tunique vaginale.) (b) Les synoviales articulaires, duplicature des surfaces cartilagineuses tapissant les cavités des articul

NVELOPPES EXTÉRIEURES OU TÉGUMENTAIRES. Elles se composent des deux surfaces absorbantes et perspi-ratoires, également remarqu

e aux limites les plus extrêmes entre les tissus différens, depuis la surface de la peau, enveloppe générale commune, jusqu'à l

o-musculaire du périnée. Sa partie supérieure, évasée, est plutôt une surface de sustentation des organes digestifs. La cavité

, et à sa base, par une cloison musculaire, le diaphragme, et dont la surface ou circonférence, soutenue par deux tiges osseuse

r la superposition d'une autre gouttière fibreuse. A l'intérieur, les surfaces des os sont revêtues par la membrane médullaire,

, qui sépare le tissu de l'os lui-même des cavités qu'il renferme. La surface crânienne, tapissée par une membrane fibreuse, la

-mère, semble faire une exception, mais qui n'est qu'apparente, cette surface n'étant, par rapport à l'os lui-même, qu'une péri

on que pour la région inguinale, M. Cruveilher l'a étendue à toute la surface du corps; niais l'épithète de superficielle ne sa

enir, la même trame vasculaire et adipeuse se présentant partout à la surface des aponévroses profondes, dans une épaisseur pro

eptant des polyèdres dans lesquels rampent les gros vaisseaux. A leur surface elles sont tapissées par la couche celluleuse des

marque que nous avons faite plus haut, qu'elles sont tapissées à leur surface libre par la couche cellulo-vasculaire, qui n'est

de la périphérie, les vaisseaux secondaires et les nerfs rampent à la surface des aponévroses intcrmusculaires, renfermés dans

versés, les vaisseaux et les nerfs, pour passer de la profondeur à la surface , glissent dans desécarte-inens des fibres, protég

d'isolement. L'usage des aponévroses de servir de conducteurs ou de surfaces de support, aux vaisseaux et surtout aux nerfs, r

n pathologie. Le périoste, enveloppe des os, est en rapport, par sa surface extérieure, avec les couches musculaires profonde

rnit, par l'intermédiaire de courtes fibres aponévrotiques, de larges surfaces d'insertions aux masses musculaires : telles sont

usculaires : telles sont les deux fosses iliaques au bassin, les deux surfaces de l'omoplate, la fosse temporale au crâne. Il en

sculaire qui établit la continuité entre les canaux sanguins des deux surfaces de l'os. Les membranes fibreuses spéciales et l

ppes de ces canaux, à leur entrée ou à leur sortie du crâne. Par sa surface crânienne on admet, plutôt que l'on ne prouve ana

p-d'œil. A la superficie, l'enveloppe splanchnique environne toute la surface extérieure de chaque viscère; parvenue à l'entrée

séreux clans l'aire duquel pénètrent les vaisseaux : ainsi, par leurs surfaces lisses juxta-posées, les deux feuillets forment,

de glis-semens mutuels, siège des exalations et des perspirations. La surface extérieure adhère aux viscères par un tissu cellu

ît expliquer fort clairement la fonction des membranes séreuses comme surfaces absorbantes et perspiratoires. Les cylindres va

lium. Quant aux connexions, les membranes muqueuses forment, parleurs surfaces libres, des canaux assez étroits, en contact avec

nal alimentaire en particulier, avec l'aliment et les fèces. Par leur surface profonde, les membranes muqueuses, comme la peau,

, il est évident que les membranes 'muqueuses doivent représenter des surfaces tégumentairesplus vasculaires et par conséquent p

core davantage pour conserver une parfaite transparence au-devant des surfaces réfringentes de l'œil qu'elle préserve comme orga

et de l'expiration. Dans ses connexions la membrane olfactive, par sa surface libre, est perpétuellement enduite d'un mucus vis

position qui rappelle le tégument des mollusques gastéropodes. Par sa surface adhérente elle est unie au périoste très mince de

es. Par sa surface adhérente elle est unie au périoste très mince des surfaces osseuses papyracées des fosses nasales, par un ti

s glandules mucipares encastrées en partie dans de petites loges à la surface des os. La membrane muqueuse pulmonaire, quoiqu

hé-lium. Dans sa portion buccale, la membrane muqueuse est lisse à sa surface libre, et assez dense, quoique mince; par sa surf

e est lisse à sa surface libre, et assez dense, quoique mince; par sa surface interne, elle adhère fortement aux parties sous-j

dernier, une texture plexiforme : ce réseau est plat et mince sur la surface interne labiale et génienne, où il renferme des g

idité de sa texture, participe aux propriétés du tissu érectile. A la surface de la langue la membrane muqueuse est plus molle

palais, et d'autres, en petit nombre, à la voûte palatine et sur les surfaces géniennes. t. vr. Au pharynx et à l'œsophage

s la série des voies digestives, cette membrane molle, veloutée, à la surface du sac alimentaire, développée en replis sémiluna

d'un tissu cellulaire sous-muqueux très vasculaire, et présente à sa surface de nombreuses fentes striées, orifices de glandul

'utérus lui-même, et, en ce qui concerne cet organe, la texture de sa surface interne est encore si peu connue, que l'existence

esqu'homogène et des connexions identiques dans toute l'étendue de sa surface . Elle est composée d'un tissu fibreux, le derme,

les qui, par cette raison, prennent le nom de peauciers. A cette même surface interne se rencontrent les bulbes phanériques qui

ouche musculaire n'est simple que dans un petit nombre de points , la surface du crâne, la face postérieure du bras, les région

nt définie, une disposition absolument analogue se reproduit pour les surfaces téguraentaires intérieures en procédant aussi de

pour les surfaces téguraentaires intérieures en procédant aussi de la surface libre vers la profondeur. Sans insister sur ce qu

rface libre vers la profondeur. Sans insister sur ce qui concerne les surfaces pulmonaire et génito-urinaire où, néanmoins, il s

mêmes analogies d'organisation, et prenant seulement pour exemple la surface des voies digestives, nous retrouvons , sauf les

quelque sorte l'unique cavité intérieure, également éloignée des deux surfaces libres tégumentaires. LOGES ET CAYITÉS ORGANIQU

e en membrane, et circonscrivant une cavité sphéroïde irrégulière. La surface interne est doublée par la dure-mère qui, par des

ose cervicale antérieure ; le tissu adipeux est rare dans toute cette surface . En arrière, la ]3eau, très épaisse, est doublée

se de chacune de ces cavités. En bas, ces limites sont formées par la surface du bassin revêtu de ses parties molles; de chaque

sac aponévrotique, isolant la cavité viscérale proprement dite, de la surface des muscles. Outre l'enveloppe fibreuse générale,

sous-épineux , petit rond et sous scapulaire,fixés à l'os par l'autre surface ; les autres muscles n'ont que l'aponévrose extér

des organes de perspi -ration , de sécrétion et d'absorption ; et des surfaces d'expansion de nerfs doués d'une sensibilité spéc

analogues, mais cpti s'exercent à peu-près uniformément sur toute sa surface . Organe général du toucher, sa fonction cependant

qu'elle sera située d'abord dans un lieu plus profond, et séparée des surfaces extérieures, ou tégu-nientaires, par un plus gran

localisées dans son contour. On conçoit que, circonscrites entre des surfaces très résistantes, elles ne se développent que len

de ces tissus eux-mêmes, soit primitives ou consécutives à celles des surfaces articulaires, en raison de la densité même des ga

cie vers la profondeur, ou, en sens inverse, de la profondeur vers la surface . Cette disposition générale, dont l'effet est si

u la déchirure de la dure-mère produisent un épanchement sanguin à la surface de l'hémisphère cérébral, dont le traitement mixt

s organes tho-raciques ou abdominaux, se tracent des voies jusqu'à la surface des membranes muqueuses digestíve ou pulmonaire,

que les produits morbides trouvent à se faire jour sur l'une des deux surfaces cutanée ou muqueuse. Cette assertion est si vraie

e faire jour au dehors. Les membranes muqueuses, en leur qualité de surfaces tégu-mentaires, ne forment enveloppe qu'à l'égard

qui concerne les solides, il n'existe, à l'état normal, que pour les surfaces tégu-mentaires, partout ailleurs, dans la profond

mbranes séreuses intactes. En arrière, de chaque côté du rachis, la surface ostéo-fibreuse de la cavité thoracique est ouvert

uleux, une communication artificielle s'établit avec l'une ou l'autre surface tégumentaire, ou avec les viscères abdominaux, au

ides viennent, en qualité de corps étrangers, s'ouvrir une issue à la surface des voies aériennes. Dans des cas très rares, de

as le mieux connu est celui où des abcès du foie se sont ouverts à la surface des voies aériennes par une fistule de tissu muqu

l faut comprendre les produits morbides, tend à se faire jour sur une surface tégumentaire pour être expulsé au-dehors, en donn

autres viscères , ou les pro duits morbides seront excrétés sur les surfaces muqueuses par les canaux propres, ou ils se forme

s, ou ils se formeront aussi un trajet fistuleux vers lune ou l'autre surface tégumentairc, la membrane muqueuse, ou la peau. D

dantes émissions sanguines locales sur un point très vasculaire de la surface . Communications enlise les cavités de la face.

uation intermédiaire, le pharynx est à-la-fois l'orifice d'entrée des surfaces tégumentaires digestive et pulmonaire, et la term

surfaces tégumentaires digestive et pulmonaire, et la terminaison des surfaces tégumentaires sensorialcs. En effet, cette cavité

nouveau au-dehors par les orifices des narines, et communique avec la surface de la conjonctive par le canal nasal ; enfin, sur

es membranes muqueuses trouvent une double issue sur l'une et l'autre surface tégumentaire. En pathologie, la même observation

L'importance des vaisseaux, comme agens conducteurs, par leurs deux surfaces , étant déterminée, il est évident que les observa

e eux, ont été complétés par les aponévroses, moyens de séparation et surfaces d'insertion des muscles; et l'isolement de ces de

mphatiques, qui vont se rendre dans les ganglions parotidiens. Sur la surface périostique rampent les vaisseaux temporaux profo

des os , et le nombre immense d'anastomoses veineuses entre les deux surfaces du crâne par les trous et les sutures, rendent en

partie le siège le plus ordinaire de l'opération du trépan. Toute la surface de la voûte du crâne est accessible au chirurgien

'étendue est souvent considérable, sur-tout chez le vieillard; (c) la surface de la portion écailleuse temporale et l'angle inf

nnes ; les nerfs proviennent du facial et du maxillaire inférieur. 4° Surface buccale. Elle est formée par la membrane muqueuse

gouttières elle revêt le tissu gingival, et continue son trajet à la surface de la cavité buccale. 5° Squelette. Il est formé

arties composantes. i° Peau. Peu adhérente dans toute l'étendue de la surface , où elle est doublée par un pannicule adipeux ass

glande parotide s'épanouit, du crâne à sa sortie, le nerf facial ; en surface se présentent de nombreux rameaux du plexus cervi

par la membrane du tympan. L'oreille moyenne, sans communication à la surface cutanée, s'ouvre latéralement à la partie supérie

ux régions sus-hyoïdiennes, confondues sur le plan moyen, forment une surface trapézoïdale nettement déterminée. Dans l'aire ch

aux galacto-phores, dont les nombreux orifices viennent s'ouvrir à sa surface ; il renferme dans sa portion aréolaire des folli

uscle grand pectoral, sur l'aponévrose duquel elle s'applique par une surface piano-concave. Assez vaguement circonscrite dans

re le siège d'une multitude de petites opérations communes à toute la surface de la peau ; mais celles qui lui sont particulièr

grand dentelé et du grand oblique abdominal ; 2° en arrière, la vaste surface triangulaire lisse du grand dorsal qui est sillon

costale et inguino-abdominale, et, en arrière, la région lombaire. La surface abdominale est disposée en trois zones transversa

habituel des éventrations donnant lieu aux hernies stomacales ; à la surface de l'hypocondre droit viennent s'ouvrir le plus f

aire, qui n'est formé que par les aponévroses. Profondément, toute la surface ilio-costale est tapissée par le feuillet fibreux

s aponévroses du transverse. La région ilio-costale, comme toute la surface des parois abdominales, est souvent le siège de b

l s'ouvrent fréquemment des abcès par congestion ; mais le lieu de sa surface le plus important en chirurgie est le triangle ap

nq vertèbres lombaires, dont les apophyses transverses élargissent la surface osseuse, que continue par sa résistance le feuill

ique qui cesse à un pouce et demi au-dessous de l'ombilic ; en bas la surface musculaire n'est plus tapissée que par le feuille

s-péritonéal. Dans les sujets gras, cette membrane offre parfois à sa surface une légère couche graisseuse, dont l'accumulation

ans la couche sous-cutanée, épanouis en nombreuses ramifications à la surface du dartos; il est de précepte de les lier immédia

'espace à travers lequel doit opérer le chirurgien, compris, pour les surfaces osseuses, entre des diamètres dont la moyenne est

ion intermédiaires du périnée à chacune des cuisses. Dans toute cette surface , mais principalement au milieu, la peau est garni

orsal, et le profond encore plus dense ou l'aponévrose lombo-iliaque, surface d'insertion de la masse du sacro-spinal. Les musc

gs qui descendent verticalement au milieu de l'aire triangulaire à la surface du grand dentelé. Profondément 1 Planche i, n°

endons des muscles de l'avant-bras fléchisseurs ou extenseurs. Par la surface de sa première rangée, le scaphoïde, le pyramidal

s os de lavant-bras, l'articulation radio-car-pienne, directe pour la surface du radius, complétée par l'interposition du ligam

t la désarticulation radio-carpienne et des résections partielles des surfaces de la même articulation ; enfin, la gaine synovia

dedans, le muscle adducteur du pouce. Enfin en cinquième plan sur la surface métacarpienne, en haut, l'arcade profonde de [art

issement, la naissance des muscles de la jambe, cette région, dont la surface est très inégale, est caractérisée, au milieu, pa

nt la direction est verticale. 5° Vaisseaux et nerfs. Procédant de la surface vers la profondeur : au milieu, à quatre lignes d

tibia, le ligament inter-osseux et le péroné, en profondeur, et, à la surface , par l'aponévrose jambière, cette région, assez l

et en arrière par celle des péroniers latéraux, elle forme une longue surface sous-cutanée triangulaire, dont, indépendamment d

qu'on peut considérer, sur-tout au point de vue chirurgical, toute la surface osseuse qui comprend le dos du pied et ses côtés

is plans de leurs ligamens dorsaux, plantaires et inter-osseux. Cette surface , doublement convexe et peu fournie de muscles, es

'implantation de ses ligamens, mais peu bosselée comparativement à la surface plantaire. Le bord interne, sur lequel se réparti

ieure des os du tarse et du métatarse, creusée en double voûte. Cette surface , qui donne attache à un grand nombre de muscles e

imique, des corps extérieurs; d'entretenir une température égale à la surface des solutions de continuité, et de s'opposer à l'

ariations atmosphériques ; d'absorber les liquides qui exsudent de la surface des solutions de continuité et d'en prévenir le d

r les hémorrhaffies. moins aigu qui résulte de la jonction des deux surfaces planes de la lame. Déjà, dans les deux derniers s

ur la qualité de l'acier que pour le fini du repassage et le poli des surfaces . Voici le résultat cle nos observations à un gros

compose de deux biseaux faisant suite chacun, à angle très obtus, aux surfaces planes des côtés, dont ils rapprochent le sommet

édiate ou à peine retardée par une légère exfoliation gangreneuse des surfaces , il reste donc encore une lacune pour l'esprit, e

combinaison de ces deux mouvemens, dont l'un est perpendiculaire aux surfaces , et dont l'autre leur est parallèle. Leur mode d'

que l'on doit rencontrer. 3° Direction. Considérée par rapport aux surfaces incisées, la direction doit être calculée de mani

t pas moins importante à considérer' que celle cpii est parallèle aux surfaces . Lorsqu'il ne s'agit que d'atteindre profondément

suivre le chemin le plus court, c'est-à-dire être perpendiculaire aux surfaces . Si, au contraire, on veut empêcher un foyer de c

ions par rapport aux parties divisées, suivant qu'elles se font de la surface vers la profondeur, ou en sens inverse, c'est-à-d

ter le tranchant couché sur les parties et perpendiculairement à leur surface : on évite ainsi de couper les tégumens en biseau

eau. — Le tranchant en bas. Le tranchant est tourné en bas vers les surfaces sur lesquelles on doit opérer, et le dos en haut,

La facilité avec laquelle on présente le tranchant parallèlement aux surfaces fait qu il coupe en sciant dans toute son étendue

ou vers la face palmaire des doigts, et le dos étant tourné vers les surfaces à inciser. Il est clair que nous supposons toujou

e élévation, la pointe du bistouri, présentée perpendiculairement aux surfaces , sert à pratiquer des ponctions. Les divers degré

ent les sections; le point extrême d'inclinaison fait encore avec les surfaces à inciser un angle d'au moins 3o degrés : ce poin

troisième position, le bistouri ne peut pas être rendu parallèle aux surfaces , on conçoit que, par cela même, elle ne peut serv

directement, soit à plat. On applique le tranchant directement aux surfaces pour inciser de dehors en dedans; mais ordinairem

laquelle est tenu l'instrument, fait qu'on peut effleurer à peine les surfaces , et fuir avec promptitude 1 Planche 15, f%. 3.

re de l'instrument, ne sont pas gênés par la rencontre inattendue des surfaces voisines de la plaie. Dans le cas au contraire où

onction étant faite, on abaisse le bistouri presque parallèlement aux surfaces ; et, par un mouvement de la main de gauche à droi

ntement et en plusieurs fois le bistouri, présenté parallèlement à la surface de la peau, de manière à n'inciser cette membrane

ment, et, en les soulevant, un pli résulte de l'adossement des deux surfaces cutanées. La direction de ce pli se trouve ainsi

te espèce de section convient pour les ablations d'excroissances à la surface de la peau; elle s'applique, en outre, dans tous

teur de la main gauche, et, en la soulevant, de la faire saillir à la surface de la peau. On peut de cette manière atteindre as

grand nombre de maladies chirurgicales où il s'agit de découvrir les surfaces dans une étendue et à une profondeur plus ou moin

lité que présentent les incisions cruciales de mettre à découvert une surface quadrilatère étendue fait qu'on les emploie dans

l'objet que l'on se propose. L'incision en V se pratique ou sur des surfaces ou sur des bords libres. Dans le premier cas, l'i

deur; trop incliné, au contraire, le clos étant presque parallèle aux surfaces , il ne fait qu'une incision superficielle, et sou

ours bien faite au-devant du tranchant. L'instrument formera avec les surfaces un angle de 45 degrés, de manière à ne couper que

e son inclinaison se rapprocherait davantage du parallélisme avec les surfaces . Le chirurgien doit mettre beaucoup d'attention p

es les incisions, doit être constamment maintenu perpendiculaire à la surface de la peau, l'inclinaison latérale ayant nécessai

être plu s certain qu'aucune des parties situées entre la sonde et la surface cutanée n'a échappé à la section. La manière de

aux est bien formé comme celui des bistouris par la rencontre de deux surfaces planes ; mais, au lieu qu'il soit le sommet évidé

de verrues, de fongosités, et d'excroissances de diverse nature à la surface de la peau et des membranes muqueuses. En appuyan

nsiste à détruire couche par couche, par l'amincissement du tissu, la surface d'un os que l'on veut renouveler; elle s'applique

à la cautérisation , et quelquefois aussi en guise du trépan, sur une surface d'os de peu d'épaisseur. Les instrumens qui l'opè

e. (a) Ponction directe. L'instrument tenu perpendiculairement à la surface , en première 1 ou en troisième2 position, suivant

nt brusque d'extension. La lancette, offerte perpendiculairement à la surface , doit être retirée suivant la même direction, sau

trice récente ou pour détruire les adhérences lâches qui unissent les surfaces péritonéales d'une anse intestinale et d'un sac h

r qu'elles saisissent mieux, il y a de ces pinces denticulées sur les surfaces adjacentes des mors; enfin, il en est que l'on te

arties à détacher. Le lien est porté directement avec la main sur les surfaces libres, ou à l'aide d'instrumens dans les cavités

ciales qui en réclament l'emploi. application des ligatures sur les surfaces lirres. L'application des ligatures dans les ca

rnons-nous à tracer les règles générales cle leur application sur les surfaces libres. 10 Faire choix d'une ligature d'une force

une rosette qui permet de recommencer au besoin la striction. Sur les surfaces libres, rien de plus simple qu'une première appli

de la circonférence. Troisième procédé. — Serre-nœuds sur diverses surfaces . 11 ne se distingue des autres que par le mécanis

e plus complètement possible les parties que l'on veut détruire de la surface d'où elles s'élèvent. 2° Pendant que la stricti

aines, en une escharre détachée par la suppuration, et laisse à nu la surface vive de la plaie. Comme dans tous les cas analogu

le cas d'augmenter graduellement la striction, immédiatement sur les surfaces libres, ou, à l'aide de serre-nœuds, dans les cav

risation pour satisfaire à plusieurs indications : i0 Déterminer à la surface cutanée des altérations artificielles ou fonticul

ontenir l'opéré par des aides ; 2° nettoyer et absterger avec soin la surface de la plaie, les divers fluides, le sang, la séro

à mesure, par le fait de la [vive irritation et du renouvellement des surfaces sous l'action des caustiques ; 5° l'opération eff

rgeant à chaque fois le détritus animal pour mettre à nu de nouvelles surfaces . L'opération terminée, on enlève le superflu du c

in, on l'étend et on le neutralise par des lavages en lotions sur les surfaces découvertes, ou même en injections dans les clapi

que des cathérétiques faibles, convenables seulement pour modifier la surface des ulcérations aux orifices cutanés des membrane

; ils agissent à l'instant, mais leur action s'épuise sur la première surface , la portion de liquide qui imbibe plus profondéme

mploie étendue sur un linge, d'une étendue déterminée par celle de la surface sur laquelle on veut agir, et en formant une couc

ancroides. Avant d'employer le caustique arsenical, on disposera la surface pour le recevoir. S'il existe une croûte ou une v

des cataplasmes émolliens; s'il y a des excroissances fongueuses à la surface de l'ulcération, on les excisera. Si la surface d

ances fongueuses à la surface de l'ulcération, on les excisera. Si la surface de la plaie n'est que peu humide ou saignante, on

corps étrangers aient été détachés par la sécrétion séreuse et que la surface de la plaie soit bien nivelée. Procédant à l'appl

applications qu'après un laps de plusieurs années. Toutefois, sur les surfaces plus étendues , on doit être très réservé dans l'

t la profondeur à laquelle doit agir la cautérisation. La plaie de la surface sur laquelle il agit ne doit être ni trop sèche n

son étui, on le nettoie avec soin, pour éviter qu'il ne se forme à sa surface une croûte qui en empêcherait l'effet dans une au

e occasion. Il sert à déprimer les chairs fongueuses ou baveuses à la surface des plaies, et les bourgeons vasculaires exu-béra

t il absorbe l'humidité et l'acide carbonique. (a) Application à la surface de la peau. On étend d'abord sur la partie un emp

eur. Si on veut l'étendre à un pouce, il est préférable de doubler la surface du caustique sans augmenter son épaisseur ; une c

e temps plus considérable. On met ainsi chaque jour à nu de nouvelles surfaces , sur lesquelles on réitère sans danger la cautéri

e. Pour s'en servir, on applique et on maintient les trochisques à la surface , ou on les insinue dans la profondeur des parties

pour déprimer des fongosités ou des bourgeons charnus exubérans à la surface des plaies. Etendu en poudre, en une couche de pe

second ou le troisième jour, en laissant une plaie vermeille et d'une surface unie. Employé en fragment taillé comme un crayon,

ec sa forme; il convient lorsque l'action du feu doit s'exercer de la surface externe jusque clans la profondeur. Cautère culte

tement chauffés. La première condition est cl etancher ou assécher la surface de la plaie. Lorsque la partie est abreuvée de fl

pération, on devrait l'é-tancher avec rapidité avant de cautériser la surface d'où il provieut. La cautérisation inhérente, p

ge cerise. Elle consiste à promener avec rapidité l'instrument sur la surface de la peau, en formant des raies parallèles entre

cas de cette nature, conseiller l'emploi de la chaleur, qui, sur des surfaces aussi sensibles que les membranes muqueuses, peut

ré plus fort, elle suffit souvent pour arrêter une hémor-rhagie, à la surface des plaies, déterminée par de petits vaisseaux. 2

mettre les parties dans les conditions convenables. i0 Pour que les surfaces d'une solution de continuité soient aptes à se ré

nt que possible, et autant que le permet la composition organique des surfaces , les tissus similaires, l'adhésion étant toujours

ux. 6° Quanta la succession des sutures, si la division atteint une surface libre comme les lèvres, la première anse doit êtr

, de manière à comprendre une épaisseur de parties décroissante de la surface vers la profondeur. Les anses doivent être éloign

t être tel, que sa pointe, présentée presque perpendiculairement à la surface de la peau, à une ligne et demie ou deux lignes d

e une striction assez forte, et qu'elle n'est pas sans danger sur une surface libre comme dans les grandes plaies abdominales ,

r les bandelettes agglu-tinatives, on doit avoir rasé et mis à sec la surface qu'elles doivent recouvrir, et nettoyé convenable

ie. Chaque bandelette étant préalablement roulée à deux globes par la surface non apprêtée, pour s'en servir on applique, par l

valles, proportionnée à celle des bandelettes, présente au besoin des surfaces pour l'application de divers topiques et même de

imparfaitement recouverts). Lorsque l'os menace de faire saillie à la surface d'un moignon imparfaitement recouvert par les par

. Comme fait le plus général, la cicatrisation ne s'opère que sur des surfaces perméables au sang. Elle s'effectue immédiatement

inosculation directe des orifices des petits vaisseaux béants sur les surfaces . Mais si l'affrontement n'a lieu qu'après quelque

que par l'adhésion de deux fausses membranes exsudées de chacune des surfaces et dans lesquelles s'organisent ultérieurement de

des vaisseaux. Ce second travail organique sera plus rapide quand les surfaces ne fournissent encore qu'une exsudation séreuse;

rganisme en général, dans certains cas, au lieu de se cicatriser, les surfaces tendront à s'ulcérer; et, dans des circonstances

rconstances inverses, la sensibilité s'émoussant de plus en plus, les surfaces se recouvriront d'une membrane accidentelle, qui

que mouvement fluxionnaire sanguin et nerveux serait sans danger à la surface d une large plaie opératoire et dans la dispositi

contenir. Ainsi, quant au lieu, lhémorrhagïe peut se produire sur les surfaces libres ou dans la profondeur des tissus, et quant

es capillaires, et même, sans lésion préalable d'aucun vaisseau , des surfaces ou de la profondeur de tous les tissus très vascu

ment des tissus ; 2° le voisinage d'un point d'appui solide, soit une surface osseuse ou fibreuse qui réagit sur la pression.

opposition, le garrot a plusieurs inconvéniens : (a) par l'étendue en surface qu'il exige, de ne pouvoir s appliquer avec effic

es comme celle des artères, et de faire pleuvoir le sang veineux à la surface de la plaie tant que dure la compression; (d) mai

rompt l'opération après avoir détaché un lambeau , pour chercher à sa surface et lier successivement tous les orifices des vais

avail de cicatrisation s'opé-rant plus facilement au-dedans entre les surfaces centrales divisées, et à l'extérieur par l'inflam

naculum. — Recherche des vaisseaux. Le premier soin est d'étancher la surface de la plaie pour mettre à découvert les tissus co

ntent. Si le vaisseau est d'un gros calibre et que l'on opère sur une surface largement ouverte, il vaut mieux serrer avec l'ex

ncéreuses; en un mot, toutefois que le sang s'écoule en nappe par une surface très étendue. L'emploi du feu, dans ce cas, outre

illaires. Cette espèce d'hémorrhagie, qui s'étend rarement à toute la surface , tend à cesser d'elle-même dans la première heure

i° Exposition ci Cair avec lotions froides. Élancher soigneusement la surface de la plaie avec une éponge imbibée d'eau froide

douche, et maintenir ensuite l'éponge quelque temps appliquée sur la surface ; de temps à autre, quand il en est besoin, renouv

les poudres, pour être appliquées, nécessitent l'intermédiaire d'une surface membraneuse ou filamenteuse, agaric ou charpie, a

dont on fasse usage pour les hémorrhagies capillaires sur une petite surface ; mais, quand l'écoulement est un peu considérabl

errue se distingue par sa production spontanée, sans frottemens, à la surface de la peau, principalement clans ses portions les

eau, distinct par sa sensibilité et sa couleur d'un rose vif, et à la surface duquel, avec de l'habitude, on arrive précisément

ébranler une nouvelle imbi-bition. L'opération terminée, il reste une surface lisse d'un rouge vif, d'où, il faut le dire, ne t

ermique peu épaisse, en regard des points de pression, au talon, à la surface du coussinet sous-métatarsien ou sur l'un et l'au

ermique. Rugueuse, inégale, ridée, mul-ti-lobulaire et fendillée à sa surface ; en profondeur on la trouve formée de couches ép

ives les masses proéminentes (Dupuytrcn.), et on égalise à la lime la surface amincie. ongle entré dans les chairs. C'est l

sines, si elles sont vacillantes. (6) Agir toujours du collet vers la surface de broiement, en enlevant autant que possible la

re inter-alvéolaire, sans toutefois blesser la gencive, (c) Quand une surface se présente dégarnie d'émail ou amollie dans son

ct de l'air, et dans tous les cas ne pas s'astreindre à découvrir une surface blanche uniforme, les dents sales étant presque t

on passe un bec de plume dans l'intervalle des dents ; on nettoie les surfaces avec un corps mou, linge ou racine humide, chargé

ntes de l'art du dentiste, répond à deux indications : i0 Égaliser la surface du bord libre lorsqu'il présente des aspérités, o

tout la langue; 2° Enlever une carie superficielle pour remplacer une surface malade par une surface saine. Instrumens. La li

ver une carie superficielle pour remplacer une surface malade par une surface saine. Instrumens. La lime fine d'horloger, var

ien, naturellement très variable suivant le lieu et l'inclinaison des surfaces sur lesquelles il opère. La bouche au besoin étan

oureux du froid de l'acier, et la présentant perpendiculairement à la surface , la fait agir d'un mouvement vif et régulier sans

tuer peu-à-peu au contact de l'air et des corps étrangers la nouvelle surface dentaire, moins sujette, dit-on, à se carier avec

ondée, et nous ne voyons pas, en temps que démettre à nu une nouvelle surface , pourquoi celle plus étendue, qui est libre et fa

e à une seule face denticulée. (d) Si deux dents sont cariées à leurs surfaces de juxta-position , c'est le cas d'employer la li

cas, précède ou suit son application. L'important est d'agir sur une surface découverte, ou du moins facilement accessible. C'

ugi ne quelques inégalités qui offrent de la prise au métal ; puis la surface étant disposée, l'absterger de toute humidité ave

ntrer par pression dans les inégalités les plus profondes» Dès que la surface est recouverte par Une première couche inégale, a

n coupe l'excès de métal qui déborde, et on égalise par frottement sa surface avec le brunissoir, cet instrument devant être pr

