/ 185
1 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
les bandelettes postéro-latérales. — Rapport entre les lésions et les symptômes . — Mode de propa-gation de la sclérose. — Faiscea
du système nerveux ou périphérique il fallait rattacher l'ensemble de symptômes que ces mots désignent. Les uns incriminaient le
nts de sclé-rose dans une grande partie de leur étendue, sans que les symptômes de l'ataxie en soient la conséquence ; 2° Certa
ns une hauteur variable et produire accidentellement quelques-uns des symptômes de l'ataxie que j'appellerais vo-lontiers symptôm
quelques-uns des symptômes de l'ataxie que j'appellerais vo-lontiers symptômes tabétiques ; mais ce n'est pas là véritable-ment
trice progressive. 3° En effet, celle-ci évolue avec un appareil de symptômes se succédant dans un ordre déterminé, toujours le
'est une maladie à part, autonome. La lésion à laquelle sont liés les symptômes occupe, en réalité, les cordons postérieurs, mais
ent Monod et Ollivier (d'Angers) ; mais, dans ces communications, les symptômes ne pouvaient être mis en regard des lésions ; aus
qu a titre de curiosités anatomiques. Ce n'est que plus tard, qu'aux symptômes de l'ataxie, définitivement coordonnés par M. Du-
ans l'ataxie sont plus prononcées à la région cervicale lorsque les symptômes prédominent aux: membres supérieurs, et à la régi
s départements, se traduit chaque fois par un ensemble particulier de symptômes ; mais elle devait encore, de nos jours, avec l'a
ssi délicate des observations recueillies avec soin, où l'analyse des symptômes se montrera d'autant plus complète, d'autant plus
a pas pour effet, à moins le circonstances spéciales, de produire les symptômes de ,'ataxie (incoordination motrice et douleurs f
oll doivent être exclus de toute participation dans la production des symptômes essentiels. (Fig. 1, 2, 3, 4, a, a ; voyez aussi
s les cas où, pendant la vie, les membres supérieurs ont présenté les symptômes tabétiques. Ils n'existent qu'à droite, ou prédom
Ils n'existent qu'à droite, ou prédominent de ce côté, selon que ces symptômes n'ont affecté que le membre supérieur droit ou s'
ontrés plus accusés qu'à l'autre membre. C'était Finverse lorsque les symptômes avaient prédominé, au contraire, dans le membre g
indem-nes, les tractus ont fait complètement défaut. La présence des symptômes tabétiques semble donc, vous le voyez, intimement
des cordons de Goll fût absente au ren-flement brachial, bien que les symptômes d'ataxie eussent occupé les membres supérieurs. C
rdons de Goll ne saurait réclamer aucun rôle dans la production des symptômes tabétiques. Quelle peut donc être la raison de l'
rs, ou sclérose des bandelettes externes tient sous sa dépendance les symptômes tabétiques ; de même que la première, elle peut ê
r qu'à l'aide d'observations très nom-breuses, très variées quant aux symptômes ,, et recueillies aux diverses époques de la malad
t à déterminer, du même coup, les di-verses régions d'où dérivent les symptômes qui apparaissent successivement. Yoici les quelqu
t atrophiés en grand nombre dans les racines postérieu-res. Enfin les symptômes parétiques ou paralytiques, avec ou sans contract
pe des cellules nerveuses multipolaires des cornes antérieures. — Des symptômes récurrents ou rétrogrades. — Sclérose des faiscea
inées, la paralysie générale progressive et l'alcoolisme chronique. — Symptômes viscéraux : douleurs vesicales, uréthrales; ténes
u'au voisinage du bulbe ; et cependant, dans les cas de ce genre, les symptômes ataxiques font absolument dé-faut dans les membre
uelques mots de ce qu'on pourrait appeler, en pathologie spinale, les symptômes récurrents ou rétrogrades, symptômes bien connus
eler, en pathologie spinale, les symptômes récurrents ou rétrogrades, symptômes bien connus de Marshall Hall, qui les rattachait,
a paralysie des membres inférieurs que celle-ci détermine, tantôt des symptômes ataxi-ques, tantôt une paralysie plus ou moins pr
il paraît bien difficile d'expliquer, par une action de ce genre, des symptômes permanents tels que sont, soit l'ataxie, soit la
qu'elle occupe le renflement cervical, de déterminer l'apparition des symptômes tabétiques dans les membres supérieurs. Mais une
dante reste le plus souvent rudimentaire, et ne détermine alors aucun symptôme ; mais elle peut, dans certains cas, s'accuser à
des membres supérieurs, tôt ou tard suivie d'une contracture, est un symptôme lié à la sclérose fasciculée latérale occupant le
ns la maladie, le fond anatomo-pathologique. K elle se rattachent les symptômes dits spinaux, qui constituent, sans contredit, un
un ensemble de phénomènes, qu'on a coutume de désigner sous le nom de symptômes cephaliques, et qui ont pour point de départ une
distinguer, dans la description clinique des deux affections : 1° des symptômes spinaux ; 2° des symptômes cephaliques. — La sclé
tion clinique des deux affections : 1° des symptômes spinaux ; 2° des symptômes cephaliques. — La sclérose en plaques, de même qu
ppellation est peut-être mal choisie, car, déjà, lorsque les premiers symptômes apparaissent, la lésion est constituée, visible.
, dans cette période, est représentée cliniquement par deux ordres de symptômes qui coexistent dans les cas complets et se montre
as imparfaits, frustes, ainsi qu'on les nomme encore. Ce sont: Io Les symptômes céphaliques (paralysie d'un nerf moteur avec tout
c toutes ses conséquences, amblyopie plus ou moins mar-quée) ; 2° Les symptômes spinaux représentés, à cette époque, par les doul
ination motrice, le tableau clinique se compose, en premier lieu, des symptômes de la première période, en proportion variée ; ai
es symptômes de la première période, en proportion variée ; ainsi les symptômes céphaliques persistent et peuvent se montrer aggr
sont devenues plus intenses. Mais, et c'est là le point capital, les symptômes spinaux ont subi une modification impor-tante.
oordination tabétique des mouvements volontaires. En quoi consiste ce symptôme ? Vous savez que les membres inférieurs ayant con
ation de période paralytique. En même temps que la plupart des autres symptômes s'aggravent et que les membres supérieurs, libres
es maigrissent et il est fort commun de voir chez eux se déclarer des symptômes de phtisie. D'autres fois, la nutrition est attei
du mouvement : il se produit une tendance aux eschares sacrées ; les symptômes de la cystite ulcéreuse apparaissent. Tel est,
ons nous efforcer de vous montrer que les douleurs fulgurantes et les symptômes céphaliques peuvent se présen-ter et se présenten
rantes, réservant, pour une époque prochaine, l'examen approfondi des symptômes céphaliques. Il suffira, pour faire ressortir l'i
ues dissé-minées. Il n'est pas rare que, dans cette affection, divers symptômes tabétiques, et en particulier les douleurs fulgu-
en particulier les douleurs fulgu-rantes, viennent se surajouter aux symptômes propres. J'ai constaté plusieurs fois, en pareill
sulté, il y a quelques années, par deux malades accusant une foule de symptômes nerveux bizarres, que je croyais pouvoir rattache
l'ataxie locomo-trice. Ils ont tous deux présenté ultérieurement les symptômes de la paralysie générale progressive. Je ne doute
gurantes constituaient à peu près seules toute la maladie. Quelques symptômes signalés dans le tableau clinique de l'alcoolisme
e et dont le départ sera toujours fait aisément, en tenant compte des symptômes concomitants, les douleurs fulgurantes pour-ront
tô-mes qui, comme celles-ci, ont un caractère spécial ; tels sont les symptômes dits céphaliques de l'ataxie, dont il sera bientô
xie, dont il sera bientôt question ; tels sont encore quelques autres symptômes moins remarqués, quoique assez fréquents néanmoin
ue assez fréquents néanmoins, qu'on pour-rait désigner sous le nom de symptômes viscéraux, parce qu'ils témoignent évidemment d
on des nerfs viscéraux thoraciques et abdominaux. Dans ce groupe de symptômes viscéraux, je signalerai tout d'abord les douleur
rs fulgu-rantes vint éclairer la situation. VII. Mais de tous les symptômes viscéraux qui peuvent se montrer dès la période d
l'occasion d'erreurs graves dans le dia-gnostic. Ce n'est pas là un symptôme rare ; aussi n'est-il pas resté complètement inap
je me suis efforcé de faire ressortir l'importance que j'attache à ce symptôme , et M. P. Dubois, un de mes audi-teurs, a consign
ts, avait signalé la relation qui lui semblait exister entre certains symptômes gastriques et une affection de la moelle qui se r
l'a-taxie locomotrice progressive. Nous retrouverons d'ailleurs des symptômes gastriques au moins fort analogues à ceux sur les
adies de l'estomac, même les plus récents. Maintes fois, j'ai vu ce symptôme détourner l'attention du médecin, et lui faire mé
riques ont disparu ; mais le malade souffre aujourd'hui de tous les symptômes de l'ataxie locomotrice la mieux caractérisée.
manifestée chez lui que quelques mois plus tard. Tout cet ensemble de symptômes — crises gastriques, douleurs fulgurantes, arthro
, — revêt un cachet presque spé-cifique, sitôt que l'on considère ces symptômes sous leur véri-table jour. J'ai encore vu les c
luxation de la han-che gauche (arthropathie des ataxiques). Quelques symptômes d'incoordination motrice existent depuis un an à
d'hui. TROISIÈME LEGÓN o De l'amaurose tabétique. Sommaire. — Symptômes céphaliques dans l'ataxie locomotrice. — Lésions
e et la paralysie générale. De la neuro-rétinite. — Ses formes, ses symptômes . — Différences qui la séparent de l'amaurose tabé
xposer aujourd'hui, devant vous, quel-ques points relatifs à ceux des symptômes de l'ataxie que nous avons désignés sous le nom d
ceux des symptômes de l'ataxie que nous avons désignés sous le nom de symptômes céphaliques. Ces symptômes répondent à des lésion
xie que nous avons désignés sous le nom de symptômes céphaliques. Ces symptômes répondent à des lésions variées des nerfs crânien
se et la cinquième paire ne sont pas eux-mêmes toujours indemnes. Les symptômes qui répondent à ces lésions se traduisent, pour l
niers cas, malgré quelques traits de ressemblance, les lésions et les symptômes diffèrent d'une manière essentielle de ce qu'ils
ssaierai de vous démontrer que l'ataxie peut se présenter entourée de symptômes que reproduisent cer-taines lésions encéphaliques
l'ataxie peut, dans un certain nombre de cas précéder tous les autres symptômes et composer à elle seule, parfois pendant de long
que, offrent tôt ou tard, après leur entrée dans l'établissement, des symptômes plus ou moins manifestes d'ataxie. J'ai insisté s
a maladie, depuis ce temps, est restée à peu près stationnaire. Les symptômes d'incoordination motrice ont cependant com-mencé
, contribuer puissamment à établir le diagnostic, dans les cas où les symptômes ophtal-moscopiques sont peu accentués, en donnant
s pu-pilles se montrent au contraire dilatées. Nous devons citer un symptôme qui, suivant quelques au-teurs (Galezowski, Bened
culaire. Si l'on fait abstraction des douleurs de tête, qui sont un symptôme assez banal, les phénomènes qui viennent d'être s
ses affections , me proposant d'attirer toute votre attention sur les symptômes objectifs que produit l'altération du nerf optiqu
t à l'existence de tumeurs intra-erâniennes. — Selon de Graefe, les symptômes qui la caractérisent résulteraient de l'exagérati
époque. Cet ensem-ble de phénomènes est déjà très frappant ; mais les symptômes fonctionnels, eux aussi, méritent d'être consulté
ces caractères ; ils peuvent tromper. Et, de fait, la combinaison des symptômes était telle chez nos deux malades, que la perplex
ue ne le seraient de longs commentaires. Le nommée Deg... offre les symptômes suivants : céphalal-gie intense, rémittente, siég
ations douloureuses dans tous les membres, reve-nant par accès. Les symptômes observés chezLer... exigent plus de détails. Nous
es. — Envies fréquentes d'u-riner ; — Satyriasis ; — Ténesmerectal. — Symptômes oculo-pupillaires. — Accélération permanente et d
tique important que joue ce phénomène lorsqu'il se combine à certains symptômes céphaliques, tels que la céphalalgie et l'amauros
nsistait Trousseau et qui n'a guère été signalé que chez l'homme. Les symptômes qui le caractérisent consistent en érections fréq
squels le grand sympathique est clairement en jeu; je veux parler des symptômes oculo-pupillaires, mention-nés pour la première f
ce. tismales, et j'insiste sur ce point, — se présentent avec leurs symptômes habituels. L'arthropathie des ataxiques évolue, a
offre pour la majeure partie une consistance dure et dans lequel les symptômes ordinaires de l'œdème ne sont pas d'habitude très
ent ni de fièvre, ni de douleurs ; ce n'est que par exception que ces symptômes sont consignés dans les observations. Au bout d
rticulaire. 7° Ajoutons enûn, comme dernier trait, que les premiers symptômes de l'arthropathie des ataxiques apparaissent tout
videmment non, car l'ar-thrite peut avoir été, pendant la vie, un des symptômes du VI. Malgré les caractères anatomiques qui
constan-ces, une affection articulaire relevant évidemment à titre de symptôme de la lésion de ce département des centres nerveu
tablir que la moelle est, dans ces circonstances, le grand moteur des symptômes ? \J arthropathie des ataxiques serait, à l'éta
des fibres nerveuses dans la moelle, constituent souvent les premiers symptômes qui frap-pent l'attention du médecin et, la paral
et celles qui suivront. Tou-tefois, avant de vous faire connaître les symptômes particuliers qui la révèlent durant la vie, il me
de ces tumeurs, se traduisent né-cessairement, dès l'origine, par des symptômes en rapport pénétrer certains produits pathologi
nne, leur volume est rarement assez con-sidérable pour déterminer des symptômes de compression ; mais, dans le canal rachidien, a
oins considérables et qui se seront traduites, durant la vie, par des symptômes propres : c'est là une notion que nous utiliseron
ications anatomiques dans les cas qui se terminent par la guérison. — Symptômes . — Des pseudo-névral-gies. — De la paraplégie dou
— Régénération des tubes nerveux au niveau du point com-primé . Des symptômes . — Symptômes extrinsèques, symptômes intrinsèques
n des tubes nerveux au niveau du point com-primé . Des symptômes. — Symptômes extrinsèques, symptômes intrinsèques. — Anatomie
iveau du point com-primé . Des symptômes. — Symptômes extrinsèques, symptômes intrinsèques. — Anatomie topographique de la régi
intrinsèques. — Anatomie topographique de la région vertébrale. Des symptômes extrinsèques: pseudo-névralgies. — Des pseudo-név
ervicale. La réduction fut opérée et, au bout de huit jours, tous les symptômes de compression s'étaient dissipés. — Le second ca
tteint de mal de Pott et chez lequel se manifestèrent tout à coup les symptômes de compression marqués par une paraplégie com-plè
eut-être, dans les conditions où nous l'observons, alors même que les symptômes qui ne permettent pas de douter de l'existence d'
r- III. Nous sommes maintenant en mesure d'étudier avec fruit les symptômes qui résultent de la compression lente de la moell
té se présente, pour nous, d'établir une distinction impor-tante. Les symptômes , qui se rattachent directement aux effets de l'in
ons. IV. Nous désignerons, pour plus de commodité, sous le nom de symptômes extrinsèques, les phénomènes qui s'entremêlent av
de symptômes extrinsèques, les phénomènes qui s'entremêlent avec les symptômes particuliers de la compression spinale. A ces der
tout d'abord des premiers. Afin de faciliter la connaissance de ces symptômes extrinsè-ques et pour mieux comprendre leur raiso
r le fait de la compression que dérivent les plus intéressants de ces symptômes extrinsè-ques qui s'offrent à notre étude. V.
de l'irritation des os ou de celle des mé-ninges, — c'est surtout aux symptômes résultant de l'irrita-rion des racines ou des ner
M. Cruveilhier a-t-il pu dire avec raison que la douleur vive est un symptôme des lésions extra-spinales et qui fait défaut dan
là un fait ca-ractéristique. D'après ce qui précède, Messieurs, ces symptômes devan-cent toujours — notez ce point, parce qu'il
z ce point, parce qu'il ne manque pas d'importance — l'apparition des symptômes intrinsèques, de telle sorte que souvent, pendant
difficultés du diagnostic de la carie vertébrale à ses débuts. Les symptômes dus à l'irritation des racines nerveuses ou des n
VI. On désigne communément sous le nom de pseudo-névral-giquesles symptômes en question ; mais, en réalité, il s'agit là, pre
et montrer l'intérêt qui s'attache dans la clinique à l'étude de ces symptômes . Nous les exami-nerons successivement dans les tr
né-vralgique précède, ici, comme c'est la règle, le développement des symptômes myélitiques proprement dits. Les nerfs voi-sins d
ain temps avant d'être irritée et de manifester sa souffrance par des symptômes propres, tandis que lesnerfs, eux, semblent répon
re du renflement cervical. Pendant trois mois, on n'observa pour tout symptôme que des douleurs s'irradiant dans le bras, la mai
leur irradiée. Ce qui est important, c'est que, à un moment donné, le symptôme en question, bien et dûment constaté parmi les pr
, sciatique, précède souvent de longtemps la première appa-rition des symptômes spinaux proprement dits. Les accidents qu'entra
ent du mécanisme de la lésion, non plus que du mode de production des symptômes qu'elle détermine. Ici, plus qu'ailleurs, la di
eurs, la distinction entre les phénomènes pseudo-névralgiques, et les symptômes de compression spinale lente est de la plus haute
aissement vertébral peut d'ailleurs exister seul ou s'accompagner des symptômes ordinaires de compression de la moelle ; mais, je
es la lésion organique en question existait avec tout l'en-semble des symptômes caractéristiques sans aucune participa-tion de la
eurs auteurs. VIII. Il s'agit actuellement de faire connaître les symptômes sur lesquels j'ai voulu appeler tout particulière
esquels j'ai voulu appeler tout particulièrement votre attention. Ces symptômes , j'ai proposé de les réunir sous le nom de parapl
se, je l'ai empruntée à M. Cruveilhier qui a bien reconnu ce genre de symptômes sans en entrevoir, tou-tefois, l'interprétation 2
dans un instant, eh bien, il y a lieu de relever, en pareil cas, les symptômes suivants : Des douleurs vives existent : les un
tuation et que, d'ailleurs, ils s'observent fréquemment. Ces divers symptômes , Messieurs, peuvent être, pendant de longs mois,
longs mois, la seule révélation du mal vertébral cancéreux; mais les symptômes de la paralysie par compression de la moelle pour
es moitiés latérales du cordon nerveux. Premier cas: Succession des symptômes . — Prédominance, an début, des troubles moteurs :
la compression spinale. Celle-ci 's'est traduite cliniquement par des symptômes de paralysie qui, pendant plusieurs mois, comme c
e nos conférences. Il s'agit, vous le savez, de faire connaître les symptômes qui relèvent directement de la compression lente
puis quelques semaines, quelquefois depuis plus longtemps encore, les symptômes dits extrinsèques, et parmi eux les dou-leurs pse
centre nerveux n'a pas encore manifesté sa souffrance. Quels sont les symptômes qui vont inaugurer la série des accidents nouveau
pas sans quelque intérêt. En effet, l'existence, à titre de premier symptôme , de four-millements, de picotements, de sensation
élu domi-cile dans ses faisceaux. Ce sont là, en somme, les premiers symptômes qu'on puisse rapporter à la myélite descendante d
encore, chercher là un caractère dis-tinctif absolu. D'ailleurs, ces symptômes , et j'insiste sur cette réserve, ne s'observent
la partie supérieure du renflement brachial, par exemple, ce sont les symptômes de Y hémiplégie spinale proprement dite qu'on aur
points non encore déterminés de la substance grise, on peut voir les symptômes d'hémiplégie spinale se compliquer de divers autr
la compression lente de la moelle épinière. — Paraplégie cervicale. — Symptômes particuliers. -Pouls lent permanent. Sommaire.
cause d'une troisième forme de la paraplégie cervicale. De quelques symptômes particuliers de la compression lente de la moelle
subite par rupture du ligament transverse de l'apophyse odon-toïde. Symptômes qui accompagnent les lésions du renflement lombai
hérique et qui se traduira à peu près, Messieurs, par l'en-semble des symptômes suivants : A l'origine, une douleur vive occupe
cs, soit aux régions postérieures de la substance grise, l'aspect des symptômes se montrerait nécessairement plus ou moins profon
due au membre supérieur gauche. Deux mois après le début des premiers symptômes , les membres paralysés, profondément amaigris, pe
e vous présenter quelques re-marques relatives à un certain nombre de symptômes qui se manifestent parfois, en conséquence des lé
soit de la partie supérieure de la région dorsale de la moelle. Les symptômes en question méritent d'autant mieux de nous arrêt
régions supérieures de la moelle épinière, peuvent exister à titre de symptômes isolés, longtemps avant l'apparition de la parapl
ns ces organes, il n'existait de traces d'une lésion ancienne \ Des symptômes fort analogues, sous tous les rapports, à ceux qu
elquefois aux premiers effets de la compression spinale cervicale. Ce symptôme s'est mon-tré très accentué dans un cas où il s'a
s, très persistants, sont, en dehors de toute commotion cérébrale, un symptôme immédiat assez fréquemment lié aux lésions spinal
caractères de la syncope; tantôt ils participent à la fois, quant aux symptômes , de la syncope et de l'état apoplectique ; il est
tion digne d'être notée. L'auteur n'hésite pas à rattacher tous les symptômes relevés dans son intéressante observation — pouls
ante observation — pouls lent permanent, crises syncopales suivies de symptômes apoplecliformes et épi-leptiformes, — aux effets
la diphté-rie. Il y a lieu de croire, d'après ce qui précède, que ces symptômes qu'on s'efforce toujours de rattacher soit à une
pinale lente, il me reste à vous dire quelques mots rela-tivement aux symptômes particuliers qui s'observent lorsque la lésion po
urs 2. Ici s'arrêteront, Messieurs, les développements relatifs aux symptômes des compressions spinales. Si le temps me l'eût p
sie spinale infantile.— Elle sera considérée comme maladie d'éludé. — Symptômes : période d'invasion, ses modes; — seconde période
: période d'invasion, ses modes; — seconde période ou ré-gression des symptômes avec localisation des lésions musculaires (Atroph
tracture permanente qui s'y surajoute — et qui constitue aussi un des symptômes des maladies scléreuses des cordons blancs antéro
ns un certain nombre de muscles ou groupes de muscles, est le premier symptôme que l'observation fasse reconnaître. Le muscle es
system of medicine, p. 169. Je vais rapporter en quelques mots les symptômes qui ca-ractérisent cette affection et, pour plus
èvre intense, avec ou sans accompagnement de convulsions, ou d'autres symptômes cérébraux et quelquefois de contrac-tures passagè
peut, paraît-il, faire absolument défaut '. Quoi qu'il en soit, les symptômes paralytiques s'accusent d'emblée, du jour au lend
'origine, ils ont ac-quis leur summum d'extension et d'intensité. Ces symptômes paralytiques offrent de grandes variétés de siège
trophiques cutanés. Deuxième période. Messieurs, la régression des symptômes , dont nous venons de vous entretenir, inaugure la
dans la paralysie infantile spi-nale et cïoù dérivent les principaux symptômes de la mala-die, en particulier la paralysie ainsi
int de départ du processus in-flammatoire. Il me reste à mettre les symptômes en présence des lésions et à rechercher comment c
d'escarres. Yers le milieu du troisième mois, la rétrogression des symptômes paralytiques commença à s'accuser. En premier l
fébrile, assez violent dès l'abord, et qui, bientôt, s'accompagna de symptômes tels qu'on put croire à l'invasion d'un fièvre ty
du rectum, d'escarres sacrées. J'émis l'opinion que l'ensemble de ces symptômes positifs ou négatifs permet-tait de rapprocher le
de cette affection, je crus pouvoir avan-cer que la rétrocession des symptômes , déjà ébauchée aux membres supérieurs, s'y accuse
Si l'on compare, d'ailleurs, les deux affections sous le rapport des symptômes locaux, on remarquera que plusieurs leur sont com
communs. D'autres n'appartiennent qu'à la myélite aiguë diffuse. Les symptômes communs sont: la paralysie motrice avec flaccidit
ndent de l'altération des cornes grises anté-rieures. Par contre, les symptômes nouveaux surajoutés, n'appartenant qu'à la myélit
essive spinale protopathique en particu-lier. (Type Duchenne-Aran). — Symptômes : atrophie individuelle des muscles, troubles fonc
d'une analogie, des dif-férences considérables dans la succession des symptômes . A. Vous vous souvenez sans doute, Messieurs, q
développe sous cette double influence ; elle se montre combinée à des symptômes particu-liers qui relèvent à la fois de la lésion
stance grise, dans la région cervicale, ont été le point de départ de symptômes d'amyotrophie progressive 2. 5° Nous devons cit
atteinte ; il est pos-sible que cela arrive néanmoins, et alors, aux symptôme déjà si variés de l'induration mulliloculaire des
t sur les cellules nerveuses de la région, en conséquence de quoi les symptômes amyotrophiques se surajoutent à ceux qui relèvent
chez des sujets sains. Elles constituent parfois, dans ce cas, un des symptômes d'une forme particulière d'hypochondrie, assez fr
e. e) Je dois signaler, mais pour les écarter du tableau, d'au-tres symptômes qu'à mon sens on a compris à tort dans la descrip
la sclérose latérale amyotrophique. B. Après cette énumération des symptômes qui s'observent sur chacun des muscles malades, c
courbures de compensa-tion dans le reste de la colonne rachidienne. — Symptômes de paralysie labio-glosso-laryngée avec atrophie
ce de l'atrophie des masses musculaires et masquer ainsi le principal symptôme de la maladie. Telles sont, Messieurs, les alté
forme pathologique sur laquelle je veux appeler votre attention. Les symptômes d'a-myotrophie progressive se trouvent alors asso
phique, il est dans notre plan de vous faire connaître les principaux symptômes qui la révèlent pendant la vie, dans le but de re
ant que possible, le lien physiologi-que qui rattache les lésions aux symptômes , On peut avancer, d'une manière très générale,
ux symptômes, On peut avancer, d'une manière très générale, que les symptômes auxquels je fais allusion sont de deux ordres: le
érale amyotrophique de l'atrophie musculaire spinale protopathique. Symptômes communs aux deux affections : amyotrophic progres
ractions fibrillaires, conservation de la contractilité électrique. Symptômes propres à la sclérose latérale amyotrophique. — P
re des lèvres, etc. — Troubles graves de la respiration. Résumé des symptômes . — Pronostic. — Physiologie pathologique. I.
ellement d'animer le tableau en vous montrant quel est l'ensemble des symptômes qui, pendant la vie, se rattachent à ces lésions.
recueillies surtout au point de vue de l'anatomie pathologique *. Les symptômes néanmoins avaient presque toujours été relevés av
A ceux d'entre vous qui seraient désireux de constater de visu les symptômes de la sclérose latérale amyotrophique, j'annoncer
e malade a succombé depuis que cette leçon a été faite, à la suite de symptômes bulbaires. L'autopsie a été pratiquée par M. Vois
hute qu'il a faite deux ou trois mois avant l'apparition des premiers symptômes , chute qui a eu pour résultat immédiat une fractu
° Il est temps, Messieurs, d'en venir à l'analyse des symptô-mes. Ces symptômes sont de deux ordres : À. Les uns sont communs à
la dernière limite, [les muscles frappés d'atrophie. B. Les autres symptômes sont tout à fait étrangers à l'amyo-trophie spina
considère le mode de répartition, d'enchaînement et d'évolu-tion des symptômes . a) La maladie débute, dans la grande majorité
phénomène transitoire, se transforme, au bout de peu de temps, en un symptôme per-manent. La rigidité musculaire persiste alors
arition des phénomènes bulbaires. Y. L'apparition de ces derniers symptômes est en quelque sorte obligatoire ; elle n'a jamai
mettre tout à fait une des parties les plus curieuses du tableau, les symptômes suivants : 1° La paralysie de la langue amenant
la face. Les sillons naso-labiaux sont très accentués. Ces différents symptômes donnent à la physionomie un air pleurard. La bouc
que, en peu de temps, la station et la marche sont impossibles. A ces symptômes se joint une rigidité spasmodique, d'abord inter-
rres. 3° Une troisième période est constituée par l'aggravation des symptômes précédents et par l'apparition des symptômes bulb
ée par l'aggravation des symptômes précédents et par l'apparition des symptômes bulbaires. Ces trois phases se succèdent dans u
ns un court espace de temps. Six mois, un an après le début, tous les symptômes se sont accumulés et plus, ou moins fortement acc
rt ar- rive au bout de deux ou trois ans en moyenne par le fait des symptômes bulbaires. Telle est la règle ; mais il y a, bi
sous forme hémiplégique. Enfin, dans deux cas, elle a débuté par les symptômes bulbaires. Mais ce ne sont là, je le répète, que
t là, je le répète, que des modifications accessoires. L'ensemble des symptômes caractéristiques ne manque pas d'être bientôt con
Il n'existe pas, que je sache, un exemple d'un cas où l'ensemble des symptômes que je viens d'indiquer ayant existé, la gué-riso
VI. Il me reste, Messieurs, à rapprocher maintenant les lésions des symptômes et à rechercher, dans un court essai de physio-lo
rties correspondantes de la substance grise. après l'apparition des symptômes parétiques. Il n'en est pas de même pour le systè
es méninges ; — de la moelle épinière ; — des nerfs périphéri-ques. — Symptômes : Période douloureuse (douleur-» cervicales, rigi
rvice une femme qui, après avoir offert, pendant S ou 6 ans, tous les symptômes qui caractérisent la pachyméningite cervicale et
stances dont il y aura lieu de tenir compte pour l'interprétation des symptômes '. 1 La participation des racines postérieures
me temps qu'il s'y produit un certain degré saire à l'existence des symptômes de la période douloureuse. Cela est bien mis en é
térieures de la dure-mère, étaient épar-gnées et, en conséquence, les symptômes douloureux ont fait défaut (Bulletins de la Socié
du côté de la peau des éruptions huileuses et pemphlgoïdes. b) Les symptômes qui précèdent paraissent, vous l'avez compris, re
pachyméningite cervicale, rester en dehors du foyer morbide. A ces symptômes viennent se joindre des contractures qui s'empare
e, les deux affections dont il s'agit. C'est ainsi que l'ensemble des symptômes qui consti-tuent ce que j'appelé la période doulo
ie, 1. 111, 1870, p. 600. très particulier. Il faut ajouter que les symptômes de la sclé-rose postérieure tels que : douleurs f
utivement des altérations profondes1. Dans tous les cas connus, les symptômes qui se rattachent à la sclérose postérieure précè
s lequel l'amyotrophie se serait, au contraire, dévelop-pée avant les symptômes tabétiques. B. Je ne ferai que mentionner l'atr
que mentionner l'atrophie musculaire qui se surajoute quelquefois aux symptômes ordinaires de la sclérose en plaques. Elle survie
Enfin, — et c'est là un trait distinctif qu'il importe d'op-poser aux symptômes classiques de l'atrophie musculaire progressive,
fatale, se mani-festèrent, dans les membres inférieurs, les premiers symptômes de paralysie motrice. La paralysie s'aggrava prog
qu'il faut chercher le point de départ des lésions d'où dérivent les symptômes observés pendant la vie. Voici, concernant les
x plusieurs malades chez lesquelles vous pourrez étudier à loisir les symptômes d'une affection spinale particulière, foncièremen
ège. Il est certain également, à ne considérer même que la nature des symptômes , que celte lésion porte particulièrement son acti
s lesquelles la clinique avait, pendant la vie, révélé l'existence de symptômes qui paraissent aujourd'hui pouvoir se rattacher a
e vous présenter un tableau où je m'attacherai à mettre en relief les symptômes dominants et le mode usuel d'évolution du tabès s
dor-sal spasmodique. Ici, le premier et pendant quelque temps le seul symptôme consiste dans un état parétique, portant égale-me
tous leurs dé-tails 2. Cependant quelle que soit l'intensité de ces symptômes appartenant à la sphère motrice, la sensibilité r
sentiment de constriction dans les mem-bres, — ou tout au moins, ces symptômes , s'ils existent, se montrent si peu marqués qu'il
; — pas de douleurs fulgurantes ou terebrantes. D'un autre côté, les symptômes dits céphaliques font, eux aussi, complètement dé
e viennent se surajouter aux troubles de la sensibilité et aux autres symptômes dont nous donnions à l'instant l'énu-mération. C'
emières phases, persistent ou s'aggravent. On peut en dire autant des symptômes céphaliques, des troubles fonctionnels du rectum
eux ni troubles de la vision, ni strabisme, ni, en un mot, aucun des symptômes dits céphaliques. Les seuls troubles dans l'émiss
En premier lieu, je vous ferai remarquer qu'il n'est pas un seul des symptômes du tabès spasmodique qui lui appar-tienne réellem
époser un sédiment muco-purulent plus ou moins abondant. Les divers symptômes qui viennent d'être passés en revue, leur mode de
ion d'u-rines muco-purulentes, doivent être comptés surtout parmi les symptômes propres à accentuer la démarcation entre cette fo
douleurs se manifestent déjà à titre de prodromes, avant même que les symptômes parétiques se soient dessinés Si, au lieu de co
e, par l'apparition pour ainsi dire régulière, au der-nier lerme, des symptômes bulbaires. D'ailleurs, dans celte affection, ce s
rose multilocu-laire se présente avec tout l'appareil si original des symptômes spinaux, bulbaires et cérébraux qui la caractéris
'. Môme, en pareil cas, la coexistence actuelle ou passée de l'un des symptômes dits céphaliques, tels que lenystagmus, la diplop
ladie des voies urinaires précède l'invasion des accidents spinaux. — Symptômes : fourmillements, anesthésie, douleur dorso-lomba
flammation des nerfs à la moelle. Paraplégies urinaires réflexes. — Symptômes . — Interprétation de M. Brown-Séquard. — Expérien
in-flammatoire et qui, pendant la vie, se révèlent par l'ensemble des symptômes qui appartiennent à la myélite. 2° A un second
inférieurs, qu'une paralysie, dans l'acception littérale du mot. Les symptômes sont fugaces, sujets à des amendements et à des e
s, en dehors du phénomène parésie, on n'observe rien qui rappelle les symptômes graves, propres aux lésions spinales profondes et
e. Cette indication vous permet déjà de prévoir par quelle réunion de symptômes la maladie va s'ac-cuser. Toutefois, avant d'al
cinq, dix ans même. Ils éclatent à l'occasion d'une exacerbation des symptômes de la maladie primitive ou d'une complication ina
vèlent celle-ci, car ils ne sont autres, vous l'avez compris, que les symptômes appartenant à toute myélite transverse siégeant a
z fort probablement pas vu sou-vent l'analogue dans les hôpitaux. Les symptômes se présen-tent, ici, sous une forme très accentué
aigu, « les culbutes » sont immi-nentes. L'apparition constante des symptômes , dans les circonstan-ces qui viennent d'être indi
Une surdité complète, absolue, des deux oreil-les mit fin à tous les symptômes . Je puis citer aussi le cas d'une jeune personne
en de l'appareil auditif lui fait reconnaître toujours l'existence de symptômes locaux et accusant soit l'otite laby-rinthique id
gée au labyrinthe par la chaîne des osselets, suffit à déterminer les symptômes du vertige de Ménière. Pour ce qui est maintena
e, séparées par des intervalles de calme absolu, pendant lesquels les symptômes de la maladie locale, d'où ils dérivent, persiste
ivement et, à un moment donné, elle devient com-plète, absolue. Les symptômes vertigineux et les sifflements marchent pour ains
répétées trois ou quatre fois. A la suite de ce traitement, tous les symptômes se sont très manifeste-ment atténués *. rison o
remarquer que, chez G..., la mala-die est fort ancienne, les premiers symptômes remontent au-delà de dix années ; qu'il existe du
et l'hémianesthésie. — Siège des lésions auxquelles se rattachent ces symptômes : extrémité postérieure de la couche optique; — pa
t là, Messieurs, comme je le rappelais tout à l'heure, une réunion de symptômes que l'on a bien souvent l'occasion d'observer dan
La malade avait succombé trois semaines environ après l'invasion des symptômes apoplectiques. Une hémiplégie complète, absolue,
uit ici, soit l'hémichorée, soit l'hémianesthésie. Ces deux ordres de symptômes doivent être, vraisemblablement, ratta-chés l'un
devraient être cherchées les altérations délicates d'où déri-vent les symptômes de la chorée vulgaire. VINGTIÈME LEGÓN o De
ées, un certain degré d'obnubilation dans les idées, tels ont été les symptômes qui ont suivi cette seconde attaque et ont persis
côté droit, au voisi-nage de la commissure labiale, mais ces derniers symptômes ont été tout à fait passagers ; ils s'étaient com
de la con-sultation ; que deux mois après l'amendement dans tous les symptômes permanents, céphalalgie, parésie, dyspepsie, état
uent cliniquement restent sé-parés par des intervalles libres de tout symptôme permanent la substance grise cérébrale, au contac
nflure et l'engourdissement persistèrent pendant plu-sieurs mois. Ces symptômes étaient en voie d'amendement, lors-que, un matin
nnaître, — bien qu'ils n'aient pas été relevés par les auteurs, — les symptômes tabétiques et en particulier les accès de douleur
ile d'ajouter que le malade, âgé de 55 ans, n'avait jamais éprouvé de symptômes d'épilepsie. » En août 1876, M. Gharcot vit ave
un homme de 54 ans, atteint depuis un an d'accès épileptiformes et de symptômes laryngés. La présence d'un polype du larynx ayant
attaque. La perte de connaissance suit de très-près l'appari-tion des symptômes de Y aura laryngée ; elle est de courte durée ; q
ents. Ajoutons que sa subordination en quelque sorte nécessaire aux symptômes laryngés distinguerait le genre de « vertige qui
autre côté M. Char-cot a fait voir dans ses conférences, que tous les symptômes qu'il attribue au vertige laryngé se présentent q
omatique. La théorie pathogénique doit être réservée : sans doute les symptômes prémonitoires de l'attaque semblent désigner le l
La malade assurait toutefois avoir éprouvé, deux ans auparavant, des symptômes fort analogues aux symptômes actuels, mais qui, a
avoir éprouvé, deux ans auparavant, des symptômes fort analogues aux symptômes actuels, mais qui, au bout de très peu de temps,
atrophie musculaire progressive, dont elle avait éprouvé les premiers symptômes en 1862, à l'âge de 37 ans environ. L'histoire
cousses qui se sont produites dans les membres inférieurs. Ce dernier symptôme n'a évidemment que peu d'importance, car il s'est
ot), au mois de juin 1865, présentant déjà à un degré très marqué les symptômes d'une atrophie musculaire progres-sive, dont le d
dans une période d'arrêt, et l'on n'a remarqué aucune aggravation des symptômes depuis le mois de juin jusqu'au 11 septembre 1865
ement sous l'influence de la faradisation. Tel était le tableau des symptômes au mois de septembre 1865, un an après l'affectio
a-lade et elle passait des journées assise dans un fauteuil. Mais les symptômes s'étant aggravés subitement, elle est aujourd'hui
par J.-M. Gharcot. (Voyez Leçon XIII, p. 239). Par l'ensemble des symptômes , l'observation que je vais rapporter dans ses dét
i, fort souvent les aliments par le nez. Une exaspération de tous les symptômes se serait produite assez brus-quement, un mois en
ive généralisée qui, dans notre observation, se trouvait combinée aux symptômes de para-lysie labio-glosso-laryngée, eût pu passe
signalée par tous les observateurs, période dans la-quelle les seuls symptômes appréciables consistent dans l'af-faiblissement p
n fatale, se manifestèrent, dans les membres inférieurs, les premiers symptômes de pa-ralysie motrice. La paralysie s'aggrava pro
les bandelettes postéro-latérales. — Rapport entre les lésions et les symptômes . — Mode de pro-pagation de la sclérose.— Faisceau
pe des cellules nerveuses multipolaires des cornes antérieures. — Des symptômes récurrents ou rétrogrades. — Sclérose des faiscea
nées, la paralysie gé-nérale progressive et l'alcoolisme chronique. — Symptômes viscéraux : douleurs vesicales, uréthrales ; téne
me rectal. TROISIÈME LEÇON de l'amaurose tabétique. Sommaire. — Symptômes céphaliques dans l'ataxie locomotrice. — Lésions
e et la paralysie générale. De la neuro-rétinite. — ^es formes, ses symptômes . — Différences qui la séparent de l'amaurose tabé
ires. — Envies fréquentes d'uriner; — Satyriasis; — Ténesme rectal. — Symptômes oculo-pupillaires. — Accélération permanente et
— Régénération des tubes nerveux au niveau du point com-primé. Des symptômes . — Symptômes extrinsèques, symptômes intrinsèques
on des tubes nerveux au niveau du point com-primé. Des symptômes. — Symptômes extrinsèques, symptômes intrinsèques. — Anatomie
niveau du point com-primé. Des symptômes. — Symptômes extrinsèques, symptômes intrinsèques. — Anatomie topographique de la régi
intrinsèques. — Anatomie topographique de la région vertébrale. Des symptômes extrinsèques : pseudo-névralgies. — Des pseudo-né
s moitiés latérales du cordon nerveux. Premier cas : Succession des symptômes . — Prédominance, au début, des troubles moteurs:
auses d'une troisième forme de la paraplégie cervicale. De quelques symptômes particuliers de la compression lente de la moelle
rt subite par rupture du ligament transverse de l'apophyse odontoïde. Symptômes qui accompagnent les lésions du renflement lombai
ie spinale infantile. — Elle sera considérée comme maladie d'étude. — Symptômes : période d'invasion, ses modes ; seconde période
s : période d'invasion, ses modes ; seconde période ou régression des symptômes avec localisation des lésions musculaires (Atro-p
essive spinale protopathique en particu-lier. (Type Duchenne-Aran). — Symptômes : atrophie individuelle des muscles, troubles fon
érale amyotrophique de l'atrophie musculaire spinale protopathique. Symptômes communs aux deux affections : amyotrophic progres
ractions fibrillaires, conservation de la contractilité électrique. Symptômes propres à la sclérose latérale amyotrophique. — P
re des lèvres, etc. — Troubles graves de la respiration. Résumé des symptômes . — Pronostic. — Physiologie pathologique. 249 QUA
es méninges ; — de la moelle épinière ; — des nerfs périphéri-ques. — Symptômes : Période douloureuse (douleurs cervicales, rigid
ladie des voies urinaires précède l'invasion des accidents spinaux. — Symptômes : fourmillements, anesthésie, douleur dorso-lomba
flammation des nerfs à la moelle. Paraplégies urinaires réflexes. — Symptômes . — Interprétation de M. Brown-Séquard. — Expérien
l'hémianesthésie. — Siège des lésions auxquelles se rattachent ces symptômes : extrémité postérieure de la couche optique; —par
on, 8, 69. — Faits cliniques, 64, 366. — Température, 67. — Formes et symptômes , 67 et suiv, — Diagnostic, 69. — Lésions desos,7t
trice progressive, 1. — Anomalies, 2. — Description clas-sique, 27. — Symptômes céphali-ques, 26, 42 et suiv. (V. Amaurose). —
rantes, 29, 366. — In-coordination, 28. — Période para-lytique, 28. — Symptômes viscé-raux, 34. — Traitement, 78. — Luxations pat
pathologiques dans 1' — 395. — Fractures spontanées, 395, Résumé des symptômes , 304. (Voir Anesthésie, Arthropathies, Atrophie m
guérison du mal de Pott, 103. — Régénération des tubes nerveux, 104.— Symptômes de la compres- sion de la —, 105. — Pseudo-né-v
te de quinine, 3-4, 356. Sympathique (Lésions du grand, 293, 488. Symptômes récurrents ou rétrogra-des, 22. Syphilis (V.Epi
Siège, 302. — Traitement, Ml5. — Trépidation, 3i5, 310. Tabétiques ( Symptômes ), 4, 12. Température: crises gastriques, 37 :
2 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ent que les animaux soumis à des mouvements finissent par avoir les symptômes du vertige expéri- mental. Il est à remarquer q
de la pression sanguine qui eu résulte empêche la manifestation des symptômes du vertige marin. Quarante-huit heures après la
des mouvements ; d'où nous con- cluons que l'anémie prédispose aux symptômes du vertige marin. Cette expérience est aussi d'
secousse. Les grandes saignées générales empêchent l'apparition des symptômes que nous avons constatés chez les autres chiens
ont été presque insignifiants. IV. Vertige marin DE l'homme. a.) Symptômes . Notre but n'étant pas de faire ici une descrip
t de ses causes et de sa pathogénie, nous n'insisterons pas sur les symptômes , qui d'ailleurs sont bien connus et décrits. No
ulement que dans le vertige Menière, nous avons presque les mêmes symptômes , qui surviennent au moindre élèvemeiii de la tè
e quotidienne d'un gramme contre ce vertige. En comparant ici les symptômes de ces deux ver- tiges, nous nous hâtons de fai
établir une pathogénie commune, car le sifflement d'oreilles est le symptôme important du vertige Menière, tandis qu'il fait
nière, tandis que dans le vertige marin, ils constituent le premier symptôme . Par conséquent, nous pouvons décider dès maint
es deux vertiges diffère dans le fond. Nous citons ici que tous les symptômes du vertige marin de l'homme se sont manifestés
e fait quelques tours que nous commençâmes à ressentir les premiers symptômes du vertige marin. 22 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE
ssons jusqu'à présent. D'ailleurs, comment ex- pliquer le début des symptômes avec le départ du ba- teau et pas avant, ni apr
onnées on nous objecte que c'est une simple coïncidence le début de symptômes avec le dé- part du navire, et que quant à l'in
s nous demandons comment on peut expliquer l'arrêt immé- diat des symptômes aussitôt que le bateau s'arrête dans le premier
, que la plupart des voyageurs commencent à sentir les pre- miers symptômes au début des mouvements spéciaux que le bateau
it par la tempête. Ainsi nous avons senti, à Corinthe, les premiers symptômes aussitôt le départ du bateau, tandis que la mer
ant et en ^étendant en haut sur l'avant-bras. Pen- dant dix ans, ce symptôme resta stationnaire et la malade nepré- senta pa
iques dans les fléchisseurs du genou. En revanche, presque tous les symptômes fonda- mentaux ont progressé et d'autres nouvea
douloureux à la pression. Le malade se plaint de toute une série de symptômes subjectifs ; pesanteur continuelle dans la tête
remier temps pour disparaître complètement ensuite. Tous les autres symptômes subjectifs avaient en partie disparu, ou se man
se rappelant la marche de la maladie dans le cas précédent, où le symptôme sus-indiqué avait existé seul pendant long- tem
présenté DE LA GLI02blATOSE MEDULLAIRE. 35 ces phénomènes, comme symptôme de cette lésion anatomique une gliomatose de la
n seule du tabes pourrait être soulevée ici; mais il n'existe aucun symptôme caractéristique de cette maladie, à l'exception
éristique est justement le propre de la seule gliomatose ; d'autres symptômes complètent le tableau clinique de cette maladie
ten- due le long de la moelle épinière , provoquant néanmoins des symptômes aussi électifs que le trouble partiel du sens d
ii-sippléatit de Dicètre. IV. En principe, pour qu'une réunion de symptômes non carac- téristiques par eux-mêmes puisse con
ie, une coexistence, mais non une association ou une combinaison de symptômes . Quoi qu'en disent les par- tisans de la catato
dernière eut lieu le 19 mai; dernière menstruation le 6 juin. Les symptômes délirants remontent à treize jours. M"° Ch... a
onjuration. 60 REVUE CRITIQUE. 9 Juillet. -- Mobilité extrême des symptômes de la maladie, ce- pendant elle n'est plus mani
a voix de Dieu lui parler d'un ton impératif. Elle dit que tous ces symptômes sont absolument disparus. Excitation génitale,
eux points : 1° la non existence de l'Attonitât autrement que comme symptôme ; 2° la présence comme règle dans tous les cas o
he que fait Kalhbaum à la stupeur : à savoir qu'ils ne sont que des symptômes se présentant dans presque toutes les formes ps
ables à divers points de vue et qu'on a plutôt fait l'histoire d'un symptôme ou mieux d'un syndrome que d'une maladie vérita
e psychique, l'état de mélancolie plus ou moins profonde, le reste ( symptômes ou marche) n'ayant rien de spécial, nous penson
n qu'il décrit concerne un jeune homme de seize ans, présentant les symptômes caractéris- tiques delà lésion des noyaux du mo
e cas par- ticulier, elle s'est étendue aux nerfs voisins, d'où les symptômes oculaires, les troubles de la mastication, la p
ATHOLOGIE NERVEUSE. au point de vue de la pathogénie anatomique des symptômes relevés. P.KERAVAL. IV. NOTE SUR DEUX cas DE
ie, graves troubles intellectuels. Guérison à peu près complète des symptômes nerveux. Phtisie diabétique. Autopsie : destruc
riche en hypothèses qu'en faits positifs. Quant au traite- ment du symptôme , le plus rationnel est l'électrisation galvanique
ne espèce de phénomènes d'excitation spinaux. Etat stationnaire des symptômes de paralysie ; cystite ; érysipèle. Mort vingt-
natomique d'une névrose spinale héréditaire. Ils ont noté les mêmes symptômes , ressemblant à ceux d'une sclérose multiple typ
ose, à l'ivresse REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 77 morphinique. Les symptômes furent ceux qui appartiennent au sevrage d'un e
itoires des hallucinations. Malgré cetenchaî- dement progressif des symptômes , la cocaïne a chassé les hallucina- tions dans
ntécédents héréditaires, qui, durant près de deux ans, présenta des symptômes très accusés de mélancolie avec tendance au sui
nstituent des exemples d'un état cérébral morbide , dans lequel les symptômes mentaux observés sont d'ordre émotif et surtout
t automatique bien plutôt qu'ils n'appartiennent à la catégorie des symptômes liés à la cognition, et peuvent être rapportés
en pathologie générale ? On s'adresse aux lésions anatomiques, avec symptômes , aux causes. Or, ce n'est d'après aucune de ces
térations syphilitiques ? M. Rumpf. Il y avait eu antérieurement symptômes cliniques desyphilis.-11. de Recklinghausen. Il e
e de la réaction pupillaire, permettent, de concert avec les autres symptômes , d'exclure l'idée d'une affection intra-crânienne
marquée, fonctionnement défectueux de l'orbiculaire des paupières, symptôme de de Grsefe, dilatation très accusée des deux
que le privilège incontestable du médecin, c'est de rechercher les symptômes de la maladie et d'en discerner la nature. Dè
ns d'épilepsie Jacksonmenne où les lésions sont mises en regard des symptômes observés, et qui permet à l'auteur de conclure
pseudo-lipome sus-clavicu- laire. Sont-ce, comme il le prétend, des symptômes possibles de la maladie ? Il est permis d'en do
parti. P. B. X. De l'asphyxie locale des extrémités envisagée comme symptôme ; par F. Bourrelly. Th. Paris, 1887. La maladi
il. Petit, Straus. Le rôle du traumatisme est réel car les premiers symptômes ont suivi sans interruption; toutefois il s'est
- pitre de pathogénie. Dans la cinquième, il fait une analyse des symptômes présentés par ses malades, l'auteur ayant la te
lombaire »; c'est une hypothèse. Dans ce cas-là, disent-ils, aux symptômes de la paraplégie des membres inférieurs viennen
d'heure d'intervalle de bien-être parfait entre la disparition des symptômes cérébraux et 1'(ipptil'i- tion de la paraplégie
fondes dans la crainte d'augmenter la douleur. En même temps, comme symptômes céphaliques, il éprouve des vertiges; tout se m
e des cris , en priant ses compagnons de le laisser tranquille. Les symptômes ci-dessus décrits ont duré trois heures , et on
u à lui se sent parfaitement bien sans vertiges et sans aucun autre symptôme céphalique. Il n'y a aucune trace de paralysie
quelques minutes. Pas de dimi- nution de volume des membres, pas de symptômes céphaliques. DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCA
des membres inférieurs fait place à une paraplégie complète. Pas de symptômes cérébraux. Ce nouvel accident dure une heure et
cident ne différait absolument en rien du deuxième. En effet, mêmes symptômes , c'est-à-dire douleurs lombaires, para- plégie
examen très soigneusement fait au point de vue de l'exis- tence des symptômes céphaliques et bulbaires a été négatif.-Rien au
; séjour, une demi-heure ; décompression brusque d'une demi-minute. Symptômes gastri- ques : douleurs ; gonflement de l'épiga
de monoplégie fugitive du membre supérieur droit, non précédée des symptômes céphaliques. -Examen dzc 27 jzcillet 4885. - Para
et faciliter ainsi grandement la respiration. En même temps que ces symptômes gastriques, le malade sentait un engour- dissem
, pas de paralysie faciale, ni embarras de la parole : enfin, aucun symptôme céphalique. Le malade dit que ses trois membres
essie, du rectum et des organes génitaux sont physiologiques. Aucun symptôme céphalique. Les autres organes paraissent bien
trace d'aphasie ; pas de perte de connaissance ; enfin aucun autre symptôme cépha- lique, sauf cette monoplégie de l'extrém
e nous considérons comme étant d'origine cérébrale. A côté de ces symptômes , c'est-à-dire, pression avec constriction à la nu
de troubles de la vessie du rectum et des organes génitaux. Pas de symptômes céphaliques. Les autres appa- reils paraissent
eurs, accompagnée de rétention d'urines et de selles. Evolution des symptômes spasmodiques. Amélioration par le traitement da
onnaissance; pas de vertiges; pas de trace d'aphasie ; enfin, aucun symptôme céphalique. Au bout d'une heure, la douleur de
if. Pas de troubles vaso-moteurs. Vessie et rectum normaux. Comme symptômes céphaliques le malade a des frayeurs la nuit ;
ce, pas de ver- tiges, pas de bouche de travers, enfin pas d'autres symptômes cépha- liques. Au bout de cinq minutes, la cé
Cette paraplégie n'était ni précédée ni accompagnée d'aucun autre symptôme , sauf un prurit intense qui était intolérable et
tuant à lui seul le tableau clinique de l'accident sans aucun autre symptôme quel qu'il fût. Examen du malade, le 15 février
fécation et de la génération sont à l'état normal. Il n'y a aucun symptôme céphalique. Il est venu me consulter seulement
minutes de séjour dans le fond; décompression brusque, une minute. Symptômes d'invasion; 166 CLINIQUE NERVEUSE. ' perte de
qu'on lui enlève le casque, le malade perd connaissance, sans aucun symptôme prodromique et à l'instant ses urines et ses se
s serrées, ni vertiges, ni trouble de langage, ni enfin aucun autre symptôme céphalique, sauf un cer- tain degré de lourdeur
rassé de son priapisme et en conséquence guéri, car c'était le seul symptôme qui représentait à cette époque son état maladif.
rs. Six heures d'intervalle de bien-être entre la dispari- tion des symptômes prodromiques et l'apparition de la paraplégie.
ptômes prodromiques et l'apparition de la paraplégie. Evolution des symptômes spasmodiques. Etat actuel (15 mai 1881). Cortèg
r aussi que ces douleurs existaient seules et isolées de tout autre symptôme quel qu'il fût; le jour suivant, cet homme reprit
eures se passent et le malade se sent parfaitement bien, sans aucun symptôme cépha- lique, ni aucune espèce de paralysie. A
é le malade à venir me consulter. Pas de troubles du rectum. Pas de symptômes céphaliques. J'ai conseillé au malade le traite
deur, une demi-heure de séjour, décompression brusque une minute. Symptômes d'invasion : malaise; douleurs à l'hypogastre, qu
une saillie énorme sur la partie supé- rieure du ventre. Outre les symptômes décrits, la respiration était très gênée : il s
sans vertiges ni mal de tête, ni embarras de la parole; enfin aucun symptôme céphalique. Il s'endort à 9 heures du soir, les
s'endort à 9 heures du soir, les fourmillements et tous les autres symptômes décrits DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHAND
ux. La douleur de l'orifice externe du méat a été supprimée. Pas de symptômes céphaliques. Observation IX. Accident provoqu
des membres inférieurs avec rétention d'urines et de selles. Pas de symptômes cérébraux gastriques ou autres. Evolution des s
les. Pas de symptômes cérébraux gastriques ou autres. Evolution des symptômes spasmodiques. Le malade reste paraplégique jusq
ni bourdonnements d'oreilles, ni étourdissements, enfin aucun autre symptôme céphalique. Mais par contre, il a une paralysie
uriner. Les fonctions génitales et rectales sont normales. Pas de symptômes céphaliques. Les autres appareils paraissent bien
té faite antérieurement sans suite ; mêmes condi- tions de travail. Symptômes d'invasion : troubles respiratoires ; éblouisse
erte de connaissance, pas de trouble du langage, enfin, aucun autre symptôme céphalique. Bientôt après, ses deux membres inf
ts ; le malade parlait bien ; il n'avait ni vertiges ni aucun autre symptôme céphalique. 11 a ordonné comme trai- tement des
rectum, organes génitaux à l'état normal. Il n'y a absolument aucun symptôme céphalique. Les fonctions des autres organes ne
tinues au coude droit. A ce moment le malade n'avait pas d'autres symptômes . Sans tenir compte de cette douleur, il remet s
ent se mouvoir. Pas de troubles aphasi- ques ou sensoriels ou autre symptôme céphalique. Comme symp- tômes gastriques, le ma
'est pas content, car il était plus fort avant l'ac- cident. Pas de symptômes céphaliques. Je n'ai fait que lui régler sa vie
onflement de l'estomac. Pas d'autres troubles respiratoires. Pas de symptômes céphaliques. Cinq minutes après, éclate une par
es parétiques aurait été assez diminuée. A ce mo- ment,pas d'autres symptômes quelconques, de sorte que la parésie de la moti
lui a donné un purgatif pour le faire aller à la selle. Aucun autre symptôme ne s'est déclaré. Le 27 avril, cinquième jour
et écarte les doigts. Il commet des excès d'alcool. 11 n'y a pas de symptômes céphaliques. Rien du côté des autres organes.
t bien. Pas de vertiges, pas de perte de connaissance, enfin pas de symptômes céphaliques, pas de J84 CLINIQUE NERVEUSE. tr
Pas de paralysie aux membres supérieurs ni à la face. Pas d'autres symptômes . Un médecin a employé la sonde et un purgatif.
intervalle entre le moment de la décompression et l'explosion des symptômes du début et une demi-heure (Cas. IX) qui représ
-être parfait et d'autre part quelques minutes se sont passées sans symptômes bien définis, sauf un certain malaise vague et
que descriptif, nous devons diviser en trois grandes catégories les symptômes de cette forme : 1° les symptômes de début qu'o
r en trois grandes catégories les symptômes de cette forme : 1° les symptômes de début qu'on peut à juste titre appeler extri
ômes de début qu'on peut à juste titre appeler extrinsèques; 2° les symptômes de la paraplégie elle-même et 3° les divers sym
asmodique. , DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 187 1 1. Symptômes DE DÉBUT Les divers symptômes de début présenté
L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 187 1 1. Symptômes DE DÉBUT Les divers symptômes de début présentés par nos malades peuvent être
quatre groupes princi- paux, qui sont les suivants : A). Groupe de symptômes céphaliques ; B). Groupe de symptômes gastrique
les suivants : A). Groupe de symptômes céphaliques ; B). Groupe de symptômes gastriques ; C). Groupe de symptômes respiratoi
céphaliques ; B). Groupe de symptômes gastriques ; C). Groupe de symptômes respiratoires; D). Groupe de symptômes douloure
gastriques ; C). Groupe de symptômes respiratoires; D). Groupe de symptômes douloureux des articulations et des muscles et
ptômes douloureux des articulations et des muscles et divers autres symptômes sensitifs. Pas- sons maintenant à la descriptio
. Pas- sons maintenant à la description spéciale des diffé- rents symptômes de chacun de ces groupes en com- mençant par ce
ar celui qui figure le premier dans notre tableau. - A. Groupe de symptômes céphaliques. Les symptômes céphaliques paraisse
r dans notre tableau. - A. Groupe de symptômes céphaliques. Les symptômes céphaliques paraissent occuper une place import
tômes céphaliques paraissent occuper une place importante parmi les symptômes du début. En effet, ils figurent dans sept de n
font au contraire absolument défaut dans les six autres cas. Les symptômes céphaliques qui ont existé dans nos observation
nos observations sont les suivants. «). Perte de connaissance. Ce symptôme est très fréquent, car nous l'avons rencontré q
IX) ; deux fois au con- traire, il a été en connexion avec d'autres symptômes céphaliques ; chez le malade de l'OBSERVATION I
deux heures (OBs. I). L'apparition ainsi que la disparition de ce symptôme ont lieu d'une façon subite et complète. Except
ont jamais présenté de mouvements convulsifs. Vertiges. Parmi les symptômes céphaliques, les vertiges ont figuré deux fois
ir duré pendant trois heures se dissipe pour faire place à un autre symptôme céphalique, la perte de connaissance. DES ACC
mouvement en d'autres termes sans qu'il perdît l'é- quilibre. Ce symptôme coexistait avec d'autres symp- tômes céphalique
production et la genèse de ces vertiges. 7). Etourdissements. Ce symptôme a existé une seule fois. Le malade de l'OBSERVA
ent l'aphasie motrice que nous voyons consti- tuer deux fois un des symptômes du groupe cépha- lique. Les malades des Observa
ts *cérébraux; on peut l'appeler aphasie par embolie gazeuse. e). Symptômes oculaires. Ces symptômes qui ont figuré deux fo
appeler aphasie par embolie gazeuse. e). Symptômes oculaires. Ces symptômes qui ont figuré deux fois parmi nos observations
ous proposons de donner le nom de cécité par embo- lie gazeuse. Les symptômes oculaires étaient associés chez notre malade à
s symptômes oculaires étaient associés chez notre malade à d'autres symptômes céphaliques : chez celui de I'Observation V la
it avec des bourdonnements d'oreilles et de vertige giratoire. ). Symptômes auditifs. Du côté du sens de l'ouïe, le seul sy
atoire. ). Symptômes auditifs. Du côté du sens de l'ouïe, le seul symptôme que nous rencontrons sont les bourdonnements d'
bruits d'une cascade considérable ; il ajoute que, par suite de ce symptôme , il avait l'ouïe un peu confuse. B. Groupe DE
uite de ce symptôme, il avait l'ouïe un peu confuse. B. Groupe DE symptômes respiratoires. Ces symptômes sont aussi très fr
'ouïe un peu confuse. B. Groupe DE symptômes respiratoires. Ces symptômes sont aussi très fréquents, car ils ont été prés
concomit- tants, telle est la gêne de la respiration, qui est le symptôme le plus fréquent, car elle a figuré six fois 19
, sentait aussi sur la poitrine un poids étouffant. C). Groupe DE symptômes gastriques. Les symp- tômes gastriques paraisse
ent occuper en raison de leur fréquence un rang important parmi les symptômes DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 191
t complètement défaut. Pas- sons rapidement en revue ces différents symptômes . a.) Douleurs gastriques. C'est le symptôme le
n revue ces différents symptômes. a.) Douleurs gastriques. C'est le symptôme le plus fréquent, car il a été présenté par cin
il a été présenté par cinq mal ades (OBS. I, II, IV, VII, VIII). Ce symptôme n'a jamais existé seul; il était toujours accom
ptôme n'a jamais existé seul; il était toujours accompagné d'autres symptômes gas- triques. Les douleurs gastriques ont été t
rche ascen- dante. 6.) Gonflement gazeux de l'estomac. C'est un symptôme assez peu fréquent , parce que nous ne l'avons
i-heure (Oss. II) et de trois heures (OBS. VIII). Y). Pesanteur. Ce symptôme n'a existé qu'une fois (OBs. XII), isolé de tou
Ce symptôme n'a existé qu'une fois (OBs. XII), isolé de tout autre symptôme gastrique. Pas de douleurs, pas de gonflement.
un grand poids gênant la liberté des mouvements respiratoires. Ce symptôme a été très fugitif ; il n'a duré que cinq minut
e a été très fugitif ; il n'a duré que cinq minutes. a). Soif. Ce symptôme paraît souvent tourmenter les malades. Parmi no
os observations, il figure quatre fois; il était associé à d'autres symptômes gastriques (Cas. I, IV, VII), et une seule fois
eule fois chez le malade de l'Observa- tion I, accompagnée d'autres symptômes gastriques. Elle a duré trois heures. (A suivre
s, qu'on pourrait relier au développement de la maladie actuelle. Symptômes De tout le tableau de lasymptôma- tologie compl
s dans le groupe des cas de gliomatose spinale , quatre séries de symptômes fondamentaux se dessinent plus nettement : 1).
e du tissu cellulaire sous-cutané, etc. Nous consi- dérons tous ces symptômes comme protopathiques fondamentaux, non seulemen
moelle épinière, '198 PATHOLOGIE NERVEUSE. et que la plupart des symptômes cliniques énumérés est sans doute liée à la lés
gues de la moelle allongée. C'est à l'examen plus détaillé de ces symptômes que nous allons nous arrêter. Quant aux autres
aire. Une anesthésie de ce genre doit être rangée dans le nombre de symptômes secon- daires, deutéropathiques. 1 Le sens de
des. Généralement, il est conservé dans les cas où il n'y a que des symptômes fondamentaux, caracté- ristiques, indiquant la
bleau fondamental se complique ou s'obscurcit même par une série de symptômes de lésion diffuse ou en foyer des cordons blanc
Morvan signale des hémorrhagies des organes internes au nombre de symptômes , observés chez ses malades. Les troubles vaso-m
re. Il nous est arrivé de l'ob- server dans deux cas, sans d'autres symptômes deuté- ropathiques. La réaction à la lumière et
tions de Morvan, qui avait ras- semblé ses cas, en se basant sur ce symptôme . Sur la peau de la paume et des doigts surtout,
s'est développée plusieurs années avant l'apparition de tout autre symptôme , dont s'aperçut le malade. La formation de tume
trophie musculaire nous présente cet intérêt, .qu'elle constitue un symptôme précoce de la maladie. Dans nos six observation
s. Des troubles moteurs plus étendus se rapportent à cette sorte de symptômes accidentels de la maladie, qui peuvent paraître
) dans les membres inférieurs, se rapporte probablement d'après les symptômes qui l'accompa- gnaient et d'après sa marche à l
onné plus haut. DE LA GLIOMATOSE MEDULLAIRE. 2'1* Au nombre des symptômes caractéristiques, que nous avons observés dans
altérations fonctionnelles des organes du bassin, de même que les symptômes bulbaires, constituent un phénomène très rare n
agissant d'une manière dépressive sur son état général. Tous les symptômes décrits peuvent se rencontrer à une certaine pé
hésie est habituellement le premier 218 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. symptôme ; ensuite viennent des troubles subjectifs de la
alade peut mourir sans avoir présenté la totalité ou la plupart des symptômes typiques, quoique durant ce temps il ait pu avo
De ces 800 soldats, aucun, mais absolument aucun, n'a ressenti les symptômes du roulis et du tangage, malgré leur séjour ass
isposition individuelle influence aussi beau- coup l'apparition des symptômes du vertige marin. En général, le tout dépend du
ception près, presque tous prédestinés à sentir plus ou moins les symptômes du vertige. Nous relatons ici les cas observés
'accès du sang vers l'encéphale, d'où l'ané- mie cérébrale avec ses symptômes . » Mais M. Autric ne nous explique pas comment
ade du liquide amène le trouble circulatoire du cerveau, d'où les symptômes du vertige sur un terrain préparé déjà à subir
t sur la respiration, sur l'estomac et sur la circulation, d'où les symptômes spéciaux. Ces déplacements auraient pu agir par
s nerfs mésentériques; alors les voyageurs ressentiront surtout des symptômes du côté du ventre avec léger vertige. Enfin, il
ninzition, d'où surtout proviennent le vertige et les vomissements, symptômes essentiels de la ma- ladie. e). Traitement du
oyens auxquels on doit recourir pour éviter autant que possible les symptômes du vertige marin. Mais le moyen le plus pratiqu
tard de manière à permettre quoique incomplè- tement la marche. Ces symptômes : prédominance des convulsions et paralysie du
inution de la vue ; nous ne pouvons affirmer dans notre cas si ce symptôme doit être attribué à une lésion cérébelleuse, D
topsie, mais nous croyons devoir rappeler que l'amaurose est un des symptômes le plus fré- quemment noté dans les cas d'affec
emment noté dans les cas d'affection cérébelleuse. Parmi les autres symptômes pouvant être rattachés à une lésion cérébelleus
t, comme démonstra- tives, que les observations dans lesquelles les symptômes observés pendant la vie peuvent être expliqués
e des bandelettes extei,- nes deutéropathique ou protopathique et à symptômes tabétiques. « Celle-ci n'est autre que le subst
logues mais d'un autre genre. Durée de la maladie : 12 à 20 jours. Symptômes simultanés psychopathiques et parétiques en rappo
r la seule évolution du délire, mais sur J'apparition nécessaire de symptômes différents consti- tuant un ensemble spécial et
oïncide avec d'autres maladies , on peut admettre qu'il est, non le symptôme de la maladie principale, mais bien une affecti
nt, et, en tout cas, il ne joue plus un rôle prépondérant. C'est un symptôme ra- rement persistant avec le même caractère, i
c de Paris. D. GROUPE DE différentes douleurs ET de DIVERS autres symptômes sensitifs. Les douleurs sont de deux ordres : d
iculaires. Leur durée est aussi de quelques heures. Divers autres symptômes sensitifs semblent pouvoir se présenter parmi l
autres symptômes sensitifs semblent pouvoir se présenter parmi les symptômes du début. Tels sont le frisson généralisé de l'
'y a pas un seul cas qui ait simultanément présenté à son début les symptômes de ces quatre groupes. Ainsi, tantôt c'est un s
n début les symptômes de ces quatre groupes. Ainsi, tantôt c'est un symptôme d'un groupe quelconque qui constitue à lui seul
début, comme par exemple, à notre Observation VI il n'y a parmi les symptômes cépha- liques que la perte de connaissance, sui
même à observation XIII, la douleur interscapu- laire est le seul symptôme du début. Tantôt plusieurs symptômes d'un même
interscapu- laire est le seul symptôme du début. Tantôt plusieurs symptômes d'un même groupe, isolés de tous les autres, pe
V l'accident a débuté par la cécité fugitive et l'aphasie motrice, symptômes du groupe céphalique : ou comme à l'OBSERVATION
loureuse constrictive à la nuque et les douleurs à l'épaule droite, symptômes du groupe de dou- leurs ont marqué le début de
upe de dou- leurs ont marqué le début de cet accident. Enfin, des symptômes de plusieurs groupes peuvent cons- tituer le ta
RVATioN I, les vertiges de translation et la perte de connaissance, symptômes du groupe céphalique, la pesanteur sur la poitr
halique, la pesanteur sur la poitrine et la gêne de la respiration, symptômes du groupe respiratoire, les douleurs atroces ép
douleurs atroces épigastriques, la sensation de brûlure et la soif, symptômes du groupe gastrique, annoncent en même temps l'
un intervalle plus ou moins long entre la disparition complète' des symptômes du début et l'invasion de la paraplégie. Durant
é, est bien de nature à prouver l'in- dépendance et l'autonomie des symptômes du début; tous sont extrinsèques. Nous y revien
aplégie elle-même, sous le rapport de son mode d'invasion et de ses symptômes associés. A. Mode d'invasion. L'invasion de la
araître tout à fait, quelques jours après. Examinons maintenant les symptômes qui s'allient à la paraplégie, c'est-à-dire ceu
allient à la paraplégie, c'est-à-dire ceux que nous avons appelés symptômes associés. B. Symptômes ASSOCIÉS.- Les symptômes
ous avons appelés symptômes associés. B. Symptômes ASSOCIÉS.- Les symptômes qui peu- vent s'associer à la paraplégie sont d
u rectum, 4° des organes génitaux, et 5° douleurs aux lombes. 1). Symptômes sensilifs. La sensibilité paraît être constamme
une tumeur qui débordait le pubis de plusieurs travers de doigt. Ce symptôme a duré un temps qui a varié chez nos malades en
effet, ils ne figurent guère que deux fois dans notre tableau. Les symptômes génitaux qui ont été présen- tés par ces deux m
XV. 23 354 ' CLINIQUE NERVEUSE. 5). Douleurs aux lombes. C'est un symptôme qui a existé chez deux de nos malades (OBS. I e
cortèges symptomatiques positifs, c'est-à-dire divers groupes de symptômes qui peuvent figurer au tableau clinique de notr
; B), des cortèges symptomatiques négatifs, à savoir des groupes de symptômes qui ne peuvent ni même ne doivent pas jouer de
le dans la représentation de la scène morbide de cette forme. A). Symptômes positifs. Les divers symptômes qui figurent dan
la scène morbide de cette forme. A). Symptômes positifs. Les divers symptômes qui figurent dans notre tableau peuvent être ra
eau peuvent être ramenés aux six groupes suivants : a), syndrome de symptômes spasmodiques; b), symptômes sensitifs, c), symp
six groupes suivants : a), syndrome de symptômes spasmodiques; b), symptômes sensitifs, c), symptômes vaso-moteurs; d), symp
), syndrome de symptômes spasmodiques; b), symptômes sensitifs, c), symptômes vaso-moteurs; d), symptômes vésicaux; e), sympt
smodiques; b), symptômes sensitifs, c), symptômes vaso-moteurs; d), symptômes vésicaux; e), symptômes rectaux; /), symptômes
sensitifs, c), symptômes vaso-moteurs; d), symptômes vésicaux; e), symptômes rectaux; /), symptômes génitaux. a). Syndrome
vaso-moteurs; d), symptômes vésicaux; e), symptômes rectaux; /), symptômes génitaux. a). Syndrome de symptômes spasmodique
x; e), symptômes rectaux; /), symptômes génitaux. a). Syndrome de symptômes spasmodiques. Voilà le syndrome qui seul est co
55 c'est-à-dire pendant un temps suffisant au développe- ment des symptômes spastiques, presque 'toutes ces paraplégies , d
ser- vations toujours plus ou moins analogues entre elles. Si les symptômes constitutifs de notre paraplégie spas- modique
cesser le tremblement involonlaire. 3). Secousses. C'est encore un symptôme qui ne fait presque jamais défaut. Elles sont p
tain intervalle de bien- être, après avoir présenté un ou plusieurs symptômes du début, est pris soudain de paraplégie complè
membre droit. Les contractures passagères ont disparu. Les autres symptômes sont a leur tour atténués, surtout au mem- bre
sque jamais, pour ne pas dire jamais, elle n'est progressive. b). Symptômes sensitifs. Les troubles sensitifs que nous avon
ominer ou siéger exclusivement sur un des membres inférieurs. c). Symptômes vaso-moteurs. - Le système vaso-mo- teur est qu
, on voit qu'il n'y avait pas le moindre trouble vaso-moteur. d). Symptômes vésicaux. Les troubles très mar- qués de la ves
intermittente a cédé complètement, comme du reste, tous les autres symptômes de l'affection; le malade fut complètement guér
s d'un catarrhe vésical chronique qui a compliqué l'accident. e). Symptômes rectaux. Les troubles du rectum, qui rarement f
aissent dans la majorité des cas. En effet, dans notre tableau, les symptômes rectaux ne figurent plus qu'une seule fois, att
de plus la marche éminemment rétrogressive de la maladie. 0 f). Symptômes ? a ? y.Les troubles des organes génitaux peuve
plusieurs fois de pertes séminales. 368 CLINIQUE NERVEUSE. B). Symptômes négatifs. A côté du grand nom- bre de symptômes
QUE NERVEUSE. B). Symptômes négatifs. A côté du grand nom- bre de symptômes positifs dont quelques-uns sont d'une importanc
sont de trois espèces : a). Symp- tômes des cordons postérieurs b). Symptômes mya- trophiques etc). Symptômes céphaliques.
tômes des cordons postérieurs b). Symptômes mya- trophiques etc). Symptômes céphaliques. a). Symptômes tabetoïdes ou des co
rs b). Symptômes mya- trophiques etc). Symptômes céphaliques. a). Symptômes tabetoïdes ou des cordons postérieurs. Les symp
aliques. a). Symptômes tabetoïdes ou des cordons postérieurs. Les symptômes qui résultent de la lésion des cor- dons postér
inale latérale de la patho- logie dés plongeurs à scaphandre. b). Symptômes des cornes antérieures ou myairoplii- ques. Les
re. b). Symptômes des cornes antérieures ou myairoplii- ques. Les symptômes qui résultent de la lésion des cornes antérieur
doit être considéré comme d'une importance vraiment capitale. c). Symptômes céphaliques. On a pu 'voir que les symptômes cé
aiment capitale. c). Symptômes céphaliques. On a pu 'voir que les symptômes céphaliques du début sont tout à fait tran- sit
permanent, qui puisse accompagner le syndrome spasmodique. , Les symptômes céphaliques du malade de I'Obser- 'ATION IV, fr
plique l'affection spinale. Celui qui a parcouru la description des symptômes du début a dû être frappé, nous l'avons déjà di
cas. Précisons davantage : cette forme peut être inaugurée par les symptômes les plus multiples et les plus variés ; elle dé
les plus variés ; elle débutera par exemple chez tel malade, par un symptôme du groupe céphalique ou autre. Chez tel autre^
me du groupe céphalique ou autre. Chez tel autre^ par plu- sieurs symptômes d'un groupe quelconque. Chez un troisième, par
urs symptômes d'un groupe quelconque. Chez un troisième, par divers symptômes de plusieurs groupes et ainsi de suite. On voit
s et ainsi de suite. On voit, quelle est la variété pos- sible de symptômes comme entrée en scène. x Par contre, une fois c
ible de symptômes comme entrée en scène. x Par contre, une fois ces symptômes disparus, l'uni- formité se manifeste par un co
inalement, cette uniformité sera caractérisée par un fond commun de symptômes identiques cons- titué par un groupe capital, q
aux caractères partiels, tels que nuances cliniques spéciales des symptômes du début, intervalle spécial entre la dispariti
des symptômes du début, intervalle spécial entre la disparition des symptômes du début et l'invasion de la paraplégie, mode d
l'invasion de la paraplégie, mode de l'invasion de la paraplégie, symptômes positifs et symptômes négatifs de l'étape ultér
aplégie, mode de l'invasion de la paraplégie, symptômes positifs et symptômes négatifs de l'étape ultérieure, marche de l'aff
giène. Etat du malade le 2 juin 1884. Amende- ment considérable des symptômes spasmodiques qui sont réduits à l'exaltation de
es réflexes et ft l'épilepsie spinale. Amélioration très grande des symptômes des cordons postérieurs. Histoire. l.e nommé Dé
evient, n'ayant ni troubles de la parole, ni troubles oculaires, ni symptômes auditifs, enfin, aucun symptôme céphalique; pas
parole, ni troubles oculaires, ni symptômes auditifs, enfin, aucun symptôme céphalique; pas de troubles du côté de l'estomac
er et mars, l'amélioration aussi bien de la motilité que des autres symptômes marchait à pas rapides, sauf les douleurs fulgu
. Vessie, rectum et organes génitaux sont à l'état normal. Pas de symptômes céphaliques. Les fonctions des autres organes par
rable sur l'estomac, sans gonflement ni renvoi de gaz. Pas d'autres symptômes céphaliques, pas de symptômes res- piratoires,
lement ni renvoi de gaz. Pas d'autres symptômes céphaliques, pas de symptômes res- piratoires, pas de douleurs articulaires o
te que, à 5 heures, il était débarrassé de tout symp- tôme. Plus de symptômes céphaliques, plus de douleurs. Pas de symptômes
mp- tôme. Plus de symptômes céphaliques, plus de douleurs. Pas de symptômes respiratoires ou gastriques ou autres. Cet interv
ien du côté de la vessie, du rectum et des organes génitaux, pas de symptômes céphaliques. Depuis ce moment, nous avons perdu
t. Intervalle de bien-être de deux heures, entre la disparition des symptômes céphaliques et l'invasion de la paraplégie. AS
e heure sans prodromes. A 5 heures,-il revient complètement. Pas de symptômes cépha- liques, pas de paralysie. Le gonflement
e vingtaine de minutes se passent sans que le malade présente aucun symptôme . Pas de gonflement gastrique, et en conséquence
- vier, vers 6 heures du soir, le malade revient sans avoir aucun symptôme céphalique, sans paralysie, enfin parfaitement bi
s, pas de douleurs articulaires ou musculaires, à ce moment, pas de symptômes céphaliques. Le 22 janvier est venu s'ajouter u
urines rendues par la sonde exhalaient une forte odeur. Les autres symptômes étaient restés stationnaires. Les jours suivants,
gulièrement. Rien du côté du rectum et des organes génilaux. Pas de symptômes céphaliques. Les fonctions des autres organes s
es, secousses, dyscampsie articulaire, épilepsie spinale ; tous ces symptômes sont bien plus marqués au membre droit. Douleur
x, il voyait des étincelles. Au bout de trois à quatre minutes, ces symptômes oculaires ont été remplacés par une perte de co
es et de selles, petitesse, fréquence et irrégularité du pouls. Des symptômes du début, c'est seulement la dyspnée qui contin
musculaire, il n'y a pas de troubles vaso-moteurs, il n'y a pas de symptômes céphaliques. Il n'y a fréquence d'urines, et, d
avait la sensation d'un poids considérable qui l'étoull'ait. Pas de symptômes céphaliques, pas de troubles gastriques ou autres
crée, très étendue, accompagnée de fièvre. Le 20 juin, un nouveau symptôme se déclare; ce sont des douleurs très fortes qui
Nous n'avons pas rencontré de troubles vaso-moteurs. 11 n'y a aucun symptôme céphalique. Rien du côté des autres organes.
sans que la mer fût troublée. Pas de perte de connaissance ni autre symptôme céphalique. Pas de troubles de la respiration,
ien du côté de la vessie, du rectum et des organes génitaux; pas de symptômes céphaliques. Les fondions des autres organes pa
, croyons- nous, de distinguer trois périodes : 1° la période des symptômes du début ou extrinsèques; 2° la période paralyt
a période des syndromes spasmo- dique et tabétoïde. I. Période de symptômes DU début OU EXTRINSEQUES. Nous allons brièvemen
ut OU EXTRINSEQUES. Nous allons brièvement exposer les différents symptômes qui constituent cette période, car ils se prése
liniques que dans la forme centrale spinale latérale. En effet, les symptômes divers et multiples, que Ton remarque au tablea
mêmes en quatre groupes, dont nous avons déjà longuement décrit les symptômes constitutifs. , - A. Syndrome des symptômes cép
longuement décrit les symptômes constitutifs. , - A. Syndrome des symptômes céphaliques. Ces 388 CLINIQUE NERVEUSE. sympt
A. Syndrome des symptômes céphaliques. Ces 388 CLINIQUE NERVEUSE. symptômes ont une place prépondérante parmi les symptômes
LINIQUE NERVEUSE. symptômes ont une place prépondérante parmi les symptômes du début, aussi bien eu raison de leur fré- que
ue; en effet, nous les voyons figurer dans cinq observations. Ces symptômes sont : - a). Perte de connaissance . Elle a exi
is, une fois isolée (OBs. XIV) et trois fois accompa- gnée d'autres symptômes céphaliques ; ainsi, la perte de connaissance c
on a dû être frappé des allures cliniques très origi- nales que ce symptôme a présentées. Eu effet, la pre- mière attaque d
scrip- DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 389 tion de ce symptôme , que la perte de connaissance n'a jamais été ac
sance n'a jamais été accompagnée de convulsions. b). Vertiges. Ce symptôme , qui a figuré à l'On- servation XIX, a présenté
r sans qu'il y ait eu du vent et sans que la mer fût troublée. Ce symptôme , accompagné d'aphasie mo- trice, avait duré une
ntensité remarquable, elle siégeait surtout au sommet de la tête. Symptômes oculaires. Illusions visuelles. On voit figurer
ête. Symptômes oculaires. Illusions visuelles. On voit figurer ce symptôme chez le malade de l'OBSERVA- tion XV, qui, étan
nnaissance qui n'a duré qu'une dizaine de minutes. B). Syndromes de symptômes respiratoires. Ce syn- drome est largement repr
ndrome en deux catégories distinctes, dont la première contient les symptômes qui doivent leur.origine, leur genèse aux troub
ment de l'estomac coexistant. La deuxième catégorie comprend les symptômes qui ont leur genèse aux organes mêmes de la res
s considérable sur la poitrine, lequel l'étouffait. C). Syndrome de symptômes gastriques. Comme symptômes appartenant à ce sy
, lequel l'étouffait. C). Syndrome de symptômes gastriques. Comme symptômes appartenant à ce syndrome, nous avons : a). Le
heure et demie. b). La pesanteur de l'estomac a existé parmi les symptômes du début une seule fois chez le malade de 1'013
z le malade de 1'013SERVATION XVII sans être accompagnée d'autres symptômes gastriques. Les malades des Observa- TIONS XIV,
ades des Observa- TIONS XIV, XV, XVIII, XIX n'ont pas présenté de symptômes gastriques. D). Syndrome de différentes douleur
durée a été toujours très courte. Le court exposé des différents symptômes qui peuvent constituer la période du début de c
es combinaisons peuvent avoir lieu à cette période; tantôt c'est un symptôme d'un syndrome quelconque qui constitue toute la
BSERVATION XIV, la perte de con- naissance en est le seul et unique symptôme . Tantôt le début est représenté par deux symptô
le seul et unique symptôme. Tantôt le début est représenté par deux symptômes dont chacun appartient à un syndrome, comme, 1
III, la dyspnée et les dou- leurs au genou gauche; tautôt plusieurs symptômes d'un syndrome peuvent se combiner à un symptôme
; tautôt plusieurs symptômes d'un syndrome peuvent se combiner à un symptôme d'un autre syndrome; c'est le cas de ]OBSERVATI
translation se combinent aux dou- leurs lombaires. Enfin, plusieurs symptômes de plu- sieurs syndromes peuvent se combiner po
e du début, c'est ce qui est arrivé pour l'OB- servation XVII où le symptôme céphalique est repré- senté par l'éblouissement
ision d'étin- celles et la perte de connaissance, le syndrome des symptômes respiratoires par la dyspnée, le syndrome gastr
XVIII) a eu lieu sans intervalle entre la disparition de tous les symptômes de la période du début et la période paralytiqu
bs. XV, XVI, XIX), il y a un intervalle très net durant lequel tout symptôme du début a com- plètement disparu et le bien-êt
intervalle de bien-être d'une heure, qui a suivi la disparition des symptômes du début, la para- plégie survient a 6 heures d
sans la mo- noplégie du bras droit; la même chose est arrivée aux symptômes associés. Passons maintenant à l'examen des sym
arrivée aux symptômes associés. Passons maintenant à l'examen des symptômes qui peuvent s'allier à l'élément paralytique, e
'allier à l'élément paralytique, en d'au- tres termes à l'étude des symptômes associés. b). Symptômes associés. Ils consisten
tique, en d'au- tres termes à l'étude des symptômes associés. b). Symptômes associés. Ils consistent en symp- tômes : l°sen
stent en symp- tômes : l°sensitifs; 2° vésicaux ; 3° rectaux. c). Symptômes sensitifs. Chez les six malades, la sensibilité
plus fidèle et le plus inséparable de l'élément paralytique. d). Symptômes vésicaux. Les symptômes vési- caux ont constamm
s inséparable de l'élément paralytique. d). Symptômes vésicaux. Les symptômes vési- caux ont constamment accompagné la paraly
ire; aussi est-il réalisable, non seulement en se fondant sur les symptômes purement anatomiques, mais en partie sur les pa
e sous forme d'une tumeur plus limitée et solide; dans ces cas, les symptômes manqueront ou bien leur caractère sera essentie
cation toute prête des phéno- mènes des anesthésies partielles, des symptômes tro- phiquesetvasomoteurs. En général, nous con
déjà que les grandes cavités par elles- mêmes ne produisent pas de symptômes semblables ; dans le cas de Reisinger8, une éno
parties environnantes, marchait longtemps sans présenter au- cun symptôme et, en général, nous savons avec quelle facilit
asme, là par le contenu liquide de la lacune, - -pour expliquer des symptômes si uniformes, comme, par exemple, la thermanest
par exemple, la thermanesthésie généralisée (OBs. 111, V, VI). Ces symptômes indiquent une lésion élective, quasi-systématiq
es correspondantes. Mais quelles sont les rapports intimes entre ce symptôme et les lésions anatomiques ? L'intensité variab
notable toutes ces circonstances nous empêchent d'admettre que ce symptôme puisse être produit par l'accroissement de la l
souvent irrégulière. Nous avons vu dans I'Obser- VATION VI, que les symptômes fondamentaux peuvent rester stationnaires. Géné
ans les cas nos I, II, et III, nous avons vu une amélioration des symptômes ou un arrêt du développement ulté- rieur de la
son de la maladie est-elle possible ? Nous avons vu que de nombreux symptômes peuvent s'amé- liorer considérablement; nous av
son amélioration considérable et peut-être même la disparition des symptômes mor- bides. 408 PATHOLOGIE NERVEUSE. Le pro
n'est pas rare de trouver dans les antécédents du patient, que des symptômes de la maladie avaient précédé, les causes, auxq
parasitaire n'a pas de données'. Diagnostic. Nous avons vu que le symptôme le plus caractéristique et le plus constant de
quelques cas de lèpre. (Rosenbach. 30.) 410 PATHOLOGIE NERVEUSE. symptômes de luxe, ne servent qu'à confirmer le dia- gnos
ne servent qu'à confirmer le dia- gnostic régulier, fondé, sur les symptômes cités plus haut. Les symptômes vaso-moteurs el
- gnostic régulier, fondé, sur les symptômes cités plus haut. Les symptômes vaso-moteurs el trophiques s'ils sont les premi
l'extension ultérieure du processus mor- bide, peuvent masquer les symptômes caractéristi- ques fondamentaux. Mais le diag
ossible; il ne faut pas oublier que dans aucune autre maladie les symptômes de lésions en foyer de la moelle épinière ne se
rtielle caractéristique de la gliomatose; et étant donné ce dernier symptôme ; quelle que soit la locali- sation de différent
e dernier symptôme; quelle que soit la locali- sation de différents symptômes deutéro-pathiques, ils ne doivent pas exclure l
Mais dans ces cas-là, la marche de la maladie, l'exis- tence des symptômes indubitables de tabès et l'ab- sence de la dist
a thermanesthésie seule ou accompagnée d'analgésie et sans autres symptômes de lésion anatomique de la moelle épinière ou a
1 manesthésie partielle de ce genre, mais il y avait; i d'autres symptômes caractéristiques du côté de la sen- sibilité :
s occipitaux, une humeur hypochondriaque; nous supposons que si ces symptômes mêmes venaient à nous manquer, nous aurions le
sa- tion de la thermanesthésie et la propriété de quelques autres symptômes , qui ont obligé l'auteur à diagnos- tiquer dans
s à un diagnostic différentiel : 1)Thermanesthésie partielle avec symptômes carac- téristiques du tabès (oculaires, perte d
corps, forme hémiplégique, disposition par région, etc.) manque de symptômes , nécessaires au diagnostic du tabes; diagnostic
ieurs sans autres phénomènes du côté de l'appareil locomoteur, sans symptômes diagnostiques de l'ataxie locomotrice diagnosti
tion du médecin dans le cas où le malade le consulte pour d'autres symptômes . Pour cette raison, il est donc nécessaire de t
fois, indique la gliomatose spinale; mais l'ab- sence de ce dernier symptôme ou l'existence d'une anesthésie plus ou moins é
voyons que le processus mor- bide admet l'amélioration de quelques symptômes et que la thérapeutique dans la gliomatose n'a
la pression mais en y provoquant des altérations d'élection avec symptômes de caractère plus systématique que dans les aff
dement, le processus anatomique, progressif par sa nature, crée des symptômes , capables de retro- DÉ LA GLIOMATOSE MÉDULLAIRE
ère ou de la racine ascendante du trijumeau correspon- dant à des symptômes d'élection insignifiants (d'anes- thésie partie
cision le caractère et la localisation de l'anesthésie et d'autres symptômes cliniques. 11 faut être toujours prêt à profite
sseuse, était légèrement hypertrophié. Dans le cas de Meschede, les symptômes observés sont en rapport avec la lésion cérébel
et l'on constate dans l'intervalle des accès de locomotion d'autres symptômes en rapport avec la maladie encéphalique. » (Jac
- tère est la soudaineté de l'attaque. Il peut y avoir ou non des symptômes prémonitoires. Elle passe fréquemment avec la m
our que l'attaque soit longue. Le manque de sommeil est toujours un symptôme important et souvent, après un som- meil artifi
rescence des cordons postérieurs avec névrite optique, mais que les symptômes psychiques tenaient à un sarcome du lobe fronta
3 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
romes spasmodiques ET TABÉ- toïdes. Cette période commence avec les symptômes spasmodiques et tabétoïdes. L'étude attentive d
ômes spasmodiques et tabétoïdes. L'étude attentive des différents symptômes qui constituent cette période nous permet de me
constituent cette période nous permet de mettre en relief : 1° des symptômes positifs, c'est-à-dire des symptômes qui peuven
t de mettre en relief : 1° des symptômes positifs, c'est-à-dire des symptômes qui peuvent figurer au tableau de cette forme;
des symptômes qui peuvent figurer au tableau de cette forme; 2° des symptômes néga- tifs, c'est-à-dire des symptômes qui ne p
bleau de cette forme; 2° des symptômes néga- tifs, c'est-à-dire des symptômes qui ne peuvent et ne doivent même pas prendre p
inaux. A. Symptômes positifs. On voit que dans notre tableau, ces symptômes sont divisés en cinq groupes : 1° Syndrome de s
ableau, ces symptômes sont divisés en cinq groupes : 1° Syndrome de symptômes spasmodiques; 2° syn- drome de symptômes tabéto
groupes : 1° Syndrome de symptômes spasmodiques; 2° syn- drome de symptômes tabétoïdes; 3° symptômes vaso- moteurs ; 4° sym
e symptômes spasmodiques; 2° syn- drome de symptômes tabétoïdes; 3° symptômes vaso- moteurs ; 4° symptômes vésicaux; 5° sympt
n- drome de symptômes tabétoïdes; 3° symptômes vaso- moteurs ; 4° symptômes vésicaux; 5° symptômes rec- taux. a). Syndrom
tabétoïdes; 3° symptômes vaso- moteurs ; 4° symptômes vésicaux; 5° symptômes rec- taux. a). Syndrome de symptômes spasmodi
; 4° symptômes vésicaux; 5° symptômes rec- taux. a). Syndrome de symptômes spasmodiques Si l'on jette un coup d'oeil au ta
emploi des scaphandres, sont spasmo- diques. Quant à l'exposé des symptômes dont l'ensemble constitue le syndrome de la par
contracture permanente, au pied bot spasmodique. b). Syndrome de symptômes tabétoïdes et sensitifs. Nous voilà arrivés à l
es caractérisent la forme centrale postéro-latérale. Le syndrome de symptômes tabé- toïdes sert à la différencier de la forme
que la distingue de la forme centrale posté- rieure. Les différents symptômes qui constituent ce syndrome sont : u «). Les
i a existé dans toutes les observations; en consé- quence, c'est un symptôme constant; 2° à la difficulté de marcher les yeu
tée par les ma- Jades des OBSERVATIONS XV, XVI, XVII, XVIII. - ). Symptômes sensitifs. Nous avons vu qu'à la deuxième pério
d'une manière isolée. Elles ne duraient que quelques heures. c). Symptômes vaso-moteurs. Parmi les six obser- vations rapp
t pour l'OB- SERVATION XVI, des pieds pour 1'OasERVA'noN XIX. d). Symptômes vésicaux. Tandis.qu'au commen- cement les troub
c'est ce qui est arrivé aux Observations XVI, XVII et XVIII. Les symptômes vésicaux qui ont survécu chez les trois autres
. Symptômes 7égati/s.- Après avoirdéjà décrit les divers groupes de symptômes positifs, dont nous avons surtout mis en relief
sine quia non de cette forme, passons à l'examen très rapide des symptômes négatifs. Les symptômes négatifs sont de deux o
e forme, passons à l'examen très rapide des symptômes négatifs. Les symptômes négatifs sont de deux ordres : a). Les symptô
es négatifs. Les symptômes négatifs sont de deux ordres : a). Les symptômes myatrophiques, qui n'ont jamais existé dans nos
emploi de scaphandres ne sont pas accompagnées de myatrophie. b). Symptômes cêphaliques. Tandis qu'on est sur- pris de la f
mptômes cêphaliques. Tandis qu'on est sur- pris de la fréquence des symptômes céphaliques à la période très fugitive du début
rès fugitive du début, au contraire plus tard, il n'y a pas un seul symptôme qui figure au tableau clinique. - Pour peu qu'o
ériode, on est frappé etde la multiplicité et de la variabilité des symptômes du début de cette forme en d'autres termes le d
t chez tous les malades et caractérisé par deux syndromes, celui de symptômes spasmodiques et celui des symptômes tabétoïdes.
par deux syndromes, celui de symptômes spasmodiques et celui des symptômes tabétoïdes. Donc entrée en scène polymorphe et
e caractères cliniques généraux; les nuances cliniques spéciales de symptômes du début, l'intervalle spécial entre la dispari
e symptômes du début, l'intervalle spécial entre la disparition des symptômes du début" et l'invasion de la paraplégie, le mo
l'invasion de la paraplégie, le mode de l'invasion de celle-ci, les symptômes positifs et les symptômes négatifs de l'étape u
le mode de l'invasion de celle-ci, les symptômes positifs et les symptômes négatifs de l'étape ultérieure de la ma- ladie
du casque, et le malade se porte parfaitement bien; pas le moindre symptôme ; au bout de ce temps, il est pris tout d'un cou
ni lire ni écrire; en outre, il avait la tête un peu lourde. Pas de symptômes , ni gastriques, ni respiratoires, ni douloureux
SE. membres ont recouvré leurs fonctions. Par contre, de nouveaux symptômes se déclarent : 1° le malade sentait la base de so
diatement après l'introduction incomplète du pénis. Il n'y a pas de symptômes céphaliques. Nous avons ordonné au malade le tr
urs de l'apophyse xyplwidc. A 10 heures du soir, disparition de ces symptômes . Intervalle de bien-être pendant un temps impos
e pendant un temps impossible à définir entre la disparition de ces symptômes du début et l'invasion de la paraplégie. Parapl
int qu'il poussait des cris pitoyables. Pas de vomissements, pas de symptômes céphaliques,pas d'artropathies ou myopathies do
u soir. A ce moment donc, il y a disparition complète de tous les symptômes ; le malade cause bien, mange bien, et à minuit
i échappe involontairement. Il n'y a rien du côté du rectum. Pas de symptômes cépha- liques. Nous lui avons ordonné des imm
alytique, et 3° la période du syn- drome tabétoïde. I. Période DE symptômes DU début. Des divers et multiples symptômes con
étoïde. I. Période DE symptômes DU début. Des divers et multiples symptômes constitutifs de la symptoma- tologie de la péri
absolument rien (il ne distinguait pas le jour de la nuit). » b). Symptômes oculaires. Comme symptômes appartenant à cette
stinguait pas le jour de la nuit). » b). Symptômes oculaires. Comme symptômes appartenant à cette catégorie, nous avons : - 1
tômes appartenant à cette catégorie, nous avons : - 1° la cécité, symptôme que nous avons déjà vu dans la symptomatologie
iltration du sang des conjonctives qui coexis- tait avec les autres symptômes céphaliques. c). Troubles du langage. Parmi les
pour le lui enlever. Cet état de la tête coexis- tait avec d'autres symptômes cépllaliques, à savoir : perte de connaissance,
ra- lion de conjonctives, etc., etc. e). Lourdeur de la tête.- Ce symptôme a existé seu- lement une fois (0>;s. XXI) as
. pitoyables. Ces douleurs n'étaient accompagnées d'au- cun autre symptôme gastrique. C. Symptômes respiratoires. a). Dysp
urs n'étaient accompagnées d'au- cun autre symptôme gastrique. C. Symptômes respiratoires. a). Dyspnée. Ce symptôme a figur
e symptôme gastrique. C. Symptômes respiratoires. a). Dyspnée. Ce symptôme a figuré à l'OBSERVATION XXII, et semble avoir
avoir une double origine aux organes mêmes de la respiration et au symptôme gastrique concomitant les douleurs à l'apophyse
ès de quintes de toux bruyantes et prolongées. c). Hémoptisie. Ce symptôme accompagnait chaque quinte de toux du malade de
tées, combien est grande et la multiplicité et la varia- bilité des symptômes du début. Quant à la combi- naison de ces diffé
des symptômes du début. Quant à la combi- naison de ces différents symptômes pour la constitution de la période du début, no
e la paraplégie a eu lieu avant la disparition complète de tous les symptômes de la période du début, en d'autres termes dura
de la paraplégie est arrivée immédiatement après la disparition des symptômes du début. Enfin, chez celui de 1OBSEIIVATIOV XX
légie a eu lieu quelque temps après la disparition complète de tout symptôme du début. Durant cet intervalle, le malade se p
ccident a éclaté à 2 h. et demie du soir; à 10 heures du soir, tout symptôme delà période du début disparaît et le malade re
de trois sortes : a). sensitifs, b). vésicaux et c). rectaux. a). Symptômes sezzsitifs. L'altération de la sen- sibilité gé
de paralysie. La 'sensibilité aurait été complètement abolie. b). Symptômes vésicaux. Les troubles de la vessie que nous vo
tandis que chez celui de l'O13SER\'A1'ION XXII, en rétention. c). Symptômes rectaux. Les troubles du rectum figurées dans l
oute trace de paralysie. On distingue très nettement deux ordres de symptômes : A). Symptômes positifs, c'est-à-dire des symp
ralysie. On distingue très nettement deux ordres de symptômes : A). Symptômes positifs, c'est-à-dire des symptômes qui peuven
deux ordres de symptômes : A). Symptômes positifs, c'est-à-dire des symptômes qui peuvent, et dont quel- ques-uns même doiven
t quel- ques-uns même doivent figurer au tableau clinique, et B). Symptômes négatifs, c'est-à-dire des symptômes qui ne peu
er au tableau clinique, et B). Symptômes négatifs, c'est-à-dire des symptômes qui ne peuvent et ne doivent pas jouer de rôle
e doivent pas jouer de rôle dans la représentation morbide. · A). Symptômes positifs. Les symptômes positifs que nous avons
ôle dans la représentation morbide. · A). Symptômes positifs. Les symptômes positifs que nous avons rencontrés chez nos tro
n quatre groupes : a). le syn- drome tabétoïde et sensitif; b). les symptômes vési- caux ; c). les symptômes rectaux, et d).
drome tabétoïde et sensitif; b). les symptômes vési- caux ; c). les symptômes rectaux, et d). les symptômes génitaux. a). S
). les symptômes vési- caux ; c). les symptômes rectaux, et d). les symptômes génitaux. a). Syndrome tabétoïde et sensitif.
postérieure. Passons maintenant à l'étude détaillée et spéciale des symptômes constitu- tifs de ce syndrome. 1° Douleurs fu
ient tout d'un coup, ont été pré- sentées par les trois malades. Ce symptôme a fait son apparition pendant la période paraly
lysie et persiste après la guérison de celle-ci, constituant un des symptômes les plus sail- lants de la troisième période.
sail- lants de la troisième période. 2° Douleurs en ceinture. Ce symptôme qui a figuré deux fois, a fait son apparition à
mplète de la paralysie; cette sensation servant en quelque sorte de symptôme de transition entre la période paralytique et c
et le malade souffre alors énor- mément. 3° Crises gastriques. Ce symptôme a été re- marqué deux fois ; tout d'un coup, le
Engourdissement des pieds. Nous avons re- marqué l'existence de ce symptôme chez le malade de l'OBSERVATION XXII, qui très
même légèrement augmentés des deux côtés. 9° Chute des ongles. Ce symptôme a figuré une fois (Ois. XXII). La chute n'a été
sommes naturellement amené, après avoir spécialement décrit chaque symptôme de ce syndrome, à l'étude du développement de c
r stade, c'est-à-dire sans que le malade soit conflué au lit. b). Symptômes vêsicaux. Nous avons à étudier deux symptômes v
conflué au lit. b). Symptômes vêsicaux. Nous avons à étudier deux symptômes vésicaux : 1° les douleurs- uréthrales DES ACCI
; tout d'un coup un jet d'urine lui échappe involontairement. c). Symptômes rectaux. Nous n'avons à noter comme symptômes d
volontairement. c). Symptômes rectaux. Nous n'avons à noter comme symptômes de ce genre que la constipation du malade de l'
ce genre que la constipation du malade de l'OBSERVATtON XXI. d). Symptômes génitaux. Après une impuis- sance de deux mois,
llutions ont disparu et les érections étaient plus complètes. B). Symptômes négatifs. A côté de symptômes positifs de la pé
érections étaient plus complètes. B). Symptômes négatifs. A côté de symptômes positifs de la période du syndrome tabétoïde, i
ymptômes positifs de la période du syndrome tabétoïde, il y a des symptômes négatifs, c'est-à-dire des symptômes qui ne peu
syndrome tabétoïde, il y a des symptômes négatifs, c'est-à-dire des symptômes qui ne peuvent et ne doivent pas figurer au tab
au contraire défaut à la forme centrale spinale postérieure. b). Symptômes myatrophiques. Aucun de nos trois malades ne pr
trace de myatrophie les muscles étant parfaitement conservés. c). Symptômes céphaliques. Il n'y avait pas un seul symptôme
nt conservés. c). Symptômes céphaliques. Il n'y avait pas un seul symptôme céphalique. Ceux des malades des Observations X
re comme caractères généraux, les nuances cliniques spéciales des symptômes du début, l'intervalle spécial entre la dispari
es symptômes du début, l'intervalle spécial entre la disparition de symptômes du début et l'inva- sion de ! a paraplégie, le
on de celle-ci, le mode de l'évolution du syndrome tabétoïde, les symptômes négatifs comme caractères partiels, enfin la ma
e le moment de la décompression et l'invasion de l'accident. Pas de symptômes du début. Vague sensation de pantalons et de ca
tiges; pas de troubles du langage; pas de maux de tête, enfin aucun symptôme céphalique. Pas de dyspnée, pas de toux, ni aut
in aucun symptôme céphalique. Pas de dyspnée, pas de toux, ni autre symptôme respiratoire. Pas de gonflement de l'estomac, p
gonflement de l'estomac, pas de douleurs, pas de pesanteur ni autre symptôme gastrique. Enfin pas de douleurs, soit muscu- l
t écoulée entre la décompression et l'invasion de l'accident. Les symptômes spinaux ne sont précédés, et c'est ce qui arriv
cédentes, comme aussi à celle qui suivra immédiatement, d'aucun des symptômes qui appartiennent à la période du début des aut
à la période du début des autres formes spinales. En effet, pas de symptômes céphaliques, pas de symptômes gastriques, pas d
s formes spinales. En effet, pas de symptômes céphaliques, pas de symptômes gastriques, pas de troubles respi- ratoires, pa
s appartenant à cette forme dont le tableau cli- nique présente des symptômes du début. La patho- génie même des accidents pa
o- génie même des accidents par l'emploi des scaphan- dres et des symptômes de la période du début des autres formes spinal
férieurs, sans aucune trace de paralysie, sans myatrophie et sans symptômes du côté de la vessie, du rectum et des organes
u membre droit sont aussi bien conservés que ceux du gauche. Pas de symptômes tabétoïdes. Pas de troubles vaso-moteurs ou tro
ou des organes gé- nitaux delà vessie et du rectum. Il n'y a pas de symptômes cépha- liques. , Observation' XXV. AcMdeK<
chique, étourdissements. Au bout de trois heures disparition de ces symptômes . Intervalle de bien-être de quelques minutes de
bien-être de quelques minutes de durée entre la disparition de ces symptômes et l'invasion de la monoplégie du membre inférieu
mouvoir. Pas de perte de connaissance. Au bout de trois heures, ces symptômes céphaliques disparaissent complètement et le ma
le malade pendant quelques minutes était tout à fait libre de tout symptôme ; il se croyait sauvé, quand au bout de ce faibl
ied droit. Pas d'altération du sens musculaire et en général pas de symptômes tabétoïdes. Il n'y a aucune trace d'atrophie mu
m et des organes génitaux paraissent se faire régulièrement. Pas de symptômes céphaliques.Nous l'avons soumis au traitement p
ntissement des forces. Pas d'intervalle entre la disparition de ces symptômes et l'explo- sion de la paralysie. o ! Mpeg'ie d
forces étaient anéanties; pas de perte de connaissance pas d'autres symptômes . Au bout de trois heures à midi, la sensation d
t rares et incomplètes. Pas de troubles du rectum. Il n'y a aucun symptôme céphalique. OuSËRVATtOXXXVH. Accident provoqué
aient aux côtes, sans gonflement au moins apparent et sans autres symptômes gastriques : pas de symptômes céphaliques ou autr
ment au moins apparent et sans autres symptômes gastriques : pas de symptômes céphaliques ou autres. Au bout de dix minutes e
aux, figures gri- marantes), tremblement alcoolique. Pas d'autres symptômes céphaliques. Les fonctions des autres organes p
en trois périodes la pathologie de cette forme : 1° la période des symptômes du dé- but ou extrinsèques; 2° la période monop
oplégique et 3° la période du syndrome spasmodique. 1° Période de symptômes du début. L'invasion des symptômes du début che
ome spasmodique. 1° Période de symptômes du début. L'invasion des symptômes du début chez quelques malades (Cas. XXIV et XX
ps s'écoule entre le moment de la décompression et l'invasion des symptômes du début : cinq minutes pour l'OBSERVATION XXVI
OBSERVATION XXVI, une heure et demie pour l'OBSER1'ATIOY XXV. Les symptômes du début de ces quatre cas ont con- sisté en de
V. Les symptômes du début de ces quatre cas ont con- sisté en des symptômes : a), Céphaliques ; b), Symp- tômes gastriques;
triques; c), douloureux sensitifs; d), Symp- tômes céphaliques. Ces symptômes présentés par les malades des Observations XXIV
NDRES. 69 lade n'ayant conscience de rien; pas de convulsions. Ce symptôme , qui n'était accompagné d'aucun autre symptôme
de convulsions. Ce symptôme, qui n'était accompagné d'aucun autre symptôme céphalique, était précédé de douleurs à l'épaul
paru presque brusquement et complètement. c). Elourdissements. Ce symptôme céphalique a figuré, associé aux troubles de la
, la durée a été la même que celle des troubles de la parole. d). Symptômes gastriques. Comme symptômes appartenant à ce ge
ue celle des troubles de la parole. d). Symptômes gastriques. Comme symptômes appartenant à ce genre symptomatologique, nous
ux côtes sans gonflement au moins appa- rent de l'estomac, ou autre symptôme gastrique con- comitant. La durée de ces douleu
e dix minutes (Ces. XXVII) environ. e)..Iivenses douleurs et autres symptômes eyM ? En matière de douleurs, il faut noter ces
ont fait énormément souffrir pendant quelques heures. Au genre de symptômes sensitifs,nous devons rat- tacher la sensation
XXVI et XXVII a eu lieu immédiatement après la dispari- tion des symptômes du début, tandis que chez le ma- lade de l'OBSE
ION XXV, quelques minutes se sont écoulées entre la disparition des symptômes du début DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHAN
ment la monoplégie elle-même, c'est-à-dire son mode d'invasion, ses symptômes associés et sa marche. a). Mode d'invasion. L
l'OBSERVATION XXVI afin d'arriver à son maximum d'intensité. b). Symptômes associés. Les symptômes qui sont associés à la
in d'arriver à son maximum d'intensité. b). Symptômes associés. Les symptômes qui sont associés à la monoplégie de ces quatre
AR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. ni attentif de ces cas nous rélève des symptômes positifs, c'est-à-dire des symptômes qui peuven
tif de ces cas nous rélève des symptômes positifs, c'est-à-dire des symptômes qui peuvent figurer au tableau clinique et des
à-dire des symptômes qui peuvent figurer au tableau clinique et des symptômes négatifs qui ne peuvent et ne doivent pas y fig
ptômes négatifs qui ne peuvent et ne doivent pas y figurer. , A). Symptômes positifs. Ces symptômes sont : a) ceux qui cons
peuvent et ne doivent pas y figurer. , A). Symptômes positifs. Ces symptômes sont : a) ceux qui constituent le syndrome spas
tômes sont : a) ceux qui constituent le syndrome spasmodiques les symptômes sensitifs; C) symptômes vaso-moteurs; vésicaux
ui constituent le syndrome spasmodiques les symptômes sensitifs; C) symptômes vaso-moteurs; vésicaux ; génitaux. a). Syndro
res et qui se prolongeaient un temps suffisant au développement des symptômes spastiques, sont spasmodiques » et vice versa,
origine, nous serons bref dans la descril)- tion spéciale de chaque symptôme de ce syndrome. Passons en revue ces symptômes.
on spéciale de chaque symptôme de ce syndrome. Passons en revue ces symptômes . 1° Exaltation des réflexes. Ce signe n'a man-
uliens ont été très exaltés. " - 2° Epilepsie SPINALE. - C'est un symptôme encore constant. Presque tous les monoplégiques
par l'emploi des scaphandres tremblent des pieds. L'intensité de ce symptôme est très variable, c'est ainsi que tantôt elle
lle est facilement provoquable (OBs. XXVI), enfin l'intensité de ce symptôme (Ous. XXVII), est parfois* telle qu'il suffit d
provoquer l'épilepsie spinale. 3° Secousses. Voilà encore un autre symptôme presque constant que l'on voit figurer dans les
. Elles surviennent surtout la nuit. 4° Contractures passagères. Ce symptôme a existé chez deux malades, Observation XXVI et
pe plus ou moins avant que l'épilepsie spinale apparaisse. Là, le symptôme peut s'arrêter dans son dévelop- pement, il peu
us et que les contractures passagères viennent s'ajouter aux autres symptômes spasmodiques (Ces. XXVI). Une fois arrivé à ce
on développement, tend, au contraire, à se compléter et alors aux symptômes , exaltation des réflexes, épilepsie spinale, se
, mais presque jamais, pour ne pas dire jamais progressive. ' a). Symptômes sensilifs. On se rappelle que la sensibilité a
ltéra- tiou de la sensibilité n'est pas notable (Cas. XXVII). c). Symptômes vaso-moteurs. Excepté le malade de l'OBSERVATIO
bservations XXIV, XXV et XXVII n'en ont pas du tout présenté. d). Symptômes vt,sicazix. Parmi ces quatre obser- DES ACCIDEN
n, ont consisté en la nécessité d'uriner dès le besoin perçu. e). Symptômes génitaux. Comme symptômes ap- partenant ace gen
cessité d'uriner dès le besoin perçu. e). Symptômes génitaux. Comme symptômes ap- partenant ace genre, nous n'avons a mention
e l'impuissance incomplète du malade de I'Observation XXVI. B). Symptômes négatifs. Ces symptômes sont de deux ordres' :
lète du malade de I'Observation XXVI. B). Symptômes négatifs. Ces symptômes sont de deux ordres' : a) symptômes myatrophiqu
. B). Symptômes négatifs. Ces symptômes sont de deux ordres' : a) symptômes myatrophiques et b) symp- tômes céphaliques.
' : a) symptômes myatrophiques et b) symp- tômes céphaliques. a). Symptômes myatrophiques. Nous n'avons jamais observé les
ues. a). Symptômes myatrophiques. Nous n'avons jamais observé les symptômes qui dérivent de la lésion des cornes antérieure
i des sca- phandres ne sont pas accompagnés de myatrophie . » b). Symptômes e ? M. Si, d'une part, ces symptômes sont parmi
pagnés de myatrophie . » b). Symptômes e ? M. Si, d'une part, ces symptômes sont parmi ceux qui, très souvent, figurent dan
uelles et le tremblement du malade de l'O.BsrRYATION XXVII sont des symptômes indépendants de la lésion et dus à l'intoxicati
néraux, si nous ajoutons les particularités cliniques spéciales des symptômes de la période du début, le mode de l'invasion d
de la période du début, le mode de l'invasion de la monoplégie, les symptômes positifs et les symptômes négatifs de l'étape u
mode de l'invasion de la monoplégie, les symptômes positifs et les symptômes négatifs de l'étape ultérieure, enfin la marche
aralysie aux membres inférieur et supérieur gauches. Il n'y a aucun symptôme céphalique. Le traitement est ainsi institué :
r l'emploi des scaphandres. Avant de procéder à l'explication des symptômes qui sont présentés par le membre inférieur droi
ite transverse, consécutivement à la lésion mé- ningée. Quant aux symptômes spastiques, exaltation des réflexes et. épileps
es observations montre aussi que les malades offrent tous les mêmes symptômes et 1 Ces figures ne sont point parfaites. En pa
, 1886, t. XII, p. 137, 292. Fig. 2. 92 REVUE CRITIQUE. que ces symptômes sont absolument analogues à ceux que nous avons
c cachexie pachydermique est parfaitement constituée, qu'elle a ses symptômes particuliers et une lésion anatomique constante
depuis la publication des travaux de la Salpêtrière, la réalité des symptômes hypnotiques n'est plus mise en doute. , On po
- Eu même temps que M. Charcot relevait l'évidence de ces précieux symptômes , il constatait que chez les sujets qu'il avait
guë hallucinatoire, des auteurs allemands, M. Wille se préoccupe du symptôme qu'il considère comme principal, de l'enchevêtr
s dans lesquelles on constate une alternance bien marquée entre les symptômes pulmonaires et les symptômes mentaux. En effet
ne alternance bien marquée entre les symptômes pulmonaires et les symptômes mentaux. En effet dans la première, l'asthme chro
de mala- dies du coeur était compris entre C70 et 70 ans. 7° Les symptômes cliniques du reflux mitral chez les aliénés viv
ire pendant le travail, éclampsie puerpérale et aliénation mentale, symptômes prémonitoires de la folie puerpérale. Dans le m
mémoratifs pris avec soin, sur la critique analytique de chacun des symptômes morbides, la com- paraison de l'ensemble du tab
rès la fièvre typhoïde, amélioration mentale des plus notables, les symptômes de la psychopathie ayant tous presque disparu,
l'âge de trente- huit ans environ. Chronologiquement, les premiers symptômes furent des constipations et, de temps à autre,
e ont surtout baissé). Myose très pro- noncée dans les deux yeux et symptôme d'Argyl-Robertson. Antécédents. Il n'a pas été
ns le pharynx, mais, à part cela, elle ne peut indiquer aucun autre symptôme qu'on puisse rattacher à une infection syphilit
lopie. Etat actuel (examen fait par moi, en août 1887). Outre les symptômes déjà indiqués, la malade présente les suivants :
affaiblissement de l'ouïe dans les deux oreilles; myose marquée et symptôme d'Argyl-Hobertson; de plus, certaine faiblesse da
dura deux mois. Dès 1882, la malade ne fut pas atteinte d'au- tres symptômes morbides. Pas d'abus de spiritueux, pas de refroi
(d'origine trau- matique) ; dans l'oeil gauche, myose prononcée et symptôme d'Ar- gyl-Robertson. L'examen opbtalmoscopique,
tre assise, ni d'être couchée, ni de manger, ni de dormir. Myose et symptôme d'Ar(, 1-Robert- son dans les deux yeux. Ataxie
yeux sont ouverts et tombe dès qu'elle les ferme. Myose spinale et symptôme d'Argyl-Robertson dans les deux yeux; par place
très grave, ce qui fut constaté par des spécialistes. Entre autres symptômes , je relèverai des ulcères aux organes génitaux, d
appait involontairement pendant la marche. Etat actuel. Outre les symptômes que nous venons d'indi- quer, nous remarquons c
s chez la malade : myose prononcée et 192 ), PATHOLOGIE NERVEUSE. symptôme d'Argyl-Robertson dans les deux yeux; lorsque les
, d'inflammation des amygdales, de douleurs dans la gorge et autres symptômes ). Trois mois après la guérison apparente de la.
toutes mes malades, il n'y en avait pas une seule qui présentât les symptômes douteux que l'on regarde actuellement trop fréq
cas décrits, le diagnostic a toujours été basé sur l'en- semble des symptômes : il suffit de rappeler que, d'après les résumé
le vacillement à yeux clos se retrouvait. Dans six cas il y avait symptôme d'Argyl-Robertson très marqué et myose spinale.
st encore entouré d'une telle obscu- rité que, avant de décrire les symptômes cliniques de la surdité verbale, je me propose
malade dont je donne un résumé som- maire, comprend la plupart des symptômes que les écrivains récents en mentionnent comme
xiste plus dans son cer- 1 J'ai décrit dans lotis leurs détails les symptômes observés chez ce malade dans mon ouvrage sur l'
me le malade était en observation depuis un temps considérable, les symptômes cliniques ont pu être étudiés dans des conditio
de lire sa propre écriture. En examinant plus en détail ce dernier symptôme , on observa qu'il pouvait écrire une longue let
puis le lire. » Quelques jours après, on observa un autre curieux symptôme . ' G. Ballet, 0/). cit., p. 97. ' SURDITÉ VER
j'ai parlé étaient compliqués d'une hémianopsie bilatérale droite, symptôme fréquemment associé à la cécité verbale. Selon
même temps absolument in- sensibles. Il n'y aurait pas eu d'autres symptômes . Cette paralysie n'a duré qu'un quart d'heure e
nements sur l'état de la sensibilité. Il n'y aurait pas eu d'autres symptômes nulle part. Vers 1 heure du soir, le membre a r
t des purgatifs. Excepté quelques faibles vertiges, il n'y a pas de symptômes céphaliques ou autres. Le soir, le malade comme
er les cas complexes dont le tableau clinique est constitué par des symptômes appartenant aux dif- férentes formes simples et
de connaissance. 1. FORME APHASIQUE. On sait déjà que, parmi les symptômes de la période du début, les troubles de la paro
es de la parole ont plus d'une fois figuré comme constituant un des symptômes du groupe céphalique. Maintenant nous allons le
upe céphalique. Maintenant nous allons les voir non plus à titre de symptômes , mais à titre de forme clinique. Les troubles d
vait eu ni perte de connais- sance, ni bouche de travers, ni autres symptômes paralytiques. Pas d'autres troubles cép.halique
n'a pas perdu un seul instant sa connaissance. Il n'a pas d'autres symptômes céphaliques. Pas de bouche de travers. Pas de p
n'aurait eu ni bouche de travers, ni perte de connaissance ni autre symptôme céphalique, pas de paralysie des extrémités. La
paralysie des membres, pas de bouche de travers enfin pas d'autres symptômes soit cépha- liques soit autres. Cet état a duré
e bouche de travers ; pas de paralysie des extrémités; pas d'autres symptômes quelconques. Etat actuel, rien, coeur et systèm
vante. On sait déjà que la- surdité des mots a figuré à titre de symptôme de la période du début de la- forme centrale sp
alade n'aurait eu ni vertiges,, ni perte de connaissanse, ni autres symptômes céphaliques. Il n'aurait eu non plus ni bouche
l'hé- miopie. Excepté sa grande émotivité, il n'y a pas d'autres symptômes céphaliques. Il n'y a aucune trace de paralysie
l'OBSERVATION X. Tous . ces'troubles sensoriels ont figuré comme symptômes de la période du début des différentes formes s
scaphandre à titre de forme clinique spéciale, autre- ment dit, ces symptômes peuvent se rencontrer isolés, dégagés de toute
paralysie, soit de la face, soit des extrémités, enfin aucun autre symptôme . C'était la cécité accompagnée de la sensation de
bien que dans celles du tableau clinique, la cécité figure comme symptôme du début et nous servent à mettre en relief que
itifs présentés par mes malades con- sistent essentiellement, comme symptôme majeur, en une altération profonde des facultés
e majeur, en une altération profonde des facultés auditives. A ce symptôme principal, vient très souvent s'ajouter un autr
de petits vertiges, pas de bourdonnements d'oreilles. Pas d'autres symptômes céphaliques. Pas de phénomènes paraly- tiques,
d'une chaîne de fer, violemment traînée. Pas de vertiges ni autres symptômes céphaliques, pas d'autres troubles quelconques.
e leur invasion jusqu'à celui de notre con- sullation. Pas d'autres symptômes céphaliques. Les autres organes paraissent fonc
sation d'angoisse. Cet état, qui n'était accompagné d'au- cun autre symptôme soit céphalique soit de nature quelconque, sauf
vagues aux lombes et lancinantes aux membres affectés ; pas d'autre symptôme céphalique, pas d'anesthésie, pas de troubles u
a respiration accompagnée de palpitations. 11 n'y a pas eu d'autres symptômes céphaliques. Il n'y aurait pas eu d'autres symp
as eu d'autres symptômes céphaliques. Il n'y aurait pas eu d'autres symptômes quelconques. Etat actuel (5 août 1884). Rien. B
, ni de perte de connaissance, ni de troubles du langage, ni autres symptômes céphaliques. 11 n'y aurait non plus d'autres sy
ni autres symptômes céphaliques. 11 n'y aurait non plus d'autres symptômes quelconques. Cette paralysie faciale a duré à peu
uf quelques petits étourdisse- ments, le malade n'avait aucun autre symptôme céphalique. Pas d'autres symptômes. Le 16 jui
ts, le malade n'avait aucun autre symptôme céphalique. Pas d'autres symptômes . Le 16 juillet, c'est-à-dire quatre jours après
PETIT HYPNOTISME. 25H Pas de troubles vaso-moteurs. Il n'y a pas de symptômes cépha- liques. La vessie, le rectum et les orga
ssible de produire chez les malades de cette catégorie une série de symptômes caracté- ristiques qu'on ne retrouve pas chez d
ents esthésiogènes et thermiques. Ils étudiaient spécialement les symptômes physiques de la léthargie et de la catalepsie et
à vingt-trois ans, avait commencé à dix-huit ans à présenter les symptômes de la démence secondaire apathique. Le second,
fixés en avant. Réflexes pupillaires normaux. En douze jours, ces symptômes atteignent leur maximum ; cinq jours après la p
NERVEUSE. II. MOELLE E1'INII'iRE. Comme méthode d'étude de divers symptômes anatomiques de la moelle, les savants russes on
dégénérescence de la région dé- crite par Gowers et Bechterew. Les symptômes présentés réalisent le tableau de la paralysie
uée d'une kémorrltagie médullaire qui ne s'était traduite par aucun symptôme pendant la vie. Le tableau clinique était celui
n musclé, présen- tait depuis dix ans, à la suite d'une frayeur les symptômes sui- vants : Chaque matin il se réveillait éten
les troubles de l'ouïe diminuent de concert avec la diminution des symptômes paralyti- ques, et disparaissent complètement a
que plusiers nerfs crâniens furent lentement affectés, sans autres symptômes essentiels. Dans l'observation IV, il s'y ajout
tômes essentiels. Dans l'observation IV, il s'y ajouta, en sus, des symptômes de lésion .cérébrale. Diagnostic, confirmé par
'est que le cri d'un cerveau en souffrance comme la dyspnée, est le symptôme d'une maladie de poumon. On, personne n'a jamai
un épuisement cérébral par rétention produisant en somme les mêmes symptômes que l'épuisement par fatigue. Avis conforme de
rable fut obtenue dans les cas de neurasthénie avec prédominance de symptômes céphaliques (tension cérébrale, insomnie), -de
t physiques aigus, il y a lieu d'instituer un traitement contre ces symptômes et qu'en les faisant SOCIÉTÉS SAVANTES. 307 1
générale qu'il avait annoncés comme guéris (Werner), que les seuls symptômes essentiels de la paralysie générale sont les tr
s même des débats. Si l'accusé est réellement atteint de folie, les symptômes de cette maladie mentale se seront révélés dans
d. Wochenschrift, 11' 9, 1887. - Le même. Ueber die neuropathischen Symptôme der Leprcc. Neurolog. Centralblalt, 1-1' 16, 18
déjà fait mille fois, un cer- tain nombre de cas où il existait tel symptôme et où telle région de l'écorce cérébrale se tro
bilité mécanique des muscles est intacte. Marche de la maladie. Les symptômes relevés chez le malade pendant le cours de nos
i d'hydrothérapie. En résumé, nous avons un malade présentant les symptômes d'un épuisement général, les symptômes évidents
ons un malade présentant les symptômes d'un épuisement général, les symptômes évidents d'une intoxication saturnine qui exist
ceinture, des douleurs lancinantes et des paresthésies diverses; symptôme deRomberg; symptôme de West- plial aux deux jam
leurs lancinantes et des paresthésies diverses; symptôme deRomberg; symptôme de West- plial aux deux jambes ; la faculté de
pendant, ce cas lui-même est très dissemblable du nôtre, car, comme symptômes , outre l'ataxie, l'affaiblissement du sens musc
ue 382 PATHOLOGIE NERVEUSE. chez notre malade le commencement des symptômes nerveux a été remarqué beaucoup plus tôt que l'
n... s'empoi- sonne par son travail et depuis douze ans déjà, les symptômes d'intoxication ne l'ont pas quitté; cette intox
mènes nerveux; presque après chaque accès, on remarquait ou quelque symptôme nerveux (par exemple : la sensation de ceinture
veux (par exemple : la sensation de ceinture), ou l'aggravation des symptômes précédents (par exemple : l'ataxie). ÈTUI)T bE
nerveuses apparues plus tard. Mais qu'est au fond cet ensemble des symptômes nerveux que nous avons observés chez notre mala
s observés chez notre malade ? Il est indubitable que chacun de ces symptômes , pris a part, appartient au tabes vulgaire. Qu'
l'existence du tabes dans notre cas, c'est l'absence complète des symptômes ophthalmiques qui jouent un rôle si impor- tant
nt des diagnostics indiscutables dans lesquels n'existent pas les symptômes oculaires. 384 pathologie nerveuse. Nous repr
roubles des muscles oculaires. Enfin, il n'y avait également pas de symptômes oculaires dans 3 des 20 cas de Duchcnne (de Bou
ies localisées, p. 638. étude DE l'etiolcgie du tabès. S83 sur un symptôme isolé, mais sur l'ensemble des symptômes exista
cgie du tabès. S83 sur un symptôme isolé, mais sur l'ensemble des symptômes existant chez notre malade, nous aurions, malgr
u une maladie infectieuse (la diphtérie, par exemple), cas dont les symptômes formaient un tableau ressem- blant beaucoup à c
s symptômes formaient un tableau ressem- blant beaucoup à celui des symptômes du tabès, mais dans lesquels le tabes n'existai
ues, constipations, coliques, liséré aux gencives, ont disparu, les symptômes nerveux ont progressé devant nos yeux et il ne
le pseudo-tabes, il n'a pas de étude de l'étiologie DU TABES. 387 symptômes ophthalmiques, myose, symptôme d'Argyt- Roberso
étude de l'étiologie DU TABES. 387 symptômes ophthalmiques, myose, symptôme d'Argyt- Robersom, etc.; mais nous avons déjà p
e de cas se rapprochant du tabes vulgaire par l'ensemble de leurs symptômes , mais qui occupent pour le mo- ment une place à
isme, notre cas acquiert un intérêt particulier en ce que ces mêmes symptômes qui nous ont fait réflé- chir dans notre diagno
rs cas de Fuczek. Dans aucun de ces cas il n'y avait ni myose, ni symptôme d'Argyl-Robertson, et dans les Observations XX,
de la pupille était parfaitement normale; nous voyons donc que le symptôme qui nous troublait le plus l'état normal des ye
ue même, au contraire, dans le tabes toxique (non syphilitique) ces symptômes ophthalmi- ques ne se reproduisent pas, d'ordin
amoindris; sensibilité farado-cutanée égale à zéro; dans ce dernier symptôme aussi, il y a coïnci- ÉTUDE DE L'ÉTIOLOGIE DU T
donc des analogies frappantes avec ceux de M. Fuczek, soit par les symptômes con- cernant la moelle épinière, soit par l'éti
nière, soit par l'étiologie; en même temps, grâce à l'abondance des symptômes d'un côté et à l'absence complète d'autres symp
'abondance des symptômes d'un côté et à l'absence complète d'autres symptômes (concernant le cerveau, par exemple) d'un autre
GINEUSE Nous avons déjà rencontré les vertiges, surtout parmi les symptômes de la période du début des diverses formes clin
tologie du début ait présenté des vertiges, à côté de ses autres symptômes . On se rappelle que ce sont des : 3t)G CLINIQUE
Nous allons maintenant observer les vertiges non plus à titre de symptôme d'importance secondaire, mais à titre de forme
mais à titre de forme clinique dans laquelle le ver- tige est le symptôme principal, fondamental. Il se trouve dans mes n
auriculaires. 11 entendait très bien. Il n'y aurait pas eu d'autres symptômes céphaliques. Pas de paralysie. Les fonctions de
, du rectum et des organes génitaux n'ont pas été troublées. Pas de symptômes gastriques, respiratoires ou autres. . Depuis
pas de sensations vertigi- neuses ; le calme est parfait. Seuls les symptômes locaux persistent. Ce n'est que dans une péri
ès, il se porte par- faitement bien. Pas de paralysie, pas d'autres symptômes . Le lendemain malin, il reprend son travail.
mes spinales, nous avons, il est vrai, plusieurs fois rencontré des symptômes céphaliques faisant partie de la période du déb
liques faisant partie de la période du début, mais ce sont là des symptômes absolument transitoires, très fugitifs, dans l'
fugitif. Ici, ce n'est plus ainsi que les choses se passent, les symptômes céphaliques ne sont plus fugitifs, mais 404 - -
n même temps plus fréquente, et d'éblouissements des yeux. Tous ces symptômes ont disparu pendant sa montée. Cinq minutes a
u fond de la mer, c'est-à-dire pendant la compression, les petits symptômes de son premier accident. Trois minutes après la
n état n'a pas beaucoup changé. - État actuel (15 septembre 488'r). Symptômes spinaux. Le fait qui domine l'état maladif, c'e
aux sont abolies. DES ACCIDENTS PAU L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 407 Symptômes céphaliques. De loin, on peut remarquer que les
plégie spasmodique domine et occupe le premier rang, que par des symptômes céphaliques (paralysie du droit externe, du dro
ois, c'est-à-dire pendant un temps suf- fisant au développement des symptômes spastiques,' 408 CLINIQUE NERVEUSE. sont spas
ent de son membre droit; quant au membre gauche, si d'un côté les symptômes spasmodiques n'ont que très peu rétro- gressé,
gressé. Nous nous plaisons à fixer l'attention du lecteur sur les symptômes mentaux qui ont suivi la perte, de con- naissan
Si on prend en considération : 1° le brusque déve- loppement des symptômes maniaques; 1° leur dispari- tion très rapide, q
igurer à titre DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 409 de symptôme prodromique, comme dans le cas en question, par
ter des observations où l'élément douleur ne figure plus à titre de symptôme , comme nous l'avons déjà bien des fois rencontr
piratoires, cardiaques et gastriques; ce sont même au contraire des symptômes que l'on voit souvent figurer dans la symptomat
bleau clinique soit constitué exclusivement et uniquement par des symptômes respiratoires cardiaques ou gas- triques. A.
1 n'y avait non plus ni palpitations, ni troubles respiratoires, ni symptômes gastriques. Le malade pendant trois jours n'a p
s, composés, les cas dont la sympto- matologie est composée par des symptômes qui appar- tiennent aux différentes formes décr
La perte de connaissance qui à son tour peut, isolée de tout autre symptôme , figurer à titre de forme clinique. Ces trois s
e tout autre symptôme, figurer à titre de forme clinique. Ces trois symptômes , dis-je, l'aphasie, la surdité et la perte de c
peu- vent exister ensemble et se succéder, se grouper à titre de symptômes pour constituer un accident céré- bral complexe
re malade, la rougeur des conjonctives accompagnée de brûlure comme symptômes oculaires de la forme sensorielle; les douleurs
de la forme sensorielle; les douleurs aux lombes et à l'estomac, symptômes fréquents des divers accidents survenant par l'
nts survenant par l'emploi des scaphandres; la céphalalgie, autre symptôme céphalique assez fréquent; l'aphasie motrice de
nt alors à elle seule le ta- bleau-clinique de l'accident; tous ces symptômes ., dis- je, dont la plupart à l'état de simplici
rait absolument eu rien de l'accident antérieur au point de vue des symptômes céphaliques : brûlure des yeux, rougeur conjonc
a tête. La parésie seulement au lieu de se dissiper avec les autres symptômes , au bout de trois heures et demie, a au contrai
ur. Il suffit de savoir que les cas complexes sont composés par des symptômes divers et multiples qui, à l'état de simplicité
la sensibilité et de la motilité survint au plongeur ; pas d'autres symptômes . Cette paralysie a duré une heure et demie, au
pouvait bouger que la tête. 420 0 CLINIQUE NERVEUSE. Pas d'autres symptômes . Au bout de deux heures, il recouvre l'usage de
r. Constipation. Fonctions génitales un peu émoussées. Pas d'autres symptômes céphaliques ou autres. Ce plongeur à scaphand
moteurs, de la vessie, du rectum et des organes géni- taux. Aucun symptôme céphalique. Les fonctions des autres organes pa
etc., par conséquent au mois de mars se présentèrent de nouveau les symptômes de la gangrène très intenses; la peau devint de
, il avait senti, en remon- tant, après l'enlèvement du casque, les symptômes ordinaires de la paraplégie, c'est-à-dire, des
ues heures rare- ment un ou deux jours après elle. Quels sont les symptômes qui constituent le tableau clinique de ces terr
sent le plus fréquemment sur l'organe de la vue et y produisent des symptômes caractéristiques. Le quatrième groupe comprend
iques, porte sur le champ visuel, la dyschromatopsie et deux autres symptômes qui accompagnent presque toujours cette amblyop
ous voyons les deux affections se* refléter dans l'oeil par leurs symptômes propres, qu'un examen attentif peut généralement
, les troubles psychiques ne sont pas une complication, ils sont un symptôme constant : dans la névrite parenchymateuse mult
laires intacts. Guérison après cinq mois. M. Korniloff rapporte les symptômes à une névrite multi- ple pour les raisons suiva
ges. Ces dernières clitespa7,ailsies post-diphtéî,iliqzles, ont des symptômes complexes tout à fait différents de ceux des pr
nerfs mixtes, elle se localise presque aux filets sensitifs. Les symptômes cliniques sont des névralgies avec hypéresthésie
entent les mêmes phénomènes. Au moment de l'examen, on trouve les symptômes suivants : paralysie complète de tous les muscles
re, la catalepsie et des modifications de la sensibilité cuta- née, symptômes qui, joints à quelques phénomènes psychi- ques,
les pièces d'un sujet mort dans le cours du tabès spasmodique; les symptômes avaient été ceux de cette maladie, sans complic
e - d'un malade atteint ^d'intoxication saturnine chronique : les symptômes ressemblaient d'une manière frappante à ceux de
ole, amnésie très prononcée, écriture caractéris- tique, etc.). Ces symptômes s'atténuaient quand le malade .cessait son méti
fois et son état était des plus graves; il présentait en- core les symptômes de la paralysie générale et ceux de l'in- toxic
e un cas de mélano-myélite (coloration bron- zée des téguments avec symptômes d'une myélite'diffuse). « Dans le même hôpital
; taille d'un mètre; enfin, au point de vue intellectuel, tous les symptômes de l'idiotie complète. Ce fait, joint à ceux qu
e sur les troubles intellectuels du cocaïnisme, ont déjà décrit des symptômes du cocaïnisme. Les manifestations psychiques so
teur d'avoir négligé les hallucinations ? Mais ce n'est là qu'un symptôme et tout le monde sait que, en faisant mention d'u
rsécutions ou délire chronique, on fait mention, parla même, de son symptôme le plussaillaul, l'hallucination del'ouîe. Aprè
pachy-méningite cervicale. M. le D'' Saanoa C. Gray (de New-York). Symptômes typiques de 492 BIBLIOGRAPHIE. sclérose diffu
issable, tel est le sujet de l'avant-propos. Dans le Jar chapitre : symptômes de l'ivrognerie, l'auteur dis- tingue l'ivrogne
tingue l'ivrognerie maladie de l'ivrognerie vice, nous donne les symptômes de la première, mais non les signes de la seconde
elle de la dypsamonie. La période prémonitoire présente d'abord les symptômes vulgaires de la neurasthénie (défaut d'équilibr
de la force » qui fait recourir à l'alcool à titie d'essai. Comme symptômes de neurasthénie alcoolique héréditaire l'au- te
4 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
'un rôle accessoire, car elles sont sim-plement surajoutées alors aux symptômes habituels : hyper-esthésie, anesthésie, hyperkiné
Vers les jointures, les lésions traumatiques des nerfs produisent des symptômes qui rappel-lent d'une façon notable, la physionom
ions consécutives sont presque toujours précé-dées ou accompagnées de symptômes douloureux (Burning Pains), évidemment en rapport
es ne tarderont pas, sans doute, à combler. Toutefois, l'ensemble des symptômes plaide déjà en faveur de l'existence d'une névrit
ribuer ainsi au diagnostic. Ces altérations produisent, au début, des symptômes d'hyperesthé-sie et, plus tard, de l'anesthésie.
t été mis à même de suivre jour par jour, dès le début, la marche des symptômes , a vu, le neuvième jour, la contractilité électri
ilité électrique, dans les muscles des mem-bres frappésdeparalysie.Ce symptôme ,manifeste déjà quelques jours après le début de l
'est, ainsi que je l'ai fait voir (i), d'après ce méca-nisme, que les symptômes de la paralysie générale spinale ou de l'amyotrop
pinale ou de l'amyotrophie progressive se surajoutent quelquefois aux symptômes classiques de la sclérose des cordons latéraux, e
e l'abdomen même et pourront ne se révéler, pendant la vie, par aucun symptôme appréciable. Toujours la nutrition des muscles de
la contractilité électrique des muscles des membres inférieurs est un symptôme qui ne fait peut-être jamais complètement défaut.
hâtivement dans les muscles des membres frappés de paralysie, est un symptôme qui paraît constant. Il a été constaté quatorze j
quelque jour leurs fonctions et cette phase répond à l'amendement des symptômes qui se produit toujours aune certaine époque de l
harcot et Joffroy, loc. cil. après la brusque invasion des premiers symptômes . L'émacia-tion des masses musculaires marche d'ai
as encore prononcé d'une manière définitive. Mais, à en juger par les symptômes , il est au moins fort pro-bable que ces affection
est donc la raison de la présence des douleurs fulgu-rantes parmi les symptômes de la sclérose des cordons posté-rieurs ? Je ne v
sixième vertèbre dorsale, formation rapide d'une es-chare au sacrum. Symptômes manifestes de pyémie ; six ou huit abcès à la sur
nière très sommaire, il faut, avec Ollivier (d'Angers), rattacher les symptômes cérébraux ou cérébro-spinaux graves, assez mal dé
ovocations, les convulsions toniques se montrant par accès ; tous ces symptômes , qui révèlent ha-bituellement un état d'irritatio
e sur ce point particulier. Nous signalerons, au con-traire, comme un symptôme qui se manifeste fréquemment dans le temps même o
xième vertèbres dorsales, un coup d'épée, qui, à en juger d'après les symptômes , lésa principalement la moitié latérale gauche de
ibilité, tandis que les mouvements y ont en grande partie reparu. Les symptômes allèrent s'améliorant rapidement jusqu'au douzièm
déjà prononcée quatre jours seulement après l'apparition des premiers symptômes (2). On peut voir survenir encore la mortificat
s nerveux. On s'aperçut un matin, peu de temps après l'apparition des symptômes décompression, qu'une eschare s'était développée
un endroit humide, suivi de grandes fatigues, avait présenté tous les symptômes de la myélite subaiguë. La para-lysie du mouvemen
tion du genou, provenant également d'une femme qui avait présenté les symptômes de l'arthropathie des ataxiques. Fig. 5. —Extré
sanguinolentes, muco-purulenLes, peu de temps après l'appa-rition des symptômes paralytiques, est un fait qui s'observe fréquemme
vation vaso-motrice n'estpas vi-siblement affectéeeten dehors de tout symptôme révélant une dépression profonde de l'organisme.
gitante. — C'est une maladie de la seconde période de la vie. — Ses symptômes . — Modifications de la mar" che. — Tendance a la
ombre, des femmes chez lesquelles le tremblement paraît constituer le symptôme prédominant ou tout au moins le plus saillant de
ntionnel, tandis que les malades chez lesquels le trem-blement est un symptôme constant, ou qui, tout au moins, ne s'efface guèr
'aphorisme 625, vous y trouverez une interpré-tation physiologique du symptôme tremblement, interprétation qui est loin d'être d
fections, en les comparant l'une à l'autre sous le triple rapport des symptômes , des causes et des lésions. Pour cela, nous feron
cca-sion de vous citer d'assez nombreux exemples du même genre. Les symptômes de la paralysie agitante n'ont pas tous une égale
, nous le verrons, à la rigidité dont les muscles sont le siège. Un symptôme curieux qui vient compliquer la situation, quelqu
mmobililêdes traits du visage,doivent en-core être signalés parmi les symptômes les plus importants de la maladie. La marche de
leur signification, il convient d'entrer plus avant dans l'étude des symptômes , de faire voir comment ils naissent, s'accroissen
e. Le tremblement est circonscrit à un pied, à une main, au pouce. Ce symptôme en apparence si peu inquiétant, reste isolé penda
des membres, du tronc, et le plus souvent ceux aussi du cou. Quand le symptôme s'annonce, les malades accusent des crampes suivi
s cas, rares à la vérité, dans lesquels la rigidité musculaire est un symptôme des premiers temps de la maladie, et réellement p
dduction ; bientôt elle prie qu'on l'aide à se relever, etc. Tous ces symptômes suffisent pour démontrer qu'on a affaire,ici à la
s fédérés pour l'incorporer dans leurs bataillons. Chez lui, tous les symptômes , et en particulier l'attitude, étaient présents,
es, d'une femme, Ann Phillips, âgée de 47 ans, chez laquelle tous les symptômes de la paralysie agitante existaient, moins le tre
ion ne surviennent pas à l'occasion d'un sentiment vertigineux. Les symptômes que je viens dépasser en revue ne sont pas, Messi
écédentes, sans toutefois être alitée. On retrouve chez elle tous les symptômes de la maladie; mais, nous relèverons, dans son hi
que nous nous proposons de combler quelque jour (2). Messieurs, les symptômes que nous avons décrits persistent tels quels dura
ux dont la durée est la plus longue. Elle peut durer trente ans ; les symptômes de la troisième période seuls, ainsi que j'en ai
s le membre inférieur du même côté. » Elle offre aujourd'hui tous les symptômes qui caractérisent la para-lysie agitante : physio
les premières semaines, il y a eu un amende-ment de quelques-uns des symptômes , mais cet amendement n'a pas persisté. Peut-être
athologique pour la clinique, et de vous montrer par quel appareil de symptômes se révèle la sclérose en plaques des centres nerv
e la paralysie générale et de l'incoordination motrice de l'ataxie. Symptômes céphaliques. — Troubles de la vue : diplopie, amb
Rémissions. — Absence de trou-bles de la sensibilité. — Immixtion de symptômes insolites : symptômes tabétiques ; atrophie muscu
de trou-bles de la sensibilité. — Immixtion de symptômes insolites : symptômes tabétiques ; atrophie musculaire. — Contracture p
ous allons chercher aujourd'hui à vous taire connaître l'appa-reil de symptômes par lequel elle se révèle. I. A. 11 est remar
sser en me présentant un cas des plus complexes. Voici maintenant des symptômes qui appartiennent à la paralysie générale. N'allo
lade qui offre réunis, dans leur plus parfait développement, tous les symptômes de la sclérose enplaques cérébro-spinale. MlleV
péripéties qui ont signalé les phases antérieures de l'évolution des symptômes . Pour le moment, je veux me borner à l'analyse de
, je veux me borner à l'analyse des phénomènes de l'état actuel. Un symptôme qui vous a sans doute tous frappés, dès le premie
ès avoir spinale. Certes, je ne prétends pas qu'il s'agisse là d'un symptôme pathognomonique : je n'ignore pas, en effet, qu'u
nsécutive des corons latéraux, etc. Ce n'est pas, nous le verrons, un symptôme constant. Mais ce que je tiens, dès à présent, à
urs avec les caractères que je lui ai assignés. En somme, c'est là un symptôme qui, à lui seul, écrit les trois lignes dont no
oculaire. Nous ne devons pas oublier toutefois que quelques-uns des symptômes de l'ataxie se trouvent entremêlés quelquefois av
scles ou groupes de muscles. Pour compléter ce qui est relatif à ce symptôme ,nous devons entrer dans quelques détails.— C'est
C'est là, Messieurs, ainsi que je l'ai depuis longtemps proclamé, un symptôme à peu près cons-tant, dans la forme cérébro-spina
rd, d'interroger avec le plus grand soin les malades chez lesquels ce symptôme paraît faire défaut. Il est de règle que le tre
efois presque dès le début, il faut reconnaître toutefois que c'estun symptôme tardif. Enfin, Messieurs, il est très fréquent, p
naison fatale. III. Vous connaissez maintenant, Messieurs, un des symptômes les plus originaux et les plus importants de la s
symp-tômes que j'ai proposé d'appeler céphaliques, par opposition aux symptômes spinaux. Ce groupe comprend certains troubles de
mérite d'être signalé en passant. b) Vamblyopie est au contraire un symptôme durable, et d'ailleurs plus fréquent, de la sclér
e Byr, communiquée par M. Vulpian. disproportion apparente entre le symptôme et la lésion consti-tue un des arguments les plus
m-blyopie liée à la sclérose multiloculaire. c) Le nystagmus est un symptôme d'une assez grande impor-tance diagnostique, puis
que les malades sont invités à fixer atten-tivement un objet. B. Un symptôme plus fréquent encore que ne l'est le nystag-mus,
ans la sclérose cérébro-spinale se rapproche, à beaucoup d'égards, du symptôme correspondant de la paralysie générale progressiv
l'articulation des mots, sur lequel j'appelle votre attention, est un symptôme très important de la sclérose multiloculaire. Il
mblement de la tête et des extrémités supé-rieures fait défaut. Ace symptôme peuvent s'adjoindre successivement, surtout dans
glutition, de la circulation etmême de la respiration. Ce sont là des symptômes ^paralysie bulbaire progressive qui doi-vent donn
lade tient fermé l'un de ses yeux. Le vertige dont il s'agit est un symptôme d'autant plus inté-ressant qu'il u'appartient ni
est manifestée chez V... que très récem-ment : elle est, en effet, un symptôme des périodes avancées de la maladie. Toujours, da
à une époque éloignée du début. Souvent, à l'origine, il y a dans ce symptôme des rémissions : ainsi, il n'est pas rare de voir
ts, d'engourdissements, siégeant dans les memhres affaiblis, mais ces symptômes sont presque toujours passagers et peu accusés. D
e, des troubles de la vessie et du rectum venir se joindre aux autres symptômes . Enfin, pour compléter le tableau, nous devons l'
ffaiblissement notable de le contractilité électrique. Immixtion de symptômes insolites. — Je viens de men-tionner, chemin fais
ites. — Je viens de men-tionner, chemin faisant, un certain nombre de symptômes que Charcot. Œuvres complètes, t. i. 16 j'ai
de vous taire connaître maintenant, en manière de correctif, que ces symptômes s'entremêlent pourtant, dans certains cas, avec l
e fout au moins que dans les phases avancées, se trouverait mêlée aux symptômes ataxiques ou surtout les précéderait, vous mettra
le plus à enregistrer certainement la coexistence de quelques-uns des symptômes qui n'appartiennent qu'à l'induration multilocula
Il importe de bien comprendre, d'ailleurs, la raison qui fait que les symptômes ataxiques se manifestent quelquefois dans le cour
on lombaire, par exemple. Or, dans tous les cas du dernier genre, les symptômes ataxiques s'étaient, pendant la vie, manifestés à
qui se trouvent consignés dans l'obser-vation de Mlle V... (1). Des symptômes insolites d'un autre genre peuvent se sur-ajouter
ymptômes insolites d'un autre genre peuvent se sur-ajouter encore aux symptômes réguliers delà sclérose multilo-culaire. J'ai vu,
osté-rieurs sont intéressés de manière à occasionner quelques-uns des symptômes de l'ataxie locomotrice sont assez nombreuses. No
: les deux autres peut-être plus caractéristiques en ce sens que les symptômes et les lésions de ia sclérose en plaques et de l'
e 46 ans, dévideuse de soie, malade depuis deux ans. Elle offrait les symptômes suivants au point de vue de l'ataxie locomotrice
pouvez étudier dans son type le plus parlait. C'est là, Messieurs, un symptôme habituel des phases avancées de la sclérose multi
etl'épilepsie spinale ne doivent pas nous arrêter plus longtemps. Ces symptômes , en effet, n'appartiennent pas exclusivement, tan
ues apoplectiformes : insuffisance de la théorie de la con-gestion. — Symptômes : État du pouls : élévation de la température cen
s la sclérose en plaques. —Première, seconde et troisième périodes. — Symptômes de paralysie bulbaire. — Des formes et de la duré
sclérose en plaques. Physiologie pathologique. — Relation entre les symptômes et les lésions. Etiologie. — Influence du sexe
région récente congestive, œdémateuse ou autre, pouvant expliquer les symptômes graves qui avaient marqué la terminaison fatale ;
tantôt, mais plus rarement, avec rigidité des mem-bres paralysés. Les symptômes peuvent s'accuser progressive-ment dans l'espace
accidents ne se fait pas longtemps attendre; l'hémiplégie est le seul symptôme qui persiste pen-dant quelque temps encore, mais
laissé après eux une aggrava-tion notable et persistante de tous les symptômes de la maladie primitive. 1. Bourneville et Guér
ement de convulsions, de décider, rl'après la seule considération des symptômes exté-rieurs, s'il s'agit de Y apoplexie vraie, ré
gine, elle peut n'être constituée que par la réunion de deux ou trois symptômes , et, de plus, il est des cas où, jusqu'à la termi
iodes : la première s'étend de l'instant où apparaissent les premiers symptômes jusqu'à l'époque où la rigidité spasmodique des m
a troisième, enfin, commence au moment où, en même temps que tous les symptômes cle la maladie s'aggravent simultané-mentales fon
e. 1. Première période.— Le mode d'invasion et d'enchaînement des symptômes présente des variantes qui méritent d'être signa-
ritent d'être signa-lées à votre attention. Quelquefois ce sont les symptômes céphaliques qui ouvrent la scène ; ainsi les mala
cent Y embarras de la parole et enfin lengs-tagmus, La réunion de ces symptômes composerait déjà un en-semble assez caractéristiq
même pendant plusieurs années, les malades pourront n'offrir d'autres symptômes qu'un affaiblissement, une parésie plus ou moins
diffi-ciles. Car, en somme, la parésie des membres inférieurs est un symptôme quelque peu banal, commun à une foule d'affection
peut guère s'établir que si le tremblement spé-cial ou.quelqu'un des symptômes céphaliques viennent se su-rajouter aux symptômes
al ou.quelqu'un des symptômes céphaliques viennent se su-rajouter aux symptômes spinaux. Jusqu'ici, Messieurs, je vous ai repré
trois années. A celle époque, les régies se suspendirent: de nouveaux symptômes , légers d'ailleurs, se manifestèrent pour dispara
te.—Par-fois la rémission est imcomplète el ne porte que sur quelques symptômes , eu particulier l'incontinence d'urine et des mat
épétés, etc. Elles ont plusieurs fois ouvert la scène, et bientôt les symptômes habituels delà sclérose multiloculaire leur ont s
de les voir repa-raître à plusieurs reprises et s'entremêler avec ces symptômes pendant les premiers temps de la maladie. Dans ce
e, etpeut-être une légère titubation les yeux étant fermés, les seuls symptômes actuels de la maladie en question, dont le vérita
ns la forme de myélite centrale subaiguë ou chronique qui produit les symptômes de la paralysie générale spinale. Mais je ne veux
e, la sclérose multiloculaire se présente déjà douée delà plupart des symptômes qui la caractérisent. Ces symptômes s'aggravent e
sente déjà douée delà plupart des symptômes qui la caractérisent. Ces symptômes s'aggravent et se prononcent encore pendant la se
la mentionner d'une manière toute spéciale, l'apparition de quelques symptômes de paralysie de bulbaire, parce qu'ils sont capab
trate (l'ar-gent. 1868. La malade ne peut plus se tenir debout, les symptômes sont plus accusés à droite qu'à gauche, le trem-b
a série symptomatologique 237). Dans le courant de cette année, les symptômes que nous avons notés ont augmenté d'intensité et,
ons notés ont augmenté d'intensité et, de plus, il s'y est ajouté des symptômes de paralysie bulbaire. Ceux-ci se sont aggravés a
euses plaques de sclérose dans le cerveau et la moelle. En raison des symptômes ataxiques offerts par la malade, les lésions de l
nts, est entrée le 17 février 1871 dans le service de M. Charcot. Aux symptômes ordinaires de la sclé-rose en plaques sont venues
laques de sclérose, s'en trouve pour ainsi dire écourtée ; mais les symptômes , con-sidérés isolément, n'en sont pas pour cela m
aisseur de la protu-béranceet du bulbe. Mais un grand nombre d'autres symptômes sont d'une interprétation beaucoup plus difficile
encore, je crois, pour rendre compte de la lenteur avec laquelle les symptômes parétiques progressent dans la sclérose en plaque
ns une observation qui concerne un enfant qui présenta les pre-miers, symptômes de la sclérose en plaques disséminées à l'âge de
lée l'action prolongée du froid humide (1). Dans un cas, les premiers symptômes se seraient développés peu de temps après une chu
ure d'or et le phosphure de zinc paraissent avoir plutôt exaspéré les symptômes . La strychnine a quelquefois fait cesser le tremb
t aurait, en effet, presque à coup sûr, pour résultat d'exaspérer ces symptômes . Vhydrothérapie, dans un cas, paraît avoir prod
n d'une quan-tité même minime d'urine. — Rapidité de l'apparition des symptômes dans l'ischurie calculeuse ; sa lenteur dans l'is
ent l'ischurie hystérique à son maximum de développement, à l'état de symptômes permanents. Durant des jours consécutifs, des sem
la clinique du professeur Leroux. Le malade avait offert d'abord les symptômes de l'ischurie simpleavec une parurie erratique. N
se prolonge au delà de quelques jours (3, 4, 5 jours à peine), est un symptôme des plus graves et qui se termine à peu près néce
econnaître que, si l'anurie persiste plus de quatre à cinq jours, les symptômes comateux, avec ou sans convulsions,apparaissent i
a Société clinique de Londres (3). Bien que l'anurie fût absolue, les symptômes comateux ne se montrèrentque le quatorzième jour.
vous montrer la malade et de faire ressortir d'abord devant vous les symptômes qui existent actuellement et parmi les-quels vous
térie intense, invété-rée, marquée par une réunion caractéristique de symptômes permanents. ^Etch..., Justine^iée dans les Bass
e degré, l'hémianesthésie nous fournit, dans l'espèce, un ensemble de symptômes presque spécifiques : je dis presque et non pas a
partements de l'encéphale, les reproduisent, au moins en partie. Un symptôme très important que nous offre encore Etch..., c'e
ènes qui méritent une description plus minutieuse. Parmi les autres symptômes , je ne dois pas oublier Préten-tion des urines et
rieur, 2° une hômia-nesthésie et de l'achromatopsie du même côté. Les symptômes offerts alors par Elch... sont consignés dans les
avantage, sans que jamais les draps du lit fussent mouillés. A. ces symptômes , qui persistèrent en mai et en juin, s'ad-joignir
ploi du chloroforme eut pour conséquence de modifier profondément les symptômes que nous observions avec tant d'intérêt; il y eut
nt d'y dégager le faux du vrai ; d'en éliminer, par exemple, certains symptômes extraordinaires, tels que l'écoulement de l'urine
là la limite extrême à laquelle, dans l'obstruction des uretères, les symptômes d'intoxication urémique se pro-noncent nécessaire
e ou des uretères ; la composition des urines, de même que les autres symptômes , protesteraient contre une pareillehypothèse. Ile
72. C'est alors que M. Ch. Fernet put l'observer. Elle présentait les symptômes suivants: fai-blesse excessive, anémie très marqu
thésie ovarienne dans l'hystérie. — Association fréquente de ces deux symptômes . — Fréquence de l'hémianes-thésie des hystériques
eresthésie ovarienne, la parésie et la contracture. — Variabilité des symptômes dans l'hystérie. — Valeur diagnostique de l'hé-mi
ériques. 11 y aurait quelque ingratitude^ â~l^^ en quoi consiste ce symptôme , car il a été révélé par des études toutes frança
e se présente dans les cas intenses. A ce degré même, c'est encore un symptôme fréquent puisque, suivant M. Briquet, il se renco
qu'elle vient d'être décrite, est, dans la clinique de l'hystérie, un symptôme d'autant plus impor-tant qu'il est à peu près per
l point l'hémia-nesthésie, telle qu'elle vient d'être décrite, est un symptôme propre à l'hystérie. En réalité, il est très rare
cieux et qui fera reconnaître maintes fois la nature de bon nombre de symptômes qui, sans cela, seraient restés douteux. C'est un
cependant sur un point. S'il est vrai que l'hémianesthésie soit un symptôme presque spécifique, en ce sens qu'on ne le retrou
rtant sur l'un quelconque des points qui viennent d'être énumérés, le symptôme qui frappe, c'est une hémiplégie, plus accusée au
des lésions encéphaliques, aux-quelles pourraient être rattachés les symptômes constatés pen-dant la vie. Déplus, les circonstan
nent, d'après cette définition, à l'hystérie locale. I. Parmi ces symptômes , il en est un qui, en raison du rôle prédominant
s anglais soit attiré par les dificultés cliniques que présentent les symptômes locaux de l'hystérie. M. Skey, qui à cet égard s'
Schutzenberger, Piorry etNégrier ont insisté tout spécialement sur ce symptôme qu'ils rattachent sans hésitation à la sensibilit
sont, par exemple, Hasse et Valen-tinier. 11 est clair par là que ce symptôme , après avoir joui d'une certaine faveur, en raiso
s'y rattachent, se trouve aujourd'hui en quelque sorte démodé. Les symptômes aussi, vous le voyez, ont leur destin \Habent sua
égion ovarienne ne fait que reproduire artifi-ciellement la série des symptômes qui se développent sponta-nément chez les malades
rquable du siège de la douleur iliaque et du mode de localisation des symptômes concomitants. Je ne reviendrai pas sur les phéno-
ue chez cette femme l'ovarie venait à prédominer du côté gauche les symptômes céphaliques de l'aura, la contracture des mem-bre
e deV ovaire douloureux n'apas d'influence directe sur la plupart des symptômes permanents del'hystérie, tels que contracture, pa
tique ; les phénomènes prodromiques partent de l'ovaire gauche et les symptômes céphaliques sont très accusés. Quant aux attaques
ne aura bien nette, partant de l'ovaire droit et se terminant par des symptômes céphaliques 1. \Toir l'observation complète de
âgée de 28 ans; l'hystérie date de l'époque de la puberté. Parmi les symptômes permancnls de l'hystérie locale, nous observons c
sée, et, ce qui prédomine, ce sont les palpitations cardiaques et les symptômes céphaliques. En ce qui concerne les attaques elle
nt avec une grande sûreté de main les traits les plus saillants de ce symptôme . C'est là, écrit-il, une com-plication rare. Il n
récemment, M. Westphal et M. Erb ont consacré chacun à l'étude de ces symptômes un travail accompagné de vues physiologiques ingé
nt pour ainsi dire en propre à l'hystérie (2). Quoi qu'il en soit, ce symptôme ne s'observe que très rarement dans Y hémiplégie
durant les années suivantes; mais c'est à 40 ans que sont apparus les symptômes permanents de l'hystérie que nous avons à étudier
gion ovarienne cette rétention des urines, constituent un ensemble de symptômes dont l'importance;, au point de vue du diagnostic
de cause cérébrale, et il est au contraire très habituel de voir ces symptômes précéder l'apparition des phénomènes permanents d
fait ressortir déjà dans l'observation précédente. Or, de semblables symptômes ne s'observentpas dans la progression delà scléro
duit larigidité permanente, est très légère, très fugace, puisque les symptômes qui lui correspondent peuvent disparaître tout à
, que l'on puisse, dans l'état actuel de la science, signaler un seul symptôme qui présente à cet égard une valeur pronostique a
rise ont été envahies. Je n'ai observé, jusqu'à présent, ces derniers symptômes que dans des cas de contracture hystérique de dat
nt ou persistait même à un degré prononcé. A mon avis, tant que ces symptômes ne sont pas nettement accusés, il ne faut désespé
ns, tout à coup, sans cause connue et sans ax^oir offert jusque-là de symptômes caractérisés d'hystérie, d'une contracture doulou
ondement à notre étude et où l'épilepsic semble s'entremêler avec les symptômes ordinaires de l'hystérie convulsive ? Vépilepsi
forme comme de l'hystérie ayant un degré de plus dans l'intensité des symptômes (2). Sandras exprime la même opinion (3). M. Br
pérature, alors même qu'elle dépasse il0, et qu'elle s'accompagne des symptômes graves qui vien-nent d'être énumérés, n'est pas u
QUATORZIÈME LEÇON De la chorée rythmique hystérique. Sommaire. — Symptômes . —¦ Caractères des troubles moteurs. — Analyse de
compression ovarienne. La chorée rythmique appartient au groupe des symptômes permanents de l'hys-térie.— Disparition momentané
ux épisodes dans un instant. J'aborde immédiate-ment l'exposition des symptômes que j'ai hâte de \rous faire connaître. Ce qui
eux années, de la à 17 ans environ, et de façon la plus accentuée,les symptômes locaux permanents de la forme d'hystérie que nous
que le cortège, à peu près obligatoire en pareille circonstance, des symptômes d'hystérie locale, ont persisté,sans autre modifi
lle et lui survit (1). Voici maintenant rémunération des principaux symptômes d'hystérie locale dont la présence peut être actu
rement, du siège de la douleur iliaque et du mode de localisation des symptômes concomi-tants (1 ). L'ovaralgie siège à droite, e
remarquer par sa courte durée et une atténuation relative de tous les symptômes : qu'elle n'avait pas été suivie de ce sentiment
mi les circonstances propres à caractériser l'affection, en outre des symptômes hystériques antécédents ou concomitants, la forme
arcot abeaucoup insisté, c'est que le tremblement ne constitue pas un symptôme nécessaire de la maladie de Parkinson. il est, en
ralgie frontale (?) que la maladie actuelle aurait débuté. Le premier symptôme observé paraît avoir été ce que M. R... appelle u
l était de date récente et la maladie existait — avec tous ses autres symptômes , dequis quatre années à l'époque où le tremble-me
ement qui manque complètement, nous retrouvons chez Mme G... tous les symptômes principaux de la maladie de Parkinson. L'aspect g
occasion, il leur a rappelé de nouveau les lésions anatomiques et les symptômes morbides qui caractérisent cette affection. 11 a
ent de la main droite dans les mouvements volontaires. En 1874, les symptômes sont les mêmes, sauf l'embarras de la parole qui
qui est plus prononcé. Aujourd'hui (décembre 1870), on constate tes symptômes sui-vants : Rigidité des membres inférieurs dans
mot, on remarque chez cette malade une amélioration considérable des symptômes céphaliques. Cette malade nous offre donc un ca
amélioration a été plus accusée et a porté non seulement sur quelques symptômes , comme dans les cas précédent, mais sur tous les
r quelques symptômes, comme dans les cas précédent, mais sur tous les symptômes . A. S.., âgée de 9 ans (1876), a été prise, ào
opie et quelques jours après de strabisme de l'œil gauche. Ce dernier symptôme a bientôt disparu. Un mois après le début, on voi
tra à Bicêtre le 1er avril 1880. En janvier 1881, il présentait les symptômes suivants: Au repos, le malade n'offre aucun tremb
a vasculari-sation des parties. 11 faut ajouter que cet ensemble de symptômes peut pré-senter la même ^mobilité classique que l
s, dans les quelles rexistencedel'hémianesthésie etde quelques autres symptômes permanents fondamentaux de la diathèse ferait déf
tué. Tout remarquables qu'ils soient, il importe de le relever, ces symptômes de l'amblyopie hystérique, à part toutefois la mo
ilep-sie: d'hystéro-épilepsie ci crises distinctes, dans laquelle les symptômes de l'hystérie et de l'épilepsie se manifestent sé
d'un traumatisme. « Il arrive très fréquemment, écritBrodie, que les symptômes locaux d'hysté-rie paraissent devoir être rattach
édiatement aprèsoupeuaprôs l'application delà cause trau-matique. Ces symptômes restent raremenl limités à la région où celle-c
nte ; et, généralement, ils en constituent pendant longtemps l'unique symptôme , en ce sens qu'ils subsistent à l'état d'isolemen
érie ovarienne s'est déve-loppée et établie avec tout son appareil de symptômes , les lé-sions mécaniques neparaissent plus produi
fracture se consolida comme dans les conditions ordinaires ; mais les symptômes nerveux persistèrent pendant plusieurs semaines e
t à remarquer que, deux ans auparavant, cette femme avait éprouvé des symptômes nerveux analogues, à l'occasion d'une lésion légè
cer dans ceux du côté droit. F... présente d'ailleurs tous tes autres symptômes qui caractérisent la maiadie de Parkinson: immobi
agitante. — C'est une maladie delà seconde période de la vie. — Ses symptômes . — Modifications de la mar-che. — Tendance à la p
e la paralysie générale et de l'incoordination motrice de l'ataxie. Symptômes céphaliques. — Troubles de la vue : diplopie, amb
Rémissions. — Absence de trou-bles de la sensibilité. — Immixtion de symptômes insolites : symptômes tabétiques ; atrophie muscu
de trou-bles de la sensibilité. — Immixtion de symptômes insolites : symptômes tabétiques ; atrophie musculaire. — Contracture p
ues apoplectiformes : insuffisance de la théorie de la con-gestion. — Symptômes : État du pouls : élévation de la température cen
la sclérose en plaques. —Première, seconde et troisième périodes. — Symptômes de paralysie bulbaire. — Des formes et de la duré
a sclérose en plaques. Physiologie pathologique. — Relation entre les symptômes et les lésions. Etiologie. — Influence du sexe et
n d'une quan-tité même minime d'urine. — Rapidité de l'apparition des symptômes dans l'ischurie calculeuse; sa lenteur dans l'isc
thésie ovarienne dans l'hystérie. — Association fréquente de ces deux symptômes . — Fréquence de l'hémianes-thésie des hystériques
eresthésie ovarienne, la parésie et la contracture. — Variabilité des symptômes dans l'hystérie. — Araleur diagnostique de l'hé-m
QUATORZIÈME LEÇON de la chorée rythmique hystérique. Sommaire. — Symptômes . — Caractères des troubles moteurs. Analyse des m
compression ovarienne. La chorée rythmique appartient au groupe des symptômes permanents de l'hys-térie. — Disparition momentan
65. Arthrite déformante, 120. Arthropathies des ataxiques, 5 ; — symptômes . 118; — Siège, note, 113, 119 ; lésions des joint
ans les cas de foyers-apoplectiques anciens, 25L . — Variétés, 250. — Symptômes , 253. — Pouls et température, 254. Attaque hyst
rythmique hystéri-que, 386. — Définition, 387. — Observation, 387. — Symptômes , 387. — Parole, 391. — Démarche, 391. — Nature, 3
aractères généraux de la —, 161. — Début, ses modes, 164, 166, 410, — Symptômes , période d'état, 166, 410. — Caractères du trembl
Causes d'erreurs de diagnostic, 223. — Diplopie, amblyopie, 233. — Symptômes céphaliques, 233 — Nystagmus, 234. — Vertiges 2
céphaliques, 233 — Nystagmus, 234. — Vertiges 236. — Faciès, 237. — Symptômes psychiques, 237. — Etat des mem-bres inférieurs,
5 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome premier
brillante de santé, éprouva, après quelques mois de mariage, tous les symptômes d'une grossesse. Au quatrième mois, perte considé
gardée comme une hypertrophie? et, au défaut de renseignemens sur les symptômes correspondans éprouvés pendant la vie, l'anatomie
igine. Resterait maintenant à rattacher cette altération à quelques symptômes . A-t-elle été cause de mort? N'a-t-elle été suivi
ue le diagnostic du cancer du rein; le plus souvent il n'existe aucun symptôme local; un dépérissement insensible, un malaise gé
tée, le 12 septembre 1828, à la Maison royale de Santé, avec tous les symptômes d'un accès ^.asthme. Respiration sifflante ; orth
voqués parla potion, qu'ils tenaient d'ailleurs, ainsi que les autres symptômes , à l'étroite sympathie qui unit les poumons et l'
tée qu'elle m'avait demandée. Ne pouvant rallier l'accès d'asthme aux symptômes observés depuis, je fais demander aux parens des
on départ pour l'hôpital. Persuadé que le point de départ de tous les symptômes est dans l'abdomen, que l'accès d'asthme n'est qu
oir dans ces altérations légères la cause de l'appareil formidable de symptômes que j'avais observé. Les intestins grêles étaient
l. Désespéré de ne point trouver dans l'abdomen la source de tous les symptômes , j'ouvre le thorax : poumons engoués, libres d'ad
en général, de la néphrite spontanée. Il me semble que la réunion des symptômes suivans : vomissemens bilieux continuels, que n'e
feraient au moins soupçonner une néphrite aiguë, et probablement les symptômes tirés des organes urinaires eux-mêmes, la suppres
éparée par M. Monod. i10 livraison. 1 dont je viens de parler les symptômes vraiment extraordinaires qu'avait présentés cet e
forts continuels de vomissemens et vomissemens de bile visqueuse. Ces symptômes persistent encore à la visite du matin : décompos
ux, la malade est à peu près la même qu'avant l'invasion des derniers symptômes . Sulfate de quinine en lavement et pour pansement
ie qu'on trouve souvent criblé d'abcès, sans que pendant la vie aucun symptôme ait indiqua 1™ r^pnr.fi. Je pense d'ailleurs que
elques alimens à mon insu. Mais la fréquence du pouls, l'ensemble des symptômes ne disent que trop qu'il y a quelque inflammation
a succombé à une inflammation sub-aiguë de la rate, et pourtant aucun symptôme local n'a indiqué cette inflammation : voilà donc
nces semblables à celles que je viens d'indiquer la cause de tous ces symptômes . Je ne connais aucun organe qui présente autant d
chose de la maladie primitive surgit de temps en temps du milieu des symptômes de la maladie consécutive. Quelqu'un des viscères
stérile de la mort; elle est appelée à jeter une vive lumière sur les symptômes souvent si incohérens des maladies, et à diriger
ions d'après un but essentiellement thérapeutique. Étant donnés les symptômes suivans '.face très-colorée ; langue rouge; pouls
s qui présentent d'ailleurs d'autres lésions capables d'expliquer les symptômes observés pendant la vie. Je pense même que c'est
ntraste de l'état actuel à celui de la veille, l'invasion brusque des symptômes alarmans me font penser que nous avons affaire à
ncopale? Dans tous les cas, il était évident que le siège de tous les symptômes était dans l'estomac ou ses dépendances ; que les
ion sanguine notables. Il ne pourrait donner la raison suffisante des symptômes graves que dans les cas où il occuperait une gran
la forme que je viens d'indiquer. La presque totalité nniK offrit dp* symptômes d'irritation du côté de rhffpT^o o*6ciAxcs ec sur
te époque je n'ai plus hésité. J'ai retrouvé plusieurs fois les mêmes symptômes , et je les ai toujours combattus avec succès. J
te et fréquente; les membres dans un état de résolution complète. Ces symptômes firent présumer que le siège de la maladie était
de constater une lésion organique, si l'on ne cherche à remonter aux symptômes qui l'accompagnent et révèlent son existence pend
omateuses ou autres, chez des individus qui n'avaient présenté aucuns symptômes ou presque aucuns symptômes du côté de cet organe
s individus qui n'avaient présenté aucuns symptômes ou presque aucuns symptômes du côté de cet organe. Quelquefois des attaques é
mollissement tout autour de la tumeur, qui entraînent tout-à-coup des symptômes promptement mortels. Dans le cas actuel j'attribu
détails dans un journal périodique (*), me permettra de comparer les symptômes observés pendant la vie aux lésions rencontrées a
très-bien supportée. Sinapismes. Le lendemain, ier novembre, mêmes symptômes ; insensibilité du pouls; somnolence; immobilité;
lheureusement on n'a pu obtenir aucuns renseignemens positifs sur les symptômes correspond ans. Il existe des conditions de l'org
sque je repris mon service, le 3 janvier 1829, le malade m'offrit les symptômes suivans : décubitus presque vertical ; oppression
n sentiment de faiblesse excessive, et ce sentiment devint bientôt le symptôme dominant. Le besoin des boissons spiritueuses éta
n érysipélateux de toute l'extrémité supérieure, mourut avec tous les symptômes d'une lésion grave de la respiration. La base du
reneuse. Le malade avait vécu trente-cinq jours depuis l'invasion des symptômes , qui consistèrent principalement en une grande dy
e allait expirer; la persistance, l'intensité et la périodicité de ce symptôme appellent toute mon attention; c'est une fièvre p
he et une liberté parfaite des orifices. La mort a lieu avec tous les symptômes organiques et spasmodiques attribués àl'anévrysmc
il existe une lésion organique du foie, dont l'ascite ne serait qu'un symptôme ou que l'effet consécutif; et d'une autre part, l
u que l'effet consécutif; et d'une autre part, le peu d'intensité des symptômes , depuis huit jours, dénotent une de ces lésions q
abattu par l'insuffisance de nos moyens et l'augmentation rapide des symptômes . J'ajourne la ponction qu'il sollicite comme un m
avec toute son intensité pour reporter l'attention du malade sur les symptômes qu'il avait autrefois éprouvés. C'est le 10 déc
e M. Duméril, le 21 décembre 1828, onze jours après l'invasion. Mêmes symptômes les jours suivans. Voici avec plus de détails c
en ville fut dirigé contre le météorisme, la constipation et quelques symptômes généraux. Un petit nombre de sangsues furent appl
Duméril reconnut à sa nature pour provenir des intestins. Ce dernier symptôme fut le prélude d'une mort prochaine, qui eut lieu
e à travers un éraillemcnt de la pie-mère. Comparons maintenant les symptômes éprouvés pendant la vie aux lésions observées apr
lissait la totalité de ce canal. Si nous rapprochons maintenant les symptômes de l'apoplexie de la moelle de ceux de l'apoplexi
les cuisses, les jambes et les pieds : une heure après, invasion des symptômes mentionnés tellement brusque que le malade meurt
s me paraissent des débris d'acéphalocystes. Réflexions. — Tous les symptômes qu'a éprouvés notre malade peuvent être rapportés
que l'accroissement de la tumeur gastrique eût à son tour produit des symptômes soit locaux, soit généraux. Supposons que l'alt
du cancer de l'estomac rend un compte très-exact du défaut absolu de symptômes . Il n'y avait pas de vomissemens, puisque les ori
, peut être détruit dans une bonne partie de son étendue sans que des symptômes locaux ou généraux manifestes viennent nous révél
ment; air de souffrance et de malaise intérieur que ne justifie aucun symptôme local : soif très-vive ; la langue est sale; le p
tion? Quoi qu'il en soit, les lésions cadavériques, rapprochées des symptômes , confirment pleinement le diagnostic et s'expliqu
ollissement gélatiniforme de l'estomac, il ne s'est annoncé par aucun symptôme local, et nous verrons ailleurs qu'il en est de m
Il me serait également difficile d'apprécier la part qu'ont prise aux symptômes et la tuméfaction des follicules agminés de Peyer
smes, le repos, la diète dissipèrent les douleurs articulaires et les symptômes fébriles; le dévoiement persista ; bientôt, fièvr
été faites pour son extraction. Peu de détails ont été donnés sur les symptômes éprouvés jusqu'au 12 février, que la malade fut a
ment profond : les lochies sont supprimées : selles naturelles. Aucun symptôme du côté du thorax. ( Quinze sangsues à la vulve :
ntoure. Alors le pus se mêle au sang, et à l'instant apparaissent les symptômes les plus graves qui enlèvent le malade plus tôt o
les séreuses, etc., jamais dans les reins. Mais pourquoi les mêmes symptômes n'ont-ils pas lieu dans tous les cas de suppurati
ure et avec toutes ses qualités de pus dans les divers organes. Les symptômes extrêmement graves qui accompagnent la phlébite,
apparent continue toute la journée ; mais, le soir, recrudescence des symptômes . La respiration redevient difficile, sifflante; l
La respiration redevient difficile, sifflante; la voix rauque. A ces symptômes se joint du délire. — Le cinquième jour, respirat
ltération morbide rend un compte aussi exact que possible de tous les symptômes observés. Je ne saurais trop appeler l'attention
um ; il en est de même des membranes muqueuses. Sous le rapport des symptômes , l'angine sous-muqueuse laryngée ressemble exacte
upales. Mort par asphyxie le quinzième jour environ de l'invasion des symptômes d'angine. Ouverture du cadavre. Le larynx, exam
e par engouement des voies aériennes, huit jours après l'invasion des symptômes . A l'ouverture, je trouve un abcès dans l'épaisse
ravaillant aux égoûts, vint à la Maison royale de Santé avec tous les symptômes d'une phthisie laryngée. Dépérissement sans fièvr
s actuel, l'altération organique rend parfaitement compte de tous les symptômes observés pendant la vie, et de la grande quantité
et surtout de la difficulté extrême dans la déglutition, qui était le symptôme dominant. L'érosion de l'épiglotte, et de tout ce
que l'hydropisie enkystée de l'ovaire se voit souvent sans ce dernier symptôme . Il me paraît impossible de distinguer, dans l'
mort, qui eut lieu le 29, cinq jours après l'invasion de ces premiers symptômes . Ouverture du cadavre. Crâne bien conformé à l'
nvolutions du cerveau. Au reste, il y a parfaite harmonie entre les symptômes observés pendant la vie et la lésion observée apr
ophie et à l'induration du cerveau que nous devons rapporter tous les symptômes observés. Je regarde la sérosité très-abondante c
, de toux, de diarrhée, et succomba un mois après l'apparition de ces symptômes . Ouverture du cadavre. Crâne parfaitement bien
mathématique, mais j'affirme que l'étude approfondie comparative des symptômes et des lésions cadavériques, une éducation souten
s une attaque d'apoplexie pure et simple. L'un et l'autre étaient les symptômes dominans dans le fait suivant, dont les figures 1
é droite du corps pour se mettre sur son séant. Mais le 4, retour des symptômes ; pouls fréquent, moins développé que précédemment
ence dans le siège du foyer explique surabondamment la différence des symptômes . Ainsi, au bout de trente-cinq jours, le travail
les premiers jours on accusait le malade de paresse, voilà les seuls symptômes qu'a présentés ce malade ; et bien qu'il ne soit
ée à la convexité d'un seul hémisphère, sans qu'il y ait pour cela de symptômes plus prononcés d'un coté que de l'autre. Il est d
maintenant à déterminer la part que prend chacune de ces lésions aux symptômes observés lors de leur coexistence ; or il résulte
s que le moindre épanchement pseudo-membraneux à la base entraîne les symptômes les plus graves. Je suis donc porté à penser que
lieu que les derniers jours; mais elle n'a dû se manifester par aucun symptôme , vu l'état du cerveau. Sans doute la sérosité aur
dans le plus grand nombre des cas, les vomissemens sont les premiers symptômes et quelquefois le symptôme dominant. La céphalalg
es cas, les vomissemens sont les premiers symptômes et quelquefois le symptôme dominant. La céphalalgie n'a pas l'intensité qu'e
récipitée ; le pouls est petit, très-irrégulier : je vois là tous les symptômes de la maladie cérébrale, sauf les cris brusques e
, qu'on serait tenté de chercher dans l'estomac la source de tous les symptômes . Dans le cas actuel, j'ai commis cette méprise pe
ion des praticiens sur l'inégalité de la respiration, qui m'a paru un symptôme caractéristique de cette maladie, même dans la pr
et d'assoupissement, une sensibilité exagérée de la peau jointe à des symptômes de compression. Obs ervation III. — Méningite s
mobilité absolue, la lenteur et l inégalité du pouls, voilà les seuls symptômes morbides. Il ne se plaint de rien, ne demande rie
uberculeux, quelque latent qu'il soit, ne se décèle point par quelque symptôme local ou sympathique, et il est certain qu'avant
emi-opaque. Ne trouvant pas dans ces lésions la raison suffisante des symptômes , j'examine la face interne des hémisphères, et je
onneuse et purulente. Mort le 19. Du i5 au 19, voici quels furent les symptômes généraux : ballonnement du ventre, diarrhée verdâ
mbaire, un endurcissement du tissu cellulaire sous-cutané et tous les symptômes d'une entéro-colite très-aiguë. Elle succomba au
-aiguë. Elle succomba au bout de neuf jours sans avoir présenté aucun symptôme du côté de l'axe cérébro-spinal. Ouverture du c
ion enkystée au plus haut degré, n'ont éprouvé pendant leur vie aucun symptôme du côté des voies urinaires. Les deux reins rep
tantôt un délire symptomatique, avec absence de douleur, ou d'autres symptômes locaux manifestes; dont la thérapeutique, encore
t dans ses caractères anatomiques, mais parfaitement décrite dans ses symptômes parles anciens sous les titres divers de fièvres
le par MM. Petit et Serres, qui ont le mérite d'avoir groupé tous les symptômes autour de l'altération organique, sous la dénomin
des petits pois. L'individu auquel je fais allusion avait éprouvé des symptômes ataxiques, et sa maladie n'avait duré que douze j
te folliculeuse; constamment à cette forme anatomique répondent des symptômes ataxiques. Je me rappellerai toujours qu'un intes
tité est quelquefois complète; et pourtant quelle différence dans les symptômes ! L'acuité ou la chronicité de la marche, la succe
ent en rapport soit avec l'altération de ces ganglions, soit avec les symptômes . Or les ganglions mésentériques principalement af
r l'interprétation de la lésion organique, et à une recrudescence des symptômes répond une altération organique nouvelle. A côté
vérité, qu'il est un grand nombre d'inflammations sans douleur, sans symptômes locaux notables, et que ces inflammations sans do
uleur. Enfin il est des inflammations qui, après avoir débuté par des symptômes locaux, présentent une disparition complète de ce
se reproduit dans un grand nombre de maladies abdominales. XIX. Les symptômes locaux sont d'autant moins prononcés que les symp
es. XIX. Les symptômes locaux sont d'autant moins prononcés que les symptômes cérébraux sont plus intenses : l'état ataxique es
'est Ventérite folliculeuse sub - aiguë. XXI. Comment rattacher des symptômes aussi graves que ceux dont je viens de faire 1 en
circonscrite du canal intestinal ? N'est-il pas plus probable que ces symptômes dépendent d'une cause agissant sur l'ensemble de
ts sont faciles à vérifier dans la pleurésie, la pneumonie , dont les symptômes locaux persistent, identiquement les mêmes, huit
us pourrez, par une thérapeutique convenable, diminuer la gravité des symptômes , entraver la marche désorganisatrice de l'inflamm
ces calculs, que la durée de la maladie a été à peu près la même, les symptômes également graves et la terminaison également fune
sur coup pour un grand nombre de maladies qui s'annoncèrent avec des symptômes formidables, qui me représentèrent exactement les
cette question : Cette lésion est-elle le point de départ de tous les symptômes ; est-elle un effet, une crise, en un mot gouverne
ant que la lésion locale est le point de départ, le foyer de tous les symptômes , qu'en un mot elle précède la fièvre; tout en reg
e même principe, savoir que la lésion locale est le foyer de tous les symptômes , que cette lésion locale est une inflammation, un
uations sanguines immodérées, sous l'influence desquelles j'ai vu les symptômes locaux eux-mêmes s'exaspérer et les malades succo
des forces, et par l'état du pouls, et par l'exaspération de tous les symptômes sous l'influence de son emploi. Dirons-nous alors
lui-même dans ses fièvres putrides sanguines : mais aussitôt que les symptômes généraux deviennent dominans, que le système nerv
s leur emploi était au contraire suivie de l'exaspération de tous les symptômes . vne livraison. 4 XLV. Les liens sympathiques
atique d'un vieux médecin, disciple de Stoll, qui, regardant tous les symptômes de fièvres dites putrides et malignes comme le ré
us qu'ils en sont réduits au tâtonnement méthodique, à la médecine du symptôme , et qu'ils ne savent en général se rendre aucun c
ée au bras; sinapismes ; le délire augmente. Le cinquième jour, mêmes symptômes . Translation à la Maison royale de Santé le sixiè
2 (même planche) appartient à un autre individu qui, au plus fort des symptômes d'une entérite folliculeuse aiguë (forme ataxique
rène circonscrite et de gangrène non-circonscrite tout à la fois. Les symptômes qu'a présentés ce malade sont parfaitement en har
e gastro-entérite, et qui datait de vingt-un jours. 11 raconte que le symptôme dominant avait été une douleur abdominale assez v
forme ataxique). —Amélioration pendant neuf jours.—Recrudescence des symptômes . —Hallucination.—Mort. — Les ganglions mésentériq
ne serait même pas déraisonnable de donner la première place dans les symptômes à l'engorgement glanduleux. L'espèce d'intermit
succombé à un iléus. La mort rapide de cette dame, la violence des symptômes , leur invasion subite, firent répandre des bruits
leux ne paraissent avoir aucune influence sur leur développement. Les symptômes par lesquels elles se manifestent sont tous plus
nt tous plus ou moins équivoques. Dans une première période, point de symptômes , au moins chez le plus grand nombre des sujets :
toine, où j'étais alors interne (mars 1812). Il ne présentait d'autre symptôme qu'une hémiplégie complète sans rigidité. La tein
té, parce qu'elles compriment le nerf auditif. Je n'ai pas observé de symptômes particuliers pour la compression du cervelet. X
à une investigation cadavérique peu attentive, doit être la source de symptômes particuliers dont il ne m'a pas encore été donné
ans la première période, ne se manifestent le plus souvent par aucuns symptômes , et que les symptômes qui révèlent leur existence
e, ne se manifestent le plus souvent par aucuns symptômes, et que les symptômes qui révèlent leur existence dans la deuxième péri
de renseignemens positifs qui auraient pu me mettre sur la voie, les symptômes ne tardèrent pas à m'apprendre que le cerveau éta
s le tissu cellulaire sous-arachnoï- VIIIe LIVRAISON. 2 dieu. Ces symptômes consistaient dans des douleurs atroces éprouvées
et molle dont on peut exprimer un suc lactescent. Réflexions. - Les symptômes observés pendant la vie sont dans un rapport exac
ssons délayantes lurent prescrits. Ces moyens devinrent inutiles, les symptômes augmentèrent, et le malade mourut le 16 août 1829
ison royale de Santé, il lui était impossible de marcher. Voici quels symptômes elle présenta à mon observation le 3 septembre 18
te, l'absence de tout sentiment des besoins naturels, voilà les seuls symptômes par lesquels s'est manifestée cette maladie. Je m
ssons délayantes lurent prescrits. Ces moyens devinrent inutiles, les symptômes augmentèrent, et le malade mourut le 16 août 182g
ison royale de Santé, il lui était impossible de marcher. Voici quels symptômes elle présenta à mon observation le 3 septembre 18
ervation, la lésion organique rende un compte aussi exact de tous les symptômes que dans les observations précédentes. Sans doute
uses développées dans le même lieu n'ont-elles été la source d'aucuns symptômes ? Au reste, ces contradictions au moins apparentes
s présentent tantôt des lésions extrêmement graves pour expliquer des symptômes très-peu intenses, tantôt des lésions légères pou
ômes très-peu intenses, tantôt des lésions légères pour expliquer des symptômes fort graves. Je regarde les mouvemens épileptifor
ne simultanément une multitude de foyers d'inflammation au milieu des symptômes les plus formidables. Je pense donc que l'absorpt
ntoure. Alors le pus se mêle au sang, et à l'instant apparaissent les symptômes les plus graves qui enlèvent le malade plus tôt o
urement anatomique : il eût été du plus haut intérêt de connaître les symptômes auxquels avait donné lieu une pareille altération
de même sous le point de vue clinique et thérapeutique. L'analyse des symptômes observés chez les divers individus morts avec la
sous forme comateuse ; nous avons vu que la céphalalgie et le délire, symptômes pathognomoniques de l'arachnitis de la convexité,
aveugle, entre à Finfirmerie de Bicètre, le 16 février i83o, avec les symptômes suivans : pommettes très-colorées ; loquacité ext
traire souvent de cette manière. A quoi tiennent les différences de symptômes que présentent les deux observations qu'on vient
non marié, est amené à l'Hôtel-Dieu le i3 février i83o, avec tous les symptômes d'une maladie du cœur portée au plus haut degré.
x bubons inguinaux. (Traitement mercuriel sous l'influence duquel les symptômes disparurent prompte-ment.) Six mois après chez ce
dividus qui avaient présenté pendant leur vie une série déterminée de symptômes morbides, se vit forcé d'abandonner l'opinion de
de Chaussier. III. Jaeger et Chaussier n'avaient rattaché à aucuns symptômes pathognomoniques les faits de ramollissement et d
vêtir; j'ai fait remarquer l'analogie singulière qui existe entre les symptômes de l'hydrocéphale ven-triculaire aiguë et ceux du
itue une maladie toute spéciale, ayant ses causes particulières , des symptômes et une marche propres, un traitement spécial, et
i ont l'habitude d'observer ce genre de maladies peuvent, d'après les symptômes , établir d'une manière positive, et le siège et l
'une manière positive, et le siège et la nature de la lésion. Or, les symptômes ayant beaucoup d'analogie avec ceux de l'empoison
'autre altérations. Le ramollissement pultacé n'est annoncé par aucun symptôme particulier; on le rencontre dans les circonstanc
te des maladies les plus diverses, aiguës ou chroniques, avec ou sans symptômes du côté de l'estomac. Une circonstance singulière
ième jour d'une entérite folliculeuse aiguë sans avoir présenté aucun symptôme du côté de l'estomac. Une assez grande quantité d
XI. Mais tandis que le ramollissement pultacé n'est annoncé par aucun symptôme particulier, le ramollissement gélatiniforme peut
peu satisfaisante pour l'esprit qui ne saisit pas la corrélation des symptômes avec la lésion; mais je la donne telle qu'elle es
cliniques, que de toutes les espèces de cancer, c'est celle dont les symptômes locaux sont les plus obscurs : aussi se réduisent
ces obstacles mécaniques. C'est encore l'espèce qui s'accompagne des symptômes de réaction générale les moins prononcés, celle q
ion épigastrique et un dépérissement progressif ont-ils été les seuls symptômes de la maladie. L'observation suivante me paraît
ès avoir cédé à l'usage de la thériaque. Au milieu de cet ensemble de symptômes alarmans, le malade jouit d'un sommeil parfait et
e me torturais l'esprit pour découvrir le point de départ de tous ces symptômes . J'explorai vainement le cœur et les gros vaissea
une maladie chronique du foie. Que faire ? le régime, la médecine du symptôme sont évidemment les seuls moyens indiqués. Depuis
dant appétit, sommeil, gaieté portée jusqu'à l'enjouement ; pour tout symptôme morbide, infiltration, hydropisie, mouvement fébr
ladie du foie. On conçoit pourquoi, le pylore étant encore libre, les symptômes ordinaires de la rétention des matières alimentai
ur le cadavre d'individus qui n'avaient accusé pendant leur vie aucun symptôme du côté de ce viscère ; mais le plus souvent la s
la souffrance de l'estomac se traduit à l'extérieur par une série de symptômes plus ou moins graves. Les principaux sont les sui
'ulcère simple de l'estomac; et il est facile de voir qu'aucun de ces symptômes ne peut être érigé en signe pathognomonique. Parm
it de dyspepsie depuis quelques mois, et qui fut pris tout-à-coup des symptômes de péritonite suraiguë, je trouvai une perforatio
prédécesseur Béclard, qui avait présenté pendant plusieurs années des symptômes de gastrite chronique. La figure 4 (pl. 6) nous
aplasmes émolliens, la diète lactée améliorèrent notablement tous les symptômes . L'état aigu disparaît, et M. G. ne tarde pas à r
ne manière péremptoire l'analogie qui existe sous le point de vue des symptômes entre l'ulcère simple et le cancer ; et ici l'exi
eloppant chez les individus les plus sains et les plus vigoureux, les symptômes les plus formidables succédant tout-à-coup à l'ét
elle nous dévoile le jour, l'heure de l'invasion, et des périodes de symptômes tout-à-fait en harmonie avec des périodes de lési
absolue du pus de la plaie et du pus des abcès ; 3° sur l'absence des symptômes généraux et locaux que les pathologistes donnent
eur : i° La formation des abcès viscéraux est toujours accompagnée de symptômes généraux plus ou moins graves, qui ne trouvent nu
t nullement leur explication dans l'état de la plaie. i° L'absence de symptômes locaux du côté des viscères ne témoigne pas de l'
térieure comme à la suite d'une phlébite extérieure ; 6° qu'enfin les symptômes graves dont elles sont accompagnées offrent la pl
lieu le mélange du pus et du sang, il se manifeste immédiatement des symptômes typhoïdes, adynamiques, ataxiques, précédés d'un
se tuméfia, les petites plaies cessèrent de fournir du pus. Tous les symptômes généraux et locaux de la phlébite, et des inflamm
ureux, que je crus d'abord à une inflammation sous-aponévrotique. Les symptômes généraux furent très-graves, le pouls s'élevait à
pathologique. La phlébite utérine et hypogastrique a dominé tous les symptômes du 11 au i5 juillet; car je ne crois pas que la p
uchement, et qui présenta les derniers jours de la vie l'ensemble des symptômes dits typhoïdes, j'ai trouvé la veine iliaque prim
mon (*). Épilepsie. Choree. Mort le treizième jour de Vinvasion des symptômes de la maladie du poumon. Becquet, âgé de trente
t ; l'articulation des sons était très-embarrassée. Le i5 juin, aux symptômes précédens s'ajoute un nouvel ordre de phénomènes
ubaire. Les crachats sont visqueux et verdâtres. Jusqu'au 19, mêmes symptômes , crépitation à gauche. Les jours suivans, affaiss
le est excessivement rare : car, dans l'immense majorité des cas, les symptômes généraux et locaux de la gangrène ont été précédé
, les symptômes généraux et locaux de la gangrène ont été précédés de symptômes généraux et locaux de pneumonie. Si on objecte qu
é à la Société Anatomique par M. Giraldès : Un homme éprouve tous les symptômes d'une pneumonie. 11 succombe sans qu'on ait pu le
dans les poumons, soit dans le cœur, des lésions plus graves dont les symptômes masquaient ceux qui pouvaient partir du foie. Je
'un certain nombre de faits, que bien que l'ascite ait été le premier symptôme morbide qui ait appelé l'attention des praticiens
stives, et plus particulièrement dans les fonctions de l'estomac. Les symptômes sont les suivans : anorexie ; développement incom
soit à la région du foie, soit à l'épigastre, complètent la série des symptômes . Il n'est pas besoin de dire qu'aucun de ces phén
XXIII. Il est d'ailleurs beaucoup de malades qui n'éprouvent d'autres symptômes qu'un malaise, un sentiment habituel et profond d
infiltration des extrémités inférieures, l'ascite sont les premiers symptômes qui viennent retirer d une sécurité trompeuse, en
purement hygiénique. Deux observations, très dissemblables pour les symptômes et pour la marche viendront à l'appui des considé
masses disse'mine'es dans le foie, et je me bornai à la me'decine du symptôme . (Bains de siège , fomentations et cataplasmes ém
ns qui me manquent sur le sujet dont le foie est représente' Pl. 3. Symptômes vagues d'affection épigastrique : apparences d'un
les nuits et souvent aussi pendant le jour; le vomissement devient le symptôme dominant, et me ramène à ma première opinion que
ie de concrétions , sans que les malades eussent accusé le plus léger symptôme du côté de cet organe. Dans un de ces cas, la vés
l'un des points du canal alimentaire, aient pu donner lieu à tous les symptômes de l'étranglement?Le cas suivant, présenté à la S
stre, boissons émollientes, lavement purgatif). Le 1er février, mêmes symptômes ; vomissemens de plus en plus fréquens ; mort dan
ividu qui avait éprouvé pendant les derniers temps de sa vie tous les symptômes , non d'une diathèse cancéreuse, mais d'un rétréci
èse cancéreuse, mais d'un rétrécissement considérable du pylore : ces symptômes se résument dans des vomissemens abondans qui sui
u musculaire du pylore peut, chez les vieillards, déterminer tous les symptômes locaux et fonctionnels d'un rétrécissement du pyl
ane. Cette différence trouve son explication toute naturelle dans les symptômes observés pendant la vie des malades. Le vomisseme
nt à la petite plaie, s'enflamment, mais rarement se déclare-t-il des symptômes généraux : le ganglion est une barrière à l'infec
aux : le ganglion est une barrière à l'infection. Lorsqu'existent des symptômes généraux, rien ne prouve qu'ils aient été le prod
anière satisfaisante, que cette présence du pus fût constatée par des symptômes bien tranchés, susceptibles d'être démêlés au mil
tômes bien tranchés, susceptibles d'être démêlés au milieu des autres symptômes ; il faudrait sur-tout que la question de savoir
résenté une plus longue durée. La gravité qui se cachait derrière des symptômes d'une apparente bénignité, a été trahie par Tétât
la présence du pus dans les vaisseaux lymphatiques a exercée sur les symptômes et sur la terminaison funeste de la maladie. Des
e paraît avoir aucune gravité; le 9 seulement, la malade présente des symptômes obscurs de péritonite : dix-huit grains d'ipécacu
leur hypogastrique légère , des nausées , des vomissements; voilà des symptômes bien vagues. Cette maladie se confond par ses sym
ts; voilà des symptômes bien vagues. Cette maladie se confond par ses symptômes , soit avec la phlébite, soit avec la péritonite c
anifestée, ses causes présumées, le tableau et la valeur clinique des symptômes et des différentes méthodes thérapeutiques ont ét
nt d'autres influences, s'est manifestée diversement : tantôt par des symptômes nerveux, tels qu'étourdissements, vertiges, senti
de vingt-quatre à quarante-huit heures, par une fièvre continue sans symptômes locaux prononcés, suivie d'un malaise , d'une ano
us le nom de gastrites ou entérites chroniques , ont éprouvé dans les symptômes une recrudescence qu'il faut attribuer en grande
r sur eux aucune influence ; i° en ceux qui paraissent n'être que les symptômes précurseurs du choléra qui se déclare malgré les
elles pendant la nuit du 25 au 26 : je suis appelé le 26. Aucun autre symptôme que des borborygmes, des selles cholériques, de l
cyanose, point de refroidissement, point de crampes, en un mot, aucun symptôme du choléra proprement dit. L'opium par le haut et
ar le bas diminue les évacuations sans les arrêter complètement ; les symptômes pleurétiques masqués un instant par ceux du dévoi
mmédiatement le principe de la vie. Il en est qui s'annoncent par des symptômes moins formidables et qui se rapprochent beaucoup
a voix, la tendance au refroidissement , la dépression du pouls; tous symptômes qui annoncent que la maladie n'est plus locale et
ffectés. VI. Au reste, il importe beaucoup, dans l'appréciation des symptômes , de faire la part de l'état spasmodique, qui joue
de céder sous l'action des premiers moyens thérapeutiques. VIL Les symptômes ci-dessus énoncés ne se présentent pas tous avec
vidus. Presque toujours il y a prédominance de l'un ou de l'autre des symptômes ; souvent plusieurs manquent complètement. VIII
la suppression de l'urine, la tendance au refroidissement : voilà les symptômes constants. Les selles, les vomissements et les cr
pes manquent au contraire dans quelques cas. Un mot sur chacun de ces symptômes . IX. desselles manquent très rarement. Leur abs
sanguinolentes. Plusieurs de mes malades qui ont présenté ce dernier symptôme n'en ont pas moins parfaitement guéri. X. Les v
ou moins considérables, les nausées continuelles, sont quelquefois le symptôme dominant; rarement y a-t-il absence complète de v
r ou deux l'émission des urines. XII. Les crampes sont peut-être le symptôme le moins constant dans le choléra quelquefois ell
ire que la gravité de la maladie ne m'a paru nullement mesurée sur ce symptôme . Les crampes débutent dans les muscles des pieds,
bientôt place au collapsus. XIII L'angoisse épigastrique est un des symptômes les plus constants. Quand on demande au malade ce
il en est du choléra comme de la hernie étranglée. La constance de ce symptôme lui a fait donner le nom de voix cholérique. XV
et qui me paraît mesurer beaucoup plus exactement que tous les autres symptômes , le degré de gravité de la maladie. Les crampes
. Bain émollient. Quinze sangsues à l'épigastre avec ventouses. Les symptômes de gastrite persistent tout en s'amendant graduel
, l'abstinence complète de tout aliment, ont enlevé graduellement les symptômes d'irritation gastrique. Le 15 juillet , je perm
ble que sa mort date de l'invasion du choléra. Cessation complète des symptômes cholériques après l'accouchement. Guérison rapi
ci prendre par cuillerées ci café toutes les heures. Le 16 , mêmes symptômes : soif toujours ardente; extinction complète de la
Je sais qu'un très grand nombre d'individus ont été surpris, par les symptômes les plus intenses, au milieu de leurs travaux hab
matin, à la suite d'un sommeil paisible, qu'apparaissent les premiers symptômes ; mais en remontant à la source, j'ai presque touj
hez certains sujets, ce sont les crampes qui constituent le principal symptôme . On voit des contractions excessivement douloureu
'individus morts en deux ou trois heures, sans avoir éprouvé d'autres symptômes que des crampes excessivement douloureuses, passa
le choléra asphyxique, s'établit ici plus ou moins complètement. Les symptômes apparaissant successivement et non point simultan
choléra, ayant été prises de douleurs, accouchèrent heureusement; les symptômes bien loin de s'aggraver, s'amendèrent notablement
s un petit nombre de cas. Voici l'extrait d'un de ces cas : après les symptômes accoutumés de selles, de vomissements, de crampes
de rapporter la mort à la lésion anatomique, si disproportionnée aux symptômes qu'on observe dans de pareilles circonstances.
et tous les ganglions abdominaux sont parfaitement sains. XXI. Les symptômes d'inflammation sont encore bien plus prononcés da
rs fois occasion d'observer des selles sanguinolentes avec épreintes, symptôme omis ou non, observé par la plupart des auteurs q
bulance dans l'état asphyxique. Ce malheureux, qui n'accusait d'autre symptôme qu'une angoisse épigastrique, était pressé par de
uvelle plus souvent). Glace sur la tête. Le 5, l'étouffement est le symptôme dominant. Respiration lente et suspirieuse; soif
t sous le rapport de son anatomie pathologique, de ses causes, de ses symptômes et de sa thérapeutique. ANATOMIE PATHOLOGIQUE D
ésions anatomiques, bien loin d'être proportionnées à l'intensité des symptômes , sont souvent en raison inverse. 3° Que la prés
herchons dans l'observation clinique, c'est-à-dire dans l'analyse des symptômes , des causes, des effets du traitement, de nouvell
e du choléra. PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE DU CHOLÉRA. i° Analyse des symptômes du choléra. Le choléra asphyxique semble, au prem
ait sous l'influence d'un agent délétère; le malade présente tous les symptômes de l'empoisonnement; il meurt asphyxié. Mais, s
manière insensible, à établir le point de départ le plus probable des symptômes , et leur filiation. Or, l'affinité qui existe e
ffet, que si un certaiu nombre d'individus étaien t pris d'emblée des symptômes les plus graves, plus souvent encore le choléra d
de la voix, la tendance au refroidissement, des crampes légères; tous symptômes qui sont une conséquence trop évidente de la conc
a-t-il touché la muqueuse gastro-intestinale, qu'apparaissent et les symptômes locaux qui dénotent l'irritation violente de cett
s locaux qui dénotent l'irritation violente de cette membrane, et les symptômes généraux, par lesquels se révèle l'atteinte profo
ls se révèle l'atteinte profonde portée aux forces de la vie; or, ces symptômes locaux et généraux de l'empoisonnement ont la plu
à l'algidité. Appelé auprès d'un individu qui fut pris subitement des symptômes que je viens d'indiquer, et qui ne voulut faire a
hoquets, vomissements, dépression de pouls, extinction de voix_, tous symptômes qui dénotent une lésion profonde du système nerve
e fait le plus général auquel on puisse arriver par l'observation des symptômes et par l'anatomie pathologique ; et sans prétendr
anatomie pathologique ; et sans prétendre expliquer par elle tous les symptômes , ne nous suffit-il pas d'établir une corrélation
fonctions, de ceux où l'équilibre rompu entraine tout cet appareil de symptômes formidables, cela me parait presque impossible. I
de l'Europe, sous le titre de peste britannique, était accompagnée de symptômes généraux, tels que soif inextinguible, anxiété pr
au cœur5 il est vrai, qui constituent ce qu'on appelle la médecine du symptôme , mais au-delà desquelles tout est vague et chimér
ment définitif. L'angoisse épigastrique et l'étouffement qui sont les symptômes dominants, permettent difficilement au malade d'e
n'est que passager : on recommence aussi souvent que reparaissent les symptômes . On aurait guéri par cette méthode trois malades
on étant bien franche, bien complète, exempte de sueur, il existe des symptômes de congestion sur tel ou tel organe. Dans le cas
piniâtres tourmentent les malades ; il ne faut pas s'en effrayer. Ces symptômes n'ont point ici la gravité qu'ils offrent dans d'
bit leur influence au summum d'intensité alors que se manifestent les symptômes de réaction. Thérapeutique dans la convalescenc
me rendis, auprès de cette malade , qui présentait en effet tous les symptômes de l'étranglement : pouls misérable; extrémités f
entre l'altération observée dans le placenta, l'état du fœtus et les symptômes éprouvés à une époque plus ou moins avancée de la
t de la fig. 2, j'ai appris seulement qu'il n'avait présenté d'autres symptômes que la dyspnée et le délire, qu'on avait constaté
ordinairement c'est du dixième au vingtième jour que surviennent les symptômes de phlébite; il n'est pas rare de les voir naître
l'état adynamique ou typhoïde porté au plus haut degré, l'absence de symptômes de lésion dans les autres organes, peuvent faire
complète de son état, stupeur; aucune douleur. Les jours suivants les symptômes vont croissant. Mort le cinquième jour. A l'ouv
la jambe. Fièvre précédée de frisson ; saignée; le lendemain ictère, symptômes d'embarras gastrique ; 36 grains ipéca -cuanha :
it pieds de haut sur la région occipitale ; forte contusion. Saignée. Symptômes de phlébite entre la saignée et le cœur. Large ap
et le cœur. Large application de sangsues. Cessation de la phlébite. Symptômes de phlébite au-dessous de la saignée, même traite
ite. Symptômes de phlébite au-dessous de la saignée, même traitement; symptômes typhoïdes. Mort le huitième jour. Ouverture, huit
côté de l'estomac. Le malade mourut le 14 janvier 1833 avec tous les symptômes du squirrhe au pylore. Ouverture du cadavre. Hy
n'a pu se procurer aucuns détails sur son état antérieur. Voici les symptômes qu'il a présentés. Flexion des avant-bras à ang
pitant en arrière, et râle muqueux en avant du côté droit. Tous les symptômes énumérés ci-dessus ont été constatés de nouveau e
risme. Ecoulement d'une grande quantité de sang. Guérison temporaire. Symptômes de pierre et de catarrhe de vessie. Dépérissement
verge. Les urines devinrent catarrhales. Le malade présenta tous les symptômes de la pierre ou du catarrhe vésical. Fondé sur
et fréquent. Je regarde le genou comme le point de départ de tous les symptômes . L'œdème sous-cutané m'apprend d'ailleurs que l'i
x des femmes en couches n'est pas une maladie primitive, mais bien le symptôme , soit d'une phlébite, soit d'une inflammation sou
aladie du rein presque impossible. L'infiltration coïncidant avec les symptômes d'une affection du cœur , légère il est vrai , ne
cubitus dorsal obligé. Le malade ne parla pas d'hématurie antérieure, symptôme que j'ai vu manquer rarement, et qui , coïncidant
bilité , diminution des facultés intellectuelles, tels sont les seuls symptômes qu'ait éprouvés ce malade. Il y avait absence d
nner aucun indice de leur présence, et ce n'est qu'à l'apparition des symptômes d'encéphalite, d'arachni-tis ou d'hydrocéphale ve
ticien exercé peut soupçonner leur présence à l'aide d'un ensemble de symptômes vagues, incohérents, intermittents, ou d'un sympt
'un ensemble de symptômes vagues, incohérents, intermittents, ou d'un symptôme qui appelle l'attention sur l'encéphale. Ainsi l'
ou sans rigidité, la rigidité du tronc ou des membres; tels sont les symptômes qui ont été le plus habituellement observés. Mais
'est l'irrégularité, l'ataxie que l'on observe non-seulement dans les symptômes , niais encore dans la marche de la maladie. Ainsi
ès (elle était pour lors âgée de 35 à 36 ans ), elle éprouva tous les symptômes d'une seconde grossesse. Comme elle ressentait de
er, elle consulta une sage-femme qui la rassura en lui disant que ces symptômes étaient communs à la plupart des femmes grosses.
usqu'à la fin du sixième mois ; mais à dater de cette époque tous les symptômes disparurent, l'abdomen s'affaissa, les règles se
ans toutes ces observations, les femmes, après avoir éprouvé tous les symptômes d'une vraie grossesse , ont été prises , au terme
ne vraie grossesse , ont été prises , au terme ordinaire, de tous les symptômes précurseurs d'un accouchement prochain. Les dou
isa graduellement et mourut dans le marasme sans avoir présenté aucun symptôme du côté des organes thora-ciques et abdominaux.
e particulière de la tumeur qui plongeait dans l'anneau, joints à des symptômes d'étranglement, jetèrent beaucoup d'incertitude s
ration, il est certain qu'il s'accompagne le plus souvent de tous les symptômes d'une irritation chronique. On ne saurait méconna
souvent même la fracture spontanée des os est le premier et l'unique symptôme de la présence des tumeurs cancéreuses dans leur
été remise que la malade présentait depuis plusieurs années tous les symptômes d'une maladie du cœur et qu'elle mourut à la mani
, aucun affaiblissement des membres et n'eût présenté en un mot aucun symptôme de compression cérébrale, je présumai que l'amaur
ril i833, se disant malade depuis huit jours : elle présente tous les symptômes de l'entérite folliculeuse commençante avec dévoi
que d'un faible secours pour le diagnostic. Toutefois l'invasion des symptômes cérébraux, l'incurvation du tronc en avant, les m
ralysie de la langue et de rigidité du bras. — Marche progressive des symptômes ; peinte de connaissance ; mort au bout de 48 heur
s membres du côté gauche. Mais la différence qui existait quant aux symptômes entre le côté droit et le côté gauche, tenait uni
s insensibles dans les altérations cadavériques, de même que dans les symptômes , conduisent des grands foyers apoplectiques au ra
ralysies apoplectiques ordinaires, une certaine irrégularité dans les symptômes qui fait que l'on trouve dans un instant le membr
circonstance qui paraissait établir une sorte de progression dans les symptômes . Ramollissement hortensia de la substance grise
ement très étendu ; et comme il y a eu quelque accroissement dans les symptômes depuis la veille, je me prononce pour un ramollis
différentiel de l'apoplexie et du ramollissement à la progression des symptômes qu'à l'instantanéité de l'invasion. Dans le foyer
t pas; néanmoins je pensai que l'estomac était le point de départ des symptômes tout-à-fait étrangers à l'état du cerveau et je m
6 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
ents chez les apoplectiques ? Bien qu'ils reproduisent, au milieu des symptômes comateux un phénomène qui, volontiers, précède et
ce moment, est celle-ci : le bâillement est-il, chez notre malade, un symptôme solitaire ? En d'autres termes : l'hys térie est
ire en-pareil cas, c'est-à-dire marquée, révélée exclusivement par un symptôme unique, à savoir, dans l'espèce: le bâillement? —
accidents nerveux de tout genre, entremêlés le plus souvent avec des symptômes arthritiques, tels que migraines, rhumatismes art
de, un phénomène de l'état de veille, comme le sont beaucoup d'autres symptômes hystériques du même genre : le sommeil les suppri
u près toujours inaugurés par une période prodromique marquée par des symptômes qui rappellent l'aura de l'hystérie convulsive. I
anesthésie cutanée, pas d'ovarie, pas de troubles sensoriels, etc. Le symptôme sur lequel j'appelle votre attention est donc à p
ie était en bonne voie de guérison, que se manifestèrent les premiers symptômes de l'affection nerveuse dont notre homme souffre
notre malade, la neurasthénie, fort apparente, n'était pas doublée de symptômes hystériques cachés et latents, et que seule, une
notre homme le diagnostic hystérie. Nous ne reviendrons pas sur les symptômes signalés jusqu'ici : hémianes-thésie sensitive cu
e l'a fait jusqu'ici, et s'attacher surtout à les bien distinguer des symptômes hystériques qui se développent dans des circonsta
auche spinale, mais seulement par la pointe ; et si, à l'origine, les symptômes , comme vous l'allez voir, ont été ceux qui se rap
rsque je vous exposerai l'évolution des phénomènes paraplégiques, les symptômes spinaux ont été immédiatement portés au maximum a
otre malade, dans les premières heures ou jours après l'accident, les symptômes ont relevé de la seule piqûre, tandis que plus ta
urs jours et aurait nécessité plusieurs fois l'emploi de la sonde. Ce symptôme -là n'appartient pas à l'hémisection latérale trau
Naturellement nous ne devons pas nous attendre à rencontrer tous ces symptômes chez un sujet qui a survécu, a récupéré presque i
d'hypéresthésie cutanée, pas de modification du sens musculaire. Ces symptômes ont-ils existé autrefois? Nous n'avons pas de ren
s du cas présent. Ce n'est pas en effet pour avoir entendu parler des symptômes liés à l'hémiparaplégie spinale que notre homme a
nos moyens actuels d'investigation qui paraît être le substratum des symptômes hystériques. -oto. rIe4aSoc. de'üyp, - Ã-íoizet
appelle le grand hypnotisme des hystériques, seul cas dans lequel les symptômes cérébraux particuliers qui marquent les trois éta
ttaque d'hémiplégie hystérique se développe brusquement, au milieu de symptômes qui rappellent ceux de l'apoplexie avec hémiplégi
ès exclusivement sur les extenseurs du poignet. Il peut être un des symptômes des paraplégies arsenicales ainsi que nous l'avon
par névrite périphérique sans anesthésie et sans douleur. Tous les symptômes plus haut signalés, y compris les troubles de sen
rison relative est devenue à un moment donné permanente. Les premiers symptômes de la paralysie actuelle paraissent remonter à se
882. Pendant toute la période d'activité du mal, un certain nombre de symptômes caractéristiques qui aujourd'hui ont disparu, éta
s, à la perte des réflexes rotuliens que nous avons pu constater, ces symptômes suffiraient en quelque sorte, à établir cliniquem
famille, dont les yeux sont d'autres couleurs. Par le fait, divers symptômes de l'alcoolisme grave n'ont pas tardé à se manife
illes et des battements dans les tempes, une obnu-bilation de la vue, symptômes qui bientôt sont suivis de perte de connaissance.
