'a su qu'il lui avait donné la
syphilis
que quand il a été interné à l'A-ile clinique l
olumineuse, siège sur la moitié infé- Fin. 5. - HÉRÉDITÉ : FOLIE,
SYPHILIS
. 109 rieure de la frontale ascendante; une. aut
La mère, très nerveuse, sans accidents convulsifs, a contracté la
syphilis
du fait de son mari. Deux oncles maternels ont
E ET SCLÉROSE HYPERTROPHIQUE. seml)le-t-il, étaient en puissance de
syphilis
, les six fausses couches précédentes en témoign
», dit la mère, n'a jamais eu de maladies de peau, ni de signes de
syphilis
. - [Son père, cultivateur, est mort à GO ans, d
ose cervico-dorsale. - Écholalie. - Tics. - Sur- dité incomplète. -
Syphilis
acquise. - Épilepsie. - Antécédents héréditaire
rares accès épilepti- f ormes, de l'ecthymaet des manifestations de
syphilis
acquise dont il a été impossible de décéler l'o
cheveux châtain foncé, nez aquilin, pas de maladie de peau ni de
syphilis
. Bien qu'elle se soit mariée il y a 10 ans elle
Accès à 14 ans et demi. - Vers intestinaux. - Rougeole en mai 1887.
Syphilis
en 1888 Rubéole en 18\10. - Marche des accès et
our l'auteur, bien qu'il ne fasse mention ni de l'existence d'une
syphilis
, ni de la présence d'une lymphocytose rachidienne
r de nombreuses cau- ses d'erreur dues à l'hérédité et peut-être la
syphilis
. Cet article de Jlal'anÜon de llunlyel donne l'
psychopathiques héritées. -a) directement, par des toxiques ou non (
syphilis
, tuberculose, fièvre thyphoïde, vérole, etc., tro
poi- sonnement par le haschich, et chez nous par la morphine. IV.
Syphilis
. 1. Recherche des effets diroctset indirects de l
. IV. Syphilis. 1. Recherche des effets diroctset indirects de la
syphilis
sur le système nerv eux central. 2. Organisation
ion du ma- tériel concernant les aliénations mentales causées parla
syphilis
. 3° «(.Effets delà contagion syphilitique chez
és à l'alcool. 5. Etudes sur le nombre des victimes annuelles de la
syphilis
dans les différentes communes et les différents
férents Etats. - 6. Comparaison entre les différents ef- fets de la
syphilis
sur le cerveau, ayant trait à la capacité de tra-
ouvent dans toufes les psychoses aussi bien que dans le tabes et la
syphilis
, et même chez l'in- dividu sain. Toutefois on p
des yeux, qui n'existe que dans la paralysie générale, le tabès, la
syphilis
et la catatonic. Tous ces symptômes, les uns
ctus, au début de la Paralysie gé nérale, indique l'existence de la
syphilis
(1). Lorsque l'anestlièsie corneen ? le existe
son travail) et peut-être alors faut-il invoquer l'influence de la
syphilis
, la vue est conservée presque intacte jusqu'à l
p visuel est normal. Lorsqu'il y a 7tc;ntiopie, il faut penser à la
syphilis
, La migraine ophtalmique , qu'elle soit simple
e diagnos- ticétiologique, elles résultent presque toujours de la
syphilis
qui a laissé sur la rétine et la choroïde, sa m
guérison de la paralysie générale par le traitement habituel de la
syphilis
. M. MAURICE FAURE rappelle les travaux qu'il fi
avec elles (paludisme, fièvre ty- phoïde, tuberculose, alcoolisme,
syphilis
, puerpéralité, etc..) 110 CONGRÈS DES MÉDECIN
é à une méningo- myélite ascendante aigué développée au cours d'une
syphilis
récente. M. DIDE. Succombant sous le poids de
constants et plus rapides. Onlui reconnaît surtout deux causes : la
syphilis
,par l'in- termédiaire de plaques de méningite s
DE FAITS Athétose double. Mort au cours de variole. - Autopsie. -
Syphilis
héréditaire probable ; i Par le D' .1. CRESPI.N
nt conformée. On ne trouvait aucun stigmate de dégénérescence ou de
syphilis
héréditaire. Voici la description des mouvement
ssir le dossier de l'athétose, d'autant mieux que l'influence de la
syphilis
s'y trouve constatée et par les commémoratifs e
-il pas simplement actionné et orienté vers les centres nerveux une
syphilis
en évolution qui sans lui les aurait peut-être
ient antérieurs au traumatisme, et que dans l'autre il existait une
syphilis
conjugale ; ici encore, par con- séquent, le tr
réé un dommage qui doit être réparé. M. Vallon (de Paris). Que la
syphilis
joue un rôle dans le développement de la paraly
oujours la paralysie généraleest le résultat de l'association de la
syphilis
avec un autre fac- teur étiologique. Le plus so
s un certain nombre de cas ce soit un traumatisme qui s'ajoute à la
syphilis
. M. CHRISTIAN insiste sur le rôle du surmenage
ervation pour démontrer une fois de plus le rôle indiscutable de la
syphilis
dans le développement de certaines amyotrophies
XII. 15 220 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. psychique. Absence de
syphilis
dans l'ascendance, rendue plus probable encore
ans l'ascendance, rendue plus probable encore par l'évolution d'une
syphilis
acquise chez le malade de la troisième générati
ccasion- nelle avec, en particulier, l'alcoolisme, le paludisme, la
syphilis
: ce sont les psychoses à l'occasion d'une inso
uen- cesdu rétablissement du privilège. « Pour ce qui est de ]11.
syphilis
,qucsLion décidément d'acLualibé, la commission
émoire de M. Marie (deVillejuif) intitulé : « Paralysie générale et
syphilis
chez les Arabes. Chargé d'une mission en Egyp
En 1904 on y a admis 35 paralytiques sur lesquels 23 avaient eu la
syphilis
. La méningo-encéphalite diffuse est donc fréque
La méningo-encéphalite diffuse est donc fréquente en Egypte et la
syphilis
est notablement plus commune chez les les aliénés
le vraie. Il n'a pas été possible à Marie de déterminer l'âge de la
syphilis
au mo- ment du début de la P. G. ni l'âge delà
e fièvres éruptives, pas de rhumatismes, pas de mi- graines, pas de
syphilis
. C'était un homme très sobre, de caractère très
l'enfance ; pas de rhuma- tismes, pas de fièvres éruptives, pas de
syphilis
; quelques maux de tête assez fréquents, sans p
s, éthylique présentant une association h\s- léro-labéliquc. Nie la
syphilis
. Les symptômes relevant du (abcs sont les plus
u pneumogastrique cardiaque avec des épisodes de dépression. Pas de
syphilis
. Il s'agit d'un pouls lent permanent ou plutôt,
Voir Marche. Athétose double. Mort au cours de variole. Autopsie,
syphilis
héréditaire probable, par Cres- pin, p. 191.
M. Motet sur un mémoire de M. A, Marie, intitulé : générale et
syphilis
chez les Arabes, p. 403. L'accommodateur dans l
dans les antécédents du malade : pas de maladie antérieure, pas de
syphilis
, de saturnisme, d'épi- lepsie, de maux de tête
n foyer hémorra- gique dans le cerveau. H. D'O. IV. SUR UN cas DE
syphilis
INTRA-CRA1'lIENI<E; par HUGHLINGS JACKSON. (
els sont les symptômes que II. Jackson croit pouvoir rapporter à la
syphilis
. Il étudie successivement ces différents phénom
istant surtout sur les caractères spéciaux qu'ils affectent dans la
syphilis
céré- brale. Aucun symptôme nerveux n'est carac
r 1880.) II. D'O. X. L'aliénation mentale dans SES rapports avec la
SYPHILIS
; observations par 111..TULIUS MICIiLE, médecin
démence chez des sujets syphilitiques. Chez le premier malade, la
syphilis
s'est présentée avec son cortège habituel : cha
es s'étaient amendés. M. Mickle fait remarquer que, dans ce cas, la
syphilis
n'a sans doute agi, pour produire ces troubles
servation est celle d'un mélancolique qui ne portait aucun signe de
syphilis
à son arrivée à l'asile et qui i mourut de tube
s un état de profonde démence avec une parésie faciale droite. - La
syphilis
ne fut découverte chez ce malade que deux ans p
et de la pachyméningite apparte- nant à la période secondaire de la
syphilis
. La démence ne surviendrait que plus tard et se
. Ve Adrien Delahaye et Lecrosnier éditeurs. III. Influence de la
Syphilis
sur les maladies du système nerveux central, pa
la faculté. Il s'agissait de discuter l'influence étiologique de la
syphilis
sur quelques-unes des affections du système ner
es, à la fin du volume). M. Chauvet n'admet pas l'in- fluence de la
syphilis
sur la congestion, l'anémie cérébrales, l'hémor
ingite cérébrale, et de l'encé- phalite. M. Chauvet ne croit pas la
syphilis
capable de pro- duire la paralysie générale, ma
premier groupe, M. Chauvet reconnaît une influence étiologique à la
syphilis
, pour le second groupe, au contraire, il n'adme
faut pas l'oublier, le titre de la thèse était : « Influence de la
syphilis
» et non pas « lésions syphilitiques . » Dé mêm
ême, quelques pages plus loin, M. Chauvet admet l'in- fluence de la
syphilis
sur des scléroses ascendantes ou descen- dantes
M. Fournier; aussi est- il peu disposé à admettre l'influence de la
syphilis
sur les né- vroses, tout en reconnaissant, cela
tL fJ ! : ML> : SJ DISSOÇIÉE IDEpLA TROISIÈME J PAIRE,' DANS; LA
SYPHILIS
, CÉRÉBRALE J parjPARINAUD ? 5oC. \ l'^>Wj99h
itement')') antisyphilitique ? P les' médecins lui affirmant que.la
syphilis
n'avait-, rien à faire avecf cette ]|Rj9 stftqa
('i, ï, 1-i-J à ;< i- ' Il n ." ' '^ '' ,' i-J4 ? 'i annee de sa
syphilis
, ayant .plusieurs gommes sur, les bras, lut fra
J L'auteur indique encore les excès de tabac, de the, de'café,'la
syphilis
et la plus grande fréquence de la maladie dans le
i c y ? >. quelois, relever d une cause unique (excès génitaux ,
syphilis
), tH ? h ? . Ilnl IIIIY11 9'1 Illr 1' l1[/1 n r
3'i'rnir' (;Dans cesjhuit cas, les, trois conditions. étiologiques,
syphilis
, froid et humidité,, surmèneraient, existent is
rent' atteints . ? ^* z L observation y est' ,plus compliquée; la r
syphilis
; le 1 coït de out, une vié' irréâulièrë, dè nom
icatoires ; l'iodure de potassium est indiqué 's'il y a a 1- eu' 11
syphilis
. i 1 ? 1 '1 1 . J - I ' il c. fc - .. r . ' ,,
t otiIi 'i.)'J)i'lH'iq i. sa ? ' `ill' . "'l'1TIIOlI"r -j XXXIX :
Syphilis
; DU[ système1 nerveux; par f.-Ti.IÇFUT.I(Çlçieago
c, 14 février 1880.) L'auteur rapporte d'abord deux observations de
syphilis
céré- brale, qui peuvent se résumer de la maniè
aquelle Heubner attache une grande importance au point de vue de la
syphilis
cérébrale, REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 459
ales médico-psychol., nov. 1880). REVUE DE THÉRAPEUTIQUE XVIII.
SYPHILIS
; accès D'ÉPILEPSIE ET hémiplégie gauche ; NÉVR
plètement repris leur disposition normale. H. D'O. XIX. UN cas DE
SYPHILIS
cérébrale ; par GAMBERINI (Giornale Jtaliano dé
de la dégénérescence névro-musculaire. P. K. XV. DES rapports DE la
SYPHILIS
avec LE tabès DORSALIS ET D'UNE FORME particuli
ournit que quatorze pour cent d'ataxiques en puissance manifeste de
syphilis
secondaire, et encore aux âges propres à la maj
en trouver beaucoup rattachant les manifestations ataxiques à une
syphilis
antérieure ou actuelle ; M. W. attribue une cause
r la question. Ce serait, de plus, la seule systématisation de la
syphilis
que l'on rencontrerait. Jusqu'à présent, les lési
t indiqué de s'adresser à ce genre de médication dans les cas où la
syphilis
582 REVUE D'ANATOMIE PATHOLOGIQUE. peut être
lement soupçonnée, car, en somme, cette question des rapports de la
syphilis
avec le tabes dorsal est loin d'être résolue. L
L'auteur communique à l'appui de ces assertions une observation de
syphilis
constitutionnelle (gommes du cerveau et dufoie)
nlc., 1880.) -10 : . - Le malade dont il est question avait eu la
syphilis
trente- trois ans auparavant ainsi qu'en témoig
ans une foule d'autres affections céré- brales ou spinales, dans la
syphilis
, etc. Depuis son dernier mémoire, Erbaréuni qua
Veurologa'st, 1880, n° 1, p. 78.) M. Mac Lane Hamilton croit que la
syphilis
est en cause dans certaines formes d'hypochondr
tat latent, en créant une prédisposition organique. Souvent même la
syphilis
des parents devra être recherchée, ou bien le m
En somme, M. Hamilton considère qu'il faut souvent soupçonner la
syphilis
ancienne et bénigne chez un homme hypochondriaque
par J. Hussell, li53. Paralysie de la 3e paire, dissociée dans la
syphilis
cérébrale, par Parinaud, 299. Paresthésie (su
9. Sympatique (altération pathologi- que du), par Blanchi, 284.
Syphilis
nerveuse. Affections pré- coces, par Mauriac, 4
4. Syphilis nerveuse. Affections pré- coces, par Mauriac, 463 -
Syphilis
(rapports de la) et du tabès dorsal, par Westph
Syphilis (rapports de la) et du tabès dorsal, par Westphal, 580.
Syphilis
(influence de la), sur les maladies nerveuses,
influence de la), sur les maladies nerveuses, par Chauvet. 164.
Syphilis
cérébrale, parStenger,5SS. Syphilis cérébrale,
erveuses, par Chauvet. 164. Syphilis cérébrale, parStenger,5SS.
Syphilis
cérébrale, par H. Jackson, 142. Syphilis (rap
brale, parStenger,5SS. Syphilis cérébrale, par H. Jackson, 142.
Syphilis
(rapports de la) et de l'a- liénation, par Mick
Syphilis (rapports de la) et de l'a- liénation, par Mickle, 152.
Syphilis
nerveuse, par Fut, 313. - Système nerveux centr
ctricité, par Beard, 333; l'épilepsie, etc, par Rus- sell, 491; -
syphilis
cérébrale, par Gamberini, 492; de l'épi- leps
u, par Bristo\ve, 142, Tumeurs intracrâniennes du pont de Varole (
syphilis
), par Stenger, 588 ; (leçons cliniques sur les)
presque tous, l'alcoolisme était le facteur étiologique signalé, la
syphilis
étant notée dix fois la dégénérescence vingt-qu
mplement que dans ces cas nos rensei- gnements n'indiquaient pas la
syphilis
dans les antécédents). Les altérations pouvaien
in les lésions n'étaient pas bilatérales. Pour ce qui concerne la
syphilis
, nous n'avons pas observé de lésions dechorio-r
sieurs cas de lésions des centres nerveux manifestement indemnes de
syphilis
et pourtant améliorées ou guéries sous l'influe
te pas de' REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 183 douleurs de tête; la
syphilis
est catégoriquement niée. Reste l'hypothèse de
admissible, il s'agit probablement d'un hématorachis. G. C. XVII.
Syphilis
médullaire et bulbaire précoce ; par M. Collet .
du bulbe, d'une polyoméhte avec polieucéphalite circonscrite. La
syphilis
est la raison très probable de ces lésions. Les a
un jeune homme de vingt-neuf ans sans antécédents pathologiques (ni
syphilis
, ni alcoolisme, ni cardiopa- thie, ni albuminur
consécutifs. Les auteurs portèrent, dès ce moment, le diagnostic de
syphilis
héréditaire. En octobre 1897, la malade présent
culaire du processus qui, pour les auteurs, ne peut être ici que la
syphilis
. Les notions récentes acquises au point de vue
siques ou mentales sont créées par l'alcoolisme, la tuberculose, la
syphilis
, etc., autant de fléaux contre lesquels elles o
toutes les encéplalo- pathies syphiliques. Or, toutes les formes de
syphilis
cérébrales ne se terminent pas par la paralysie
rimitivement dans le tabès, et, si l'on admet que les lésions de la
syphilis
sont avant tout lymphatiques, on peut dire que
pelle les cas extrêmement nombreux de tabétiques d'une part et de
syphilis
cérébro-spinales d'autre part, dont il a eu à exa
toutes les étiolo- gies de carie dentaire, hystérie, neurasthénie,
syphilis
, si souvent invoquées sans fondement bien réel.
ssance, aplasie diverses); chez tous on constatait des stigmates de
syphilis
ancienne, d'ordre héréditaire et chez deux d'en
s d'après l'auteur ne reconnaissait pas d'autre cause que l'hérédo-
syphilis
. ' G. D. XXXI. Nouveau cas de tabès fruste chez
e, 1902, n° 10). Un homme de cinquante-sept ans, ayant contracté la
syphilis
, il y a dix-sept ans, présente des symptômes in
d'une sclérose disséminée chez une enfant de douze ans, atteinte de
syphilis
héréditaire probable, ayant débuté cinq ans REV
. Et puisque la cause du tabès doit surtout être recherchée dans la
syphilis
, on comprend aisément la fréquence de l'aortite
nt la fréquence de l'aortite comme manifestation vasculaire de la
syphilis
. La même chose peut être affirmée pour l'alcool
ses parties inséparables que débute le tabès sous l'influence de la
syphilis
. M. Raymond admet le tabès comme ne se produisa
nd admet le tabès comme ne se produisant que sous l'influence de la
syphilis
; mais il survient dans un organisme syphilisé p
lutôt que comme accident directement syphilitique. D'ailleurs si la
syphilis
crée seule le tabès vrai, la lésion systéma- ti
postérieur médullaire peut se produire dans d'autres maladies sans
syphilis
antérieure, telle par exemple la maladie de Fri
cédentes on parvint seulement à apprendre que le malade avait eu la
syphilis
à l'âge de vingt ans et comment est survenue la
ns terminaux de la longue série des formes morbides provenant de la
syphilis
. , . DISCUSSIONS. De B. Sémidaloff et le Dr V
ne voit pas de raison d'attribuer la cause de la lésion donnée à la
syphilis
, car un symptomocomplexus pareil est aussi poss
symptomocomplexus pareil est aussi possible sans l'existence de la
syphilis
. Les docteurs S. Soukiianoff, A. POPOFF et V. V
s, pas de coryza chronique antérieur, pas de rhinite spécifique. La
syphilis
ne parait pas non plus devoir être incriminée b
droite survenue en 1880. Le malade ne pense pas avoir contracté la
syphilis
. Traitement. Le traitement a été commencé le 22
e nous ayions recherché cette cause avec le plus grand soin; pas de
syphilis
, pas d'épilepsie et rien de particulier dans le
roubles oculaires, pas de signe 356 CLINIQUE NERVEUSE. d'it,-yll.
Syphilis
improbable. La seule éliologie plausible mais b
paralysie générale. Nous ignorons notamment si cette malade a eu la
syphilis
. La seule chose d'ailleurs qui nous. paraisse i
uche et une démangeaison à la lèvre. Il eut peur d'avoir attrape la
syphilis
, courut de médecin en médecin en suppliant qu'o
d'alarme poussés, pour ne parler que des plus grands dan- gers, la
syphilis
et l'alcool, dont quelques-uns vivent et dont tou
causes variables; dans 1 cas, la manifestation des symptômes de la
syphilis
cérébrale influa d'une manière favorable sur les
otte, coexistence d'une tachycardie assez mar- quée. G. C. LXXVH.
Syphilis
cérébrale ? Souffle céphalique ; par M. CLAMENT
ts, la présence d'un ganglion occi- pital, M. Clément pense à de la
syphilis
héréditaire, et institue un traitement mixte qu
it que signaler le fait. G. Carrier. LXXVIII. Paralysie générale et
syphilis
en apparence bénigne; par M. Devay (Echo médica
p. 33). , M. Devay met en évidence le rôle important que joue la
syphilis
dans l'étiologie de la paralysie générale. D'ap
nne apporte deux nouvelles observations dans lesquelles, au lieu de
syphilis
et d'affection spinale, existait diabète sucré
ésidence DE 11. PAUL RICHER Abolition du réflexe pupillaire dans la
syphilis
. M. Polguère rapporte quelques cas de syphilis
e pupillaire dans la syphilis. M. Polguère rapporte quelques cas de
syphilis
qu'il suit depuis six ans au moins, quelques-un
hasard malgré l'absence de tout stigmate et de tout commémoratif de
syphilis
, la malade est partie guérie. Elle a eu à inter
de paraplégie organique, nous trouvons le mal de Pott (la cas), la
syphilis
médullaire (4 cas), le cancer de la colonne ver
588 TABLE DES MATIÈRES. par Delille et Egger, 473. gfné- raie et
syphilis
en apparence bé- nigne, par Devay, 534. - ocu-
roubles psychi- ques dans la -, par P. Marie et. Guillain, 203.
Syphilis
. Traitement de lésions non syphilitiques, par G
quet publie quatre observations (une de sclérose mul- tiple, une de
syphilis
, une de ramollissement cérébral chronique et un
n TENANT PLUS p.\nTlCULrÈl\E1 ! E'-¡T COMPTE DE L'INFLUENCE DE LA
syphilis
; par C REI,1;11.IRD. (Allg. Zeitsclv. f. Psych.
utte pour la vie, puis l'ivrognerie (du moins pour les femmes) ; la
syphilis
n'occupe que le troisième rang et l'hérédité le q
P. K. XLII. Sur LES rapports ENTRE la paralysie PROGRESSIVE ET la
syphilis
; par M. GOLDSTEIN. (Allg. Zeitschr. f. Psch ? XL
de 466 malades montre d'abord que, lorsque les hommes qui ont eu la
syphilis
sont atteints d'affections psychiques, ils sont
; en secondlieu, le nombre des paralytiques généraux qui ont eu la
syphilis
plus ou moins longtemps avant l'explosion de la
avant l'explosion de la psychose est remarquablement élevé. Mais la
syphilis
est- elle le facteur propre, direct, de la para
e différence -clinique entre la paralysie générale qui succède à la
syphilis
et celle qui se produit sans qu'il y ait eu pré
syphilis et celle qui se produit sans qu'il y ait eu préalablement
syphilis
, comme il n'existe pas non plus de signe anatom
si merveilleux contre toutes les localisations encéphaliques de la
syphilis
, aggrave la situation, quelques précautions que
dement ; c'est tout au plus si l'on est en droit de supposer que la
syphilis
diminue la force de résistance du cerveau et pe
c'est-à-dire par des matières étrangères à l'organisme (bactéries,
syphilis
), malaria, alcool, ergotine, narcotiques, gaz t
ontre la rigidité, l'immo- bilité des pupilles à la lumière dans la
syphilis
et ce symptôme se combine de la manière la plus
re eux était soupçonné de tabes, l'autre avait eu antérieurement la
syphilis
. Sur six cent soixante-dix alcooliques, on renc
r trois démences séniles, trois labétiques, deux épilep- tiques, un
syphilis
de la base, une folie systématique, soit une pr
congénitale de l'écran irien, et une fois chez un enfant atteint de
syphilis
héréditaire. Il importe du reste, de bien disti
'oculomoteur commun et du trijumeau du côté droit, impu- table à la
syphilis
, la malade ne pouvait plus pleurer qu'avec l'oeil
que neuropsychiatrique de Berlin. On rencontre ces troubles dans la
syphilis
spinale, la chorée, les tumeurs cérébrales, l'h
muscles du larynx ne sont pas affectés de mouvements choréiques.
Syphilis
spinale (un cas), immobilité de la corde vocale g
signaler. Antécédents personnels. Rougeole dans l'enfance. Pas de
syphilis
. Pas d'alcoolisme. Le malade depuis 1871 a mené u
nt deux verres de sang le matin, depuis qu'il est à Paris. Pas de
syphilis
. Il travaillait en dernier lieu aux Halles cen-
que ses parents, sa mère ainsi que son père étaient atteints de la
syphilis
. Le père est mort paralytique et la mère est mo
- anatomiques de cet organe : l'un chronique, ayant pour cause la
syphilis
et développé sur le terrain syphilitique et de
iques malgré trois ans de durée, absence d'alcoolisme, absence de
syphilis
. L'hypothèse d'une maladie de Friedreich survenue
eux central, par Tu. RUMPF. (A9'CIE. f. Psyeh., XVI, 2.) I. De lu
syphilis
du cerveau et de la moelle. - Un homme de trente
ar l'auteur, ou 1883 et 1884 comprenaient L cinquante-neuf faits de
syphilis
secondaire ayant précédé l'ataxie locomotrice;
buveur acharné indemne de toute tare héréditaire névropathique, de
syphilis
, en proie à du désordre dans les idées, qui en
nomènes intermédiaires entre la grossesse et le premier signe de la
syphilis
passée, dans l'espèce, inaperçue ? Est-ce que p
11 n'a jamais fait aucun excès de boisson et n'a jamais souffert de
syphilis
. Le 22 décembre, à huit heures du soir, l'accès
il n'y avait aucuns antécédents héréditaires de maladies, tels que
syphilis
ou mal de Bright, aucun antécé- dent d'alcoolis
e; il a éprouvé parfois des céphalalgies, mais pas de migraines; ni
syphilis
, ni rhuma- trisme. etc. En 1878, coup de pied d
normal. Le cerveau de'para- lytiques généraux consécutivement à la
syphilis
décèle des alté- ration, des gaines lymphatique
traitement antisyphilitique, dans les cas de tabes où il y avait eu
syphilis
antérieure. Sur vingt-quatre malades, quatre guér
- (et sclérose latérale), 71 ; - (et pachyméningile), 73; - (et
syphilis
), 80, 86 ; - (lé- sons épendymaires dans la),
elative aux tentatives de) , 78. j Suicidés (cerveaux des), 89.