S'il y a un trop grand volume de métal on l'enlève et on en polit la surface avec le cautère lui-même, le brunissoir ou une ru

dent plombée pour s'assurer qu'il ne s'est pas fait de jour entre les surfaces , auquel cas il vaut mieux recommencer l'opération

ation. Enfin le succès du plombage étant d'autant mieux assuré que la surface dentaire sur laquelle on 1 applique est plus inta

psule en or. Cette précaution cependant n'est praticable que quand la surface est très évasée. Enfin, si quelques jours après l

or, argent ou ivoire, percée de trous, convexe ou concave suivant la surface du trou alvéolaire et taillée exprès pour le lieu

elle-même est placée en sens inverse de la dent qu'elle tire : sur la surface extérieure, si la dent incline vers la bouche; su

sur la surface extérieure, si la dent incline vers la bouche; sur la surface buccale, si la dent incline au-dehors. On surveil

r effet de faire fracturer les racines, il est prudent de garantir la surface plus large du point d'appui, ou du panneton, d'un

ves, suivant leur volume, le degré cle leur fixité et l'étendue de la surface qu'elles présentent, on peut également les enleve

s à la circonférence du bouton, essuyer le liquide en y appliquant la surface de'deux plaques de verre d'un pouce carré d'étend

rre d'un pouce carré d'étendue; puis accoler l'une à l'autre les deux surfaces enduites, luter le contour avec de la cire blanch

s comme nous l'avons dit plus haut. Pour employer le vaccin, les deux surfaces n'étant accolées que dans une faible étendue au p

oyen d'un effet sûr en taillant les bords des plaques en biseau de la surface externe vers l'interne, de manière qu'il résultât

lus rien à désirer. 2° Tubes. Laisser sécher à l'air le vaccin à la surface de la piqûre; dès qu'il est solide, détacher les

erts et libres dans toute leur étendue , pour les remplir on pique la surface d'un bouton de vaccin; lorsque la gouttelette com

es que l'on forme dans l'intention de déterminer et d'entretenir à la surface de la peau une irritation prolongée , dont l'effe

au bouillante une tête de marteau ou toute masse de métal offrant une surface polie, jusqu'à l'imprégner de calorique à cent de

toire avec toute pâte inerte saupoudrée de cantharides, ou même toute surface adhérente, soit l'emplâtre de diachylum, ou un li

révenir l'effet, lors de la formation du vésicatoire, on étend sur la surface la poudre de camphre mêlée à celle des cantharide

is manières : par cautérisation, par incision et par irritation d'une surface déjà enflammée. On l'emploie dans toutes les circ

ulariser la combustion pour qu'elle s'opère uniformément sur toute la surface , et, au lieu de la hâter, on doit, en commençant,

tions superficielles. A. Avec le bistouri. On promène légèrement à la surface de la peau le tranchant de l'instrument appliqué

r le scarificateur à ressort, l'instrument étant armé, on applique sa surface vulné-rante sur la peau, avec une pression modéré

e résultat suppose que Ion agit ou sur une extrémité libre ou sur une surface dont les tégumens sont mobiles, extensibles, inta

aire sous-cutanée, et bien se garder, dans la dissection, de raser la surface du derme de manière à le réduire à sa simple épai

ant que la langueur du lambeau persiste, on évite toute pression à sa surface ; mais dès que la chaleur naturelle, le plus souve

ir une pression légère pour faciliter l'exacte apposition du lambeau, surface à surface, l'empêcher de se recroqueviller par le

ssion légère pour faciliter l'exacte apposition du lambeau, surface à surface , l'empêcher de se recroqueviller par les bords, s

e dans la plus grande partie de la hauteur et dans toute Tétendue des surfaces comprises entre les angles des trois solutions de

procédé de Celse, pour les plaies étroites, quand la disposition des surfaces ne permet qu'un seul lambeau. Pour augmenter la m

confondre; disséquer le lambeau, puis le renverser ; mais alors sa surface saignante se trouvant extérieure, pour qu'elle de

emi-cercle ou de cent quatre-vingts degrés ; affronter exactement les surfaces et en maintenir la réunion. Cette torsion exagéré

ocher et de maintenir pendant un temps considérable, au contact, deux surfaces que la nature a placées à une grande distance l'u

du membre est moins pourvu de vaisseaux. On fait rapprocher les deux surfaces l'une del'autre, et, pendant que des aides contie

tplus solide, lisse, unie, et se convertit enfin en un tissu dense, à surface inégale, insensible, d'un blanc mat, parsemé de s

us les points où la peau est épaisse, peu vasculaire, adhérente à des surfaces fibreuses. Quant à la cause, la rétraction est d'

c le nitrate d'argent. Mais pour peu qu'elle ait huit à dix lignes de surface , il vaut mieux l'exciser en rasant à plat avec l'

les petites tumeurs fibreuses et vasculaires qui se développent à la surface des cicatrices exposées à des frottemens. On doit

s fortement rétractées, concentriques, qui remplacent, par une petite surface trop insuffisante, la déperdition d'une grande ét

sieurs cicatrices nouvelles avec écartement. Procédé opératoire. La surface de la cicatrice étant maintenue développée, divis

quemment après les brûlures, ou elles sont disséminées sur une longue surface , ou elles sont disposées par séries linéaires en

couper, en sciant, les fibres sous la peau, de la profondeur vers la surface . Procédé de M. Stromeyer. Sur un premier malade

ction. M. Guérin opère par deux procédés : de la profondeur vers la surface , ou de la surface vers la profondeur. Chaque opér

opère par deux procédés : de la profondeur vers la surface, ou de la surface vers la profondeur. Chaque opération se fait avec

scle. La section du tendon sternal est faite de la profondeur vers la surface . Pour la section totale, M. Guérin agit comme d

peau, le tissu adipeux et vasculaire, l'aponévrose d'enveloppe et des surfaces plus ou moins considérâmes des muscles superficie

e liquide dans le canal, pourrait agir en répartissant, sur une large surface d'absorption, le fluide cérébro-spinal auparavant

vale de la muqueuse, et prolonge l'incision en remontant et rasant la surface de l'os maxillaire, au-dessus des dents canine et

ur la section, M.Richerand coupe avec le bistouri et racle ensuite la surface de l'os. M. Velpeau coupe avec des ciseaux droits

ecte, soit au dedans de la plaie soit à l'extérieur. Procédé par la surface cutanée. Debout en face du malade assis et dont l

ttre à nu de chaque côté, par dissection des attaches musculaires, la surface externe de la branche de la mâchoire dans un cerc

lignes au-dessous du bord de l'échancrure sigmoïde. Appliquer sur la surface osseuse mise à nu une petite couronne de trépan d

ndément, presque à sa sortie du trou stylo-mastoïdien. Section à la surface . Inciser verticalement de la racine de 1 arcade z

le en avant la masse de la glande parotide dans la profondeur ou à la surface de laquelle se trouvent les gros vaisseaux. Il at

aignement, on applique la ventouse : le sang pleut immédiatement à la surface par toutes les coupures. Si on a employé la cloch

sion étant rétabli, la ventouse se détache d'elle-même. On nettoie la surface , et on réapphque l'instrument si une évacuation p

plus considérable est j ugée nécessaire. On peut ainsi, sur une même surface , appliquer au besoin plusieurs cloches de ventous

principe général, on applique les sangsues sur toute l'étendue de la surface cutanée, aux orifices des membranes muqueuses, et

retés : on y attire le sang par des frictions. Application. i° A la surface de la peau. S'il ne s'agit que de poser deux ou t

i de ces petits appareils dont on fasse usage, en en répandant sur la surface plusieurs à-la-fois, que l'on fait contenir par d

dans la bouche, les gencives, les amygdales ou tout autre point de la surface ; dans le rectum, en regard de la prostate ou sur

e étendue considérable par autant de cloches simples répandues sur la surface . Au besoin même, ce moyen peut servir pour abrége

ion atmosphérique n'avait encore été employée que sur de très petites surfaces ; et l'usage, encore récent, de la ventouse à pomp

une portion de l'air intérieur contenu dans une cloche appliquée à la surface d'une partie, la pression atmosphérique n'ayant p

e l'étendue du corps tandis quelle est diminuée clans l'étendue de la surface sous la cloche, les liquidés appelés en ce point

u reste, on conçoit que l'intensité de la pression et l'étendue de la surface sur laquelle peuvent agir les ventouses sont prop

t, pour l'organisme, d'appeler immédiatement dans les membres ou à la surface et d'y retenir à volonté plusieurs livres de sang

joute même, autant que la partie le permet, de légères frictions à sa surface , ou son immersion dans l'eau tiède. On serre plus

e la ligature, et en piquant perpendiculairement par un coup sec à la surface du vaisseau. Opération en général. Tout étant d

r des tissus situés à la périphérie, soit comme extrémité, soit comme surface . Ainsi on peut saigner dans ce but les veines du

rgien armé d'une aiguille enfilée traverse la peau et la veine cle la surface vers la profondeur, glisse obliquement derrière e

averse cle nouveau la veine et les tégumens cle la profondeur vers la surface , puis il retire 1 aiguille et laisse le fil à dem

les points où celles-ci correspondent à des muscles, le voisinage des surfaces fibreuses et osseuses pouvant entraîner des ulcér

e quelques secondes pour absorber le sang et nettoyer complètement la surface des tissus, puis reconnaître la position de l'art

lacée dans l'anse du fil, soulever les deux bouts et l'amener vers la surface pour s'assurer , et par la vacuité du vaisseau ou

perficielle, le second nœud peut être serré, comme, en général , à la surface des plaies d'amputation, par l'opposition et la f

rs supérieur de la jambe. L'artère est encore ici plus éloignée de la surface , suivant les deux diamètres antéro-postérieur et

cision à la peau longue d'un décimètre, puis diviser l'aponévrose. La surface du jumeau interne étant mise à nu, la manœuvre

peau, sa profondeur chez un sujet médiocrement musclé est, depuis la surface , de vingt à vingt-cinq millimètres. Ainsi, à l'ex

du cubital antérieur. Refoulant alors en dehors le grand palmaire, la surface aponévrotique nacrée du fléchisseur sublime se pr

partie supérieure est la veine céphalique qui traverse la plaie de la surface vers la profondeur pour se jeter clans la veine a

ations assez graves, après avoir alternativement dénudé et amené à la surface soit l'artère, soit un cordon nerveux, qu'enfin l

dans ce creux qu'est située l'artère, à une profondeur qui, depuis la surface cutanée , est d'environ trois centimètres entre l

neumo-gastrique , dans le sillon qui la sépare de la jugulaire. De la surface vers la profondeur la carotide est recouverte par

cle faire une plaie à trois directions différentes ou en zigzag de la surface vers la profondeur, ce qui , dit-il, empêche le p

et plus sûrement par l'épan-chement d'une lymphe coagulable entre des surfaces divisées, établit, contradictoirement à l'opinion

et remplit ses conditions de n'exercer qu'une pression douce sur une surface un peu large, afin de ne donner lieu qu'à une inf

servir utilement quand des trajets fistuleux tendent à s'organiser en surfaces muqueuses accidentelles, comme tentative dernière

st exempte; toutefois elles se rencontrent le plus ordinairement à la surface du crâne et en particulier au front, sur les boss

us ou d'épingles. M. Velpeau cite quatre faits de cette nature, où la surface des membres en était comme hérissée. Procédés o

olumineux et plat, laisserait, en l'extirpant, une plaie d'une grande surface , faire à la partie déclive de la tumeur une large

le sommet. L'opération terminée, la paroi profonde du kyste forme la surface de la plaie. Exposée à l'air, elle suppure d'abor

fus du liquide dans le tissu cellulaire ambiant, pour en augmenter la surface d'absorption. On y aide pendant quelques jours pa

ation les tégumens distendus seraient trop abondans pour recouvrir la surface de la plaie, il vaut mieux commencer par en circo

au de savon, on irrite le naevus par des frictions et l'on étend à sa surface une couche de couleur imitant le ton de la peau v

ères colorantes à employer. Tendant ensuite la peau, on la teint à la surface du naevus en y introduisant, par des piqûres, les

insidieusement en profondeur, pendant qu'elle semble s'atrophier à la surface . irritation inflammatoire (tumeurs vasculaires)

sieurs doubles que l'on recouvre d'une autre éponge plus large que la surface de la tumeur afin d'y maintenir une compression p

ue, et opérée par M. Lallemand, se convertit, après guéri-son, en une surface pâle, unie et luisante, comme celle qui succède à

er avec soin. 6° Si néanmoins il reste du doute sur l'intégrité des surfaces dans certains points et que, comme il arrive si s

articulations du genou, du coude et du pied, qui présentent de larges surfaces cartilagineuses, en sont le siège le plus ordinai

que l'activité de l'absorption est en raison inverse de létendue des surfaces articulaires des os. Procédé opératoire. On peu

étendue de la maladie, de manière à en mettre largement à nu toute la surface jusque sur les limites du tissu sain, on enlève d

ostéo-fon-gueuses ; enfin, avec la rugine, on creuse et on égalise la surface jusqu'à ce que la dureté, la couleur et l'homogén

L'inconvénient des caustiques liquides est qu'ils s'étendent sur les surfaces , attaquent les tissus voisins, et n'agissent pas

fés à blanc : des cautères nummulaires pour agir à plat sur une large surface ; des cautères coniques, olivaircs et cylindrique

et on la fixe avec des pinces par des aides. Tout étant disposé et la surface osseuse convenablement asséchée, on saisit de la

e le cautère et on le présente rapidement sur les divers points de la surface . Cette première application doit être légère. Ell

n peu le doigt, indique que des bourgeons charnus se développent à la surface saine de l'os. Si, au contraire, il survient des

arties affectées de carie. Pour les petites résections partielles, la surface sur laquelle on agit étant mise à découvert, il n

points de la table externe, soit attaquée en même temps par toute la surface de l'instrument, afin qu'elle soit régulièrement

la lame cle l'un à l'autre orifice déjà effectué, parallèlement à la surface de l'os, et cle l'y fixer entre le pouce et l'ind

la reporte plus loin en inclinant la lame pour suivre la courbe de la surface cle l'os. Par prudence, avant cle diviser la tabl

es, ordinairement saines et nettement divisées, la petite étendue des surfaces osseuses mises à nu, la disposent en général à ci

ulier sont très communs, et ils sont d'autant plus à craindre que les surfaces osseuses réséquées sont plus étendues. Etat des

la main gauche et rasant alternativement avec le bistouri convexe la surface du radius et du cubitus, du milieu de chacune des

rapide; les tendons fléchisseurs étant libres, il suffît de raser la surface des os sous le carré pronateur en déprimant à mes

entouré de l'appareil de Scultet est mis dans la demi-flexion et les surfaces osseuses sont légèrement rapprochées pour favoris

on est subordonné aux conditions pathologiques des os. On résèque les surfaces articulaires malades, en totalité ou en partie, s

opération soit terminée il ne reste plus qu'à s'assurer de l'état des surfaces articulaires de l'omoplate et à réséquer ce qui r

trouve surtout son application lorsqu'il est nécessaire d'enlever les surfaces articulaires de l'omoplate. Procédé de Manne. C

n'est plus facile que d'isoler convenablement la tête numérale ou les surfaces articulaires de l'omoplate, si le mal l'exige, et

us étant extraite de la plaie, on s'assurera avec soin cle l'état des surfaces articulaires de l'omoplate. Si elles étaient cari

s il réséqua l'extrémité de l'os à un pouce (trois centimètres) de sa surface articulaire, et, pour éviter la lésion des partie

métatarsien, le côté interne de l'extrémité du cinquième, et enfin la surface articulaire par laquelle le cal-canéum s'unit au

. Les lambeaux étant fixés à l'aide de quelques points de suture, les surfaces osseuses seront rapprochées et maintenues au moye

c la scie de la même façon que l'extrémité du fémur. Pansement. Les surfaces osseuses seront mises en contact et les lambeaux

t s'étende inclusivement de l'un à l'autre des ligamens latéraux. Les surfaces articulaires du tibia et du fémur étant ainsi mis

on en fait la cautérisation. Il ne reste plus alors qu'à remettre les surfaces osseuses en contact, à couvrir la plaie par un pa

gueur des tissus à conserver doit être calculée sur le diamètre de la surface à recouvrir, en ajoutant la somme de rétractilité

hode circulaire, et dans beaucoup de cas elle recouvre moins bien les surfaces osseuses. Méthode ovalaire. Soupçonnée par De

que la cicatrice, très longue à obtenir, porte immédiatement sur les surfaces osseuses et presse douloureusement les renflemens

. Mais ces avantages sont plus spécieux que solides : l'étendue de la surface saignante augmente les chances de 1 inflammation,

voir absolument si ces fibres recouvriront ou du moins dépasseront la surface osseuse dans les divers mouvemens du bras, on s'e

par la méthode d'Alanson, et la peau retombe sans effort sur toute la surface du moignon. Troisième temps. Diviser le périost

des ont pour but cle fournir des tégumens qui recouvrent à-la-fois la surface osseuse et la plaie latérale. Il semble, au premi

e sorte de lambeau épais et qui embrasse l'os, recouvre exactement la surface saignante, et donne une seule cicatrice linéaire

isoler, et la brièveté de leurs fibres empêche de les ramener sur la surface de section des os. Ces dispositions rendent souve

aches des muscles de la cuisse sont conservées; la plaie présente une surface régulière : les os sont recouverts en arrière par

es os, rabattre les parties molles, appliquer le lambeau sur toute la surface du tibia, qui se trouve recouvert immédiatement e

par la méthode à lambeau, est de recouvrir avec les muscles toute la surface osseuse ; et c'est évidemment s'éloigner de ce bu

'enlève avec la tenaille : il est plus dangereux qu'utile de limer la surface cle l'os et d'en arrondir les bords, comme le con

d'un bandage roulé, qui commence à deux décimètres au-dessus de la surface de section. Le moignon doit être placé horizontal

eprennent leur place naturelle après l'opération et donnent ainsi une surface tout-à-fait irrégulière; enfoncer perpendiculaire

ge de fournir un lambeau qui retombe de son propre poids sur toute la surface de la plaie, et de faciliter l'usage d'une jambe

retráctiles que ceux des deux autres régions, il faut, pour avoir une surface égale, les couper plus bas. L'incision de la peau

l'auteur, une vaste coiffe dermo-m usculaire qui revêt abondamment la surface du moignon. APPRÉCIATION. Dès que la médecine

ure sera celle qui laissera à-la-fois assez de peau pour recouvrir la surface saignante, assez de muscles pour protéger efficac

intense et d'une suppuration désastreuse en raison de l'étendue de la surface saignante; enfin d'une réunion le plus souvent co

iculation. Ici donc la difficulté essentielle c'est la séparation des surfaces osseuses, et les incisions des parties molles ont

culation des doigts, cette idée singulière : qu'il faut cautériser la surface articulaire, et que le cartilage doit disparaître

prompte, parce que la nature n'a pas la peine de former un cal sur la surface de l'os : en outre, après la désarticulation il n

; comme sa position exacte n'est pas indiquée par le contour même des surfaces osseuses, on y arrive à l'aide de quelques points

ans heurter le couteau de tous côtés, les nombreuses inclinaisons des surfaces articulaires. Comme il est impossible, à très peu

les os, ce qui peut entraîner des accidens sérieux, mais écarter les surfaces articulaires à laide de tractions modérées et dir

n d'exciser les tendons trop volumineux qui dépassent le niveau de la surface saignante; quand la rétraction de la peau doit êt

ne. Aux petites articulations la cicatrice s'établit encore sur les surfaces cartilagineuses, quand même il n'y a pas assez de

e conseil de Delpech, en ne le détachant qu'après l'avoir offert à la surface articulaire pour en limiter la longueur. Ce procé

lia longueur qu'il doit avoir est facile à préciser en l'offrant à la surface articulaire avant de le détacher. Méthode ovala

glisser le tranchant sous les têtes des phalanges et, en rasant leurs surfaces , tailler le court lambeau palmaire en procédant d

sidérations anatomiques spéciales,suivan t: la forme et le nombre des surfaces cartilagineuses. Le deuxième métacarpien, le plus

s, Sabatier, et par tous les chirurgiens de nos jours. Anatomie. La surface radio-cubitale de la première rangée du carpe for

sur l'une des apophyses styloïdes et, d'un seul coup, qui parcourt la surface courbe articulaire, couper tous les ligamens et d

uvement de traction de l'avant-bras en bas, écarter les deux os de la surface de l'humérus et, glissant le couteau en arrière,

ée, la faire glisser vers son talon en descendant et rasant à plat la surface des os pour tailler un lambeau antérieur d'une lo

s, seulement il importe de diriger la ligne cutanée de manière que la surface numérale soit amplement recouverte sur les côtés

tranchant tourné vers le coude, et tailler, de la profondeur vers la surface , un lambeau externe et supérieur de la longueur c

ort. Au lieu de tailler le lambeau précédent de la profondeur vers la surface , cet auteur remonte de dehors en dedans, ou de la

a succession des manœuvres; seulement l'étendue plus considérable des surfaces articulaires fait qu'elles sont plus graves. Le

ée par la juxtaposition des trois cunéiformes et du cubo'ide pour une surface , avec les cinq os métatarsiens pour l'autre surfa

cubo'ide pour une surface, avec les cinq os métatarsiens pour l'autre surface , cette articulation, dans son ensemble, forme une

tatarsiennes : s'il n'existe plus aucun débris des ligamens, les deux surfaces articulaires s'écartent en entier; dans le cas co

ce qu'il prolonge un peu la base de sustentation, il substitue à une surface cartilagineuse très inégale une surface de sectio

tentation, il substitue à une surface cartilagineuse très inégale une surface de section régulière et bien plus facilement susc

plantaires et calcanéo-cuboïdien : enfin, le pied étant détaché et la surface du moignon formée par le scaphoïde et le cuboïde,

le scaphoïde et le cuboïde, scier le second au niveau du premier. La surface est seulement encore un peu irrégulière par la re

aux de l'articulation astragalo-scaphoïdienne sans pénétrer entre les surfaces osseuses; puis reportant le tranchant vers le bor

ge base de sustentation; et la cicatrice (fig. 2), quoique formant la surface de pression, n'empêche pas le malade sur lequel n

n, encore bien peu connu, des lambeaux tégumen-laires avec les vastes surfaces cartilagineuses. La désarticulation fémoro-tibi

détacher, on peut facilement déterminer la longueur en l'offrant à la surface articulaire fémorale : dans ce procédé la rotule

, diviser le tendon rotulien, puis les ligamens latéraux; écarter les surfaces osseuses en fléchissant un peu la jambe, détacher

rvée. Disons toutefois qu'il est difficile de saisir la limite où, la surface du fémur ne pouvant être recouverte, mieux vaudra

on n'est plus rapidement faite et ne donne un plus beau résultat ; la surface fémorale est recouverte par une large coiffe cuta

it très rationnel, l'amputation effectuée, d'enlever immédiatement la surface d'os ou de cartilage atteinte, par la rugination

ès le même que le précédent, seulement en taillant les lambeaux de la surface vers la profondeur. La peau incisée d'abord, l'au

tique avec son large couteau concave en opérant de bas en haut, de la surface vers la profondeur, de manière à creuser un cône

la fessière et de la honteuse interne. Il est rare que, sur l'énorme surface de la plaie, on ne soit pas obligé de pratiquer d

d'importance pour l'avenir. A l'examen ce sont celles qui offrent les surfaces musculaires de section les plus considérables ave

rioles et veinules sous-cutanées, d. Filamens nerveux. Côté gauche. Surface musculaire des attaches pelviennes du grand fessi

aisseaux honteux internes entre les deux ligamens sacro-sciatiques. Surface perineale. (CÔTÉ DROIT.) A. Aponévrose superf

re intermédiaire du releveur et du sphincter rectal à la prostate. L. Surface de la prostate. M. Portion membraneuse de furèt

ntent des couches et des détails difféiens. Du côté droit, toutes les surfaces se présentent dans leur état naturel, recouvertes

ffectuent les hernies. Au CONTOUR DES DEUX COTES. 1. Disque de la surface supérieure de la quatrième vertèbre. 2. Section

ent s'insérer sur les tendons du grand dorsal et du grand rond. Cette surface est parcourue par les branches brachiales cutanée

uvre en avant les vaisseaux fémoraux dont la saillie se prononce à la surface ; ce feuillet adhère par sa face postérieure à la

t les feuillets musculaires séreux sont conservés en premier plan. La surface des muscles est plus profonde. INDICATION DES

ure 2. — Plan postérieur de la jambe et dorsal du pied. Figure 3. — Surface plantaire profonde. INDICATION DES LETTRES ET D

fibreuses et séreuses des muscles sont conservées en premier plan. La surface musculaire est plus profonde. INDICATION DES

t nerf. G. Vaisseaux propres des jumeaux. FIGURE 3. A, B, C, D. Surfaces articulaires métatarsiennes des os du tarse. A, B

robinet, peut ainsi être adaptée à plusieurs cloches répandues sur la surface de la partie où l'on exerce le vide. Dans cet app

, est destiné à recevoir le mamelon (e). Cette cloche s'applique à la surface du sein par un disque en verre (d). L'appareil ét

ain de couper le vaisseau en travers ; et le plan solide formé par la surface osseuse, en permettant une compression efficace,

postérieure. I. Artère péronière. K. Condyle externe du fémur (sa surface externe formant paroi de la tumeur). L. Extrémi

iguillé est glissé sous l'artère, soulevée du fond de la plaie à sa surface . LIGATURE DE L'ARTÈRE HUMÉRALEj, au pli du co

ze. 1. Section de la peau et des attaches du muscle occipital. 2. Surface formée par les attaches du splénius. 3. Nerf so

il, est glissée sous l'artère, qu'elle amène du fond de la plaie à la surface . Le bec de l'instrument est guidé par l'ongle cle

fibreux. 4. Cordon des vaisseaux spennaliques, déprimé en bas. 5. Surface de la fosse iliaque externe, revêtue de son aponé

ttre à découvert la fosse iliaque interne et les gros vaisseaux. 7. Surface du péritoine et de son feuillet sous-péritonéal,

onéal, sou- tenu par les doigts de l'aide faisant crochet. Ces deux surfaces se présentent bosselées par la pression des anses

crotal, qui forme le contour, à l'angle inférieur de la plaie. 9. Surface de l'aponévrose iliaque, sous laquelle se voient

ouvant justifier l'opération du séton pour obtenir l'inflammation des surfaces de la fausse articulation et la formation à poste

dépens du périoste, n'a, en général, qu'une faible épaisseur dans la surface sous-cutanée, et peut presque toujours être attaq

é , la tête soulevée et disposée de manière à offrir à l'opérateur la surface sur laquelle il agit. Les cheveux ayant été rasés

me souvent il est utile de le faire dans les épanche-mens diffus à la surface des hémisphères cérébraux, consécutifs à des frac

centrale de l'arbre du trépan dans son mouvement circulaire. ( d ) Surface de la dure-mère mise à nu par l'enlèvement des qu

ronnes de trépan. Cette action a pour but d'augmenter l'étendue de la surface mise à découvert, en régularisant les bords de la

e où il est nécessaire de donner issue au sang ou au pus épanché à la surface de l'hémisphère cérébral. Tome 6 . Pl. 53.

férens diamètres. Cet instrument, comme celui de M. Heine, agit de la surface vers la profondeur, ou au-devant de l'opérateur.

'opérateur est occupé à pratiquer la section de la profondeur vers la surface avec la scie à chaîne de M. Jeffrey. Dans la plai

ligamenteuse. Aux deux extrémités de cette vaste plaie se voient les surfaces cartilagineuses avec lesquelles s'articule le rad

ces cartilagineuses avec lesquelles s'articule le radius : (e) est la surface carpienne; (f ) la surface huinéro-cubitale. Pl

squelles s'articule le radius : (e) est la surface carpienne; (f ) la surface huinéro-cubitale. Pl .56. Dessiné d'après nat

oigts de l'autre main, contient le lambeau triangulaire relevé (B). Surface de la plaie. C. Bord de la section du deltoïde.

ec- toral. F. Fond de la plaie formé par la cavité glénoïde et la surface pos- térieure de la capsule articulaire. G. P

riée : soit l'apophyse coracoïde, O, avec la pince incisive ; soit la surface glénoïdienne, P, avec l'ostéotome de M. Heine, ou

l. (h) . Veine saphène interne isolée au-devant de la plaie. ( i ). Surface de l'astragale. ( k ). Extrémité inférieure du

îne. (e) . Extrémité de l'os dont on pratique la résection. (f) . Surface malléolaire de l'astragale. Au-dessus de cet os s

ibiaux postérieurs avec leur nerf, et les vaisseaux péroniers. (d). Surface de section du tibia et du péroné. ( e). Surface

x péroniers. (d). Surface de section du tibia et du péroné. ( e). Surface articulaire, dont on peut au besoin pratiquer la

, enlever soit l'articulation entière, affectée de carie sur les deux surfaces , ou seulement l'extrémité carpienne des os de l'a

long de la partie moyenne du tibia et du péroné, a permis d'isoler la surface de l'articulation , et de glisser, sous chaque ma

ronier (d). Les muscles étant écartés de chaque côté et séparés de la surface de l'os mis à nu, un premier trait de scie a divi

e même instrument peut à volonté pratiquer la résection de toutes les surfaces articulaires au pourtour de l'excavation. FIGUR

e de l'os étant enlevée. (f) . Section par le même instrument de la surface scaphoïdienne du grand cunéiforme. FIGURE 4.