e notre sujet présente réellement un ensemble fort caractéristique de symptômes hystériques; à cet égard, vous le voyez, les preu
tion du malade le 19 novembre. Empirement très accentué de tous les symptômes : le malade ne dort pour ainsi dire plus depuis d
esticulations choréiques, est certainement, dans ces conditions-là un symptôme de fort mauvais augure. Quelques traits devront ê
ez-vous, vous laissez-vous trop vivement impressionner par les autres symptômes , à savoir la cessation des gesticulations, . le d
s relatives aux cas terminés par la guérison. Mais, hélas! les autres symptômes ne marchaient point de pair, et les malades succo
culaire que l'affection, chez notre infortuné malade, s'accompagne de symptômes graves ; car l'on sait que le pronostic dans la c
illes, des battements dans les tempes, etc. Tels ont été les premiers symptômes relatifs à la maladie nerveuse que nous avons à c
le fait de causes aussi différentes en apparence. Ainsi, de parles symptômes céphaliques, voilà notre sujet nettement constitu
t bien établi que la dyspepsie en question ne date que du jour ou les symptômes de neurasthénie céphalique ont commencé à s'accen
eurasthénie céphalique ont commencé à s'accentuer. Parmi les autres symptômes neurasthéniques qui me paraissent devoir être sig
hystérique, c'est déjà quelque chose, car, quoi qu'on en dise, pareil symptôme ne se voit guère, à part un ou deux cas de lésion
on de trains), dont il a été la victime en Angleterre, a présenté des symptômes tout à fait comparables, par les traits fondament
ioration, il dort moins mal, mange avec plus d'appétit; mais tous les symptômes , tant hystériques que neurasthéniques, persistent
ort significatif dans l'espèce. Vous allez voir maintenant les divers symptômes de la maladie dont il s'agit dans ce cas, apparaî
de nous donner la description, il ne s'était produit chez elle aucun symptôme qui mérite d'être relevé pour le moment. C'est do
'existence précoce des douleurs cubitales associées à quelques autres symptômes de la série, tels que la diplopie par exemple ou
rent souvent, dans la période aujourd'hui dite préataxique, parmi les symptômes les plus précoces. A la malade : Souffrez-vous
doivent être dirigées. Nous en avons fini, sans doute, avec ceux des symptômes initiaux dont la malade, en évoquant ses souvenir
lit. AL Charcot : Il me reste, pour terminer cette énumération des symptômes tabétiques, à vous faire connaître les résultats
tance. (Signe d'Argyll Robertson). Voici donc, de ce côté, un nouveau symptôme tabétique, d'ailleurs fort vulgaire oans l'espèce
que, plus prononcé à droite qu'à gauche (Fig. 34.) Ceci encore est un symptôme hystérique presque univoque D G Fig. 34. — 5
es mouvements vers la droite, avec diplopie homonyme. C'est encore un symptôme qu'il n'est pas rare de rencontrer dans l'hystéri
invoquer ici l'influence provocatrice de la ménopause. Les premiers symptômes d'hystérie, en effet, ont paru à l'âge de cinquan
toute intervention connue, d'une cause provocatrice quelconque ; les symptômes tabétiques, lorsqu'elle s'est produite, continuan
ommaire,j|jm les comparant les uns aux autres, ce %ue sont les divers symptômes oçuljîfres qui contribuent à caractériser nosogra
Amblyopie ou cécité transitoires. Ce sont, vous l'avez compris, les symptômes oculaires de la sclérose en plaques qu'il s'agit
'accuser des contrastes en faisant figurer dans cette comparaison les symptômes oculaires tabétiques. Il ne saurait être question
tions musculaires de l'œil, c'est le nystagmus. Or, vous savez que ce symptôme ne se voit guère dans le tabes, si ce n'est dans
diplopie monoculaire qu'on observe et il importe de remarquer que ce symptôme -là n'appartient ni à l'ataxie ni à la sclérose en
cé qu'il soit déjà, sous l'action des rayons lumineux (Parinaud). Les symptômes hystériques ne reconnaissent pas, vous le savez,
iables: c'est une loi qui s'applique aussi bien, dans l'hystérie, aux symptômes oculaires qu'à tous les autres. De fait, il n'y a
e la diplopie. La diplopie par parésie des mouvements associés est un symptôme qui peut se voir dans l'hystérie ; mais lorsque l
stablement, dans les conditions où on l'observe chez notre malade, un symptôme hystérique. Décoloration atrophique de la pupil
ulier qui, dans l'hystérie à stigmates, constitue en quelque sorte un symptôme banal ; b, Acuité visuelle dans l'œil droit 1/4,
endemain matin, elle ne distinguait que difficilement les objets. Ces symptômes avaient été accompagnés et suivis d'une forte cép
nge, une intrication, si vous voulez, évidemment fort remarquable, de symptômes oculaires dont les mis appartiennent à l'hystérie
à la sclérose en plaques. Mais vous venez de voir que si ces divers symptômes se montrent entremêlés ils ne sont point confondu
s, il importe de le rappeler encore une fois, c'est la découverte des symptômes oculaires que vous savez qui nous a amené a recon
. A l'âge de 18 ans, c'est-à-dire antérieurement au développement des symptômes hystériques, P... et avait constaté déjà que sa v
ait porter un verre ou une cuiller à sa bouche. Quelques-uns de ces symptômes qui ré vêlent la sclérose multiloculairesesont no
e soit une affection organique, ces amendements temporaires de divers symptômes ne sont pas rares, tant s'en faut, dans la scléro
ère, tantôt la seconde qui ouvre la marche. Bien souvent, j'ai vu les symptômes propres à la sclérose mutiloculaire se dégager en
à la sclérose mutiloculaire se dégager en quelque sorte au milieu de symptômes hystéro-épileptiques préalablement établis de lon
e. Soit parle fait du traitement, soit par toute autre influence, les symptômes de paraplégie commencèrent bientôt à s'amender pr
s ou moins profondes. Ces lésions se traduisent pesant la vie par des symptômes que nous avons proposé d'appeler pseudo-névralgiq
lus convenablement désignés peut- être par le terme plus général de symptômes radiculaires proposé par M. Gowers (1). Tel est
lerai que dans l'évolution de cette affection, les pseudo-névralgies ( symptômes radiculaires)dont nous parlions tout à l'heure ou
ique. Elles précèdent souvent de longtemps la première apparition des symptômes de paraplégie spasmodique. Ce que ceux-ci offrent
ts du membre. Vous remarquerez,messieurs,qu'il y a là un. ensemble de symptômes qui, dans la catégorie des affections organique
omaine du mouvement.Tel n'eûtpasété, bien évidemment, le concours des symptômes dans le cas supposé d'une extension de la pachymé
otre malade. La nature hystérique chez elle de la grande majorité des symptômes n'est pas douteuse ; et, si les accès convulsifs
ns considérables et aboutir finalement à la réalisation objective des symptômes imaginés. C'est, messieurs, à ce que je crois, pa
é s'est altérée au point qu'il a dû être admis dans un hôpital. Les symptômes nouveaux qui s'étaient produits alors et qui ont
mal de Pott. Mais c'est surtout, sans doute, un certain ensemble de symptômes , encore présents aujourd'hui,et que nous pourrons
ettre en œuvre, ce sont des amendements, des atténuations de certains symptômes ou encore des atermoiements, des temps d'arrêt da
isissantes. Or quel avait été l'agent de cet amendement singulier des symptômes tabétiques : le corset ou la suspension elle-même
ussi l'affaiblissement des fonctions sexuelles. C'est contre ces deux symptômes tabétiques que le traitement en question parait a
ois. » En résumé, messieurs, vous le voyez, l'amélioration dans les symptômes s'est prononcée sur toute la ligne, et l'on ne sa
adie avait été extrêmement rapide car, dans l'espace de six mois, les symptômes les plus divers de la série tabétique avaient pre
eurs cas même, une atténuation vraiment remarquable de la plupart des symptômes spinaux. Dans quatre cas seulement, les effets on
les malades. Les douleurs fulgurantes doivent être citées parmi les symptômes qui ont semblé le plus souvent bénéficier du trai
ins caractères déterminés, les cas où la suspension, relativement aux symptômes tabétiques, sera certainement ou très vraisemblab
La forme des accidents tabétiques est plutôt à considérer : ainsi,les symptômes céphaliques, tels que paralysies oculaires, phéno
vé. Chez un quatrième malade âgé de 43 ans, suspendu huit fois, les symptômes parétiques, déjà très prononcés du reste avant le
a été parfaitement tolérée, sans produire jamais une aggravation des symptômes paralytiques. Les trois malades atteints de mal
la nuit s'est remarquablement amendé; la rigidité des membres et les symptômes pénibles, parfois douloureux, que les malades y é
rs de l'apparition des premiers sifflements d'oreille et des premiers symptômes d'obnubilation auditive. Cette fois encore, la pa
e, séparées par des intervalles de calme absolu, pendant lesquels les symptômes de la maladie locale d'où ils dérivent persistant
re, Messieurs, à voir survenir de semblables aggravations de tous les symptômes dans les premiers temps du traitement du syndrome
u bout de la quinzaine, eut pour effet d'amener bientôt un répit; les symptômes , pendant les deux semaines de repos qui furent pr
nt produites en conséquence qu'il a commencé à ressentir les premiers symptômes de la maladie. Le tremblement s'est montré, le pr
certain degré de paralysie de la convergence accompagné de diplopie, symptôme déjà relevé plusieurs fois en pareille circonstan
mouvements de sens contraire qu'on leur imprime. S'agirait-il là d'un symptôme particulier lié à la maladie de Basedow? C'est un
vos yeux du premier coup. Cette maigreur, jointe aux quelques autres symptômes que nous vous dirons tout à l'heure, et plus part
l'action provocatrice puissante ne saurait être méconnue, les divers symptômes de la maladie se sont accumulés dans un court esp
produite par la coexistence chez notre sujet, d'un certain nombre de symptômes qui viennent d'être énumérés : amaigrissement rap
uère à rencontrer. Nous ne pouvons pas oublier toutefois que tous ces symptômes peuvent se présenter dans la maladie de Basedow e
l, 37°5, 37°2. Lorsque cette malade est sortie de l'hôpital, tous les symptômes de la maladie de Basedow persistaient à un certai
à39°5, 40° et au-dessus, en même temps qu'apparaît tout un cortège de symptômes cérébraux graves aboutissant rapidement à la term
s'est singulièrement amélioré, sur tous les points, depuis un an. Les symptômes de la maladie sont toujours présents, sans doute,
c. Tels sont, avec des variations en plus ou en moins, les principaux symptômes qui constituent cliniquement cette forme paraplég
tant. Le second point est relatif à l'apparition chez la malade des symptômes hystériques,dans le temps même où ceux delà malad
elle il y a environ 0 années, alors qu'elle était âgée de 23 ans. Les symptômes se sont très notablement amendés dans le cours de
première année. En 1883, s'est produite une aggravation dans tous les symptômes déjà existants; il s'y est joint en plus une diar
ent notable. C est vers la même époque qu'ont commencé à paraître les symptômes paraplégiques, s'accusant d'abord de temps à autr
quelle la malade a commencé à pouvoir se tenir debout et marcher. Les symptômes ordinaires de la maladie de Basedow ont, pendant
némie profonde ; tremblements vibratoires très marqués, etc. Tous ces symptômes -là ont commencé à décroître dans le temps môme où
partie intégrante, quoique placés sur le second plan par rapport aux symptômes cardinaux. Il paraîtrait même que, dans l'espèce,
it des palpitations de cœur et que ses yeux devenaient saillants. Ces symptômes de la maladie de Basedow existent encore aujourd'
e part ailleurs, en effet, vous ne rencontrerez réuni cet ensemble de symptômes caractéristiques. Mais je ne veux pas m'arrêter p
t malade, âgé de A ans seulement commençait lui aussi à présenter des symptômes du même genre. C'est pour mettre fin, si possible
ordu refuse de lui payer l'indemnité qui lui est due ; aussi tous les symptômes nerveux qui, jusque-là, n'étaient encore qu'esqui
éral la douleur de tête s'atténue temporairement ainsi que les autres symptômes qui l'accompagnent pendant la période qui suit im
on grand désespoir, il n'atteindra le but tant désiré. Voilà pour les symptômes céphaliques, les symptômes spinaux ne sont pas mo
teindra le but tant désiré. Voilà pour les symptômes céphaliques, les symptômes spinaux ne sont pas moins accentués. Il y a un
itution du syndrome neurasthénique. D'ailleurs, aucune association de symptômes hystériques ; rien qui rappelle les attaques ou l
t pendant quelques jours ; mais, lorsqu'il s'est agi de se lever, les symptômes de la neurasthénie cérébro-spinale étaient déjà f
iégeant à la face interne de la cuisse du même côté ont été les seuls symptômes dont il ait souffert. Au bout de ce temps, il a
le début de la période d'état. Ainsi que nous l'avons annoncé, les symptômes observés chez notre malade peuvent être ramenés,
urasthénie. Nous commencerons par les premiers c'est-à-dire par les symptômes relevant de Vhystérie. Le blépharospasme et le
e revenir bientôt sur cette circonstance et de la mettre en valeur. Symptômes relevant de l'état neurasthénique. — Ils sont tou
ns son histoire qu'on puisse invoquer pour expliquer l'apparition des symptômes que nous allons étudier. Le début s'est opéré p
ques se sont manifestés dès l'origine et ont marché parallèlement aux symptômes hystériques : céphalée spéciale ; craquement dans
des attaques de sommeil. A l'âge de 37ans,apparaissent|les premiers symptômes tabétiques; douleurs fulgurantes, diplopie, etc.,
11 s'est repris, depuis, à cet égarden même temps que tous les autres symptômes se sont amendés, et bien qu'actuellement encore i
après plusieurs jours, plusieurs semaines ou même plusieurs mois, les symptômes de la maladie ner- 1. Vibert. Etude médico-léga
phénomènes neurasthéniques déjà indiqués, viennent se surajouter des symptômes nouveaux d'ordre hystérique, en même temps que le
» malgré l'amélioration qui s'est produite, récemment, dans tous les symptômes , persistent encore actuellement à un certain degr
présents, vous aurez complété, en ce qui le concerne, le tableau des symptômes hystériques tel qu'il s'offre à nous au jour d'hu
ique, 2e édition, p. 22. Ainsi que nous l'avons fait remarquer, les symptômes de neurasthénie spinale ont été les premiers en d
— 23 janvier 1889. période de plusieurs mois avant l'apparition des symptômes hystériques; mais ils se sont notoirement aggravé
accentués et fort significatifs. Nous rappellerons d'abord quelques symptômes qui ont existé durant les premiers jours de l'hém
donne 60 à droite et 25 à gauche. Les rêves depuis l'apparition des symptômes hystériques ont un peu changé de caractère. Ils n
à 53 ans, pleins de vigueur et d'activité avant le développement des symptômes hystéro-neurasthéniques. En général, ce sont les
,préparent le terrain sur lequel se développent,un peu plus tard, les symptômes hystériques. Sous le rapport des symptômes, les
nt,un peu plus tard, les symptômes hystériques. Sous le rapport des symptômes , les quatre observations sont en quelque sorte id
e train ; mais que dire alors du quatrième sujet chez lequel tous les symptômes se manifestent sans le concours d'aucun ébranleme
pas, en d'autres termes, que la cause occasionnelle détermine sur les symptômes dont elle provoque l'apparition une empreinte par
cause occasionnelle. Pourra-t-il, d'après la seule considération des symptômes ,de leur évolution, etc., arrivera la déterminer m
hénomènes neurasthéniques apparaissent aussitôt après l'accident. Les symptômes hystériques un an après. 1. Leçons sur les mala
je déjeunai de grand appétit... M. Cuarcoï : La soif ardente est un symptôme qu'il a remarqué à la fin de presque toutes ses c
lée, vers la fin de la troisième année, au moment où sont apparus des symptômes spinaux formels tels, entre autres, que l'incoord
triques ont disparu ; mais le malade a présenté par la suite tous les symptômes de l'ataxie locomotrice la mieux caractérisée. La
2. A. Fournier, Leçons sur la période préataxique du Tabès, 1885. symptômes — crises gastriques, douleurs fulgurantes, arthro
endant plusieurs années, le malade en a été enfin délivré, les autres symptômes tabétiques continuant, à la vérité, leur évolutio
rs la terminaison fatale a lieu pendant la crise, tantôt au milieu de symptômes de collapsus, avec traits tirés, algidité, crampe
gidité, crampes, ainsi que l'a signalé Vulpian ; tantôt à la suite de symptômes comateux ainsi que je l'ai vu plusieurs fois. T
r les points essentiels à la description qui vient d'être donnée. Les symptômes spinaux ne parurent qu'en 1832, c'est-à-dire quat
s fulgurantes. Les réflexes rotuliens ont persisté : en un mot, aucun symptôme de la série tabétique n'accompagne les crises. M.
a pas définitivement, dans tout son jour, par l'adjonction de quelque symptôme tabétique ostensible et d'une portée décisive.
ives de Médecine (juillet 1889, p. 38). tensité insolite des divers symptômes : ainsi les douleurs gastriques ou d'autre siège
ement. D'autres fois l'anomalie consiste clans la prédominance de ces symptômes de collapsus dont il a été question plus haut. Le
ns cesse, les crises gastriques, toujours accompagnées de collapsus à symptômes graves, étaient l'objet d'interprétations différe
tinuité, représenté le plus souvent par des exacerbations de tous les symptômes qui surviennent de temps et autre, et contrastent
es muscles moteurs de l'œil, des crises vesicales et de bien d'autres symptômes de la série qui peuvent n'exister que passagèreme
maladie, les crises gastriques se sont trouvées associées à quelques symptômes univoques de la série tabétique, de manière à c
n reviens, Messieurs, à notre malade. N'est-il pas clair que tous ces symptômes laryngés si accentués, si caractéristiques, pour
à-dire il y a trois ans. Voici maintenant rénumération sommaire des symptômes révélés par l'étude de l'état actuel La démarche
sil. Il est remarquable que, chez notre homme, on ne rencontre pas de symptômes neurasthéniques bien accentués ; pas de céphalée,
; d'ailleurs pas d'exagération ni d'abolition des réflexes, aucun des symptômes pouvant révéler une lésion organique spinale. Cep
dû jouer chez lui l'élément « psychique », dans le développement des symptômes abasiques. N'oubliez pas les précédents : àl'or
rs, dans la convalescence de la maladie toxique, que sont apparus les symptômes abasiques qu'il faut considérer maintenant comme
r le soin de faire vous-mêmes le diagnostic à mesure que l'exposé des symptômes vasedérouler, que la malade nous a été bienvcilla
progressive des muscles se manifeste ; toutefois, on le comprend, ces symptômes amyotrophiques se trouveront en quelque sorte sur
nile ; or, vous savez que notre malade n'a vu apparaître les premiers symptômes de l'amyotrophie progressive qu'à l'âge de trente
N...las, un nommé G..nat, chevrier de sa profession, qui présente les symptômes classiques de la myopathie primitive. Le premier
race de la lésion bulbaire, qui, plus de trois ans après le début des symptômes d'amyotrophie dans les membres, ne manquerait pas
le répète, de voir se manifester à échéance plus ou moins longue, des symptômes de tephro-myélite qui évoluent cette fois, tantôt
'une rétrocession, voire même d'un temps d'arrêt dans l'évolution des symptômes amyotrophiques. Vous le voyez, sur tous les poi
ci, vous le savez, la terminaison fatale, annoncée par l'invasion des symptômes bulbaires ne se fait pas attendre plus de trois,
esoin de la morphine commence à se faire sentir ; il éprouve certains symptômes que je vous dirai bientôt. Après cette deuxième i
été signalé d'ailleurs par la plupart des auteurs qui ont décrit les symptômes de l'amorphinisme. On le trouve déjà étudié avec
es cas, même les plus invétérés. Mais il y a d'ailleurs bien d'autres symptômes d'amorphi-nisme que vous devez connaître parce qu
en notre possession, il nous est permis d'affirmer que les principaux symptômes s'offrent à nous, à l'heure qu'il est, tels qu'il
côté gauche est plus relevée qu'à droite; puis, un certain nombre de symptômes d'ordre neurasthénique, tels que douleur en casqu
avec aura caractéristiques sont chose vulgaire et de plus, en fait de symptômes permanents, il y a à noter une hémianalgésie droi
à pincer, à comprimer les régions en question, on ne provoque pas les symptômes de l'aura hystérique. Celle-ci ne se manifeste pa
sommier élastique » dont il se plaint parfois, on ne lui trouve aucun symptôme d'ordre nerveux surajouté à l'abasie. Entre autre
de la moelle épinière, on a ignoré jusque dans ces derniers temps les symptômes qui les peuvent révéler pendant la vie. En somme,
seulement qu'elles peuvent nous intéresser pour l'interprétation des symptômes ; pour les détails précis et circonstanciés vous
e beaucoup le plus fréquent, et si la lésion se traduit alors par des symptômes moteurs, on comprend que ce sxrit sous l'aspect d
cavitaires n'est pas nécessaire, cela est clair, à la production des symptômes qui révéleront pendant la vie la gliomatose médul
des zones radiculaires, B B, entraînent avec elles la production des symptômes tabétiques, tandis que-celles des faisceaux latér
ux, comme on les appelle encore, se traduisent pendant la vie par des symptômes d'impuissance motrice plus ou moins prononcée, av
troubles trophiques. Par tout ce qui précède, vous prévoyez que les symptômes relevant des altérations syringomyéliques considé
ombinaisons diverses, pourront être ramenés à deux grands groupes: 1° Symptômes intrinsèques, c'est-à-dire relevant des lésions l
a substance grise centrale, et ici il y a lieu de distinguer : a. les symptômes poliomyéliques antérieurs, à savoir : amyotrophie
culaire à marche progressive, rappelant le typeDuchenne-Aran ; b. les symptômes poliomyéliques postérieurs : anesthésie à la doul
ans participation de la sensibilité tactile ou du sens musculaire; c. symptômes poliomyéliques médians, groupe jusqu'ici fort pro
ophiques autres que ceux qui sont relatifs au système musculaire ; 2° Symptômes extrinsèques. Ils n'appartiennent pas en propre à
t de celle-ci. Il y a lieu d'établir ici une distinction entre a. les symptômes leucomyéliques latéraux: parésies ou paralysies d
ques latéraux: parésies ou paralysies de genre spasmodique, et b. les symptômes leucomyéliques postérieurs : phénomènes tabétique
eur justification dans l'exposé clinique. II Le plus souvent, les symptômes d'atrophie musculaire progressive, débutant parle
t bien là en effet la clef de la situation. Dans la syringomyélie les symptômes polio-myéliques antérieurs n'ont, je le répète, a
rs n'ont, je le répète, aucune valeur diagnostique absolue. Seuls les symptômes poliomyéliques postérieurs lui appartiennent en p
la symptomatologie classique de l'hystérie. Un troisième groupe de symptômes répond à une série de lésions cutanées ou sous-cu
pression pure et simple aura pour effet de déterminer l'apparition de symptômes qui pourront au contraire être appelés extrinsèqu
re, on verra suivant le cas, soit des phénomènes tabétiques, soit des symptômes de parésie ou de paraplégie spasmodique venir se
sible? » se demande M. Roth. « Nous avons vu, dit-il, que de nombreux symptômes peuvent s'améliorer considérablement ; nous avons
de son amélioration considérable et peut-être même la disparition des symptômes ». Sur ce dernier point, nous nous permettrons
peuvent se produire dans ce domaine tiennent à ce que les principaux symptômes liés à la syringomyélie gliomateuse, même les p
avons insisté, ne sauraient lui appartenir en propre. En somme, ces symptômes révèlent seulement la lésion plus ou moins profon
anesthésie cutanée, plus ou moins prononcée, se montrait combinée aux symptômes classiques de l'atrophie musculaire progressive.
rmiques. Ainsi,déjà en 1886, deux ans après l'apparition des premiers symptômes amyotrophiques, un jour qu'il se chauffait devant
ubles trophiques. Il est impossible de déterminer exactement si les symptômes amyotrophiques ont précédé les troubles sensitifs
ladie paraît avoir débuté en 1879, c'est-à-dire il y a 10 ans par des symptômes amyotrophiques d'abord localisés aux mains. pepùi
n'y a rien de changé dans son état. Il présente exactement les mêmes symptômes que nous avions constatés pendant son séjour dans
état neurasthénique des plus nets à l'hystérie. Si, actuellement, les symptômes de l'une et l'autre névrose se trouvent réunis ch
de dialectique on pourrait arriver à démontrer que cet assemblage de symptômes et de stigmates hystériques n'est pas, purement e
comme une affection remarquable par la permanence et la ténacité des symptômes qui la caractérisent. Chez la femme au contraire,
t caractéristique de l'hystérie, c'est l'instabilité, la mobilité des symptômes »... Or cette mobilité, cette fugacité n'est pas,
la névrose traumatique. Il est certain que cette superposition des symptômes de la neurasthénie aux stigmates hystériques s'ob
le)............ 144 — — — ............ 145 Tableau synoptique des symptômes oculaires dans le Tabès, la Sclérose en plaques
— — — . . ¦?........ 296 Tableau synoptique des antécédents et des symptômes chez quatre hommes hystéro-neurasthéniques.....
rophies musculaires spinales progressives. — dcutéropathiques, 413. — Symptômes , 414, 415. Atrophi e musculaire progressive et
—Rôle des cellules des cornes antérieures, 418. — Sensibilité, 411. — Symptômes , 410. — Valeur réciproque des deux éléments morbi
, 241. — Paraplégie 235, 239, 240, 242. — Phénomènes oculaires, 235.— Symptômes généraux, 235, 236,240, 241. — Tachycardie, 233,
— Stigmates, 8,13,31,32,36, 97,123, 166, 196, 273, 350, 351, 421 sq. — Symptômes oculaires, 163.— Thermo-anesthésie, 517, 519. — T
— (hyperexcitabilité neuro-musculaire dans la), 70. Leucomyéliques ( Symptômes ), 495. Leudet, 108, 369. Leyden, 337, 338, 52
s primitives, 414. — Etiolo-gie, 414. — Réactions électriques, 415. — Symptômes , 415. —Type sca-pulo-huméral, 414. Myosis. — Da
Hérédité, 35. — Hystérie et fulguration, 457. — Pronostic, 261. — ( Symptômes de la), 136,258.— (Traumatismes et),288. Neuras
(Mouvements du globe). — et canaux 1/2 circulaires, 227. Oculaires ( Symptômes ). — du tabès et suspension, 201, 202, 211, s*», —
ulaires (Symptômes). — du tabès et suspension, 201, 202, 211, s*», — ( Symptômes ) dans l'hystérie, 163. — Dans la maladie de Based
2, 408. — Période de réparation, 143. — Réactions électriques, 143. — Symptômes , 142. — Troubles trophiques, 143, 144, 409. Par
2. Pointd'Erb, 14. Policlinique (But de la), 1. Poliomyeltques ( Symptômes ), 495. Polyopie monoculaire, 32, 166. Pott (M
Réflexes, 178. — Trépidation spinale, 178. — Pathogénie de), 179. — ( Symptômes de), 183. Pott (Mal de). — Simulation hystériqu
es de), 183. Pott (Mal de). — Simulation hystérique 189 sq., 194. — Symptômes , 176. — Symptômes pseudo-névralgiques, 181. —Symp
t (Mal de). — Simulation hystérique 189 sq., 194. — Symptômes, 176. — Symptômes pseudo-névralgiques, 181. —Symptômes radiculai-re
89 sq., 194. — Symptômes, 176. — Symptômes pseudo-névralgiques, 181. — Symptômes radiculai-res, 182. — Traitement, 177. Powell,
1. Myosis, 164. — Nystagmus, 164, 170. — (Rémissions dans la), 170. — Symptômes oculaires, 163. — Tremblement, 170. Sclérose la
s, 201, 202, 216. — Statistique, 218 sq. — Signe de Romberg, 201. — Symptômes oculaires, 201, 202, 211, 212.— (Théorie de la)
des troubles- trophiques,499. — Signification du terme, 487, 489. — Symptômes , 495. — Symptômes extrinsèques, 495, 499. — Sympt
hiques,499. — Signification du terme, 487, 489. — Symptômes, 495. — Symptômes extrinsèques, 495, 499. — Symptômes intrinsèques,
, 487, 489. — Symptômes, 495. — Symptômes extrinsèques, 495, 499. — Symptômes intrinsèques, 495, 499. — Symptômes leucomyélique
mptômes extrinsèques, 495, 499. — Symptômes intrinsèques, 495, 499. — Symptômes leucomyéliques, 495. — Symptômes poliomyéliques,
Symptômes intrinsèques, 495, 499. — Symptômes leucomyéliques, 495. — Symptômes poliomyéliques, 495. — Symptômes poliomyéliques a
. — Symptômes leucomyéliques, 495. — Symptômes poliomyéliques, 495. — Symptômes poliomyéliques antérieurs (valeur), 496. — Symptô
yéliques, 495. — Symptômes poliomyéliques antérieurs (valeur), 496. — Symptômes poliomyéliques postérieurs (valeur), 496. — Termi
158, 164. — Signe de Romberg, 157. — (Suspension dans le), 199,200. — Symptômes oculaires, 163. — Symptômes oculaires et suspensi
, 157. — (Suspension dans le), 199,200. — Symptômes oculaires, 163. — Symptômes oculaires et suspension, 201, 202, 211, 212. — Tr
7 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
l'un ni l'autre de ces deux nouveaux cas ne prê- sentait le moindre symptôme , soit même très fruste, d'laypothyroïdisme, cep
descriptions de l'achondroplasie atypique et incomplète. Quant aux symptômes de l'achondroplasie typique du type de Pierre M
des cas où les tumeurs,sans pencher môme dans ce canal, donnent des symptômes de compression médullaire) ; enfin, dans la troi-
s anatomo-pathologiques, tandis que cliniquement, on constatait des symptômes nerveux. Pour m'assurer définitivement de la vé
possible qu'à côté de celle-là il y en avait d'autres cachées. Les symptômes principaux dépendaient tout de même de la tumeur
ieures aussi (preuve : l'atrophie des muscl,es fessiers). Quant aux symptômes qui dépen- dent de la moelle épinière même, on
gnent pareille intensité et ne durent pas si longtemps. Quant aux symptômes médullaires, on constatait déjà clans les 6 pre-
oit. Pendant son second séjour à l'hôpital, on constatait outre les symptômes précités, une douleur localisée dans les Ile et
au dernier moment de son séjour à t'hôpi talon ne constatait pas de symptômes médullaires im- portants (/ ! an 1/2 depuis le
au sein même des vertèbres par les néoplasmes. Il n'y avait pas de symptômes médullaires. Il nous faut surtout rappeler que le
xterne du pied avec l'abolition du réflexe du tendon d'Achille. Les symptômes radiculaires sacrés pourraient provenir aussi de
cette région (l'examen par la voie anale n'était pas fait). Pas de symptômes de névrite. ' ' Observation V. Le malade Jed,
quitta Varsovie et mourut bientôt après. RÉSUMÉ,- Dans ce cas,les symptômes débutèrent par la région sacrée et la face anté
n de la queue de cheval ; il est en effet difficile d'expliquer ces symptômes par l'existence de la tumeur dans les vertèbres
LE EPINIERE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 67 Dans le cas présent, les symptômes apparurent peu à peu sans dis- continuer, en pr
plus profonds. Le syndrome de Brown-Séquard est bien marqué. Comme symptômes radiculaires il faut considérer la sensation de
la première opération de l'utérus (cancer) jusqu'à l'apparition des symptômes de la tumeur de la colonne vertébrale, il s'est
e surtout dans la plèvre et non dans l'os de la vertèbre. Quant aux symptômes de la maladie, on distingue dans le tableau cli-
on distingue dans le tableau cli- nique des tumeurs vertébrales des symptômes osseux, radiculaires et mé- dullaires. Dans le
é- dullaires. Dans le cas de carcinome de la colonne vertébrale, le symptôme osseux le plus remarquable c'est une cyphose ar
quée (on note ce caractère dans l'observation II). Quant aux autres symptômes il faut mentionner la douleur des vertèbres à la
use ou dans la maladie de Bechterew ou de Marie. Nous passons aux symptômes radiculaires et voulons tout au débutatli. rer
arquer que la douleur dans la région sciatique peut être le premier symptôme d'une métastase du cancer du sein dans les vertèb
ns le cas décrit par Friedeberg la douleur sciatique-fut le premier symptôme d'un échinocoque du sacrum. Outre les nerfs pré
s vertèbres à une période avancée de la maladie. Quant aux autres symptômes radiculaires, les anesthésies sont très rares.
s radiculaires, les anesthésies sont très rares. Il y a parfois des symptômes du côté des racines antérieures, sous forme de
par les méninges, la dure-mère, la moelle épinière et provoque des symptômes médullaires. Quant à ces derniers ils rappellent
llent tout à fait le tableau clinique d'une myélite transverse. Les symptômes entrent en scène rapidement ou insidieusement ;
sensibilité ; dans le second, une paralysie spastique. En somme les symptômes rappellent ceux qu'on observe au cours de la ca
ent un peu schématique. Il faut se rappeler que dans chaque cas les symptômes peuvent se combiner de différentes manières Il
rtébral, le malade pendant un temps assez long ne présente d'autres symptômes que de fortes douleurs caractéris- tiques. Dans
sensitifs ou sphincte- riens ; à côté des douleurs c'était l'unique symptôme qui indiquât l'exis- tence de la tumeur. Dans
ne pouvons diagnosti- quer la nature de la maladie que lorsque les symptômes cliniques et l'existence de tumeurs dans d'autr
si- bilité de métastase vertébrale. Pour démontrer à quel point les symptômes sont inconstants on peut citer le fait que Schl
ncers vertébraux dans des cas qui durant la vie ne décelaient aucun symptôme clinique. Dans le tableau décrit ci-dessus nous
s de tumeurs d'autre nature il y a également des combinai- sons des symptômes osseux, radiculaires et médullaires. Quelquefois
E ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 79 où la paraplégie avec des symptômes d'inflammation aiguë de la moelle est apparue u
nsiblement de celui de la com- pression ordinaire de la moelle (les symptômes de la compression médul- laire en combinaison a
es symptômes de la compression médul- laire en combinaison avec les symptômes du côté des vertèbres) La nature des tumeurs es
ttire l'attention sur le fait qu'au cours du cancer ver- tébral les symptômes osseux et radiculaires peuvent prendre naissance
éloigné du foyer principal, de sorte qu'on constate uniquement les symptômes médullaires. Même la paraplégie aiguë peut consti
es médullaires. Même la paraplégie aiguë peut constituer le premier symptôme morbide. Quelquefois quand la tumeur occupe la pa
o-latérale des corps vertébraux ou leurs apophyses transverses, les symptômes décompression radiculaires peuvent apparaître san
ment normale macro et microscopiquement (quoique pendant la vie les symptômes médullaires forment une partie du tableau morbi
s ou avec des lésions nécrobiotiqztes. (pendant la vie existence de symptômes médullaires). Il est décrit un cas de sarcome
s tumeurs malignes localisées dans diffé- rents organes donnent des symptômes qui simulent entièrement la tumeur vertébrale a
e très éloignés de la moelle et du cerveau peuvent s'accompagner de symptômes médullai l'es aussi bien que de symptômes bulbair
peuvent s'accompagner de symptômes médullai l'es aussi bien que de symptômes bulbaires et céré- 84 FLATAU braux (périphé
uck, Homén, Lubarsch) ; les autres au contraire sont d'avis que les symptômes cérébraux et médullaires dépendent du processus
rtébrale, surtout quand on cherche à expli- quer anatomiquement les symptômes médullaires. Dans notre premier cas on pouvait
estion sanguine ! ). Ces changements ont été capables de donner des symptômes médullaires. TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET D
ologique d'hémiplégie devient certaine en association avec d'autres symptômes d'altération du système pyramidal, soit dans la
soit dans le membre supérieur ou dans le domaine du facial. Car un symptôme équi- voque assume une haute valeur séméiologiq
que assume une haute valeur séméiologique s'il s'associe à d'autres symptômes , de la même affection et dans la majorité des cas
s la majorité des cas c'est par l'asso- ciation caractéristique des symptômes péremptoires qu'on fait le diagnostic PARALYSIE
é pour son âge. A l'examen systémati- que du système nerveux, aucun symptôme morbide n'est décelable. Son intelligence est a
marqué par l'entourage environ à cette époque. Pendant que tous ces symptômes à la charge du système nerveux évoluaient d'une
s'écrouler, chose très difficile pour Marguerite. Elle présente un symptôme nouveau, non relevé chez sa soeur : il s'agit d'u
t le système périphérique. Il y a dans ces trois cas deux ordres de symptômes bien évidents. D'un côté des symptômes cérébrau
ces trois cas deux ordres de symptômes bien évidents. D'un côté des symptômes cérébraux qui rappellent les formes de la diplé
onds et la spasticité des membres. De l'autre côté ,on retrouve des symptômes d'ordre médullaire et névri- tique qui sont abs
in des parents, même début dans la première enfance, enfin tous les symptômes cérébraux sont identiques : la déchéance psychiqu
mais encore en raison de l'existence chez eux d'une foule d'autres symptômes qui ont une assez grande importance et qui,bien
bservations. Mais il y a encore plus ; voyons en effet si parmi les symptômes aty- piques de la forme Charcot-Marie et les sy
si parmi les symptômes aty- piques de la forme Charcot-Marie et les symptômes additionnels pré- sentés par mes malades, on ne
t-Marie est dans le cas actuel du plus haut intérêt clinique. Les symptômes atypiques, c'est-à-dire les symptômes qui ont été
haut intérêt clinique. Les symptômes atypiques, c'est-à-dire les symptômes qui ont été con- sidérés jusqu'à présent comme
rophie primitive de la papille avec amaurose plus ou moins avancée ( symptôme de Vizioli). 2° Troubles bulbo-protubérantiels
rofonde avec exagération de certains réflexes osseux. Or tous ces symptômes que nous avons énumérés dans la catégorie des a
rfaite. 1 Je crois donc nécessaire d'aborder l'élude analytique des symptômes atypiques de la forme Charcot-Marie pour deux r
lles qu'il y aurait lieu de mettre un peu plus en évidence certains symptômes de la forme Charcot-Marie considérés à tort jus
juin 1903. ÉTUDE CLINIQUE SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 127 symptôme assez rare, puisque en tout on ne peut compter qu
, la décoloration bilatérale de la papille constitue, selon moi, un symptôme qui est très intéressant à étudier dans l'amyot
rvations publiées : savoir, que la déco- loration de la papille, ou symptôme de Vizioli, est toujours le dernier à apparaîtr
, ou symptôme de Vizioli, est toujours le dernier à apparaître; les symptômes oculaires en effet ne sont jamais aperçus ou co
ui dans les cas douteux d'amyotrophie, puisque la constata- tion du symptôme de Vizioli pourrait avoir une valeur pathognomoni
phie type Charcot-Marie. Passons maintenant à l'étude des autres symptômes atypiques que l'on peut retrouver dans la forme
dans la maladie étrange familiale,que nous avons décrite, tous les symptômes morbides ont acquis une importance extrême- men
LADIE FAMILIALE 12H des atrophies musculaires, etc. ; chacun de ces symptômes domine le tableau morbide, chacun d'eux a évolu
milieu de ce grand tableau symptomatique de définir quels sont les symptômes qui remplissent le premier plan et quels sont a
ômes qui remplissent le premier plan et quels sont au contraire les symptômes secondaires. A propos des altérations atypiques
ebout à laquelle on a donné le nom de piétine- ment sur place. Ce symptôme a été envisagé d'une façon différente : selon les
urillons douloureux des extrémités, tandis que pour d'autres le dit symptôme serait l'expression d'une' véritable altération
ns de cette maladie familiale. Nous avons souligné avant tout les symptômes cérébraux communs chez eux et analogues à ceux
ales infantiles du type familial. Ensuite nous avons décrit leurs symptômes spino-névritiques parfaite- ment identiques à c
Charcot-Marie et enfin nous avons cherché à démontrer que plusieurs symptômes , tels que l'atrophie primitive bilatérale de la p
rt aux paralysies conjugées des globes oculaires. Il s'agit ! ad'un symptôme qui n'a jamais été constaté dans la forme Charq
des doigts persistant encore malgré la guérison complète des autres symptômes . M. A..., rentier, âgé de 62 ans, entre à l'asi
fectifs sont très émoussés. Au point de vue physique, on relève les symptômes suivants. Les divers modes de la sensibilité su
rs de la main droite et de l'épaule sont toujours très vives. Mêmes symptômes physiques. Les spasmes du membre droit sont cep
convulsifs et trophiques. Malgré la gravité du cas, les différents symptômes s'atténuèrent lentement, finirent par disparaître
troubles, est difficile à préci- ser. D'après l'évolution même des symptômes , nous avons rejeté l'hypo- thèse d'une hémorrag
l'hypo- thèse d'une hémorragie cérébrale. La succession des divers symptômes et la lenteur de leur évolution nous paraissent
de méningo-encéphalite. La disparition presque complète des divers symptômes s'accorde avec cette hypothèse. La pathogénie d
nchement était dû à la tumeur se développant dans le médiastin. Les symptômes médullaires n'apparu- rent qu'au septième mois
norma- lement. La mort est survenue un mois après l'apparition des symptômes médullaires. ' L'autopsie découvrit une tumeu
et nuit. Pendant tout le temps de l'observation on n'a pas noté de symptômes du côté de la moelle. Les réflexes tendineux étai
ous ne pouvions. plus en avoir de nouvelles. Il est probable que ce symptôme (l'engourdissement) était un signe précurseur d
ce cas nous pouvons dire que chez cet homme de -15 ans les premiers symptômes sont apparus six ans avant que la maladie soit dé
ne présenta pas de rémission, et trois semaines après le début des symptômes alarmants, la mort frappa le malade brusquement
frappa le malade brusquement. Ce n'est que tardivement que certains symptômes observés long- temps avant la maladie définitiv
onnu, c'est que les tumeurs peuvent rester longtemps sans donner de symptômes graves, même ne pas donner de symptômes du tout
er longtemps sans donner de symptômes graves, même ne pas donner de symptômes du tout et puis tout il coup alarmer le malade.
a pénétré dans le canal rachidien en provoquant l'exacerbation des symptômes cliniques. L'examen microscopique démontra qu'i
meur croissait peu à peu, huit mois après sont apparus les premiers symptômes nerveux sous forme de douleurs dans l'épaule et
segments supérieurs de la moelle. 172 ' FLATAU Dans ce cas les symptômes cliniques dépendaient de différentes causes ana
és par les grandes masses néoplasiques extra- vertébrales. Mais les symptômes plus tardifs dans les membres supérieurs (affai
il- leurs que dans la colonne vertébrale et qu'elle ne présente des symptômes médullaires que secondairement. Nous avons vu d
ou cervicale est visible, et il survient au cours de la maladie des symptômes médullaires. Dans beaucoup de cas pourtant le d
n primitive de la tumeur. Dans le cas d'une tumeur médiastinale les symptômes primitifs corres- pondent à ceux qu'on rencontr
le membre du côté opposé apparaissent secondairement (obs. X). Ces symptômes peuvent persister quelques semaines et même quelq
ent persister quelques semaines et même quelques mois avant que les symptômes médullaires entrent en jeu. Ils débutent brusque-
, la proéminence d'une moitié du thorax, la matité, etc. Tous ces symptômes sont tellement caractéristiques que le diagnostic
rieurs.Si le Ier segment dorsal est attaqué, peuvent apparaître les symptômes sympathiques du côté de la pupille et de la fen
e la région correspondante (par exemple du cou, de la nuque) et des symptômes périphériques. Peu à peu ou tout d'un coup écla
s). Il faut encore attirer l'attention sur un point : c'est que les symptômes médullaires (provoqués à distance) peuvent naît
tré effectivement dans le canal rachidien des cas où elle donne des symptômes analogues sans avoir envahi le canal (myélite t
travertébrale quand même il existe la tumeur extravertébrale et des symptômes typiques de l'affection médullaire (obs. de Mar
dans certains sarcomes vertébraux (v. la 1 partie). Même quand les symptômes médullaires prennent place dans le tableau clin
e sur le dos et pénétrait dans le canal rachidien en provoquant des symptômes de com- pression de la moelle. Bien que au cour
autopsie de certaines formes de psychoses. Le malade présentait des symptômes très nets, qui permettaient t d'attendre avec a
ènes peuvent avoir les uns avec les autres et prévoir la lésion par symptôme ? Il est évident que la lésion delà même couche
même couche dans la même région doit L constamment produire le même symptôme : Cette supposition n'a rien de té- méraire, el
des entités morbides excessivement polymorphes ; un grand nombre de symptômes se retrouvent dans certains cas et pas dans d'a
e pour les affections des autres organes de l'économie. Comme les symptômes fondamentaux des psychoses sont constants, il f
tologiques décrites jusqu'ici n'a pu nous donner l'explication d'un symptôme psychique quelconque (idées délirantes, hallucina
les manifestations psychiques se traduisent par le délire avec ses symptômes variés. Ce phénomène est en quelque sorte l'ana
u de chose encore) sont concomitantes des désordres psychiques, les symptômes du délire. Ne serait-on même pas en droit d'aff
ra à endormir la défiance du malade, à porter son attention loin du symptôme en litige, tout en conti- nuant à l'observer.
ques cessent. L'infection encéphalique explique l'imbécillité et les symptômes diplégiques atténués ; mais la malformation mét
gle une macroglossie plus ou moins considérable et très souvent des symptômes de tumeur endocrinienne, ce qui est bien loin d
haut,est légèrement démente, mais nous ne trouvons chez elle aucun symptôme qui nous puisse faire soupçonner l'existence d'
ques-unes de ses propres observations, dans lesquelles les premiers symptômes cérébraux se manifestèrent quelques mois seulemen
' 287 vations de syphilis cérébrales, dans lesquelles les premiers symptômes de l'affection apparurent entre 3 et 18 mois ap
ue et une hypoesthé- sie partielle dans la région du trijumeau. Ces symptômes s'améliorèrent tous sensiblement après un trait
itement spécifique; .puis vinrent s'y ajouter des contractures, des symptômes bulbaires, jus- qu'au moment où, quatorze mois
ie totale droite et de troubles de la parole. Deux mois [après, les symptômes paralytiques [devinrent de plus en plus graves.
appé d'une hémiparésie gauche et pendant les deux mois suivants les symptômes empirèrent jusqu'au coma et à la mort. A la sec
e dur qui ne fut pas du tout soigné. En juillet 1898 apparurent les symptômes d'une mé- ningite basilaire syphilitique. A la
a suite d'un traitement spécifique. Six mois après l'apparition des symptômes cérébraux, se manifesta une hémiplégie droite a
tômes cérébraux, se manifesta une hémiplégie droite avec aphasie et symptômes de paralysie du nerf vague ; le sujet mourut. A
des yeux à droite et d'une hémianopsie bilatérale droite. Tous ces symptômes restèrent sans modification jusqu'à la mort, malg
s cérébrale donna, quatre mois déjà après l'infection, les premiers symptômes , sous forme de céphalée, et sept mois après l'i
tandis qu'existait encore l'ulcère dur. Huit ans plus tard, au- cun symptôme nouveau. 2° Femme de 30 ans, frappée d'une céph
frappé d'une hémiplégie, deux mois après l'apparition des premiers symptômes de l'in- fection syphilitique. Le même auteur d
quatre mois après l'infection syphilitique qu'il ne soigna pas, de symptômes .de méningite basilaire (céphalée nocturne, vomis
ibich publia un cas de syphilis cérébrale, dans lequel les premiers symptômes apparurent seulement quatre mois après l'infect
homme de 44 ans lequel, quatre mois après l'ulcère dur, fut pris de symptômes de méningite aiguë, qui s'améliora avec une rap
22 ans, chez laquelle, en même temps qu'une roséole, apparurent les symptômes (Beob. 47) d'une méningite basilaire gommeuse q
maladie capsu- laire droite. Presque aussitôt après apparurent des symptômes de paralysie pseudo-bulbaire (dysarthrie grave,
ntrée d'une manière certaine; le mode d'évolution et la qualité des symptômes ; l'amélioration des mêmes symptômes sous l'act
d'évolution et la qualité des symptômes ; l'amélioration des mêmes symptômes sous l'action d'une cure spécifique, et aussi dan
s récemment, Meyer s'est occupé des rapports qui existent entre les symptômes cérébraux et les chocs trauma tiques de la tête c
rte deux cas qui lui appartien- nent dans lesquels l'apparition des symptômes cérébraux avait été précé- dée d'un choc trauma
e, se développè- rent de nouveau céphalées et attaques d'épilepsie, symptômes qui apparurent deux semaines après une chute da
tère de la malignité de la syphilis précoce. En effet, les premiers symptômes cérébraux disparaissent ou s'améliorent la suite
pre- mier cas, en effet, la céphalée, les douleurs ostéocopes, les symptômes de parésie, s'aggravèrent de nouveau, bien que
t à elle seule insuffisante à empêcher une nouvelle aggravation des symptômes . Mais, à part ce fait que la cure mercurielle ava
ore après, il se manifesta une hémiplégie gauche' suivie bientôt de symptômes d'une paralysie pseudobulbaire rebelles à tout tr
ois, la cure spécifique n'arrive pas à empêcher l'aggra- vation des symptômes existants ou la manifestation de nouveaux symptô-
mps, nous ne devons être aucunement étonnés si, d'au- tre part, les symptômes cérébraux restent tels quels ou même s'améliorent
, la cure spécifique aura bien peu d'action sur la modification des symptômes qui dépendent de ces lésions. * Tare hérédita
arques de scrofule, de tuberculose, de ma- laria, de scorbut ou des symptômes d'épuisement dus à des causes diverses, comme l
substance grise. Résumé. Dans ce cas les douleurs furent le premier symptôme . Elles TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA C
liminée. Les douleurs très fortes, l'âge de la malade, l'absence de symptômes morbides du côté de la partie supérieure du cor
La malade est morte neuf jours après l'opération en présentant des symptômes d'une affection inflammatoire. L'autopsie démon
s avant que nous nous soyons décidés de l'opérer. L'absence de tout symptôme tuberculeux ou syphilitique et le résultat néga
ur d'une compression de la moelle épinière. 348 FLATAU Certains symptômes pourtant nous ont paru assez étranges, et surtout
ans les fesses ou diffé- rentes parties des membres inférieurs. Ces symptômes s'accentuaient la nuit. Les contractions sponta
bre dorsale, sans trouver pourtant la tumeur. Après l'opération les symptômes spastiques ont persisté (généralement après l'o
é gauche. Il y a deux ans, ptosis de la paupière gauche sans autres symptômes (le ptosis a disparu' sept mois plus tard ; tra
n an la malade' ne pouvait pas tourner son oeil droit en dehors (ce symptôme dura cinq mois). Jamais de vomissements. A prés
ce. fait que, malgré des lésions très- prononcées de la moelle,les symptômes cliniques étaientsi minimes qu'on ne pensai mêm
a vie. Ce n'est que post hoc qu'on pouvait expliquer les différents symptômes cliniques : les fortes et tenaces douleurs des
que les gommes diffuses dans la moelle épinière peuvent donner des symptômes cliniques et. peine consta- tables. L'examen
SPILLER. Un cas de sclérose latérale amyotrophique, présentant des symptômes bulbaires avec autopsie et examen microscopique.
Ces lésions 392 MARINESCO sontplus manifestes dans les cas où les symptômes pseudo-bulbaires sont plus accusés. C. Paraly
à quelques considérations relativement à l'interprétation de divers symptômes observés dans le cours du tabes. Observation.
diagnostic du tabes. Je me limiterai donc à rappeler seulement les symptômes qui m'ont conduit à ce diagnostic, et de passer
t en revue les plus importants diagnostics différentiels. Parmi les symptômes relevés, les plus importants sont : les douleurs
troubles de la sensibilité à type principale- ment radiculaire, le symptôme de Romberg, les parésies du detrusor vesicx et
que le résumé. Une femme, âgée de 40 ans, raconte que les premiers symptômes cliniques sont apparus 9 mois 1/4 avant l'opéra
parus 9 mois 1/4 avant l'opération exécutée dans notre service. Ces symptômes consistaient en une douleur de la jambe gauche, p
inférieurs, des paresthésies. Quelques semaines après les premiers symptômes , apparaissent des troubles peu consi- dérables
supérieure du corps. L'état général empira toujours. Il y avait des symptômes d'infection. Cystite. Le malade est mort 5 mois a
ique complète; 3° le type de l'affection purement transversale sans symptômes ascendanls ou des- cendants, nous devons avouer
ait exclusivement caractéristique de cette affection, chacun de ces symptômes pouvant être rencontré dans une autre maladie de
trophies. ' Quant aux douleurs, elles constituent sans doute un des symptômes essentiels, même en prenant en considération le
les douleurs étaient tellement faibles qu'elles consti- tuaient un symptôme peu important (Oppenheim, Schultze, Fiatau-Ster-
ies constituent généralement la période de début de la maladie. Les symptômes radiculaires apparaissent souvent TUMEURS DE LA
'INiÎ'sRE ET DE LA COLONNE VERTEBRALE 467 quelques années avant les symptômes médullaires. Dans le cas décrit par Chavigny, l
constituèrent pendant 8 ans l'unique symp- tôme morbide. D'autres symptômes du côté de la moelle ne manquent pasd'inlervenir.
éjà dit, dans certains cas les douleurs restent 'longtemps l'unique symptôme morbide. Oppenheim a observé un cas où elles du
es dans l'intensité des douleurs. Les douleurs réunies à d'aulres symptômes peuvent dnrer très long- temps. Ainsi par exemp
avant l'opération (tumeur de la queue de cheval). Quant aux autres symptômes nous avons constaté, ainsi que d'autres neurolo
ux racines postérieures comprimées. Dans quelques cas pour- tant ce symptôme manquait complètement Nous ne lui attribuerons do
e par une zone de sensibilité all'aiblie (Heilbronner). Parmi les symptômes radicuio-segmentaires, il faut mentionner aussi
e troubles de réaction électrique. Dans nos cas il n'y avait pas de symptômes d'atrophie bien accusée. Dans l'un d'eux (XXI°)
bien au début que dans la suite de la maladie. Nous attribuons à ce symptôme une grande importance diagnos- tique. Quant a
ent en même temps que le syn- drome de Brown-Séquard. Peu à peu les symptômes unilatéraux s'effa- cent et le tableau clinique
férieurs peuvent disparaître (Bruns, Taube et d'autres). Avec les symptômes précités indiquant que la moelle est lésée transv
ruption de la continuité de J'influx nerveux de la moelle. C'est un symptôme bien pénible pour les malades, peut-être au mêm
si s'accompagner d'oedümcs angioneurotiques (Bi ttorr). Parmi les symptômes d'une moindre importance qui dépendent pour- ta
a co- tonne vertébrale la où siège la tumeur. Il nous semble que ce symptôme doit être pris avec précaution. Nous pouvons no
bres et la suggestion de la part du médecin. Nous avons pu noter ce symptôme dans les cas où il n'y avait pas de tumeurs. (l
de graves erreurs si on attribue une trop grande im- portance à ce symptôme . Ce n'est qu'une douleur constante et bien loca
elques cas de tumeurs intra et extramédullaires on a eu affaire aux symptômes bulbaires, c'était surtout dans les cas où la tum
it une autre localisation (Osana, Stertz), il faut mettre alors ces symptômes sur le compte de l'action des toxines. Cette su
vient plus probable quand on se rappelle des cas où il existait des symptômes bulbaires et après la mort l'examen histologiqu
, nous avons voulu plutôt démontrer combien peu on peut se fier aux symptômes typiques. Nous croyons que la connaissance de cet
facilitera le diagnostic dans les cas un peu compliqués. A côté des symptômes rares et de leurs combinaisons on a attiré l'at
ore à définir son siège. Il faut alors prendre en considération les symptômes radiculaires (les douleurs, les anesthésies seg
l'état des réflexes et des sphincters). Il faut se rappeler que les symptômes qui sont entrés en scène au début de la maladie
la tumeur. Lorsqu'elle est située dans la moelle cervicale on a des symptômes radiculaires au cou et aux membres supérieurs (do
ions exceptionnelles où, malgré cette localisation des tumeurs, les symptômes oculaires étaient absents (le cas de Roux-Paviot
ires étaient absents (le cas de Roux-Paviot ne présen- tait pas ces symptômes , la tumeur occupait pourtant le VI" segment cer-
ouleurs de la région occipitale (Pulnam- Krauss-Park, Saenger), des symptômes bulbaires (Schlesinger et d'au- tres) et la par
plexus lombaire. Elles irradient généralement vers les jambes. Les symptômes médullaires correspondent au type habituel de l
le localisée dans le cône terminal ou dans la queue de cheval ; les symptômes qui permettraient de la résoudre ne sont pas touj
ristiques. L. R. Militer a réussi il dresser la liste d'une série de symptômes qui serviraient pour le diagnostic différentiel
m tandis que l'érection est conservée. D'après quelques auteurs les symptômes symétriques comptent parmi ceux qui dépendent d
e la partie inférieure de la colonne vertébrale, des rémissions des symptômes morbides, tout spécia- lement l'amélioration de
ion, ou déformée depuis la Hfe vertèbre lombaire eu bas. Tous ces symptômes sont bien importants pour le diagnosticdiiréren-
iagnosticdiiréren- tiel dans beaucoup de cas. Mais souvent même ces symptômes ne suffisent pas. Le symptôme le plus caractéri
aucoup de cas. Mais souvent même ces symptômes ne suffisent pas. Le symptôme le plus caractéristique pour la tumeur de la queu
désigne comme caractéristiques de la tumeur intra-médul- laire les symptômes suivants : une intensité moyenne des douleurs, un
que rappelant la myélite aiguë ou subaiguë, le type ascen- dant des symptômes morbides, des rémissions plus rapprochées et plus
wers distingue les tumeurs méningées de celles de la moelle par les symptômes suivants : les premières provoquent plus de doule
LE 477 cernant les tumeurs intra et extramédullaires et indique les symptômes et le tableau clinique tout entier caractéristi
ilité. Malaisé attire encore l'attention sur ce fait que nul de ces symptômes ne suffit par lui-même pour caractériser tel ou
nt de la maladie, le moment d'apparition et la durée des différents symptômes qui peuvent éclairer le diagnostic. Stertz croi
ymptômes qui peuvent éclairer le diagnostic. Stertz croit qu'un des symptômes les plus importants pour dépister la tumeur int
d'autres). Pour montrer combien peu concluant. est cha- cun de ces symptômes (pris à part),on peut citer le fait que même la d
peut citer le fait que même la dou- leur radiculaire (névralgique), symptôme caractéristique des tumeurs extra-médullaires,
a induit au début en erreur, et ce n'est que plus lard que d'autres symptômes nous ont indiqué qu'on avait affaire à la scléros
ale. On réussit le plus souvent à dissimuler ces deux maladies. Les symptômes différentiels ont été indiqués plus haut. Nous vo
s radiculaires sont très fortes dans la carie vertébrale ; d'autres symptômes sont bilatéraux dès le début de la maladie. Dan
la pachyméningite (Oppenheim). Dans ces cas on peut rencontrer les symptômes radiculaires, la raideur de la colonne, les dou
ralysie flasque (surtout dans les membres supérieurs), l'absence de symptômes radiculaires, surtout de la part des racines po
le tableau clinique de la tumeur mé- dullaire se complète grâce aux symptômes qui dépendent de l'affection de la moelle se pr
Il a été observé un cas où des tumeurs multiples n'ont présenté des symptômes que du côté delà queue de cheval (E. Cramer). C
diagnostic différentiel. Comme résumé nous pouvons conclure que les symptômes les plus caractéristiques des tumeurs intravert
nt manquer presque complètement à l'endroit comprimé tandis que les symptômes cliniques sont très prononcés. Ce l'ait est sou
gauche la plante du pied vers le milieu, on observe quelquefois le symptôme de Babinski. Le réflexe bicipital de gau- cbe e
isse les lettres, les syllabes et les mots ; en somme il montre les symptômes de l'aphasie sensorielle partielle. DE L'APHA
voit donc, ce malade gaucher, qui, intra vitam, avait présenté des symptômes d'aphasie sensoriel le partielle et de parésie fa
à détruire le Ti donne origine à un mélange plus ou moins marqué de symptômes de surdité verbale, les uns à caractère perceptif
que les nains peuvent cependant, dans quelques cas, pré- senter des symptômes d'infantilisme et alors nous parlerons de microso
ue normale, la maturité sexuelle est acquise complè- tement et tout symptôme net d'infantilisme fait défaut. Von Hansemann a
dant que chez ces individus on peut trouver éventuellement quelques symptômes partiels d'infantilisme (tels que la criplorchidi
SENTIELLE HÉRGDO-FAMILIALE 527 persistance du thymus, etc),mais ces symptômes ne s'associent pas à tous les autres qui sont p
ociation possible de cette forme de microsomie avec un ou plusieurs symptômes d'infantilisme et nous en donnerons nous-même u
somie, déterminée par la même cause pathogénique qui donne lieu aux symptômes généraux et spéciaux de l'infantilisme, et qui do
i ; cet auteur soutient t que pour le diagnostic d'infantilisme les symptômes psychiques sont de beaucoup plus importants que
somatique peut être évident chez certains sujets chez lesquels les symptômes de la menta- lité infantile sont à peine consta
nos précédents mémoires sur ce sujet, nous avons montré comment les symptômes de retard psychique peuvent être variables chez
que des sujets somatiquement infantiles ne présentent pas quelques symptômes de mentalité infantile, mais très souvent il ne s
tème pileux et la non-soudure des cartilages épiphysaires comme des symptômes importants pour le diagnostic d'infantilisme. Ces
rosomie qui n'est ni essentielle ni in- fantile. « En parlant des symptômes d'infantilisme relatifs à la mentalité et au se
nl propres à la mentalité infantile. Dans ces formes, en dehors des symptômes relatifs au psychisme et à la sexua- lité, on a
jours facilement recon- naissable par la plus grande importance des symptômes d'arrêt de déve- loppement psychique relativeme
d'origine cérébrale, soit inflammatoire, soit hypobiotrophique les symptômes de vésanie sont fréquents : on trouve presque t
ls supérieurs. Chez ces individus, très souvent on trouve aussi des symptômes or- ganiques qui expriment clairement la lésion
la mi- crosomie, qui est loin d'être constante, n'est jamais qu'un symptôme se- condaire ; tous ces sujets montrent des sig
die nerveuse congénitale ou acquise, dont la microsomie n'est qu'un symptôme secondaire et inconstant. Nous sommes donc d'ac
portions somatiques très harmonieuses et ne présentaient le moindre symptôme apparent de dysthyroïdie. Les trois sujets de l
ue les nôtres, ou plutôt des microsomes pré- sentant aussi quelques symptômes d'infantilisme. C'est en effet par l'exa- men d
x autres (adultes aussi) sont encore vivants et ne présentent aucun symptôme morbide. Chez les ascendants et les collatéraux
ui, que son intelligence, tout en étant médiocre, ne présente aucun symptôme de déficit bien caractérisé ; notre nain comprend
et l'inspection radioscopique de cette même région ne donnent aucun symptôme qui dépose pour la persistance du thymus. Aux a
de est morte à l'âge de 55 ans, après avoir présenté la plupart des symptômes de la maladie de Duchenne ; l'ataxie était extrêm
e et, bien que parfois au maximum, elle n'est plus qu'un tout petit symptôme d'un remaniement général du squelette. Nous l'a
ertébraux avant d'inciser la dure-mère. Il faut se rappeler que les symptômes cliniques peuvent dépendre non seulement de la
a- 592 FLA.TAU lion. Son absence parle en faveur d'une tumeur. Ce symptôme n'est pas toutefois absolument sûr. Il peut arr
, 594- liez FLATAU exécutée neuf ans seulement après les premiers symptômes morbides, amena pourtant la guérison. Oppenheim
aître rapi- dement. Il en est de même, dans les cas favorables, des symptômes mo- teurs et sensitifs, les sensitifs disparais
araissent pourtant plus vite que les moteurs (Oppenheim). Quant aux symptômes sensitifs, les plus persis- tants sont les trou
ours complète, quelquefois même elle est nulle. En premier lieu les symptômes oculaires (du côlé des pupilles) sonl très lent
odnitz, etc.); en outre, peuvent longtemps persiste ! ' ce\'- tains symptômes spastiques aux jambes, les réflexes exagérés, la
Il y a des causes qui peu- vent produire l'aggravation des anciens symptômes et même en faire naître de nouveaux, c'est la t
fait que pendant les premières semaines qui suivent l'opération les symptômes morbides peuvent s'aggraver. Par exemple les tr
s réappa- raissent el l'état général devient mauvais. Mais tous ces symptômes dispa- raissent peu à peu. Celte aggravation pa
trop abondant du liquide céphalo-rachi- dien, hémorragie du bulbe, symptômes bulbaires (Chipault, Oppenheim, Nonne) ou quelq
gman). Dans notre 1VIIIe ob- servation, nous avons eu affaire à des symptômes semblables (vomisse- ments, pouls à 420), la tu
608 DUPKÉ ET DEVAUX possédé du démon. Il se révélait, chez lui, des symptômes de l'une et de l'au- tre de ces affections ; to
on injecte du carmin dans les LI) Liiehmitte et GUCCIONE, Quelques symptômes et lésions rares dans la sclérose en plaques. E
taux, le trophisme normal des tissus musculaires, le défaut de tout symptôme de retard dans l'ossification des cartilages épip
des à sécrétion interne. Eh bien ! dans nos cas il nous manque tout symptôme d'altération fonctionnelle de ces organes gland
une altéra- tion fonctionnelle de l'hypophyse; il nous manque tout symptôme local du côté de l'appareil visuel ; la selle t
rénales, soit des parathyroïdes, car il nous manque absolument tout symptôme de déficit relatif à ces organes ; on a décrit un
me infantilisme. Pour conclure, nos sujets ne présentent le moindre symptôme soit d'infantilisme, soit de nanismedysthyroïdi
ïde par le fait que nous ne pouvons constater chez eux aucun de ces symptômes que nous sommes habitués à considérer en clinique
n fonctionnelle de la thyroïde, qui ne se trahirait que par un seul symptôme essentiel : la réduction globale de la taille ave
as des myxoedémateux et que chez eux on ne peut démontrer aucun des symptômes de dysthyroïdie soit t même fruste, qui sont ac
de l'observation clinique, c'est-à- dire que le défaut de tous les symptômes fondamentaux généraux de l'infantilisme nous po
rée : cependant ce que nous avons dit sur l'absence absolue de tout symptôme de disfonc- tion glandulaire chez ces sujets, n
donne que les photographies ; la, coexistence certaine de quelques symptômes d'infantilisme nous entraîne cependant à suppos
résentant associé au syndrome de microsomie con- génitale, quelques symptômes d'infantilisme somatique, était psychi- quement
ien nette pour qu'on n'attribue pas à la microsomie essentielle des symptômes qui appartiennent à un autre syndrome. 672 ET
e des poils et des téguments. Si l'un ou l'autre ou plusieurs décès symptômes d'infantilisme existent dans un cas déterminé,
rosomes à tout égard classiques, et chez eux il n'existe le moindre symptôme d'anangioplasie ; le coeur et les gros vais- se
accumulée : au syndrome,microsomie pure, se sont ajoutés quel- ques symptômes sûrs d'infantilisme. Ayant admis que notre suje
des deux formes les plus connues d'infantilisme ; en comparant les symptômes positifs et négatifs aussi bien pour l'un que pou
, que s'il était un exemple pur d'infantilisme du type Brissaud,les symptômes de dysthyroïdie devraient être chez lui extrême-
dien atténué doit être aussi mis de côté en se fondant sur d'autres symptômes secondaires tels que le trophisme normal de la
voulu mettre bien nettement en lumière que notre nain présente des symptômes très clairs d'infantilisme,mais que le groupement
symptômes très clairs d'infantilisme,mais que le groupement de ces symptômes ne nous permet point de l'attribuera aucune des f
année, c'est-à-dire qu'à cet âge notre sujet ne pré- sentera aucun symptôme d'infantilisme du squelette et sera, à cet égard,
logique du nanisme paternel a déterminé chez lui la combinaison des symptômes indiscutables d'infantilisme, qui ne sont cepen
milial de sa maladie, nous font consi- dérer comme possible que les symptômes actuels d'infantilisme partiel disparaissent av
vrai qui aura fait de l'infantilisme partiel. Si au contraire les symptômes d'infantilisme persistent à l'âge adulte, notre
re héréditaire et familiale, est une forme caractérisée par un seul symptôme essentiel : la réduction harmonieuse de la tail
8 (1889) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 8. Maladies infectieuses, affections de la peau, kystes hydatiques, estomac et rate, thérapeutique
placentaire, soit des battements du cœur du fœtus. En raison de ces symptômes , on administre à la malade 50 centigrammes de sou
gnalons. Observation. — Cancer de Vutérm. — Angine diphtéritique. — Symptômes de paralysie du voile du palais. — Nasonnement de
palais. Le 12 mai, il ne s'est produit aucune amélioration dans les symptômes de paralysie du voile du palais. L'alimentation e
pri-mitive, qu'on a vu, en pareil cas, reparaître tout le cortège des symptômes caractéristiques; la fièvre, la céphalalgie, les
fièvre typhoïde se présente, dès son dé-but, avec un tel appareil de symptômes caractéristiques, qu'il est, pour ainsi dire, imp
e synoque éphémère, hypé-restliénique ou bilieuse, alors qu'aucun des symptômes véri-tablement propres à la dothiénentérie ne s'e
e, la stupeur, la prostration des forces sont peu pronon-cées; si les symptômes abdominaux sont nuls ou presque, nuls; si les épi
parfois, pendant leur période prodromique et en l'absence de certains symptômes (lumbago variolique (1582), bronchite, coryza mor
ulsions partielles, le peu d'intensité du mouvement fébrile et autres symptômes plus spécialement propres à cette dernière maladi
uses affections qui, habituellement s'accompagnent de cet ensemble de symptômes qu'on a dési-gnés sous le nom d'état typhoïde; ma
purulente, se développent dans des circonstances et s'accompagnent de symptômes qui ne per-mettent guère qu'on les méconnaisse. —
u-reuses, au moins à la pression, les urines rares ou supprimées, les symptômes putrides rapidement mortels (668, B. T., et Rayer
chez les vieillards que les phleg-masies viscérales s'accompagnent de symptômes typhoïdes, et, chez eux, on le sait, la dothiénen
époques de certaines épidémies; d'autant mieux qu'en pareil cas, des symptômes typhoïdes bien dessinés peuvent succéder à une pé
pissement continu, les douleurs intenses de l'abdomen, sont autant de symptômes qui peuvent engager le médecin à insister sur les
maladie, la base de la médication. C. Dans la majorité des cas, les symptômes d'adynamie com-mencent à se prononcer vers le mil
e prononcer vers le milieu de la deuxième pé-riode. D'abord mêlés aux symptômes inflammatoires, ils ne tardent pas, en général, à
existe peut être des pétéchies (1727. B. 6). Si un pareil ensemble de symptômes se présente, il n'y a pas à hé-siter ; il faut im
pouls et un abaissement de la chaleur cutanée ; il n'aggrave pas les symptômes abdominaux, et, en particulier, il ne produit pas
enir surtout aux cas de fièvre intense avec céphalalgie vive, délire, symptômes ataxiques de tout genre, principalement s'il y a
s les premiers temps de la fièvre typhoïde, et éclatent au milieu des symptômes de la réaction fébrile la plus intense. Il ne mér
s, la méthode évacuante n'a pas une influence évidente sur chacun des symptômes pris un à un, ni sur la durée et la terminaison d
die, ou même à la convalescence. Elle ne s'annonce souvent par au-cun symptôme ; on observe seulement un peu de raucité de la vo
en effet souvent latente, il en est d'autres où elle s'ac-compagne de symptômes graves : c'est quand le larynx est rétréci par su
e typhus fever. Elle est caractérisée habituellement par l'absence de symptômes abdo-minaux, et par une éruption sui generis comp
anquent chez des individus qui, pendant la vie, ont présenté tous les symptômes que l'on considère en général comme propres à car
opposer l'une à l'autre sous les divers points de vue des causes, des symptômes et des lésions, comme on peut le faire, lorsqu'il
tions, et reconnaître qu'elles présen-tent habituellement, dans leurs symptômes et dans leur marche, des différences notables. On
u, par contre, assure-t-on, les deux affections se présenter avec des symptômes tellement identiques, qu'elles ne pou-vaient plus
adie, et méconnaît-on leur identité d'origine ? La considé-ration des symptômes , alors même qu'elle conduirait sûre-ment, ce qui
scence, enlin, était, en général, prompte. Ne sont-ce pas là tous les symptômes réputés caractéristiques du typhus fever? Et cepe
ces deux affections l'une à l'autre, sous le double point de vue des symptômes et des lésions, si l'on ne parvient pas à démontr
n de deux maladies différentes, et non pas seulement complication des symptômes et des vices anatomiques particuliers à deux form
ce qu'il doit occuper. — La description qui va être pré-sentée de ces symptômes a dû être empruntée surtout à ceux des médecins a
on est très prononcée ; Pneumo-Ujphus, lorsqu'il y a prédominance des symptômes bronchiques. très violents. Dès les premiers jo
t ensuite apparaître, dans toute leur intensité, un certain nombre de symptômes qui caractérisent la première période de la malad
rapidement et se couvre d'un enduit noirâtre. Pendant ce temps, les symptômes abdominaux sont à peine accusés, ou môme tout à f
e cas est aussi grave, à la suite du frisson initial, pa-raissent les symptômes suivants ; la face est pâle ou livide ; les extré
ces mêmes régions une obscurité du son parfois très marquée. Tous ces symptômes (lividité des téguments, de l'éruption, faiblesse
Dans le typhus fever, l'inva-sion se fait brusquement. La plupart des symptômes (symp-tômes fébriles, prostration des forces, stu
diffère de l'exanthème papuleux de la fièvre typhoïde (D. y.). — Les symptômes entéritiques, tels que l'endolorissement, le gar-
phus fever, il arrive assez souvent que les épistaxis du début et les symptômes de bronchite latente fassent com-plètement défaut
pauvres et affaiblis parles privations de nourriture que ces derniers symptômes sont surtout extrê-mement prononcés (O'Reardon, M
ires ; 4° le délire violent, ou au contraire le coma pro-fond; 5° les symptômes qui se rapportent à la splénisation des poumons (
x dessiné attaquer des individus qui ont présenté récem-ment tous les symptômes de la fièvre typhoïde. M. Stokes dit avoir rencon
s-sait par les diverses phases que nous avons indiquées (p. 61.). Les symptômes abdominaux et les lésions spéciales de l'iléon et
s, une prostration plus ou moins profonde se déclarent ensuite. A ces symptômes , il se joint tantôt de la diarrhée, tantôt de la
la maladie. Au bout d'environ vingt-quatre heures apparaissent les symptômes de la maladie constituée. La face est rouge, la p
ne (quatre jours au moins, dix au plus); puis, au mo-ment où tous les symptômes paraissent avoir atteint leur plus grande violenc
t à coup, et sans cause apparente, une rechute dans laquelle tous les symptômes caractéristiques se montrent de nouveau, mais gén
émique, l'hydropisie générale, le délire suivi de coma, tels sont les symptômes qui annoncent la terminaison fatale. Les convul-s
iliosa, biliôse typhoid) en diffère seulement par la prédominance des symptômes hépatiques. Dès l'origine, on observe des vomisse
me jour de la maladie. Dans la forme bilieuse, l'étude méthodique des symptômes fébriles a donné des résultais qui méritent d'êtr
lieu que dans les cas où il existe quelque complication. Parmi les symptômes les plus caractéristiques de la fièvre à rechute,
de beaucoup la plus redoutable, surtout lorsqu'elle s'ac-compagne de symptômes urémiques et cholériformes, car alors les malades
; jaclilation, insomnie et quelquefois délire ; absence habituelle de symptômes abdominaux, tels que météo- *• Voir plus loin,
cinquième, sixième ou septième jour de la maladie, alors que tous les symptômes paraissent avoir atteint leur plus grande violenc
eler le premier accès, il survient une rechute dans laquelle tous les symptômes que nous avons énumérés se montrent de nouveau, t
er que par une plus grande extension et une plus grande intensité des symptômes qui le caractérisent; pourtant, d'autres maladies
e sait-on de l'origine, de la nature et du progrès de la maladie, des symptômes par les-quels elle se déclare, et au meilleur tra
enre comprend trois espèces : 1° la peste du Levant; 2° la peste avec symptômes gastriques ; 3° la peste avec symptômes inflammat
e du Levant; 2° la peste avec symptômes gastriques ; 3° la peste avec symptômes inflammatoires. E. Peste bubonica (quelques méd
dénominations sont synonymes ; elles désignent la mala-die par un des symptômes qui la caractérisent. —Peste d'O-rient. — Typhus
e extrême ; il est, en tous cas, petit, inégal, concentré. — Tous ces symptômes effrayants se succèdent avec une ra-pidité singul
et marcher ; puis, tout à coup, éclatent inopinément les plus graves symptômes : tels que vertiges, prostration extrême des forc
, p. 76. — Pruner). Y- Quelquefois, mais rarement, tous les fâcheux symptômes de la peste foudroyante (a.) s'amendent pour fair
reux, l'éruption des bubons est le signal d'un amendement de tous les symptômes ; la fièvre et les phénomènes graves qui l'accomp
mène dans l'état du malade aucune amélioration. Loin de là : tous les symptômes s'aggravent, l'anxiété est extrême, le délire, de
. S'ils se prolongent au-delà de ce terme, ils ne s'adjoignent pas de symptômes fâcheux, et ils disparais-sent enfin successiveme
gu-liers ; évacuations séreuses et parfois sanglantes : tels sont les symptômes qui dominent en pareils cas. — D'autres fois, la
l'animal succombe le plus souvent. Alors même que la un ensemble de symptômes qui ne permettra plus qu'on la méconnaisse. mor
— Si nous comparons ces lésions et ces symp-tômes aux lésions et aux symptômes qui caractérisent la peste, nous reconnaîtrons qu
ui primiti-vement, la maladie charbonneuse peut se manifester par des symptômes en tout semblables à ceux que nous venons de décr
Paliptague, se rapproche de la peste noire par un assez bon nombre de symptômes et en particulier par l'existence fréquente de la
); la deuxième, par une rémission plus ou moins marquée dans tous les symptômes ; la troisième, enfin, par l'apparition d'une colo
u par diverses voies, et en dernier lieu, l'adjonction fréquente de symptômes typhoïdes. SYNONYMIE. a. Typhus icterodes de
lentes, qu'elles arrachent des cris aux malades. C'est à ces derniers symptômes que la fièvre jaune doit le nom de coup de barre,
lles, gri-sâtres, rarement bilieuses. — Le délire et le coma sont des symptômes qu'on observe rarement dans le cours de celte pér
ée par une grande atténuation et parfois une cessation des principaux symptômes qui survient brusquement, vers le troisième ou le
des cas où l'atteinte profonde de l'organisme ne se révèle par aucun symptôme qui puisse faire pressentir la gravité du mal. Ic
puissant contre la fièvre d'accès, vient échouer toujours contre les symptômes graves de la fièvre jaune. Je crois, en conséquen
s qui ne sau-raient passer inaperçues. Ce n'est pas en étudiant les symptômes un à un, mais bien a. On sait qu'il règne encor
(1719, G.); on comprend ainsi qu'il nous soit difficile d'opposer les symptômes de ces fièvres à ceux de la fièvre jaune. Yoici,
qui se manifeste, à un moment donné du cours de la maladie, dont les symptômes changent alors tout à coup, et se trouve, par sui
re jaune. L'erreur serait possible, pour un instant peut-être, si les symptômes pernicieux venaient à se manifester dès l'origne.
multiples, et des pétéchies, du vomissement noir, et de tant d'autres symptômes , qui se montrent toujours, au moins en partie, da
cinquième, sixième ou septième jour de la maladie, alors que tous les symptômes paraissent avoir atteint leur plus grande violenc
ler le premier accès, il survient une rechute, dans laquelle tous les symptômes que nous avons énumérés, se montrent de nouveau,
intensité moindre. Ces deux accès constituent habituellement tous les symptômes de la maladie; on a vu cependant les rechutes se
du fatal vomissement noir et succombe en quelques heures. Ce dernier symptôme annonce presque toujours une mort prochaine. Les
nte avec des allures toutes spéciales, une marche toujours aiguë, des symptômes qui, sans lui être exclusivement propres, lui don
ngulièrement suivant l'intensité des cas, la prédominance de certains symptômes , la forme que revêt la maladie, la période à laqu
tels que 37° 8, 38°, 38°, 4 ont été obtenus dans le même temps où les symptômes d'algidité et la cyanose cholériques étaient le p
limonade sulfurique. Une note sur l'enchaînement des lésions et les symptômes de choléra asiatique et sur les indications qui e
araît pas, en particulier, que dans son enfance il ait présenté aucun symptôme d'affection scrofuleuse. Dans le courant de l'a
ans sa totalité, surtout à gauche. Ce malade n'a jamais présenté de symptômes autres que ceux que nous venons d'indiquer, qui p
certain nombre de corps vertébraux, il se produit habituellement des symptômes de paraplégie douloureuse, dus principalement à l
. Ilayem, sur deux cas de purpura hcmorrhagica, que le purpura est un symptôme qui peut être lié à des états morbides très diffé
ez vives, de la fièvre, une grande prostration, furent les principaux symptômes observés, et ce ne fut qu'au bout de huit ou dix
que si on compare celte observation aux pré-cédentes, la plupart des symptômes tant locaux que généraux, que nous avons rapporté
omme cela a lieu, d'ailleurs, le plus communément. La description des symptômes observés pendant la vie ne manque pas non plus d'
. III. — Un homme de 61 ans ressentit, il y a vingt ans, 'lespremiers symptômes d'une douleur abdominale. En 18H, de Il'ischurie
'existait pas, ou bien elle ne s'est révélée pendant la vie par aucun symptôme appréciable. 2° C'est dans le tissu cellulaire
ystes hydatique*. 16 6° Jusqu'ici, il faut l'avouer, parmi tous ces symptômes , rien ou à peu près rien qui ne fut commun aux ky
n (/teu. Méd., 1841, p. 20), distin-guer les abcès des kystes par les symptômes inflammatoires qui précèdent leur formation, par
que nous rapportons, dit M. Viguès, on a observé chez les malades des symptômes précurseurs : du malaise, des troubles menstruels
e lui qu'il dépérit et qu'il souffre depuis quatre mois envi-ron. Les symptômes qu'il a remarqués pendant cette période de sa mal
orté à la Charité, quelques heures après l'apparition de ces nouveaux symptômes . Nous l'y trouvons dans l'état suivant : ictère e
cés à haute dose et les lavements laxatifs. Les jours suivants, les symptômes vont en s'aggravant, et le malade succombe, le 23
Pouls lent. — Hémiplégie progressive du côté droit. —Aggravation des symptômes . — Autopsie : Kyste hydatique occupant le centr
épileptiformes. Il n'y a jamais eu de fièvre. Du 10 au 20, tous les symptômes vont en s'aggravant ; l'hébé-tude et la démence s
comparaison avec le grand volume de la poche hydatique. Les premiers symptômes ne se rencon-trent qu'à quarante jours après la m
e cerveau et les méninges étaient d'une intégrité parfaite. Quant aux symptômes , ils n'ont point différé de ceux qu'on observe or
triques. — Etat du malade à l'entrée à l'hôpital (21 juillet 1854). — Symptômes de tuberculose pulmonaire. — Gonflement et fluctu
s ne se sont manifestés que trois mois avant la mort. Plusieurs des symptômes ordinaires des ulcères simples de l'estomac ne se
cons-tante, n'a pas été non plus observée. Malgré l'absence de ces symptômes , nous avions été ame-nés à poser, avec réserve to
issements auxquels il attribue une grande part dans la production des symptômes observés pendant la vie ; il les a rencontrés, d'
penser qu'il est « des malades qui présentent un cer-tain ensemble de symptômes qu'il serait porté à expliquer par une contractio
st bien l'expectation qui convient, comme mé-thode générale. Mais les symptômes hypersthéniques du dé-but, mais les phénomènes ad
flammatoires par excellence, ou celles dans lesquelles, der-rière les symptômes et les lésions du genre inflammatoire, rien n'ann
e frappant. Les saignées, qui parais-saient d'abord indiquées par les symptômes , étaient souvent dangereuses, et bientôt l'on app
me maladie, aiguë ou chronique, alors même qu'elle se montre avec des symptômes plus ou moins sérieux, des moments donnés où il n
t été combattus par une médication appropriée, et que cet ensemble de symptômes qui annonce qu'il y a lieu d'adminis-trer les ton
aise qualité. La nature s'est réservé une méthode, un enchaînement de symptômes , afin de pouvoir éliminer la ma-tière peccante et
elle se fait avec éclat, s'accompagne d'une brusque exaspération des symptômes : on dit alors qu'il y a crise. Les évacuations cr
peut être appelé à devenir témoin de cet accroissement singulier des symptômes qui annoncent quelquefois la prochaine apparition
qu'à un certain état de la maladie, il n'y a souvent exaspération des symptômes que parce qu'une crise se prépare, il résulte qu'
ient le courage de faire de la médecine d'expectation, en présence de symptômes aussi alarmants 2.» Valleix a d'ailleurs bien mod
la maladie a eu une durée assez longue eu égard au peu de gravité des symptômes généraux et locaux ; la seconde sé-rie montre une
econde sé-rie montre une rapidité plus grande dans la disparition des symptômes locaux et généraux et dans la résolution de l'en-
vril 1852, M. X... vint me trouver de nouveau pour m'en-tretenir d'un symptôme qu'il éprouvait depuis trois mois environ, qui l'
que, d'un autre 1. Il n'est point fait mention, par exemple, de ce symptôme de l'arse-nicisme dans le traité de MM. Trousseau
-delà de 20 gouttes par jour. Quoi qu'il en soit, dans la série des symptômes de Yarseni-cisme chronique, l'anaphrodisie paraît
des circonstances à cer-tains égards comparables, on voit parfois les symptômes gra-ves de l'encéphalopathie saturnine éclater ch
u la guérison du strabisme, qui se montre assez souvent au nombre des symptômes de la maladie. On a même vu les agents thérapeuti
p. 191.) 1. Nous ne tenons pas compte ici des cas dans lesquels le symptôme ataxie du mouvement fait partie d'un ensemble de
n raison de l'ancienneté de la maladie qu'en raison de l'ensemble des symptômes , les malades que nous avons soumises à l'emploi d
emme qui était atteinte de paraplégie, sans avoir jamais présenté les symptômes de l'ataxie locomo-trice progressive et dont l'ét
reste, c'est pendant son séjour à l'hôpital qu'est survenu un nouveau symptôme . Elle per-dit rapidement alors la vue de l'œil dr
signalé, parce qu'il ne fait point partie de l'ensemble constant des symptômes ; c'est un gonflement accompagné d'une rougeur so
uelque temps après dans l'œil droit. Pour terminer l'énu-mération des symptômes delà première période delà maladie, il faut signa
of-frant une grande analogie avec le précédent. Même enchaîne-ment de symptômes ; même diffusion des atteintes de la ma-ladie : e
à un haut degré de développement et auxquels se surajoutent quelques symptômes qui n'appartiennent pas au type le plus commun de
ensation très-pénible, des mouvements réflexes rapides et répétés. Ce symptôme a disparu peu de jours après le début du traiteme
s. Une dyspnée considérable et une anasar-que générale, tels sont les symptômes qu'il est possible de noter, d'après les indicati
compl. t. vin, 5e partie: Thérapeutique. 20 gravation marquée des symptômes dans des paralysies des membres inférieurs qui pa
se réta-blit alors au bout de quelques heures, sans manifester aucun symptôme spécial. De l'ensemble de ces faits, qui mérite
s de nitrate d'argent pendant plusieurs jours, sans produire d'autres symptômes que des troubles digestifs et des vomissements; i
influence plus ou moins directe de la lumière. Quoi qu'il en soit, ce symptôme est une conséquence évidente de l'impré-gnation g
ents, et si l'on ne verra pas reparaître, aune époque ultérieure, les symptômes de la ma-ladie ; car, partout ailleurs, on n'a co
i des sels d'argent, qui pa-raissent, au contraire, aggraver tous les symptômes , d'après nos observations personnelles. Il en est
te de paraplégie, avec flaccidité des mem-bres inférieurs, sans aucun symptôme d'ataxie locomotrice. Sous l'influence du nitrate
ate d'ar-gent est formellement contre-indiqué ; son usage aggrave les symptômes au lieu d'améliorer l'état du malade. Lorsqu'il e
ent remarquer, au contraire, par la très grande intensité de tous les symptômes . Or, dans tous ces cas, il nous a paru que la dur
es elle s'amoindrissait pour ainsi dire progressivement dans tous ses symptômes , à mesure que se produisait la saturation de l'or
après l'apparition de la réaction alcaline des urines, que les divers symptômes (état fébrile, douleurs et gonflement articulaire
jaune; bibliographie, 126; — dé-finitions, 127 ;— synonymie, 128; — symptômes , 128; — prodomes, 128 ; — première période, friss
echute, 75; — épidémie de St-Pétersbourg, 74, 85 ; — inva-sion, 75; — symptômes , 76; — forme simple, 76; — forme bi-lieuse, 77; —
207. Peste; bibliographie, 93: — défini-tion, 95;— synonymie, 95; — symptômes , 96 ; — formes, 97; — prodrmes communs, 97; — p
9 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es jours seulement. On voit, par ce rapide résumé, quels sont les symptômes principaux qu'a présentés notre malade. Ils n'o
mbre. Le mois de janvier se passa sans incident notable, mais les symptômes que nous avons déjà rapportés, s'aggravèrent de j
uellement. Durant les premiers jours de son séjour à l'hôpital, les symptômes que nous venons de rapporter persistèrent avec
lité des cas ou sinon dans tous les cas, d'origine infectieuse. Les symptômes précurseurs de l'accès que nous avons tâché de
e l'accès que nous avons tâché de mettre en évidence, ainsi que les symptômes concomitants d'une part, et d'autre part les ex
er que lorsque les épileptiques de cette catégorie présenteront des symptômes d'épilepsie gé- nérale, ils devront être soumis
otassium, 18G6. DE L'INTOXICATION DANS L'ÉPILEPSIE. 27 -i cédé de symptômes précurseurs éloignés ou immédiats. Eh bien c'es
seurs éloignés ou immédiats. Eh bien c'est au médecin à soigner ces symptômes précurseurs. Pour nous les symptômes précurseur
c'est au médecin à soigner ces symptômes précurseurs. Pour nous les symptômes précurseurs que décrivent tous les auteurs sont
axa- tifs et par une hygiène appropriée; nous verrons souvent ces symptômes précurseurs disparaître et l'accès avorter. Mai
rs disparaître et l'accès avorter. Mais quand on est en présence de symptômes immédiats, d'accès, d'auras, il faut diriger to
, si l'on se rap- pelle la place que prend la céphalalgie parmi les symptômes des auto-intoxications en particulier de l'urém
. Grashey qui, tombé d'une échelle en novembre 1893, a présenté les symptômes d'une fracture de la base avec troubles intelle
cette analyse, clinique et ses con- clusions anatomiques, certains symptômes se sont modifiés et ne justifient pas la théori
de, à l'aspect seul des objets, n'en peut trouver le nom ; c'est le symptôme , non d'un affaiblissement général de la mémoire
altèrent à peine le pronostic des psychoses chro- niques, quant aux symptômes psychiques. L'observation A montre que les allu
EDiNG. (Julcrbfieh, f. Psychiat., Xll, 3.) C'est le plus souvent un symptôme de dégénérescence : lacune morale, trouble psyc
, dès f,almil, on avait déjà noté l'association assez fréquente des symptômes de l'ataxie locomotrice et de ceux de la paraly
ale à forme tabétique. La paralysie générale débute alors par des symptômes spinaux à forme tabétique, lesquels symptômes dis
débute alors par des symptômes spinaux à forme tabétique, lesquels symptômes dispa- raissent ou s'effacent à mesure que les
, lesquels symptômes dispa- raissent ou s'effacent à mesure que les symptômes paralytiques s'établissent. Aux autopsies on tr
e : Homme syphilitique depuis douze ans. L'affection débute par des symptômes nettement tabétiques, l'erreur de diag- nostic
aralysie générale apparaissent et s'accentuent de plus en plus, les symptômes du tabes, l'incoordination motrice, comme les a
le même accès maniaque carac- térisé exactement chaque fois par des symptômes identiques : Fureur, cris, récriminations. Il e
l'homme criminel. Au point de vue psychique, S... ne présente aucun symptôme morbide, ni hallucination, ni conception délira
est permanente : même dans les intervalles, pendant lesquels tout symptôme psychopathique semble avoir disparu, elle persist
cet individu ne soit atteint de folie périodique, il offre tous les symptômes classiques d'une manie 54 REVUE DE MÉDECINE LEG
autres, la fréquence et le peu de durée de ces accès, la nature des symptômes intercurrents, la perversité des instincts; au dé
n de la commo- tion cérébrale avec l'ivresse grave. L'évolution des symptômes de la commotion cérébrale serait-elle favorable
Observe-t-on un intervalle entre le traumatisme et l'apparition de symptômes de compression cérébrale, on sera autorisé à ad
i attribuer con- corde avec la date du traumatisme, enfin quand les symptômes sont en rapport avec le processus anatomique. -
ie, hystérie, épilepsie). On observe cependant des groupements de symptômes caractéristiques, dont quelques-uns de nature obj
mènes presque constants dans la neurasthénie traumatique. Parmi les symptômes somatiques les plus fréquents sont les troubles
ou même en invente d'imaginaires, doit se garder de considérer des symptômes réels comme étant eux aussi simulés. Le médecin
iaux : les formes les plus variées peuvent être observées. Certains symptômes sont assez fréquents dans les psychoses d'origine
médiates et éloignées ; il faut démontrer qu'avant l'accident aucun symptôme morbide ne s'était produit, et que d'autres facte
phie, des mouvements choréiformes dans la moitié droite du corps, symptômes révélateurs d'un état de dégénérescence, sur lequ
hystérie traumatique (Charcot) qui est en jeu; étude minutieuse des symptômes dans leurs rapports avec la démonstration objec
soir. Mort. P. K. IV. Analgésie DU tronc du cubital constituant un SYMPTÔME DE tabès; par E. Bn : RN.IC¡(1. (Neurolog. Cent
ervicale avec paralysie atrophique des membres supérieurs, avec des symptômes cérébraux en plus, et elle est certainement sou
l existe une myélite sytématisée syphilitique spéciale qui a, comme symptôme constant, l'hémiparaplégie avec anesthésie croi
ire, ni de trouble trophique, pas plus à gauche qu'à droite. Pas de symptômes céphaliques, pas de troubles oculaires, on note
. Le traitement spécifique n'amène aucune amélioration, et même les symptômes se prononcent de plus en plus, en même temps qu
auf pendant le sommeil, des mouvements choréi- formes. Il y eut des symptômes douloureux; une hyperesthésie cutanée et des do
tanée et des douleurs sur le trajet de certains troncs nerveux, ces symptômes ne furent que transitoires. Enfin l'examen électr
qualificatifs. Comme on le voit, le cas serait classique, sans les symptômes douloureux qui, du reste, n'existaient plus au
syphilisée par son mari. Début du tabes trois ans après le mariage. Symptômes ordi- naires du tabes. Vingt ans après le début
a dissociation de la sensibilité et les troubles trophiques. Chaque symptôme peut prendre une importance parti- culière, d'o
laire dans les muscles de l'avant-bras droit. Donc, plusieurs des symptômes de la syringomyélie, mais pas' tous. En outre i
mptômes de la syringomyélie, mais pas' tous. En outre il existe des symptômes d'amyotrophie : contraction lente des muscles à
rt l'ensemble des lésions articulaires qui peuvent.faire partie des symptômes du mal perforant. Les arthrites consécutives au
s et réduits à quelques- uns seulement de ces éléments, ou bien les symptômes anormaux (non essentiels) prédominent tellement
. La migraine ophtalmique guérit ordinairement ; en tout cas, les symptômes les plus alarmants, comme l'aphasie, finissent pa
yée qu'après élimination de toutes les maladies qui ont parmi leurs symptômes un arrêt de développement congénital du sens mo
e de l'intelligence et sans qu'on puisse les consi- dérer comme les symptômes d'une maladie psychique. Est-il pos- sible de s
ère et de nervosité dans lesquels les médecins diagnostiquaient des symptômes d'hystérie. Au cours de ces crises, il lui arriva
ont pas reconnus, et la perception du rouge est altérée. Tous-ces symptômes et quelques autres moins importants que INFANTI
de l'enfant qu'elle voit tomber dans la mare et se noyant. Un des symptômes de l'hystérie psychique, c'est l'affaiblissement
ec succès dans l'état de mal, dans les accès sériels et lorsque les symptômes prémoni- toires font leur apparition. L'indicat
ou irrégulièrement) et instituer ce traitement complexe dès que les symptômes prémonitoires font leur apparition. On les cont
'épilepsie par intoxication est toujours précédée et accompagnée de symptômes gastro-intestinaux. Elle est plus grave; 5° L
réflexe peut se transformer en épilepsie infectieuse et prendre ses symptômes , sa marche et sa terminaison ; 7° Dans l'épil
ation peu- vent être prévus et doivent être combattus dès que les symptômes prémonitoires apparaissent; 12° Dans l'épilepsi
lle des muscles du cou. L'atteinte du bulbe est en rapport avec les symptômes des nerfs crâniens, le masque de la physionomie
physionomie, le trouble spécial de la parole. Quant au tremblement, symptôme le plus important et le plus précoce, de la par
nce, ou d'habi- tudes toxiques (morphinomanie, cocaïnomanie). Les symptômes de la folie, confirmée à la ménopause, ne sont
lus communes; celles de la vue viennent ensuite. Parmi les autres symptômes , on peut citer : les troubles gastro-intestinaux
surtout prophylaclique, tout en ne négligeant pas le traitement des symptômes et des complications. Dans le cas de délit comm
de Jessen ne parût. (Revue neurologique, mars 1895.) E.B. XXXIII. SYMPTÔMES oculaires précoces dans la paralysie générale;
es signes pouvant survenir de un à trois ans avant l'apparition des symptômes classiques de l'affection pour- raient permettr
poral. Le rétrécissement du côté temporal du champ visuel serait un symptôme presque constant et l'accroisse- ment de ce sym
suel serait un symptôme presque constant et l'accroisse- ment de ce symptôme pourrait servir de mesure aux progrès de la mal
es intellectuels au moment des accès de dyspnée cardiaque, ce grand symptôme sur lequel est bâti le diagnostic différentiel
que peut-être les tubercules de la moelle causent assez souvent des symptômes épileptiques. Cruveilhier', dans son atlas, rem
lite consécutive de voisinage; le premier s'est manifesté sous les symptômes d'une myélite aiguë. Leyden 3 fait voir que la
. 180 . CLINIQUE NERVEUSE. nique, elle se manifeste soit sous les symptômes d'une tumeur de la moelle, soit sous ceux d'une
de méningite compliquée de méningite basale et, jugeant d'après les symptômes cliniques, croit que les enveloppes rachidienne
ose nodulaire de la moelle, présentant au point de vue clinique les symptômes d'une myélite chronique. Dans son index bibliog
et de tuberculisation de la moelle. En récapitulant la marche des symptômes cliniques. et en les comparant avec les résulta
faible irritation des racines postérieures expliquent les premiers symptômes , à savoir : le fourmillement, les picotements d
et dans toute sa longueur, et où il a causé de cette ma- nière les symptômes d'une myélite transverse. Nous voyons déjà, le
e la moelle se présente, en général, dans les cas aigus, sous les symptômes d'une myélite aiguë. Dans un cas chronique (cas
ns un cas chronique (cas de Gunsser), elle s'est présentée sous les symptômes d'une tumeur de la moelle à marche lente. Les c
est déjà atteint de tuberculose pulmonaire est pris tout à coup de symptômes médullaires : paresthésies, faiblesse des extré
que temps avec des rémissions, et cela, sans s'être aperçu d'autres symptômes généraux ou locaux : fièvre, frissons, nausées,
ment par suite de la maladie primitive. Il est évident que tous les symptômes varient beaucoup suivant le siège et l'étendue
s frappe dans ces cas de myélites, c'est la variabilité de quelques symptômes : les réflexes rotuliens, par exemple, et la se
lésions trouvées sur les méninges expliquent suffisamment tous les symptômes cliniques. Les deux cas dont il est question so
peine senti et mal localisé surtout à la plante des pieds. Tous ces symptômes sont plus marqués du côté gauche que du côté dr
l). Le syndrome épisodique, à lui seul en l'absence de tout autre symptôme , suffit pour prouver l'existence de cette dégénér
plus, ces caractères peuvent être d'autant plus effacés que, si les symptômes développés sur un fond de dégénérescence n'écla
on le voit apparaître. L'une de nos malades a présenté les premiers symptômes mentaux à quatre-vingt-neuf ans, l'autre à quat
'ombre d'hésitation. Son caractère est très égal, gai même et aucun symptôme intellectuel important n'avait attiré l'attenti
tentatives de suicide. Par quel mécanisme se sont produits tous ces symptômes , chez cette femme jouissant, peut-on dire, de t
e caractère de PSYCHOSES DE DÉGÉNÉRESCENCE MENTALE. 207' tous les symptômes accusés par la malade, on est frappé de la niai
chons qu'à l'évolution même du délire, nous voyons que les premiers symptômes ont été des interpré- tations délirantes, se ra
de systématisation ; des idées mélancoliques s'étant entées sur les symptômes précé- dents, les deux tentatives de suicide on
à une amie, puis se couche comme à l'ordinaire sans présenter aucun symptôme particulier; vers 11 heures, elle vient subitem
ne vous semble-t-il pas évident que tout médecin doit connaître les symptômes des maladies du cerveau, y compris les modifica
erveau, y compris les modifications de l'intelligence, à l'égal des symptômes des maladies des autres organes, coeur, reins,
ce que souvent le médecin de la famille aurait observé les premiers symptômes du mal et qu'il s'empresserait d'apporter aux m
es, des actes, sou- vent de la plus grande obscénité. L'étude des symptômes somatiques est de la plus grande impor- tance d
st qu'à la suite d'un ictus cérébral qu'ils présentent les premiers symptômes de cette déchéance de toutes les facultés; mais
actions pathogènes diverses qui se traduisent par la triade et les symptômes con- nexes du goitre exophtalmique. Les raiso
ces lésions banales se retrouvent chez des sujets indemnes de tout symptôme de goitre exophtalmique. S'agirait-il d'une lés
avait été inu- tile, mais encore avait exagéré considérablement les symptômes de la maladie de Basedow (Horsley, Canter, Mari
considérés comme complètement guéris ! Ce ne sont pas seulement les symptômes généraux qui, au dire de l'auteur, auraient céd
it au niveau même du corps thyroïde, n'a pas été suivie non plus de symptômes bien nets. e Par contre, l'injection sous-cutan
es ; ils suc- combent dans le collapsus. « Mais, en dehors de ces symptômes d'intoxication générale, les injections sous-cu
oitre expérimental. Cette tuméfaction s'est amendée avec les autres symptômes d'intoxication, fièvre, ta- chycardie, etc., qu
e, pourrait expliquer aussi certains cas cliniques où l'on a vu les symptômes du myxoedème succéder à ceux de la maladie de B
de Basedow. Elle expliquerait aussi comment, dans ces cas, certains symptômes relevant non plus d'une hyperthyroïdisation, ma
bes ou injections d'extrait. « S'il est vrai que, chez l'homme, les symptômes observés dans la maladie de Basedow relèvent ég
e et va impressionner les centres nerveux. Alors apparaissent les symptômes majeurs basedowiens, ceux de la période d'intolér
chexie mortelle ou par une période de tolérance et d'effacement des symptômes morbides. M. Jorr.noY. - Je suis heureux de voi
lle est la valeur des explications proposées pour rendre compte des symptômes de la maladie de Basedow ? La théorie de la séc
maladie par une insuffisance de cette sécrétion. En effet, tous les symptômes secon- daires de la maladie, tremblements, cont
ne troisième théorie pourrait être soutenue, on peut penser que les symptômes de la maladie dépendent de l'intoxication de l'
en intensif dirigé contre les accidents de myxoedème a provoqué des symptômes analogues à ceux de la maladie de Basedow, tach
s procédés usuels. Disons cependant que l'inges- tion détermine des symptômes immédiats et des symptômes tar- difs. Les premi
ependant que l'inges- tion détermine des symptômes immédiats et des symptômes tar- difs. Les premiers s'observent déjà une de
tremblement et de dyspnée qui duraient environ deux heures). Les symptômes tardifs ont consisté en une conjonctivite cons-
oses relativement faibles au début a présenté au maximum ces divers symptômes . Il a eu en outre de l'exophtalmie. Ces symptôm
aximum ces divers symptômes. Il a eu en outre de l'exophtalmie. Ces symptômes rappellent le tableau clinique de la maladie de
s son intégralité. En dehors de la repro- duction de la plupart des symptômes du goitre exophtalmique, il faut souligner la r
ourquoi une insuffisance thyroï- dienne, se traduisant par quelques symptômes de myxoedème, peut succéder à un goitre exophta
et sa fréquence a augmenté ces jours derniers, alors que les autres symptômes s'amendent et que l'état général s'améliore. L'
ens et autres animaux thyroidectomisés présentent parfois les mêmes symptômes que l'on attribue à l'hyperthyroïdisation dont il
uelles Morel donnait le nom d'épilepsie larvée; 2° la précision des symptômes , qui, en dehors de la connaissance des accident
ple, on a affaire à deux impulsifs, qui tous deux offrent les mêmes symptômes , tous deux ont eu le même délire, tous deux ont
her, besoin uniquement phy- sique, s'observe quelquefois comme seul symptôme (M. Pitres en rapporte deux cas); 2° Le besoi
tié des cas. Mais il y a d'autres causes que la syphilis. Parmi les symptômes cliniques, aucun n'est pathognomonique. Il fa
tance des hémisphères plus que l'écorce. Au point de vue clinique, symptômes de lésions en foyer (l'auteur a observé un cas d'
des reins. Au point de vue clinique. on observe une variabilité des symptômes , un état parti- culier d obnubilation intellect
art et le degré moins accentué, l'absence de marche progressive des symptômes intellectuels d'une part, il faut citer les 260
ant (soucis, surmenage). La perte - des réflexes pupillaires est un symptôme de lésion en foyer. Chez -l'animal ces réflexes
des idées délirantes et des états hallucinatoires. La mobilité des symptômes au début de la maladie est un signe im- portant
. VARIA. les actes de violence sont fréquents. On observe aussi des symptômes somatiques. On constate chez certains malades d
motrice, de la fuite des idées, des modifications de l'humeur, des symptômes de paralysie psychique ou motrice. La catalepsie,
trait à la moelle épinière. Observation I. - Paralysie générale, symptômes tabétiformes, mé- ningo-myélite diffuse. - Wele
tellectuels permettent de diagnostiquer la paralysie générale ; les symptômes médullaires par contre laissent soupçonner le t
totalement différente. L'observation est à peu près muette sur les symptômes qui ont dû accompagner autrefois l'évolution de
qu'il éprouvait à s'exprimer au moment où il a été vu. Les seuls symptômes qui aient attiré l'attention sur la moelle, à p
. des Hôp., 1893) ; il faut ajouter que le malade avait présenté un symptôme de la série tabétique, une ophtalmo- plégie tra
nt, car l'observation I, à défaut d'autres, nous montre combien ces symptômes de la méningite se distinguent difficilement de
t en simuler plusieurs. Il est également très possible que certains symptômes médullaires du tabes et de la paralysie général
n la température atteint 39°,4, puis redevient normale : les autres symptômes s'amendent. Au dixième jour état semi-comateux,
interne du frontal; mais comment expliquer l'apparition tardive des symptômes ? L'auteur admettrait plus volontiers que les t
l'influence immédiate des agents patho- gènes (microbes, etc.). Les symptômes et les lésions anatomiques sont, du reste, diff
: ni alcoolisme, ni saturnisme, ni maladie infectieuse. Les quatre symptômes cardinaux de la névrite se ren- contrent chez l
s de névrite. Actuellement l'affection est à l'état chronique : les symptômes moteurs prédominent; plu- sieurs muscles présen
me façon. Au point de vue clinique, il y a une grande similitude de symptômes entre l'hérédo- ataxie cérébelleuse et la malad
maladies du système nerveux, nous recherchons et portons remède aux symptômes morbides géné- raux, si bien qu'en ce sens tous
re. R. M. C. XXVI. Névralgie DU grand nerf occipital accompagnée DE symptômes D'UNE lésion DESTRUCTIVE DU sympathique cervica
l'opération les douleurs dis- paraissent, ainsi que tous les autres symptômes qui ont été signalés plus haut. Malheureusement
e physiologie pathologique four- nies par plusieurs auteurs que les symptômes observés se ratta- chaient à une lésion peu éte
part. LXIX, 1895, p. 54.) Homme de quarante-sept ans présentant des symptômes de mélancolie avec stupeur, et périodes alterna
la région cervi- cale de la moelle produisent un certain nombre de symptômes dus à une lésion du centre cilio-spinal. Ces fa
ie, n° 103. Archives, t. XXX. 21 J 322 SOCIÉTÉS savantes. les symptômes qui caractérisent cette maladie : épaississement
C'est le résultat de ce mode de traitement qu'il communique. Les symptômes dus au médicament se sont succédés ainsi : dé-
ion et le relèvement du poids dans les mêmes conditions. Tous les symptômes , en particulier la diminution du poids, l'élé-
iminution du poids, l'élé- vation de la température, la gravité des symptômes et partant la nécessité de la suppression du mé
t ans, et un peu moins chez la plus jeune. Parallèlement les autres symptômes ont été plus ou moins accusés. Les trois malades
des cavités .syringomyéliques secondaires. Mais, dans ces cas, aux symptômes cliniques de la syringomyélie s'ajoutent des ph
ramollissement de la névroglie néoplasiée; 2° quant à la genèse des symptômes cliniques connus sous le nom de dissociation sy
es syndromes simulateurs qui viennent fréquemment se surajouter aux symptômes des lésions organiques. Elle contribue ainsi à
On pourrait songer à la paralysie générale juvénile, mais bien des symptômes importants manquent : pas de signes oculaires,
ritable paralysie générale ne se serait pas déjà manifestée par des symptômes plus décisifs. Toutefois nous croyons prudent d
inés traitement de choix de l'état général il faut ajouter pour les symptômes locaux de dépression ou d'excita- tion la galva
ous la voyons pour la première fois en 1895, et nous constatons les symptômes suivants : contractions musculaires de la face
suel. : Le malade est rentré récemment à l'hôpital avec les mêmes symptômes d'anesthésie et d'hémianopsie qu'il y a probablem
liques. On ne saurait l'employer sous peine de voir apparaître les symptômes d'intoxication sous forme de convulsions, chez le
plus important est constitué par les variations de l'intensité des symptômes paralytiques. Ainsi, le malade est le matin bie
alysies généralement passagères. Dans un certain nombre de cas, les symptômes rétrocèdent en totalité ou en grande partie pou
le jeune âge des malades, le développement rapide et progressif des symptômes , le caractère particulier des paralysies, la fa
paralysies, la faiblesse des extrémités, la variation fréquente des symptômes , le ptosis, l'absence d'atrophie musculaire et
dans lesquelles les visions d'animaux, le tremblement, et d'autres symptômes caractéristiques font défaut. Au point de vue d
é de lésions dégénératives des fibres d'as- sociation. Le groupe de symptômes qui constituent les démences doit être considér
Pour ce qui est des affections mentales primaires, l'apparition des symptômes dits secondaires parait lié à la même lésion at
et Magnan (1873-1874), ceux de Charcot, qui ont montré que certains symptômes observés chez des alcooliques (hémianesthésie,
pas diagnostiquée, ses stigmates pouvant rester dissimulés sous les symptômes de l'alcoolisme ou du saturnisme. Sur 60 hommes
ultats par l'abstinence totale des boissons alcooliques : de graves symptômes hystériques peuvent complètement disparaître. D
changement d'entourage. 3° Délire des persécutés-persécuteurs comme symptôme se mon- trant au cours d'une paranoïa chronique
délirantes. Les autres enfants montrent combien chez les quérulents symptômes maladifs et réactions nor- males peuvent s'entr
En 1876, les troubles sen- soriels deviennent rares et faibles; le symptôme prédominant consiste dans une incohérence très
e la valeur du contenu de cet important ouvrage G. MARINESCO. IV. Symptômes spasmodiques et contractures permanentes dans la
ois' cliniques et anatomo- pathologiques. Etudiant la fréquence des symptômes spasmodiques et contractures dans la paralysie
logique du centre nerveux, de= paralytiques ayant présentés de tels symptômes . La méthode analomo-clinique amène ainsi l'aute
ujets traités par l'auteur sont les suivants : 1° Tremblement. Ce symptôme est étudié d'une part dans son ensemble, d'autr
et là, le ' voyant pour la première fois, nous constatons avec les symptômes aphasiques déjà signalés, une très grande faibl
on peut voir se développer des désordres psy- chiques, associés aux symptômes de la névrite multiple. - Ce syndrome neuro-psy
s périphériques (polynévrite), tantôt sur la substance cérébrale ( symptômes psychiques); quelquefois en lésant en même temps
de la mémoire, de l'idéation et de la conscience prédo- minent les symptômes d'une irritabilité psychique exagérée. L'altéra
e restauration des souvenirs. On peut admettre que le complexus des symptômes psychiques dépend principale- ment de troubles
du cerveau. Parallèlement aux troubles cérébraux se montrent les symptômes de la névrite multiple. a). Paralysie amyotroph
e la peau et des ongles, escarres au sacrum, aux talons, etc.). d). Symptômes généraux (troubles dyspeptiques, vomissements r
é de vomissements, d'anorexie, d'une faiblesse générale nolable, de symptômes sensilifs, sensibilité des nerfs à la pression,
à la pression, hypereslhésie cutanée. Les troubles cérébraux et les symptômes de la polynévrite peuvent se trouver associés e
les cas difficiles, il est toujours possible de découvrir quelques symptômes de la polyné- vrite et de l'amnésie, qui aidero
'intoxication alcoolique, dans laquelle elle débute souvent par des symptômes ressemblant au delirium tremens, suivis de para-
es des nerfs périphériques nous donnent une explication de tous les symptômes physiques. En se fondant d'autre part sur nos c
e toutes les autres, cliniquement par une intensité plus grande des symptômes , par la phase adynanuquequi succède promptement
tre considéré comme une maladie infectieuse grave dans laquelle les symptômes d'excitation et de trouble profond de la consci
d'excitation et de trouble profond de la conscience sont suivis de symptômes de dépression et d'un véritable état typhique g
néphrite qui est la cause de la folie, cette dernière n'étant qu'un symptôme mental de l'intoxication ,rémique aiguë ou chro
structure histologique font soupçonner une origine infectieuse. Les symptômes les plus importants pour le diagnostic de siège d
que de Lissauer. Aucune modification ne s'était pro- duite dans les symptômes de cécité. Autopsie. Hémisphère gauche. Oblitér
t. On peut expliquer le désaccord apparent entre les lésions et les symptômes observés par les altérations profondes du bourrel
à part un oedème double des papilles suivi d'atrophie, aucun autre symptôme ne pouvait faire supposer l'existence de la lés
ile cinq mois après : on ne constate pas d'atrophie musculaire. Les symptômes intellectuels consistent en une perte très accu
ion de l'usage de l'objet. Avec la disparition de la confusion, les symptômes d'asym- bolie deviennent plus nets; on constate
enait sur la façon de s'en servir. A ce moment on put constater des symptômes d'aphasie de con- duclibilité. L'auteur rejette
hale : son intelligence est normalement développée; il présente les symptômes habituels de la paranoïa. En outre il a manifes
réparations : chez un alcoolique chro- nique qui avait présenté des symptômes de névrite multiple, l'examen des cornes antéri
d'un groupe spécial de psychoses à forme anxieuse : dans ce cas le symptôme dominant est l'anxiété, et c'est lui qui donne
'analgésie du tronc du cubital à la pression. Cramer pensait que ce symptôme se rencontrait chez les trois quarts des paraly-
er douze fois sur cent aliénés non paralytiques. Associé aux autres symptômes de la paralysie progressive, le signe du cubita
oitié des cas chez les non paralytiques. Sans doute ce n'est pas un symptôme pathognomonique, mais combien y a-t-il de sympt
ce n'est pas un symptôme pathognomonique, mais combien y a-t-il de symptômes pathognomoniques ? Enfin le signe du cubital pe
prochainement dans une thèse. Il convient de signaler ici un autre symptôme de la paralysie SOCIÉTÉS SAVANTES. 491 généra
par Sa- ville, 67. Analgésie du tronc cubital cons- tituant un symptôme de tabes par llel'l1acki, 62. Anesthésie. Rap
la maladie et causes de la mort dans la -, par Heilbronner, 406. Symptômes spasmodiques et contractures permanentes dans
Serrey, 71. Tabès. Analgésie du tronc du cubi- tal constituant un symptôme de - , par Biernacki, 62, -, unira- diculaire
10 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t avec l'alimen- tation. Le lendemain, on note un troisième grand symptôme , la diplopie; cette diplopie empêche la malade
plus prononcée du côté droit du corps que du côté gauche. Tous ces symptômes évoluèrent chez la malade sans fièvre, et avec
yez qu'elle 4 CLINIQUE NERVEUSE. nous révèle cependant un nouveau symptôme très intéres- sant. Voyons maintenant l'état
t, bien que sa mémoire soit en grande partie conservée. Quant aux symptômes fonctionnels si importants qui étaient apparus,
ons. Je tiens aujourd'hui, et dès maintenant, à vous souligner un symptôme clinique très intéressant présenté par notre ma
on précoce des réflexes particulièrement des réflexes rotuliens. Ce symptôme s'ac- compagne de phénomènes surtout sensitifs,
iculaire. Enfin, mais rarement, on pourrait observer (Hoffmann) des symptômes tabétiformes plus précis : incoordination, sign
vaient pensé quelques auteurs au début de leurs recherches. Le gros symptôme révélateur, celui qui doit éveiller l'attention
n hésite parfois un peu, avant de saisir un objet; mais, tous ces symptômes sont bien contingents, et ils peuvent, pour une
le côté clinique de son ouvrage. L'auteur en question regarde comme symptôme détermi- natif des formes catatoniques les trou
piques, qui se joignent à la maladie mentale où entrent aussi les symptômes d'excitation motrice et les symptômes de l'enlè-
mentale où entrent aussi les symptômes d'excitation motrice et les symptômes de l'enlè- vement de la fonction. Ces derniers
atonie, dit-il, est une maladie de cerveau à cours cyclique, où les symptômes psy- chiques présentent consécutivement un tabl
pendance de la forme en question, donnent une autre explication aux symptômes et tracent autrement les phénomènes cardinaux [
- dives. Outre les cas de catatonie pure, Schüle admet encore des symptômes catatoniques dans le cours d'autres psycho- ses
du côté de la sphère motrice pas- sive on peut constater un nouveau symptôme en aspect d'une cata- lepsie. Si l'on tire le m
e confusion mentale, un délire, des illu- sions sensorielles et des symptômes d'inhibition et d'excitation motrice. On observ
uée à son entrée, s'accroit à vue d'oeil et conformément à cela les symptômes catatoniques aussi. Au mois de janvier de l'ann
5), le ÉTUDE DE LA DÉMENCE CATATONIQUE. 23 malade manifestait des symptômes de mélancolie, un délire d'auto-accusation, mai
ui- vants : 1° le délire pas tout à fait caractéristique ; 2° les symptômes d'atonie ensemble avec des symptômes d'excita-
fait caractéristique ; 2° les symptômes d'atonie ensemble avec des symptômes d'excita- tion motrice (rire, grimaces); 3° le
. C'est justement la prédominance des troubles moteurs aigus avec symptômes d'inhibition dans la région psycho- motrice, qu
DE LA DÉMENCE CATATONIQUE. 25 Alexander, où il présentait les mêmes symptômes qu'à son entrée à l'hôpital de Préol)i,af,enslç
ujours avec la prédominance d'un fond basi- laire de démence. Ces symptômes , tantôt d'un état maniaque, tantôt d'un état mé
périodique dans le cours de laquelle pouvaient aussi apparaître des symptômes catatoniques. Vu le commencement atypique de
arant le cours de la maladie de nos deux cas, malgré l'identité des symptômes , nous y voyons une grande différence ; tous les
maladies mentales. Dans le but d'un diagnostic dilféren- tiel, les symptômes catatoniques qui compliquent l'amentia de Meyne
30 . CLINIQUE MENTALE. Dès le premier temps, on observa déja des symptômes de négati- visme : la malade refusait de prendr
a- rait très facilement dans les mains. Salivation ,très marquée. Symptômes dégénératifs très graves. - Au mois d'août en 1
s. L'appétit est bon et elle ne diminue pas en piods. Quoique les symptômes catatoniques existent indubitable- ment dans le
s le cas donné, mais ils n'apparaissent ici qu'épiso- diquement. De symptôme primaire-cardinal sert la confu- sion mentale a
onie font deux objections, à savoir : pr mlènemrnt, l'existence des symptômes catatoniques dans d'aul1't's mala- dies mentale
objection n'a pas beaucoup d'importance, car les uns et les autres symptômes dépendent de la 1", alisalion des troubles fonc
nt sans l'altération de tous les 11O'II-'S psy- chomoteurs, sert de symptôme déterminatif. Ér'UDE DE LA DÉMENCE CATATONIQUE.
lexe, le divise en phénomènes. différents ; il rapporte les uns aux symptômes d'excitation, contractions cloniques et tonique
contractions cloniques et toniques, verbigération ; les autres aux symptômes d'inhi- bition, atonité ; les poses habituelles
ela que Kahlbaum devait se contenter seulement par l'indication des symptômes , sans s'arrêter d'une maniée plus précise sur l
nn (22) font un essai d'approcher de plus près la- pathogénie des symptômes catatoniques, en envisageant l'excitalion des g
génie des différents phénomènes catatoniques ? Prenons le- premier symptôme catatonique, l'enchaînement moteur, la discénés
nous décidons à affirmer tout le contraire, à savoir : ce sont, des symptômes d'innervation corticale incomplète, c'est-à- di
complète de la sphère motrice corticale. En outre, c'est surtout le symptôme de « verbigération » qui contredit beaucoup à l
elle peut être provoquée par des hallucinations, mais pour que ce symptôme soit stable, un certain degré d'inhibition de l
la catalepsie dans l'amen- tia de Meynert, ce n'est pourtant pas un symptôme céré-' bral commun, mais un symptôme local. Che
nert, ce n'est pourtant pas un symptôme céré-' bral commun, mais un symptôme local. Chez les malades se trouvant en état de
de disjonction de l'écorce cérébrale avec ses conducteurs, c'est un symptôme de prédominence des centres sous-corticaux et s
ogiques, nous envisageons l'atonité et les poses stéréotypes, comme symptôme d'affaiblissement de la fonction corticale. Pou
st indubitable que le rire non motivé doit aussi être regardé comme symptôme de l'affaiblissement de l'activité corticale. S
affaiblissement de l'activité corticale. Souvenons-nous que ce même symptôme se rencontre aussi, mais dans une forme moins m
point de nécessité à prouver que le négativisme présente aussi un symptôme d'inhibition corticale. L'une ou l'autre excitati
tivisme partiel, à savoir : au mutisme. Nous passerons à présent au symptôme suivant qui est le plus difficile à expliquer d
tion de la catalep- sie il faut des conditions à part en forme d'un symptôme local, avec une localisation- dans la région ps
une localisation- dans la région psycho-motrice. Si ce n'est pas un symptôme de l'enlèvement de la fonction, alors tout de m
s un symptôme de l'enlèvement de la fonction, alors tout de même ce symptôme indique sur une modifica- tion fonctionnelle, p
ec une démarche spastique très marquée. Il est connu que c'est un symptôme ordinaire d'affaiblissement de l'innervation co
lytique (voyez nos Leçons cliniques, vol. II, p. 153- 154) comme un symptôme du trouble de la synergie des centres corticaux
rouble de la synergie des centres corticaux. Tout aussi bien que le symptôme stable de l'enlèvement de la fonction peut être
out le syndrome catatoïde peut être parfaite- ment expliqué par des symptômes d'inhibition ou par l'in- suffisance de l'inner
te dans le cours de la catatonie -une certaine variation définie de symptômes , avec constance d'un seul symptôme cardinal et
e certaine variation définie de symptômes, avec constance d'un seul symptôme cardinal et avec une issue terminale constante.
t sur Psychiatrie. Bd. LV. S. 60. 25. - Freusberg. Ueber motorische symptôme bpi einfachen Psychosen. Archiv sur Psychiatrie
iminution de la compres- sion intérieure a probablement modifié les symptômes les plus importants. Dans un cas publié en jauv
DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. question de troubles psychiques. Les symptômes cliniques obser- vés sont expliqués par la lési
agération des réflexes rotuliens et achilléens. Malgré ces derniers symptômes et le début en apparence articu- laire de l'aff
ideur, rendaient la marche impos- sible. Notons encore comme autres symptômes une exagération des réflexes rotuliens, de la t
depuis dix ans, un cas qui présentait, dans toute leur pureté, les symptômes que Déjerine, Lichtheim, F. Bernheirruet d'autr
permet à M. Ladame d'émettre les conclusions sui- vantes : 1° Les symptômes que l'on a considérés par erreur comme carac- t
PATHOLOGIE NERVEUSE. sont, dans les diverses formes d'aphasie, les symptômes ou parti cularités qu'il faudra rechercher. i
parti cularités qu'il faudra rechercher. i Ji A. Purctphémie.-Les symptômes principaux sont la dysphémie la dyslexie, la dy
émie la dyslexie, la dyséchophémie motrice. ' B. Pamg1'aphie. Les symptômes principaux sont : la dysgra- phie ou écriture s
symp- tômes des deux affections. ' D. Paracécité verbale dont les symptômes sont la dysopsie, la dyslexie, la dyscopie sens
slexie, la dyscopie sensorielles. ' E. Parasurdité verbale dont les symptômes sont la dysacousie, la dyséchographie, la dyséc
dépend de ses propriétés électrolytiques : n) la disparition des symptômes objectifs d'une affection locale s'effectue par l
80 centig.), qui a toujours eu un effet sé- datif sans provoquer de symptômes fâcheux. Environ vingt-huit heures après la der
ifester même après une première dose de sulfonal ou de trional. Les symptômes ordinaires sont les vomissemenis, l'incoor- din
et à faible tension. Sur dix cas dans lesquels l'auteur a noté ces symptômes , il y en avait huit où le sulfonal avait été do
que l'épileptique présente d'autant moins bruyants ou apparents les symptômes du haut-mal qu'il tend plus à se rapprocher du
ntôt irritable, mais sans délire spécial. « Au milieu de ces divers symptômes les troubles de motilité étaient apparus, carac
esse, fait d'une haute signification en pareille matière. Parmi les symptômes relevés par le médecin traitant chez le .mari,
et uniquement men- tal, y est affirmé par la dépendance étroite des symptômes à un mécanisme psychique : la suggestion et la
on pourra 'obtenir la guérison instantanée. Ainsi deux groupes de symptômes pathologiques apparaissent : d'un coté les organi
upuleuse, édifiée sur une définition, revisera la classification de symptômes qui n'appartiennent pas à l'hystérie et établir
GRAVE-CL9Y. 136 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. II. Les rapports des symptômes mentaux avec les maladies soma- * tiques; par N
ment donné à leurs idées délirantes. Il. DE Musgrave-Clay. V. Les symptômes pupillaires chez les aliénés et leur valeur; par
tandis que dans ces deux dernières maladies les deux grou- 'peso de symptômes peuvent se rencontrer. On s'occupera spéciale-
ment ici de la paralysie générale, L'auteur rappelle les différents symptômes pupillaires observés dans cette maladie, et il co
ncolie, intermittente que communs dans la mélancolie simple. Enfin, symptôme très important, les accès successifs sont ident
as actuellement l'hystérie comme une affection psychiqne ayant pour symptômes principaux l'affai- blissement de l'aptitude à
oit nettement manifestée qu'à l'âge de neuf ans par l'apparition de symptômes cérébraux graves, les signes de dégénérescence
s'agit d'un homme de quarante-neuf ans, entré à l'hôpital avec des symptômes insolites d'urémie cérébrale, empruntant le doubl
- tiques, et cette défaillance de leur génitalité est même un des symptômes capitaux de la glycosurie. La présente observatio
ènes paralytiques. Les troubles de la mémoire vinrent compléter les symptômes carac- téristiques d'une psychose polynévritiqu
et musculaire, qui porte le nom de polynévrite, d'après l'un de ses symptômes les plus visibles (Annales médico-psychologique
s, qui surviennent assez fré- - quemment, L... manifeste plutôt des symptômes de démence épi- leptique (apathie, confusion de
a fièvre typhoïde atteignant un individu sain, peut le laisser sans symptômes psychiques, ou provoquer, au contraire, tous les
ébut. ' . M. Ballet. La paralysie générale débute parfois par des symptômes pouvant faire penser à la folie intermittente qu'
, lorsque le lendemain ou le surlende- main apparurent les premiers symptômes de l'hystéro-trauma- tisme. ' - Il était nett
es deux questions restées dans l'urne étaient les suivantes : 1° a) symptômes et diagnostic du cancer de l'esto- mac. b) phle
.... femme Gro..., 45 ans, entrée le 10 avril 1903. Dès son entrée, symptômes de paralysie générale à forme maniaque, avec si
'épilepsie, ne seraient que des épilepsies vraies accompa- gnées de symptômes de lésions organiques elles-mêmes consécutives
érum de ce mouton à d'autres chiens provoquer chez cenx-ci certains symptômes tétaniques qui, suivant lui, semblaient indique
t polypnée sur- tout, qui ont été longtemps désignés sous le nom de symptômes précoces de la thyroïdectomie. (La confusion ét
, on les enlevait presque toujours avec elle, et aussi à ce que les symptômes dus à leur 230 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOG
PATHOLOGIQUES. extirpation emportent souvent l'animal avant que les symptômes de la thyroïdectomie n'aient eu le temps d'appa
usqu'à leur mort, et qui présentèrent une émaciation marquée et des symptômes de cachexie, mais chez lesquels la mort sembla
résultats varia- bles : que tantôt elle tuait les animaux avec des symptômes très aigus; que tantôt au contraire, elle les l
jeunes avec apparition lente du myxoedème. On savait aussi que les symptômes aigus survenaient chez les carnivores ou les om
ient par la diète hydrocarbonée. Gley, plus tard, mon-, tra que ces symptômes aigus peuvent être produits chez le lapin en ex
a thyroïdectomie produisant lemyxoedème, la parathyroïdectomie, les symptômes tétaniques aigus. Pour cer- tains auteurs cepen
hiens parathyroïdectomisés présentent, au bout de peu de jours, des symptômes d'agitation et d'anxiété, avec ça et là de légè
yro-parathyroïdectomie, on transfuse du sang d'un chien normal, les symptômes disparaissent rapidement ; et évi- demment cett
feste pas dans le cas de thyroïdectomie partielle : selon lui, les symptômes de la parathyroïdectomie sont dus surtout ;à ce q
tre chien parathy- roïdectomisé et en violente tétanie ; mais aucun symptôme téta- nique ne se montra. Ce résultat négatif p
- ment à l'esprit qu'il pouvait exister quelque maladie ayant des symptômes analogues à ceux de la parathyroïdeetomie ; et ce
pulmonaire intercurrente. Et de ce fait, il existe bien, entre les symptômes de la maladie et les symptômes expéri- mentaux,
e ce fait, il existe bien, entre les symptômes de la maladie et les symptômes expéri- mentaux, certaines analogies, mais moin
utre ; et d'autre part, la thyroïdec- tomie partielle ne produit de symptômes que sous l'influence de fatigues spéciales, tel
auteur dans un certain nombre de cas. Dans huit d'entre eux, où les symptômes étaient modérés et où un lobe entier de la thyr
s seulement. où la mort survint du fait même de la maladie avec des symptômes d'une très grande intensité, on ne put trouver
ence et à la disparition de ses cellules. Cela veut-il dire que les symptômes sont ceux d'une insuffisance parathyroïdienne ?
'abord le diagnostic de sclérose latérale amyotrophique à cause des symptômes diffus d'atrophie musculaire observés qui prédo
en outre que les douleurs rachi- tiennes semblent précéder tous les symptômes . Elles précèdent le tassement et le rapetisseme
considérable avec les mensurations et descriptions nor- males. Les symptômes mentaux aigus et nouveaux ont disparu, laissant
rhée chronique des aliénés est presque toujours, sinon toujours, le symptôme d'une entérite tuberculeuse. L'étude bacté- rio
Berme, juin-août 1903). asiles D aliénés. 251 IV. De la nature du symptôme : trichotillomanie chez les aliénés ; par J.-F.
cerner en 1904. Prix M&eme ? Question : Valeur diagnostique des symptômes oculaires aux différentes périodes de la paraly
ation d'ivresse, troubles de la mé- moire. Après avoir rapporté les symptômes nerveux, les auteurs insistent sur certaines pa
un développement - défectueux et inégal des centres psychiques. Des symptômes pareils ne sont pas trop rares chez les enfants
p- porteur compte assez caractéristique pour le lues cérébral les symptômes suivants : la somnolence, le trouble de mémoire d
n innattendue et la 262 SOCIÉTÉS SAVANTES. disparition subite des symptômes isolés sont possibles à ce qu'il paraît, non se
sychique n'est pas caractéristique pour le lues cérébral et que ces symptômes peuvent aussi se ren- contrer dans de bien diff
Prix Aubanel. - 1.000 francs. Question : Va- leur diagnostique des symptômes oculaires aux différentes pério- des de la para
-il presque constamment au cours de son évolution de ces pénibles symptômes ? z Quelles sont dans le cas particulier, comme
partir de ce moment l'évolution devint plus rapide et une série de symptômes nouveaux firent leur apparition. En mai 1903, l
nes dyspnéiques et la toux chez cette malade. Doit=on attribuer ces symptômes pulmonaires, malgré la pleurésie antérieure, à
phé- nomènes douloureux et l'oedème du bras persistent; puis les symptômes de généralisation s'accentuent, le bras droit, le
e sont en jeu. Ici la cause est nette et vous avez vu débuter les symptômes nerveux en même temps que la tumeur; leur évolu
ronculaires par compression. Si nous reprenons l'analyse des divers symptômes , nous arriverons à localiser exactement ces lés
augmente et l'oedème s'installe ; de plus à ce moment un cortège de symptômes nouveaux entre en scène : ce sont d'abord des c
ésions ne sont pas telles qu'on-aurait pu le supposer d'après les symptômes présentés. Au-dessous de la compression la dégé
unilatéralité ou au moins la prédominance unilatérale, l'absence de symptômes Fi ! ]. 10. Coupe verticale de la figure précéd
que beaucoup plus tard. Retenons donc celle apparition précoce des symptômes douloureux radiculaires. Par quelles raisons
phénomènes médullaires et radiculaires. Rappelons-nous aussique ces symptômes douloureux sont souvent prédominants d'un côté
e cancéreuse intéressant les racines rachidiennes et provoquant des symptômes douloureux et moteurs à origine radiculaire. La
vcs, lancinantes, s'irradiant dans les membres; chaque fois que les symptômes médullaires ne seront pas là pour vous diriger
e la littérature médicale). Généra- lement, elles surviennent comme symptôme initial, quelques mois ou quelques années avant
qui en donne l'explication suivante. La malade pré- sente d'autres symptômes dont l'existence éveille l'idée d'un pro- cessu
ompagnant ni de démangeaisons,ni d'au- cun phénomène subjectif. Ces symptômes montrent que cette femme syringomyélique est en
e-deux ans, dans l'observation de laquelle on relève les principaux symptômes suivants : céphalée intense, crises convulsives
sté six mois à la suite d'une néphrite probablement typhiquc. A ces symptômes s'ajoutaient des signes d'irritation des méninges
lerc publie l'observation d'un malade ayant présenté les principaux symptômes suivants : le syndrome cérébelleux dans ses gra
mo-anesthésie des membres et du tronc du côté droit du corps. Çes symptômes pouvaient faire considérer le malade comme un c
aire. , Cette topographie de la lésion rend compte des principaux symptômes observés. ' Ce syndrome cérébelleux a donc été
eux d'origine bulbaire. G. Carrier., XXVII. Tumeur cérébrale avec symptômes d'immobilité ; par 11. L. 1)oR (Société nationa
nte un malade qui est atteint d'une tumeur céré- brale et qui a des symptômes de la maladie connue chez le cheval sous le nom
é. Le malade a une double stase papillaire ; mais en dehors de ce symptôme rien n'indiquerait l'existence d'une tumeur céréb
mouvements volontaires l'ont amélioré. En comparant ces différents symptômes avec ceux de la maladie de Thomsen, et devant l
rdinatrice sont altérés. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ' 327 - Le symptôme important est la différence du temps de réaction
oxiques tétaniques. G. Carrier. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. XLV. Symptômes hystériques de la folie simple ; par F. Nissl..
ient tirées du néant. Nous en sommes toujours réduits à l'étude des symptômes : l'habileté consiste à distinguer entre les sy
l'étude des symptômes : l'habileté consiste à distinguer entre les symptômes essentiels et les symptômes acces- soires, entr
abileté consiste à distinguer entre les symptômes essentiels et les symptômes acces- soires, entre les stigmates propres et l
aticien demeure toujours, pour établir son diagnostic, réduit - aux symptômes du moment.» L'obnubilation crépusculaire ne peu
he). Il n'y aurait donc pas lieu en présence d'hallucinations et de symptômes de lésions en foyer surajontés au tableau cliniqu
nique composé d'un ensemble de REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 33d 5 symptômes psycho-moteurs dont le terme capital serait le né
, toxique, avec un début et une marche bien nets, dans laquelle les symptômes varient suivant la force de résistance du sujet
sujet, mais sans que l'on voie jamais manquer un certain nombre de symptômes caractéristiques qui sont les suivants : période
suite ce qu'il entend par manie d'adoles- cence et constate que les symptômes ont une similitude frappante avec ceux de la ma
) Il y a une quinzaine d'années, Korsakow a décrit un ensemble de symptômes qui se rencontrent très fréquemment chez les RE
yné- vritique, et plus tard de cérébropathie psychique aiguë. Les symptômes principaux de cette maladie sont- outre la polyné
simplement comme un syndrome, il n'en est pas moins vrai que les symptômes associés qui la constituent se rencontrent dans u
luence d'un dérangement cérébral, car elle avait déjà manifesté des symptômes d'abaissement des facultés mentales. Ii y a que
icile. Pour faire ce diagnostic nous pouvons nous appuyer sur des symptômes psychiques et sur des symptômes soma- tiques.
c nous pouvons nous appuyer sur des symptômes psychiques et sur des symptômes soma- tiques. Les symptômes psychiques consis
des symptômes psychiques et sur des symptômes soma- tiques. Les symptômes psychiques consistent en troubles démen- tiels
grande place dans les préoc- cupations du médecin aliéniste. Les symptômes oculaires sont d'une recherche relative- ment f
e dernier nombre 13 paralytiques généraux qui n'ont pas présenté de symptômes oculaires, elle indique tout simple- ment que n
simple- ment que nous avons observé 15 malades chez lesquels les symptômes oculaires n'existaient pas encore. Quoiqu'il en
OCULAIRES DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 357 î tour irien sans que ce symptôme soit accompagnée de paralysie ou de parésie du
plus affaiblis, mais tout à fait normaux. Ces cas de rémission des symptômes oculaires sont peu fréquents, et n'ont été que
ue la paralysie de l'accommodatiou ne nous semble guère être un des symptômes oculaires de la paralysie générale. , Et, si
parésies ou paralysies musculaires nous avons trouvé également des symptômes tabétiques (douleurs fulgurantes, incoordinatio
ses l'altération cellulaire parait avoir un rapport défini avec les symptômes mentaux de la maladie où on l'observe, dans l'a
inq jours après l'injection et trente-six heures après le début des symptômes . G. Carrier. Le système nerveux et ses réserves
s. On ne s'est jamais aperçu qu'il eut le ver solitaire. Le premier symptôme a été une céphalalgie sans fièvre, qui s'aggrav
lle n'a amené aucune séda- tion passagère sans améliorer les autres symptômes . G. C. XXXXIV. Corps étranger du cerveau; par M
par leur marche lente. Ils appellent en outre l'attention sur deux symptômes en particulier : la douleur locali- sée a la pr
ustriel continu, d'une force électro- motrice de 500 volts. , Les symptômes présentés par le malade, revenu à lui au bout d
o-labié et hélJ11-aneslhésle sensitivo-sensorielle superposée ; les symptômes ont diminué pio- gressivement et un mois après
la classification de Griesinger, et se baser pour l'établir sur les symptômes , mais en faisant aussi la part de l'étiologie (
que la démence y est progressive et peut remplacer tous les autres symptômes , soit que, comme on l'admet généralement, elle
ladie, soit qu'on la consi- dère comme une conséquence des premiers symptômes plus aigus. L'analogie de l'hébéphrénie avec la
qui nous occupe, pour lui attribuer une autre valeur que celle d'un symptôme de troubles mentaux généralisés. R. de lIIUSGU.
er 1903.) - Il s'agit d'une fillette de quatre ans qui présenta les symptômes du tétanos vingt-huit jours après une vaccinati
r le fonctionnement de la cellule nerveuse, mais non pas donner aux symptômes mentaux le caractère d'un" âge ou d'un autre. 7
a proposition suivante : « Au début d'une maladie mentale aiguë les symptômes « mentaux précèdent-ils les symptômes physiques
une maladie mentale aiguë les symptômes « mentaux précèdent-ils les symptômes physiques, ou bien les « choses se passent-elle
mique; par M. Ch. Féré. M. Féré a observé le fou rire comme premier symptôme dans des cas de chorée dont il rapporte l'obser
nt normale. Il y a trois mois l'auteur revit cette malade, dont les symptômes s'étaient aggravés ; elle présentait une atroph
générale; 4° Qu'avec ce procédé, le risque de conséquences ou de symptômes fâcheux est moindre; G0 Qu'1 cause de la variabil
cité apparaissant dans le tabes empêche l'apparition ultérieure des symptômes spinaux ordinaires, des douleurs et des trouble
troubles spinaux et les troubles visuels du tabes semblent être des symptômes de deux localisations distantes d'un même proce
ontre comment les altérations histologiques peu- vent expliquer les symptômes observés. De l'ensemble des nombreuses recherch
ations chroniques (urémie). Elles correspondent cliniquement ci des symptômes d'affai- blissement intellectuel. , 2° Des al
e joint d'ailleurs au dégoût de travail consti- tuait peut-être les symptômes avant-coureurs d'une paraly- sie générale au dé
ue émotif, angoisse peu prononcée, plus souvent gaieté du buveur. Symptômes physiques principaux, tremblement des mains et
générale font habituellement défaut. En considérant les nombreux symptômes psychiques et physiques de ces deux, psychoses
isé et hypoesthé- sie cutanée ; en un mot présentant l'ensemble des symptômes du delirium tremens. Le 26, après un long somme
lement à son paroxysme, elle manifesta une anesthésie pro- fonde, symptôme faisant plutôt partie du tableau du délire trem
ns visuelles, l'exagération du tremblement, tout cet ensemble des symptômes cliniques du delirium tremens succède au délire
la réalité, était dou- teuse mentalement, la malade présentait les symptômes caracté- ristiques de la démence alcoolique (pa
alcoolique (paramnéie). On s'est souvent demandé s'il existait des symptômes psychiques constants qui REVUE D'ANATOMIE ET DE
s tumeurs cérébrales. La réponse est forcément négative,pusique les symptômes dépendent du siège de la tumeur, de son volume,
umeurs qui empié- taient sur les lobes frontaux s'accompagnaient de symptômes psy- chiques très marqués, et qu'une forme spéc
ite reste normale et régulière. Rail a donné l'instabilité comme un symptôme de tumeur cérébrale, permettant le diagnostic dif
la neurasthénie, de l'intoxi. cation saturnine et de l'urémie, les symptômes mentaux et physi- ques pouvant dans ces divers
les modifications des émotions et de la volition, il n'existe aucun symptôme qui soit caractéristique de la présence d'une t
s le terrain de choix est manifestement l'hystérie; il est peu de symptômes de cette maladie que la suggestion hypnotique ne
sicatoires sur le cuir chevelu. Ces différents cas présentaient les symptômes suivants, relevant ' Opinion ancienne, soutenue
ipier. En somme, si on se trouve en présence d'un malade dont les symptômes semblent se rapporter à la période prodromique de
st aussi réparateur que le sommeil naturel, et si le soulagement du symptôme insomnie n'est pas trop chèrement acheté par un
les physiques : 5 observations. 4" groupe : Disparition absolue des symptômes physiques et men- taux, rechutes cédant sous l'
ées à une ostéo-arthropathie. probablement syphilitique et dont les symptômes sont nets actuellement. Névralgie du trijumeau
o-molrice à marche chronique. , MM. Déjeune et EGGER. Comme premier symptôme , l'appari- tion de douleurs fulgurantes dans la
lition des réflexes rotuliens et achilléens. Mais ces deux derniers symptômes sont tributaires de la paralysie musculaire. Pa
pendant leur séjour au patronage, ne présentaient t pas autant les symptômes de leur maladie fondamentale que des pseudo-sym
c des phéno- mènes très marqués de paralysie générale, les premiers symptômes de laquelle se manifestèrent deux ans de cela.
ception et, par conséquent, se rapporte aux actes d'association. Le symptôme , noté chez le malade, présente une idée délirante
ité de cette maladie là où Esquirol et Calmeil n'avaient vu que des symptômes . Les idées de Kroepelin ont soulevé de multiple
ladie de l'affectivité : l'indifférence BIBLIOGRAPHIE. 513 est le symptôme primordial de l'affection, les malades per- den
die. La démence précoce débute par une phase prodromique dont les symptômes peuvent simuler ceux de la neurasthénie. Cepen-
entz, 399, Aliénés. Les - en liberté, 92, 268, 350, 'ri, 525. Les symptômes pu- pillaires chez Ins-et leur valeur, par Co
osses, par Decroly, 08. )1 \LADIES somatiques. Les rapports des symptômes mentaux avec les , par Haw, 136. L'élément, his
Silfonal. Un cas d'empoisonne- ment par le , par Alexander, 76. Symptômes mentaux. Voir Maladies somatirliies. pupillaire
r le Dr Guilitz, p,u- ],;endr\'l'k. 64. - c¡lrM1t'<lle 11\'I'C symptômes (l'immobilité, par Dur 323. Un cas de - cérébra
11 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
ière nous échappe » (Dieulafoy) et que la constatation d'un nouveau symptôme aidera peut-être à mieux comprendre la pathogén
autre (3). « Il nous faut signaler, disent ces derniers auteurs, un symptôme particulier bien évident, consistant en une élé
ET PIERRE-WEIL Notre malade elle-même n'a jamais éprouvé le moindre symptôme morbide jusqu'au début de l'affection actuelle
il ne s'agit que d'un arrêt de la ma- ladie ou d'une atténuation de symptômes , jamais de guérison complète ; très fréquemment
n de sérum antidiphté- rique. Si donc une amélioration légère des symptômes , obtenue par le traite- ment syphilitique, ne p
goutte. Ann. médico-chirurg., 1885, n° 6. (2) Cousin, De quelques symptômes communs au rhumatisme chronique el aux affections
ntre la respiration est assez libre. La tumeur n'a pas déterminé de symptômes indiquant la participation du sympathique cervi
. Ce trouble s'est constitué peu à peu en même temps que les autres symptômes morbides ; ;'depuis un an son état est à peu près
s mettre justement à l'abri d'uue interprétation erronée. Plusieurs symptômes cliniques en effet avaient entraîné des chirurgie
ielle de la Ille ou IVe vertèbre cervicale. Nous avons relaté ces symptômes et nous les pouvons résumer ainsi : en- taille
bles vont en augmentant peu à peu en même temps que surviennent des symptômes d'insultisance fonctionnelle du voile du palais
-traumatique. En effet, les médecins consultés en se basant sur les symptômes cliniques que nous avons rappelés, avaient port
bypertrophique il y a une période initiale très douloureuse et les symptômes paralytiques se cantonnent surtout dans le territ
à l'évolution du syndrome myopathi- que qui est caractérisé par des symptômes bien différents, qui font défaut ici. Ajoutons
liose cervico-dorsale présentée par la malade, mais tous les autres symptômes sont négatifs. Toute forme de gliose de la moelle
ler encore que dans notre cas le tableau morbide est dominé par des symptômes bulbaires. L'on sait à ce propos que certains a
ivit deux cas depolyomyélite chronique à début scapulo-homéral avec symptômes bulbaires, mais sans comparlicipation des muscl
ébut scapulo- huméral, avec participation des muscles delà nuque et symptômes bul- baires. L'histoire clinique est suivie p
ous les autres nerfs crâniens sont indemnes, il est certain que les symptômes bulbaires présentés par la malade tombent sous
t qui s'imposent, pour ainsi dire, par l'extério- risation de leurs symptômes , à l'attention des médecins, et dont l'étude a
t l'ataxie ; sans doute aussi au début de l'apparition des premiers symptômes on peut dire que la crampe des écrivains notam-
récédée de phénomènes paralytiques. Les souris présentent les mêmes symptômes , mais plus rapidement et avec une intensité plus
as de tabagisme. Aucune intoxication chronique; pas de signes ou de symptômes de pellagre. Début et marche de la maladie. - D
apoplectique suivi de coma sans pouvoir bien déterminer les autres symptômes et surtout si l'ophtalmoplégie s'est manifestée c
et de même l'existence d'une tumeur, la malade ne présentant aucun symptôme plausible pour cette dernière hypothèse. Donc, il
ante et saine ; nous l'avons visitée et elle ne présente le moindre symptôme d'achondroplasie ; somatique- ment normale, ell
normal. Les té- guments sont aussi d'aspect normal ; il n'y a aucun symptôme de dysthy- roïdie quoique la glande thyroïde so
mon cas faire une étude complète de l'échange matériel, et ce seul symptôme ne nous permet aucunement de faire un rapproche
l normal ou légèrement enfantin ; dans quelques cas il y aurait des symptômes d'infantilisme conclamé et même d'imbécillité.
éparable du diagnostic de cette affection, mais aussi parce que les symptômes cliniques de la malade de Schrumpf et sur- tout
de l'existence des mécanismes réflexes. L'aboulie et bien d'autres symptômes nerveux restent physiologiquement incompréhensi
MAGE DE LÉPINAY . nier (17). La crampe, remarque cet auteur, est un symptôme fréquent, parfois initial, du mal de Briht. Che
étude ; la face se congestionnait ; il devenait irascible. Tous ces symptômes disparaissaient par le repos ; néanmoins son ca
so-lombaire. Les médecins consultés à cette époque, en présence des symptômes présentés par le malade : atteinte des petites
ses occupations habituelles. Peu à peu s'ajoutèrent encore d'autres symptômes plus alarmants : il remarqua en effet que sa dé
ant tout sur le système osseux, il y a d'autres lésions et d'autres symptômes qui sont loin d'être négligeables chez notre ma
llaire se trouve en rapport avec le neurone cortical. L'étude des symptômes particuliers des troubles trophiques dans les m
phénomènes observés dans les hémiplégies d'origine cérébrale où les symptômes morbides apparaissent, quoique à un degré plus fa
ond volontiers aux questions qu'on lui adresse. Nous constatons les symptômes suivants : la mémoire est intacte et même conse
nations sont bilatérales. Au point de vue physique on constate les symptômes suivants : les appa- reils circulatoire, respir
ns, d'une famille névropathique. Depuis longtemps elle présente des symptômes d'hystérie grave (entre autres, vomis- sements
dont on supposait l'existence en se basant non seu- lement sur les symptômes cliniques, mais aussi sur les résultats de la rad
eure droite ces- sèrent, mais, au dire de la malade, survinrent des symptômes de lésion trau- ,matique de diverses racines du
Pourtant, il y a deux mois, les douleurs, aussi bien que les autres symptômes , reparurent. La malade eut recours aux mêmes mé
s après, c'est à peine si l'on pouvait en percevoir les traces. Des symptômes névritiques il ne restait plus qu'une certaine
ageaient, évidemment, la prétendue côte cervi- cale comme cause des symptômes névritiques. L'image radiographique, actuelle (
us grand nom- bre de cas, les côtes cervicales ne fournissent aucun symptôme ni du côté du plexus brachial, ni du côté des v
ôté du plexus brachial, ni du côté des vaisseaux sous-claviers. Ces symptômes se manifestent tout au plus dans la proportion
t organiques du système nerveux, sans provoquer par elles-mêmes des symptômes BORIIAIiDT (9), MARBURG (10), Lévi (11), REUTER
G) (14). C'est ainsi que MARBURG décrit un cas d'hystérie, dont les symptômes simulaient la compression du plexus par la côte
rarement que les côtes cervicales déterminent par elles-mêmes, des symptômes dus à leur longueur et à leur direction; dans c
symptômes dus à leur longueur et à leur direction; dans ces cas,les symptômes de la compression du plexus existent dès ï en fan
), Fischer (2), IEETLEr(3), SYrJARNV (4)1; mais le plus souvent ces symptômes ne se développent qu'à l'âge adulte (par exemple
eut noter que souvent le traumatisme précède le dé- veloppement des symptômes locaux (SPIJARNY) (8). En soi, la constatation
adiogra- phies et les faits et constatés pendant l'opération. Les symptômes de la pression qu'exercent parfois les côtes cerv
pas rare non plus qu'elle fasse complètement dé- faut. Ainsi, les symptômes supplémentaires que je viens d'énumérer ne peuv
ion du rapport causal entre l'existence de la côte cervicale et les symptômes locaux névralgiques ou névritiques, ne sont pas
aurait être la preuve que la côte cervicale soit la cause vraie des symptômes locaux. Après la réseclion de la côte cervicale o
ablie complètement. Les douleurs et la parésie cessèrent ; même, le symptôme organique qu'est l'atrophie des muscles, au dir
le ; cepen- dant, de fait, comme nous l'avons vu, non seulement les symptômes locaux ne dépendaient pas de la côte cervicale,
nsqui avaient traité la malade et qui, voulant trouverchez elle des symptômes de lésion organique, attirèrent l'attention de
sit telles qu'elle les avait compri- ses. L'origine psychique de ce symptôme se manifeste, entre autres cho- ses, en ce que
la médecine) attirail mon attention sur ces secousses, comme sur un symptôme très grave de la maladie. (1; M1Íllch. med. 4'o
nts peuvent être des adjuvants passagers, pour combattre tel ou tel symptôme , mais ne peuvent d'une manière géné- rale, être
mbinaison des manoeuvres massothérapiques destinées à combattre les symptômes de l'affection traitée ». Ainsi Kouindjy a posé
courte excitation passagère, une sédation très nette de tous leurs symptômes éréthiques et douloureux. L'emploi de ces eaux
onnelles, même anciennes, diminuèrent et virent une partie de leurs symptômes disparaître. Il semble donc bien que l'on trouv
pe. L'étendue elle volume de ce gliome expliquent la complexité des symptômes observés pendant la vie. Observation I. Epileps
érébrale. Le 24 janvier 1908, le malade présente tous les signes et symptômes ca ractéristiques de l'aphasie que l'on expliqu
e compression des deux pédoncules cérébraux explique la plupart des symptômes observés pendant la vie ; cette tumeur se prolong
ions auxquelles i I est di fcici le de rattacher avec précision les symptômes névritiques. D'autres fois, et ce sont les cas le
ntinence urinaire et fécale persiste. En présence de ces différents symptômes , le diagnostic de polynévrite fut porté par le
s, de l'obnubilation cérébrale, l'existence de vives douleurs, tous symptômes qui obligeaient à écarter l'hypothèse de lé- si
portance des troubles recto-vésicaux, l'apparition d'escarres. Ces symptômes peu communs au cours des polynévrites gravidiques
ont complètes pour les muscles qui sont atteints, il n'existe aucun symptôme autre. Cette conception a pour base en premier
cas, j'ai pu obtenir des renseignements assez nets sur les premiers symptômes qu'ils puissent eux aussi nous être utiles dans
mptômes qu'ils puissent eux aussi nous être utiles dans l'étude des symptômes initiaux de la maladie. Parmi les sujets que no
ont nous voulons en premier lieu nous occuper, c'est de l'étude des symptômes au début de la maladie et surtout de l'étude de l
issancessurcertainesquestions concernant la poliomyélite aiguë. DES SYMPTÔMES DU DÉBUT DE LA POLIOMYÉLITE AIGUË, PARTICULIÈREME
S SYMPTÔMES DU DÉBUT DE LA POLIOMYÉLITE AIGUË, PARTICULIÈREMENT DES SYMPTÔMES DE MÉNINGITE AIGUË ET DU DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL
rs années, qu'il existe des épidémies de poliomyélite aiguë, où des symptômes qui semblent se rapporter à une méningite aiguë
ine- ment trouvé que ce signe existait réellement, étant donnés les symptômes qu'il décrit). Cependant le rapport qu'ont ce
nnés les symptômes qu'il décrit). Cependant le rapport qu'ont ces symptômes du début de la poliomyélite aiguë avec une méni
des observations chez quelques autres auteurs qui nous montrent des symptômes d'une méningite spinale aiguë au début de la po
ndes épidémies de poliomyélite aiguë de ces dernières an- nées, les symptômes d'une méningite spinale aiguë au début de la ma
doise (1905), Wickman a très nettement insisté sur l'importance des symptômes de la méningite dans le tableau clinique de la
ale aigué. ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 379 que les symptômes de la méningite « ausserordentlich haeufig auftre
gienne, Geirsvold et Leegaard rapportent qu'ils ont vu des cas avec symptômes méningitiques; c'est aussi le cas de Looft pour u
ork, on nous indique qu'il y a eu un assez grand nombre de cas avec symptômes de méningite (Berg, Clowe, Collins, Lovett, Sta
liomyélite aiguë. En raison de ce fait, il est bien naturel que les symptômes méningitiques au cours de la poliomyélite aient
les observations que nous avons faites nous-mêmes sur les premiers symptômes généraux de la maladie, surtout les symptômes q
êmes sur les premiers symptômes généraux de la maladie, surtout les symptômes qui pouvaient se rapporter à une mé- ningite, s
remière apparition des paralysies au début de la maladie. Quant aux symptômes que présente la maladie déjà développée, c'est-
ieurs N'ONT jamais atteint PLUS D'UN MEMBRE. a) Observations avec symptômes de méningite. Observation I. D.E..., garçon, âg
e difficulté à uriner, mais le cathéter n'a jamais été employé. Ces symptômes ont persisté une semaine. Pendant ce temps le mal
embre inférieur gauche, mais les parents ne savent pas quel jour ce symptôme s'est montré. Etat le 2 mars 1907. - Le malade
tête et une forte fièvre. Elle a eu un vomissement et du délire.Ces symptômes ont persisté deux jours ; quand ils ont disparu
ndue et combinée d'atrophie du membre inférieur droit. Pas d'autres symptômes . Observation IV. G. L..., fille, 2 ans, de Oest
. Il n'y a pas d'atrophie musculaire nette. . Il) Observations sans symptômes de méningite. Observation V. E. A. E..., fille,
rcher sans qu'on l'aidât. Etat le 'il août. Il n'y a pas d'autres symptômes qu'une faiblesse dans le membre inférieur gauch
mal de tête et des douleurs dans tout le corps ont recommencé. Ces symptômes avaient persisté trois jours,quand s'est déclar
on l'y aidât. t. Pendant l'été de 1907, j'ai revu la malade ; les symptômes s'étaient amé- liorés, mais ils persistent enco
s (dans TOUS LES cas, LES membres inférieurs), a) Observations avec symptômes de méningite. Observation X. - A. V. A..., fill
le, mais un examen plus dé- taillé nous révèle un certain nombre de symptômes concernant les muscles abdominaux. Si l'on exam
t ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 389 être normaux. Le symptôme de Keruig-Lasègue est manifeste pour les deux m
e fléchie en arrière. De plus, il avait des douleurs lombaires. Ces symptômes ont persisté à peu près une semaine ; puis sont
es et les mouvements qu'il faisait lui causaient des douleurs ; ces symptômes ont duré presque une semaine. Pendant ce temps
'examine le malade, le 22 juin 1907, je ne peux trouver aucun autre symptôme que celui-ci : la cuisse droite est moins large q
a cuisse droite est moins large que la gauche. Il n'y a aucun autre symptôme sûr. Il ne boite pas à droite et je ne peux const
en arrière. Il y avait encore des douleurs dans tout le corps. Les symptômes ont apparu soudainement ; les symptômes généraux,
urs dans tout le corps. Les symptômes ont apparu soudainement ; les symptômes généraux, comme la fièvre, etc., n'ont duré qu'
masse en arrière sans pouvoir opposer la moindre résistance. Pas de symptômes en ce qui con- cerne les membres supérieurs. Pa
ut s'asseoir, presque sans s'aider des bras. b) Observations sans symptômes de méningite. Observation XIV. L. E..., fille,
u membre inférieur droit et une parésie du gauche. Dailleurs pas de symptômes , pas de raideur de la nuque, ni de douleur si l
teint trois membres ou les quatre membres. a) Observations avec des symptômes de méningite. OBSERVATION XVI. - H. L..., garço
de la colonne ver- tébrale. Le malade a mal de tête. Ces derniers symptômes ont subsisté pendant une semaine. Cependant la
08. Un frère de la jeune fille est tombé malade le 20 août avec des symptômes semblables et est mort le 23 août. La maladie
noncée. La respiration est très difficile ; la fréquence 28. Pas de symptômes bulbaires (il y a toutefois dyspnée). Le pronosti
les du tronc sont normaux,du moins à peu près. a) Observations sans symptômes de méningite. Observation XXII. M. M..., âgée d
rdant de plus près l'extension de la paralysie, on constate que ces symptômes ne vont pas en augmentant régulièrement vers les
en peut juger d'après les indications du malade, il n'y a pas eu de symptômes bulbaires. Cet état a persisté 3 à 4 mois et pe
sur lequel je veux insister : c'est la régularité arec laquelle les symptômes généraux se présentent au début de la maladie ava
paralysie. Il .n'y a qu'un seul cas (XIV) sans indication nette de symptômes généraux quelconques, et, dans ce cas, les rensei
ts donnés par les parents étaient évidemment contradictoires. Les symptômes généraux de la phase initiale ont été les symplôm
qués 4 fois), etc. On sait cependant qu'on a signalé des cas où ces symptômes n'auraient pas existé (Pierre Marie et d'autres
ie et d'autres). Néanmoins, la présence à peu près constante de ces symptômes généraux au début de la maladie est si nette qu
EN ET EHRENBERG tic est douteux, l'existence de quelques-uns de ces symptômes généraux est une raison de se prononcer pour un
out à fait saine, sauf pendant une période en 1905 où il y a eu des symptômes pouvant se rapporter à une chlorose. Elle racon
cette année elle ne s'est pas sentie bien, mais il n'y avait pas de symptômes nets et elle a continué son travail à la fabrique
ormale. Il n'existe aucun signe d'irritation, aucune douleur, aucun symptôme , qu'on puisse rapporter à une méningite. Quand
constatons une augmentation de la parésie du bras gauche. Jamais de symptômes pour ce qui est des nerfs crâ- niens. L'ophtalm
ité fait aussitôt après l'attaque n'indique aucune al- tération des symptômes que nous avons constatés auparavant. - Le 11 dé
rvé, autant que nous le sachions. Toutefois, l'absence complète des symptômes généraux avant l'apparition de la paralysie a é
onde. Il faut reconnaître qu'on aurait dû trouver en même temps des symptômes dus à une lésion des cornes postérieures du ren
élé aucun trouble net de la sensibilité des bras. Le manque de tout symptôme d'irritation, de toute douleur, de fièvre au dé
a sensibilité vont en diminuant; par conséquent, toute la série des symptômes , telle que la décrit Dejerine, s'explique en su
transversale par une myélomalacie comme la seule cause de tous les symptômes qui se produi- sent en ce cas, où la lésion tra
confirmées par l'examen anatomique. Si l'on veut expliquer tous les symptômes par une myélomalacie limi- tée aux segments sup
yélomalacie primaire qui serait par conséquent la cause de tous les symptômes . Mais le diagnostic d'une myélomalacie nous sem
attention au temps qui s'écoule entre la première ap- parition des symptômes de l'infection générale et le début de la parésie
e nous avons admis comme étant le début de la maladie, les premiers symptômes indiqués par le malade (ou par ses parents), même
ômes méningitiques qu'on voit au début delà poliomyélite aiguë. Ces symptômes n'ont rien de spécial : mal de tête, surtout dans
onstaté souvent, mais sans le no- ter spécialement quand les autres symptômes de méningite étaient tout à fait évidents. Ce
gite étaient tout à fait évidents. Ce sont, comme on le voit, les symptômes très nets d'nne méningite aiguë spinale. Nous n
nets d'nne méningite aiguë spinale. Nous n'avons pas vu de cas avec symptômes indiquant net- tement la localisation cérébrale
testables d'une localisation cérébrale de la méningite (par exemple symptômes pupillaires ou troubles des mouvements des yeux o
ce fait, que la localisation spinale exclusive ou prédominante des symptômes méningitiques est une chose assez caractéristiq
méningitiques est une chose assez caractéristique pour les cas avec symptômes de méningite qu'on voit si sou- vent au début d
sistent pas aussi nettement sur cette différence. En général, les symptômes méningitiques disparaissent bientôt, en quelque
eaucoup plus longtemps : pour deux cas (XI, XVII) nous avons vu les symptômes mé- ningitiques (la raideur de la nuque) persis
à devenir chronique et une névrite périphérique. Chez ce malade les symptômes de méningite spinale ont été très prononcés et il
qu'il éprouve, d'amener le tronc jusqu'à la position verticale. Ce symptôme indiquant une raideur du dos a été (jusqu'à ce
el j'ai proposé (P.) de désigner ce trouble). Certainement tous ces symptômes pourraient être expliqués par une névrite, mais
lle façon qu'il serait tout naturel de conclure que la cause de ces symptômes était la même. De toute façon il n'y a rien qui
présentés dans 5 ; sur les 7 cag avec parésie des deux jambes, ces symptômes étaient présents dans 4, et sur les 12 cas où i
té dans les trois membres ou dans tous les quatre, 6 ont montré des symptômes méningitiques. . Cependant, il faut remarquer q
ez longtemps après le début de la maladie. En conséquence, pour les symptômes méningitiques, nous devons dans ces cas recouri
rmi ces cas, il y en a quelques-uns qui ont en réalité présenté des symptômes ménin- gitiques que nous n'avons pu connaître.
é pour les cas observés à la clinique à la phase aiguë des cas avec symptômes méningitiques, dans une proportion plus élevée
nsion de la lésion de la moelle et la fré- quence avec laquelle les symptômes méningitiques se sont présentés. Dans quelques
ques épidémies de poliomyélite aiguë, on a vu des cas où il y a des symptômes méningitiques, mais où une paralysie ne se déclar
que nous avons examinés à la phase aiguë, et par la persistance des symptômes méningitiques. En conséquence, il est bien éviden
men par la ponction lombaire dans les cas qui n'ont pas présenté de symptômes méningitiques, il faut sans doute avouer que no
'on peut avoir une augmentation de la pression sans qu'il existe de symptômes méningitiques. Nous n'avons pas trouvé de lymph
. Nous n'avons pas trouvé de lymphocytose quand il n'y avait pas de symptômes méningitiques, mais comme nous n'avons fait cet
n de savoir s'il existe des cas avec lymphocytose, mais sans autres symptômes cliniques d'une méningite. Si nous comparons
avec évidence : dans la poliomyélite aiguë, il y a très souvent des symptômes méningitiques, mais, comme nous l'avons montré, a
ns que la poliomyélite aiguë peut se mani- fester seulement par des symptômes méningitiques sans qu'il se produise de parésie
nostic entre la poliomyélite et la méningite séreuse. En effet, les symptômes trouvés pour la poliomyélite par les recherches à
élite par les recherches à la ponction lombaire sont identiques aux symptômes de la méningite sé- reuse ; car, dans les deux
il y il un certain nombre de cas où ne se présentent jamais que les symptômes généraux et les symptômes méningitiques (Wickma
de cas où ne se présentent jamais que les symptômes généraux et les symptômes méningitiques (Wickman, Leegaard et d'au- tres)
es cas observés; en d'autres termes, c'est le fait que ces cas avec symptômes méningitiques, mais sans paralysie, sont apparu
aime toujours pas d'être assis'dans le lit. Le 31 janvier, tous les symptômes de raideur du dos ou de la nuque ont ÉTUDES CLI
4 février il quitte la clinique sans qu'on ne puisse trouver aucun symptôme . Obseuvation XXVIII. - E. V..., âgée de 3 ans,
uleur. Pas de fièvre. Pour les nerfs crâniens, il n'y a aucun autre symptôme que la parésie du 6° nerf à droite. L'enfant ne
tion lombaire est faite le 7 octobre (cf le tableau). Plus tard les symptômes disparaissent, aussi l'oedème des papilles, l'éta
a un cer- tain degré de parésie faciale à gauche. D'ailleurs aucun symptôme du sys- tème nerveux, sauf un certain degré d'h
les cris hydrocéphaliques ont disparu, et il n'y a maintenant aucun symptôme net d'une localisation cérébrale de la ménin- g
dans le décubitus dorsal qu'à un angle de 15 degrés. Le 7 mai, les symptômes de la raideur du dos sont pour la plus grande par
facial est disparue. L'état général est très bon. Le 22 mai, les symptômes de raideur du dos sont encore plus diminués. Elle
ou du cervelet que pour une méningite séreuse, mais, comme tous les symptômes ont disparu en quelques semaines, ce diagnostic s
d'une tumeur cérébrale causée par une affection tuberculeuse où les symptômes de la ma- ladie se sont améliorés plus ou moins
'il existe des différences assez remarquables. Car, l'évolution des symptômes dans les cas de méningite séreuse a été plus le
s cas de méningite séreuse a été plus lente et surtout la durée des symptômes méningitiques a été beaucoup plus longue que da
ucoup plus longue que dans les cas ordinaires de poliomyélite etles symptômes méningitiques se sont rapportés non seulement a
nous avons attiré l'attention dans ce travail, c'est-à-dire que les symptômes méningitiques de la poliomyélite se pré- senten
séreuses ordinaires. Si nous étudions ce que disent les auteurs des symptômes méningiti- ques dans la poliomyélite aiguë, il
c'est qu'on n'a pas auparavant été assez attentif à l'existence des symptômes méningitiques dans la poliomyélite aiguë et qu'
élite aiguë avec symp- t6mes méningitiques ; l'autre, c'est que les symptômes méningitiques ont une fréquence différente dans
vons demandé aux malades (ou à leurs parents) s'il avait existé des symptômes pouvant être regardés comme la preuve d'une parés
ce que les pa- rents n'aient pas toujours observé suffisamment ces symptômes . C'est pour- quoi la parésie des muscles abdomi
moteurs pour trois ou quatre membres, nous avons trouvé dans 10 des symptômes d'une parésie des muscles abdominaux. Ce résult
détails de ces paralysies, surtout à l'état du grand oblique. Les symptômes de paralysie des muscles abdominaux que nous avon
équence, une diminution de la force expiraloire. En considérant ces symptômes comme des signes d'une paralysie des muscles ab
isseurs des cuisses sur le bassin. Comme on le voit, ce sont là les symptômes bien connus comme étant la conséquence d'une pa
plète et celle du gauche presque complète. Alors on constate que le symptôme de Lasègue existe des deux côtés ; il y a aussi
uscles abdominaux au-dessus, mais pas au-dessous de l'ombilic. Le symptôme de Lasègue existe encore des deux côtés et le suj
résumé Mario Palazzi ne présente aucun délire systématisé, ni aucun symptôme d'une forme quelconque d'aliénation mentale. Il
xillaire inférieur elles sont entre elles un peu éloignées, mais ce symptôme n'est pas très évident. La mâchoire inférieure
des organes de la vie végétative ; nous n'avons pu relever que les' symptômes d'une légère dégénération adipeuse du myocarde
Florence. Du côté du système nerveux, M. Palazzi présente plusieurs symptômes très intéressants. Nous avons vu que le type
ccommodation est nor- 466 ETTURE LEVI ET GIUSEPPE FRANCIllNI mal, symptôme d'Argyll-Robertson L'oeil gauche est amaurotique
empêche tout exa- men, nous voyons qu'à l'oeil droit il existe des symptômes très rares et très intéressants d'arrêt de déve
aladie véné- rienne et qu'il n'en porte en effet actuellement aucun symptôme somati- que ; en outre nous avons bien déraison
ités inférieures quoique leurs malades ne présentassent aucun autre symptôme de tabes soit fruste, soit confirmé. . Quelqu
ontraire que tout le syndrome nerveux que nous ve- nons de décrire ( symptôme d'Argyll-Robertson ; abolition des réflexes pat
à la même cause nous pouvons attribuer les lésions papillaires, le symptôme d'Argyll- Robertson et l'abolition des réflexes
ien affirmer sur ce point. Le patientn'a jamais eu d'ailleurs aucun symptôme d'hémianopsie bi- temporale et l'aspect de la p
os longs dans le squelette d'un géant de 21 ans ne présentant aucun symptôme d'acromégalie et montrant au contraire le type
ié en 1897 l'observation d'une jeune fille de 19 ans présentant des symptômes d'acromégalie sans gigantisme, chez cette jeune
, l'absence de phénomènes radicu- laires, ainsi que quelques autres symptômes , séparent la maladie décrite par lui de la spon
e causé par sa chute dans la glacière, nous pourrions attribuer les symptômes qu'il a présentés (l'im- mobilité de la colonne
e nous avons affaire. Au point de vue clinique, ce cas présente des symptômes qu'on trouve dans la maladie de Bechterew. Le m
avait contracté la syphilis et que, d'autre part, il a présenté des symptômes de la paralysie générale progressive, on peut s
s d'ordinaire la spondylose, nous ne pouvons pas expliquer tous les symptômes observés chez noire malade par l'existence de c
nflammation qui a amené une immobilité de la colonne vertébrale, ce symptôme aurait dû disparaître peu de temps après, comme c
eule, ni le refroidissement, ne peuvent avoir donné lieu à tous les symptômes observés par nous. Il faut donc admettre l'asso
abitude chez les ihumalisanls. Mais tandis que chez ces derniers ce symptôme disparaît avec le rhumatisme, chez notre malade,
près, à la Policlinique, où l'examen mit facilement en évidence les symptômes d'une ostéo-arthropathie vertébrale de la colon
ébrale et une résistance plus que suffisante, de telle façon que ce symptôme de tabes dont notre malade souffre, présente en
e en réalité pour lui moins d'in- convénients que beaucoup d'autres symptômes tabétiques dont il souffre également et qui néa
le, parce que dans la période actuelle il nous manque plusieurs des symptômes qui auraient pu nous éclairer avec certitude sur
ade : il savoir l'absence d'ataxie malgré toute la série des autres symptômes très importants de tabes qu'il pré- sen ta i t.
les phalanges des mains et des pieds. 532 RAVENNA Dans mon cas le symptôme douleur manquait complètement ; on sait que dan
l'exophtalmie et la paralysie des nerfs crâniens ; chez Lippi, ces symptômes manquaient totalement ; Dans l'arthrite défor
epar Gilles de la Tourette et Marinesco (2), correspondant avec les symptômes spinaux relevés par Pick chez un de ses malades
uis quelques années l'attention de nombreux cliniciens. Parmi ces symptômes physiques, les troubles trophiques se rencontrent
e chez lui. Un médecin consulté, à ce moment, constate entre autres symptômes des troubles de la sensibilité, de la dyschro-
ute au commandement tous les actes qui lui sont or- donnés. Comme/ symptômes physiques on note chez lui du dermographisme,du p
différents appareils. L'auscultation de ses poumons ne décèle aucun symptôme de tuberculose. Le coeur est normal ; le pouls
our il a senti une faiblesse des membres supérieurs, mais aussi des symptômes qui indiquent une parésie du tronc ; car il s'e
ne pouvait marcher qu'avec beaucoup de difficulté. Vers le soir ce symptôme semble avoir beaucoup augmenté, car il ne pouva
faibli il gauche, à droite il est conservé et à peu près normal. Le symptôme de Kernig est très peu déve- loppé ; car on peu
ce à se répan- dre sans interruption le long de la moelle. Tous les symptômes sont expli- qués par une lésion ne s'étendant p
ans les deux derniers cas (XXXII, XXXIII), il a existé en outre des symptômes bulbaires. Dans le cas XXXII, il y avait une dysp
spiratoires ont apparu sous forme d'attaques qu'il regarde comme un symptôme bulbaire, avec raison, je crois. En général,
les auteurs n'ont peut-être pas assez fait la distinction entre les symptômes dus à des paralysies spinales des muscles de la r
constaté, dans des cas de maladies bulbaires, s'il peut exister des symptômes se rapportant à un trouble de cette fonction du
au, à gauche, probablement du lobe temporal, mais chez laquelle les symptômes ne semblaient pas encore être graves, un arrêt
ion d'urine dans 5 cas et, pour deux autres cas, j'ai appris que ce symptôme avait existé auparavant. Dans les 6 cas (c'est-
troubles mo- teurs de la vessie puisque les 7 cas qui ont montré ce symptôme consti- tuent 24 0/0 de mes observations ; mais
observés à la clinique et pendant la phase aiguë de la maladie, ce symptôme a été trouvé dans 5 cas sur 15, c'est-à-dire dans
rdinaire et diffuse et la poliomyélite. La grande fréquence de ce symptôme viscéral constitue, à mes yeux, une nouvelle pr
peut se présenter pendant des épidémies un grand nombre de cas avec symptômes méningitiques et autres symptômes carac- térisa
émies un grand nombre de cas avec symptômes méningitiques et autres symptômes carac- térisant la phase initiale de la poliomy
été complète ou au moins assez complète pour qu'il n'y ait plus de symptômes bien nets et certains. En outre, j'ai observé e
raisons d'instituer ce traite- ment ont été la grande fréquence des symptômes méningitiques (à l'ob- servation clinique) et d
tion aux aspects différents de la poliomyélite aiguë et surtout aux symptômes du début, l'on ne retrouve dans les cas sporadi
se de la syphilis héréditaire est confirmée par l'existence de deux symptômes très rares d'arrêt de développement, c'est- à-d
ditaire. On avait déjà assez souvent observé dans le gigantisme des symptômes d'arrêt de développement, mais ceux que nous ve
IIocheneb, Stumme, Exner, etc.) aurait porté à une régression des symptômes acromégaliques ; la période d'observation des mal
sion hypophysaire et vice versa des cas de lésion hypophysaire sans symptômes acromégaliques (sur cet argument nous renvoyons
ature et de l'origine de l'immense majorité de ces atrophies; leurs symptômes sont également beaucoup trop confus à l'heure a
on- clure que celle-ci ne s'était traduite pendant la vie par aucun symptôme : rappelons qu'on avait pensé chez notre malade
t la petitesse congénitale du système nerveux central associé à des symptômes cérébelleux. Dans les trois autres,au contraire
quelques mois plus tard, nous per- mit de constater l'existence de symptômes nouveaux dénotant les progrès rapi- des de l'af
DEUX CAS D'HYDROCÉPHALIE AVEC ADIPOSE GÉNÉRALISÉE 641 En dehors des symptômes cérébelleux et à ceux dus à la compression, les
1901. Cet auteur a formulé à cette occasion son avis que, faute de symptômes d'acromégalie, le dévelop- pemont du tissu grai
von Frankl-Hochwart (2) sur le fait que l'hypogénitalisme serait un symptôme hypophysaire important. Ce dernier auteur rappell
se crânienne postérieure. Dans ce cas l'auteur a constaté, hors les symptômes habituels (maux de tête, vo- missements, amauro
rqué une paraplégie flas- que, atrophique avec pied en griffe ; les symptômes morbides sont plus accentués à droite et dans l
on et la notable atrophie musculaire, l'absence de quelques-uns des symptômes les plus caractéris- tiques de cette maladie (n
sensitifs, la marche relativement rapide et la grande extension des symptômes moteurs. Donc tant les arguments directs que le
ntile et qui en avaient été délivrés au moment de la régression des symptômes . Chez notre patient il ne fut pas facile de vér
dans la jambe homonyme, associée à des atrophies du del- toïde. Ces symptômes , en peu de mois, disparurent complètement par u
ent toutes les deux brusquement chez de jeunes en- fants et que les symptômes au début des deux maladies sont analogues. Dans
lite aiguë se rapportent seulement aux méninges spinales et que des symptômes nets d'une méningite cérébrale manquent"te"plus
t jamais de convulsions. D'un autre côté, il est bien connu que les symptômes au début de la poliencéphalite con- sistent en
mes au début de la poliencéphalite con- sistent en grande partie en symptômes de méningite cérébrale aiguë avec troubles marq
esque toujours présents. Par conséquent, cette différence entre les symptômes initiaux des deux maladies est une raison assez
myélite typique. A ce propos, j'ajouterai que je ne regarde pas les symptômes bulbaires (qui sontrecon- nus par tous les aute
uente dans la poliomyélite, et aujourd'hui il faut admettre que les symptômes indiqués par Medin comme étant des signes d'une
dans la méningite. Toutefois, môme si l'issue de la maladie ou les symptômes indiqués ci- ÉTUDES CLINIQUES SUR H POLIOMYÉLIT
é aux pieds. Puis, la faiblesse a augmenté. Pas de douleurs. Pas de symptômes généraux (seule- ment un peu de céphalalgie le
rs. Pas de dysesthésies. Pas de raideur de la nuque et pas d'autres symptômes généraux. Il y a une parésie des membres inféri
ntractent assez bien. L'examen électrique ne m'a révélé aucun autre symptôme qu'une certaine diminution de l'excitabilité, m
ncore plus affaiblis. Après une période de quelques semaines où les symptômes ont été constants, la res- tauration de la paré
a commencé une faiblesse des membres inférieurs, mais au début les symptômes de la fai- blesse n'ont été que très légers ; i
t qu'il avait des difficultés à aller à bicy- clette. Peu à peu les symptômes ont augmenté (en réalité il semble que cette ag
er pendant le temps qu'il est resté au lit. Il n'a jamais existé de symptômes généraux indiquant une infection générale. Etat
tent; on constate le signe de Lasègue-Kernig des deux côtés. Pas de symptômes pour les nerfs crâniens. Il y a presque une par
ans le cas XXXVI a été très lent et surtout que l'ag- gravation des symptômes a continué pendant plusieurs mois; cela est rar
des maladies, la poliomyélite est caracté- risée à la fois par des symptômes généraux indiquant une infection géné- rale aig
x indiquant une infection géné- rale aiguë et souvent aussi par les symptômes d'une méningite, surtout avec localisation spin
voit en général rien de tout cela dans la polynévrite. Les premiers symptômes d'une polynévrite sont, d'après mon expérience,
s téguments y sont recouverts d'un corps étranger. Je considère ces symptômes comme des signes de la polynévrite, non constan
s très souvent dans la poliomyélite. En général, on ad- met que ces symptômes ne sont pas dus à la polynévrite. Pour ma part,
ien qu'une polynévrite très grave peut aussi causer quelquefois ces symptômes ; mais, autant que notre expérience nous permet d
oivent êlre regardés comme des poliomyé- lites ; car il y avait des symptômes méningitiques avec une lymphocytose du liquide
aire, dans le cas publié par Brissaud et Bauer, il n'y avait.pas de symptômes méningitiques, pas de début brusque de la maladie
t de même pour le cas publié par Brissaud et Gy : développement des symptômes pendant deux semaines, au début, douleurs dans
traire, est une maladie avec répartition symétrique et typique des symptômes , maladie qu'il faut pour cela attribuer, comme Go
ERG sang, maladie où l'on peut expliquer la répartition typique des symptômes en supposant que les fibres nerveuses les plus
rait-on tenté, en outre, de faire la distinction entre les cas avec symptômes méningitiques et les cas sans symptômes, mais, to
tinction entre les cas avec symptômes méningitiques et les cas sans symptômes , mais, tout bien considéré, je ne vois pas de r
les diffé- rents cas, autant que nous pouvons en juger d'après les symptômes des cas non mortels, bien que, chez les malades
me de la répartition des lésions anatomiques et enfin de ce que les symptômes de la phase de la paralysie sont en réalité tou-
associées, Revue Neurol., t. II, p. 315, 1894. 50. Laurent (0,), - Symptômes prémonitoires de la paralysie spinale aiguë, Thès
12 (1918) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 28] : iconographie médicale et artistique
ion du nerf optique, qui constitue avec la déformation crânienne le symptôme principal de l'oxycéphalie, est en rapport avec l
itions habituelles sont rétablies. Ce mécanisme rendrait compte des symptômes d'hypertension subite et passagère : crises et
s plaie ni fracture. Dans tous ces cas la douleur lombaire était le symptôme prédominant et constant ; elle apparaissait dès
allation d'une position gênante. Par contre, chez un névropathe, un symptôme dit « fonctionnel » secondaire prend facile- 26
uto-suggestion. Une attitude gênante et dispropor- tionnée avec les symptômes objectifs, en possédant leur esprit, se trans-
montrent rios malades au début d'un acte volontaire simple est' un symptôme très polymorphe et très incons- tant, se manife
aux noyaux rouges (ansae lenticulares) expliquerait la parenté des symptômes de nos malades avec le syndrome cérébelleux. Du
ion des réflexes en général. Anesthésie de la cor- née, pas d'autre symptôme . A la pression des carotides elle perd immédiatem
guement quelques endroits par où il est passé. Il ne présente aucun symptôme physique, sauf cependant une exagération du réfle
peur, comme ça me prend d'habitude Il. Il ne présente pas d'autres symptômes , se plaint seulement d'un léger vertige. Observ
t très fatigué. Etat actuel. Réflexes très exagérés, pas d'autres symptômes . A la com- pression des carotides, immédiatemen
LEPSIE ET L'HYSTÉRIE 63 puis revient à elle sans présenter d'autres symptômes , se plaint seulement de céphalalgie et d'un lég
e sur l'écorce cérébrale, de laquelle altération dépendent tous les symptômes pathologiques de l'hystérie. Il s'agissait dans
thésie cltlorofor· ' z 80 ' 1 MADAME ATHALVASSIU-BENISTY tous les symptômes objectifs qui placent ces impotences parmi les af
'une lésion nerveuse et d'une lésion vasculaire n'a déterminé aucun symptôme douloureux, pas plus que des troubles vaso-moteur
e ce signe organique dans les cas où la douleur est presque le seul symptôme . Depuis lors, nous avons constaté cette même dé
lon. Il a remarqué alors l'amincissement du bout de ses doigts. Les symptômes se sont depuis lors accentués progressivement,
- quer que l'enfant urinait beaucoup et qu'il avait très soif ; ces symptômes s'accentuèrent progressivement. Peu de mois apr
nné l'âge et le climat, devraient déjà commencer à se montrer. Le symptôme culminant que l'on apprécie est la polyurie. Le m
pituitarisme) (6). 4° Coïncidence du diabète insipide avec d'autres symptômes clini- ques permettant de présumer une altérati
ue (Redslobs), l'hémianopsi'e syphilitique (Span- hock), les divers symptômes de tumeurs hypophysaires (Mayer, Lewet, Umker,
son il n'est pas rare d'observer, dans les acromégaliques, d'autres symptômes d'insuffisance du lobe postérieur, surtout l'ob
s hépatiques en 1904. Fatigué depuis quelque temps. Mal en train. Symptômes à l'entrée. Le malade est amené à l'hôpital à pie
ambes depuis le 16 mai. Fièvre dès le début à 39°. Céphalée vive. Symptômes à l'entrée. - Douleur des masses musculaires sans
t. En traitement à l'hôpital de du 6 au 15. Température abaissée. Symptôme à l'entrée. Douleurs très violentes dans les mass
inappétence. Pas de céphalée. Rien du côté des membres supérieurs. Symptômes à l'entrée. A l'inspection, aucune modification o
a, ni mal de gorge. Inappétence. Pas d'autres troubles digestifs. Symptômes à l'entrée. T. : 37°2. Faciès normal, coloré. I
8 : 38° matin ; 39°4 soir, puis de 37° à 38° et 39o le 14 au soir. Symptômes à l'entrée. Douleurs dans les zones articulaires,
e. Aurait eu depuis lors une température vers 38° tous les soirs. Symptômes à l'entrée (10-jour).- Douleurs nocturnes dans le
empérature se tient vers 37°2, 37°3. Fièvre plus violente au début. Symptômes à l'entrée. Douleurs lancinantes dans les jambes
eu pen- dant quelques jours 38°. Fléchissement sur les jambes. Symptômes à l'entrée. - Sensation de fatigue. Douleurs dans
: 19, matin, 36°7; 20, matin, apyrexie, 38°8 soir; 21, matin, 37°8. Symptômes à l'entrée. - T. : 37°8. P. : 88. Céphalée. Légèr
le ou parésie ; état spasmodique ; troubles sen- sitifs ; en somme, symptômes de paralysie diffuse, bien plus diffuse qu'il n
nation de ces douleurs musculaires et osseuses. Le groupement des symptômes peut revêtir, au cours d'une même épi- démie, u
quet » (obs. I), tranchant avec la raideur méningitique. Certains symptômes de la phase d'état se rapprochent de ceux signalé
rippale. Rhumatismes articulaires aigus. Rhumatismes articulaires ; symptômes d'excitation médullaire. Rhuma- tismes ? Névrit
120. Trace d'albumine. Pas de cylindres dans l'urine. 14. Pas de symptômes pathologiques du côté des poumons. 15. - La som
xie. A la clinique, nous avons observé une stomatite ; cependant ce symptôme de l'intoxication mercurielle n'a été que léger,
r, et il est bientôt passé spontanément. A la clinique encore les symptômes d'une néphrite sont apparus, mais n'ont atteint
rielle. D'ailleurs le tableau clinique a été dominé surtout par les symptômes du côté des nerfs périphériques. Les douleurs d
d une abolition des ré- flexes tendineux aux membres inférieurs, un symptôme qui en tout casa progressé avec une certaine ir
sez développée des quatre membres. En considérant ensemble tous ces symptômes du côté des nerfs périphériques, nous avons le sy
rcurielle, il s'est développé une polynévrite en même temps que les symptômes de cette intoxication et, par suite, la questio
un cas de Laurens. D'abord, je parlerai du cas de Taylor, où des symptômes avaient pro- gressé depuis 8 ans ; pas de parés
upérieurs, , mutilation des doigts, pas de parésie. Progression des symptômes pendant l'année et demie que l'observation comp
as de raison de penser à un autre diagnostic que celui de la lèpre ( symptômes des quatre membres, qui avaient commencé aux memb
'autres raisons pour la diagnose de la syphilis que le fait que les symptômes de la polynévrite ont disparu pendant un traite
olynévrite. Autres remarques. PERRIN (obs. 20). Syphilis de 26 ans. Symptômes de polynévrite d'une intensité assez médiocre.
e, et dysphagie). La paralysie faciale est apparue avant les autres symptômes . B. ne discute pas une polynévrite, mais accepte
ent le cas comme une polynévrite. STIEFLRR. - Syphilis de 12 ans. Symptômes d'une névralgie du plexus brachial des deux côt
r. Syphilis de 11 ans. - Cas de polynévrite, pas de description des symptômes . A la ponction lombaire, on a trouvé le Wasserman
st venu à un résultat assez bon. Fischer. - Syphilis de 10 ans. - Symptômes correspondant à une poly- névrite. Là aussi par
LLE 235 PEItRIN (obs. 19). Syphilis de 9 ans. De la diplopie et des symptômes qui peut-être étaient dus à une polynévrite. Am
ar le mercure. PLEHN. - Syphilis de 3-4 ans. Polynévrite avec des symptômes psy- chopathiques qui font que l'auteur regarde
n'en donne pas d'autres raisons qu'une dyspnée. Après six mois, les symptômes sont pour la plus grande partie disparus. Pendant
ans. Polynévrite du type ordinaire ; en tout cas, il semble que les symptômes ont été le plus développés aux membres su- péri
HOFFMANN. Syphilis de durée inconnue. Polynévrite pas typique ; les symptômes ont commencé par les membres supérieurs, peu de p
r le mercure. Barié et Colombe. Syphilis dans la période tertiaire. Symptômes d'une polynévrite. De plus la parole très diffi
ive au sang ; pas de lymphocytose. Auparavant, une période avec les symptômes d'une syphilis cérébrale. Après deux mois, pres
Autres remarques. Nonne (obs. 471). - La syphilis date de 1 an. z- Symptômes de polyné- vrite, mais commençant aux membres s
HILITIQUE OU MERCURIELLE 237 TUCKWELL. - La syphilis date de) 1 an. Symptômes de polynévrite. Maladie passée après quelques m
lle semble probable. Spillmann ET ET1ENNE. - Syphilis de 10 mois. - Symptômes ordinaires de polynévrite. En même temps érupti
h¡'esbe1'. d. Neurolog ? t. I, p. 804, 1897). Syphilis de 6 mois. - Symptômes de névrite d'un cubital, puis des deux membres
esthésie et des douleurs. Bientôt guéri'par l'usage de mercure. Les symptômes du côté du cubital ont persisté le plus longtem
abord empiré; depuis guéri. Nonne (obs. 472). Syphilis de mois. - Symptômes pas trop intenses de polynévrite. Plus tard gué
rd guéri après traitement mercuriel. STRAUSS. - Syphilis de 3 mois. Symptômes de polynévrite, plus pro- noncés aux membres su
e l'oculomoteur commun. Parole difficile, mastication troublée. Les symptômes sont apparus immédiate- ment après 10 injection
par des injections nouvelles de mercure et amélioration rapide des symptômes du côté des nerfs crâniens, mais en même temps
de des symptômes du côté des nerfs crâniens, mais en même temps les symptômes du côté des membres sont très augmentés. Le mal
s. Le malade, o mois après l'infection syphilitique, meurt avec des symptômes de faiblesse du coeur. Pas d'autopsie (au moins p
de renseignement sur ce point). 'IIDDLETON. - Syphilis de 3 mois. Symptômes de polynévrite assez typi- ques, pas trop inten
lis de 1 mois. Paralysie d'abord d'un bras, puis de l'autre. Pas de symptômes du côté des membres inférieurs. Après traitement
, on trouve la remarque : « Les mouvements réflexes exagérés ». Les symptômes en partie améliorés sous traitement mercuriel,
r chevelu et papulo-squameuses du tronc, des membres et de la face. Symptômes correspondant à ceux d'une polynévrite. Améliorat
ue de syphilis ». FonDYCE. « Outbreak of early secondary symptom ». Symptômes de polynévrite. Guéri après traitement iodo-mer
t iodo-mercuriel. Trômner. Eruption syphilitique papuleuse diffuse. Symptômes de polynévrite, apparaissant après le départ de
es de polynévrite, apparaissant après le départ de Hongkong. Pas de symptômes du côté du coeur. En conséquence, l'auteur n'ac
par des citations (Frenel et d'autres), mais surtout parce que les symptômes ont prédominé dans un seul côté, et par conséqu
tion syphilitique n'a pas un an d'âge et encore 5 cas où les autres symptômes de la syphilis DE LA POLYNÉVRITE SYPHILITIQUE O
ma- ladies. Cependant il faut analyser un peu plus étroitement les symptômes que quelques-uns de ces cas (et même des cas d'
résentés. Parmi les cas cités ci-dessus, il y en a plusieurs où les symptômes n'ont pas envahi seulement les membres, mais en
seulement d'une paralysie faciale double qui peut encore former un symptôme de polyné- vrite dû-type ordinaire, si la malad
la maladie est d'une intensité considérable; mais au contraire, les symptômes du côté des nerfs crâniens ont été d'une distri
ôté les lois si distinctes, si régulières pour la pro- pagation des symptômes de la polynévrite, nous ne pouvons venir à une
conclusion qu'à celle-ci, qu'il y a toute probabilité pour que les symptômes du côté des nerfs crâniens en ces cas soient dus
és aux méninges cérébrales. Mais, en ce cas, il est évident que les symptômes du côté des membres peuvent même être la conséq
une infection syphilitique âgée de moins d'un an, on trouve que les symptômes des membres ont commencé aux bras (Wandel) ou o
retrouve un trait corres- pondant au tableau clinique : Oppenheim ( symptômes le plus développés aux membres supérieurs, réfl
lus développés aux membres supérieurs, réflexes exagérés), Frugoni ( symptômes les plus développés aux membres supérieurs), No
ômes les plus développés aux membres supérieurs), Nonne (obs. 47J) ( symptômes d'abord développés aux membres supérieurs), Cro
) (symptômes d'abord développés aux membres supérieurs), Crocq (des symptômes d'abord seulement en un bras), Cestan (obs. 1)
rocq (des symptômes d'abord seulement en un bras), Cestan (obs. 1) ( symptômes exclusivement du côté des membres supérieurs).
uand nous nous rappelons combien les lois pour la pro- pagation des symptômes de la polynévrite sont régulières, il faut se de-
les développée surtout au renfle- ment cervical pourrait donner les symptômes observés dans ces cas. Dans le cas de Crocq, le
nner les symptômes observés dans ces cas. Dans le cas de Crocq, les symptômes du côté d'un bras ont montré plus de résistance
cas de Cestan, le traite- ment par le mercure n'a pas amélioré les symptômes d'un des bras. Cela peut bien être expliqué, s'
ue en même temps, ou presque en même temps (Cestan, obs. 2) que des symptômes de la polynévrite étaient présents. C'est-à-dir
de tremblement très intense jusqu'aux grandes convulsions, puis des symptômes de psychose et où est venue plus tardivement (p
illant le mercure (étamage des glaces) où il n'y avait pas d'autres symptômes d'intoxication mercurielle, mais des symptômes
y avait pas d'autres symptômes d'intoxication mercurielle, mais des symptômes qui correspondent très bien au tableau clinique d
semble très probable pour ce cas, mais comme il n'y a pas d'autres symptômes d'une intoxication mercu- rielle, la conclusion
e parésie des bras, avec des troubles légers de la sensibilité. Ces symptômes ont persisté pendant cinq ans. Depuis guérison.
, plus tardivement des troubles cachectiques, du tremblement et des symptômes correspondant à une polynévrite, mais (autant q
. En outre, il y a deux cas (ceux de Letulle et de Vernesco) où les symptômes ont bien correspondu au tableau clinique d'une
quand les malades ont travaillé le mercure avec les mains, que les symptômes de polynévrite dus à une intoxication mercuriel
ù les malades ont été traités par le mercure et où il a eu d'autres symptômes d'une intoxication mercurielle. Pour ces cas, p
philitique, par des frictions mercurielles. Le traitement fini, les symptômes de polynévrite ont commencé. Quand 3 semaines plu
st traité par des injections de salicylate de mercure, et alors les symptômes de polynévrite empirent. Il est mort après mois
é par 160 pilules de proto-iodure. Deux mois après l'infection, les symptômes de polynévrite on[ commencé. Deux mois plus tard,
rrhée, de la stomatite assez intense, une albuminurie légère et des symptômes de polynévrite avec des douleurs si vives qu'il n
put dormir. Depuis la suppression du traitement mercuriel, tous ces symptômes ont dis- paru. Quand on prend en considératio
es ont dis- paru. Quand on prend en considération même les autres symptômes obser- vés dans ces deux cas qu'on peut attribu
ade avait reçu un traitement mercuriel très énergique. Pas d'autres symptômes d'intoxication mercurielle. La malade bientôt gué
un facial. Non traités par le mercure pendant un certain temps, les symptômes de névrite se sont améliorés peu à peu, mais pa
traitement par le mercure a eu une influence très nuisible sur les symptômes du côté des nerfs. En tout cas, quand on prend
n côté, il faut se rappeler qu'il est très difficile d'expliquer ce symptôme comme la conséquence d'une intoxication mercuri
équence d'une intoxication mercurielle, mais que la naissance de ce symptôme est beaucoup plus facile comprendre si l'on acc
ement par des frictions mercurielles. En même temps, il y avait des symptômes de néphrite. Le diagnostic de ce cas me semble
tain, surtout quand on prend en considération la prédomi- nance des symptômes aux membres supérieurs. Il y a quelques années,
alysie des membres est due à l'intoxication mercurielle, vu que les symptômes de cette maladie ont empiré pendant le traiteme
t par mercure qui avait souvent donné en même temps naissance à des symptômes d'une in- toxication mercurielle plus ou moins
ilis, après un traitement par mercure qui détermine ou non d'autres symptômes d'intoxication mercurielle, il n'y en a d'après m
t du tableau clinique cette fois et comme il n'y avait pas d'autres symptômes d'intoxi- cation mercurielle, ils ont conclu, a
ble que l'apparition des douleurs fortes peut quelquefois former un symptôme de la polynévrite mercurielle. Si l'on se souvi
é donnée seulement dans un but prophylactique, sans qu'il y eut des symptômes de la syphilis. Au contraire, la troisième cure d
troisième cure de mercure a été commencée, parce qu'il y avait des symptômes très graves, et on est venu au résultat qu'il n
se trouvera de- vant un cas d'un diagnostic douteux, savoir si les symptômes présents sont dus à la syphilis ou non. C'est u
as les dangers graves de donner du mercure, s'il y a possibilité de symptômes d'intoxication mercurielle. Il est bien évident
e extraordinairement tar- dive du traumatisme, puisque les premiers symptômes survinrent 14 ans après. Observation (PI. XLV
ffirmer l'origine non centrale de cette diplégie par deux ordres de symptômes caractéris- tiques : l'absence du réflexe corné
adiographique, il n'y a pas augmentation de la selle turcique. Deux symptômes importants retiennent l'attention dans l'observat
e a été décrit pour la première fois par Dercum en 1888. Aux deux symptômes principaux il s'en ajoute d'autres variant suivan
sui- vant les sujets et leurs occupations habituelles. Le principal symptôme est un sentiment d'épuisement général, d'abatte
ons à la mère. . L'aphasie a été signalée depuis longtemps comme un symptôme de l'hémiplégie infantile; il s'agit presque to
ayant la sensation d'être traversée par un courant électrique. Ces symptômes ont disparu rapidement et la malade s'est rendorm
prenait surtout la zone motrice droite. La rapide succession des symptômes , la crise de fièvre qui passa en trois jours, m
lusion. Sarcome magni-fuso-cellulaire ». Comment expliquer tous les symptômes dont nous avons fait l'énu- mération et, surtou
à la zone prise dans notre malade, mais plus intense, sans que les symptômes se soient succédé si rapidement, ni si gravemen
e très rapide de la tumeur. Elles ont donné toute la succession des symptômes que nous avons observés et de plus la grave sit
publié dans la Afedecina conlemporanea, n" 6, l916, 312 MONIZ Ce symptôme qui a été décrit, la première fois en 1863, par P
tinel, Ehrenberg et Forssheim. -, Selon tous ces auteurs, le seul symptôme absolument certain d'une hémorragie méningée es
es granuleux. A cause de l'augmentation de la pression du sang, des symptômes d'hyper- trophie du coeur ainsi que d'albumine
s, mais aucun signe d'inflammation ou d'altération chronique. Les symptômes d'hypertrophie du coeur, la pression un peu élevé
sipait pour être suivi du coma qui a amené la mort. Du reste, les symptômes cliniques ont tous trouvé leur explication. Il
les attaques épileptiques. Ce patient tombe ensuite malade avec des symptômes céré- braux très graves. Au commencement, on cr
s qui regardent cette maladie. Elles sont caractérisées par de vifs symptômes méningitiques, brusquement débutants, qui dans
es ou spinales, on trouve une image variante de la maladie avec des symptômes surtout cérébraux ou radiculaires. Du reste, le
avec des symptômes surtout cérébraux ou radiculaires. Du reste, les symptômes se divisent en généraux et locaux. Les premiers
l'influence irritante de l'inondation de sang sur les méninges. Les symptômes locaux de la perte de fonction ou d'irritation,
là où elles . sont le plus compactes. Je passe en quelques mots les symptômes ménin- gitiques généraux : la céphalée, les vom
tc.). Dans le coma un peu développé, ces phénomènes s'effacent. Des symptômes locaux différents ont été décrits : mono et hémip
u être constatée à l'autopsie. En général, on est d'opinion que les symptômes locaux d'irritation où de perte de fonction, po
être de nature passagère, et l'on a cru pouvoir conclure que si ces symptômes restent stables, ils ne sauraient dépendre d'un
es cas où un vaisseau de grandeur moyenne se rompt, peut donner des symptômes pas passagers d'irritation ou de perte de fonctio
rvivent, il me semble pourtant digne de mention que l'un ou l'autre symptôme de perte de fonction peut persister, sans qu'il
ci confirme ce qu'on a déjà relevé, c'est-à-dire que le coma est un symptôme très mauvais quant au pronostic. En géné- ral,
ines localisations, que peu important et pourtant cause la mort. Le symptôme le plus important d'une hémorragie est la découve
importante pour l'analyse, parce qu'on peut s'attendre à ce que les symptômes dans les hémorragies ménin- gées en général dis
t V, ils étaient tous les deux des hémorragies ventriculaires. Leur symptôme le plus imposant était les contractures général
précédents, qui n'étaient que des hémorragies ménin- gées. Dans ce symptôme il faut sans doute voir quelqu'indice d'une inon-
pour le diagnostic différentiel, comme Ehrenberg l'a démontré. Les symptômes ne peuvent être en général identiques. La fièvr
patient ne présente pendant la première phase de la maladie que des symptômes méningi tiques avec torpeur et contractures, il
n, ainsi qu'avecdesdoulenrs violentes et de la raideur de la nuque, symptômes * qui n'apparaissent ordinairement que quelques
e droit de'comparer, l'exacerbation de la pression cérébrale et les symptômes tardifs d'irritation méningitique dans les hémo
a 3e vertèbre dorsale. Cette blessure a déterminé quatre' ordres de symptômes : 1° Une cicatrice pulsatile, qui, par l'interm
s laryngoscopi- ques de paralysie récurrentielle. Ces 4 ordres de symptômes doivent être envisagés à part, ainsi que les ré
s. Ainsi, nous voyons disparaître cette anomalie, la coexistence de symptômes cliniques impor- tants avec des réactions élect
quent légi time de décrire à côté de la névrite irradiante à graves symptômes un syndrome fruste d'irritation du plexus brachia
eurs et gêne consécutive dans le bras. Augmentation progressive des symptômes vers le mois d'août. Le blessé est obligé d'aband
naires ne révèle, malgré l'importance des signes cliniques, que des symptômes insigni- fiants. Tous les muscles du domaine at
uches volantes signalées de façon intermittente. Il n'existe pas de symptômes urinaires bien nets : ni poliakyurie, ni polyu-
pain. Discussion. Si d'un coup d'oeil rapide nous envisageons les symptômes cardinaux de l'affection décrite, nous devons r
ination ataxo-cérébelleuse, mais qui se confond par la majorité des symptômes avec les cas classiques. 1, UN CAS DE NÉVRITE
laires. Disons de suite que le sujet ne présente actuellement aucun symptôme objectif de la série tabétique. A 34 ans, une
globale, sans troubles des réactions électriques. Il n'existe aucun symptôme d'ordre neurologique, ni paralysie, ni anesthésie
ent ou par poussées suc- cessives, mais sans brusquerie, et dont le symptôme primordial reste l'épanchement synovial avec la
mière mani- festation clinique, et actuellement encore constitue le symptôme dominant ; il existe bien une hypertrophie régu
es, comme il est de règle dans l'arthropathie tertiaire, mais aucun symptôme d'ostéite. De la a sorte, cette observation vie
vant même revêtir la forme de polysarcie ou obésité. Au sujet de ce symptôme important de la dysirophiegénito-glandulaii-e,
et.Rebattu, Cordier et Francillon, etc. Souvent alors il existe des symptômes thyroïdiens, mais ils passent au second plan, d
tômes thyroïdiens, mais ils passent au second plan, de même que les symptômes surrénaux ou hypophysaires que l'on peut consta
t développée ; l'état génital devien- drait donc ainsi seulement un symptôme coordonné avec tout le tableau morbide. Les org
endocrines, lequel seraitcaractérisé précisément par l'absence des symptômes glandulaires. Mais les 3 exemples que Falta fourn
dit-il, au sujet du type gérodermique (2) : « Nous trouvons ici des symptômes (constants et fondamentaux) qui ne sont pas parti
s, c'est-à-dire un syndrome pluriglandulaire, avec prédominance des symptômes qui dépen- dent d'une glande', et dans le cas p
la formule san- guine. Nous ne la tenons pas pour constante. Les symptômes traités jusqu'ici, qui donnent la diagnose caract
le contraire. - Il est évident qu'à l'époque où apparaissent les symptômes , on ne ren-. contre pas les modifications de la
céphalée, diffuse, souvent accompagnée de désordres visuels,est le symptôme le plus fréquent. L'exa- men radiographique rév
13 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tabès, en rapport avec les lésions de la sensibilité ; 6. Certains symptômes à peu près constants du tabès, tels que l'augme
troubles manifestes de la sensibilité articulaire. Ainsi, point de symptôme de Romberg sans une altération de la sensibilit
on encore relativement peu intense de la sensibilité tactile. » Aux symptômes les plus précoces du tabès appartiennent, dans
la perte du réflexe tendineux d'Achille. Même explication pour les symptômes correspondant au tabès cervical. Comment l'at
ffets de la dégénération de ces fibres apparaîtraient déjà dans les symptômes initiaux du tabes : « On peut aujourd'hui tenir
la locomotion, etc., doit en subir le contre-coup. Aussi, parmi les symptômes du tabes, le phénomène de Romberg, les troubles
tactile est alors encore intacte, ou relativement peu altérée. Aux symptômes les plus précoces appartiennent aussi les doule
re. Les phénomènes d'excitation de la sensibilité appartenant aux symptômes les plus précoces du tabes, surtout les douleurs
de la convales- cence. Les cas, où l'épilepsie persiste malgré les symptômes intercurrents, sont rares » et parmi les observ
pparition des crises épileptiques, au cours d'une pyrexie, comme un symptôme favorable. D'autre part ces deux observations s
s mentales. Arch. Neurologie, déc. 1899. 40 . - ENSEIGNEMENT. - symptômes mentaux bénéficient largement du repos. Citons ra
oires, sans parler des états fébriles ou subfébriles. Or ces divers symptômes , se rencontrent assez fréquemment chez les méla
issements, la céphalalgie et la névrite optique : ces deux derniers symptômes persistent ; il n'est pas rare de voir les conv
persister ; leur disparition est un élé- ment de doute. Parmi les symptômes localisateurs les plus importants sont : le pto
longtemps à peu près silen- cieuse, que la brusque exacerbation des symptômes est la consé- quence d'une hémorragie intra-gli
es attaques récidivantes de manie : la maladie se présente avec ses symptômes ordinaires. Pour calmer la ma- lade on lui donn
e que l'auteur soutient c'est que parmi ces cas, il y en a dont les symptômes sont dus à des lésions cérébrales, et d'autres
nes de coin. 4 pression qui ont amené la mort. On n'a observé aucun symptôme pouvant se rapporter à l'existence du caillot d
n ne renferme que les cas dans lesquels il existe comme cause des symptômes mentaux de grosses lésions anatomiques, certaines
L'auteur a été frappé dans ses recherches du groupement de certains symptômes mentaux : par exemple dans un état particu- lie
rvi de base aux recherches de l'auteur, il a trouvé cet ensemble de symptômes mentaux associé à des états psychiques patholog
sécutive aux maladies du système ner- veux (ataxie locomotrice avec symptômes mentaux, etc.). V. Folie hystéroïde : 1° Grande
d'incubation entre l'accident primitif et l'apparition des premiers symptômes de la paralysie générale REVUE DE PATHOLOGIE ME
cas. Très souvent l'anémie pernicieuse évolue sans s'accompagner de symptômes nerveux bien marqués; les foyers de dégénéresce
is le poison qui cause l'anémie pernicieuse peut aussi produire les symptômes et les lésions de la dégénérescence com- binée
a dégénérescence com- binée à dé la paraplégie ataxique subaiguë. Symptômes . Nous ne connaissons pas encore complètement le
aiguë. Symptômes. Nous ne connaissons pas encore complètement les symptômes qui accompagnent l'éclosion et le début de cette
ceci disparaît et le malade se rétablit; mais alors se montrent les symptômes de paresthésie des extrémités, en même temps qu
même temps qu'un peu de faiblesse et de lourdeur. En face de ces symptômes ou pourrait parfois croire à une névrite diabét
- gence : évolution rapide et mort au bout de -neuf mois avec des symptômes bulbaires. A l'autopsie, nulle trace de polynévri
hogénie, suivant laquelle la contracture serait, par excellence, le symptôme de la dégénération du faisceau pyramidal. Quand
e : Un homme de cinquante-sept ans est amené à l'hôpital pour des symptômes d'entérite grave. Ses parents qui l'accompagnent
pas la limite supérieure de la cin- . quième racine lombaire. Le symptôme complexe très caractéristique consistait dans tou
e supérieure) ; 2U Intégrité des sphincters (limite inférieure) ; Symptôme positif : affection du plexus sacré, spécialement
se restant intacts. Depuis lors, l'état est resté stationnaire. Les symptômes cardinaux anesthésie pénio-scrotale 'avec parésie
agit pas là d'idiotie, maladie congénitale ou de l'enfance, mais de symptômes se rapprochant delà démence ou de la méningite
. Peut-être faut-il attribuer l'évolution divergente ultérieure des symptômes mentaux chez les deux frères aux modifications
on pourra la méconnaître en rai- son du défaut de parallélisme des symptômes dans le temps de l'observation. Si au contraire
clinique, ni l'autopsie n'ont permis de déceler la syphilis. Les symptômes de la maladie se rangeaient sous deux chefs : 10
sies, ataxie, perle des réflexes tendineux et troubles vésicaux; 2" symptômes étrangers à la symptomatologie classique du tab
et des avants-bras, plus accusée à droite qu'à gauche. Ces derniers symptômes , qui s'expliqueraient par une combinaison du ta
une forme fruste de la paralysie générale, et, alors même qu'aucun symptôme psychique n'aurait été noté pendant la vie, on
es devrait souvent être la suite d'une névrite ou figurer parmi les symptômes des polynévrites. On a sans doute parlé quelque
l résumait ainsi sa conception nouvelle du tabes : « La plupart des symptômes tabé- tiques relèvent d'une lésion de l'écorce
st encore pendante. Pour Moebius, les deux affections ne sont qu'un symptôme différent de la métasyphilis : il invoque les o
es ne manquent presque jamais, sur- tout l'atrophie musculaire. Ces symptômes n'ont pas de locali- sation spéciale qui puisse
res des centres nerveux sous-jacents peuvent servir à expliquer les symptômes d'ordre SOCIÉTÉS SAVANTES. 153 moteur observé
rtout à la même température, celle du creux de l'aisselle. Un autre symptôme nerveux présenté par les malades atteints de go
che de pair avec la diminution de la résistance élec- trique. Les symptômes décrits par J. de L. sont si nets que l'auteur pr
réflexes étaient légèrement exagérés Le malade était gâteux. Aucun symptôme cérébelleux n'avait été observé. L'enfant n'a
ant, encore vivant, est dans le service de Bicêtre, et présente les symptômes d'une diplégie spasmodique. Aussi MM. Bournevil
simuler l'hémiplégie de cause organique : il n'y a peut-être aucun symptôme toujours présent qui suffise pour les différenc
s une courbe de circumduction, comme dans la para- lysie organique ( symptôme de Todd). L'hémiplégie hystérique est, dans la
isceaux pyramidaux, le réflexe plantaire est du type « extenseur » ( symptôme de Dabinski : phénomène des orteils). Résumé
lée, d'une part, et l'analyse des condi- tions pathogéniques et des symptômes cliniques de l'autre, nous permettent de distin
ans la migraine, dans cer- taines intoxications. En outre, certains symptômes de l'hémiplégie organique peuvent manifester de
elle en foyer. Dans la grande majorité des cas, seul l'ensemble des symptômes , intimement liés à l'hémiplégie et le mode de s
es, intimement liés à l'hémiplégie et le mode de son évolution, ' Symptômes intrinsèques de Babinski. Archives, 2 sérié, t.
préférence élucidée . dans le rapport de M. terrier.) 1 Parmi les symptômes les plus caractéristiques de l'hémiplégie organ
ues de l'hémiplégie organique, il faut noter : - A. Le groupe des symptômes constituant le syndrome d'.IPO' l'LEXIE, qui ne
ie hystérique » que dans les cas tout à fait exceptionnels. Il. Les symptômes de loyer. I. L'apiiasik dans toutes ses formes.
e lésion de l'isthme de l'encé- phale du bulbe ou de la moelle, les symptômes de foyer sont typiques. L'hystérie cherche quel
de foyer sont typiques. L'hystérie cherche quelquefois à imiter ces symptômes , mais elle le fait d'une manière très imparfait
rfaite. A priori, on ne saurait admettre la pathognomonicité d'un symptôme quelconque, cependant l'existence dans un cas d'h
ces données peut avoir une grande valeur pour le diagnostic, si les symptômes seuls ne suffisent pas pour l'établir. On pourr
chez des athéromateux) peut agir comme choc moral et provoquer des symptômes appartenant à l'hystérie (abasie, hémianesthési
gle générale, il faut rechercher dans tous les cas présentant des symptômes indubitables de l'hystérie si elle ne masque pas
exclusion » dans un cas d'hémiplégie légère, passagère ou avec des symptômes peu caractéristiques. S'il n'y a pas des donnée
t-Pétersbourg). - Je désire attirer l'attention du Congrès sur deux symptômes que j'ai eu l'occasion d'observer et qui peuven
émiplégie organique et l'hémiplégie hystérique. Le premier de ces symptômes consiste dans les modifications que les phénomè
entre l'hémiplégie hystérique et l'hémiplégie organique. Le second symptôme , qui me paraît également présenter une certaine
ceptibilité différentielle et 1 acuité visuelle. Nous avons nommé « symptôme de relation » la 166 SOCIÉTÉS SAVANTES. relat
recherches très nombreuses nous avons cru pouvoir conclure, que ce symptôme de relation divise la série tout entière de troub
iture'de Snellen la plus forte. On voit de là toute l'importance du symptôme de rela- tion pour le diagnostic différentiel d
mblyopie dans l'hystérie et dans l'hémiplégie organique. Les deux symptômes que je viens de décrire me paraissent pou- voir
neux) dans certaines mala- dies. On obtiendra ainsi peut-être un co symptôme de relation » qui présenterait une certaine val
t tout different. Méningite chronique progressive non adhésive avec symptômes psy- chiques el amaurose complète chez un sujet
z le vieillard diffère de celle de l'adulte par une atténuation des symptômes , manifeste surtout dans les cas où la névrose a
lume, que sa tête était rétrécie, que ses seins avaient disparu. Ce symptôme a persisté chez elle pendant six mois, et comme
ur; par 111A URICF. BLOC); (de Paris). Voici la description de ce symptôme et la manière de le provo- quer. Je l'ai consta
ditaire ; le développement physique et intellectuel est normal. Les symptômes spinaux sont dus chez lui à la localisa- tion m
d'un malade atteint de cette affection et qui avait présenté comme symptômes la grifle cubitale avec pronation forcée de l'a
ois sujets frappés à la même époque et dans les mêmes conditions de symptômes nerveux transitoires à allures assez mal défini
marquée que celle de la jambe gauche. Pendant que s'accusaient ces symptômes , la jambe gauche, la première prise, maigrissai
vint con- sulter : il y avait une amélioration. générale dans les : symptômes . 200 CLINIQUE NERVEUSE. Les réflexes étaient
ses jambes fléchissaient sous lui. La marche faisait disparaître ce symptôme . En outre, il ne pouvait rester debout longtemp
ne plus .donner lieu à aucun signe appréciable. Cependant quelques symptômes cadrent mal avec cette manière de voir : nos tr
d'août' de cette même année, le sujet présenta de nouveau les mêmes symptômes . Après trois jours la paralysie se ' Nouvelle c
(épilepsie, hystérie, hypocondrie, etc.), ou insiste tantôt sur les symptômes psychiques, tantôt sur les trou- bles somatique
he ou de toutes les branches du moteur oculaire et alors tous les symptômes disparaissent, sauf la douleur. Les récidives son
onique avec hypertrophie cardiaque très accusée et n'éprouver aucun symptôme qui le pousse à rechercher l'avis d'un médecin
R. DE Musgrave Clay. XIII. Un cas d'hémiplégie croisée avec, comme symptôme saillant, une paralysie du pharynx; origine syp
épen- dante. Mais le mot est commode pour désigner un ensemble de symptômes dont les principaux sont la diminution de l'énerg
l'anesthésie est accentuée et étendue. La valeur diagnostique de ce symptôme est encore mal déterminée, mais n'est probablem
nt présenté de grandes variétés et tous les degrés de gravité : les symptômes ordinaires étaient ceux de la névrite : fail)le
vre et l'irritation gas- tro-intestinale qui ouvrent la marche, les symptômes locaux de névrite pouvant, apparaître simultané
nt atteint. Quelquefois les nerfs de la face ont été envahis. Les symptômes de sensibilité sont souvent ceux qui les premiers
et quelquefois même pendant plusieurs mois après la guérison. Les symptômes moteurs qui apparaissent en même temps que REVU
nstaté dans presque tous les cas, et parfois même il est le premier symptôme qui ait attiré l'attention ? Il y a eu six fois
t du diable ». L'exagération pénible des batte* ments du cou est un symptôme très fréquent et très frappant. Quelquefois aus
le que depuis peu. Il n'a jamais ressenti de douleur ni présenté de symptômes subjectifs. Actuellement les deux cicatrices so
organes internes. Pas de sucre ni d'albu- mine. La réunion de ces symptômes indiquait nettement une lésion du pneumogastriq
idée d'une fracture de la base du crâne était en désaccord avec les symptômes ; il fallait donc admettre que les nerfs avaien
Ce mémoire se termine par d'intéressantes remarques sur les divers symptômes auxquels peuvent donner lieu les lésions des nerf
uels peuvent donner lieu les lésions des nerfs dont il s'agit : ces symptômes sont exposés et discutés avec soin. Enfin il fa
velopper des considérations générales, mais surtout de signaler les symptômes précoces des néoplasmes cérébraux. Les seize ca
é fait, et confirmé. Au point de vue clinique, nous croyons que les symptômes se sont montrés graduellement, pre- nant souven
, et manquaient dans deux. Lever- tige qui passe pour un des quatre symptômes cardinaux était pré- sent dans six cas et absen
l'étude de ces cas l'auteur disposerait de la manière suivante les symptômes classiques des tumeurs cérébrales dans l'ordre
3° Apathie mentale; 4° Nausées et vomissements. Enfin à titre de symptôme spécial et localisateur, il faut ajouter à ce gro
faut ajouter à ce groupe sous le numéro 5 la paralysie. Quant aux symptômes précoces, ce sont ceux que l'on rencontre dans
tres états morbides .que l'on peut presque faire de cette lésion lo symptôme pathognomonique des tumeurs cérébrales. Ce trav
mode pour désigner un groupe de maladies dans lesquelles certains symptômes sont provoqués par la fréquente et nécessaire rép
ire répéti- tion des mêmes actes musculaires. Par une analogie de symptômes et de mécanisme avec la crampe ' Voir dans les
teur rappelle ici au point de vue du plus ou moins de précocité des symptômes tertiaires, les travaux et les statistiques de
u inférieur de la lésion est moins facile à préciser, , d'après les symptômes elle devait descendre assez bas pour com- REVUE
wnTZ. (Tlte l'ecv-3'onl, Jleclical Journal, 12 février 1898.) Les symptômes les plus communs de la période initiale, sont les
facilement prises pour des douleurs rhumatismales. Il y a un autre symptôme qui est Archives, 2 série,- t. 11. f7 i 258 8
n ou la perte de la puissance génitale. La vessie fournit aussi des symptômes précoces (miction paresseuse ou incontinence).
iron des malades, mais quand elle existe, elle est ordinairement un symptôme de début, et il semble que son apparition coïnc
que son apparition coïncide avec un arrêt ou un retard des grands symptômes d'incoordination. La diplôpie, la paralysie des c
réquemment dans la période pré-ataxique. La coïncidence de l'un des symptômes qui viennent d'être indiqués avec l'abolition d
les lésions constatées étaient le résultat plutôt que la cause des symptômes . Elles ont en tout cas une grande analogie avec
subsister les narcotiques et les bains prolongés; 2° il alténue les symptômes , mais n'a que peu d'influence sur le cours et l
venu à Londres chez un nègre de vingt-deux ans venant du Congo. Les symptômes fureutles mêmes que ci-dessus. Comme pour les d
connue, parce que surtout cette lésion donne lieu à la fois à des symptômes d'inhibition et d'excitation. L'étiologie en est
ignes présentés par noire malade. Le 30 octobre, jour où tous les symptômes apparurent le pins nettement, nous observions c
out d'un mois et, 300 CLINIQUE NERVEUSE. d'ailleurs, les premiers symptômes accusés par notre malade dataient déjà de cinq
lade qui fait le sujet de cette observation, succomba avec tous les symptômes de la rage trois semaines environ après avoir é
tre ce sont ces lésions qui pour M. van Gehuchten sont la cause des symptômes de la rage (hyperathesie, anesthésie et para- l
qu'il a trouvés dans son cas de sclé- rose latérale amyolrophique à symptômes bulbaires ont avec les corps de Bevan-Lewis une
du système nerveux central ou phériphérique. Si l'on analyse les symptômes , on voit qu'il parait y avoir deux formes de pa
l parait y avoir deux formes de paresthésie froide : dans l'une, le symptôme n'est pas limité à certaines zones, mais il env
ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. suites de l'opération, mais à des symptômes méningitiques, il y avait eu autrefois des abcè
st de fixer longtemps son attention sont comparables à la série des symptômes que l'on observe souvent dans la paralysie géné
e leur volonté objective, et qui permet au médecin de maitiiser les symptômes morbides et de délivrer l'esprit subjectif du m
subjectif (qui peut d'ailleurs ici bénéficier de l'expérience) les symptômes subjectifs, et pouvant en outre remédier à un cer
s subjectifs, et pouvant en outre remédier à un cer- tain nombre de symptômes objectifs' en suggérant à l'esprit sub- jectif
ent. Très souvent on peut prédire non seulement la disparition d'un symptôme , mais le moment précis de cette disparition : c
latid ne saurait admettre comme exacte « que l'améliora- « tion des symptômes mentaux coïncide toujours avec une amélio- « ra
, représente 12 p. 100 des admissions totales. Le polymorphisme des symptômes est habituel,, comme la brus- querie du début.
es aspects peuvent se suc- céder et « le changement panoramique des symptômes est paifois si rapide qu'en six semaines on peu
sise au niveau de la troisième circonvolution frontale gauche. Les symptômes avaient été ceux d'une tumeur cérébrale; mais i
presque la totalité de l'hémisphère gauche. Dans ces trois cas les symptômes ont été ceux des tumeurs cérébrales en général,
culine a déterminé de la fièvre 'mais sans influen- cer en rien les symptômes encéphaliques. Il y avait donc tubercu- lose. m
ainsi que d'une abolition de l'ouïe du même côté. La réunion de ces symptômes est caractéristique d'une lésion siégeant dans
dans laquelle il insiste sur la rareté de l'association de ces deux symptômes dans la méningite tuberculeuse. L'ophtalmopiégi
), encore moins de l'épilep- sie larvée (Westpliall) pas plus qu'un symptôme de neurasthénie (Beard). Elle serait une entité
11 ans'entré le 24 septembre . et malade depuis quatre mois. Mêmes symptômes , mais plus in- z tenses. Léthargie profonde, ob
trouva pasdetraces d'une hémorragie. Au bout de quelques jours, les symptômes de dépression s'étaient dissipés. Le 12, la mal
L'anesthésie de la région externe de la cuisse peut être soit un symptôme isolé, soit le symptôme prédominant d'un groupe
gion externe de la cuisse peut être soit un symptôme isolé, soit le symptôme prédominant d'un groupe séméiologique : le plus
embres inférieurs. Deux ans et demi après l'apparition des premiers symptômes , deuxième attaque d'apoplexie, coma et mort.