Syphilis
et paralysie générale, 80, 86. Système nerveu
extrémités inférieures, avec atrophies muscu- laires partielles. La
syphilis
est en jeu, car il existe une infil- tration ch
inq observations, dont quatre reconnaissent, d'après l'au- teur, la
syphilis
comme seule cause (syphilis du mari - avor- tem
e reconnaissent, d'après l'au- teur, la syphilis comme seule cause (
syphilis
du mari - avor- tements = syphilis de la femme)
, la syphilis comme seule cause (syphilis du mari - avor- tements =
syphilis
de la femme), forment le fond du premier mémoir
are partisan de la genèse syphilitique' de l'ataxie locomotrice; la
syphilis
produit, dans l'immense majorité des cas, l'aff
observations concernant des femmes tabétiques, ou a pu constater la
syphilis
dans les commémoratifs ; chez presque toutes, o
tre l'infection et le tabes est représenté par sept années. - 4o La
syphilis
dans ces cas a tou- jours été légère. 5«On a vu
s de FOYERS DE ramollissement MULTIPLES dans l'encéphale, DE par la
syphilis
; par A. ROSENTIiAL. (Cen- tralbl. f. lVervenhe
té des circonvolutions temporales mêmes. P. K. XIX. Tabès dorsal ET
syphilis
; par. W.-TH. de RENZ. (Centralbl. f. Ne2,ve2zh
xus pudendo-hémor- rhoïdal, qu'il s'agisse de refroidissement ou de
syphilis
. D'ail- leurs, la théorie parasitaire cadre par
enage (fatigue, refroidissement, 100 REVUE DE pathologie mentale.
syphilis
), les nerfs périphériques; leur lésion, due aux c
uestion de la genèse de la paraly- sie générale : sénilité précoce,
syphilis
, etc... : question à revoir). Conclusions prati
ce. Il lui semble impossible de rattacher l'affection nerveuse à la
syphilis
. Ce malade, de même que d'autres paralytiques g
milière à chacun de nous (Charcot et l'école de la Salpêtrière). La
syphilis
cérébrale mérite encore un chapitre spécial dep
et sur deux obser- vations de M. Charcot. G. D. XXI II. UN cas DE
syphilis
centrale secondaire; par M. le Dr LANDOUZY. (FI
te-sept ans, présentant des manifestations cutanées et muqueuses de
syphilis
qui fut atteint d'une hémiplégie de la face du
état de mal présenté par cette malade. G. D. XXV. Observation DE
syphilis
cérébrale; par le Dr Le DENTU, chirurgien de l'
avait une ancienne blessure non cicatrisée du frontal contracta la
syphilis
, celle-ci provoqua par la suite une série d'acc
ixe spinal à marche ascendante, dans la patho- génie de laquelle la
syphilis
aurait joué le principal rôle. XXVII. Hémiplégi
e Neurologie, t. VII, p. 379. 266 SOCIÉTÉS^ SAVANTES. mentale, de
syphilis
, d'une affection consécutive à une altercation,
à sept ans et demi; bave, succion, parole nulle, gdtisme, etc... -
Syphilis
: roséole, plaques muqueuses anales, adénites.
en à la verge : ganglions inguinaux très développés des deux côtés (
syphilis
). r. 7 octobre. L'éruption est plus conlluente
e; kleptomanie, mendi- cité. Onanisme. - Accès de colère, jalousie.
Syphilis
(1882-1883); injections sous-cutanées de pepton
tie moyenne une petite élévation de deux millimètres de lon- gueur (
syphilis
). ' , , 1883. 30 janvier. La syphilis est en vo
millimètres de lon- gueur (syphilis). ' , , 1883. 30 janvier. La
syphilis
est en voie de diminution ; des- quamation des
58. - Aucun antécédent héréditaire, pas d'excès alcooliques; pas de
syphilis
; excès vénériens et onanistillues. ' Chagrins d
s du second lit n'ont jamais été ma- lades. Dans ces conditions, la
syphilis
ne peut guère être mise en doute chez le père d
oportion de l'ivresse = 24,2 p. 100. Im- portance très minime de la
syphilis
: sur cent-soixante-et-un cas, il n'y avait sûr
de la syphilis : sur cent-soixante-et-un cas, il n'y avait sûrement
syphilis
que chez dix-neuf individus (anamnestiques); or
a paralysie générale; les hommes en sont plus aisément atteints. La
syphilis
, en tant qu'élément étiologique, doit être envi
la paralysie générale, ou à une affection organique du cerveau, la
syphilis
n'est peut-être que la cause occasionnelle de c
ales, dans les grandes villes qui environnentGrafenberg. Quant à la
syphilis
, à Siegburg, il y a parmi les paralytiques généra
proportion de plus de 1 p. 100. En tout cas, il est clair que la
syphilis
a, dans la paralysie générale, plus d'importance
certain, comme le dit Snell, qu'il faut se garder d'attribuer à la
syphilis
une influence pathogéné- tique en ce sens quand
lyse anatomo-pathologique de l'observation. M. FINHELNBURG. Si la
syphilis
jouait un aussi grand rôle dans la production d
sses sociales relevées, on ne ment que trop souvent sur le chapitre
syphilis
. M. HURLE. La syphilis se comporte vis-à-vis de
n ne ment que trop souvent sur le chapitre syphilis. M. HURLE. La
syphilis
se comporte vis-à-vis de la paralysie générale,
psychiatrique de la province du Rhin, 445. Surdité verbale, 95.
Syphilis
, 99; - (centrale secon- daire), 226 j - (cérébr
tret, 76. Tabes chez la femme, par Moebius, 98. Tabes dorsal et
syphilis
, par de Reuz,99; (avec atrophie), par Eulenbu
veux, aux maladies mentales, aux rapports de ces affections avec la
syphilis
et la der- matologie. Comme par le passé, nou
ouche de 5 mois 1/2). Le père de Louis X..., âgé de 34 ans, a eu la
syphilis
. Louis X... est donc venu au monde à 6 mois 1/2
opre » d'assez bonne heure. Louis X... présente divers stigmates de
syphilis
héréditaire. Disons cepen- dant qu'il est fort
s'est marié à 24 ans, en 1889. Trois ans auparavant, il avait eu la
syphilis
. Son oncle paternel est ataxique. Il a épousé M
nfants sont issus de pères syphilitiques ; dans un cas (obs. II) la
syphilis
ne datait que de 3 ans; les mères semblent être r
tion nerveuse dont il souffre soit sous la dépendance directe de la
syphilis
ou au moins se soit développée sous son influen
de rapporter. Mais enfin ces faits nous permettent d'établir que la
syphilis
ne doit pas toujours être innocentée dans la prod
ue les deux mala- dies ne sont pas réunies par une cause commune la
syphilis
, car celle-ci fait assez fréquemment défaut soi
cérébro- spinal ». Dans tous ces cas d'ailleurs, une même cause, la
syphilis
, domine l'étiologie des lésions encéphaliques e
ès léger. - De plus X... est syphilitique depuis plus de il ans. Sa
syphilis
a été d'intensité moyenne et traitée régulièrem
Elle ne faisait pas d'ex- cès éthylique. Elle n'a pas contracté la
syphilis
. Elle exerçait le métier pénible de blanchisseu
n admettant qu'elles soient des produits directs ou indirects de la
syphilis
. Le traite- ment spécifique ne me paraît avoir
gieeten 1880 un chancre mou qui guérit en quelques jours. Pas de
syphilis
, de rhumatisme, de paludisme. Son affection act
ient faire ex- clure une tumeur proprement dite. Enfin l'absence de
syphilis
et de tuber- culose, éloignait l'hypothèse d'un
ents chapitres de la pathologie interne. " Les maladies de peau, la
syphilis
, la lèpre, les maladies épidémiques, la peste e
e coup sur coup, la fièvre typhoïde, .puis il peine convalescent la
syphilis
, et trois mois plus tard chute d'un 3e étage su
saltimbanque. Il raconte que c'est depuis sa fièvre typhoïde et sa
syphilis
, qu'à certains moments, sans motifs, il ne peut p
était une syphilitique avérée et sa lésion médullaire relève de la
syphilis
. Obs. 1 (1). C..., àgée de 31 ans, couturière,
éguliers, que l'on ne voit pas dans les lésions vascu- laires de la
syphilis
nerveuse, sont infiniment plus nombreux que les
sont ici bien évidemment sous la dépendance d'une cause pyogène. La
syphilis
, à moins de complication infectieuse, n'est pas p
et à configuration plus irrégulière que ceux que l'on voit dans la
syphilis
. Mais la grande différence réside clans la natu
nts de ceux qui sont appelés électivement par l'agent morbide de la
syphilis
, ces leucocytes sont en voie de dégénérescence en
jamais présenté d'acci- dents nerveux. En 1883, elle contracta la
syphilis
. Pendant trois mois elle fut soignée à la consu
endant trois mois elle fut soignée à la consultation externe. Cette
syphilis
, sur l'existence de laquelle il n'y a aucun dou
la malade, il en est ainsi depuis 17 ans, c'est-à-dire dès avant sa
syphilis
. , Les membres inférieurs et l'abdomen sont le
ielles, diffuses, qu'il faut évidemment mettre sur le compte, de la
syphilis
; ces altérations, tout en gardant en partie un a
qui précèdent habituellement l'explosion dès accidents graves de la
syphilis
cérébro-spinale : céphalalgies, paralysie faciale
que l'on a l'habitude de considérer comme carac- téristiques de la
syphilis
dans un cas, l'absence complète de lésions ana-
ogique ne nous permet de soupçonner qu'une infection, associée à la
syphilis
, donne à celle-ci une marche spéciale. Il est,
re observation est fort importante au point de vue de l'étude de la
syphilis
médullaire, car elle représente un type extrême d
e et à la stase hyperhémique. C'est une allure toute spéciale de la
syphilis
qui ha- bituellement a une évolution néoplasiqu
appliquée à la cause anatomi- que de certains accidents aigus de la
syphilis
médullaire, me paraît donc être, clans un certa
surmontable à son avan- cement. Entre temps (1895), il contracte la
syphilis
qui se traduit actuel- lement chez lui par une
amais dû exister ». Notons qu'il est d'apparence robuste, malgré la
syphilis
qu'il a contrac- tée et que la situation de for
2 ans, suivie d'une névralgie intercostale. Pas de commémoratifs de
syphilis
. Deux enfants bien portants, trois enfants mort
ont eu lieu. Antécédents héréditaires. - Père bien portant. Pas de
syphilis
, pas d'al- coolisme. Mère morte il y a trois an
s. Il affirme qu'il n'a jamais eu ni de maladies vénériennes, ni de
syphilis
. Et lorsqu'il gagne suffisamment, il e,st bon man
opinion surtout on peut dire que de ces intoxications (alcoolisme,
syphilis
, tuberculose) il manque assez souvent toute trace
les causes, qui peu- vent produire les anévrismes (artériosclérose,
syphilis
, traumatisme, etc.). La névrite multiple pouvan
es causes de la forme congénitale il faut rappeler l'alcoolisme, la
syphilis
, la cachexie des parents : donc dans mon cas, on
La femme du malade est bien portante, mais obèse. Le malade nie la
syphilis
. Il a exercé les professions de maçon et de men
Beitrag zur Casuislsk der Sclerodermia. Archiv für Dermatologie und
Syphilis
, 1898, vol. 43. ' (4) Eddowes, Alopecia, Leucod
urs régulièrement, elle n'est pas mariée. Elle nie l'alcoolisme, la
syphilis
ou toute autre affection vénérienne. Pas de tra
faits que nous allons citer, il plaide pour le rôle important de la
syphilis
dans l'étiologie du vililigo. Nous donnerons d'
ésumé, il s'agit d'une malade présentant de multiples symptômes (je
syphilis
tels que déformations tilriales, troubles laryngé
e la nu- trition générale, des infections telles que la lèpre on la
syphilis
ainsi que de lésions nerveuses. Pour Gaucher
re on la syphilis ainsi que de lésions nerveuses. Pour Gaucher la
syphilis
agi t en déterminant des troubles de la nutri-
sclérose superficielle de la langue qui imposait le diagnos- tic de
syphilis
bien qu'elle n'ait pas présenté d'autres symplôme
s, car il a vu un malade atteint d'un vitiligo ancien contracter la
syphilis
. Il est évident que ce dernier cas n'exclut nul
tour, tout en reconnaissant l'existence du vitiligo en dehors de la
syphilis
, insiste sur lerôle de cette dernière maladie dan
es pressions répétées ou des lésions traumatiques banales. Enfin la
syphilis
pourrait déterminer parfois des troubles de la
de ce dernier. Notre cas parle également dans le même sens, car la
syphilis
est cer- taine. Mais comme le trouble trophique
ble trophique cutanéest congénital, il faut admet- tre alors que la
syphilis
a dû être héréditaire dans ce cas, ce qui concord
itre exophtalmique. Ainsi que nous l'avons vu, Gaucher pense que la
syphilis
agit en déter- minant des troubles de la nutril
ues, un viti- ligo des plus caractéristiques. Dans les deux cas, la
syphilis
était niée et en tout cas incertaine. Ils rappe
flexes tendineux et sans douleurs fulguran- tes. Le malade niait la
syphilis
, mais il était pourtant en pleine évolution d'u
arquer que pareils troubles de développement se rencontrent dans la
syphilis
héréditaire. Nous rappellerons que l'hypertroph
s la R. neurol., 1903, p. 418. 3. Marie et CROUZON. - Vitiligo el
syphilis
, Soc. de dermatologie, 6 novembre 1902, analysé
1903, p. 478. 4. Thibierge. Sur les relations du vitiligo el de la
syphilis
. An. de dermatologie, n" 2, 1905, analysé dans
neurologique, p. 685, 1905. 5. Gaucher et GOUGEIIOT. - Vitiligo et
syphilis
, Soc. de dermal. et syphil., 8 mai 1913. La Pre
ie infectieuse quelconque, et chez lui il n'y a pas de symptômes de
syphilis
; la réaction de Wassermann a été négative. C
d'aucune sorte : on ne peut retrouver dans son passé aucune trace de
syphilis
. Histoire de la maladie. - Il y a deux ans, en
à précession hypophysaire et à prédominance génitale secondaire.
Syphilis
à part, c'est la même filiation des accidents qui
ogie satisfaisante. Ici nous sommes sur un terrain moins solide. La
syphilis
ne peut être invoquée comme dans le cas de MM.
n par insuffisance ou viciation de la circulation. Pour Fournier la
syphilis
suffirait à produire ce résultat. Pour Meltzer (2
rien de particulier dans les antécédents personnels du malade : ni
syphilis
ni maladie infectieuse ou traumatique quelconque.
antécédents personnels on trouve la variole à l'âge de 20 ans et la
syphilis
à celui de 21 ; le malade n'a suivi aucun traitem
lui de 21 ; le malade n'a suivi aucun traitement spécifique pour la
syphilis
, si ce n'est une injection de néo-salvarsan il y
ement prononcée que la marche est tout à fait impossible. Il nie la
syphilis
. Sa maladie actuelle date de l'automne 1909 ; dep
12. Diagnostic : sar- come de la colonne vertébrale ( ? ). Nie la
syphilis
, il dit pourtant avoir eu il y a 14 ans une érupt
Comme antécédents, il aurait eu la fièvre palustre à 23 ans ; nie la
syphilis
et toute autre maladie infectieuse. Le 28 nov
ques ou de pachyméningites, ces lésions peuvent avoir pour cause la
syphilis
, la tuberculose, ou bien être le reliquat de quel
binski, de Cestan et Ravaut ont été rigoureuse- ment attribués à la
syphilis
. De même dans plusieurs observations à marche e
lé attribuée à un néoplasme médullaire ou de voisinage. En résumé
syphilis
, tuberculose, microbes banals, néoplasme ou autle
est 0 gr. 50-0 gr. 68. Ce chiffre peut être déterminé aussi par une
syphilis
du névraxe, ou par les méningites alcooliques.
eiten, Deutsche Zeitschr. f. Nervenheilk., 1911, Bd. 42 S. 201. -
Syphilis
und Nervensyslem. Neunzelin Vorlesungen, Berlin,
corps et de la langue; ni convulsions, ni migraines, ni indices de
syphilis
; poussées d'eczéma; otite double. Fume beau- co
ies frontales n'ayant pas le caractère des migraines; nul indice de
syphilis
; mariée à vingt et un ans. (l'ère, aucun détail
nt. Science. (iL). REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 43 ou plutôt la
syphilis
congénitale, qui toutefois reste douteuse. Un a
différent. Le malade est un homme de trente-neuf ans ayant eu une
syphilis
peu intense en 1891 ; vers 18ut, ictus légers noc
té atteint de fièvre typhoïde à l'âge de quinze ans; a contracté la
syphilis
au régiment; 18 mois après, iritis de l'oeil ga
ante-neuf ans, femme de ménage. Absence d'antécédents héréditaires.
Syphilis
conceptionnelle ; le mari est mort en effet de
n ans, boulanger. Absence d'antécédents héréditaires et personnels.
Syphilis
en 1883 avec cortège classique d'accidents seco
sie générale. Or, il ne faut pas oublier le rôle si important de la
syphilis
dans l'éclosion de ces deux maladies; d'autre p
es; d'autre part, M. Babinski et son élève, M. Charpentier, dans la
syphilis
héréditaire ou acquise, ont pu observer le sign
autre trouble du système nerveux. Faut-il, dès lors, faire de la
syphilis
la cause fréquente, sinon exclusive du signe d'Ar
ui peut expliquer la perte du réflexe lumineux chez nos malades, la
syphilis
créant la myélite spasmodique et le signe d'Arg
'enfance d'une hémi- plégie cérébrale droite spasmodique ; prend la
syphilis
, pré- sente des douleurs fulgurantes, des troub
rale, la droite relevant de l'enfance, la gauche provo- quée par la
syphilis
cérébrale, paralysie qui évolue avec des douleu
ctéristique de leur maladie, aussi peut-on admettre que chez eux la
syphilis
a créé une lésion médullaire combinée, d'une pa
à l'heure actuelle, avec les idées régnantes sur l'influence de la
syphilis
dans la création du tabes. Cependant nous n'avo
l chez nos deux ma- lades, d'une part que ce signe soit créé par la
syphilis
en dehors de toute lésion tabétiforme des cordo
vingt-deux ans, atteint de tabès vrai avec prédisposition due à la
syphilis
paternelle ; père également alcoolique; ce n'es
e; ce n'est pas une allection syphilitique héréditaire directe, une
syphilis
cérébrospinale. Douleurs lancinantes, absence d
culose est produite par un bacille, l'alcoolisme par un liquide, la
syphilis
par un agent syphilogin, ne nous donne pas la cle
d'abolition des réflexes rotu- liens et du tendon d'Achille. Pas de
syphilis
, la vision est très limi- tée d'un côté avec lé
es associations morbides principales du tabes : paralysie générale,
syphilis
des centres nerveux, ophtalmie pro- gressive, h
umis au traite- ment mercuriel, si bien'que l'on peut incriminer la
syphilis
ou le mercure. Après une étude de l'hystéro-t
cas était intéressant en ce qu'il présentait un exemple très net de
syphilis
extra-spinale. Les douleurs et l'atro- phie ava
os. (Journal de Neurologie, 1900, n° 6.) XLI. Paralysie générale et
Syphilis
; par MM. Sérieux et F.\RNA- RIER. (Bulletin de
bre 1900.) Ce travail se termine par les conclusions suivantes : la
syphilis
est de beaucoup la cause la plus fréquente de l
deux ans comme chiffres extrêmes. Quelle que soit la valeur de la
syphilis
comme cause de para- lysie générale, ce facteur
e para- lysie générale, ce facteur étiologique n'est pas unique. La
syphilis
n'a qu'une action banale, nullement spécifique
b ou alcool), poisons végétaux (maïs altéré), poisons micro- biens (
syphilis
, variole), peut-être aussi les auto-intoxications
lente.' Un grand nombre d'auteurs lui assignent comme étiologie la
syphilis
héréditaire; 10° Les psychoses dégénératrices
vraie et seule cause de la paralysie générale progressive, c'est la
syphilis
non traitée ou négligée. Des observations soigneu
uvent que tous les paralytiques ne se faisaient pas traiter pour la
syphilis
ou bien qu'ils ne se faisaient pas assez traite
atteintes que très rarement de la paralysie progres- sive ou de la
syphilis
cérébrale. , M. WAHL. - La prédisposition héréd
dans l'étiologie de la paralysie générale. M. GREIDENllEIIG. - La
syphilis
ne peut être considérée comme la seule cause de
antérieurs. Entre les deux accès de folie, son malade contracta la
syphilis
. (.1 suivre.) Section de Neurologie. Le jeu
nation des infections et plus spécialement contre les ravages de la
syphilis
, la plus fréquente et la plus funeste de toutes
llaires frappés de dégénérescence crétacée ou graisseuse. III. La
syphilis
, comme on le sait, n'est pas une cause commune
t suivre sur une grande distance le long du plancher du crâne. La
syphilis
est, d'ailleurs, une cause commune de paralysie g
x formes de cécité tabétique, car l'étiologie est la même, c'est la
syphilis
. Mais il s'agit de localisations différentes d'un
ose latérale amyotrophique, de la syringomyélie, de la lèvre, de la
syphilis
, appartient bien à diverses espèces nosologique
osé par P. Marie et Castie ne vaut par suite rien ; d'autant que la
syphilis
n'y est peut-être pas étrangère. L'auteur pro
que (partielle) des cordons postérieurs. 11 en sera de même dans la
syphilis
; on constatera les mêmes alternatives.des phén
o- mène du genou présente de bien plus grands changements dans la
syphilis
de la moelle, que dans des hémorragies apoplectiq
ique, parKlippel, 43. Hérédité dans la -, par Hameline, 161. - et
syphilis
, par Sérieux et Farnarier, 224. Vraie cause d
coeur, un varicocèle à gauche depuis quatre ou cinq ans ; pas de
syphilis
ni d'alcoolisme. N'a rien remarqué au point de vu
turie ; un seul témoignait de la polyurie. P. K. X. Sur un cas de
SYPHILIS
CRÉ13RO-SPINkLE ; par J. ALTHAUS. (Centralblutt
l était buveur. Cinq avaient eu jadis une maladie grave. Absence de
syphilis
. Une affection organique du coeur. En général,
e et de l'orbite : forme du globe oculaire dans le rachitisme et la
syphilis
). L'albinisme n'est peut-être qu'une dyscrasie
o-meteur commun du côté droit, mais rien de plus. Rien n'indique la
syphilis
congénitale ou acquise ; la paralysie rétrocède
ans la majorité des cas de tabes chez la femme on a pu retrouver la
syphilis
dans les antécédents, et, dans presque tous, se
ec- tion et le début du tabès était en moyenne de sept ans. 4) La
syphilis
avait toujours été d'une forme légère. On ne trou
urs été d'une forme légère. On ne trou- vait plus de signes nets de
syphilis
, ni sur les malades chez lesquelles l'infection
es et trois femmes. Dans ce nombre dix avaient certainement eu la
syphilis
dont trois femmes, cinq l'avaient peut-être eue (
ique en rapport avec le tabès. Sur les quinze individus atteints de
syphilis
, vraie ou dou- teuse, huit accusaient en même t
pauvre; on y compte neuf syphilitiques et six individus indemnes de
syphilis
: onze ressortissent à la clientèle privée, et se
és par poisons lents, alcool, plomb, tabac, opium, morphine, par la
syphilis
, par la glycémie, ou par la rétention de produi
il a joui d'une bonne santé jusqu'à il y a deux ans et demi. Pas de
syphilis
; pas d'alcoolisme. En octobre 1881, il res- sen
es nerveuses de la Charité de Berlin (56 h., 30 f.). Dans 51 cas la
syphilis
est niée; aucun signe, aucun commémoratif en pe
Chez un seul malade, on constate encore actuellement des signes de
syphilis
constitution- nelle (plaques muqueuses buccales
causes différentes (refroidissement, fatigues physiques exagérées,
syphilis
) sans compter d'autres facteurs inconnus, et qu
en- tèle, 5 à la policlinique. Les premiers malades avaient eu la
syphilis
. Parmi les ! i autres, 3 en accusaient l'existenc
tion demeure la même; un très grand nombre de tabétiques ont eu la
syphilis
un peu avant. (Voy. Cetatral6latt. sur Nervenheil
dres que sur 8 autopsies de tabétiques, il a constaté trois fois la
syphilis
. Il partage la ma- nière de voir de Westphal au
mmes et de leurs avorte- ments. D'après l'orateur, sur 3,400 cas de
syphilis
on trouverait 290 névropathes dont 40 tabétique
nfants sains, sans aucun avortement, 3 pouvaient être soupçonnés de
syphilis
(avortements répétés, exostose du tibia chez un
du nerf optique. Si maintenant on adopte la théorie unitaire de la
syphilis
, on doit calculer que, sur les 49 cas précédents,
que, on relève la proportion de 28,5 et tout au plus 36,7 p. 100 de
syphilis
, c'est-à-dire une;proportion moyenne de 33 p. 1
s (58 h., 9 f.) et formulait la proportion de 40 p. 100 ayant eu la
syphilis
auparavant; en en défalquant les chancres mous,
mnes de tabes se traduit par 62 p. 100 n'ayant assurément pas eu la
syphilis
; 26 p. 100, ou, si l'on exclut le chancre mou,
: 61,8 p. 100 non tabétiques, dont un indubitablement indemne de
syphilis
et 23,6 p. 100, ou, si l'on ajoute les chancres m
ue voici : sur 125 ta- bétiques, 46,8 p. 100 avaient sûrement eu la
syphilis
; sur 155 non tabétiques, 15,8 p. 100 avaient à
ilis ; sur 155 non tabétiques, 15,8 p. 100 avaient à coup sûr eu la
syphilis
; com- prend-on dans la répartition les chancre
M. REMAK. En aucun cas de tabes il n'a vu de phénomènes érup- tifs (
syphilis
cutanée, etc.), tandis que chez les hémiplégiques
servations lui ont laissé l'impression, que, dans cette maladie, la
syphilis
joue peut- être un rôle. M. MENDEL. Communica
Iliologischen Ccntralblatt o. Ërtaugen, 1880 Die Beziehztîigeib der
syphilis
zur Dcmentia paralytica. Separatab- druck ans D
viug potassium iodide in very large doses for the la ter lésions of
syphilis
; more especiali'ty syphilis of the nervous Syst
y large doses for the la ter lésions of syphilis; more especiali'ty
syphilis
of the nervous System. Brochure iii-8o de 18 pa
Lambl, 269. Stéréognostiques (recherches), par Hoffmann, 134.