. Petite incision transversale pour dégager la tête du péroné, (f ). Surface articulaire tibiale que l'on peut réséquer au bes

parle plan de section des ligamens et du tendon du triceps. ( f ). Surface des capsules fibreuses des condyles qui font part

deux côtes malades. 7. Fragment dont on pratique la résection. 8. Surface de la plèvre pariétale, en dessous du fragment ré

ïde et toute l'articulation scapulo-humé-rale étant conservées. 10. Surface du fond de la plaie occupée par les languettes su

de sa main gauche, et qui opère la section des chairs. FIGURE 2. SURFACE DE LA PLAIE APRÈS L'ABLATION DE L'OS. Détails sup

eau. p. Plan de section de l'os maxillaire, q. Voûte palatine. r. Surface de la cloison nasale surmontée par le cornet moye

uscle temporal. u. Section de l'attache zygomatique du masseter. v. Surface de la langue. FIGURE 3. RÉUNION DE LA PLAIE A

point de départ; puis, de bas en haut, on relève, en disséquant à la surface externe de l'os, le vaste lambeau dermo-musculair

e ou gouttière qu'occupait la mâchoire inférieure (1) et au-dessus la surface muqueuse sous-linguale (m), les côtés de la langu

tée; les jumeaux sont enlevés entre leurs attaches condyliennes et la surface poplitée, pour laisser voir les vaisseaux et les

ligne étoilée, résultat de la réunion par première intention. C. Surface de la plaie. Elle renferme les parties suivantes

in malade, soutenue parcelle d'un aide (k), présente au chirurgien la surface du moignon, lorsqu'il ne reste plus qu'à en prati

taille le lambeau palmaire. La plaie montre sur les deux fragmens les surfaces articulaires correspondantes de la seconde rangée

chirurgien qui opère avec le couteau. Figure 2. Elle représente la surface du moignon après la section terminée. Le chirurgi

de l'avant-bras a un lambeau. (Membre droit.) La figure représente la surface du moignon, l'opération terminée. f, Main d'un

hirurgien, qui achève la section des chairs en arrière. Figure 3. Surface du moignon de l'opération précédente, au moment o

ant en bas pour achever de détacher le fragment postérieur. Figure 3. Surface du moignon de l'amputation précédente, au moment

c le bistouri ( f) la section des muscles inter-osseux. Figure 2. Surface du moignon de l'opération précédente au moment où

beau plantaire. L'opération est représentée lorsque, l'écartement des surfaces articulaires étant opéré, on insinue le couteau s

gure 5. Réunion par première intention de l'opération précédente , la surface de la plaie étant recouverte presqu'en entier par

par les orteils, pour faciliter la section du lambeau plantaire. i, Surface de la section sur l'extrémité amputée , occupée ,

aphoïde et du cuboïde. k, Petit lambeau dorsal. La plaie montre les surfaces articulaires de la tête de l'astragale et de l'ap

qui supporte les chairs et les préserve de l'action de la scie. i, Surface de section des chairs du fragment inférieur. k,

gauche du chirurgien , et qui achève la section du tibia. FIGURE 3. SURFACE DU MOIGNON APRÈS L'OPÉRATION. 1, Main d'un aide

rne du tibia pour tailler le lambeau interne et postérieur. Figure 2. Surface du moignon après l'opération. f, Lambeau extern

roite du chirurgien , et qui opère la section du lambeau. Figure 5. Surface de la plaie de l'opération précédente. r, Main

s l'articulation tibio-tarsienne (procédé de M. Baudens). Figure 1. Surface de la plaie après 1 opération. Le lambeau tégu-me

ère la partie supérieure du talon, et sur les côtés les malléoles. La surface articulaire montre le plan de section du tibia, d

an de section du tibia, du péroné et du tendon d'Achille. Figure 2. Surface du moignon tégumentaire copiée d'après nature apr

ation sus-malléolaire de la jambe (procédé de M. Lenoir). Figure 7. Surface de la plaie l'opération terminée. Elle montre le

lambeau externe et postérieur (procédé de M. Sédillot). Figure 10. Surface de la plaie l'opération effectuée. Elle se compos

du chirurgien armée du couteau , occupée à tailler le lambeau. d. Surface articulaire fémorale. e. Extrémité articulaire

. Extrémité articulaire tibiale. f. Lambeau postérieur. FIGURE 3. SURFACE DU MOIGNON. g. Main gauche du chirurgien qui ra

postérieure et péronière, dont la ligature est déjà effectuée. k. Surface articulaire fémorale. 1. Lambeau musculo-cutané

, armée du couteau, qui achève la section des chairs. figure 2. SURFACE DU MOIGNON. La section des chairs représente un

line vers la face interne pour détacher net le lambeau. figure 2. SURFACE DU MOIGNON, L'OPÉRATION TERMINÉE. e, d. Les deu

articulation. Les muscles, coupés un peu longs, revêtent en partie la surface articulaire numérale et la section de l'olécrane.

a deux lambeaux dorsal et plantaire. Le plan osseux est formé par la surface articulaire du grand cunéiforme, à laquelle fait

atarsiens. Figure 3. Amputation médio-tarsienne a deux lambeaux. La surface osseuse est formée par la triple articulation cun

s les amputations, et, en général, dans les opérations sur de grandes surfaces , pour éviter la perte du sang, après les sections

e a cessé, ou lorsque déjà une substance ligamenteuse sécrétée par la surface intérieure de la capsule synoviale s'est épanchée

orps de l'os, fragment remarquable par la disposition anguleuse de la surface fracturée; 3" le fragment du petit trochanter qui

parce que les fragmens peu distans l'un de l'autre exercent sur leurs surfaces saignantes une compression suffisante pour arrête

, comme dans les hémorrhagies des tissus érectiles. L'étendue de la surface de la fracture était d'ailleurs, dans ce cas part

n est séparé par une fracture incomplète. Un mot sur l'aspect de la surface des fragmens : cette surface était couverte de pa

incomplète. Un mot sur l'aspect de la surface des fragmens : cette surface était couverte de parcelles osseuses et d'une mat

it de l'une à l'autre surface osseuse et ce prolongement naissait des surfaces osseuses et nullement de la circonférence de ces

aissait des surfaces osseuses et nullement de la circonférence de ces surfaces . Du reste, à leur circonférence, les fragmens é

du col du fémur était dénudée du périoste et de repli synovial. Les surfaces osseuses dépouillées de la matière pultacée rouge

moyenne de la tête sur le grand trochanter, a permis de voir que les surfaces de la solution de continuité étaient inégales, an

de tissu compacte, tandis qu'à une ligne et demie, deux lignes de la surface , le tissu était spongieux et pénétré de graisse;

ation du cal; mais pour que cette cicatrice ait lieu, il faut que les surfaces de la fracture soient en contact immédiat, et ce

ntact immédiat, et ce contact immédiat n'est possible que lorsque les surfaces correspondantes sont anguleuses de manière à s'en

elle est serrée, tantôt elle est lâche. Dans le premier cas, les deux surfaces articulaires frottant l'une contre l'autre devien

inférieur, si bien que le champ de ces mouvemens est non-seulement la surface de la tête, mais encore la partie supérieure du p

ture intra-capsulaire du col du fémur, la tendance à l'union des deux surfaces par cicatrice se manifeste par la formation de br

feste par la formation de brides très souvent fibreuses, étendues des surfaces des fragmens à la capsule articulaire. Plusieurs

emps décollé à cette même circonférence, il avait été renversé sur la surface de la fracture, en sorte que si la coaptation a

portion de ce cartilage articulaire aurait été intermédiaire aux deux surfaces de la fracture. Le repli fibro-synovial qui ent

ticulations nouvelles qui s'établissent à la suite du déplacement des surfaces articulaires méritent de fixer notre attention. N

tôt à un genre différent par suite des déformations qu'ont subies les surfaces frottantes et des végétations osseuses qui se son

coup plus apte à recevoir la tète du fémur que tout autre point de la surface de l'os côxal contre lequel on porterait cette tê

rvue de cartilage, remplie de graisse, ne présentant aucun vestige de surface articulaire. — Cette atrophie delà cavité cotyloï

te loi que toute cavité articulaire qui n'est plus en rapport avec la surface convexe pour laquelle elle est destinée, tend à s

âpre en dehors. lia tête du fémur est dépourvue de cartilage sur les surfaces frottantes : elle est plus ou moins déformée et u

nt ou incomplètement dépouillée de cartilage, et, dans ces points, la surface est éburnée. L'articulation nouvelle communique

nt d'appui solide sur l'os coxal, qui ne lui offre quelquefois qu'une surface planiforme ou légèrement concave, le fémur remont

petites érosions irrégulières, superficielles et anguleuses ER. La surface qui sépare l'ancienne de la nouvelle cavité eotyl

frottemens habituels : la portion du fémur qui frottait contre cette surface est le petit trochanter, qui est d'ordinaire très

eux cavités cotyloïdes est tuberculeux, rugueux: cet espace était une surface frottante contre laquelle venait appuyer le petit

t à la tête une disposition légèrement rugueuse. Entre ces débris, la surface de la tête était éburnée. L'usure la plus considé

e ces cartilages d'encroûtement, il n'est pas nécessaire que les deux surfaces frottantes soient osseuses; ainsi une sur-face fi

ntes soient osseuses; ainsi une sur-face fibreuse frottant contre une surface osseuse a déterminé un développement cartilagineu

e surface osseuse a déterminé un développement cartilagineux sur cetU surface osseuse. Le collier fibreux COL formé aux dépen

de comprendre qu'il y avait glissement facile entre ce collier et la surface correspondante du col, que les mouvemens de rotat

d'esprit. Ouverture du cadavre. — Cerveau proprement dit, rien. La surface du cervelet présente en arrière et à gauche une d

3e vertèbre cervicale : le disque intervertébral était détruit ; les surfaces correspondantes de l'axis et de la 3e vertèbre ér

pourvues de cartilage avec déformation plus ou moins considérable des surfaces articulaires. Il n'y avait pas d'ankylose; mais l

taient maintenus dans l'immobilité par suite de cette déformation des surfaces articulaires et par la rétraction des ligamens.

senter à son maximum les altérations qui sont la suite de l'usure des surfaces articulaires. Les os du carpe sont confondus en

L'usure si considérable , l'espèce de vermoulure que présentent les surfaces articulaires de la plupart des articulations des

ption des cartilages, et, à la suite de cette résorption, l'usure des surfaces articulaires. Comment s'opère la résorption des c

est le produit des frottemens qu'exercent les unes sur les autres les surfaces articulaires. Ces surfaces déformées ne se trouve

ns qu'exercent les unes sur les autres les surfaces articulaires. Ces surfaces déformées ne se trouvent plus configurées l'une p

d'où les déplacemens consécutifs; mais il arrive quelquefois que les surfaces articulaires ne s'abandonnent pas, et si l'immobi

rée, l'ankylose est cette lésion des articulations, dans laquelle les surfaces articulaires sont soudées entre elles. Il faut

nce, et si les malades succombent, on est tout surpris de trouver les surfaces articulaires intactes, alors qu'on croyait à une

ux artériels et veineux perdent de leur calibre. La déformation des surfaces articulaires dans les nouveaux rapports qu'elles

s deux os sont soudés entre eux, non par un travail existant dans les surfaces articulaires, mais par une gaine osseuse , espèce

eau étendu d'un os à l'autre, indépendamment de tout travail dans les surfaces . i° U ankylose par juxtaposition ou accolement, l

aces. i° U ankylose par juxtaposition ou accolement, lorsque les deux surfaces articulaires sont adhérentes entre elles, de tell

ire observer que cette ankylose n'a jamais lieu tout le temps que les surfaces articulaires sont incrustées de cartilages. L'ank

lier qu'avec l'adhésion pseudo-membraneuse ou l'adhésion fibreuse des surfaces articulaires, qui établit une espèce de rigidité

ède, lorsqu'un disque osseux, plus ou moins étendu, est interposé aux surfaces articulaires. 4° L''ankylose par fusion, lorsque

ême, qui a subi une dégénération et une déformation considérables. La surface de la tumeur est aréolaire. Fig. 2. La coupe re

du sphénoïde et de l'os maxillaire supérieur : les fosses nasales, la surface orbitaire et la fosse sphénoïdale de la base du c

uns des autres par des sillons profonds, remplis de tissu fibreux. La surface de la tumeur n'était unie aux parties voisines qu

de qui est sur la figure accroché à l'aide d'une érigne. Du reste, la surface de la tumeur présente l'aspect cartilagineux : el

arcation des lobules, la disposition mamelonnée ou tuberculeuse de la surface de ces lobules, l'indépendance des mamelons et tu

ui suivent: i° La plupart des lobules ne sont cartilagineux qu'à leur surface . Pour quelques-uns, la couche cartilagineuse est

du pus. La disposition mamelonnée existe dans l'épaisseur comme à la surface de la tumeur. 2° Inférieurement, la tumeur n'est

ssu fibreux. Ce fragment est léger, poreux. Les mamelons osseux de la surface apparaissent recouverts par une couche fibreuse m

téophytes, donnée par Lobstein à toute végétation qui naît, soit à la surface des os, soit autour des articulations. Or, comme

ai sous le nom à'ostéo-chondrophytes.ljâ couleur blanc-grisâtre de la surface de la tumeur,couleur due à la couche cartilagineu

rtilaginifbrme dont nous avons parlé, et qui avait été reconnue parla surface : * elle en formait la périphérie. Dans plusieurs

ues de la description , on trouvera dans cette tumeur, sillonnée à sa surface et divisée à l'infini en un grand nombre de petit

te épais qui s'enfonce dans les sillons, lobules cartilagineux à leur surface , et osseux au centre, creusés de foyers, d'excava

artie centrale présentait le tissu du fémur épanoui et raréfié, de la surface duquel partait du tissu osseux de nouvelle format

r un pédicule étroit, fibreux et osseux tout à-la-fois, adhérent à la surface de l'os, dont il eût été extrêmement facile de le

conoïde ou plutôt pyramidale, avaient leur base dirigée du côté de la surface de la tumeur, et leur sommet du côté de l'os des

e liquide synoviforme, et se ramifiant à la manière des vaisseaux. La surface interne de ces canaux et de leurs ampoules était

veloppement, en sorte que, ces exostoses ayant pu être détachées delà surface de l'os par une traction peu considérable, il ne

s sent à nu les os inégaux et comme érodés, La fig. 3 représente la surface interne du crâne , dont la dure-mère a été détach

e des os du crâne ne présente aucun vestige de végétation osseuse, la surface externe présente, autour des pertes de substance,

ers temps de la vie intra-utérine. Si la pression et l'immobilité des surfaces articulaires sont après la naissance une cause si

lle que je l'ai exposée dans mes leçons. Xlankylose ou adhésion des surfaces articulaires doit être bien distinguée dans la pr

. La rigidité articulaire n'entraîne de déformation que lorsque les surfaces de l'articulation se correspondent de telle maniè

l'ankylose. Combien de fois, à la Salpêtrière, n'ai-je pas trouvé des surfaces articulaires parfaitement saines sur des membres

e, indépendamment de toute soudure, de tout travail morbide entre les surfaces articulaires, qui sont libres et même quelquefois

; i° \lankylose par juxta-position ou accolement, dans laquelle les surfaces articulaires sont adhérentes entre elles, mais de

ylose par intermède, lorsqu'une production osseuse est interposée aux surfaces articulaires; 4° L'ankylose par fusion, lorsque

de ces extrémités; 5° L'ankylose amphiarthodiale, dans laquelle les surfaces articulaires privées de cartilages, sont unies en

les de l'extrémité inférieure du fémur. Il est facile de voir que ces surfaces articulaires du tibia résultent de la fusion des

d angle de l'œil. Point de nez entre l'œil et la bouche : à sa place, surface lisse occupant tout l'intervalle compris entre ce

ce intime de leur capsule fibreuse, la disposition granuleuse de leur surface avec des dépressions probablement dues à des atro

e MO, qui a échappé à la dégénératiou, est resté adhérent à l'œil. La surface de la tumeur est bosselée; une couche de tissu fi

e tissu, terminait, en avant et en bas, cette espèce de jabot dont la surface interne « était recouverte d'une membrane blanchâ

estomac E et le commencement du duodénum D. P est une perforation. La surface externe de l'estomac et des intestins présente le

ésiste aussi peu à un travail d'érosion, lorsqu'il est attaqué par sa surface adhérente, qu'il y résiste fortement lorsqu'il es

ace adhérente, qu'il y résiste fortement lorsqu'il est attaqué par sa surface libre. Je crois avoir démontré que la perte de

testinales sont devenues adhérentes entre elles dans un point de leur surface , ou bien cette adhérence a lieu entre une circonv

elles sont par la couche épaisse de mucus qui revêt habituellement la surface interne de ce viscère. J'ai rencontré des estomac

la surface interne de ce viscère. J'ai rencontré des estomacs dont la surface interne était criblée d'érosions superficielles,

noirâtres : à travers cette couche épaisse de mucosités, on voyait la surface interne de l'estomac parsemée de taches noires de

t infiltré dans l'épaisseur de la muqueuse, au lieu d'être libre à la surface de cette muqueuse, et contenu dans une petite éro

rs déterminations. explication oes figures. planche i Estomac. La surface interne de l'estomac, qui n'est nullement injecté

t à une petite distance du pylore. Indépendamment de ces replis, la surface interne de l'estomac offre, dans toute son étendu

selures, ainsi qu'on peut le voir sur la figure, dans la partie de la surface externe de l'estomac qui avoisine la grosse tubér

d'un rouge assez vif, sentiment de cuisson et sensibilité de toute sa surface , développement considérable des papilles de la b

tres et disposés, du cardia au pylore, en une couche continue dont la surface , ayant plus d'étendue que la membrane musculeuse,

estins grêles est partout grisâtre et de consistance normale; mais sa surface est hérissée de milliers de saillies , discrètes

La cavité de ces follicules est facile à distinguer; la couleur de sa surface est analogue à celle du follicule lui-même; les p

f n'offrent rien d'anormal : il est impossible de distinguer sur leur surface , ainsi que sur celle du mésentère, la plus petite

es, et que, parmi les follicules hypertrophiés, il y en avait dont la surface était fort injectée, et d'autres qui, violacés à

artir du pylore P, elle diminue progressivement jusqu'au cardia. La surface interne de l'estomac (fig. i) est comme granuleus

en épaisseur sur la membrane musculeuse. Dans certains points de la surface interne de l'estomac, les fibres musculaires sont

parois abdominales. Un travail de suppuration s'était manifesté à la surface externe de l'estomac , au niveau de l'adhérence.

rtie la perte de substance de la face postérieure : elle offrait à sa surface des marbrures de décoloration , et une incision p

upait la fosse iliaque droite. L'origine de ce cordon avait lieu à la surface de la tumeur par des ramifications nombreuses, à

facile de voir que la tumeur était formée par l'œuf renversé, dont la surface fœtale était devenue la surface externe, et dont

it formée par l'œuf renversé, dont la surface fœtale était devenue la surface externe, et dont la cavité était revêtue par les

et renversement complet de la poche de l'œuf, de telle manière que la surface externe devient interne et la surface fœtale devi

l'œuf, de telle manière que la surface externe devient interne et la surface fœtale devient externe; il y avait en outre retra

ce rapport dans les mêmes conditions que lorsqu'il est implanté à la surface interne de l'utérus. Or, s'il est démontré par

ù partent quatre ou cinq divisions qui gagnent différens points de la surface . Cette tumeur n'offre aucune apparence de débris

pourtour de l'anus P se continue sans ligne de démarcation avec la surface muqueuse de l'intestin. L'orifice O qui occupe la

lieu à la partie inférieure de la tumeur: deux airignes écartent les surfaces péritonéales contiguës de la partie invaginée et

me qu'il a lieu sans déplacement de la vessie chez l'homme; i° que la surface invaginante comme la surface invaginée sont revêt

ent de la vessie chez l'homme; i° que la surface invaginante comme la surface invaginée sont revêtues antérieurement par le pér

u centre, par l'intestin grêle et par l'appendice vermiforme; 20 à sa surface par le cœcum et par le colon ascendant renversé.

ansverse, c'est la partie contenante; le cylindre moyen, qui forme la surface de la tumeur, est formé par le cœcum; le cylindre

vante : le cylindre externe et le cylindre moyen se touchent par leur surface muqueuse; ils sont libres d'adhérence. Le cylindr

nce. Le cylindre moyen et le cylindre central se touchaient par leurs surfaces séreuses, lesquelles adhèrent par des filamens qu

par des filamens qui offrent une certaine résistance. Entre les deux surfaces séreuses se voyaient une cuillerée à café de pus

able pour l'invagination, c'est i° la disposition canaliculée; i° une surface libre en totalité ou en partie. Les hernies, do

udimèntaire. C'est dans des cas semblables qu'on a pu prendre pour la surface lisse de l'intestin, la surface également lisse d

semblables qu'on a pu prendre pour la surface lisse de l'intestin, la surface également lisse de l'une de ces lames superposées

écautions étaient d'autant mieux indiquées, que quelques points de la surface de la tumeur étaient érodés et menaçaient de s'ou

te. — Même pansement ; lait coupé ; lavemens émolliens. « Le 29, la surface de la tumeur est en partie noire comme le cordon

n. Mais comment la provoquer? Serait-ce par un irritant appliqué à la surface externe de la tumeur? serait-ce par un irritant i

intestin. Le péritoine n'est recouvert de fausses membranes qu'à la surface de l'intestin qui répond à l'invagination. Ces fa

st le lieu de réflexion de l'intestin grêle en dedans de lui-même. Sa surface , qui est muqueuse SMF, SMF, est recouverte par un

l qui a dû se déplacer la première. Le cylindre central I oppose sa surface péritonéale à la surface péritonéale SPF de l'int

première. Le cylindre central I oppose sa surface péritonéale à la surface péritonéale SPF de l'intestin moyen : et le cylin

éritonéale SPF de l'intestin moyen : et le cylindre moyen F oppose sa surface muqueuse à la surface muqueuse SMI" de l'intestin

testin moyen : et le cylindre moyen F oppose sa surface muqueuse à la surface muqueuse SMI" de l'intestin périphérique. Ces t

lindres moyen et interne forment la tumeur. (Poy. fig. 4 et 5.) Les surfaces muqueuses correspondantes ne présentaient aucun t

présentaient aucun travail d'adhésion. Il n'en était pas de même des surfaces séreuses contiguës, qui étaient unies entre elles

r M. Jobert, et consiste essentiellement dans la juxta-position d'une surface séreuse à une surface séreuse. Il est probable, e

te essentiellement dans la juxta-position d'une surface séreuse à une surface séreuse. Il est probable, en effet, que la sépara

ration du cylindre moyen était le point précis de la duplicature, une surface muqueuse, celle du cylindre externe, étant alors

surface muqueuse, celle du cylindre externe, étant alors opposée aune surface séreuse, celle du cylindre interne, l'adhérence n

uction. Ce malheureux recevait sa tumeur dans un pot de terre dont la surface lisse l'incommodait beaucoup moins que le xxii* l

endant quelque temps, et dont le frottement était très douloureux. La surface de la tumeur était d'un rouge vif, indolente, rec

érieure de ce boudin, existait une autre tumeur du volume du poing, à surface rouge, comme lobuleuse, à la base de laquelle éta

us contre nature ne permettaient pas le moindre doute à cet égard. La surface séreuse du cylindre invaginant adhérait dans une

tendue de six pouces, et par des liens celluleux fort résistans, à la surface séreuse du cylindre invaginé: d'où l'impossibilit

ait subdivisée en plusieurs cellules par des cloisons incomplètes. Sa surface interne était tapissée par un détritus gangreneux

it que le travail d'ulcération se continue non-seulement sur toute la surface d'un ulcère, mais sur un point de cet ulcère : se

ique séreuse , lorsqu'elle est attaquée du dehors en dedans, ou de sa surface externe vers sa surface interne, s'érode beaucoup

le est attaquée du dehors en dedans, ou de sa surface externe vers sa surface interne, s'érode beaucoup plus aisément que lorsq

ne, s'érode beaucoup plus aisément que lorsqu'elle est attaquée de sa surface interne vers sa surface externe. D'après cela, da

s aisément que lorsqu'elle est attaquée de sa surface interne vers sa surface externe. D'après cela, dans l'entérite folliculeu

êt contre l'atteinte du liquide avec lequel il est en contact, que sa surface est humide, et qu'il acquiert par la suite la fac

et circulaire, établissant une ligne de démarcation tranchée entre la surface muqueuse et la cicatrice; celle-ci, exclusivement

sous l'eau, à l'exposition d'un fort rayon solaire, aucun vestige de surface muqueuse; la section de cette cicatrice en divers

es jambes. Cette couleur ardoisée est au contraire très commune aux surfaces muqueuses, et partout où on la rencontre, elle

théâtres, des estomacs, des duodénums, des intestins grêles et gros à surface interne ardoisée, plus ou moins foncée. J'ai re

dater d'époques bien différentes : il y en avait de petites dont la « surface était pâle; d'autres qui étaient noires et entour

es ulcérations étaient irrégulières, à bords déchiquetés, dentelés, à surface irré-« gulière ; la couleur noire d'ébène s'étend

du gros intestin, soit de l'intestin grêle, se révèlent du côté de la surface péritonéale par des taches noires ardoisées plus

'il existe une irritation chronique sur quelques-uns des points de la surface interne de ces vaisseaux: lorsqu'il y a érosion d

isées, plus ou moins foncées, plus ou moins étendues, que présente la surface des poumons chez le plus grand nombre des sujets

même couleur : le tiers inférieur de l'intestin grêle présentait à sa surface cette injection vasculaire qui dénote ordinaireme

grêle, sont remplacées par des follicules isolés, disséminés sur une surface plus ou moins grande. La figure 3, planche 11,

une sorte d'infiltration ou d'imbibition sanguine de son tissu. La surface libre de la membrane muqueuse est couverte d'une

couche pseudo-membraneuse, les plaques agminées étaient saillantes, à surface rugueuse, inégale, comme corrodée, recouverte de

l'intestin grêle, ne présentait aucun indice de lésion. Examiné à sa surface interne, l'intestin grêle était sain; il contenai

ait sain; il contenait une grande quantité de mucosité verdâtre. La surface interne du gros intestin a présenté, au contraire

désordre était limité à cette membrane. Un filet d'eau projeté sur la surface libre de la muqueuse met en évidence ses débris l

e i832. Cette anse intestinale, notablement épaissie, présentait à sa surface externe une injection vasculaire tout-à-fait semb

es autres tuniques ne faisaient pas le quart de l'épaisseur totale. Surface interne. Plaques de pointillé rouge foncé extrême

la vie. Ainsi, pendant la vie, les fausses membranes, sécrétées à la surface interne de la muqueuse intestinale, les mucosités

use intestinale, les mucosités qui la revêtent peuvent donner à cette surface interne une couleur jaunâtre et verdâtre ; mais c

plein et comme tendu , et cependant il ne contenait aucun liquide. Sa surface interne présentait un aspect gangreneux ; et, en

a destruction était le résultat de l'action de l'acide sulfurique. La surface interne de l'intestin épaissi présentait, par sui

rofondément altérée est le rectum et surtout l'S iliaque du colon. La surface interne du gros intestin, dans toute sa longueur,

testin grêle. La moitié inférieure de l'intestin grêle présente, à sa surface interne, une infinité d'érosions extrêmement peti

llie des follicules muqueux isolés, d'ailleurs parfaitement sains. La surface de ces plis paraît rugueuse, ce qui résulte de la

es, présente plusieurs degrés. J'ai vu des cas dans lesquels toute la surface interne du gros intestin offrait une couleur ardo

mitée, mais que toute l'épaisseur de l'intestin avait été envahie. La surface interne SO, était ulcérée et couverte d'un détrit

onsistait dans un ulcère cancéreux très considérable, circulaire, à surface grisâtre, crevassée, inégale, à bords durs, coupé

escence s'était propagée au bas-fond de la vessie qui présentait à sa surface interne des végétations cancéreuses, molles, sour

s grande quantité de matières fécales. Injection très prononcée de la surface péritonéale des intestins grêle et gros. Il fut f

e que des débris à sa partie inférieure et à sa partie supérieure. La surface interne de l'intestin offre un grand nombre d'ouv

l'épaisseur des parois de l'intestin, dont elles débordent à peine la surface externe. Les soies de sanglier, introduites dans

ntroduites dans quelques-unes de ces ouvertures et qui sortent par la surface extérieure de l'intestin, à travers des trous art

l'ouverture de plusieurs culs-de-sac, dont le fond ne déborde pas la surface externe de l'intestin. Plus haut, c'est-a-dire au

irculaire coupé à pic, libre, décollé, sans aucune continuité avec la surface sur laquelle la membrane muqueuse avait été détru

rface sur laquelle la membrane muqueuse avait été détruite; que cette surface dépouillée de membrane muqueuse , était recouvert

a matière contenue tout-à-fàit semblable à de la gelée de pomme, à la surface de laquelle se voyait une matière crétacée représ

presque épidermique avait résisté et recouvrait les bosselures de sa surface ; au voisinage de l'ulcération en zone du rectum,

auteur accoutumée, formait une poche à parois extrêmement épaisses, à surface XXXIUP LIVRAISON. * externe bosselée. La tran

e, matière qui, à l'analyse chimique, n'a donné que de l'albumine. La surface interne du colon était le siège d'une usure progr

andes musculaires longitudinales très saine, avait été repoussée à la surface de la tumeur. Autour du rectum, d'ailleurs inta

de la rate, qui se moule en quelque sorte sur la moitié externe de sa surface . Il est par conséquent tout-à-fait superficiel da

istement plissée sur elle-même, flétrie et comme ridée, ratatinée. Sa surface externe a une couleur glauque fort remarquable ;

tinée. Sa surface externe a une couleur glauque fort remarquable ; sa surface interne est sans couleur. Son épaisseur, d'ailleu

très adhérente, et s'enlève avec elle. Cette boue tapisse en outre la surface interne du kyste MT, MT, et semble augmenter de d

ui apparaissent lorsqu'on absterge la couche crémeuse qui recouvre la surface de la section ou de la déchirure. Un fait const

telle qu'il fut impossible d'extraire cet organe sans le déchirer. Sa surface était lisse, et l'absence de bosselures tenait pr

corps d'une vieille femme, morte de toute autre maladie, un foie à la surface convexe duquel proéminait une tumeur hémisphériqu

ncipale par des orifices étroits. Des plaques crétacées occupaient la surface de la poche, surtout celle des arrière-cavités, e

ctère de la manière la plus invincible. i° Un kyste proéminent à la surface convexe du foie était réduit au volume et à la fo

kyste hydatique occupant la convexité du foie, dont il atteignait la surface : il adhérait au diaphragme. Ce kyste à parois fi

a plus grande partie des tubercules et masses cancéreuses occupait la surface du foie. Les masses cancéreuses de la surface éta

cancéreuses occupait la surface du foie. Les masses cancéreuses de la surface étaient proéminentes et déprimées au centre comme

ur citron, sans fausse membrane, sans aucune trace d'inflammation. La surface du poumon était parsemée de petites plaques circu

ncéreuse et trois tubercules cancéreux. La masse cancéreuse occupe la surface ; elle est creusée d'un godet; son tissu est extrê

uantité de suc cancéreux, qui suintait comme d'une éponge de toute la surface de la coupe par l'effet de la plus légère pressio

e; quelques indurations circonscrites du poumon; deux tubercules a la surface des reins. M... avait subi l'opération du cance

'infection cancéreuse avait principalement porté sur le foie, dont la surface présentait une multitude de tumeurs légèrement pr

ient formées par les granulations dégénérées du tissu du foie. A la surface de chaque rein, se voyaient deux tubercules de mê

mier métacarpien , dont l'extrémité inférieure est très saillante. La surface articulaire de la première phalange répond à la f

adies goutteuses. XXIIIe LIVRAISON. 1 de coutume, présentait à sa surface l'aspect que lui donnent des masses cancéreuses c

entaient une consistance fibreuse et une disposition aréolaire à leur surface interne; par leur surface externe, ils adhéraient

ibreuse et une disposition aréolaire à leur surface interne; par leur surface externe, ils adhéraient intimement au tissu du fo

ncte du corps de la vésicule,laquelle contient un calcul ovoïde CB, à surface blanchâtre, granuleuse. La figure 5 représente

si toutefois elle contient des calculs (voyez fig. 4), adhère à leur surface et constitue un véritable kyste biliaire. Ce retr

E, tome vm , page ^27. XLe LIVRAISON. '•' Le foie présentait à sa surface , et dans toute l'étendue de cette surface, une so