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 401 vue clinique, début tardif des symptômes ; au point de vue ana- tomo-pathologique, exist
t sur cinq observations de tabétiques ne pré- sentant, en dehors du symptôme arthropathie, qu'un tableau clinique presque nu
ès centres nerveux est caractérisée surtout par la multiplicité des symptômes , et par une tendance aux rémis- sions et aux re
itique n'est pas rapidement destructeur; de là une modification des symptômes : c'est ainsi que dans la syphilis plus que par
ectant la syphilis si l'on est en présence de lésions multiples, de symptômes incomplets et d'une tendance aux rémissions, au
'une tendance aux rémissions, aux rechutes et à la guérison. » Le symptôme qui, suivant l'auteur, a le plus de valeur diagno
mènes étaient ici purement subjectifs, et que pour remédier à des symptômes fort incommodes il a suffit de substituer à l'idé
d'urine. Trois jours après, l'auteur voit le malade, et outre les symptômes déjà indiqués, il constate que la jambe droite es
PRITCHARD. ( ? 7teJVeM Youk Médical Journal, 22 juillet 1899.) Les symptômes précoces de l'ataxie locomotrice appartiennent
raitement approprié : de là la nécessité d'étudier de très près les symptômes prodromiques ; ces symptômes se rapportent à la
a nécessité d'étudier de très près les symptômes prodromiques ; ces symptômes se rapportent à la sensibilité générale, à la nut
usculaire ; or la clinique est d'accord ici avec la théorie, et ces symptômes sont en effet parmi les premiers qui se manifes
qui se manifestent ; l'auteur les passe en revue. Puis il passe aux symptômes oculaires et rappelle que Môbius REVUE DE PATHO
érents sont aussi atteints. Dans quelques cas, elle s'accompagne de symptômes plus ou moins généraux, analogues à ceux que l'
triques; dans la myélite diffuse il y a un ensemble plus complet de symptômes généraux et spinaux, et dans la forme disséminé
de symptômes généraux et spinaux, et dans la forme disséminée, les symptômes sont épars, comme les foyers; dans la REVUE DE
e des spasmes musculaires, de la douleur, de la fièvre, et d'autres symptômes généraux bien accusés, outre ceux de la méningi
ccusés, outre ceux de la méningite qui précède la paralysie, et les symptômes cérébraux dans la forme cérébro-spinale; dans la
hérence dans l'enchaînement des conceptions, et par l'apparition de symptômes d'initiation sensorielle et motrice, » et, comm
premier à signaler cette application spéciale de l'apomorphine. Les symptômes aigus dissipés, reste à choisir la médication g
420 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. voir dire quels sont les autres symptômes qui accompagnent l'hémianesthésie relative chez
ouvent. Il n'est guère possible de dire actuellement quels sont les symptômes qui accompagnent cette variété d'anesthésie. Sa
éfinition : c'est un trouble du système nerveux caractérisé par des symptômes mentaux avec phénomènes moteurs concomitants; c
mparfaite du langage; enfin de véritables attaques congestives. Les symptômes sensoriels sont remarquables par leur absence.
e étude : ne pas examiner le malade trop tôt après l'apparition des symptômes , afin de ne pas être égaré par des phénomènes t
puis présenta de petites crises de dépression mentale, précédées de symptômes assez bizarres : sensation de poids, ou quelque
sse en revue les diverses lésions produites par ce mécanisme et les symptômes auxquels elles donnent naissance; puis il passe à
a maladie quia éclaté dans nos asiles parce qu'elle en présente les symptômes cliniques et les lésions anatomo-pathologiques.
symptômes cliniques et les lésions anatomo-pathologiques. Mais les symptômes varient suivant les pays et les épidémies, et p
peuvent pas évoluer d'une façon latente et s'accompagnent d'autres symptômes . Pour cette raison la syringomyélie gliomateuse
'une cavité à côté d'une hydro- myélie peut ne se lévéler par aucun symptôme clinique, tandis que le tableau clinique de la
de dégager l'importance de ces recherches électriques alors que les symptômes objectifs font encore défaut. Dans les névrites
e également de la valeur diagnos- SOCIÉTÉS SAVANTES. 439 tique du symptôme indiqué par M. Popoff. Pour avoir l'occasion d'
aspect d'un adolescent de dix-sept à dix-huit ans. Les principaux symptômes qu'il présente sont les suivants. Du côté physi
ore, et bien qu'il n'ait jamais éprouvé d'ictus congestif, tous les symptômes de sa paralysie générale se sont, dans ces dern
clinique comme une conséquence de la dégénération secon- daire. Ce symptôme révèle évidemment la lésion du cordon pyramidal
l'on devait / ? '0 ! fue ? ' d'après les lésions cérébrales et les symptômes présentés par le malade (contracture très pro-
ême pour des hallucinations terrifiantes et pour une foule d'autres symptômes qu'on pourrait peut-être mieux interpréter. '
qui provoquent cette modification urinaire, le tableau clinique des symptômes qui l'accompagnent est maintenant nettement tra
oins grave ; il devient tout à fait mauvais lorsque surviennent des symptômes paraly- tiques et surtout lorsque l'activité di
rmine la mort mérite d'être signalée ; ordinairement il n'y a aucun symptôme prémonitoire, tout au plus un peu de mal de têt
Dans la plupart des cas, il y a une tendance à la reproduction des symptômes mentaux primitifs; 21" L'interprétation de la faç
teint de mélancolie aiguë qui, ayant pré- senté pendant un mois des symptômes d'extrême agitation, fut soumis au traitement p
0,30 centigr. a suffi chez la malade en question pour provoquer ces symptômes à un (le-té é très accentué. ' R. de lLiSGI(AVF
océdé qui diminueliop brusquement la pres- sion et donne lieu à des symptômes fâcheux. La quantité de liquide à évacuer dépen
bservation d'une femme de 28 an=. Hérédité. Caractère hysté- rique, symptômes et accès d tnstérie. Puis les accès changent de
agit d'une paralysie générale, à forme démentielle, com- pliquée de symptômes représentant les empreintes d'une hystérie anté
s troubles de l'instinct sexuel, pour les actes irrésistibles, tous symptômes susceptibles de produire, avec d'autres élément
les cas où elles se développent presque isolément et constituent le symptôme principal, avec conservation de la conscience e
avec conservation de la conscience et du jugement relativement à ce symptôme . Enu- mération de faits pour chaque sens. De mê
part pour rentrer chez elle, en bonne santé, mais le lendemain des symptômes de folie se manifestent chez elle. Le huitième jo
ésions définies dans laquelle s'est rencontrée 1'lialliie.iiaLioii, symptôme qu'on observe dans les vésanies, maladies sans
que chez la femme. M. Marie a dans son service un homme atteint de. symptômes analogues, fait évidemment très rare. llémitt
la base de l'hémisphère gauche d'un malade n'ayant éprouvé que les symptômes généraux d'une tumeur sans signes de localisati
alité du malade comparées et examinées dans leurs rapports avec les symptômes doivent faire porter le diagnostic de la nature
st d'ailleurs la lésion qui rend le mieux compte de l'évolution des symptômes . Archives, 2° série, t. XI. 33 514 sociétés s
a thèse de Bourgaret le malade atteint le plus tôt fait remonter le symptôme à )'âge de dix-huit'ans. Chez l'enfant présenté
s auxquelles aboutit ce travail. L'inégalité et les déformations, symptômes banaux, s'observent dans toutes les psychoses.
ctères, enlève toute valeur à l'observation, mais, en aucun cas, ce symptôme ne peut être pathognomonique, car, certains aut
14 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
des émotions devenues idées fixes subconscientes et de modifier les symptômes par les procédés habituels. Ces cas affirment l
stérique. Un syndrome reconnu tel, offre dans son début, dans ses symptômes , dans son évolution, des caractères qui le sépare
l'un à soixante-quinze ans, l'autre à soixante-treize ans, avec des symptômes de paralysie. Ses grands-parents maternels sont
e 25 novembre. C'est au mois de mai 1892 qu'apparurent les premiers symptômes de la maladie dont nous allons nous occuper. Le
ladie marque parfois un temps d'arrêt, s'il- y a rémission dans les symptômes , ceux-ci reparaissent bien vite, et la psychose
-maniaque de l'humeur. La confusion mentale ainsi constituée est un symptôme de l'épilepsie, de lésions cérébrales en foyer,
orielles réagissent sur l'humeur et les actes des malades. Mais les symptômes principaux sont : les idées délirantes, qui son
ci sont falsifiés par les troubles sub- jectifs les plus variés. Le symptôme le plus marquant, c'est une idée délirante fich
cette dernière, il s'agit d'un état de faiblesse mentale ayant pour symptômes cardinaux la démence accompagnée d'hallucinatio
a moelle; par TiiUNNICLIFFE. (Bi-ain, part. III, 1893, p. 445.) Les symptômes étaient au-dessous de la ligne passant par la l
rt. L'intérêt est surtout dans la progression, dans l'évolution des symptômes . L'auteur insiste sur la difficulté du diagnost
a cavité est petite et de peu d'importance dans la production des symptômes . L'observation publiée est un exemple d'infiltrat
exemple d'infiltration gliomateuse de la moelle ayant provoqué des symptômes de myélite transverse. Homme ayant contracté ré
itement de la maladie du système ner- veux dont l'ivrognerie est le symptôme , et un milieu calme où règne une discipline mil
DLNDER. , (Neurolog. Cenlrcclbl., XIII, 1894.) Le caractère de ce symptôme est le suivant. Les malades couchés exécutent s
d'astasie-abasie uniquement pour celle de l'hystérie, car c'est un symptôme purement hystérique. Il est dû à un trouble fon
e régulatrice des centres corticaux. Il y a donc lieu de traiter ce symptôme par suggestion (hypnotisme - courant faradique
ffet, dans le cas qu'il a présenté, mis en lumière l'existence d'un symptôme psychique élémentaire caractérisé par l'exagéra
it à dix ans demeurés bien portants. D'autres faits témoignent d'un symptôme élémentaire qui constitue toute la maladie ; te
s observations dans lesquelles il y a des combinaisons de plusieurs symptômes élémentaires : ainsi est-il tout habituel de co
lésion qu'il s'efforçait de découvrir. Ce n'est pas que l'étude des symptômes et des causes lui fût indiffé- rente. Une anecd
utie habituelle que mettent les neurasthéniques à analyser tous les symptômes qu'ils éprouvent, à chercher la cause de la mal
ertaines fatigues physiques, un mois après, je sentais les premiers symptômes de paresse des jambes. Je crus à du rhumatisme,
sthéniques, prennent une importance exceptionnelle parmi les autres symptômes . Remarquons aussi que deux ans avant l'appariti
tal exerce, comme on sait, une grande influence sur l'évolution des symptômes . Quelle est la part de cette influence sur les
veux : lassitude géné- rale, lourdeur de tête, vertiges. Ce dernier symptôme se produisait t notamment le matin au moment du
X..., est bien constitué, d'apparence robuste. Il éprouve quelques symptômes neurasthéniques ; son ventre se ballonne après
alifiés de Verwirrtheit. L'obnubilation de la conscience, en est le symptôme le plus important. Les perceptions et l'attenti
re aiguë se compose d'un stade pro- dromique plus ou moins long, de symptômes indéterminés de toutes sortes, après quoi s'ins
Quand les idées commencent à galoper, on assiste à la créa- tion du symptôme que nous avons l'habitude de désigner sous le n
en stupeur et pres- que dans le coma. Il n'est pas rare de voir ce symptôme fondamental de l'obnubilation de la conscience
mentia de Meynert) de la paranoïa pour les raisons suivantes. « Les symptômes cardinaux de la confusion mentale sont, comme s
idées qui, sous la forme de galop, se produit d'emblée à l'état de symptôme intercurrent dans la folie systématique halluci
primitif de l'association des idées se présen- terait aussi, comme symptôme intercurrent, dans la paranoïa, mais beaucoup p
ïa, mais beaucoup plus rarement que son exagération. Un troisième symptôme , pouvant aussi se montrer intercur- remment dan
naire. L'incohérence primitive peut, à son tour, se mon- trer comme symptôme intercurrent dans la paranoïa halluci- natoire
et toujours dans toutes les modalités de paranoïa on note les mêmes symptômes DE LA PARANOÏA. idées délirantes hallucinatio
remment suivant l'espèce ; cette différence dans la disposition des symptômes caractérise l'aspect qui vaut son nom à la mala
t semblable, à raison de l'aspect créé par le nouvel agencement des symptômes , à l'autre espèce. La sponta- néité quasi indép
tômes, à l'autre espèce. La sponta- néité quasi indépendante de ces symptômes , suivant les cas, et la subordination au contra
es en amenda acuta et paranoïa aczcla. L'amentia aciita aurait pour symptômes cardinaux : la confusion mentale [Verwirrtheit)
e diagnostic de la maladie de Raynaud n'est pas douteux d'après les symptômes décrits. Bien que les crises fussent su- bintra
par Bourrelly' qui voulant démontrer que l'asphyxie locale est un symptôme , non une maladie, la montre existant dans l'im-
maladie. L'hystérie existe comme cause de l'asphyxie des extrémités symptôme , et est peut-être plus fréquente qu'on l'imagin
morte actuellement, aurait éprouvé à la suite de contrariétés les symptômes de l'asphyxie des extrémités. Elle-même impress
maltraitée pendant son enfance par ses parents, qui a diffé- rents symptômes de chlorohystérie. Depuis, à l'occasion d'émo-
était la seule cause visible des accidents céré- braux. D'après les symptômes cliniques on peut se demander si les malades su
z (British Médical Journal, 24 février 1894) ; en particu- lier les symptômes types signalés par lui se sont trouvés particu-
hez mon hystérique par morsure de chien enragé, il y avait tous les symptômes de la rage, même du satyriasis. Au lieu d'admet
qui en résultent. Le tabes syphilitique se caractérise, à côté des symptômes ordi- naires, par la présence des paralysies oc
ments, puis survint une faiblesse musculaire progressive. Tous les symptômes allèrent rapidement en s'aggravant et elle mourut
Braila, part. II, 1894, p. 229.) Se basant sur un certain nombre de symptômes relevés dans les observations de goitre exophta
elle avec perte complète des autres. Diminution rapide de' certains symptômes et persistance et chronicité des autres. Dans c
qu'avec une extrême lenteur; enfin, l'existence antérieure d'autres symptômes indiquant une affection spécifique sur les même
malades qui dépassaient la moyenne de la vie, la prédomi- nance des symptômes sensitifs, vaso-moteurs et trophiques et l'as-
ptômes sensitifs, vaso-moteurs et trophiques et l'as- sociation des symptômes nerveux avec des altérations très mar- quées de
te entre les divers espaces lymphatiques, ainsi que le prouvent les symptômes résultant de l'isolement de ces cavités lors d'
Ce qui ne veut pas dire que la lèpre ne puisse se traduire par des symptômes analogues ou identiques à la maladie de Morvan, à
de vue 134 SOCIÉTÉS savantes. clinique, il ne manquait aucun des symptômes de l'hématomyélie : début brusque des accidents
lade et douleurs irradiées dans les membres, plus tard eschare. Ces symptômes , caractéristiques en toute autre circonstance,
formes mixtes, et le même individu passerait alternativement de tel symptôme à tel autre. Ceci s'applique aussi bien au syndro
, caractérisé par une modification du caractère, qui constitue le symptôme principal et permanent : manie, mélancolie. Le se
ces termes parce que les hallucinations ne constituent point ici le symptôme prédomi- nant. Nous nous rallierons donc à la d
lation entre la réaction de la sensibilité du cubital et les autres symptômes tels que la réaction pupillaire, la sensibilité
nche l'anal- gésie du cubital ne semble point être exclusivement un symptôme tabétique, elle ne paraît point liée de préfére
t superflu de se demander quelle est l'altération responsable de ce symptôme . En tout cas ce n'est pas à la moelle seule qu'
de circonfé- rence de moins que le mollet gauche. Il n'existe aucun symptôme général de tumeur. Coeur sain. L'auteurconclut
la coexistence d'autres phénomènes hystériques et en particulier de symptômes uri- naires. Le noeud de la question nous paraî
es. Le cas de Seeligmuller survient au cours de la ménopause. Aux symptômes vaso-moteurs habituels, s'ajoutait de l'hyper-
énomènes fréquents chez les dégé- nérés. Magnan en fait même un des symptômes psychiques les plus graves de la dégénérescence
'auteur se refuse toutefois à considérer ces perversions commes des symptômes de maladie mentale. G. D. III. Etude SUR la PAT
de stupeur panophobique avec confusion hallucinatoire des idées et symptômes de méningo-encéphalite comme on en a signalé un
ologique de l'infection blennor- rhagique est tout aussi nette. Les symptômes psychiques ont débuté par une phase hallucinato
tifs, mais aussi des chances qui restent à courir. G. D. XVII. LE symptôme DU retentissement articulé DE la pensée ; par K
e. Pour concevoir des divers degrés d'intensité et d'expansion du symptôme de la phonogenèse de la pensée, il faut également
ensemble de phénomènes n'a évi- demment pas trait au même genre de symptômes ; et il n'est pas toujours apparent dans les aut
où-le délire des persécutions, s'accom- pagnant d'un groupement de symptômes particuliers, revêt à une certaine période de l
l est nécessaire, pour différencier ces cas, de passer en revue les symptômes hallucinatoires qu'on observe habituellement dans
ut ; 6. les cas où les hallucinations de la vue existent mais où le symptôme hal- lucinatoire se rattache à une origine ditl
, les phénomènes hallucinatoires de caractère moteur constituent le symptôme le plus saillant du tableau clinique et dirigen
rtes d'hallucinations, motrices communes. Souvent même ces derniers symptômes sont plus accentués et, atteignant leur maximum
mpulsions. En regard de ces impulsions diverses, se rencontrent des symptômes , identiques de nature, mais se pré- sentant sou
es cas des hallucinations génitales répétées. 7° A ces différents symptômes correspond un état de désagréga- tion psychique
ec le délire des négations mélancolique qui s'accompagne souvent de symptômes de possession. Le délire des négations des poss
ses explications qui ont été proposées : pour rendre compte de ce symptôme , ]3aillarger invoquait l'inégalité de poids des h
oscillations dans l'intensité, dure deux à trois semaines. Tous les symptômes sont moins prononcés que dans la confusion ment
. D'abord les halluci- nations semblent disparaître et avec eux les symptômes secon- daires. Les malades commencent à s'occup
risé par l'acuité de son étiologie, la violence et la constance des symptômes , impulsivité des mouvements, la rapidité de la
fond de l'intelligence ainsi qu'une évolution tout autre. -Tous ces symptômes -là ne concordent pas avec les cas dont il a été
ifeste parfois des idées de grandeur, enfin on peut enregistrer des symptômes positifs du côté de l'ap- pareil nerveux. En
donne le nom de syndrome de Cotard. Il en étudie successivement les symptômes , l'évolution psychologique (folie des négations
de la médecine incomplète que de séparer des signes somatiques les symptômes intellectuels Envi- sager les phénomènes mentau
s soit permis de nous localiser. Nous étudierons seulement quelques symptômes spéciaux peu ou point décrits jusqu'à ce jour,
les jours, il est facile de se convaincre que chaque fois que ce symptôme apparaît, une manifestation épileptique quelconqu
donner la pleine et entière confirmation de ce qu'annonçaient ces symptômes : le liquide qui revient de l'estomac est mêlé
s on n'en avait peut-être pas montré exactement l'évolution, et ces symptômes capitaux étaient restés dans l'ombre ; ils nous
une ques- tion de degré assez variable d'ailleurs. Toutefois, ces symptômes semblent acquérir nettement leur maximum d'inte
s, en effet, dans le travail déjà cité de 11. Cramer. Il existe des symptômes communs aux trois tableaux morbides de la folie
cohérente (Wahnsinn); de la confusion mentale (Verwirrtheit). Ces symptômes sont : les idées délirantes, les hallucinations s
nceptions (incohérence). C'est la prédominance de l'un de ces trois symptômes qui fait l'un des trois types spéciaux. Bien mi
qui montrent, au moins momentanément, la prédominance de l'un des symptômes énumérés, telle, la phase d'inquisition soupçon
tre que la confusion intellectuelle s'accompagne aussi des autres symptômes déjà notés dans le Wahnsinn ou la Verrucktheit.
. C'est donc affaire d'intensité et de .disposition variables des symptômes . Tout ceci n'élucide pas le problème. L'étiolog
t M. Cramer, le Wahnsinn, la Verwirrtheit, la Verrucktheit, ont des symptômes communs, et que toute la question se borne à un
es communs, et que toute la question se borne à un dosage des trois symptômes : idées délirantes, confusion (incohérence) et
a : 1° altération pri- mordiale de l'intelligence produite par des symptômes amal- gamés (hallucinations sensorielles, idées
tale susceptible aussi bien de se montrer seul que sous la forme de symptôme dans les deux autres. Pourquoi donc, puisqu'i
dans les deux autres. Pourquoi donc, puisqu'ils ont une pléiade de symptômes communs, ne pas- les réunir en tant que groupe
s modalités tant aiguës que chroniques et'à l'en- 'chevetremënt des symptômes qui 4es' englobe. "On n'est'pas ''toujours bien
e la pathogénie qui subordonne les éléments morbides,' syndromes ou symptômes les uns aux autres, a fortiori de la'véracité d
ques, les auteurs s'appuient, qui sur l'association de tels et tels symptômes , qui sur la pré- éminence d'un symptôme au rega
ssociation de tels et tels symptômes, qui sur la pré- éminence d'un symptôme au regard des autres; les uns sur le '' mécanis
ue, de même que le mal de Bright était caractérisé par une série de symptômes plus ou moins accen- tués individuellement (alb
l'arrangement variable, l'intensité, l'évolution, la pathogénie des symptômes , il n'est pas sans intérêt de séparer nettement
elle qui vient d'être déli- mitée peut aussi se montrer en tant que symptôme dans la paralysie générale, l'hystérie, l'épile
nces systématiques finissent tôt ou tard par être éclipsées par les symptômes psychiques et physiques de la démence paralytiq
e des idées de gran- deurs et de persécutions de l'alcoolisme ; les symptômes psychiques propres à l'intoxication sont-ils en
érence spéciale. Incohérence mobile. Quand la subagitation Tous ces symptômes rétrocède, les idées de per- (trilogie de la ma
ie; toutes les cinq sont d'une santé délicate, mais sans offrir des symptômes caractéristiques d'aucune maladie. Notre mala
qui n'étaient pas écrits, pendant la durée, pas très longue, de ce symptôme , elle n'essaya pas d'écrire. Les attaques convu
t une élévation ultérieure de la dose fut rendue impossible par des symptômes de bromisme que ne combattait qu'incomplètement
adie s'explique le mieux en attribuant d'une part à une embolie les symptômes de début, y compris les premières attaques, et
flammatoire, en lui-même irritatif. On devait donc s'attendre à des symptômes d'irritation cor- ticale comme conséquence de l
l'opération, maison devait aussi s'attendre à voir disparaître ces symptômes . Ce qui me fait espérer une guérison dans ce ca
ade tombe peu à peu dans le coma, en même temps qu'apparaissent des symptômes bulbaires : bouche entr'ouverte, écoulement con
chez les paralytiques généraux. Il est difficile de découvrir les symptômes exclusivement impu- tables à la localisation du
ger aux idées de Meynert, de Folsom et de Spityka, à savoir que les symptômes de la démence paralytique, à la première périod
maladie se termine le plus souvent par une guérison complète. ;Le symptôme fondamental auquel tous les autres troubles men-
l'excitation maniaque avec tendance à la violence. < .. . - Un symptôme fréquent est'une appréhension vague qui pousse le
e, sous le nom de confusion mentale,' l'auteur décrit un' groupe de symptômes qui peuvent reconnaître un grand nombre de caus
spond un phéno- mène nerveux : la folie n'est donc rien autre qu'un symptôme ^ complexe de maladie corticale. t ' ' ' M ->
us étendue, plus proi, fonde de ces régions causerait tous >les' symptômes de la manie, ces symptômes n'étant pas dus à un
e de ces régions causerait tous >les' symptômes de la manie, ces symptômes n'étant pas dus à un accroissement de puissance o
une dégénérescence aiguë des cel- lules des cornes antérieures. Les symptômes corroborent cette manière de voir, d'abord la b
donné chaque soir 1 gramme et demi. Rapide- ment se montrèrent des symptômes donnant l'illusion complète' d'une démence para
. On supprime le médicament; graduelle- ment en trois semaines, ces symptômes inquiétants disparaissent; ceux qui persistèren
les mots entre eux, souvent par assonance phonétique pure. Or, ces symptômes , on les retrouve chez les individus en proie à
la stupeur. Jusqu'ici la stu- peur n'a été 'considérée que comme le symptôme d'une phase dépressive. Or, la stupeur peut pre
t ; la stupeur est donc ici un équivalent maniaque. Alors, avec des symptômes d'arrêt du système moteur, on cons- tate quelqu
suppression à peu près complète de la moitié du champ visuel et ce symptôme , sans rien affirmer trop catégoriquement, me pa
ystérique. Archives, t. XXIX. 22 338 clinique NERVEUSE. I. Ce symptôme aurait été signalé il y a quelques années avec
phénomènes hémio- piques et je me montrais disposé à considérer ce symptôme comme douteux dans l'hystérie 2. A la môme époq
ou des conducteurs optiques, mais considèrent ce fait comme « un symptôme oculaire du même ordre que le rétrécissement du
,1 ? ? Mais nous devons nous occuper plus exclusivement du second symptôme . Quand Justine regardait un objet, attentivement,
mal vu, qu'il disparaissait peu à peu. Au bout de peu de jours ce symptôme s'accentua et au début de janvier, elle vint se
on tout intéressante qu'elle soit'no prouve pas'à'elle seule que le symptôme nouveau dé'l'hémiôpie doive être également cons
es ? Quoi qu'il en soit, c'est le trouble de la vision binoculaire, symptôme hystérique, qui détermine ^'apparence que, pren
iplopie monoculaire sont- considérées, ! et ajuste titre; comme des symptômes hystériques. Quand nous ; voyons 'l'hémianopsie
et), elle peut aussi se présenter dans l'hystérie et dans ce cas ce symptôme , comme le disaient déj'a' iiAl ? Déjerine et Vi
des phénomènes hystériques, à expliquer par quel mécanisme un tel symptôme a pu être réalisé. S'il s'agissait d'une hémiopie
nt 'tenté de chercher une explication anatomique et de rattacher le symptôme à un épuisement particulier de l'un des lobes o
l ! hémiiopsie"doht'sè1-plai-nt la malade; voilà' un ensemble' de ! symptômes qûi/'s'ils ~n'ét'aiêntrpâs7àna- 356 N r ? gt'f'
ii-i 'i f ? V ? nu...... in.o . ? , ordinaire, et, ont réalise, le symptôme quelle présente. mj J411a111 ; J u i »m^|' m ''
4 <'lc<Ixi|i(l"VPI, même pour nous montrer 1 existence., d un symptôme conteste ·1J V·r ·17 J O1 .'fl. J 111 1 n V1w .
zut, -là,' t. it I 4JP,I'. l.JX311l./xlv> J,i oliJbU ôfHUx.lGl.1 symptôme particulier dans 1 hystérie. ol,czd f{ ;r3jil'.
hamp visuel' persiste.'seul" car.on ne' peut ! supprimer ce dernier symptôme que d'une façon momentanée. ` « . I 1t. 3 '4'1Y
. On sait en effet que la congestion peut, s'accompagner, des mêmes symptômes que l'on constate dans les lésions des diversas
. .t ? , . - . et'Là encore, la congestion avait donc déterminé les symptômes qûél'oü,àttrib`uè comniuiémentët avec justesse
pas du sol et la progression est un peu sautillante ; toutefois ces symptômes sont très peu marqués. Le 20 janvier 1894, nous
t déjà un peu de raideur spsasmodique. Depuis cette époque tous ces symptômes se sont aggravés. Enfin, depuis le mois de sept
e semblable à ce que Little met en avant. Pourquoi d'ailleurs ces symptômes n'apparaitraient-ils chez certains sujets que v
infectieuse quelconque, à n'importe quel âge, puisse déterminer des symptômes de cet ordre. M. Marie a insisté sur l'action de
plégie et même une paraplégie corticales et entraîner plus tard les symptômes de tabès spasmodique que nous voyons chez les m
la blessure : L'expérimentation sur plusieurs crânes, la nature des symptômes , font penser à une lésion de la capsule interne
e antérieure du faisceau moteur; l'absence d'hémianopsie et de tout symptôme sensoriel du côté gauche montre aussi que la pa
rs de la moelle épinière, les rapportent comme faisant - partie des symptômes tabétiques ? Or, pendant ces dernières années,
= présentent un grand nombre de traits communs. Au demeurant, les symptômes mêmes qui les constituent ne suffisent pas à les
toute probabilité, simulant la paralysie de Landry; la netteté des symptômes sensoriels et l'absence de réflexes ainsi que les
é des symptômes sensoriels et l'absence de réflexes ainsi que les symptômes ultérieurs de paralysie ascendante permirent le d
PATHOLOGIE MENTALE. . La moelle entière fut examinée ; d'après les symptômes cliniques et l'état de la capsule interne ainsi
ntre que quatre ou cinq ans après l'infection syphilitique ; 4° les symptômes de la syphilis qui précèdent un processus para-
générale qui succède à la syphilis ne présente dans sa marche aucun symptôme spécial caractéristique de la syphilis ; 9° le
lles, et un véritable délire cahotiqite dans lequel on retrouve des symptômes souvent caractéristiques de l'affection mentale
l'attitude du malade, tandis qu'au contraire dans la stupidilé les symptômes étaient c une torpeur intellectuelle, une absen
existe deux variétés, asthénique et hallucinatoire, présente des symptômes fondamentaux et des symptômes secondaires dont la
nique et hallucinatoire, présente des symptômes fondamentaux et des symptômes secondaires dont la description clinique, dit Z
admettre l'existence d'une forme de trouble menlal dans laquelle le symptôme psychique prédominant et primitif est la confus
cinatoire. Dans le chapitre diagnostic, on voit qu'en définitive le symptôme confusion se présente dans une série de trouble
ychologique antérieur, ou secondairement comme conséquence d'autres symptômes psychologiques. Suivant la prédominance de tel
mptômes psychologiques. Suivant la prédominance de tel ou tel autre symptôme , on peut séparer des types qui se rapprochent d
les accidents épilep- tiques n'est pas une forme commune; voilà des symptômes qui se présentent sous une forme critique. Ce s
- 446 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. logie, qu'une lésion entraîne des symptômes qui en sont la manifestation extérieure pendant
r l'état gastrique et l'enduit saburral de la langue; c'est que ces symptômes ont pour nous une importance capitale. Nous avo
spécial aux hémorroïdaires, quelle intoxication n'entraîne pas des symptômes du même genre; ne les voit-on pas chez les alco
onnement continue ou augmente, la persistance ou l'augmentation des symptômes gastriques semble l'indiquer clairement. Enfin,
très comparable vers cette triste terminaison. Non seulement les symptômes prémonitoires et les symp- tômes de l'accès des
la glycosurie. Dr L.-R. Régnier. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. XIV. LES symptômes mentaux DU MYXOEDÈME ET l'influence exercée sur
e, mais qui exigent néanmoins un véritable surmenage ner- veux sans symptômes oculaires apparents; . 10°' On ne saurait attac
te de la réfraction remédie, dans la grande majorité des cas, aux symptômes déterminés tant par l'amétropie que par l'anomali
a correclion des erreurs de réfraction ne réussit pas à amender les symptômes d'asthénopie et que l'obten- tion de l'orthopli
pour effet d'arrêter les crises convulsives ; 1° En l'absence de symptômes oculaires, indépendamment de l'épilepsie, une o
épileptiques dès que l'on constate ou que l'on peut soupçonner des symptômes d'asthénopie ; 110 L'auteur estime qu'on aura
nifestement une source d'irritation en donnant lieu à l'ensemble de symptômes généralement compiis sous le nom de surmenage d
, mais encore sur une nervosité générale ou hystérie (sic) avec ses symptômes typiques. AI. Friedmann examine ensuite les ano
mort par convulsion, et d'une manière générale, et fait naître des symptômes rappelant ceux que produisent les injections in
urte, et comprend certains des prophètes qui ont manifesté quelques symptômes de folie, les Démoniaques, et les rois Sauf et
's traité par la glande thy- roïde de mouton, par Ayres, 43 ; les symptômes mentaux du et l'influence exercée sur eux par l
15 (1888) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 5. Maladies des poumons et du système vasculaire
pe, c'est-à-dire sur celle des lésions considérées indépendamment des symptômes qui les accompagnent et des lieux où elles siègen
hie scléreuse, et de se révéler cliniquement par un certain nombre de symptômes analogues, circonstance qui ne saurait surprendre
guës à lente évolution dont on a pu dire qu'elles sont aiguës par les symptômes , et chroniques par la durée. Or, ces faits doiven
sance des détails concernant l'évolution et le mode de succession des symptômes , rend le plus souvent douteux si c'est bien la pn
se, le malade dont nous venons de rapporter l'histoire présentait des symptômes qui avaient con-duit au diagnostic suivant: indur
t : tisane pectorale, on suspend l'usage de la potion slibiée). Les symptômes ne changent pas jusqu'au 6 mars. A cette épo-que,
plètes, t. y,Poumons. 10 II. Évolution. — Formes de la maladie. — Symptômes géné-raux. — La pneumonie chronique peut .se déve
onique peut .se développer de deux manières ; tantôt elle succède aux symptômes plus ou moins manifestes d'une pneumonie aiguë, t
ique ; l'appétit renaît, mais nonobstant cette amélioration, quelques symptômes persistent opiniâtrement, les forces et l'embon-p
induration pulmonaire après la dis-parition plus ou moins absolue des symptômes réactionnels, se i Grisolle. — Traité delà pneu
eurs. En un mot, on observe un ensemble de phénomènes qui, joints aux symptômes thoraciques tels que toux, dyspnée, etc., re-prod
exemples de guérison, l'a-mélioration s'est montrée d'abord dans les symptômes géné-raux, et elle s'est accompagnée de sueurs ab
de de l'haleine et des crachats, on aurait à constater un ensemble de symptômes graves, résultant de la résorption des matières p
timbre métallique. On a omis de noter si, à cette variation dans les symptômes , correspondaient quelques variations dans l'abond
res viscères, examinés avec soin, n'ont présenté aucune altération. Symptômes locaux. — A. Lorsque l'état chronique est con-sti
que. On a malheureusement omis de noter si à cette variation dans les symptômes fournis par l'auscultation correspondaient quelqu
t Cotton2 font également figurer l'aplatisse-ment du thorax parmi les symptômes de la pneumonie chroni-que ; mais ils n'apportent
monie chronique plutôt que la tuberculisation. — La considération des symptômes géné-raux, du mode d'évolution de la maladie, ne
absence de sueurs nocturnes (Grisolle, et obs. II) au milieu même des symptômes hectiques les plus pronon-cés. B. Lorsque les t
e bronchique et de la bronchophonie intenses. Quoi qu'il en soit, les symptômes généraux ont, dans la pneumonie chronique, une im
ence d'une gangrène circonscrite dans le poumon. Voici maintenant des symptômes qui n'appartiennent guère qu'au cancer' : hémoply
s et œdème partiel des parois Ihoraciques; puis, en dernier lieu, les symptômes de la cachexie cancéreuse se manifestent dans tou
ues-uns des traits de la pneu-monie chronique. Dans ces deux cas, les symptômes thoraci-ques ont paru être influencés favorableme
les phtisies1. Une consomption plus ou moins rapide jointe à quelques symptômes thoraciques, tels que toux et dyspnée; tel est, e
cœur, œdème et anasarque, pulsations du foie, albuminu-rie, tous ses symptômes accompagnant un rétrécissement du côté droit de l
ant un rétrécissement du côté droit de la poitrine. Mort au milieu de symptômes asphyxiques. — Autopsie. 1° Lésions pulmonaires :
toration abondante depuis un an. Une pneumonie du sommet gauche, avec symptômes ataxiques, emporte le malade. —Autopsie: Coque fi
nce que les auteurs lui avaient d'abord reconnue dans l'évolution des symptômes et du processus destructif. D'ailleurs, les pneu-
rt incomplets. On savait seulement que la malade avait succombé à des symptômes rapportés à la phtisie pul-monaire. Toutefois il
tion de cavernes, altérations pouvant déterminer la mort au milieu de symptômes assez mal connus, mais voisins de ceux de la phti
nce est rare, que, dans la règle, le processus de destruc-tion et les symptômes principaux de phtisie sont indépendants de l'élém
illeurs expliquer; 2° une formepyrétiquc, remarquable surtout par des symptômes généraux très graves consistant en un état typhoï
forme de tuberculose pulmonaire, la pneu-monie manque souvent, et ces symptômes généraux peuvent, doivent s'expliquer autrement q
nie catarrhale. MM. Hérard et Cornil ne manquent pas de rapporter les symptômes d'évolution, sur-tout la fièvre, à cet élément br
ct entre l'étendue de l'alté- ration pneumonique et l'intensité des symptômes généraux. Or, qu'on lise avec soin les observatio
-poque de la fonte tuberculeuse, delà formation des cavernes, que les symptômes généraux graves, le summum cle la fièvre se produ
u'on peut expliquer pourquoi les epistaxis figurent souvent parmi les symptômes de la phlhisie aiguë ; à un degré plus marqué et
s'annonce cependant, quelque-fois, pendant la vie, par un ensemble de symptômes qui pré- 1 Communication faite à la Société méd
musculaire. — Certains troubles de la motilité vont de pair avec ces symptômes d'hyperesthésie ; la marche est difficile, en par
ie des malades a été, par cela même, très notable-ment abrégée. Les symptômes de paraplégie douloureuse ont été notés par moi d
Trois fois, il a été permis de rechercher la raison anatomi-que des symptômes observés pendant la vie, et voici l'indica-tion s
itation des racines spinales lombaires que doivent être rattachés les symptômes observés pendant la vie. Si, comme tout porte à
décrite du sang et des viscères, viendrait se joindre un ensemble de symptômes particuliers. — L'altération du sang consiste ess
s de pigment dans la cavité même des vaisseaux capillaires; quant aux symptômes qu'il conviendrait de rattacher à ces diverses al
nt en raison du siège et de l'étendue des lésions. Ces lésions et ces symptômes ne paraissent pas devoir constituer une maladie p
, même à un degré assez marqué,, sans qu'elle ait été révélée par des symptômes ou des accidents capables d'en faire soupçonner l
ésion. Reste à savoir s'il existe réellement entre ces lésions et ces symptômes un rapport de causalité bien légitimement établi.
s sont précé- Charcot, Œuvres complètes, t. v, Poumons. 22 dés de symptômes qui permettent, jusqu'à un certain point, d'en pr
ils se mêlent alors, en les modifiant plus ou moins profondément, aux symptômes accoutumés de la fièvre inter-mittente simple ou
end, à priori, combien il sera difficile de les démêler au milieu des symptômes si variés que ces accès peuvent s'adjoindre. Ces
pas existé ; elle n'est pas toujours proportionnée à l'in-tensité des symptômes ; comment comprendre enfin qu'une lé-sion permane
e ces accès bénins, en apparence, mais où prédomine cependant quelque symptôme empreint de malignité et dontTorti disait, dans s
l'albuminurie consécutive à la fièvreintermittente est quelquefois le symptôme d'une véritable néphrite albumineuse. Les faits d
sont à peu près les seules qui paraissent pouvoir se révéler par des symptômes particuliers. Frerichs a observé plusieurs fois d
je crois devoir présenter ici les re-marques suivantes relatives aux symptômes observés pendant la vie de mes deux malades. a)
u poumon droit et y déterminer rapi-dement la suppuration. De pareils symptômes s'observent fré-quemment dans le cours de ces pne
utopsie ayant démontré l'absence d'un ramollissement du cerveau, ce symptôme serait, aujourd'hui encore, inexplicable pour nou
it en partie la cavité gauche du cœur. Y a-t-il entre la lésion et le symptôme simple coïncidence ? c'est ce que je ne saurais d
rude et superficiel observé dans toute la région interscapulaire. Ce symptôme n'était cepen-dant pas de nature à nous mettre su
r. Ces lésions multiples nous paraissaient pouvoir expliquer tous les symptômes observés pendant la vie : l'hy-pertrophie du foie
prononcé, ne se révélant pendant la vie, à l'auscultation, par aucun symptôme . — Ven-tricule gauche rempli par un kyste volumin
s bruits du cœur sont normaux. 27. Sorte de rémission dans tous les symptômes . Pas de délire, mais sorte d'hébétude. 28. Il y
se aiguë est remarqua-ble en ce qu'elle s'accompagne d'un ensemble de symptômes rappelant ceux qu'on observe dans les fièvres typ
docardite ulcéreuse à forme typhoïde, c'est précisément l'ensemble de symptômes graves qui se manifestent pendant le cours de l'a
, et ce sont vraisemblablement les plus nombreux, où. prédominent les symptômes ataxo-adyna-miques; laprostration des forces est
frissons violents, revenant par accès, s'y surajoutent,en effet, aux symptômes alaxo-ady-namiques 3. On a vu plusieurs fois dans
éalité à l'endocardite ulcéreuse aiguë. Faut-il admettre que tous les symptômes , dont il vient d'être question, dérivent d'une in
uem-ment il paraît se rattacher à titre d'affection secondaire. Les symptômes locaux sont ceux de l'endocardite valvulaire aigu
e : la prostration, la cé-phalalgie, le météorisme abdominal sont des symptômes qui paraissent prédominants; ils semblent indique
nt donc confirmé le dia-gnostic qui avait été posé. L'apparition de symptômes d'affection cardiaque, chez un homme qui, jusque
articules, en vertu de leurs qualités septiques, auront déterminé les symptômes d'intoxication. Mais les débris moins ténus se so
nt ni globules purulents ou noyaux, ni globules pyoïdes, qu'enfin les symptômes généraux n'ont pas été ceux qu'on rencontre d'ha-
monaire, et la mort subite ou plus ou moins rapide, et accompagnée de symptômes particuliers, qui en est la conséquence. Mais il
n de l'œdème douloureux, — être prise, disons-nous, d'un ensem-ble de symptômes graves qui se terminent par la mort au bout de qu
puis plusieurs jours ou plusieurs se-maines, lorsque sont apparus les symptômes graves qui ont amené brusquement la terminaison f
enne, et dont l'existence a pu quelquefois n'être pas révélée par des symptômes particuliers. Les auteurs qui ont traité des ma
hée, et qui avait été affectée d'un œdème douloureux fort grave ; les symptômes paraissaient s'amender depuis quelques jours, lor
urs elle était morte. L'autopsie n'a pas été faite ; mais d'après les symptômes observés, l'auteur admettrait volontiers qu'en pa
primipare, et qui succomba vingt-huit jours après l'accouchement. Des symptômes rapportés à l'existence d'une phlébite utérine on
marcher vers la conva-lescence. Le 3 août a lieu l'invasion subile de symptômes dys-pnéiques qui se terminent par la mort, au bou
xiété extrême, extrémités froides, impulsion du cœur très faible. Ces symptômes vont s'aggravant et le malade succombe au bout de
e, ainsi que l'a révélé l'au-topsie. Elle avait éprouvé, entre autres symptômes , une douleur vive dans la région sacro-iliaque ga
ssons, fièvre, courba-ture, constipation, pesanteur de tête. Tous ces symptômes parais-saient s'amender lorsque la malade est pri
raînés par la circulation, traverser le cœur droit sans provo-quer de symptômes appréciables, et enfin venir se fixer dans un poi
'artère pulmonaire sans que leur présence ait été révélée par quelque symptôme ? Peut-on croire, d'un autre côté, qu'ils aient pu
able, c'est que, dans les der-niers temps de la vie de la malade, des symptômes d'œdème douloureux se sont manifestés dans le mem
. C'est à ce moment que se sont développés tout à coup les premiers symptômes dysp-néiques. Mais l'occlusion de l'artère était
t trouvée littérale-ment oblitérée dans toute son étendue. Aussi, les symptômes ont-ils été en s'aggravant avec une rapidité effr
ent de caillots fibrineux, l'occlusion devenait complète et alors les symptômes graves se manifestaient. Dans les cas où la mor
ènes dont les uns, suivant la remarque de Virchow, se rapprochent des symptômes de la syncope, tandis que les autres rappellent p
e malade succombe au milieu d'une torpeur pro-fonde. En résumé, les symptômes les plus caractéristiques sont : 1° l'apparition
nt considérable, et enfin cessation complète de la respiration. Ces symptômes se succèdent habituellement et vont s'ag-gravant
On comprendrait d'ailleurs, à l'aide de cette hypothèse, comment les symptômes graves, bientôt suivis de mort, peuvent apparaîtr
que cela a eu lieu dans les observa-lions XI et XII. L'appareil de symptômes que nous avons essayé de dé- 4 Les fibres muscu
monaire par un caillot sanguin ; il faut remar-quer toutefois que ces symptômes paraissent être, jusqu'à un eertain point, commun
idents. La coexistence d'une oblitération veineuse manifestée par les symptômes qui lui sont propres, ou même, en l'absence de ce
nt consta-tées à l'ouverture du corps, la marche de la maladie et les symptômes ne ressemblaient guère à ce qui avait été précé-
nt soit aux anévrismes ordinaires, soit aux anévrismes disséquants. Symptômes . — La rigueur avec laquelle les caractères ana-to
re de la maladie. On ne saurait donc at-tribuer une grande valeur aux symptômes signalés avant cette époque : à la céphalalgie, a
nte d'un dépôt athéromateux, ou à l'avulsion d'une plaque crétacée. Symptômes et Diagnostic — Les signes physiques d'une indura
ois chez des sujets at-teints d'athéromes artériels. Quand de pareils symptômes se trouveront réunis chez un vieillard goutteux
es lésions de ce genre, malgré leur étendue, ne se révèlent par aucun symptôme extérieur. La marche de celte affection est ess
bien éloignés de la précision moderne et c'était exclusi-ment sur les symptômes physiologiques que s'appuyaient nos devanciers po
sujet laisse aujourd'hui peu de chose à désirer. En même temps, les symptômes physiologiques, un peu délaissés depuis Laënnec,
rt instantanée, mais seule-ment une modification dans la nature etles symptômes de la maladie. Mais ce qui paraît plus extraordin
re, il peut donner lieu à une insuffisance aortique par dilatation. Symptômes . — Il est incontestable que des tumeurs ané-vrism
des auteurs qui ont étudié la question au point de vue clinique. 3° Symptômes rationnels. —Nous arrivons maintenant aux symptôm
ue clinique. 3° Symptômes rationnels. —Nous arrivons maintenant aux symptômes rationnels, ceux qui résultent du trouble des fon
lles qui résultent d'une tumeur intra-lhoracique. Stokes ajoute à ces symptômes un sifflement venu d'en bas, qui n'existe point d
paralysie absolue de la corde vocale gauche, et fut amené, d'après ce symptôme , à soupçonner l'existence d'un anévrisme de la cr
l, ou se localiser sur les côtés de la colonne vertébrale. Ce dernier symptôme a fixé spécialement l'attention de quelques palho
l'ané-vrisme est encore latent. « La douleur, dit M. Gendrin, est un symptôme constant des anévrismes. » Elle se produit par él
ngrène quelques jours avant la mort (Cockle). Au milieu de tous ces symptômes , la santé générale ne tarde pas à s'altérer : les
ou-leur déchirante au niveau de la tumeur : elle donne nais-sance aux symptômes d'une hémorragie interne, et produit souvent la m
cave inférieure ou supérieure, ou le cœur droit, on voit survenir les symptômes de l'anévrisme artério-veineux, qui seront étudié
vient ensuite la tu-meur dans un certain nombre de cas ; bientôt les symptômes de compression des viscères voisins se développen
fforts qu'on a tentés dans ce but; et si, par un groupement habile de symptômes ration-nels, on est quelquefois parvenu à deviner
ier le diagnostic des ané-vrismes de l'aorte ; nous n'invoquerons les symptômes ra-tionnels que pour confirmer les données que fo
Poumons et Cœur. 33 la suffocation, l'aphonie, la toux et d'autres symptômes ration-nels sont quelquefois communs à l'une et l
embarras. Stokes a rassemblé, dans le tableau suivant, les principaux symptômes qui peuvent, en pareil cas, éclairer le diagnosti
sse de l'aorte. On peut cependant établir, en règle générale, que les symptômes physiques pré-dominent à droite dans le premier c
contraire a lieu quand l'aorte est le siège de la lésion. Enfin, les symptômes qui résultent de la compression intra-thoraci-que
tide et la sous-clavière gauches: seule-ment, de part et d'autre, les symptômes se manifestent du même côté. L'état du pouls, les
'un des organes abdominaux permettront d'en préciser le siège, et les symptômes géné-raux d'une affection constitutionnelle en dé
Lorsqu'il existe un anévrisme, au contraire, la douleur est un des symptômes prédominants ; elle se manifeste, dès le dé-but,
ens pal-liatifs qui conviennent le mieux pour combattre isolément les symptômes les plus incommodes de cette maladie. 1° Moyens
u système débilitant, lorsqu'ils ne sont pas employés contre l'un des symptômes de la maladie. G. Régime. — En dehors de la mét
uées aux anévrismes de l'aorte, il nous reste à faire la médecine des symptômes , en indiquant les meilleurs moyens de com-battre
dans une prostration profonde, et finit à la longue par aggra-ver les symptômes qu'il est destiné à combattre. M. le professeur
a poche ané-vrismale la forme disséquante ou la forme circonscrite. Symptômes . Aussitôt après la rupture des tuniques qui donne
uefois, au contraire, il se produit une rémission notable de tous les symptômes , et le malade semble aller mieux, jusqu'au moment
e fou-droyante. Dans les cas où la vie s'est prolongée, on a noté des symptômes cérébraux, du délire, de la somnolence, et quel-q
peuvent •offrir les anévrismes variqueux de l'aorte, ainsi que leurs symptômes caractéristiques. Depuis cet auteur, on s'est plu
t : toutefois, dans le cas de Syme, la communication était directe. Symptômes et Diagnostic. — A. Quand la tumeur ané-vrismale
ège de la communica-tion anormale, il se manifeste aussitôt après les symptômes nitiaux une tuméfaction soudaine, une coloration
lète des colonnes charnues qui s'insèrent à la valvule mitrale. Les symptômes de cette anomalie sont presque exclusive-ment fou
s, à des palpitations plus ou moins in-tenses. On a constaté d'autres symptômes d'une gêne de la cir-culation, parmi lesquels la
but remonterait à une période moins éloignée, et se rat-tacherait aux symptômes de quelque maladie antérieure: d'ail-leurs, la pa
re et ses branches collatérales se dilater au-dessus de l'obstacle. Symptômes . —Nous avons déjà signalé les principaux phé-nomè
ne obstruction accidentelle : mais il existe, dans ce dernier cas, un symptôme intéressant, que les vétérinaires ont été les pre
oides, contractés, refroidis. Au bout de vingt ou trente minutes, les symptômes s'amendent ; l'animal se relève, et reprend toute
(M. Charcot) a observé, chez l'homme, une lésion semblable, avec les symptômes correspondants. Il s'a-gissait d'une oblitération
de l'atrophie musculaire, et des fourmillements dans les jambes. Ces symptômes ont été jusqu'à la paraplégie com-plète chez un h
heval, cette variété de laclaudicalion intermittente ; quels sont les symptômes qui la caractérisent et les lésions qui les produ
ngt ou trente minutes, quelquefois plus, quelque-fois moins, tous les symptômes s'amendent ; l'attitude de-vient plus tranquille,
ervé comme conséquence ultime de cette affection. A cet ensemble de symptômes , répond constamment, ainsi qu'on s'en est maintes
réunies chez le malade dont nous allons rapporter l'histoire, et les symptômes correspondants à ces lésions, ont été, comme on v
sseoir pour prendre quelques minutes de repos; pen-dant ce temps, les symptômes se sont dissipés rapidement, et bien-tôt la march
é était devenue per-manente. III. Si l'on compare cet appareil de symptômes à celui que nous avons essayé de dépeindre, lorsq
ttente n'y figurerait point, dans un certain nombre de cas, parmi les symptômes observés à une certaine époque de la maladie. Nou
alpêtrière, le 9 octobre 1885, et qui bientôt a présenté les premiers symptômes de la gangrène, par oblitération artérielle, du p
mal, antérieurement à l'époque où le malade a présenté les terribles symptômes de l'ischémie complète et permanente, qui ont abo
que vous savez. Eh bien ! Messieurs, vous l'avez compris, ce sont ces symptômes prodro-miques prémonitoires qui s'observent dans
es efforts pour continuer la marche malgré la boiterie, pré-sente des symptômes qui, en clinique vétérinaire, sont recon-nus pour
rdfs Archiv. fur physiol. Heilk., 1852, XI.) que dépendent tous les symptômes (Exp. de Schiffer) !. Or, successivement, on voit
aculté de Paris en 1873 2. Mais, je le répète une fois de plus, ces symptômes , malgré leur caractère en quelque sorte spécifiqu
sentédans le membre qui devait être finalement frappé de sphacèle les symptômes de la claudication ischémique les plus caractéris
s pendant la crise. A ces phénomènes est venu se joindre plus tard le symptôme suivant : lorsque le malade posait le pied à terr
n mot une véritable crampe très doulou-reuse. Malgré la netteté des symptômes qui viennent d'être rap-portés, le diagnostic éta
i Dans ces derniers temps il s'est produit chez ce malade quelques symptômes permanents : 1° douleur très vive dans le gros or
ints de claudication ischémique, chez lesquels, malgré l'évidence des symptômes , la nature de l'affection avait été jusque là méc
Siège, 534; — ouverture dans le péri-carde, 535; — étiologie, 536; — symptômes , 536 ; — bibliographie, 537. Anévrismes de l'ao
ire, 538 ; — mort par hématémèse, 490; — siège, 492; — volume,493; - symptômes , 494; — voussure, 494; — pulsations, 494, 495; —
ussion, 500 ; — an. de l'aorte abdominale, 501 ; — palpation, 501 ; — symptômes rationnels, 501; — pouls, 502; — troubles circula
ux de l'aorte, 537; — siège, 539; — ori-fice de communication, 539; — symptômes , 540 ; — bruit de souffle, d'ailes, S'il ; — comm
— , 575; — obser-vation de — par compression arté-rielle, 575,516 ; — symptômes , 573, 591 ; — paralysie douloureuse par accès, 57
: — siège des ulcérations, 40 : — lésions de l'endocarde, 401 ; — symptômes typhoïdes, 4 03, 418: — symptômes locaux, 4C4;
— lésions de l'endocarde, 401 ; — symptômes typhoïdes, 4 03, 418: — symptômes locaux, 4C4; — étiologie, 405; — observation, 4
ls du cœur, s 80 ; — compo-sition, 381; — mode de produc-tion, 381; — symptômes , 382; — phénomènes ataxiques, 382; — contractures
—, 333: — étiolo-gie, 335; — dans les fièvres in-termittentes, 336; — symptômes céphaliques, 337, 342; — époque d'apparition, 338
ques, 337, 342; — époque d'apparition, 338; — accès fébri-les, 338; — symptômes , 341; — albuminurie, 342, 343; — aliéna-tion ment
46; — époque d'apparition, 452; — phénomènes ultimes, 453, 454; — symptômes , 455;— diagnos-tic, 457; — limitée, 457 ; — obser
ronique ulcéreuse, 145 ; — observations de —. 176 ; - débuts, 146 ; — symptômes , 146; — terminaisons, 148; — exa-men physique, 14
Pneumonie chronique non ulcéreuse, 149; — observations de—, 150; — symptômes locaux, 154; — auscultation et percussion, 15^;
mma-toires, 55i;— rétablissement de la circulation dans les —, 552; — symptômes , 552; — diagnostic, 553; — pronostic, 553; — trai
16 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ptures, etc. Et cependant, malgré la diversilé de, ces lésions, les symptômes sont toujours sensiblement les mêmes, beaucoup
, la création de ces types cliniques serait impossible : chacun des symptômes de la syphilis cérébrale se rencontrant indiffé
inique spécial doit donc se baser : 1 ° sur l'analyse de chacun des symptômes et des caractères qu'il présente dans la syphil
il présente dans la syphilis artérielle ; 2° sur l'évolution de ces symptômes ; 3° sur leur groupement. Nous n'aurons en vue i
ilis joue un rôle banal. 1. Caractères généraux et particuliers des symptômes de la syphilis artérielle de l'encéphale. Le ca
ser à la possibilité de la compression par un anévrisme lorsque les symptômes concomitants seront ceux de la syphilis artérie
ces passagères, sponta- nément curables, qui surviennent sans autre symptôme cérébral et paraissent dues à l'action directe
les éléments de diagnostic qui nous sont fournis par l'analyse des symptômes ; l'étude de leur évolution et de leurs groupeme
re annoncée par aucun prodrome, sans être accompagnée d'aucun autre symptôme qu'un peu d'en- gourdissement de la région para
émie cérébrale. Elles se distinguent simplement par l'adjonction de symptômes de compression dus aux ané- vrismes. Cette comp
écrire ici tous les ramollisse- ments d'origine syphilitique. Leurs symptômes dépendent surtout de leur localisation, et cell
l'hémorragie cérébrale : très rare d'ailleurs, elle n'offre pas de symptômes spéciaux lorsqu'elle reconnaît pour cause la sy
émiplégie, assez souvent de phénomènes convulsifs, quel- quefois de symptômes bulbaires (compression). La ponction lombaire p
ément ou après un traumatisme, se manifesteraient brus- quement les symptômes connus del'excès de pression intra- cranienne »
crivent de plus une forme intellec- tuelle c présentant beaucoup de symptômes de la paralysie générale, mais dont la [nature
parce que, outre les signes de paralysie générale, il y a certains symptômes d'endartérite localisée, tels que la monoplégie
, le ptosis, l'aphasie transitoire, etc. 11 Il est probable que ces symptômes de paralysie générale ne relèvent pas directeme
'agit au point de vue anatomique des formes mixtes. Tels sont les symptômes qui peuvent quelquefois servir à distinguer la
uelle. Il y a un an, subitement, sans prodromes et sans aucun autre symptôme , elle s'aperçut qu'elle voyait double; une pers
u'il lui était impossible de s'en servir. Pas -d'ictus, aucun autre symptôme . 'Il n'y a jamais eu de céphalalgie, aucun trou
s rouges. La parésie de la main droite a un'peu diminué; les autres symptômes restent stationnaires. On cesse les frictions m
joutait le caractère spasmodique. Il nous reste à interpréter trois symptômes : la monoplégie droite, la paralysie de l'abduc
chiale droite. Nous sommes donc amenés pour l'interpréta- tion des symptômes à admettre trois lésions : deux lésions hé- mis
bles trophiques de la paralysie générale, sans dire pourtant si les symptômes trophiques observés sont fréquents. Il' observe
les trophiques soient fréquents. Ils croient, au conlraire, que ces symptômes observés chez les paraly- tiques généraux ne dé
ord. I)tiisBoddaerL6 ' Klippel. - La paralysie générale, lésions et symptômes spéciaux, formes spéciales (Arch. de médec, exp
llaire et péripupillaire. M. Neil Jameson lIepbul'l15 croit que les symptômes ocu- laires pourraient être constatés deux à tr
. méd. psychol., 1822, t. \ 111, p. 213). 0 Neil Jameson Hepburn. Symptômes oculaires précoces dans la paralysie générale (
e lésion des deux régions, il n'y aura pas simultané- ment les deux symptômes . Cliniquement le phénomène rotulien peut existe
si indiquer si les hétéro- topies en queslion se traduisent par des symptômes locaux. Les quatre faits précédents concernent
appréciation peut avoir une remarquable précision; 3° eu outre des symptômes perma- nents (phénomènes de déficit) nous trouv
s des centres qui président aux phénomènes d'où dérivent les divers symptômes de la maladie. D'après cette théorie, on est am
non seulement l'exopththalmie a toujours dis- paru, mais les autres symptômes ont au;si rétrocédé en grande partie. Quand l
que, mais tout de même en prenant en consi- dération les principaux symptômes de la maladie et son cours avec oscillations co
moins grand et en diminuant graduellement; reste aussi le principal symptôme de la maladie, à savoir : l'épuisement excessif
Cli. Lévy. Mensuration de la toxicité vraie de l'alcool éthylique. Symptômes de l'intoxication aiguë et de l'intoxication ch
autres formes de syphilis cérébrale. § 1. Caractères généraux DES symptômes DE la syphilis méningée. Ici, c'est l'inverse d
missements répétés, température quelque- fois élevée, tels sont les symptômes qui ouvrent habituelle- ment la scène. Si le pr
première période on note des vertiges, des troubles psychiques, des symptômes de compression du côté des nerfs de la base, de
IC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS. 103 lution. Pendant la première les symptômes sont légers et fugaces : c'est une convulsion é
fugaces : c'est une convulsion épileptiforme isolée , sans autres symptômes ; une paralysie oculaire brusque, des phé- nomèn
htal- moscope montre des lésions de névrite optique, que tous les symptômes énumérés plus haut se sont installés défi- niti
forme la plus fréquente et la mieux connue. Oppenheim ' croit ses symptômes si caractéristiques qu'ils permettent le diagnost
es, on fait des injections sous-cutanées d'antipyrine. )'7. Mêmes symptômes et mêmes constatations à l'examen. L'anesthésie
hexie de plus en plus prononcée. Elle meurt sans présenter d'autres symptômes . Autopsie. CLE2l1' très petit sans aucune lésio
es dans le même tableau symptomatique. § I. Caractères généraux DES symptômes de la syphilis Goum- MEUSE. - Nous avons vu que
USE. - Nous avons vu que la syphilis artérielle donnait surtout des symptômes de déficit, qu'au contraire les phé- nomènes ir
s la syphilis méningée Dans la syphilis gommeuse ces deux ordres de symptômes se trouvent réunis : .' ,1" Les symptômes de
euse ces deux ordres de symptômes se trouvent réunis : .' ,1" Les symptômes de déficit, dépendant de la localisation de la
des idées, du jugement, etc., donnent, quand elles sont lésées, des symptômes de déficit beaucoup plus difficiles à dépister.
diverses. Nous ne pouvons les passer en revue ici, ce sont tous les symptômes des tumeurs cérébrales. Nous dirons seulement
ions ni les améliorations brusques, et ne peut s'appliquer tous les symptômes . Les phénomènes congestifs sont réels, mais réc
sité. Seules ces intoxications ne produiraient probablement aucun symptôme cérébral ; portant leur action sur une substance
rale mise en état de moindre résistance, elles peuvent produire des symptômes bruyants. Ne suffisent-elles pas à faire délire
a rétine, ne donne que très peu de troubles fonctionnels : c'est un symptôme qu'il faut recher- cher ; les malades n'accusen
des tumeurs cérébrales, dont les gommes peuvent reproduire tous les symptômes . L'évolution est aussi celle des tumeurs cérébr
com- plètes. Nous croyons qu'il y a toujours un fond permanent de symptômes de déficit : ceux-ci sont plus ou moins accusés
fisance de nos méthodes d'inves- tigation. Sur ce fond permanent de symptômes de déficit, viennent de temps à autre brocher l
infiltration dif- fuse, s'accroître progressivement, déterminer des symptômes de plus en plus graves et se terminer par la mo
sées de phénomènes irritatifs deviennent de plus en plus rares. Les symptômes de déficit eux-mêmes peuvent s'atté- nuer, par
is cérébrale; ce n'est qu'ensuite et par une analyse minutieuse des symptômes qu'on arrive, et encore pas toujours au diagnos
nce des antécédents, la recherche des stigmates anté- rieurs et des symptômes concomitants, qu'on peut soupçon- ner la nature
l'intoxication intercurrente. Ce n'est que lors- qu'il guérira les symptômes de déficit qu'on- pourra lui accorder une valeu
ire- Amélioration par le traitement spéci- fique. Recrudescence des symptômes , apparition d'asthénie et de fermentations stom
es phénomènes bulbaires : amélioration spontanée. Recrudescence des symptômes , crises épilepli formes clébu- tant par la main
émique de dix-huit à vingt-un ans; l'interrogatoire ne révèle aucun symptôme de syphi- lis pour cette période. Elle a deux e
ilatérale surtout frontale, a peu près continue. Elle est restée le symptôme dominant jusqu'à présent. Les vomissements se p
en même temps qu'une localisation cérébrale pour l'explication des symptômes antérieurs. Retour dans le service le le, sep
n entrée dans une salle de chirurgie, la raideur de la nuque et les symptômes concomitants disparurent spontanément et subite-
fois, mais seulement pendant dix à douze heures, elle fut prise de symptômes semblables : raideur de la nuque, immobi- lisut
s sont très peu considérables Nous n'avons pas à insister sur les symptômes qu'a pré- sentés notre malade, ni sur leur évol
ALE. pouvoir rattacher clairement à une cause principale tous les symptômes et toutes les lésions que l'on voudrait comprendr
u type paralysie générale ne sont-elles pas la synthèse de tous les symptômes , de tous les caractères observés dans toutes le
bide. A-t-on jamais songé sérieusement à voir dans l'en- semble des symptômes de l'urémie la symptomatologie d'une entité mor
ombreuses recherches ont été faites qui établissent l'intérêt de ce symptôme dans quelques formes do maladies mentales. Pa
utres, prendre une réelle valeur dia- gnostique. La fréquence de ce symptôme est à peu près la même dans le tabes et dans la
omme démence sénile et débute ordinairement vers cinquante ans. Les symptômes sont ceux de la dépression avec tendances au su
eur tendance morbide à des mariages disproportionnés constituent un symptôme com- plexe, au sujet duquel le médecin peut êtr
les clini- ques, etc. Bien souvent l'ablation des ovaires calme les symptômes aigus de la maladie et provoque un état de stup
que que mentale. Il fit 14 curetages et obtint 14 améliorations des symptômes physiques et 8 améliorations de l'état mental s
er, car c'est a peine si l'on rencontre deux malades présentant des symptômes vraiment identiques. Dans tous les cas, la mala
règle. Le malade était un homme de trente- neuf ans chez lequel les symptômes et l'évolution du tabès n'ont rien présenté de
alysie générale, le médecin qui l'avait signé ne relevait aucun des symptômes de cette maladie à l'appui de son opinion : ce
n du malade à son entrée à l'asile, ni par l'étude ulté- rieure des symptômes . Ce que l'on trouvait chez ce malade, c'était u
sensibilité allant jusqu'au délire; mais de paralysie générale, nul symptôme . L'autopsie d'ailleurs révéla les symptômes cla
paralysie générale, nul symptôme. L'autopsie d'ailleurs révéla les symptômes classiques de l'ataxie. sans aucune des lésions
wsky. (Centralbl. f. i)le ? ,veizheil4 ? XVII, iN. F., vi, 1895.) Symptômes de début tabétique. sans être du tabes; les autre
95.) Symptômes de début tabétique. sans être du tabes; les autres symptômes appartiennent aussi bien à ['hystérie qu'à la par
parée de .la paralysie générale et de l'hystérie. L'ensemble de ces symptômes (anesthésie, parésie ou paralysie des pupilles,
n. Tels sont les hystériques. On constate chez eux trois espèces de symptômes : 1° Des symptômes occasionnels. Ce sont des al
ériques. On constate chez eux trois espèces de symptômes : 1° Des symptômes occasionnels. Ce sont des altérations orga- niq
dividu s'en targue pour expliquer ses faiblesses psychiques; 2° Des symptômes produits par ['insuffisance des images commémo-
sion hystérique, l'hypnose hystérique, la folie hystérique ; 4° Des symptômes inventés; le malade a des illusions, il a aussi
97.) Laissant de côté les cas ou la confusion mentale n'est qu'un symptôme ou un épisode de diverses maladies, l'auteur étud
n même temps se déclare une fièvre intense. Les jours suivants, les symptômes méningitiques s'accentuent; la température atte
degrés. Enfin, au bout de cinq jours, la fièvre tombe; les autres symptômes s'atténuent et disparaissent en une dizaine de jo
lis une neurasthénie plus cérébrale que nerveuse, s'accompagnant de symptômes nouveaux, troubles oculo-pupillaires, troubles
t tellement de la paralysie géné- rale, par leur origine, par leurs symptômes et souvent par leur ter- minaison, qu'il n'y a
opération de nécessité à laquelle on n'aura recours que lorsque des symptômes graves (goitre plon- geant) commanderont une ex
excitation permanente du sympathique cervical, cause des principaux symptômes de la maladie ; la paralysie du muscle lisse or
hypertrophie de l'organe et l'hypersécrétion du suc thyroïdien. Les symptômes accessoires, tremblement, sensation de chaleur,
aux plis du coude et du genou. L'amélioration fut rapide, mais des symptômes de névrite toxique apparurent aux coudes et ext
atteint d'un goitre exophthalmique typique, accompagné de tous les symptômes cli- niques et sur qui M. Quénu a pratiqué la r
ains et des muscles du tronc. An mois de novembre apparaissent,'des symptômes bulbaires et des phénomènes de septicémie. La m
pture de l'organe. M. Klippel 1, reprenant la question à propos des symptômes spéciaux de la paralysie générale, conclut que
iatrie, XXVII, 2, p. 541. ` Klippel. Paralysie générale, lésions et symptômes spéciaux. (Aclr. cle médecine expér·inrenlale,l
ces lésions sont de ca ractère différent et que le plus souvent les symptômes cliniques de ces lésions médullaires sont caché
tent le substratum anatomo-pathologique des phéno- mènes urémiques ( symptômes paralytiques et convulsifs) qui, par suite, son
compression de la moelle cervico-dorsale on peut observer les mêmes symptômes . 3° Au point de vue physiologique les fibres mo
té du coeur. La situation de la grosse cicatrice, rapprochée de ces symptômes , indique qu'il y a eu, pendant l'opération, lés
a sensibilité dans la moitié faciale gauche; ce n'est donc point un symptôme direct produit par la lésion du grand sympathiq
ymptôme direct produit par la lésion du grand sympathique, c'est un symptôme indirect dû aux troubles de circulation des vai
é paralysé. Cette augmentation de la résistance électrique est un symptôme du même ordre que l'abaissement de la température
ui de la méningite tuberculeuse; on constatait, effet, entre autres symptômes , de la céphalalgie, des vomissements, de la con
it d'une tachycardie rapide avec insommie et anxiété constante. Les symptômes psychiques ont été rapidement atténués, mais il
étriques du sujet. Le diagnostic a été basé sur la constatation des symptômes suivants : hypertrophie des mains et des pieds,
cidé avec une suppression des règles. Il est à noter que le premier symptôme observé a été une soif intense; ce symp- tôme e
nts permettent de les distinguer : 1, Les caractères généraux des symptômes et l'histoire de la maladie sont différents.
iron après un eurettage utérin pour pertes blanches abondantes, les symptômes d'une myélite subaiguë dorso- lombaire. Clini
. Les théories généralement admises sur la méningite sont que les symptômes constatés pendant la vie correspondent à des lési
peut être faite qu'un exsudat sur les méninges puisse produire des symptômes du fait de sa locali- sation. Ce fait a paru lo
établi en raison de la coïnci- dence fréquente des deux conditions, symptômes et lésions. Mais des cas peuvent se produire où
ymptômes et lésions. Mais des cas peuvent se produire où lésions et symptômes ne coïncident plus et l'auteur en cite plusieur
Chez un autre malade mort de pneumonie sans avoir présenté aucun symptôme méningitique, l'auteur trouva à l'autopsie, en
peut la diagnostiquer durant la vie avec certi- tude parce que les symptômes ne justifient pas les conditions ana- tomiques
t que ce sang veineux agit alors comme agent toxique et produit les symptômes notés dans la période post-convulsive, a trouvé
n, a présenté une hémianopsie horizontale inférieure symétrique. Ce symptôme persiste depuis dix-huit mois et paraît devoir
avril 1897.) ' La polyurie dite essentielle est presque toujours un symptôme de l'hystérie. Le diagnostic de cette polyurie
e polyurie hystérique est faite lorsqu'elle est associée à d'autres symptômes de la névrose, à l'hémianesthésie sensilivo-sen
r qu'avant le début de l'insomnie la malade n'avait présenté .aucun symptôme d'hystérie. Dans les conditions ordinaires, la
tiques hypno- tiques que M. Janet a pu élucider la pathogénie de ce symptôme . REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 237 Cette caus
ite périphérique appréciable. A. FENAYROU. XXV. Maladie familiale A symptômes CÉRÉBRO-3fÉDULLAIRES; parPAULY et Bonne. (Revue
pondent assez bien au type de la maladie familiale : similitude des symptômes chez plusieurs enfants d'une même géné- ration,
e d'amné- sie rélrograde. A cdlé de cette forme d'oubli, qui est un symptôme presque constant, la névrite multiple est souve
entité morbide spé- ciale ? , il arrive dans certains cas que les symptômes de névrite sont à peine prononcés; ce sont les
as que les symptômes de névrite sont à peine prononcés; ce sont les symptômes mentaux qui domi- nent toute la scène ; la mémo
cette psychose est toujours très carac- téristique ; d'ailleurs les symptômes de polynévrite sont toujours contestables et le
xications (Archives de Neurologie, nos98 à 102). La simultanéité de symptômes tels que les troubles digestifs, les manifestatio
on, il continua d'abord à simuler le délire des grandeurs, avec des symptômes de confusion intellectuelle. Plus tard il allég
gitiques répétées, poussées dont les crises convulsives ont été les symptômes les plus mani- festes. HYGIÈNE SOCIALE. L'A
n rencontre une première période avec des signes de méningite ; des symptômes cérébraux transi- toires tels que céphalées noc
s des muscles de l'eeil ; une grande variation dans l'intensité des symptômes avec exacer- bations nocturnes ; l'absence de f
pécial n'est pas employé. 1 En même temps que la céphalée, d'autres symptômes se rencon- trent fréquemment, tels que douleurs
angage, modifications de l'iu l'intelligence et du caractère. Cet symptômes deviennent de plus en plus fréquents et intenses.
uents et intenses. en même temps que se joignent à eux les nouveaux symptômes caractéfistiquesdes diverses formes de syphilis
e cette mauvaise interpré- tation tiennent d'abord à ce fait queues symptômes de la neurasthénie sont pour la plupart subject
e d'autre part, on a souvent décrit sous le nom de neurasthénie des symptômes nerveux associés à l'anémie, à la chlorose, à c
à certaines affections des organes pel- viens ou de l'estomac : ces symptômes , pour neurasthéniques qu'ils puissent être, son
swanger : son expression clinique est une fatigue nerveuse dont les symptômes , suivant l'organe considéré, se groupent et s'u
issent entre eux pour former une entité bien déterminée. Les divers symptômes primaires de la maladie seront tous, quelle que
es ou des troubles de la sensibilité générale qui constitueront les symptômes secon- daires. Dans certains cas, les symptômes
i constitueront les symptômes secon- daires. Dans certains cas, les symptômes secondaires pourront paraître prédominants au p
bord, mais un examen atten- tif permettra teujours de retrouver des symptômes primaires fon- damentaux. (The alienist and neu
e présentait des signes de maladie d'Addi- sou, associés à quelques symptômes tabétiques. A l'autopsie, on trouve un cancer d
ution très considérable de l'atrophie). E. i\L1RGOUL1ES. LIV. DES symptômes précoces ET PEU connus du tabès; par le pro- fe
e les gros signes classiques font défaut; 1 dans ces cas, ce; tains symptômes de moindre importance peuvent rendre de réels s
yant une évolution progressive et se caractérisant par une série de symptômes qui depuisla simple amyesthénie et asthé- nie c
our les faits de double conscience. L'hypnotisme enfin n'est pas un symptôme de l'hystérie, mais celle-ci est une maladie du
ertaine valeur, lorsqu'il existe en même temps quelqu'un des autres symptômes plus importants de ces affections. La fréquence
t employés pour dési- gner, d'une façon générale, un même groupe de symptômes . Ce n'est que récemment que l'on a accordé au d
- pepsie, refus de nourriture. En présence de la fréquence de ces symptômes dans l'hypo- cbondrie ordinaire, l'existence d'
894, ce malade était atteint de manie aiguë alcoolique. Lorsque les symptômes aigus furent atténués on s'aperçut que depuis l
e des qualités de patience, de tact et d'obser- vation des moindres symptômes nerveux qu'on ne rencontre pas aussi développés
celles du système nerveux, il n'a pas une bien grande valeur comme symptôme . Dans les hémiplégies organiques, il manque sou
'ils soient. Les conclusions de l'auteur sont les suivantes : Les symptômes psychiques des délires infectieux et des délires
aralysie générale, et la démasquer est chose parfois difficile. Les symptômes moteurs peuvent être identiques. C'est surtout
tivement et remédier dans certains cas d'une façon remarquable aux symptômes généraux de compression si redoutables pour les
ré que ces malades n'ont que la respiration costale supé- rieure Ce symptôme , avec la dénutrition générale, constitue même c
Séglas 3, que les halluci- nations des sens spéciaux ne sont pas un symptôme constant ni essentiel chez ces mélancoliques...
ates (examen fait après les crises épileptiques.) Cet ensemble de symptômes permet d'affirmer que la malade est atteinte d'
ts; la participation des altérations aux épi- physes ; l'absence de symptômes cliniques d'ordre nerveux (hormis la douleur lo
- tisme, les phénomènes de compression peuvent prédominer sur les symptômes de l'hémisection (paralysie motrice bilatérale),
t se hâter de nier l'hémisection de la moelle, quels que soient les symptômes cliniques observés ; 2° qu'en général toute int
sée. Dans l'état actuel des connaissances histophysiolo- giques, ce symptôme ne saurait s'expliquer que par l'une ou l'autre
e latérale doit être dès lors considérée comme se composant de deux symptômes presque com- plètement indépendants et qui n'on
ons, les auteurs s'efforcent de mettre en relief la combinaison des symptômes physiques et psychiques qui caractérise le délire
ils ont eu l'oc- casion d'examiner minutieusement, et où, à côté du symptôme SOCIÉTÉS SAVANTES. 417 complexe du délire aig
417 complexe du délire aigu, on pouvait nettement distinguer les symptômes caractéristiques de la paralysie générale. Passan
de la face cubitale des deux mem- bres supérieurs en même temps que symptômes oeulo-pupillaires du côté gauche ; quelques jou
ces observations, l'auteur tire les conclusions suivantes : 10 les symptômes radiculaires font souvent défaut dans les cas de
qui rend le diagnostic plus difficile ; BIBLIOGRAPHIE. 423 2° les symptômes moteurs du côté de la moelle ont une valeur dia
é de la moelle ont une valeur diagnostique aussi importante que les symptômes sensitifs ; 3° la virgule de Schultze est proba
divers centres sympathiques. On explique ainsi facilement tous les symptômes ; c'est cette hypothèse simple qui répond le mie
ue, permet d'en mieux comprendre les caractères évolutifs, certains symptômes et certaines particularités du traitement. De p
ues capables de rendre l'irritation sympathique permanente et ses symptômes définitifs. Le traitement consiste à interrompr
bstance paralysant spécialement le sympathique; 2° en supprimant un symptôme (goitre, tachycardie, dilatations vasculaires),
re le diagnostic exact du siège de la lésion ; la superposition des symptômes aux lésions nous a permis en outre de tirer que
ct d'alcoolisme (vin, absinthe). Affection actuelle. Les premiers symptômes se sont montrés il y a trois mois et demi, et o
reux, nulle part d'abcès par congestion. Du côté de la face aucun symptôme , si ce n'est un tic facial, très léger, et dont
t, le reste de la moelle fut placé dans le liquide de Muller. Les symptômes observés du vivant du malade et les localisations
Ce qui est plus difficile à comprendre c'est la bilatéralité des symptômes soit médullaires, soit radiculaires. A l'inspec-
sommes restés dans le doute à ce sujet. La rapidité d'évolution des symptômes , surtout en l'ab- sence de toute cause d'inflam
des cordons postérieurs : la section de ceux-ci amène entre autres symptômes l'anesthésie des tissus profonds (Schiff). En
nt avec le diable de manière à ne point être entendus. On trouve ce symptôme chez beaucoup de mélancoliques, surtout chez ce
é, que la folie démoniaque, tout en présentant à peu près les mêmes symptômes que la manie ou la mélancolie ordinaires, peut
face et congestionner le corps thyroïde, c'est-à-dire, réalise les symptômes apparents du goitre exophtalmique. Si cette exc
simultanément de la toxine et de l'antitoxine, on n'observe pas de symptômes appré- ciableseton ne constate, à l'autopsie, q
: 0'0<0g'. Cen- Fillette de treize ans, atteinte de fièvre avec symptômes spinaux et névritiques persistant jusqu'à la mo
ition épileptogène faisant défaut, la même lésion ne fournit pas ce symptôme . Elle admet en outre qu'une lésion unilatérale
les convulsions partielles seules guident le chirurgien. Seuls les symptômes initiaux de l'accès, non pas seulement la premi
é d'exciser la lésion déchargeante diagnostiquée par l'existence de symptômes initiaux précis, sans que l'écorce paraisse alt
a été tirée. - Pour l'écrit, les questions étaient : 11 dit foie, symptômes et diagnostic; fracture du péroné; 2° Diphtérie,
. - Paihtas,2H. - , 536 TABLE DES MATIÈRES. Maladie familiale à symptômes cérébraux bulbaires, par Pauly et Bonne, 238.
,tvidson, 147. Rapports entre la syphilis et le-, par Homen, 163. Symptômes précoces du -, par de l3ecblerew, 522. Appare
17 (1911) La pratique neurologique
vec toutes ses surprises, avec l'infinie variété des aspects et des symptômes et la diversité d'interpréta- tion dont chacun
tique sont en étal de parer à celte difficulté; ils étudient chaque symptôme en lui-même et pour lui- même, ainsi que pour l
e la Séméiologie nerveuse proprement dite, de celle qui a trait aux symptômes dépendant directement des trou- bles du système
as très légers d'insuffisance musculaire, alors que tous les autres symptômes de parésie musculaire sont absents, la diplopie
on des paraly- sies oculaires. Il importe donc de bien connaître ce symptôme et d'ap- prendre à l'utiliser pour le diagnosti
la convergence, sur- tout chez les enfants; Polyopie monoculaire, symptôme qui accompagne la contracture de l'accommodatio
l vaut mieux, pour établir le diagnostic, s'en rapporter aux autres symptômes concomitants (altérations ophtat- moscopiques,
s fibres nerveuses qui constituent le nerf optique explique bien ce symptôme (fig. 59). - Les fibres du nerf optique droit s
parler, d'hémia- nopsic monoculaire. Nous décrirons d'abord le symptôme hémianopsie. Nous ver- rons ensuite quels son
ue conscient de son affection, mais nous devons nous borner ici aux symptômes les plus importants. Dans d'autres circonstances
leur long trajet du chiasma à l'écorce occipitale, peut amener des symptômes variés suivant son siège. Les tractus ou les ce
ar la même lésion qui coupoles voies optiques, et donner lieu à des symptômes associés. D'ailleurs, l'hé- mianopsie peut elle
e produit l'interruption des fibres optiques intracràniennes. Ces : symptômes associés et ces variations de l'hémianopsie aiden
a partie postérieure de la capsule interne. Mais c'est là encore un symptôme aussi propre aune lésion sous- corticale qu'à u
, . Hémianopsie par lésion cérébrale sous-corticale. Beaucoup des symptômes associés qui viennent d'être signalés dans l'hé
s visuelles. , Hémianopsie par lésion des ganglions centraux. Les symptômes associés auxquels donnent lieu les hémianopsies p
hique du nerf optique. Réaction hémiopique de Wernicke. - 11 est un symptôme sur lequel Wel'l11cke a attiré l'attention. Le
us venons de le voir, l'hémianopsie, par des modifications dans ses symptômes propres ou par l'adjonction de symptômes associés
des modifications dans ses symptômes propres ou par l'adjonction de symptômes associés, peut, suivant le siège des lésions, p
ractérisée dont l'hémianopsie n'est qu'une ma- nifestation. Tabes : Symptômes du tabes (signe d'Argyl Robertson, signe de Wes
du tabes (signe d'Argyl Robertson, signe de Westphal). Méningite : Symptômes de méningite : modifications du pouls, constipa
nodulaires volumi- neuses, à de gros tubercules, qui provoquent les symptômes cliniques de la tumeur cérébrale; elle peut aus
à l'ophtalmoscope. ni PARALYSIES DES MUSCLES MOTEURS DES GLOBES Symptômes . Strabisme. - Le strabisme ou déviation de l'oe
e il la déviation primaire. Voici com- ment on recherche ce dernier symptôme : Quand le malade se présente au médecin, l'un
au strabisme non paralytique que nous venons d'énumérer et par les symptômes suivants qui appartiennent seulement, aux paral
grande que la déviation primaire. Nous nous sommes expliqués sur ce symptôme important (Voir Strabisme non paralytique, p. 5
us fréquentes et il importe de les reconnaître. Elles présentent un symptôme principal et constant, la diplopie. C'est à l'aid
La paralysie de chaque muscle, nous le verrons, donne lieu il des symptômes particuliers, qui la distinguent de celle des onz
ar la' diplopie seule, sans qu'il soit besoin d'utiliser les autres symptômes des paralysies oculaires : déviation du globe,
déviations et des troubles diplopiqucs auxquels il donnc lieu. Ces symptômes découlent mécaniquement des fonctions physiolo-
e oculaire. Dans les paralysies incomplètes on retrouve les mêmes symptômes moins accentués. 4° Paralysie d'origine pé-
com- modation. On peut aussi, mais plus difficilement, expliquer ce symptôme par une localisation particulière de la lésion
aiguë hémorrhagique- de Wernicke, affection grave, accompagnée de. symptômes généraux (céphalée, vomissements, vertiges, ten
duquel passe le M. 0. E. Cette fêlure ne. s'accompagne d'aucun des symptômes graves habituels dans les fractures du crâne. L
al, le diagnostic étiologïque doit se baser sur la constatation des symptômes concomitants, propres aux affections causales.
pupillaire spasmodique. Ce signe pupillaire s'accom- pagne d'autres symptômes d'irritation du sympathique cervical, entre, au
qu'il ne s'agisse de l'introduction d'un mydria- tique) tirer de ce symptôme une conclusion très importante, c'est que, cert
l connus. Néanmoins, une inégalité pupillaire constitue toujours un symptôme important. Elle doit déterminer le médecin il r
s et les adultes. Le spasme de l'accommodation a été donné comme un symptôme de l'lrs- térie. On le rencontre très fréquemme
paralytique. Paralysie DU 11ELE\'EIiII de LA paupière supérieure. Symptômes . Le ptosis ou chute de la paupière supérieure se
iès d'lIutchinson). Dans le ptosis incomplet (pro- ptosis), ces symptômes , chute de la paupière, contractions frontales
ux du globe oculaire ou du reste de l'organisme. Larecherche de ces symptômes associés est de la plus grande importance, pour
5). Souvent aussi, tout le M. 0. C. est pris, le ptosis n'est qu'un symptôme obligatoire de la paralysie du M. 0. C..(p. 69)
isolée de l'élévation palpébrale. Elle peut aussi s'accompagner de symptômes de compression des autres organes de la cavité
environ. Gerlier en observa une épidémie. Le ptosis est le dernier symptôme à disparaître. ' Le ¡¡{osis myopatlrique, toujo
a paralysie de ce muscle, et laisse de côté tout ce qui a trait aux symptômes ou à l'étiologie de la paralysie faciale (Voir
de larmes; quelquefois il existe un véritable larmoiement. Tous ces symptômes résultent de la paralysie du muscle orbiculaire.
une blépharorraphie précoce. VII ' . EXOPHTALMIE L'exophtalmie, symptôme commun à de nombreuses affections, con- stitue
, de llosenbach. Mais, en même temps, il faut rechercher les autres symptômes de la maladie de Basedow, la ta- chycardie, le
vrysme de l'artère basilairc, maladie exceptionnelle accompagnée de symptômes hullm-protnhérantiels; la thrombose des sinus,
ions, il est une manifestation rare, dans d'autres, il constitue un symptôme habitue) de la maladie. C'est le cas pour la sc
téressantes à constater dans une affection dont l'un des principaux symptômes , le tremblement des membres, augmente dans les
nt d'autres manifestations : névrite optique, paralysies oculaires, symptômes de méningite. Syphilis cérébrale héréditaire, m
réditaire et dont il constitue un des syndromes habituels. C'est un symptôme exceptionnel dans les myélites diffuses, la syrin
ée est complètement insensible ! au contact, d'où la modération des symptômes n;aeliom1l'k C'est sur l'examen de la sensibilité
e sont si fréquentes qu'elles constituent un de ses plus importants symptômes . Chaque fois qu'on soupçonne l'existence d'une
vrites auxquelles elles donnent, lieu ne sont pas encore élucidées. Symptômes subjectifs : Obnubilations passagères : nuages br
opiqucs ; ceux-là pouvant être légers, celles-ci très accentuées. Symptômes objectifs : Une papillite à divers degrés d'inten
apille, une dégénérescence simple sans phénomènes inflammatoires. Symptômes subjectifs : Diminution progressive de la vision.
très altérée. La cécité survient souvent il une période avancée. Symptômes objectifs : Une atrophie papillaire modérément ac
sous-corticales. IIemianopsie à caractères spéciaux (p. 55); Mêmes symptômes que pour les tumeurs corticales. Tumeurs céré
ien), puis au moment où l'on attendait la termi- naison fatale, les symptômes graves s'atténuent et disparaissent peu à peu,
itives, bruits subjectifs, hallucinations audi- tives, surdité. Ces symptômes font aussi partie de la crise elle-même, connue
paralysie générale notamment. L'hyperacousie a été donnée comme un symptôme de la paralysie faciale. Elle se rencontre auss
le, position couchée, feront disparaître au moins passagèrement ces symptômes . La congestion du labyrinthe, soit active (mala
ltléc ou même une partie plus limitée. Ce sont toujours les mêmes symptômes que l'on retrouve. Mais ici la surdité est souv
de dire s'il s'est agi de lahyrinthite aiguë ou de méningite. Ces symptômes sont aussi ceux que l'on pourrait rencontrer dans
reilles a la fois, avec bourdonnements, vertiges, recrudescence des symptômes généraux et de la fièvre. Chez les jeunes sujet
! ogieest celle des tumeurs de l'angle pfJl1to-red']H'lIl'IIX : aux symptômes généraux des tumeurs et aux signes de compression
ervation du trijumeau et des muscles oculaires. L'unilatéralité des symptômes est un argument en faveur de la tumeur du nerf,
tériorisant en avant et en bas puissent donner à peu près les mêmes symptômes . Au reste, l'indication opératoire est la même
ercule acoustique, origines du nerf cochléaire. Le plus souvent les symptômes dominants sont des troubles de l'équi- libre et
nstitue le phénomène essentiel autour duquel se groupent les autres symptômes accessoires. C'est ainsi qu'on pourra voir s'y aj
ce centre et de ce trajet bulbo-cortical ne donnent pas lieu à des- symptômes facilement appré- ciables, en raison de la semi
ues. Mais cette division reste artificielle au moins pour' certains symptômes dont la pathogénie n'est pas complètement éluci
e nystagmus expérimentai provoqué. . Le nystagmus spontané est un symptôme fréquent, mais inconstant, des lésions du labyr
ent être soit une conséquence de l'angoisse due au vertige, soit un symptôme d'une affection qui, comme l'artério-sclérose p
pause, de l'arterio-selerose, etc. 11 est logique de supposer qu'un symptôme aussi forcément subjectif que le vertige peut ê
agnent ordinairement les parésies et les troubles visuels. Tous ces symptômes surviennent par accès qui durent de une à dix m
voir même isolé en apparence, d'un ensemble morbide dont les antres symptômes sont à rechercher. 11 apparaît alors soit accid
tant, prolongé ou fréquent (Grasset). Dans l'un et l'autre cas, des symptômes variables, auditifs, visuels, gastriques, laryn
l-Hochwart a décrit des formes frustes où manquerait l'un des trois symptômes capitaux, hypo- acousie, bruits subjectifs ou v
, troubles du caractère, l'aligne physique et mentale, enfin autres symptômes passagers de « claudication intermittente du ce
eurs dans le domaine du tri- jumeau. Dans tous ces cas, seuls les symptômes concomitants permettent de reconnaître la cause
une aura précédant une petite ou une grande attaque, soit comme un symptôme de l'intervalle des crises convulsives, soit co
Dans la neurasthénie, il est, avec la céphalée en casque, l'un des symptômes les plus fréquents; les sensations illusoires de
férentes : soit Ù jeun, sous l'impression de la faim, accompagné de symptômes gastratgiqucs et calme par l'in- gestion d'une
éclairage produit aussi un vertige intense connue l'un des premiers symptômes quand l'absorp- tion a été massive, un état ver
tionnée ou pâle, la face présente parfois une déviation des traits, symptôme d'hémiplégie. Il est relativement rare de constat
l si la colonne mercurielfe atteint 42 et mùllw 45 degrés. D'autres symptômes , pris isolément mais surtout groupés, permettent
contractures généralisées ou localisées il un seul côté. Ce dernier symptôme révèle en effet, ou bien une hémorragie méningé
peut être progressif chez un malade présentant par ailleurs divers symptômes de tumeur encéphalique. Il peut au contraire êt
iation du voile, de la langue, des commissures labiales, ni sur les symptômes fonctionnels, troubles de la déglutition, de la
res et circulatoires redoutables par lésion du pneumogastrique, des symptômes oculaires, une forte hyperthermie. Des syndrome
t spasmodiques. Les anciens auteurs sont loin de s'accorder sur ses symptômes et sur sa valeur. Mentionnons enfin une forme spé
ndant compris). Dans le cas où l'on soupçonnerait l'existence de ce symptôme , pour le mieux étudier, on enjoindra au malade, c
ensorielle des anciennes classifica- tions. Elle présente les mêmes symptômes ; sa localisation anatomique est semblable. Les
la cérébrale moyenne ou sylvienne) réalise l'aphasie de Broca. Les symptômes de l'aphasie de Broca demeurent identiques dans
hique) et l'intonation monotone (Brissaud). L'aphasie de Broca. Les symptômes de l'aphasie de Broca n'on ! point change ? seu
ons générales permettent d'interpréter et de retenir facilement les symptômes de l'aphasie de Broca. La suppression du lan- g
cérébrale postérieure (cuneus et voies d'association). Il existe un symptôme unique, l'impossibilité ou la difficulté de la
e à l'agnosie tactile, gustative, etc. semblent former un groupe de symptômes à subs- li-atiiiii anatomo-palhologique défini,
.] 230 SÉMIOLOGIE PSYCHIATRIQUE. De nombreux auteurs classent les symptômes psychiques en trois groupes en rapport avec l'i
ec l'aphasie, erreur qui, parfois, a été commise. Le mutisme est un symptôme dont la valeur sémiologique est très importante
tisme ! psychologique inconscient, soit des hallucina- tiens. Si ce symptôme persiste longtemps, il indique une affection chro
es. Les maladies infectieuses intercurrentes donnent souvent peu de symptômes cliniques appréciables, elles restent latentes
pliments, des éloges. Les hallucinations s'accompagnent de certains symptômes qui peuvent servir il les l'aire soupçonner alo
tale. Cette aITection, qui remonte environ à se caractérise par les symptômes suivants (dégénérescence ou démence, nature et
et nuls. , . - [CROUZON] - 270 : IDIOTIES. Les associations de symptômes peuvent créer des variétés spéciales d'idioties
ications. Les complications de l'idiotie . sont non seule- ment les symptômes associés à la paralysie que nous avons déjà men-
rd de l'état d'idiotie auquel on : a affaire, de la progression des symptômes ; enfin, des conditions de .vie qui pourront exp
ion, dans les lésions des centres nerveux, con- stitue néanmoins un symptôme important que tout clinicien doit prendre en co
lement par exemple; enfin, jamais ils ne prennent le caractère d'un symptôme persistant. On peut expliquer la non-persistance
e ou telle hémianesthésie observée, abstraction faite de tout autre symptôme (moteur ou aphasique) pouvant l'accompagner. Cert
ion corticale; force est donc pour cela de s'appuyer sur les autres symptômes corticaux que peut présenter le malade. 2° Hé
atténués; dans ce cas, on se trouve en présence d'une ré- mon de symptômes , à J'ensemble desquels on donne le nom de syndrom
le. Les éléments du diagnostic différentiel reposeront donc sur les symptômes conco- [ROUSSY.] Fig. 17. Coupe horizontale m
res, visuels, auditifs, les désordres ataxiques sont les différents symptômes considérés comme relevant de la pathologie des
racines. Force est donc de recourir, pour le diagnostic, aux autres symptômes concomitants (signes moteurs, sphinctériens, trop
il doit, dans l'immense majorité des cas, s'appuyer sur les autres symptômes concomitants. Ceux-ci même seront parfois insuf
aux de Dejerine et de ses élèves ('), les ra- cudililes, « dont les symptômes el les lésions relèvent d'altérations inflammat
ant leur topographie régionale et la prédominance spéciale de leurs symptômes . On distingue ainsi des formes presque exclusiv
es constituent généralement le premier stade des radiculites. Leurs symptômes traduisent notamment l'irritation et non la des
e notamment dans la détermination de la topographie radiculaire des symptômes et de l'élément douleur. . La connaissance de
éiologique a été fortement exagérée et que, loin de cons- tituer un symptôme primordial de l'affection, ils ne sont que le rés
êtent les caractères des névralgies, dont elles sont le prin- cipal symptôme (voir article Névralgies). Toutes ces différentes
ir les patients. Valeur séméiologique. La douleur, considérée comme symptôme isolé, a-t-elle par elle-même une valeur intrin
ection nerveuse. Si elles ne permettent qu'exceptionnellement comme symptôme isolé de porter un diagnostic précis, elles ont
ent souvent à dépister l'affection en cause ; associées il d'autres symptômes sensitifs ou moteurs, elles concourent à complé
du système nerveux dans lesquelles la douleur prend la valeur d'un symptôme essentiel. Dans les névralgies et les /).s ? f7
ralgies et les /).s ? f7o-u;'H/< ? 6'.s. la douleur constitue le symptôme prédominant du syndrome névralgique ; on eu trouv
de tête. Céphalalgie ou céphalée. La céphalée ou céphalalgie est un symptôme qui se rencontre dans un grand nombre d'affecti
halée d'origine névralgique). Le plus souvent, elle n'est qu'un des symptômes cardinaux ou accessoires de l'affection, et par
méningite tuberculeuse en particulier, la céphalée fait partie des symptômes car- dinaux de la maladie, constituant avec la
e céphalo-rachidien. A la période tertiaire, la céphalée est un des symptômes prédominants de la syphilis cérébrale (forme ar
cussion et la pression en cet endroit, elle acquiert la valeur d'un symptôme de localisation, précieux pour le dia- gnostic.
s n'avons pas il étudier ici, et clans lesquelles elle constitue un symptôme précieux (rachialgie de la variole) indiquant u
s l'adipose douloureuse ou maladie de Dercum, la douleur est un des symptômes primordiaux de l'affection. Tout d'abord localisé
ces douleurs dites « d'origine centrale », qui, jointes à d'autres symptômes , lui permettront de l'aire un diagnostic de ioc
hésies), elles peu- vent quelquefois exister seules, connue premier symptôme d'une affec- tion. Elles acquièrent alors ;une
de. (Cas lioac..., Bicêtre, 1901.) ' 570 SENSIBILITÉ. , . premier symptôme en date.. Dans la suite, elles s'associent aux do
date.. Dans la suite, elles s'associent aux douleurs et aux autres symptômes objectifs ou subjectifs de la maladie. Dans l'a
n debout. En effet, les phénomènes dysesthésiques, comme les autres symptômes de l'érythromélalgie : rougeur, gonflement, cha
s fourmillements et les engourdissements font partie du cortège des symptômes de l'aura sensitive. Enfin, on les observe fréq
hie radiculaire. La leucocytose du liquide céphalo-rachidien est un symptôme souvent constaté dans les radiculites. Les radicu
lgie épi- lepti{o1'me convulsive, le tic douloureux de la face, les symptômes dou- loureux sont les mêmes, mais les muscles d
ersonnes qui souffrent de douleurs violentes dans un bras; c'est le symptôme unique ou le principal symptôme pour lequel elles
rs violentes dans un bras; c'est le symptôme unique ou le principal symptôme pour lequel elles consultent. La localisation d
ue-névrite. Dans la soiatique-névralgie, les dou- leurs seraient le symptôme principal ou même unique, les troubles trophiqu
et de' la rachialgie. - LES CÉPHALALGIES Le mal de tête est un symptôme fréquent et commun à de nombreuses affections.
t difficile a déterminer, et c'est par l'étude des caractères de ce symptôme et aussi par l'ensemble des sym- ptômes concomi
ée est souvent observée;. En cas d'inso- lation, la céphalée est un symptôme très fréquent. La céphalalgie; d'origine toxiqu
ment au cours des anémies et des chloroses. La céphalalgie est un symptôme très important des méningites aiguës, des hémor
ndaire et dans la syphilis tertiaire du névraxe. La céphalée est un symptôme fréquent dans l'arlério-sclérose cérébrale et s
es dans les cas de névralgie sont nombreuses. Tantôt on agit sur le symptôme douleur par des médi- caments antiaigiqucs, ant
eux. a) Abolition des réflexes rotulien et achilléen. C'est par ces symptômes que débutent quelques affections médullaires do
lexes. L'abolition des réflexes rolldiens et achilléens est donc un symptôme précoce de ces affections. La plus fréquente d'
r) d'avoir montré que la disparition du réflexe rotulien est un des symptômes les plus constants du tabès. Ce signe est devenu
antérieure à celle des réflexes rotuliens : la constata- tion de ce symptôme permettra donc de faire un diagnostic précoce de
aspect clinique singulier consistant dans une sorte de mélange des symptômes du tabès avec ceux de la sclérose en plaques. Q
s sont presque toujours abolis. Et nous pourrions retrouver le même symptôme dans la névrite saturnine, dans la névrite diph
M. Bouchard que revient le mérite d'avoir montré l'existence de ce symptôme et sa valeur pronos- tique chez les diabétiques
hant. l'évolution ultérieure de la maladie de la constatation de ce symptôme , il nota que, tandis que chez les diabétiques a
gré d'ataxie des mouvements, des troubles sensitifs, l'ensemble des symptômes constitue le pSP/ldù- tabes diabétique. Dans le
e des cas où l'abolition des réflexes fait partie de l'ensemble des symptômes tabétiques : ces phénomènes sont l'expres- sion
5 fois, soit dans 28 pour 100 des cas, l'abolition des réflexes. Ce symptôme a été noté à toutes les périodes de l'affection
t pendant un certain temps après la défervescence. Il semble que ce symptôme soit en rapport avec la gravité de l'état génér
éflexe rotulien existe dans la moitié des cas et le pronostic de ce symptôme est souvent défavorable; cette perte du réflexe
des réflexes des membres inférieurs est le plus sou- vent liée aux symptômes suivants : paralysie, signe de Babinski, troubles
tabès, epifepsicjacksoneune. méningite tuberculeuse) provoquant ces symptômes hémiplégiques. 4° Exagération généralisée des r
rébrale. [CROUZON]' .44< : ' RÉFLEXES. Elle est également un symptôme de la paralysie générale. Dans cette affection
galement dans le sarcome. Ils pensent que ce phénomène doit être un symptôme précieux pour le diagnostic et qu'il doit être
ration des réflexes; sur z12 femmes, 9 étaient atteintes de ce même symptôme . L'exagération généralisée des réflexes peut s'
exagérés du côté de la lésion,- cette exagération s'accompagne des symptômes qui constituent le syndrome de Brown-Séquard. D
uente du réflexe abdominal dans l'hémiplégie. Ganault a constaté ce symptôme dans les proportions suivantes : abolition dans
prévenu pour éviter celte erreur, d'autant plus que les différents symptômes de la maladie de Parkinson sont assez caractéri
mencé à marcher, on constate qu'ils « marchent à petits pas ». Un symptôme qui peut permettre de différencier l'hémiplégie p
r cette lésion, tandis que dans le ramollissement cérébral c'est un symptôme assez fréquent. De même l'aphasie ne se voit pas
st bien difficile de la caractériser puisque, comme tous les autres symptômes des tumeurs cérébrales, elle est susceptible de
tte variété d'hémiplégie, il faudra tenir compte de tous les autres symptômes révéla- leurs des tumeurs cérébrales, et notamm
ns purement corticales donnent rarement lieu il une hémiplégie. Les symptômes qui caractérisent les cas d'hémiplégie dans lesqu
es qui donnent lieu le plus fréquemment à l'hémiplégie; pour que ce symptôme se produise, il faut, bien entendu, que la port
el ou tel nerf crânien situé dans son voisinage, ce qui donnera des symptômes de paralysie, ou plus rarement d'anesthésie dan
stribution de la Ve paire. Parfois la lésion, et par conséqnent les symptômes ne portent pas sur l'ensemble des branches de tel
ré- serves sur la valeur absolue de ce signe : associé il d'autres symptômes , il peut rendre un diagnostic de méningite très
signe de Kernig et le signe de Lasègue ne sont qu'un seul et. même symptôme , que la posi- MOUVEMENTS ASSOCIÉS. 485 lion d
lysie du membre inférieur et supérieur du côté gauche était le seul symptôme clinique, en l'absence de syphilis, le diagnost
s absolument pathognomonique, mais, joint il un ou plusieurs autres symptômes de méningite, il pourra mettre sur la voie du d
lexes. Paraplégie spasmodique. La démarche du paraplégique est le symptôme le plus important à bien connaître. Le diagnostic
membre inférieur, alors que les extenseurs sont presque normaux. Ce symptôme se rencontre seulement dans les affections d'or
ême tel accident vésical ou génital peut être un véritable « signal symptôme », demeurer isolé pendant des mois, et permettr
Mais il n'existe, pour les paraplégies, de type univoque ni par les symptômes , ni par l'évolution. La classification même des t
ropos des paraplégies l1ac('ides. 2" // existe presque toujours des symptômes osseux, de la défor- mation rachidienne, de la
e nous rangeons ici ne sont pas toutes il présenter la totalité des symptômes ennmeres. La sclérose latérale amyoirophique, l
mble- ment intentionnel, (roubles de la parole, nystagmus. Mais ces symptômes peuvent faire complètement défaut; aussi, en pr
ple. ' Une fréquence particulière et un ensemble caractéristique de symptômes mettent en relief la paraplégie de Erb parmi le
l ne peut se retenir plus longtemps et urine dans ses vêtements. Ce symptôme est, dans sa netteté, presque pathognomonique. Aj
, réaliser l'extension de l'orteil. Cependant, un certain nombre de symptômes ne se rencontrent jamais dans l'hystérie. Ce so
ONS MÉDULLAIRES t-, par le Dr MOUTIER Il importe, en présence des symptômes révélateurs d'une compression médullaire ou d'u
s cervicales, sur les quatre premières paires rachidiennes. Les symptômes cervicaux proprement dits passent souvent ina
re dorsale et répond aux paires dorsales, l'exception de la 1"\ Les symptômes paraplégiques sont typiques, classiques, et la li
ractères distinctifs propres au syndrome de la queue de cheval, les symptômes suivants. L'évolution est plus rapide, plus pro
cas, quand il se produit à l'état de veille, on peut noter quelques symptômes prodromiques : lourdeur des membres, fourmillemen
ductrice semblable il celle du deltoïde quoique moindre ; aussi les symptômes de la paralysie du del- toïde seront-ils atténu
culo-pupillaires manquent fréquemment ; De Pe- ters dit même : « Le symptôme oculo-pupillaire de Dejerine-Klulllpke n'a pas
s, a un début lent, les phénomènes douloureux précèdent souvent les symptômes paralytiques; les douleurs, les pseudo-névralgi
ce qu'on voit dans les paralysies radiculaires trau- matiques, les symptômes sensitifs peuvent être beaucoup plus. accusés.
es symptômes sensitifs peuvent être beaucoup plus. accusés. que les symptômes moteurs, car il est possible que les lésions port
ons portent principalement sur les racines postérieures. Enfin, aux symptômes d'ori- gine radiculaire, s'ajoutent souvent des
nfin, aux symptômes d'ori- gine radiculaire, s'ajoutent souvent des symptômes de compression de la moelle ou de myélite. Pa
méningite. 11 est rare d'ailleurs que l'on ne constate pas d'autres symptômes de syphilis médullaire ou cérébrale. De Peters
diculaire inférieure, le syndrome oculaire sympathique se joint aux symptômes précédents. Les lésions qui produisent ces paraly
bulbo-protubérantielle jusqu'à la terminaison du nerf. Le principal symptôme de la paralysie faciale est la déviation de la
ol, il steppe. J'ai indiqué plus haut, dans l'étude mvologiqle, les symptômes et les conséquences de la paralysie isolée du j
une analyse de la Sem. méd.) a récemment attiré l'attention sur un symptôme moteur particulier que l'on observe dans les ca
de flexion plantaire du pied sont abolis. On trouvera plus haut les symptômes et les conséquences de la paralysie du triceps
endant la parole : c'est ce que Thaon a appelé la phonophobie. Ce symptôme est souvent tenace et sujet à récidive, mais au t
out sur le siège de la lésion (lobe pariétal), sur l'association de symptômes pupillaires et laryngés, les premiers ne pouvan
refroidissement. Ce n'est pas le lieu d'indiquer longuement ici les symptômes de la paralysie récurrentielle et il faut laiss
ela ne soit pas accepté par Barbier, parait pou- voir, entre autres symptômes , déterminer le spasme laryngé (Rehn, d'Oelnitz,
isse- ment musculaire est tout et la gène fonctionnelle est le seul symptôme : or la paralysie ne se manifeste pas autrement
pe à nos moyens actuels d'investigation. Comme, d'autre part, aucun symptôme clinique ne permet d'affirmer avec certitude que
es et que les muscles sont primilive- ment atteints, comme tous les symptômes que l'on considère, à tort ou à raison, comme s
es atrophies musculaires progressives constituent, au contraire, le symptôme capital d'une maladie ou au moins l'un de ses sym
ontraire, le symptôme capital d'une maladie ou au moins l'un de ses symptômes élémentaires : elles peuvent être acquises ou p
il fait exceptionnels; presque toujours elle est seulement l'un des symptômes prédominants d'une affection nerveuse que ses aut
la poliomyélite antérieure chronique. L'étude plus approfondie des symptômes qui raccompagnent ont permis de n'y voir qu'un
paroxystiques » (Revue 11811- rologique, 1902). MYOPATHIES. sao Symptômes musculaires. Les caractères ordinaires de l'atr
pendamment de toute influence héréditaire ou familiale, et d'autres symptômes (réaction de dégénérescence dans le premier cas
pographiques différentes, enfin de la constatation d'un ensemble de symptômes , plus ou moins constants, portant sur tous les
GowEns. Bril. med. J., 12 juillet 1902. MYOPATHIES. 675 muscles, symptômes accessoires qui démontrent seulement que la myo-
mf¿JIl SlOE ? le .lyslème musculaire, Nous étudie- rons d'abord ces symptômes accessoires, puis nous passerons rapide- ment e
ibution et l'évolution de l'atrophie dans les diffé- rents types. Symptômes non musculaires. (Signes accessoires de dégénér
arrêtées dans leur développement. Nous avons insisté sur tous les symptômes accessoires de la myopathie, parce qu'ils montr
degré de la pseudo-hypertrophie. Or, la pseudo-hypertrolhic est un symptôme transitoire de la forme de Duchenne; aussi, de l'
des muscles supposée, à tort ou à raison, protopathique, et par les symptômes acces- soires extra-musculaires qui montrent da
2° Une cypho-scoliose parfois très pro- noncée ; 5" Une série de symptômes d'origine médullaire plus ou moins marqués, va-
Sotlas n'était qu'une variété de l'amyotrophie Charcot- Marie : les symptômes cliniques que nous venons d'énumérer sont am- p
. Elle se distin- gue par les circonstances é11ologiques, par des symptômes qui lui sont communs avec la syringomyélie, tel
ue sensibilité disso- ciée, troubles trophiques, etc., et par des symptômes qui lui sont propres, tels que plan- ques d'ane
ie précé- dant l'atrophie, douleurs, évolution rapide. Aucun de ces symptômes n'est ni constant, ni caractéristique : la paré
part l'adjonction à la paralysie atrophique d'un certain nombre de symptômes sensitifs, d'autre part le mode d'évolution. Le
de quelques jours à quelques semaines, quelques heures parfois, les symptômes de la névrite font leur apparition. Ils sont su
râniens le sont aussi. Lent ou rapide, apyrétique ou accompagné des symptômes fébriles d'invasion d'une maladie infectieuse (
ais atteints. Dans la tuberculose les névrites sont fréquentes, les symptômes sont souvent dissociés et uniquement sensitifs
s lentement. L'intoxication par l'arsenic se révèle souvent par les symptômes sen- sitifs et moteurs d'une polynévrite mixte
, c'est-à-dire au moment où apparaissent d'ordi- naire les premiers symptômes de myopathie : les résultats obtenus au moyen d
s tendineux; début par la racine des membres; évolution lente. 2. Symptômes accessoires inconstants, troubles divers du dével
t-Marie, en plus : hypertrophie des troncs nerveux; cypho-scoliose; symptômes médullaires simulant le tabes ou la sclérose en
en pince; évolution lente (10-40 ans). Lèpre nerveuse : étiologie ; symptômes syringomyéliques (anesthésie dissociée, trouble
tômes syringomyéliques (anesthésie dissociée, troubles trophiques); symptômes " propres : plaques d'anesthésie, épaississement
de tout ou partie des muscles préalablement paralysés associée aux symptômes propres à l'affection paralytique : a) D'origin
ile n'est pas exagérée quand l'hypertrophie musculaire est l'un des symptômes mêmes d'une maladie du muscle, ce qui est fréqu
urs muscles qui en traduit l'infiltration interstitielle : mais les symptômes inflammatoires, l'acuité du début du processus, l
diagnostic de cette maladie^ mais seulement parce qu'elle en est un symptôme capital pour ainsi dire par définition, nous so
fections héréditaires ou congénitales empruntent leurs princi- paux symptômes à des lésions combinées des voies sensitives et d
sitoire, d'un trouble moteur fonc- tionnel véritable ; peut-être ce symptôme est il en réalité un signe de l'atteinte légère
yeux ; c'est ce qu'on appelle le signe \de homberg qui est l'un des symptômes les plus précoces du tabes. Il n'est pas rare q
tabès de troubles de la coordination des muscles oculo-motenrs : ce symptôme est géné- ralement trop peu accentué pour amene
ns ou crâniens, et de diffé- rentes portions du névraxe. Aussi, aux symptômes primordiaux de l'ataxie d'origine médullaire et
ullaire et radiculaire se joignent souvent à un degré variable, des symptômes d'ataxie cérébrale ou bulbo-protubérantielle par
otubérantielle par altération des voies sensitives supérieures, des symptômes d'ataxie par névrite périphérique (Westphal, Pi
'ataxie par névrite périphérique (Westphal, Pierrot, Dejerine), des symptômes d'ata- xie dite « labyrinthique » par sclérose
: dans ces cas, tantôt l'ataxie prédomine, associée aux différents symptômes du tabes vulgaire et à quelques symptômes de sp
, associée aux différents symptômes du tabes vulgaire et à quelques symptômes de spasmodicité ou à l'extension des orteils (s
de la sclérose tabétique des cordons postérieurs); dans ce cas, les symptômes oculaires font défaut, et le tableau clinique é
e, s'accompagne très fréquemment d'incoordina- tions et de quelques symptômes de sclérose des cordons postérieurs : il s'agit
dons postérieurs : il s'agit dans ce cas, pour certains auteurs, de symptômes tabétiformes, pour d'autres de symptômes tabéti
pour certains auteurs, de symptômes tabétiformes, pour d'autres de symptômes tabétiques vrais. De ces différentes variétés é
erculeuse, diphtérique, etc... peu- vent s'accompagner à la fois de symptômes moteurs et de symptômes sensitifs, parésies, do
etc... peu- vent s'accompagner à la fois de symptômes moteurs et de symptômes sensitifs, parésies, douleurs fulgurantes, anes
atteint le pédoncule cérébelleux moyen. Pendant la marche, tous les symptômes s'exagèrent : le malade avance les jambes large
parce que c'est au niveau de ces membres qu'on observe surtout les symptômes de l'incoordination cérébelleuse aussi bien que
c'est donc par la recherche attentive des uns et des autres de ces symptômes que l'on arrivera très fréquemment au diagnostic
de céphalalgie occipitale : ces [A. LÉRI] 776 INCOORDINATIONS. symptômes accessoires confirment le siège cérébelleux de la
umeurs du cervelet : dans ces cas, qui sont beaucoup plus riches en symptômes que les scléroses ou les atrophie*, il est souv
'hémiplégie alterne, de paralysies des nerfs bulbaires et de divers symptômes bulbo-prolubé- rantiels servira parfois à fixer
nférieurs : aussi les troubles de la marche sont parmi les premiers symptômes ; ils sont d'abord peu accentués, ils ne devienn
lieu cliniqueinent à un véritable pseudo-tabes neurasthénique. Ces symptômes ? sont un puissant argument en faveur de l'hypo
s. eS.. 2° Influence du contrôle de la vision : signe de Romberg. Symptômes concomitants : .' Constant : modification de la
e scandée. Astres éléments du « syndrome cérébelleux de Duchenne », symptômes associés ou non : Tremblements, vertiges, nysta
Babinski). Autres éléments de « syndrome cérébelleux de Babinski B, symptômes associés ou non : " Mouvements démesurés; exa
: Syndrome associé à hémiplégie alterne, paralysies - ~" bulbaires, symptômes bulbaires (glycosurie, etc.). 111. Cas interméd
ns les syndromes bulbaires que l'on observc le plus généralement. Symptômes bulbaires. Au niveau du bulbe se rencontrent le
ou caries osseuses. Quelle que soit l'étiologie en cause, il quels symptômes reconnaitra- t-on une affection bulbaire ? On
née d'hémiall'ophie en général prononcée. Cette hémiatrophie est un symptôme de grande valeur, et présente une haute importanc
déglutition est une terminaison de la plus grande fréquence. Aux symptômes moteurs précédents se superposent, mais avec une
syn- dromes bulbaires (Léopold Lévi) : on relève en effet parmi ses symptômes , vomissements, vertiges, plyalimne, polyurie, t
ives bulbaires soit porté. Cette lésion se traduit en effet par des symptômes parfois très frustes (atrophie olivaire de Pier
es et compressions) ou extrinsèques (méningites, polynévrites). Les symptômes sont diversement associés, mais contrairement il
ssifs. La mort, cependant, peut être instantanée. Par ailleurs, les symptômes de l'hémorragie et du ramollissement se confond
La mort subite enfin n'est pas exceptionnelle. Cette mobilité des symptômes , leur absence fréquente de spécificité [MOUTIER
noyaux centraux, et cela dans les deux hémisphères à la fois. ? - Symptômes . Le pseudo-bulbaire est en général un individu d'
s réactions électriques. Il peut à dire vrai se présenter des cas à symptômes intermédiaires d'une difléren- ciation presque
l'effort musculaire, surtout prolongé. Elle se rencontre à titre de symptôme épisodique dans un très grand nombre d'affectio
ntre-t-on très intenses chez les addiso- niens, où ils sont même un symptôme cardinal, chez les leucémiques, les anémiques,
rtébrale, et le malade tombe. Tout ceci rappelle beaucoup plus les. symptômes myasthéniques que les symptômes paraly- tiques.
ut ceci rappelle beaucoup plus les. symptômes myasthéniques que les symptômes paraly- tiques. D'ailleurs, chaque accès dure p
les deux étapes distinctes : l'une bul- baire, l'autre spinale. ; Symptômes bulbaires. - Ils marquent, avons-nous. dit, le
ication. Les pupilles sont indemnes sous les paupières tombantes. Symptômes spinaux. Les troubles précédents sont définitifs,
signalerons en terminant l'intérêt qui s'attache à la recherche des symptômes et des formes de transition entre les myasthénies
t suivant les mêmes lois. Description. - Le ? convulsions, étant un symptôme commun à un grand -nombre de maladies, n'ont pa
ctères qui modifient le mode de début, l'évolution et les suites du symptôme . Le plus souvent l'accès se montre brusquement, d
ignaler la possibilité de convulsions, se manifestant comme premier symptôme de la tétanie, surtout chez le nourrisson. Ce n
une maladie primitive (Char- tier). Un malade infecté présente des symptômes cérébraux, céphalée, délire, jactation. agitati
s convulsions généralisées ou partielles pourront être les premiers symptômes d'une tumeur cérébrale, d'un abcès, d'une lésion
itoires prennent le nom d'all1'as : elles constituent en réalité le symptôme initial de l'accès et affectent la forme de troub
qui préside il la maladie. Nous n'insisterons pas sur les autres symptômes qui caracté- risent la maladie, car le tremblem
y est du reste pas toujours constant et si la raideur et les autres symptômes peuvent exister sans le tremblement, par contre,
maladie de Basedow. Le tremblement de la maladie de Basedow est un symptôme cardinal de cette affection : aux trois symptôm
de Basedow est un symptôme cardinal de cette affection : aux trois symptômes caractéristiques qui étaient connus dès la descri
ment de la maladie de Basedow. Ce n'est guère qu'en recherchant les symptômes de ces maladies que l'on peut faire le diagnostic
m- blement de la sclérose en plaques, c'est donc alors un véritable symptôme hystérique simulateur de celte allée ! ion comm
ans le cas de Souques cité par Dutil; c'est la recherche des autres symptômes de la sclérose en plaques, l'état des- réflexes
arguments devant entraîner des réserves sur l'origine hystérique du symptôme . Guillain a présenté deux malades chez lesquels
telles de ces moda- lités cliniques, mais ne sert qu'à désigner le symptôme commun il toutes ces affections et d'autres par
par- ticularités séméiologiques que nous allons passer en revue. Symptômes , - Le début de la chorée est brusque ou lent; le
s de l'IIa°seille; 1899), il pense que la tendance habituelle ' des symptômes de la chorée est la distribution unilatérale :
éc. Cette hémichorée est pré ou post-hémiplégique, elle n'est qu'un symptôme quand ils se rat- tachent il l'étudede l'hémipl
autre qu'une myotonie accompagnée de troubles - psychiques. C'estun symptôme , et non une maladie comme le voulait Kabl- baum
écrit un aplatisse- ment du pied par hypotonie. Elle est aussi un symptôme des affections cérébelleuses (Dejerine) ; on l'
omène des orteils, au signe, du peaucier. fait partie du groupe des symptômes qui ne peuvent être reproduits par l'hystérie.
velles chez l'adulte. Elle est essentiellement constituée par trois symptômes cutanés et sous-cutanés : [F. MOUTIER. 1 ig.
ir cepen- dant le liquide se résorber. Nous avons dit que les symptômes des arthropathies étaient les mêmes dans le
élévation de la tempe- rature. Description de la fièvre et de ses symptômes satellites.- La fièvre est caractérisée par une
vent d'albuminurie et de décu- bitus acutus ; cet ensemble de trois symptômes entraîne un pronostic fatal. La température loc
bserve guère dans les maladies nerveuses; cependant il peut être un symptôme prémonitoire de l'hémor- ragie cérébrale, de Y
(Chirié, Thèse deParis 1907), mais dans ces cas, elle n'est pas un symptôme de la maladie nerveuse, mais plutôt de la malad
s du bulbe, paralysie bulbaire progressive, la dyspnée peut être un symptôme . Dans les traumatisme de l'encéphale, on peut o
delà respiration (1 ? cr). Enfin, la dyspnée peut faire partie des symptômes de la compression de la moelle dans les segments
émorragie cérébrale. Dans l'ictns cérébelleux, l'apnée peut être un symptôme essentiel; enfin la dyspnée peut s'obscrver dan
gestion et qui s'observe quelquefois au cours de la grossesse. Ce symptôme tachycardie étant constaté, il faudra le rapporte
e fruste que dans la forme complète. Elle est, suivant Brissaud, le symptôme fondamental de la maladie et son évolution pers
et par conséquent être d'un pronostic grave; elle peut dépendre des symptômes basedowiens (Crespin) ondes troubles digestifs,
ctérisée, mais on retrouve chez eux des traces de ces affections. Symptômes . Le début est variable. Ordinairement brusque, so
uré de grandes difficultés; on se basera surtout sur l'ensemble des symptômes propres aux lésions rénales, sus- ceptible de d
ésion nettement déterminée et qui tiennent sous leur dépendance les symptômes vésicaux (Hartmann). Elles deviennent de plus en
nce presque toujours par le rein, très souvent sans y provoquer des symptômes in situ, mais seulement des symptômes vésicaux,
souvent sans y provoquer des symptômes in situ, mais seulement des symptômes vésicaux, douleur, gène ou pollakiurie qui eu s
s dans l'hystérie, elles varient beaucoup dans leur apparition. . Symptômes . - Des douleurs et des troubles mictionnels les c
s- caractères spéciaux dans lé labes. Souvent prémonitoires et seul symptôme de la maladie pendant des mois et des années, e
a névralgie soit idiopathique ou symptomatique, la violence, de ses symptômes contraste avec l'absence presque complète de sign
hercher et écarter les lésions matérielles. C'est en étudiant leurs symptômes propres qu'on les éliminera : nous ne pou- vons
ont l'absence ou la faible intensité contraste avec la violence des symptômes , conduit au diagnostic. Pour plus de certitude,
ale absolument saine en cas de névralgie non compliquée, malgré des symptômes souvent très violents. . La confusion est parfo
les. Un calcul vésical, un néoplasme peuvent ne donner lieu à aucun symptôme propre et être le point de départ du réflexe do
vésicales - NÉVRALGIES VÉSICALES. - 9M longtemps avant tout autre symptôme ; telles sont la tuberculose et la lithiase réna
on évitera l'isolement qui permet au malade de trop contempler ses symptômes : le traitement moral a son importance, et la s
s que soient les efforts de miction. Étiologie. La rétention est un symptôme ou une complication de nombreuses affections du
x : enfin on l'observe, quelquefois volontaire, chez des déments. Symptômes et diagnostic. Rien n'est plus simple que de re
nt des signes d'infection vésicale et de cystite : enfin un dernier symptôme se montre : l'incontinence, qui n'est (pie le r
e essentielle, infantile, elle fera l'objet du chapitre suivant : Symptômes et diagnostic. Suivant que l'on a affaire à des
i- tement y obligeront absolument. INFECTIONS URINAIRES. 96 ! 1 Symptômes et marche. - La prostatite ne présente pas de car
rétention complète ou incomplète ; elle n'a pour ainsi dire pas de symptômes propres : ni douleurs, ni troubles mictionnels, m
sphagie particulière pour les solides, de. l'amaigrissement ; comme symptômes locaux, on observe des urines troubles en niass
on retrouve dans beaucoup de maladies d'autres appareils, tantôt un symptôme même, des lésions du système, nerveux dans lesque
t dans d'autres conditions. ' Traitement. La polyurie n'est qu'un symptôme ; c'est, donc la maladie génératrice qu'on trait
matisme qui a mis en jeu la sensibilité de l'appareil urinaire; les symptômes , normaux, surtout le reliquat de la maladie, so
des industriels sans aveu, etc., qui ne servent qu'à exaspérer ces symptômes . Si variées que soient ces causes, elles abouti
ymptômes. Si variées que soient ces causes, elles aboutissent à des symptômes qui rentrent dans un cadre assez facile à limit
radiations douloureuses au scrotum et au pénis. Le priapisme est un symptôme des lésions des tubercules quadri- jumeaux, ain
ulation suit cette dernière à court intervalle. Le priapisme est un symptôme du début de la sclérose en plaques, mais cette
tent des paroxysmes qui sont de véritables spasmes vénériens. A ces symptômes s'ajoutent des crises vulvo-vaginates qui ne so
écot). ,. -' ' b) Spermatorrée pathologique. La spermatorrée est un symptôme et n'a d'autre gravité que celle qui s'attache
gées pour permettre l'accouplement. Quelquefois elle constitue un symptôme d'une lésion cérébrale ou médullaire; ou bien e
ment mordue (épilepsie), la convulsion de la langue pouvant être un symptôme isolé, tantôt elle exécute dans la bouche même
r les lésions bulbaires qui provoquent le syndrome de Duchenne. Les symptômes sont les mêmes dans les lésions nucléaires et les
contracture isolée du voile. Chaque fois que l'on constatera uivtel symptôme , on doit son- ger à une lésion du trijumeau. Le
alimentaire dans la bouche du malade. ' Nous reviendrons sur ces symptômes à propos des troubles de l'oeso- phage. Mais le
chauds chez celui-ci, des solides chez cet autre. Pour peu que les symptômes soient un peu prononcés, il s'ensuit une inanit
peut même survenir dans ces conditions. Le diagnostic clinique du symptôme est rarement facile. 11 est plus délicat encore
upérieur. Le plus ordinairement le spasme total ou supérieur est un symptôme de névrose. 11 caractérise ces crises nerveuses
ente jamais les renvois acides caractéristiques du pyrosis vrai. Ce symptôme se voit chez les neurasthéniques, les surmenés.
s des autres, s'accompagnent de vomissements. Le vomissement est un symptôme très fréquent au cours des auec- tions nerveuse
es viscé- rales surtout à la période preataxique; il s'agit donc de symptômes pré- coces souvent révélateurs. Les crises gast
nstipation opiniâtre et le taux des urines est très diminué. Peu de symptômes abdominaux d'ailleurs : le ventre est souvent r
l'euphorie est 1'0111- plètc entre les crises; et c'est là un gros symptôme diagnostique. Ce bien-être peut cependant être
surviennent en même temps. Mais le vertige donne au groupement des symptômes un cachet tout particulier. De fait, il est dif
ibueront au diagnostic. Seu- lement, il ne faudrait pas prendre les symptômes auditifs pour une aura sensorielle, ou bien les
atteignant soit l'estomac seul, soit l'appareil digestif entier. Le symptôme principal est le ballon- nement de toute la par
a selle. Ils peuvent ou non avoir de la diarrhée. Là se bornent les symptômes , ou bien parfois une fugitive perte de connaissan
algiques : le vertébral et le latéral. SYNDROMES ASSOCIÉS * Les symptômes nerveux et digestifs s'enchaînent étroitement, ai
est pénible et douloureuse parce qu'il s'affaiblit. Les principaux symptômes sont l'aillai- grissement, t'hyperesthesie du p
sion (s'il en existe une) et nous ne nous y attarderons pas ici, le symptôme , l'état névropathique. Or, ce qu'il faut bien sav
s ne cons- iituent pas des entités cliniques, mais de sim- ples symptômes , cer- taines difformités des mains doivent êt
ue les oedèmes blancs ou bleus des hystériques ne sont nullement un symptôme d'un entité clinique ; ils sont toujours provoq
atarse. DIFFORMITÉS ACQUISES. 1047 mou, blanc, bleu ou rouge, les symptômes associés ou les signes des maladies causales pe
par les signes associés de la maladie, dont le pied-bot n'est qu'un symptôme , qu'on fera le diagnostic de sa nature, paralyt
les . sensitifs et trophiques et d'incontinence des réservoirs; ces symptômes ,. ainsi que l'existence d'une hypertrichose loc
isme. Les malades considérés présentent à étudier divers groupes de symptômes , mais ce sont, avant tout des géants. Leur taille
ssement forain. C'est un géant, ou du moins c'en fut un. Car un des symptômes de l'acromégalie est la scoliose, partant l'af-
nt, signalée ; on peut même rencontrer la cécité complète. Un autre symptôme habituel est la polyurie et la glycosurie. On con
al- formations qui sont consécutives à des lésions nasales dont les symptômes fonctionnels ont été le coryza chronique, jetag
o-diagnostic. Tuffier et Miliau, pour apprécier la valeur exacte du symptôme , ont insisté sur la technique à appliquer à cette
nucléose du liquide céphalo-rachidien au cours d'une évo- lution de symptômes rappelant la paralysie infantile, il s'agissait d
rs recher- ches ont surtout porte sur ces affections compliquées de symptômes ménin- gés. Dans la moitié des cas environ, alo
nucléaires. Le liquide est en général plus abondant dans les cas de symptômes méningés. Ces résultats ont fait l'objet des rech
l'avenir de ces céphalées méningitiques qui peuvent être le premier symptôme d'un tabès ou d'une paralysie générale il longue
, cérébelleux, pédonculaires, protubéranliels et bulbaires); b) des symptômes toxi-infectieux; c) des modifications du liquide
rose hériventriculaire il l'existence d'une épcndymitc chronique. Symptômes toxi-infectieux. Ils se réduisent à l'amaigrissem
tuberculose épendymaire se greffa sur une méningococcie chronique à symptômes intermittents, la fonte du panniculc adipeux et d
'évacuation du liquide céphalo-rachidien amène une amélioration des symptômes d'hypertension crânienne et permet dépenser que
urrisson ou adulte), de la prédominance ou de l'absence de certains symptômes (hyperthermie, contractures, somnolence), de la
lic, crâne en tour), de cécité, de surdi-mutité, d'idiotie ('). Les symptômes cliniques imposent le diagnostic d'hydrocéphalie.
erminaisou fatale c'est-à-dire cinq ou six mois /après les premiers symptômes . 11 est probable que ce tableau clinique encore
poursuivit pendant deux ans et comporta une rémission de plu- 1. Ce symptôme n'est donc pas nécessairement d'origine méningée.
s. jt ÉPENDYMITES DE L'AQUEDUC DU SYLVIUS ET DU 4' VENTRICULE Les symptômes sont les troubles pedoncutaircs, protubérantiels
une épen- dymite il cysticerques. En règle générale, la présence de symptômes bulbaires ne doit pas orienter la recherche éti
les mêmes centres par 1'('I)aiielieiiieiii liquide. L'existence de. symptômes d'ordre toxique est probable il cause de la fac
du tabès, non plus même il la période préataxique. mais bien comme symptôme tout à fait initial de l"afïection(3) : l'apparei
r touché et. cette lésion précède parfois de long- temps tout autre symptôme préataxique. parfois tout signe pupillaire. c'e
u connus d'ostéite limitée récidivante, précédant de longtemps tout symptôme de tabès et simulant une ostéite tuberculeuse, pa
adiothérapie sur certains gliomes de la moelle épinière donnant les symptômes de la syringomyélie. Ray- mond, Oberthur et Del
influencées, surtout quand elles relèvent de la paehyméningite. Les symptômes douloureux subissent des modifications accentuées
fréquence du pouls diminue, le tremblement des mains et les autres symptômes nerveux s'améliorent rapidement, par contre le
u goitre simple, l'apparition, sous l'influence de doses fortes, de symptômes passagers de thyroïdisme. Ces phénomènes semble
montrent parfois très étendues et se développent avec un cortège de symptômes aigus, telles certaines polynévrites alcoolique
lle avait une valeur séméiologique presque égale à celle des autres symptômes cardinaux de cette affection. On a contesté cet
nomène on doit reconnaître que, sans être constant, il constitue un symptôme fréquent de la maladie de Basedow. Il peut y av
parfois aussi dans le traite- ment de névralgies récentes dont les symptômes ne présentaient pas une grande acuité. Enfin,
articulièrement sur les muscles où l'hypotonie domine. Lorsqu'aux symptômes tabétiques habituels s'ajoutent des paralysies
es fausses interprétations qu'ils se font de leur maladie et de ses symptômes . L'électrisation statique est un procédé de tra
trois séances par semaine. Au bain statique on ajoute, suivant les symptômes prédominants, des applications appropriées de l
rfois assez rapide surtout du côté de l'état général et de quelques symptômes secondaires comme l'irritabilité générale, l'ag
ques, la dénutrition et l'amaigrissement. La disparition totale des symptômes ne se produit que lentement lorsqu'elle est obt
'état des malades puisse être redevenu très satisfaisant. Parmi les symptômes cardinaux, le tremblement est souvent assez rap
nt suivant les cas; lorsqu'il a apparu en même temps que les autres symptômes , il diminue souvent assez vite sous l'influence
parfois aussi le goitre n'est que peu modifié alors que les autres symptômes sont très atténués dans leur ensemble, il en est
L'exophtaimie est un des , NÉVROSES ET AFFECTIONS DIVERSES. 1559 symptômes les plus tenaces quand elle existe ; elle ne s'al
iologie, 587. Bulbe, lésions, hémianesthésie, 515. Séméiologie. Symptômes bulbaires, 799. Syndromes et maladies bulbaires
tics, 894. - fibrillaire de Morvan, 8G8. ^ de Sy- rlenlram, 854. Symptômes , 855. Formes. Complications, 858. Évolu- tion
isés. Coloration de Ramon y Cajal, 1570. Cystite et pyélite, 960. Symptômes . Traitement, 961. Cytodiagnostic du liquide c
? amyéli- niques. Coloration de Ramon y Cajal. I Ui9. Fièvre et symptômes satellites, 954. Causes, 93 : i. - Fièvre dans
1552. - la paraffine, 1355. Incontinence d'urine. Étiologie, 955. symptômes . Diagnostic. Traitement; 1 957. essentielle de
ique, 230; Myasthénie bulbo-spinale, 814. .SïHp- TOMES bulbaires, symptômes spinaux, 815. - Réaction myasthénique. Diagnost
s progressives de l'enfance- et de l'adolescence. Carac- tères et Symptômes , 691. - Variétés, 695. - des vieillards, 510.
tmérale de Landouzy et De- jerine, 687. ' Myopathies, 505, 668. - Symptômes . Absence de. contractions fibrillaires, hy- p
- Muscles de la racine des membres, 675. Évolution lente, 674. - Symptômes non muscu- laires, 675.-Concomitance d'affectio
jections d'alcool. rénale. Idiopathique, symp- tomatique, 9 ! 5.- Symptômes , 9 ! 4.- Traitement, 945. - scialique, 395. -
consécutives, 71o. - des muscles moteurs des globes ocu- laires. Symptômes . Strabisme, 58. - Diplopie. Mouvement apparent
l'ItICUL.IIRFS. Syndrome' inflammatoire, signes nerveux, 1147. - Symptômes toxi-infectieux, 1149. - Modifications du liq
18 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Lésions scrofuleuses et rachitiques, Absence de la glande thyroïde; symptômes clas- siques de l'idiotie myxoedémateuse : pseu
ait de om,89 avant le traitement, est maintenant t de 0 ? 95. Les symptômes dus au médicament se sont succédés ainsi : dégo
e la glande thyroïde et augmente durant les suspensions. Tous les symptômes , en particulier la diminution de' poids, l'élév
où la mort est survenue rapidement après l'apparition des premiers symptômes , avant la période d'inco- ordination, par tuber
r degré peu avancé relativement, l'extension en ait pu produire des symptômes cliniques accentués. Une tumeur cérébelleuse les
tobre 27 du British médical journal, 18\J't. A. )1. VII. L'ataxie, symptômes de diverses maladies. (British médical Associat
l'ataxie semble, pour les auteurs précités, devoir se ramener à un symptôme y compris l'ataxie des tubes que nous considérons
des polypes nasaux dont l'extirpation fut suivie d'amendement des symptômes de la maladie de Graves (Scanes Spicer). Le D'' S
athropathie du genou gauche avec ulcères plantaires multiples. Les symptômes tabétiques sont peu accentués en dehors de cela
x cas de surdité hystérique avec mutisme dans l'un. L'un et l'autre symptômes disparurent brusquement comme ils étaient venus
nt en revue les travaux sur la question, étudie successive- ment le symptôme incoordination et parésie motrice, les dévia- t
iration type Cheyne-Stokes, le malade est perdu. Si aucun des trois symptômes ne peut être constaté, le malade peut se rétabl
arut bientôt. En juin 1892, attaque d'apoplexie évoluant sans aucun symptôme particulier. On constata alors une hémiparésie
première année de la vie, sans. 56 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. symptômes infectieux, par de l'atrophie avec parésie de la
lques perturbations dans l'appareil musculaire des yeux. Plus tard, symptômes généraux de tabes, sans douleurs lan- cinantes.
tandis qu'ils conservaient la mobilité pupil- laire. Enfin voici un symptôme très fréquent dans le vrai tabes, qui, d'ordina
nlFFlrlls. (Britisla médical journal, 4 mai 1895.) Conclusion : Les symptômes de commotion spinale varient en REVUE DE THÉRAP
me côté; enfin la parole devint difficile, puis on put observer les symptômes classiques de compression intra-cranienne (céph
s, chute rapide de la température suivie d'une excessive élévation, symptômes d'asthénie cardiaque. Enfin il paraît démontré
ades sont friables et tachetés. Ceux des pieds présentent les mêmes symptômes . Le traitement thyroïdien est institué et tolér
âgée de dix-sept ans présentait à l'ongle du pouce droit les mêmes symptômes que ceux qu'on avait obser- vés chez la premièr
été presque constamment dus à l'emploi de doses trop élevées : les symptômes dangereux consis- tent surtout en crises de sté
i l'effet de doses même très actives : on voit alors reparaître les symptômes myxoedémateux ; mais en ce cas, une suspension
nte au point de vue physique. On peut dire que les trois groupes de symptômes fondamentaux du myxoedème (modifications de la
traite- ment thyroïdien ; on est ainsi amené à se demander si ces symptômes ne seraient pas également modifiés lorsqu'ils se
égard, si l'on veut se mettre à l'abri des accidents. Les premiers symptômes que l'on voit s'amender chez les obèses sous l'
re la scène : le reste se passe comme il a été dit plus haut. Ces symptômes ayant paru se rattacher à une lésion des méninges
ndant ou après la guérison de la plaie que l'on voit apparaître les symptômes d'alié- nation mentale. Quelquefois aussi, un t
- cinations et à des phénomènes d'excitation : aggravation de ces symptômes au moment des règles : à la dernière époque mens-
la sensibilité, de céphalalgie et de névrite optique. L'analyse des symptômes révélait nettement l'existence d'une tumeur cér
yant présenté des convulsions et de la céphalalgie avant tout autre symptôme localisateur, il paraissait probable que la tum
omi- nance (car les hallucinations de J'ouïe étaient doubles) des symptômes hallucinatoires auditifs de ce côté. Quant aux ha
en tout cas, la trépanation au niveau du pli courbe fit cesser ces symptômes .morbides. Or toutes ces ' Wormser. Les halluci
conise la douche et le bain statiques. Il y ajoute, lorsqu'il y des symptômes cérébraux ou médullaires, la galvanisation asce
de la difficulté qu'il y a différencier avec quelque précision les symptômes mentaux qui se rencontrent dans quelques cas d'
à la paralysie générale. S'agit-il ici d'une ataxie locomotrice à symptômes mentaux, ou d'une paralysie générale à symptômes
axie locomotrice à symptômes mentaux, ou d'une paralysie générale à symptômes alaxiques ? En faveur de ce dernier diagnostic,
ques ? En faveur de ce dernier diagnostic, on peut alléguer que les symptômes physiques étaient ceux d'une ataxie locomotrice
, d'autre part, on a eu affaire à un cas de paralysie générale avec symptômes ataxiques, on doit le considérer comme un des c
L. Dont. (The Journal of mental Science, juillet 1895.) , Par ses symptômes , par sa marche, par sa terminaison, par les' al
l of Mental Science, juillet 1895.) Cas intéressant dans lequel des symptômes d'excitation ma- niaque se sont manifestés d'un
onduite et une conversation parfaitement rationnelles. En fait, les symptômes mentaux ont été remplacés par des symptômes d'o
ionnelles. En fait, les symptômes mentaux ont été remplacés par des symptômes d'ordre beaucoup plus purement physique, et don
les caractères d'un paroxysme épileptiforme surtout sensoriel, les symptômes moteurs, bien que primitifs dans l'ordre chrono
étant manifestement subordonnés au point de vue de l'intensité, aux symptômes senso- riels. Ces symptômes moteurs, qui se bor
nés au point de vue de l'intensité, aux symptômes senso- riels. Ces symptômes moteurs, qui se bornent à une crampe dans trois
dans la nomenclature et la manière de concevoir et de grouper les symptômes variés qui caractérisent cette maladie mentale. »
ntres, soit de leurs voies d'association, donnent lieu à tel ou tel symptôme de la maladie dite « confusion mentale ». C'est
gnan, sous le nom de délire polymorphe des dégénérés, l'ensemble de symptômes qu'on a essayé jusqu'ici de faire entrer dans l
cadre est très mal limité, et tel auteur allemand y fait entrer des symptômes qui en sont exclus par tel autre. Aussi cette
idiopathiques formant une entité pathologique caractérisée par les symptômes suivants : a) Idées obsédantes; - h) Sensation
somatiques ; f) Lucidité habituelle et angoisse. ' Cet ensemble de symptômes constituerait une entité morbide, une maladie t
sang, montre qu'il y a parallélisme dans les cas de stupeur; 3o les symptômes cliniques sont pleinement en rapport avec la po
bien que Je malade ne fût pas un buveur. Dans la seconde forme les symptômes d'excitation maniaque passent au premier plan.
la maladie, le plus souvent quatre ou cinq jours après les premiers symptômes . Chez cinq malades la psychose s'est montrée av
is que l'augmentation de la quantité de ce liquide donne lieu à des symptômes sérieux. Hoffmann a constaté très fré- quemment
initial est d'un diagnostic très difficile, tant qu'il n'y a pas de symptômes de l'infection générale de l'or- ganisme. L'app
e que la théorie des neurones y a été appliquée à l'explication des symptômes du mal comitial. L'aura et l'épilepsie sensitiv
e la moelle et du bulbe et aussi des parties situées plus haut, les symptômes cliniques du côté du cerveau (les vomissements
s trouvé de changements caractéris- tiques même dans les cas où les symptômes du côté du cerveau en forme de la psychose part
e comparativement peu, mais.la névrite multiple est accompagnée des symptômes cliniques caractéristiques pour la lésion du ce
nt subi l'extirpation du corps thyroïde présentaient un ensemble de symptômes morbides analogues à ceux que l'on constatait c
ctif, et dans laquelle on constate une amélioration progressive des symptômes , il convient de faire une injection de solution
n droit : il ne put être extrait, et bientôt le malade présenta des symptômes pulmonaires dont les plus importants furent des
llectuelle est ralentie et très émoussée. - Du 5 au 7 mars tous les symptômes s'aggravent et la paralysie s'étend au bras gau
lon la méthode ordinaire. L'auteur entre ensuite dans le détail des symptômes constatés après l'opération. 11 y eut d'abord u
du frontal. La pression sur cette zone saillante ne provoque aucun symptôme . Les yeux de l'enfant sont grands et les globes
t perte de la sensibilité faradiqne du muscle, en l'absence de tout symptôme sensoriel indique une poliomyélite de la portion
que de premier ordre; elle est ordinaire- ment accompagnée d'autres symptômes de nature objective, tels que la diminution de
ites de cette série considérable d'observations. Hémorrhagie. - Les symptômes qui peuvent résulter directement d'une hémorrha
on générale feront penser à une hé- morrhagie de la pie-mère et des symptômes de lacération à une hémorrhagie corticale. Dans
es sensoriels tels que le délire ou l'irritabilité, ne sont pas des symptômes d'hémorrhagie, et leur pré- sence indique une l
du parenchyme. - Transsudation séreuse sous-arachnoïdienne. - Aucun symptôme ne se rattache assez directement à cette lésion
état général. Les températures ultérieures sont irrégulières et les symptômes caractéristiques sont ceux de l'irritation cort
mais elle existe rarement à l'état de lésion mortelle isolée : ses symptômes sont irréguliers dans leur apparition, leur mar
apports entre eux manquent de précision. Le moins irrégulier de ces symptômes est la perte de conscience, se manifestant à une
dans les cas simples que dans les cas compliqués. Pour le reste des symptômes , leur analyse physiologique pourra seule précis
rale concomitante. Dans les cas ordinaires, il peut n'exister aucun symptôme secondaire révélant la lacération. La perte pri-
et fatalement mortel. Il n'y a aucun rapport obligatoire entre les symptômes psychiques primitifs et le plus ou moins de sév
umé, dans les lésions intra-craniennes d'origine trauma- tique, les symptômes sont si divers, leurs combinaisons sont si va-
ue précision. Mais si, dans ces lésions, on ne rencontre que peu de symptômes qui possèdent, intrinsèquement, une valeur path
tions du système nerveux central se traduisent à leur début par des symptômes en rapport avec l'altération du territoire des
choc; il y a dégénéres- cence traumatique, puis régénérescence, les symptômes disparais- sent après un temps plus ou moins lo
sent après un temps plus ou moins long. La névrose traumatique à symptômes spécialement graves prend son origine dans l'atte
n cérébrale localisée. Chez les deux autres, on n'observait que des symptômes généraux consécutifs au choc traumatique. La
énitaux aient joué un rôle dans le développement de la maladie. Les symptômes à eux seuls constituent une indication suffisan
n'existait aucune altération de voisi- nage de nature à masquer les symptômes de la lésion. Observation. Bom... Cath..., soix
et manifestait des idées de richesse absurdes sans présenter aucun symptôme paralytique. Elle était atteinte d'un eczéma qu'e
les lésions pathologiques de cet organe et l'obser- vation de leurs symptômes sont toujours intéressantes. Malgré les contrad
ébelleux et cette lésion ne s'est traduite pendant la vie par aucun symptôme unilatéral. B... n'a jamais présenté ni incoord
se dans l'état actuel de la science, doit demeurer incertaine : les symptômes toutefois len- draient à faire admettre que le
pos de celte observation dans quelques détails sur la nature et les symptômes de diverses formes de paraplégie. R. de MUSGRAV
-sept ans, sans antécédents névropathiques, mais ayant présenté des symptômes de pharyngite, et plus tard, de chaque côté, da
ubles de la déglu- tition, de l'enrouement et de la toux ; tous ces symptômes se mani- 266 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. fe
sivement admises ou repoussées pour arriver à établir d'après les symptômes , le diagnostic anatomique de la lésion. L'autopsi
s, dont le père a 268 .REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. présenté des symptômes identiques. Trois ans avant son entrée à l'hôpi
ité de sa persistance durant le repos : aussi est-ce sur les autres symptômes énumérés plus haut que l'auteur s'est appuyé pour
e malade ; mais si l'on admet cette hypothèse, ce sont les autres symptômes présentés par le malade qui ne s'expliquent plus
nal, 15 juin 1895.) Ce cas est intéressant à cause de la rareté des symptômes ocu- laires, qui, chez le malade, ont précédé d
isparition du scotome qui ne reparaît pas. On ne note, comme autres symptômes oculaires, mais qui ne se sont manifesté que bi
lopie passagère et de l'irido- plégie. L'observation des premiers symptômes du côté des yeux remonte à 1880, et pendant qui
science : 1° les lésions uni- latérales du cervelet déterminent des symptômes dans le côté du corps qui leur correspond ; 2°
. Au point de vue des manifestations cliniques, les quatre grands symptômes que l'on a coutume de considérer comme caractéris
anquait dans 9, et n'est pas mentionné dans 43. Si l'on passe aux symptômes qui ne sont plus des symptômes cardiuaux, on re
mentionné dans 43. Si l'on passe aux symptômes qui ne sont plus des symptômes cardiuaux, on rencontre 45 fois la douleur ou l
e arriver à une conclusion tant soit peu précise. Il y a d'autres symptômes importants : ce sont ceux qui sont dus à la com
latation des ventricules latéraux et du troi- sième ventricule. Ces symptômes sont des symptômes secondaires, mais leur coïnc
cules latéraux et du troi- sième ventricule. Ces symptômes sont des symptômes secondaires, mais leur coïncidence avec les sym
ômes sont des symptômes secondaires, mais leur coïncidence avec les symptômes primitifs peut servir à faciliter la localisati
soit due à la compression du nerf vague. En résumé, les principaux symptômes des lésions cérébelleuses, rangés suivant leur
à incliner du côté de la lésion, les convulsion*, - et, parmi les symptômes secondaires, les paralysies nucléaires, la polyur
la polyurie, la glycosurie, les tremblements et la mort subite. Les symptômes négatifs comprendraient les modifications des d
étale gauche. Le traitement dans ce cas confirma le diagnostic. Les symptômes étaient ceux de la paralysie générale; leur dis
ne paralysie générale de nature spécifique. Dans le second cas, les symptômes prédominants sont : un hoquet persistant, le ca
à forme céphalalgique : il est remarquable par la longue durée du ' symptôme céphalalgie sans apparition ultérieure de phénomè
traitement approprié. On sait d'ailleurs que la céphalalgie est le symptôme précurseur par excellence dans la syphilis cérébr
rique et des lésions \ asculaires, du moins à ne considérer que les symptômes : mais tous les stig- mates hystériques manquai
aire penser à la syphilis dont on ne trouvait cependant aucun autre symptôme , et qui était forme)-- lement niée par le malad
éphalalgie, de la polyurie et de la polydipsie. Ces deux der- niers symptômes ont survécu à la disparition des autres phéno-
nie, l'hystérie et l'épilepsie. Il croit donc utile de signaler les symptômes qui doivent plus spécialement diriger l'attention
s spécialement diriger l'attention du médecin vers la syphilis; ces symptômes d'après lui sont les sui- vants : 1° Céphalalgi
1° polydipsie et polyurie; 12° d'une façon générale, ten- dance des symptômes ci-dessus énumérés à s'améliorer spontané- ment
ment pour récidiver ensuite. Enfin, l'auteur fait remarquer que ces symptômes seront d'autant plus suspects qu'ils se continuer
a dit ou fait. DE MUSGRAVE CLAY. L. DE l'ataxie considérée comme symptôme DES lésions du système CÉRÉDItO-Sf'INL; par D.-
aussi aux lésions du cerveau et de la moelle. Elle compte parmi les symptômes les plus saillants des maladies du cervelet, et
nterprétations physiologiques qui peuvent éclairer la pathogénie dn symptôme ataxie. IL M. C. 278 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEU
illée, les phénomènes bulbaires étaient pré- dominants ; les autres symptômes se rattachaient, comme l'a démontré l'autopsie,
Linke. (Ct'7719'Cflb. f. Nerveinheilk., N F V, 1891.) De ces deux symptômes est résultée une énorme distension de la vessie
Il s'agit d'un homme arrivé à l'âge moyen de la vie présentant des symptômes physiques et intellectuels de dégé- nérescence.
nt avec une parésie des membres du côté opposé, et d'autre part des symptômes incontestables de sclérose en plaques : exagéra
éflexes imaginables. F. BOISSIER. LIX. Sur l'épilepsie sénile ET LE symptôme DE GRIESI1\GER DU A la thrombose B%SIL.IIIE ; p
ccal sont plus fréquents. L'uranisme est toujours une maladie, un symptôme de dégéné- rescence, placé en dehors de la volo
écution assez développées (aucune espèce d'hallucinations). Mais le symptôme le plus impor- tant de cet état morbide est l'i
tinction : dans la catégorie des troubles nerveux graves, où Jes symptômes fonctionnels semblent se mêler à des troubles org
dant ou tout de suite après l'accident, on peut rencontrer tous les symptômes caractérisent des affections en dehors du traum
es symptômes caractérisent des affections en dehors du traumatisme, symptômes d'hystérie locale ou générale, à la fois locale
sie, une parésie ou une contracture des membres atteints. Les mêmes symptômes cardinaux ont été observés chez mon malade. En
es signes diag- nostiques différentiels de l'oedème bleu d'avec les symptômes analogues qui peuvent s'observer dans d'autres
parait qu'un dénoûment fatal soit proche, quand se manifestent des symptômes d'adénite, engorgement considérable 332 RECUEIL
: syllogisme et mémoire intacts. La fièvre typhoïde évolue avec des symptômes graves adynamiques et l' ' tous les signes clin
ave. Pendant la période d'état, disparition brusque et complète des symptômes mania- Fig. 18. 334' RECUEIL DE FAITS. ques
eur. Le D'' Bauer examina le pri- sonnier, mais il ne trouva pas de symptômes de folie. Enfin, après une seconde expertise, i
as, la maladie participe des deux formes, mais cette combinaison de symptômes est rare, et le rattachement primitif à l'une d
ans REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 341 l'ordre chronologique, à des symptômes indiquant une sclérose des cordons latéraux. Il
ois pophylac- tique et curatif, s'efforce de découvrir les premiers symptômes de trouble dans les fonctions les plus obscures
cts de la maladie ; elle est par conséquent obligée de conclure des symptômes à la maladie, sans posséder la 48 ô REVUE DE PA
nt ni sang, ni excès de mucus; ordinairement il n'y a ni fièvre, ni symptômes généraux graves. La guérison est fréquente, bie
gnent de vomissements, de douleurs,souvent de ténesme, toujours de symptômes généraux graves : elles contiennent souvent du
t qui avait duré treize ans. Les trois malades avaient présenté des symptômes qui sont généralement considérés comme ayant un
EIDENBERG. (. ! YeM)'0. Centmlbl" XIV, 1895.) Trois observations. Symptômes plus ou moins marqués de l'hys- térie Le bégaie
mplace la migraine. P. K. LXVIII. UN cas d'intoxication saturnine A symptômes extrêmement rares; par JANOWSKI. (I1 ezcrolo7.
rébraux diffus correspondant à l'abcès des lobes frontaux, puis des symptômes , en rapport avec la méningite purulente de la b
e généralisée. - Oi3srR-A- TION III. Exemple de la prédominance des symptômes généraux dans une affection en foyer très local
e par l'auteur sur lui-même, fait d'autant plus intéressant que les symptômes de l'affection sont uniquement subjectifs. Il
plaque s'étendait excentriquement. Au bout de quelques minutes, les symptômes allaient en s'atténuant en sur- face et en inte
ion a présenté des variations d'intensité et de fréquence, mais les symptômes ne se sont guère modifiés. A une certaine pério
abcès profonds par propagation. Durant la vie du second malade les symptômes marquants furent les vertiges avec vomissements
ent, comme caractéristique, l'arrêt précoce de la menstruation, les symptômes nets d'hypertrophie du corps pituitaire et l'ab
lade qui, deux mois après le début de l'af- fection, présentait les symptômes subjectifs et objectifs suivants; vertige, engo
dicale. L'auteur en rapporte un cas nouveau qui a présenté tous les symptômes caractéristiques de cette maladie. REVUE D'AN
heure ou deux. Jamais, ni avant ni après, de paresthésies ou auties symptômes de migraine. M. Berger insiste sur le début du
Depuis Friedreich on a décrit un grand nombre de maladies dont le symptôme fondamental a toujours été l'ataxie des mouve-
stoire pathologique de trois frères qui tous présentaient les mêmes symptômes rattachés par l'auteur à une gracilité congénit
ture des vertèbres cervicales inférieures, datant de onze ans, les symptômes suivants : Paraplégie complète des extrémités i
, sans pouvoir encore se prononcer sur la valeur diagnostique de ce symptôme , tous les malades chez les- quels il l'a observ
ts morts d'affections quelconques, mais dont aucun ne présentait de symptômes médullaires. La comparaison des racines de cinq
Neuf chiens ont subi l'ablation du corps thyroïde, l'apparition des symptômes se fait dans un ordre variable; dans fous les cas
es. Deux fois l'urine contenait de l'albumine, jamais de sucre. Les symptômes trophiques, chute des poils, etc., sont tardifs
l'attention du magistrat et du philosophe qu'à celle du médecin. Symptôme de la dégénérescence mentale, le fétichisme peut
les de la névrose, accorde le principal rôle à l'hérédité. Puis les symptômes sont examinés, appareil par appareil; l'astasie-
le prolon- gement neural suit le faisceau pyramidal, entraîne des symptômes qui correspondent au tabès spasmodique. On a de
k, de Marie, de Joffroy, etc. Voir aussi noire mémoire : Lésions et symptômes spinaux, formes spinales de la paralysie généra
sur un très grand nombre d'entre eux. On a alors les lésions et les symptômes bien connus de l'encéphalite difluse, c'est-à-d
de l'encéphalite difluse, c'est-à-dire la démence, du moins comme symptôme principal. La multiplicité des neurones détruit
qu'il lui était impossible d'écarter la jambe droite sans douleur, symptômes qui n'existaient pas au momentdu départ : « Ava
auche, dans son attitude générale, dans ses jointures, présente les symptômes habituels (craque- ments, rigidité, arrêt de dé
fonction de l'équilibre. P. K. LXXXIV. Nouvelles recherches sur LE symptôme ULNAIRE (analgésie cubitale), chez les aliénés
travail excessif du système nerveux. La forme anatomique comme les symptômes cliniques sont, dans tous les cas, identiques e
tre également chez les paralytiques syphilitiques ou non, les mêmes symptômes intellec- tuels et moteurs, le même début, la m
nt nuisible aux uns comme aux autres. Si l'on ajoute que les autres symptômes secondaires sont les mêmes, que lorsqu'on note
paresthésies et des douleurs siégeant dans les bras et les jambes, symptômes qui ren- daient impossible tout.travail délicat
accélération du coeur et de la chlorose qui se manifestèrent : les symptômes qui avaient rétrocédé se montrèrent de nouveau. L
le. Il s'agissait d'un enfant de cinq ans, chez lequel les premiers symptômes (maux de tête, vomisse- ments) s'étaient manife
ête, vomisse- ments) s'étaient manifestés il l'âge de deux ans. Les symptômes cérébelleux ne se sont montrés que dans la dern
orales; le pulvinar et la cap- sule interne étaient intéressés. Les symptômes consistaient en : hémianopsie et plus tard ambl
ux à débaptiser des syndromes de folie, à isoler souvent de simples symptômes pour en faire de nouvelles formes qui, scienti-
taxie locale et folie simulées, par P. Garnier et Vallon, 28. L'- symptôme de diverses maladies, 46. L'- considérée comme
t Pan- taloni, 312, Genèse des accès d ? 1 par de Bechterew, 355. Symptômes delà paralysie générale et de l ? par Iüllenb
De l'atrophie musculaire dé- générativedans la -, par Hoche, 288. Symptômes de la- et de l'é- pilepsie par Hellenberg, 356.
Délire au début de la fièvre -, par Aschaflenburg, 149. Ulnaire. Symptôme - chez les aliénés, par Goebel,478. Uramsme e
19 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
ébut de cette affection par des troubles radiculaires précédant les symptômes médullaires nous avait autorisés à affirmer que l
ts cervicaux tout au moins de leurs racines antérieu- res. D'autres symptômes faisaient même supposer une extension du pro- c
nes lettres (1). L'hémi atrophie ET L'lIE41t1' : 1HI.SIE linguales, symptômes objectifs les plus saillants de ce tableau, cor
s cas d'hémiatrophie lin- guale, cette lésion n'est pas isolée. Les symptômes les plus fréquemment associés sont les paralysi
. hémiatrophie linguale 33 lier celui de l'hémiatrophie linguale, symptôme prédominant, a besoin d'être sérieusement discu
lade, la lésion périphérique peut être écartée ; nous n'avons aucun symptôme de lésion vertébrale, aucun trauma à l'origine. L
. En réalité, suivant l'extension des lésions et la combinaison des symptômes , le nombre des syndromes bulbaires peut être en
1, fait remonter l'origine de son mal jusqu'en août 1910. Les seuls symptômes morbides pendant les 12 premières se- maines on
vif ; ré- ilexes du tendon d'Achille vifs, le droit davantage avec symptôme clonique ; des deux côtés phénomène de Babinski
de l'appareil d'extension. Dans les deux premiers jours absence de symptômes d'amélioration dans un sens quelconque, après q
uleurs dans les genoux et dans les pieds augmentèrent ainsi que les symptômes spastiques dans le membre droit inférieur. 13
ouleur fixe, entourant le bas du thorax. Peu après apparaissent des symptômes de parésie des membres inférieurs, suivis de mo
es deux côtés phénomène de Babinski ; constipation. Tels sont les symptômes indubitables du processus progressif, pen- dant
tefois son résultat négatif, et l'aug- mentation, par la suite, des symptômes spastiques font décider une opé- ration chirurg
ment le sens des mou- vements du pied. 40 ROTSTADT 12. Premiers symptômes des mouvements du pied gauche, il remue légè- r
ed seul sur son lit. Réflexes patellaires et achilléens très vifs ; symptôme de trépidation épilep- toïde patellaire et plan
ubles cardiaques (allorythmie et ary- thmie). Dans l'ensemble des symptômes du tableau clinique, avant le traitement, les p
e vertèbre également à droite. Dans le développement subséquent des symptômes de compression il y a lieu de remarquer, jusqu'
bles dans le fonctionnement de la vessie ; il y avait cependant des symptômes de lésion transversale de la moelle, marqués pa
istance de la paralysie à caractères spasmodiques, considérée comme symptôme favorable, et en dehors du retour rapide, quoique
l a l'air de traîner le pied droit ; on n'aperçoit pas cependant de symptômes de parésie nettement indiqués. Réflexes patella
malade, le résultat négatif de la réaction de Pirquet, l'absence de symptômes de tu- berculose, écartent la pensée d'un proce
t les progrès du néoplasme à l'endroit indiqué plus haut. Quant aux symptômes d'affection transversale, il faut les ratta- ch
l'extrémité inférieure droite ; pouls rythmique, plein. 19. Premier symptôme de récupération du mouvement dans les pieds et
ence d'urine à un faible degré ; douleurs dans la région cardiaque; symptômes de réapparition de la parésie du mouvement dans
l, on pouvait croire, disons-nous, que ces dou- leurs annoncent des symptômes de compression exercée par une tumeur se dévelo
moelle. Il y a cependant lieu de noter que l'on n'a pu constater de symptômes objectifs d'un néoplasme dans le thorax, ce qui d
ieds, d'engourdissement des deux membres inférieurs, augmentent les symptômes de parésie, surtout dans l'extrémité inférieure d
troubles profonds de la sensibilité; réflexes tendineux très vifs ; symptôme patellaire et clonus du pied bilatéral (clonus
intermittent), signe de Babinski ; crémastérien faible, absence de symptômes abdominaux ; sensibilité à la douleur, au toucher
aires. Accroissement des symp- tômes de paralysie. L'ensemble des symptômes indiqués formant progressivement un tableau cli
être affaiblie. Les réflexes patellaires très vifs présentaient des symptômes de trépidation épileptoïde ; mouvements achillé
e légèrement atteinte. 5-21 septembre. -'Le malade marche seul sans symptômes de paralysie ou caractère spastique ; on n'aper
l ressent une douleur dans la région du mamelon gauche ; absence de symptômes extérieurs de formation néoplasique, le long de
te gauche, dans les reins et au niveau des vertèbres lombaires. Les symptômes douloureux augmentent dans les mouvements du tron
en mal sur son état général, on l'envoya dans un sanatorium où les symptômes pulmo- naires commencèrent à diminuer, la tempé
la canne. Ainsi donc, grâce à un second traitemeut chirurgical, les symptômes d'affection ou mieux de compression créés par l
tumeur dans le médiastin postérieur provoquant la série entière des symptômes dou- loureux ci-dessus, dans la cage thoracique
le sens musculaire (pieds et orteils) disparaît complètement. Les symptômes d'une affection transversale toujours grandissant
du liquide céphalo-rachidien après l'opération n'a pas découvert de symptômes de méningite suppurée (la suppuration de la ble
aucoup plus tard celui du membre gauche, durant 9 mois,. sans aucun symptôme doulou- reux avec des troubles de la sensibilit
u type des changements dissociés ne sont pas toujours uniquement un symptôme de processus intra-médullaire; ils peuvent en e
nous voulons avant tout souliguer la signification particulière des symptômes douloureux, persistants, à localisation précise,
extré- mités inférieures ; elles manquèrent également, en tant que symptôme TRAITEMENT CHIRURGICAL DES TUMEURS DE LA MOELLE
de la moelle par une tumeur extramé- dullaire. Malgré l'absence de symptômes médullaires le malade a été opéré (Sick) et on
néoplasmes sur le côté de la moelle, d'un seul côté, l'ensemble des symptômes de Brown- Sequard firent défaut. Par contre, dè
Brown- Sequard firent défaut. Par contre, dès le développement des symptômes compressifs, apparut l'affaiblissement dominant
poussé du côté gauche) n'a pu être observée par nous par suite des symptômes spastiques particulièrement développés. Flatau
la localisation de la tumeur et sur l'importance diagnostique de ce symptôme dans la période de développement des symptômes
ce diagnostique de ce symptôme dans la période de développement des symptômes de compression. Nous ferons remarquer du reste
blie,- d'après laquelle le type ascendant dans le développement des symptômes médullaires peut apparaître autrement que sous l'
I méritent une atten- tion particulière : la première, eu égard aux symptômes cardiaques qui 54 ROTSTADT se manifestèrent à
s le moins du monde le rôle et l'influence sur le développement des symptômes cardiaques, des irritations des mé- ninges en r
ation de la plaie à la suite de l'opéra- tion. Pour la guérison des symptômes cardiaques en question, ainsi que des douleurs
de camphre monobromé avec ré- sultat tout à fait satisfaisant ; les symptômes cardiaques disparaissaient, le pouls redevenait
at actuel du patient ont démontré tout le caractère illusoire de ce symptôme ; les dou- leurs disparurent et dans la suite o
agmus en position directe avec vertiges et chute du côté opposé. Ce symptôme relèverait pour Ifalplen de l'hypertension crân
é au développement de la tumeur hypophysaire. D'abord apparition de symptômes de tumeur hypophysaire et arrêt de croissance c
e, dont le premier cas a été publié par M. Babinski, com- porte des symptômes de tumeur hypophysaire, de l'adiposité et souvent
ière fois, en 1846, par le médecin italien Dubini, pour désigner le symptôme d'une maladie très probable- ment infectieuse,
es secousses myocloniques ne sont, dans la maladie de Dubini, qu'un symptôme . En effet, par les cas publiés on voit que la mal
ladie de Dubini, dans laquelle les secousses myocloni- ques sont un symptôme , nous devons mettre d'autres descriptions dans le
les- quelles les contractions musculaires ne sont également que des symptômes . Ainsi Valobra a décrit deux cas de myoclonus i
descriptions, les douleurs et les hyperidroses sont signalées comme symptômes de la maladie. Dans d'autres descriptions on tr
'inspiration de Bergeron. Dans ce travail on n'a pas oublié que les symptômes de cette maladie avaient déjà été signalés dans
int-Guy, la variété que nous étudions, nous en voyons cependant les symptômes les plus caracté- ristiques nettement indiqués
lescaractères spéciaux de ces contractions pseudo-choréiques. « Les symptômes , dit Berland, sont t donc constitués par des mo
telle expression a contribué à obtenir ce résultat. Cela paraît un symptôme involontairement greffé sur l'état morbide que
s chercher à définir autant que -pos- sible celle espèce morbide. Symptômes . Les myoclonies, comme nous l'avons dit dans le
Nous considérons avec Huchard et Fiessinger que l'arythmie est un symptôme très important et que le rythme est plus particul
sous deux for- mes diverses : comme équivalent jacksonien ou comme symptôme concur- rent dans les épilepsies partielles. Co
ndant de toute lésion pathologique qui puisse l'expliquer) d'autres symptômes , notamment les secousses musculaires, fibrillai
uivantes : 1° La myoclonie fibrillaire essentielle dans lesquels le symptôme prin- cipal est la contraction fibrillaire. La
elle est bien évidente. En outre, les liqueurs présentent d'autres symptômes , et la thérapeutique rééducative produit chez e
mination. La désignation myoclonie est acceptable. Elle signifie le symptôme principal et nous séparons ainsi ces hypercinés
typique d'hypomanie chronique, vraie, pure, non associée à d'autres symptômes ou syndromes. Il n'existe ici que des phénomène
vie (2). C'est en 1503 que nous découvrons chez Jeanne les premiers symptômes de son mal. Violemment troublée par le départ d
e l'obstination dans le carac- tère, suffisent-ils à constituer les symptômes de la névrose rés(li21qtie ' ? Nos lecteurs on[
e, ou bien il est compliqué par l'adjonction et la superposition de symptômes propres à d'autres dystrophies ou arrêts de dév
tes et à un examen soigneux ; on peut de cette manière dépister des symptômes qui z permettent de ranger ces sujets parmi des
d'achondroplasie classique, chez lesquels il ne man- que aucun des symptômes les plus communs, et qui sont constitués d'une
incomplètes chez lesquelles, soit par exclusion, ou sur la base de symptômes positifs, on doit admettre des formes atypiques
et Durante ont admis l'existence de cas dans lesquels dif- férents symptômes peuvent manquer, ou être très atténués ; ainsi le
n grand déficit, on doit conçlure que nous avons réuni ici tous les symptômes principaux que M. Schrumpf exige pour poser le di
pe Brissaud). Il s'agit ici d'achondroplasie pure où il y a tant de symptômes caractéristiques qu'on ne peut concevoir de dou
s caractéristiques qu'on ne peut concevoir de doutes là-dessus. Ces symptômes cependant ne sont pas trop manifes- - 170 FERRU
à la main et respectivement du 4° métatarsien au pied. Il admet ce symptôme comme étant peut-être d'ordre général et constant
à ce sujet, j'ai pu me convaincre que, quoiqu'il soit fréquent, le symptôme n'est pas constant ou du moins qu'il peut se pr
ophie que l'on peut trou- ver chez les achondroplasiques. Gomme ces symptômes en général ne sont pas tous constants, ainsi l'
l'est pas non plus ; il ne saurait, d'ailleurs, être question d'un symptôme pathognomonique d'achondroplasie, car il a été tr
irer deux conclusions certaines. La première regarde la valeur de symptôme général, mais non 1)(ilho- gn01ll0nique, que po
'il y a des formes d'achondroplasie légère, où l'on trouve tous les symptômes caractéristiques et beaucoup d'autres moins imp
rvent tous à donner au sujet un cachet net ; cependant aucun de ces symptômes n'est très prononcé; mais une 182 FERRUCCIO RAV
n déterminées et parfois parfaitement inconnues, peut présenter des symptômes aigus dont le diagnostic ne donne-pas lieu, en
é à respirer et à sangloter. Dans les derniers temps apparurent des symptômes du côté de la déglutition, de sorte que l'enfan
tions 68 à la minute). Poids du corps 23 kil. 200. 22juin. Tous les symptômes ont complètement disparu. 29 juin. Conditions g
après l'entrée du malade à la Clini- que, on constata que tous les symptômes déjà nommés ont complètement disparu. Le 29 jui
te purulente, ou mieux encore de méningite tuberculeuse. Quelques symptômes permettaient cependant de ne pas être en doute
5 jours s'écoulèrent, et 20 jours au moins jusqu'à l'apparition des symptômes à la charge de la respiration et delà déglutiti
de fréquents (roubles de la sensibilité. A part donc l'identité des symptômes que nous nommons bulbaires, tout le reste du tabl
st d'autant plus vrai, qu'en ce qui concerne le développe- ment des symptômes , il existe une forme à évolution subaiguë, laquel
ints à celle développée chez mon ma- lade. Dans ces cas, enfin, les symptômes bulbaires sont accompagnés, ou précédés,par des
on observation, au contraire, bien dif- férente par l'évolution des symptômes cliniques, il manquait en outre stase papillair
éphalalgie, vomissements, attaques épileptiformes, pouls rare, tous symptômes en relation avec une augmentation de pression e
accides, une précoce stase-papillaireel cécité, une oscillation des symptômes des nerfs cérébraux et du cortex. RÉACUTISATION
aines des rai- sons déjà nommées, soit parce qu'il manquait ici des symptômes des lé- sions osseuses, et manquaient de même l
périphériques des mem- bres, ni paresthésies ni douleurs, premiers symptômes ordinairement d'une polynévrite, laquelle porte
. D'un autre côté, dans la maladie d'Erh-Golclllam, la fugacité des symptômes paralytiques est particulièrement remarquable,
bilité de nous trouver en présence d'une infection pernicieuse avec symptômes bulbaires, d'autant plus que la fièvre peut aus
ien qu'exceptionnelle- ment, dans les formes dénommées larvées. Ces symptômes furent, de fait, décrits dans cette forme : dys
onc ne pouvait déposer pour l'infection pernicieuse malarienne avec symptômes bulbaires. Ainsi', par exclusion on diagnostiqua
permises au point de vue clinique. Les troubles de la parole et les symptômes cérébelleux furent les derniers à disparaître.
répondérante dans le IVe ventricule, où au moins pres- que tous les symptômes déposaient pour ce siège. Alors on comprend com
premiers à apparaître devaient être les troubles du langage, et les symptômes cérébelleux, furent certai- nement les derniers
, je crus utile d'attendre et d'observer l'évolution ultérieure des symptômes que j'avais découverts. Durant le cours de mo
évoila aucun changement pathologique. On n'a pu conslaler aucun des symptômes observés dans le cas d'atrophie musculaire quel
ures pendent le long du corps, ne peul être considérée que comme un symptôme provoqué par les efforts musculaires. C'est un
l'abolition des réflexes rotuliens et les douleurs lombaires, tous symptômes se rencontrant assez souvent au cours des tumeu
rraient sûrement nous donner l'explication de la genèse des susdits symptômes . On a publié jusqu'à présent si peu de travaux
meurs solides (gliomes, gliosarcomes, tubercules) (1). Les premiers symptômes cliniques de la maladie se sont déclarés quatre
aut, et présentant des lésions dans la moelle dorsale, les premiers symptômes se sont déclarés un an, et dans les deux autres c
r une définition préalable, car il n'ex- prime pas, de lui-même, le symptôme clinique important que présente le sujet; 2° et
, dont aucun ne fait actuellement défaut ; . 3° L'absence de tout symptôme pouvant être attribué à un trouble fonc- tionne
e génitale est tout à fait normale. On ne relève par ailleurs aucun symptôme d'insuffisance des autres glandes endocrines. O
. des troubles basedowiens. En effet, à côté des cas présentant les symptômes du goitre exophtalmique, il y en a encore toute
dermie, car nous n'avons pas trouvé des cas de ce syndrome avec des symptômes d'hyperlhyroidisme. Même les cas de Basedow pré
ME DE BASEDOW ET SCLÉRODERMIE 273 à diminue un peu, mais les autres symptômes basedowiens,l'exophtalmie, la tachycardie, les
s en petite quantité. Histoire de la maladie actuelle. Les premiers symptômes sont apparus vers l'âge de 15 ans et se sont ma
ntraire, sa mère admire son cou rond et ses yeux grands. Les autres symptômes s'aggravent, les tremblements deviennent très man
Le visage est maigre par rapport avec le reste du corps. Tous les symptômes basedowiens sont très manifestes. L'exophtalmie e
en 1884, décrit un cas de sclérodermie présentant en même temps des symptômes basedowiens et une atrophie de la face. Eichh
0 ans, d'un goitre simple. Trente années plus tard apparaissent des symptômes basedowiens, et cinq ans après ceux de sclérode
cas de sclérodermie communiqués par Beer (1), l'un présen- tait des symptômes basedowiens (goître, exophtalmie et tachycardie)
peau est lisse, brune, sèche. Dans le cas de Jonas (3), ce sont des symptômes basedowiens qui vien- nent s'ajouter à une anci
Jeanselme, et qui, en dehors d'une sclérodermie diffuse, offre des symptômes basedowiens. Fox (7) a également présenté un ca
00, 278 MARINESCO ET GOLDSTE1N 34 ans, chez laquelle les premiers symptômes de Basedow sont apparus à l'âge de 13 ans. Onze
quelle il est apparu d'abord les troubles sclérodermiques, puis les symptômes de Basedow, après quoi ceux de sclérodermie pro
et la tuméfaction du cou. Ensuite et peu à peu se montrent d'autres symptômes basedowiens tels que la faiblesse, l'agitation, u
xophtalmique chez une femme où, peu de temps après l'apparition des symptômes hasedo- wiens, il a observé deux plaques de scl
manière une explication. Cas- sirer arrive à la conclusion que les symptômes des angiotrophonévroses- névroses organiques -
e sorte d'obstruction des pores de la peau ; il décrit encore comme symptômes de celle affection la dureté et la blancheur de
on à l'âge de 30 ans, c'est-à-dire G ans aupa- ravant. Le premier symptôme qui attira son attention a été donné par la cyano
pituitaire, Obs. I, Thèse de Lyon, 1902. 300 BERTOLOTT) Un autre symptôme exceptionnel se rapporte à l'exagération des ! ph
ion de la muqueuse buccale (Andry et Boireau) (2) et aussi avec des symptômes sûrs de méla- nodermie généralisée (Laignel-Lav
les conséquences de cette grave complication. Dans notre cas, un symptôme important a été constaté du côté du fonc- tionn
'est apparue qu'ensuite. M. Jeanselme (1) a vu par exemple tous les symptômes du goîlre exophtalmique survenir chez une femme
tudié quelques cas où le syndrome acromégalique était associé à des symptômes nettement sclérémateux. Comme on peut voir par
cicatrisation spontanée. Presque tou- jours on a signalé encore des symptômes généraux graves concomitants, caractérisés par
s est lisse, mince, atrophiée, violacée, avec hypothermie. Tous ces symptômes sont concomitants à l'existence de tumeurs dures,
inaltéré. En résumé, il s'agit d'une malade présentant de multiples symptômes (je syphilis tels que déformations tilriales, t
été de Neurologie de Paris, deux malades présentant, outre quelques symptômes tabétiques, un viti- ligo des plus caractéristi
rol., p. 247, 1902, n" 6. 6 12. P. Marie et GUILLAIN. Vitiligo avec symptômes <a6eh'/b ! 'nte. Snc. de neurol., 13 mars 19
peut-être pourrions-nous songera de l'exophtalmie ; mais les autres symptômes de la maladie de Basedow manquent. Le malade no
t d'une maladie infectieuse quelconque, et chez lui il n'y a pas de symptômes de syphilis ; la réaction de Wassermann a été n
e 2 généra- tions et de 24 personnes, il y en a G qui ont les mêmes symptômes . Lorsqu'on revoit les divers symptômes de cette
l y en a G qui ont les mêmes symptômes. Lorsqu'on revoit les divers symptômes de cette maladie relevés dans les différents ca
santé : jamais de maladies infectieuses d'aucune sorte; ja- mais de symptômes d'intoxication quelconque. Histoire de la malad
res font textuellement mention, à côté de l'hémispasme fa- cial, de symptômes actuels de paralysie faciale plus ou moins accent
mentonnières unilatérales, de la contraction synergique paradoxale, symptômes que M. Babinski a signalés dans l'hémispasme fa
e démonstration par les constatations faites par M. André Thomas de symptômes de parésie faciale dans deux cas de spasme faci
u côté droit. Avec cette paralysie faciale apparurent bien d'autres symptômes qui alar- mèrent fort la malade. D'à bord un tr
ties de la face, rien à signaler. Le cou non plus ne présente aucun symptôme anormal. Examen de la motilité de la face. - Qu
e la face du côté gauche. Du côté droit, la face ne présente pas de symptômes très apparents d'une parésie faciale. C'est ain
pleine substance blanche, au voisinage de la corne antérieure. Le symptôme le plus important relevé dans l'histoire clinique
Kernig (méningites urémiques de Lépine). 11 semblerait que tous les symptômes constatés sont suscepti- bles de recevoir de ce
uvons dissocier les signes observés en deux grandes catégories, des symptômes cérébraux (céphalée, troubles visuels, paralysi
visuels, paralysies de la face et du membre supérieur gauches) des symptômes médullaires (Kernig et troubles sphinctériens),
que la possibilité d'une serite bacillaire pour expliquer tous les symptômes que nous venons d'observer. Aussi, malgré les rec
ique droite. La diffusion des lésions expliquait la diversité des symptômes observés et la difficulté à poser un diagnostic
présente d'anomalie congénitale ni acquise et en particulier aucun symptôme d'hérédosyphilis ou d'hérédo-tuherculose. Lui-m
SIPIDE ET INFANTILISME 415 t Comment peut-on interpréter ces divers symptômes , à quelle lésion commune les rattacher ? Notr
nt toujours, à côté des phénomènes d'origine hypophysaire, d'autres symptômes subor- donnés à d'autres glandes endocrines, th
s ACROMÉGALIE ET TABES 471 i sortes de phénomènes cliniques : des symptômes acromégaliques et des symptômes tabétiques, les
ortes de phénomènes cliniques : des symptômes acromégaliques et des symptômes tabétiques, les uns et les autres au grand comple
grand complet. Il est curieux de signaler que nous trouvons ici des symptômes qui sont communs aux deux maladies : l'impuissa
'il nous manque encore des (1) Daatsarec, Un cas d'acromégalie avec symptômes tabétiques. Rev. d'ophtalm., 1891, p. 12. (2)
on médullaire, le névraxe ayant été progressivement atteint, et les symptômes étant l'expression d'une lésion tout à fait il di
s jours après une rachianesthésie stovaïnique et dès les pre- miers symptômes , le malade a présenté une intense réaction méning
5 gr. et 27 gr. 0/00. La coagulation du liquide est sans doute le symptôme caractéristique du syndrome; il importe de note
. 2 : 2. Bulbai, es (ReacUlisalwn de l'hydrocéphalie interne avec symptômes -), par Croerm, 209. Céplialo-rachidien (Sur
28. Hydrocéphalie interne (Réaculisatioit de l'- congénitale avec symptômes bulbaires), par CIUFFINI, 209. 508 TABLE DES
Home). Réacutisation de l'hydrocéphalie interne congénitale avec symptômes bulbaires, 209. CLUZET et Novii JOSSEI1.1ND. Pa
20 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 7. Maladies des vieillards : goutte et rhumatisme
amentaux acceptés par la médecine moderne : 1° En premier lieu, les symptômes autrefois considérés d'une manière abstraite, et
rrespondante des organes (nous di-rions aujourd'hui des tissus) : les symptômes ne sont enfin désormais que le cri des organes so
pre, un mode spécial de développement, un enchaînement particulier de symptômes qui permet d'en don-ner la description d'après un
s la sphère des phénomènes extérieurs de la maladie, c'est-à-dire des symptômes . Mais il est en même temps aisé de reconnaître
les, en permettant la distinction de maladies que l'analogie de leurs symptômes aurait pu laisser confondre. La distinction posée
naître certaines maladies d'ensemble, elle peut souvent en imiter les symptômes et les faire apparaître iso-lément un à un, sinon
asthme des vieillards n'est pas une affection nerveuse, mais l'un des symptômes d'une lésion organique ; et Ton reconnaît aujour-
omie. Aussi les désordres les plus graves se traduisent-ils par des symptômes peu accentués : ils peuvent même passer inaper-çu
ormidable de la colique hépatique, qui se présente avec un cortège de symptômes effrayants qu'il est impossible d'oublier, lorsqu
e que chez le vieil-lard, il est souvent difficile de reconnaître ces symptômes amoindris ; c'est tout au plus si nous trouvons u
ie, quelques vomissements, un peu de jaunisse, parfois du délire, des symptômes cérébraux, plus aptes à nous induire en erreur, q
les lésions les plus graves peuvent coïncider avec un petit nombre de symptômes légers, presque insigni-fiants. «(Grisolle. Trait
ns le diabète se présenter, chez les sujets d'un âge avancé, avec des symptômes fort différents de ceux qui le caractérisent chez
ire cependant que les lois qui régissent chez l'adulte le rapport des symptômes aux lésions soient complètement interverties chez
des cas où l'atteinte profonde de l'organisme ne se ré-vèle par aucun symptôme qui puisse faire pressentir la gravité du mal. Ic
ard un défaut de corrélation entre la lésion locale et l'appareil des symptômes généraux. Pareille chose existe chez l'enfant, ai
ient de son temps, déclarer que « l'accélération du pouls est le seul symptôme qui, dans la fièvre, se trouve toujours présent,
oissement de la chaleur animale domine dans la fièvre tous les autres symptômes , et peut même servir, dans bien des cas, à en mes
exaspération plus ou moins prononcée et souvent fort inquiétante des symptômes . C'est ce qu'on appelait autrefois du nom de pert
ement de la température au-dessous du taux normal s'accompagner des symptômes plus ou moins inquiétants du collapsus, qui le si
pouvons suivre, jusqu'à un certain point, l'enchaînement logique des symptômes qui se déroulent successivement sous cette influe
inues, avec des alternatives de rémissions et d'exacerbation. A ces symptômes permanents correspondent des lésions per-manentes
se former chez un de ses malades, cinq ans avant l'apparition d'aucun symptôme du côté des jointures (1). On comprend par là que
tiennent à Dietricb, Perry et Budd. Les malades ont succombé avec des symptômes classi-ques de la goutte remontée à l'estomac, et
n-trées après sept ou huit accès. Dans un cas observé par Traube, les symptômes de cette affection rénale se sont mon-trés un an
rien de celles qui existent dans la maladie de Bright ordinaire, les symptômes propres à cette albuminurie goutteuse se font rem
— Goutte aiguë. — Prodromes. — Invasion des douleurs articulaires. — Symptômes généraux. — Caractères principaux de la goutte ai
i l'ensemble de la situation, estime dyspepsie particulière, dont les symptômes les plus habituels sont la flatulence et la diste
) ; elles sont, pendant l'absence des fluxions articulaires, l'un des symptômes les plus caractéristiques de la goutte, dont elle
aine de l'accès ; ce sera tantôt une exaspération extrême de tous les symptômes qui résultent de la diathèse urique, et qui vienn
a présence d'un excès de liquide dans la synoviale articulaire. Les symptômes généraux qui coïncident avec ces manifes-tations
ments abondants. Vers le matin, la douleur et la plupart des autres symptômes s'amendent, pour reparaître le soir, ou pendant l
tions que la goutte aiguë peut offrir des variétés. L'intensité des symptômes principaux, de la douleur, de la réaction général
s, les fluxions articulaires continuent à occuper le même siège : les symptômes généraux continuent à offrir la même intensité, e
nique s'établit presque en permanence sur les articulations; mais les symptômes locaux deviennent moins aigus ; les douleurs sont
que la goutte est remontée d'elle- même lorsque le déplacement des symptômes s'est effectué spontanément. C'est ici que se p
lle peut offrir ; c'est ici qu'on a souvent l'occasion d'observer ces symptômes graves, qui aboutissent quelquefois à la mort.
goutte remontée, en raison de la gravité que prennent quelquefois lès symptômes , par suite des prédispositions spé-ciales que la
. Au second degré, la dégénérescence graisseuse du cœur existe. Les symptômes de cette lésion demeurent toujours les mêmes, qu'
ujets atteints de cette altération du tissu musculaire du cœur. Les symptômes rationnels sont, eux aussi, bien faits pour tromp
ec le délire des affections aiguës intercur-rentes, ni enfin avec les symptômes que peuvent développer, du côté des centres nerve
question encore litigieuse. Todd et Garrod indiquent l'apparition de symptômes légers, d'une sorte de parésie, al-ternant avec l
ant l'intervalle des accès, et il existe une alternance manifeste des symptômes thoraciques avec les accidents articulaires. M.
laire. Il survient à une époque peu avancée de la ma-ladie; il a pour symptômes une douleur vive mais transi-toire, alternant man
la néphrite albumineuse de la goutte ne diffère que bien peu, par ses symptômes , de la maladie de Brigth ordinaire. On trouve en
ut y avoir de l'œdème de la face et des mem-bres inférieurs ; mais ce symptôme fait souvent défaut. On constate aussi, comme dan
oit les liga-ments et les tendons s'imprégner de cette substance. Les symptômes de cet état de choses se confondent en général av
iologiste a constaté, en effet, que le diabète peut alterner avec les symptômes d'une autre, maladie, et particulièrement avec de
d'acide urique. Le malade n'avait cependant jamais éprouvé aucun des symptômes de la goutte articulaire, et n'était pas albumi-n
t étudié la goutte au point de vue des lésions qui raccompagnent, des symptômes qui la caractérisent et des affinités qui l'uniss
iminer cette matièrepeccante (phlegme, bile, tartre) consti-tuent les symptômes de la goutte. Mais une réaction contre les anci
ts prémonitoires qni précèdent immédiatement l'accès de goutte. Les symptômes locaux de la maladie peuvent, jusqu'à un certain
pouvons-nous, en acceptant ce point de départ, en déduire les autres symptômes de la maladie ? Tel a été le but des efforts de M
le dépôt se fait à l'extérieur, il n'en est pas ainsi. 9° Enfin les symptômes de l'arthrite se manifestent, et la réaction géné
l, pouvant conserver l'impression du doigt; cepen-dant Garrod a vu ce symptôme se produire quelquefois chez les sujets cachectiq
arthropathies diathésiques. Quelquefois, la disparition brusque des symptômes articu-laires coïncide avec le développement soud
hémorrhagique ou purulent. Nous indiquerons plus loin l'ensemble de symptômes qui en révèle l'existence, et les circonstances p
es qui vont infecter au loin la masse du sang, en don-nant lieu à des symptômes typhoïdes. On dit le plus souvent alors qu'il s'a
-rement perméables après la mort. On voit d'abord apparaître tous les symptômes du ramollissement, qui suivent leur mar-che ordin
ue. La rate avait acquis un volume consi-dérable ; il mourut avec les symptômes habituels d'une affection cardiaque. A l'autops
ions diverses. — Contractions spas- modiques. — Causes accessoires. Symptômes généraux. — Hématologie. — Réaction générale. — É
ns indispensable de les séparer, car la na-ture et l'enchaînement des symptômes , le pronostic et même-le traitement diffèrent dan
u les arthropathies résultent de cette affection, en second lieu, les symptômes qui se rattachent à l'état général. Arthropathi
ous ce rapport, car souvent, à l'épo-que de la ménopause, on voit les symptômes débuter brus-quement, et l'affection prendre d'ab
ad. des Vieillards. 16 cette tuméfaction est souvent accompagnée de symptômes in-flammatoires ; mais ces phénomènes s'observent
nu est de l'os, et non pas un dépôt tophacé, comme dans la goutte. Symptômes généraux ; marche de la maladie. A. L'hématolog
vives, et l'affection est moins mobile que dans le type opposé. Les symptômes généraux sont ceux du rhumatisme articu-laire aig
ec la goutte. Messieurs, Nous allons compléter la description des symptômes du rhumatisme chronique, par l'étude des deux for
ntiellement de la précé-dente ; cependant, elle s'accuse par quelques symptômes par-ticuliers. Nous en avons déjà signalé plusieu
tude sans éprouver une sensation pénible. Cinq ans avant sa mort, des symptômes analogues se manifestèrent à la hanche gauche.
nous arrêter un instant. Le plus souvent, lorsqu'il se produit des symptômes arti-culaires à la suite d'une affection uréthral
vec ten-dance à l'algidité et ralentissement du pouls; 3° Enfin des symptômes nerveux et une ivresse particulière. A doses mi
nes, avec des résultats avantageux. Jamais je n'ai vu se produire les symptômes d'une dissolution du sang, comme souvent avanta
de commémoratifs. — Défaut de réaction gé-nérale. — Irrégularité des symptômes . — Exemple tiré de la pneumonie lobaire. — Phénom
les organes souffrent en silence, sans pro-voquer nécessairement les symptômes locaux qu'on est à peu près habitué à rencontrer,
ile, les désordres les plus graves pour-ront ne s'accuser que par des symptômes locaux ou par une réaction d'ensemble peu accentu
ée un grand nombre de nos vieillards. Vous savez par quel appareil de symptômes caractéristiques, locaux et généraux, elle se man
. Ainsi la pneumonie lobairepeut se dissimuler sous un appa-reil de symptômes qui rappellent, jusqu'à s'y méprendre, ceux que d
de Galion : Calor prœter naturam. C'est qu'en réalité tous les autres symptômes de la fièvre peuvent faire défaut et que seule, l
ade, il y avait eu diarrhée incoercible et, à plu-sieurs reprises des symptômes de collapsus marqué par un refroidissement très n
ment externe. J'aurai à revenir plus fard sur la signification de ces symptômes de col-lapsus, qu'il est assez commun d'observer
t à entrer dans une digression. L'état fébrile, avec son cortège de symptômes , les uns fondamentaux et essentiels, les autres a
ous ferons allusion par la suite. Elle se révèle, d'ailleurs, par des symptômes spéciaux qui n'appartiennent pas nécessairement à
température, dans la fièvre, ne serait pas seulement un résultat, un symptôme ; elle serait encore la cause de dé-sordres, parf
i élevée à un certain niveau au-dessus du taux normal, rappellent les symptômes de la fièvre : ainsi, le pouls s'accélère, les mo
phus. A ces lésions se rattachent habituellement, pendant la vie, des symptômes de faiblesse cardiaque, d'asystolie. Est-ce à la
entir une solution favorable, mais seulement si l'ensemble des autres symptômes ne s'est pas aggravé. La régularité de la courb
mi sera parfois précédée par une exacer-bation temporaire de tous les symptômes , avec ascension brusque de la courbe. Cela corres
signaient sous le nom de perturbatio critiqua. Cette ag-gravation des symptômes est de courte durée dans les cas qui doivent se t
souvent se produire des températures subnormales, s'accompagnant des symptômes dits de coltap-sus sur lesquels nous reviendrons
définitive. La convalescence est commencée, malgré la persistance des symptômes locaux. C'est en général, après le début de la
dans les viscères, quelque lésion ré-cente de nature à expliquer les symptômes graves qui ont amené la mort. On ne trouve que le
é (Wolff) assez fréquemment dans la folie subaiguë ou chronique, avec symptômes de dépression, principalement dans la mélancolie
cendre jusqu'à 34° 5. La mort survient en pareil cas, au milieu des symptômes d'un collapsus profond : algidité exté-rieure, su
un refroidissement de la surface du corps et par un cortège d'autres symptômes alarmants. L'ensemble de ces symptômes a été dési
rps et par un cortège d'autres symptômes alarmants. L'ensemble de ces symptômes a été désigné sous le nom de collapsus, par MM. T
éresser le clinicien, puisque toutes les fois que cet enchaînement de symptômes 1. Archiv fur Physiol. Heil/e., 14e Jahrg., 2 H
nde. Quelle est, en pareil cas, la signification de cet appareil de symptômes si alarmants ? Ici r examen de la température c
tar-dera pas à paraître. 2° Si au contraire, en môme temps que les symptômes du col lapsus se sont manifestées, la température
tempéra-ture centrale. Si le collapsus n'est que l'exagération des symptômes ordi-naires d'une défervescence de bon aloi, en m
est favorable en pareil cas, alors même qu'il serait survenu quelque symptôme inquiétant, telle qu'un délire intense parexemple
rves-cence, c'est là le cas le plus commun. Mais le même ensem-ble de symptômes peut se montrer à toutes les époques de la maladi
senté, dès le début et pendant la durée de la maladie, un ensemble de symptômes qui la faisaient ressembler à une cholérique. Les
es seuls points sur lesquels nos éludes ont pu spécialement porter. Symptômes . La douleur, la tuméfaction, la rougeur des joi
es, les déviations des extrémités ou des membres, sont les principaux symptômes présentés par les malades que nous étudions. Avan
e des muscles a été prononcée et persistante. Je crois que c'est à ce symptôme que Haygarth et Landré-Bauvais l'ont allusion, lo
ous avons pu nous en assurer fort souvent. Marche, enchaînement des symptômes . — Les symptômes arthritiques sont les premiers q
en assurer fort souvent. Marche, enchaînement des symptômes. — Les symptômes arthritiques sont les premiers qui se manifestent
ités. L'âge auquel les femmes sont parvenues, lorsque les pre-miers symptômes se manifestent, me paraît avoir laplus grande inf
ste de leur vie, à l'immobilité la plus absolue. La progression des symptômes est toujours beaucoup plus lente chez les femmes
les spas-mes et les étouffements notés par Landré-Reauvais ; mais ces symptômes étaient à peu près continus, et ne semblaient ja-
re l'application de cette dernière cause et l'apparition des premiers symptômes , et s'il existe, comme dit Haygarth, une sorte de
rthropathies, indépendantes de l'hémite. Les causes, les lésions, les symptômes , sont au fond les mêmes dans les deux cas. Mais p
au; cette fois, les douleurs et la gêne des mouvements sont les seuls symptômes , il n'y a ni rougeur ni gonflement. Au bout de
ns de l'oreille. Leur formation n'est en général, accompagnée d'aucun symptôme particulier, et les malades les portent quelquefo
nuleux à leur surface ; mais d'un autre côté, cet état du rein et les symptômes qui en résultent peuvent s'observer, dans d'autre
ble c'est que deux des malades de Tood sont mort subitement, avec des symptômes urémiques très évidents. C'est au docteur Garro
en faible quantité et coïncide parfois avec de l'œdème. IL Que ces symptômes correspondant aune altération ana-tomique quelque
dura que peu de jours. Pendant le mois de mai, se manifestèrent les symptômes d'une ascite et de douleur continue dans les régi
ngourdissement et fai-blesse du bras droit et de la jambe droite; ces symptômes per-sistent encore aujourd'hui, mais à un faible
uter que le malade, âgé de 55 ans, n'avait jamais présenté le moindre symptôme d'épilepsie. Peu de temps après, M. Charcot vit
boédriques d'acide urique. Cet homme n'avait jamais éprouvé aucun des symptômes de la goutte articulaire ; les urines ne renferma
xterne se serait produite plusieurs années avant l'apparition d'aucun symptôme du côté des jointu-res. J'ai pu, pour mon compte,
mineux se sont engagés dans les uretères, elles se traduisent par les symptômes ordinaires de la colique néphrétique ; d'autres f
comme les autres formes de la maladie, s'accompagner des redoutables symptômes de Y urémie convul-sive ou comateuse ; et il est
e en acide urique ; 4° dans plusieurs cas où il s'était manifesté des symptômes de goutte irrégulière, sans accompagnement d'affe
s phénomènes cérébraux inquiétants, et provoquer même l'apparition de symptômes urémiques. On devra craindre, dans la goutte, de
outenues pendant plusieurs jours, on ne tarde pas à voir survenir des symptômes de dyspepsie cardialgique qui obligent bientôt à
s, Quain, Garrod, Gairdner, Barclay), et il est incontestable que les symptômes qui appartiennent à cette lésion cardiaque ont ét
ez un homme âgé de cinquante-cinq ans, qui commençait à présenter des symptômes de paraplégie. Ces douleurs avaient occupé tantôt
, M. Trastour et moi, à la Salpêtrière en 1852, deux présentaient les symptômes les mieux accusés d'une affection organique du cœ
bien que, pendant la vie, ces lésions ne s'étaient révélées par aucun symptôme appréciable. C'étaient de simples stigmates qu'un
particulier, je n'ai jamais observé que les malades présentassent des symptômes indiquant, soit une tendance aux hémorrhagies, so
rinaires, Paris, 1845, p. 278). (p. 661). Néphrite goutteuse. — Les symptômes de la néphrite goutteuse se manifestent quelquefo
nt latente pendant longtemps, et elle n'est remarquée que lorsque les symptômes vulgaires du diabète, en particulier la polyurie,
lternants, c'est-à-dire des diabètes se suc-cédant par accès avec les symptômes d'une autre maladie, et particulièrement avec des
e. On voit quelquefois des malades goutteux présenter tout à coup des symptômes diabétiques, et les urines se charger de sucre, c
que la gravelle ou la goutte ouvrent la scène; puis en général, leurs symptômes s'effacent au moment où le diabète apparaît. M. R
outteux et diabétique engendrer un fils qui pré-sentera seulement les symptômes de la goutte; j'ai rencontré un sujet goutteux do
morbide se traduit habituellement, pendant la vie, par un ensemble de symptômes qui permet d'en établir le diagnostic. Les malade
s extrémités épiphysaires des os longs, provoque des dou-leurs. A ces symptômes se joignent quelquefois des contrac-tures permane
— Goutte aiguë. — Prodromes. —Invasion des douleurs articu-laires. — Symptômes généraux. — Caractères principaux de la goutte ai
inions diverses. — Contractions spasmodiques. — Causes accessoires. Symptômes généraux. — Hématologie. — Réaction générale. — É
de commémoratifs. — Défaut de réaction géné-rale. — Irrégularité des symptômes . — Exemple tiré de la pneumonie lobaire. — Phénom
ique ; synonymie............................................... 353 Symptômes ........".........................................
articulaires, 188. Abcès de goutté : prodromes, 76; — douleurs 77;— symptômes généraux 77. — retour des —,80; — caractères des
s la goutte aiguë, 203 ; rémittente dans le rhumatisme noueux, 246; — symptômes de la —, 308 ; — cause des dangers de la —, 308;
aiguë, 76, 203 ; — prodro-mes, 76 ; — accès, 77 ; douleur, 77, 500 ; symptômes généraux, 77 ; — œdème, 78 ; — desquamation consé
rdre d'envahissement successif des jointures, 376 : — progression des symptômes , 378, 397 ; — ob-servation de marche rapide, 379,
Rhumatisme d'Heberden, 242, 232. Rhumatisme noueux, 166, 232, 551 ; symptômes , 199; — douleur, cra-quements, déformations, 232,
forme atrophique, 240: — lésions arti-culaires, 241; — marche, 244; — symptômes généraux, 244, 244; — évolution rapide, 244 ; — é
21 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
bsinthe. Deux de nos malades ont fini à la longue par présenter des symptômes physiques et psychiques d'alcoo- lisme et cepen
it eux-mêmes, d'une façon très exacte et vraiment vécue, les divers symptômes qu'ils éprouvaient. La première de ces observat
digestions sont restées plus ou moins laborieuses; b) les premiers symptômes de la gravelle urique : démangeaisons dans le can
de gravité des formes morbides comme dans l'ordre de succession des symptômes , la rougeur à la base, et l'idée fixe au sommet
iples, perte de la mémoire, obnubilations et délire incohérent. Les symptômes de névrite périphérique furent très nets, et l'ét
périphérique furent très nets, et l'état parétique très marqué. Les symptômes physiques cédèrent avant les troubles mentaux p
cation par le kiff est assez fréquente et se manifeste par quelques symptômes carac- téristiques, parmi lesquels l'éréthisme
aucun médica- 48 ' REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ment lorsque les symptômes visibles ont disparu ? (Tite alienist and neuro
ue depuis. Disparition des phénomènes papillaires. Discus- sion des symptômes : gomme du lobe temporal. P. 1\ÉIIA YAL. VIII.
ers les yeux et en même temps un sentiment de malaise général, tous symptômes qui ne disparaissent qu'avec la cessation de l'
stic : pachyméningite cervicale. En 1894, exagéra- tion de tous les symptômes , impotence complète, paralysie atro- phique des
tions opératoires. F. BOlssnOE. XXIX. UN cas de tumeur cérébrale; symptômes initiaux surtout SEN- SITIFS dans LE bras ET la
te ou à gauche, surtout à droite. Origine peut-être counue des deux symptômes (clonus céphalique et nystagmus) sans qu'on pui
Deux mois auparavant, le jeune homme avait eu un chancre induré. 2° Symptômes témoignant d'un trouble mécanique de l'irrigati
DU cubital (Bic1'naC/¡i) ET DE CELUI DU PÉRONIER, CONSIDÉRÉES COMME SYMPTÔMES DE TABES; par A. S.aRt3U (Ncurolog. Cenlralbl,
douleur pour qu'on puisse l'essayer même passivement, c'est donc un symptôme pathognomonique du tabès dorsal. Il est constan
apparente contradiction indique que l'ataxie manifeste est, non un symptôme , mais un complexus symptomatique composé d'élém
e complication de la paralysie générale, mais qu'il en constitue un symptôme propre, essentiel, et qu'il en est la terminais
raux et leur séjour forcé au lit seraient dus principalement il des symptômes spasmodiques, pouvant aller jusqu'à la contract
ysie générale. Les malades qui meurent debout ne présentent pas ces symptômes . Quand ils apparaissent, pendant la période d'é
reux, mais rapidement mortels. L'autre variété serait compliquée de symptômes spasmodiques. Les ictus y seraient généralement
s de nos malades des asiles : le crime est chez lui un accident, un symptôme . - Que le malade guérisse, et le crime n'a plus
ertaine mais ne l'a pas guérie puisqu'il ne l'a débarrassée que des symptômes les plus menaçants. Le succès eût été beaucoup
) · 150 REVUE DES THÈSES DE BORDEAUX plus ou moins d'intensité de symptômes communs aux affections à distinguer, paraissent
par Michel L : 1PONTAINE. La chute spontanée des dents peut être un symptôme du tabès. Elle se produirait dans 8 à 10 p. 100
ns hémorrhagie, mais leur chute est précédée d'un certain nombre de symptômes subjectifs dans la sphère du tri- jumeau. Celle
individu entre parfaitement dans les caractères correspondant à ce symptôme lorsqu'elle fait partie du cadre d'un délire al
s exceptions à la règle et se comportent comme les autres quant aux symptômes qui nous occupent, lesquels Les autres observat
a été publiée en entier par un de nous A. Marie (Elude sur quelques symptômes des délires systématisés et sur leur valeur, 18
ésions, sur lesquelles nous reviendrons tout à l'heure, ont eu pour symptôme capital les convulsions qui se sont pré- sentée
la folie et de l'in- somnie, fournisse une explication correcte des symptômes . Les vaisseaux sont les serviteurs, et non les
manie, comme dans la mélancolie ou la démence avec excitation, les symptômes se rattachaient à la continuité de cette hypéré
aits les plus remarquables du succès de cette méthode. Bien que les symptômes mentaux bénéficient lar- gement du repos, ce n'
- nienne ; mais elle peut quelquefois être utile en atténuant les symptômes de compression lorsqu'une hypertrophie osseuse d'
n bromurée même employée à hautes doses et longtemps continuée. Les symptômes de bro- misme n'ont été contatés que très rarem
riasis, nymphomanie, spermatorrlaée, masturbation) ainsi que les symptômes qui les accompagnent ou qui en découlent, sont ém
degrés variables, à de la paralysie, à de l'idiotie, ou à d'autres symptômes cérébraux, avec atrophie cérébrale, sclérose ou
ait-il d'avis d'étendre le nom de paralysie .générale au groupe des symptômes les plus communs qui corres- pondent avec une a
vec une affection corticale générale progressive. Quelques- uns des symptômes classiques pourraient suivant les cas être absent
pourraient suivant les cas être absents pour être remplacés par des symptômes d'autres types comme la démence sénile ou la dé
rédominant de la paralysie géné- rale. Beaucoup des variétés et des symptômes ne seraient dus qu'à la distance qui sépare la
L'augmentation du volume de la tête est ordinairement le pre- mier symptôme qui attire l'attention ; l'auteur décrit avec soi
ntion ; l'auteur décrit avec soin la forme de la tête et les autres symptômes principaux [de l'hydrocé. phalie primitive : il
agie de la surface du cerveau : c'est un des cas assez rares où les symptômes sont surtout unilatéraux. Le diagnostic tou- te
son est assez suprenant. Les deux derniers cas sont des exemples de symptômes mentaux et nerveux déterminés par des lésions t
cas la fracture avec dépression ayant été traitée avec succès, les symptômes des lésions en foyer font défaut, et il ne sub-
est surtout intéressant à rapprocher du premier : il présente les symptômes bien nets d'une lésion en foyer, avec confusion d
de ce genre se rencontrent généralement dans les folies aiguës avec symptômes à développement rapide. 4° Les hallucinations e
a pu rassembler sont au nombre de 17 : dans douze d'entre eux, les symptômes de folie, au moment où l'existence du sucre a é
des cas de démence secondaire : dans deux une légère rémission des symptômes mentaux fut observée lors de l'apparition du di
u diabète ; dans un autre, le sucre disparut lors- que parurent les symptômes de manie. Mais en somme ces cas ne démontrent p
ne démontrent pas grand'chose au point de vue de l'alternance des symptômes de glycosurie et des symptômes de folie. On obser
au point de vue de l'alternance des symptômes de glycosurie et des symptômes de folie. On observerait plutôt le contraire, c
lutôt le contraire, c'est-à-dire le parallélisme des deux ordres de symptômes . Sans préciser pour chaque cas la forme de folie,
forme de folie, on peut remarquer que dans les douze cas aigus, le symptôme prédomi- nant était la mélancolie, en même temp
en dehors de ces poussées. ' R. DE Musgrave-Clay. XXXIX. SUR LES symptômes mentaux QUI PEUVENT SURVENIR dans LES maladies
lle maladie somatique, en sorte qu'il est impossible de déduire des symptômes mentaux la nature de la maladie soma- tique pri
(intoxications, fièvres, tranmatismes accidentels, opérations) les symptômes mentaux dis- paraissent dans la grande majorité
lusieurs memhres d'une même famille. On peut ajouter que, parmi les symptômes observés dans quel- ques-uns des cas, mais non
dien, suivi d'un plein succès; modifica- tion favorable de tous les symptômes ; par erreur, une trop forte dose d'extrait thyr
on constata une élévation de température, de la prostration et des symptômes nerveux durant une semaine environ, au bout de
s doses faibles ne sont plus suffisantes pour faire disparaître les symptômes pénibles de l'état de besoin. Les descendants d
(sutures coronale, sagit- tale, lambdoïde). L'interprétation des symptômes présentés par le malade est aisée. La diminutio
avant son dernier ictus aphasique, est étonné de l'aggravation des symptômes . Le sujet avait alors une conscience parfaite d
aniens. Au point de vue clinique on avait voté une marche lente des symptômes dont les derniers observés étaient dus à la com
ra par le fait écartée. Fréquence. La fréquence et l'importance des symptômes tabétiques du goût et de l'odorat semblent jusq
au Congrès d'Alger, on trouve aussi deux observations où les mêmes symptômes existaient. Dans le premier des cas de MM. Joff
de l'odorat. Les précédentes seront suffisantes à mon- trer que ces symptômes sont moins rares qu'on ne le pense généralement
ous en avons vu plusieurs exemples des mieux caractérisés. Ici le symptôme a une importance réelle; il prend une part inco
, qu'il s'agit lit de symp- lûmes souvent rencontrés en clinique. Symptômes . Pour plus de clarté et pour abréger la des- cr
abréger la des- cription nous résumons tout d'abord l'ensemble des symptômes dans les deux tableaux suivants : TABLEAU DES
e des tableaux précédents on se. rend compte de la multiplicité des symptômes que présente le tabes dans ses manifestations o
la part exacte de ce qui revient au triju- meau dans l'ensemble des symptômes observés du côté du goût et de l'odorat. Pour l
s de la sensibilité générale de la bouche et du nez. L'ensemble des symptômes se divise tout naturellement en phénomène d'ane
substances amères ou douces, il est facile de mesurer le degré des symptômes en question en suivant la technique employée ch
u trijumeau s'est montrée à notre observation au cours d'un tabès à symptômes évidents, chez un homme âgé de quarante-deux an
risée par un accès d'éternuement avec paresthésie nasale précédé de symptômes subjectifs dans la sphère du trijumeau, au nive
portent des conséquences d'un autre ordre et on voit apparaître des symptômes psy- chiques. La plupart des malades, très luci
e l'ont fort bien indiqué le professeur Pierret' et ses élèves, les symptômes sen- soriels du tabes peuvent entrainer des con
t se défend. Et ainsi apparaissent chez le tabétique les principaux symptômes du délire de persécutions et cela à l'occasion
que le délire qui en est la conséquence, se développe et devient symptôme prédominant. Ce délire d'origine tabétique ne sau
n des réflexes, les troubles de la sensibilité, les dou- leurs, les symptômes visuels qui appartiennent à l'une et non à l'au
e négligés dans une description complète de cette maladie. Autres symptômes accompagnant les troubles du goût et de l'odora
t-à-dire que leur lésion s'accompagne spécialement d'un ensemble de symptômes évoluant parallè- lement avec eux. Ces symptôme
t d'un ensemble de symptômes évoluant parallè- lement avec eux. Ces symptômes attestent la participation du bulbe au processu
T ET DE L'ODORAT DANS LE TABES. 271 avait chez nos malades d'autres symptômes bulbaires. Nous n'avons jamais vu, en d'autres
manentes des muscles moteurs des paupières. Ces quatre groupes de symptômes relevaient tous de la lésion d'autres nerfs crâ
s malades qui avait perdu l'odorat et conservé le goût, avait comme symptôme bulbaire une tachycardie s'élevant habituelleme
ertions du goût et de l'odorat. 272 CLINIQUE NERVEUSE. Marche des symptômes . Les troubles du goût et de l'odo- rat peuvent
u médecin soit appelée de ce côté et qu'il soit bien établi que les symptômes en ques- tion se lient souvent au tabes. En tou
récoces et dont la valeur doit être la même. Dans d'autres cas le symptôme a moins d'importance parce qu'il apparaît beauc
optique ou le nerf auditif. Envisagés dans leur évolution ces mêmes symptômes peuvent apparaître assez brusquement et s'accom
, etc. Il est d'une très grande importance d'envisager les autres symptômes qui accompagnent ces crises, car seuls ils peuven
a déjà été fait mention plus haut. Rappelons-les brièvement. Ces symptômes sont de deux ordres : En premier lieu ceux qu
nt sans faut, mais quelques-uns d'entre eux. D'ailleurs ces mêmes symptômes , nous les avons vus le plus souvent dans les pa
goût. Au point de vue.de leur marche et quels qu'ils soient, les symptômes olfactifs et gustatifs présentent donc, soit le
en général. Anatomie pathologique. Les lésions qui commandent les symptômes précédents sont encore très obscures. Il semble
dorat. 11 s'agissait d'une perversion de ces sens, accompagnés de symptômes bulbaires et de salivation abondante. Notons d'
e le bulbe est atteint d'une manière générale chez les tabétiques à symptômes olfactifs et gustatifs. L'examen des circonvolu
I 1 ec z 278 CLINIQUE NERVEUSE. peuvent-elles expliquer les symptômes de perversion et ne les retrouverait-on pas, av
u goût chez les tabétiques ? Quelle est la lésion qui préside à ces symptômes ? Est-ce la seule altération des nerfs de l'odo
hes du trijumeau, peuvent-elles à elles seules déterminer les mêmes symptômes , ainsi que nous l'avons plusieurs fois laissé e
spéciale en laissant de côté le trijumeau. 2° Dans d'autres cas les symptômes relèvent des nerfs de la sensibilité générale d
faradique, et atrophie. Pendant les deux premiers mois il avait des symptômes pupillaires, du strabisme, des vomissements rép
n marquée de lasensibilité cutanée au niveau de la région affectée, symptôme qui est tout à fait exceptionnel dans l'atrophie
ultats presque insignifiants. L'auteur reconnaît que beaucoup des symptômes généraux du myxoedème faisaient défaut ; aussi
art celles de l'ouïe. Le vertige, à son degré le plus élevé, est un symptôme commun, et l'auteur ne peut guère s'empêcher de
ôté opposé. La perte du sens musculaire est le plus incertain des symptômes de la paralysie de Brown-Sequard. L'auteur examin
choréiformes. Le frère du malade, âgé de dix-sept ans, présente des symptômes analogues ; le visage participe à l'atrophie, d
aient aucun rôle dans la pathogénie de cette complication. Tous les symptômes de lamaladiede Basedow résulteraient de l'augme
nine et que telle proportion de plomb absorbée n'occasionnera aucun symptôme morbide sur tel individu, alors qu'une dose bea
des maladies du système nerveux de la Salpêtrière présentant les symptômes classiques de la paralysie saturnine (accompagnée
assiques de la paralysie saturnine (accompagnée d'ailleurs d'autres symptômes de l'intoxication par le plomb) d'une telle net
typiques sont très rares, tandis que celles qui présentent d'autres symptômes sont fréquentes, on ne s'étonnera certainement
la dénomination de para- lysie générale appliquée à l'ensemble des symptômes que nous entendons communément par ce mot : il
de dégénérescence héréditaire mal défini, ayant donné lieu à des symptômes appartenant à divers groupes morbides, et rentran
veloppement intellectuel avant l'apparition de la maladie; premiers symptômes ; marche de la maladie; troubles somatiques préd
ure de ces troubles moteurs et leur pré- dominance au détriment des symptômes psychiques (contracture du côté gauche, puis du
ie générale au début. Cette dernière affection a en géné- ral, pour symptômes prodromiques, des troubles neurasthéniques : à
nature de l'affectioh n'est plus douteuse lorsqu'il se produit des symptômes de paralysie motrice ou des signes évi- dents d
possible de faire le diagnostic différentiel d'après l'ensemble des symptômes psychiques. Les mo- difications du caractère fo
comme la cause de la neurasthénie, alors qu'ils sont en réalité les symptômes du début de la paralysie générale (spéculations i
895 ; il entre alors à l'asile pour la seconde fois, avec les mêmes symptômes psychiques, mais il pré- sente du myosis, de l'
ler un diagnostic exact. Il est donc nécessaire de rechercher des symptômes qui, à eux seuls, ou réunis à d'autres, aient une
nt une signi- fication spéciale au point de vue clinique. Parmi les symptômes qui ont été le plus étudiés, ou cours de ces de
allucinations comme carac- térisant la paranoïa, et il ajoute à ces symptômes un troisième, la dissociation. L'auleur s'est d
a lumière. Nous voyons donc que les conceptions délirantes sont des symptômes qui peuvent se rencontrer dans toute une série
e de début, le développe- ment, l'évolution d'une psychose sont des symptômes qui ont une mportauce au moins égale, sinon plu
. Existe-t-il des psychoses épileptiques transitoires sans autres symptômes épileptiques ? L'auteur rapporte un cas qui le dé
tique se traduit, quand elle se développe chez les adulles, par des symptômes d'affaiblissement intellectuel, elle se révèle, c
puisse, dans ce sens, accorder la même signification qu'aux autres symptômes à ces modifications de l'hu- meur dont parle Ir
, au point de vue légal, que lorsqu'elles sont associées à d'autres symptômes épi- leptiques. M. SCHULE. Les illusions fant
attaques analogues avec grande fréquence, physionomie variable des symptômes , tendance à l'état de mal, inefficacité du brom
tique à celle décrite plus haut. Il faut signaler, parmi les autres symptômes sociétés savantes. ;39cl hystériques, l'anore
es en rémission purent reprendre leurs occupa- tions, mais certains symptômes persistèrent : catalepsie, rêves non motivés, e
cial. Il y a cependant toute une catégorie de cas dans lesquels les symptômes psychiques sont au premier plan : les troubles mo
aines manifestations habi- tuelles aux hystériques (exagération des symptômes , etc.). Il s'agit là d'une particularité qui mé
ais jusqu'à une démence accentuée, les troubles de la parole et les symptômes physiques. L'auteur se croit autorisé à admettr
aliénés non paralytiques, montre que l'analgésie du cubital est un symptôme important de la para- lysie générale, surtout d
e. J.-B. Charcot. VII. Morphinomanie et Morphinisme ; 7 ? zoeti2-s, symptômes , traitement médecine légale ; par \l. le D'' Pa
e des épilepsies ditesjusqu'ici idiopathiques, présentent les mêmes symptômes et les mêmes caractères que ces dernières et en
Louvain (Belgique). B) Psychiatrie : I. La valeur diagnostique des symptômes prodromaux qui précèdent de longtemps les manif
n que tous ces malades longtemps affaiblis, présentaient certains symptômes particuliers. Même dans cette dernière catégori
ins longue d'impo- tence motrice, les malades ont présenté quelques symptômes particuliers. Je veux parler de phénomènes spas
ouvements passifs, même de contractures plus ou moins étendues. Ces symptômes sont bien connus dans la para- lysie générale,
us épileptiforme emportait rapidement le malade. Chez les malades à symptômes spasmodiques, les ictus sont plus nombreux et p
révoir la terminaison future, d'après l'absence ou l'apparition des symptômes spasmodi- ques. S'il est vrai que ces symptômes
ou l'apparition des symptômes spasmodi- ques. S'il est vrai que ces symptômes dépendent de lésions médullaires ', on pourrait
d'absolu et qu'ils s'appliquent uniquement à des prédomi- nances de symptômes . Toute interprétation laissée de côté, il reste
iode finale : ' Voir à ce sujet, l'intéressante thèse de M. Trénel. Symptômes spasmodiques dans la paralysie générale. Paris,
tractures plus ou moins durables, tandis que, chez les seconds, ces symptômes manquent ou n'existent qu'à un très faible degr
pétèrent pendant une durée d'une heure, mais depuis cette époque ce symptôme ne s'est jamais reproduit. Il n'a jamais marc
tie clinique du cas primitivement publié par Landry et présente des symptômes qui sont considérés par les auteurs postérieurs
avec le cas de Landry et avec quelques cas ultérieurs en ce que les symptômes cliniques sont imputables à des lésions très éten
ctus sensoriaux et des racines nerveuses concorde avec l'absence de symptômes du côté de la sensibilité. Dans la seconde pa
ardente. Elle commença simultanément à tousser et à maigrir. Ces symptômes ayant persisté pendant quelques semaines, des dou
tir des douleurs vagues aux muscles du tronc et des extrémités. Ces symptômes s'aggravant, il est forcé d'entrer à l'hôpital,
reich). LXIV. DE la FRÉQUENCE DE la neurasthénie EN FINLANDE, SES symptômes ET SES causes ' ; par le professeur H. HOLSTI.
lle apparaît le plus souvent entre' les deux âges. En parlant des symptômes de la maladie, l'auteur s'arrête le plus aux sy
parlant des symptômes de la maladie, l'auteur s'arrête le plus aux symptômes dyspeptiques, s'étant trouvés dans 05 p. 100, de
s patients ont déjà été chétifs et maladifs étant enfants, avec des symptômes d'une irritabilité anormale du système nerveux.
la digestion ; et il est peut-être en partie la cause de ce que les symptômes dyspeptiques dominent si souvent chez nous dans
eur a observé huit 'malades chez lesquels se rencontraient les deux symptômes communs suivants : 1 quoique parlant avec volub
, à des degrés divers, de com- prendre ce qui leur était dit. Ces symptômes sont souvent associés avec la lésion de la premiè
96.) Pour apprécier et comprendre la signification des principaux symptômes fournis par les maladies de la moelle, il faut co
EVUE DE pathologie NERVEUSE. L'auteur passe en revue ces principaux symptômes indiquant les particularités qu'ils présentent
s médullaires. L'auteur résume ensuite dans un tableau succinct les symptômes des principales -affections : polyomyélite, myé
maine de la moelle lombaire. Pendant un temps très court quel- ques symptômes d'une lésion unilatérale. Paralysie totale de la
nt souffre le malade en ques- tion, doit être regardée comme un des symptômes de dégénéres- cence, ainsi que d'autres anomali
re les symp- tômes de cette affection et ceux de la fatigue : « les symptômes de la neurasthénie, a-t-on dit, sont ceux de la
es auteurs, il y aurait lieu, pour être plus exact, de dire : « le, symptômes de la neuras- thénie sont ceux de l'anxiété, de
i accompagnent l'état d'anxiété sont absolument identiques avec les symptômes de la neurasthénie; on ne peut pas en dire auta
les symptômes de la neurasthénie; on ne peut pas en dire autant des symptômes de la fatigue. Seule la rachialgie des neurasth
t l'hystérie ont, comme la terreur et l'anxiété. toute une série de symptômes communs. Il n'y a que quatre symptômes qui appa
'anxiété. toute une série de symptômes communs. Il n'y a que quatre symptômes qui appartiennent en propre à la terreur et aus
é. Il ne resterait alors comme représentant la neurasthénie que les symptômes d'irritation spinale, puisque tous les autres s
e que les symptômes d'irritation spinale, puisque tous les autres symptômes , comme il a été dit plus haut, se superposent aux
éclatent des délires étrangers liés à la dégénérescence mentale ou symptômes d'une autre psychose. Les délires systématisé
Élément nerveux et dans : les maladies, par Clouston, 373. Mentaux. Symptômes pouvant survenir dans les maladies soma- tiqu
22 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
opter 3 a vu la disparition soudaine des oreillons être suivie de symptômes de compression cérébrale et de délire chez un e
ent allonger encore, que la maladie ourlienne peut s'accompagner de symptômes méningitiques , que ceux-ci se présentent habit
les accidents s'amendèrent rapidement et au bout de cinq jours, les symptômes graves avaient disparu. Le malade guérit rapide
x même qui sont donnés offrent peu de précision, ! L'aphasie est le symptôme le plus frappant dans une observation rapportée
lades), il est admis à l'infirmerie pour des oreillons doubles sans symptômes inquié- tants et sans gonflement excessif des r
quantité de liquide limpide et fortement coloré. Le 1" avril, les symptômes continuent à s'améliorer; la raideur musculaire
de les expliquer tous par une lésion de la protubérance. Tous ces symptômes , fièvre, vomissements, consti- pation, ralentis
perficielle qui disparaît rapide- ment après avoir donné lieu à des symptômes plus redoutables en apparence qu'en réalité. Au
des ourliens présen- NEVRALGIE ET PARALYSIE OCULAIRE. 15 tant des symptômes cérébraux qui peuvent tout à coup prendre des a
va beaucoup mieux. Depuis deux jours, elle n'a pas eu d'accès. Les symptômes oculaires persistent à l'exception de la paraly
périodicité spéciale, en second lieu par l'asso- ! ciation de deux symptômes , la névralgie et la paralysie AIHI3,.t, XI. 2
oeil ; ou verra que, dans les observa- tions qui suivent, les mêmes symptômes ont été cons- tatés et que l'affection s'est da
alysie de l'oculo-moteur est, lorsqu'elle s'établit, accompagnée de symptômes psychico-ner- veux ; 2° qu'un accès incomplet f
e, on le voit dans toutes ces observations 1, on retrouve les mêmes symptômes se montrant dans le même ordre, tout d'abord ma
iblie il est vrai, plusieurs mois après la disparition des premiers symptômes . Un autre caractère des plus singuliers, celui
e la céphalée 28 CLINIQUE NERVEUSE. avec vomissements et d'autres symptômes bien marqués ne laissent aucun doute sur l'exis
er définitivement. Il ne faut pas s'attendre à trouver toujours des symptômes tabétiques évidents, lorsque ces paralysies écl
grande importance. On ne constatait chez lui à ce mo- ment, comme symptômes tabétiques, que le signe d'Ar- gyll Robertson e
ES CÉRÉBRALES MOTRICES. ' 29 lement avec une aggravation des autres symptômes . Il en est quelquefois ainsi dans la paralysie
st un peu plus accusé à droite qu'à gauche, où il est normal. Les symptômes s'accentuent de plus en plus vers le ler février
c conservation des mouvements de la langue); nous avons vu dans ces symptômes la traduction de désordres corticaux, autrement
Charcot, qu'il n'y a pas de corrélation néces- saire entre ces deux symptômes . G. Ballet la résume ainsi : «Toute lésion perm
de la nuit, l'infirmier de garde n'a eu con- naissance de rien. Les symptômes 'constatés ce matin suffisent au diagnostic d'u
s artères déformées et athéro- mateuses, et, par la persistance des symptômes , indique que la thrombose n'a pas étésusceptibl
blanche sub-jacente aux centres corticaux, donnent lieu aux mêmes symptômes localisés que les lésions de ces centres eux- m
ine du n. pathétique. Enfin il n'y a jamais eu d'amblyopie croisée, symptôme qu'on sait d'ailleurs accom- pagner d'ordinaire
rd, elle se développerait dès le sixième jour après l'attaque : les symptômes n'apparaissent jamais à cette époque ; pourtant
structive très étendue du corps calleux ne s'est traduite par aucun symptôme particulier, autre que la paralysie motrice, du
s mono- manies, en un mot, n'a plus maintenant que la valeur d'un symptôme . . En dehors de ces symptômes purement psychiqu
a plus maintenant que la valeur d'un symptôme. . En dehors de ces symptômes purement psychiques de la maladie, il est souve
résentant comme toute autre affection somatique soii étiologie, ses symptômes , sa marche, son diagnostic et son pronostic.
ombreuses théories, proposées pour expliquer le dé- veloppement des symptômes graves qui terminent souvent l'évolution du dia
ngt-cinq diabétiques de'Diekinson.' ne sont pas tous morts avec les symptômes du coma dit. diabétique. Sans doute il est poss
des animaux de 8 à 10 grammes d'acétone, il provoqua chez eux des symptômes d'ivresse et d'assoupissement analogues à ceux
Expérimentalement, on produit avec l'acétone, chez les animaux, des symptômes qui ne diffèrent pas plus de ceux du coma diabé
vé un dont les effets pathologiques se rapprochent au plus près des symptômes constatés dans le coma par intoxication des dia
ées, et 20 grammes en inhalations pour amener non la mort, mais des symptômes d'ivresse et d'assoupissement chez de jeunes ch
ais ils en dif- fèrent par trois points principaux : Le défaut de symptômes d'excitation au début; L'absence de l'odeur chl
ante-huit heures le malade succombe, sans avoir présenté d'autres symptômes que cet aspect d'épuisement, de torpeur générale,
il importe de pénétrer dans l'analyse et dans le détail des divers symptômes qui précèdent ou accompagnent ces accidents. Or
ée. Frerichs a noté que, chez un de ses diabétiques mort avec les symptômes que nous venons de décrire, la vessie était rempl
troubles respiratoires ; t° Des troubles nerveux. Ces différents symptômes se rencontrent réunis dans les cas typiques ; i
douleur thoracique et la dyspnée. Sans doute la dyspnée est un des symptômes les plus caractéristiques de l'intoxication. Ma
des symptômes les plus caractéristiques de l'intoxication. Mais ce symptôme peut manquer ou s'atténuer devant les phénomène
catarrhale nécessaire à la production de l'acétone. Pour nous, ces symptômes d'irritation gastro-intes- tinale sont le fait
est un fait excep- tionnel ; tout se borne, d'ordinaire, à quelques symptômes d'embarras gastrique; la langue est blanche, ch
nes initiaux qui marquent le début de l'empoisonnement; ce sont des symptômes d'excitation qui résultent du premier contact d
rofondes inspirations. Variétés et marche. Tels sont les différents symptômes qui traduisent l'action de l'acétone sur l'orga
d'être si nette que pour l'urémie. En réalité, les trois ordres de symptômes coexistent presque toujours, à des degrés diver
la mort en trente-six ou quarante-huit heures à dater du début des symptômes d'intoxication. Cette forme est le type de l'acé-
coma, au-dessous de 36°. Outre cette légère réaction fébrile, les symptômes de la première période sont de la céphalalgie,
l'intoxication et ce que nous appelons l'acétonémie chronique. Les symptômes accusés par le malade sont les mêmes que dans l
temps que se mani- festent sous une forme atténuée quelques-uns des symptômes fonctionnels décrits plus haut; tantôt, et le p
tion d'affaissement extrême. . Puis, au bout de quelques jours, ces symptômes se dissipent, TROUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈTE
yperesthésie, mais pas de paralysie. Au bout de quelques jours, ces symptômes cédèrent au traitement alcalin. S'agis- sait-il
rapide et trop marquée de la glycosurie. Causes occasionnelles. Les symptômes que nous venons de décrire s'observent aussi bi
ntôt suivi de coma, et succomba en trente- six heures avec tous les symptômes d'une acétonémie suraiguë. 1 Voir Bourneville e
vue anatomique qu'au point de vue clinique dans son étiologie, ses symptômes , son évolution. J. SÉGLAS. V. Deux cas DE la
central ; elle n'a, d'après nos observations, pas l'importance d'un symptôme de lésion en foyer ; c'est une manifestation cé
nnée, à la suite d'un érysipèle, présenta presque simultanément des symptômes de goitre exopthalmique qui disparurent rapide-
très prononcée, état habituel de somnolence : tels sont les autres symptômes principaux qui ont été notés chez cette malade.