Syphilis
cérébro-spinale, par AI- tbaus, G4. 64. Syrit
cas d'hydromyélie, soit 5B p. 100 d'altérations de la moelle. La
syphilis
antérieure était certaine chez six d'entre eux, p
est décerné à M. Bonnet, auteur d'un travail sur les Rapports de la
syphilis
et de la paralysie générale. Un seul mémoire av
ogie est restée obscure; pas de preuves ou d'indices d'hérédité, de
syphilis
, d'intoxication. MM. les Drs Korsakof, Minor, K
Un prêtre, âgé de 41 ans, sans hérédité psychique ou nerveuse ni
syphilis
dans l'anamnèse, mais ayant abusé des spiritueux,
ses symétriques semblables étant surtout fréquentes dans les cas de
syphilis
du système nerveux (et peut-être aussi dans l'a
parenchymateuse, mais seulement symétrique, périvasculaire. Dans la
syphilis
du système nerveux, on peut observer des névri-
otons toutefois la plus grande fréquence de l'alcoo- lisme et de la
syphilis
associés qui forment, avec l'hérédité, une tria
M. Ballet l'a vu pour lui-même en ce qui a trait aux rapports de la
syphilis
et de la paralysie générale. ' En attendant des
épétition du délire dans les attaques d'hystérie. 3° observation.
Syphilis
antérieure, fièvre typhoïde, à la suite démence
des nerfs optiques. Malade, soixante-deux ans, sans alcoolisme, ni
syphilis
, présen- tant une atrophie des deux nerfs optiq
de l'oculomoteur commun et du trijumeau. Le malade a en effet eu la
syphilis
. Tout récemment enfin, il a éprouvé des douleur
ralbl : de 1800. M. SIEUERLING. Etude clinique et anatomique sur la
syphilis
de la moelle. Voy. Archiv. f. Psychiatrie. -
athologique de la paralysie géné- rale ; Drs llloeli et Marinesco :
syphilis
du système nerveux; Dr Sioli : sur un cas de cé
einte d'hémiplégie d'origine céré- brale. Rec... n'a jamais eu la
syphilis
. En juillet 1889, il a été victime d'un acciden
e l'hérédité nerveuse est représentée par le chiffre dix-sept et la
syphilis
par le chiffre quatorze dans la même statistiqu
t eu des convulsions dans l'enfance. - Marié à vingt un ans. Pas de
syphilis
. Céphalalgies assez fréquentes, sans vomissements
e causalité entre le mariage et la folie paralytique. ' G. D. Il.
Syphilis
ET paralysie générale; par le Dr CUYLITS. (BüLi.
générale, deux éléments sont nécessaires : l'hérédité d'abord et la
syphilis
ensuite. La statistique qui a servi de base i
11 femmes). Sur ces 30 paralytiques, 13 avaient eu certainement la
syphilis
, chez 8 la syphilis était seulement probable, et
30 paralytiques, 13 avaient eu certainement la syphilis, chez 8 la
syphilis
était seulement probable, et chez les 9 autres
nn. nzédico-psychol., février 1891.) La question des rapports de la
syphilis
avec la paralysie gêné* raie est l'ordre du jou
ujours à savoir si, oui ou non, les paralytiques généraux ont eu la
syphilis
. ' ,l Il est probable que des statistiques bien
ettront d'élu- cider un des points importants de la question : « La
syphilis
est-elle un facteur étiologique de la paralysie
ue, a trouvé que nombre de paralytiques généraux n'ont jamais eu la
syphilis
, mais que, d'autre part, les paralytiques génér
ment une contribution d'un autre genre à l'étude des rapports de la
syphilis
et de la para- lysie générale : quand la syphil
es rapports de la syphilis et de la para- lysie générale : quand la
syphilis
précède de peu le début de la paralysie général
ux, particulièrement instruc- tives à cet égard, dans lesquelles la
syphilis
avait précédé d'un an le début de la paralysie
l'on a le plus de raison de considérer comme étant provoquées parla
syphilis
. 2 A ce caractère principal s'ajoutent, quoique
sur le degré de son influence, il n'en est pas moins certain que la
syphilis
est reconnue comme une des causes de la paralys
ux et l'on est amené à conclure que l'opinion qui fait jouer à la
syphilis
un grand rôle dans la production de la paralysie
nérale, est celle qui se rapproche le plus de la vérité. Comme la
syphilis
, l'alcoolisme est susceptible de donner nais- s
corollaire, on est autorisé à considérer les excès véné- riens, la
syphilis
et l'alcoolisme, très rares chez les religieux, c
'association des symptômes de l'hystérie avec la gliose spinale, la
syphilis
cérébrale, la paralysie faciale périphé- rique.
e, âgée de vingt-deux ans, qui niait obstinément avoir jamais eu la
syphilis
n'ayant, disait-elle, jamais eu aucun rapport a
amenait à son observation, elle était mariée; elle avait avorté, la
syphilis
était nettement mise en évidence, et elle avoua
an dans un cas de - , par Rey, 260 ; à Gheel, par Peeters, 402; -
syphilis
et -, par Cuylits, 403; surmenage et -, par C
rhumatisme, pas de dar- tres ; rien ne permettant de soupçonner la
syphilis
. Ne boit pas d'alcool, dit la mère. Fume 0 fr.
ni dartres. Pas d'alcoo- lisme. Rien n'autorisant de soupçonner la
syphilis
. Pas de traumatismes. Caractère un peu vif. Mar
sénile, à l'artério-sclérosc cérébrale, aux tumeurs cérébrales, la
syphilis
cérébrale, la pa- ralyiu générale, à la polioen
en France, déclarait « qu'en fait de paralysie générale à deux, la
syphilis
, tout en étant encore l'hypothèse la plus plaus
e ; et enfin dans le troisième, la femme, primitivement infectée de
syphilis
ne devint L paralytique qu'après que son mari e
eurologie (1904, no 98), M. Gullcrre posa cette fois net- tement la
syphilis
comme l'élément étiologique de la 'paralysie gé
l'l )l ? chiquc habituels il celle maladie. 11 avait contrarié la
syphilis
au régiment, puisqu .on dire il avait eu la couro
lle du mariage. (28 janvier 1\1'1), semble assez démonstratif d'une
syphilis
récente et acquise pen- dant le mariage. Il est
nce de leur cerveau il faire de la paralysie générale, parce que la
syphilis
était entrée enjeu ? - La marche de l'infecti
s observations do paralysie générale chez des conjoints infectés de
syphilis
. Depuis, les faits se sont multipliés, tant il
aisé d'attribuer à chaque cause pathogène : hérédité, intoxication,
syphilis
, qui ont successivement intervenu, les différen
réditaire, accidents alcooliques, paralysie générale il laquelle la
syphilis
n'est sans doute pas étrangère, coe- xistent ch
oncernaient une tumeur céré- brale. Vingt-sept avaient LraiL à la
syphilis
du cervea i ; d'ordinaire ici, il s'agit d'un n
érale, fréquence des éosinophiles dans la sclérose en plaques el la
syphilis
cérébrale ; 7° hydrocéphalie chronique, abondan
i)Y[ ? XXIII, 1901.) Il s'agit d'un général de 41 ans, atteint de
syphilis
à 22 ans. De- puis 1896, douleurs lancinantes e
plus que précaire qui résulte de celle promiscuité ; d) la terrible
syphilis
qui se transmet aux descendants ; e) les profes
que l'existence actuelle du sujet ne Iralut de cau- ses telles que
syphilis
, alcoolisme, traumatisme, infection. Trai- teme
( ? l1P[le qu'en soit l'origine (pellagre, ergofine, plomb, alcool,
syphilis
, diabète, affection organique du coeur), une fois
e fait qu'on est en présence d'une modalité relativement rare de la
syphilis
héréditaire du névraxe ; de plus, la rétroces-
suivante il y a une fausse-couche de 2 mois. On devait penser l-,t
syphilis
: cependant l'examen iso- INFLUENCE DE L'INCONT
par Parmenlier. L. W. 3l0 REVUE DE PATHOLOGIE -NERVEUSE. LV1.La,
syphilis
héréditaire; leçon deM. le Prof. Gaucher, (l3ul
sant résumé des notions aujourd'hui acquises su ri es dangers de'la
syphilis
héréditaire, aussi bien dans sa forme pré- coce
t introduit des élé- ments étrangers dans le tableau clinique de la
syphilis
cérébrale. P. Keraval. LXV. De l'angoisse dan
lade revient en présentant le tableau complet de celle dernière. La
syphilis
esl niée, il n'en existe nul signe, et cependan
a hase all'edanl t exclusivement les nerfs optiques, grelfée sur la
syphilis
. lil et petites doses de préparations mercuriel
se sont terminés par la mort : ils ne sem- ])lent relever ni de la
syphilis
ni de la tuberculose. L. WAHL. REVUE DE THÉRAPE
es formes démente et com- mune, montrant soif l'action isolée de la
syphilis
ou de l'alcoo- li.me, soit, la réunion de ces d
u chronique (pneumonie, fièvre typhoïde, tubercu- lose, rhumatisme,
syphilis
, etc., etc.), l'infection puerpérale peut chez
imen- taires (alcool, tabac, opium) ou microbiens (tuberculose, -^
syphilis
, cancer, lèpre) sur les éléments cellulaires et e
d'aliénés. Prix Cil'1'Íeu,I' : 800 francs. Question : du rôle de la
syphilis
dans les maladies de l'encéphale. Deux mémoires
s pour I ! 107 : Prix Civrieux : 800 francs (annuel). Question : La
syphilis
spi- nale.- Pri ? 1,'ttl)-et : 100 francs (bien
ur apparition. Près de la moitié des malades observés ignorent leur
syphilis
. L'auteur rappelle que le professeur Four- nier
taxique du tubes. \Vl H 1,. LXXVIII. Syndrome de Brown-Séquard et
syphilis
spi- nalè ; par L'épine. (Revue de niés., décem
, bien étudiées par Démange 1884-85, qui les a attribuées soit à la
syphilis
, soit à l'artério-sclérose géné- ralisée. De Gr
les énumé- rer. Parmi les causes : hérédité, 92 ; alcoolisme, 82 ;
syphilis
, 21, lll·l'l'llo-Sy111lilIS, ; excès vénériens,
aire. Paru de Xeuilly, 91, rue Perronnet, 100 ? Marchand (1..), -
Syphilis
et paralysie. In-8" de 20 pages. Extl'. de la P
ndrome de-,par Siciliano, p. 240. Brown-Séquard. Syndrome de et
syphilis
spinale, par Lé- pine, 447. Bulbe antirabique
acrée, 54 ans après l'amputation de la jambe, par de Buck, 295.
Syphilis
. La héréditaire, par Gaucher, 316. Voir Brown-
cause primordiale de l'ataxie locomo- trice, que les autres causes,
syphilis
, excès -de tous genres, traumatisme, etc., ne j
que. Observation XXXVI. M. T..., trente-huit ans, Grec d'origine;
syphilis
à dix-huit ans; migraine ophthalmique; ataxie a
. - Atrophie des tubes nerveux dans les nerfs de la deuxième paire.
Syphilis
probable. Sarrazin, âgée de quarante-deux ans,
u'elle nous décrit assez mal, mais qui paraissent se rapporter à la
syphilis
. Au reste, Sar- razin suspecte elle-même son ma
i considérons-nous qu'elle a été atteinte très pro- bablement do la
syphilis
. Histoire de la maladie. - Il y a quatre ans, e
LE. 77 cette femme comme atteinte d'une maladie infec- tieuse, la
syphilis
. Au reste, il y a de très bonnes rai- sons à in
utume de faire ailleurs ? » j Julliard. Localisations spinales delà
syphilis
, Layon, 1879. Il,. I''oumiui ? <a.rte syphil
A MOELLE. 79 Nous ne nions pas, tant s'en faut, la tendance de la
syphilis
à faire de la sclérose. Mais quelle sclérose, p
rès sobre. Aucune maladie; pas de migraine, d'accidents nerveux, de
syphilis
. [Aucun antécédent névropathique dans sa famille;
Pas d'affections sérieuses. Excès alcooliques et vénériens; pas de
syphilis
. Début de l'affection actuelle, il y a deux ans
n ans d'une .tu- meur du ventre, cette femme n'avait jamais eu la
syphilis
et ne présentait aucune trace de scrofule. Ve
-huit mois, tous de méningite, dit le ma- lade. Il n'a jamais eu la
syphilis
. Le malade est très catégorique à cet égard, et
complexus symptomatique devait faire songer tout naturellement à la
syphilis
, et bien que le malade niât tout antécédent sus
progresser. En l'absence 206 CLINIQUE NERVEUSE. de toute trace de
syphilis
ancienne, de tout antécédent avouéetde l'ineffi
potassium constituent le meilleur mode de traitement. G. D. XII.
SYPHILIS
cérébrale, guérison; par M. CHANTEMESSE. (Franc
s le sens de M. Fournier. Est-ce à dire que les pré- tentions de la
syphilis
aient été reconnues et acceptées sans con- test
rguments dé- cisifs. L'hérédité avait à faire ses preuves, comme la
syphilis
pré- SOCIÉTÉS SAVANTES. 261 tendait avoir fai
multiples susceptibles de jouer un rôle dans l'étiologie du tabes (
syphilis
et hérédité en premier lieu, froid, excès, mala
oici au point de vue de l'influence comparée de l'hérédité et de la
syphilis
, les enseignements qui résultent de la comparai
urs antécédents de famille. Si l'on réfléchit, d'autre part, qu'une
syphilis
antérieure laisse quelquefois après elle des st
es enseignements qui en décou- lent : En faisant la part belle à la
syphilis
, la part faible à l'héré- dité, les cas d'ataxi
e simple prédisposition de nature à favoriser la localisation de la
syphilis
sur la moelle ? Nous vous laissons le soin de f
re à la dé- monstration de notre thèse. Que le froid, les excès, la
syphilis
, bien d'autres causes encore interviennent à ti
s personnels. -Bonne santé jusqu'en 1878. Excès alcooliques. Pas de
syphilis
. Il y a cinq ans, étourdissements passagers, ac
examiner les tabétiques dans celte direction, que l'on rencontre la
syphilis
chez beaucoup de ces malades. Il signale deux d
'entre eux actuellement en traitement, ayant successive- ment eu la
syphilis
, une ataxie évidente et, de plus, quelques symp-
syphilis, une ataxie évidente et, de plus, quelques symp- tômes de
syphilis
cérébrale (amnésie, troubles' de la parole, név
e oculaire progressive (ophthalmoplégie externe de cet auteur) à la
syphilis
. Le gland de l'un de ses patients était af- fec
nts antérieurs. On sait en effet que l'aliénation mentale, comme la
syphilis
ou toute maladie imputable à une faute de l'ind
OSNIER, place de l'École-de-Médecine. CACHER (G.). - Etude sur la
syphilis
pulmonaire. Volume in-8- de 101 pages. Paris, l
5t,, 265. Surmenage dans les établissements d'instruction, 363.
Syphilis
cérébrale, par Chante- messe, 249. Système ne
s de rhumatisme, pas de dartres; rien ne permettant de soupçonnerla
syphilis
; boit le samedi, rentre ivre au moins une fois
ANTECEDENTS PERSONNELS. 3 ment. Rien ne permet de soupçonner la
syphilis
. Alcoolisme peu marqué : cependant, cauchemars
nvulsions dans l'enfance, pas de chorée, pas de rhumatismes, pas de
syphilis
, pas d'alcoolisme. Caractère plutôt calme. Elle
ique de la cause principale du tabes peut dépendre des suites de la
syphilis
mieux que d'un agent co-opérant. En quoi consis
fforce de faire en déterminant d'une façon certaine la marche de la
syphilis
. Quand cela sera connu avec cer- titude, lorsqu
1. Discussion sur les rapports de la paralysie géné- rale et de la
syphilis
. [Académie de médecine ; séance des 21 et 28 fé
r- tiarisme moyen dans 81 0/0 des cas ; tandis qu'au contraire la
syphilis
cérébrale, à début hémiplégique se rencontrait
encéphalite diffuse est d'ailleurs moitié moins fréquente que la
syphilis
à forme hémiplégique. La cause occasionnelle de
use, seulement, 18 fois chez 112 malades de la ville, tandis que la
syphilis
avait été insuffisamment traitée 79 fois sur 11
Le professeur Four- nier insiste d'ailleurs sur la fréquence de la
syphilis
, dans les antécédents, des paralytiques générau
x jusqu'à 96 0/0; la rareté de cette maladie dans les milieux où la
syphilis
est rare : chez les femmes d'un certain monde,
lis. M. Lancereaux qui, dès 1861, croyait à la fréquence de la
syphilis
chez les paralytiques généraux a changé d'opinion
de la maladie de Baillarger ne rappelle les modalités connues de la
syphilis
tertiaire qui, loin d'être diffuse et progressi
ie, en effet, rien ne distin- gue la sclérose du testicule due à la
syphilis
héréditaire de celle qui est d'origine banale.
de celle qui est d'origine banale. M. Joffroy reconnaît bien que la
syphilis
est une bonne « fumure » pour la paralysie sur
e que 11 paralytiques généraux soit envi- ron 2 0/0. Et pourtant la
syphilis
est aussi fréquente dans cette contrée que dans
lité d'une tumeur inflammatoire liée à de la tuberculose ou à de la
syphilis
. 1. Jofi'rov (1) cite en efl'et un ky<te(lu
serait mQrt à 24 ans d'une affection cardiaque. Le malade nie la
syphilis
. Comme signes physiques, il pré- sente de l'iné
ié ; deux enfants bien portants. Antécédents pcrsonnels. - Nie la
syphilis
; mais a eu une suppuration il l'aine et a été
les intoxications exogènes (alcool, plomb, etc.), ou endo- gènes (
syphilis
, diabète) ; nos observations s'en rappro- chent
sions cardiaques. La malade ne présente ni stigmates, ni lésions de
syphilis
anciennes ou ré- centes. Les troubles choréiq
res tarés, dans la descendance duquel on rencontre l'alcoolisme, la
syphilis
, l'hystérie, la folie ; si, de plus, l'enfance
ution anatomo-pathologique et clinique à l'étude des rapports de la
syphilis
et de la paralysie générale ; par IIODOLFO TANZ
HYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 201 que de la question des rapports de la
syphilis
et de la paralysie générale ; il insiste surtou
conclusions suivantes : 1° Sur cent cas de paralysie générale, la
syphilis
a pu être re- trouvée 87 fois dans les antécéde
fois cette infection comme fadeur étiologique unique, et 38 fois la
syphilis
associée à une autre cause. 3° La syphilis pe
unique, et 38 fois la syphilis associée à une autre cause. 3° La
syphilis
peut constituer à elle seule l'affection causale
as de paralysie générale développée sur les indi- vidus ayant eu la
syphilis
, le système artériel cérébral montre des lésion
ures. Crise de rhumatisme articulaire aigu il y a trois ans. Pas de
syphilis
acquise. L'affection actuelle a débuté il y six
son enfance des acci- dents tuberculeux, et contracta plus lard la
syphilis
. A de 36 ans, il eut des troubles qui débutèren
llaire ; mère démente ayant été internée ; quatre soeurs nerveuses.
Syphilis
il y a dix-huit ans (soigné au Midi). Traumatis
ap- port est tel que l'une de ces maladies se joint à l'autre. La
syphilis
, l'alcoolisme et d'autres intoxications sont le
ne saurait,être patllognomoniyue et n'est qu'une manifestation de
syphilis
nerveuse ; de môme le signe de Romberg ne peut êt
affirme qu'il s'agissait bien uniquement de blennorrhagie et que la
syphilis
n'était pas en cause.L'iritis fut sé- vère, mai
lite. - Discussion sur les rap- ports de la - générale et de la
syphilis
, par Wahl, 50. - Quelques réflexions sur le dév
anatomo-patholo- gique et clinique il l'élude des rapports de la
syphilis
et de la - générale, par Rodolfo Stan- zinle,
oir Landry, Korsakoff. thainmique. par Déjerine et Roussy, 503.
Syphilis
. Voir Paralysie générale. Syringobulbie. Un cas
e, qu'il provienne indirectement de la pellagre (Agostini), ou delà
syphilis
(Fournier),ou de l'alcoolisme (Lombroso), ou du p
générale. En voici deux exemples : Observation 1 B..., 38 ans.