' Le foie présentait à sa surface, et dans toute l'étendue de cette surface , une sorte de marbrure blanc-jaunâtre. A la face

qu'on croyait sentir distinctement, sur l'absence de bousselures à la surface du foie, sur l'innocuité d'une ponction précédée

les dont le volume n'était pas assez considérable pour proéminer à la surface de l'organe, et devenir sensible à travers les pa

un an, était très sensible à la pression, sa couleur était noire, sa surface inégale comme une mûre; le malade l'avait prise p

uleur était jaune-serin dans la plus grande partie de son étendue. Sa surface présentait des taches noires de diverses dimensio

rapport au tissu du foie. On voit qu'elles occupent non-seulement la surface , mais encore toute l'épaisseur de cet organe. On

elles qui traversaient les tumeurs. Les poumons présentaient à leur surface des tumeurs de même nature, mais moins volumineus

chée était seule exempte de compression. La trachée-artère et même la surface interne du larynx présentent des plaques pseudo-m

e gauche]; le lobe droit et le lobe moyen étaient atrophiés. Toute la surface de la tumeur était parcourue par de petite vaisse

nifeste doivent être tout-à-fait différens, suivant qu'elle occupe la surface externe ou la surface interne du larynx, que la l

out-à-fait différens, suivant qu'elle occupe la surface externe ou la surface interne du larynx, que la laryngite sous-muqueuse

-à-dire semblables à des gouttes de cire qu'on laisserait tomber à la surface de cet organe. Une coupe, dirigée sur le milieu d

sont tout-à-fait superficielles. Les lignes blanches qu'on voit à sa surface ne me paraissent autre chose que des vaisseaux ly

tiques oblitérés et indurés. Réflexions. Les plaques cireuses de la surface du poumon sont une des formes les plus ordinaires

'acéphalocystes futures dans chacune de ces vésicules qui occupent la surface de la membrane. Si le kyste avait été moins con

les bords correspondans de ces os. Cette articulation se fait par des surfaces planes et planiformes (voy. fig. 3). Elle était l

ge de la huitième, et décrivait une courbe à concavité supérieure. La surface interne du sac présentait une disposition réticul

tre part, les lobules pulmonaires se dessinent parfaitement bien à la surface du poumon: ils semblent avoir été envahis isoléme

his isolément et restent distincts. Le lobe supérieur présente à sa surface , dans un certain nombre de lobules pulmonaires, u

sérosité : on aurait dit du tissu cellulaire infiltré. Du reste, la surface du poumon (fig. 1) est recouverte par une grande

ssu cérébral. Des vaisseaux veineux très développés, rampaient sur la surface de la tumeur et lui adhéraient intimement. Le t

x dépens de cet organe. Ces tumeurs étaient toutes granuleuses à leur surface . Examinées à la loupe, ces granulations paraissen

la manière de colonnes, et leur donnent quelque ressemblance avec la surface interne^des ventricules du cœur. La cicatrisation

comme des radiations. Cette forme s'observe sur tous les points de la surface du poumon. i° Guérison par induration mélanique

e, pulvérulente, on rencontre quelquefois une concrétion ossiforme, à surface rugueuse et adhérente au kyste. Chez les vieilles

tubercules sont quelquefois très multipliés : lorsqu'ils occupent la surface du poumon, tantôt ils sont saillans, et tantôt il

cavernes sont presque toujours anfractueuses, à parois très denses, à surface interne rouge, qui offre quelque analogie avec le

-seulement le tissu cellulaire sous-cutané de la peau, mais encore la surface et l'épaisseur des muscles et qu'on voit encore l

n'étaient entourés de caillots sanguins que sur un des points de leur surface , et ces caillots étaient pour la plupart décoloré

ccidens sont purement locaux et résultent : i° de la phlegmasie d'une surface aussi sensible que la membrane interne des veines

ué le pus contenu dans le foyer le plus supérieur F P pour montrer sa surface interne qui présente des points rouges proéminens

en sorte que le plus léger effort aurait suffi pour les rompre. La surface du caillot, qui adhère très peu aux parois de la

saphène contenait un caillot, creusé lui-même d'un cylindre, dont la surface interne présentait des stries circulaires tout-à-

ésentait des stries circulaires tout-à-fait semblables à celles de la surface interne des caillots dans les anévrysmes. Ce cyli

se jambière. Epanchement de sang sous cette aponévrose jambière, à la surface des muscles et dans l'épaisseur de ces muscles. O

rioste était décollé. Une couche de sang très dense le séparait de la surface de l'os. Troisième observation. Femme Lemaire,

médiat la coagulation du sang dans tous les points correspondant à la surface interne enflammée du vaisseau : dans les grosses

s la séparation spontanée de la nécrose à une certaine distance de la surface de la plaie. Ainsi, tandis que la phlébite adhé

lume d'une petite noix, contenant du pus sanieux, à son centre. De la surface du kyste, partaient des prolongemens fibrineux tr

oute sa longueur de plaques circulaires crétacées, jaunâtres, dont la surface interne est tantôt libre, et tantôt recouverte pa

quées 1,1'et 1" sur les planches 1 et 2 (2), or, lorsqu'on examine la surface interne (1) Je dois la pièce qui fait le sujet

s couches stratifiées d'inégale consistance ne débordent nullement la surface interne de l'artère; une couche d'apparence organ

perpendiculairement à l'axe du vaisseau, égalise en quelque sorte la surface interne de ce vaisseau dans toute la partie corre

caillot se continuait sans ligne de démarcation bien évidente avec la surface interne de l'aorte,on aurait pu croire au premier

excavations du vaisseau. C'est à peine si j'ai pu reconnaître par la surface interne de l'artère, les points correspondans aux

, les points correspondans aux tumeurs ou bosselures observées sur la surface externe ; les caillots numérotés 2 et 3 répondent

ques couleur ardoise foncée qui se voient quelquefois aussi bien à la surface externe qu'à la surface interne du vaisseau et oc

cée qui se voient quelquefois aussi bien à la surface externe qu'à la surface interne du vaisseau et occupent toute son épaisse

aortique étaient parfaitement libres. En disséquant l'anévrysme de la surface externe vers la surface interne , j'ai vu sous la

ement libres. En disséquant l'anévrysme de la surface externe vers la surface interne , j'ai vu sous la tunique celluleuse la m

pertrophie pas; mais elle s'affaiblit en s'éparpillant sur une grande surface ; voici, du reste, de quelle manière se forme le

de ou anneau fibreux, espèce de diaphragme parfaitement circulaire, à surface lisse. Cette bride ou anneau fibreux résultait: i

à devenir complète; car il était entamé et comme lacéré sur toute la surface du cartilage qui faisait partie de la poche. Les

constituée par une coque osseuse, divisée en fragmens ,iisses à leur surface interne, et articulés à l'aide du tissu fibreux.

suffisait à la circulation; on voit même, en examinant l'aorte par sa surface extérieure, que la partie saine de ce vaisseau se

gure 2, planche n, représente la colonne vertébrale usée sur toute la surface qui correspondait au pédicule de "la tumeur. Cett

le était déjà perforée en P et remplacée par la base des poumons : la surface interne de la poche droite SIP n'adhérait aux lam

s qu'à la partie supérieure; en bas, il n'y avait pas d'adhérence; la surface externe des caillots sanguins SCS présentait une

fester, dans les parois correspondantes de la poche anévrysmale. La surface interne de l'artère SI A, dans sa portion altérée

nes avaient une densité bien plus grande que les couches internes. La surface interne de la poche, formée par la concrétion, ét

FM, d'une part, tapissait le péricarde, d'une autre part, revêtait la surface du cœur : cette fausse membrane était peu cohéren

ots stratifiés qui méritent de fixer un instant notre attention. La surface interne et libre de ces caillots est parcourue pa

ondulées peu saillantes, perpendiculaires à l'axe du ventricule. La surface externe est accolée à la face interne du tissu du

ême que, dans les poches anévrysmales des artères, on voit souvent la surface adhérente du caillot s'altérer, se détacher de la

souvent la surface adhérente du caillot s'altérer, se détacher de la surface interne de la poche, lorsque cette poche est le s

même, dans le cas actuel, une partie du caillot était détachée de la surface interne de la poche formée par les parois du vent

e; et au niveau du décollement, une matière pultacée attestait que la surface correspondante de la poche ventriculaire était le

en dehors: or,]la traction du cœur s'exerçant également sur toute sa surface , il en résulte une dilatation proportionnelle de

onaires très circonscrites. — Rate d'un volume assez considérable. Sa surface et sa coupe présentent des milliers de granulatio

Alors, introduisant un stylet par la déchirure linéaire observée à la surface du cœur, je suis arrivé, à travers un trajet sinu

et d'une autre part, à l'extérieur par les déchirures indiquées à la surface de l'organe. L'altération du tissu du cœur cons

erture de cette membrane, et du sang coagulé qui s'était moulé sur la surface du cœur. Le cœur est d'un volume ordinaire, env

hacune de ces interprétations. Le transport du pus en nature, d'une surface suppurante éloignée au cœur, est trop favorable à

concrétions sont susceptibles leur viennent en quelque sorte par leur surface externe: pourquoi cela? Parce que là elles se tro

c'est-à-dire qu'au lieu d'être adhérentes par toute l'étendue de leur surface , elles ne le sont en général que par une très pet

ions sanguines polypiformes purulentes du cœur, libres par toute leur surface et flottant dans telle ou telle des cavités du cœ

tre veines pulmonaires. Cette concrétion offrait sur une partie de sa surface une disposition granuleuse (fig. i') ; [elle étai

fig. i) n'offraient aucune trace d'inflammation, même au niveau de la surface granuleu se adhérait au caillot d'une manière peu

tite perforation dans les points traversés par une soie de cochon. La surface de deux de ces poches, 1 K et 4 K , offrait des é

e est comme hérissé de concrétions pierreuses, tuberculeuses, dont la surface inégale est en partie libre et en partie recouver

e. Augmentation de volume et couleur jaunâtre du foie; rugosité de sa surface ; rougeur inégale de la surface interne de l'estom

uleur jaunâtre du foie; rugosité de sa surface; rougeur inégale de la surface interne de l'estomac. Troisieme fait. - Femme B

pédicules des parois veineuses, de la même manière que de toute autre surface libre', est un fait moins Jconnu et bien digne de

développer dans l'intérieur de ce vaisseau. Les autres naissent de la surface interne du vaisseau, sans avoir aucune connexion

mplètement oblitérée par une tumeur carcinomateuse qui naissait de sa surface interne et remplissait sa cavité. Cette tumeur se

raient pas tardé à dégénérer. Les coupes de ces tumeurs ont donné une surface homogène de tissu lardacé dont le centre présenta

onge en outre dans l'orifice auriculo-ventriculaire où elle offre une surface globulée M'C et remplit l'espèce d'infundibulum q

parent ces lobules ou mamelons, les macules de sang que présente leur surface ; on voit parfaitement la masse de lobules qui s'e

tumeurs de même forme et de même nature naissant du péritoine ou des surfaces muqueuse et cutanée. FIG. 2, PL. III, XXIXe LIV

du cœur que se voyaient les colonnes les plus considérables. Toute la surface du cœur, la portion péricardique de l'aorte et de

eur du cœur, c'est-à-dire de la base vers la pointe de cet organe. La surface interne du péricarde était également tapissée par

ieure du cœur. En arrière, elles étaient rompues, ce qui donnait à la surface inférieure du cœur, libre dans toute son étendue,

ont l'existence ne paraissait pas remonter à plus de quinze jours, la surface correspondante du cœur se couvrait d'une multitud

iolent, et qu'une suppression de sueur vient à avoir lieu, toutes les surfaces exhalantes, et plus particulièrement toutes les s

, toutes les surfaces exhalantes, et plus particulièrement toutes les surfaces frottantes, qui étaient pour ainsi dire dans un é

aire. — Perte successive de tous les sens. — Érosions profondes de la surface interne de la base du crâne. — Pénétration de la

et d'une traction légère; le pédoncule cérébelleux était ramolli à sa surface et les lamelles cérébelleuses écartées, atrophiée

n s'est ensuite portée sur les os du crâne qui m'ont présenté, à leur surface interne, une disposition fort remarquable qui me

n sorte qu'il devint évident pour moi que ces empreintes profondes, à surface rugueuse et comme lacérée de la base du crâne, ét

pour confirmer cette loi, que les éminences et les impressions de la surface interne du crâne sont en rapport direct et nécess

estaient que le sphénoïde n'aurait pas tardé à être transpercé. Les surfaces orbitaires et les fosses sphéno-temporales sont p

t, elle tenait à la dure-mère par sa face plane et était libre par sa surface convexe. Elle m'a paru formée aux dépens de la du

fongueuse, qui formait la poche extérieure représentait très bien la surface d'un polype fibreux. Réflexions__Voilà encore u

e aveline, grisâtre, molle, granuleuse et comme demi transparente. Sa surface était parcourue par des vaisseaux veineux très dé

t iliaque droites était purulent et gangrené. Le rein présentait à sa surface trois perforations qui établissaient une communic

r du pus infiltré et combiné avec le tissu du rein , se voyaient à sa surface . Vessie racornie extrêmement épaisse, contenant u

les, des cicatrices peau de chamois. Ces cicatrices sont bornées à la surface de ces circonvolutions flétries. Infiltration sér

sont coupées net. La couleur gris rougeâtre n'occupe pas seulement la surface de la moelle, mais elle s'étend encore à une demi

est saine ; l'olive droite OD est grise, excepté dans un point de sa surface où elle présente une île de substance blanche. Le

la plèvre. La pleurésie occupait la plèvre diaphrag-matique, toute la surface du lobe inférieur du poumon gauche, et la partie

ouvraient la plèvre, ayant été détachées, présentaient, du côté de la surface adhérente, de grandes taches oumacules de sang: e

e la surface adhérente, de grandes taches oumacules de sang: et de la surface devenue libre, de la plèvre correspondante qui n'

pneumonies, c'est-à-dire qu'elles portent leurs effets sur toutes les surfaces perspirables. Mais les suppressions de transpirat

granulations tuberculeuses du volume d'un gros pois disséminées à la surface des intestins, par des masses tuberculeuses amorp

les granulations tuberculeuses de l'intestin étaient déposées ou à la surface libre de cet intestin ou sous le feuillet périton

qui le recouvre, mais il me fut facile de voir qu'elles occupaient la surface libre. Quant aux masses tuberculeuses, elles exis

dhérences. L'étude des granulations tuberculeuses qui occupaient la surface du foie, a appelé mon attention. Ces gros grains

mblaient au premier abord développés dans l'épaisseur du foie dont la surface n'était que déprimée. Poumons. Le poumon droit

noires et dures, que je regarde comme des tubercules de guérison. La surface interne de l'estomac présente des points noirs ou

it du pus dans le bassinet et les calices et rougeur très vive à leur surface interne. Les reins étaient un peu granuleux, un p

ns que de coutume à leur membrane propre, et injectés çà et là à leur surface . Les organes digestifs ont présenté pour toute al

lle en deux heures (i). Foyer apoplectique ouvert à-la-fois et à la surface du cerveau et dans le quatrième ventricule. Mar

ne enlevée, le sang s'écoule encore par gouttelettes nombreuses de la surface externe de la dure-mère. La dure-mère est diste

. volumineuse, convertie en une poche remplie par du sang noir à sa surface , présente une teinte violacée. A sa partie latéra

e droite, est une petite déchirure qui fait communiquer le sang de la surface du cerveau avec le sang contenu dans l'épaisseur

s pouces de long, occupait la partie latérale droite du vaisseau : sa surface , était bosselée, sa cavité était remplie de caill

rd, résolue négativement par le fait représenté fig. 3; car, vue à sa surface , la moitié droite de la protubérance paraissait b

rice de la moitié gauche de la protubérance, quoique moins étendue en surface , avait beaucoup plus de profondeur, on sera conva

loppée dans le tissu cellulaire de la pie-mère, avait-elle déprimé la surface du cerveau de manière à se creuser une cavité par

âtre, sa dureté assez grande. Sa coupe, représentée fig. 2, offre une surface grise à peine nuancée, dans l'épaisseur de laquel

du ventricule latéral. Peut-on guérir de tubercules développés à la surface ou dans l'épaisseur du cerveau? Cette question

des lambeaux filamenteux de cette cellulosité. Sous la cicatrice, la surface du cerveau était dense et jaune , mais cette dens

mbraneux , pénétrés de sang, étaient appendus à tous les points de la surface de la cavité: la source de i'hémorrhagie était pr

scissure. Sous les petites circonvolutions radiées qu'on observe à sa surface , se voit le corps strié externe, en dedans duquel

ouverts par une couche mince de substance grise, et à leur niveau, la surface du cerveau présente une couleur violacée. Les f

ou plutôt de petits épanchemens miliaires, la plupart proéminens à la surface du cerveau, quelques-uns cachés dans l'épaisseur

se. Mais indépendamment de ces taches d'un rouge noir, on voyait à la surface du cerveau et dans l'épaisseur de la substance gr

u'on eût dit des grains de sable diversement colorés, disséminés à la surface du cerveau. La coïncidence de petits foyers sangu

s ne sont autre chose que la cicatrice des petits foyers sanguins. La surface du cerveau présente en outre plusieurs de ces cic

suite du ramollissement de la substance grise des circonvolutions. La surface de la protubérance offre quelques taches d'appare

s dans la moelle. On dirait que du sable de couleur a été déposé à la surface du cerveau ou enfoncé dans son épaisseur. Chaqu

occasion de l'observer. Je reproduis ici ma note textuellement. La surface du cerveau m'a frappé par une innombrable quantit

s, brun jaunâtre, les petits grains de sable de même couleur, dont la surface du cerveau est quelquefois parsemée, qui donnent

t la surface du cerveau est quelquefois parsemée, qui donnent à cette surface un aspect rugueux, ou qui sont contenus dans l'ép

dans son épaisseur. La convexité des deux hémisphères présente à sa surface des plaques hémorrhagiques, formées par du sang i

la base du crâne, étaient dans l'état le plus parfait d'intégrité. La surface du cerveau présentait des ecchymoses , qui n'occu

ut à la base du cerveau. Abdomen. Les intestins présentaient à leur surface des bandes irrégulières d'injection disposées sui

me, était remarquable par sa fragilité. On distinguait très bien à sa surface interne le lieu de l'insertion du placenta, carac

couche mince de sang coagulé, récemment épanché, qui occupe toute la surface convexe des hémisphères cérébraux. Sous l'arachno

r places, et cette atrophie se manifestait par une dépression de leur surface externe et par un amincissement extrême avec tran

e capillaire portée à son summum d'intensité. La fig. 2 représente la surface du cerveau parsemé de plaques lie-de-vin, offrant

t de la combinaison du sang avec la substance cérébrale, on voit à la surface du cerveau des globules sanguins disposés suivant

é immédiatement au dessus du corps calleux, et qui proémine sur cette surface interne. La figure 3' représente la circonvolut

rveau, mais toujours superficiels, de telle façon qu'une partie de la surface de la vésicule proémine ou apparaît à la surface

qu'une partie de la surface de la vésicule proémine ou apparaît à la surface de l'organe. Je n'ai jamais rencontré de cysticer

e sphé-roïdale parfaitement transparente, excepté dans un point de sa surface , qui est opaque et d'un blanc laiteux : ce point

la compression cesse ou diminue, qui est sillonné circulairement à sa surface , et dont la tête ou l'extrémité libre, légèrement

uit les adhérences qui existaient en arrière entre la dure-mère et la surface du cerveau, et que le pus fétide venait de l'inté

une couche de substance cérébrale ramollie est restée adhérente à sa surface externe; une fausse membrane mince tapisse sa sur

adhérente à sa surface externe; une fausse membrane mince tapisse sa surface interne: ses parois sont celluleuses et vasculair

formées par une membrane qui avait un quart de ligne d'épaisseur. La surface interne de cette membrane était rugueuse, comme g

membrane était rugueuse, comme granulée et d'une couleur rosacée. Sa surface externe adhérait à la substance cérébrale ramolli

s solution de continuité du cerveau ; mais dépression profonde, et la surface des circonvolutions n'était pas même entamée : l'

e : l'arachnoïde et la pie-mère séparaient d'ailleurs la tumeur de la surface du cerveau. Cette tumeur portait à-la-fois et sur

du tissu fibreux de la dure-mère D M, mais de son feuillet séreux. Sa surface était bosselée à la manière d'une mûre. Son tissu

prise pour l'arachnoïde pariétale sans sa grande vascularité. Leur surface est bosselée, souvent à la manière du fruit du mû

était autre chose que du suc cancéreux concret. C'est du côté de la surface interne de la dure-mère que ces tumeurs prennent

x dépens du lobe gauche du cervelet, qui était légèrement déprimé. Sa surface bosselée, murale en quelque sorte,était parcourue

sseaux très dilatés. Cette tumeur adhérait par le quart environ de sa surface à la dure-mère qui semblait envoyer dans son épai

paisseur desprolongemens divergens. Cette tumeur qui naissait de la surface orbitaire, comme dans le cas représenté fig. 1 et

s toutes les anfractuosités. De très grosses veines serpentaient à la surface du cerveau et pénétraient dans son épaisseur. U

ons pseudomembraneuses. Indépendamment des tumeurs végétantes de la surface interne de la dure-mère, on rencontre quelquefois

oïdal avaient été détruites , en sorte que ce corps occupe presque la surface du cervelet. Le tronc basilaire, les artères ve

la grande •irconférence du cervelet : ils étaient très indurés ; leur surface était grisâtre ; leur coupe, au lieu de présenter

irection verticale plus ou moins sinueuse et a linéairement entamé la surface du cervelet. Ces sillons n'ont quelquefois (1)

u'il n'y a pas de cicatrice et que le sillon vient d'être creusé à la surface du cervelet. Fig. 3. Apoplexie capillaire du ce

nitrique. La matière tuberculeuse a donc été simplement déposée à la surface de ces filets nerveux. MALADIES DU CERVELET 3

isées au bout de quelques jours. Les figures 1 et 2 représentent la surface externe de ces cornes, qui offrent l'aspect conto

s cornes, qui offrent l'aspect contourné de la corne du bélier. Cette surface externe est striée suivant sa longueur, et n'offr

s, rougeâtres et comme raccornies. L'extrémité adhérente présente une surface plane, régulière et lisse. C'est de cette extrémi

de l'accroissement; qu'une année après l'apparition de la tumeur, la surface ulcérée se recouvrit d'une efflorescence cornée q

ion du tissu de la peau et du suintement ichoreux qui avait lieu à sa surface . Du reste, cette végétation est pourvue d'un vé

Sa forme est celle d'un bulbe, légèrement aplati sur les côtés. Sa surface est fasciculée, et ses (1) J'ai déposé dans le

reste, les productions cornées peuvent occuper tous les points de la surface de la peau, parce qu'il n'en est aucun qui ne pui

papilles est suspendue, irrégulière ou modifiée, on trouve, soit à la surface , soit dans l'épaisseur de la production cornée, d

sont fortement pressées les unes contre les autres. Les fibres de la surface sont généralement plus solides que celles du cent

rétions stalactiformes de diverses dimensions s'élevaient de toute la surface du corps. Des myriades de pous étaient nichées da

trine. Grand nombre de petites tumeurs mélaniques grises, occupant la surface du poumon. Masse mélanique du volume d'une pomme

autre part, à ce que les nerfs ne sont généralement étudiés qu'à leur surface : ils ne sont point disséqués. Or,la dissection d

ulaires de la vessie, se prolongeait entre la muqueuse urétrale et la surface interne du canal prostatique. La fig. 4 représe

run-jaunâtre qui suinte, comme d'une éponge, de tous les points de la surface de la section. Les canaux prostatiques très dilat

à la tunique musculeuse. Une pseudo-membrane mamelonnée tapissait la surface interne de la vessie dans toute son étendue. Ma

ice. La fig. 2 représente la vessie renversée, et par conséquent la surface interne de la vessie S1V et les tumeurs TS, TI, T

utres détails de l'autopsie, le tissu propre des reins était sain. La surface interne des calices était livide et tapissée par

s si l'on remarque quelques fibres musculaires rares disséminées à la surface du kyste. On peut toutefois se rendre compte de l

ole, c'est l'apparition de pétéchies et d'ecchymoses sur les diverses surfaces libres. Il arrive souvent que la peau, que la muq

leuse, ne constituait ici qu'une couche mince. Les bosselures de la surface interne de la vessie sont le résultat de la corru

bien que l'angine couenneuse si bien décrite par M. Bretonneau. La surface interne de la vessie présentait l'aspect réticulé

. La surface interne de la vessie présentait l'aspect réticulé delà surface interne du cœur. On y voyait un grand nombre de c

plissent en dedans d'elles-mêmes. La production des vésicules à la surface libre des membranes muqueuses est une lésion que

ntenu dans le bassinet. Le rein est atrophié, sa couleur jaunâtre, sa surface parcourue par une multitude de vaisseaux. Cette

exercée par le calcul sur le rein : le développement vasculaire de la surface de l'organe peut être raisonnablement considéré c

tité de graisse, qui remplit les vides et égalise en quelque sorte sa surface . Ce tissu adipeux TA adhère intimement au rein, e

, la couleur, tous les caractères possibles. Nous examinâmes alors la surface du rein et nous vîmes qu'au niveau de sa face ant

eurs calculs moulés les uns sur les autres, et l'aspect lisse de leur surface contiguë établit qu'il y avait frottement. Plusie

i peut, dans le plus grand nombre des cas, suinter librement entre la surface du calcul et la poche membraneuse, dans laquelle

la transformation du rein soit complète, et qu'on ne trouve pas à la surface du rein, dans les points épaissis qui séparent le

embraneuse contiguë, filtrent à travers toutes les couches jusqu'à la surface libre. Le même raisonnement s'appliqtierait parfa

gulières, occupant des espèces de géodes, dont les unes avoisinent la surface de l'os, dont les autres avoisi-nent le canal méd

elons lobuleux d'inégal volume, dont la plupart sont gangrenés à leur surface ou dans une partie de leur épaisseur. Quelques-un

posés, se séparant avec la plus grande facilité, et se terminant à la surface des mamelons : entre ces prolongemens lamelleux,

naux dans lesquels il était contenu. La substance qui avoisinait la surface des mamelons était convertie en une pulpe qui ava

ée par la simple juxta-position de plusieurs lobules : cette cavité à surface libre et lisse était humectée de suc visqueux, sy

t les renverser de manière à leur faire représenter une poche dont la surface extérieure, hérissée de granulations, corresponda

sée de granulations, correspondait au centre du lobule; tandis que la surface interne de cette même poche répondait à la surfac

ule; tandis que la surface interne de cette même poche répondait à la surface du lobule. Tout était régulier dans la disposit

eaux veineux très nombreux et très ténus, dont les uns rampaient à la surface des lobules, dont les autres étaient contenus dan

xaminant avec attention les granulations elles-mêmes, je vis que leur surface était parcourue par des vaisseaux excessivement d

sur les tumeurs : un érysipèle erratique survint, parcourut toute la surface du corps, acheva d'épuiser la malade, qui succomb

d'un gros ceuf de poule; la troisième avait celui d'une noix. A leur surface , comme à leur centre, elles étaient d'une couleur

comme à leur centre, elles étaient d'une couleur très blanche : leur surface bosselée attestait leur disposition lobuleuse ; l

e attestait leur disposition lobuleuse ; leur circonscription et leur surface lisse dénotaient leur enkystement; ces tumeurs se

ureté est comme pierreuse. Les plus petites proéminent seulement à la surface externe de la peau ; les plus considérables proém

, et ces espèces de tubercules faisaient saillie tantôt du côté de la surface libre, tantôt du côté de la surface profonde de l

ient saillie tantôt du côté de la surface libre, tantôt du côté de la surface profonde de la peau. Ce cas est un type de canc

n : seulement il présentait, du côté de sa convexité et saillant à sa surface , un kyste fibreux contenant une matière boueuse q

ssu du poumon est sain. Des plaques cireuses occupent la partie de la surface du poumon, qui n'est pas le siège du kyste. Le

1837, elle présente l'état suivant : à la place de la mamelle droite, surface ulcéreuse très rouge, limitée par un rebord saill

es et dépasse même l'ombilic. On peut distinguer les bosselures de sa surface à travers l'épaisseur des parois abdominales. On

verture du cadavre. Toute la région antérieure du thorax présente une surface ulcéreuse, supportée par une hase indurée, de cin

it prolongé en haut, du côté du thorax, et adhérait au diaphragme. La surface du poumon présentait quelques plaques cireuses.

édiane, j'aperçus quelque chose d'insolite; c'était une portion de la surface d'une tumeur qui était enfoncée dans l'épaisseur

rieure, en même temps qu'elle faisait suinter le suc cancéreux par la surface aréolaire de la coupe, le faisait s'échapper par

termination sur la couleur du polype qui, dans une bonne partie de sa surface , présentait la blancheur du corps fibreux. Est-

servée, mais je n'en ai vu l'indication nulle part. On conçoit que la surface des polypes par hypertrophie puisse être le siège

sse être le siège d'une inflammation adhésive, tout aussi bien que la surface de la coque qui sert d'enveloppe aux corps fibreu

t d'enveloppe aux corps fibreux, puisque, dans l'un et l'autre cas la surface des polypes est une surface muqueuse. J'ai même e

eux, puisque, dans l'un et l'autre cas la surface des polypes est une surface muqueuse. J'ai même entendu parler de polypes qui

er. Dans le cas qui nous occupe, l'adhérence du museau de tanche à la surface de la tumeur a eu pour résultat la rétention d'un

que j'aie jamais eu occasion d'examiner : c'était un corps amorphe, à surface irrégulièrement bosselée, auquel était appendue u

on a enlevé, à l'aide d'un filet d'eau, le détritus qui recouvre les surfaces ulcérées ou érodées, on voit de la manière la plu

Du reste, la portion de l'utérus libre dans le vagin, de même que la surface correspondante du vagin lui-même, étaient recouve

à la couche gangreneuse était pénétrée de sang et un peu ramollie; sa surface était très inégale. Certes, ce n'est pas à une

ngreneux qui recouvre le doigt explorateur, l'aspect gangreneux de la surface examinée à l'aide du spéculum : voilà, d'après le

t deux cas différens. La fig. i représente, de profil et vus par leur surface externe , la vessie et l'utérus d'une femme morte

qui a la consistance et l'aspect du suif ramolli ou du sain-doux. La surface externe de l'utérus dépouillé de sa membrane péri

rus était transformé en une poche à parois minces, flexibles, dont la surface interne était mamelonnée. Le col de l'utérus est

lacé par une petite végétation fongueuse. La vessie présentait à sa surface interne une multitude de saillies ou tubercules d

et a amené une large communication entre le vagin et la vessie. La surface interne de la vessie GV est noire, couverte de pl

t là quelques lambeaux superficiels du tissu propre du rein F R. La surface du rein ainsi dépouillé de sa membrane, présente

à-fait solide; sa section perpendiculairement à son axe, a montré une surface blanchâtre compacte et uniformément consistante.