érieurs, et en particulier des zones radiculaires postérieures, les symptômes spas- modiques ne se peuvent développer dans le
à la région spinale ullectée; 4o 11 faut probablement rapporter les symptômes spasmodiques à cer- tains processus réllexes qu
vec hémiplégie; le quatrième a trait à un malade qui présentait les symptômes de la paralysie générale des aliénés; dans le c
grandeur, ni même de période quelconque d'excitation, mais que les symptômes mentaux étaient plutôt ceux d'une démence lente
aient plutôt ceux d'une démence lentement 'progressive : 2° que les symptômes moteurs qui sont si nettement caracté- ristique
longueur exceptionnelle. R. M. C. X. Deux cas de mort rapide, AVEC symptômes manuques ; par G. SAVAGE. (Journal of. Mental S
que le tabes concor- dant avec la syphilis se traduise par d'autres symptômes que le tabes ayant toute autre cause, car le su
aient chargés de la dégustation de vin rouge, cognac, liqueurs; les symptômes consistent en ? violentes douleurs erratiques d
tteintes de paralysie générale, l'orateur aurait noté sept fois les symptômes évidents d'hystérie. La coïncidence de ces deux
sont intacts et même bien plus éveillés qu'en condition normale. Un symptôme caractéris- tique de cet état, c'est qu'elle ne
ana- tomie et physiologie). Les questions orales ont été : Il des symptômes et complications de la fièvre scarlatine; 2° de
s dans l'urne étaient les suivantes : hémoptysie; du mal de Pott et symptômes ; diagnostic de l'occlusion intestinale; fractures
d, une pesanteur de tête, la perte de l'appétit, bref, par tous les symptômes ordinaires delà fièvre catarrhale, si fréquente
lente alternant avec des périodes de torpeur, et par un ensemble de symptômes psychiques et somatiques qui rappellent ceux qu
ppellent ceux qu'on rencontre dans la paralysie générale. Puis, les symptômes somatiques disparaissent et, àpart un état d'ob
ence dès les premiers moments de cette dernière, par deux ordres de symptômes subjectifs bien connus pour être en rapport ave
n signe fébrile; mais quelquefois son inva sion est marquée par les symptômes les plus alarmants Tantôt c'est une congestion
res donnent lieu d'abord à un délire aigu, à la phrénésie; puis les symptômes aigus disparaissent, le délire continue et on s
s du tabes dorsal spasmodique, il dit' quant aux cas compliqués des symptômes de sclérose postérieure, sur lesquels Berger vi
c celle d'une sclérose des faisceaux postérieurs; mais les autres symptômes et la marche de l'affection ramenaient presque
très nets. Mais à côté de cela on découvre facilement chez lui, des symptômes qui ne 17 le PATHOLOGIE NERVEUSE. sont plus a
membres inférieurs présentent su- perposés (au moins en partie) les symptômes de la lésion postérieure et les symptômes de la
(au moins en partie) les symptômes de la lésion postérieure et les symptômes de la lésion laté- rale. La lésion postérieur
Voilà, ce me semble, le tades combiné constitué par une réunion de symptômes qui le différencient à la fois du tabès ataxiqu
sujet et je limiterai mes remarques au rapport qui existe entre le symptôme hémianopsie et certaines lésions centrales ou c
plusieurs mois plus tard, et ne s'accompagna de presque aucun autre symptôme cérébral. Le diagnostic topographique de la lés
e et voici le résultat de mes recher- ches : Il ne présente aucun symptôme net de paralysie, d'anesthésie, ni d'aphasie. L
fortes convulsions revenant fréquemment et constituant le principal symptôme . Dé- mence croissante. Vue par Huguenin le 16 a
auche. Le 20, l'examen révéla une hémianopsie ho- monyme gauche. Ce symptôme élait le seul qui indiquât une Fig. 2. Face moy
uvai M. D... très ef- frayé, mais possédant toute sa raison et sans symptômes bien sé- rieux. Il se plaignait d'engourdisseme
un objet, était un peu obtuse. Il in- sistait beaucoup sur un autre symptôme qu'il qualifiait de « cécité de l'oeil gauche »
maladie de M. D... dura, avec des rémissions extraordinaires et des symptômes remarquables, jusqu'au 17 mai 1885, jour de sa
che sous-jacente peut causer l'hémianopsie, avec ou sans les autres symptômes (hémiplégie, perte du sens musculaire, surdité
tales, pouvons-nous maintenant attribuer une valeur diagnostique au symptôme hémianopsie ? Oui, je le crois ; et je poserai
, névrite ou atrophie du nerf optique, surtout s'il s'y joint des symptômes de lésion de la base, est due à l'altération d'un
e est une hystérique hypnotisable chez qui non seule- ment quelques symptômes hystériques, mais principalement les caractères
nts à envoyer leur fille à Bordeaux, où, après un court séjour, les symptômes s'amendent très notablement; ils réapparaissent
ns sont insigni- fiantes quand elles existent et où prédominent des symptômes autres que les convulsions. Nous nous rappelo
ésentant un petit mal n'a ja- mais présenté jusqu'à aujourd'hui les symptômes alarmants du grand mal épileptique ; enfin l'ex
aître ces signes-là; il y aurait alors une sorte d'épui- sement des symptômes , tandis qu'à l'état qu'on peut appeler normal,
s cas où les malades, peu ou point fébri- citants, présentaient des symptômes nerveux intenses : cépha- lalgie, parfois délir
a examiné les psychopathes les plus difléretits, il conclut que des symptômes nerveux intenses pro- duits par une perturbatio
ion viscérale sy- philitique ; il n'y avait eu pendant la vie aucun symptôme de psychose. M. 1,(i : iiR seizioi,. On est f
agnostic ne souffre aucun doute, quand la disparition graduelle des symptômes caractéristiques est certaine, quand il est indub
on est adéquate à la com- pressibilité de la masse nerveuse. Pas de symptômes . Au second degré, la compression dépassela facu
e la paralysie générale et, notam- ment, des cas dans lesquels, les symptômes cérébraux se précédaient ou suivaient des phéno
s, sont répandus sur toute l'écorce; on peut, malgré la netteté des symptômes cliniques, trouver des cellules nerveuses compl
llement des affections en foyer et des lésions vasculaires), car le symptôme fondamen- tal de la paralysie générale est la d
uand ces lésions ont pris une certaine exten- sion, se montrent des symptômes cérébraux plus vastes rappelant les perturbatio
ment trouvée, c'est l'hyperexcitabilité méca- nique des muscles. Ce symptôme renforce l'analogie du sopor avec l'hypnotisme.
des buveurs. Tous deux sont des processus autonomes qui ne sont les symptômes d'aucune maladie. tFo'mf ? J)e<.<fpo<t
ussi de séparer des phénomènes dûs à l'intoxication alcoolique, les symptômes psychiques semblables, sous maints rapports, à
s multiples . Tremblement, fai- blesse, hébétude, insomnie sont les symptômes les moins marqués les hallucinations de l'ouïe
ions. Absence complète de réflexes patellaires. En dernier lieu les symptômes spinaux en question se compliquent de phénomène
, mais répétées. Un traitement de courte durée suffit à amender les symptômes pulmonaires et le malade, à peu près rétabli, q
normale dans ses diffé- rents modes. Les jours suivants ces mêmes symptômes persistent sans modification; la plaie du vésic
dépriment pour se soulever en- suite pendant l'expiration. A ces symptômes s'ajoutent le 2t septembre des troubles cardiaq
altérations significatives auxquelles il convient de rattacher les symptômes observés durant la vie. Mais ces névrites dép
ur- prenants de la' suggestion, et quand enfin M. Hôgyes a vu des symptômes semblables aux mouvements asso- ciés ; ce serai
ve- ments associés des yeux. Chacun, comme on le voit, trouve des symptômes qui conviennent le mieux à ses études spéciales
tion, mais, avant de le faire, je dois m'occuper de la nature des symptômes de l'hypnotisme pour pouvoir ensuite mieux péné
es des réflexes tendineux. Même dans les cas où l'exagération de ce symptôme est très pro- .' Charcot et Richer. Contributio
A.BLEA.UX. z 392 PATHOLOGIE NERVEUSE. Pour relever et étudier les symptômes notés dans ces observations de nos tableaux, no
nos tableaux, nous les grouperons en deux catégories : d'abord, les symptômes dé sclérose postérieure (tabes ataxique ordinai
rtance toute spéciale dans une question de cet ordre. I. Dans les symptômes du tabes postérieur, nous envisagerons successi
ons que chez la plupart de ces derniers malades il y avait d'autres symptômes tàbé- tiques. DU TABES COMBINÉ. 393 2. a. L
'autres symptômes tàbé- tiques. DU TABES COMBINÉ. 393 2. a. Les symptômes douloureux sont notés sous des formes diverses,
roupe, nous plaçons tous 3 ! H le PATHOLOGIE NERVEUSE. les autres symptômes du tabes (céphaliques, mésocé- phaliques, des s
nfin seulement dans 3 cas (11" 6, 8 et 20) on n'a signalé aucun des symptômes de cette catégorie. Si, continuant notre méthod
ous ne trouvons plus qu'une seule observation qui ne présente aucun symptôme de tabes postérieur, c'est le n° 20. Or, sous c
e bien constaté et spé- cialement noté dans l'observation. 2. Les symptômes d'excitation- motrice sont plus importants enco
a été observé trop tard, 4 autres (u°' 10, 11, 12 et 13) ont eu des symptômes d'affai- blissemënt moteur. Seul, le malade du
ire. Dans tous les cas relatés sur nos tableaux on a noté quelque symptôme du tabes ataxique ; dans tous les cas, sauf un,
e du tabes ataxique ; dans tous les cas, sauf un, on a noté quelque symptôme du tabes spasmo- dique. On peut donc dire, déjà
C'est pour cela que, dans nos tableaux, nous avons consacré à ce symptôme une colonne spéciale, dont nous allons relever
ien supporté par la malade. Nausées et vomissements. L'ensemble des symptômes présenté par la malade fait croire à une maladi
ette observation, et qui a succombé à l'âge de trente-cinq ans, les symptômes observés étaient mani- 422 REVUE de pathologie
res, et absence de liquide sous-arachnoidien) concordaient avec les symptômes cliniques, et pourraient être considérés comme
le modifier en présence d'un diagnostic précis; mais l'analogie des symptômes avec ceux de l'hémorrhagie cérébrale rend cette
ccompagneraient de faiblesse dans les membres du même côté. , Les symptômes moteurs et sensoriels étaient beaucoup plus mar
au. C'est pourquoi la lésion siégeant à gauche ne détermina pas des symptômes ; elle en eût provoqué, si elle eût siégé à droi
ins longue. Le danger consiste alors à méconnaître la nature de ces symptômes et à laisser l'excitation épuiser le malade, et
répète chaque jour, et l'on voit disparaître graduellement tous les symptômes . Même résultat pour toute autre névrite. L'auteur
« dérable, quoique jusqu'ici méconnue. » « 4° Remédier à certains symptômes à mesure qu'ils se mani- « festent, suivant les
jusqu'ici obtenu le plus de résultats favorables. D'autre part, les symptômes d'ex- citation, s'ils ne commandent pas l'abste
2 à 6 milligrammes peut amener une action favo- rable sur certains symptômes d'origine spasmodique, tels que le hoquet, et s
cylindres-axes sont détruits, se manifester clinique- ment par les symptômes qu'on observe dans la myélite circons- crite de
comme dans la forme chronique ou subaiguë, elles affectent tous les symptômes d'une compression de la moelle : tantôt comme d
23 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ut m'arrêtera ; car elle me permettra de bien examiner avec vous un symptôme très important du tabès : l'influence de l'occl
lusion des yeux sur les mouvements et l'équilibre des ataxiques; ce symptôme porte, comme vous le savez, le nom de signe de
me vous le savez, le nom de signe de Romberg. 1 Classiquement, ce symptôme est considéré comme une dépen- dance et une con
e, vous le savez, nous avons une autre conception patho- ? génique du symptôme de Romberg. Nous voyons là une espèce, une vari
t au début de l'année. C'est parmi ces derniers que je plaçais le symptôme de Romberg. « Je rangerai dans le même groupe,
tout très développée, ne présentent pas le signe de Romberg. « Ce symptôme , dont le mécanisme intime n'a pu être encore pé
c'est qu'il s'agit seulement d'un tabès moteur. Les deux groupes de symptômes qu'on observe dans l'ataxie locomotrice peuvent
ait parfaitement vu la ma- ladie et en avait indiqué les principaux symptômes . Non seule- ment, dans les quelques lignes qu'i
, d'avoir remis toute chose à sa place, et d'avoir assigné à chaque symptôme l'importance qu'il méritait. Aussi, après des t
ment, dans ses méfaits, la nature se plaît à se contredire, et les symptômes que l'on croyait les mieux propres à différencier
est de date récente, remonte à peine à quelques mois. Tels sont les symptômes qu'il convient maintenant d'inter- préter. Si l
adie des tics, on n'a pas de peine à reconnaître que la plupart des symptômes pré- sentés par J... rentrent dans le cadre nos
ffisante pour laisser le diagnostic en suspens, surtout lorsque les symptômes observés ne concordent avec ceux d'aucune autre
uelle ces phénomènes avaient paru. Enfin l'étude de l'évolution des symptômes ne nous a pas été moins utile. L'amélioration e
ents les plus décisifs. Nous les grouperons en trois classes : a) Symptômes permanents. - Ils comprennent les stig- mates h
émarche de Todd, bégaiement et bredouillement (quatrième cas). b) Symptômes transitoires qui se sont manifestés pendant l'a
céphalalgie, les étourdissements et la diplopie (deuxième cas). c) Symptômes transitoires qui se sont manifestés seulement à
el diagnostic. Cependant un examen plus soigné de l'anamnèse et des symptômes nous fit bientôt convaincre qu'une bonne partie
reux, exempt de syphilis, avec des artères saines, absent de tout symptôme de tumeur cérébrale; de plus, le développement de
paralysies symp- tomatiques de la pachyméningite ; tous les autres symptômes de celle-ci sont absents 1. 0 Comme conclusio
maladies organiques, il ne faut pas se contenter d'envisager les symptômes et rien autre chose que les symptômes, mais il
se contenter d'envisager les symptômes et rien autre chose que les symptômes , mais il faut les interpréter, en étudiant leur
chez les animaux par nos expériences. Nous remarquons chez eux des symptômes convulsifs sem- blables à ceux que l'on remarqu
agit à un moment donné comme une lésion pri- mitive du rein et les symptômes convulsifs s'identifient presque avec les premi
al comitial ? Des localisations cérébrales ne peuvent expliquer des symptômes qui nécessitent l'intervention de tous les appa
alade est mort en démence deux ans après l'appari- tion despremiers symptômes . (Annales médico-psychologiques, 1892.) E. B.
ée. 11 s'agit d'un paralytique général chez lequel la plupart des symptômes somatiques et psychiques avaient presque complète
nt le temps des repas. Dans les inter- valles, il n'existait aucuns symptômes cérébraux. L'examen démon- tra seulement qu'il
qui concerne le système nerveux, on retrouve dans tous les cas des symptômes semblables à ceux que produit l'urine nor- male
emblables à ceux que produit l'urine nor- male, mais, à côté de ces symptômes , en existent d'autres. Dans un premier groupe (
tion considérable, stupeur lypémaniaque, lypémanie) on constate des symptômes qui n'existent pas avec l'urine normale : les u
cologique. Femme de trente-deux ans; une attaque de mélancolie avec symptômes d'ar- rêt psychique, consécutive à une endométr
. Parfois complications de troubles du goût. Excepté en un cas, ces symptômes disparurent rapidement; il est donc possible qu
sie) que, dans les cas de para- lysie générale où l'on constate des symptômes de lésions en foyer, symptômes d'ordinaire brus
lysie générale où l'on constate des symptômes de lésions en foyer, symptômes d'ordinaire brusques et disparaissant souvent bie
que cet organe est indemne dans les cas où il ne se produit pas de symptômes semblables. Ces faits sont à rapprocher des rappo
ssible d'établir avec la précision de Lissauer un rapport entre les symptômes paralytiques aigus en question et ces altératio
élirantes, de nature très diverse. Tantôt les malades regardent les symptômes de possession comme une faveur (Dieu parle par
ons visuelles pressées et impérieuses, elle indique qu'il s'agit de symptômes de lésions en foyer. Discussion : I%I.SCRUELE
ent la dure-mère joue, comme je le crois moi-même, un rôle dans les symptômes cliniques mis en évidence. La sensibilité des s
agit pas ici d'un simple mal de Pott, la malade en offrant tous les symptômes . M. le Dr KARNtLOW se range de cet avis et cons
ez l'homme. SOCIÉTÉS SAVANTES. 133 M. le Dr Minot, à propos des symptômes spinaux constatés dans l'observation du Dr Mour
tion d'un malade qui, étant syphilitique et alcoolique, offrait les symptômes du tabes et de la paralysie alcoo- lique. L'éti
forte atrophie musculaire et un anesthésie typique d'un membre, le symptôme de Morvan de l'autre; il eut des panaris analgé
ertébrale à droite, dans sa partie thoracique. Marche titubante. Le symptôme de Romberg. Une atrophie diffuse générale des m
fémur, exagération des réflexes rotuliens, clonus du pied, tous ces symptômes bien plus manifestes du côté droit. C'est bien
ut pris d'une attaque de paralysie atrophique aiguë, présentant les symptômes caracté- ristiques d'une poliomyélite aiguë ant
déterminer secondairement, acci- dentellement en quelque sorte, les symptômes de la poliomyélite antérieure, c'est-à-dire l'a
phie plus ou moins progressive, peut, par circonstance, réaliser ce symptôme . De toutes ces affections, celle peut-être qui
pemphigoïdes, les panaris muti- lants, les arthropathies, tous ces symptômes n'appa- raissent jamais dans le cours de la scl
sthésie cutanée plus ou moins prononcée, se montre com- binée aux symptômes classiques de l'atrophie muscu- laire progressi
rature étrangère, vous le trouverez souvent décrit sous le nom de symptôme de Brach (Rosenthal 2), ou de Brach-Romberg (Ei
les malades n'ont pas eu l'occasion de cons- tater par eux-mêmes ce symptôme . Le médecin est obligé de le rechercher, de le
parallélisme, ni propor- tionnalité entre ces deux troubles. « Le symptôme de Romberg, dit Vanlair ? n'a rien à faire 1 Vu
trouvé. » Cela est parfaitement vrai ; le signe de Romberg est un symptôme distinct, séparé, ne faisant pas partie du tablea
'on donne de l'a- taxie. Cela dit, tous les auteurs attribuent le symptôme de Rom- berg aux divers troubles de la sensibil
vous montrer que l'anesthésie cutanée ne peut en rien expliquer ce symptôme . Ainsi vous trouvez fréquemment des malades pré
diminution ou son abolition deviendraient le point de départ de ce symptôme . Voilà l'opinion classique qui est exposée dans
lassique. Quant à Eichhorst ' , il s'exprime en ces termes : « Le symptôme de Brach-Romberg est lié à la perversion du sens
qui lui masque complètement la vue de ses pieds, l'aggravation des symptômes est beaucoup moins pro- noncée que dans l'occlu
du signe de Romberg. Axenfeld * constate que les mêmes phénomènes ( symptôme de Romberg) se produisent quand l'anesthésie es
lare obligé d'admettre que ce signe est le premier et le plus léger symptôme d'une diminution de cette sensibilité musculair
me paraît démontré que là n'est pas la théorie physiologique de ce symptôme . Celui-ci est un trouble à part, spécial au tab
dans le signe de Romberg. Le malade, dit Vaulair 2, en décrivant ce symptôme , «éprouve en même temps un grand sentiment d'an
rdi- naires qui peuvent exister dans le tabes, et en être même un symptôme précoce. Fournier 4 les à bien décrits et bien ét
e, soit qu'elles mettent en évidence la valeur séméiologique d'un symptôme auriculaire, ou parce que le groupement des obser
u nom synthétique de labyrinthisme, se manifeste par un groupe de symptômes très nombreux; où l'on trouve réunis les bruits
ique qui devient pré- dominante et caractéristique, l'intensité des symptômes n'était pas en rapport avec la légèreté des lés
ive redevenir normale et étendue, même alors que cependant certains symptômes auditifs per- sistent et progressent, entretenu
moins complète de la parole, le manque absolu de volonté, sont les symptômes caractéristiques de ce genre d'idiots, générale
ville. Avec Canlarano, M. Cristiani regarde le mérycisme comme un symptôme de régression atavique; et il donne comme preuves
ogie NERVEUSE. 263 groupes acolytes pairs. Il n'y a pas du reste de symptôme patbo- gnomonique de la paralysie nucléaire; le
les éléments du système nerveux central; de là la multiplicité des symptômes . P. K. VIII. LE VERTIGE paralysant DE 1888 A 18
n du clou, em- barras dans les mouvements du bras droit et quelques symptômes d'aphasie. Ces phénomènes de paralysie s'accent
tétanie est une affection de tout le système nerveux dont quelques symptômes peuvent être expliqués par une atteinte des ner
ique, d'origine nettement corticale, suivie d'hémiparésie; d'autres symptômes tels que : accès de céphalalgie, vomissements,
chorée ni néphrite, chez lequel, trois semaines après le début des symptômes choréiques, il se montra de l'anasarque général
néphrite; on institue le traitement convenable; l'anasarque et les symptômes de néphrite disparaissent et, avec eux, les mouve
nocturnes, et de la titubation en marchant. Aucune autre espèce de symptômes cérébraux. Voici les lésions histolo- giques :
permet de penser à l'acromégalie mais, comme il manque beaucoup de symptômes appartenant à cette maladie, il vaut mieux attr
itation de tout le côté gauche du corps. Le douzième jour les mêmes symptômes subsistent. Le treizième, somnolence, puis tout
uqueuses et des téguments externes cons- tatée en même temps que ce symptôme , et l'état du pouls (petit et contracté), on pe
r Fry a mal compris le rapport du cas, parce qu'il n'y avait pas de symptômes de paralysie; il y avait quelques contractures
étés, l'influence de la disparition BIBLIOGRAPHIE. 305 d'un autre symptôme hystérique, celle de divers états morbides, tel
t chimiques, et l'action de la vérole. La seconde leçon a trait aux symptômes nerveux attribuables à la syphilis; leur diagno
ronostic des affections nerveuses d'origine syphilitique. Nombre de symptômes dépendent non pas de processus spécifiques, mai
las. Nous rappelons à ce propos que M. Charcot a pu reproduire le symptôme par suggestion somnambulique chez une grande hy
ans, en 1888, que semblent s'être manifestés chez lui, les premiers symptômes de sclérose en plaque. Cela commença par de la
ne et est admis dans le service le lendemain. Etat actuel. A. Les symptômes qui permettent d'affirmer l'existence de la scl
rer dans les cas où ces deux affections se trouvent asso- ciées les symptômes appartenant à chacune d'elles (M. Char- cot) '
culaire, lourdeur, etc. Chez les individus qui ont eu déjà quelques symptômes d'hystérie, elle se manifeste soit après un acc
e un jeune garçon âgé de neuf ans, qui, depuis deux ans, a quelques symptômes de la myopathie pri- mitive ; il est, en effet,
sovie). Ce n'est pas depuis longtemps que le tremblement comme un symptôme d'hystérie ait attiré l'attention des cliniciens.
ensemble symp- tomatique qui fait la diagnosc. Constituant un des symptômes de la névrose, le tremblement hystérique peut p
'une manière catégorique, que dans ses cas, le tremblement comme un symptôme principal était observé bien rarement ; cependa
le tremblement, tout cela nous donne bien à conclure que le dernier symptôme est aussi dû à la né- vrose hystérique. Fig.
'apparition périodique du tremblement présen- tant le plus éclatant symptôme de l'accès hystérique. Quoique Dutil mentionne
si chez la malade de Chambard, le tremblement était le plus éminent symptôme de la névrose et se déclarait par des accès : m
nent symptôme de la névrose et se déclarait par des accès : mais ce symptôme avec son uniformité ne présentait aucune périod
te autantque brève, et réu-' nissant dans son énoncé deux ordres de symptômes qui coexistent souvent, a cependant le défaut d
out d'abord s'impose la distinction de l'état mental général et des symptômes plus en relief qui pourraient masquer son impor-
mptômes plus en relief qui pourraient masquer son impor- tance. Ces symptômes essentiels et fondamentaux de la maladie, dont
la volonté, déter- mine, dans chacune des opérations mentales, des symptômes de même ordre : hésitation intellectuelle produ
état général, qui est à peu près fixe et constant, apparaissent des symptômes plus variables qui ne sont que l'exa- gération
et restent habi- tuellement puériles et saus résultat. - Tous ces symptômes surajoutés à l'état général fondamental va- ria
xte satisfaisant à ces variations; mais de l'analogie de ces divers symptômes , on peut conclure à leur identité de nature. Si
ivers symptômes, on peut conclure à leur identité de nature. Si les symptômes les plus saillants, obsessions et impulsions, q
nsi qu'à la diminution qui peut être notable, de l'émotivité et des symptômes neurasthéniques. Un des moyens de traitement se
que Cotard à décrit un type de mélancolie anxieuse dans lequel, aux symptômes habituels de la mélancolie anxieuse, viennent s
Pour la mélancolie avec stupeur, la marche lente et la présence de symptômes réellement mélancoliques serviront à établir le
e. Le diagnostic de la catalepsie pure est facile, grâce aux deux symptômes : sommeil et automatisme passif. Il est difficile
use. La période d'incubation est longue, souvent inobservée, et les symptômes y sont mal définis : malaise inexpliqué, mau- v
ans les représentations et mouvements, mais comporte aussi d'autres symptômes . , La symptomatologie du délire sensoriel compo
issance aux règlements, il y en a avait huit qui présen- taient des symptômes d'aliénalion mentale tels que leur interne- men
l'état mental, le médicament a agi en modifiant et en atténuant les symptômes pénibles ou violents et en hâtant le retour à u
ence toute particulière, et le vulgaire la connaît si bien dans ses symptômes et dans sa marche constam- ment fatale, que les
tions détaillées, impos- sibles à reproduire ou à analyser ici, les symptômes observés chez les divers membres de ces deux fa
ée dans les deux familles observées, pas même le rhu- matisme ; les symptômes cliniques sont tellement identiques à ceux de l
stiques, ambitieuses qui ne font pas partie du cortège habituel des symptômes de la manie franche, laquelle est constituée es
aitement d'une maladie, mais ne peut guère servir qu'à combattre un symptôme . Cette considération ré- duit singulièrement le
ne représente pas une espèce morbide, mais constitue simplement un symptôme de la dégénérescence. Les invertis sont des mal
ition de l'hystérie n'a jamais été donnée et ne le sera jamais. Les symptômes ne sont ni assez constants, ni assez conformes,
sque un grand nombre d'auteurs n'avaient pu réussir à grouper les symptômes autour d'un phénomène physique, on a peu à peu
et sans doute on peut facilement rattacher un très grand nombre de symptômes à des phéno- mènes d'émotion. Malheureusement,
se substitue donc une définition nouvelle qui cherche à grouper les symptômes autour d'un phénomène moral, « l'hystérie est u
jet revient à l'état normal, malgré toutes les complications que ce symptôme peut pré- senter, nous a paru le seul caractère
s étaient souvent précédés ou même accompagnés d'un grand nombre de symptômes appar- tenant à l'attaque. Le sujet continuait
mes sem- blaient rapprocher et réunir une catégorie importante de symptômes hystériques, les accidents périodiques, mais pa-
et, la rigidité a précédé le tremblement. Donc, au point de vue des symptômes réputés propres à la paralysie agitante, le cas
e et convulsive, avec envahissement progressif. Mais, à côté de ces symptômes d'observation courante, il en est d'insolites s
e nerveuse. Toutefois, on ne peut s'empêcher de reconnaitre que les symptômes ressortissant à l'hystérie et à la paralysie ag
squement; que, dans notre cas, l'hystérie a précédé l'explosion des symptômes parking sonniens ; de plus, que quelques-uns de
e confusion des idées, d'étour- dissements et de fatigue; enfin les symptômes cérébraux ou moteurs plus ou moins sérieux qui
ue, celui de l'évolu- tion, pour remonter à l'origine primitive des symptômes : cette deuxième partie de son travail surtout
ôt du trouble de la santé générale déterminé par cette atteinte. Le symptôme nerveux que l'auteur a constaté le plus souvent
ec soin, et paral- 462 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. lèlement, les symptômes de paralysie du mouvement qui produi- sent l'as
e remarquable dans le cas dont il s'agit, c'est l'insignifiance des symptômes observés pendant la vie; parmi les symptômes ca
st l'insignifiance des symptômes observés pendant la vie; parmi les symptômes caractéristiques, ceux dont l'absence est surto
ue chez le petit nombre des malades qui présentent d'autre part les symptômes ^ de la grande hystérie, et-quand M. Bernheim a
s sans antécédents héréditaires, entre à l'asile de Mehean avec des symptômes de néphrite intersti- tielle : oedème considéra
une auto-intoxication. C'est surtout chez les mélancoliques que les symptômes de néphrite sont fréquents et on ne trouve guèr
es atteints d'atrophies' musculaires arthropathiques et offrant des symptômes spinaux caractéristiques, tels que parésie avec
istoire de la maladie d'une emme cnez laquelle on avait observé des symptômes identiques, à la suite d'un phlegmon de la surf
Les rapporteurs se croient en droit de réunir tous ces complexes de symptômes sous la déno- mination générale d'affections co
. Discussion. M. le professeur Iioaevrrmor. croit que beaucoup de symptômes qu'on pourrait considérer comme centraux, dans le
ésion consécutive du centre. M. L. Miner suppose qu'il existe des symptômes survenant après une lésion périphérique qui ne
n- curremment, mégalomanie sous forme de délire orgueilleux, tous symptômes qui caractérisent la paranoïa dans son sens le pl
iques caractéristiques de la para- noïa, il y a lieu d'admettre des symptômes primitifs directs, et des symptômes secondaires
oïa, il y a lieu d'admettre des symptômes primitifs directs, et des symptômes secondaires ou consécutifs. J'insiste sur ce poin
la paranoïa dans lequel j'attribuais une importance cardinale à un symptôme spécial que je tiens pour un des rouages générate
e des cas dans lesquels il n'y a pas d'hallucinations et où le seul symptôme est constitué par une erreur d'interprétation d
constitué par une erreur d'interprétation des rapports du moi. Les symptômes secondaires varient. Le plus fréquent est le déli
aujourd'hui achevé son cycle, maladie qui était représentée par les symptômes suivants : trouble de la connaissance; 'délire;
ariété dans 480 BIBLIOGRAPHIE. la distribution et l'évolution des symptômes qui a causé la variété des dénominations et la
24 (1893) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 4. Leçons sur les maladies du système nerveux
faisceaux latéraux, est seule le substratum anatomiqne nécessaire des symptômes spinaux tabétiques. C'est ainsi que, guidée dan
cortical ou de ses branches ne s'est révélé pendant la vie par aucun symptôme évident, cas dans lesquels, la mort étant survenu
u mouvement, soit de la sensibilité. L'aphasie, dans ce cas, était le symptôme unique et l'atrophie de la troisième circonvoluti
trales et corticales. — Lésions de la capsule in-terne. — Variété des symptômes suivant le siège qu'occupe la lésion dans la caps
s plus tard, les lésions dans son territoire produisent un cortège de symptômes tout à fait spécial. II. Nous venons de recue
utefois, que nous soyons en mesure aujourd'hui de reconnaître à des symptômes particuliers les destructions de la couche optiqu
tre, telle localisation anatomique, susceptible de se déceler par des symptômes spéciaux, et permettant, par con-séquent, un diag
toire des artères lenticulo-optiques. Nous verrons, en effet, que les symptômes sont différents dans les deux cas : présents dans
sont différents dans les deux cas : présents dans le second cas, les symptômes de l'hémianesthésie cérébrale font défaut dans l'
s qui se produisent dans les deux compartiments du corps strié. Les symptômes qui accompagnent ces lésions limitées aux noyaux
rrhagie, même de petite dimension, dans une cavité ventriculaire. Des symptômes graves, à savoir: la contracture précoce, des con
trice qu'accompagne à peu près nécessairement la contracture tardive, symptôme d'un fâcheux augure dans l'espèce parce qu'il ann
istinction impor-tante. Ainsi que nous l'avons annoncé, en effet, les symptômes varient remarquablement suivant le siège qu'affec
ez, une situation assez complexe et par laquelle l'interprétation des symptômes pour-ra être rendue difficile, C'est ainsi que, s
quel-conque des noyaux gris, couches optiques ou corps striés, des symptômes qui sont uniquement la conséquence d'une aclion d
conséquence d'une semblable altération (Fig. 24). Au point de vue des symptômes produits, deux conditions peuvent se présenter.
tant alors aussi sur la partie postérieure de la capsule interne, les symptômes d'hémia-nesthésie cérébrale viendront se surajout
des troubles sensitifs et sensoriels, cesse d'être accompagnée de ces symptômes dans les phases ultérieures, c'est-à-dire au mome
s tout à l'heure assignés. III. Quelques détails, relativement au symptôme hémiopie et àla cause anatomique présuméede son d
parvenu à mettre en relief l'existence de Y am-blyopic croisée, comme symptôme de lésions occupant la partie postérieure de la c
ale et les scléroses fasciculées primitives des faisceaux latéraux. — Symptômes liés aux scléroses secondaires : impuissance motr
é ou noyau lenticulaire), ne dé-terminent, en règle générale, que des symptômes relative-ment peu accentués et peu durables, tand
e ces différences. Je m'occuperai d'abord de l'intensité relative des symptômes paralytiques dans le cas des lésions de la capsul
les cas du dernier genre, par opposition à la permanence qu'offre ce symptôme , à peu près nécessaire-ment, lorsqu'il s'agit d'u
, c'est-à-dire indépendantes de toute lésion céré-brale. Or, tous ces symptômes se reproduisent avec leurs ca-ractères essentiels
lorsque cette lésion existe, la contracture permanente est un de ses symptômes habituels. rendre compte de l'apparition des co
ce en quelque sorte indépendante, auto-nome ; elle se traduit par des symptômes particuliers. Il peut arriver que, en raison même
du mal, alors qu'il ne se révèle encore cliniquement que par quelques symptômes fu-gaces, à peine appréciables. L'examen ophthalm
s fixes, plus ma-tériels, si l'on peut ainsi dire, que ne le sont les symptômes eux-mêmes; aucune idée spéculative n'intervient,
e guère de saisir la nature des rapports qui unissent les lésions aux symptômes extérieurs. Sans méconnaître, Messieurs, l'impo
atomie de développement de la moelle et, d'un autre côté, l'élude des symptômes qui révèlent cliniquement ces lésions systématiqu
lésions cérébrales, même les plus graves, ne se traduisent par aucun symptôme spécial; à proprement parler, elles restent laten
voie, un peu détournée en apparence, doit cepen-dant nous ramener aux symptômes , et vous serez alors plus aptes à apprécier leur
au dont la lésion ascendante, que l'on sache, ne se traduit par aucun symptôme particulier. i) La lésion ascendante des faisce
s'agit d'une lésion syphilitique de la moelle qui se traduit par les symptômes de l'hémiparaplégïe spinale (d'uncôté,para- Cha
de considérer, parce qu'elle vous rendra compte peut-être de quelques symptômes dont l'explication serait autrement assez diffici
it et des cordons postérieurs (voy. Fi g. 64). Cet homme présenta les symptômes suivant : à gau-che, anesthésie et conservation d
de Burdach. — Les lésions du faisceau de Goll ne donnent pas lieu aux symptômes de l'ataxie locomotrice. — Compression de la moel
intermé-diaires. Je tiens encore à vous rappeler, en passant, que les symptômes observés dans les cas de lésions isolées, systéma
n des faisceaux de Goll. Ainsi, chez un sujet qui présentait tous les symptômes de l'ataxie locomotrice, aussi bien clans les mem
du faisceau pyramidal est la condition sine qua non de la guérison. Symptômes précurseurs de la contracture secondaire. — Epile
, nous tenterons de parvenir à l'interprétation phy-siologique de ces symptômes . I. .Vous n'ignorez pas, sans doute, Messieur
plusieurs reprises, dans cet enseignement, j'ai présenté l'exposé des symptômes liés aux dégénérations secondaires, et, pour la m
ntractures dites précoces, l'érythème des régions fessières, tous ces symptômes de fâcheux augure, si toutefois ils ont existé, o
iatement comprimée. En pareil cas/malgré l'intensité que les premiers symptômes auront pu présenter, un tel malade, s'il a rési
u, autrement dit, la dégénération secondaire se révèle-t-elle par des symptômes qui lui sont propres ? On peut, Messieurs, répo
que nous avons supposées, peut être habituellement reconnue. Le grand symptôme révélateur, dans l'espèce, est cet ensemble de ph
s le cours du deuxième mois. M. Déjerine a fait voir récemment que ce symptôme se révèle parfois dans les deux membres inférieur
mouvements. IV. J'en aurais fini, Messieurs, avec l'étude de ces symptômes , si je ne tenais à vous signaler les indications
ésion irritative dynamique explique mieux que les autres théories les symptômes spasmodiques de la sclérose descendante. L Me
té descriptif. Il s'agit de reconnaître, en un mot, par quel lien les symptômes se rattachent aux lésions. C'est là une entrepris
la sclérose consécutive du faisceau pyramidal est, dans l'espèce, un symptôme contingent et non pas un symptôme nécessaire, pat
au pyramidal est, dans l'espèce, un symptôme contingent et non pas un symptôme nécessaire, pathognomonique. Dans la règle, il es
ve ou consécutive par un lien assez étroit, n'en est pas cependant un symptôme nécessaire, patho-gnomonique. Ainsi, quoique sclé
ste à un titre quelconque, la contracture permanente figure parmi les symptômes habituels. 1° Prenons le cas des dégénérations
t celui qui réponcL au côté où siège la lésion. Mais, en général, les symptômes spasmodiques tels que la trépidation épileptoïde
d'ailleurs, outre la rigidité des membres, il existe encore d'autres symptômes concomitants ou antérieurs, qui ne permettent pas
une affec-tion depuis longtemps connue comme pouvant donner lieu aux symptômes de la paraplégie spasmodique. Je veux parler de l
che des ataxiques, qui est en quelque sorte pathognomonique. C'est un symptôme commun à plusieurs maladies spinales et pour arri
er au diagnostic nosographique, il faut nécessairement invoquer les symptômes concomitants. m. Nous avons jusqu'ici des cas
attendre dans la règle à voir la paraplégie s'accompa-gner des autres symptômes nécessaires pour caractériser no-sographiquement
rare de ren-contrer dans la clinique un certain nombre de cas où les symptômes de la paralysie spasmodique, développés primiti-v
e cas qui précède, se montrent en quel-que sorte isolés de tout autre symptôme , depuis l'origine jus-qu'à la terminaison du mal,
int. M. Erb a affirmé, ou peu s'en faut, que la lésion à laquelle les symptômes doivent être rattachés est actuellement connue :
la multiplicité des lésions et la variabilité de leur siège, que les symptômes de la maladie en question sont eux-mêmes variés e
rve également dans les cas où la substance grise est atteinte, et les symptômes tabé-tiques quand il existe des lésions des faisc
eil se décompose en quel-que sorte pièce à pièce et que bon nombre de symptômes fas-sent défaut. Ainsi, dans telle forme, on n'ob
ystagmus, etc. Dans telle au-tre, au contraire, il n'existera que des symptômes de para-plégie spasmodique presque isolés: je dis
sé des vertiges, qu'elle avait éprouvé du tremblement des extrémités, symptômes de valeur qui auraient pu mettre sur la voie du d
eurs, par l'exposé qui précède, que. la contracture permanente est un symptôme commun aux affections organiques spinales — et el
se traduire par une symptomatologie propre ; de telle sorte que, les symptômes étant connus, il sera permis au clinicien de remo
matiques forment, en somme, un groupe nosographique assez naturel. Le symptôme dominant et pour ainsi dire unique, exclusif, c'e
muscles se trouve par conséquent entremêlé cliniquement avec d'autres symptômes . B. Le groupe des poliomyélites antérieures sys
tention sur ces alté-rations de la substance grise, d'où dérivent les symptômes d'amyotrophie. Mais ici, comme partout ailleurs,
s musculaires ; tandis que d'autres sont marquées par l'absence de ce symptôme ou môme par un état opposé, la flaccidité des mem
ffit à montrer l'intérêt pratique qui s'attache à l'interprétation du symptôme contracture. Depuis quelques années, les observ
is, lors-qu'ils se montrent manifestement exaltés, ils constituent un symptôme morbide d'une importance réelle, tant au point de
es- Lion tout à l'heure, on ne relèverait chez cette malade que des symptômes de paraplégie spasmodique. Mais les membres sup
ans cesse de sa bouche entr'ouverte. L'examen minutieux de tous ces symptômes est, à coup sûr, des plus intéressants et des plu
s. Il y deux ans et demi que la femme Den... a éprouvé les premiers symptômes de l'affection, qui, aujourd'hui, touche à sa der
commence à se manifester la difficulté du langage.Peu à peu, tous ces symptômes s'accentuent, et, après dix mois de mala-die, la
t être consi-dérée comme l'apogée de la période spasmodique, tous les symptômes de l'hyperexcitabilité réflexe n'avaient fait que
nce de la sclérose latérale amyotrophique. D'ailleurs, peu à peu, les symptômes de la maladie s'ajoutèrent les uns aux autres et
es relativement prématurés qui ont, à très courte échéance, suivi les symptômes de la paralysie atro-phique des membres. Mais, à
ler. Ce n'est pas que, dans l'affection dont il s'agit, il existe des symptômes vrai-ment propres, pathognomoniques ; mais, il ne
s la clinique des centres nerveux. L'ar-rangement, l'enchaînement des symptômes , font seuls des dif-férences; et c'est ainsi que
est-il que, dans l'espèce, cet arrangement, ce groupement de quelques symptômes qui, suivant la descrip-tion de M. Charcot, const
amyotrophique, la paralysie se-rait atonique ; il n'existerait pas de symptômes spasmodi-ques ; 2° L'atrophie musculaire serait
pas de symptômes spasmodi-ques ; 2° L'atrophie musculaire serait le symptôme dominant; et il ne s'agirait pas d'une paralysie
as de la femme Pic... (2), la contracture ne figure pas au nombre des symptômes consignés dans l'observation ; mais l'exagération
re raides. La parole et la déglutition s'embarrassent; les différents symptômes de la paralysie bulbaire s'accentuent rapidement
nge, scandé, la voix commença à être nasillarde. En janvier 1879, les symptômes paralytiques s'exagèrent ; mais la malade a pourt
ce M. Charcot, consiste dans la multiplicité et la généralisation des symptômes spas-modiques qui s'imposaient à l'observation la
e des exemples cliniques de para-lysie spasmodique, où l'ensemble des symptômes propres à la contracture peut être modifié, à un
rophie musculaire primaire progressive ; l'atrophie musculaire est le symptôme dominant ; et ce n'est pas à pro-prement parler,
rvient pas trop brusquement, cette paralysie peut se montrer comme un symptôme isolé de la maladie qui commence, et, sous ce rap
mis dans le service de clinique de la Salpêtrière où Ton constata les symptômes suivants: insuffisance aortique, hémiplégie gauch
trales et corticales. — Lésions de la capsule in-terne. — Variété des symptômes suivant le siège qu'occupe la lésion dans la caps
ale et les scléroses fasciculées primitives des faisceaux latéraux. — Symptômes liés aux scléroses secondaires : impuissance motr
de Burdach. — Les lésions du faisceau de Goll ne donnent pas lieu aux symptômes de l'ataxie locomotrice. — Compression de la moel
u faisceau pyramidal esta la condition sine qua non de la guérison. Symptômes précurseurs de la contracture secondaire. — Epile
ésion irritative dynamique explique mieux que les autres théories les symptômes spasmodiques de la sclérose descendante.... 335
; — sa constitutions 89 ; — ses rv. lésions, 103 ; — Variétés des symptômes suivant le siège de ces lésions, 104, 108 ; — Rég
25 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
p moins maladroits et j'en ai connu un qui connais- sait à fond les symptômes de la folie impulsive et les décri- vait avec u
t priait le magistrat instructeur, en raison de sa maladie dont les symptômes lui revenaient, de vouloir bien recon- naître s
une réclame (dite anti-épi- leptique de Liège) qui donnait certains symptômes des maladies nerveuses, notamment de l'épilepsi
son observation médi- cale et s'assimiler successivement différents symptômes d'alié- nation mentale qui s'échelonnèrent d'ai
te délimi- tation dans l'écorce. Dans le premier cas le principal symptôme sera l'ataxie des mou- vements. Dans le second
rticale du sens musculaire. L'ataxie locomotrice, dont le principal symptôme est une impuis- sance totale à dirigerles mouve
100 des cas. Il a établi que le défaut du sens musculaire était le symptôme dominant des anesthésies des hémi- plégiques vu
ne véritable vision tactile et continuer la métaphore en donnant au symptôme qui résulte de la perte du toucher actif le nom
nous ne croyons pas comme lui que la perte du toucher actif soit un symptôme négligeable en clinique, juste- ment parce que
avons trouvée le plus souvent et le plus profondément atteinte=. Ce symptôme ne manque également presque jamais dans les par
autres lésions, a pu cliniquement présenter successivement tous les symptômes de la méningo-encéphalite diffuse : idées de gran
i- formes ou épileptiformes, etc. La pachyméningite n'offre aucun symptôme qui lui soit propre et, en ce qui a trait au di
ingt-quatre ans à des excès de boisson, qui, après avoir offert les symptômes du délire alcoolique aigu, présenta une maladie
e faire sur cette malade un essai de rééducation'fonctionnelle. Les symptômes dominants étaient les suivants : Contracture mu
nté pour le traitement du tabes. Celui-ci s'adresse unique- ment au symptôme ataxie, tandis que par celle-là, M. IIartenberg
nous le tirons en avant malgré lui, sans accorder d'importance aux symptômes physiques de sa peur, - pàleur, dyspnée, an- go
nant à la toute première enfance ; il rappelle à cette occasion les symptômes bien connus du crétinisme spora- dique et montr
symptômes bien connus du crétinisme spora- dique et montre que les symptômes disparaissent pendant le trai- tement thyroïdie
orps thyroïde. Il n'est donc pas étonnant que l'on voie souvent les symptômes reparaître quand on suspend la médication. On
armoiement, diminution de la vision, du goût et de l'ouie. Tous ces symptômes vont en s'aggravant, et en juillet 189 l'auteur
ès rare. R. de lIuscnavE-CLm. XVII. Fracture du crâne avec quelques symptômes inusités opération- guérison ; par Gray G. Holl
réelles ou supposées, d'apprécier sa fréquence, de déter- miner les symptômes initiaux et le mode de début, et de rechercher
étiologique assez effacé. L'auteur décrit ensuite longuement les symptômes de la mala- die, et son tableau ne diffère pas
Hmsn. (1'he New York Médical Journal, 19 août 1899.) Bien que les symptômes cliniques dans les quatre cas rapportés par l'a
gmentera de deux gouttes par jour jusqu'à l'apparition des premiers symptômes d'iodisme. Le mer- cure est l'agent curatif de
une indication d'opération partielle celle-ci pouvant atténuer des symptômes graves tels que les vomissemenis, la cépha- tal
i- bilité partout conservée. Pas de troubles trophiques. Tous ces symptômes indiquent un néoplasme cérébral ; le traitement a
ique reste sans effets. Quant au siège de la tumeur plu- sieurs des symptômes paraissaient indiquer une lésion de la base, au
d'attaques épilep- tiformes, névrite optique double. Ici encore les symptômes indi- quaient un néoplasme que l'on jugea devoi
n sont : 1° le début ttès précoce de l'af fection dont les premiers symptômes remontaient à l'enfance ; 2° les caractères de
écité, photo- phobie, etc. L'hypnotisme a fait disparaître tous ces symptômes ; grâce il la suggestion, cette jeune fille est
cessèrent peu d'années après son mariage, au moment où les premiers symptômes de sa mala- die actuelle se déclarèrent. Avec l
tale devinrent plus fréquentes et plus violentes. L'aggravation des symptômes s'est manifestée surtout depuis l'âge de trente
cure qu'on remarqua surtout la diminution sensible de sa mémoire. Symptômes cliniques. Status en novembre 1897. Le malade d
il n'en était pas toujours ainsi et nous ne pouvons attribuer à ce symptôme la valeur d'un caractère diagnostique différent
it ordinaire- ment qu'on lui servît des omelettes de huit oeufs ! Symptômes psychiques. Le malade qui avait toujours été d'
on en a fréquemment noté dans la chorée aiguë. Si j'insiste sur ce symptôme de l'irritabilité du caractère chez les choréiq
l va se suicider, mais uniquement pour effrayer son entourage. Ce symptôme est le résultat de l'excitabilité maladive des
tale qui a frappe ses ascendants se voit atteint par les pre- miers symptômes de la chorée. Or, il n'en est rien. Les quel- q
aire le diagnostic différentiel et à attribuer à chaque maladie les symptômes qui en dépendent. Je sais bien qu'on a voulu fa
s. Cette maladie n'est pas une folie, non seulement parce que ses symptômes sont tout différents, mais aussi parce que, en ta
AVAL. IL Observation de tumeur cérébrale s'étant traduite par les symptômes du mal sous-occipital et par de l'hémiatrophie de
RDT. (Neurolog. Ce71ti,cilbl., XVII, 1898.) Plusieurs et importants symptômes étaient en faveur de la spondyhte, la tumeur ay
en revue le tremblement intentionnel et la cura- bilité de certains symptômes . Conclusions : 1° La multiplication considérabl
, il puisse se produire des rémissions (C.-S. Freund), et quant aux symptômes sensitifs, et quant à la paralysie de la vessie
nsécutives; amblyopie en brouillard; tituba- tions en marchant. Ces symptômes se groupent différemment sui- vant les espèces.
ec quelques considérations rapides sur la valeur diagnostique des symptômes , par William J. DoYLE. (The New-York Médical Jour
; mais la rapidité de l'aggravation, et la brusque appa- rition de symptômes d'excitation maniaque malgré des doses élevées
et se continue jusqu'à la partie moyenne de la couche optique. Les symptômes ont été de la dysarthrie, d'abord intermittente
relation entre cette fracture du sternum et ce tabès dorsal. Comme symptômes : pas de troubles oculaires, pas d'ataxie locom
hjméningitique évolue en quelques années, très rapidement, avec des symptômes envahis- sants : c'est la forme maligne de la m
de l'autopsie d'un malade présentant, depuis quatre ans, comme seul symptôme , une hémianopsie latérale droite survenue avec
. puis à fumer elle-même; il se déclara, en outre, chez elle, des symptômes d'hystérie et de neurasthénie anxieuse. Bien que
ble, la suggestion hypnotique fut im- puissante contre ces derniers symptômes , aussi longtemps que la z malade en dissimula l
w A13ADIE, Interne des hôpitaux de Bordeaux. 1 La connaissance du symptôme polyurie comme manifesta- tion paroxystique et
D'ailleurs, ces caractères n'ont pas varié depuis le début de ces symptômes ; seule, la fréquence devient de plus en plus gra
nalyse : 200 CLINIQUE NERVEUSE. moindre que celle des deux autres symptômes , la polyurie et la pollakiurie. Notre polyuriqu
; elle est regardée comme un signe au début et considérée comme un symptôme banal, surtout lorsqu'elle est transitoire ou q
s de dix, vingt litres, l'ex- cluent même souvent. A côté de grands symptômes , tels que la polydipsie, la polyphagie, la déch
en est pas de même chez notre malade : c'est au contraire le seul symptôme que rapporte l'histoire de ses antécédents patho-
euses. Enfin, le défaut d'obsessions urinaires, la persistance du symptôme pendant le sommeil, son apparition en dehors de
r de reproduire par suggestion directe, chez des hystéri- ques, ces symptômes de polyurie et de pollakiurie impérieuse. L'idé
ns pu produire par suggestion hypno- tique, sur une hystérique. les symptômes de polyurie, de pollakiurie simple et de pollak
ins suffoquée qu'a- vant l'expérience. Que puis-je conclure ? Les symptômes observés pendant la compression se rap- portent
éduction qui s'appuie sur l'expérimentation et sur l'observation de symptômes dont la pathogénie est à contrôler. RECUEIL D
générale, le plus vraisemblablement toxique. Les alternatives des symptômes sont l'indice apparent de l'aggravation et de l'a
d'un fait de dégénérescence; et lorsqu'il existe en même temps des symptômes d'hystérie ou d'une autre névrose, ils ne sont qu
atisme somatique ou psychique, infection, hérédo- syphilis. Les symptômes apparaissent Les symptômes apparaissent à gradu
ique, infection, hérédo- syphilis. Les symptômes apparaissent Les symptômes apparaissent à graduellement. l'improviste. A
s l'inconti- nence d'urine a une grande valeur séméiologique, et ce symptôme est peut-être plus souvent qu'on ne pense chez
a pu observer un certain nombre de cas dans lesquels il existait un symptôme peu com- mun, et pouvant être rapporté à l'épil
'urine à l'aide du microscope et de rechercher avec soin les autres symptômes propres à confirmer le diagnostic d'épilepsie.
de précédent et par le même traitement, il y avait prédominance des symptômes myxoedémateux ; l'enfant avait été bien portant
ème cas, il s'agit d'un enfant d'un mois qui pré- sentait de légers symptômes de crétinisme. Sa mère avait déjà ac- couché d'
s conclusions de l'auteur sont les suivantes : « 10 La folie est le symptôme de tout processus pathologique intéressant les
Quand il demeurera acquis une lois pour toutes que la folie est le symptôme d'une véritable lésion du cerveau, une maladie
de peine à marcher. Il resta au lit environ une semaine avec les symptômes suivants, que nous résumons : pour le cerveau : c
ille. Lorsqu'il quitte son lit on note, pour le cerveau les mêmes symptômes ; pour l'intelligence, le malade ne veut ni voir d
que l'on observe dans la tuberculose des vaches : et l'absence des symptômes les plus intolérables de la phthisie (douleur,
ajoute souvent à la difficulté du diagnostic, sans compter que les symptômes de cette période, comme ceux des périodes suiva
nts pour la famille que pour le médecin. Assez souvent les premiers symptômes sont pendant assez longtemps ceux de la neurast
sa première période est caractérisée par un ensemble bien défini de symptômes psy- chiques. Au point de vue des troubles loca
de symptômes psy- chiques. Au point de vue des troubles locaux, les symptômes ocu- laires occupent ordinairement la première
s demandent à être mieux étudiés qu'ils ne l'ont été jusqu'ici. Les symptômes moteurs sont très importants, et caractéristiqu
- ments, l'un cortical et l'autre bulbaire. Dans bien des cas les symptômes bulbaires font défaut. Les troubles psychiques de
hrases mais encore dans l'expression des idées. Il peut y avoir des symptômes aphasiques, mais l'aphasie vraie ne se rencontr
asant non sur un signe palhognomonique, mais sur un grou- pement de symptômes . En tout cas il ne doit jamais reposer uni- que
mptômes. En tout cas il ne doit jamais reposer uni- quement sur les symptômes psychiques. ' R. DE nIUSGR.IVE-CL : 1Y. XLI.
à ce que les symp- tômes initiaux sont reconnus plus tôt. Parmi ces symptômes les signes de trouble mental ont surtout une im
te, car on ne pourrait pas faire le diagnostic sur la foi des seuls symptômes physiques. Mais lorsque les signes physiques co
ur, en terminant, tient à revenir sur ce fait que la pré- sence des symptômes communément regardés comme apparte- nant à la p
ie des lésions intra-pédonculaires explique physio- logiquement les symptômes observés pendant la vie, c'est-à-dire le double
ssement du cervelet. M. Touche. Sa pre- mière malade a présenté des symptômes tout à fait semblables à ceux de la sclérose en
titubante, somnolence, mais sans perte de con- naissance. Tous les symptômes se développèrent durant une dizaine de jours. A
est la syphilis. Observation III. Malade tabétique présentant les symptômes d'Argyll-Robertson, de Westphal, de Romberg, un
Contracte l'influenza, et dixjours plus tard on voit apparaître des symptômes bulbaires et médullaires. D'abord embarras de l
us occuperons d'une manière plus détaillée de l'examiner comme un symptôme pathologique. Nous avons déjà indiqué plus haut
demne, si la marche n'est intéressée que tardivement, enfin, si les symptômes rappellent ceux des lésions cérébelleuses. J. S
(maintien des paupières par l'observateur). La première forme du symptôme paraît généralement coïncider avec l'immobilité
et la pu- pille se rétrécit notablement. La forme première de ce symptôme seule avait déjà été observée par Wundt. Physio
e, avait une série de troubles nerveux des plus graves, mais pas de symptômes médullaires proprement dits, ce qui concorde av
s. (The Anerican journal of insanity, avril 1899.) E. BLIN. IL Le symptôme complexe de la catatonie ; par le Dr WoRCESTER.
e : une maladie du cerveau à évo- lution cyclique dans laquelle les symptômes psychiques prennent tour à tour la forme de mél
mp- tômes psychiques pouvant manquer et dans laquelle, à côté des symptômes psychiques se présentent, comme symptôme essentie
dans laquelle, à côté des symptômes psychiques se présentent, comme symptôme essentiel, dans le système nerveux moteur, des
breuses discussions. Trois questions se posent à ce sujet : Il, Les symptômes décrits sont-ils uniformément associés ? 2° Man
e est qu'il existe un grand nombre de cas qui ne présentent pas les symptômes mus- culaires décrits par Kahlbaum et, néanmoin
vations rapportées par le DrWorcester établissent que le groupe des symptômes de la catatonie peut se trouver en connexion, e
lepsie générale. Provisoirement, il parait juste de conclure que le symptôme complexe catatonique peut se rencontrer dans un
avril 1899.) E. B. III. Un cas d'athétose bilatérale avec quelques symptômes inaccoutumés; par le Dr G. C.MPIJ¡¡ : LL. Il
(Médical Record, 25 février 1899.) Après avoir repris l'examen des symptômes sans rien ajouter aux descriptions de Duchenne
s, quelque temps après un premier et pénible accouchement. Premiers symptômes : Faiblesse intermittente des muscles de l'oeil
les de la gorge, la difficulté pour avaler et prononcer ont été les symptômes les plus avancés. A l'examen : Veux en partie
pporte une observation clinique dans laquelle il y a combinaison de symptômes myxoedémateux et de symptômes pro- pres au goit
e dans laquelle il y a combinaison de symptômes myxoedémateux et de symptômes pro- pres au goitre exophtalmique. Plusieurs ca
s antérieurement, mais, dans tous ces cas, le myxoedème a suivi les symptômes du goitre exophtalmique. Ce malade au con- trai
yxoedème aigu, à marche rapide et plus tard vinrent s'adjoindre des symptômes de goitre exophtalmique à marche aiguë, c'est-à
e : chez un très grand nombre de cas d'acromégalie on observe : des symptômes de tumeur cérébrale (céphalée, vertiges, névrit
rotation en dehors de l'oeil gauche. Quelques mois plus tard. mêmes symptômes à l'oeil droit. Dix-sept mois plus tard faibles
t il semble que la syphilis ne soit pas le seul facteur du tabes. Symptômes marquant le début du labes : Douleur dans 57 cas
allant du pénis au rectum dans 2 cas. Fréquence relative des divers symptômes : Atrophie optique : dans 11 cas parmi lesquels
étendue des lésions de la paralysie générale et le degré minime des symptômes ; et les paralytiques généraux peuvent très bien
aumatique, pottique ou néoplasique, il existe en règle générale des symptômes rachidiens, moteurs et dystrophiques qui renden
n associés à des troubles sensitifs d'un'autre siège et il d'autres symptômes du tabes ; 2° La pseudo-méralgie radicu- laire
, à ce qu'il semble, l'effet d'une autosuggestion. Sur un nouveau symptôme : l'automicrosthésie. M. M. BLOCO. Il y a quelq
tes les parties de son corps. Dans le cas particulier, j'appelle ce symptôme l'auto- microsthésie. La psychologie religieu
l, Paris, F. Alcan, 1899. Historique, psychophysiologie, étiologie, symptômes , pronostic, diagnostic et traitement, telles so
s l'avait rem- placée par l'amer picon. Aussi, depuis longtemps les symptômes d'alcoolisme ont apparu : insomnies avec halluc
nt pas à la lumière ; à la jonction de l'axe oculaire, on remarque ( symptôme d'Argyl Robertson) une certaine contraction ; l
alade ne sentît un certain soulagement assez considérable- de ses symptômes maladifs. La démarche du malade devient plus ré
decin de l'asile de Villejitit. Interne des asiles de la Seine. Les symptômes de l'ordre somatique dans la mélancolie ont dep
t puis on l'abandonne à lui-même. Ce phénomène comme la plupart des symptômes muscu- laires n'est que la manifestation d'affe
six ans qui-mourut deux ans et demi après l'apparition des premiers symptômes . Ces symp- tômes furent : des céphalées progres
tumeur pituitaire. - 2° L'apparition n d'une tumeur pituitaire sans symptômes évidents d'acromégalie ne permet pas de conclur
ient beaucoup à celles du rhumatisme musculaire, il n'y avait aucun symptôme articulaire et l'un des deux malades présentait
cun symptôme articulaire et l'un des deux malades présentait divers symptômes spasmodiques et disait toujours qu'il était plu
9 juin 1897.) La céphalalgie est l'un des plus importants parmi les symptômes post-convulsifs de l'épilepsie ; elle ne manque
arquer que lorsqu'on parle des troubles de la conscience comme d'un symptôme essentiel de l'épilepsie, cela ne veut pas dire
l'épilepsie un désordre de la conscience, puisque c'est là le seul symptôme qui soit constant, et qui appartienne aussi bie
emment qu'on a un peu abandonné cette manière de voir. Le premier symptôme auquel il faut attacher une importance capitale
lent l'aura n'est autre chose que le début de l'attaque. - Un autre symptôme qui mérite une attention particulière c'est la
rveau antérieur sont fréquentes sans qu'on puisse y rattacher aucun symptôme particulier. La boule d'oedème pouvait n'être q
tantes et ne songent nulle- ment à se faire soigner. Néanmoins, ces symptômes présentent une certaine importance au double po
, qu'elle était atteinte d'une véritable ma- ladie mentale dont les symptômes , d'ordre purement émotif, n'ont jamais altéré e
ule maligne. - Formes cliniques de l'urémie. Patho- logie externe : Symptômes et diagnostic de la hernie étranglée. Mal de Po
l'après-midi, on le renouvelle, mais cette fois sans résultat. Les symptômes immédiats d'alcoolisme ne sont plus aussi évide
cognac après. Depuis quatre à cinq mois, C... présentait différents symptômes d'alcoolisme, il avait des cauchemars, des cram
que. Théoriquement le malade dès ce moment ne devrait plus avoir de symptômes morbides. En pratique il n'en est pas ainsi. Si
res de lait chaque jour. Mort le 10r octobre sans avoir présenté de symptômes nouveaux; la cachexie est complète. Températu
mie était en harmonie avec ces ' Fig. 13. 804 RECUEIL DE FAITS. symptômes (fla. 13). L'alimentation était réduite aux alime
llaire droit qui n'est que fort affaibli. Analyse fort complète des symptômes cérébelleux directs et des symptômes cérébelleu
i. Analyse fort complète des symptômes cérébelleux directs et des symptômes cérébelleux de voisinage entraînant l'auteur à co
ni phénomènes permettant de le soupçonner. Les pro- grès lents des symptômes montrent que la tumeur s'accroît lente- ment ;
pratiquée au début aurait inévitablement fait disparaître tous les symptômes de la paraplégie. G. D. REVUE DE PATHOLOGIE NER
ce qu'il a permis de poser un diagnostic précoce. D'autre part les symptômes sont tels qu'il est permis de croire à l'existe
e ou un état cachectique. Souvent, sinon toujours, cepen- dant, les symptômes nerveux se développent avant l'apparition ,des
développent avant l'apparition ,des signes d'anémie extrême. ' ' Symptômes : Comme symptôme initial, on constate d'ordinaire
l'apparition ,des signes d'anémie extrême. ' ' Symptômes : Comme symptôme initial, on constate d'ordinaire une paresthési
faiblesse des mêmes parties. Puis, un degré bien accentué d'ataxie, symptôme qui augmente avec la perte de la motilité. Souv
n constate le clonus du pied, si bien que le malade présente Iles symptômes de paraplégie ataxo-spasmodique. Plus tard, la sp
'. Au bout de quelques mois, les bras sont pris, et les premiers symptômes qui apparaissent sont : paresthésie, faiblesse, m
'apparition rapide, l'anémie, la faiblesse musculaire, l'absence de symptômes oculaires et de douleurs ful- gurantes, par l'e
es ventricules et l'espace sous arachnoïdien, et toutes amenant des symptômes semblables à ceux de la méningite vraie : 1°
aire consécutif à des trauma- tismes séreux de la tête, amenant des symptômes semblables à ceux de la méningite, durant 2 ou
rès menaçant, et en trois ou quatre jours tout se modifie, tous les symptômes s'améliorent et la convalescence arrive en quel
deur du cou, du dos et des extrémités ; secousses dans les muscles. Symptôme de Koenig quelquefois. Peau hyperesthésiée. Abd
tériologique du liquide céphalo-rachidien a toujours été négatif. Symptômes . - Symptômes d'irritation cérébrale : Céphalée,
e du liquide céphalo-rachidien a toujours été négatif. Symptômes. - Symptômes d'irritation cérébrale : Céphalée, délire, suiv
secousses. Fièvre quelquefois (un tiers des cas). Plusieurs de ces symptômes peuvent manquer et le diagnostic ne peut guère
ar la ponction lombaire. La forme chronique ; prend quelquefois les symptômes de tumeur cérébrale : Névrite optique, céphalée
ose dans cet article un cas détaillé de syringomyélie avec quelques symptômes nouveaux. Ces symptômes sont des (roubles oculo
cas détaillé de syringomyélie avec quelques symptômes nouveaux. Ces symptômes sont des (roubles oculo-pupillaires relevant de
l'astasie dans la partie postérieure de l'hémianopsie et qu'un des symptômes cons- tants sont les parésies croisées. Les a
indiquant l'existence d'une lésion de la voie pyramidale, est un symptôme de la plus haute importance pour différencier la
ent, par Hamsson Mettler, 76. ATHETOSE bilatérale avec quelques symptômes inaccoutumes, par CumpheH, 338. Atrophie. De
femme et ses critiques, par Crichton Biowne, 456. CATATONIE. Lts symptômes compli- qués de la -, par \\'urcester, 328. C
ité sur la-, par CapriaU, 311. Fractures du crâne avec quelques symptômes inusités, par Hollan- day, 7f. Arthropathie du
26 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
n de panaris, qui sont, par conséquent, consécutifs aux deux premiers symptômes mentionnés. La parésie et l'analgésie peuvent êtr
ent, occupons-nous seulement des cas types et étudions les principaux symptômes avec quelques détails. Tout d'abord, nous trouvon
même en présence de l'extinction, complète en apparence, de tous les symptômes , que la maladie est arrêtée. En effet, dans le ca
ler de lasyringomyélie.Celle-ci est caractérisée tout d'abord par des symptômes d'atrophie musculaire, notablement plus accentués
il faut s'attacher constamment à rechercher avec soin tous les autres symptômes possibles de la névrose et en particulier les sti
aques apoplectiformes et vertigineuses. Or, nous connaissons tous ces symptômes -là dans l'histoire de la sclérose multiloculaire
contrer cependant, à peu près au môme degré, chez les sujets où les symptômes habituels de paraplégie spasmodique avec trépidat
Oharcot* —Leçons du Mardi, tome II, 4 décembre 1888. Ce sont là des symptômes qu'il faut rapporter à un état neurasthénique car
el d'une zone hystérogène) et d'une vive céphalalgie frontale. Pas de symptômes neurasthéniques bien nets. Il était dans cet ét
pie, de parésie avec engourdissement d'un membre supérieur, etc., les symptômes oculaires seraient représentés par une paralysie
opie. Cette période a duré également environ un mois ; après quoi les symptômes paralytiques avaient disparu sans laisser de trac
xactement tous les caractères signalés à propos du premier accès. Les symptômes de paralysie oculo-motrice, qui se sont produits
uoi, la douleur ayant complètement cessé d'exister , sont apparus les symptômes paralytiques oculo-moteurs. Ceux-ci, aussi accent
ée ou non de vomissements et suivie d'une exacerbation temporaire des symptômes paralytiques oculo-moteurs. Tels sont les faits
des accès, surtout s'ils sont intenses, de longue durée et suivis de symptômes paralytiques durables, ces fluxions pourront lais
complet pendant laquelle tout était à l'état normal. Ni migraines, ni symptômes de paralysie oculaire. Le 28 janvier 1890, la m
peau. Refroidissement notable des parties atteintes. Evolution de co symptôme parallèlement à l'accident hystérique (paralysie,
ers phénomènes dont je viens de vous parler, toute une série d'autres symptômes qui nous ont justement permis de classer les prem
atteintes, quelquefois isolé, mais fréquemment aussi mêlé à d'autres symptômes d'hystérie locale tels que l'anesthésie, la paral
nt l'épidémie de grippe, au mois de janvier 1890, elle a présenté les symptômes d'une pseudo-tuberculose hystérique avec cracheme
llement question de compression survenue dans le bassin, bien que les symptômes cliniques soient absolument les mêmes. Enfin elle
e ce soit. Il ne présente aucun signe de diabète. Il n'a jamais eu de symptômes d'une affection cardiaque, jamais d'oedème des
des retours de sa maladie et pondant tout ce temps il en présente les symptômes absolument classiques. Puis un beau jour les souf
es de la cuisse ni de la fesse. — Pas de troubles trophiques. — Aucun symptôme de syringomyélie. Sensibilité au tact conservée
s pénible. C'est devant la persistance et l'exagération de ce dernier symptôme que la malade se présente à la consultation de la
zone cl'anes-thésie un peu paradoxale de notre malade ne serait qu'un symptôme de l'hystérie, et d'ailleurs l'association de l'h
paralysie douloureuse. Afin de procéder méthodiquement à l'étude des symptômes , nous avons admis le malade dans nos salles, et v
ttaque de colique néphrétique qu'il commença à ressentir les premiers symptômes du mal qui l'amène aujourd'hui devant nous. Il
té à ce diagnostic. A ce propos, permettez-moi de vous rappeler les symptômes que déterminent les lésions de la queue de cheval
que les rameaux iriens et ciliaires — ceux dont la lésion produit les symptômes de l'ophthalmoplégie interne — proviennent d'amas
Mais il est bon de savoir que cinq fois, alors que pendant la vie les symptômes de F ophthalmoplégie externe avaient été très man
almoplégie se compliquer à la longue, ou plus ou moins rapidement, de symptômes qui relèvent de la lésion des noyaux moteurs du b
voile du palais se paralysa ainsi que les muscles masticateurs. Aucun symptôme tabétique jusqu'à présent, aucune amyotrophie dan
troisième paire droite. Les pupilles étaient normales ; ni myosis, ni symptôme d'Ar-gill Robertson. Réaction lente à la lumière.
nsultation de M. Charcot. On note la paralysie oculaire. Pas d'autres symptômes . Pupilles peu sensibles à la lumière. Réflexes ro
de M. Charcot. Copie de l'entête de l'ordonnance : « Persistance des symptômes oculaires. De plus, depuis six semaines, une cert
matopsie. Pas de lésion du fond de l'œil. Au mois de mai 1890 : les symptômes étaient restés à peu près les mêmes. On ne consta
étaient restés à peu près les mêmes. On ne constatait pas de nouveaux symptômes bulbaires : pas d'accélération du pouls, pas de t
s à un degré beaucoup moins prononcé que l'atrophie musculaire et les symptômes de paralysie bulbaire supérieure. On ne saurait d
re fort peu accentuée et qu'elle n'atteigne que les cuisses. Mais les symptômes de paralysie labio-glosso-laryngée ont assez nota
uis trente ans. Il y quarante ans il eut un chancre mou, non suivi de symptômes secondaires. Il se maria dans la suite et eut plu
il nous fait connaître l'état du malade à son retour en Pologne. Les symptômes ophthalmoplégiques étaient à peu près les mêmes,
r toute erreur, si nous n'avions pas encore pour nous guider un autre symptôme capital de la sclérose latérale amyotrophique, l'
dans la polioencéphalite dans laquelle il n'existe au contraire aucun symptôme de la lésion des faisceaux pyramidaux. Il n'est p
physiologie pathologiques de la syringomyélie : lésions cavitaires ; symptômes extrinsèques (leucomyéliques) et intrinsèques (po
la sensibilité, troubles tro-phiques. Formes frustes et atypiques. Symptômes de la maladie de Morvan. Caractères des troubles
n de nouvelles autopsies, conduisent à constater que cliniquement les symptômes syringomyé-liques et ceux qu'on attribue à la mal
lie anormale, atypique et remarquable par la prédominance de certains symptômes , et en particulier de troubles trophiques, qui n'
xpérimentale, tantôt à l'anatomie et à la clinique, ce que seront ces symptômes ? Oui incontestablement, cela se peut faire jusqu'
i incontestablement, cela se peut faire jusqu'à un certain point. Les symptômes à prévoir seront de deux ordres : 1° intrinsèques
s'ils dépendent de l'extension des lésions aux faisceaux blancs. Les symptômes intrinsèques peuvent être dits poliomyéliques — a
ls consistent en de l'atrophie musculaire. Pour ce qui concerne les symptômes poliomyéliques postérieurs, on n'ignorait pas que
s choses sont à cet égard telles qu'on les avait supposées. Quant aux symptômes dits médians, il reste à leur actif les troubles
e, telle qu'elle a été donnée par les initiateurs en la matière. 1° Symptômes parétiques amyotrophiques. Il s'agit d'atrophie m
le remarquer, se compliquer d'hystérie ; la névrose ajoute alors ses symptômes propres à ceux de la maladie organique et c'est p
contre le plus communément dans la syringomyélie. Pour ce qui est des symptômes extrinsèques ou leucomyéliques, selon qu'ils repr
es, anormales, frustes, par dégradation du type, ou par adjonction de symptômes extrinsèques. Ces formes frustes et anormales n
vous le voyez, les troubles spéciaux de la sensibilité sont seuls les symptômes vraiment fixes, c'est le point de repère qui marq
accidents, et sans la présence de ce (1) Voir plus loin, n° XVII. symptôme , qui cependant, ainsi que nous l'avions relevé, n
en ce sens qu'ils aboutissent souvent à la mutilation.—Aux précédents symptômes se surajoutent assez fréquemment des arthropathie
ture des troubles de la sensibilité et la limitation monoplégique des symptômes , c'est d'un cas de syringomyélie monoplégique ave
ce qu'il s'agira de distinguer, se traduisant pendant la vie par des symptômes dépendant soit de la moelle, suivant les uns, soi
ésenté par un taux peu élevé et cependant la maladie s'accompagner de symptômes graves. Peut-être, dans ces 1 Rosenstein. — Ueb
omène connexe avec ce relèvement incontestable de l'état général, les symptômes capitaux du diabète ont notablement diminué d'int
mps que 80 à 90 grammes. Toutes ces modifications favorables dans les symptômes capitaux du diabète se constatent facilement sur
Pl. IV, fig. 5 et 6). Mais, Messieurs, ce ne sont pas seulement les symptômes du diabète lui-même qui ont subi des changements
ie faciale à la suite d'un autre traumatisme subi dans une attaque. — Symptômes d'alcoolisme. — Rôle de ces deux agents dans le d
e et que celle-ci ne diffère en rien d'essentiel, au point de vue des symptômes et du pronostic, de l'hystérie masculine détermin
son travail habituel, lorsque tout à coup après avoir ressenti les symptômes de l'aura céphalique : sifflements dans les oreil
diagnostic, mais il faut avouer que de prime abord la coexistence de symptômes oculaires d'un côté, et de troubles moteurs des m
n métier de boulanger. Trois années se passent, sans que le moindre symptôme vienne lui rappeler l'accident ; puis, tout à cou
se de Brühl)3 présente avec notre sujet des analogies frappantes. Les symptômes de la syringomyélie étaient apparus après un viol
odifications existent, mais elles y sont beaucoup moins marquées. Ces symptômes se rencontrent dans la syringomyélie; ils indique
ssociation syringomyélique que nous rencontrons, mais la dysesthésie, symptôme qui est 1 Charcot. — Leçons sur les Mal. du sys
la pupille en est plus petite, la face est aplatie du même côté. Ces symptômes ne sont pas exceptionnels dans la syringomyélie;
nesthésie partielle se rat dans l'hystérie. C'est assez dire que ce symptôme ne saurait caractériser à lui seul la syringomyél
calisation est en mesure d'expliquer cette association remarquable de symptômes , portant à la fois sur les fibres irido-di-latatr
dégénération descendante, de là cette répartition si particulière des symptômes : troubles sensitifs localisés à la moitié gauche
ns à distinguer entre toutes par la connaissance plus exacte de leurs symptômes ou de leurs lésions, celles, en un mot, que nous
anesthésie cutanée, plus ou moins prononcée, se montrait combinée aux symptômes classiques de l'atrophie musculaire progressive (
e une forme clinique en quelque sorte typique et caractérisée par des symptômes assez constants pour mériter, dans leur ensemble,
os s'étant représenté à nous, ces jours derniers, avec un ensemble de symptômes fort différent de celui qui avait été constaté à
mène unique d'une maladie spinale indéterminée, il s'est compliqué de symptômes divers, apparaissant les uns après les autres, à
tes les extrémités. D'autre part, elle se complique nécessairement de symptômes généraux qui font totalement défaut dans les prét
ance corrélative des troubles trophiques périphériques sur les autres symptômes de la maladie complète. Dans cette dernière hyp
s douter, que la gliomatose médullaire se traduit quelquefois par des symptômes bien différents de ceux qui permettent le plus so
et le champ visuel rétréci. Maintenant que vous connaissez tous les symptômes que présente ce malade, cherchez, si vous le pouv
la main droite. Mais, en réalité, ces phénomènes s'expliquent par un symptôme qui devra être étudié à part, par une hémihypoest
'agissait, dans l'espèce, d'épilepsie partielle isolée, libre de tout symptôme paralytique permanent et occasionnée par une plaq
l devine, sans pouvoir la lire, sa propre écriture. Voilà certes un symptôme cortical au premier chef. La cécité verbale recon
nale, cérébrale et cérébrospinale de la sclérose en plaques. Quelques symptômes rares ou anormaux de cette maladie. Lésions de la
papille du nerf optique; diagnostic avec la papille tabétique. Autres symptômes oculaires. Vertiges, attaques apoplectiformes. Mo
symptômes oculaires. Vertiges, attaques apoplectiformes. Mobilité des symptômes . Formes frustes par effacement. Formes atypique
tepas toujours cliniquement avec le cortège à peu près spécifique des symptômes que je vous faisais constater chez deux de nos ma
symptômes que je vous faisais constater chez deux de nos malades. Ces symptômes , vous disais-je, sont à la fois d'ordre céphaliqu
e la paraplégie spasmodique et le tremblement intentionnel. Quant aux symptômes bulbaires et cérébraux, quelque complexes qu'ils
rs. En pareil cas, la coexistence actuelle ou passée de quelqu'un des symptômes dits céphaliques, tels que : nystag-mus, diplopie
commun, et que, dans la sclérose en plaques comme dans le tabès, les symptômes oculaires peuvent être initiaux. A ce propos, M.
sur ce même sujet quelques points intéressants. 1° La mobilité des symptômes . 2° Les attaques apoplectiformes et les grands
t intentionnel des mains....., bref, un ou plusieurs des nombreux symptômes de la sclérose en plaques qui se seraient effacés
tiges, les ictus, la dysarthrie, le nystagmus, les rémissions.., tous symptômes qui n'appartiennent point à l'ataxie locomotrice.
variété « latérale amyotrophique ». — Voici certes une combinaison de symptômes bien singulière et bien inattendue. Son existence
veut que vous ne découvriez dans cette triple investigation aucun des symptômes qui appartiennent exclusivement à la sclérose m
présence nous explique les troubles présentés par notre malade ? Les symptômes relatés dans l'observation, la céphalée, les vomi
ts, dont la répétition, en dehors de toute cause, constituait déjà un symptôme morbide, se produisaient tantôt spontanément, la
e juge par les phénomènes prémonitoires de l'accès, par les signes et symptômes constitutifs de l'aura. Avant la crise, ou même
peau. Refroidissement notable des parties atteintes. Evolution de ce symptôme parallèlement à l'accident hystérique (paralysie,
physiologie pathologiques de la syringomyélie : lésions cavitaires ; symptômes extrinsèques (leucomyélique's) et intrinsèques (p
la sensibilité, troubles tro-phiques. Formes frustes et atypiques. Symptômes de la maladie de Morvan. Caractères des troubles
faciale à la suite d'un autre trauma tisme subi dans une attaque. — Symptômes d'alcoolisme. — Rôle de ces deux agents dans le d
nale, cérébrale et cérébrospinale de la sclérose en plaques. Quelques symptômes rares ou anormaux de cette maladie. Lésions de la
papille du nerf optique; diagnostic avec la papille tabétique. Autres symptômes oculaires. Vertiges, attaques apoplectiformes. Mo
symptômes oculaires. Vertiges, attaques apoplectiformes. Mobilité des symptômes . Formes frustes par effacement. Formes atypique
27 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ignale l'impossibilité de fermer isolément l'oeil du côté paralysé, symptôme que Simoneau (1877) remet en pleine valeur. Con
réquente qu'à Simoneau et Pugliese. Cepen- dant quand il existe, ce symptôme a une grande valeur. Mais il faut s'entourer de
le faire ou ne- le fait qu'avec beaucoup de difficulté. C'est là un symptôme qui nous a semblé avoir une certaine valeur. Cl
é avoir une certaine valeur. Clavey a de son côté relevé souvent ce symptôme . Enfin relevons que dans un cas nous avons obse
gine corti- cale et même trajet cérébral. Nous venons de voir les symptômes de la parésie du facial supérieur dans l'hémipl
accompagne la paralysie du facial. - Comment peut on expliquer ce symptôme . Pour M. Bris- saud le rétrécissement de la fen
des troubles du .sommeil, ce qui constitue parfois un des premiers symptômes ; le sommeil est douloureux, pénible, coupé par
de est ramené à l'hospice, le 30 juillet 1897, présentant les mêmes symptômes que la première fois, en exceptant pourtant les
ues, qui paraissent cette fois beaucoup moins accentués; les autres symptômes ; au contraire, bien plus accen- .tués. Ainsi,
epuis ce moment, son état mental devient anormal, en présentant les symptômes suivants : une agitation toute la nuit; elle ac
que deux fois ce phénomène; il croit pouvoir affirmer que c'est un symptôme constant et initial du tabès, qui, fait son app
onstatée jusqu'à la mort, dans tous les cas funestes, tandis que ce symptôme a dis- paru au bout de quelques jours, dans tou
oup plus prononcé dans celle-là que dans celui-ci. Les hydropisies, symptôme important du myxcedème, semblent rares dans la
'a été que de onze mois, y compris la période préparalytique. Les symptômes physiques ont dominé la scène : du côlé mental, i
tes. Le diagnostic n'en reste pas moins démontré par l'ensemble des symptômes , la marche de la maladie et la des- cription an
e motrice détermine le syndrome choréique. F. Boissier. XIII. Des symptômes précoces du tabès dorsal; par W. DE Bech- TEREW
ncore l'hémidrose d'apparence idiopathique qui n'est pour lui qu'un symptôme de dégénérescence ; observations à l'appui de B
Pratiquement, il im- porte de faire un diagnostic précoce. Certains symptômes s'ob- servent avec des tumeurs encéphaliques de
e à l'ophthalmoscope, s'observe environ dans 90 p. 100 des cas. Ces symptômes permettent de faire le diagnostic de tumeur enc
uste de cette maladie où l'incoordination motrice constitue le seul symptôme constant. Nosographiquement « elle se place eu
viation conjuguée de la tête et des yeux, le décubitus acutus, tous symptômes alarmants. L'auteur insiste ensuite sur le diag
agie cérébrale, mais qui sont différenciés par les antécédents, les symptômes prémoni- toires, les localisations précoces; le
et, l'auteur passe en revue avec beaucoup de détails les principaux symptômes de l'état neurasthé- nique vrai, insistant sur
e que par l'état du pouls, sur l'état mental, et montre comment ces symptômes se groupent parfois suivant des modes assez par
allaitement, etc. Si malgré toutes les précautions, surviennent des symptômes alarmants tels que le somnanbulisme nocturne, l
'appuyant sur un fait clinique, M. Gilles de la Tourelle décrit les symptômes du tic douloureux de la face, affection éminemm
de démorphinisation rapide l'auteur passe rapi- dement en revua les symptômes de l'intoxication par la morphine qui peut être
ue- ment la syphilis tigrée, il y a cliniquement un grand luxe de symptômes , le système cérébro-bulbaire ayant concurremment
considérations générales sur les causes et la nature du tabès, les symptômes cardinaux : crises douloureuses, troubles urinair
(Nord). En 1894, Biernacki1 appelait l'attention sur un nouveau symptôme qu'il avait observé dans le tabes, et qui consis-
par Biernaclci sous le nom d'anal- gésie du cubital au coude comme symptôme du tabès. Cramer2 considérant les rapports mult
éné- rale se propose de rechercher dans cette dernière maladie le symptôme de l'analgésie du cubital. - " Il croit que ce
aladie le symptôme de l'analgésie du cubital. - " Il croit que ce symptôme existe au moins chez les trois quarts des paral
rvice du Dr Moeli, dans le but de savoir au juste, si réellement le symptôme de l'analgésie ulnaire exis- tait aussi fréquem
e tabes, la paralysie générale et différentes névroses, a trouvé ce symptôme sans grande importauce dans ses recherches. L
it que les trois quarts des paralytiques, au moins, présentaient ce symptôme , tandis qu'il le croyait absent chez le plus gr
en chaque cas particulier, on est bien obligé de conclure : Qu'un symptôme aussi incertain ne peut avoir de valeur réelle
faite, nous admettons volontiers avec Cramer que : réuni à d'autres symptômes de paralysie générale, le signe de Biernacki po
somatiques. Ce qu'on peut dire, d'une façon générale, c'est que les symptômes qu'elles déterminent sont la somnolence et le c
existe deux classes de sensations de froid. , Dans la première, le symptôme n'est pas limité à certaines zones, mais dissém
ler l'appendicite. Début brusque, point douloureux de Mac Burnay, symptômes gastriques, etc.; de même des névralgies intercos
phates du bouillon ? Les sels de potasse entraîneraient surtout des symptômes absents dans la cachexie thyroïdienne. Quant aux
e thyroïde que ce qu'il leur en faut pour vivre sans présenter de symptômes pathologiques. Leur fait-on absorber continuellem
gramme d'iodolhyrine en comprimés. Au bout de ce laps de temps, les symptômes de la maladie de Basedow avaient diminué à tel
Son affection mentale était essentiellement caractérisée par des symptômes de mélancolie anxieuse avec exacerbation délirant
nt même davantage car, en raison de l'insigni- fiance apparente des symptômes , elles ne sont pas considérées, à l'origine, co
ourde hérédité nerveuse. Un début rapide, une intensité modérée des symptômes , une gué- rison en apparence subite indiquent u
imultané de l'estime de soi-même. Toutefois, il est certain que les symptômes de la masturbation, et ses résultats per- nicie
M. Klippel lui permettent de rapporter à des lésions distinctes les symptômes paralytiques et démentiels simples d'une part,
les symptômes paralytiques et démentiels simples d'une part, et les symptômes délirants d'autre part,ce que Baillarger presse
mps peut d'un syndrome fugace passer à l'encéphalite confirmée avec symptômes persistants. Avec les lésions spinales, les for
iora- tion apparut à la fin de la seconde semaine. Les principaux symptômes qu'il observa furent : début brusque, pas d'hér
avec la manie aiguë qui se reconnaît à la moins grande gravité des symptômes , à l'absence de fièvre, au caractère conscient du
este, si la lèpre est une maladie micro- bienne, ses lésions et ses symptômes primordiaux sont localisés dans le système nerv
die dans une série de paragraphes successifs le dia- gnostic et les symptômes à différents degrés de l'affection, les modific
s, les altérations intimes de la glande thyroïde et des tissus, les symptômes secon- daires et complications, hémorragies, et
lle a été décrite dans l'hystérie, la névrite et la myélite, est un symptôme de gravité importante. Deux diagrammes accompag
incurable. ' A son entrée à l'infirmerie royale il présentait les symptômes suivants : la tête était tournée vers la gauche
ffection débuterait vers l'adolescence (15 a 20 ans) ; les premiers symptômes seraient des douleurs dans les articulations de
à l'âge de 4 ans ; le sujet qui a actuellement 53 ans présente des symptômes à peu près identiques à ceux décrits par M. Marie
'utiliser par l'analogie frappante qui lui a paru exister entre les symptômes de cette affection et ceux des états myxoedé- m
deux affections. Au reste, tandis que la tendance au sommeil est le symptôme constant et caractéristique de l'hyp- nosie, el
segmentaires ; anesthesie kinesthésique des membres supérieurs, et symptômes d'amnésie rétro-antérograde. Sous l'in- fluence
urs, en même temps que disparaissaient, d'une manière complète, les symptômes d'amnésie. A. IENraoo. XXXIX. Paralysie facia
, syphilis, hérédité, chaleur, traumatisme; passe en revue certains symptômes ocu- laires, l'atrophie tabétique, etc., et ins
elle-même n'est pas déjà une condition psychique morbide et si, un symptôme étant simulé, la base morbide, l'hystérie, n'en
bides dans certains cas : c'est ce qui se présente souvent pour les symptômes paroxystiques. Mais en outre, en même temps q
pe à la sur- veillance administrative ; partout on est revenu de ce symptôme . Quant à placer des aliénés dans les hospices d
el ou de démence. Il faut que le bulletin spécifie l'un de ces deux symptômes . L'asile d'Etat n'est pas distingué du grand as
s ne sont pas de lui : l'impuissance est en effet l'un des premiers symptômes de la terrible démence. HIARCEL l3nr : nn. SOCI
erminales), et se répétaient jusqu'au dernier temps. Parmi d'autres symptômes en dehors de ceux de l'hystérie, on note un aba
yélie et s'arrête sur la valeur des panaris douloureux comme un des symptômes initiaux de la syringomyélie, pouvant précéder
tous les autres. Le fait de l'existence du panaris douloureux comme symptôme isolé, permet de croire qu'il existe dans la mo
transverses. Or. M. Minor avait parfaitement noté l'existence de ce symptôme au cours des myélites transverses dans son rapp
sion : M. Mouratow ne pense pas que le 1 ? malade D... présente des symptômes de myxoedème ; par contre, la 110 ma- lade S...
e, les idées délirantes religieuses peuvent encore s'observer comme symptômes d'états maniaques ; dans les états démentiels,
igne d'être signalé. La logorrhée, les fuites d'idées et les autres symptômes classiques ordinaires de ces états suffisent d'
devra se rappeler le vieux théomane de Calmeil qui, malgré de tels symptômes , put donner pendant vingt-cinq années une tradu
t ceux-ci, sont alors, le reflet, la copie plus ou moins exacte des symptômes cliniques essentiels de ceux-là. Il est diffici
atologie particulière. Nous ne voulons pas dire par là que tous les symptômes qui les composent n'appartien- nent qu'à elles,
osent n'appartien- nent qu'à elles, mais bien que certains de leurs symptômes ne se retrouvent pas habituellement ainsi dans
ômes ne se retrouvent pas habituellement ainsi dans les vésanies. Symptômes physiques. - Un des symptômes physiques qui fra
bituellement ainsi dans les vésanies. Symptômes physiques. - Un des symptômes physiques qui frappent le plus, par sa fréquenc
qui est également un signe de début à peu près constant. Un autre symptôme physique moins fréquent, sans doute, mais cepen
dineux et cutanés, très variables, mais plus souvent exagérés. Un symptôme assez caractéristique est le tremblement, sorte
es humeurs, souvent, comme nous l'avons vu, tout à fait probante. Symptômes psychiques. Les symptômes psychiques plus spéci
nous l'avons vu, tout à fait probante. Symptômes psychiques. Les symptômes psychiques plus spéciaux aux psychoses d'auto-i
es lui indique, elle les oublie aussitôt. Le dernier des principaux symptômes psychiques des psy- choses d'auto-intoxication
ous appelons l'oni- vrai dire, il s'agit plu tôt d'un état que d'un symptôme . Nous entendons par onirisme un état d'automati
i- nique des psychoses d'auto-intoxication. Devant l'ensemble des symptômes que nous venons d'énumérer, personne ne saurait
conclusions de ce travail qui résu. ment notre pensée : « 1° Les symptômes psychiques des délires infectieux et des délire
pu ainsi endormir un homme, qui n'avait jamais présenté le moindre symptôme d'hystérie, presque jusqu'aux phases ultimes de
caractéristique de l'auto-intoxication, s'ac- compagne d'emblée de symptômes vésaniques ; et ceux, plus fréquents, où le dél
er. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XLIV. Goitre exophtalmique avec symptôme oculaire unilatéral; par J. Huishelwood. (Briti
ans le cas d'Huishelwood la rétraction de la paupière supé- rieure ( symptôme de Stellwag) disparut tandis que le signe de Gr
d'une paralysie de toutes les branches du nerf facial du même côté. Symptômes bulbaires sans lésions respiratoires et circula
es bulbaires sans lésions respiratoires et circulatoires sérieuses. Symptômes psychiques. 3° Disproportion entre la dysarthri
issement concentrique du champ visuel. 4° Amélioration complète des symptômes moteurs, sauf un léger affaiblissement des musc
t, huit mois après la chute, aussi bien qu'avant la chute. Tous les symptômes du tabès avaient reculé sans disparaître. Con
ures; consti- pation. Pas d'éruption cutanée; ventre souple, pas de symptômes de dénutrition, l'alimentation, quoique irrégul
de soulever la tête, comme clouée sur son matelas. Toutefois, ces symptômes tendent à s'effacer de plus en plus et n'éclate
nature très différente, la confusion n'est manifestement pas ici le symptôme prédominant; bien plus, elle est loin d'être ab
tation cérébrale masquait en partie les troubles sensoriels, où les symptômes somatiques étaient assez marqués, où l'on notai
esdégétiérésl; en outre, 1-e H... aprésenté àplusieurs reprises des symptômes d'hystérie (somnambulisme, crises à forme de co
même côté de la blessure et hyperesthésie du côté opposé. De tels symptômes , provenant de la blessure en apparence unilatér
haut, ces organes ont fonctionné régulièrement. Tels ont été les symptômes qu'a présentés cette malade dans les deux premi
que se provoquait le clonus du pied; qu'avec le temps ce dernier symptôme , complètement disparu du côté droit, se mainten
malade, nous allons tâcher de donner quelques explications -sur les symptômes observés. Si nous acceptions la théorie primi
aisceau pyramidal. Avec de pareilles lésions, comment expliquer les symptômes observés ? Pour cela, il suffit de rappeler les
re prédécesseur dans ces mêmes études, rend parfaitement compte des symptômes observés chez cette malade dans le membre abdom
ie de Thomsen. R. Ciiaron. 362 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. .Lv,VII. Symptômes de myxoedème au début chez une femme anté- rieu
ées. Chez la malade qui fait l'objet de ce travail l'apparition des symptômes myxoedémateux, quelques mois après la guérison
de l'iodure et du mercure. A l'âge de quatre mois se montrèrent les symptômes d'une hydrocéphalie (augmen- tation du volume d
nsondables des maladies du cerveau et de la moelle. Il n'est pas un symptôme que vous n'ayez analysé, auquel vous n'ayez don
emment favorable à l'éclosion d'un délire systématisé qui en est le symptôme le plus fréquent mais non constant. En des term
ysionomie clinique variée qui s'associent d'habitude aux lésions et symptômes delà polynévrite et qui recon- naissent toujour
omme un roman vécu ce roman rêvé, et cependant il ne présente aucun symptôme d'hystérie. 2° La deuxième forme clinique est l
ées fixes observées au cours de la psychose polynévritique, que des symptômes du même genre se rencontrent dans l'alcoolisme
ychose polynévritique s'était mani- festée plusieurs mois avant les symptômes de pol névrite. Polyné- vrite et délire sont de
ant les symptômes de pol névrite. Polyné- vrite et délire sont deux symptômes non fatalement associés d'une même infection.
ue spécial, ce sont des psychoses infectieuses, elles ont les mêmes symptômes que les- délires de la lièvre typhoïde, etc.
après une attaque d'influenza, présentait, disait sa famille, des symptômes de paralysie. Le début de l'attaque d'influenza r
ur ses jambes ; elle se plaignait maintenant de ressentir les mêmes symptômes dans les membres supérieurs. L'attaque d'infl
'Argyll Robertson. Nous attirons l'attention sur la présence de ces symptômes , dont nous discuterons la valeur tout à l'heure
e n'est que dans les grandes inspirations que l'on constatait les symptômes indiqués par Duchenne (dépression de l'épigastre
uela sensibilité; cependant, on trouvait chez notre malade certains symptômes qui pouvaient faire penser à l'existence de l'a
ite diphtérique. Dans la névrite lépreuse, on retrouve certains des symptômes que nous avons signalés chez notre malade, tels
stence du tabes. En faveur du tabes, je me trouvais en présence des symptômes suivants : sensation d'engourdissement, de four
e d'Argyll Robertson, paralysie de la sixième paire, enfin certains symptômes du côté du pneumogastrique. En faveur de la név
entée, l'histoire de la distribution mélamérique ou segmentaire des symptômes nerveux ne parait pas achevée. Cette étude a pr
te étude a principalement et à peu près exclusivement porté sur les symptômes trophiques, comme les zonas et certaines der- m
sitifs, tels que les anesthésies, to- tales ou dissociées. Mais les symptômes moteurs ont été bien moins étudiés au point de
naire et surtout ganglionnaire trachée-bronchique, lorsque quelques symptômes cérébraux se montrent : tristesse, inertie, etc
ciale et bien originale ; ceci a d'autant plus d'importance que les symptômes cliniques de polynévrite peuvent souvent être t
la psychose polynévritique. Amélioration progressive de tous les symptômes somatiques et psychiques à partir du mois de nove
et incontinence d'urine. Au mois de novembre 1892, on constate des symptômes névritiques et des troubles psychiques caractér
. Il est intéressant à noter que dans plusieurs cas de Wernieke des symptômes polynévritiques ont été constatés à côté de ceu
comme un cas de syphilis cérébro-spinale, tant au point de vue des symptômes cliniques, qu'en raison du succès du trai- teme
ditaires, ce sont les troubles psychiques qui ouvrent la scène, les symptômes somatiques n'arrivent qu'en second lieu. Ainsi
qui se produit : au début et pendant des années, on cons- tate les symptômes somatiques ordinaires (pituites, pyrosis, ano-
re toujours ainsi. Car, ce n'est pas tant la simple notation de ces symptômes qui importe, que la détermination de leur mode
lirants systématiques; ou bien se mon- trant, accompagnées d'autres symptômes (anxiété, halluci- nations, sitiophobie, suicid
le quelque peu celui des délirants systématiques ordi- naires. Le symptôme le plus saillant de l'affection une fois cons-
, par le mode de début, les caractères du délire, l'absence de tout symptôme , somatique ou psy- chique, d'un état mélancoliq
asile d'aliénés ; un oncle, frère du père, a présenté également des symptômes d'aliénation mentale. Rien de particulier dans
térieur du sujet, le tableau clinique actuel, l'analyse précise des symptômes considérés en eux-mêmes et dans leur filiation,
sur l'existence de tel ou tel délire, mais sur l'ensemble total des symptômes , leur évolution, leurs rapports intrin- sèques,
puisqu'à aucun moment, même au début de la maladie, il n'y a eu de symptômes d'un état mélancolique. Il se manifeste au cont
tômes d'un état mélancolique. Il se manifeste au contraire comme un symptôme relevant de la folie systématique primitive à l
nant aux cas aigus. Si nous nous bornions à énumérer les différents symptômes que l'on peut rencontrer quand l'affection est
st nullement modifié ; les idées d'auto-accusation sont toujours le symptôme prédominant et même exclusif. Il n'y a pas de t
erses, de l'ouïe et de la vue, de caractère pénible. Ces différents symptômes déter- minenten générât une nnxiété réactionnel
s mixtes dans lesquelles les lésions orga- niques se compliquent de symptômes purement fonctionnels. Mutisme des enfants. C'e
isme, le seul qu'il nous a été donné d'observer, nous trouvons deux symptômes qui n'auraient pas existé dans les précédents.
ûs-duremérienne, elles ont produit dans tous les cas un ensemble de symptômes pathologiques très particuliers : les uns à for
nt très notable de l'énergie, faiblesse du sens musculaire. Par les symptômes particuliers de l'infection cérébro-spinale qu'il
sion au septième mois intrautérin. II. Jeune homme présentant des symptômes analogues, mort, hémisphère gauche déformé dans s
trois neurasthéniques graves nous avons pu retrouver un ensemble de symptômes qui justifient le titre de notre publication et
si l'on continue à administrer quotidiennement le poison, d'autres symptômes apparaissent dénotant des transformations plus
au-dessous du gyrus temporalis. Ces localisations expliquent les symptômes indiqués. On ne trouve que très peu de tubercules
uvait voyager ni en omnibus, ni en chemin de fer, sans éprouver les symptômes du mal de mer. Je l'avais traitée par la sugges
ellement au rire. Parla suggestion, il ne suffit pas d'atteindre le symptôme prépondérant ; il faut sur- tout s'occuper de l
thyroïdienne dans le traitement du - -, par \Veiller, 963. - avec symptôme oculaire unilatéral, par lluishelwood, 320. S
963. - avec symptôme oculaire unilatéral, par lluishelwood, 320. Symptômes de myscrtlème au dé- but chez une femme antérie
60. Les causes de l'ataxie dans le - dorsal, par Freukel, ou. Des symptômes TABLE AUTEURS ET DES DES COLLABORATEURS..1)12
28 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Raoult, dans sa thèse inaugurale, comptait, en 1877, au nombre des symptômes de la paralysie générale, l'atro- phie papillai
ir des malades qui, pendant quelques années, n'ont présenté comme symptôme unique que de l'affaiblissement puis de la pert
ip cite une observation où l'atrophie du nerf opti- que précède les symptômes mentaux. Magnan avait d'ailleurs déjà remarqué
névrites et d'atrophies optiques, consécutives au développement des symptômes psychiques. Après être revenu sur l'observation
11 Le malade devint aveugle plus de deux ans avant l'apparition des symptômes mentaux; 2° Les mêmes accidents oculaires se pr
on 1. Qu'il nous suffise de dire qu'ils présentaient la plupart des symptômes de la paralysie générale, qu'aucun n'était tabé
achop- pement syllabique ; réflexes exagérés. Athérome artériel. Symptômes oculaires. -Réflexe cornéen normal, inégalité pup
. Réflexe rotulien exagéré. Grande faiblesse musculaire. Gâtisme. Symptômes oculaires : Réflexe cornéen aboli, inégalité pupi
ment des mains. Réflexes rotuliens exagérés. Athérome artériel. / Symptômes oculaires. Abolition du réflexe cornéen. Inégalit
rrive directement .à la mélancolie par accentuation progressive des symptômes de l'obsession. - Cette transformation peut s
e, nettement délirante. Plus récemment, se sont manifestés d'autres symptômes : idées de persécution s'accompagnant d'interpr
psycho-motrice des délires de persécution, avec tout ce cortège de symptômes qui se résument dans un véritable dédoublement
es qui aboutissent au délire systématisé sont les états obsédants à symptômes sur- tout intellectuels, et celles qui versent
lles qui versent dans la mélancolie anxieuse, les états obsédants à symptômes surtout émotion- nels, c'est-à-dire les phobies
eut se demander s'il n'existe pas, dans tel ou tel cas donné, des symptômes de nature à faire craindre cette évolution. Les
néralement à n'envisager, dans l'obsession, qu'un certain groupe de symptômes directement reliés à la crise obsédante, et si
re de syndromes différents depuis qu'elle a su opposer aux divers symptômes des techniques appropriées. Si la rééducation m
éducation a dû varier ses procédés pour les approprier à chacun des symptômes qu'elle a à combattre. Il serait intéressant
des progrès lents mais régu- liers, lorsqu'on voit se modifier des symptômes tout à fait indépendants de l'influence psychiq
présenteront. On n'oubliera pas non plus de tenir grand compte des symptômes observés concurremment avec les troubles moteur
lle le succès ne dépend pas moins des qualités du médecin que des symptômes qu'il a à combattre. C'est pourquoi nous estimons
besoins de la clinique, aux symp- tômes et aux localisations de ces symptômes propres non seulement à chaque maladie, mais à
x ultérieurs, mais rappelons du moins ou signalons quelques-uns des symptômes qui comportent des conséquences pratiques intér
l a été étudié sous le nom d'hypotonie. L'hypotonie est en effet un symptôme ,des plus intéressants à notre point de vue ; il
r- 72 THÉRAPEUTIQUE. tant au point de vue pratique, c'est que ces symptômes , ainsi d'ailleurs que tous ceux qui ont été énu
ion du'traitement rééducateur des con- clusions pratiques. A chaque symptôme , suivant sa nature et ses localisations, doiven
n sur la valeur du résultat obtenu. Connaissant maintenant et les symptômes que l'on a à combattre et les moyens d'action q
p marquée, d'autres sont constituées par la coexistence de certains symptômes , arthropathies, fragilité osseuse, amaurose, tr
ts d'appréciation : ceux-ci sont basés avant tout sur l'analyse des symptômes observés, leur nature, leurs localisations et l
bilité profonde. Enfin les ' localisations propres à ces différents symptômes seront, elles aussi, prises en grande considéra
seul mode de traitement que nous puissions directement opposer au symptôme ataxie,les autres moyens thérapeutiques employés
ompter avec les tabes frustes qui ne se traduisent que par quelques symptômes discrets et n'évoluent pas, mais surtout nous a
stic de la maladie, or, il en est de même pour le plus grave de ses symptômes , pour l'ataxie. De nombreuses observations prou
mporaire de la réaction des pupilles à la suite de l'ivresse est un symptôme paralytique produit par le poison. On en ignore
erche anatomique nous manquent. Ce n'est pas étonnant, car, si le symptôme en question peut, pendant des années, précéder d'
litiques chez qui des injections intramusculaires déterminèrent des symptômes de névrite du sciatique avec douleur intense, c
x du service de M. Pierre Marie. Ils ont constaté l'existence de ce symptôme révélé par M. Babinski sur trois scléroses en p
iquent trois observations, suivies d'autopsies, dans lesquelles les symptômes ordinaires du 'jazz SOCIÉTÉS SAVANTES. tabès
ter à l'évolution de l'amyotrophie, dans ce même cas, il y a eu des symptômes de paralysie labio- glosso-laryngée (voie nason
hésie remontant jusqu'à la cinquième dorsale. Pas de douleurs ni de symptômes rondiculaires. Malgré le caractère flasque de l
t euphoriques. M. Lépinay. Il résulte de la discussion qu'avant les symptômes cliniques de la tuberculose, on peut observer d
ns lesquels l'élément auriculaire, s'il n'est pas toujours l'unique symptôme , domine du moins absolument la scène hystérique
té manifestement exercées contre des aliénés dont le délit était un symptôme de leur état d'aliénation mentale. Ce livre est
de l'oesophage (médecine et chirurgie) ; 20 Insuffisance hépatique ( symptômes et diagnostic). Mal perforant plantaire. Deux
tic). Mal perforant plantaire. Deuxième séance. Question sortie : Symptômes et diagnostic du goitre exophtalmique. - Questi
ranglée ombilicale ; 2° Diagnostic des céphalées, fistules anales : symptômes , diagnostic, traitement. Quatrième séance. Ques
purulentes : médecine et chirur- gie ; 2° méningite tuberculeuse : symptômes et diagnostic, fracture du maxillaire inférieur
omplications de la fièvre typhoïde. Questions restées dans l'urne : Symptômes et diagnostic de l'ulcère simple de l'estomac; et
iagnostic de l'ulcère simple de l'estomac; et plaies de l'abdomen ; Symptômes et diagnostic de la pleurésie aignë et étrangle
sychiatrie und neurologie. Berlin, 1902. BECMTEREW. Ueber objective symptôme localer hyperasthesie uiid anasthesie bei den t
e spéciale de neurasthénie (Kraepelin) (Régis) ; d'autres, comme un symptôme intellectuel de la pathologie générale, au même
e ni du siège, ni de la nature de l'affection et qu'elle indique le symptôme dominant. Elle est de Fajersztajn. (Voyez Archi
a mort a eu lieu subitement. L'asthénie avait alors rétrocédé ; des symptômes d'asphyxie se sont montrés. La répartition des
enti. par jour de thymus si l'on veut. P. IERAVAL. IX. Un nouveau symptôme de l'épilepsie ; par C. Ceci. (Centralbl. f. Ne
ement déterminé par la même cause que celle qui engendre les autres symptômes de l'épilepsie, et fournit un solide appui à la
né 186 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. l'amélioration immédiate des symptômes ; et son interruption, une rechute immédiate qui
e Thomas, les lésions sont disparates, ne peuvent pas expliquer les symptômes chimiques constatés et ne permettent pas de con
9). M. Lyonnet étudie les troubles gastriques qui accompagnent le symptôme aérophagie. L'aérophagie est constituée par la dé
M. Lyonnet, sont ici consécutifs à l'aérophagie qui n'est pas un symptôme concomiltant. Le diagnostic se fera par l'exame
à se réaliser. Le second cas est relatif à un homme présentant les symptômes de l'excitation maniaque. On aurait pu croire à
r la paralysie générale de l'al- coolisme chronique et constitue un symptôme pathogénomique des paralysies générales douteus
logie propre de l'affection primi- tivement médullaire, ils sont un symptôme tardif et probablement plus fréquent qu'on ne l
s de délire qui diffèrent tant, au point de vue de l'étiologie, des symptômes et du traitement. Si rationnellement il s'agi
es » ? Je ne le crois pas pour ma part, malgré le peu de fixité des symptômes de la marche, du pronostic et du traitement.
: sa femme interro- gée raconte qu'il avait présenté déjà quelques symptômes avant son opération. Quoi qu'il en soit, le mal
u plus peut-on se demander si l'opération, n'a pas fait éclater les symptômes cliniques jus- qu'alors latents. Les mêmes réfl
sent plus que d'autres aux vraies psychoses post-opératoires. Les symptômes de la psychose post-opératoire sont des plus va
riables. C'est en s'appuyant d'ailleurs sur cette variabilité des symptômes que quelques auteurs se refusent à grouper à pa
pratiquée. Ce sera l'oeuvre de l'avenir de déterminer d'avance les symptômes de chaque psychose, d'après les éléments précéd
s post-opératoires, augmente encore cette prétendue variabilité des symptômes . Nous en avons montré des exemples. Quoi qu'i
lèvres, etc. A son entrée dans le service, nous retrouvons tous les symptômes signalés dans le certificat de mélancolie anxie
dant véritablement une autonomie propre, affection dans laquelle le symptôme douleur tient sans doute une plus grande, place
l'hypersécrétion lacrymale et sous-maxillaire est décrite parmi les symptômes courants de l'affection. Mais si l'épiphora est
s à aucun moment de leur affection, les ma- lades n'ont présenté ce symptôme . Cette remarque ainsi que l'allure toute spécia
iellement son délire de perquisition ; une grande partie des autres symptômes lui sortent promptement de la mémoire. REVUE
te le cerveau d'une malade qui a succombé dans son service avec les symptômes d'une tumeur cérébrale. Les troubles avaient dé
is ce diagnostic, connaissant d'une part, la possibilité de pareils symptômes avec une lésion protubé- rantielle, et d'autre
attaques épileptiformes et une hémiplégie droite avec aphasie ; ces symptômes s'amendèrent mais reparurent quatre ans après et
endant ce laps de temps, aucune modifica- tion de la plaie et aucun symptôme de rétention du pus. L'infec- tion streptococci
que lent et progressif, fut compliqué de trois exacerbations des symptômes toutes les fois reproduits d'une manière stéréoty
De plus, au début des deux dernières exacerbations fut constaté un symptôme nouveau : la parésie passagère du droit externe.
ans, ayant contracté la syphilis, il y a dix-sept ans, présente des symptômes intermittents de tabes; ses réflexes rotuliens
abdominal inférieur est très faible. De l'analyse de ces différents symptômes , l'auteur croit devoir conclure à l'existence à
s dans ce travail, les réflexes rotuliens étaient exagérés et comme symptôme connexe le réflexe contralatéral. Il y a donc u
tait limité aux membres supérieurs et inférieurs droits. Les autres symptômes très nets ne permettaient pas d'infirmer le diagn
l'altération morbide intime du système nerveux, au point de vue des symptômes géné- raux et du traitement. A. M. L. L'adipo
t se compliquer d'une artériosclérose, et le tableau cli- nique des symptômes est donc modifié en ce sens; 6° dans quel- ques
sedowiens par suite de lésion expérimentale, mais chez lesquels les symptômes ont diminué ou sont disparus, on peut réveiller
ué ou sont disparus, on peut réveiller en totalité ou en partie ces symptômes en produisant une hyperthyroïdisation ; - 3° Ch
diminue ou fait disparaître la plus grande partie ou même tous les symptômes basedowiens {Revue neurologique, juillet 1902).
{Revue neurologique, oct. 1902). E. B. LYXI. Sclérose en plaques à symptômes transitoires et récidivants. Paralysie temporai
lution par poussées successives, avec rémission et rétrocession des symptômes , s'il n'est pas un fait nouveau dans l'histoire
succombé. Il a vu une autre femme, non alcoolique et présentant les symptômes du délirium tremens, et qui était atteinte uniq
qu'il est important de distinguer les symp- tômes hépato-rénaux des symptômes polynévritiques, M. Dupain a observé un cas de
- nectomie a été suivie rapieement de la dispartition de tous ces symptômes . Ce fait vient à l'appui de ceux publiés déjà par
ue. Ce cas permet donc d'affirmer que chez un malade présentant des symptômes neurasthéniques et SOCIÉTÉS SAVANTES. 295 ind
s, chez les individus atteints de folie morale, en particulier, les symptômes se succèdent ou se remplacent. Par exemple, le
onc, si l'on'parvient à les hypnotiser, on ne peut que supprimer un symptôme ; mais, à cause du terrain prédisposé, le champ
champ reste libre pour l'apparition et le développe- ment d'autres symptômes morbides. C'est donc une amélioration que l'on
état de marcher. Outre l'ataxie on pouvait noter chez le malade des symptômes de compression de certains nerfs crâniens, à sa
lésions organiques du système nerveux sont sou- vent compliquées de symptômes de caractère fonctionnel, l'auteur soumit le ma
rappelle que les tumeurs cérébelleuses peuvent exister sans aucuns symptômes , par exemple, les cholestéatomes. D' MOURATOFFi
ne comprend pas l'opinion de l'auteur sur l'am- nésie comme sur un symptôme en foyer. Les D" PRIBYTKOFF et VoRoBiErF ont au
a particularité du cas Il consiste dans l'amnésie antérograde comme symptôme d'une lésion en foyer, identique au trouble d'o
organiques. 3. Cours de maladie, caractérisé par l'in- constance de symptômes dans la période primordiale de la maladie et pa
es vomissements, la fièvre, les rêvasseries des paro- xysmes. A ces symptômes s'ajoutent des attaques soudaines de paralysie
de s'acquitter des obser- vances, la rapidité de l'atténuation des symptômes , l'égalité de durée entre la rémission demandée
mmoda fort. » Il est difficile de dire si l'affection que révèle ce symptôme fut la cause ou l'effet de ces émotions. En aoû
on, que l'opération n'est justifiée que dans les cas de gravité des symptômes et d'in- succès de tous les moyens usités aupar
on pas la guérison absolue, mais une amélioration. très marquée des symptômes intestinaux, amélioration qui a persisté au dir
omatiques au suicide, vague délire de satisfaction et de richesses, symptômes de névrite des membres inférieurs ». On const
es autres sont simple- ment esquissés. - . Il faut considérer comme symptômes cons- tants : la diminution de la sensibilité à
claire que l'anomalie sexuelle en question n'est qu'un des nombreux symptômes de dégéné- rescence psychique qu'on peut consta
la repousse ultérieure des cheveux et de trois dents, l'absence des symptômes tabétiques, le vitiligo et enfin la maladie psy
existe chez un malade nerveux, dégénéré. On sait, en effet, que ce symptôme peut exister dans la . neurasthénie et l'hystér
abes confirmés, elle a manqué une fois dans un signe d'Argyll comme symptôme isolé et unique. · M. Dupré l'a retrouvée 2 f
de Drestfeld, Polieus, Frend, etc.). Le développe- ment tardif des symptômes s'explique par les causes endogènes, comme dans
e gauche plus que sur la plante droite ; un clonus très marqué avec symptôme de Babinski du côté gauche. Le-fond de l'oeil e
côté droit. Le clonus de la plante peut être provoqué faci- lement. Symptôme de Babinski et de Schacller très accentués. La
va des oscilla- tions très marquées dans l'intensité des principaux symptômes : après de courtes rémissions survenaient des e
on des cantharides était suivie d'une amélioration très marquée des symptômes morbides principaux. On donnait au malade le na
ges pendant deux semaines, mais sans réapparition ultérieure de ces symptômes . Durant un an le malade était obligé de s'occu-
rvation aussi com- plet et aussi détaillé que possible, et où aucun symptôme n'est négligé ; un petit lexique explique les t
ntribué au faire connaître, M. Bour- neville met en relief l'un des symptômes de cette maladie : le mensonge. Un remarquabl
re et chez le même sujet. Il en est de même de la des- cription des symptômes accessoires. Nous ne suivrons pas les auteurs d
es auteurs dé- crivent quelques types morbides où le tic est un des symptômes BIBLIOGRAPHIE. 3'9-1 % importants, tels que l
tion de la névrose d'an- goisse. Elle est constituée par les grands symptômes sui- vants : Il Une irritabilité générale, qu
icité, le tableau clinique de la névrose d'angoisse. Ces différents symptômes énumé- rés peuvent se combiner entre eux divers
s que IIeclter, Kaan, Bouveret ont décrit l'an- goisse comme un des symptômes de la. neurasthénie; mais à cela Freud réplique
a mené une vie mondaine très agitée et très fatigante. les premiers symptômes se déclarent dans les conditions suivantes : un
ctions digestives se régularisenl. Le sommeil se rétablit. Tous les symptômes neurasthéniques s'amen- dent. Seul subsiste l'é
lusion, nous voyons dans ce cas évoluer d'une marche différente les symptômes asthéniques et les symptômes anxieux. Sous l'in
as évoluer d'une marche différente les symptômes asthéniques et les symptômes anxieux. Sous l'influence du traitement, la neu
'influence du traitement, la neurasthénie a guéri rapidement et ses symptômes ont disparu. Ceux de la névrose d'angoisse atte
nquiétude vague et sans motifs, oppression, anxiété. Peu à peu, ces symptômes augmentent. L'attente anxieuse, la crainte perp
e, ni céphalée, ni dyspepsie, ni dépres- sion cérébrale ; aucun des symptômes de la neurasthénie clas- sique, sauf de l'insom
412 CLINIQUE MENTALE. Moins de trois semaines plus tard, tous les symptômes anxieux avaient tout à fait disparu et Mme M...
isse. C'est moins par la description que par l'inter- prétation des symptômes que son opinion diffère de la nôtre. On peut do
feld. Ueber die 17e)-kiül)fung neurasthenischer uizd hysterisclcer Symptôme in Atifallsfo ? ,m zzebst Bt;m6)'AMKge< : uebe
complètement. En 1696 (soixante-deux ans) il présenta les premiers symptômes de la maladie dont il devait moutir. 1-1 le fra
tement exagéré dans les cas de vaginsme. Son absence peut être le symptôme d'une affection organique du cône médullaire et
llement applicable aux asiles. Les malades sont classés d'après les symptômes qu'ils présentent et catégorisés dans les diver
rovoquer le som- meil, car en obtenant le sommeil on évite bien des symptômes aigus. Les jours de pluie, il y a des malades q
n dépendance des causes variables; dans 1 cas, la manifestation des symptômes de la syphilis cérébrale influa d'une manière f
s appa- raissent non comme cause de la maladie donnée, mais comme symptôme accessoire simplement. Dans 5 cas, le symptôme co
e donnée, mais comme symptôme accessoire simplement. Dans 5 cas, le symptôme com- plexus des obsessions morbides a été const
l'obsession comme un état mixte, neuro-psycho- pathique et comme un symptôme : il y a des obsessions de dégé- nérés, d'alcoo
lace dans le début de la déchéance : on peut la considérer comme un symptôme . La grand'mère y voit une cause, et elle tient
est la grande simulatrice, cherchait par l'analyse minutieuse des symptômes à prouver que l'hystérie simule grossière- ment
nostic « en série morbide » permettant seul de vérifier si tous les symptômes observés sont justiciables de la même interprét
étiquetée cérébelleuse (Obs. CII : Psychothérapie) et dont certains symptômes , non des moindres, guérirent par les aimants :
et presque merveilleuse de voir une affec- « tion aussi grave, des symptômes aussi complexes, de la « titubation et un verti
son père et sa mère étaient tous deux de grands alcooliques. Les symptômes qu'il présente s'associent à un état mental parti
ion d'une femme de quarante et un ans qui présentait l'ensemble des symptômes que l'on trouve dans les sections complètes de
les formes anormales du tremblement dans la paralysie agitante, ce symptôme étant un des caractères pres- que essentiels de
e peut simuler la crise laryngée. Il faut donc analyser de près les symptômes avant de conclure à l'existence des crises lary
resque plus à discuter; c'est un accident parasyphilitique dont les symptômes peuvent rétrocéder grâce à un traitement intens
lesquelles il attire l'attention sur la rapidité avec laquelle les symptômes paralyti- ques ont succédé à l'accident initial
éminences thénar et hypothénar, interosseux et lembricaux avec ses symptômes cliniques; l'atro- phie respecte les avant-bras
vingt-cinq ans, l'autre de treize ans, présentent une myopa- thie à symptômes très accentués et généralisés, atrophie scléreuse
se demande s'il faut voir la de simples coincidences ou de nouveaux symptômes à signaler dans le type Charcot-Marie. R. C.
trouve tantôt la nais- sance à terme, l'aggravation progressive des symptômes , le début plusieurs années après la naissanse e
plusieurs années après la naissanse et encore l'adjonction d'autres symptômes ; nystagmus, parole spasmodique, ou l'absence des
lbaires, aplasie qui remonte même peut-être plus haut mais dont les symptômes (contracture, 538 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIO
urs avait été précédée par un oedème. 111. ARNAUD. Il s'agit d'un symptôme qu'on s'étonne de ne pas voir signalé partout e
trouve possible (1) d'instituer le tableau clinique, consistant en symptômes basilaires et accessoires, où en premier lieu il
-ataxiques, préalablement du côté du foyer ; d'admettre pour un tel symptôme complexus la lésion localisée de la moelle allo
P3r(ISSAUD présente une malade qui à plusieurs reprises eu tous les symptômes de la méningite, y compris le cri hydrencé- pha
n un cas analogue l'ablation d'un gros testicule fit rétrocéder les symptômes . Etude sur le phénomène des orteils (signe de B
r, 98. Epilepsie. Voir Assistance. -. Voir Assistance. Un nouveeu symptôme de l' , par Ceni, 181. L' cor- ticale, par Wa
hérédo-sypliilitique probable, par Carrier. 286. - en plaques à symptômes transitoires et récidi- vants. Paralysie tempor
29 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de la contracture, nous venons de dire comment on peut expliquer ce symptôme soit au début de la paralysie, soit dans ses ph
malade, si on l'étudie attenti- vement, est accompagnée de quelques symptômes qui n'appartiennent pas à la paralysie corlical
lirr). IV. ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES De l'analyse des symptômes , tels que nous les avons décrits et groupés da
u'il y ait d'objection faite à ce principe. . Le second groupe de symptômes (paralysies et sur- tout contractures) veut dir
t (de Montpellier), admettre que la contracture permanente est le symptôme de la lésion des cordons latéraux ». Que sont d
quée) : « En pathologie spinale, la contrac- ture permanente est le symptôme de la lésion des cor- dons latéraux » . 1 Art
certes discuter encore sur la physiologie pathologique plus fine du symptôme , se demander si ce n'est pas (comme l'admet auj
éresse, nous cliniciens qui voulons surtout apprendre à déduire des symptômes observés le siège probable de la lésion médulla
c sa valeur et nous pouvons dire que, dans le tabes combiné, si les symptômes du premier groupe font penser à une lésion des
dons latéraux. 11 est donc probable, d'après la seule analyse des symptômes physiologiquement interprétés , que la lésion d
atique est parfaitement nette et caractérisée par l'association des symptômes du tabès ataxique avec ceux du tabes spasmodiqu
ttre en rapport la topographie particulière de la lésion avec les symptômes spéciaux du cas. Ce serait fort intéressant, ma
clinique complète du tabes combiné. La description détaillée des symptômes , principaux et accessoires, l'histoire de la ma
néral : dans le tabes combiné, on élimine le tabes ataxique par les symptômes du tabes spasmo dique, et on élimine le tabes s
d'excitation motrice chez un malade pré- sentant, d'autre part, des symptômes d'ataxie locomo- trice feront penser au tabes c
ndiqueront aussi un tabes combiné. Je ne fais pas figurer ici les symptômes céphaliques parmi ceux qui peuvent servir à ce
tier. La considération des réflexes rotuliens est au contraire un symptôme qui, dans certains cas, aura une très grande im
Sans doute l'abolition des réflexes rotuliens coïncidant avec des symptômes de tabes spasmodique fera penser à un tabes com
bes combiné d'une myélite dif- fuse ordinaire, on se basera sur les symptômes des tabes en général. 1 Association française
élite diffuse tout est continu dans les lésions, et il n'y a pas de symptômes céphaliques ou même mésocéphaliques. Dans le
tie moyenne par une zone détruite. Il y a au contraire souvent des symptômes mésocéphaliques, et surtout céphaliques, qui, à
résentent ni symétrie ni continuité. Une plaque pourra donner des symptômes de tabes ataxique dans une jambe ; mais l'autre
ue. Symptomatiquement, il est caractérisé par l'associa- tion des symptômes du tabes ataxique .(douleurs ful- gurantes, ane
douleurs ful- gurantes, anesthésies, incoordination motrice), des symptômes du tabes spasmodique (paralysies ou pa- résies
tout contractures ou autres phénomènes d'excitation motrice) et des symptômes communs à tous les tabes (troubles céphaliques
éité manque absolu- ment. En attribuant ainsi à la même cause les symptômes Archives, t. XII. 4 50 Pathologie nerveuse.
ômes Archives, t. XII. 4 50 Pathologie nerveuse. moteurs et les symptômes soi-disant psychiques, je crois que nous sommes
ons à étudier les phénomènes, nous produisons un grand nombre des symptômes nouveaux. Voilà la cause pour laquelle il y a p
? 51 Cette circonstance prouve déjà qu'une très grande partie des symptômes est due à l'intervention de l'ex- périmentateur
'exemples, qui entre eux s'accordaient au moins pour les principaux symptômes tout à fait, et d'ailleurs, comme je viens de m
d., 1885, t. XXXIX.) Cette leçon est consacrée à la description deo symptômes , de l'évolution, des modes de terminaison et du
monoplégique à la suite d'une attaque et qui présenta les premiers symptômes de méningite consécutivement à un trau- matisme
, on réussit néanmoins par une observation minutieuse à déceler les symptômes frustes et, par suite, un ensemble psychopathiq
deux ans; modification intellectuelle depuis onze ans; les premiers symptômes d'épilepsie datent de quatre ans; ils sont suiv
ns la plupart des cas, cette amélioration commença dès les premiers symptômes typhiques, par conséquent, il y aurait lieu d'i
Il s'agit d'une femme de soixante et un ans qui présentait tous les symptômes classiques de la folie circulaire : alternatives
et atteint de manie aiguë; il est actuellement guéri. En dehors des symptômes ordi- naires de la manie il a présenté des trou
s paroles « ou à en diriger le sens. » R. M. C. XIV. SUR QUELQUES symptômes mentaux DES affections cérébrales ordinaires; p
e d'hémiplégie), dans les- quelles il a pu constater l'existence de symptômes mentaux. Dans ces quatre cas, les troubles inte
PATHOLOGIE MENTALE. 71 sont extrêmement rares avant la puberté. Les symptômes de la manie n'ont point été différents de ceux
. Le second cas est celui d'un homme de vingt ans, présentant les symptômes ordinaires de la démence, et entièiement gâteux q
n'était pas facile de savoir à quel genre on devait rat- tacher les symptômes qu'elle présentait. Elle avait eu du rhuma- tis
use. - 74 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. Si l'on passe en revue les symptômes , on note que lesphénomènes convulsifs étaient l
une apathie extrême, allant presque jusqu'à la torpeur. C'est là un symptôme mental que l'auteur dans un précédent mémoire,
tre, depuis quelques années, on tend à faire de la. masturbation un symptôme des troubles cérébraux bien plutôt qu'une cause
emblables aux précédentes, mais plus com- plexes en ce sens que des symptômes spéciaux (tels, les signes de dégénérescence) v
ctère général de la psychopathie qu'en ce qui a trait au détail des symptômes (espèces morbides); un ascendant atteint de fol
isait dans une chambre où il y avait une odeur d'amylnitrite. Les symptômes connus, tels que rougeur, chaleur de la tête, a
iques. Dans ces conditions, l'électricité débarrasse les aliénés de symptômes nerveux périphériques ayant une ori- gine centr
, l'électricité exerça réelle- ment une influence favorable sur les symptômes , notamment sur les sensations pathologiques; el
'effet obtenu a été médiocre. Dans tous les faits où l'existence de symptômes moteurs laissait supposer le tabes, le courant
courant continu a amélioré, au moins pour un temps, l'ensemble des symptômes nerveux et psychiques. P. K. 1 Voy. Archives de
ean, I gr. 25, eau de cannelle, 60 grammes. Le lendemain matin, les symptômes bulbaires ont L disparu; la motilité a reparu,
té, l'immo- bilité des pupilles à la lumière dans la syphilis et ce symptôme se combine de la manière la plus variée quant a
contre tout à fait isolément dans l'alcoolisme. La proportion de ce symptôme chez les aliénés non paralytiques, chez les tab
is ceut soixante- six paralytiques généraux, 47 p. 100 offraient le symptôme en question, et, sur mil trois cent vingt-cinq
iculier, chez les cérébraux syphilitiques : c'est peut-être le seul symptôme de l'affection. Il l'a observé deux fois à la sui
e fonda- mental du tableau morbide, on note fréquemment aussi des symptômes qui indiquent une lésion centrale, et, dans un ca
eau. C'est pourquoi la lésion siégeant à gauche ne détermina pas de symptômes ; elle en eût provoqué, si elle eût siégé à droi
nt sous forme d'hémia- nesthésie, mais elle n'en reste pas moins un symptôme de première importance pour le diagnostic de l'
teur corporelle et intellectuelle, on ne retrouvait plus les autres symptômes de la cachexie pachydermique. IDIOTIE AVEC CACH
st la troisième observation publiée sur l'idio- tie crétinoïde; les symptômes se rapportent exactement à la cachexie pachyder
sme et suicide. .Frère et sceur un peu arriérés. - Etat crétinoïde; symptômes de cachexie pachydermique. Gr... (Emile), né le
chain numéro, est au contraire un cas de myxoe- dème type, où aucun symptôme ne fait défaut. (A suivre.) Archives, t. XII.
cident, le malade est exa- miné à la Salpêtrière et on constate les symptômes suivants : .' monoplégie droite complète avec a
sation de boule rétro-sternale, constriction de la gorge, et autres symptômes manifestement hystériques. C'est à la suite d'u
dans ce cas, a un certain intérêt, c'est que, après disparition des symptômes ordinaires d'un assez grave mal de mer, vomisse
al de mer, vomissements et maux de tête, il reste encore quelques symptômes qui semblent indiquer une légère altération bien
érébelleuse, mais ce n'est pas un tabès commun; absence de tous les symptômes initiaux classiques malgré trois ans de durée,
postérieurs se succède assez régulièrement, et la palhogénie des symptômes cliniques en rapport avec eux présente un attrait
constater la parfaite intégrité. Pour juger de la localisation des symptômes du tabès à l'aide de faits précis et nouveaux,
nerveuses observées chez les chiens sacrifiés avant l'apparition de symptômes graves, ou morts à la suite d'un empoisonnement
'un empoisonnement unique accompagné d'une forlehémorrhai'ie. Les symptômes tardifs aboutissant au ramollissement en foyer
d'un ou de plusieurs des muscles droits ou obliques de l'oeil; ces symptômes , fréquents dans la série envisagée, ne s'observ
tabétiques non syphilitiques. L'auteur passe ensuite en revue les symptômes d'un Labes quelconque et leur fréquence, soit com
établir d'autres types cliniques à moins d'utiliser à cet effet les symptômes rares. En effet, alors même que tel ou tel des
effet les symptômes rares. En effet, alors même que tel ou tel des symptômes rares parait revêtir un autre caractère qui cha
nerf optique), on rencontre presque toujours simultanément certains symptômes cardinaux (douleurs lancinantes, absence de réf
- trice à laquelle il succomba sous ses yeux, il éprouve tous les symptômes subjectifs de la maladie. On le soigne comme véri
endant vingt-trois jours ; il s'en va guéri. Con- clusions : 1° Les symptômes (subjectifs) du tabès se sont, chez ce patient,
5.) Les lésions de la protubérance peuvent produire de nom- breux symptômes ; néanmoins le diagnostic se trouve relative- me
uelle, une tumeur occupant une grande partie du lobe frontal, les symptômes se rapprochèrent des accidents expérimentaux pro-
stic erroné de tumeur cérébrale. La constatation successive de ce symptôme , puis d'une hémianopsie homonyme latérale du mê
elation avec l'hypnotisme, mais des ictus rudimentaires, et que les symptômes cataleptiformes, observés au début, ont été ind
e la stupeur mélanco- lique très net, puis, soudain se montrent des symptômes d'une paralysie générale rapidement progressive
ons maintenant à deux observations du second groupe : début par des symptômes de paralysie générale, et plus lard calatouie t
le quoique pour le moment (le malade n'est pas mort) l'ensemble des symptômes rappelle au premier abord la catatonie. Remarqu
» catatoniques. M. EDFL. La rigidité catatonique des muscles est un symptôme qui se montre aussi en d'autres cas. M. Knech
83, E... se retrouve à l'hôpital de Moscou, mais avec de nou- veaux symptômes . Il est atteint de paraplégie et de rétention d
fussent paralysées alors. Le malade a quitté l'hôpital sans que les symptômes de paraplégie aient subi une modification quel-
attaques ner- veuses ; ce sont tantôt des convulsions, tantôt des symptômes de sténocardie, tantôt des paralysies, des réte
pressant sur la région de l'épigastre (point hystérogène) sont des symptômes appartenant exclusivement à l'hystérie. De même
ident de volonté pour les mouvements spontanés, l'instabilité des symptômes maladifs et les renseignements anamnestiques pa
es membres inférieurs. Néanmoins, il marche facilement , sans aucun symptôme d'ataxie, aussi bien les yeux ouverts que fermé
diagnostic : il est évi- dent. · Faisons maintenant un résumé des symptômes de l'hystérie chez les hommes, nous voyons qu'e
rigidité des muscles dans les mouvements volontaires appartient aux symptômes les plus opiniâtres qui cèdent fort difficileme
éfaut dans un certain nom- bre de cas de myxoedème. Tous les autres symptômes observés par M. Bouchaud sont bien ceux de l'id
Elise, quatre ans, admise en février 1881, présente un ensemble de symptômes qui rappellent la cachexie pachydermique, expre
té clinique de Londres comme étant celui d'un enfant présentant des symptômes ressemblant à ceux du myxoedème. Observation
ntellectuelles. Il s'agit d'une enfant de treize ans présentant des symptômes ressemblant à ceux du myxoedème. Jusqu'à l'âge
nérale de l'intelligence. Il nous paraît inutile d'insister sur les symptômes présentés par cet enfant qui sont ceux du myxoe
ressante n'ait pas été prise avec tout le soin désirable et que les symptômes du myxoedème n'aient pas attiré l'attention de
les objets brillants placés devant elle. M. Goodhart pense que les symptômes présentés par la malade sont suffisants pour ju
nce dès le troisième mois de l'opération; arrêt de développement et symptômes de cachexie pachydermique de plus en plus accen
oitre kystique, extirpation totale le 6 octobre 4880. En mars 1881, symptômes de cachexie pachydermique commençante, qui se d
ée, faiblesse de la mémoire, mains engourdies. En février 1883, les symptômes s'amendent, sauf pour la mémoire et la voix.
'abord améliorée à tel point qu'il était difficile de constater les symptômes du myxoedème, à ce que nous rapporte M. J.-M. R
s rapporte M. J.-M. Reverdin, présente à nouveau (octobre t886) des symptômes de cachexie pachydermique. IDIOTIE AVEC CACHE
yperplasique, extirpation totale le 31 mai 1882. - En février 4885, symptômes très marqués de cachexie pachydermique. 18° K
; rapide améliora- tion consécutive de l'état général. En nsss, les symptômes de la cachexie persistent. 27° Baumgartner. -
ntait en 1885, lors de la publication du travail de l'au- teur, les symptômes initiaux de la cachexie pachydermique. 1 Baumga
de vingt-six ans, opérée depuis quatre ans, présentait en 4885 des symptômes très graves myxoedémateux '. 33° Bruns. C'est l
- Femme de cinquante-deux ans, opérée il y a onze ans par Lister ; symptômes my.roedémateuæ très accentués ; l'intelligence
atre mois et demi i après l'opération, il présentait les principaux symptômes de la cachexie pachydermique. 3' ? ° Pictrzik
- Trois ans après l'examen de la malade permettait de constater des symptômes de cachexie pachydermique. 39° Baumgartner 5.
rri, 18S5, p. 61. 370 CLINIQUE NERVEUSE. pérature, etc., tous les symptômes enfin observés dans le myxoedème. On pouvait co
serait prématuré) entre les faits trouvés à l'autopsie et quelques symptômes obser- vés du vivant du sujet; nous avons pu co
artificiellement à une température élevée : M. Horsley rapporte les symptômes observés par lui à trois états successifs : 1°
es mentionner brièvement parce qu'elles expliquent suffisamment les symptômes obser- vés dans l'idiotie crétinoïde ou à la su
nivores (chiens et chats) qui succombent après avoir présenté des symptômes plus ou moins comparables à ceux qu'on observe
les résul- tats opératoires, les animaux succomberaient avec des symptômes rappelant l'empoisonnement par le phos- phore,
d'une certaine école à vouloir faire une entité morbide d'un simple symptôme épisodique. Lorsque la question du délire chron
s au point de vue du sommeil. M. FIIEUSBERG (de Sarreguemines). Des symptômes du côté du système locomoteur dans les psychose
s le délire fébrile. Le désordre dans les idées intellectuel a pour symptômes : une succession pressée d'idées passagères dan
e pièces sont nécessaires pour permettre de juger de l'existence du symptôme , car il est des fous systématiques qui sont 406
la hernie inguinale. Attaque d'épilepsie, fracture de la clavicule. Symptômes et diagnostic de la pleurésie aiguë. Fractures de
30 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
s empêche d'assimiler les stigmates, l'anesthésie, par exemple, aux symptômes accidentels. 1° Il y a toujours un événement pr
la nature du symp- tôme, en d'autres termes, le malade réalise son symptôme comme il le pense. Au contraire, nous trouvons
n. Mais nous croyons que ce n'est pas la formation naturelle de ces symptômes . Le plus souvent, ils ne sont pas accidentels m
pas guéries quand on leur a plus ou moins complètement supprimé un symptôme . La faiblesse de leur pensée subsiste et elles
ce de folie qu'en cherchant à grouper les phénomènes au-» tour d'un symptôme physique de cette maladie'. » Dans le même ouvr
iquer à tous les hys- tériques, c'est-à-dire pour contenir tous les symptômes que ces malades peuvent présenter et ensuite si
térie considérée comme une maladie mentale, résume- t-elle tous les symptômes de cette maladie ? Sans doute un grand nombre d
ractures, les chorées, les hyperesthésies, les anesthésies sont des symptômes moraux. Mais il existe d'autres accidents hysté
e au groupe des maladies mentales, nous n'oublions pas les nombreux symptômes organiques que l'on constate chez ces malades.
'hui la meilleure formule capable de résumer la grande majorité des symptômes hystériques- Considérons maintenant le problème
de l'hystérie qui est assez générale pour embrasser la plupart des symptômes connus n'est-elle pas maintenant trop large, ne
e s'appliquait d'abord qu'à des femmes présentant des douleurs, des symptômes relatifs aux organes génitaux et des attaques p
sque toujours chez des sujets présentant déjà tout un ensemble de symptômes appartenant à l'hystérie. Les magnétiseurs, qui-
7, développant l'enseignement de M. Charcot, ont énu- méré tous les symptômes hystériques que l'on rencontrait chez les somna
7. 10 Donkin, op. cil., p. 620. 20 REVUE GÉNÉRALE. semble de,, symptômes hystériques. ^L Charcot a donc eu rai- son de d
isme n'est. pas. seulement hystérique parce qu'il coïncide avec des symptômes hystériques;. en lui- même il présente de la fa
ne ne présentant (supposition presque contradictoire) aucun autre symptôme maladif, nous serions disposés à la déclarer hyst
f, nous serions disposés à la déclarer hysté- rique d'après ce seul symptôme qui résume à notre avis tous les autres. Nous n
sentent le plus souvent'chez des sujets 'qui présentent d'autres symptômes hystériques 'et, de plus, ces ''phénomènes- pré-
s fort nombreux sur les frontières de la folie, qui présentent, des symptômes en apparence très variés, mais ayant entre eux
erai même un peu plus affirmatif que ces auteurs, en disant que ces symptômes signalés par eux chez quelques hystériques, exi
ies au moins transitoires, des actes subcons- cients, en un mot des symptômes d'hystérie. Il existe même certains symptômes q
cients, en un mot des symptômes d'hystérie. Il existe même certains symptômes qui sont toujours communs aux deux caté- gories
s comme des stigmates de l'hys- térie. Ce sont, disaient-elles, des symptômes appartenant aux aliénés, qui caractérisent cert
ustesse d'une critique, n'avons-nous pas dit assez nettement que ce symptôme n'était pas toujours carac- téristique de l'hys
ur servir au diagnostic de l'hystérie et que, en un mot, c'était un symptôme banal appartenant à à beaucoup de maladies ment
tielle subsiste toujours. Il ne serait pas impossible de ranger les symptômes de ces malades deux par 1 Nous avons cependant
112, 231. ? 1· Il. REVUE GENERALE. deux, en montrant qu'à chaque symptôme hystérique corres- pond un symptôme psychasthén
deux, en montrant qu'à chaque symptôme hystérique corres- pond un symptôme psychasthénique, non pas identique, mais très a
ontraire plus large de beaucoup que l'hystérie; il comprendrait les symptômes hystériques parmi ses manifestations, mais il s
titue d'une manière particulière et se manifeste par l'ensemble des symptômes qu'on appelle l'hystérie. Le mot « hystérie » d
oupe considérable des maladies de dégénérescence, elle Il'a que des symptômes physiques assez vagues consistant surtout dans
ion générale de la nutrition, elle est surtout caractérisée par des symptômes moraux; le principal' est un affaiblissement de
aucoup plus dissociée, systématisée que la paralysie cérébrale. Les symptômes de la paralysie orga- nique se retrouvent comme
ie à manifestations exces- sives, ayant une tendance à produire ses symptômes avec la plus grande intensité possible. C'est u
ue c'est presque une gageure que de vouloir affirmer que tel ou tel symptôme ne se trouve pas dans l'hystérie, quand les rec
t de ses élèves y découvrent, on pourrait dire journelle- ment, des symptômes nouveaux qu'on n'avait point soupçonnés jusque-
pli- quent par le voisinage des centres lésés. L'hémianopsiememe, symptôme bien curieux et étranger à l'esprit non scientifi
tériques en donnent la preuve aussi bien que les anesthésies et les symptômes psychiques. IV. - Je tâcherai enfin de développ
blatt, n° 1 und : 3, 1893). Nous démontrons dans ce mémoire que les symptômes permanents de l'hystérie dite non traumatique s
s traumatiques. Mais nous donnons aussi la raison pour laquelle ces symptômes persistent et peuvent être guéris par un procéd
impression acquiert l'importance d'un trauma et devient la cause de symptômes permanents d'hystérie. L'impossibilité de l'éli
comptée comme une de plus. Il s'agit d'un homme ayant présenté les symptômes d'un néoplasme cérébral avec attaques d'épileps
halmie et l'auteur ne trouve à émettre que l'hypothèse suivante; ce symptôme serait dû à ia grande résistance dans la circul
r la poignée du sternum. En outre, on cons- tate toute une série de symptômes cérébraux et spinaux, tels que céphalée, indole
ique ont commencé au mois d'août 1890. Suivant le rapporteur, les symptômes spinaux s'expliquent par l'excitation ou la cOl
essemblant, par son action, à la cocaïne qui produit les principaux symptômes de la maladie de Graves. · Discussion. Cette
l'épilepsie, monographie complète et saisissante dans l'exposé des symptômes de cette terrible névrose. Dans un recueil arrê
stiques, par la longue période qui s'est écoulée entre le début des symptômes et l'apparition des troubles classiques de la s
pertrophique. Trépanation du canal rachidien. Amendement rapide des symptômes de contrat- tures. Mort au cinquième jour après
tableau clinique que j'avais sous les yeux s'écartait par plusieurs symptômes importants de celui que l'on est dans l'habitud
il est vrai que l'intervention chirurgicale a abrégé l'évolution de symptômes , mais, vu la gravité des phénomènes spastiques
n particulier la dissociation dite syringomyélique, ne sont pas des symptômes nécessaires de la syringomyélie. Pendant plus d
nesthésie; et si, à ce moment, je me suis fondé sur l'absence de ce symptôme pour rejeter l'idée d'une syringomyélie, j'ai e
ensibilité ont apparu, nous notons encore une anomalie ou plutôt un symptôme qui ne rentre pas dans le tableau clinique, tel
chez un malade atteint de tumeur extra-médullaire. La valeur de ce symptôme n'est donc pas aussi grande qu'on l'avait cru t
partie supérieure de la moelle; il n'y a eu, en particulier, aucun symptôme d'ataxie. L'absence des trou- bles trophiques e
fait remarquable; on tend en effet à admettre actuellement que ces symptômes sont sous la dépendance de lésions placées au v
urs, il est infiniment plus aisé d'établir la concordance entre les symptômes pré- sentés pendant la vie et les lésions const
ophique. , , , , J'ai fait remarquer la rapidité de l'évolution des symptômes chez mon malade et le contraste qui existera ce
transverse - .dorsale. Dans ,ce cas,.le diagnostic peut s'aider de, symptômes d'ordre secondaire soit coexistant' (comme, la
ésions spinales seules sont, insuffisantes pour expliquer tous. les symptômes qui trouvent leur raison dans la diffusion des,
la, température, n'est souvent pas en-rap- port avec la gravité des symptômes . Elleg peut revêtir des caractères qui lui donn
Pas de douleur; le genou droit est intact. ' Le malade présente des symptômes de tabes tels que : ataxie et incordin'ation; a
la résection. C'est surtout le cas de ceux qui s'ac- .compactent de symptômes nerveux légers. Comme M. Charcot l'a dit, l'art
nerveux légers. Comme M. Charcot l'a dit, l'arthropathie. est.1 un symptôme précoce de, l'ataxie locomo- trice.,Il insiste
ntre.1 ensuite, dans quelques considérations sur la différence.des. symptômes dans la chorée chronique, pro- ,gressive,et lés
144 REVUE DE PATHOLOGIE nerveuse. , Il ? , . I ' .1. t , XXVI. Du symptôme de DE GRAÆFE dans la' maladie de rBASEDOW ...I;
Deux observations à l'appui. Moebius, a raison quand il attribue ce symptôme à l'effort que fait le malade pour ouvrir l'oei
scles, du ^cou, et de l'épaule du côté non paralysé, constituent un symptôme remar- quable ; il fera peut-être pencher la ba
brusques 'et' aussi aigus'qu'inter- mitténts'el'passâgers. Autres' symptômes fièvre; tremblement pat- ¡ : Ïébrâ¡"m'èlÚ; t7th
très justement quel par l'hypnotisme ont peut supprimer certains symptômes ¡hystériques, mais "qu'on T ne guérit pas l'hysté
quelles il y avait non seulement une hérédité chargée mais même des symptômes antécédents de dégénérescence men- tale, ces pa
ie, comme aussi dans la dégénérescence. Suivant la prédominance des symptômes dans tel ou tel appareil, il distingue les form
de vue clinique, on rencontre dans tous ces cas le même ensemble de symptômes qui ne diffèrent qu'en intensité. La maladie re
n de contrôle aux expériences de mort immé- diate. D'autre part les symptômes de l'intoxication sont variables et ne reprodui
s. La première est celle d'une femme dont la ma- ladie présente les symptômes habituels et l'évolution du délire des persécut
sions et phéno- mènes d'arrêt. Puis, dans une deuxième période, ces symptômes se développent, il apparaît des hallucinations
adie évolue comme « une obsession qui devient une possession ». Ces symptômes peuvent toutefois appa- raître dès le début de
n de la personnalité se trouve en rapport avec un certain nombre de symptômes qui prennent alors un grand déve- loppement et
rés à l'étude de la fréquence et de l'importance diagnostique de ce symptôme de la paralysie géné- rale, l'orateur traite de
rébrale. Les 76 CLINIQUE NERVEUSE. troubles de l'équilibre et les symptômes oculaires sont loin d'être assez intenses pour
permettre de localiser le néoplasme dans le cervelet. L'absence de symptômes paralytiques, la douleur frontale, les troubles
niers, en général prédisposés, n'offrent la plupart du temps aucun symptôme qui les distingue des aliénés ordinaires. Les i
mitif, résultant de toutes pièces d'un trouble morbide, c'est là le symptôme cardinal de la paranoïa, cette exagération de l
ui comprennent aussi le délire chronique de Magnan. D'abord le seul symptôme est celui de l'exagération des relations du moi
le monde extérieur. Plus tard se développe le cor- tège des autres symptômes , d'une façon progressive. Finalement démence.
ire général très variable, très mobile, com- prenant aussi tous les symptômes du stade ultérieur mais à l'état passager. Grad
à l'appui offrant : 1°, le stade initial (délire général) ; - 2° le symptôme particulier de l'exagération des rap- ports du
l) Il s'agit d'une femme de soixante-quatre ans chez laquelle les symptômes choréiques firent leur apparition deux ans après
eux émotions déterminent, physiologiquement, deux ordres opposés de symptômes somatiques, et particulièrement des altérations
es modifications de la nutrition constituent le point de départ des symptômes de dépression mentale ou d'exal- tation mentale
rbation et au réveil des névroses mentales. R. M.-C. XXXVIII. Des symptômes DE la catatonie dans LE COURS DE la para- LYSIE
êche que la lésion de tels et tels cordons ne se tra- duise par des symptômes déterminés et par suite, qu'il ne soit pos- sib
ion combinée de plusieurs faisceaux- n'évolue en- pré- sentant les' symptômes de la myélite diffuse.-Tout le. monde sait qu'i
de sclérose pure- ment spinale en apparence, nous avons trouvé des symptômes qui nous ont conduit à la constatation de foyer
einte de cette ma- ladie depuis cinq ans et présentant en outre des symptômes de la maladie, c'est-à-dire du goitre, des palp
à fait exclusivement fonctionnelles, et il est douteux que tous les symptômes cérébraux, qui ne relèvent pas de lésions anato
ivant laquelle les doigts en « baguette de tambour , l'ensemble des symptômes décrits par Bamberger, l'ostéo-arthropathie pne
riations, mais jamais on n'a cons- taté de disparition complète;des symptômes .. Les signes caractéris- tiques de la maladie d
niques ou d'hÿstérô-neurasthéniqués qui^ indépendamment de tous les symptômes classiques des"deux névroses, 'paraissent. soum
un luxe de grimaces et de gestes appropriés à leurs discours. Les symptômes morbides sont tantôt ceux de la neurasthénie, t
es dyspeptiques, les troubles de l'appareil génital, etc., tous ces symptômes relèvent de la neurasthénie. A l'hystérie se
peu douteux que l'attention^ sympathique n'arrive à perpétuer lés symptômes . Les. malades sont toujours très nerveux, et il,
e l'oreille et du larynx. Ce malade avait pré- senté la plupart des symptômes de la sclérose en plaques et, de plus, un tremb
sclérose en plaques et, de plus, un tremblement des cordes vocales, symptôme décrit depuis quelques années comme à peu près
rier 1892. Archives, t. XXVI. 23 3ü4 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. des symptômes cliniques de la maladie et des lésions bulbo- p
rons à revenir plus loin, quand nous tenterons l'interprétation des symptômes sur cette intégrité absolue de la douzième pair
gies; mais sensibi- lité intacte et absence de troubles trophiques; symptômes bilatéraux et sensiblement symétriques pendant
e la maladie. Nous allons rapidement passer en revue les principaux symptômes et tenter leur interprétation. Cette revue sera
resse des membres supérieurs pouvaient être prévues a priori. Ces symptômes d'incoordination sont communs à toutes les lésion
démontré que la titubation et l'incoordination figurent au rang des symptômes les plus constants de l'atrophie cérébelleuse.
es de la coordi- nation, montre l'indépendance relative de ces deux^ symptômes . La même réflexion s'applique aux phénomènes do
fonctions motrices. Il nous reste maintenant à étudier une série de symptômes beaucoup moins communs dans la pathologie céréb
'à mettre sur sa voie. Or, nous avons rencontré quelques-uns de ces symptômes dans plusieurs observations de sclérose cérébel
ion des réflexes tendineux et les raideurs tétaniques, le premier symptôme noté dans les observations de Seppili, de Schultz
la Société analomique, une tumeur du cervelet qui avait provoqué ce symptôme . ' V. Prince. Boston med. Journal, 26 mai 92. T
s le trajet intrabulbaire du nerf. On peut se demander, puisque ces symptômes sont inconstants malgré leur fréquence, s'ils n
riété spéciale à l'écorce cérébelleuse. Dans cette revue rapide des symptômes de la sclérose céré- belleuse et des lésions bu
'ici connus, nous avons dû forcément passer sous silence un dernier symptôme inconnu jusqu'ici, très nettement mentionné dan
nales des maladies de l'oreille et du larynx, nous ratta- chions ce symptôme à la sclérose en plaques, et nous arri- vions m
'un long historique. Nous devons à Leube1 la première mention de ce symptôme . En décrivant trois cas de sclérose en plaques
es affections générales pour retrouver une description détaillée du symptôme et un essai d'interpré- tation de sa pathogénie
pendant le repos des cordes, en rai- son de sa coexistence avec les symptômes de la sclérose en plaques. Lôri l'assimile volo
tention de donner ici une interpré- tion pathogénique de ce nouveau symptôme , d'autant plus -que la diversité des affections
tremblement, le nystagmus, les troubles de la parole, bref tous les symptômes habituels de la sclérose en plaques : ordinaire
CUEIL DE FAITS. comme c'est le cas dans plusieurs observations, ces symptômes peuvent se présenter au grand complet, le fait
nts de l'affection cérébelleuse; or les plus connus, tels que les symptômes douloureux (céphalalgie, etc.), le vomissement,
r sur les difficultés de son diagnostic, et de faire connaître le symptôme nouveau révélé par l'examen laryngoscopique. RE
l'étendue des phénomènes convulsifs et la variété des formes et des symptômes dépendent de la diversité des centres envahis e
isse ou provoque de nouvelles idées de grandeurs. Cet ensemble de symptômes est dû. à un trouble de la circulation de la ly
et des suicides d'adultes, admettant a priori que le suicide est un symptôme d'aliénation mentale : cela est probablement vrai
s du temps, observée par le doc- teur Clouston. Lorsque, à ces deux symptômes , vient se joindre la précocité des hallucinatio
.). C. Relation des altérations anatomiques de la moelle avec les symptômes cliniques. Relation des parties des cordons posté
Relation des parties des cordons postérieurs lésés avec chacun des symptômes cliniques. C'est à la moelle seule qu'il convie
cliniques. C'est à la moelle seule qu'il convient de rattacher les symptômes du tabes. Mais on ne peut encore localiser avec
le de Parkside, et sans antécédents névropathiques : les principaux symptômes ont été les suivants : névralgie inlen-eà à gau
ment de la vue, avec affai- blissement de l'ouïe; ces deux derniers symptômes étaient passa- gers et se montraient surtout le
es ont été observés par le rapporteur. Chez la plupart les premiers symptômes de l'affection ont été des crampes aux mol- let
i sont'accompagnés parfois de vomissements sanguins, rappellent les symptômes de l'empoisonnement par le phosphore et pourraien
e de l'organisme par le virus blennorrhanique peut présenter divers symptômes cli- niques dont les uns se manifestent par le
s. Les modifications du champ visuel doivent être tenues pour des symptômes objectifs mais d'une objectivité relative, car po
dont les modifi- cations forment une transition naturelle entre les symptômes psy- chiques et les manifestations physiques.
s persécutés ordi- naires, ce sont les persécutés possédés. « Les symptômes les plus saillants de la maladie, disait l'un d
par des idées de possession. Tels sont, dans le fait suivant, les symptômes que nous voyons se placer au premier plan à une
'en repentiras. » ' Dès ce moment, elle a présenté quelques-uns des symptômes qui se sont développés plus tard : on l'anéanti
us de volonté. C'est que depuis deux ans sont apparus de nouveaux symptômes qui se sont accentués surtout depuis six mois e
mme ». Au point de vue somatique, la malade se plaint de quelques symptômes neurasthéniques : fatigue générale, courbature, e
qu'il nous semble inutile d'y revenir. Sans aucun doute de pareils symptômes ne sont pas rares au cours des délires habituel
e des idées délirantes à l'aide desquelles la malade interprète ces symptômes psychopathiques, ne laisse pas d'avoir une tein
urvenir qu'après une certaine période de maladie n'offrant guère de symptômes différents de ceux des délires de persécution h
re deux voies différentes. « Les uns regardent comme une faveur les symptômes de possession qu'ils accusaient précédemment. I
ritable délitée de négation systématisé, différant d'ailleurs comme symptômes et comme évolution des cas envisagés par Cotard
n de la personnalité se trouve en rapport avec un certain nombre de symptômes qui prennent alors un grand développement et di
érébrale, l'asthénie motrice, l'atonie gastro-intestinale, tous les symptômes cardinaux de la neurasthénie, elle les présentait
q à 1 . 1 , t que le néoplasme générateur de la syringomyehe et du symptôme ^ ...-,< .(.fi'ii-m . ? , .r ? .» v, >n *
s une irritation spéciale qui se propage d'une certaine manière. Le symptôme migraine, si fréquent en pareil cas, vient à l'
témoignent en faveur d'une méningite épidémique, alors que certains symptômes , non sans importance, permettaient de croire à
sur la psychose. La dose active varie suivant les individus et les symptômes ; elle oscille entre 0,50 et 4 grammes. Il exerce
nte-cinq pages se divise en quatre parties. La première a trait aux symptômes méningo-encépha- liques : céphalalgie, phénomèn
pages les bibliographie. 503 hypothèses faites jusqu'ici sur les symptômes médullaires (paraly- sies et actes réflexes). L
psie, cet état complexe et mal défini où l'on observe un mélange de symptômes qui tiennent à la fois de l'hystérie et de l'ép
sur la coexistence de la tuberculose pulmonaire. L'amélioration des symptômes ménin- gitiques à la suite d'une intoxication i
ain, 264. "" ", 1 1'1 . 'Ij ) f 'Idl zip BASED0w(Maladie de),du symptôme de Groefe'dans la ? par Bruns, ,144; contribu
H.' Snow; 395. Catalepsie, 93. 1 ? - r.I '1' 1 1, Catatonie,1 des symptômes 'de' ' dans le cours;> de ' la -paralysie
, pro- gressive à marche circulaire, par ", (3uddeberg, 1(ir; des symptôme ^ de la cacatçnie'dans la"'1/ géné- rale chez,
31 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
eurs anthropométriques de ce sujet. 20 BERTOLOTTI Diagnostic. Les symptômes cardinaux que présente cette malade sont des sy
gnostic. Les symptômes cardinaux que présente cette malade sont des symptômes cérébraux caractérisés parde la céphalée,des vomi
el signes de souffrance endocranienne générale, il faut ajouter des symptômes en foyer dépendants de la compression des nerfs o
l est de la plus haute importance de faire relever comment tous les symptômes de souffrance endo-crànienne de cette malade so
to-vertèbres caudales. Si nous passons actuellement à l'analyse des symptômes dystrophiques présentés par la malade,nous cons
t pour sa distribution très espacée (V. fig. 1). A cet ensemble des symptômes d'insuffisance pituitaire, il faut encore ajouter
syndrome nettement pathologique d'insuffisance pituitaire avec des symptômes cérébraux en foyer, avec de la céphalée, des vomi
. Ce signe a été trouvé par M. Babinski et indiqué par lui comme un symptôme différentiel entre le spasme et le tic. Selon nou
ux grands groupes. En premier lieu il y a des malades, chez qui les symptômes céré- braux s'annoncent d'une manière brutale,
décrits par Ormerod, par Homen et par Wilson. Tantôt-c'étaient les symptômes psychiques, tantôt les signes somatiques qui ou
e existait une tuberculose pulmonaire et où le délire était le seul symptôme d'une lésion des centres nerveux, l'intérêt est
centres nerveux. Cliniquement ces cas peuvent se manifester par des symptômes d'ordre psychique et somatique. En opposition
i 1913 qu'ont apparu pour la première fois, «liez notre malade, des symptômes d'asphyxie locale symétrique des extrémités. de
un léger état de boursouflure avec quelques petites phlyctènes. Ces symptômes n'ont été accompagnés d'aucune autre manifestat
rdinairement dans les maladies nerveuses, d'origine traumatique, le symptôme de Mannkopf. Le pouls a subitement disparu quan
nolence, ralentissement du pouls qui devient plus tard très labile. Symptômes de Mannkopf et d'Erben, grandes douleurs, diplo-
lexe rotulien droit plus vif que le gauche. Pendant la recherche du symptôme de Mannkopf le pouls diminue pour disparaître.
que insen- sible. La disparition du pouls pendant la recherche du symptôme de Mannkopf est certainement un indice objectif
té sain et le c4té atteint et le réflexe glutéal unilatéral, un des symptômes objectifs de la névrose traumatique. Nouvelle
eur appréciable. D'intelligence moyenne, ce sujet ne présente aucun symptôme parti- culier pouvant éveiller l'idée d'un trou
philes. Plusieurs cellules montrent des vacuoles et pos- sèdent des symptômes de désagrégation. Au milieu des cellules on trouv
de 31 ans, comptable-experte au Bureau du Trésor des Etats-Unis. Symptômes Elle ne peut se servitude son bras droit, car cha
sons, maux de tête qui l'o- bligent souvent à se mettre au lit. Ces symptômes sont, paraît-il, dus à un déplacement utérin.
lade avec les autres employés. Nul repos ne l'aurait guérie; et les symptômes auraient disparu de suite si elle avait pu mett
t même des tromperies qui apparaissent lorsque le malade décrit les symptômes qu'il éprouve. Il croit à ses propres assertion
es par l'épuisement, par une fatigue réelle capable d'engendrer des symptômes psychologiques secondaires, et aussi des cas d'
sychologiques secondaires, et aussi des cas d'incapacité liés à des symptômes résultant d'irritations réflexes. Deux cas, opp
se faire arracher la dent qui le faisait souffrir. Aussitôt tous les symptômes désagréables disparurent. t, Le malade déclar
ail esl la description et l'exposition iconographi- que de quelques symptômes objectifs appartenant au système nerveux périph
is nous devons mettre en évidence par tous les moyens possibles les symptômes par lesquels s'extériorisent les affections du sy
que que le central. C'est pourquoi on observe moins fréquemment des symptômes relevant de lésions de la moelle épinière que d
ésie de la main et par l'atrophie de quelque muscle interosseux. Le symptôme culminant de la lèpre nerveuse est t'anesthésie.
ie. Aussi décrit- on une forme de lèpre anesthésique. C'estaussi le symptôme qui apparaît le plus promptement, accompagné bi
l'anesthésie forme toujours la base sur laquelle reposent lous les symptômes sensitifs. Là où .il ya a des douleurs, lit où
courants électriques augmentent considérablement la douleur.- Les symptômes esthétiques gardent avec l'anesthésie des relatio
comme on le voit par les fig. 1, 7, 8, 10 et 11. Il existe alors ce symptôme inflammatoire vulgaire de la Fig. 6 ig. 7 F
e propre de la névrose consistant dans l'éta- blissement rapide des symptômes d'impotence et d'imesthésie, de leur aspect, et
autres névrites avec l'intention d'envisager les condi- tions de ce symptôme et son importance. On voit fréquemment des cas
ypoesthésie à son commencement. Cela serait déplorable parce que ce symptôme est de grande valeur diagnostique. Pour trouver
rce que ce sont celles qui, en général, accusent plus facilement le symptôme et aussi parce qu'elles sont les plus accessibl
sse, n'échappera à aucun individu sain. Les tabétiques qui ont le symptôme que je décris et qui conservent la sensibilité
ément. Mais il est très fréquent que les mêmes lésions et les mêmes symptômes disparus reparaissent de nouveau après un interva
g. De telle sorte que les malades qui avaientprésenté tel groupe de symptômes dans telle ou telle région souffrent ultérieureme
Il a des lépromes dans la peau des avant-bras et des mains. ' Les symptômes nerveux consistent en aneslhésie incomplète de la
ieures plus fréquemment que dans les autres maladies qui causent ce symptôme ; ceci parce que la polynévrite lépreuse est to
roubles moteurs qui existent chez le : labéliques où il y a le même symptôme sensitif. En effet : quand nous invitons un lépre
oubles cérébraux, el surtout ceux du cervelet, peuvent produire des symptômes labyrinlliiclues dus soit à la compression généra
endre par là que la névrite lépreuse absorbe l'immense majorité des symptômes trophoneurotiques. Nous sa- vons que la syringo
ns spinales, et les névrites de différentes origines produisent des symptômes analogues à ceux qui sont produits par la névrite
u e et par conséquent, des faits de physiologie pathologique et des symptômes sur les conditions spéciales desquelles j'ai pl
iré l'attention. Ainsi explique-t-elle très clairement que certains symptômes sensitifs, moteurs el. trophiques, sont limités
opportune de la vie. Je termine, pour le moment, l'exposition des symptômes produits par des altérations des nerfs, mais av
z voir que, chez nos malades, nous retrouverons intégrale- ment ces symptômes capitaux. Prenons d'abord F..., âgé de 25 ans, qu
ganglion. Il est possible que le rire et le pleurer spasmo- diques, symptômes que l'on a rencontrés dans les lésions atteignant
es du noyau rouge, on conçoit très bien aussi que la physionomie du symptôme puisse varier sensiblement selon le siège de la
tout n'est peut;être pas encore dit sur le déterminisme de certains symptômes hypopbysaires. Parallèlement à ces recherches
de manger et de boire. Ses excès alimentaires amènent une série de symptômes , flatulence, pesanteur ; augmentation de poids.
e (le malade pèse 98 kil. pour une taille de 1 m. 76), une série de symptômes dystrophiques d'une très grande netteté qui font
. Pas de déformation bien manifeste de la colonne vertébrale. Les symptômes acromégaliques que nous venons de décrire sont co
déformations acromégaliques de notre malade sont complétées par des symptômes d'hypertension intra-crânienne. La céphalée est t
un hyperhypophysaire total. Cependant il sa ut reconnaî- tre qu'aux symptômes purement acromégaliques s'ajoulent une tendance
il serait prématuré et même dangereux d'opposer l'un à l'autre des symptômes , qui vraisembla- blement ont tous deux une gran
de la conversion de Freud (2), par laquelle l'affeki détermine des symptômes somatiques, ce qui constitue le point le plus m
es centres nerveux. La différence est que nous connaissons bien les symptômes provoqués par les lésions de ces dernières régi
leret Pick, XXVII ils 274 VAN WOERKOM qui nous assurent que ces symptômes accompagnant parfois l'hémiplégie sont dus à la
ébrale en connexion avec les noyaux rouges peut provoquer les mêmes symptômes que l'affection du faisceau rubro-cérébelleux l
t que les lésions du corps strié seraient capables de provoquer des symptômes , qui parfois ne se distinguent guère de ceux ca
ation de cas où les lésions, même bilatérales, ne provoquent pas de symptômes manifestes. D'autres expliquent certains troubl
optiques sont sans altérations appréciables. En récapitulant les symptômes que montre notre malade, on se sou- vient de l'
ifficultés de l'innervation musculaire expliquent suffi- samment ce symptôme . Les mouvements alternatifs (de flexion et d'ex
ladie de Parkinson et de certains cas décrits sous l'étiquette de « symptôme du corps strié ». Observation Il. Le malade
s. La présence de ces phénomènes d'irritation n'exclut pas un autre symptôme : il y a une catalepsie très forte, même les po
trois mois après ces accidents auditifs, le malade éprouve d'autres symptômes : il est incapable d'apprécier les distances, cro
itre et demi de liquide clair. Cette pleurésie s'était accompagnée do symptômes importants d'imprégnation tuberculeuse, mais ja
1zis. Guérison. Ce long en-tète résumait l'évolution successive des symptômes présen- tés par la malade pendant plus de trois
ostic et suivre une marche progressive plus ou moins accidentée des symptômes et lésions médullaires pour aboutir à la vérifica
s, du côté gauche, com- pression représentée pendant la vie par ses symptômes classiques, débu- 310 0 RÉVILLIOD tant par le
cutés dans le mémoire de 1905 sous le titre de sclérose, etc. Ces symptômes et leur évolution sont du reste absolument les mê
andis que les faisceaux blancs se maintenaient intacts, de nouveaux symptômes apparurent, indiquant que la substance grise ce
e, il m'a étéimpossible d'attribuer à un état de psycho-névrose les symptômes observés ; il m'est dif- ficile d'admettre sur
pas du nervosisme en même temps. Mais je dois reconnaître dans lés symptômes actuels les restes d'une affection médullaire de
minué progressivement, la marche est devenue plus facile. Bref, les symptômes se sont régulièrement amendés, si bien que je n
tour graduel et progressif à l'état normal, par disparition de tous symptômes sensilivo-moteurs des extrémités inférieures et
e tableau, puis qui se diffusent d'un côté à l'autre, ainsi que les symptômes abdominaux, moins violents toutefois qu'en 1905.
qui a dis- paru complètement par le régime. Petit à petit tous les symptômes s'ac- centuent et après une longue agonie, sans
t des organes génitaux, un aspect de la peau rappelant le myxoedème symptômes produits par une tumeur de l'hypophyse. Après c
uand le processus débute avant la puberté), par la polyurie, et les symptômes de compression cérébrale. Pour faciliter l'ex
avec bien des détails et dont nous nous sommes beaucoup servi. Les symptômes cérébraux, quoique quelquefois absents, se manife
nfabulation, Wilzelsucht des Allemands, la démence. Quelquefois ces symptômes peu- vent constituer l'unique symptôme de la ma
la démence. Quelquefois ces symptômes peu- vent constituer l'unique symptôme de la maladie (Formanek, Laignel- Lavastine, et
von Frankl- Hochwarth se rencontreraient dans 60 0/0 des cas. Les symptômes en foyer sont caractérisés par des troubles de la
efois volumineuse, le maxillaire supérieur proé- minent. Un autre symptôme qu'on peut rencontrer souvent, c'est le diabète i
hypopi- tuilarisme. Passons maintenant à l'analyse des principaux symptômes rencontrés chez notre malade ; nous nous bornon
e vue mental la malade était une arriérée avec épilepsie. Parmi les symptômes cérébraux consécutifs à l'insuffisance expérimen-
glandes thyroïde et paralhyroïdes fraîchement préparé; lorsque les symptômes s'amélio- PATHOGÉNIE DE QUELQUES FORMES D'ÉPILE
dant longtemps, les malades furent complètement débarrassés de tout symptôme , on se contenta de n'en faire qu'une. Il semb
sembla, en même temps, que non seulement pour l'attaque, qui est le symptôme le plus important sans être le seul, on obtenait
ifférentes maladies, qui toutefois présentaient tou- jours d'autres symptômes , grâce auxquels on pouvait reconnaître le carac-
er toute une série d'affections, qui sont bien caractérisées par le symptôme n attaques épi- leptiformes », mais qui, quelqu
présenter pendant plusieurs années des attaques épileptiques comme symptôme unique. Pour toutes ces maladies, dans lesquell
tive de la maladie et, ainsi. de décider que, malgré la présence du symptôme « at- taques épileptiformes », il ne s'agissait
s peu nombreux, aucune valeur pour le diagnostic différentiel. Le symptôme de la papillite est peut-être un peu plus utile,
plupart des cas, il n'est pas possible de consta- ter de véritables symptômes de foyer ou autre indication précise d'épi- lep
es de foyer ou autre indication précise d'épi- lepsie cérébrale, Le symptôme de Babinski est encore beaucoup moins utile : c
é, on peut trouver, clans l'épilepsie essentielle, toutes sortes de symptômes de foyer et même des phénomènes hémiplégiques.
d'épilepsie essentielle. Dans ces cas d'épilepsie essentielle, sans symptômes de foyer préalables et sans affection cérébrale
a signalé, toutefois, des cas dans lesquels se sont manifestés ces symptômes d'épuisement déjà après quelques attaques seuleme
quelques cas de prédominance de l'usage de la main gauche, pour un symptôme hémisphérique : si les phénomènes épileptiques
ence constante, pendant et immé- i diatement après les attaques, de symptômes de foyer plus légers. Ils man- quent complèteme
s le cerveau un foyer plus ou moins localisé. Comme on le sait, ces symptômes de foyer, pen- dant el immédiatement après les
es unilatéraux avec réflexes augmentés, parésie légère, elc. Si ces symptômes se présentent toujours et dans toutes les attaq
: si l'on consta- tait dans une moitié du corps une augmentation de symptômes d'hyper- tension (réflexes augmentés, phénomène
fortement dilatées (hyperémie veineuse des méninges). ' ' Si les symptômes de foyer sont, pendant et immédiatement après l'a
nt sûr) nous laissent dans l'embarras pour les cas d'épilepsie sans symptômes de foyer et que, comme les phénomènes cliniques
urs reprises, à savoir que cliniquement l'épilepsie corticale (sans symptômes de foyer) ne peut être distinguée de l'épilepsie
après l'opération (établissement d'un volet dans la dure-mère), les symptômes d'épilepsie disparurent. C'est la preuve par- f
ne 378 1 BOLTEN nous aident en rien ; seulement, quand il y a des symptômes de foyer, nous avons une indication d'épilepsie
ans la plus grande majorité des cas d'épilepsie cérébrale, tous les symptômes de foyer font absolument défaut, de sorte que,
alisable, ou à ce qu'au moins l'hé- misphère atteint manifestât des symptômes de foyer. Et pourtant, il n'en est pas ainsi; i
ellement, dans de nombreux cas d'épilepsie traumatique, beaucoup de symptômes en foyer, mais dans un très grand nombre de cas
me tout au début). Le malade ne montre, dans les intervalles, aucun symptôme en foyer, ni le regard, ni le visage ne se tourne
et du visage, renseignements incertains. Dan; l'intervalle tous les symptômes en foyer font totalement défaut, pas de papillite
ent complètement à l'épilepsie essentielle et ne pré- sentent aucun symptôme en foyer quelconque appréciable. Mentionnons en
cas douteux.. Hystérie, un cas à diagnostic certain, deux cas avec symptômes pres- que uniquement unilatéraux, probablement
immédiatement de graves troubles du métabolisme. qui provoquent les symptômes de la tétanie ; si l'on enlève expérimenta- lem
es glandes parathyroïdes avait été enlevée, on constatait alors des symptômes tant d'épilepsie que de tétanie. Ces cas cliniq
déjà depuis de longues années et qui n'ont jamais montré le moindre symptôme de démence; ils appartenaient à la forme essent
étoires faciles ; la débilité de l'appareil gastl'o-intestinal avec symptômes du côté des organes creux de l'organisme, ayant
es de phénomènes vaso-moteurs. Babinski les a retirées du cadre des symptômes propres à l'hystérie. La neurasthénie, de n'imp
époque de la ménopause masculine, on les prend quelquefois pour des symptômes d'artério-sclérose et de syphilis, mais par un ex
32 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
» Suus l'influence d'un traitement hydrothérapique éner- gique, les symptômes s'amendèrent progressivement. Au mois d'avril 1
. A l'arrivée du malade, nous constatons chez lui trois ordres de symptômes , les uns témoignant de l'intoxication saturnine,
êne par- ticulière de la parole qu'on peut appeler bégayemeut. 1° Symptômes d'intoxication saturnine. - Actuellement, l'inlox
on soit en droit de rapporter à l'empoisonnement par le plomb. po Symptômes nYSréayuc,s. Ils consistent en troubles de la s
mble qu'il mâche du coton. 3° Troubles DE la parole, BÉGAYKMENT. Le symptôme qui attire tout d'abord l'attention, celui pour
es au contraire, la période d'aphasie a été tellement courte que ce symptôme aurait passé, pour ainsi dire inaperçu pour l'o
es mouvements anormaux s'abaisse environ des deux tiers. Voilà le symptôme . Qu'est-il et comment le classer ? D'abord, et
luriel) qu'un sens purement symptomatique. Je ramène, en effet, les symptômes constitués par des dépla- cements anormaux et i
ans chacune de ces classesj'éta- blis deux divisions suivant que le symptôme apparait exclusi- vement à l'occasion des mouve
étude des phéno- mènes postparalytiques', on voit facilement que le symptôme de notre malade rentre dans le quatrième type :
; par conséquent il n'appartient pas au type ataxie. C'est donc un symptôme du type chorée. Sur ce point, pas d'hésitation.
ctéristique : la contraction musculaire anormale qui cons- titue le symptôme est absolument brusque, subite et unique. 11 y
enham. Les mouvements involontaires im- pulsifs, qui constituent le symptôme , sont complexes, cadencés et se reproduisent su
cas du paramyoclonus; il l'en rapproche au contraire. Le deuxième symptôme , par contre, révèle une opposition ab- solue :
maine, sa soeur nous'le ramenait amélioré; huit jours après, tout symptôme parétique avait disparu. Dans la même maladie des
de la névrose tiqueuse. Il s'agit de l'exclamation involontaire. Ce symptôme , fort réduit dans l'espèce, est une des traduct
solennelles, les mots : « merde » et « foutu cochon ! 1 1, Voilà un symptôme bien curieux, dont notre malade n'a. pas encore
a présenté le degré le plus atténué, l'exclamation involontaire, le symptôme , qui, à l'état d'entière réalisation, explique
le sens devant vous, parce que notre malade n'a jamais présenté ce symptôme . Je n'insisterai pas non plus sur cet autre élé
parce que ce phénomène commence à rentrer dans un nouveau groupe de symptômes , dont nous allons maintenant parler, les stigma
le délire de l'ordre. « L'ordre poussé à l'extrême est pour nous un symptôme de déséquilibration mentale, une forme de neura
rencontrer de nouvelles. L'ob- session est la caractéristique de ce symptôme et elle peut s'exercer de bien des façons. Un m
n un mot, au même titre que la coprolalie ou les salutations, des symptômes souvent notés mais contingents. MALADIE DES TIC
ÉPARATIONS. « 67 sonnements criminels ou volontaires, on observeles symptômes d'une violente gastro-entérite et à l'autopsie
laires (strabisme, amaurose pré- ,coce), enfin contrastant avpc les symptômes précédents, intégrité remarquable de la sensibi
e M. Struem- pell. L'atteinte du facial des deux côtés constitue un symptôme rare. L'ataxie des extrémités inférieures que M
Psych. XXI, 1.) Il s'agit de deux observations dans lesquelles les symptômes psychiques de l'hystérie furent transmis de la
la femme au mari et du mari à la femme par contiguïté, sans que les symptômes moteurs de la maladie se développassent. La pre
x côtés, otite moyenne tuberculeuse ancienne. Ultérieurement, à ces symptômes s'ajoutèrent, parésie avec contracture des extr
re part il était persuadé que les accès et la paralysie étaient des symptômes Archives, t. XX. 6 82 revue d'anatomie ET DE
udes invétérées de mastur- bation. Pendant plusieurs mois, tous les symptômes subjectifs sont avantageusement combattus par d
7 98 REVUE d'anatomie et DE PHYSIOLOGIE pathologique. lorsque les symptômes se rapportent à la mélancolie. Dans les cas de
centres nerveux ; mais en ce qui touche l'atfection médullaire, les symptômes observés étaient surtout ceux de la paraplégie
le de l'équilibre lorsque les yeux élaient termes constituaient des symptômes de sclérose pos- térieure. 11 faut remarquer to
u diagnostic de sclérose des cordons posté- rieurs et latéraux; les symptômes ne manquaient pas pour révéler la propagation d
typhoïde a déjà été signalée : dans deux des cas de l'auteur les symptômes de manie se sont nettement et soudainement calmés
HOLOGIE MENTALE. 105 jours suivis de stupeur, on vit apparaître des symptômes d'aliéna- tion mentale qui, depuis, n'ont fait
re idéation lente, mémoire bonne ; manie aiguë succédant à d'autres symptômes nerveux ; embarras de ]a parole, - dys- phagie,
gu- lières ; urates amorphes dans les urines. Guérison rapide des symptômes mentaux ; guérison graduelle de la paralysie. 2
ation lente ; mémoire mauvaise ; manie aiguë succédant à d'autres symptômes nerveux ; embarras de la parole, aphasie ; parési
u- mine et sang dans l'urine ; oif intense. - Guérison rapide des symptômes mentaux ; guérison graduelle de la paralysie. C
les affections cérébrales et mentales, étudier l'enchaîne- ment des symptômes et rechercher la syphilis dans les anté- cédent
e, la suspecter surtout lorsqu'on est dérouté par l'incohérence des symptômes , et ne pas craindre enfin dans le doute, d'inst
vait duré au moins cinq, ans, à dater de la première apparition des symptômes ; dans les deux cas aussi, le retour à la santé
es. Tabagisme, paresse, nouveaux excès de boisson. Exacerbalion des symptômes , le malade dérai- sonne comme un aliéné; il est
ondriaque avec hallucinations sensorielles et idées de suicide. Les symptômes bulbaires furent constitués par cette mo- bilit
ide déchéance des facultés intellectuelles, de l'émaciation ; à ces symptômes se joignirent des accès de lièvre, si bien qu'en
ct d'inféoder le syn- drome en question à la syringomyélie, car les symptômes bulbo- spinaux en général, et ces troubles en p
re rentrer dans-le même cadre la maladie de Morvan. L'ana- lyse des symptômes est complétée des données expérimentales emprun
iques faites par' l'auteur sur la chorée molle. Il y montre que les symptômes paré- tiques s'associent assez souvent à la cho
onservation de la sensibilité au contact et du sens musculaire. Ses symptômes se divisent en intrinsèques et extrinsèques. Les
e. Ses symptômes se divisent en intrinsèques et extrinsèques. Les symptômes intrinsèques sont divisés en symptômes polymyé-
nsèques et extrinsèques. Les symptômes intrinsèques sont divisés en symptômes polymyé- litiques antérieurs, postérieurs et mé
les extrinsèques en leucomyélitiques latéraux et postérieurs. Les symptômes polymyélitiques antérieurs sont : 1° la thermo
vec les mêmes dispositions, rappelant celle de l'hystérie; ces deux symptômes sont au début méconnus par les malades ; 3° la
la sensibilité au contact et celle du sens musculaire ce sont deux symptômes négatifs importants pour le diagnostic d'avec l
fs importants pour le diagnostic d'avec l'ataxie locomotrice. Les symptômes polymyélitiques antérieurs sont : 1° l'affaibliss
brale, irrégularité pupillaire, rétraction du globe oculaire. Les symptômes leucomyélitiques latéraux se traduisent par la
enne et nerf pneumogastrique. Pour la question orale elle a été : « Symptômes et diagnostic de la rougeole; » < Calhéiiris
ement question de compression survenue dans le bassin, bien que les symptômes cliniques soient absolument les mêmes. Enfin el
ce soit. Il ne présente aucun signe de diabète. Il n'a jamais eu de symptômes d'une affection cardiaque, jamais d'oedème des
retours de sa maladie et pendant tout ce temps il en présente les symptômes absolument classiques. Puis un beau jour les so
ertains passages. Quant aux mouvements anormaux, qui constituent le symptôme prédominant, ils ont une prédilection particuli
irculation en retour. Je passe maintenant sur le détail de quelques symptômes , tels qu'un certain degré de parésie des lèvres
ntesté. Mais il faut,, dans le. cas actuel, prendre ce tremblement, symptôme primordial ? comme point de départ de la discus
s le cadre desquels rentrent habituellement toutes les formes de ce symptôme . On arrive à peu près toujours, en effet, à rap
le surlendemain sans prévenir personne, tout à fait débarrassée du symptôme gênant qui nous l'avait amenée, deux analyses s
ux est simplement fonctionnelle, et s'il n'existe pas, derrière les symptômes de la névrose, une lésion organique qui les pro
superposer chez un même sujet, apportant chacun le cortège de leurs symptômes respectifs. Les lésions organiques peuvent se d
en garde contre leur existence. Quels sont, chez notre malade, les symptômes qui pourraient faire croire à une lésion et, si
trop peu . nombreuses et trop incomplètes, l'analyse clinique des symptômes fait défaut dans la plupart des cas, les autops
urs jours, ou même quel- ques semaines après la phase asphyxique. Symptômes . - Nous avons relevé avec soin dans les auteurs
légies, il y a, de l'une à l'autre, aussi bien dans la na- ture des symptômes que dans leur évolution, les plus grandes diffé
. Bourru ' a signalé une névralgie sciatique très tenace comme seul symptôme consécutif à l'in- toxication oxycarbonée. Bi
LA VAPEUR DE CHARBON 2'17 'i n'a pas été noté. L'anesthésie est le symptôme le plus ordinaire. Notons, avec Brissaud, qu'el
lé aussi l'apparition d'un pemphigus généralisé coïncidant avec des symptômes de paralysie, d'un zona se montrant sur le traj
en 1857, faisait, l'autopsie d'un individu qui avait présenté des symptômes de paralysie ascendante aiguë. Le cerveau et la
il semble qu'il s'agisse non point d'une hémiplégie vulgaire où ce symptôme est inconnu, mais d'une pa- ralysie par altérat
nt la même cause. On peut se demander si la congestion cérébrale, symptôme si fréquent de l'intoxication oxy- carbonée, ne
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. protéiforme de l'innervation' est un symptôme de paralysie géné- rale; Il est bien plus fréqu
ychoses chroniques avancées de nature simple. P. K. 4 XXXVII. DES symptômes hystériformes dans LES affections SYPHILI- TIQU
(Centralbl. f. Nerven- heilk, 1888.) La fantaisie multicolore de symptômes éphémères indiquait dans l'espèce une hystérie;
unilatérale; parj. FLtIEDL.ENDER. (Central, f. Nerv. 1886.) Trois symptômes cardinaux : hypéridrose exagérée de la moitié d
des troubles du sympa- thique cervical. L'existence concomitante de symptômes d'excita- tion et de symptômes de paralysie pro
ervical. L'existence concomitante de symptômes d'excita- tion et de symptômes de paralysie prouve que ce nerf contient et des
disparition de ces réflexes tendineux ; elle constitue en fomme un symptôme de transition entre l'état normal et la totale
ons postérieurs. Névrite optique du côté droit. P. K. XXX VI 1 LE SYMPTÔME DE LA CONFUSION DES PERSONNES CHEZ LES ALIÉNÉS ;
connaître les personnes de son entourage, telle est la question. Ce symptôme est tout aussi fréquent chez le mélancolique qu
e début de la para- lysie générale, dont elle ne serait alors qu'un symptôme . M. Charpentier a été frappé de la fréquence de
r à la malade la plupart de ses convictions et l'interprétation des symptômes dont elle souffre par une obsession spirite.