Syphilis
; tabes antérieur, puis paralysie générale dont le
tu- liens abolis, signe de Homberg ; paralysie générale manifeste ;
syphilis
à 20 ans. Jusqu'à sa mort (13 mars 1901), M.. n
, de richesses, achats inconsi- dérés ; actes de violence, fugues ?
syphilis
antérieure. A l'entrée, état d'excitation avec
t mis en lumière leurs rapports avec les infections : blennorragie,
syphilis
, rhumatisme articulaire aigu ; avec les auto-into
âge avancé, 50 à 70 ans, évolution lenle et progressive, absence de
syphilis
dans les antécédents l'aspect clinique n'était ce
duquel est à noter seulement une jaunisse à 20 ans et l'absence de
syphilis
. La maladie actuelle aurait débuté vers l'âge d
A toujours eu une bonne santé, jamais d'accidents de plomb. Pas de
syphilis
. L'affection actuelle débuta vers 1902, à l'âge
dans les antécédents morbides du malade qu'une blennorragie. Pas de
syphilis
. En 1896 perd sa femme, en ressent beaucoup de
t chez tous intacte. L'étiologie de cette affection est obscure. La
syphilis
n'existe dans aucun des trois cas. Dans un seul
l'hypothèse d'une influence héréditaire. Notre malade n'a pas eu la
syphilis
; il nous manque donc même cette donnée anamnésiqu
e indiscutable de l'hérédo-syphilis est née la notion du rôle de la
syphilis
acquise, dans la production de l'ostéite déform
son tabes, l'hypothèse qui se présente alors à notre esprit est la
syphilis
. Le tabes à lui seul nous permettrait d'envisager
rouvons pas dans les antécédents les manifesta- tions avérées de la
syphilis
, les ictus multiples et la mort subite et préma-
ercher par l'examen cli- nique de cette malade les caractères de la
syphilis
osseuse. Il est certain que nous nous trouvons
en dehors. Cette déformation doit-elle rentrer dans le cadre de la
syphilis
osseuse ? Au point de vue clinique, ces déforma
de déformations type Paget, considérées comme manifestations d'une
syphilis
acquise, sont beaucoup plus rares. La littérature
à l'hôpital. Dans les antécédents, rien qui permette d'affirmer la
syphilis
. Ni érup- tions, ni fausses couches (pas de gro
de l'ophtalmoplégie totale, on ne rencontre guère que le tabes, la
syphilis
, le diabète. Ce dernier n'est pas en cause. Quant
la syphilis, le diabète. Ce dernier n'est pas en cause. Quant à la
syphilis
, elle est possible; mais nous ne trouvons comme i
ue, soit d'une pachyméningite syphilitique. Pour ce qui est de la
syphilis
cérébrale en particulier, où l'on voit si souve
eim a pu ob- server dans un cas de syndrome de Weber au cours d'une
syphilis
céré- brale. Dans cette observation en effet, l
re n'était pas due, comme c'est le cas plus habituel au cours de la
syphilis
cérébrale, à une gomme ou à un foyer de ramolli
sculaire, le manque de toute autre cause étiologique (surtout de la
syphilis
) et l'évolution de la maladie, firent admettre
étudiées comme étant un des plus importants stigmates de l'hérédo-
syphilis
. Pour Edmond Fournier (4), l'absence de certaines
qu'il y ait eu une intoxication ou une infec- tion. Parmi elles, la
syphilis
doit être soupçonnée comme étant une des causes
ons digitaux qui tiennent lieu de la main absente. Chez la mère, ni
syphilis
, ni bydramnios. Père absolument sain. XXVI. -
ien constitués, sobres, sains. Aucun signe ne permet de dépister la
syphilis
chez les ascendants directs. Mais signes nets d
de ohocomélie avec hémimélie par absence du péroné à gauche. Pas de
syphilis
dans les antécédents. XXXVIII. - KLIPPEL et RAB
sibles d'infections di- verses en particulier du paludisme et de la
syphilis
, et le parasitisme en- démique en Egypte de l'a
nt ils sont distincts et que j'ai signalés comme en rapport avec la
syphilis
. Les deux formes peuvent cependant se combiner,
centimètres de longueur. Pas d'autre maladie dans l'enfance. Pas de
syphilis
, pas de tuberculose, pas d'alcoolisme. Le déb
e l'hémimélie dans une lé- sion du système nerveux, parfois dans la
syphilis
des centres. C'est ainsi que Cousin attribue à
« Le père était, au moment de la conception, en pleine évolution de
syphilis
secondaire et de syphilis grave touchant avec u
de la conception, en pleine évolution de syphilis secondaire et de
syphilis
grave touchant avec une insistance remarquable
nts syphiliti- ques, les lésions de la moelle ne sont pas rares, la
syphilis
héréditaire agit, avant la naissance, comme fai
es, la syphilis héréditaire agit, avant la naissance, comme fait la
syphilis
acquise chez les adultes. Nous appellerons l'at
e chez les adultes. Nous appellerons l'attention sur ce fait que la
syphilis
est coutumière de ces malformations congénitale
c. Nous admettons ici l'hypothèse d'une lésion médullaire, due à la
syphilis
héréditaire, et ayant évolué pendant la vie foeta
a pa- thogénésie que nous devons admettre. On doit exclure que la
syphilis
ait donné lieu à un tel processus, parce que la
rs 2. » 1 Dans aucun de ces deux mémoires, Baillarger ne parle de
syphilis
cérébrale, et nous ne serions pas surpris que pou
ze ans; il était doué d'une grande force physique. 11 n'a pas eu la
syphilis
et n'a jamais fait d'excès alcooliques. . Ce
rees sont tombées et les globes ocu- laires ont cessé de remuer. La
syphilis
, autant que les recherches effectuées permetten
té des lésious nerveuses. - En ce qui concerne les rapports de la
syphilis
et de la paralysie générale, il dit qu'à Vanves
il dit qu'à Vanves M. Falret et lui retrouvent presque toujours la
syphilis
dans les antécédents des paralytiques hommes. C
les statistiques antérieures, ne démontrent mathématiquement que la
syphilis
est la cause de la paralysie générale, au moins
té admises au rang de causes pathogènes. Les apparences sont que la
syphilis
pourrait être envisagée de même. En réalité, il
hérédité alcoolique et pour l'hérédité tuberculeuse et qu'enfin la
syphilis
et l'hérédité mentale et nerveuse ont un rôle abs
itiques dans la proportion de 98 p. 100 des cas. La fréquence de la
syphilis
dans les anté- cédents de la paralysie générale
eurs avocals ? Donc, la clinique nous oblige à tenir compte de la
syphilis
dans la paralysie générale, et l'anatomie patholo
auteurs, à tort ou à raison, considèrent comme la signature de la
syphilis
. Nous faisons allusion ici aux lésions vasculaire
s dont la fréquence et l'intensité nous ont frappé. A l'article :
Syphilis
MÉDULLAIRE du Traité de médecine, ' Semaine méd
e aujourd'hui à leur faire jouer un rôle de pre- mier ordre dans la
syphilis
de la moelle. Les modifications du côté des vei
noncées. Greif, le premier, a signalé les lésions veineuses dans la
syphilis
des centres nerveux; elles ont été retrouvées,
cas de paralysie générale juvénile, affirme qu'elle est due à la
syphilis
, parce que l'anatomie pathologique lui a montré d
une d'elles, ils méritent d'être pris en sérieuse considération. La
syphilis
agirait-elle direc- tement et primitivement sur
outre, les lésions vasculaires observées sont bien de celles que la
syphilis
a coutume de produire. IV. - Envisagées à un
P. KERAVAL. XL VI. DE l'atteinte précoce du système nerveux par la
syphilis
: par A.-G. JuscHTSGHENKO (Cei ? 12,albl. f. Ne
t d'individus jeunes, de vingt-cinq à trente ans, n'ayant eu que la
syphilis
, qui tantôt se sont soignés, tantôt ont été nég
e reste que le cas de David (1889). En voici un autre concernant la
syphilis
qui a d'ail- leurs complètement guéri. Il y eut
C'était en réalité une combinaison fortuite de deux lésions par la
syphilis
. P. IEnA vAL. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
hempelltica, N° 1, 1898.) Pour expliquer les rapports intimes de la
syphilis
et du tabès, l'auteur professe qu'en l'état act
sie progressive sont des affections éminemment dégénératives, et la
syphilis
est un puissant facteur de dégénérescence ; c'e
comprimer le nerf dans le bassin. S'il y a, en sus, tuberculose ou
syphilis
, il faut traiter la maladie sous-jacente. Les m
lin, 1898. Librairie S. Karger. . CIILRON (J.). Du traitement de la
syphilis
par les injections inlNI- musculaires de sérum
e est ici la cause de la paralysie générale. Après avoir éliminé la
syphilis
, l'alcool, les excès véné- riens, il s'arrête à
ées chez les imbéciles. Peut-être faut-il incriminer là souvent, la
syphilis
héréditaire; i la paralysie générale juvénile p
yphilis héréditaire; i la paralysie générale juvénile prouve que la
syphilis
héréditaire ne doit pas être négligée, loin de
nesco. Il s'agit d'un homme de quarante et un ans, qui contracta la
syphilis
il y a six années et fut soigné pendant cinq mo
des centres nerveux ou des nerfs, d'autres maladies, telles que la
syphilis
, etc. ; en un mot, reconnaître que l'inculpé co
nt primitivement sur la tunique externe 240 SOCIÉTÉS SAVANTES. (
syphilis
, tuberculose, etc.). Cette localisation est due t
de San Francisco, l'auteur estime que l'influence étiologique de la
syphilis
a été exagérée. Quand il y a antécédent syphili
sept'ans, deux enfants bien portants. Aucun soupçon, ni trace de
syphilis
, ni d'alcoolisme. En mai 1897, apparition d'une r
nts écolo- giques : l'hérédité, l'artériosclérose, l'alcoolisme, la
syphilis
, des lésions organiques diffuses du cerveau et
ont le cerveau, invalide dès la naissance ou plus tard, subit de la
syphilis
acquise un affaiblissement tel qu'à un moment d
es semblent être les causes occasionnelles les plus importantes. La
syphilis
, en tout cas, n'est jamais la seule cause de pa
orte qu'il y a des cas où l'addition à l'invalidité cérébrale de la
syphilis
suffit pour engendrer la para- lysie générale.
- co, 489. · SYDROMr DE Weber avec hémiopie, par Jolh'oy, 47.
Syphilis
précoce du système nerveux par Juschtschenko, 1
prendre qu'il était impuissant. Il y a quelques années S... a eu la
syphilis
( ? ) dont il ne se croit pas guéri : autre sou
cou Deux blcnnorihagies, à vingt-cinq et à trente-cinq ans. Pas de
syphilis
. Excès alcooliques durant une quinzaine d'année
ans, rentier, vu par M. Charcot. Pas d'antécédents héréditaires.
Syphilis
dans la première jeunesse (vingt-deux ans ? ). Ob
, XXII, 3.) 1 Un homme ayant présenté les accidents primitifs de la
syphilis
est affecté de tabes; impotence, absence de dou
tale ou du travail de l'accouchement. P. K. XL. CONTRIBUTION A la
syphilis
DU système NERVEUX central, par E. SIEUERLING.
) Etude clinique et anatomo-pathologique de trois observations de
syphilis
du système nerveux central, qui se résument brièv
herché avec soin, et sans en constater un seul, les stigmates de la
syphilis
héréditaire. On le voit, c'est bien la paraly
halmique) un des signes avant-coureurs. Remarquons enfin, que ni la
syphilis
, soit hérédi- taire soit acquise, ni une autre
ssi celle de la paralysie générale des adultes : l'hérédité et la
syphilis
. La syphilis est signalée, mais d'une façon dou
la paralysie générale des adultes : l'hérédité et la syphilis. La
syphilis
est signalée, mais d'une façon douteuse dans le
: enfin, chez le sujet observé par M. Ballet, les stigmates de la
syphilis
héréditaire tardive se retrouvaient au complet.
tion d'aucune lésion de nature.nette- ment spécifique. En somme, la
syphilis
semble agir ici CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE PROGR
ns pu trouver dans la famille A... les traces d'au- cune diathèse :
syphilis
, arthritisme, etc., pouvan-t jouer un rôle étio
219 Enfin il est intéressant de remarquer que la malade a eu la z
syphilis
, et cela au moment de l'apparition des premiers
disséminés et une altération des vaisseaux, symptômes propres à la
syphilis
du système nerveux. Le rapporteur considère la sc
de, ni de fièvre maremmatique. Il se peut cependant qu'il ait eu la
syphilis
avant son mariage, c'est du moins ce qu'il prét
ants sont très bien constitués, ils ne présentent aucun stigmate de
syphilis
héré- ditaire et sa femme n'a jamais eu de faus
on doit noter l'existence, sinon probable au moins possible, de la
syphilis
dans ses antécédents. - . Au point de vue men
st ici que doit intervenir la pensée .de l'existence possible de la
syphilis
dans les antécédents du malade. Mais rien ne la
ochondriaque qui tenait les propos suivants : « On lui a infecté la
syphilis
en lui en déposant le poison sur son « mouchoir
gtemps de maux de tête. Sa mère a été dix ans dans un asile. Pas de
syphilis
. A son entrée, elle est calme, se tient volonti
hiatres. M. ERLENMEYER. Sur une affection cérébrale produite par la
syphilis
' Voy. Archives de Neurologie, XLVI" session de
i nous occupe ? Dans trois de nos observations, le père avait eu la
syphilis
avant son mariage. Deux de nos petits malades é
ance ou dans les premières années de la vie, des signes certains de
syphilis
congénitale. Par conséquent, il n'est pas témér
ne paralysie infantile syphilitique ? Il ne faut pas oublier qu'une
syphilis
congénitale peut demeurer latente et ne se mani
ine ou toute autre maladie infectieuse, et que, par suite, c'est la
syphilis
, et non la scarlatine, qui devient responsable
côté droit et aphasie; intégrité du facial. On fit le diagnostic de
syphilis
héréditaire par les indications du père, car il
père, car il n'y avait aucun élément d'infection, aucun symptôme de
syphilis
; en tout cas, l'iodure de potassium et le mercu
névroglie. Il serait possible que l'on fût en droit d'incriminer la
syphilis
dans les altérations du bulbe. Les altérations
: 5 fr. Paris, 1892 ? J.-B. Baillière et fils. GAJKIEWICZ (W.) :
Syphilis
du système nerveux. Volume m-8° de 210 pages. P
térieures de la moelle, par Hoche, 242. CÉHÉBBOPATHIE, due à -la
syphilis
congénitale, par Edenmever, 421. Cerveau, foy
E LA SALPÊTRIÈRE, fait pour dérouter un clinicien inexpérimenté. La
syphilis
avait été la cause occasionnelle d'accidents hy
e et à la partie interne et supérieure des cuisses, il contracta la
syphilis
(1879). 1. L'observation a été recueillie par M
la corona Yeneris ap- paraissait sur le front. De 1880 à 1884, la
syphilis
reste silencieuse; le malade en profite pour se
sont encore peu connues : on a invoqué tour à tour l'alcoolisme, la
syphilis
, le crétinisme, la 106 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE
s n'a jamais eu un teint très coloré. - A l'âge de vingt-trois ans,
syphilis
nettement établie, peu d'accidents ulté- rieurs
dans le service de M. le professeur Damas- chino. Le malade a eu la
syphilis
à l'âge de vingt-cinq ans. Il y a cinq ans envi
à signaler dans les antécédents du malade. Pas d'éthylisme, pas de
syphilis
. Vers l'âge de vingt-cinq ans, il a commencé à
ans son enfance ? Réglée à quinze ans; toujours bonne santé; pas de
syphilis
. Elle a eu un enfant vers l'âge de trente ans.
(contusion, section, plaie par arme à feu, compression par tumeur,
syphilis
, etc.) La tumeur blanche est parfois d'un diagn
aire pendant laquelle il ne présenta aucun accident nerveux. Pas de
syphilis
ni d'alcoolisme. Au mois d'août 1877, il exerça
e même que les crises signalées ci-dessus, de songer chez lui à une
syphilis
ignorée ou dissimulée. A propos de ce malade, p
la chute et persistant encore aujourd'hui ? On pourrait songer à la
syphilis
; cependant cette dernière hypothèse ne s'appuie-
sauf ce fait, parfaite- ment explicable d'ailleurs sans invoquer la
syphilis
, que depuis sa chute, il est sujet à des céphal
sirop de Gibert est demeuré sans résul- tat. Bref, en l'absence dé
syphilis
, en l'absence de toute cause appré- ciable, cet
n bonne santé. A eu la rougeole. N'ajamais eu de rhumatisme. Pas de
syphilis
. Toujours très forte, faisant de gros ouvrages;
haute Italie pour l'exercice de sa profession, et là il attrappa la
syphilis
. Lorsqu'il retourna à Florence, en 1859, il éta
L) f>" f' > . l'ji J ? . r . , C'ést au xy° siècle que -la-
syphilis
.se .montra en Europe et qu'telle sévit' d'une-
e et en Angleterre; Or les deux documents artistiques relatifs à la
syphilis
que nous connaissons datent précisément de cett
nsidérable, des Démoniaques dans l'art. Par la place qu'oc- cupe la
syphilis
dans les maladies de l'axe cérébro-spinal, par l'
ésions et quelle autre maladie pourrait les produire si ce n'est la
syphilis
? « Ce qui donne à ce tableau une importance to
vre la jambe et le bras droîl ne trouvons-nous pas les signes de la
syphilis
, des pustules catanëûs ans leurs croûtes d'une
que l'on avait donné à la maladie. Enfin tous les caractères de la
syphilis
ne se retrouvent-ils pas dans les altérations d
des deux côtés). R. C. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 57 Un cas de
syphilis
héréditaire tardive à forme cérébro- spinale ;
s savons, en effet, avec quelle fréquence et quelle prédilection la
syphilis
crée des lésions dans les lymphatiques. (Revue
Joffroy, d'après laquelle les diverses causes - parmi lesquelles la
syphilis
- qui déterminent la paralysie générale, n'agis
voir aucun rapport avec l'hémiplégie infantile, mais dépendre de la
syphilis
acquise. L'absence de toute lésion de la voie p
ère du liquide céphalorachidien et de ce fait que le malade a eu la
syphilis
font penser qu'il s'agit là d'une méningite rad
s années il le prend quotidiennement et en dosses assez grandes. La
syphilis
est réfutée. Au commencement de l'année 1902, p
ses seuls antécédents pathologiques personnels. Il n'a jamais eu de
syphilis
, de paludisme ni de dysenterie. DEUX CAS DE L
lle de Morselli dans la démence paraly- tique, de Bechterew dans la
syphilis
cérébrale, de Leitz dans là méningite tubercule
s centres trophiques ou bien de dystrophies générales diathésiques (
syphilis
acquise ou héréditaire). M. CHRISTIAN. - Les fr
off. B.-A. GuiLiAnovsKY. Malade de cinquante trois ans, marié. La
syphilis
est réfutée ; le malade buvait quotidiennement en
R, MONKE : .IOLLER et KAPLAN); z ici se rapportent aussi les cas de
syphilis
cérébrale, où, d'après l'avis de M. Mouravieff,
de 15 à 30 p. 100). Examen des causes les plus fréquemment admises (
syphilis
et alcoolisme). Or, ces deux causes existent da
'était formé sous les tro- piques. Il eut la chance d'échapper à la
syphilis
, mais il contracta quatre blennorrhagies qui, c
es affections mentales et nerveuses à la période secon- daire de la
syphilis
; par M. Scu.ISwvrTSCU. (06oxrézié psichiatrii,
a dans ce cas non alcoolisme chronique, mais tare héréditaire et
syphilis
. La cause occasionnelle fut, en l'espèce, une int
ènes très fréquents dans la paralysie générale, le tabès dorsal, la
syphilis
cérébrospinale. - ici. Elles se montrent aussi da
intervention chirurgicale. Elle est utile encore pour distinguer la
syphilis
cérébrale des autres maladies du cerveau et de
70 indigènes aliénés, il n'a pas trouvé un paralytique ou un cas de
syphilis
cérébrale, tandis que sur 50 aliénés européens il
ndant une période d'observation suffisante à l'asile. SIMON. III.
Syphilis
et divorce ; par Prince A. Morroir. (Médical Neus
ts où le médecin peut être appelé à formuler un avis au sujet d'une
syphilis
transmise par des rapports conjugaux, l'auteur
de la cour, qui fait l'état des circonstances dans les- quelles la
syphilis
a été traumatisée, traitant différemment les co
é, rapports avant le ma- riage adultère, dans la transmission de la
syphilis
, ou que la syphilis contractée en dehors des co
a- riage adultère, dans la transmission de la syphilis, ou que la
syphilis
contractée en dehors des contacts vénériens, a ét
ge, divorce. En ce qui concerne le premier point, l'existence de la
syphilis
chez un des fiancés est suffisante pour empêche
sexuels normaux; dans un autre cas de fraude, l'homme ayant nié la
syphilis
avant son mariage. En ce qui concerne le divo
cond cas seul un cas de sépara- tion. La femme qui a contracté la
syphilis
de son mari et qui désire en faire un sujet de
ui désire en faire un sujet de divorce doit prouver : 1° qu'il a la
syphilis
; 1° qu'elle a la syphilis ; 3° que la syphilis
de divorce doit prouver : 1° qu'il a la syphilis ; 1° qu'elle a la
syphilis
; 3° que la syphilis de son mari est la cause d
ver : 1° qu'il a la syphilis ; 1° qu'elle a la syphilis ; 3° que la
syphilis
de son mari est la cause de la sienne. Ces tr
ni chorée, ni fièvre typhoïde, ni rhumatismes, ni derma- toses, ni
syphilis
. Il a fait, avant son mariage, quelques excès de
- vulsions, ni fièvre typhoïde, ni rhumatismes, ni dermatoses, ni
syphilis
; elle était très sobre, d'un caractère très doux,
aralysie générale sont-ils une seule et même maladie dominée par la
syphilis
, ou bien y a-t-il lieu de différen- cier le tab
e pella- - REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 505 greuse (Warpocke). La
syphilis
comme cause de folie (Mott : pas de syphilis, p
greuse (Warpocke). La syphilis comme cause de folie (Mott : pas de
syphilis
, pas de paralysie générale). - Tuberculose et dys
151. Des - mentales et nerveuses à la période secon- daire de la
syphilis
, par Schai- kewitsch, 33G. Agiuphie. Voir Céc
mes solaires. Les - expéri- mentaux, par Laignel-Lavastme, 407.
Syphilis
. Un cas de - héréditaire tardive à forme cérébr
symptômes de myélite transverse. Homme ayant contracté récemment la
syphilis
. Quinze mois avant son admission, souffre de do
générale qu'un nouvel élément nuisible autogène ; c'est celui de la
syphilis
. Après 86 SOCIÉTÉS SAVANTES. être resté un ce
Messager Neurologique, t. II, fasc. n° 3.) , D'après l'auteur, la
syphilis
peut être considérée comme un des principaux fa
ts excès ne jouent le rôle que de simples causes occasionnelles. La
syphilis
cérébrale peut déter- miner dans l'organisme de
; par Henry HANDFORD. (Brain, part. III, 1893, p. 440.) Deux cas de
syphilis
cérébrale, dont l'un accompagné d'accès épilept
polyurie qui disparut sous l'influence du traitement. P. S. XXIV.
Syphilis
DE la moelle; par SAciis. (Brain, part. III, 1893
1893, p. 405.) L'auteur pense qu'on peut arriver au diagnostic de
syphilis
de la moelle en dehors de l'aveu même du malade
n type de paralysie spinale syphilitique. Il rapporte quatre cas de
syphilis
médullaire à l'appui de ses vues. Le fait le pl
as épuisé cependant, surtout en ce qui concerne le rôle joué par la
syphilis
dans sa production. Il paraît certain, à l'he
sie générale, dans ses formes typiques, peut être consécutive à une
syphilis
récente, les témoignages en sont nombreux : tou
nt que dans 70 à 90 cas sur 100, la paralysie a été précédée par la
syphilis
; la paralysie peut se com- muniquer du mari à l
re dans les campagnes; elle apparaît de bonne heure dans les cas de
syphilis
héréditaire ; elle est plus fréquente dans les
itaire ; elle est plus fréquente dans les classes d'individus où la
syphilis
est plus commune et récipro- quement. Mais co
la syphilis est plus commune et récipro- quement. Mais comment la
syphilis
agit-elle ? Laissant de côté les cas encore ass
ans lesquels on trouve à l'autopsie des gommes caractéristiques, la
syphilis
ayant alors agi comme cause directe, l'auteur e
tte toxine existant à l'état latent dans l'organisme, du fait de la
syphilis
, ne produit ses effets que sous l'influence de
c'est ce qui se produit dans quelques régions comme l'Egypte, où la
syphilis
est commune et la paralysie rare, régions où la
ci indique une lésion de lobes frontaux, sans la région motrice. La
syphilis
anté- rieure, jointe à des soucis et à des chag
du plan incliné. Dans ces anomalies la scrofule, la tuberculose, la
syphilis
jouent un rôle important. On les trouve surtout
marchant. Absence d'ataxie et de troubles de la sensibilité. Pas de
syphilis
antérieure. La percussion de l'occiput exagère
premier cas concerne un homme de cinquante-quatre ans indemne de
syphilis
et d'alcoolisme chez lequel, à chaque accès (atte
ans, fort surmené par le travail (c'était un négociant), indemne de
syphilis
, il y avait aphasie, hémiparesthésie faciale et
a paralysie générale (abstraction faite de l'étiologie connue de la
syphilis
) ont un point commun, c'est l'atrophie primitiv
rapport à la chorée le même rôle d'agent pro- vocateur que joue la
syphilis
par rapport à, l'ataxie locomo- trice... Il n'y
E L'ETIOLOGIE DE lA para- LYSIE progressive, en tenant compte DE la
SYPHILIS
; par E. IIOUG- BERG. (Allg. Zeitschr. f. Psychi
mi les femmes de bonne condition; 2° l'importance étiologique de la
syphilis
pour la paralysie progres- sive, paraît'être tr
la paralysie progres- sive, paraît'être très grande, tandis que la
syphilis
ne joue aucun -rôle important dans les autres f
ou cinq ans après l'infection syphilitique ; 4° les symptômes de la
syphilis
qui précèdent un processus para- lytique parais
sus para- lytique paraissent relativement bénins ; 5° en face de la
syphilis
, les prédispositions héréditaires, les causes p
00 ; rémis- sions rares ; 8° la paralysie générale qui succède à la
syphilis
ne présente dans sa marche aucun symptôme spéci
résente dans sa marche aucun symptôme spécial caractéristique de la
syphilis
; 9° le traitement antisyphilitique n'a produit a
hopa- thies, la goutte, le diabète, la phtisie, le rhumatisme, la
syphilis
, l'alcoolisme, le saturnisme, etc. La dégénéres
, est régulièrement prise chaque mois à ce moment. Citons encore la
syphilis
(Fournier) 442 PHYSIOLOGIE pathologique. le s
de s'assurer s'il n'existe pas d'affection chro- nique du rein, de
syphilis
, de lésion organique du cerveau, de dépression
ar Sioli et Kroepetin, 227. Syndrome de Weber, par Lacour, 131.
Syphilis
de la moelle, par Sachs, 127. Syringomyélie,
de profession insa- lubre. Aucune maladie grave. Ni rhumatisme, ni
syphilis
, ni alcoolisme. Aucune maladie nerveuse. Pas de
nfants normaux. Un frère normal.] Mère, 30 ans, ni alcoolisme, ni
syphilis
, aucune in- toxication, aucune maladie grave, d
oïde, pas de rhumatisme, de chorée, pas de maladies de peau, pas de
syphilis
, ni alcoolisme, ni tabagisme. Carac- tère empor
infec- tieuse, ni rhumatismes, ni chorée. Ni maladies de peau, ni
syphilis
,ni alcoolisme, ni caféisme.Pas de traumatismes cé
enant d'un tremblement dû à l'intoxication par l'alcool. Tabagisme.
Syphilis
peu probable. Caractère vio- lent et emporté, v
on névropathe. Pas de con- vulsions dans l'enfance. Pas d'indice de
syphilis
. Caractère très calme. Il était grand et non ob
ditaires. Père éthylisme, ago- raphobie, neurasthénie ; bégaiement.