Je n'y ai pas trouvé de suc cancéreux. Le rein gauche présentait à sa surface des portions décolorées, comme il arrive lorsqu'i

e suc cancéreux. 3° Comme exemple de cancer de l'utérus occupant la surface interne de cet organe qu'il détruit par couches s

nflammation et la suppuration du péritoine peuvent être limitées à la surface libre de l'organe malade, soit de l'utérus quand

douteux, quant à la nature de la lésion. La figure 2 représente la surface extérieure du museau de tanche extirpé. C'est pou

laisser le moindre doute sur l'existence d'une inflammation. De la surface interne du kyste naissaient plusieurs tumeurs sph

grosse pomme de reinette; elles adhéraient par un gros pédicule. Leur surface lisse, demi transparente, permettait de détermine

it OD avait le volume d'un gros œuf de poule. La moitié externe de sa surface était enveloppée par une coque cartilagineuse. C'

ovaire droit présente à sa partie interne et inférieure une cavité à surface parfaitement lisse, dont les parois anfractueuses

rde en haut ; on reconnaît l'orbite, et même la trace de l'œil, à une surface déprimée plus noire que les parties voisines : là

rois du kyste. De petites plaques crétacées se voyaient çà et là à la surface interne de la poche. C'est la première fois que

oïdale, volumineuse, formée par un kyste ovarique renversé et dont la surface extérieure était formée par le placenta. La périt

n cancéreuse gélatiniforme. La disposition bosselée, mamelonnée de la surface externe de l'estomac; sa surface interne, qui est

sposition bosselée, mamelonnée de la surface externe de l'estomac; sa surface interne, qui est comme érodée dans beaucoup de po

dans l'épaisseur de cette trame. Les vaisseaux sanguins occupaient la surface seulement de l'estomac. L'extrémité inférieure

ranulations carcinomateuses qui naissaient de tous les points de leur surface . Ces grappes agglomérées donnaient aux divers rep

élatiniforme que je ne connaissais pas encore). Tous naissaient de la surface libre du péritoine, en sorte qu'en enlevant cette

ion ; j'ai dit seulement que l'estomac était fongueux et injecté à sa surface interne, dur, squirrheux et blanchâtre dans son é

liquides épanchés obéissent, pour ainsi dire, à l'appel fait sur des surfaces éminemment perspirables et sécrétantes, mais il e

argeur et d'un pouce d'épaisseur. La section de cette masse donne une surface spongieuse aréo-laire,de laquelle on fait sourdre

s qui proéminent dans sa cavité, si bien qu'ils semblent naître de la surface interne de cette membrane; mais, avec un peu d'at

arfait d'intégrité. On voyait la végétation encéphaloïde naître de la surface libre du péritoine, qui revêt la face postérieure

d'une masse encéphaloïdé, naissant à la manière d'un champignon de la surface interne du péritoine, et conséquemment ce cas n'e

multitude de tubercules très inégaux quant au volume, proéminens à la surface libre du péritoine et pouvant être enlevés sans i

mortelle en deux heures. Foyer apoplectique ouvert à-la-fois et à la surface du cerveau et dans lequatrièmeventricule. 21°liv.

at immédiat la coagulation du sang dans les points correspondans à la surface interne enflammée du vaisseau; l'artérite latéral

pl. 11, m,p.*,8.—Multiplicité des tumeurs ; leur prédilection pour la surface de l'organe ; différence de nombre, de volume, de

e. Quelques indurations circonscrites du poumon. Deux tubercules à la surface des reins. = Théorie de l'infection cancéreuse. 2

dure-mère, 8e liv., pl. iv, p. /. — Sous-arachnitis aiguë de touie la surface du cerveau et du cervelet. Plexus choroïde infilt

iv, p. 1.—Difficultés de la Symptomatologie. = Coloration jaune de la surface du cerveau et du cervelet; cicatrices avec perte

mortelle en deux heures. Foyer apoplectique ouvert à-la-fois et à la surface du cerveau et dans le quatrième ventricule. 21e l

lexie capillaire disséminée. 33e liv. , pl. 11, p. 7. — Tumeurs de la surface interne de la dure-mère, qui se rapportent à de

ne des lamelles du cervelet. Cicatrices avec perte de substance de la surface du cervelet. 20e liv., pl. m, p. 2. — Cicatrices

ons accidentelles. 19e liv., pl. m, iv, p. 6. —Coloration jaune de la surface du cerveau et du cervelet. 20e liv., pl. m, p. 2.

capacité du crâne. 15e liv., pl. iv, p. ¦ — Erosions profondes de la surface interne de la base du crâne. 20e liv., pl. n, p.

nnulaire. Perte successive de tous les sens. Erosions profondes de la surface interne de la base du crâne. Pénétration de la su

pl. n, m, p. . — Multiplicité des tumeurs; leur prédilection pour la surface de l'organe ; différences de nombre, de volume, d

enou chez l'homme est la plus exposée à l'usure des cartilages et des surfaces osseuses. 9e liv., pl. n, m, iv, v, vi, p. 12.

ion. 5e liv., pl. n, p. 3. —Laryngite chronique ulcéreuse occupant la surface extérieure et intérieure du larynx. Erosion de l'

e. 5e liv., pl. 11, p. 4. — Laryngite chronique ulcéreuse occupant la surface extérieure et intérieure du larynx. Erosion de l'

rois heures après la naissance; pointillé rouge et lignes rouges à la surface interne de l'estomac. 15e liv., pl. n, p. 2. — Pé

s heures après la naissance : pointillé rouge , et lignes rouges à la surface interne de l'estomac. 15e liv., pl. n, p. 2. — In

rations générales. 18e liv., pl. 1, p. /. — Tubercules cancéreux à la surface des reins. 23e liv., pl. v,p. 4. — Réaction des

nnulaire. Perte successive de tous les sens. Érosions profondes de la surface interne de la base du crâne. Pénétration de la su

liv., pl. m, p. 6. SOUS-ARACHNITIS. Sous-arachnitis aiguë de toute la surface du cerveau et du cervelet. 8e liv., pl. iv, p.

vant-Propos, p. ij. VÉSICULES. Sur la production des vésicules à la surface libre des membranes muqueuses. 39e liv., pl. i, u

de rend en une seule fois une masse, vésiculaire dans la moitié de sa surface , non vésiculaire dans l'autre moitié, dont la des

sse, sans cotylédons, mais ayant d'ailleurs tous les caractères de la surface fœtale du placenta. En un mot, avant la lacératio

rface fœtale du placenta. En un mot, avant la lacération, toute cette surface ressemblait à la surface AAA. Ne seraient-ce pas

En un mot, avant la lacération, toute cette surface ressemblait à la surface AAA. Ne seraient-ce pas des cas semblables qui on

tent un si grand nombre de différences. La partie supérieure de cette surface CC avait conservé l'aspect spongieux et vasculair

x comparer qu'aux grappes de groseilliers en fleurs, naissaient de la surface externe du chorion, se ramifiaient, s'unissaient

ême être envahie; car déjà plusieurs vésicules faisaient saillie à sa surface . Réflexions. — La série des figures qui viennen

ême quelques-uns d'entre eux se terminant par des vésicules, a est la surface intacte de l'enveloppe de l'œuf : on y voit une f

elle a deux pouces trois lignes de long sur un pouce de diamètre; sa surface est légèrement bosselée, grisâtre; sa consistance

e, volumineuse, était séparée du rein par une cloison membraneuse. La surface arrondie, lisse, blanc -rougeâtre, du rein est pa

te à de petites masses carcinomateuses MC, MC, libres dans toute leur surface , adhérentes seulement par un pédicule très-mince.

in. Le bassinet B et l'uretère U, figure 3 , étaient parcourus à leur surface externe par un nombre prodigieux de vaisseaux san

ine et le pus pouvaient arriver librement jusque dans la vessie. La surface du rein R était décolorée, couleur café au lait c

r, nécessaire pour séparer sa membrane d'enveloppe, a lacéré toute sa surface . Quelque précaution que j'aie prise, il m'a égale

e dans la vessie, et en plongeant la pièce dans l'eau, j'ai vu que la surface interne des calices et du bassinet était comme to

stance était molle ; de petits foyers de suppuration se voyaient à sa surface . Le foie, plus petit que de coutume, était divisé

it assez bien de petites masses de matière tuberculeuse. Du reste, la surface du rein était d'une couleur lie de vin clair; les

es, à la manière de rein de veau ou d'un fœtus qu'on remarque à cette surface , ne se sont manifestées qu'après l'évacuation d'u

r lie de vin qui en découlait comme par flots ; après avoir soumis la surface divisée à un jet d'eau continu qui enlevait le

uf jours de sa vie végétative ; le froid, la décoloration de toute la surface de son corps, son immobilité, etc. Ce qui doit no

n intestinale ; les vaisseaux lactés forment un réseau admirable à la surface de cet intestin. D'après cet auteur, la membrane

on plus ; i°. dans des vaisseaux lymphatiques qui se dessinaient à la surface des poumons comme s'ils avaient été injectés par

vu par sa face dorsale, le pied gauche PG par sa face plantaire. Les surfaces articulaires du genou droit GD n'offraient rien d

de l'astragale, tubérosité et tête qui ont en partie abandonné leurs surfaces articulaires correspondantes, sont parfaitement i

lléole interne tronquée. On voit également que le cartilage CAT de la surface articulaire du tibia a été en partie détruit comm

is atrophié; chez tous, il est déformé; la poulie astragalienne ou la surface convexe qui la remplace regardent tout-à-fait en

s de nouvelle formation encroûtent ces végétations nouvelles devenues surfaces frottantes. Ainsi la nature se rapproche-t-elle i

accidentel, de même que les cartilages nouveaux qui surmontaient les surfaces articulaires de la malléole interne et du calcané

elle se moule; on dirait une rate distendue par une injection, et sa surface n'offre aucune des ces rides qui annoncent la vac

quc enlevée, je suis frappé des inégalités de couleur que présente la surface de la rate. L'extrémité supérieure était marbrée

fin de l'intestin grêle, et qui, toutes réunies, ne formaient pas une surface égale à la paume de la main; i° le ramollissement

était celle d'une cire molle, sa cohérence très-peu considérable ; sa surface seule avait l'aspect nacré : à l'intérieur elle é

présenté. Les fig. 6 et n indiquent une coupe de la tumeur vue par sa surface TP, fig. 7, par sa coupe MG, fig. 6. Comment ce

ns. — On ne saurait méconnaître dans cette tumeur mamelonnée, dont la surface présente des granulations qui sont en tout sembla

n droit en était gorgé comme dans la pneumonie la * plus intense : sa surface offrait plusieurs déchirures qui s'étendaient pro

ois : il s'est rencontré que cette déchirure a été plus voisine de la surface extérieure que de la surface intérieure du ventri

cette déchirure a été plus voisine de la surface extérieure que de la surface intérieure du ventricule; de là une différence im

qui attestaient l'existence d'une irritation chronique du poumon. La surface interne de tous les canaux bronchiques était d'un

plusieurs foyers blancs formés par du pus concret comme combiné; à sa surface , lambeau grisâtre d'une odeur extrêmement fétide,

s. Le plus grand nombre des foyers gangreneux du poumon avoisinent la surface de cet organe; il n'est pas rare de les voir s'ou

ne couche épaisse de parties molles entre la poche anévrysmale et les surfaces libres voisines, soit cutanées, soit muqueuses, s

té droite et à l'extrémité gauche. Le lobe gauche est atrophié, et la surface du foie est comme ratatinée, hérissée de granulat

ans la première on voit des granulations agglomérées qui hérissent la surface interne, et qu'on peut comparer a de petits œufs.

e était fibreux comme de coutume, d'un quart de ligne d'épaisseur; sa surface interne était rugueuse, comme déchirée; elle étai

un fragment du foie, destiné à en faire apprécier la structure, S la surface , C la coupe. On voit des granulations séparées pa

auteurs aient nié que les impressions dont est par fois sillonnée la surface convexe du foie, fussent le résultat de la compre

t, et non point les faisceaux blancs, qui semblent n'être placés à la surface de la moelle que pour mieux protéger cette substa

hies. Quelquefois la portion d'estomac saine n'est que le tiers de la surface de l'estomac, et cependant les phénomènes de la d

a grosse extrémité était très-volumineuse et remplie de liquide. A sa surface , comme d'ailleurs dans l'épaisseur du mésentère e

du côté de l'estomac, sans les tubercules évidemment cancéreux de la surface externe de l'estomac et des épiploons, on aurait

étaient unies entre elles par de fausses membranes récentes, et leur surface libre plaquée de rouge lie de vin et de vert sale

R qui occupent l'intérieur de l'intestin. L'arc du colon ouvert, sa surface interne (fig. 2) présente absolument le même aspe

dyle externe C. Ces concrétions n'étaient pas seulement déposées à la surface du cartilage, elles pénétraient toute son épaisse

and nombre de petites concrétions plâtreuses C, C, C, saillantes à la surface libre du cartilage, dont les unes n'occupent que

s à la surface libre du cartilage, dont les unes n'occupent que cette surface libre, plusieurs la moitié interne, d'autres tout

es points blancs presque micruseopiques étaient déposés çà et là à la surface interne de la synoviale; d'autres étaient agglomé

s de concrétions blanches, dont les unes paraissaient déposées à leur surface interne et les autres contenues dans leur épaisse

èrement encroûtée de la même matière crétacée C, laquelle occupait la surface libre du cartilage. Sous elle le cartilage était

eule être montrée sur cette figure. Des franges rouges environnent la surface articulaire. TC est la tubérosité antérieure du c

que les cartilages articulaires avaient complètement disparu, que les surfaces osseuses elles-mêmes étaient profondément éro-dée

les articulations : c Articulation fémoro-tibiale gauche. Toute la surface interne de cette articulation était recouverte d'

artilage conservé sain et la membrane synoviale. Quelques portions de surface articu-« laire en étaient dépourvues ; son épaiss

t l'ensem-« ble des propriétés physiques du plâtre desséché. Près des surfaces articulaires, un peu en dehors, au-« dessous de l

déposée entre le cartilage et la membrane synoviale. Au-devant de la surface articulaire du tibia, entre l'os et les parties l

grumeaux plâtreux demi-solides. Les cartilages étaient détruits , les surfaces osseuses rugueuses et très-rouges : la substance

phalanges étaient saines. Dans les articulations huméro-cubitalesj surfaces articulaires couvertes d'un enduit plâtreux lisse

os iliaque et le fémur, petits amas crétacés qui pa-sent déposés à la surface du périoste. Les articulations scapulo-humérale

aquelle se trouvent ces concrétions est une partie du pied; Sur les surfaces articulaires se trouve une matière blanche en trè

istalline. Cette matière est plus abondante que celle qui tapisse les surfaces articulaires. • La pellicule blanche des surfac

e qui tapisse les surfaces articulaires. • La pellicule blanche des surfaces articulaires a été enlevée avec soin à l'aide d'u

issolution de platine. La pellicule blanche qui se trouvait sur les surfaces articulaires a été soumise aux mêmes opérations q

s que je viens de décrire , il est bien constaté que la pellicule des surfaces articulaires, etla matière cristalline formant bo

e et la synoviale qui le revêt, comme le dit M. Fauconneau, mais à la surface libre du cartilage, quelquefois dans l'épaisseur

des os ; les cartilages sont usés, corrodés par l'urate déposé à leur surface et infiltré dans leur épaisseur. Tantôt survient

urnification des os dépouillés, végétations osseuses, déformation des surfaces articulaires, mais jamais la plus légère trace d'

F, TF, développées çàet là dans l'épaisseur de l'utérus, donnent à la surface extérieure de cet organe un aspect bosselé et irr

sement des parois de deux utérus. Le vagin était également double, sa surface interne hérissée de rides transversales. La clois

acine : le pouls est toujours petit, faible et fréquent. ¦— Le 18, la surface du nez est noire, frappée de gangrène sèche; vent

es de cas en apparence opposés, car l'inflammation qui s'empare de la surface interne de l'utérus dont le placenta vient d'être

ation restauratrice tout-à-fait semblable à celle qui se déclare à la surface d'une plaie, suite d'amputation. Pourquoi la ph

nous occupe de la ressemblance qui existe entre le pus qui tapisse la surface interne de 1 utérus et le pus contenu dans les ve

tion des veines, prouve surabondamment que le pus a été fourni par la surface avec laquelle il était en contact, de même que la

orme. Ses dimensions sont exagérées, mais d'une manière régulière; sa surface est lisse, sans bosselures; sa consistance est na

ance de la circulation générale. Plusieurs des veines apparentes à la surface du testicule sont situées sous la tunique albugin

u testicule n'avait pas participé à l'altération, était refoulée à la surface de la tumeur et dans un point circonscrit. Là ell

es conduits séminifères, et que le tissu propre avait été rejeté à la surface et atrophié par compression. Voilà un cas où l'

trêmement actif. La substance du testicule TT, TT a été refoulée à la surface , et est facilement reconnaissable, parce qu'elle

e développement. Les uns sont demi-transparens au centre comme à la surface , d'autres présentent à leur centre de petits poin

une sorte de foyer tuberculeux. 11 existait à l'un des points de la surface du testicule une cavité anfrac- tueuse, contena

e tissu cellulaire sous-muqueux, ou bien elle verse ses produits à la surface libre de la muqueuse. Laryngite sous-muqueuse d

tome VII, p. 174.) laces, le produit de la fluxion est versé sur la surface libre ; si elle n'adhère que par du tissu cellula

amenteux, le produit de la sécrétion est le plus souvent versé sur la surface adhérente. Ainsi lorsque la portion d'arachnoïde

achnoïde qui revêt la dure-mère est enflammée, le pus est déposé à la surface interne de cette membrane; lorsque c'est la porti

ent, forme de chaque côté une cavité capable de loger une aveline; la surface interne de chaque cavité h est lisse et muqueuse

sus-glottique du larynx. Laryngite chronique ulcéreuse occupant la surface extérieure et intérieure du larynx. Erosion de

paississement, l'érosion et les caroncules dans toute l'étendue de sa surface interne; la base du cartilage aryténoïde droit CA

'énorme tumeur. La figure 1 donne une idée exacte de l'aspect de la surface de la tumeur KO, KO, KO, les bosselures et les vé

atrophiés; ils étaient très-denses et blancs, comme granuleux à leur surface , et vraiment méconnaissables, et pour la forme et

vant. Eminences mamil-laires et impressions prononcées sensibles à la surface interne du crâne, qui adhérait intimement à la du

présence des éminences mamillaires et des impressions digitales à la surface interne du crâne, éminences et impressions qui, m

eaux très-volumineux sont secs ; pas une goutte de sérosité soit à la surface , soit dans les ventricules : les cerveaux petits

erveau et la dure-mère. Le cerveau n'offre rien de particulier à sa surface convexe ; mais sa base, représentée figure i, nou

men sont dans l'état le plus parfait d'intégrité. Le crâne ouvert, la surface convexe du cerveau présente ( Planche 1, fig. 1 )

su cellulaire sous-arachnoïdien; cette couche occupe non-seulement la surface convexe, mais encore la surface plane des deux hé

cette couche occupe non-seulement la surface convexe, mais encore la surface plane des deux hémisphères. Elle n'est pas unifor

paisseur double ou triple le long des gros vaisseaux qui rampent à la surface du cerveau, se divise et se subdivise comme ces v

ise et se subdivise comme ces vaisseaux; non-seulement elle occupe la surface du cerveau, mais encore elle s'enfonce dans les a

e l'inflammation ; des points rouges très-multipliés s'observent à sa surface et dans l'épaisseur de la substance grise. Le tis

entrée. A l'ouverture, pus consistant sous-arachnoïdien sur toute la surface du cerveau, à la base comme à la voûte. J'en trou

dans un commencement de grossesse. Cette poche contenait du pus ; sa surface interne était mamelonnée, tapissée par une fausse

s membranes qui représentaient assez bien une fausse membrane dont la surface serait rugueuse. De plus, il existait des tubercu

noïde : on voit sur nette figure les plis et brides que présentait la surface interne de la tumeur. La moelle épinière et les

e corticale ou granuleuse. Aussi le plus grand nombre occupent-ils la surface de l'organe. On en rencontre sans doute bien souv

des prolongemens considérables qui atteignent quelquefois jusqu'à la surface interne de la poche rénale. La fréquence des prod

eur des cloisons qui séparent ces kystes, et plus souvent encore à la surface du rein entre les bosselures qu'elle présente, de

sformation enkystée de ces organes. La figure ire (*) représente la surface extérieure d'un rein transformé en une multitude

une multitude innombrable de kystes. Les bosselures inégales de ceue surface appartiennent a autant de kystes bien distincts l

de ce phénomène. Enfin, lorsque la cicatrice doit faire partie d'une surface soit cutanée, soit muqueuse, la cicatrice présent

est promptement et parfaitement rétablie. La figure ï représente la surface utérine du placenta et les deux fœtus. L'un de ce

ur est à peine le quart de celle de la portion saine du placenta ; sa surface utérine est comme cicatrisée, et il est évident q

rer à l'utérus que par une moitié, un tiers, peut-être un quart de sa surface utérine, et cependant l'enfant venir à terme. 3

use de l'intestin, tandis que les follicules isolés font saillie à la surface interne; aussi l'altération des premières est-ell

. Ces pustules, généralement arrondies, quelquefois crevassées à leur surface , excavées à leur centre, présentent des dimension

érieur. Aussi un œil un peu exercé reconnaît-il, à l'inspection de la surface externe de l'intestin grêle, l'état de la surface

l'inspection de la surface externe de l'intestin grêle, l'état de la surface interne; de même qu'à l'inspection du mésentère o

ensibilité de cette membrane, l'importance de ses fonctions, la vaste surface qu'elle présente, la possibilité de graduer les e

a portion d'intestin malade étaient très-développés, parcourus à leur surface par des vaisseaux très-déliés ; ils étaient pour

a partie inférieure de l'intestin grêle. au lieu d'être versés à la surface interne de la muqueuse ; et si l'on coupe perpend

pieds de l'intestin grêle plongeaient dans l'excavation pelvienne. La surface externe de cette fin de l'intestin grêle était d'

rfaitement sains. La figure i' représente la perforation vue par la surface externe du péritoine. Réflexions. — Voilà un ex

dent avec la plus grande facilité lorsqu'elles sont attaquées de leur surface externe vers leur surface interne; et comme la pe

acilité lorsqu'elles sont attaquées de leur surface externe vers leur surface interne; et comme la perforation se fait plutôt p

x sont fortement injectés; plusieurs offrent des points blancs à leur surface ; plusieurs paraissaient transformés en une poche

er à la manière d'une corne. On trouve sur ces productions, dont la surface rugueuse et fendillée représente assez bien l'éco

os du crâne sont détruits. Il ;en résulte des tumeurs saillantes à la surface interne aussi-bien qu'à la surface externe du crâ

ésulte des tumeurs saillantes à la surface interne aussi-bien qu'à la surface externe du crâne, cancéreuses et osseuses tout à

sont mamelonnées, peu saillantes, irrégulières et occupent une grande surface ; tantôt elles sont disposées en aiguilles stalact

omateuse remplissait les interstices et formait une couche mince à la surface de ces tumeurs. Enfin il n'est pas très-rare de v

use de la dure-mère; je crus en outre que cette tumeur naissait de la surface externe de la membrane , et nous allons voir que

un peu au-delà de la perte de substance. Ainsi, aux végétations de la surface externe du crâne répondait, à la surface interne,

Ainsi, aux végétations de la surface externe du crâne répondait, à la surface interne, une perte de substance, et les végétatio

e de siège légère en apparence. Par cela seul qu'elles naissent de la surface externe de la dure-mère, les tumeurs careinomateu

ment sur les parois du crâne, tandis que, lorsqu'elles naissent de la surface interne de la dure-mère, leur développement se fa

ent. Elle était d'uue eoiisîstauce presque cartilagineuse, lisse à sa surface . Lorsqu'on la divisait, elle criait sous le scalp

ion. Cette tumeur est bosselée comme les précédentes , parcourue à sa surface par un très-grand nombre de vaisseaux d'apparence

ient. Elle éiaii d'uue consistance presque cartilagineuse, lisse à sa surface . Lorsqu'on la divisait, elle criait sous le scalp

( planche iv, viiie livraison. ) Sous-arachnitis aiguë de toute la surface du cerveau et du cervelet. — Plexus choroïde infi

ité plus grande de tissu cellulaire. Non-seulement elle recouvrait la surface du cerveau, mais elle s'enfonçait, avec le tissu

veau, probablement par un épanchement considérable de sang, soit à la surface du cerveau, soit dans la cavité des ventricules.

ans la journée. Ouverture du cadavre. — Sous-arachnitis de toute la surface du cerveau et du cervelet comme dans le Cas précé

uantité de sérosité lactescente semblable à du petit-lait trouble. La surface interne des ventricules latéraux est tachetée d'e

'hémisphère atrophié était réduite à l'épaisseur d'une membrane de la surface externe de laquelle naissaient des espèces de lam

au de la région frontale de la dure-mère. Chose bien remarquable! les surfaces orbitaires, qui pourtant ne répondaient nullement

Les lobes antérieurs du cerveau n'existaient pas ; et néanmoins les surfaces orbitaires présentaient des éminences mamillaires

loppement en vertu de laquelle les éminences et les impressions de la surface interne du crâne représentent fidèlement les anfr

rqués; si, au contraire, ces circonvolutions sont très-saillantes, la surface interne du crâne s'accommodera à cette dispositio

modera à cette disposition, et représentera fidèlement le moule de la surface du cerveau. Ce que je dis pour les impressions di

ce, tantôt ramassé dans un seul point, tantôt disséminé sur une large surface . Sarcocèle épididf maire. Epididyme fongueux et

férentes espèces d'articulations mobiles; pour toutes, il a fallu des surfaces glissantes, arrondies et réciproques, revêtues de

s liens inextensibles, flexibles et très-résistans pour maintenir les surfaces articulaires en rapport : ce sont les ligamens. E

la solidité et la mobilité : ainsi, dans les symphyses, bien que les surfaces articulaires soient continues à l'aide d'un tissu

e-mens, mais encore aux distensions des ligamens sans déplacement des surfaces contiguës [entorses), aux déplacemens [luxations)

es capsules synoviales, dans l'épaisseur des franges synoviales, à la surface et dans l'épaisseur des cartilages articulaires,

s, à la surface et dans l'épaisseur des cartilages articulaires, à la surface et dans l'épaisseur des ligamens qui entourent l'

et extrêmement graves, vu le voisinage de l'articulation. Enfin, les surfaces articulaires, de contiguës qu'elles sont dans l'é

uxations. L'étude approfondie de la configuration et des rapports des surfaces articulaires, des moyens d'union des os, des mouv

ge successif de lun à 1"autre de ces mouvemens. Dans la « flexion, la surface convexe du carpe glisse d'avant en arrière sur l'

arrière sur l'extrémité inférieure du « radius et du cubitus ; cette surface convexe soulève fortement les ligamens dorsaux ;

possibilité de cette luxation, en m'appuyant sur la configuration des surfaces articulaires, sur la disposition des ligamens, et

rticulation contre nature s'établit dans la position nouvelle que les surfaces articulaires ont contractée, et la nature fait de

tractée, et la nature fait des efforts incroyables pour maintenir ces surfaces en rapport, et pour suppléer autant que possible

ui veut dire que les points de l'os le plus fortement comprimés de la surface osseuse, à laquelle cette tête correspond, s'atro

ar un gros bourrelet osseux qui entoure et soude entre elles les deux surfaces articulaires. La fîg. i présente une coupe vertic

on. On voit qu'une substance compacte A est interposée entre les deux surfaces articulaires. Il y a ici évidemment tout à la foi

à la fois ankylose par invagination, une coque osseuse entourant les surfaces articulaires auxquelles elle adhère intimement; e

s auxquelles elle adhère intimement; et ankylose par fusion, les deux surfaces articulaires étant confondues. Un bel exemple d

nt la douleur et produisirent un craquement semblable à celui de deux surfaces rugueuses qui frotteraient l'une contre l'autre.

cependant tous les jours la nature couvre de cartilages nouveaux des surfaces osseuses qui n'étaient point destinées à frotter

autres, ou des végétations osseuses nouvelles. Dès le moment que deux surfaces osseuses articulaires sont dénuées de cartilages,

directe des frottemens. Aucun phénomène vital ne se manifeste sur ces surfaces : une couche éburnée incessamment reproduite aux

ner L'exfoliation et l'usure des cartilages, et par suite l'usure des surfaces articulaires; mais ce n'est qu'au bout d'un temps

synoviales a pour résultat l'usure progressive des cartilages et des surfaces articulaires; or, la cause la plus habituelle de

ilages articulaires; toutes présentent ces caractères communs que les surfaces articulaires sont inégalement usées, et que l'usu

alement le poids de tout le corps. La figure 2 en est un exemple. Les surfaces articulaires sont remarquables par leur aspect li

oindre usure ; mais aussitôt que ces cartilages ont été détruits, les surfaces osseuses dénudées n'étant pas organisées pour sup

nt, il y a usure; des végétations osseuses se forment tout autour des surfaces articulaires détruites, qu'elles sont destinées à

tte gouttière. Un cartilage de nouvelle formation recouvrait toute la surface usée, tandis qu'une assez grande partie de la têt

rottemens se recouvrent presque toujours de cartilage, tandis que les surfaces articulaires une fois dépouillées ne s'en recouvr

laire qui borne en avant cette cavité, était plane : l'une et l'autre surfaces étaient rouges ; point de traces de fibro-cartila

érieure d'une rotule, qui offrent, i° une usure des cartilages et des surfaces articulaires; 20 des corps étrangers. Occupons-no

ées d'un cartilage de nouvelle formation se voyaient çà et là sur les surfaces articulaires. La face postérieure de la rotule es

breuses à ouverture plus étroite que le fond. Tous sont osseux-, leur surface est tuberculeuse : aucun d'eux ne présente le moi

leuse : aucun d'eux ne présente le moindre vestige de .cartilage. Les surfaces articulaires sont rayées dans le sens des mouveme

genou qui présentait à la fois et des corps étrangers et l'usure des surfaces articulaires, j'ai trouvé dans l'échancrure situé

ment de l'œsophage envahit le feuillet correspondant du médiastin, la surface du poumon, le poumon lui-même : j'ai vu le ramoll

ai vu le ramollissement gélatiniforme du £ros intestin s'étendre à la surface du rein; et enfin, dans un cas, la totalité de

un cas, la totalité de l'estomac, des intestins grêles et gros, la surface des deux reins avaient subi le ramollissement gél

aste avec celle de la membrane muqueuse. Lorsque des plis occupent la surface interne de l'estomac , c'est le bord libre de ces

de demi-transparence de l'extrémité spléniquc de l'estomac vu par sa surface extérieure. La fig. 2 représente la surface int

de l'estomac vu par sa surface extérieure. La fig. 2 représente la surface interne de ce même estomac. On y voit des bandes

développement avait lieu d'une manière régulière. i°. Examiné à sa surface externe, l'estomac dégénéré est, dans un degré av

uleuses , encéphaloïdes, des tissus correspondans. 3°. Examiné à sa surface interne, l'estomac dégénéré présente une altérati