Sortie à ce moment, reprise par sa famille. Du côté physique, deux symptômes dès l'entrée avaient attiré l'attention, une sa
un aspect terrifié, et la fréquence du pouls qui battait 152... Les symptômes s'étaient très amendés par la courte rémission
parallélisme avec les troubles délirants et le peu d'intensité des symptômes physiques pouvaient les faire mettre sur le com
ès probable : mais dans les cas frustes, il faut trouver le plus de symptômes pos- sible. Il n'y avait pas de goitre, le trem
ur et restait couverte, etc... Seul, l'examen électrique a donné un symptôme à l'appui des deux premiers, la diminution de l
ôt le sténogramme de l'interrogation des malades, de l'analyse du symptôme , du groupement par le professeur des éléments mor
l'existence de cette névrose ; au deuxième groupe appartiennent les symptômes et syndromes qui sont communs à l'hystérie et à
divers cas, et il suffit de lire avec attention la description des symptômes pré- 'Je ferai remarquer du reste qu'il résulte
ion de çonstriction dans la gorge, constituent, par leur union, des symptômes d'attaques hystériques frustes. Or il nous semb
aque malade, sans entrer dans les détails concernant les au- tres symptômes de la maladie, ceux-ci, n'ayant que peu d'impor
hercher les rapports entre les phénomènes psycho-physiques et les symptômes cliniques dans les différentes maladies des cen
aminé aussi la polyopie monoculaire et la micro -mégalopsie, deux symptômes , qui, d'après M. Parinaud accompagnent presque
s cependant que nous avons constaté une certaine in- constance de symptômes et pour des raisons faciles à comprendre chez l
atta- cher au début de nos recherches une grande importance à ce symptôme que nous crûmes être de grande valeur pour le d
ion réciproque entre les deux fac- teurs précités constitue tout un symptôme , qui n'est pas sans valeur pathognomonique pour
nique pour certaines affec- tions, et que nous proposons dénommer « symptôme de relation ». Ce symptôme divise la série tout
tions, et que nous proposons dénommer « symptôme de relation ». Ce symptôme divise la série toute entière de troubles visue
celte différence est de plus frappante pour ce qui con- cerne le symptôme de relation. 'randis que les pre- miers, après
me de Snel- ien la plus fine. On voit de là toute l'importance du symptôme de relation pour le diagnostic différentiel de
rie et dans l'ataxie locomo trice progressive. Nous pouvons donc au symptôme diffé- rentiel déjà connu de l'amblyopie typiqu
s à savoir : « la dl/schJ'omatoP ? ie » en ajouter un nouveau, « le symptôme de relation », qui, d'après nos recherches, par
comporte vis-à-vis de la per- ceptibilité différentielle ajoute un symptôme de plus au diagnostic différentiel des troubles
lui montait à la gorge. Cette somnambule la guérit, mais les mêmes symptômes reparu- rent plus tard et elle fut traitée par
our coudre, qu'une série de mouvements incoordonnés. Voici donc des symptômes qui nous indiquent combien la lésion de la mémo
dans leurs réactions aux exci- tants périphériques, montraient les symptômes déjà décrits. La lumière la plus brillante cepe
, il la retirait brusquement et essayait de mordre en colère. Les symptômes présentés par ce chien et un autre semblable- m
que la destruction des lobes anté- rieurs seulement produisait les symptômes d'une profonde démence. Quoique les animaux éta
pas une uni- formité constante entre le sièpe de la maladie et les symptômes observés. La difficulté de distinguer les effet
LOGIE PATHOLOGIQUE. en faveur de son idée particulière que tous les symptômes de ma- ladie cérébrale sont dus à quelque influ
sité extraordinaire du siège des lésions accompagnées par les mêmes symptômes . On verra par exemple que, quoique les lésions
relatifs; ceux dont la lésion produit seulement fréquemment le même symptôme . Cette distinction me semble n'avoir aucune val
. II) ainsi que de l'agraphie amnésique d'ordre optique. Ce dernier symptôme est caractérisé par : l'impossibilité d'écrire
s produites par la sénilité; 3° celui des psychoses organiques avec symptômes somatiques surtout céré- braux. Dans le premier
lysie générale. L'auteur fait remarquer dans l'espèce l'absence des symptômes qu'on a l'habitude de rattacher il la des- truc
lysie alcoolique s'accompagne généralement d'aliénation mentale. Le symptôme débute par une amnésie simple qui, lorsque l'év
tré, il y a 8 mois, à la maison de Charenton, pré- sentant tous les symptômes de la paralysie générale..., sauf cette bienvei
ce qn'il faut en- tendre par-, par : \Ioebius, 2'il Hystériforme, symptômes - dans la svphvlis cérébrale, par MOI'aw- sil
en, 441. Pulu.l.n«rs, interprétation des 472 TABLE DES MATIÈRES symptômes par Heddoeus, 76 ; forme spéciale de troubles
ue, 110; et paralysie générale, par Thornsen, par Zichen, 251 ; - symptômes hystériformes dans la - cérébrale, par Moraws
IQLG dans la dé- mence primitive, par Stewart, 101. Tabès dorsal, symptômes auricu- laires, laryngés et pharyngés dans le
33 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
es,aucun résultat positif; les maladies du conarium donnaient comme symptôme permanent une douleur opi- niâtre dans l'occipu
nction de la sclérose du faisceau, pyramidal. La contracture est un symptôme contingent et non pas un symptôme nécessaire de l
pyramidal. La contracture est un symptôme contingent et non pas un symptôme nécessaire de la dégénérescence du faisceau pyr
que pendant plusieurs semaines les lésions cérébrales ajoutent aux symptômes de déficit des phénomènes collatéraux d'inhibitio
lles la survie a été suffisante pour réduire la symptomatologie aux symptômes de déficit. 44 LONG à cause du trajet converg
ire du membre inférieur, sans perte complète de la motilité, et ces symptômes cliniques sont bien en con- cordance avec l'éta
sque complètement détruite on est étonné de ne pas trouver dans les symptômes cliniques, en même temps que l'état dystrophiqu
ons précédées d'épaississement blanchâtre de la peau, tels sont les symptômes ; il n'y a jamais eu ni syncope, ni asphyxie lo-
y a jamais eu de syndrome névritique et il n'y a actuellement aucun symptôme de névrite. Il faudrait d'ailleurs admettre une n
ur- dissement pénible : la position horizontale lait disparaître ce symptôme en une heure. Le sujet se plaint aussi d'une se
s surtout sur ce fait que notre sujet n'est réellement gêné par ses symptômes fonctionnels que depuis sa vieillesse. A parcouri
onnons, pour terminer, l'analogie qui existe entre quelques-uns des symptômes anormaux de ce sujet et ceux d'une autre variété
ralement à ceux qu'on a reconnus, il y a quelques années : bien des symptômes alors adoptés comme critérium essentiel tassino
sont très fréquentes et présentent avec la plus grande facilité le symptôme dont je m'occupe. J'ai dit que les auteurs réce
rs récents ne font pas de distinction entre les ca- ractères que ce symptôme peut présenter, selon la maladie qui le provo-
clinique d'une maladie et de l'autre, examine légèrement le susdit symptôme . mais ne l'analyse pas, de sorte qu'on pourrait
e précoce, surtout dans les variétés paranoïdes, le dé- lire est un symptôme de première importance : dans la psychose maniaqu
pondant au symbole même. Quand il se présente, ce fait constitue un symptôme pathognomo-. nique différentiel. Mais n'est pas
e note sémiologique qu'il ne faut pas négliger. Ils représentent un symptôme complètement superficiel et im- médiat ; et, d'
plètement superficiel et im- médiat ; et, d'autre part, aucun autre symptôme n'a le droit de déterminer seul le diagnostic,
exemple d'anévrysme syl- vien, remarquable par son volume, par ses symptômes et par son évolu- tion. Je reviendrai sur ces c
eue de cheval sont généralement bilatéraux. Ici l'unilatéralité des symptômes explique l'ex- pression : syndrome de l'hémi-qu
te sur la racine ou sur la moelle. Aussi ce sont des nuances ou des symptômes contingents qui in- clinent le diagnostic. Ic
des règles, son humeur changea brusquement et se manifestèrent des symptômes du côté de son état mental. Elle se fit triste,
e psychiatrique, où elle fut admise à son entrée, elle présenta les symptômes suivants : dépression sentimentale très prononcée
éshabillait et déchirait les vête- ments, criait avec violence. Ces symptômes persistant, on la reconduisit à l'Asile le 2 ju
mais à partir de ce moment le ventre commença à se gonfler avec des symptômes non douteux de péritonite subaiguë. En même tem
e du radial ; c'est-à- dire, on retrouve à gauche la répétition des symptômes initiaux du membre supérieur droit : une main t
s de nour- riture. 1" septembre. La malade meurt sans de nouveaux symptômes . Autopsie. Tuberculose pulmonaire localisée aux
s racines. Nonne (1899), dans 3 cas de tuberculose foudroyante sans symptômes de déficit, put observer des petites boules noi
dans nos cas en dehors des « attaques aiguës »). 5° Absence de tout symptôme constitutionnel. 6° Netteté de la limitation de
u bout du nez, au bout de de l'oreille droite, etc. Tels sont les symptômes qu'il m'a été donné d'observer chez ce ma- lade
tiques inter-vésiculaires. , B. -Faits pathologiques. Parmi les symptômes liés aux perturbations thyroïdiennes, deux types
l'on peut ordonner de mul- tiples observations, qui présentent les symptômes de l'une et de l'autre de plus en plus atténués
l'on peut discuter et qui, en tous cas, conserve sa valeur pour des symptômes qui peuvent ne pas être toujours réunis dans le
être toujours réunis dans le syndrome de Basedow. De plus, certains symptômes des deux séries basedowienne et myxoedémateuse pe
certains cas le myxoedème con- génital est moins complet ; tous les symptômes étant moins accusés, l'état intellectuel est pl
hoses d'intoxication et quand ces troubles psychiques précèdent les symptômes physiques, on conçoit la dif- ficulté du diagno
roubles psychiques dans les syndromes frustes d'hypothyroïde. Les symptômes d'insuffisance thyroïdienne peuvent être plus att
eté, naïveté, pleurs et rires faciles, émotivité excessive. A ces symptômes il faut ajouter un signe capital : la non-soudure
douleurs articulaires, diminu- tion de la mémoire, tristesse, sont symptômes fréquents,qu'ils soient isolés ou rangés en sér
n de Béclère, i s'agit d'une malade hystérique, présentant certains symptômes pouvant être rattachés au myxoedème, qui fut pr
ins symptômes pouvant être rattachés au myxoedème, qui fut prise de symptômes ressemblant à ceux du basedowisme à la suite de
e pro- duire des phénomènes d'intoxication rappelant les principaux symptômes du goitre exophtalmique. Cette intoxication p
it dans l'amélioration parallèle des phénomènes psychi- ques et des symptômes basedowiens une preuve de grande valeur clini-
n est bien forcé de rapporter ce délire aigu à une poussée dans les symptômes basedowiens. « Il existe, dit Renaut, une relat
e par l'effet sur les troubles psychiques en même temps que sur les symptômes basedowiens de la méthode de Ballet et En- riqu
ues s'amendèrent lentement et progressivement en même temps que les symptômes physiques. L'état mental redevint normal et la
acher par une série d'intermédiaires. 222 LAIGNEL-LAVASTINE E Les symptômes d'hyperthyroïdie y sont de plus en plus atténués
es nerveux ordinaires par un nervosisme plus spé- cifié, composé de symptômes de la série basedowienne (tremblements, batteme
calisée, cardio-bul- baire. Disséminée, elle consiste en quelques symptômes atténués de la série basedowienne, cou un peu f
stion que de chercher à établir un rapport de causalité entre leurs symptômes psychi- ques élémentaires et l'excitation thyro
la quasi-cons- tance de la coïncidence clinique à tel point que ces symptômes psychiques font partie intégrante des syndromes
hy- roïdie, c'est-à-dire aux troubles de la thyroïde entraînant des symptômes aussi bien de la série myxoedémateuse que de la
pathologique d'un cas grave de maladie de Basedow avec hémiplégie, symptômes bulbaires et troubles mentaux. Arch. f. Psych., X
ssement de l'activité intellectuelle, d'une déchéance, que certains symptômes physiques de sénilité précoce, nous autorisent d'
ennorrhagie légère contractée à 22 ans, le malade n'in- dique aucun symptôme , et n'est porteur d'aucun stigmate qui puisse fai
Aucune atteinte de l'état général. Du 30 avril au 8 mai. - Tous les symptômes persistent, malgré l'adminis- tration quotidien
es galvaniques qui constitue en effet un des éléments importants du symptôme de dégénérescence n'a de signification que lors
gue cette affection du rhumatisme anky- losant vertébral. Les seuls symptômes nerveux rencontrés chez les spon- ÉTUDE D'UNE C
st connu sous le nom de cyphose hérédo-traumatique, a signalé comme symptômes médul- laires : 1° Un état parétique des muscle
ainsi que le fait remarquer le Professeur Raymond, l'exis- tence de symptômes très accusés d'irritation spinale est un des cara
rale au niveau des trous de conjugaison. On le voit, l'existence de symptômes radiculaires n'est pas exceptionnel dans la spo
e 1906 jusqu'à ce jour, nous avons assisté à l'évolution rapide des symptômes tabétiques. Actuellement : avril 1907, nous rel
s pûmes étudier avec soin chaque membre dans le but de dépister les symptômes frustes de la maladie familiale. Notre 3e obs
réquentes céphalées frontales elle accuse en outre plusieurs autres symptômes de nature nerveuse. Le développement; intellect
atrophie blanche papillaire bilatérale très avancée avec de clairs symptômes résiduels 1 de papillite. Ni à cette époque, ni
te. Ni à cette époque, ni précédemment, la malade ne présenta aucun symptôme qui pût faire soupçonner une hémianopsie bitempor
plus violentes et les vomis-' sements plus fréquents ; aucun autre symptôme , ni local ni général, soit du côté de la motili
gr.) qui ne donna aucun effet et qu'on dut interrompre à cause des symptômes de mercurialisme. On ne put, à cette époque-là, f
e la malade été absente de notre service, il ne s'est produit aucun symptôme nouveau ; les vomissements et les céphalées sont
par moments un très léger strabisme conver- gent du côté droit; ce symptôme est très fugitif. Le symptôme de Gra'fe est nég
abisme conver- gent du côté droit; ce symptôme est très fugitif. Le symptôme de Gra'fe est négatif. La mobilité des bulbes
n obtenirun tracé graphique. Les réflexes plantaires sont vifs. Les symptômes de Babinski, Oppenheim, Strumpell et Mendel-Bet
soeur aînée de Marguerite âgée de 22 ans, et qui ne présente aucun symptôme d'ar- rêt de développement ; de la soeur cadett
athologiques expé- rimentales nous ont bien fait connaître tous les symptômes causés par l'a- blation de l'hypophyse pratiqué
ie, nous voyons tous nos efforts échouer contre la multiplicité des symptômes , leur variabilité d'un malade l'autre,et parfoi
plus prononcé à droite qu'à gauche ; 3° l'absence dans deux cas des symptômes oculaires qui sont souvent caractéristiques des
ubles gastro-intestinaux, la légère hypo- pyrexie, reproduisent des symptômes de la maladie de Basedow. Dans presque tous les
sujets en proie à une intoxication qui se manifeste parfois par des symptômes aigus et graves, et parfois d'une façon très le
ous-cutané après un traitement thy- roïdien, sans cependant que les symptômes acromégaliques et l'accroisse- ment du squelett
qui peut-être, avec plus de vraisemblance, serait d'accord avec les symptômes et les faits cliniques. Mais je préfère m'arrêt
mégalie, mais non pas comme agent primaire ; 2° Qu'une partie des symptômes de cette maladie sont conditionnés par la thyro
le premier cas, correspondant à la période grave où il existait des symptômes de lésions infra-crâniennes, avec céphalées très
es périodes de la maladie ou pendant la reprise d'aggra- vation des symptômes qui eut lieu plusieurs années après le début de l
rant plusieurs heures. De plus il éprouve souvent des vertiges. Ces symptômes doivent être retenus : ils ne sont pas rares da
roite, s'ils ne pourraient relever d'une même cause cérébrale : les symptômes paraissent être purement oculaires. OBSERVATION
ès fréquemment le rachitisme (17 fois sur 20) et 14 fois sur 20 des symptômes de « méningite séreuse » (Quincke), c'est-à-dir
essentir dans l'enfance un processus de cette nature. Cependant les symptômes ont pu facilement passer inaperçus. Le second d
uelque chose au moins comme cause adjuvante dans l'étiologie de ces symptômes et peut-être peut-on faire la même remarque en
hante. Il est presque inutile de faire remarquer ici le mélange des symptômes généraux et des locaux. L'angoisse est allribua
isément le côté intéressant. Ce néoplasme cérébral a fait si peu de symptômes que le malade fut considéré comme épileptique p
ontribué à ce que, pendant longtemps, la tumeur occa- sionna peu de symptômes . - Faut-il attribuer la précocité des crises ép
u, peuvent fort bien ne se manifester pendant longtemps que par des symptômes locaux ou même rester latentes. L'apparition des
e. G...âgée de 41 ans. Sa maladie fut d'une richesse peu commune en symptômes . En 1902, perte de connaissance subite, mais de
n faveur de foyers de ramollissement. Enfin la fugacité de certains symptômes pouvait être attribuée à dès obstructions vascu
nique. Il est donc, pour le moment, impossible de faire la part des symptômes psychiques attribuables à la compression et celle
éveloppent en lui des habitudes et des aptitudes nouvelles et leurs symptômes doivent avoir une tendance à se perpétuer biolo
ments, attitudes ou occupations, que certains troubles, douleurs ou symptômes s'imprimaient dans la matière en y développant
qu'elle consiste dans la répétition de quelque chose, mouvement ou symptôme qui a existé auparavant, qu'il y a similitude c
nue, habituelle, une imitation de gastrite, une reproduction de ses symptômes . Un mouvement habituel n'est qu'une répétition du
ctions organiques pour reproduire biologiquement,psychiquement, des symptômes pathologiques, il suffit qu'il vive dans une atmo
s'en émeut. Que d'hystériques se sont levées le matin porteuses de symptômes paralytiques ou autres de leurs voisines de lit
tions de la né- vrosé ; plus loin encore, jusqu'à la folie dans ses symptômes purement psychiques, et de ces états extrêmes à
mais été une névrose et, en admettant dans le même cadre, ces mille symptômes hétérogènes, bizarres et contradictoires qui ne r
e, ni fossé, ni démarcation quelconque, mais une énorme quantité de symptômes qui se pénètrent et se mêlent d'une inextricable
à manger. Il n'est pas gâteux, mais il bave constamment. Puis les symptômes s'atténuent ; Pierre prononce quelques mots, il s
Lombroso,Ceni, Agostini ; ce dernier a observé chez ses sujets des symptômes dysthyroï- diens assez nets, symptômes qui sera
observé chez ses sujets des symptômes dysthyroï- diens assez nets, symptômes qui seraient assez fréquents chez les pella- gr
ondément dystrophiante; Morel et Le- gendre ont observé de nombreux symptômes d'infantilisme chez les fils des alcooliques. L
cemment observé dans deux cas de paralysie générale juvé- nile, des symptômes très évidents d'infantilisme du type Lorain. L'
mparfaite; il est vrai que dans ce cas il y avait en même temps des symptômes nets de dysthyroïdie, si bien que les auteurs e
eh en même temps. Dans ce cas le traitement thyroïdien améliora les symptômes de la dysthyroïdie, mais pas ceux de l'infantilis
mille. Il ne paraît pas que chez aucun de ces individus il y eût de symptômes de dys- thyroïdie. -. ' Bichon et Jn,andelize
ès clairs de retard de l'ossification du squelette, c'est-à-dire un symptôme qui, selon les auteurs français, ne serait poin
us évidents chez les autres frères qui ne présentent pas le moindre symptôme d'infantilisme. Les malformations dentaires qui
ce des cartilages de conjugaison, bien qu'elles ne présentent aucun symptôme de myxoedème fruste et même de ce qu'on appelle
rd'hui avec Hertoghe les petits signes de l'hy- pothyroïdie fruste; symptômes qui étaient aussi très peu évidents chez les pa
quia été par exemple posé clans le cas de Dupré et Peigniez où les symptômes d'hypothyroïdie étaient] manifestes. Nous ne
torisé à considérer l'arrêt d'os.st- fication du squelette comme un symptôme d'hypothyroïdie latente, parce* que ce fait peu
rdio-an- gio-dystrophiques dont les deux soeurs ne présentent aucun symptôme . Il n'existe pas non plus chez elles cet état t
pparente un fonctionnement relativement normal vu qu'il manque tout symptôme dystrophique des téguments ; l'état de relative i
Hertoghe a voulu attribuer à Phypothyroïdisme une série si riche de symptômes pathologiques les plus disparates que,si l'on acc
n ne doit formuler le diagnos- tic de myxoedème fruste que là où un symptôme quelconque de myxoe- dème atténué est manifeste
tilisme chez lesquels, comme chez nos trois sujets, même le moindre symptôme de myxoedème fruste manque et où au contraire i
pte la conception de Lasègue et il définit de la facon suivante les symptômes fondamentaux de l'infantilisme en général : 1°
pas d'infantilisme vrai ni complet en dehors de ces trois ordres de symptômes ou de l'un d'eux. De Sanctis s'accorde justemen
lles d'un sujet déterminé. En général nous pouvons admettre que les symptômes de déficit intel- lectuel sont beaucoup plus ac
eut d'aucune façon s'appliquer à nos sujets qui ne présentent aucun symptôme de déficit bien caractérisé et qui montrent en
maurose s'est dé- terminée rapidement avec toute une série d'autres symptômes d'hyperten- sion endocrânienne : céphalée, vomi
à l'époque actuelle caractérisée par une diminution très nette des symptômes doulou- reux surtout, tandis que l'exophtalmie
ut derniers mois ne peuvent aucunement être interprétés en tant que symptômes de localisation parce qu'ils sont certainement
altération de la température, du pouls ni de la respiration, pas de symptômes douloureux ni de raideur de la nuque. Nous savo
ller jusqu'à l'atrophie papillaire, mais aussi toute la cohorte des symptômes que nous considérons comme propres aux néoforma
ractères hématologiques d'une légère anémie simple pendant que tout symptôme clinique d'anémie grave manquait totalement; ce
gération des réflexes, doit au contraire être discutée à fond. Tout symptôme de lésion en foyer faisant défaut, nous devons na
iode aussi longue que dans notre cas, se passe sans que le, moindre symptôme en foyer se manifeste ou surtout sans qu'on ait
nous n'étions pas entrés en possession dans les derniers temps d'un symptôme précieux de toute objec- tivité pour le diagnos
tre localisation d'une tu- meur éventuelle étant en possession d'un symptôme aussi clair et objectif qui attire nécessaireme
s sexuels. Dans les quatre observations de Jamagucki les premiers symptômes de tumeur de la base furent justement l'atrophi
de la base du crâne, l'amé- norrhée précéder de dix ans tout autre symptôme : la lésion des nerfs opti- ques parut seulemen
issait que 12 ; pendant plusieurs années elle ne pré- senta d'autre symptôme que le retard du développement sexuel et de la
mporale ni aucun fait de parésie des nerfs crâniens ni d'anos- mie, symptômes qui sont fréquents dans les cas de tumeurs de l'h
syndrome secondaire. Notre sujet nous a présenté au contraire deux symptômes qui sont extrê- mement rares dans les cas de tu
que plus de céphalée, n'a plus de vomissements et en somme tous les symptômes d'hypertension sont atténués ; tout cela est mal
gissement notable de la selle turcique) pendant que tous les autres symptômes cliniques parlent contre une telle supposition
turcique ! L'élar- gissement de la selle turcique n'est donc pas un symptôme pathognomoni- que de néoformation de l'hypophys
s admettre une micro-hydrocéphalie, car si cela eût été le cas, les symptômes d'hypertension intracrânienne se seraient déter
es ventricules et les espaces sous-arachnoïdiens, était la cause de symptômes d'hypertension. Mais le plus souvent même cette
core moins de la méningite tuberculeuse; mais, dans notre cas, tout symptôme d'un processus aigu fait défaut, de sorte que c
eurs observations d'individus tombés brusque- ment malades avec les symptômes d'une grave affection cérébrale (cépha- lée, vo
tricule qui se gonfle vers le bas comme une vessie. En dehors des symptômes généraux de compression on peut voir des attaqu
e rares dans le cas de tumeur cé- rébrale ; enfin l'absence de tout symptôme en foyer. L'ataxie cérébelleuse et l'exagératio
t au diagnostic de tumeur cérébrale, et nous n'eûmes non plus aucun symptôme de ménin- gite spinale postérieure; tout se réd
dée de papillite), à l'exophtalmie et à l'exagération des réflexes, symptômes qui sont aujourd'hui évidents comme par le pass
use primitive on ne peut même pas invoquer d'une manière absolue le symptôme de l'élargissement de la selle turcique, car nous
18 mois après le commencement de la maladie, c'est-à-dire quand les symptômes d'hypertension étaient tout à fait atténués : v
l'époque de la puberté seulement se rendait manifeste par de graves symptômes cérébraux. Rien ne nous empêche donc d'admettre
prises dans les derniers jours, ne s'était révélée à nous par aucun symptôme : les convulsions étaient, pourrait-on presque di
quement il est intéressant de mettre en valeur, d'une part,certains symptômes de la double affection tabes et paralysie général
éralejuvénile typique. D'après Toulouse, en effet, deux ordres de symptômes caractérisent ce type clinique. C'est un affa
s douleurs fulgurantes, les troubles sensitifs. Ce sont de plus les symptômes initiaux. Nous avons vu queJeanne B... n'en ava
34 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ATHOLOGIE NERVEUSE. UN CAS DE GLIOME VOLUMINEUX DU CERVELET. \ ? ( Symptômes de compression et phénomènes hallucinatoires.)
on, sans aucun accident consécutif particulier. L'un des premiers symptômes a été une céphalalgie tenace, très intense et a
devons à l'obligeance de notre ami M. Gruzelle, rendent compte des symptômes observés durant la vie. La tumeur est située en
t que la surdité existait avant le début des accidents rendaient ce symptôme inutili- sable. Il n'en était pas de même de la
sté qu'en un léger abais- sement des traits du côté gauche. Mais le symptôme impor- tant est la remarquable anémie unilatéra
n, d'où le spasme facial et l'hypercrinie paroxystique), et que les symptômes moteurs observés faisaient supposer une lésion
ait vivement frappé les personnes de l'en- tourage de la malade. Ce symptôme est absolument excep- tionnel dans les cas de t
uer à cette occasion M. Jolvet. (Société de biologie, '18 î9.) Le symptôme peut d'ailleurs être attribué soit à l'action d
ME VOLUMINEUX DU CERVELET. 11 être là aussi chez notre malade qu'un symptôme banal qu'on observe dans d'autres circonstances
ependant, malgré l'absence à l'époque où la malade fut observée, de symptômes de lésion du trijumeau, l'existence antérieure
tion vaso-paralytique de l'oeil qui « n'appartient sûrement pas aux symptômes rele- ' Notlinagel. p. 1 48. 12 PATHOLOGIE NE
, il est à noter que malgré la similitude de la localisation et des symptômes , nul trouble mental n'est survenu en l'absence
gmente par cela la pression intra-cranienne amène souvent outre des symptômes physiques grossiers un affaiblissement général
ce qui vient d'avoir eu lieu. Dans la psychose polynévritique, ce symptôme , c'est-à- dire, l'incapacité de se souvenir des
ques qui réalisent d'une certaine façon l'association de quelques symptômes parmi lesquels dominent la contracture et la para
un rapport fixe entre le mode de groupement et de localisation des symptômes et les lésions constatées à l'au- topsie. Reven
se en plaques qui se serait décélée depuis si longtemps par quelque symptôme céphalique et n'a jamais du reste été signalée
lérose chez des sujets qui de leur vivant n'avaient pas présenté de symptômes spasmodiques. Cela pouvait l'auto- riser à dire
Ailleurs c'était le tabès spasmodique, nous avons déjà dit que ses symptômes les plus spasmodiques peuvent exister sans trac
t il en est de même, le cas de Leyden nous montre la lésion sans le symptôme , un cas de Senator résumé ici nous montre le sy
ésion sans le symptôme, un cas de Senator résumé ici nous montre le symptôme sans la lésion. Le malade avait tous les signes
culaire doit être faite sur- tout par le point de vue clinique, les symptômes sont autres, autres surtout le mode d'évolution
nsation de froid dans la jambe. La crise dure quelques minutes, les symptômes , disparus par le repos, reprennent après quelqu
ce, mais tout cela disparut en été ; au mois de septembre les mêmes symptômes se renouvelèrent et plus tard il s'ajouta une c
arde. Au mois de février parut une faiblesse des lèvres et tout ces symptômes se prolongèrent pendant plusieurs années avec c
e à la clinique, il y avait une oscillation continuelle de tous les symptômes susnommés; il est à noter encore, que tous ces
parle même épuisement de la force nerveuse ; cet épuisement est un symptôme le plus caractéristique de la paralysie bulbair
formément à cela la langue se dévia du même côté, tout le reste des symptômes et le cours de la maladie apparaissent dans le
asthénique générale et non bulbaire, vu la variété et l'étendue des symptômes morbides. M. le professeur RoTH partage l'avi
'autopsie démontra des traces d'hémorrhagies sous-méningiennes. Aux symptômes prin- cipaux de cette affection l'auteur rappor
te; 2° le début congénital de la maladie ; 3° l'affaiblissement des symptômes morbides dans le cours de l'affection. Aux sy
issement des symptômes morbides dans le cours de l'affection. Aux symptômes accessoires se rapportent : 1) les troubles psych
de l'appareil ocu ! o-moleur. A tout cela s'ajoutèrent encore les symptômes suivants : un trouble mental manifesté par une fo
ale les convulsions cloniques incessantes chez les paralytiques aux symptômes très graves. Discussions. M. le professeur KO
rtant de considérer les phénomènes, décrits par l'auteur, comme des symptômes peu favorables au sujet du pronostic. A la disc
nellement. Dans un second cas, l'amélioration a porté sur les mêmes symptômes , mais elle a été moins franche; aussi dans un t
logie clinique. » Professeur J. Crocq (de Bruxelles) : « Un nouveau symptôme des maladies du cerveau. » Priv.-Docent A. Korn
alomo-cliniduc, c'est-à-dire de cette méthode qui met en rapport le symptôme et sa lésion, et en déduit tout ce que vous sav
ns cérébrales et spinales qui, complétant le chapitre antérieur des symptômes , constitue à peu près toute la neu- ropathologi
; les outils lourds sont lâchés parfois (c'était un tonnelier). Ces symptômes s'aggravent t progressivement et insidieusement
ure du corps. Et la situation se complique graduellement d'autres symptômes sur lesquels nous reviendrons. Vous avez examin
d on voit survenir des troubles psychiques chez un tabétique ou des symptômes de tabes chez un paralytique général, on parle
t, il faut recourir au traitement de la lésion et au traitement des symptômes et là se dégagent des indi- cations puissantes
sie survenue chez un jeune homme de vingt-un ans. - Description des symptômes par Trousseau (2° volume de la Clinique médical
le, l'autre formé par les cas de démence Dans le premier groupe les symptômes mentaux ont fait leur apparition plus de quinze
ennent à l'appui de cette origine. Ce qui caractérisait surtout les symptômes men- taux, c'était leur caractère mélancolique
LE. XII. UN CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE, FORME HYPOCONDRIAQUE, AVEC symptômes tabétiques; par Henri MARCUS. Le capitaine C.-R
fut considéré comme n'étant pas syphilitique. Il n'offrit jamais de symptômes secon- daires et aucun traitement ne fût suivi.
dée d'avoir commis du mal et des délires homicides et suicides. Ces symptômes ayant persisté pendant une année envi- ron sans
ides. Ces symptômes ayant persisté pendant une année envi- ron sans symptômes organiques, la maladie fut longtemps envisagée
nséquent à jamais obstrués. A cette même époque se présentèrent des symptômes organiques tels que l'ab- sence des réflexes pu
est en correspondance, selon les explorations de Flechsig, avec les symptômes négatifs, ambitieux, et l'absence de l'état de
xperts ont tou- jours basé leurs conclusions sur une série d'autres symptômes con- comitants. Il faut éviter de se servir dan
ibles sont devenues idées délirantes. La tendance processive est un symptôme psychopathique qui dans certaines circonstances
procès eut lieu ; mais l'expertise ayant démontré que les prétendus symptômes étaient tous' imputables à la para- lysie génér
148 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. donne comme symptômes : 1° mal à la tête le plus souvent fron- tal et
es en général, il l'est surtout d'avec les tumeurs du cervelet, les symptômes communs entre ces deux ordres de lésions sont n
de quarante ans. Pas d'antécédents personnels. Il présentait comme symptôme principal une aphonie complète, avec douleur pe
r dans 6 cas, dont il donne l'ob- servation : dans tous les cas les symptômes ataxiques ont disparu graduellement. M. Targowl
ffets de la médication thyroïdienne à forte dose, ressem- blent aux symptômes de la maladie de Graves : éruptions cuta- nées,
estinale etvésicale peuvent aussi être atteintes. L'ensemble de ces symptômes constitue une intoxication spé- ciale, le bromi
rticulière de folie due au chanvre indien, et pouvant sur ses seuls symptômes lui être attribué : le plus souvent d'ailleurs le
i que cause l'alcool et ne s'accompagnant pas, comme ce dernier, de symptômes ataxiques. Quelquefois le chanvre indien déterm
ement; quelles difficultés présente la première arrivée. Principaux symptômes morbides et principaux types de maladies ; mesu
le gros problème à résoudre est celui de la superposition de chaque symptôme fondamental à sa lésion spécifique. Il nous ser
sait en 1871, à propos de la superposition (à peine ébau- chée) des symptômes tabétiques aux lésions : « Il nous semble possi
est pas absolument lié à l'apparition gra- duelle et successive des symptômes . » Mais, pour la solution complète de ce problè
malade n'a pas eu la syphilis. L'auteur analyse ensuite quelques symptômes accessoires obser- vés chez sa malade. L'odorat
e pituitaire) et fait que chacune manifeste ses altérations par des symptômes propres. , P. RELLAY. XIV. L'automatisme alcool
du rectum ; l'installation brusque et la soudaine dispari- tion des symptômes modifiés, comme on l'a déjà dit par l'action ps
ons organiques du cerveau, est caractérisée par une double série de symptômes psychiques et physiques en rapport avec des lés
omateuses, etc. - Bien qu'ayant des caractères distincts, aucun des symptômes de la paralysie générale n'est pathognomonique.
e diagnostic uniquement d'après les signes physiques ou d'après les symptômes psychiques ; il est nécessaire que les deux ord
les symptômes psychiques ; il est nécessaire que les deux ordres de symptômes soient représentés dans le tableau clinique, au
avec les caractères particuliers que j'ai essayé de décrire, est le symptôme cardinal de la paralysie générale ; elle consti
l'époque où l'énergie de l'es- prit est au maximum, ces différents symptômes ont vraiment une signification particulière. Ma
ralysies); il faut alors se résigner à attendre que l'évolution des symptômes vienne faire la lumière. - A la période prodromiq
en modifier la phy- sionomie. De là l'obligation d'une critique des symptômes , délicate et approfondie, et la nécessité de sé
étude si complexe. La maladie se traduit surtout par un cortège de symptômes dont les principaux sont la déchéance intellect
M. Petrucci. L'alhérome artériel généralisé ne déter- mine pas des symptômes identiques à ceux de la périencéphalite chroniq
de l'examen, soit dans leurs antécé- dents pathologiques, d'autres symptômes d'hystérie. Le pronostic de l'incontinence se c
er l'hystérie en puis- sance et de provoquer l'éclosion de nouveaux symptômes . Celte supposition serait légitime, s'ils ajout
on n'a jamais vu survenir il la suile de leur traitement le moindre symptôme d'hystérie. Cela est tellement vrai qu'à Nancy,
e façon parfaite à produire une gué- rison très rapide de tous les - symptômes . Celle suggestion parait dans la seconde enfanc
lques mois après le début de la maladie, on constata une absence de symptômes généraux céré- braux et les phénomènes locaux s
la fin du mois d'octobre de 1896. - La conscience est nette. Peu de symptômes cérébraux généraux subjectifs. OEdème de la pap
tinférieure. L'auteur insiste principalement sur la coïncidence des symptômes principaux dans ses trois cas et, s'arrête enco
premier il y avait une tumeur; dans le second la syphilis avec des symptômes d'une lésion multiple des nerfs crâniens. Il fit
entrent dans le groupe des dégénérés. La neurasthénie n'est qu'un symptôme . Elle peut être acquise ou héréditaire. Par l'a
une crise nerveuse dont elle avait une autre fois déjà éprouvé les symptômes et sentant le sommeil venir elle s'était réfugi
c tures plus ou moins durables, lundis que, chez les seconds, ces symptômes manquent ou n'existent qu'à un très faible degr
ne toux sèche, quinteuse, s'installe. Au bout de dix jours tous ces symptômes avaient disparu. Comme héridité père et mère al
autres éléments de l'urine : chlorures, phosphates, etc. Outre ces symptômes fondamentaux : soif insatiable, urine abon- dan
et en faire du diabète insipide hydrurique. Quels sont les autres symptômes présentés par l'enfant ? Il n'y a pas de polyph
constituant essentiellement un cadre morbide spécial, mais comme un symptôme élémentaire, dont l'origine centrale est délimi
l'autre, ni de l'âge de l'en- fant au début de l'affection, ni des symptômes multiples et graves qui peuvent accompagner les
n, ni des symptômes multiples et graves qui peuvent accompagner les symptômes précités, comme des troubles de l'intelligence,
odiques survenant chez des enfants nés avant terme, avec absence de symptômes manifestes de lésion corticale et avec une tend
ade symptomatique du syndrome spasmodique, avec absence complète de symptômes d'origine cérébrale. Ce sont ces affections spa
ymptomatique du syndrome spasmodique se trouve accompagnée d'autres symptômes qui montrent que la lésion ne s'est pas exclu-
les autres, des aliénes chroniques qui n'avaient jamais présenté de symptômes médullaires. Il a trou\(' ! : principalement ch
lules fixes de la névroglie, évoluant lentement et ne donnant de symptômes qu'à un degré avancé. Ils ne croient pas qu'on pu
ie, observé dans l'ambulatoire de cette même clinique avec tous les symptômes caractéristiques de la maladie en question, mai
âce au traitement mercuriel, disparurent assez vite, tandis que les symptômes médullaires augmentèrent jusqu'à une paraplégie
t très marqué sur tout le tableau de la maladie et donna tous les symptômes positifs, qui peuvent servir, d'après la plupart
rès la plupart des au- teurs, au diagnostic différentiel. Voici ces symptômes : 1° l'appari- tion très précoce des dérangemen
'avant-bra; les veines étaient sensibles à la pression (mais pas de symptômes de périphlébite) ; leur propagation au début ét
e seize ans, observé dans la clinique du rapporteur, a présenté les symptômes suivants : hémiplégie droite, légère aphasie, p
et trois mois avant la maladie il a eu une forte frayeur. Outre les symptômes mentionnés déjà, on peut noter à la cli- nique
ralysie cérébrale infantile d'origine traumatique possède les mêmes symptômes organiques qu'on observe chez les adultes dans
ence du manque des fonctions céré- brales définies puisque d'autres symptômes anatomiques, qui ont été observés chez des épil
sur la marche de la maladie, sur la localisation ou la nature des symptômes . 4° Comme l'hystérie de l'âge viril, elle peut
tant dû lui faire douter de son diagnostic). Il y a cependant un symptôme que je n'ai, pas rencontré dans les cas de pseu
« oui » ou « non suivant l'inspiration du moment et non suivant les symptômes réels qu'il éprouve et ne peut définir. J'ai tr
ne affection très sérieuse, très inquié- tante quand ce n'est qu'un symptôme névropathique, une manifestation nerveuse plus
able de l'état psychique antérieur du malade ainsi que des autres symptômes paralytiques. L'évacuation des collections puru-
gmates de dégénérescence, traces de coups et blessures, ecchymoses. Symptômes caractéristiques. Tremblements fibrillaires des
commerçant, entre à l'hospice llarcoulra le 11 mars 1897, avec des symptômes bien nets de paralysie générale ; en cherchant
ar des malades qu'alarment, sous l'influence de la nuit, le moindre symptôme , une indisposition que, pendant le jour, ils au
roit avoir démontré que la fatigue oculaire peut exister sans aucun symptôme oculaire, et que la douleur de l'occiput et de
e qui est plutôt vrai, car on peut dire, en thèse générale, que les symptômes émo- tionnels s'atténuent dans l'obsession, au
ratoire (réveils angoissants, de Mac Farlane). Attente anxieuse. Le symptôme prédominant de cet état pano- phobique est ce q
de folie imminente, d'accident inévitable, etc.), et accompagné des symptômes physiques habituels de l'émotivité morbide, par
s avoir passé au préalable par une phase exclusivement phobique les symptômes caractéristiques de l'angoisse se retrouvent touj
impulsive n'existe pas non plus en tant que variété à part, car ses symptômes ne sont pas essentiellement différents de ceux
d'anxiété dans lequel il se trouvait ; il en décrit volontiers les symptômes ; il se rit de ses craintes passées et avoue qu
es paroxysmes plus ou moins rapprochés, entre lesquels il reste des symptômes encore très sensibles d'émoti- vité obsédante.
ous ces phénomènes dans le vaste cadre des obsessions. 4. Plusieurs symptômes ayant un caractère d'irrésistibilité après leur
ome, se propose de démontrer que la dou- leur physique, même unique symptôme , doit être prise en consi- dération sérieuse et
e d'épine irritative vis-à-vis de la névroglie. Cliniquement, les symptômes observés jusqu'à la mort apparte- naient à la s
soeurs, qui descendent d'une famille neuro- palhique. Les premiers symptômes apparurent chez toutes les trois soeurs à t'age
généralement. .Le premier et le principal moyen pour combattre ces symptômes ,est la suggestion. Au même groupe appartiennen
coma et de paralysie. Souvent une ou deux périodes manquent, ou les symptômes , d'une marche capricieuse, engendrent les forme
ques probables). Menstruation à dix-sept ans, sans modification des symptômes convulsifs qui se manifestent quotidiennement.
sueurs abondantes. Les 21, 22, injections de 30 cent. cubes. Mêmes symptômes con- sécutifs. Appétit et sommeil réguliers.
d'une heure après l'injection avec tendances lipothy- miques ; les symptômes , dont la gravité décroissait progressi- vement,
nations terrifiantes chez une malade qui n'avait jamais présenté ce symptôme (obs. I). Dans un autre cas (obs. VII), aggrava
nsemble, le thorax est aplati latéralement. Indé- pendamment de ces symptômes pour ainsi dire primordiaux, nous avons encore
mes pour ainsi dire primordiaux, nous avons encore à citer quelques symptômes secondaires con- tingents. Ainsi le corps thyro
atine ogivale. Pendant la hui- taine qui a suivi son admission, les symptômes délirants ont été en s'atténuant progressivemen
ues de l'acromégalie; mais, en ce qui concerne l'absence des deux symptômes précédents, on ne doit pas oublier que les cas
dents, on ne doit pas oublier que les cas types réunissant tous les symptômes d'une maladie, sans exception, sont fort rares.
séjour à la montagne produisit une amélioration notable de tous ces symptômes ; cependant le malade n'avait plus la même faci-
à l'éclosion de la lypémanie, quoiqu'à l'époque de l'admission les symptômes en aient été très peu marqués. Au point de vue
is d'une façon intermittente; le traitement qui amendait tous les symptômes était le séjour au grand air, à la campagne ou à
rsécrétion thyroïdienne, un état psy- chique caractérisé et par les symptômes de cette maladie et par de la mélancolie anxieu
dération importante doit être tirée du traite- ment. A l'entrée, le symptôme qui dominait la scène était la mélancolie anxie
sous la forme de mélancolie. Celle-ci doit être considérée comme un symptôme épisodique, aussi fréquent que la manie, de la
nt que la manie, de la maladie de Basedow; 2° Le traitement de ce symptôme ne diffère pas de-celui de la mélancolie observ
commémoratif deces hontes : tel est le premier effort conscient, le symptôme de défense primitif ; -la troisième période est
Bielsciiowsky. (iYetM'0. CezlralLl., XV, 18cJ6.) Trois séries de symptômes : 1° Troubles moteurs ; atrophie et parésie des
ique ne sont pas une raison suffisante pour exclure la maladie. Les symptômes qu'on ne rencontre que dans chaque maladie à l'
teur se propose- de démontrer que la douleur physique, autant comme symptôme qui procède de maladies d'autres tissus de l'or
élancolie ce qui lui appartient en propre de ce qui peut n'être que symptôme accessoire et variable. Dans le groupe des mé
e sont là des résultats passagers. On ne peut faire disparaître les symptômes isolés par lesquels une maladie mentale se mani
uéri par la résection du sympathique cervical. Des trois principaux symptômes , deux reconnaissent incontestablement pour caus
j'ai obtenu dans l'unique cas que j'ai opéré ainsi, cas où tous les symptômes étaient des plus accentués et où tous ont disparu
s affections stomacales et dans 11 seulement se rencontraient les symptômes de la dyspepsie nerveuse. On ne peut donc admettr
is de la pathologie générale, comme toute autre maladie; 3° Les s symptômes mentaux ne constituent pas exclusivement la malad
sifs dans la -, par Mouratoff, 80. - forme hypoclioudriaque avec symptômes tabétiques, par Mar- cus, 142. au Conglès de To
35 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
extraites ( ? ). J'ignore ce qu'il en est; il n'existe rien, aucun symptôme quelconque, qui autorise à ce sujet une supposi
délire mégalomaniaque. Ce n'est qu'une question de hiérar- chie de symptômes , mais nécessaire si l'on veut éviter toute conf
classiques du diabète et d'autre part présence des lésions et des symptômes franchement tabétiques. L'hésitation n'est poin
use cependant des désirs et même des éjaculdtions, Depuis un an ses symptômes se seraient amendés. Lapolyphagie n'est pas trè
dipsie, polyphagie. Sous l'influence d'un traitement approprié, les symptômes diabétiques s'amendent con- sidérablement, sans
allèle des mani- festations tabétiques. En présence de ces divers symptômes , de leur mode d'apparition, de leur caractère,
oque. Octobre 1889. La suspension a quelque peu amélioré certains symptômes tabétiques, les douleurs fulgurantes en particuli
certain rôle dans cette guérison, la disparition du sucre et des symptômes diabétiques coïncide précisément avec l'ap- par
, - toujours les mêmes ;. mais le plus com- munément c'est un symptôme en quel- que sorte perma- nent, toujours pré-
des points d'inhibition, on ne trouve de zones hystérogènes. Les symptômes que nous venons de décrire ne se sont pas toujo
e par une dépression marquée, et l'enfant guérit sans aucun mauvais symptôme . M. D. IX. LE CHAMP VISUEL DES HYSTÉRIQUES A L'
faut qu'il existe des symp- * tomes de pression cérébrale, mais ces symptômes n'assurent pas la loca- '¡¡station. En revanche
tion. En revanche les cas dans lesquels on constate nettement des ' symptômes de lésions un foyer tandis que les phénomènes gén
ningite, plus récente que le tabes, a passé inaperçue parce que ses symptômes , en ce qui con- cerne la moelle, se sont confon
e la grossesse sur la marche du tabes. Sans doute, elle exagère les symptômes dou- loureux du tabès ? Mais est-il nécessaire,
, dans l'espèce, l'atténuation con- sécutive des douleurs et autres symptômes pénibles ne fut que temporaire ; en tout cas, l
aire et de l'amincissement de la peau. La coexistence de tous ces symptômes , siégeant à la périphérie des quatre membres, s
- naître une lésion de la protubérance - contractures primitives, symptômes pupillaires, etc. - n'étaient présents. La seule
érance peuvent se traduire, au point de vue clinique, par les mêmes symptômes que les lésions de la capsule interne. G. D.
rès exactement limitée à ce premier faisceau, l'aphasie est le seul symptôme appréciable, mais le plus souvent la lésion s'é
'une affection syphilitique de la moelle, sur la simultanéité des symptômes cérébraux, l'évolution par poussées, les oscillat
i souvent qu'ils changeaient toutes les heures. La douleur était le symptôme le moins variable. L'oedème était plus accentué
ie dure des semaines et des mois. On voit par ce court résumé des symptômes que les cas décrits appartiennent bien au group
, soit au milieu de l'évolution de cette dernière un complexus de symptômes rappelant le délire primitif aigu. Au lieu du dél
a avec délire systématisé et comme d'un autre côté les complexus de symptômes caractérisés par la confusion, l'excitation, le
ion sanguine suivant tel ou tel mécanisme et comment se forment les symptômes locomoteurs respiratoires et conceptuels dans l
aucherie. Il est facile de constater chez ce malade l'existence des symptômes suivants : Dans l'ordre psychique : .' 1° U
e durée, sans carac- tères particuliers. Tels sont les principaux symptômes que présente G... Il n'existe chez lui ni parés
es ictus congestifs et des attaques d'épilepsie sensitive. Tous les symptômes essentiels par lesquels s'affirme chez l'adulte
considérable, à savoir : que la tendance à l'homicide n'est pas un symptôme banal qu'on peut observer dans toutes sortes d'
tes sortes d'affections mentales, mais au contraire, qu'elle est un symptôme propre à certaines psychoses et qu'elle ne se m
arce que dans ces'cas, l'homicide est une'complication plutôt qu'un symptôme de la maladie.' Les aliénés' peuvent se diviser
V. Il' ne nous reste maintenant qu'à signaler et à dis- cuter les symptômes qui, permettent, à notre avis, de se prononcer
nostic différentiel des deux affections. C'est évidemment sur les symptômes propres à chacune d'elles qu'il faudra se baser
urmillements, engourdissements. 3° La perte du réflexe rotalien. Ce symptôme signalé dans le diabète par M. Bouchard, dès 18
a frigidité et l'impuissance. G° Le signe de Romberg. Si tous ces symptômes se trouvaient réunis chez un diabétique, ils po
i ce traite- ment faisait disparaître ou amendait notablement les symptômes classiques du diabète sans influencer paral- lè
ique. Si par contre l'amendement portait aussi sur ces der- niers symptômes , la question serait résolue en faveur du pseudo
opres de la glycosurie en elle-même et ensuite et surtout sur les symptômes concomitants. Dans la glycosurie tabétique le c
ux caractères précédents, une certaine valeur. Ajoutez aux divers symptômes du diabète constitutionnel, à ses complications
le diagnostic et entraînent la conviction. Mais, en définitive, ces symptômes , ces complications ordinaires peuvent faire déf
bé- tiques. Le moment est venu de mettre en relief une série de symptômes qui semblent propres à la glycosurie de l'ataxi
du trijumeau ; 2° la fréquence du pouls ; ' .; . Ce sont là deux symptômes qui semblent constants; ils existent dans les t
vulsive, éternuement et accès de suffocation.- Ces trois derniers symptômes concomitants ne sont mentionnés que dans le cas
'Oppenheim. La constatation chez un tabétique glycosurique de ces symptômes plaidera donc pour l'origine tabétique; leur ab
tabético- diabétique. Inutile de faire remarquer que ces divers - symptômes faisaient défaut dans les observations iné- dit
diabète sucré. Le résultat du trai- tement anti-diabétique sur ces symptômes nerveux donnera certaines présomptions pour ou
ne s'agira plus que de départager entre le diabète et le tabes les symptômes observés. Aisé pour les signes de la seconde ca
pouls et des crises laryngées respiratoires. Si, au contraire, ces symptômes , presque pathogno- moniques - nous voulons parl
nt antidiabétique amende ces signes nerveux en même temps que les symptômes habituels du diabète, on peut affirmer le pseud
e glycosurie, sans parler de l'existence à un moment ou l'autre des symptômes classiques du diabète sucré. On se trouvera alo
e générations. Tous ceux que nous avons pu étudier réunissaient les symptômes cardinaux décrits par Friedreich : caractère fa
cérales, de troubles de la sensibilité. Cependant quelques- uns des symptômes de l'ataxie héréditaire font défaut chez nos z
lité à se fatiguer.. Au point de vue mental, on pourrait réunir les symptômes en trois groupes, qui paraissent se succéder pé
femme atteinte de manie chronique et de démence complète. Les seuls symptômes observés avaient été des vomisse- menls, mais c
ynaud ; il est à remarquer toutefois que la douleur, qui est un des symptômes à peu près constants de la maladie, a fait tota
es altérations organiques. Or, ici, la stupeur n'a été que l'un des symptômes observés, et à l'autopsie, on a constaté les lé
(American journal of insanity, octobre 1890.) L'analgésie, comme symptôme transitoire ou permanent, peut se rencontrer so
ment à la distribution d'un nerf particulier. L'analgésie étant -un symptôme négatif qu'il faut rechercher, peut facilement
peu ou point de dyspnée, l'émaciation et l'asthénie étant les seuls symptômes mar- qués. Il en est de même de certains cas de
e aidé par la présence de troubles trophiques. La recherche de ce symptôme est importante, car sa présence est une menace
SÉGL.2S. XXXIV. ILLUSIONS subjectives ou signification DE certains symptômes dans LES maladies mentales; par J. Draper. (Ame
lus tard, à la suite d'une vive ter- reur (crainte d'incendie), ces symptômes qui avaient rétrocédé repren- nent une nouvelle
abès dorsal apparurent avec le signe de Romberg et de Westphal, les symptômes précédents, la para- lysie des dilatateurs de l
uis tout cesse. Puis, des semaines ou des mois plus tard, les mêmes symptômes reviennent revêtant une forme grave, à des inte
mpossible, comme le voudrait Oppenheim, de l'élever à la dignité de symptôme de valeur. Parmi les troubles nerveux qui survi
de Neurologie, Revue analytique. sociétés savantes. 249 certains symptômes qui reparaissent invariablement ; il y a donc l
ique dans la composition de ce liquide et entraîne, de ce fait, les symptômes sus-mentionnés. M..J{AHLDEN (de Fribourg). De l
la genèse et de la fonction du pigment ; 2° celle des relations des symptômes avec l'altération si fréquente des capsules sur
rand sympathique, quoi qu'il ne puisse nier que l'un ou l'autre des symptômes ne soit influencé par ces altérations. On a réc
deux malades adultes atteints de tétanie, chez lesquels, outre les symptômes habi- tuels, il y avait abolition des réflexes
ractère de la névrite du nerf sciatique. Plus tard, surviennent des symptômes de para- plégie avec lésion de la vessie, et en
l a que la sciatique est, plus souvent qu'on ne le suppose, soit le symptôme d'une maladie constitutionnelle générale, soit
tits foyers de sclérose disséminés et une altération des vaisseaux, symptômes propres à la syphilis du système nerveux. Le ra
en continuant à observer la patiente, et, qu'en attendant, tous les symptômes peuvent être considérés comme un arrêt du dével
éflexe de la mâchoire inférieure était assez prononcé. Pas d'autres symptômes du côté du système nerveux. L'exagération des r
s tendineux serait, d'après la pathogénie généralement admise de ce symptôme , en contradiction avec les altérations anatomiq
nique, il importe avant tout de déterminer le locus morbi de chaque symptôme . L'oedème, par exemple, n'est pas dans tous les
a classification anatomique du Dr Mouratoff. Un certain ensemble de symptômes cliniques caractérise mieux l'action d'un agent
part, dans les cas complexes d'associations hystéro-organiques, des symptômes qui appartien- nent à la névrose et de ceux qui
de M. Raymond à Lariboisière, une très intéressante leçon sur les symptômes caractéristiques de cette affection spéciale. M.
parole embarrassée des paralytiques généraux. Pour M. Chervin, les symptômes caractéristiques du bégaiement proprement dit s
e, une aggravation notable se produisit dans l'ensemble de tous les symptômes , la périodicité des crises étant d'ailleurs tou
lisée tout à fait remarquable, de même chez les dégénérés, tous les symptômes psychiques reposent sur un fonds spécial, la dé
min que l'on devait suivre pour étudier de la même manière d'autres symptômes de l'hystérie. Aussi est-il tout naturel que M.
l'esprit du sujet et ne se manifestent guère à l'extérieur par des symptômes palpables, accessibles à l'obser- vation. Au co
nte chez les hystériques et qu'il est rare de rencontrer les autres symptômes de cette maladie sans qu'il y ait trace de celu
est loin d'être rare dans l'hystérie. Vous connaisse/, également ce symptôme particulier du tabes, que M. Charcot a été l'un
mp visuel, une achromatopsie complète des deux yeux, enfin tous les symptômes classiques. Dans ma naïveté, je m'intéressais a
5 les autres insensibilités, que l'on a été conduit à examiner ce symptôme avec quelque sévérité. Les médecins majors dans
gauche. Je vérifie soigneusement et sévèrement devant vous tous ces symptômes , vous voyez que l'aiguille traverse la peau de
l'histoire un peu compliquée. Je ne vous la présente que pour un symptôme , elle est absolument anesthésique du côté droit,
classes psychopathiques dans lesquelles on observe le meurtre comme symptôme ou comme complication. Mais après un examen plu
ations quant à l'étude de son état mental. Ensuite, je décrirai les symptômes présentés par A... depuis qu'il est en observat
de. Depuis cette époque, il souffre beaucoup, je reviendrai sur les symptômes qu'il présente. Il n'a pas eu de con- vulsions
allée en s'aggravant, et qui, à la fin, était caractérisée par les symptômes suivants : accès violents et fréquents de cépha
me, sans aucun traitement, afin de ne modifier en rien la forme des symptômes qu'il. pourrait présenter, ni leur marche, ni l
leurs, a ses craintes ; ses remords sont légers. A... présente un symptôme fréquent chez les mélancoliques, il recherche,
qui intéresse spécialement les parties antérieures du cerveau, les symptômes l'indiquent. Mais c'est là tout ce qu'on peut a
ne façon certaine. On n'a jamais observé ni attaque d'apoplexie, ni symptômes paralytiques, et c'est ce qui contribue à rendr
ule chose, encore une fois, qui soit cerlaine, c'est que les divers symptômes observés chez le malade ont leur raison d'être
onique; il subira sans doute alors des modifications, quant à ses symptômes et à sa forme, il se systématisera peut- être d
sme. Ce sont les premières altérations en rapport avec les premiers symptômes évidents de paralysie générale qui sont palhogn
part au pro- cessus. Au point de vue clinique, tare héréditaire, symptômes d'hyper- pression cérébrale. Quoique la tumeur
pénétré entre les fibres de la capsule interne, il n'y a pas eu de symptômes somatiques accusés. Simplement quel- ques mouve
e par des convulsions fibrillaires, la réaction dégénérative et des symptômes bulbaires. Cette dystro- phie musculaire à évol
du cardia. , P. K. XVII. TUMEUR INTRA-CBANIENPIE avec absence DE SYMPTÔMES DIAGNOS- TIQUES ; par le Dr 13URR. (Amel'ican j
tion. Il s'agissait d'un carcinome de la dure-mère dont aucun des symptômes présentés par la malade avant la perforation du f
grandeur. Douze ans plus tard, en 1886, il commença à présenter les symptômes d'une lésion corticale étendue de l'hémisphère
nal of mental Science, juillet 1889.) Ces tumeurs sont rares et les symptômes par lesquels elles se traduisent sont ordinaire
qués les uns sur les autres, et de ne présenter à l'asile aucun des symptômes annoncés. Comment pourrait-il en être autrement
ificats, et encore ceux-ci ne donnaient-ils l'énuméra- tion d'aucun symptôme . M. GARNIER. M. Charpentier semble reprocher à
ications du père, car il n'y avait aucun élément d'infection, aucun symptôme de syphilis; en tout cas, l'iodure de potassium
t les facultés ont baissé, qui a subi des hauts et des bas dans les symptômes morbides que décelait sa vésanie, qui, après av
ou ont été affectés de : SOCIÉTÉS SAVANTES. 433 type très net du symptôme de de Groefe; quand le malade regarde tout à fa
très simple, à la campagne, à la suite d'une affection fébrile. Les symptômes furent : l'aphonie, des accès convulsifs, relat
irement à l'hystérie mâle, a pour caractéristique l'absence de tous symptômes objectifs. ' La majorité des cas relève de la s
éance du 2 mars 1881. M. Lissauer. Elude clinique et anatomique des symptômes de lésions en foyer dans la paralysie générale.
ctiformes ou épilepti- formes, il est évident qu'en en étudiant les symptômes , on peut éclairer la' pathogénie de l'ictus. So
mptômes, on peut éclairer la' pathogénie de l'ictus. Sous le nom de symptômes de lésions en foyer, nous désignerons : l'hémio
ovince d'ordinaire moins frappée, comme le coin, et voici venir les symptômes de lésions en foyer du cerveau dans le cours de
rps calleux, l'insula : dans ce dernier cas, nous avons affaire aux symptômes classiques de la paralysie générale, sans symptôm
ons affaire aux symptômes classiques de la paralysie générale, sans symptômes de lésions en foyer proprement dits. - La mêm
s et inférieures- la disparition du clignottement normal (épiphora, symptôme de de Groefe). Du côté de la motilité, tremblem
Malgré la difficulté de ce travail prove- nant de la complexite des symptômes d'ordres divers que présen- tent les affections
ont suivi l'ordre dans lequel se présentent tout naturellement les symptômes à l'examen du médecin. Dans la première partie, i
ar Kronthal, 395; anatomie pathologique de la -, par Meyer, 397 ; symptômes des lésions en foyer dans la -, par Lissauer,
nner- vation de l'oesophage dus à une , par Neumann, 405 ; sans symptôme , par Burr, 406. Varia, 415. TABLE DES AUTEURS
36 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ification. Ses autres descriptions, si bien faites, portent sur des symptômes ou des formes secon- daires que l'on serait fon
oint général, diffus, c'est-à-dire opposé, par la for- tuite de ses symptômes erratiques, à la systémati- sation monomaniaque
être placée, on ne tarde pas à remarquer, dans la manifestation des symptômes , des alternatives d'excitation légère etdedépre
fusait la nourriture. Appartenant à des folies d'ordres divers, ces symptômes n'ont ici qu'une valeur relative. On inclinerai
la folie satur- nine, M. Moreau (de Tours), dans son analyse des symptômes étranges occasionnés par le haschisch, ont pres
ditation, l'opiniâtreté dans l'abstinence ont, comme la plupart des symptômes psychiques, une signification double, relative
ptiques examinés par l'auteur deux seulement ne présentaient pas ce symptôme , mais c'étaient des vieillards de soixante-cinq
es. DE LA PUPILLE CHEZ LES ÉPILEPTIQUES. 43 L'auteur considère ce symptôme comme ayant une valeur suffisante pour permettr
, nous parait rendre difficile- ment compte des particularités d'un symptôme dont la cause occasionnelle réside sur le traje
sises, sont remises en ques- tion : la forme et la localisation des symptômes ne dépendraient plus du siège des lésions du ce
ie, signalées dans les plus récents , l'auteur, par l'analyse des symptômes , l'étude de leur mode d'apparition, de leur ordre
n des gros troncs artériels et veineux du cou, mais bien de myosis, symptôme le plus constant et le plus per- manent. Les ye
5 chez un sujet atteint de commo- tion du cerveau et présentant des symptômes paralytiques dans les muscles du tronc et des e
re tout seul, il avait dix-neuf ans quand il a éprouvé les premiers symptômes . Le huitième est un fils de vingt-deux ans para
odorat (bourdonnements d'oreilles, odeur de cha- rogne). VII. Les symptômes cérébraux et psychiques sont très impor- tants.
u dégoût de la vie et à des tentatives de suicide. En dehors de ces symptômes , surviennent souvent, dans la période ultime du
de la diarrhée, des vomisse- ments, une insomnie persistante. A ces symptômes s'ajoute une prostration profonde, de la dépres
des analeptiques, parfois par une petite dose de morphine; mais les symptômes peuvent aussi s'ag- graver au point d'amener la
, des sueurs, et surtout de l'insomnie; on combattra facilement ces symptômes par l'administration, le soir, d'un verre d'un
graduellement abaissé la dose de quinine) ; un mois après, quelques symptômes palustres ayant reparu, on a de nouveau recours
ion cérébrale grave. Comme le patient chancelle sans présen- ter de symptômes de paralysie, on pense .a une de ces hémorrha-
nts au milieu des extravasats. La modification et l'incertitude des symptômes excluent toute conclusion. M. Reinhardt, vu l'a
de dont il s'agit, après n'avoir pendant dix jours présenté d'autre symptôme qu'un défaut de discernement, tombait tout à co
mence sénile vraie exige l'acquittement légal ; la constatation des symptômes de l'af- faiblissement psychique devrait, dit l
me il le croit lui-même, la sensation sexuelle perverse n'est qu'un symptôme , au moins est-elle un symptôme important exigea
sation sexuelle perverse n'est qu'un symptôme, au moins est-elle un symptôme important exigeant une attention sé- rieuse.
int l'aphasique a-t-il ses facultés psy- chiques oblitérées, que le symptôme observé provienne d'un simple trouble fonctionn
ion du pneu- mo-gastriqne au cou (mort en huit jours) avec tous les symptômes afférents que nous a appris la physiologie expé
ttes,poudres,etc., soit en injections hypodermiques. Les principaux symptômes observés sous cette influence furent : sensatio
avait vu que le premier acte. ? (6 : <m : MU}'tee<fK< ! Ct symptôme de l'affection mentale d'autant qu'il n'y avait
s reins, tantôtreinsindenmes), et fait ressortir que la fugacité du symptôme est une preuve de son origine. « Certainement,
la glycosurie, l'excitabilité motrice, doit prendre rang parmi les symptômes des affections cérébrales. Bof. Rieger admet qu
tendre à voir l'ataxie d'origine syphilitique se présenter avec des symptômes bien différents de ceux de l'ataxie ordinaire :
la guérison, mais tout au plus un soulagement éphémère de quelques symptômes . Dans le tabes moins ancien, tantôt le traiteme
s moins ancien, tantôt le traitement a une action isolée sur divers symptômes , qu'il amende dans des proportions plus ou moin
il immobilise en l'état avec ou sans amendement de quelques-uns des symptômes déjà développés. En somme, il serait certain, d
de l'auteur, que le tabes, môme avancé, peut être modifié dans ses symptômes et son évolution par le traitement spécifique.
le ; 3" association fréquente des phénomènes tabétiques avec divers symptômes com- muns de la syphilis, les paralysies oculai
ont fait de cette forme de vésame l'une des mieux connues dans ses symptômes , dans sa marche et ses terminaisons; il suffit
physique et la métaphysique, en un mot, on observait chez elle des symptômes de délire de persé- cution. Les cas complexes o
rais montrer que, conjointement à ce délire, il existe' de nombreux symptômes étroitement associés entre eux, de'manière à co
ense, ou revêt dès le début une formé plus grave, il s'ajoute aux symptômes ébauchés dans l'hypochondrie' morale et au déli
à une con- clusion, qui doit être fondée non pas seulement sur un symptôme , mais sur leur ensemble et dans certaines condi
'âge de quarante-quatre à soixante-deux ans, ne présentaient pas de symptômes de lésions génitales, sauf l'atrophie de l'utér
elles, comme métrite, endométrite, anoma- lies de menstruation; des symptômes d'ovarie ont aussi 18 le PATHOLOGIE MENTALE.
in- cipalement sous la forme de troubles de la menstrua- tion, de symptômes d'ovarie et de formes peu graves d'endométrite,
générale sans délire et qui psychiquement se caractérisent par les symptômes de la démence. Pen- dant une assez longue pério
vail, telles sont les causes de la maladie. A. l'admission tous les symptômes physiques et psychiques de la paralysie général
nt six mois la maladie évolue sans la moindre lueur de raison ; les symptômes s'aggravent tant du côté de l'esprit que du côt
874, p. 255. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE IX. NOTE SUR l'un DES « symptômes » de l'ataxie locomotrice ; par J. \4oRTmER GRA
ques, trouve son application dans ce qu'on est convenu d'appeler le symptôme pathognomo- nique de l'ataxie locomotrice, c'es
i, et en moins de trois mois, on verra s'amender non seulement le symptôme ainsi combattu, mais tous les autres symptômes, e
nder non seulement le symptôme ainsi combattu, mais tous les autres symptômes , en même temps que l'état général du malade s'a
ue, d'une oreille, une sensation passagère de vertige précèdent les symptômes de la maladie de Ménière confirmée. Elle se pré
e n'a révélé aucune lésion constante. M. Pierret a décrit parmi les symptômes céphaliques de l'ataxie locomotrice des vertige
arallèlement, et la dose de sulfate de quinine donnée et l'état des symptômes chez les malades observés par MM. Féré et Demar
. P. M. le REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XIV. L'ALBUMINURIE comme symptôme DE l'accès épileptique ; par le De Fiori. (Ital
s névralgies, la douleur constrictive du cou et de la poitrine, des symptômes résultant d'un commencement d'a- REVUE DE PATHO
opose actuellement d'étu- dier leur syrnptomatologie. Il divise les symptômes en deux ca- - tégories : 1° les symptômes prémo
omatologie. Il divise les symptômes en deux ca- - tégories : 1° les symptômes prémonitoires; 2° les symptômes de l'hémorrhagi
mes en deux ca- - tégories : 1° les symptômes prémonitoires; 2° les symptômes de l'hémorrhagie. A. Symptômes prémonitoires.
plus ou moins grande de l'issue fatale. Avant d'aborder l'étude des symptômes , M. Sanders croit devoir rappeler qu'aucun d'eu
ubles moteurs. Contractures, convulsions, paralysies, chacun de ces symptômes est étudié dans son époque d'ap- parition, son
a été purement transitoire et bientôt suivie de l'aggravation des symptômes et de la mort, sans rémission nouvelle. , ; R.
'est pas rare d'observer des conceptions irrésistibles au rang de symptômes dans les folies aiguës et chroniques. A l'encontr
on, plaintes, etc.). Le tableau clinique doit être complété par les symptômes nerveux ou somatiques de l'anémie (stéatose ou
e temps que le droit interne du côté opposé est en état du parésie, symptômes dont la réunion, aux termes des décisions antér
ollender traite de I'oedèine cérébral circonscrit coinïlz, cause de symptômes des lésions en foyer. La discussion qui s'engag
aussi un cas d'oedème vrai d'un pédoncule cérébral dans lequel les symptômes notés trois jours avant la mort (paralysie de l
remier abord, un examen approfondi ne permettait de consigner aucun symptôme morbide proprement dit; évidemment cette humeur
. M. HoLLOEXDER. De fcedeme circonscrit du cerveau comme cause de symptômes des lésions en foyer. De la stupeur. Quelques-u
e; et le succès du traitement montre bien la nature diathésique des symptômes observés. Les muscles offrent quelquefois une d
s originaires des départements du Nord y sont plus sujets. Tous les symptômes de l'absinthisme sont plus ou moins directe- me
te vers la racine des membres. Les convulsions généralisées sont un symptôme de l'absinthisme aigu; on ne les~observe dans l
SE, la solution de la* question, à moins de faire de tout cela le symptôme d'une labyrinthite. Mais cette opinion est inad
ille moyenne est seule envahie, et d'as- sister à la disparition du symptôme vertigineux, en même temps qu'à la guérison de
onds hystérique ; il n'est pas rare non plus de le rencontrer comme symptôme de la périencéphalite diffuse. Le délire des pe
e,inégalité pupillaire.. , ? y ,rsn,l 229 CLINIQUE MENTALE. Ces symptômes de paralysie générait ! deviennent de plus en p
. Une amélioration non moins remarquable a été obte- nue pour les symptômes intellectuels. Après de nom- breux efforts, M.
, dont il fournit quelques observations et qu'il regarde comme un symptôme lié à un degré plus ou moins élevé de dégénéres
t du médecin, à qui il fait ses confidences ? Et cependant que de symptômes révèlent chez cet homme la prédisposition INVER
sortir du bain, les crampes le reprenaient de nouveau. A tous ces symptômes s'ajoutèrent de la salivation et de la faibless
son matelas. Le troisième jour après son admission à l'hôpital, les symptômes prirent un caractère menaçant. La faiblesse des
a moelle épinière, avait occasi0nnécetté difformité. L'idée que les symptômes observés 'chez notre, malade pouvaient avoir qu
causalité avec cette néoplasie, pouvait être réfutée d'avance. Les symptômes et particulièrement ceux qui auraient indiqué u
lus d'alcooliques qu'il ne faudrait= ». Pour M. Bouchard, « de tels symptômes ne s'observent pas plus spécialement dans telle
es ont été constatées dans différents viscères ». La plupart de ces symptômes semblent, non pas tant, sous la dépendance du d
la maladie qui nous occupe. Elle se montre avant L tous les autres symptômes soit aux membres inférieurs, soit aux lombes, s
un manque d'assurance dans la marche, surtout dans l'obscurité. Ce symptôme peut s'associer à une sensation de picotement d
r sans nulle diminution de force, avec bonne santé et aucun autre symptôme diabétique que la glycosurie. L'état de cette der
la glycosurie. L'état de cette der- nière n'a jamais influé sur ces symptômes (Trousseau). Le diabétique est très sensible au
Chez la femme, il peut même exister de la répugnance (Lasèjue). Ce symptôme capital a d'ailleurs été bien indiqué par tous
r des vertiges. Mar- chai (de Calvi)' voit dans l'union de ces deux symptômes le signe principal do l'influence du diabète su
a signalé l'hémiopie. (bouchardant', von Grsefe, Bellouard2.) Ces symptômes dépendent de lésions diverses de la rétine, du
itil's et l'amaigrissement général ont fait de rapides progrès. Les symptômes objectifs et subjectifs de cette rétinite ne di
ayer même dans certaines inflammations où la douleur est le premier symptôme . R. V. , ? XXII. « Nerveux H ; par le Dl SIG11U
reil utérin, mais il est convaincu que, même lorsqu'il n'y a pas de symptômes du côté de l'uté- rus, un traitement préventif
en même temps une grande dépression physique et intellectuelle, ces symptômes existent depuis un an et sont survenus à la sui
eux qui résultent de la surcharge stomacale, peuvent produire des symptômes nerveux divers dus à la paralysie ou à l'excitati
régime, par les vomissements alimentaires qui s'ajoutent aux autres symptômes de l'attaque, par l'embarras gastrique qu'elle
ndouzy et d'autres auteurs, et consi- déra les lésions causales des symptômes observés, comme probablement analogues à celles
tres formes de paralysie mentionnées après les maladies aiguës. Les symptômes différaient, par la marche favorable qu'ils pri
nte de l'écorce, là où elle est lésée, rappro- chée des progrès des symptômes psychiques parallèles au déve- loppement des tu
'analgésie et de faiblesse motrice dans les extrémités inférieures. Symptômes prédomi- nants d'une affection médullaire unila
musculaires chez une personne jusqu'alors bien portante; parmi les symptômes caractéristiques d'une maladie de la moelle, ne
nifestes du toucher. Trois jours après l'entrée, retour de quelques symptômes de rhumatisme. Coeur : pas de matité anormale,
état de la moelle tou- tefois fournit quelques explications sur ces symptômes , à la production desquels la lésion protubérant
inats par des aliénés, 143. Ataxie locomotrice (note sur l'un des symptômes de l'), par Mor- timer Granville, 219. Ataxie
ux, par 0);lt, 226. Leptomémiugitis hémorrhagica,pré- sentant les symptômes de la paralysie progressive, par Be- chetrew,
0. Nominations, 268. OEdème cérébral circonscrit comme cause de symptômes de lésions en foyer, 256. Oreille (des métast
37 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s déterminantes des psychoses ne sont en réalité que les premiers symptômes d'un état névropathique. Les passions vio- lent
certains sujets atteints de manie ou de mélancolie on retrouve les symptômes permanents de l'hystérie que l'on qualifie d'hy
uence peut faire admettre comme appartenant à la maladie à titre de symptôme habi- 1 Il. Royer-Collard. - Rapport à l'Académ
t les idiots qu'on peut en quelque sorte les con- sidérer comme des symptômes de l'idiotie et de l'im- bécillité ; ils ne son
mans, Leyden, Topinard, Eulenbourg, etc). Bene- dikt avait noté des symptômes de dépression psychique accompagnant l'ataxie;
ariage de la malade, en 1860, le mari de cette femme présentait des symptômes qu'elle nous décrit assez mal, mais qui paraiss
sse- ments. Au commencement de 1881, trois ans après le début des symptômes oculaires, apparition des douleurs aux membres
t qu'en réalité les douleurs ont très vraisemblablement précédé les symptômes oculaires, proba- blement de deux ou trois ans.
ence des membres est confinée au lit ou réduite à être assise. a) Symptômes céphaliques. - L'amaurose est complète, Sar- ra
it des bourdonne- ments d'oreilles avec vertiges, mais ces derniers symptômes sont rares, fugaces et légers. b) l11otitité,
oexistant chez le même malade. - Prédominance ptcsque exclusive des symptômes spéciaux à la sclérose des cordons latéraux, in A
atéraux à une sclérose des faisceaux postérieurs. On sait que les symptômes d'une lésion spinale (comme ceux d'une lésion c
faisceaux postérieurs et les latéraux, on se trou- vera en face de symptômes qui relèveront à la fois de l'altération des pr
on s'apercevra bien vite qu'il y a incompatibilité entre certains symptômes des scléroses postérieures et cer- tains autres
laccidité et l'aboli- tion des réflexes qui sont, au contraire, les symptômes accoutumés de l'ataxie. Le problème diagnostiqu
nous ré- pondre. Chez notre malade, nous avons relevé quelques symptômes , placés évidemment sous la dépendance de la scl
ait allusion, il y avait aussi prédo- minance presque exclusive des symptômes de la sclé- rose des cordons latéraux, bien que
nterprétation est applicable au fait de M. Prévost, dans lequel les symptômes tabétiques (douleurs, etc.) coïncidaient avec u
violence des phénomènes nerveux, ou de la prédominance de certains symptômes , ne nous permet pas de les décrire sous un type
le au moment où il rumine ! Ici rien de convulsif, pas le moindre symptôme d'effort, pas de nausées, d'anxiété; souventmême,
es peuvent, dans des circons- tances exceptionnelles, présenter des symptômes qui amènent cette confusion. Ainsi, au début du
est transitoire et la rumina- tion s'établit bientôt avec tous les symptômes que nous avons décrits. Autre part (Ors. VII),
rares et le mérycisme survient d'ordinaire d'emblée avec tous ses symptômes . Une fois déclaré, il continue sa marche, la pl
it, simulé d'une façon remarquable, à un moment donné du moins, les symptômes de l'épilepsie partielle. Sans doute le tableau
amendés au boutde quelques heures, que les hallucinations et autres symptômes nettement hystériques ne se soient pas mon- tré
a quelques mois, dans le service de M. Charcot. Elle présentait les symptômes les plus nets delà grande hystérie : anesthésie
chainement dans un mémoire spécial. BIBLIOGRAPHIE. 135 tement les symptômes de cette affection. Du reste, ils préconisaient
natomique soit appréciable dans l'encéphale, et ils pensent que les symptômes de cette maladie devaient être expliqués par un
n de la moelle allongée, ce « trouble bulbaire», expli- querait les symptômes de la commotion, même jusqu'à l'arrêt des fonct
était nécessaire de poser la question suivante : b) Quels sont les symptômes causés par des chocs sur le crâne, quand la ten
ombassent, ce qui n'offrait aucune difficulté; on leur trouvait les symptômes ordinaires de commotion cérébrale. Ainsi il éta
du ventricule bulbaire, de provoquer la, commotion cérébrale ou des symptômes de cette affec- tion ? ou comment le plancher d
ces, aussi chez, ceux-ci..Le résultat de ces recherches fut que les symptômes qui se présentent chez les gre- nouilles, quand
a lésion des centres des mouvements des yeux, et pour le reste, les symptômes de '1 shok». Il a été toujours difficile de com
l'ébranlement dans la commotion cérébrale, pourrait déterminer les symptômes de cette maladie, et cela parce que les expérie
temps en temps, les lésions de la moellei allongée produisaient des symptômes de. la commotion. Seulement le coma ne se renco
trait jamais, et juste- ment ce coma, coma traumatique, semblait le symptôme essentiel dans cette maladie. C'est pour cela q
i. Tous les auteurs s'accordent à reconnaître que, pour produire le symptôme , il faut une lésion du tiers postérieur de la t
d'hémiplé- gie droite, brachio-faciale surtout, et d'aphasie. Ces symptômes semblèrent avoir disparu au bout d'un mois. Tro
ont intéressé indifféremment l'un ou l'autre des hémisphères et les symptômes observés ont toujours été croisés par rapport a
Le coeur parait sain. L'urine ne contient ni sucre ni albumine. Ces symptômes ne font qu'augmenter jusqu'au moment de la mort
ie. (Barlow. B/'ilish med. Journal, 1877.) Pendant la vie, aphasie, symptômes de paralysie glosso- labiée, monoplégie brachio
de M. Lépine et résumée. Femme de vingt-cinq ans. Début brusque. Symptômes de paralysie glosso-labiée. Autopsie. - (Fror
, . ,1. \'" f.' Dans tous ces faits, nous relevons les principaux symptômes de la paralysie buib'aire' progressive, a savoi
de la langue, des lèvres et du voite du palais. Mais, outre que ces symptômes sont en eénérat moins accentués que dans )a' ma
me il existe dans celle-ci tout i q.. 1 j ! .. 1 . un ensemble de symptômes bulbaires qui font défaut dans la première. Ce
10" hl 'II Jl.. l, l 1"I.t · 111 1 cérébrale puisse donner lieu aux symptômes de la ii-ni "]* Ot ' u . i'i J t * z paralysi
us ou moins grande de la déglutition, c'est-à-dire une réunion de symptômes atténués, il est vrai, mais ana- logues à ceux
. -Mais, fait digne de remarque, la.malade.de Magnus présentait des symptômes de pa- ralysie glosso-labiée,aussi nets que -le
occupait l'hémisphère droit. Pour expliquer la bilatéra- lité des symptômes avec l'existence d'un seul foyer, Kirchhoff a é
être lésé, ses fonc- tions sont abolies, et alors apparaissent les symptômes de la paralysie glosso-labiée. Ce mémoire éta
72, p. z Sclérose dissiminée ayant présenté pendant la vie tous les symptômes d'une paralysie bulbaire progressive. A l'autop
ticulièrement notre attention ! ' Ils peuvent'se mani- fester comme symptômes prémonitoires de l'accès de goutte, ou rester t
M. Da Costa' fait jouer au vertige un rôle prépondérant parmi les symptômes nerveux dus à la lithémie. A côté du vertige, i
débuté, il y a huit ans; après une rémission de quatre années, les symptômes se sont accentués, la maladie s'est parfaitemen
des cordons postérieurs. Or, cette malade présentait, entre autres symptômes , une remarquable hémialrophie de la langue du c
ons (satur- nine ou autre). Histoire DE l'affection. Les premiers symptômes se sont manifestés, il y a huit ans. Le malade
festés, il y a huit ans. Le malade avait alors vingt- sept ans. Ces symptômes consistaient en douleurs fulgurantes dans les j
us tard, il fut pris de titubation dans la marche; quant aux autres symptômes qui sont décrits plus loin, ils sont apparus de
nifestés pour la première fois. Etat actuel (19 juillet 1883). - aJ Symptômes habi- tuels du tabès. Le malade présente la plu
oments ; - toux laryngée; - suppression des réflexes rotulif'ns : - symptômes oculaires : paralysie incomplète delà DE LHL·'.
appréciable du nerf optique; dyschromatopsie pour le rouge. b) Symptômes anormaux du tabès. Ce qui attire tout d'a- bo
d'une atrophie vraie. 2° Hémiatrophie de la langue ( ! %i. 5.) - Le symptôme le plus intéressant à relever, c'est l'existenc
te de la langue et, quelques mois auparavant, il avait présenté les symptômes d'une pa- ralysie du moteur oculaire commun du
e la langue observée chez ce dernier n'était pas tout simplement le symptôme d'uu tabes à forme fruste. Depuis cette époque,
sidérer, avec M. Erb et M. Ross, l'hémiatrophie linguale comme un symptôme possible du tabès. . Or, l'hémiatrophie lingual
iatrophie linguale, surtout d'une hémiatrophie accompagnée d'autres symptômes bulbaires, on doit tout d'abord songer à l'atax
-Uii trait' commun à la plupart des observations dans lesquelles ce symptôme a été noté, c'est la coïncidence avec"lav lésio
compte de la pathogénie des phénomènes bulbaires du 1 Essai sur les symptômes céphaliques du tabès dorsalis. Thèse de Pans, 1
en- quête pours'assurer de l'existence antérieure ou actuelle des symptômes (douleurs, anesthésies ou hyperesthé- sies), qu
ive établira, nous en avons la con- viction, qu'il en est ainsi des symptômes par lesquels la lésion se révèle. On nous par
ule et des lésions qu'elle a provoquées en ce point ont dépendu les symptômes d'hydro- céphalie observés durant la vie, tandi
r', de Otto', de Kleudgenl, de Fiori 6, de Sandby6, montrent que ce symptôme n'a aucune valeur, parce qu'il est inconstant,
n, Vogel; cependant Cheron et Laporteg ont insisté à nouveau sur ce symptôme . B. Les TROUBLES DE l'excrétion sont sous la dé
ts, ils laissent échapper leurs urines. En de- hors des faits où ce symptôme trahit des accès nocturnes d'épi- lepsie plus o
, Léÿden, Tiesler); et il se produit une véritable myélite dont les symptômes sont ceux' d'une myé- lite transverse ordinaire
autres cas, répondant à la paralysie réflexe de. Brown-Séquard, les symptômes sont beaucoup moins graves'; il il s'agit plutô
rcot a fait figurer les troubles de l'excrétion urinaire à titre de symptômes ordinaires dans le tableau du tabes vulgaire; e
ette maladie de famille qui DES TROUBLES URINAIRES. 1 243 par ses symptômes céphaliques, se rapproche de la sclérose en pla
de mort les plus fré- quentes du tabcs. La valeur pronostique des symptômes urinaires dans le tabes estdonc très variable.
a-t-il donc moyen dediagnostiquerl'ataxie locomotrice alors que les symptômes urinaires sont les seuls dont se plaigne le mal
t moins exact, avec des lé- sions des voies urinaires et ces divers symptômes peuvent se ren- contrer dans différentes affect
qui sépare et toute la différence qui distingue une mala- die d'un symptôme . CH. F. IV. MÉNINGITE TUBERCULEUSE CHEZ UNE JEU
près trois ans de maladie. Pendant la vie, elle présentait tous les symptômes classiques de la sclérose latérale amyotropbiqu
froidissement des extrémités et petitesse du pouls. Mais combien de symptômes viennent se surajouter. Douleurs dans le thorax
e de troubles nerveux. On raisonnait par analogie en assimilant ces symptômes à ceux de l'intoxication chloroformique. Freric
de ce travail se trouve une analyse d'un mémoire de Johnson sur les symptômes laryngés produits par la compression du pneumog
conduit à admettre que ce n'est pas seulement par la nature de ses symptômes et le siège de ses lésions que la maladie de Du
et le pourquoi du tabes, il était nécessaire d'en bien étudier les symptômes , les formes cli- niques variées, habituelles ou
Nous pourrions rappeler tout d'abord la coincidence fréquente des symptômes tabétiques et des troubles psychiques de la para-
de la maison de santé de V..., nous confia qu'il éprouvait certains symptômes fort voisins, à ce qu'il me semble, de ceux que
Un nouvel accès nécessita un nouveau placement en 1881. Les mêmes symptômes de mélancolie anxieuse, les mêmes con- ceptions
essionnels et voulait en finir avec la vie. Un pre- mier accès avec symptômes très analogues avait eu lieu il y a quatre ans
d'analogue à la perte de la vision mentale, un dimi- nutif de ce symptôme chez les mélancoliques simples qui se plaignent
le jusqu'à un certain point celui de la paralysie glossolabiée. Les symptômes rele- vés dans l'Observation III rappellent enc
thrombose du si- nus falciforme supérieur, ne fait mention que d'un symptôme , celui de l'engorgement des veines extérieures
lle. - Inflammation intestinale. Début du mérycisme à dix-sept ans. Symptômes et marche de l'affection. Rémissions. - Traitem
e-Mein). Observation XXXVII. Début du mérycisme à trente ans. Ses symptômes . Guérison en cinq mois. X..., philologue. La mala
e de la nuque. De ce que la lésion est hémtlatérale, tandis que les symptômes observés se montrent de deux côtés, M. Heubner
, t. 1 ? p. 597, et II, p. 244. 330 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. symptômes , les variétés nosographiques résultant de modific
L'analyse critique de M. H... le mène à cette conclusion que les symptômes observés doivent être rattachés à l'oedème part
Centralbl., 1882.) Dans les deux observations, la discussion des symptômes conduit l'auteur à diagnostiquer l'interruption
nion du refoulement de la substance grise allégué comme cause de ce symptôme par Schiff. P. K. RRVUE DE PATHOLOGIE NERVEUS
e de tremblements inten- tionnels dans les membres supérieurs et de symptômes oscil- lants et inégaux comme tous ceux notés j
système nerveux central. L'échelonnement des accès et le cachet des symptômes selon la période prouvent l'ascension des lésio
cette ville, vingt et un cas d'intoxication arsenicale simulant les symptômes cérébraux de l'alcoolisme (1868) ; d'ailleurs r
in fait allusion et j'avais simplement demandé à M. Ta- guet si les symptômes de tuberculose constatés à un moment donné chez
allemand (20 p. 100). Sur ces trente-deux cas, douze offraient des symptômes spinaux marqués, quatorze décelaient des symptô
offraient des symptômes spinaux marqués, quatorze décelaient des symptômes du côté de la parole, de la déglutition, de l'inn
ntale, quatre se faisaient remarquer parla présence de ces derniers symptômes . Sur les trente-deux cas, la participation morb
ériode d'acmé de ces états pathologiques, qui se traduisent par des symptômes spinaux et périphériques, à déterminer les mani-
métallotbérapie, toute espèce de médicaments, on est effrayépar les symptômes psychiques surajoutés aux troubles sensi- tifs,
onnel de l'activité du travail psychique est le facteur premier des symptômes ; c'est donc sur les couches corticales des hémis
es inquiétudes relatives aux effets des procédés mis en oeuvre, aux symptômes ressentis, d'éviter toutes les impres- sions se
psychiques graves. D'autres exemples témoignent de l'apparition des symptômes somatiques dans les stades avancés seulement. D
un phénomène surajouté. Et, sui- vant lui, ce phénomènesurajoutéaux symptômes capitaux de la dé- mence paralytique, n'apparaî
é- mités, par Bernhardt, 335. OEdème circonscrit comme cause de symptôme d'une affection en foyer, par Holloender, 332.
38 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome second
e la séparation du petit trochanter exerçât quelque influence sur les symptômes et sur le mode de consolidation de la fracture du
dait involontairement les urines et les matières fécales. Voici les symptômes qu'elle présentait du côté de la fracture : racco
puis cette époque éprouvait une douleur très vive à la cuisse droite. Symptômes : raccourcissement du membre avec déviation du pie
servée un quart d'heure après l'accident, la malade présente tous les symptômes de la fracture du col du fémur. Douleurs vives à
époque et le mois d'octobre de la même année la persistance des mêmes symptômes , et surtout la constance de l'algidité qui était
ent, mais la malade succombe le 21 octobre, sans avoir offert d'autre symptôme qu'un affaiblissement dans les puissances inspira
us souvent encore aux articulations phalangiennes des doigts tous les symptômes d'une crise de goutte. Chez plusieurs, on pouvait
u'au dernier moment. Dans le cours de sa maladie, elle n'offrit aucun symptôme de lésion ni du côté du cerveau, ni du côté des o
ès le repas. Les vomissemens se calmèrent et furent remplacés par les symptômes suivans qui l'obligèrent à entrer à la Maison Roy
emme phthisique, âgée de 68 ans, qui n'avait disait-on,présenté aucun symptôme du côté de l'estomac et qui avait conservé jusqu'
me de la Salpêtrière, morte de pneumonie, et qui n'avait accusé aucun symptôme du côté de l'estomac; chez un autre sujet, j'ai r
adies dont les vomissemens et les déjections noires sont le principal symptôme . Toute hémorrhagie d'estomac est noire, couleur
ui étaient couleur de suie, en l'absence de tout vomissement, de tout symptôme direct du côté de l'estomac, je diagnostiquai, da
acée l'histoire de la maladie, il est bien difficile de rattacher les symptômes observés au lit du malade, aux lésions constatées
vergent vers le même but : i° par l'observation clinique qui note les symptômes et leurs corrélations, et qui, lorsqu'elle rencon
ntre des phénomènes encore inaperçus ou des corrélations nouvelles de symptômes considère ces groupes de symptômes comme traduisa
s ou des corrélations nouvelles de symptômes considère ces groupes de symptômes comme traduisant à l'extérieur ou une maladie nou
de traitement. Entré à l'hôpital Beaujon le 10 avril, il présenta les symptômes suivans : selles fréquentes avec coliques assez v
an xu, la hernie s'étrangle pendant un effort que fait la malade; les symptômes de l'étranglement se déclarent : un chirurgien ap
s le reste du jour et le lendemain : point d'évacuations alvines. Les symptômes sont de plus en plus graves. La mort arrive le 23
e est très tendue et d'un rouge luisant : la « diarrhée et les autres symptômes persistent : notez d'ailleurs que, depuis sa nais
istra une potion calmante, qui les dissipa. Le 20, on crut voir des symptômes d'embarras gastrique, et on donna l'ipécacuanha,
, suivant l'expression de la femme du malade. Les 22, 23, 24, mêmes symptômes , qu'on combat par les mêmes moyens : on ajoute de
ir aucune gravité, et il serait même difficile de leur assigner « des symptômes , tant leur existence a peu d'influence sur l'état
, laquelle ne peut être soupçonnée qu'au moment où se manifestent les symptômes de l'étranglement; cependant quelquefois la malad
anglement; cependant quelquefois la maladie débute subitement par les symptômes les plus graves : sa marche peut être aiguë ou ch
intermittens : on conçoit que la rémittenee ou l'intermit-tences des symptômes d'étranglement supposent le rétablissement comple
l'abdomen coïncidant avec les accidens de l'étranglement, tel est le symptôme à l'aide duquel on pourra diagnostiquer ou plutôt
z dans le tissu cellulaire sous-cutané? Du reste, il n'existait aucun symptôme d'étranglement : la malade avait le dévoiement de
caractère carcinomateux du rétrécissement n'a été pour rien dans les symptômes . Chose bien remarquable ! le rétrécissement était
il se lève, il prend des alimens lorsque tout-à-coup surviennent les symptômes d'une péritonite suraiguë qui entraîne la mort en
Constamment, à cette forme anatomique de phlegmasie correspondent des symptômes cérébraux sous forme délirante, qui emportent le
arement précédée de prodromes, qu'elle se déclare brusquement et sans symptômes précurseurs, qui puissent faire admettre une infe
a marche de la maladie, dans son mode d'invasion, dans l'ensemble des symptômes , quelque chose de spécial que je chercherais vain
l'intestin grêle m'a offert, dans le cas représenté fig. 1 ,tous les symptômes de l'entérite folliculeuse, et c'est à des cas de
la fin du gros intestin appartenant à un individu mort avec tous les symptômes de la dysenterie aiguë ; on y voit la corrugation
i84i, sixième jour de l'invasion , et qui succomba le 29. Voici quels symptômes il présenta : selles continuelles, involontaires,
e 6, six ventouses à l'épigastre. Du 6 au io, persistance des mêmes symptômes ; prostration de plus en plus grande; altération d
ade a donc succombé à une pneumonie qui ne s est manifestée par aucun symptôme évident. Au moment où j'ai recueilli ce fait, je
de cet organe ; de même l'ulcère chronique du rectum donne lieu à des symptômes tellement analogues à ceux du cancer, qu'on les c
de cet intestin, pris pour un cancer de cet organe. — Mort avec les symptômes de l'étranglement. Femme Roger, âgée de 44 ans,
, vomissemens, syncopes au moindre mouvement, soif vive d'eau froide, symptômes d'étranglement; mort. A l'ouverture, point d'af
u gros intestin. Réflexions. — Cette malade est donc morte avec les symptômes de l'étranglement : il est probable que si l'infl
ancer du rectum. Cancer de la partie supérieure du rectum. Tous les symptômes de la rétention des matières fécales. — Hématurie
us les symptômes de la rétention des matières fécales. — Hématurie. — Symptôme d'un calcul vésical ou dun fongus.— Mort.— Cancer
icier supérieur de la garde royale, éprouvait tous les huit jours les symptômes les plus graves d'une rétention des gaz et des ma
lus haut degré, des douleurs au bout de la verge; en un mot, tous les symptômes d'un calcul vésical. Les urines devinrent success
squ'au 21 janvier, et le forcèrent à entrer à l'hôpital. Je notai les symptômes suivans : amaigrissement, pâleur de la face, abdo
bomen douloureux à la pression. Les jours suivans, exaspération des symptômes . Le 26, tympanite abdominale, uniforme, plus de
s : un individu reçu dans ses salles, succomba en présentant tous les symptômes d'un étranglement interne, vomissemens, hoquets,
de cet organe, de même l'ulcère chronique du rectum donne lieu à des symptômes et à des caractères ana-tomiques tellement analog
m, qu'il aurait perforé. Y aurait-il eu grossesse extra-utérine ; les symptômes d'étranglement seraient-ils le résultat de la com
être administré dans le cas où les autres moyens auraient échoué. Les symptômes d'étranglement cessèrent et le ventre se détuméfi
tance de même nature. Cette dégénération n'avait donné lieu à aucun symptôme d'obstacle au cours des matières : il y avait tan
illait encore un mois et demi avant son entrée à l'hôpital. Voici les symptômes qu'il offrit pendant le mois qui s'écoula entre s
sèche, oppression , point de côté au niveau de la mamelle gauche (ce symptôme datait de douze jours), malité dans toute l'étend
r de l'estomac. Je possède plusieurs observations dans lesquelles les symptômes du cancer primitif de l'estomac ont été complètem
issu, c'est dans le foie que se manifestent généralement les premiers symptômes de l'infection. La grande abondance des veines qu
ois jusqu'à la mort; dans quels autres cas ils se manifestent par des symptômes graves dès leur première apparition; elle a révél
s, il faut l'avouer, l'anatomie pathologique n'a mis en lumière aucun symptôme pathognomonique, propre aux cancers du foie, et,d
othorax s'applique aussi à la pleurésie dont l'hydrothorax est un des symptômes les plus constans. Dans le cas suivant, les pou
ne appréciable n'avait permis de reconnaître la lésion du poumon. Les symptômes de l'épanchement dans la plèvre ou de la pleurési
ée de cancer utérin succomba dans le marasme, sans avoir accusé aucun symptôme du côté du foie, et sans présenter les caractères
prouvé, à plusieurs reprises et à d'assez longs intervalles, tous les symptômes d'un étranglement interne, qui avait heureusement
plus souvent des cystites biliaires que des abcès au foie, et que les symptômes rapportés par J.-L. Petit à cette dernière maladi
rtant la face n'était pas altérée. Le pouls était à peine fébrile. Le symptôme dominant était un sentiment d'angoisse et de suff
7 et le 28: lorsque je le vis , il y avait rémission marquée dans les symptômes ,le pouls étaitpeu fréquent et faible. L'anxiété p
sangsues, les bains, les cataplasmes, etc., diminuent la violence des symptômes , et enlèvent la douleur. Le 6 juin, diminution
ription détaillée que j'en ai donnée ailleurs (i). On conçoit que les symptômes par lesquels elle se manifeste doivent être tout-
es qui passent inaperçues, parce qu'elles ne sont annoncées par aucun symptôme . C'est ainsi que M. Landouzy a présenté à la Soci
qui avait succombé à une métro-péritonite, sans avoir présenté aucun symptôme du côté de l'organe de la voix. Il existait un fo
mbraneuse, qui doit certainement se traduire au lit du malade par des symptômes propres à les faire distinguer l'un de l'autre.
re dans le même hôpital, mais que je n'ai plus observée depuis. Aucun symptôme de la maladie puerpérale ne pouvait s'y rattacher
. de l'Acad. royale de chirurgie, tom. 1 , pag. 717. outre tous les symptômes d'une hernie intestinale étranglée, tels que des
sente à l'état latent. Il faut, en quelque sorte, la deviner. Or, les symptômes généraux la décèlent presque aussi infailliblemen
symptômes généraux la décèlent presque aussi infailliblement que les symptômes locaux puisés dans l'auscultation et la percussio
eur de la face,me fait diagnostiquer de prime abord la pneumonie. Les symptômes locaux n'arrivent que comme complément du diagnos
sans expectoration , et le défaut d'expectoration est un très mauvais symptôme : il annonce un engoûment prochain des voies aérie
ruptives. Cela est si vrai que, lorsque la fièvre tombe, bien que les symptômes locaux soient identiquement les mêmes que pendant
suite d'une indigestion, il fut pris d'oppression; que d'ailleurs les symptômes de la pneumonie ne dataient que de quatre jours,
de chaque expiration et de la toux, une vibration singulière. Bientôt symptômes de pleurésie latente non fébrile du même côté (cô
est que cette phlébite ne s'était manifestée pendant la vie par aucun symptôme et qu'il n'existait pas le plus léger œdème. Ré
nglions dans les ouvertures cadavériques et dans l'interprétation des symptômes . La malade dont il est question était morte dans
que le foie, les poumons, sont en quelque sorte muettes au milieu de symptômes généraux aussi graves. Toute l'économie est frapp
cette oblitération est l'effet d'une phlébite, comme l'attestent les symptômes et les lésions anatomiques; (1) Voyez article P
veines superficielles ne se dessinaient plus sous la peau : mais des symptômes plus graves appellent mon attention. Oppression
guérie allait sortirf la jambe droite fut prise tout-à-coup des mêmes symptômes que la jambe gauche. On aurait dit d'une très for
dis que l'ossification des artères principales ne se révèle par aucun symptôme , ne détermine aucun accident, celle des dernières
t affectée de gangrène spontanée du membre inférieur droit. Voici les symptômes que je notai : algidité, avec perte complète du s
la malade n'a pu être observée que le 29. Elle offrait alors ious les symptômes de la pneumonie. Une saignée fut pratiquée.—Le 3o
e même que l'anévrysme du tronc basilaire doivent déterminer tous les symptômes de la compression soit du bulbe rachidien,soit de
a dure-mère D, qui était à nu, en sorte qu'on se demande pourquoi les symptômes de compression de la moelle ne se sont manifestés
re largement la bouche à chaque inspiration. Depuis l'invasion de ces symptômes de suffocation, le malade reste toutes les nuits
le que les autres explications données à cet égard. Parlerai-je des symptômes auxquels peuvent donner lieu ces concrétions sang
s le cas d'ossification des valvules sygmoïdes aortiques. Quant aux symptômes , le bruit de soufflet par suite du frottement qui
uge et du sang noir, lorsque persiste le trou de Botal; tels sont les symptômes que le raisonnement indique et qui se retrouvent
le i" janvier jusqu'au 8, jour de sa mort, accroissement graduel des symptômes . Rien n'égale l'angoisse de cette malade, qui app
omique la veine cave supérieure d'un individu qui était mort avec les symptômes accoutumés du cancer de l'estomac, et qui offrit
uines comme pour tout traitement actif. Le 29, invasion de nouveaux symptômes . Face pâle, agitation , délire, oppression , palp
éricardique comme une conséquence de l'épanchement dans la plèvre. Un symptôme nouveau vint redoubler mes inquiétudes au sujet d
uytren. Réflexions. —Si maintenant nous cherchons à interpréter les symptômes observés pendant la vie par la lésion trouvée apr
ent comprimés; même silence, si je puis m'exprimer ainsi, du côté des symptômes . Le premier phénomène qui s'est manifesté, c'es
e, service de M. Montaigu dont j'étais alors élève interne. Voici les symptômes que j'avais recueillis pendant la vie de la (1)
ffaiblis: condamnée à rester au lit, la malade succomba bientôt à des symptômes adynamiques. Je n'ai noté ni amaurose, ni perte d
raction permanente des muscles fléchisseurs? Ces différences dans les symptômes ne tiennent pas à des différences de nature, à de
vous comprendrez pourquoi ce désaccord souvent désespérant entre les symptômes observés au lit du malade et les résultats de l'a
éterminent constamment les mêmes effets, se manifestent par les mêmes symptômes , et que les différences à cet égard tiennent à de
rs de tout traitement. Le 22 juillet i835, elle fut prise de tous les symptômes du choléra et succomba le 26. Je supprime tous le
es extrémités inférieures. La malade nous dit avoir éprouvé les mêmes symptômes , mais avec moins d'intensité, deux ans auparavant
u'elle est sur le point d'atteindre sa dernière limite. La marche des symptômes établit que la méningite rachidienne est dans sa
ugmentation, et qu'il y a compression et irritation de la moelle. Les symptômes d'irritation continuent encore. Toutefois il semb
ulaire très limitée et pour l'étendue et pour la force: tels sont les symptômes principaux qu'a présentés notre malade. Dans le c
ralysie presque complète de la sensibilité tactile : tels ont été les symptômes de cette atrophie avec induration de la moelle. N
bservation , on ne saurait lui contester une grande influence sur les symptômes observés. Le foyer celluleux delà protubérance,
donnés sur l'invasion de cette paralysie, après quoi j'exposerai les symptômes qu'elle a offerts depuis i832 jusqu'à sa mort, en
tion assez forte. J'avais donc deviné la péricardite à l'aide de deux symptômes , savoir : absence du bruit du cœur; impulsion for
autre moment le parallèle des lésions observées après la mort et des symptômes observés pendant la vie. Paraplégie complète du
xistence d'une lésion du cerveau. Aujourd'hui, à défaut de tout autre symptôme , la coexistence d'une paralysie du sentiment et d
us avions affaire à une arachnitis spinale. Le 11,1a malade accuse un symptôme qui me paraît à-peu-près constant dans les affect
la vie de cette malade, parce que jetais préoccupé de la valeur d'un symptôme que j'ai rencontré chez presque tous les paraplég
d'une anesthésie antérieure à l'invasion de la douleur, enlevait à ce symptôme une grande partie de son importance, en même temp
sion pathogénique de ces lésions qui coïncident parfaitement avec les symptômes observés pendant la vie. La péritonite chroniqu
mpression de la moelle par carie des vertèbres: on trouvera quant aux symptômes qu'elle a déterminés et quant à la marche de la m
mais qui sont très fréquentes chez les vieillards. Réflexions. Les symptômes qu'a présentés le malade dont je viens de tracer
résentés le malade dont je viens de tracer Phistoire sont le type des symptômes qui résultent de la compression sans désorganisat
se tenir debout; à la seconde, cela lui était impossible. Le premier symptôme dont il nous entretint, c'est qu'il lui semblait
it le sujet, sinon qu'il est mort en moins d'une heure, avec tous les symptômes d'une apoplexie foudroyante, c'est-à-dire avec ab
me, temps que la précédente , présente le tableau clinique fidèle des symptômes qui constituent la physionomie de l'apoplexie de
issement de l'aile du nez. Dans un grand nombre de cas, c'est le seul symptôme de paralysie qui survive à tous les autres. Il m'
ureux que nous soyons privés de toute espèce de renseignemens sur les symptômes observés au lit du malade. La figure 3' représe
r un très grand développement sans manifester leur présence par aucun symptôme ; quelquefois même les individus ayant succombé à
ndant trois mois de séjour à l'hôpital, ce malade ne présenta d'autre symptôme qu'un catarrhe pulmonaire chronique, avec gargoui
thorax à la percussion : il succomba à l'affection pulmonaire. Aucun symptôme n'avait révélé la moindre lésion du côté du cerve
ral correspondant, se concilient difficilement avec l'absence de tout symptôme cérébral. Tel était encore le cas d'une jeune f
mourut d'une phthisie pulmonaire, sans avoir jamais offert le moindre symptôme du côté du cerveau. Son cerveau, qui fut présenté
st tout aussi subite que l'invasion de l'apoplexie avec foyer, et les symptômes assez peu dissemblables, pour qu'il y ait doute d
que, l'invasion est subite, brusque, instantanée, sans prodromes; les symptômes arrivent de suite à leur apogée et diminuent d'in
et, le soir, il le remue. Je crois pouvoir déduire du caractère des symptômes un second signe différentiel entre l'apoplexie et
ions des membres comme un caractère propre au ramollissement; car ces symptômes manquent souvent; ii° que le ramollissement blanc
nt pas une demi-ligne de profondeur. Je n'ai pas de détails sur les symptômes correspondans à la lésion précédente; les observa
ent. Lorsque le ramollissement est limité à la substance grise, les symptômes de paralysie sont rarement persistans. L'état de
amollissement m'a toujours paru un phénomène fort grave. En outre, un symptôme fixe mon attention, c'est la fréquence du pouls,
iaire est toujours dans l'état le plus parfait d'intégrité. A quels symptômes pourra-t-on reconnaître une apoplexie capillaire
t le nom d'apoplexie graduelle, à raison de la marche progressive des symptômes de la paralysie; dans un certain nombre de cas, l
ptômes de la paralysie; dans un certain nombre de cas, l'invasion des symptômes se faisait d'une manière aussi brusque, aussi ins
lens, qui augmentaient au moindre mouvement.Pour la première fois, ce symptôme fixe mon attention d'une manière sérieuse. Quinze
le pouls, fréquent la veille , est devenu lent. Je trouve là tous les symptômes d'une méningite extrêmement intense , telle que j
ammation des sinus de la dure-mère s'annonce donc quelquefois par des symptômes qui ont beaucoup d'analogie avec ceux de la ménin
, dans laquelle cette céphalalgie avec élancemens ait été notée comme symptôme de la phlébite des sinus. Peut-être l'intensité d
r de son entrée, jusqu'au 4 juin. Dans la nuit du 4 au 5 juin, sans symptômes précurseurs, on ne sait à quel moment précis, ell
le femme de la Salpétrière, qui n'avait offert, pendant sa vie, aucun symptôme du côté du cerveau. La figure 3 représente la f
tre desquels est une petite trompe qui m'a paru perforée. Quant aux symptômes par lesquels ces cysticerques révèlent leur prése
méningite rachidienne , aucune autre lésion ne pouvant expliquer les symptômes et la mort. La dissection de la tumeur a été fait
es soupçons se convertissent en certitude, lorsque je rapproche de ce symptôme les vomissemens presque continuels depuis quatre
son de l'œdème. Voici du reste l'ensemble et les détails des autres symptômes qui viennent à l'appui de mon diagnostic. Soupirs
ubstance cérébrale environnante. Nous ne trouvons nullement ici les symptômes de ramollissement cérébral: point de paralysie le
s complètement dans le faux. L'œdème et la céphalalgie sont les seuls symptômes observés dans la première période, qui débuta l
ins qu'en exemples d'absence complète de mouvement fébrile et de tout symptôme de paralysie, si bien que le médecin doit toujour
mière période, quoique à un moindre degré que dans la seconde, et ces symptômes m'auraient éclairé. La troisième période date d
cerveau qui entourait le kyste ; et qu'enfin la troisième période de symptômes répond à l'ouverture du foyer dans le ventricule
la dure-mère sont une lésion assez fréquente chez les vieillards: les symptômes qui en résultent sont tantôt nuls, tantôt des eff
manière à n'exercer qu'une faible compression sur le cerveau; il y a symptômes de compression lorsque la tumeur a acquis un cert
onsidérations précédentes. Tumeur cérébriforme de la dure-mère sans symptômes cliniques correspondans. Une femme de la Salpét
nt à une femme hémiplégique, qui entra dans mon service avec tous les symptômes d'une pneumonie latente à laquelle elle succomba.
es membres du côté gauche. Après deux mois de cette nouvelle série de symptômes , le malade tomba tout-à-coup dans la somnolence,
e des observations ultérieures nous permettent de démêler un jour les symptômes qui dérivent du cervelet de ceux qui dérivent du
ns la période d'éruption de la petite-vérole. On sait que de tous les symptômes , le plus grave, dans la petite-vérole, c'est l'ap
the, n. 3) en mai i838 : elle a succombé en novembre i83cj. Voici les symptômes qu'elle a présentés pendant ce long intervalle.
ions. i° Relativement à l'attaque d'apoplexie, je ferai remarquer les symptômes insolites par lesquels cette lésion s'est manif
i bien que le chirurgien de garde a pu croire à une indigestion A ces symptômes , qui ont eu quatre heures de durée, a succédé un
hagie cérébrale, manquait complètement dans le cas actuel, ou , si ce symptôme a existé, ce n'était pas à l'invasion, ce n'était
e dans la période d'assoupissement, et il est plus que douteux que ce symptôme ait eu lieu. Ce fait me rappelle celui d'un nég
chement est très considérable, cette réaction, qui est accompagnée de symptômes de compression générale du cerveau, est bientôt s
bsence complète de douleurs, et la santé redevenait parfaite. Le seul symptôme de maladie était la fétidité habituelle des urine
cancer mammaire extirpé et qui a repullulé, a succombé avec tous les symptômes d'une infection cancéreuse générale. Voici les re
ua beaucoup, détermina de l'amaigrissement, sans modifier en rien les symptômes existans. Ce fut alors que le malade, étant men
les pour les autres organes. Ces plaques,comme les tubercules sont un symptôme de l'infection cancéreuse. Ces plaques de la pl
ans le cerveau, que cette tumeur, qui ne s'était manifestée par aucun symptôme , venait de révéler sa présence par un travail mor
organe. Au reste, cette altération ne m'a paru s'annoncer par aucun symptôme particulier autre qu'une perte de sang ou un suin
ent eu lieu, j'aurais accusé le choléra; car je retrouvai là tous les symptômes généraux de cette redoutable maladie. Je ne soupç
la gangrène est-elle indépendante de Fobturation des artères ? Les symptômes qu'a présentés cette maladie sont tellement étran
is à l'hôpital des Vénériens; elle soutint n'avoir jamais eu d'autres symptômes qu'un écoulement blanc, n'avoir jamais fait de tr
rface externe , la vessie et l'utérus d'une femme morte avec tous les symptômes d'un cancer utérin. Le rectum parfaitement sain e
du rectum appartenant à une autre femme morte également avec tous les symptômes du cancer utérin. On voit que l'utérus est conver
progressive. Dans le cas de gangrène en masse, l'invasion subite des symptômes les plus graves au milieu d'un état qui paraissai
ladie a débuté par une douleur sciatique indépendamment de tout autre symptôme ; que cette douleur sciatique ressemblait identiqu
à la Salpétrière par suite d'un hydrothorax, qui n'avait accusé aucun symptôme du côté de l'utérus, j'ai trouvé que l'utérus, vu
n, et pourtant aucun signe anatomique de péritonite, de même qu'aucun symptôme de péritonite n'avait existé pendant la vie. Ce n
reprises à la suite de ces ponctions. Une fois elle éprouva tous les symptômes de la péritonite la plus intense : je la crus per
plus énergique, les saignées générales et locales, firent tomber les symptômes inflammatoires et la malade guérit. Après une aut
sque toujours cette rupture que précèdent ou que ne précèdent pas des symptômes graves d'inflammation. i° Si l'hémorrhagie n'ét
ifs, je recueillis que cette femme n'avait jamais été malade; que les symptômes abdominaux ne dataient que de quinze jours et le
. 40e liv., pl. m, p. 7. ANGOISSE. L'angoisse épigastrique est un des symptômes les plus constans du choléra. 14e liv., pl. 1,
ière. 3e liv., pl. vr, p. ; 5e liv., pl. 1, p. 2. — Rapprochement des symptômes de l'apoplexie de la moelle et de ceux de l'apopl
ent prise pour une arachnilis aiguë. 38e liv., pl. n, m , iv, p. 4. — Symptômes de l'arachni-lis spinale aiguë. 38e liv., pl. v,
a médecine. 7e liv., pl. 1,11, ni, rv,/ . 40. ARSENIC. Analogie des symptômes de l'empoisonnement par l'arsenic el de ceux du c
ilages articulaires : importance de l'étude de cette maladie; causes, symptômes . 9e liv., pl. 11, m, iv, v, vi, p. io.— Toutes le
s l*uu des points du canal alimentaire peuvent donner lieu à tous les symptômes de l'étranglement. Des calculs biliaires peuvent-
un des points du canal alimentaire peuvent-ils donner lieu à tous les symptômes de l'étranglement? Des calculs biliaires peuvent-
c en particulier : définition ; caractères anatomiques; obscurité des symptômes ; deux formes bien distinctes ; fréquence de cette
e par masses disséminées (variété dure). 12e liv., pl. n et m, p. 8.— Symptômes vagues d'affection épigastrique; apparences d'une
tif. Son siège; son aspect; ses caractères. 20e liv., pl. 1» p. — Ses symptômes . Différences entre le cancer par masses disséminé
ent de cet intestin, pris pour un cancer de cet organe. Mort avec les symptômes de l'étranglement. — Inflammation chronique du re
du cancer rectal.=Cancer de la partie supérieure du rectum. Tous les symptômes de la rétention des matières fécales. Hématurie.
. Tous les symptômes de la rétention des matières fécales. Hématurie. Symptômes d'un calcul vésical ou d'un fongus. Mort. Cancer
/ et /o. — Importance de l'élude de cette maladie ; ses causes ; ses symptômes . 9e liv., pl. n, m, iv, v, vi, p. la. Usure des c
déposées dans le cerveau. 2e liv., pl. vi, p. 4. — Rapprochement des symptômes de l'apoplexie cérébrale et de ceux de l'apoplexi
paralysie de la langue et de rigidité du bras. Marche progressive des symptômes ; perte de connaissance. Mort au bout de quarante
. 1. — Leur siège, leur développement latent. 25e liv , pl. n, p. 2.— Symptômes apoplectiques; symptômes épilepliques. 25e liv.,
éveloppement latent. 25e liv , pl. n, p. 2.— Symptômes apoplectiques; symptômes épilepliques. 25e liv., pl. n,p. 3. — Age le plus
use de la dure-mère ; fréquence de cette lésion chez les vieillards ; symptômes qui en résultent; caractères. Observation. Tumeur
cidence fréquente avec des tubercules dans d'auires parties du corps. Symptômes . 18e liv., pl. 11 , p. 4. — Marche de la maladie.
n- Variétés. 11 débute presque toujours par un dévoiement cholérique. Symptômes annonçant le passage du dévoiement cholérique au
invasion du choléra asphyxique. 14° liv., pl. i, u, m, iv, v, p. *$ — Symptômes . Terminaison. Convalescence. 14p liv., pl. i, n,
1, m, iv,v, p.3g.—Physiologie pathologique du choléra. 1° Analyse des symptômes . 14eliv., pl. 1, n, m, iv, v, p. 4/.—Analogie ent
des symptômes. 14eliv., pl. 1, n, m, iv, v, p. 4/.—Analogie entre les symptômes du choléra et ceux de l'empoisonnement par l'arse
Influence de ce rétrécissement sur l'économie. 28e liv., pl v, p.2. — Symptômes . 28e liv., pl. iv, p. 6. — Cancer du cœur. 29e li
° liv., pl. 1, n, p. 2. — Observation qui peut servir de type poulies symptômes résultant de la compression de la moelle sans dés
v., pl. n, m, iv, v, vi, p. 8. CRAMPES. Du degré d'importance de ce symptôme dans le choléra. 14e liv., pl. i, n, m, iv, y,p.
rée par l'analomie. 8e liv., pl. vi,/ . ^. CROUP. Rapport entre les symptômes de l'angine sous-muqueuse laryngée et ceux du cro
début ordinaire du choléra. 14e liv., pl. 1, n, m, iv, v, p. n, 4/. — Symptômes annonçant le passage du premier au second. 14e li
réquentes que les externes ; leur siège; leur cause ; incertitude des symptômes . 8e liv., pl. 1, n, m, p. 3. — Effets des différe
teuse de la dure-mère; fréquence de cette lésion chez les vieillards, symptômes qui en résultent ; caractères. Observation. Tumeu
t ; caractères. Observation. Tumeur cérébriforme de la dure-mère sans symptômes cliniques correspondans. 33e liv., pl. m,p. 6. —
-muqueux. 14e liv., pl. i, ii, iii, iv, v, p. 24. EMPOISONNEMENT. Symptômes de ramollissement gélaiini-forme de l'estomac pri
Symptômes de ramollissement gélaiini-forme de l'estomac pris pour des symptômes d'empoisonnement. 10e liv., pl. 1,11, p. 3. ENC
idence fréquente avec des tubercules dans d'autres- parties du corps; symptômes . 18e liv., pl. 11, p. 4. — Marche de la maladie ;
(forme ataxique). Amélioration pendanl neuf jours ; recrudescence des symptômes ; hallucination; mort; les ganglions mésenlériques
l. m, p. /. — Entérite folliculeuse pustuleuse ; correspondance des symptômes cérébraux délirans avec celle forme anatomique de
9e liv., pl. 1, p. 6. EPIGASTRE. L'angoisse épigaslrique est un des symptômes les plus conslans du choléra. 14e liv., pl. 1, 11
peut être détruit dans une grande partie de son étendue sans qu'aucun symptôme révèle celte altération. 4e liv., pl. 1, p. 4- —
ibilité du diagnostic de celle affection. 10e liv., pl. 1, n, p. /. — Symptômes ; traitement préservatif; traitement cura-lif. 10e
en particulier : définition ; caractères anatomiques ; obscurité des symptômes ; deux formes bien distinctes ; fréquence de cett
es qui le distinguent de l'ulcère cancéreux ; obscurités des causes ; symptômes . 10e liv., pl. v, vi, p.*. —Dangers des hémorrhag
oie par masses disséminées ; variété dure. 12e liv:, pl. n, ni, p. 5.— Symptômes vagues d'affection épigastrique : apparences d'un
u poumon. Epilepsie. Chorée. Mort le treizième jour de l'invasion des symptômes de la maladie du poumon. 11e liv., pl. iv, p. 1.—
tes hydalidiformes du placenta. 16e liv., pl. i, p. 3. HYDROCÉPHALIE. Symptômes de l'hydrocéphale ventriculaire aiguë. 10e liv.
es variétés; il débute presque toujours par un dévoiement cholérique; symptômes annonçant le passage du dévoiement cholérique au
vasion du choléra asphyxique. 14e liv., pl. 1, n, ni, iv, v, p. 18. — Symptômes ; terminaison; convalescence. 14e liv., pl. 1, n,
iv, v, p. 3g. — Physiologie pathologique du choléra : Io Analyse des symptômes . 14e liv., pl. 1,11, m, iv, v, p.4i.— — Analogi
ymptômes. 14e liv., pl. 1,11, m, iv, v, p.4i.— — Analogie entre les symptômes du choléra et ceux de l'empoisonnement par l'arse
l. vi ,p. 3. — Entérite folliculeuse pustuleuse. Correspondance des symptômes cérébraux délirans avec celte forme anatomique de
ations générales sur les invaginations. 22e liv., pl. iv,v, vi, p. 5.— Symptômes , terminaisons et traitement de l'invagination. 2
s perfides de cette affection. 5e liv., pl. n, p. 2. — Rapport de ses symptômes et de ceux du croup. = Thérapeutique. = Laryngite
ons perfides de celte affection. 5e liv., pl. n, p. 2. — Analogie des symptômes de l'angine sous-muqueuse laryngée et de ceux du
ous-maxillaires. 39e liv., pl. y, p. 3. MÉMOIRE. Perle de mémoire ; symptôme de sous-arachnitis aiguë. 8e liv., pl. iv, p. 2 b
exiede la moelle épinière. 3e liv., pl. vi, p. /. — Rapprochement des symptômes de l'apoplexie de la moelle épinièreet de ceux de
3,— Quelle est la cause de l'atrophie avec induration de la moelle; symptômes de cette atrophie. = Paralysie incomplète des mem
11, p. 4. NEZ. Importance de l'affaissement de l'aile du nez comme symptôme de paralysie. 21e liv., pl. v, p a. NIEL (M.),
ouvent consécutif; siège, aspect, caractères. 20e liv., pl. 1, p. /.— Symptômes ; différences entre le cancer par masses disséminé
u poumon. Épilepsie. Chorée. Mort le treizième jour de l'invasion des symptômes de la maladie du poumon. 11e liv., pl. iv, p. i.
risme. Ecoulement d'une grande quantité de sang. Guérison temporaire. Symptômes de pierre et de catarrhe de vessie. Dépérissement
ibilité du diagnostic de celte affection. 10e liv., pl. 1, n, p. i. — Symptômes , traitement préservatif et curatif. 10e liv., pl.
nt de cet iniestin , pris pour un cancer de cet organe. Mort avec les symptômes de l'étranglement. = Inflammation chronique du re
Tous les symplôrnes de la rétention des matières fécales. Hématurie. Symptôme d'un calcul vésical ou d'un fongus. Mort. Cancer
24e liv., pl. m, p. 40. RESPIRATION. L'inégalité de la respiration, symptôme caractéristique de l'hydropisie ventrlculaire et
— Il est toujours le résultat d'une maladie. 28e liv., pl. ïv, p. 5.— Symptômes et traitement. 28e liv., pl. ïv, p. 6. —Rétréciss
cidence fréquente avec des tubercules dans d'autres parties du corps; symptômes . 18e liv., pl. n, p. 4. — Marche de la maladie; m
. — Leur siège ; leur développement latent. 25e liv., pl. 11, p. 2. — Symptômes apoplectiques; symptômes épileptiques. 25e liv.,
eloppement latent. 25e liv., pl. 11, p. 2. — Symptômes apoplectiques; symptômes épileptiques. 25e liv., pl. 11, p. 3. — Ages les
cère cancéreux. 10e liv., pl. v, vi, p. 1 ; 20e liv., pl. vi, p. /. — Symptômes , 10e liv., pl. v, vi, p. /. — Dangers des hémorrh
ent de cet intestin, pris pour un cancer de cet organe. Mort avec les symptômes de l'étranglement. = Inflammation chronique du re
ndomptables. 4e liv., pl. 1, p. 4.— Les vomissemens sont les premiers symptômes , et quelquefois le symptôme dominant de la méning
p. 4.— Les vomissemens sont les premiers symptômes, et quelquefois le symptôme dominant de la méningite_,sous-arachnoïdienne aig
39 (1892) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 05] : clinique des maladies du système nerveux
comme l'on sait, par des troubles des mouvements volontaires. « Le symptôme capital de cette affection, celui qui pour ains
ction jusqu'ici incompréhensible que la suspension exerçait sur les symptômes céphaliques en général et sur les nerfs optique
sultats se traduiront par une amélioration plus ou moins grande des symptômes morbides et une déchéance fonctionnelle plus tard
ssante. La suspension sera peu utile ou inutile dans les cas où les symptômes morbides sont provoqués par la mort des élément
ale amyotrophique. L'explication n'est pas difficile à trouver. Les symptômes prédominants du tabes sont : l'ataxie, les douleu
ion de la névroglie et par conséquent elle modifiera avant tout les symptômes provoqués par la com- pression que celle-ci exe
res nerveuses qui tientau processus dégénératif, etparconséquentles symptômes produits par l'irritation, seront beaucoup plus
, seront beaucoup plus difficiles à combattre. On trouve encore des symptômes qui tiennent à la fois à la compression des fib
part qui reviendra à chacun de ces éléments dans la production des symptômes morbides. Dans le tabes, par conséquent, les do
d'abord la distension l'est également et ensuite parce que certains symptômes seulement sont provo- qués par la compression;
moins bonne et leurs fonctions sont troublées. L'amélioration des symptômes céphaliques s'explique par l'hyperhémie du bulb
bres nerveuses devient moindre et leur conductibilité augmente. Les symptômes médullaires cèdent plus facilement au traitement
symptômes médullaires cèdent plus facilement au traitement que les symptômes céphaliques, non seulement parce que l'hyperhémie
de devenir autre chose qu'un traitement s'adressant uniquement aux symptômes . Nous avons déjà dit que la suspension ne répon
traitement. La suspension en effet manifeste déjà son action : les symptômes morbides, s'ils sont justifiables du traitement,
t primitif. Par conséquent, dans tous les cas où nous supposons les symptômes morbi- des être la manifestation d'une sclérose
nous pouvons éliminer la sclérose de la pathogénie et rattacher les symptômes à une anémie, notre conduite devient différente
droite. El si cela ne suffisait pas pour la diagnose d'hystérie, un symptôme qui survint durant l'observation enlève chaque
re ; cette dernière et douleur se comptent, au contraire, parmi les symptômes les plus fréquents. En général, les causes qui pr
il n'est pas rare de trouver des malades qui présentent à titre de symptôme uni- que une élévation de la température dont l
ulières suivant leur nature ; elle pré- sente néanmoins toujours un symptôme : la fièvre. Celte fièvre affecte dans bien des
iquer comment la lièvre se produit, on sait au moins qu'elle est un symptôme très commun dans des circonstances pareilles. M
rconstances pareilles. Mais quand l'élévation thermique est le seul symptôme que présente un individu dont les organes et le
omatiques, mais il en est aussi qui présentent dans leur marche des symptômes assez étranges pour que leur absence leur serve
érant l'apyrexie, l'intermittence ou la rémittence, la mobilité des symptômes , le mode de commencement, la durée et la termin
y trouver quelque chose qui expliquât l'hy- pertllermie. L'unique symptôme qu'on observa pendant plus d'un mois et demi fut
ua une éruption mor- billeuse qui disparut bientôt sans aucun autre symptôme de rougeole. On trouva dans le lit de la malade
audanum et les émollients, mais la céphalalgie était in- tense. Les symptômes prédominants pendant huit jours sur dix qu'elle g
le double du temps qu'au mois d'août. A la date du 9 octo- bre, les symptômes culminants étaient les douleurs lombaires et la c
élevait il 38 7. Le jour suivant, elle se réveille avec les mê- mes symptômes , qui se calment vers le milieu du jour pour augme
s, ne pouvait donner lieu a des doutes sur la nature hystérique des symptômes observés chez cette malade ; mais plus tard, il n
et la température tombe brusquement à la normale et tous les autres symptômes disparaissent pour laisser la patiente comme si
tni traumatisme ni inflam- mations dû système nerveux mais bien des symptômes hystériques, on en conclut que l'altération dev
ture eût pu appartenir à la dothiénenterie, l'en- semble des autres symptômes et l'état général de la malade pendant toute la
s signes qui ne s'accordent pas avec la péritonite. L'anurie est un symptôme qui alarme toujours, mais qui n'a aucune im- po
nctionnel, il n'y a point de raisons convaincantes fournies par les symptômes pour exclure les altérations organiques. La prude
eurs raidis, pres- que comme dans la maladie cle Little. A lous ces symptômes viennent bien- tôt s'ajouter les mouvements ath
re : «En- core est-il juste de faire remarquer qu'il s'agit là d'un symptôme qui a passé pour ainsi dire inaperçu jusqu'ici
de nature épileptique et hystérique, elles sont excessivement 3. - Symptômes accessoires. I. TROUBLES MOTEURS. Contracture
e trouvent inscrits et grou- pés plus ou moins artificiellement les symptômes qui constituent ce que j'appelle « la série tab
tis, comme vous le voyez, d'une façon toute conventionnelle en : 1° symptômes spinaux ; 2° symptômes lntlúaires et céphaliques
z, d'une façon toute conventionnelle en : 1° symptômes spinaux ; 2° symptômes lntlúaires et céphaliques ; 3° symptô- mes visc
LE iconographie de la Salpêtrière. Vous n'ignorez pas que parmi ces symptômes les uns sont très fréquents, véritablement vulg
), type qui répond certainement à la majorité des cas de tabès, les symptômes classiques se groupent d'une certaine façon, et
encent. Or, retenez bien ceci, il n'est aucun des dix-huit ou vingt symptômes ou syndromes de la série tabétique qui ne puiss
terez pas à diagnostiqueur le tabès même en l'absence de tout autre symptôme ; car, vous ne l'ignorez pas, la papille tabétiqu
tabétique est tout à fait caractéristique et c'est parfois le seul symptôme qui existe précédant de plusieurs années les au
'embarras dans lequel peut se trouver le méde- cin en présence d'un symptôme absolument isolé, marchant à l'avant-garde du c
des arguments pour et des arguments contre, mais cependant assez de symptômes positifs pour affirmer que nous sommes en prése
lairs ». Nous avons déjà accumulé, je crois, un nombre suffisant de symptômes : signe d'Argyll Robertson, troubles vésicaux,
serait montré avant le développement des arthro- pathies, cet autre symptôme c'est le masque tabétique. Ce signe m'a été ind
a ainsi dans l'histoire clinique du faites quelques groupements de symptômes , quelques types assez bien définis qui, sans nu
sification qui devrait s'appuyer à la fois sur l'étiologie, sur les symptômes , sur l'anatomie pathologique et, si possible, s
GOMYÉLIE. Les déviations vertébrales peuvent être rangées parmi les symptômes les plus constants de la syringomyélie. Leur im
le. Au contraire, la plupart des observations récentes signalent ce symptôme , sur la fréquence duquel Bernhardt, (3) a le prem
e. La cyphose pure est plus rare, la lor- dose exceptionnelle. Ce symptôme apparaît d'ordinaire quelques années après le déb
déformation très manifeste. Cependant, exceptionnellement, quelques symptômes douloureux ont accompagné sa production. On s'e
supérieurs que s'étaient, comme d'habitude, manifestés les premiers symptômes . Généralement, ]e côté premier atteint continue
int continue à présenter, pendant toute la durée de la maladie, les symptômes les plus accentués. Nous avons recherché, sans
prédominance extrêmement marquée ou une localisation exclusive des symptômes syrin- gomyéliques, on trouve : convexité dorsa
ît pas avoir notablement changé (non plus d'ailleurs que les autres symptômes ). Tout au plus la déviation sem- ble-t-elle s'ê
N1 ? ItOPAIII((UES. 145 syringomyélie s'était annoncée déjà par des symptômes nets. Observons que la courbure dorsale dirige
ond au côté le plus fortement atteint et le premier atteint par les symptômes syringomyéliques sensitifs et musculaires. Path
Ajoutons que M. le professeur Charcol, dans sa classifica- tion des symptômes de la syringomyélie, range la déviation vertébral
la syringomyélie, range la déviation vertébrale sous la rubrique : symptômes poliomyéliqlles médians ; c'est dire qu'il tend à
n signale ensuite un cas. C'est alors que Morvan lui-même, à qui ce symptôme avait d'abord échappé, porta ses investiga- tio
rès le début de la maladie. Cependant elle peut précéder les autres symptômes , et dans un cas de Friedreich, les premiers tro
de âgé de 28 ans, qui avait ressenti à l'âge de 14 ans les premiers symptômes ca- ractéristiques de la maladie. La déformatio
(Pitres et Vaillard, loc. cit.). Bad... Jean, 56 ans. Les premiers symptômes tabétiques nefs semblent dater de 1870 : troubl
des culs-dc-jatte. Le 6 mai 1885, l'état est le suivant : outre des symptômes divers de tabès, on constate des arthropathies
es jambes date de 1881. Actuellement il persiste un grand nombre de symptômes caractéristiques du tabès : perte du réflexe pu
; il y avait tendance à choir en avant. En -1881" on constate les symptômes nets du labcs. Aucune trace de syphilis ni de r
avant. 156 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Actuellement, symptômes caractéristiques du tabes. Tronc incliné en avant
eut survenir alors que le tabes ne s'est pas encore affirmé par des symptômes bien caractéristiques ; dans tous les cas rappor-
l s'agit d'une femme chez laquelle débutent, à l'âge de 17 ans, les symptômes d'une sclérose en plaques. Celle- ci évolue sui
mpruntée à The Ame- rican Journal of the med. Science. Les premiers symptômes de la maladie dataient de 24 ans, quand le mala
(5), incriminent nettement la névrose. Voici comment évoluent les symptômes , si on en juge d'après les cas assez longuement
le rachis s'était fortement infléchi au bout de quelque temps. Les symptômes vési- caux joints à la difficulté de la marche
e nature à égarer le diagnostic. Une critique minutieuse des divers symptômes , et surtout l'épreuve du chloroforme, permirent d
CLINIQUE DES MALADIES NERVEUSES, SERVICE DE M. LE PROrr CHARCOT) 3. Symptômes accessoires [suite)*. II. TROUBLES SENSITIFS
92 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. l'adjonction de quelque symptôme différent qui est, au même titre qu'eux, l'effe
exis- tence et le siège d'une sciatique. M. Charcot a montré que ce symptôme pouvait déceler une sciatique fruste ; M. Balle
es par ostéo-arthropathies tabétiques, bien ca- ractérisées par des symptômes et des lésions d'un genre particulier. 2° Les d
liques aux déviations par arthropathies tabétiques, on voit que les symptômes diffèrent. Dans le cas d'arthropa- thies tabéti
ce des réflexes rotuliens, le pied-bot, la scoliose; les pre- miers symptômes se montrent d'ordinaire à l'époque de la puberté,
se marier et avoir des enfants sains. En ce qui concerne les autres symptômes de l'une et l'autre affections, la plupart se c
lontaires. Dans l'intervalle des accès, il reste cependant quelques symptômes ob- jectifs très caractéristiques de tétanie, c
athétoïdes) et de plus qu'ils ne s'accompagnent pas de la série de symptômes dont l'en- semble constitue le complexus de l'a
é- rique, leur mode de début, la disparition rapide et brusque, les symptômes accessoires, l'absence des troubles cérébraux,
n étaient atteints. Le frère d'un autre de ces malades souffrait de symptômes bizarres qui semblaient se rapprocher beaucoup
la mi- graine, rendre le sommeil aux malades, faire disparaître les symptômes de la neurasthénie, ce n'est pas peu de chose e
is non guérie. La vibration agit en faisant disparaître d'abord les symptômes céphali- ques en particulier les vertiges et le
out des indications précises dans les psychopathies accompagnées de symptômes localisés, particulière- ment chez les aliénés
in tout préparé pour la tuberculose. Je ne m'étendrai pas sur les symptômes qu'on trouvera au complet dans les deux observa
e deux sujets sains donnaient au même moment 33°5 et 33°. Quant aux symptômes douloureux, ils consistent surtout en fourmille-
tantôt un peu meilleure pendant 2 ou 3 jours, jamais plus; mais les symptômes relatés ci-dessus n'ont pas cessé d'exister un se
ée chronique, etc.), il sera fait facilement en général d'après les symptômes propres à chacune de ces affections. INDEX BIBL
épartition des lé- sions domine le tableau clinique et commande les symptômes . S'agit-t-il de lésions du foyer ? la maladie o
t les phénomènes psy- chiques qui tiennent le premier rang dans les symptômes de l'hystérie in- fantile. Duvoisin tend lui-mê
ue chez les enfants, l'hystérie offre une plus grande mo- bilité de symptômes , une moins grande prédominance des attaques et de
garçons que chez les adultes. Mais dans un {¡on nombre de cas, les symptômes sont identiques chez des sujets d'âges très dif
signifient que l'hystérie s'est développée chez un enfant, que ses symptômes principaux siègent sur un viscère, qu'ils ont été
ions s'associent parfois d'une façon si intime en mêlant tous leurs symptômes . Nous n'y pouvons rien changer, et notre attentio
la fourberie partout où elle se produit et de dégager au besoin des symptômes réels faisant foncièrement partie de la maladie
des symptômes réels faisant foncièrement partie de la maladie, les symptômes simulés que l'artifice des malades voudrait y s
érable qui s'interpose entre ce début et l'évolu- tion complète des symptômes . Ce sont là les traits essentiels, fondamentaux
es centres nerveux d'autre part, des ressemblances assez grandes de symptômes pour constituer un syndrome commun ? Nous ne po
pourrons l'affirmer qu'après avoir examiné parallèlement chacun des symptômes principaux de la maladie copiée par l'autre.
donc la maintenir jusqu'à plus ample information dans le cadre des symptômes propres aux lésions orga- niques. Quand elle
eur. C'est pourquoi nous avons insisté plutôt sur la similitude des symptômes que sur leur antago- MALADIES ORGANIQUES DE L'I
fibrillaires, la pointe se présentant recourbée en crochet. Comme symptômes subjectifs dominant la scène : une impression de
gèrent par accès et un sentiment de faiblesse et d'impuissance. Ces symptômes sont ceux qui préoccupent le plus vivement le mal
he. Pour l'instant je veux seulement appeler votre attention sur un symptôme curieux. Si nous lui demandons de prendre un mo
e l'hystérie nous ne voyons pas ici de phénomè- nes capricieux, des symptômes incohérents, des troubles désordonnés, per- met
es Iraumaliquesesld'aulanlplus défavorable que le développement des symptômes qu'elles présentent a été plus graduel et lent,
Mais l'ataxie peut être pas- sagère. Un sujet qui offrait tous les symptômes du tabes dorsal fut par- faitement guéri par Er
40 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
eçons cliniques, annoncer à distance chez les malades présentant ce symptôme , non seulement l'existence d'une sciatique, mai
ves pour qu'il soit possible d'établir avec ri- gueur, au moyen des symptômes consignés, le dia- Fig. 3.. . Fig. t. il, P
pointe, ni quand le corps est étendu. Jamais on ne le voit comme symptôme primitif convulsif, ', toujours il est précédé pa
sure que la malade continue à faire des efforts pour marcher, les symptômes sus-énumérés s'acceuluer. La malade porte un pied
nostic de la lésion qui chez notre premier malade a pu produire les symptômes relatés. Nous n'avons eu vue ici que les sueurs
es afférentes du nerf vertébral semble donner l'explication de ce symptôme . M. Riehl a publié, en 1884, une observation do
Cette observation nous paraît être la seule dans laquelle, avec les symptômes les plus manifestes d'une paralysie du sympathi
des filets oculo-pupillaires. Il est à remarquer toutefois que les symptômes de para- lysie ou troubles vaso-moteurs étaient
orbide dont l'observation et l'interprétation en ce qui regarde les symptômes devint dès lors relativement facile. ' De l'h
ne attaque isolée, mais bien plutôt à une série d'attaques dont les symptômes fréquemment frustes empiètent successivement le
conclure que les attaques de sommeil ne sont que très rarement le symptôme de début des accidents de la série hystérique, ch
, peuvent s'effacer et 's'évanouissent souvent quand éclatent les symptômes cérébraux qui caractérisent la maladie confirmée.
essemblent à ceux que l'on observe dans le tabès et qui forment les symptômes de la période pré- ataxique de l'ataxie locomot
fois par Baillarger. M. GILBERT Ballet sans nier l'existence de ces symptômes , répond qu'ils ne se rencontrent que chez les p
l'affection qui avait débuté par de la dyslexie constituant un des symptômes du début ou le symptôme vraiment initial, et l'
buté par de la dyslexie constituant un des symptômes du début ou le symptôme vraiment initial, et l'autre à un érysi- pèle.
ANTES. 135 propre (dysgraphie pure). En tous cas la dyslexie est un symptôme de lésion en foyer; sa lésion doit résider dans
ment pas plus de quatre semaines environ, est tout simplement un symptôme de lésion en foyer du cerveau et comporte sans
ude des rapports entre la syphilis et la paralysie générale (1879); Symptômes passagers de paralysie générale chez un épilept
les premiers temps, Job se plaignait continuellement de différents symptômes indéfinis subjectifs et faisait attention à s
état général et fut par suite abandonné. Dans ce dernier cas, les symptômes sont des plus caractéristiques. Une analgésie p
s trophiques de la peau, un panaris dans les antécédents. Autant de symptômes fondamentaux, caractéristiques de la gliomatose
istiques de la gliomatose de la moelle épinière. Une série d'autres symptômes qui s'associent à ceux-là avaient été remarqués
nq travers de doigts. Le nerf trijumeau est en bon état; les autres symptômes du système nerveux n'ont pas subi d'altérations
es douleurs ont cessé au début même du traitement ; tous les autres symptômes ont empiré. Le malade a beaucoup maigri, la bro
mois à Moscou, après quoi elle partit pour la campagne. Tous les symptômes (atrophie musculaire, anes- Archives, t. XV. ,
e caractère que celle des cas précédents, explique parfaitement les symptômes cliniques. Des altérations trophiques existent
hermesthésiomètre sous la main. 186 PATHOLOGIE NERVEUSE. Tous ces symptômes permettent à peine de douter du diagnostic glio
rre que cela puisse sembler de premier abord, leur liaison avec les symptômes fondamentaux de la maladie, contribue au tablea
nes de l'astasie et de l'abasie se trouveront entremêlés avec des symptômes révélateurs d'une affection organique spinale.
éjà aux cas où le syndrome abasie-astasie viendrait se combiner aux symptômes d'une affection organique. Diagnostic. Les ca
ciee aux stigmates hystériques vulgaires, ou alterner avec divers symptômes du même ordre. Mais, tout dyna- mique qu'elle s
n cor- respondante, tandis que, dans d'autres cas, ces der- niers symptômes manquent l'éphidrose existant seule. C'est là u
athique cervical s'annonce par du myosis qui peut même être le seul symptôme ; puis viennent la rougeur et l'hyperthermie et
beaucoup de cas de paralysie du sym- pathique-cervical, ce dernier symptôme peut manquer. On peut donc conclure, lorsqu'on
uer, par une excitation du tronc du grand sympathique cervical, les symptômes que nous présentait notre premier malade et qui
t d'une femme qui mourut dans le coma après avoir présenté tous les symptômes d'une hé- morrhagie cérébrale. Nous constatâmes
ans certains cas bien dé- terminés, donner lieu à la production des symptômes qui nous occupent4. Nous ne pouvons mieux fai
on qu'il fit en 1882 à l'Académie des sciences au sujet de certains symptômes secondaires de l'ataxie locomotrice. « J'ai é
e locomotrice. « J'ai été amené, dit-il, à rechercher la cause de symptômes observés dans le tabes : crises douloureuses vi
fs réputés mixtes, que l'on doit attribuer l'apparition de tous les symptômes qui, de près ou de loin impliquent un trouble c
ous ferons toutefois des réserves pour l'ataxie locomotrice. Si les symptômes que nous avons passés en revue sont ceux du tab
ue ces derniers sont d'ordinaire accompagnés d'une réunion d'autres symptômes dont le groupement laisse peu de doute pour le
diagnostic. Or ici tout autre signe fait défaut : quant aux autres symptômes du tabes moteur, l'observation a montré qu'il n
que chez notre malade toutes les substances dirigées contre le seul symptôme sueur avaient échoué. En dehors des cas où la c
Depuis le 9 mars ni accès, ni secousses. Après les ventouses les symptômes d'asphyxie ont momentanément diminué, puis ilso
'affaiblissement fait des progrès. 112. - T. R. 41°, matin et soir. Symptômes de conges- tion méningitique. Le malade meurt à
nographie, de délimiter une forme de maladie dans laquelle certains symptômes somatiques et plus particulièrement mus- culair
sistent encore la partie dans la démence terminale. A côté de ces symptômes que leur importance met en parallèle avec les p
nneraient à la mú ? llle une physionomie caractéristique à côté des symptômes habi- tuels de la mélancolie attonita. Tout cet
a succession des différents états psy- chiques en relation avec des symptômes musculaires, elle en différerait au contraire p
mmencement du stade de décroissance. LA CATATONIE. 257 Quant au symptômes en particulier, ils n'ont rien de bien spécial
élire systématisé (Wahnsinn) plus fixe. On rencontre alors quelques symptômes particuliers à la Catatonie et qui peuvent serv
t les rémissions quand le délire n'est plus apparent. , Quant aux symptômes somatiques, ils* sont tous basés sur une pertur
ique reste invariable (folies partielles) et ceux dans lesquels les symptômes sont changeants, et la marche non cyclique (fol
s. Car dans l'état de stupeur on peut toujours reconnaitre quelques symptômes neuro-moteurs et souvent des états convulsifs a
comme une manie simple. - Puis viennent les cas où l'on note des symptômes neuro-moteurs de longue durée et si accentués q
ier (C. gravis). Enfin, dans une dernière forme (C. prolongée), les symptômes d'excitation n'apparaissent pas dans la premièr
ou tout au moins à un état cataleptique. Enfin il sera compliqué de symptômes particuliers d'opposition. Si la gué- rison ne
moitié de la maladie, quand le mutisme n'est pas continu et que les symptômes neuro- moteurs ne sont pas encore apparus. L'at
a celui où chez des individus mélan- coliques depuis longtemps sans symptômes neuro-moteurs, il se développe du mutisme sans
es qui le mènent à conclure que ce ne sont pas seulement quelques symptômes spéciaux, mais leur ensemble, qui constituent un
mplète et prolongée pour que ces phénomènes priment tous les autres symptômes ordinaires de l'attaque. Mais, par ce fait même
ie avec exagération de l'amblyopie, J... présente un matin tous les symptômes d'une attaque d'apoplexie céré- orale, à savoir
taque apoplectiforme dans le cours de la paralysie générale, vu les symptômes d'aliénation mentale et son internement dans un
rouvera le plus souvent. Il. - Les diverses affections ou mieux les symptômes cliniques que nous venons de passer en revue, s
. l'enfance et ayant présenté au début de l'affection mentale des symptômes analogues à ceux de la folie du doute. Les mêmes
point, il ressemblait à un malade affecté de tumeur cérébrale. Les symptômes contraires à l'idée d'une paralysie générale ét
tumeurs, on remarque d'ordi- naire de grandes oscillations dans les symptômes psychiques. ' Aujourd'hui le malade paraîtra d'
aire, sans que cette date puisse remonter à plus de huit jours; les symptômes observés et les preuves de folie constatées per
de le publier. » «Je suis bienheureux de vous annoncer qu'aucun des symptômes qui ont figuré au tableau clinique si net et si
nvergence, l'insuffisance des droits internes, le regard vague, les symptômes spasmodiques, les accès apoplecti- formes et ép
spasmodiques, les accès apoplecti- formes et épileptiformes, et les symptômes psychiques, aucun de ces symptômes, dis-je, n'a
formes et épileptiformes, et les symptômes psychiques, aucun de ces symptômes , dis-je, n'a plus réapparu et, par conséquent, la
VES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE SUR UN CAS DE PSEUDO-TABES ( symptômes DE l'ataxie locomotrice progressive persistant pe
aux mais incomplets de la maladie que je me propose de décrire. Ses symptômes et sa marche en font une espèce morbide parfait
de l'ataxie locomotrice reposait exclusivement sur un ensemble de symptômes se succédant dans un certain ordre, mais la nat
ice progressive. Cette manière de comprendre la subordination des symptômes nettement définis du tabès à certaines alté- ra
à l'autopsie de sujets qui n'avaient eu pendant leur vie aucun des symptômes caractéristiques du tabes, des scléroses éviden
s la plupart des autopsies étaient les effets et non les causes des symptômes observés2. D'autres, plus réservés dans leurs d
contrait à l'autopsie de sujets ayant pré- senté pendant la vie des symptômes plus ou moins analogues à ceux du tabes, des al
s organes, quelle que soit du reste leur nature, donnent lieu à des symptômes rap- pelant, dans une certaine mesure, ceux de
Goll), qui peut être sclérosée dans toute son étendue sans que les symptômes de l'ataxie se manifestent, l'autre périphériqu
abes, car c'est avec les lésions de cette région que coexistent les symptômes caractéristiques de la maladie. Les altérations
ement. Dans l'observation dont je vais rapporter les détails, les symptômes tabétiques persistaient depuis une di- zaine d'
t des plaisirs vénériens. Début et marche de lamalaiie. -Le premier symptôme morbide apparut dans le courant de l'année 1876
traitement, et durant l'hiver de 1876- 1877, Pur... n'éprouva aucun symptôme nouveau : Dans les premiers mois de 1877, il co
le ne disparaissait jamais complètement. » En même temps apparut un symptôme important : l'incertitude de la marche. Le mala
. Une violente excitation génitale coïncida avec l'apparition des symptômes que nous venons d'énumérer. De mars à juillet 188
ette époque signalent quelques modifications importantes dans les symptômes de la maladie. J'y trouve consignées les particul
Dans l'état actuel, rien à signaler, si ce n'est la persistance des symptômes constatés en 1881. La démarche est toujours incer
rophiques. Etat général bon. Dans le courant de l'année 1884, les symptômes précédemment indiqués persistèrent sans modific
fait brutal. On pourrait peut-être, en analysant après coup les symptômes présentés par ce malade, faire des réserves sur
érieuse, car jamais on ne trouve réunis sur un même malade tous les symptômes tabé- tiques connus. On pourrait supposer enc
2 Notre malade présentait bien réellement, cela est certain, les symptômes tabétiques dont il se plaignait. Cependant l'au
troubles fonctionnels susceptibles de donner lieu à un ensemble de symptômes analogues à ceux qui caractérisent le tabes. L'
ère'. Rien n'est plus difficile, du reste, que de reconnaître si un symptôme nerveux quelconque est déterminé par une lésion
atrices pulmo- naires. 394 PHYSIOLOGIE pathologique. rieure des symptômes et l'étude de sa physiologie pathologique justi
sonnes qui vont sur mer o. Pour M. Rochas, « c'est l'ensemble des symptômes morbides qu'éprouvent les nouveaux embarqués ».
rtige marin ? Si oui, quels sont les plus prédisposés et sous quels symptômes se manifeste la maladie ? C'est ce que nous all
plus d'un an en moyenne; de plus, les animaux ne ressentent que des symptômes lé- gers. Eu 1884, le capitaine C... voyageai
mmençant, l'animal prend la même posi- tion que le petit chien. Les symptômes ont été les mêmes, sauf le tremblement qui étai
s les résultats de ces expériences, nous verrons que le pre- mier symptôme était la dilatation des pupilles, laquelle augm
animaux sont également susceptibles au vertige marin. Le détail des symptômes que nous venons d'exposer ne laisse aucun doute
es autres phénomènes catatoniques proprement dits ne sont que des symptômes . Von Rinecker lit à l'assemblée des aliénistes
aucoup, dit-il, à la catatonie et en présentent à peu près tous les symptômes . 11 cite Hecker (Allg. Z. f. Pych., Bd. XXXIII,
hénomènes catato- \ niques d'aspects les plus divers, puis certains symptômes parti- culiers tels que la verbigéralion, les a
n eux-mêmes et isolément et commençons par les plus importants, les symptômes catatoniques propre- ment dits. A. - Comme on
s. A. - Comme on peut le voir par la description de Kalhbaum, ces symptômes peuvent être des plus nombreux et des plus vari
es (sauf pourtant les paralysies). Sans con- sidérer les cas où ces symptômes peuvent se montrer liées à des affections diver
lle. ' Krafft-Ebing. Lelarbuch. B. I. ! Freusberg. Ueber motorische symptôme bei einfachen Psychosen (Arch. f. Psych. Bd. XV
tatonie de Kahlbaum. Guislain 2 signale aussi la fréquence de ces symptômes dans l'état qu'il décrit sous le nom d'extase,
de mélancolie, qui ne présentent pas l'état de depression mais des symptômes d'anxiété simple, on rencontre aussi des phénom
se présenter avec des phéno- mènes catatoniques variés. A côté des symptômes dits de paralysie, on peut rencontrer des phéno
mode de développement, leur marche, leurs rapports avec les autres symptômes n'ont rien de spéci- fique et ne présentent auc
phénomène d'attention se pro- duisant d'ailleurs en dehors de tout symptôme d'effort, ou avec un effort minime, mais dispar
uer par des altérations du sens musculaire. B. - Mais à côté de ces symptômes il en est d'autres en rapport plus étroit avec
Il nous faut maintenant faire ressortir l'analogie du début, des symptômes et de la marche de la maladie dans nos deux obs
hodiques, ils pourraient s'atténuer dans une certaine mesure. Les symptômes moteurs sont également très différents. Com- pa
e double avec l'ataxie locomotrice. Le début après vingt ans, les symptômes oculaires (diplopie, strabisme, amaurose, indur
e, chez eux, des vertiges, du nystagmus etdes douleurs fulgurantes, symptômes qui ne se montrent pas chez les athé- tosiques.
changement de timbre de la voix, vociférations, paraphasies, comme symptômes post-épileptiques; 3° états d'excitation moteurs
des grandeurs avec idées de persécution. Bientôt il fut atteint de symptômes ressemblant au petit mal, puis on remarqua chez
laire. Je pourrais montrer, dit l'auteur, que cela s'applique aux symptômes mentaux de maladies sérieuses. Tous les états m
s, persécutée depuis douze an s, a m bilieuse depuis deux an s. Les symptômes et l'évolution de la maladie, dit M. Séglas, no
a été dit du délire chronique. Nous n'insisterons donc pas sur les symptômes pour passer immédiatement aux antécédents per-
malade, qui est peut-être, à mon avis du moins, au point de vue des symptômes et de l'évolution de la maladie, le type le plu
comparable à l'obsession du nombre. La sixième malade présente les symptômes habituels du délire chronique, des hallucinatio
ucune réflexion spéciale dans mes observations, ni mis en relief un symptôme plutôt qu'un autre. Pour moi, elles ne valent q
ravation, pneumonie, mort. Absolument pas de lésion. Donc névrose à symptômes bulbaires. Séance du 9 mai 1887. - PRÉSIDENCE D
(trouhles - et maladies aiguës), par Lehmann, 415. Psychoses (des symptômes de la motilité dans les - simples), par Frens
41 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e tns jusquà dix-huit ans. Il prétend n'avoir ressenti les premiers symptômes de l'affec- tion pour laquelle il vient consult
is est plus forte chez les deux derniers que chez l'aîné. Quant aux symptômes présentés par les différents membres de cette f
2 t8 s .CLINIQUE NERVEUSE. de cette affection, et l'identité des symptômes est telle qu'il est facile, dès aujourd'hui, d'
ontraire, la fait dépendre d'une affection médullaire acquise. Le symptôme capital, celui qui seul amène le malade près du
é, dans ses différents modes, a toujours été trouvée intacte. Les symptômes que nous venons d'exposer sont assez caractéris
nous semble plus rationnelle, puis- qu'elle se borne à l'énoncé du symptôme , mais elle nous semble défectueuse, en ce qu'el
us semble défectueuse, en ce qu'elle oublie l'un des éléments de ce symptôme : le caractère transitoire et initial. Nous fer
On a suivi ainsi la marche de la lésion vers la gué- rison. Les symptômes objectifs n'auraient pu fournir ici que de faib
ort qui s'empara d'elle avec plus d'énergie que jamais dès que tout symptôme toxique eut disparu. Cette tentative de suicide
nature des phénomènes qu'ils présentent, par l'allure insolite des symptômes , s'éloigne beaucoup du type classique. Ces fait
n pareil cas, la coexistence actuelle ou passée de quelques-uns des symptômes dits encéphaliques, tels que nystagmus, diplopi
ée de cinquante-cinq ans, est née d'une mère nerveuse. Les premiers symptômes de l'ataxie, à laquelle elle a succombé dans le
inter qui m'a assuré qu'aucun changement n'était survenu dans les symptômes de la maladie. Les attaques ont toujours été semb
été semblables à celles que j'ai pu observer, quant à la nature des symptômes et quant à la succession des différentes phases
ment de température dans les différentes parties du corps. Tous ces symptômes se répètent un certain nombre de fois, jusqu'à
de la mort qui approche, et se produit alors le troisième groupe de symptômes nerveux : l'évanouissement hystérique. La face
incomplète, et la malade ne perd pas connaissance. » En outre des symptômes de catalepsie et de léthargie qui appartiennent
'une attaque de grande hystérie dans laquelle prédo- mineraient les symptômes de la deuxième période, contorsions et grands m
primai légèrement la même région iliaque et immédiatement tous les symptômes précurseurs d'une attaque s'en suivirent, spasm
malade, le Dr Mills fait remarquer que les rapprochements entre les symptômes de ses attaques et ceux qui composent l'attaque
nant manifestement des dégénéres- cences secondaires (Ferrier). Les symptômes bulbaires (troubles de la déglutition) eussent
e intermédiaire au cerveau et à la moelle. Il range enfin parmi les symptômes bulbaires la polyurie combinée à l'hydrophobie,
essus. L'étendue de ces lésions, au regard de la rétrocession des symptômes fait supposer, comme le pense M. Schultze que, dè
tre que, si le substratum anatomique est la cause occasionnelle du symptôme en question, il existe d'autres influences d'arrê
ne large ulcération (la malade avait eu dans les derniers jours des symptômes de dysenterie) ; les méninges rachi- diennes ét
résumé de vingt-deux cas recueillis par lui ; presque toujours les symptômes étaient iden- tiques : Affaiblissement graduel
se en plaques ; maison n'a jamais noté le tremblement. Cependant ce symptôme ne serait peut-être pas absolument constant dan
opsie et dans lequel le tremblement avait manqué. Comme de plus les symptômes de la sclérose en plaques sont forcément très v
ù les malades ayant pris du vert de Paris, on vit se manifester des symptômes de myélite avec de l'anestliésie ; les trois ca
vation d'empoisonnement par le sulfate de cuivre ammoniacal, où les symptômes étaient exactement semblables à ceux rapportés
affections cérébrales et qu'il doit être fait en se basant sur les symptômes énumérés plus haut ; 2" que la localisation, to
2" que la localisation, toujours possible par l'étude attentive des symptômes , est surtout facile quand la tumeur occupe les pa
. M. Rockwell rapporte une observation où, pendant la vie, tous les symptômes des tumeurs cérébrales s'étaient montrés, mais
ccupe la base du cerveau ou le cervelet ; du reste, l'absence de ce symptôme ne suffit pas pour éloigner le dia- gnostic de
e, il a pu 122 SOCIÉTÉS SAVANTES. combattre efficacement quelques symptômes , mais il n'a pas obtenu d'amélioration sérieuse
au moins un noyau qui lui est exclusivement affecté. Dès lors, les symptômes doivent se déduire de la distribution de chaque
brales semble devoir trouver de précieux éléments dans cet ordre de symptômes . Ces paralysies sont loin d'être rares, et il e
Le début des accidents oculaires n'a été accompagné d'aucun autre symptôme céphalique. Le 25 mai je constate l'état suivan
au voisinage de 900. La constipation est opiniâtre. Aggravation des symptômes . Mort le 10 août. L'au- topsie n'a pu être fait
servation les particularités suivantes : pendant plusieurs mois les symptômes pa- ralytiques ont été limités aux muscles de l
Service de M. Raymond (hospice d'Ivry). 156 CLINIQUE NERVEUSE. Symptômes oculaires. Impossibilité de porter le regard à
n de la sensibilité rétinienne n'a pas été fait. Parmi les autres symptômes présentés par cette malade, je signalerai la dé
L'amplitude d'accom- modation est à peu près nulle. En dehors des symptômes oculaires, le plus remarquable est cette tendan
sens d'une lésion bulbo-protubérantielle. Nous avons retrouvé ce symptôme dans l'Observation I, où la lésion occupait man
e, sans autre trouble fonc- tionnel. Un mois après, je constate les symptômes suivants : 11 n'y a pas de strabisme appréciabl
le Dr Ballet, qui a examiné avec soin la malade au point de vue des symptômes nerveux généraux, suppose l'existence d'une lés
très probablement dans la protubérance. Je relèverai entre autres symptômes un engourdissement du membre inférieur gauche,
depuis et cesse pen- dant le sommeil. Le 15 juin, je constate les symptômes oculaires suivants : L'amplitude des mouvements
e porté dès le début par M. Charcot se confirme par cet ensemble de symptômes . Ce diagnostic a été légitimé par l'autopsie do
CHARCOT., salle Duchenne, de Boulogne). 166 CLINIQUE NERVEUSE. Symptômes oculaires. Diplopie pendant trois mois environ
abolis, pas de douleurs fulgurantes, ni d'autres signes d'ataxie. Symptômes oculaires. Le malade a commencé à voir double i
tions du regard, et ne déve- loppe pas de strabisme appréciable. Le symptôme le plus re- marquable est une diplopie homonyme
ns, atteinte de sclérose en plaques (Consultation de M. Charcot). Symptômes oculaires. Un poudenystagmus dans les directions
jet d'une leçon de M. le professeur Charcot. Il présentait tous les symptômes d'une tumeur cérébelleuse, entre autres une tit
ur les hommes, et à ! 'âge de la ménopause pour les femmes que ce symptôme s'observe surtout. Certaines diathèses y prédis
elques heures après son entrée à l'hôpital la malade pré- sente les symptômes suivants : elle est couchée dans le décu- bitus
héréditaires et individuels de ce malade. Piga... présente tous les symptômes de la démence avec dépression mélan- colique et
nous parait marquer le début de la maladie secondaire. Quant aux symptômes que celui-ci a présentés, et quant à sa marche,
ATHOLOGIE NERVEUSE. 237 7 ont permis de trouver très fréquemment ce symptôme , qui n'étant pas toujours lié à une douleur spo
l'attaque développée spontanément. En deux cas, où il existait des symptômes subjectifs d'irritation spéciale, en com- prima
anatomique unique et circonscrite auront répondu durant la vie des symptômes indépendants de tout état coma- teux, l'auteur
osé expliquerait la surdité incomplète. N'y aurait-il pas entre les symptômes observés et le siège de la lésion pure coïncide
ns d'autres points de l'écorce ne don- neraient-elles pas les mêmes symptômes ? Telle est la question assez inattendue que se
e l'observation fait constater que, cinq mois auparavant, les mômes symptômes avaient disparu également, mais sans l'emploi d
utant plus mar- quées que le mouvement approche de son terme. Aucun symptôme adynamique. Pas de soubresauts tendineux. Nul t
ette position. Ce tremblement s'accuse d'autant plus que les autres symptômes s'amendent. Il diminue durant une recrudescence
bro-spinal; d'autant surtout que l'un de ses malades à présenté des symptômes pouvant être rapportés a l'ataxio locomo- trice
tres supérieurs du bulbe, ainsi que peu- vent le faire supposer les symptômes bulbaires qu'on a quelque- fois observés (cas d
escence stricte des faisceaux de Goll n'entraîne en apparence aucun symptôme . Il existe aussi une dégé- nérescence descendan
xagéra- 266 SOCIÉTÉS SAVANTES. tion de la personnalité ; mais les symptômes d'ordre paralytique, loin de progresser, s'amél
portunité de contracture ; par Brun et. Thèse de Paris, 1883. Des symptômes laryngés d'origine nerveuse dans le cancer de 1'o
sain.. »i» g-i'i- » - il /un ' ? ( -i1 >di il -v 1 Outre les - symptômes nerveux qui précèdent, on constate que la malad
anquent toujours au membre inférieur. Nous constatons, en outre, un symptôme qui n'existait pas la veille, c'est un léger oe
. ? ( t n t 111 , jout,s quant à,)a lésion qui avait déterminé les symptômes , 1 a. I. yn ..fj ! .)tt ? < ? 1'f·'ir 11 1
ort phthi- sique, qui, après avoir présenté lui-même les premiers symptômes de la tuberculose, fut pris d'une paralysie ave
' PATHOLOGIE NERVEUSE. ' ' et de la lèvre inférieure. Ces derniers symptômes s'accentuent toujours pendant la' nuit- et empê
bumné ni sucrë. ^ ? 1 » '« * ' "' z (1 Les jours suivants les mêmes symptômes persistent^' mais , avec une accentuation progr
ns de rapporter, s'est manifestée durant la vie du malade par dès symptômes assez caractéristiques pour en déce- ler, l'exi
? H (| . -([Il ' Mil' ? z neuf ours après,1 apparition des premiers symptômes , ,a.persisté'jusqu , àlla·mort ? ! ! y .'onh ?
la menstruation.. Pas de syphilis. Il toi, l"rny ? .. Les premiers symptômes , tabétiques se sont montrés, il a a onze ans. I
ention ! ne s'est.portée que;sur la.phase(létharique,et,parmi,les symptômes quilla,caractérisent.sur,lesmodifications du sy
it.t,Les,, cas sont nombreux ? d'autre-, part, ,dans lesquelsrdres,, symptômes , dth3stérie apparaissent rau cours du rhumatism
pour.disparaltre' ensuite, leur apparition ne modifiant en rien les symptôme ^ que. présentait la malade lors de son entrée d
inMëxi6n ? " ' OT0RRIIÉE, Z 337 ! . (. ,, En présence des pareils symptômes , le diagnostic fut quelque peu hésitant et., ap
ression ? 1 ? 1' ,u Il 9ulrm1 noal : nwnt`r n-t .n-i'u ? Le' 29,' lés symptômes persistent} à peu' de'chose près, les'mûmes que
r dicter le diagnostic," le pronostic ? * une étude détaillée ^des, symptômes , de leur marche, de 'leur enctialiiiiiie'nt, dé
varia- 0'. "à, .i Im 1..i i.i . 4 ... ? i., i- . ? . , bible des symptômes qui nous permit de supposer, des les premiers j
e et somatique, et du transfert obtenu simulta- nément sur les deux symptômes par l'application de l'aimant ou l'inhalation '
araissent en 1879,' 1880 et[ 1881. On constate 'alors,' z outre les symptômes précédents, un léger strabisme, .de la diplopie
signalée dans les dégénérescences de la glande lacrymale. Avec ce symptôme essentiellement intermittent, et exceptionelle-
ine, 1882, nOm 3 et 4.) L'auteur avait observé sur deux malades les symptômes essentiels de cette affection dont l'incurabili
ë., Gomment la reconnaître avant l'amende- ment caractéristique des symptômes ? Jusqu'à présent, cette .distinction ne saurai
ns une myélite diffuse aussi étendue que le feraient suppo- ser les symptômes observés. , ? ,. D. B. , .YlL'SU12 une forme pa
é ne reconnaîtrait pas comme cause la diathèsi liéiiiorrliagiquo, symptôme de la syphilis, de, son malade, favorisée occasio
er pour s'en convaincre, puisqu'en vertu des raisons'alléguées, les symptômes peuvent manquer pendant la ' vie. P. K. i ' ,
alies'del'attractidnrsexuelle.primi,l. tives3Comme,.constituant;des symptômes : foiiet 11oniiels de dé-à ? nérçsçenc,e4çhez.d
ents comme ceux d'une machine du côté atteint),, combinées avec les symptômes de là paralysie géné- rale. On note également d
ence fortuite. M. Westphal fait remarquer les allures cliniques des symptômes ; c'est bien là du » ' . ' . / 1 Archives de N
lysie générale). Quelles que soient'la genèse et l'importance de ce symptôme , il faut 3- remédier tant au point de vue hygiéni
l'épousa. 'Jusqu'à présent les enfants n'ont encore présenté aucun symptôme de troubles intellectuels. M. FoUI1,NET. Surt
1LL1. L'épilepsie larvée ne se manifeste-t-elle pas souvent par des symptômes analogues ? 2 M. Ball. Foville a en effet édifi
M. 1 0 ILLI : . Je demanderai à M. Ball quels sont, à son avis, les symptômes différentiels qui sépareraient des accidents épil
Certaines formes de paralysie générale se manifestent aussi par des symptômes comparables. M. DEL.\SL1U\ts. Nous sommes accou
ation mentale, consécutive à la lésion chij rurgicale, le genre des symptômes notés, ou la probabilité plus ou moins grande d
riciel, dès lors douloureux, devenant le point de départ graduel de symptômes nerveux, d'abord irritatifs, puis psychopa- thi
mmence sa communication, concerne un alcoolique aliéné chez qui des symptômes excessifs de catarrhe chronique de l'estomac né
rmie vespérale (30"), albuminurie abondante; mortle 19. Aucun des symptômes observés n'eût permis évidemment de conclure à
té etjdo la motilité. 11 insiste aussi sur ce fait, que ce sont les symptômes de la folie morale qui ont dominé la scène, tan
théromateuse simple; cette forme cliniquement se traduirait par des symptômes psychiques et somatiques mixtes, relevant les u
les cinq autres, trois (obser- vations 1, 2, 7) dans lesquelles les symptômes psychiques ou soma- tiques sont moins que dessi
ns, qui sont suivies d'autopsie, ', sontjahsolument muettes sur ces symptômes , qui n'ont été constatés que chez des sujets do
l'onanisme (Ki,airL-11)iiig). A ces troubles mentaux s'ajoutent des symptômes d'ordre phy- 'BIBLIOGRAPHIE. 413 sique. Cette
iques, opposés à ceux de la période de dépres- sion, [répondent des symptômes physiques aussi en opposition avec ceux de la p
se manifeste toujours d'une façon identique chez le même malade. Ce symptôme peut encore être la source d'indications précieus
os observations, dit-il, le goitre parait être primitif, les autres symptômes ne se montrent qu'après lui et tous disparaisse
oubles oculaires indéterminés, la première malade offre surtout des symptômes de compression : dysphagie, dyspnée. La trachée
gestion céphalique, revenant par accès, et de palpitations; mêmes symptômes de compression que la précédente; ces symptômes d
palpitations; mêmes symptômes de compression que la précédente; ces symptômes dis- paraissent après l'opération ; mais la gén
bout d'une année avait à peu près disparu, ainsi que la plupart des symptômes généraux : l'exophthalmio persistait pourtant d
, il n'y avait qu'amélioration ; aucun détail sur la succession des symptômes . La tumeur agirait, d'ailleurs, en paralysant l
lement réalisées dans les faits mêmes de SI. Bénard et le myosis, symptôme principal de la paralysie du sympathique, n'est j
eau dans le cadre des maladies mentales, ou bien considéré comme un symptôme d'une maladie inflammatoire du cerveau ou de se
à un état infectieux du sang ; ils sont puisés dans l'analyse des symptômes analogues et communs au délire aigu et aux états
au délire aigu et aux états typhoïdes. « Cette analogie dans les symptômes a conduit le candidat a re- chercher si, dans l
de l'analyse qualitative et micrographique du sang sont opposés aux symptômes . Le candidat ne s'est pas borné là; il nous déc
r Rosen- thal, 310. Hystérie (des rapports de 1' et de certains symptômes nerveux et de la gynécologie), par 1 lolst, 230
(forme particulière et curable), par Déjelinc, 3311. Myxoedème ( symptômes nerveux du), par Ilatlllcu, 953. Nécrologie :
es mouvements de la), par Flint, 233. Santé intellectuelle (des symptômes de l'état de et de son diagnostic avec la fol
42 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
. D'après cet auteur, la paralysie générale parait faire partie des symptômes pré- curseurs du tabes; l'antériorité des sympt
aire partie des symptômes pré- curseurs du tabes; l'antériorité des symptômes cérébraux sur les symptômes spinaux l'entraîne
curseurs du tabes; l'antériorité des symptômes cérébraux sur les symptômes spinaux l'entraîne à se demander dans un cas «
endant il s'estime satisfait en admettant que « le plus souvent les symptômes de paralysie générale, quand ils viennent compl
alade « qui a guéri d'une paralysie générale très grave et dont les symptômes avaient persisté dix-huit mois ; ce malade offr
er, à l'exemple de Duchenne de Boulogne, s'attache à distinguer les symptômes mentaux du tabes de ceux de la paralysie généra
ger s'exprime en ces termes : oc C'est surtout, dit-il, lorsque les symptômes de la paralysie géné- rale éclatent chez un mal
à l'existence de cette association, il ne s'agit en réalité que de symptômes tabétiformes entièrement imputables aux localis
de la Salpêtrière, 1895.) - Klippel. Paralysie générale. Lésions el symptômes spinaux. Formes pinales. (Archives de Médecine
l'observation, si écourtée que soit cette dernière, montre que les symptômes du tabes n'ont pas existé ; on verra qu'il y a
t en effet rattacher logiquement à l'hys- térie tout un ensemble de symptômes : les lésions de la sensibilité, la sitiophobie
nce des autres signes présentés par le. malade. C'est ainsi que les symptômes urinaires étaient tout différents de ce qu'ils
ur et un mutisme pres- que complet persistent, puis surviennent des symptômes nouveaux qui remettent le diagnostic en questio
dé comme appartenant à l'ataxie locomotrice. L'absence complète des symptômes tabé- tiques s'explique seulement par ce fait q
e. Sans doute, nous l'avons déjà dit, le malade n'a pas présenté de symptômes capables de faire songer à l'ataxie locomotrice
es peuvent se rencontrer dans les conditions les plus variées comme symptôme précoce, isolé, ou parfois plus ou moins passag
t. 11 ne peut être provoqué par les procédés classiques. Ce dernier symptôme a persisté jusqu'aujourd'hui (avril 1897) sans
malade et sur le uzmzd; extérieur : quelque* idées d'énormité. Ces symptômes ne durent que peu de jours. Après quelques altern
nnée : ce sont comme des flammes qu'elle voit dans le lointain. Ces symptômes sont d'ailleurs très passagers. Depuis. ce mome
s considérable que dans l'obser- vation I et sont accompagnées d'un symptôme important, les idées d'énormité et d'immortalit
son affection utérine et les préoccupa- tions de l'opération. Les symptômes mentaux ont éclaté deux mois après l'opération,
es scrupules de religion, des doutes et quelques idées d'indignité, symptômes qui paraissent avoir été peu consistants, car l
s et sur le monde exté- rieur ; nous devons noter l'absence de deux symptômes fré- quents chez les négateurs hypocondriaques,
éoccupations hypochondriaques avec hallucinations mul- tiples ; ces symptômes font rapidement place aux idées de négation les
blée et la rapidité de l'évolution ainsi que le polymorphisme des symptômes . REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. I. Sur la déme
coupée de crises aiguës, qui, si l'on n'a pas observé les premiers symptômes , peu- vent causer l'illusion d'une psychose aig
à présent, certain que le myxoedème spon- tané, évoluant sans aucun symptôme de dépression psychique, ne relève pas de la mê
ommet droit, l'auteur arrive à établir clairement : 1° que tous les symptômes cérébro-spinaux et périphériques sont postérieu
clarées du diabète ; 2° que contrairement à l'opinion générale, les symptômes médullaires ne sont pas secondaires et dépendan
les symptômes médullaires ne sont pas secondaires et dépendants des symptômes poiynêvri- tiques, mais que les lésions périphé
e labio-glosso-lar3-ngée ou po- lyencéplialite inférieure. Mais aux symptômes classiques de cette affection se sont ajoutés d
malade meurt dans le coma un mois après l'accident. En regard des symptômes cliniques minutieusement observés, l'auteur déve-
syndrome, de l'hémiopie et de la paraphasie. La coexistence de ces symptômes permet, dans la recherche de la pathogénie, d'é
es fonctions physiologiques et non destruction des noyaux. Tous les symptômes observés peuvent s'expliquer « par la productio
s simultanément, à la suite de rhumatismes et d'une scarlatine, les symptômes d'une lésion cardio-aortique (liyperthropie du
lexe parti de luit pouvait avoir provo- qué l'apparition des autres symptômes . La maladie ne doit pas être attribuée aux acci
s tard, contractions de divers muscles et convulsions fibrillaires, symptômes listé- ruides ; clou hystérique, émoussement de
Frenkel. Ce mode de traitement 'est dirigé exclusivement contre le symptôme ataxie et n'agit que sur lui; il comporte une s
sité; dans ceux où l'ataxie est très accentuée alors que les autres symptômes de tabes sont il peu près nuls et que l'état gé-
voie d'évolution croissante et rapide; lorsque l'état général, les symptômes viscéraux, les troubles tio- phiques offrent un
ra d'ailleurs celle gymnastique que lursqu'un ne constatera plus de symptômes d'excitation cérébrale. Les vertiges dont se pl
47 ataxiques : 22 ont été améliorés suivant la presque totalité des symptômes de leur maladie; 15 ont été améliorés d'une facon
ectueux. On oublie souvent que le diagnos- tic exige la réunion des symptômes somatiques et mentaux, et de plus que ces sympt
la réunion des symptômes somatiques et mentaux, et de plus que ces symptômes ne sont pas quelconques, qu'ils sont clini- que
e paralytique. C'est pour n'avoir pas tenu compte de l'ensemble des symptômes nécessaires que l'on a décrit à tort des paraly
accompagnent diverses douleurs et névralgies et qui constituent des symptômes objectifs très précieux pour le dia- gnostic.
e mis en oeuvre suivant l'apparition ou la prédominance de certains symptômes , tels que l'agitation,' les attaques apoplecti-
la thèse de Sou- cail. La paralysie générale se présentait avec des symptômes si peu accusés, qu'elle est restée méconnue, ma
ie, mais notre erreur témoigne tout au moins du peu d'intensité des symptômes paralytiques. Le malade fut emporté par une con
n'en sont pas la conséquence. Il est intéressant de rechercher les symptômes des névrites périphériques. Mais il n'est pas t
C'est dans la période prodromique de la paralysie générale que les symptômes spinaux et névritiques seront intéressants à ob
t aussi constante, elle doit se manifester, de bonne heure, par des symptômes qu'il sera intéressant de bien observer. Ils ai
e. Pendant la période d'état, dispa- rition brusque et complète des symptômes maniaques durant un mois. L'état maniaque antér
orps est secoué de cou- vulsions toniques avec cyanose du visage et symptômes aspllyxi- ques. L'hystéiique présente seulement
) Observation d'un enfant de quatorze ans qui présentait tous les symptômes de la maladie de Friedreich (ataxie des membres i
a glande thyroïde avec préparations à l'ap- pui, il conclut que les symptômes du goitre exophtalmique sont dus à la présence
omme primitive dans la maladie de Graves. La théorie attribuant les symptômes à un excès de sécrétion est sujette à plusieurs o
thyroïde n'a pas donné de bons résultats, mais n'a pas exagéré les symptômes . Enfin si le corps thyroïde est hypertrophié, l
re, n° 2, 1897.) Deux observations de mal de Pott, compliqué « d'un symptôme peu connu et peu fréquent qui consiste dans une
cation de leur consistance ou de leur volume ». L'auteur désigne ce symptôme du nom d'apophysalyie. Elle serait due à la con
nsipide à l'endroit piqué par Cl. Bernard, mais c'est tout ; pas de symptômes en rapport avec de gros foyers céré- braux. Com
l s'était produit des troubles de la déglutition et, plus tard, des symptômes ou lésions de la base. , La marche ultérieure
nombre en ont été réglés d'après l'intensité et la ténacité des - symptômes ; dans un cas, 58 applications ont été faites en
même la suppression, parfois passagère, d'autres fois durable, des symptômes morbides. (Une des observations rappor- tées da
DE THÉRAPEUTIQUE. 'l1· Amélioration considérable de la plupart des symptômes (particu- lièremeut des troubles douloureux et
pratiqué au mois de mai fait constater l'aggrava- tion de tous ces symptômes ; l'anesthésie est presque absolue, même dans le
, céphalées intenses; douleurs et raideur de la nuque; ces derniers symptômes ne sont guère durables et cèdent aux vésicatoir
onné le nombre si restreint d'observations et la variété infinie de symptômes . Car quelle que soit l'étendue des lésions anat
e toujours toute la hauteur de la moelle, cela n'oblige guère à des symptômes spinaux précis : ils peuvent être bien insignif
ux, dans les deux autres par des accidents cérébelleux. Quant aux symptômes spinaux, ils sont également dépour- vus d'un ca
s ; dans ceux de Busch, de Bruns et le nôtre, depuis les premiers symptômes jusqu'à la terminaison fatale il s'est écoulé plu
ocessus morbide ne put être admise vu l'absence presque absolue des symptômes irritatifs. Grande donc fut notre surprise, lor
e nettement dé- fini, aura dans une observation sévère, analysé les symptômes d'un trouble mental, il pourra s'élever à la no
us cas de folie post-opératoire. Si, trompé par leurs écrits et les symptômes qu'ils accusent, le chirurgien cède à leurs dés
out de l'ouïe, et d'idées de sui- cide. De plus, il n'existe pas de symptômes psychiques ou soma- tiques d'un état mélancoliq
s artérielles, même très avancées, peuvent ne se traduire par aucun symptôme . Hémiplégie progressive par artérite et ramolli
aux, et particulièrement dans l'artérite fémorale. Est-ce qu'un des symptômes de la forme sub- aiguë de cette artérite ne con
Les organes des sens ne présentent rien digne d'être nolé. . Les symptômes présentés par ce malade sont si clairs, leur en
té chez le patient qui a été l'objet de cette observation aucun des symptômes de la première période de la pachyméningite, et
s par cet auteur, la période douloureuse a toujours existé avec ses symptômes caractéristiques; en l'absence de douleurs et d
E. bien que la dissociation de la sensibilité ne constitue pas un symptôme pathognomonique de cette maladie. Quant à la lè
ents alcooliques, et chez qui furent reconnus accidentellement, des symptômes de myxoedème : face bouffie, en pleine lune; effa
la sensibilité et une grande faiblesse des membres inférieurs. Ces symptômes se sont accentués rapidement; en quelques jours
s e t la règle dans le tabès dor- salis dont elle constitue même un symptôme précoce ; mais la loi de Weslphal présente des
e dese développer par l'éducation. La paraplégie spasmodique est le symptôme dominant de cet état. tD Une catégorie distinct
i- cile. Ce n'est pas qu'ils ne manifestent leur présence par des symptômes bien accusés, mais ces symptômes sont trop comple
manifestent leur présence par des symptômes bien accusés, mais ces symptômes sont trop complexes pour permettre de formuler
e cas suivant est intéressant en raison du' peu de signification de symptômes , de l'indécision du diagnostic, qui n'a pu être f
e. Pas de troubles respiratoires ni circulatoires. En l'absence des symptômes cardinaux d'une tumeur cérébrale, il était diff
primés et sont de tout autre nature que ce qu'on a décoré du nom de symptômes de la tension intracérébrale; ceux-ci en revanc
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. rieures. On constale encore l'absence de symptômes cliniques en rapport avec une série d'altératio
médical Journal, octobre 1897.) Le malade présenta tout d'abord des symptômes simulant un abcès temporo-sphénoïdal. On ouvrit
bientôt atteinte de paralysie motrice Il n'est pas rare de voir les symptômes sensitifs et moteurs passer de la jambe au tron
et d'Hypnologie, 1897, n° 21.) D'après l'auteur de ce travail les symptômes d'Argyll-Robertson n et de Westphall constituer
nt l'apparition de la maladie. Dans tous les cas où l'on trouve ces symptômes chez un homme, arrivé à l'âge mûr, ancien syphi
es attaques paraly- tiques ou aphasiques. L'importance des autres symptômes précoces (parésies du larynx et de la vessie, c
Les caractères de ressemblance se manifes- tent dans l'appareil des symptômes soitsomatiques, soit psychiques. A. Symptômes p
liquée de troubles muscu- laires ; surtout lorsque s'y joignent les symptômes psychiques ordi- naires à la première de ces de
nous regardons maintenant comme une folie épileptique compliquée de symptômes de périencéphalite chro- nique diffuse. 6) Qu
clusions. - 1 On peut constater chez certains épileptiques tous les symptômes de la paralysie générale. a) Symptômes physique
ains épileptiques tous les symptômes de la paralysie générale. a) Symptômes physiques. - Embarras de la parole, tremblement
réflexes abdominal et crémastérien font également défaut. t. . Le symptôme essentiel de l'affection en question est l'immobi
a vingt ans. Entré à l'hôpital Golitzine, eu octobre 1895, avec les symptômes suivants : douleurs fulgurantes aux jambes; tro
d'une autre origine, ou qui en diffèrent tout au plus par quelques symptômes accessoires tels que les ten- dances à la stupe
ous faisions à propos de la folie brightique, qu'il existe certains symptômes révélateurs de la nature de l'intoxication. Il
, n'est pas nettement caractéristique d'un état d'intoxication. Les symptômes psychiques fondamentaux et le mode de terminais
de terminaison appartiennent nettement à la mélancolie et seuls les symptômes secondaires, tels que la crise panophobique tra
que de douleurs dans l'hypocondre droit'. Abordons maintenant les symptômes qui, de l'aveu una- nime, relèvent incontestabl
épatique aurait donc hâté plutôt que provoqué l'appa- rition de ces symptômes . D'une façon générale, d'ailleurs, nous pensons
-elle du moins de nature à nous éclairer et peut-on par l'étude des symptômes remon- ter sûrement à la cause qui les a fait n
affection du foie n'en modifie ordinai- rement ni la marche ni les symptômes . Tout au plus le trouble hépatique intervient-i
inations de la vue ni de confusion des idées, en un mot aucun des symptômes psychiques qui sont l'accompagnement habituel d
bservation, n'a eu'd'autre effet que de reléguer au second plan les symptômes psycho- pathiques préexistants pour les remplac
mémoire est le premier d'une série destinée l'élude des principaux symptômes physiques et psychiques de la LE SENS TACTILE
ront d'étudier à part, en autant de chapitres distincts, chacun des symptômes de la paralysie générale ; puis, cette étude an
inée, d'en entreprendre une autre, syn- thétique alors, de tous ces symptômes chez les mêmes sujets et chez des sujets différ
strique. Au bout d'un mois, [amélioration progres- sive de tous les symptômes , disparition des troubles gastriques; la malade
-sacré et ayant succombé peu de temps après l'intervention avec des symptômes d'infection. L'extrémité inférieure de la moell
Peu importe d'ailleurs la nature de la lésion : ce qui détermine le symptôme , c'est sa localisation. Il s'ensuit que la doub
au commence- ment du second semestre de 1897, présenta les premiers symptômes d'un abcès d'origine otitique et mourut en nove
siste encore, avec quelque tendance à s'amender. Récemment, nouveau symptôme : tout d'un coup, au milieu de la nuit, cet hom
ent que Duchenne, de Boulogne, a décrit purement et simplement un symptôme ; l'amyotrophie progressive, et non pas, comme il
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 411 dique est rarement limité aux symptômes résultant de la seule lésion primitive des fais
iformes se manifestent et constituent bientôt par leur intensité le symptôme capital. Elles semblent 412 REVUE DE PATHOLOG
our l'épilepsie. La diagnose de l'épilepsie se base donc non sur un symptôme particulier mais sur la combinaison de tous les
non sur un symptôme particulier mais sur la combinaison de tous les symptômes présents. Le petit mal épi- leptique, auquel se
seconde ceux dans lesquels la fureur épileptique se manifeste comme symptôme isolé ; dans les deux cas le tableau de la fureur
e, je ne trouve pas juste de se laisser entraîner à chercher un des symptômes absolus de l'authenticité de l'accès, mais je con
dividu était envoyé de la prison à l'asile comme ayant présenté les symptômes suivants : insomnie, refus de nourriture par cr
le mental pour quitter la prison; il raconte en riant tous les faux symptômes qu'il accusait et montre que la plaie qu'il s'est
fonctionnelle au même titre que la neurasthésic, la-folie, etc. Ses symptômes physiques et intellectuels sont connus : cachex
ologie, le développement de cette affection, l'auteur en décrit les symptômes primordiaux (la dépression, l'empêchement de pe
s haut degré d'inflammation aiguë, n'avait jamais provoqué d'autres symptômes que ceux caractérisant la chorée d'IIuntington.
en se basant sur la présence ou l'ab- sence de fièvre ou tel autre symptôme clinique, ou enfin sur l'étiologie. Il nous sem
même en dehors de la région inflammatoire propre- ment dite. Les symptômes de paralysie pseudo-bulbaire, observés pendant
s survenant dans les appareils génitaux ou intestinaux qui sont des symptômes très marqués et très importants dans beaucoup d
res de l'esprit, publiés en 1871, mais il classe et qualifie chaque symptôme d'un terme étiologique qui rappelle l'influence
D'autre part, les asiles ne reçoivent les malades qu'autant que les symptômes sont assez nets pour justifier un certificat médi
trale de voisinage due à une lésion du centre verbal, c'est donc un symptôme de lésion en foyer du centre de la parole. Vo
peut considérer comme certain que, chez les chiens décapsulés, les symptômes morbides et la mort sont dus à la suppression d
ivilisé a été signalée comme un caractère atavistique et presque un symptôme de criminalité. M. Perrier observe justement :
6. , par Mairet, 74. Lésions spinales de la -, par Pollack, 315. Symptômes plocilo- m in ues de la , par Thomseu. 3"5. E
43 (1871) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 3ème année
ptions pathologiques,— historique, — anatomiepathologique, étioiogie, symptômes , — marche, — durée, — terminaisons, — diagnostic,
entes, est beaucoup plus grave et s'accompagne bien plus sou-vent des symptômes colliquatifs dont nous avons parlé. » Il décrit a
, où il signale la possibilité de la suppuration et l'apparition de symptômes généraux graves. La même année, à Strasbourg, Sch
-lections purulentes quelquefois considérables qui, s'accompagnant de symptômes généralement graves, se forment entre l'os et le
eau fidèle et complet de la maladie. L'historique et la critique, les symptômes , la marche, les indications thérapeutiques, tout
osités du tibia, ne paraissent pas usées à un haut degré. Outre ces symptômes , on note des craquements dus au frottement l'une
is parvenue à cette période, l'arthropathie ne se modifie guère : les symptômes que nous avons indiqués s'accentuent de plus en p
es moyennes et latérales de l'abdomen ne se sont accompagnées d'aucun symptôme particulier. L'opposition faite à l'autopsie ne n
thébaïque, 0«r,05; glace. 16 octobre. P. 116, petit, fréquent. Les symptômes n'ont pas changé; la diarrhée persiste. ¦— Soir :
èche, ni sudorale. Le muguet s'étend. Délire plus intense. Les autres symptômes n'ont pas changé. Il en est de même le soir. — La
angioleucitique, etc. Si chacune de ces formes se distinguait par des symptômes propres ou par une thérapeutique particulière, no
gobbes du mouton formées de poils animaux et de poils végétaux. Les symptômes qui décèlent à un moment donné la présence des ég
érale. Il y a des variantes qui tiennent à l'espèce animale, mais les symptômes sont toujours ceux de l'oc-clusion intestinale si
Morphine à la dose de 1 à 5 centigrammes; bains à 54°. La plupart des symptômes s'atténuent, mais momentanément. — Aconit : dix g
mmes de teinture et à 2 grammes d'extrait. — Durant la diminution des symptômes , température normale (57°,2 à 37°,5) et ralentiss
n empâtement de l'avant-bras, et surtout du bras et de l'épaule. Ce symptôme ,— le gonflement,— ainsi que l'indique l'énumérati
rs vagues sur d'autres points. [Loc. cit., obs. II, p. 7.) Or le seul symptôme donné, ici, comme symptôme de la fièvre, c'est-à-
ts. [Loc. cit., obs. II, p. 7.) Or le seul symptôme donné, ici, comme symptôme de la fièvre, c'est-à-dire la fréquence du pouls,
eures si elle vient à s'étendre pourra fort bien occasionner d'autres symptômes de même ordre et surtout Yatrophie des muscles du
ulgurantes, la constriction à la base du thorax, ont été les premiers symptômes ; puis elle a vu paraître l'anesthésie et de l'aff
es premiers jours de janvier 1866, elle éprouva une recrudescence des symptômes , et le côté gauche se trouva aussi fortement atte
la plaque; nous devons dire même que l'éruption a disparu sans que ce symptôme se soit produit. Au bout de neuf à dix jours, nou
observée chez la malade précédente ne nous paraît différer par aucun symptôme important de celle des ataxiques. Il est même sur
z rapidement, et beaucoup plus tard à gauche. A en ju-ger d'après les symptômes , la blessure avait dû intéresser la tota-lité du
sinon la totalité de la substance grise du même cô'é. — D'après les symptômes remarqués dans ce cas, l'arthropalhic se rapproch
Mort. — Ii s'agit d'un jeune homme de 18 ans qui a présenté tous les symptômes de la myélite subaiguë à la suite du séjour prolo
ureuses. Rougeur et gonflement variables. A ce summum d'intensité d s symptôme ^, les jointures avaient l'apparence ordinaire du
on de l'épanchemcnt qui s'est effectué dans la syno-viale — autant de symptômes qui se voient clans le rhumatisme ; mais il y a a
le poignet et des craquements dans l'épaule et le coude. Ces derniers symptômes seraient influencés par les changements atmosphér
des nausées bientôt suivies de vomissements bilieux ; à ce cortège de symptômes s'ajoutent enfin de l'incertitude dans les idées,
entrée à l'hôpital Saint-Louis (service de M. Hardy), présentait des symptômes indubitables de péritonite. Elle mourut sans acco
eulement à 37°, c'est-à-dire normale. A cetie époque, il existait des symptômes évi-dents d'intoxication urémique____Dans un cas
. 37°,61. Le sentiment de faiblesse, dont se plaint le malade, est le symptôme le plus prononcé. M. I... s'est levé, promené. Ph
nd deux ordres de phénomènes, les uns lo-caux, les autres généraux. Symptômes locaux. — La douleur est le phénomène initial. El
nflammatoire. La bénignité relative de cette forme, la simplicité des symptômes que l'on rencontrait dans toutes les inflam-matio
2° Forme typhoïde. La gravité de cette forme, la singularité de ses symptômes , de sa marche, ses lésions multiples, une certain
nt valu dans ces dernières années l'honneur de nombreux tra-vaux. Ses symptômes ont été très-bien étudiés, et je n'aurai ici qu'à
que la facile production d'eschare vient aussi con-firmer. Tous ces symptômes s'associent entre eux dans des rapports très-dive
thermomètre, placé dans l'aisselle, donna 54°, 44 et 56°. — Tous les symptômes qui précèdent, sauf la diminution de la sécrétion
tte dernière, outre la fièvre et les troubles menstruels, on note des symptômes importants qui peuvent se résu-mer par cette phra
t le soir on lui administre un lavement pur-gatif. Le 1er août, les symptômes précédents ne font que s'accentuer; mais le météo
st diffuse, chronique, lentement progressive, elle se traduit par les symptômes habituels de l'atrophie musculaire progressive. —
a eu des pertes blanches, des palpitations, etc.; en somme, tous les symptômes de la chloro-anémie : « J'avais, dit-elle, les pâ
nt avec une grande sûreté de main les traits les plus saillants de ce symptôme . C'est là, écrit-il, une complication rare. Il ne
nent, pour ainsi dire, en propre à l'hystérie. Quoi qu'il en soit, ce symptôme ne s'observe jamais dans l'hémiplégie de cause cé
rant les années sui-vantes ; mais c'est à 40 ans que sont apparus les symptômes permanents de l'hystérie que nous avons à étudier
on ovarienne, cette rétention des urines, consti-tuent un ensemble de symptômes dont l'importance, au point de vue du diagnostic
de cause cérébrale, et il est au contraire très-habituel de voir ces symptômes précéder l'apparition des phénomènes permanents d
uit la rigidité permanente, est très-légère, très-fugace, puisque les symptômes qui lui correspondent peuvent disparaître tout à
, que l'on puisse, dans l'état actuel de la science, signaler un seul symptôme qui présente à cet égard une valeur pro-nostique
rise ont été envahies. Je n'ai observé, jusqu'à présent, ces derniers symptômes que dans des cas de contracture hystérique de dat
nt ou persistait même à un degré prononcé. A mon avis, tant que ces symptômes ne sont pas nettement accu-sés, il ne faut désesp
ans, tout à coup, sans cause connue et sans avoir offert jusque-là de symptômes caractérisés d'hystérie, d'une contracture doulou
bles et présentent certains sym-ptômes qu'il nous faut étudier. Ces symptômes sont physiologiques et physiques. Dans les pre-mi
ont se plaignent quelquefois les malades, nous aurons résumé tous les symptômes des kystes volumineux de la rate. » \ IV. March
om-mémoratifs seront utiles et la percussion pourrait aussi donner un symptôme précieux, — la différence dans la matité. Les a
teints de dégénérescence amyloïde, on observe toujours deux ordres de symptômes : les uns tiennent à la maladie antérieure qui a
se fait habituellement d'une manière silencieuse, au milieu même des symptômes de la cachexie persistante ; elle échappe, à cett
s reins et la rate, et même le canal intestinal. — De la réu-nion des symptômes présentés par ces organes, on pourra quelque-fois
ut rencontrer dans l'anémie ou l'ischémie cérébrales. On voit que les symptômes s'expliquent assez nettement par les lésions. V
rès-commune chaque fois que le sang est altéré dans l'économie. IV. Symptômes et diagnostic. — Parmi les symptômes de la con-ge
st altéré dans l'économie. IV. Symptômes et diagnostic. — Parmi les symptômes de la con-gestion de la rate, il faut distinguer
nts, la constipation, le météorisme, etc. 11 est un autre groupe de symptômes que nous n'allons faire qu'é-numérer : ce sont ce
i peuvent être très-utiles pour le diagnostic. — 11 faut chercher ces symptômes surtout dans des maladies générales avec intoxica
e dans le chapitre que nous consacrerons aux abcès de la rate. III. Symptômes . — Les symptômes de la splénite aiguë sont locaux
e que nous consacrerons aux abcès de la rate. III. Symptômes. — Les symptômes de la splénite aiguë sont locaux ou généraux. P
8 ou 10 jours après l'invasion. Dans les cas moins intenses, les symptômes aigus s'amendent au bout de 7 ou 8 jours ; la fiè
nomènes morbides tranchés, on court le risque de les prendre pour des symptômes produits par toute autre affection. La pleurésie,
et l'étendue de la matité splénique, la douleur et l'absence de tout symptôme que l'on puisse rapporter au trouble fonctionnel
ue les organes, dont les troubles fonctionnels pourraient simuler les symptômes de l'inflammation splénique, jouissent de toute l
induration, annoncent l'existence d'une inflammation chronique. II. Symptômes . — Les symptômes de la splenite aiguë peuvent 1
cent l'existence d'une inflammation chronique. II. Symptômes. — Les symptômes de la splenite aiguë peuvent 11* exister un c
s, malaise, soif vive, céphalalgie, parfois consti-pation : voilà les symptômes les plus habituels. On a cité encore l'ascite,
ies, etc.; nous ne nous y arrêtons pas parce que nous croyons que ces symptômes sont dus à quelque complication dont'on n'a pas t
avoir fait l'historique du Hachisch, M. Moreau (de Tours) analyse les symptômes dont il provoque la manifestation et les range da
-ment connue qu'il serait évidemment superflu de vous en retracer les symptômes . Mais, vous le savez déjà, chaque malade vous pré
3e .r'KKE 12 ce serait depuis deux ans seulement que les premiers symptômes de l'ataxie locomotrice se seraient manifestés ch
.. a une bonne constitution; sa santé est parfaite. Interrogé sur les symptômes fonctionnels, il dit avoir depuis quelque temps u
les a notées à tous les âges, et même chez le fœtus (Charcot). IV. Symptômes et diagnostic. — Pour la symptomatologie, nous de
cas sont, sans contredit, les plus nombreux, mais la description des symptômes en est si incomplète, qu'if est à peu près imposs
é, petit même et variable avec l'abondance de l'hémor-rhagie. X ces symptômes devons-nous ajouter ceux d'une péritonite aiguë o
mouvements respira-toires, la fréquence et la petitesse du pouls, les symptômes de la péritonite, tels sont les principaux traits
uérirent. Ces derniers avaient tous des bubons, des pétéchies, et des symptômes nerveux très-prononcés ; deux d'entre eux avaient
léra peu de jours après ses couches, à l'hôpital. Elle présentait des symptômes très-alarmants et ne dut son salut qu'au hachisch
a donné également le hachisch avec succès dans un cas de choléra. Les symptômes étaient graves : refroi-dissementdes extrémités,
E. L'administration du hachisch a été conseillée pour combattre les symptômes de la rage ; nous avons trouvé deux cas dans lesq
la guérison, il a procuré du calme et une rémission complète dans les symptômes . La mort arriva dépouillée des horreurs qui l'acc
44 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
n apogée dans les premiers jours de septembre ; à partir du 15, les symptômes se sont mis à rétrocéder, et l'amélioration est
bouchées d'aliments. Nous avons dit que son père présentait ce même symptôme . En second lieu, lorsque X... tenait dans la ma
'ahsence surtout de réaction de dégénéres- cence. Au contraire, ces symptômes sont constants dans la maladie de Charcot-Marie
r, seule, une semblable hypothèse nous permet de concilier tous les symptômes présentés par X... Sans'doute, l'affection de n
nous nous ar- rêterions volontiers il ce diagnostic si, à côté des symptômes qui nous ont amenés à cette conclusion, nous n'
de la difficulté dansTacte de la masti- cation au début des repas, symptôme que son père éprouvait également. Si ces phénom
pendant à conclure à un cas de cette dernière affection. Quelques symptômes tels que : l'atrophie musculaire et la diminution
Marie, qui lui a donné le nom d'ataxie cérébelleuse héréditaire, le symptôme complexe de cette affection, à en juger par les d
doute sérieux ; son diagnostic est facile dans tous les cas où les symptômes morbides car- dinaux se trouvent présents chez
cas de Alentzel, d'Erb, de Seeligmüllerj, au caractère des premiers symptômes de la maladie, etc., etc. (1). Ce sont les co
exagération des ,'é- flexes rotuliens( sans parler des autres symptômes men- tionnés plus haut). Co)M<t<M<MH
TROIS CAS 'ATASIE CÉRÉBELLEUSE 27 Olga S. Michel S. Nicolas S. Symptôme de Peu prononcé. Allusion seule- Fait défaut. R
18, 22 ans; 3" Évolution progressive et lentement progressive des symptômes ; 4° Instabilité des membres inférieurs ; attit
ligne par l'ab- sence des réflexes rotuliens, sans parler d'autres symptômes . z 20 Sclérose en plaques, qui n'est pas une af
période ataxique (Londe) ; d'où l'absence d'astasie et d'impotence, symptômes qui caractérisent les stades ultérieurs de la ma-
u'on les récuse. Tout le problème est de savoir si les lésions, les symptômes ou les signes localisés à des tronçons de membre
el vous reconnaîtrez une segmentation identique à celle de tous les symptômes de métamérisation spinale; je l'em- prunte à Al
RIE DANS LES TROPHONÉVROSES 91 croissance, attendu que les premiers symptômes apparaissent toujours dans l'enfance ou l'adole
s l'enfance des phénomènes spasmodiques des membres intérieurs. Ces symptômes s'étaient améliorés dans la suite sans jamais d
service de M. le professeur Grasset. Il a eu dernièrement quelques symptômes nerveux tels que phobies sur les routes, il la
ve. Mais, du côté gauche, on détermine, ou peu s'en faut, les mêmes symptômes dans les mêmes points. La douleur provoquée par
uche. Le hras droit même s'est affaibli et le malade insiste sur ce symptôme . La sensibilité est intacte sous tous ses modes
à nouveau l'hu- mérus au même point que la première fois. Les mômes symptômes repa- raissent (douleurs dans l'épaule, irradia
dorsal. Ces mots ne peuvent évidemment comprendre la généralité des symptômes tabétiques ; il arrive même, dans nombre de cas,
l comprend toute une partie de la symp- tomalologie : les signes et symptômes relevant de lésions dorsales. - On emploie auss
r désigner la forme ou la phase de la maladie, manifes- tée par des symptômes dont l'origine médullaire est située plus haut qu
es Iabyrinlhique net- tement défini, et à reconnaître que parmi les symptômes tabétiques qui ne peuvent correctement être att
he et de ses centres à la symptomatologie générale, et que certains symptômes tabétiques, que l'on ne songe guère à attribuer
nement, du vertige et de l'op- pression labyrinthique, qui sont les symptômes cardinaux des troubles la- byrinthiques, on a s
c elles, et cela sans qu'il y ait eu le moindre signe de tabès, les symptômes suivants : Le signe de Romberg et l'incertitude
cause plus de quatre-vingts fois. Je suis loin de prétendre que ces symptômes sont forcément d'origine , labyrinthique, mais
rique que central, la raison anatomique de la fréquence extrême des symptômes labyrinthiques dans le tabes : et cette variété
mplexes que l'oreille, de ne pas se borner à relever uniquement les symptômes cochléaires, c'est-à-dire audi- tifs, tels que
tels que surdité, bourdonnement. Il faut connaître la totalité des symptômes labyrinthiques et en premier lieu le vertige. D'a
ptômes labyrinthiques et en premier lieu le vertige. D'ailleurs les symptômes labyrinthiques sur lesquels nous aurons à revenir
signalé le vertige de Menière dans le tabes, et l'a rangé parmi les symptômes auriculaires du tabès. Vulpian en a éga- lement
Combien de neurologistes, habitués à ne tenir que peu de compte des symptômes auditifs dans le tabes, seront surpris de l'éno
es auditifs dans le tabes, seront surpris de l'énorme proportion de symptômes auriculaires qu'il faudrait considérer et que n
que l'appareil labyrinthique ne fournisse à lui seul la moitié des symptômes du tabes. Sur 24 tabétiques, Marie et Wallon on
omatologie du tabes, il faut, je le répète, prendre la totalité des symptômes d'origine auriculaire, périphérique ou centrale.
eminer comme une aura, de noyau à noyau, sans éveil- ler le moindre symptôme dans les uns, faisant au contraire éclater la réa
et à cette réaction. L'asthme d'origine nasale peut ne donner aucun symptôme indiquant que le trijumeau ait véhiculé la moindr
ous pas les convulsions oculaires, le strabisme, apparaissant comme symptômes d'une irritation sous-périto- néale, colique, h
ue les raisons d'irritabilité nucléaire. De plus, le vertige est le symptôme d'une irritation ou d'une insuffisance du sens de
cal, qui se trouve également chez les tabétiques. Mais, il est un symptôme que l'on .attribue exclusivement au tabès, et q
le qui accompagne l'irritation ampullaire, et qui peut être le seul symptôme vertigineux, sera due soit à un trouble de l'ac-
vec le cérumen. Nous voyons donc une irritation labyrinthique, sans symptômes du côté des noyaux ampullaires eux-mêmes, sans
iologie, 1er février 1896. XII 12 166 ' PIERRE'BONNIER certains symptômes qui se retrouvent également dans les affections l
es couleurs, seul l'odorat était conservé; enfin pour compléter ces symptômes nous trouvâmes un rétrécissement considérable d
empérature vespérale, malgré une dis- parition presque complète des symptômes pulmonaires. En môme temps, de nouveaux signes
ervation réside,surtout dans l'absence complète d'antécédents et de symptômes nerveux. Issue d'une robuste famille de cultiva
ervation d'un enfant qui à ]'lige de 13 jours présenta les premiers symptômes de sclérodermie, rappelle que Cruse (2) aurait
mann, Marinesco ont essayé de décrire les lésions correspondant aux symptômes , et d'esquisser la caractéristique anatomique d
re ayant eu déjà plusieurs enfants syphilitiques peut présenter des symptômes syphilitiques si peu saillants qu'ils n'attiren
e a paru ne pas avoir en gravité : ces considérations relatives aux symptômes de la syphilis s'appliquent également à la tran
e les nourrissait; ils ne présen- taient jusqu'à 18 à 20 mois aucun symptôme ayant attiré l'attention. II est vrai que jamai
est difficile d'affirmer qu'aucun de ces enfants n'ait présenté des symptômes d'hérédo- syphilis. La mère déclare seulement q
trois semaines environ ; elle profite très bien, ne présente aucun symptôme anormal : la mère en décembre a eu une poussée
t en retard. L'enfant, qui ne présentait aucune malformation, aucun symptôme d'hydrocéphalie ou d'autre maladie nerveuse, av
gnostic dut rester hésitant pour le médecin qui n'a pas observé les symptômes nerveux qui ont entraîné la mort de tous ces en
s céré- brale héréditaire ou acquise n'a pas et ne saurait avoir de symptômes XII 16 226 PAUL DE MOLÈNES propres ; une se
logique, ayant, à la façon d'une affection morbide, des causes, des symptômes , des compli- cations, une pathogénie, un diagno
tribue en effet à des troubles de l'appareil génital la plupart des symptômes que l'on décrit en- core dans la chlorose. La r
isir les variations les plus délicates du co- loris. C'est aussi le symptôme qui, le premier, met le médecin en éveil. C'est
Steen, Frans Mieris et Gérard Dow, n'ont pas négligé d'indiquer ces symptômes . En montrant que les malades d'amour portent la
. Sauvages les recommandait expressément. Sans doute ce sont là des symptômes peu caractéristiques. Mieux vau- drait connaîtr
lle qu'on lui attribuait et par la charme même qu'il emprunte à ses symptômes . Cette troublante pâleur du teint, cette langue
e de la chlorose. « Or, dit Desormeaux, la constipation, qui est un symptôme assez ordinaire de la chlorose, exige l'emploi de
ement du corps et cette rêverie que rien ne distrait, voilà plus de symptômes qu'il n'en faut pour être édifié sur la nature
ans qu'on puisse parler d'infiltration du tégu- ment, tels sont les symptômes , dit-il, qui peuvent faire présumer les for- me
le fond ambré du teint, plaqué de rouge aux joues. Il signale comme symptôme nerveux certaines hallucinations de l'ouïe et d
premier procédé dont je me suis servi pour arriver à connaître les symptômes du rra.xadème larvé. Une seconde méthode d'in
raître la douleur et la raideur universelles, ne rangeant point ces symptômes sous la bannière hypothyroïdienne. Elles dispar
ables, à une enquête minutieuse, et fassent en sorte de trouver des symptômes d'hypothyroïdie concomitants chez le sujet lui-
urs après que fut prise cette photographie. Nous ne dirons rien des symptômes . Nous ne ferons remarquer qu'un point, c'est que
as échaufaudées pour expliquer la coexistence de ces deux ordres de symptômes : ménor- rhagies et crises douloureuses (calcul
s souffrances et sa détresse pas- sées, se néglige, et lès premiers symptômes de synthèse se présentent : enchi- frènement, h
stipation revient. Le foie évi- demment se recongestionne. Tous ces symptômes se dissipent à nouveau par le traitement. Mme
pétées, l'ina- nition et la fatigue thyroïdiennes s'accentuent, les symptômes s'aggravent et se multiplient. Toute sa vie, ce
l y a trente ans, n'aurait pu saisir la véritable pathogénie de ces symptômes . C'est à nous de profiter de la leçon que les é
la constipation, le retard de croissance sont à peu près les seuls symptômes de l'lypothyroïdie et lorsque l'intelligence est
LIV, 13.) Voilà un cas d'hypothyroïdie bénigne avec prédominance de symptômes abdominaux. Qu'il y ait de la syphilis dans l'é
yphilis dans l'éliologie, qu'importe ? L'es- sentiel, c'est que les symptômes relèvent de l'hypothyroïdie et qu'ils sont guér
période dure de huit it dix jours. Pour le reste, elle présente les symptômes classiques. La bouffissure de la face est légèr
siduité qu'elle met à la reprendre. Si j'insiste tellement sur le symptôme hémorrhagique. c'est qu'il nous sera des plus p
. C'est la nuque de casoar. La calvitie spéciale de la nuque est un symptôme précieux dans l'hypothyroïdie bénigne chronique.
uvent être adéquates à 50. L'âge de retour emporte bien souvent des symptômes qui ont vingt-cinq ans de date : la migraine, l
le que je l'entends, est néan- moins un état des plus pénibles. Les symptômes n'entrent pas tous en scène à la fois. Ils alte
n l'a toujours été. La femn\.8' qui, à 35 ans, se présente avec des symptômes d'hypothyroïdie, a été (re, tout temps, dès le
ès l'avoir vu. L'épilation plus ou moins complète du sourcil est un symptôme précieux et facilement appréciable. La déprédat
emblent s'engorger d'abord. Les malades se plaignent beaucoup de ce symptôme et lui attribuent une lourdeur générale de tête e
me ? Depuis que le mémoire de Murray a attiré mon attention sur ces symptômes , j'ai interrogé quelques malades et j'ai pu me
de la même nature que ceux qui se produisent dans la goutte. Les symptômes du côté du nez et des sinus frontaux, dont les mu
ngestion hypothyroïdienne, nous amènent à parler de la céphalalgie, symptôme à peu près constamment relevé dans l'hypothyroï
logiques agissent comme causes déterminan- tes sur l'apparition des symptômes d'hypothyroïdie, hypothyroïdie cachée jusque-là
rrhagie dans le grand myxoedème. Dans les formes larvées, ces mêmes symptômes sont constants. Indépendamment des douleurs s
ment thyroïdien dans leur fonctionnement. L'oppression est un des symptômes les plus constants. Elle existe à tous les degr
ion du médecin sur la possibilité d'une hypothyroïdie chronique. Le symptôme qui domine en quelque sorte toute la scène pathol
cette manière de voir. Encore une fois ici, il y a erreur. Tous ces symptômes dépendent d'une seule et même cause : l'appauvr
ger de son état de détresse thyroïdienne. Thibierge indique comme symptôme du myxoedème fruste « une sensa- DE L'HYPOTRYRO
froid éprouvée par le malade ». C'est là, nous l'avons déjà dit, un symptôme qui appartient en propre au grand myxoedème. Da
hez l'enfant, l'hypothyroïdie bénigne se manifeste par une foule de symptômes . Le plus important de tous, c'est le retard de la
l'infantilisme vocal, veineux, pileux. Je n'y reviendrai pas. Les symptômes que nous venons de décrire ne valent que par leur
s et des pieds. L'hypothyroï- die bénigne chronique existe sans ces symptômes . MARCHE DE LA MALADIE. L'hypothyroïdie chez l
ibles. 2. L'excès de thyroïdine ingérée fait naître précisément les symptômes que l'on désire combattre. Citons la céphalalgi
n, tels que la douleur excruciante du dos à la région rénale ou les symptômes angini- formes du coeur, se dissipent à l'insta
de prudence et de régime, on pourra faire disparaître une foule de symptômes : la céphalée, la rachialgie, la calvitie, la con
plète de l'hypothyroïdie chronique bénigne. Elle se plaint de trois symptômes : la migraine, la constipation et l'oppression. L
tion, les douleurs des membres, l'oppression avaient cédé, puis ces symptômes ont reparu à cause de l'abandon du remède. Actuel
it à une auto-intoxication dont on ne trouve d'ailleurs aucun autre symptôme . Le développement peut-être récent de l'urticai
s inférieurs, de sorte que huit ans après l'apparition des premiers symptômes , le ma- lade était incapable de gagner sa vie.
avons décrites. Nous considérons ce cas comme douteux parce que les symptômes observés chez le malade offraient, au point de vu
ile, avant de terminer ces considérations, d'exposer les principaux symptômes de la maladie, en insistant sur ceux qui lui so
nt jouer un certain rôle dans son apparition : on a vu les premiers symptômes apparaître quelque temps après une rougeole, une
des crises de diarrhée difficiles il maîtriser. Il n'existe pas de symptômes laryngés. L'auscultation des poumons ne décèle
nnaire ; il est électrisé tous les deux jours. 15 décembre. Aucun symptôme nouveau n'est survenu. L'atrophie n'a ni rétroc
ligrammes de strychnine ; rien aux poumons ; à 6 heures du soir les symptômes ne font que s'accentuer; il présente à l'ausculta
e 8 mai 1891. Le malade est resté à l'hôpital depuis ce moment, les symptômes se sont progressivement accentués. 16 décembr
26. - Le malade veut partir à tout prix et demande sa sortie. V. Symptômes EXCEPTIONNELS. Dans l'observation suivante, nou
ne façon convenir à notre malade, qui présente depuis l'enfance les symptômes de l'épilepsie la plus légitime. Nous ne croyon
bles, auto- risé à les ranger dans le cadre tracé par M. Pitres. Le symptôme prédo- minant a bien été chez l'une et l'autre
et olfactive n'a pu être déterminé. Il n'y a aucune variation des symptômes physiques pendant les périodes de calme ou d'ag
s, l'intelligence a baissé rapidement. La malade est morte avec des symptômes d'une hémorrhagie cérébrale de l'hémisphère dro
se de la première temporale, lésion qui ne répond sinon à aucun des symptômes cliniques enregistrés, car il y a un léger af-
lutôt à la lésion du carrefour sensitif), mais du moins à aucun des symptômes se rapportant aux troubles apha- siques (1). La
ble. Les réflexes tendineux sont exagérés ; en dehors de ce dernier symptôme iLn'y a rien à noter au bras droit. La malade n'e
s lésions multiples sous ou infra-corticales, bilatérales (1) : les symptômes de forme pseudo-bulbaire ne sont pas assez nets
aiguës, sou- vent fébriles, toujours douloureuses, accompagnées de symptômes géné- rauxplusou moins bruyants. Ce qui n'est p
nce d'une lésion thyroïdienne (2). Mais nos malades n'avaient aucun symptôme de goitre exophtalmique. Leur corps thyroïde n'
emme atteinte de maladie de Basedow et ayant présenté également des symptômes rappelant le myxoedème. XII . 31 466 HENHY ME
e la faiblesse du coeur. La malade était artério-scléreuse avec des symptômes d'asystolie à marche très lente. La description
cyanosée et des ulcérations apparurent. Evolution, localisation et symptômes diffèrent de ceux que nous avons en vue, et cet
vre, soif vive, etc.ï4l. Ricoclion admet qu'il s'agit de véritables symptômes urémiques tenant à des modifications fonctionne
éme'donl l'origine thyroïdienne, la localisation et tous les autres symptômes (troubles circulatoires, intellectuels, altératio
ction appa- rente avec les cas types décrits par M. Brissaud. Ces symptômes anormaux sur lesquels nous reviendrons, en y insi
us le nom de torticolis spasmodiques), auxquels s'ajoutent certains symptômes particuliers. D'après M. Brissaud, c'est par une
oir, sans que son tic se reproduise. Notre malade présente aussi un symptôme intéressant dans son évolu- tion c'est son béga
45 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
y vit suffisamment tranquille. Par surcroît j'ajoute- rai qu'aucun symptôme physique n'a coïncidé avec cette excitation qui
: consécutifs. Mais la nourricière avait été un peu effrayée de ces symptômes ; je dus aller la rassurer. Comme elle commença
l'A. comme cas de trouble alternatif des deux hémisphères, certains symptômes té- moignaient du trouble de celui supposé sain
trophiques et vaso-moteurs fournissent à la paralysie générale des symptômes aussi importants que variés. L'oedème compte au
pansive. On observe dans la paralysie générale un certain nombre de symptômes qu'il faut en- core attribuer à l'état des cent
lexe une lésion en foyer qui fut ensuite vérifiée. L. retrouva ce symptôme chez 7 hémiplégiques et chez 3 pa- raplégiques
de la région fron- tale qui, d'après Dieulafoy, pourrait donner des symptômes d'épi- lepsie jacksonienne semblables : Parésie
sions viscérales, profond affai- blissement intellectuel. Les seuls symptômes nerveux consistaient en tremblement de la parol
qui put être diagnostiqué pendant la vie grâce à la netteté de ses symptômes . 64 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOG
de 3 à 45 secondes. Il n'y a pas de différence essentielle dans les symptômes quand l'apport artériel est supprimé et quand l
A. - Homme, 43 ans; pendant trois ans au moins présenta plusieurs symptômes bulbaires qui ne varièrent que très peu et dont v
elui des fibres gustatives du tiers postérieur de la langue ; - des symptômes de vertige de Méniere (vertige rotatoire,.sensa-
les crises ultérieures, de fréquence très variable, parmi d'autres symptômes , chute à gauche, rotation des yeux à gauche au
du cerveau. L'intérêt de cette observation réside surtout dans les symptômes de foyer présentés par le malade. Il était at-
le malade se rendait parfaite- ment compte de la nature morbide des symptômes disparus. L'A. rappelle, d'après les déclaratio
n des mouvements volontaires qui s'ob- servent en l'absence d'aucun symptôme de paralysie des membres. Il ne faut pas confon
oubles psychiques, la cardio- ' pathie pouvant à la longue, par ses symptômes sensitifs, retentir sur le fonctionnement des n
f. fections nerveuses et les affections mentales, en montrant les symptômes justiciables de l'une et l'autre pathologie. Dans
eau clinique de la nouvelle ma- ladie, en fixèrent l'étiologie, les symptômes essentiels et le pronostic. En 1890, Magnan r
ionnelle bien nette. Le sexe fé- minin y est plus prédisposé. Les symptômes de l'accès de manie ou de mélancolie de la foli
près Kraepelin, de manie et de mélancolie simples ; en effet, leurs symptômes sont sem- blables à ceux de la manie et de la m
oujours à double forme ; enfin des malades présentent à la fois des symptômes de ma- nie ou de mélancolie, des « états mixtes
état isolé et constituer tout l'accès du malade.Dans ces états, les symptômes jusqu'ici rapportés à la manie et à la mélancol
ur in- diquer des unités vésaniques où prédomine plus ou moins le symptôme périodicité, je crois avec Morel que la périodici
ns pas qu'il soit possible de décrire une folie cardiaque ayant ses symptômes propres. Les phénomènes ob- servés consistent e
it par ces troubles (primaires) de réaction inhibitive engendre des symptômes secondaires qui n'aient, eux, rien à faire avec
une telle thérapeutique eût pu amender notablement l'ensemble des symptômes morbides. , Nous citerons en outre les communic
de la paralysie générale avec laquelle on peut la confon- dre. Les symptômes cliniques principaux de la syphilis céré- brale
tères suivants : 1. Les attaques apoplectiques avec résidus. 2. Les symptômes en foyer à localisation variée. 3. La marche de
épétées aussi longtemps que possible arrivent à améliorer plusieurs symptômes , les douleurs no- tamment et à entraver certain
res des groupes correspondants ou bien y a-t-il un rapport entre ce symptôme et l'arriération in- tellectuelle du sujet ? Di
ser les manifestations oculaires qui se produisent à ce moment en : symptômes prodromiques éloignés, et symptômes prodromique
se produisent à ce moment en : symptômes prodromiques éloignés, et symptômes prodromiques im- médiats, Mais cette division a
t annoncée éclate. Cette cécité des couleurs ob- servée en tant que symptôme prémonitoire éloigné de la crise,ressemble au m
elle se trouve une figure grimaçante. Motet rapporte qu'à l'état de symptômes précurseurs ce sont les hallucinations de la vu
ussi, sous l'influence de l'état hallu- cinatoire, se montrer comme symptôme prémonitoire de l'attaque et prévenir toute pré
cation et d'un surme- nage émotionnel associés le plus souvent, des symptômes de grave fatigabilité physique etmentale, de cé
n qu'ils subissaient concurremment, soit de la disparition de leurs symptômes auto-suggérés. M. DÉJERINE. - Je pense que la
. M. Courtellejiont (Amiens). Il s'agit d'un homme de 51 ans. Les symptômes de paraplégie ont débuté à l'âge de 36 ans,sans
ement : des prisonniers, qui pendant leur détention, ont montré des symptômes de vie mentale. Assez de raisons pour conclure
e cette science, analyser les caractères psycho- logiques de chaque symptôme et surtout comparer cette maladie avec les autr
adies mentales connues. Cette discussion ne doit pas porter sur des symptômes rares et douteux, mais sur les phénomènes les p
siècles dans le pays les plus divers. En résumé ce premier grand symptôme de l'hystérie pourrait se caractériser ainsi :
n mot les idées fixes que présentent les hystériques constituent un symptôme extrême- ment original et important. Considér
oupent un grand nombre dessymptô- mes précédents,on verrait que ces symptômes proprement hystéri- ques ne se développent pas
comme par les psychiatres d'une étude psychologique approfondie.Les symptômes psychologi- ques doivent être analysés avec aut
s doivent être analysés avec autant de soin et de précision que les symptômes physiologiques. Tous les observateurs sont au-
le de l'équilibre du sys- tème nerveux, cela ressort clairement des symptômes principaux que nous constatons ? Nous allons d.
ions de l'hystérie et nous verrons que l'on peut y classer tous les symptômes observés : 1° Groupe des anomalies de la sensib
ELCERs.ii, Leyde. 1. Il est recommandable do suivre la division des symptômes hystériques des auteurs français en stygmates e
çais en stygmates et en accidents. 2. Les stigmates ne sont pas des symptômes déterminés psy- chologiquement, cela veut dire
que des processus mentaux trèssimples. 3 : Les stigmates sont des symptômes fonctionnels d'anihilation dans ce sens, qu'ils
te avec les autres parties de l'esprit; ils sont par conséquent des symptômes d'annihilation qui ne sont pas localisables.
outre les bruits, les vertiges, et les vomissements,qui en sont les symptômes cardinaux, des troubles de l'équilibre et du nyst
atre membres qui fut réalisée au bout de quatre heures une fois les symptômes de début éteints. La paralysie des membres supé
ituée microscopiquement par un endothéliome. Elle avait donné comme symptôme une paraly- sie soudaine des membres inférieurs
ue abolie (syndrome de Brown-Séquard). L'auteur met en relief les symptômes particuliers qui dans les cas de tumeurs des mé
ervations publiées attirer l'attention, c'est la pré- dominance des symptômes moteurs sur les symptômes sensitifs, prédominan
l'attention, c'est la pré- dominance des symptômes moteurs sur les symptômes sensitifs, prédominance qu'on ne rencontre pas
ne augmentation de la compression médullaire et une aggravation des symptômes . XXVII. Epanehement sanguin sous dure-mérien pa
pure, parce que dans le tableau cli- nique,nous ne trouvons aucuns symptômes de sadisme ni de masochisme. Il n'est pas non p
plusieurs cas de psychose,est venue me consulter sur les nom- breux symptômes de la nature hystérique y compris même les gran
a syphilis. Dans les derniers temps, surtout après l'apparition des symptômes de la maladie gynécologique, la malade a com- m
dont elle-même rejette la cause sur ses abus vénériens et dont les symptômes en ces derniers temps rendent sa vie in- suppor
s tous ces cas, « la modification » de la coquetterie n'est qu'un symptôme partiel des troubles plus étendus, si elle n'a
t s'y attendre pour son âge, est venu me consulter sur une série de symptômes neuras- théniques banals (irritabilité et impre
er mentale- ment ; les forçats l'intéressent de nouveau. Un nouveau symptôme afaitausssi son apparition : le malade prend da
hénomènes de ce genre sont connus depuis longtemps, qu'ils sont les symptômes d'une maladie suscepti- ble de traitement - il
IE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 301 rèrent comme la cause de ce symptôme (zône intermédiaire aux cordons de Goll etde Bu
ylen, qui jouit à Anvers d'une certaine noto- riété, présentait des symptômes de dérangement cérébral. La nuit dernière, il d
338 ' ' CLINIQUE MENTALE. de la pensée ni le langage des choses.Les symptômes dif- férents correspondent à des substratums or
ts. Dans les collatéraux, il y a une tante paternelle qui offre des symptômes de déséquilibration psychique, de bizarrerie, mai
persécuté-persécuteur ? En terminant, nous voulons rappeler ici les symptômes qui, d'après MM. Sérieux et Capgras (1), différ
l'appareil moteur neuro-musculaire, voire son inexcitabilité. Un symptôme très précieux révélerait dans la myasthénie la
radisme,le rapide épuisement de la sen- sibilité famdo-clltanée. Ce symptôme fut observé par Flora, Alber- toni et par l'A.