Syphilis
douteuse. Grand-père maternel asthmatique depui
actère vif et emporté, intelligence normale. Bégaiement peu marqué.
Syphilis
douteuse ; pas d'affections cutanées. Pas de rh
'aurait jamais eu aucun symptô- me qui permette de faire penser àla
syphilis
. [Famille de la mère. Père alcoolique, mort à 5
ladie infectieuse aucune» maladie nerveuse. Pas de migraine. Pas de
syphilis
, ni d'affection de la peau. Il y a six ans, dou
2 ans et demi à 4 ans. Ni rhumatisme articulaire, ni chorée. Pas de
syphilis
. Céphalalgies fréquentes sans vomissements. Inl
eu des coliuul.ion.s jusclu'à de 7 ans. Coléreux, ni alcoolisme, ni
syphilis
, ni rhumatisme. Famille du père : Aucune tare m
aractère très violent, mais non brutal. Pas de renseignement sur la
syphilis
. [Famille du père : Père sobre, de caractère do
ELQUES formes DE nanisme. Mère, 35 ans, ménagère, ni alcoolisme, ni
syphilis
, myope, migraine à chaque menstrue. Sa conduite
eux ; pas de convulsions, pas de fièvre typhoïde ; pas d'indices de
syphilis
; exempté du service militaire pour défaut de t
eux ; pas d'alcoolisme; aucun indice il Nanisme mongolien. 151 de
syphilis
. - [Son père, mort à 48 ans des suites d'un acci-
rhumatisme, pas de dar- tres ; rien ne permettant de soupçonner la
syphilis
. Ne boit pas d'alcool, dit la mère. Fume 0 fr.
ni dartres. Pas d'alcoo- lisme. Rien n'autorisant de soupçonner la
syphilis
. Pas de traumatismes. Caractère un peu vif. Mar
ni chorée, ni fièvre typhoïde, ni rhumatismes, ni derma- toses, ni
syphilis
. Il a fait, avant son mariage, quelques excès de
- vulsions, ni fièvre typhoïde, ni rhumatismes, ni dermatoses, ni
syphilis
; elle était très sobre, d'un caractère très doux,
souvent des bronchites. - Il s'enivre très rarement. N'a pas eu la
syphilis
. - Il fume un peu. Pas de migraine. [Son père
de chorée, ni de rhumatismes, ni de migraines. Pas d'alcool, ni de
syphilis
. Caractère un peu vif. - Ses grands-parents pat
ortante. Pas de fièvre typhoïde, ni migraines, ni con- vulsions, ni
syphilis
; sobre, non nerveuse. [Père, 67 ans, d'habitude
le garde parce qu'il est un très ancien ouvrier. Très sobre, pas de
syphilis
, etc. - Mère, 60 ans, n'a jamais été malade, n'
les ongles quand il ne sait que faire. - [Père, aurait contracté la
syphilis
, après la naissance de son fils, très coureur,
9 ans, menuisier, est un enfant naturel. Pas de convulsions, pas de
syphilis
, pas de rhumatisme, pas d'excès de boisson ou d
e. Mère, 37 ans, n'a jamais été malade, sobre, ni convulsions, ni
syphilis
, ni maladie de peau. - Elle n'est pas nerveuse,
i convulsions dans l'enfance, ni rhumatisme, ni fièvre typhoïde, ni
syphilis
. Aurait eu un eczéma vers l'âge de 27 ans. Mari
ditaires ET personnels. rangé, il n'a jamais eu de dermatose, ni de
syphilis
. Toute son histoire pathologique se borne à une
l'âge adulte ; sobre, fume peu, de caractère calme, sans traces de
syphilis
, de maladies de peau ni de rhumatismes. Migrain
bijoutier, n'a jamais eu ni convul- sions ni migraines. Il a eu la
syphilis
deux ans avant son mariage. Il est alcoolique,
atteint d'une arthrite du genou droit ; il présente des lésions de
syphilis
héréditaire oculaire reconnues par le D1' Trous
ons de l'enfance. II. Le père, avons-nous dit, avait contracté la
syphilis
deux années avant son mariage. Il était encore
enus morts-nés et le troisième a des accidents oculaires dus à la
syphilis
héréditaire. Notre malade et deux frères, venus
èslui, paraissent avoir été exempts de l'infection syphilitique. La
syphilis
héréditaire ne paraît pas exercer, d'ailleurs,
tie, ou, si l'on préfère, des idioties. Le plus souvent, quand la
syphilis
est encore en puissance chez les conjoints, les
ci, en est la preuve, - offrant des manifes- tations diverses de la
syphilis
héréditaire, mais rare- ment des lésions cérébr
erveux, mais serait sujet il des poussées d'eczéma. Aucun indice de
syphilis
. Famille du père. - Son père, paveur, sobre, a
ent d'oreilles et d'adénopathie cervicale. On ne trouve chez lui ni
syphilis
, ni rhumatisme, ni alcoolisme, ni impalu- disme
TRIBUTION au rapport qui EXISTE ENTRE la paralysie GÉNÉ- RALE ET la
syphilis
. Contribution casuistique ; par W. Sommer (Neur
uche blanche sont intéressées.. P. K. > X. UN CAS REMARQUABLE DE
SYPHILIS
CÉRÉBRALE-, par L. GOLBSTEIN, (Cenlmlbl. f. Ner
tain que le paralyptique général eu question a eu antérieurement la
syphilis
, les cordons poslé- lieurs sont-ils prédisposés
nt observé quatre cas dans lesquels les anamnestiques révélaient la
syphilis
; ce furent les faisceaux pyramidaux et non les
De l'influence des bains d'étuve dans le traitement mercuriel de la
syphilis
. Nouvelles éludes sphygmo- graphiques d'après l
cilles syphilitiques. Quand, par exemple, il s'agit de savoir si la
syphilis
est guérie ou demeure latente, la sudation en m
iterons : Des tumeurs sanguines de l'oreille (1859); Observation de
syphilis
constitution avec zona et ictère (Gaz. hebd., 1
paralytique (1882); - Contribution à l'étude des rapports entre la
syphilis
et la paralysie générale (1879); Symptômes pass
s. Dans sa famille, autant qu'il sache, il n'y a eu ni scrofule, ni
syphilis
. Personne de ses pa- rents ne présente de phéno
rtes douleurs à la nuque. A l'âge de vingt-neuf ans il contracta la
syphilis
; il s'était ré- gulièrement soigné et n'a pas e
le coeur est normal, les vais- seaux athéromateux. Pas de traces de
syphilis
. L'urine n'a pas subi d'altérations pathologiqu
upe d'ouvrage manuel. Pas de neuropathies, ni de tuberculose, ni de
syphilis
dans la famille. Ses parents avaient eu onze en
e travail épuisant autant qu'il s'en souvienne. Jamais il n'a eu ni
syphilis
, ni fièvre intermittente. Pas d'excès alcooliques
Homme de quarante-quatre ans. Pas d'hérédité névropathique. Pas de
syphilis
ni d'alcoolisme. Excès vénériens habituels. En
du reste, ni orchite, ni variole, ni scarlatine, ni oreillons, ni
syphilis
qui puissent en être la cause. Le testicule gauch
es paralysies de la septième paire placées sous la dépendance de la
syphilis
cérébrale, celles qui peu- vent être occasionné
et fièvre typhoïde dans l'enfance. En 1880 le malade a contracté la
syphilis
. Au mois de mars 1881, trois mois après l'appar
sis dura cinq mois environ. En 4883, trois ans après le début de la
syphilis
, ont paru les pre- mières douleurs fulgurantes,
du tabes. La paralysie de la face est également indépendante de la
syphilis
, car dans la syphilis cérébrale,, si le facial
de la face est également indépendante de la syphilis, car dans la
syphilis
cérébrale,, si le facial vient à être touché, l
e tout autant, quoique cela sorte de notre sujet, de l'action de la
syphilis
qui a trouvé les voies bien préparées et bien f
a loi espagnole sur les aliénés. P.K. XXIII. Démence paralytique ET
syphilis
; par C. DIETZ. (Allg. Zeitsch. f. Psych., XLIII
sies générales vraies. Dans ce nombre, 5 avaient eu certainement la
syphilis
antérieu- rement, soit une proportion de 61,4 p
ter que sur les 88 paralytiques généraux, 39 étaient porteurs de la
syphilis
seule comme facteur nocif, soit une moyenne de
lique des deux côtés. Contraction paradoxale du pied gauche. Pas de
syphilis
. La maladie a débuté, à la fin de 1877, par des
arésie bilatérale du pathétique. Homme de vingt-six ans, indemne de
syphilis
, de tuberculoses présente, depuis des années, d
la démence paralyti- que), par Zieben, 111 ; - (para- lytique et
syphilis
), parDietz,445. Dipsomanie guérie par la strych
faciulu a frigore, par Neu- lllallll, 3J'1. Paralysie générale et
syphilis
, par Son])))er,HO;(et aphasie sen- sorielle),
Suggestion au point de \ue théra- peutique, par Couturier, 303.
Syphilis
(cas remarquable de - cE- rébrale), par Goldsto
es ordinaires sans scotome. Pas de ma- ladies infectieuses ; pas de
syphilis
, une blennorrhagie sans complications. R. aserv
dant pas spéciale à la maladie de Paget, car on la retrouve dans la
syphilis
héréditaire. Notre maître, M. le pro- fesseur F
and'mère maternelle morte à 104 ans. Ni al- coolisme, ni goutte, ni
syphilis
connus dans la famille. A. P. - Le malade a eu
traumatismes avant le développement de l'affection actuelle. Pas de
syphilis
. cJ ans, fracture des os du nez avec déformatio
a SALPLTRiLRE T. vu, PL. fil. Tibias en « Lime de sabre » de la
Syphilis
héréditaire. (Collection A. Fournie)-). Défor
araît de nature à établir une relation étiologique directe entre la
syphilis
et une forme de méningite spinale accompagnée d
ertrophique de Charcot et Joll'roy. Non pas que du l'ait seul d'une
syphilis
avérée dans les anté- cédents du sujet, nous no
temps que de la double paralysie oculaire. Résumé DE l'observation.
Syphilis
12 ans auparavant, accidents secondai- res. Déb
ns de toutes sortes). Il y a une douzaine d'années, il contracte la
syphilis
au Brésil (chan- cre induré sur la verge). Rent
médecin en province, qui diagnostiqua : accidents secondaires de la
syphilis
et lui donna des pilules de mercure à prendre.
; et depuis il n'a jamais présenté de manifestations externes de la
syphilis
, et il n'a jamais repris le traitement spécifiq
re environ 4 ans après les premiers acci- dents, il a communiqué la
syphilis
à sa femme. Celle-ci en effet a présenté quelqu
ltérieur des méninges rachidiennes, c'est là un fait commun dans la
syphilis
et la méningite syphilitique parait la plus fré
doit admettre qu'il s'agit là surtout de pachyméningite externe. La
syphilis
produit cette lésion beaucoup plus rarement que
s'amé- liora considérablement par un traitement non spécifique. La
syphilis
ne figure pas dans les antécédents du sujet.
rrhagiques, tumeurs, syphilomes, hystérie. De toutes ces causes, la
syphilis
est celle qui occupe le premier rang, après le
elle parait avoir été toujours bien por- tante. Elle a contracté la
syphilis
à une époque qu'il est difficile de dé- termine
é en hercule et qui ne vous semble pas bien ma- Il n'a jamais eu la
syphilis
, du moins il nous a élé absolument impossible d
elle il nous est absolument impossible de retrouver aucune trace de
syphilis
. Elle n'est pas alcoolique, elle n'a éprouvé ja
Il s'agit dans noire cas d'un homme de quarante-six ans, atteint de
syphilis
à vingt-deux ans.C'est seulement il l'âge de
ne éruption suspecte. Du reste, la malade semble avoir contracté la
syphilis
de son mari, dès la première année de son maria
tait, paraît-il, aucune lésion cutanée. Du reste, la malade nie la
syphilis
et ni l'interrogatoire, ni l'examen physique ne
père ni sa mère. Variole à 8 ans. Aucune maladie nerveuse ; pas de
syphilis
. Céphalalgies fré- quentes ; caractère vif. Mar
semble donc, malgré les caractères de la céphalée initiale, que la
syphilis
ne soit pas ici en jeu. Du reste la malade n'en
s héréditaires tuberculeux plaident en faveur de la tuberculose. La
syphilis
ne semble pas être en jeu. L'âge de la malade e
emble pas davantage admissible et, en l'absence de tout stigmate de
syphilis
, en présence de lésions avancées du sommet et d
p. 368; t. li. 161. 24 ik PATHOLOGIE NERVEUSE. été atteinte de la
syphilis
, ni des fièvres intermittentes ; jamais elle ne
as eu de maladies graves, quelques an- gines, une uréthrite; pas de
syphilis
ni des fièvres intermittentes. Il y a longtemps
ingt-cinq ans. Pas d'hérédité neuropathique, ni d'alcoolisme, ni de
syphilis
, ni de fièvres, ni de traumatismes ou d'autres
t peu probable, car, si sur 217 paralytiques généraux il y avait eu
syphilis
antérieurement chez 42 (proportion 19,3 p. 100),
on 19,3 p. 100), tandis que sur 2508 individus non paralytiques, la
syphilis
existait chez 52,6 (proportion = 2,1 p. 400), e
s d'erreur ! tandis que les autres aliénés cachent soigneusement la
syphilis
, les paraly- tiques généraux parlent à coeur ou
x parlent à coeur ouvert ; que de paralytiques géné- raux ont eu la
syphilis
4 0, 20 ans, et plus, avant la maladie actuelle
enfin sur cent autopsies, on ne note nul signe caractéristique de
syphilis
dans l'encéphale et ses enveloppes. P. K. II. C
onn). Contribution à la question de l'intoxication chronique par la
syphilis
, avec pièces anatomiques de syphilis du système
'intoxication chronique par la syphilis, avec pièces anatomiques de
syphilis
du système nerveux. On sait que Struempell croi
d'individus non syphilitiques ; et là où il y avait certainement
syphilis
on rencontre souvent des vaisseaux ayant conservé
lique. Homme de vingt-neuf ans, indemne de tare héré- ditaire et de
syphilis
, adonné depuis des années à l'alcool; il se dév
extenso dans le Neurolog. Centralbl.1. M. SII'sllERLING. Un cas de
syphilis
cérébrospinale héréditaire.- Publié itt extenso
p. 100 pour les femmes, la tuberculose un de : 6,32 p. 400 ; et la
syphilis
4,20 chez les hommes. En additionnant le nombre
en comme antécédents héréditaires. Bonne santé antérieure; pas de
syphilis
, ni paludisme, ni maladies fébriles. 11 a commenc
de dispositions neuropathiques, ni de fièvres intermittentes, ni de
syphilis
, ni de traumatisme du dos, ni d'excès alcooliqu
Par moments, étourdissements et diplopie. Pas d'alcoolisme, pas de
syphilis
. Le malade succombe à une pneumonie chronique.
la paralysie progressive. Il y a six ans, traumatisme céphalique,
syphilis
: puis, délire des persécutions avec plaintes de
ans. Pas d'antécédents héréditaires. Bonne santé antérieure, pas de
syphilis
, pas d'alcoolisme, pas d'impaludisme. Il a commen
ans. Pas d'antécédents héréditaires, bonne santé antérieure. Pas de
syphilis
. Pas d'impa- ludisme. Pas d'alcoolisme. Il a co
cédents personnels, il n'y a rien de remarquable à signaler. Pas de
syphilis
, pas d'impalu- disme, pas de maladies antérieur
es frictions à l'onguent gris chez un sujet qui avait eu jadis la
syphilis
, parurent nuisibles. Les vésicatoires, les poin
ralysie musculaire de l'aeil, unilatérale niais totale. Diagnostic.
Syphilis
circonscrite du revêtement de la fosse moyenne
4'l4 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. inexpliquée, si ce n'est par la
syphilis
(infection deux ans aupara- vant), et suivie qu
dès maintenant,c'est que les névrites du tabès ne tiennent pas à la
syphilis
, car l'existence ou l'absence de syphilis en pa
abès ne tiennent pas à la syphilis, car l'existence ou l'absence de
syphilis
en pareils cas comporte une proportion égale. P.
ale, à la paralysie générale alcoolique, aux rapports qu'affecte la
syphilis
avec la paralysie générale6 (Voy. Zeitsch. f. P
. Psych., t. XLII). M. Hertz. L'expérience nous apprend-elle que la
syphilis
céré- orale puisse revêtir la forme d'une psych
, 450. Surdi-mutité (méningite aiguë et), 1),Ir Selililtze, 86.
Syphilis
(intoxication chronique par la), par Rumpf, 88;
s été bien poftant, et ne présente aucun antécédent de scrofule ou de
syphilis
. Tailleur de pierres depuis l'âge de vingt-un a
r Guibout, médecin de l'hôpital Saint-Louis, Sous l'influence de la
syphilis
comme pendant le cours de la grossesse, on voit s
phénomène intermédiaire ¿1 la seconde et à la première période de la
syphilis
, ne cède jamais au traitement spécifique. La pigm
se fait le plus souvent, sinon toujours, chez des sujets atteints de
syphilis
; l'une et l'autre affection se montrent rebelles
lennorrhagies, les trois quarts des chancres mous, les deux tiers des
syphilis
. M. Léon Le Fort étudie ensuite chacune des cat
emmes légitimes figurent pour trois cas de chancres mous, neuf cas de
syphilis
, soixante-trois cas de blennorrhagie. En recherch
é) ont donné 576 uréthrites, 82 chancres mous, 171 chancres suivis de
syphilis
, en totalité 829 cas de maladie vénérienne. Dans
euse, que c'est celui qui a fourni la plus forte proportion de cas de
syphilis
constitutionnelle. Presque tous les bals de Paris
e ses leçons, M. Fournier aborde son sujet par l'étude du début de la
syphilis
chez la femme. Chez elle comme chez l'homme, di
la syphilis chez la femme. Chez elle comme chez l'homme, dit-il, la
syphilis
obéit dans son éclosion et dans son développement
tion syphilitique primitive. Elles sont au nombre de quatre : i° La
syphilis
n'a pas de génération spontanée; elle résulte tou
emme comme chez l'homme, dit-il, l'éclosion et le développement de la
syphilis
procèdent d'une façon méthodique et peuvent se di
e que l'on englobait sous ce nom les différentes manifestations de la
Syphilis
et les autres maladies cutanées , REVUE PHOTOGR
à la vulve notamment. Elle apparaît dans la période secondaire de la
syphilis
, mais toujours à un terme un peu avancé de cette
houé. Lors de la consultation, il fut parfaitement établi que ni la
syphilis
, ni l'hystérie, ni une cause traumatique quelconq
mmaire. — Épilepsïe partielle ou hémiplégique. — Ses rapports avec la
syphilis
cérébrale. — Considérations historiques. — Descri
s observa-tions, est une des manifestations les plus fréquentes de la
Syphilis
cérébrale. C'est là un fait, on peut le dire, hau
cer-taines particularités qu'offre souvent cette forme clinique de la
syphilis
cérébrale. Mais j'aurai surtout à cœur de mettre
j'avais été tout naturellement conduit à soupçonner que, chez lui, la
syphilis
pouvait être en jeu et je procédai immédiatement
ncre induré, suivi bientôt de diverses manifestations rele-vant de la
syphilis
constitutionnelle, parmi lesquelles a figuré la r
, dans les diverses formes d'épilepsie partielle, indépendantes de la
syphilis
. Néanmoins, dans cette maladie, elle est, en géné
rouvés par M. X... depuis dix-huit mois, devaient être rattachés à la
syphilis
, èt que vrai-semblablement ils céderaient tous à
'observation suivante où, comme dans la première, il s'agit encore de
syphilis
cérébrale. Un confrère étranger, de passage à P
e les traces. Je n'hésitai pas, vous l'avez prévu, à rattacher à la
syphilis
1 Sur l'état cachectique et la pâleur terreuse
pâleur terreuse que présentent habituellement les malades atteints de
syphilis
cérébrale, voir au point de vue du diagnostic les
s derniers temps. En mai 1874, six ans environ après le début de la
syphilis
, bien que la diarrhée se fût un peu amendée depui
d'épilepsie par-tielle d'origine syphilitique 1 ou indépendante de la
syphilis
; et peut-être la relation dont il s'agit sera-t-
préparations mercurielles contre l'état cachectique qui relève de la
syphilis
tertiaire ont été parfaitement mis en relief par
nt, et je n'ignore pas qu'il se-rait aisé de citer nombre de faits de
syphilis
cérébrale avec épi-lepsiepartielle où, malgré l'a
é de l'épilepsie partielle, parmi les manifestations si variées de la
syphilis
cérébrale. En septembre 1872, je fus consulté p
aient rattachés, à tort ou à raison, par les médecius consultés, à la
syphilis
. Sous l'influence de je ne sais quelles préoccupa
ée par Lackerbauer et publiée par M. Lancereaux dans son Traité de la
syphilis
s. Malheureuse-ment, les faits cliniques que ces
rs de l'épilepsie partielle, des formes cliniques très diverses de la
syphilis
cérébrale peuvent relever encore de la pachyménin
nnent d'être relatées me frappèrent très vivement : l'influence de la
syphilis
ne me paraissait plus méconnaissable et j'étais d
tion héréditaire, ou encore celle d'un élément diathésique tel que la
syphilis
, le cancer, la goutte, le rhumatisme. J'ajouterai
mmaire. — Epilepsie partielle ou hémiplégique. — Ses rapports avec la
syphilis
cérébrale. — Considérations historiques. — Descri
ons du grand, 293, 488. Symptômes récurrents ou rétrogra-des, 22.
Syphilis
(V.Epilepsie,Moelle, Mo-noplégie, Psoriasis, Réti
st l'objet, était au moment de la conception en pleine évolution de
syphilis
secondaire, et de syphilis grave touchant avec
de la conception en pleine évolution de syphilis secondaire, et de
syphilis
grave touchant avec une insistance remarquable
arents syphilitiques les lésions de la moelle ne sont pas rares, la
syphilis
héréditaire agit, avant la naissance, comme (1)
UN CAS D'III : 1111111ÉL1)J CHEZ UN FILS DE SYPHILITIQUE 35 fait la
syphilis
acquise chez les adultes. Et voilà pourquoi nous
nte le père du jeune malade, pourquoi nous faisons remarquer que sa
syphilis
est une syphilis nerveuse et qu'elle était en p
une malade, pourquoi nous faisons remarquer que sa syphilis est une
syphilis
nerveuse et qu'elle était en pleine période d'acu
conception. Enfin, nous appellerons l'attention sur ce fait que la
syphilis
est cou- tumière de ces malformations congénita
nue par bien des auteurs, ce que nous savons de la tendance qu'a la
syphilis
congénitale à frapper le système nerveux ne fai
que nous présentons, l'hypothèse d'une lésion médullaire, due à la
syphilis
héréditaire, et ayant évolué pendant la vie foe
; rien également à noter dans les anté- cédents personnels ; pas de
syphilis
, ni d'alcoolisme. La maladie actuelle a dé- but
est morte de suites de couches. Personnellement, s'il n'a pas eu la
syphilis
et s'il n'accuse que la diph- térie à l'âge de
e. Les circonstances auxquelles je fais allusion sont multiples. La
syphilis
héréditaire serait la plus gravement prédisposant
e parmi les affections parasyphilitiques (1). Il est certain que la
syphilis
est de toutes les influences morbides la plus dys
paralytiques, p.296.Paris, 189'E.Inluence dystrophique de l'hérédo-
syphilis
. Médecine moderne, 1890. La syphilis héréditaire
ence dystrophique de l'hérédo- syphilis. Médecine moderne, 1890. La
syphilis
héréditaire tardive. Paris, 1886, p. 29. DE L'I
mère, primipare, âgée de 19 ans, est bien constituée. Pas trace de
syphilis
. Aucun cas analogue dans la famille. Tuberculos
ilitiques. Il le rejette judicieusement en faisant remarquer que la
syphilis
était de date trop récente et qu'elle était tro
sions et quelle autre maladie pourrait les produire, si ce n'est la
syphilis
? « Il est permis de croire aussi que le peintr
mbe et le bras du côté droit, ne trouvons-nous pas les signes de la
syphilis
, des pustules cutanées avec leurs croûtes d'une
l'on avait donné à la maladie. « Enfin tous les caractères de la
syphilis
ne se retrouvent-ils pas dans les ulcérations d
l nous semble difficile d'accepter, sans réserves, le diagnostic de
syphilis
. D'abord, en ce qui concerne les ulcérations do
est pas douteux qu'on peut, non sans vraisem- blance, incriminer la
syphilis
; elle est capable desemblablesméfai1s.14lais on
dait quelle autre maladie pourrait produire ces lé- sions, sinon la
syphilis
? -Mais, sans multiplier les exemples, il nous se
ute. - La Lèpre mutilante est bien la cause de ces mutilations; les
syphilis
les plus sévères ne les réalisent que très exce
t rudimentaire. » Cette critique seraitjuste avec l'hypothèse de la
syphilis
. Elle cesse de l'être, si l'on admet qu'il s4ag
lement défendable, mais beaucoup plus vraisemblable que celle de la
syphilis
. Elle est d'ailleurs conforme aux traditions pi
it pu prendre pour modèle une des victimes de la grande épidémie de
syphilis
qui ravagea, dit-on, l'Europe entière à cette épo
aralysie. Le malade lui- même n'était pas alcoolique, il n'avait ni
syphilis
, ni maladies internes. Le 23 janvier 1895, il e
rdinaire l'existence d'une tumeur de l'encéphale, les hypothèses de
syphilis
, de tuberculose, de cancer s'offrent immédiatemen
plica- tion de ventouses scarifiées. Aucune autre maladie (pas de
syphilis
, etc.). Etat actuel. Aspect extérieur. Debo
n'a pu fournir un seul signe douteux. Il n'y a pas de stig- mate de
syphilis
héréditaire. Les urines ne contiennent ni sucre n
le époque, la lèpre pou- vait produire des accidents semblables. La
syphilis
n'existait pas, ou du moins ses ravages étaient
E DE GENÈVE. SUR L'ÉTAT ATROPIIIQUE DE LA MOELLE ÉPIN1ÈRE DANS LA
SYPHILIS
SPINALE CHRONIQUE PAR E. LONG et B. WIKI (de
démontrer que la moelle épi- niére, lorsqu'elle est frappée par la
syphilis
, présente dans les formes à évolution rapide de
culier. Antécédents personnels : blen- norrhagie à l'âge de 15 ans,
syphilis
à l'âge de 18 ans. Pas d'autres maladies infect
s foyers ne se montrent pas, comme on l'observe fréquemment dans la
syphilis
spinale, sous l'aspect de la myélomalacie ; ce
che lente et progressive, survenue chez un sujet ayant contracté la
syphilis
38 ans au- paravant. Pendant les trois premiers
stent ici avec le ca- ractère de diffusion qui est habituel dans la
syphilis
spinale. 11 est à noter cependant qu'elles se s
cée de la forme chronique, si les locali- sations vasculaires de la
syphilis
ne régressent pas, il peut se former, sui- vant
nombre de segments. Il est donc possible que, dans quelques cas, la
syphilis
spinale n'agisse que par une diminution de l'ap
PE DES ÉCRIVAINS 151 Chez ce malade, on ne retrouve aucune trace de
syphilis
, et, sans entrer dans tous les détails, on peut
posantes, nous signalerons encore l'anémie et ses complications, la
syphilis
, et, dans beaucoup de cas, )'inf ! uenza.Une<o
de 23 ans. Au retour du service militaire, il contracta, dit-il, la
syphilis
et suivit alors un traitement régulier, dont il
nt. Elle n'a jamais eu de gros- sesse ; elle nie l'alcoolisme et la
syphilis
. Le début des crises comitiales remonte à huit
S'il faut en croire la mère de la malade, elle aurait contracté une
syphilis
conjugale un an après le ma- riage, assertion c
on des fac- teurs habituels de la dégénérescence : l'alcoolisme, la
syphilis
, la tuber- culose, le paludisme, l'infection go
trophie à des affections telles que la tuberculose, la scrofule, la
syphilis
(1), qu'on pouvait en effet retrouver assez sou
ause pré- disposante uniquement. C'est ainsi que la tuberculose, la
syphilis
, tout comme les mauvaises conditions hygiénique
onques. . Le père, cultivateur, est bien portant (ni alcoolisme, ni
syphilis
). L'enfanta un frère parfaitement constitué.