M. Jadioux, médecin de l'hôpital Cochin). La figure 2 représente la surface externe de l'estomac. Son tiers pylorique est cou

ane muqueuse duodénale dans l'espace de quelques lignes. Du reste, la surface interne est hérissée de végétations irrégulières,

nt quelques-unes V sont beaucoup plus proéminentes. L'examen de cette surface interne sous l'eau et à l'aide d'une forte loupe

. Ses parois sont denses, restent écartées et ne s'affaissent pas. Sa surface est dépourvue de membrane muqueuse, excepté au vo

e zone circulaire. Sa marche est lente et progressive ; il s'étend en surface , mais surtout il creuse en profondeur ; et si des

, sous une couche d'eau, à l'œil nu ou à l'aide d'une forte loupe, la surface de l'ulcère, on voit une foule d'orifices vascula

é et uni-« quement formé par la tunique péritonéale de l'estomac. Une surface ulcéreuse, lisse et grisâtre, formait « d'ailleur

la perte de substance, d'où le froncement du pourtour de l'ulcère. La surface de l'ulcère se couvre ensuite dune couche fibreus

membranes muqueuse , fibreuse et musculaire dans les deux tiers de sa surface . La tunique péritonéale forme donc à elle seule p

ette doctrine admettent que le pus sécrété dans la profondeur ou à la surface du corps peut être résorbé, circuler en nature av

a cavité médullaire dans le système veineux, si l'on considère que la surface intérieure du canal médullaire est un réseau osse

itude innombrable de tubercules jaunâtres, dont les uns occupaient sa surface et les autres son épaisseur, et dont la couleur c

s fois qu'un liquide susceptible de s'imbiber est en contact avec une surface en suppuration, que ce liquide soit sécrété par n

tenu compte des matières fécales, car l'animal léchait sans cesse la surface de sa peau. XXIX. Je ne connais que trois voies

ncontre en même temps que les abcès viscéraux rien autre chose qu'une surface traumatique en suppuration. On a beau examiner to

'eux, est une petite escarre adhérente. Plusieurs autres points de la surface du poumon présentent de la compacité et une coule

degré de la phlébite capillaire de la rate. Le foie présentait à sa surface de larges plaques de couleur ardoisée ; incisé au

s A A A, qui sont en général petits et irréguliers, font saillie à la surface du poumon, et sont entourés d'une auréole rouge e

paraît formée par un lobule, les diverses nuances de couleur de leur surface , la blancheur de leur centre qui est aplati et no

ccouchement, les corps fibreux, qui ne sont quelquefois séparés de la surface interne de l'utérus que par une couche extrêmemen

foie est également beaucoup plus dense que dans l'état naturel. La surface du foie n'est pas lisse, mais bien soulevée par u

il en est une multitude qui sontmiliaires, d'où les inégalités de la surface du foie. On voit, en outre, que chaque granulatio

ées, déposées çà et là dans l'épaisseur du foie ou au voisinage de sa surface , au milieu d'un tissu parfaitement sain. On dirai

ncer par masses disséminées affecte une sorte de prédilection pour la surface de l'organe. Sur un foie qui contenait vingt tume

cependant j'ai pu m'assurer que cette communication existait dans une surface étendue, à l'aide des vaisseaux sanguins; 5° j'ai

es; les uns et les autres affectent une sorte de prédilection pour la surface du foie. Nous avons vu que les abcès traumatiques

0. Il présentait l'état suivant : La peau de la face et de toute la surface du corps, les lèvres, les gencives et la langue s

composé de cholestérine, et avait pour noyau de la bile épaissie; sa surface était mamelonnée comme d'ailleurs celle de tous l

sous du rebord cartilagineux des côtes une saillie considérable; à sa surface et dans toute son épaisseur, quantité prodigieuse

d'une foule de kystes de capacité variable, dont les uns soulèvent la surface et dont les autres occupent l'épaisseur de l'orga

ers les parois abdominales. fig. 2 et 2'. La fig. 2 représente la surface externe d'un cancer du pylore P qui se présente s

rophiée. On voit que le pylore P limite parfaitement l'altération. La surface interne est bosselée et présente une érosion E qu

ation ; et enfin un second anneau qui correspondait au pylore. A la surface externe, la portion rétrécie de l'estomac présent

cancéreux; 3° la tunique péritonéale avait seule été respectée; 4° la surface de l'excavation ulcéreuse de la tumeur était gris

l'affaissement qui suit une grande blessure. Nous pouvons comparer la surface interne de l'utérus à une vaste solution de conti

ement à l'utérus par ses parties placentaires, mais bien par toute sa surface : la muqueuse intérieure n'existe plus ou plutôt

l'inflammation adhésive dont elle a été le siège. Si l'on examine la surface interne de l'utérus immédiatement après l'accouch

de vitalité se rétablisse. V. Le premier phénomène que présente la surface interne de l'utérus, c'est la sécrétion d'une fau

la sécrétion d'une fausse membrane ou couenne qui tapisse toute cette surface interne. C'est à l'aide de cette fausse membrane

vec le pus dont la sécrétion suit la fièvre traumatique. Le pus de la surface interne de l'utérus s'appelle lochies. D'abord sa

quantité, le thermomètre de l'état général. VIL Si l'on examine la surface interne de l'utérus pendant le travail de suppura

pleins de concrétions sanguines qui remplissent leurs mailles; que la surface interne de l'utérus est enduite d'une couche pseu

il ne consiste pas purement et simplement dans la cicatrisation de la surface interne de l'utérus, mais que l'utérus hyperthrop

Les ovaires O, O , sont inégalement développés et présentent a leur surface des plaquesblanches pseu-membraneuses, PM, PM, qu

eaux différents. Du reste, il est extrêmement facile de distinguer la surface interne d'un vaisseau lymphatique, de la surface

ile de distinguer la surface interne d'un vaisseau lymphatique, de la surface interne d'un abcès à son aspect lisse et à ses br

d'un érysipèle phlegmoneux, nous pensâmes alors que le pus formé à la surface de la peau, et dans le tissu cellulaire sous-cuta

lymphatiques utérins, on ne saurait admettre que le pus vienne de la surface interne de l'utérus, car celte surface interne es

mettre que le pus vienne de la surface interne de l'utérus, car celte surface interne est tapissée dans le plus grand nombre de

vantes: i° Souvent autour des vaisseaux lymphatiques qui rampent à la surface de l'utérus, on trouve de la sérosité infiltrée,

rectum et l'utérus d'une autre part. Les intestins présentent à leur surface des lignes ponctuées de rouge, dirigées suivant l

rticulière qui parût s'opposer à la réduction du vagin renversé. La surface du vagin renverse' V R , e'tait recouverte par un

Estomac extrêmement rétréci dans sa moitié pylorique seulement. La surface externe du canal intestinal est très injectée ; l

roid glacial avec sueur visqueuse, une coloration bleue de toute la surface du corps, et principalement de la face et des ext

degré, on peut même dire que ce faciès cholérique s'étend à toute la surface du corps. V. La voix se voile, le cholérique ra

cade fémorale et au-dessus. Estomac et intestins très injectés à leur surface extérieure, absolument comme dans la péritonite.

tre 3 au milieu duquel nagent des flocons muqueux de même couleur. La surface interne est rosée et comme excavée çà et là par d

ique sur le sang infiltré dans l'épaisseur de la membrane muqueuse. Surface interne de l'intestin grêle. Muqueuse à peine inj

s; taches brunes sur la sclérotique. Sinapismes promenés sur toute la surface du corps. Vésicatoire le long du rachis et ci la

long du bord libre de deux ou trois replis où elle est injectée. La surface extérieure de l'intestin grêle est injectée dans

ueur et présente des bandes ponctuées, comme dans la péritonite. La surface interne de l'intestin grêle est tapissée d'une co

atière du dévoiement dysentérique. Dépouillée de cette mucosité, la surface interne de l'intestin grêle est extrêmement injec

les yeux, qui sont extrêmement caves. U estomac est très ample; sa surface interne est piquetée de points rouges, comme d'ec

fort exacte. Les intestins grêles sont extrêmement injectés à leur surface extérieure; leurs parois sont tapissées par une c

veloppement des follicules œsophagiens. Péritoine. Sécheresse de la surface libre du péritoine; viscosité du liquide sécrété^

vie, entre les doigts qu'on écarte. Dans un grand nombre de cas, la surface extérieure de l'estomac et des intestins est rema

ix, la petitesse, l'anéantissement du pouls, le refroidissement de la surface du corps porté quelquefois jusqu'à l'algidité. Ap

ffets d'une concentration rapide d'innervation et de liquides sur une surface aussi sensible et aussi vasculaire que l'est la m

apparaît dans des vaisseaux veineux déchirés, V V V, qui rampent à la surface interne du ventricule, sur les corps striés, les

is heures après la naissance '.pointillé rouge, et lignes rouges a la surface interne de V estomac. Un enfant venu naturellem

du lait coagulé, bien que l'enfant n'en eût pas avalé une goutte. La surface interne de l'estomac présente un pointillé rouge

ipliées, rouges, sphéroïdales, d'inégal volume, disséminées tant à la surface que dans l'épaisseur de l'organe : on aurait dit

sept mois naît infiltré, avec ascite et taches pourprées sur toute la surface du corps et ijUr la muqueuse de la langue ; il mo

osée, et la distinction en lobules se dessine parfaitement, tant à la surface , que dans l'épaisseur de ces organes. La trachée,

eu lieu; l'estomac contenait une matière noire : les bords noirs, la surface noirâtre des ulcérations attestaient assez que ce

noire, qui n'était autre chose que du sang altéré, provenait de leur surface . Réflexions. L'inflammation folliculeuse de l'e

pissées par une couche pulpeuse et grisâtre très mince, revêtaient la surface interne des os du crâne. Il y a donc deux espèc

, cartilagineuses, et comme déposées çà et là par petites masses à la surface interne des membranes pie-mère et arachnoïde. Les

dum ; le corps calleux soulevé et aminci était presqu'au niveau de la surface des hémisphères ; les couches optiques et les cor

es contre la faux, et occupant les fosses occipitale et temporale; la surface interne de ce débris qui est brun jaunâtre, prése

it être le résultat de l'inflammation simultanée du placenta et de la surface correspondante de l'utérus. Les lésions du plac

et sur laquelle se remarquaient les inégalités bourgeonneuses » d'une surface en suppuration ». On rjourrait à la rigueur admet

le 8 avril 1850 , d'un enfant mort depuis quinze jours environ. La surface utérine du placenta, lisse et blanchâtre dans une

ques caillots de sang, s'est écoulée à l'ouverture de cette membrane. Surface du cœur recouverte d'une fausse membrane couleur

u'il aurait pu contenir un cœur deux fois plus volumineux. Toute la surface du cœur était enveloppée d'une pseudo-membrane co

xtrêmement longs, grêles et élastiques naître des divers points de la surface de la pseudo-membrane. Le péricarde était tapis

points ; et ces points correspondaient en général aux mamelons de la surface du cœur. Comme dans le cas représenté fig. 1.,

ens déliés et courts. De petits points rouges apparaissent à toute la surface dans laquelle cette séparation a eu lieu : ces po

mement déliés et en quelque sorte microscopiques qui recouvrent et la surface du cœur et la pseudo-membrane. La séparation du f

Des tubercules occupaient çà et là la face interne du péricarde et la surface du cœur. Ces tubercules étaient arrondis, très co

traversée par une foule de vaisseaux très flexueux et contournés : la surface interne du péricarde et la surface correspondante

x très flexueux et contournés : la surface interne du péricarde et la surface correspondante du cœur présentaient des tubercule

nde exactitude le siège , la forme et les nuances de coloration de la surface de ces tumeurs. La tumeur lombaire (fig. 1 ) es

ur; d'une autre part, les érosions et les ulcérations que présente sa surface , dans une étendue plus ou moins considérable. Or

e aqueuse. Une remarque importante à faire à ce sujet, c'est que la surface ulcérée de la tumeur, présente souvent des traces

en arrière du museau de tanche se voit une escarre superficielle : la surface de la tumeur était sèche, d'une couleur blanc ros

ration qui est ordinairement la suite des fièvres intermittentes ; sa surface était parsemée de plaques cartilagineuses. Les

ns. Le soin avec lequel je fais enlever les méninges, puis laver la surface du cerveau, m'a permis d'apprécier toutes les cir

est une sorte de ratatinement de ces circonvolutions, qui offrent une surface inégale et comme granuleuse. Ce ratatinement s'ac

a sérosité remplit les vides qui existent entre les os du crâne et la surface du cerveau. Cette sérosité occupe le tissu cellul

s, et occupe le voisinage des cicatrices celluleuses. Dans ce cas, la surface des circonvolutions présente le plus souvent une

attentive, et que sans le lavage auquel j'ai coutume de soumettre la surface du cerveau, il m'aurait été impossible de les ape

igne irrégulière coupée à pic, comme les ulcérations intestinales. La surface de la circonvolution ainsi dénudée, est tapissée

ière la plus évidente , depuis le noyau central médullaire jusqu'à la surface du cerveau. L'état d'idiotie complète auquel ét

d'une noisette de moyen volume. Une coupe de la glande présentait des surfaces circulaires dont chacune appartenait à un sphéroï

encéphaloïde, extrêmement vasculaire que la sonde avait entamée à sa surface et qui était la source de l'hémorrhagie; c'était

Cette glande est remarquable par son volume : des veines rampent à sa surfaces ; de petite concrétions ossiformes (phlébolites) o

lés, les synoviales articulaires et tendineuses remplies de pus , les surfaces articulaires privées de leurs cartilages et érodé

et du cœur, qui ne représente plus le sommet d'un cône, mais bien une surface convexe, appartenant à un sphéroïde plus ou moins

capsule surrénale C S, qui ont acquis un volume extraordinaire. La surface du rein qui est bosselée et celle de la capsule,

leur jaune-serin, à la manière des anciens foyers apoplectiques. A la surface interne de ces cellules, sont encore attachés des

aient une trentaine de masses encéphaloïdes qui occupaient toute leur surface et qui étaient disséminées dans les divers points

un volume considérable (cinq pouces de long sur trois de largeur). Sa surface était bosselée. Divisé par son bord convexe il pr

osée. Les masses encéphaloïdes des poumons, niasses qui occupent la surface de ces organes, comme les abcès multiples dans le

tait irrégulière. D'une part, elles faisaient une légère saillie à la surface de l'organe, et d'une autre part, elles semblaien

terne de chaque lobe cérébelleux. Les membranes étaient soulevées, la surface correspondante du cervelet déprimée. Un 3e tube

contrent le plus habituellement les tubercules, lesquels dépriment la surface correspondante du cerveau et s'y creusent en quel

as remplies d'un pus ayant tous les caractères du pus phlegmoneux. La surface de ces tubercules est presque toujours parcourue

umeurs sphéroïdales, du volume d'une noix, d'un œuf de poule, dont la surface est tantôt unie, tantôt inégale et comme mamelonn

nombre de tubercules, du volume d'une noix. La plupart occupaient la surface du cerveau et du cervelet; il y en avait un dans

niveau de la région temporale; masse tuberculeuse, blanc jaunâtre, à surface granulée naissant de la face profonde de la pie-m

sillon vertical; 2° elle est criblée de trous; 5° une partie de cette surface est dégarnie de poils; mais sur la partie qui en

imple inspection de ces plaques qui permet de suivre les poils à leur surface et dans leur épaisseur, ou enfin le brisement de

ées en plusieurs lames superposées. Leur structure est fibreuse, leur surface interne est quelquefois lisse, et le plus souvent

, rugueuse, parsemée de plaques cartilagineuses et crétacées. À cette surface interne sont attachés un plus ou moins grand nomb

s un certain nombre de kystes pileux pourvus de dents, j'ai trouvé la surface interne du kyste formée dans un espace limité par

e. Dans le cas représenté planche IV, le tissu cutané tapissait une surface assez étendue du kyste ; il était doublé par du t

poils est due à des bulbes de plus retournés dont le fond regarde la surface de la peau, et l'orifice le tissu cellulaire sous

des dents soient une production accidentelle qui puisse naître de la surface interne d'un kyste fibreux, à la manière d'une vé

re déterminé. Il n'y avait pas vestige du cordon ombilical : toute la surface du corps, dont les diverses parties sont parfaite

xterne était garnie de petites éminences graveleuses et inégales : la surface interne était comme )) moulée sur les parties de

rane présentait une couleur jaune diversement nuancée (fig. 1, 2). Sa surface interne était parsemée de vésicules ou ovules de

ais d'une épaisseur inégale dans les divers points de son étendue. Sa surface interne était rugueuse, plaquée d'une matière jau

x hépatiques de divers ordres étaient appliqués, sans y adhérer, à sa surface externe. Un canal biliaire s'ouvrait dans sa cavi

ans sa cavité. Ce kyste était en rapport par les trois quarts de sa surface extérieure, avec le foie excavé pour le recevoir

visée la tumeur. Tous ces kystes avaient une structure fibreuse. Leur surface interne se présentait sous deux états bien différ

rugueuse et comme mamelonnée : Dans un certain nombre de kystes cette surface interne était lisse : les kystes à parois rugueus

et comme mamelonnés, avaient en général beaucoup d'épaisseur. Ceux à surface interne lisse étaient extrêmement minces- Il y av

disposition lobuleuse et comme crevassée, la coloration inégale de sa surface , des lobules violacés à côté de lobules noirâtres

un certain nombre de tubercules cancéreux mélaniques disséminés à la surface du cœur. Le plus considérable T M, occupe le nive

gauche ; 2° quelques tumeurs mélaniques tm, tm, tm, proéminentes à la surface interne de Poreillette et des ventricules : leplu

'Hôpital Beaujon dans le mois d'avril 1830. La presque totalité de la surface du corps et plus particulièrement la région posté

in nombre de tumeurs mélaniques dont le plus grand nombre occupait la surface de l'organe, et dont quelques-uns occupaient son

s au feuillet séreux: 2° d'autres tubercules mélaniques occupaient la surface interne du cœur et soulevaient la membrane intern

qui offrait quelques tubercules dans son épaisseur, et d'autres à sa surface : Le testicule droit en contenait un très petit

rès dur : elle ne contenait pas dans ses mailles de suc cancéreux; sa surface ne présentait nullement la couleur noire des tiss

ient saillie à l'extérieur , sans changement de couleur à la peau; la surface de toutes ces tumeurs était inégale et bosselée.

t volumineux et noirs ? il est douteux qu'ils fussent cancéreux. La surface des poumons présentait Un grand nombre de tumeurs

cinq tumeurs mélaniques, du volume d'un œuf de pigeon, occupaient la surface convexe du foie et étaient en partie logées dans

eurs. Les intestins présentaient quelques tumeurs mélaniques à leur surface extérieure. Un grand nombre occupaient leur surfa

mélaniques à leur surface extérieure. Un grand nombre occupaient leur surface interne. Ces tumeurs s'étant développées entre la

matière infiltrée dans les tissus ; 4° celle de matière déposée à la surface d'un organe. En traçant l'histoire de la mélano

, je classe la coloration par plaques ou par points irréguliers de la surface du poumon, la coloration noire de tout le tissu d

ules agminés présentent quelquefois une couleur noire, qui donne à la surface correspondante de l'intestin, ainsi qu'on l'a dit

ce le plus régulier des facultés digestives. J'ai vu fréquemment la surface interne de l'estomac parsemée de plaques, de poin

olorante du sang qui est, tantôt simplement déposée ou infiltrée à la surface de la membrane saine,, tantôt reçue dans une éros

. Andral a trouvé, chez un individu affecté de diarrhée chronique, la surface interne du gros intestin aussi noire que Fencre d

la peau du Blanc devient noir, soit partiellement, soit dans toute la surface de la peau, par l'effet de causes impossibles à a

prolongea le long de la clavicule droite. Dans les derniers temps, la surface de cette tumeur devint mamelonnée et s'ulcéra dan

sistant, constitué par du tissu fibreux, pénétré de suc cancéreux. La surface de la clavicule était corrodée plus ou moins supe

a colonne vertébrale. Plusieurs de ces cavités E, E, E ont atteint la surface de la vertèbre dont le tissu compacte a été usé,

de ouvert et contenant encore des caillots. Le cœur, graisseux à sa surface , est d'un volume ordinaire. Une rupture verticale

ait son volume ordinaire ; il était recouvert de graisse sur toute sa surface , et présentait en arrière deux ecchymoses circula

du péricarde, lorsque l'intervalle qui existe naturellement entre la surface du cœur et la surface interne du péricarde a été

l'intervalle qui existe naturellement entre la surface du cœur et la surface interne du péricarde a été rempli par le sang. (1

D'après mes observations, l'intervalle qui sépare le péricarde de la surface du cœur mesure exactement le volume du cœur dans

a fig. i représente la convexité de l'hémisphère droit du cerveau. La surface du cerveau est notablement déprimée au niveau des

des circonvolutions postérieures. Des vaisseaux nombreux rampent à la surface de l'organe. Au niveau et au pourtour de cette dé

xaminant avec attention la coupe de cette cellulosité, on voit que sa surface est ondulée et représente assez bien la dispositi

ette coloration peut s'étendre à la pie-mère. Dans d'autres cas, la surface du cerveau (circonvolutions et anfractuosités) es

me si des gouttes d'acide nitrique étaient tombées çà et là sur cette surface (fig. 2), et l'avaient sillonnée de la manière la

nt à l'appui des considérations précédentes. Coloration jaune de la surface du cerveau et du cervelet ; cicatrices avec perte

t le volume ordinaire, nous avons trouvé une coloration jaunâtre à la surface du cerveau et du cervelet, et cela dans une assez

, en forme de kystes se voient dans le corps strié et tout près de la surface ventriculaire. A gauche, la circonvolution corr

plusieurs anfractuosités. Sur le lobule de la scissure de Sylvius, la surface du cerveau présente une teinte jaunâtre ; cette c

ce grise ramollie s'enlève avec les membranes, et reste attachée à la surface du cerveau. La substance blanche subjacente a été

nvolutions voisines de celles qui ont été détruites présentent à leur surface des lignes, des points jaunâtres qui occupent soi

t d'anfractuosités appartenant aux deux hémisphères présentent à leur surface des cicatrices couleur peau de daim plus ou moins

topsie du cerveau nous a présenté : i° une cicatrice jaune-serin à la surface interne du ventricule latéral droit, au moment où

nvolutions et anfractuosités qui occupent la moitié postérieure de la surface convexe de cet hémisphère et du lobule de la scis

pouces et demi dans la plus grande largeur de son petit diamètre : la surface de cette vaste perte de substance est blanchâtre,

sa petite courbure au voisinage du pylore, et le pylore lui-même : sa surface est rugueuse. Il n'était pas même en voie de cica

Maladies dj cerveau. Méningite sous-arachnoïdienne aiguë de toute la surface du cerv«au et du cervelet................. —— M

re poids. Les hémisphères semblent exclusivement constitués, à leur surface convexe ou supérieure, par une masse de tissu ner

e le chiasma est appelée rostrum (BOS). De chaque côté du rostrum, la surface des circonvolutions orbitaires est recouverte par

st un fuseau légèrement contourné sur lui-même en spirale, et dont la surface est souvent sillonnée de rides également spiroïde

ser voir dans toute son étendue la bandelette optique. se perd à la surface de la circonvolution de l'hippocampe (Hip). La ci

bilobée qui correspond à l'émergence des pédoncules cérébraux. Sur la surface de section, on distingue, en avant, deux croissan

tte pyramide représente la partie antérieure de l'espace perforé à la surface ; plus profondément (troisième ligure), elle est

re figure). Souvent elle s'étale et éparpille ses fibres sur toute la surface de l'espace perforé, et c'est seulement à l'aide

planche 40. Dans ce cas, la pyramide de Sœmmering est parcourue à sa surface par quelques fibres aberrantes de la bandelette d

ur. Il n'est pas exceptionnel, en effet, que ce faisceau s'étale à la surface du pied sous la forme de bandelettes minces, plus

de la protubérance, de façon à placer le tranchant du couteau sur la surface même de la section protubérantielle, dans l'axe d

e extrémité à la région occipitale. Chaque demi-ovoïde présente une surface externe assez régu-ièrement convexe, et une face

rofonde anfractuosité, le grand sillon occipitotemporal (o/4). A la surface du limen on reconnaît facilement les orifices lin

longé d"avant en arrière, il a pour parois latérales une partie de la surface du limen ; en avant et en bas, il se termine dans

tement, il faut nécessairement faire des coupes perpendiculaires à la surface , du manteau. Toute coupe qui n'est pas perpendicu

a surface, du manteau. Toute coupe qui n'est pas perpendiculaire à la surface entame la substance grise sur une étendue nécessa

u nerf optique (NO). Au-dessous et en avant du rostrum, s'étend, à la surface de l'écorce, une couche irrégulière et gaufrée de

du pilier descendant de la voûte (DF), la commissure antérieure a une surface de section régulièrement elliptique, dont le gran

substance blanche de l'espace perforé, le pied du septum court sur la surface de cet espace, auquel il n'est relié que par des

; elle accompagne le fascia dentata (Fd) jusqu'au crochet (Une), à la surface duquel elle disparaît. En dedans de la substanc

plus au limen. § V Circonvolutions cérébrales. Les replis de la surface du cerveau, dont l'ensemble constitue le manteau

les circonvolutions sont entaillées parfois sur leurs bords ou à leur surface par des anfractuosités qui compliquent leurs sinu

du fœtus, attendu que, pour une répartition équivalente des plis à la surface du 1. Les figures reproduites dans les Bulletin

émisphère, par une incisure (pro) qui sert de limite antérieure à une surface allongée, improprement désignée sous les noms de

la scissure limbique (L) et la scissure occipitale (Oe), on voit une surface quadrilatérale, qu'on appelle communément le lobe

-limbique, passage (7:L) : le pli de passage pariéto-limbique. A la surface du lobe carré, une profonde incisure étoilée (sP)

s-frontal (GSf). En avant, il se termine la plupart du temps dans une surface assez régulièrement quadrilatérale (Bf) : le rect

tale forme le bord inférieur de l'hémisphère et le bord interne de la surface orbitaire. Elle est appelée à ce niveau gyrus rec

e date. Il n'y a rien de semblable à la face externe, qui rappelle la surface corticale des lissencéphales (schéma 48). L'hémis

actif (OLE, schéma 19). Au-dessus de la fosse de Sylvius {S'), à la surface de la région moyenne, commence à se dessiner une

e par le rapprochement de ses deux bords, et elle est remplacée, à la surface , par la scissure de Sylvius (-S'). Le rapprocheme

sous celui de circonvolution temporale transverse (Tt), commence à la surface de l'hémisphère (pTt) en arrière de l'opercule te

sure, peut être appelée opercule du fond de Sylvius (OS). La petite surface , visible à l'extérieur (pTt), qui représente, sur

), constituent dans leur ensemble une région parfaitement limitée. La surface orbitaire présente à sa partie moyenne un sillon

arrière de la barre d'union transversale du sillon en H, s'étale une surface , généralement dépourvue d'incisures et dont la pa

trine. On s'est attaché beaucoup trop exclusivement à l'étude de la surface cérébrale; qu'on ne nous reproche pas un jeu de m

on aura pratiqué un certain nombre de coupes, que l'inclinaison de la surface de section dans telle ou telle direction, par rap

la surface de section dans telle ou telle direction, par rapport à la surface , modifie la profondeur apparente des anfractuosit

trième circonvolution temporale. (C). Elles prennent naissance à la surface du carrefour ou gyrus vestibuli (GVE) par un tron

que son niveau habituel (il est possible d'ailleurs que cette petite surface rectangulaire appartienne au gyrus métopique anté

nser cette diminution de longueur (qui correspond à une diminution de surface ), le sillon pariétal transverse se ramifie en tou

l est donc plus que vraisemblable que les sillons ne se montrent à la surface de l'hémisphère que lorsque la substance grise qu

système de projection de Meynert. Ces premières connexions entre la surface et les noyaux du centre n'empêchent pas l'écorce

n à la longitude ni à la latitude du navire; il occupe toujours, à la surface de la mer, la même situation par rapport au centr

jours sur la même verticale; et suivant le sens de l'ondulation de la surface de l'eau, il passe du sommet d'une vague au somme

uche ou de gauche à droite. La situation de ce centre changera à la surface , mais elle ne changera pas relativement aux parti

les intervalles, réunissent et confondent les lobes. En résumé, la surface cérébrale, chez les lissencéphales et chez le fœt

actuosité qui la limite de l'autre côté ; et ainsi s'établissent à la surface du manteau les compensations dont nous avons déjà

l'inférieur dans le sillon prœ-rolandique inférieur, sont isolés à la surface du lobe frontal. 1. Nous ne parlerons pas des c

ont beaucoup plus faciles à faire ; les cassures sont plus rares, les surfaces de section sont plus nettes; enfin, si l'on sait

gion profonde du cerveau, déterminée d'avance grâce aux repères de la surface , cela est impossible pour les coupes sagittales :

s des planches XXXIV, XXXV, XXXVI, XXXVII et XXXVIIl reproduisent les surfaces de section de la série horizontale. Ici les coupe

ieu de la tête du corps strié et au milieu de la couche optique. La surface de section représentée sur le schéma 49 appartien

s jugé utile d'énumérer les organes essentiels qui sont visibles à la surface et dans la profondeur de l'hémisplièiT. Cette émi

re en arrière, au-dessous de l'opercule du fond de Sylvius (OS), à la surface duquel on distingue toujours un, deux, ou trois p

de Rolando, s'avance à une faible distance, de dedans en dehors, à la surface externe de l'hémisphère. Il limite en avant la fr

arties : une postérieure, horizontale, qui va en avant se perdre à la surface de la circonvolution de l'hippocampe (T^) ; une a

bifurque : entre ses deux branches terminales on reconnaît la petite surface quadrangulaire, pour laquelle nous avons proposé

be carré fait partie de la circonvolution lim.-bique; il marque, à la surface interne de l'hémisphère, le lieu précis où le lob

ne reçoit pas le sillon du cuneus (sCu). Ce sillon est remplacé à la surface de cette circonvolution par une vaste incisure ét

l'hémisphère, et l'on ne voit apparaître, entre elles, qu'une étroite surface de la deuxième circonvolution occipitale (0^).

u-dessous de cet opercule et vient creuser une profonde entaille à la surface de la première circonvolution temporale (T*). t

nt (CAP). Par compensation, le deuxième sillon frontal (Q envoie à la surface du cap une double incisure, ce qui est un fait re

a scissure occipitale externe n'est interrompue, dans son trajet à la surface externe de l'hémisphère, que par un premier pli d

obule paracentral (Pa) est, lui aussi, très volumineux, mais il a une surface unie, et c'est à peine si l'on peut reconnaître,

r sillon sous-frontal (sF), qui se bifurque pour lui faire place à la surface de l'hémisphère. ramifications. Elle occupe, da

grand sillon métopique (sME), ce pli de passage (xF) disparait de la surface ; il devient profond et réapparaît en avant et au

volution occipitale (0") occupe à la face interne de l'hémisphère une surface d'autant plus limitée que le cerveau est plus vol

ose curieuse, on peut faire la même remarque pour ce qui a trait à la surface de section du chiasma optique. Nous n'avons pas d