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 367 rail que d'un symptôme psychologique secondaire du processus dissociat
ocessus dissociateur (absorbant de l'énergie). La persistance des symptômes hystériques produits par une cau- se .passagère
enne et ses annexes avec cette partie du cerveau. Lorsqu'il y a des symptômes , ce sont les suivants : céphalée, vomissement, am
r leur nature, leur groupement et leur sériation chronologique, les symptômes accessoires tantôt unilatéraux,tantôt bilatéraux
plus ou moins longtemps. R. fait une longue critique de chacun des symptômes des 5 cas : « combinaison de formes communes de
s les signes accessoires du goitre, exophthalmi- que, mais sans les symptômes cardinaux». L'existence de signes cardiaques, d
Bewegungserscheinungenn am Kopfe nach Schaedelbasisfraktur.(Sur des symptômes moteurs anormaux dans le domaine des nerfs crân
eux conduits auditifs externes). B. reprend en détail chacun de ces symptômes ; il insiste notam- ment sur les mouvements des
roupées en trois variétés principales suivant la pré- dominance des symptômes et la localisation des lésions : formes frustes
nifestations con- vulsives, il est plus difficile de reproduire les symptômes oculaires, de la crise dont les plus intéressan
larvée, dans les états hystéro-épilepti- ques, la recherche de ces symptômes oculaires peut avoir une réelle importance. Les
ujet du trai- MmCL't d'été. D'après le récit du malade, de tous les symptômes il n'est l'esté que des paresthésies (engourdis
us occuperons maintenant. A une certaine période de la maladie, les symptômes névritiques, chez notre malade, étaient localis
s ces cas ne sont pas du tout douloureux à la pression, et tous les symptômes névritiques sont localisés ordinairement aux ma
lisation beaucoup plus étendue du processus névritique. Ce sont les symptômes suivants : 1° l'ataxie se manifestant dans les
sensibilité ni de la mobi- lité dans les membres inférieurs. Les symptômes que nous venons d'énumérer appa- raissent dans
notre cas comme un complément clinique de l'acronévrite et tous ces symptômes ont quelque chose de commun entre eux, tous ind
omatologie mixte), nous ne trouvons pas dans les autres régions des symptômes or- dinaires de la névrite : les troncs nerveux
les petites branches toujours est-il que le carac- tère partiel des symptômes est très prononcé dans notre cas. Même les bran
rifuges d'une fonction physiologique très différente,tandis que les symptômes de la névrite généralisée chez notre malade ind
fection de certaines fibres centripètes. Le caractère partiel des symptômes est encore plus fortement souligné dans ,1'acro
nze jours (deuxième examen), au moment de l'aggravation de tous les symptômes , est venue se joindre à la perte de perception
2 mois après, au moment de l'amélioration considérable de tous les symptômes né- vritiquos, les troubles de la sensibilité a
ux plus ou moins fortes et ils ne sont compréhensibles que comme un symptôme de la lésion EMPOISONNEMENT PAR LES HO ? 1RDS C
stement les filets ner- veux dont l'affection est démontrée par les symptômes cliniques dans notre cas. Dans ce cas, simultan
ensibilité cutanée sont aussi favorables à cette opinion. Parmi les symptômes de ce genre, le plus persistant était sans dout
NSERVES EN BOITE. 41o ladie commencèrent à diminuer très vite ; les symptômes acronévritiques se sont montrés, comparativemen
oute, une forme clinique déterminée, au contraire, ce n'est qu'un symptôme , abstraction faite de la polynévrite, des ma- l
u tronc cérébral et du cerveau. Mais, dans notre cas, le manque des symptômes cérébraux et spinaux, la marche de la maladie,
commencée après quelques semâmes, la dispa- rition consécutive des symptômes , la restitution des ré- flexes profonds y compr
rtels, sont très rares et que cet empoisonnement peut comporter des symptômes semblables à ceux de l'intoxication alimentaire
s malades et deux enfants sont même morts. L'auteur ne dit rien des symptômes de l'empoisonnement Dans le cas rapporté par Po
le d'empoisonnement collectif rapporté par Simon (3) sont notés les symptômes suivants : diarrhée, mal de tête, nausées, vomi
ans un autre endroit, plusieurs person- nes ont' présenté les mêmes symptômes d'empoisonne- ment, ayant Consommé des homards
inflam- mation aiguë infectieuse du canal intestinal. Malgré les symptômes très graves dans quelques cas, tous, les 85 mal
RVEUSE. consommés frais, soit par les conserves, on a observé les symptômes assez uniformes, c'est-à-dire les symptômes d'u
erves, on a observé les symptômes assez uniformes, c'est-à-dire les symptômes d'une gastro-entérite aiguë infectieuse, cholér
mple les moules malades, sécrétant la mytilo- toxine). L'absence de symptômes apparents du côté du cerveau et du tronc cérébr
ut prendre en considération que nous ne sommes ren- seignés sur les symptômes aigus dans notre cas que par le récit (pourtant
très détaillé) du malade ; ainsi les symp- tômes plus délicats, les symptômes objectifs du côté du système nerveux (du côté d
e qui atleint,jusqu'à40o, (Fig.2), 41° et même 42°, oubien tous les symptômes se dissipent progressivement, la température re
nirs. Mais l'auteur avait sans doute pour objectif de classer les symptômes pour la critique ultérieure des formes adoptées,
nt surtout « les cas relativement rares où il y a retour fidèle des symptômes maniaques et des symptômes dépressifs, etpassag
vement rares où il y a retour fidèle des symptômes maniaques et des symptômes dépressifs, etpassage brusque des uns aux autre
mmuns, tels que l'aprosexie et la faiblesse de l'idéation, mais des symptômes propres de la manie et de la mélancolie ; dans
une véritable torture et rejettent à l'arrière-plan tous les autres symptômes ». Pourtant, et conformément encore à l'opinion
et des contractures hystéri- ques et leur comparaison avec certains symptômes de pathogé- nie analogue (tics, chorées, etc).
sponsabilité atténuée. » Dans ses définitions et dans l'analyse des symptômes , l'auteur se place avec raison au point de vue
n mentionne seulement les parentés cliniques, la multiplicité des symptômes et la variété d'allures de chacune d'elles. Tout
'insuffisance de nos procédés d'investigation. A s'en rapporter aux symptômes cor- respondants, ces lésions sont assurément m
pour indiquer des unités vésaniques ou plus où moins prédomine le symptôme périodicité, il faut cependant reconnaître que- l
e la bibliographie. Les troubles sont répartis en deux catégories : symptômes de déficit et symptômes d'excitation. La deuxiè
troubles sont répartis en deux catégories : symptômes de déficit et symptômes d'excitation. La deuxième est la plus important
ération de la parole, avec tendance à pléferer les mots courts. Ces symptômes indiqueraient t d'après Krapelin l'augmentation
evé dans deux cas de syrin- gomyélie, siégeant du même côté que les symptômes médullaires et évoluant parallèlement. Déjerine
té par l'auteur, la dystro- phio est congénitale unique ; outre les symptômes classiques, il faut y noter la présence de trou
ités que le tic douloureux de la face ; il propose de dénommer ce symptôme « tic douloureux du pied » ou « névrite épileptif
natomie pathologique et pa- thologie de 1' , par Turner, p. 65. à symptômes unilaté- raux, par Bratz et Leubucher, p. 72.
ure-inerien par frac- ture du crâne, par Gabourd, p. 237. Sur des symptômes moteurs anormaux dans le do- maine des ncrfs
46 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
attribuera à une maladie essentielle et propre à tel organe, « les symptômes qui dépendent uniquement de l'affection hystériqu
evêtir le masque des maladies organiques en leur emprun- tant leurs symptômes , leur évolution et leur physiologie pathologique.
le des scléroses médullaires. Or le fait est réel, et il y a peu de symptômes organiques spinaux qu'elle ne puisse reproduire
igation minutieuse : analyser avec méthode les caractères de chaque symptôme , interroger l'hérédité, l'étiologie, les commém
ystérie monosymplomaligiae, autrement dit d'hystérie révélée par un symptôme unique. C'est dans ces cas que le problème est
e et même névrose hystérique ? L'hystérie ne serait-elle pas ici un symptôme de la lésion spinale et n'aurait-elle pas de cara
me que l'hystériesans adjectif. Inégales, sclonles cas, quantàleurs symptômes , - elles sont rigoureusement équivalentes, quan
par la diversité de leurs manifestations, par la fugacité de leurs symptômes . Longtemps la sclérose multiloculaire est resté
s caractères. Ils ont établi entre les lésions ana- tomiques et les symptômes observés pendant la vie une relation de ÉTUDE D
lle peut prendre le masque des formes incomplètes ou effacées. Un symptôme domine le complexus morbide de la sclérose multil
l épileptique, il n'en serait pas moins hysté- rique, et les divers symptômes que nous avons signalés ne sauraient aucunement
aralysie laryngée et guérit spontanément. En présence de tous ces symptômes , l'hystérie ne saurait être mise en doute, malg
uteurs ont appelé l'attention sur des observations paradoxales; les symptômes et l'évolution delamaladie avaient fait diagnos
générale, que l'on peut appeler pseudo-sclérose, et qui, ni par sés symptômes ni par son évolution, ne peut être distinguée d
nt parce que, dans quelques-unes de ces observations, on trouve des symptômes irréfra- gables d'hystérie, que nous voulons fa
toujours bon de décrire quand' on les rencontre, car le mélange des symptômes pourrait troubler un observateur peu attentif.
ulbo-protubé1'al1tielle et dispari- tion complète de la plupart des symptômes après un sommeil prolongé d'an moins deux heure
sence du fa- ciès caractéristique du malade, de la longue durée des symptômes , qui ne se sont jamais démentis et qui sont per
nt de délire). En octobre 1878, amélioration importante de tous les symptômes . Le malade marche seul, se sert de ses membres su
bre. Plus tard survient une récidive de cet état mor- bide avec des symptômes identiques et une évolution analogue. Le malade
ois semaines, le tremb]ementa beaucoup diminué ainsi que les autres symptômes . Mais peu après ces accidents se reproduisent e
re sensiblement cet état. Depuis un quinzaine de jours, de nouveaux symptômes sont survenus. Le malade a été repris de vertig
ez lequel le tremblement constituait le principal, presque l'unique symptôme . Ons. XVI (résumée) (Westphal, in Berliner ! cl
80, p. 519). Wagner présente un malade âgé de trente ans atteint de symptômes nerveux com- plexes. Le diagnostic peut oscille
e une sclérose multiloculaire et une hystérie grave. Les principaux symptômes sont un fort tremblement dans les membres qui s
ormaux. ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS ». 51 1 Ces symptômes datent de deux à trois ans. Avant cette époque, e
isant que, lorsqu'on cherchera bien, on reconnaîtra que beaucoup de symptômes , rattachés jusqu'ici à l'hystérie, relèvent d'une
être rattachés. Quant aux faits où on avait noté durant la vie des symptômes d'hystérie, tous rapportés à la névrose et où l'a
les causes de l'abaissement de la température de la main droite. Ce symptôme ne nous paraît infirmer en rien l'interprétatio
DE L'OEDÈME BLEU HYSTÉRIQUE. 73 côté jusqu'à la ceinture. C'est un symptôme sur lequel le malade attire volon- tiers l'atte
ntrer dans l'hystérie par plus d'une porte, de même que de tous les symptômes du tabes chacun peut se montrer le premier. Au
s un cas donné, on oublie de recher- cher avec soin tous les autres symptômes possibles de la névrose, les stigmates, les zon
es attaques convulsives anté- rieures, etc., à ne considérer que le symptôme tremblement, une erreur de diagnostic à ce suje
érents troubles névropathiques qui presque toujours accompagnent ce symptôme , nous avons noté dans quelques ateliers des fai
si souvent chez les hystériques vulgaires à la veille des premiers symptômes significatifs; qu'au moment de l'accès, dans les
ts dans les tempes, toutes sensations qui rappellent assez bien les symptômes de l'aura hystérique. Mais, pour avoir ces déta
jamais fait d'excès alcoo- liques. En présence de cet ensemble de symptômes qui me paraissaient, je l'avoue, ne pouvoir êtr
ma- lade, je voulus expérimenter l'action de l'aimantation sur les symptômes hémilatéraux que je venais de constater. Je fis
les ver- tiges, les troubles si spéciaux de la vue, enfin tous les symptômes clas- siques de la sclérose multiloculaire s'y
des réflexes tendineux, la recherche et la constatation de tous les symptômes possibles de l'hystérie, telles sont les donnée
estion, je parvins à faire cesser ces tics de contagion. Les autres symptômes (ceux de la sclérose dis- séminée) suivirent le
Je vou- drais surtout mettre en relief l'association fréquente des symptômes hystériques avec le complexus morbide de la scl
faisant, la description détaillée que nous avons donnée de chaque symptôme , nous dispenseront d'insister à nouveau sur les a
faut s'attacher constamment à rechercher avec soin tous les autres symptômes possibles de la névrose et en particulier les s
les autres symptômes possibles de la névrose et en particulier les symptômes permanents. Ceux-ci, bien que le cas soit relat
s probabilités, sinon la certitude parfaite. C'est dans l'étude des symptômes eux-mêmes, des antécédents, etc., qu'il faut al
Leçons de M. Charcot (18SS185'J, p. 103). Tableau synoptique des symptômes oculaires dans la sclérose en plaques et l'hyst
s cas typiques, ce'te paralysie est caractérisée par un ensemble de symptômes que les observations suivantes mettront en lumi
parences de cette affection s'évanouissent devant l'étude des seuls symptômes douloureux que notre malade présente : c'est là d
Inutile d'insister davantage. Il est en outre un certain nombre de symptômes qui ont quelque valeur diagnostique. Ce sont le
trente ans. Il y a quarante ans il eul un chancre mou, non suivi de symptômes secondaires. Il se maria dans la suite et eut p
nte-huit ans, atteint cinq ans auparavant de chancre du gland. sans symptômes secondaires certains. Pendant deux ans sa santé n
ique, attitude incorrecte de l'épaule; à cela s'ajoutèrent d'autres symptômes spinaux, comme la diminu- tion des réflexes ten
des yeux par Friedenberg : DE L'OPHTHALMOPLÉGIE EXTERNE. 157 Les symptômes qui précèdent, dit Sachs, ne peuvent être inter-
bras droit et les cuisses furent semblablement affectés. Enfin les symptômes oculaires ont quelque peu varié; il lui est arriv
vec albuminurie el anasarque) à la suite de laquelle ont éclaté les symptômes paraplégiques. Accidents actuels (10 août). - O
gie flasque sans troubles trophiques. Réflexes rotuliens normaux. Symptômes hystériques. Rétrécissement concentrique à 15° po
n'y a rien de changé dans son état. Il présente également les mêmes symptômes que nous avions constatés pendant son séjour da
cessé do trembler, aussitôt, en même temps que la malade accuse les symptômes de l'aura, le tremblement reparaît, très intens
résente le tremblement de la nommée Kcll... pendant les jours où ce symptôme est d'une intensité moyenne. Mais si on observe
son père eut avec un individu, elle fut prise presque aussitôt des symptômes classiques de l'aura hystérique : sensation de
atrophie musculaire est le premier phénomène en date et précède les symptômes oculaires pen- dant un temps plus ou moins long
ralysie de la musculature exté- rieure des yeux. Tels étaient les symptômes présentés par Peyn..., à son entrée à l'hôpital
toute erreur, si nous n'avions pas encore pour nous guider un autre symptôme capital de la sclérose latérale amyotrophique,
ns la polioencéphalite dans laquelle il n'existe au contraire aucun symptôme de la lésion des faisceaux pyramidaux. Il n'est
syphilitique, un autre avait eu un chancre de nature douteuse, sans symptômes secon- daires certains. Chez eux, le traitement
réaction de dégénérescence. l'as de contractions fibrillaires. Les symptômes bulbaires Vs'aggravent rapidement. Mort le 20 a
multiple périphérique. Le développement éminemment , chronique des symptômes oculaires, lcur variabilité, les rémissions, sont
e quelque peu irrégulière. OBs. XXXV. Tabès avec ophthalmoplégie et symptômes bulbaires (Buzzard2). Un homme de trente-six
(Buzzard2). Un homme de trente-six ans, un syphilitique, offre les symptômes connus du tabes dorsalis. En même temps que ses
s proéminents. Un peu de parésie faciale gauche. Il succomba il des symptômes bulbaires. 1. Ilutcliinson-Gowcrs, Jlelico-clir
- gurantes. Outre les signes habituels de l'ataxie, il présente les symptômes suivants : .. , Paupières tombantes, surtout
s, semaines de sa vie, où elles se montrent accidentellement. Aucun symptôme cérébral. Le malade meurt subitement, trois moi
2G ! 1) , 2. Dans un autre cas de psychose avec ophthalmoplégie et symptômes spinaux, Westphal nota une dégénérescence grise
coiffeur, âgé de qua- rante et un ans ; il était atteint de graves symptômes cérébraux ; connaissance très obscurcie, délire
lui du délire et, semble- \t-il, des hallucinations visuelles. Ces symptômes augmentèrent de jour en jour; ses jambes devinr
que plus faciles no sont pas non plus parfaitement libres; tous ces symptômes sont plus marqués dans l'oeil droit que dans le
ir, car elle est fréquente chez nos malades, en dehors même de tout symptôme de paralysie générale dont elle n'est nullement
se. Quelque variable que soit la paraplégie hystérique quant il ses symptômes , sa durée, son intensité, sa cause occasionnell
isième garçon bien portant. «.Elle n'a plus aujourd'hui aucun des symptômes qu'elle a si longtemps présentés. » OBs. XLII
que l'amyosthénie et l'anesthésie, mérite de prendre rang parmi les symptômes permanents de l'hystérie. PAUL Richer, Chef
le nom eau-né. 361 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. seul symptôme qu'il avait diagnostiqué la tuberculose vertébral
n l'absence des stigmates ordinaires de la névrose, la mobilité des symptômes , leur évolution, etc., imposent le diagnostic. On
limitée soit-elle. Je sais qu'en ce moment il n'existe aucun autre symptôme bien caractéristique d'hystérie. Je sais que la
, et le mode de début de sa paraplégie, et l'absence de tous autres symptômes et les antécédents personnels de cette malade m
davantage ponr concevoir, chez un même sujet, une telle réunion de symptômes simulateurs que l'idée d'un tabès vrai puisse s
on aura constitué autant de variétés cliniques du tabes. Ici les symptômes se dégradent ou s'effacent : ce sont les formes f
re, signe de Robertson, de Weslphal, etc. Elle n'a du tabès que les symptômes superficiels sensitifs et moteurs; or, ceux-ci
s divers viscères, rien à noter. Il y a, chez ce malade, assez de symptômes réunis pour qu'on puisse songer au tabes : inco
ubles oculaires, vésicaux, un peu d'incoordination motrice, plus de symptômes en un mot qu'il n'en faut pour constituer la ma
ndrome hysté- rique associé à la maladie de Basedow et que tous les symptômes relè- vent soit de l'hystérie, soit du goitre e
nt normalement à la lu- mière et à l'accommodation. Mais les grands symptômes du tabès étaient si nets, que tous les médecins
Et de pareilles lésions n'avaient donné lieu durant la vie à aucun symptôme clinique. Siemerling veut bien attribuer en maj
sther M..., cinquante-huit ans, domestique. Nous avons souligné les symptômes propres à chacun des deux membres de cette asso
fections orga- niques du système nerveux, on peut voir survenir les symptômes de l'hystérie. Il pense que la perte des réflex
s ? 11 est fréquent de voir, en matière de pathologie nerveuse, les symptômes d'une affection préexistante s'atténuer, s'efface
s éléments de ce diagnostic doivent se tirer de la double étude des symptômes eux-mêmes et de l'évolution. I. Élude symptom
e du tabès, lorsque, chez un malade, on découvre associé ou non aux symptômes vulgaires de l'ataxie locomotrice progressive, un
s la névrose. C'est donc sur les caractères propres à chacun de ces symptômes qu'il faudra tout d'abord se baser pour résoudr
e tour à tour sous la même forme ou sous une forme équivalente. Les symptômes hystériques débutent d'ordinaire avec brusqueri
, on ne saurait cependant les comparer, à ce point de vue, avec les symptômes du tabes. Règle générale, leur terminaison est
font ici défaut. Il est bien plus vraisemblable d'admettre que ces symptômes , malgré que le tableau soit incomplet, relèvent d
paralysé complètement de ses membres droits. Le quatrième jour, ces symptômes s'amendèrent, et il recommença à pouvoir marche
Cette simulation n'a rien d'étonnant. La syringomyélie n'a aucun symptôme qui lui appartienne en propre; sa symptomatologie
ses, comme le fit remarduerRemal ? elles doivent produire les mêmes symptômes si leur topographie est identique. (Bien plus,
'arrête pas, dans certains cas donnés, à la reproduction exacte des symptômes poliomyéliques antérieurs et postérieurs de la
n de la sensibilité, amyotro- phie), elle peut aussi reproduire les symptômes poliomyéliques mé- dians, à savoir des troubles
charge, dans des circonstances données, de grouper plusieurs de ces symptômes chez un même hystérique et de réaliser une ressem
elle du fond de l'oeil, d'une part, et sans que l'on constate aucun symptôme encéphalique, d'autre part. Ce travail est basé
volontiers dans ces manifestations hystériques une complication, un symptôme de la gliomatose. C'est là une manière de voir
essus morbide dans la corne postérieure, la coexistence de ces deux symptômes s'observant assez souvent dans la gliomatose médu
iment des réserves vis-à-vis des cas insolites de gliomatose où des symptômes 1. Clj,,Licot, Pi-og ? niée., 1890 (Leçon recti
er. Dans les cas types, la syringomyélie est caracté- risée par des symptômes intrinsèques : dissociation de la sensibilité,
alé en raison de cette circonstance que la localisation de certains symptômes semblait faire prévoir une lésion localisée dan
t stationnaires ; d'autres fois il y a au contraire aggravation des symptômes , crises nouvelles qui ne disparaissent pas touj
reuse de cette méthode a causé la mort du malade. L'aggravation des symptômes se rencontre surtout dans les cas de tabès d'or
s variables. Dans certains cas, l'amélioration ne porte que sur des symptômes isolés ou peu nombreux; dans d'autres, elle com-
dans d'autres, elle com- prend la majorité et même la totalité des symptômes . Quelquefois l'amélioration est peu marquée; d'
lle est très prononcée, et le résultat est variable pour différents symptômes . Tandis que tel symptôme disparaît complètement
le résultat est variable pour différents symptômes. Tandis que tel symptôme disparaît complètement, tel autre ne s'a- mende
ans les cas exceptionnels l'amélioration peut t porter sur tous les symptômes à la fois et peut atteindre un degré tel qu'il
aitement du tabes. La suspension a amené la disparition de tous les symptômes , le réflexe rotulien lui-même a reparu. Quant à
ien lui-même a reparu. Quant à l'influence de la suspension sur les symptômes isolés, il faut remarquer que les symptômes spi
e la suspension sur les symptômes isolés, il faut remarquer que les symptômes spinaux s'amendent plus souvent que les symptôm
remarquer que les symptômes spinaux s'amendent plus souvent que les symptômes céphaliques. Pour les symptômes spinaux, l'acti
x s'amendent plus souvent que les symptômes céphaliques. Pour les symptômes spinaux, l'action de la suspension sa manifeste,
nt et peuvent même disparaître. Presque tous les malades voient les symptômes vésicaux s'améliorer et les fonctions génitales é
des divergences c'est sur la question de savoir si c'est tel ou tel symptôme qui sera amélioré plus souvent et plus rapideme
lles ne disparaissent que dans les cas isolés. L'amélioration des symptômes céphaliques se rencontre très rare- ment ; pour
t l'amélioration, mais quelquefois aussi la disparition de quelques symptômes graves. L'amélioration porte surtout sur le som
L'amélioration porte surtout sur le sommeil, l'état général et les symptômes médullaires. Les symptômes céphaliques cédentàce
ut sur le sommeil, l'état général et les symptômes médullaires. Les symptômes céphaliques cédentàce traite- ment moins souven
. Charcot, Jlausalter et Adam citent des cas où ils ont vu quelques symptômes psychiques, comme l'agoraphobie et l'impulsion
eux considérations : 1° chez les ataxiques on voit souvent certains symptômes s'amender sans raison apparente; 2° les recherc
47 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
vec la petite insuffisance hépatique. Celle-ci se manifeste par des symptômes cliniques plus discrets et se traduit expérimen
e rénale passe inaperçue chezdes aliénés auxquels il manque le gros symptôme albuminurie, et dont l'état mental seul attire
ts peut se rencontrer dans trois cas 1" Un délire aigu peut être le symptôme passager d'une néphrite ; 2° Un aliéné peut pré
ne lésion rénale ; 2° Ceux qui sont de même que la lésion rénale, symptômes d'une maladie générale ; 3° Les psychoses et le
omonique, permettant de le recon- naître en l'absence de tout autre symptôme clinique. Il est des cas, dit M. le professeur
TISME. 1 mentation sévère, et savoir reprendre le lait au moindre symptôme avant-coureur d'intoxication urinaire. Devant u
raticiens (démence paranoïde, catatonie, etc.) et surtout sur leurs symptômes précurseurs, sur leur traitement. Dans la secon
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 59 IX. Contribution à la psychologie des symptômes de la catatonie ; parR. VoGT. (Centralbl. f. Ne
. XXV. N. F. YIII. 1902.) Kraepelin et Sommer disent que les divers symptômes de la catatonie (catalepsie, écholalie, échopra
: parfois elle passe inaperçue (Quinke); elle peut se borner à des symptômes de neurasthénie cérébrale (Quinke), elle peut a
orps calleux (surtout des tumeurs), 4 ne se sont traduits par aucun symptôme (Kaufmann, Erb, Ber- kley, Leichtenstern) et il
dans le cas de Zingerle il y a compression de la couche optique. Un symptôme seul, relevé par la majorité des auteurs, est p
nséquence l'opi- nion de Bruns : « l'obtusion intellectuelle est le symptôme mental spécifique... et la résultante de la com
THOLOGIE NERVEUSE 1. Abcès traumatique du lobe occipital droit avec symptômes cérébelleux Abcès cérébelleux d'origine otique
iégeait dans le lobe occi- pital droit bien qu'il fût accompagné de symptômes cérébelleux et dont l'autre au contraire était
traire était situé dans le cervelet malgré l'ab- sence de ces mêmes symptômes . La ponction lombaire fut prati- tiquée deux fo
u pôle occipital au voisinage de la plaie osseuse constaté. Le seul symptôme qui eût permis de localiser l'abcès dans le lob
tiformes. Cette région dont la blessure donne lieu à la plupart des symptômes basedowiens peut donc être considérée comme le
algie, les vomissements, les vertiges, la titubation, for- ment les symptômes fondamentaux des tumeurs cétébelleuses. Parmi l
symptômes fondamentaux des tumeurs cétébelleuses. Parmi les autres symptômes que l'on rencontre ordinairement, il convient d
ui fait l'objet de ce travail les troubles visuels concomitants des symptômes cérébelleux étaient dus à une compression des l
l'observation qui fait l'objet du présent travail, à un ensemble de symptômes bien nettement myopathiques se sont joints des
évidence. Et c'est elle qui rend le mieux compte de l'évolution des symptômes dans la chorée héréditaire. (Revue neurologique
ux-mêmes. Il s'agit en somme d'une sorte de culatonisrne fruste. Ce symptôme est parfois assez intense pour rendre la recher
ons scrofuleuses et rachitiques. 1 Absence de la glande thyroïde; symptômes classiques de l'idiotie myxoedémateuse : pseudo
par l'hy- dropisie du péricarde, qui ne s'était traduite par aucun symptôme , puisque le malade allait et venait comme d'hab
tho- logique. Réflexions. I. Nous n'avons pas à revenir sur les symptômes cliiii- ques, que 'nous avons minutieusement dé
ès grande lenteur et persistent même longtemps après que les autres symptômes ont disparu. Le tabes paraît plus rebelle au tr
es individus idiosyncratiques. L'auteur n'a observé qu'une fois des symptômes sérieux chez un malade tabétique avec symptômes
rvé qu'une fois des symptômes sérieux chez un malade tabétique avec symptômes de paralysie générale, qui prenait 1 gr. 50 d'i
ortions suivantes. Il s'agit d'épileptiques de tout âge affectés de symptômes moteurs, psychosensoriels et psychiques dont on
pables de travail. On constata néanmoins trois fois le retour des symptômes six à sept mois après la cessation des injections
cteurs peuvent agir isolément ou se rencontrer associés. Bien des symptômes peuvent dès la petite enfance mettre sur la voi
rd, en 1898, le 184 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. goitre grossit et les symptômes complets du syndrome basidomien apparaissent. L
t des vieillards, n'ont rien démontré qui permette de rattacher les symptômes psychiques actifs de ces maladies à des altérat
airement). La consé- quence de cette hypothèse, c'est que les mêmes symptômes opti- mistes doivent se retrouver dans d'autres
ons cérébrales et son degré est proportionnée à leur étendue. Les symptômes psychiques d'impulsion et dépensée ne sont pas
ordinairement commis. L'auteur n'entend pas se préoccuper ici des symptômes mentaux qui accompagnent ce genre de crime, mai
cupant les ganglions de la base, le cerveau et la moelle. Les mêmes symptômes , de concert avec des troubles légers de la sens
lectiforme ou, dans le cas d'une polyoeiicéplialite supérieure, des symptômes bruyants tels que céphalée, vomissements et hal
on de Lagner et Weifert, de Francfort. Un homme, qui présentait les symptômes de la nzyus- ténie d'Erb, mourut après quatre a
ès, au mois d'août, s'installait lentement et pro- gressivement les symptômes suivants : céphalée avec exacerbations, vomisse
cer- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 171 L velet, non, le début des symptômes a été trop brusque et l'évolu- tion trop rapide
t d'ailleurs neurasthéniques à cause de leur épilepsie. Souvent les symptômes ne diffèrent pas sensi- blement de ceux de la n
ifférents ou bien plus accusés. Ainsi la perte de la mémoire est un symptôme de neurasthénie, mais on peut diagnostiquer à c
crise psychique par un sujet qui ne présente à ce moment aucun des symptômes du grand mal. Les cas d'épilepsie silencieuse,
Tabès et hystérie chez un débile, Interprétation hypocondriaque des symptômes par un délire de zoopalitie interne. MM. Ernest
alcoolique et mentalement très débile et offrant toute la série des symptômes d'un tabes à la période d'incoordina- tion motn
ments etl'activité de cet animal expliquent pour le malade tous les symptômes qui relè- vent chez lui soit de l'état digestif
téressante. Leméningisme, affirmé par l'al- lure et l'évolution des symptômes , la guérison des accidents et le résultat négat
, malgré mon avis, et dont,j'ai pu guérir la récidive ainsi que les symptômes moraux ayant suivi la mutilation; un cas de par
'un amour propre excessif porté jusqu'à l'état morbide. Guérison de symptômes hystériques spasmodiques graves par la sug- ges
nte, durant les paroxysmes violents la malade ne présentait que les symptômes OBSESSION ET DELIRE. 1 9o de la manie aiguë a
pro- noncée que les autres; tantôt c'est l'agoraphobie qui est le symptôme prédominant, tantôt le délire du toucher, tantôt
n parvient toujours à constater de pair avec l'un ou l'autre de ces symptômes la coexistence de toute une série de processus
s le travail actuel nous voudrions attirer l'attention sur certains symptômes particuliers, observés parfois dans la constitu
ique. Comme on le sait, la jalousie pathologique peut être l'un des symptômes des états psychopatiques les plus variés; bien
qui s'exprime dans une toute autre forme; cette malade n'a point de symptômes de dégénérescence hystéri- que. Elle possède un
dans la composition de la constitution idéo-obsessive en qualité de symptômes accessoires. Pourtant, vu cela que les peurs ob
s la constitution idéo-obsessive il nous est arrivé d'observer ce symptôme , la peur des montres s'est développée à la suite
ive se manifestent d'une façon très prononcée. En parlant de divers symptômes , se rencontrant 202 CLINIQUE NERVEUSE. dans d
nté, mais a un appétit régulier et l'on ne constate pas chez lui de symptômes objectifs en rapport avec ses plaintes. Il est ca
valeur, son im- portance ; si elle devait être considérée comme un symptôme , un syndrome ou une entité morbide, on s'aperço
nous font concevoir tous ces phénomènes sous une face nouvelle. Les symptômes se rattachent les uns aux autres, et les maladi
ion mélancolique, lequel s'accompa- gna au bout de quelque temps de symptômes atténués de négati- visme et d'affaiblissement
analogies et ses transitions insensibles, jointes à l'identité des symptômes et de l'évolution, sont une raison pour affirmer
aliues et destructives et qui peuvent servir à l'interprétation des symptômes notés pur la clinique. L'irritation, ou l'inflamm
dans la sphère des nerfs sensoriaux (délire de rêve). Les autres symptômes ne sont pas moinsjusticiables de la dou- ble lé
a rapprocher les lésions des variétés dans la marche et dans les symptômes que présentent les différents malades, en particu
nerveuses reçoivent des excitations anormales qui expliquent les symptômes de la paralysie générale : suractivité désordonné
re que, dans 60 p. 100 des cas, le tabes s'arrête dans les premiers symptômes , ou évolue avec une telle lenteur que la vie du
cures mercurielles, on constate que ce furent d'abord les douleurs ( symptômes éminemment variables et transitoires) et l'inco
désordres moteurs ont déterminé le trouble vasculaire ; 3° les deux symptômes relè- vent à une cause unique. Cette dernière i
hypocondrie et neurasthénie consécutives à la persistance de ces symptômes . Guérison rapide parle traitement local. Ille O
IV° Ces. M-e J..., trente-deux ans. Rhinite hypertrophique légère, symptômes d'obsiruction nasale très accentués pour le moi
e à fixer, sensations de plénitude de la tête et douleurs. Tous les symptômes précédents disparaissent avec l'établissement d
noncé et persistant du tissu adénoïdien resté dans la caverne. Les symptômes nerveux réapparurent et guérirent par une seconde
erne. Agitation incessante. instabilité mentale. Disparition de ces symptômes après rétablis- sement de la perméabilité nasal
parition de l'oedème permet même d'admettre qu'il faut rapporter ce symptôme à l'encéphalite et que le point de départ de la
rice des deux bras. M. Annaux ne croyait pas qu'on pût constater ce symptôme au début de la paralysie générale ; mais il l'a
les vaso-moteurs; 2° intensité de l'amyosthénie; 3° périodicité des symptômes ; 4" fréquence des complications déli- rantes ;
orme ne diffère guère de celle de la neurasthénie des adultes : les symptômes sont peut être plus atténués, et la tendance au
ée 314 SOCIÉTÉS SAVANTES. comme un phénomène secondaire. C'est le symptôme par lequel le malade répond à certaines causes,
l. Le même auteur pense que le réveil nocturne des neurasthéniques, symptôme si fréquent et si remarquable par sa brutalité,
ner a ' )1. de Fleury. L'insomnie et son traitement, 189 - Grands symptômes neurasthéniques, 1902. 320 0 SOCIÉTÉS SAVANTES.
tion mentale, car à l'heure actuelle ce sont là en vérité les seuls symptômes sur les- quels nos moyens thérapeutiques puisse
d'une sensation de fatigue, de vacillement, de troubles digestifs, symptômes le moins marqués pour le trional. Ce sommeil re
cès d'ailleurs. Les cas recueillis par les auteurs montrent que les symptômes ont été plus bruyants que dangereux. Mais il n'
s inoffensifque la plupart des autres médicaments dirigés contre ce symptôme . L'action de l'alcool chez cette catégorie de m
tion ou de l'ablation totale du plexus solaire, réservant le nom de symptôme solaire d'excitation ou de paralysie, à chacun
ives syphilitiques des autres cas de maladie d'Aran.Duchenne; trois symptômes nous avaient paru un moment plaider en faveur -
llures les plus torpides et les plus lentement progressives : aucun symptôme , en somme, ne nous permet de croire qu'elle don
mettant d'établir le pronostic des cas particuliers. Quels sont les symptômes autorisant à conclure à l'existence de la démence
et n'existant dans aucun autre état. Il faut donc réunir plusieurs symptômes et exclure les autres causes, pathoio- giques o
Paul Masoln (Gheel). L'auteur a étudié tout particulière- ment les symptômes catatoniques dans la démence précoce : atti- tu
eux ou avec une idée quelconque. Il y a identité absolue entre ces symptômes d'oi dre moteur et l'au- tomatisme (gesticulati
iculations, tics, négativismes) de l'idiot. Comme chez l'idiot, ces symptômes sont l'expression d'automatisme cé- rébral : ch
nt le malade près de trente ans plus tard présentait la plupart des symptômes : Atrophie musculaire localisée aux membres sup
rès le début de la maladie parait intimement lié à l'apparition des symptômes douloureux et des troubles sphinctériens qui vi
ofonde qui apporte dans la vie des malades l'apparition de certains symptômes (douleur, troubles sphinctériens par exemple),
e heures tous les deux jours. A ces troubles mentaux s'ajoutent des symptômes physiques graves et caractéristiques : la parol
peut être contracture, paralysé en totalité ou en partie, mais ces symptômes ne sont le plus sou- vent que la manifestation
; il n'est pas impossible d'entrevoir une même cause originelle aux symptômes communs à ces deux affections. D'autre part, la
ieu de rechercher les cas où, comme dans l'exemple précè- dent, des symptômes de la maladie de Recklinghausen viennent s'ajou
niques, et le spasme facial- est de ce nom- bre. En pareil cas, les symptômes qui appartiennent en propre à la maladie organi
Contre l'existence de l'acromégalie témoignait l'absence de tout symptôme de cette maladie. Le squelette des mains et des p
'étendit sur la moitié droite des champs visuels. Dernièrement, aux symptômes indiqués se joignirent des douleurs opiniâtres
un mois entier de cette cure mercurielle il ne se mani- festa aucun symptôme de stomatite ; seulement à la fin de la cure je
rd'hui voir tout à fait bien, il est de- venu plus fort et tous les symptômes de maladie ont disparu. Durant tout le mois de
rs que deux phases : catatonie et démence. Mais, si l'apparition de symptômes catatoniques bien caractérisés après une premiè
fatigue des réflexes tendineux et de la valeur diagnos- tique de ce symptôme dans les affections nerveuses, par V. de l3ECnr
ion des troubles de la sensibilité ne peut être regardée comme le symptôme pathognomonique de la syringomyélie. Le diagnosti
utefois étaient moins accentuées. Dans les cas sans autop- sie, les symptômes ont été tellement semblables à ceux du premier
meurs cérébrales, ou aux amauroses brightiques et nicotiniques. Les symptômes cliniques paraissent ici être peu nombreux : il
ctions midullaires, ce sont des guides peu sûrs. L'absence d'autres symptômes s'explique par le siège de la lésion, et par sa
sent si peu modifiés : on s'attendrait à trouver parmi les premiers symptômes l'anesthé- sie généiale du tronc; elle faisait
on conçoit aisé- ment quetaprédominanoedessymptômesvisuets sur les symptômes réflexes, et réciproquement varie suivant que c
égénérescence de la moelle, sur lequel dans deux cas seulement, les symptômes observés pendant la vie avaient pu attirer l'at
le facteur toxique ; on en observe par exemple dans le cancer. Les symptômes de cette dégénérescence sont ordinairement obscur
des erreurs de diagnostic, il y a d'ailleurs dans la marche de ces symptômes des fluctuations décevantes. Presque toujours l
meur des lobes frontaux du cerveau, dans lequel le sommeil a été un symptôme très accusé, par Thomas Pmur CowEN (Tite Journa
ux lobes frontaux jusqu'à une profondeur d'environ trois pouces. Le symptôme le plus accentué que l'on ait observé chez ce m
e s'endormit pas en mangeant. On ne constatait chez lui aucun autre symptôme de troubles nerveux sauf la névrite optique. R.
si fréquents chez les idiots et conclut à l'identité absolue de ces symptômes moteurs avec l'automatisme de l'idiot. ' Analys
. N. F. XIII, 1902. L'état de négativisme n'est certainement pas un symptôme uni- taire. Il se peut que divers phénomènes co
ndément atteint : la diarrhée intermit- tente et incoercible est un symptôme presque invariable. La lati- gue est comme dépo
sens. La démence arrive promptement, et, à la dernière période, les symptômes pré- sentés par les malades ont une grande ress
est la cause de l'amélioration progressive qui s'observe dans les symptômes consécutifs à l'héiiiiseclion ? Quel est exac-
onduction des sensations thermiques ou douloureuses. Pourquoi les symptômes initiaux sont-ils plus étendus que ne l'est la
étrangère n'interrompt nullement leur monologue. Chez ceux-là le symptôme est facile à constater et à étudier. Ils parlen
ns son contenu peut être encore utile à la connaissance de certains symptômes particuliers tels que les hallucinations. « A
m qu'on lui prescrit. Peu après son entrée, on reconnaît un nouveau symptôme : l'hal- lucinatiun auditive. Elle entend des v
nt des hallucinations auditives. L'hallucination de t'ouïe est un symptôme complexe et variable. Phénomène psycho-sensorie
cours de la mélancolie les hallucinations de l'ouïe ne sont pas un symptôme banal et inévitable; n'est-ce pas au stimulus d
cinoénique ne laissera germer que l'interprétation délirante des symptômes fonctionnels de la lésion, interprétations qu'i
ovoquer le -oui- meil, car en obtenant le sommeil on évite bien des symptômes aigus. Les jours de pluie, il y a des malades q
rs qu'aux mus- cles des membres, et l'incoordination motrice est un symptôme de toute la musculature. 3° Ce trouble de la
re. 3° Ce trouble de la coordination des muscles oculaires est un symptôme tardif, dans le tabes ordinaire ; il manque au dé
- , par Vlbbrus, 289 CATA70\IE. Contrlbuttonàlapsycllo- logie dee symptômes de la -, par Vos ! 59. observation de la-, par
De la fa- tigue ries - tendineux et de la valeur diagnostic de ce symptôme dans les affections nerveuses, par de Bechtrr
- et Ilv.térlechez un débile. Interprétation hypo- cundrlaque des symptômes par un délire dezoopathie interne, par 1)(ipi
48 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
is il y a plus : le type oxycéphalique, en dehors de son cortège de symptômes nerveux bien connus (atrophie des nerfs optiques,
de deux processus morbides. L'oxycéphalie est caractérisée par deux symptômes capitaux ; la lésion des nerfs optiques et la d
es nerfs optiques et la déformation du crâne ; viennent ensuite les symptômes oculaires accessoires qui sont l'exophtalmie, le
es, ni les autres troubles nerveux concomitants, ni tous les autres symptômes oculaires qui peuvent accompagner l'oxycéphalie
on du syndrome oxycéphalique, tant du côté du crâne que du côté des symptômes oculaires, et que par rapport aux altérations du
lui, mais il y a toutefois une grande atténuation dans la gravité des symptômes . Nous voyons en effet, que tout en ayant la mêm
les oxticéphalicrues, on a assistée une véritable régression de ces symptômes . 2° Ce cas, parmi tous ceux que nous avons rela
u- jours rencontrées chez les oxycéphales et sur tout le cortège de symptômes adénoïdiens à peu près constant chez eux. Dan
aiguë ou subaiguë. L'hydrocéphalie, non seulement peut réaliser les symptômes d'une tumeur cérébrale, mais elle peut simuler
te et très documentée par MM. Battistini et Mallirolo (1). Tous les symptômes du vivant du malade portaient à établir le diag
ue tous les cas de Patry et des autres auteurs, j'ai cons- taté des symptômes indéniables de rachitisme, depuis la cyphoscolios
es, le but de mon travail étant de mettre en lumière le cortège des symptômes appartenant à l'oxycéphalie. Ce qu'il importait
hôpital général, comme vieillard, sans s'être jamais plaint d'aucun symptôme rattaclable à son affection. Il était d'intellige
le soutient pas il tombe vers le côté droit. Le jour suivant les symptômes cérébraux se sont aggravés encore. La cé- pbaté
it ont augmenté. Il vomit tout ce qu'on lui donne. Ayant en vue ces symptômes nous mettons le diagnostic de tumeur cérébrale. °
se fatiguait très vite et était inca- pable de tout travail. Ces symptômes ont persisté, tantôt plus prononcés, tantôt plus
st-à-dire jusqu'au moment où son état a empiré avec l'apparition de symptômes nouveaux. La céphalée persiste avec la même vio
ral de préférence sur le côté droit. A l'examen, on trouve tous les symptômes du syndrome cérébelleux, sans qu'ils soient cep
inuer du fait qu'à présent on réussit mieux à préciser la cause des symptômes cérébraux, surtout dans les cas de méningite sé
vons eu l'occasion de soigner un malade qui avait présenté lous les symptômes d'une' tumeur de la base : de la céphalée, des
brale, et nous nous limiterons aux deux causes qui ont provoqué les symptômes céré- braux chez nos malades. Dans le premier c
'encéphalite aiguë non purulente, celte dernière donnant lieu à des symptômes en foyer. La participation de la substance céré
veux. En effet, Liebermeister (1), parmi onze cas de pneumonie sans symptômes méningiliques et dont le système nerveux était
cérébrales semble certaine dans les ma- ladies infectieuses où les symptômes cérébraux sont fréquents (fièvre ty- phoïde, ex
e, comme cela doit s'être passé dans notre premier cas, ce sont des symptômes corticaux d'excitation qui prédominent : attaques
t des apraxies. ' Quand c'est la base qui est atteinte, ce sont des symptômes de la part des nerfs craniens qui prédominent,
V. éd. 1905, p. 945. DEUX CAS DE PSEUDO-TUMEUR CÉRÉBRALE 61 les symptômes de compression qui prédominent, de sorte que dans
er (2) a trouvé à l'autopsie d'une femme de 28 ans présen- tant les symptômes d'une tumeur cérébrale et morte après six mois, u
s l'âge de deux ans à la suite d'une maladie infec- tieuse avec des symptômes méningitiques graves, a trouvé un liquide clair,
BRALE 69 où elle a pu être masquée jusqu'à un certain point par les symptômes cérébraux alarmants. La température peu élevée
s fois dans une maison d'aliénés, en raison de la manifestation des symptômes de paralysie générale et des attaques épileptoïde
processus inflammatoire n'arrivant pas jusqu'à la suppuration. Les symptômes varient selon que le processus se localise à la c
nt, on ne trouve chez J... ni troubles sensi- lifs caractérisés, ni symptômes oculaires, ni incoordination motrice. Le diagno
rébelleux. De plus, en outre de l'existence, chez le même sujet, de symptômes de l'une et de l'autre, on a cité au moins une ob
ue tant soit peu approfondi ; et l'on pourrait s'étonner de voir un symptôme inspirer semblable confiance, si l'on ne s'avisai
précoce, et parfois pendant longtemps, le premier et aussi le seul symptôme . Son utilité est, dans ces conditions, indiscut
présence du signe indique nettement un tabes. Pour ces raisons, ce symptôme ne mérite-t-i1 pas la considération qu'on lui a
ysiologique était à l'abri de toute critique, sa valeur en tant que symptôme pathologique se restreindrait énormément. Mais,
u signe de Westphal de rester entière ? Elle aussi, la constance du symptôme dans le tabes a été critiquée. De- puis la disc
it l'observation d'une femme de48ans, tabétique depuis 10 ans, sans symptôme moteur, avec troubles de la sensi- bilité el ar
alé un cas de Minor (4) où l'abolition des réflexes rotuliens, seul symptôme nerveux, était en rapport (1) In thèse de TIIIÈ
ns une autre observation de Nonne (1), un malade avait comme unique symptôme l'abolition unilaté- rale du réflexe patellaire
comporte comme un tuberculeux pulmonaire avéré, cavitaire. Le seul symptôme anormal, c'était vraiment la fréquence, la viol
périeurs, avec lésions cantonnées dans là moelle cervico-dorsale et symptômes céphaliques, oculaires, prédominants. Ce sont a
celte maladie ait moment où on les observe, puisque souvent le seul symptôme est le signe de TVestpltal ; dans ce cas, la lé
ns toutes les variétés de tabès, qu'ils soient riches ou pauvres en symptômes , ataxi- ques ou non, étendus ou non anatomiquem
ez qui le signe de Westplial était apparu 5 mois après les premiers symptômes ; il fut constaté encore 3 mois, au moins, conc
montrer, disent-ils, qu'il peut se produire une régression dans les symptômes du tabès, lorsque t'atrophiepapittaire s'installe
DES RÉFLEXES ROTULIENS \11 I sihle d'expliquer la rélrocession des symptômes et l'arrêt dans la sclérose des cordons postéri
e et étendue, sans qu'elle se traduise par plus d'un seul et unique symptôme : ce seront par exemple des crises gastriques, ou
étique, ou, si l'on y songe, on élimine, en raison de l'absence des symptômes cardinaux, celte hypothèse qu'une observation p
rfs périphériques peuvent avoir par- fois., dans la pathogcniode ce symptôme : une plus grande importance que les lésions ra
t rares il la vérité, de porter le diagnostic de tabes, si d'autres symptômes y invitent. If. - La présence ou l'absence des
orts, ce qui a évidemment rendu plus difficile l'interprétation des symptômes persistant à cette époqué. Commençons par com
autres régions de l'hémisphère intéressé. Cependant, le tableau des symptômes cliniques semble prouver que le processus des-
à l'identifier. Mais les cas ne sont point rares où il présente des symptômes typiques d'une surdité verbale qui, pour n'être
restèrent vaines. Il est évident que l'agraphie chez B. n'est qu'un symptôme secondaire de son alexie : il ne peut pas écrir
- fectuosités ne sont nullement incurables. Tandis que les légers symptômes d'aphasie sensorielle^ que nous avons pu souven
t être d'un caractère passager et de peu d'importance pratique, les symptômes intéressant la sphère optique sont, par contre,
rience clinique tend prouver que dans ces cas l'alexie aussi est un symptôme persistant; toutefois, dans la plupart de ces c
rd des lettres et des mots. A condition qu'il ne se présente pas de symptômes secondaires prove- nant de la cicatrice crânio
une part sa haute stature, son facies pouponnin, son aspect puéril, symptômes qu'il nous est vite facile de rattacher au giga
t se faire aimer des hommes. » I. - Gigantisme (PI. XVIII). Les symptômes de gigantisme proprement dits sont chez notre mal
ute stature (1 m. 86) attire au premier regard l'attention. Mais ce symptôme nécessaire pour faire un géant n'est pas suffisan
concerne les rapports existant entre le gigantisme du malade et les symptômes d'acromégalie, notre observation n'apporte pas
rissaud et Meige (1), Launois et Roy (2), Woods Hutchinson (3). Les symptômes de développement, anormalement rapides et exces
ence d'un ou plusieurs réflexes chez un sujet indemne de tout autre symptôme nerveux peut être qualifiée absence monosymploma-
istique. RÉFLEXE ACIiILI.ÉI;N. //réflectivité associée à d'autres symptômes . - Chez i sujets le réflexe achilléen a élé tro
achilléen nul, soit d'un côté, soit des deux côtés, en l'absence de symptômes nerveux d'ordre différent; chez 7 d'entre eux c
dies peut être appliqué aussi, et plus rationnellement, au nom d'un symptôme . On dit un tabes monosymptomatique ; en réalité
es cas d'absence du réflexe achilléen observés, avec ou sans autres symptômes , est 66, soit une proportion de 28,68 0/00. Celte
? ILf.\E fi0'l'ULII : N. 7/T<'c<<t'J associée Ii d'autres symptômes . - Les 4 gardes atteints de tabès ignoré et cel
d'absence du réflexe rotulien observés, associée ou non à d'autres symptômes , est 16. Sa proportion, de 6, col. 0/00 en moyenn
portion de ceux-ci ne peut qu'être infime. L'abolition sans autre symptôme nerveux des réflexes achilléens ou des réflexes
164 DUPUY On est ainsi conduit à penser que l'absence sans autre symptôme ner- veux des réflexes achilléens ou rotuliens
s, l'abolition du réflexe achilléen existe parfois avant tout autre symptôme de l'intoxica- tion, elle peul permettre de con
mplètement guérie. Dans d'autres cas, le réflexe est nul sans autre symptôme nerveux. Dans les conditious où j'ai observé, c
docrines (1) lui consacre un chapi- tre et s'efforce de décrire les symptômes de l'hyperpinéalisme, Mais si elle commence à p
eint lui aussi de sarcome de l'épiphyse présentait parmi d'au- tres symptômes des modifications du caractère. Enfin nous citero
umé, il s'agit d'un homme âgé de 40 ans présentant les princi- paux symptômes de l'affection décrite par Marie et Sainton sous
dre de son mal de dents sans pourtant tout d'abord accuser d'autres symptômes de maladie, du moins au su de son père et de se
llec- tuelle. Autant qu'on puisse en juger par la description des symptômes qui laisse tant à désirer au point de vue scien
lucinations, de rigidité musculaire et d'un certain nombre d'autres symptômes , Gadélius était d'avis que ce cas ne pouvait être
! par conlre fit valoir que tant le processus que la combinaison de symptômes prouvaient d'une façon irréfutable qu'il s'agis
défectuosités ni rechutes,et cela surtout au cas où le tableau des symptômes considéré seul n'a pis été- absolument con- clu
anesthésie et de la tendance à la simulation, en même temps que les symptômes pathognomoniques de la catatonie font défaut. Aux
e IIaÍ'lnÜckigki »,carac- térisant l'hystérie, Kraepelin oppose les symptômes suivants qui caracté- risent la catatonie « die
s présentent au point de vue clinique ; seule- ment, le tableau des symptômes de l'un aussi bien que de l'autre cas se laisse
: cependant, cette hypothèse n'exclut point la possibilité que les symptômes et le cours de la maladie aient été influencés
rieurs en par- ticulier, n'y ont pas participé. La pathogénie de ce symptôme reste donc obscure. lien est de même pour les
dans les formes rapides de sclérose latérale all1,)'otrophique, Ce symptôme , très accusé chez ce malade,varie dans l'ensemble
ne lésion de l'épi- cône (1). La prédominance et la précocité des symptômes dans le côté gauche s'ex- pliquent également pa
icte aux petits muscles de la main, et l'absence de progression des symptômes en un mot des atrophies iso- lées et non progre
le bien-fondé de ses conclusions. Cependant l'uni latéralité des symptômes et la marche non progressive existent également
ivre son cours sans signe apparent de'déformation, et que les seuls symptômes peuvent être : un abcès froid latent ou visible c
u bien n'apparaissent pas du tout, ou bien ne surviennent que comme symptômes passagers, par suite de conditions défavorables
pour la première fois de la tuberculose des vertèbres qui amena des symptômes violents de la moelle. Le malade d'Ascenzi avait
peut être très difficile de dia- gnostiquer la maladie de Pott avec symptômes nerveux à un âge avancé et : sans qu'il y ait sig
allu diagnostiquer le cas en se basant sur les faitsclini- ques. Le symptôme le plus frappant au moment de l'entrée du malade
comme il a été indiqué sur les figures. Si donc on se base sur ces symptômes on peut dire qu'il s'agissait d'un cas de syringo
de continuité des voies nerveuses et comme résultat final, on a des symptômes de parésie spas tique et des troubles variés de
t de celte maladie, comme l'ont pensé Kahler et Schultze et que les symptômes comme des douleurs (souvent très vives même à l'o
és. Toutefois l'apparition si- multanée et assez rapide de tous les symptômes ci-dessus pouvait faire penser qu'il s'agissait
es faisceaux latéraux. Dans les racines antérieures on constate des symptômes de dégénérescence des fibres myéliniques moins
ci-dessus indiquées, il faut appuyer sur fait qu'il n'y a pas eu de symptômes inflammatoires : ils manquent également à l'endro
ait que si du vivant du sujet le tableau clinique peut don- ner des symptômes très caractéristiques de la compression médullair
tre peut ne pas découvrir de changements plus profonds, ni même des symptômes de lésion mécanique de la moelle. La meilleure pr
ion) lors de la compression de la moelle épinière. Parmi les autres symptômes , il y a lieu de mentionner spécialement l'appar
es phénomènes de com- pression. Si nous représentons l'ensemble des symptômes cliniques obser- vés lors du passage du malade
e Pott, les douleurs doivent être considérées comme un des premiers symptômes de compression; ce fait a été observé par de nom-
eurs d'intensités et d'as- pects les plus divers ont été le premier symptôme de la maladie. Dans son travail sur les princip
à la diagnostiquer ; elles peuvent pendant long- temps être le seul symptôme de l'affection et apparaissent sous des formes
caractère de douleurs radicu- laires ; parfois elles présentent les symptômes de névralgies ; dans ce cas leur nature et leur
égion de l'omoplate gauche, durant nuit et jour, ont été le premier symptôme maladif. L'apparition tardive des douleurs dans
dou- loureuses, de chaleur, de fourmillements et contractions comme symptômes subjectifs des troubles de la sensibilité qui a
de gibbosité, ont mis en évidence dans l'ob- servation clinique des symptômes tels que l'atrophie des muscles de la main gauc
de la sensibilité sous la forme de dissociation ; l'ensemble de ces symptômes pouvait facilement faire naître la supposition
a dissocia- tion de la sensibilité s'est montrée une fois encore un symptôme trompeur ce qui a été constaté souvent dans les
peu apparente) et prouvant combien insuffisant et incertain est le symptôme de la dissociation de la sensibilité pour diagnos
osante et d'arthrite déformante, dans laquelle on trouve, parmi les symptômes décompression radico-médullaire, l'inversion bila
rmaux. Il existe une légère hypermétro- pie : 0.25 Il n'y a aucun symptôme traduisant une lésion quelconque des nerfs crâ-
vation presque parfaite delà motilité de la colonne vertébrale, les symptômes de compression radico-médullaire. Ces derniers
ement, qui quelquefois peut être chirurgical. Chez notre malade les symptômes d'une probable compression osseuse sont : des t
, l'impuissance sexuelle. Nous avons déjà décrit en détail tous ces symptômes et nous n'y revenons pas. Nous voulons seule- m
pas. Il déclare qu'il n'a pas eu la syphilis. Il ne présente pas de symptômes de cette infection. Il a des enfants bien porta
en de l'urine ne montre que de légers vestiges de sérine. Entre les symptômes généraux d'hypertension intercranienne nous pou-
écution). La mentalité des deux autres malades était normale. Les symptômes de localisation sont bien précis dans les trois c
urs du côté de la tumeur, à droite dans les trois cas. C'est un des symptômes les plus précoces. Vertige voltaïque. L'épreu
ou de paralysie nota- ble des muscles de l'avant-bras. Lorsque ces symptômes existent, associés à une atrophie thénaro-hypot
par contre, en raison de la diffusion thén aro-hypothénarienne des symptômes , éliminer ce diagnostic ? Pas l'atrophie isolée
reuve nouvelle, remarquable à la fois par la stricte limitation des symptômes , et la stricte limitation des lésions. BIBLIO
son apparition à la suite d'une amélioration ou d'une rémission des symptômes paralytiques les plus fréquents. Ou remar- qua
49 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
) Leur apparition au cours 'd'une période de rémission il l'état de symptôme isolé sans association d'autres trou blés hallu
rrhée persista, d'autant plus qu'elle com- mença à avoir les divers symptômes qu'elle avait maintes fois cons- tatés chez ses
époque fût écoulée depuis quatre jours déjà, non seulement tous les symptômes précédents s'accrurent, mais le ventre grossit ;
de nombreuses observa- tions, que l'immobilité des pupilles est un symptôme observé dans les grandes attaques hystériques,
rticulier des causes invoquées, sauf pour la syphilis. Les premiers symptômes du tabes se montrent six ou dix ans après l'inf
le disséminée et le diagnostic clinique : tremblement sénile avec symptômes de sclérose en plaques. G. DENY. XV. Syndrome s
dans la tendance de diviser en plusieurs groupes bien distincts le symptôme général connu sous le nom de dysphagie nerveuse
Sur 38 cas de syringomyélie observés par lui, l'auteur trouve ce symptôme dans 73,6 p. 100 des cas. Sur 13 autres cas notés
0 des cas. Mais ce n'est pas dans tous les cas qu'on peut mettre le symptôme sur le compte de la syringomyélie et le qualifi
ose. Discussion. L. Minor présente un malade chez lequel tous les symptômes de la syringomyélie sont très accusés, à savoir,
re probable que dans un nombre aussi élevé de fois (52 p. 100) le symptôme morbide n'ait d'autre rapport que celui qui relie
et d'hydromyélie (non traumatique) et il incline il considé- rer ce symptôme , comme un symptôme essentiel de l'hydrocéphalie
on traumatique) et il incline il considé- rer ce symptôme, comme un symptôme essentiel de l'hydrocéphalie et de la syringomy
e qui facilite l'étude ultérieure des états mentaux survenant comme symptômes ou épiphénomènes BIBLIOGRAPHIE. 69 de maladie
e par litre pour 19 grammes d'urée seulement. En dehors de quelques symptômes d'artériosclérose énumérés 88 CLINIQUE NERVEUSE
dix mois, jusqu'à la mort Tous ces faits prouvent donc qu'un même symptôme peut relever de causes morbigènes différentes.
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 111 donne régulièrement naissance à des symptômes cérébraux graves. 11 y a donc quelque chose qui
llement vicariant, qu'il est impossible de le consi- dérer comme un symptôme pathologique. Cette écriture n'est donc pas uni
ur la <ympto- matologie de quelques cas, les relations entre les symptômes et la localisation de la tumeur, enfin sur la p
par Cioffi. (informa medica. 5 mars 1900.) L'auteur, analysant les symptômes des formes malignes de la rougeole, les rapport
eux. P. Keraval. III. Contribution- à l'étude de. la pathogénie des symptômes de . lésions en foyers dans la' paralysie génér
y a trente ans une nnorrhagie, paraissant avoir été accompagnée de symptômes 'actéristiques de la syphilis : au point de vue
terminer qu'avec une grande incertitude la mesure dans laquelle les symptômes mentaux chez un sujet donné dépendent d'une mal
algies, mais surtout dans la névralgie sus-orbitaire, il existe des symptômes qui indiquent une atteinte portée aux centres ner
it graduellement une atrophie complète des deux nerfs optiques sans symptômes cérébraux concomittants. Dans les cas appartena
exes rectal et vésical normaux. En rai- son idu peu de symétrie des symptômes , l'auteur pense que le , néoplasme est probable
4° vertèbres lombaires. Réflexes rectal et vésical intacts. Pas de symptômes ataxiques sérieux, mais parésie marquée des ext
et dans la paralysie de Landry la mort peut survenir avant que ses symptômes soient devenus appréciables. Les mé- REVUE DE P
nne cervicale, présentait avec une ressemi blance très marquée, les symptômes de la synngomyélie, atrophie et paralysie des m
tait unilatérale. La paralysie revêtait le type hémiplégique, et le symptôme de dissociation sensitive était entièrement lim
nt ce malade examiné dix. ans après son traumatisme, présentait des symptômes analogues. à ceux de la syringomyélie. Atrophie
sculaire aux membres inférieurs, pas de lésions trophiques ; pas de symptômes bulbaires ; rien du côté de la vessie. Symptô
phiques ; pas de symptômes bulbaires ; rien du côté de la vessie. Symptômes sensitifs : Douleur névralgique au niveau du cou
lles sont des affections analogues bien que souvent plus sévères. Symptômes . Suivant l'intensité de la compression, le début
facteurs qui créent l'astéréognose et sur la valeur clinique de ce symptôme . Facteurs de l'asté1'éognose : 1° La perte ou l
révenir la perte du sens stéréognostic. Importance clinique de ce symptôme : Il est certain que l'asté- réognose peut être
hérence légère dans les idées et la conversation). Puis survient le symptôme capital, l'hémi- plégie motrice, du type cérébr
nus des organes thoraciques et abdominaux. L'ordre d'apparition des symptômes cliniques plaide déjà en faveur de cette manièr
hidiens dans cinq cas de poly- névrite très variables quant à leurs symptômes moteurs et sensitifs et également quant à leur
ités inférieures. H.\YMO : \D a suivi la forma- tion cumulative des symptômes à mesure que la lésion monte de la partie infér
nt aussi joué un rôle dans la production de l'adipose et des autres symptômes présentés par la malade. On peut concevoir, en
gurantes : en effet, 1° les douleurs fulgurantes figurent parmi les symptômes précoces d'une compression exercée par une tume
ceux qui, à Charenton, s'étaient attachés a mettre en relief les symptômes d'une lésion nouvelle du cerveau, sur laquelle pe
et- tantes, vont avoir un résultat inattendu. La connaissance des symptômes et des lésions va conduire à celle des causes; ic
n de l'agent toxique sur les vaisseaux. l ? 0t : tW'PlwlÚ..e est un symptôme e très important d'après le rapporteur, et qui
rve dans les cas de guérison et qui coïncide avec l'atténuation des symptômes morbides. La constipation, l'insuffisance hépa-
'e5-nasillarde ; par moments, ils paraissent tomber en stupeur. Des symptômes somatiques importants se montrent dès le début
t toute inges- tion de solides ou de liquides. ? La fièvre est un symptôme qui ne manque jamais; elle est irré- gulière et
u est une maladie générale, dans laquelle le délire, s'il en est le symptôme le plus bruyant, n'est cependant pas celui auqu
spé- ciale qu'il est impossible de méconnaître. ' Les principaux symptômes qui les caractérisent généralement sont : au po
ques, or, elle ne manque jamais dans les délires toxiques. C'est un symptôme constant de la 256 SOCIÉTÉS SAVANTES. période
peut être longue, on observe parfois de l'hypother- mie. Quant aux symptômes psychiques : la confusion mentale est de règle,
alade, alors qu'il est ast i evenu à la raison. - L'Am sie est un symptôme qui existe exceptionnellement dans les vesanies
de confusion, et six jours après la malade mourut. Tous les autres symptômes psychiques et physiques étaient ceux indiqués p
. Marchand. On ne trouva dans les observations du délire aigu aucun symptôme constant. L'agitation, la dépression, les hallu
tout par le surmenage, la vie agitée, etc. Quant à la diversité des symptômes signalés par M. Marchand, je répondrai qu'elle
rosseur de la tumeur et sa situation bulboprotubérantielle, le seul symptôme relevé était la présence de crises revêtant les
du mouvement. On constata d'abord une amélioration très rapide des symptômes soma- tiques énumérés, l'état psychique ne tard
constaté que l'amélioration physique précédait l'amé- lioration des symptômes mentaux. M. Briand. - J'ai observé plusieurs ca
des poisons exogènes (oxyde de carbone, alcool, etc.). L'étude des symptômes , l'analyse du chimisme humoral orga- nique pour
rtantes. Ces différences portent : 1° sur la plus grande partie des symptômes morbides, les illusions, les hallucinations, l'
bserver de signe de Romberg. Chez deux tabétiques dépour- vus de ce symptôme , et cocaïnisés à plusieurs reprises pour leurs
pariétale ascendante. Figures. P. KERAVAL. XXX. Etude clinique des symptômes oculaires dans la sclérose postérieure de la mo
s la « forme optique » du tabes, on voit apparaitre, au début, sans symptômes généraux marqués et même sans modifications pup
oubles dans la choroïde. Au bout d'un temps plus ou moins long, ces symptômes d'irri- tation et d'inflammation sont suivis pa
on. On Voit alors survenir une période d'amélioration apparente des symptômes objectifs et subjectifs. Elle dure un temps varia
mme on l'ap- pelle improprement, ou même plus tôt, quelques-uns des symptômes pupillaires, ciliaires et musculaires font leur
Le malade fut examiné un an après le traumatisme ; les princi- paux symptômes étaient : 1° perte de la motilité dans le bras et
hyperesthésiée n'existait pas chez ce sujet. P. XXXIII. Valeur des symptômes optiques et auditifs dans les tumeurs du cervea
a peu de valeur comme signe de localisation des lésions. Un autre symptôme oculaire important, bien qu'il soit moins fréquen
econdes à une demi-minute ou plus longtemps. L'hémianopsie est un symptôme important pour la localisation de la tumeur. Il
la cécité pour les couleurs, pour les mots écrits, etc... quand ses symptômes existent. Les symptômes auditifs portent sur le
s, pour les mots écrits, etc... quand ses symptômes existent. Les symptômes auditifs portent sur le labyrinthe et sur le nerf
iron trois fois plus fréquente chez l'homme que chez la femme : les symptômes de la syphilis héritée se manifestent avant ou
1,5 p. 100 des cas (la démence paralytique et le tabes exclus). Les symptômes cérébraux d'origine syphilitique apparais- sent
Combien de temps après la lésion ininiale voit-on apparaître les symptômes cérébraux ? le délai est variable : les altératio
aitement. R. DE I)IUSGRAVE-CL.IY. XXXVI. Quelques remarques sur les symptômes oculaires dans l'ataxie locomotrice; par Paul T
p. Il indique la manière d'examiner les malades et les princi- paux symptômes à rechercher, en faisant remarquer que ce qui d
presque mono-symptomatique, c'est d'or- dinaire sur l'ensemble des symptômes , et non sur un seul qu'il convient d'établir le
plus puissant dans la création de ces états névro- pathiques. Les symptômes sont nombreux : parmi les principaux, on peut c
médecine, car la syphilis détermine des lésions, et l'hystérie des symptômes , dans tous les organes. L'auteur se demande d'a
comme la plu- part des diagnostics, d'abord par la constatation des symptômes , puis par exclusion ; et les données négatives
nées négatives n'ont pas ici moins de valeur que les positives. Les symptômes vraiment propres à l'hystérie ne sont pas nombr
trouve souvent en présence, chez les hystériques, d'associations de symptômes qui ne se rencontrent dans aucune lésion locali
i devient caractéristique. Quelquefois pourtant la nalure même d'un symptôme isolé peut attester son origine hystérique : c'
thésies soient fré- quentes, elles peuvent manquer. Il n'y a pas de symptôme constant dans l'hystérie, et l'on n'est jamais
nomène : le diagnostic ne peut se faire qne par l'étude de tous les symptômes . Au lieu d'anesthésie on trouve souvent de l'hy
trophie des membres avec présence de zônes d'anesthésie ont été les symptômes les plus notables. M. liauEL. XLV. La névrose
qu'il sépare fran- chement de la neurasthénie et qui présente comme symptômes caractéristiques, une irritabilité générale ave
acture. Ils sont peut-être de nature à élucider la pathogénie de ce symptôme si important. Il se pourrait, en effet, que la
l'exagération des réflexes médul- laires. Le réflexe n'étant pas à symptôme à localisation exclusive, sa valeur séméiologiq
iote microcéphale à un haut degré, âgée de cinq ans, morte avec des symptômes de bron- cho-pneumonie avec une température de
r- bide. La théorie intellectuelle néglige presque absolument les symptômes organiques; admettant que tout vient d'en haut, e
; admettant que tout vient d'en haut, elle considère l'ensemble des symptômes comme de simples réactions de l'idée. On lui ob
s obsessions précises. En outre, dans certains cas d'obsession, les symptômes émotifs précèdent et annoncent l'ap- parition d
l'idée (dans la panophobie, par exemple), comparée à l'identité des symptômes émotionnels, etc., tout cela s'accorde mal avec
cellules cérébrales. De même que les polyné- vrites sont formées de symptômes et de lésions toujours les mêmes ou à peu près,
Béclère à l'hôpital Saint-Antoine, il a constaté pendant la vie les symptômes suivants : pouls rapide, état saburral du tube
74, un état pathologique constitué à la fois, cliniquement, par des symptômes psychiques reprodui- sant successivement ceux d
peur. avec confusion mentale, finalement de la démence, et par des symptômes somatiques consistant en phénomènes moteurs var
olue d'ailleurs par la néga- tive. , Les faits de ce genre, où un symptôme banal comme la zone hystérique du sein prend un
traitement autant et plus qu'à l'élément convulsif qui n'est qu'un symptôme et auquel s'attaquent trop exclusivement les mé
vre ponctuellement l'épi- leptiqne dès que l'explosion d'un premier symptôme le trahit. Tant que l'état mental le permet, il
ntale, qui a commencé en 1854. A cette époque, il eut un ictus avec symptômes épileptiformes. Une deuxième attaque épilepti-
rir ou de devenir chronique. Dans la période aiguë, on constate les symptômes suivants : 1° grande dépression, agitation, hal
L'état subaigu est caractérisé par les 'phénomènes suivants : 1° Symptômes mentaux moins accentués. Sommeil généralement b
lement atteint d'affec- tion organique congénitale du cerveau, avec symptômes cliniques consistant en un abaissement des facu
us donne aussi quelques indications sur la valeur pronostique de ce symptôme : la mydriase alternante, en effet, n'a d'impor
lésion organique du cerveau. Enfin il y a lieu de tenir compte d'un symptôme que l'auteur désigne sous le nom de pseudo-mydr
a même eu deux ou trois moments clairs très courts. Le 4 mai, les symptômes s'aggravent de nouveau, le délire et la fièvre
omène d'ailleurs banal et sans signification pathognomonique, aucun symptôme n'orientât le diagnostic dans cette direction.
aye de se briser la tête contre les murs. Vers le sixième mois, les symptômes s'amendent et P... peut sortir guéri le 19 août
'est révélée dans les trois derniers jours de la maladie, par des symptômes trop éloquents pour être révoqués en doute. D'a
que autorise à admettre qu'elle existait même avant l'explosion des symptômes révélateurs. Nous sommes donc en présence d'une
s sciences médicales de Dechambre. 1 A. Marie. Etude sur quelques symptômes des délires systématisés et sur leur valeur, 0.
'en distinguent parce que l'athétose est en général liée à d'autres symptômes moteurs ou surtout CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES S
complet. Les idées parasites, qui figurent à l'origine de .certains symptômes physiques, se développent complètement à l'abri
Le diagnostic des stéréotypies peut encore être fait avec certains symptômes , se rattachant à l'épilepsie. Tout d'abord on p
t. On les rencontre surtout chez les vieux arterio- scléreux. Les symptômes correspondant à ces lacunes ont été le plus sou-
ns la pie-mère et l'arachnoïde. C. Pendant la vie on n'a noté nul symptôme pouvant suggérer la possibilité d'une leptoméning
la source de l'infection de cette membrane. - C. Pendant la vie les symptômes que l'on aurait pu rapporter à l'état de la pie
ie, avec les accidents aigus intercurrents et la prédomi- nance des symptômes cliniques dans le sens moteur ou sensitif. - ,
du tendon d'Achille et une trépidation rotulienne. Ces différents symptômes sont très souvent dissociés ; ils appa- raissen
culture massive de bacillus coli d'origine infectieuse, on voit les symptômes (à l'exception des phénomènes latents ou post-h
mentaux, trois questions peuvent se poser : la psychose est-elle un symptôme du myxoedème ? En est-elle indépendante ? Quels
ysie générale chez une jeune fille de quinze ans, chez laquelle les symptômes de démence avaient été attribués à un état d'im
112. DupkiN répond qu'il observe en ce moment un malade offrant des symptômes à peu près semblables à ceux qui viennent d'être
ASTÉBÉOGNOSE. Etudes sur l ? par Dercum, 151. Ataxie locomotrice. Symptômes oculaires dans 1 ? par Turner Vaughan, 304.
par ll(,itz et Bender, 153. Echinocoque du - par Resnillow, 298, Symptômes optiaues et auditifs dans les tumeurs du , pa
périodes de la - , par Marandon de Montyel, 4r. i. Pathogénie des symptômes de lésions en foyer dans la -, par Mouratow,
issaud, 154. Sclérose cérébro-spmaie dissémi- née, par Crocq, 42. Symptômes TABLE DES MATIÈRES. 553 oculaires de la - pos
50 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
l menait sans effort une vie de travail fatigante. L'apparition des symptômes a été brusque. Il y a eu un court répit d'une q
usieurs semaines à la suite de son ictus, on a pu faire la part des symptômes acces- soires, dus à Faction à distance de la l
que celui des muscles des extrémités. En réalités 2z'y a pas eu de symptômes de déficit somatiques. - En revanche, on consta
erbale organique corticale, sous-corticale ou labyrin- thique ? les symptômes ne permettent pas de préciser. Il n'y a pas de
ons d'un cas de névrite hyperlrophique. MM. DFJERINP et Thomas. Les symptômes ont été : ataxie avec atrophie musculaire et sc
rveux à la production du phénomène. Il y avait là autre chose qu'un symptôme isolé, un véritable syndrome clinique plus ou m
natomiques. Nous avons naturelle- ment divisé ces faits d'après les symptômes surajoutés et nous avons établi une progression
he. L'enfant revue à plusieurs reprises a toujours présenté le même symptôme . Elle avait été amenée par la mère, dans la cra
ant les jeunes enfants, et a évolution courte et bien définie : ses symptômes principaux consistent dans des mouvements invol
-unes des observations qui vont suivre. Malgré la coïncidence de ce symptôme intermittent ou permanent," malgré que nous ayo
tagmus essentiel en raison de leur caractère familial ou des autres symptômes (exagération des réflexes, inégalité pupillaire
s encore que, bien que le nystagmus occupe le premier rang dans les symptômes présentés par les précédents malades, il, est l
les autres (obs. 1 et 2, 3 et 4, et 6). Parfois cependant d'autres symptômes se surajoutent et viennent compliquer le tablea
n noie.. 116 PATHOLOGIE NERVEUSE. qu'il existe parfois à titre de symptôme isolé, à l'état congé- nital, et que ce nystagm
essentiel, manifestation isolée. 2e type. Nystagmus essentiel avec symptômes nerveux variables surajoutés : asymétrie facial
ie faciale, inégalité pupillaire. 3e type. Nystagmus essentiel avec symptômes nerveux spéciaux : exagération des réflexes, tr
répidation épileptoïde. 4e type. Manifestation familiale de ce même symptôme (tremblement) isolé ou associé à plus ou moins
du Dl Ga- taud' déjà ancien dont nous extrayons cette donnée : le symptôme a pu se rencontrer dans nombre d'affections céré-
remblement infantile ou oculaire et pourrait s'accompagner d'autres symptômes in- solites révélateurs de la malformation : in
vés dans la série morbide nous paraissent être les nystagmus avec symptômes surajoutés spéciaux en particulier l'exagé- rat
ne viendra pas s'ajouter à un mo- ment donné de leur existence des symptômes nouveaux d'une affection nerveuse nettement car
qu'on ne considère comme une ébauche de ces grandes affections les symptômes surajoutés. Il est probable aussi que l'on pour
peut le dire, des hystériques méconnus. Ce sont les découvertes des symptômes de cette maladie, découvertes qui datent d'un d
nt de les lire et de les comprendre ? De même, en super- posant les symptômes hystériques sur les faits miraculeux, on en rec
, on en reconnaît l'identité parfaite. La connaissance exacte des symptômes de l'hystérie doit donc amener la revision de l
t nos asiles d'aliénés, à cette différence que ce que nous appelons symptômes plus ou L HYSTERIE DE SAINTE THERESE 127 moin
our raconter les événements de cette période, il faut décrire les symptômes de son mal ; ce sont les paroles mystiques ente
me relatif, si l'on veut, car de sourdes hallucinations et quelques symptômes nerveux persistent encore ; mais enfin c'est le
ions, elle ne nous donne pas toujours la description com- plète des symptômes qu'un aliéniste aurait pu saisir, bien qu'elle
se tenir debout; z ils subissent dans cette position couchée divers symptômes d'hystérie, mais surtout des attaques convulsiv
plus souvent la maladie est moins grave : ce ne sont alors que des symptômes simples, comme par exemple, une anorexie, une c
nous parlerons longuement tout à l'heure. Tels sont les principaux symptômes d'hystérie dont Thé- rèse fut le jouet pendant
ément hystérique : un modèle classique de l'affection avec tous ses symptômes se succé- dant comme dans les descriptions d'un
aque grand hystérique. En tout cas, il sera toujours pour nous un symptôme de la névrose. (A suivre). REVUE D'ANATOMIE
ations secon- daires, etc. Ce travail se termine par l'exposé des symptômes qui traduisent le mode de répercussion d'une lé
du langage, négativisme, stéréo- typie des actes, etc., etc. Les symptômes catatoniques ainsi entendus, se rencontrent sur-
e des années après l'infection : mais si celle-ci a été grave, avec symptômes secondaires très accusés, la paralysie générale
rlande. R. de lIUc.GR.IVE-CL41'. VU. Trois cas de mélancolie avec symptômes d'un intérêt clinique peu ordinaire ; par 13.-R
e malade qui a servi de point de départ à ce travail présentait les symptômes suivants : 1° une parésie portant sur le domaine
ce des troubles sensoriels et des troubles de la sphère du langage ( symptômes d'excitation ou de paralysie) tels que : aphasi
existence d'un délire à base d'hallucinations et la constatation de symptômes habituellement dus à des lésions en foyer, ne d
s auront à traiter en 1904 est le suivant : Valeur diagnostique des symptômes oculaires, aux différentes périodes de la Paral
ude des signes physiques de la folie raisonnante, celle de certains symptômes tels que : l'agoraphobie, la claustro- phobie,
Mais l'anatomie physiologique lui est encore plus nécessaire. Le symptôme est une fonction pathologiquement déviée; donc, i
de locomotion. Les troubles circulatoires sont au premier rang des symptômes de l'anxiété; il y a des spasmes du coeur dont
inct de la neurasthénie et auquel on a reconnu un certain nombre de symptômes cliniques. Au point de vue étiologique, la névr
s, il en est d'autres dans lesquels l'anxiété intervient à titre de symptôme important. Ces états sont beaucoup plus fré- qu
ulouse), rapporteur. I. Historique. Les anciens n'ont pas décrit le symptôme mus- culaire que nous désignons aujourd'hui sou
ouloureux passagers, si la maladie évolue et remplacés par d'autres symptômes plus accentués. Dans la période d'état, chez un
qu'il a dans le langage vulgaire. Le tic étaitjusqu'à pré- sent un symptôme caractérisé par la répétition intempestive et i
AVANTES. 263 volontaire quelconque. En cherchant àidentifieravec ce symptôme d'autres phénomènes spasmodiques qui n'ontavec
suis pas bien sûr de son origine mentale. Pour moi, le tic est un symptôme étroitement défini par ses caractères objectifs
des influences psychiques qui, le plus souvent, font apparaître les symptômes somatiques de l'hys- térie. Les émotions, la pe
tefois devenir aliénés eux-mêmes, c'est-à-dire sans présenter aucun symptôme de délire et sans commettre aucun acte imputabl
gents de police pour réclamer de l'argent à son maître. Outre les symptômes signalés dans le certificat, notons encore une
déjà mangé l'avant-veille et que cela suffisait. » En décembre, ces symptômes démentiels s'accusent da- vantage ; il s'y join
t de la démence paralytique parait avoir coïncidé avec les premiers symptômes de l'al- coolisme ou tout au moins les avoir su
e comparaison de la soeur, on prépare le jar- din où pousseront les symptômes nerveux. Laissons décote ces deux premières ora
que la religion s'y trouve mêlée. Une dame mariée, présentant des symptômes non dou- teux d'hystérie, entrait, de sa propre
ous fait une description aussi précise que l'écrivain moderne des symptômes de l'extase : même perte de sensibilité, même p
la paralysie générale l'augmentation du nombre des éléments est un symptôme constant. Ils ont trouvé encore un nombre élevé
tation maniaque associé à une méningo-myélite syphilitique dont les symptômes disparurent en même temps que l'excitation sous
s des cas récents à évolution rapide. Ainsi pas plus qu'aucun autre symptôme de la paralysie générale, la présence des éléme
s dans la paralysie'générale ne semble pas progresser en raison des symptômes cliniques tant physiques que psychiques. Nous a
d'angoisse, décrite par Freud (de Vienne), est caractérisée par les symptômes sui- vants : a) Surexcitation nerveuse généra
e la nutrition générale, etc. e) Phobies et obsessions. De tous ces symptômes , le plus constant et le plus significatif est l'a
hystérie ni de la neurasthénie. En revanche, on constate les grands symptômes cliniques qui caractérisent la névrose d'angoisse
érantes et celles dans lesquelles il n'y a entre l'obsession et les symptômes délirants qu'un simple rapport de coexistence.
d'une façon indirecte ou directe par accentuation progressive des symptômes de l'obsession. Lorsqu'il s'agit d'accès aigus, i
urs qui précèdent souvent pendant longtemps l'apparition des autres symptômes ; l'envahissement des racines postérieures par
le néoplasme avait atteint le volume d'un poing d'adulte, les seuls symptômes avaient consisté en céphalées avec névrite opti
organes périphériques. SOCIÉTÉS SAVANTES. 369 9 Cliniquement, les symptômes de la neurofibrosarcomatose sont ceux d'une tum
dité), ophtalmoplégies et paralysie faciale souvent unilatérales ; symptômes habituels de la compression cérébrale. 11 est à r
sur la signification des états neurasthéniques. Ce ne sont que des symptômes d'une affection somatique, symptômes derrière les
sthéniques. Ce ne sont que des symptômes d'une affection somatique, symptômes derrière lesquels il faut chercher la base orga
que, ils en ont une doclrinale, en ce sens « qu'ils ne sont que des symptômes et ne peuvent aucune- ment plaider en faveur de
ial de neurasthénie « qui, aussi bien par son étiologie que par ses symptômes et son évolution, nécessite d'être décrit avec
, et en plus (ce qui est.essentiel) interprétation pes- simiste des symptômes neurasthéniques, interprétation qui touche à to
somme, pour M. Ducosté, il y a : 1° des états neurasthéni- que ? , symptômes d'affections diverses; 20 la neurasthénie consti-
me et coprophagie. Jusqu'à sa mort, qui survint cinq ans après, ces symptômes restèrent permanents, sauf l'obtusion intel- le
f l'obtusion intel- lectuelle et le gàlisme,`qui disparurent. Les symptômes qu'elle présentait alors étaient caractérisés par
uels s'étaient ajoutés, sous l'influence d'un surmenage récent, les symptômes d'un état temporaire de confusion mentale, d'hé
imatif de la prétendue grossesse, les règles réapparurent, mais les symptômes extérieurs de gros- sesse persistèrent encore q
tématique, telle que l'a décrite NI. Sé-las. Dans le chapitre des symptômes l'auteur établit une filiation des idées de nég
estion au point de vue nosologique. SOCIÉTÉS SAVANTES. 387 Sur le symptôme calolonique. M. Cuoco (de Bruxelles). - La cato
uent, non pas une maladie, pas même un syndrome,; mais seulement un symptôme susceptible de se montrer au cours d'affections
à l'étude de l'idiotie morale et en par- ticulier du mensonge comme symptôme de cette forme mentale ; Par BOURNEVILLE et J
tions que le tabès, elle n'en vient pas moins se joindre aux autres symptômes oculaires pour préciser la séméiologie de l'org
nnu pour les aphasies organiques. Enfin, tandis que tous les autres symptômes sont à peu près au même nombre dans l'hystérie
t neurologie de Westphal. 1° Des troubles de la sensibilité sont un symptôme constant dans le tabes. 2° Ils comprennent la s
iscussion intéressante et documentée dé- montre que cet ensemble de symptômes peut être imputé à une lésion unique siégeant d
faits où un syndrome défini, en d'autres termes un grou- pement de symptômes plus ou moins systématisés, sont réalisés par u
eux supérieur. L'attention est attirée par la discordance entre les symptômes observés et les lésions trouvées. En effet, pas
nal de Neurologie, 1899, n° 25.) Partant de cette idée que tous les symptômes du goitre exophtal- mique sont dus à une sécrét
tphal au contraire c'est .l'élément intellectuel idéatif qui csl le symptôme principal, l'élément émotif, est ou absent ou,
ace, palpitations, etc. Ces phénomènes survenant aussi au cours des symptômes morbides ne sont que des états réaclionnels don
'est surtout l'angoisse qui joue le rôle principal, représentant un symptôme de l'état neuras- thénique qui est à l'origine
ette dernière. On observe pourtant le con-,t traire; en général les symptômes émotionnels s'atténuent dans l'obsession au sur
ssants de Mac Ferlane). La peur d'avoir peur (phobophobie) est un symptôme de la neurasthénie, un malade, qui peut d'aille
folie imminente, d'accident inévitable, etc.) et accompagnée des- symptômes physiques du côté de la respiration, de la cir-
nderinervation vasomotrice, de l'activité glandulaire. Ces derniers symptômes d'après Freud, peuvent s'associer' variablement
d'obsession propre. - Au début, il y avait phobie, développée comme symptôme de la névrose anxieuse. L'idée qui constitue la
ndément (trois centimètres environ), et très peu du coté droit. Ces symptômes montrent l'existence d'un phlegmon en bouton de
température de 39°2. L'examen physique ne décèle à ce moment aucun symptôme objec- tif intéressant. - Les signes suhjecti
Le 14, adynamie, refroidissement. Le 16, coma, puis mort. Ni les symptômes observés, ni la température ne permettaient de
é à baisser dès le troisième jour. Ainsi, dans cette pneumonie, les symptômes subjectifs, frissons, point de côté, expectorat
D'ailleurs, à aucun moment de la vie de T..., on n'avait observé de symptômes de péritonite. t Nous ne trouvâmes point sur
tronc du cerveau. Ces compli- cations pathologiques expliquent les symptômes supplémentaires correspondants. L'hé1'édo-ata
OGIQUES. 499 tervention chirurgicale ; 2° cela est démontré par les symptômes mentaux qui accompagnent les tumeurs qui prenne
de rechercher dans quelles parties du cerveau les plus importants symptômes d'un type morbide ont leur origine. Jusqu'ici, pa
HOLOGIQUES. 505 celle-ci non constante. Pas de névrite optique. Ces symptômes paraissent s'être manifestés soudainement, il y
logiques, octobre 1899.) Les aliénés se présentent souvent avec des symptômes de poly- névrite et ces mêmes aliénés présenten
s plus importants de la maladie, à savoir les impulsions soudaines, symptôme qui domine la scène et persiste même dans la pé
mentale que se manifeste le début, mais, en tout cas, il est uni symptôme qui ne manque jamais, c'est la tendance impulsive
amélioration. Les cas de folie choréique paraissent avoir quelques symptômes communs : le changement de caractère et la tendan
(Reçue de médecine, août 1901.) Après avoir exposé les principaux symptômes de la névrose d'an- goisse dans des articles dé
e qui concerne l'étiologie, la nature et la cure de la névrose. Ses symptômes , ses causes, ses variétés, son pronostic et sa
ation bromurée, en jugu- lant les crises, n'est qu'un palliatif des symptômes , mais pas un traitement satisfaisant quant à la
de la sensibilité. - 11 -est difficile d'expliquer l'apparition des symptômes seulement à l'âge de trente-trois ans, à moins
pos de la malade présentée par M. Déjerine, ne s'étonne pas que les symptômes radiculaires aient été tardifs et se soient loc
e plus tard, au stade d'état, que la maladie se caractérise par des symptômes précis. Utilisant ces 40 observations personnel
s de la démence précoce, pas- sant en revue successivement : 1° les symptômes du début, cons- tatés par l'entourage immédiat
symptômes du début, cons- tatés par l'entourage immédiat du malade, symptômes , extrême- ment variables; 2° les symptômes d'au
rage immédiat du malade, symptômes, extrême- ment variables; 2° les symptômes d'augment, existant au moment du placement, man
les de l'état émotionnel (mélancolie, manie, stupeur); 3° enfin les symptômes d'état durant la v : e entiéfe, à savoir l'affaib
: e entiéfe, à savoir l'affaiblisse- ment intellectuel rapide, les symptômes psychiques et les symp- tûmes moteurs; ces dern
bution à l'étude de l' morale et en particulier du mensonge comme symptôme de cette forme mentale, par Bourne- ville et
urten ? oux, 377. Mélancolie aiguë. Voir Folie. Trois cas de avec symptômes d'un intérêt clinique peu ordinaire, par Leep
51 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
la colonne vertébrale, avec des troubles de la respiration et les symptômes d'une paraplégie. Ce fut seulement dix-huit mois
e se complique-t-elle de tout ce que les racines lui fournissent de symptômes (douleurs et flaccidité des paraly- sies). La
te de voisinage 2. L'irritation des racines postérieures produit un symptôme qui ne fait presque jamais défaut dans les para
ion agit bien sur la marche générale de la maladie, et sur quelques symptômes particuliers=». Cet auteur n'admet pas l'influe
ous les jours. Après un nombre plus ou moins grand et selon que les symptômes commencent à s'améliorer, nous faisons nos séan
Les urines ne contiennent ni albumine ni sucre. En présence de ces symptômes un peu vagues accompagnant les signes cardinaux
la libre circulation du liquide céphalo-rachidien, déterminant les symptômes céré- braux qui ont progressé lentement jusqu'à
s; dès qu'il marche, ou du moins au bout de quelques minutes, les symptômes caractéristiques apparaissent : douleurs dans les
pos, mais insuffisamment à l'état d'activité; d'où l'apparition des symptômes au moment de la marche. Dans le cas actuel, la
sujets âgés à artères athéromateuses ou syphilitiques. Un second symptôme atypique chez le malade en question, c'est l'en
s dans le domaine dû nerf occipital. L'auteur présume d'après ces symptômes que la lésion siégeait entre l'émergence du nervu
nce, avec manifestations diabétiques pendant l'évolution des deux symptômes pathologiques. R. C. .REVUE DE PATHOLOGIE NERVE
t purement psychique. M. HAMEL. XX. Étude sur la localisation des symptômes dans la chorée de Sydenham; par ODDO. (Revue de
s points de l'encéphale et n'avaient donné pendant la vie que des symptômes relativement peu marqués. F. Boissier. 56 REVUE
cès après sommeil, face pâle pendant l'attaque, sont ses principaux symptômes ; accessoirement : obscurcissement de la vue et
leptiques et migraineux sont étroitement liés. Dans 6 autres cas, symptômes migraineux et épileptiques sont dissociés quant
uant au moment de leur apparition, mais unis clinique- ment par des symptômes oculaires communs et qui peuvent être envisagés
neurotiques. Il ne peut être douteux que cette aura visuelle est un symptôme d'une entité clinique. Il est possible que des
que le mal va rapi- dement évoluer. Mais voilà au contraire que les symptômes restent stationnaires, et le mot progressif, pr
aiguë de la rate. Durée : trois semaines, guérison. Les principaux symptômes furent surtout rénaux. Il apparaît déjà que des
nt souillés prennent un bain et changent d'habits ; 8° aux premiers symptômes de l'empoi- sonnement on mettra, avant l'arrivé
ême que l'approche de l'accès, sa cessation ne s'accompagne d'aucun symptôme objectif ni subjectif, mais souvent le patient
l'absence de dégénérescence amyotrophique, l'immobilité de tous les symptômes , la comparaison avec quelques autres obser- vat
trois à quatre jours. A la suite d'un de ces accès, apparition des symptômes : surdité totale, excitation maniaque, hallucin
cas de glycosurie et d'albuminurie syphilitiques, il pense'que ces symptômes sont en telle concurrence d'origine nerveuse.
est d'origine extrarolandique, d'en diagnostiquer le siège par des symptômes concordants. Trois cas semblent démontrer que l
cas semblent démontrer que lorsque cette origine est frontale, le symptôme concordant réside dans des altérations de la moti
véritable maladie mentale et l'onanisme n'intervient qu'à l'état de symptôme ; ce qu'il faut soigner, c'est la maladie menta
utre par l'acuité des phénomènes du début, par la persis- tance des symptômes généraux, par la rapidité de son évolution, par
on très marquée de la sécrétion sudorale (obs. IV). Tels sont les symptômes que nous avons relevés chez nos malades, symptô
Tels sont les symptômes que nous avons relevés chez nos malades, symptômes un peu frustes, un peu effacés, qui 110 , THÉRA
ns. Les douleurs fulgurantes et le signe de Romberg sont les deux symptômes qui bénéficient presque toujours de la sus- pen
l elle n'a pas ressenti l'apparition de la menstruation. Les autres symptômes du tabes continuent à persister comme avant l'e
arition de ce signe et celle de son exis- tence. Parmi les autres symptômes qui profitent de l'extension sont les troubles
on, irritation, troubles vascu- laires) invoqués pour expliquer les symptômes des tumeurs cérébrales. il. C. XXIV. Des rapp
qui a paru particulièrement intéressant à noter, c'est que tous les symptômes possibles appartenant ala méningite cérébro-spi
vers une issue fatale en trois étapes : la première fébrile sans symptômes spinaux bien caractérisés dura trois semaines. Da
ement à l'épilepsie symptomatique. L'épilepsie n'est en effet qu'un symptôme et il n'y a pas « une » mais des épi- lepsies.
doute prochaine- ment du tabes dorsal et de la démence paralytique ( symptômes analogues)... Tout cela sera obtenu avant que l
extases, flagel- lations, convulsions (danse), etc., en étaient les symptômes , abo- yeurs et hurleurs, alchimistes. Ces derni
ssus cérébral, ressemblent de très près par leur évolution et leurs symptômes , à la paralysie générale : l'observation corres
paralysie générale. En voici un exemple : à un certain moment, des symptômes démentiels et physiques graves font penser à l'
de tic. Cette affection se présente indépendamment de tous autres symptômes nerveux et ne relève ni du tabes, ni des lésions
ues. G. RossoLmo. - Note sur la paralysie faciale récidivante. Le symptôme complexe de l'hémicranie, qui se distingue par la
cité des accès, s'accompagne souvent de troubles de la parole ou de symptômes morbides du côté d'autres nerfs crâniens, tels
d'une paralysie faciale périodique (récidivante), faisant partie du symptôme complexe de l'hémicranie. Il cite, comme preuve
nte dans la méningite de la base, avec état démentiel rappelant les symptômes de la paralysie générale (le diagnostic de p. g
de p. g. fut porté dans quelques cas) tels ont été les principaux symptômes . Suit un détail de ces 60 observations. Chapitr
é paralysie générale ; par Mort. Un cas d'anémie pernicieuse avec symptômes médullaires. Dégéné- ration de tous les cordons
au- jean. - Les candidats ont eu à traiter comme question écrite, symptômes et diagnostic de la pneumonie franche, fracture d
contestée, et un certain nombre de psychologues soutiennent que les symptômes organiques de l'émotion, loin de suivre l'état
l'état affectif, le précédent, au contraire, et le déterminent; ces symptômes organiques joueraient donc un rôle capital dans
l'intervalle de leurs accès. L'obsession systématisée n'estque le symptôme le plus saillant de leur état morbide très com-
profonds de l'organisme. Seulement, quand elle subordonne tout aux symptômes purement organi- ques, aux modifications neuro-
s leur suppression °. - Les auteurs qui admettent la priorité des symptômes organi- ques dans l'émotion, concluent logiquem
clusivement la crise obsédante, avec ses caractères tranchés et ses symptômes bruyants, qui s'imposent plus fortement à l'att
ion sera mieux comprise, croyons-nous, si, au lieu de considérer un symptôme isolé, on s'attache à l'étude du malade lui-mêm
de du malade lui-même, de l'ensemble et de l'évolution des divers symptômes , à ce qui constitue le fond de la maladie, en u
, l'étude de l'idiotie morale et en par- ticulier du mensonge comme symptôme de cette forme mentale ; Par BOURNEVILLE et J
allons rapporter sont destinées surtout à mettre en relief l'un des symptômes de cette maladie : le mensonge. Observation I.
s minutes. La présence d'acide urique dans le sang expliquerait des symptômes neurasthéniques tels que douleurs occipitales,
nomènes rétiniens physiologiques vieux comme le monde, ou sont les ^ symptômes prodromiques du glaucome. Le mécanisme en est c
ue le premier ; 5° toutes les per- sonnes qui présentent le premier symptôme présentent aussi. le second ; 6° le premier a é
à ce qu'elle était avant la ferme- , ture palpébrale; 7° le second symptôme existait chez 16 personnes, ; saines sur 33, c'
un tremblement général convulsif du corps : l'auteur a retrouvé ce symptôme dans un cas de contusion des vertèbres cervical
rencontrée dans 2.084 cas sur 3.010, soit dans 68 p. 100. C'est un symptôme précoce, qui peut précéder de dix ans le début
flexe du genou et plus spécialement l'abo- lition de ce réflexe. Ce symptôme est habituellement bilatéral (une pupille est i
syndrome comme le résultat d'une autre intoxication ; il en fait un symptôme du neuro-arthritisme. M. Séglas n'a pas reche
n d'un, malade, de souche arthritique et cancéreuse, présentant les symptômes de paralysie générale, onze ans après l'apparit
peut être consi- déré comme une entité morbide. M. Christian. Ce symptôme est loin d'être rare, nous l'avons tous observé
a troisième catégorie les interprétations délirantes constituent le symptôme prépondérant d'un délire systématisé chronique
arviendra jamais. Le signe d'Argyll est SOCIÉTÉS SAVANTES. 331 un symptôme de syphilis et non un phénomène tabétique. Chez l
nt plantaire bilatéial, des troubles trophiques du pied et quelques symptômes nerveux vagues. Aucun de ces malades n'avoue la
is fragments, sans que la localisation de ceux-ci put expliquer les symptômes ; la cranio- tomie montra que l'épilepsie proven
ébro-spinale se 'complique d'altérations de nature paralytique avec symptômes correspondants. Telle est l'observation suivante
l'hystérie. Dans la première, elles ne constituent toutefois qu'un symptôme consécutif des attaques, causé par la brusque é
ise (dans l'aisselle) plusieurs fois en notre présence, lorsque les symptômes généraux habituels (tachycardie, sang à la tête
s'étaient montrés distraits et désobéissants, avaient présenté les symptômes d'une démence précoce, progressi- vement dévelo
es vertiges alors que la surdité est installée. Le plus souvent les symptômes otiques appa- raissent du premier au troisième
0.) Dans l'intoxication aiguë par le phosphore, il se produit des symptômes de névrite. Sur les7 observations recueillies par
évolution de la névrite n'a pas le temps de s'effectuer, et que les symptômes ne se peuvent accentuer. Ils sont cependant sus
its tardivement, à l'époque de la convalescence. Quand il s'agit de symptômes moins précoces, c'est un engour- dissement et d
gésie, de l'ataxie associée à une anesthésie accusée. '. Tous ces symptômes sont essentiellement névritiques, parce qu'ils
.) Observation de sclérose en plaques d'origine traumatique ; les symptômes paraissent en remonter à une chute d'une hauteur
la tête, par tout le crâne, et une légère envie de vomir. Ces deux symptômes subsistent douze heures plus tard après une nui
sthésie REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 383 montre qu'il existe des symptômes d'excitation tels que contrac- tures, contracti
nerf optique à droite. C'est une syphilis héréditaire tardive, avec symptômes spinaux d'une affection syphilitique vraie et n
es racines infé- rieures du plexus brachial. L'absence constante de symptômes oculopupillaires (myosis, diminution de la fent
à dessein, l'auteur souli- gne le développement graduel et varié du symptôme en question. Deux sont, dit-il, de l'érezcthose
elle qui donne les diverses phobies. L'érythrophobie n'en est qu'un symptôme . Ces observa- tions témoignent de la neurasthén
ues. L'auteur recherche ensuite quelle est la marche générale des symptômes nerveux de la syphilis. La dénomination de symp-
pas à cette marche alternante. Un autre point à noter c'est que les symptômes de la syphilis cérébro-spinale s'amendent facil
et parfois aussi sans traitement. Il n'en est pas ainsi de tous les symptômes ni de tous 394 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
aux altérations des tissus voisins. L'auteur conclut qu'il y a des symptômes qui sont caractéris- tiques de la syphilis, mai
cependant être utilisées quelquefois pour atténuer quelques-uns des symptômes les plus pénibles. Dans la névrite chronique pé
dre importance, ou de la faiblesse musculaire, mais'l'ataxie est le symptôme pré- dominant et le plus persistant. L'ataxie a
de la moelle ; mais c'est surtout le bulbe qui est atteint, et les symptômes bulbaires sont les plus saillants : ces cas, ai
observe dans la paralysie spinale syphilitique. Au point de vue des symptômes , dans tous les cas rapportés par l'auteur, l'atax
mais la même brusquerie; dans l'ataxie bulbaire il y a toujours des symptômes relevant d'une lésion des nerfs crâniens, et le
s malades, la rapidité du début, les antécédents syphilitiques, les symptômes les plus caractéristiques, nous indiquent d'une
uelquefois dans le tabès dorsal, mais s'accompagne ordinairement de symptômes caracté- ristiques. L'ataxie spinale aiguë, non
de tous les myopathiques reconnus jusqu'ici s'il ne présentait deux symptômes en opposition avec le tableau clinique aujourd'
ie demeure obscure : nous n'étudie- rons dans cette maladie que des symptômes , et c'est par l'obser- vation clinique que nous
ue ClonsLon a pu dire que, chez un épileptique, un meurtre est un symptôme de la maladie au même titre qu'un vol chez un par
e la méningo-eucéphahte expliquent l'alternance constatée entre les symptômes d'excitation (hallucinations de l'ouïe) qui étaie
spinale métapneumonique que M. Talabère étudie dans sa thèse. ' Les symptômes ne présentent rien de particulier ; la marche en
s mal connus des frac- tures de la base du crâne, en particulier un symptôme négligé par la plupart des auteurs et qui cepen
te. - Pour M. Ferron les paralysies des nerfs de l'orbite sont un symptôme fréquent des fractures de la base du crâne; il s'
let a cherché dans sa thèse, si dans la chorée, on pouvait tirer du symptôme , modification des réflexes, quelques indication
es cas. La chorée touche l'encéphale comme le démontrent ses divers symptômes ; l'arc cérébral modé- rateur réflexe est excité
ans l'hypothèse contraire il ne nous rendrait pas compte des autres symptômes , présentés par la malade : de l'amnésie verbale
dmettant que sa maladie soit bien une conséquence de la syphilis. Symptômes communément associés A l'hémianopsie homonyme d
ne centrale. - Messieurs, l'hémianopsie homonyme peut être l'unique symptôme d'une lésion du lobe occipital de l'un des hémi
C'est la coexistence de phénomènes de cette catégorie, ou d'autres symptômes imputables à une lésion, soit de l'écorce grise
ant qu'elle va se suicider. Elle présente à cette époque tous les symptômes psychiques et somatiques de la folie paralytiqu
ux est le signe d'une atrophie commençante du nerf oplique; 10° les symptômes campimétriques, par leur incontestabilité et le
, par leur incontestabilité et leur évidence, l'em- portent sur les symptômes pupillaires. Quand on a assigné à ces derniers
oculaire. Le malade se rétablit physiquement vite, mais, sans autre symptôme psychique d'ailleurs, le trouble de la mémoire
ztrul6l , X[X 1900.) Observation caractérisée par la combinaison de symptômes relevant du tabes dorsal, de la paralysie agita
enus qui, pendant la durée de leur emprisonnement, présenteront des symptômes caractéristiques de folie ; 3°. Les aliénés qui
et de rétro- cessions presque complètes et très longues de tous les symptômes . Etiologie de la syringomyélie. M. Marie prés
. Le premier chapitre est consacré à un cas d'affection familiale à symptômes cérébro-spiazaux : diplégie spasmodique et idio
la systématisation des idées. Sous leur forme la plus atténuée les symptômes consistent surtout en une incoordination et une
hez les déments précoces. C'est ainsi qu'il considère la catatonie. symptôme impor- tant de début dans une forme spéciale de
ce du milieu ou du changement. " L'indifférence émotionnelle est un symptôme d'une importance considérable ; très primitivem
bert 1)1.\NUD. (Th. Lyon, 1900-1901.) M. Manaud décrit un groupe de symptômes , rattaché successi- vement à l'hystérie et à la
t constitué par des phobies, des obsessions se groupant autour d'un symptôme fonda- mental, l'angoisse, avec comme phénomène
ormes cliniques qui présentent des caractères identiques dans leurs symptômes , leur évolution et sans doute aussi dans la nat
tions. Le difficile est de distinguer dans les formes cliniques les symptômes essentiels des signes accessoires. Il est des s
iniques les symptômes essentiels des signes accessoires. Il est des symptômes que l'on trouve dans des psychoses très différe
lucinations, conceptions délirantes, modifications de l'humeur. Ces symptômes n'ont aucune signification pour le diagnostic.
oteur et le négativisme, etc. Le groupement particulier de certains symptômes fournit des indications : les rap- ports récipr
iagnostics qui ne soient autre chose qu'une simple constatation des symptômes . Et cependant il serait capital de pouvoir résoud
houeyres. 349. Chorée DE SYDFrIIA)1. Etude sur la localisation de symptômes dans la - , par Oddo, 51. Revue sur la - chro
52 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
rand foyer de destruction. Ce dernier foyer était donc la cause des symptômes , d'où l'affirmation, et, jusqu'à ce jour, la ce
e l'autre. La prédisposition à marche fatale ne tranche pas par des symptômes particuliers sur celle qui, plus bienveillante,
ttre une telle appréciation, je me fonde sur l'identité absolue des symptômes psychiques dans la démenceet l'obtusion intelle
ésence donc d'un aliéné, offrant, même depuis plusieurs années, les symptômes appa- rents de la démence, je crois qu'eu l'éta
roire qu'on se moque d'elle et qu'on cherche à lui faire du mal. Un symptôme alarmant d'affaiblis- sement intellectuel se mo
ir contre lui des machinations. En 1876, de janvier à novembre, des symptômes de démence semblèrent apparaître ; Cla... devin
tat se maintint jusqu'en janvier 1878, où, durant un mois, tous les symptômes de démence, précédemment dé- crits, apparurent
. La situation s'aggrava de nouveau ; pour la troisième fois, des symptômes de démence apparurent. A ceux précédemment décr
lusieurs jours. Quatre mois après (octobre) apparition des premiers symptômes du mal actuel. Ce furent d'abord des faiblesses
ire. Nous avons eu l'occasion d'observer une dame chez laquelle les symptômes de la maladie mentale ressemblent par plus d'un
'autre, suffit pour porter un diagnostic que viennent confirmer les symptômes propres à la paralysie générale. Les idées de
ifférente à-tout, occupée seulement de son triste état. Et tous ces symptômes durent depuis le premier jour de la maladie. Si
arer ? Les auteurs ont bien signalé chez certains mélancoliques les symptômes que nous indiquons. Marcé indique à une certain
grand cadre de la mélancolie. D'abord, à cause de la réunion des symptômes suivants : prédominance excessive des troubles
M. Cotard, qui présentent de suite et dès leur premier a- ! cès les symptômes spéciaux que nous avons CAS DE MÉLANCOLIE ANXIE
s CAS DE MÉLANCOLIE ANXIEUSE. 67 décrits, d'autres fois aussi ces symptômes se présentent comme chez notre malade, non seul
es dans la forme dont ils se rapprochent le plus par l'ensemble des symptômes observés; et c'est pour cela que nous croyons d
nt, mais qu'une observation attentive, unie à la connaissance des symptômes et del'évolution de la maladie, fera vite disting
oportion de 66 p. 100; tous ces syphilitiques avaient présen té des symptômes d'infection ex traordinairement légers, aussi n
e celle-ci peut être elle-même précédée pendant plusieurs années de symptômes tabétiques. En tout cas, en atten- dant que ces
n S Z > Ka S Z) constituerait dans les paralysies atrophiques un symptôme clinique de bon présage en ce sens qu'elle indi
l'expert de décider s'il y a ou non simula- tion ; l'évolution des symptômes et leur mode d'enchaînement valent même mieux q
a par conséquent à se demander si l'auto-accusa- tion n'est pas un symptôme de perturbation mentale. Dans le cas en questio
Le second fait concerne encore une jeune fille de dix-neuf ans; les symptômes furent à peu près les mêmes; toutefois, à l'apa
ermis d'en tirer une conclusion. L'incontinence d'urine est le seul symptôme des scléroses posté- rieures qui ait été combat
névrosisme, de lassitude et d'épuisement, l'aggravation de quelques symptômes . C. Les effets permanents ou toniques, sont en
tères infectieux. C'est, au contraire l'analogie de certains de ses symptômes avec ceux d'une maladie infectieuse très com- m
eau clinique de l'ataxie BIBLIOGRAPHIE. 119 locomotrice, quelques symptômes suffisent, et. en dehors de tout autre trouble
ial permet d'éta- blir ce diagnostic d'une façon certaine. Un des symptômes précoces du tabes observé et décrit d'une fa- ç
s'y attendît, il y a eu «giving way of tiie legs ». Il est un autre symptôme , les arthropathies, dans l'étudeduquel l'auteur
orter les arthropathies, vu la coïncidence si fréquente de ces deux symptômes . Signalons aussi le chapitre relatif à l'influe
c'est une monoplégie ou un monospasme rappelant plus ou moins les symptômes des tumeurs cérébrales; tantôt c'est un délire ai
est mort samedi 3 mai, à Grasse. Sa thèse (2ï juillet 1867) sur les Symptômes intellectuels de la folie fut une de celles qui
grains de sulfate de morphine, soit 5 gr. : i0; elle présente comme symptômes : de la chute des cheveux, une constipation opi
y a, noso- logiquement parlant, une différence radicale entre les symptômes épileptiformes de l'hystérie et les manifes- ta
faut alors tenir compte de l'existence ou de l'absence de certains symptômes spéciaux; et dans les cas de la nature de ceux
pières; 3'les mouvements ondulatoires de la paroi abdominale. Ces symptômes paraissent propres @ aux,a ttaqu6s>;d : hyg-
art ; aphasie véritable avec paralysie, d'autre part; tels sont les symptômes qui caractérisent l'apha- sie insulaire. Avec
pécialistes. Parmi ces derniers, les uns s'attachant uniquement aux symptômes qu'ils décrivaient comme formes déterminées, on
te surviennent chez ces prédisposés mal équilibrés, et les premiers symptômes du délire chronique apparaîtront, le chue moral
ntellectuel de l'encéphalite interstitielle diffuse constituent des symptômes trop saillants pour qu'une erreur soit possible
, sinon en fait, au moins par leurs noms, de. sorte que souvent les symptômes qu'ils croient, par exemple, devoir attri- buer
xistent entre l'état du réflexe du genou et les principaux'faits ou symptômes qui se - d iéflexe e du gendu et les p,iticipal
J'<'<') ? j' mariée depuis, deux enfants; présente, tous les, symptômes delà démence parah tique. Le début remonte, a d
riques,des,'alterha.tiYes d'excitation' et de dépression ; tous ces symptômes se sont exagères 'au-1 pomf'de constituer-' uni c
nstituer-' uni casi de ainaniè aiguë ;'4° ïà^marché^ullérieure `des symptômes a été ^la sui- vanlé ? laJmalade'qui31,élàit8 d
GE- yjJ 1l : It.ILE D.\\SL,IiCj155;11PÛ,J1E.S DOUTEUX )DAXSLAUTRE; SYMPTÔMES ,(- 1ÇÇ(7S1.S,,I1.1\Sl LA.TIloIIIVG;1P.\CIIYJIP
à'paralysiélgéné'rale classique : toujours il vients'y ajouter des1 symptômes 'accessoires qui/modifiant te'cbmp)exusde la'pa
iner pan l'appréciation jsuivante. Au point de vue. clinique, lés 8 symptômes , de paralysie, générale, se montrent en différent
développent les deux ordres d'éléments psychiques en question. Les symptômes d'ordre éthique compor- tent l'échelle entière
d'elle-même. Les perturbations intellectuelles <-sc composent de symptômes négatifs (faiblesse psychique) ou de symptômes
t;-sc composent de symptômes négatifs (faiblesse psychique) ou de symptômes positifs : à coté'de vides'dans l'intelligence, l
ues. M. Wernicke prend ensuite la parole sur un cas de tabès avec symptômes encéphaliques d'une lésion en foyer. Un homme de
admission on ne constatait ni inégalité pupillaire, ni aucun autre symptôme cérébral ; le tabes était très accusé. Le 22 se
t morphiomcrnie psychique. L'amorphinisme com- prend l'ensemble des symptômes douloureux éprouvés par le ma- lade inloxiqué d
' Les preuves de cette identité sont : l'identité d'étiologie, de symptômes , de gravité, de traitement, de pathogénie, démarc
nt, comme s'il s'a- gissait de deux malades différents. Parmi les symptômes que nous avons rattachés à la maladie de Thomse
epsie partielle vraie en tenant compte de la pré- sence de certains symptômes , de l'absence de cer- tains autres.' * Il nou
nsibilité spéciale, avec prédominance de l'anesthésie à gauche ; b) Symptômes accidentels et intermittents : Accès convulsifs
estion : elle présentait ou avait présenté un trop grand nombre des symptômes afférents à la névrose (hémoptysies sans tuberc
e M. Charcot, en janvier 1883. Nous ne constatons pas chez elle les symptômes permanents habituels de l'hystérie. La sensibil
assagères ou définitives. c) Il faut signaler enfin certains autres symptômes , à la vérité moins significatifs, mais qui serv
re de potassium, consta- ÉPILEPSIE JACKSONNIENNR. 295 tations des symptômes permanents de l'hystérie après les attaques) co
farce d'un camarade; le malade sursaute, le bras se raidit, et les symptômes décrits ci-dessus se produisent. L'action de fi
de mal auquel le malade a succombé et qui a offert la plupart des symptômes de l'état de mal ordinaire, entre autres l'élé-
avec les phénomènes observés du côté de la face et surtout avec les symptômes oculaires. Nous bornons là ces réflexions. Les
ndemne d'hérédité, après avoir, pendant quelques mois, présenté les symptômes prémoni- toires habituels de la paralysie génér
sphincters; trouble de la parole. Quatre ans plus tard, ce sont des symptômes de paralysie générale qui constituent le tablea
oïncidence. L'alcoolisme est d'ailleurs capable d'expliquertous les symptômes Deux autres observations sont relatées, mais el
e ne paraissent pas être absolument parallèles à l'im- portance des symptômes cliniques de* déficit; qu'enfin c'est le mi- cr
ion DE la NuQuL,, par R. ScuoLZ. (Neurol. Centrccl6l., 1883.) Les symptômes déterminés par les mauvais traitements de la pa
nce physique est t très frappante et qui présentent toutes deux les symptômes de la mélancolie avec stupeur. On n'a pu trouve
ade non dangereuse. Sobre et bi.-n elevée. Tempérament calme. Symptômes du début : excita- tion et loquacité; elle s'éc
se. Sobre et bien élevée. Tempérament gai, tranquille, actif. Symptômes de début : évanouis- sement; état semi-conscien
état de stupeur, et ne tarde pas à mourir, après avoir présenté les symptômes d'une complication cérébrale nou- velle. A l'
. Conditions nécessaires pour provoquer l'état dont il s'agit ; II. Symptômes objectifs chez le sujethypnotisé, dans la mesur
onde arrêtée. Il. Il va de soi que, chez les sujets hypnotisés, les symptômes objectifs varient suivant la période et le type
aujourd'hui bien connus qui distinguent chacun de ces types. Les symptômes objectifs ont, en matière d'hypnotisme, une gra
ande importance; car c'est le plus souvent par l'observation de ces symptômes , tout au moins de ceux qui ne peuvent être simulé
plus pro- fonde, il va jusqu'à constituer une folie à part dont les symptômes bruyants, prenant le pas sur l'affection préexi
divergences non moins fâcheuses, quand il s'agit d'établir que tel symptôme est pathoguomonique de telle affection mentale dé
lite, l'intensité des phénomènes ataxiques qu'ils constituent le symptôme somatique principal, alors que les cordons postér
nte de maladie de Basedow qui présentait, au maximum de netteté, le symptôme de de Groefe : absence du concours du mouvement
Mais il s'en tient à ses manières de voir anciennes. Assurément ces symptômes sont passibles de cri- tiques spéciales, mais i
chacune des régions encéphaliques, et produira par conséquent des symptômes susceptibles d'une rapide compensation. Dans cett
yslexie. Il a observé cinq fois un complexe clinique dans lequel le symptôme prédominant, le symptôme caractéristique, était
fois un complexe clinique dans lequel le symptôme prédominant, le symptôme caractéristique, était un trouble de la lecture p
oration est assez marquée ; mais toujours on note simultanément des symptômes cérébraux accentués tels que la céphalalgie et
La soudai- neté du début de la perturbation et la concomitance des symptômes cérébraux, soit dès son installation soit au co
serattache à ce fait, qu'elle a, dans tous les cas observés, été le symptôme initial d'affections ancéphaliques graves. Où f
ons mercurielles entraînèrent une amélioration radicale de tous les symptômes . L'orateur fait remarquer que Kussmaul a observ
l'alexie, tandis que les observations prises parlui concernaient un symptôme initial. Il a vu pareille chose dans l'alcoolis
le stade de convalescence de l'alexie. Il demande à M. Berlin si le symptôme observé par lui ne dépen- dait pas d'un état de
e morbide avec la paralysie spinale subaiguë de Ducbeuue, aucun des symptômes consignés ne permet de conclure résolument à un
le lui semble impuissante à expliquer d'une façon satisfaisante les symptômes dûment relevés quant aux mouvements des yeux, c
du lobe occipital que l'on rend responsables de l'hémianopsie, aux symptômes périmétriques décrits ? La clinique a parlé. L'
ubilité physiologique, résulte ce fait que la folie est toujours le symptôme d'un état , organique quelconque pyré- BIBLIOGR
n un mot, l'analyse des troubles fonctionnels élé- mentaires et des symptômes ou des syndromes provoqués par les modification
s des établissements spéciaux publics et privés), 219. Apoplexie ( symptômes mentaux précurseurs d'une attaque d'), par Sa
t, 81, 3r4;-(traitement du-parlepin- ceau faradique), 85; (avec symptômes encéphaliques de lé- sion au foyer), 948. Tét
53 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
les fonction- nets le malade présentait l'atrophie des papilles ? ' symptôme rare, et une dyspnée' intense. Ces deux symptôm
e des papilles ? ' symptôme rare, et une dyspnée' intense. Ces deux symptômes liés apparemment à l'hypertrophie des glandes p
ewnikoQ' où'la ·tumeur3gliomateuse-siégeait·dans la moeiie d'où les symptômes concomitants de syringomyélie. Le trai- tement·
de syringomyélie. Le trai- tement·par l'arsenic fit disparaître' le symptôme dyspnée ? pour lequel'le malade était entré à'l
n n'a jamais débuté avant l'âge adulte. -' IL existe toujours des 1 symptômes céphaliques, ce qui prouve que des nerfs bulbai
stigmates assez légers de dégénérescence, mais ne présentant aucun symptôme d'une affection médullaire quel- conque, offre
a sept ou huit ans. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 39 Entre autres symptômes tabéliques, il présente des crises gas- triques
tique ? Bien dés traumatisés sont loin de présenter l'ensemble' des symptômes décrits; et tous ceux qui' les présentent sont
arante-neuf ans, dont la maladie remonte à huit ans. Les pre- miers symptômes furent un raccourcissement des jambes qui en 'i
? a ? 0't) ? )t.t REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. , 47 A noter deux symptômes exceptionnels dans les myopathies : le frémisse
' Homme de cinquante et un ans, syphilitique, tabès ancien avec les symptômes ordinaires, marche ataxique. Troubles urinaires
ransverse. On l'en distingue jusqu'à'un certain point,' non par les symptômes du' moment,' mais par ceux de' la1 période 'prodr
caractérisée par'une courte et vague période prodromique et par lés symptômes ; de' la myélite centrale aii;uë ? nf ? eu ? vi
ion,, mais ellëa ? laissé après elle des troubles fonctionnels. Les symptômes nerveux, généraux ont été produits, directement
Le délire systématique hallucinatoire morphiaococaïniq21c a pour symptômes : des illusions et des hallucinations de l'ouïe,
avait pas d'atrophie des nerfs optiques. Comme il n'y, avait pas de symptômes impu- tables à la base ni au trajet de la bande
e lésion des deux lobes occipitaux et, étant donné l'ancienneté des symptômes et; l'ââe de soixante ans de la, malade, à un ra-
u un développement BIBLIOGRAPHIE. 71 plus considérable ; certains symptômes , notamment les troubles de la personnalité y so
et physiologie ; pour" l'épreuve orale f VARIA. 77 7 Erysipèle ; Symptômes généraux des fractures ; Cirrhose atro- chique
es deux questions restées dans l'urne étaient : Mal de Pott dorsal, symptômes et traitement, diagnostic différentiel de fièvres
es suivants : Paralysie générale pro- gressive ayant débuté par des symptômes d'ataxie locomotrice. Tremblement fibrillaire d
constamment obligée de lui rappeler ce qu'il avait à faire. Pas de symptômes d'ataxie. Jamais de douleurs fulgurantes. Pas de
la verge. (Pas de constatation de cicatrices, ni d'adénite.) Pas de symptômes de sy- philis héréditaire. A eu un rhumatisme a
d'urination, jamais de maux de tête ni de douleurs fulgu- rantes. Symptômes actuels. 1° Affaiblissement des facultés; 2° pas
? et, en second lieu, quel rapport existe entre les lésions et les symptômes observés pendant la vie ? En premier lieu, il
psychique, que la neurasthénie palustre est basée. d) Les autres symptômes , avons-nous dit, ou manquent complètement ou so
e susceptibilité particulière pour le paludisme. En dehors de ces symptômes , on en rencontre d'autres plus inconstants, com
s fois une frigidité relative. Mais nous répétons que nombre de ces symptômes , qui sont loin d'être constants, se rencon- tre
ris en une fois 2 grammes de quinine muriatique. Elle a eu quelques symptômes d'empoisonnement quinique et quelques heures ap
asthénie commune. En dehors de ça, il arrive souvent que quelques symptômes présentent une certaine périodicité, et une bonne
ptômes présentent une certaine périodicité, et une bonne partie des symptômes capitaux, des stigmates de la neuras- thénie co
out, surtout lombaires. A cette époque, la malade présenta quelques symptômes hystériques à savoir : la boule hystérique, des
, avec le faciès excessivement pâle, elle présente presque tous les symptômes d'une neurasthénie très accusée, à savoir : imp
elle procède d'une origine syphilitique ; 2° en ce que, quant à ces symptômes , elle ne présente rien qui appartienne en propr
ux est profondément débilité. Vient ensuite une étude clinique 'des symptômes : hypothermie qui rappelle beaucoup le coma et
merxtia), le Wahnsinn et la Verrùcktheit ont une série d'importants symptômes qui leur sont communs au point de vue clinique
au point de vue clinique et au point de vue pathogénique. a. Les symptômes fondamentaux hallucinations sensorielles 140 "
ohérence sont, au point de vue de la genèse, proches parents. 6. Le symptôme prédominant de la con- fusion mentale et de la
d. Il peut y avoir confusion mentale (amentia), qui joue le rôle de symptôme soi t dans la forme de délire systématique conn
elles de maladies men- tales, reposant à la fois sur l'ensemble des symptômes physiques et moraux et sur la marche de ces aff
e des faits,, il ressort très- nettement que ma malade présente les symptômes d'une amnésie très étendue, portant sur la péri
is ans ayant présenté " une névrite optique double avec diplopie et symptômes de ménin- ' gite basilaire coïncidant avec un é
la saillie osseuse. (Revue neurolo- gique, 1894.) E. B. XHV. D'UN symptôme QUI fréquemment accompagne L'LIIZURÈSE NOCTURNE
sie (d6()' : Mor vesiex). P. KERAVAL. XLV. Observation DE tabès A symptômes bulbaires ; par F. Chvostek. (Nezarolog. Centra
auprès des aliénistes à une époque où les notions régnantes sur les symptômes et les caractères de l'hystérie man- quaient pl
e caractérisée par ses causes, son évolution aussi bien que par ses symptômes à laquelle se rattachent les désordres cérébrau
n ne se trompe plus sur la valeur et la signi- fication de certains symptômes qui, rares, fréquents ou habituels, révèlent le
plus tard ses urines afin de les vomir et d'ajouter à l'intérêt du symptôme qu'elle a présenté; telle autre, polyurique, ex
u symptôme qu'elle a présenté; telle autre, polyurique, exagère son symptôme à l'aide du pot de tisane; celle-ci cherche à i
sposition ; c'est que la dégénérescence s'est déjà traduite par des symptômes plus ou moins frappants, plus ou moins nombreux
tous cas, on ne peut prétendre qu'elles soient proportionnelles aux symptômes présentés par les malades. En effet, il est de co
s manifestations délirantes et halluci- natoires variées, mais leur symptôme fondamental est l'obtusion, la confusion mental
dies de l'intelligence ; elle détache successivement les principaux symptômes et les élève à la dignité d'entités pathologiqu
u éclaircir, si elle prit ce poison ou si on le lui fit avaler, les symptômes observés pendant sa maladie, tels que soif inex
fficiels ne pouvaient manquer, maintenant, de faire surgir tous les symptômes cli- niques de la maladie, et c'est en effet ce
ment de sang, aux piqûres faites à lapeau des possédées.Tous ces symptômes sont devenus d'une banalité telle que nous ne j
ie, à la suite d'injection de toxine diphtéritique, il persiste des symptômes paralytiques et du tremblement qui semblent ind
l'année 1890 je fus consulté par un malade qui présentait tous les symptômes du tabes : crises douloureuses, troubles urinai
e vue clinique, il faut remarquer l'amélioration si remarquable des symptômes moteurs et ladisparitiou du signe de Romberg. '
malades analogues. Pendant dix ans l'on observa chez l'un d'eux les symptômes du tabès au complet; puis survin- rent les sign
es, il y a dans ces faits des différences, tant au point de vue des symptômes qu'à celui des lésions. Un cas DE neurasthénie
aboutirent à la formule neurasthé- nique type, caractérisée par les symptômes suivants : céphalée constante, impossibilité ab
s les membres inférieurs etsupérieurs avec troubles de la parole et symptômes neurasthéniques. Le frère, plus jeune que sa so
ie faciale; l'origine de cette affection rend compte d'une série de symptômes difficile- ment explicables en dehors d'elle, c
difficile- ment explicables en dehors d'elle, comme la fièvre, les symptômes généraux, les douleurs d'oreilles qui existent
ognomonique pour certaines affections : c'est ce que j'ai appelé le symptôme de relation. Ce symptôme divise, au point de vu
s affections : c'est ce que j'ai appelé le symptôme de relation. Ce symptôme divise, au point de vue des troubles visuels, l
l'acuité visuelle (hystérie). On voit par là toute l'importance du symptôme de relation pour la diagnostic différentiel de
ions où il est permis de se demander si elle ne représentait pas un symptôme initial en rapport à quelque degré avec la péri
ù l'on a signalé la coexistence de la paralysie générale avec des symptômes de névroses diverses (hystérie, neurasthénie, mal
odifications telles depuis quelques années que la révision de leurs symptômes s'im- pose. Le faciès myopathique, considéré co
me du rêve dans le sommeil normal. La modification des différents symptômes anesthésiques nous indique donc déjà un élargisse
ents qu'on lui commande. - 360 CLINIQUE NERVEUSE. Tels sont les symptômes observés à la suite de l'occlusion simultanée .
. prises. A mesure cependant que l'on reproduit l'expérience, les symptômes objectifs. qui l'accompagnent, tels que la con-
, 1894. ÉTUDE DE L'URINE DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 369 comme un symptôme de paralysie générale. Elle se rencontre en eff
t inaperçues parce que généralement elles ne donnent lieu à aucun symptôme . A l'aide de 17 observations, M. Schlesinger décr
origine en est cérébrale. Ils apparaissent de concert avec d'autres symptômes hystériques, notamment avec des troubles de la se
lité de détourner leur attention. Parfois encore on a affaire à des symptômes de paralysie géné- rale progressive dont le pro
er, on est eh droit de se demander si l'on n'est pas en présence de symptômes hystériques. - M. FiIIEDrANN. Dans l'exemple qu
nt à l'état d'accès fruste chez les neurasthéniques, ou à l'état de symptôme chronique, sans qu'il se produise aucune trace
uise aucune trace d'angoisse psychique, et ce sont justement là les symptômes cardinaux les plus importants de la neurasthéni
r joue dans l'hystérie un rôle pathogénétique important et c'est un symptôme souvent observé dans cette maladie. La terreur
ttributs physiques. Comme dans l'angoisse, on observe avec elle des symptômes car- diaques, circulatoires respiratoires et de
atoires et desétreintes pharyngiennes. Ce sont exactement les mêmes symptômes qui sont communs à l'hys- térie et à la neurast
ui pénètrent et empoisonnent tous les tissus, déterminant ainsi les symptômes physiques de l'anxiété. (Voyez Ce ? zti,albl. f
93.) Discussion : M. Wildermuth. Sans doute l'angoisse est un des symptômes les plus habituels de la neurasthénie. Quant à la
aversée par de fréquents excès aigus, le malade ne présente pas les symptômes classiques de l'alcoolisme. A l'âge de vingt-hu
ments les plus précieux du diagnostic sont fournis ici, non par les symptômes spinaux à proprement parler, mais par les carac
ndépendantes de la syphilis. Nous savons, au contraire, combien les symptômes ménin- gés cèdent facilement, d'où l'indication
9 fusion mentale (Wille), il faut entendre une maladie ayant pour symptôme essentiel les hallucinations qui provoquent le dé
hallucinations qui provoquent le délire. Il est indubitable que ces symptômes -là se montrent à l'état passager dans toutes le
le principal, tandis que dans le délire hallucinatoire ce sont des symptômes fondamentaux et permanents pendant tout le cour
a vie et se termine par la démence, nous trouvons assez souvent des symptômes somatiques d'ordre nerveux tels que de l'inégal
nt dissiper. Il faut faire servir dans l'espèce à la définition les symptômes qui se montrent dans le cours de la maladie, en
oppée à l'âge de la croissance. Qui doute de la démence en tant que symptôme général de la paranoïa chronique, doit essayer de
aces ; plus tard, la même affection, tout à fait semblable dans ses symptômes au premier épisode, reparaît, et, cette fois, l
(Dementia, Bloedsinn) sans qu'aucun élément nouveau s'ajoute aux symptômes psychiques. Pour moi, en effet, la démence (derne
nus pour de la confusion men- tale surajoutée à de l'épilepsie; ces symptômes sont sans excep- tion des manifestations faisan
voir pas. Meynert les a ainsi définis : oscillation perpétuelle des symptômes sans valeur distinctive, défaut d'unité dans la
la colère la moins motivée, avec la même impétuosité. Tels sont les symptômes de déficit : à côté d'eux, Meynert range l'agi-
éficit : à côté d'eux, Meynert range l'agi- tation qui constitue un symptôme d'excitation. En somme, dans la confusion menta
a confusion mentale (amentia) parce que ces trois complexus ont des symptômes dont la genèse est connexe (hallucinations sens
: les hallucinations manquent alors rarement, souvent elles sont le symptôme prédominant, mais elles peuvent également ne jo
s dans lesquels on est tout aussi autorisé à attribuer à tel ou tel symptôme ad K<)t<u ? H l'importance prépondérante et
sychiques, dont il est question ici, envisagées au point de vue des symptômes , permettent de reconnaître tantôt une atteinte
ués si l'on veut rendre par une expression conforme à la vérité les symptômes multiples qui correspondent aux processus morbi
la science, il faut qu'elles s'en tiennent à la différenciation des symptômes , sous peine de faire une peinture artificielle
intérieurs que l'on arrive à établir la prio- rité de tels ou tels symptômes . Malheureusement jusqu'à ce jour, sur ce terrai
types cliniques d'une exactitude permanente, à la condition que les symptômes morbides y soient autant que possible simples, li
é le guidon de la clinique pure et de s'efforcer d'évaluer certains symptômes , d'en dégager la dépendance réciproque; on fait
portant dans la formation du délire systématique; il prétend que ce symptôme a une genèse compliquée et que par conséquent i
ptôme a une genèse compliquée et que par conséquent il n'est pas un symptôme primitif. C'est ce que j'ai moi-même sou- tenu
dans le cours ultérieur de la maladie, elle revêt l'importance d'un symptôme autonome, et, séparée des conditions pathogénétiq
lle subsiste en tant que fonction vicieuse. Cette indépendance d'un symptôme d'origine primitivement secondaire joue un gran
t associés à des conceptions déterminées, persister plus tard comme symptôme autonome. Quoi qu'il en soit, l'autophilie exa-
sont de deux ordres : périphérique et central. L'étude critique des symptômes périphériques : troubles de motricité, de sensibi
une importance capitale au vomissement, qui devient une sorte de symptôme prémonitoire (M. Devic, Th. de Strauss, Lyon 1893
amen détaillé des observations permet à M. Haury de conclure que ce symptôme est dû à des causes variées, souvent banales.
toutes les maladies infectieuses et toxiques qui s'accompagnent de symptômes indiquant la réaction du cortex vis-à-vis de l'in
ations plus ou moins pro- fondes du corps thyroïde. En exposant les symptômes du goitre exophtalmique, plusieurs remarques so
A côté des contractures que l'on rencontre quelquefois parmi les symptômes de goitre exophtalmique, il faut citer les accès
rappelle assez celui de goître exophtalmique, il n'y a aucun, 'des symptômes de cette affection; de même, dans la tachycardi
° les cas ou il y a diminution du goître sans amendement des autres symptômes ; 3° les goitres très volumineux avec les autre
s autres symptômes ; 3° les goitres très volumineux avec les autres symptômes très atténués; 4° un goitre unilatéral, produis
ssemble en rien à l'ex.ophtalmie deshasedowiens, et tous les autres symptômes manquent. Théorie de la névrose (Charcot). Cett
a maladie de Basedow en myxoedème, mais sans la surajouta- tion des symptômes de ces deux maladies, prouve également en faveu
e par Moebius en 1891 sous le nom de « akinesia algera » et dont le symptôme dominant consiste dans un état douloureux de to
tion indépendante, autonome. Il semblerait plutôt qu'il s'agit d'un symptôme d'origine neurasthénique ayant pris une importa
par suite de la douleur qu'occasionnent les mouve- ments, d'autres symptômes tels que l'insomnie, la tristesse, l'in- capaci
rvicale. Consécutivement à cette blessure, le malade a présenté les symptômes suivants : parésie motrice passagère, anes- thé
mémoire et des sentiments affectifs, des impulsions, etc., sont les symptômes de cet état sénile, qui marche lentement vers l
s l'auteur démontre qu'il n'y a qu'une différence de degré dans les symptômes de ces deux états morbides. De nombreuses obser
ar Grasset et Rauzier, 348. Tabès et diabète, par Blocq, 209; à symptômes bulbaires, par Cllvos- teck, 213; chez la femme
54 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
jette à des accès fébriles passagers, présente bientôt les premiers symptômes d'une péritonite tubercuieuse à évolution subaigu
c'est à peine si la thyroïde est hypertrophiée ; chez tel autre le symptôme dominant est l'exophtalmie; chez un autre encor
on que les différences d'intensité, et, qui plus est, de nature des symptômes relèvent de différences anatomiques impossibles à
ych., 1886), dans un intéressant travail, signalait l'existence des symptômes catatoniques dans la paralysie générale. Bien q
ans le tableau clinique si varié de la paralysie générale, quelques symptômes dont la réunion re- produit un état catatonique
confusion à la stupeur complète, elle comporte un certain nombre de symptômes plus spéciaux, au premier rang desquels se plac
yphilis; tabes antérieur, puis paralysie générale dont les premiers symptômes remontent à 4 ans à peu près,avec troubles du car
u caractère, excitabilité, besoin d'activité sans motif ; plus tard symptômes caractérisés SÉGLAS. DES SYMPTÔMES CATATONIQUES
'activité sans motif ; plus tard symptômes caractérisés SÉGLAS. DES SYMPTÔMES CATATONIQUES 19 d'excitation avec délire mégalo
ulaires, constriction des mâchoires, refus d'aliments, mutisme. Ces symptômes ne durèrent qu'une quinzaine de jours, après les-
ien caractérisé, avec seulement de la satisfaction simple. Puis ces symptômes eux- mêmes entrèrent en rémission, et la maladi
res serrées rendant l'introduction des aliments très difficile. Ces symptômes persistèrent presque deux mois. Puis le malade
B SYMPTOMES CATATONIQUES AU COURS DE LA PARALYSIE GENERALE DES SYMPTÔMES CATATONIQUES AU COURS DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE 21
ent remonte au mois de décembre 1894, s'étant carac- térisé par des symptômes d'affaiblissement intellectuel, des idées ambitie
ataleptoïdes des attitudes provoquées, écholatie, écho- praxie, les symptômes sont beaucoup plus rares que les précédents dans
D SYMPTOMES CATATONIQUES AU COURS DE LA PARALYSIE GENERAL ! DES SYMPTÔMES CATATONIQUES AU COURS DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE 23
n temps assez long, une dizaine de minutes, sans oscillations, sans symptômes d'effort (PI. II). 30 mai. - Mêmes idées de per
du bras gauche. Il ne peut expliquer le pourquoi de ce geste. DES SYMPTÔMES CATATONIQUES AU QOURS DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE 25
tion avec idées absurdes de richesses et de puissance génitale. Ces symptômes ont persisté depuis l'entrée ; mais avec les prog
tremblement de la langue et des mains ; accrocs de la parole. DES SYMPTÔMES CATATONIQUES AU COURS DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE 27
de 1896) elle est tout à fait bien portante; mais la même série de symptômes se reproduit; elle sent peu à peu ses jambes pl
d'une articulation saine. Il y a donc une véritable régression des symptômes depuis l'entrée de la malade à la Salpêtrière ;
(Ver- hoogen) (3), et le cas de notre malade, il n'y a guère qu'un symptôme commun : l'ankylose vertébrale. Notre malade n'
cliniques décrits par M. Fores- tier ; elle accuse par contre, des symptômes que l'on n'observe pas dans l'affection décrite
sification de la capsule et des ligaments articulaires. Entre les symptômes de la spondylose rhizomélique, tels que les ont
nuances. Et si l'on remarque que notre malade a pré- senté les deux symptômes que M. P. Marie considère comme fondamen- taux
u huit ans après le début dej'atrophie de la main gauche, les mêmes symptômes se manifestent à droite : début par les muscles
la maladie. L'erreur de diagnostic vient du fait qu'on a négligé un symptôme im- portant : la malade a souffert pendant plus
e l'examen histologique montre une fois de plus l'importance de ces symptômes douloureux en physiologie pathologique. En fait
ormation, soit dans la période de régression de l'organisme ; leurs symptômes ont un début insidieux, une marche régulière, l
fulgurant, de l'incoordi- nation motrice avec signe de Romberg, des symptômes pupillaires, etc. Mais, ici encore, on trouve d
celles-ci concernent des détails cliniques d'ordre secondaire. Les symptômes principaux, ceux qui se trouvent au premier pla
vant sa présentation à la Société de Neurologie, il ressort que les symptômes présentés par le malade ont consisté et consisten
se développa, précédé par des accès de vertige, un ensemble net de symptômes cérébelleux, que l'autopsie permit de rattacher à
nettement évidente. Si nous cherchons maintenant à rapprocher des symptômes présentés par le malade les résultats de l'étud
re malade. Elles pourraient expliquer en même temps certains autres symptômes présentés par le malade, tels que le phénomène
re cas s'observent souvent sans se manifester en clinique par aucun symptôme , ne sont pas sans nous laisser très per- plexe
y a 4 mois par le tibia droit. Disons de suite qu'elle présente des symptômes avérés de tabes. Antécédents héréditaires. Mère
DESCOMPS. - OSTÉITE syphilitique déformante type PAGET 85 premiers symptômes de sa maladie sont apparus. Ce furent d'abord des
s douleurs et les mêmes craquements. Il nous faut signaler ici un symptôme particulier bien évident, consistant en une élé
un trouble des sécrétions internes. Au point de vue de ce dernier symptôme , notre malade présente une ressemblance frappan
en deux mois) il a été impuissant à combattre précisément certains symptômes qu'il mettait sur le compte du myxoedème. A dir
r perdu sa salive involontairement. Elle bavait continuellement. Ce symptôme a disparu aujourd'hui. Etat actuel [Février 190
commissures. La paralysie de la branche motrice du trijumeau est un symptôme que les auteurs classiques déclarent ne se pro-
me individu les deux localisations du même processus morbide et les symptômes des deux affections. Or cette coïncidence avait
e particulier, donné par l'association aussi nette que possible des symptômes de la paraplégie cérébrale infantile et de la par
d'une bonne santé. Le début est presque toujours brusque, avec des symptômes généraux graves, tels que fièvre plus ou moins
iph- térie, etc.) ; il est probable que souvent aussi les imposants symptômes cérébraux masquent les autres signes d'une mala
nt de 3 ans et de 1 ans 1/2, qui après avoir présenté tous deux des symptômes généraux (fièvre, agitation, convulsions, somnole
rs enfants pré- sentèrent des phénomènes généraux avec fièvre, sans symptômes d'une ma- ladie infectieuse définie ; deux autr
x autres présentèrent des phénomènes méningés, les trois autres des symptômes paralytiques qui chez deux d'en- tre eux affect
t qui laisse comme résidus une cicatrice ou une sclérose, et, comme symptômes de cette affection en foyer, une hémiplégie. »
différentes du même processus. On a observé en effet des cas où les symptômes des deux formes et leurs localisations se combi
rnicke peut s'étendre vers le bulbe et la moelle, s'accompagner des symptômes de la paralysie bulbaire aiguë et de la paralys
ndépendantes l'une de l'autre; on rencontre en effet des cas où les symptômes de toutes ces formes sont réunies sur le même i
vio- lentes douleurs à la nuque. Le malade en remarqua les premiers symptômes une nuit en voulant se lever , il se sentit alo
pas d'une façon progressive, par l'adjonction successive des divers symptômes , comme on l'observerait dans les cas de tumeur.
même, et qu'il est impossible ainsi de faire une étude précise des symptômes présentés par le malade et en par- ticulier de
suite d'un ictus avec de graves phénomènes généraux, présenta les symptômes suivants : hémiplégie sensitivo-motrice gauche, p
réaction pupillaire hémiopique. En peu de temps les deux premiers * symptômes disparurent complètement et l'hémianopsie seule p
it et la symptomatologie présentée par le malade et l'évolution des symptômes . La thrombose ainsi localisée aurait en effet p
ches terminales de la céréblale postérieure, d'où l'hémiopie et les symptômes temporaires d'aphasie sensorielle ; un ralentis
llissement occipital) pourrait se traduire par cette association de symptômes : paralysie alterne supérieure avec hémianopsie
volution de l'affection présentée par notre malade, chez lequel les symptômes atteignirent leur maximum d'intensité en [une d
ns dans l'examen de la moelle la raison de ce phénomène. Aux autres symptômes se sont ajoutées des érec- tions continues sans
es vaisseaux dans la substance même. Les lésions anatomiques et les symptômes cliniques nous prouvent qu'il s'agit de myélite
alade guérit, les lésions médullaires passent à la sclérose, et les symptômes cliniques de la myé- lite aux symptômes de la p
ssent à la sclérose, et les symptômes cliniques de la myé- lite aux symptômes de la paraplégie spasmodique chronique (exaltatio
de sa malad je vis l'enfant pour la première fois, et je notai les symptômes suivants : pa lysie flaccide totale et incomplè
je le vis pour la première fois et, en l'examinant, je vérifiai les symptômes suivants : paraplégie crurale flaccide, totale et
après trois semaines de maladie, je l'examinai et j'ob- servai les symptômes suivants : paraplégie crurale flaccide, totale et
'août, elle fut attaquée d'une double pneumonie et mourut, avec des symptômes d'asphyxie le quatrième jour. , 5° Cas. - Polyn
enses. Le seizème jour de la maladie, je l'examinai et observai les symptômes suivants : paralysie généralisée flaccide, tota
e la paralysie dans la périphérie que dans les racines des membres, symptôme distinctif sur le- quel Babinski appelle l'atte
ntement de la périphérie vers la racine des membres, constituent un symptôme qui, non seulement exclut la paralysie spinale
le s'en distingue par contre par l'existence d'un certain nombre de symptômes sur lesquels il nous reste à insister. 1° Mél..
ourt aperçu il paraît bien que les troubles de la dentition sont un symptôme presque constant de la dysostose cléido-crânienne
ion, et retard de la dentition ; or, notre enfant présente ces deux symptômes . Mais cependant il nous faut remarquer qu'il es
s des dystrophies de l'enfance. Chez notre sujet on relève deux des symptômes de la triade d'Ilutchinson, la surdité, les tro
mme la mydriase que nous avons observée ne répond pas du tout à ces symptômes classiques et ne serait donc pas para- lytique.
e excitation des filets sympathiques de l'iris » pour expliquer les symptômes qu'avait présentés leur malade. On nous permett
émanent. Malheureusement nous ignorons à peu près to- talement les symptômes des troubles morbides, qui peuvent se produire
des nerfs irido-moteurs. Notre malade a présenté, en outre, divers symptômes , qui viennent corroborer l'hypothèse d'hystérie
s ; mais on ne sera autorisé à l'admettre, que s'il existe d'autres symptômes positifs de la névrose. (1) BouaL, Annales d'
depuis quatre ans une affection complexe constituée surtout par des symptômes moteurs, sensitifs, tt'oplii-I ques, et par des
nsitifs, tt'oplii-I ques, et par des troubles bulbaires. \ 4° Les symptômes moteurs consistent surtout en une paraplégie spas
syringomyélie est évident. Si l'on ne tenait compte que de certains symptômes , la déformation '\ vertébrale et les troubles d
fois d'un diagnostic plus délicat ; mais, chez ce jeune homme, tout symptôme pouvant faire penser à la lèpre fait défaut (pa
avec une certaine précision les lésions cavitaires, deux ordres de symptômes nous seront particulièrement utiles, les troubles
ompagnant d'aucune modification de la voix. La réunion de ces trois symptômes , hémiatrophie linguale avec para- lysie du phar
aut d'ailleurs ajouter qu'ils ne se traduisent pas toujours par des symptômes , très objectifs et qu'on peut les laisser échap-
ème paire paraît bien indemne. Il existe encore chez ce malade deux symptômes qui peuvent indiquer une localisation bulboprot
syringomyéliques dans la région cervicale. Mais la constatation de symptômes sensitifs et moteurs s'étendant jus- qu'aux ext
e d'une syringomyélie bulbo-cervicale suffit à ex- pliquer tous les symptômes que l'on observe chez F...; le maximum des lési
yeux. Rxitus le 4 avril 1904. DATES. - 30 septembre 1903 : premiers symptômes de maladie, sous forme d'attaque convulsive, pr
e aussi longtemps que ces moyens ne furent pas épuisés. Ensuite les symptômes de com- pression générale se déclarèrent d'auta
iques, avec papilles extrêmement gonflées et proéminentes, bref les symptômes d'une pression iutra- crânienne augmentée, bien
plète et cela seul explique la longue durée de la maladie. Dans les symptômes observés par M. le Dr Weber, il est quelques dé
tionnels ; il n'était pas associé à une diminution de la force. Ces symptômes furent sans doute la conséquence des destructio
cette déglutition laborieuse, on peut assister à toute une série de symptômes alarmants : la malade devient cyanotique, les rés
peu plus en bas et en position oblique à gauche. En présence de ces symptômes , on pose le diagnostic clinique de sténose du c
Nous retrouvons dans l'histoire clinique de ces trois cas les mêmes symptômes qu'on a constatés chez notre malade : c'est-à-dir
mieux comprendre sinon d'ex- pliquer entièrement, quelques-uns des symptômes observés. On le voit, cette dernière conclusion
e les troubles de l'équilibration ne sont pas négligeables dans les symptômes cliniques de la sénilité cérébrale ; que les vert
cture anatomique. Il en résultera aussi cette conviction que si les symptômes cérébelleux ont grand besoin d'être précisés, s
tumeur dans une zone silencieuse explique la longue absence de tout symptôme localisateur. Son étendue jusqu'au voisinage de
ostic porté était celui de paralysie pseudo-bulbaire. Pourtant, aux symptômes classiques que nous venons d'énumérer s'en ajouta
trale des cordons postérieurs. Ces lésions concordent bien avec les symptômes observés dans le cerveau,dé- myélinisation diff
cunes de la calotte protubérantielle semblent bien correspondre aux symptômes particuliers : nystagmus, parole scandée, tremb
de tremblement intentionnel, de nystag- mus, de parole scandée. Ces symptômes sont rarement observés dans la paralysie pseudo
c- tuels qui indiquent l'existence des lésions cérébrales, d'autres symptômes tels que le nystagmus, la parole scandée, le tr
(de Turin). Les troubles trophiques comptent certainement parmi les symptômes les plus fréquemment observés au cours de la sy
phénomène particulier qui puisse expliquer le développement de ces symptômes . En dehors de ces troubles trophiques, il en es
aquelle nous nous sommes livrés, de superposer assez exactement les symptômes aux lésions et d'expliquer ceux-là par celles-c
manque dans l'acromégalie. Toutefois il faut ajouter que ce dernier symptôme peut-être d'une constatation difficile et que s
nger, Fischer, etc., nous croyons que la cheiromégalie constitue un symptôme de la syringomyélie et est tout à fait indépendan
e- lui-ci ne présentait des caractères qui le différencient par des symptômes particuliers du cadre commun de la maladie de P
re ; à ce moment ses menstrues furent de nouveau suspendues, et des symptômes de plus en plus graves apparurent qui conduisiren
quable. On lit suivre plusieurs fois la cure antibiotique, mais les symptômes ne se modifièrent pas. Depuis quelques mois o
malade la cyphose et la difformité du thorax, ainsi que deux autres symptômes essentiels de l'acromégalie : l'aménor- rhée et
nèse ; et parce que la cure anti- luétique, entreprise aux premiers symptômes du mal, n'en a pas empêché l'évolution. On po
e les lésions ostéo-articulai- res ont précédé la manifestation des symptômes des maladies de la moelle épinière : avec la dé
e du processus acromégalique, manifestation qui est liée aux autres symptômes comme une conséquence de la cause pathogé- niqu
u fond oculaire, du champ visuel, de la radiographie, on n'a pas de symptômes qui annoncent l'accroissement de l'hypophyse.
ntôt s'aggrava. C'était le début d'un torticolis mental. Le premier symptôme qui l'ait frappé fut le suivant : il lui semblait
rtait invinciblement à gauche. Dans les premiers jours du mois, ces symptômes se sont aggravés, les mou- vements intempestifs
lus mal la veille on est mieux le lendemain ou inversement ; et les symptômes d'amélio- ration disparaissent quelquefois comm
'amélio- ration disparaissent quelquefois comme avaient disparu des symptômes d'ag- gravation. L'important est de voir si la
olo- gique, si bien, que certains observateurs l'on décrit comme un symptôme pathognomonique d'une forme spéciale de la para
rome de Weber avec hémianopsie datant de 28 ans, 185. Séglas. Des symptômes cala Ionique, au runrs de la pAralY'le général-
valution) (9 dessins, 2 pi.), par E. Long, 46. Catit toniques ( symptômes ) au CO'II'S de la paralysie qértérale (2 pl ),
55 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tentes de l'autre, serait justifiée par l'intensité plus grande des symptômes de la manie et de la mélancolie simples, dont l
ns- tant, en effet, d'apprendre par une enquête soigneuse que les symptômes d'excitation maniaque ont été pré- cédés d'une
de scléroses cérébrales, ne se traduisant clini- quement. par aucun symptôme . Dans ces états, on a cherché, le Prof. Pierret
quentes altérations, sans rapport avec des causes définies et des symptômes déterminés. On les appelle alors des lésions hana
la même lésion et que heaucoupde lésions peuvent aboutir au même symptôme , lien est, d'ailleurs, ainsi dans toute la pathol
ques, et beaucoup de lésions hépati - (lue" peuvent ahout il' à des symptômes analogues d'insuffisance hépatique. Néanmoins,
égories de poisons, des catégories de lésions, et des catégories de symptômes . (,'et d'ail- leurs, la traditionnelle méthode
flloriine 1861-1865); par3lARGAiN. (\'o2eu.Icox, de la IV. - Les symptômes du délire d'interprétation ; par Sérieux et CAP
e, 19011, n° 2.) La confusion aiguë n'est pas une maladie, c'est un symptôme qui est l'expression d'une intoxication exogène
la paralysie générale la plus incon- testable par l'ensemble de ses symptômes et par son évolution, peut répondre à dos lésio
à et au-delà duquel ces mêmes agents pathogènes produisent d'aulres symptômes . » (IiCitl(',Ieill·0107gue, avril 1905). E. H.
ntes. Le diabète produit des accidents nerveux et mentaux. Tous les symptômes qui constituent le syndrome paralysie gé- néral
conscience qu'en prennent certains sujets. Pour la description des symptômes , les états mélancoliques sont réduits à deux fo
ltats sont valables pour tous les cas, le mode de constitution d'un symptôme se retrouvant par- tout où se trouve le symptôm
constitution d'un symptôme se retrouvant par- tout où se trouve le symptôme . Ces troubles de l'esprit sont dhi- BIBLIOGRA
émotion, et, pour ainsi dire, au commandement. Jamais le moindre symptôme de lésion cérébelleuse ; nul trou- ble de l'équ
que dans la région occipitale. En 1904, le malade offrit quelques symptômes de tuberculose pulmonaire qui s'amendèrent au bou
ns ne s'était traduite, ainsi qu'on le verra plus loin, que par des symptômes trop vagues pour permettre un diagnostic précis
les méninges ne présentaient rien d'anormal, il existait certains symptômes qui se rattachent probablement à la malformatio
.), unilatérale, et d'ailleurs limitée, rapportés par Thomas, les symptômes cérébelleux furent presque toujours multiples e
elleuse, du moins d'une origine postérieure. CLINIQUE MENTALE Les symptômes oculaires de la Paralysie générale ; par ¡\
oculo- pupillaires de la paralysie générale, il faut observer ces symptômes oculaires aux trois périodes de la Para- lysie
: 1° les troubles pupillaires; 2° les trou- bles visuels ;- 3° les symptômes qui dépendent des rapports vasculaires de l'oei
l et de l'encéphale; - 4° les altérations du fond de l'oeil; 5° les symptômes oculaires accessoires. Première période, TROU
ssible de trouver une tare quelconque. On a exagéré l'importance du symptôme isolé : l'inégalité pupillaire, dans la paralys
en même temps qu'il y a parésie du réflexe àl'accommodation, estun symptôme encore plus fréquemment observé que le vrai Arg
ale que dans le tabès et lasyphilis. Ainsi que dit Dupuy-Dutemps,ce symptôme est d'une grande valeur, aussi bien en médecine
ralysie générale, le tabès, la syphilis et la catatonic. Tous ces symptômes , les uns très rares, les autres plus fréquents,
paupières. La déviation conjuguée de la tête et des yeux, est un symptôme important pendant l'ictus, d'après des phénomèn
ssement de la vue. 11 faut donc signaler, pour la mise en valeur du symptôme amblyopie, l'importance de l'étude des antécéde
llant, céphalée sus-orbitairc, vomissements), ou accompagnée (mêmes symptômes avec troubles passagers d'Itr : nZio21e ou d'ap
nZio21e ou d'aphasie ou d'épilepsie par- tielle), est un excellent symptôme du début qui (toit faire rechercher les autres
er l'influence du tabac, de l'alcool ou du sucre ; ou bien c'est un symptôme qui accompagne l'ic- tus, et dans ce cas, d'apr
ue dans les délires toxiques et n'ayant pas les mêmes caractères. Symptômes qui dépendent des.rapports VASCULAI- RES de L'&
signes qui n'ont d'importance qu'à la condition de les associeraux symptômes pupillaires et généraux, soit : la congestion p
ophtalmoscope, ou bien on trouve un fond d'oeil normal, ou bien les symptômes peu accusés et varia- bles de la papille signal
rès plusieurs ictus épileptiformes ; ce serait même là un excellent symptôme pour le diagnostic rétrospec- tif dans le cas d
e sont pas parallèles au développe- ment de l'atrophie. C'est là le symptôme le plus essen- tiel pour le diagnostic, et i^fa
e les noyaux sont très rapprochés. A ces signes s'ajoutent quelques symptômes de moin- dre importance comme Venophtalmie qui
les unes favorablement, les au- tres défavorablement, la marche des symptômes ocu- lo-pupillaires. En général, les lésions
(1) A. HODIET, P. CAUS, P. PAUSIER. - De la valeur diagnostique des symptômes oculaires aux trois périodes de la paralysie géné
x. Aussi bien à cause des ictus qu'à cause des rémissions, certains symptômes oculaires s'accusent, tantôt dès la première pé
nt nocifs pour les ani- maux, et qu'ils ne se manilestent par aucun symptôme cli- nique permettant d'affirmer leur existence
ement par un ictus très léger, très incomplet et très passager. Les symptômes CONGRÈS des médecins aliénistes ET NEUROLOGIS
ressortit bien à la névrose. Son diagnostic doit être basé sur les symptômes somatiques et psychiques de l'hystérie constaté
nombreuses, de délire hallucinatoire, de somnambulisme,d'importants symptômes physiques,nous croyons que l'expert doit tendre
es : stigmates mentaux hystériques, stigmates mentaux épileptiques, symptômes en foyer (dans les cas de tumeurs cérébrales) e
es en foyer (dans les cas de tumeurs cérébrales) et en l'absence de symptômes physiques de paralysie générale, doivent être c
ynx, et restent sans effet. La crise laryngée est donc composée des symptômes que voici, qui ne sont pas toujours réunis, et
énie de tous ces accidents s'éclaire, si on la com- pare aux autres symptômes du tabès.A côté de 1 hyperesthésie laryngée, il
à une douleur insup- portable, etc., etc. L'est là une catégorie de symptômes des plus constants et des plus caractéristiques
les nourries longtemps avec du mais avarié, et qui pré- sentent les symptômes caractéristiques de la pellagre chronique, rési
ramidaux, en clinique encore, quand on se trouve en face de pareils symptômes , on n'hésite pas à admettre qu'il doit y avoir
sme, qui garde le lit pendant une semaine, ne se plaignant d'autres symptômes que de douleurs à la nuque et de fourmillements
n au contraire, les dénominations mettant simplement en vedette les symptômes dominants consti- tuent un bon travail de class
petits ll'emhlplI1t'11[d ! 's11lemhl'es, sul'louL ducùLédl'Oil. Ces symptômes s'accentuèrent légèrement : la face se prit et de
Faure (de La Malou). Certains tabétiques, qui ne présentent pas les symptômes de la démarche ataxique classique,accusent, néa
es de 1 atten- tion, l'apathie, l'aboulie,sont différents des mêmes symptômes de la neurasthénie vraie. Il faut remonter à le
s le « fou rire » et mérite une étude beaucoup plus approfondie. Ce symptôme avant-coureur est très important et j'ai réuni
SAl117 (de Paris). J'ai observé plusieurs malades chez lesquels des symptômes de paralysie générale ont été notés peu après u
homme âgé de quarante ans, n'a eu, pendant huit mois, comme unique symptôme , que des troubles mentaux spéciaux, puis, deux
ion du noyau, etc.). 11 résulte de ces constatations que les divers symptômes observés chez ces deux malades ont presque tous
me il n'y âge les troubles mentaux qu'on puisse considérer comme un symptôme à proprement parler d'origine calleuse. Et enco
ns auteurs ont décrits, dans les tumeurs du corps calleux, sont des symptômes tardifs dus à la propagation de la tumeur à des
la céphalée, mais de la céphalée précoce seulement. Les au- tres symptômes donnés par les auteurs sont des symptômes d'emp
e seulement. Les au- tres symptômes donnés par les auteurs sont des symptômes d'emprunt, la tumeur étant bien rarement limité
iosité ; la seconde, cherchant par ce moyen à faire disparaître les symptômes morbides qu'elle ressent, est dite nymphomane t
contact, une répulsion plus violente encore. M. Régis. A côté du symptôme nymphomanie, se trouve toujours un substratum m
nci- CONGRÈS DES MÉDECINS ALIENISTES ET NEUROLOGISTES. 211 paux symptômes notés ont été la confusion mentale allant jusqu
plique que les préparations martiales amènent une aggra- vation des symptômes d'excitation chez certains nerveux déjà surexci
unissant ainsi sous ce terme des affections disparates dont le seul symptôme commun est la brièveté relative des mem- bres.
comment une lésion localisée peut fixer chez une hystéri- que, les symptômes névropathiquessur la zone intéressée. G. C. \Il
une intervention immédiate. 11 faut savoir attendre l'apparition de symptômes plus caractéristi- ques, d'une extension mastoï
une syphilis acquise chez le malade de la troisième génération. Les symptômes paralytiques vont s'atténuant de la première gé
ntre trois types cliniques. Dans le premier le nystagmus estle seul symptôme ; dans le second, il y a quelques symptômes léger
le nystagmus estle seul symptôme ; dans le second, il y a quelques symptômes légers surajoutés, le troisième est la forme gr
Actuellement (octobre 1906), ce sujet ne présente plus aucun des symptômes que l'on trouvera signalés au cours de cette ob
les troubles si variés et si mo- biles de la sensibilité, tous les symptômes enfin, cons- tatés chez D ? étaient des manifes
Penicillum Glaucum. Les propriétés pathogènes se révèlent avec des symptômes identiques d'intoxication à caractères dépressi
ez un épileptique peut précéder de quelques jours l'explo- sion des symptômes cliniques caractéristiques d'un état de mal gra
les parait difficile faire. Aucun doses malades n'avait présenté de symptômes spinaux. Ch. Bonne. LII. Zur Kenntnis des assoz
ystagmus horizontal synchrones aux secous- ses de l'orhiculaire. Ce symptôme serait différent du « nastag- mus réflexe » de
tre cas de lésion des trois nerfs mixtes. Il discute longuement les symptômes qui relèvent de la participation de chacun de c
d'excitation el de la faiblesse intellectuelle présenta cer- tains symptômes d'alfection cérébelleuse » dont S. remet la des-
plus variables : quelquefois la mort suit de très près les premiers symptômes ; d'autres lois le cyli- cirque est constaté à
s rapides de la tête ; absence ou manque de précision de tout autre symptôme objectif ; mort subite. S. apporte deux nouve
mus. Les mouve- ments rapides de la tôle ne s'accompagnaient pas de symptôme spécial. Mort subite sans autre aggravation. Le
é par la présence d'une couronne de crochets. Malgré l'absence du symptôme de Bruns (vertiges par les mou- vements brusque
atique et hérédo-syphilitique, qui pré- senta à 20 ans les premiers symptômes d'une paralysie générale a laquelle il succomba
que instant, d'instituer le traitement suggestif pour savoir si tel symptôme est d'origine organique ou d'origine fonctionne
et le diagnostic porté fut celui d'imbécillité prononcée. IV. Des symptômes spéciaux permirent de préciser la variété parti
ses des hémisphères géré- braux, qui ne se sont traduites par aucun symptôme significatif durant la vie. Vil. Ce cas s'ajo
e les travaux étrangers. REVUE nE PATHOLOGIE NERVEUSE. 4*)7 les symptômes suivants : lebasin s'incline fortement à gauche
ecousses localisées qui pendant plusieurs an- nées furent les seuls symptômes , les opinions émises sur la va- leur diagnostiq
nature épileptique des convulsions localisées survenant sans autre symptôme (évolution, hérédité, survenance ou cessation p
huit semaines une solution arsenicale quand apparurent les premiers symptômes : engour- dissement, (roubles trophiques cutané
devint très évi- dent, avec prédominance encore du cù(3 gaucho. Les symptômes cérébraux reparurent, une ponction lombaire don
résentant une association h\s- léro-labéliquc. Nie la syphilis. Les symptômes relevant du (abcs sont les plus nombreux : sign
douleurs fulgurantes, ébauche de troubles sphinctériens. D'au- tres symptômes prouvent l'existence de lésions siégeant sur le
dans ce que Crouzon appelle sclérose combinée avec association do symptômes spasmodiques et de troubles labéliques. G. C. .
quelques granulations comme des grains de semoules. Les premiers symptômes méningés dataient de trois semaines. Ce fait mo
tre eux des analogies pouvant faire penser à une identité. Tous les symptômes cardinaux do la neurasthénie, ses stigmates, pe
tique puisque un grand nombre de vertiges s comme beaucoup d'autres symptômes voisins sont curables par un traitement du rhin
es heures le calme renaissait ; l'enfant très abattu conservait les symptômes suivants ; impotence fonctionnelle des quatre m
n mois. Jeune homme de 16 ans, signes de réaction mastoïdienne avec symptômes cérébraux de- puis huit jours. A l'entrée. Le
z rare chez le toutjeu- ne enfant. L'observation ne diffère par ses symptômes des cas classiques que par l'hypothermie qui a
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 4G9 suffit il expliquer certains symptômes douloureux. La pie-mère devient le siège d'une
ode de Donaggio pour les - , par Lugiato, p. 141. 1 - Délire. Les symptômes du d'interprétation, par Sérieux et Capgras,
par Pierze, p. 41. générale tuberculeuse, par Klrphel, p. 43. Les symptômes oculaires de la générale, par Rodiet.Dubos et
56 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e. A. Physiologie pathologique. - L'idée fixe pathologique est un symptôme de perturbation profonde des facultés. Quelle e
s l'auteur allemand, le propre des dégénérés, d'être hantés par des symptômes d'aliénation mentale isolés, comme les idées pr
ladies mentales ont évolué pendant quelque temps, le mé- lange de symptômes de toutes sortes ne permet plus d'en concevoir,
ges. Mais il reste encore la possession par les bons anges. 4 Des symptômes intellectuels de la folie, P. Dclahayr, 1867. C
; en effet, d'ordinaire, cette thyroïdite ne se manifeste par aucun symptôme , et il est bien difficile d'en déterminer la ca
s de chlorure d'éthyle, badigeonnage d'essence de Wintergreen), les symptômes s'atténuèrent, mais ne disparurent pas. Bien qu
une déséquilibration mentale manifeste, a été atteinte des premiers symptômes de chorée, à l'âge de treize ans et demi, cinq
Pendant le séjour de la malade dans le service de M. Brissaud, les symptômes se modifièrent à diverses reprises ; les mouvemen
ope, de neuro- rétinite avec atrophie de la papille; puis les mêmes symptômes apparurent à l'oeil droit et la cécité devint c
UE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. par la tumeur explique l'hémianesthésie, symptôme qui fait habi- tuellement défaut en pareil cas,
es résumés judicieux éclairent la bizarrerie et la multiplicité des symptômes cliniques, la difficulté fréquente des commémor
nécessite pas des efforts. Et si vous relevez quelques-uns de ces symptômes dont le malade oubliait même de vous parler, inte
lâché la jeune fille. » On ne trouve pas chez notre homme d'autres symptômes psy- chotiques. Mais il est et demeure convainc
2 et SOUQUES'. 3. L'idée fixe s'y traduit le plus souvent par un symptôme physique dont la nature est en rapport avec son
eurs profuses, les urines abondantes, la salivation, etc., sont des symptômes favorables et qu'il faut res- pecter au cours d
auteur a eu l'idée de traiter par l'ovarine une malade chez qui les symptômes du goitre exophtalmique s'étaient développées au
nguer partout le facteur suggestif qui, selon les cas, s'ajoute aux symptômes d'une maladie ou aux éléments d'une guérison, o
comme un dégénéré portant pour stigmates de sa dégénéres- cence les symptômes physiques de la maladie de Recklinghausen et la
aîné de ces deux frères ne s'était pas adressé à l'hôpital pour des symptômes tabétiques. Voici son observation succincte.
phall et des troubles de la sensibilité (hypo- esthésie). En outre, symptômes manifestes de la maladie de Thomsen,dont le déb
Le frère du malade, Michel E..., âgé de dix-huit ans, présente des symptômes plus prononcés de la myotonie. En effet, le malad
n de créatinine et une diminution notable d'acide urique. Les mêmes symptômes de myotonie se retrouvent chez un troisième frè
s, ni d'intoxications), qui présente pour la troisième fois le même symptôme complexe, qu'à l'âge de douze ans et de vingt e
e de paralysie générale. Puis, brusquement, elle manifeste tous les symptômes de la para- SOCIÉTÉS SAVANTES. ibis lysie gén
n tt aumatisme, capable d'avoir sectionné la moelle, expliquait ces symptômes . Mais en outre existait sur la moitié droite du
aleur avec conservation du tact existe à droite. Ces deux ordres de symptômes feraient songer à un syndrome de 13rown-SéIJuar
suggestion. Elle présente deux formes : to une forme pure dont les symptômes , la douleur et la contracture, oflrent des cara
d'une folie chronique, l'urémie intercurrente se manifeste par des symptômes psychiques indé- pendants, tels que l'hébétude
courbe : une lésion très superficielle et légère ne détermine aucun symptôme du côté des yeux ; une lésion un peu plus prono
- lod). Brissaud et Souques ont contesté la valeur clinique de ce symptôme , en observant qu'à l'état normal un certain nom-
tteint de paralysie pseudo-bulbaire présentait du côté des yeux les symptômes suivants : « Les yeux sont déviés à gauche et n
ence de perte de connaissance au début. l'aggravation graduelle des symptômes : malaise, céphalée. vomissements, confusion, p
pport que Broadbent s'est proposé d'établir entre l'évo- lution des symptômes et la localisation de la lésion. Le tableau sym
ns la description de Thomas Watson : « Le coma n'est pas le premier symptôme . La maladie commence ordi- nairement par une do
tinctif, il semblerait toujours se produire à un moment donné comme symptômes principaux des vomisse- ments, une hémiplégie a
de la tête et des yeux, sans perte de connaissance ; enfin' le seul symptôme de début peut être une attaque de paralysie qui
lucidité de durée variable. Si l'on envisage la marche générale des symptômes l'on voit qu'elle peut être régulièrement progr
n au caractère progressif de l'évolution des symp- tômes et non aux symptômes eux-mêmes. Ces derniers se retrouvent dans le t
s l'apoplexie progressive, la production tardive du coma permet aux symptômes d'apparaître successivement et avec plus d'évid
une apoplexie progressive type jusqu'au coma terminal. Enfin, les symptômes relevés ne se reproduisent pas clans DE L'APOPL
s de règle dans la progression. Dès lors, comme au point de vue des symptômes et de la marche on trouve tous les intermédiair
morragie dans celle région comme cause de la marche progressive des symptômes . Cette conclusion est bien en rapport avec ce q
2° De ses observations cliniques et de celles des auteurs. : les symptômes pénibles de la ménopause naturelle ont disparu ou
e, l'on peut rencontrer des idées délirantes de jalousie à titre de symptômes ou de phénomènes accessoires dans un certain no
s. Ballet (Victor). De la paralysie bulbo-spinale ctsllté- nique ou symptôme ! l'Ea·b. Bargy (François). De l'alcoolisme au
hal (Moïse). De la douleur dans la syringomyélie. Sa valeur comme symptôme initial dans celte affection. - Rousseau (Louis).
Vict. Cousin jusqu'à M. Havet, et un médecin, relatèrent les divers symptômes qu'il présenta, mais ne purent porter le diagno
opératoire. Les troubles psychiques post-opératoires présentent les symptômes les plus divers ». Ils sont le résul- tat de l'
ade fort calme à qui on faisait un pansement. En même temps que ces symptômes psychiques se développaient, les troubles somat
comme avant sa maladie. Toute trace de délire s'est évanouie; aucun symptôme n'indique plus l'existence d'hallucinations et
lusions sen- sorielles, et sur le délire entretenu par ces derniers symptômes . 270 CLINIQUE MENTALE. Mais lorsqu'on le ques
rysme de ce vaisseau, que se sont manifestés chez C... les premiers symptômes de folie. Ceux-ci ont apparu en même temps que
s de la confusion mentale. Pendant toute la durée de la maladie, le symptôme fondamental de l'état psychique du sujet a cons
e qui n'a pas ses règles, éprouve en général à leur époque quelques symptômes douloureux se rapportant à l'appareil de l'ovul
ère gauche. La pneumonie chronique, qui n'a jamais donné lieu à des symptômes alarmants, a pu cependant débi- liter le sujet
r les bains statiques biquotidiens. Dès les pre- mières séances les symptômes tabétiques disparurent; au bout t d'un mois de
naturellement à établir des variétés fixées par la prédominance des symptômes cliniques : tabes dorsalis, tabes supérieur. L'
, mais il ne serait pas mauvais de carac- tériser les formes par un symptôme dominant, et résultant nette- ment d'une lésion
résultant nette- ment d'une lésion métamérique bien déterminée. Le symptôme labyrinthique (signe de liomberg, difficulté de
ut au moins du faisceau pyramidal intra- cranien, les vertiges. Ces symptômes présenteraient une fréquence et une fixité bien
ndrome à marche lente en tout semblable à la confusion mentale. Ces symptômes s'observent surtout dans les fractures limitées
arques sur un certain nombre 314 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. de symptômes (réflexes du genou, anesthésies, contractures). I
hossek) pas plus que chez le jeune idiot qui n'avait présenté aucun symptôme spinal et dont les cordons postérieurs étaient
trée à l'Asile à onze ans et morte à dix-sept et présentant tousles symptômes de la paralysie générale. Syphilis congénitale
raie mais à une forme men- tale qui lui ressemble tout en ayant des symptômes différents, une évolution, une durée, des altér
vent défectueuse cette appellation de syphilitiques appliquée à des symptômes qui ne'sont, en fait, que des réactions du cerv
ésions probablement syphi- litiques mais qui produiraient les mêmes symptômes si elles étaient gliomateuses ou tuberculeuses,
perdit pas la parole et guérit com- plètement. Après analyse des symptômes cliniques F... s'arrête au diagnos- tic d'encép
s), la température est normale. Après une aggravation passagère des symptômes bulbaires, les phénomènes commencent à s'amélio
nes commencent à s'améliorer. La mère présenta à peu près les mêmes symptômes morbides et en plus un nystagmus horizontal.
a rareté des phéno- mènes d'abolition des fonctions cérébrales. Les symptômes céré- braux irritatifs marchent probablement de
forme d'une myélite par com- pression à marche rapide, sans aucuns symptômes cérébraux. On constata sous la peau la présence
toute une colonie de cysticerques libres. M. Mouratoff, vu que les symptômes cérébraux font défaut pendant la première phase
s phases ultérieures, croit pouvoir en conclure que la cause de ces symptômes réside dans la dégénéra- tion de l'écorce céréb
e. La première malade, âgée de trente-huit ans, a présenté tous les symptômes classiques de Basedow, et en outre des hémorrag
hymoses sous-cutanées. Au bout de deux mois de traitement, tous les symptômes basedowiens se sont amendés, et en même temps l
iées sans cause locale apparente, P... eut l'idée de rechercher les symptômes de Basedow, et effectivement il constata une hy
ntérêt de cette dernière observation réside purement dans ce que le symptôme « hémorragies », qui passe pour un symptôme rel
purement dans ce que le symptôme « hémorragies », qui passe pour un symptôme relativement rare de la maladie de Basedow, a p
, le 8 décembre 1898, on constate l'absence des réflexes rotuliens, symptôme de Romberg peu prononcé. La parole et les pupil
hez les cobayes et de la quatrième chez les lapins apparaissent des symptômes de névrite dégénérative plus ou moins nettement
es, athétosiques ou simplement post-hémiplégiques : voilà autant de symptômes qui peuvent s'associer dans le syn- drome de Li
se et du vague, notre malade n'ayant pas présenté pendant sa vie de symptôme net dans le domaine des autres nerfs crâniens.
comme un entité morbide les cas de paralysie ascendante aiguë avec symptômes purement moteurs et lésion exclusivement médull
comme la nôtre, à un tableau clinique bien net, sans adjonction de symptômes accessoires, et surtout des lésions aussi exact
ocalisées aux cellules des neurones moteurs péri- phériques et avec symptômes uniquement moteurs. ' Raymond. Presse médicale,
avait douleur à la pression sur les côtés de cette région. Ceitains symptômes permettaient de spécifierla hauleureracte de l'
avait aucun autre signe d'affection tuberculeuse, et par contre les symptômes cons- tatés ne pouvaient point être considérés
une rechute. Le traitement dut être repris; sous son influence, les symptômes du goitre exophtal- mique ne tardèrent pas à ré
'une paralysie complète, il n'y a plus qu'une ataxie modérée et les symptômes physiques s'améliorent. Dans le second cas, tab
omotrices du cerveau, et favoriseront son bien-être général. Si les symptômes du grand mal sont relativement simples, son éti
à l'is- chémie cérébrale » ; mais qu'en résumé, le délire est un symptôme rare, qui n'a été mentionné que dans un très peti
une étendue considérable de l'infarctus, il ne se traduit par aucun symptôme clinique localisé du côté des appareils de rela
EMENT CÉRÉBRAL ET TROUBLES PSYCHIQUES. 439 voies digestives. Pas de symptômes moteurs. Obnubilation intel- lectuelle un peu p
e variété des RAMOLLISSEMENT CÉRÉBRAL ET TROUBLES PSYCHIQUES. 441 symptômes objectifs de l'agitation maniaque, la relativité
nstatant qu'en dehors des troubles psychiques, il ne présente aucun symptôme d'inflammation aiguë, parti- culièrement de Y h
itement par le lit répond à ces indications pressantes. Parmi les symptômes physiques qui réclament plus parti- culièrement
oires, sans parler des états fébriles ou subfébriles. Or ces divers symptômes se rencontrent assez fréquemment chez les mélan
ment admis. L'alitement atténue à n'en pas douter l'intensité des symptômes les plus pénibles des maladies mentales aiguës
our le lit, sur la nécessité du repos : « Tant qu'il existe quelque symptôme d'une circulation trop abondante dans le cervea
ent; il faut le tenir aussi inaclif que possible jusqu'à ce que ces symptômes aient cédé au traitement médical.» Ce fait se t
taire, syphilitique, estatleintde tabes en '1893, puis présente des symptômes de paralysie générale en 1807. Sous l'influence
rs et cessant tout à coup comme par enchantement étaient le premier symptôme d'un tubes dorsalis. Eugène X... éprouva au bou
feur dans une usine. L'année 18% n'amène aucune diminution dans les symptômes tabétiques. Par moments, les jambes du malade f
ains. HALLUCINATIONS PSYCHO-MOTRICES. k 1 épi Au point de vue des symptômes tabétiques nous notons : Absence complète des r
Pas de troubles trophiques. L'auscultation du coeur ne dénote aucun symptôme morbide, sauf des bruits sourds et mal frappés.
ues accrocs de la parole, de l'inégalité pupillaire D > G et ses symptômes tabé- tiques. Dix jours après sa sortie, le m
fourmillements dans les deux mains, céphalée, gâtisme intermittent; symptômes tabétiques stationnaires. Vers la fin de l'an
le fémur et deux pour l'hu- mérus. Ces cinq cas comportaient comme symptômes communs : siège de la fracture un peu au-dessou
n apparition est toujours précédée, ou au moins accompagnée par les symptômes d'une inhibition cérébrale profonde, par les si
l'évolution parallèle de ce mode respiratoire, et d'un ensemble de symptômes qui relèvent de diverses sphères de l'activité
nt la suggestibihté. Il ne faut pas, au surplus, oublier les grands symptômes maté- riels des névroses fonctionnelles ; tels
ple, sans paralysie, malgré l'extrême étendue du traumatisme. Les symptômes ont marché progressivement, mais après un interva
bientôt apparaissent des vomissements, de l'amblyopie gauche, des symptômes associés du côté des nerfs crâniens. C'est donc u
-à- dire croisée par rapport à la tumeur (Landouzy) ; à cause des symptômes permanents tels que les troubles de la sensibilit
r siège au milieu de l'ensemble des territoires en rapport avec ces symptômes , c'est-à- dire dans le lobe pariétal gauche, et
ioni. Il y a donc eu accidents de pres- sion cérébrale et à la fois symptômes convulsifs dus à l'influence directe de l'alcoo
ques d'épilepsie. Il est plus rare de voir l'angoisse constituer le symptôme le plus essentiel de la névrose épileptique ; e
is l'atteinte exclusive du territoire de l'hypoglosse, l'absence de symptômes bulbaires, 1'uililatéralité éliminent une lésion
poliomyélite) parce qu'il n'existe ni fièvre, ni douleur, ni autre symptôme de ce genre, parce que la malade (âgée de dix-s
mie. Mais la lenteur du début, le développement lent et graduel des symptômes , la longue durée de l'évolution, l'absence de sig
ait développée la tumeur maligne. La névrite optique est le grand symptôme des tumeurs de cette région. Elle se termine pa
, l'ataxie en certaines cir- constances, indiquent le tabes. Pas de symptômes pupillaires. Pas de syphilis. Depuis quatre ans
nt constaté que si la durée de la psychose n'était pas abrégée, les symptômes en étaient moins pénibles. En ce qui concerne l
92, il faudrait rechercher les formes mentales de la maladie et ses symptômes psychiques, encore si mal caractérisés. MM. C
e jeune homme était très intelligent, n'avait jamais présenté aucun symptôme de dérangement cérébral, son attaque l'avait pr
ios Nielsen and Lydlche. Grasset. - La distribution segmentaire des symptômes en séméio- 10.'lie médullaire. (Leçons recueill
Cardiopathie (ou lleart Fear), par Enlisch, 311. CnT.rontc. Les symptômes de la -, par Worcester, 501). Cellules dans l
57 (1870) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 2è année
edi à 10 heures du soir, au moment de son entrée, elle présentait les symptômes suivants : La malade est agitée. Les yeux sont
uales sont saines. — Nous pouvons noter dans cette observation deux symptômes importants : ce sont l'anesthôsie de la peau et l
xes à la base du poumon gauche. Nous avons devant nous la série des symptômes de la bronchite simple, suite de refroidissement.
l'entrée du malade, c'est-à-dire à la date du 22 juillet, de nouveaux symptômes plus graves se manifestent. La fièvre non-seuleme
tion du parenchyme pulmonaire. Le lendemain 25 juillet, de nouveaux symptômes se joignent aux précédents ; ce sont : l'appariti
mplet de l'état confirmé du ma¬lade, état ne devant plus présenter de symptômes nouveaux, mais seulement une aggravation croissan
moptysies, ainsi que de l'anémie et de l'affaiblissement général. Les symptômes du côté delà poitrine ne se modifient pas, sauf q
répétitions, ensuite de mieux adapter à un coup d'œil d'ensemble les symptômes prédominants, caractérisliques, et qui répondaien
u, pour ce dernier, en même temps que cette évacuation purulente, les symptômes d'une caverne communiquant avec des tuyaux aérien
s; mais ce qu'on y trouve, c'est une étude attentive et raisonnée des symptômes et des caraclères propres à chaque maladie cardia
ompagnent ces lésions, et fait ressortir avec soin la valeur de ces symptômes : il n'oublie pas non plus de traiter de l'hy¬per
es difficultés anatomiques de la région, et la discussion de tous les symptômes que sa structure lui permet de présenter. Le livr
re son travail. 9 septembre. Il vient à la consultation offrant les symptômes d'un embarras gastrique très-prononcé, compliqué
pliqué d1étourdissements et de céphalalgie. Comme il n'y avait pas de symptômes bilieux, nous lui avons prescrit2 une bouteille d
Les cas dans lesquels le tsenia donne lieu à des convulsions, à des symptômes nerveux, s'ils sont peu communs en comparaison de
u'il ne faut pas con¬fondre avecjhne forme d'endocardite ulcéreuse1 à symptômes fran¬chement aigus et très-manifestes ; il rattac
réunir sous une même dénomination et sous une même description trois symptômes d'une seule et même maladie. Nous allons appuyer
fait longtemps observé et dans lequel on a pu voir la succession des symptômes de la maladie : érythèmes, vésicules, croûtes et
là un argument suffisant pour établir que l'intertrigo est le premier symptôme de l'eczéma et non une entité nosologique distinc
adémie de médecine, séance du 19 avril 18b4 diarrhée. En raison des symptômes d'embarras gastrique qui exis¬taient quand il fut
pliqué. Le kousso fut administré, un long tœnia fut rendu et tous les symptômes que nous avons enu¬meres disparurent comme par en
ombreux, suffisent néan¬moins pour montrer combien sont variables les symptômes réflexes occasionnés par le taenia. Chez certains
as les seuls que produit le taenia, même en restant dans le champ des symptômes réflexes. L'observation suivante, due à M. Fauvel
ire tout à fait dis¬paru sitôt que le parasite a été expulsé l. Aux symptômes nerveux graves dont nous avons relaté des exemple
rer parce qu'ils sont bien indiqués dans les ouvrages classiques. Ces symptômes sont : la 1 Dans cette revue des journaux, nous
s et les physiologistes modernes essayent aujourd'hui de préciser les symptômes qui se manifestent chez un aphasique, de remonter
ation de grouper les opinions les plus saillantes sur la nature de ce symptôme si remar¬quable, en tâchant d'y appliquer ensuite
observés minutieusement servent de base à ce travail, et la série des symptômes permit de diagnostiquer (en procédant par système
que ; dans la troisième, un ecthyma, de nature non douteuse, tous ces symptômes concomitants autorisent d'affirmer la nature de l
que, ans les circonstances présentes', les signes anamnestiques, les symptômes concomitants, enfin et surtout le traitement, don
la malade, d'ailleurs peu intelligente, n'indique pas au début de ce symptôme une date précise. Peu après sa sortie, c'est-à-di
mme n'a jamais été réglée, et elle a dit n'avoir jamais éprouvé aucun symptôme pouvant permettre de penser que chez elle l'acte
voir éprouvé un peu de malaise, avait vomi et, parlant, n'avait aucun symptôme d'intoxication. Il n'en était pas de même des deu
ne à croire que le quatrième arri¬vât vivant, tant étaient graves les symptômes . Je ne crois pas, enfin, qu'il faille attribuer a
mblement du train postérieur ; urine à deux reprises. — 6h20-40 : les symptômes augmentent. —6H0-7 heures: mieux ; démarche cha
de 40 gouttes de la solution d'atropine. L'animal a éprouvé les mêmes symptômes que le précédent. I! a uriné une fois, mais n'a e
chez Ad. Delahaye, libraire-éditeur. lions quelques types fixes, à symptômes définis pendant la vie, à lésions caractéristique
ut par la comparaison avec les tissus sains après la mort et avec des symptômes observés chez le malade pendant lavie; sinon l'au
les auteurs français, est loin d'être rare; mais l'obscu¬ rite des symptômes , trop semblables à ceux du cancer, en rendent le
ignements précis. Une sœur, âgée de 12 ans, n'aurait jamais offert de symptômes descro- 2e ANNÉE. 7 fuie cl jouirait d'une bo
out se passe sans fièvre, d'autres fois, au contraire, on observe des symptômes fébriles très-intenses. De là plusieurs catégorie
normal. — Fièvre de lait le second jour. — Diminution progressive des symptômes fé¬briles. — Cost... Augustine, 19 ans, est entré
. — Il y a trois ans, sans cause appré¬ciable, elle présenta tous les symptômes d'une inflammation péri-utérine, et c'est environ
es et le petit bassin, et rendant la marche pénible et difficile. Ces symptômes se sont accrus chaque jour, et aujourd'hui ils on
depuis plusieurs mois une leucorrhée abondante; —Mais les principaux symptômes sur lesquels elle appelle l'attention s'ob-serVen
une petite quantité d'albumine. Les jours suivants, la plupart des symptômes qui viennent d'ê¬tre énumérés augmentent d'intens
caractères de ces crises. — Arthropathie de l'épaule droite : début, symptômes , marche, état actuel. (Observa¬tion personnelle.)
tels faits indiquent le soin que l'on doit apporter dans l'examen des symptômes qui les caractérisent et la réserve qu'il faut me
préciation. REVUE PHOTOGRAPHIQUE DES HOPITAUX REIN NORMAL Les symptômes les plus caractéristiques de la présence des cal¬
ne¬ments fournis par l'examen des urines: nous venons de voir que ces symptômes peuvent manquer et alors le diagnostic se trouve
Il s'agit d'une femme, âgée de 64 ans, n'ayant jamais présenté aucun symptôme du côté des reins et chez laquelle, pendant la vi
n que les calculs rénaux puissent ne déceler leur existence par aucun symptôme caractéristique, même dans ces circonstances, ils
on évite de se soumettre à l'action de l'air et de la poussière, les symptômes s'amendent, el, au bout de deux ou trois jours, t
ique de ses muscles la fait beau¬coup souffrir. Du 8 au 22 mai, les symptômes suivent une marche décroissante très-peu marquée.
na plus que 8 grammes de chloral, puis 4 grammes seulement le 26. Les symptômes tétaniques disparurent complètement et dans les p
a pas le moindre trouble du côté des autres fonctions*. Le premier symptôme qui annonça l'arthropathie, ce fut le gon¬flement
l nous suffise, pour l'instant, d'avoir bien présents à l'esprit, les symptômes qui ont caractérisé, chez cette malade, le début,
bes, il en est tout autrement : lorsque chez l'un d'eux, les premiers symptômes se manifesteront, il ne cherchera pas à les faire
. Denton est appelé seulement le 16, six jours après l'apparition des symptômes alarmants. Il constate le trismus et un opisthoto
'ongle du pouce de la main gauche. Il était atteint depuis 8 jours de symptômes tétaniques, lorsque, le 12 mai, le Dr Ballantyne
t ces suspen¬sions, de fortes doses de chloral furent données, et ces symptômes se calmèrent. Les intestins n'agirent qu'après l'
Tétanos traumatique. — Traitement par le chloral. — Amélioration des symptômes tétaniques. — Dyspnée. — Mort par suite de compli
e fournit un exemple en quelque sorte typique, puisque la plupart des symptômes qui la ca¬ractérisent y figurent. Observation X
de la péritonite puerpérale généralisée, et maintes fois les premiers symptômes ne se manifestent que 8, 15, 20 et même 30 jours
l groupe de symp¬tômes. Chez la malade de notre observation XIII, les symptômes cé¬rébraux ont été plus accusés que ceux des autr
ents, etc. Nous n'énumérerons pas, à propos de cette observation, les symptômes habituels de la péritonite; on les trouve dans to
22 ans, qui entra six semaines après son accouchement, avec tous les symptômes d'une péritonite. Elle succomba le surlendemain :
58 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s dont l'incontinence n'est qu'un simple anneau. Si la nature de ce symptôme a été si longtemps méconnue, n'esl- ce pas préc
l'occasion de constater que quelques-uns sont polydip,-m siques. Ce symptôme se rencontre chez les sujets des observai «- ti
stion. 23 août. Deux nuits mouillées à quinze jours d'intervalle. Symptômes hy¡,té1'ifo1'11ws; sensation de boule remontant d
ts. Il semble ne pas y avoir d'heure réglée pour la production du symptôme ; quelquefois ça lui estdéjà arrivé à dix heures d
, mais il y a un an à la suite d'une fièvre violente accompagnée de symptômes céré- braux ayant fait craindre une méningite q
Cette situation se prolonge pendant un mois; puis, peu à peu, les symptômes s'amendent. X... est aujourd'hui guéri. L'avenir
an environ après le début de son affec- tion. Voici à ce moment les symptômes qu'il présente : tout d'abord le syndrome morbi
observations. La- conclusion finale est que l'eczéma est souvent un symptôme de l'hystérie, et qu'on ne doit attribuer aux i
quivalente à celle 'qu'on leur accorde dans l'apparition des autres symptômes de l'hystérie. C. 44 REVUE DE PATHOLOGIE NERV
moyen. Une telle lésion pro- duira donc, en fin de compte, tous les symptômes relevés chez 46 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
epuis l'àge de quinze ans jusqu'à vingt-huit ans, et qui est un des symptômes les plus précoces des cas de myopathie primitiv
cas. Dans six cas on observa des nausées et des vomissements. Comme symptômes d'abstinence, survenus au moment de la sup- pre
a dépression mélancolique. Par la cessation des accès et des autres symptômes inquiétants, les malades redeviennent aptes à j
rcolepsie, contrairement à ce qui a été dit (Gelineau), n'est qu'un symptôme et non une maladie spéciale. Il insiste sur l'i
seulement, il soit possible de trouver des tares héréditaires, les symptômes . qui distinguent une grande partie, des crimin
nerf pneumogastrique. L'épreuve orale a eu pour sujet : Erysipèle, symptômes et traitement. Les autres questions proposées é
s et traitement. Les autres questions proposées étaient : Rougeole, symptômes et diagnostic; Péricardite, symp- tômes et trai
eu lieu pour notre malade; la marche, le grou- pement, l'aspect des symptômes ont trompé quatre médecins différents entre les
en tout cas rester obscur même en pesant rigoureusement chacun des symptômes . Enfin, en présence de malades supposés atteint
matiqueset psychiques de la dégénérescence. En plus, l'ensemble des symptômes REVUE DE MÉDECINE LEGALE. 121 observés chez l
prison est une psychose de nature hystérique, caractérisée par les symptômes de la confusion moniale halluci- natoire; 2° Au
sme aigu peut se greffer sur le délire chronique et la totalité des symptômes peut être mise par erreur sur l'alcoolisme aigu s
fâcheuse au point de vue du pronostic que si elle s'ajoute à des symptômes de collapsus ; 5° L'exagération du phénomène du
l'affaiblissement intellectuel, la paralysie des pupilles et autres symptômes de la paralysie générale ; 6° L'exagération du
ucune altération anatomique connue, en raison de l'absence d'autres symptômes . L'examen microsco- pique, dans trois de ces ca
celle-ci a été diagnostiquée en se basant sur l'existence d'autres symptômes pathologiques. Cependant, en raison de la confu
enlre eux au point de vue clinique. M. Koppen insiste sur quelques symptômes particuliers au point de vue de leur significat
ésulte qu'une série de psychoses différentes peuvent pré- senter ce symptôme , 1' « obsession des réclamations ». Je suis par-
. Dans les cas où l'on voit la manie des réclamations constituer le symptôme prédominant, il ne faut pour justifier son diag
est un aliéné, est atteint d'une alfec- tion mentale, et qu'un des symptômes de cette affection est la manie des réclamation
e toute idée délirante, le fait de réclamer constitue à lui seul le symptôme unique et un symptôme pathologique. Le côté mal
, le fait de réclamer constitue à lui seul le symptôme unique et un symptôme pathologique. Le côté maladif de la conduite du
oissante des idées de persécution montrent le caractère maladif des symptômes , et ce qui importe au point de vue médico-légal
lan- tenwahu » de la nomenclature psychiatrique. Pour désigner ce symptôme on pourrait dire « querulirsucht » (obsession des
pour les autres dénominations de maladies mentales, un ensemble de symptômes typiques, dont le cornplexus réalise un type mo
demment les cas dans lesquels la manie des réclamations n'est qu'un symptôme accessoire. Il faut en conséquence conserver le
impossibles à con- trôler ; elles ne constituent d'ailleurs pas le symptôme maladif, ce sont les réactions pathologiques qu
sont constantes dans certaines variétés : elles constituent même un symptôme capital et prédominant. Mais apparaissent- elle
vail sur le même sujet nous avons insisté sur ce.fait, que tous les symptômes cliniques que pré- sente un tabétique ne doiven
re mis uniquement sur le compte du tabes dorsalis, que notamment le symptôme ataxie est souvent aggravé par un état mental,
nt le courage du malade, en lui faisant espérer l'amélioration du symptôme le plus gênant de sa maladie, on triomphe rapide-
ment des troubles neurasthéniques qui compliquent et aggra- vent le symptôme ataxie. Mais là s'arrêtent aussi les effets de
ique de l'incoordination motrice. Les théories qui considèrent ce symptôme comme une manifestation de la parésie musculaire
endrassik' qui a défendu l'origine cérébrale du tabes. Selon lui le symptôme ataxie est le résultat des altérations qu'il a
l'ataxie qui est plus développée à gauche. Chez nos malades, les symptômes avec une disposition unilatérale sont situés à
ofesseur Fournier a constaté de l'inégalité dans la répartition des symptômes tabétiques, avaient également le côté gauche pl
t que nous avons appelé le phénomène plantaire1. Voici en quoi ce symptôme curieux consiste. Si on- fait avec le bord de l'o
nt que peu à peu. Au point de vue de l'incoordination motrice, le symptôme le plus important pour nous, on peut diviser no
alade notre traitement doit être incri- miné dans la disparition du symptôme ataxie. En effet, cette malade a quitté l'hospi
êtrière complètement gué- rie de son ataxie, tout en conservant les symptômes cardinaux de tabes dorsalis. Au dire de cette m
nation motrice chez le tabétique, il est incontestable que tous les symptômes présentés par le malade sont favorablement infl
mènent plus volon- tiers, vaquent à leurs affaires, etc. Certains symptômes du tabes qui ne sont nullement en relation avec
dangereux. Indications. En faisant abstraction de tous les autres symptômes de tabes, quel que soit le degré d'incoordination
une durée d'un mois. Celte cure reste sans aucune influence sur les symptômes de tabès. ' Le malade n'a jamais eu de diplop
que l'amélioration s'est maintenue.il n'est survenu aucun nou- veau symptôme de tabes. Il y a toujours de l'insensibilité motr
hydrothérapie, électrothérapie, traitement moral et hygiénique. Les symptômes névrosiques s'amendèrent rapidement; les mains
ut de deux mois de traitement, la ma- lade ne présentait plus aucun symptôme morbide. , Ces deux observations montrent bien
ssions, c'est-à-dire des périodes pendant lesquelles la plupart des symptômes s'atténuent plus ou moins ou des intermissions,
ou moins ou des intermissions, c'est-à-dire des phases où tous les symptômes disparaissent pour constituer des guérisons tem
einte de folie hystérique. Elle jouit d'une très bonne santé et les symptômes hystériques sont très peu mar- qués. Pendant tr
grande importance. D'autres fois, au contraire, ils constituent un symptôme de haute valeur quand leur présence est constan
Il serait utile aussi de savoir dans quel cas le tremblement est un symptôme pure- ment fonctionnel, dans quel cas il est la
suggestion à supprimer le phénomène tremblement inten- tionnel ; ce symptôme n'est donc pas inhérent à la maladie orga- niqu
nt des scènes d'exaspération et de violence et l'exacerbation n des symptômes de folie. Au lieu d'admettre, comme M. Marandon
cicatrice ; quoi qu'il en soit, bien qu'immédiatement secouru, des symptômes bruyants se manifestèrent, les lèvres devenaien
aux périodes d'exa- cerbation et de rémission. Ce sont là autant de symptômes classiques et des plus nets chez notre malade.
truation, relativement à l'époque, à la durée, à la quantité et aux symptômes ? ` ? Grossesses, nombre, date de la première,
intéresse exclusivement le cône terminal. Dans le premier cas, les symptômes provoqués sont : une paralysie douloureuse ordi
circonscrite, des troubles de la miction et de la défécation. A ces symptômes primordiaux s'en ajoutent d'autres secondaires
absence du spasme, de l'éjaculation, etc. Tels sont les principaux symptômes observés quand la lésion retentit à la fois sur
se est une tumeur, le début sera naturellement lent et le pre- mier symptôme est le symptôme douleur. Cette douleur va rare-
r, le début sera naturellement lent et le pre- mier symptôme est le symptôme douleur. Cette douleur va rare- ment en s'aggra
réflexes rotuliens. Marche en steppage. M. Raymond analyse tous ces symptômes et il conclut à l'exis- tence d'une lésion qui
siège d'élancements très douloureux. A ce moment appa- raissent des symptômes généraux de l'hystérie, strangulation, troubles
service de M. le Dr Raymond. Ces deux myélites présentent les mêmes symptômes et les mêmes lésions macroscopiques, mais le mi
perte de connaissanee. Quatre jours après, à l'hôpital, on note les symptômes suivants : paraplégie flasque absolue, les deux
ns la moelle pour produire des paraplégies spasmodiques indemnes de symptômes cérébraux concomitants. Lorsque la syphilis tou
se par l'auteur, parce que surtout la malade n'a jamais présenté de symptômes méningitiques, jamais de vomis- sements, etc. L
s n'atteint pas les seuls syphili- tiques, expose-t-il, et tous les symptômes observés chez la malade, ainsi que leur mode de
un lambeau de chair inerte. Ophtalmoplégie externe avec tous ses symptômes qui donne à la physionomie un aspect étrange. Les
ne, mais le processus morbide est évidemment irrégulier. Le premier symptôme observé est la glossoplégie qui marque le début
à une dissertation clinique, claire et intéressante; la valeur des symptômes , leur signification, au point de vue anatomo-pa
n inconteslable, que cette affection peut également débuter par les symptômes de la paralysie glosso- labiale. Dernière rem
te cervicale hypertrophique. En effet, le malade présente nombre de symptômes qui n'existent pas dans l'atrophie muscu- laire
e guérison quand une rechute se produit et alors se manifestent des symptômes caracteristiques d'une lésion en foyer (maux de
ésion en foyer (maux de tête, parésies, troubles de la parole). Ces symptômes dispa- raissent sous l'influence du traitement
cherché récemment à expliquer l'aspect clinique particulier de ces symptômes en foyer, comme on l'a fait pour les symptômes
e particulier de ces symptômes en foyer, comme on l'a fait pour les symptômes somatiques. ' Westphal a signalé l'humeur fan
s. Les attaques observées chez le premier malade présentaient les symptômes cardinaux d'un accès dû à une excitation physique
nique en psychiatrie, comme le seul capable de mettre en relief les symptômes spécifiques consistant essentiellement dans des
Confinée au lit depuis le mois d'avril 1888. Guérison com- plète du symptôme ataxie y compris le signe Romberg après quatre
issement, nous n'avons constaté aucune modification dans les autres symptômes du tabes. Notamment les troubles de la sensibil
meil. Ces accidents cessent brusquement. En février 1893 premiers symptômes d'ataxie. Troubles de la marche débutant par de
pour notre méthode. L'âge du malade, la rapidité avec laquelle les symptômes tabétiques se sont 332 CLINIQUE NERVEUSE. dév
ermés, il peut même pendant ce temps fléchir les genoux. Les autres symptômes tabétiques sont restés sans modification. D'a
ines, il n'a plus non plus mouillé sa chemise le jour. Les autres symptômes du tabes sont restés sans modifications. 15 mai
891, à la suite de quatre séances de suspension, amé- lioration des symptômes vésicaux et des douleurs intestinales. Jusqu'en
violence, les hallucinations primitives, l'apparition brusque des symptômes : toutefois, même en démence, les épileptiques co
(psychoses séniles) comprend des formes à évolution plus rapide, à symptômes moins bruyants et à pronostic meilleur. Dans
times). Pendant les attaques conges- tives on constatait un nouveau symptôme ; pendant que les globes oculaires se tournent d
h médical Journal, 6-20 avril 1895.) Après une étude méthodique des symptômes différentiels des principales classes de délire
s tendances mor- bides à l'égoïsme solitaire. A. Marie. XXIX. DES symptômes oculaires dans la paralysie générale ET DE leur
rès difficile, optimisme morbide et excitation; Quatrième groupe. Symptômes oculaires tardifs : mydriase paralytique, irido
t un affaiblissement intellectuel profond. Cinquième groupe. Pas de symptômes oculaires fixes nets.'Pas de contractures ni de
s au point de vue spécial de la décision pénale, les deux séries de symptômes sont indispen- sables et se complètent mutuelle
e et primitive de la trempe morale; b) ceux qui ne présen- tent ces symptômes que par suite de troubles survenus dans leur ac
ire sur l'innervation cardiaque, en même temps que s'accompagner de symptômes thoraciques se manifestant par des sortes d'att
de la deuxième frontale gauche et enfin celui de la cécité verbale, symptôme qui fut nette- ment localisé au pli courbe gauc
arlée. Charcot admit la surdité etla cécité verbale mais en fit des symptômes abso- lument indépendants de l'aphasie et de l'
vation parallèle du langage normal. (Voir Marie. Etude sur quelques symptômes des délires systé- matisés, obs. l.) . ' , DE
t admettre alors que cette névrose peut se manifester par un unique symptôme , et ne s'accompagner d'aucun de ses stigmates c
le sujet ne pouvait avoir aucune appréhension ? Peut-on en faire un symptôme de la nostalgie ? Non, puisque les malades, suj
ations de 52 tabétiques, l'auteur a dressé la table suivante où les symptômes sont rangés selon leur fréquence : -. REVUE DE
réactions motrices qu'elle enlraîne, elle peut s'associer d'autres symptômes indicateurs de lésions synoviales ou articulair
auteur a insisté sur l'origine mixte, radiculaire et médullaire des symptômes sensitivo-moteurs dans un grand nombre de traum
ait possible d'arriver à dissocier cli- niquement ce qui, parmi ces symptômes , revient à la moelle, ou ce qui revient aux rac
pour un groupe bien déterminé de faits, pour les maux de Pott avec symptômes sensitifs objectivement appréciables. Il Si l
cas douteux, l'auteur, sur 22 cas, a rencontré : 1° dans 7 cas, des symptômes sensitifs à topographie nettement radiculaire;
troubles sensitifs à topo- graphie médullaire ; 3° dans 2 cas, les symptômes sensitifs se dis- sociaient d'une manière tout
hémidrose, hygroma trophique de la bourse séreuse et crânienne. Les symptômes étant localisés au membre supérieur et à la moiti
e premier cas, il s'agit d'un paralytique généial qui, en outre des symptômes habituels, a présenté des mouvements parliculie
59 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
e médicament deux jours seulement et l'on voit se produire certains symptômes bizarres que l'on hésite à mettre sur le compte
Respira- tion normale dans les deux poumons. 16 octobre. Tous les symptômes sont encore plus accusés; depuis quelques jours
ait penchée en avant. Huit jours après l'apparition de ce nouveau symptôme , elle 22 PATHOLOGIE NERVEUSE. entra de nouvea
Un malade ancien syphilitique, accusait depuis plusieurs années des symptômes bien marqués d'ataxie locomotrice; absence des
fs prati- quée dans le tabes, on en compte un grand nombre où les symptômes de la maladie s'aggravèrent après l'opération,
de la plus haute impor- tance, c'est-à-dire qu'il n'y a pas un seul symptôme de cette maladie qui ne puisse disparaître aprè
re à une paraplégie de nature hystérique, quand l'apparition d'un symptôme céphalique ou du tremblementvient dissiper l'erre
el. Nous croyons inu- tile de répéter la même chose pour les autres symptômes de la maladie. De là la grande variabilité de l
ébro-spinal classique, et supposons que non plus un, mais plusieurs symptômes disparaissent; alors, au lieu d'avoir à faire a
frustre soit cérébral soit spinal, soit cérébro-spinal, suivant les symptômes qui disparaissent. Cette disparition peut être
it ce cas intéressant, a suivi son malade pour voir si ces légers symptômes ont disparu, ou si, au contraire, cette guérison,
mpte aussitôt pourquoi, à une telle maladie, tant soient légers les symptômes qui restent dans un cas donné, on ne peut le co
il faut attendre un certain temps même après la disparition de tout symptôme de la maladie, pour s'assurer si la guérison a
itions indispen- sables à savoir : disparition complète de tous les symptômes et non réapparition, soit d'un signe, soit d'un
tous les symptômes et non réapparition, soit d'un signe, soit d'un symptôme , n'ont été réalisées que dans notre cas, que no
héréditaires et de la multiplicité, ainsi que de la variabilité des symptômes devient, nous l'avons dit, d'un intérêt extrême
rès souvent. Au bout de six mois environ, dans le cours de 883, les symptômes vertigineux se sont complètement passés, pour f
70 RECUEIL DE FAITS. plète pour ne plus revenir. Il n'y eut plus de symptômes subjec- tifs jusqu'au mois de novembre 1883. C'
tifs jusqu'au mois de novembre 1883. C'est alors que survinrent des symptômes psychiques spéciaux qu'on peut qualifier du nom
tanée que provoquée, de sorte que, dans ce moment là, c'étaient les symptômes psychiques qui dominaient l'état du ma- DE LA C
courts, à peine cinq minutes de durée, 38°,2. Le 5 décembre, les symptômes psychiques avec les accès épilep- tiformes et a
l'insuffisance des droits internes, le regard vague si spécial, les symptômes spasmodiques, les accès apoplectiformes et épil
spasmodiques, les accès apoplectiformes et épileptiformes avec les symptômes psychiques, et enfin la marche rémissionnelle e
J'ai été assez surpris de n'avoir pu constater un seul de tous ces symptômes . En effet, le regard vague, le nystagmus, les p
t définitive, car, depuis ce temps-là jusqu'à présent, aucun de ces symptômes n'a reparu. Le jeune homme s'est engraissé, con
t on voit survenir de l'anesthésie, si légère soit- elle. Voilà des symptômes qui prouvent que l'affection siège primitivemen
ue négative). L'action variable des deux sortes de courants sur les symptômes morbides subjectifs se montra assez souvent d'u
, être 106 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. l'occasion du développement de symptômes morbides spinaux. De même, une affection de la
la moelle peut, par action réflexe sur le cerveau, déter- miner des symptômes cérébraux. Le processus réflexe est toujours asce
ce de courants que l'organe primitivement affecté. 9° Je traite les symptômes cérébraux à l'aide de l'électrisation de la moe
e dans la fossette de la nuque, et l'autre an-dessus du larynx. Les symptômes spinaux peuvent être simplement traités, en con
-dire de ses ganglions spinaux. - 100 L'aggravation bien connue des symptômes morbides, de par un long usage de l'électricité
tendu que l'action diffé- rente des deux sortes de courants sur les symptômes morbides subjec- tifs ne se révèle pas dès le p
alme et sans acci- dents consécutifs (dose 0,05 0,10), a apaisé les symptômes psychiques d'une mélancolie active, rebelle à t
quantités consi- dérables d'aliments. Si l'on s'en tenait à ce seul symptôme , sa ma- ladie pourrait être qualifiée de limoma
z long, et compliqué de paralysie des muscles de l'oeil, le premier symptôme de l'affection spinale fut une paralysie unilat
même temps se produit une blépharoptose gauche avec tous les autres symptômes de la para- lysie de l'oculo-moteur commun. Les
ation, du droit interne (diplopie); dès le jour sui- vant, tous les symptômes , y compris la divergence, avaient dis- paru. Po
oteur commun, il a vu s'effectuer sous ses yeux la rétrocession des symptômes , si bien que le lendemain Hirsch- berg ne trouv
est presque toujours impossible de saisir le lien qui les unit aux symptômes observés pendant la vie. Néanmoins, personne ne
le, nous désirons simplement attirer l'attention sur un groupe de symptômes dans lequel le mot ou le nom jouent un rôle pré
étexte que, soit dans le mode de début, soit dans la succession des symptômes , il y aurait une modification au type décrit pa
d'après Charcot. Mais à un examen plus minutieux, le groupement des symptômes présente de notables différences avec la descri
le amyotrophique, : car c'est là la clef du diagnostic, c'est là le symptôme qui permet de reconnaître l'af- fection dans le
ous forme hémiplégique. Enfin, dans deux cas, elle a débuté par les symptômes bulbaires; mais ce ne sont là, je le répète, qu
là, je le répète, que des modifications accessoires. L'ensemble des symptômes caractéristiques ne manque pas d'être bientôt c
l ou tel faisceau secon- daire sera atteint le premier on verra les symptômes se montrer tout d'abord du côté des membres sup
recroisement des pyramides sera plus ou moins complet, on verra les symptômes présenter une certaine prédominance hémiplégiqu
a tare héréditaire se manifeste souvent chez les ascendants par des symptômes peu accentués et qu'un commerce suivi peut seul
emière enfance. Il n'ajamais eu'de convulsions d'aucune sorte ni de symptômes méningitiques. c C'était, dit sa mère, un bel e
on brusque. ,\ ' fI fI); , , ' , Etat actuel en 1884.^ ? Le premier symptôme qui fixe l'attention, c'estle volume considérab
te observation 2. Ces auteurs ont concentré leur attention sur un symptôme le plus frappant, il est vrai, qu'ait présenté
à l'esprit et que, comme nos confrères, nous l'avons reje- tée. Les symptômes que nous avons décrits sont assez probants par
née nerveuse, on doit éliminer ici, comme ne rendant pas compte des symptômes observés, le spasme glottique, la contracture d
ment, détermine de nouveau l'arrêt de la parole. Que signifie ce symptôme ? si ce n'est que le malade parle de nouveau pe
ne; par le Dr Archibald WATSON. (Fr. méd. 4884,1.) 1 XXX. SUR LES symptômes NEUROPATHIQUES DE la lèpre ; par P. ROSENBACH (
re anesthésique, sive nervorum seu mzctilaas, il n'y manque qu'un symptôme prodromique; c'est le pemphigus qui précède parfo
iale presque absolue. Nous passons sur l'examen plus approfondi des symptômes et sur la discussion du diagnostic que l'on tro
rg. (IVeU ? '01. Centralbl., 1884). , '.>." tif t jf,' .' Ce symptôme , consistant en une névrite optique, ayant about
me spécifique incons- tante de la folie, mais de la combinaison des symptômes psy- chiques avec d'autres troubles nerveux, so
L1;PTIrORDIES; par W. BECHTEREW. (Arch. f. Psr.la., XIV, 3). Les symptômes cliniques des attaques congestives correspon- d
aulle me demandait à la dernière séanee si iâ malade présentant ces symptômes de boulimie im- pulsive dôiït jê vous ai entret
modalité de la vésanie épileptique,' mais. dans l'association des symptômes psychiques à' d'autres troubles nerveux souvent t
es. - ' ' 1 ,1 "t M. Iimx. Maints épileptiques ne présentent pas de symptômes intervallaires, maints autres présentent, dans'
d'abord une aphasie indéniable typique avec paralysie adroite. Ces symptômes rétro- cèdent, et il s'installe une hémiplégie-
mbaient dans le plus complet état de stupeur, pré- sentant tous les symptômes de l'anéantissement des fonctions physiques et
lle put retourner au village. Elle n'y resta pas longtemps, car les symptômes s'aggravèrent rapidement. Elle revint à Saint-P
inférieure de la moelle. De la description citée, on voit que les symptômes les plus remarquables sont : marche spastique,
ettent la possibilité que cette maladie soit accompagnée de pareils symptômes , mais ceux-ci ne doivent être placés qu'au seco
t des cellules nerveuses et le change- ment de la névroglie. Là les symptômes paraissent être plus évidents, spécialement dan
engourdissement dans la jambe droite. Bientôt le malade sentit ces symptômes aussi dans la jambe gauche. Ensuite sa marche p
dont l'origine paraît ici très étrange, puisque chez le malade les symptômes dans l'appareil neuro-musculaire qui pouvaient
, comme on le sait, Ollivier (d'Angers) qui le premier a décrit les symptômes de la paralysie spastique, la considère comme u
inion de MM. Charcot et Erb, ne contredit pas le diagnostic, si ces symptômes occupent seulement la seconde place et qui appa
anatomique de la paralysie spastique; 2) On trouve l'ensemble des symptômes qui caracté- risent le tableau clinique du tabe
as être le caractère unique de la maladie, elle en est seulement le symptôme le plus apparent ; elle se rattache a un ensemb
iques de la névrose. Souvent même, au contraire, les deux ordres de symptômes physiques 378 RECUEIL DE FAITS. et psychiques
ar influence réci- proque ; et c'est alors le plus généralement les symptômes d'ordre physique qui auront fait les premiers l
nation. Or, si tous ces troubles fonctionnels ont été l'occasion de symptômes délirants, il n'est pas illo- gique d'admettre,
reuse pour elle et les autres. Le délire est toujours le même : les symptômes physiques (attaques, dysesthésies) très accentu
ée, mais par les curés seulement et a des hallucinations de la vue, symptômes que nos suggestions ont respectés. 22. Attaque
gitation, l'hypnotisme agissant toujours de lui-même sur ce dernier symptôme . 4 septembre. - Attaque de léthargie avec contr
iaques qui commen- çaient à s'accentuer disparaissent alors avec le symptôme qui les avait provoquées . 20. Très agitée de
us paraît prudent de main- tenir une ligne de démarcation entre les symptômes liés mani- festement à des lésions en foyer et
, l'odorat, le toucher. L'amblyopie, plus ou moins prononcée est le symptôme le plus souvent ob- TROUBLES NERVEUX DANS LE DI
eux cas que nous rapportons; du reste, il n'y avait ici aucun autre symptôme d'alcoolisme. Un rien agite ces malades, la moi
qu'on est presque aussi bien en droit de faire de cette aphasie le symptôme d'une lésion cérébrale ou rénale qu'une manifes
se leurs observations, on arrive facilement à se convaincre que des symptômes d'un diabète indiscutable préexistaient aux man
ces différents troubles névro- pathiques'. Dans d'autres cas, les symptômes éclatent subitement sous forme d'ictus apoplect
la marche difficile et presque impossible. Chez la deuxième, les symptômes étaient plus prononcés; outre les vertiges et l
pre : il est incohérent, agité et a des idées de persécution, aucun symptôme de paralysie n'est signalé avant son entrée. IL
le premier cas, il s'agit d'un malade qui, après avoir présenté les symptômes de la phthisie et une pleurésie, avait guéri ;
he et les tissus voisins étaient très ramollis. Chez ce malade, les symptômes cérébraux à la lin de la vie étaient très marqu
rattache la vision étaient considérablement atteints, sans qu'aucun symptôme saillant ait été constaté du côté de la fonctio
du pan- créas, dans les ganglions abdominaux. Chez ce malade, les symptômes cérébraux avaient été de courte durée; les symptô
ce malade, les symptômes cérébraux avaient été de courte durée; les symptômes moteurs avaient fait complètement défaut. Il co
tre part, bien que le pli courbe du côté droit fût atteint, aucun symptôme visuel ne fut constaté; on n'observa pas non plus
cun symptôme visuel ne fut constaté; on n'observa pas non plus de symptômes moteurs, bien que la zone corticale motrice du cô
i distingue surtout les deux cas de ce second groupe, c'est que les symptômes cérébraux ne se sont manifestés que consécutive
ut vertige, tout étourdissement qui s'accompagne en même temps de symptômes spinaux, indique qu'il y a action réflexe sur la
oigt palmé, elles sont la traduction des déviations nutritives. Les symptômes psychiques ont été décrits avec beaucoup de soi
éruptives, à la fièvre typhoïde. La thèse du regretté Fritz sur les symptômes spinaux de la fièvre typhoïde a ouvert la série
ro-spinal. 1 Foville. - Ann. méd. psych. Janvier 1873. 2 Fritz. - Symptômes spinaux dans la fièvre typhoïde, 1863. 3 Roger
s idées délirantes ne disparaissent que lorsque disparaissent les symptômes typhoïdes. Evidemment, le mécanisme de ces trans-
es de la parole ? il importe toujours de noter avec pré- cision les symptômes et de ne pas s'en rapporter à l'impression géné
'ailleurs le diagnostic de simulation, car il existe, en dehors des symptômes précités, une perversion morale évidente, cette
rimentalement l'individu en deux moitiés, dont chacune présente les symptômes d'un état particulier de J'hypnotisme.. 1\1. Du
ux aliénés en Angleterre et en Ecosse, par Foville, 128. Lèpre ( symptômes névropathiquos de la), par Rosenhaeh, 227. Li
60 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
n-tracture permanente qui s'y surajoute et qui constitue aussi un des symptômes des maladies scléreuses des cordons blancs antéro
un certain nom-bre de muscles, ou groupes de muscles, est le premier symptôme que l'observation fasse reconnaître. Le muscle es
teurs ont reconnu avec lui1. Je vais rapporter en quelques mots les symptômes qui caractéri-sent cette affection et, pour plus
tefois, elle peut faire absolument défaut2. Quoi qu'il en soit, les symptômes paralytiques s'accusent d'emblée ; du jour au len
l'origine, ils ont acquis leur summum d'extension et d'intensité. Ces symptômes paralytiques offrent de grandes variétés de siège
par jour, la dose de teinture. Le 1er avril, il n'existait plus aucun symptôme anormal et la petite malade était tout à fait gué
, le 30 jan-vier 1866. Il était malade depuis deux ans : les premiers symptômes qu'il éprouva consistèrent en des douleurs de têt
ai* Après un trai-tement de vingt-deux jours, on observa chez lui les symptômes d'in-toxication qui sont le résultat de l'ingesti
r jour. — Le 10 septembre, on constate une amélioration manifeste des symptômes choréiques : la malade pré-sente en outre un peu
sse de quatre mois environ. Le 25 septembre, il n'existe plus aucun symptôme de chorée et la malade est considérée comme guéri
l'appétit. Un peu plus tard se déclarèrent, sous forme d'ac-cès, des symptômes plus accusés : douleurs cardialgiques, vomis-seme
aiblesse et elle est forcée de garder le lit. Indépendamment de ces symptômes , on constate une augmen-tation progressive du vol
on fébrile; la malade alla passer quelque temps à la campagne, et les symptômes s'amendèrent peu à peu. — Au 8 avril dernier, le
y a là, aussi bien dans l'évolution du mal que dans la forme même des symptômes , quelque chose d'étrange qu'il paraît tout à fait
r sous une ancienne rubrique noso-graphique. Reprenons maintenant les symptômes , et avec MM. van Lair et Masius, essayons de les
alle et à doses non vomitives, fut le meilleur moyen de combattre les symptômes , sans amoindrir les forces, en diminuant la sécré
trois onces de sang par l'urèthre. Jamais de rétention d'urine, ni de symptômes d'irritation du méat urinaire. L'enfant n'avait p
traitement avec une remarquable facilité ; elle se caractérise comme symptômes par une douleur sous-mammaire souvent confondue a
1870). § Il (suite). Deuxième période. Messieurs, la régression des symptômes dont nous venons de vous entretenir, inaugure la
dans la paralysie infantile spinale et d'où dérivent les princi-paux symptômes de la maladie, en particulier la paralysie ainsi
oint de départ du processus inflammatoire. Il me reste à mettre les symptômes en présence des lésions et à rechercher comment c
nts. Si la dose du médi-cament n'est pas considérable, à ces premiers symptômes succède un sentiment de faim très-marquée, de fai
ts de la main droite, présenta au bout de dix-sept jours les premiers symptômes du tétanos. Cinq jours après, ces symptômes s'éta
x-sept jours les premiers symptômes du tétanos. Cinq jours après, ces symptômes s'étaient considérablement aggravés ; il y avait
nombril n'était pas cicatrisée, mais elle offrait un bon aspect. Les symptômes principaux étaient le trismus des mâchoires, la c
demi fléchi, le pied droit tourné en dedans. Les jours suivants, les symptômes s'aggravèrent; on ob- serva du trisraus, et il
du Hachisch, et, sous l'influence de ce médicament, l'amendement des symptômes tétaniques fut si évident, que nous regrettons de
vy, éditeur. plus de doute sur la nécessité de distinguer, dans les symptômes bien connus de l'alcoolisme, ceux qui sont dus à
ique seule est impuissante à faire le départ entre les deux ordres de symptômes , car il est rare, si cela se voit, qu'un buveur n
iers temps, le malade avait, par intervalles, de la dyspnée ; mais ce symptôme pouvait être rapporté à de l'emphysème, dont sa p
le comporter. Ceci nous force à rap-peler sommairement les principaux symptômes offerts par le malade. Il s'agit d'un homme qui
le spéculum cylindri-que ordinaire). Cette opération fut suivie de symptômes fébriles et de rétention d'urine avec ballonnemen
al, peu soucieux de sa santé, il ne se préoccupa pas autrement de ces symptômes , et continua de vaquer à ses occupations de chaqu
1871, c'est-à-dire environ deux ans après l'appa-rition des premiers symptômes , les deux tumeurs que nous venons de signaler con
ement mince, que l'on pouvait craindre une rupture à ce niveau. — Ces symptômes ne permettaient pas de différer plus longtemps l'
ues petits frissons erratiques. 10 mars. —Jugeant que peut-être ces symptômes étaient sous la dépendance d'une rétention de pus
re, le diagnostic de la tumeur était singulièrement éclairé par les symptômes de cavernes pulmonaires et d'une méningite conco-
tre l'état de la prostate. Rapprochant des tumeurs du testicule les symptômes encépha-liques, M. Féréol diagnostiqua une méning
ns à la fièvre typhoïde de l'homme, nous l'avouons, rien, ni dans les symptômes , ni dans l'a-natomie pathologique, ne nous paraît
é de 8 ans, mourut au bout de 17 jours, après avoir présenteles mêmes symptômes . Dans les Bulletins de la Société vétérinaire (an
de la mobilité propre à la grande névrose que je viens de nommer, les symptômes qui s'offrent aujour-d'hui à un haut degré de dév
nt l'is-churie hystérique à son maximum de développement, à l'état de symptôme permanent. Durant des jours consécutifs, des sema
servateurs qui se sont laissés aller à prendre au sérieux ce prétendu symptôme . Il n'est pas sans intérêt, par contre, de note
se prolonge au delà de quelques jours (5, 4, 5 jours à peine), est un symptôme des plus graves et qui se termine à peu près, néc
reconnaître que si d'anurie persiste plus de quatre à cinq jours, les symptômes coma-teux, avec ou sans convulsions, apparaissent
e la Société clinique de Londres*. Bien que l'anurie fût absolue, les symptômes coma-teux ne se montrèrent que le quatorzième jou
vous montrer la malade et de faire ressortir d'abord devant vous les symptômes qui existent actuellement et parmi lesquels vous
térie intense, invétérée, marquée par une réunion caractéris-tique de symptômes permanents. Etchevery (Justine), née dans les B
degré, l'hémianesthésie nous fournit, dans l'es-pèce, un ensemble de symptômes presque spécifiques ; je dis pres-que et non pas
partements de l'encéphale, les reproduisent, au moins en partie. Un symptôme très-important que nous offre encore Elchevery, c
ènes qui méritent une description plus minutieuse. Parmi les autres symptômes , je ne dois pas oublier la rétention des urines e
rieur; 2° une hémianesthésie et de l'a-chromatopsie du même côté. Les symptômes offerts alors par Etche-very sont consignés dans
davantage, sans que jamais les draps du lit fussent mouillés. A ces symptômes qui persistèrent en mai et en juin, il s'adjoigni
ploi du chloroforme eut pour conséquence de modifier profondément les symptômes que nous observions avec tant d'intérêt; il y eut
tte deuxième pé-riode. Après une rémission plus ou moins complète des symptômes , nous avons vu reparaître d'abord la rétention d'
ent d'y dégager le faux du vrai; d'en éliminer, par exemple, certains symptômes extraordinaires, tels que l'écoulement de l'urine
à la limite extrême à laquelle, dans l'obstruction des ure-tères, les symptômes d'intoxication urémique se prononcent néces-saire
extraetivss, doit rendre compte, dans notre cas, de l'absence de tout symptôme d'intoxication urémique ? Nous sommes ainsi ame
e ou des uretères ; la composition des urines, de même que les autres symptômes ,protesteraient contre une pareille hypothèse. Il
fut rapide. Mais, au bout de quelques jours, l'œil droit présenta les symptômes suivants : globe oculaire saillant dé-passant d'u
l'analogie entre les deux cas de M. Nélaton est complète ; les divers symptômes enu-meres plus haut se retrouvent avec une nettet
simple mention des lésions anatomiques observées sur le cadavre. Les symptômes , conséquences de ces lésions, concordent si bien
mélange du sang artériel et du sang veineux détermine la plupart des symptômes que l'on observe dans l'anévrysme artério-veine
bles de la calorification, de nutrition, dilatations veineuses. Ces symptômes se développent du côté de l'orbite, où ils pro-du
t le phénomène caractéristique de l'affection. Le développement des symptômes est graduel. La tumeur vei-neuse pulsatile n'appa
pulmonaires dans des points où, pendant la vie, il avait constaté les symptômes de cette ma-ladie. Nous nous contenterons d'app
ver de signe pathogno-monique de cette affection, mais l'ensemble des symptômes , leur marche rapide et leur disparition quelquefo
ue chez les hommes, est d'un diagnostic trés-difficile. Au début, les symptômes ne sont pas assez nets pour permettre de préciser
icule biliaire, ictère, cachexie cancéreuse, tels sont les principaux symptômes sur lesquels l'auteur entre dans quelques détails
ue les corps caverneux et l'urèthre sont atteints, à en juger par les symptômes : érections impossibles et dysurie. Quelle déci
y sentait en outre de l'induration. 21 mars. — Nous constatons les symptômes suivants : le col utérin sort du vagin d'une long
culaire, voilà le vaginisme permanent. » M. Yisca examine ensuite les symptômes du vaginisme qui, outre la douleur, détermine enc
été ensuite niée par Bernutz et Goupil, qui n'ont voulu voir dans les symptômes attribués au phleg-mon péri-utérin que le résulta
ndement à notre étude, et où l'épilepsie semble s'entremêler avec les symptômes ordinaires de l'hystérie convul-sive ? L'épilep
pérature, alors même qu'elle dépasse 41°, et qu'elle s'accompagne des symptômes graves qui viennent d'être énumérés, n'est pas un
tion locale et purement périphérique. Ce n'est là qu'un des pre-miers symptômes de l'intoxication, car je crois que l'on peut fai
s pas le temps de faire aujourd'hui une étude approfondie de tous ces symptômes . Mais pour indiquer toute l'utilité qu'on peut ti
. le docteur Georges Camuset, qui l'examina à ma prière, reconnut les symptômes d'une parésie siégeant dans plusieurs muscles de
bilité de lire de près à la distance où l'œil droit lisait encore; ce symptôme a disparu depuis lors. A droite, un phénomène, be
évralgies, et toujours elles exercent une in-fluence salutaire sur le symptôme douleur. Ses propriétés sédatives ont été utilisé
idiopathiques de la rate sont rares. M. Peltier étudie avec soin les symptômes et le diagnostic, et donne les indications du tra
pressions, car le soir il est en décroissance, de même que les autres symptômes in-flammatoires du pavillon de l'oreille. Dans la
is tremblante. La malade succombe, le 29 avril, à l'exagération des symptômes fébriles. Autopsie faite le 50. — On pousse une
tement par les courants continus a fait disparaître la plupart de ces symptômes . Dans les cas d'hémiplégie, nous agissons non-s
nt entendre au-cune crépitation, le cartilage articulaire a persisté, symptôme favo-rable pour la réduction, parce que la tête o
at des veines voisines avant de déterminer le mode de produc-tion des symptômes et des lésions qu'on peut y observer. Dans l'hy
e résolution musculaire complète. 11 suffisait, pour faire cesser ces symptômes , d'amener en avant, avec le doigt, le col de la m
me à l'hôpital, M. Cusco procéda à un examen détaillé et constata les symptômes suivants : Le col de l'utérus fait saillie à la
e pénétra à une profondeur de 12 centimètres. La nuit suivante, les symptômes généraux s'aggravèrent : La malade eut des vomiss
ue; symptomalologie. — M. Miehaud passe en revue dans ce chapitre les symptômes si variés de la myélite par compression ; il les
sensibilité à la température; 3° de la sensibilité douloureuse; 4° Symptômes récurrents. L'auteur désigne ainsi les phénomènes
urs très-embarrassant. Les tumeurs des méninges déterminent les mêmes symptômes que le mal de Pott, mais leur marche est plus rég
uchement, et qu'elle a ressenti dans la semaine suivante les premiers symptômes nerveux de la grossesse. Mais il est très-probabl
61 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
ment important de pouvoir établir une classification anatomique des symptômes , et, avant tout, de pouvoir distinguer les trou
oins considérables et qui se sont traduites, durant la vie, paroles symptômes propres » et, plus loin, à propos du mal de Pot
ent la probabilité d'une compression radiculaire, la plupart de ces symptômes pouvant, d'ailleurs, être dus à une lésion médull
d'affection gastrique. Pendant 9 mois, ces dou- leurs sont le seul symptôme , puis surviennent des engourdissements, puis des
omme l'est la région dorsale moyenne. En somme, dans les cas où les symptômes nerveux sont ceux d'une NOUVELLE Iconographie D
e supérieure de celui-ci. Faisons observer que l'interprétation des symptômes est très difficile, la compression radicu- lair
physes épineuses était douloureuse, de la 3° à la 6e dorsale. Aucun symptôme morbide aux membres supérieurs, à la tête et au
'organisme ; amaigrissement, perte de forces, sueurs, fièvre. Ces symptômes acquièrent une certaine importance lorsqu'ils sur
avancé de l'évolution ; la raideur, les souffrances, tels sont les symptômes qui donnent, au début du mal de Pott, une physion
ier, semble se compliquer de plus en plus. En ce qui concerne les symptômes , la complexité tient à ce que l'in- fantilisme
ce groupe sont encore très différents les uns des autres, par leurs symptômes et par leurs causes ; et la désignation d'infan-
isés par M. Brissaud en deux types parfaitement distincts par leurs symptômes et par leur nature : « 1° Le type anangioplasiq
mmes à t'age de 18 ans. Il eut la grippe au mois d'août 1891. Les symptômes de cette maladie s'a- mendèrent au bout d'une q
ons examiner des malformations physiques, qui font pendant avec les symptômes psychiques que nous venons de décrire, et qui par
musculaires. Il y a cependant dans le tableau de l'infantilisme, un symptôme assez important, la petitesse du corps, qui nou
us jeune qu'il ne l'est. Il n'a plus d'âge. D'après cet ensemble de symptômes physiques, on ne peut douter que notre malade,
ces dystrophies rend assez délicate l'interpré- tation de quelques symptômes , de façon qu'on peut se demander s'ils appartie
traitement a été interrompu alors, parce que se sont manifestés des symptômes d'empoi- sonnement, qui consistaient dans une f
e thyroïdienne a été également impuissante à modifier bien d'autres symptômes . Le visage conserve le même teint, les téguments
de notre malade, dans les- quelles vous retrouverez facilement les symptômes cardinaux de la maladie. De plus d'importance e
gmentation de volume supposée de la glande thyroïde et une série de symptômes nerveux forment ensemble un complexe symptomati
l, qui a décrit le myxoedème comme morbus sui generis, ainsi que le symptôme qu'on a appelé « dermographie ». Plus tard ce s
ont surtout les cliniciens français qui ont fixé l'attention sur ce symptôme . Ensuite je suis convaincu que vous avez reconn
une sensibilité au tact et à la douleur absolument indemne, un des symptômes les plus caractéristiques de la syringomyélie,
xcessif de quelques parties du corps, et que la dermographie est un symptôme fréquent dans cette maladie, dont on cherche volo
céphalique. Revue de médecine, t. VI, 1886. 84 PEL Plusieurs des symptômes observés nous donnent le droit de demander si la
tantôt lancinantes tantôt fixées dans les extrémités agrandies, un symptôme très fréquent et souvent très pénible pour les ma
une augmentation de.volume des clavicules, ni des bords du bassin, symptômes qui ne manquent presque jamais dans l'acromégalie
érieures, inférieu- res et céphalique, et comme on n'aperçoit aucun symptôme de cette dernière hypertrophie chez notre malad
tat douloureux et le gonflement des articula- tions des extrémités, symptômes très fréquents chez les malades atteints de ple
le plus, il n'est pas singulier du tout, que dans un cas spécial un symptôme principal puisse manquer. La maladie de Based
rre Marie lui-même a décrit des cas d'acromégalie, dans lesquels un symptôme cardinal, par exemple l'agrandissement du maxilla
maxillaire inférieur manque. Cependant il manque encore plusieurs symptômes , qui se trouvent presque toujours dans l'acromé
s, qui se trouvent presque toujours dans l'acromégalie. Ce sont les symptômes cérébraux, des symptômes indiquant en général u
e toujours dans l'acromégalie. Ce sont les symptômes cérébraux, des symptômes indiquant en général une tumeur intracrânienne
tumeur de la glande pituitaire. Mais notre malade ne souffre d'aucun symptôme indiquant une tumeur cérébrale. L'examen ophtal
e le tableau morbide de l'acromégalie soit compli- qué par d'autres symptômes , probablement en relation directe avec la maladie
il y ait un rapport causal entre la plupart de ces cas complexes de symptômes , même si nous ne pouvons pas comprendre les rel
s de la vie sexuelle et dans les organes génitaux appartiennent aux symptômes cons- tants de l'acromégalie. Chez l'homme on v
el reste en arrière dans son développement. En passant en revue les symptômes cardinaux de notre ma- lade, il nous présente u
. Posons enfin la question : quelle est l'origine et le rapport des symptômes observés, quelle en est la patbogënèse ? On pou
en plaques) ; cependant dans ces maladies on ne trouve que quelques symptômes rappelant l'acromégalie, par exemple une hypertro
je n'o- serais pas poser ce diagnostic, quoiqu'il présente quelques symptômes , qu'on rencontre souvent dans cette maladie. Je
premier ? Ou bien est-ce que son augmentation de volume n'est qu'un symptôme de l'acromé- galie et comme tel équivalente à u
de l'acromégalie, on pourrait attribuer la plupart, sinon tous les symptômes acromégaliques au même facteur : à l'infection du
ervé une augmentation de volume de la glande thyroïde comme premier symptôme de la maladie, de sorte qu'on pourrait demander
erait la glande pi- tuitaire. Vous vous rappelez, qu'il n'y a aucun symptôme d'une maladie céré- brale et vous trouverez par
pas, Messieurs, qu'on a vu des cas d'acromégalie dans lesquels les symptômes d'une tumeur de la glande pituitaire ne se mont
ux qui considèrent les changements de la glande pituitaire comme un symptôme de l'acromégalie ; mais je répète encore que no
ance s'arrête. Alors le corps est fait. A l'âge mûr se montrent les symptômes séniles. Nous voyons tout ceci sans connaître l
e la cellule ovulaire ? Ensuite je vous remémore l'exacerbation des symptômes acromégaliques chez notre malade, après une mal
roïde n'est pas perceptible à une méticuleuse palpation. Les autres symptômes pouvant relever du myxoedème sont peu marqués : l
du reste s'y attendre puisque chez l'une et l'autre malade l'unique symptôme de myxoedème partiel était cet oedème. J'ai d
jà décrits chez les catatoniques, oedèmes s'accompagnant des .mêmes symptômes , et liés, eux aussi sans doute, à un trouble des
ces lésions (callosités, douleurs, impotences) ; 3° Un ensemble de symptômes ressortissant surtout à l'hystérie, impli- quan
sont restées longtemps à peu près latentes et n'ont manifesté leurs symptômes qu'au moment de la puberté. (1) Ba,11,LON, Thès
és dans les muscles de l'épaule chez le cadet, etc., etc., tous ces symptômes nous font penser à une polynévrite. Mais pouvon
l'absence de toute douleur sur le trajet des nerfs, etc., tous ces symptômes négatifs mettent en doute une polynévrite. Fa
avec l'habitude de fumer. Spermatorrhée légère, intermittente, avec symptômes généraux peu accusés et passagers. A débuté au
es. Pas de noevi pilaires ou vasculai- res. Muqueuses normales. Symptômes fonctionnels. Aucun trouble de motilité : pas de
coup de cas, il y ail eu insuf- fisance d'examen, ou encore que les symptômes radiaux aient accaparé l'attention au détriment
et l'incertitude des rapports qui existent entre les lésions et les symptômes . L'obscurité des corrélations anatomo-cliniques
réditaires notables, entre à l'hôpital au mois d'août 1904, pour des symptômes de tuberculose pulmonaire : toux, dyspnée, hémo
s le bras droit ; céphalée intense, légère difficulté à parler. Les symptômes dou- loureux disparaissent dans la journée, mai
rticales, rapides et mas- sives, aiguës, correspond l'explosion des symptômes manifestes d'une mé- ningo-encéphalopathie diff
que la répartition. La relation entre ces lésions et une partie des symptômes corpo- rels présentés par B... me paraît hors d
urait nier une relation étroite entre ce fait et celui du manque de symptômes de pression à l'autopsie. Le néoplasme étant un
1 ? 7T ? ? DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL 251 Enfin le symptôme constant chez B... de la dilatation pupillaire et
ab- sence de perversion etde la réflectivité de la sensibilité, les symptômes géné- raux éloignent l'idée d'une affection des
usculaires fondent chaque jour en même temps que se manifestent des symptômes généraux ; dyspepsie, amaigrissement,constipati
sur la nature de ces affections cachectisantes du vieillard dont le symptôme fondamental, essentiel, est l'affaiblissement j
ssivement sans ictus ; dans ce cas exis- teront le plus souvent les symptômes révélateurs d'une dégénération de la voie motri
trepris ici l'étude est donc bien particu- lière à tous égards. Les symptômes : parésie progressivement croissante des membre
ien constitué, de taille moyenne. Dès l'abord on est frappé par les symptômes suivants : inégalité pupillaire, parole scandée c
ARTROPATHIE NERVEUSE CHEZ UN PARALYTIQUE GÉNÉRAL NON TABÉT1QUE 281 symptômes qui permirent à M. Joffroy le diagnostic rétrospe
at d'infériorité de cet organisme, a évolué, avec une luxuriance de symptômes tout à fait re- marquable, la double dystrophie
philitique. Ce traitement n'eut pas une in- fluence notable sur les symptômes de la maladie. Il resta à l'hôpital 16 mois ; p
ement intentionnel, le vrai nystagmus et la parole scandée sont des symptômes peu communs de la myélite syphilitique : dans c
a des manifestations telles que la lésion des nerfs de la base, les symptômes méningés, l'altération des réflexes pupillaires
faveur d'une syphilis cérébro-spinale. Mais il faut penser que ces symptômes peuvent ne pas figurer dans le tableau clinique
'application du traitement mercuriel obtint la guérison de tous les symptômes , y compris les symptômes nerveux. La critique q
t mercuriel obtint la guérison de tous les symptômes, y compris les symptômes nerveux. La critique que Rumpf fait à cette obs
ce instrumentale (il était incapable de jouer), sans éprouver aucun symptôme d'aphasie verbale. ' . Nous croyons utile de si
les recherches et conclusions de cet ordre. On a noté toutefois un symptôme que signalent les traités et articles classique
mbres inférieurs, pour une dyspnée assez vive et de l'oligurie. Ces symptômes sont survenus progressivement mais paraissent a
n'a pas modifié son régime. L'examen direct permet de constater des symptômes d'oedème pulmonaire aux bases, le coeur est à p
ières eu égard à l'ensemble de la taille. Le sujet n'accuse aucun symptôme paraissant lié à cet état d'acromégalie, il n'y
mégalie s'imposait. Nous trouvions en effet chez lui la plupart des symptômes caractéristiques de la maladie. Du côté des ext
réaliser la double bosse de polichinelle (P. Marie). La netteté des symptômes rendait facile le diagnostic différentiel dans
détermination de la mé- thode du traitement, était de préciser les symptômes pathologiques, dont la modification était désir
faiblirent bientôt eux-mêmes, en même temps que tous les précédents symptômes augmentaient, d'intensité. Il n'y eut jamais de
on des réflexes, l'existence de contractions fibrillaires, et comme symptômes négatifs sur l'intégrité des nerfs périphériques
aussi celui de Mya et Luisada, mais bien que la clinique donne des symptômes très analogues à ceux des cas rap- portés ci-de
ital avec le diagnostic de syringomyélie et qui présentait certains symptômes permettant de dis- cuter le diagnostic de lèpre
sont normaux. Il n'existe pas de scoliose. 456 GAUSSEL-ET LÉVY Symptômes cutanés. Le malade présente sur le tronc, la face
sujet intelligent, qui répond très bien et ne présente aucun autre symptôme il part cenx que nous avons exposés. Placards c
tané sur lequel nous avons déjà insisté dans l'observation a été le symptôme qui a fait hésiter le diagnostic entre la syringo
de tumeur cérébrale s'allie ordinairement, chez l'homme, à d'autres symptômes assez nets pour que le diagnostic de la cause p
end la forme jacksonienne, la rareté des vertiges épileptiques, les symptômes moteurs et sensoriels, les lésions du fond de l'o
r. A côté de ces cas, il en est d'autres où l'épilepsie est le seul symptôme de la ma- ladie cérébrale et l'on classe primit
es (2), mettant en re- lief ces cas où l'épilepsie est le principal symptôme d'une tumeur cérébrale ajoute : « La céphalalgi
est pas encore connue, est cependant fréquente et peut être le seul symptôme du néoplasme en- céphalique. L'observation su
ces a donné lieu à de l'épilepsie et à un état de stupeur. Ces deux symptômes peuvent s'expliquer par la compression du cerveau
s le groupe des dystrophies acquises. Son passé pathologique et les symptômes qu'elle présente actuellement permettent de con
LEJONNE ET CHARTIER. - DYSTROPHIE D'ORIGINE PULMONAIRE 467 pas de symptômes accusés de rachitisme. Depuis son plus jeune âge,
ibres élastiques, ni bacilles de Koch. Le coeur ne présente aucun symptôme anormal. Le pouls est à 90°. Il n'existe aucun
ant atteint le frère et la soeur, caractérisée cliniquement par les symptômes suivants : ataxie des quatre membres avec atrophi
s les troncs nerveux des membres accessibles à la palpa- tion ; ces symptômes étaient ceux du tabes ordinaire arrivé à une péri
été remarquée par sa mère, vers l'âge de quatre à cinq ans.) Les symptômes de son affection remontent à sou séjour à Berck (
e à l'heure actuelle (mars 1893) très développée. Par contre, les symptômes d'incoordination ont augmenté, le malade se sent
il ait atteint le but. A la face, il existe depuis plus d'un an des symptômes spéciaux : contractions fibrillaires très nette
une chose toute naturelle. Aucune notion du bien et du mal. Enfin, symptôme important que nous avons été amené à chercher che
i ferme les yeux, elle perd l'équilibre. La face ne présente pas de symptômes paralytiques nets dans le domaine du facial supé-
l'état normal. Du côté du facial inférieur, au contraire, certains symptômes montrent que l'orbiculaire des lèvres ne fonction
visage que l'ensemble des dégénérescences et si on en rapproche les symptômes , on ne peut que constater des analo- giesfrappa
ion spéciale caractérisée par des lésions particulières et dont les symptômes tendraient, il est vrai, à se confondre avec ceux
d'Argyll-Ro- bertson, de cypho-scoliose, d'hypertrophie des nerfs, symptômes au con- traire constants de la névrite hypertro
itielle hypertrophique et qui déclare que cette dernière n'a pas de symptômes pathognomoniquesqui la différencient du type Ch
V (n° 75 ! ). - Mal de Pott dorsal. Mort 16 mois après les premiers symptômes . Infection secondaire et symphyse des méninges mo
s secondaires dans le second. Remarquons que, dans l'obs. VIII, les symptômes semblaient indiquer l'in- tégrité des premiers
xtrême prudence, dans les tenta- tives d'explication anatomique des symptômes radiculaires. 1 Dans l'obs. VII, existait, dans
2° quelles indications pratiques peut fournir la confrontation des symptômes et des lésions ? 1° Genèse et signification des
lérose ; cette com- pression n'avait, cliniquement, déterminé aucun symptôme . ' L'examen histologique nous a montré des lési
mbre). 2° Indications pratiques résultant de la confrontation des symptômes et des lésions. Les signes rachidiens : endolor
peuvent servir de guide permettant leur localisation exacte. Les symptômes radiculaires objectifs particulièrement important
comment distinguer, parmi les troubles des membres supérieurs, les symptômes radiculaire et les symp- tômes médullaires, alo
aires, alors qu'une localisation exacte n'est possible, ni pour les symptômes ni pour les lésions ? Une seule fois (obs. V) n
st, du reste, l'avis de tous les auteurs. La rapide aggravation des symptômes est, également, un facteur de gra- vité ; en pa
oint de vue ana- tomo-clinique, et Grasset, qui, analysant tous les symptômes méiopra- giques dérivant des différentes locali
scles (surtout évidente dans les interosseux). Absence complète des symptômes oculo-pupillaires, réflexes des articulations s
nt l'origine est artério-scléreuse et qui n'est pas accompagnée des symptômes des lésions des voies pyramidales, ne me semble
d'études sur l'artério-sclérose médullaire a parlé d'une foule des symptômes qui en dépendent, mais non pas d'une variété d'
outre on peut admettre qu'elle est fréquemment accompagnée d'autres symptômes mé- dullaires, troubles sensitifs et trophiques
me ailleurs, est le résultat d'une intoxication alimentaire, et ses symptômes ont permis de décrire une pseudo-paralysie géné
62 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sa masse, et cet ébranlement, cette commotion, se traduit par des symptômes immédiats que l'on peut considérer comme les ph
ènes nerveux primaires ou primitifs des traumatismes du crâne. 1° Symptômes primaires. Ils apparaissent dès l'instant du ch
e de connaissance complète, avec résolution des membres. Tous ces symptômes sensitifs, moteurs, intellectuels, peuvent se c
moins rapidement l'intégrité de ses facultés. Il est cependant un symptôme , qui fréquemment persiste, pendant plusieurs he
ou, sa mère a été frappée d'hémiplégie. On voit qu'en général les symptômes primaires des traumatismes du crâne sont des ph
olver à la tête; la balle se perd dans le crâne. Après quel- ques symptômes passagers d'hémiplégie, la fille guérit, et, pe
ses diverses formes (1885) : « Ni l'hémiopie ni, en son absence, un symptôme équivalent, tel que le ré- trécissement content
scrit de l'écorce cérébrale où siège la lé- sion dont elles sont le symptôme . Seppilli rapporte, d'après Pick, le cas d'un h
tions du lobe occipital. Quoique considérée généralement comme un symptôme de lésion en foyer, soit de l'écorce, soit des
déficit (Ausfallserscheinung), la surdité verbale peut n'être qu'un symptôme indirect, un effet secondaire (Nebenwirkung), e
éfute l'opinion de ceux qui voient dans la surdité verbale, lion un symptôme d'une lésion en foyer, mais un symptôme d'affai
surdité verbale, lion un symptôme d'une lésion en foyer, mais un symptôme d'affaiblissement intellectuel, hypothèse que c
tébrale peut exis- LES FONCTIONS DU CERVEAU. -il 1 ter sans aucun symptôme de surdité verbale, et que celle-ci peut égalem
tre autres que ces lobes peuvent être lésés sans donner heu à aucun symptôme appréciable, que les phénomènes les plus fréque
sition soudaine d'un air condensé à l'air libre occasionne tous ces symptômes graves ». Ces auteurs ont voulu expliquer la pr
aussi, et cela n'est pas moins vrai, que c'est toujours à titre de symptôme de la période du début d'une importance seconda
de symptôme de la période du début d'une importance secondaire. Ces symptômes sont en outre transitoires et fugitifs. Il y
d'air dans le système aortique produit la syncope, des convulsions, symptômes résultant de l'arrêt de l'ondée aortique. 4 a
à le calmer. Pendant deux ans ces crises furent à peu près le seul symptôme appré- ciable de sa maladie. En 1884, douleurs
l'amélioration présentée par ce malade du côté des douleurs et des symptômes d'incoordination. M. Raymond 2, professeur agré
it avoir la prétention de guérir l'ataxie, enraye manifestement les symptômes douloureux et la plupart des troubles moteurs d
les malades. Les douleurs fulgurantes doivent être citées parmi les symptômes qui ont semblé le plus souvent bénéficier du tr
ique la suspension, on a reconnu des améliorations réelles dans les symptômes présentés par les ataxiques. Signalons parmi ce
de cinquante et un ans; 3° une syncope chez un autre malade; 4° des symptômes parétiques aggravés à la suite du traitement; 5
en décrit trois observations caractérisées par plusieurs années de symptômes prodromiques. C'est bien immédiatement après la
troubles cérébraux, céphalalgie, vertiges, éclipses de mémoire. Ces symptômes s'aggravent progressive- ment, se compliquent d
hronique de cause trauma- tique. S'il n'existe pas un ensemble de symptômes propres à la folie due au traumatisme, il est c
c'est dans les cas, et ce sont les plus fréquents, - où, après les symptômes immédiats, plus ou moins graves, le blessé para
tionnement de la peau de ce plongeur n'était pas entravé, car aucun symptôme ne trahissait un dérangement de ce genre; 2° qu
rsion que l'accident était arrivé. Si l'on considère aussi qu'aucun symptôme ne dénotait la moindre entrave au fonctionnemen
uleurs très fortes avec des troubles respiratoires consécutifs. Ces symptômes ont duré jusqu'à 4 heures et demie. Quand ils d
Sensibilité normale. Pas de troubles vésico-recto-génitaux. Pas de symptômes céphaliques. Rien du côté des autres organes. L
espubliées parlesauteurs, savoir : 1° les données cliniques sur les symptômes du myx- oedème; po les données des chirurgiens
sur les suites de son extirpation. I. La première description des symptômes de cette maladie fut faite, à ce qu'il parait,
s et aux pieds. L'état psychique de ces malades présentait tous les symptômes de la démence, très proche, en fait de grade, d
physiques et chimiques aux mu- queuses. L'auteur observa, outre les symptômes décrits par Gull, encore les symptômes suivants
L'auteur observa, outre les symptômes décrits par Gull, encore les symptômes suivants : chute des cheveux, amoindrissement d
ut le travail de Hammond e ; le cas rapporté par lui présentait les symptômes suivants : oedème de tout le corps, émoussement
uve dans les éléments se formant dans le myxoedème. Il rapporte les symptômes nerveux à la compression des éléments nerveux p
oedème empêche la conception. Dans les cas décrits il observa les symptômes suivants : gonflement de la face ôtant toute ex
ns; mais à cette époque la maladie se répéta avec association des symptômes suivants : anesthésie et hallucinations des organ
il existait une altération de la parole. Le Dr Hadden 1 pose comme symptômes cardinaux du myx- oedème les phénomènes suivant
alade avait une hérédité psycho-pathologique des plus notables. Les symptômes du myxoedème s'exprimèrent de la manière suivan
blia l'observation de deux cas de myxoe- dème, qui présentaient les symptômes suivants : gonflement 1 Bourneville et Bricon.