t mère de 2 enfants bien portants. Antécédents personnels. - Pas de
syphilis
. Dysenterie en 1870. Pneumonie en 1872. D'aille
40 ans. Elle a présenté de fréquentes périodes d'anémie ; elle nie la
syphilis
et l'alcoolisme. Réglée à 11 ans, avec une fr
n par brûlure électrique du nerf; Grosz, observ. VI de Cestan,unpar
syphilis
; Ballet, deux cas par compression habituelle du
lcooliques; Huet, par compression; Gaucher, Dejerine et Thomas, par
syphilis
; Bernhardt et Pitres, par fièvre typhoïde ; Deje
déterminé une atrophie du bras droit. Ce malade ayant contracté la
syphilis
a vu survenir des syphilides malignes précoces
ques du cerveau, par PAUL SE- RIçUX et ROGER Mignot (4 fig.), 39.
Syphilis
spinale (Atrophie de la moelle dans la), par E.
LONG E. et Wiki. Sur l'état atiophique de la moelle épinière de la
syphilis
spi- nale chronique (21 fig.), 105. MAntLLE.
iki et E. Long. Sur l'état atrophique de la moelle épinière dans la
syphilis
spinale chronique (21 fig.), 105. Zmamn.r A.
e faciale périphérique, l'hémiplégie ne peut être imputée ni à la
syphilis
, ni à un traumatisme, ni à une carie du rocher,
M. IL.. avoue avoir fait des excès alcooliques et vénériens; pas de
syphilis
. La paralysie faciale pour laquelle il vient no
vons chez lui l'émotivité caractéristique de la neurasthénie pas de
syphilis
; - pas d'excès alcooliques. La paralysie facial
fre depuis l'âge de vingt-cinq ans; pas d'excès alcooliques, pas de
syphilis
. Il y a cinq jours, hémiplégie faciale droite.
on du tabac atteint ses dernières limites (Hollande, Allemagne) ?
Syphilis
. Beaucoup de paralytiques généraux ont eu, à un
es généraux ont eu, à une époque antérieure de leur existence, la
syphilis
. De là à attribuer à la syphilis la paralysie g
e antérieure de leur existence, la syphilis. De là à attribuer à la
syphilis
la paralysie générale elle-même, il n'y avait q
approprié, au moins dans un certain nombre de cas. Ajoutons que la
syphilis
, quand elle atteint le cer- veau, y détermine d
que la paralysie géné- rale soit jamais de nature syphilitique. La
syphilis
est une cause d'affaiblissement général; elle a
ysie générale n'est pas une altération de nature syphilitique. La
syphilis
du cerveau, se traduisant par la gomme, est tou
n j'ai fait l'autopsie de paralytiques, qui avaient eu autrefois la
syphilis
: je n'ai jamais trouvé que les lésions classiq
oncle paternel morts aliénés. A mené une jeunesse dissipée, a eu la
syphilis
et a subi un traitement spéci- fique énergique.
accusent ex- clusivement les excès vénériens; d'autres encore la
syphilis
. Je crois que le problème n'est pas aussi simpl
tre lui-même se transfor- mant tout à coup en délire des grandeurs.
Syphilis
. Observa- TION III. Etat d'obnubilation psychiq
fiant, il était devenu communicatif et exubérant. Il pense que la
syphilis
cérébrale chez un fou héréditaire pourrait expliq
ignaler par- ticulièrement les faits qu'on aurait pu rapporter à la
syphilis
cérébrale et dans lesquels l'application des oe
ypertrophique. De toutes les causes, telles que traumatisme, froid,
syphilis
, la plus accréditée est l'hérédité qui serait v
s, se portent bien. A ce qu'il paraît ils n'étaient pas atteints de
syphilis
. Cependant, de treize enfants il ne leur en res
de migraines; pas de maladies de la peau; on ne sait s'il a eu la
syphilis
; pas d'angines, d'ulcérations, etc.; il fumait tr
rescrire un traitement général s'il existe une diathèse, surtout la
syphilis
, et combattre l'hémichorée elle-même par la gym
rapport QUI EXISTE entre LE TABES OU LA PARALYSIE PROGRESSIVE ET LA
SYPHILIS
; par A. STRUEMPELL. (Neul'ol. Centralbl , l 88
ent des tabétiques observés par l'auteur avaient eu certainement la
syphilis
.antérieurement ; le Labes, exceptionnel chez l
es inférieures. Quand il existe dans le premier cas, on constate la
syphilis
à coup sûr ou très proba- blement (anamnestique
t donc les mêmes agents nocifs dépendant le plus généralement de la
syphilis
, qui atteignent, en un cas, lesyslème des fibre
ychiatrique de Berlin. 285. - Surdité verbale, par Perret, 108.
Syphilis
(rapports entre le tabès ou la paralysie généra
- sionnable mais il n'a jamais eu de maladie grave. Toutefois, la
syphilis
, sans être absolument confirmée, semble probable
oitié gauche de l'axe gris. Ch. BONNE. IX. Sclérose en plaques et
syphilis
; par CATALA. (Nouv. Icon. de la Salpêtrière,19
d'être résolue ; la plupart des auteurs nient ou contes- tent à la
syphilis
un rôle étiologique dans le développement de la
ns la sclérose en plaques vraie. Rien n'autorise donc à éliminer la
syphilis
de l'étiologie de cette affection. L'auteur appor
histologiques de la sclérose en plaque vraie, et il conclut que la
syphilis
peut jouer un rôle impor- tant dans l'étiologie
érale de nature alcoolique est très rare en Grèce. A propos de la
syphilis
cérébrale diffuse. M. Ch. Ladame (asile de Sain
rébrale diffuse. M. Ch. Ladame (asile de Saint-Pirminsberg). - La
syphilis
cérébrale diffuse appartient au groupe des formes
le on peut la confon- dre. Les symptômes cliniques principaux de la
syphilis
céré- brale diffuse sont : a) S. somatiques : R
e, neu- ronophagie et destruction des cellules ganglionnaires. La
syphilis
cérébrale diffuse se distingue essentiellement
c'est mi virus toxique encore inconnu qui intervient à côté de la
syphilis
dans le déterminisme de cette affection. M. L.
ce que, depuis les campagnes médicales et extra-médicales contre la
syphilis
, cette affection est mieux et plus longtemps so
minou (Moscou) représente au tableau par un schéma les périodes de
syphilis
simple chez les malades et celles de syphilis t
éma les périodes de syphilis simple chez les malades et celles de
syphilis
tabétique. Il donne du mercure naturellement dans
.Lesparents de ces malades ne sont pas des consanguins, et comme la
syphilis
ou tout autre infection paraît devoir être écar
tique de son arthritisme, un hérédo-syphilitique, de son hérédo-
syphilis
. Par une médication appropriée, une hygiène sév
personnels une pneumonie à 19 ans, plusieurs blennorra- gies et la
syphilis
probable, mais non absolument certaine. Le débu
probablement blennorrhagique ; elle n'a jamais, semble-t- il, eu la
syphilis
. Dans les derniers temps, surtout après l'apparit
s'agit d'un paralytique général, âgé de 45 ans, qui avait acquis la
syphilis
au moins 10 a.ns auparavant.Il est entré à Gel-Ai
la P. G. de celles de la démence sénile, l'artério- sclérose de la
syphilis
cérébrale » arrivent jamais à déceler des dif-
éthyliques très forts depuis l'adolescence. Abus vénériens. Pas de
syphilis
. Il y a deux ans, le malade avait eu de l'insom
as de 4' ? 0 clinique nerveuse. fièvre typhoïde ; aucun indice de
syphilis
; pas de maladies de peau. Avant d'être marié,
daire, rôle de sim- ple « cause occasionnelle «.qu'il attribue à la
syphilis
dans l'étio- logie du tabès et de la P. G. : la
sse pas sensiblement la moyenne. L. WAIIL. Niai. Traitement de la
syphilis
par l'anilarsinate de soude sui- vant le-procéd
ppe jamais en l'absence d'une prédisposition con- ceptionne)le ; la
syphilis
, l'alcoolisme, le traumat'sme, etc., seraient t
tuberculose doit être mise sur le même rang que l'alcoolisme et la
syphilis
. Un France, on ne lui reconnaît généralement pas
ntres nerveux et est capable à elle seule, comme l'alcoolisme ou la
syphilis
, d'engendrer les différents états d'idiotie chez
este à faire, la possibilité de l'existence du signe d'Argyll, sans
syphilis
. Bléphaarospasme. MM. Rociion-Duvignaud et A.
. \'oir .Syphilis. Schaefer. Voir Réflexe. Sclérose en plaques et
syphilis
, par Catala, p. 73. Contribution analol11o-pn
I Ienschen, p. 69. Sur le ves- tibulaire, par Raymond, p. 231.
Syphilis
. Voir Sclérose. A propos de la cérébrale diffus
RESSIVE, AVEC LÉSIONS VASCL'LAIRES ÉTENDUES, PROBABLEMENT DUE A UNE
SYPHILIS
HÉRÉDITAIRE TARDIVE ; par E.-A. HOMES. (Archiv
eize ans. Son père est bien portant et ne présente pas de traces de
syphilis
; sa mère est nerveuse, son grand-père maternel,
e a pour critérium clinique les troubles moteurs et sensitifs de la
syphilis
cérébrale, et comme critérium anatomo-pathologi
érébrale, et comme critérium anatomo-pathologique les lésions de la
syphilis
; c'est en vertu de ces critériums que l'auteur
litique, m la paralysie générale syphilitique; mais il admet que la
syphilis
cérébrale peut au début revêtir le masque sympt
troubles révelant la nature organique de la folie; de même aussi la
syphilis
cérébrale peut revêtir le masque de la para- ly
litiques avec les lésions qu'il appelle banales, coïncidant avec la
syphilis
ou produites à son occasion; ce sont ces lésion
quent tout entier sur la constata- tion des phénomènes propres à la
syphilis
, antécédents, troubles NÉCROLOGIE. 65 moteurs
Marié, il a un enfant de douze ans, bien portant. Pas de trace de
syphilis
. Quelques excès alcooliques. M... a fait son se
Fh. ! ")lllli (1,0 IV. Contribution statistique A la question DE la
syphilis
? , . tScu w.,i...ym·'1 JI'r.1J 1,,) \ 'hÍfr ?
ques certains = 24 à 25 p. 100; chez les femmes russes, il y a : 18
syphilis
indéniables =9 à111' p. 100. Chez les 118'Russe
! III "1 PI dlH ho ? tfJP qn f)c''1l1c. V. Un CAS D APHASIE DANS la
syphilis
cérébrale; p.r K..H ! f.llO ? r ? E,R '.1 ,^v J
ux' qui voûdraient'mettre ces-arlliropathies sur'le compte' de la'1
syphilis
, '' les' auteurs font remarquer que si; dans le
on L-H... de trente-quatre ans; tare héréditaire; débutaigu. Pas de
syphilis
. Puis alternatives régulières de dépression et d'
ssion. Observation II. Débile de trente-six ans; tare héréditaire ;
syphilis
grave. Début brusque à l'occasion de la mort de
claudication intermittente par oblitération artérielle; Hystérie et
syphilis
; De l'in- fluence d'une maladie ou d'une intox
re (1889) ; - Traitement du vertige de Minière (1890) - Un cas de
syphilis
cérébrale héréditaire tardive; Encore deux cas de
n cas de syphilis cérébrale héréditaire tardive; Encore deux cas de
syphilis
206 J.-M. CHARCOT. cérébrale ; Sur un cas de
ssium, malgré l'affirmation du malade qu'il n'a jamais contracté la
syphilis
. Vers le 20 du mois de septembre, il fut attein
ie ne donne que des résultats négatifs. Il n'existe aucune trace de
syphilis
à la surface du corps. Les renseignements, que
tre eux ne présentaient, comme cause de paralysie géné- rale que la
syphilis
antérieure, chez tous les autres, il y avait à
phal l'a rejetée. Enfin c'est aussi progresser que d'extraire de la
syphilis
spinale certaines formes justifiant de leur exi
luence des maladies du coeur et, dans un cas (Schmidt), celle de la
syphilis
. Mais, indépendamment de l'action directe d'un
un autre frère mort pendant son ser- vice miltaire. Ni scrofule, ni
syphilis
. Pas d'alcoolisme. Il y a dix ans, auraient app
ns organiques diffuses mal limitées, la psychose polynévritique, la
syphilis
céré- brale et l'affaiblissement intellectuel p
'postérieure', celui qui^anime.la partie. supérieure de la moelle;'
syphilis
probable Z1 'q A q , ni .1 ').tl(ht ? t't,<
llgemeinen fortschreitendon Pal'laysie mit Beriicksich- tigurzg der
Syphilis
/rage. Brochure in-81 de 28 pages. Bonn, 1893.
,- un cas d' hystérique; par llolst, 1 ia. i 1 1 Aphasie, dans la
syphilis
cérébrale, par Heilbronner, 132; de l' - dans
philitique, aliénation mentale ? ,' par l\Iairet,' 64. Il I : '1'
Syphilis
, contribution statistique' à à I ! f la questio
q ? jA Tabès, contribution 1 statistique ? à la question» de' la'
syphilis
et du 1 . .1 1 1, - , par L. l\11nor, 132; co
ille, il est un peu nerveux. Nous n'avons pu déceler aucun signe de
syphilis
ou de tuberculose. Les réflexes tendineux, cuta
de pédiatrie, 11 juin 1902, etc. ; Chrétien SCIISfIDT invoquent la
Syphilis
. (3) Première hypothèse du professeur Pierre Ma
morte. Parenté bien portante. Lui-même toujours bien portant. Pas de
syphilis
, pas d'alcoolisme, 4 enfants bien portants. E
inégalement répartie au niveau d'une même région. S'agit-il d'une
syphilis
héréditaire ayant pu, au cours de la vie intra-
itive. Mais, nous fait remarquer notre confrère, peut s'agir d'une-
syphilis
acquise. De sorte qu'en définitive, il est diffic
ronchites légères chaque hiver. Pas d'éthylisme appréciable. Pas de
syphilis
: le Wassermann est négatif. Le malade est mari
sept ans de service militaire en France. Pas de blennorragie ni de
syphilis
; il n'a jamais été malade. Il a vu un méde- cin
t-Philippe) ou d'infections atténuées telles que la tuberculose, la
syphilis
, les enfants présentant un retard dans leur dév
et ne paraissant pas avoir laissé de séquelles. Le malade nie toute
syphilis
, mais avoue un alcoolisme accentué ; il a l'hab
udo-sysléma- tique. A notre avis, celte méningomyélile relève d'une
syphilis
restée ignorée : pour admettre l'existence de l
ève d'une syphilis restée ignorée : pour admettre l'existence de la
syphilis
, nous nous Irlsonsd'une part sur cette particip
ns. Nous n'invoquons pas, bien entendu, la fréquence reconnue de la
syphilis
dans l'étiologie des amyotroph ies Arall-Duchenne
à défaut de commémoratifs, suffirait à démontrer l'existence d'une
syphilis
antérieure. NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtr
ypophyse, la dystrophie adiposo-génilale, les différentes formes de
syphilis
du système nerveux central (syphilis héréditair
ale, les différentes formes de syphilis du système nerveux central (
syphilis
héréditaire, paralysie cérébrale progressive, s
eux central (syphilis héréditaire, paralysie cérébrale progressive,
syphilis
cérébrale comme l'encéphalite gommeuse, la méni
it toujours affaire à l'épilepsie cérébrale (hydrocéphalie interne,
syphilis
héréditaire, méningo-encéphalite). Les altération
symptôme en foyer quelconque appréciable. Mentionnons encore que la
syphilis
héréditaire peut donner lieu à une maladie, don
identiques à celles de l'épilepsie essentielle ; seulement dans la
syphilis
cérébrale congénitale, les troubles de l'intellig
aques épileptiformes), trois cas classiques, absolument évidents.
Syphilis
héréditaire, un cas douteux et deux cas certains.
de porencéphalie, ceux d'hy- drocéphalie interne et les deux cas de
syphilis
congénitale, il reste donc 40 cas qui, au point
en dehors de l'alcool. Le fils du syphilitique, qui a échappé v la
syphilis
héréditaire, présente une tendance accentuée pour
rveuses, de type familial, si, par hasard, il vient à contracter la
syphilis
. . Les intoxications accentuent cette hypersens
n les prend quelquefois pour des symptômes d'artério-sclérose et de
syphilis
, mais par un examen minu- tieux on vérifie l'ab
Père syphilitique, serait mort ataxique. Le malade n'a jamais eu la
syphilis
. Douleurs fulgurantes et amblyopie vers l'âge d
sé à Bicêtre (service de M. P. Marie). Sclérose combinée tabétique.
Syphilis
en l<885 à 18 ans. Début par une crise de ré
ngement ou seule- ment un allongement de quelques millimètres. LA
SYPHILIS
DANS L'ART (Llligllel-Lml(fStiue) Les Sorcier
iue) Les Sorciers, tableau de Goya, Musée du Prado, à M.1driJ, LA
SYPHILIS
DANS L'ART, PAR R M. LAIGNEL-LAVASTINE. Les
ûté. Dans les antécédents du malade, on ne trouve ni alcoolisme, ni
syphilis
, ni blennorrhagie ; il a eu deux congestions pu
jamais eu ni enfant ni fausse couche. On ne trouve pas de trace de
syphilis
dans son histoire. Histoire de l'affection. La
ntiels or- ganiques. Nous ne retrouvions pas de traces évidentes de
syphilis
, le trai- tement spécifique étant d'ailleurs re
h a débuté sous l'influence d'une rougeole, d'une coqueluche, d'une
syphilis
ou d'une infection ganglionnaire. Soca, en 1888
phtérie à 10 mois, rougeole à 7 ans. Bonne santé habituelle. Pas de
syphilis
. Ethylisme (pituite, tremblement des mains). Au
ormante de l'aget, en col- laboration avec Marinesco. En 1896, La
syphilis
héréditaire de la moelle^épinière . En 1897, Pa
la moelle épinière, en collaboration avec Gasne. En 1899, Un cas de
syphilis
héréditaire de la moelle, en col- laboration av
uis neuf ans et qui a été l'objet de diagnostics variés : hystérie,
syphilis
des centres nerveux, neurasthénie et particuliè
xostoses spécifiques. - Mais le malade affirme n'avoir jamais eu la
syphilis
(ni chancre, ni roséole, ni plaques muqueuses)
a femme n'a jamais fait de fausse couche. Reste l'hypothèse d'une
syphilis
héréditaire. Malheureusement il est impossible
core un sérieux appoint. Le malade ne' semblant pas avoir acquis la
syphilis
; malgré l'absence des stigmates classiques de l
, fistules persistantes, cicatrices déprimées et adhé- rentes. La
syphilis
héréditaire déforme le squelette, mais elle le dé
n'a ja- n mais eu de crises nerveuses, il n'y a pas de signes d'une
syphilis
antérieure. Notons seulement une rougeole et un
dû à une grosse hémorragie, l'emporta. Le malade a toujours nié la
syphilis
. L'autopsie révéla une hémorragie assez grosse
elles de toute sclérose syphili- tique, de beaucoup de formes de la
syphilis
tertiaire que l'on a dites para- syphilitiques
tissus qui se traduit par la formation de la sclérose. Mais dans la
syphilis
l'altération vasculaire est prédomi- nante ; da
, elle aussi, de déterminer une aphasie passagère transitoire. La
syphilis
cérébrale donne assez souvent, à la suite d'un si
des vaisseaux, nous serions fort tentés d'attribuer l'affection a la
syphilis
. Il s'agissait non d'une iiiéningo-iiiy,lite sy
iminuaient et dis- paraissaient vers la périphérie de la moelle; la
syphilis
n'avait pas été recherchée. Un fait paraissait
hoïde au service militaire. Il avoue une biennorrhagic, mais nie la
syphilis
: il a bien présenté des végétations sur la ver
aladies nerveuses et mentales ; intoxications diverses, alcoolisme,
syphilis
, saturnisme ; infections, tuberculose, affections
ral des muscles du cou et de la face (2 phot.), par GAUSSEL, 337.
Syphilis
dans l'art (1 pl.), par Laignel- LAVASTINE, 83.
ématomyélie trau- matique (9 figures), 240. LAiGNEL-LAVASTINE. La
syphilis
dans l'Art (1 planche), 83. LANNOIS. Myotonie
, XLVII. Spondylose rhumatismale (H. FORESTIER), XV, XVI, XVII.
Syphilis
dans l'art (LAtGEL-LAVASTi.'OE), X. Syringomy
te, Ilnrl nf, 'rllM ? ci, i'j si 1 X, Des ItAI'PORTS nui lient la.
syphilis
au T11S1 : S; par 111 : l'usmr.Liln 1 9lrp 9'lw
' E. Chambard. " II. Des rapports DE la démence paralytique avec la
syphilis
; ? par SNELL. (Allg : Zeitsch. f. psych., XXXIX,
ntés à l'ob- servation de 1\1. 1 Snell avaient eu antérieurement la
syphilis
. La ' rareté'de'la'paralysie générale chez là f
érale chez là femme,' rapprochée de la bien moindre fréquence de'la
syphilis
chez elle que chez l'homme, ? ajoute l'auteur pou
minin souvent infecLé. On sait, au reste, que la localisation de la
syphilis
sur le cerveau engendre souvent des phénomènes mo
une altération spécifique du cerveau. Peut-être certaines formes de
syphilis
sont-elles capables de déterminer dans l'organe c
arec les contractures; 4 ? la nature du. processus rapprochée de la
syphilis
artérielle; le cas sera publié in 1t ? SO. ;.iH
d'éclampsie puerpérale précoce ; par CAIX. Thèse de Paris, 1883.