, à savoir que : plus l'hémisphère est compliqué, plus est réduite la surface de section du chiasma (CE). Les trois cerveaux

e dimension. Par compensation le lobule paracentral (Pa) présente une surface considérable, si considérable qu'il devient impos

deux tronçons principaux; et le bourrelet du lobe carré (BQ). dont la surface est habituellement lisse, est entamé ici par de n

jeter dans la scissure occipitale interne, c'est seulement lorsque la surface de l'hémisphère est maintenue et resserrée par se

tercalé entre ces deux branches, est réduit à quelques millimètres de surface . Il est rare de rencontrer un hémisphère cérébral

t, à trois niveaux différents de la face interne de rhéinisphèrc. Les surfaces de section représentent le segment inférieur de l

e presque parallèlement à sa direction, occupe une bonne partie de la surface corticale. Cavité ventriculaire. La corne ant

x du thalamus dans la cavité ventriculaire. Il est moins visible à la surface du noyau interne (NiC), parce que ses fibres, ver

e aussi grande qu'on pourrait le supposer. En effet, une partie de la surface de section de ces taches correspond aux fibres ve

illon parallèle, profondément enfoncé dans le lobe temporal. Toute la surface de l'écorce qui s'étend jusqu'au deuxième sillon

înées grises, obliques en avant et en dedans, et qui représentent les surfaces de section des faisceaux de la calotte. En arri

Le repère que nous indiquons est suffisant pour arriver à obtenir des surfaces de section dont l'aspect rappelle assez exactemen

ontale et à la troisième. La scissure de Sylvius {S'), partie de la surface de l'hémisphère, entre la troisième frontale (F^)

ricule latéral. Dans sa partie antérieure, ce ventricule présente une surface bombée qui correspond à la face supérieure de la

i-circularis (Tse), celle de la queue du noyau caudé (NCC); enfin une surface blanche, qui appartient au faisceau sensitif (FS)

ormale ou exceptionnelle, de comprendre plus aisément les détails des surfaces de section qui, sur d'autres cerveaux, sont infin

l faut arriver parfois jusqu'au sommet du cuneus avant de trouver une surface de coupe au milieu de laquelle la cavité du ventr

urs du lobe occipital se réduisent à un seul (FS), représenté par une surface de section quadrilatérale, foncée, suffisamment c

la calcarine la coupe intéresse l'écorce du lobule lingual (0^), à la surface duquel on remarque une petite incisure antéro-pos

rieure un sillon profond dirigé d'avant en arrière et, incliné sur la surface de section, de bas en haut et de dedans en dehors

ibres blanches on distingue un gros faisceau (FS), représenté par une surface quadrilatérale foncée; c'est l'extrémité du faisc

du faisceau sensitif (FS), réfléchie sous le ventricule. Et comme la surface totale de ce faisceau diminue constamment d'avant

rieure du lobule pariétal supérieur (P*). Écorce. Le sommet de la surface de section, c'est-à-dire le bord supérieur de l'h

é signalée sur les coupes précédentes. Nous savons, en efl'et, que la surface du gyrus lingual est divisée par plusieurs incisu

e portent d'abord en dedans, c'est-à-dire dans un plan parallèle à la surface de section et deviennent franchement blanches (fi

'autre qu'à une faible profondeur; elles se séparent au-dessous de la surface , de façon à permettre de reconnaître encore l'ext

s circonvolutions temporales. Entre la deuxième et la troisième, à la surface du deuxième sillon (t^), la coupe intéresse un pl

ours aussi nettement isolé du faisceau supérieur du forceps (FOs). Sa surface de section se dirige, dans son ensemble, de haut

ous de la couche moyenne du faisceau longitudinal inférieur (FL2), sa surface de section s'avance dans la substance blanche d

é que par de la substance grise. Le corps calleux (ce) présente une surface de section de plus en plus large (de 19 à 24). Li

us du sple-nium, il la suit tout le long de ses méandres, accolé à sa surface profonde. On le distingue difficilement sur les c

bercule sous-jacent (Tf). Elle les revêt dans toute l'étendue de leur surface ; elle suit tous leurs détours, et nous la voyons

de l'hippocampe. Ainsi, peu à peu le fascia dentata (Fd) diminue de surface ; il en est de même de son tubercule (Tf) ; et sur

a substance grise de la corne d'Ammon, tout à fait au voisinage de sa surface . Encore un ou deux coups de rasoir, et la section

ubercule et la circonvolution de l'hippocampe. Cette dépression de la surface corticale, revêtue d'une couche blanche, représen

uches sous-ventriculaires sont nettement parallèles, fera voir sur la surface de section trois plans horizontaux séparés par de

obliquement dans la circonvolution de l'hippocampe, fera voir, sur la surface de section, une superposition de couches différem

veaux durcis dans une solution trop concentrée d'acide chromique. Les surfaces de cassure correspondent aux sortes de surfaces d

'acide chromique. Les surfaces de cassure correspondent aux sortes de surfaces de clivage qui séparent réellement les unes des a

OYENNE DU TUBERCULE QUADRIJUMEAU POSTÉRIEUR. Écorce. La forme des surfaces de section est absolument la même que sur les pla

né, la lame médullaire LMA (fig. 48) passe toujours directement de la surface de l'hippocampe à la fimbria. Il y a des interrup

ons que le fascia dentata forme une série de saillies godrormées à la surface de la ce, corps calleux. —SPL, bourrelet. — GC,

se réfléchit sur elle-même, on voit un espace libre séparant les deux surfaces de cette sorte d'invagination (schéma 75). L'espa

rties de cette courbe. La portion verticale interne, grise jusqu'à la surface (Hip), est l'écorce de l'hippocampe proprement di

tance grise du subiculum. Le subiculum a pour limite supérieure cette surface et pour limite inférieure le prolongement virtuel

oup de son importance, et l'on constate en revanche l'augmentation de surface du faisceau du gyrus fusiforme. — Le faisceau sen

t de la scissure de Rolando. A la face interne de l'hémisphère, les surfaces de section de la couche optique (Th, fig. 54) dev

suivant les régions, c'est-à-dire suivant le degré d'obliquité de la surface de section par rapport à la direction des lames i

se de bandes fibreuses, en apparence éparpillées et sans ordre à la surface et dans la profondeur du thalamus (fig. 54). Mais

ps genouillé externe, continue son droit chemin en arrière jusqu'à la surface du pulvinar (Th). Foncé à sa partie inférieure (f

, il devient clair plus haut lorsqu'il s'épanouit de bas en haut à la surface du thalamus. Mais il est BRISSAUD. 15 à remar

il est BRISSAUD. 15 à remarquer qu'il n'arrive jamais jusqu'à la surface môme du pul-vinar. Il en est séparé toujours par

n prolongement des fibres de la bandelette optique (TRO) s'étale à la surface du thalamus. Ce prolongement situé dans le sillon

e, est parcouru maintenant par des fibres blanches non-seulement à sa surface , mais dans sa profondeur : fibres transversales d

in, contribue à établir, dans la profondeur et non pas seulement à la surface , une démarcation entre le noyau caudé et la couch

ans le plan de section, de façon à présenter une teinte claire sur la surface de coupe. Au moment où elles subissent ce changem

irectement, puis en dedans, et s'étalent, comme un ruban aplati, à la surface des tubercules quadrijumeaux, dont elles indiquen

l'encéphale, tend donc à reproduire extérieurement, c'est-à-dire à la surface du ruban de Reil, le sillon qui établit une démar

ruban de Reil superficiel, visible à l'extérieur. Il est séparé de la surface par le bras du tubercule quadrijumeau postérieur

es plus supérieures vont aux corps genouillés internes, et ibrment la surface du bras de ce corps genouillé; elles sont donc su

sont sous-jacentes vont au corps genouillé externe; elles forment la surface du bras du corps genouillé externe, plus rares et

en haut et en dehors. Ces dernières se portent par conséquent vers la surface de l'isthme, où elles représentent la partie supe

à mesure que ces fibres antéro-postérieures (Lem) se portent vers la surface latérale de l'isthme, de nouvelles couches, plus

es suivantes (XXII, XXIII, XXIV), on verra s'accroître notablement la surface de section du champ de la calotte et aussi des fa

5, 66) ; elles représ(intent Texpansion de la bandelette optique à la surface du pulvinar (voy. plus haut); ce sont des fibres

ig. 63). TRp. Le pilier postérieur du trigone (fig. 62), étalé à la surface du thalamus, dont il est séparé par la toile chor

sur les cerveaux frais. tec. La lamina tecta (fig. 71) s'étale à la surface du corps calleux, au-dessous du sinus du corps ca

gion de la calotte. Ces faisceaux, situés tout à fait en dehors, à la surface de l'isthme de l'encéphale. au-dessous et en de

inée à un autre noyau. Sur les coupes 69 et 71, où est représentée la surface de section de la protubérance, on constate que la

son trajet où il se dirige d'arrière en avant et de haut en bas ; sa surface de section présente, par conséquent, une teinte f

ps genouillé interne, c'est le faisceau de Turck-Meyncrt qui forme la surface de la région du pont. A partir de cette coupe, le

ncule; et ici déjà (fig. 71) c'est le pied du pédoncule qui limite la surface de section. Une partie des fibres de ce faisceau

les coupes verLicales, l'isolement de ce ganglion, moins évident à sa surface . On peut voir que la partie posléro-externe du

t limitées par le faisceau de Tùrck-Meynert (FM), qui les sépare delà surface latérale du pont. TP. Parmi les fibres transver

teralis, qui se développe tardivement et qui se fraye un passage à la surface lorsque les organes profonds sont déjà complèteme

s genouillé, il faut, dans le cas où sa présence a été constatée à la surface du pédoncule, pratiquer une coupe vertico-transve

ne dégénère pas; l'intégrité de ses fiLres, qui restent blanches à la surface du pédoncule, peut même empêcher de reconnaître l

re l'isthme de l'encéphale et le corps genouillé externe. 11 est à la surface ; il forme la paroi supérieure de la fente de Ric

re en avant, à la couronne rayonnante du thalamus. Elle commence à la surface môme du corps genouillé (fig. 75), qui est tapiss

e (RAII). Le sillon de l'hippocampe n'est d'ailleurs pas séparé de la surface corticale par le Profil schématique de la coupe

partie externe de sa substance (fig. 79). Plus en avant (fig. 83), la surface de section est plus complète, mais le nombre des

le laqueus (Laq), à la rencontre du noyau rouge de la calotte dont la surface de section apparaîtra prochainement (NR, fig. 83)

autre chose qu'un repli de la corne d'Ammon d'avant en arrière, à la surface de la circonvolution de l'hippocampe. Nous avons

a grande fente de Bichat. En bas et en dedans il se fait jour vers la surface par le sillon de l'hippocampe. De toutes parts il

stérieur (FLP). et le faisceau, par conséquent, semble arriver à la surface même du ventricule (fig. 86, 89). Mais on remarqu

'interrompent, d'étage en étage, au niveau des noyaux échelonnés à la surface de la substance grise du troisième ventricule, au

e. Le faisceau longitudinal postérieur (FLP) le sépare toujours de la surface ventriculaire. Lmd. La lame latérale de Reil (L

la calotte. Ce noyau n'est qu'à peine entamé par le couteau; mais la surface circulaire correspondant au faisceau de la Proj

du tegmentum. Les fibres dont ce dernier se compose se répandent à la surface postérieure du noyau et divergent en tous sens, c

che grillagée est dans la couche optique; la lame médullaire est à sa surface . CI. La capsule interne (fig. 88) commence à au

li de passage à la première frontale. Le développement de l'écorce en surface comporte un développement correspondant des fibre

a section vertico-transversale 96, en se reportant aux rapports de la surface de section horizontale où le trait de section 96

; sur la coupe 95 elle a disparu. On ne voit à sa place qu'une petite surface blanche, disposée en croissant avec une convexité

nettement arrêtée surtout au niveau de la convexité supérieure. La surface blanche (qui est à la limite du corps genouillé e

r leur trajet dans la capsule externe, où elles vont se terminer à la surface interne de l'avant-mur; d'autres enfin s'insinuen

versales de la couche la plus superficielle qui réapparaissent sur la surface de section. Pcs. Le pédoncule cérébelleux supér

hme de l'encéphale, réapparaît ici (fig. 96); il est tout à fait à la surface de la région pédonculo-protubérantielle; obliquem

S. Le stratum intermedium (fig. 91), dont la section présente ici une surface triangulaire, se perd sur les coupes suivantes pa

rieures du faisceau de Tùrck-Meynert (FM, 94) ; puis il représente la surface pédonculaire elle-même. En dedans, il est séparé

lle soi'le qu(î la deuxième IVontale occupera une bonne pai'tie de la surface convexe de l'hémisphère. ' ' ¦ ' Mais la IbruKî

xité antérieure. Snr la coupe 101 il n'en subsiste qu'une très petite surface de section. Sur la coupe 102 il n'en reste plus r

pu admettre les rapports du faisceau longitudinal postérieur avec la surface cérébrale. La radiatio fasciculi posterions sert

upe 102, par exemple, le faisceau pyramidal n'est représenté sur la surface de section que par une bandelette de 2 millimètre

) on voit que le sillon de l'hippocampe (SU) n'arrive plus jusqu'à la surface : la bandelette de Giacomini (BGI) avec la substa

illon de l'bippocampe. point où celui-ci arrivait encore jusqu'à la surface corticale. Ici au contraire (fig. 105) le sillon

te de capsule blanche. Après un parcours d'une longueur variable à la surface des noyaux, ils s*y enfoncent obliquement. Cette

ue des faisceaux qui les abordent sur les différentes parties de leur surface . Il n'est pas jusqu'à l'écorce cérébrale elle-mêm

es conducteurs du centre ovale atteignent sa profondeur. La véritable surface libre de l'écorce n'cst-clle pas précisément la f

st-clle pas précisément la face adhérente au centre ovale, puisque la surface proprement dite de l'écorce, celle qui est recouv

nt dite de l'écorce, celle qui est recouverte par la pie-mère, est la surface adhérente au feuillet vasculairc de l'embryon?

ire faisait suite au noyau rouge de la calotte. Elle vient jusqu'à la surface ; elle est située au-dessus et en dedans de l'anse

s fibres). Cette substance grise intcrpédonculaire correspond, par sa surface , à l'espace perforé postérieur (EPP, fig. 108); e

ent isolé par des faisceaux de substance blanche étalés en lames à sa surface ; et elle n'est, en effet, reliée à la substance g

loisons verticales, et même il en est qui ne font que les frôler à sa surface interne; ce sont ces dernières qui vont s'ajouter

eur couleur blanche sur la substance grise de la base du cerveau à la surface de laquelle elles proéminent. Elles représentent

silaire, de façon que le ventre inférieur de ce 8 vînt proéminer à la surface de la substance grise (schéma 170). Le faisceau r

onsidéré comme une boucle du pilier attendu qu'il n'est blanc qu'à la surface ; c'est un noyau gris, adhérent à la grande masse

r les fibres les plus antérieures du pilier (8), qui formeraient à sa surface une sorte de capsule et iraient ensuite se termin

isphère depuis le chiasma jusqu'aux corps genouillés, on met à nu une surface exca-vée, en forme de rigole plus ou moins profon

blanches ne sont superposées que dans une très faible partie de leur surface . La lame supérieure ou anse du noyau lenticulaire

cure de la concho optique (ThT), mais elles n'arrivent pas jusqu'à la surface ventrieulaire. AR. Le faisceau d'Arnold consist

rtie externe du ganglion amygdalien (NA), hermétiquement accolée à sa surface ; elle est toujours dirigée d'arrière en avant, ma

la bandelette sous-optique (BSO) au niveau de son épanouissement à la surface du noyau amygdalien (NA). VS, le ventricule sph

peu à peu dans le ganglion au fur et à mesure qu'elle s'épanouit à sa surface . C'est à cet épuisement progressif de ses fibres

la bandelette sous-optique, courant toujours d'arrière en avant à la surface même de la cavité vcntriculaire. Là, elle se relè

nférieures-internes de la bandelette sous-optique, éparpillées sur sa surface libre et sur sa surface profonde, comme une capsu

a bandelette sous-optique, éparpillées sur sa surface libre et sur sa surface profonde, comme une capsule, comme un stratum zon

ouve encore assez compact. Sur la coupe 113, en particulier, il a une surface de section plus large, quoique sa teinte soit plu

se portant de plus en plus en dedans, laissant entre elle et lui une surface plane : l'espace perforé antérieur (fig. 119) ; à

térieur de la capsule interne. En bas et en dedans il se termine à la surface basilaire de l'encéphale, limité en dedans par le

119, 120) se présente sous l'aspect d'une lamelle blanche étalée à la surface convexe de la couche optique ; cette lamelle se

-sphénoïdal. Mais commeut expliquer les relations invariables de la surface du claustrum avec la surface profonde de l'insula

xpliquer les relations invariables de la surface du claustrum avec la surface profonde de l'insula? Rien de plus simple, si l'o

Rien de plus simple, si l'on considère que l'insula est lui-même une surface dont le développement a pour point de départ la s

s medialis, sur les pièces durcies dans les bichromates, présente une surface de section vertico-transversale plus foncée que c

noyau lenticulaire, et à la place du globus medialis on reconnaît une surface pâle (fîg. 124, ANL) correspondant à la portion d

de l'écorce, quand on la retrouve presque tout entière, épanouie à la surface du noyau amygdalien, dont la sépare seulement la

aires de l'artère lenticulo-striée. Mais elle n'arrive pas jusqu'à la surface de l'espace perforé; elle en est séparée par le n

6), que nous avons déjà mentionnées, venues d'avant en arrière à la surface de l'espace perforé, s'élèvent obliquement en ded

stance grise correspondant au cap de cette circonvolution (CAP). A la surface , le cap est limité en haut par la fosse de Sylviu

psp. Le pied du septum lucidum dont nous avons étudié le trajet à la surface du cerveau (voy. Introd.) provient de la partie l

(fig. 128), il se dirige vers l'espace perforé antérieur (EPA), à la surface duquel il va arriver bientôt, après avoir croisé

vre, c'est que le pédoncule du septum lu-cidum (psp) se prolonge à la surface de l'espace perforé, c'est-à-dire à la surface du

(psp) se prolonge à la surface de l'espace perforé, c'est-à-dire à la surface du cerveau, tandis que le bec du corps calleux s'

s latérale et supérieure de l'espace perforé, sans arriver jusqu'à la surface . Les seuls rapports qu'il ait avec la surface son

sans arriver jusqu'à la surface. Les seuls rapports qu'il ait avec la surface sont ceux qu'il affecte avec la substance réticul

t le lobe frontal : parties corticales et parties ganglionnaires. Les surfaces homologues de l'écorce grise, réunies d'un côté à

re et la commissure postérieure. L'aspect des coupes obtenues sur une surface de section de l'hémisphère intéressant les deux c

cérébelleux supérieur (fig. 1), venu du côté opposé, s'épanouit à la surface du noyau rouge (NR), où il pénètre en se contourn

FRF). BOA. Le bras du tubercule quadrijumeau antérieur forme à la surface même de l'isthme cérébral, la paroi interne de la

roisième ventricule. Sur la (lu cingulum (Cin). Il représente, à la surface de l'espace perforé, la bandelette diagonale de B

bondantes sur les coupes du noyau caudé, à mesure que le niveau de la surface de section s'élève. GSL. La substance grise du

au externe du thalamus forme, avec le noyau antérieur (NaC), toute la surface de section du thalamus. Le noyau interne a en eff

calleux, divisé en deux tronçons sur les coupes 10 et II, devient une surface continue sur la coupe 12. Cette coupe horizontale

t qu'il arrive au contact de la lame médullaire et se perd ainsi à la surface de la couche optique, au voisinage du taenia. F

ctionné. L'obliquité des fibres entraine un éclairage inverse de leur surface de section, sur le segment inférieur et sur le se

isse le fasciola cinerea (Fci), au moment où celui-ci s'enfonce de la surface du lobe carré (CQ) vers la corne d'Ammon (CAM). E

ux commissures blanches. On peut constater que l'aspect de ces quatre surfaces de section diffère de celui qui est représenté su

atiques. On la voit, chez l'homme même, acquérir une épaisseur et une surface très considérables. On cite comme toute particuli

onnexion avec le noyau amygdalien, en dehors de celle qu'établit à la surface la bandelette de Giacomini. Tous les détails rela

elles de la capsule externe. En dedans la fimbria (FI) se perd à la surface de l'extrémité postérieure et interne du crochet

horizontal du corps godronné; on procède en quelque sorte comme si la surface supérieure du corps godronné était le plan du mic

les uns se portent à la périphérie et s'arborisent librement .à rit surface des muscles, les autres forment les commissures q

e, un labeur considérable et, comme l'opérateur agit sur de grandes surfaces , il lui faut, pour appliquer cette méthode, étudi

emine libre- ment dans l'intérieur du ventricule latéral et rase la surface libre du noyau caudé. La section ne doit pas dé

sur les coupes vertico-transversales pratiquées au micro- tome, les surfaces de section apparaissent de plus en plus obliques

let et le bulbe rachidien. Ceci fait, on recherche avec soin sur la surface de section de la protubérance, s'il existe une

facile de se tirer d'affaire et de voir, en examinant avec soin la surface de section de la protubérance, de quel côté siè

c'est nécessaire, à l'état frais en une série de segments, dont la surface de coupe passera entre les racines rachidiennes

liquide de Millier, car on évite ainsi le gonflement ultérieur des surfaces de section. Pendant l'été, nous avons l'habitud

évaporation lente. Le collodion s'évaporant plus vite du côté de la surface que du fond, on aura grand soin pendant cette p

avoir pratiqué un certain nombre de coupes. on tombe alors sur une surface sans cohésion et qui s'effrite sous le -tran- c

au collodionnage des coupes. On procède de la manière suivante : La surface de section bien affrontée par le couteau du micro

rt pas, en général, de ce dernier procédé, cela tient à ce que la surface d'é- vaporation, l'été surtout, expose l'opér

s modèles de microtomes il traîneau, permettant de couper de larges surfaces , mais ils ont tous le grave défaut, de ne pouvoir

ies, dont le diamètre dépasse de un à deux centimètres, celui de la surface de la pièce que l'on veut couper. Chaque rond de

al, il faut comp- ter 1800 à 000 numéros. Pour des coupes de petite surface , le papier closet peut être employé de préféren

rsqu'il s'agit du cerveau - étudier des coupes présentant une large surface , il faut avoir à sa disposition un instrument q

ectifs à grand angle [d'ou- verture, permettant l'examen de grandes surfaces . C'est ainsi qu'avec l'ob- jectif n° 1, donnant

f n° 1, donnant un grossissement de cinq diamètres, on embrasse une surface de 50 millimètres. Avec l'objectif n° 2 et un gro

es. Avec l'objectif n° 2 et un grossissement de douze diamètres, la surface embrassée est de 18 millimètres. Avec cet instru-

n que jusqu'ici, surtout lors- qu'il s'agit de reproduire de larges surfaces , l'avantage est encore resté au dessin. Les r

et il est inapplicable dès que ces coupes comprennent une certaine surface . Aussi, après avoir étudié dill'érents procédés

que la paroi interne de la vésicule des hémisphères, s'adosse à la surface extérieure du cerveau intermédiaire, dont elle

par apposition des parois latérales, puis se retire peu à peu de la surface vers l'intérieur, et finit par ne plus occuper

oglique le septum postérieur (fig. 30), lequel s'étend jusqu'à la surface de la moelle légèrement déprimée à ce niveau.

inférieure du recessus latéral du quatrième ventricule, forment à la surface extérieure de la lame alaire, un petit faisceau

uatre sillons profonds divisent, ainsi que K1111;,er l'a montré, sa surface en cinq grandes régions primaires : la première

ace latérale droite. (Dessiné d'après nature.) La fig. 40 montre la surface extérieure de l'encéphale après ablation du cer

sus latéral du 4' ventricule. 8Th, région sous-thalamique. siCSl1'. surface suturale opto-striée. Ï71, thalamus. T.ll,t rou

ÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX. 97 en arrière du trou de Monro une surface arrondie, légèrement concave, qui correspond il

t celle du cerveau antérieur au corps strié, nous désignerons cette surface suturale sous le nom de surface salit raie opto

corps strié, nous désignerons cette surface suturale sous le nom de surface salit raie opto-striée (fig. 39 et 40, siCStr.).

émisphères, à savoir : le corps strié et le manteau cérébral. Cette surface suturale opto-striée est entourée d'un arc sailla

du sillon choroïdien; la petite partie externe de la face supé- 7 Surface suturale pto-striéc. Arc thalamiqlle. Régio

rement dits, le manteau cérébral ou pallium. Portion axiale. - La surface extérieure de la portion axiale du cer- veau an

poral situé au début au-dessus de l'axe transversal qui passe par les surfaces suturales opto-striées et par les fosses sylvie

e du cerveau intermédiaire à laquelle elle est unie au niveau de la surface suturale opto-striée (fig. 58 à 63) ; un repli mé

lame cornée et au noyau amygrlalien (fig. 52 à 63). Au-dessus de la surface suturale opto- striée, on y voit apparaître de

ifs. - PO, pédicule ocu- laire. rif, recessus do l'infundibulum. S, surface suturale opto-striée. - saa, sillon arqué antér

sommet du corps strié regarde en haut et en arrière, et atteint la surface suturale opto-striée au DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈM

et le lobe olfactif posté- rieur (fig. 48); il entoure en dedans la surface suturale opto-striée, et s'unit intimement par

, n'est intimement unie au cerveau intermédiaire qu'au niveau de la surface suturale opto-striée (fig. 49, S). Mais dès la fi

Elle se soude avec la partie externe de l'arc lhalamique et avec la surface extérieure de la région sous-optique, au voisin

t externe du corps strié. - six, segment interne du corps strié.-S, surface suturale opto-striée primitive. l'H, vésicule d

tie du sillon semi-lunaire (fig. 52 à 63, ssl), au niveau duquel la surface extérieure du cerveau intermédiaire est simplem

d'un anneau ou- vert en bas et en avant. Elles naissent de toute la surface du manteau cérébral, abordent le corps strié en

elle est effilée, suit le sillon marginal de l'insula, répond à la surface suturale opto-striée secondaire, et atteint l'ext

aire. - S(p), branche postérieure de la scissure de Sylvius. - Sss, surface suturale opto-striée secondaire. Ssp, surface sut

re de Sylvius. - Sss, surface suturale opto-striée secondaire. Ssp, surface suturale opto-striée primitive. - STh, région s

différentes périodes de son développement, passant en arrière de la surface suturale opto-striée primaire et destinées à mo

stérieur passent parle sillon semi-lunaire, par conséquent entre la surface extérieure du cerveau intermédiaire et la surface

conséquent entre la surface extérieure du cerveau intermédiaire et la surface exté- rieure du cerveau antérieur ; - les fibre

cerveau antérieur ; - les fibres du segment antérieur passent par la surface suturale primitive; celles du segment ré ti'o-l

misphérique. - SI, Septum lucidum. - ssl, sillon semi-lunaire. Ssy, surface suturale primitive. - 1'l, première cir- convol

abordentl'extrémité antérieure de la couche optique, au niveau de la surface suturale opto-striée primaire. Les fibres de la

rne (Cip). Après avoir traversé le corps strié, elles atteignent la surface suturale opto-striée secondaire : les unes pénè

que, les autres dans le globus pallidus; d'autres enfin côtoient la surface suturale opto-striée, et atteignent la base du ce

s internes des hémisphères se soudent dans toute .. l'étendue de la surface triangulaire, et donnent ainsi naissance à un noy

t en arc la face interne de l'hémisphère, et ne sont séparées de la surface suturale opto-striée secondaire, que par la cou

u corps calleux. Les libres du corps cal- leux naissent de toute la surface du manteau cérébral ; elles convergent vers la

n du neuvième ou le commencement du dixième mois, apparaissent à sa surface quatre à cinq légers sillons à direction radiaire

res, et en particulier chez les grandes espèces, on con- state à la surface des hémisphères des sillons et circonvolutions pl

oblastes rachidiens se dirigent en arrière et atteignent bientôt la surface de la moelle, où la plupart se bifurquent et fo

oelle embryonnaire ce cordon, situé à la péri- phérie, présente une surface de section plus ou moins arrondie qui lui a val

ibrement. Les fibres centrales des ganglions craniens atteignent la surface du bulbe un peu en arrière du sillon latéral du

ur de la moelle ou de l'encéphale, de la paroi ventri- culaire à la surface de l'axe neural. Certains auteurs, tels que Reiss

n outre des cellules araignées dont le corps s'étale largement à la surface corticale, et qui envoient dans la pro- fondeur

à contours fort nets, entouré d'un protoplasma anguleux et dont la surface présente de petites pointes, on en trouve d'aut

érique entre les cel- lules épithéliales, presque au niveau de la surface de l'épiderme, où il se termine, par une extrém

(D'après G. Retzius.) ? il, fibres nerveuses qui so portent sur la surface do l'épithélium pour s'y y , terminer par dos a

,z). - e, partie supérieure do deux cellules de soutènement. - o, surface épithéliale HISTOGENÈSE DU SYSTÈME NERVEUX. 1G3

nte chez les vers oligochètes. Elle s'éloigne de plus en plus de la surface épidermique; chez les vers polychètes (Nereis vel

aissance à un seul prolongement cylindre- axile, mais de toute la surface du corps protoplasmique se dé- tachent des de

STÈME NERVEUX. 1 -1 'l; nutrition, ce ne serait qu'en augmentant la surface d'absorption de la cellule à laquelle elles app

. Le cylindre-axe de cette dernière cellule s'arborise librement à la surface d'un muscle M. La voie motrice se compose donc

ment moteur comme le muscle, soit dans un élément sensible comme la surface cutanée. Ainsi se trouve donc complètement et d

e plasticité (Vignal) (fig. -lu7); elles s'appliquent en effet à la surface des petits faisceaux de fibrilles nerveuses, se m

en nappe, c'est-à-dire sous forme de mince lame, elle se moule à la surface du cylindre-axe qu'elle sépare de la gaine de S

is, long de Om,34. (D'après Vignal.) a, fibre sans myéline à la surface de laquelle on voit des noyaux. - b et c, deu

brane très mince; quelques tubes possèdent un noyau saillant à leur surface et logé dans une masse de protoplasma(fig. 1 23,

gé dans une masse de protoplasma(fig. 1 23, E, c,) qui s'étend à la surface du tube; mais il n'existe pas de gaine de Schwann

loppe ln6riphlrirne ? c, noyau et protoplasma quo l'on observe à la surface de quelques rares tubes nerveux. HISTOLOGIE GÉN

de 200 d. après l'avoir imprégné par l'ar- gent, on reconnaît à sa surface l'existence d'un revêtement endolhélila, dont n

d'un toit et se terminent soit sous la gaine de Schwann, soit à la surface du cylindre-axe par des angles très aigus (fig. 1