on, opérée dans l'âge adulte, est suivie de myxoedème avec tous ses symptômes , cependant l'activité psychique et mentale ne s
c cela on remarquait une cachexie pas moindre de l'organisme et des symptômes menaçant la vie des malades. Il y eut des auteu
noïde; 3° période atro- hlaique. La période nerveuse présentait des symptômes ner- veux, comme du tremblement, des mouvements
l'extirpation de la glande thyroïde provoque dans quelques cas des symptômes d'irrita- tion ; dans d'autres, ceux de dépress
a substance corticale de la moelle allongée. Ce procès por- taitles symptômes d'une inflammation subaiguë de la substance cér
ques. Quant au myxoedème et à l'état crétinoïde, Munk les traite de symptômes accidentels. En ce dernier temps a paru une com
é mentale où se trouvait d'ailleurs cet aliéné de rendre compte des symptômes subjectifs, l'absence de tout gonflement abdomi
réels, amplifier, exagérer leur délire, avoir l'air de simuler; les symptômes observés ne rentrent pas exactement dans le cad
iron, il obtient l'hypnose qu'il emploie à combattre la plupart des symptômes et même à mora- liser des enfants dégénérés et
9 290 SOCIÉTÉS SAVANTES. difficile; il ne faut s'attaquer qu'à un symptôme à la fois, une hal- lucination, par exemple, et
lé le rail2ua-spine ou )'o ! Mn/-6)'a : H. Il décrit brièvement les symptômes que l'on observe cbez les traumatisés. Considér
est beaucoup trop compréhensif. Il y a des troubles semblables aux symptômes décrits chez les traumatisés et que l'on rencon
ne certaine acuité, puis- qu'elle tua la malade en quatre mois. Les symptômes constatés furent les suivants : Paralysie avec
ns doute il peut se faire, par exception, que l'on y cons- tate des symptômes objectifs; mais ce n'est pas la loi. Rien ne no
ersonnage de Frédéric le Grand, de Napoléon, etc. Il n'y a pas de symptôme qui par lui-même prouve la simula- tion. L'ense
de la pupille, et les allures du phénomène du genou constituent les symptômes précoces de la maladie suffisant, en l'absence
as observés par l'orateur. Le premier se traduisit, d'abord par les symptômes accoutumés, puis par des accidents imputables à
la convexité du lobe pariétal. Elles ne se sont traduites par aucun symptôme . L'orateur croit à un remplacement fonctionnel
Au mois de février 1882, il a une troisième attaque avec les mêmes symptômes de migraine; mais en - outre, il a cette fois d
s'était manifesté le début de la maladie,, avaient été précédés des symptômes de la migraine.. Le fait de cette association c
il deviendra très malaisé de déter- miner la valeur clinique de ce symptôme , connaissant ces rapports de la migraine et de
e mi- graine ophtalmique accompagnée avec persistance de l'un des symptômes : l'embarras de la parole. On concevra, sans qu
omption que l'affection ne soit sympto- matique, on recherchera des symptômes de paralysie générale, et en tout cas, même en
ins points diffus; ce qui coïncide avec la prédomidance de quelques symptômes à gauche. - Malgré l'atrophie plus marquée du
ses elles-mêmes, avec très peu de lésions de la conductibilité. Les symptômes d'idiotie complète concordent avec les lésions
é. Ils conviennent eux-mêmes qu'il ne s'agissait peut-être que d'un symptôme bien connu de l'hémi- plégie, de troubles vaso-
ens. Lussana lui avait bien adressé cette objection topique : « Les symptômes de parésie par ablation des centres cortico-cér
nt aussi le côté correspondant, considéré comme normal. Parmi les symptômes bilatéraux de l'hémiplégie, Pitres a ' Le /ou ?
eu l'occasion de voir personnellement, nous pou- vons donner comme symptômes de cette maladie les suivants : les pieds et la
it apparaître des douleurs dans différentes parties du corps. A ces symptômes physiques s'allient des symptômes psychiques. L
fférentes parties du corps. A ces symptômes physiques s'allient des symptômes psychiques. Les malades deviennent apathiques e
les. Dans la période suivante de la maladie, on voit apparaître les symptômes de démence, et si la maladie se développe en ba
a face, l'état mental 426 REVUE CRITIQUE. présentait les premiers symptômes de démence, ces deux malades se remirent à forc
pas de bons résultats. Le cinquième cas présente une combinaison de symptômes à tel point intéressante que c'est uniquement c
edow. La présence de la struma dans cette maladie forme l'un de ses symptômes coordinaux. Il est vrai que des cas de maladie
malade en paroxysme de fureur, je fus frappé par la vue de nouveaux symptômes qui ne s'étaient jamais présentés dans le passé
mplètement et l'état psychique de- vint normal. Il ne resta que les symptômes d'anémie et de la ma- ladie de Basedow. La ma
liorèrent, le myxoedème dis- parut et la malade ne conserva que les symptômes de la maladie de Basedow. Pendant tout l'état
ort entre la maladie de Basedow et le myxoe- dème, en analysant les symptômes cliniques do ces deux maladies, nous ne saurion
s, de pénibles insomnies et de la crainte de devenir fous. Tous ces symptômes approchent de très près ceux que ' EuIe))burg.Z
31 nous observons dans les premières périodes du myxoedème et ces symptômes peuvent s'accentuer ou s'atténuer conformé- men
maladie de Basedow la peau est aussi soumise à des changements. Les symptômes psychiques et les altérations cutanées n'atteig
actéristiques' de l'hystérie, des accès d'angine de poitrine et des symptômes de goilre exophlhalmique. XI. Pathogénie de l
son (Vulpian), M. J. Teissier pense qu'un certain nombre des grands symptômes de la maladie, le tremblement et les troubles v
onvexe des hémisphères cérébraux a été suffisante pour produire des symptômes oculaires ressemblant à ceux qu'occasionnent le
ans la réunion chronologique et la localisation des .deux ordres de symptômes dans un même côté du corps, une con- Jlexion al
ppenheim 2 la première de ces affections. Tel est dans l'espèce, le symptôme du rire irrésistible à gorge déployée (irrégula
c une dysphagie passagère et la constatation de la bilatcralité des symptômes , nous donnent le droit de diagnostiquer une ata
atteinte, et par l'hémiplégie alterne. Les débuts, la marche et les symptômes généraux de la tumeur ont permis de reconnaître
'est là cependant des cas de sclérose en plaques, dans lesquels ces symptômes font totalement défaut ou font défaut pendant l
endant la vie traduites ni par des symp- tômes objectifs, ni;pardes symptômes subjectifs. Lescommémoratifs ne mentionnent auc
e tuent le ma- lade avant de s'être manifestée par aucune espèce de symptômes (Mickle). En l'absence de tous points de repère
63 (1913) Exposé des travaux scientifiques
aussi le nom d'inversion du réflexe tricipital, C. Lian signale ce symptôme chez un tabétique (Revue neurologique, 1912, t.
s présentant le signe d'Argyll et n'ayant, sauf ce trouble, aucun symptôme d'affection organique du système nerveux. Nous av
nce de la lymphocytose chez ces six sujets, prouve bien, grâce à ce symptôme anatomique, que le signe d'Ar- gyll, même isolé
temps cette propriété. - Les crampes sont, comme on le sait, un des symptômes les plus communs du choléra : d'habitude, dans
rit (98) une forme spéciale de névrite radiale caractérisée par les symptômes suivants : douleurs, qui sans être exclusivement
es crises de spasme, disent ces auteurs, présentaient, entre autres symptômes , « les caractères indiqués par M. Babinski : la
premier rang qui est tenu par l'abolition du réflexe achilléen. Ce symptôme précède généralement l'abolition du réflexe rot
ns la maladie, non seulement dans des cas où l'on en attribuait les symptômes à toute autre cause qu'à une lésion nerveuse, m
évralgiques, j'ai constaté une très notable atténuation de tous les symptômes à la suite de pratiques radiothérapiques . SC
es cylindres-axes sont détruits, se manifester cliniquement par les symptômes qu'on observe dans la myélite circonscrite destru
éningée dont l'un, rapidement mortel, s'est manifesté, entre autres symptômes , par des crises typiques d'épilepsie jacksonienne
ce de notre maître le P' Debove, un fait analogue. Dans ce cas, les symptômes de localisation étaient si nets que nous nous s
n'était apparue que près de 2 ans après le début. L'absence de ces symptômes ne permet donc pas d'écarter l'idée de néoplasie
tanés du côté droit étaient égaux à ceux du côté gauche. D. - Les symptômes cérébelleux que j'ai décrits (voir pp. 136-157)
fourni à cet égard des indications précises (voir p. I ( I ). Ces symptômes servent au diagnostic des tumeurs ponto-cérébel-
noyaux auxquels il se rend sont intéressés. Sans doute, ces divers symptômes ne sont pas absolument iden- tiques suivant que
récemment, dans un rapport, en collaboration avec Tournay, sur les Symptômes des mala- dies du cervelet, présenté au Congrès
escription des mouvements démesurés dans aucun ouvrage traitant des symptômes cérébelleux chez l'homme. Les physiologistes le
s affections cérébelleuses chez l'homme datent de mes travaux. Ce symptôme a été constaté et étudié par plusieurs neurologis
o-sarcome de l'angle ponto-cérébelleux droit, signale, entre autres symptômes , des mou- vements démesurés dans les membres du
me cérébelleux où « les mouvements démesurés, la dysmétrie, sont le symptôme le plus net ». Enriquez, Gutmann et Chauvet (So
ll et Crouzon (Revue neurologique, 1902, p. 1 186) ont recherché ce symptôme , dans le service de Pierre Marie, chez sept malad
de ces mouvements. Nous ne pouvions donc tirer aucune valeur de ce symptôme chez ces quatre malades. Trois autres malades,
me succession rapide des mowementsde supination et de pronation. Le symptôme existait donc chez eux dans toute sa pureté. »
misphère céré- belleux droit. 11 l'a constatée encore, entre autres symptômes , dans un cas de tumeur occupant le vermis et l'
erling (Berlin. klin. 11'ochensclea., 1908, nOS 13 et l4) constate ce symptôme plusieurs fois et, entre autres, du côté gauche
iclr( ! \'eurol. Centralbfatt, 1908, p. 65 1) a observé, entre autres symptômes , l'adiadococinésie à droite chez un sujet, à l'
ésie très nette des deux côtés. Dans diverses études d'ensemble, le symptôme est signalé. Stewart et Holmes (Brain, XXVII, i
\leczko\\ski (Neurol. Centralblatt, igio, p. 557) la compte parmi les symptômes cérébelleux « pro pes ». Bing (Rev. suisse de
la pronation et la supination, la flexion et l'extension ; c'est un symptôme très commun. Il n'est pas invraisemblable que,
e qu'on observe chez un sujet normal et vigoureux. Voici un autre symptôme que je classe également dans l'asynergie. Le ma
vements des yeux sur ceux de la tête, au sens de Babinski, comme un symptôme cérébelleux». Gôtt, dans un deuxième cas, obser
ie du cervelet. Rothmann (loco citato) signale l'asynergie comme un symptôme aujourd'hui classique. F. X. Dercum, de Phila
. 10 et Il) écrit : «... Babinski a appelé l'attention sur quelques symptômes qu'on peut observer dans les lésions cérébel- l
symptômes qu'on peut observer dans les lésions cérébel- leuses. Ces symptômes sont très importants et doivent être recherchés,
. - Bing (Revue suisse de Médecine, 2g décembre I\) 1 [) signale ce symptôme dans son rapporl. Il le considère comme «un phé
mann (loco citato, p. 82). Il écrit : « Il faut ajouter (aux autres symptômes cérébelleux) la catalepsie, c'est-à-dire la facul
ques, je dois donner quelques renseignements complémentaires surles symptômes constatés chez ce malade. Il fut pris, en plein
ché à déterminer, dans la mesure du possible, les rapports unissant symptômes et lésions. La gêne dans la déglutition et l'hé
s auteurs (voir Rossolimo, G. J., Thermoanâsthesieund Analgésie aïs Symptôme von IIerderhrankung des Ilirnstammes. Deealscla
sultat inespéré » (sur quinze malades)..... « Les vertiges sont les symptômes qui sont le plus favorablement influencés, puis
lus souvent par une tumeur de la région hypophysaire et ce sont les symptômes caractéristiques d'une néoplasie occupant ce si
pect infantile du pubis sont manifestes, montrent déjà que tous les symptômes cardinaux du syndrome adiposo-génital ont été exp
jeune homme de 17 ans qui présentait un aspect féminin ; parmi les symptômes constatés il mentionne le développement du pann
différent des divers stades de la maladie ; dans la troisième, les symptômes se réduisent exclusivement à la lésion valvulai
d'origine rhumatismale évoluant au cours d'un labes, la réunion des symptômes dont nous parlons devra faire suspecter la syphil
i...... « \TOUS croyons donc pouvoir conclure : le plus souvent les symptômes pupillaires qui coincident avec les anévrismes
présence d'un sujet hypnotisé), à développer par la suggestion des symptômes dus par exemple à °OU Ill'$TIsRII ? - l'l1'F11.
rir des troubles névropathiques non hystériques, en particulier des symptômes neu- rasthéniques. Il y a là une confusion évid
ibles de guérir sous l'influence de la contre-suggestion seule; les symptômes qu'on fait disparaître au moyen de ces pratique
emplace l'hétéro- suggestion ou s'y ajoute. On conçoit bien que des symptômes pro- duits par une maladie tant suit peu tenace
savait plus faire que ce qu'on lui enseignait : bref, que les seuls symptômes donl elle fût capable en dehors des attaques de
el l'opinion n'est pas absolument unanime est le suivant : tous les symptômes de l'hystérie sont-ils pilhialiques ? A la Sociét
avec G.-A. Weill. Société de Biologie, ig juillet IgI3). 207. Les symptômes des maladies du cervelet et leur signification (e
64 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ie faciale à la suite d'un autre traumatisme subi dans une attaque. Symptômes d'alcoolisme. Rôle de ces deux agents dans le d
et que celle-ci ne diffère en rien d'essentiel, au point de vue des symptômes et du pronostic, de l'hystérie masculine déterm
travail habituel, lorsque tout à coup après avoir res- senti les symptômes de l'aura céphalique : sifflements dans les ore
s grecques étincelantes). Il résume lui- même la marche de tous ces symptômes en disant que ce fut d'abord une obsession qui
d88G. Pendant six mois, de mai à octobre, elle éprouvait différents symptômes dont elle ne pouvait trouver la cause. C'était
on sont accompagnées d'idées de négation et reposent sur différents symptômes que nous allons examiner et dont les plus saill
e aujourd'hui en présence d'un type clinique parfaitement défini, à symptômes précis et quasi pa- thognomiques, à étiologie t
ette connaissance approfondie que nous avons à l'heure actuelle des symptômes et du mécanisme des paraly- sies psychiques con
n et à la disparition des troubles moteurs et sensitifs : par ses symptômes les plus importants, notre observation était con-
méninges avec l'écorce. Donc, l'épilepsie partielle, loin d'être un symptôme exclusif d'une lésion organique, et plus spécia
ifestations d'épilepsie larvée, et que ces deux affections sont les symptômes des mêmes états pathologiques du cerveau 3. Au
l, professeur à l'Université de Sassari. Après une revue exacte des symptômes respectifs de l'épilepsie par- tielle et du gra
s également distinctes du sys- tème nerveux central, n'y voit qu'un symptôme complexe. Unverricht nie donc l'origine uniquem
éflexe. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. I. UN SYMPTÔME observé dans LES PROCESSUS morbides DE la fosse
animés de convulsions. Dans celui de Wollenberg, on constatait les symptômes caractéristiques : l'hémisphère cérébel- leux g
albl., 1889.) Observation avec autopsie. Elle ne révèle aucun autre symptôme que les accidents classiques. Comme l'a dit Vir
prime les tubercules quadrijumeaux et les organes sous-jacents. Ces symptômes sont : des troubles-de coordination, -des troub
E la lésion ; par Fr. ZIEHL. (Neurol. Centralbl., 1889.) C'est un symptôme très illusoire qui exige l'examen précis de l'o
être employé, s'il n'y a pas de contre- indications : 1) quand les symptômes nerveux, principalement les symptômes hystériqu
indications : 1) quand les symptômes nerveux, principalement les symptômes hystériques, ne cèdent à aucun autre traitement;
autre traitement; 2) quand il faut agir rapidement pour éviter des symptômes hysté- riques dangereux; 3) dans un but diagnos
agitée. Les muscles de la face et du cou ne sont pas atteints. Les symptômes morbides vont en progressant. L'étiologie est r
ré quatre mois chez une jeune fille de dix-neuf ans, a présenté les symptômes d'une para- lysie atrophique progressive des ex
ésie du nerf facial et une aphasie amnestétique et motrice avec des symptômes d'apraxie; cette dernière se manifestait en ce
ibution ci la casuistique des affections de la couche optique . Les symptômes suivants ont été remarqués chez le malade, homm
is du système nerveux (et peut-être aussi dans l'alcoolisme) et les symptômes oculaires étant possibles dans cette affection
nt, on peut supposer l'existence chez les anciens syphilitiques des symptômes sembla- bles à ceux du tabes où la lésion médul
u système nerveux, on peut, à l'aide de l'hypno- tisme, ramener les symptômes au cadre exigé seulement par la perte de substa
de la possibilité d'écarter au moyen de l'hypnotisme l'ensemble des symptômes morbides, il faut encore ne pas oublier qu'il p
contribuer ainsi à la guérison par une voie indirecte. Parmi les symptômes les plus importants susceptibles d'être combattus
s à divers auteurs; une observation personnelle dans laquelle les symptômes ressemblaient à ceux du tétanos a été le point de
issement léger de la force nerveuse jus- qu'à la prostration et des symptômes d'excitation constituant la faiblesse irritable
l'hystérie, résistant à tout traitement; à cau-e de la ténacité des symptômes , déterminant une existence misérable, attristée a
erminant parfois par le suicide; 3° la neuras- thénie commune, avec symptômes mixtes, combinés, avec prédo- minance des troub
- tions hypocondriaques distincts de l'hypocondrie vésanique. Les symptômes de la neurasthénie qui méritent le nom de stig-
: la cérébas- thénie et la myélasthénie. Selon la prédominance des symptômes , l'auteur considère encore les formes suivantes
de Bruhl) 3 présente avec notre sujet des analogies frappantes. Les symptômes de la syringo- myélie étaient apparus après un
ifications existent, mais elles y sont beaucoup moins marquées. Ces symptômes se rencontrent dans la syringomyélie; ils, indi
ociation syringomyélique que nous rencontrons, mais la dysesthésie, symptôme qui est -particulièrement fréquent dans lacompr
ite, la face est aplatie du même 168 CLINIQUE NERVEUSE. côté. Ces symptômes ne sont pas exceptionnels dans la syringomyélie
elevée déjà, pour ma part, dans l'hystérie. C'est assez dire que ce symptôme ne saurait caractériser à lui seul la syringomy
sation est en mesure d'expliquer cette association remarquable de symptômes , portant à la fois sur les fibres irido-di- lat
ra- tion descendante, de là cette répartition si particulière des symptômes : troubles sensitifs localisés à la moitié gauc
nce. 13 novembre. Second accès d'épilepsie bien' marqué. Tous les symptômes accompagnent l'attaque. Ecume à la bouche, perte
, aucun trouble physiologique n'a été remar- qué. L'absence de tout symptôme physiologique ou patholo- gique correspondant,
phénomène convulsif n'a été remarqué ; le malade a succombé à des symptômes de paralysie progressive, d'atonie, de marasme,
ts négatifs et de plus à dose élevée, on observe une aggravation de symptômes : dans la folie hystérique avec morphinomanie,
sultat ni en - ce qui concerne la psychose première, 'ni contre les symptômes ' dus à l'abus de la morphine ; au contraire, e
vidus atteints de maladies très difré- rentes peuvent présenter des symptômes en apparence semblables et créer par suite des
cations volontaires et, au premier rang, l'alcoolisme. Les premiers symptômes cliniques de la para- lysie générale correspond
près une période d'excitation de '.cinq à six mois, surviennent des symptômes d'affaiblissement céré- bral et musculaire ; l'
c d'abord comme dans l'alcoolisme, des frayeurs, puis plus tard des symptômes analogues à ceux de la paralysie géné- rale vra
ences, ni lésions alcooliques, en dépit de leurs antécédents et des symptômes cliniques précités. De ces recherches nécropsiq
° La forme spéciale de la paralysie générale est déterminée par les symptômes de l'intoxication alcoolique; 4° La paralysie g
nérale est plus grave chez les gros buveurs qui, avant le début des symptômes de la paralysie générale, n'ont jamais présenté
boration et ce trouble de la nutrition explique peut- être certains symptômes , insomnies, excitation permanente, relevés chez
s géné- 262 SOCIÉTÉS SAVANTES. raux, il est utile de remplacer le symptôme inégalité pupillaire par le symptôme rigidité d
, il est utile de remplacer le symptôme inégalité pupillaire par le symptôme rigidité de la pupille, plus général et plus cara
n de combattre souvent, et qui consistent à faire une maladie, d'un symptôme . On cherche trop, selon lui, à constituer des e
nté générale bonne, à part quelques céphalalgies par moments. Aucun symptôme tabétique. On diagnostique une lésion gommeuse
a chorée devint extrêmementintonse; en même temps elle présenta les symptômes de la paralysie générale (immobilité SOCIÉTÉS S
dans la paralysie générale. M. Remak présente un malade porteur des symptômes de ln pamlysie bulbaire. Un homme de cinquante
trophie musculaire ni altérations électriques; dysarthrie. Avec ces symptômes , on constate à droite une forte parésie du faci
que de l'angoisse respiratoire et de la dysphagie, mais aucun autre symptôme . L'anévrysme siège au début de l'aorte descenda
. Et le canal vertébral put être ouvert, sans qu'il se produisit de symptômes de compression de la moelle épinière. (Arçhiv.
guérison ; toutefois, une petit nombre d'entre elles présentent des symptômes graves, une évolution prolongée, un pronostic d
ment des yeux et celle du mouvement de la tête. , A côté des deux symptômes essentiels, le nystagmus et les mou- vements de
demi les yeux et renversant la tète en arrière, pour regarder ; ce symptôme survient en général quelque temps avant le débu
lynévrites sont encore mal établis en raison de l'analogie de leurs symptômes . Dans les para- lysies générales à forme subaig
'alcool, le plomb, l'arsenic, etc., on est autorisé a rapporter les symptômes qui les caractérisent aux nerfs périphéri- riqu
été attirée d'une part sur l'existence dans le diabète de quelques symptômes nerveux analogues à ceux que l'on rencontre dan
anatomiquement. Entre celles-ci et celui-là il y a la différence du symptôme à l'entité morbide. Et, pour notre compte, c'est
que tout à coup l'élimination cessa de se présenter. Ce der- nier symptôme confirme plutôt l'existence d'une gly- cosurie
que ce traumatisme n'a pas eu en réalité cette influence, que des symptômes tabétiques existaient déjà et que l'accident n'a
incontinence d'urine). Au moment où nous l'avons examiné, outre les symptômes précédents, on constatait : la perte des réflexes
espèce particulière d'aliénation mentale, ayant toujours les mêmes symptômes et la même évolution, mais un état qui se manif
gitation maniaque, la dépression mélancolique, etc. Cha- cun de ces symptômes ou syndromes peut exister à l'état accessoire,
caractéristique de la maladie mentale. Mais quand, au contraire, ce symptôme apparaît en première ligne, qu'il domine la scè
ît en première ligne, qu'il domine la scène morbide, que les autres symptômes n'existent qu'accessoirement et d'une façon sub
l faut reconnaitre aussi que la prédominance de tel ou tel ordre de symptômes imprime à l'aliéné une physionomie spéciale. Le
nt être établies que d'après la prédominance de tel ou tel ordre de symptômes . Si l'on n'envisage que les idées de grandeur,
escence de cette maladie que paraissent s'être montrés les premiers symptômes de dérangement mental. Il devient sombre, tacit
lette, mais, vers l'âge de vingt-six ans, apparurent les pre- miers symptômes de maladie mentale. Au régiment où il était, B.
es sens fonctionnent d'une manière normale. Si l'on tient compte du symptôme le plus marquant, il est très facile de porter
que les observateurs, tout en basant leur diagnostic sur ce seul symptôme qui est, à vrai dire, le plus remarquable, ont
part cela, dans le tableau de la maladie se produisent parfois des symptômes qui mettent hors de doute sa dépendance d'af- f
beaucoup de caractère et n'ayant de commun entre elles qu'un seul symptôme remarquable. ? , . L'histoire des sciences médi
s de recherche basaient par nécessité leur classification sur des symptômes grossiers, nous devons tâcher à présent de les
chez notre malade. 360 CLINIQUE NERVEUSE. L'analyse attentive des symptômes nous permet de loca- liser exactement le siège
rt, la disposition de l'anesthésie décrite plus haut est devenue un symptôme pathognomonique des lésions radi- culaires brac
et qui prennent de plus en plus l'allure hystérique, la plupart des symptômes classiques : hémiparésie à droite avec diminuti
la dose de 0 gr. 078 par kilogramme; l'animal n'a présenté aucun symptôme spécial, et bien que le milieu ambiant fut chaud,
constituent chez ce malade un trouble trophique survenu à titre de symptôme épi- sodique au cours d'une paralysie générale.
EI3f. (Neurol. Cenltwlbl., 1890.) L'auteur étudie l'association des symptômes de l'hystérie avec la gliose spinale, la syphil
En revanche l'hystérie pure peut, par action réflexe, produire des symptômes corticaux en apparence. L'embarras est souvent
1888 ; on constate de l'imbécillité, des attaques d'épilepsie, des symptômes spasmodiques, tels que contractures et convulsion
ncontinence d'urine cessa. En somme, douze faits d'amélioration des symptômes ; cette amé- lioration porte surtout sur la moti
tralbl., 4890'. '. Discussion. M. HEIMANN (de Charlottenbourg). Les symptômes morbides relatés par M. Lewin ne prouvent nulle
a toujours été précédée de délire systématique cocainique dont les symptômes nous sont connus, et que l'épilepsie consécu- t
individus normaux. Chez tous les cocaïnistes j'ai observé les mêmes symptômes ; l'intensité des accidents dépend simplement de
âge qu'avec la sénilité précoce ou tardive. Cette forme aurait pour symptômes propres : l'affaiblissement intellectuel et phy
65 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
e liquide de Buller, nous ont permis d'interpréter suffisamment les symptômes encéphaliques observés pendant la vie. Observ
..., rentier, âgé de 68 ans, éprouve, depuis deux ans environ, îles symptômes cérébro-cardiaques qui se sont développés progres
ataxique, mais titubante, à forme ébrieuse.11 présente nettement le symptôme de la titubation dite cérébelleuse. Si on lui f
ont posées. Sa parole est un peu traînante, mais on n'observe aucun symptôme d'aphasie, ni motrice, ni sensorielle. Par contre
l'attaque apoplectiforme l'urine était légèrement albumi- neuse. Ce symptôme fut transitoire ; en peu de jours l'albumine disp
ferme peut-être que quelques fibres dégénérées, la gauche offre des symptômes très marqués de compression. Elle est aplatie c
e du .cerveau à gauche, trouvée à l'autopsie, n'ait pas provoqué de symptômes notables, tout au moins de troubles géné- raux
) avait déjà fait remarquer depuis longtemps. On observera donc les symptômes qui se voient d'habitude dans les tumeurs du ce
notre cas ce sont bien en effet, comme nous venons de le voir, les symptômes des lésions cérébelleuses et protubérantielles
ent d'une première attaque apoplectiforme qui laissa à sa suite les symptômes de déficit suivants : Titubation cérébelleuse e
40 jours avant la mort. A cette époque une aggravation de tous les symptômes eut lieu à la suite d'une nouvelle attaque apop
était restée latente pendant des années, ne se ma- nifesta par des symptômes caractéristiques que peu de semaines avant le d
ou même faisait complètement défaut. Chez notre malade les premiers symptômes d'un trouble encéphalique ne se manifestèrent q
ent assez bien conservée. Dès la première attaque, les principaux symptômes , nous l'avons vu, furent le vertige et l'ataxie
ux gauche était depuis longtemps tout à fait hors de service. Les symptômes tardifs, ceux qui se manifestèrent après la secon
nt les troubles de la dé- glutition et de la respiration ; puis des symptômes plus prononcés d'une lésion grave du bulbe, les
e aiguë. Un fait qui mérite d'être signalé, c'est la suspension des symptômes d'ir- ritation du bulbe, spécialement celle des
ute la moitié droite du corps, y compris la face, est assurément le symptôme d'une hémi-anesthé- sie d'origine centrale. L'a
trale. L'aplatissement du nerf trijumeau à gauche ne provoqua aucun symptôme , parce que ce nerf put échapper aux consé- quen
elative des nerfs du bulbe et de leurs noyaux, on n'observa pas des symptômes d'une lésion proprement bulbaire, ou du moins o
t encastrée dans un énorme collier lipomateux. Lorsqu'il existe des symptômes de compression, ils sont généralement peu marqués
sibilité, de la motilité, avec aucune dystrophie : l'absence de ces symptômes acquiert une valeur d'autant plus grande qu'ils o
ochondiîie. Le malade de Williams avait perdu la mémoire. Parmi les symptômes viscéraux, nous signalerons parfois l'hypertrophi
ès de suffocation nocturne, on décida d'en extirper une partie. Les symptômes de compression disparurent après l'o- pération.
re très vigoureux, boit régulièrement beaucoup d'alcool, n'a pas de symptômes d'éthylisme. Un frère très robuste est âgé de v
tre hors de cause le diaphragme et laisser dans l'interprétation du symptôme le premier plan à l'excès de distension des gaz
de sommeil pathologique à laquelle nous avons à faire. Préciser les symptômes autant que possible est le premier devoir du cl
is que c'est là un phénomène posi- tivementrare. Quant à décrire le symptôme je ne l'oserai pas avec des documents si discut
es observations qui dans leur ensemble montrent bien les allures du symptôme sommeil dans la maladie qui nous occupe. Obse
ntérêt. On a dit (et Leclerc a surtout insisté sur ce point) que le symptôme de Bernhardt était un signe habituel, sinon con
ptique, etc. peuvent être comprimés isolétaent et don- ner même des symptômes d'une remarquable précision dans leur simpli- c
à quel âge avait dé- buté cette déformation. Il présentait bien des symptômes ataxiques, les premiers phénomènes avaient, par
enir plus volumi- neuse, sans la moindre rougeur et sans le moindre symptôme fébrile. Depuis cette époque, les mouvements de
elle on avait proposé l'amputation, fut de rattacher l'ensemble des symptômes a une bacillose. Mais le thorax était sain, il
ns être un phénomène précoce du tabes, elles en ont toujours été le symptôme révélateur pour nos malades, et toujours elles on
côté, il nous a semblé au contraire que lout était normal, mais un symptôme nouveau nous est apparu : des petits points noi
anatomo-clinique. L'interprétation des lésions et l'explication des symptômes estaiséeà concevoir. Deux foyers symétri- ques
ssement explique, sans qu'il soit besoin de longs commentaires, les symptômes observés pendant la vie. Dans le pédoncule droi
te de l'oculo-moteur gauche. Donc sous ce rapport l'a- datation des symptômes aux lésions estparfaite. Il est difficile de renc
ons du corps. M. Potain a signalé,chez certains de ses malades, des symptômes d'excita- bilité vague ou d'hypochondrie que no
té vague ou d'hypochondrie que nous avons également notés parmi les symptômes possibles de l'affection qui nous occupe. Le même
e nombreux ganglions lymphatiques, l'apparition souvent signalée de symptômes de compressions du médiastin plaident en faveur
l'affection nous retiendra quelque temps à cause de cet intéressant symptôme . xiii 14 210 RENÉ MARTIAL ' Les particulari
, objets dont il se servait pourtant constamment. Il est un autre symptôme qui, celui-là, se présente assez souvent parmi
s autres observations, mais il n'en demeure pas moins acquis que ce symptôme se reproduit souvent dans l'hémiplégie traumati
onc, si l'aphasie prend ici une certaine valeur dans l'ensemble des symptômes de la période aiguë. Enfin à la période aiguë
ouvent et atteint facilement le chiffre de 150 à 160. Mais tous ces symptômes s'amendent au bout d'un certain temps. Ce que
provoquer aucune douleur. Huit jours après, il présentait tous les symptômes d'une hémiplégie gauche, Ilasque, avec particip
t du genou ; son passage par conséquent devant n'être suivi d'aucun symptôme moteur. Supposons alors, que pour une cause ou
c leurs divers degrés. Cependant d'une manière générale, 1 IL les symptômes sont plus accusés et l'issue fatale paraît plus f
ngue et du visage et du sco- tome scintillant ; cela par accès. Les symptômes complets de la migraine opbtal- mique ne se mon
de quarante-huit ans, c'est-à-dire deux ans avant l'apparition des symptômes qui l'ont amenée à l'hôpital, la malade qui jusqu
s qu'elle en eût conscience, sans qu'elle souffrît de la vessie; ce symptôme a persisté pendant un an, puis a disparu. Enfin
. Un examen pra- tiqué deux ans plus tard, révélait en dehors des symptômes confirmés du tabes, l'existence d'une spondylol
sur la peau ou les muqueuses : elle n'a jamais constaté de pareils symptômes chez son mari. Veuve, à l'âge de vingt-huit ans
mais pas dystrophiés. Plus de trace de maux perforants. Sauf les symptômes d'une bronchite chronique, il n'y a, rien de part
déviation de la colonne vertébrale. Il n'y eut ni modifications des symptômes préexistants, ni apparition de symptômes nouvea
y eut ni modifications des symptômes préexistants, ni apparition de symptômes nouveaux. Examiné en septembre 1897, M. P... pr
s, rappelant en tous points les crises gastriques tabéti- ques. Ces symptômes s'amendèrent et finirent par disparaître complète
ment été arraché du même côté (l'oeil et l'oreille présentaient des symptômes très manifestes). L'animal se porte bien, il n'
tains. Il a été revu pour la dernière fois le 8 août 1899. Quelques symptômes nouveaux sont à signaler; la diplopie, bien qu'
des bras et des mains étaient tremblants et incertains ; les mêmes symptômes s'étaient manifestés chez les fils d'une cousin
fut de moins en moins sûre, il devint maladroit de ses mains ; ces symptômes s'amendèrent puis reparurent plus in- tenses à
ent la périphérie. Le frère du malade présente à peu près les mêmes symptômes , et la maladie a débuté chez lui à de 33 ans. S
dination fait défaut dans nos observations, en tout cas elle est un symptôme très inconstant des atro- phies non familiales.
t des affections familiales qui se manifestent cliniquement par des symptômes cérébelleux, anatomiquëment par une sclérose du
nce de lésions de siège différent, l'individualité, l'intensité des symptômes peut varier d'un sujet à l'autre, mais leur quali
-ataxie cérébelleuse; l'âge avancé auquel sont apparus les premiers symptômes , l'absence de toute affection similaire dans le
rs, des méningites, des abcès; le vertige compte en effet parmi les symptômes révélateurs, mais il n'est pas certain qu'il soit
ic des tumeurs, abcès ou méningites cérébelleuses, sans compter les symptômes qui ne relèvent ni de l'hydropisie du liquide c
stic de l'un et de l'autre consisterait sim- plement à énumérer les symptômes fondamentaux de la maladie de Duchenne, signe d
illations du corps, la scansion de la parole, le nystagmus sont des symptômes communs à la maladie de Friedreich et à l'atrophi
vation de Botl;in et celles de Londe dans lesquelles on retrouve ce symptôme n'ont pas été suivies d'autopsie ; Londe qui a ex
re, le rétrécissement du champ visuel, le signe d'Argyll Robertson, symptômes d'une grande rareté dans la maladie de Friedrei
iphérique généralisée; c'est sans doute pour la même raison que les symptômes nerveux consignés dans certains cas d'anémie pe
lé- sions des fibres cérébelleuses dans la patliogénie de certains symptômes de la sclérose en plaques, nous ferons remarque
ions lo- calisées au cervelet et généralisées à toute l'écorce, ces symptômes ac- quièrent une moindre intensité que dans les
on de l'équilibre, un peu d'incertitude,du tremblement des membres, symptômes qui peuvent t en imposer pour une lésion du cer
es fibres cérébelleuses dans leur trajet intra-protubérantio) ; les symptômes de duplégie faciale, les troubles de la déglutiti
elles sont susceptibles de variations brusques dans l'intensité des symptômes , le nystagmus et les troubles de la parole sont
ion ayant été déjà discutée par l'un de nous ; mais en présence des symptômes par lesquels se tradui- sent les atrophies céré
'attitude, l'apparition de mou- (I) Lange, 7HM/e ! cet< sind die symptôme , welolie nach zerslorung des Kleinhil'1ls. beob
'agit laque d'une atténuation et non d'une disparition complète des symptômes . Le nystagnus est dû sans doute à l'interruption
a perte de connaissance qui suit le traumatismecrânien (et c'est un symptôme de commotion cérébrale), et les signes de compr
plégie. Mais, dit-il, la raison du retard dans le développement des symptômes est moins claire : il peut y avoir au début, ou
e de l'hémianopsie. Nous avons signalé plus haut la fréquence de ce symptôme coïncidant avec la paralysie traumatique et nou
indirectement. de l'hémiplégie traumatique 381 La fréquence de ce symptôme est d'ailleurs aussi grande avec les plaies par
primitive. L'instrument aurait atteint le centre oval. D'après les symptômes MM. Abel et Colmann concluent à une lésion de la
été immédiatement transporté à la Charité où il aurait présenté les symptômes d'une fracture du rocher. Il est resté trois se
rté notamment les observations de deux géants présen- tant quelques symptômes d'acromégalie, et à l'autopsie desquels il trouva
eur de l'hypophyse. Si, dans l'observation que nous rapportons, les symptômes d'acromégalie ne sont que peu prononcés, néanmo
délais compatibles avec cette manière de voir, et d'autre part les symptômes d'acromégalie n'ont apparu qu'à l'époque où la
x mala- dies classées soit des os soit du système nerveux, mais les symptômes sont restés immuables pendant ce temps; malgré
d'être accepté comme employé dans une maison nouvelle. Le premier symptôme apparent fut le gonflement de la main ; et nous l
s viscérales, de l'impossibilité de la mar- che et de tant d'autres symptômes plus inquiétants. Il faut de véritables efforts
e lombaire droite ou gauche. Les cyphotiques présentent de même des symptômes analogues : on re- trouve chez eux un thorax gl
ncipale caractéristique de la périoc déviations simples. Un autre symptôme remarquable, c'est l'indolence complète. Ces s
- lence complète. En terminant, nous devons ajouter une" série de symptômes fonction- nels, qui ont été peu étudiés dans le
ons des racines rachidiennes, des troncs nerveux, de la moelle. Les symptômes habituels du tabes se compliquent alors des signe
ul. Le tabès en effet évolue pour son propre compte ; au milieu des symptômes nombreux et inquiétants qui l'affligent, le malad
niques ou les néologismes que crée souvent l'auteur. Le Pica est un symptôme extraordinaire, un appétit dépravé et parfois b
entre eux sont sourds. Il essaiera cependant de les guérir. Aucun symptôme n'est plus redoutable pour un vieillard que la pa
u côlé droit à la suite de l'abus de la poudre sternutatoire. Les symptômes qu'on observe chez les vieillards sont les suivan
qui apporte. plus d'incommodité- que de plaisir et décrit ainsi les symptômes : 1° Abolition de l'odorat ; . 2° Perte de la
loppement extraordi- nairement lent et l'apparition unilatérale des symptômes peuvent en jus- tifier la publication. On trouv
. A part ces deux groupes de paralysies la malade ne présente ancun symptôme maladif, ni dans le domaine des nerfs crâniens,
rieure gauche quand la malade la relève activement. Tels sont les symptômes de la maladie actuelle; aucun trouble de la par
te cette fille ? Où peut-on localiser le pro- cessus produisant ces symptômes , et quelle est la nature anatomique de la lésio
imant les nerfs ; une affection pa- reille devrait produire plus de symptômes que la lésion isolée de deux nerfs. Ce n'est
et les muscles, puis l'absence d'atrophies, enfin l'apparition des symptômes nous permettent d'éliminer ce diagnostic. Ce ne
ut être non plus une affection radiculaire, puisqu'il n'y a au- cun symptôme de lésions qui puissent produire une affection pa
umeur comprimant les noyaux des nerfs malades, parce que les autres symptômes de ces ma- ladies manquent. C'est donc une affe
ent des lésions unilatérales des nerfs du bulbe supérieur, mais les symptômes de la maladie compliquée (atrophies) se manifes
il a supporté un lues. Cinq ou six ans avant la mort apparurent des symptômes très marqués de maladie mentale ; avant tout se
onvulsions dans la moitié droite du corps, après quoi restèrent des symptômes paralytiques avec rigidité du même côté ; quelq
lades qui présentaient une forme démente de paralysie générale sans symptômes psychiques et mo- teurs de l'excitation de l'éc
nt quand les deux syndromes coïncident, on peut reconnaître que les symptômes les plus propres à l'hystérie ont apparu les pr
présenter quelqu'intérêt. Observation. Hystérie à stigmates et à symptômes prédominant du côté gauche coïncidant avec le s
prédominant du côté gauche coïncidant avec le syndrome de Graves à symptômes prédominant à droite. Mme G... fréquente la con
s en ce qui concerne les troubles du syndrome basedowien. Quand les symptômes hystériques la laissait libre de ses mou- vemen
ssi par la bénignité de l'évolution du syndrome basedowien. ' Les symptômes basedowiens se sont manifestés longtemps après l'
iens se sont manifestés longtemps après l'appa- rition des premiers symptômes hystériques qui ont disparu les premiers. On pe
malforma- tions unilatérales avec la localisation prédominante des symptômes hys- tériques (1). (1) Ch. Féré : Hysteria (T
signaler la présence de débuts précoces, contemporains des premiers symptômes douloureux. Nous n'avons pu établir de relations
oite ou gauche, une cyphose ou une association de ces courbures. Un symptôme inquiétant, une grosse complication du tabes ré
arthropathie tabétique en général est chose facile. La présence des symptômes cardinaux du tabes, le bouleversement arti- cul
les lésions vertébrales existaient déjà avant l'apparition de tout symptôme tabétique, elles avaient même souvent atteint l
kylose vertébrale de la spondylose i-iiizomélique ; mais si de tels symptômes vertébraux ont de grandes analogies avec les di
ant faire naître le doute, il resterait encore au mal vertébral ses symptômes de suppuration et les phénomènes de compression
ux centimètres. - Du même côté le nerf sympathique a été arraché ( symptômes auriculaires et - oculaires connus). L'animal
de cette région était dure et sèche. Le second jour, diminution des symptômes , mais du côté droit l'état convulsif persiste e
ent moins admissible quand on se livre à l'examen plus attentif des symptômes . En effet la contracture ou la résolution du sy
e punctum proximum est plus éloigné, diplopie... vertiges. Autres symptômes : bras et jambe faibles du côté droit, sensibilit
il revint à lui, quatre heures après l'accident, il présentait les symptômes suivants; Ptosis à droite avec im- mobilité de
l suppura et devint fistuleux. Toujours est-il qu'il n'y eut pas de symptômes cérébraux, car la malade put reprendre ses occu
de la myélite aiguë ne peut être que symptoma- tique, et parmi les symptômes qu'il s'agit de combattre, on doit éviter en pr
origine intra-uté- rine) dans quel ordre se montrent les différents symptômes oculaires pré- 628 CABANNES ET BARNEFF sentes
e dont le début remonterait à l'époque de l'apparition des premiers symptômes parétiques. Diminution considérable de l'acuité
nts. A cet examen d'avril, nous constatons au niveau de la peau des symptômes et des lésions qui jusqu'alors ne nous avaient
si l'on se souvient que c'est à cet âge qu'apparurent les premiers symptômes médullaires, effet d'un développement fibromate
, du strabisme interne de l'oeil gauche, nous pouvons conclure, les symptômes de lésions cérébrales manquant complètement, qu
P. Marie, Moisnard ; cette scoliose peut exister en dehors de tout symptôme spinal ; on ne peut donc lui attribuer une orig
66 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ste dans la combinaison de certains phénomènes médullaires avec les symptômes typiques de la para- lysie générale spinale dif
a des cas de myélopathies dans lesquelles se pro- duisent tous les symptômes indiqués par 'cet auteur (Duchenne), comme cara
fréquentes au cours'' des affections médullaires, L'évolution 'des symptômes jusqu'à la période de maladie confirmée, s'est
res, répartie avec une remarquabble symétrie. Les caractères de ces symptômes de paralysie amyotro- phiques dénotent qu'on a
ENTALE. rationnels ; mais il nous semble qu'au milieu de tous ces symptômes , il se dégage un ensemble, une phy- sionomie sp
myotrophiques dans les masses musculaires paralysées ; puis à ces symptômes de myélites systématiques s'ajoutent des troubl
nce grise, ainsi que l'ensemble, la distribution et la symétrie des symptômes cliniques, rappellent de trop près l'analogie q
'amnésie est très importante dans l'hystérie, que c'est même un des symptômes cardinaux de cette affection. Il ne me semble p
ne me semble pas qu'il soit possible de rien comprendre aux divers symptômes que vous pouvez avoir à observer, aux para- lys
elconque, uniquement caractérisé par des l'amnésie hystérique. 51 symptômes psychologiques. Il fallait choisir des états som-
la faiblesse de leur perception personnelle et quand l'un de ces symptômes disparait, on peut prévoir que le second va dispa
particulière et il est le point de départ d'une grande quantité de symptômes très variés. C'est pourquoi j'ai cru nécessaire
tre dus à un drainage défectueux, on enleva toutes les sutures. Les symptômes menaçants disparurent progres- sivement et la p
scIé : rosée de la substance corticale sous-jacente. L'absence de symptômes localisés nous en a empêché, car jusqu'à plus amp
r au moins son siège et son étendue rigoureusement tracés par les symptômes . - AUTOMATISME AMBULATOIRE CHEZ UN DIPSOMANE;
ui a trait aux fonctions d.'ordre plus élevé. Puis, à côté de ces symptômes , on en voit se développer d'autres, des halluci
r, que les vésanies à développement et évolution chroniques dont le symptôme essentiel est une conception délirante ayant po
choses graves; 2° Celui dans lequel les obsessions constituent le symptôme fon- damental (folie par obsession). On y renco
lcoolisme, brillamment doué. Influenza en décembre 1888, sans autre symptôme cérébral qu'une vive céphalalgie. L'influenza n
spéciale. La catatonie résulte d'une association accidentelle de symptômes n'ayant point de parenté organique, ne procédant
peu de temps, et guérissent; quelques-uns cependant présentent des symptômes graves, une évolution prolongée, un pronostic d
ie). C'est d'autant' plus admissible que la dyslexie fut le premier symptôme de la maladie; les autres symptômes doivent êtr
e que la dyslexie fut le premier symptôme de la maladie; les autres symptômes doivent être rapportés à la pression occipito-
tions mercurielles, une légère amélioration se produit. Mais les symptômes bulbaires apparaissent, s'étendent et s'aggravent
IL - Fruitière, de trente ans, ayant présenté sans cause comme des symptômes d'ophtalmoplégie nucléaire, de paralysie bulbai
ol. Centralbl., 1891.) Très fréquemment, ces troubles précèdent les symptômes locaux et forment, de concert avec l'exagératio
sensoriel et sensitif hémilatéral que l'on peut considérer comme un symptôme de dé- ficit émané d'un territoire cérébral irr
hémas des centres de la parole comme con- ducteur dans l'examen des symptômes en question; 7° Il convient de s'efforcer d'int
été examiné, six ans plus tard, par M. Sommer, et il trouve que les symptômes actuels ne sauraient être rattachés à un troubl
moléculaire. En d'autres termes, la paralysie psychique n'est qu'un symptôme d'une névrose générale (traumatique). Ce qui n'
ne peut guérir que des troubles fonctionnels; 3° Parce que certains symptômes , telles les idées délirantes et SOCIÉTÉS savant
diamètre. Maintenant qu'il s'est passé un an après l'opération, les symptômes du côté du système nerveux se présentent tels :
pris la parole au cours de la discussion en analysant certains des symptômes cliniques de cette observation et les indi- cat
iqua à son niveau six ponctions dans l'espace de quelques mois. Les symptômes ne furent que médiocrement amendés, tou- tefois
des maladies mentales. - Le cha- pitre II est un index de tous les symptômes variés des différentes formes vésaniques. Le ch
II est un index des maladies mentales avec leurs synonymes et leurs symptômes groupés par maladies. Le chapitre IV traite de
e exactement décrit, et où le trouble visuel est considéré comme un symptôme prodromique de la migraine. Cette forme d'ambly
e de toute la tête, mais sans nausées, ni vomis- sements, ni autres symptômes généraux. , L'hémiopie qui succède au scotôme s
ur une autre; mais, il n'y a pas d'em- barras de la parole ni aucun symptôme d'engourdissement dans aucune partie du corps.
gauche. Les accès survenaient deux à trois fois par an, sans aucun symptôme précurseur, et duraient pendant plusieurs heure
ps et semblent être liés au même processus pathologique : parmi ces symptômes , il est surtout intéressant de remarquer les tr
ue de l'intelligence, l'aphasie, etc... L'inconscience n'est pas un symptôme constant, et il semble même qu'elle soit moins
sensitive ou sensitivo-sensorielle. Dans cette dernière forme, les symptômes sensoriels sont justement les troubles de la vu
dont la cicatrice est visible à gauche. Pendant dix-sept ans, aucun symptôme . Il y, à environ trois ans, névralgie périodiqu
écorce réagissent toujours, dans le domaine pathologique, par des symptômes qui émanent de leurs aptitudes physiologiques spé
mouvement, soit de la sensibilité. L'aphasie, dans ce cas, était le symptôme unique et l'atrophie de la troisième circonvolu
aste foyer de ramollissement n'ayant amené pendant la vie d'autre symptôme qu'un affaiblissement cérébral vague. A gauche, u
té verbale, en même temps que d'aphasie motrice. La réalité de ce symptôme surajouté ne saurait infirmer notre titre d'aph
lors- qu'elles sont écrites ou représentées sous leurs yeux. Ces symptômes et bien d'autres phénomènes similaires, d'obser-
re ce qu'il voyait, ou comprendre le sens d'une chose écrile. Ces symptômes indiquaient l'existence probable d'une lésion du
cé en position normale. Le résultat fut l'en- tière disposition des symptômes alarmants ; l'homme se trouva bientôt capable d
ans l'autre, on ne pourra arriver à eux avec précision, que par des symptômes d'une signification diagnostique bien déterminé
'abcès dans l'hémisphère gauche fut déterminée par un ensemble de symptômes plus particulièrement du désordre de la parole, d
corticaux qui ont à souffiir. Ils recherchent, de concert avec les symptômes psychiques, les divers états et degrés de la de
rrêter les condi- tions primaires ou secondaires dont dépendent ces symptômes . Je suis moi-même d'avis que ceux d'entre nous,
ndre l'âge de cinquante-cinq ans, sans avoir aucunement présenté de symptômes témoignant d'un affaiblissement spinal. Il a al
ronique. Autopsie. Un kyste dans le putamen, n'ayant provoqué aucun symptôme pendant la vie qui puisse faire penser à une af
hénoïdal. Avant l'opération, on n'avait pas constaté la présence de symptômes locaux. Naturellement, ces cas ne sont pas as
OGIE NERVEUSE. 21S douze années, il n'est pas étonnant que quelques symptômes se soient effacés. D'ordinaire c'est la paralys
utopsie : étude microscopique. L'auteur insiste sur l'évo- tion des symptômes intraoculaires : décoloration des segments temp
mes d'une série continue de variantes dans lesquelles on trouve les symptômes de la grande attaque à tous les degrés pos- sib
urs est incapable à elle seule d'expliquer la paralysie. A côté des symptômes ostéalgiques, il y a quelques symptômes de natu
la paralysie. A côté des symptômes ostéalgiques, il y a quelques symptômes de nature névritique, ou dérivant de la compressi
ail,.il ne considère ce délire hypochondriaque spécial que comme un symptôme de certains cas graves de mélancolie anxieuse,
t au délire des persécutions. Le rapporteur rappelle les principaux symptômes et l'évolution du délire des négations, d'après
égation ne sont pas rares, mais le type délirant de Cotard avec ses symptômes complets et l'ordre de succession de ces dernie
qu'elles soient, se rencontre plus ou moins fréquemment à titre de symptôme dans un grand nombre de maladies mentales diverse
la description donnée par Cotard. On y retrouve, en effet, tous les symptômes indiqués par lui comme appartenant à cet état p
nt de la personnalité, de règle chez le mélancolique, mais dont les symptômes plus ou moins accentués peuvent ne pas être int
ssions contraires » de certains malades : et de même entre certains symptômes du délire de possession tels que l'impulsion ve
ui, je citerai le fait d'une malade de la Salpêtrière. Les premiers symptômes consis- tèrent dans des troubles de la sensibil
nnalité et très voisins de l'idée de possession. La présence de ces symptômes montre qu'ici, comme chez le mélan- colique, le
n de l'espèce nosologique et de la recherche minutieuse de tous les symptômes de l'affection. Il est à remarquer cependant qu
variations que des recherches ultérieures précise- ront dans leurs symptômes , leur marche, leur étiologie, ainsi qu'il a été
sécution absolument semblables et cependant ils ne présentent aucun symptôme de mélancolie; les troubles émo- tionnels et ab
des mélanco- liques, bien que la malade n'eût jamais présenté aucun symptôme de mélancolie; sauf cela, l'aspect général, la
nomes. Il y a lieu, croyons-nous, d'opérer le dénom- brement de ces symptômes psychiques au profit des espèces mor- bides aux
s, qui, il la suite d'une encéphalopathie saturnine, a présenté les symptômes d'une paralysie générale à la dernière période.
toire tout entière. Après cette rémission de deux mois, tous les symptômes de la paralysie générale se sont montrés de nou
con- sidérations psychologiques et montre que ce parallélisme des symptômes d'automatisme et des troubles anesthésiques n'a r
econdaire automatique. Dès lors il est naturel que les anesthésies, symptôme d'un rétrécissement du champ de conscience, s'a
tiellement à la connaissance des différences qui existent entre les symptômes de la série organique et ceux de la série hysté
érique. D'une manière générale, dans chacun de ces deux groupes les symptômes similaires ont une physio- nomie clinique spéci
la névrose imprime habituellement à ses manifestations. Parfois les symptômes se sont associés de façon Ji former des syndrom
sur Charcot a. Elles nous ont paru intéressantes par la gravité des symptômes et par les très grandes difficultés que présent
ubjacente auraient t bien pu expliquer la diminution et l'arrêt des symptômes . Mais cette hypothèse, qui aurait été admissibl
ant six ans des convulsions limitées au bras gauche furent l'unique symptôme de la sclérose en plaques dont le tableau compl
éminemment diffuse qui se mani- feste pendant six ans avec un seul symptôme , nous parait tel- lement exceptionnel, que nous
ontre combien M. Charcot est dans le vrai lorsqu'il affirme que les symptômes sont comme les lettres de l'alphabet; en les co
symptomatique, nous ne pouvons nous en laisser imposer par un seul symptôme tel que la mor- sure de la langue. Ceci du rest
pas très rare de voir que la migraine ophtalmique peut être le seul symptôme vraiment morbide. Chez les névropathes, c'est-à
cause l'anémie cérébrale. Cet obscurcissement peut être encore le symptôme d'une congestion de la tète et précéder l'hémor
asie, épilepsie partielle, etc.). En effet, bien souvent c'est le symptôme amblyopie transi- toire qui a la valeur la plus
le syndrôme de l'épilepsie partielle survienne encore, que quelque symptôme des attaques reste permanent, que ces attaques
e qu'elle a cohabité avec le diable et à la suite présente tous les symptômes de la grossesse, même la sécrétion lactée des m
, rare, de courte durée et qu'il s'ac- compagne de toutes sortes de symptômes , de fatigue psy- chique, augmentation des anest
Beaucoup d'entre vous voudraient me dire : « Vous décrivez là les symptômes de l'aboulie, une des formes de la folie du dou
diffèrent légè- rement suivant les circonstances. D'abord, tous ces symptômes s'accompagnent beaucoup plus souvent qu'on ne l
tre, nous avons compris par nos études précé- dentes que ces divers symptômes dépendent l'un de l'autre, que la distraction e
gestibilité. La seule chose importante à reconnaître, c'est que les symptômes prédomi- nants ne sont pas les mêmes chez tous
1891, t. I, p. 258 et 384.) 462 CLINIQUE NERVEUSE. prétation des symptômes , mais sur le diagnostic médical de cette malade
anesthésie ou l'attaque. Retenons donc cette notion importante : le symptôme de la suggestibilité ne se présente pas seul, i
souvenirs. Vous voyez bien, d'après ces trois lois, que ce nouveau symptôme est identique aux précédents, qu'il est bien de
j'ai étudié la suggestion pathologique, la suggestion qui est un symptôme d'une maladie mentale. J'ai essayé de remonter au
ie mentale. J'ai essayé de remonter aux causes plus profondes de ce symptôme et je vous ai montré qu'il dépendait, non pas s
ladies mentales, et en particulier dans l'hystérie dont il forme un symptôme essentiel. Cette aboulie n'est pas la dispariti
onfondre avec toutes sortes d'autres faits, en l'analysant comme un symptôme clinique, nous croyons être fidèle à la méthode
sensibilité et les mouvements. C'est alors qu'apparaît un nou- veau symptôme , le tremblement. y Tremblement. Dans le décubit
es lèvres). Mais quand le bégaiement eût remplacé le mutisme, les symptômes divers présentés par le malade pouvaient faire
sclérose en plaques, ne sont pas rares, et recherchons si tous les symptômes que présente notre malade sont exclusivement im
a sclérose en plaques hors de cause, car nous ne trouvons ici aucun symptôme lui appartenant en propre : vertige spécial, ny
uisants de l'habitus général, T l'absence presque indéfinie de tout symptôme démentiel sont des éléments diagnostiques peu f
parler du délirant alcoolique dont l'affec- tion se tradait par des symptômes spéciaux, et non de l'ivresse simple. Supposez-
u'à leur arrivée dans son service ces malades n'ont pas un seul des symptômes du délire alcoo- lique classique et semblent pl
l a conclu à la dégénérescence parce que sa malade pré- sentait ces symptômes . M. ROUDINOVITCH. - J'ai dit que l'hérédité de
organite qui n'est autre que le nucléole rapetissé. M. BRIE. Des symptômes de lésions en foyer dans la paralysie géné- ral
des lésions en foyer, d'ailleurs cliniquement caractérisées par des symptômes qui indiquent leur localisation. Voici un paral
orps restiforme chez les lapins et les chiens on peut provoquer les symptômes de la maladie de Base- dow. (Al'chiv f,1>syc
67 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
IE NERVEUSE. 55 Deux nouveaux cas leur permettent de revenir sur ce symptôme dont ils exposent la symptomatologie, la physio
s (deux ou trois jours)... A chaque poussée pseudo-méningitique les symptômes peuvent en imposer pour une méningite vraie. Ce
en rapport avec l'anurie; fièvre continue); de la longue durée des symptômes fébriles; de la curieuse suppléance du rein par
homogène au point de vue fonctionnel, il existe cependant quelques symptômes de localisation, selon quela tumeur occupe le l
des troubles d'aphasie sensorielle ; dans d'autres cas enfin, des symptômes de compression des nerfs de la base, des hémiplég
ments incoercibles et fécaloïdes ; par le Dr J. PAVIOT. C'est là un symptôme nouveau, non encore signalé. Les vomis- sements
de nature nerveuse, avec paralysie faciale, suivie à bref délai de symptômes de tumeur encéphahque. (Revue neurologique, nov
laquelle le myosis et la suppression de la salive ont été les seuls symptômes . Autopsie. - Etude de diagnostic par exclusion;
Le myosis et la suppression de la salive peuvent être les premiers symptômes d'une méningite ou d'une myélite; 5° Le raisonn
pas le phénomène initial. Il faut chercher plus loin que parmi les symptômes variables ; or il y a un élément qui ne varie j
atigue céré- brale, insomnie, anorexie, phobies diverses ; tous ces symptômes ont été supprimés par un traitement hypnotique
C'est pourquoi il regarde comme thème essentiel la définition des symptômes différentiels de cette maladie, puisque des troub
sme ni de dysenterie. DEUX CAS DE LÈPRE NERVEUSE. 99 Les premiers symptômes qu'il ait constatés ont consisté en une démange
ôt d'affaiblissement. Limités d'abord au médius et à l'index, ces symptômes atteignirent ensuite le pouce ; les deux der- n
meuré à peu près iden- tique. Procédons maintenant à l'examen des symptômes que 100 CLINIQUE NERVEUSE. nous observons au
, il était incapable de mettre la main derrière le dos. Un second symptôme attire immédiatement l'attention, c'est l'atrop
inement plus leur sensibilité nor- male. . " Mais il est un autre symptôme essentiel que révèle la pal- pation de la régio
n de la face et du cou, nous relevons encore, de ce côté, nombre de symptômes Fig 15. 104 , CLINIQUE NERVEUSE. importants
xamen minutieux- du malade ne permet pas de décou- vrir aucun autre symptôme digne d'être mentionné; les autres parties du s
normal, le 28 décembre 1896, est suivie d'une nouvelle poussée des symptômes éruptifs, douloureux, anesthésiques et aussi' d
L'inspection de la peau révélait encore la présence de plu- sieurs symptômes intéressants. C'étaient : à la face antéro- int
bonne, que le sommeil et l'appétit étaient normaux et qu'à part les symptômes spéciaux que je viens d'énumérer, ' l'examen de
1'ér. 25. lui[8 m CLINIQUE NERVEUSE., 1 laquelle a persisté. Ces symptômes ont été les seuls qui .soient venus modifier l'
eux, la même évolu- tion lente avec tendance à l'extension pour les symptômes locaux et avec retentissement sur l'état généra
ômes locaux et avec retentissement sur l'état général : quant aux symptômes cliniques eux-mêmes, ils sont remarquablement i
n causale en pré- sence de laquelle nous nous trouvons.. - Un des symptômes les plus frappants, dès l'abord, chez nos deux
stic ne saurait être maintenu si on veut tenir compte de< autres symptômes que je vous ai mentionnés : en cas de syringomy
ller plus loin, préciser la nature et la pathogénie de semblables symptômes et notamment déterminer leurs rapports avec la
i chez nos malades je repousse l'idée de syringomyélie. Parmi les symptômes que nous a révélés l'examen de ces malades il e
altérations organiques qui tiennent sous leur dépendance les divers symptômes que nous a présentés ce malade. Cette étude me
e longues périodes d'accalmie, le plus souvent les lésions et leurs symptômes ont une tendance redoutable à l'extension et à
on de la maladie chez cet homme et limiter beaucoup le reliquat des symptômes définifs. C'est vous dire qu'il convient de lut
elon cette dernière variété. Pendant l'amélioration progressive des symptômes , il arrêtera ainsi lui-même ses propres discour
lus systématisé que la première fois. Remise en traitement les gros symptômes se dissipent vite, mais la guérison avance lent
uvent dans le sérum cytotoxique ordinaire; mais si l'on compare les symptômes toxiques de cette série avec ceux des cas dans
de leurs produits, de rattacher chacun de ces détails évolutifs aux symptômes cliniques. L'expérimentation n'a-t-elle pas écl
q minutes pris de spasmes. Une immobilité de six heures produit des symptômes tout à fait analogues à ceux qui suivent les vi
ue. IV. La vraie réactioa paradoxale des pupilles à lalumièreest un symptôme extrêmement rare qui jusqu'à ce jour a été obse
epose sur un fond de timidité : et les sujets présentent les grands symptômes ordinaires de cette infirmité sociale. Cette
arme d'un assassin, une fin si tragique, présentait à côté d'autres symptômes psychopathiques dont l'héridité des Vittelsbach
fois l'opinion de M. Séglas, que la seule explication plausible des symptômes catatoniques ne doit pas être cherchée ailleurs
sité de ces lésions était tou- jours en rapport avec la gravité des symptômes : il est donc bien difficile, pour tout esprit
e, en outre, des formes anormales résultant de l'exagéra- tion d'un symptôme : les formes catatonique, agitée ou stupide, en
conservation des attitudes, le négativisme... etc., ne sont que des symptômes secondaires de cette affection : ils ne sont que
pratique de la théorie des localisations pour l'interprétation des symptômes morbides. En somme, les cas favorables sont peu
nir rappeler ces faits, décrits par If,ohlbmanu dès 1874, comme des symptômes d'ordre exclusivement muscu- laire, mais justem
suggestion sont moins fréquents, surtout dans les cas d'hystérie à symptômes classiques (anesthésie cutanée, conlrac- Lure,
rare dans le SOCIÉTÉS SAVANTES. ' 249 tabes confirmé, avec grands symptômes ; elle n'est fréquente que dans le tabes avec sy
avec grands symptômes; elle n'est fréquente que dans le tabes avec symptômes minimes de lésion des cordons pos- térieurs ; 2
té doit survenir, elle survient générale- ment avant la plupart des symptômes du tabes ; 3° l'affection à laquelle on donne l
L'anesthésie plantaire, rare dans les autres névroses, constitue un symptôme digne de remarque ; . 4° L'abolition simultanée
s au Congrès cinq observations de neurasthéniques, chez lesquels le symptôme dominant est une douleur épigastrique, sur- ven
anatomo-cliniques les plus directes ont pu être établies entre les symptômes et les lésions. Il s'agit, en résumé, d'un tube
re dyschromatopsie surtout à gauche. De même qu'en d'autres cas les symptômes permanents de l'hystérie sont peu marqués. Asse
Le négativisme ou délire d'opposition, est comme tous les au- tres symptômes catatoniques dû à l'exagération des impressions
ntation cor- respondante). M. Lévi procède à une étude critique des symptômes qui d'ailleurs s'améliorent. Comparant ce cas p
e de l'écorce. 3. 1,'ataxie tend moins à rétrograder que les autres symptômes . Il se produit en l'espèce, ce qui a lieu chez
'hénziscotovze Sll1'Vit à la disparition de l'hémicranie et de tout symptôme cérébral, pendant vingt-six jours; le champ vis
'accès de migraine proprement dit eut cessé, il persista encore des symptômes d'exci- tation cérébrale. P. Keraval. XXXVI.
t que 348 REVUE DE pathologie NERVEUSE. la paralogie constitue un symptôme qui n'est pas du tout uni- taire puisqu'on le r
es questions, parlent lentement comme s'ils sortaient d'un rêve. Ce symptôme est la suite ou l'escorte de certaines pertubat
lles ne dérivent pas directe- ment du processus d'abêtissement ; le symptôme est la manifesta- tion du délire d'opposition (
cessus patholo- gique en foyer par ce procédé, alors que les autres symptômes étaient en faveur d'un désordre diffus ou même
s'agit d'un soldat de vingt-cinq ans ayant brusquement présenté les symptômes de la manie avec fmeur, le 19 mars 1899 de 11 heu
aggravée malgré un long traitement par le bromure de potassium. Aux symptômes classiques de l'épi- lepsie s'ajoutaient depuis
cette tumeur eût envahi plusieurs organes de l'encéphale, certains symptômes , néanmoins, ont présenté un tel carac- tère qu'
t le besoin d'uriner. , Cet état a duré-pendant six jours, puis les symptômes se sont aggravés. La torpeur intellectuelle s'a
lieu dans le coma le 11 février 1903. Cette malade a présenté un symptôme très curieux. Elle proférait constamment des me
rne. Les dégâts causés par la tumeur nous rendent bien compte des symptômes présentés par la malade tels que les divers tro
la malade tels que les divers troubles de motilité. Mais il est un symptôme qui attire spécialement noire attention dans l'
autres états pathologiques de 1 encéphale qui peuvent présenter ce symptôme ). La pre- mière de ces observatiens est due à O
état pathologique. Cependant le rire continuel et exagéré était le symptôme qui nous a le plus frappé». Oppenheim et Eisenl
phénomènes présentés par la malade et prenant en con- sidération le symptôme concomitant du rire forcé conclue que la lésion
e en question, cultivateur, âgé de trente ans, avait présenté les symptômes suivants : Nerf facial droit atteint de parésie e
ndant ne serait qu'apparente et due sim- plement à la diversité des symptômes que présentent d'une manière générale les tumeu
tumeurs encéphaliques. Ceux-ci, en effet, peuvent être ou bien des symptômes d'abolition des fonctions de la partie encéphal
fonctions de la partie encéphalique qui en est le siège ou bien des symptômes d'irritation. « La tumeur de la couche optique
en vie, la tumeur se développant davantage, aurait occasionné des symptômes de destruction de la couche optique. » Il en fu
voquées dans ce ganglion central n'avaient ainsi produit que des symptômes d'irritation, qui, en une période ultérieure, a
ritation, qui, en une période ultérieure, auraient fait place à des symptômes d'abolition des fonc- tions de la couche optiqu
d'origine pleurale sont des phénomènes Iréquents. L'angoisse est un symptôme classique de l'angine de poitrine; toutes les a
et au pronostic dans le typhus, la pneumonie, etc. accompagné de symptômes cérébraux graves et dans les cas d'abcès cérébrau
ffet, même après l'évacuation d'une petite quantité de liquide, des symptômes de méningisme. Au point de vue thérapeutique, o
ve pas de dépression au début, les idées délirantes sont rares, les symptômes catatoniques peu accentués, la stupeur pro- fon
rthrie. La persistance de ce trouble après l'atténuation des autres symptômes fait supposer a l'auteur que l'irritation corti
des bizarreries extraordinaires dans la vie ordinaire ; puis, comme symptômes plus immédiats, plus sensibles, des phéno- mène
de trente-six ans, chez lequel se sont montrés à un haut degré les symptômes de la catatonie, c'est-à-dire l'immobilité, le mu
eux. A propos du diagnostic, l'auteur fait remarquer que certains symptômes catatoniques accompagnent souvent la mélancolie
idérée comme une entité morbide spéciale... elle ne constitue qu'un symptôme pou- vant se rencontrer dans les états morbides
s la glande pituitaire », à cause, dit-il, de la ressem- blance des symptômes de l'acromégalie et de l'hystérie. Quant au tra
EVUE DE pathologie NERVEUSE. et non celle de Bechterew, pour qui le symptôme est réalisé par une lésion de la couche optique
action dans l'agitation de la démence précoce tient à la nature du symptôme . Si, à la dose de 1 gramme il entretient quelqu
systématiser, la conservation de l'orientation, la fréquence des symptômes de polynévrite constituent les phénomènes caracté
ur, voûte palatine ogivale). Aucun trouble de la sensibilité, aucun symptôme d'hystérie. Au point de vue intellectuel, l'inc
mettre le feu dite pyromanie, obsession dont elle présente tous les symptômes classiques ; - 3° Emilienne G... est entièremen
rapportent, il semble d-écouler que, dans les cas où il existe des symptômes nets mais diffus de tumeur cérébrale, la simple
meur cérébrale, la simple ponction lombaire peut améliorer certains symptômes (céphalée, diminution de l'acuité visuelle, héb
facial hystérique. L'hémispasme facial vrai se caractérise par les symptômes prin- cipaux suivants : a) Secousses toujours u
itoire nerveux périphérique, celui de la VIle paire. Ces différents symptômes différencient nettement l'hémispasme du tic. A
motrice et sensorielle (surdité verbale). En présence de pareils symptômes , le diagnostic semblait être : vaste ramollisse
ns la forme nerveuse de l'ostéomalacie présentée par le malade. Les symptômes nerveux consistaient en une paraplégie (contrac
L'observation chez un même sujet jeune fille de dix-huit ans des symptômes cliniques de deux affections différentes, résul-
iotarsienne conduisant à uneinterventionchirurgicale. L'analyse des symptômes cliniques conduit d'autre part à formuler le dia-
ralysie générale avec prédominance céribelleuse des lésions et des. symptômes ; 3° Para- lysie générale à forme aiguë; 4° Par
ue de la démence vraie. M. DE1ÎY. - Je dirai à M. Toulouse que le symptôme confusion n'a jamais uniquement servi pour fair
comme un signe de démence. La confusion mentale est souvent le seul symptôme invoqué pour faire le diagnostic de démence vés
e laparaly- sie générale. Le malade mourut après avoir présenté les symptômes du délire aigu. A l'autopsie, on constata, en o
it une amélioration très notable. Ilémol'l'hagie cérébro-méningée à symptômes l1u ! ningi/iques. MM. Achard et RAMOnD. - Le d
tement d'une attaque épileptiforme, nous avons observé une série de symptômes ménin- giliques : attitude en chien de fusil, r
en dehors de toute suggestion; il suffit, à lui seul, à guérir des symptômes qui n'ont pas été visés par les sug- gestions e
face, par Lannois et Porot, 490. Hémobuhagie cérébro-méningée à symptômes méningitiques, par Achard et Ramond, 509 fiMO
le le myosis et la sup- ]Jlessioll de la salive ont été les seuls symptômes Autopsie. Etude de diagnostic par exclusion, pa
68 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
t de ses notes dans la reconstitution aussi exacte que possible des symptômes présentés par un petit malade de sa clientèle.
décrire se sont continués, à peu près parallèlement pour chacun des symptômes , pendant une année presque entière ; c'est seul
e basait d'ailleurs sur la mobilité et l'intermittence de plusieurs symptômes , sur leur mode de début et par dessus tout, sur
s et enfin, le laps de temps nécessaire il l'évolution complète des symptômes , aucun ne manquait au syndrome que nous voulons
égie spasmodique infantile. Mais là n'est plus notre but : c'est le symptôme hé- michorée que nous avons seulement en vue.
bien à deux centres voisins ne sont en rapport constant avec leurs symptômes que s'il s'agit de lésions destructives de ces
sies partielles consécutives. Ce rapport entre les lésions et leurs symptômes devient contingent pour les lésions seulement i
sie ou de la contracture partielle. On peut en effet rencontrer ces symptômes de la lésion irritative, alors même que la lési
doute, c'est assurément l'existence de l'hys- térie. Mais tous les symptômes relèvent-ils de la névrose ? Là commencent les
les ont précédées : apoplexie, épilep- sie partielle, un cortège de symptômes assez caractéristiques pour éloigner toute idée
presque toujours dans les cas de plaies incomplètes des nerfs. Les symptômes de ces névrites traumatiques sont les suivants :
âgé de 51 ans, il rentre pour la troisième fois à l'hô- pital. Les symptômes de l'ataxie sont au même point. Il a regagné de l
APHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. dans le groupement et l'évolution de leurs symptômes ; les autres au con- traire, celles qui accompa
SYNDROMES HYSTÉRIQUES SIMULATEURS DE LA MÉNINGITE AIGUË. Les divers symptômes de la méningite aiguë n'ont pas une égale impor-
ns faites pour la pratique, reconnaître dans la méningite aiguë des symptômes car- dinaux qu'on peut constater dans la majori
ce sont la céphalalgie, les vomissements et la constipation. A ces symptômes essentiels s'en joignent souvent d'au- tres, te
s se réduit à voir d'abord si l'hystérie peut simuler chacun de ces symptômes en particulier ; les observations démon- (1) CI
ype habituel de la méningite par la variété et la mobilité de leurs symptômes . Le diagnostic des deux affections n'en devient
alors que plus ardu. Avant donc d'étudier les différences de leurs symptômes , voyons quels sont leurs points de contact. La
pas moins caractéristique. Nous n'insisterons pas sur les autres symptômes secondaires de la mé- ningite aiguë : délire, a
ns insisté plus haut sur la répartition régulière ou symétrique des symptômes propres aux lésions d'origine vasculaire. Rien de
cile de dé- couvrir la névrose et de séparer ses manifestations des symptômes de la maladie organique. VI. Dans tous les ca
Guyane française pendant (1) Rosenbach. Ueber die neuropathischen. Symptôme der Lepra, Neurologisches Cen- tl'alblatt, 4 ao
pre à forme syringomyélique que nous venons de citer, on a noté des symptômes céphaliques. Le malade étudié par MM. Leloir, B
e des nerfs crâniens et surtout des pneumogastriques. Si donc les symptômes céphaliques sont plus rares dans la syringomyélie
des deux affec- tions. 5 L'hypertrophie des nerfs cubitaux est un symptôme que tous les auteurs qui se sont occupés de la
acules hyperhémiques et de troubles sensitifs à leur surface est un symptôme qui, jusqu'à plus ample informé, appar- tient e
vec quelques différences; ici l'arthropathie n'a pas été le premier symptôme de l'ataxie ; en outre elle s'est produite succ
ical (formes audias) ou en difficulté pour uriner. Il eut les mêmes symptômes du côte du fondement. 1890, 1° Crise gastrique.
urs ne sont pas aussi \ ives que les dou- leurs de jambes. Autres symptômes . - Le malade signale de l'engourdissement cubital
ussi marquées entraînent une aussi légère impotence. Mais parmi les symptômes qui chez ce malade ont coïncidé avec la double
hiques (eschares fessières) commen- cent à se produire; et quelques symptômes légers d'infection secondaire apparaissent. La
ésente la démence, il y a une forme très simple qui réunit tous les symptômes principaux de cette maladie et peut servir de m
nt de l'Université. -Deux ans de maladie. Refus de nourriture, puis symptômes de démence.) Mimique : Affaiblissement du muscl
e orbitaire infé- rieur ainsi que celui des autres muscles sont des symptômes toujours cons- tants. Au contraire, dans la neu
vraie, mais dans la démence apathique, il est à présu- mer que les symptômes sont plus compliqués. Et en effet, sur la figure
les réflexes des muscles ciliaires et des sphincters iriens. Ces symptômes sont des indices connus depuis longtemps dans la
re ou secondaire où l'on constate une ophthal- moplégie interne, ce symptôme est en corrélation absolue avec les autres indi
es phénomènes bulbaires constants dans cette maladie, plutôt qu'aux symptômes fondamentaux de la démence. Il ne peut y avoir
sies des muscles sont apparentes et réciproquement. 4° Entre les symptômes psychiques et mimiques de la démence, il y a un
venir à lui des Israélites du même pays, et se plaignant des mêmes symptômes . Leur costume a bien subi quelques chan- gement
t par des céphalées syphilitiques, pour s'accompagner plus tard des symptômes d'une méningite spinale chronique, contribue à
avons rencontrées. Ainsi dans la très grande majorité des cas, les symptômes qui traduisent l'envahissement du tissu médulla
ère indiquent la participation du tissu nerveux. Toutefois ici, les symptômes cérébraux du début peuvent être relative- ment
ment iodo-mercuriel.a a pu être institué avant l'apparition de tout symptôme médullaire à propre- ment parler ; et la guéris
ite au contraire elles prédominaient dans les trois premiers. A ces symptômes douloureux est venue ensuite s'ajouter de la faib
s observa- tions, fait défaut. On ne retrouve pas l'enchaînement de symptômes clini- ques indiquant cet envahissement de haut
ésentent at- teints de paraplégie, prétendent n'avoir éprouvé comme symptôme pré- curseur que de légers troubles subjectifs
e d'urine est aussi abso- lue qu'au début ; mais il n'existe pas de symptômes d'infection du côté des voies urinaires. Tel
n que la période prémonitoire manque en- tièrement, ou bien que les symptômes qui la caractérisent soient tellement légers qu
lle, les paralysies peuvent apparaître sans avoir été précédées des symptômes qui traduisent' dans certains cas d'une manière
t de la maladie, suivant Erb, a lieu d'une façon pro- gressive. Les symptômes se constituent dans le cours de semaines, de mois
nsverse quelconque. Pour notre part, nous en avons observé tous les symptômes chez des malades indemnes de syphilis, autant q
philitique, indépendamment de tout autre renseigne- ment. Quant aux symptômes actuels, seule l'exagération considérable des r
a syphilis spinale s'accompagne pour ainsi dire presque toujours de symptômes cérébraux. C'est avant tout, dit-il, une maladie
bre de cas, d'accidents médullaires ; et si la plupart du temps les symptômes spinaux sont marqués par l'importance des pre-
ns seulement sur l'im- portance qu'il y a à rechercher les moindres symptômes encéphaliques, alors môme que le malade n'en ac
e diplopie antérieure, permet de rattacher dans ces conditions, les symptômes observés il une paralysie incomplète de l'o- cu
à la consultation deM. le professeur Charcot à la Salpêtrière. Les symptômes oculaires ont si peu d'importance chez de tels
e l'uil ; acuité normale. Môme coïncidence, dans le cas suivant, de symptômes oculaires légers et d'une paraplégie syphilitiq
s de l'affection sont les mêmes, l'ordre d'évolution des différents symptômes n'est pas changé ; mais le tableau clinique est s
erses graves. En outre on peut voir apparaître un certain nombre de symptômes qui font défaut dans la variété précédente : te
d'antisepsie les plus rigoureu- ses prises dès le début. ' Aucun symptôme cérébral n'a été noté pendant cette maladie. Jusq
sur le mécanisme du ra- mollissement médullaire. L'intensité des symptômes est ici tout autre que dans les autres formes (
ement de la moelle pouvait se tra- duire exceptionnellement par les symptômes d'une myélite transverse cer- vicale (observ. I
s que le diagnostic d'ataxie locomotrice avait été justifié par les symptômes observés du vivant des malades. Cette dernièr
alement au niveau des régions qui tiennent sous leur dépendance les symptômes cardinaux de l'ataxie locomo- trice. Mais il pa
le quelconque.. Les lésions du système nerveux constituent tous les symptômes : Contracture spasmodique du bras droit de l'av
ibles : des chiens le poursuivent venant de droite à gauche. Pas de symptômes neurasthéniques (céphalée, plaque sacrée) ; pas d
océdé familier aux neurasthéniques, il sort une liste détaillée des symptômes qu'il éprouve et en commence la lecture. Voic
ue le traitement per- dait peu à peu de son efficacité. De nouveaux symptômes qu'il observa en lui, n'étaient pas guéris par
s dans les tempes, constriction à la gorge. Mais l'amélioration des symptômes paralytiques fut très lente. Il pouvait cependa
a Salpêtrière en février 1890. Examiné le 4 mars, on constatait les symptômes suivants : Le bras gauche tombe verticalement l
ruce, après quelques notions anatomiques sur le crâne, étu- die les symptômes , externes et internes de ses fractures : « Casus,
ne fille de 26 ans, laquelle présentait depuis plusieurs années les symptômes caractéristiques de la grande névrose. Pendant
du nerf optique, nous avons renvoyé à l'analogie, qui rapporte ces symptômes à l'hémiopie homonyme bilatérale circonscrite si
e dou- leur persiste à la pression. A la fin de novembre 1887 ces symptômes douloureux disparaissent. 1.CI' décembre 1887-1
a maladie aura entièrement achevé son déve- loppement l'analyse des symptômes psychiques, de même que ma conclu- sion général
tégorie, elles doivent être également rejetées, vu l'absence ici de symptômes cardinaux se rapportant aux troubles qui accomp
e rapporter cette affection à une lésion de la moelle épinière, les symptômes cliniques propres à ce genre de lésions faisant d
rejeté en arrière. La jambe gauche traîne encore un peu. Un autre symptôme qui date de la même époque ; c'est une sorte de s
est généralement constipé et irrégulier dans ses garde-robes. Les symptômes hystériques décrits dans la première partie de l'
vient s'ajouter celle d'une femme israélite dont l'histoire et les symptômes morbides concor- dent absolument avec ceux des
e, souffrant d'accidents neurasthéniques classi- ques avec quelques symptômes d'hystérie et des attaques frustes. Nous retrou
maladie obsédante. Il nous reste maintenant il passer en revue les symptômes morbides que présentent les malades dont nous a
certains malades les phénomènes morbides semblent se limiter à ces symptômes purement neurasthéniques comme dans les observati
le fait est certain, pendant les premiers temps, une diminution des symptômes les plus pénibles. L'hydrothérapie, les médicam
69 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
eur explication dans des lésions corrélatives, ou dans lesquels des symptômes en apparence légers étaient suivis, à distance,
t est extraordinaire dans cette maladie : son nom est ridicule, ses symptômes singuliers, son caractère équivoque, sa cause i
ections nerveuses dans lesquelles l'incoordination motrice était le symptôme prédominant se trouvaient fort mal différenciée
smodiques,convulsives, hystériques, etc., qui ne présentent pas les symptômes caractéristiques de la chorée vraie, et ri ont
it à prononcer le mot : merde, avec force. Les parents crurent à un symptôme passager, mais ils furent fort étonnés et très
ai- ment conformé : il nous faut appeler l'attention sur un autre symptôme . Pendant l'examen , le mot de Charcot, vient fr
e dit pendant qu'il lit et sans cause a le, 'il continue à répéter - symptôme qui n'était jamais dispj"M3a"tm d'une phrase ou
et d'une façon soudaine, vers l'une ou l'autre épaule. A tous ces symptômes , il en joint un de tout spécial et qui nous a i
haut intérêt parce qu'il nous montre l'influence du curare sur les symptômes psychiques de l'épilepsie. Je dois ici faire re
eaucoup de cas, au début du traitement, on observe des accès où les symptômes convulsifs restent les mêmes, mais où les troub
duraient de trois à cinq minutes et ne laissaient après eux aucun symptôme . Le traitement, commencé le 29 septembre, fut con
, notamment des cornes antérieures et posté- rieures, résultent des symptômes qui affectent une marche des plus chroniques. C
iques, l'analgésie, la diminution du sens thermique et du tact, les symptômes vaso-moteurs. Les troubles du mouvement sont to
s les stades tar- difs, il se produit des phénomènes bulbaires, des symptômes du côté du trijumeau, des symptômes cérébraux.
t des phénomènes bulbaires, des symptômes du côté du trijumeau, des symptômes cérébraux. Quant à l'atteinte de la substance b
s rentrent ou non dans cette description et s'accompagnent d'autres symptômes qu'il indique rapidement. Cinq observations son
ur identiques. L'au- teur montre la dissociation fréquente des deux symptômes en des cas fort variés. Il a rencontré la tré
modérées de KI., K Br et sublimé. Amélioration de presque tous les symptômes . Le malade est encore en traite- ment. Suit l'a
osité des rapprochements entre les données de la physiologie et les symptômes observés. P. M. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE 1
rth, déduite de la proposition qui pré- cède, est que l'ensemble de symptômes cliniquement désigné sous le nom de manie a pou
vaux de Kroepelin '. L'auteur insiste simple- ment sur l'acuité des symptômes et la rapidité de leur évolution dans l'espèce,
s ce travail, les courants continus paraissent agir surlout sur les symptômes . En employant des courant faibles, on peut arri
s et les hallucinations de l'ouïe qui les accompagnent souvent, les symptômes d'exci- tation d'ordre moteur, y compris la cho
ique avant d'être frappé de l'attaque de surdité verbale. Quand les symptômes du premier ictus eurent disparu, il resta uniqu
anémie, amai- grissement, lypémanic teintée d'hypochondrie. Sur ces symptômes se greffe bientôt un épisode" aigu de systémati
car, la connaissance restant indemne, il se produisit de véritables symptômes gastriques, et le refus d'aliments émana, non de
'estomac. Comment savoir si c'est la neurasthénie qui cause de tels symptômes ? Est-on toujours sûr qu'une affection organiqu
ns de Sassak recueillies dans le service de Kussmaul concernent les symptômes les plus nets de dyspepsie ; le traitement deme
en communique une observation; la mort eut licueii seize jours, les symptômes furent : un affaiblis- sement rapide et progres
ard, pendant bien des années, on constata de l'aliénation mentale à symptômes alternes, des lacunes croissantes dans la mé- m
uire à son éducation psychique; le dé- faut de pigment est aussi le symptôme d'une infirmité congénitale (leticopatliie); qu
de )'oeitnosont.paspatt)01 : nomoniques : ct)esno peuvent servir de symptômes psycltopathiques et tieuropalhiques que lorsqu'
13r; d'autant plus que, depuis un an, on n'a ou à enregistrer aucun symptôme d'épilepsie, alors que la maladie da- tait de s
h : LL prend la parole sur les sensations pathologiques en tant que symptômes de perturbations mentales. Les sensations patho-
survient surtout entre quarante-cinq et soixante ans. Les premiers symptômes sont : une oppression passagère, des palpitatio
prenante, au début de la maladie du moins, car dès l'apparition des symptômes névro- paralytiques, toute médication devient i
ions circonscrites qui n'expliquent pas la nature ni la gravité des symptômes ; 3° ceux dans lesquels l'examen fait tardiveme
11 ressentit, à la suite, de la douleur dans le dos et éprouva les symptômes du choc du système nerveux. Pendant les six pre
us sommes peut-être, dit W. Savory', trop en- clins à attribuer les symptômes produits par une vio- lence extérieure aux effe
la difficulté à parler et de la faiblesse dans le bras gauche. Ces symptômes augmentèrent gra- duellement; trois ans et demi
cause de l'intervalle qui sépare l'accident de l'appari- tion des symptômes ; il attribue ceux-ci à la conges- tion. . , z..
il y a quatre ans, aux phénomènes convulsifs s'est ajouté un autre symptôme . De temps en temps, soit pendant la crise de mo
la nature de ces observations, ne leur emprunt- terons-nous que les symptômes analogues à ceux que nous avons nous-mêmes rele
pitre de notre description, et avant de passer à l'étude des autres symptômes , nous devons dire que, dans certains cas peut-ê
ATION MOTRICE. 171 I V affection. (Dans les observations I, IX, les symptômes autres que ceux fournis par les secousses muscu
e période qui peut comprendre jusqu'à seize années (Obs. IV), les symptômes peuvent rester complètement bornés à ceux que n
ntiel s'en trouvera éclairé. 174 CLINIQUE NERVEUSE. § IL I. Les symptômes que nous avons décrits dans le précédent paragr
des écho laliques, et ils le sont au premier chef : c'est là un des symptômes les plus constants de leur affection, un de ceu
lades ont remarqué la faculté d'imitation irrésistible de S... » Ce symptôme , nous le retrouvons porté à son summun dans les
meilleure preuve de leur constance. II. La troisième catégorie de symptômes est encore, s'il est possible, beaucoup plus ca
stoire, à différentes époques du développe- ment de l'affection, ce symptôme existait cinq fois (Obs. I, II, III, VIII, IX);
e de celle-ci est assez difficile à préciser; c'est certainement le symptôme qui vient le dernier dans la série, et comme il
VIII n'est pas assez précise à ce sujet. L'époque de début de ce symptôme ne paraît donc pas être très rappro- chée de l'
out à fait lente et insidieuse. Son début est obscur; peu à peu les symptômes se déroulent à diverses dates d'apparition, le
régulière. Cependant, en faisant l'histoire particulière de chaque symptôme , nous avons dit qu'il existait pour chacun d'e
ois, etc.); mais, à un moment donné, reparaît tout le cortège des symptômes aussi accentués qu'auparavant, jusqu'au jour où
tement de l'affection que nous venons de décrire, de comparer ses symptômes , tous puisés dans nos propres observa- tions, a
oix. La seconde notice, dans laquelle nous voyons rap- portés des symptômes très analogues à ceux que nous 190 CLINIQUE NER
ions physiques et morales que celui qui est en proie à la série des symptômes au grand complet et qui, son esprit restant tou
moins long, mais en ce moment elle ne se traduit que par ce seul symptôme . Avec quelle autre affection pourrait-on la con
t un tic non douloureux de la face, et qui elle-même présentait les symptômes de notre affec- tion au grand complet. 2e cas
ent plus facile, quoique nous ne possédions pas encore de véritable symptôme pathognomonique. A l'occasion d'une secousse mu
ticulé ; le diagnostic, dans ce cas, est-il éclairé par ce nouveau symptôme ? Nous nous retrouvons ici en présence de la ch
du système nerveux ont échoué. Une seule méthode a paru amender les symptômes et 200 CLINIQUE NERVEUSE. amener ces périodes
ant des ressources delà psychologie, essayer d'interpréter quelques symptômes , nous préfé- rons, pour notre part, renvoyer ce
es observations', dit-il, après une injection de 0.01, il y eut des symptômes d'intoxication consistant en nausées, vertiges,
e, dans le saturnisme, etc., mais qui n'en constitue pas moins un symptôme important et carac- téristique de l'hystérie co
une saison à Wildbad améliore les troubles de la parole. Les autres symptômes persistent. P. K. XX. Sur UNE PSEUDU-HYPEI2TR01
R. (Arch. f. Psych., XIV, 3'.) M. Zacher s'occupe ici de certains symptômes ou groupes symp- tomatiquesquiserattachent aMa
sphasie etc. ; 2° par de l'héinia- nopsie vraie, ou du moins par un symptôme semblable; ces deux forment s'associent probabl
tanément (Obs. I et IV) : en tous cas, ce jeûne est très souvent le symptôme d'un trouble somatique réel contre lequel la sond
les échanges stcechiologiques de ces patients. Il n'est donc qu'un symptôme d'états morbides de l'économie. 30 Aussi l'orga
pour des raisons purement psychiques n'entraîne par elle-même aucun symptôme inquiétant ni dans le domaine somatique, ni dan
mps après il entra dans le service de M. Kowa- lewsky avec tous les symptômes du haut mal. M. Tarnowsky finit son article par
haut mal. M. Tarnowsky finit son article par une étude critique des symptômes somatiques de la pédérastie active et passive.
rée. Nous en possédons par devers nous deux cas où l'éclosion des symptômes mentaux fut pour nous une surprise, tant nous y
ouble de la sensibilité obser- vés dans l'extrémité supérieure; les symptômes empi- rèrent. Banne z) : Névralgie dans la régi
est impossible, en l'absence de faits probants, d'être fixé sur les symptômes qu'elle pour- rait occasionner. Tout porte à cr
rèrent que plusieurs mois plus tard, qu'ils prirent le caractère de symptômes inflammatoires et que la paralysie des membres
tre observation est en contradiction avec cette manière de voir. Un symptôme auquel nous attachons une grande importance est
ge un certain temps, n'y a-t-il pas dans la nature et la marche des symptômes des caractères capables de faire distinguer la
logie. Nous n'avons pas l'intention de faire une étude complète des symptômes de la com- COMMOTION DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 317
ir, parce qu'il y a peu d'obser- vations complètes et parce que les symptômes propres à la commotion, se trouvent mélangés à
e de trouver ailleurs que dans l'étude attentive de l'évolution des symptômes , le moyen d'établir le dia- gnostic sur des bas
ébuté à quatre heures du matin ; la diar- rhée existait sans autres symptômes depuis deux à trois jours. Un médecin lui fit a
u lobe temporal droit. Tout petit qu'il fût, ce foyer expliquait le symptôme ; car, il faut tenir compte également des troubl
tphal. Présentation, par M. OPPENIIEIM, d'un malade éprouvant des symptômes qui font supposer de la syringomyélie. L'homme do
arsenicale (par une tapisserie); on éloigna l'agent toxique et les symptômes tabé- tiques rétrocédèrent. M. Westphal. De t
e, perte de fortune, vol). Sur ces 15 femmes, 7 avaient éprouvé des symptômes de paralysie des muscles de l'oeil (l'auteur n'
ptique; soit, au total, 44 p. 100 de refroidissements, 35 p. 100 de symptômes en rapport avec les muscles de l'oeil, 5 p. 100 d
u la rotation. Au bout de deux semaines de ce traitement, voici les symptômes permanents que l'on note : Indifférence de l'an
s seuls et les faits ultérieurs mirent en lumière l'explication des symptômes les plus remarqua- bles de l'inculpé. Il s'agis
70 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
s ceci : « Il y a ce- pendant dans le tableau de l'infantilisme, un symptôme assez important, la petitesse du corps, qui nou
moitié des géants est acroméga- lique. Mais à quel âge les premiers symptômes de la maladie de Pierre Marie ont-ils fait leur
on de l'hypophyse, réagit à son tour, el. ajoute l'infantilisme aux symptômes fournis par cette glande - et représentés par le
ns, ostéomalacique depuis 1893, qui en 1896 présentait en outre des symptômes de tétanie et le syndrome de Basedow. Dans un
), Courmont et Paviot (30). Hoenicke cite en outre la fréquence des symptômes basedowiens chez les ostéomalaciques. Enfin i
itre moyen ou petit. Dans la plupart de ces cas un trouve aussi des symptômes tels que des palpitations, du tremblement vibra
corps thyroïde on ne peut retenir que trois cas, on ne trouve aucun symptôme (et encore on peut se demander si une ana- lyse
s casa façon de se manifester, d'autres encore mettent en relief le symptôme le plus caractéristique, d'autres enfin s'accor
d'aucun préjudice et en même temps on arrête l'attention sur un des symptômes les plus constants et précisément sur la sublux
névrite. A l'examen médico-légal, on put reconnaître que les quatre symptômes cardi- naux du stade chronique existaient au co
ut, après longtemps, devenir incurable, et présente alors les mêmes symptômes constitutifs que la psychose polynévritique, à so
ent penser à une démence. « La forme aiguë ou délirante a les mêmes symptômes fondamentaux que la forme chronique, excepté, p
nsiste uniquement dans ces accès de délire nocturne, accompagnés de symptômes de déficit particuliers. « Je vous ai déjà fait
s mois et même se constituer en quelques semaines complètement. Des symptômes de lésions cérébrales, en particulier les para-
resbyophrénie, isole donc, pour ainsi dire, l'un des deux ordres de symptômes décrits par (1) KREPELIN, Psychiatrie, 1910, p.
nel, Kraepelin éliminait du cadre de l'affection toute une série de symptômes qui faisaient partie de la synthèse primitive, et
; il existe certaines formes de démence sénile dans lesquelles les symptômes prédominants sont précisément des troubles de la
me un syndrome, ou enfin comme la manifestation par- ticulière d'un symptôme , comme une variété de fabulation. Entre temps,
( ? ) ou encore chez des gens âgés ayant présenté un « complexus de symptômes paranoïdes» (paranoïdesSymptomenkomplex), voire m
limité, assez typique, et dont l'auteur a mi- nutieusement fixé les symptômes dans une description très exacte et très vivant
semble est différent, dans les deux affections, c'est parce que les symptômes communs, qui font tout l'intérêt de la presbyophr
ces : désorientation dans le temps et dans l'es- pace, etc., est un symptôme d'ordre banal qui se trouve toujours, au moins
mence sénile ou de la psy- chose de Korsakoff. Mais il est un autre symptôme , nullement constant celui-là, et même assez ins
une physionomie à part, propre à dérouter parfois le clinicien, un symptôme nouveau, qui seul confère au syndrome preshyoph
s éléments complexes du syndrome se trouvent ramenés à l'unité d'un symptôme essentiel et comme central, autour duquel tous
intérêt, de la fabulation et de la tendance aux récits imaginaires, symptôme très anciennement signalé et décrit par les aut
les de la sensibilité objective. En se basant exclusivement sur des symptômes cliniques et sur l'évolu- tion de la maladie, M
. La malade est morte an LA SPONDYLOSE rhizomélique Z1 milieu des symptômes d'une grande faiblesse générale et après avoir eu
nt son entrée. - Le malade est épuisé, amaigri, il a un teint pâle. Symptômes de la tuberculose pulmonaire. La cyphose de la pa
, des articulations des hanches et des épaules constituent les deux symptômes fondamentaux de la spondylose rhizomélique. Le
ux de la spondylose rhizomélique. Le rapport réciproque de ces deux symptômes constitue tout le tableau clinique de la maladi
obilisées, ankylosées. C'est de cette manière qu'apparaît le second symptôme de la maladie : l'ankylose. Dans les formes sub
ier plan du tableau de la maladie ressort le second et le principal symptôme de la spondylose rhizomélique : l'immobilité ab
es, qui ont encore conservé la possibilité du mouvement. 19° Un des symptômes caractéristiques pour la spondylose rhizomélique
ne dysthy,'oïdie, Fratti (3) et Gelphi (4) signalent la présence de symptômes basedowiens chez leurs sujets. Dans le cas de f
ull. méd., 28 avril 1906.. 1 Il(; MARCHAND ET NOUET également des symptômes de névrite alcoolique chez un sujet atteint de
rdio-pulmonaire qui dnra quelques jours et fut caractérisée par les symptômes suivants : toux, dyspnée, cyanose de la face, râl
congénitale et d'épi- lepsie, se développent, à Cage de 49 ans, les symptômes de la maladie de Dercum. La malade meurt à l'âg
rt, ces hémorragies pourraient expliquer les variations rapides des symptômes cliniques. On distingue, dans le tableau cliniq
iniques. On distingue, dans le tableau clinique de l'apoplexie, les symptômes initiaux des résiduels. Il serait fott intéress
, elles réapparurent ensuite et cette fois-ci s'accom- pagnèrent de symptômes mentaux des plus pénibles. -J. est très déprimé;
s des phases rappelant la manie ou la dépression, parfois aussi des symptômes para- noïdes. Il est rare cependant qu'ils arri
ce qui reste du corps calleux suffit à empêcher la production de ce symptôme et plus tard la paralysie fut si forte qu'elle
de réaction, la difficulté associative des tumeurs cérébrales. Ces symptômes sont donc sans doute à mettre au compte de la p
he. Les malades sont bien affaiblis, mais de plus, il est d'hier ce symptôme nouveau, le bubon décrit par Nicolas Massa (1532)
ficielles, 1" Période de 1494 à 114 : Description de l'ensemble des symptômes , 2' Période, l14-1526 : Apparition des exostos
ris, la plu- part à la suite de Bernard Tomilan, n'y voyaient qu'un symptôme delà vérole, et plus tard Ambroise Paré lui-mêm
ans, les quatre membres auraient été paraly- és, au début. Aucun symptôme ne permettait de penser à une tumeur cérébrale.
déviation conjuguée pendant les cri- ses, il n'y avait pas d'autre symptôme oculaire. 2° Méningites ; proliférations divers
ations diverses. - Boettinger (3) a observé, chez un garçonnet, les symptômes d'une tumeur cérébelleuse. Deux opé- rations fu
et pneumonie à 36 ans. 208 BOVERI Maladie actuelle. Les premiers symptômes de la maladie actuelle se ma- nifestèrent dans
diagnostic. Il me semble donc inutile de rappeler aussi les autres symptômes existant chez notre malade et discuter un diagn
de la main, sont effacés ou, ont disparu et remplacés par d'autres symptômes d'ordre pathologique. On peut dire d'une façon
ait demandé brusquement des cordons de souliers. C'était le premier symptôme d'une amélioration qui ne fit que s'accentuer j
l. L'un de nous le vit à ce moment et ne constata chez lui d'autres symptômes que des préoccupations hypocondriaques ayant leur
r en l'aire un dément catatonique. Sans aucun doute, les différents symptômes dits catatoniques n'ont par eux-mêmes rien de c
fois, il est à remarquer qu'en général on ne retrouve alors que des symptômes catatoniques isolés et transitoires ; et que le s
ébrale, mais le cours ultérieur de ces rhumatismes apporte assez de symptômes pour les différencier de la spondylose. Nous en
ns sa forme d'ostéite et de périostite gommeuses, elle présente des symptômes analo- gues à ceux de la carie; dans sa forme d
e, et rendent les vertèbres douloureuses. Dans les cas douteux, les symptômes caractéristi- ques sont : la présence chez le m
des vertè- hres ; elles sont faciles à diagnostiquer, car tous les symptômes d'une arthrite aiguë existent : douleurs, rouge
uë existent : douleurs, rougeur, tuméfaction, fièvre, etc.. et tous symptômes qui sonl étrangers la spondylose rhizomélique.
e doit être distinguée de toutes les affections qui ont parmi leurs symptômes l'immobilité la déviation de la colonne vertébral
mations, au point t de vue clinique, produisent tout un ensemble de symptômes : une immo- bilité et une difformité très prono
et, enfin, la persistance d'un état général satisfaisant. Tous ces symptômes , bien que constituant un tableau clinique parti
distinguent de la spondylose rhizomélique par leur nature et leurs symptômes . On peut assigner une place à part à la forme du
étion interne; elle est spécialement fondée sur la constatation des symptômes produits par les tumeurs qui siègent dans la ré
que cette extirpation n'a produit chez les lapins survivants aucun symptôme , en particulier aucun trouble de l'évolution de
xterne), de l'hypoglosse. L'auditif est respecté. 2° L'absence de symptômes nets du côté des voies pyramidales, sensi- tive
pour comprimera Ù la fois les Vive, v.ue, 11,11° eLXII,3paii,es. Symptôme encore plus important, l'atteinte du nerf acousti
léliomes en surface de l'étage postérieur de la base du crâne. Un symptôme avait attiré notre attention du côté de la tuberc
de la nuque. Mais cette raideur parait jusqu'à un certain point un symptôme des affections de la région et elle est notée d
ie ; on rencontre cependant des cas atypiques, où manquent quelques symptômes signalés comme classiques par M. le professeur Ma
aitement énergique fut appliqué ; malgré cela on vit apparaître les symptômes tertiaires qui furent très tenaces. Un traite-
DÉMENCE PRÉCOCE. ACROMÉGALIE ATYPIQUE 325 effet la disparition des symptômes de la syphilis, mais les facultés intellec- tue
de maux de tête, d'une inquiétude inexplicable ; l'intensité de ces symptômes dépendait de l'é- nergie du traitement appliqué
ces déformations se rencontre uniquement dans celle affection. Les symptômes du côté des nerfs crâniens, faisant penser à un
récoce. Le cas que nous venons de décrire se distingue par certains symptômes atypiques et rares : on n'y trouve point de déf
la maladie mentale, dans cescas,se distin- gue probablement par des symptômes spéciaux qu'on n'observe point chez les sujets
qui apparaissent sont ceux indiqués plus haut. Avant que d'autres symptômes ataxiques n'apparaissent, et ceux-là ont pour n
ons les troubles décrits plus haut. Mais, même plus tard, quand les symptômes du second groupe arrivent et viennent se mêler
ces trou- bles ataxiques, revenons en arrière, à la description du symptôme ataxique le plus classique, celui que Duchenne
s plus tard, celle-ci s'annonçait comme « nerveuse » par un premier symptôme de participation du système nerveux, par l'inégal
nnée entière. En 1891, le malade présenta les premiers indices d'un symptôme qui devait dès lors donner à toute la maladie u
lade était absolument dément et il mourut cette année même avec des symptômes de cystite. Il y. a lieu de signaler que l'on p
u contre telle ou telle théorie pathogénique dans l'observation des symptômes conco- mitants de la dystrophie. De ce nombre s
ontrant que si les troubles psychiques coïncident toujours avec les symptômes dystrophiques de l'achondroplasie, ils sont loin
ont loin d'avoir la même valeur nosologique ; qu'ils ne sont pas un symptôme primitif de la dystro- phie découlant directeme
qui entraîne les défor- mations, mais une conséquence éloignée, un symptôme secondaire entraîné non pas par le même facteur
notre étude : Brissaud avait par exemple expressément noté certains symptômes infantiles qui n'avaient atteint leur plein dév
à son individualité clinique, et nous tenterons d'en déga- ger les symptômes . IL Type'clinique. Cette élude ne'peut se fai
st environ six mois après la lésion que se développent les premiers symptômes . Dans quelques autres, il s'est agi d'une malad
gine sans doute thyroïdienne dans trois cas au moins. Mais c'est un symptôme qui s'installe tardivement. Enfin le plissement
s permet d'éliminer presque toujours, et en l'absence de tout autre symptôme , l'idée d'une pelade généralisée ou d'une alopé
rant à la face, de sa généralisation très rare. Mais à défaut de ce symptôme , on décèle de petits troubles cutanés : sécheress
414 CORDIER ET HEBATTU L'hypophyse peut être rendue responsable de symptômes plus curieux : en effet, on trouve souvent noté
tassements ou ces croissances au testicule ou à l'hypophyse. I. - Symptômes divers . - La polyurie sans sucre trois fois rela
es, qui ne peuvent être étiquetés autrement, et dans lesquels aucun symptôme saillant ne domine la scène clinique et ne lui im
e, Le corps thyroïde peut être atrophié et l'on peut voir aussi des symptômes d'insuffisance hypophysaire (troubles du squele
la marche de cette singulière maladie : je vais en présen- ter les symptômes tels que je les ai observés. « Les testicules p
et attribuée par lui à une lésion du chiasma. Mis en éveil par ce symptôme , je cherchai du côté acromégalie ; je ne cons-
SUFFISANCE PLURIGLANDULAIRE INTERNE 453 axillaires et pubiens, tous symptômes qui joints à la torpeur psychique et phy- sique
trois litres de tisane par nuit sans apaiser sa soif. Peu à peu ce symptôme disparut. l ' Il remarqua vers la même date une
ls des aisselles et du pubis tombent presque complètement. Tous ces symptômes : faiblesse, frigi- dité, chute de poils, modif
hondroplasie, mais la règle veut qu'il ne s'y asso- cie aucun autre symptôme de celle affection. Remarquons en passant que l
s. Chavigny a rapporté un cas d'achondroplasie dans lequel l'unique symptôme de la maladie était l'état des mains. Si de tel
r l'élucidation de la question tout entière. Il n'y a pas un seul symptôme ni caractère qui soit pathognomonique de la mal
ière, tout en admet- tant au début la coexistence de ces différents symptômes , pensent que plus lard les lésions objectives d
complètement notre impression première. An moment de l'examen, les symptômes accusés par le blessé, douleurs, perte des forc
491 Lien la marche chez l'ataxique, présentant les deux groupes des symptômes ataxiques, doit être troublée. Mais avant de
en avant si on ne le maintenait pas. Réfléchissons un peu sur les symptômes ataxiques que nous venons de voir. Ce qui frapp
vide, tant son bassin oscille latéralement et à son insu. Tous ces symptômes , en les comparant avec le malade de la première o
ore chez ce malade un phénomène ataxi- que (1) très intéressant. Ce symptôme , nous l'avons trouvé aussi chez d'autres malade
71 (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
lue de l'élément nerveux, or le malade n'avait présenté, en fait de symptômes cérébraux, que trois attaques d'aphasie transit
e début de l'affection médullaire et treize mois après les premiers symptômes psychiques. Autopsie. Cadavre amaigri, pas d'es
plus ou- moins'marquée." Cette faiblesse intel- ` lectuelle est un symptôme qu'on' eu lé tort de regarder comme une maladie
é tort de regarder comme une maladie. Tout* au i plus 'serait-ce un symptôme caractéris- tique. Mais ce n'est pas même autan
it sa - q . , . " .@ port.ante que soit sa place parmi les autres symptômes , se contentera-t-on du dia- gnostic de démence
ache .a ,nen4 de bien, détermine ? 1 qu'on observe l'idiotie. S'i ? symptôme , frappe..plus l'atten- , tion qu'diiti 1n1autre
ficulté du diagnostic deal'af-,t ' fection cérébrale'1 dont' un des symptômes est l'idiotie^ difficulté 1 - - w f 1 A;·v n z.
u1 1 fàxm , 1 , , 1 t L idiotie n est donc pas une maladie,.mais un symptôme ... i L'imbécillité'*es't ? elle un degré plus l
symptôme... i L'imbécillité'*es't ? elle un degré plus léger de ce symptôme ou ,eonstituë-t-elleune rlialadie spéciale,'é'è
'brusquement des"troubles délirants/ Au point'de vue psychique les symptômes morbides qui ont fait une apparition subite,' s
tement9'dé ? désig'iiê'r'dù ? n'om'"«,'s'yndrôme de Couard 1 ». Ces symptômes sont l'anxiété,, lesidéésde damnation, les idée
e psychique. Ces altérations, ne, peuvent être rapportées qu'à deux symptômes , et selon que l'un, ou l'autre , prédomine, se
n.' L'expert'se basant sur le-; antécédents de la malade et sur les symptômes en présence prouve le diagnostic d'hystérie et
; il peut seulement en emprunter le masque, en présenter quelques symptômes (psé2tdo-paonlysie générale saturnine). De l'étud
par les partisans' de cette dernière forme il ressort que* ni- les' symptômes , ni la'marche, ni le pro-1 nostic;'ni l'anatomi
tent de la décrire ' ` comme une entité morbide. ' \ ' M " '' Les symptômes donnés comme éar'ètéristi4ties "p evé n L'se' d i
paralysie générale vraie par les antécédents, le mode de début, les symptômes , la marche, le pronostic, les lésions anatomiqu
s plus concluants. (Premier internement pour délire alcoolique avec symptômes de paralysie générale. Sortie par amélioration.
1890 environ. En 1 889, trois attaques d'aphasie transitoire; aucun symptôme mental depuis lors.- Tuber- culose pulmonaire c
3; de,sa ,tuliérculose ? pulmonaire, sans avoir présenté de nouveau symptôme d'ordre nerveux ? ,, . ,, ,.AoTOPSIE.1-iCadavre
vation I, nous voyons une femme syphilitique ''qui présente 'les' symptômes les a plus nets de la paralysie gêné-)' ! ''r
clinique et de thérapeutique, 1893). De plus, la malade.a'quelques symptômes dou- leurs'1 troubles de lâ ! marche' ? signe '
1 Ml.^ . /il-' accidents terminaux,' d autres gin se rapportent aux symptômes médullaires, enhn, dans le cerveau, une meningo
L'observation II a trait à un homme qui présentait à la fois les symptômes du tabes et -ceux de la paralysie générale; le
essivement trois ictus suivis d'aphasie tran- sit'oire;, màis aucun symptôme psychique ne suit ces pro- dromes fâcheux, et i
ans avant'sa mort; des'symptômes graves d'affection cérébrale ? des symptômes qui sont souvent les précurseurs de la paralysi
du cerveau, livre empreint d'une si grandet science clinique. Les symptômes douloureux du début, puis les paralysies des 13
es lésions somatiques observées ont été posté- rieures aux premiers symptômes d'aliénation mentale. Cette inté- ressante obse
es faits peuvent venir à l'appui de l'hypothèse attribuant tous les symptômes de la maladie de Basedow à cette intoxication,
asc. 2-3, 1893.) Etude surtout expérimentale. , , VIII. UN cas DE symptômes aphasiques avec hémianopsie. ACIIR031 : 1TOP- S
ermique du bras droit; perte des images commémoratives du mouvement^ symptômes en rapport avec un ramollissement de la plus gr
les sinus cérébraux et des veines centrales. Il n'y avait aucun des symptômes caracté- ristiques correspondants, ni réplétion
e fronto-cervico-thoracique ni exophthalmie. Mais on constatait des symptômes rares : céphalalgie et vomissements. Genèse. Cr
ànd Neurologist, XIV, 3 juillet 1893, p. 420.) De A. Marie. XIV. Symptômes sensoriels dans TROIS cas DE myélite SYPHILITIQUE
e SYPHILITIQUE ; par Franc R. FREY, de St-Louis. D'après Erb, les symptômes pathognomoniques de la' paralysie spinale spéci
cessus et son extension initiale, la rapide atténuation de certains symptômes alors que d'autres persistent obstinément. NI :
âtré parmi les moyens à mettre en oeuvre contre l'exagération de ce symptôme ..(Tlte Alienist and Neurologist, 656, XIV, z 1
iguë de Brown-Sequard, autre- ment dit hématomyélie,' mais avec des symptômes spéciaux permettant de les rattacher à la syrin
on : 1° Le malade en question, atteint de paralysie agitante avec symptômes de' chorée t héréditaire, excrète un- peu plus d'
pas synonyme de dégénéré ? Nous allons voir par l'examen des autres symptômes accusés par C..., que cette déséquilibration n'
out était devenue très infidèle : il travaillait pourtant beaucoup. Symptômes d'une grande valeur et qui, lorsqu'ils se décla
. Partant de ce principe, que la tendance au meurtre n'est pas un symptôme banal qu'on rencontre indifféremment dans toute
homicide, se manifeste plus ou moins fréquemment comme un véritable symptôme . Comme conclusion, j'avais énuméré quelques pri
pir Lié ii t' paï"à* la 'p-'a"raly-siè ? dü ? ran dentelé, c'est un symptôme 'à'rayer; dans`lâ paçalysié' isolée dû goând dèut
.Il -'Il " llq"r Çl -)-, -4111, ' .* < taient prématurément les symptômes les plus, insidieux. » , , < < , RiBrtn P
t cervical et,deflapartie, supé- rieure de la moelle dorsale a pour symptômes ^l'atrophie, muscu- laire progressive (type^Aza
1a9 tumeur ; en s outre paralysie progressive. Il faut ajouter .des symptômes généraux par augmentation de la pression intra-
TOhIIEI ET,, vE 1 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. apoplectique, ( comme, symptôme , unique, l'examen ophtalmosco- pique, restant j
prolongée dans le 'territoire des cordons postérieurs, produit les symptômes tabétiques ? La question n'est pas encore jugée,
ls la lésion syringomyélique en se propageant au bulbe provoque des symptômes bulbaires/compliquant des lésions anté- rieures
aires. (Thèse de H. Brunzlow, Demhardt...) L'étude ana- lytique des symptômes dans leurs rapports avec les localisations Arch
exemp)p, ! iln'y.a a de troubles pnpillaires;lenrevanche; quelques symptômes * s'y joignent qui appartiennent à la' lésion de
ependant les extrémités supérieures, ne présentent pas toujours des symptômes ! plus; accusés, que les. membres infé- rieurs
uberculeux des différents viscères. Cela résulte'du fait. z que les symptômes cliniques de, l'infection commencent à se mani-
esterseu)ement,huit ou. neuf jourslaprès;l'inoculatioil, quand» les symptômes dus à l'acte opératoire ont déjà disparu. Chez* l
Le livre abonde eti)Jconseils , pratiques pour la, recherche} des symptômes relatifs aux troubles delà parole, de la, marche,
s différentes parties du cerveau et pour moyen la compa- raison des symptômes observés durant la vie des malades avec les lés
c plus de chances de certitude le rapport de cause à effet entre le symptôme hémiplégique et sa lésion provocatrice. Et si d
lésion provocatrice. Et si dix fois, vingt fois, cent fois, ce même symptôme coïncide avec une lésion siégeant dans le même
cupant d'autres points de l'encéphale ne coexistent «jamais avec le symptôme en question, n'est-il pas légitime de penser qu
n'est-il pas légitime de penser que la lésion localisée commande le symptôme spécia- lisé et de conclure que le point corres
toutes les observations, anciennes ou récentes, dans lesquelles les symptômes n'ont pas été régulièrement notés durant la vie
els une lésion ancienne bien limitée a donné lieu à un ou plusieurs symptômes permanents, sont de beau- coup les meilleurs. L
série des faits positifs démontrant la coexistence cons- tante d'un symptôme déterminé avec les lésions d'un territoire céré
série des, faits négatifs prouvant l'absence constante de cet même symptôme avec les, lésions , de toutes, les autres parti
rès 'difricilè'l'iterprétatio'W exacte des rapports des lésions aux symptômes .1' ,r '^ ` ', " ' - Exemple' : La cécité 'verba
ssi simple" qu on' pourrait le croire. 'S il ne s'agissait que d'un symptôme pathologique; où d'un phéno- mène physiologique
e de ses actes; les jambes^ étaient paralysées*. 6 Pourtant ? ces-t symptômes - s'atté- nuaient*" rapidement,* et;uautboutrde
onstipation., Cet état,, dura cinq à six jours, et depuis lors, ces symptômes reparurent^ diverses reprises quand la'malade s
ningite"tuberculeuse ( ? ). Traitement glace sur la tête. ' . Ces symptômes alarmants durent peu de temps, comme dans les c
e'- existe et, dans 'la grande majorité dës'cas'tl'amélioration'des symptômes "coïncide avec l'amélioration' de la'santé géné
s'troubles de l'in- telligence et non de la sensibilité morale. Ses symptômes sont de z trois,ordres - ZD .1 1 - ) - 1 't Il,
*t> . ' 1 - Cette dernière, se,moutre trè fréquentehà·,1'état de symptôme ' < intercurrent. Elle^est, de,même que les.
ptôme ' < intercurrent. Elle^est, de,même que les. deux premiers symptômes , un élément.dominantetûurable.,Dans ce,cas,,on,
lt;o< ? '( ? Etqu'onn'aiiie(pas croire qu'il s'agisse alors d'un symptôme accessoire ; c'est un véritable complexus symp- *
? h ;r-J wrrl iaon.iv- s-nio*" . 1-- 1 Voici maintenant deux autres symptômes intéressants. - 41, La volubilité des idées et.
ndividus ont p'résènté'simuttanément'ou suc- cessivement les mêmes' symptômes psycho-pathbiogiques. z 7" 'II-, montre d'abord
ure éiiiolive; ' '' ' 3°.Accroissement possible de'la proportionnes symptômes mélan- coliques par rapport aux symptômes' mani
t trop abondant et trop vigou- " reusement poussé. 'Les premiers, symptômes mentaux ont fait leur apparition onze .j jours
li - f ' ** "' ? '' '♦« .' 1., Pour décrire,. avec exactitude. ces, symptômes intéressants, "nous' nersaurions mieux faire qu
, pailla disparition des troubles délirants et la persistance . des symptômes essentiels de la'démence paralytique, tous ces
desronvulsionsdlies'à l'éréthisme du oentre masticateur : 'ces'deux symptômes étaient presque tou- . jours simultanés et lors
entaires ? )' p Souvent le grincement de"diits'très accentué est un symptôme de 1 la- dernièrépériode'de la paralysie* génér
T ? r".L ? r...., -...-. ? } M., Magnan 1 a montre, - que certains, symptômes exception- 'I i l i* ? "'->' , .14, ? ff ? -
élire systématique s'effaça pour reparaître avec l'amélioration des symptômes de l'encéphalite interstitielle ? Fi n s .... 1
ces hallucinations au cours d'une période de rémission, à l'état de symptôme ' isolé, sans association d'autres troubles hal
utre, et pourquoi; toutes choses étant égales d'ailleurs, les mêmes symptômes convulsifs et délirants ne pouvaient manquer d'
la présence 'dela'peptone dails.l'urine ne peut être invoquée comme symptôme 380 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. .. tijtd.nf"
it allusion M. Rol- ler sont hétérogènes. J'ai éprouvé moi-même des symptômes analogues pendant une courte intoxication : - a
ralysie générale, s'appuyant sur l'association assez habituelle des symptômes tabétiques aux symptômes paralytiques, une nouv
t sur l'association assez habituelle des symptômes tabétiques aux symptômes paralytiques, une nouvelle doctrine a vu le jour,
par les troubles psychiques. Anse prendre en considération que les symptômes de la seconde période, leur signification est d
? qul, sôit, nôus parait, devoir être infirmé par^ l'analyse des ,. symptômes prétendus, tabétiques., Dans ce but, il convient
t, il convient de mettre ënregârdvdés, carâctèrés, appartenant, aux symptômes .précités,} ceux ressortissant üx.phénomènestde
t 'vrai," de" faire Ta* part dés1 cas"* frustes ? dans lesquels les symptômes ' sont'' peu' tenaces^ ' peu'`bruyànts ? mais, po
339 su PARALYSIE GÉNÉRALE'A'FORME'DE TABES AU DÉBUT. 418 part; de symptômes , fugaces, à peine esquissés,°n'âyârit qu'ùne'' *
même. malade; mais à côté/il.^en est.d'Hybrides, dans lesquels les symptômes de l'une ou l'autre affection se trouvent très
p'pàrtient" à",Ia ? clinique de.'déterminer, en faisant la, part es symptômes primordiaux^de ceux qui sont surajôutés t " «VI
ur de la conta- gion. Jusqu'à ce jour, il n'a offert aucun signe ou symptôme prémonitoire de tabes ou de paralysie, bien que
nérale, suffit chez les neurasthéniques -, qui ne présentent pas de symptômes dominants. Les effluvations .font disparaître c
guérison, mais ce sont là des moyens adjuvants, s'adres- sant à des symptômes particuliers; la franklinisation reste le seul
alysie générale y a germé, elle devient indépendante à'tous égards, symptômes , évo- lutioii;c Lerniiiiaison. 1-9f 'I, nj=-r-
eur signale la fré- quence des ostéophytes encet endroit. Quant aux symptômes de ces altérations, les tics convulsifs de la f
rne aussi une femme de trente ans. En avril 1892, elle présente les symptômes nets d'une tumeur, céré- brale : céphalalgie,'
s nets d'une tumeur, céré- brale : céphalalgie,' papille étranglée, symptômes . bulbaires pas de symptômes délocalisation. Nou
rale : céphalalgie,' papille étranglée, symptômes. bulbaires pas de symptômes délocalisation. Nous basant sur l'amélioration co
le cervelet. > t, La troisième observation 'se traduit'par des ? symptômes du même genre qui permettent de conclure à l'ex
témoignent d'un dia- gnostic exact sans localisation, parce que les symptômes ne per- mettaient point la' localisation (trois
co-fégaies tant elles sont la source de procès; la multiplicité des symptômes subjectifs et lu, rareté des autopsies en rende
cipaux. Le pronostic est sou- 468 NÉCROLOGIE. " vent graves ! les symptômes sont nombreux et accentués; quant à la nature d
es que suscitent de'tell es 1- maladies, et de la subjectivité des, symptômes , et des exagérations voulues ou inconscientes.
ion des sous-corticales, parBleuler, 197. Aphasiques, un cas de symptômes avec hémianopsie, par Bleuler, 147. .- ? 03
Mutisme vésanique, par Pieraccini, 46 ? ? r~ ' ''' ? z Myélites , symptômes sensoriels ' dans trois cas de Jsvphilitiques,
72 (1881) Études cliniques sur l'hystéro-épilepsie, ou Grande hystérie
avoir dépister la fourberie partout où elle se produit et dégager des symptômes réels, faisant foncièrement partie delà maladie,
er des symptômes réels, faisant foncièrement partie delà maladie, les symptômes simulés que l'artifice des malades y surajoute ?
luence de cet agent psychique sur le développement et l'évolution des symptômes hystériques, tout incontestable et puissante qu'e
décrites, en autant de cha-pitres, suivant l'ordre de succession des symptômes . Cette descrip-tion est suivie d'un certain nombr
e décrit : a.) variétés résultant de modifications survenues dans les symptômes déjà existants; d'où attaque épilepto'ide, attaqu
haschisch. La troisième partie comprend l'étude de quelques-uns des symptômes permanents delà grande hystérie, que .les nouvell
étallothérapie, n'a plus d'attaques depuis huit mois. Tous les autres symptômes de l'hystérie, hémia-nesthésie, amyosthénie, ovar
été de la démonomanie dont les hallucinations géni-tales formaient le symptôme principal, et qui portait tant de malheureuses al
plus ordinaire des passions affectives. Bien d'étonnant que l'un des symptômes les plus com-muns de l'hystérie soit précisément
endant les jours qui se passaient sans attaques, il se manifestait un symptôme curieux : c'était une hyperesthésie de la peau, s
sthésie précédait les attaques, elle durait jusqu'à l'ap-parition des symptômes décrits plus haut, pâleur et cyanose des mains et
haut, pâleur et cyanose des mains et du bout des doigts. Dès que ces symptômes se manifestaient, l'hyperesthésie di-minuait, et
pays l. § 3. — TROUBLES DE LA MOTILITÉ L'amyosthénie existe comme symptôme permanent de Fhystéro-épilepsie, et accompagne to
e, ou le plus souvent d'une moitié du corps (hé-mianesthcsie), est un symptôme de l'hystéro-épilepsie et existe en dehors des at
sente parmi les prodromes de son attaque une exa-gération de tous les symptômes douloureux. 5 février 4878. — Ler.. est depuis
iode épileptoïde de l'attaque hys-téro-épileptique le même cortège de symptômes , au point qu'un observateur non prévenu pourrait
tteints et dans un espace de temps assez court présentèrent les mêmes symptômes , de sorte que le caractère de l'affection ne pouv
être, à certains mo-ments, une cause d'aggravation de la maladie, les symptômes qui la caractérisent ont suivi, dans leur marche
mois de traitement hydrothérapique suivi assidûment, on vit tous les symptômes s'amender. La santé générale était bonne. Les gra
iselle R..., âgée de vingt-sept ans, présente extérieurement tous les symptômes d'une santé florissante. En dehors de ses attaque
aques : 1" incomplètes; 2° complètes. Les premières ressemblent aux symptômes prodromiques de la grande attaque à'hysteria majo
fin à cet état. Est-elle dans l'imminence d'une grande attaque, les symptômes précédents acquièrent une plus grande intensité;
d'attaques, lorsque l'accès touche à sa fin, j'en suis averti par un symptôme qui ne s'est démenti jamais. C'est le réveil du s
e séjour à la campagne parurent améliorer la malade; mais bientôt les symptômes nerveux s'accentuèrent, l'articulation coxo-fémor
ou moins fré-quemment pendant environ trois mois. Voici la série des symptômes qu'ils présentoientordinairement : sentiment d'un
s règles au temps ordinaire, mais moins abondantes; exa-cerbation des symptômes à leur approche ; diminution des accès dès qu'ell
après ; elles ne reparurent qu'au troisième mois, mais avec tous les symptômes d'une éruption difficile, et même les préludes d'
accès d'hystérie. Il eut lieu dès le lendemain de l'écoulement : ses symptômes redoublèrent par le bain de pieds; lorsqu'il eut
règles coulent. L'accès arrive tantôt subitement, tantôt après des symptômes précurseurs; étourdissements, agitation, sentimen
accès ne sont pas aussi forts; quel-quefois cependant il se joint aux symptômes ci-dessus décrits une tension partielle de quelqu
uatre heures. Ce fut à cette époque et sans causes connues comme sans symptômes précurseurs, qu'elle éprouva tout à coup un senti
qu'à trois heures du matin, avec quelques rémissions momentanées. Les symptômes furent très variés, et on ne peut s'empêcher d'y
psie, la manie et même l'hydrophobie. L'invasion fut subite et sans symptômes avant-coureurs. La jeune personne tomba tout à co
tement tournée en dedans. Après quelques instants de rémission, les symptômes devinrent plus vio-lents. Le cœur battait tumultu
is à ce calme succédèrent bientôt de nouveaux accès, signalés par des symptômes différents, tels que desgrimaces, des contorsions
taque; elle fut moins forte que celle de la veille: entre beaucoup de symptômes pareils à ceux des accès précédents, j'en ob-serv
lui du 14, il fut aussi moins long, et fut encore marqué par quelques symptômes nouveaux: l'écume lui vint à la bouche; elle étai
N1. Observation incomplète d'hystérie grave. La malade présenta des symptômes variés, convulsions, syncopes fréquentes, et de p
ssance; 2° hystérie avec perte deconnaisance. Dans la description des symptômes du deuxième degré, on retrouve facilement les gra
st caractérisé par la perte de connaissance et par l'augmentation des symptômes précédents. 1. Dubreuilde St-Martin, Dissertati
et le cerveau est menacé de congestion : alors peuvent apparaître les symptômes de compression cérébrale. Les auteurs parlent d'u
bservations fort in-téressantes dans lesquelles on voit s'ajouter aux symptômes de l'hys-térie la mieux confirmée, des crises con
ongé; tour à tour elle écla-tait en sanglots ou pouffait de rire. Ces symptômes étaient remplacés par la touxcorïvulsive fatigant
toujours eu un caractère un peu excitable, mais elle n'a présenté de symptômes nerveux qu'à l'âge de dix-sept ans, avant la prem
e droit. Mais il n'en est pas moins vrai que dans les attaques où les symptômes des deux névroses parais-saient se mêler, on retr
ques épileptiformes presque semblables à celles deM.M...,et comme les symptômes avaient la plus grande analogie avec ceux déjà dé
'hystérie qu'il appelle hys-térie épileptiforme, et dans laquelle les symptômes épileptiques ne sont point rapportés à l'épilepsi
lepsie véritable, ne s'appuie que sur des faits étrangers aux accès : symptômes permanents, étiologic, marche de la maladie, term
stérie vulgaire. Il distingue trois degrés, suivant la violence des symptômes . 1er degré. —Peut se résumer ainsi : boule hyst
rie. d'un côté du corps que de l'autre. Ce sont là pour moi de purs symptômes d'épilepsie, bien distincts de l'affection hystér
leur presque nulle dans les cas douteux, il est, parmi les principaux symptômes différentiels, des phénomènes qui sont loin d'avo
rement désignés; la troisième période est sommai-rement indiquée. « Symptômes des crises. Nous l'avons dit, nous allons présent
istence simultanée des deux névroses, hystérie et épilepsie, dont les symptômes peuvent se montrer isolés dans des accès bien dis
intelligence, tantôt des sens. » Axenfeld1 après avoir décrit comme symptômes de l'attaque hystérique les convulsions qui se ra
endant elle fait complètement défaut; il persiste presque toujours ua symptôme épilep-toïde, si petit soit-il, qui à son tour de
gnée de contracture générale, comme il arrive parfois, et de quelques symptômes épi-leptoïdes. Nous traiterons plus loin de cette
uver réduite à peu près exclusivement à la deuxième période, dont les symptômes se trouvent alors portés à leur plus haut degré d
année, où elles ont beaucoup diminué, elles étaient marquées par des symptômes extrêmement variés et que je vais décrire. La mal
t prise, le 10 juin 1830, de quelques accidents nerveux analogues aux symptômes de la danse de Saint-Guy. Deux semaines auparavan
a quinze heures. Depuis ce jour, qui était le 28 janvier, les mêmes symptômes reparurent tous les deux ou trois jours, avec la
voie également au chapitre des Yariétés de l'attaque par immixtion de symptômes cataleptiques, l'étude des faits que les auteurs
ns de crises, le voyage l'a dis-trait; mais il est survenu un nouveau symptôme , témoignant bien à notre avis de la nature hystér
t jetaient parfois la malade dans une immobilité catalep-tique. A ces symptômes se joignirent des vomissements réitérés, incoerci
gnant simplement les mains. On pouvait considérer tout cela comme les symptômes d'une in- 1. Brierre de Boisraont. lac. cit., p
elle-même. Le 31 janvier, le même état se reproduisit avec les mêmes symptômes . Mais peu à peu de nouvelles voix s'ajoutèrent à
'offrent les accès déli-rants avec l'attaque convulsive et les autres symptômes de l'hys-térie, sont susceptibles de grandes vari
e délire hystérique. Nous en avons déjà longuement parlé au sujet des symptômes de la période prodromique et plus particulièremen
pathogiiomoniques. Et c'est autant sur le mode d'associa-tion de ces symptômes variés, sur les circonstances de leur appa-rition
utes deux, il y avait perte de la voix et de la parole, et les autres symptômes musculaires caracté-ristiques de la catalepsie ex
alepsie ordinaire et j'éprouve quelques difficultés à caractériser ce symptôme que je n'ai point encore rencontré et dont je n'a
musculaii^e.Dans bien des cas analogues à ceux que j'ai rapportés, ce symptôme a dû passer inaperçu, car il est de ceux qui ne s
uin, la malade vient à Paris, Hôtel-Dieu, service de M. Le-groux. Les symptômes sont des vomissements et du météorisme fréquents,
uand elle rentre à l'Hôtel-Dieu, service de M. Rostan, on observe les symptômes suivants : Insomnie, éblouissements, fourmillem
étrange ! si l'on se trouve auprès d'elle quand elle est prise de ces symptômes précurseurs, et que l'on fixe son attention par d
us est le plus souvent dorsal. A cela se bornent quelquefois tous les symptômes . Cet état ressemble alors à un véritable sommei
s de famille à vingt-cinq ans. A cette époque remontent les pre-miers symptômes de la maladie : spasmes nerveux, boule hystérique
cataleptique, et diffèrent les uns des autres par l'ensemble de leurs symptômes et parleur marche. On se trouve ainsi en présence
eurs symptômes et parleur marche. On se trouve ainsi en présence d'un symptôme et non d'une maladie. L'état cataleptique se prod
exister avec ou sans perte de connaissance ; elle est quelquefois le symptôme précurseur d'une maladie plus grave, telle que l'
entre la catalepsie et l'hystérie. Il nous suffit de savoir que le symptôme cataleptique se ren-contre dans un grand nombre d
l'aptitude des membres à conserver les attitudes communiquées est un symptôme qui doit être cherché, et que, dans la plupart de
l'extase et de la catalepsie, et néanmoins quelle opposition dans les symptômes ! D'un côté contraction violente et soutenue des m
et des phénomènes diversde la grande attaque hystérique. Ces derniers symptômes , pour secondaires qu'ils paraissent parfois, ne d
les attaques de catalepsie; mais la nature même de ces attaques, les symptômes qu'on observe dans l'inter-valle permettent non m
eur, au chapitre du dia-gnostic, prend soin d'éliminer l'hystérie. Le symptôme qui le frappe le plus, c'est la catalepsie; aussi
e affirme que c'est la première depuis six mois. Voici quels sont les symptômes : malaise, palpita-tions, boule, perte apparente
nuit, et les crises convulsives épileptiformes, même en l'absence de symptômes d'anesthésie ou d'hyperesthésie, indiquent suffis
llet, fièvre typhoïde de l'enfant. Janvier, février 1851. —Premiers symptômes nerveux.—Modification du caractère, tristesse, dé
viennent des atta-ques de sommeil dans lesquelles nous trouvons comme symptôme prédominant cette singulière hypéresthésie électi
et leur persis-tance dans l'intervalle des crises méritent le nom de symptômes permanents. Ils consistent en des troubles divers
s, urticaire provoquée, stig-mates...) etc., etc. La plupart de ces symptômes sont aujourd'hui bien connus, et je n'ai point l'
essants que nous allons rapi-dement passer en revue. La plupart des symptômes permanents del'hystéro-épilepsie sont susceptible
e fait est si constante, qu'il peut servir, en dehors de tout autre symptôme , à annoncer avec certitude qu'une hystérique va ê
e de la quatrième période ; mais elle se montre également, à titre de symptôme permanent, dans l'intervalle des attaques. La p
deux grands types nettement définis par l'absence ou la présence d'un symptôme important et facilement appréciable, la contractu
onvulsivos au moment où il se produit une aggravation momen-tanée des symptômes permanents. On comprendra facilement pourquoi, si
lésions céré-brales organiques existe dans le retentissement que les symptômes unilatéraux ont leplus souvent sur le côtérelativ
ecousse correspondante. Par degrés insensibles, ce retentissement des symptômes du côté affecté sur le côté sain nous conduit aux
iste particuliè-rement sur ce point, la contracture permanente est un symptôme de Vhjstérie non convulsive,Q,''Qsi-'à-à\Ye, qui
non convulsive,Q,''Qsi-'à-à\Ye, qui ne présente pas au nom-bre de ses symptômes les attaques de convulsion même atténuées. On la
première mani-festation d'une hystérie qui s'en tiendra toujours aux symptômes locaux variés (contractures, paralysies, choree r
mps que le petit malade grandira, deviendra générale et, en outre des symptômes perma-nents, comptera au nombre de ses manifestat
t généralement reconnue. Mais l'hystérie qui ne fait qu'emprunter ses symptômes aux affec-tions organiques du système nerveux, of
te-ment après ou peu après l'application de la cause traumatique. Ces symptômes restent plus ou moins limités à la région où cell
nte; et, généralement, ils en con-stituent pendant longtemps l'unique symptôme , en ce sens qu'ils subsistent à l'état d'isolemen
e simplement mettre en lumière la valeur diagnostique de certains des symptômes qui les caractérisent et dont la constatation rég
ité la difficulté n'existe pas là. En dehors des attaques, les autres symptômes de la maladie forment un ensemble suffisamment ca
'agit de certaines formes de l'hystéro-épilepsie, dont une partie des symptômes présentent toute l'apparence de la véritable épil
psie. L'une, hystéro-épilepsie à crises distinctes, dans laquelle les symptômes de l'hystérie et de l'épilepsie appa-raissent d'u
tes; l'autre, hystéro-épilepsie à crises combinées, dans laquelle les symptômes hystériques et épileptiques se montrent mélangés
ent à l'hystérie, malgré l'apparence trompeuse de quelques-uns de ses symptômes , et je vais exposer ici som-mairement les signes
quelles que soient la fréquence des accès et la gravité apparente des symptômes , la température se main-tient près de la normale
elle. — La perte de la sensibilité, dans ces divers degrés est un des symptômes les plus communs et les plus impor-tants de l'hys
er les analogies, u nous sera laciie de trouver là le même cortège de symptômes principaux. La grande attaque s'y retrouve avec l
n telle qu'ils ont, en quelque sorte, relégué dans l'ombre les autres symptômes de la maladie et lui ont mérité le nom qu'elle po
esprits. Paracelse distinguait trois espèces de chorée d'après les symptômes : la première avait sa source dans l'imagination
1418, Strasbourg fut visité par le fléau de la danse (tansplage). Les symptômes étaient les mêmes qu'en Belgique et dans les prov
t défaut. Dans les passages suivants il est facile de retrouver les symptômes de la deuxième période de la grande attaque hysté
e de Saint-Michel, Pierre-Thomas de Saint-Charles 2. » Ces premiers symptômes de perturbation nerveuse se montraient au mo-ment
des religieuses K Au point de vue médical nous retrouvons les mêmes symptômes avec une prédominance marquée des hallucinations
les horreurs de la mort sans cependant pouvoir mourir. » Malgré ces symptômes alarmants, il y avait des intervalles de 7 à 8 jo
t pour sortir. » Vers le mois de mai « attaque d'apoplexie dont les symptômes sont si terribles qu'elle semble expirer à chaque
onstanciés dans lesquels entre Carré de Montgeron,au sujet des divers symptômes de la maladie et relativement aux accidents convu
sera moindre, si nous songeons à l'anesthésie profonde qui est un des symptômes les plus fréquents de la diathèse hysté-rique.
rait dans le bois de plus de cinq lignes. Françoise éprouve les mêmes symptômes de douleur que lorsqu'on lui a décloué les mains.
s spasmodiques et ne prenant aucune nourriture ni aucune boisson. Les symptômes observés étaient d'ordinaire les suivants : une s
dinaires de l'aliénation mentale. L'auteur anglais résume ainsi les symptômes observés : Les symptômes que nous avons énuméré
ntale. L'auteur anglais résume ainsi les symptômes observés : Les symptômes que nous avons énumérés peuvent être résumés ains
ostration et d'une faiblesse générale. En passant en revue tous ces symptômes variés, nous n'éprouvons aucune hési-tation pour
'ex-tase religieuse mêlée de convulsions, dont les analogies avec les symptômes do la grande hystérie sont vraiment saisissantes.
die singulière et épidémique se distitiguait essentiellement par deux symptômes saillants et remarquables : l'un phy-sique, et co
ent cepen-dant si insignifiantes,qu'on reconnaissait toujours que les symptômes étaient au fond les mêmes. Le spnsmc consistait
e corps du malade et comme une preuve de la difformité du péché. Le symptôme psychique est caractérisé par une suspension ou u
irréguliers et était le plus souvent précède, accom-pagné et suivi de symptômes de spasme...La plupart des médecins qui ont vu ce
également des attaques convulsives ou présentent seulement d'autres symptômes hystériques................................. 475
73 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
la vision sont intéressés, et surtout à cause de l'ana- logie des symptômes avec ceux présentés par les ma- lades atteints
disparaître, le délire vésanique n'en persistera pas moins avec ses symptômes propres et, réciproquement, la disparition du d
simple excitant et rend plus apparents, sans les modi- fier, les symptômes de l'affection première; d'autres fois, au cont
plus élevé, il fait naître un délire alcoolique qui, masquant les symptômes de la paralysie générale, rend impossible toute
ix jours diminution des accidents alcooliques et appari- tion des symptômes de « paralysie générale » ; c'est-à- dire qu'au
. Des convulsions, limitées aux yeux, auraient été les pre- miers symptômes . A deux ans, les accidents se seraient aggravés
sent à un état de mal, de tous points t Bravais. Recherches sur les symptômes et le traitement de l'épilepsie hémiplégique. *
d'apo- plexie a été subite et inattendue. En nous fondant sur ces symptômes positifs et négatifs, nous portons le diagnosti
lysé, à quelque époque que ce fût. Au bout de quelques jours, les symptômes se modifient légèrement. Ainsi, vers la fin de
pidement, malgré leur grand appétit, et ils mouraient sans qu'aucun symptôme ni aucune lésion pût en donner l'explication. L
t râpeux au 1 eu temps du coeur, mais il n'y avait d'ailleurs aucun symptôme nouveau. En 1876, nouvelle tumeur à la partie s
ette observation : 1° la longue durée de la maladie et l'absence de symptômes cérébraux ; 2° la coïncidence de l'hypertrophie
du trijumeau et du facial droits, hémiplégie gauche, tels sont les symptômes que II. Jackson croit pouvoir rapporter à la sy
tères spéciaux qu'ils affectent dans la syphilis céré- brale. Aucun symptôme nerveux n'est caractéristique de lasyphilis ; m
de lasyphilis ; mais certains groupements, certaines successions de symptômes sont une forte présomption en sa faveur ; c'est
ur ; c'est sur ce qui constitue ce que Jackson appelle le style des symptômes nerveux syphili- tiques. ' C. TALAmoN.. V. Sa
furent reconnues à l'autopsie. M. Mickle admet que dans ce cas, les symptômes aigus ont été produits par de la méningite et d
capable de pro- duire la paralysie générale, mais il admet que des symptômes analogues à ceux de cette affection peuvent êtr
ysies réflexes étaient l'expression d'une myélite dont les premiers symptômes avaient été à tort con- fondus avec une affecti
nt de voir M. Robin donner le mécanisme de l'accommodation et les symptômes du strabisme à propos d'une thèse de patholo- g
ologique une fois établi, le rôle de la séméiologie commençait : un symptôme ou un syndrome oculaires étant donnés, quelle s
sur lesquels on peut baser un diagnostic probable, quels, sont les symptômes cérébraux associés au trouble oculaire qui perm
DE PARIS, ancien interne des hôpitaux. 1 Le tremblement est un des symptômes les plus fré- quents des maladies nerveuses, so
). Dans ce mémoire, nous nous proposons d'étudier cet intéressant symptôme et de montrer que ses conditions pathogéniques
orbide doit toujours être comparé à l'état physiologique : certains symptômes anormaux du pre- mier ne sont souvent que l'exa
articulièrement dans l'ataxiê lo- comotrice. Mais ce n'est point un symptôme essentiel- lement pathologique; le phénomène du
r l'état de contracture sont bien imparfaits; nous reconnaissons ce symptôme , soit à.la résistance qu'on éprouve en voulant
de nouveau et n'a jamais cessé depuis. Le malade présente tous les symptômes caractéristiques de la paralysie agitante ; imm
'est pas -rare de voir s'accentuer avec une rapidité effrayante les symptômes qui carac- térisent la démence : il s'agit véri
ion à la base du poumon gauche. Rien dans les autres organes. Les symptômes de démence étaient accentués et les lésions de
ctuel lent de 1876 à 1879, très rapide à la fin de 1879 .' démence. Symptômes de mé- mi/go-encéphalite aiguë. Autopsie : Alét
e fait des progrès extrêmement rapides; on observe la plupart des symptômes de la méningo-encélhalite. L'autopsie a montré
tions anatomiques permettra un jour de comprendre l'évolution des symptômes complexes auxquels sont sujets les épi- 240 CLI
tion jaunâtre. , MM- ¡.je¡.. ? '1 l ni. ? JIll)"" /.1/ i i. .uc Les symptômes qui caractérisent cette variété de dé- mence ép
dé- mence épileptique , ne sontmcornparables'f que ? de loin aux symptômes de la paralysie ! . générale. Ce m'est qu'à ,la
areil cas, la 'paralysie générale se présente avec son cortège de symptômes habituels. Deux cas, très intéressants*, que l'
ues évidents ; en même temps, on pourra observer un' amendement des symptômes de lâ'nalnilie : 'Cela nous'scrvirait ' de tran
aute signification clinique reconnue par M. Burq; le premier a deux symptômes très-fréquents dans les névroses : ' : l'anesth
uelques mots sur l'irrégularité du pouls dans la chorée (arythmie), symptôme qui a été considéré comme exceptionnel par quel
de 52 ans, bien portant d'ordinaire^t chez lequel les premiers s' symptômes ^ existaient . depuis 9-e"\l ? 9 ? jJqund J ? B.ap
une-, chute sur, le, moignon, de, 1 épaule ; on a note, parmi, leSj symptômes > principaux, de la faiblesse musculaire, da
s le'lbng duJÍ1ë'rf crural' droit et du sciatique du même côté^'Ces symptômes survenaient chaque ¡jour. vers quatre'heures5'é
,1 (,'l, (¥.ldl'4ett' r cl ? 1rm\fP op ? jl ? e9dre,sp,11,d ! }1"{J symptômes identiques a ceux qui vIennent être ! l1clIques.
M. Amidon ont trait à des lésions' des zones latentes, restées sans symptômes . Comme le fait remarquer l'auteur,' en terminan
1.r;II.J'Jackson'passe en revue, en' quelques mots, les' différents symptômes .' des' tumeurs 'du' cervelet ? qu'il di- vise*
umeurs 'du' cervelet ? qu'il di- vise* en deux grandes catégories : symptômes indiquant l'existence d'une lésion, organique i
fra-crânienne, (névrite i optique, cépha- alg¡e, ,9mlqsÿ.ments), et symptômes permettant de localiser'Ia'Ié- sion : ,la titub
l'oplittiâlmoscopé ; quel- 308 revue.de pathologie NERVEUSE. ques symptômes paralytiques ; il ressemblait un"homme atteint
le réflexe' tendineux était con- servé ou même exagéré, 'malgré des symptômes ataxiques évi- dents. On remarque en particulie
n symp- tôme précoce dans cette affection, mais que- cependant ce symptôme n'estpas pathognomonique. Il est, selon M. Hughes
tatée, les deux,, autres causes sont aussi signalées. Les premiers, symptômes de, la maladie semblent en connexion directe av
uelque autre sen- sation anormale est le premier ou un des premiers symptômes restés. Cet engourdissement est décrit de diffé
nalogue à la sensation qui suit une « crampe ». La douleur a été un symptôme rare; quand elle existe comme symptôme dominant
rampe ». La douleur a été un symptôme rare; quand elle existe comme symptôme dominant, il faut ou que la lésion siégeant à l
des affections réflexes, et pourraient sans doute être comparés aux symptômes méningés que l'on observe si souvent chez l'enf
ls se relève graduellement. Le 16, amélioration marquée de tous les symptômes , bien que le pouls reste encore dépressible. A
s à d'autres causes, et que l'âge de ces patients et l'ensemble des symptômes présentés par eux étaient tout à fait différent
2 des 6 (femmes) les excès alcooliques n'étaient autre chose qu'un symptôme prémonitoire de l'affec- tion déjà existante, e
t évidente qu'on ne peut mécon- naître son influence; lorsqu'il est symptôme on trouve à côté de lui une cause quelconque, t
tiques au début de leur affection, l'alcoolisme n'était alors qu'un symptôme ; lorsqu'il est cause, on ne voit les attaques d
désagréable, souvent celui de soupçon ou de grandeur; lorsqu'il est symptôme , elles sont d'un caractère plus calme, et n'ont
e ses habitudes d'intempérance , ce qui n'a pas lieu s'il n'est que symptôme . Les cas chroniques ne guérissent pas, mais dan
à une démence chronique, dans ceux au contraire où l'alcoolisme est symptôme , les malades se contentent d'une quantité bien
; quant àlui,il n'a jamais observé aucun cas où l'alcoolisme fut un symptôme prémoni- toire ; il ne croit pas avoir jamais v
une discussion immédiate de la part de la section, et que parmi les symptômes décrits par l'auteur un grand nombre peuvent êt
ant entre les lésions cadavériques trouvées chez les aliénés et les symptômes , psychiques qu'ils ont présentés. Déter- miner
Les trois autres observations de Heschl ne mentionnent aucun des symptômes , qui durent se manifester pen- dant la vie : el
es modifications sous l'influence des bains froids. Pleurostotonos. Symptômes bulbaares. - Mort. Autopsie : Endocardite vég
de n'a pas cessé de délirer, mais elle présente le matin un nouveau symptôme , la chute de la paupière gauche, qui ne se relè
le a aussi quelques nausées sans vomissement. L'apparition de ces symptômes fait abréger la durée du bain. Un quart d'heure
ions commise. On remarquera cependant l'accord qui existe entre les symptômes observés, les lésions discutées et celles que n
celles de la Planche IV (Voir PL. VI et VII.) : Si l'on compare les symptômes intellectuels relevés dans ces deux cas, on voi
esse, émo- tions qui se sont traduites, chaque fois, entre autres symptômes , par une perte de connaissance. Ajoutons enfin
s ce fait que l'anesthésie, et d'une manière plus générale divers symptômes de l'hystérie, la contracture entre autres, peuve
ans la propriété qu'ont les oesthé- siogènes de déterminer certains symptômes qui n'existaient qu'en puissance, une véritable
ble. Chez les malades qui présen- 426 REVUE CRITIQUE. a , tent ce symptôme , une moitié du corps est presque toujours sinon
» » aurait peut-être répondu à certains cas, si toujours certains symptômes n'eussent rendu très vraisemblable qu'il no s'agi
racture est celle qui a pour base la physiologie pathologique de ce symptôme ; or, dans les deux formes que distingue M. Lion
nd d'ordinaire. Il reproche à l'école française. d'avoir désigné ce symptôme sous le titre de contracture « permanente », et
e réac- tion tant que la dure-mère demeure indemne (peu ou pas de symptômes chez notre malade, à part quelque tremblement d
e, de troubles vésicaux et gé- nitaux, d'atrophie, d'eschares et de symptômes cérébraux.- Les observations de M. Russell prés
s. La seconde observation est un exemple des cas où de nou- veaux symptômes apparaissent, par suite' de l'extension de la l
sion à la subs- tance grise : apparition d'une fièvre intense et de symptômes généraux graves; 3° Paraplégie spasmodique à
ppuie sur l'absence de troubles sensoriels, et sur ce que les mêmes symptômes ne pourraient être produits que par une paralys
sues derrière chaque oreille, vessie de glace, huile de ricin), les symptômes s'amendent et l'on constate une très grande dur
ase du cerveau presque à l'état latent, puisqu'il n'y avait d'autre symptôme que l'amblyopie, lorsquelles prirent tout à cou
de l'oreille moyenne existe dans la majorité des cas. A propos des symptômes , il a noté que la direction première de la rota
urée de l'emploi. Nous reviendrons sur cette question. Ce. F. LI. Symptômes cérébraux dans la pneumonie ; par le Dr RUSSELL
ni de répulsion à se laisser exa- miner. Il n'existait alors aucun symptôme local ni général d'une affection thoracique. Le
phénomènes thoraciques ; il appuie égale- ment sur ce fait que les symptômes présentés par son malade différaient absolument
Un an plus tard, la malade ayant contracté une variole, ces divers symptômes s'aggravèrent encore.pendant la convalescence d
s, les expirations étant parfaitement libres. Dès le lendemain, ces symptômes avaient disparu. M. Koch admet qu'une ulcératio
s que, dans ces quatre observations, on trouve un certain nombre de symptômes communs, à savoir : 1° les troubles dans les mo
ades eurent été envoyées en convalescence hors du couvent, tous ces symptômes s'amendèrent rapidement ; du moins en fut-il ai
ier, Fonctions du cerveau), expliquent parfaite- ment la genèse des symptômes objectifs décrits. Les désordres des conception
z lesquels se retrouvent à un degré plus ou mpins marqué les divers symptômes caracté- ristiques. Le Dr Macdonald tire de la
sont rares et toutes constatent une grande res- semblance entre les symptômes du saturnisme à un certain degré et ceux de la
gis a bien fait ressortir ces deux ordres de différences. Quant aux symptômes , la distinction est REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE
céphalalgies, il est, au contraire, impossible de ranger parmi ces symptômes particu- liers à l'intoxication, les étourdisse
s subis par le malade, absolument identiques, présentant tous les symptômes intellectuels et physiques de la folie paralytiqu
e instinctive, absolument sem- blable à celle des malades, sauf les symptômes somatiques en moins et l'incurabilité en plus.
n ylrn ' 'tf. f ? t ? jt ? r 1· Depuis,lors, ) ai'retrouve le'même symptôme chez i. ai|»jr3j h riijiVx-ii* eau J'19 J ji 19
jours le même; on ne doit donc pas être surpris de voir tous les symptômes fondamentaux de l'hystérie, à un degré élevé, s
t-à-dire le transfert, la possibilité de provoquer l'apparition des symptômes , etc. Par conséquent l'accident hys- térique lo
tendent de plus en plus à devenir permanents ; de plus, les autres symptômes de la maladie s'amendent et la guérison peut se
qui nous occupe d'une lésion conjonctive et systé- matisée dont les symptômes et les causes sont précisément en question, la
ion, ni ramollissement. Si cette tumeur avait 'déter- miné quelques symptômes ,, elle aurait été soupçonnée par le professeur
p. 453.) .. Bramwell énumère dans l'ordre' suivant les principaux symptômes des tumeurs intra-crâniennes.- 1 ? C TI 1°' Cer
bles psychiques ou altéra- tion de l'état mental;- 8° Phosphaturie, symptôme commun à beaucoup d'autres affections nerveuses
es. La né- vrite optique est pour lui le plus important de tous les symptômes . Elle est double dans l'immense majorité des ca
d toute sa connaissance ; aussitôt se manifestent l'en-, semble des symptômes d'une lésion en foyer (contracture du bras et p
parfois noter. N'existe-t-il pas, ajoute M. Schmid, des cas où ces symptômes existaient en l'absence d'ataxie ? M. Schmid ex
rophie des nerfs optique et acoustique. P- K. LXXXIV. DE QUELQUES symptômes du tabès DORSALIS; par le Dr 1\IAY. BUCH (d'Isc
wsk. Russie.) (AI'chiv. f. Psychiat. u. Nervenkrazls., 1880.) Ces symptômes sont : le refroidissement des extrémités infé-
ce jour-là encore plus froides que de coutume, la pathogénie de ce symptôme ne dériverait-elle pas d'une hypérémie collatér
exes pupillaires. N'est-ce pas là un phénomène analogue à cet autre symptôme important du tabes ataxique, l'abolition du réf
délire autre que son délire réel ? 2 Etait-ce un fôu exagérant les symptômes de la forme mentale dont il était vraiment atte
dou- leurs lombaires simulant la névralgie ou le rhumatisme. Ces symptômes s'observent aussi chez les alcooliques. (Observa-
on.r spontanée, des attaques : ILorsque leslattaquesl et les autres symptômes 'perma- nents de l'hystérie s'atténùent;'il en'
u. - Physiologie : 1° Le rapport de la localisation céré- brale aux symptômes des maladies mentales telles que l'hallucina- t
chial (rupture des raci- nes du), par Hutchinson, 305. Pneumonie ( symptômes cérébraux de. la), par Russe ? 462. Pneumogas
74 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
fant n'a jamais présenté de mouvements invo- lontaires ; le premier symptôme de sa maladie a été l'incertitude de la marche,
une ex- cellente santé. La mère, cartonnière, ne présente pas de symptômes de maladie nerveuse. Elle a eu 7 enfants : 1° u
Cette malade n'est pas une tabétique : elle présente bien quelques symptômes qui font songer au tabès, notamment les douleurs
t avec le type décrit par 58 SOCA MM. Charcot-Marie. Trois grands symptômes paraissent caractériser la forme Charcot-Marie,
ement au niveau de la dépression en jarre- tière. Tous les autres symptômes sont concordants, faux gonflement des jambes, p
étinement sur place de notre malade : donc, l'astasie est encore un symptôme à inscrire dans le tableau de l'amyotrophie Cha
perposition d'hystérie ? Mais l'aslasie forme corps avec les autres symptômes ; elle a, d'après la malade, toujours existé, de
ouve dans d'autres cas, il y aurait là un nouveau et très singulier symptôme à signaler dans le type Charcot-Marie. DE LA
vres proéminentes, les dents cariées, sauf 7 qui sont saines. Aucun symptôme anatomique de dégénérescence. Les, organes inte
ment intéressant, faire ré- fléchir ; cependant une combinaison des symptômes , pareille à celle-ci, ne s'aperçoit pas dès la
die de Thomsen n'en est pas une complication occasionnelle, mais un symptôme de la variété atrophique de la myotonie comme tou
avec la dystrophie musculaire progressive présente aussi quel- ques symptômes de la dystrophie dégénéra tive, ce qu'on voit de
son enfance de la maladie de Thomsen, apparurent il y a 10 ans, des symptômes de tabès, d'abord au côté des nerfs moteurs de
correspondante de la moelle. Il va de soi, en effet, que les mêmes symptômes pourront dépendre de la lésion d'un certain nombr
ortion inférieure du canal rachidien, peuvent donner lieu aux mêmes symptômes . Jetez un regard sur la ligure placée devant vo
ONS DE LA QUEUE DE CHEVAL 93 foyers A et B donneront lieu aux mêmes symptômes , et ce seront préci- sément ceux que nous const
ux, les alternatives d'aggravation et d'amélioration des principaux symptômes , l'apparition tar- dive et le caractère diffus
e, elle a eu pour résultat une atténuation très marquée de tous les symptômes . Aussi Sachs plaide-t-il chaudement en faveur de
pas subi de traumatisme ; il n'est pas non plus syphili- tique. Les symptômes qu'il présente sont ceux d'une lésion circonscrit
efface assez rapidement.Mais l'amé- 1 ioration ne porteque sur les symptômes de dystllyuoïdie, et ne modifie en rien l'infan
r, combien les malades relevant du même traitement sont atteints de symptômes variés, quant à leur degré d'intensité et d'étend
e. SYNDROME DE LITTLE 139 Raymond et Cestan ont montré que si les symptômes cliniques offrent des points communs, la lésion
uerait le mieux la diversité des constatations histologiques et des symptômes cli- niques. Little (18846-1870) appelle ces
et que d'autre part on voit des lésions très diverses provoquer des symptômes identiques. Les formes variées de la maladie so
des membres avec absence de lésions cérébrales. - Il semble que ces symptômes soient bien peu définis, et ap- plicables à bie
econdaire il est vrai, du faisceau pyra- midal gauche, on avait les symptômes d'une hémiplégie droite (destruction primitive
intéressant, parce qu'il nous montre la marche en sens inverse, des symptômes que présente un Little marchant vers la guérison,
tion urinaire. Mais encore ne faut-il pas demander, à l'élude de ce symptôme , plus qu'il ne peut donner et croire qu'il suffit
aux dont il souffre, dans la- quelle il est aisé de reconnaître les symptômes de l'embarras gastrique fébrile : douleur de tè
nctif périvasculaire de l'autre. Au point de vue de l'évolution des symptômes il est intéressant de cons- tater que cette tum
douleurs etun léger degré de parésie faciale, on n'observait aucun symptôme indiquant une altéra lion grave des zones motrice
e également, la tolérance de l'encéphale a été très grande, car les symptômes de compression cérébrale, tels que les vomis- s
ications de ce nerf. Il est curieux de constater le petit nombre de symptômes par lesquels s'est manifestée cette tumeur, alo
volume, il semble qu'on eût dû constater de bonne heure les grands symptômes de la compression infra- crânienne, tels que la
légitiment une intervention chirur- gicale. Nous pensons que si les symptômes de localisation avaient été suffisamment nets a
porté sur la région temporale gauche que sont apparus les premiers symptômes ; or c'est sur l'hémisphère gauche que siège le
ourrait à la rigueur s'expliquer simplement par la commo- tion, les symptômes de lésion cérébrale sont apparus au bout de huit
sous forme de troubles de la vue et de la musculature oculaire. Les symptômes de la période initiale, bientôt suivis de trouble
raiment bien remarquable ; on ne décrit pas dans quelque endroit un symptôme nerveux bizarre et en apparence nouveau sans qu
ent dès qu'il a un travail devant lui. C'est bien là l'ensemble des symptômes décrits par M. IIaskowec : des secousses, de l'
ov. 1901, p. 1107), mais il faut s'entendre sur l'interprétation du symptôme que nous ne concevons peut-être pas tout à fait
. On trouvera un fait de ce genre. associé, il est vrai, à d'autres symptômes dans notre description d'un cas de paralysie de
r dans la position assise. Ce serait là, à notre avis, le véritable symptôme de l'akathisie hystérique à mettre en parallèle
hystérique à mettre en parallèle avec l'astasie hystérique. Mais ce symptôme est-il identique à ceux que l'on observe chez les
bile debout, il va au bout de quelques instants présenter les mêmes symptômes de l'an- goisse ; il n'est donc calme que dans
e, au bout d'un temps plus court encore que la première fois, mêmes symptômes : angoisses, amnésies, doutes, mutisme, insomnie,
tous les faits susceptibles de jeler quelque lumière sur ce curieux symptôme ne soient pas soigneusement enregistrés. ' Celu
s eu récemment l'occasion d'observer un paralytique chez lequel les symptômes relevant tantôt de l'excitation et tantôt de la p
'ouïe), qui étaient presque permanents, succédaient brusquement des symptômes de déficit (surdité corticale, puis surdité verba
grité relative des régions antérieures, donnèrent l'explication des symptômes cliniques. Voici d'ailleurs le relevé topographiq
rvation suggère quelques réflexions. Nous n'insisterons pas sur les symptômes relevant de l'excitation des centres sensoriels ;
le tableau de l'aphasie sensorielle : la surdité verbale restait le symptôme prédominant, mais elle s'accompagnait de paraphas
nt passagers. Leur durée ne dépassa pas une huitaine de jours ; les symptômes régressèrent rapidement : d'abord la cécité ver
la méningo- encéphalite expliquent l'alternance constatée entre les symptômes d'excita- tion (hallucinations de l'ouïe) et le
nsidérées comme nécessaires et suffi- santes pour rendre compte des symptômes de déficit (surdité verbale), pourquoi ces lési
des troubles sensoriels et des trou- bles de la sphère du langage ( symptômes d'excitation ou de paralysie) tels que : aphasi
existence d'un délire à base d'hallucinations et la constatation de symptômes (surdité verbale et apha- sie sensorielle) habi
bservations Observation I. Molin..., âgée de 72 ans. Les premiers symptômes du tabes ont débuté il y a 11 ans et ont consis
de la maladie semble remonter à 9 ans. A partir de cette époque les symptômes seraient survenus lentement et progressivement.
. Troubles gastriques avec douleurs. En 1900 la malade présente des symptômes de ramollissement cérébral, elle répond lenteme
avantage, revenant tous les deux ou trois mois. Ce furent les seuls symptômes jusqu'en 1897. A cette époque se manifestèrent
ou bien un délire plus fixe (Wahnsinn). On rencontre alors quelques symptômes particuliers : caractère pathétique des paroles
sistant en des alternatives d'excitation ou de stupidité avec leurs symptômes décrits ci-dessus. La maladie peut guérir, ce q
dans les traits essentiels, mais aussi en raison de l'existence de symptômes spéciaux communs tels que la verbigéralion, le
l fait assortir l'origine psychique et non purement spasmodique des symptômes de négativisme. Au congrès de Carlsruhe, en 189
ve ou à la folie circulaire. En même temps, il admet l'existence de symptômes catatoniques, de pronostic variable, dans des f
sme : la catalepsie, l'écholalie, l'échopraxie. Ce second groupe de symptômes n'a pas l'impor- tance du négativisme ; mais le
leur coexistence ou leur succession chez le même individu. Un autre symptôme important, car il constitue même pour certains
ment à retenir, c'est qu'il ne fournit aucune raison des différents symptômes que nous venons d'énumérer, de ses attitudes, de
dans lesquelles prédominent tantôt les uns, tantôt les au- tres des symptômes catatoniques que nous venons d'énumérer.Le mutism
mutisme est le seul qui se soit montré d'une façon persistante. Ce symptôme est chez lui très net comme manifestation de né
développement, d'intensité, de permanence. 3° Parmi l'ensemble des symptômes psycho-moteurs qui constitue la catatonie, ona
'est là une erreur, car les attitudes cataleptiformes ne sont qu'un symptôme et relativement peu fréquent de la catatonie (1).
la catatonie (1). En réalité, la catatonie comporte un ensemble de symptômes psycho- moteurs, et dans le syndrome catatoniqu
stéréotypies qui semblent former comme un trait d'union entre les symptômes du négativisme, et un second groupe de phénomènes
s. Ils ne se distinguent guère, dans leur apparence extérieure, des symptômes de nature identique que l'on rencontre dans d'aut
traire le cas dans la démence précoce, à tel point que ces derniers symptômes sont presque pathognomoniques de la variété dite
z un seul individu. 4" Il est d'ailleurs à remarquer que tous ces symptômes peuvent être rapportés à un même processus psyc
I, ne 3). EÉMENCE PRÉCOCE ET CATATONIE 341 Il est encore un autre symptôme dans lequel on retrouve des caractères habituel
es soient, nous permettent de com- prendre l'existence possible des symptômes du second groupe (catalepsie, écholalie, échopr
z les dé- ments catatoniques de celui que l'on attribue à ces mêmes symptômes dans l'hystérie. Il est un élément du syndrom
opre à montrer les rapports étroits qui unissent les deux ordres de symptômes , négativisme et suggestibilité, et leur commune
ès restreint de la pensée. Ces caractères psychologiques des divers symptômes catatoniques dans la démence précoce sont d'aut
ableau classique de la paraplégie spasmo- dique. Au contraire, ce symptôme du début, ce trouble de l'écriture prenant le c
bres supérieurs peuvent se déceler, bien longtemps avant tout autre symptôme , à l'occasion des mouvements complexes de l'écr
s souvent, exagérés dans l'hérédo- ataxie. Il manque toutefois le symptôme cardinal, sans lequel, a dit M. Ray- mond,il n'
rrington. III Chez notre second malade, nous retrouvons les mêmes symptômes du début apparaissant à peu près dans le même o
le, le malade nous revient avec une atténuation marquée de tous ces symptômes . C'est à ce moment que M. Ballet a bien voulu exa
rédo-ataxie, se tradui- sent dans le Friedreich et chez Vi ? par un symptôme unique : les secousses il. C'est un symptôme,
et chez Vi ? par un symptôme unique : les secousses il. C'est un symptôme , dit Soca, qu'il faut rechercher convenablement,
ce dans le Friedreich, l'hérédo- ataxie, et sont regardés comme des symptômes de second ordre. L'absence de douleur au passag
point d'appui. Cette différence cesse même d'exister pour certains symptômes . Nous trouvons chez Vig. l'ataxie du bras, les
n destructive des centres spinaux des nerfs' péri- phériques : Le symptôme , troisième en date, l'incontinence d'urine, a éga
s de reins. Il resta alité pendant une quinzaine de jours, avec des symptômes de grippe. La difficulté pour uriner subsistait.
puis nous chercherons à établir les rapports qui existent entre les symptômes observés et les localisations constatées par l'
ont évolué pendant une période latente, sans donner naissance à des symptômes appréciables, ou au moins sans que le malade s'
gite, est extrêmement précoce, qu'elle accompagne les tout premiers symptômes de la syphilis nerveuse, qu'elle peut même en ê
s. Nous allons essayer de superposer dans la mesure du possible les symptômes et les lésions. Sans revenir sur les différents
clusivement sur les voies sensitives latérales du bulbe; les autres symptômes cadraient bien avec celte supposition. Au cours
mmes amenés à conclure que les fibres donl l'interruption cause les symptômes en question ne vont pas directement au sympathiqu
r dans la 1 ra dorsale. Il nous reste maintenant à nous occuper des symptômes cérébelleux proprement dits : sensations vertig
res supérieurs, hémiasynergie du membre inférieur du côté lésé. Ces symptômes , qui sont associés dans un grand nombre de cas
un phénomène complexe et encore obscur, ni de décrire à nouveau le symptôme asynergie, pour l'étude clinique duquel nous renv
ette région ; nous avons eu plusieurs fois l'occasion d'observer ce symptôme que nous avons également relevé dans plusieurs
r les auteurs qui se sont occupés de la question. C'est pourtant un symptôme très saillant qui attire l'attention dès le pre-
édiatement sur la voie du diagnostic. Pour expliquer ces différents symptômes nous avons la lésion de trois appareils fort im
évidemment dans ces trois lésions qu'il faut chercher la cause des symptômes cérébelleux; mais il 510 BABINSKI ET NAGEOTTE
use. La lésion de l'écorce cérébelleuse peut évoluer sans donner de symptômes , et. d'au- tre part, dans des autopsies d'héréd
es modifica- tions observées dans la sphère génitale : « Un autre symptôme ~singulier et très constant, constituant ainsi l'u
nitale, chez l'homme, on le regarde maintenant comme un effet et un symptôme plutôt que comme une cause de la maladie (1). »
75 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
existe un certain nombre d'affections dans lesquelles prédomine le symptôme : as- phyxie. Mais contrairement à ce qui se pa
'y a d'accès comme dans le syndrome de Raynaud. A cette asphyxie, symptôme capital, s'ajoutent des phénomènes contin- gent
ermomètre, donne 29°6 (pour une température extérieure de 19°). Les symptômes subjectifs consistent en crampes, fourmillements.
en 1896 par M. Crocq (1) et concernant deux malades, présentant des symptômes in- dubitables d'hystérie. Chez ces sujets, l'a
té prescrits : il y a même une aggravation progressive et lente des symptômes . Peu de jours après son entrée, on avait fait e
nt inté- ressée : il y a de la céphalée, des troubles visuels, tous symptômes qui manquent dans l'acrocyanose, au moins comme
ce sont des signes vaso moteurs actifs qui dominent la scène ; les symptômes sont ceux d'une perturbation vasculaire intense
ments; en une inhabileté fonctionnelle plus ou moins prononcée. Les symptômes en furent tout d'abord bien dégagés par Raynaud
porteurs d'un cancer ulcéré de l'oesophage, le troisième avait les symptômes d'un tabes dorsalis, et une phtisie pulmonaire
e ce dernier, de la douleur à la pres- sion des troncs nerveux ; le symptôme caractéristique était la forme des extrémités d
ophiante pneumique, se séparant d'elle cependant par l'existence de symptômes vasomoteurs et trophiques ; le syndrome a pour
ois que c'est seulement la période d'état, ou mieux, la période des symptômes incommodants qui se place approximativement à c
itgs, le gonflement général de la main. 20 péuu Tout d'abord, ces symptômes incommodaient le patient pendant l'hiver seulem
ntracture musculaire sous-jacente,soit au moins de l'un de ces deux symptômes . D'emblée ou très rapidement, il acquiert son i
ap- porté l'autopsie, nous ne voulons pas essayer d'interpréter les symptômes cliniques par les résultats anatomiques. Toutef
'âge adulte, sans avoir antérieurement révélé son existence par des symptômes bien caractérisés ou des stigmates apparents. A
Quel est enfin l'ordre probable de succession des lésions ? 2 Des symptômes d'irritation corticale apparaissent chez un enfan
ni- que. Ce dernier caractère limite le diagnostic,en l'absence des symptômes SYPHILIS HÉRÉDITAIRE TARDIVE / 93 généraux qu
rut, symptoma- liques d'une lésion en foyer; mais en même temps les symptômes céré- braux se diffusèrent, l'envahissement de
nerveuse totale apparut graduellement. Il n'y eut à aucun moment de symptômes attribuables à la paralysie générale, telle qu'
t-il s'appliquer à des faits complexes comme celui-ci, où à côté de symptômes de tumeur cérébrale, ou de lésions destructives
tives localisées, évoluent parallèlement des troubles généraux, des symptômes de déchéance intellectuelle, d'incoordination psy
lisation insidieuse d'une gomme d'abord périostée, la précocité des symptômes d'irritation corticale, nous feraient admettre
ce l'atrophie des circonvolutions atteintes, et paral- lèlement les symptômes cliniques d'irritation corticale, puis d'hémiplég
nt l'atrophie scléreuse du manteau hémisphérique, déter- minant les symptômes d'irritation corticale, puis d'hémiplégie. Enfin
rtaine difficulté. Examinée quelques jours avant la mort, voici les symptômes que nous avons relevés chez notre malade. La
isation des centres visuels ; mais notre cas permet de'préciser les symptômes déterminés par une lésion envahissant lente- me
ade put distinguer les formes. Le parallélisme entre ces différents symptômes indique que l'hypothèse de Wilbrand ne peut êtr
semble de leurs caractères cliniques,mais auxquelles s'ajoutent des symptômes qui imposent l'idée d'une intervention au moins
tures au lit était insupportable. Tout ce début fut insidieux ; les symptômes allèrent en augmentant progres- sivement. Il n'
ntant progres- sivement. Il n'y eut jamais d'état aigu, fébrile, de symptômes , généraux soit au début, soit an cours de l'aff
oréïques ou atliétosiques. Pas de trouble des spliincters. Pas de symptômes oculo-pupillaires. Pas de troubles psychiques :
il l'opinion de Brissaud qui voit dans cette anomalie crânienne le symptôme possible d'une lésion centrale. L'opinion génér
1) vient de lui consacrer un important travail basé sur 12 cas. Les symptômes rappellent ceux du tabes de l'adulte sauf que les
sies, le signe de Romberg, les phénomènes ataxiques ne sont pas des symptômes de premier plan. Par contre la maladie de Friedre
lles, d'une moralité insoupçonnable, présentent toutes les deux des symptômes nombreux et indiscutables de labes. C'est une o
up d'ongle de leur face antérieure. C'est à t'age de 38 ans que les symptômes de la série tabétique ont dé- buté. Ces symptôn
pement ultérieur de cette masse et en même temps à la production de symptômes morbides évidents. » D'ail- leurs, de toutes le
piratoire ont partagé le cours de la maladie. Dans la première, les symptômes nerL'eUX consl i lua ien t il eux seuls le comp
qui emportèrent rapidement la malade, si rapidement que l'étude des symptômes nerveux ne put être aussi complète qu'on eut pu l
mort survint avant qu'aucun diagnostic satisfaisant eût été porté. Symptômes nerveux. Les symptômes nerveux, bien évidemment e
aucun diagnostic satisfaisant eût été porté. Symptômes nerveux. Les symptômes nerveux, bien évidemment en relation avec le dé
aire qui ne fut pas constatée. Quoi qu'il en soit, le tableau des symptômes nerveux constaté au mo- ment de l'entrée à l'hô
mes étaient enva- hies par la néoplasie. Il manquait toutefois un symptôme important, consigné dans toutes les observation
de paraplégie cervicale (D. I) mydriase ou myosis. L'apparition de symptômes névralgiques à topographie radiculaire, qui s'a
ques à topographie radiculaire, qui s'aggravent graduellement, avec symptômes médullaires uni, puis bitaté- - raux est le plu
présent, près de la périphérie de la moelle, de telle sorte que les symptômes radiculaires unilatéraux, spé- cialement les do
lement les douleurs puissent être les premières manifestations. Ces symptômes radiculaires sont rarement purs, car la tumeur oc
vait que venir à l'appui de l'idée d'une polynévrite infectieuse. Symptômes respiratoires. Bientôt après d'ailleurs, les symp
infectieuse. Symptômes respiratoires. Bientôt après d'ailleurs, les symptômes res- piratoires se précisèrent, révélant l'exis
n squelette en raison de l'àge avancé (19 ans), auquel les premiers symptômes acromégaliques s'étaient montrés ; elle n'avait r
es d'un corps similaire au sucre se sont seulement rencontrées. Les symptômes cliniques ne démontrent pas avec certitude l'agra
griffe singulière. L'examen de cette malade ne nous montrait aucun symptôme bien net d'une lésion organique du système nerv
juste de dire que ce tremblement rentre dans le même groupe que les symptômes pré- cédents ? . III Chez ces deux malades,
vement, spasme ou tremblement, rentre, pour nous, dans un groupe de symptômes physiques et moraux qui sont différents de ceux d
dant une grande fréquence et une grande unité clinique. Ce sont les symptômes de la psychasthénie, névrose que nous essayons, d
nes importants que l'on sépare trop souvent les uns des autres. Un symptôme isolé ne suffit pas pour caractériser une maladie
s'agit des névroses, suivant l'état mental qui y est joint, un même symptôme peut appartenir à des groupes fort divers. Un tic
216 RAYMOND ET JANET généralisé et considérable, peuvent être des symptômes de l'état psychas- thénique. Sans entrer dans
t pas résister la systématise de plus en plus. Chez l'homme, un des symptômes de l'émo- tion, le tremblement, qui a attiré da
la série hystérique, de même si nous faisions de ce tremblement un symptôme de paralysie agitante, il faudrait songer à tou
été soumis à aucune de 'ces intoxications et n'en présente pas les symptômes ; enfin l'ab- sence de sucre dans les urines él
l'attitude de la main ne suffirait pas, en l'absence de tout autre symptôme , à donner au nerf radial une importance que la
it aussi que la fatigue, la torpeur physique et psychique, sont des symptômes de première importance dans la maladie d'Addison.
aliénés où il guérit totalement dans l'espace d'un mois. Les mêmes symptômes se répétèrent après un an : il rentra à la Mais
générales ? Ceux qui soutiennent la théorie dualiste disent que les symptômes tabétiformes de la paralysie générale sont moin
mais quelque chose de mal défini et qui participe de chacun de ces symptômes : les douleurs sont moins vives, les réflexes s
xiste) est toujours plus avancée du côté où sont plus accentués les symptômes corticaux (Raymond). Garbini dit que les lésion
e placée entre les tabes vrais et les pseudo-tabes. Le fait que les symptômes tabéti- ques ont précédé, comme nous l'apprend
ous l'apprend l'histoire de la maladie, de trois années environ les symptômes paralytiques, n'a aucune importance pour affirm
dents depériencéphalite, sans que pendant la vie soient apparus des symptômes cérébraux (Nageotte). ' Je voudrais, enfin, p
casion d'examiner un homme de 40 ans, employé, qui se plaignait des symptômes suivants : Depuis trois semaines, il était pris
et cela troublait son sommeil. S'il se retenait d'uriner, tous les symptômes précités s'aggravaient. Les compresses d'eau fr
ais- sance du malade et contre sa volonté. Il n'y avait aucun autre symptôme pen- dant ces mouvements. Alors je préférai m'e
nt est plus jaunâtre. Je n'ai pas pu constater à l'examen local des symptômes d'un cancer de l'estomac ou du foie. Le malade
estomac ou du foie. Le malade est mort quelque temps après avec les symptômes d'une entérite aiguë. Dans ce cas de neurasth
ent dès qu'il a un travail devant lui. C'est bien là l'ensemble des symptômes décrits par M. Haskowec : des secousses, de l'a
0 nov.1901, p. 1107), mais il faut s'entendre sur l'interprétation du symptôme que nous ne concevons peut-être pas tout à fait
s. On trouvera un fait de ce genre associé, il est vrai, à d'autres symptômes dans notre description d'un cas de paralysie des
r dans la position assise. Ce serait là, à notre avis, le véritable symptôme de l'akathisie hystérique à mettre en parallèle
hystérique à mettre en parallèle avec l'astasie hystérique. Mais ce symptôme est-il identique à ceux que l'on observe chez l
bile debout, il va au bout de quelques instants présenter les mêmes symptômes de l'angoisse ; il n'est donc calme que dans la
un couvent. Le début lui plut, mais après un court délai les mêmes symptômes cités reparurent. Elle apprit le commerce avec
ticulière- ment dans le Liber innocentium, quelques détails sur les symptômes de la maladie, renseignements d'ailleurs assez
(Arch. f. klin. Chir., LI, 1896). LE PSEUDO-OEDÈME CATATONIQUE Symptômes . Diagnostic. Pathogénie (1) PAR MAURICE DIDE,
t. L'écholalie et l'échopraxie sont évidemment de même nature. I. Symptômes d2c pse2scto-cedènae catatonique. Il est plus f
n de l'affection mentale, atténue et peut même faire disparaître le symptôme qui nous occupe. Plus tard, l'influence du repo
dans l'appréciation des faits puisque, comme nous allons le voir,le symptôme livré à lui-même peut rétrocéder.(V.1'I. LXVI,Gg.
gaire émise par certains infir- miers lesquels pensent expliquer ce symptôme par des phénomènes de stase passive due à l'imm
ons à nos chevaux lécheurs. Nous avons rencontré chez eux les mêmes symptômes psychiques que chez les chevaux atteints du tic
ux que les cavaliers reconnais- sent aux chevaux de pur sang et les symptômes psychiques que nous avons noté chez les sujets
accès; les chevaux qui lèchent ainsi sont légion et n'offrent aucun symptôme psychique. Au contraire, l'animal atteint de st
ives ; elles constituent, dans le cours ultérieur de la maladie, le symptôme essentiel, et dans bien des cas, l'unique conte
76 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
e professeur Charcot atti- rait l'attention de ses auditeurs sur un symptôme assez fréquent de cette maladie, consistant dan
re- mier, sa véritable nature. Valleix en a fixé les prin- cipaux symptômes et déterminé les points classiques. Lasègue et
entre les cas de névralgie simple et les cas de névrite. Le nouveau symptôme mis en évidence par M. Charcot et ses élèves, M
atrice de la colonne vertébrale. Si, dans un cas de ce genre, les symptômes de la sciatique sont prédominants, c'est à la s
ces deux sciatiques ne sont pas identiques ; ou, du moins, si leurs symptômes sont les mêmes, leur nature est différente. Il
e leur membre malade. C'est Lasègue qui a le premier insisté sur ce symptôme , pour en tirer un Fig. 9. ' * Fig. 10. DES
e le genou droit et l'articulation coxo-fémorale droite. Les autres symptômes persistent. On prescrit le salicylate de soude à
. . Vers la fin de son séjour à l'hôpital, le malade présenta des symptômes indubitables d'hydarthrose. Fallait-il donc adm
otuliens, enfin par le tremblement épileptoïde. Ces deux derniers symptômes , il faut bien le dire, si caractérisés qu'ils s
comme guides, dans une forêt vierge, il ressentit soudain les mêmes symptômes . Tout à coup, il reçut un choc dans la tête et
t de nouveau UN cas d'abasie-astasie. 43 de la voltige, les mêmes symptômes se déclarèrent : C'est comme si je perdais subi
e force quand même à marcher, lorsqu'il sent venir les pre- miers symptômes , il reçoit comme un coup de marteau dans la nuq
olence ; douleurs en ceinture. T. 38°,6. Le 3. Rémission légère des symptômes , deux selles involontaires et non perçues. T. 3
é plus tard. Température et pouls nor- maux. En présence de pareils symptômes survenus subitement et précédés de douleurs lom
raison pour laquelle nous avons 72 CLINIQUE NERVEUSE. appelé ces symptômes extrinsèques. L'étude de la phy- siologie patho
cidents cérébraux, nous fait dispenser de nous occuper du groupe de symptômes céphaliques. Les troubles respiratoires qui ont
s vaisseaux pulmonaires, interceptant ainsi leur cir- culation. Des symptômes gastriques, les uns sont dus au développement d
réflexes à l'épilepsie spinale et une amélioration très grande des symptômes des cordons postérieurs. C'est surtout au trait
de Munk). Dans la première série d'expériences, dont les principaux symptômes furent une hémiplégie qui, tout en s'atténuant,
n de la force musculaioe à gauche est en harmonie avec les autres symptômes . Traitement : capsules de bromure de camphre. 1
Le malade auquel appartenait ce cerveau n'avait présenté d'au- tres symptômes que les symptômes ordinaires de la paralysie gé
ppartenait ce cerveau n'avait présenté d'au- tres symptômes que les symptômes ordinaires de la paralysie générale. A l'ouve
pille. Enfin, la paralysie des pupilles est non pas seulement un symptôme fréquent mais un symptôme précoce, et par suite u
sie des pupilles est non pas seulement un symptôme fréquent mais un symptôme précoce, et par suite un signe diagnostique imp
la maladie chez des patients ne présentant dès l'abord que ce seul symptôme . Il a pu faire la part de sa précocité et de sa
ur un père et son fils; 2° deux cas d'amélioration tempo- raire des symptômes mentaux ayant coïncidé avec le développe- ment
dans lequel se trouve l'ivrogne. On rencontre enfin fréquemment ces symptômes de l'ivresse, chez des individus sobres, ou mêm
peut émaner d'un trouble fonctionnel de l'écorce du centre visuel ( symptôme indirect pos- sible d'une lésion en foyer) ; el
robable. M. IN EISSER. Eléments de diagnostic différentiel tirés du symptôme connu sous le nom de verbigéralion. La forme sp
manifestations diverses. Car elle s'associe d'ordinaire à d'autres symptômes , tels que les manifestations d'arrêt dans la sp
ile (athérome des artères coronaires); mais ce ne sontlàque que des symptômes de suspicion. Nous devons donc nous montrer pru
prendre à cet égard : elle a, malgré ses variétés cli- niques, ses symptômes physiques, son délire spécial, enfin ses lésion
sions scrofuleuses et rachi- tiques. Absence de la glande thyroïde, symptôme classiques de l'idiotie myxoedémateuse : pseudo
II. Dans ce cas, de même que dans quelques autres, les pre- miers symptômes , de la cachexie pachy dermique, due à l'ab- sen
ncher la question. III. Nous croyons superflu de relever chacun des symptômes du myxoedème. Ils se rencontrent tous ici : asp
Tout récemment un mémoire remarquable a été écrit sur les premiers symptômes accentués qui suivent l'ablation totale de la g
oitié fut extraite du cou. Sur les neuf animaux, huit moururent des symptômes typiques de la perte de-la thyroïde. L'examen p
ssais, ressemble le plus à l'homme par la durée et le caractère des symptômes qu'il présente après la thyroïdectomie. Je pr
re reconnu au toucher. Le vrai plan serait cependant de veiller aux symptômes d'une façon très attentive, et s'il n'y avait p
ériques persistants ayant fait croire à un ulcère de l'estomac, ces symptômes se sont amendés ou ont disparu dès que la folie
vu la perversité morale apparaître au moment de la disparition des symptômes hysté- riques. - M. Savage a également remarqué
s plusieurs cas des attaques vio- lentes d'épilepsie ont amendé les symptômes mentaux. Contre son attente, il a même vu la di
raître l'excitation maniaque, on ne la verra jamais modifier les symptômes de la paralysie générale. - Il y a des maladies
ant l'écorce cérébrale n'a été révélée pendant la vie par aucun des symptômes propres aux productions morbides ainsi localisé
elui qu'il a observé : dans aucun de ces cas on n'avait constaté de symptômes caractéris- tiques de l'existence d'une tumeur.
d., 1887, t. LVI.) Observation d'un malade chez lequel Je principal symptôme observé pendant la vie fut une abolition complè
syphilis. L'administration de Kl fait disparaître en deux mois les symptômes , moins la polyurie : on suspend le médicament e
les symptômes, moins la polyurie : on suspend le médicament et les symptômes reparaissent. La ma- lade quitte l'hôpital fin
polyurie dont la physionomie a rappelé ici le diabète insipide. Ce symptôme d'après lui s'obser- verait assez fréquemment d
ie ; disparition des réflexes patellaires, pas de paralysie, pas de symptômes oculaires» pas de troubles de la parole. Mort 2
troubles mentaux d'un genre ou d'un autre, il est de règle que les symptômes mentaux, et lorsque les premiers se rencontrent
que probablement dans le cas actuel l'appa- rition plus précoce des symptômes mentaux. 2° Par l'existence d'une démence progr
alalgie intense et des vomissements aient figuré parmi les premiers symptômes , ces phénomènes, dès les premiers temps qui ont
ons de par l'hypnotisme ; il fait dis- paraître évidemment certains symptômes rebelles jusqu'alors a d'autres médicaments, ma
s qui n'atteignent pas la forme parfaite. En même temps on note les symptômes physiques suivants de la neurasthénie patho- gé
e l'évolution SOCIÉTÉS savantes. 28 1 et de l'absence de bien des symptômes importants. Il faut bien distinguer laparalysie
e démence paralytique progressive clas- sique se traduisant par les symptômes vasoparalytiques que l'on sait. Quand la mémoir
concomitantes. Du mois de juillet au 8 septembre- l'ensemble de ces symptômes se succèdent alternativement; de temps à autre
te-cinq ans que concerne ce fait n'avait jusqu'alors présenté aucun symptôme de cette névrose, mais elle était soupçonnée de
u côté paternel) la princesse Alexandra aurait présenté en 1850 des symptômes de folie (elle croyait avoir avalé un sopha en
e qu'il s'agira de distinguer, se traduisant pendant la vie par des symptômes dépendant soit de la moelle, suivant les uns, s
é par un taux peu élevé et cependant la maladie s'ac- compagne de symptômes graves. Peut-être, dans ces cas-là, existe-t-il
ène connexe avec ce relèvement incontestable de l'état général, les symptômes capi- taux du diabète ont notablement diminué d
s que 80 à 90 grammes. Toutes ces modifications favorables dans les symptômes capitaux du diabète se constatent facilement su
a malade, dont il s'agissait avait été at- teinte pendant sa vie de symptômes manifestement hystériques association morbide d
, pendant le séjour à Buenos-Ayres, qu'on s'est aperçu des premiers symptômes de la maladie. Elle a été prise peu à peu et sa
arche s'est accentué dans ces dernières années; du reste, aucun des symptômes précédemment signalés n'a rétrocédé. Depuis cin
nution du temps de la réaction simple peut entrer dans le cadre des symptômes somatiques de l'hystérie, comme un caractère fo
suggestion ou de l'autosuggestion; mais elle est accompagnée d'un symptôme qui ne se trouve ni dans la pensée de celui qui
e et l'on trouve une paraplégie avec anesthésie; par l'analogie des symptômes , on arrive à conclure a une paraplégie psychiqu
e faut pas perdre de vue une maxime formulée par M. Charcot : les symptômes de l'hystérie proviennent de deux sources, de l
rents à elle. L'étude différentielle entre ces deux catégories de symptômes a permis au savant maître d'apporter l'ordre da
est probablement sui- cidé ; lui-même a présenté à dix-sept ans des symptômes qui paraissent se rattacher à un accès de manie
rère, qui avait mené le même genre de vie ; 10° au point de vue des symptômes et de la durée, la maladie a eu une évolution n
acile à établir, mais il est difficile aujourd'hui de retrouver les symptômes de la maladie de Basedow qui existaient à une c
u bulbe. Le lavage de l'estomac peut aussi empêcher ou diminuer les symptômes de l'intoxication morphinique ; il permet encor
s n'ont-ils pas déjà appliqué le terme de paranoïa à un ensemble de symptômes qualifié par telle école de Wahnsinn et par tel
romptement à la démence secondaire pure et simple ou mélangée à des symptômes maniaques ou hallucinations. 6. Les modificatio
fumait, la quantité approximative de tabac consommée par jour, les symptômes constatés (angine granuleuse, crampes d'estomac,
ier, c'est que la jeune fille, sortie de l'eau, présentait tous les symptômes de la catalepsie, et qu'on a pu, après cette lo
77 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
UMATISME ARTICULAIRE CHRONIQUE. 10 de troubles visuels, aucun autre symptôme qui puisse faire croire à la maladie de Basedow
ecté d'hydrargyrisme professionnel qui présentait, à côté de divers symptômes de nature évidemment hystérique, certain trembl
emblement constitue, pen- dant un temps plus ou moins long, le seul symptôme de l'hystérie. En pareille occurrence, on porte
attentive, parfois même minutieuse, mais forcément un peu aride du symptôme . Nous nous efforcerons, en même temps, de montr
uelque peu accentué, il constitue un trouble moteur impor- tant, un symptôme marquant et tenace presque à l'égal des autres
tant, un symptôme marquant et tenace presque à l'égal des autres symptômes de l'hystérie. Il en a été ainsi chez deux de nos
t d'exophthalmie, un tremblement à oscillations rapides est le seul symptôme apparent de la maladie de Basedow. La légitimit
édée, non pas d'une attaque convulsive complète, mais seulement des symptômes qui cons- tituent l'aura hystérique. A plusieur
ès avoir ainsi présenté une série d'attaques de tremblement, que ce symptôme s'établit, à la suite de la' dernière crise, d'
w. Si on lui demande depuis quand elle a remarqué l'existence de ce symptôme , elle répond qu'elle n'en sait rien. » On pourr
ù le tremblement vibratoire propre.à cette affection en est le seul symptôme apparent. Mais la constatation de la tachycardie
opres, et que le tremblement à oscillations rapides est en somme un symptôme à peu près constant de la maladie de Basedow et
rté à Lariboisière, cet homme offrait quelques jours après tous les symptômes d'un état neurasthénique des mieux caractérisés.
it passer pour galant. Nous lui proposons alors, en présence de ces symptômes , de faire quelques pas hors du lit. Elle consen
des trous de conjugaison. Dans ces cas la para- plégie n'est pas le symptôme dominant. L'élément douleur prend la place la p
e le tassement de la colonne lombaire a commencé à s'effectuer, les symptômes de compression des racines rachidiennes ont déb
s dont la répétition, en dehors de toute cause, constituait déjà un symptôme morbide se produisaient tantôt spontanément, la
juge par les phénomènes prémonitoires de l'accès, par les signes et symptômes constitutifs de l'aura. Avant la crise, ou même
d donc pas tout à fait au tableau classique. D'autre part, certains symptômes soi-disant spéciaux à la catatonie ne se sont j
ctéristiques et indispensables de cette forme pathologique certains symptômes qui font défaut dans notre cas, et si l'on cons
ère que c'est l'exception de rencontrer chez un même sujet tous les symptômes de l'affection dont il est atteint. Mais peut-ê
ainsi qu'il suit : 20 à 25 sont améliorés suivant la totalité des symptômes de leur maladie, particulièrement les douleurs
rs, une amélioration d'un ou plusieurs, mais non de la totalité des symptômes . Les autres, 35 à 40 p. 100 environ, ne retiren
5 p. 100 des cas; amé- lioration incomplète, quanta la totalité des symptômes , dans 30 à 35 p. '100; résultat négatif pour le
augmentation du sommeil, de l'appétit, du poids du corps. Parmi les symptômes locaux, ce sont surtout les douleurs, l'ataxie,
es les maladies qui n'ont de commun qu'une grande analogie dans les symptômes mais 1. Les principaux résultats de cette étude
se de 0 ? 15 la hauteur de la malade. Pour bien faire ressortir les symptômes primordiaux de l'affection, nous extrayons du t
'Wecker et Landolt, le signe de Stellwag a été rencontré sans autre symptôme physique par M. Byrom l3ramwell°- chez deux ind
me des réflexes tendineux de l'avant-bras et du coude. A tous ces symptômes viennent s'en ajouter quelques-uns qui montrent
à la solution desquel- les j'arriverai par ordre chronologique des symptômes , tout en réser- vant la pari qui revient a l'ac
creté, une brûlure qui provoque de violentes quintes de toux. Ces symptômes locaux quelquefois se prolongent pour un certain
diennes. Aussi n'est-il pas rare de voir des fumeurs manifester les symptômes de l'asystolie avec tout son effrayant cortège.
i; rnais une telle ophthalmoplégie s'accompagne- rait fatalement de symptômes pédonculaires et, d'autre part, on ne connaîtpa
ncienne bronchite avec expectoration abondante, présentait tous les symptômes de l'ophthalmo- plégie classique : paralysie à
s sont pris l'un après l'autre sans ordre bien régulier. Le premier symptôme qui attire l'attention du malade est soit la ch
née des muscles antagonistes, ce qui supprime leur rétraction. Le symptôme capital est fourni par l'intégrité du muscle cili
nt écoulés sans que la maladie ait fait de progrès sensible. Pas de symptômes bulbaires, pas'de tabes. 1. W. Il. Birdsall, Pr
ne disposition natu- relle chez elle. La malade ne présente aucun symptôme général, pas de fièvre, bon appétit, défécation
toire clinique que nous rapportons est celle d'un malade atteint de symptômes tabétiques et de dissociation syringomyélique de
rtain inté- rêt : s'agit-il d'un cas de syringomyélie avec quelques symptômes leu- comyéliques postérieurs rappelant le tabes
tre; au bout de trois semaines la tuméfaction dis- parut. Les mêmes symptômes se reproduisirent peu de temps après, et pour l
eussent permis de rapporter à leur véritable origine l'ensemble des symptômes nerveux présentés par les malades. Dans certains
résence nous explique les troubles présentés par notre malade ? Les symptômes relatés dans l'observation, la céphalée, les vo
de l'affection connue sous le nom de polynévrite; quelques-uns des symptômes que nous allons rappeler à cet égard sont déjà
uche telle qu'elle ne pouvait plus tricoter. Amélioration par Kl. Symptômes ultérieurs : élévation de température vespérale,
thalmoplégie nucléaire à la suite de la syphilis secon- daire, avec symptômes de poliencéphalite supérieure et inférieure (Ro-
ièrement (nov. 1889) nous pouvions constater chez J. B... les mêmes symptômes de paralysie ocu- laire décrits huit mois aupar
e, survenue assez tardivement il est vrai chez notre malade, est un symptôme caractéristique quoique non constant d'une lésion
une grande apathie. Trois années s'écoulent de nouveau sans que les symptômes se modifient d'une façon notable : la malade se
arfaite. - Les réflexes rotuliens sont conservés, et il n'y a aucun symptôme d'ataxie. En résumé, paralysie des deux oculo-m
intervalles rapprochés, mais enfin le malade succombe avec tous les symptômes de l'asphyxie. L'autopsie ne laisse voir qu'u
ns lente et entraîna la mort quatre ans après le début des premiers symptômes oculaires. Ons. XIX. Ophthalmoplégie et paralys
indre de douleurs de tête et de difficulté de la marche (lourdeur), symptômes qui peuvent dépendre de l'abus des spiritueux ?
n n'étaient pas revenues à la normale. Au bout de six mois tous les symptômes ont disparu. A ces observations nous ajouterons
roisième paire droite. Les pupilles étaient normales; ni myosis, ni symptôme d'Argyll Robertson. Réac- tion lente à la lumiè
ultation de M. Charcot. On note la paralysie oculaire. Pas d'autres symptômes . Pupilles peu sensibles à la lumière. Réflexes
M. Charcot. Copie de l'en-tête de l'ordonnance : « Persistance des symptômes oculaires. De plus, depuis six semaines, une ce
opsie. Pas de lésion du fond de l'oeil. Au mois de mai 1890 : les symptômes étaient restés à peu près les mêmes. - On ne co
ent restés à peu près les mêmes. - On ne constatait pas de nouveaux symptômes bulbaires : pas d'accélération du pouls, pas de
ement pris. Pourtant, dit Rosenlhal, Eulenburg aurait observé comme symptômes initiaux une parésie de l'un des oculo-moteurs
ssionnable et qu'elle avait subi de violents cha- grins. Le premier symptôme observé a été une fatigue éprouvée après une le
uelques mois après que je vis la malade, et je constatai les divers symptômes que je viens d'énumérer. Toutefois, une légère am
sante affection. 308 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Les symptômes relevés dans les premières observations qui nous
ns de son évolution par la marche stationnaire ou pro- gressive des symptômes : or nous ne pouvons mettre en parallèle la pol
78 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
elé des ulcérations imaginaires de la langue. Pour cet auteur, ce symptôme serait déterminé par une né- vralgie et quant à
douloureux, la dent de sagesse du même côté présenta également les symptômes de périostite et faisait souffrir le malade cha
ux, se préoccupant constamment de sa santé, épiant l'apparition des symptômes douloureux dans les maxillaires ou dans les den
es autres étaient plus ou moins atteintes. Mime de X... avait les symptômes de la pyorrhée alvéolaire. Cette preuve, si fac
ralysie infantile du seul acte de la marche 8 », exposent les mêmes symptômes en 1885. ' Jaccoud. - Paraplégie et ataxie du
cet animal comme chez d'autres chez lesquels on observait les mêmes symptômes , les lésions occupaient la région de la scissur
la vision, la destruction des plis courbes ne produit aucun autre symptôme ni moteur ni sensitif, il n'y a ni ptosis ni para
s au lieu de les saisir de suite.. ,. Seliteferl a aussi décrit les symptômes présentés par un singe chez lequel les deux pli
les portions latérales et inférieures, il me semblait donc que les symptômes résultant de la destruction bilatérale du pli c
a eu de l'hémianesthésie. de l'hémiplégie, de l'aphasie et d'aulres symptômes dus aux lésions des tractus cérébraux et des ce
pu s'y livrer impunément. Il ajoute que l'on a décrit autrefois les symptômes d'une folie dite folie des masturbateurs; mais il
es d'une folie dite folie des masturbateurs; mais il estime que ces symptômes n'ont rien de caractéristique. 11 croit toutefo
guérison. Bien au contraire, on nous a signalé une exacerbation des symptômes , par suite des chagrins occasionnés aux malades p
eune femme de dix-sept ans et demi, chez laquelle le groupement des symptômes était tel que parmi les nombreux médecins qui l'o
diennement à la suite de son aveu, n'avait rien révélé, et tous les symptômes d'ordre intes- tinal ou péritonéal avaient fait
de l'excitabilité électrique, des fonctions spninctéiiennes. Pas de symptômes cérébraux. Jusqu'à nouvel ordre, il y a lieu de
tudiés par Kast et Willerand dans 20 cas de maladie de Basedow. Aux symptômes déjà connus ils ajoutent le rétrécisse- ment pl
ur la première fois, l'attention sur l'inégalité des pupilles comme symptôme et comme signe précurseur de la para- lysie gén
ner la signification, sous les noms les plus divers, un ensemble de symptômes que M. Baillarger-'eut mérite d'avoir recodnu c
n fonctionnelle, quatre ordres de faits : malades chez lesquels les symptômes psychiques et somatiques, de la paralysie génér
énérale ayant été plus ou moins caractérisée par ses deux ordres de symptômes psychiques et somatiques, on voit les troubles
me, vieilles de beaucoup d'années, offrant à chaque retour tous les symptômes de la forme maniaque de la paralysie générale.
te. Si nous considérons le territoire cutané et musculaire où les symptômes de névrite se sont affirmés dès le début, nous
ière branche sacrée inclusivement. Encore faut-il remarquer que les symptômes avaient leur maximum d'inten- sité dans les ter
ntent ou n'aient présenté, àun moment donné, l'un quelconque de ces symptômes . En revanche, il faut attribuer ici une impor-
oxiques ont entre elles d'étroites analo- gies,aussi bien par leurs symptômes que par leur pathogénie. La plus anciennement c
t, sur les muscles auxquels se distribuent ces fibres nerveuses. Le symptôme capital de la téphromyélite antérieure est l'at
rieure est l'atrophie musculaire; c'est même, si l'on peut dire, un symptôme obligé. La téphromyélite est tantôt primitive,
ssion D (hypochondrische Vosrtellungs kreise) dans la catégorie des symptômes de l'hystérie, parce que dans les deux affectio
Mais l'attaque soudaine de surdité dans ce cas coïncidant avec des symptômes de lésion cérébrale, et l'état du 1 Archives of
très bien auparavant. Sa surdité survint subitement avec les autres symptômes de maladie ' Portschritte der Médecin, vol. I,
nt comme agent toxique sur le cerveau; dans ce cas on observe : des symptômes généraux ou des symptômes en foyer. On doit à c
le cerveau; dans ce cas on observe : des symptômes généraux ou des symptômes en foyer. On doit à ce groupe rattacher les név
de contradiction entre le tonisme et le clonisme. P. K. XVII. Du SYMPTÔME verbigération ; par CL. NEISSER. (Allg. Zcitsch
termes et de propositions inexplicables, automatiquement émises. Ce symptôme tient à une perturbation toute spéciale du mécani
au nerf et à ses ganglions, puis, au point de vue pathologique, les symptômes qui dérivent de ses altérations, et il examine
philis. P. B. XXI. Observation DE CÉCIfÉ psychique. - THÉORIE DE ce, symptôme ; par H. LISSA UER. - Observation DE CÉCITÉ PSYC
par H. LISSA UER. - Observation DE CÉCITÉ PSYCHIQUE ENTRE autres symptômes cérébraux ; par Siemerling. (A7CIL. f. Psychiat.,
rvations caractérisées par des convulsions fibrillaires, sans aucun symptôme qui témoigne d'une altération anatomique. Ces c
aucune prolifération du tissu conjonctif interstitiel. A côté du symptôme commun avec le cas précédent, c'est-à-dire 1 Ca
u'actuellement, on ne peut encore considérer l'amyotrophie comme un symptôme immé- diat d'une lésion corticale en foyer, de
festations de BIBLIOGRAPHIE. 301 l'intoxication, et l'absence des symptômes graves consécutif à la suppression du toxique.
que de ces tremblements à leur mode de début, à leur marche, et aux symptômes concomitants. En résumé, les leçons cliniques d
rt. Qu'on en juge d'après les titres : Délire hypochondriaque comme symptôme et signe précurseur de la paralysie générale (1
t à la suite de commotion cérébrales vives. Je signalerai encore un symptôme caractéristique dont l'importance est telle qu'
quelconques des organes sensitmo-moteurs. Tels sont les principaux symptômes caractéristiques du bégayemeut. Passons maint
elle du bégayement vulgaire pour borner mon examen aux trois autres symptômes , savoir : les troubles respiratoires, 1 inter-
non seulement nous ne trouvons pas l'existence simultanée des trois symptômes en question, mais nous n'en trouvons pas même u
atés chez les malades de M. Ballet ne présentent non plus aucun des symptômes habituels chez les bègues. « Le premier caractè
. Or, tandis que les malades de M. Ballet ne présentaient aucun des symptômes que j'ai indiqués comme caractéristiques du bég
e, je néglige absolument ce fait, car le jeune T. présente tous les symptômes habituels chez les bègues. Le jeune T. est donc d
une place plus large qu'elle ne mérite dans le cortège nombreux des symptômes pathologiques notés chez mes ma- lades. En réal
ir compte et éliminer les ellets des lésions de ces régions et tout symptôme en plus de ceux que l'on peut leur attribuer pe
g- temps, parce que je croyais nécessaire de les tuer dès que les symptômes avaient apparu assez clairement, pour éviter les
. Ces expériences n'ont fourni aucune donnée pour la permanence des symptôme ? mais elies ont suffi- samment indiqué une rég
utée plus haut). Il y avait une anesthésie de la narine droite. Les symptômes furent les mêmes le second jour de l'opération,
me et démontrent que les lésions du gyrus formicatus produisent des symptômes semblables a ceux observés après la destruction
s étaient infiltrées de liquide : ailleurs tout était nor- mal. Les symptômes observés chez cet animal sont d'un grand intérê
n relation directe avec la narine, mais j'ai déjà mentionné que les symptômes de l'hémianesthésie hystérique paraissent montrer
ISATIONS CÉRÉBRALES. 409 riable entre une lésion particulière et un symptôme particulier. Dans le cas de la zone motrice, il
ant pour renverser une foule de cas positifs dans lesquels les deux symptômes semblent avoir été causés par la même lésion. D
d'hémiplégie avec aphasie (non suivis d'autopsie) dans lesquels les symptômes indiquaient une lésion corticale. Dans un cas r
s et dans un cas publié par Westphal '. Mais la cause réelle de ces symptômes est, je crois, l'extension de la lésion aux cor
sse. L'ablation des régions préfrontales seules, ne produit au- cun symptôme physiologique découvrable soit sensitif soit mote
soit moteur. Mais j'ai trouvé dans plusieurs cas, qu'après que les symptômes qui suivent l'ablation de la zone postfrontale
ns fonctionnelles que les postfrontales. La durée transitoire des symptômes pourrait être expliquée par ce fait, que les cent
tes. A l'exception de ces faits, je n'ai pu découvrir aucun autre symptôme physiologique après l'ablation du lobe frontal. J
iques de la mélancolie fondée sur les considérations suivantes : le symptôme saillant et essentiel des folies mélancoliques
lus variables et les plus opposées. L'idée fixe est, on le sait, le symptôme essentiel du délire de per- sécution. Elle est
n extérieure, Les troubles de la sensibilité générale sont un des symptômes les plus ordinaires.-Ils sont extrêmement marqu
des troubles de la sensibilité générale, on observe quelques autres symptômes d'ordre physique : il existe des maux de tête,
existe sous forme in- termittente. Après ce résumé des principaux symptômes du délire de persé- cution, M. Dagonet, dans un
uvent très intenses, en dehors desquelles ou n'observe pas d'autres symptômes prédomi- nants : c'est un délire hallucinatoire
personne, l'hypochondriaque ne sait, au début, à quoi attribuer les symptômes qu'il éprouve; quelquefois alors il personnifie
é, la conviction que des ennemis font un tort constant au sujet. Ce symptôme persiste même quand il existe simultanément des
partielle, mais d'un délire portant sur les actes. 3° En outre des symptômes généraux, il existe des symptômes moraux, sans
nt sur les actes. 3° En outre des symptômes généraux, il existe des symptômes moraux, sans que ceux-ci représentent cependant
ire des psychopathies de l'adulte dans lesquelles prédo- minent des symptômes iiioi,aux.-50 Elle se rattache étroitement à RE
le privé de Hertz, à Bonn, de 1886- 1889, 66 p. 100 ont éprouvé des symptômes tabétiques; 25 p. 100 présentaient des lésions
i qu'il en soit, le traitement antisyphilitique n'agit pas quand le symptôme de la démence confirme le diagnostic; il anémie e
à des maisons d'hydro- thérapie à la condition qu'il n'y ait pas de symptômes médullaires ou qu'il n'y ait que des symptômes
qu'il n'y ait pas de symptômes médullaires ou qu'il n'y ait que des symptômes témoignant de la dégénéres- cence des cordons l
opsie; par BERNHARDT et KpONTnAL. (Neurol. Centralbl., 1890.) Les symptômes cardinaux qui permettent de déjouer la simu- la
linique du professeur Pick présente ce même type de curso-rotation, symptôme d'un processus diffus. J. Dagonet. XLI. SOPRA
sans avoir avec ces maladies un rapport de cause à effet : tous ces symptômes dépendent d'une seule et même cause, la dégénér
est presqu'intacte, peu troublée après les convulsions, avec des symptômes de rétrécissement du champ visuel : peu fréquente
M. ICottmtor a fait remarquer que l'auteur a oublié de noter un des symptômes de l'amyotrophie arthropatique - l'hypertrophie
fectif, un trouble dans l'asso- ciation d'idées, un grand nombre de symptômes très variables d'ordre physique qui donnent à l
illes formes des nouvelles dénominations, parce qu'ils groupent les symptômes un peu autrement et établissent un autre point
existence de l'épilepsie chez le malade. M. Sikorski insiste sur le symptôme indiqué en démontrant qu'il est la conclusion l
79 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
e rechercher, par l'ouverture du corps, les lésions correspondant aux symptômes longuement et minutieusement étudiés pendant la v
es du mal, alors qu'elle ne se révèle encore cliniquement que par des symptômes fugaces, qu'elle est toujours présente, à un degr
fixes, plus matériels, si l'on peut ainsi parler, que ne le sont les symptômes eux-mêmes. On ne s'occupe pas de saisir la nature
upe pas de saisir la nature des rapports qui unissent les lésions aux symptômes extérieurs. Sans méconnaître l'importance des r
ation intentionnelle, voulue, dans laquelle des malades exagèrent des symptômes réels, ou encore créent de toutes pièces une symp
la fourberie partout où elle se produit et de dégager au besoin, des symptômes réels faisant foncièrement partie de [la maladie,
, des symptômes réels faisant foncièrement partie de [la maladie, les symptômes si Fig. S. — Schéma des tracés obtenus ches un
— Au mois de février 1882, il a une troisième attaque avec les mêmes symptômes de migraine ; mais, en outre, il a cette fois des
bilité de la simulation dans laquelle les sujets tantôt exagèrent des symptômes réels, tantôt même créent de toutes pièces une sy
reil cas. Je vous en ai déjà montré un exemple. 2° L'ovarie, un des symptômes fréquents de l'hystérie féminine manque chez l'ho
thologique parfaitement légitime, et non d'une altitude simulée, d'un symptôme vrai, et non d'un symptôme imaginaire, artificiel
itime, et non d'une altitude simulée, d'un symptôme vrai, et non d'un symptôme imaginaire, artificiellement provoqué par l'inter
d'une affection limitée, exclusivement limitée au nerf sciatique. Les symptômes n'ont pas différé, à part le commencement, qui a
ans les névralgies sciatiques vulgaires. Cependant, il n'existe aucun symptôme qui indique une lésion spinale ; ainsi, au lit, l
ra/gien- In Wiener med. Woch., (882. et des sphincters, et d'autres symptômes spinaux qui n'existent pas dans notre cas. c) S
ia-nopsie passagère, ni le scotome scintillant ; c) il n'existe aucun symptôme de la migraine ophtalmique accompagnée de fourm
s'est très remarquablement modifiée, à mesure que ce sont amendés les symptômes de la cécité verbale. A l'origine, l'hémianopsie
oit l'aphasie, d'abord transitoires, s'élablir quelquefois à litre de symptômes plus ou moins permanents. Mais nous ne sommes pas
intéressant également toutes les couleurs. Nous ajouterons qu'aucun symptôme somafique n'a précédé, accompagné, suivi cette dé
examinée, à la consultation externe, par M. Marie, qui a remarqué les symptômes intéressants qu'elle présente et l'a reçue dans l
déglutition, sont intacts et qu'on ne trouve, en un mot, aucun des symptômes bulbaires qui existent quelquefois dans l'atrophi
ous vos yeux trois malades qui présentent à des degrés différents les symptômes de la chorée rhythmée. L'une d'elles, la nommée
n traitement approprié les accès disparaîtront, en même temps que les symptômes choréiformes rhythmés qui les accompagnent. SEI
aru mériter une attention particulière. Ce ne sont pas, en effet, des symptômes fugaces d'hystérie que présentent ces enfants : J
rne du service. la comparaison que nous ferons, chemin faisant, des symptômes de la grande hystérie chez la femme et chez l'hom
comme une affection remarquable par la permanence et la ténacité des symptômes qui la caractérisent. Chez la femme, au contraire
mme. léristique de l'hystérie, c'est l'instabilité, la mobilité des symptômes . Dans l'hystérie, dit-on alors, en se fondant nat
e me contente de vous faire remarquer seulement que la permanence des symptômes hystériques chez l'homme, leur ténacité empêchent
rganique, mais simplement dune lésion dynamique ; mais en présence de symptômes dont la ténacité ne se concilie pas avec le schém
mmairement, par deux exemples, jusqu'à quel point, chez la femme, les symptômes permanents de l'hystérie, les stigmates hystériqu
ns, et chez laquelle les grandes attaques, remplacées parfois par des symptômes d'angine de poitrine, n'ont cessé d'exister que d
, par trop de généralité, qu'on se fait en général de l'évolution des symptômes de la maladie. J'en viens maintenant à l'étude
ique sur le crâne l'objet sonore. Pour ce qui concerne la vision, les symptômes sont beaucoup plus nets et suffiraient seuls, en
siège vient d'être indiqué, le malade éprouve immédiatement tous les symptômes de l'aura cé-phalique, à savoir: battement dans l
ré chez notre malade. J'ai eu soin de relever que chez lui ces divers symptômes se sont produits, à la suite du coup qu'il a reçu
des observations nombreuses que j'ai eu l'occasion de recueillir, les symptômes hystériques sont, en général, beaucoup plus fugac
idents convulsifs reproduire jusqu'à l'imitation presque parfaite les symptômes de l'épilepsie partielle, tandis que les contorsi
xistence pour expliquer le développement et la persistance des divers symptômes permanents de l'hystérie. C'est là du moins ce qu
iagnostic: commotion ou contusion du plexus brachial ; caractères des symptômes qui s'observent dans celle-ci : zone d'anesthésie
motrice et les troubles trophiques, tant musculaires que cutanés, les symptômes de la rupture de toutes les branches de ce plexus
nt d'une lésion articulaire ; lésion spinale ou cérébrale en foyer. — Symptômes nettement hystériques chez ce malade : hémianesth
ses modes au membre supérieur gauche à la suite d'une chute. — Autres symptômes hystériques : diminution de l'ouïe, de l'odorat e
'une chute sur l'épaule, nous avons été conduit à reconnaître que les symptômes observés chez notre malade ne relèvent pas d'une
lésion de ce genre devrait-elle être localisée, pour donner lieu aux symptômes observés chez notre malade?S'agit-il chez lui d'u
, à peu près nécessairement, s'accompagner tout au moins, de quelques symptômes apoplectiques, ce qui n'a pas eu lieu chez notre
enant. Ainsi que je vous en ai prévenus, messieurs, en exposant les symptômes observés chez notre malade, il est quelques-uns d
me ils le méritent, au moment opportun. Ce moment est venu enfin. Les symptômes en question, je vous l'ai dit, ne sautent pas aux
c difficile. Il s'agit de lajoo lyopie monoculaire des hystériques, symptôme que M. leDr Pa-rinaud a étudié depuis longtemps,
ent certaines formes de paralysie. En résumé, vous le voyez, tous les symptômes que nous observons chez Porcz... révèlent l'hysté
e qu'il est atteint d'une coxalgie sine materia, et rechercher si les symptômes qu'il présente sont conformes à la description de
anche, mais aussi le genou et même le cou-de-pied. Or, ce sont là des symptômes qui n'appartiennent pas à la coxalgie vulgaire, n
tre malade est hystérique très certainement et présente nettement les symptômes de la coxalgie hystérique ; mais il pouvait se fa
1. Voici du reste l'exposé sommaire de ces trois cas : ques et de symptômes hystériques, je vous ferai remarquer, en passant,
un sujet hystérique, lorsqu'une affection organique se développe, les symptômes relatifs à chacune des deux affections peuvent se
en semblable occurrence ; il s'agit de produire artificiellement les symptômes de la coxalgie hystérique, dans l'espoir de mieux
présentent, comme vous le voyez, à l'état de veille, tous les grands symptômes de la coxalgie hystérique, douleur et claudicatio
grands symptômes de la coxalgie hystérique, douleur et claudication, symptômes sur lesquels je ne veux pas insister de nouveau.
naît volontiers qu'à mesure que le nombre des séances s'accumule, les symptômes coxalgiques tendent à s'amender, et c'est là-dess
êtons va se trouver pleinement légitimé, surtout en l'absence de tout symptôme pouvant se rapporter à une lésion organique en fo
ans un instant. N'est-ce pas déjà là, Messieurs, une association de symptômes bien remarquable? Certains s'arrêteront peut-être
sa plus simple expression. Heureusement que l'histoire naturelle des symptômes offre ici, en règle générale, des éléments d'appr
de force à réunir et à exhiber, dans un but de supercherie, tous les symptômes que nous a révélés l'histoire naturelle du mutism
alors qu'un examen plus attentif montre qu'il s'agit, en réalité, de symptômes parfaitement légitimes. Tel est le cas suivant
caractères spéciaux du mutisme, les crises antérieures sont les seuls symptômes que nous puissions invoquer en faveur de l'hystér
cer trop, — qu'il faut chercher la lésion dynamique d'où dérivent les symptômes dont il s'agit et le mécanisme qu'il convient d'i
Capitan a bien voulu, le 25 mars, nous adresser le malade. Voici les symptômes permanenls-que nous avons observés chez lui, en d
rmo-résineux, nous eûmes le loisir d'examiner M"8 X.... et certains symptômes subjectifs et objectifs nous firent penser à un m
it, elle a perdu l'usage de ses jambes. Durant ces quatre années, les symptômes ont souvent varié, paralysie des mains il y a 15
signes bien constatés de l'hystérie qui permettront de donner à ce symptôme sa véritable signification. Je ne crois certainem
angue, de paralysie faciale. C'est la présence, très passagère, de ce symptôme , qui nous a fait classer à part, comme dubitative
lé, en 1856, à la Société de Biologie, par Marcé, qui avait décrit le symptôme agraphie et cherché à établir son indépendance. M
agnostic : commotion ou contusion du plexus brachial ; caractères des symptômes qui s'observent dans celle-ci: zone danesthésie c
dant d'une lésion articulaire ; lésion spinale ou cérébrale en foyer. Symptômes nettement hystériques chez ce malade : hémianesth
ses modes au membre supérieur gauche à la suite d'une chute. — Autres symptômes hystériques : diminution de l'ouïe, de l'odorat e
80 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
7 que l'histoire pathologique de la malade se caractérise. Certains symptômes se précisent, d'autres apparaissent. L'enfant t
ette opération n'a déterminé qu'une très médio- cre atténuation des symptômes . En novembre, l'enfant (1) Il n'y aurait jamais
es on l'aurait laissé mourir tranquillement à l'hôpital. VII. Les symptômes cliniques prédominaient il droite, les lésions
s morales. des efforts physiques et de la menstruation. Au total, symptômes cardio-vasculaires et symptômes thyroï- diens m
es et de la menstruation. Au total, symptômes cardio-vasculaires et symptômes thyroï- diens marchèrent parallèlement et d'une
malade, au mode de début de la mala- die, à son évolution et à ses symptômes , a) Le début de l'affection est exclusivement p
us généralement l'état de déséquilibre latent des dégénérés, c) Les symptômes psychiques ne peuven t entrer raisonnablement d
graphie des névroses non plus que des vésanies éti- quetées. d; Les symptômes somatiques ne sont pas plus édifiants. On ne re
terrompue par une rémission de dix jours pendant la quelle tous les symptômes ont disparu. En présence de ce tableau clinique
nd nom- bre de ceux qu'on a l'occasion d'observer. L'existence de symptômes paraissant indiquer une lésion centrale ou céré
érale que le tabes confirmé, mais qu'elle précède assez souvent les symptômes de l'une comme de l'autre af- fection, ou que p
ou que plus exactement, elle s'accompagne ordi- nairement de petits symptômes de l'une et de l'autre maladie, et qui plus tar
tudiée la symptomatologie générale, ou séméiologie. Cette revue des symptômes et syndromes constitutifs des psycho- pathies o
lce du cerveau pour certains corps étrangers, il s e peut que ces symptômes ne se soient manifestés qu'après que le kyste a
. 105 cause eut été bien difficile à poser en raison du manque de symptômes spéciaux, et cependant il aurait permis une int
ndant il aurait permis une intervention chirurgicale efficace. Le symptôme idiotie-épilepsie est assez rarement se- condai
sultation. Dans l'histoire du malade nous trouvons, en dehors des symptômes caractéristiques de la raideur musculaire, comm
onner une explication plausible, pas plus d'ailleurs que des autres symptômes neuropalhologiques et même psychiques que diver
galement, on a pu constater, à son entrée dans notre ser- vice, les symptômes évidents de la paralysie générale. Après une pé
maux perforants avaient débuté 3 ans avant l'internement avec les symptômes tabétiformes (incoordination motrice et aboliti
UE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. qu'alors méconnus qui donnent lieu à des symptômes apparents iL cause de l'albuminurie, fonction d
es nerveux, compensée ou latente, s'étant ou non manifestée par des symptômes antérieurs, peut, à l'occasion d'un trouble de
à l'appui. P. KERAVAL. XII. Quelques considérations sur certains symptômes de la maladie deParkinson; par Catola.(Rcu. de
que, c'est parce que tous les délires toxiquesprésententbeaucoup de symptômes com- muns. Troubles du langage musical chez l
té- ristiques d'un malade, et faisait un bon diagnostic. Tous les symptômes , tous les signes, étaient instantanément per- ç
li- ments dans la démence précoce ont généralement consi- déré ce symptôme soit comme une manifestation, soit comme une fo
même chez un catatonique, le refus d'aliments viendrait de l'un des symptômes , et que ce serait la prédominance de l'un de ce
casion- nerait la sitiophobie. Il nous a plutôt paru que tous ces symptômes pouvaient se trouver réunis et agir simul- tané
nique ; la sitiophobie est la conséquence d'un état et non pas d'un symptôme . Nous allons maintenant rapporter deux observat
l'impossibilité d'attribuer la sitiophobie du dément pré- coce à un symptôme bien déterminé. Observation i (1). P ? Eugène,
- Août 1902) nous ne rappellerons ici que brièvement les principaux symptômes présentés par le malade pendant ses périodes de
ANS LA DÉMENCE CAT1'1 ONIQUE. 163 un état parallèle clos principaux symptômes et du l'alimentation. Novembre IS9S,- Symptômes
èle clos principaux symptômes et du l'alimentation. Novembre IS9S,- Symptômes : Idées de persécution, croit que son frère veu
n, des oeufs, des légumes, mais ja- mais de viande ni de vin. Comme symptômes principaux, il pré- sente surtout des phénomène
t ne point considérer le refus d'aliments comme la conséquence d'un symptôme bien déterminé, mais simplement comme la conséq
difficile d'attribuer la sitiophobie au négativisme ou à tout autre symptôme bien déterminé. Observation Il. Cette observati
sans expression. Elle eut du mutisme, du « Sclmausl;ramhf o, elles symptômes que l'on avait observés au mois de mai s'accent
nfin, la sitiophobie s'installe en même temps qu'apparaissent des symptômes plus nets de démence catatonique. A ce moment,
ujours nécessaire, sans que l'on puisse vraiment dire lequel de ces symptômes entraîne le refus d'aliments, puisque ces sympt
lequel de ces symptômes entraîne le refus d'aliments, puisque ces symptômes sont étroitemement associés. La seconde observa
a de la stupeur, de la stéréotypie, du négativisme, et toujours ces symptômes sont si étroite- ment liés qu'on ne peut attrib
raisonnablement, dans aucun de de ces deux cas, incriminer un seul symptôme donné le mieux nous ] tarait être de considérer
s choréiques, par leur intensité et leui fréquence, sont le premier symptôme qui s'impose à l'observation. Ils unt pour cara
25 avril),une violenté crise convulsive, dans laquelle on relève un symptôme inexistant dans les précédentes : émission d'urin
ue nous avons observé ? Notre malade présentait, il est vrai, des symptômes d'auto-intoxication, gravidique : c'est le ptya-
de Marie qui comporte par définition l'byperbypophy- sie parmi ses symptômes .. L'opinion des deux auteurs est que t'bypertro
soit comme agent curatif, soit même comme simple calmant des divers symptômes de la paralysie générale. Finalement, ses trava
x du névraxe et de la pie-mère. En terminant, l'auteur attribue les symptômes cliniques de cette affection aux lésions diffus
pied étant ou non conservée). Depuis 1889. M. Teissier considère eu symptôme comme un des bons signes de la névrose, un véri
laise du 12 au 16 mai. Du 1G au 22 se lève sans présenter du graves symptômes ; 2° Du 22 au 2G mai, état hallucinatoire terri
ervations : Observation 1. - Femme de 4G ans. présentant tous les symptômes de l'idiotie myxoedémateuse ; traitée par les tab
uf pour le squelette, dont l'ossification est terminée. En plus des symptômes principaux qui sont amendés, il faut noter la d
me sporadique peuvent donc, au dire de M. Lugaro, se réduire à deux symptômes : infantilisme et myxoedème. 11 semble que ces
veau présentait plusieurs foyers de ramollissement expli- quant les symptômes observés. Un foyer occupait la ;1" circonvo- lu
uel du pouls, 40 pulsations à la minute. L'auteur rattache ces deux symptômes à des troubles du sympathique. C. C. - Un cas d
ommet droit au début. Fièvre typhoïde avec sero-diagnostic positif, symptômes méningés, étal comateux, paraplégie spasmodique
es volantes. Celle association des gaines rétro- oculaires avec ces symptômes constitue un type clinique que M. L. Dor dit av
derniers doigts el. flexion des deux dernières phalanges. Autres symptômes : Douleurs violentes, lancinantes, paroxysti- q
s d'infantili ! 'me étaient surtout, psycttiques et, corporels. Les symptômes psychiques consistaient en une apathie avec be-
lade, d'après l'auteur, est un type d'infantile dysthyroï- (tien il symptômes pathologiques frustes, type bien mis en W i- de
Ballet et L'AGUET. -Il s'agit du frère el de la soeur al- teints de symptômes tenant à la fois de la maladie de Friedreich et
et Dénécheau présentent une fillette ayant subi après infection des symptômes (le paralysie ascendante aiguë avec troubles sp
musicale ce qu'il entend. Sanoe clzc lr nan ? 1 ! IU(i. Quelques symptômes nouveaux dans la sclérose en plaques. VI11. CLA
physiques, mais rentre bien dans le cadre du la confusion avec ses symptômes , desorientation, aulnmalimne,lonLcurtles concep-
es premiers mois du la « naissance, la rigidité musculaire étant le symptôme essentiel « de toute diplégie spasmodique..\. l
i, dépression mélancolique à forme hypochondriaque. Beaucoup de ces symptômes appartiennent aux névroses autant qu'aux psycho
. - L'insensibilité à la pression des masses musculaires est un des symptômes constants du tabès ; elle peut s'observer dans le
nerveux ne peut expliquer et que l'auteur compare à l'ensemble des symptômes généraux, rencontrés dans un organisme infecté
ce : 1" Insuffisance cortique (Symp- tômes et diagnostic). Tétanos ( Symptômes et diagnostic). Questions restées dans l'urne :
Diagnostic delà tuberculose pulmonaire au dé- but. Fistules anales ( symptômes , diagnostic'et traitement). Ques- tions restées
ladie) - Signes et diagnostic de la hernie étranglée. z Séance : 10 Symptômes et diagnostic de la pleurésie franche aiguë. Sy
Séance : 10 Symptômes et diagnostic de la pleurésie franche aiguë. Symptômes , diagnostic et traitement des fractures de côtes.
aitement des fractures de côtes. Questions restées dans l'urne : 1" Symptômes et diagnostic des anévrismos de l'aorte, tumeur
restées dans l'urne : 1" Appendicites (médecine et chirurgie) ; 2° symptômes , diagnostic et terminaison delaphelgmatiaalbadole
c'est dans les cas, et ce sont les plus fréquents, où, après les symptômes immédiats plus ou moins graves, le blessé paraî
s l'épilepsie vient après la migraine. La migraine semble être le symptôme de la maladie fondamentale de l'épi- lepsie.
plète, ils peuvent lui tenir lieu d'accès abortif. Il arrive que le symptôme complexe d'un seul et même malade se termine ta
cipaux phénomènes de ces deux maladies à crises, Cornu dit que le « symptôme principal de la migraine n'est pas uniquement l
très embarrassés, très lourd.s. Harb ? résumait en elle tous les symptômes qui caractérisent l'idiodie 11Z )'xoedématell se.