Syphilis
cérébrale précoce; par Manchon. Thèse de Paris, 1
Observation III. Ataxie locomotrice ; début à dix-huit ans, pas de
syphilis
; Douleurs fulgurantes, troubles vésicaux et oc
lle. A toujours été bien portante dans sa jeunesse. Pas de trace de
syphilis
. Elle s'est mariée à dix-sept ans. Un an après
au plus haut point. Observation IV. Ataxie locomotrice. - Hérédité,
syphilis
, émotions morales pénibles. - Troubles de la vi
de l'hérédité nerveuse (tante et oncle maternels aliénés), et de la
syphilis
. AFFECTIONS DU PIED CHEZ LES TABETIQUES. 313 i
inger- main, aliéné, a été à Sainte-Anne en 1878 : il a eu aussi la
syphilis
. - Pas de suicides, ni de criminels, ni de diff
eu à dix-huit ans « un coup de sang » et le « sang brûlé ». Pas de
syphilis
. [Père, soixante-dix- huit ans, receveur -d'oct
AVANTES. 413 philis, l'auteur attire l'attention sur le fait que la
syphilis
grave du cerveau avec les manifestations spécif
ent. La marche de la maladie est la suivante : Trois ans après la
syphilis
primaire, forme très bénigne maux de tête et di
aussi chez cette malade les éléments de deux maladies différentes :
syphilis
et paralysie générale. Un paralytique général p
alysie générale. Un paralytique général peut en effet contracter la
syphilis
. M. DEL.\sI.\UVE, On entend depuis quelque temp
appelle combien selon lui M. Lasègue avait raison de ne voir que la
syphilis
cérébrale là où M. Fournier croyait avoir une p
cient donc de celles de l'alcoolisme; encore mieux, de celles de la
syphilis
; dans l'alcoo- lisme, l'étude des antécédents d
met, dans une cer- taine mesure, d'annoncer leur imminence; dans la
syphilis
, où les étapes sont encore mieux marquées, alor
es qui peuvent remplacer un accès épi- leptique ; 10. Le rôle de la
syphilis
dans la paralysie gé- nérale ; 4 1. Des caractè
henne) ; - 9. La curabilité du tabes dorsalis ; - 10. Le rôle de la
syphilis
dans l'étiologie du tabès dorsalis; - 446 faits
u), 151, 41, 423. Délirantes (idées), 408. Démence paralytique et
syphilis
, par Snell, 264. Démence aigué, stupeur, état
rescence secondaire de la). t). 81 ; - (structure de la), 97 ; - (
syphilis
de la), 105; - z (maladies de la), par Byrom-
rvée chez les buveurs), 109. Superstition et responsabilité, 268.
Syphilis
et tabès, 107. Système nerveux central (affecti
cutanées, ni rhu- matismes. Aucun signe ne permet de soupçonner la
syphilis
(1), l. Il été soldat durant la guerre et s'est
s, de l'absinthe ou du vermouth. Marié à 29 ans, ni migraines, ni
syphilis
, ni dartres. Il vivait en bonne intelligence avec
sions, de migraines, de chorée, de rhumatismes, de dartres, ou de
syphilis
. Tuberculose pulmonaire chronique; dyspepsie. (
up- tions cutanées. Aucun signe ne permet de le croire atteint de
syphilis
. Sa femme prétend qu'il boit et fume beaucoup,
tisme, ni d'affections cutanées. Elle ne présente aucun stigmate de
syphilis
, ni d'alcoolisme. Très nerveuse et très émotive
deux pneumonies, à 19 ans et 39 ans. 11 ne présente aucun signe de
syphilis
. Il serait légèrement alcoolique et cet. état s
'était un homme très vigoureux, il ne paraissait pas avoir eu, la
syphilis
et n'a jamais eu aucun accident nerveux. Il buvai
très peu. Rien ne nous permet de penser qu'il ait pu contracter la
syphilis
. Petit, brun, maigre, il offre une physionomie
, pas de fièvre typhoïde, de rhumatisme, de chorée, ni de traces de
syphilis
. Sobre ourdi- nairement, sauf quelquefois les j
lle n'a eu ni cho- rée, ni rhumatisme, ni dartres. Pas de traces de
syphilis
. Elle est sobre, pas emportée, n'a pas de migra
pour faux à 4 mois de prison. Certains détails feraient présumer la
syphilis
, anté- rieurement au mariage (1). Nous notons e
r une anémie du cerveau. Il n'a pas de migraine et n'a jamais eu la
syphilis
. Il est né à Marseille de parents lor- rains. I
e chorée, de rhumatis- mes, d'affections cutanées et aucun signe de
syphilis
. Conges- tion pulmonaire à 61 ans, 'depuis lary
u ni convulsions, ni fièvre typhoïde, ni rhumatisme, ni dartres, ni
syphilis
. Il a eu jusqu'à 13 ans de fortes migraines, d'
ni chorée, ni rhumatisme, ni dartres, ni migraines, ni symptômes de
syphilis
. Elle n'est pas alcoolique. En résu- mé, elle a
jamais été atteint de dermatoses et ne présente pas do traces de
syphilis
. Sobre actuellement, il s'enivrait fréquemment à
et de vomissements. Elle est très sobre, ne porte pas de traces de
syphilis
, est vive, nerveuse, sans avoir jamais eu de cr
oue pourtant quelques excès avant son mariage. Ni blennorrhagie, ni
syphilis
. Santé habituelle bonne. - [Père, mort à 57 ans
7 ,· au Le malade, âgé de quarante et un ans n'avait jamais eu la
syphilis
. 11 souffrait depuis seize ans d'une névralgie sc
XI. Quelques POINTS DE LA pathologie DES lésions oculaires DE LA
SYPHILIS
CÉRÉBRALE ET SPINALE ; par STE111AN BULL. (Amer
se, avril 1881 , p. 382.) La fréquence des troubles oculaires de la
syphilis
cérébro- spinale a été mise en relief par les é
'tout' individu 'qui présente quelques'symptômes attribuables'à'la
syphilis
céré- t brale. Si étrange que paraisse le fait;
i-même. D'autre part, toutes les côiiditiôris`(gôiitté, alcoolisme,
syphilis
, etc.) qui, en provo- quant l'altération des pa
. SUR UNE lésion DE l'axe GRIS DE la moelle épinière dans un cas DE
SYPHILIS
RÉCENTE ; par A. JARISCH. (IViene2- Medizin. l3
1881, il Milan, Dumolard. Brousse (A.). Réflexions sur un cas de
syphilis
cérébrale (Hémiplégie gauche, à forme intermitt
quents excès vénériens. Elle ne présente d'ailleurs aucune trace de
syphilis
. Son caractère, très turbulent jusque vers l'âg
il n'exis- tait pas de raison bien probante pour l'existence d'une
syphilis
antérieure, ce traitement fut remplacé par des
de tête depuis quatreans; doux quoique colérique , pas de trace de
syphilis
, a chiqué autrefois dans ses voyages; aurait eu d
. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XIX. NOTE SUR la relation ENTRE la
SYPHILIS
ET l'ataxie locomotrice; par J. Althaus, (TVte
ait manifestée de dix-huit mois àvingt ans après l'apparition de la
syphilis
; mais ils ne prouvent pas qu'il y ait relation
s existait certainement en Europe longtemps avant l'apparition delà
syphilis
. L'ataxie n'est pas une conséquence inévitable
gés comme les autres par des remèdes qui n'ont aucune action sur la
syphilis
. Il est possible que la syphilis puisse imiter
des qui n'ont aucune action sur la syphilis. Il est possible que la
syphilis
puisse imiter l'ataxie; mais les symptômes clin
litique sont identiques. Que l'ataxie soit si souvent associée à la
syphilis
, cela peut tenir à la dété- rioration de la con
63. Asphyxie locale des extrémités, 230. Ataxie locomotrice (et
syphilis
), par Althaus. 3'9 - (conservation des réflex
t Smith, 31 ? i ; - (lésions de l'axe gris de la), dans un cas de
syphilis
pil' .1LI-ISCII, 103 ; - (un cas (le la), par
t des maladies nerveuses de Berlin, 529. d'anthropolo- iC ? 7J.
Syphilis
(et ataxie locomotiice), 3'iU; - (lésions de l'
ien portante, son père est mort d'une pneumonie. Il n'accuse pas de
syphilis
, ni d'excès alcoo- lique; il n'est pas sujet au
rois ans ; mais elle soutient que c'est de son mari qu'elle prit la
syphilis
vers l'âge de trente ans. Depuis lors elle parait
M. Lap ? trente-sept ans'. Aucune maladie grave antérieure, pas de
syphilis
, un frère aliéné. Après plusieurs mois de cépha-
rgence. Sey..., 67 ans. Pas de maladies graves antérieures, ni de
syphilis
. Il y a six ans, rétention d'urine qui a cessé ap
t modifiés. Observation IX. -i4lm° Pied..., cinquante ans. Pas de
syphilis
ni d'antécédents héréditaires avoués. Depuis pl
e- ment d'une complication ou de la cause première de la maladie (
Syphilis
). L'auteur croirait volontiers, avec Grasset, que
aurait être examinée qu'à la lumière de l'anatomie pathologique. La
syphilis
exerçant son action sur le tissu conjonctif et
ait plutôt penser, dans l'espèce, à z héréditaire aggravée par la
syphilis
. Les discussions que soulève le problème, à laq
ns de la Sallétrière, JI. Charcot insiste souvent sur le rôle de la
syphilis
dans le développement de certaines affections du
ne l'invasion de la maladie chez un prédisposé héréditairement : la
syphilis
provoque l'ataxie locomotrice comme le traumatism
avail ayant pour titre : Rapports de la démence paralytique avec la
syphilis
. Ce mé- moire publié in-extenso sera l'objet d'
rmi ses paralytiques généraux il a également très souventohservé la
syphilis
précédant l'affection mentale. 11 croit être en
de psychose. M. Hundoegger attaque la question de la latence de la
syphilis
. Il rapporte à ce propos l'observation d'un hom
lis. Il rapporte à ce propos l'observation d'un homme ayant eu la
syphilis
vingt-cinq ans auparavant, ayant engendré d.'s en
ans auparavant, ayant engendré d.'s enfants indemnes, et mourant de
syphilis
cérébrale. Il n'3- avait pas lieu dans l'espèce
as ,d'autépélleursl.rlrédiaGs`y,sgnal ? tpasildjÎl ? - lisme, ni de
syphilis
? ' ? T joon -l ? ' ? ' "l'il'l'ifllilf'îl >"»
le n'a jamais' eu de troubles ' sérieux de la menstruation.. Pas de
syphilis
. Il toi, l"rny ? .. Les premiers symptômes, tab
isecopvçJlyes etc., etc. On ne retrouve chez, elle aucune, trace de
syphilis
,, llgn'¢1 . ni'-ht.u J `l1 J t ? jt. m. J . i W
phincters, de la nutrition de la peau. Santé généralement bonne. Ni
syphilis
, ni saturnisme. Au bout de deux ans pour l'un'
ppelant aussi la constatation 'des 'altérations vasculaires dans la
syphilis
(Lancereaux et Parrot), éliminant l'hémophilie ch
trait pas comme cause la diathèsi liéiiiorrliagiquo, symptôme de la
syphilis
, de, son malade, favorisée occasionnelle- ment
cérébrale : il s'agit d'un médecin de campagne atteint autrefois de
syphilis
, qui, après avoir joui d'une longue période de
bdivisions (Westplial); la surmenage intellectuel, l'ona- nisme, la
syphilis
héréditaire ne seront pas représentés. M. Nasse
bis; les jambes sont presque glabres. Pas de trace d'adénite, ni de
syphilis
, de scrofule ou d'eczéma. Intelligence. A premi
er. En ce qui regarde l'étiolo- gie, il n'existait pas de traces de
syphilis
héréditaire ou acquise ; il n'y avait pas non p
n nombre d'auteurs, et Duchenne tout le premier, avaient signalé la
syphilis
dans les antécédents des ataxiques ; mais c'est
ré- sulte que quatre-vingts ataxiques sur cent ont eu la vérole; la
syphilis
semble jouer souvent le rôle de cause effective
année. Les causes adjuvantes qui déterminent la localisation de la
syphilis
sur les cordons postérieurs de la moelle épiniè
accidents, à leur peu d'intensité et de durée. Presque toujours la
syphilis
a été insuffisamment traitée au début. On ne pe
es dans le tabès spécifique en raison delà tendance que présente la
syphilis
à mul- tiplier ses lésions et à les disséminer
nte des phénomènes tabétiques avec divers symptômes com- muns de la
syphilis
, les paralysies oculaires en particulier; 4° in
'on éprouve fréquemment à trouver à l'ataxie une autre cause que la
syphilis
. Il en découle comme dé- duction pratique la né
tion pratique la nécessité de traiter énergiquement et longtemps la
syphilis
à ses débuts, en prévision de cette manifestation
urris, atteints de maladies ignobles, quelques-uns croient avoir la
syphilis
, et Fodéré ' avait déjà remarqué la connexion
a chaleur, aux aliments 'et surtout aux médicaments. S'il s'agit de
syphilis
, ce n'est pas la syphilis, mais le mercure qui
t surtout aux médicaments. S'il s'agit de syphilis, ce n'est pas la
syphilis
, mais le mercure qui devient la cause de toutes
peu plus haut que dans les observations communiquée* jusqu'ici. La
syphilis
étant possible, le malade sera soumis aux injec
, 1882. Des périostoses crâniennes dans la période secondaire de la
syphilis
; pat' N,UDET. Thèse de Paris, 1882. Etudes s
ir causé la mort de sa femme et de son fils, il est pourri, il a la
syphilis
, il est perdu, il est damné, il est le plus gra
fièvre typhoïde, de la tuberculose pulmo- naire. La scrofule et la
syphilis
jouent aussi un rôle important dans l'étiologie
fs ou sexuels. Chez les adolescents et les adultes, en dehors de la
syphilis
et des néphrites, les convulsions, surtout si e
. CettrulGl., 188 ? ) Sur vingt-sept tabétiques examinés quant à la
syphilis
, M. Rumpf trouva la proportion de 66 p. 100; to
ns d'ataxie loco- motrice ; pas de complications psychiques, pas de
syphilis
, pas d'affection cardiaque. En quelques semaine
pas indiquées avec plus de détails. - 1)AUGE. XXI. Du RÔLE DE LA
SYPHILIS
COMME CAUSE DE L'ATAXIE LOCOMOTRICE PRO- GRESSI
mptomatique spécial; 3" Elle appartient aux périodes tardives de la
syphilis
et n'appa- rait généralement que de sept à ving
Très peu de cas d'ataxie ont pu, chez la femme, être rapportés à la
syphilis
; Quant au traitement mercuriel ou ioduré, il a
symptômes. Signalons aussi le chapitre relatif à l'influence de la
syphilis
sur l'apparition du tabès; dans une statistique
urs le seul passage de ce livre où il soit ques- tion du rôle de la
syphilis
sur le système nerveux ; dans la leçon XVI l'au
XVI l'auteur rapporte plusieurs cas de somnolence prolongée dans la
syphilis
cérébrale, il rattache ce phénomène à des lésions
pide et presque généralisée, semblant être sous la dépendance de la
syphilis
, et caractérisés par la perte de la sensi- bili
e grande violence, ainsi que les idées ordi- naires de grandeur. La
syphilis
est recherchée avec le plus grand soin; on n'en
ne médication n'a été entreprise. Il n'y avait à soup- çonner ni la
syphilis
, ni l'alcoolisme, ni le saturnisme, ni une lési
ans les divers cordons. Un homme de quarante-neuf ans en proie à la
syphilis
tertiaire estaussien proieàdu tremblementavec a
tion concerne un homme de trente-deux ans, indemne d'hérédité et de
syphilis
, présentant successivement delà céplialal- gie,
ÉS SAVANTES. 377 mortel, et chez un malade encore en traitement, la
syphilis
avait précédé l'accident ; dans ce dernier fait
ept cas. En l'absence de prédispositon héréditaire, en l'absence de
syphilis
, sans qu'il existe d'étiologie nette, il s'instal
ectique. L'homme enquestion, âgé de cinquante- neuf ans, indemne de
syphilis
et d'alcoolisme, était ataxique depuis longtemp
s ! , 350. Asiles d'aliénés de Rennes, 127. Ataxie locomotrice et
syphilis
, 88. Atrophie spinale chronique chez l'enlant
Surdité centrale unilatérale, 82. Surdité (sur une cause de), 86.
Syphilis
et ataxie, 88. Syphilis et démence paralytique,
le, 82. Surdité (sur une cause de), 86. Syphilis et ataxie, 88.
Syphilis
et démence paralytique, 361. I . Système nerv
la médullite aiguë primitive. Je fais exception, cepen-dant, pour la
syphilis
, dont les manifestaiions gommeuses, qui sont de v
e est un des caractères essentiels des manifesta-tions cutanées de la
syphilis
. Cette polymorphie ne comporte pas seulement une
d'une bonne santé, jusqu'à il y a deux ans, époque où il contracta la
syphilis
: chancre, roséole, plaques muqueuses. Cet homme
re incisives (deux supérieures, deux infé-rieures). Il est indemne de
syphilis
et ne présente aucun autre vice de conformation q
résence de ces ostéophytes, cette malade n'ayant ja-mais contracté la
syphilis
.— Nous ajouterons que ces tumeurs, dont l'apparit
dire celles qui se trouvent liées à la tuberculose, au cancer ou à la
syphilis
: il les considère plus spécialement et avec just
, relatives : 1° à la déchirure du périnée, 2° à l'érysipôle, 5° à la
syphilis
. I. Déchirure vulvo-périnéale ; vulvite. — L'ex
ent napolitain constituent un excellent moyen de traitement contre la
syphilis
, et plus particulièrement chez les enfants. Nous
celle qui a coïncidé avec l'appa-rition de sueurs abondantes. III.
Syphilis
. Nous serons bref sur ce qui concerne la syphilis
abondantes. III. Syphilis. Nous serons bref sur ce qui concerne la
syphilis
. Nous ferons remarquer seulement : 1° le caractèr
IL BIBLIOGRAPHIE Diagnostic des manifestations secondaires de la
syphilis
sur la langue, par le docteur C. Saison, ancien
ne par les conclusions suivantes : « 1° La période secondaire de la
syphilis
ne se manifeste pas seu-lement sur la langue par
idence habituelle, les restes d'une affection chronique des os, d'une
syphilis
constitutionnelle, d'une tuberculisation, d'un ca
G. Peltier), 188. — Diagnostic des manifestations se-condaires de la
syphilis
sur la langue, par C. Saison (anal. Bourneville),
leuse plate, modifiée par la grossesse, par A. de Montméja, 65.
Syphilis
, 176. T Teinturier (E.),250. Tétanos {voy. Ch
ec fièvre intense et éry- tltèiiie aux jambes et aux fesses. Pas de
syphilis
. Pas d'accidents convulsifs. A toujours été d'h
ensions et ce poids sont exceptionnels. R. de Musgrave-Clay. III.
Syphilis
cérébrale avec ophthalmoplégie double; par lcHa
mais ils montrent d'une façon certaine l'action étiologi- que de la
syphilis
dans les cas où cette infection a été ignorée.
rg, Ilischl et beaucoup d'autres, ont montré la préexistence .de la
syphilis
dans la grande majorité des paralysies générales
ans la même propor- tion relativement à l'exposition aux chances de
syphilis
(exem- ple : prostituées). La paralysie général
ats, marins, voyageurs, etc.) qui plus fréquem- ment contractent la
syphilis
. Krafft-Ebbing, sur près de 3.000 hommes attein
presque toujours (probablement toujours) le résultat de l'hérédo-
syphilis
ou de la syphilis infantile ; tabes dorsalis et p
(probablement toujours) le résultat de l'hérédo- syphilis ou de la
syphilis
infantile ; tabes dorsalis et paralysie général
nvenir de leur ignorance entière de la part exacte prise ici par la
syphilis
tant pour la paralysie générale que pour le tab
lanches,est celle d'un homme de 33 ans, alcoolique et syphilitique (
syphilis
douze ans avant l'entrée à l'asile) et ayant pr
m, et, on devra surveiller l'alimentation. . . L. Waiil. XVII. La
syphilis
spinale à forme amyotrophique ; par LAU- Nois e
ue, il n'y a d'autre différence étiolo- gique que la présence d'une
syphilis
héréditaire ou d'une syphilis acquise. R. DE Mu
e étiolo- gique que la présence d'une syphilis héréditaire ou d'une
syphilis
acquise. R. DE Musgrave CLAY. XXXIV.-Sur les
e trouve aucune des cau- ses habituelles de la paralysie générale :
syphilis
, alcool ou pré- disposition. 11. Briand insis
rêt de développement du cerveau sous l'influence dystrophique de la
syphilis
des parents. ' En somme, la coexistence surtout
auteurs les ont savamment développées. Il n'est pas douteux que la
syphilis
joue ici un rôle important, mais ce rôle n'est
fièvre ni d'infection, pas de lymphocytose céphalo- rachidienne. La
syphilis
est peu probable et le diagnostic se pose entre
aire, l'auteur a recueilli des éléments statistiques sûr les cas de
syphilis
et de paralysie générale chez les Arabes d'origin
ron) arabes égyptiens. Il fut relevé pour la même an- née 76 cas de
syphilis
et sur 25 paralytiques généraux arabes 2' furen
la malade peut à volonté mouvoir isolément. Chorée de Sydenham et
syphilis
secondaire MM. CIIARTIER et F. RosE signalent l
dix-sept ans, deux mois après l'apparition des signes primitifs de
syphilis
; les auteurs pensent qu'il existe entre les deux
thyle.Voir7<'e< ! - calum fvritlaiuc. Chorée de Sydenham et
syphilis
secondaire ; par Chartier et Rose, p. 501.
liénés ; par Mézie et Bailliart, p. 1. OPIITAL71OPLL : CiIE. Voir
Syphilis
. nucléaire chez un tabétique; par Grenet et T
x. Voir 111C/- ladies somatiques. Syndrome méningé. Voir Abcès.
Syphilis
cérébrale avec ophtal- moplégie double ; par Ac
tard. m. 1 2 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Il nie la
syphilis
, et toute espèce d'habitude alcoolique. 11 y a
tze1). Résumé. B..., âgé de quarante-deux ails, sans antécédents ni
syphilis
. On ne relève d'autre cause que le froid. Le 21
ont bien portants tous deux et n'ont aucun signe d'alcoolisme ou de
syphilis
. Ils sont de taille moyenne, le père est plutôt
normal, pas de modification électrique. Pas de signes de tabes. Ni
syphilis
, ni tare héréditaire. A l'âge de neuf ans, chute
Après une légère amélioration, état stationnaire au 12 avril. Ni
syphilis
, ni diphthérie. L'auteur croit à une lésion cen
à la Salpêtrière pendant la guerre. Pas de traces de scrofule ni de
syphilis
. Une seule grossesse il y a quinze ans. Elle a
tion de la mémoire depuis six ans. Céphalalgie depuis un an. Pas de
syphilis
. Légère parésie du facial. Ptosis double. Immob
côté des organes des sens. Quelques douleurs de tête. Santé bonne.
Syphilis
douteuse. 1. Rotenstein, 1882, cité par ¡1Jalll
PII'CII1LMOPL$GIE EXTERNE. 293 D..., soixante ans, n'a jamais eu la
syphilis
. En novembre 1879 il a eu une paralysie faciale
ptosis. Strabisme divergent. Diplopie aux images croisées. Pas de
syphilis
, pas d'ataxie, ni rhumatisme, ni refroidissement
e sa profession. Interrogé sur ses antécédents, le malade nia toute
syphilis
, etjen'ai aucune raison de douter de sa véracit
tre indiquée. Ces. XV. - Ophthalmoplégie nucléaire à la suite de la
syphilis
secon- daire, avec symptômes de poliencéphalite
técédents ni rhu- matisme ni alcoolisme, non plus qu'aucun signe de
syphilis
. Il y a onze ans, apparition de diplopie qui n'
n d'autres affections du système nerveux, la cause nous échappe. La
syphilis
a bien été mise en avant par quelques auteurs, ma
estations scrofuleuses, ni convulsions, ni fièvres infectieuses, ni
syphilis
, ni migraines, ni maladies de peau, ni panaris.
ni convulsions, ni fièvre typhoïde, ni rhumatismes, ni dartres, ni
syphilis
. Très sobre, mais fume beaucoup, ni migraines,
plète à 4 ans. - Gâtisme. - Tics. Etat actuel. - Notes d'école. -
Syphilis
acquise. - Con- gestion pulmonaire ; mort. AU
Il n'a jamais fait d'excès véné- riens, n'a jamais eu de traces de
syphilis
, ni de dermatoses. - Caractère violent, il se m
s fait d'excès et n'aurait jamais eu de traces de dermatoses. ni de
syphilis
. - [Père, mort à 35 ans, sa fille ne peut donne
s de n il 35 ; c'est dans cette période qu'est né le malade. Pas de
syphilis
. - [Père, inconnu, Mère, faisait des excès de b
ulsions, ni accidents nerveux; rhu- matisant, pas de dartres, ni de
syphilis
: il fume beaucoup, est sujet iL des migraines
illée. Caractère vif et emporté. [Père, 72 ans, cordonnier, a eu la
syphilis
, mais après la naissance de sa fille; excès de
convulsions, ni de migraines ou de rhumatismes ; aucun stigmate de
syphilis
. Pas d'excès de boisson ; pus de goitre. - [Fam
ve rien à signaler dans ses antécé- dents, ni accidents nerveux, ni
syphilis
, ni alcoolisme, ni fièvres intermittentes, etc.
anté, ne boit pas, n'a jamais eu de convulsions, ni aucune maladie,
syphilis
, etc. ; caractère très doux. [Famille du père.
hites avec hémoptysie ; a eu un rhumatisme articulaire aigu. Pas de
syphilis
. Caractère assez calme. [Famille du père. Son p
e a démontré qu'il est sous la dépendance immédiate d'une lésion (
syphilis
, tumeur d'une autre nature, légère in- flammati
tenir compte des tabes et des lésions grossières du cerveau, de la
syphilis
, de l'alcoolisme, considérées comme agents pathou
comité destiné à élaborer un questionnaire sur les rapports de la
syphilis
et de la paralysie générale. Ce questionnaire ser
ns les anamnestiques, de la lenteur de l'évolution, on soupçonne la
syphilis
. L'administration de Kl fait disparaître en deu
E PATHOLOGIE NERVEUSE. 245 ques. On n'a pas trouvé le bacille de la
syphilis
. - L'auteur exa- mine de plus près la polydipsi
ptôme d'après lui s'obser- verait assez fréquemment dans les cas de
syphilis
à lésions géné- ralisées : il tiendrait à des t
cas concernant : l'un, une hystérique, l'autre un sujet indemne de
syphilis
et de tuberculose), on voit généralement la pol
diphthérite, à la fièvre typhoïde, à la dia- thèse cancéreuse, à la
syphilis
, etc..., soit trente-deux autres obser- vations
aux. Il s'agissait ici de : 19 cas de démence paralytique, 3 cas de
syphilis
cérébrale, 2 cas de tumeuis du cerveau, 4 cas de
, les autres de 40 à 46 ans; quatre d'entre eux étaient atteints de
syphilis
constitutionnelle, quatre autres avaient probab
ctés avant. le dénouement paralytique. Les trois individus morts de
syphilis
cérébrale étaient âgés de 35, 50, 52, ans. Des
Il existait un cas dans lequel on notait des traces anatomiques de
syphilis
chez un paralytique général; le bord supérieur
rale), une endartérite avec dégénérescence grais- seuse et hyaline (
syphilis
cérébrale), et vingt et une endartérites chroni
la plupart ordinaires). Il est donc impossible de diagnostiquer la
syphilis
antérieure par les lésions vasculaires constaté
l du district. C'était un homme de 43 ans, marié, sobre, indemne de
syphilis
, mais dont les deux oncles paternels sont morts
e poitrine; étant plus jeune il était déjà sujet aux rhumes; pas de
syphilis
; pas d'alcoolisme; rarement quelques cauchemar
s abonnés, 1 fr. 60. SEVESTRE. - Etudes de clinique infantile. - (
Syphilis
héréditaire pré- coce, laryngite syphilitique b
STINCTS ET IMPULSIONS GÉNITALES (IClep- tomanie, onanisme, sodomie,
syphilis
); Par BOURNEVILLE et KAOULT. Observation. - G
ystagmus; léger tremblement des paupières; hypospadias. - Sodomie :
syphilis
; balano-postlvite; adénite suppurée. Evasion;
e- mières victimes de l'infirmier pédéraste qui lui communiqua la
syphilis
. Il ne s'agit pas ici d'une véritable inversion
personnels : rougeole à quatre ans ; pas d'autres maladies, pas de
syphilis
. Marié, une fille de seize ans bien portante.