Schwann (fig. 130). Ils signalent en outre dans certains cas, à la surface de la fibre nerveuse, une striation transversale

attani insiste tout particulièrement sur la striation oblique de la surface des segments cylindro-coniques, signalée déjà p

olgi. Outre les segments cylindro-coniques, on observe encore, à la surface des nerfs traités par l'acide osmique, un résea

les préparations. Tantôt elles sont très larges, et on observe à la surface des nerfs la striation oblique signalée par G.

es dépourvues de myéline, de diamètre variable et présentant à leur surface des noyaux ovalaires. Si on dissocie dans l'aci

enveloppante continue, et par conséquent comme ne présentant a leur surface rien d'ana- logue à la membrane de Schwann. Pou

e nerveuse, le protoplasma qui entoure leur noyau se répand il leur surface et leur forme une simple gaine. Lorsqu'elles so

agné HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME NERVEUX DE L'ADULTE. 221 . la surface , se divisent et s'entrecroisent avec les fibres n

orme, qui se ter- minent en des points plus ou moins éloignés de la surface épithéliale, par Terminaisons fi- brillaires

. 1 des ramuscules libres dont quelques-uns semblent atteindre la surface de la muqueuse (Retzius). Ce mode de terminai

des cavités nasales, les rameaux ter- minaux atteignent presque la surface de l'épi- thélium cilié (Retzius) (fig 139).

essie du lapin. (D'après G. Retzius.) Mèthode rapide de Golgi. o, surface de l'épithélium. - bg, couche conjonctive sous-ép

- Yeuses dans les ten- dons. breuses arborisations libres, à la surface de la membrane vitrée de la paroi du follicule.

ier s'ar- borise librement entre les otlontohlastes et atteint la surface do la domine. Fic. 144. - Deux faisceaux des mu

s de myéline, se divisent et se subdi- visent, et se terminent à la surface des cellules musculaires par une extré- mité re

ule de Golgi. Ces corpuscules sont fusiformes, aplatis, situés à la surface du tendon, au voisinage de l'insertion des fibr

néral,- à son extrémité profonde et un peu sur le coté, décrit à sa surface un trajet plus ou moins sinueux, puis pénètre d

om de, plis de passage; ceux-ci sont superficiels et apparents à la surface du cerveau, ou profonds et situés au fond des s

est, en effet, beaucoup plus étendue que l'inspection simple de la surface ne pourrait le faire croire, car la partie de l'é

de l'écorce située au fond des sillons est presque le double de la surface apparente. La supé- riorité cérébrale de l'homm

ère à constituer un petit lobule irrégulièrement quadrilatère, à la surface duquel se voient une ou plusieurs fossettes, lobu

llon marginal supérieur; il est le premier sillon qui apparaît à la surface de l'insula, et existedéjà surdes embryons de 3

dire au voisinage du seuil de l'insula, où elle présente une petite surface lisse, cachée sous la pointe du lobe temporal e

rrière et en dedans, s'étale, devient triangulaire et apparaît à la surface du cerveau au niveau du bord hémisphérique qu'il

e des circonvolutions pariétale supérieure et première frontale. La surface du cuneus est irrégulièrement divisée par un pe

bique est remarquable, comme du reste tout le lobe limbique, par sa surface lisse et les rares incisures superfi- cielles q

convolution limbique au-dessous du bourrelet du corps calleux. La surface extérieure de la circonvolution de l'hippocampe n

Giacomini se dirige transversalement de dedans en dehors, croise la surface libre de la circonvolution du crochet (U) qu'elle

iser et s'enchevêtrer avec celles du côté opposé, entraînent à leur surface une mince couche de l'écorce grise de la face i

cro- chet de la circonvolution de l'hippocampe (U) (fig. 149). Sa surface , de coloration gris rosée, est criblée, surtout à

us souvent un faisceau unique, plus rarement dédoublé ou étalé à la surface de l'espace perforé antérieur. Les bandelettes

sions et subdivisions des hémisphères et des anfractuosités de leur surface . Revue d'Anthropologie, 1878, p. 193. Du Même. An

gna, 1870. Cunrrmcan. The development of the gyri and sllici on the surface of the Island of Reil of the humain brain. Journ.

sales, la bandelette optique pré- sente au voisinage du chiasma une surface de section ovalaire, aplatie de haut en bas, et

alaire, aplatie de haut en bas, et dans son trajet pédonculaire une surface de section losan- gique. (Voy. Coupes veJ'tico-

e du pharynx pri- mitif. Tuhercules roamil- laires. unis à la surface de l'organe, sont parfaitement distincts et sépar

ne du pédoncule. Plus le faisceau interne du pédoncule s'étale à la surface du faisceau externe, plus le point de pénétration

embrasse le bord inférieur du pédoncule cérébral. Il apparaît à la surface du pédoncule cérébelleux supérieur ou au niveau d

e (Cgi), le bras du tubercule quadrijumeau postérieur (BrQp) et une surface triangulaire décrite par Reil, le faisceau triang

de l'isthme, le ruban de Reil (1î,igoîiiiîii lemnisci) (RI). Cette surface triangu- laire, comprise entre le sillon latéra

ruban de Reil latéral ou inférieur (untere Schleife), visible à la surface de l'isthme. L'étage supérieur, ou calotte du

r et le noyau rouge; sa partie postérieure ou externe apparaît à la surface externe de Corps genouillé in- terne. Bras

téral. R)iî, ruban de Reil médian. sell, sillon choroïdien. - Sexv, surface extraventriculaire de la couche optique. - si, si

ante, et se terminent dans la crête des circonvolutions de toute la surface du cerveau, à l'exception du lobe olfactif et d

ouches superficielles (celles qui correspondent par conséquent à la surface libre de la vésicule hémisphérique) des cel- iu

et le corps du trigone, et appartiennent par leur développement à la surface extérieure du cerveau intermédiaire (Yoy. p. 11

considérer, de dedans en dehors, deux reliefs longitudinaux et une surface plane (fig. 210). Le relief interne et supérieu

est d'autant plus volumineux que la scissure est plus profonde. La surface plane, plus ou moins large, située en dehors de l

m terminale. les autres, et réunies en petits grains lohulés à leur surface , tantôt sessiles, . tantôt pédiculés ou disposé

sillon pré-rolan- dique inférieur. - R, scissure de Rolande. Sexv, surface extra-ventriculaire du thalamus. Sgc, substance

fait pas partie non plus du ventricule latéral, mais représente la surface cxlra-ventriculaire de la couche optique (Sexv)

ous l'avons montré, à propos du développement du cer- ., veau, à la surface extérieure du cerveau intermédiaire embryonnaire.

ctifs. La face inférieure repose, par ses parties latérales, sur la surface extra-ventriculaire de la couche optique (Sexv)

Qa, tubercule quadrijumeau antérieur. sch, sillon choroïdien. Sexv, surface extra-ventriculaire de la couche optique. si, sil

0C' Bichat n'existe pas. 1ûi latérales sont en rapport avec la surface extra-ventriculaire de la couche optique (Sexv)

ipito- frontal. { 1 tronc, la face inférieure est convexe, la surface de section est, par consé- quent, celle d'une l

cérébral et, dont la base convexe répond au lobule de l'insula. Sa surface de section est triangulaire sur les coupes vertic

e choroïdienne qui la sépare du trigone cérébral et appartient à la surface extérieure de la couche optique (Sexv). ('oy. E

postéro-interne du pulvinar, la face supérieure présente une petite surface triangulaire à base postérieure, le triangle de l

, tubercule quadrijumeau antérieur. sch, sillon choroïdien. - Sexv, surface extra-ventriculaire de la couche optique. - si, s

ation plus foncée, il se déli- , mite plus ou moins nettement de la surface libre du pulvinar. Sa coupe présente un aspect

es que pré- sente l'hémisphère cérébral, lorsqu'on l'étudie sur des surfaces de section horizontales, verlico-transversales

orme un volumineux faisceau à direction antéro-postérieure, dont la surface libre fait quelquefois saillie à la face interne

tec). Comme dans la figure précédente, ce dernier est coiffé par la surface de section du cingulum (Cing). Le ventricule la

ieure de la scissure de Sylvius. - sec, sinus du corps calleux. Sexv, surface extra- .. ventriculaire du thalamus. - Sge, Sgé

de la scissure de Sylvius. - ses, sillon du corps calleux. - - .xu, surface extra-ventriculairc de la couche optique. Sge, su

de la scis- sure de Sylvius. - scc, sinus du corps calleux. - Sexe, surface extra-ventriculaire de la couche optique. S,ge,

sillon iufcr·-occiyilal (io). A la face interne apparaît, entre la surface de section du cunéus (C) et la partie postérieu

de la scissure de Sylvius.- sec, sinus du corps calleux. .S'e.Et', surface eztra-ventriculairc de la couche optique. -Sye, s

artie interne, appa- rait le genou du corps calleux (Cc[g]) dont la surface de section présente l'aspect strié caractéristi

e. A la partie antéro-interne du segment moyen (NL.,), se trouve la surface de section de la commissure antérieure (coa) qui

g. 227 et 228), et qui présentait sur la coupe n° 68 (fig. 229) une surface de section ovalaire. Elle constitue le système co

ème ventricule on trouve un orifice irrégulier, qui appartient à la surface extérieure du cerveau, en parti- culier à la fo

paré du précédent par le locus niger (Ln) et dans lequel on trouve la surface de section du ruban de /<'e<7 médian (Rm)

t celles du faisceau postérieur du cingulum.. Dans cette région, la surface de section du cingulum est caractéristique; ell

antérieur. A la partie postérieure du sillon olfactif, on trouve une surface de section triangulaire, appartenant au trigone

u lobe frontal en deux parties inégales, qui comprennent chacune la surface de section de la face interne de la première circ

l'insula et des ganglions de la base. (Voy. tig. 177, 179, 182.) La surface de section du cingulum (Cing) présente un aspect

Rolando. - S(p); branche postérieure de la scissure de Sylvius. Se ? surface extra"ven- triculaire du thalamus. Sgc, substan

l divise en deux parties; la partie la scissure de Sylvius. - Sexe, surface extra-vcntriculaire du thalamus. - Sge, substance

férieur. S(p), branche postérieure do la scissure de Sylvius. Sexv, surface extra-ventriculaire du thalamus. - sec, sinus du

néral accolées. La paroi externe est formée du corps calleux.Se.ff, surface extra-ventriculaire du thalamus.- Sage, substance

t le pulvinar (Pul) et l'aqueduc de Sylvius (Aq), c'est-il- dire la surface exlra-veniriculaire de la couche optique et la ré

olet. - S(p), branche postérieure de la scissure de Sylvius. - Se.vv, surface extra-ventricu- l;tire de la couche optique. -

e pulvinar (Pul) et toutes les parties qui recouvrent en arrière la surface extra-ventriculaire de la couche optique (Sexv)

iations optiques de Gratiolet. sec, sinus du corps calleux. - Sexe, surface cxtra-vcntriculairc du thalamus. Sge, substance g

tions optiques de Gratiolet. - sec, sinus du corps calleux. - Sexv, surface exl,ra-vcntricu- lairc du thalamus. - 7*, T3, d

éralement défaut sur les cerveaux peu riches en circonvolutions. La surface de section du corps calleux (Ce) à la face intern

ouverte par le loenia tecta (tec) et le cirrr/ulurrt (Gin), dont la surface de section n'est pas changée. En dehors, les Fr

occipital et dont nous avons étudié, sur les coupes précédentes, la surface de section tranversale. En dehors du tapetum (T

épaisseur sur toutes les coupes, sauf toutefois dans les points où la surface de section de la coupe, est tangente à un sillo

de l'hippocampe restée en dehors de la coupe. Corps calleux. - La surface de coupe du corps calleux est ici fort irré- gu

ment la pénétration de la toile choroïdienne entre le trigone et la surface extra- ventriculaire de la couche optique. No

campe (h). Cet espace est exlra-ventriculaire ; il appartient il la surface extérieure de l'encéphale et en particulier aux p

lilllbifiue. fi, scissure de Rolande. S, scissure de Sylvius. Sen', surface cxtra-vcntt'iculairc du thalamus. Sge, substance

étro-limbiquc (1trl), commence une circonvolution nouvelle, dont la surface de section n'est encore représentée que par un

derniers vestiges du noyau caudé (NC) et le corps calleux (Cc), une surface ovalaire, légèrement teintée, qui correspond la

'insula (la, Ip). L'écorce et la substance blanche occupent ici une surface beaucoup moins considérable que sur les coupes

p, la). L'in- sula occupe le fond de la scissure de Sylvius (S), sa surface de section affecte la forme d'un triangle, dont

mentaire, repose sur la bandelette optique (II). Celle-ci affecte une surface de section losangique et occupe le fond du sill

entre le sillon choroïdien et le tænia thalami, appar- tient il la surface e,L'ii'OE-ventl'iculail'e de la couche optique; e

anglion de Yhabénula et établit la limite entre la face interne et la surface exlra-venlriculaire de la couche optique. A la

le latéral et du troisième ventricule, ainsi que de l'étendue de la surface extra-venlriculaire de la couche optique, compr

es fibres radiaircs est toutefois ici plus accusée. Au niveau de la surface 1',rtm-velltl'iculaÎl'e de la couche optique, on

tte coupe que par des ilots de substance grise échelonnés entre les surfaces de sections de la Ir ? te (NC) et de la queue (NC

noïdale ; ils sont libres dans le carrefour et ne présentent aucune surface d'insertion, la coupe les intéresse en effet au

ka et du lobule lingual (Lg).La corne occipitale (Voc) présente une surface de section triangulaire, sa paroi interne est r

iations optiques de Gratiolet. - sec, sinus du corps calleux. Sexv, surface cxtra-veniriculaire de la couche optique. - Sge

h, plexus choroïdes. - RTh, radiations optiques de Gratiolet. - Sexv, surface extra- vcntriculairo du thalamus. - Sge, substa

nnante. Pul, pulvinar. RTh, radiations optiques de Gratiolet. Sexv, surface extra-vontriculàire de la couche optique. si, s

a queue du noyau caudé (NC), on retrouvedans la lame cornée (le) la surface de section du tzenia semi-circularis, sous la f

té- rieur du trigone ou de la fimbria, est libre et appartient à la surface extérieure du cerveau. Son bord interne se prol

in- guer, grâce à la présence de ses fibres radiaires, on trouve la surface de section transversale d'un faisceau ovalaire,

optique située en arrière du ganglion de l'habénula appartient à la surface extra-ventriculaire de la couche optique, elle

la capsule, interne. Le globus pallidus (NL,, NL,) s'est étendu en surface , mais ses caractères res- tent les mômes que su

an de Reil médian. RTh· radia- tions optiques de Gratiolel. - Sexv, surface extra-vcntriculaire du thalamus. S{le, substance

résulte que le corps genouillé interne (Cgi) devient apparent à la surface extérieure de la région; il est recouvert sur cet

nouillé externe (Cge) se sont encore accrues. Il devient libre à la surface extérieure du cerveau, et n'est plus recouvert

ccusé snr cette coupe. Le corps genouillé externe (Cge) apparaît la surface extérieure du cer- veau. Il donne naissance il

bras du tubercule quadrijumeau antérieur (BrQa), qui apparaît à la surface extérieure de la région sous-thalamique. La plu

ouve un faisceau de fibres fines, peu serrées, qui appartient il la surface extérieure du cerveau : c'est la bandelette dia

volution limbique. Son angle postéro-intcrne apparaît librement Ü la surface exté- rieure du cerveau, entre la première circ

ntri- cule latéral (VI) et le txnia thalami (tth), appartient il la surface v.rlra-ucrriricu- faire de la couche optique (S

l'ul, pulvinar. - RTh, radia- tions optiques de Gratiolet. - Sexv, surface cxtra-ventriculaire du thalamus. - Sih, scissure

. - l'ul, pulvinar. 7f7'/i, radiations optiques de Gratiolet. Sexv, surface extra-ventriculaire du thalamus. Sge, substance g

inférieur du thalamus. 7}77t, radiations optiques de Gratiolet. Sexv, surface cstra-vcntri- culaire du thalamus. Sge, substan

lution limbique. La tête du noyau caudé (NC) s'est rapprochée de la surface extérieure du cerveau; sur la coupe suivante nous

]J, recessus pinealis. RTh, radiations optiques de Gratiolet. Sexv, surface extra-ventriculaire du thalamus. Spp, substance p

laires, se confond avec la tête du noyau caudé (NC), qui atteint la surface du cerveau, dans le sillon qui sépare la premiè

, recessus pinealis. RTh, ra- diations optiques de Gratiolet. Sex», surface extra-ventriculaire du thalamus. Sge, sub- stan

me segment du noyau lenticulaire (NL), en avant duquel on trouve la surface de section de la commissure antérieure (coa).

l'angle que forment ces deux noyaux en se réunissant, on trouve la surface de section de la commissure antérieure (coa), l

fig. 313 et 314). Dans la série de coupes que nous étudions ici, la surface de section trans- versale de ce pédoncule doit

Meynert (CM). Le corps genouillé interne. (Cgi) est apparent il la surface extérieure du pédoncule cérébral, où il forme un

on voit que la substance grise n'est pas homogène; en allant de la surface vers la profondeur, elle présente, ainsi que Ba

ouche externe blanche, transparente, extrêmement mince, située à la surface des circonvolutions, c'est la couche blanche co

l'épaisseur de l'écorce céré- brale, forment une mince couche à la surface des circonvolutions, et donnent naissance aux

variable, présentant pour la plupart une direction parallèle il la surface et tangente à la courbe de la circonvolution. C

ameaux vari- queux, qui suivent un trajet en général parallèle à la surface de la circon- volution, mais n'atteignent jamai

uveau-nés ou les embryons. Elles présentent une apparence ovoïde, à surface lisse et régu- lière. De leurs deux pôles parte

etus humain de 8 mois. Méthode de Golgi. (D'après G. Retzius.) 0, Surface de l'écorce ccrebrale. - f, fibres tangentielles,

aître (Cajal). Elle est large, lisse à son origine et monte vers la surface du cerveau, paral- lèlement à celle des autres

super et inter-radiaire et des stries de Baillarger. Par leur grande surface de contact, les grandes cellules pyramidales pe

ieur de l'insula, où leurs dendrites se dirigent parallèlement à la surface de l'écorce et forment une sorte de barrière, qui

s cellules fusiformes verticales; leur grand axe est parallèle à la surface de la circonvolution, de leurs pôles se détache

ntes parais- sent se terminer par deux ou trois courts rameaux à la surface libre du cer- veau, apparence due peut-être à u

Cajal (fig. 346, a). Leur cylindre- axe chemine parallèlement à la surface de l'écorce, se réduit rapidement en une arbori

les quatre couches décrites par Cajal et [qui sont, en allant de la surface à la profondeur : 1° la couche moléculaire; Inc

spect réticulé que présente à l'état frais ou après durcissement la surface de la circonvolution de l'hippocampe. L'inégali

ventriculairc se prolonge dans le bulbe ol- factif. En allant de la surface vers la cavité, Cajal décrit dans le bulbe olfa

factif sous forme de petits fascicules qui s'entre-croi- sent il la surface du bulbe olfactif, sous des angles plus ou moins

près G. Retzius.) n', fibres nerveuses qui se por- tent sur la surface de l'épithélium pour s'y terminer par des arbor

- e, partie supérieure de deux cellules de sotitèneiiieiit. - o, surface épithéliale. 731 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.

fort variable : les uns sont semi-lunaires et très rapprochés de la surface cérébrale, les autres affectent une forme ovoïde

d'association est très facile, et se voit très manifestement sur la surface de brisure d'un cerveau convena- blement durci

. - - Que l'on suppose par la pensée la substance grise étalée à la surface du cerveau, le système d'association présentera

brale (Cajal). 2° Les fibres commissurales proviennent de toute la surface de l'écorce d'un hémisphère, et se terminent da

r`3 il 2(5), la FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 7.=i7 7 surface de section du faisceau arqué est triangulaire; so

ricule latéral. Sur les coupes vertico-transversalcs (Iig. 382), sa surface de sec- tion est pyriforme, et mesure environ u

', substance grise sous-épendymaire de la corne occipitale. - Sexv, surface extra-ventriculaire de la couche optique. - str

s major et dans le bourrelet du corps calleux, et n'affleure pas la surface apparente du bour- relet (fig. 392). Si cette p

r du forceps et du bourrelet du corps calleux, et n'affleure pas sa surface apparente (fig. 395) (J. et A. De- jerine, et t

ence intéresse de préférence le forceps minor (Fm'), et efileure la surface libre du bourrelet, dont elle occupe les parties

pticlue. Sur une coupe verticale et sagittale (fig. -193, p. z), sa surface de section est ova- . -.... l' ? 1"1 . ,.......

On excise largement les bords hidurés, de manière à obtenir de larges surfaces saignantes, et pour cela il ne faut pas craindre

tous les autres, légè-rement chauffé et enduit d'un corps gras sur la surface con-vexe. Je répète à dessein que pour en retirer

e américaine, l'avivement doit porter non sur des bords, mais sur des surfaces d'une grande largeur; il ne doit pas attaquer la

e et agit de nïême d'avant en arrière, jusqu'à ce que ren-contrant la surface déjà avivée du côté opposé, il détache tout à fai

su cicatriciel est plus résistant; il faut même y prolonger un peu la surface avivée, car la réunion doit s'étendre plus loin s

grande épaisseur possible de la paroi du vagin, cheminer derrière la surface avivée et venir sortir j^rès du liséré qui borde

support, que la main gauche pousse le long du fil, jusqu'à ce que les surfaces avivées viennent se placer en contact. Alors on t

et les coupe près des grains de plomb. Cet appareil j)rotége bien les surfaces avivées contre les liquides du vagin, et empêche

ut le tissu inodulaire et même le bord vésical de la fistule, met les surfaces dans de bonnes conditions de réunion, et cela dan

ion de deux lambeaux qu'il adosse, de manière à doubler l'étendue des surfaces avivées et affrontées. Ces lambeaux, formés aux d

heminent seulement jusqu'à l'union des pédicules des lambeaux avec la surface avivée. Pour placer les points de suture , on rel

les fils deux à deux dans des boutons en buis demi-spliériques sur la surface plane desquels ces fils sont tordus. Les figures

ive les restes de la cloison et le col de l'utérus, et enfin ces deux surfaces largement avivées sont mises en contact et fixées

onférenciel au pourtour de la fistule, et on avive de même toutes les surfaces qui sont couvertes de tissu inodulaire, sacrifian

ne orga-nisée, mais encore une couche du tissu utérin. Rapprochez les surfaces avivées ; si vous n'y pouvez parvenir, incisez le

5 à 6 milhmètres sous la paroi du vagin, et un trajet semblable à la surface libre de cette paroi. En serrant les deux bouts d

c incisions libératrices, destinées à facili-ter le rapprochement des surfaces avivées, lorsqu'il y a eu perte de substance , ou

iser en deux temps. Dans le premier temps, le chirurgien agit sur les surfaces cicatricielles; il enlève de chaque côté de la cl

e ; elle traverse la lame de la cloison dédoublée et appa-raît sur la surface d'avivement, puis la pointe est enfoncée sur le p

ans la plaie et les bouts dans l'intestin ; puis on rappro- che les surfaces en nouant les fils, dont il suffit de placer troi

elui de la déchirure ; les parois latérales de cet entonnoir sont les surfaces cicatricielles avivées; ses limites en avant et e

s-section la membrane muqueuse, et de rendre ainsi saignante toute la surface comprise entre cette incision externe et une autr

rtainement naissance à une fistule, lors même que tout le reste de la surface serait réuni. Le deuxième temps consiste à divi

ouble. Cette aiguille pique la peau à 27 mil-limètres en dehors de la surface avivée du côté gauche de la malade ; on la pousse

edans et on la fait sortir sur le bord postérieur ou profond de cette surface . Lorsque le côté gauche a ainsi été traversé, on

, on reporte la pointe de l'ai-guille sur le bord correspondant de la surface avivée de l'autre côté, et, lui faisant parcourir

ment ; avec la pointe d'un bistouri il trace la limite exacte de deux surfaces qui doivent être avivées, afin de les avoir égale

culaire des bords déchirés de cette cloison, d pourra rap-procher des surfaces larges de plus de i centimètre, fournies par le v

che de la plaie, à quelcj[ues milli-mètres seulement en arrière de la surface vaginale du futur périnée; l'aiguille, dirigée de

ndes lèvres et sur les cicatrices laissées par la déchirure. Les deux surfaces symétriques ainsi avivées sont limitées sur la li

u lieu de perforer la cloison, ou de passer d'outre en outre sous les surfaces avivées destinées à reformer le périnée. L'aiguil

rfaces avivées destinées à reformer le périnée. L'aiguille entre à la surface libre, cutanée ou muqueuse, des lambeaux, passe s

née ou muqueuse, des lambeaux, passe sous la plus grande partie de la surface saignante, et sort toujours dans l'aire de cette

partie de la surface saignante, et sort toujours dans l'aire de cette surface ; puis on la fait rentrer dans le point correspon

dans la peau à i centimètre i\i en dehors de l'angle in-férieur de la surface avivée, passant sous cette surface, puis remontan

dehors de l'angle in-férieur de la surface avivée, passant sous cette surface , puis remontant pour pénétrer dans l'épaisseur de

mier, en ayant soin de le diriger dans les deux tiers seulement de la surface avivée, et dans l'aire de cette surface, entre de

es deux tiers seulement de la surface avivée, et dans l'aire de cette surface , entre deux points de suture vaginale. On reprend

ure périnéale, et l'on termine vers la partie antéro-supérieure de la surface avivée quelques points de suture simple. Dans t

; il est bien entendu que ces cautérisations n'ont été faites qu'à la surface du col et non dans l'intérieur de la cavité. La

l'utérus. On peut l'appliquer en couches plus ou moins épaisses à la surface du col, en cylindres dans la cavité de ce col, la

pas de support. Le caustique au chlorure de zinc ne prend pas sur une surface qui n'est pas dénudée. Lorsqu'on l'a placée on le

de de la tempéra-ture des cautères; la couche isolante que produit la surface atteinte la première, empêchent la pénétration du

te sur des tissus mous, gorgés de liquides; il faut donc dessécher la surface malade avant de la cautériser ; avec cette précau

op intense et dans le but de permet-tre la cautérisation par toute la surface de ce cylindre, on a fait couler le nitrate autou

suintement de sang par les pavillons des trompes de Fallope et par la surface des ovaires congestionnés; il en résulte une form

ement concave sur son bord tranchant, de manière à mieux embrasser la surface convexe du col, est placée sur ce col au point pr

atures ordinaires. Enfin, cette section diminue beaucoup rétendue des surfaces traumatiques, ce qui est dû à la com-pression trè

ues, ce qui est dû à la com-pression très-énergique que subissent ces surfaces avant d'être coupées, compression qui réduit le v

plastique pendant l'opé-ration, et qui donnera cette homogénéité des surfaces trauma-tiques qui caractérise ce mode de diérèse.

ien de semblable pour l'arrachement; l'écrasement donne des cou-pes à surfaces régulières et non frangées et à lambeaux comme da

ne manière parfaite aux vues de l'art. Que donne-t-elle en effet? Une surface en grande partie sèche; mais il suffit qu'un seul

oite, non écrasée, et qui ouvre la porte aux accidents ordinaires des surfaces saignantes. Paredle ré-flexion se présente à l'es

u'on la resserre. La section du col par l'écraseur ne donne pas une surface plane, mais une cupule sur la partie détachée, et

simples dans beau-coup de cas, ainsi il n'y a pas d'hémorrhagie ; les surfaces coupées ne laissent d'abord suinter qu'une sérosi

a-toire; nous ferons seulement remarquer qu'il est bon de tou-cher la surface de section avec le perchlorure de fer pour préven

sé par M. Sims. Ce chirurgien, aussitôt après la section, recouvre la surface coupée avec la membrane mu-queuse du vagin, de la

ené la plaie dans son axe on s'assure par la vue de l'état sain de la surface de section. S'il y a des doutes, on enlève les ti

qui peuvent atteindre 16 centimè-tres comme l'a constaté Virchow ; la surface du col présente des irrégularités, des saillies,

is plus particulièrement sur les glandes utérines ; ce qui donne à la surface un aspect rugueux, produit par de nombreux petits

es cette vascularité expose, on peut cautériser au fer rouge toute la surface de section. Il est bon d'amputer le col sur place

des instruments que nous avons décrits, et cautérisé en même temps la surface d'implantation pour éviter la récidive. Quand le

le polype avec des ciseaux ou avec le bistouri, et on applique sur la surface de section un tampon trempé dans une solution d'a

as indispensable d'enlever minutieuse-ment tout ce qui peut ternir la surface fisse du péritoine ; il serait même utile d'y lai

encore en attaquant ces loges par leur contour extérieur. Quant à la surface interne, son aspect varie avec le contenu du kyst

élevée pour que le toucher vaginal ne fasse reconnaître qu'une seule surface sphéroïdale, large, unie, indépendante de l'utéru

douleur, si l'on peut constater qu'il s'o-père un glissement entre la surface séreuse du kyste et celle de la paroi abdominale,

ter beaucoup de liquide, mais d'en introduire assez pour que toute la surface du kyste en soit imbibée par la malaxation. Quand

d'y produire une exsudation de lymphe plastique qui fasse adhérer les surfaces opposées de sa paroi interne. Le trocart de M. Bu

, à tra-vers laquelle on introduit un ou deux doigts pour explorer la surface du kyste et reconnaître s'il existe des adhérence

er toute la longueur du pédicule. Il est vrai qu'en laissant ainsi la surface de sec-tion d'j p;'('.icule au dehors, elle est p

le bord inférieur de la plaie et maintenu par plusieurs aiguilles; la surface de section du pé-dicule était alors touchée à l'a

ers la peau et les muscles, jusqu'à l'angle que fait la plaie avec la surface péritonéale; puis, partant de l'angle correspon-d

t plus abondante, qu'elle a été plus imparfaite-ment arrêtée, que les surfaces traumatiques sont plus étendues, que l'opération

'emblée ou à marche typhoïde. Elle se développe surtout quand une des surfaces divisées prend l'aspect gangreneux, ou quand des

mités. Figure viii. Lorsque cette traction est suffisante, les deux surfaces avi-vées sont en contact parfait ; le fil métalli

e. B, main d'un aide, dont l'index écarte la grande lèvre droite. CG, surfaces avivées. DD, incisions partant de l'anus et se di

et on fera les nœuds. Figure ii. Procédé du professeur Jobert. AA, surfaces avivées. BBB trajet des fils dans la suture dite

u de l'anus. Figure m. Procédé de M. Demarquay, premier temps. A A, surfaces symétriquement avivées de chaque côté. La situati

mbach. Figure vi. Procédé de M. Deroubaix dit à double suture. A A, surfaces avivées. 1, 2, 3, points delà suture périnéale; c

la suture vaginale, dont on voit les bouts correspondants sur l'autre surface avivée. Toutes les sutures vaginales sont entre-c

les bords de la muqueuse du vagin avec la-quelle on veut recouvrir la surface de section du col. Figure xi. Les fils d'argent