M. Lejonne et LuRRMiTTE ont noté chez un malade la limi- tation des symptômes il. un seul côté pendant deux ans et de vio- le
u complet, des psychopathies dites organiques avec leur faisceau de symptômes de diminu- tion et de perturbation psychiques.
ons psycho-pathologiques observées chez ce malade : d'un côté les symptômes démentiels, troubles de déficit dus à la partic
relè- vent de la sclérose latérale amyotrophique ; de l'autre les symptômes psychiques qui ne sont que la manifesta- tion d
fatigue constante. Ce qui amène le malade, ce ne sont pas tous ces symptômes médullaires, quelque pénibles qu'ils soient, c'
ante au pleurer spasmodique. La présence simultanée des deux grands symptômes cardinaux : paralysie spasmodique et amyotrophi
ralysie spasmodique et amyotrophie, nous a conduit, malgré quelques symptômes aberrants d'al- lure tabétique, au diagnostic d
able dans ce cas, au point de vue men- tal, c'est l'absence de tout symptôme démentiel et le dé- veloppement insensible d'un
e à l'inégalité pupillaire. Les réflexes irions sont normaux. Des symptômes d'atrophie musculaire existent en de nombreux p
; de là la complexité des lésions anatomiques progressives et des symptômes à la fois somatiques et psychiques qui en sont
S'agit-il de paralysie générale légitime ? Nous n'avons guère,comme symptômes somatiques à l'appui de ce dia- gnostic,que deu
maladies ; si ce ne sont que des syndromes, des associa- tions -de symptômes , expression clinique de quelque état général d'
e pour engendrer, comme dans nos observa- tions, une association de symptômes médullaires, bul- baires et cérébro-psychiques.
ond et DREYFUS montrent une soeur et deux frères, qui, en outre des symptômes habituels, présentent des signes d'al- teinte d
mence, pnr Dumora, 509. Parkinson. Considérations sur certains symptômes de la mala- die de -, par Catola, 145. - Note
- Voir Pseudosclcrose. - en plaques, par Lejonne, 223. - Quelques symptômes nouveaux dans la en plaques, par Claude et Eg
81 (1906) Archives de neurologie [3ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ors que sur l'ensemble des aliénés examinés, nous n'avons noté le symptôme que dans 32 % des cas. Les formes que peut pren
ière fois par BaillaT'ger, est généralement considérée comme un des symptômes les plus fréquents de la paralysie générale. --
raison que, si l'on considère l'iné- galité pupillaire en tant que symptôme isolé ne s'accom- pagnant pas de troubles des r
rne de la papille ; d'autres fois les bords en étaient flous ; tous symptômes du début de l'atrophie papillaire, fréquemment
yll Robertson. Cong. M. N. et Ali. de Fr. 1902. Co- wen (P. T.) Les symptômes pupillaires chez les aliénés et leur va- leur T
di- rect. Neurol. centralb., 1900. RoDIET-DuBo s et Pan sier. Les symptômes oculaires de 1a paraly- sie générale, Arclz. de
mises sur le compte d'excès de boissons. Ils n'en constituent qu'un symptôme . Fugues, dypsomanie,excès sexuels, apparaissent
ences. Pas de cauchemars, pas d'hallucinations terrifiantes, pas de symptômes objectifs d'alcoolisme, Ti embleineiil des main
2° les malades qui excrè- LenLde l'indoxyl en excès présentent des symptômes et des si- gnes de toxémie ; 3° dans les cas d'
yl est considérable, plus REVUE DE 'PATHOLOGIE NERVEUSE. 5t t les symptômes et les signes de toxémie sont accusés ; ; 5° dans
e elle l'a fait à de la névrite optique, n'ait provoqué aucun autre symptôme (céphalalgie, parésie par exemple); en- suite s
e, il est singulier qu'elle non plus n'ait pas pro - voqué d'autres symptômes ; enfin ce cas est intéressant et en- courageant
ue dépendant d'une tu- meur intra-cranienne ne donnant lieu à aucun symptôme . REVUE DE THERAPEUIIQUG..>. Un facteur inc
à obtenir une sédation permanente ou tout du moins durable, car les symptômes physiologiques (ady- namie et asthénie cardiaqu
ce travail peut lui servir de résumé. R.M.C. III. Les rapports des symptômes mentaux avec les maladies somatiques, considéré
nt incorporés à la masse fécale, qui n'ont donné lieu à aucun autre symptôme que la constipation et qui ont été enle- vés à
uite au traitement de l'insomnie,l'auteur la considère comme un des symptômes qu'il est le plus nécessaire de combattre parce
ériques, en devenant définitivement aliénés, perdent beau- coup des symptômes caractéristiques de l'hystérie; les crises hysté-
cilles diphtéroides isolés d'un cas de paralysie présen- tèrent des symptômes pre mortem et des changements de tissus ressemb
'une folie chronique avec délusions, présen- tant une rémission des symptômes . 4° Dès que l'on est débarrassé de l'idée dé dé
sayé de déterminer si les groupes qu'il a observés présentaient des symptômes caractéristi- REVUE EE PATHOLOGIE MENTALE. 75
5 ques ; il a seulement été frappé de la prédominance marquée des symptômes mélancoliques au voisinage de la ménopause sans q
z les femmes, les délusions chez les sujets âgés et l'apparition de symptômes aigus chez quelques imbéciles et épileptiques.
(syphilis douze ans avant l'entrée à l'asile) et ayant présenté des symptômes de paralysie générale et de méningo-myélite syp
on primitive est un fait intéressant, carsuivantGilbertet Lion, les symptômes méningés apparaissent d'ordinaire dans les troi
, le diagnostic est demeuré quelque temps douteux, mais bientôt les symptômes inclinèrent nettement vers la paralysie général
chronique avec no- dules isolés dans la moelle, donnant lieu à des symptômes exacte- ment semblables aux symptômes de débutd
la moelle, donnant lieu à des symptômes exacte- ment semblables aux symptômes de débutde la sclérose disséminée et ne fournis
tômes de débutde la sclérose disséminée et ne fournissant aucun des symptômes qui caractérisent une lé- sion méningée, commen
sance des états psychopathiques typiques pour s'orienter parmi les symptômes de toute maladie mentale. Ensuite Stchcrhak s'é
émisphère droit du cervelet. L'auteur donne la place secondaire aux symptômes dits « clas- siques » des maladies nerveuses. D
névritique dans sa forme généralisée. Selon l'avis de l'auteur, les symptômes » classiques » des dif- férentes formes de l'at
dû être de bonne foi. Ce qui signifie qu'il a constaté au moins un symptôme d'aliénation. Dès lors, qui peut dire que la sé
t dire que la séquestration est arbitraire ' ? Dira-t-on qu'un seul symptôme est in- suffisant, qu'il en fallait au moins 2,
la- quelle aura dû être notifiée au juge de paix ou au maire, les symptômes et les faits observés journellement par le méde
t qui seront la preuve de la folie ? Le médecin constate bien des symptômes plus ou moins probants, car il n'y a pas de pre
evue de médecine, mai 1906.) Observation d'une femme de 12 ans avec symptômes thyroï- diens depuissajl'l11H'sseeL morte de co
u de la face, sans déviation conjuguée de la tète. ni des yeux. Les symptômes sont rattachés par l'auteur aune lésion sous-co
par eux en 1 flOU et mort en l9D;r d'amyotrophie progressive. Les symptômes dominants étaient une atrophie progressive accom-
sente actuel- lement outre les principaux signes du tabès, quelques symptômes qui ont fait penser à la P. G. : achoppement de
flexions suivantes : 1° dans la folie avec goitre exophtalmique les symptômes sont dans l'ensemble ceux de la mélancolie avec
s hallucinations existent et sont souvent intenses; 3° le début des symptômes mentaux bien prononcés est souvent soudain; 4°
n'a pas fait suffisamment ressortir qu'il y a, en psychiatrie, des symptômes précoces dépourvus de tout caractère mental, tout
urvus de tout caractère mental, tout comme il y a en neurologie des symptômes qui peuvent fort bien n'être que les préludes d
les principaux prodromes des affections mentales,c'est-à- dire les symptômes sensoriels, et particulièrement le plus banal m
le sujet 148 SOCIÉTÉS SAVANTES suivant : Valeur diagnostique des symptômes oculaires aux di.jjé renies périodes de la para
taire, ayant simulé.pendant cinq mois, dans un but dé- terminé, des symptômes ressemblant à de l'agitation maniaque, et qui e
ent. Celle-ci on effet cons- tilue, avec les troubles oculaires, un symptôme important de trau- matisme cérébral. Si dans le
ux notions cliniques de la psychiatrie, est suivie de l'analyse des symptômes de la demi-folie ; ils sont les mêmes que chez
haque nerf op- tique un croisement vertical de ses fibres. 5° Les symptômes de l'hémianopsie corticale sont moins nets que
dehors ; ils s'engagent enfin à le ra- mener s'il voient le moindre symptôme de rechute. Et ils auront beau jeu, nous ne le
ue s'il boit de nouveau; il semble donc que, dès la disparition des symptômes aigus, on devrait lui donner son exeat. Au cont
édisposition, de réceptivité morbide, échappent autre- ment que les symptômes d'intoxication alcoolique ? Et si nous gardons
sence de troubles moteurs graves (épilepsie, paralysie) et d'autres symptômes liés à des altérations localisées ne se rencont
lté d'appliquer son attention, réalisant la distraction. Mais à ces symptômes difficiles à analyser el à apprécier s'en joign
tant et essentiel de l'affaiblissement intellectuel,se greffent des symptômes psychiques et dé- lirants accessoires et variab
e cette affection.M. Masselon,dans (1) Ciiekais. Recherches sur les symptômes de la démence pré- coce. Thèse de Paris, 1902.
zarre vis-à-vis du médecin (il s'amusait il le ta- ter, fut le seul symptôme qui fit penser à la démence précoce. Le diagnos
les colères violentes, le sourire et le rire sans motif. Ce dernier symptôme , d'une impor- tance capitale, met en évidence l
esthésiques. Kraepelin considère les idées de posses- sion comme un symptôme de catatonie, même en l'ab- sence d'affaiblisse
ünton insistent sur l'hyperexcitabilité mécanique du nerf facial,ce symptôme nous a paru assez fréquent dans les états toxiq
itd'etoun'er et d'avoir une douleur au ni- veau de la poitrine. Ces symptômes augmentent en jaii iet-,eile dit à Loutle monde
einte aux cas de troubles de la synthèse psychique accompagnés de symptômes organiques unilatéraux, le dipsomane « qui se r
ion « de la relation entre nos deux coêtrcs » (p. 47). Les cas avec symptômes SUR LA SYMÉTRIE BILATERALE DU CORPS ? 101 org
fet prouvé une fois pour toutes, et par la seule coexistence de ces symptômes ,que la dualité des hémisphères est en cause pou
nalité, des plus simples aux plus complexes, et même accompagnés de symptômes organiques bilaté- raux, qu'un hémisphère peut
ité ou succession de « cons- ciences » et absence ou coexistence de symptômes organi- ques, unilatéraux ou bilatéraux, mais d
connaît de nombreuses observations de succes- sion de deux moi avec symptômes organiques dimidiés. L'Auteur en rapporte une c
pas de trouble moral se sont présentés chez Louis V... tantôt avec symptômes dimidiés, tantôt en l'ab- sence de ces symptôme
V... tantôt avec symptômes dimidiés, tantôt en l'ab- sence de ces symptômes : de quel droit faire alors de cette observatio
des périodes envisagées par l'Auteur, et au cours de laquelle aucun symptôme n'avait permis de mettre en causé la prééminenc
sa thèse, celle des observations de simultanéité de deux moi avec symptômes organiques dimidiés. Une femme en ca- talepsie
ire, sans que cette date puisse remonter à plus de huit jours'; les symptômes et les faits observés journellement par le sign
o- posées pour expliquer et l'hystérie en général et ses di- vers symptômes en particulier. Un exemple montrera (1) Paris,
es les subtilités employées pour l'interprétation psychologique des symptômes de l'hysté- rie, les partisans eux-mêmes d'une
rique,nul mieux que M. P. Janet ne, l'a fait. Mais l'évolution d'un symptôme ne saurait constituer une explication pathogéni
tituer une explication pathogénique de la maladie qui présente ce symptôme . S'il s'agit au contraire de chercher le fond c
s'agit au contraire de chercher le fond commun sur lequel tous les symptômes somatiques et psychiques se développent, alors
voir anti-tétanique, et l'opothérapie paçathyroidienne améliore les symptômes . La con- tracture catatonique, la tachycardie,
vers la grotte de Lourdes. En terminant l'auteur rappelle comme un symptôme de la mentalité de l'époque ces croisades d'enf
l'écholalie n'a pas toujours été considérée par elle-même comme un symptôme aphasique : elle se rencontre en effet dans d'a
ie grave, à début précoce et présentant à leur période initiale des symptômes de folie aiguë. Plusieurs de ces cas paraissent
re et l'apparition pré- coce de l'atrophie du nerf optique,sont des symptômes favorables au point de vue de la durée de la ma
(L'Encéphale, 1906,n° 3.) Dans cette observation, le sommeil fut le symptôme dominant, presque unique, -puisqu'il faut lui r
ici d'un sommeil véritable et non d'un état comateux). Comme autres symptômes importants il y avait de la fatigue, de la céph
siège des tumeurs cérébrales, il parait impossible de rapporter le symptôme som- meil à l'altération d'un centre anatomique
ose à l'asile étaient déjà tuberculeux quand ils y sont entrés. Les symptômes cliniques et les signes physiques de la tubercu
vec complaisance à la présence ou à l'absence de certains signes ou symptômes . Il. de MUSGRAVE CLAY. IX. Sur les aménagements
r une hémorragie, précédée elle-même d'une hémianopsie comme unique symptôme , et sui- vie du syndrome thalamique avec hémipl
iminution très prononcée du bégaiement, de l'apathie et de tous les symptômes d'hypothyrofdie qu'on re trouve si fréquemment
Présentation de pièces par M. liOCHON-DU1'rG : .AtiD. Sitiomanie symptôme de psychose périodique. M. GiLBERT 13\LI.F : T
des Juifs ne semblent pas présenter de caractères spéciaux et les symptômes observés sont ceux qui sont décrits chez les aute
ons restées dans l'urne étaient : Com- plications de la rougeole et Symptômes , diagnostic el traitement du mal de Pott ; Diag
nt restées longtemps à peu près latentes et n'ont mani- festé leurs symptômes qu'au moment de la puberté. F. TissoT. XXV. R
corticales, rapides et massives, aiguës, correspond l'explosion des symptômes manifestes d'une méningo- encéphalopathie diffu
onnexité entre, la présence d'un excès d'indoxyl dans l'urine et le symptôme mental «dépression » ; 2° à en juger par les résu
mémoire était atteint de psychose de Korsalww. R. M. C LXXI. Les symptômes médullaires de la démence précoee ; par le Dr D
éflexes cutanés abdominaux, le phénomène du gros orteil, etc., tous symptômes qui tendraient à faire admettre une lésion de l
s dans un fragment de nerf enlevé par biopsie, faits qui joints aux symptômes précédem- ment décrits font penser à une polyné
n° 2.) Homme de 27 ans, à antécédents d'icthyose, présentant deux symptômes de la triade de Recklinghauser : tumeurs cutanées
rière, 1906, n° 1.) . . Observation très fouillée dans l'exposé des symptômes , intéres- sante par l'association des caractère
moteurs accentués ; ils en concluent que dans chaque génération les symptômes apparaissent de plus en plus 'tôt. Mort rapid
Malades. Voir Caractère. .Maladies somatiques. Les rap- ports des symptômes mentaux avec les -, considérés princi- paleme
p- sic. - sur une base morbide ; par Thivet, p. 150. SiTion.wç. Symptôme de psy- chose périodique ; par Gilbert- Balle
Voir Chorée. Sydenham. Voir Scopolamine. Symétrie. Voir Corps. Symptômes mentaux. Voir 111C/- ladies somatiques. Syndr
82 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ie, constipation habituelle. M. F... qui accuse, comme on voit, les symptômes caractéristiques de la névropa- thie, a été sur
., sont tous des termes de classification basée sur un ou plusieurs symptômes isolés embrassant également en partie l'ancienn
échap- en au danger qui le menace, tombe bientôt, et présente les symptômes qui suivent : perte complète de connaissance; i
, tumeur) se manifesteraient, par conséquent, non seulement par des symptômes sensitifs, mais aussi par des phénomènes moteur
iiiales toxiques rentrent- elles dans le même cadre. Mais comme les symptômes cliniques dé- pendent non pas du processus path
ortaient des signes de processus inflammatoire. Pendant la vie, ces symptômes de péripachyméningite avaient bien été différen
'arsenic, au plomb et peut être à d'autres poisons métalliques. Les symptômes dans les cas types sont ceux qui suivaient nature
plante des pieds et peut- être de toutes les extrémités. Avec les symptômes sensitifs, apparaît graduellement une faiblesse
elquefois, surtout dans les cas alcooliques et diphthéritiques, les symptômes ressemblent à ceux de l'ataxie locomotrice. Il
ent, il y a d'abord peu de choses à faire si ce n'est de calmer les symptômes . Plus tard le traitement électrique, mécanique
- dère enfin comme signes caractéristiques de la démence ses deux symptômes fondamentaux qui ne manquent jamais - l'aila : bl
re, sans que cette date puisse remonter à plus de huit jours; les symptômes observés et les preuves de folie constatés person
ire, sans que cette date puisse remonter à plus de huit jours ; les symptômes observés et les preuves de folie constatées per
ie ordinaire. C'est la sépa- tion entrc les maladies physiques avec symptômes mentaux elles 176 BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. m
ident, dont il évoque le souvenir dans ses rêves. On constate les symptômes suivants : Amnésie très accusée, faiblesse extr
cer devant un fait aussi insolite. Néanmoins l'analogie absolue des symptômes et de la marche de ce cas, comparé aux précéden
igue arrive de suite au bout de quelques, minutes d'exercice. Les symptômes les plus saillants sont la perte de la force mu
ltat de l'analgésie que nous avons signalée comme un des principaux symptômes . Ainsi, la sensibilité électrique est émoussée
ux fac, teurs les plus habituels des névroses. En présence de ces symptômes , et malgré l'absence de phé- nomènes hystérique
tteint pas encore le degré de force de la main gauche. Un nouveau symptôme s'est produit : à la place de l'anesthé- sie, l
ns mal cicatri- sées qui ont succédé à l'éruption vésiculeuse. Le symptôme prédominant est une anesthésie absolue à tous les
nt plausible, qu'une hémilésion de la moelle aurait déter- miné ces symptômes simultanément et non successivement, que la par
ultanément et non successivement, que la parésie motrice eût été le symptôme prédominant et enfin que la jambe gauche paraly
e puisse attendre deux ans avant de se manifester par l'un de ses symptômes capitaux, à savoir la paralysie motrice. Par ex
- tomique est encore à découvrir, il en décrit avec précision les symptômes , la marche, les terminaisons, le pronostic et le
de nous. Encore, pour la paralysie générale, quelques-uns de ses symptômes ont été vus et signalés (IIaslam), et peut-être
ur ce point, que certains alcooliques finissent par présenter les symptômes de la paralysie générale : ne serait-ce pas la
yée dans sa marche. Il y a mieux : quand, en même temps que les symptômes de la paralysie générale, existaient chez le ma
our achever la guérison; sur le bateau même éclatèrent les premiers symptômes de délire, et, à peine arrivé en France, le mal
trois enfants. La mère de ce ma- lade présente exactement les mêmes symptômes , et on les constate déjà chez deux des enfants.
té attribuée. Cependant, étant donnée l'identité de lésions et de symptômes qui se retrouve chez tous les paralytiques géné
etit doigt). La plupart des malades du Dr V. Poore ont présenté des symptômes du côté de ces muscles et du nerf radial. Le te
r le Dr Poore chez un malade atteint de névrite alcoolique. A ces symptômes , le D Warrington Haward ajoute des signes de re
endrait-il pour lui plus d'importance, s'il savait que ces « petits symptômes » dont on rit si agréablement à nos dépens, son
ouin des simula- teurs, nous devons dire qu'il ne s'agit pas là des symptômes de l'alié- nation mentale. Les débats relèvent
et ce qui donne à l'observation un relief particulier, ce sont les symptômes de maladie de Basedow (légère exophtalmie, fréq
x de l'encé- phale et ceux du corps thyroïde. Quant à savoir si ces symptômes sont une complication ou dépendent de la tumeur
e genre, a pour le diagnostic la plus grande valeur, car les autres symptômes feraient songer à une lésion, telle que l'hémor
uteur a passé en revue l'historique, l'ana- tomie pathologique, les symptômes , l'étiologie, le diagnostic et le traitement. A
clinicien qui n'admet le diagnostic que s'il trouve l'ensemble des symptômes classiques. M. Florand ayant surtout en vue la
e, affirme l'identité de la paralysie labio-nloso-lar3·née avec les symptômes bulbaires terminant souvent la scène dans la sc
la scène dans la sclécose latérale amyotro- phique. L'analogie des symptômes corroborée par l'analogie des lésions impose l'
ment une forme de la maladie de Charcot. - C'est ainsi que l'un des symptômes fondamentaux, paralysie, atrophie musculaire, c
vant d'avoir pris une décision. Le diagnostic facile quand tous les symptômes existent sera ardu dans les formes atténuées :
cins que les caractères somatiques fixes n'existaient pas; tous les symptômes observés dans tous les ordres de fonctions du s
lle nous fait appeler : elle est plus fatiguée, elle pré- sente des symptômes d'embarras gastrique compliqué d'une lé- gère b
mènes provoqués et nous pourrons enfin comparer les deux ordes de symptômes . I. L'étiologie de l'hystérie est banale et cla
ttaques de sommeil en ajoutant ensuite à ce mot l'énumération des symptômes caractéristiques présentés par le ma- lade. Che
ques fixes, quelle que soit la suggestion, et ceux qui n'ont pas de symptômes somatiques fixes, autres que ceux qu'on leur su
ie tenace, le quatrième, de parésie, le cinquième, d'un ensemble de symptômes cliniques, qui encore aujourd'hui porte le nom
e toutes ces affections d'apparence différente, ne soient que des symptômes d'un seul et même processus morbide, processus
mem- bres inférieurs, de l'analgésie de la langue ; en outre des symptômes bulbaires passagers et des troubles trophiques
portant à un fait non étudié cliniquement, mais dans lequel le seul symptôme saillant était la perte du sens de la douleur (
à un groupe peu consi- DE LA GLIOMATOSE MÉDULLAIRE. 375 dérable à symptômes cliniques nettement accusés, dont le diagnostic
as peu nombreux anatomiquement étudiés, il y en a dans lesquels les symptômes les plus carac- téristiques, tels que la thermo
quelqu'un des auteurs de prêter attention à tel ou tel autre de ces symptômes caractéristiques, ou d'étudier un grand nombre
pagnée d'analgésie, des symp- tômes de fragilité des os et d'autres symptômes carac- téristiques des cas typiques de la gliom
des cas typiques de la gliomatose centrale, figurent au nombre des symptômes cités par l'auteur. Il faut rapporter sans dout
divers, qui ont tâché d'attirer l'attention des lecteurs sur les symptômes qui les intéressaient et qui peut- être ont ign
tention est attirée sur l'atrophie musculaire compliquée de rares symptômes d'anesthésie partielle, ou bien de distro- phie
ns lesquels, grâce à une coïncidence accidentellement signalée de symptômes importants, il est possible de reconnaître les
ment dessiné, cela venait de ce que les auteurs en igno- raient les symptômes primaires, et en partie de ce que le caractère
e plus attentive l'état de sensibilité du malade. Dans ces cas, des symptômes fondamentaux plus précoces l'analgésie et l'ane
ubles de la sensibilité mentionnés plus haut. L'analyse de de ces symptômes à côté des autres, doit contribuer à DE LA GLIO
parcourant, que dans la moitié des cas, sinon davantage, le premier symptôme qui paraît n'est pas même de l'analgésie toujou
'affection complètement deve- loppée, et dans lesquels la somme des symptômes que nous possédons, ne laisse aucun doute pour
ucun doute pour le diagnos- tic, on puisse se familiariser avec les symptômes carac- téristiques. Ceux-ci nous aideront à dia
e des muscles des membres supérieurs; 2°anesthé- sie partielle sans symptômes d'interruption de con- ductibilité (pour les vo
erme (eczéma ? ); mais en revanche, nous avons une série d'autres symptômes caractéristiques : une masse de troubles subjec
antes en même temps qu'il y avait absence presque complète d'autres symptômes bulbaires. (A suivre.) Archives, t. XIV. 25
détails donnés par la famille et nous permettent, en comparant les symptômes à deux époques très éloignées (1857 et 1887) de
ennement la dose et on arrive à onze gouttes le 28 décembre. Pas de symptômes généraux, pas d'accidents locaux, sauf de petit
iqueur de Fowler. Ni accidents lo- caux, ni accidents généraux. Les symptômes choréiformes ne paraissent aucunement modifiés.
un prochain article nous ferons ressortir l'analogie du début, des symptômes et de la marche de la maladie chez les deux suj
ée, la nature de l'altération causale n'est pas révélée par ce seul symptôme . En général l'hémichorée se rattache à l'hémorr
rants continus et surtout l'application de l'aimant. G.-D. XV. Un symptôme fréquent de neurasthénie; par 0. 1OSENI3ACIr. (
our une sclérose en plaques, d'origine inconnue. L'amende- ment des symptômes morbides et en particulier de l'épilepsie spina
fille, âgée de quinze ans, qui présenta pendant plusieurs jours des symptômes de méningite tuberculeuse (céphalée, vomissemen
rmer l'une dans l'autre alternativement; elles présentent nombre de symptômes communs (allures des pupilles, des réflexes, et
territoire qui puisse, chez notre malade, engendrer l'ensemble des symptômes de déficit en ques- tion, c'est la couche optiq
rasthénie, et s'est donné comme but d'étude la description d'un des symptômes cardinaux de la maladie. Il éta- blit que parmi
re éviter. Ce sentiment d'inquiétude, de terreur est précisément le symptôme distinctif de certaines formes d'aliénation men
rologie : Stewart Jewell, 176; - John Gray, 316. Neurasthénie (un symptôme fré- quent de), par Rosenbach, 408. Névrites
83 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
. Pendant 5 an, la pa l'al ? i(' l'aria II' 1"1 ai demeurée le seul symptôme , sans que rien nI' \ il'lInl' allil'l'I' l'aill
énomènes et son em- ploi a produit une sedatiot manifeste des même* symptômes . Ilus. lll. - 1 ? P., 57 ans, présente depuis j
ient en régression et où l'insomnie ap- paraissait comme le dernier symptôme important. 12 THÉRAPEUTIQUE. OSSo Vil. - .M11
t'c. Obs. \'Itl. - M"1» E., 42 ans, a présenté en 1898 les premiers symptômes d'un délire incohérent de persécu- tion et de g
X. Mlle G., 31 ans, malade depuis 1898, présente actuel- lement les symptômes de la démence Iréhéphréniclue ; l'agitation quo
lèlement. Obs. Xll. M""=I.,2G ans, présente depuis avril 1904 les symptômes de l'hébéphrénie ; il existe des signe* d'affaibl
lysie générale. (lus, XIV, .M. A. 50 ans, présente l'en- semble des symptômes classiques de la paralysie générale depuis l'an
es accès ne sont pas suivis d'hébé- tude, de sommeil prolongé, deux symptômes qui, dans l'épilepsie ordinaire sont, en généra
irt-tinc affection récente et il ne s'était pas encore manifesté de symptômes de déficit : pas d'atrophie des muscles de la m
onnête. La facilité avec laquelle chez ces malades apparaissent les symptômes les plus inquiétants laisse il penser que, sur ce
ale ou pharyngienne du sang de l'estomac ne s'applique pas aux '( symptômes si divers et si graves du côté de l'intestin dont
en faisant appel à ses souvenirs conscients le malade présente les symptômes de la folie du doute, du délire du tou- ,- cher
le(. i il (le l'Asile d'alioncs (le Ln 1\tJl'hl"HIl'" un. Parmi les symptômes physiques qui font cortège à l'attaque anxieuse
trice, des fonctions glandulaires (1). A ces diverses catégories de symptômes dont le détail, - extrêmement touffu, est bien
e des contacts ou l'agoraphobie chez les gé- misseurs, soit que ces symptômes n'existent pas chez eux en effet, soit plutôt q
l,lancolie des g'émiss('ul's où les gestes stéréotypés sont luu des symptômes essen- tiels el constants. - 3" Folie polymor
singulières idées délirantes, mais elle n'y joue que le rôle d'un symptôme accidentel et isolé tandis que dans les obser-
devint L paralytique qu'après que son mari eut déjà manifesté des symptômes de sclérose médullaire, mais sans trou- bles me
qui a séparé l'accident syphi- litique initial de l'apparition des symptômes mentaux. Rappelons ici, cet égard, que chez le
sa soeur, n'a jusqu'à présent offert, dans sa mentalité, lo moindre symptôme suspect ; et cependant ce frère, père de famill
érentes et de préciser ce qui revient it chacune d'elles des divers symptômes morbides, tant sont en effet net- tement déterm
On trouve nettement chez lui à l'examen trois groupes différents de symptômes . 11 ne témoigne plus que d'une activité Intelle
r en- core cette dissociation, cette indépendance. Si ces divers- symptômes se présentent pèle-mêle dans l'histoire et il l
ncertain relatif à l'origine de la papille étranglée (quatre) ; les symptômes pré- sentes par les malades trahissaient cepend
llrnlno n'est pas une entité clinique ou analmno- palhologique. Les symptômes décrits comme cal'aell'l'Ïsli(lues (slé- réotyp
de l'amnésie verbale par lésion en foyer du cerveau. Est-elle le symptôme de la surdité verbale, d'une lésion du cen- (re
ndc, XXVI, N. F. XIV, 1903). Contribution à la ge- nèse de quelques symptômes dans l'état catatonique ; par \Y, : t.1'ER. (Xe
dante ; c'est surtout l'évolution qui juge le diagnostic. Les mêmes symptômes se peu- vent montrer en d'autres psychoses. Il
onstitue le type lopins simple de la Clltllto/11e ; on y trouve les symptômes car- dinaux : immobilité, négativisme, stereotv
ar contre, la fermeture réflexe des paupières demeure intacte. Ce symptôme prend une signification toute particulière dans l
ré lui, t'ncctusion des deux veux. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 149 Ce symptôme , cela va de soi, n'a de valeur que dans les cas o
eutiques très remarqua- bles chez 5 malades qui pl'l"elllail'n[ les symptômes suivants : an- goisse, insomnie, phobies, idées
bjet des épreuves du concours onL les suivantes : Question écrite : Symptômes et diagnostic de lo cirrhose alruphiquc. Symptô
uestion écrite : Symptômes et diagnostic de lo cirrhose alruphiquc. Symptômes , diagnostic et traitement de la coxalgie. - Que
occhi (1), le travail plus récent de Galion (2), nous présentent ce symptôme comme appartenant iL un assez grand nombre de c
30 janvier cL 27 février 1888. (6) : \1 \lUE. Etude sur quelques symptômes des délires systémati- sés et sur leur valeur.
qu'un petit nombre de lignes à l'étude par- ticulière de tel ou tel symptôme . Une étude sur la stéréo- typie envisagée spéci
de l'auteur, une circonstance physiologique immédiate préside au symptôme , une modification directe de la cel- lule céréb
l la sclé- rose, c'est au résidu morbidc-quc la maladie devra ses symptômes révélateurs et le malade ses troubles les plus
prépondérante dans le tableau mor- bide, on peut dire que parmi les symptômes de la démence précoce, il en est peu qui puisse
t manifestes de défectuosités psychiques.- La constatation de ces symptômes multiples d'involution conduit à penser que, plut
le malade iL sonétat antériemylu moins d'éloigner et d'atenuer les symptômes de la démence terminales. L SLGLAS. \l\'lll.
les symptômes de la démence terminales. L SLGLAS. \l\'lll. - Les symptômes pupillaires d'après les nou- velles recherches
l-La\astine), Il y a d'ailleurs une relation très étroite entre les symptômes et le siège des lésions. Mais l'into- xication
ne marche de 10 kilomètres. Le lendemain seulement, il présente les symptômes d'une lé- sion transe erse cle la moelle, au ni
res déchirantes, sensibilité à la pression du muscle, tels sont les symptômes . Rien du côté de la réaction électrique. P. 11E
pui del'hypo- thèse de l3abinki d'après laquelle ce signe serait un symptôme pathognomonique de l'infection ludique acquise
au virus syhltililiclue ; ,1° le signe d'Argot n'est donc pas un symptôme purement tabétic[uc et peut également préluder à
de la syringomyélie. L. W. 238 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XX'.= Symptômes nerveux dans l'urémie; par Cappezolli. (Riv. cr
de vue des praticiens de toutes les variétés même les plus rares de symptômes nerveux plus ou moins graves que l'on peut renc
adies qui causent secondairement du ralentisse- ment du pouls ; les symptômes concomitants le rendent généra- lement facile.
renvoyer le lecteur au mémoire original. L. W. XXIX. Note sur les symptômes cardiaques de la maladie de Basedow ; par le pr
s anatomiques, maille tableau clinique. P. Keraval. XXXVIII. -Des symptômes cérébraux dans la carcinoma- tose ; par A. SAEN
ordres principaux : 1° d'ordre général ; 2° d'ordre spécial. Les symptômes cérébraux d'ordre général se manifestent par le
ques ; ces troubles sont probablement de nature toxique.. , , Les symptômes cérébraux spéciaux, ou symptômes de lésions en
lement de nature toxique.. , , Les symptômes cérébraux spéciaux, ou symptômes de lésions en foyer se traduisent ou non par de
ents sans néoplasmes métastatiques. 11 peuty avoir combinaison de symptômes cérébraux de nature générale et de symptômes cé
y avoir combinaison de symptômes cérébraux de nature générale et de symptômes cérébraux de nature spéciale...) P. KERAVAL.
té d'établir et de sérier les tableaux cliniques de l'hystérie. Les symptômes sont éminemment changeants indivi- duellement.
stériques les plus violentes. Bien entendu, l'amaurose peut être le symptôme unique de l'hys- térie. Le développement gradue
n, accompli par une main est exactement repro- duit par l'autre. Ce symptôme lient à une disposition ou lésion organique trè
1'AGUET présentent un malade de 4j ans, pré- sentant un ensemble de symptômes qui se rapportent à la ma- ladie de Parkinson :
is au traitement mercuriel intensif, et rapidement la plupart des symptômes s'amendèrent. Aujourd'hui (janvier 1905), il n'a
réditaire du névraxe ; de plus, la rétroces- sion de la plupart des symptômes de la série tabetique par le traitement mercuri
s tumeurs cérébrales, les signes de la dé- mence parais tique el un symptôme de localisation (hémispasme facial). A l'autops
e le malacle sent mieux d'un cûlé du corps que de l'autre ; c'estun symptôme plus fréquent qu'on ne l'admet généralement ; ?
nstamment primitif. L. Wahl. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XLI. Un symptôme rarement décrit dans la paralysie faciale périp
, gros ventre, face lunaire, 1'émininisllle, glycosurie. Ce dernier symptôme , qui a pu être considéré, commelié à l'hyperthF
e, qui esl malade juste pendant trois mois et demi, et présente les symptômes combinés en question. Elle en meurt. Autopsie i
os de nw. 1\10, l'év. el mars 1903. P. Keraval. LXI11. Le premier symptôme et l'importance des réflexes achilléens dans le
par S. Goluflam. (Neurolog. Cen- tralbl. XXI. 190 ? ) Ce premier symptôme , ce sunLouwenLlc(Jouleurs,clui peuvent exister
rs sont non seule- ment les premiers, mais aussi les plus constants symptômes du 318 REVUE LE PATHOLOGIE NERVEUSE. tabes, J
homme de 45 ans affecté des deux intoxications ; l'instabilité des symptômes , la multiplicité des foyers, le résultai du trait
la ponction lom- baire amène quelquefois l'atténuation de certains symptômes : crises gastriques tabétiques (Debove) céphalé
, que le malade avait présen- tée huit jours avant l'apparition des symptômes fébriles et de la céphalée. G. C. XCI. - Le l
mélancolique et un catatonique, chez lesquels la stu- peur était le symptôme prédominant et insiste particulièrement sur les
atégorie d'enfants anormaux, il fan. (trait énumérer les principaux symptômes afin que le lecteur cache à quel groupe il a af
ertiges. L'amélioration persista pendant un mois, puis récidive des symptômes . A trois semaines de distance, troisième opérat
de quelques gouttes de liquide. L'amélioration et la cessation des symptômes fut im- médiate. 11 y eut encore récidive. M. J
Manuel pour l'étude des malta- dies du système nerveux ; les grands symptômes neurasthéniques ; 2" à M. le nI' Il. ;\I111ER,
que avec haltucmations multiples ; elle présente, en" outre, divers symptômes qui font craindre la paralysie générale. Un jou
corps étranger dans l'oesophage, quelle que soit l'intensité des symptômes fonctionnels, il faut s'assurer aussitôt de la
u- dessous du rétrécissement supérieur de l'oesophage, les grands symptômes dyspnéiques que l'on signale, lorsque le corps
interrompt. En somme, leph ? lOmeJ1c de West- phal-Piltz serait un symptôme normal qui surviendrait à l'occa- sion de la vo
ent pas le terme de 30 jours. Si une rechute ou une aggravation des symptômes surviennent avant ce délai ; la malade est rame
placement de leurs proches et de leurs administrés dès les premiers symptômes d'aliénation mentale. Les admissions ne compren
lbo-spinale asthé- nique, par Brissaud et Bauer, 75. Note sur les symptômes cardiaques de la maladie de , par Grocco, 239
de la colonne vertébrale, par Péhuet Coste,382. C,ncmowrose. Des symptômes cérébraux dans la-,parSaen- gel', 24 : : 1.
- nomènes , par Gaupp, 146 Contribution à la genèse de quelques symptômes dans l'é- tat , par Aller, 146. Cellules nerv
ues du système pyramidal, par Verger et Abadie. 302. Le premier symptôme et l'importance des achilléens dans le tabes, p
se-passe, par Bechterew, 135. Voir Hémic1'allie. Voir 'Mutisme, Symptômes pupillaires. Les d'après les nouvelles recher-
une myasthénie. (Maladie du Erb-Murri),par deLuzem- berger, 141. Symptômes ner- veux dans 1 ? par Cappe- zolli, 238. V
84 (1934) Oeuvre scientifique
santirai sur la technique qu'il faut employer dans la recherche des symptômes ainsi que sur leur analyse ; c'est dire que je
d'une fausse interprétation que d'une observation impar- faite des symptômes , qu'elles sont ordinairement liées à des erreurs
es affections du poumon ou que celle des affections cardiaques. Les symptômes peuvent être divisés en deux catégories, suivant
eux catégories, suivant qu'ils- sont subjectifs ou objectifs. Les symptômes subjectifs, comme leur dénomination l'indique, so
du sujet qu'il exa- mine. Il faut toutefois remarquer que parmi ces symptômes il en est quelques-uns qui, si l'on va au fond
les étudier, car c'est seulement grâce à la connaissance de pareils symptômes que vous serez en mesure de porter des diagnostic
suivantes je chercherai à vous décrire d'une manière minutieuse les symptômes objectifs de ce genre ; je me contenterai aujou
e celle de la sixième paire donnent lieu, il est vrai, entre autres symptômes , à des troubles que la volonté peut, en apparence
la fente interpalpébrale et de l'enophtalmie ; voilà une triade de symptômes , un syndrome, bien mis en lumière par Claude Be
n ne saurait développer. Ai-je besoin de vous faire observer que le symptôme inverse de l'enophtalmie, l'exophtalmie, qui es
ettra de reconnaitre l'existence d'une affection organique, car ces symptômes ne peuvent être produits par l'hystérie; c'est
aux lèvres, l'émission de l'urine, l'abattement consécutif sont des symptômes qui appartiennent en propre à l'accès comitial;
és ; mais, pour peu qu'on y réfléchisse, on s'aperçoit que tous ces symptômes pourraient être simulés par quelqu'un qui aurait
ir convaincus de l'importance qui s'attache à la connais- sance des symptômes objectifs que la volonté n'est pas en mesure de
ceux que la volonté seule ne saurait reproduire ; d'autre part, les symptômes subjectifs, ceux qui seraient méconnus de l'obs
permettra de mieux vous rendre compte de la place qu'occupent les symptômes subjectifs dans la hiérarchie symptomatologique.
avec lui, il a de temps en temps des INTERROGATOIRE EN CLINIQUE ET SYMPTÔMES Sf7/ ! JSCV7FS 17 7 sursauts occasionnés, dit-i
accompagnent de bourdonne- ments d'oreilles, de vomissements. Les symptômes subjectifs, quand ils présentent des particularit
ire insister. Et d'abord, on est bien obligé de reconnaître que les symptômes dont nous venons d'indiquer les traits spéciaux
omperie serait singulièrement aisée : INTERROGATOIRE EN CLINIQUE ET SYMPTÔMES SUBJECTIFS 19 tel sujet atteint autrefois d'une
encore été soumis à des examens ocu- INTERROGATOIRE EN CLINIQUE ET SYMPTÔMES SUBJECTIFS si laires. Nous n'avons jamais non p
ui lui avait été dit par les médecins INTERROGATOIRE EN CLINIQUE ET SYMPTÔMES SUBJECTIFS 23 appelés à la soigner pendant la p
ait le nécessaire pour l'éviter. Dans ces conditions seulement, les symptômes subjectifs acquerront de la valeur, sans que le
nsée, vous devez conclure qu'un diagnostic fondé uniquement sur des symptômes subjectifs, c'est-à-dire sur des sensations qui
vité de pareilles erreurs est proportionnée à la valeur clinique du symptôme en question. L'erreur qui consiste à méconnaîtr
vité dure indéfiniment ou elle régresse. Elle s'accompagne d'autres symptômes qui la précèdent ou la suivent, ou bien elle re
ostic desquelles l'absence des réflexes osso-tendineux constitue un symptôme de première importance. Ce sont le tabès, les n
lien constitue parfois un signe précoce de l'ataxie locomotrice. Ce symptôme étendit considérablement le domaine de nos connai
ai pu tirer parti de son abolition ('). Je me suis convaincu que ce symptôme est très fréquent dans le tabes, qu'il précède gé
ons des voies centripètes ou centrifuges, dans les poliomyélites ce symptôme est produit par une lésion des centres réflexes
gmentation. La surréflectivité s'accompagne habituellement d'autres symptômes : RÉFLEXES TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX 65 pa
nte de parti- culier quand on l'envisage dans ses relations avec ce symptôme . Lésions de l'encéphale. Des affections diverse
ng (Revue neurologique. 1910, t. XIX, p. 9). 68 SÉMIOLOGIE est un symptôme extrêmement commun ; ce qui se conçoit d'ailleurs
lectivité de la sclérose multiloculaire comme d'ailleurs les autres symptômes de cette affection est sujette à des fluctuations
ns dit précé- demment. A la surréflectivité, qui constitue un des symptômes les plus habituels de la sclérose latérale amyo
variété d'hémiplégie décrite par Weber, qui se caractérise par les symptômes de l'hémiplégie vulgaire associés à une paralys
hit une partie plus ou moins étendue du tronc, à moins que d'autres symptômes ne permettent déjà de localiser la lésion dans la
hit une partie plus ou moins étendue du tronc, à moins que d'autres symptômes ne permettent déjà de localiser la lésion dans la
vicale supérieure présentait à son entrée à l'hôpital, entre autres symptômes , les particularités suivantes : le pincement des
ational de médecine, Londres, igi3. ' INTRODUCTION (') 'ETUDE des symptômes des maladies du cervelet offre de grandes ) dif
ont heurtés les cliniciens aussi bien que les physiologistes. Ces symptômes sont divers, ils s'associent, se mélangent, s'enc
s serons en mesure d'étudier ensuite, dans une deuxième partie, des symptômes qui pour la plupart n'ont guère été (') Extrait
roisième partie, nous exposerons les conditions qui font varier les symptômes cérébelleux, qui expliquent leur atténuation, l
byrinthiques, et pour les mettre en parallèle. ... En résumé, les symptômes dont il vient d'être question ne sont pas, sans
une autre catégorie de signes. Nous n'avons pas à nous occuper des symptômes qui appartiennent en propre aux aflections laby
péciaux aux affections cérébelleuses. DEUXIÈME PARTIE n Parmi les symptômes cérébelleux que nous allons maintenant étudier
ne fois fixé sur la valeur de ce caractère constituant un véritable symptôme , nous nous sommes servi de l'expression mouveme
emière fois, dit Luciani, qu'apparaît et est minutieusement décrit un symptôme ..., il consiste en ce que l'auteur appelle « Ma
iadococinésie est tantôt bilatérale, tantôt unilatérale et alors ce symptôme s'observe du même côté que celui de la lésion cér
écrivent, sous ce titre, dans les traités, tout ce qui concerne les symptômes des affections cérébelleuses, le syndrome céréb
ion, sont mal caractérisés, et n'ont aucun des traits propres à des symptômes déjà catalogués. A de pareils états on aurait t
ique, d'appeler ataxiques ? N'y a-t-il pas, au contraire, entre les symptômes de l'ataxie locomotrice et ceux des affections
à un « Hahnentritt modifié». Nous en concluons qu'il s'agit là d'un symptôme méritant d'être précisé. Nous reconnaissons vol
reconnait dans le tableau clinique présenté par le chien, outre les symptômes qu'il provoque par cette seconde intervention, la
nclut : « Non seulement le cervelet contribue à la compensation des symptômes produits par résection des racines spinales posté
ant des mois et même des années, se produisait une amélioration des symptômes qui pouvait être très prononcée. , « Lorsque,
e ; parfois même au contraire il y a avec le temps augmentation des symptômes . » L'on peut estimer que la lésion des conducte
, tandis qu'elle s'atténuait, très légèrement il est vrai, d'autres symptômes bulbaires apparaissaient. C'est l'hyperexcitabi
mais sa nature reste encore méconnue, et il n'est pas rare que les symptômes soient attribués à de l'artério-sclé- rose ou à
par ces constatations anatomiques. Mais il est à remarquer que les symptômes étaient à peu près semblables des deux côtés, b
ovembre 1895, la cécité devient complète; la céphalée et les autres symptômes sus-énumérés persistent, les troubles mentaux aug
état du malade subit les mêmes alternatives que par le passé et les symptômes restent les mêmes dans leurs traits essentiels, m
'oedème papillaire n'est pas nécessairement, tant s'en faut, un des symptômes initiaux de la maladie ; de plus elle prouve qu
de avait enfin une hémianopsie gauche. Au même titre que ce dernier symptôme , l'hypothermie et la parésie du membre inférieu
les dyspeptiques) et, à aucun moment, le malade n'avait présenté de symptômes pathognomoniques d'un ulcus : hématémèse ou m,dén
s racines postérieures et donne lieu à une association de plusieurs symptômes tels que l'abolition du réflexe à la lumière de
ralgiques, j'ai constaté une très notable atténua- tion de tous les symptômes à la suite de pratiques radiothérapiques. ASSOC
tabétique atteint d'une atrophie des deux nerfs optiques, dont les symptômes lui parais- saient anormaux, nous avons pu, pen
avec laquelle les différents auteurs ont décrit jusqu'à présent ce symptôme . Il est donc tout naturel de voir, dans ses Leç
servations, il s'agissait de tabétiques avérés, présentant d'autres symptômes que l'atrophie des nerfs optiques. Sauf excep
vait que d'une façon exceptionnelle. Et le scotome central était le symptôme dontla pré- sence, dans les cas douteux, signif
chez les tabétiques (Clinique ophtalmologique, igo2). Kahler. Les symptômes précoces du tabes (Semaine médicale, 18go). Lev
, 18g2. Panas. Traité des maladies des yeux, t. I. ROUFFIi'OET. - Symptômes oculaires du tabes (Revue générale, Gazelle des h
ébut de cette affection par des troubles radiculaires précédant les symptômes médullaires nous avait autorisés à affirmer que l
ents cervicaux tout au moins de leurs racines antérieures. D'autres symptômes faisaient même supposer une extension du processu
oment comme le plus grand bénéfice de l'opération. L'ensemble des symptômes que nous avons constatés dès notre premier exam
joui d'une santé parfaite jusqu'au printemps de iga5. Les premiers symptômes morbides qui apparaissent alors sont des troubles
l'esprit. Les douleurs radiculaires qui constituent généralement un symptôme initial faisaient défaut, il est vrai, mais l'a
es mamelons. Ce sont les premières auxquelles il faut attribuer les symptômes les plus importants : les troubles moteurs et s
s'accom- pagne ou non d'un exsudat membraneux, se manifeste par des symptômes divers (-). Mais ce n'est qu'une hypothèse et j
en 1903 une forme spéciale de névrite radiale caractérisée par les symptômes suivants : douleurs, qui sans être exclusivemen
traités classiques l'importance qu'il nous paraît mériter. C'est un symptôme cardinal de la myopathie pro- gressive primitiv
répandue, devrait surtout son cachet à un assemblage particulier de symptômes dont aucun ne serait absolu- ment caractéristiq
ique. Beaucoup de médecins ne sont même pas si exigeants ; quand un symptôme leur paraît difficile à interpréter et ne peut
les hystériques de mon service n'en ont pas. Ainsi, Messieurs, les symptômes appelés stigmates ne sont pas des phénomènes pe
ar insuffisance cérébrale ; elle est surtout carac- térisée par des symptômes moraux ; le principal est un affaiblissement de l
omaine des névroses, se manifestant presque exclu- sivement par des symptômes subjectifs, on est exposé à l'erreur plus qu'ai
« Introduction à la séméiologie des maladies du système nerveux. Des symptômes objectifs que la volonté est incapable de repro
ropre ; il est im- possible de faire naître par suggestion certains symptômes objectifs comme, par exemple, l'abolition des r
'est qu'une question de nuances et nous avons vu, du reste, que les symptômes de l'hystérie auxquels on a attaché le plus d'i
cas d'hémiplégie, l'exagération unilatérale des réflexes tendineux, symptôme autrefois connu déjà, mais méconnu dans sa vale
blement le résultat d'une suggestion quand je ne constate aucun des symptômes , qui, sauf exception, accompagnent, en nombre p
mplace l'hétéro-sug- gestion ou s'y ajoute. On conçoit bien que des symptômes produits par une maladie tant soit peu tenace,
, et chez laquelle les grandes attaques, remplacées parfois par des symptômes d'angine de poitrine, n'ont cessé d'exister que
r trop de généralité, qu'on se fait en général de l'évolu- tion des symptômes de la maladie. » Or, actuellement, ces prétendu
ont exacte- ment le même sens et la même valeur que tous les autres symptômes que la suggestion peut produire et que la contr
osseux, des ligaments, de la peau et des phanères. Ces différents symptômes forment des combinaisons qui varient suivant le
à la paralysie amyotrophique. L'exal- tation des réflexes paraît un symptôme commun à ces divers modes de troubles de motili
ient dans certains cas, les moyens de les différencier. Sur quels symptômes était-il possible alors de se fonder pour établir
qui est discrète et légère, mais elle ne constitue pas toujours un symptôme assez nettement caractérisé pour qu'il soit décis
vaso-moteurs et thermiques. Dès 1904, dans une leçon consacrée aux symptômes objectifs que la volonté est incapable de repro
nous permettant de résoudre le problème, nous fûmes frappés par les symptômes suivants : une hypotonie d'une remarquable inte
bles de la régulation vaso-mo- trice et thermique et sur les autres symptômes de même ordre qui avaient été constatés au memb
es circulatoires ont une grande importance dans l'évolution de tels symptômes hypertoniques, » TROUBLES NERVEUX D'ORDRE REFLE
ce laps de temps le malade constate un arrêt dans l'évo- lution des symptômes visuels. Du mois de mai au mois de décembre, 22 i
Et chez notre malade, souffrant longtemps encore après le trauma de symptômes de compres- sion : vertiges, céphalées intenses
ntra-crânien. Dans les cinq observations suivantes, on retrouve des symptômes de méningites. Chez un seul malade, la syphilis a
de, la syphilis aurait été en cause. Chez trois de ces malades, les symptômes oculaires furent la névrite oedémateuse et une
s subjectifs dans certains cas, diminution parfois considérable des symptômes objectifs, telles sont, en résumé, les modificati
iser la cause. Aussi avons-nous cru nécessaire, malgré l'absence de symptômes suffisamment nets dans les antécédents de nos m
s amené de modi- fications appréciables, même momentanées, dans les symptômes oculai- res de compression intra-crânienne qu'i
antité de liquide évacué devra être d'au- tant moins élevée que les symptômes de compression seront plus mar- qués. Il sera u
moelle cervicale. D'autre part, les conditions dans lesquelles les symptômes se sont développés et leur mode d'évolution sem
iothérapie. Nous sommes portés à croire qu'entre la disparition des symptômes et l'exposition de la région lombo-sacrée aux r
08. Introduction à la sémiologie des maladies du système nerveux. Des symptômes , objectifs que la volonté est incapable de rep
n avec G.-A. Weill. Société de Biologie, ig juillet rgr3). 207. Les symptômes des maladies du cervelet et leur signification (e
28r. Quelques considérations sur l'interrogatoire en clinique et les symptômes sub- jectifs (Reunion neurologique de Strasbour
I. Introduction à la sémiologie des maladies du système nerveux. Des symptômes objectifs que la volonté est incapable de repro
Il. Quelques considérations sur l'interrogatoire en clinique et les symptômes subjectifs 15 DEUXIÈME PARTIE '. SÉMIOLOGIE
iologie cérébelleuse. XVI. - Asynergie cérébelleuse 185 XVII. Les symptômes des maladies du cervelet et leur signification 18
85 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ontribution à l'étude des phénomènes céphaliques du tabes dorsalis; symptômes sous la dépendance du' nerf auditif. (Revue nen
le et qu'il a observé dans un cas de sclérodermie très prononcé des symptômes analogues à ceux du myxoedème. , En juillet 1
tre à Murvie- dro, l'ancienne Sagonte, en Espagne. A .l'égard des symptômes cérébraux, M. Hadden propose l'interpré- tation
e : « La diminution remarquable de la chaleur'du corps peut être un symptôme , précoce, dû sans doute à une affection du syst
à sang-froid. Une lésion du grand sympathique expli- querait ces symptômes et retarderait le mouvement nutritif si importa
théorie entière du D' Ord et admettre la subordination de tous les symptômes à l'existence de ce tissu muqueux à la périphér
de Chir., août 1880.) DE LA CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 67 gique des symptômes ; le contraire existe même pour deux d'entre el
équence « l'hypothèse de Ord est insoutenable. » Loin d'en faire un symptôme secondaire, Thaon est « presque tenté de mettre
resse cérébrale et de faire dépendre d'elle la plupart des autres symptômes ». A l'appui de sa thèse, il cite le cas suivant
sept ans des chagrins violents et « chaque fois elle a éprouvé les symptômes suivants : tristesse très grande, chloro-anémie
ue « une lésion limitée à une moitié du cerveau peut produire des symptômes de l'un ou de l'autre côté. » En y regardant de
s observés pen- dautla vie : l'anomalie n'était qu'apparente; à des symptômes multiples correspondaient également des lésions
rifices non compensées) se produit une sclérose diffuse du cerveau ( symptômes psychiques); à raison des stases vascu- laires
s.ce cas ? les, phénomènes auditifs s'accom- pagnèrent de tous, les symptômes do la maladie deliénit`,re,IVer- tiges avec per
tiges avec perle de l'équilibre et bourdonnements d'oreilles. Ces ' symptômes cédèrent au traitenïetil aiitisÿpliilitiqüé, 'mai
, ? . · , Une amélioration ou' une remis ? 1 sien passagères des symptômes il) . , ne sont pas rares. ,1^ |/ ,jj La lie
(C 11 . -* Pas d'antécédents pour, expliquerai, la lésion. Les symptômes prémonitoires ne sont pas rares. ' , ? pN Cép
s elles sont moins communes. Vomissements moins fréquents. Pas de symptômes de 'méningite ' secondaire avec fièvre ? "l'imi
ou- chem'eritu laborieux ; pô'ur'Tà- dulte un traumatisme. Ces. symptômes manquent ordi- nairement ? ir *' ' "r'> Cé
j Les coinulsions sontja régie. Vomissements très fréquents. ' Il Symptômes de méningite secon- l'i'daire avec'forte fièvre
r pense que quelquefois l'absence du réflexe patellaire est le seul symptôme du tabes. L'ataxie des mouvements peut manquer
ie des mouvements peut manquer chez des sujets qui offrent déjà les symptômes les plus graves du tabès; il cite plusieurs fai
ntion sur la prééminence que peuvent encore prendre quelques autres symptômes qui sont relégués au second plan : les troubles
nique des muscles. Dans le cas cité par IIammond, il y avait des symptômes d'ataxie locomotrice avec anes- thésie plantair
es de la motilité, troubles de la sensibilité générale et spéciale, symptômes do l'ataxie locomotrice, troubles psychiques de
ésions tégumentaires, puisqu'on les a vus consti- tuer les premiers symptômes de la maladie. Biais il nous semble non moins r
si la fièvre suffit pour amener ce résultat, ou si l'amendement des symptômes propres à l'hystérie est sous l'influence de to
s, les circonvolutions voisines. Aussi ne connait-on pas encore les symptômes cliniques qui répondent aux lésions du lobule d
ique dépendant de l'ictus primitif, le malade n'a présenté d'autres symptômes de lésion encéphalique durant ce laps de temps,
ide et embarrassée, avec un léger degré de stertor. On ne trouve de symptômes localisés ni dans la poitrine, ni dans l'abdome
à penser que le plus souvent l'hypocondrie dans le jeune âge est le symptôme précurseur de l'hystérie qui va naître à un âge
petite comédienne de se lever, de marcher et démanger, et tous ces symptômes , qui avaient à un moment éveillé quelques inqui
che, etc., et cependant on décou- vre que l'enfant exagère tous ses symptômes douloureux lors- qu'on l'observe, et après un t
ion de la boulé hystérique, puis elle est prise de dyspha- gie avec symptômes d'hydrophobie nerveuse et de convulsions généra
lièvre et de la gueule-de-loup ; delà, les phénomènes généraux, les symptômes d'anémie céré- brale, l'hypothermie, la pneumon
técédent psychique, traumatique ou héréditaire, qui, à la suite des symptômes typiques de l'intoxication, est prise de folie
u'il existait des vertiges. L'immédiate succession des vésanies aux symptômes ergotiques, la disparition des troubles nerveux
le lendemain (jeudi) et le surlendemain (vendredi) ; la durée des symptômes convulsifs variait de quelques minutes à plu- s
es du cou et de la lividité de la face, qu'il considérait comme des symptômes essentiels, l'authenticité de l'épilepsie était
te ans qui présentait, lors de son entrée à l'asile, la plupart des symptômes de la paralysie générale, et qui ne tarda pas à
rouva un cerveau type de paralytique. A défaut de l'autopsie, les symptômes , dans le troisième cas, ne laissent pas de doute
auteur d'environ six pieds : pas de perte de connaissance; pas de symptômes graves immédiats ; cependant le malade se ressent
lus digne de remarque que facile à expliquer que l'apparition des symptômes a eu pour point de départ le traumatisme, et qu
ion des pupilles au diamètre d'une tête d'épingle, ajoutant qu'à ce symptôme corres- pond une lésion très ancienne. En effet
i, Mtiller de Graz, sur la fréquence relative et absolue des deux symptômes , myosis et fixité pupillaire, isolés ou concomita
de la même affection et différentes affections donnant lieu au même symptôme , un diagnostic certain, et le contrôle du trait
es nerfs du bras. Longue durée, absence de réflexe patellaire, sans symptômes du tabès au début. La pression permanente exerc
roubles de perception, hallucinations). Aussi doit-il avouer que le symptôme clinique en question est extrêmement rare à l'é
, dans le service de M. Richet. Le lendemain 1 ? mars, il offre les symptômes suivants : à la partie supérieure du dos, entre
est toujours de longue durée, elle persiste alors que les autres symptômes ont disparu. » L'anesthésie était unilatérale e
ogiques, la crainte de la fourberie, qui est pour ainsi dire un des symptômes de la maladie. Pour se mettre à l'abri des erre
Elle n'éprouva rien de particulier pendant le reste du temps : les symptômes permanents de l'hystérie persistaient seuls.
pourrait appeler les cas types et réguliers dans lesquels tous les symptômes offrent le caractère de précision sur lequel no
deux à la fois, et qui compte au nombre de ses manifestations les symptômes cataleptiformes dont il est question. Dans l'ex
cer- tain nombre de classes différant les unes des autres par des symptômes cliniques et par des lésions anatomo-patho- log
guère être déterminé à distance parla lésion qui produit les autres symptômes cérébraux. Les faits purement cliniques d'hémia
s les faits de MM. Curschmann et Westphal ont déterminé les mêmes symptômes , ce pourrait bien être parce qu'ils touchaient en
s. Il est possible que la syphilis puisse imiter l'ataxie; mais les symptômes cliniques du tabes syphilitique ou non syphilit
, ils sont si fugaces qu'on croit à une migraine simple. Les divers symptômes sont dissociés, séparés dans leur apparition pa
cunement à ceux de la migraine ophthalmique. Si le caractère de ces symptômes et de ces accidents est d'être transitoires, de
56 cas sur 100. L'absence de ce phénomène est consi- dérée comme un symptôme important du début de l'ataxie locomotrice, qua
ilisés par ill. Exuer, un bon nombre est relatif à des lésions sans symptômes . Ceux-là, qu'il appelle cas négatifs, ont d'abo
lle dont les altérations pathologiques ne donnent jamais lieu à des symptômes paralytiques. La région relative est celle dont
'intensité et l'âge des lésions rapprochés de l'époque du début des symptômes , la haute valeur de l'opinion de M. Charcot en
uent une sorte de délire d'inanition. D'autres fois, elles sont les symptômes de maladies cérébrales actuelles, comme dans l'
a pseudo-paralysie des alcoo- liques, il n'est pas rare de voir les symptômes propres à l'affection parah tique succéder à de
ubaigu. Cette pseudo-paralysie se caractérise en outre : Il par des symptômes qui lui sont propres, (embonpoint, coloration r
roubles intellectuels particuliers); 2° par des particularités, des symptômes qui lui sont communs avec la paralysie générale.
tre des rémissions tant dans son ensemble que pour plusieurs de ses symptômes en particulier; ces rémissions sont quelquefois a
lysie des alcooliques se distingue autant par sa marche que par ses symptômes ; elle parait aussi distincte, autant qu'on peut
86 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
hénomène de l'hémianopsie d'origine centrale non compliqué d'autres symptômes . Le 2e cas est aussi celui d'un vieillard, qui
ce sens reste intact. Pendant le séjour du malade à l'hospice, les symptômes étaient les mêmes. Il succomba le 2 janvier 189
lètement paralysé, cette paralysie se traduit cliniquement dans ses symptômes classiques : la malade ne peut pas siffler, elle
développé un syndrome bulbaire, qui resta ensuite stable et dont le symptôme le plus remarquable est la difficulté de la déglu
ré les renseignements insuffisants, l'on ne saurait confon- dre les symptômes décrits avec une paralysie postdiphtérique. Ces c
paralysie à l'état chronique invariable, datant de douze ans. Les symptômes inaccoutumés, qui rendent difficile la classifica
ubles du sens tactile à côté des paralysies du mouvement. Voici des symptômes qui ne peuvent être bien expliqués qu'en suppo-
peut comprendre l'arrêt complet d'un dé- veloppement ultérieur des symptômes de la maladie. La circonstance re-, latée, que
égale- ment en faveur de cette opinion. Comme la^ localisation des symptômes donne l'aspect plutôt de la paralysiepseudo-bul
quel- quefois sur le bulbe. , Parmi les cas de poliomyélite, avec symptômes bulbaires, on n'en trouve pas de semblable à no
des crampes dans le bras droit. Après une certaine amélioration des symptômes initiais, il lui resta défi- nitivement une par
nsibilité. Cet état persiste pendant 14 ans. L'auteur considère ces symptômes comme les restes d'une encéphalite aiguë d'une
e GOTHARD et RICHE. Lorsque l'on constate chez un malade les divers symptômes qui décèlent d'ordinaire l'existence d'une tume
stes même volumineux logés dans l'encéphale ne donnent lieu à aucun symptôme . Notre obser- vationestune nouvellepreuve. Lors
nne oppose aux trau- matismes. Cette rupture peut occasionner des symptômes spéciaux d'intoxication causés par l'absorption
onnel que les hydatides cérébrales puissent se manifes- ter par des symptômes physiques. Cependant en dehors de ceux qui peu-
même du cerveau laissant celui-ci intact et ne donnant lieu à aucun symptôme morbide ; à plus forte raison dans les cas plus
ifficulté qu'apporte à l'établissement d'un diagnostic l'absence de symptôme ou tout au moins le manque de signes caractéristi
erveau, il y eut 9 morts et 7 guérisons ou amende- ment notable des symptômes . D'après Flammarion, la trépanation explo- ratr
1 chez sa tante, et se plaignit de céphalée violente. A cause de ce symptôme , sa 1 tante la fit entrer à l'hôpital Andral, d
mble qu'il existe une légère parésie du droit supérieur droit, ce J symptôme n'est d'ailleurs pas persistant. Il fut, d'ailleu
i faits particuliers. - Dans notre cas tout d'abord le nombre des symptômes fut très limité. Tout se résume en somme en cép
ysticerques du cerveau constatés à l'autopsie. Il n'y aurait pas de symptômes dans les 2/3 des cas de parasitisme cérébral (C
survient un accès épileptiforme à la suite duquel apparaissent les symptômes sui- vants : surdité totale, excitation maniaqu
éclate, plus bruyant que jamais, mais en outre, apparaît un nouveau symptôme : le malade est subitement devenu sourd. Quelques
e et un examen plus complet peut être pratiqué. Nous constatons les symptômes suivants : Il Surdité corticale : le malade est
ET HALLUCINATIONS DE L'OUÏE 41 d'excitation mais il n'y a point de symptômes paraphasiques essentiels déno- tant l'altératio
ucune modification tant que nous pûmes observer le malade. , 1 7° Symptômes physiques. Pas de paralysie. Diminution des réfle
l'on' tend à localiser l'audition verbale - concorde bien avec les symptômes exposés ci-dessus. Paralexie et perte de la com
u'elles étaient manifestes aux hallucinations désagréables. ' Les symptômes paraphasiques accessoires qui viennent d'être sig
l'épilepsie motrice. Troubles délirants. - Sans insister sur ces symptômes , rappelons qu'à la suite de ses crises, le mala
est en. obser- vation, nous n'avons jamais pu retrouver les autres symptômes de l'atrophie musculaire progressive ; sa main
nts faradiques, c'est-à-dire que cette malade ne présente qu'un des symptômes de la réaction de dégénérescence. Il s'agit, comm
ns noter une prédisposition nerveuse : céphalalgie, boule et autres symptômes hystériques. Le pronostic des affections nerveu
us avons pu nous en assurer par les auteurs classiques, en tant que symptôme des affections ner- veuses professionnelles. On
son ancien bureau. Elle n'y était pas depuis 6 mois, que les mêmes symptômes apparaissent dans le bras]et le poignet gauches.
suivi que depuis peu de temps, mais la rapide apparition des mêmes symptômes dans différentes régions ne présage rien de bon.C
ontinu et prolongé d'un groupe mus- culaire peut donner lieu à cinq symptômes morbides. D'abord nettement localisés, ceux-ci
r ainsi tout mouvement. Par ordre de fréquence et d'apparition, ces symptômes sont : a) La raideur (crampe ou spasme tonique)
mpagnent quelquefois de douleurs (B). C'est la présence de ces deux symptômes qui occasionne la gêne des mouvements. La doule
en qu'il soit difficile de le démontrer. Le plus souvent les cinq symptômes apparaissent successivement dans l'ordre que no
traction musculaire puisse, comme on l'a dit, produire certains des symptômes que nous avons étudiés, elle ne saurait, cepend
'est justement là l'ordre dans lequel nous observons les différents symptômes des affections nerveuses professionnel les. Enpre
rt si remarqua- ble du XIe siècle avait été de chercher à rendre le symptôme essentiel de la crise, c'est-à-dire la convulsi
erveau, et proposer, pour expliquer la physiologie pathologique des symptômes des tumeurs cérébrales, une hypothèse nouvelle,
verres et quelques bocks, a commis des excès alcooliques, qu'aucun symptôme d'ailleurs ne trahit. Vers le début de l'année
Hôtel-Dieu, le retrouve et constate l'état stationuaire de certains symptômes , le progrès de certains autres et l'apparition
nomènes parétiques des tout derniers jours, noter l'absence de tout symptôme de localisation. Ce fait semble paradoxal, lors
de mélancolie, ni de stupeur, ni d'anxiété. Mais, en dehors de ces symptômes , la véritable caractéristique de l'altération men
cun signe de cette moria, signalée avec tant de complaisance, comme symptôme caractéristique des lésions néoplasiques du lob
es études de Brault et Loeper (3) et de Devic et Gauthier (4). Le symptôme qui, par sa précocité, sa permanence et son inten
itiques. Dans les derniers jours, le malade a présenté, comme seuls symptômes de localisation, de l'hémiparésie faciale infér
ce groupement sémiologique que sur l'oscillation des cinq premiers symptômes , l'hys- térie consistant, selon moi, dans t'hyp
neurones ; et il suffit, comme on va le voir, à expliquer tous les symptômes nerveux de notre malade. Pour la facilité de
acilité de l'interprétation, je les étudierai dans l'ordre suivant. Symptômes relevant d'une altération : 1° des neurones de la
dans l'appréciation des distances. Je n'insiste pas sur les autres symptômes que nous avons cru remarquer chez notre malade
st très plausi- ble : on peut au moins l'imaginer et l'entourer des symptômes qui en de- viennent les signes extérieurs : le
ue créeront un hystérie adéquate ; dans cette hystérie atypique des symptômes nou- veaux se superposent ou se substituent au
si nous essayons de nous rendre compte du déterminisme probable des symptômes diffus qu'elle a engen- drés (céphalée, vertige
e l'urémie et de la tumeur cérébrale, et se demande si beaucoup des symptômes de l'urémie cérébrale ne reconnaissent pas pour c
Il y aurait donc lieu de différencier, dans l'urémie nerveuse, les symptômes fonction d'intoxication et les symptômes foncti
ans l'urémie nerveuse, les symptômes fonction d'intoxication et les symptômes fonction d'hypertension. » M. Le Gendre (4),
son diagnostic de néoplasme frontal gauche sur tout un ensemble de symptômes diffus : céphalée, vertiges, vomissements, trou
ue commun, qui présiderait à l'apparition, dans les deux séries, de symptômes analogues : et ils tentent de rapporter tous ce
l nous semble plus logique de trouver une explication univoque, des symptômes communs aux tumeurs et à l'urémie cérébrales, d
muns, nous préférons invoquer, comme agent pathogénique général des symptômes communs aux deux encéphalopathies : l'intoxicat
ire du réactif le plus sensible de l'organisme, vont déterminer les symptômes si variés, si nombreux, et souvent si caractéri
rovoqués par ! a compression cérébrale, et l'évolution clinique des symptômes dus aux tu- meurs cérébrales, et attribués par
, on saisit la liaison anafomo-clinique qui existe entre tel ou tel symptôme de localisation et la lésion en foyer représent
représentée par le kyste. Mais il faut toujours, pour expliquer les symptômes diffus de l'affection kystique, recourir à l'hy
s des kystes. La longue pé- riode.parfois indéfinie, de latence des symptômes , l'intermittence, la sou- daineté, la foudroyan
ult, Congrès 1900. Méningite chronique progressive ou adhésive avec symptômes psychiques et amaurose complète chez un sujet a
ir sans être accompagné. 5 Vers la fin de la même année de nouveaux symptômes sont observés : X..., TUMEUR cérébrale 367 de
on, irritation, phénomènes vasculaires) invoqués pour expliquer les symptômes des tumeurs cérébrales. (1) Il nous semble, d'a
rédo-ataxie HÉRÉDO-ATAXIE CÉRÉBELLEUSE 385 cérébelleuse, mais les symptômes qu'il présentait, il y a quelques années, étaie
gisse pas dans les trois cas de la même affection, surtout avec des symptômes aussi semblables. Nous pensons alors que le diagn
Il va de soi que ces formes n'existent que par la prédominance d'un symptôme et qu'elles peuvent se combiner et se confondre.
es multiples et toujours tenaces : de la toux durant six mois, sans symptômes physiques pul- monaires, qui disparut brusqueme
même année, elle me consulta sur cet accident, et j'ob- servai les symptômes suivants : Main gauche en forme de griffe (fig.
seigne- ment sur la date du début de l'affection, ainsi que sur les symptômes subjec- tifs que la malade a pu éprouver. A son
rouvées extrêmement lésées, mais chez notre ma- lade il existait un symptôme qui semble à première vue devoir être rat- tach
tre, violacée. L'enfant pleure et paraît souffrir. En dehors de ces symptômes , aucun signe accompagnant ou expliquant ce gonf
la paralysie atrophique spinale de rellraÂêe"À>nÙ11Bi',é.¡' ses symptômes caractéristiques, ne se présente pas toujours il
ncompatible avec l'é- quilibre normal de l'économie. Bien que les symptômes habituels de la paralysie infantile - début féb
marqué par l'endure du bras. Sans celle particularité, vé- ritable symptôme providentiel qui a imprimé un trait caractéristiq
ence, la forme ou l'absence de tel ou tel phénomène. La variété des symptômes qui caractérisent cette affection médullaire et
encore de contracture et de troubles de la sensibilité. Ces divers symptômes étrangers à la poliomyélite antérieure n'ont pas
sente chez notre jeune sujet, pouvait, au même titre que les autres symptômes de la paralysie infantile, être envisagée comme l
ème fruste, nous avons noté avec la plus minutieuse at- tention les symptômes variés et nombreux de dégénérescence que présen-
bourdonnent, des corps noirs se dépla- , : cent dans le champ visuel ( symptôme que Georges Murray tient pour patho- . gnomoniq
é- sordres urinaires et vésicaux, le bourdonnement des oreilles, le symptôme oculaire de Murray, les vertiges, les palpitati
sque absolue des mouvements dans la station debout. t. - De plus, symptômes nerveux, tels que boule hystérique et phobies hal
87 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
dans laquelle, à l'hémiplégie plus ou moins accusée se joignent les symptômes de l'aphasie. Dans ces cas il s'agit toujours d'u
protubérance et pour le bulbe toute une série d'observations où les symptômes consta- tés pendant la vie n'ont été que ceux d
étant paralysés du côté opposé a la lésion sans qu'il existe aucun symptôme d'hémiplégie alterne. Dans ces cas les nerfs des
t que de troubles paraphasi- ques ainsi que portent à le croire les symptômes que j'ai observés plus tard et que vous pourrez
s derniers jours, l'examen actuel de la malade vous^montre tous ces symptômes fort atté- nués ; c'est ainsi qu'aujourd'hui la
arités, la malade présente encore, comme je vous l'ai dit, un autre symptôme important : la paraphasie. Si je demande à cett
xie d'une façon bien accusée. Maintenant que nous avons énuméré les symptômes que présente celle maladie, nous allons cherche
ire : c'est qu'à mesure qu'on s'éloigne du début de l'affection, le symptôme de Weber va pour ainsi dire en s'effa- çant, il
mmun et pour peu que l'a- mélioration fasse encore des progrès, les symptômes oculaires auront en- tièrement disparu et avec
l'explication de l'existence et aussi de l'évolution de ces divers symptômes . Mais pour bien comprendre les motifs qui vont
tion dans 1'liexac,o»eile Willis sera respectée, il n'y aura pas de symptômes pédon- (1) Pour ne pas compliquer la question n
postérieure, mais on n'expliquerait pas delà sorte l'évolution des symptômes , et en particulier on ne saurait comprendre, da
irconvolutions temporales. A ce ramollissement correspondraient les symptômes permanents d'hémiopie et les symptômes temporaire
ssement correspondraient les symptômes permanents d'hémiopie et les symptômes temporaires d'apha- sie sensorielle (l'aphasie
u pédoncule cérébral. Ce trouble circulatoire aurait donné lieu aux symptômes très accusés, mais néanmoins temporaires, de para
s temporaires, de paralysie du moteur oculaire commun, ainsi qu'aux symptômes d'hémiplégie, qui se sont bien dissipés en gran
sation dans telle ou telle partie du tronc artériel, déterminer des symptômes très dif- férents. 1° Si la thrombose siège d
niveau de l'embouchure de la communicante postérieure, on aura des symptômes permanents liés à la suppression de la circulat
parfois aussi des troubles aphasiques, et en outre on aura d'autres symptômes liés au ralentisse- ment de la circulation dans
présence d'une thrombose unique ayant à elle seule produit tous les symptômes , ou bien qu'au contraire il s'agit, comme cela
roscopique, car je pense que la confrontation de la lésion avec les symptômes peut jeter de la lumière sur des questions qui so
a simplicité extrême, presque schématique. Rappelons pourtant les symptômes présentés par notre malade. Les différents exam
revanche, nous avons pu observer, après les accès convulsifs, deux symptômes qui plaident dans le même sens. C'était, en pre
nts volontaires du même membre, observés une seule fois. Ces deux symptômes post-épileptiques, de caractère transitoire, poss
ditions : ce sont, d'après une hypothèse géné- ralement admise, des symptômes d'épuisement nerveux local. Lorsque la perte de
e à la Salpêtrière. L'hystérie réalise parfois des dissociations de symptômes que ne sau- raient obtenir les plus habiles exp
ne faut à un argument de cet ordre, il semble que l'existence d'un symptôme isolé, pur, ne puisse guère s'expliquer, même s'i
ce d'un centre, d'un territoire limité tenant sous sa dépendance le symptôme en ques- 1 tion. Dans les deux observations q
oid, c'est lisse, mais je ne saispas ce que c'est. En face d'un tel symptôme isolé l'idée de l'hystérie s'imposait; ce malade
après l'abolition de la zone motrice, il y a dans tous les cas des symptômes d'anesthésie ou du moins d'hypoes- tbésie, que
en 187, est la règle dans le tabes dorsalis et constitue souvent un symptôme précoce. Cependant les cas cliniques, où ce sig
is deux ans après, de troubles gastriques sous forme de crises. Aux symptômes précédents s'ajoutèrent des fourmillements dans l
uls (120 p. à la minute). Ons. III. Femme de 45 ans, présentant les symptômes de goitre exoph- talmique fruste. Pouls 116. Hy
c de tabes établi cliniquement. Il est fondé en particulier sur les symptômes oculaires qui figurent dans tous les cas, et qu
rrespondant. Un second malade de 46 ans, buveur, avait comme unique symptôme l'abolition uni- latérale du réflexe rotulien :
nombreux travaux concernant le lichen ruber des indications sur les symptômes nerveux chez les ma- lades, cela s'explique, no
nte progressive débute souvent insidieusement, uni- quement par des symptômes locaux très peu marqués. Il se forme en un poin
rvation de sclé- rodermie localisée, signalée précédemment, sur les symptômes nerveux rencontrés chez la plupart des sujets a
nzétl., 1S73, t. ,Tl\', p. 261. (4) M. COINGT, Conlrib. à l'él. des symptômes oculaires dans les maladies du système nerveux
; mais il faut une cause immédiate pour faire éclater les premiers symptômes . » Pour Pinter notre maladie est constitutionne
hiques centraux. De plus on ne conçoit pas bien que lorsque tant de symptômes sont frappés avec une telle véhé- mence, seul l
s les nerfs périphériques ; com- 1 ment comprendre en effet que les symptômes de phlogose du début l'hyperplasie conjonctive,
ganglions situés au-dessus du groupe muscu- laire affecté, tous ces symptômes , s'expliquent d'une façon naturelle dans une af
, malgré sa prétentieuse lon- - gueur, n'embrasse qu'une partie des symptômes ; mieux vaut, croyons- nous, l'appeler maladie d
s'exécutent hien, à part, comme nous l'avons vu plus haut, quelques symptômes d'intolérance gastrique, se montrant, de temps
urantes. Cela parait anormal. On a fait des douleurs fulgurantes un symptôme différentiel entre le tabes et la Maladie de Fr
stent déjà à un âge très précoce. Chez les idiots, par exemple, les symptômes morbides se remarquent déjà un an ou deux ans apr
; la démarche conservait son caractère titubant. cette époque, deux symptômes très importants firent leur apparition : la malad
e récit que vous venez d'entendre. Tout compte fait, trois grands symptômes dominent la situation, ce sont : La perte tot
353. SUR UN CAS DE TUMEUR DU CERVELET 221 Non seulement ces trois symptômes sont de nature accentuer nos présomptions en fa
t tout le contraire qui est arrivé chez notre malade. Chez elle les symptômes ontété bruyants, tapageurs pendant une première
ec- tuelle, qui ont été notés chez notre malade, comptent parmi les symptômes du même ordre. Enfin la névrite oedémateuse, qu
cérébrale, il nous reste à préciser le siège de celte tumeur. Trois symptômes doivent entrer en ligne de compte pour la détermi
our la détermination de ce siège; ce sont eux que j'ai qualifiés de symptômes cardinaux. Le premier en date est la titubation
qu'il résulte des récents travaux de Russel et de IIorsley, sur les symptômes des lésions destructrices du cer- velet. Non
relative au siège de la tumeur présumée cadre avec les deux autres symptômes cardinaux, cons- tatés chez notre malade. En d'
ydrocéphalie qu'au titre de stigmate, je ne veux voir en elle qu'un symptôme , à savoir l'exagération dispropor- tionnée de l
ui seulement ressortit il mon sujet, c'est-à-dire la relation de ce symptôme avec l'influence hérédo-sypltilitidue. Le tem
me depuis l'âge de huit mois ; il est toujours resté exempt de tout symptôme propre de syphilis. Le jeune est né sain et bel
trié de sang. Troubles de l'ouïe il droite. Perte de l'odorat; puis symptômes multiples d'ostéites naso-crhniennes. rnvasion de
mais devenant de jour en jour plus manifeste. Dépérissement. Puis, symptômes de péritonisme et mort. Le traitement du mari e
antécédent et nul stigmate de mani- festations syphilitiques ; nul symptôme actuel de même ordre. » Observation (M. le prof
QUES 255 Seconde grossesse : enfant mort deux ans et demi, avec des symptômes de « méningite ». Troisième grossesse : enfan
se : fille venue à terme, bien portante. Vers la quatrième semaine, symptômes multiples et non équivoques d'hé- rédo-syphilis
anguinolent, teint légèrement sub-ictérique, foie gros). Tous ces symptômes disparaissentsous l'influence d'un traitement spé
se dessine là à la façon des circulations dites supplémentaires. Le symptôme en question a été signalé ci décrit par mon père
et je suis à cent lieues de prétendre vous donner ce signe comme un symptôme syphilitique. Mais je dis ceci : le signe en ques
tte interprétation, qu'elle s'observe fréquemment en dehors de tout symptôme permettant d'admettre un excès dépression intra-
athologiques. De sorte qu'en définitive l'explication de ce curieux symptôme nous fait encore défaut (2). » (1) Influence
t a dimi- nué. Il a maigri. A l'examen du malade, on constate des symptômes de tuberculose pulmo- naire bilatérale, avec pr
ormale. Il mourut à l'âge de 39 ans, le 23 septembre 1838, avec les symptômes de congestion pulmonaire et d'entérite. Autop
fléchir la colonne. Rentré le 25 octobre pour une recrudescence des symptômes , nous trouvons des tumeurs plus nombreuses et p
nt successivement pris. Chaque nouvelle attaque s'accompagnait de symptômes fébriles et d'un gon- flement inflammatoire.
e malade relativement aux différents points de cette description. Symptômes . La caractéristique symptomatique de l'affectio
fices en vue d'adapter leur rigidité au plan de leur lit. Le second symptôme cardinal de la spondylose rhizomélique est la dou
omènes cliniques de la spondylose rhizomélique : la soudure, et les symptômes de compression radiculaire. Nature de la maladi
use épreuve de l'observation scienti- fique des affections dont les symptômes étaient encore considérés au siècle der- nier c
en eux-mêmes. Mais voici que, peu à peu, à la pathologie vague des symptômes s'est substituée une pathologie ra- tionnelle,
oi les pathologistes de notre époque ne considèrent plus les grands symptômes nerveux, tels que la fonte ou atro- phie des mu
rentes ou connues, des névroses ; mais nous ignorions que tous les symptômes et toutes les maladies, dont nous localisons le
s a fourni le moyen de dévoi- ler l'hystérie, là où elle simule les symptômes et les maladies que nous nous étions habitués a
t constamment les troubles matériels constatés sur les cadavres des symptômes observés pendant la vie, éclairant les uns par le
ciation paralytique n'est pas fortuite, et que son mécanisme et ses symptômes lui créent une véritable personnalité. Mais ava
Coeur normal, pouls 120, urines normales, température 38., Tous ces symptômes étaient manifestement ceux d'une pleurésie diaphr
température ; pas de torpeur, pas de délire, pas de cyanose, aucun symptôme d'asphyxie et comme auparavant la même indifféren
sa maladie pleuro-pulmonaire. Tel est le cas. Pour classer tant de symptômes divers et en saisir les rapports intimes il con
otre malade a été atteinte explique- t-elle suffisamment les autres symptômes , du moins les symptômes respi- ratoires et surt
te explique- t-elle suffisamment les autres symptômes, du moins les symptômes respi- ratoires et surtout cette dyspnée paroxy
c'est le contraste entre les signes physiques insignifiants et les symptômes fonctionnels extrêmement violents. L'exploration
ationnel entre les lésions relevées par les signes physiques et les symptômes fonctionnels : une dyspnée aussi énorme fait supp
irations. Mais surtout, et ceci est décisif, je rappellerai que les symptômes diaphragma- tiques ont atteint le sommum d'acui
piration tombe de 160 à 25. Quelques ventouses peuvent atténuer les symptômes d'une affection légère. Mais ici l'effet a été in
autres atta- ques ont toutes succédé à une attaque d'hystérie. Les symptômes physiques et fonctionnels de son affection pleu
bien portante à tout ce qui se passe autour d'elle; pas le moindre symptôme d'asphyxie, aucune trace de cyanose. Cette dyspné
s le présenter it son auditoire, m -- 1 il ne décrivait jamais un symptôme sans le faire, en même temps, - constater de vi
88 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
igl' : 11ne ojJhthalmi- que se présente toujours avec ce cortège de symptômes assez inquiétants que nous trouvons réunis chez
la face, les diverses formes d'aphasie, viennent se surajouter aux symptômes de la migraine vulgaire. On pourrait dire alors
n passant. Il est des cas de migraine accompagnée dans lesquels les Symptômes anormaux prédominent tellement que la nature de l
s encore, quand dans quelques-uns de ses accès elle s'accompagne de symptômes plus ou moins inquiétants tels que aphasie, par
science, se rendre compte anato- miquement et physiologiquement des symptômes delà migraine opllthal- mique, et comment on pe
dentaire a été marquée par une aggravation au moins momentanée des symptômes . Il est à signaler qu'à 20 mois (sept. 1894) la
uvelle. Dès 182G, Calmeil avait noté d'une façon toute spéciale les symptômes de paraplégie chez les aliénés paralytiques et da
rent être envisagés nettement. En 1862, Baillarger montra que les symptômes de la maladie de Du- chenne et de la paralysie
sie générale sans délire. M. Fournier, invoquant le grand nombre de symptômes communs qui figurent à la fois dans le tableau
e 60 ans atteint de démence depuis 4 ou 5 ans. Ayant constaté les symptômes que j'ai énumérés plus haut je portai le diagno
e, ni troubles de l'intelligence, ni modifications de la parole, ni symptômes d'hémiplégie, il en arriva à confirmer le diagn
ogues : ils montrent que la paralysie générale peut débuter par des symptômes spi- naux revêtant la forme tabétique à ce poin
ne peut alors la distin- guer du véritable tabes dorsalis, que ces symptômes talétiformes dispa- raissent ou du moins s'atté
ins s'atténuent avec les progrès de la maladie pour faire place aux symptômes encéphaliques habituels de la paralysie générale,
utant par des manifestations spinales précoces offre la plupart des symptômes de la série tabétique. UN ALGÉS1MÈTRE APPAREI
vantage. L'exfoliation des cellules superficielles qui constitue le symptôme inva- riable et pathognomonique de la maladie,
onnellement à la gravité de l'affection. Dans ces observations, les symptômes furent moins graves que ceux dé- crits dans le
d'amélioration et de recrudescence, j'aura épuisé rémunération des symptômes dont la réunion forme un ensemble assez caracté
FFECTIONS DE LA QUEUE DE CUEVAL 69 * .. Récapitulons un peu ces symptômes , dans l'ordre dans lequel je viens de les relev
hicité, et de phénomènes ano-vésicaux. Il y a ta une association de symptômes , les uns de cause centrale, les autres de cause
convenir au clinicien. Je vous mon- trerai qu'en tenant compte des symptômes attribués aux affections du cône terminal, il
et sur le segment terminal du névraxe. J'insisterai ensuite sur les symptômes qu'on a observés dans des cas où une lésion int
sans retentir sur les nerfs delà queue de cheval. Messieurs, les symptômes qu'on observe, dans le premier cas, lors- qu'un
sur les branches nerveuses qui constituent la queue de cheval, ces symptômes peuvent se résumer dans ces quelques mois : F
et avec une anesthésie de la vessie et du rectum. Ajoutez, à ces symptômes , certains troubles trophiques, certains trou- b
ion sponta- née, non traumatique, de la queue de cheval, le premier symptôme , en date, consiste, presque toujours, en douleu
UE DE CHEVAL 93 C'est ce qui explique que, du vivant du malade' les symptômes se soient réduits à des troubles de la miction
on bilatérale extra-rachidienne, donnant naissance à l'ensemble des symptômes dont je viens de vous faire une énumération conci
arpillement des nerfs destinés aux organes qui sont le siège de ces symptômes . Je ne reviens pas sur ce que je vous ai dit, r
vous ai dit, relativement à la prédomi- nance, à l'exagération d'un symptôme pouvant donner le change à un examen superficie
une valeur absolue. c) Une troisième éventualité est celle où, aux symptômes que je viens de vous énumérer à l'instant, se t
un détail à retenir. d) Une quatrième éventualité est celle où, aux symptômes d'une para- lysie du rectum et de la vessie, s'
aits, nous arriverons à dres- ser une sorte de gamme, d'échelle des symptômes qui correspondent aux affections ayant pour siè
ssivement se traduire par les manifestations sui- vantes : a) Des symptômes en rapport avec une paralysie de la vessie seulem
ces organes 1 par une tumeur du FILUM terminale). . b) Ces mêmes symptômes associés à une anesthésie à distribution bien .
affections des racines inférieures du plexus sacré). d) Ces mêmes symptômes , avec cette différence qu'aux membres infé- rie
(Affection des racines supérieures du plexus sacre') . e) Ces mêmes symptômes , avec cette différence, qu'aux membres infé- SU
sacré, ou de la portion correspondante de la moelle). f) Ces mêmes symptômes , plus une parésie des muscles de la cuisse, inn
- bre dorsale et de la 1 ro vertèbre lombaire se traduisent par les symptômes de notre catégorie g) : Paralysie totale des
te même zone. Il n'y a pas lieu de compter sur une rétrocession des symptômes ; la paralysie de la vessie et du rectum et le
vement favorable. En effet, il est assez habituel qu'une partie des symptômes rétrocèdent, y compris ceux en rapport avec la
elie les corps de ces deux vertèbres, se tra- duiront par les mêmes symptômes que ceux qui caractérisent les affections de la
u niveau des 3e et 4e vertèbres lombaires, elle se traduira par les symptômes que nous connaissons comme étant ceux des affec
ien certain que presque toutes les femmes, chez qui on rencontre le symptôme mastodynie, sont très nerveuses, mais il ne s'e
les le sont, c'est sous une forme bien larvée et souvent sans autre symptôme que celui qu'il s'agit d'expliquer, c'est-à-dire
pour leur propre compte. C'est ainsi qu'elle peut s'accompagner des symptômes de l'angine de poitrine hystérique, ainsi que l'a
l chloroformique fut- normal, sans vomissements, et sans le moindre symptôme de shock. Deux heures après avoir été reporté d
table. La pathogénie de cette pseudo-névralgie en l'absence de tout symptôme rachidien ou médullaire, restait du reste fort
ques-uns de ces syndromes, en vous les énonçant sommairement : 1° Symptômes en rapport avec une paralysie de la vessie seulem
estinés à ces organes par une tumeur du filmn terminale. 2° Mêmes symptômes associés ci une anesthésie localisée nettement il
e, encore qu'elle soit possible. La bilaléralité et la symétrie des symptômes , unies à leur étroite loca- lisation, me semble
nt les racines du nerf scia- tique, vous aurez évidemment les mêmes symptômes que dans le cas où un foyer, situé en 13, compr
ion destructive de la moelle occu- pant un niveau un peu élevé, les symptômes subissent, en général, une ag- gravation progre
cours de l'anes- thésie, sa répartition caractérisque et les autres symptômes de l'hystérie. La question de la coïncidence de
sidérer l'eczéma, dans les cas décrits par le Il Nikolski, comme un symptôme de l'hystérie. Présentement, grâce aux travaux de
con- daire, équivalant il celle qu'on leur accorde parmi les autres symptômes de l'hystérie. De même que la paralysie dans le
nt toute manifestation cutanée, la malade a présenté un ensemble de symptômes fébriles très accusés : frissons violents, suiv
roits et de l'hypoglosse gauche. L'ab- sence de tout autre signe ou symptôme pouvant laisser supposer d'antres lésions sur d
s paralysés el la dégénérescence descendante du faisceau pyramidal, symptômes et lésions qui existaient déjà le onzième jour
ue l'on devine et celte rêverie que rien ne distrait, voilà plus de symptômes qu'il n'en faut pour être édifié sur la nature
es causes imaginaires et qui font une interprétation délirante d'un symptôme réellement douloureux. Bien souvent les maux de
ques et l'ont sait qu'une céphalée atroce et persistante est un des symptômes les plus pénibles de cette affection. Pour se g
gique du syndrome constaté chez notre petit malade ? Or identité de symptômes signifie, dans l'espèce, iden- tité de localisa
ais, si elle étaitl mauvaise parce qu'elle préjugeait la nature des symptômes observés, était cependant bonne en ce sens qu'ell
a jeunesse il eu avait présenté l'état mental particulier et divers symptômes prémonitoires. Pas de noctambulisme chez lui ;
s l'influence d'un agent infectieux pyogène. L'interprétation des symptômes est aisée; le développement du foyer inflammato
ns le premier cas les accidents graves n'ont été annoncés par aucun symptôme prémonitoire. Il n'en a pas été de même chez la
gauche par exemple. Mais notre malade présente un certain nombre de symptômes dont l'ab- sence constitue des signes négatifs
nostic de l'amyotrophie d'origine myopathique, nous croyons que ces symptômes sont sous la dépendance de l'hystérie associée
i l'a émise pour la première fois. Quoi qu'il en soit, arrivons aux symptômes attribués par Bérenger de Carpi à la lésion des
». S'il y a, cle plus, lésion du cerveau, on constate, en outre des symptômes précédents, l'issue de la matière ' cérébrale,
89 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
lacunes, d'éclaircir les obscurités, de superposer exactement les symptômes aux lésions. Peut-être arrivera-t-on ainsi à ex
iffus le plus souvent, complexe toujours et éminemment variable des symptômes relevés chez un même sujet aux diverses phases
sur ses recherches personnelles. Gri- solle l'admettait mais comme symptôme moins fréquent et plus tardif que dans l'hémorr
ze' fois sur vingt-sept cas et que Legendre les range au nombre des symptômes essentiels de la- maladie, considéraient que le
peut observer au cours de l'hémorrhagie sous-méningée. Parmi ces symptômes d'excitation il en est un, la déviation conjugu
pied. Ce qui ressort le plus nettement de cet exposé critique des symptômes qui marquent la scène clinique des hémorrhagies
ujet, variabilité qui, jointe à la diffusion et à la complexité des symptômes acquiert, croyons-nous, une importante valeur d
d'aspect avec une grande facilité, et en outre il est surchargé de symptômes et parfois de symptômes d'ordre différent. Les
e facilité, et en outre il est surchargé de symptômes et parfois de symptômes d'ordre différent. Les phénomènes de déficit et
S-ARACHNOÏDIENNE. 13 arriver à s'extérioriser cliniquement) que des symptômes bien vagues et bien légers. Il ne saurait évi
'hémor- rhagie cérébrale est cependant plus systématisée dans ses symptômes et son apoplexie est souvent plus brusquement c
pu suivre et observer antérieurement et chez lequel on a reloué les symptômes d'une pachyméningitc, avant- coureurs d'une hém
ion assez étroite et pousser à une intervention. La variabilité des symptômes d'origine corticale obser- vés dans un court dé
énitales a été 20 CLINIQUE MENTALE. notée dans quelques cas comme symptôme prodromique; que d'un autre côte des excès sexu
ils semblent être une cause, souvent ils ne sont en réalité qu'un symptôme prodromique. Est-on autorisé après cela il se d
ment. Escarres aux fesses et le long de la colonne vertébrale. 8. Symptômes de bronchite. T. R. 38°. 14. Bronchite légère q
as, 2e série, t. X. 3 34 RECUEIL DE FAITS. 20-26. Aggravation des symptômes généraux. Signes de tuberculose pulmonaire. - M
Poids des organes. SCLÉROSE TUBÉREUSE. 37 38 RECUEIL DE FAITS. symptômes cliniques qui permettent de distinguer l'idiotie
inguer l'idiotie symptomatique de la sclérose tubéreuse. Certains symptômes : grincements de dents, accès de cris, congesti
re (vraie) ; mais plus qu'aucune autre, elle lui est analogue comme symptômes . Il est vrai que l'athéro- masie peut dans cert
de cette seconde série, l'admi- nistration de l'opium provoqua des symptômes d'intoxica- tion plus ou moins graves, cependan
élite avec exagération des reflexes, qui disparaissent bientôt, les symptômes de la myélite s'effaçant tout à fait devant ceu
nal, Il, 1898.) Le malade observé présente assez bien le cortège de symptômes de la paralysie syphilitique spinale d'Erb avec
ataxie disparaissait. P. VI. Hémiplégie et aphonie hystériques avec symptômes men- taux, par S. Il. B. Montgomery. (The Journ
bilité et de multiplicité. Aux Etats-Unis on observe en général les symptômes dans l'ordre suivant de fréquence : a) affectio
asme des muscles du la- rynx, croup, contractures, catalepsie) ; b) symptômes sensoriels (sensations douloureuses, anesthésie
durent des années, assombrit générale- ment le pronostic. Tous les symptômes sont passés en revue au point de vue de leur va
ériarticulaires ; la cyphose est inconstante ; inconstants sont les symptômes radiculaires. Le nom de spondylose rhizomélique
du nerf optique ; phénomènes de la paralysie bulbaire progressive ; symptômes classiques du tabes ; immobi- lité fixe réflexe
lité fixe réflexe des pupilles, signe de Westphal (unilatéral). Les symptômes relatifs aux membres inférieurs paraissent cepend
nd successivement à s'asseoir, à parler, à marcher. L'analyse des symptômes indique l'ataxie des mouvements du tronc, des m
éliminent le cervelet. L'écorce est indemne puisqu'il n'y a pas de symptômes corticaux. Reste le territoire qui s'étend de la
tendre que, lorsque deux tableaux morbides se ressemblent par leurs symptômes , leur mode de production, leur marche, c'est qu
raisse et son était pourrait prendre le nom de sitiomanie. Nouveaux symptômes pupillaires dans le tabès. - M. PIL1'Z. A côté
r brusquement, on voit alors les pupilles fortement contractées. Ce symptôme se rencontre surtout chez les sujets dont les p
i trouvé au contraire dans la littérature aucune mention du premier symptôme . J'ai recherché ces deux phénomènes chez des pa
trer que seul le premier phénomène, associé bien entendu à d'autres symptômes , présente une certaine valeur clinique. Sclér
z les tabétiques viennent ensuite. L'atrophie musculaire est tantôt symptôme , tantôt complication du tabes. La première névr
ement. S'ils ne troublent plus le repos des autres, en revanche les symptômes psychiques s'aggravent par le fait' même de leu
stence d'une névrite du pneumo- gastrique et du nerf phrénique. Ces symptômes ont fini à leur tour par s'amender et la guéris
inale. Les douleurs et l'atro- phie avaient été regardées comme des symptômes d'origine radi- culaire. Il y avait une histoir
nt établir son individualité. Au point de vue clinique, aucun des symptômes décrits par Landry n'est fondamental. 1° La p
, et cela parce que dans beaucoup de cas, ils ne constituent pas un symptôme marquant. 4° L'intégrité des muscles, c'est-à-d
lui donner un caractère spécial. Il est donc évident qu'aucun des symptômes classiques de la paralysie de Landry ne saurait
une mala- die définie. Conclusion. Etant donnés l'inconstance des symptômes cli- niques et des lésions pathologiques, le va
de délires aigus. La mort survint au bout de douze jours, avec des symptômes de paralysie bulbaire. Les lésions constatées à
es désordres ainsi produits dans la région envahie expliquaient les symptômes qu'avait présentés la malade; c'est ainsi que l'a
analogue : il avait soutenu qu'un bon nombre d'états morbides ou de symptômes ordinairement attribués à la congestion cérébra
ion de l'activité intellectuelle), qu'il rattache au myxoedème. Ces symptômes ont apparu à une période où les signes de goitr
frappés par certains phénomènes prédominants, ils ont accordé à un symptôme la valeur d'une entité morbide, en créant les m
peu près quatre cents cas de maladies mentales, dont les premiers symptômes remontent à la puberté c'est-à-dire l'âge de trei
urs les psychoses subis- sent certaines modifications spéciales des symptômes et de la marche de la maladie. C'est donc par e
t les méninges sont le siège d'un processus morbide anatomique. Les symptômes d'in- vasion tendent à prouver qu'on peut avec
ux formes : une grave et une légère. La forme grave peut offrir les symptômes de la stupeur, de la dé- mence, de la catatonie
ans le tabes, la lracture sponta- née a pu se montrer comme premier symptôme à la période pré- tabétique, de même elle peut
l n'est pas une complication de la paralysie générale, mais bien un symptôme intrinsèque; il en est de plus la terminaison n
appuie sur deux ordres de motifs : les conditions étiologiques, les symptômes cliniques. En ce. qui concerne les conditions é
un argument pour ou contre la névrose d'angoisse. En revanche les symptômes cliniques se rencontrent, en pratique, tels que
le plus favo- rable des phobies et des obsessions. L'analyse des symptômes montre que la névrose d'angoisse est faite pres
ouvent à la fois le système cérébro-spinal et le sympa- thique, les symptômes des deux névroses se trouvent réimis-clinique-
n était dégagé celle qui suppose un rapport de causalité entre le symptôme contracture et la sclérose d'une partie des cordo
ar quelques tentatives pour reprendre son service. A ce moment, les symptômes basedowiens, n'étaient guère atténués; les yeux
un jeune sujet, de souche incon- testablement neuro-arthritique, de symptômes basedowiens développés insidieusement au déclin
astaigne, il est question de deux autres cas ayant donné lieu à des symptômes basedowiens, et relevant, l'un, d'une infection
que certains cas sont dus à des méninge-encéphalites foetales. Les symptômes varient avec la compression ; quand elle est fa
iguë mais toutes deux attaquent principalement la face convexe. Les symptômes les plus communs sont : la conge-lion et l'épai
6° Il est donc indiqué dans tous les cas où il faut agir contre des symptômes d'irritation, premièrement dans toutes les maladi
mais encore paraissent ainsi en connexion plus exacte avec d'autres symptômes qui les accompagnent. - Mais l'importance de pr
arthrie peut avoir une origine corticale, et n'est pas seulement le symptôme d'une lésion bulbaire ou pseudo-bul- baire de l
n de la circonvolution de Broca sont plus ou moins touchées, et les symptômes qui en découlent sont en rapport avec la compli
ce pure, sans complications d'au- cune espèce, se manifeste par les symptômes suivants : 1° Perte de la parole volontaire ; 2
te du « langage inté- rieur ». Nous insistons spécialement sur un symptôme que nous avons toujours retrouvé dans les cas t
l'attaque d'aphasie de nature hystérique par son étiologie, par les symptômes concomitants, par la marche 1 Remarquons que to
ésion de la pie-mère, on observe, en opérant aseptiquement,les même symptômes qu'après l'extirpation des points correspondant
vation d'un malade qui depuis l'âge de quarante ans, présentait les symptômes d'une bronchite tuber- culeuse. Au moment de so
hôpital et lorsqu'elle fut examinée par nous, elle présen- tait les symptômes suivants : une ophtalmoplégie externe, une para
sont trop récentes pour pouvoir, à elles seules, rendre compte des symptômes . L'atrophie des fibres pyramidales "a une plus
-trois ans, à hérédité très chargée, présentait il y a 18 mois, les symptômes suivants : tristesse, aboulie, dégoût de la vie
- ques : mutisme, attitudes anormales, catalepsie, écholatie. Ces symptômes sont accompagnés de troubles accusés de la consci
ent mécanothérapique de l'hémiplégie est un traitement externe d'un symptôme , dont la lésion causale échappe souvent aux inv
stion est dirigé, comme nous l'avons déjà fait remarquer, contre un symptôme . Par conséquent, il doit durer jusqu'à ce que l
contre un symptôme. Par conséquent, il doit durer jusqu'à ce que le symptôme persiste. Dans les cas légers, il est d'une cou
nnaissances anatomo-physio- logiques, complexité et subjectivité du symptôme ; ou (b) spé- ciales : disparité des phénomènes
ints des lésions organiques. Ce syndrome rappelle un com- plexus de symptômes que nous connaissons dans l'aphasie, c'est- à-d
s cellules cérébrales. De même que les polynévrites sont formées de symptômes et de lésions tou- jours les mêmes ou à peu prè
dans les cas de tumeur du cervelet cette abolition était plutôt un symptôme géné- ral, dû à une hydromyélie consécutive ou
hie musculaire, etc. Donc l'abolition des réflexes rotuliens est un symptôme de mauvais augure, excepté les cas possibles mais
s, ont un air de santé, il n'existe pas de troubles trophiques. Les symptômes cliniques du tabès : les douleurs, l'ataxie, le
nt beaucoup plus communes que la forme dans laquelle la plupart des symptômes du tabcs sont réunis. Il faut bien remarquer qu
-à-dire atrophie papillaire, sans que la maladie du reste, avec ses symptômes ordinaires : douleurs, ataxie, signe de Romberg
le réflexe de Babinski peut collaborer, de concert avec d'autres symptômes , en diagnostic différentiel entre une affection o
pas de l'ataxie cérébelleuse typique. Bien qu'il n'y eût point de symptômes qui indiquassent l'atteinte du centre ovale ou
suggestions restent inefficaces parce qu'elles ne s'adressent qu'au symptôme . Si nous interrogeons nos malades, après les av
oires, par flat-ris, If 1. Hémiplégie et aphonie hystériques avec symptômes mentaux, par Montromery, 149. - sensitivo- se
90 (1891) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Leçons sur les maladies du foie et des reins. Tome 6
au sujet d'un malade qu'il a observé attentive-ment, relève quelques symptômes qui permettraient de re-connaître pendant la vie
grés, avec algidité extérieure, et accompagnement fréquent de di-vers symptômes qui rappellent les accès pernicieux. 3° J'ai ét
oé-driques d'acide urique. Cet homme n'avait jamais éprouvé aucun des symptômes de la goutte articulaire ; les urines ne renferma
lavent quelquefois dans l'intestin grêle et y occa-sionnent ainsi des symptômes d'iléus. D'autres fois, ils pénè-trent dans l'app
iaires. — Migration latente des calculs. — Influence de l'âge sur les symptômes de la colique hépatique. Messieurs, Suivant l
du fiel. Dans les conditions pour ainsi dire normales, au milieu de symptômes plus ou moins accentués, le calcul ou les calculs
dans l'intestin sans que leur migration ait été annoncée par quelques symptômes . C'est là un fait relevé depuis longtemps par Jos
port régulier entre les dimensions des concrétions et l'intensité des symptômes douloureux qui en révèlent la présence. Cela tien
canaux, peuvent s'effectuer sans s'être révélés autrement que par des symptômes à peine appréciables. Quelquefois même, dans ces
— De la migration des calculs cystiques par les voies naturelles. — Symptômes dus à l'irritation des nerfs (colique hépatique);
et encore, bien que cela ne soit pas ré-gulièrement démontré, que ces symptômes peuvent quelque-fois se montrer, à titre de phéno
qu'un calcul qui, engagé dans le canal cys-tyque, a pu provoquer les symptômes de la colique hépatique la plus intense, peut ren
ane muqueuse du conduit. B. Ce n'est pas ici le lieu de relever les symptômes qui, dans certains cas, sont capables de révéler
n ou la per-cussion est, ainsi que l'a fait remarquer M. Willemin, un symptôme qui, parfois, précède de quelques jours ou de que
t retombe dans la vésicule. Quoi qu'il en soit, à peu près tous les symptômes de la colique hépatique, moins l'ictère toutefois
ge d'un calcul dans le conduit cystique. Au premier rang, parmi ces symptômes , il importe de signaler la douleur qui se manifes
ins fréquent dans la colique hé-patique. J'ai voulu insister sur ce symptôme , parce que je crois y voir pour ainsi dire le ger
votre attention sur Xictère que l'on considère généralement comme un symptôme annon- (1) 1867, mars, p. 249. çant de toute
s'étaient prolongées pendant cinq ou six jours lorsque survinrent des symptômes de péritonite. La malade mourut au bout de 24 heu
e du fiel, lésion qui, pendant la vie, ne se révèle souvent par aucun symptôme (1) Cas de Fritz (Centralblatt, 1868), de Leber
DIX-SEPTIÈME LEÇON Oblitération du canal cholédoque. — Lésions et symptômes . Sommaire. — Dilatation des voies biliaires int
aractères qui les distinguent des calculs de la vési-cule biliaire. Symptômes dus à l'oblitération calculeuse des canaux biliai
ux cholédoque ou hépatique et de vous présenter ensuite un aperçu des symptômes qui se ratta-chent à ces altérations et peuvent c
hez un sujet qui, peu de temps avant la mort, avait présenté tous les symptômes d'une coli-que hépatique intense. Les lésions i
Actuellement, je vais tâcher de vous faire con-naître les principaux symptômes qui révèlent les altérations diverses que nous ve
l'acte de la digestion se traduisent encore par un certain nombre de symptômes qui doivent être relevés maintenant et qui s'ob-s
ultante de cette double oblitération. Lorsqu'on veut rechercher ces symptômes , il ne faut pas oublier que la graisse apparaît p
ptomatique. — Compa-raison avec la fièvre uro-septique. Sommaire. — Symptômes de l'oblitération calculeuse du canal cholédoque
fièvres palustres, tantôt dans le cours d'une fièvre rémittente avec symptômes typhoïdes, à laquelle les accès ont cédé la place
a formation ou tout au moins celle-ci ne se décèle-t-elle que par des symptômes très vagues. Rarement, il y a de la jaunisse, plu
eux, après avoir traversé le canal cholédoque et avoir dé-terminé les symptômes de l'hépatalgie calculeuse peuvent parvenir dans
cas, l'apparition du cancer paraît avoir été cliniquement précédée de symptômes en rapport avec la gravelle, à savoir : coliques
canal cho-lédoque, peut déterminer toute la série des lésions et des symptômes qui se rattachent à l'obstruction de ce canal par
e je viens de décrire : puis je vous ferai connaître l'ensemble des symptômes qui les révèlent pendant la vie. Cette tâche acco
al cholédoque comparées aux lésions de la cirrhose hyper-trophique. Symptômes : Ictère. — Hypertrophie du foie ou hépato-mégalie
nviron du troisième au quatrième mois après l'apparition des premiers symptômes . Une fois confirmée, l'hypertrophie est sujette
ra-hépatique. — Etat des voies biliaires dans la cirrhose vulgaire. Symptômes de la cirrhose vulgaire. — Stase du sang, ascite,
r, en font un accompagnement à peu près constant et par conséquent un symptôme très important dans l'histoire de la cirrhose. Ba
térieure. Évolution relativement rapide : trois, six mois, un an. Symptômes . — a) Œdème, anasarque, hydropisies dans les pare
: pneumonie purulente ; gangrène, érysipèle des parties oedématiées ; symptômes urémiques moins fréquents que dans la forme suiva
lée, peut durer plusieurs années, quelquefois dix ans, par exemple. Symptômes . — a) L'œdème fait défaut dans plus de lamoi-tié
oupes symptomatiques bien caractérisés, qui permettent de remonter du symptôme à la lésion, et d'établir une diagnose et une pro
ne démangeaison très vive du tégum e nt externe ( Bar tel s). 3° Un symptôme intéressant de ce genre d'intoxication est Yamaur
but ait été lent ou rapide, dans la période d'état de la maladie, les symptômes sont tou-jours à peu près les mômes. 1° Les uri
limitée en-core, et qui peut ne se manifester cliniquement par aucun symptôme appréciable. 2° Lorsque le malade succombe un o
ration amyloïde du rein. On peut dire que cette altération n'a pas de symptômes qui lui appartiennent en propre. Les phénomènes q
ceux de la néphrite interstitielle ; tantôt enfin, les deux ordres de symptômes se trouvent entremêlés. Cependant, rien n'est plu
ration amyloïde des artères, non plus qu'à établir la physiologie des symptômes qui relèvent de ces altérations. Ce sont là des q
esquels il nous serait, pour ainsi dire, impossible d'interpréter les symptômes que nous devons analyser ensem-ble. Je supposerai
, beaucoup d'arguments qui tendent à prouver que la cause de tous les symptômes dans l'albuminurie doit être cherchée dans une di
0 à 1200 et il n'y a pas trace d'albu-mine. Peu après surviennent les symptômes de l'asystolie. Le 29 décembre, l'urine rendue n'
les de la circulation générale, ne saurait être rattachée, à titre de symptôme , à la lésion qui vient d'être décrite. Elle la pr
ies des reins, s'exprime comme il suit : « L'albuminurie n'est que le symptôme d'une lésion plus ou moins prononcée de l'épithél
iaires. — Migration latente des calculs. — Influence de l'âge sur les symptômes de la colique hépatique..........................
. — De la migration des calculs cystiques par les voies naturelles. — Symptômes dus à l'irritation des nerfs (colique hépatique :
aractères qui les distinguent des calculs de la vési-cule biliaire. Symptômes dus à l'oblitération calculeuse des canaux biliai
ptomatique. — comparaison avec la fièvre urosëptique. Sommaire. — Symptômes de l'oblitération calculeuse du canal cholédoque
al cholédoque comparées aux lésions de la cirrhose hyper-trophique. Symptômes : Ictère. — Hypertrophie du foie ou hépato-mégalie
ntra-hépatique. — État des voies biliaires dans la cirrhose vulgaire. Symptômes de la cirrhose vulgaire. — Stase du sang, ascitc,
loppement des vais-seaux, 273 ; — lésions des voies biliaires, 275. — Symptômes , 275. Ccecu.m Perforation et ulcération du), 21
se, rein de Briç/iil , 321, 356.— ittio-logie, 357. — Lésions, 358. — Symptôme de début, 364. —Delà période d'état, 366 : — Hydr
91 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 9. Hémorragie et ramollissement du cerveau, métallothérapie et hypnotisme, électrothérapie
Mais à côté de ces cas exceptionnels où riiômorrhagie survient comme symptôme ou comme complication d'une autre maladie, il exi
ot. Jodier (Félicie) femme cle 08 ans. —Aucun renseignement sur les symptômes observés pendant la vie. Autopsie : Noyaux d'hé
ant plus de valeur, qu'il montre alors même que l'ensemble des autres symptômes semble permettre d'espérer une issue moins triste
nsion brusque du chiffre de la température centrale au-dessus de 39°, symptômes qui, d'après mes observations, peuvent être consi
es du côté gauche. Le 15 septembre, après un amendement dans tous les symptômes , qui se maintient pendant quelques jours, un affa
natomiques, correspond le plus souvent un enchaînement particulier de symptômes . Au point de vue symptomatologique, il y a lieu d
e période, qui s'étend souvent à plusieurs mois, il y a, entre autres symptômes , affaiblissement graduel de la mémoire et de l'in
; enfin se déclare, en dernier lieu, l'attaque apoplectique dont les symptômes ont été surtout, — trop exclusivement peut-être,
-mère précède nécessairement ici l'hémorrhagie. la relation entre les symptômes et les lésions ne paraîtra pas, ce nous semble, t
, l'assoupissement, la faiblesse des membres, et, en un mot, tous les symptômes des premières périodes, procèdent de la pachyméni
laquelle elle coexiste, comme on sait très fréquemment. Quant aux: symptômes apoplectiques cle la dernière période, ils dépend
'il soit nécessaire d'entrer à ce sujet dans plus de détails, que ces symptômes varient suivant que l'épanchement est plus abonda
ues ; 2° la pachyméningite s'annonce, en général, par un ensemble cle symptômes capables, dans un certain nombre de cas au moins,
était impossible à poser dans le cas qui nous occupe, [/ensemble des symptômes devait nous faire supposer l'existence d'une tume
ir le plus de valeur dans un cas aussi douteux que celui-là. Un autre symptôme devrait encore être pris en grande considération
nts crâniens au niveau du siège de la céphalalgie. Malheureusement ce symptôme , si nettement marqué dans I'Obs. II, n'est pas co
eût vécu plus longtemps, aurait-on vu apparaître quelques-uns de ees symptômes (1). 1. Comptes-rendus de la. Société de biolog
ui, pendant les deux derniers mois de sa vie, avait présenté tous les symptômes de la néphrite albumineuse, succomba tout à coup
uvent d'analogues dans le cerveau, qui ne se sont traduites par aucun symptôme appréciable, et je me vois conduit à conclure que
'ischémie cérébrale qu'avec la congestion du cerveau, et que certains symptômes qu'on rapporte généralement à l'encéphalite, tels
es paralysés chez les individus atteints de ramollissement ancien, ce symptôme paraît devoir être rattaché à une lésion consécut
roublé ses nuits. Mais il n'avait pas accordé grande importance à ces symptômes ; il croyait pouvoir les rattacher à une affection
otrice progressive étaient, dans ce cas, parfaitement accusés, et les symptômes articulaires rappelaient exactement ceux qui avai
habitation humide ; à aucune époque de la vie il ne s'est présenté de symptômes qu'on puisse rattacher au rhumatisme articulaire
usque. Il n'a existé ni douleur ni rougeur des parties lumôfiées. Les symptômes généraux ont fait complètement défaut. Cependant,
urs de l'année 1800. C'est en 1800 que se sont montrés les premiers symptômes de la maladie actuelle. Tous les deux mois et plu
git dans ce nouveau cas d'une femme âgée de 42 ans, chez laquelle les symptômes de la myélite scléreuse postérieure, aujourd'hui
de plus, à l'époque où les premiers désordres s'y sont produits, les symptômes d'incoordination motrice s'étaient déjà développé
lusieurs années, tandis que, dans les autres cas, l'apparition de ces symptômes était de date toute récente, lors du début de l'a
t ; et si dans un cas (Observation de M. Bouchard), ces deux derniers symptômes se sont manifestés un instant, ils se sont bientô
ui la produisent habituellement, bien avant l'apparition des premiers symptômes des maladies spinales. L'arthropathie des ataxiqu
ez rapidement, et beaucoup plus tard à gauche. A en juger d'après les symptômes , la blessure avait dû intéresser la totalité du c
ion particulière des cordons postérieurs à laquelle se railachenf les symptômes de cette maladie consiste essentiellement, à son
Brown-Séquard d'avoir appelé plus particulièrement l'attention sur ce symptôme curieux à plus d'un titre, et d'avoir cherché à e
l'altération des synoviales se rattachent nettement, dans ce cas, les symptômes articulaires observés pendant la vie, tandis que
ns une autre occasion sur l'importance qu'il faut accorder à ces deux symptômes encore peu connus, lorsqu'il s'agit d'établir le
ner à constater la coïncidence qui a existé entre l'apparition de ces symptômes et celle des douleurs articulaires. Les lésions
encore, à l'époque môme où se déclarait un état fébrile accompagné de symptômes graves. L'état fébrile était lié cette fois aune
t et dégagée de toutes les circonstances qui peuvent en obscurcir les symptômes . Douleurs articulaires vives, quelquefois accompa
affection rester latente ou, tout au moins, ne se révéler que par des symptômes relativement obscurs en même temps que les lésion
iques sont elles-mêmes à peine ébauchées. D'ailleurs, l'intensité des symptômes est loin d'être toujours proportionnée à celle de
, de l'affection articulaire dont il s'agit. En ce qui concerne les symptômes , il y a lieu de remarquer que l'arthrite des hémi
stériques et hémianesthésiques, antérieurement, mais qui n'ont pas de symptômes d'hystérie anesthésique, l'application, sur la pa
malades à l'étude sont fortement atteintes ; elles n'ont pas que des symptômes passagers, fluctuants et par conséquent la dispar
ptômes passagers, fluctuants et par conséquent la disparition de tels symptômes permet de reconnaître avec la plus grande netteté
u'on a employé comparativement plusieurs métaux contre les différents symptômes de l'hystéri - et qu'on a cherché à les classer s
lliques ont encore pour effet de produire chez elles, cet ensemble de symptômes sur lequel j'ai appelé votre attention et qu'on p
chaleur dans l'estomac, des démangeaisons à la peau, en un mot des symptômes d'intolérance. Le mieux, dans ce cas, est de susp
ription des variétés de l'attaque résultant de l'immixtion, parmi les symptômes habituels, de phénomènes qui souvent surviennent
allons essayer de donner la description détaillée, soit sinon un des symptômes constants, du moins un symptôme fréquent de la gr
ription détaillée, soit sinon un des symptômes constants, du moins un symptôme fréquent de la grande névrose hystéro-épileptique
uit à sa découverte. Ayant à soigner une jeune fille qui, d'après les symptômes qu'il rapporte, était manifestement atteinte d'hy
tout entier, les phénomènes généraux de l'organisme, et chercher les symptômes que l'on pourrait croire accessoires, et qui pour
on pourrait appeler les cas types et réguliers dans lesquels tous les symptômes offrent le caractère de précision sur lequel nous
des deux à la fois, et qui compte au nombre de ses manifestations les symptômes cataleptiformes dont il est question. Dans l'ex
attention ne s'est portée que sur la phase léthargique, et parmi les symptômes qui la caractérisent sur les modifications du sys
mêmes qu'avec l'anesthésie. On sait d'ailleurs que ces deux derniers symptômes vont habituellement de pair. Il n'est donc pas ra
difmitive. La diathèse de contracture, au même titre que les autres symptômes dits permanents de l'hystérie, se développe spont
etit malade, âgé de quatre ans, commençait, lui aussi à présenter des symptômes du même genre. C'est pour mettre fin, si possible
e depuis la publication des travaux de la Salpêtrière, la réalité des symptômes hypnotiques n'est plus mise en doute. 1. Extrai
e. En même temps que M. Charcot relevait l'évidence de ces précieux symptômes , il constatait que chez les sujets qu'il avait so
possible de produire chez les malades de cette catégorie une série de symptômes caractéristiques qu'on ne retrouve pas chez d'aut
s agents esthésiogènes et thermiques. Ils étudiaient spécialement les symptômes physiques de la léthargie et de la catalepsie et
; — observations, p. 183, 189, 196; — anatomie pathologique, p. 205; — symptômes , p. 205, — étiologie, p. 206, — physiologie patho
ue, p. 183. Ovarii;, p. 258, 280. Pach yméningite,p . 117,121 : — symptômes , p. 132;— évolution, p. 133. Paralysie agitante
92 (1902) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 17
ble. La science expérimentale arrive ensuite pour analyser chacun des symptômes en cherchant à les ramener à des explications et
el et la pression des zones hystérogènes ordinaires ne provoque aucun symptôme anormal. Pourtant nous ne nous étonnerons pas o
éperdition d'énergie psychique, laquelle se manifeste surtout par des symptômes d'amnésie ou d'aboulie. D'où vient que le somme
confuse et illogique. Certains savants considèrent les rêves comme un symptôme peu favorable, mais d'autres, par exemple Forel e
êves ne prédisent rien, à proprement parler. Ils sont l'expression de symptômes précurseurs se rapportant à une affection patholo
l'hystérie. 3. M. Délius (de Hanovre). — Note sur l'apparition des symptômes de l'hystérie. 4. M. Haeberlin (de Hambourg). —
ations de l'hystérie et nous verrons que l'on peut y classer tous les symptômes observés. 1° Groupe des anomalies psychiques ;
re hystérique guéri par la suggestion hypnotique. Nous résumons les symptômes principaux : Tremblement d'abord hémiplégique et
nt maintenant ce désordre apparent de l'hystérie, cette complexité de symptômes qui ne pouvaient être ni prévus ni expliqués. L'h
un équilibre détruit. La suggestion ne devra donc négliger aucun des symptômes dévoilés par une minutieuse et méthodique explora
utre chose que ce qu'en dit Galien. Il ne veut pas s'en tenir aux symptômes extérieurs, il veut aller au fond même des choses
r psychologique dans l'étiologie de cette maladie, qu'il s'agisse des symptômes psychiques ou des symptômes somatiques, ainsi que
ogie de cette maladie, qu'il s'agisse des symptômes psychiques ou des symptômes somatiques, ainsi que le montre l'observation sui
à apparaître. On voit clairement que la crainte fait apparaître les symptômes redoutés. Ce sentiment réveille le souvenir de la
aladie passée; celui-ci constitue une représentation obsédante et les symptômes réapparaissent en vertu de cette influence sugges
de nourriture, du dégoût de la vie, c'est-à-dire par la totalité des symptômes cliniques de la lypémanie, auxquels il ne manque
confirme encore celle conception, c'est la variété et la mobilité des symptômes hystériques, qu'il s'agisse de troubles de l'hume
qu'on lui suggère indirectement. En réalité, ce qu'il présente comme symptômes , c'est l'immobilité absolue de la jambe gauche, l
e dans un couvent à l'âge de huit ans ; elle y ressentit les premiers symptômes de son mal : « Lorsque je voulais prendre quelque
tenir dans cet état de chloro-anémie si favorable à la production des symptômes nerveux. Il est probable qu'une maladie toxique
et surtout des organes génitaux. Nous suivrons, pour noter ces divers symptômes la relation même que nous a laissée Marie Alacoqu
'ouïe. Dans ce rapport je trouve l'observation d'une malade ayant des symptômes identiques à ceux de Marie Alacoque pendant sa pé
ure ; la faim recommençait dès qu'elle était sortie de table; ce sont symptômes de la maladie nerveuse. (à suivre) REVUE DE
le phénomène d'horripilalion, considéré par certains auteurscomme un symptôme de dégénérescence ; mais qui nous parait, étant d
lèves de l'étudier à fond et de la révéler, pour ainsi dire, avec ses symptômes nombreux et variés. La caractéristique de ces s
e, avec ses symptômes nombreux et variés. La caractéristique de ces symptômes , c'est qu'ils ne sont qu'apparents et simulent le
e de ces symptômes, c'est qu'ils ne sont qu'apparents et simulent les symptômes vrais d'autres affections : ainsi, par exemple, u
notisme, rapports tels qu'on peut aujourd'hui établir cette loi : les symptômes d'hystérie peuvent apparaître ou disparaître sous
ble, car elle me quitta plutôt froidement. Ignorant l'hystérie et ses symptômes variés et bizarres, ce qui nous parait naturel et
e ces faits miraculeux pour comprendre qu'on se trouve en présence de symptômes non douteux d'hystérie, guéris tous les deux par
t. N'est-ce pas là deux faits typiques de suggestion guérissant des symptômes d'hystérie? N''est-ce pas là ce que, nous, médeci
est-ce pas là ce que, nous, médecins avons à traiter chaque jour? Les symptômes si bien décrits par l'archevêque d'Arras ne sembl
tous les troubles psychiques que l'estomac provoque. D'après lui, les symptômes dyspeptiques sont régis par le plexus solaire, «
ie comparée, l'embryologie, la tératologie. Il est en clinique tels symptômes dont la distribution est demeurée jusqu'ici inexp
ères, rhizomères, myélomères. Les principales affections dont les symptômes éveillent le souvenir de la disposition segmentai
et Leh-mann ont pu insister sur cette affirmation que la plupart des symptômes de l'hypnose se présentent dans la vie ordinaire
les, mais auxquelles nous n'étions pas accoutumés. Donc ramener les symptômes hypnotiques des phénomènes psychiques moins frapp
ement: rétrécissement de la conscience). En outre, pour expliquer les symptômes physiologiques de l'hypnose, il fit appel au prin
1). Cette perturbation de l'activité associative explique aussi les symptômes d'amnésie complète ou partielle, à laquelle il fa
tudes et exécute les mouvements qui correspondent à cette idée. Les symptômes hypnotiques sont de nature spécialement psycholog
meil hypnotique, ce sommeil n'est pas de nature différente des autres symptômes suggérés, puisque lui-même est le fruit de la sug
ensité, un dysthyroi-dien (privation partielle de la glande) aura des symptômes psychiques moins accentués qu'un athyroidien (pri
hiques moins accentués qu'un athyroidien (privation totale), mais les symptômes seront de môme nature. 2) En opposition il faut
oriques. M. Lépinay. — Il résulte de celte discussion, qu'avant les symptômes cliniques de la tuberculose, on peut observer
elles la tuberculose commence à évoluer, sans cependant présenter des symptômes cliniques, évidemment moins faciles à observer qu
la parfois dans un style qui étonne, tellement sont bien traduits les symptômes éprouvés; c'est ce que l'on peut constater en lis
ipal de ce mémoire, je vais citer l'observation d'une malade dont les symptômes hallucinatoires rentrent dans cet ordre d'idées.
ésus dans un cas ; c'est un musicien dans l'autre. Pour le reste, les symptômes sont identiques; ce sont des hallucinations de di
ique, de même quelques années plus tard Marie Alacoque présentera les symptômes de la même maladie; elle aussi sera une folle hys
uvres malades comme sœur Clément ou sœur Alacoque qui subissaient les symptômes de l'hystérie avec bonne foi en croyant à la réal
oins dégénérés, était onychophage, mais il présentait encore d'autres symptômes caractéristiques. Il avait peur de se salir en to
durée ; mais il faut suivre le malade ; au bout de quelques mois, les symptômes peuvent revenir ou d'autres analogues et il faut
chez les individus atteints de folie morale, en particulier, les symptômes se succèdent ou se remplacent. Par exemple, le kl
Donc, si l'on parvient à les hypnotiser, on ne peut que supprimer un symptôme ; mais, à cause du terrain prédisposé, le champ re
, le champ reste libre pour l'apparition et le développement d'autres symptômes morbides. C'est donc une amélioration que l'on pe
me de mars 1903. Charcot et son Ecole ont étudié de très près ces symptômes (que nous retrouverons dans un chapitre ultérieur
caractères soma-tiques fixes (grand hypnotisme de la Salpêtrière avec symptômes moteurs constants) est le seul qui mérite « la qu
ractéristique essentielle de l'hypnose. Si, de là, nous passons aux symptômes psychiques de l'hypnose, il est facile de voir en
nt. Il me parait inutile de poursuivre cette étude éliminatrice des symptômes qui ne sont pas communs à tous les cas d'hypnose
s : la maladie ne crée pas des phénomènes d'une espèce nouvelle ; les symptômes ne sont que les fonctions ordinaires, déviées, mo
ment. Lors des exacerbations, surviennent, tous ces temps-ci, comme symptômes nouveaux, des agitations dans les bras et les jam
e fait travailler, consent même à jouer avec lui... et à rire ! Autre symptôme important, elle prend soin de sa personne, s'occu
guë'. On ne voit vraiment rien là qui rappelle sinon de très loin les symptômes décrits dans le n° d'octobre p. 118 « Enfin lorsq
une période plus grave...» (p. 157}. Plusieurs faits sont cités comme symptômes de ces périodes successives, faits qui d'après la
cations classiques. Pour analyser avec quelque chance de succès les symptômes d'une maladie, ¡1 est indispensable d'envisag
alique indiquée. La seconde conclusion à déduire du déroulement des symptômes de cette crise d'épilepsie gastrique est qu'après
, que ce n'était pas la Bienheureuse qui avait souligné elle-même les symptômes de sa folie. Voyons d'autres reproches que nous
ance pendant laquelle elle avait une hallucination génitale. C'est un symptôme commun, je ne dis pas à tous les aliénés, je ne d
93 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
qui, par son étendue, ses caractères et son association aux autres symptômes frappe le plus mais n'embarrasse pas moins, c'est
ies, des scléroses en plaques, des maladies de Friederich, dont les symptômes étaient com- pliqués et même embrouillés par de
s maladies suivan- tes qui ne comptent pas l'anesthésie parmi leurs symptômes , mais qui peuvent s'associer l'hystérie, celle-
ces diverses localisations du processus nous rendraient compte des symptômes observés chez notre malade. Je n'ai pas l'int
ants, elle n'a pas fait de fausses couches. Elle ne présente pas de symptômes d'éthylisme. Elle nie avoir jamais présenté auc
que deux ou trois jours. Du reste il n'aurait jamais présenté aucun symptôme analogue à ceux de l'infection syphilitique. Il
aire penser à de la tuberculose. Début de C'affection. Le début des symptômes actuels remonte à 3 ans. Les troubles de la ne
s la rue. En même temps apparaissait de la diplopie. Rapidement les symptômes s'aggravèrent : la paupière gau- che se paralys
bien elle se sentait courbaturée sans cause apparente. Ces derniers symptômes ont également diminué de fréquence et d'intensi
e au sommet droit. Malgré l'incontestable valeur de cet ensemble de symptômes , nous ne pensons pas qu'on puisse rattacher l'a
odure de potassium sont le plus souvent impuissants. Ici encore les symptômes oculaires sont contraires il l'hypo- thèse de s
n'en est plus ainsi lorsque l'on songe à attribuer la production de symptômes observés, sur V... à un tabes. L'objection que le
une syphilis héréditaire car elle n'en pré- sente aucun des grands symptômes . La conservation des réflexes patellaires n'est
à type fulgurant dans la zone occipitale. Si chez elle beaucoup de symptômes ne sont qu'ébauchés, ils n'en existent pas moin
Nous en voyons la preuve dans l'amélioration spontanée de tous les symptômes douloureux et moteurs existant jadis. Les crise
sparu, les mictions impérieuses sont devenues moins fréquentes. Les symptômes oculaires d'abord très gênants ont eux-mêmes .d
el'articÚlation phalangin9-phalangienne de la main droite. Tous les symptômes ont été ceux d'une arthrite évoluant lentement,
ès atténués et passant presque inaperçus. 15 jours après, les mêmes symptômes se montraient PIED PLAT DANS LA BLENNORRHAGIE
la tuméfaction étaient presque nulles, la douleur fut cette fois le symptôme dominant, peu durable cependant, car elle disparu
bjets un peu lourds ; pour ex- pliquer cette faiblesse des mains le symptôme douleur suffit largement. Mais alors que toute
d'un rétrécissement ma- nifeste de la fente palpébrale droite, les symptômes oculaires, l'amyotrophie des membres, chez un h
YSIOLOGIQUES. . Notre diagnostic clinique, basé sur l'analyse des symptômes nerveux présentés par notre malade, nous avait
heure, le lieu. Avant cette attaque brutale, il ne présentait comme symptômes médul- laires que des signes très médiocres, co
vement par la substance grise elle-même. Or si nous rapprochons les symptômes cliniques des faits anatomiques, nous croyons q
put cons- tater pendant la vie aucune marque de syphilis, ni aucun symptôme mor- bide. Chez l'une d'elles, il y avait une d
clusivement spinale. Nous aurons donc,leplus souvent, au milieu des symptômes presque toujours prédominants d'une affection cér
ar M. Moncorvo semble indéniable, il ne s'en- suit pas, d'après les symptômes cliniques observés, que les accidents doi- vent
ations morbides dans lesquelles on retrouve un singulier mélange de symptômes cérébraux et médullaires. Les symptômes cérébra
e un singulier mélange de symptômes cérébraux et médullaires. Les symptômes cérébraux paraissent prédominer : avec les troubl
occupe le projectile suivant l'épaisseur de la main, et l'étude des symptômes permet presque toujours de le faire. J'ai pu ains
fin) CI). Nous venons de montrer que, dans la majorité des cas, les symptômes cérébraux étaient prédominants par rapport aux
purement hypothétique. Mais il est des cas, avons-nous dit, où les symptômes d'une affection cédé- > brale ne. s'associen
ce à diminuer droite; des bour- donnements d'oreille ont précédé ce symptôme . En août 1894, la marche qui était restée diffi
souvent au processus qui affecte la moelle épinière. La variété des symptômes cliniques augmente de plus en plus et rend diff
vers l'Age de 3 ans 1/2, a commencé sans, souffrance et sans aucun symptôme appréciable ? devenir « faiblesur ses jambes ».
lternati- ves de guérison et de paralysie) et l'absence clinique de symptômes céré- In'aux. -^ . - z « Cette forme est rapp
guérison complète en mars 1871. Quelque temps après, récidive des symptômes paralytiques qui envahissent d'abord le bras ga
lons préciser le siège de la lésion il n'est pas difficile, par les symptômes observés et en particulier en se basant sur les
MOELLE ÉPINIÈRE 151 Si l'enfant touché congénitalement survit, les symptômes cliniques ap- paraissent. Ceux-ci sont le plus
ssible, par une analyse minutieuse, de faire la part, au milieu des symptômes encéphali- ques, de ce qui appartient à la moel
'est pas* très nette. \ Pendant la vie, on n'a pu observer d'autres symptômes de lésion en foyer, sauf l'épilepsie. Avec le
et les contorsions continuaient sans trêve. Enfin, un jour, nouveau symptôme : Geneviève, en urinant, rendit un grand nombre
, serrements de dents, raidissements de tous les membres, et autres symptômes qui paraissaient épileptiques. . LA MALADIE DE
crachement de sang pur, sans mélange d'aucune humeur : au lieu des symptômes qui avaient accompagné la première hémorrhagie,
ir. , Enfin les douleurs excessives que souffrait Geneviève, et les symptômes appa- rents de la pierre, déterminèrent ceux qu
plus huit jours sans être assaillie des mêmes douleurs et des mêmes symptômes , qui indiquaient le besoin de tenter encore l'e
s urines ne coulaient plus que goutte il goutte, et que c'était les symptômes d'une nouvelle pierre. Dans-la journée -elle so
himique, succède une discussion clinique très serrée des différents symptômes présentés par Geneviève et pouvant offrir quelq
ctions et de mystères. « Tout ce que l'on peut déduire, dit-il, des symptômes observés dans la Fille de St-Géosmes, ne porte
à la vessie, mais encore, elle supprime l'urine et simule tous les symptômes d'un calcul vésical. » Ainsi, l'auteur anglais
'il avait eu l'occasion d'observer des malades présentant les mêmes symptômes que la Fille de St-Géosmes. Les douleurs vési
dies hystériques affectent quel- quefois les reins, et qu'alors les symptômes sont si ressemblants à ceux des accès néphrétiq
sont succédés régulièrement. Nous arrivons enfin à l'examen d'un symptôme sur la nature duquel Morand ne s'est pas pronon
, imagina une maladie extraordinaire et entreprit d'en jouer divers symptômes . Ce qu'il y a de.plus singulier, c'est qu'il se
M. le professeur Raymond, un malade tabétique, qui réunissait trois symptômes assez rares au cours de celle affection. C'est
résenté d'anormal et n'a jamais fait de fausse couche. Les premiers symptômes de la maladie actuelle, c'est-à-dire du tabes,
st vraisemblable, mais ne peut être affirmé. Depuis 3 ans, tous ces symptômes ont presque disparu, il l'exception d'un'peu d'
par des douleurs fulgurantes auxquelles s'ajou- tent plus tard les symptômes classiques du tabès. Nous allons maintenant rap
rone moteur pé- riphérique. B. Ataxie de la langue. Le deuxième symptôme intéressant chez B... est la difficulté qu'il é
ue nous venons de décrire. » On ne trouve pas rapporté davantage ce symptôme dans les statistiques récentes de MM. Simerkha
normal ou fibrillaire. Onze malades examinés ne présentaient pas ce symptôme , quelques- uns même ne tremblaient pas du tout;
nous, entre l'intensité de cette incoor- (1) PIERRET, Essai sur les symptômes céphaliques du tabes dorsalis. Thèse Paris, 181
ntater chez elles pendant la vie aucune trace de syphilis, ni aucun symptôme morbide, Chez l'une d'elles il y avait une débili
la cuisse gauche. Abcès de la malléole interne droite. Pas d'autres symptômes . Mort de diphtérie. ' . « Autopsie. Gomme céréb
estaient se mirent à gri- sonner. ' Voilà déjà un enchaînement de symptômes propres à faire soupçonner un empoisonnement le
Osier (3). L'empoisonnement arsenical s'est traduit d'abord par des symptômes de gastro-entérite et par une pigmentation plus f
e papiers arsénifères. 1 Dans la plupart de ces cas on a noté les symptômes d'une polynévrite à marche intermittente, dont
devant l'incoordination motrice, et celle-ci s'associer à d'autres symptômes du tabes, de façon à constituer un syndrome de
94 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
dont nous nous occupons, c'est la disparition presque assurée de ces symptômes après la guérison de l'habitude. 1/hygiène prof
la négligence dédaigneuse que les modernistes apportent n l'étude des symptômes cliniques, devenus pour eux terre-à-terre, surann
tement, les angoisses ont complètement disparu et avec elles tous les symptômes concomitants. Depuis plus de dix mois, Mme D... n
faite, et ne s'éveillent que lorsqu'il se produit en ces malades des symptômes insolites, est-ce que les idées qu'il leur a sugg
té de chanter, de reprendre des forces et je l'assurai que les autres symptômes disparaîtraient. Elle vint tous les jours pendant
sa pensée le désir de l'assassiner. Il faut noter chez ce malade un symptôme que nous avions lait remarquer déjà dans d'autre
caractérisé, l'irresponsabilité est complète, le crime n'a été qu'un symptôme d'une maladie mentale. Ce n'est pas la prison, c'
t qu'un médecin ait été commis, certainement il n'aurait trouvé aucun symptôme d'aliénation, il n'aurait reconnu aucun affaiblis
ent des cas analogues à celui-ei. dans lesquels le crime n'est que le symptôme de l'affection mentale ; on croit punir un coupab
qu'elle peut avoir. Dans des cas pareils, lorsque par l'évolution des symptômes il est bien avéré que le crime commis l'a été sou
questions métaphysiques. A la fin de ses éludes se produit un premier symptôme île maladie : il est un des plus forts de sa clas
tant d'apparence de raison à toutes les questions, ne montrant aucun symptôme apparent de folie, ¡1 aurait été condamné à une p
la possibilité de l'origine el ele In unture purement psychiques des symptômes observés, je soumis ee jeune homme à la suggestio
hystérique. Enfin, je signalerai la facilité de la disparition des symptômes par l'hypnotisation et la suggestion. Cette sugge
raitement a permis de juger la question ; la parésie musculaire, seul symptôme qui préoccupait le malade, a cédé en deux jours à
e au praticien de savoir sur les causes, l'anatomie pathologique, les symptômes et le traitement de ces états complexes qu'on est
t, contre son habitude, était très inquiète, elle présentait tous les symptômes il un rêve très désagréable. Je lui demaudai ce q
rai que cher les hystériques la suggestion ne parvient qu'à guérir un symptôme qui est bientôt remplacé par un autre plus ou moi
ompagnon allait saigner du nez pourvoir apparaître aussitôt les mêmes symptômes . Ferré rapporte un cas remarquable d'hématophob
on â la Salpétrière dans des conditions identiques et qui offrent des symptômes communs vraiment dignes de remarque. Chaque ann
xe de grimaces et de gestes d'une infinie variété, » Les principaux symptômes morbides que présentent ces malades relèvent des
er. Dans les paralysies psychiques il n'est pas rare d'observer les symptômes les plus paradoxaux ; cependant, il est quelques
ffet devenue aphone brusque nient, sans cause apparente et sans aucun symptôme laryngé. Ausm n'es-il pas étonnant que le traitem
pas accompagnés de fractures ni de déplacements des vertèbres. Les symptômes sont à peu près les mêmes dans ces deux catégorie
up ou d'une chute sur le dos ou sur les pieds, on voit apparaître les symptômes caractéristiques d'une affection de la moelle ou
actéristiques d'une affection de la moelle ou île ses enveloppes. Ces symptômes surviennent soit immédiatement après l'accident,
peut-être parfois très longue. Cependant, les cas où l'apparition de» symptômes morbides est tardive sont très peu fréquents dans
de blocs de charbon sur la région dorsale, provoque l'apparition des symptômes non douteux d'une commotion de la moelle. Le» cas
ineurs : la chuit- de blocs de charbon sur le dos produit souvent les symptôme » de la commotion spinale ; ces symptôme» ne sont
ur le dos produit souvent les symptôme» de la commotion spinale ; ces symptôme » ne sont que passagers dans la grande majorité de
qu'il est relativement rare après les traumatisme» ordinaires. Les symptômes île la névrose traumatique sont en grande partie
Autant que je puis en juger d'après mon expérience personnelle, les symptômes consécutifs aux accidents de chemin de fer sont d
ison de ces malades est souvent lente. Dans presque tous les cas. les symptômes persistent ou même augmentent d'intensité tant qu
l du corps ressemblant à celui du sommeil. Nul doute que ces derniers symptômes ne fussent des manifestations d'un étal nerveux h
ue plus tard pour un accès de nature hystérique, ainsi que les autres symptômes énumérés plus haut et à la suite (1). Ce n'est
par jour, puis elles cessèrent tout d'un coup pour faire place à des symptômes de dérangement de l'esprit. Ces symptômes marquai
coup pour faire place à des symptômes de dérangement de l'esprit. Ces symptômes marquaient le commencement de l'état maladif qu'o
ût été dans la nécessité d'interrompre une brillante carrière, si les symptômes dont il souffrait n'avaient cédé au traitement ps
decin le plus compétent cl le plus exercé. Nous voulons parler de ces symptômes d'ordre purement subjectif, désignés par Beard so
, sa mère est morte d'une paraplégie; il a une sceur qui présente des symptôme » hystériques. Le malade n'est pas libéré du ser
éréditaire de lenr affection. Il est difficile de considérer comme un symptôme d'aliénation mentale des sensations normales et q
ès â présent, attirer l'attention de nos confrères militaires sur ces symptômes morhides qui méritent d'appeler leur attention, L
été lacile, il est rare que les malades n'aient pas ressenti quelques symptômes désagréables, quoique se dissipant rapidement. C'
tion produite par l'hypnose n'est pas terminée au réveil, ce sont les symptômes qui se déclarent souvent pendant le sommeil de la
peu de temps, la guérir définitivement. Et que de douleurs ou autres symptômes purement nerveux, se greffent sur les maladies or
sait pas. Certains neutralisent très bien la douleur, ou les autres symptômes , pendant le temps qu'ils sont sous l'influence su
sit parfois, si on se contente de suggérer la diminution graduelle du symptôme : la douleur p. ex. reparait, mais moins vive et s
rapeutique ne consiste pas a faire des hallucinations, ni a créer des symptômes d'hystérie, ce qu'il est facile de faire chez les
son moindre mérite, s'est surtout appliquée à démontrer que tous les symptômes de l'hystérie sont justiciables de la suggestion
bservation parait plus forte c'est quand il découvre chez M. Zola les symptômes de la psychopathîc sexuelle. Il est certain qu'on
grand sens, des artistes mal disposées ou nerveuses aient accusé des symptômes laryngés, c'est possible, mais en co cas le parfu
une nouvelle application. L'incontinence nocturne d'urine n'est ni un symptôme , ni, à plus forte raison, une maladie ; elle sera
s l'aulo-sucgestion est arrivee à un tel degré qu'elle a provoqué les symptômes de la maladie qu'ils craignaient. Les deux malade
les a pris, ont parcouru les traités de médecine et, en étudiant les symptômes do la maladie qu'ils craignaient, sont arrivés au
, par la fixation de son attention, fait naître à un moment donné des symptômes passagers, mais qui avec le temps se consolident
hypnotique subit une influence supérieure à celle de son cerveau, ces symptômes imaginaires disparaissent et le malade revient à
he des livres médicaux concernant cette maladie, il étudie à fond les symptômes , depuis au lieu de se débarrasserde son idée Gxe,
r au lendemain, en s'examinant continuellement il découvrait quelques symptômes , il éprouvait des vertiges et de l'anxiété. Il ne
ris la fuite. Cette nouvelle l'a frappé, et depuis ce moment quelques symptômes d'incoordination motrice ont apparu, mais se sont
alade qu'cllo a obligé à en étudier dans les livres médicaux tous les symptômes , et l'a forcé d'aller consulter plusieurs médecin
ssion augmentait petit à petit et un beau jour, il y a trois ans. des symptômes d'ataxie locomotrice se déclaraient chez lui, l'a
l n'a eu des douleurs fulgurantes que deux ans après l'apparition des symptômes alaxiques, mais ces douleurs ne sont point caract
ubi une auto-suggestion, s'examinant lui-même et se trouvant tous les symptômes . Ce malade, selon notre opinion, est un simple
l'agoraphobie précédente avec la cremnophobie, l'absence de quelques symptômes alaxiques très importants, la disparition des sym
e de quelques symptômes alaxiques très importants, la disparition des symptômes présents après une forte suggestion, la conservat
u médium de rendre la santé à l'ataxique en prenant lui-même tous les symptômes et toutes les souffrances qu'il éprouvait, et sur
r sur le malade une action telle, qu'elle peut amener l'apparition de symptômes simulateurs de la maladie redoutée. Le rôle de
95 (1887) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1886
teur corporelle et intellectuelle, on ne retrouvait plus les autres symptômes de la cachexie pachydermique. CACHEXIE PACHYDER
st la troisième observation publiée sur l'idio- tie crétinoïde; les symptômes se rapportent exactement à la cachexie pachyder
t suicide. - Frère et SOE111' un peu arriérés. - Etat , crétinoïde; symptômes de cachexie pachydermique. Gr... (Emile), né le
éfaut dans un certain nom- bre de cas de myxoedème. Tous les autres symptômes observés par M. Bouchaud sont bien ceux de l'id
Elise), quatre ans, admise en février 1881, présente un ensemble de symptômes qui rappellent la cachexie pachydermique, expre
té clinique de Londres comme étant celui d'un enfant présentant des symptômes ressemblant à ceux du myxoedème i . Observati
ntellectuelles. Il s'agit d'une enfant de treize ans présentant des symptômes ressemblant à ceux du myxoedème. Jusqu'à l'âge
nérale de l'intelligence. Il nous paraît inutile d'insister sur les symptômes présentés par cet enfant qui sont ceux du myxoe
ressante n'ait pas été prise avec tout le soin désirable et que les symptômes du myxoedème n'aient pas attiré l'attention de
les objets brillants placés devant elle. M. Goodhart pense que les symptômes présentés par la malade sont suffisants pour ju
nce dès le troisième mois de l'opération; arrêt de développement et symptômes de cachexie pachydermique de plus en plus accen
oitre kystique, extirpation totale le 6 octobre 1880. En mars 1881, symptômes de cachexie pachy dermique commençante, qui se
ée, faiblesse de la mémoire, mains engourdies. En lévrier 1883, les symptômes s'amendent, sauf pour la mémoire et la voix.
'abord améliorée à tel point qu'il était difficile de constater les symptômes du myxoedème,, à ce que nous rapporte M. Reverd
ue nous rapporte M. Reverdit, présente à nouveau (octobre 1886) des symptômes de cachexie pachydermique. 88 IDIOTIE CRBTINO
yperplasique, extirpation totale le 31 mai 1882. - En février 1885, symptômes très marqués de cachexie pachydermique. 18o K
; rapide améliora- tion consécutive de l'état général. En 1886, les symptômes de la cachexie persistent. 27° Baumgürtner. -
ntait en 1885, lors de la publication du travail de l'au- teur, les symptômes initiaux de la cachexie pachydermique. . Baumga
de vingt-six ans, opérée depuis quatre ans, présentait en 1885 des symptômes très graves myxoedémateux '. 33° Bruns. - C'est
. - Femme de cinquante-deux ans, opérée il y a onze ans par Lister; symptômes myxoedémateux très accentués; l'intelligence es
quatre mois et demi après l'opération, il présentait les principaux symptômes de la cachexie pachydermique. 31o Pietrikowsk
- Trois ans après l'examen de la malade permettait de constater des symptômes de cachexie pachydermique. 39° Baumgàrtner 5.
CACHEXIE PACHYDERMIQUE EXPÉRIMENTALE. 97 pérature, etc., tous les symptômes enfin observés dans le myxoedème. On pouvait co
serait prématuré) entre les faits trouvés à l'autopsie et quelques symptômes obser- vés du vivant du sujet ; nous avons pu c
artificiellement à une température élevée : M. Horsley rapporte les symptômes observés par lui à trois états successifs : 1°
es mentionner brièvement parce qu'elles expliquent suffisamment les symptômes obser- vés dans l'idiotie crétinoïde ou à la su
nivores (chiens et chats) qui succombent après avoir présenté des symptômes plus ou moins comparables à ceux qu'on observe
les résul- tats opératoires, les animaux succomberaient avec des symptômes rappelant l'empoisonnement par le phos- phore,
rachis normaux. Abdomen souple n'offrant rien de parti- culier. SYMPTÔMES . ion Membres supérieurs bien conformés, bien mu
tam- ment, il est impossible d'étudier avec soin la respiration.. SYMPTÔMES . 111 1 Cou flexible, mais les mouvements de la
871). - Garçon de 3 ans. Tuberculose abdominale présentant tous les symptômes clas- siques de ce genre d'affection. Rien autr
(Ibid.). Enfant de 12 ans, mort do péritonite tuberculeuse. Pas de symptômes de tumeur de la protubérance bien qu'on en ait
ut les intermittences, les modifications presque jour- nalières des symptômes : la paraplégie qui existait un jour ne se retr
raction de l'ahdomen, une diminution de la quantité des urines. Les symptômes préexistants : dysphagie,constipation, raideur
t incons- tants. Le strabisme est peut-être le moins infidèle des symptômes : on le retrouve dans la plupart des cas. On po
ubérance au point de vue de la marche : 1° Tubercules évoluant sans symptômes jusqu'au moment de la mort,qui est souvent prod
rait presque une étude spéciale pour chaque cas. La variabilité des symptômes nerveux et leur inconstance pourraient même, pe
nfin la colonne vertébrale. Laissant de côté 140 RELATION ENTRE LES symptômes et LES lésions. les organes thoraciques et abdo
t. X température deux heures après la mort. volumineux. Parmi les symptômes les plus caractéristiques, nous devons rappeler
rélation très nette entre le siège prédominant des lésions s et les symptômes les plus saillants. Les lésions méningiti- ques
bations répétées qu'apparurent de graves accidents. La nature des symptômes et leur évolution appartiennent bien à l'alcool
ts, enfin il gâtait : la déchéance était complète. Notons que les symptômes , une fois établis, n'ont pas rétrocédé, bien qu
ins points diffus; ce qui coïncide avec la prédominance de quelques symptômes à gauche. Malgré l'atrophie plus marquée du côt
emphigus à petites bulles, de fréquentes entérites et, en- fin, les symptômes de méningo-encéphalite qui ont enlevé le malade
s d'altérations. En résumé, il n'y avait pas de rap- port entre les symptômes cliniques et les altérations ana- tomiques (1).
e jusqu'à 38". Mais bientôt la scène change; un accès survient, des symptômes de congestion méningi- tique apparaissent, le m
ne nouvelle ascension, qui s'élève jusqu'à 42°,4, ctcot ensemble de symptômes se termine parla mort. (fin. 25). L'observation
96 (1892) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 7
e et de là pathogénêsie des instincts pervers de la vie sexuelle. Les symptômes concomit-tants constants des aberrations sexuelle
r arriver à se faire une juste idée de la paresthésie sexuelle. Les symptômes de l'anesthésie sexuelle et de l'uranisme de la f
et la débilité du cerveau dont elles ne sont le plus souvent que les symptômes . Le succès énorme de la Psychopathia sexualis, du
rovoqué. Pour l'auteur comme pour le profeseur von Kraft-Ebing. les symptômes de ces aberration» doivent se comprendre comme se
, par la suggestion, de faire disparaître pendant un certain temps ce symptôme . Enfin, cette malade nous permit de démontrer c
is par au, pendant deux ou trois ans, présentant à peu près les mêmes symptômes . Il ne les prévoyait pat. Puis, tout se calma peu
n peu do douleur et d'engourdissement dans le pied gauche. Ces deux symptômes disparurent complètement à la troisième hypnotisa
e pathologie mentale, on devra se borner à faire disparaître certains symptômes , comme les hallucinations, les idées de persécuti
rgement de l'utérus, antéversion, catarrhe vésical. Il y a tous tes symptômes , tous les stigmates de la neurasthénie et de l'hy
te sexuel, etc. État mental avec toutes ses bizarreries. Tous les symptômes aussi de la neurasthénie gastrique, de la dilatat
ence, etc. Faiblesse permettant a peine la station debout. Tous les symptômes secondaires aussi, dans le détail desquels je ne
lus tard, la dilatation était devenue relativement insignifiante. Les symptômes pulmonaires, précurseurs do la phtisie, avaient d
ujet fausse ou neutralise. La lésion ou le trouble qui commande ces symptômes existe, non dans les centres sensoriels ou sensit
dans lequel je plonge journellement beaucoup de mes malades, que deux symptômes qu'on pourrait nommer anormaux. Notamment, l'anes
l'éveiller. Dans !e but de guérir, on ne peut se passer de ces deux symptômes . L'anesthésie, quoique faisant souvent défaut, es
uire l'état pathologique de somnambulisme nocturne ? Cependant, les symptômes divers de la maladie nous obligent souvent à cont
r il ne faut pas oublier que l'ataxie psychique est un des principaux symptômes de l'hystérie. Sans doute, l'on ne rendra perso
abilité de l'individu; on enlève les douleurs et fait disparaître les symptômes morbides ; on commande l'appétit, le repos normal
vous leur montrerez simplement le chemin. Vous leur annoncez que les symptômes morbides disparaîtront, non par la prépondérance
est pas convaincu, généralement, que la manière de procéder envers ce symptôme hystérique peut servir de principe capital dans l
en faisant apprendre à la volonté consciente du malade A dominer ses symptômes morbides, j'ai su triompher de formes graves de n
hysiologiques est médiocre. Ils ne réalisent pas les suggestions; les symptômes morbides cèdent difficilement. La faculté idéopla
t aux pieds par la pensée continue aux plaies du Christ crucifie, les symptômes du choléra éveillés par la peur. (c) Traitement
ndormi ou non, l'idée de la guérison ou de la disparition de certains symptômes . La parole n'a pas le monopole de la suggestion
ut possible, par des suggestions, d'atténuer beaucoup l'intensité des symptôme » et en particulier des sueurs profuses dont elle
hallucinations, cauchemars, idées de suicide, etc. Elle attribue ces symptômes à l'usage de la morphine. Entrée a la Charité en
aussi dans l'apparition, au cours d'un accès de forme différente, de symptômes ou de traits particuliers, frappants, et reprodui
e traits particuliers, frappants, et reproduisant exactement certains symptômes ou traits qui ont dominé d'une façon remarquable
dominé d'une façon remarquable dans les deux cas. Ces traits ou ces symptômes , qui forment le point capital de l'imitation dans
celle différence caractéristique que la cause qui a donné lieu à ces symptômes dans le premier cas, n'existe pas dans le second
ou moins imparfaite. ¿1 la simulation a pour objet une crise ou les symptômes d'une maladie, il s'y mélange des circonstances,
Spontanément et d'une façon graduelle, la crise se transforme. Les symptômes étrangers se fondent, insensiblement et sans seco
table, notamment dans certaines douleurs, dans les paresthésies, les symptômes d'irritabilité motrice, son action est d'ordre su
s muscles de la face, entrait en eut de mort apparente. avec tous les symptômes habituels de la syncope. An bout de quelques mi
ôpital. Deux mois se passent, et un matin elle revient avec les mêmes symptômes de scoliose, peut-être plus accentués : on recomm
frayés amènent l'enfant a Trousseau : d'après ce début brusque et ces symptômes analogues à ceux de l'observation précédente, on
ion de la jambe et de la face postérieure de la cuisse). C'est sur ce symptôme seul que je veux insister ici. Étudions d'abord
e que tous les hystériques s'entendent pour simuler de mauvais foi ce symptôme . Notre sujet ne savait pas que l'hystérie est car
ion de la morphine, et plusieurs fois depuis, la maladie présenta des symptômes d'angine de poitrine, probablement de nature hyst
de, qui ne savait rien de la suggestion intra-hypnotique. ressent les symptômes avant-coureurs de l'accès, mais elle n'a pas de c
peut refaire un esprit, mais on peut combattre efficacement certains symptômes . Le traitement consista donc en pratiques hydro
emprunts. D après cet auteur, elle se caractérise par une série de symptômes que nous allons reprendre en les comparant à ceux
rant à ceux présentés par notre malade. Le début porte d'emblée les symptômes a leur maximum ; l'imitation joue quelquefois un
arce qu'elle boitait et elle n'avait jamais eu à se plaindre d'autres symptômes . J'insiste particulièrement sur l'absence de doul
articulaires que l'on rencontre dans la coxalgie vraie. Ce défaut de symptômes positifs existait bien chez notre malade. De plus
oxalgie vraie. On pourrait objecter que l'enfant n'a présenté aucun symptôme d'hystérie ; mais ne savons-nous pas que chez les
ontracture hystérique, 1892 Pour ce cas encore, l'absence totale de symptômes articulaires locaux et la guérison rapide permet
des points de repères fixes permettant d'étudier plus facilement ces symptômes si complexes; il a établi trois états hypnotiques
n pourrait appeler des cas types et réguliers, dans lesquels tous les symptômes offrent le caractère de précision sur lesquels no
des deux à la fois, et qui compte au nombre de ces manifestations les symptômes cataleptoïdes dont il est question ». Dans cet
s hypnotiques mixtes et frustes ressemblant par quelques-uns de leurs symptômes aux états typiques décrits par Charcot, mais en d
tous les états qui peuvent se présenter: c'est qu'en effet, tous les symptômes principaux indiqués par Charcot peuvent se combin
cette maladie; mais il faut ajouter que, plus que tous autres, les symptômes présentés donnaient prise à la défiance et il y e
vaux récents qui nous ont si bien fait connaître les stigmates et les symptômes propres de la grande névrose, on peut dire que la
ulières : ces simulations sont celles qui consistent à reproduire des symptômes qui se présentent quelquefois dans Leur affection
ace. Nous pourrions dans ce classement mettre en première ligne les symptômes d'ordre sensitif : douleurs, impressions morales,
fantaisiste et artificielle, soit à l'état d'exagération notable d'un symptôme vrai mais fort peu accusé. Après ceux-ci. nous
u accusé. Après ceux-ci. nous pourrions mettre en seconde ligne les symptômes de l'ordre sensoriel. Ici, le fait est beaucoup p
souvent aussi simulés par les hystériques. Après ces simulations de symptômes à grand éclat, nous placerions les manifestations
s et les phénomènes qui sont sous leur dépendance. Enfin, après ces symptômes habituels de la maladie, viennent une foule de si
motifs de cette simulation. Pourquoi l'hystérique simule-t-elle un symptôme , une lésion, une crise ou une affection quelconqu
le plus flagrant : nous avons affaire à une hystérique qui simule un symptôme ou une affection qui se rencontre souvent dans la
acture vraie ou de la simulation? Si l'on se contente d'examiner le symptôme présenté, il est absolument impossible d'en faire
ntracture de la mâchoire, le phénomène objectif actuel, était bien un symptôme simulé. L'hypnotisa lion et la terminaison de la
e encore que l'hypnotisme peut servir, non pas seulement à guérir les symptômes réels présentés par les hystériques, mais encore
aura dépister la fourberie partout où elle se produira et dégager des symptômes réels faisant foncièrement partie de la maladie l
97 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
l Quand la magnétisation-mode se substitue à la magnétisation-coutume symptôme ordinaire d'une révolution sociale qui commence,
e première suggestion. Son mari, n'ayant jamais constaté chez elle de symptômes hystériques avant l'affection actuelle, ne pouvai
ales et intercostales. Les crises très fréquentes se compliquaient de symptômes nouveaux : convulsion oculaire, trismus et mutism
te satisfaction consécutive à l'acte accompli, en un mot, de tous les symptômes caractéristiques de l'obsession ? Imaginons un
usqu'à quinze tournées d'eau-de-vie. Il n'éprouvait jamais le moindre symptôme d'ivresse et il attribuait sa tolérance pour les
bsinthe. Mais, il y a quelques mois il a commencé a éprouver quelques symptômes d'intoxication alcoolique. L'appétit à diminué, i
nne. Le Docteur 'Polypharmaque prescrit quelque chose contre chaque symptôme , et c'est une grosse affaire que de suivre ponctu
lie nettement caractérisée se présente á notre clinique. Entre autres symptômes , elle accuse depuis deux ans une thermo-anesthési
remière catégorie ou dans la seconde, car il présentait à la fois les symptômes de l'une et de l'autre. Lorsque nous le revîmes
ndemain renforcer un état saburral avec fiévré et tout le cortège des symptômes caractéristiques de la grippe (épidémie régnante
aumatismes, mais il n'existe pas de névrose traumatique unique. Les symptômes prétendus caractéristiques de ce genre d'affectio
est dire que nous avons rencontré les formes les plus diverses et les symptômes les plus variés de cette affection. Contraireme
t contre les manifestations locales, mais aussi contre l'ensemble des symptômes généraux de l'hystérie. D'une façon générale, nou
° Contre les attaques convulsives de la grande hystérie et contre les symptômes qui peuvent persister â la suite de ces attaques
elle a eu pour éffet d'amener d'une façon durable la disparition des symptômes qui avaient permis de porter le diagnostic d'hyst
avons pu obtenir la disparition ou l'atténuation de quelques-uns des symptômes les plus pénibles de l'ataxie locomotrice. Chez t
ttendais. A côté de cas ou il m'a. a été permis de supprimer certains symptômes de l'hys térie, j'en ai d'autres où les tentative
e syringomyélie où M. Bérillon a fait disparaître par suggest tion le symptôme thermo-anesthésie, je serais porté à croire que c
ai que M Forci a réussi a faire disparaître chez des aliénés quelques symptômes pénibles, tels que l'insomnie, l'anorexie, etc..
voir invoquer la possibilité d'une erreur de diagnostic Outre que les symptômes de l'épilepsie confirmée sont malheureusement ass
une règle de n'appliquer le traitement suggestif qu'aux formes et aux symptômes de l'aliénation mentale qui sont considérés comme
a folie du doute est ainsi, chez les auteurs contemporains, tantôt le symptôme des affections mentales et nerveuses les plus var
lui fixer une place dans le cadre des maladies mentales, que pour les symptômes étranges qui la caractérisent. L'histoire de ce
richard. Esquirol met déjà en relief dans cette observation, les deux symptômes essentiels de la folie du doute, la lutte constan
.» Il n' y a pas un root dans ses trois observations qui rappelle les symptômes une nous connaissons sous le nom de délire du tou
et de fous questionneurs , mais il suffît de prendre connaissance des symptômes mentaux de ces deux malades pour être certain qu'
ageform " ne désignent pas d'une manière précise et assez complète le symptôme observé. Il s'agirait plutôt d'un Fragezwang ". e
enaudin et Legrand do Saulle. que l'obsession n'est point toujours un symptôme simplement " station nuire, mais que d'habitude e
sytème nerveux et la suggestion hypnotique, qui combat directement le symptôme . Je n'ai pas encore assez expérimente ces méthode
ls de folie du doute et du délire du toucher qui se manifestent comme symptômes de neurasthésie chez les personnes prédisposées à
pnotique chez un de mes collègues, mais sans succès; et parce que les symptômes de la morph:nomanie étaient chez lui dissimulés e
eurée régulière depuis. Toutes les douleurs, toutes les crampes, tout symptôme de maladie ont disparu et la morphine n'existe pl
e par cuillerées à bouche et â deux heures de l'après-, midi tous les symptômes particuliers de la morphinomanie avaient disparu
jamais être supprimée de suite. 3. Les vomissements bilieux sont un symptôme de guérison et doivent continuer pendant au moins
i cause une impression très pénible. Chez certains sujets, le premier symptôme du morphinisme se traduit par un: vomissement.
, » Effectivement il mourut quelques minutes plus tard, avec tous les symptômes de l'empoisonnement par l'aconit. Lamson avait ga
ii» ií".jii'. — Ln~(tt iSDa. i88q.enceinte de b moisi 2 environ.les symptômes du début ont été assez insignifiants, l'auscultat
s d'un mot. Que le globe utérin tarde a revenir sur lui même, que des symptômes inquiétants se manitestent, la suggestion à l'éta
s "dévolue aux névropathes seuls, que l'état hypnotique n'est pas un • Symptôme de l'hystérie. Nous avons montré que l'nystérie e
état de mélancolie profonde et qui, par l'aggravation progressive des Symptômes , avait présenté, pendant huit à dix semaines, un
ées de manie tranquille avec tendance a la tristesse, qui offrait les symptômes de cette singulière altération de la personnalité
temps, j'employai la suggestion à l'état de veille pour éloigner les symptômes qui alarmaient la malade, tels que névralgies div
dans l'espoir d'en bénéficier, et présentent une atténuation de leurs symptômes dès qu'on parait compatir à leur situa-non ou qu
assez longtemps si l'on montre de la défiance & 1 égard de leurs symptômes . La séquestration n'exerce pas sur ces sujets d'i
ces dernières années, certaines crises ont duré trois mois; mais les symptômes fondamentaux sont restés les mêmes, et, en partic
leur a données, état que M. Liégeois, qui en a le premier étudié les symptômes , appelle condition seconde provoquée (i}, et M. B
es cas, tant que durait le sommeil provoqué, elle présentait d'antres symptômes que dans les états alternants qui se succédaient
es et suggestibles à un très haut degré, et qui ne présentaient aucun symptôme d'hystérie. Je ferai remarquer, en outre, que, si
On objecte fréquemment que si l'hypnotisme fait disparaître certains symptômes d'un caractère nerveux et hystérique, c'est seule
auvaise conduite l'avait rendue très malheureuse. Elle présentait les symptômes suivants: insomnie, manque d'appétit et douleurs
pétit et douleurs presque continuelles dans la région occipitale. Ces symptômes s'aggravaient au moment des époques, qui revenaie
rrégulier ; les extrémités froides, la circulation ralentie. Tous ces symptômes résultaient évidemment de troubles nerveux, et el
pelé le grand hypnotisme (1). Lentement, patiemment, il en fixe les symptômes , fait le bilan des quelques avantages (2) qu'on p
rer que ce procédé thérapeutique n'est pas seulement applicable à des symptômes isolés et de peu de gravité, mais qu'il est aussi
estion devait cependant agir, car. en moins de six semaines, tous les symptômes avaient disparu graduellement, de façon qu'aujour
ui en est le principal fauteur. Ce qui n'empêche que les principaux symptômes neurasthéniques n'aient été de tout temps observé
la première, qui est très longue, ne comprend que la description des symptômes sans description nosologique; dans la deuxième s'
maladie précise à type bien défini, constituée toujours par les mêmes symptômes en plus ou moins grand nombre, plus ou moins impo
forment en quelque sorte le fonds de la maladie de Beard; ce sont les symptômes essentiels les plus fréquents et les plus caracté
tableau si complet est-il épuré. M. Levillain n'y admet qu'à titre de symptômes de complication certains phénomènes psychopatique
et d'avoir indiqué l'utilité de leur étude. Cest de cette série de symptômes et de leurs combinaisons cliniques variées que vi
es, qui relevaient simplement de la névrose nemaslhénique! Il y a des symptômes morbides de tout siège qu'on a pu considérer comm
habituelle. En interrogeant le sujet, j'appelle son attention sur on symptôme spécial, tel que douleur, insomnie nocturne, mala
seule séance, l'acte inhibitoire nécessaire à la guérison. Les autres symptômes hystériques se sont dissipés rapidement. L'hyst
l, très justiciable de la suggestion thérapeutique. Sans doute, les symptômes neurasthéniques, lorsqu'ils sont d'origine hérédi
ules que le meilleur acteur ne saurait imiter, il y a encore d'autres symptômes , tels que la tranquillité du sommeil nocturne, la
rvice et sortit bien portante. Le lundi 23 mars, après avoir eu des symptômes d'embarras gastrique et pris, sur l'ordonnance d'
de zones hystérogènes, pas d'anesthésie. De même, il n'existe pas de symptômes que l'on puisse rattacher au tabès, point de doul
s et en constituer pendant longtemps (dix années dans un cas) le seul symptôme subjectif. Des cas analogues ont été observés c
qu'une des multiples manières d'être du dégénéré, et que derrière le symptôme on trouvera la maladie. Remarquons, en terminan
98 (1891) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 6
rait, par la seule affirmation, faire disparaître tout le cortège des symptômes morbides, c'est une illusion, et — pis que cela —
ie. C'est d'abord la légion des hystériques présentant le cortège des symptômes variés de cette névrose protéiforme. Ce sont ensu
ur leurs troubles oculaires, ceux de la mixtion et pour divers autres symptômes un soulagement plus ou moins durable qui leur ava
ggestion, qui doit être considérée avant tout comme-une médication de symptômes , a fait ses preuves contre des insomnies réfracta
sonnes du reste parfaitement normales. S'iTn'y a pas d'orage, le seul symptôme psycho-pathîque présententé par ces personnes est
nguer cependant un état psychopalhique présentant une .combinaison de symptômes qui se répètent assez régulièrement et qu'on peut
le, que je proposerais de nommer « crainte de souillure » d'après son symptôme principal. Ladame, dans sa communication faite
quatre cas traités par moi, j'ai observé une connexion entre ces deux symptômes impossible à méconnaître et formant un syndrome s
é joue un rôle. Une sœur de mon malade. M. X.... présentait les mêmes symptômes que lui, quoique à on degré moins prononcé. Je n'
i de donner ses soins à sa mère morte d'un anthrax ; chez l'homme les symptômes se sont montrés après qu'il eût été fortement imp
ut degré; je ne me rappelle pas avoir vu un second cas présentant les symptômes de cette maladie d'une manière aussi prononcée.
une anxiété générale, de l'inquiétude. Leur sommeil était calme. Les symptômes présentèrent des alternatives d'exacerbation et d
res cas, peut être idiopathique et se présenter isolément, devient un symptôme secondaire; elle se greffe sur le délire du touch
t avancé et dans ses formes graves; elle doit être considéré comme un symptôme d'une faiblesse psychique avancée. Avant défini
mémoire n'est plus aussi bonne qu'auparavant. Il n'y a pas le moindre symptôme de folie du doute, ni de véritable méfiance de so
pnotique des contractures, des paralysies, des anes-thésies, tous le» symptômes , en un mot, qui dominent le tableau clinique de l
ion, à elle-seule. serait impuissante à provoquer l'apparition de ces symptômes physiques. Elle a agi comme un agent révélateur d
eu question a eu eu particulier ce ptosls special qui est le premier symptôme de la maladie et qui, pour les médecins qui out e
casion d'en observer un grand nombre de cas en Sibérie. On uil que le symptôme fondamental du cette étrange maladie consi»le dan
est d'autant plus intéressant qu'il concerne une dame exemple de tout symptôme d'hystérie. Voici l'histoire rapide des prodrom
sans obtenir le phénomène de l'hyperexcitabitité neuro-musculaire. ce symptôme quasi constant de l'état léthargique, etc. » Ai
olisé, il peut s'auto-sugges-lionner lui-même, et un grand nombre des symptômes de l'hystérie ont toutes les allures des phénomèn
i trouve dans une observation de thérapeutique suggestive beaucoup de symptômes nerveux, parce que c'est à ces symptômes que la t
tique suggestive beaucoup de symptômes nerveux, parce que c'est à ces symptômes que la thérapeutique s'adresse. Beaucoup de malad
apeutiques que la suggestion peut trouver contre un certain nombre de symptômes dépendant de troubles fonctionnels, elle est nett
nées par la destruction d'un tissu. 12. — Mais quand, en dehors des symptômes déterminés par la lésion matérielle, on en observ
l est possible de les faire disparaître, et il ne reste alors que les symptômes qui tiennent à la lésion elle-même. 13. — Ceci
notique et la suggestion peuvent être utilisés dans le traitement des symptômes isolés et. de la sorte, faciliter la guérison.
isolés et. de la sorte, faciliter la guérison. 15. — Les principaux symptômes justiciables de l'application de l'hypnotisme son
mais il ne le sera pas pour les Parisiens, car ceux-ci réclament des symptômes soma tiques. Que le philologue de Liège et ses
s deux ce qu'on appelle un peu nerveuses, mais elles n'accusent aucun symptôme d'hystérie. Au mois de septembre 1890, M. D...
I., âgé de neuf ans, montrait, à l'Age de un an et demi, les premiers symptômes d'une diathèse hémorrhagique et hémophilique. Une
ès maigre et d'une muscul-ture très peu développée. 11 porte tous les symptômes d'une anémie extravagante. Les conjunetwes, comme
r par la suggestion hypnotique la disparition d'un certain nombre des symptômes de l'épilepsie essentielle, et en particulier des
e que celle de l'épiiepsie. nous ne pouvons souvent combattre que des symptômes , c'est ce que j'ai tait et c'est là le triomphe d
us. Ainsi, l'école de la Salpétrièrc, qui croyait avoir découvert des symptômes paihogno-moniques de cette supposée grande névros
degrés plus élevés d'intoxication alcoolique où le patient offre les symptômes plus ou moins prononcés d'une véritable maladie c
e dans certaines affections nerveuses cum materia, où l'apparition de symptômes fonctionnels coïncide avec L'existence d'une lési
furent bénins, et il n'a eu aucun accident tertiaire. Les premiers symptômes de laiaxie se sont manifestes en 185$ par une nev
enté par le malade lorsque nous l'avons examiné et qui comportait les symptômes suivants : incoordination motrice et marche carac
and nous avons essayé d'autres méthodes de traitement sans calmer les symptômes . J'ai le plaisir de dire que dans toute l'Anglete
onsommés pendant des années, il fallut quelques jours pour calmer les symptômes de gastrite et de désorganisation du cœur et du f
secondes à trois jours, suivant la ténacité plus on moins grande des symptômes que nous voulons faire disparaître. La nommée C
h. 30 du soir, elle était de 35, 5° C. Dans les deux cas, tous les symptômes désagréables disparurent et la température revint
ménorrhée, de douieur abdominale d'inaptitude à la marche et d'autre* symptômes nerieux. Aucun traitement n'avat été d'aucun seco
rés; étude sur le passage graduel d'un état psychologique normal à un symptôme pathologique -. (ln-8°. 131 p.. Stuttgart.) Del
plusieurs séances par jour pour maintenir l'abstinence et calmer les symptômes douloureux et pénibles de celte période. Au fur e
ation, hyperesthésie, hyperkinésie, etc., c'est-à-dire un ensemble de symptômes qui semblent annoncer plutôt une exagération qu'u
mé. Leur mauvais esprit travaille et tend à leur suggérer de nouveaux symptômes ou un malaise vague: ils veulent guérir, et cepen
leurs, la suggestion aurait pu, dans une certaine mesure, amender les symptômes , en éliminant de la scène les effets purement dyn
r la lésion elle-même ; elle n'aurait rien pu contre celle-ci, et les symptômes ressortissant directement de la lésion eussent pe
été l'observation d'un malade igé de vingt-huit ans, qui présente les symptômes d'une névropathie douloureuse localisée et par de
rsistantes. Il cesse en avril de prendre de l'absinthe; toutefois les symptômes décrits persistent et il vient alors nous consult
x, de tomber dans des états spéciaux, nettement '-aractérisés par des symptômes somaliques particuliers, el cela par la seule a
à celte suggeslibilité excessive, il fut facile de combattre tous les symptômes qu'elle présentait, et aujourd'hui elle peut se c
euro-musculaïre, et malgré son jeune âge, les trois périodes du grand symptôme apparaissent chez elle aussi nettement que chez l
-mais elle s'accompagnait le plus souventd'une impression morale. Les symptômes de la maladie nerveuse en étaient modifiés en con
apeutique, nous sommes invites par les malades, ou déterminés par les symptômes observés, à employer la suggestion avec ou sans h
pation, etc., mais les règles sont revenues, presque tout vestige des symptômes morbides locaux a disparu, la nutrition se fait a
ouleurs 1res vives; j'eus recours à l'hypnolisme pour lui enlever ces symptômes douloureux, et elle m'écrivit trois mois après po
malade et annexée au procès, donne quelques détails sur les premiers symptômes que ressentit la possédée après avoir été touchée
, car on trouve sous le nom de démoniaque des malades qui offrent les symptômes des névroses et des psychoses tes plus diverses.
ersaient entre eux et avec les esprit* du dehors. On retrouve le même symptôme dans d'autres formes de maladie* mentale*. Aux te
rler dans le chapitre suivant. La démoniaque susdite présentait des symptômes manifeste* d'hystérie, comme on en constate dans
veut eslrangler. > (Le globe" ou la boule hystérique). C'était le symptôme vulgaire de la possession. En 16(3 habitait au
La cas suivant est du même genre. On reconnaît facilement dans les symptômes nerveux manifestés chez la malade l'effet do la s
par suggestion dans le sommeil hypnotique, on connaît exactement les symptômes caractéristiques do ces paralysies. Ce sont elles
? R. Qu'il parle dedans elle, mais qu'elle ne lui demande rien. Ce symptôme assez fréquent chez les aliénés, et qui s'observe
munications, ainsi que le programme complet des travaux du Congrès. Symptômes psychiques de la goutte, éclairés par l'histoire
at, 286. Sujets hystériques (phénomènes hypnotiques chez les). 269. Symptômes psychiques de la goutte, 380. Tarentule (la), 3
99 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
'autre part des formes hybrides, où la maladie emprunte de nouveaux symptômes à des affections qui lui sont voisines dans le
l ne faut pas se contenter de la constatation pure et simple de tel symptôme et de telle lésion, créer des syndromes vagues
ent, les troubles de la pa- role. Sans l'adjonction d'aucun autre symptôme , sans phénomènes oculaires, sans changement dan
ace d'hérédo-syphilis, et nous caractérise- rons sa maladie par ces symptômes : grosse ataxie, abolition des réflexes, parole
pour parachever le schéma classique, rappelez-vous seulement que ce symptôme peut n'exister qu'à l'état d'ébauche et d'une f
lement à éliminer le tabes, si la malade ne présentait en outre des symptômes sortant du cadre de cette affection : le nystagmu
23 tômes ont leur summum aussitôt après l'accident, ni même de ces symptômes tardifs, consécutifs à un trauma direct du rach
côtés ou se localise d'un seul côté, donnant lieu naturellement des symptômes en rapport avec la région intéressée. C'est a
e lorsque les faisceaux postérieurs sont atteints, on observera les symptômes du tabes, fait sur lequel s'appuient les auteurs
enèse. 2° Par sa longue incubation. Entre l'accident etles premiers symptômes médul- laires, s'écoule une période de temps pl
n segment où elle va s'installer pour, de là, se manifester par ses symptômes sensitivo-moteurs puis rétrocéder après avoir a
les en rapport avec la vulnérabilité du tissu médullaire et par des symptômes en rapport avec l'impressionnabilité du sujet. Ai
vation, qui par ses données pathogéniques, par son évolution et ses symptômes se rapproche de la mienne. J'ai revu, il y a ci
présentait le malade de M. Jaccoud. Je vais maintenant étudier les symptômes de mon malade, et vous verrez combien son obser
), mais à raison de sa maladresse, on ne put plus l'em- ployer. Les symptômes sont dès lors restés ce qu'ils sont aujourd'hui.
hénie rapide et Luciani, expérimentalement, a bien mis en relief ce symptôme chez les animaux privés de cervelet. Enfin, en
dans le cadre tracé par M. Babinski en 1899 et ultérieurement. Les symptômes n'ont pas varié depuis cinq ans. Où localiser
phénomènes hypersthéniques de voisinage et ne don- nent jamais les symptômes nettement isolés que laissent les ischémies et
e spécial certains vieillards qui se présentent avec un ensemble de symptômes définis et constants : ils marchent voûtés, le
hent voûtés, le tronc penché en avant lorsqu'ils sont debout (et le symptôme s'exa- gère par le rapprochement des talons), l
ment, avant qu'un examen attentif n'ait amené, en révélant d'autres symptômes , à isoler ces vieillards en. un groupe à part.
e de l'arcade zygomatique ou crête sus-mastoïdienne. Ajoutons comme symptômes négatifs sur lesquels nous velop in mollilies o
ervice militaire. D'un autre côté nous avons mentionné comme un des symptômes les plus . saillants de l'ensemble morbide décr
SQUELETTE SIMULANT LA MALADIE DE PAGET 79 Nous résumons d'abord les symptômes de la maladie de Paget, insistant sur ceux qui
s l'âge de 50 ans. Les altérations évoluent lentement ; lorsque les symptômes font songer à l'ostéite déformante, voici quell
es communs énumérés plus haut, on peut constater toute une série de symptômes dont la valeur diagnostique est évidente : c'est
L'histoire clinique de l'ostéoporose sénile se résumait en un seul symptôme , la fragilité osseuse. « L'ostéoporose sénile,
la fragilité osseuse. « L'ostéoporose sénile, dit Poncet, n'a pas de symptômes . Arrivée à nn certain degré de développement, e
syndrome démence, mais on observe, en outre et'en dehors d'eux, les symptômes psychopathologiquespropres au syndrome puérilis
stitielle hyper- trophique, une affection ressemblant,par plus d'un symptôme , à la maladie de Friedreich et expliquée par la
que le malade a conscience du mal dont il est atteint. Les premiers symptômes ne firent que l'avertir de l'atteinte prochaine d
t donc, Messieurs, la maladie familiale dont nous pouvons fixer les symptômes d'après l'examen de deux de ses victimes, et dont
ait cru voir dans leur affaiblissement ou dans leur exagération, le symptôme caractéristique soit de la maladie de Friedreic
assez suspects... Tout cela entre 15 et 18 ans. Bref, les premiers symptômes apparents de son affection nerveuse ne se signa
lexes rotuliens exagérés ; troubles des fonctions de la vessie. Ces symptômes firent penser d'abord à l'existence d'une spond
tan, tout en restant bien individualisé par la présence de quelques symptômes particuliers, (1) RAYMOND et CESTAN, Le syndrom
t négatif. Ni sucre ni albumine dans les urines. En présence de ces symptômes , on pose le diagnostic de tumeur ( ? ) de la ca
des mouvements de la bilatéralité, lorsqu'elle se présente comme un symptôme isolé, cons- titue une affection très rare sign
et dans le traité de T. C. Albutt (2) il est dit nettement que les symptômes oculo-moteurs ne sont pas dus à la lésion de la
syndrome méritait bien d'attirer notre attention ; tout d'abord les symptômes oculaires pouvaient aider à la localisation de la
aux et le canal de l'épendyme. En étudiant l'évolution clinique des symptômes présentés par le malade, nous avons signalé enc
s, thyroïdiennes, thymiques, etc.) pouvant donner naissance au même symptôme . Klippel et Vigouroux, frappés de l'inten- sité
sieurs causes morbides concourent peut-être à former l'ensemble des symptômes qui caracté- rise le syndrome connu sous le nom
eumonie du lobe inférieur droit, pneumonie qui a évolué sans grands symptômes et sans hyperthermie. L'autopsie donne les résu
éphalite, embarras de la parole, tremble- ment, etc., ainsi que les symptômes tabétiques. Six mois après son entrée, en septe
ssisté, chez un paralytique général, à l'évolution assez rapide des symptômes du tabes. A son entrée,Cor... ne présentait que
noyaux embryonnaires, surtout à la périphérie des ganglions. Les symptômes provoqués par les lésions partielles des lobes cé
daux. De plus, le traumatisme physiolo- gique montre quels sont les symptômes d'une lésion survenue brusque- ment, et non pas
s d'une lésion survenue brusque- ment, et non pas la succession des symptômes provoqués par une lésion dégénérative à évoluti
très violent chagrin. C'est à cette date que remontent les premiers symptômes de l'affection actuelle c'est-à-dire une sen- s
pation modérée, l'appétit est bon, les digestions faciles, quelques symptômes d'entéro-colite muco-mem- braneuse. Léger degré
ration, ni diminution. Pas de rétrécissement du champ visuel. Aucun symptôme actuel d'hystérie; il y aurait eu, à l'époque d
de, qui n'avait présenté au cours de son affection qu'un minimum de symptômes bulbaires, meurt tout à coup par le bulbe. C'es
yndrome et pas maladie, car l'éléphantiasis peut se présenter comme symptôme de plusieurs maladies locales et générales, tout
ant trois formes morbides indé- pendantes, mais seulement comme des symptômes de plusieurs maladies qui peuvent produire une
s qui déjà com- mençaient à s'incurver. A partir de ce moment les symptômes de l'ostéite déformante s'accusent de plus en p
iés on signale chez les ascendants ou les collatéraux du malade des symptômes qui de près ou de loin rap- pellent ceux de l'o
5). Il s'agit d'un jeune berger de 47 ans. L'apparition tardive des symptômes étant un des faits les plus caractéristiques de
taire de l'affection. Wolff, cité par Sachs (2), trouve ces mê- mes symptômes chez un jeune homme, mais ne mentionne pas l'héré
ladies familiales connues, nous voudrions insister sur certains des symptômes qu'on observe chez eux. Au point de vue de la c
encontre des troubles mentaux ; c'est même eux qui constituèrent le symptôme initial ( ? ) de l'affection. IL s'agit de chan
H.... ? AFFECTION SPASTIQUE BULBO-SPINALE FAMILIALE 411 Certains symptômes (parole, tremblement des mains, contracture) po
ques ». Les différences que nous avons montrées plus haut entre ces symptômes et leur manière d'être habituelle au cours de la
tion spastique familiale. Notre cas, avec l'étendue anormale de ses symptômes nous permet en outre de nous de- mander si, com
la sclérose apparaissent. Si cette théorie n'explique pas tous les symptômes de cette espèce de maladie ni leur localisation v
membres s'est produite en même temps qu'aux membres inférieurs. Le symptôme des douleurs a été constaté et décrit par Leyden
en dernière analyse et donne la preuve de la nature hystérique d'un symptôme . Telles sont les règles qui doivent nous guider
enfant nous serons d'ordinaire réduits, ou à peu près, à l'étude du symptôme en soi. 446 BROCA ET Illinnl;'iET Le diagnost
ie doit nous faire soupçonner l'hystérie, nous faire rechercher les symptômes légers, 448 BROCA ET HERBINET puisque de stig
dans tous les cas de ce'genre,nous fûmes frappés de ce fait que les symptômes ne ressemblaient à rien de bien ca- ractérisé p
, d'un diagnostic toujours délicat, se reconnaissent surtout à deux symptômes : des irradiations pseudo-névralgiques dans les
it penser à une tumeur céré- belleuse, sans douleurs de nuque, sans symptômes encore constitués d'hypertension intracrânienne
uant au diagnostic, nous avons vu qu'il peut reposer sur l'étude de symptôme en lui-même ; mais il se fait le plus souvent p
leur cause première, a cessé. Charcot a insisté sur ce fait,que le symptôme hystérique peut gué- rir, tandis que ses fâcheu
ISSOT, Ann. Méd. psych., sept. et nov. 1S65. 472 MARGAIN tous les symptômes qu'avait présentés sa fille. Le diable avait doré
ent la contre-partie de l'achondroplasie. La micromélie est le seul symptôme commun à ces deux affections. Malgré leurs cara
ES \I1CHUMEL11; CONGENITALES 509 - rachitisme malgré la présence de symptômes anormaux, devraient être ran- gés dans cotte ca
iste des cas frustes où un certain nombre 512 POHAK ET DURANTE de symptômes font défaut ou sont très atténués. C'est ainsi qu
travail ultérieur. IV DIAGNOSTIC Pris isolément, les principaux symptômes cliniques qui caractérisent l'aclrou- droplasie
lie, la petitesse des membres par rapport à un tronc normal, est un symptôme qui s'observe dans différentes formes de nanisme.
er l'existence du rachitisme congénital pour faire rentrer tous ces symptômes dans le cadre de l'achondroplasie. Aujourd'hui,
s, dont le siège de prédilection est les côtes, existent avant tout symptôme clinique (Kassovitz, Spillmann). L'absence de sig
trouve 3 normaux et 26 rachitiques (89,7 0/0). En se basant sur les symptômes cliniques seuls, Schwarz relève 80 0/0 de rachiti
ulièrement par effacement de certains ca- ractères et apparition de symptômes exceptionnels. Mais, ainsi que le fait par- fai
ures dans un cas, les coudures et la solidité dans l'autre sont des symptômes fondamentaux qui traduisent clini- quement les
me, on trouve encore réunies des affections disparates dont le seul symptôme commun est la brièveté relative des membres. Les
ccourcissement des membres, caractéristique de cette dystrophie. Ce symptôme n'a pas échappé aux premiers observa- teurs qui
mètres. La micromélie rhizomélique est donc très évidente. Un autre symptôme signalé chez les achondroplasiques est la macro
d'insertions musculaires. On peut ajouter à ces caractères un autre symptôme consistant dans l'incurvation des membres infér
cm.). En ce qui concerne l'enfoncement de la racine du nez c'est un symptôme qui manque également dans quelques cas d'achond
as absolument typi- que à cause de l'absence d'un certain nombre de symptômes , se rapproche beaucoup des autres cas d'achondr
rapproche beaucoup des autres cas d'achondroplasie et le nombre des symptômes positifs dépasse celui des symptômes négatifs.
chondroplasie et le nombre des symptômes positifs dépasse celui des symptômes négatifs. Aussi le diagnostic d'achron- droplas
ogie, 24 juin 1905. 35. Dort. - L'opothérapie orchitique contre les symptômes de fatigue oculaire. Dixième Congrès internatio
sclérose multiple ; ensuite parce que dans cette observa- tion les symptômes nerveux s'étant manifestas 5-6 jours seulement ap
ne atrophie musculaire à début périphérique. En même temps et comme symptôme d'une méningo- myélite se faisant par plaques,
otrophie progressive du type Aran-Duchenne, accompa- gnée ou non de symptômes de sclérose latérale,de sclérose postérieure ou
non de symptômes de sclérose latérale,de sclérose postérieure ou de symptômes de méningo-encéphalite,est une affection très fré
igine syphilitique trouvera un appui dans l'exis- tence de quelques symptômes impliquant la participation des faisceaux blanc
s ses organes internes rigoureusement examinés n'ont présenté aucun symptôme pathologique. Sur son corps cependant, on compt
t un alcoolique avéré; il était affecté de gastrite et même déjà de symptômes polynévritiques. On nous l'amène'en état de delir
ré du langage. Cepen- 658 MOCQUIN dant l'apparition de fièvre, de symptômes pleuro-pneumoniques paraît tout expliquer. Surv
était déjà somnolent à son arrivée ici, soit avant l'apparition des symptômes pleuro-pneumoniques; il ne nous parait donc pas
plégie elle-même isolément, un fait apparaît fort intéressant : les symptômes présentés par ces malades ne sont pas également
r de l'observation qui, pas à pas, souligne l'absence de tel ou tel symptôme important, nous permettra sans doute de simplifie
brigadier-prévôt ne relève d'aucun type connu. Et l'absence de tout symptôme morbide nous autorise à émettre l'hypo- thèse d
100 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
rafft-Ebing, avait semblé déterminer la loca- lisation des premiers symptômes morbides, n'a eu aucune influence chez notre ma
iagnostic, con- tre laquelle je veux vous mettre en garde. Tous ces symptômes peuvent se retrouver dans certaines hémiplégies
; rappelez- vous le mode de début et la marche des accidents ; les symptômes ont fait leur apparition à la suite de soucis, de
de vous dire que ce sont là de simples modes de début ; les autres symptômes ne tardent pas à apparaître dans ces cas ; il e
lk., 1901, t. 19, p. 268. 16 RAYMOND vent, en effet, les premiers symptômes apparaissent après un traumatisme, et surtout d
ment curatif. Nous en sommes donc réduit à essayer de combattre les symptômes ; et encore, nombre des palliatifs qui ont été
int d'une paraplégie douloureuse à marche rapide, dont les premiers symptômes débutent subitement le 10 no- vembre 1902. Le 2
ervé un aspect normal, ce qui explique sans doute l'absence de tout symptôme addisonien. L'autopsie fit découvrir en outre u
linique et anatomo-patho- logique nous a semblé intéressant par les symptômes qui ont accompagné l'évolution des lésions pend
éré- brales à forme psycho-paralytique (1) et par une partie de ses symptômes et de ses lésions elle semble se rapporter la t
ant évolué cliniquement en un an et demi, ayant présenté à côté des symptômes généraux des tumeurs cérébrales les signes de l
x des tumeurs cérébrales les signes de la démence paralytique et un symptôme de localisation (hémispasme facial) ; coexisten
erons de montrer comment les lésions peuvent expliquer la série des symptômes ; nous esquisserons enfin une hypothèse sur l'évo
el un nombre plus grand de territoires fonctionnels du cerveau. Les symptômes psychiques présentés par notre malade ne doivent
'autant qu'il pouvait y avoir coexistence de lésions diffuses et de symptômes relevant d'une lésion en foyer. Cette analogie
psycho-paralytiques des tumeurs cérébra- les (1) et l'existence des symptômes localisés devaient d'autre part faire naître l'
onstatées à la nécropsie devait nous rendre suffisamment compte des symptômes mor- bides. Les troubles de la marche et l'exag
ents du membre supérieur et les altérations de la parole. Ces mêmes symptômes se retrouvent d'ailleurs dans un cas de tumeur cé
l'articulation des mots (7 cas de Ladame), les tremblements (Lind), symptômes reproduits dans notre observation. Le spasme fa
ortantes. Telles sont les lésions primordiales et l'explication des symptômes que nous croyons devoir donner : elle relève de
ns secondaires deviennent la cause immédiate d'un certain nombre de symptômes , au point qu'une tumeur peut rester latente jus-
font naître toute une sympto- matologie bruyante. Au nombre de ces symptômes figurent surtout l'ob- nubilation et l'affaibli
ux se retrouvent au complet chez notre malade et reprodui- sent les symptômes des méningo-encéphalites chroniques (3) dont au
s conclusions de l'analogie de ces troubles avec les lésions et les symptômes des toxi-infections (urémie, diabète), et s'appuy
ous dirons que la tumeur a existé sans doute sans donner lieu à des symptômes gênants autres que les symptômes de localisatio
sans doute sans donner lieu à des symptômes gênants autres que les symptômes de localisation jusqu'au jour où sa présence à ti
e maladie de Friedreich ; par sa marche, par son évolution, par ses symptômes , par les lésions constatées à l'autopsie, elle
approche de tous les cas publiés par les auteurs. On y retrouve les symptômes les plus importants que Soca (1) a appelés la s
et, dans son excellente thèse de Paris 1899-1900, que, en outre des symptômes habituels et des lésions constantes, la symptom
éphréniques on en trouve certainement deux qui présentent les mêmes symptômes et au même degré. Depuis les plus profondes stéré
e simple de la démence primitive. Dans celles-ci on n'observe aucun symptôme somatique : il y a une singulière lucidité de p
intelligent, l'enfant était devenu indifférent. Son frère avait les symptômes physiques et mentaux du myxoedeme, ainsi que la q
traités par le corps thyroïde. On vit diminuer parallèle- ment les symptômes de myxoedème et de diabète. De l'insomnie et de l
'une lésion rénale ou cardiaque jusque-là latente, ou réduite à des symptômes purement physiques que l'on devra rechercher.
Tout alla bien pendant deuxjours, mais le troisième survinrent des symptômes d'intoxication phéniquée : délire, vomissements
le membre fut entouré d'ouate sèche. Quelques jours après, tous les symptômes s'étaient amendés. Le 14 ou 15 le malade se lev
ffre une teinte brunâtre uniforme. Les muqueuses sont normales. Symptômes fonctionnels. D... est atteint, depuis l'ye de 17
our être en état de la reconnaître, il suffira aussi de grouper les symptômes cardinaux de cette observation et de se reporter
ation de la peau en plaques et en taches. Si l'on joint, à ces deux symptômes , la coloration spéciale du visage et les partic
avantage, revenant tous les deux ou trois mois. Ce furent les seuls symptômes jusqu'en 1897. A cette époque se mani- festèren
ébut du tabes remontait à 34 ans; dans celui de Lel... les premiers symptômes firent leur apparition 14 ans avant la mort. Le
. Deutsche Zeitschrift sur Nervenheil- konde. IR93. 270 DE LEON symptômes et de l'évolution morbide, qu'il n'est généraleme
par parésie des muscles respiratoires ; c'est-à-dire, rien que des symptômes de caractère purement moteur, dont la particulari
r paralysie in- fantile, se distinguent par la notion de cause, les symptômes concomitants et par le manque d'oscillations et
céphalique ou basilaire, en dehors des données anamnestiques et des symptômes concomitants, s'associent d'ordinaire à des tro
ensoriels et sensitifs, et se distinguent très clairement par leurs symptômes généraux; cépha- lalgie, vomissements sans naus
repos, mais elle est plus intense le matin, au réveil ; elle a des symptômes propres et manque de quelques- uns qui caractér
drome- cliniquement défini. 2° Par la localisation de ses premiers symptômes , elle peut être de forme ophtalmoplégique, bulb
même que l'attitude pa- thologique du pied : tel est l'ensemble des symptômes communs à ces malades, dont une grande partie,
de lésions analogues. Il nous semble qu'il faut, en présence de ces symptômes cliniques et de ces données anatomiques, envisa
vons que la. scoliose et l'attitude patho- logique du pied sont des symptômes banals dans la maladie de Friedreich. (1) Elere
rmettre de comprendre la physiologie pathologique de la plupart des symptômes cliniques. La clinique nous montre un état spas
oquée à l'appui de cette thèse et, oubliant la loi qui veut que les symptômes dépendent du siège plutôt que de la nature des
he des autres signes, et en particulier dé rechercher avec soin les symptômes oculaires et la lym- phocytose du liquide cépha
uvent au début de la maladie, et elle constitue presque toujours un symptôme transitoire. Ceci en thèse générale, mais encore
en est en effet des troubles de l'écriture comme de tous les autres symptômes de la paralysie générale : presqu'aucun n'est né-
troubles de la parole et ceux de l'écriture. Cette variabilité des symptômes , ainsi que l'irrégularité de l'époque de leur a
s dernières qui nous permet de comprendre la grande variabilité des symptômes cliniques. Mais revenons à l'examen direct des
core ce spécimen écrit par une malade qui a pré- senté les premiers symptômes de la maladie il y a trente-quatre mois et qui
les paralyti- ques généraux. Je me résume en vous rappelant que les symptômes qui se Fig. 19. 430 -" JOFFROY Fig. 20 TR
e je veux vous rappeler encore, c'est la grande variabilité que ces symptômes nous ont présentée chez les nombreux malades qu
s son service de Bicêtre après avoir présenté à l'âge de 23 ans des symptômes de poliomyélite antérieure aiguë, fort semblables
de la maladie de Thomsen, mais plus limités. Aggravation lente des symptômes et asthénie musculaire progressive malgré la cons
a pu aussi bien en dissimuler d'autres ; ne sont-ce pas là de vrais symptômes de l'hystérie ? Mais force nous est d'admettre
mouvement brusque de recul de la jambe quand on appuie le doigt. Ce symptôme a été signalé par M. Bessière (1) qui a insisté
tablir que ces malformations, qui s'accompagnent le plus souvent de symptômes somatiques et psychiques, ont une signification p
ologique sou- vent lié au syndrome immobilité, et la bouche égarée, symptôme observé chez des sujets nerveux, au caractère v
phiques d'origine nerveuse », l'albinisme des mammifères, etc. 11 Symptômes somatiques OU stigmates physiologiques DE dégénér
physiologiques DE dégénérescence. J. Séglas décrit sous le titre de Symptômes somatiques « les désordres fonctionnels observé
dégénérescence de Lucien Mayet(5). Le cheval présente également des symptômes somatiques qui, dans quel- ques cas (tics et st
paru liés à des troubles psychiques. Il importe donc de grouper ces symptômes et d'en rechercher la valeur sé- méiologique.
phobie a été observée par nous sur le cheval « Rasoir. » à titre de symptôme passager. Ces aberrations du goût, de même que le
que les perversions de l'appétit (3) sont étudiées par Cadéac comme symptômes de maladies de la nutrition et du tube digestif
t s'expliquer que par la participation de l'écorce cérébrale. Les symptômes psychiques des héréditaires sont représentés chez
re, en médecine légale humaine, la valeur séméiologique de tous les symptômes équivalents ; mais aussi, et plus certainement
ces constatations sera ce fait important que l'accumulation de ces symptômes place l'animal dans un état d'infériorité réel,
s, mais nous affir- mons,et l'avenir établira que l'accumulation de symptômes accusés de dé- générescence constitue un vérita
/ 185