: Père et mère vifs, emportés. Antécédents personnels nuls, pas de
syphilis
. En 1879, début de la maladie par des faiblesse
dont la grand'mère et l'oncle paternels ont été aliénés. Absence de
syphilis
ou d'alcoolisme chez les parents; six frères et
inze ans que se déclare la paralysie générale classique. Absence de
syphilis
. Deux de ces malades furent déclaréspar rapport m
ne, le rhumatisme articulaire aigu ; le diabète, le paludisme et la
syphilis
(l'étude des troubles de la sensibilité dans la
isme et la syphilis (l'étude des troubles de la sensibilité dans la
syphilis
mérite une mention spéciale) ; les intoxication
e l'alcoolisme). M. CHRISTIAN lit un travail sur les rapports DE LI
syphilis
et de la paralysie générale. Ces rapports sont
pathologique, il n'y a aucune relation entre les diverses formes de
syphilis
cérébrale et les lésions de la périencéphalite ch
és du combat pour l'existence. Après eux, il convient d'inscrire la
syphilis
et l'hérédité. Symptomatologie. La fixité réile
indiquée par M. Siemerting. M. Mendel s'étonne de la rareté de la
syphilis
. Il a vu cinq fois le mari et la femme être sim
ale atteindre le mari et la femme ; dans un seul cas il constata la
syphilis
, les deux autres exemples témoignaient des cond
en portante. Son. père est mort d'une pneumouie. Il n'accuse pas de
syphilis
ni d'excès alcooliques; il n'est pas sujet aux
aractère... Enfant naturel. Pas de maladie de peau, pas de trace de
syphilis
; pas d'attaques de nerfs. On ne sait s'il a en
fait consommé. C'est un négociant de quarante-cinq ans, atteint de
syphilis
il y a vingt ans, qui au printemps de 1887 fut
quelques autres maladies nerveu- ses par la), par Raoult, 129.
Syphilis
(rapports de la- et de la paralysie générale),
ni antécédents héréditaires ni antécédents personnels ; elle nie la
syphilis
et toute intoxication alcoolique. Dès l'âge de
ésente pas d'antécédents person- nels ou héréditaires ; elle nie la
syphilis
. A )'age de 23 ans, elle voit appa- raître une
ole, lorsqu'elle était tout enfant. Elle n'a pas eu certainement la
syphilis
. Célédo- nia a toujours habité la campagne, occ
12 janvier 1901 ; marié, a 3 enfants vivants, trois morts ; pas de
syphilis
, pas d'alcoo- lisme, ne fume pas, exerce son mé
mais il y a des raisons positives d'admettre que le malade a eu la
syphilis
. C'est le cas de soup- çonner une compression d
et à 18 ans une blennorrhagie, mais il nie formellement avoir eu la
syphilis
. Sa première femme mourut en couches ; l'enfant
particulier à signaler. Le père est bien portant, n'a jamais eu la
syphilis
. La mère est morte à 38 ans de cancer de l'utér
t bien portant, ayant eu un pied coupé accidentellement, indemne de
syphilis
et d'alcoolisme. Mère âgée de 23 ans (fille-mèr
âgée de 23 ans (fille-mère), bien constituée, indemne elle aussi de
syphilis
. Un an 1/2 auparavant elle avait eu un enfant, de
congé et, à la suite d'une « noce avec des camarades, contracta la
syphilis
. Il en res- sentit une vive contrariété à raiso
de la santé et de moralité. Il reprend à ce propos l'histoire de la
syphilis
qu'on lui aurait. fait contracter exprès en l'eni
s antérieurement, dénote combien les idées sont désordonnées : « La
syphilis
, première cause que j'ai été enfermé, Pillou, v
infection ou l'intoxi- cation (rachitisme, rhumatisme, tuberculose,
syphilis
). Mais il n'en est pas moins vrai que l'évoluti
ois à quatre absinthes par jour, mais nie avoir jamais contracté la
syphilis
. A cette époque, ses forces déclinant, il ne ta
ais de maladies graves à garder le lit. - Pas d'alcoolisme, ni de
syphilis
. Il a toujours vécu de la vie saine des champs,
méningo-myélite diffuse dans le tabes, la paralysie générale et la
syphilis
spinale. Id. Soc. de Biologie, 1900. Note sur l
gé de 50 ans, entre le 5 octobre 1901 à la Pitié. Il a contracté la
syphilis
à l'âge de 30 ans. Il y a huit jours, en pleine
es lésions méningées généralisées nous paraît être la règle dans la
syphilis
nerveuse en voie d'évolution, quelle qu'en soit l
nt ensuite les lésions caractéristiques de chacune des formes de la
syphilis
du système nerveux. Les récents travaux accompl
ement précoce, qu'elle accompagne les tout premiers symptômes de la
syphilis
nerveuse, qu'elle peut même en être la seule ma
le premier stade des lésions du système nerveux, qui dérivent de la
syphilis
. L'observation que nous rapportons vient à l'appu
a méningite présente des lésions vasculaires caractéristiques de la
syphilis
. C'est une méningite syphilitique. La méningite
(4), d'hémorrhagie (5), de tumeurs (cancers, psammomes, etc.) (6), de
syphilis
cérébrale (7), intéressant la région du lobule pa
cas contrôlés par l'autopsie, car, particulièrement dans les faits de
syphilis
, les observations cliniques semblent plus fréquen
pouvez songer à une hémorrhagie, à un ramollissement ou surtout à la
syphilis
; mais, si la marche ultérieure de la maladie per
est assuré que ce n'est ni d'hémorrhagie, ni de ramollissement, ni de
syphilis
qu'il s'agit. D'autre part, les signes de phthisi
développé. Les antéoédents héréditaires ne sont point connus. Pas de
syphilis
. La démarche est celle d'un parétique. Los réfl
. 32 ans, mu par M. Charcot avec M. Fournier. Tabès, s ans après la
syphilis
. Mélancolie. TABLEAU XIX père Diabète. I
TABLEAU XIX père Diabète. I FILS Tabès, peu d'années après la
syphilis
. L'un de nous a eu l'occasion d'observer divers
atteinte d'hémiplégie d'origine cérébrale. Rec... n'a jamais eu la
syphilis
. En juillet 1889, il a été victime d'un accident
que l'hérédité nerveuse est représentée par le chiffre dix-sept et la
syphilis
par le chiffre quatorze dans la même statistique3
u cou. Deux blennorrhagies, à vingt-cinq et à trente-cinq ans. Pas de
syphilis
. Excès alcooliques durant une quinzaine d'années.
ns, rentier, vu par M. Gharcot. Pas d'antécédents héréditaires (?).
Syphilis
dans la première jeunesse (vingt-deux ans?). Obès
'avons pu trouver dans la famille A... les traces d'aucune diathèse :
syphilis
, arthritisme, etc., pouvant jouer un rôle étiolo-
. Rhumatismes articulaires souvent répétés. La malade. — Mmc X...
Syphilis
(?) Tabes. TABLEAU XXXVII famille israélite P
le 13 janvier par M. le docteur Parinaud. Pas d'alcoolisme; pas de
syphilis
; pas de saturnisme. État actuel. — Couche, auss
émiathétose.............. 3 Paralysie pseudo-bulbaire.......... 1
Syphilis
cérébrale............. 14 Tumeurs cérébrales...
a dépendance d'une lésion cérébrale? On ne peut guère incriminer la
syphilis
, puisque le malade paraît n'avoir jamais présenté
'un des sous-surveillants, M. Hure), qui s'est chargé du moulage.
Syphilis
; pédérastie. En reprenant notre service au comm
jour que l'une de ses victimes, Legr... Etienne, était atteint de
syphilis
. Nous avons alors interrogé tous les enfants, e
apports avec l'infirmier Dom. la dernière huitaine du mois d'août :
syphilis
; l'intelligence est conservée. 3° Gauth., I-I
eudis de suite. Durant l'acte, D. le masturbait juqu'à éjaculation.
Syphilis
(1). 4° Court. Ch. Frédéric, 1h ans : Imbécilli
avec l'infirmier D. le 2" sep- tembre, dans le lit de l'infirmier.
Syphilis
. 5° Blo., J. Louis : Epilepsie idiopathique; on
ssé entre eux et lui. Sur sept enfants, trois ont été atteints de
syphilis
. Dom... a été examiné à Mazas par M. Brouardel,
érastie active ou passive; qu'il était atteint actuelle- ment d'une
syphilis
constitutionnelle caractérisée par la Il) L'obs
et d'une éruption papuleuse ;-que la date d'inoculation de cette
syphilis
paraissait remonter à trois ou quatre mois ; -)
ux de tête depuis 4 ans ; doux quoi- que colérique; pas de trace de
syphilis
; a chiqué autre- fois dans ses voyages; aurait
ot. Père excès de en bâtiments. N. m., née à 8 mois, idio- boisson;
syphilis
. te. Mère syphilis. Redl............. Peintre
n bâtiments. N. m., née à 8 mois, idio- boisson; syphilis. te. Mère
syphilis
. Redl............. Peintre » 5 f. morte à 3 ans
........... Peintre » 2 i fausse couche à 3 mois. at. m., idiot. Mère
syphilis
. en bâtiments. Duv............ Mouleur » 8 i
le père et la mère ; — 2° que 4 mères et 4 pères étaient atteints de
syphilis
. — Ces statisti-ques portent sur 3.133 observatio
ications de glace ; il n'aurait pas eu de convulsions. Ni dartres, ni
syphilis
, ni rhumatisme. Mort en 1901 des suites d'une ple
as de rhumatisme, pas de dartres; rien ne permettant de soupçonner la
syphilis
; boit le samedi, rentre ivre au moins une fois to
e quelques jours de durée seule-ment. Rien ne permet de soupçonner la
syphilis
. Alcoolisme peu marqué; cependant, cauchemar'; la
convulsions dans l'enfance, pas de chorée, pas de rhumatismes, pas de
syphilis
, pas d'alcoolisme. Caractère plutôt calme. Elle a
s, n'est pas migraineux, ni rhumatisant. Pas le plus léger soupçon de
syphilis
. Caractère emporté. [Son père, mort subitement
eu ni convulsions ni chorée, ni fièvre typhoïde, ni rhuma-tismes, ni
syphilis
, soldat pendant un an, marié à 27 ans. Il est sob
tionnels du cerveau étaient accom¬pagnés d'accidents manifestes d'une
syphilis
invétérée. Dans la première observation, des tume
la nature de l'altération. 11 est évident que ces malades avaient la
syphilis
à la période dite des formations gommeuses, pér
ifs (deuxième et troisième observation), puis toutes les formes de la
syphilis
tertiaire : tumeurs gommeu¬ses, exostoses, syphil
et com¬plet de toutes les formes d'aphasie qui peuvent accompagner la
syphilis
cérébrale?Non. — Et d'ailleurs, peut-on réaliser
ement constitué. Pas de diathèse scrofuleuse ou rhumatis¬male, pas de
syphilis
. 11 n'a jamais fait de maladie, sauf une blen-nor
illk Observation. —Scrofules dans l'enfance. — Double varioloïde. —
Syphilis
.— Syphilide croûteuse en coquillages : caractères
ie très-intense mais qui pouvait tenir à la varioloïde autant qu'à la
syphilis
, car la malade, d'ailleurs peu intelligente, n'in
rée, le 25 avril 1868, à l'hôpi¬tal (salle St-Alexis, n° 20) pour une
syphilis
constitutionnelle. Elle avait eu des plaques muqu
andre Aizias-Turenne, bien connu par ses nombreuses recherches sur la
syphilis
et en particu¬lier sur le traitement préventif de
dies constitutionnelles dans quatre grandes unités pathologiques : la
syphilis
, la scrofule, l'arthritis, l'herpétis, et c'est s
les caractères de la scrofule, de l'arthritis, de l'herpétis et de la
syphilis
. Cette classification rie manque pas de simplifie
sur- tout à l'époque de la conception ; ne semble pas avoir eu la
syphilis
. Employé dans une Cie d'assurances, il est resté
migraines. Pas de dartres ou d'affections cutanées. Aucun indice de
syphilis
. Nul renseignement sur sa famille. Mère, trente
A quatorze ans, a eu un eczéma. Pas de migraines, pas de signes de
syphilis
. Intelligence moyenne. Famille DE la sikre. Pèr
commerce à l'étranger, très sobre, rhumatisant, n'aurait pas eu la
syphilis
. Pas d'accidents nerveux. Il aurait été « débauch
ions, ni fièvre typhoïde, ni chorée, ni rhumatismes, ni dartres, ni
syphilis
; pas de maladie de peau ; pas d'alcoolisme, ta
éformé à 25 ans pour « faiblesse de constitution. » Pas d'indice de
syphilis
. Caractère plutôt égal et doux. Sa famille : Pè
nstincts et impulsions génitales (Klepto- manie, onanisme, sodomie,
syphilis
) (en collaboration avec Raoult). Compte-rendu d
31 ans, cocher; marié à 25 ans, réformé pour rhu- matismes ; pas de
syphilis
. Céphalgies à partir de 10 ans. Très sobre, mai
ans, fièvre muqueuse à 5-6 ans, assez nerveuse, cépha- lalgies, ni
syphilis
, ni dartres, morte de tuberculose pulmo- naire
ué. Il n'a pas eu de convulsions; marié à 23 ans ; pas d'indices de
syphilis
. - [Père, mort à 71 ans, subitement d'une malad
blable. De plus, si nous pouvons Ù peu près affirmer l'absence de
syphilis
et l'absence de traumatisme obstétrical, nous n
hites jusqu'à l'âge de 8 ans; fièvre de croissance a 13 ans; pas de
syphilis
, pas d'ethylisme. - [Père mort il 50 ans, après
ersistant pendant les grossesses. Aucune maladie de la peau; pas de
syphilis
. [Père, 55 ans, cultivateur, en bonne sauté, ai
d'anomalie de forme, d'implantation, de volume ; aucune trace de
syphilis
héréditaire ou acquise. Oreilles peu détachées du
dent morbide sérieux, n'a pas eu de convul- sions ; aucun indice de
syphilis
, marié' à 22 ans. Depuis la naissance de l'enfa
de migraines. Par- fois céphalalgies violentes. Pas de syncope, ni
syphilis
, ni excès de boisson. [Père, vigneron, a fait b
feç- Antécédents héréditaires. 65 tions cutanées, ni d'indices de
syphilis
; de temps en temps, douleurs articulaires ne n
la peau vers quarante ans, pas de rhumatismes, ni de dartres, ni de
syphilis
, échaufferaient à vingt et un ans. - Grand-père
Traitement : Diète lactée, bains froids au nombre de 10. OBs. VI.
Syphilis
héréditaire ; idiotie congénitale. SoMMA)HE. Pè
s bruyant mais pas méchant. Ne fume pas. Pas de rhumatismes, pas de
syphilis
probable. [Sa famille. - Père, cultivateur, mor
nfants sont entrées il l'infirmerie atteintes de tuberculose : 1 de
syphilis
; 3 de congestion pulmonaire ; 4 de cachexie ; 6
tisme céphalique ; pas de dartres ni de mala- dies de peau ; pas de
syphilis
. Caractère calme, mais cause peu. - [Père, mort
nt 15 mois. Boitait, à la suite d'un traumatisme. Ni alcoolisme, ni
syphilis
. Mère, 78 ans, bien portante, pas nerveuse, mai
a famille.] Mère, 28 ans, ménagère, ni convulsions, ni indices de
syphilis
; rhumatisante, cardiaque, nerveuse, sans migraine
corps et de la langue ; ni convulsions, ni migraines, ni indices de
syphilis
; poussées d'eczéma; otite double. Fume beaucoup
es frontales n'ayant pas le caractère des migraines ; nul indice de
syphilis
; mariée il 21 ans. - [Père, aucun détail, ni s
u de maladie nerveuse, caractère calme, non impressionnable, pas de
syphilis
, ni d'affections cutanées, pas d'excès de boiss
t parfois, cela dure un jour et disparaît après le sommeil ; pas de
syphilis
, ni aucune autre maladie. Elle a eu le ver soli
suivis d'acci- dents vénériens; mais il ne parait pas avoir eu la
syphilis
. Nous n'en avons jamais observé de manifes- tat
nes. La fausse couche ne nousparaît pas devoir être rattachée il la
syphilis
; la chutesignalée est suffisante pour l'expliq
ot. Père excès de en bâtiments. N. m., née à 8 mois, idio- boisson;
syphilis
. te. Mère syphilis. RedI............. Peintre
n bâtiments. N. m., née à 8 mois, idio- boisson; syphilis. te. Mère
syphilis
. RedI............. Peintre » 5 morte a 3 ans 1/
chétive. Père alcoolique, méningite. 1 garçon 5 ans 1/2, bien por-
syphilis
probable. tant. N. m., arriération mentale.
............ Peintre » 2 1 fausse couche à 3 mois. N. m., idiot. Mère
syphilis
. en bâtiments. Duv............ Mouleur » 8 i
le père et la mère ; — 2° que 4 mères et 4 pères étaient atteints de
syphilis
. — Ces statisti-ques portent sur 3.271 observatio
e boisson (soit 60 °/0) ; que une mère et un père étaient atteints de
syphilis
, et que un père et une mère étaient épileptiques
hoïde (délire, mémoi-inlècédenls \ rc'' chori5e rhumatismes, dartres,
syphilis
(I), , alcool, tabac, thé, café, cocaïne ou autre
enfant indique ses besoins. Alcoolisme de la nourrice ; grossesse ;
syphilis
. Accidents nerveux, Son mari, ses père et mère bu
ctylie, palmature). Thorax : forme, volume, saillies (rachitisme ou
syphilis
) ; inégalité des deux moitiés ; forme de la respi
. Il n'a pas eu de convul- sions ; marié à 23 ans; pas d'indices de
syphilis
. - [Père, mort it 7'1 ans, subitement, d'une ma
emblable. De plus, si nous pouvons à peu près affirmer l'absence de
syphilis
et l'absence de trauma- tisme obstétrical, nous
aignait souvent de céphalalgies ; fièvre typhoïde à 35 ans ; pas de
syphilis
. Ethylique, il buvait plusieurs litres de vin d
es, pas de Antécédents héréditaires. 69 convulsions, d'indices de
syphilis
. En 189 ? il la suite de chagrins, de revers, l
six ans, planteur, grand, brun, pas de convulsions ni diathèses, ni
syphilis
, ni migraine, sobre, caractère doux. Durant six m
s de typhoïde, pas de rhumatismes, pas de dartres, pas d'indices de
syphilis
, boit bien mais ne s'enivre jamais, pas fumeur,
èvre typhoïde, pas de rhumatismes, pas de dartres, pas d'indices de
syphilis
, pas de chorée, sobre, pas de traumatismes céph
ue présentent des traces de rachitisme surtout visibles la base. La
syphilis
existe aussi exerçant un effet particulier sur
omme de tlellte-neuf ans. Deux ans auparavant il avait contracté la
syphilis
et au moment de son eiiiiée il avait un ulcère
fibres anato- miques destinées aux deux moitiés du corps. Enfin la
syphilis
se trouve relevée chez deux de ces malades : ma
la pellagre, à l'alcoolisme, au saturnisme, à J'hydrargirisme, à la
syphilis
et il des auto-intoxications issues du diabète,
second ca., concerne un fonctionnaire de trente-six ans. Atteint de
syphilis
il y a huit ans, il présente, depuis cinq années,
là. DES CENTRES TROPHIQUES DE la MOELLE 163 Cependant il a eu la
syphilis
, il y a vingt-cinq ans. Il prétend s'être bien
lgurantes du tabès vrai. Joignez à cela que le malade a eu jadis la
syphilis
et nul ne conteste l'influence prédisposante de
e bonne jusqu'à il y a trois ans, époque à laquelle il contracta la
syphilis
. A Noël 1883, il observa qu'il avait une certai
danse de Saint Guy. P. KERAVAL. XII. Contribution A l'étude DE la
SYPHILIS
CÉRÉBRO-SPINALE congénitale; par E. SIElIERLI1'
le tabes, la paralysie générale, l'acromé- galie, le saturnisme, la
syphilis
. P. B. XXI. Observation DE CÉCIfÉ psychique. -
uement. Mais alors la tuberculose- il ne faut point songer ici à la
syphilis
serait-elle donc en jeu ? Eh bien, non. Pour éc
éveloppé. Les antécédents héréditaires ne sont point connus. Pas de
syphilis
. La démarche est celle d'un parétique. Les réfl
ments, SI ont eu sûrement la 483 U-) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
syphilis
, 53 l'ont eue selon toutes probabilités. Sur 24 p
indemnes de lésions médullaires; 62 p. 100 avaient eu sûrement - la
syphilis
: Ce nombre se décompose lui-même en : lésions co
0 des paralytiques avec lésion des cor- dons postérieurs avaient la
syphilis
sûrement; 50 p. 100 des para- lytiques avec lés
Swnonr nr\Vcuen, hystérie sinno- latrice du- , par Cliarcot, 321.
Syphilis
cérébro-spinale congénitale, par Siemerliaô, 26
IV. Imbécillité prononcée, d'origine congénitale. Sommaire. Pè7'e,
syphilis
en 1873 marié en 181 (i ; quelques excès de boi
amais eu de convulsions ; pas de chorée, ni de rhu- matismes, ni de
syphilis
( ? ). Avant la naissance de l'enfant 92 Imbéci
typhoïde, de chorée, de migraines, de rhumatismes, de dartres ni de
syphilis
; il a eu de l'acné rosacea au visage. A 28 ans,
cès ASPHYXIÉ PAR UN CORPS ÉTRANGER DE LA TRACHÉE. Sommaire. Père,
syphilis
à 19 c12s. Jlè1'e, migraineuse aliénation menta
; ni lièvre typhoïde, ni chorée, ni migraines, ni maladies de peau.
Syphilis
a 19 ans, sans accidents secondaires après 2 mo
éjour de deux semaines au lit. Aucun autre antécédent mor- bide, ni
syphilis
, ni dermatose, ni trouble nerveux quelconque; r
eu d'accidents nerveux, ni arthritiques. Pas de der- matoses, ni de
syphilis
probable. Il boit plusieurs absinthes par jour,
tion, n'ajamais eu de mala- die grave, il ne parait pas avoir eu la
syphilis
; il a le visage couvert d'acné. Jusqu'à l'époq
algies. - Cousin maternel, épilep- tique. Peur durant la grossesse.
Syphilis
vaccinale probable. Jamais de convulsions. - Fu
e, a toujours joui relativement d'une bonne santé. Il n'a pas eu la
syphilis
. Alcoolique, absinthique, il a dû se corriger r
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